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iPhone Guide de l’utilisateur Pour le logiciel iOS 5.1Table des matières 9 Chapitre 1: Vue d’ensemble de l’iPhone 9 Présentation de l’iPhone 9 Accessoires 10 Boutons 12 Icônes d’état 14 Chapitre 2: Démarrage 14 Visualisation de ce guide de l’utilisateur sur l’iPhone 14 Éléments nécessaires 14 Installation de la carte SIM 15 Configuration et activation 15 Connexion de l’iPhone à votre ordinateur 16 Connexion à Internet 16 Configuration de Mail et d’autres comptes 16 Gestion du contenu sur vos appareils iOS 17 iCloud 18 Synchronisation avec iTunes 20 Chapitre 3: Notions élémentaires 20 Utilisation des apps 23 Personnalisation de l’écran d’accueil 25 Saisie de texte 28 Dictée 29 Impression 30 Recherche 31 Contrôle vocal 32 Notifications 33 Twitter 34 Écouteurs Apple avec télécommande et micro 35 AirPlay 36 Appareils Bluetooth 37 Batterie 38 Fonctionnalités de sécurité 40 Nettoyage de l’iPhone 40 Redémarrage ou réinitialisation de l’iPhone 41 Chapitre 4: Siri 41 Qu’est-ce que Siri ? 42 Utilisation de Siri 45 Correction de Siri 46 Siri et les apps 58 Dictée 260 Chapitre 5: Téléphone 60 Appels téléphoniques 64 FaceTime 65 Messagerie vocale visuelle 66 Contacts 66 Favoris 67 Renvoi d’appel, signal d’appel et identifiant de l’appelant 68 Sonneries, commutateur Sonnerie/Silence et vibration 68 Appels internationaux 69 Configuration d’options de Téléphone 71 Chapitre 6: Mail 71 Relève de la boîte aux lettres et lecture du courrier électronique 72 Fonctionner avec plusieurs comptes 72 Envoi de courrier électronique 73 Utilisation des liens et données détectées 73 Consultation de pièces jointes 74 Impression de messages et de pièces jointes 74 Organisation du courrier électronique 75 Recherche dans le courrier électronique 75 Comptes de messagerie et réglages 78 Chapitre 7: Safari 78 Affichage de pages web 79 Liens 79 Liste de lecture 79 Lecteur 80 Saisie de texte et remplissage de formulaires 80 Recherche 80 Signets et historique 81 Impression de pages web, de documents PDF et d’autres documents 81 Clips web 82 Chapitre 8: Musique 82 Ajout de musique et d’audio 82 Lecture de morceaux et d’autre contenu audio 84 Commandes audio supplémentaires 84 Commandes pour les podcasts et les livres audio 85 Utilisation de Siri ou Contrôle vocal avec Musique 85 Exploration des illustrations d’album en mode Cover Flow 86 Affichage des pistes d’un album 86 Recherche de contenu audio 86 iTunes Match 87 Genius 87 Listes de lecture 88 Partage à domicile 89 Chapitre 9: Messages 89 Envoi et réception de messages 91 Envoi de messages à un groupe 91 Envoi de photos, vidéos, etc. 91 Modification de conversations 92 Recherche de messages Table des matières 393 Chapitre 10: Calendrier 93 À propos de Calendrier 93 Affichage de vos calendriers 94 Ajout d’événements 94 Réponse à des invitations 95 Recherche dans les calendriers 95 Abonnement à des calendriers 95 Importation d’événements de calendrier depuis Mail 95 Comptes de calendrier et réglages 97 Chapitre 11: Photos 97 Visionnage de photos et de vidéos 98 Affichage de diaporamas 98 Organisation de photos et de vidéos 98 Partage de photos et de vidéos 99 Impression de photos 100 Chapitre 12: Appareil photo 100 À propos d’Appareil photo 101 Capture de photos et de vidéos 101 Photos HDR 102 Visionnage, partage et impression 102 Modification de photos 103 Ajustement des vidéos 103 Téléchargement de photos et de vidéos sur votre ordinateur 103 Flux de photos 105 Chapitre 13: YouTube 105 À propos de YouTube 105 Pour explorer et rechercher des vidéos 106 Lecture de vidéos 106 Suivi des vidéos que vous appréciez 107 Partage de vidéos, commentaires et classements 107 Obtention d’informations sur une vidéo 107 Envoi de vidéos sur YouTube 108 Chapitre 14: Bourse 108 Visualisation des cours de la bourse 109 Obtention d’informations supplémentaires 110 Chapitre 15: Plans 110 Recherche de lieux 111 Itinéraires 112 Pour obtenir et partager des informations sur un lieu 112 Affichage de l’état de la circulation 113 Présentations du plan 114 Chapitre 16: Météo 114 Obtention d’informations météorologiques 4 Table des matières115 Chapitre 17: Notes 115 À propos de Notes 115 Rédaction de notes 116 Lecture et modification de notes 116 Pour effectuer une recherche dans les notes 116 Impression ou envoi de notes par courrier électronique 117 Chapitre 18: Horloge 117 À propos d’Horloge 117 Réglage des horloges mondiales 117 Réglage des alarmes 118 Utilisation du chronomètre 118 Réglage d’un minuteur 119 Chapitre 19: Rappels 119 À propos de Rappels 119 Configuration d’un rappel 120 Gestion des rappels en présentation par liste 121 Gestion des rappels en présentation par date 121 À propos des rappels par lieu 121 Gestion des rappels terminés 122 Pour effectuer une recherche dans les rappels 123 Chapitre 20: Game Center 123 À propos de Game Center 123 Connexion à Game Center 124 Achat et téléchargement de jeux 124 Jeux 124 Jeu avec des amis 125 Réglages Game Center 126 Chapitre 21: iTunes Store 126 À propos de l’iTunes Store 126 Recherche de musique, vidéos, etc. 127 Achat de musique, livres audio et sons 127 Achat et location de vidéos 128 Suivi d’artistes et d’amis 128 Diffusion en continu ou téléchargement de podcasts 129 Vérification de l’état de téléchargement 129 Modification des boutons de navigation 129 Affichage des informations du compte 129 Vérification des téléchargements 130 Chapitre 22: Kiosque 130 À propos de Kiosque 131 Lecture des derniers numéros 132 Chapitre 23: App Store 132 À propos de l’App Store 132 Recherche et téléchargement d’apps 133 Suppression d’apps 134 Réglages du Store Table des matières 5135 Chapitre 24: Contacts 135 À propos de Contacts 135 Synchronisation des contacts 136 Recherche de contacts 136 Ajout et modification de contacts 137 Contacts unifiés 137 Comptes de Contacts et réglages 139 Chapitre 25: Vidéos 139 À propos de Vidéos 139 Lecture de vidéos 140 Recherche de vidéos 140 Visionnage de films en location 141 Visionnage de vidéos sur un téléviseur 141 Suppression de vidéos de l’iPhone 142 Utilisation de Partage à domicile 142 Réglage d’un minuteur de veille 142 Conversion de vidéos pour l’iPhone 143 Chapitre 26: Calculette 143 Utilisation de la calculette 143 Calculatrice scientifique 144 Chapitre 27: Boussole 144 À propos de Boussole 144 Étalonnage de la boussole 145 Recherche de la direction 145 Utilisation de Boussole avec Plans 146 Chapitre 28: Dictaphone 146 À propos de Dictaphone 146 Enregistrement 147 Écoute d’un enregistrement 147 Gestion et partage des enregistrements 148 Partage de mémos vocaux avec votre ordinateur 149 Chapitre 29: Nike + iPod 149 À propos de Nike + iPod 149 Activation de Nike + iPod 149 Association d’un capteur 150 Entraînement avec Nike + iPod 150 Étalonnage de Nike + iPod 151 Envoyer des données d’entraînement à nikeplus.com 152 Chapitre 30: iBooks 152 À propos d’iBooks 152 Utilisation de l’iBookstore 153 Synchronisation de livres et de documents PDF 153 Lecture de livres 155 Modification de l’apparence d’un livre 155 Impression ou envoi par courrier d’un document PDF 156 Organisation de l’étagère 6 Table des matières157 Chapitre 31: Accessibilité 157 Fonctionnalités d’accès universel 157 VoiceOver 169 Acheminement de l’audio des appels entrants 169 Siri 169 Triple clic sur le bouton principal 169 Zoom 170 Grande police 170 Blanc sur noir 170 Énoncer la sélection 170 Énonciation auto 171 Audio mono 171 Compatibilité avec les appareils auditifs 171 Vibreur personnalisé 172 Flash LED pour alertes 172 AssistiveTouch 172 Accès universel sous OS X 173 Assistance TTY 173 Taille minimale de police pour les messages Mail 173 Sonneries assignables 173 Messagerie vocale visuelle 173 Larges claviers à l’écran 173 Grand clavier téléphonique 174 Contrôle vocal 174 Sous-titres codés 175 Chapitre 32: Réglages 175 Mode Avion 175 Wi-Fi 176 Notifications 177 Service de localisation 177 VPN 178 Partage de connexion 178 Opérateur 179 Sons et commutateur Sonnerie/Silence 179 Luminosité 179 Fond d’écran 179 Général 186 Réglages des apps 187 L’annexe A: Claviers internationaux 187 Ajout et suppression de claviers 187 Basculement entre les claviers 187 Chinois 189 Japonais 189 Saisie de caractères emoji 189 Utilisation de la liste des candidats 190 Utilisation des raccourcis 190 Vietnamien Table des matières 7191 L’annexe B: Assistance et autres informations 191 Site d’assistance iPhone 191 Redémarrage ou réinitialisation de l’iPhone 191 Sauvegarde de l’iPhone 193 Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPhone 194 Partage de fichiers 194 Informations relatives à la sécurité, au logiciel et au service après-vente 195 Utilisation de l’iPhone dans un environnement d’entreprise 195 Utilisation de l’iPhone avec d’autres opérateurs 196 Informations concernant l’élimination et le recyclage 197 Apple et l’environnement 197 Température de fonctionnement de l’iPhone 8 Table des matièresVue d’ensemble de l’iPhone 1 Présentation de l’iPhone Récepteur Commutateur Sonnerie/Silence Microphone du haut Boutons de volume Écran 5HWLQDG·$SSOH Haut-parleur %RXWRQ¬SULQFLSDO $SSDUHLOSKRWR frontal $SSDUHLOSKRWR arrière Flash à diode Tiroir de carte SIM Connecteur Dock Bouton 0DUFKH$UUrW Microphone du bas ,F{QHVG·$SS %DUUHG·pWDW iPhone Prise G·pFRXWHXUV Il se peut que les fonctionnalités de votre iPhone et son écran d’accueil soient différents, selon le modèle d’iPhone dont vous disposez et la manière dont vous avez personnalisé l’écran d’accueil. Accessoires Les accessoires suivants sont fournis avec l’iPhone : Câble Connecteur Dock vers USB Écouteurs Apple avec télécommande et micro Adaptateur secteur USB Outil d’éjection de la carte SIM 9Élément Utilisation Écouteurs Apple avec télécommande et micro Écoutez de la musique et des vidéos, et passez des appels téléphoniques. Consultez la section « Écouteurs Apple avec télécommande et micro » à la page 34. Câble Connecteur Dock vers USB Utilisez ce câble pour connecter l’iPhone à votre ordinateur afin de le recharger et de le synchroniser. Vous pouvez utiliser le câble avec la station d’accueil vendue en option ou le brancher directement sur l’iPhone. Adaptateur secteur USB Connectez l’adaptateur secteur à l’iPhone à l’aide du câble fourni, puis branchez-le sur une prise électrique standard pour recharger l’iPhone. Outil d’éjection de carte SIM (non inclus dans toutes les régions) Éjectez le plateau de la carte SIM. Boutons Bouton Marche/Arrêt Lorsque vous n’utilisez pas l’iPhone, vous pouvez le verrouiller pour éteindre l’écran et économiser la batterie. Pour verrouiller l’iPhone : Appuyez sur le bouton Marche/Arrêt. Lorsque l’iPhone est verrouillé, il ne répond pas lorsque vous touchez l’écran. L’iPhone peut toujours recevoir des appels, des messages texte et d’autres mises à jour. Vous pouvez également :  écouter de la musique ;  régler le volume à l’aide des boutons situés sur le côté de l’iPhone (ou sur les écouteurs de l’iPhone) pendant que vous parlez au téléphone ou écoutez de la musique ;  appuyer sur le bouton central des écouteurs de l’iPhone pour répondre ou mettre fin à des appels, ou pour commander la lecture audio (consultez la section « Lecture de morceaux et d’autre contenu audio » à la page 82). Bouton Marche/Arrêt Déverrouiller l’iPhone Appuyez sur le bouton principal ou sur le bouton Marche/Arrêt, puis faites glisser le curseur. Ouvrir l’appareil photo lorsque l’iPhone est verrouillé Appuyez sur le bouton principal ou sur le bouton Marche/Arrêt, puis faites glisser vers le haut. Accéder aux commandes audio lorsque l’iPhone est verrouillé Touchez deux fois le bouton principal . Éteindre l’iPhone Maintenez le bouton Marche/Arrêt enfoncé pendant quelques secondes jusqu’à l’apparition du curseur rouge, puis faites glisser le curseur. Pour allumer l’iPhone Maintenez le bouton Marche/Arrêt enfoncé jusqu’à l’apparition du logo Apple. Par défaut, l’iPhone se verrouille automatiquement si vous ne touchez pas l’écran pendant une minute. Pour désactiver le verrouillage automatique ou modifier le délai de verrouillage de l’iPhone, consultez la section « Verrouillage automatique » à la page 182. Pour demander un code pour déverrouiller l’iPhone, consultez la section « Verrouillage par code » à la page 183. 10 Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’iPhoneBouton principal Le bouton principal vous permet de revenir à l’écran d’accueil à n’importe quel moment. Il fournit également d’autres raccourcis pratiques. Pour atteindre l’écran d’accueil : Appuyer sur le bouton principal . Sur l’écran principal, si vous touchez une app, celle-ci s’ouvre. Consultez la section « Ouverture d’apps et basculement entre apps » à la page 20. Afficher la barre multitâche pour voir les apps récemment utilisées Lorsque l’iPhone est verrouillé, touchez deux fois l’écran principal . Afficher les commandes de lecture audio Lorsque l’iPhone est verrouillé : Touchez deux fois le bouton principal . Consultez la section « Lecture de morceaux et d’autre contenu audio » à la page 82. Lors de l’utilisation d’une autre app : Touchez deux fois le bouton principal , puis balayez le sélecteur d’app de gauche à droite. Lancer Siri (iPhone 4S) ou Contrôle vocal Maintenez le bouton principal enfoncé . Consultez les sections Chapitre 4, « Siri, » à la page 41 et « Contrôle vocal » à la page 31. Boutons de volume Lorsque vous téléphonez ou lisez des morceaux, des films ou tout autre contenu multimédia, les boutons situés sur le côté de l’iPhone permettent de régler le volume audio. À tout autre moment, ces boutons contrôlent le volume des sonneries, alarmes et autres effets sonores. AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la perte d’audition, consultez le Guide d’informations importantes sur le produit à l’adresse www.apple.com/fr/support/manuals/ iphone. Augmenter le volume Baisser le volume Pour limiter le volume de la musique et des vidéos, accédez à Réglages > Musique. Vous pouvez également utiliser le bouton d’augmentation du volume pour prendre une photo ou enregistrer une vidéo. Consultez la section « Capture de photos et de vidéos » à la page 101. Commutateur Sonnerie/Silence Utilisez le commutateur Sonnerie/Silence pour placer l’iPhone en mode Sonnerie ou Silence . Sonnerie Silence Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’iPhone 11En mode Sonnerie, l’iPhone joue tous les sons. Lorsque le mode Silence est activé, l’iPhone ne sonne pas, et les alarmes et effets sonores sont désactivés. Important : Les alarmes, les apps audio telles que Musique, mais aussi de nombreux jeux reproduisent néanmoins les sons à travers le haut-parleur intégré même si l’iPhone est en mode Silence. Pour plus d’informations sur la modification des réglages de volume et de vibration, consultez la section « Sons et commutateur Sonnerie/Silence » à la page 179. Icônes d’état Les icônes de la barre d’état située en haut de l’écran proposent des informations concernant l’iPhone : Icône d’état Signification Signal de cellule* Indique si vous êtes à portée du réseau de téléphonie mobile et passer et recevoir des appels. Le nombre de barres est proportionnel à la qualité du signal. S’il n’y a pas de signal, les barres sont remplacées par « Réseau indisp. ». Mode Avion Indique que le mode avion est activé et que vous ne pouvez pas utiliser le téléphone, accéder à Internet ou utiliser les appareils Bluetooth®. Les fonctionnalités qui ne sont pas liées au réseau sans fil sont disponibles. Consultez la section « Mode Avion » à la page 175. UMTS Indique que le réseau 4G UMTS (GSM) de votre opérateur est disponible et que l’iPhone peut se connecter à Internet via ce réseau. (iPhone 4S uniquement. Cette fonction n’est pas disponible dans toutes les régions.) Consultez la section « Réseau » à la page 180. UMTS/EV-DO Indique que le réseau 3G UMTS (GSM) ou EV-DO (CDMA) de votre opérateur est disponible et que l’iPhone peut se connecter à Internet via ce réseau. Consultez la section « Réseau » à la page 180. EDGE Indique que le réseau EDGE (GSM) de votre opérateur est disponible et que l’iPhone peut se connecter à Internet via ce réseau. Consultez la section « Réseau » à la page 180. GPRS/1xRTT Indique que le réseau GPRS (GSM) ou 1xRTT (CDMA) de votre opérateur est disponible et que l’iPhone peut se connecter à Internet via ce réseau. Consultez la section « Réseau » à la page 180. 12 Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’iPhoneIcône d’état Signification Wi-Fi* Indique que l’iPhone est connecté à Internet par un ré- seau Wi-Fi. Le nombre de barres est proportionnel à la qualité de la connexion. Consultez la section « Wi-Fi » à la page 175. Partage de connexion Indique que l’iPhone est connecté à un autre iPhone offrant un partage de connexion. Consultez la section « Partage de connexion » à la page 178. Synchronisation Indique que l’iPhone est en cours de synchronisation avec iTunes. Activité réseau Affiche l’activité réseau. Certaines apps tierces peuvent également utiliser cette icône pour indiquer un processus actif. Renvoi d’appel Indique que le renvoi d’appel est configuré sur l’iPhone. Consultez la section « Renvoi d’appel » à la page 67. VPN Indique que vous êtes connecté à un réseau en utilisant un VPN (réseau privé virtuel). Consultez la section « Réseau » à la page 180. Cadenas Indique que l’iPhone est verrouillé. Consultez la section « Bouton Marche/Arrêt » à la page 10. TTY Indique que l’iPhone est prêt à fonctionner avec une machine TTY. Consultez la section « Assistance TTY » à la page 173. Lecture Indique qu’un morceau, un livre audio ou un podcast est à l’écoute. Consultez la section « Lecture de morceaux et d’autre contenu audio » à la page 82. Verrouillage en orientation portrait Indique que l’écran de l’iPhone est verrouillé en orientation portrait. Consultez la section « Affichage en orientation portrait ou paysage » à la page 22. Alarme Indique qu’une alarme est réglée. Consultez la section « Réglage des alarmes » à la page 117. Service de localisation Indique qu’un élément utilise le Service de localisation. Consultez la section « Service de localisation » à la page 177. Bluetooth* Icône bleue ou blanche : Bluetooth est activé et jumelé avec un appareil. Icône grise : Bluetooth est activé et jumelé avec un appareil, mais ce dernier est hors de portée ou éteint. Pas d’icône : Bluetooth est désactivé ou n’est pas jumelé avec un appareil. Consultez la section « Appareils Bluetooth » à la page 36. Batterie Bluetooth Indique le niveau de batterie d’un appareil Bluetooth jumelé pris en charge. Batterie Indique le niveau de la batterie ou l’état de la charge. Consultez la section « Batterie » à la page 37. * L’utilisation de certains accessoires avec l’iPhone peut altérer les performances sans fil. Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’iPhone 13Démarrage 2 AVERTISSEMENT : Pour éviter tout risque de dommage corporel, lisez attentivement toutes les consignes d’utilisation de ce guide et les consignes de sécurité du Guide d’informations importantes sur le produit de l’iPhone à l’adresse www.apple.com/fr/support/manuals/iphone avant d’utiliser l’iPhone. · Visualisation de ce guide de l’utilisateur sur l’iPhone Le Guide de l’utilisateur de l’iPhone peut être affiché sur l’iPhone dans Safari et dans l’app iBooks gratuite. Pour consulter le guide de l’utilisateur dans Safari : Touchez , puis le signet Guide de l’utilisateur de l’iPhone. Pour ajouter une icône correspondant au guide sur l’écran d’accueil, touchez , puis touchez « Ajouter à l’écran d’accueil ». Pour le consulter dans une autre langue, touchez « Changer de langue » sur la page de contenu principale. Pour consulter le guide de l’utilisateur dans iBooks : Si vous n’avez pas installé iBooks, ouvrez l’App Store, recherchez « iBooks » puis installez-le. Ouvrez iBooks et touchez Store. Recherchez « Utilisateur de l’iPhone », puis sélectionnez et téléchargez le guide. Pour plus d’informations sur iBooks, consultez la section Chapitre 30, « iBooks, » à la page 152. Éléments nécessaires Pour utiliser l’iPhone, vous avez besoin des éléments suivants :  un plan de service sans fil auprès d’un opérateur offrant un service iPhone dans votre région ;  un identifiant Apple (pour certaines fonctionnalités), qui peut être créé durant la configuration ;  un Mac ou un PC équipé d’un port USB 2.0 et de l’un des systèmes d’exploitation suivants :  Mac OS X version 10.5.8 ou ultérieure,  Windows 7, Windows Vista, Windows XP Édition Familiale ou Windows XP Professionnel avec Service Pack 3 ;  une connexion Internet pour votre ordinateur (haut débit recommandé).  iTunes 10.5 ou ultérieur (pour certaines fonctionnalités), disponible à la page www.itunes.com/ fr/download. Installation de la carte SIM Si une carte SIM à installer vous a été remise, installez-la avant de configurer l’iPhone. 14Important : Une carte SIM est requise pour utiliser les services cellulaires lors des connexions aux réseaux GSM et à certains réseaux CDMA. Un iPhone 4S qui a été activé sur un réseau sans fil CDMA peut également utiliser une carte SIM pour se connecter à un réseau GSM, principalement pour les services d’itinérance. Votre iPhone est soumis aux politiques de votre fournisseur de service sans fil, qui peuvent inclure des restrictions quant au basculement entre fournisseurs de service et à l’itinérance, même après la conclusion de tout contrat de service minimum requis. Contactez votre fournisseur de service sans fil pour en savoir plus. La disponibilité des capacités cellulaires dépend du réseau sans fil. Installation de la carte SIM dans l’iPhone 4S Carte micro SIM Tiroir de carte micro SIM Trombone ou outil d’éjection de la carte SIM Pour installer la carte SIM : Insérez l’extrémité d’un petit trombone ou l’outil d’éjection de carte SIM dans l’orifice du tiroir de carte SIM. Retirez le tiroir de carte SIM et placez-y la carte SIM comme illustré. Alignez le tiroir, la carte SIM sur le dessus, puis replacez-le soigneusement. Configuration et activation Pour configurer et activer l’iPhone, activez-le puis suivez l’Assistant réglages. Il vous guide lors de la configuration, notamment lors de la connexion à un réseau Wi-Fi, la connexion à un identifiant Apple ou la création d’un identifiant Apple gratuit, la configuration d’iCloud, l’activation de fonctionnalités recommandées telles que Service de localisation et Localiser mon iPhone, et l’activation de l’iPhone avec votre opérateur. Lors de la configuration, vous pouvez également restaurer à partir d’une sauvegarde iCloud ou iTunes. L’activation s’opère sur un réseau Wi-Fi ou, avec l’ iPhone 4S, sur le réseau de votre opérateur té- léphonique (non disponible dans toutes les régions). Si aucun des réseaux n’est disponible, vous devez connecter l’iPhone à votre ordinateur pour l’activation. Connexion de l’iPhone à votre ordinateur Si vous n’avez pas d’accès Wi-Fi ou cellulaire, l’iPhone doit être connecté à votre ordinateur afin de terminer l’activation. La connexion de l’iPhone à votre ordinateur vous permet de synchroniser des données, de la musique et d’autres contenus avec iTunes. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 18. Chapitre 2 Démarrage 15Connecter l’iPhone à votre ordinateur : Utilisez le Câble Connecteur Dock vers USB fournit avec l’iPhone. Connexion à Internet L’iPhone se connecte à Internet lorsque c’est nécessaire, à l’aide d’une connexion Wi-Fi (le cas échéant) ou le réseau cellulaire de votre opérateur. Pour en savoir plus sur la connexion à un ré- seau Wi-Fi, consultez la section « Wi-Fi » à la page 175. Remarque : Si aucune connexion Wi-Fi à Internet n’est disponible, certaines fonctionnalités et certains services de l’iPhone peuvent transférer des données sur le réseau cellulaire de votre opé- rateur, ce qui peut entraîner des frais supplémentaires. Contactez votre opérateur pour obtenir des informations sur les tarifs de vos forfaits de données cellulaires. Pour gérer l’utilisation des données cellulaires, consultez la section « Réseau » à la page 180. Configuration de Mail et d’autres comptes L’iPhone fonctionne avec iCloud, Microsoft Exchange et de nombreux fournisseurs de services de messagerie, de contacts et de calendriers populaires. Si vous ne possédez pas encore de compte de messagerie, vous pouvez configurer un compte iCloud gratuit lors de la première configuration de votre iPhone, ou ultérieurement dans Réglages > iCloud. Consultez la section « iCloud » à la page 17. Pour configurer un compte iCloud : Accédez à Réglages > iCloud. Pour configurer un autre compte : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Vous pouvez ajouter des contacts à l’aide d’un compte LDAP ou CardDAV, si votre entreprise ou organisation le prend en charge. Consultez la section « Synchronisation des contacts » à la page 135. Vous pouvez ajouter un compte de calendrier CalDAV, et vous abonner à des calendriers iCal (.ics) ou les importer à partir de Mail. Consultez la section « Abonnement à des calendriers » à la page 95. Gestion du contenu sur vos appareils iOS Vous pouvez transférer des données et des fichiers entre vos appareils iOS et vos ordinateurs à l’aide d’iCloud ou d’iTunes.  iCloud stocke votre contenu, par exemple votre musique, vos photos, etc. et le transfère vers d’autres appareils iOS et ordinateurs, maintenant ainsi toutes vos données à jour. Consultez la section « iCloud » ci-après. 16 Chapitre 2 Démarrage iTunes synchronise de la musique, des vidéos, des photos et bien plus entre votre ordinateur et votre iPhone. Les modifications apportées à un appareil s’appliquent à l’autre appareil lors de la synchronisation. Vous pouvez aussi utiliser iTunes pour copier un fichier sur l’iPhone et l’utiliser dans une app ou copier un document crée sur l’iPhone sur votre ordinateur. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 18. Vous pouvez utiliser iCloud, iTunes ou les deux selon vos besoins. Par exemple, vous pouvez utiliser Flux de photos iCloud pour automatiquement disposer des photos que vous prenez avec l’iPhone sur vos autres appareils, et utiliser iTunes pour synchroniser vos albums photo de votre ordinateur vers l’iPhone. Remarque : Vous ne devez pas synchroniser des éléments sur la sous-fenêtre Infos d’iTunes (tels que des contacts, des calendriers et des notes) et également utiliser iCloud pour maintenir ces données à jour sur vos appareils. Autrement, vous risquez d’obtenir des données en double. iCloud iCloud stocke votre contenu, notamment la musique, les photos, les contacts, les calendriers ou les documents gérés. Le contenu stocké dans iCloud est transféré sans fil vers vos autres appareils iOS et ordinateurs configurés avec le même compte iCloud. iCloud est disponible sur les appareils iOS 5, sur les Mac exécutant OS X Lion 10.7.2 ou une version ultérieure et sur les PC équipés du panneau de configuration iCloud pour Windows (obligatoirement Windows Vista Service Pack 2 ou Windows 7). Parmi les fonctionnalités d’iCloud figurent :  iTunes dans le nuage : téléchargez des achats de séries TV et de musique effectués antérieurement sur iTunes vers l’iPhone gratuitement et à tout moment.  Apps et livres : téléchargez des achats effectués antérieurement dans l’App Store et l’iBookstore vers l’iPhone gratuitement et à tout moment.  Flux de photos : les photos que vous prenez sur un appareil sont automatiquement affichées sur tous vos autres appareils. Consultez la section « Flux de photos » à la page 103.  Documents dans le nuage : pour les apps iCloud, maintenez à jour les documents et les données d’app sur tous vos appareils.  Mail, Contacts, Calendrier : maintenez à jour l’ensemble de vos contacts, calendriers, notes et rappels sur tous vos appareils.  Sauvegarde : sauvegardez l’iPhone vers iCloud automatiquement lorsqu’il est connecté à une source d’alimentation et à une connexion Wi-Fi. Consultez la section « Sauvegarde de l’iPhone » à la page 191.  Localiser mon iPhone : localisez votre iPhone sur un plan, affichez un message, faites sonner l’appareil, verrouillez l’écran ou effacez les données à distance. Consultez la section « Localiser mon iPhone » à la page 39.  Localiser mes amis : partagez votre emplacement avec les personnes que vous considérez importantes. Téléchargez l’app gratuite dans l’App Store.  iTunes Match : grâce à un abonnement à iTunes Match, toute votre musique, notamment celle que vous avez importée à partir de CD ou achetée autrement que sur iTunes, s’affiche sur tous vos appareils et peut être téléchargée et lue à la demande. Consultez la section « iTunes Match » à la page 86. Chapitre 2 Démarrage 17iCloud vous donne accès à un compte de courrier électronique gratuit et à 5 Go de stockage pour le courrier électronique, les documents et les sauvegardes. Vos achats de musique, d’apps, de sé- ries TV et de livres, ainsi que votre Flux de photos, n’utilisent pas votre espace gratuit. Si vous disposez d’un abonnement à MobileMe, vous pouvez le migrer vers iCloud depuis un Mac ou un PC à l’adresse www.me.com/move jusqu’au 30 juin 2012. Remarque : iCloud n’est pas disponible dans toutes les régions, et ses fonctionnalités varient en fonction de l’endroit. Se connecter ou créer un compte iCloud : Dans Réglages, touchez iCloud. Activer ou désactiver des services iCloud Accédez à Réglages > iCloud. Activer la sauvergarde iCloud Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde. Localiser votre iPhone Visitez le site www.icloud.com, connectez-vous à l’aide de votre identifiant Apple, puis choisissez Localiser mon iPhone. Important : Localiser mon iPhone doit être activé dans Réglages > iCloud sur votre iPhone pour pouvoir localiser l’iPhone. Acheter davantage de capacité de stockage iCloud Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis touchez Gérer le stockage. Pour en savoir plus sur l’achat d’espace de stockage iCloud, visitez la page help.apple.com/fr/icloud. Consulter et télécharger des achats antérieurs dans l’iTunes Store Accédez à iTunes, puis touchez Achats. Consulter et télécharger des achats antérieurs dans l’App Store Accédez à l’App Store, touchez Mises à jour, puis touchez Achats. Consulter et télécharger des achats antérieurs dans l’iBookstore Accédez à iBooks, touchez Store, puis touchez Achats. Activer Téléchargements automatiques pour de la musique, des apps ou des livres Accédez à Réglages > Store. Pour plus de renseignements sur l’iCloud, accédez à la page www.apple.com/fr/icloud. Pour obtenir des informations d’assistance, consultez la page www.apple.com/fr/support/icloud. Synchronisation avec iTunes La synchronisation avec iTunes copie des données à partir de votre ordinateur vers l’iPhone, et vice versa. Pour synchroniser, connectez l’iPhone à votre ordinateur à l’aide du Câble Connecteur Dock vers USB ou configurez une synchronisation automatique d’iTunes par Wi-Fi. Vous pouvez régler iTunes de manière à synchroniser votre musique, vos photos, vos vidéos, vos podcasts, vos apps, etc. Pour en savoir plus sur la synchronisation de l’iPhone avec un ordinateur, ouvrez iTunes puis sélectionnez Aide iTunes à partir du menu Aide. Configurer la synchronisation iTunes sans fil : Connectez l’iPhone à votre ordinateur à l’aide du câble Dock Connector vers USB. Sur iTunes, activez « Synchroniser par connexion Wi-Fi » dans la sous-fenêtre Résumé de l’appareil. Lorsque la synchronisation Wi-Fi est activée, l’iPhone se synchronise automatiquement chaque jour. L’iPhone doit être connecté à une source d’alimentation. L’iPhone et votre ordinateur doivent être connectés au même réseau sans fil, et iTunes doit être ouvert sur l’ordinateur. Pour plus d’informations, consultez la section « Synchronisation Wi-Fi d’iTunes » à la page 182. 18 Chapitre 2 DémarrageAstuces pour la synchronisation avec iTunes  Si vous utilisez iCloud pour stocker vos contacts, calendriers, signets et notes, ne les synchronisez pas à nouveau sur votre appareil à l’aide d’iTunes.  Les achats effectués dans l’iTunes Store ou l’App Store sur l’iPhone sont synchronisés vers votre bibliothèque iTunes. Vous pouvez également acheter ou télécharger du contenu et des apps depuis l’iTunes Store sur votre ordinateur, puis les synchroniser sur votre iPhone.  Dans la sous-fenêtre Résumé de l’appareil, configurez iTunes pour synchroniser automatiquement votre appareil lorsqu’il est connecté à votre ordinateur. Pour temporairement passer outre ce réglage, maintenez enfoncées les touches Commande et Option (sur un Mac) ou Maj et Contrôle (sur un PC) jusqu’à ce que l’iPhone apparaisse dans la barre latérale.  Dans la sous-fenêtre Résumé de l’appareil, sélectionnez « Chiffrer la sauvegarde de l’iPhone » pour chiffrer les informations stockées sur votre ordinateur au moment où iTunes crée une sauvegarde. Les sauvegardes chiffrées sont identifiées par une icône de cadenas et un mot de passe est nécessaire pour restaurer les sauvegardes. Si vous ne sélectionnez pas cette option, les mots de passe (tels que ceux pour les comptes de messagerie) ne sont pas inclus dans la sauvegarde et devront être saisis à nouveau si vous utilisez la sauvegarde pour restaurer l’appareil.  Dans la sous-fenêtre Infos de l’appareil, lorsque vous synchronisez des comptes de messagerie, seuls les réglages sont transférés à partir de votre ordinateur vers l’iPhone. Les modifications apportées à un compte de messagerie sur l’iPhone n’ont aucun effet sur le compte de votre ordinateur.  Dans la sous-fenêtre Infos de l’appareil, cliquez sur Avancé pour sélectionner les options vous permettant de remplacer, lors de la prochaine synchronisation, les informations qui se trouvent sur l’iPhone par celles qui se trouvent sur votre ordinateur.  Si vous écoutez une partie d’un podcast ou d’un livre audio, l’endroit où vous vous êtes arrêté est inclus lors de la synchronisation du contenu avec iTunes. Si vous avez commencé l’écoute sur l’iPhone, vous pouvez reprendre où vous vous êtes arrêté en utilisant iTunes sur votre ordinateur, et inversement.  Dans la sous-fenêtre Photos de l’appareil, vous pouvez synchroniser des photos et des vidéos à partir d’un dossier sur votre ordinateur. Chapitre 2 Démarrage 19Notions élémentaires 3 Utilisation des apps L’écran Multi-Touch haute résolution et des gestes simples des doigts rendent facile l’utilisation des apps de l’iPhone. Ouverture d’apps et basculement entre apps Appuyez sur le bouton principal pour accéder à l’écran principal et voir vos apps. Pour ouvrir une app : Touchez-la. Pour revenir à l’écran d’accueil, appuyez à nouveau sur le bouton principal . Feuilletez vers la gauche ou la droite pour afficher un autre écran d’accueil. Feuilletez vers la gauche ou la droite pour afficher un autre écran d’accueil. Appuyez deux fois le bouton principal pour afficher la barre multitâche, qui vous montre vos apps les plus récemment utilisées. Touchez une app pour la rouvrir ou feuilletez pour afficher d’autres d’apps. Apps récemment utilisées 20Supprimer une app de la barre multitâche Touchez l’icône de l’app et maintenez le doigt dessus jusqu’à ce qu’elle se mette à bouger, puis touchez . Supprimer une app de la barre multitâche en force également la fermeture. Défilement Faites glisser votre doigt vers le haut ou le bas pour faire défiler verticalement. Sur certains écrans, notamment les pages web, vous pouvez également faire défiler l’écran latéralement. Lorsque vous faites glisser votre doigt, vous ne choisissez ou n’activez aucune fonction sur l’écran. Feuilletez pour faire défiler l’affichage rapidement. Vous pouvez attendre que le défilement s’arrête ou toucher l’écran pour l’arrêter immédiatement. Si vous touchez l’écran pour arrêter le défilement, vous ne risquez pas de sélectionner ou d’activer des éléments affichés. Pour défiler rapidement vers le haut de la page, touchez la barre d’état située en haut de l’écran. Faites glisser votre doigt le long de l’index pour faire défiler rapidement. Touchez une lettre pour passer directement à la section. Chapitre 3 Notions élémentaires 21Touchez un élément dans une liste pour le sélectionner. Suivant la liste, le fait de toucher un élé- ment peut avoir des conséquences différentes, par exemple l’ouverture d’une nouvelle liste, la lecture d’un morceau, l’ouverture d’un courrier électronique ou l’affichage des coordonnées de quelqu’un pour pouvoir l’appeler. Zoom avant ou arrière Lorsque vous consultez des photos, pages web, messages électroniques ou plans, vous pouvez les agrandir ou les réduire. Pour contrôler le zoom, pincez ou écartez les doigts. Pour les photos et les pages web, vous pouvez toucher deux fois (rapidement) pour effectuer un zoom avant, puis toucher à nouveau deux fois pour effectuer un zoom arrière. Sur les plans, touchez deux fois pour effectuer un zoom avant et touchez une fois avec deux doigts pour effectuer un zoom arrière. La fonction Zoom est également une fonction d’accessibilité spéciale avec laquelle vous pouvez agrandir l’écran de chaque app pour mieux voir ce qui est affiché. Consultez la section « Zoom » à la page 169. Affichage en orientation portrait ou paysage De nombreuses apps pour iPhone vous permettent d’afficher l’écran en orientation portrait ou paysage. Faites pivoter l’iPhone et l’affichage pivote également pour s’adapter automatiquement à la nouvelle orientation de l’écran. L’orientation paysage convient mieux à l’affichage de pages web dans Safari et à la saisie de texte, par exemple. Les pages web s’adaptent à l’écran plus large en orientation paysage, ce qui permet d’agrandir le texte et les images. Le clavier à l’écran est également plus grand. Les films regardés dans Vidéos et sur YouTube ne s’affichent qu’en mode paysage. L’affichage Stree View dans Plans est également affiché seulement en mode paysage. Pour verrouiller l’écran en orientation portrait : Appuyez deux fois sur le bouton principal , feuilletez le bas de l’écran de gauche à droite, puis touchez . 22 Chapitre 3 Notions élémentairesL’icône de verrouillage en mode portrait apparaît dans la barre d’état lorsque l’orientation de l’écran est verrouillée. Personnalisation de l’écran d’accueil Réorganisation des apps Vous pouvez personnaliser la disposition des icônes des apps sur l’écran d’accueil (y compris les icônes du Dock du bas de l’écran). Vous avez la possibilité de les réorganiser sur plusieurs écrans d’accueil. Vous pouvez également organiser les apps en les rassemblant dans des dossiers. Pour modifier la disposition des icônes : 1 Touchez n’importe quelle app de l’écran d’accueil et maintenez le doigt dessus jusqu’à ce qu’elle se mette à bouger. 2 Réorganisez les apps en les faisant glisser. 3 Appuyez sur le bouton principal pour enregistrer votre disposition. Déplacer une icône vers un autre écran Lorsque vous changez la disposition des apps, faites-en glisser une vers le bord de l’écran. Créer des écrans d’accueil supplémentaires Lorsque vous changez la disposition des apps, feuilletez jusqu’à l’écran d’accueil le plus à droite et faites glisser une app vers le bord droit de l’écran. Il est possible de créer jusqu’à 11 écrans d’accueil. Réinitialiser votre écran d’accueil avec la disposition par défaut Accédez à Réglages > Général > Réinitialiser, puis touchez Réinitialiser l’écran d’accueil. La réinitialisation de l’écran d’accueil supprime les dossiers que vous avez créés et lui applique le fond d’écran par défaut. Vous pouvez ajouter des icônes sur l’écran d’accueil pour ouvrir vos pages web préférées. Consultez la section « Clips web » à la page 81. Lorsque l’iPhone est physiquement connecté à votre ordinateur (avec le câble Dock Connector vers USB), vous pouvez personnaliser vos écrans d’accueil à l’aide d’iTunes. Sur iTunes, sélectionnez l’iPhone dans la liste Appareils, puis cliquez sur Apps en haut de l’écran. Organisation à l’aide de dossiers Les dossiers vous permettent d’organiser les apps sur l’écran d’accueil. Vous pouvez placer jusqu’à 12 apps dans un dossier. L’iPhone attribue automatiquement un nom à un dossier lors de sa création en fonction de la catégorie d’apps que vous avez utilisée pour le créer. Vous pouvez modifier le nom à tout moment. Il est possible de réorganiser les dossiers, comme les apps, en les faisant glisser sur les écrans d’accueil ou vers le Dock. Chapitre 3 Notions élémentaires 23Pour créer un dossier : Touchez une app de l’écran d’accueil et gardez le doigt dessus jusqu’à ce que les apps se mettent à bouger, puis faites glisser l’app sur une autre. L’iPhone crée un nouveau dossier contenant les deux apps et affiche le nom du dossier. Vous pouvez toucher le champ du nom et saisir un autre nom. Touchez un dossier pour l’ouvrir, puis touchez une app à l’intérieur pour l’ouvrir. Pour fermer un dossier, touchez à l’extérieur du dossier ou appuyez sur le bouton principal . Lors de la réorganisation des apps : Pour ajouter une app à un dossier Faites glisser l’app sur le dossier. Pour supprimer une app d’un dossier Touchez le dossier pour l’ouvrir, puis faites glisser l’app hors du dossier. Pour supprimer un dossier Déplacez toutes les apps hors du dossier. Ce dernier est automatiquement supprimé. Pour renommer un dossier Touchez le dossier pour l’ouvrir, puis touchez le nom en haut et utilisez le clavier pour saisir un nouveau nom. Lorsque vous avez terminé l’organisation de votre écran d’accueil, appuyez sur le bouton principal pour enregistrer vos modifications. Ajout de fonds d’écran Vous pouvez définir une image ou une photo comme fond d’écran de l’écran verrouillé. Vous pouvez également définir le fond d’écran de votre écran d’accueil. Vous pouvez choisir une image fournie avec l’iPhone, une photo de votre Pellicule ou d’un autre album présent sur votre iPhone. Pour choisir le fond d’écran : 1 Dans Réglages, choisissez Fond d’écran, touchez l’image de l’écran verrouillé et de l’écran d’accueil puis touchez Fond d’écran ou un album. 2 Touchez pour choisir une image ou une photo. Si vous choisissez une photo, faites-la glisser pour la déplacer, pincez-la pour la réduire ou écartez les doigts pour l’agrandir, jusqu’à ce qu’elle ait l’aspect souhaité. 24 Chapitre 3 Notions élémentaires3 Touchez Définir, puis choisissez si vous souhaitez utiliser la photo comme fond d’écran pour votre écran verrouillé, votre écran d’accueil ou les deux. Saisie de texte Le clavier à l’écran s’affiche automatiquement chaque fois que vous devez saisir du texte. Saisie de texte Utilisez le clavier pour saisir du texte. Le clavier corrige les erreurs d’orthographe, prédit ce que vous saisissez et apprend à mesure que vous l’utilisez. Suivant l’app que vous utilisez, le clavier intelligent peut suggérer des corrections pendant que vous tapez pour éviter les fautes d’orthographe. Pour saisir du texte : Touchez un champ de texte pour faire apparaître le clavier, puis saisissez sur le clavier. Lors de votre saisie, chaque lettre apparaît au-dessus de votre doigt. Si vous touchez la mauvaise touche, vous pouvez faire glisser votre doigt jusqu’à la bonne. La lettre n’est pas validée tant que vous n’éloignez pas votre doigt de la touche. Pour supprimer le caractère précédent Touchez . Pour écrire en majuscules Touchez la touche Maj avant de toucher une lettre. Vous pouvez également maintenir la touche Maj enfoncée, puis faire glisser votre doigt sur une lettre. Pour saisir rapidement un point et une espace Touchez deux fois la barre d’espace. Pour activer ou désactiver cette fonctionnalité, accédez à Réglages > Général > Clavier. Utiliser la correction automatique pour saisir « appel » Saisissez « appp ». Par exemple, saisissez « apppeler » pour obtenir « appeler ». Chapitre 3 Notions élémentaires 25Pour activer le verrouillage majuscules Touchez deux fois la touche Maj . Touchez à nouveau la touche Maj pour déverrouiller les majuscules. Vous pouvez activer ou désactiver cette fonctionnalité dans Réglages > Général > Clavier. Pour saisir des chiffres, la ponctuation ou des symboles Touchez la touche des chiffres . Touchez la touche des symboles pour afficher des signes de ponctuation et des symboles complémentaires. Pour régler les options de saisie Accédez à Réglages > Général > Clavier. Pour saisir un autre caractère, touchez une touche, maintenez le doigt dessus et faites glisser pour choisir l’une des options. Correction automatique et vérification de l’orthographe Pour de nombreuses langues, l’iPhone corrige automatiquement les fautes d’orthographe ou fait des suggestions à mesure de la saisie. Lorsque l’iPhone suggère un mot, vous pouvez accepter la suggestion sans interrompre la saisie. Remarque : Pour obtenir la liste des langues prises en charge, consultez la page web www.apple.com/fr/iphone/specs.html. Mot suggéré Pour accepter la suggestion : Saisissez une espace, un signe de ponctuation ou le caractère de retour. Pour refuser une suggestion : Touchez le « X ». Chaque fois que vous rejetez une suggestion pour un même mot, il devient plus probable que l’iPhone accepte le mot. L’iPhone peut également souligner des mots que vous avez déjà saisis et qui pourraient être mal orthographiés. Pour remplacer un mot mal orthographié Touchez le mot, puis touchez l’une des autres orthographes. Si le mot que vous souhaitez saisir n’apparaît pas, saisissez-le de nouveau. Pour activer et désactiver la correction automatique ou la vérification orthographique Accédez à Réglages > Général > Clavier. Raccourcis et votre dictionnaire personnel Les raccourcis vous permettent de ne saisir que quelques caractères à la place d’un mot ou d’une expression plus longs. Le texte complet apparaît dès que vous saisissez le raccourci. Par exemple, le raccourci « bjr » saisit le texte complet « bonjour ». 26 Chapitre 3 Notions élémentairesPour créer un raccourci : Accédez à Réglages > Général > Clavier, puis touchez Ajouter un nouveau raccourci. Ajoutez un mot ou une expression à votre dictionnaire personnel de manière à ce que l’iPhone n’essaye pas de le corriger ou de le remplacer. Créez le raccourci, mais laissez le champ Raccourci vide. Pour modifier un raccourci Accédez à Réglages > Clavier, puis touchez le raccourci. Modification de texte Avec l’écran tactile, il est facile de modifier le texte saisi. Une loupe à l’écran vous aide à positionner le point d’insertion à l’endroit précis où vous le souhaitez. Des poignées vous permettent de sélectionner rapidement moins de texte ou au contraire davantage. Vous pouvez également couper, copier et coller du texte et des photos dans une app ou entre des apps. Pour positionner le point d’insertion : Touchez l’écran et gardez le doigt dessus pour afficher la loupe, puis faites glisser le doigt pour positionner le point d’insertion. Pour sélectionner du texte : Touchez le point d’insertion pour afficher les boutons de sélection. Vous pouvez également toucher deux fois un mot. Dans les documents en lecture seule, tels que les pages web ou les courriers électroniques que vous avez reçus, touchez un mot et laissez le doigt dessus pour le sélectionner. Faites glisser les poignées pour sélectionner plus ou moins de texte. Pour couper ou copier du texte Sélectionnez du texte, puis touchez Couper ou Copier. Pour coller du texte Touchez le point d’insertion, puis touchez Coller. Le dernier texte que vous avez coupé ou copié est inséré. Vous pouvez également sélectionner du texte puis toucher Coller pour remplacer le texte. Pour annuler la dernière modification Secouez l’iPhone, puis touchez Annuler. Chapitre 3 Notions élémentaires 27Pour mettre du texte en gras ou en italique, ou le souligner Touchez (si l’icône est disponible), puis touchez B/I/U. Pour obtenir la définition d’un mot Touchez (si l’icône est disponible), puis touchez Définir. Pour obtenir des mots alternatifs Touchez Suggérer lorsque cette option est disponible, puis touchez l’un des mots. Dispositions de clavier Vous pouvez utiliser Réglages pour définir les dispositions de vos claviers logiciels et matériels. Les dispositions disponibles dépendent de la langue choisie. Pour sélectionner une disposition de clavier : Accédez à Réglages > Général > Claviers > Claviers internationaux, puis sélectionnez un clavier. Pour chaque langue, vous pouvez effectuer des sélections différentes pour le clavier tactile et le clavier externe (le cas échéant). La disposition du clavier logiciel détermine la disposition du clavier tactile de votre iPhone. La disposition du clavier matériel détermine la disposition d’un clavier Apple sans fil connecté à l’iPhone. Utilisation d’un clavier sans fil Apple Wireless Keyboard Vous pouvez utiliser un clavier Apple sans fil (vendu séparément) pour la saisie sur votre iPhone. Le clavier sans fil se connecte via Bluetooth. Consultez la section « Jumelage d’un appareil Bluetooth avec un iPhone » à la page 36. Une fois le clavier jumelé avec l’iPhone, il se connecte chaque fois que le clavier est à portée (jusqu’à 9 m). Vous savez que le clavier est connecté si le clavier tactile n’apparaît pas lorsque vous touchez un champ de texte. Pour économiser la batterie, désactivez le clavier ou son jumelage lorsque vous ne l’utilisez pas. Dictée La dictée vous permet de rédiger et de modifier un texte en parlant au lieu de le saisir. Par exemple, vous pouvez dicter des courriers électroniques, des messages texte et des notes. La dictée fonctionne même avec des apps tierces. Vous pouvez ainsi effectuer des tâches comme la mise à jour de votre statut sur Facebook, la publication de gazouillis ou la rédaction et l’envoi d’instagrams. Vous pouvez dicter chaque fois que la touche s’affiche sur le clavier à l’écran. Remarque : Activez Siri dans Réglages > Général > Siri. Dictée est disponible uniquement sur l'iPhone 4S et nécessite un accès à Internet au moyen d’un système cellulaire ou d’une connexion Wi-Fi. Dictée n’est pas disponible dans toutes les langues et toutes les régions, et ses fonctionnalités peuvent varier selon la région. Des frais de données cellulaires peuvent s’appliquer. 28 Chapitre 3 Notions élémentairesPour dicter du texte : Touchez sur le clavier. Touchez OK lorsque vous avez fini. Touchez pour commencer la dictée. Ceci apparait pendant que Siri compose le texte que vous lui dictez. Pour ajouter du texte, touchez une nouvelle fois et continuez la dictée. Vous pouvez utiliser la dictée pour insérer un mot ou remplacer du texte sélectionné. Placez le point d’insertion à l’endroit où vous souhaitez ajouter du texte ou sélectionnez le texte à remplacer et touchez , puis dictez. Pour modifier un mot, touchez-le deux fois pour le sélectionner, touchez , puis dictez le mot souhaité. Vous pouvez placer l’iPhone sur votre oreille pour commencer la dictée, au lieu de saisir le texte sur le clavier. Pour terminer, replacez l’iPhone devant vous. Ajouter une ponctuation : Dites la ponctuation. Par exemple, « Chère Caroline virgule le code se trouve dans le courrier électronique point » donne le texte suivant « Chère Caroline, le code se trouve dans le courrier électronique. » Impression AirPrint AirPrint vous permet d’imprimer sans fil sur les imprimantes compatibles AirPrint. Vous pouvez imprimer depuis :  Mail : messages électroniques et pièces jointes qui s’ouvrent dans Coup d’œil.  Photos et Appareil photo : photos.  Safari : pages web, documents PDF et autres pièces jointes qui s’ouvrent dans Coup d’œil.  iBooks : documents PDF.  Plans : vue d’un plan affiché à l’écran.  Notes : note actuellement affichée. D’autres apps disponibles sur l’App Store prennent également en charge AirPrint. Une imprimante compatible AirPrint n’a pas besoin de configuration, il vous suffit de la connecter au même réseau Wi-Fi que l’iPhone. Pour plus d’informations, consultez la page support.apple.com/kb/HT4356?viewlocale=fr_FR. Impression d’un document AirPrint utilise votre réseau Wi-Fi pour envoyer des travaux d’impression sans fil à votre imprimante. L’iPhone et l’imprimante doivent être sur le même réseau Wi-Fi. Chapitre 3 Notions élémentaires 29Pour imprimer un document : Touchez , ou (suivant l’app que vous utilisez), puis touchez Imprimer. Sélectionnez une imprimante et les options d’impression, puis touchez Imprimer. Pour consulter le statut d’une tâche d’impression Appuyez deux fois sur le bouton principal , puis touchez Impression. L’app Impression apparaît comme app la plus récente lorsqu’un document est en cours d’impression. Une pastille sur l’app indique le nombre de documents dans la file d’attente d’impression. Si vous imprimez plus d’un document, sélectionnez une tâche d’impression pour afficher le ré- sumé de son état. Pour annuler une tâche d’impression Appuyez deux fois sur le bouton principal , touchez Impression, sélectionnez la tâche d’impression (si vous imprimez plusieurs documents), puis touchez Annuler l’impression. Recherche Vous pouvez faire des recherches dans de nombreuses apps de l’iPhone, notamment Contacts, Mail, Calendrier, Musique, Messages, Notes et Rappels. Vous pouvez effectuer une recherche dans une app particulière ou toutes les apps à la fois. Pour effectuer une recherche sur l’iPhone : Accédez à l’écran de recherche. (Depuis le premier écran d’accueil, feuilletez vers la droite ou appuyez sur le bouton principal .) Saisissez du texte dans le champ de recherche. Les résultats de la recherche apparaissent à mesure que vous tapez. Touchez un élément dans la liste pour l’ouvrir. Touchez Rechercher pour masquer le clavier et afficher plus de résultats. Les icônes qui apparaissent à côté des résultats de la recherche indiquent l’app dont proviennent les résultats. L’iPhone peut afficher un meilleur résultat, en fonction de vos recherches précédentes. Les résultats de recherche Safari comprennent des options pour rechercher sur le Web ou dans Wikipédia. 30 Chapitre 3 Notions élémentairesApp Éléments recherchés Contacts Le prénom, le nom et la raison sociale Mail Les champs À, De et Objet, et les messages de tous les comptes Calendrier Le nom de l’événement, les invités, le lieu et les notes Musique La musique (noms des morceaux, artistes et albums), ainsi que les titres des podcasts, des vidéos et des livres audio Messages Le titre et le texte des messages Notes Le texte des notes Rappels Titres Recherche recherche aussi les noms des apps natives et installées sur l’iPhone. Si vous disposez d’un grand nombre d’apps, vous pouvez donc utiliser Recherche pour les localiser et les ouvrir. Pour ouvrir des apps à partir de Recherche : Saisissez le nom de l’app, puis touchez l’écran pour ouvrir l’app directement à partir des résultats de la recherche. Utilisez le réglage Recherche Spotlight pour indiquer sur quel contenu doit porter la recherche et définir l’ordre de présentation des résultats. Consultez la section « Recherche Spotlight » à la page 182. Contrôle vocal Contrôle vocal vous permet de téléphoner et de contrôler la lecture de musique à l’aide de commandes vocales. Sur l’iPhone 4S, vous pouvez également utiliser Siri pour contrôler vocalement l’iPhone. Consultez la section Chapitre 4, « Siri, » à la page 41. Remarque : Contrôle Vocal peut ne pas être disponible dans toutes les langues. Contrôle vocal n’est pas disponible sur le modèle iPhone 4S lorsque Siri est activé. Pour utiliser Contrôle vocal : Maintenez enfoncé le bouton principal jusqu’à l’ouverture de l’écran Contrôle vocal, signalée par un bip sonore. Vous pouvez également maintenir le bouton central des écouteurs de l’iPhone enfoncé. Pour obtenir les meilleurs résultats :  Parlez dans le microphone de l’iPhone comme si vous téléphoniez. Vous pouvez aussi utiliser le microphone de votre casque Bluetooth ou kit voiture Bluetooth.  Parlez clairement et de manière naturelle. Chapitre 3 Notions élémentaires 31 Ne dites que des commandes iPhone, des noms et des nombres. Faites de petites pauses entre les différentes commandes.  Utilisez les noms complets. Pour plus d’informations sur l’utilisation de Commande vocale, notamment sur la manière de l’utiliser en différentes langues, consultez la page support.apple.com/kb/ HT3597?locale=fr_FR&viewlocale=fr_FR. Contrôle vocal est configuré pour reconnaître les commandes vocales dans la langue définie pour l’iPhone (accédez à Réglages > Général > International > Langue). Les réglages de Contrôle vocal permettent de définir la langue dans laquelle doivent être dites les commandes vocales. Certaines langues sont disponibles dans différents dialectes ou accents. Pour changer de langue ou de pays : Accédez à Réglages > Général > International > Contrôle vocal, puis touchez la langue ou le pays. La fonction Contrôle vocal est toujours activée pour l’app Musique, mais pour des raisons de sécurité, vous pouvez désactiver la numérotation vocale lorsque l’iPhone est verrouillé. Pour désactiver la composition vocale lorsque l’iPhone est verrouillé : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code et désactivez Composition vocale. Déverrouillez l’iPhone pour utiliser la composition vocale. Consultez les sections « Composition vocale » à la page 61 et « Utilisation de Siri ou Contrôle vocal avec Musique » à la page 85. Notifications Le centre de notifications affiche vos alertes dans un seul emplacement, notamment vos alertes concernant :  Appels manqués et messages vocaux  Nouveaux courriers électroniques  Nouveaux messages texte  Rappels  Événements de calendrier  Demandes d’amis (Game Center)  Météo  Bourse 32 Chapitre 3 Notions élémentairesAfficher le Centre de notifications : Faites glisser vers le bas depuis le haut de l’écran. Faites défiler la liste pour afficher des alertes supplémentaires. Les alertes apparaissent également sur l’écran verrouillé, ou brièvement en haut de l’écran lorsque vous utilisez l’iPhone. Vous pouvez consulter toutes les alertes en cours dans le Centre de notifications. De nombreuses apps, notamment Téléphone, Messages, Mail et l’App Store, peuvent afficher sur leur icône de l’écran d’accueil une pastille dotée d’un numéro (pour indiquer le nombre d’élé- ments entrants) ou un point d’exclamation (pour indiquer un problème). Si ces apps sont contenues dans un dossier, la pastille apparaît sur le dossier. Une pastille contenant un numéro indique le nombre total d’éléments dont vous ne vous êtes pas encore occupé, par exemple des appels téléphoniques, des courriers électroniques et des messages texte entrants, et des mises à jour d’apps à télécharger. Une pastille dotée d’un point d’exclamation indique un problème lié à une app. Pour répondre à une alerte dans le centre de notifications Touchez l’alerte. Pour répondre à une alerte sur l’écran verrouillé Balayez vers la droite l’icône affichée dans l’alerte. Supprimer des alertes du Centre de notifications Touchez , puis touchez Effacer. Pour régler les options des notifications Accédez à Réglages > Notifications. Twitter Connectez-vous à votre compte Twitter (ou créez un compte) dans Réglages pour activer les Tweets avec des pièces jointes provenant des apps suivantes :  Appareil photo ou Photos : avec une photo ;  Safari : avec un page web ;  Plans : avec un lieu ;  YouTube : avec une vidéo. Chapitre 3 Notions élémentaires 33Se connecter à un compte Twitter ou en créer un : Accédez à Réglages > Twitter. Saisissez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe pour un compte existant, ou touchez Créer un compte. Dans Appareil photo ou Photos, touchez le bouton d’action pour envoyer une photo par Twitter. Envoyez une photo par Twitter. Pour envoyer une photo, une vidéo ou une page web par Twitter Affichez l’élément, touchez , puis touchez Tweet. Si n’apparaît pas, touchez l’écran. Pour ajouter votre localisation, touchez Ajouter la localisation. Service de localisation doit être activé dans Réglages > Service de localisation. Pour envoyer une localisation dans Plans par Twitter Touchez le repère, , Envoyer ma localisation, puis Tweet. Ajouter votre lieu actuel à un Tweet Touchez . Service de localisation doit être activé dans Réglages > Service de localisation. Pour ajouter des noms d’utilisateur Twitter et des photos à vos contacts Accédez à Réglages > Twitter, puis touchez Actualiser les contacts. Pour activer ou désactiver Twitter pour Photos ou Safari Accédez à Réglages > Twitter. Lorsque vous rédigez un Tweet, le chiffre présent dans l’angle inférieur droit de l’écran Tweet indique le nombre de caractères restants à saisir. Les pièces jointes utilisent une partie des 140 caractères d’un Tweet. Vous pouvez également installer et utiliser l’app Twiter pour envoyer un Tweet, afficher votre chronologie, rechercher des sujets tendance, etc. Installer l’app Twitter : Accédez à Réglages > Twitter, puis touchez Installer. Pour apprendre comment utiliser l’app Twitter, ouvrez l’app, touchez le bouton Autre (...), touchez Comptes et réglages, Réglages, puis Manuel. Écouteurs Apple avec télécommande et micro Les écouteurs Apple avec télécommande et microphone inclus avec l’iPhone comprennent un microphone, des boutons de volume et un bouton intégré qui permet de facilement répondre aux appels et y mettre fin, et de contrôler la lecture audio et vidéo. Bouton central 34 Chapitre 3 Notions élémentairesBranchez les écouteurs pour écouter de la musique ou passer un appel. Appuyez sur le bouton central pour contrôler la lecture de la musique, et répondre ou mettre fin à des appels, même lorsque l’iPhone est verrouillé. Interrompre temporairement la lecture d’un morceau ou d’une vidéo Appuyez sur le bouton central. Appuyez à nouveau pour reprendre la lecture. Passer au morceau suivant Appuyez deux fois rapidement sur le bouton central. Pour retourner à un morceau précédent Appuyez trois fois rapidement sur le bouton central. Avance rapide Appuyez deux fois rapidement sur le bouton central et maintenez-le enfoncé. Retour rapide Appuyez trois fois rapidement sur le bouton central puis maintenez-le enfoncé. Pour ajuster le volume Appuyez sur le bouton « + » ou « – ». Pour répondre à un appel entrant Appuyez sur le bouton central. Pour mettre fin à l’appel en cours Appuyez sur le bouton central. Pour refuser un appel entrant Maintenez le bouton central enfoncé durant deux secondes environ, puis relâchez-le. Deux bips de faible intensité confirment que vous avez refusé l’appel. Pour répondre à un appel entrant ou en attente, et placer l’appel actuel en attente Appuyez sur le bouton central. Appuyez à nouveau pour revenir au premier appel. Pour répondre à un appel entrant ou en attente et mettre fin à l’appel actuel Maintenez le bouton central enfoncé durant deux secondes environ, puis relâchez-le. Deux bips de faible intensité confirment que vous avez mis fin au premier appel. Utiliser Siri ou Contrôle vocal Maintenez enfoncé le bouton central. Consultez les sections Chapitre 4, « Siri, » à la page 41 ou « Contrôle vocal » à la page 31. Si vous recevez un appel tandis que les écouteurs sont branchés, vous pouvez entendre la sonnerie via le haut-parleur de l’iPhone et dans les écouteurs. AirPlay Vous pouvez également diffuser de la musique, des photos et des vidéos sans fil sur un téléviseur HD en utilisant AirPlay et une Apple TV. Vous pouvez également utiliser AirPlay pour diffuser un contenu audio vers une borne d’accès AirPort Express. D’autres récepteurs compatibles avec AirPlay sont disponibles auprès de tiers. Consultez l’Apple Store en ligne pour obtenir des détails. Pour diffuser un contenu vers un appareil compatible AirPlay : Démarrez la vidéo, le diaporama ou la musique, puis touchez et sélectionnez l’appareil AirPlay. Lorsque la diffusion commence, vous pouvez quitter l’app qui lit le contenu. L’iPhone et l’appareil compatible avec AirPlay doivent se trouver sur le même réseau Wi-Fi. Accéder rapidement à la commande AirPlay Lorsque l’écran est activé, appuyez deux fois sur le bouton principal et faites défiler vers l’extrémité gauche de la barre multitâche. Basculer la sortie d’AirPlay à l’iPhone Touchez et choisissez l’iPhone. Sur l’iPhone 4S, vous pouvez effectuer une recopie vidéo de l’écran de l’iPhone sur un téléviseur avec une Apple TV. Tout ce qui se trouve sur l’écran de l’iPhone apparaît sur le téléviseur. Chapitre 3 Notions élémentaires 35Effectuer une recopie vidéo de l’écran de l’iPhone sur un téléviseur : Touchez à l’extrémité gauche de la barre multitâche, choisissez une Apple TV, et touchez le bouton Recopie vidéo qui apparaît. Une barre bleue apparaît dans la partie supérieure de l’écran de l’iPhone 4S lorsque la recopie vidéo AirPlay est activée. Vous pouvez également effectuer une recopie vidéo de l’écran de l’iPhone sur un téléviseur à l’aide d’un câble. Consultez la section « Visionnage de vidéos sur un téléviseur » à la page 141. Appareils Bluetooth Vous pouvez utiliser l’iPhone avec le clavier sans fil Apple et d’autres appareils Bluetooth, notamment certaines oreillettes stéréo, casques et kits de voiture Bluetooth. Les casques Bluetooth de tiers peuvent également prendre en charge les commandes de volume et de lecture. Consultez la documentation fournie avec votre appareil Bluetooth. Pour connaître les profils Bluetooth pris en charge, consultez la page support.apple.com/kb/HT3647?locale=fr_FR?viewlocale=fr_FR. Jumelage d’un appareil Bluetooth avec un iPhone AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la manière d’éviter des pertes d’audition, consultez le « Guide d’informations importantes sur le produit », à l’adresse www.apple.com/fr/support/manuals/iphone. Avant de pouvoir utiliser un appareil Bluetooth avec l’iPhone, vous devez les jumeler. Pour jumeler des écouteurs, un kit de voiture ou tout autre appareil Bluetooth avec l’iPhone : 1 Suivez les instructions accompagnant votre appareil pour le rendre visible et le régler de manière qu’il recherche d’autres appareils Bluetooth. 2 Accédez à Réglages > Général > Bluetooth et activez Bluetooth. 3 Choisissez l’appareil sur l’iPhone et saisissez son mot de passe ou code personnel. Consultez les instructions relatives au mot de passe ou au code personnel fournies avec l’appareil. Une fois que vous avez jumelé un appareil Bluetooth pour qu’il fonctionne avec l’iPhone, vous devez établir une connexion pour que l’iPhone utilise l’appareil pour gérer vos appels. Consultez la documentation fournie avec l’appareil. Lorsque l’iPhone est connecté à une oreillette ou un kit de voiture Bluetooth, les appels sortants sont dirigés vers l’appareil. Les appels entrants sont dirigés vers l’appareil ou l’iPhone suivant avec lequel vous répondez (appareil ou iPhone). Pour jumeler un clavier sans fil Apple avec votre iPhone : 1 Accédez à Réglages > Général > Bluetooth et activez Bluetooth. 2 Appuyez sur le bouton d’alimentation du clavier Apple Wireless Keyboard pour le mettre sous tension. 3 Sur l’iPhone, sélectionnez le clavier dans la liste Appareils. 4 Touchez comme demandé le mot de passe sur le clavier, puis appuyez sur Retour. Remarque : Vous ne pouvez jumeler qu’un clavier sans fil Apple avec votre iPhone à la fois. Pour jumeler un autre clavier, vous devez commencer par supprimer le jumelage en cours. Pour plus d’informations, consultez la section « Utilisation d’un clavier sans fil Apple Wireless Keyboard » à la page 28. 36 Chapitre 3 Notions élémentairesÉtat Bluetooth L’icône Bluetooth apparaît dans la barre d’état de l’iPhone en haut de l’écran :  ou : Bluetooth est activé et jumelé avec un appareil. (La couleur dépend de la couleur actuelle de la barre d’état.)  : Bluetooth est activé et jumelé avec un appareil, mais ce dernier est hors de portée ou éteint.  Pas d’icône Bluetooth : Bluetooth est désactivé ou n’est pas jumelé avec un appareil. Suppression du jumelage d’un appareil Bluetooth avec l’iPhone Vous pouvez supprimer le jumelage d’un appareil Bluetooth si vous ne souhaitez plus l’utiliser avec l’iPhone. Pour annuler le jumelage d’un appareil Bluetooth : 1 Accédez à Réglages > Général > Bluetooth et activez Bluetooth. 2 Touchez situé à côté du nom de l’appareil et touchez « Oublier cet appareil ». Batterie L’iPhone est doté d’une batterie interne rechargeable. Recharge de la batterie AVERTISSEMENT : Pour prendre connaissance des consignes de sécurité importantes concernant la recharge de l’iPhone, consultez le Guide d’informations importantes sur le produit à l’adresse www.apple.com/fr/support/manuals/iphone. L’icône représentant une batterie située dans le coin supérieur droit de l’écran indique le niveau de charge ou la progression de l’opération de recharge de la batterie. Vous pouvez également afficher le pourcentage de charge de la batterie. Accédez à Réglages > Général > Utilisation, et activez le réglage sous Niveau de la batterie. Charge en cours Chargé Pour recharger la batterie : Connectez l’iPhone à une prise secteur à l’aide du câble Dock Connector vers USB et de l’adaptateur secteur USB inclus. Remarque : La connexion de l’iPhone à une prise secteur peut démarrer une sauvegarde iCloud ou une synchronisation iTunes sans fil. Consultez les sections « Sauvegarde de l’iPhone » à la page 191 et « Synchronisation avec iTunes » à la page 18. Pour recharger la batterie et synchroniser l’iPhone : Connectez l’iPhone à votre ordinateur à l’aide du câble Dock Connector vers USB inclus. Vous pouvez également connecter l’iPhone à votre ordinateur à l’aide du câble inclus et de la station d’accueil disponible séparément. Chapitre 3 Notions élémentaires 37Sauf si votre clavier dispose d’un port USB 2.0 à forte alimentation, vous devez connecter votre iPhone à un port USB 2.0 de votre ordinateur. Important : Il est possible que la batterie de l’iPhone se décharge si l’iPhone est connecté à un ordinateur éteint, en mode de veille ou en suspension d’activité. Si vous chargez la batterie pendant qu’une synchronisation est en cours ou que vous utilisez l’iPhone, l’opération peut prendre plus de temps. Important : Si le niveau de la batterie de l’iPhone est très faible, une des images suivantes peut s’afficher afin d’indiquer que l’iPhone ne pourra être utilisé qu’après dix minutes de charge. Si le niveau de la batterie de l’iPhone est extrêmement faible, il se peut que l’écran reste éteint. Jusqu’à deux minutes peuvent s’écouler avant qu’apparaisse l’une des images de faible charge. ou Prolongement de la durée de vie de la batterie L’iPhone utilise une batterie lithium-ion. Pour en savoir plus sur le prolongement de la durée de vie de la batterie de votre iPhone, consultez la page www.apple.com/fr/batteries. Remplacement de la batterie Le nombre de cycles de recharge des batteries rechargeables reste limité et il peut s’avérer nécessaire de les remplacer. La batterie de l’iPhone n’est pas remplaçable par l’utilisateur, elle ne peut l’être que par un centre de service agréé. Pour en savoir plus, consultez http://www.apple.com/fr/ batteries/replacements.html. Fonctionnalités de sécurité Diverses fonctionnalités de sécurité protègent les informations qui se trouvent sur l’iPhone contre l’accès par des personnes non autorisées. Codes secrets et protection des données Vous pouvez configurer un code à saisir chaque fois que vous allumez ou réactivez l’iPhone. Pour définir un code : Choisissez Général > Verrouillage par code et saisissez un code à 4 chiffres, puis saisissez à nouveau le code, à titre de vérification. L’iPhone vous demande alors de saisir le mot de passe pour le déverrouiller ou afficher les réglages de verrouillage du mot de passe. 38 Chapitre 3 Notions élémentairesLa configuration d’un verrouillage par mot de passe active la protection des données . La protection des données utilise votre code comme clé de chiffrement des courriers électroniques et des pièces jointes stockées sur l’iPhone. (Certaines apps disponibles dans l’App Store peuvent également utiliser la protection des données.) Une mention située au bas de l’écran verrouillé par code dans Réglages indique si la protection des données est activée. Pour augmenter la sécurité de l’iPhone, désactivez Code simple et utilisez un code plus long combinant chiffres, lettres, signes de ponctuation et caractères spéciaux. Consultez la section « Verrouillage par code » à la page 183. Important : Sur un iPhone 3GS non fourni avec iOS 4 ou une version ultérieure, vous devez également restaurer le logiciel iOS pour activer la protection des données. Consultez la section « Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPhone » à la page 193. Pour désactiver la composition vocale lorsque l’iPhone est verrouillé : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code et désactivez Composition vocale. Déverrouillez l’iPhone pour utiliser la composition vocale. Localiser mon iPhone La fonctionnalité Localiser mon iPhone vous aide à situer et à protéger votre iPhone en utilisant un autre iPhone, iPad ou iPod touch avec l’app gratuite Localiser mon iPhone, ou sur un Mac ou PC grâce à un navigateur web connecté à www.icloud.com ou www.me.com. Localiser mon iPhone comprend les fonctions suivantes :  Pour le trouver sur un plan : Affichez l’emplacement approximatif de votre iPhone sur un plan en plein écran  Afficher un message ou émettre un son : Cette fonction vous permet de composer un message qui apparaît sur l’écran de votre iPhone ou de lui faire émettre un son à plein volume pendant deux minutes, même si le commutateur Sonnerie/Silencieux est réglé sur silencieux  Verrouillage distant par code : Vous permet de verrouiller votre iPhone à distance et de configurer un code à 4 chiffres si vous ne l’avez pas encore fait  Effacement distant : Vous permet de protéger la confidentialité de vos données en effaçant tous les fichiers et données de votre iPhone, et en restaurant sa configuration d’usine Important : Avant de pouvoir utiliser ses fonctionnalités, Localiser mon iPhone doit être activé dans les réglages iCloud ou MobileMe sur votre iPhone. Localiser mon iPhone ne peut être activé que dans un compte. Activer Localiser mon iPhone à l’aide d’iCloud Accédez à Réglages > iCloud et activez Localiser mon iPhone. Activer Localiser mon iPhone à l’aide de MobileMe Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, touchez votre compte MobileMe, puis activez Localiser mon iPhone. Consultez les sections « iCloud » à la page 17 ou « Configuration de Mail et d’autres comptes » à la page 16. Chapitre 3 Notions élémentaires 39Nettoyage de l’iPhone Nettoyez immédiatement l’iPhone s’il entre en contact avec tout produit contaminant susceptible de provoquer des taches, notamment de l’encre, un colorant, de la poussière, des aliments, de l’huile ou de la lotion. Pour nettoyer l’iPhone, déconnectez tous les câbles et éteignez l’iPhone (appuyez sur le bouton Marche/Arrêt, maintenez-le enfoncé, puis faites glisser le curseur à l’écran). Utilisez ensuite un tissu doux, légèrement humide et sans peluche. Évitez toute pénétration d’humidité dans les orifices de l’appareil. N’utilisez pas de produit lave-vitre, de détergent domestique, d’air comprimé, d’aérosol, de solvant, d’alcool, d’ammoniac ou de produit abrasif pour nettoyer l’iPhone. La surface frontale de l’iPhone 3GS et les surfaces frontale et arrière de l’iPhone 4S et de l’iPhone 4 sont en verre et dotées d’un revêtement oléophobe. Pour nettoyer ces surfaces, essuyez-les avec un chiffon doux et non pelucheux. Les propriétés oléophobes de ce film diminuent avec le temps et une utilisation normale. Évitez de frotter l’écran avec un matériau abrasif, afin de ne pas altérer davantage ses propriétés oléophobes et de ne pas rayer le verre. Pour en savoir plus sur la manipulation de l’iPhone, consultez le Guide d’informations importantes sur le produit de l’iPhone à l’adresse www.apple.com/fr/support/manuals/iphone. Redémarrage ou réinitialisation de l’iPhone En cas de mauvais fonctionnement, essayez de redémarrer l’iPhone, de forcer la fermeture d’une app ou de réinitialiser l’iPhone. Pour redémarrer l’iPhone : Maintenez le bouton Marche/Arrêt enfoncé jusqu’à l’apparition du curseur rouge. Faites glisser votre doigt sur le curseur pour éteindre l’iPhone. Pour rallumer l’iPhone, appuyez sur le bouton Marche/Arrêt jusqu’à l’apparition du logo Apple. Si vous ne parvenez pas à éteindre l’iPhone ou si le problème persiste, il est peut-être nécessaire de réinitialiser l’iPhone. Ne réinitialisez l’iPhone que si son redémarrage ne permet pas de résoudre le problème. Forcer une app à quitter : Maintenez le bouton Marche/Arrêt enfoncé pendant quelques secondes, jusqu’à l’apparition d’un curseur rouge, puis appuyez sur le bouton principal et maintenezle enfoncé jusqu’à la fermeture de l’app. Vous pouvez également forcer une app à quitter en la supprimant de la barre multitâche. Consultez la section « Ouverture d’apps et basculement entre apps » à la page 20. Pour réinitialiser l’iPhone : Maintenez le bouton Marche/Arrêt et le bouton principal enfoncés pendant au moins dix secondes, jusqu’à ce que le logo Apple apparaisse. Pour plus de suggestions de dépannage, consultez la section L’annexe B, « Assistance et autres informations, » à la page 191. 40 Chapitre 3 Notions élémentairesSiri 4 Qu’est-ce que Siri ? Siri est l’assistant personnel intelligent qui vous aide à accomplir des tâches ; il vous suffit de parler. Siri comprend la parole naturelle, ce qui vous évite d’apprendre des commandes spécifiques ou de retenir des mots-clés. Vous pouvez demander l’exécution de tâches de plusieurs manières. Par exemple, vous pouvez dire « Définir l’alarme pour 6 h 30 » ou « Me réveiller à 6 h 30 du matin ». Dans tous les cas, Siri comprend l’instruction. Siri vous permet d’écrire et d’envoyer des messages, planifier des réunions, effectuer des appels téléphoniques, obtenir une direction, définir un rappel, effectuer des recherches sur le Web, et beaucoup plus encore, simplement en parlant naturellement. Siri comprend ce que vous dites et sait ce que vous voulez dire. Siri répète ce qu’il pense avoir compris et pose une question si une clarification ou plus d’informations sont requises. Il vous semble que vous discutez avec quelqu’un. Par exemple, demandez « Existe-t-il de bons restaurants dans le coin ? » et Siri peut répondre « J’ai trouvé plusieurs restaurants à proximité ». Si vous dites « Hum, pourquoi pas une pizza », Siri se souvient que vous venez de demander des informations sur des restaurants et recherche alors des pizzerias dans le quartier. En plus de l’alimentation de traitement interne de l’iPhone, Siri utilise les centres de données d’Apple pour comprendre ce que vous dites et donner une réponse rapidement. Siri utilise également des informations provenant de vos contacts, votre bibliothèque de musique, vos calendriers, vos rappels, etc. pour comprendre ce que vous dites. Siri fonctionne avec la plupart des apps intégrées sur l’iPhone 4S et est suffisamment intelligent pour déterminer l’app à utiliser en réponse à une demande. Siri utilise également les services de recherche et de localisation pour vous aider dans vos demandes. Ce que vous pouvez demander à Siri est infini ! Voici quelques autres exemples, pour les débutants :  Appeler Jean  Définir le minuteur pour se déclencher dans 30 minutes  À quelle distance se trouve l’Apple Store le plus proche ?  Pleuvra-t-il demain ? Remarque : Siri est disponible uniquement sur l'iPhone 4S et nécessite un accès à Internet au moyen d’un système cellulaire ou d’une connexion Wi-Fi. Siri n’est pas disponible dans toutes les langues et toutes les régions, et ses fonctionnalités peuvent varier selon la région. Des frais de données cellulaires peuvent s’appliquer. 41Utilisation de Siri Démarrage de Siri Siri s’active grâce à un bouton. Pour démarrer Siri : Appuyez sur le bouton principal jusqu’à l’apparition de Siri. Deux signaux sonores retentissent et le message « Que puis-je faire pour vous ? » s’affiche à l’écran. Commencez à parler. L’icône du microphone s’allume pour indiquer que Siri entend ce que vous dites. Après avoir commencé un dialogue avec Siri, touchez l’icône du microphone pour échanger un nouveau dialogue. Siri attend la fin de votre énoncé, mais vous pouvez également toucher l’icône du microphone pour indiquer à Siri que vous avez terminé. Cette fonction est utile lorsque qu’il y a de nombreux bruits de fond. Elle permet également d’accélérer votre conversation avec Siri, puisque Siri n’est pas obligé d’attendre que vous arrêtiez de parler. Lorsque vous arrêtez de parler, Siri affiche ce qu’il a entendu et fournit une réponse. Le plus souvent, Siri inclut d’autres informations associées qui peuvent être utiles. Si les informations concernent une app, par exemple, un message texte que vous avez rédigé ou un emplacement que vous avez demandé, il suffit de toucher l’écran pour ouvrir l’app afin d’avoir les détails et d’autres actions. Ce que Siri vous a entendu énoncer Touchez pour parler à Siri. réponse de Siri ,QIRVDVVRFLpHV¬WRXFKH] SRXURXYULUO·DSS Siri peut vous demander des informations supplémentaires pour fournir une réponse. Par exemple, dites à Siri « Me rappeler d’appeler ma mère » et Siri peut vous demander « À quelle heure voulez-vous que je déclenche le rappel ? » N’hésitez pas à effectuer en bloc une demande à Siri. Siri vous demande de fournir des détails si nécessaire. Commencez à discuter avec Siri en collant l’iPhone contre votre oreille, comme si vous alliez effectuer un appel. Si l’écran n’est pas allumé, appuyez d’abord sur le bouton Marche/Arrêt ou principal. Deux signaux sonores retentissent pour indiquer que Siri écoute. Commencez alors à parler. 42 Chapitre 4 SiriSi Siri ne répond pas lorsque vous collez l’iPhone contre votre oreille, commencez par placer l’écran en face de vous, de manière à orienter votre main vers le haut. Pour annuler une requête Dites « Annuler », touchez , ou appuyez sur le bouton principal . Mettre fin à un appel téléphonique que vous avez passé avec Siri Avant l’ouverture de Téléphone, appuyez sur le bouton principal . Si l’app Téléphone est déjà ouverte, touchez Terminer. Informations personnelles données à Siri Plus Siri vous connaît, plus il peut utiliser les informations sur vous pour vous aider. Siri récupère les informations vous concernant à partir de votre fiche d’informations personnelles (« Mes infos ») dans Contacts. Pour indiquer à Siri qui vous êtes : Accédez à Réglages > Siri > Mes infos, puis saisissez votre nom. Indiquez votre adresse personnelle et votre adresse professionnelle sur la fiche, afin de pouvoir dire des phrases telles que « Comment rentrer à la maison ? » ou « Me rappeler d’appeler Boris lorsque j’arrive au travail ». Siri s’intéresse également aux personnes importantes dans votre vie. Indiquez donc ces relations sur votre fiche d’informations personnelle. Siri peut configurer ces informations à votre place. Par exemple, la première fois que vous demandez à Siri d’appeler votre sœur, Siri vous demande son identité (si cette information ne figure pas encore sur votre carte). Siri ajoute cette relation sur votre carte d’informations personnelle afin de ne plus demander cette information la prochaine fois. Créez des fiches dans Contacts pour toutes vos relations importantes et fournissez des informations telles que les numéros de téléphone, les adresses électroniques, les adresses personnelles et professionnelles ou les surnoms qui vous sont familiers. Chapitre 4 Siri 43Guide à l’écran Siri vous donne des exemples de demandes, directement à l’écran. Dites « Que peux-tu faire ? » ou touchez lorsque Siri s’affiche la première fois. Siri en mains libres Vous pouvez utiliser Siri avec les écouteurs Apple et la télécommande et le micro fournis avec votre iPhone ou avec des oreillettes et des casques Bluetooth pris en charge. Parler à Siri à l’aide d’écouteurs : Maintenez enfoncé le bouton central. Parler à Siri à l’aide d’un casque Bluetooth : Maintenez enfoncé le bouton d’appel. Pour continuer une conversation avec Siri, maintenez enfoncé le bouton à chaque que vous souhaitez parler. Lorsque vous utilisez des écouteurs ou un casque, Siri vous énonce les réponses. Siri répète à haute voix les messages textes et les courriers électroniques que vous avez dictés avant de les envoyer. Cela vous permet de modifier le message si vous le souhaitez. Siri répète également les objets de rappels avant de les créer. Contexte Siri se soucie de l’environnement où vous êtes et de ce vous faites afin de comprendre le contexte. Si vous recevez simplement un message texte de Boris, dites juste « Répondre » et Siri comprend qu’il faut envoyer un message texte à Boris. Dites « L’appeler » et Siri comprend qu’il faut plutôt l’appeler. Siri vous indique toujours l’action qu’il s’apprête à exécuter. Configurer les options de Siri Activer ou désactiver Siri : Accédez à Réglages > Général > Siri. Remarque : La désactivation de Siri implique sa réinitialisation ; Siri oublie les informations acquises concernant votre voix. Pour régler les options de Siri : Accédez à Réglages > Général > Siri. Langue : Sélectionnez la langue que vous souhaitez utiliser avec Siri. Retour vocal : Par défaut, Siri énonce ses réponses uniquement lorsque vous maintenez l’iPhone contre votre oreille ou utilisez l’app avec des écouteurs ou un casque. Si vous souhaitez programmer Siri de manière à toujours énoncer ses réponses, définissez cette option sur Toujours. Mes infos : Indiquez à Siri la fiche dans Contacts qui contient vos informations personnelles. Consultez la section « Informations personnelles données à Siri » à la page 43. Élever pour parler : Parlez avec Siri en collant votre iPhone à votre oreille lorsque l’écran est activé. 44 Chapitre 4 SiriAutoriser ou empêcher l’accès à Siri lorsque l’iPhone est verrouillé à l’aide d’un code : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code. Vous pouvez également désactiver Siri en activant les restrictions. Consultez la section « Restrictions » à la page 183. Service de localisation Étant donné que Siri connaît les emplacements sous les termes « actuel », « domicile » et « bureau », il peut vous rappeler d’effectuer certaines tâches lorsque vous quittez un emplacement ou que vous y arrivez. Dites « Me rappeler d’appeler ma femme lorsque je quitte le bureau » et Siri exécute cette demande. Les informations de localisation ne sont pas suivies ni stockées en dehors du téléphone. Vous pouvez toujours utiliser Siri si vous désactivez le Service de localisation, mais Siri n’exécute aucune tâche qui nécessite des informations liées à la localisation. Désactiver le Service de localisation pour Siri : Accédez à Réglages > Service de localisation. Accessibilité Siri est accessible pour les aveugles et les malvoyants grâce à VoiceOver, le lecteur d’écran intégré dans iOS. VoiceOver décrit à haute voix les informations présentées à l’écran, notamment les textes constituant les réponses de Siri, ce qui vous permet d’utiliser l’iPhone sans le regarder. Pour activer VoiceOver : Accédez à Réglages > Accessibilité. L’activation de VoiceOver permet la lecture à haute voix, même de vos notifications. Pour plus d’informations, consultez la section « VoiceOver » à la page 157. Correction de Siri Si Siri rencontre des problèmes Il arrive parfois que Siri ne parvienne pas à vous comprendre. Les environnements bruyants, par exemple, peuvent rendre l’écoute difficile. Si vous avez un accent, cela peut prendre du temps à Siri pour se familiariser avec votre voix. Si Siri ne vous entend pas parfaitement, vous pouvez apporter des corrections. Siri affiche ce qu’il a entendu et fournit une réponse. Pour corriger ce que Siri entend : Touchez la bulle indiquant ce que Siri a entendu. Modifiez votre requête par la saisie ou touchez sur le clavier pour dicter. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la dictée, consultez la section « Dictée » à la page 58. Si une partie du texte est surlignée en bleu, touchez-la et Siri propose des alternatives. Touchez une des suggestions ou remplacez le texte par la saisie ou la dictée. Pour corriger Siri par la voix : Touchez , puis répétez ou clarifiez votre demande. Par exemple « Je voulais dire Boston ». Lorsque vous corrigez Siri, ne dites pas ce que vous ne souhaitez pas, dites simplement ce que vous souhaitez vraiment. Pour corriger un courrier électronique ou un message texte : Si Siri vous demande si vous souhaitez envoyer le message, vous pouvez dire par exemple : « Remplacer par : appelle-moi demain. » « Ajouter : On se voit là-bas point d’interrogation. » « Non, l’envoyer à Boris. » Chapitre 4 Siri 45« Non. » (pour conserver le message, sans l’envoyer) « Annuler. » Pour demander à Siri de vous lire le message, dites « Relire le message » ou « Me lire le message ». Si le message est correct, dites une phrase telle que « Oui, l’envoyer ». Consultez les sections « Mail » à la page 52 et « Messages » à la page 48. Mode d’apprentissage adopté par Siri Au début, Siri fonctionne sans aucune configuration et s’améliore au fil du temps. Siri apprend votre accent et d’autres caractéristiques de votre voix. Par ailleurs, il classe votre voix parmi l’un des dialectes ou accents qu’il comprend. Au fur et à mesure que les personnes utiliseront Siri et qu’il sera exposé aux variations de langues, la reconnaissance s’améliorera, ainsi que son fonctionnement. Environnements bruyants Dans un environnement bruyant, maintenez l’iPhone contre votre bouche, mais ne parlez pas directement sur le bord inférieur. Continuez à parler clairement et de manière naturelle. Touchez lorsque vous avez fini de parler. Vous pouvez également essayer de coller l’iPhone contre votre oreille pour parler à Siri. Connexion réseau Siri peut vous indiquer qu’il rencontre des problèmes de connexion réseau. En raison de la dépendance de Siri aux serveurs Apple pour la reconnaissance de voix et d’autres services, vous devez disposer d’un cellulaire 3G ou 4G fiable ou une connexion Wi-Fi à Internet. Siri et les apps Siri fonctionne avec la plupart des apps intégrées sur l’iPhone 4S. Par ailleurs, il utilise les apps né- cessaires pour vous aider avec vos demandes. Siri est au courant lorsque vous utilisez une app, ce qui vous permet de faire référence aux éléments affichés à l’écran. Par exemple, lorsque vous lisez un courrier dans Mail, vous pouvez dire « Répondre, j’aime ça. ». Téléphone Utilisez Siri pour effectuer un appel téléphonique ou commencer un appel FaceTime. Vous pouvez faire référence à votre famille, vos amis ou vos collègues dans Contacts ou dire le numéro de télé- phone à utiliser. Par exemple :  Appeler le mobile de Julie Bourbon  Appeler Stéphanie au travail  Appeler le 408 555 1212  Appeler à la maison 46 Chapitre 4 Siri Appeler Florence via FaceTime Généralement, il est plus facile de déterminer la personne que vous souhaitez appeler lorsque vous dites à la fois son nom et son prénom, mais vous pouvez omettre l’un ou l’autre et laisser Siri faire le reste. Siri vérifie d’abord vos favoris et si une correspondance est trouvée, il appelle le numéro. Siri vérifie ensuite tous vos contacts. Si plusieurs personnes portent le même nom, Siri demande celle que vous souhaitez appeler. Siri demande également le numéro de téléphone à utiliser s’il en existe plusieurs. Vous pouvez également demander à Siri d’appeler une entreprise dans vos contacts. Afin de permettre à Siri de connaître la personne à laquelle vous faites référence lorsque vous souhaitez effectuer un appel, assurez-vous de vous présenter à Siri. Consultez la section « Informations personnelles données à Siri » à la page 43. Mettre fin à un appel téléphonique que vous avez passé avec Siri Avant l’ouverture de Téléphone, appuyez sur le bouton principal . Si l’appel téléphonique est en cours, touchez Terminer. Musique Demandez à Siri de lire un morceau, un album ou une liste de lecture. Arrêtez, puis reprenez la lecture. Définissez l’ambiance en demandant un certain type de musique. Ou dites simplement « Lire » et laissez Siri choisir à votre place. Si vous ne reconnaissez pas le morceau, demandez à Siri « le morceau lu actuellement, quel est-il ? » Voici quelques méthodes qui vous permettent de lire de la musique avec Siri :  Lire The Light of the Sun  Lire Trouble  Lire Taking Back Sunday mixé  Lire Alicia Keys  Lire du blues  Lire mon mix de soirée  Lire en mode aléatoire ma liste de lecture pour voyage  Lecture  Pause  Reprendre  Passer Chapitre 4 Siri 47Pour écouter des morceaux similaires à celui que vous écoutez, dites « Genius ». (Siri crée une liste de lecture temporaire Genius, mais celle-ci n’est pas enregistrée.) Messages Vous pouvez envoyer des messages textes, demander à Siri de lire les nouveaux messages et de répondre aux messages reçus. Incluez le nom de la personne dans le texte ou attendez que Siri vous demande le destinataire du message. Vous pouvez envoyer un message texte à un numéro de téléphone ou à plusieurs personnes à la fois. Pour envoyer un texte, dites des phrases telles que :  Dire à Stéphanie que j’arrive  Envoyer un message à Alexandre Durand  Envoyer un message à Florence et dire qu’en est-il pour demain ?  Envoyer un message à Stéphanie sur son mobile et dire Je serais en retard  Envoyer un message au 408 555 1212  Envoyer un message texte à Alexandre et Florence demandant où êtes-vous ? Pour voir ou écouter les messages reçus, vous pouvez dire :  Lire mes messages  Afficher mes nouveaux textes  Lire de nouveau Si vous venez de recevoir un message texte ou si vous en lisez un que avez reçu plus tôt, vous pouvez simplement dire :  Répondre à ces bonnes nouvelles  Lui dire Je serais là dans 10 minutes  appelle-la Siri comprend le contexte et connaît le destinataire de la réponse. Avant d’envoyer un message que avez rédigé, Siri l’affiche ou vous le lit pour vous permettre d’en vérifier l’exactitude. Lorsque Siri vous demande si vous souhaitez envoyer le message, vous pouvez dire :  Remplacer par : Appelle-moi demain  Ajouter : On se voit là-bas point d’interrogation 48 Chapitre 4 Siri Non, l’envoyer à Bob  Non (pour conserver le message, sans l’envoyer)  Annuler Souhaitez-vous inclure une émôticone dans votre message ? Dites « émoticône » simplement. :-) Modification de messages Si vous rédigez un message texte à l’aide de Siri, mais que celui-ci ne correspond pas exactement à ce que vous souhaitiez dire, vous pouvez demander à Siri de le modifier. Si le message est assez proche de votre idée, vous pouvez plutôt l’éditer. Lorsque Siri affiche le message pour vérification, touchez la bulle du message pour l’ouvrir dans l’app Messages. Vous pouvez alors éditer le message par la saisie ou la dictée. Consultez la section « Dictée » à la page 58. Calendrier Ajoutez de nouveaux événements à votre calendrier, modifiez les événements existants ou effectuez une recherche dans le contenu de votre calendrier. Lorsque vous créez un événement, vous pouvez spécifier une heure, un lieu, un titre et les personnes que vous souhaitez inviter. Pour créer un événement :  Créer une réunion à 9 h  Créer une réunion avec Michel à 9 h  Réunion avec Florence à midi  Créer une réunion à propos de l’embauchage demain à 9 h  Nouveau rendez-vous avec Stéphanie Perrier vendredi à 3 h  Programmer une réunion de planification aujourd’hui à 8 h 30 dans la salle du conseil Pour modifier ou annuler un événement :  Déplacer ma réunion de 15 h à 16 h 30  Réorganiser mon rendez-vous avec le docteur Marchand pour lundi prochain à 9 h  Ajouter Florence à ma réunion avec Alexandre  Annuler la réunion sur la révision budgétaire Pour demander à Siri des informations sur des événements :  Comment se présente le reste de la journée ?  Quels sont les programmes sur mon calendrier vendredi ?  Quand aura lieu mon prochain rendez-vous ?  À quel moment aura lieu ma réunion avec Michel ? Chapitre 4 Siri 49 Où se tiendra mon prochain événement ? Lorsque vous créez ou modifiez un événement ou demandez des informations dessus, Siri affiche les informations à propos de l’événement. Pour obtenir plus d’informations, touchez l’événement. Rappels Siri est un excellent moyen de configurer un rappel rapide. Pour créer un rappel, dites des phrases telles que :  Me rappeler d’appeler maman  Me rappeler de prendre un parapluie  Me rappeler de prendre mon médicament demain à 6 h  Me rappeler d’appeler Alexandre à ma sortie  Me rappeler de terminer le rapport pour le 6 Siri demande les informations dont il a besoin pour créer le rappel, notamment la date, l’heure et le lieu. Le renseignement du lieu permet à Siri de vous rappeler le point lorsque vous approchez du lieu ou le quittez. Un lieu peut correspondre à votre emplacement actuel (« ici ») ou une adresse dans Contacts. Pour inclure dans Siri vos adresses professionnelle et personnelle, consultez la section « Informations personnelles données à Siri » à la page 43.  Me rappeler d’appeler ma mère lorsque je rentre  Me rappeler d’appeler me femme lorsque j’arrive au bureau  Me rappeler d’acheter des fleurs lorsque je sors d’ici  Me rappeler de vérifier l’heure lorsque je reviens ici Les rappels sont ajoutés dans la liste de rappels par défaut. Pour configurer la liste par défaut pour Rappels : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Liste par défaut. Pour garder une liste sans définir aucune heure ni aucun emplacement spécifique à rappeler :  Me rappeler d’acheter du lait  Ajouter des œufs à ma liste de courses Si Siri vous demande à quel moment déclencher le rappel, vous pouvez dire « jamais ». Si vous avez une liste visible dans Rappels, vous pouvez y effectuer un ajout simplement en disant « Ajouter » :  Ajouter des œufs 50 Chapitre 4 SiriLorsque vous créez un rappel avec Siri, il l’affiche à des fins de confirmations. Vous pouvez confirmer, annuler ou faire connaître à Siri que vous souhaitez apporter des modifications :  Modifier l’heure par 7  Modifier le jour par Mardi  Remplacer par : Nettoyer et lustrer la voiture  Déplacer vers ma liste professionnelle  Déplacer vers ma liste personnelle Une fois que vous confirmez le rappel, vous pouvez le toucher pour ouvrir l’app Rappel et afficher le rappel et ses détails. Plans Utilisez Siri pour trouver un lieu, obtenir un itinéraire et consulter l’état de la circulation. Par exemple :  Comment rentrer à la maison ?  Afficher l’adresse 1 Infinite Loop Cupertino California  Itinéraire vers le bureau de mon père  Quel est l’état de la circulation pour rentrer à la maison ?  Trouver une cafétéria à proximité  Trouver des restaurants qui servent des hamburgers à Bruxelles  Trouver une station d’essence à distance de marche  De bons restaurants mexicains à proximité Chapitre 4 Siri 51Si vous demandez un lieu, Siri l’affiche sur un plan. Parfois, Siri accède directement à Plans, mais vous pouvez toucher le plan pour ouvrir l’app Plans, le cas échéant. Siri peut répondre par une liste de choix. Par exemple, si vous demandez des restaurants qui servent des hamburgers, Siri recherche les restaurants concernés à proximité et trie la liste par distance. Si vous demandez le meilleur restaurant qui sert des hamburgers à proximité, Siri effectue un tri par classement. Pour trier la liste d’une autre manière, demandez simplement « lequel est le meilleur ? » ou « lequel est le plus proche ?» Mail Avec Siri, vous pouvez envoyer des courriers électroniques, vérifier vos courriers électroniques et répondre à ceux que vous recevez. Un courrier électronique nécessite au moins un destinataire, un objet (dites « à propos de ») et un texte composant le message. Cependant, n’hésitez pas à donner toutes ces informations d’une seule traite. Siri demandera les points nécessaires pour compléter le courrier électronique. Pour envoyer un courrier électronique à une ou plusieurs personnes :  Envoyer un courrier électronique à Florence concernant le voyage  Nouveau courrier électronique à envoyer à Stéphanie Perrier  Envoyer un courrier électronique à papa à propos du chèque du loyer  Envoyer un courrier électronique au docteur Marchand et dire J’ai reçu les formulaires, merci 52 Chapitre 4 Siri Envoyer un courrier électronique à Florence et Alexandre à propos de la soirée et dire J’ai passé un moment inoubliable Pour vérifier votre courrier électronique :  Vérifier les courriers électroniques  Y a-t-il des nouveaux courriers électroniques provenant de Michel aujourd’hui ?  Afficher le nouveau courrier électronique à propos du bail  Afficher le courrier électronique envoyé par Florence hier Pour répondre à un courrier électronique :  Répondre Chère Stéphanie je suis désolé à propos du paiement en retard  Appelle-le à son bureau Avant d’envoyer un courrier électronique, Siri l’affiche ou le lit pour vous permettre d’en vérifier l’exactitude. Lorsque Siri vous demande si vous souhaitez envoyer le courrier électronique, vous pouvez dire :  Le modifier pour dire : Le chèque est dans le courrier électronique  Ajouter Romain (pour inclure un autre destinataire)  Remplacer l’objet par : Ce week-end Modification d’un courrier électronique Si vous créez un courrier électronique à l’aide de Siri, mais que celui-ci n’est pas exactement ce que vous souhaitiez dire, demandez à Siri de le modifier. Si le message est assez proche de votre idée, vous pouvez plutôt l’éditer. Touchez le message pour l’ouvrir dans l’app Mail, puis modifiez-le par la saisie ou la dictée. Consultez la section « Dictée » à la page 58. Météo Utilisez Siri pour obtenir des informations météorologiques. Si vous ne donnez pas de lieu, Siri suppose que vous faites référence au lieu actuel. Si vous ne donnez pas d’heure, Siri affiche la pré- vision du jour, mais vous pouvez demander la météo à tout moment pour la semaine à venir.  Quelle est la météo du jour ?  Quelle est la météo de demain ?  Pleuvra-t-il à Cupertino cette semaine ?  Quelle est la prévision pour la soirée ?  Quelle est actuellement la météo à Nice ?  Quelle sera la température à Châteauroux ce week-end ? Chapitre 4 Siri 53 Quelle sera la température la plus élevée à Albi le jeudi ?  Quelle est la température à l’extérieur ?  Y a-t-il du vent ?  À quelle heure le soleil se lève-t-il à Paris ? Bourse Utilisez Siri pour obtenir rapidement les cotes de vos actions préférées. Obtenez la capitalisation boursière ou les taux cours/bénéfice. Demandez des informations sur des indices spécifiques et la situation en général. Par exemple :  Quel est le prix de l’action Apple ?  Quel est le taux cours/bénéfice Apple ?  Quelle a été la valeur de Yahoo! à la fermeture des marchés aujourd’hui ?  Comment se portent les actions de Nikkei ?  Comment se portent les marchés ?  Quelle est la valeur de l’indice Dow ? Horloge Utilisez Siri pour régler rapidement une alarme matinale, une minuterie pour la cuisson d’un gâ- teau dans le four ou déterminer l’heure qu’il fait sur une destination outre-mer. Pour régler ou modifier des alarmes :  Me réveiller à 7 h demain  Régler une alarme pour 6 h 30 54 Chapitre 4 Siri Me réveiller dans 8 heures  Modifier mon alarme de 6 h 30 par 6 h 45  Désactiver mon alarme de 6 h 30  Supprimer mon alarme de 7 h 30 Lorsque vous réglez une alarme, Siri affiche l’alarme afin de vous permettre de vérifier son exactitude. Vous pouvez toucher le commutateur pour activer ou désactiver l’alarme. Touchez l’alarme pour l’ouvrir dans l’app Horloge. Pour demander la date et l’heure :  Quelle heure est-il ?  Quelle heure est-il à Berlin ?  Quelle est la date d’aujourd’hui?  Quelle est date ce samedi ? Siri affiche une horloge pour vous. Touchez-la pour ouvrir l’app Horloge. Pour utiliser le minuteur :  Définir le minuteur pour se déclencher dans 10 minutes  Afficher la minuterie  Interrompre la minuterie  Reprendre  Réinitialiser la minuterie Chapitre 4 Siri 55 Arrête-la Siri affiche une minuterie. Touchez-la pour ouvrir l’app Horloge. Contacts Siri utilise vos entrées dans Contacts pour trouver des adresses, rechercher des numéros de télé- phone et d’autres informations ou vous indiquer l’anniversaire d’une personne. Siri connaît même votre famille grâce aux informations figurant sur votre fiche de contact personnelle. Consultez la section « Informations personnelles données à Siri » à la page 43. Pour demander des informations à propos des contacts, vous pouvez dire :  Quelle est l’adresse de Michel ?  Quel est le numéro de téléphone de Stéphanie Perrier ?  Quelle est la date d’anniversaire de ma femme ?  Afficher l’adresse électronique personnelle de Julie  Quelle est l’adresse professionnelle de mon frère ? Pour trouver des contacts :  Afficher Alexandre Martin  Trouver les personnes portant le nom Perrier  Qui est Michel Marchand ? 56 Chapitre 4 SiriSi vous n’êtes pas certain du numéro de téléphone à utiliser pour un contact, demandez à Siri d’afficher les coordonnées de la personne. Pour appeler, touchez simplement le numéro. D’autres éléments sont également actifs : touchez une adresse électronique pour commencer à rédiger un nouveau courrier électronique ou touchez le bouton FaceTime pour parler face à face. « Trouver Romain » peut vous aider à restreindre la liste des possibilités, si vous savez qu’il s’agit de Romain, mais que vous n’arrivez pas à vous souvenir de son nom. Notes Utilisez Siri pour inscrire verbalement des notes ou chercher des notes déjà enregistrées. Dites des phrases telles que :  Noter que j’ai dépensé 12 euros à midi  Note : rechercher le nouvel album d’Alicia Keys  Rechercher ma note de restaurant  Créer une note de liste de lecture  Ajouter Tom Sawyer à ma note de liste de lecture Siri affiche la note à des fins de révision. Pour éditer la note, touchez-la. Siri ouvre l’app Notes pour vous de manière à vous permettre d’éditer la note par la saisie ou la dictée. Consultez la section « Dictée » à la page 58. Safari Vous pouvez effectuer une recherche sur le Web avec Siri. Spécifiez le moteur de recherche à utiliser ou recherchez un site tel que Wikipedia. Par exemple :  Rechercher Bora Bora sur le Web  Rechercher des recettes de pâte végétariennes  Rechercher le Web pour les meilleurs plans de câblage  Rechercher sur Google la guerre de 1812  Rechercher Abraham Lincoln sur Wikipedia  Rechercher des actualités sur la coupe du monde  Rechercher Alicia Keys sur Bing Siri ouvre Safari et exécute la recherche que vous demandez. Si vous ne spécifiez aucun moteur de recherche, Siri utilise celui spécifié dans les réglages de Safari. Accédez à Réglages > Safari. Chapitre 4 Siri 57WolframAlpha Demandez à Siri de fournir des informations ou d’exécuter un calcul et Siri peut faire référence à WolframAlpha (www.wolframalpha.com). Les réponses incluent souvent des informations associées. Voici des exemples de questions et de demandes :  Combien de calories dans un beignet ?  À quoi correspond un pourboire de 18 % de 86,74 dollars pour quatre personnes ?  Qui sont enterrés dans la Tombe du Général Ulysses Grant ?  Quelle est l’espérance de vie des chiens ?  Qu’est-ce que le Gossamer Condor ?  Quelle est la racine carrée de 28 ?  Quelle est la valeur en dollars de 45 euros ?  Qui a reçu le prix de Best Picture en 1983 ?  Combien de jours reste-t-il avant Noël ?  Quelle est la distance entre la terre et le soleil ?  Quand aura lieu la prochaine éclipse ?  Montrer la constellation Orion  Quelle est la population de Jamaïque ?  Quelle est la hauteur du mont Everest ?  Quelle est la profondeur de l’Océan Atlantique ?  Quel est le prix de l’essence à Nantes ? Dictée Lorsque la fonctionnalité Siri est activée, vous pouvez également dicter du texte. Consultez la section « Dictée » à la page 28. Même si vous pouvez rédiger des courriers électroniques, des messages textes et d’autres textes en parlant directement avec Siri, vous préférez peut-être la dictée. La dictée vous permet d’éditer un message au lieu de remplacer l’ensemble du texte. La dictée vous donne également plus de temps pour réfléchir lors de la rédaction. 58 Chapitre 4 SiriSiri comprend les pauses comme une finalisation de l’énoncé et profite de cette opportunité pour répondre. Même si cela vous permet d’avoir une conversation naturelle avec Siri, il peut vous interrompre avant que vous n’ayez réellement terminé, puisque vous vous êtes arrêté un moment pour réfléchir. Avec la dictée, vous pouvez effectuer des pauses fréquemment comme bon vous semble et reprendre la parole lorsque vous êtes prêt. Vous pouvez également commencer à rédiger un texte à l’aide de Siri, puis continuer à l’aide de la dictée. Par exemple, vous pouvez créer un courrier électronique avec Siri, puis toucher le brouillon pour ouvrir le message dans Mail. Dans Mail, vous pouvez terminer ou éditer le message ou apporter d’autres modifications, par exemple l’ajout ou le retrait de destinataires, la révision de l’objet ou la modification du compte à partir duquel vous envoyez le courrier électronique. Chapitre 4 Siri 59Téléphone 5 Appels téléphoniques Passage d’un appel Pour émettre un appel sur l’iPhone, il suffit de toucher un nom ou un numéro dans vos contacts, d’utiliser Siri en disant « Appeler Bob » (iPhone 4S), de toucher l’un de vos favoris ou de toucher un appel récent pour rappeler. Les boutons situés au bas de l’écran de Téléphone permettent un accès rapide à vos favoris, aux appels récents, à vos contacts et à un clavier numérique permettant de composer manuellement. AVERTISSEMENT : Pour consulter les informations importantes concernant la conduite en toute sécurité, consultez le Guide d’informations importantes sur le produit, à l’adresse support.apple.com/fr_FR/manuals/iphone/. Nombre d’appels manqués Appelez l’un de vos favoris d’un seul toucher. Affichez vos appels entrants et sortants récents pour rappeler quelqu’un ou obtenir plus d’informations. Appelez, envoyez des courriers électroniques ou des messages texte à un contact dans votre liste. Composez manuellement un numéro. Affichez une liste de vos messages vocaux. Nombre de messages non écoutés Rappeler un appel manqué Effectuez l’une des opérations suivantes :  Téléphone : Touchez Appels, puis touchez un nom ou un numéro.  Écran verrouillé : Balayez vers la droite l’icône affichée dans l’alerte.  Centre de notifications Touchez l’appel manqué. Composition manuelle Vous pouvez utiliser le clavier numérique pour composer manuellement un numéro de téléphone. Pour composer un numéro : Touchez Clavier et saisissez le numéro, puis touchez Appel. 60Coller un numéro dans le clavier Touchez l’écran situé au-dessus du clavier, puis touchez Coller. Saisir une pause logicielle (2 secondes) Touchez « * » jusqu’à l’apparition d’une virgule. Saisir une pause matérielle (jusqu’à ce que vous touchiez le bouton Composer) Touchez « # » jusqu’à l’apparition d’un point-virgule. Composer à nouveau le dernier numéro Touchez Clavier, touchez Appel, puis touchez Appel à nouveau. Composition vocale Vous pouvez utiliser Siri (iPhone 4S) ou Contrôle vocal pour appeler une personne qui figure dans vos contacts ou composer un numéro donné. Consultez les sections Chapitre 4, « Siri, » à la page 41 et « Contrôle vocal » à la page 31. Passer un appel vocalement : Activez Siri ou Contrôle vocal, dites « appeler » ou « composer », puis dites le nom ou le numéro à appeler. Pour Siri : Si l’écran n’est pas allumé, appuyez sur le bouton Marche/Arrêt ou principal , puis gardez l’iPhone contre votre oreille. Pour Contrôle vocal ou Siri : Maintenez le bouton principal enfoncé jusqu’à entendre la tonalité. Vous pouvez également maintenir le bouton central des écouteurs de l’iPhone enfoncé. Par exemple :  appeler Romain Moulin  appeler Romain Moulin à la maison  appeler Romain Moulin, mobile Pour de meilleurs résultats, dites le nom complet de la personne que vous voulez appeler. Lorsque vous composez un numéro vocalement, dites chaque chiffre séparément, par exemple, dites « quatre un cinq, cinq cinq cinq, un deux un deux ». Remarque : Pour l’indicatif régional « 800 » des États-Unis, vous pouvez dire « huit cents ». Réception d’appels Lorsque vous recevez un appel, touchez Répondre. Si l’iPhone est verrouillé, faites glisser le curseur. Vous pouvez également appuyer sur le bouton central des écouteurs de l’iPhone. Ignorer un appel Appuyez sur le bouton Marche/Arrêt ou sur l’un des boutons de volume. Vous pouvez toujours répondre à l’appel après l’avoir ignoré, jusqu’à ce qu’il bascule sur la messagerie vocale. Refuser un appel et l’envoyer directement vers la messagerie vocale Effectuez l’une des opérations suivantes :  Appuyez deux fois rapidement sur le bouton Marche/Arrêt.  Appuyez sur le bouton central des écouteurs de l’iPhone et maintenez-le enfoncé pendant environ deux secondes. Deux bips de faible intensité confirment que l’appel a été refusé.  Touchez Refuser (si l’iPhone est en fonctionnement à l’arrivée de l’appel). Bloquer des appels et conserver un accès Wi-Fi à Internet Accédez à Réglages et activez Mode Avion, puis touchez Wi-Fi pour l’activer. Lorsque l’iPhone est éteint ou en mode Avion, les appels entrants sont dirigés directement vers la messagerie vocale. Chapitre 5 Téléphone 61En cours d’appel Lorsqu’un appel est en cours, l’écran affiche les options d’appel. Mettez votre ligne en mode Silence. L3KRQH¬RXXOWpULHXU¬ Touchez et maintenez enfoncé le bouton pour mettre votre appel en attente. Composez un numéro. Utilisez le haut-parleur ou un appareil Bluetooth. Obtenez des informations de contact. L3KRQH¬RXXOWpULHXU¬ Passez un appel FaceTime. L3KRQH¬*6 ERXWRQ+ROG ¬Mettez un appel en attente. Passez un autre appel. Les options d’appel varient en fonction de l’iPhone utilisé. Utiliser une autre app au cours d’un appel Appuyez sur le bouton principal , puis touchez une icône d’app. Pour revenir à l’appel, touchez la barre verte située en haut de l’écran. Mettre fin à un appel Touchez Fin ou appuyez sur le bouton central des écouteurs de l’iPhone. Deuxième appel Pendant un appel, vous pouvez en passer ou en recevoir un autre. Si vous recevez un second appel, l’iPhone émet un signal sonore et affiche les informations de l’appelant et une liste d’options. Remarque : La possibilité de passer ou recevoir un deuxième appel peut être un service en option dans certaines régions. Contactez votre opérateur pour en savoir plus. Pour réponse à un second appel entrant :  Ignorer l’appel et le transférer vers la messagerie vocale : touchez Ignorer.  Mettre en attente le premier appel et répondre au nouvel appel : touchez Suspendre et répondre.  Mettre fin au premier appel et répondre au nouvel appel : sur un réseau GSM, touchez Raccr. et répondre. Sur un réseau CDMA, touchez Raccrocher et, lorsque le second appel recommence à sonner, touchez Répondre ou faites glisser le curseur si le téléphone est verrouillé. Pendant un appel vidéo FaceTime, vous pouvez mettre fin à l’appel vidéo pour répondre à un appel entrant, ou refuser ce dernier. Passer un second appel Touchez Nouvel appel. Le premier appel est mis en attente. Basculer entre appels Touchez Permuter. L’appel actif est mis en attente. Avec le CDMA, vous ne pouvez pas basculer entre appels si le second appel était sortant, mais vous pouvez fusionner les appels. Si vous mettez fin au deuxième appel ou à l’appel fusionné, les deux appels sont terminés. Fusionner des appels Touchez Conférence. Avec le CDMA, vous ne pouvez pas fusionner les appels si le second appel était entrant. 62 Chapitre 5 TéléphoneConférences téléphoniques Avec le GSM, vous pouvez configurer une conférence de manière à parler avec jusqu’à cinq personnes à la fois, suivant votre opérateur. Remarque : Les appels en conférence sont un service en option dans certaines régions. Contactez votre opérateur pour en savoir plus. Pour créer une conférence téléphonique : 1 Passez un appel. 2 Touchez Nouvel appel puis passez un autre appel. Le premier appel est mis en attente. 3 Touchez Conférence. Les appels sont fusionnés et tous les interlocuteurs peuvent s’entendre. 4 Répétez les étapes deux et trois pour ajouter des appels supplémentaires. Pour abandonner un appel Touchez Conférence puis à côté d’un appel. Touchez alors Fin. Pour parler en privé pendant la conférence Touchez Conférence puis Privé à côté d’un appel. Touchez Conférence pour reprendre la conférence. Pour ajouter un appel entrant Touchez Suspendre et Répondre, puis Conférence. Si votre contrat de service inclut les appels en conférence, sachez que l’iPhone dispose toujours d’une deuxième ligne en plus de l’appel en conférence. Remarque : Il est impossible de passer un appel vidéo FaceTime pendant une conférence. Utilisation d’un appareil Bluetooth pour les appels Vous pouvez passer et recevoir des appels à l’aide d’un appareil Bluetooth jumelé avec l’iPhone. Consultez la section « Jumelage d’un appareil Bluetooth avec un iPhone » à la page 36. Pour plus d’informations sur l’utilisation d’un appareil Bluetooth, reportez-vous à la documentation fournie avec l’appareil. Ignorer l’appareil Bluetooth :  Répondez à un appel en touchant l’écran de l’iPhone.  Au cours d’un appel, touchez Audio puis choisissez iPhone ou Haut-parleur.  Désactivez Bluetooth dans Réglages > Général > Bluetooth.  Pour éteindre l’appareil Bluetooth ou vous déplacer hors de portée. Vous devez vous situer à moins d’une dizaine de mètres d’un appareil Bluetooth pour qu’il soit connecté à l’iPhone. Appels d’urgence Lorsque l’iPhone est verrouillé par un mot de passe, vous pouvez toujours effectuer un appel d’urgence. Pour passer un appel d’urgence lorsque l’iPhone est verrouillé : Sur l’écran Saisissez le code, touchez Appel d’urgence, puis composez le numéro d’urgence et touchez le bouton vert. Aux États-Unis, des informations de localisation (le cas échéant) sont transmises aux fournisseurs des services d’urgence si vous composez le 911. Avec le CDMA, lorsqu’un appel d’urgence se termine, l’iPhone passe en mode d’appel d’urgence pour permettre aux services d’urgence de vous rappeler. Dans ce mode, les transmissions de données et les messages texte sont bloqués. Sortir du mode d’appel d’urgence (CDMA) : Effectuez l’une des opérations suivantes :  Touchez le bouton de retour. Chapitre 5 Téléphone 63 Appuyez sur le bouton Marche/Arrêt ou sur le bouton principal .  Utilisez le clavier numérique pour composer un numéro autre qu’un numéro d’urgence. Le mode d’appel d’urgence se termine automatiquement après quelques minutes, tel que défini par votre opérateur. Important : Ne dépendez pas des dispositifs sans fil pour des communications essentielles, notamment relatives aux urgences médicales. L’utilisation de l’iPhone pour appeler les services d’urgence peut ne pas fonctionner dans toutes les régions ou toutes les conditions de service. Les services et numéros d’urgence varient selon la région. Il est parfois impossible de passer un appel d’urgence en raison de la disponibilité du réseau ou d’interférences dues à l’environnement. Certains réseaux cellulaires peuvent ne pas accepter un appel d’urgence provenant de l'iPhone si l'iPhone n'est pas activé, si l'iPhone n'est pas compatible avec un réseau cellulaire particulier ou n'est pas configuré pour fonctionner sur celui-ci, ou (le cas échéant) si l'iPhone ne dispose pas d'une carte SIM ou si celle-ci est verrouillée par un code PIN. Si vous passez un appel vidéo FaceTime, vous devez terminer cet appel avant de pouvoir appeler un numéro d’urgence. FaceTime Les appels vidéo FaceTime (iPhone 4 ou ultérieur) vous permettent de voir et d’entendre votre interlocuteur. Vous pouvez passer un appel vidéo à n’importe quel utilisateur doté d’un Mac ou d’un appareil iOS compatible FaceTime. Aucune configuration n’est nécessaire mais vous devez disposer d’une connexion Wi-Fi à Internet. Par défaut, FaceTime utilise la caméra frontale de manière que votre interlocuteur puisse voir votre visage, mais vous pouvez basculer sur la caméra arrière pour lui montrer ce que vous voyez. Remarque : FaceTime peut ne pas être disponible dans toutes les régions. Pour passer un appel FaceTime : Dans Contacts, choisissez un nom, touchez FaceTime, puis touchez le numéro de téléphone ou l’adresse électronique utilisé par la personne pour FaceTime Pour appeler une personne qui dispose d’un iPhone 4 ou ultérieur, vous pouvez commencer par passer un appel vocal puis toucher FaceTime. Une fois l’appel vocal établi, l’image de votre interlocuteur s’affiche à l’écran. Un encadré montre ce que votre interlocuteur voit. Faites pivoter l’iPhone pour utiliser FaceTime en orientation paysage. Basculez entre les caméras. Faites glisser votre image vers n’importe quel coin. 6LOHQFH YRXVSRXYH]HQWHQGUHHWYRLU¬O?LQWHUORFXWHXUSHXW voir, mais pas entendre). 64 Chapitre 5 TéléphoneSi votre réseau Wi-Fi est indisponible (par exemple si vous êtes hors de portée), vous avez l’option de composer à nouveau le numéro pour un appel vocal. Remarque : Lorsque vous effectuez un appel vidéo FaceTime, votre numéro de téléphone est affiché même si vous avez bloqué ou désactivé la fonction d’identification de l’appelant. Passer un appel FaceTime à l’aide de Siri ou Contrôle vocal Maintenez le bouton principal enfoncé jusqu’à entendre la tonalité. Avec Siri (iPhone 4S), gardez simplement l’iPhone contre votre oreille pendant que l’écran est allumé. Dites « FaceTime », puis le nom de la personne à appeler. Bloquer des appels FaceTime Accédez à Réglages > FaceTime et désactivez FaceTime. Vous pouvez également désactiver FaceTime dans Restrictions. Consultez la section « Restrictions » à la page 183. Utiliser votre identifiant Apple ou une adresse électronique pour FaceTime Accédez à Réglages > FaceTime, touchez « Utiliser mon identifiant Apple pour FaceTime » ou Ajouter une adresse électronique. Consultez la section « FaceTime » à la page 64. Messagerie vocale visuelle Configuration de la messagerie vocale Sur l’iPhone, la messagerie vocale visuelle vous permet d’afficher une liste de vos messages et de choisir lesquels écouter ou supprimer, sans avoir à écouter les instructions ou les messages précédents. Remarque : La messagerie vocale visuelle peut ne pas être disponible dans toutes les régions ou faire l’objet d’un service en option. Contactez votre opérateur pour en savoir plus. Si la messagerie vocale visuelle n’est pas disponible, touchez Messagerie et suivez les instructions vocales pour récupérer vos messages. Nombre d’appels manqués et de messages vocaux non écoutés. La première fois que vous touchez Messagerie, l’iPhone vous invite à créer un mot de passe pour votre messagerie et à enregistrer votre annonce d’accueil. Modification de votre annonce d’accueil : Touchez Messagerie, touchez Annonce, puis Personnalisée. Touchez Enregistrer et dites votre annonce d’accueil. Lorsque vous avez terminé, touchez Arrêter. Pour réécouter le message, touchez Écouter. Pour réenregistrer, touchez à nouveau Enregistrer. Touchez Enregistrer lorsque vous êtes satisfait. Pour utiliser l’annonce d’accueil par défaut de votre opérateur Touchez Messagerie, touchez Annonce, puis Par défaut. Pour définir une alerte sonore pour un nouveau message vocal Accédez à Réglages > Sons, puis activez Nouv. message vocal. L’alerte sonnera une fois pour chaque nouveau message vocal. Si le commutateur Sonnerie/Silence est désactivé, l’iPhone ne produira aucun son d’alerte. Pour modifier le mot de passe de votre messagerie vocale Accédez à Réglages > Téléphone > Code secret de messagerie. Consultation de votre messagerie vocale Lorsque vous touchez Téléphone, l’iPhone affiche le nombre d’appels manqués et de messages vocaux non écoutés. Chapitre 5 Téléphone 65Touchez Messagerie pour afficher une liste de vos messages. Faites glisser la tête de lecture pour passer directement à n’importe quel endroit d’un message. Messages non écoutés Lecture/Pause Informations de contact Barre de défilement Haut-parleur (Audio, lorsqu’un appareil Bluetooth est connecté. Touchez pour choisir la sortie audio.) Rappelez. Consulter la messagerie vocale : Touchez Messagerie, puis touchez un message. Si vous l’avez déjà entendu, touchez-le à nouveau pour le réécouter. Utilisez et pour mettre en pause ou reprendre la lecture. Une fois que vous avez écouté un message, il est enregistré jusqu’à ce que votre opérateur l’efface. Consulter la messagerie électronique à partir d’un autre téléphone Composez votre propre numéro ou le numéro d’accès distant de votre opérateur. Suppression de messages Pour supprimer des messages : Balayez ou touchez le message, puis touchez Supprimer. Remarque : Dans certaines régions, les messages vocaux visuels supprimés peuvent être supprimés de manière définitive par votre opérateur. Pour écouter un message supprimé Touchez Messages supprimés (à la fin de la liste), puis touchez le message. Pour restaurer un message Touchez Messages supprimés (à la fin de la liste), puis touchez le message et touchez Restaurer. Pour supprimer des messages de manière définitive Touchez Messages supprimés (à la fin de la liste), puis touchez Tout effacer. Contacts À partir de l’écran d’informations d’un contact, il suffit de toucher rapidement pour passer un appel, créer un message électronique, localiser son adresse, etc. Consultez la section « Recherche de contacts » à la page 136. Favoris Les favoris vous permettent un accès rapide aux numéros de téléphone que vous utilisez fréquemment. 66 Chapitre 5 TéléphonePour ajouter le numéro de téléphone d’un contact à votre liste de favoris : Touchez Contacts, puis choisissez un contact. Touchez « Ajouter aux favoris ». Touchez un numéro de téléphone ou une adresse électronique (pour les appels FaceTime). Sur l’iPhone 4 ou ultérieur, choisissez de les enregistrer en tant qu’appel vocal ou FaceTime. Pour appeler un favori, touchez Favoris et choisissez un contact. Si apparaît à côté d’un nom, l’iPhone passe un appel FaceTime. Ajouter un contact à votre liste de favoris à partir de la liste d’appels Touchez Appels, puis touchez situé à côté du nom d’un contact, puis touchez « Ajouter aux favoris ». Pour supprimer un contact de vos favoris Touchez Favoris, puis Modifier. Touchez ensuite à côté d’un contact ou d’un numéro, puis touchez Supprimer. Pour réordonner la liste de vos favoris Touchez Favoris, puis Modifier. Faites ensuite glisser , situé à côté d’un contact, vers un nouvel emplacement de la liste. Renvoi d’appel, signal d’appel et identifiant de l’appelant Renvoi d’appel Vous pouvez configurer l’iPhone pour transférer les appels entrants vers un autre numéro. Remarque : Les appels FaceTime ne sont pas transférés. Activer le renvoi d’appel (GSM) : Accédez à Réglages > Téléphone > Renvoi d’appel, puis activez Renvoi d’appel. Sur l’écran « Renvoyer vers », saisissez le numéro vers lequel vous transférez les appels. Activer le renvoi d’appel (CDMA) : Composez le *72, suivi du numéro auquel vous transférez les appels, puis touchez Appeler. Pour désactiver le renvoi d’appel (CDMA), composez le *73 puis touchez Appeler. Avec le GSM, l’icône Renvoi d’appel ( ) apparaît dans la barre d’état lorsque le renvoi d’appel est activé. Vous devez être à portée du réseau cellulaire lorsque vous réglez avec l’iPhone pour le transfert d’appel, sinon les appels ne seront pas transférés. Signal d’appel La fonction signal d’appel vous permet de prendre un autre appel pendant que vous êtes au télé- phone. Vous pouvez :  ignorer l’appel entrant ;  mettre le premier appel en attente et répondre au nouvel appel ;  mettre fin au premier appel et répondre au nouvel appel. Si vous êtes au téléphone et que Signal d’appel est désactivé, les appels entrants sont dirigés vers la messagerie vocale. Consultez la section « Deuxième appel » à la page 62. Activer Signal d’appel (GSM) : Accédez à Réglages > Téléphone > Signal d’appel. Avec le CDMA, la fonction Signal d’appel est activée par défaut, mais peut être désactivée pour un appel unique. Désactiver la fonction de signal d’appel pour un appel (CDMA) : Composez *70 puis le numéro. Chapitre 5 Téléphone 67Identifiant La fonction Identifiant de l’appelant affiche votre nom ou numéro de téléphone à la personne que vous appelez, si son appareil a cette capacité et que vous n’avez pas bloqué ou désactivé cette fonction. Remarque : Pour les appels FaceTime, votre numéro de téléphone est affiché même si vous avez bloqué ou désactivé la fonction d’identification de l’appelant. Activer ou désactiver l’identification de l’appelant (GSM) : Accédez à Réglages > Téléphone > Afficher mon numéro. Avec le CDMA, la fonction d’identification de l’appelant est activée par défaut, mais peut être dé- sactivée pour un appel unique. Bloquer la fonction d’identification pour un appel (CDMA) : Composez *67 puis le numéro. Sonneries, commutateur Sonnerie/Silence et vibration L’iPhone est livré avec des sonneries pour les appels entrants, les alarmes d’Horloge et le minuteur d’Horloge. Vous pouvez également acheter des sonneries à partir de morceaux dans iTunes. Le commutateur Sonnerie/Silence permet d’activer ou de désactiver la sonnerie et les réglages de son configurent les options de vibration. Par défaut, l’iPhone vibre, qu’il soit en mode Sonnerie ou Silence. Pour régler la sonnerie par défaut : Accédez à Réglages > Sons > Sonnerie. Pour activer et désactiver la sonnerie : Poussez le commutateur situé sur le côté de l’iPhone. Consultez la section « Commutateur Sonnerie/Silence » à la page 11. Important : Les alarmes d’Horloge continuent à sonner même si vous réglez le commutateur Sonnerie/Silence sur Silence. Pour régler l’iPhone en mode vibration : Accédez à Réglages > Sons. Des commandes distinctes vous permettent de régler la vibration à la fois en mode Sonnerie et en mode Silence. Attribuer une sonnerie différente à un contact Dans Contacts, choisissez un contact, touchez Modifier, puis touchez Sonnerie et choisissez une sonnerie. Acheter une sonnerie à partir de l’iTunes Store Consultez la section « Achat de musique, livres audio et sons » à la page 127. Pour plus d’informations, consultez la section « Sons et commutateur Sonnerie/Silence » à la page 179. Appels internationaux Passage d’appels internationaux à partir de votre zone d’origine Pour plus de renseignements sur les appels internationaux à partir de votre zone d’origine, y compris les tarifs et autres frais applicables, contactez votre opérateur ou consultez son site web. Utilisation de l’iPhone à l’étranger À l’étranger, vous pouvez être en mesure d’utiliser l’iPhone pour passer des appels, envoyer et recevoir des messages texte et utiliser des apps requérant un accès à Internet, en fonction des réseaux disponibles. Pour activer l’itinérance : Contactez votre opérateur pour obtenir des informations sur la disponibilité du service et les tarifs appliqués. 68 Chapitre 5 TéléphoneImportant : Des frais d’itinérance voix, message texte et données peuvent s’appliquer. Pour éviter des frais d’appels et de données fournies par un réseau cellulaire (dont la messagerie vocale visuelle) lors d’itinérance en dehors du réseau de votre opérateur, désactivez Voix à l’étranger et Données à l’étranger. Si vous possédez un iPhone 4S qui a été activé pour fonctionner sur un réseau CDMA, il est possible que vous puissiez utiliser des services à l’étranger sur des réseaux GSM si une carte SIM est installée dans le téléphone. Consultez la section « Installation de la carte SIM » à la page 14. Lors de l’utilisation des services à l’étranger sur un réseau GSM, l'iPhone a accès aux fonctionnalités du réseau GSM. Des frais peuvent s’appliquer. Contactez votre opérateur pour en savoir plus. Désactiver Voix à l’étranger sur un réseau CDMA Accédez à Réglages > Général > Réseau. La désactivation de Voix à l’étranger désactive les appels lorsque vous êtes hors du réseau de votre opérateur. Désactiver Données à l’étranger Accédez à Réglages > Général > Réseau. La désactivation de Données à l’étranger désactive la transmission de données sur le réseau cellulaire. Les apps requérant un accès à Internet sont désactivées, à moins que l’iPhone n’ait accès à Internet via une connexion Wi-Fi. La messagerie vocale visuelle est arrêtée lors de l’itinérance, à moins que votre opérateur n’applique pas de frais supplémentaires. Régler l’iPhone de manière à ajouter le préfixe correct lors de la composition de numéro étranger Accédez à Réglages > Téléphone, puis activez International Assist (non disponible dans toutes les régions). Cette fonction vous permet d’appeler vos contacts et vos favoris sans devoir ajouter un préfixe ou le code du pays. Définir l’opérateur à utiliser Accédez à Réglages > Opérateur. Cette option n’est disponible que lorsque vous êtes en déplacement hors du réseau de votre opérateur et avec les opérateurs disposant de contrats d’itinérance avec votre opérateur. Pour plus d’informations, consultez la section « Opérateur » à la page 178. Utiliser des réseaux GSM à l’étranger avec un iPhone doté de réseau CDMA Accédez à Réglages > Réseau > Itinérant, puis désactivez CDMA international. Consulter la messagerie vocale lorsque la messagerie vocale visuelle n’est pas disponible Composez votre propre numéro de téléphone (avec le CDMA, composez votre numéro suivi de la touche #) ou touchez la touche « 1 » sur le clavier numérique et maintenez votre doigt dessus. Désactiver les données cellulaires Accédez à Réglages > Général > Réseau. Désactiver les services cellulaires Accédez à Réglages, touchez Mode Avion pour activer cette fonctionnalité, puis touchez Wi-Fi et activez-le. Les appels entrants sont redirigés vers la messagerie vocale. Pour passer et recevoir à nouveau des appels et recevoir les messages de votre messagerie vocale, désactivez le mode avion. Configuration d’options de Téléphone Dans Réglages, choisissez Téléphone pour :  afficher le numéro de téléphone de votre iPhone ;  activer ou désactiver le renvoi d’appel, le signal d’appel et l’identification de l’appelant (GSM) ;  activer ou désactiver TTY ;  modifier votre mot de passe de messagerie vocale (GSM) ;  activer ou désactiver International Assist. Lors d’appels à l’étranger, International Assist vous permet d’appeler vos contacts et vos favoris sans devoir ajouter un préfixe ou le code du pays (GSM) ; Chapitre 5 Téléphone 69 Verrouillez votre carte SIM pour qu’un mot de passe soit demandé quand on allume l’iPhone (requis par certains opérateurs) Dans Réglages, choisissez FaceTime pour :  activer ou désactiver FaceTime ;  utiliser votre identifiant Apple pour FaceTime ;  ajouter une adresse électronique pour FaceTime. Pour définir les options de sonnerie et de vibration, ainsi que le son de la nouvelle messagerie, accédez à Réglages > Sons. Consultez également la section « Sons et commutateur Sonnerie/ Silence » à la page 179. 70 Chapitre 5 TéléphoneMail 6 Mail fonctionne avec iCloud, Microsoft Exchange et de nombreux systèmes de messagerie communs, notamment Yahoo!, Google, Hotmail et AOL, ainsi que la plupart des systèmes de messagerie POP3 et IMAP standard. Vous pouvez envoyer et recevoir des photos, des vidéos et des éléments graphiques et visualiser des documents PDF et d’autres pièces jointes. Vous pouvez également imprimer des messages et des pièces jointes qui s’ouvrent dans Coup d’œil. Relève de la boîte aux lettres et lecture du courrier électronique Dans Mail, l’écran BAL vous propose un accès rapide à toutes vos boîtes de réception et autres boîtes aux lettres. Lorsque vous ouvrez une boîte aux lettres, Mail récupère et affiche les messages les plus récents. Vous pouvez définir le nombre de messages récupérés dans vos réglages Mail. Consultez la section « Comptes de messagerie et réglages » à la page 75. Messages non lus Nombre de messages dans le fil de discussion Organiser les messages par fil de discussion Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, et activez ou désactivez l’option Organiser par sujet. Si vous organisez vos messages par fil de discussion, les messages associés apparaissent comme une seule entrée dans la boîte aux lettres. Consultez la section « Comptes de messagerie et réglages » à la page 75. Relever les nouveaux messages électroniques Choisissez une boîte aux lettres, ou touchez à tout moment. Charger des messages supplémentaires Faites défiler jusqu’au bas de la liste de messages et touchez « Charger les messages suivants ». 71Pour effectuer un zoom sur une partie d’un message Touchez deux fois la partie sur laquelle effectuer un zoom avant. Touchez à nouveau deux fois pour effectuer un zoom arrière. Vous pouvez également pincer la zone pour la réduire ou écarter les doigts pour l’agrandir. Pour redimensionner une colonne de texte afin de l’adapter à l’écran Touchez deux fois le texte. Pour afficher tous les destinataires d’un message Touchez Détails. Touchez un nom ou une adresse électronique pour afficher les coordonnées du destinataire, puis touchez un numéro de téléphone ou une adresse électronique pour contacter la personne. Pour ajouter un destinataire de courrier électronique à votre liste de contacts Touchez le message et, si nécessaire, touchez Détails pour afficher les destinataires. Touchez ensuite un nom ou une adresse électronique et touchez « Créer un nouveau contact » ou « Ajouter à un contact ». Signaler ou marquer un message comme non lu Ouvrez le message et, si nécessaire, touchez Détails. Touchez ensuite Signaler. Pour signaler plusieurs messages comme non lus, consultez « Organisation du courrier électronique » à la page 74. Ouvrir une invitation à une réunion Touchez l’invitation. Consultez la section « Réponse à des invitations » à la page 94. Fonctionner avec plusieurs comptes Si vous configurez plus d’un compte, la section Comptes de l’écran BAL vous permet d’accéder à vos comptes. Vous pouvez également toucher Toutes les boîtes pour voir tous vos messages entrants dans une seule liste. Pour en savoir plus sur la configuration de comptes de messagerie supplémentaires, consultez la section « Comptes de messagerie et réglages » à la page 75. Lors de la rédaction d’un nouveau message, touchez le champ De pour sélectionner le compte à partir duquel envoyer le message. Envoi de courrier électronique Vous pouvez envoyer un message électronique à toute personne ayant une adresse électronique. Rédiger un message : Touchez Ajouter un destinataire à partir de Contacts Tapez un nom ou une adresse électronique dans le champ À ou touchez . Réorganiser les destinataires Pour déplacer un destinataire d’un champ à un autre, tel que d’À à Cc, faites glisser le nom du destinataire sur le nouvel emplacement. Pour mettre du texte en gras ou en italique, ou le souligner Touchez le point d’insertion pour afficher les boutons de sélection, puis touchez Sélectionner. Faites glisser les points pour sélectionner le texte que vous souhaitez modifier. Touchez , puis touchez G/I/S. Touchez Gras, Italique ou Souligné pour appliquer le style. Envoyer une photo ou une vidéo dans un message électronique Dans Photos, choisissez une photo ou une vidéo, touchez , puis touchez Envoyer par courrier. Vous pouvez également copier et coller des photos et des vidéos. Pour envoyer plusieurs photos ou vidéos, touchez pendant que vous visualisez les vignettes d’un album. Touchez pour sélectionner les photos et vidéos, touchez Partage et touchez Envoyer par courrier. 72 Chapitre 6 MailPour enregistrer le brouillon d’un message à terminer ultérieurement Touchez Annuler, puis Enregistrer. Le message est enregistré dans Brouillons. Touchez et maintenez le doigt dessus pour y accéder rapidement. Pour répondre à un message Touchez , puis touchez Répondre. Les fichiers ou images joints au message initial ne sont pas renvoyés. Pour inclure les pièces jointes, transférez le message plutôt que d’y répondre. Citer une partie du message dans la réponse ou le transfert Touchez le texte et maintenez le doigt dessus pour le sélectionner. Faites glisser les points d’accroche pour sélectionner le texte que vous souhaitez inclure dans votre réponse, puis touchez . Pour modifier l’indentation de texte cité, touchez le texte et maintenez le doigt dessus pour le sélectionner, puis touchez . Touchez Niveau de citation, puis touchez Augmenter ou Diminuer. Pour transférer un message Ouvrez un message et touchez , puis touchez Transférer. Pour partager des coordonnées Dans Contacts, sélectionnez un contact, puis touchez Envoyer cette fiche en bas de l’écran Informations. Utilisation des liens et données détectées L’iPhone détecte les liens web, numéros de téléphone, adresses électroniques, dates et d’autres types d’informations que vous pouvez utiliser pour ouvrir une page web, créer un courrier électronique préadressé, créer un contact ou y ajouter des informations, ou réaliser toute autre action utile. Les données détectées apparaissent sous forme de texte souligné en bleu. Touchez les données pour utiliser l’action par défaut, ou maintenez votre doigt dessus pour voir d’autres actions. Par exemple, dans le cas d’une adresse, vous pouvez afficher le lieu dans Plans ou l’ajouter à Contacts. Consultation de pièces jointes L’iPhone affiche les images jointes dans les formats couramment utilisés (JPEG, GIF et TIFF) dans le corps du texte des courriers électroniques. L’iPhone peut restituer de nombreux types de pièces audio jointes, notamment MP3, AAC, WAV et AIFF. Vous pouvez télécharger et afficher des fichiers (notamment documents PDF, pages web, fichiers texte et documents au format Pages, Keynote, Numbers, Microsoft Word, Excel ou PowerPoint) joints aux messages que vous recevez. Pour afficher un fichier joint : Touchez la pièce jointe pour l’ouvrir dans Coup d’œil. (Vous devez attendre que le fichier soit téléchargé pour l’afficher.) Ouvrir un fichier joint Touchez la pièce jointe et maintenez votre doigt dessus, puis choisissez une app pour l’ouvrir. Si ni vos apps ni Coup d’œil ne prennent en charge le fichier, vous pouvez voir le nom du fichier, mais pas l’ouvrir. Enregistrer une photo ou vidéo jointe Touchez la photo ou la vidéo et maintenez votre doigt dessus, puis sélectionnez Enregistrer l’image ou la vidéo. L’élément est enregistré dans votre album Pellicule de l’app Photos. Coup d’œil prend en charge les types de documents suivants : .doc, .docx Microsoft Word .htm, .html Page web .key Keynote Chapitre 6 Mail 73.numbers Numbers .pages Pages .pdf Aperçu, Adobe Acrobat .ppt, .pptx Microsoft PowerPoint .rtf Format RTF .txt Format texte .vcf Informations de contact .xls, .xlsx Microsoft Excel Impression de messages et de pièces jointes Vous pouvez imprimer des messages électroniques et des pièces jointes qui s’ouvrent dans Coup d’œil. Pour imprimer un message électronique : Touchez , puis touchez Imprimer. Imprimer une image dans le corps du texte Touchez l’image et maintenez votre doigt dessus, puis touchez Enregistrer l’image. Ouvrez ensuite Photos et imprimez l’image à partir de votre album Pellicule. Imprimer une pièce jointe Touchez la pièce jointe pour l’afficher dans Coup d’œil, puis touchez et touchez Imprimer. Pour plus d’informations sur l’impression et les options d’imprimante, consultez la section « Impression » à la page 29. Organisation du courrier électronique Vous pouvez organiser vos messages dans n’importe quel dossier, boîte aux lettres ou fenêtre de résultats de recherche. Vous pouvez supprimer ou signaler les messages comme lus. Vous pouvez également déplacer des messages d’une boîte aux lettres ou d’un dossier à l’autre dans le même compte, ou entre comptes. Vous pouvez ajouter, supprimer ou renommer les boîtes aux lettres et les dossiers. Pour supprimer des messages : Ouvrez le message et touchez . Vous pouvez également directement supprimer un message dans la liste des messages de la boîte aux lettres : passez le doigt sur le titre du message vers la gauche ou vers la droite puis touchez Supprimer. Certains comptes de messagerie prennent en charge l’archivage des messages et évitent la suppression. Lorsque vous archivez un message, il est déplacé de la boîte de réception vers Tous les messages. Activez ou désactivez l’archivage dans Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. 74 Chapitre 6 MailRécupérer un message Les messages supprimés sont placés dans la corbeille. Pour changer le temps que passent les messages dans la corbeille avant d’être définitivement supprimés, accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Touchez ensuite Avancé. Supprimer ou déplacer plusieurs messages Pendant la consultation d’une liste de messages, touchez Modifier, sélectionnez les messages que vous souhaitez supprimer, puis touchez Déplacer ou Supprimer. Déplacer un message vers une autre boîte aux lettres ou dossier Pendant la consultation d’un message, touchez , puis choisissez une boîte aux lettres ou un dossier. Ajouter une boîte aux lettres Accédez à la liste des boîtes aux lettres, touchez Modifier, puis Nouvelle boîte aux lettres. Supprimer ou renommer une boîte aux lettres Accédez à la liste des boîtes aux lettres, touchez Modifier, puis touchez une boîte aux lettres. Saisissez un nouveau nom ou emplacement pour la boîte aux lettres. Touchez Supprimer la boîte aux lettres pour la supprimer avec tout son contenu. Signaler et marquer plusieurs messages comme lus Pendant la consultation d’une liste de messages, touchez Modifier, sélectionnez les messages, puis touchez Signaler. Choisissez Marquer d’un drapeau ou Marquer comme lu. Recherche dans le courrier électronique Vous pouvez effectuer des recherches dans les champs À, De, Objet et le corps de texte des messages électroniques. Mail recherche le texte dans les messages téléchargés qui se trouvent dans la boîte aux lettres actuelle. Pour les comptes iCloud, Exchange et certains comptes de courrier électronique IMAP, vous pouvez aussi effectuer des recherches dans les messages qui se trouvent sur le serveur. Pour effectuer des recherches dans les messages électroniques : Ouvrez une boîte aux lettres, faites-en défiler le contenu jusqu’au début, puis saisissez du texte dans le champ de recherche. Touchez De, À, Objet ou Tous pour choisir les champs dans lesquels vous souhaitez effectuer la recherche. La recherche inclut les messages sur le serveur si cela est pris en charge par votre compte de messagerie. Les messages électroniques peuvent également être inclus dans les recherches effectuées à partir de l’écran d’accueil. Consultez la section « Recherche » à la page 30. Comptes de messagerie et réglages Comptes Pour les comptes de Mail et de messagerie, accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Vous pouvez configurer :  Microsoft Exchange  iCloud  MobileMe  Google  Contacts Yahoo!  AOL  Microsoft Hotmail  Autres systèmes de messagerie POP et IMAP Chapitre 6 Mail 75Les réglages peuvent varier en fonction du type de compte que vous configurez. Votre prestataire de service ou administrateur système peut vous fournir les informations nécessaires. Pour modifier les réglages d’un compte : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte puis effectuez les modifications souhaitées. Les modifications apportées aux réglages d’un compte sur l’iPhone ne sont pas synchronisées avec votre ordinateur. Vous pouvez donc configurer vos comptes pour qu’ils fonctionnent avec votre iPhone sans toucher les réglages de compte sur votre ordinateur. Arrêter d’utiliser un compte Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte puis désactivez un service (par exemple Mail, Calendrier ou Notes). Lorsqu’un service de compte est désactivé, l’iPhone n’affiche et ne synchronise aucune information avec celui-ci tant que vous ne le réactivez pas. Il s’agit d’un bon moyen d’arrêter de recevoir des messages professionnels en vacances, par exemple. Stocker les brouillons et les messages envoyés et supprimés sur l’iPhone Pour les comptes IMAP, vous pouvez modifier l’emplacement des brouillons et des messages envoyés et supprimés de la boîte aux lettres. Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte puis touchez Avancé. Régler le délai de suppression permanente des messages dans Mail Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte puis touchez Avancé. Touchez Supprimer, puis choisissez un délai : jamais, après un jour, après une semaine ou après un mois. Ajuster les réglages de serveur Mail Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis choisissez un compte. Demandez les réglages appropriés à l’administrateur de votre réseau ou à votre fournisseur d’accès à Internet. Ajuster les réglages SSL et les réglages de mot de passe Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte puis touchez Avancé. Demandez les réglages appropriés à l’administrateur de votre réseau ou à votre fournisseur d’accès à Internet. Activer ou désactiver Archiver les messages Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez votre compte, puis activez ou désactivez Archiver les messages. Consultez la section « Organisation du courrier électronique » à la page 74. Supprimer un compte Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte, puis faites défiler vers le bas et touchez Supprimer le compte. Tous les messages électroniques et les informations sur les contacts, calendriers et signets synchronisés avec le compte sont supprimés de l’iPhone. Envoyer des messages signés et chiffrés Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte puis touchez Avancé. Activez S/MIME puis sélectionnez les certificats pour signer et chiffrer les messages envoyés. Pour installer des certificats, demandez un profil de configuration à votre administrateur système, téléchargez les certificats à partir du site web de l’émetteur à l’aide de Safari ou recevez-les en pièces jointes dans Mail. Configurer les réglages Push Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Nouvelles Données. Push affiche de nouvelles informations lorsque l’iPhone est connecté à un réseau Wi-Fi. Vous pouvez désactiver le mode Push pour suspendre la livraison de courrier électronique et autres informations ou pour économiser la charge de la batterie. Lorsque le mode Push est désactivé, utilisez le réglage Nouvelles données pour indiquer la fréquence à laquelle demander les données. Pour optimiser l’autonomie de la batterie, privilégiez une fré- quence basse. Configurer d’autres options de Mail Pour les réglages s’appliquant à tous vos comptes, accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. 76 Chapitre 6 MailRéglages de Mail Pour modifier les réglages s’appliquant à tous vos comptes, accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Pour modifier les sons joués lorsque vous envoyez ou recevez un message : Accédez à Réglages > Sons. Nouvelles données Ce réglage vous permet d’activer et de désactiver le mode Push pour iCloud, Microsoft Exchange, Yahoo! et tout autre compte Push sur l’iPhone. Les comptes Push envoient les nouvelles informations à l’iPhone dès qu’elles apparaissent sur le serveur (avec un certain décalage parfois) et qu’une connexion Internet est établie. Vous pouvez désactiver le mode Push pour suspendre la livraison de courrier électronique et autres informations ou pour économiser la charge de la batterie. Lorsque le mode Push est désactivé, et pour les comptes qui ne gèrent pas ce mode, il est toujours possible de récupérer les données, c’est-à-dire que l’iPhone peut vérifier si de nouvelles informations sont disponibles sur le serveur. Utilisez le réglage Nouvelles données pour indiquer la fréquence à laquelle demander les données. Pour optimiser l’autonomie de la batterie, privilégiez une fréquence basse. La désactivation du mode Push et le réglage de l’option Nouvelles données sur « manuellement » sur l’écran Nouvelles données prédominent sur les réglages définis au niveau des différents comptes. Configurer les réglages Push : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Nouvelles Données. Chapitre 6 Mail 77Safari 7 Safari vous permet de naviguer sur le Web et de consulter des pages web. Créez des signets sur l’iPhone et synchronisez-les avec votre ordinateur. Ajoutez des clips web à l’écran d’accueil pour accélérer l’accès à vos sites web préférés. Imprimez des pages web, des documents PDF et d’autres documents. Utilisez la liste de lecture pour rassembler les sites à lire ultérieurement. Affichage de pages web Effectuez des recherches sur le Web et dans la page actuelle. Feuilletez des pages web ouvertes ou ouvrez une nouvelle page. Touchez deux fois un élément ou pincez pour agrandir ou réduire. Saisissez une adresse web (URL). Ajoutez un signet, ajoutez à la liste de lecture, ajoutez une LF{QHjO·pFUDQG·DFFXHLOSDUWDJH]RXLPSULPH]ODSDJH Pour faire défiler rapidement vers le KDXWGHO·pFUDQWRXFKH]ODEDUUHG·pWDW Affichez vos signets ou votre liste de lecture. Pour afficher une page web : Touchez le champ d’adresse (dans la barre de titre) pour activer le clavier. Saisissez l’adresse web, puis touchez Aller. Si le champ d’adresse n’est pas visible, touchez la barre d’état pour faire rapidement défiler jusqu’en haut. Vous pouvez afficher les pages web en mode portrait ou paysage. 78Pour effacer le texte dans le champ d’adresse Touchez . Faire défiler une page Faites glisser la page vers le haut, le bas ou le côté. Pour faire défiler un cadre sur une page web Faites défiler avec deux doigts à l’intérieur du cadre. Pour ouvrir une nouvelle page Touchez , puis touchez Nouvelle page. Vous pouvez avoir jusqu’à huit pages ouvertes simultanément. Un chiffre à l’intérieur de indique le nombre de pages ouvertes. Pour accéder à une autre page Touchez , feuilletez vers la gauche ou la droite, puis touchez la page. Pour interrompre le chargement d’une page web Touchez . Pour actualiser une page web Touchez dans le champ d’adresse. Pour fermer une page Touchez , puis touchez à côté de la page. Protéger vos informations privées et bloquer le suivi de vos actions pour certains sites web Accédez à Réglages > Safari et activez Navigation privée. Pour régler les options de Safari Accédez à Réglages > Safari. Liens Pour suivre un lien sur une page web : Touchez le lien. Pour afficher l’adresse de destination d’un lien Touchez le lien et maintenez votre doigt dessus. Les données détectées, telles que les numéros de téléphone et les adresses électroniques, peuvent également apparaître sous forme de liens dans les pages web. Maintenez le doigt sur un lien pour afficher les options disponibles. Consultez la section « Utilisation des liens et données détectées » à la page 73. Liste de lecture La liste de lecture vous permet de recueillir des liens vers des pages web afin de les lire ultérieurement. Ajouter un lien vers la page actuelle à votre liste de lecture : Touchez , puis Ajouter à la liste de lecture. Ajouter un lien à votre liste de lecture : Maintenez le doigt sur le lien, puis choisissez « Ajouter à la liste de lecture ». Afficher votre liste de lecture Touchez , puis touchez Liste de lecture. Utiliser iCloud pour maintenir votre liste de lecture à jour sur vos appareils iOS et vos ordinateurs Accédez à Réglages > iCloud, puis activez l’option Signets. Consultez la section « iCloud » à la page 17. Lecteur Lecteur affiche des articles web sans publicité ni encombrement, pour que vous puissiez lire sans distractions. Sur une page web avec un article, vous pouvez utiliser Lecteur pour afficher uniquement l’article. Chapitre 7 Safari 79Afficher un article dans Lecteur : Touchez le bouton Lecteur s’il apparaît dans le champ d’adresse. Ajuster la taille des caractères Touchez . Ajouter un article aux signets, à la liste de lecture ou à l’écran d’accueil, ou le partager ou l’imprimer Touchez . Revenir à la présentation normale Touchez Terminé. Saisie de texte et remplissage de formulaires Pour saisir du texte : Touchez un champ de texte pour activer le clavier. Pour passer à un autre champ de texte Touchez le champ de texte, ou touchez Suivant ou Précédent. Pour envoyer un formulaire Touchez Aller ou Rechercher, ou, le cas échéant, touchez le lien sur la page pour envoyer le formulaire. Pour activer la fonction Auto-remplissage qui vous aide à remplir les formulaires, accédez à Réglages > Safari > Auto-remplissage. Recherche Le champ de recherche situé dans l’angle supérieur droit vous permet d’effectuer des recherches sur le Web, et dans la page ou le document PDF actuel. Effectuer des recherches sur le Web, et dans la page ou le document PDF recherchable actuel : Saisissez du texte dans le champ de recherche.  Pour effectuer des recherches sur le Web : Touchez l’une des suggestions qui apparaissent, ou touchez Rechercher.  Pour trouver le texte recherché sur la page ou le document PDF actuel : Faites défiler vers le bas de l’écran, puis touchez l’entrée située sous Sur cette page. La première occurrence est surlignée. Pour rechercher les occurrences ultérieures, touchez . Pour changer de moteur de recherche Accédez à Réglages > Safari > Moteur de recherche. Signets et historique Pour ajouter un signet vers une page web : Ouvrez la page, touchez , puis touchez Ajouter un signet. Lorsque vous enregistrez un signet, vous pouvez modifier son titre. Par défaut, les signets sont enregistrés dans le dossier de plus haut niveau de Signets. Touchez Signets pour choisir un dossier différent. Pour consulter les pages web précédentes (historique) : Touchez , puis touchez Historique. Pour effacer l’historique, touchez Effacer. 80 Chapitre 7 SafariPour ouvrir une page web enregistrée dans les signets Touchez . Pour modifier un signet ou un dossier de signets Touchez , choisissez le dossier qui contient le signet ou le dossier que vous souhaitez modifier, puis touchez Modifier. Utiliser iCloud pour maintenir les signets à jour sur vos appareils iOS et vos ordinateurs Accédez à Réglages > iCloud, puis activez l’option Signets. Consultez la section « iCloud » à la page 17. Pour synchroniser vos signets avec le navigateur web présent sur votre ordinateur Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 18. Impression de pages web, de documents PDF et d’autres documents Pour imprimer une page web, un document PDF ou un document Coup d’œil : Touchez , puis touchez Imprimer. Pour plus d’informations, consultez la section « Impression » à la page 29. Clips web Vous pouvez créer des clips web, qui apparaissent sous forme d’icônes sur l’écran d’accueil. Pour ajouter un clip web : Ouvrez la page web et touchez . Touchez ensuite « Ajouter à l’écran d’accueil ». Lorsque vous ouvrez un clip web, Safari effectue automatiquement un zoom sur la partie de la page web affichée lorsque vous avez enregistré le clip web. À moins que la page web dispose d’une icône personnalisée, cette image est également utilisée pour l’icône du clip web sur l’écran d’accueil. Les clips web sont sauvegardés par iCloud et iTunes, mais ne sont synchronisés ni par iTunes ni MobileMe. Ils ne sont pas non plus poussés vers d’autres appareils par iCloud. Chapitre 7 Safari 81Musique 8 Ajout de musique et d’audio Pour obtenir de la musique et d’autres contenus audio sur votre iPhone :  Acheter et téléchargez du contenu à partir de l’iTunes Store sur l’iPhone. Consultez la section Chapitre 21, « iTunes Store, » à la page 126. (Vous pouvez également accéder à l’iTunes Store à partir de Musique en touchant le bouton Store lors de la navigation.)  Utilisez Téléchargement automatique pour télécharger automatiquement la nouvelle musique achetée sur vos autres appareils iOS et ordinateurs Consultez la section « iCloud » à la page 17.  Synchronisez avec iTunes sur votre ordinateur. Vous pouvez synchroniser tous vos fichiers multimédias ou sélectionner des morceaux spécifiques et d’autres éléments. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 18.  Utilisez iTunes Match pour stocker votre bibliothèque de musique dans iCloud et y accéder sur tous vos appareils iOS et ordinateurs. Consultez la section « iTunes Match » à la page 86. Lecture de morceaux et d’autre contenu audio AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la manière d’éviter des pertes d’audition, consultez le Guide d’informations importantes sur le produit à l’adresse support.apple.com/fr_FR/manuals/iphone/. Les boutons au bas de l’écran permettent de naviguer dans l’iPhone par liste de lecture, artiste, morceau ou autres. Écouter un morceau ou un autre article : Touchez l’article. Utilisez les commandes à l’écran pour contrôler la lecture. Vous pouvez aussi utiliser les boutons des écouteurs. Consultez la section « Écouteurs Apple avec télécommande et micro » à la page 34. 82Afficher l’écran À l’écoute : Touchez À l’écoute. Suivant/Avance rapide Lecture/Pause Liste de pistes Retour Précédent/ Volume Retour rapide AirPlay Personnaliser les boutons de navigation Touchez Autre puis Modifier, puis faites glisser une icône par-dessus celui que vous souhaitez remplacer. Obtenir plus d’épisodes de podcast Touchez Podcasts (touchez d’abord Autre si l’option Podcasts n’est pas visible) puis touchez un podcast pour afficher les épisodes disponibles. Secouer et mélanger Secouez l’iPhone pour activer la lecture aléatoire et changer de morceau. Secouez-le de nouveau pour changer de morceau. Pour activer ou désactiver Secouer et mélanger, accédez à Réglages > Musique. Écoutez de la musique sur des haut-parleurs AirPlay ou sur une Apple TV. Touchez . Consultez la section « AirPlay » à la page 35. Pour afficher les paroles d’un morceau Touchez la couverture de l’album pendant la lecture du morceau. (Les paroles sont affichées si vous les avez ajoutées au morceau à l’aide de la fenêtre d’information du morceau dans iTunes et si vous avez synchronisé l’iPhone avec iTunes.) Configurer des options de Musique Accédez à Réglages > Musique. Lorsque vous utilisez une autre app, vous pouvez afficher les commandes de lecture audio en double-cliquant sur le bouton principal , puis en feuilletant au bas de l’écran de gauche à droite. Les commandes contrôlent l’app en cours d’exécution ou, si la musique est en pause, l’app la plus récemment exécutée. L’icône de l’app apparaît sur la droite. Touchez-la pour ouvrir l’app. Feuilletez à nouveau vers la droite pour afficher la commande de volume et le bouton AirPlay (lorsque vous êtes à portée de l’Apple TV ou de haut-parleurs AirPlay). Cliquez deux fois sur le bouton principal affiche également les commandes de lecture audio lorsque l’écran est verrouillé. Chapitre 8 Musique 83Commandes audio supplémentaires Pour afficher des commandes supplémentaires, puis touchez l’illustration de l’album sur l’écran À l’écoute. Vous pouvez consulter le temps écoulé, le temps restant et le numéro du morceau. Les paroles du morceau apparaissent également si vous les avez ajoutées au morceau dans iTunes. Répétition J’aime Ping Barre de défilement Ordre aléatoire Genius Publication Ping Tête de lecture Répéter les morceaux Touchez . = répéter tous les morceaux de l’album ou de la liste = ne répéter que le morceau en cours de lecture = pas de répétition Lecture de morceaux dans un ordre aléatoire Touchez . = lire les morceaux dans un ordre aléatoire. = lire les morceaux dans l’ordre. Pour passer à n’importe quel endroit d’un morceau Faites glisser la tête de lecture le long du défileur. Faites glisser votre doigt vers le bas pour ralentir la vitesse de défilement. Pour créer une liste de lecture Genius Touchez . Consultez la section « Genius » à la page 87. Utiliser Ping Consultez la section « Suivi d’artistes et d’amis » à la page 128. Commandes pour les podcasts et les livres audio Des commandes pour les podcasts et les livres audio et des informations apparaissent sur l’écran À l’écoute lorsque vous commencez la lecture. Barre de défilement Tête de lecture Vitesse de lecture Répétition de 30 secondes Courrier électronique Pour régler la vitesse de lecture Touchez . Touchez à nouveau pour changer la vitesse. = lire à double vitesse. = lire à demi vitesse. = lire à vitesse normale. Passer à n’importe quel moment de la lecture Faites glisser la tête de lecture le long du défileur. Faites glisser votre doigt vers le bas pour ralentir la vitesse de défilement. Pour afficher ou masquer les commandes Touchez le centre de l’écran. 84 Chapitre 8 MusiqueMasquer les informations de podcast Accédez à Réglages > Musique. Utilisation de Siri ou Contrôle vocal avec Musique Vous pouvez utiliser Siri (iPhone 4S) ou Contrôle vocal pour contrôler la lecture de la musique sur l’iPhone. Consultez les sections Chapitre 4, « Siri, » à la page 41 et « Contrôle vocal » à la page 31. Pour contrôler la lecture audio Dites « écouter » ou « écouter la musique ». Pour mettre en pause, dites « mettre en pause » ou « mettre en pause la musique ». Vous pouvez également dire « morceau suivant » ou « morceau précédent ». Pour lire un album, un artiste ou une liste de lecture Dites « lire », puis « album », « artiste » ou « liste de lecture » et le nom. Pour lire la liste de lecture courante dans un ordre aléatoire Dites « ordre aléatoire ». Pour en savoir plus sur le morceau en cours de lecture Dites « le morceau lu actuellement, quel est-il », « quel est ce morceau », « qui chante », « de qui est ce morceau ». Pour utiliser Genius pour lire des morceaux similaires Dites « Genius », « écouter d’autres morceaux comme celui-ci » ou « écouter d’autres chansons comme celle-ci ». Pour annuler le contrôle vocal Dites « annuler » ou « arrêter ». Exploration des illustrations d’album en mode Cover Flow Lorsque vous explorez votre musique, faites pivoter l’iPhone pour afficher votre contenu iTunes en mode Cover Flow et explorer votre musique par illustration d’album. Parcourir les illustrations d’album : Feuilletez vers la gauche ou la droite. Pour afficher les pistes d’un album Touchez une illustration d’album ou . Faites glisser vers le haut ou le bas pour faire défiler, touchez une piste pour la lire. Pour revenir à l’illustration Touchez la barre de titre ou touchez à nouveau . Chapitre 8 Musique 85Affichage des pistes d’un album Pour afficher toutes les pistes de l’album contenant le morceau à l’écoute : Sur l’écran À l’écoute, touchez . Touchez une piste pour la lire. Touchez la vignette pour revenir à l’écran À l’écoute. Barre de classement Revenez sur l’écran À l’écoute. Pistes d’un album En affichage de la liste des pistes, vous pouvez attribuer un classement aux morceaux. Utilisez les classements lors de la création de listes de lecture intelligentes sur iTunes. Recherche de contenu audio Vous pouvez effectuer des recherches sur les titres, les artistes, les albums et les compositeurs de morceaux, de podcasts et autres contenus audio présents sur l’iPhone. Pour rechercher de la musique : Saisissez du texte dans le champ de recherche qui se trouve en haut des listes de morceaux, de lecture, d’artistes et des autres vues du contenu de Musique. Vous pouvez aussi chercher du contenu audio dans l’écran d’accueil. Consultez la section « Recherche » à la page 30. iTunes Match iTunes Match stocke votre bibliothèque musicale dans iCloud, notamment les morceaux importés depuis des CD, et vous permet de profiter de votre collection n’importe où et à tout moment sur votre iPhone et vos autres appareils iOS et ordinateurs. iTunes Match est disponible sous forme d’abonnement payant. Remarque : iTunes Match n’est pas disponible partout. Des frais sur les données peuvent être appliqués si Réglages > Musique > Données cellulaires est activé. S’abonner à iTunes Match : Sur iTunes sur votre ordinateur, choisissez Store > Activer iTunes Match, puis cliquez sur le bouton S’abonner. Lorsque vous êtes abonné, iTunes ajoute votre musique, listes de lecture et mix Genius dans iCloud. Vos morceaux qui correspondent à de la musique déjà dans l’iTunes Store sont automatiquement disponibles dans votre bibliothèque iCloud. Tout morceau restant est téléchargé. Vous pouvez télécharger et lire les morceaux disposant de correspondances en qualité iTunes Plus (AAC sans DRM à 256 kbit/s), même si votre original était de qualité inférieure. Pour en savoir plus, consultez la page www.apple.com/fr/icloud/features. Activer iTunes Match Accédez à Réglages > Musique. L’activation d’iTunes Match supprime la musique synchronisée sur l’iPhone et désactive les mix et les listes de lecture Genius. 86 Chapitre 8 MusiqueGenius Une liste Genius est une sélection de morceaux de votre bibliothèque qui s’accordent bien. Vous pouvez créer des listes de lecture Genius dans iTunes et les synchroniser avec l’iPhone. Vous pouvez également créer et enregistrer des listes de lecture Genius directement sur l’iPhone. Un mix Genius est une sélection de morceaux du même type de musique, recréée à partir de votre bibliothèque chaque fois que vous écoutez le mix. Pour utiliser Genius sur l’iPhone, vous devez d’abord activer Genius dans iTunes, puis synchroniser l’iPhone avec iTunes. Les mix Genius sont synchronisés automatiquement, sauf si vous gérez manuellement votre musique et que vous avez choisi les mix que vous voulez synchroniser dans iTunes. Genius est un service gratuit, mais il requiert un identifiant Apple. Lorsque vous synchronisez un mix Genius, iTunes peut sélectionner et synchroniser des morceaux de votre bibliothèque que vous n’avez pas choisi de synchroniser. Pour explorer des mix Genius : Touchez Genius (touchez d’abord Autre si l’option Genius n’est pas visible). Faites défiler vers la gauche ou vers la droite pour accéder aux autres mix. Pour lire un mix, touchez . Créer une liste Genius : Affichez Listes, puis touchez Liste Genius et choisissez un morceau dans la liste. Pour créer une liste Genius à partir de l’écran À l’écoute, touchez pour afficher les commandes, puis touchez . Enregistrer une liste Genius Dans la liste de lecture, touchez Enregistrer. La liste de lecture est enregistrée dans Listes avec le titre du morceau que vous avez choisi. Actualiser une liste Genius Dans la liste de lecture, touchez Actualiser. Créer une liste Genius à partir d’un morceau différent Touchez Liste Genius, touchez Nouveau, puis choisissez un morceau. Supprimer une liste Genius Touchez la liste de lecture Genius, puis touchez Supprimer. Les listes Genius créées sur un iPhone sont copiées sur votre ordinateur lorsque vous effectuez une synchronisation avec iTunes. Remarque : Lorsqu’une liste Genius est synchronisée sur iTunes, vous ne pouvez pas la supprimer directement sur l’iPhone. Utilisez iTunes pour modifier le nom de la liste de lecture, arrêter la synchronisation ou supprimer la liste de lecture. Listes de lecture Vous pouvez créer et modifier vos propres listes de lecture sur l’iPhone ou modifier des listes de lecture synchronisées à partir d’iTunes sur votre ordinateur. Pour créer une liste de lecture : Affichez Listes de lecture, puis touchez « Nouvelle liste » en haut de la liste. Saisissez un titre, touchez pour sélectionner les morceaux et les vidéos à inclure, puis touchez OK. Lorsque vous créez une liste de lecture puis synchronisez l’iPhone avec votre ordinateur, la liste de lecture est synchronisée dans votre bibliothèque iTunes. Pour modifier une liste de lecture : Affichez Listes de lecture et sélectionnez la liste de lecture à modifier. Touchez Modifier, puis :  Ajouter d’autres morceaux : Touchez . Chapitre 8 Musique 87 Supprimer un morceau : Touchez . Lorsque vous supprimez un morceau d’une liste de lecture, il n’est pas supprimé de l’iPhone.  Déplacer un morceau vers le haut ou vers le bas dans la liste : Faites glisser . Vos modifications sont appliquées à la liste de lecture dans votre bibliothèque iTunes, lors de la prochaine synchronisation entre votre iPhone et votre ordinateur ou de manière sans fil à travers iCloud si vous êtes abonné à iTunes Match. Supprimer une liste de lecture Dans Listes de lecture, touchez la liste de lecture à supprimer puis touchez Supprimer. Effacer une liste de lecture Dans Listes de lecture, touchez la liste de lecture à effacer puis touchez Effacer. Supprimer un morceau de l’iPhone Dans Morceaux, balayez le morceau, puis touchez Supprimer. Le morceau est supprimé de l’iPhone, mais pas de votre bibliothèque iTunes sur votre Mac ou PC. Partage à domicile La fonction Partage à domicile vous permet de lire de la musique, des films et des séries TV sur l’iPhone à partir de la bibliothèque iTunes de votre Mac ou PC. L’iPhone et votre ordinateur doivent se trouver sur le même réseau Wi-Fi. Sur votre ordinateur, iTunes doit être ouvert, avec la fonction Partage à domicile activée et une session ouverte avec le même identifiant Apple que Partage à domicile sur l'iPhone. Remarque : Le partage à domicile requiert iTunes 10.2 ou ultérieur, disponible à la page www.itunes.com/fr/download Il est impossible de partager le contenu en prime, notamment les livrets numériques et iTunes Extras. Lire de la musique sur votre iPhone à partir de votre bibliothèque iTunes : 1 Sur iTunes sur votre ordinateur, choisissez Avancé > Activer le partage à domicile. 2 Connectez-vous, puis cliquez sur Créer un partage à domicile. 3 Sur l’iPhone, accédez à Réglages > Musique, puis ouvrez une session dans Partage à domicile à l’aide des mêmes identifiant et mot de passe Apple. 4 Dans Musique, touchez Plus, puis touchez Partagé et choisissez la bibliothèque de votre ordinateur. Revenir au contenu de l’iPhone Touchez Partagé et choisissez Mon iPhone. 88 Chapitre 8 MusiqueMessages 9 Envoi et réception de messages AVERTISSEMENT : Pour consulter les informations importantes concernant la conduite en toute sécurité, consultez le Guide d’informations importantes sur le produit à l’adresse www.apple.com/ fr/support/manuals/iphone. Messages prend en charge les messages texte avec d’autres appareils SMS et MMS, et avec d’autres appareils iOS utilisant iMessage. Avec les MMS et iMessage, vous pouvez également joindre des photos, des vidéos et d’autres informations. Utilisez iMessage pour envoyer des messages à d’autres utilisateurs d’iOS 5 par le biais d’une connexion Wi-Fi ou de données cellulaires. Vous pouvez voir quand l’autre personne tape et faire en sorte que les autres personnes soient informées lorsque vous avez lu leurs messages. Puisque les messages iMessage sont affichés sur tous vos appareils iOS 5 connectés au même compte, vous pouvez commencer une conversation sur l’un de vos appareils iOS et la poursuivre sur un autre. Ces messages sont également chiffrés. Remarque : Les SMS et MMS nécessitent une connexion cellulaire et peuvent ne pas être disponibles partout. Des frais de données cellulaires ou des frais supplémentaires peuvent s’appliquer. Pour envoyer un message texte : Touchez , puis , et choisissez un contact, effectuez une recherche par nom dans vos contacts, ou saisissez un numéro de téléphone ou une adresse électronique manuellement. Saisissez votre message puis touchez Envoyer. Remarque : Une pastille d’alerte s’affiche sur un message ne peut pas être envoyé. Touchez l’alerte dans une conversation pour essayer de renvoyer le message. 89Les conversations sont enregistrées dans la liste Messages. Un point bleu indique vos messages non lus. Touchez une conversation pour la consulter ou la poursuivre. Dans une conversation iMessage, vos messages sortants apparaissent en bleu. Touchez le bouton Joindre un fichier pour inclure une photo ou une vidéo. Touchez pour saisir du texte. Utiliser des caractères emoji Accédez à Réglages > Général > Clavier > Claviers internationaux > Ajouter un clavier, puis touchez Emoji pour rendre ce clavier disponible. Pour saisir des caractères Emoji lors de la rédaction d’un message, touchez pour faire apparaître le clavier Emoji. Consultez la section « Basculement entre les claviers » à la page 187. Pour reprendre une conversation Touchez la conversation dans la liste Messages, saisissez un message, puis touchez Envoyer. Pour afficher des messages précé- dents de la conversation Faites défiler vers le haut (touchez la bar d’état) et touchez Charger les messages plus anciens. Recevoir des messages iMessage à l’aide d’une autre adresse électronique Accédez à Réglages > Messages > Réception > Ajoutez une adresse électronique. Spécifier le numéro de téléphone ou l’adresse électronique de l’identifiant Apple qui s’affiche dans le champ « De » lorsque vous commencez une nouvelle conversation Accédez à Réglages > Messages > Réception > Identifiant de l’appelant. Les conversations existantes ne sont pas concernées pas les modifications que vous apportez à ce réglage. Pour suivre un lien dans un message Touchez le lien. Un lien peut, par exemple, ouvrir une page web dans Safari ou composer un numéro de téléphone. Pour transférer une conversation Sélectionnez une conversation, puis touchez Modifier. Sélectionnez les parties à inclure, puis touchez Transférer. Pour ajouter quelqu’un à votre liste de contacts Touchez un numéro de téléphone dans la liste Messages, puis touchez « Ajouter aux contacts ». Pour notifier d’autres personnes lorsque vous avez lu leur message Accédez à Réglages > Messages et activez Confirmations de lecture. Configurer d’autres options de Messages Accédez à Réglages > Messages. Gérer les notifications pour les messages Consultez la section « Notifications » à la page 176. Pour définir une alerte sonore pour les messages texte entrants Consultez la section « Sons et commutateur Sonnerie/Silence » à la page 179. 90 Chapitre 9 MessagesEnvoi de messages à un groupe Les messages collectifs vous permettent d’envoyer un message à plusieurs destinataires. Les messages collectifs fonctionnent avec iMessage et MMS (non disponible dans toutes les régions). Envoyer des messages à un groupe : Touchez , puis saisissez plusieurs destinataires. Remarque : Avec MMS, les messages collectifs doivent être activés dans Réglages > Messages . Les réponses ne sont envoyées qu’à vous, les autres personnes du groupe ne sont pas en copie. Envoi de photos, vidéos, etc. Avec iMessage ou MMS, vous pouvez envoyer des photos, des vidéos, des lieux, des coordonnées et des mémos vocaux. Pour envoyer une photo ou une vidéo : Touchez . La taille maximale des pièces jointes dépend de votre fournisseur de services. Si nécessaire, l’iPhone peut compresser les photos et les vidéos en pièces jointes. Pour envoyer un lieu Dans Plans, touchez pour un lieu, touchez Envoyer en tant que lien (en bas de l’écran), puis touchez Message. Pour envoyer des coordonnées Dans Contacts, sélectionnez un contact, touchez Envoyer cette fiche (en bas de l’écran), puis touchez Message. Pour envoyer un mémo vocal Dans Dictaphone, touchez , le mémo, Partager, puis Message. Pour enregistrer une photo ou une vidéo reçue dans votre album Pellicule Touchez la photo ou la vidéo, puis . Pour copier une photo ou une vidéo Touchez la pièce jointe et maintenez votre doigt dessus, puis sélectionnez Copier. Pour enregistrer des coordonnées reçues Touchez la bulle du contact, puis « Créer un nouveau contact » ou « Ajouter à un contact ». Modification de conversations Si vous souhaitez ne conserver qu’une partie de conversation, vous pouvez supprimer les parties qui ne vous intéressent pas. Vous pouvez également supprimer des conversations entières de la liste Messages. Pour modifier une conversation : Touchez Modifier, sélectionnez les parties à supprimer, puis touchez Supprimer. Pour effacer tout le texte et les fichiers sans supprimer la conversation Touchez Modifier, puis Tout effacer. Pour supprimer une conversation Balayez la conversation, puis touchez Supprimer. Chapitre 9 Messages 91Recherche de messages Vous pouvez également effectuer des recherches dans le contenu des conversations dans la liste Messages. Pour rechercher une conversation : Touchez le haut de l’écran pour afficher le champ de recherche, puis saisissez le texte à rechercher. Vous pouvez également chercher des conversations à partir de l’écran d’accueil. Consultez la section « Recherche » à la page 30. 92 Chapitre 9 MessagesCalendrier 10 À propos de Calendrier Calendrier vous permet de facilement respecter votre planning. Vous pouvez afficher vos calendriers individuellement ou simultanément. Vous pouvez afficher vos événements par jour, par semaine, par mois ou dans une liste. Vous pouvez effectuer des recherches dans les titres, les invités, les emplacements et les notes des événements de vos calendriers. Si vous saisissez des anniversaires pour vos contacts, vous pouvez les afficher dans Calendrier. Vous pouvez également créer, modifier ou annuler des événements sur l’iPhone, et les synchroniser avec votre ordinateur. Vous pouvez vous inscrire aux calendriers Google, Yahoo! ou iCal. Si vous disposez d’un compte Microsoft Exchange ou iCloud, vous pouvez recevoir des invitations et y répondre. Affichage de vos calendriers Vous pouvez afficher les calendriers individuellement ou sous la forme d’un calendrier combiné. Cela simplifie la gestion simultanée de vos calendriers professionnel et personnel. Ajoutez un événement. Des événements sont associés aux jours dotés de points. Allez sur la page du jour. Basculez entre les différentes vues. Répondez à une invitation de calendrier. Événements du jour sélectionné Pour changer de présentation : Touchez Liste, Jour ou Mois. Pour passer à la présentation par semaine, faites pivoter l’iPhone sur le côté. En présentation par jour, balayez vers la gauche ou la droite pour passer d’une date à une autre. 93Afficher le calendrier des anniversaires Touchez Calendriers, puis touchez Anniversaires pour inclure les anniversaires de vos contacts à vos événements. Pour afficher les détails d’un événement Touchez l’événement. Vous pouvez toucher des informations sur l’événement pour obtenir des détails supplémentaires. Par exemple, si une adresse est précisée pour le lieu, touchez-la pour ouvrir Plans. Pour modifier ou supprimer un calendrier Touchez Calendriers, puis Modifier. Pour sélectionner les calendriers à afficher Touchez Calendriers, puis touchez les calendriers que vous souhaitez afficher. Les événements de tous vos calendriers sélectionnés apparaissent dans le même calendrier sur l’iPhone. Ajout d’événements Vous pouvez créer et modifier des événements de calendrier directement sur l’iPhone. Pour ajouter un événement : Touchez et saisissez les informations sur l’événement, puis touchez OK. Vous pouvez également toucher un emplacement vide sur le calendrier et maintenir votre doigt dessus pour créer un nouvel événement. Faites glisser les poignées pour ajuster la durée de l’événement. Pour régler une alerte Touchez Alerte, puis configurez une alerte entre cinq minutes et deux jours avant l’événement. Pour configurer une alerte par dé- faut pour les événements Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Notifications par défaut. Pour mettre à jour un événement Touchez Modifier et modifiez les informations de l’événement. Pour ajuster rapidement l’heure ou la durée d’un événement, touchez l’évé- nement et maintenez votre doigt dessus pour le sélectionner, puis faites-le glisser vers une nouvelle heure ou utilisez les poignées pour modifier sa durée. Pour supprimer un événement Touchez l’événement, touchez Modifier, puis faites défiler vers le bas et touchez Supprimer l’événement. Pour inviter d’autres personnes à un événement Touchez Invités pour sélectionner des personnes dans Contacts. Cette action nécessite un compte iCloud, Microsoft Exchange ou CalDAV. Réponse à des invitations Si vous disposez d’un compte iCloud ou Microsoft Exchange, ou d’un compte CalDAV pris en charge, vous pouvez recevoir des invitations à des réunions envoyées par d’autres personnes de votre société, et y répondre. Lorsque vous recevez une invitation, la réunion apparaît dans votre calendrier avec une ligne pointillée autour. apparaît dans l’angle inférieur droit de l’écran. Pour répondre à une invitation : Touchez une invitation dans le calendrier. Vous pouvez également toucher pour afficher l’écran Événement, puis toucher une invitation. Pour consulter des informations sur l’organisateur Touchez « Invitation de ». Pour consulter les autres invités Touchez Invités. Touchez un nom pour afficher les coordonnées de la personne. Pour ajouter des commentaires dans la réponse Touchez Annoter. Vos commentaires peuvent être consultés par l’organisateur, mais pas par les autres participants. Les commentaires peuvent ne pas être disponibles, en fonction du service de calendrier que vous utilisez. 94 Chapitre 10 CalendrierPour indiquer votre disponibilité Touchez Disponibilité, et choisissez « occupé » ou « disponible ». Recherche dans les calendriers En présentation par liste, vous pouvez effectuer des recherches dans les champs Titres, Invités, Lieux et Notes des événements de vos calendriers. Calendrier effectue la recherche uniquement dans les calendriers actuellement affichés. Pour rechercher des événements : Touchez Liste, puis saisissez le texte recherché dans le champ de recherche. Les événements de calendrier peuvent également être inclus dans les recherches effectuées à partir de l’écran d’accueil. Consultez la section « Recherche » à la page 30. Abonnement à des calendriers Vous pouvez vous abonner à des calendriers au format iCalendar (.ics). De nombreux services à base de calendrier, notamment iCloud, Yahoo!, Google et l’application iCal d’OS X, prennent en charge les abonnements aux calendriers. Les calendriers auxquels vous êtes abonné sont en lecture seule. Vous pouvez afficher les événements des calendriers auxquels vous êtes abonné sur l’iPhone, mais vous ne pouvez pas les modifier, ni en créer de nouveaux. Pour s’abonner à un calendrier : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis touchez Ajouter un compte. Touchez Autre, puis S’abonner à un calendrier. Vous pouvez également vous abonner à un calendrier iCal (ou autre calendrier .ics) publié sur le Web en touchant un lien vers ce calendrier. Importation d’événements de calendrier depuis Mail Vous pouvez ajouter des événements à un calendrier en important un fichier de calendrier à partir d’un message électronique. Vous pouvez importer tout fichier de calendrier .ics standard. Pour importer des événements à partir d’un fichier de calendrier : Dans Mail, ouvrez le message et touchez le fichier de calendrier. Comptes de calendrier et réglages Plusieurs réglages dans Réglages > Mail, Contacts, Calendrier ont un impact sur Calendrier et vos comptes de calendrier. Les comptes de calendrier sont également utilisés pour synchroniser les tâches pour les rappels. Ajouter un compte CalDAV : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, touchez Ajouter un compte, puis Autre. Sous Calendriers, touchez Ajouter un compte CalDAV. Les options suivantes s’appliquent à tous vos calendriers : Chapitre 10 Calendrier 95Pour régler le son des alertes de calendrier Accédez à Réglages > Sons > Alertes de calendrier. Pour synchroniser des événements passés Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Synchroniser, puis choisissez une période. Les événements futurs sont toujours synchronisés. Pour configurer des alertes sonores déclenchées à la réception d’une invitation à une réunion Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier et activez « Alerte nouv. invitation ». Pour activer la prise en charge de fuseau horaire dans Calendrier Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Heure locale. Pour définir un calendrier par défaut Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Calendrier par défaut. Utiliser iCloud pour maintenir Calendrier à jour sur vos appareils iOS et vos ordinateurs Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Calendrier. Consultez la section « iCloud » à la page 17. Important : Lorsque l’option Heure locale est activée, Calendrier affiche les dates et heures des événements dans le fuseau horaire de la ville sélectionnée. Lorsque l’option Heure locale est désactivée, Calendrier affiche les dates et heures des événements dans le fuseau local, tel qu’indiqué par l’heure réseau. Certains opérateurs ne gèrent pas l’heure réseau dans toutes les régions. Lorsque vous êtes en déplacement, l’iPhone peut ne pas afficher les événements ou faire sonner les alertes à la bonne heure locale. Pour régler manuellement la bonne heure, consultez la section « Date et heure » à la page 184. 96 Chapitre 10 CalendrierPhotos 11 Visionnage de photos et de vidéos Photos vous permet de visionner des photos et des vidéos présentes sur votre iPhone dans :  Album Pellicule : les photos et vidéos que vous prenez avec les appareils photo intégrés ou que vous enregistrez à partir d’un courrier électronique, d’un message texte ou d’une page web  Album Flux de photos : les photos provenant d’iCloud (consultez la section « Flux de photos » à la page 103)  Votre photothèque et d’autres albums synchronisés à partir de votre ordinateur (consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 18) Modifiez la photo. Supprimez la photo. Touchez l’écran pour afficher les commandes. Partagez la photo, assignez-la à un contact, utilisez-la en fond d’écran ou imprimez-la. Visionnez un diaporama. Diffusez des photos à l’aide d’AirPlay. Pour visionner des photos et des vidéos : Touchez un album, puis une vignette pour afficher la photo ou la vidéo en plein écran. Les albums que vous synchronisez avec iPhoto 8.0 (iLife ’09) ou une version ultérieure, ou Aperture v3.0.2 ou une version ultérieure, peuvent être visionnés par événement ou par visage. Vous pouvez également visionner les photos par lieu si elles ont été prises avec un appareil photo prenant en charge la géolocalisation. 97Pour afficher ou masquer les commandes Touchez la photo ou la vidéo en plein écran. Pour visionner la photo ou la vidéo précédente ou suivante Feuilletez vers la gauche ou la droite. Zoom avant ou arrière Pincez ou touchez deux fois. Pour effectuer un panoramique d’une photo Faites glisser la photo. Pour lire une vidéo Touchez au centre de l’écran. Afficher une vidéo en plein écran ou l’adapter à la taille de l’écran Touchez deux fois la vidéo. Diffuser une vidéo vers un téléviseur HD Consultez la section « AirPlay » à la page 35. Pour modifier des photos ou raccourcir des vidéos Consultez les sections « Modification de photos » ou « Ajustement des vidéos » à la page 103. Affichage de diaporamas Pour afficher un diaporama : Touchez un album pour l’ouvrir, puis touchez une photo et . Sélectionnez des options de diaporama, puis touchez Démarrer le diaporama. Diffuser un diaporama vers un télé- viseur HD Consultez la section « AirPlay » à la page 35. Pour arrêter un diaporama Touchez l’écran. Pour régler des options supplémentaires Accédez à Réglages > Photos. Organisation de photos et de vidéos Vous pouvez créer, renommer et supprimer des albums sur l’iPhone afin d’organiser vos photos et vos vidéos. Créer un album : Alors que vous visionnez des albums, touchez Modifier, puis Ajouter. Sélectionnez les photos à ajouter au nouvel album, puis touchez OK. Remarque : Les albums créés sur l’iPhone ne sont pas synchronisés vers votre ordinateur. Pour renommer un album Touchez Modifier, puis sélectionnez un album. Pour réorganiser les albums Touchez Modifier, puis faites glisser vers le haut ou le bas. Pour supprimer un album Touchez Modifier, puis touchez . Partage de photos et de vidéos Envoyer une photo ou une vidéo dans un courrier électronique, un message texte (iMessage ou MMS) ou un Tweet : Choisissez une photo ou une vidéo, puis touchez . Si vous ne voyez pas , touchez l’écran pour afficher les commandes. Remarque : Pour publier un Tweet, vous devez être connecté à votre compte Twitter. Accédez à Réglages > Twitter. 98 Chapitre 11 PhotosLa taille maximale des pièces jointes dépend de votre fournisseur de services. Si nécessaire, l’iPhone peut compresser les photos et les vidéos en pièces jointes. Pour envoyer plusieurs photos ou vidéos Alors que les vignettes sont affichées, touchez , sélectionnez les photos ou les vidéos, puis touchez Partager. Pour copier une photo ou une vidéo Maintenez votre doigt sur la photo ou la vidéo, puis touchez Copier. Pour copier plusieurs photos ou vidéos Touchez dans l’angle supérieur droit de l’écran. Sélectionnez les photos ou les vidéos, puis touchez Copier. Pour coller une photo ou une vidéo dans un courrier électronique ou un message texte (iMessage ou MMS) Maintenez le doigt sur l’emplacement où vous souhaitez placer la photo ou la vidéo, puis touchez Coller. Pour enregistrer une photo ou une vidéo à partir d’un courrier électronique Touchez l’écran pour télécharger l’élément si nécessaire, touchez la photo ou maintenez le doigt sur la vidéo, puis touchez Enregistrer. Pour enregistrer une photo ou une vidéo à partir d’un message texte Touchez l’image dans la conversation, , puis Enregistrer. Pour enregistrer une photo à partir d’une page web Touchez la photo et maintenez votre doigt dessus, puis sélectionnez Enregistrer l’image. Pour partager une vidéo sur YouTube Lors de la lecture d’une vidéo, touchez , puis « Envoyer sur YouTube ». Les photos et les vidéos que vous recevez ou que vous enregistrez à partir d’une page web sont enregistrées dans votre album Pellicule. Impression de photos Pour imprimer une photo : Touchez , puis touchez Imprimer. Pour imprimer plusieurs photos : Pendant que vous visionnez un album photo, touchez . Sélectionnez les photos à imprimer puis touchez Imprimer. Pour plus d’informations, consultez la section « Impression » à la page 29. Chapitre 11 Photos 99Appareil photo 12 À propos d’Appareil photo Les appareils photo intégrés vous permettent de prendre des photos et d’enregistrer des vidéos. L’iPhone 4 et l’iPhone 4S incluent un appareil photo frontal pour FaceTime et les auto-portraits (en plus de l’appareil photo à l’arrière), et un flash LED. Touchez la personne ou O·REMHWSRXU HIIHFWXHUOD PLVHDXSRLQW HWUpJOHU O·H[SRVLWLRQ 3DVVH]G·XQ appareil SKRWRj O·DXWUH 3UHQH]XQHSKRWR &RPPXWDWHXU$SSDUHLO SKRWR9LGpR 9LVLRQQH]OHVSKRWRVHWYLGpRVTXHYRXVYHQH]G·HQUHJLVWUHU &RQILJXUH]OHPRGHIODVKjGLRGH $FWLYH]ODJULOOHRXOHPRGH+'5 Si Service de localisation est activé, des données de localisation sont associées aux photos et vidéos, et elles peuvent être utilisées par certaines apps et certains sites web de partage de photos. Consultez la section « Service de localisation » à la page 177. Remarque : Si Service de localisation est désactivé lorsque vous ouvrez Appareil photo, il peut vous être demandé de l’activer. Vous pouvez utiliser Appareil photo sans Service de localisation. 100Capture de photos et de vidéos Pour ouvrir rapidement l’appareil photo lorsque l’iPhone est verrouillé, appuyez sur le bouton principal ou le bouton Marche/Arrêt, puis faites glisser vers le haut. Pour prendre une photo : Assurez-vous que le commutateur Photo/Vidéo est réglé sur , pointez l’iPhone et touchez . Vous pouvez également prendre une photo en appuyant sur le bouton d’augmentation du volume. Pour enregistrer une vidéo : Faites glisser le commutateur Photo/Vidéo sur , puis touchez pour commencer ou arrêter l’enregistrement, ou appuyez sur le bouton d’augmentation du volume. Lorsque vous prenez une photo ou lancez l’enregistrement d’une vidéo, l’iPhone émet un bruit d’obturateur. Vous pouvez contrôler le volume avec les boutons de volume ou le commutateur Sonnerie/Silence. Remarque : Dans certaines régions, le son d’obturateur n’est pas coupé par le commutateur Sonnerie/Silence. Un rectangle apparaît brièvement sur la zone sur laquelle l’appareil photo fait la mise au point et règle l’exposition. Lorsque vous photographiez des personnes, l’iPhone 4S utilise la détection des visages pour faire automatiquement la mise au point et équilibrer l’exposition sur 10 visages au maximum. Un rectangle apparaît sur chaque visage détecté. Zoom avant ou arrière Pincez l’écran (appareil photo arrière, en mode photo uniquement). Activer la grille Touchez Options. Régler la mise au point et l’exposition Touchez la personne ou l’objet sur l’écran. (La détection des visages est temporairement désactivée.) Verrouiller la mise au point et l’exposition Touchez l’écran et maintenez votre doigt jusqu’à ce que le rectangle clignote. Verrouillage AE/AF apparaît sur l’écran, et la mise au point et l’exposition restent verrouillées jusqu’à ce que vous touchiez à nouveau l’écran. Prendre une copie d’écran Appuyez simultanément sur le bouton Marche/Arrêt et le bouton principal , puis relâchez-les. La copie d’écran est ajoutée à votre album Pellicule. Photos HDR Le mode HDR (iPhone 4 ou ultérieur) fusionne les meilleures parties de trois expositions différentes en une seule photo à « plage dynamique étendue ». Vous obtiendrez de meilleurs résultats si l’iPhone et l’objet sont immobiles. Pour activer le mode HDR : Touchez Option, puis configurez HDR. Lorsque le mode HDR est activé, le flash est désactivé. Chapitre 12 Appareil photo 101Pour conserver les versions normales en plus des versions HDR, accédez à Réglages > Photos. Si vous conservez les deux versions, apparaît dans le coin supérieur gauche de la photo HDR (lorsque vous la visionnez dans votre album Pellicule et que les commandes sont visibles). Visionnage, partage et impression Les photos et vidéos que vous réalisez avec Appareil photo sont enregistrées dans votre album Pellicule. Consulter votre album Pellicule : Feuilletez de gauche à droite ou touchez la vignette qui se trouve dans le coin inférieur gauche de l’écran. Vous pouvez également afficher votre album Pellicule dans l’app Photos. Pour capturer davantage de photos et de vidéos, touchez . Si Flux de photos iCloud est activé dans Réglages > iCloud, les nouvelles photos apparaissent également dans votre album Flux de photos et sont envoyées vers vos autres appareils iOS et ordinateurs. Consultez la section « iCloud » à la page 17. Pour en savoir plus sur l’affichage et le partage de photos et de vidéos, consultez les sections « Partage de photos et de vidéos » à la page 98 et « Téléchargement de photos et de vidéos sur votre ordinateur » à la page 103. Afficher ou masquer les commandes lorsque vous regardez une photo ou une vidéo en plein écran Touchez l’écran. Pour envoyer une photo ou une vidéo par courrier électronique ou message texte Touchez . Pour envoyer une photo par Twitter Affichez la photo en plein écran, touchez , puis touchez Tweet. Vous devez être connecté à votre compte Twitter. Accédez à Réglages > Twitter. Pour ajouter votre localisation, touchez Ajouter la localisation. Pour imprimer une photo Touchez . Consultez la section « Impression » à la page 29. Pour supprimer une photo ou une vidéo Touchez . Modification de photos Vous pouvez faire pivoter, améliorer et rogner les photos, ainsi que supprimer les yeux rouges L’amélioration améliore la luminosité générale, la saturation des couleurs et d’autres qualités d’une photo. Pivoter Amélioration automatique Supprimer les yeux rouges Rogner Pour modifier une photo : Alors que la photo est en plein écran, touchez Modifier, puis choisissez un outil. Avec l’outil des yeux rouges, touchez chaque œil pour le corriger. Pour rogner, faites glisser les angles de la grille, faites glisser la photo pour la repositionner, puis touchez Rogner. Vous pouvez également toucher Imposer le format lorsque vous rognez une photo pour définir un rapport particulier. 102 Chapitre 12 Appareil photoAjustement des vidéos Vous pouvez supprimer des images au début et à la fin de la vidéo que vous venez de prendre ou de toute autre vidéo de votre album Pellicule. Vous pouvez remplacer la vidéo originale ou enregistrer la version raccourcie en tant que nouveau clip vidéo. Raccourcir une vidéo : Lors de la lecture d’une vidéo, touchez l’écran pour afficher les commandes. Faites glisser l’une des deux extrémités du visualiseur d’image en haut de la vidéo, puis touchez Ajuster. Important : Si vous avez choisi Raccourcir l’original, les images supprimées de la vidéo d’origine le sont de manière permanente. Si vous avez choisi « Nouvel extrait », un nouveau clip vidéo raccourci est enregistré dans votre album Pellicule. La vidéo d’origine n’est pas modifiée. Téléchargement de photos et de vidéos sur votre ordinateur Vous pouvez télécharger les photos et les vidéos que vous avez prises avec Appareil photo vers des applications photo de votre ordinateur, comme iPhoto sur un Mac. Pour télécharger des photos et des vidéos sur votre ordinateur : Connectez l’iPhone à votre ordinateur à l’aide du câble Dock Connector vers USB.  Mac : sélectionnez les photos et vidéos souhaitées, puis cliquez sur le bouton Importer ou Télécharger dans iPhoto ou toute autre application photo prise en charge sur votre ordinateur.  PC : suivez les instructions fournies avec votre application photo. Si vous supprimez les photos et vidéos de l’iPhone lors du téléchargement sur l’ordinateur, celles-ci sont supprimées de votre album Pellicule. Vous pouvez utiliser la sous-fenêtre de réglages Photos d’iTunes pour synchroniser des photos et vidéos avec l’app Photos de l’iPhone (les vidéos ne peuvent être synchronisées qu’avec un Mac). Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 18. Flux de photos Grâce à Flux de photos (une fonctionnalité d’iCloud), les photos que vous prenez sur l’iPhone sont téléchargées automatiquement sur iCloud et transférées vers tous vos autres appareils sur lesquels la fonctionnalité Flux de photos est activée. Les photos téléchargées sur iCloud depuis vos autres appareils et ordinateurs sont transférées vers votre album Flux de photos sur l’iPhone. Consultez la section « iCloud » à la page 17. Pour activer Flux de photos : Accédez à Réglages > iCloud > Flux de photos. Les nouvelles photos que vous avez prises sont téléchargées vers Flux de photos lorsque vous quittez l’app Appareil photo et lorsque l’iPhone est connecté à Internet via Wi-Fi. Toutes les autres photos ajoutées à votre Pellicule, notamment les photos téléchargées à partir de courriers électroniques et de messages textes, les images enregistrées depuis des pages web et les copies d’écran, sont également téléchargées vers votre Flux de photos et transférées vers vos autres appareils. Flux de photos peut partager jusqu’à 1000 de vos photos les plus récentes entre vos appareils iOS. Vos ordinateurs peuvent conserver toutes vos photos Flux de photos de manière définitive. Enregistrer les photos sur l’iPhone depuis Flux de photos Dans votre album Flux de photos, touchez , sélectionnez les photos à enregistrer, puis touchez Enregistrer. Supprimer une photo dans iCloud Dans votre album Flux de photos, sélectionnez la photo, puis touchez . Supprimer plusieurs photos dans iCloud Dans votre album Flux de photos, touchez , sélectionnez les photos à supprimer, puis touchez Supprimer. Chapitre 12 Appareil photo 103Remarque : Pour supprimer des photos dans Flux de photos, iOS 5.1 ou une version ultérieure doit être installée sur l’iPhone et tous vos autres appareils iOS. Consultez la page support.apple.com/kb/HT4486?viewlocale=fr_FR. Même si les photos supprimées sont retirées de Flux de photos sur vos appareils, les originaux sont conservés dans l’album Pellicule sur l’appareil d’où ils ont été transférés. 104 Chapitre 12 Appareil photoYouTube 13 À propos de YouTube YouTube vous permet de regarder des vidéos de courte durée envoyées par des internautes du monde entier. Certaines fonctionnalités de YouTube nécessitent un compte YouTube. Pour créer un compte, accédez au site www.youtube.com. Remarque : YouTube peut ne pas être disponible dans toutes les langues ou toutes les régions. Pour explorer et rechercher des vidéos Pour explorer les vidéos : Touchez l’un des boutons de navigation au bas de l’écran, ou touchez Autre pour voir des boutons de navigation supplémentaires. Lorsque vous regardez une vidéo, touchez OK pour voir les boutons de navigation. Visionnez les vidéos associées ou enregistrez ou partagez cette vidéo. Affichez des boutons de navigation supplémentaires ou réorganisez les boutons. Touchez une vidéo pour la lire. Touchez un bouton de navigation pour afficher  une liste de vidéos. Pour modifier les boutons de navigation Touchez Autre, puis Modifier. Faites glisser un bouton vers le bas de l’écran, par-dessus celui que vous souhaitez remplacer. Faites glisser un bouton vers la gauche ou la droite pour le déplacer. Lorsque vous avez terminé, touchez Terminé. Pour explorer les vidéos connexes Touchez en regard d’une vidéo de la liste. Pour rechercher une vidéo Touchez Recherche au bas de l’écran, puis touchez le champ de recherche. 105Pour visualiser d’autres vidéos publiées par le même compte Touchez en regard de la vidéo en cours sur l’écran d’informations sur la vidéo, puis touchez Autres vidéos. Lecture de vidéos Pour regarder une vidéo : Touchez une vidéo pendant votre exploration. La lecture commence dès qu’une quantité suffisante de la vidéo est téléchargée sur l’iPhone. La partie ombrée de la barre de défilement indique l’avancement du téléchargement. Touchez la vidéo pour afficher ou masquer les commandes. Regardez la vidéo sur un téléviseur avec une $SSOH¬79 Faites glisser pour avancer ou reculer. Progression du téléchargement Ajoutez la vidéo à vos favoris YouTube. Faites glisser  pour ajuster le  volume. Pour mettre en pause ou reprendre la lecture Touchez ou . Vous pouvez également appuyer sur le bouton central des écouteurs de l’iPhone. Pour recommencer depuis le début Touchez pendant la lecture de la vidéo. Si vous avez regardé moins de cinq secondes de la vidéo, vous passez à la vidéo précédente de la liste. Pour rechercher rapidement vers l’avant ou l’arrière Touchez et maintenez le doigt sur ou . Pour passer directement à un endroit quelconque Faites glisser la tête de lecture le long du défileur. Pour passer à la vidéo précédente ou suivante dans une liste Touchez pour passer à la vidéo suivante. Touchez deux fois pour passer à la vidéo précédente. Si vous avez regardé moins de cinq secondes de la vidéo, touchez une seule fois. Basculer entre le plein écran et l’ajustement à l’écran Touchez deux fois la vidéo. Vous pouvez également toucher pour afficher la vidéo en plein l’écran ou pour l’adapter à la taille de l’écran. Visionner des vidéos YouTube sur un téléviseur Branchez l’iPhone à votre téléviseur ou récepteur AV à l’aide d’AirPlay ou d’un câble. Consultez la section « Visionnage de vidéos sur un téléviseur » à la page 141. Pour arrêter de regarder une vidéo Touchez Terminé. Suivi des vidéos que vous appréciez Pour ajouter une vidéo à vos favoris ou à une liste de lecture : Touchez en regard d’une vidéo pour afficher les boutons d’ajout d’une vidéo à une liste. 106 Chapitre 13 YouTubePour ajouter une vidéo aux favoris Touchez « Ajouter aux favoris ». Lorsque vous regardez la vidéo, touchez . Pour ajouter une vidéo à une liste de lecture Touchez « Ajouter à la liste » sur l’écran d’informations sur la vidéo, puis touchez une liste de lecture existante ou touchez pour en créer une nouvelle. Pour supprimer un favori Touchez Favoris, Modifier, puis en regard de la vidéo. Pour supprimer une vidéo d’une liste de lecture Touchez Listes, la liste de lecture, puis . Supprimer une liste de lecture Touchez Listes de lecture, Modifier, puis . Pour s’abonner à un compte Touchez en regard de la vidéo en cours (au-dessus de la liste Vidéos associées). Ensuite, touchez Autres vidéos, faites défiler jusqu’au bas de la liste, et touchez S’abonner à « compte ». Pour se désabonner d’un compte Touchez Abonnements (touchez Autre d’abord si vous ne le voyez pas), touchez un compte dans la liste, puis touchez Se désabonner. Partage de vidéos, commentaires et classements Pour voir les commandes pour le partage, les commentaires et les évaluations : Touchez en regard de la vidéo. Pour envoyer un lien vers une vidéo par courrier électronique Touchez en regard d’une vidéo, puis touchez Envoyer la vidéo. Sinon, lorsque vous regardez la vidéo, touchez simplement . Pour évaluer ou commenter une vidéo Sur l’écran En savoir plus, touchez « Classer, commenter ou marquer », puis choisissez « Classer ou commenter ». Pour envoyer une vidéo sur YouTube Ouvrez l’app Photos, sélectionnez la vidéo, puis touchez . Obtention d’informations sur une vidéo Consulter une description et des commentaires : Touchez en regard de la vidéo dans une liste, puis touchez à nouveau lors de son apparition en haut de l’écran. Envoi de vidéos sur YouTube Si vous disposez d’un compte YouTube, vous pouvez envoyer des vidéos sur YouTube. Consultez la section « Partage de photos et de vidéos » à la page 98. Chapitre 13 YouTube 107Bourse 14 Visualisation des cours de la bourse Bourse vous permet de consulter les derniers cours disponibles pour une sélection d’actions, de fonds et d’indices. Les cours peuvent être décalés de 20 minutes ou plus, selon le service de publication. Pour ajouter une action, un fonds ou un indice au visualiseur de titres : Touchez , puis . Saisissez un symbole boursier, le nom d’une société, le nom d’un fonds ou d’un indice, puis touchez Rechercher. Pour afficher les changements de valeur d’une action, d’un fonds ou d’un indice dans le temps : Touchez l’action, le fonds ou l’indice dans votre liste, puis touchez 1j, 1s, 1m, 3m, 6m, 1a ou 2a. Lorsque vous consultez un graphique en orientation paysage, vous pouvez le toucher pour afficher la valeur à un instant donné. Utilisez deux doigts pour voir l’évolution du cours sur une période donnée. Vous pouvez également afficher les cotes de la bourse dans le Centre de notifications. Consultez la section « Notifications » à la page 32. 108Pour supprimer une action Touchez et à côté d’une action, puis touchez Supprimer. Pour changer l’ordre des éléments de la liste Touchez . Ensuite, faites glisser à côté d’une action ou d’un indice vers un nouvel emplacement dans la liste. Pour basculer l’affichage vers le pourcentage d’évolution, l’évolution du prix ou la capitalisation boursière Touchez une valeur le long du bord droit de l’écran. Touchez à nouveau pour passer à une autre présentation. Utiliser iCloud pour maintenir votre liste d’actions à jour sur vos appareils iOS Accédez à Réglages > iCloud > Documents et données, puis activez Documents et données (activé par défaut). Consultez la section « iCloud » à la page 17. Obtention d’informations supplémentaires Pour afficher le résumé, le graphique ou la page d’actualités d’une action, d’un fonds ou d’un indice : Sélectionnez l’action, le fonds ou l’indice dans votre liste, puis feuilletez les pages sous le visualiseur de titres pour afficher le résumé, le graphique ou la page d’actualités. Vous pouvez faire défiler la page d’actualités vers le haut ou le bas pour lire les titres ou toucher un titre pour afficher l’article correspondant dans Safari. Afficher plus d’informations sur les actions sur Yahoo.com : Sélectionnez l’action, le fonds ou l’indice dans votre liste, puis touchez . Chapitre 14 Bourse 109Plans 15 Recherche de lieux AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la conduite et la navigation en toute sécurité, consultez le Guide d’informations importantes sur le produit à l’adresse www.apple.com/fr/support/manuals/iphone. $IILFKH]O·HQGURLWRVHWURXYHXQH HQWUHSULVHRXXQHSHUVRQQHGH YRWUHOLVWHGHFRQWDFWV 5pJOH]OHVRSWLRQV WHOOHVTXHO·DIILFKDJH GHODFLUFXODWLRQRXOD YXH6DWHOOLWH 3OXVG·LQIRUPDWLRQV 7RXFKH]GHX[IRLVSRXU HIIHFWXHUXQ]RRPDYDQWHW WRXFKH]DYHFGHX[GRLJWV SRXUHIIHFWXHUXQ]RRP DUULqUH2XELHQSLQFH] SRXUDJUDQGLURXUpGXLUH (PSODFHPHQWDFWXHO 6DLVLVVH]OH WHUPHj UHFKHUFKHU $IILFKH]YRWUH HPSODFHPHQW DFWXHO 2EWHQH]XQ LWLQpUDLUHHQ YRLWXUHHQ WUDQVSRUWSXEOLF RXjSLHG Pour trouver un lieu : Touchez le champ de recherche pour activer le clavier. Saisissez une adresse ou d’autres informations, puis touchez Rechercher. Vous pouvez effectuer une recherche avec des informations telles que :  une intersection (« allée des pruniers et rue de la paix ») ;  un quartier (« Montmartre ») ;  un repère (« Le Louvre ») ;  un code postal ;  une entreprise ou un commerce (« cinémas », « restaurants Lyon », « apple inc Paris »). Vous pouvez également toucher pour trouver la position d’un contact. 110Pour consulter le nom ou la description d’un lieu Touchez le repère. Pour consulter une liste des commerces trouvés au cours d’une recherche Touchez , puis touchez Liste. Touchez un commerce pour voir son emplacement. Pour déterminer votre lieu actuel Touchez . Votre position actuelle est indiquée par un marqueur bleu. S’il n’est pas possible de déterminer votre position de manière précise, un cercle bleu apparaît autour du marqueur. Plus le cercle est petit, plus la position est précise. Pour afficher votre direction Touchez à nouveau . L’icône devient alors et le plan pivote pour afficher votre direction. Pour marquer un lieu Maintenez le doigt sur le plan jusqu’à l’apparition du repère. Important : Les apps cartographiques, géodépendantes ou proposant des itinéraires reposent sur des services de données. Ces services de données sont susceptibles de changer et ne sont pas disponibles dans toutes les zones, ce qui rend indisponibles, inexacts ou incomplets les plans, itinéraires et informations dépendant de la position géographique. Comparez les informations fournies par l’iPhone à ce que vous voyez autour de vous et fiez-vous aux panneaux de signalisation pour résoudre les divergences. Si Service de localisation est désactivé lorsque vous ouvrez Plans, il peut vous être demandé de les activer. Vous pouvez utiliser Plans sans Service de localisation. Consultez la section « Service de localisation » à la page 177. Itinéraires Pour obtenir des itinéraires : 1 Touchez Itinéraire. 2 Entrez des lieux de départ et d’arrivée. Touchez dans l’un des champs pour choisir un lieu dans Signets (notamment votre position actuelle ou le repère), un lieu récent ou un contact. Si n’apparaît pas, touchez pour supprimer le contenu du champ. 3 Touchez Itinéraire, puis sélectionnez les indications en voiture ( ), en transport public ( ) ou à pied ( ). 4 Effectuez l’une des opérations suivantes : Chapitre 15 Plans 111 Pour afficher un itinéraire étape par étape, touchez Démarrer, puis touchez pour afficher le tronçon suivant de l’itinéraire.  Pour afficher l’itinéraire sous la forme d’une liste, touchez , puis touchez Liste. Touchez n’importe quel élément de la liste pour afficher un plan représentant ce tronçon du trajet. Touchez Aperçu du trajet pour revenir à l’écran de vue d’ensemble. 5 Si plusieurs itinéraires apparaissent, choisissez celui que vous souhaitez utiliser. Si vous prenez les transports publics, touchez pour indiquer votre heure de départ ou d’arrivée, et pour choisir l’horaire du voyage. Touchez l’icône d’un arrêt pour connaître l’heure de départ du bus ou du train et obtenir le lien d’accès aux coordonnées ou au site web de la compagnie de transport correspondante. Pour obtenir un itinéraire à partir d’un lieu sur le plan Touchez le repère, , puis Itinéraire vers ce lieu ou Itinéraire à partir de ce lieu. Pour associer un signet à un lieu Touchez « Ajouter aux signets ». Pour obtenir et partager des informations sur un lieu Obtenez un itinéraire. Consultez le site web. 7RXFKH]¬SRXU afficher les informations du contact. Passez XQDSSHO Pour obtenir et partager des informations sur un lieu : Touchez le repère, puis . Pour ajouter une entreprise à vos contacts Touchez « Ajouter aux contacts ». Envoyer votre lieu par courrier électronique, message texte ou tweet Touchez Envoyer en tant que lien. Remarque : Pour publier un Tweet, vous devez être connecté à votre compte Twitter. Accédez à Réglages > Twitter. Affichage de l’état de la circulation Vous avez accès à l’état de la circulation sur les artères principales et les autoroutes sur le plan. Pour afficher ou masquer l’état de la circulation : Touchez , puis Afficher la circulation ou Masquer la circulation. Selon l’état de la circulation, une couleur est attribuée aux rues et aux autoroutes :  gris : aucune donnée n’est disponible ;  vert : limitation de vitesse publiée ;  jaune : plus lent que la limitation de vitesse publiée ;  rouge : circulation discontinue. 112 Chapitre 15 PlansRemarque : L’état de la circulation n’est pas disponible partout. Présentations du plan Pour afficher une vue satellite ou mixte : Touchez , puis sélectionnez la vue souhaitée. Pour accéder à la présentation Google Street d’un lieu : Touchez . Feuilletez vers la gauche ou vers la droite pour faire pivoter la vue panoramique sur 360° (l’encadré vous indique la présentation active). Touchez une flèche pour avancer dans la rue. Pour revenir à la carte, touchez l’encadré situé dans le coin inférieur droit. 7RXFKH]SRXUUHYHQLUjO·DIILFKDJHGHODFDUWH Remarque : Street View peut ne pas être disponible partout. Chapitre 15 Plans 113Météo 16 Obtention d’informations météorologiques Touchez Météo sur l’écran d’accueil pour obtenir la température actuelle et les prévisions météo à six jours pour une ou plusieurs villes dans le monde. Conditions actuelles Ajoutez ou supprimez des villes. Température actuelle 3UpYLVLRQVj¬MRXUV Obtenez des prévisions météo toutes les heures. Nombre de villes enregistrées Si le tableau météo est bleu clair, il fait jour dans cette ville. Si le tableau est noir, il y fait nuit. Pour ajouter une ville : Touchez , puis . Saisissez une ville ou un code postal, puis touchez Rechercher. Pour passer à une autre ville Feuilletez vers la gauche ou la droite. Pour réorganiser les villes Touchez , puis faites glisser vers le haut ou le bas. Pour supprimer une ville Touchez et , puis touchez Supprimer. Pour afficher la température en degrés Fahrenheit ou Celsius Touchez , puis touchez °F ou °C. Utiliser iCloud pour pousser votre liste de villes vers vos autres appareils iOS Accédez à Réglages > iCloud > Documents et données, puis activez Documents et données (activé par défaut). Consultez la section « iCloud » à la page 17. Pour consulter les informations à propos d’une ville sur Yahoo.com Touchez . 114Notes 17 À propos de Notes Saisissez des notes sur l’iPhone, et elles sont disponibles sur tous vos autres appareils iOS et ordinateurs Mac grâce à iCloud. Vous pouvez également lire et créer des notes dans d’autres comptes, tels que Gmail ou Yahoo. Touchez la note pour la modifier. Supprimez la note. Envoyez la note par courrier électronique ou imprimez-la. Ajoutez une note. Affichez la liste de notes. Affichez la note précédente ou suivante. Rédaction de notes Pour ajouter une note : Touchez , puis tapez votre note et touchez OK. Utiliser iCloud pour maintenir vos notes à jour sur vos appareils iOS et vos ordinateurs Mac Si vous utilisez une adresse électronique me.com ou mac.com pour iCloud, accédez à Réglages > iCloud et activez Notes. Si vous utilisez un compte Gmail ou un autre compte IMAP pour iCloud, accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier et activez Notes pour le compte. Consultez la section « iCloud » à la page 17. Pour créer une note dans un compte particulier Touchez Comptes et sélectionnez le compte, puis touchez pour créer la note. Pour configurer le compte par dé- faut pour les nouvelles notes Si vous touchez alors que vous consultez Toutes les notes, la note est créée dans le compte par défaut sélectionné dans Réglages > Notes. 115Lecture et modification de notes Les notes sont classées avec la plus récente en haut de la liste. Si vous utilisez plusieurs appareils iOS et ordinateurs avec votre compte iCloud, les notes de tous les appareils apparaissent. Si vous partagez des notes avec une application de votre ordinateur ou avec d’autres comptes en ligne tels que Yahoo ou Gmail, ces notes sont organisées par compte. Pour lire une note : Touchez la note dans la liste. Pour consulter la note précédente ou suivante, touchez ou . Pour changer de police Accédez à Réglages > Notes. Pour consulter les notes d’un compte particulier Touchez Comptes et choisissez le compte. Pour consulter les notes de tous les comptes Touchez Comptes et choisissez Toutes les notes. Pour modifier une note Touchez la note, n’importe où, pour activer le clavier. Supprimer une note Lorsque vous consultez la liste des notes, balayez la note vers la gauche ou la droite. Lorsque vous lisez une note, touchez . Pour effectuer une recherche dans les notes Vous pouvez faire des recherches dans le texte de toutes vos notes. Pour rechercher des notes : Alors que vous consultez une liste de notes, feuilletez vers le bas pour accéder au haut de la liste et afficher le champ de recherche, puis touchez le champ et saisissez le texte à rechercher. Vous pouvez également chercher des notes à partir de l’écran d’accueil de l’iPhone. Consultez la section « Recherche » à la page 30. Impression ou envoi de notes par courrier électronique Pour envoyer une note par courrier électronique, l’iPhone doit être configuré pour le courrier électronique. Consultez la section « Configuration de Mail et d’autres comptes » à la page 16. Impression ou envoi d’une note par courrier électronique : Lorsque vous lisez la note, touchez . 116 Chapitre 17 NotesHorloge 18 À propos d’Horloge Vous pouvez utiliser Horloge pour consulter l’heure partout dans le monde, configurer une alarme, chronométrer un événement ou configurer un minuteur. Ajoutez une horloge. Affichez les horloges, réglez une alarme, chronométrez un événement, ou réglez un minuteur. Supprimez ou déplacez les horloges. Réglage des horloges mondiales Vous pouvez ajouter des horloges pour afficher l’heure dans d’autres villes importantes du monde et d’autres fuseaux horaires. Pour ajouter une horloge : Touchez , puis tapez le nom d’une ville. Si vous ne voyez pas la ville que vous recherchez, essayez une autre grande ville située dans le même fuseau horaire. Pour réordonner les horloges Touchez Modifier, puis faites glisser . Pour supprimer une horloge Touchez Modifier, puis touchez . Réglage des alarmes Vous pouvez régler plusieurs alarmes. Réglez chaque alarme de manière qu’elle sonne les jours que vous indiquez, ou une seule fois. Pour régler une alarme : Touchez Alarme, puis . 117Pour modifier les réglages d’une alarme Touchez Modifier, puis touchez . Pour supprimer une alarme Touchez Modifier, puis touchez . Si au moins une alarme est réglée et activée, apparaît dans la barre d’état de l’iPhone, en haut de l’écran. Si une alarme est réglée pour ne sonner qu’une fois, elle se désactive automatiquement après avoir sonné. Vous pouvez la réactiver. Important : Certains opérateurs ne gèrent pas l’heure réseau partout. Lorsque vous êtes en dé- placement, les alertes de l’iPhone peuvent ne pas sonner à la bonne heure locale. Consultez la section « Date et heure » à la page 184. Utilisation du chronomètre Pour chronométrer un événement : Touchez Chronomètre, puis Démarrer. Le chronomètre continue à fonctionner si vous passez à une autre app. Réglage d’un minuteur Vous pouvez configurer un minuteur qui continue de fonctionner même lorsque vous utilisez d’autres apps. Pour régler un minuteur : Touchez Minuteur, feuilletez pour régler la durée, puis touchez Démarrer. Pour choisir la sonnerie Touchez Sonnerie. Pour régler un minuteur de veille pour l’iPhone Réglez la durée, touchez Sonnerie et choisissez Arrêter la lecture. L’iPhone arrête la lecture de la musique ou de la vidéo lorsque le minuteur s’arrête. 118 Chapitre 18 HorlogeRappels 19 À propos de Rappels Rappels vous permet d’organiser votre vie avec des listes, comprenant des échéances et des lieux. Vous pouvez recevoir un rappel pour un élément à une date et un jour précis, ou lorsque vous approchez d’un lieu ou le quittez, par exemple votre domicile ou votre bureau. Rappels fonctionne avec vos comptes de calendrier. Ainsi, les modifications que vous apportez se mettent à jour automatiquement sur vos autres appareils iOS et ordinateurs. Changez de présentation. Marquez-le comme terminé. Ajoutez un rappel. Affichez et modifiez des listes. Pour basculer entre la présentation par liste et par date : En haut de l’écran, touchez Liste ou Date. Configuration d’un rappel Vous pouvez configurer un rappel pour une date et une heure, pour un lieu ou pour, les deux. Pour ajouter un rappel : Dans Rappels, touchez , puis saisissez une description et touchez Fermer. Lorsque vous ajoutez un rappel, vous pouvez ajuster ses réglages : 119Pour définir un lieu pour un rappel Touchez le rappel, puis touchez M’avertir. Activez « À un lieu » et sélectionnez Quand je pars, Quand j’arrive, ou les deux. Pour remplacer le lieu où vous vous trouvez par un autre, touchez Lieu actuel, puis Choisir une adresse et choisissez un lieu dans Contacts. Consultez la section « À propos des rappels par lieu » à la page 121. Pour définir une échéance pour un rappel Touchez le rappel, puis touchez M’avertir. Activez « Un jour », puis définissez la date et l’heure du rappel. Les rappels arrivés à échéance et non accomplis apparaissent dans le Centre de notifications. Pour ajouter des notes à un rappel Touchez le rappel, puis touchez Plus. Touchez Notes. Pour déplacer un rappel vers une autre liste Touchez le rappel, puis touchez Plus. Touchez Liste et choisissez une autre liste. Pour créer ou modifier des listes, consultez « Gestion des rappels en présentation par liste » à la page 120. Pour supprimer un rappel Touchez le rappel, Plus, puis Supprimer. Pour modifier un rappel Touchez le rappel, puis touchez son nom. Pour marquer un rappel comme terminé Touchez la case située en regard d’un élément, de manière à ce qu’une coche apparaisse. Les éléments terminés sont présents dans la liste Terminés. Consultez la section « Gestion des rappels terminés » à la page 121. Pour régler le son des rappels Accédez à Réglages > Son. Utiliser iCloud pour maintenir Rappels à jour sur vos appareils iOS et vos ordinateurs Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Rappels. Consultez la section « iCloud » à la page 17. Gestion des rappels en présentation par liste Avec l’organisation des rappels dans des listes, vous pouvez facilement séparer vos tâches professionnelles, personnelles ou autres. Rappels dispose d’une liste pour les rappels actifs, plus une liste intégrée pour les éléments accomplis. Vous pouvez ajouter d’autres listes personnalisées. Pour créer une liste : En haut de l’écran, touchez Liste, puis . Touchez Modifier. Pour basculer rapidement entre les listes Feuilletez vers la gauche ou la droite sur l’écran. Vous pouvez également passer directement à une liste particulière. Touchez , puis touchez le nom d’une liste. Pour afficher les éléments terminés Balayez l’écran vers la gauche jusqu’à atteindre la liste Accompli. Pour changer l’ordre des listes En présentation par liste, touchez , puis Modifier. Faites glisser situé à côté d’une liste pour modifier l’ordre. Vous ne pouvez pas déplacer une liste vers un autre compte et vous ne pouvez pas modifier l’ordre des rappels dans une liste. Pour supprimer une liste En présentation par liste, touchez , puis Modifier. Touchez pour chaque liste que vous souhaitez supprimer. Lorsque vous supprimez une liste, tous les éléments présents dans celle-ci sont également supprimés. Pour changer le nom d’une liste En présentation par liste, touchez , puis Modifier. Touchez le nom que vous souhaitez modifier, puis saisissez un nouveau nom. Touchez Terminé. Pour configurer une liste par défaut pour les nouveaux rappels Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis touchez Liste par dé- faut sous le titre Rappels. Vous pouvez également créer un rappel en parlant. Consultez la section Chapitre 4, « Siri, » à la page 41. 120 Chapitre 19 RappelsGestion des rappels en présentation par date Vous utilisez la présentation par date pour gérer les rappels possédant une échéance. Pour afficher les rappels pour une date : En haut de l’écran, touchez Date pour afficher les rappels du jour, ainsi que les éléments non accomplis des jours précédents. Pour afficher une date récente Faites glisser le curseur du temps, situé sous la liste, vers un autre jour. Pour afficher un jour particulier Touchez , puis sélectionnez la date à afficher. À propos des rappels par lieu Les rappels par lieu sont disponibles uniquement sur l'iPhone 4 et l'iPhone 4S, et peuvent ne pas être disponibles dans toutes les régions. Vous ne pouvez pas régler des lieux pour les rappels dans les comptes Microsoft Exchange et Outlook. Vous pouvez configurer un rappel par lieu pour que Rappels vous avertisse lorsque vous vous approchez du lieu et lorsque vous vous êtes éloigné de la zone. Pour obtenir les meilleurs résultats, précisez un lieu bien défini, tel qu’une adresse plutôt qu’une ville, et n’oubliez pas que la précision peut varier. L’iPhone peut vérifier sa localisation moins fréquemment selon votre modèle d'iPhone et s'il est verrouillé. Aussi, le déclenchement du rappel peut être retardé. Lorsque vous créez un rappel, vous pouvez utiliser votre localisation actuelle ou un lieu dans votre liste de contacts. Ajoutez à Contacts des lieux que vous prévoyez d’utiliser avec Rappels, tels que l’épicerie ou l’école. Nous vous conseillons également d’ajouter des lieux personnels, tels que les adresses de votre domicile et de votre travail, à votre fiche de contact dans Contacts. Rappels affiche les lieux présents dans votre fiche de contact. Pour en savoir plus sur la configuration de votre propre fiche de contact dans Contacts, consultez la section « Comptes de Contacts et réglages » à la page 137. Gestion des rappels terminés Rappels garde la trace des éléments que vous avez marqués comme terminés. Vous pouvez les afficher en présentation par Liste ou Date, ou utiliser la liste Accompli. Pour afficher les éléments terminés : Touchez le bouton Liste situé en haut de l’écran, puis balayez de gauche à droite jusqu’à l’apparition de la liste Accompli. Pour afficher le nombre d’éléments terminés En présentation par Liste ou Date, faites défiler vers le haut de la liste des rappels, puis tirez sur la liste jusqu’à l’apparition d’Accompli. Touchez Accompli pour afficher tous les éléments accomplis. Pour marquer un rappel terminé comme non terminé Touchez pour supprimer la coche. L’élément est automatiquement déplacé vers son site d’origine. Pour synchroniser des rappels antérieurs Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, et touchez Synchroniser sous Rappels. Ce réglage s’applique à tous vos comptes de rappel. Pour obtenir des résultats optimaux, ne synchronisez pas plus d’éléments anté- rieurs que nécessaire. Chapitre 19 Rappels 121Pour effectuer une recherche dans les rappels Vous pouvez rapidement trouver des rappels en attente ou terminés. La recherche dans les rappels est effectuée par nom. Rechercher des rappels en présentation par date : Touchez , puis touchez Rechercher dans les rappels et saisissez l’expression à chercher. Rechercher des rappels en présentation par liste : Touchez , puis touchez Rechercher dans les rappels et saisissez l’expression à chercher. Vous pouvez également chercher des rappels à partir de l’écran d’accueil. Consultez la section « Recherche Spotlight » à la page 182. Vous pouvez également demander à Siri de trouver des rappels par titre. Consultez la section Chapitre 4, « Siri, » à la page 41. 122 Chapitre 19 RappelsGame Center 20 À propos de Game Center Découvrez de nouveaux jeux et faites part de vos expériences de jeu à vos amis du monde entier dans Game Center. Invitez vos amis à jouer ou utilisez la fonction de match automatique pour trouver d’autres adversaires de valeur. Gagnez des points de bonus en atteignant des réalisations spécifiques dans un jeu, affichez les réalisations de vos amis et consultez les classements pour savoir qui sont les meilleurs joueurs. Remarque : Game Center n’est pas disponible dans toutes les régions, et la disponibilité des jeux peut varier. Pour utiliser Game Center, vous devez disposer d’une connexion Internet et d’un identifiant Apple. Si vous n’avez pas d’identifiant Apple, vous pouvez en créer un dans Game Center, comme décrit ci-dessous. Découvrez qui est le meilleur. Répondez à une demande d’amitié. Consultez une liste des objectifs du jeu. Jouez. Trouvez un adversaire. Choisissez un jeu. Invitez des amis à jouer à un jeu. Indiquez votre statut, modifiez votre photo ou  déconnectez-vous. Connexion à Game Center Pour vous connecter : Ouvrez Game Center. Si vous voyez votre surnom et votre photo en haut de l’écran, vous êtes déjà connecté. Sinon, saisissez votre identifiant Apple et votre mot de passe, puis touchez Connexion. Vous pouvez également toucher Créer un compte pour créer un nouvel identifiant Apple. 123Pour ajouter une photo Touchez la photo à côté de votre nom. Pour déclarer votre statut Touchez Moi, touchez la barre d’état, puis saisissez votre statut. Pour afficher les réglages de votre compte Touchez Moi, touchez la bannière du compte, puis choisissez Données du compte. Pour se déconnecter Touchez Moi, la bannière du compte, puis Déconnexion. Vous n’avez pas besoin de vous déconnecter chaque fois que vous utilisez Game Center. Achat et téléchargement de jeux Les jeux pour Game Center sont disponibles dans l’App Store. Pour acheter et télécharger un jeu : Touchez Jeux, puis touchez un jeu recommandé, ou touchez Rechercher des jeux de Game Center. Pour acheter un jeu dont dispose votre ami Touchez Amis, puis le nom de votre ami. Touchez un jeu dans la liste des jeux de votre ami, puis touchez le prix du jeu situé sous son nom, en haut de l’écran. Jeux Pour jouer à un jeu : Touchez Jeux, puis touchez un jeu et touchez Jouer. Pour consulter une liste des meilleurs joueurs Touchez Jeux, puis touchez le jeu et touchez Classements. Pour afficher les réalisations que vous pouvez essayer d’atteindre Touchez Jeux, puis touchez un jeu et touchez Réalisations. Revenir à Game Center après une partie Appuyez sur le bouton principal puis touchez Game Center sur l’écran d’accueil. Jeu avec des amis Game Center peut vous mettre en contact avec des joueurs du monde entier. Vous pouvez ajouter des amis à Game Center en leur envoyant une demande ou en acceptant une demande envoyée par un autre joueur. Pour inviter des amis à jouer à un jeu multijoueur : Touchez Amis, choisissez un ami, choisissez un jeu et touchez Jouer. Si le jeu autorise ou oblige la présence de joueurs supplémentaires, choisissez des joueurs à inviter puis toucher Suivant. Envoyez votre invitation, puis attendez que les autres acceptent. Lorsque tout le monde est prêt, commencez le jeu. Si un ami n’est pas disponible ou qu’il ne répond pas à votre invitation, vous pouvez toucher Sélection automatique pour que Game Center trouve un autre joueur pour vous ou toucher Inviter un ami pour essayer d’inviter un autre ami. 124 Chapitre 20 Game CenterPour envoyer une demande d’amitié Touchez Amis ou Demandes, touchez et saisissez l’adresse électronique ou le surnom Game Center de votre ami. Touchez pour explorer vos contacts. Pour ajouter plusieurs amis dans une demande, touchez Retour après chaque adresse. Pour répondre à une demande d’amitié Touchez Demandes, touchez la demande, puis touchez Accepter ou Ignorer. Pour signaler un problème avec une demande, feuilletez vers le haut et touchez « Signaler un problème ». Pour voir les jeux auxquels un ami joue et consulter ses scores Touchez Amis, le nom de l’ami, puis Jeux ou Points. Pour chercher quelqu’un dans votre liste d’amis Touchez la barre d’état pour faire défiler jusqu’en haut de l’écran puis touchez le champ de recherche et commencez à taper. Interdire les invitations Désactivez Invitations dans vos réglages de compte Game Center. Consultez la section « Réglages Game Center » à la page 125. Pour maintenir la confidentialité de votre adresse électronique Désactivez Me trouver avec mon adresse dans vos réglages de compte Game Center. Consultez la section « Réglages Game Center » à la page 125. Pour désactiver toutes les activités multijoueur Accédez à Réglages > Général > Restrictions > Game Center, et désactivez Jeux multijoueurs. Pour supprimer l’autorisation des demandes d’amitié Accédez à Réglages > Général > Restrictions > Game Center, et désactivez Ajout d’amis. Pour voir une liste des amis d’un ami Touchez Amis, touchez le nom de l’ami et touchez Amis juste sous sa photo. Pour supprimer un ami Touchez Amis, touchez un nom, puis touchez Supprimer. Pour signaler un comportement offensant ou inapproprié Touchez Amis, touchez le nom de la personne, puis touchez Signaler un problème. Réglages Game Center Certains réglages de Game Center sont associés à l’identifiant Apple que vous utilisez pour vous connecter. D’autres se trouvent dans l’app Réglages de l’iPhone. Pour modifier les réglages de Game Center pour votre identifiant Apple : Connectez-vous avec votre identifiant Apple, touchez Moi, touchez la bannière du compte, puis choisissez Compte. Pour indiquer quelles notifications vous souhaitez pour Game Center : Accédez à Réglages > Notifications > Game Center. Si Game Center n’apparaît pas, activez Notifications. Modifier les restrictions concernant Game Center : Accédez à Réglages > Général > Restrictions > Game Center. Chapitre 20 Game Center 125iTunes Store 21 À propos de l’iTunes Store Utilisez l’iTunes Store pour ajouter du contenu à votre iPhone. Vous pouvez parcourir et acheter de la musique, des séries TV, des livres audio, des sons d’alerte et des sonneries. Vous pouvez également acheter ou louer des films, ou télécharger et lire des podcasts ou des collections iTunes U. Vous avez besoin d’un identifiant Apple pour acheter du contenu. Consultez la section « Réglages du Store » à la page 134. Remarque : L’iTunes Store n’est pas disponible dans toutes les régions, et son contenu varie en fonction de l’endroit. Les fonctionnalités sont susceptibles d’être modifiées. Pour accéder à l’iTunes Store, l’iPhone doit disposer d’une connexion à Internet. Consultez la section « Réseau » à la page 180. Recherche de musique, vidéos, etc. Choisissez une catégorie. Téléchargez vos achats à nouveau. Pour parcourir du contenu : Touchez l’un des types de contenu, par exemple Musique ou Vidéos. Vous pouvez également toucher Autre pour explorer d’autres types de contenu. 126Pour rechercher du contenu Touchez Recherche (touchez d’abord Autre si l’option Recherche n’est pas visible), touchez le champ de recherche et saisissez un ou plusieurs mots, puis touchez Rechercher. Pour acheter un article, le recommander à un ami ou rédiger un avis Touchez un élément de la liste pour afficher des détails dans son écran Infos. Pour explorer les recommandations d’artistes et de vos amis Touchez Ping (touchez d’abord Autre si l’option Ping n’est pas visible) pour découvrir les nouveautés concernant vos artistes favoris et voir la musique recommandée par vos amis. Pour en savoir plus, consultez la section « Suivi d’artistes et d’amis » à la page 128. Achat de musique, livres audio et sons Lorsque vous trouvez un morceau, un album, un son d’alerte, une sonnerie ou un livre audio qui vous plaît dans l’iTunes Store, vous pouvez l’acheter et le télécharger. Vous pouvez écouter un extrait de l’article avant de l’acheter pour vous assurer qu’il s’agit bien de celui que vous voulez. Pour écouter un extrait de morceau, de sonnerie ou de livre audio : Touchez l’article et suivez les instructions à l’écran. Utiliser une carte-cadeau ou un code Touchez Musique (touchez Autre d’abord si l’option Musique n’est pas visible), sélectionnez Télécharger au bas de l’écran, puis suivez les instructions à l’écran. Lorsque vous ouvrez une session sur votre compte, le crédit restant est affiché avec les informations de votre identifiant Apple au bas de la plupart des écrans de l’iTunes Store. Compléter un album Pendant que vous visualisez un album, touchez le prix réduit correspondant aux morceaux restants, au-dessous de Compléter l’album (non disponible dans toutes les régions). Pour afficher les offres de complétion d’autres albums, touchez Musique, puis touchez Offres Compléter l’album. Télécharger un achat antérieur Touchez Achats. Vous pouvez également télécharger un article lorsque vous naviguez. Il vous suffit de touchez Télécharger là où vous voyez normalement le prix. Télécharger automatiquement des achats effectués sur d’autres appareils iOS et ordinateurs Accédez à Réglages > Store, puis activez les types d’achats que vous souhaitez télécharger automatiquement. Achat et location de vidéos L’iTunes Store (non disponible dans toutes les régions) vous permet d’acheter et de télécharger des films, des séries TV et des clips vidéo. Certains films peuvent également être loués pendant une période limitée. Le contenu vidéo peut être disponible en définition standard (SD ou 480p), en haute définition (HD ou 720p), ou les deux. Pour acheter ou louer une vidéo : Touchez Acheter ou Louer. Dès que vous avez acheté un article, son téléchargement commence et il apparaît sur l’écran Téléchargements. Consultez la section « Vérification de l’état de téléchargement » à la page 129. Pour visionner un extrait de vidéo Touchez Extrait. Pour visualiser un extrait sur un téléviseur avec AirPlay et une Apple TV Lorsque l’extrait commence, touchez et choisissez Apple TV. Consultez la section « AirPlay » à la page 35. Remarque : Si vous achetez une vidéo HD sur l’iPhone 3GS, elle est téléchargée au format SD. Chapitre 21 iTunes Store 127Suivi d’artistes et d’amis Utilisez Ping pour vous connecter aux fans de musique les plus passionnés au monde. Suivez vos artistes favoris pour découvrir leurs nouveautés et concerts et tournées à venir, profitez d’un point de vue d’initié grâce à leurs photos et vidéos, et découvrez leurs influences musicales. Lisez les commentaires de vos amis à propos de la musique qu’ils écoutent et découvrez ce qu’ils les achè- tent et les concerts auxquels ils comptent assister. Exprimez également vos préférences musicales et publiez des commentaires pour ceux qui vous suivent. Pour créer et explorer des connexions musicales, commencez par créer un profil. Créer un profil Ping : Ouvrez l’application iTunes sur votre Mac ou PC, cliquez sur Ping et suivez les instructions à l’écran. Touchez Ping (touchez d’abord Autre si Ping n’est pas visible), puis explorez Ping. Vous pouvez réaliser les actions suivantes : Pour suivre un artiste Touchez Suivre sur leur page de profil. Pour suivre un ami Lorsque vous suivez quelqu’un, il ne vous suit pas automatiquement. Dans votre profil, vous pouvez choisir d’approuver ou décliner au fur et à mesure les requêtes de suivi ou tout simplement accepter les nouvelles demandes de suivi sans les vérifier. Pour faire part de vos pensées Tandis que vous explorez des albums et des morceaux, touchez Publier pour commenter un article ou touchez J’aime pour indiquer qu’il vous plaît. Vos amis verront ainsi vos commentaires dans leur flux Activité Ping. Pour communiquer vos plans de concert Touchez Concerts sur votre page de profil pour voir les concerts à venir des artistes que vous suivez et savoir lesquels de vos amis vont à un concert donné. Touchez Billets pour acheter une place ou touchez J’y vais pour indiquer aux autres que vous y serez également. (Cette fonction n’est pas disponible dans toutes les régions.) Diffusion en continu ou téléchargement de podcasts Vous pouvez écouter des podcasts audio ou regarder des podcasts vidéo diffusés en continu sur Internet par le biais de l’iTunes Store. Vous avez également la possibilité de télécharger des podcasts vidéo et audio. Diffusion en continu d’un podcast : Touchez Podcasts (touchez d’abord Autre si l’option Podcasts n’est pas visible) pour explorer les podcasts sur l’iTunes Store. Les podcasts vidéo sont indiqués par une icône de vidéo . Pour télécharger un podcast Touchez le bouton Gratuit, puis Télécharger. Les podcasts téléchargés apparaissent dans la liste de lecture Podcasts. Pour écouter ou regarder un podcast téléchargé Dans Musique, touchez Podcasts (touchez d’abord Autre si l’option Podcasts n’est pas visible), puis touchez le podcast. Les podcasts vidéo apparaissent également dans votre liste de vidéos. Pour télécharger d’autres épisodes d’un podcast téléchargé Dans la liste des podcasts de Musique, touchez le podcast, puis Obtenir plus d’épisodes. Pour supprimer un podcast Dans la liste des podcasts de Musique, balayez vers la gauche ou la droite sur le podcast, puis touchez Supprimer. 128 Chapitre 21 iTunes StoreVérification de l’état de téléchargement Vous pouvez consulter l’écran Téléchargements pour voir l’état des téléchargements en cours et planifiés, y compris les achats en pré-commande. Pour afficher l’état des éléments en cours de téléchargement : Touchez Téléchargements (touchez d’abord Autre si l’option Téléchargements n’est pas visible). Les articles en pré-commande ne sont pas téléchargés automatiquement lors de leur sortie. Rouvrez l’écran Téléchargements pour lancer le téléchargement. Pour télécharger un article en pré- commande Touchez l’article, puis . En cas d’interruption d’un téléchargement, celui-ci reprend la fois suivante où une connexion à Internet est disponible. Sinon, lorsque vous ouvrez iTunes sur votre ordinateur, iTunes termine le téléchargement dans votre bibliothèque iTunes (si votre ordinateur est connecté à Internet et que vous avez ouvert une session avec le même identifiant Apple). Modification des boutons de navigation Vous pouvez remplacer les boutons Musique, Podcasts, Vidéo et Recherche situés au bas de l’écran par d’autres boutons que vous utilisez plus fréquemment. Supposons, par exemple, que vous téléchargiez souvent des livres audio, mais ne regardiez pas beaucoup de vidéos. Vous pouvez alors remplacer Vidéos par Livres audio. Pour modifier les boutons de navigation : Touchez Autre puis Modifier, puis faites glisser un bouton vers le bas de l’écran, par-dessus celui que vous souhaitez remplacer. Vous pouvez faire glisser vers la gauche ou la droite les boutons situés au bas de l’écran afin de les réarranger. Lorsque vous avez fini, touchez Terminé. Pendant que vous explorez, touchez Autre pour accéder aux boutons d’exploration qui ne sont pas visibles. Affichage des informations du compte Pour visualiser les informations iTunes Store pour votre identifiant Apple sur l’iPhone, touchez votre identifiant Apple (au bas de la plupart des écrans de l’iTunes Store). Sinon, accédez à Réglages > Store, puis touchez Afficher l’identifiant Apple. Vous devez être connecté pour afficher les informations de votre compte. Consultez la section « Réglages du Store » à la page 134. Vérification des téléchargements Vous pouvez utiliser iTunes sur votre ordinateur pour vérifier que tous les morceaux, vidéos, apps et autres articles que vous avez achetés dans l’iTunes Store ou l’App Store se trouvent dans votre bibliothèque iTunes. Procédez ainsi si un téléchargement s’est interrompu. Pour vérifier vos achats : Sur iTunes sur votre ordinateur, choisissez Store > Rechercher les mises à jour disponibles. Pour voir tous vos achats, ouvrez une session avec votre identifiant Apple, choisissez Store > Visualiser mon compte, et cliquez sur Historique des achats. Chapitre 21 iTunes Store 129Kiosque 22 À propos de Kiosque Kiosque organise vos abonnements aux apps de magazines et journaux avec une étagère qui vous permet d’accéder à vos publications rapidement et aisément. Les apps de Kiosque apparaissent sur l’étagère, et une pastille vous informe lorsque de nouveaux numéros sont disponibles. Ils apparaissent automatiquement sur l’iPhone. Touchez une publication et maintenez le doigt dessus pour réorganiser. Pour trouver des apps Kiosque : Touchez Kiosque pour afficher l’étagère, puis touchez Store. Lorsque vous achetez une app de kiosque, elle est ajoutée à votre étagère pour que vous puissiez y accéder facilement. Après le téléchargement de l’app, ouvrez-la pour consulter ses publications et les options d’abonnement. Les abonnements sont des achats intégrés qui sont facturés à votre compte du Store. Consultez la section « Réglages du Store » à la page 134. Les prix varient et les apps Kiosque peuvent ne pas être disponibles dans toutes les régions. 130Lecture des derniers numéros Lorsque paraît un nouveau numéro d’un journal ou d’un magazine, Kiosque le télécharge lors d’une connexion Wi-Fi et vous informe en affichant une pastille sur l’icône de l’app. Pour commencer la lecture, ouvrez Kiosque, puis cherchez les apps disposant d’une bannière qui indique un nouveau numéro. Chaque app dispose de sa propre méthode de gestion des numéros. Pour savoir comment supprimer, trouver ou travailler avec des numéros individuels, consultez la liste de l’App Store ou les informations d’aide de l’app. Vous ne pouvez pas supprimer une app Kiosque de l’étagère ou placer d’autres types d’app dessus. Désactiver les téléchargements automatiques : Accédez à Réglages > Store, et désactivez les téléchargements automatiques pour la publication. Chapitre 22 Kiosque 131App Store 23 À propos de l’App Store Vous pouvez directement rechercher, explorer, acheter et télécharger des apps à partir de l’App Store sur votre iPhone, ainsi que rédiger des avis. Pour pouvoir explorer l’App Store, l’iPhone doit être connecté à Internet. Consultez la section « Réseau » à la page 180. Pour acheter des apps, vous avez également besoin d’un identifiant Apple (qui peut ne pas être disponible dans toutes les régions). Consultez la section « Réglages du Store » à la page 134. Remarque : L’App Store n’est pas disponible dans toutes les régions, et son contenu varie en fonction de l’endroit. Les fonctionnalités sont susceptibles d’être modifiées. Consultez les recommandations Genius. Vérifiez les mises à jour des apps. Recherche et téléchargement d’apps Parcourez les sélections d’apps nouvelles, spéciales ou recommandées ou le Top 25 pour afficher les apps les plus populaires. Pour rechercher une app donnée, utilisez Recherche. Pour explorer l’App Store : Touchez Sélection, Catégories ou Top 25. 132Pour explorer à l’aide de Genius Touchez Genius pour afficher une liste des apps recommandées en fonction de ce qui se trouve dans votre collection d’apps. Pour activer Genius, suivez les instructions à l’écran. Genius est un service gratuit, mais il requiert un identifiant Apple. Pour rechercher des apps Touchez Recherche puis le champ de recherche, saisissez un ou plusieurs mots, puis touchez Rechercher. Pour obtenir des classements et lire des avis Touchez Classement en bas de l’écran d’information de l’app. Vous pouvez attribuer un classement et rédiger un avis sur les apps que vous avez téléchargées. Pour envoyer un lien par courrier électronique vers la page d’information de l’app sur iTunes Touchez « Recommander à un ami » en bas de l’écran d’information de l’app. Pour envoyer l’app en cadeau à quelqu’un Touchez « Offrir l’app » au bas de l’écran d’information de l’app et suivez les instructions à l’écran. Pour signaler un problème Touchez « Signaler un problème » en bas de l’écran d’information de l’app. Sélectionnez un problème dans la liste ou tapez des commentaires facultatifs, et touchez Signaler. Pour acheter et télécharger une app Touchez le prix (ou touchez Gratuit), puis touchez Acheter. Si vous avez déjà acheté l’app, le mot « Installer » s’affiche dans l’écran d’informations à la place du prix. Vous n’êtes pas facturé si vous la téléchargez à nouveau. Utiliser une carte-cadeau ou un code Touchez Code au bas de l’écran Sélection et suivez les instructions à l’écran. Pour consulter le statut des téléchargements Pendant le téléchargement d’une app, son icône s’affiche sur l’écran d’accueil avec une barre de progression. Télécharger un achat antérieur Touchez Achats. Vous pouvez également télécharger un article lorsque vous naviguez. Il vous suffit de toucher Télécharger là où vous voyez normalement le prix. Télécharger automatiquement des achats effectués sur d’autres appareils Accédez à Réglages > Store, puis activez les types d’achats que vous souhaitez télécharger automatiquement. Pour mettre à jour une app En bas de l’écran d’information de l’app, touchez Mises à jour et suivez les instructions à l’écran. Suppression d’apps Vous pouvez supprimer des apps installées à partir de l’App Store. Si vous supprimez une app, les données associées à cette app sont également supprimées. Pour supprimer une app de l’App Store : Touchez l’icône de l’app sur l’écran d’accueil et maintenez le doigt dessus jusqu’à ce que les icônes se mettent à bouger, puis touchez . Appuyez sur le bouton principal lorsque vous avez terminé la suppression des apps. Pour en savoir plus sur l’effacement de la totalité des apps, et de tout le contenu et les réglages, consultez la section « Effacer contenu et réglages » de page 185. Vous pouvez télécharger gratuitement chaque app supprimée que vous avez achetée dans l’App Store. Télécharger une app supprimée Dans l’App Store, touchez Mises à jour, puis touchez Achats. Touchez l’app, puis Installer. Chapitre 23 App Store 133Réglages du Store Utilisez les réglages Store pour vous connecter avec un identifiant Apple, créer un nouvel identifiant Apple ou en modifier un existant. Si vous disposez de plusieurs identifiants Apple, vous pouvez utiliser les réglages Store pour vous déconnecter de l’un et vous connecter à un autre. Par défaut, l’identifiant Apple qui apparaît dans les réglages Store est celui que vous utilisez pour synchroniser votre iPhone avec votre ordinateur. Consultez la page www.apple.com/fr/legal/itunes/ww/ pour connaître les conditions générales de l’iTunes Store. Se connecter à un identifiant Apple : Accédez à Réglages > Store, touchez Connexion, puis touchez Utiliser votre identifiant, et saisissez votre identifiant Apple et votre mot de passe. Pour consulter et modifier les informations relatives à votre compte Accédez à Réglages > Store, touchez votre identifiant Apple, puis touchez Afficher l’identifiant Apple. Touchez un élément pour le modifier. Pour modifier le mot de passe de votre compte, touchez le champ Identifiant Apple. Pour se connecter avec un autre identifiant Apple Accédez à Réglages > Store, touchez votre nom de compte, puis Déconnexion. Pour créer un nouvel identifiant Apple Accédez à Réglages > Store, touchez Connexion, touchez Créer un nouvel identifiant Apple et suivez les instructions à l’écran. Télécharger automatiquement les achats Accédez à Réglages > Store, puis activez les types d’achats, tels que Musique ou Livres, que vous souhaitez télécharger automatiquement sur l’iPhone. Vous pouvez également désactiver la mise à jour automatique des apps des Kiosque. Télécharger les achats à l’aide du réseau cellulaire Accédez à Réglages > Store, puis activez ou désactivez Données cellulaires. Le téléchargement des achats sur le réseau cellulaire peut induire des frais facturés par votre opérateur. Les apps de Kiosque ne se mettent à jour que lorsque l’iPhone est connecté à un réseau Wi-Fi. Consultez la section Chapitre 22, « Kiosque, » à la page 130. 134 Chapitre 23 App StoreContacts 24 À propos de Contacts Contacts vous permet d’accéder aisément à vos listes de contacts, et de les modifier, depuis vos comptes personnels, professionnels et d’entreprise. Vous pouvez effectuer des recherches dans la totalité de vos groupes. L’accès aux informations présentes dans Contacts est automatique, pour que vous puissiez adresser des courriers électroniques rapidement et facilement. Appel Envoyez un message électronique. Envoyez un message texte. Passez un appel vidéo FaceTime. Consultez une carte ou obtenez un itinéraire. Synchronisation des contacts Vous pouvez ajouter des contacts des manières suivantes :  Sur iTunes, synchronisez vos contacts depuis Google ou Yahoo!, ou synchronisez à partir d’applications installées sur votre ordinateur. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 18.  Utilisez vos contacts iCloud. Consultez la section « iCloud » à la page 17.  Configurez un compte Microsoft Exchange sur l’iPhone, avec Contacts activé. Consultez la section « Comptes de Contacts et réglages » à la page 137.  Configurez un compte LDAP ou CardDAV pour accéder à des répertoires d’entreprise ou d’école. Consultez la section « Comptes de Contacts et réglages » à la page 137.  Saisissez des contacts directement sur l’iPhone. Consultez la section « Ajout et modification de contacts » à la page 136. 135 Importez des contacts à partir d’une carte SIM (GSM). Consultez la section « Comptes de Contacts et réglages » à la page 137. Recherche de contacts Vous pouvez effectuer une recherche sur le titre, le prénom, le nom et le nom de la société dans vos contacts sur l’iPhone. Si vous disposez d’un compte Microsoft Exchange, LDAP ou CardDAV, vous pouvez également effectuer des recherches dans ces contacts. Pour rechercher des contacts : Dans Contacts, touchez le champ de recherche situé en haut d’une liste de contacts et tapez ce que vous recherchez. Pour rechercher dans une liste d’adresses globale Touchez Groupes, puis Annuaires au bas de la liste et tapez ce que vous recherchez. Pour rechercher sur un serveur LDAP Touchez Groupes, le nom du serveur LDAP, puis tapez ce que vous recherchez. Pour rechercher sur un serveur CardDAV Touchez Groupes, puis le groupe CardDAV « recherchable » au bas de la liste et tapez ce que vous recherchez. Pour enregistrer des coordonnées depuis un serveur GAL, LDAP ou CardDAV Recherchez les contacts que vous souhaitez ajouter, puis touchez Ajouter un contact. Les contacts peuvent également être trouvés par le biais des recherches effectuées à partir de l’écran d’accueil. Consultez la section « Recherche » à la page 30. Ajout et modification de contacts Pour ajouter un contact sur l’iPhone : Touchez Contacts, puis . Si n’est pas visible, assurezvous que vous ne consultez pas une liste de contacts LDAP, CalDAV ou GAL. Pour supprimer un contact Dans Contacts, choisissez un contact, puis touchez Modifier. Faites défiler vers le bas et touchez Supprimer le contact. Pour ajouter un contact depuis le clavier numérique Touchez Clavier et saisissez un numéro, puis touchez . Touchez « Créer un nouveau contact », ou « Ajouter à un contact » et choisissez un contact. Pour saisir une pause logicielle (deux secondes) dans un numéro Touchez , puis touchez Pause. Certains systèmes de téléphone exigent une ou plusieurs pauses avant la composition du numéro de poste, par exemple. Chaque pause est représentée par une virgule lors de l’enregistrement du numéro. Pour saisir une pause matérielle dans un numéro Touchez , puis touchez Patienter. Une pause matérielle est représentée par un point-virgule lors de l’enregistrement du numéro. Lors de la composition, l’iPhone s’interrompt lorsqu’il atteint le point-virgule et attend que vous touchiez Composer pour continuer. Pour ajouter à votre liste de contacts le numéro de téléphone d’un appelant récent Touchez Historique, puis en regard du numéro. Touchez alors « Créer un nouveau contact », ou « Ajouter à un contact » et choisissez un contact. Pour modifier des informations de contact : Choisissez un contact, puis touchez Modifier. Pour ajouter un nouveau champ Touchez Ajouter un champ. Ajouter le nom d’utilisateur Twitter d’un contact Touchez Ajouter un champ, puis touchez Twitter. Pour modifier le libellé d’un champ Touchez le libellé et choisissez-en un autre. Pour ajouter un nouveau libellé, faites défiler vers le bas de la liste et touchez Ajouter un libellé personnalisé. 136 Chapitre 24 ContactsPour modifier la sonnerie ou le son SMS pour le contact Touchez le champ de sonnerie ou de son SMS, puis touchez un nouveau son. Le son par défaut est configuré dans Réglages > Sons. Pour supprimer un élément Touchez , puis touchez Supprimer. Pour attribuer une photo à un contact Touchez Ajouter une photo ou touchez la photo existante. Vous pouvez prendre une photo avec l’appareil photo ou utiliser une photo existante. Pour importer des photos depuis les profils Twitter de vos contacts, accédez à Réglages > Twitter. Connectez-vous à votre compte Twitter, puis touchez Actualiser les contacts. Contacts unifiés Lorsque vous synchronisez des contacts avec plusieurs comptes, vous pouvez avoir des enregistrements pour la même personne dans plusieurs d’entre eux. Pour éviter l’apparition de contacts redondants dans la liste Tous les contacts, les contacts de comptes différents dont le nom est identique sont liés et affichés sous forme de contacts unifiés. Lorsque vous consultez un contact unifié, le titre Infos unifiées apparaît en haut de l’écran. Pour associer un contact : Touchez Modifier, puis touchez et choisissez un contact. Si vous associez des contacts dont les prénoms ou les noms sont différents, les noms des contacts individuels ne sont pas modifiés, mais un seul nom apparaît sur la fiche unifiée. Pour choisir quel nom apparaît lorsque vous consultez la fiche unifiée, touchez la fiche associée dont vous préférez le nom, puis touchez Utiliser ce nom pour la fiche unifiée Pour afficher les informations d’un compte source Touchez l’un des comptes source. Pour dissocier un contact Touchez Modifier, , puis Dissocier. Les contacts associés ne sont pas combinés. Si vous modifiez ou ajoutez des informations d’un contact unifié, elles sont copiées vers chaque compte source dans lequel elles existaient déjà. Comptes de Contacts et réglages Vous pouvez ajouter des comptes de Contacts, et modifier la manière dont les noms des contacts sont triés et affichés. Ajouter un compte de Contacts : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis touchez Ajouter un compte. Pour modifier les réglages de Contacts, accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier et réglez les options suivantes : Pour régler l’ordre des contacts Touchez Ordre de tri pour trier par le prénom ou le nom de famille. Pour régler l’affichage des contacts Touchez Ordre d’affichage, et choisissez l’affichage par le prénom ou le nom de famille. Pour importer des contacts à partir d’une carte SIM Touchez Importer les contacts SIM. Définir votre fiche Mes infos Touchez Mes Infos et sélectionnez la carte de contact avec votre nom et vos informations dans la liste. La fiche Mes infos est utilisées par Siri et d’autres apps. Utilisez les champs des personnes liées pour définir les relations dont vous souhaitez informer Siri, pour pouvoir utiliser des phrases telles que « appeler ma sœur ». Chapitre 24 Contacts 137Pour définir un le compte Contacts par défaut Touchez Compte par défaut, puis choisissez un compte. Les nouveaux contacts que vous créez sans préciser un autre compte sont stockés ici. Utiliser iCloud pour maintenir Contacts à jour sur vos appareils iOS et vos ordinateurs Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Contacts. Consultez la section « iCloud » à la page 17. 138 Chapitre 24 ContactsVidéos 25 À propos de Vidéos L’iPhone vous permet de visionner du contenu vidéo, tel que des films, des clips vidéo et des podcasts vidéo depuis iTunes, et, si elles sont disponibles dans votre région, des séries TV. Lecture de vidéos Pour visionner une vidéo : Touchez la vidéo. Touchez la vidéo pour afficher ou masquer les commandes. Regardez la vidéo sur un téléviseur avec une $SSOH¬79 Faites glisser pour avancer ou reculer. Choisissez un chapitre. Faites glisser pour ajuster le volume. &DUV¬ est disponible sur iTunes. &DUV¬ © Disney/Pixar. Afficher ou masquer les commandes de lecture Touchez l’écran lors de la lecture d’une vidéo. Pour ajuster le volume Faites glisser le curseur de volume, ou utilisez les boutons de volume situés sur le côté de l’iPhone ou les boutons de volumes situés sur les écouteurs de l’iPhone. Pour afficher une vidéo en plein l’écran ou pour l’adapter à la taille de l’écran Touchez ou . ou touchez deux fois la vidéo. Pour mettre en pause ou reprendre la lecture Touchez ou , ou appuyez sur le bouton central des écouteurs de l’iPhone. 139Reprendre depuis le début Si la vidéo contient des chapitres, faites glisser la tête de lecture tout à fait vers la gauche sur la barre de défilement. Si la vidéo ne contient pas de chapitres, touchez . Si la vidéo a débuté depuis moins de 5 secondes, la vidéo précédente dans votre bibliothèque s’ouvre. Passer à un autre chapitre (le cas échéant) Touchez , puis choisissez un chapitre. Pour passer au chapitre suivant (le cas échéant) Touchez ou appuyez deux fois rapidement sur le bouton central des écouteurs de l’iPhone. Revenir au chapitre précédent (le cas échéant) Touchez ou appuyez trois fois rapidement sur le bouton central des écouteurs de l’iPhone. Si la vidéo a débuté depuis moins de 5 secondes, la vidéo précédente dans votre bibliothèque s’ouvre. Effectuer un retour ou une avance rapide Touchez et maintenez le doigt sur ou . Pour arrêter de regarder une vidéo Touchez Terminé. Sélection d’une autre langue audio (le cas échéant) Touchez , puis choisissez une langue dans la liste Audio. Pour afficher ou masquer les soustitres (le cas échéant) Touchez , puis choisissez une langue ou désactivez l’option dans la liste Sous-titres. Afficher ou masquer les sous-titres codés (le cas échéant) Accédez à Réglages > Vidéo. Recherche de vidéos Vous pouvez rechercher les titres de films, de séries TV et de podcasts vidéo sur l’iPhone. Rechercher vos vidéos : Touchez la barre d’état en haut de l’écran pour afficher le champ de recherche, touchez le champ, puis commencez à taper. Vous pouvez aussi rechercher des vidéos dans l’écran d’accueil. Consultez la section « Recherche » à la page 30. Visionnage de films en location Vous pouvez louer des films sur l’iTunes Store et les regarder sur l’iPhone. Vous pouvez télécharger des films en location directement sur l’iPhone ou les transférer à partir d’iTunes sur votre ordinateur vers l’iPhone. (La location de films peut ne pas être disponible dans toutes les régions.) Les films en location expirent ; une fois que vous avez commencé à les visionner, vous disposez d’un temps limité pour les terminer. Le temps restant est indiqué près du titre. Les articles en location sont supprimés à leur expiration. Avant de louer un film, consultez l’iTunes Store pour connaître la période de location. Pour en savoir plus, consultez la section « Achat et location de vidéos » à la page 127. Regarder un film loué : Touchez la vidéo que vous souhaitez regarder. Si la vidéo n’apparaît pas dans la liste, elle est peut-être en cours de téléchargement. Transférer des films loués vers l’iPhone : Connectez l’iPhone à votre ordinateur. Dans la barre latérale iTunes, sélectionnez l’iPhone, cliquez sur Films, puis choisissez les films en location à transférer. Assurez-vous que votre ordinateur est connecté à Internet. Les films loués sur l’iPhone ne peuvent pas être transférés sur un ordinateur. Sur l’iPhone 3GS, vous pouvez transférer des films en location entre l’iPhone et votre ordinateur. Sur l’iPhone 4, vous pouvez seulement transférer des films en location entre l’iPhone et votre ordinateur si vous les avez en location dans iTunes sur votre ordinateur. 140 Chapitre 25 VidéosVisionnage de vidéos sur un téléviseur Vous pouvez également diffuser des vidéos sans fil sur un téléviseur en utilisant AirPlay et une Apple TV ou en connectant l’iPhone à votre téléviseur à l’aide de l’un des câbles suivants :  l’adaptateur AV numérique Apple et un câble HDMI (iPhone 4 ou modèle ultérieur) ;  le câble composante AV Apple ;  le câble AV composite Apple ;  Adaptateur VGA Apple et câble VGA Les câbles, adaptateurs et stations d’accueil Apple sont vendus séparément dans de nombreuses régions. Consultez la page www.apple.com/fr/store ou votre revendeur Apple local. Pour diffuser des vidéos à l’aide d’AirPlay : Lancez la lecture de la vidéo puis touchez et choisissez votre Apple TV dans la liste d’appareils AirPlay. Si n’apparaît pas ou que vous ne voyez pas votre Apple TV dans la liste des appareils AirPlay, assurez-vous qu’ils se trouvent sur le même réseau sans fil que l’iPhone. Pour plus d’informations, consultez la section « AirPlay » à la page 35. Lors de la lecture de la vidéo, vous pouvez quitter Vidéos et utiliser d’autres applications. Pour revenir à la lecture sur votre iPhone, touchez et choisissez l’iPhone. Diffuser des vidéos à l’aide d’un câble : Utilisez le câble pour connecter l’iPhone à votre téléviseur ou récepteur AV, et choisissez l’entrée correspondante. Connexion à l’aide d’un câble AV Utilisez le câble Composante AV Apple, Composite AV Apple, ou tout autre câble compatible iPhone autorisé. Vous pouvez également utiliser ces câ- bles avec la station d’accueil Apple Universal Dock pour connecter l’iPhone à votre téléviseur. Utilisez la télécommande de la station d’accueil pour contrôler la lecture. Connexion à l’aide d’un adaptateur AV numérique Apple (iPhone 4 ou modèle ultérieur) Connectez l’adaptateur AV numérique au connecteur Dock de l’iPhone. Utilisez un câble HDMI pour connecter le port HDMI de l’adaptateur à votre téléviseur ou récepteur. Pour conserver l’iPhone chargé tandis que vous regardez de vidéos, utilisez un câble Connecteur Dock vers USB pour connecter le port à 30 broches de l’adaptateur à votre ordinateur ou à un adaptateur secteur USB branché à une prise secteur. Connexion à l’aide d’un adaptateur VGA Connectez l’adaptateur VGA au connecteur Dock de l’iPhone. Connectez l’adaptateur VGA avec un câble VGA à un téléviseur, un projecteur ou un écran VGA compatible. L’adaptateur AV numérique prend en charge la vidéo haute définition jusqu’à 720p avec audio. Lorsque vous connectez l'iPhone 4S à un téléviseur ou un projecteur à l'aide d'un adaptateur AV numérique Apple ou un adaptateur VGA, la recopie vidéo de l’écran de l’iPhone a lieu automatiquement sur le moniteur externe à une résolution jusqu’à 1080p et les vidéos sont lues à une résolution jusqu’à 720p. Vous pouvez également effectuer une recopie vidéo sans fil de l’écran de l’iPhone 4S sur un télé- viseur à l’aide de la fonctionnalité Recopie vidéo d’AirPlay et d’une Apple TV. Consultez la section « AirPlay » à la page 35. Suppression de vidéos de l’iPhone Vous pouvez supprimer des vidéos de l’iPhone pour économiser de l’espace. La suppression d’une vidéo (autre qu’un film en location) de l’iPhone ne la supprime pas de votre bibliothèque iTunes. Elle peut réapparaître sur l’iPhone si la vidéo est toujours réglée pour une synchronisation dans iTunes. Chapitre 25 Vidéos 141Important : Si vous supprimez un film en location de l’iPhone, il est supprimé définitivement et ne peut pas être transféré à nouveau vers votre ordinateur. Pour supprimer des vidéos : Dans les listes de vidéos, balayez vers la gauche ou la droite sur la vidéo puis touchez Supprimer. Utilisation de Partage à domicile Le partage à domicile vous permet de lire de la musique, des films et des émissions de TV sur l’iPhone à partir de la biblitothèque iTunes de votre Mac ou PC. Consultez la section « Partage à domicile » à la page 88. Réglage d’un minuteur de veille Vous pouvez régler l’iPhone de manière à interrompre la lecture de musique ou de vidéos après un certain temps. Pour régler un minuteur de veille : Dans l’app Horloge, touchez Minuteur, puis feuilletez pour régler le nombre d’heures et de minutes. Touchez Sonnerie et choisissez Mettre l’iPod en veille ; touchez Choisir puis sur Démarrer pour lancer le minuteur. À l’expiration du délai choisi, l’iPhone interrompt la lecture de la musique ou de la vidéo, ferme les éventuelles apps ouvertes et se verrouille. Conversion de vidéos pour l’iPhone Vous pouvez ajouter à votre iPhone des vidéos autres que celles que vous avez achetées sur l’iTunes Store, comme des vidéos que vous avez créées dans iMovie sur un Mac ou des vidéos que vous avez téléchargées sur Internet, puis ajoutées à iTunes. Si vous essayez d’ajouter une vidéo sur l’iPhone à partir d’iTunes et qu’un message indique que la vidéo ne peut pas être lue sur l’iPhone, vous pouvez la convertir. Conversion d’une vidéo pour qu’elle fonctionne avec l’iPhone : Sélectionnez la vidéo dans votre bibliothèque iTunes et choisissez Avancé > « Créer une version iPod ou iPhone ». Ajoutez ensuite la vidéo convertie à l’iPhone. 142 Chapitre 25 VidéosCalculette 26 Utilisation de la calculette Touchez les chiffres et fonctions de la Calculette comme vous le feriez avec une véritable calculatrice. Lorsque vous touchez le bouton d’addition, de soustraction, de multiplication ou de division, un cadre blanc apparaît autour du bouton pour indiquer l’opération à effectuer. Mettez un numéro en mémoire. Effacez la mémoire. Effacez l’écran. Retirez un numéro de la mémoire. Obtenez un numéro à partir de la mémoire (un anneau blanc indique un numéro conservé en mémoire). Calculatrice scientifique Faites pivoter l’iPhone en orientation paysage pour afficher la calculatrice scientifique. 143Boussole 27 À propos de Boussole La boussole intégrée indique la direction vers laquelle votre iPhone est orienté, ainsi que les coordonnées de l’endroit où vous trouvez. Vous pouvez faire en sorte que la boussole indique le Nord magnétique ou le Nord géographique. Important : La précision de la boussole peut être diminuée par des interférences magnétiques ou d’autres interférences environnementales. Même les aimants dont sont pourvus les écouteurs de l’iPhone peuvent entraîner une déviation. Utilisez la boussole numérique uniquement comme une aide élémentaire à la navigation, et ne vous fiez pas à elle pour déterminer avec précision une position, la proximité par rapport à un lieu, la distance ou la direction. Si Service de localisation est désactivé lorsque vous ouvrez Boussole, il peut vous être demandé de l’activer. Vous pouvez utiliser Boussole sans avoir activé Service de localisation. Consultez la section « Service de localisation » à la page 177. Choisissez entre relevés magnétiques et réels. Emplacement actuel Trouvez la direction dans laquelle votre iPhone est orienté. Affichez l’endroit où vous vous trouvez dans Plans. Étalonnage de la boussole Vous devez étalonner la boussole lors de sa première utilisation, puis de temps en temps par la suite. L’iPhone vous avertit lorsqu’un étalonnage est nécessaire. Pour étalonner la boussole interne : Décrivez un huit avec l’iPhone. 144Recherche de la direction Pour trouver la direction dans laquelle votre iPhone est orienté : Tenez l’iPhone à plat dans votre main, parallèlement au sol. Sa direction apparaît en haut de l’écran et son emplacement s’affiche en bas. Basculer entre le nord géographique et le nord magnétique Touchez . Utilisation de Boussole avec Plans L’app Boussole vous indique également votre emplacement actuel et votre direction dans Plans. Pour en savoir plus, consultez la section « Recherche de lieux » à la page 110. Pour afficher l’endroit où vous vous trouvez dans Plans : Touchez au bas de l’écran Boussole. Plans s’ouvre et indique l’endroit où vous vous trouvez à l’aide d’un marqueur bleu. Pour afficher votre direction Dans Plans, touchez deux fois . L’icône devient alors . L’angle indique la précision de la boussole ; plus il est fermé, plus la précision est grande. Chapitre 27 Boussole 145Dictaphone 28 À propos de Dictaphone Dictaphone permet d’utiliser l’iPhone comme un appareil d’enregistrement audio portable en utilisant le micro intégré, le micro des écouteurs de l’iPhone, celui de votre oreillette Bluetooth ou un micro externe pris en charge. Les enregistrements réalisés à l’aide du micro intégré sont en mono, mais vous pouvez enregistrer en stéréo à l’aide d’un micro stéréo externe. Remarque : Les microphones externes doivent être conçus pour fonctionner avec la prise écouteurs de l’iPhone ou le connecteur Dock, ce qui est le cas des écouteurs de marque Apple et des accessoires tiers autorisés portant le logo Apple « Works with iPhone » ou « Made for iPhone ». Lancez, mettez en pause ou arrêtez l’enregistrement. Niveau d’enregistrement Affichez votre liste d’enregistrements. Enregistrement Pour effectuer un enregistrement : Touchez ou appuyez sur le bouton central des écouteurs de l’iPhone. Touchez pour mettre en pause ou pour arrêter l’enregistrement, ou appuyez sur le bouton central des écouteurs de l’iPhone. 146Ajuster le niveau d’enregistrement Rapprochez ou éloignez le micro de la source audio. Pour une meilleure qualité d’enregistrement, le niveau le plus élevé sur le VU-mètre doit être compris entre –3 dB et 0 dB. Pour lire ou couper le son de début/fin Utilisez le commutateur Sonnerie/Silence de l’iPhone (Dans certaines ré- gions, les effets sonores de Dictaphone sont émis, même si le commutateur Sonnerie/Silence est réglé sur Silence.) Pour utiliser une autre app lors d’un enregistrement Appuyez sur le bouton principal et ouvrez une app. Pour revenir à Dictaphone, touchez la barre rouge située en haut de l’écran. Écoute d’un enregistrement Pour lire un enregistrement : Touchez , un mémo, puis . Touchez pour mettre en pause. Raccourcissez ou renommez O·HQUHJLVWUHPHQW eFRXWH]O·HQUHJLVWUHPHQW -RLJQH]O·HQUHJLVWUHPHQW jXQFRXUULHUpOHFWURQLTXH RXjXQPHVVDJHWH[WH )DLWHVJOLVVHUSRXUSDVVHU jXQHQGURLWTXHOFRQTXH 3DVVH]GXKDXWSDUOHXUDXUpFHSWHXU Pour passer à n’importe quel endroit d’un enregistrement Faites glisser la tête de lecture le long du défileur. Pour écouter par le haut-parleur intégré de l’iPhone plutôt que le récepteur Touchez Haut-parleur. Pour raccourcir un enregistrement Touchez situé à côté de l’enregistrement, puis touchez Raccourcir. Faites glisser les bords de la séquence audio, puis touchez pour obtenir un aperçu. Ajustez si nécessaire, puis touchez Raccourcir l’enregistrement pour l’enregistrer. Les parties que vous supprimez ne peuvent pas être récupérées. Gestion et partage des enregistrements Un enregistrement est libellé en fonction de l’heure à laquelle il a été enregistré. Définir le libellé d’un enregistrement : Touchez en regard de l’enregistrement, touchez sur l’écran Infos, puis choisissez un libellé ou Personnalisé. Pour supprimer un enregistrement Touchez un enregistrement dans la liste, puis touchez Supprimer. Pour afficher les détails d’un enregistrement Touchez en regard de l’enregistrement. Pour envoyer un enregistrement par courrier électronique ou dans un message Touchez un enregistrement dans la liste, puis touchez Envoyer. Chapitre 28 Dictaphone 147Partage de mémos vocaux avec votre ordinateur iTunes peut synchroniser les mémos vocaux vers votre bibliothèque iTunes lorsque vous connectez l’iPhone à votre ordinateur. Lorsque vous synchronisez des mémos vocaux vers iTunes, ils restent dans l’app Dictaphone jusqu’à ce que vous les supprimiez. Si vous supprimez un mémo vocal sur l’iPhone, il n’est pas supprimé de la liste de lecture Mémos vocaux sur iTunes. Par contre, si vous supprimez un mémo vocal sur iTunes, il est supprimé de l’iPhone lors de la prochaine synchronisation avec iTunes. Pour synchroniser des mémos vocaux avec iTunes : Connectez l’iPhone à votre ordinateur et sélectionnez l’iPhone dans la liste des appareils d’iTunes. Sélectionnez Musique en haut de l’écran (entre Apps et Films), sélectionnez Synchroniser la musique, puis « Inclure les mémos vocaux », puis cliquez sur Appliquer. Les mémos vocaux de votre iPhone apparaissent dans la liste de lecture Mémos vocaux d’iTunes. 148 Chapitre 28 DictaphoneNike + iPod 29 À propos de Nike + iPod Avec un capteur Nike + iPod (vendu séparément), l’app Nike + iPod fournit des informations vocales sur votre vitesse, la distance, le temps écoulé et les calories brûlées lorsque vous marchez ou courez. Vous pouvez envoyer les informations de votre entraînement à nikeplus.com, où vous pouvez suivre vos progrès, définir des objectifs et prendre part à des défis. Visionnez l’historique de vos entraînements. Personnalisez-le en fonction de votre dernier entraînement. Choisissez un type d’entraînement. Choisissez un entraînement standard. Choisissez ou créez un entraînement personnalisé. Activation de Nike + iPod L’app Nike + iPod n’apparaît pas sur l’écran d’accueil tant que vous ne l’avez pas activée. Pour obtenir de l’aide sur la configuration de Nike + iPod, consultez la documentation correspondante. Pour activer Nike + iPod : Accédez à Réglages > Nike + iPod. Association d’un capteur Nike + iPod base ses données d’entraînement sur un signal provenant d’un capteur (vendu séparément), que vous pouvez fixer sur votre chaussure. La première fois que vous commencez un entraînement, vous êtes invité à activer votre capteur, ce qui l’associe automatiquement à l’iPhone. Vous pouvez également utiliser les réglages Nike + iPod pour associer un capteur à l’iPhone. 149Le système Nike + iPod ne peut associer qu’un capteur à la fois. Pour utiliser un autre capteur, utilisez les réglages Nike + iPod pour associer le nouveau capteur. Associer votre capteur à l’iPhone : Fixez le capteur à votre chaussure, puis accédez à Réglages > Nike + iPod > Capteur. Associer un autre capteur à l’iPhone Accédez à Réglages > Nike + iPod > Capteur, puis touchez Autre. Entraînement avec Nike + iPod Après avoir activé Nike + iPod et inséré le capteur Nike + iPod dans votre chaussure compatible Nike+, vous êtes prêt à collecter des données d’entraînement. Important : Avant de débuter tout programme d’exercice, vous devez consulter un médecin pour la réalisation d’un examen physique complet. Échauffez-vous ou étirez-vous avant de commencer toute séance d’entraînement. Soyez prudent et attentif pendant vos entraînements. Ralentissez, si nécessaire, avant d’ajuster votre appareil lorsque vous courez. Arrêtez-vous immédiatement si vous ressentez une douleur, si vous avez la tête qui tourne, ou si vous vous sentez mal, épuisé ou à bout de souffle. En faisant du sport, vous assumez le risque inhérent à l’exercice physique, notamment toute blessure qui pourrait résulter d’une telle activité. Pour vous entraîner en utilisant Nike + iPod : Ouvrez Nike + iPod, touchez Entraînements et choisissez un entraînement. La collecte de données se poursuit lorsque l’iPhone est en veille. Pour mettre en pause ou reprendre votre entraînement Si votre entraînement est interrompu, réactivez l’iPod et touchez sur l’écran verrouillé. Touchez lorsque vous êtes prêt. Pour mettre fin à votre entraînement Réactivez l’iPhone, touchez , puis touchez Terminer. Pour modifier les réglages d’entraînement Accédez à Réglages > Nike + iPod. Étalonnage de Nike + iPod Pour garantir la précision des données d’entraînement, vous pouvez étalonner Nike + iPod en fonction de la longueur de votre foulée de marche ou de course. Pour étalonner de Nike + iPod : Enregistrez un entraînement de course ou de marche sur une distance connue d’au moins 400 mètres. Ensuite, lorsque vous avez touché Terminer, touchez Étalonner sur l’écran de résumé de votre entraînement et saisissez la distance réelle parcourue. Pour réinitialiser l’étalonnage par défaut Accédez à Réglages > Nike + iPod. 150 Chapitre 29 Nike + iPodEnvoyer des données d’entraînement à nikeplus.com À l’adresse nikeplus.com, vous pouvez suivre vos progrès dans le temps, consulter un enregistrement de tous vos entraînements passés, définir et suivre des objectifs, et comparer vos résultats avec d’autres personnes. Vous pouvez même vous mesurer à d’autres utilisateurs de Nike + iPod lors de défis d’entraînement en ligne. Pour envoyer sans fil les données des données d’entraînement à nikeplus.com depuis votre iPhone : Alors que l’iPhone est connecté à Internet, ouvrez Nike + iPod, touchez Historique, puis « Envoyer à Nike+ ». Pour consulter vos entraînements sur nikeplus.com Dans Safari, accédez à nikeplus.com, connectez-vous à votre compte et suivez les instructions à l’écran. Chapitre 29 Nike + iPod 151iBooks 30 À propos d’iBooks L’app iBooks est un excellent moyen de lire et d’acheter des livres. Téléchargez l’app iBooks gratuite sur l’App Store puis obtenez sur l’iBookstore intégré des livres de tous les genres, des grands classiques aux best-sellers. Une fois que vous avez téléchargé un livre, il s’affiche dans votre étagère. Pour télécharger l’app iBooks et utiliser l’iBookstore, vous devez disposer d’une connexion Internet et d’un identifiant Apple. Si vous ne disposez pas d’un identifiant Apple ou que vous souhaitez effectuer des achats avec un autre identifiant Apple, accédez à Réglages > Store. Consultez la section « Réglages du Store » à la page 134. Remarque : L’app iBooks et l’iBookstore ne sont pas disponibles dans toutes les langues ni dans toutes les régions. Utilisation de l’iBookstore Dans l’app iBooks, touchez Store pour ouvrir l’iBookstore. Vous pouvez ensuite parcourir les livres sélectionnés ou les best-sellers, et rechercher des livres par auteur ou par sujet. Lorsqu’un livre vous intéresse, vous pouvez l’acheter et le télécharger. Remarque : Certaines fonctions de l’iBookstore peuvent ne pas être disponibles dans toutes les régions. Pour acheter un livre : Trouvez un livre qui vous intéresse, touchez le prix, puis touchez Acheter le livre ou Acquérir le livre, s’il est gratuit. Pour obtenir des informations sur un livre : Vous pouvez lire un résumé du livre, consulter un avis et télécharger un extrait du livre avant de l’acheter. Après avoir acheté un livre, vous pouvez donner votre propre avis. Télécharger un achat antérieur Touchez Achats. Vous pouvez également télécharger un article lorsque vous naviguez. Il vous suffit de toucher Télécharger là où vous voyez normalement le prix. Télécharger automatiquement des achats effectués sur d’autres appareils iOS et ordinateurs Dans Réglages, choisissez Store, puis activez les types d’achats que vous souhaitez télécharger automatiquement. 152Synchronisation de livres et de documents PDF Utilisez iTunes pour synchroniser vos livres et documents PDF entre l’iPhone et votre ordinateur et pour acheter des livres dans l’iTunes Store. Lorsque l’iPhone est connecté à votre ordinateur, le volet Livres vous permet de choisir quels éléments synchroniser. Vous pouvez également ajouter à votre bibliothèque iTunes des livres ePub sans DRM et des documents PDF. Des livres aux formats PDF et ePub sont disponibles sur le Web. Pour synchroniser un livre ePub ou un document PDF avec l’iPhone : Sur iTunes sur votre ordinateur, choisissez Fichier > Ajouter à la bibliothèque et sélectionnez le fichier. Sélectionnez le livre ou le document PDF dans le volet Livres d’iTunes, puis effectuez la synchronisation. Pour ajouter un livre ou un document PDF à iBooks sans effectuer une synchronisation, envoyezvous le fichier par courrier électronique depuis votre ordinateur. Ouvrez le courrier électronique sur l’iPhone, puis maintenez le doigt sur la pièce jointe et choisissez Ouvrir dans iBooks à partir du menu qui apparaît. Lecture de livres Il est facile de lire un livre. Accédez à l’étagère et touchez le livre que vous souhaitez lire. Si vous ne voyez pas le livre que vous recherchez, touchez le nom de la collection actuelle en haut de l’écran pour passer à d’autres collections. Touchez pour lancer la lecture. Allez sur une autre page. Ajoutez un signet. Lire un livre allongé : Verrouillez l’écran en mode portrait pour que l’iPhone ne fasse pas pivoter l’écran lorsque vous inclinez l’iPhone. Consultez la section « Affichage en orientation portrait ou paysage » à la page 22. Chaque livre propose un ensemble particulier de fonctionnalités, selon le contenu et le format. Certaines des fonctionnalités décrites ci-après peuvent ne pas être disponibles dans le livre que vous lisez. Par exemple, l’impression est disponible uniquement pour les documents PDF. En outre, si un livre n’inclut pas un récit enregistré, l’icône de lecture à voix haute ne s’affiche pas. Afficher les commandes Touchez à proximité du centre de la page. Tourner la page Touchez à proximité de la marge droite ou gauche de la page, puis feuilletez vers la droite ou la gauche. Pour modifier la direction vers laquelle la page tourne lorsque vous touchez la marge gauche, accédez à Réglages > iBooks > Toucher marge de gauche. Afficher la table des matières Touchez . Dans certains livres, vous pouvez également pincer les doigts pour afficher la table des matières. Chapitre 30 iBooks 153Pour ajouter ou supprimer un signet Touchez . Vous pouvez avoir plusieurs signets. Pour supprimer un signet, touchez-le. Vous n’avez pas besoin d’ajouter un signet lorsque vous fermez un livre, car iBooks enregistre automatiquement votre avancement. Pour ajouter ou supprimer un surlignage Touchez deux fois un mot et réglez les points d’accroche pour ajuster la sélection puis touchez Surlignage et choisissez une couleur. Pour supprimer un surlignage, touchez le texte surligné, puis touchez . Pour souligner des mots, touchez . Pour changer la couleur, touchez le texte surligné, touchez la couleur actuelle, puis sélectionnez une autre couleur dans le menu. Pour ajouter, supprimer ou modifier une note Touchez deux fois un mot, touchez Surligner, puis choisissez dans le menu qui s’affiche. Pour consulter une note, touchez l’indicateur qui se trouve dans la marge à proximité du texte surligné. Pour supprimer une note, supprimez le texte associé. Pour supprimer une note et le surlignage associé, touchez le texte surligné, puis touchez . Pour changer la couleur, touchez le texte surligné, puis sélectionnez une autre couleur dans le menu. Pour ajouter une note à un surlignage, touchez le texte surligné, puis touchez . Pour voir tous les signets Touchez , puis Signets. Pour voir toutes les notes Touchez , puis Notes. Pour agrandir une image Touchez deux fois l’image pour faire un zoom avant. Ouvrir une page spécifique Utilisez les commandes de navigation de page en bas de l’écran. Autrement, touchez et saisissez un numéro de page, puis touchez le numéro de la page dans les résultats de la recherche. Pour rechercher dans un livre Touchez . Pour effectuer des recherches sur le web, touchez Rechercher sur le web ou Rechercher dans Wikipédia. Safari s’ouvre et affiche les résultats. Pour rechercher d’autres occurrences d’un mot ou d’une expression Touchez deux fois un mot et réglez les points d’accroche pour ajuster la sélection puis touchez Rechercher dans le menu qui s’affiche. Pour rechercher un mot Touchez deux fois un mot et réglez les points d’accroche pour ajuster la sélection puis touchez Définir dans le menu qui s’affiche. Les définitions ne sont pas disponibles dans toutes les langues. Pour écouter un livre Touchez . Cette fonctionnalité n’est pas disponible pour tous les livres. Si vous possédez un handicap visuel, VoiceOver vous permet également de faire lire la plupart des livres à haute voix. Consultez la section « VoiceOver » à la page 157. iBooks stocke vos collections, signets, notes et informations sur la page actuelle à l’aide de votre identifiant Apple, ce qui vous permet de lire des livres de manière continue sur tous vos appareils iOS. iBooks enregistre les informations concernant tous vos livres lorsque vous ouvrez ou quittez l’app. Les informations concernant les livres individuels sont également enregistrées lorsque vous ouvrez ou fermez ces derniers. Activer ou désactiver la synchronisation : Accédez à Réglages > iBooks. Certains livres peuvent accéder à du contenu vidéo ou audio stocké sur le web. Activer ou désactiver l’accès à du contenu vidéo ou audio en ligne : Accédez à Réglages > iBooks > Audio et vidéo en ligne. 154 Chapitre 30 iBooksRemarque : Si l’iPhone présente une connexion de données cellulaires, la lecture de ces fichiers peut induire des frais facturés par l’opérateur. Modification de l’apparence d’un livre Certains livres permettent la modification de la taille des caractères, la police et la couleur de la page. Pour modifier la luminosité : Touchez le centre d’une page pour afficher les commandes, puis touchez . Si vous ne voyez pas , touchez d’abord . Pour modifier la police ou la taille des caractères Touchez le centre d’une page pour afficher les commandes, puis touchez . Touchez Polices pour sélectionner un type de caractère. Tous les livres ne gèrent pas la modification de la police. Certains livres vous permettent de modifier la taille des caractères uniquement lorsque l’iPhone est en orientation portrait. Pour changer la couleur de la page et du texte Touchez à proximité du centre d’une page pour afficher les commandes, touchez , puis touchez Thème. Ce réglage s’applique à tous les livres qui le prennent en charge. Pour activer ou désactiver la justification et la césure Accédez à Réglages > iBooks. Il est impossible d’appliquer une justification ou une césure sur certains livres ou documents PDF. Impression ou envoi par courrier d’un document PDF Vous pouvez utiliser iBooks pour envoyer une copie d’un document PDF par courrier électronique, ou l’imprimer en totalité ou en partie sur une imprimante compatible. Contrairement aux livres, vous pouvez envoyer des documents PDF par courrier électronique ou les imprimer. Pour envoyer un document PDF par courrier électronique : Ouvrez le document PDF, puis touchez et choisissez Envoyer par courrier. Un nouveau message apparaît, avec le document PDF joint. Lorsque vous avez fini d’adresser et de rédiger votre message, touchez Envoyer. Pour imprimer un document PDF Ouvrez le document PDF, puis touchez et choisissez Imprimer. Sélectionnez une imprimante, l’intervalle de pages et le nombre de copies, puis touchez Imprimer. Pour plus d’informations, consultez la section « Impression » à la page 29. Chapitre 30 iBooks 155Organisation de l’étagère Utilisez l’étagère pour explorer vos livres et documents PDF. Vous pouvez également organiser les éléments dans des collections. Touchez un livre et maintenez le doigt dessus pour réorganiser. Affichez les collections. Pour déplacer un livre ou un document PDF vers une collection : Accédez à l’étagère et touchez Modifier. Sélectionnez les éléments que vous souhaitez déplacer, puis touchez Déplacer et sélectionnez une collection. Lorsque vous ajoutez un livre ou un document PDF à votre étagère, il s’affiche dans la collection de vos livres ou documents PDF. À partir de là, vous pouvez le déplacer dans une collection différente, Par exemple, vous pouvez créer des collections pour le travail et la maison, ou pour les documents de référence et la lecture de loisir. Pour afficher une collection Touchez le nom de la collection actuelle en haut de l’écran, puis choisissez une nouvelle collection dans la liste. Pour gérer les collections Touchez le nom de la collection en cours d’affichage, par exemple Livres ou Documents PDF, afin d’afficher la liste des collections. Vous ne pouvez modifier ou supprimer les collections de livres et de documents PDF intégrées. Pour trier la bibliothèque Touchez la barre d’état pour faire défiler jusqu’en haut de l’écran, puis touchez et sélectionnez un mode de tri parmi les choix affichés au bas de l’écran. Pour supprimer un élément de l’étagère Touchez Modifier, puis touchez chaque livre ou document PDF que vous souhaitez supprimer de manière qu’une coche apparaisse. Touchez Supprimer. Lorsque vous avez fini, touchez Terminé. Si vous supprimez un livre acheté, vous pouvez le télécharger à nouveau depuis l’onglet Achats de l’iBookstore. Pour rechercher un livre Accédez à l’étagère. Touchez la barre d’état pour faire défiler jusqu’en haut de l’écran, puis touchez . La recherche concerne le titre et le nom de l’auteur. 156 Chapitre 30 iBooksAccessibilité 31 Fonctionnalités d’accès universel L’iPhone comporte de nombreuses fonctionnalités d’accessibilité dont :  VoiceOver  Acheminement de l’audio des appels  Siri  Zoom  Grande police  Blanc sur noir  Énoncer la sélection  Énonciation auto  Audio mono et balance  Mode appareil auditif (iPhone 4 GSM)  Vibreur personnalisé  Flash LED pour alertes  AssistiveTouch  Prise en charge des affichages Braille  Lecture de contenu avec sous-titres codés À l’exception de VoiceOver, ces fonctions d’accessibilité sont compatibles avec la plupart des apps pour iPhone, y compris les apps de tiers que vous pouvez télécharger dans l’App Store. VoiceOver fonctionne avec toutes les apps préinstallées sur l’iPhone, ainsi que de nombreuses apps de tierce partie. Pour plus d’informations sur les fonctionnalités d’accessibilité de l’iPhone, consultez la page www. apple.com/fr/accessibility. Vous pouvez activer ou désactiver chaque fonction d’accessibilité dans les réglages Accessibilité sur l’iPhone. Vous pouvez également activer ou désactiver certaines fonctionnalités sur iTunes lorsque l’iPhone est connecté à votre ordinateur. Activer les fonctions d’Accessibilité sur l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité. Activer les fonctions d’Accessibilité à l’aide d’iTunes : Connectez votre iPhone à votre ordinateur et sélectionnez l’iPhone dans la liste des appareils d’iTunes. Cliquez sur Résumé, puis sur Configurer Accès universel au bas de l’écran Résumé. Vous ne pouvez activer ou désactiver la fonctionnalité Grande police que dans les réglages de l’iPhone. Consultez la section « Grande police » à la page 170. VoiceOver VoiceOver décrit vocalement le contenu de l’écran, ce qui permet d’utiliser l’iPhone sans le voir. 157VoiceOver décrit chaque élément que vous sélectionnez à l’écran. Lorsque vous sélectionnez un élément, un rectangle noir (le curseur VoiceOver) l’entoure et VoiceOver énonce le nom de l’élé- ment ou le décrit. Touchez l’écran ou faites glisser vos doigts pour énoncer les différents éléments à l’écran. Lorsque du texte est sélectionné, VoiceOver lit le texte. Si l’option Énoncer les conseils est activée, VoiceOver peut vous renseigner sur le nom de l’élément ou vous fournir des instructions, par exemple « toucher deux fois pour ouvrir ». Pour interagir avec des éléments de l’écran, tels que des boutons et des liens, utilisez les gestes décrits dans « À propos des gestes de VoiceOver » à la page 161. Lorsque vous accédez à un nouvel écran, VoiceOver émet un son, puis sélectionne et lit automatiquement le premier élément de l’écran (généralement celui situé dans le coin supérieur gauche). VoiceOver vous avertit également lorsque l’orientation de l’écran passe de l’orientation paysage en portrait ou panorama ou que l’écran est verrouillé ou déverrouillé. Remarque : VoiceOver parle dans la langue définie dans les réglages International, qui peut dépendre du réglage Format régional (Réglages > Général > International > Format régional). VoiceOver est disponible dans de nombreuses langues, mais pas toutes. Configuration de VoiceOver Important : VoiceOver change les gestes utilisés pour contrôler l’iPhone. Lorsque le mode VoiceOver est activé, vous devez utiliser des gestes VoiceOver pour contrôler l’iPhone, même pour désactiver à nouveau VoiceOver et revenir au mode de fonctionnement standard. Remarque : Les fonctionnalités VoiceOver et Zoom ne peuvent pas être utilisées en même temps. Pour activer ou désactiver VoiceOver : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver. Vous pouvez également régler la fonction Triple clic sur le bouton principal de manière à activer ou désactiver VoiceOver. Consultez la section « Triple clic sur le bouton principal » à la page 169. Activer ou désactiver l’énonciation des conseils Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver. Si vous sélectionnez une commande (par exemple, un bouton ou un commutateur) et que l’option Énoncer les conseils est activée, VoiceOver peut vous renseigner sur la fonction de l’élément ou vous fournir des instructions, par exemple « toucher deux fois pour ouvrir ». Vous pouvez également ajouter la fonctionnalité Conseils au rotor, puis balayer vers le haut ou le bas pour ajuster le réglage. Consultez la section « Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver » à la page 162. Définir le débit vocal de VoiceOver Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver, et déplacez le curseur Débit vocal. Vous pouvez également ajouter la fonction Débit vocal au rotor, puis balayer vers le haut ou le bas pour ajuster le réglage. Consultez la section « Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver » à la page 162. Changer le mode de lecture du texte saisi Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Énoncer la saisie. Utiliser l’alphabet radio dans la lecture du texte saisi Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Alphabet radio. Le texte est lu caractère par caractère. VoiceOver commence par énoncer le caractère, puis son équivalent phonétique (par exemple, « f » puis « foxtrot »). 158 Chapitre 31 AccessibilitéPour utiliser le changement de ton Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Changement de ton. VoiceOver utilise une voix plus aiguë lors de la saisie d’un caractère et plus grave lors de la suppression d’un caractère. VoiceOver utilise également une voix plus aiguë lorsqu’il énonce le premier élément d’un groupe (par exemple liste ou tableau), et plus grave lorsqu’il en énonce le dernier. Régler des options du rotor Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Rotor. Touchez pour sélectionner ou désélectionner des options, ou faites glisser vers le haut pour repositionner un élément. Modifier la prononciation de VoiceOver Réglez le rotor sur Langue puis balayez vers le haut ou le bas. La position du rotor de langue est disponible lorsque vous sélectionnez plusieurs prononciations. Sélectionner les prononciations disponibles dans le rotor de langue Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Rotor de langue. Pour changer la position d’une langue dans la liste, faites glisser vers le haut ou le bas. Régler la langue de l’iPhone Accédez à Réglages > Général > International > Langue. Le réglage Format régional, dans Réglages > Général > International > Format régional, peut avoir un impact sur certaines langues. Passer les images pendant la navigation Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Parcourir les images. Vous pouvez choisir de passer toutes les images ou seulement celles qui ne possèdent pas de descriptions. Énoncer les notifications lorsque vous déverrouillez l’iPhone Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Lire les notifications. Si cette fonctionnalité est désactivée, l’iPhone n’énonce que l’heure lorsque vous le déverrouillez. Utilisation de VoiceOver Pour sélectionner des éléments à l’écran : Faites glisser votre doigt sur l’écran. VoiceOver identifie chaque élément que vous touchez. Vous pouvez aussi passer systématiquement d’un élément à l’autre en feuilletant l’écran vers la gauche ou la droite d’un seul doigt. Les éléments sont sélectionnés de la gauche vers la droite et de haut en bas. Feuilletez l’écran vers la droite pour passer à l’élément suivant ou vers la gauche pour passer au précédent. Activer la navigation verticale Ajoutez la navigation verticale au rotor, utilisez le rotor pour sélectionner cette fonctionnalité, puis balayez vers le haut ou le bas pour passer à l’élé- ment au-dessus ou au-dessous. Consultez la section « Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver » à la page 162. Sélectionner le premier ou le dernier élément à l’écran Feuilletez l’écran vers le haut ou le bas avec quatre doigts. Déverrouiller l’iPhone Sélectionnez le bouton Déverrouiller, puis touchez deux fois l’écran. Sélectionner un élément par son nom Touchez trois fois avec deux doigts n’importe où sur l’écran pour ouvrir le Sélecteur d’élément. Saisissez ensuite un nom dans le champ de recherche ou feuilletez vers la gauche ou vers la droite pour vous déplacer dans la liste par ordre alphabétique, ou touchez l’index du tableau à droite de la liste et feuilletez vers le haut ou le bas pour rapidement vous déplacer dans la liste des éléments. Renommer un élément à l’écran pour le trouver plus facilement Touchez et maintenez appuyés deux doigts sur l’écran. Énoncez le texte de l’élément sélectionné. Feuilletez vers le haut ou le bas avec un doigt pour lire le mot ou caractère suivant ou précédent (faites pivoter le rotor de contrôle pour choisir les caractères ou les mots). Vous pouvez inclure la lecture phonétique. Consultez la section « Configuration de VoiceOver » à la page 158. Chapitre 31 Accessibilité 159Pour interrompre l’énonciation d’un élément Touchez une fois avec deux doigts. Vous pouvez toucher à nouveau avec deux doigts pour reprendre l’énonciation. La lecture reprend automatiquement lorsque vous sélectionnez un autre élément. Modifier le volume de l’énonciation Utilisez les boutons de volume de l’iPhone, ou ajoutez le volume au rotor, puis balayez vers le haut ou le bas pour ajuster le réglage. Consultez la section « Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver » à la page 162. Pour désactiver VoiceOver Touchez deux fois l’écran avec trois doigts. Répétez l’action pour réactiver la fonction de lecture. Pour couper uniquement les sons VoiceOver, réglez le commutateur Sonnerie/Silence sur Silence. Si un clavier externe est connecté, vous pouvez également appuyer sur la touche Contrôle du clavier pour activer ou désactiver le son de VoiceOver. Modifier la voix d’énonciation Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Utiliser la voix compacte. Pour énoncer tout le contenu de l’écran en partant du début Feuilletez l’écran vers le haut avec deux doigts. Énoncer l’écran depuis l’élément courant jusqu’au bas de l’écran Feuilletez l’écran vers le bas avec deux doigts. Énoncer les informations sur l’état de l’iPhone Touchez le haut de l’écran, pour écouter l’heure, le niveau de charge de la batterie, la puissance du signal Wi-Fi, etc. « Toucher » l’élément sélectionné lorsque VoiceOver est activé : Touchez deux fois n’importe quel endroit de l’écran. « Toucher » deux fois l’élément sélectionné lorsque VoiceOver est activé Touchez trois fois n’importe quel endroit de l’écran. Régler un curseur D’un seul doigt, feuilletez vers le haut pour augmenter le réglage ou vers le bas pour le diminuer. VoiceOver annonce le réglage modifié. Défilement d’une liste ou d’une zone de l’écran Feuilletez l’écran vers le haut ou le bas avec trois doigts. Feuilletez l’écran vers le bas ou le haut pour parcourir la liste ou l’écran dans un sens ou dans l’autre. Si vous faites défiler les pages d’une liste, VoiceOver énonce la plage d’éléments affichée (par exemple, « affichage des lignes 5 à 10 »). Vous pouvez également faire défiler une liste en continu plutôt que page après page. Touchez deux fois et maintenez votre doigt sur l’écran. Lorsque vous entendez une série de sons, vous pouvez déplacer votre doigt vers le bas ou le haut pour faire défiler la liste. Le défilement continu s’arrête lorsque vous retirez le doigt. Utilisation d’un index de liste Certaines listes présentent un index alphabétique sur le côté droit. Vous ne pouvez pas sélectionner l’index en balayant votre doigt entre les éléments ; vous devez le toucher directement pour cela. Lorsque l’index est sélectionné, feuilletez vers le haut ou le bas pour faire défiler. Vous pouvez également toucher deux fois, puis faire glisser votre doigt vers le haut ou le bas. 160 Chapitre 31 AccessibilitéRéorganisation de liste Il est possible de réordonner certaines listes, notamment les Favoris dans Téléphone, et Rotor et Rotor de langue dans les réglages Accessibilité. Sélectionnez à droite d’un élément, touchez deux fois et maintenez votre doigt dessus jusqu’à entendre un son, puis faites glisser vers le haut ou le bas. VoiceOver énonce l’article déplacé vers le haut ou le bas en fonction de la direction de votre glissement. Personnaliser l’écran d’accueil Sur l’écran d’accueil, sélectionnez l’icône que vous souhaitez déplacer. Touchez deux fois l’icône et maintenez votre doigt dessus, puis faites-la glisser. VoiceOver énonce la position (ligne et colonne) à mesure que vous faites glisser l’icône. Relâchez l’icône lorsqu’elle est placée où vous le souhaitez. Vous pouvez faire glisser d’autres icônes. Faites glisser un élément vers le bord gauche ou droit de l’écran pour le déplacer vers une différente page de l’écran d’accueil. Lorsque vous avez terminé, appuyez sur le bouton principal . Activer ou désactiver le rideau d’écran. Touchez trois fois de suite avec trois doigts. Lorsque le rideau d’écran est activé, le contenu de l’écran est actif même si rien ne s’affiche. Déverrouiller l’iPhone sélectionnez le commutateur Déverrouiller et touchez deux fois l’écran. À propos des gestes de VoiceOver Lorsque le mode VoiceOver est activé, les gestes standard effectués sur l’écran tactile donnent des résultats différents. Ces gestes et d’autres permettent de se déplacer à l’écran et de contrôler les éléments sélectionnés. VoiceOver comprend des gestes de toucher ou de feuillettement à deux ou trois doigts. Pour de meilleurs résultats lors de l’utilisation de ces derniers, gardez les doigts détendus et écartez-les un peu lorsqu’ils touchent l’écran. Pour utiliser des gestes standard lorsque VoiceOver est activé, touchez deux fois l’écran et maintenez votre doigt dessus. Une série de sons indique que les gestes normaux sont activés. Ils demeurent activés jusqu’à ce que vous leviez votre doigt. Les gestes VoiceOver sont ensuite réactivés. Il existe plusieurs techniques pour utiliser des gestes dans VoiceOver. Vous pouvez par exemple utiliser deux doigts d’une main ou un doigt de chaque main pour toucher l’écran. Vous pouvez également utiliser vos pouces. « Toucher en deux temps » est souvent considéré comme très efficace : au lieu de sélectionner un élément puis de le toucher deux fois, vous pouvez toucher l’élément d’un doigt et maintenir le doigt dessus, puis toucher l’écran d’un autre doigt. Essayez différentes techniques pour découvrir celle qui vous convient le mieux. Si vos gestes ne fonctionnent pas, essayez des mouvements plus rapides, notamment pour toucher deux fois et feuilleter l’écran. Pour ce dernier geste, essayez de feuilleter rapidement l’écran d’un ou plusieurs doigts. Lorsque le mode VoiceOver est activé, le bouton Apprentissage des gestes apparaît pour vous permettre de vous entraîner aux gestes VoiceOver avant de continuer. Pour apprendre les gestes : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver, puis touchez Entraînement VoiceOver. Lorsque vous avez fini de vous exercer, touchez Terminé. Si le bouton Entraînement VoiceOver n’est pas visible, assurez-vous que le mode VoiceOver est activé. Les principaux gestes VoiceOver sont : Naviguer et lire  Toucher : énonce l’élément à voix haute.  Feuilleter vers la gauche ou la droite : sélectionne l’élément précédent ou suivant.  Feuilleter vers le haut ou le bas : varie selon le réglage du rotor de contrôle. Consultez la section « Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver » à la page 162.  Toucher avec deux doigts : arrête d’énoncer l’élément en cours. Chapitre 31 Accessibilité 161 Feuilleter vers le haut avec deux doigts : lit tout depuis le haut de l’écran.  Feuilleter vers le bas avec deux doigts : lit tout depuis la position actuelle.  Gratter avec deux doigts : déplacer deux doigts rapidement en dessinant un « z » fait disparaître une alerte ou revient à l’écran précédent.  Toucher trois fois avec deux doigts : ouvre le Sélecteur d’élément.  Feuilleter vers le haut ou le bas avec trois doigts : fait défiler page par page.  Feuilleter vers la gauche ou la droite avec trois doigts : affiche la page précédente ou suivante (par exemple l’écran d’accueil, Stocks ou Safari).  Toucher avec trois doigts : énonce des informations supplémentaires, telles que la position dans une liste ou si le texte est sélectionné.  Toucher le haut de l’écran avec quatre doigts : sélectionne le premier élément de la page.  Toucher le bas de l’écran avec quatre doigts : sélectionne le dernier élément de la page. Activer  Toucher deux fois : active l’élément sélectionné.  Toucher trois fois : touche deux fois l’élément.  Toucher en deux temps : au lieu de sélectionner un élément puis de le toucher deux fois, vous pouvez toucher l’élément d’un doigt et maintenir le doigt dessus, puis toucher l’écran d’un autre doigt pour l’activer.  Toucher un élément avec un seul doigt et toucher brièvement l’écran avec un autre doigt (geste en deux temps) : active l’élément.  Toucher deux fois et maintenir la position pendant 1 seconde + geste standard : utilise un geste standard. Lorsque vous touchez deux fois l’écran et maintenez la position, cela indique à l’iPhone que le prochain geste doit être interprété comme un geste standard. Par exemple, touchez deux fois l’écran et maintenez la position puis, sans soulever le doigt, faites-le glisser pour activer/désactiver un commutateur.  Toucher deux fois avec deux doigts : Permet de passer ou interrompre un appel. Lance la lecture ou la suspend dans Musique, Vidéos, YouTube, Dictaphone ou Photos. Prend une photo (Appareil photo). Démarre ou suspend l’enregistrement dans Appareil photo ou Dictaphone. Lance ou arrête le chronomètre.  Toucher deux fois avec deux doigts et maintenir la position : ouvre l’étiqueteuse d’élément.  Toucher trois fois avec deux doigts : ouvre le Sélecteur d’élément.  Toucher deux fois avec trois doigts : active ou désactive le son VoiceOver.  Toucher trois fois avec trois doigts : active ou désactive le rideau d’écran. Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver Le rotor de contrôle est une molette virtuelle que vous pouvez utiliser pour modifier le résultat obtenu lorsque vous feuilletez verticalement et que le mode VoiceOver est activé. Pour utiliser le rotor : Effectuez un mouvement circulaire avec deux doigts sur l’écran de l’iPhone autour d’un point entre vos doigts. 162 Chapitre 31 AccessibilitéModifier les options incluses dans le rotor : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Rotor et sélectionnez les options dont vous souhaitez disposer dans le rotor. L’effet du réglage du rotor varie selon l’application ouverte. Si vous lisez le texte d’un courrier électronique reçu, vous pouvez utiliser le rotor pour passer de la lecture mot à mot à la lecture caractère par caractère en feuilletant vers le haut ou le bas. Lorsque vous parcourez une page web, vous pouvez utiliser le réglage du rotor pour entendre tout le texte (mot à mot ou caractère par caractère) ou écouter seulement le texte d’un certain type, par exemple les titres ou les liens. Lecture de texte Sélectionner et écouter du texte par :  caractère, mot ou ligne. Énonciation Ajuster la voix VoiceOver par :  volume ou débit  Utiliser l’épellation, le changement de ton ou l’alphabet radio (à l’aide d’un clavier sans fil Apple) Consultez la section « Contrôle de VoiceOver à l’aide d’un clavier sans fil Apple » à la page 166. Navigation Sélectionner et écouter des éléments par :  caractère, mot ou ligne.  En-tête  lien, lien consulté, lien non consulté ou lien interne  Contrôle de formulaire  Tableau ou rang (lors de la navigation dans un tableau)  Liste  Repère  Image  Texte statique  Éléments du même type  Boutons  Champs de texte  Champs de recherche  Conteneurs (zones de l’écran telles que le Dock) Zoom avant ou arrière Saisie de texte Déplacer le point d’insertion et écouter du texte par :  caractère, mot ou ligne. Sélectionner la fonction d’édition Sélectionner la langue Utilisation d’une commande Sélectionner et écouter des valeurs par :  caractère, mot ou ligne. Chapitre 31 Accessibilité 163Ajustement de la valeur de l’objet de contrôle Saisie et édition de texte avec VoiceOver Lorsque vous sélectionnez un champ de texte avec VoiceOver, vous pouvez utiliser le clavier à l’écran ou un clavier externe connecté à l’iPhone pour saisir du texte. Vous pouvez saisir du texte de deux manières dans VoiceOver : saisie standard et saisie dactylographique. En saisie standard, sélectionnez une touche puis touchez deux fois l’écran pour saisir le caractère. En saisie dactylographique, touchez pour sélectionner une touche et le caractère est automatiquement saisi lorsque vous levez le doigt. La saisie dactylographique peut être plus rapide, mais elle demande plus de pratique que la saisie standard. VoiceOver vous permet également d’utiliser les fonctions d’édition de l’iPhone pour couper, copier ou coller du texte dans un champ de texte. Pour saisir du texte : Sélectionnez un champ de texte éditable, touchez deux fois pour afficher le point d’insertion sur le clavier à l’écran, puis saisissez des caractères.  Saisie standard : sélectionnez une touche du clavier en feuilletant vers la gauche ou la droite, puis touchez deux fois pour saisir le caractère. Une autre solution consiste à faire glisser le doigt sur le clavier pour sélectionner une touche, puis à maintenir le doigt dessus et à toucher l’écran avec un autre doigt. VoiceOver énonce la touche lorsque vous la sélectionnez et de nouveau lorsque le caractère est saisi.  Saisie dactylographique : touchez une touche du clavier pour la sélectionner, puis levez votre doigt pour saisir le caractère. Si vous touchez une touche incorrecte, déplacez votre doigt jusqu’à sélectionner celle que vous souhaitez. VoiceOver énonce le caractère correspondant à la touche que vous touchez, mais ne le saisit que lorsque vous levez le doigt. Remarque : La saisie dactylographique ne fonctionne que pour les touches qui saisissent du texte. Utilisez la saisie standard pour les autres touches, notamment Maj, Supprimer et Retour. Pour déplacer le point d’insertion : Feuilletez vers le haut ou le bas pour déplacer le point d’insertion vers l’avant ou l’arrière dans le corps du texte. Utilisez le rotor pour choisir si vous voulez déplacer le point d’insertion d’un caractère, d’un mot ou d’une ligne à l’autre. VoiceOver émet un son lorsque le point d’insertion se déplace et énonce le caractère, le mot ou la ligne sur lesquels il passe. Lorsque le déplacement est vers l’avant par mot, le point d’insertion est placé à la fin du mot traversé, avant l’espace ou le signe de ponctuation qui suit. Lorsque le déplacement est vers l’arrière, le point d’insertion est placé à la fin du mot précédent, avant l’espace ou le signe de ponctuation qui suit. Pour placer le point d’insertion après le signe de ponctuation suivant un mot ou une phrase, utilisez le rotor pour basculer en mode caractère. Lorsque le point d’insertion est déplacé ligne par ligne, VoiceOver énonce chaque ligne sur laquelle il passe. Lorsque le déplacement est vers l’avant, le point d’insertion est placé au début de la ligne suivante (sauf lorsque vous avez atteint la dernière ligne d’un paragraphe, auquel cas le point d’insertion est placé à la fin de la ligne énoncée). Lorsque le déplacement est vers l’arrière, le point d’insertion est placé au début de la ligne énoncée. 164 Chapitre 31 AccessibilitéChoisir entre saisies standard et dactylographique Activez VoiceOver et sélectionnez une touche du clavier, puis utilisez le rotor pour sélectionner Mode de saisie et feuilletez vers le haut ou le bas. Supprimer un caractère Sélectionnez et touchez deux fois ou touchez en deux temps. Vous devez effectuer cette opération même en saisie dactylographique. Pour supprimer plusieurs caractères, touchez la touche Supprimer, maintenez le doigt dessus puis touchez une fois l’écran d’un autre doigt pour chaque caractère à supprimer. VoiceOver énonce le caractère supprimé. Si vous avez activé la fonction Changement de ton, VoiceOver énonce les caractè- res supprimés d’une voix plus grave. Sélectionner du texte Réglez le rotor sur Modifier, puis feuilletez vers le haut ou le bas pour choisir Sélectionner ou Tout sélectionner, puis touchez deux fois l’écran. Si vous choisissez Sélectionner, le mot le plus proche du point d’insertion est sélectionné lorsque vous touchez deux fois. Si vous choisissez Tout sélectionner, le texte entier est sélectionné. Pincez ou écartez les doigts pour augmenter ou réduire la sélection. Couper, copier ou coller Assurez-vous que le rotor est réglé sur la modification. Sélectionnez du texte puis feuilletez vers le haut ou le bas pour choisir Couper, Copier ou Coller, puis touchez deux fois. Annuler Secouez l’iPhone, feuilletez vers la gauche ou vers la droite pour choisir l’action à annuler, puis touchez deux fois. Saisir un caractère accentué En mode de saisie standard, sélectionnez le caractère puis touchez-le deux fois et maintenez le doigt dessus jusqu’à entendre un son indiquant l’apparition d’autres caractères. Faites glisser vers la gauche ou vers la droite pour sélectionner et entendre les possibilités. Relâchez le doigt pour saisir la sélection en cours. Modifier la langue de saisie Réglez le rotor sur Langue puis feuilletez vers le haut ou le bas. Choisissez « langue par défaut » pour utiliser la langue précisée dans les réglages International. Le rotor de langue apparaît seulement lorsque vous sélectionnez plusieurs langues dans le réglage Rotor de langue de VoiceOver. Consultez la section « Configuration de VoiceOver » à la page 158. Appels téléphoniques avec VoiceOver Touchez deux fois l’écran avec deux doigts pour passer ou interrompre un appel. Lorsque le mode VoiceOver est activé et qu’un appel téléphonique est établi, l’écran affiche le clavier numérique par défaut et non les options d’appel. Cela facilite l’utilisation du clavier numérique pour répondre aux menus d’options des systèmes automatisés. Pour afficher les options d’appel : Sélectionnez le bouton Menu en bas à droite et touchez deux fois. Pour afficher à nouveau le clavier numérique : Sélectionnez le bouton Clavier au centre de l’écran et touchez deux fois. Utilisation de VoiceOver avec Safari Lorsque vous effectuez des recherches sur Internet dans Safari avec le mode VoiceOver activé, les éléments du rotor Résultats de recherche vous permettent d’entendre la liste des phrases de recherche suggérées. Pour effectuer des recherches sur le Web : Sélectionnez le champ de recherche, saisissez votre recherche, puis sélectionnez Résultats de recherche dans le rotor. Feuilletez vers la droite ou la gauche pour avancer ou reculer dans la liste, puis touchez deux fois l’écran pour effectuer des recherches sur le Web à l’aide de la phrase de recherche actuelle. Utilisation de VoiceOver avec Plan Avec VoiceOver, vous pouvez effectuer un zoom avant ou arrière, sélectionner des repères et obtenir des informations sur les lieux. Chapitre 31 Accessibilité 165Pour effectuer un zoom avant ou arrière : Sélectionnez le plan, utilisez le rotor pour choisir le mode de zoom, puis feuilletez vers le haut ou le bas pour effectuer un zoom avant ou arrière. Pour sélectionner une épingle : Touchez un repère ou feuilletez vers la gauche ou vers la droite pour passer d’un élément à un autre. Pour obtenir des informations sur une position géographique : lorsqu’une épingle est sélectionnée, touchez-la deux fois rapidement pour afficher l’écran d’informations. Balayez vers la gauche ou vers la droite pour sélectionner le bouton d’expansion, puis touchez deux fois l’écran pour afficher la page d’informations. Modification des vidéos et des mémos vocaux avec VoiceOver Vous pouvez utiliser des gestes VoiceOver pour raccourcir des vidéos d’Appareil photo et des enregistrements de Dictaphone. Pour raccourcir un mémo vocal : sur l’écran Mémos vocaux, sélectionnez le bouton à droite du mémo que vous voulez raccourcir, puis touchez-le deux fois rapidement. Sélectionnez ensuite Raccourcir, puis touchez deux fois l’écran. Sélectionnez le début ou la fin de l’outil de raccourcissement ; Balayez l’écran vers le haut pour faire défiler vers la droite ou balayez vers le bas pour le faire glisser vers la gauche. VoiceOver annonce la durée qui sera supprimée de l’enregistrement à partir de la position actuelle. Pour exécuter le raccourcissement, sélectionnez Raccourcir l’enregistrement et touchez deux fois l’option. Raccourcir une vidéo : lors de la lecture d’une vidéo dans Photos, touchez deux fois l’écran pour afficher les commandes vidéo puis sélectionnez le début ou la fin de l’outil de raccourcissement ; puis, balayez l’écran vers le haut pour faire défiler vers la droite ou balayez vers le bas pour le faire glisser vers la gauche. VoiceOver annonce la durée qui sera supprimée de l’enregistrement à partir de la position actuelle. Pour exécuter le raccourcissement, sélectionnez Raccourcir et touchez deux fois. Contrôle de VoiceOver à l’aide d’un clavier sans fil Apple Vous pouvez contrôler VoiceOver sur un iPhone à l’aide d’un clavier sans fil Apple. Consultez la section « Utilisation d’un clavier sans fil Apple Wireless Keyboard » à la page 28. Les commandes VoiceOver au clavier vous permettent d’explorer l’écran, sélectionner des élé- ments, lire le contenu de l’écran, ajuster le rotor et effectuer d’autres actions VoiceOver. Toutes ces commandes (sauf une) comprennent les touches Contrôle + Option, représentées par « VO » dans le tableau ci-dessous. L’Aide VoiceOver énonce les touches ou commandes du clavier lorsque vous les tapez. Vous pouvez utiliser l’Aide VoiceOver pour apprendre la disposition du clavier et les actions associées aux combinaisons de touches. Commandes VoiceOver au clavier VO = Contrôle + Option Tout lire depuis la position actuelle VO–A Lire à partir du haut VO–B Passer à la barre d’état VO–M Appuyer sur le bouton principal VO–H Sélectionner l’élément précédent ou suivant VO–Flèche droite ou VO–Flèche gauche Toucher un élément VO–Barre d’espace Toucher deux avec deux doigts VO–Signe - 166 Chapitre 31 AccessibilitéChoisir l’élément précédent ou suivant du rotor VO–Flèche haut ou VO–Flèche bas Choisir l’élément précédent ou suivant du rotor vocal VO–Commande–Flèche gauche ou VO–Commande–Flèche droite Ajuster l’élément du rotor vocal VO–Commande–Flèche haut ou VO–Commande–Flèche bas Activer ou désactiver le son VoiceOver VO–S Activer ou désactiver le rideau d’écran. VO–Maj-S Activer l’Aide VoiceOver VO–K Revenir à l’écran précédent ou dé- sactiver l’Aide VoiceOver Échap Navigation rapide Activez Navigation rapide pour contrôler VoiceOver à l’aide des touches fléchées. Navigation rapide est désactivée par défaut. Activer ou désactiver Navigation rapide Flèche gauche–Flèche droite Sélectionner l’élément précédent ou suivant Flèche droite ou Flèche gauche Sélectionner l’élément précédent ou suivant indiqué par le réglage du rotor Flèche haut ou Flèche bas Sélectionner le premier ou dernier élément Contrôle–Flèche haut ou Contrôle–Flèche bas Toucher un élément Flèche haut–Flèche bas Faire défiler vers le haut, le bas, la gauche ou la droite. Option–Flèche haut, Option–Flèche bas, Option–Flèche gauche, Option– Flèche droite Modifier le rotor Flèche haut–Flèche gauche ou Flèche haut–Flèche droite Vous pouvez également utiliser les touches numériques d’un clavier sans fil Apple pour composer un numéro dans Téléphone ou saisir des nombres dans Calculette. Navigation rapide à une lettre pour le Web Lorsque vous consultez une page web avec la fonctionnalité Navigation rapide activée, vous pouvez utiliser les touchez suivantes du clavier pour naviguer rapidement sur la page. Lorsque vous appuyez sur la touche, vous passez à l’élément suivant du type indiqué. Maintenez la touche Maj lorsque vous appuyez sur la lettre pour passer à l’élément précédent. H En-tête L Lien R Champ de texte B Bouton C Contrôle de formulaire I Image T Tableau S Texte statique Chapitre 31 Accessibilité 167W Repère ARIA X Liste M Élément du même type 1 En-tête de niveau 1 2 En-tête de niveau 2 3 En-tête de niveau 3 4 En-tête de niveau 4 5 En-tête de niveau 5 6 En-tête de niveau 6 Utilisation d’un afficheur Braille avec VoiceOver Un afficheur Braille Bluetooth actualisable vous permet de lire une sortie VoiceOver en mode braille. Vous pouvez également utiliser un afficheur Braille avec des touches d’entrée et d’autres commandes pour contrôler l’iPhone lorsque VoiceOver est activé. L’iPhone fonctionne avec de nombreux afficheurs Braille sans fil. Pour obtenir la liste des afficheurs Braille gérés, consultez la page web www.apple.com/fr/accessibility/iphone/braille-display.html. Pour configurer un afficheur Braille : Activez l’afficheur, puis accédez à Réglages > Général > Bluetooth et activez Bluetooth. Ensuite, accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Braille et choisissez l’afficheur. Activer ou désactiver l’option Braille contracté Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Braille. Activer ou désactiver le braille à huit points Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Braille. Pour plus d’informations sur les commandes Braille courantes pour la navigation VoiceOver et obtenir des informations spécifiques à certains afficheurs, consultez le site support.apple.com/kb/ HT4400?viewlocale=fr_FR. L’afficheur Braille utilise la langue définie pour Contrôle vocal. Il s’agit normalement de la langue définie pour l’iPhone dans Réglages > International > Langue. Vous pouvez utiliser le réglage de langue VoiceOver pour définir une langue différente pour VoiceOver et les afficheurs Braille. Pour régler la langue de VoiceOver : Accédez à Réglages > Général > International > Contrôle vocal, puis sélectionnez la langue. Si vous modifiez la langue de l’iPhone, vous devrez peut-être réinitialiser celle de VoiceOver et de votre afficheur Braille. Vous pouvez configurer la cellule la plus à gauche ou la plus à droite de votre afficheur Braille de manière à indiquer l’état du système et d’autres informations :  L’historique des annonces contient un message non lu  Le message actuel de l’historique des annonces n’a pas été lu  VoiceOver est inaudible  La charge de la batterie de l’iPhone est faible (inférieure à 20 %).  L’iPhone est en orientation paysage  L’écran est éteint  La ligne actuelle contient du texte supplémentaire sur la gauche 168 Chapitre 31 Accessibilité La ligne actuelle contient du texte supplémentaire sur la droite Pour configurer la cellule la plus à gauche ou la plus à droite de manière à indiquer des informations sur l’état : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Braille > Cellule d’état, puis touchez Gauche ou Droite. Pour voir une description étendue de la cellule d’état : Sur votre afficheur Braille, appuyez sur le bouton du routeur de la cellule d’état. Acheminement de l’audio des appels entrants Vous pouvez acheminer automatiquement l’audio des appels entrants vers l’oreillette ou le hautparleur, plutôt que le récepteur de l’iPhone. Réacheminer l’audio des appels : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Appels reçus et choisissez où vous souhaitez entendre vos appels. Siri Avec Siri, vous n’avez qu’à demander pour effectuer une action avec votre iPhone, et VoiceOver peut lire les réponses de Siri pour vous. Pour en savoir plus, consultez la section Chapitre 4, « Siri, » à la page 41. Triple clic sur le bouton principal La fonctionnalité Triple clic sur le bouton principal offre un moyen simple d’activer ou de désactiver certaines fonctionnalités d’Accessibilité lorsque vous appuyez rapidement sur le bouton principal à trois reprises. Vous pouvez configurer le Triple clic sur le bouton principal pour :  Activer ou désactiver VoiceOver  Activer ou désactiver Blanc sur noir  Activer ou désactiver le zoom  Activer ou désactiver AssistiveTouch Vous pouvez également configurer le Triple clic sur le bouton principal de manière à disposer des options suivantes : activer ou désactiver VoiceOver, Blanc sur noir ou le zoom. Le Triple clic sur le bouton principal est désactivé par défaut. Pour régler la fonction Triple clic sur le bouton principal : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Triple clic sur le bouton principal. Zoom De nombreuses apps iPhone vous permettent d’effectuer un zoom avant ou arrière sur des élé- ments spécifiques. Par exemple, vous pouvez toucher deux fois ou pincer pour développer les colonnes d’une page web dans Safari. La fonction Zoom est également une fonction d’accessibilité spéciale avec laquelle vous pouvez agrandir la fenêtre de chaque app pour vous aider à mieux voir ce qui est affiché. Lorsque vous utilisez la fonction Zoom avec un clavier sans fil Apple Wireless Keyboard (voir la section « Utilisation d’un clavier sans fil Apple Wireless Keyboard » à la page 28), l’image de l’écran suit le point d’insertion en le conservant au centre de l’affichage. Pour activer ou désactiver le zoom : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Zoom ou utilisez le Triple clic sur le bouton principal. Consultez la section « Triple clic sur le bouton principal » à la page 169. Chapitre 31 Accessibilité 169Remarque : Les fonctionnalités VoiceOver et Zoom ne peuvent pas être utilisées en même temps. Zoom avant ou arrière Touchez l’écran deux fois de suite avec trois doigts. Le niveau d’agrandissement de l’écran est réglé par défaut sur 200 pour cent. Si vous modifiez l’agrandissement manuellement (en utilisant le geste de toucher-glisser décrit plus loin), l’iPhone revient automatiquement à cet agrandissement lorsque vous effectuez un zoom avant en touchant l’écran deux fois de suite avec trois doigts. Augmenter l’agrandissement Avec trois doigts, touchez l’écran, puis faites glisser les doigts vers le haut de l’écran (pour augmenter l’agrandissement) ou vers le bas (pour le diminuer). Le geste du toucher-glisser est semblable au double toucher, sauf que vous ne relevez pas vos doigts au second toucher, mais les faites glisser sur l’écran. Une fois que vous commencez à faire glisser, vous pouvez le faire avec un seul doigt. Se déplacer à l’écran Lorsque vous avez fait un zoom avant, faites glisser ou feuilletez l’écran avec trois doigts. Lorsque vous commencez à faire défiler l’écran, vous pouvez utiliser un seul doigt pour voir le reste. Maintenez un seul doigt près du bord de l’écran pour faire défiler l’écran dans cette direction. Rapprochez le doigt du bord pour augmenter la vitesse du panoramique. Chaque fois que vous ouvrez un nouvel écran, la fonction Zoom affiche toujours la partie supérieure du milieu de l’écran. Grande police L’option Grande police vous permet d’agrandir le texte des alarmes, Calendrier, Contacts, Mail, Messages et Notes. Pour sélectionner la taille du texte : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Grande police. Blanc sur noir Utilisez la fonctionnalité Blanc sur noir pour inverser les couleurs de l’écran de l’iPhone, ce qui peut en faciliter la lecture. Lorsque la fonctionnalité Blanc sur noir est activée, l’écran ressemble à un négatif photographique. Pour inverser les couleurs de l’écran : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Blanc sur noir. Énoncer la sélection Même lorsque VoiceOver est désactivé, l’iPhone peut énoncer tout le texte que vous sélectionnez. Activer Énoncer la sélection et ajuster la vitesse d’énonciation : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Énoncer la sélection. Se faire énoncer du texte Sélectionnez le texte, puis touchez Énoncer. Énonciation auto Avec la fonction Énonciation, les corrections apportées au texte et les suggestions proposées par l’iPhone lorsque vous tapez sont lues à haute voix. Pour activer ou désactiver Énonciation : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Énonciation auto. La fonction Énonciation est également compatible avec les applications VoiceOver et Zoom. 170 Chapitre 31 AccessibilitéAudio mono La fonctionnalité Audio mono combine les canaux stéréo gauche et droit en un seul signal mono émis sur les deux canaux. Vous pouvez ajuster la balance du signal mono pour augmenter le volume à gauche ou à droite. Pour activer ou désactiver Audio mono : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Audio mono. Compatibilité avec les appareils auditifs La FCC a adopté des règles concernant la compatibilité des appareils auditifs (HAC) pour les téléphones numériques sans fil. Ces règles forcent le test et l’évaluation de certains téléphones conformément aux normes ANSI (American National Standard Institute) C63.19-2007 de compatibilité des appareils auditifs. La norme ANSI de compatibilité des appareils auditifs comporte deux types de classement : un « M » pour la réduction d’interférence de fréquence radio pour permettre un couplage acoustique avec les appareils auditifs qui ne fonctionnent pas en mode télébobine, et un « T » pour le couplage inductif avec les appareils auditifs fonctionnant en mode télébobine. Ces évaluations sont effectuées sur une échelle de un à quatre, quatre représentant la meilleure compatibilité. Un téléphone est considéré comme compatible avec les appareils auditifs conformément aux normes FCC s’il est évalué M3 ou M4 pour le couplage acoustique et T3 ou T4 pour le couplage inductif. Pour connaître les évaluations de compatibilité avec les appareils auditifs de l’iPhone, consultez la page http://support.apple.com/kb/HT4526?viewlocale=fr_FR. Les évaluations de compatibilité des appareils auditifs ne garantissent pas qu’un appareil auditif donné fonctionne avec un téléphone donné. Certains appareils auditifs peuvent bien fonctionner avec des téléphones qui n’atteignent pas une évaluation donnée. Pour garantir l’interopérabilité entre un appareil auditif et un téléphone, utilisez ceux-ci ensemble avant l’achat. Mode Appareil auditif Les modèles iPhone 4 GSM possèdent un mode appareil auditif qui peut réduire les interférences avec certains appareils auditifs lorsqu’il est activé. Le mode appareil auditif réduit la puissance de transmission du téléphone portable dans la bande GSM 1900 MHz et peut aboutir à une perte de couverture réseau du téléphone portable 2G. Activer Mode Appareil auditif (GSM iPhone 4) : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité. Vibreur personnalisé Vous avez la possibilité d’attribuer des modèles de vibration particuliers pour les appels téléphoniques ou FaceTime provenant de contacts importants. Choisissez parmi des modèles existants ou créez-en un nouveau. Activer Vibreur personnalisé : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Vibreur personnalisé. Choisir le modèle de vibration pour un contact Dans Contacts, choisissez un contact, puis touchez « vibration ». Si « vibration » n’apparaît pas dans les informations du contact, touchez Modifier et ajoutez-le. Créer un modèle de vibration Lors de la modification des informations d’un contact, touchez « vibration » puis touchez Créer une vibration. Vous pouvez également accéder à Réglages > Sons > Vibration > Créer une vibration. Définir un modèle de vibration comme par défaut Accédez à Réglages > Sons > Vibration, puis choisissez un modèle. Chapitre 31 Accessibilité 171Flash LED pour alertes Si vous ne pouvez pas entendre les sons annonçant des appels entrants ou d’autres alertes, la DEL de l’iPhone (à côté de l’objectif à l’arrière de l’appareil) peut clignoter. Cela fonctionne uniquement lorsque l’iPhone est verrouillé ou en veille. Disponible pour l’iPhone 4 ou les modèles ultérieurs. Activer la DEL clignotante pour les alertes : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Flash LED pour alertes. AssistiveTouch AssistiveTouch vous aide dans votre utilisation de l’iPhone si vous avez des difficultés à toucher l’écran ou à appuyer sur les boutons. Vous pouvez utiliser un accessoire adaptatif compatible (tel qu’une manette), ainsi que AssistiveTouch pour commander l’iPhone. Vous pouvez également utiliser AssistiveTouch sans accessoire pour effectuer des gestes qui vous sont compliqués. Activer AssistiveTouch : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > AssistiveTouch. Vous pouvez également régler la fonction Triple clic sur le bouton principal de manière à activer ou désactiver AssistiveTouch : accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Triple clic sur le bouton principal. Ajuster la vitesse de déplacement Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > AssistiveTouch > Vitesse de touche. Afficher ou masquer le menu AssistiveTouch Cliquez sur le bouton secondaire de votre accessoire. Masquer le bouton de menu Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > AssistiveTouch > Toujours afficher le menu. Feuilleter ou faire glisser avec 2, 3, 4, ou 5 doigts Touchez le bouton de menu, touchez Gestes, puis touchez avec le nombre de doigts requis pour l’action. Lorsque le cercle correspondant apparaît à l’écran, feuilletez ou faites glisser dans la direction requise par le geste. Lorsque vous terminez, touchez le bouton de menu. Pincer Touchez le bouton de menu, touchez Favoris, puis touchez Pincer. Lorsque les cercles de pincement apparaissent, touchez l’écran pour les déplacer, puis faites-les glisser vers l’intérieur ou l’extérieur pour effectuer un geste de pincement. Lorsque vous terminez, touchez le bouton de menu. Créer votre propre geste Touchez le bouton de menu, touchez Favoris, puis touchez un geste fictif vide. Vous pouvez également accéder à Réglages > Général > Accessibilité > AssistiveTouch > Créer un geste personnalisé. Verrouiller ou faire pivoter l’écran, ajuster le volume de, basculer entre Sonnerie/Silence ou simuler la secousse de l’iPhone Touchez le bouton de menu, puis touchez Appareil. Simuler l’appui sur le bouton principal Touchez le bouton de menu, puis touchez Principal. Déplacer le bouton de menu Faites-le glisser n’importe où sur l’écran. Quitter un menu sans effectuer de geste Touchez en dehors du menu. Accès universel sous OS X Tirez parti des fonctionnalités d’accès universel de OS X lorsque vous utilisez iTunes pour synchroniser des données de votre bibliothèque iTunes avec votre iPhone. Dans le Finder, choisissez Aide > Centre d’aide, puis recherchez « accès universel ». 172 Chapitre 31 AccessibilitéPour plus d’informations sur les fonctions d’accessibilité de l’iPhone et d’OS X, consultez la page www.apple.com/fr/accessibility. Assistance TTY Utilisez le câble d’adaptateur TTY pour l’iPhone (vendu séparément dans de nombreuses régions) pour connecter votre iPhone à un téléscripteur. Accédez à la page www.apple.com/fr/store (non disponible dans toutes les régions) ou consultez votre revendeur Apple local. Connexion de l’iPhone à un téléscripteur : Accédez à Réglages > Téléphone puis activez TTY. Connectez ensuite votre iPhone au téléscripteur à l’aide de l’adaptateur TTY pour l’iPhone. Lorsque TTY est activé sur l’iPhone, l’icône TTY ( ) apparaît dans la barre d’état en haut de l’écran. Pour plus d’informations sur l’utilisation d’un téléscripteur particulier (compatible TTY), reportezvous à la documentation fournie avec l’appareil. Taille minimale de police pour les messages Mail Pour augmenter la lisibilité, vous pouvez choisir pour le texte des messages électroniques la taille de caractères minimum équivalente à Grande, Très grande ou Géante. Régler la taille de police minimale pour les messages : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Taille des caractères. Le réglage Très grande outrepasse cette taille de caractères minimale. Sonneries assignables Vous pouvez assigner des sonneries distinctives à des membres de votre liste de contact pour bénéficier d’une identification audible de l’appelant. Vous pouvez acheter des sonneries à partir de l’iTunes Store sur l’iPhone. Consultez la section « Achat de musique, livres audio et sons » à la page 127. Messagerie vocale visuelle Les commandes de lecture et de pause de la messagerie vocale visuelle permettent de contrôler la lecture des messages. Faites glisser la tête de lecture sur le défileur pour répéter une partie du message difficile à comprendre, par exemple. Consultez la section « Consultation de votre messagerie vocale » à la page 65. Larges claviers à l’écran De nombreuses apps dont Mail, Safari, Messages, Notes et Contacts vous permettent de faire pivoter l’iPhone lorsque vous tapez pour bénéficier d’un clavier plus grand. Grand clavier téléphonique Passez des appels simplement en touchant les entrées de vos listes de vos contacts et de favoris. Le grand clavier numérique de l’iPhone peut faciliter la composition de numéro. Consultez la section « Appels téléphoniques » à la page 60. Chapitre 31 Accessibilité 173Contrôle vocal Contrôle vocal vous permet de téléphoner et de contrôler la lecture de la musique à l’aide de commandes vocales. Consultez les sections « Composition vocale » à la page 61 et « Utilisation de Siri ou Contrôle vocal avec Musique » à la page 85. Sous-titres codés Activer le sous-titrage codé pour les vidéos : Accédez à Réglages > Vidéo > Accessibilité > Soustitres codés. Tout le contenu vidéo ne contient pas des sous-titres codés. 174 Chapitre 31 AccessibilitéRéglages 32 Réglages vous permet de configurer l’iPhone et les options des apps, d’ajouter des comptes et de saisir d’autres préférences. Mode Avion Le mode Avion désactive les fonctions sans fil pour réduire toute interférence potentielle avec le fonctionnement de l’appareil et d’autres équipements électriques. Pour activer le mode Avion : Accédez à Réglages et activez le mode Avion. Lorsque le mode Avion est activé, apparaît dans la barre d’état en haut de l’écran. Aucun signal téléphonique, Wi-Fi ou Bluetooth n’est émis à partir de l’iPhone et la réception GPS est désactivée. Vous ne pouvez pas utiliser des apps ou des fonctionnalités qui nécessitent ces signaux, telles que la connexion à Internet, l’appel, l’envoi de messages, la réception d’appels ou de messages, la messagerie vocale visuelle, etc. Si l’opérateur de l’avion et les lois et réglementations en vigueur le permettent, vous pouvez écouter votre musique, regarder des vidéos, consulter vos messages électroniques, vos calendriers et des données précédemment reçues, et utiliser des apps qui n’ont pas besoin de connexion à Internet. Si le Wi-Fi est disponible et permis par l’opérateur de l’avion et les lois et réglementations en vigueur, accédez à Réglages > Wi-Fi pour l’activer. Vous pouvez activer Bluetooth dans Réglages > Général > Bluetooth. Wi-Fi Accès à des réseaux Wi-Fi Les réglages Wi-Fi déterminent si l’iPhone utilise des réseaux locaux Wi-Fi pour se connecter à Internet. Lorsque l’iPhone est connecté à un réseau Wi-Fi, l’icône Wi-Fi située dans la barre d’état en haut de l’écran indique la puissance du signal. Le nombre de barres affichées est proportionnel à la qualité du signal. Si aucun réseau Wi-Fi n’est disponible ou que vous avez désactivé le mode Wi-Fi, alors l’iPhone se connecte à Internet via votre réseau de données cellulaire, lorsque celui-ci est disponible. Une fois que vous avez rejoint un réseau Wi-Fi, l’iPhone s’y connecte automatiquement chaque fois que le réseau est à portée. Si plusieurs réseaux déjà utilisés se trouvent à portée, l’iPhone se connecte au dernier réseau utilisé. Vous pouvez également utiliser l’iPhone pour configurer une borne d’accès AirPort qui fournit des services Wi-Fi chez vous ou au bureau. Consultez la section « Configuration d’une borne d’accès AirPort » à la page 176. 175Pour activer et désactiver le mode Wi-Fi : Accédez à Réglages > Wi-Fi. Régler l’iPhone de manière qu’il confirme l’accès à un nouveau réseau Accédez à Réglages > Wi-Fi et activez ou désactivez l’option « Confirmer l’accès ». Si l’option « Confirmer l’accès » est désactivée, vous devez rejoindre manuellement un réseau pour vous connecter à Internet lorsqu’aucun réseau déjà utilisé n’est disponible. Oublier un réseau de sorte que l’iPhone ne s’y connecte plus Accédez à Réglages > Wi-Fi et touchez situé à côté d’un réseau auquel vous vous êtes connecté auparavant. Touchez ensuite « Oublier ce réseau ». Rejoindre un réseau Wi-Fi fermé Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi ne figurant pas dans liste des ré- seaux découverts, accédez à Réglages > Wi-Fi > Autre et saisissez le nom du réseau. Vous devez connaître le nom du réseau, le mot de passe et le type de sécurité afin de vous connecter à un réseau fermé. Ajuster les réglages de connexion à un réseau Wi-Fi Accédez à Réglages > Wi-Fi et touchez situé à côté d’un réseau. Vous pouvez configurer un proxy HTTP, définir des réglages réseau, activer BootP ou renouveler les réglages fournis par un serveur DHCP. Configuration d’une borne d’accès AirPort Une borne d’accès AirPort fournit une connexion Wi-Fi pour votre maison, votre école ou le réseau d’une petite entreprise. Configurez de nouvelles bornes d’accès AirPort Express, AirPort Extreme ou Time Capsule avec l’iPhone. Utiliser l’Assistant réglages AirPort : Accédez à Réglages > Wi-Fi. Sous « Configurer une borne d’accès AirPort », touchez le nom de la borne d’accès à configurer. Suivez ensuite les instructions à l’écran. Certaines bornes d’accès AirPort plus anciennes ne peuvent pas être configurées à l’aide d’un appareil iOS. Pour obtenir les instructions de configuration, consultez la documentation fournie avec la borne d’accès. Si la borne d’accès que vous souhaitez configurer ne figure pas dans la liste, assurez-vous qu’elle est alimentée, que vous êtes à portée et qu’elle n’a pas déjà été configurée. Vous ne pouvez configurer que de nouvelles bornes d’accès ou qui ont été réinitialisées. Si votre borne d’accès AirPort est déjà configurée, l’app Utilitaire AirPort de l’App Store vous permet de changer ses réglages et de contrôler son statut sur l’iPhone. Notifications Les notifications Push apparaissent dans le Centre de notifications et vous préviennent de l’existence de nouvelles informations, même si une app n’est pas ouverte. Les notifications varient d’une app à l’autre, mais il peut s’agir d’alertes texte ou sonores et d’une pastille numérotée sur l’icône de l’app, sur l’écran d’accueil. Vous pouvez désactiver les notifications si vous ne souhaitez pas être averti, et vous pouvez modifier l’ordre d’apparition des notifications. Pour activer ou désactiver les notifications : Accédez à Réglages > Notifications. Touchez un élé- ment de la liste, puis activez ou désactivez les notifications pour cet élément. Les apps pour lesquelles les notifications sont désactivées apparaissent dans la liste « Hors Centre de notifications ». 176 Chapitre 32 RéglagesChanger le nombre de notifications Accédez à Réglages > Notifications, puis choisissez un élément dans la liste Dans le Centre de notifications. Touchez Afficher pour définir le nombre de notifications du type devant apparaître dans le Centre de notifications. Modifier les styles d’alerte Accédez à Réglages > Notifications, puis choisissez un élément dans la liste Dans le Centre de notifications. Choisissez un type d’alerte ou sélectionnez Aucune pour désactiver les alertes et les bannières. Les notifications apparaissent toujours dans le Centre de notifications. Changer l’ordre des notifications Accédez à Réglages > Notifications, puis touchez Modifier. Faites glisser les notifications pour les placer dans l’ordre souhaité. Pour désactiver une notification, faites-la glisser dans la liste Hors du Centre de notifications. Afficher des pastilles numérotées sur les apps avec des notifications Accédez à Réglages > Notifications, puis choisissez un élément dans la liste dans le Centre de notifications et activez Pastille sur icône d’app. Masquer les alertes lorsque l’iPhone est verrouillé Accédez à Réglages > Notifications, puis choisissez une app dans la liste dans le Centre de notifications. Désactivez « Sur l’écran verrouillé » pour masquer les alertes de l’app lorsque l’iPhone est verrouillé. Certaines apps possèdent des options supplémentaires. Par exemple, Messages vous permet de préciser le nombre de répétitions de la sonnerie de l’alerte et si des aperçus des messages apparaissent dans la notification. Service de localisation Service de localisation permet aux apps telles que Rappels, Plans et Appareil photo, et aux apps tierces de recueillir et d’utiliser des données indiquant votre position. Les données de localisation collectées par Apple le sont dans un format anonyme. Votre position approximative est déterminée à l’aide des données disponibles transmises par le réseau de téléphonie mobile, les réseaux Wi-Fi locaux (si vous avez activé le Wi-Fi) et le système GPS (non disponible dans toutes les ré- gions). Pour économiser l’autonomie de la batterie, désactivez Service de localisation lorsque vous ne l’utilisez pas. Lorsqu’une app utilise Service de localisation, apparaît dans la barre de menus. Chaque app et service système qui utilise le Service de localisation apparaît dans l’écran de réglages Service de localisation, indiquant si le service de localisation est ou non activé pour l’app en question. Si vous ne souhaitez pas utiliser Service de localisation, vous pouvez le désactiver pour l’ensemble ou la plupart des apps et services. Si vous désactivez Service de localisation, vous êtes invité à le réactiver la prochaine fois qu’une app ou un service tente d’utiliser cette fonctionnalité. Si vous disposez sur l’iPhone d’apps tierces qui utilisent Service de localisation, passez en revue les conditions générales et la politique de confidentialité de chaque app pour comprendre comment elles utilisent vos données de localisation. Activer ou désactiver Service de localisation : Accédez à Réglages > Service de localisation. VPN Les connexions VPN utilisées au sein d’organisations vous permettent de communiquer des informations privées de manière sécurisée sur un réseau non privé. Vous pouvez être amené à configurer un réseau VPN, notamment pour accéder à votre compte de courrier électronique professionnel. Ce réglage apparaît lorsque vous avez configuré un réseau virtuel (VPN) sur l’iPhone, ce qui vous permet d’activer ou de désactiver le mode VPN. Consultez la section « Réseau » à la page 180. Chapitre 32 Réglages 177Partage de connexion Vous pouvez utiliser le partage de connexion (iPhone 4 ou ultérieur) pour partager une connexion Internet avec un ordinateur ou un autre appareil, tel qu’un iPod touch, un iPad ou un autre iPhone, connecté à votre iPhone via Wi-Fi. Vous pouvez également utiliser le partage de connexion pour partager une connexion Internet avec un ordinateur connecté à l’iPhone via Bluetooth ou USB. Le partage de connexion fonctionne uniquement si l’iPhone est connecté à Internet par le biais du réseau de données cellulaire. Remarque : Cette fonctionnalité peut ne pas être disponible partout. Des frais supplémentaires peuvent s’appliquer. Contactez votre opérateur pour en savoir plus. Pour partager une connexion Internet : Accédez à Réglages > Général > Réseau, et touchez Configurer Partage de connexion (si l’option apparaît) pour configurer le service avec votre opérateur. Après avoir activé Partage de connexion, d’autres appareils peuvent se connecter d’une des manières suivantes :  Via W-Fi : sur l’appareil, choisissez votre iPhone dans la liste des réseaux Wi-Fi.  Via USB : connectez votre ordinateur à l’iPhone à l’aide du câble connecteur Dock vers USB. Dans les préférences Réseau de votre ordinateur, choisissez l’iPhone et configurez les réglages réseau.  Via Bluetooth : Sur l’iPhone, accédez à Réglages > Général > Bluetooth et activez Bluetooth. Pour jumeler et connecter votre iPhone avec votre appareil, reportez-vous à la documentation fournie avec votre ordinateur. Une fois la connexion établie, une bande bleue apparaît en haut de l’écran de l’iPhone. Le partage de connexion demeure activé lorsque vous vous connectez via le port USB, même si vous n’utilisez pas activement la connexion à Internet. Remarque : L’icône Partage de connexion apparaît dans la barre d’état des appareils iOS qui utilisent le partage de connexion. Modifier le mot de passe Wi-Fi de l’iPhone Accédez à Réglages > Partage de connexion > Mot de passe Wi-Fi, puis saisissez un mot de passer d’au moins 8 caractères. Contrôler l’utilisation du réseau de données cellulaires Accédez à Réglages > Général > Utilisation > Utilisation cellulaire. Opérateur Ce réglage apparaît sur les réseaux GSM lorsque vous êtes hors du réseau de votre opérateur et que des réseaux de données d’autres opérateurs sont à votre disposition pour les appels télé- phoniques, les messages vocaux visuels et les connexions Internet à un réseau cellulaire. Vous ne pouvez passer des appels qu’avec les opérateurs disposant de contrats d’itinérance avec votre opérateur. Des frais supplémentaires peuvent s’appliquer. L’autre opérateur peut vous facturer des frais d’itinérance par le biais de votre opérateur. Pour sélectionner un opérateur : Accédez à Réglages > Opérateur et sélectionnez le réseau que vous souhaitez utiliser. Une fois que vous avez sélectionné un réseau, l’iPhone n’utilise que celui-ci. Si le réseau n’est pas disponible, Absence de service apparaît sur l’iPhone. 178 Chapitre 32 RéglagesSons et commutateur Sonnerie/Silence Vous pouvez configurer l’iPhone de manière à émettre un son lorsque vous recevez un nouveau message, courrier électronique, appel, Tweet, message vocal ou rappel. Vous pouvez également configurer des sons pour les rendez-vous, l’envoi de message électronique, les touches sur le clavier et le verrouillage de l’iPhone. Lorsque vous le mettez sur Silence, l’iPhone ne fait pas retentir de sonnerie, d’alerte ou d’effet sonore. En revanche, il continue de faire retentir les alarmes d’Horloge et d’autres sons. Permuter entre mode Sonnerie et mode Silence : Faites glisser le commutateur Sonnerie/Silence sur le côté de l’iPhone. Remarque : Dans certaines régions, les effets sonores d’Appareil photo et de Dictaphone sont émis, même si le commutateur Sonnerie/Silence est réglé sur Silence. Régler la vibration de l’iPhone à la réception d’un appel Accédez à Réglages > Sons. Régler le volume de la sonnerie et des alarmes Accédez à Réglages > Sons, puis faites glisser le curseur. Si l’option « Utiliser les boutons » est activée, utilisez les boutons de volume situés sur le côté de l’iPhone. Changer le volume d’autres sons Utilisez les boutons de volume sur le côté de l’iPhone. Régler la sonnerie Accédez à Réglages > Sons > Sonnerie. Définir les sons de la sonnerie et des alertes Accédez à Réglages > Sons et sélectionnez les sons pour les éléments de la liste. Luminosité La luminosité de l’écran influe sur l’autonomie de la batterie. Baissez la luminosité de l’écran pour prolonger la période avant qu’une recharge de l’iPhone devienne nécessaire ou utilisez le mode Réglage automatique. Pour régler la luminosité de l’écran : Accédez à Réglages > Luminosité, puis faites glisser le curseur. Régler l’ajustement automatique de la luminosité de l’iPhone Accédez à Réglages > Luminosité et activez ou désactivez Luminosité automatique. Si Réglage automatique est activé, l’iPhone ajuste la luminosité de l’écran en fonction des conditions d’éclairage actuelles à l’aide du capteur de lumière ambiante intégré. Fond d’écran Les réglages Fond d’écran permettent de définir une image ou une photo comme fond d’écran de l’écran de verrouillage ou de l’écran d’accueil. Consultez la section « Ajout de fonds d’écran » à la page 24. Général Les réglages Général comprennent les réglages de réseau, de partage, de sécurité et d’autres ré- glages du logiciel iOS. Ils permettent également d’obtenir des informations concernant l’iPhone et de réinitialiser différents réglages de l’iPhone. Chapitre 32 Réglages 179Informations Accédez à Réglages > Général > Informations pour obtenir des informations sur l’iPhone, telles que l’espace de stockage disponible, les numéros de série, les adresses réseau, les codes IMEI (International Mobile Equipment Identity) et ICCID (Integrated Circuit Card Identifier ou Smart Card) (GSM), MEID (Mobile Equipment Identifier) (CDMA), et d’autres informations légales et de réglementation. Renommer l’appareil Accédez à Réglages > Général > Informations, puis touchez Nom. Le nom de l’appareil apparaît dans la barre latérale lorsqu’il est connecté à iTunes. Ce nom est utilisé par iCloud. Mise à jour de logiciels Mises à jour de logiciels vous permet de télécharger et installer les mises à jour d’iOS provenant d’Apple. Mettre à jour avec la dernière version du logiciel : Accédez à Réglages > Général > Mise à jour de logiciels. Si une nouvelle version d’iOS est disponible, suivez les instructions à l’écran pour la télécharger et l’installer. Remarque : Assurez-vous que l’iPhone est connecté à une source d’alimentation pour que l’installation, qui peut prendre plusieurs minutes, se termine avec succès. Utilisation Utilisation permet d’afficher l’utilisation cellulaire, l’état de la batterie et l’espace de stockage disponible. Vous pouvez également afficher et gérer le stockage iCloud. Afficher l’utilisation du réseau cellulaire, l’état de la batterie et l’espace de stockage disponible : Accédez à Réglages > Général > Utilisation. Consulter l’utilisation cellulaire Accédez à Réglages > Général > Utilisation > Utilisation cellulaire. Gérer le stockage iCloud Accédez à Réglages > Général > Utilisation > Gérer le stockage. Vous pouvez afficher et supprimer des sauvegardes et désactiver la sauvegarde de votre Pellicule. Vous pouvez également acheter du stockage iCloud supplémentaire. Pour en savoir plus, consultez la section « iCloud » à la page 17. Afficher l’espace de stockage des apps Accédez à Réglages > Général > Utilisation. L’espace de stockage total de chaque app installée est indiqué. Pour obtenir davantage de détails, touchez le nom de l’app. Réinitialiser vos statistiques d’utilisation Accédez à Réglages > Général > Utilisation > Utilisation cellulaire, puis touchez Réinitialiser les statistiques pour effacer les statistiques de temps et de données cumulées. Afficher le niveau de la batterie Accédez à Réglages > Général > Utilisation, et activez Niveau de la batterie. Siri Activer Siri : Accédez à Réglages > Général > Siri. Pour plus d’informations sur l’utilisation et la modification des réglages de Siri, consultez la section « Configurer les options de Siri » à la page 44. Réseau Utilisez les réglages Réseau pour configurer une connexion VPN (réseau privé virtuel), accéder aux réglages Wi-Fi ou activer ou désactiver l’option de données cellulaires à l’étranger. 180 Chapitre 32 RéglagesLorsqu’une app doit faire appel à Internet, l’iPhone effectue les opérations suivantes, dans cet ordre, jusqu’à établir la connexion :  se connecte au réseau Wi-Fi le plus récent ;  affiche une liste des réseaux Wi-Fi à portée et se connecte à celui que vous voulez ;  se connecte au réseau de données cellulaire, le cas échéant. Si l’iPhone est connecté à Internet par le biais du réseau de données cellulaires, l’icône , ou s’affiche dans la barre d’état. Les réseaux cellulaires GSM 4G et 3G prennent en charge les communications simultanées vocales et de données Pour toutes les autres connexions cellulaires, vous ne pouvez pas utiliser les services Internet lorsque vous êtes au téléphone, sauf si l’iPhone est également connecté en Wi-Fi à Internet. Suivant le modèle de votre connexion réseau, vous risquez de ne pas pouvoir recevoir d’appels lorsque l’iPhone transfère des données sur le réseau cellulaire, par exemple lors du télé- chargement d’une page web. Réseaux GSM : sur une connexion EDGE ou GPRS, les appels entrants peuvent être dirigés sur la messagerie vocale pendant les transferts de données. Pour les appels entrants auxquels vous ré- pondez, les transferts de données sont mis en pause. CDMA : sur les connexions EV-DO, les transferts de données sont mis en pause pendant que vous répondez aux appels entrants. Sur les connexions 1xRTT, les appels entrants peuvent être dirigés sur la messagerie automatique pendant les transferts de données. Pour les appels entrants auxquels vous répondez, les transferts de données sont mis en pause. Le transfert de données reprend lorsque vous terminez l’appel. Pour activer ou désactiver l’option Données cellulaires : Accédez à Réglages > Général > Réseau, puis activez ou désactivez Données cellulaires. Si l’option Données cellulaires est désactivée, tous les services de données utilisent uniquement le Wi-Fi, y compris le courrier électronique, la navigation web, les notifications push et les autres services. Si l’option Données cellulaires est activée, votre opérateur peut vous facturer des frais. Par exemple, certaines fonctionnalités et certains services, tels que les données de transfert de Messages et Siri, et votre utilisation de ces fonctionnalités et services peuvent avoir un impact sur le coût de votre forfait de données. Activer ou désactiver Voix à l’étranger (CDMA) Accédez à Réglages > Général > Réseau. Désactivez Voix à l’étranger pour éviter les frais d’utilisation de réseaux différents de celui de votre opérateur. Lorsque le réseau de votre opérateur n’est pas disponible, l’iPhone ne dispose pas d’un service cellulaire (données ou voix). Activer et désactiver Données à l’étranger Accédez à Réglages > Général > Réseau. Données à l’étranger permet d’accéder à Internet sur un réseau de données cellulaires lorsque vous vous trouvez dans une zone non couverte par le réseau de votre opérateur. Lorsque vous voyagez, vous pouvez désactiver le service Données à l’étranger pour éviter des frais liés à l’itinérance. Consultez la section « Opérateur » à la page 178. Activer ou désactiver 3G Accédez à Réglages > Général > Réseau. Cette option n’est pas disponible partout. L’utilisation du mode 3G permet de charger les données Internet plus rapidement dans certains cas, mais elle risque de diminuer les performances de la batterie. Si vous effectuez beaucoup d’appels, il peut être utile de désactiver le mode 3G pour prolonger l’autonomie de la batterie. Activer ou désactiver le Partage de connexion Accédez à Réglages > Général > Réseau > Partage de connexion. Consultez la section « Partage de connexion » à la page 178. Chapitre 32 Réglages 181Ajouter une nouvelle configuration VPN Accédez à Réglages > Général > Réseau > VPN > Ajouter une configuration VPN. Demandez à votre administrateur réseau quels réglages utiliser. Dans la plupart des cas, si vous configurez un VPN sur votre ordinateur, vous pouvez utiliser les mêmes réglages VPN pour l’iPhone. Consultez la section « VPN » à la page 177. Bluetooth L’iPhone peut se connecter sans fil à des appareils Bluetooth comme des oreillettes, des écouteurs et des kits de voiture pour écouter de la musique et dialoguer les mains libres. Vous pouvez également connecter le clavier sans fil Apple via Bluetooth. Consultez la section « Utilisation d’un clavier sans fil Apple Wireless Keyboard » à la page 28. Pour activer et désactiver le mode Bluetooth : Accédez à Réglages > Général > Bluetooth et activez ou désactivez Bluetooth. Se connecter à un appareil Bluetooth Touchez l’appareil dans la liste des appareils, puis suivez les instructions à l’écran pour vous y connecter. Consultez la documentation fournie avec l’appareil pour obtenir des instructions sur le jumelage Bluetooth. Synchronisation Wi-Fi d’iTunes Synchronisez l’iPhone avec iTunes sur un ordinateur connecté au même réseau Wi-Fi. Activer la synchronisation Wi-Fi d’iTunes : Pour configurer une synchronisation Wi-Fi pour la première fois, connectez l’iPhone à l’ordinateur avec lequel effectuer la synchronisation. Pour obtenir des instructions, consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 18. Après la configuration de la synchronisation Wi-Fi, l’iPhone se synchronise automatiquement avec iTunes, une fois par jour, lorsqu’il est connecté à une source d’alimentation et que :  l’iPhone et votre ordinateur sont connectés au même réseau Wi-Fi ;  iTunes est ouvert sur votre ordinateur. Consulter la date et l’heure de la dernière synchronisation Accédez à Réglages > Général > Synchronisation Wi-Fi iTunes. Synchroniser immédiatement avec iTunes Accédez à Réglages > Général > Synchronisation Wi-Fi iTunes, puis touchez Synchroniser. Recherche Spotlight Le réglage Recherche Spotlight vous permet de déterminer les zones de contenu recherchées par Recherche et de réordonner les résultats. Pour définir le contenu sur lequel porte la recherche de Recherche : Accédez à Réglages > Général > Recherche Spotlight, puis sélectionnez les éléments à rechercher. Définir l’ordre des domaines de recherche Accédez à Réglages > Général > Recherche Spotlight. Touchez situé à côté d’un élément, puis faites glisser vers le haut ou le bas. Verrouillage automatique Le verrouillage de l’iPhone désactive l’affichage de manière à économiser votre batterie et à empêcher toute utilisation de l’iPhone par inadvertance. Vous pouvez toujours recevoir des appels et des messages texte, régler le volume et utiliser le bouton du micro sur les écouteurs de l’iPhone lorsque vous écoutez de la musique ou au cours d’un appel. 182 Chapitre 32 RéglagesRéglage de la durée de déclenchement du verrouillage de l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage auto., puis choisissez une durée. Verrouillage par code Par défaut, l’iPhone ne vous oblige pas à saisir un code pour le déverrouiller. Pour définir un code : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, puis définissez un code à 4 chiffres. Si vous oubliez votre code, vous devrez restaurer le logiciel de l’iPhone. Consultez la section « Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPhone » à la page 193. Désactiver le verrouillage par code ou changer le code Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code. Régler le délai d’activation du verrouillage par code Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, puis saisissez votre code. Touchez Exiger le code, puis sélectionnez le délai d’inactivité de l’iPhone après le verrouillage avant d’exiger la saisie du code pour le déverrouiller une nouvelle fois. Activer ou désactiver l’option Code simple Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code. Un code simple est un nombre à 4 chiffres. Pour augmenter la sécurité, désactivez Code simple et utilisez un code plus long combinant chiffres, lettres, signes de ponctuation et caractères spéciaux. Empêcher l’accès à Siri lorsque l’iPhone est verrouillé Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code > Siri. Consultez la section « Configurer les options de Siri » à la page 44. Activer ou désactiver la composition vocale Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code. Désactiver Composition vocale empêche de passer des appels lorsque l’iPhone est verrouillé. Ce réglage est disponible uniquement lorsque Siri est désactivé. Pour en savoir plus sur la composition à l’aide de Siri, consultez la section « Téléphone » à la page 46. Effacer les données après dix tentatives de saisie infructueuses Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, puis touchez Effacer les données. Après dix tentatives de saisie infructueuses, vos réglages sont réinitialisés, et toutes les informations et tout le contenu sont effacés par la suppression de la clé de chiffrement des données (chiffrement AES 256 bits). Restrictions Vous pouvez définir des restrictions pour certaines apps et pour le contenu acheté. Les parents peuvent ainsi restreindre dans les listes de lecture l’accès à la musique dont le contenu est explicite ou désactiver intégralement l’accès à YouTube. Pour activer des restrictions : Accédez à Réglages > Général > Restrictions, puis touchez Activer les restrictions. Important : Si vous oubliez votre code, vous devrez restaurer le logiciel de l’iPhone. Consultez la section « Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPhone » à la page 193. Vous pouvez configurer les restrictions suivantes : Safari Safari est désactivé et son icône est supprimée de l’écran d’accueil. Vous ne pouvez pas utiliser Safari pour naviguer sur le Web ou accéder à des clips web. YouTube YouTube est désactivé et son icône est supprimée de l’écran d’accueil. Appareil photo Appareil photo est désactivé et son icône est supprimée de l’écran principal. Vous ne pouvez pas prendre de photos. Chapitre 32 Réglages 183FaceTime Vous ne pouvez pas passer ou recevoir d’appels vidéo FaceTime. iTunes L’iTunes Store est désactivé et son icône est supprimée de l’écran d’accueil. Vous ne pouvez pas écouter d’extrait ni acheter ou télécharger du contenu. Ping Vous ne pouvez pas accéder à Ping ni à aucune de ses fonctions. Nouvelles appli. L’App Store est désactivé et son icône est supprimée de l’écran d’accueil. Vous ne pouvez pas installer d’apps sur l’iPhone. Suppression d’apps Vous ne pouvez pas supprimer d’apps de l’iPhone. n’apparaît pas sur les icônes d’app lorsque vous personnalisez l’écran d’accueil. Siri Vous ne pouvez pas utiliser Siri. Les commandes vocales et la dictée sont désactivées. Langage explicite Siri essaye de remplacer les mots explicites que vous prononcez par des astérisques et des bips. Lieu Désactivez Service de localisation pour des apps individuelles. Vous pouvez également verrouiller Service de localisation pour qu’aucun changement de réglage ne puisse être opéré, dont l’autorisation d’utilisation du service par d’autres apps. Comptes Les réglages Mail, Contacts, Calendrier actuels sont verrouillés. Vous ne pouvez pas ajouter, modifier ou supprimer des comptes. De plus, vous ne pouvez pas modifier les réglages iCloud. Achats intégrés Désactivez Achats intégrés. Lorsqu’elle est activée, cette fonction vous permet d’acheter du contenu ou des fonctionnalités supplémentaires dans les apps que vous téléchargez dans l’App Store. Exiger des mots de passe Exige que vous saisissiez un identifiant Apple pour les achats intégrés après une durée spécifique. Définir des restrictions relatives au contenu Touchez Classification, puis sélectionnez un pays dans la liste. Vous pouvez définir des restrictions à l’aide du système de classification d’un pays pour la musique, les films, les séries TV et les apps. Le contenu n’atteignant pas vos critères de sélection n’apparaît pas sur l’iPhone. Jeux multijoueurs Lorsque l’option Jeux multijoueurs est désactivée, vous ne pouvez pas demander de match, envoyer ou recevoir des invitations à jouer ou ajouter des amis dans Game Center. Ajout d’amis Lorsque la fonctionnalité Ajout d’amis est désactivée, vous ne pouvez ni envoyer ni recevoir de demande d’amitié dans Game Center. Si fonctionnalité Jeux multijoueurs est activée, vous pouvez continuer à jouer avec des amis existants. Date et heure Ces réglages ont un impact sur l’heure indiquée dans la barre d’état en haut de l’écran, et dans les horloges mondiales et calendriers. Pour définir le format 24 heures ou 12 heures de l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Date et heure, puis activez ou désactivez Affichage 24h. (L’option Affichage 24 h peut ne pas être disponible dans toutes les régions.) Régler la mise à jour automatique de la date et de l’heure de l’iPhone Accédez à Réglages > Général > Date et heure, puis activez ou désactivez Réglage automatique. Si l’iPhone est réglé pour mettre automatiquement l’heure à jour, il obtient l’heure exacte par le biais du réseau cellulaire et l’actualise en fonction de votre fuseau horaire. Certains opérateurs ne gèrent pas l’heure réseau dans toutes les régions. Si vous voyagez, il se peut que l’iPhone ne puisse pas se régler automatiquement sur l’heure locale. Régler la date et l’heure manuellement Accédez à Réglages > Général > Date et heure, puis désactivez Réglage automatique. Touchez Fuseau horaire pour définir votre fuseau horaire. Touchez le bouton Date et heure, puis touchez Régler la date et l’heure, et saisissez la date et l’heure. 184 Chapitre 32 RéglagesClavier Vous pouvez activer des claviers pour écrire dans différentes langues et activer ou désactiver des fonctionnalités de saisie telles que la correction orthographique. Pour en savoir plus sur le clavier, consultez la section « Saisie de texte » à la page 25. Pour en savoir plus sur les claviers internationaux, consultez la section L’annexe A, « Claviers internationaux, » à la page 187. International Utilisez les réglages International pour définir la langue de l’iPhone, activer ou désactiver les claviers de différentes langues, et régler les formats de date, d’heure et de numéro de téléphone de votre région. Pour régler la langue de l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > International > Langue. Régler le format du calendrier Accédez à Général > International > Calendrier, puis choisissez le format. Régler la langue de Siri et Contrôle vocal Accédez à Réglages > Général > International > Contrôle vocal, puis sélectionnez une langue. Régler les formats de date, d’heure et de numéro de téléphone Accédez à Réglages > Général > International > Format régional, puis choisissez votre région. Le format régional détermine également la langue utilisée pour les jours et les mois qui apparaissent dans les apps. Accessibilité Pour activer les fonctionnalités d’accessibilité, choisissez Accessibilité, puis sélectionnez les fonctionnalités souhaitées. Consultez la section Chapitre 31, « Accessibilité, » à la page 157. Profils Ce réglage apparaît lorsque vous installez un ou plusieurs profils sur l’iPhone. Touchez Profils pour afficher des informations au sujet des profils installés. Réinitialisation Vous pouvez réinitialiser le dictionnaire, les réglages réseau, la disposition de l’écran d’accueil et les alertes de localisation. Vous pouvez également effacer la totalité de vos contenus et réglages. Pour effacer tout le contenu et les réglages : Accédez à Réglages > Général > Réinitialiser et touchez Effacer contenu et réglages. Après confirmation que vous souhaitez réinitialiser l’iPhone, la totalité de votre contenu, vos données et vos réglages sont supprimés. Chapitre 32 Réglages 185Réinitialiser tous les réglages Accédez à Réglages > Général > Réinitialiser et touchez Réinitialiser tous les réglages. Vos préférences et réglages sont tous réinitialisés. Réinitialiser les réglages réseau Accédez à Réglages > Général > Réinitialiser et touchez Réinitialiser les ré- glages réseau. Lorsque vous réinitialisez les réglages réseau, la liste des réseaux utilisés précédemment et les réglages VPN qui ne sont pas installés par un profil de configuration sont supprimés. Wi-Fi est désactivé puis réactivé : vous êtes alors déconnecté de tout réseau, le cas échéant. Les réglages Wi-Fi et « Confirmer l’accès » restent activés. Pour supprimer les réglages VPN installés par un profil de configuration, accédez à Réglages > Général > Profil, puis sélectionnez le profil et touchez Supprimer. Cela supprime également tous les réglages ou comptes du profil. Réinitialiser le dictionnaire clavier Accédez à Réglages > Général > Réinitialiser et touchez Réinitialiser le dictionnaire clavier. Vous ajoutez des mots au dictionnaire du clavier en refusant les mots que l’iPhone suggère lors de la frappe. Touchez un mot pour rejeter la correction et ajouter votre mot au dictionnaire clavier. La réinitialisation du dictionnaire clavier efface tous les mots que vous avez ajoutés. Réinitialiser la disposition de l’écran d’accueil Accédez à Réglages > Général > Réinitialiser et touchez Réinitialiser l’écran d’accueil. Réinitialiser les alertes de localisation Accédez à Réglages > Général > Réinitialiser et touchez Réinitialiser alertes de localisation. Les alertes de localisation sont des requêtes d’utilisation de Service de localisation lancées par des apps. L’iPhone émet une alerte de localisation pour une app la première fois que celle-ci lance une telle requête. Si vous touchez Annuler en réponse, la requête n’apparaîtra plus. Pour réinitialiser les alertes de localisation et recevoir une requête pour chaque app, touchez Réinitialiser alertes de localisation. Réglages des apps Consultez les autres chapitres pour plus d’informations sur les réglages des apps. Par exemple, pour les réglages de Safari, consultez Chapitre 7, « Safari, » à la page 78. 186 Chapitre 32 RéglagesClaviers internationaux A L’annexe Les claviers internationaux vous permettent de saisir du texte dans de nombreuses langues, y compris les langues asiatiques et celles qui se lisent de la droite vers la gauche. Ajout et suppression de claviers Sur l’iPhone, il est possible de saisir du texte dans différentes langues en utilisant différents claviers. Par défaut, seul le clavier de la langue définie est disponible. Pour rendre disponibles les claviers d’autres langues, utilisez les réglages Clavier. Pour obtenir la liste des claviers iPhone pris en charge, consultez la page web www.apple.com/fr/iphone/specs.html. Pour ajouter un clavier : Accédez à Réglages > Général > International, touchez Claviers, puis choisissez un clavier dans la liste. Répétez l’opération pour ajouter d’autres claviers. Pour supprimer un clavier : Accédez à Réglages > Général > International > Claviers, puis touchez Modifier. Touchez à côté du clavier que vous souhaitez supprimer, puis touchez Supprimer. Pour modifier votre liste de claviers : Accédez à Réglages > Général > International > Claviers. Touchez Modifier, puis faites glisser à côté d’un clavier pour le déplacer vers une nouvelle position dans la liste. Basculement entre les claviers Pour saisir du texte dans une autre langue, changez de clavier. Pour changer de clavier en cours de saisie : Maintenez le doigt sur la touche de globe pour afficher tous les claviers activés. Pour choisir un clavier, faites glisser votre doigt sur le nom du clavier, puis levez votre doigt. La touche de globe apparaît lorsque vous activez plusieurs claviers. Vous pouvez également touchez . Lorsque vous touchez , le nom du clavier que vous venez d’activer apparaît brièvement. Continuez à toucher cette touche pour accéder à d’autres claviers activés. De nombreux claviers proposent des lettres, chiffres et symboles non visibles sur le clavier luimême. Saisir des lettres accentuées ou d’autres caractères secondaires : Touchez la lettre, le chiffre ou le symbole le plus proche et maintenez le doigt dessus, puis faites glisser pour choisir une variante. Sur un clavier thaïlandais, par exemple, pour choisir des chiffres natifs, vous pouvez toucher le chiffre arabe correspondant et maintenir le doigt dessus. Chinois Vous pouvez utiliser les claviers pour saisir du chinois en utilisant différentes méthodes, notamment Pinyin, Kanji, Wubihua et Zhuyin. Vous pouvez également utiliser votre doigt pour écrire des caractères chinois à l’écran. 187Saisie en Pinyin Utilisez le clavier AZERTY pour saisir du Pinyin simplifié ou traditionnel. Au fur et à mesure que vous tapez, des suggestions de caractères apparaissent. Touchez un caractère pour le choisir ou continuez à saisir pour afficher davantage d’options. Si vous continuez à saisir du Pinyin sans espace, des suggestions de phrase apparaissent. Saisie en Kanji Construisez des caractères chinois à partir des touches Kanji de composants. Au fur et à mesure que vous tapez, des suggestions de caractères apparaissent. Touchez un caractère pour le choisir ou continuez à saisir jusqu’à cinq composants pour afficher davantage d’options de caractères. Saisie avec des traits (Wubihua) Utilisez le clavier pour construire des caractères chinois en utilisant jusqu’à cinq traits dans la sé- quence d’écriture correcte : horizontal, vertical, gauche vers le bas, droit vers le bas et crochet. Par exemple, le caractère chinois ? (cercle) doit commencer par le trait vertical ?. Au fur et à mesure que vous tapez, des suggestions de caractères apparaissent, en commençant par les plus communs. Touchez un caractère pour le choisir. Si vous n’êtes pas sûr du trait, saisissez un astérisque (*). Pour afficher davantage d’options de caractères, tapez un autre trait ou faites défiler la liste de caractères. Touchez la touche correspondante (??) pour n’afficher que les caractères correspondant exactement à ce que vous avez tapé. Saisie en Zhuyin Utilisez le clavier pour taper des lettres Zhuyin. Au fur et à mesure que vous tapez, les caractères chinois suggérés apparaissent. Touchez une suggestion pour la choisir ou continuez à saisir des lettres Zhuyin pour afficher davantage d’options. Une fois la première lettre saisie, le clavier affiche d’autres lettres. Si vous continuez à saisir du Zhuyin sans espace, des suggestions de phrase apparaissent. Dessin de caractères chinois Lorsque les formats manuels de chinois simplifié ou traditionnel sont activés, vous pouvez dessiner ou écrire des caractères chinois directement sur l’écran avec votre doigt. Tandis que vous tracez des traits, l’iPhone les reconnaît et propose une liste de caractères correspondants classés par ordre de similarité. Lorsque vous choisissez un caractère, ceux qui sont susceptibles de suivre apparaissent dans la liste en tant que choix supplémentaires. Pavé tactile 188 L’annexe A Claviers internationauxCertains caractères complexes tels que ? (une partie du nom de l’aéroport international de Hong Kong), ?? (ascenseur) et ? (particule utilisée en cantonnais) peuvent être saisis en écrivant à la suite deux caractères composants ou davantage. Touchez le caractère pour remplacer les caractè- res que vous avez saisis. Les caractères romains sont également reconnus. Conversion entre chinois simplifié et chinois traditionnel Sélectionnez le ou les caractères à convertir, puis touchez Remplacer. Consultez la section « Modification de texte » à la page 27. Vous pouvez saisir une expression ou une phrase entière avant de la convertir. Japonais Vous pouvez saisir du Japonais à l’aide des claviers Romaji ou Kana. Vous pouvez également saisir des smileys. Saisie de texte japonais avec le clavier Kana Utilisez le clavier Kana pour sélectionner des syllabes. Pour voir plus d’options de syllabes, touchez la flèche et sélectionnez une autre syllabe ou un autre mot dans la fenêtre. Saisie de texte japonais avec le clavier Romaji Utilisez le clavier Romaji pour saisir des syllabes. D’autres choix apparaissent en haut du clavier, touchez-en un pour le saisir. Pour voir plus d’options de syllabes, touchez la flèche et sélectionnez une autre syllabe ou un autre mot dans la fenêtre. Saisie de smileys ou d’émoticônes En utilisant le clavier japonais Kana, touchez la touche ^_^. En utilisant le clavier japonais Romaji (AZERTY en disposition japonaise), touchez la touche de nombre , puis la touche ^_^. En utilisant les claviers chinois Pinyin (simplifié ou traditionnel) ou Zhuyin (traditionnel), touchez la touche de symboles , puis la touche ^_^. Saisie de caractères emoji Utilisez le clavier Emoji pour saisir des caractères picturaux. Vous pouvez également saisir des caractères emoji à l’aide d’un clavier japonais. Par exemple, saisissez ??? pour obtenir ?. Utilisation de la liste des candidats Lorsque vous tapez sur des claviers chinois, japonais ou arabes, des suggestions de caractères ou candidats apparaissent en haut du clavier. Touchez un candidat pour le saisir ou feuilletez vers la gauche pour afficher davantage de candidats. Utiliser la liste étendue des candidats : Touchez la flèche vers le haut située à droite pour afficher la liste complète des candidats. Feuilletez vers le haut ou le bas pour faire défiler la liste. Touchez la flèche vers le bas pour revenir à la liste restreinte. L’annexe A Claviers internationaux 189Utilisation des raccourcis Lors de l’utilisation de certains claviers chinois ou japonais, vous pouvez créer un raccourci pour des mots et des paires d’entrées. Le raccourci est ajouté à votre dictionnaire personnel. Lorsque vous tapez un raccourci en utilisant un clavier pris en charge, le mot ou la paire d’entrée associé est substitué au raccourci. Les raccourcis sont disponibles pour les claviers suivants :  Chinois simplifié (Pinyin)  Chinois traditionnel (Pinyin)  Chinois traditionnel (Zhuyin)  Japonais (Romaji)  Japonais (Kana) Activer ou désactiver les raccourcis : Accédez à Réglages > Général > Clavier > Raccourcis. Vietnamien Touchez un caractère et maintenez le doigt dessus pour afficher tous les signes diacritiques puis faites glisser votre doigt pour choisir celui souhaité. Vous pouvez également taper les séquences de caractères suivantes pour saisir des caractères accentués :  aa—â (a accent circonflexe)  aw—a (a caron)  as—á (a accent aigu)  af—à (a accent grave)  ar—? (a point d’interrogation)  ax—ã (a accent ascendant)  aj—? (a ton tombant)  dd—d (d trait)  ee—ê (e accent circonflexe)  oo—ô (o accent circonflexe)  ow—o (o crochet)  w—u (u crochet) 190 L’annexe A Claviers internationauxAssistance et autres informations B L’annexe Site d’assistance iPhone Des informations d’assistance technique complètes sont disponibles en ligne à l’adresse www.apple.com/fr/support/iphone. Vous pouvez également utiliser Express Lane pour une assistance personnalisée (non disponible dans toutes les zones). Consultez la page expresslane.apple.com/fr. Redémarrage ou réinitialisation de l’iPhone En cas de mauvais fonctionnement, essayez de redémarrer l’iPhone, de forcer la fermeture d’une app ou de réinitialiser l’iPhone. Pour redémarrer l’iPhone : Maintenez le bouton Marche/Arrêt enfoncé jusqu’à l’apparition du curseur rouge. Faites glisser votre doigt sur le curseur pour éteindre l’iPhone. Pour rallumer l’iPhone, appuyez sur le bouton Marche/Arrêt jusqu’à l’apparition du logo Apple. Forcer une app à quitter : Maintenez le bouton Marche/Arrêt enfoncé pendant quelques secondes jusqu’à l’apparition d’un curseur rouge, puis maintenez le bouton principal enfoncé jusqu’à la fermeture de l’app. Vous pouvez également supprimer une app de la liste des applications récentes pour en forcer la fermeture. Consultez la section « Ouverture d’apps et basculement entre apps » à la page 20. Si vous ne parvenez pas à éteindre l’iPhone ou si le problème persiste, il est peut-être nécessaire de réinitialiser l’iPhone. Ne réinitialisez l’iPhone que si son redémarrage ne permet pas de résoudre le problème. Pour réinitialiser l’iPhone : Maintenez simultanément enfoncés le bouton Marche/Arrêt et le bouton principal pendant au moins dix secondes, jusqu’à l’apparition du logo Apple. Sauvegarde de l’iPhone Vous pouvez également utiliser iCloud ou iTunes pour sauvegarder automatiquement l'iPhone. Si vous choisissez la sauvegarde automatique à l’aide d’iCloud, vous ne pouvez pas également utiliser iTunes pour revenir automatiquement à votre ordinateur, mais l’utiliser pour revenir manuellement à votre ordinateur. Copie de sauvegarde avec iCloud iCloud est sauvegardé automatiquement vers l'iPhone chaque jour via Wi-Fi lorsqu'il est connecté à une source d'alimentation et est verrouillé. La date et l’heure de la dernière sauvegarde apparaissent en bas de l’écran Stockage et sauvegarde. iCloud sauvegarde les éléments suivants :  vos achats de musique, de séries TV, d’apps et de livres ;  Photos et vidéos dans votre Pellicule  Réglages de l’iPhone  Données d’app  l’organisation de l’écran d’accueil et des apps ; 191 vos messages (iMessage, SMS et MMS) ;  vos sonneries. Remarque : La musique achetée n’est pas sauvegardée dans toutes les régions et les séries TV ne sont pas disponibles dans toutes les régions. Si vous n’avez pas activé la sauvegarde iCloud lors de la première configuration de votre iPhone, vous pouvez l’activer dans les réglages iCloud. Activer les sauvegardes iCloud Accédez à Réglages > iCloud, puis connectez-vous avec votre identifiant Apple et votre mot de passe, si ceux-ci vous sont demandés. Accédez à Stockage et sauvegarde, puis activez Sauvegarde iCloud. Effectuer immédiatement une copie de sauvegarde Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis touchez Sauvegarder. Gérer les copies de sauvegarde Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis touchez Gérer le stockage. Touchez le nom de votre iPhone. Activer ou désactiver la sauvegarde de la Pellicule Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis touchez Gérer le stockage. Touchez le nom de votre iPhone, puis activez ou désactivez la sauvegarde de la Pellicule. Consulter les appareils sauvegardés Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde > Gérer le stockage. Arrêter les sauvegardes automatiques iCloud Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde > Sauvegarde, puis désactivez Sauvegarde iCloud. La musique qui n’a pas été achetée sur iTunes n’est pas sauvegardée dans iCloud. Vous devez utiliser iTunes pour sauvegarder et restaurer le contenu. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 18. Important : La sauvegarde de la musique et des séries TV n’est pas disponible dans toutes les ré- gions. Les achats antérieurs peuvent ne pas être disponibles s’ils ne sont plus présents dans l’iTunes store, l’App Store ou l’iBookstore. Le contenu acheté, ainsi que le contenu de Flux de photos, n’utilisent pas votre espace de stockage iCloud gratuit de 5 Go. Copie de sauvegarde avec iTunes iTunes crée une sauvegarde des photos de vos albums Pellicule ou Photos enregistrées, et des messages texte, des notes, de l’historique d’appel, des contacts favoris, des réglages de son, etc. Les fichiers multimédias, tels que les morceaux, et certaines photos, ne sont pas sauvegardés, mais peuvent être restaurés par une synchronisation avec iTunes. Lorsque vous connectez l’iPhone à l’ordinateur que vous utilisez habituellement pour la synchronisation, iTunes créer une sauvegarde chaque fois que vous effectuez l’une des actions suivantes :  Synchroniser avec iTunes : iTunes synchronise l'iPhone chaque fois que vous connectez l'iPhone à votre ordinateur. iTunes ne sauvegarde pas automatiquement un iPhone qui n'est pas configuré pour être synchronisé avec cet ordinateur. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 18.  Mettre à jour ou restaurer l'iPhone : iTunes sauvegarde automatiquement l’iPhone avant la mise à jour et la restauration. iTunes peut également chiffrer les sauvegardes de l'iPhone pour protéger vos données. Chiffrer les sauvegardes de l'iPhone : Sélectionnez « Chiffrer la sauvegarde de l’iPhone » dans l’écran Résumé d’iTunes. 192 L’annexe B Assistance et autres informationsRestaurer les fichiers et les réglages de l’iPhone : Connectez l’iPhone à l’ordinateur que vous utilisez habituellement pour la synchronisation, sélectionnez l’iPhone dans la fenêtre iTunes et cliquez sur Restaurer dans la sous-fenêtre Résumé. Pour plus d’informations sur les sauvegardes, notamment sur les informations incluses dans une sauvegarde, consultez la page support.apple.com/kb/HT1766?locale=fr_FR&viewlocale=fr_FR Suppression d’une copie de sauvegarde iTunes Vous pouvez supprimer une sauvegarde de l’iPhone de la liste des sauvegardes sur iTunes. Utilisez par exemple cette fonction si une sauvegarde a été créée sur un autre ordinateur que le vôtre. Pour supprimer une sauvegarde : 1 Dans iTunes, ouvrez les Préférences iTunes.  Mac : choisissez iTunes > Préférences.  Windows : choisissez Édition > Préférences. 2 Cliquez sur Appareils (il n’est pas nécessaire que l’iPhone soit connecté). 3 Sélectionnez la sauvegarde que vous souhaitez supprimer, puis cliquez sur Supprimer la sauvegarde. 4 Cliquez sur Supprimer, pour confirmer que vous souhaitez supprimer la sauvegarde sélectionnée, puis cliquez sur OK. Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPhone Vous pouvez mettre à jour le logiciel de l'iPhone dans Réglages ou à l'aide d'iTunes. Vous pouvez également supprimer ou restaurer l’iPhone et utiliser ensuite iCloud ou iTunes pour effectuer une restauration à partir d’une sauvegarde. Les données supprimées ne sont plus accessibles par le biais de l’interface utilisateur de l’iPhone, mais elles ne sont pas effacées de votre iPhone. Pour plus d’informations sur la manière d’effacer tout le contenu et les réglages, consultez la section « Réinitialisation » à la page 185. Mise à jour de l’iPhone Vous pouvez mettre à jour le logiciel dans les Réglages de l’iPhone ou à l’aide d’iTunes. Mettre à jour sans fil sur l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Mise à jour de logiciels. L’iPhone recherche les mises à jour de logiciels disponibles. Mettre à jour le logiciel sur iTunes : iTunes recherche les mises à jour de logiciels disponibles chaque fois que vous synchronisez l'iPhone à l'aide d'iTunes. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 18. Pour en savoir plus sur la mise à jour et la restauration du logiciel de l’iPhone, consultez la page http://support.apple.com/kb/HT4623?viewlocale=fr_FR. Restauration de l’iPhone Vous pouvez utiliser iCloud ou iTunes pour restaurer l'iPhone à partir d'une sauvegarde. Restaurer à partir d’une sauvegarde iCloud : Réinitialisez l’iPhone pour effacer tout le contenu et les réglages. Connectez-vous à iCloud et choisissez Restaurer à partir d’une sauvegarde dans Assistant réglages. Consultez la section « Réinitialisation » à la page 185. Restaurer à partir d’une sauvegarde iTunes : Connectez l’iPhone à l’ordinateur que vous utilisez habituellement pour la synchronisation, sélectionnez l’iPhone dans la fenêtre iTunes et cliquez sur Restaurer dans la sous-fenêtre Résumé. L’annexe B Assistance et autres informations 193Lorsque le logiciel de l’iPhone a été restauré, vous pouvez choisir de configurer votre appareil comme un nouvel iPhone, ou d’y restaurer votre musique, vos vidéos, les données de vos apps et le reste de votre contenu à partir d’une sauvegarde. Pour en savoir plus sur la mise à jour et la restauration du logiciel de l’iPhone, consultez la page http://support.apple.com/kb/HT1414?viewlocale=fr_FR. Partage de fichiers Partage de fichiers vous permet de transférer des fichiers avec un câble USB entre l’iPhone et votre ordinateur à l’aide d’iTunes. Vous pouvez partager des fichiers créés avec une app compatible et enregistrés dans un format pris en charge. Les apps qui prennent en charge le partage de fichiers figurent dans iTunes parmi la liste des apps compatibles avec le partage de fichiers. Pour chaque app, la liste Fichiers affiche les documents qui se trouvent sur l’iPhone. Consultez la documentation de l’app pour des informations sur le partage des fichiers ; toutes les apps ne prennent pas en charge cette fonctionnalité. Pour transférer un fichier de l’iPhone à votre ordinateur : Sur iTunes, accédez à la sous-fenêtre Applications de votre appareil. Dans la section Partage de fichiers, sélectionnez une app dans la liste. Sur la droite, sélectionnez le fichier à transférer puis cliquez sur « Enregistrer dans ». Pour transférer un fichier de votre ordinateur à l’iPhone : Sur iTunes, accédez à la sous-fenêtre Applications de votre appareil. Dans la section Partage de fichiers, sélectionnez une application, puis cliquez sur Ajouter. Le fichier est immédiatement transféré sur votre appareil pour être utilisé avec l’app choisie. Pour supprimer un fichier de l’iPhone : Sur iTunes, accédez à la sous-fenêtre Applications de votre appareil. Dans la section Partage de fichiers, sélectionnez le fichier, puis appuyez sur la touche Supprimer. Informations relatives à la sécurité, au logiciel et au service aprèsvente Le tableau suivant indique où obtenir des informations sur l’iPhone en matière de sécurité, de logiciel et de réparations. Pour en savoir plus sur Procédez ainsi L’usage de l’iPhone en toute sécurité Consultez le Guide d’informations importantes sur le produit à l’adresse www.apple.com/fr/support/manuals/ iphone pour obtenir les dernières informations en matière de sécurité et de réglementation. Les réparations et l’assistance, les conseils, les forums de discussion et les téléchargements de logiciels Apple pour l’iPhone Consultez la page www.apple.com/fr/support/iphone. Service après-vente et assistance de votre opérateur Contactez votre fournisseur ou visitez son site web. Les toutes dernières informations sur l’iPhone Consultez la page www.apple.com/fr/iphone. Création d’un identifiant Apple Consultez la page appleid.apple.com/fr. Utilisation d’iCloud Consultez la page www.apple.com/fr/support/icloud. 194 L’annexe B Assistance et autres informationsPour en savoir plus sur Procédez ainsi L’utilisation d’iTunes Ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Pour accéder à un didacticiel iTunes en ligne (non disponible dans certaines régions), consultez la page www.apple.com/fr/support/itunes. Utilisation d’iPhoto sous OS X Ouvrez iPhoto et choisissez Aide > Aide iPhoto. L’utilisation de Carnet d’adresses sous OS X Ouvrez Carnet d’adresses et choisissez Aide > Aide Carnet d’adresses. Utilisation d’iCal sous OS X Ouvrez iCal et choisissez Aide > Aide iCal. Microsoft Outlook, Carnet d’adresses Windows ou Adobe Photoshop Elements Consultez la documentation fournie avec ces apps. Recherche du numéro de série, du numéro IMEI, du numéro ICCID ou du numéro MEID de votre iPhone Vous pouvez trouver le numéro de série, le numéro IMEI (International Mobile Equipment Identity), le numéro ICCID ou le numéro MEID (Mobile Equipment Identifier) de votre iPhone sur l’emballage de votre iPhone. Sur l’iPhone, vous pouvez également choisir Réglages > Général > À propos. Pour en savoir plus, consultez la page support.apple.com/kb/HT1267?viewlocale=fr_FR. Obtention de réparations sous garantie Commencez par suivre les conseils prodigués dans ce guide et dans les ressources en ligne. Consultez ensuite la page www.apple.com/fr/support ou le « Guide d’informations importantes sur le produit », à l’adresse http://support.apple.com/fr_FR/manuals/#iphone. Service de remplacement des batteries Consultez la page http://www.apple.com/fr/batteries/ replacements.html. A pleine puissance, l'écoute prolongée du baladeur peut endommager l'oreille de l'utilisateur. Déclaration de Conformité : Utiliser cet iPhone avec les écouteurs inclus ou les écouteurs actuellement commercialisés sous la marque Apple, sous la marque iPhone ou revétus du logo Apple permet d'assurer le respect de la puissance sonore maximale fixée par l'article L5232-1 du Code de la Santé Publique français. Pour en savior plus sur l'écoute sans risque consultez les directives de sécurité dans la documentation de l'iPhone. Utilisation de l’iPhone dans un environnement d’entreprise Consultez la page www.apple.com/fr/iphone/business pour en savoir plus sur les fonctions entreprise de l’iPhone, notamment : Microsoft Exchange, IMAP, CalDAV, CardDAV, VPN et bien plus. Utilisation de l’iPhone avec d’autres opérateurs Certains opérateurs vous autorisent à débloquer l’iPhone pour l’utiliser sur leur réseau. Pour déterminer si votre opérateur propose cette option, consultez la page support.apple.com/kb/ HT1937?viewlocale=fr_FR. Contactez votre opérateur pour obtenir son autorisation et des informations de configuration. Vous devez connecter l’iPhone à iTunes pour terminer la procédure. Des frais supplémentaires peuvent s’appliquer. L’annexe B Assistance et autres informations 195Pour plus d’informations de dépannage, consultez la page support.apple.com/kb/ TS3198?locale=fr_FR&viewlocale=fr_FR. Informations concernant l’élimination et le recyclage Programme de recyclage Apple (disponible selon le lieu) : Pour recycler rapidement votre télé- phone mobile usagé, obtenir une étiquette d’expédition prépayée et des instructions, consultez la page : www.apple.com/fr/environment/recycling Élimination et recyclage de l’iPhone : Vous devez éliminer votre iPhone conformément aux lois et réglementations en vigueur. Comme l’iPhone contient des composants électroniques et une batterie, l’iPhone ne peut pas être mis au rebut avec les déchets ménagers. Lorsque l’iPhone arrive en fin de vie, prenez contact avec les autorités locales pour découvrir les possibilités en matière de mise au rebut et de recyclage, déposez-le simplement dans le magasin Apple le plus proche ou renvoyez-le à Apple. La batterie sera retirée et recyclée de manière à ne pas nuire à l’environnement. Pour plus d’informations, consultez les sections suivantes : www.apple.com/fr/environment/ recycling Union européenne – Information sur l’élimination du matériel électronique et des batteries : Ce symbole signifie que, conformément aux lois et réglementations locales, vous devez recycler votre produit et sa batterie séparément des ordures ménagères. Lorsque ce produit arrive en fin de vie, apportez-le à un point de collecte désigné par les autorités locales pour le recyclage d’équipement électronique. La mise au rebut incorrecte d’équipement électronique par le consommateur peut être punie par des amendes. La collecte et le recyclage de votre produit et de sa batterie lors de la mise au rebut aideront à préserver les ressources naturelles et à s’assurer qu’il est recyclé de manière à protéger la santé humaine et l’environnement. Les services de collecte et de recyclage pour l’iPhone sont répertoriés sur la page : www.apple.com/fr/environment/recycling/nationalservices/europe.html Remplacement des batteries de l’iPhone : La batterie rechargeable de l’iPhone ne doit être remplacée que par Apple ou un Centre de Services Agréé Apple. Pour en savoir plus sur les services de remplacement de la batterie, consultez la page : http://www.apple.com/fr/batteries/replacements.html Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Turquie : EEE yönetmelig?ine (Elektrikli ve Elektronik Es¸yalarda Bazi Zararli Maddelerin Kullaniminin Sinirlandirilmasina Dair Yönetmelik) uygundur. 196 L’annexe B Assistance et autres informations Brasil: Brasil—Informações sobre descarte e reciclagem: O símbolo acima indica que este produto e/ou sua bateria não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando decidir descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o de acordo com as leis e diretrizes ambientais locais. Para informações sobre o programa de reciclagem da Apple, pontos de coleta e telefone de informações, visite www.apple.com/br/environment. Apple et l’environnement Apple est conscient de la responsabilité qui est la sienne de limiter l’impact écologique de ses produits et de son activité sur l’environnement. Pour en savoir plus, consultez la page : www.apple.com/fr/environment Température de fonctionnement de l’iPhone Si la température intérieure de votre iPhone dépasse sa température normale de fonctionnement, vous risquez d’observer le comportement suivant tandis qu’il tente de réguler sa température :  la charge de l’iPhone est interrompue ;  l’écran devient plus sombre ;  le signal cellulaire est faible ;  une fenêtre de mise en garde sur la température s’affiche. Important : Vous ne pouvez pas utiliser l’iPhone lorsque l’écran d’alerte de température est affiché, excepté pour passer un appel d’urgence. Si l’iPhone ne parvient pas à réguler sa température interne, il passe automatiquement en mode de sommeil profond jusqu’à ce qu’il refroidisse. Vous ne pouvez pas passer d’appel d’urgence lorsque l’iPhone est dans ce mode. Déplacez l’iPhone vers un endroit plus frais et attendez quelques minutes avant d’essayer à nouveau d’utiliser votre iPhone. L’annexe B Assistance et autres informations 197K Apple Inc. © 2012 Apple Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, AirPlay, AirPort, AirPort Express, AirPort Extreme, Aperture, Apple TV, Cover Flow, FaceTime, Finder, iBooks, iCal, iLife, iMovie, iPad, iPhone, iPhoto, iPod, iPod touch, iTunes, iTunes Extras, Keynote, Mac, Mac OS, Numbers, OS X, Pages, Safari, Siri, Spotlight et le logo Works with iPhone sont des marques d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. AirPrint, iMessage, le logo Made for iPhone, Multi-Touch et Retina sont des marques d’Apple Inc. Apple Store, Genius, iCloud, iTunes Plus, iTunes Store et MobileMe sont des marques de service d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. App Store, iBookstore et iTunes Match sont des marques de service d’Apple Inc. IOS est une marque ou marque déposée de Cisco aux ÉtatsUnis et dans d’autres pays, utilisée ici sous licence. Ping est une marque déposée de Karsten Manufacturing Corporation et est utilisée aux États-Unis sous licence. NIKE et le logo Swoosh sont des marques de NIKE, Inc.et ses sociétés affiliées, utilisées ici sous licence. La marque et les logos Bluetooth® sont des marques déposées de Bluetooth SIG, Inc. dont l’utilisation par Apple Inc. est soumise à un accord de licence. Adobe et Photoshop sont des marques ou des marques déposées d’Adobe Systems Incorporated aux États-Unis et/ou dans d’autres pays. Les autres noms de sociétés et de produits mentionnés ici peuvent être des marques de leurs détenteurs respectifs. Map data © 2010 Google. La mention de produits tiers n’est effectuée qu’à des fins informatives et ne constitue en aucun cas une approbation ni une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité vis- à-vis des performances ou de l’utilisation de ces produits. Tout arrangement, tout contrat ou toute garantie, le cas échéant, est réalisé directement entre les fournisseurs et les futurs utilisateurs. Tous les efforts nécessaires ont été mis en œuvre pour que les informations contenues dans ce manuel soient les plus exactes possible. Apple ne peut être tenu responsable des erreurs d’impression et d’écriture. F019-2267/2012-03 PowerBook G4 15 pouces Premiers contacts Contient des informations de configuration, d’extension et de dépannage pour votre ordinateur PowerBook G4K Apple Computer Inc. © 2004 Apple Computer Inc. Tous droits réservés. En application des lois et conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer, Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AirPort, Apple Store, AppleTalk, Final Cut Pro, FireWire, iCal, iMovie, iTunes, Mac, Macintosh, le logo Mac, Mac OS, PowerBook, QuickTime et Sherlock sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, le logo FireWire, iDVD, iPhoto, iPod, Rendezvous, Safari et SuperDrive sont des marques d’Apple Computer, Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Computer, Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. .Mac est une marque de service d’Apple Computer, Inc. La marque et les logos Bluetooth® sont la propriété de Bluetooth SIG, Inc. et sont utilisés sous licence par Apple Computer, Inc. ENERGY STAR® est une marque déposée aux États-Unis. PowerPC est une marque d’International Business Machines Corporation, utilisée sous licence. Les autres noms de produits et de sociétés sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Le produit décrit dans le présent manuel intègre des technologies de protection de droits d’auteur elles-mêmes protégées par divers brevets américains ainsi que d’autres droits de propriété intellectuelle appartenant à Macrovision Corporation et à d’autres détenteurs. L’utilisation de ces technologies de protection des droits d’auteurs doit être autorisée par Macrovision Corporation et est destinée à un cadre privé ou de visualisation restreinte, sauf consentement de Macrovision Corporation. Tout démontage ou ingénierie inverse est interdit. Réclamations concernant l’appareillage aux États-Unis. Brevets n° 4,631,603, 4,577,216, 4,819,098 et 4,907,093 sous licence à des fins de visualisation limitée uniquement. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. 3 1 Table des matières Chapitre 1 5 Premiers contacts 6 Fonctionnalités de base de votre PowerBook 8 Autres fonctionnalités de votre PowerBook 10 Configuration 16 Comment éteindre mon PowerBook ? 17 Calibration de votre batterie 18 Et ensuite ? Chapitre 2 21 Notions élémentaires 21 À la découverte de votre nouveau PowerBook 22 Réglage de votre moniteur 23 Utilisation de votre adaptateur secteur 25 Utilisation du trackpad 26 Utilisation du clavier 26 Utilisation d’une souris 27 À propos de Mac OS X 27 Personnalisation du bureau et réglage des préférences 28 Connexion à une imprimante 29 Contrôle de l’impression 30 Lecture d’un CD et branchement d’un casque d’écoute 30 Connexion d’un appareil photo ou d’un autre périphérique FireWire ou USB 30 Connexion à un réseau 30 Maintien à jour de votre logiciel 31 Utilisation d’Internet 31 Transfert de fichiers vers un autre ordinateur 32 Lorsqu’une application se fige Chapitre 3 33 Utilisation de votre ordinateur 34 USB (Universal Serial Bus) 36 FireWire 38 Cartes PC Card 39 Utilisation de appareils Bluetooth 40 Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme4 Table des matières 42 Ethernet (10/100/1000Base-T) 43 Utilisation de votre modem 43 Connexion de haut-parleurs et de périphériques audio 44 Gestion vidéo externe (DVI/VGA et S-Vidéo) 47 Utilisation de votre lecteur optique 51 Batterie 56 Rainure de sécurité Chapitre 4 57 Ajout de mémoire à votre ordinateur 57 Ajout de mémoire 61 Vérification de la reconnaissance de la nouvelle mémoire par votre ordinateur Chapitre 5 63 Dépannage 64 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur 65 Autres problèmes 67 Restauration des logiciels de votre ordinateur 68 Localisation du numéro de série de votre produit Annexe A 69 Caractéristiques Annexe B 71 Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 71 Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation de votre ordinateur 72 Utilisation de votre PowerBook 73 Consignes générales de sécurité 74 Batterie 74 Protégez votre système auditif 74 Apple et l’environnement 75 Ergonomie Annexe C 77 Connexion à Internet 79 Collecte des informations nécessaires 80 Saisie de vos informations 81 Modem commuté avec connexions PPP (Point-To-Point Protocol) 83 Connexions à Internet par ligne DSL, modem câble ou réseau LAN 89 Connexion sans fil AirPort Extreme 92 Dépannage de votre connexion Annexe D 95 Les dix questions principales 99 Communications Regulation Information1 5 1 Premiers contacts Votre PowerBook est un ordinateur portable des plus complets. Important : lisez attentivement toutes les instructions d’installation et consignes de sécurité (voir la page 71) avant de brancher votre ordinateur sur une prise de courant. Adaptateur secteur Câble CA Connecteur CA Câble téléphonique Adaptateur S-vidéo vers vidéo composite Adaptateur DVI vers VGA ®6 Chapitre 1 Premiers contacts Fonctionnalités de base de votre PowerBook ® Haut-parleur intégré ® Bouton d’alimentation Fenêtre de l’antenne AirPort Extreme/Bluetooth Fenêtre d’antenne AirPort Extreme/ Bluetooth Haut-parleur intégré (sous la grille du haut-parleur) Microphone Touche de fonction (Fn) Voyant de suspension d’activité Bouton de Trackpad déverrouillage de l’écran Bouton du trackpad Lecteur optique à chargement frontal Touches de réglage du volume ¤ Touches de réglage de la luminosité Touche de verrouillage numérique Touches de fonction standard - — Touche silence Touche d’éjection de disques Touche de changement du mode vidéo Commandes d’éclairage du clavier (sur certains modèles)Chapitre 1 Premiers contacts 7 Pour plus d’informations sur AirPort Extreme ou sur le lecteur de disque optique, consultez le chapitre 3, “Utilisation de votre ordinateur”, à la page 33. ¤ Touches de réglage de la luminosité Permettent d’augmenter ou de réduire la luminosité de l’écran de votre PowerBook. - Touches de réglage du volume Permettent d’augmenter ou de diminuer le volume du son provenant des haut-parleurs intégrés et du port casque. Commandes d’éclairage du clavier (option non disponible sur tous les PowerBook) Permettent d’augmenter ou de réduire l’éclairage de votre clavier. Touche de verrouillage numérique Permet d’activer et de désactiver le pavé numérique intégré au clavier du PowerBook. Lorsque le pavé numérique est activé, un lumière verte éclaire la touche. Touche de changement du mode vidéo Utilisez cette touche pour alterner le mode double-écran (extension de votre bureau vers l’écran intégré et l’écran externe) et le mode de recopie vidéo (présentant les mêmes informations sur l’écran intégré et sur l’écran externe). Touche d’éjection de disques Maintenez cette touche enfoncée pour éjecter un disque. Microphone Ce microphone intégré (situé sous la grille du haut-parleur de gauche) permet d’enregistrer directement des sons sur le disque dur de votre PowerBook. Haut-parleurs intégrés (2) Permet d’écouter de la musique, des films, des jeux et d’autres types de données multimédia. Touche de fonction (Fn) Maintenez cette touche enfoncée pour activer les touches de fonction (F1 à F12). Voyant de suspension d’activité Un voyant blanc clignote lorsque le PowerBook est en suspension d’activité. Bouton de déverrouillage de l’écran Appuyez sur ce bouton pour ouvrir l’écran et votre PowerBook. Trackpad Permet de déplacer le pointeur sur l’écran du PowerBook. Lecteur optique à chargement frontal Votre lecteur de disque optique peut lire les CD-ROM, les CD photo, les CD audio standard, les DVD-ROM et DVD-R, les films DVD et d’autres types de supports. Il permet aussi de graver de la musique, des documents et d’autres fichiers numériques sur des disques CD-R et CD-RW. Si vous disposez également d’un lecteur SuperDrive, vous pouvez également graver des disques DVD-R. ® Bouton d’alimentation Permet d’allumer, d’éteindre ou de suspendre l’activité de votre PowerBook. Fenêtre de l’antenne AirPort Extreme/Bluetooth Grâce à la borne d’accès optionnelle AirPort Extreme ou à un autre concentrateur sans fil, vous pouvez vous connecter sans fil à Internet. Vous pouvez aussi vous connecter sans fil à des périphériques dotés de la technologie sans fil Bluetooth, notamment des souris, des claviers, des assistants numériques personnels et des téléphones cellulaires.8 Chapitre 1 Premiers contacts Autres fonctionnalités de votre PowerBook ® W Port du modem interne ¯ Port de l’adaptateur secteur Port de sortie casque Logement de cartes PC Card Port USB 2.0 f Port d’entrée audio ® Rainure de sécurité Port Ethernet Gigabit (10/100/1000 Base-T) G Port FireWire 800 Port USB 2.0 Port DVI Port FireWire 400 Port de sortie S-Vidéo ÆChapitre 1 Premiers contacts 9 Pour des informations supplémentaires sur ces caractéristiques, consultez le chapitre 3, “Utilisation de votre ordinateur”, à la page 33. Rainure de sécurité Permet de protéger le PowerBook contre le vol en y reliant un câble de sécurité. ¯ Port d’adaptateur secteur Branchez l’adapteur secteur portable Apple fourni pour recharger la batterie. W Port du modem interne Permet de relier une ligne téléphonique standard directement au modem interne. Deux ports Hi-Speed USB 2.0 (Universal Serial Bus) Grâce à la technologie USB, vous pouvez connecter des périphériques supplémentaires à votre ordinateur, tels qu’une imprimante, des unités de stockage externes, une appareil photo numérique, un modem, un clavier ou une manette de jeu. (Compatible avec les appareils USB standard.) Logement de cartes PC Card Augmente les capacités de votre PowerBook. Accepte les formats des cartes PC Card et CardBus de type I ou II. Port d’entrée audio Permet de connecter un microphone ou un autre appareil audio à votre PowerBook. f Port de sortie casque (sortie son) Permet de connecter des haut-parleurs, un casque d’écoute ou tout autre périphérique de sortie audio. Deux ports FireWire Permettent de connecter des périphériques à haute vitesse tels que des caméras vidéo numériques et des périphériques de stockage externes. Vous pouvez connecter un périphérique FireWire standard 6 broches directement au port FireWire à 400 Mbps ou utiliser un câble FireWire 9 vers 6 broches pour connecter le périphérique au port FireWire à 800 Mbps. Vous pouvez également connecter directement un périphérique FireWire 9 broches au port FireWire à 800 Mbps. G Port Ethernet Gigabit (10/100/1000Base-T) Permet de se connecter soit à un réseau Ethernet 10/100/1000 Base-T haute vitesse, soit à un autre ordinateur et de transférer des fichiers. La fonction de détection automatique du port Ethernet détecte d’autres périphériques Ethernet sans avoir besoin de câble croisé Ethernet pour établir la connexion. Æ Port de sortie TV (sortie S-Vidéo) Permet de connecter votre PowerBook à un téléviseur, un magnétoscope ou tout autre appareil vidéo. Vous pouvez utiliser le port de sortie TV pour effectuer des présentations ou pour regarder un film DVD sur votre téléviseur. Port DVI (moniteur externe) Permet de connecter un moniteur externe ou un projecteur équipé d’un connecteur DVI ou de raccorder un moniteur VGA en utilisant l’adaptateur DVI-VGA inclus. Vous pouvez également utiliser un adaptateur DVI-ADC (vendu séparément) pour connecter un moniteur à écran plat Apple.10 Chapitre 1 Premiers contacts Configuration Votre ordinateur PowerBook est conçu pour être configuré rapidement et utilisé immédiatement. Étape 1 : Branchement de l’adaptateur secteur m Branchez le connecteur CA de votre adaptateur secteur dans la prise de courant et branchez la fiche de l’adaptateur secteur dans le port de l’adaptateur secteur de votre PowerBook. Important : veillez à ce que les broches électriques de votre connecteur CA soient totalement sorties avant de brancher l’adaptateur à la prise murale. Pour étendre la portée de votre adaptateur secteur, vous pouvez joindre le câble CA si vous le souhaitez. Voir “Utilisation de votre adaptateur secteur” à la page 23. Connecteur CA ® Connecteur CA Fiche de l’adaptateur secteur ¯ Port de l’adaptateur secteur Câble CAChapitre 1 Premiers contacts 11 Étape 2 : Préparez-vous à vous connecter La première fois que vous démarrez votre ordinateur, un assistant réglages vous accueille et vous guide dans le processus d’enregistrement. Il vous aide aussi à configurer votre ordinateur et votre connexion Internet. Cet accès requiert généralement l’ouverture d’un compte auprès d’un fournisseur d’accès à Internet (payant dans certains cas). La configuration de la connexion Internet requiert généralement que vous fournissiez des informations telles que le nom de compte donné par votre FAI. Si vous n’êtes pas prêt à configurer votre connexion tout de suite, vous pouvez ignorer cette étape et y revenir plus tard. Consultez l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 77 pour plus d’informations sur comment la configurer plus tard. Si vous êtes prêts, procurez-vous les informations ci-dessous selon le type de connexion que vous utiliserez. Vous pouvez écrire les informations de votre FAI ou de votre administrateur réseau sur ces pages pour ensuite les saisir dans l’Assistant réglages. Pour configurer une connexion téléphonique classique, procurez-vous les informations suivantes : • Nom du fournisseur d’accès • Nom de l’utilisateur ou du compte • Mot de passe • Numéro de téléphone du FAI • Autre numéro de téléphone • Préfixe pour obtenir une ligne extérieure Pour configurer une connexion DSL, modem câble, LAN ou sans fil AirPort Extreme : m Commencez par choisir votre méthode de connexion (contactez votre administrateur réseau ou votre FAI si vous ne la connaissez pas) : • Manuellement • Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle • Via DHCP • Via BootP • PPP Si vous ne savez pas quelle méthode utiliser, “Via DHCP” peut être un bon choix, car le réseau fournit automatiquement la plupart des informations requises. Si vous avez sélectionné “Manuellement” ou “Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle” procurez-vous les informations suivantes : • Adresse IP • Masque de sous-réseau • Adresse du routeur Remarque : si vous avez sélectionné “Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle”, vous n’avez pas besoin d’un masque de sous-réseau ou d’une adresse de routeur.12 Chapitre 1 Premiers contacts Si vous avez sélectionné “Via DHCP”, procurez-vous les informations suivantes facultatives (le cas échéant, consultez votre FAI) : • ID client DHCP • Serveurs DNS Si vous avez sélectionné “PPP”” (pour des connexions PPPoE), procurez-vous les informations suivantes : • Fournisseur de services • Nom du compte • Mot de passe • Nom du service PPPoE Les informations ci-dessous sont facultatives. Consultez votre FAI ou votre administrateur système si nécessaire. • Serveurs DNS • Nom de domaine • Serveur proxy Étape 3 : Connectez vos câbles Connectez ensuite votre PowerBook à une ligne téléphonique, un modem DSL, un modem câble ou à un réseau Ethernet. Si vous vous connectez à un réseau sans fil AirPort Extreme 802.11b ou 802.11g, vous n’avez pas besoin de câbles. Pour se connecter à une ligne téléphonique : m Connectez le câble téléphonique relié à la prise murale au port modem interne pour une connexion commutée. ® W Port modem interne Câble téléphoniqueChapitre 1 Premiers contacts 13 Veillez à connecter le modem interne à une ligne téléphonique analogique (type le plus répandu chez les particuliers). Le modem ne fonctionnera pas avec une ligne téléphonique numérique. Pour plus d’informations sur votre modem, consultez “Utilisation de votre modem” à la page 43. Pour plus d’informations sur d’autres types de connexions, voir l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 77. Pour se connecter à un modem DSL ou câble ou à un réseau Ethernet : m Connectez le câble à votre modem DSL ou modem câble comme indiqué dans les instructions du modem, ou connectez le câble Ethernet à un concentrateur ou une prise Ethernet. Connectez ensuite l’autre extrémité du câble au port Ethernet de l’ordinateur. Étape 4 : Allumez votre PowerBook Maintenant que vous disposez de toutes les informations de configuration, vous êtes prêt à démarrer votre ordinateur. L’assistant réglages se lance automatiquement pour vous aider. 1 Pour allumer l’ordinateur, appuyez sur le bouton d’alimentation (®). Lorsque vous allumez l’ordinateur, il émet normalement un signal sonore. Sa mise en route prend quelques instants. Avertissement : ne connectez jamais une ligne téléphonique numérique au modem, car un type de ligne inapproprié risque de l’endommager. Contactez votre opérateur téléphonique si vous n’êtes pas certain(e) de votre type de ligne téléphonique. ® Câble Ethernet Port Ethernet Gigabit (10/100/1000 Base-T) G14 Chapitre 1 Premiers contacts Remarque : appuyez sur le bouton très brièvement, (pas plus d’une seconde). En effet, si vous appuyez trop longtemps sur le bouton d’alimentation, vous risquez d’éteindre votre ordinateur. Problèmes de mise sous tension de l’ordinateur Rien ne se produit lorsque vous appuyez sur le bouton d’alimentation. • La batterie est peut-être déchargée. Assurez-vous que l’adaptateur secteur est correctement connecté à l’ordinateur et relié à une prise électrique. La prise doit s’éclairer lorsque que vous la branchez à l’ordinateur. • Si l’ordinateur ne démarre toujours pas, consultez “Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur” à la page 64. Un point d’interrogation clignotant sur une icône de disque ou de dossier apparaît à l’écran. • Cette icône signifie généralement que l’ordinateur ne parvient pas à localiser le logiciel système sur le disque dur interne ou sur tout disque externe relié à l’ordinateur. Essayez de redémarrer. Appuyez sur le bouton d’alimentation pendant 4 à 5 secondes jusqu’à l’arrêt de votre ordinateur. Appuyez ensuite de nouveau sur le bouton d’alimentation. Si le problème persiste, vous devrez peut-être réinstaller le logiciel système. Voir la section “Restauration des logiciels de votre ordinateur” à la page 67. ® ® Bouton d’alimentationChapitre 1 Premiers contacts 15 2 Le trackpad de votre PowerBook vous permet de sélectionner et de déplacer des éléments à l’écran de la même façon que la souris d’un ordinateur de bureau. • Pour déplacer le pointeur à l’écran, glissez votre index sur le trackpad. • Pour sélectionner un élément, cliquer ou faire un double-clic, utilisez le bouton du trackpad. Pour obtenir des conseils sur l’utilisation du trackpad, voir “Conseils d’utilisation du trackpad” à la page 25. Félicitations, vous maîtrisez votre PowerBook ! ® Trackpad Bouton du trackpad16 Chapitre 1 Premiers contacts Comment éteindre mon PowerBook ? Lorsque vous avez fini de travailler avec votre PowerBook, vous pouvez suspendre son activité ou l’éteindre. Suspension de l’activité de votre PowerBook Si vous n’utilisez pas votre PowerBook pendant un court moment, suspendez son activité. Cette fonctionnalité sert à réactiver votre ordinateur sans avoir à le redémarrer. Pour suspendre l’activité de votre ordinateur, procédez de l’une des manières suivantes : • Rabattez l’écran. • Sélectionnez le menu Pomme (K) > “Suspendre l’activité” dans la barre des menus. • Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et cliquez sur Suspendre l’activité dans la zone de dialogue qui s’affiche. Pour réactiver l’ordinateur : • Si l’écran est rabattu, ouvrez-le. Votre PowerBook reprend automatiquement son activité lorsque vous ouvrez l’écran. • Si l’écran est ouvert, appuyez sur le bouton d’alimentation (®) ou sur une touche quelconque du clavier. Avertissement : patientez quelques secondes jusqu’à ce que le voyant blanc de suspension d’activité clignote sur le loquet de l’écran (signalant que l’activité de l’ordinateur est suspendue et que le disque dur a cessé de tourner) avant de déplacer votre PowerBook. Tout déplacement de votre ordinateur lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager ce dernier et d’entraîner une perte de données ou l’impossibilité de démarrer à partir du disque dur.Chapitre 1 Premiers contacts 17 Extinction de votre PowerBook Si vous ne comptez pas utiliser votre PowerBook pendant un jour ou deux, éteignez-le. Pour éteindre votre ordinateur, procédez de l’une des manières suivantes : • Sélectionnez le menu Pomme (K) > puis Éteindre dans la barre des menus. • Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et cliquez sur Éteindre dans la zone de dialogue qui s’affiche. Si vous comptez ranger votre PowerBook pour une durée prolongée, consultez la section “Rangement de votre PowerBook” à la page 72 pour plus d’informations sur les moyens d’éviter que votre batterie se décharge complètement. Calibration de votre batterie Pour garantir à votre batterie une durée de vie optimale, respectez les étapes suivantes pendant la première semaine d’utilisation de votre PowerBook. Pour calibrer initialement votre batterie, suivez ces étapes : 1 Branchez votre adaptateur secteur et chargez complètement la batterie de votre PowerBook jusqu’à ce que l’éclairage de l’adaptateur passe au vert et que l’indicateur à l’écran dans la barre des menus indique que la batterie est complètement chargée. 2 Débranchez l’adaptateur secteur et utilisez votre PowerBook avec la seule batterie. Lorsque la batterie est presque déchargée, un premier message d’avertissement apparaît à l’écran. Continuez à faire fonctionner votre PowerBook sur sa batterie jusqu’à ce qu’il suspende son activité. La batterie sera alors suffisamment déchargée en vue de son étalonnage. 3 Connectez l’adaptateur secteur jusqu’à ce que la batterie soit complètement rechargée. Important : pour calibrer votre batterie, vous devez la vider complètement, puis la recharger en une seule fois. Après cela, vous pouvez connecter et déconnecter l’adaptateur secteur quel que soit le niveau de charge de la batterie. Si vous avez acheté des batteries supplémentaires, répétez la procédure de calibrage avec celles-ci. Pour plus d’informations sur votre adaptateur secteur et votre batterie, consultez “Utilisation de votre adaptateur secteur” à la page 23 et “Batterie” à la page 51.18 Chapitre 1 Premiers contacts Et ensuite ? • Apprenez les bases principales concernant votre PowerBook. Consultez le chapitre 2, “Notions élémentaires”, à la page 21. • Amusez-vous en testant les applications et les fonctionnalités Internet offertes par votre ordinateur. Consultez le livret sur Mac OS X et ses applications fourni avec votre ordinateur. • Si vous ne connaissez pas Mac OS X, ouvrez l’aide Mac OS puis parcourez les informations. • Passage d’un autre ordinateur ? Ouvrez l’aide Mac OS et consultez la rubrique Nouveaux utilisateurs. Celle-ci vous aidera à exploiter vos connaissances en informatique pour découvrir un ordinateur Mac. Davantage de questions ? Aide Mac OS La plupart des informations sur l’utilisation de votre Macintosh sont disponibles directement sur votre ordinateur. 1 Cliquez sur l’icône Finder dans le Dock (la barre des icônes au bas de l’écran). 2 Choisissez Aide > Aide Mac (cliquez sur le menu Aide dans la barre des menus et sélectionnez Aide Mac). 3 Cliquez dans le champ Rechercher, tapez votre question et appuyez sur la touche Retour du clavier.Chapitre 1 Premiers contacts 19 Autre assistance • Si un problème vous empêche d’utiliser votre ordinateur, consultez le chapitre 5, “Dépannage”, à la page 63. • Consultez les dix questions les plus fréquemment posées. Voir l’annexe D, “Les dix questions principales”, à la page 95. • Pour plus d’information sur l’assistance, les groupes de discussion et les dernières nouveautés logicielles Apple à télécharger, visitez le site www.apple.com/support. • Si vous ne trouvez pas de réponse à votre problème, consultez les documents AppleCare livrés avec votre ordinateur pour savoir comment contacter Apple.2 21 2 Notions élémentaires Ce chapitre présente les bases principales concernant votre PowerBook que vous souhaiterez connaître. À la découverte de votre nouveau PowerBook La légèreté et la finesse de votre PowerBook vous permettent de l’emporter partout, que ce soit au bureau, à la bibliothèque, en classe ou dans tout autre endroit pour travailler ou jouer. Chaque fois que vous cessez d’utiliser votre PowerBook, patientez quelques instants pour laisser le temps au disque dur ou à un disque optique dans votre lecteur d’arrêter de tourner avant de transporter l’ordinateur. Évitez de bousculer ou de heurter votre PowerBook pendant que des disques sont en train de tourner. Lorsque vous utilisez votre PowerBook ou que vous rechargez la batterie, il est normal que la température du dessous du boîtier s’élève. En cas d’utilisation prolongée, placez votre PowerBook sur une surface plane et stable. Le dessous du boîtier est légèrement surélevé pour permettre la circulation d’air et assurer ainsi à l’équipement une température de fonctionnement normale. Au cours des premières utilisations de votre nouvel ordinateur, vous entendrez peut-être de petits bruits pendant son démarrage ou lors de l’utilisation du disque dur et des lecteurs optiques. En effet, vous pouvez entendre comme un vrombissement ou des petits bruits secs lorsque ces derniers ont accès aux informations ou lorsque vous chargez ou éjectez un disque. Après un certain temps de fonctionnement du PowerBook, un petit ventilateur peut se mettre en marche pour refroidir le système, produisant un léger bruit. Ces petits bruits font partie du fonctionnement normal du PowerBook. Pour plus de consignes sur la sécurité lorsque vous manipulez et utilisez votre PowerBook dans différents lieux, veuillez consulter l’annexe B, “Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien”, à la page 71.22 Chapitre 2 Notions élémentaires Réglage de votre moniteur Lorsque vous travaillez pour la première fois sur votre ordinateur PowerBook, réglez si nécessaire l’affichage de l’écran pour un meilleur confort visuel. Pour régler la luminosité de l’écran, utilisez les touches sur lesquelles figurent l’icône ¤. Si des icônes d’éclairage figurent sur les touches F8, F9 et F10, cela signifie que votre ordinateur possède la fonction éclairage du clavier et un système de capteur de lumière ambiante (ALS). Les capteurs ALS se situent sous les grilles des haut-parleurs et règlent automatiquement la luminosité de votre affichage et l’éclairage du clavier en fonction de la luminosité qui règne autour de vous. Vous pouvez également régler l’éclairage du clavier à l’aide des touches F8, F9 et F10. Important : même lorsque la fonction d’éclairage du clavier est activée, le clavier ne s’éclaire que lorsque la lumière ambiante est très faible. Pour désactiver la fonction luminosité d’affichage automatique : m Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système. Ouvrez ensuite la sous-fenêtre Moniteurs et décochez la case luminosité automatique. Vous pouvez désactiver l’éclairage du clavier depuis la sous-fenêtre Clavier et souris des Préférences Système ou en appuyant sur la touche F8. ® Boutons de réglage de la luminosité Commandes d’éclairage du clavier ¤ Capteur ALS Capteur ALSChapitre 2 Notions élémentaires 23 Remarque : exposé est préréglé pour utiliser les touches F9 et F10, qui vous servent également à régler l’éclairage du clavier. Pour utiliser Exposé en vue de gérer les fenêtres de votre bureau, maintenez enfoncée la touche Fn et appuyez sur F9 ou F10, ou ouvrez la sous-fenêtre Exposé dans les Préférences Système, puis choisissez d’autres touches de fonction pour gérer les fenêtres. Modification de la taille des images à l’écran Vous pouvez augmenter ou diminuer la taille des images à l’écran en passant de la résolution standard à la résolution à l’échelle. Votre PowerBook est équipé d’un écran WXGA TFT de 15,2 pouces avec une résolution par défaut de 1280 x 854. Vous pouvez choisir une résolution de 1152 x 768 ou inférieure (appelée résolution calibrée) dans la sous-fenêtre Moniteurs des Préférences Système. Lorsque vous ajustez la résolution, les éléments apparaissent plus grands à l’écran et sont par conséquent plus faciles à visualiser. Ces résolutions ne sont toutefois pas aussi nettes que la résolution par défaut. Pour régler la résolution de votre écran : m Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système. Ouvrez la sous-fenêtre Moniteurs des Préférences système. Pour contrôler vos réglages d’écran via l’icône Moniteurs de la barre des menus, cliquez sur l’option Ouvrir Moniteurs dans la barre des menus. Utilisation de votre adaptateur secteur Le branchement de l’adaptateur secteur alimente l’ordinateur en courant alternatif (CA) et recharge sa batterie. Important : pour des performances optimales, n’utilisez que l’adaptateur secteur livré avec votre ordinateur, ou procurez-vous un Adaptateur secteur portable Apple de 65W supplémentaire. Lorsque que vous connectez pour la première fois votre adaptateur secteur à votre ordinateur, une lumière verte s’allume pendant une seconde pour indiquer que l’énergie est disponible. La lumière orange indique que la batterie est en train de se recharger. La lumière verte indique qu’elle est rechargée complètement. Vous pouvez contrôler le niveau de la batterie soit à l’aide de l’icône de batterie de la barre des menus, soit en vérifiant les témoins lumineux de niveau de la batterie situés sur la partie inférieure de la batterie (voir la page 51).24 Chapitre 2 Notions élémentaires Pour étendre la portée de votre adaptateur secteur, retirez la prise CA de votre adaptateur. Reliez le câble CA à l’adaptateur et insérez l’autre extrémité dans la prise de courant murale. Utilisez uniquement le câble pour courant alternatif fourni avec votre adaptateur secteur. Veillez à ce que le connecteur soit fermement engagé dans le port de l’adaptateur secteur de l’ordinateur afin de garantir l’arrivée du courant à l’ordinateur. Lorsque vous déconnectez l’adaptateur secteur d’une prise de courant ou de l’ordinateur, débranchez bien la prise et non le câble. Pour des consignes de sécurité sur l’utilisation de votre adaptateur secteur, consultez “Branchement de l’adaptateur secteur” à la page 71. Avertissement : assurez-vous que l’adaptateur secteur est correctement assemblé avant de le brancher dans une prise électrique. Si vous utilisez le connecteur CA avec votre adaptateur secteur, vérifiez que les deux broches sont totalement sorties avant de brancher l’adaptateur. Câble CA Connecteur CAChapitre 2 Notions élémentaires 25 Utilisation du trackpad Le trackpad est sensible à la vitesse de déplacement de votre doigt. Pour déplacer le pointeur sur une courte distance, faites glisser l’index lentement sur le trackpad. Plus le déplacement du doigt est rapide, plus la distance parcourue par le pointeur est grande. Plutôt que d’utiliser le bouton du trackpad, utilisez votre doigt pour cliquer ou doublecliquer directement sur le trackpad. Les options du trackpad peuvent être activées via la sous-fenêtre Clavier et souris des Préférences Système. Remarque : si le pointeur bouge lorsque vous tapez parce que vous appuyez sur le trackpad par inadvertance, vous pouvez éviter ce désagrément en sélectionnant l’option “Ignorer les utilisations accidentelles du trackpad” dans la sous-fenêtre Clavier et souris des Préférences Système. Conseils d’utilisation du trackpad Pour une utilisation efficace du trackpad, tenez compte des conseils suivants : • N’utilisez qu’un seul doigt, sinon le pointeur pourrait se comporter de façon capricieuse. • N’utilisez pas de stylo ou tout autre objet. • Veillez à ce que votre doigt et le trackpad soient secs. Si l’humidité ou la condensation provoque une accumulation de buée sur le trackpad, essuyez-le avec un chiffon propre avant de l’utiliser. • N’utilisez jamais de produit nettoyant sur le trackpad. Pour plus d’informations sur l’utilisation du trackpad, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus en haut de l’écran.26 Chapitre 2 Notions élémentaires Utilisation du clavier Votre PowerBook est équipé d’un pavé numérique auquel vous accédez via les touches normales du clavier. Les touches utilisées par le pavé numérique sont pourvues d’une mention secondaire plus petite. Pour utiliser le pavé numérique, appuyez sur la touche de verrouillage numérique. La touche de verrouillage numérique est éclairée d’un voyant vert indiquant que le clavier est activé. Une fois que vous avez terminé, appuyez à nouveau sur la touche de verrouillage numérique pour la désactiver. Important : si votre clavier ne semble pas fonctionner correctement, vérifiez la touche de verrouillage numérique. Lorsque le pavé numérique est activé, les autres touches et raccourcis clavier correspondant à des commandes de menu (comme x + Q pour quitter) sont désactivés. Si vous souhaitez utiliser les raccourcis clavier afin de travailler plus efficacement, ouvrez l’aide Mac OS, puis recherchez “raccourcis”. Vous trouverez une liste de raccourcis clavier pour un grand nombre de procédures et d’applications courantes. Utilisation d’une souris Si vous disposez d’une souris Apple dotée d’une connexion USB, insérez son connecteur dans le port USB 2.0 et utilisez-la immédiatement. Vous pouvez acheter une souris USB chez un revendeur Apple agrée ou à partir du site Web Apple Store : www.apple.com/store. Touche de verrouillage numérique ® Pavé numériqueChapitre 2 Notions élémentaires 27 À propos de Mac OS X Votre ordinateur est fourni avec Mac OS X et Classic, un environnement pour l’utilisation d’applications Mac OS 9 bien que l’ordinateur tourne sous Mac OS X. Remarque : Mac OS 9 ne peut pas être installé comme système d’exploitation primaire sur votre PowerBook. Une fois que vous êtes prêt à en savoir plus sur Mac OS X et sur vos applications Apple, reportez-vous au manuel Mac OS X livré avec votre PowerBook. Vous pouvez également ouvrir l’Aide Mac OS et parcourir les informations qu’elle contient. Vous trouverez un grand volume d’informations pour les utilisateurs novices et expérimentés, et pour ceux qui passent au Mac. Si vous rencontrez n’importe quel problème lors de l’utilisation de Mac OS X, consultez les conseils de dépannage au dos de ce livre ou choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus en haut de l’écran. Pour obtenir des informations sur la compatibilité des applications avec Mac OS X ou pour en savoir plus sur Mac OS X en général, consultez le site Web d’Apple à l’adresse suivante : www.apple.com/macosx. Personnalisation du bureau et réglage des préférences Vous pouvez rapidement donner l’apparence que vous souhaitez à votre bureau à l’aide des Préférences Système. Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système. 28 Chapitre 2 Notions élémentaires N’hésitez pas à changer et essayer ce qui suit : • Apparence : sélectionnez cette sous-fenêtre de préférences pour changer entre autres les couleurs des boutons, menus, fenêtres et la couleur de contraste. • Bureau et économiseur d’écran : sélectionnez cette sous-fenêtre de préférences pour changer la couleur et le motif du bureau ou pour le remplacer par la photo ou l’image de votre choix. Vous pouvez également choisir un effet d’écran accrocheur qui apparaîtra lorsque l’ordinateur reste inactif. • Dock : sélectionnez cette sous-fenêtre de préférence pour modifier l’apparence, la position et le comportement du Dock. Tout en vous familiarisant avec votre ordinateur, découvrez progressivement les autres Préférences Système. Elles contiennent en effet la plupart des réglages de votre PowerBook. Pour plus d’informations, ouvrez l’aide Mac OS et recherchez “Préférences Système” ou la sous-fenêtre spécifique que vous souhaitez modifier. Connexion à une imprimante Pour utiliser une imprimante avec votre PowerBook, suivez les instructions livrées avec pour installer les logiciels requis et connecter l’imprimante. De nombreuses imprimantes se connectent au moyen d’un câble USB ; d’autres sont accessibles avec une connexion en réseau comme Ethernet. Pour plus d’informations sur vos ports USB, consultez “USB (Universal Serial Bus)” à la page 34. Pour plus d’informations sur les connexions réseau et sans fil, consultez “Ethernet (10/100/1000Base-T)” à la page 42 et “Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme” à la page 40. Une fois votre imprimante connectée et réglée, ouvrez la sous-fenêtre Imprimantes et fax des Préférences Système pour sélectionner l’imprimante que vous voulez utiliser. Si vous vous connectez à une imprimante via un réseau, il vous faudra peut-être savoir le nom de réseau ou l’adresse de l’imprimante pour la sélectionner. Si une imprimante USB est reliée à une borne d’accès AirPort Extreme, vous pouvez vous connecter à l’imprimante et imprimer sans fil.Chapitre 2 Notions élémentaires 29 Pour configurer une imprimante : 1 Ouvrez Préférences Système et cliquez sur l’icône Imprimantes et fax. 2 Cliquez sur le bouton Configurer les imprimantes. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter. 4 Sélectionnez le type de connexion de votre imprimante (par exemple, USB, AppleTalk, etc.) dans le menu local. Pour ajouter une imprimante USB connectée à une borne d’accès AirPort Extreme, sélectionnez Rendezvous dans le menu local. 5 Sélectionnez ou saisissez les informations de l’imprimante et cliquez sur Ajouter. Contrôle de l’impression Lorsque vous avez envoyé un document à l’impression, vous pouvez contrôler l’impression et l’arrêter ou la mettre en attente temporairement. Pour contrôle l’impression : m Cliquez sur l’icône de l’imprimante dans le Dock pour ouvrir la fenêtre Liste des imprimantes. Vous voyez alors la liste des travaux d’impression et la file d’attente sur lesquelles vous pouvez intervenir. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Mac et recherchez “impression.”30 Chapitre 2 Notions élémentaires Lecture d’un CD et branchement d’un casque d’écoute Pour écouter de la musique tout en travaillant, insérez un CD de musique dans votre lecteur optique. iTunes, un lecteur de musique souple d’emploi, apparaîtra automatiquement à l’écran. Vous pouvez également connecter des écouteurs à l’aide d’une prise jack dans le port casque de votre PowerBook pour une écoute discrète. Pour en savoir plus sur iTunes, ouvrez cette application et consultez l’aide correspondante à l’écran. Pour en savoir plus sur votre lecteur optique, consultez “Utilisation de votre lecteur optique” à la page 47. Connexion d’un appareil photo ou d’un autre périphérique FireWire ou USB Si vous possédez un appareil photo numérique, une caméra vidéo, un scanneur ou tout autre périphérique doté d’un connecteur FireWire ou USB, vous pouvez le connecter à votre PowerBook. Suivez les instructions d’installation fournies avec votre appareil. Pour plus d’informations sur FireWire, consultez “FireWire” à la page 36. Pour plus d’informations sur USB, consultez “USB (Universal Serial Bus)” à la page 34. Connexion à un réseau Si vous souhaitez connecter votre PowerBook à un réseau Ethernet ou sans fil, consultez “Ethernet (10/100/1000Base-T)” à la page 42 et “Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme” à la page 40 pour en savoir plus sur la configuration d’une connexion Ethernet ou AirPort. Vous pouvez également ouvrir l’aide Mac OS et rechercher “Ethernet” ou ouvrir l’Utilitaire AirPort Admin puis sélectionner Aide > Aide AirPort. Maintien à jour de votre logiciel Vous pouvez vous connecter à Internet et télécharger et installer automatiquement les dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple. Chaque fois que vous vous connectez à Internet, l’application Mise à jour de logiciels consulte les serveurs Internet d’Apple pour rechercher les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. Vous pouvez configurer votre Mac afin qu’il recherche régulièrement dans le serveur Apple des mises à jour de logiciels, puis qu’il les télécharge et les installe sur votre ordinateur. Pour rechercher les logiciels mis à jour : 1 Ouvrez les Préférences Système. Avertissement : si vous écoutez de la musique très fort sur des périodes longues, vous risquez d’endommager votre système auditif.Chapitre 2 Notions élémentaires 31 2 Cliquez sur l’icône Mettre à jour les logiciels et suivez les instructions sur l’écran. • Pour plus d’informations, recherchez “mise à jour de logiciels” dans l’aide Mac OS. • Pour les dernières informations concernant Mac OS, rendez-vous sur le site Web de Mac OS à l’adresse www.apple.com/macos. Utilisation d’Internet Au cours des étapes de configuration initiale, vous avez appris comment vous connecter à Internet. Si vous adoptez un nouveau type de connexion, tel que DSL, modem câble, réseau local Ethernet (LAN) ou réseau AirPort Extreme, vous trouverez des informations supplémentaires dans l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 77. Transfert de fichiers vers un autre ordinateur Pour transférer des fichiers ou des documents de ou vers votre PowerBook, plusieurs possibilités s’offrent à vous. • Vous pouvez transférer des fichiers via Internet en utilisant .Mac ou d’autres comptes Internet. • Vous pouvez transférer des fichiers à un autre ordinateur à travers d’un réseau. Vous pouvez accéder à un autre serveur ou ordinateur en cliquant sur Réseau dans la barre latérale du Finder, ou en choisissant Aller > Se connecter à un serveur dans la barre des menus du Finder. • Vous pouvez créer un petit réseau Ethernet en connectant un câble Ethernet de votre PowerBook au port Ethernet d’un autre ordinateur. Pour plus d’informations, ouvrez l’aide Mac OS et recherchez “connexion de deux ordinateurs”. • Vous pouvez également vous connecter à un autre Mac au moyen d’un câble FireWire. Votre PowerBook apparaît comme un disque dur sur l’autre ordinateur et vous pouvez transférer des fichiers. Pour plus d’informations sur comment utiliser FireWire pour transférer des fichiers, consultez “Mode disque cible FireWire” à la page 37. 32 Chapitre 2 Notions élémentaires • Vous pouvez vous connecter à un réseau sans fil AirPort Extreme 802.11g ou 802.11b pour transférer des fichiers. Pour en savoir plus, consultez “Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme” à la page 40. • Si vous avez accès à des appareils qui communiquent à travers la technologie sans fil Bluetooth, vous pouvez transférer des fichiers par son intermédiaire. Pour en savoir plus, consultez “Utilisation de appareils Bluetooth” à la page 39. Pour des informations générales sur le transfert de fichiers et de documents, ouvrez l’aide Mac OS et recherchez le type de connexion nécessaire. Lorsqu’une application se fige En de rares occasions, il peut arriver qu’une application se bloque à l’écran. Mac OS X permet de quitter une application figée sans redémarrer votre ordinateur, ce qui permet d’enregistrer le travail effectué dans d’autres applications ouvertes. Pour forcer une application à se fermer : 1 Appuyez sur Commande (x) + Option + Échap ou choisissez Forcer à quitter dans le menu Apple (K). La boîte de dialogue Forcer à quitter des applications apparaît avec l’application sélectionnée. 2 Cliquez sur Forcer à quitter. L’application quitte, en laissant toutes les autres applications ouvertes. Si nécessaire, vous pouvez aussi forcer la fermeture de l’environnement Classic, ce qui provoque la fermeture de toutes les applications Classic. Vous pouvez également redémarrer le Finder à partir de cette boîte de dialogue. Si vous rencontrez d’autres problèmes, consultez le chapitre 5, “Dépannage”, à la page 63.3 33 3 Utilisation de votre ordinateur Votre PowerBook comporte de nombreuses fonctionnalités et capacités de connexion intégrées que vous pouvez personnaliser et faire évoluer selon vos besoins. En voici la liste : • Des ports USB 2.0 pour la connexion de matériel supplémentaire à votre PowerBook : imprimantes, scanneurs, etc. Voir la page 34. • Un port FireWire 400 et un port FireWire 800 pour connecter des périphériques à haute vitesse, tels que des caméras vidéo numériques et des disques durs externes. Voir la page 36. • Un logement pour carte PC ou CardBus. Voir la page 38. • Connectivité sans fil Bluetooth, fonctionnalité de réseau sans fil AirPort Extreme, fonctionnalité de réseau Ethernet et modem 56K pour la mise en réseau et les communications. Voir la page 39. • Ports audio d’entrée de ligne et de sortie casque pour la connexion de casques, haut-parleurs, microphones et autres équipements audio. Voir la page 43. • La sortie vidéo DVI et son adaptateur DVI-VGA vous donnent la possibilité d’utiliser votre PowerBook avec un moniteur externe ou un écran plat numérique et gèrent les modes de recopie vidéo et de bureau étendu. Utilisez la gestion S-Vidéo intégrée pour afficher du contenu sur votre téléviseur. Voir la page 44. • Lecteur optique vous permettant d’écouter et de graver des CD ainsi que de regarder des DVD. Si vous disposez d’un lecteur SuperDrive, vous pouvez également graver des DVD. Voir la page 47. • Rainure de sécurité grâce à laquelle votre PowerBook sera maintenu en place. Voir “Rainure de sécurité” à la page 56.34 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur USB (Universal Serial Bus) Votre PowerBook est livré avec deux ports USB 2.0 ( ), ou ports USB haute vitesse, à utiliser pour connecter de nombreux périphériques externes : imprimantes, scanneurs, appareils photo numériques, manettes de jeu, claviers ou lecteurs de disquette. Ces ports USB 2.0 sont compatibles avec les anciens modèles de périphériques USB. Dans la plupart des cas, vous pouvez connecter et déconnecter un périphérique USB pendant que l’ordinateur fonctionne. Vous pouvez utiliser les périphériques dès leur branchement. Il n’est pas nécessaire de redémarrer ni de reconfigurer votre ordinateur. Utilisation de périphériques USB Pour utiliser un périphérique USB avec votre ordinateur, il suffit de connecter le périphérique à l’ordinateur. L’ordinateur charge le gestionnaire adéquat chaque fois que vous connectez un nouveau périphérique. Remarque : Apple fournit d’origine des logiciels compatibles avec de nombreux périphériques USB. Si vous avez connecté un périphérique USB et que votre PowerBook ne trouve pas le gestionnaire approprié, vous pouvez soit installer le gestionnaire fourni avec le périphérique, soit suivre les instructions affichées à l’écran pour utiliser Internet afin de trouver, télécharger et installer le gestionnaire approprié. ®Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 35 Périphériques USB et alimentation par batterie Les périphériques USB, par exemple une manette de jeu ou un clavier, qui sont alimentés par la connexion USB au lieu d’un adaptateur secteur distinct peuvent être utilisés avec votre PowerBook. Toutefois, ces types de périphériques USB peuvent provoquer un déchargement plus rapide de la batterie du PowerBook. Si vous utilisez ce périphérique pendant une durée prolongée, il est recommandé de connecter l’adaptateur secteur de votre PowerBook. Utilisation simultanée de plusieurs périphériques USB Pour utiliser simultanément plus de deux périphériques USB, vous pouvez vous procurer un concentrateur USB. Ce dernier se connecte à un port USB disponible de votre ordinateur et vous permet de disposer de ports USB supplémentaires (en général quatre ou sept). La plupart des concentrateurs USB disposent d’un adaptateur secteur et doivent être branchés sur une prise électrique. Informations supplémentaires sur la technologie USB L’Aide Mac OS fournit des informations supplémentaires sur la technologie USB. Choisissez Aide puis Aide Mac dans la barre des menus et recherchez “USB.” Vous trouverez d’autres informations sur le site Web USB d’Apple, à l’adresse www.apple.com/usb. Pour obtenir des informations sur les périphériques USB disponibles pour votre ordinateur, consultez le Guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/guide. ® Concentrateur USB36 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur FireWire Votre ordinateur est équipé d’un port FireWire 400 et d’un port FireWire 800 ( ). Avec FireWire, vous pouvez facilement connecter et déconnecter des périphériques externes à grande vitesse (tels que caméras numériques DV, imprimantes, scanneurs et disques durs) sans avoir à redémarrer votre ordinateur. Vous pouvez connecter un périphérique FireWire 6 broches directement au port FireWire à 400 Mbps. Vous pouvez utiliser un câble FireWire 9 broches/6 broches pour relier le périphérique au port FireWire à 800 Mbps. Vous pouvez également connecter des périphériques FireWire 9 broches directement au port FireWire à 800 Mbps, pour des connexions encore plus rapides. Les deux ports fournissent en alimentation les périphériques connectés (donc les périphériques n’ont pas besoin de prise d’alimentation supplémentaire). La liste ci-dessous répertorie certaines des opérations possibles avec FireWire : • Connecter une caméra vidéo numérique pour capturer, transférer et monter de la vidéo de haute qualité directement sur votre ordinateur à l’aide de logiciels de montage vidéo tels qu’iMovie ou Final Cut Pro. • Connecter un disque dur FireWire externe et l’utiliser pour sauvegarder des données ou transférer des fichiers. • Démarrer à partir d’un disque dur externe FireWire. Pour cela, connectez un disque dur FireWire externe (sur lequel un système d’exploitation valide est installé), ouvrez la sous-fenêtre Démarrage des Préférences Système, puis cliquez sur le disque dur FireWire. Redémarrez votre ordinateur. ® Port FireWire 400 (6 broches) Port FireWire 800 (9 broches)Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 37 Utilisation de périphériques FireWire Pour utiliser un périphérique FireWire avec votre ordinateur, connectez-le à l’ordinateur et installez tout logiciel fourni avec le périphérique en question. Votre ordinateur détecte automatiquement les nouveaux périphériques connectés. Périphériques FireWire et alimentation par batterie Les périphériques FireWire, tels que certains disques durs externes, peuvent être alimentés par la connexion FireWire du PowerBook et non pas par un adaptateur secteur séparé. Toutefois, ce type de périphériques provoquera un déchargement plus rapide de la batterie du PowerBook. Si vous comptez connecter un périphérique pendant une longue période, il est recommandé de connecter le PowerBook sur son adaptateur secteur. Remarque : les ports FireWire sont conçus pour gérer l’alimentation des périphériques FireWire (jusqu’à 7 watts maximum). Il est possible de connecter plusieurs périphériques entre eux puis de connecter les périphériques “en chaîne” au port FireWire de votre ordinateur, à condition que seul l’un d’eux soit alimenté directement par l’ordinateur. Les autres périphériques de la chaîne doivent alors être alimentés par des adaptateurs secteur distincts. La connexion de plusieurs périphériques FireWire alimentés par le port peut poser des problèmes. En cas de problème, éteignez l’ordinateur, déconnectez les périphériques FireWire, puis redémarrez l’ordinateur. Mode disque cible FireWire Si vous souhaitez transférer des fichiers de votre PowerBook vers un autre ordinateur équipé de la technologie FireWire ou que vous êtes confronté à un problème qui empêche le démarrage de votre ordinateur, utilisez le mode disque cible FireWire pour vous connecter à un autre ordinateur. Lorsque vous démarrez votre ordinateur en mode disque cible FireWire, l’autre ordinateur peut accéder à votre PowerBook comme s’il s’agissait d’un disque dur. Remarque : lorsque vous utilisez le mode disque cible FireWire, il est conseillé de connecter l’adaptateur secteur à votre PowerBook. Pour connecter votre PowerBook à un autre ordinateur en mode disque cible FireWire : 1 Assurez-vous que votre PowerBook est éteint. 2 Utilisez un câble FireWire pour connecter votre PowerBook à un autre ordinateur équipé de FireWire. Vous pouvez utiliser un câble FireWire avec n’importe quelle combinaison de connecteurs à 6 et 9 broches. 3 Démarrez votre PowerBook, puis maintenez immédiatement la touche T enfoncée. L’écran de votre PowerBook affiche alors le logo FireWire. L’écran de l’autre ordinateur affiche l’icône du disque dur interne de votre PowerBook. Vous pouvez maintenant glisser-déposer des fichiers entre les deux ordinateurs.38 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 4 Une fois que vous avez terminé de transférer les fichiers, glissez l’icône du disque dur du PowerBook sur la Corbeille. 5 Appuyez sur le bouton d’alimentation pour éteindre le PowerBook, puis déconnectez le câble FireWire. Informations supplémentaires sur la technologie FireWire L’aide Mac OS fournit des informations supplémentaires sur la technologie FireWire. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus du Finder et cherchez “FireWire”. Vous trouverez d’autres informations sur le site Web FireWire d’Apple, à l’adresse www.apple.com/firewire. Cartes PC Card Vous pouvez étendre les fonctionnalités de votre ordinateur à l’aide du logement pour carte PC Card. Ce logement peut servir à connecter des disques dur, des lecteurs de carte Compact Flash, etc. Votre PowerBook possède un logement PC Card destiné aux cartes PCMCIA Type I et Type II, y compris les cartes CardBus. Vous pouvez éjecter une carte PC Card que l’ordinateur soit sous tension, éteint ou en suspension d’activité. Important : la carte AirPort Extreme d’Apple est installée dans un logement à l’intérieur de l’ordinateur. Elle n’est pas destinée au logement PC Card, contrairement à de nombreuses cartes de réseau sans fil non Apple. N’installez pas la carte AirPort Extreme d’Apple dans le logement PC Card. Elle ne fonctionnera pas et vous risquez d’endommager votre ordinateur. ® Logement PC Card Bouton d'éjectionChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 39 Insertion et éjection d’une carte PC Card Lors de l’insertion d’une carte PC Card, veillez à ce que l’étiquette soit orientée vers le haut et la carte horizontale. Une légère résistance se fait sentir lors de l’insertion de la carte. Dès que la carte est fermement enclenchée dans le logement, un déclic se produit et une icône s’affiche (en général) sur le bureau. Vous pouvez éjecter une carte PC Card que l’ordinateur soit sous tension ou éteint, mais pas en suspension d’activité. Pour éjecter une carte PC Card : 1 Si l’ordinateur est allumé, glissez l’icône de la carte dans la corbeille. 2 Appuyez une fois sur le bouton d’éjection de la carte pour le libérer. 3 Appuyez une seconde fois sur ce bouton pour éjecter la carte. 4 Retirez la carte du logement, puis appuyez à nouveau sur le bouton pour le ramener à sa position initiale. Informations supplémentaires sur les cartes PC Card Pour tout renseignement sur les modèles de cartes PC Card disponibles pour votre ordinateur, consultez le guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/guide. Utilisation de appareils Bluetooth Votre PowerBook peut se connecter à des périphériques utilisant la technologie sans fil Bluetooth® , notamment des téléphones cellulaires ou des assistants numériques personnels (PDA), et y transférer des informations sans fil. La technologie sans fil Bluetooth permet d’éliminer les câbles reliant normalement les périphériques. Les périphériques dotés de la technologie sans fil Bluetooth peuvent être interconnectés dans un rayon de 10 mètres. Les périphériques dotés de la technologie sans fil Bluetooth comprennent : • ordinateurs ; • téléphones portables ; • périphériques (clavier, souris, etc.) ; • PDA. Grâce à la technologie sans fil Bluetooth, vous pouvez : • Utiliser votre PowerBook pour communiquer avec un téléphone portable doté de la technologie sans fil Bluetooth. Votre téléphone peut servir de modem pour vous connecter à un fournisseur de services sans fil, à un débit de 56 kilobits par seconde (Kbps) suffisant pour vous connecter à Internet. • Communiquer avec votre assistant personnel (PDA). À l’aide d’iSync, vous pouvez exécuter une opération HotSync sans fil ou transmettre votre carte de visite ou encore des événements de calendrier directement sur le PDA d’un collègue.40 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur • Transférer des fichiers entre ordinateurs, même de Mac à PC, en utilisant l’utilitaire de transfert. Apple recommande l’utilisation du réseau sans fil AirPort Extreme pour le transfert de tous vos fichiers à l’exception des plus petits. Pour plus d’informations sur la technologie sans fil Bluetooth Pour accéder à l’aide sur la technologie sans fil Bluetooth, ouvrez l’application Échange de fichiers Bluetooth (dans le dossier Utilitaires du dossier Applications) et choisissez Aide > Aide Bluetooth. Vous trouverez d’autres informations sur le site Web d’Apple, à l’adresse www.apple.com/bluetooth. Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme Une carte AirPort Extreme est installée sur votre PowerBook. AirPort Extreme permet d’accéder sans fil à Internet en toute simplicité et sans se ruiner n’importe où, que ce soit chez soi, au bureau ou dans un établissement scolaire par exemple. Au lieu de faire appel à des câbles classiques, AirPort Extreme utilise la technologie de réseau local (LAN) sans fil permettant une communication sans fil entre plusieurs ordinateurs. Utilisez un réseau sans fil pour configurer l’accès à Internet, transférer des fichiers, jouer à plusieurs en réseau et bien d’autres choses encore. La carte AirPort Extreme est compatible avec la borne d’accès AirPort Extreme et la borne d’accès AirPort d’origine ainsi qu’avec n’importe quel produit répondant aux normes 802.11b ou 802.11g. Remarque : l’accès sans fil à Internet requiert une carte AirPort Extreme, un point d’accès 802.11b ou 802.11g, tel qu’une borne d’accès AirPort Extreme ou une borne d’accès AirPort, ainsi qu’une connexion à Internet (ce service peut être payant). Certains fournisseurs d’accès à Internet ne sont pas encore compatibles avec AirPort. La portée varie en fonction des conditions d’emplacement. Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 41 Mode d’accès sans fil à Internet via AirPort Extreme Le système AirPort Extreme vous permet d’établir une connexion sans fil à un périphérique appelé borne d’accès, qui dispose d’une connexion physique à Internet. La technologie AirPort Extreme fonctionne comme un téléphone sans fil. La carte AirPort Extreme de votre ordinateur permet d’effectuer une connexion sans fil avec la borne d’accès, elle-même connectée à la ligne téléphonique, DSL ou un modem par câble. Pour plus d’informations sur AirPort Extreme Pour se procurer une borne d’accès AirPort Extreme, contactez votre fournisseur agréé Apple ou rendez-vous sur le site Apple Store à l’adresse www.apple.com/store. Des informations supplémentaires sur AirPort Extreme sont disponibles dans l’Aide AirPort. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis choisissez Bibliothèque > Aide AirPort dans la barre des menus. Vous trouverez également des informations sur le site Web AirPort d’Apple, à l’adresse www.apple.com/airport, ou sur www.apple.com/support. Borne d’accès AirPort Extreme Connexion à Internet Prise CA ®42 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Ethernet (10/100/1000Base-T) Votre ordinateur est équipé de fonctionnalités intégrées de réseau Ethernet à paires torsadées 10/100/1000 mégabits par seconde (Mbits/s) que vous pouvez utiliser pour vous connecter soit à un réseau, y compris à un réseau Gigabit Ethernet, soit à un modem par câble ou DSL. La connexion à un réseau permet d’accéder à d’autres ordinateurs et vous permet de stocker et de récupérer des informations, d’utiliser les imprimantes d’un réseau, des modems et une messagerie électronique ou de vous connecter à Internet. Ethernet vous permet également de partager des fichiers entre deux ordinateurs ou d’établir un petit réseau. Le port Ethernet de votre PowerBook détecte automatiquement les autres périphériques Ethernet. Pour établir des connexions à d’autres périphériques Ethernet, il est inutile d’utiliser un câble croisé Ethernet. • Utilisez un câble Ethernet à deux paires de catégorie 3 (ou supérieure) pour vous connecter à un réseau Ethernet 10 Base-T. • Utilisez un câble Ethernet à deux paires de catégorie 5 (ou supérieure) pour vous connecter à un réseau Ethernet 100 Base-T. • Utilisez un câble Ethernet à quatre paires de catégorie 5 (ou supérieure) pour vous connecter à un réseau Ethernet 1000 Base-T. Informations supplémentaires sur l’utilisation d’Ethernet Des informations supplémentaires, y compris sur la configuration d’un réseau Ethernet et le transfert des fichiers via Ethernet, sont disponibles dans l’aide Mac OS. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus et recherchez “Ethernet” ou “réseau”. ®Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 43 Pour obtenir des informations sur les produits en réseau que vous pouvez utiliser avec votre PowerBook, consultez le Guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/guide. Utilisation de votre modem Votre ordinateur vous est fourni avec un modem Apple 56K v.92 déjà installé. Pour connecter le modem, branchez l’une des extrémités du câble téléphonique ou du câble RJ-11 au port du modem situé sur l’ordinateur et l’autre extrémité à une prise téléphonique murale standard. Veillez à le connecter à une ligne téléphonique analogique (type le plus répandu chez les particuliers). Le modem ne fonctionnera pas avec une ligne téléphonique numérique. Pour obtenir des informations sur la manière d’établir une connexion à Internet, consultez l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 77. Des informations supplémentaires à propos du modem interne sont également disponibles dans l’Aide Mac OS. Connexion de haut-parleurs et de périphériques audio Votre PowerBook est équipé de deux haut-parleurs intégrés, d’un micro également intégré, d’un port d’entrée de ligne audio et d’un port de sortie casque. Remarque : les haut-parleurs intégrés n’émettent aucun son lorsque des périphériques sont branchés à l’ordinateur. Pour entendre le son de ces haut-parleurs, débranchez le casque ou les haut-parleurs externes pouvant être connectés à l’ordinateur. Vous pouvez connecter des haut-parleurs externes, un casque et d’autres périphériques de sortie son au port de sortie casque. Le port de sortie casque est une prise mini-jack 3,5 mm. Vous pouvez enregistrer des sons sur votre disque dur à l’aide du micro intégré situé sous la grille du haut-parleur de gauche. Vous avez également la possibilité de connecter des micros externes ou tout autre appareil audio sur le port d’entrée de ligne audio. Le port d’entrée de ligne audio est une prise mini-jack 3,5 mm stéréo. Sa fonction n’étant pas d’alimenter en énergie les périphériques qui y sont connectés, vous devez utiliser des périphériques disposant d’un système d’auto-alimentation. Avec des applications permettant d’enregistrer des sons, iMovie par exemple, utilisez la sousfenêtre Son des Préférences Système pour sélectionner le périphérique d’entrée audio (y compris des micros connectés via USB) que vous souhaitez utiliser. Avertissement : pour éviter tout risque d’endommagement du modem, ne connectez jamais une ligne téléphonique numérique à ce dernier. Contactez votre opérateur téléphonique si vous n’êtes pas certain(e) de votre type de ligne téléphonique.44 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Les commandes de volume de votre clavier vous permettent de régler facilement le volume. Vous pouvez également accéder à ces commandes via la sous-fenêtre Son des Préférences Système. Pour plus d’informations sur l’utilisation ou le dépannage du son de votre ordinateur, sélectionnez Aide > Aide Mac dans la barre des menus et recherchez “son”. Gestion vidéo externe (DVI/VGA et S-Vidéo) Votre ordinateur est équipé d’un port de moniteur externe (DVI) permettant une connexion directe à un écran ou à un projecteur muni d’un port DVI. L’adaptateur DVI-VGA permet de connecter votre PowerBook à des moniteurs ou projecteurs dotés de connecteurs VGA. Le port de sortie TV de votre ordinateur (ou port de sortie S-vidéo) vous permet de connecter ce dernier à un téléviseur, un magnétoscope ou un système de projection vidéo à l’aide d’un câble S-vidéo. Ce port vous permet d’afficher des images sur un téléviseur, d’enregistrer des images numériques sur un magnétoscope ou de lire des DVD-Vidéo sur votre téléviseur. Si le périphérique à connecter est muni d’un port composite et non d’un port S-Vidéo, vous pouvez utiliser l’adaptateur S-Vidéo-composite fourni avec votre PowerBook. ® Port DVI Port de sortie S-VidéoChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 45 Lorsqu’un moniteur externe ou un téléviseur est connecté, vous pouvez soit faire en sorte que la même image s’affiche sur l’écran interne et le moniteur externe (c’est ce que l’on appelle la recopie vidéo), soit utiliser le moniteur externe pour étendre la taille du bureau Mas OS (on parle dans ce cas de mode double-écran). Par défaut, votre PowerBook démarre en mode double-écran. Appuyez sur la touche F7 ( ) pour alterner entre les modes double-écran et recopie vidéo. Pour que le son soit émis par l’écran externe (par un projecteur ou un téléviseur par exemple), vous devez relier le périphérique et le port de sortie casque de l’ordinateur par le biais d’un câble audio. Remarque : en raison des limites d’affichage de la plupart des téléviseurs, les images apparaissent avec une qualité inférieure à celle de l’écran intégré ou d’un moniteur externe. Connexion d’un écran externe ou d’un projecteur Pour connecter à votre ordinateur un écran externe ou un projecteur à l’aide d’une connexion DVI : 1 Allumez l’écran externe ou le projecteur. 2 Vérifiez que le câble de l’écran est bien relié au projecteur ou à l’écran externe. 3 Connectez le câble de l’écran à votre PowerBook. Votre PowerBook détecte automatiquement l’écran externe ou le projecteur. 4 Réglez la résolution de l’écran externe via la rubrique Moniteurs des Préférences Système ou la sous-fenêtre Moniteurs de la barre de menus. Pour relier un écran externe ou un projecteur à votre ordinateur à l’aide d’une connexion VGA : 1 Allumez l’écran externe ou le projecteur. 2 Vérifiez que le câble de l’écran est bien relié au projecteur ou à l’écran externe. 3 Connectez l’adaptateur DVI-VGA fourni avec votre PowerBook au connecteur VGA du projecteur ou du moniteur externe. 4 Connectez l’adaptateur DVI-VGA à votre PowerBook. Votre PowerBook détecte automatiquement l’écran externe ou le projecteur. Important : pour vous assurer que votre PowerBook détecte automatiquement le moniteur externe ou le projecteur, branchez d’abord l’adaptateur DVI-VGA sur ces derniers. 5 Réglez la résolution de l’écran externe via la rubrique Moniteurs des Préférences Système ou la sous-fenêtre Moniteurs de la barre de menus.46 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Utilisation de votre PowerBook écran rabattu Vous pouvez utiliser votre PowerBook écran rabattu s’il est connecté à un moniteur externe, à un clavier et à une souris, et qu’il est branché, via son adaptateur secteur, sur une prise électrique. Important : pour utiliser votre PowerBook avec l’écran rabattu, l’adaptateur secteur doit être branché dans le PowerBook et dans une prise électrique. Pour utiliser votre ordinateur écran rabattu avec un moniteur connecté : 1 Connectez un clavier et une souris USB à votre PowerBook. 2 Reliez l’adaptateur secteur à votre PowerBook et à une prise électrique. 3 Rabattez l’écran du PowerBook afin d’en suspendre l’activité. 4 Connectez votre PowerBook à un écran externe en suivant les étapes décrites dans la section précédente. 5 Attendez quelques secondes, puis appuyez sur n’importe quelle touche du clavier externe pour réactiver le PowerBook. Connexion d’un téléviseur, d’un magnétoscope ou de tout autre appareil vidéo Pour connecter un téléviseur, un magnétoscope ou tout autre périphérique vidéo à votre PowerBook : 1 Connectez un câble S-vidéo au port de sortie (Æ) TV de votre PowerBook (ou utilisez l’adaptateur S-vidéo/composite pour pouvoir y connecter un câble vidéo composite), puis reliez l’autre extrémité à l’appareil. 2 Pour envoyer le son de votre PowerBook au périphérique, connectez un câble mini-jack/RCA (non fourni) au port de sortie casque (f) de votre PowerBook et aux ports d’entrée audio du périphérique. 3 Allumez l’appareil. 4 Pour détecter le téléviseur ou tout autre périphérique externe, maintenez la touche Commande (x) enfoncée tout en appuyant sur la touche F2. 5 Pour régler l’apparence des images affichées à l’écran, ouvrez la sous-fenêtre Moniteurs des Préférences Système. Connexion d’un écran plat Apple Vous pouvez connecter votre PowerBook à un écran plat Apple à l’aide d’un adaptateur DVI-ADC, disponible auprès de votre revendeur agréé Apple, chez un détaillant Apple ou directement sur l’Apple Store, à l’adresse www.apple.com/store.Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 47 Informations supplémentaires sur l’utilisation d’un moniteur externe ou d’un téléviseur Vous pourrez trouver des informations supplémentaires sur la configuration et l’utilisation d’un moniteur externe dans l’Aide Mac OS. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis recherchez “moniteur”. Utilisation de votre lecteur optique Votre lecteur optique permet d’installer ou d’exécuter des applications à partir de CD ou DVD. Vous pouvez également lire des CD multimédia et écouter de la musique sur CD audio. Votre lecteur de disque optique permet de graver de la musique, des documents et d’autres fichiers numériques sur des disques CD-R et CD-RW. Vous pouvez également lire des films DVD et utiliser la plupart des disques DVD. Si vous disposez d’un lecteur SuperDrive, vous pouvez également enregistrer des informations sur disques DVD-R vierges. Important : le lecteur optique de votre PowerBook gère les disques standard circulaires de 12 cm de diamètre. Les disques de forme irrégulière et les disques de moins de 12 cm ne peuvent pas être lus. Les disques non circulaires risquent de se bloquer dans le lecteur.48 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Insertion d’un CD ou d’un DVD Pour installer ou utiliser des programmes à partir d’un CD ou d’un DVD : 1 L’ordinateur étant allumé, introduisez le disque (étiquette vers le haut) dans la fente de chargement jusqu’à ce vous sentiez qu’il est happé par le lecteur. Il se peut qu’il faille insérer le disque presque entièrement avant que le lecteur ne le prenne en charge. Cela est normal. Remarque : certains disques DVD sont double-face. Pour utiliser la seconde face, il faut retourner le disque. 2 Dès que son icône apparaît sur le bureau, le disque est prêt à être lu. ®Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 49 Éjection d’un disque Pour éjecter un disque, procédez comme suit : • Glissez l’icône du disque dans la corbeille. • Appuyez sur la touche d’éjection de disque ( ) située sur le clavier et maintenez-la enfoncée jusqu’à l’éjection du disque. Attendez que le disque soit complètement éjecté avant de le retirer ou réinsérer. Si vous ne parvenez pas à éjecter le disque, fermez toutes les applications susceptibles d’utiliser le disque et réessayez. Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez l’ordinateur tout en maintenant le bouton du trackpad enfoncé. Lecture de DVD Pour lire un disque vidéo DVD sur votre PowerBook, insérez-le. Lecteur DVD s’ouvre automatiquement. Vous pouvez constater que Lecteur DVD offre des commandes simples d’utilisation pour lancer, interrompre et visionner des DVD. Si vous avez connecté votre PowerBook à un téléviseur afin de pouvoir regarder le DVD sur l’écran du téléviseur, sélectionnez 720 x 480 NTSC (aux États-Unis) ou 720 x 576 PAL (en Europe et dans d’autres régions) dans la sous-fenêtre Moniteur du tableau Moniteurs des Préférences Système. Il est très facile de connecter votre PowerBook à une chaîne stéréo. Pour connecter le port de sortie casque (f) de votre PowerBook aux ports d’entrée audio de votre chaîne stéréo, utilisez un câble mini-jack/RCA. Enregistrement de disques CD-R et CD-RW Vous pouvez graver des données sur des disques CD-R et CD-RW. Pour graver des données sur un disque CD-R ou CD-RW : 1 Insérez un disque vierge dans le lecteur optique. 2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque. Une icône correspondant au disque apparaît sur le bureau. 3 Glissez des fichiers et dossiers sur l’icône du disque. 4 Cliquez sur l’icône Graver le disque située à côté du nom du disque dans la barre latérale du Finder. Vous pouvez également enregistrer des disques CD-R ou CD-RW directement à partir de votre bibliothèque iTunes.50 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Pour enregistrer de la musique issue de votre bibliothèque iTunes : 1 Cliquez sur l’icône d’iTunes dans le Dock. 2 Sélectionnez la liste de lecture à enregistrer. 3 Insérez un disque vierge CD-R ou CD-RW. 4 En haut de la fenêtre iTunes, cliquez sur l’option Graver le CD. Pour en savoir plus • Pour plus d’informations sur l’utilisation d’iTunes pour enregistrer des fichiers sur un CD-R ou un CD-RW, ouvrez iTunes et consultez l’aide à l’écran. • Pour obtenir des instructions sur l’utilisation du lecteur DVD, ouvrez le lecteur DVD et choisissez Aide > Aide Lecteur DVD dans la barre des menus en haut de l’écran. Enregistrement d’informations sur un DVD Si vous possédez un lecteur SuperDrive, vous pouvez enregistrer vos films numériques sur disques DVD enregistrables vierges. Ces derniers vous permettent d’enregistrer d’autres types de données numériques, comme des fichiers de sauvegarde. Grâce aux applications telles qu’iDVD, vous pouvez créer des projets de données numériques personnalisés, les graver sur des disques enregistrables vierges, puis les lire sur la plupart des lecteurs DVD standard. Pour graver un projet iDVD sur un disque DVD-R vierge : 1 Ouvrez iDVD puis votre projet iDVD final. 2 Cliquez sur le bouton Graver le CD. 3 Insérez un disque DVD enregistrable vierge dans le graveur lorsqu’un message vous y invite. 4 Cliquez de nouveau sur le bouton Graver le CD. Pour enregistrer des données sur disques DVD-R : 1 Insérez un disque DVD enregistrable vierge dans le graveur. 2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque et sélectionnez le format souhaité. Une icône représentant le DVD apparaît sur le bureau. 3 Double-cliquez sur l’icône du DVD, puis glissez-y des fichiers et dossiers. 4 Cliquez sur l’icône Graver le disque située à côté du nom du disque dans la barre latérale du Finder. Pour plus d’informations sur la manière d’utiliser iDVD, consultez l’aide à l’écran correspondante. Important : si votre batterie vient à s’épuiser lors de la gravure d’un DVD, il se peut que cette dernière échoue et que le disque DVD devienne inutilisable. Pour éviter ce problème, veillez à toujours utiliser l’adaptateur secteur lorsque vous gravez un DVD.Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 51 Batterie Lorsque l’adaptateur secteur externe n’est pas connecté, votre ordinateur est alimenté par sa batterie. Selon les applications que vous utilisez et les périphériques externes connectés à votre PowerBook, l’autonomie de la batterie l’alimentant peut varier. La désactivation de certaines fonctions telles qu’AirPort Extreme ou la technologie sans fil Bluetooth® peut vous permettre d’augmenter l’autonomie de la batterie. Pour plus d’informations sur l’utilisation de la batterie, consultez “Conseils d’économie de la batterie” à la page 54. Pour connaître le niveau de charge de votre batterie, vous pouvez observer les témoins de niveau de charge dont elle est dotée. Appuyez sur le bouton en regard de chaque témoin lumineux pour connaître le niveau de charge de la batterie. Les témoins restent allumés pendant quelques secondes après que vous avez appuyé sur les boutons correspondants. Vous pouvez vérifier le niveau de charge, que la batterie soit ou non insérée dans votre PowerBook. Si votre batterie tombe à plat pendant que vous travaillez, vous pouvez suspendre l’activité de votre PowerBook afin d’installer une batterie chargée. La batterie interne de secours fournit suffisamment d’énergie pour préserver le contenu de la mémoire vive (ou mémoire RAM) pendant trois minutes maximum. Cela vous laisse le temps de changer la batterie. Remarque : si vous avez ajouté de la mémoire à votre PowerBook, il se peut que la batterie de secours fonctionne moins de trois minutes. De même, le changement répété des batteries peut réduire la durée pendant laquelle la batterie de secours est à même de conserver des données si celle-ci n’a pas eu le temps de se recharger complètement.52 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Important : si un seul témoin clignote, le niveau de charge est très faible. Si aucun témoin n’est allumé, c’est que la batterie est complètement vide, auquel cas l’ordinateur ne pourra démarrer sans l’adapteur secteur. Branchez l’adaptateur secteur et laissez la batterie se recharger ou remplacez la batterie à plat par une batterie complètement rechargée (voir la page 53). Si l’icône de la batterie dans la barre des menus du Finder est définie pour afficher le pourcentage de charge, vous remarquerez parfois que la batterie ne maintient pas un niveau de charge égal à 100% quand l’adaptateur secteur est relié. Lorsque le niveau de charge de la batterie passe en-dessous de 95%, celle-ci se recharge automatiquement pour atteindre à nouveau 100%. De cette manière, la durée de vie de la batterie est prolongée. Témoins LED Batterie de la batterieChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 53 Retrait et remplacement de la batterie Pour retirer la batterie : • Éteignez votre PowerBook. Retournez-le et repérez l’emplacement du loquet de la batterie. Utilisez une pièce de monnaie pour le tourner d’un quart de tour dans le sens des aiguilles d’une montre afin de débloquer la batterie, puis retirez délicatement cette dernière. Pour remplacer la batterie : • Placez la partie droite de la batterie dans son compartiment. Appuyez doucement sur la partie gauche de la batterie jusqu’à ce que le loquet soit bloqué. Remarque : les batteries usagées doivent être recyclées ou traitées conformément aux normes d’environnement locales. Pour en savoir plus, reportez-vous à “Informations sur l’élimination des piles usagées” à la page 100. Loquet54 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Recharge d’une batterie Lorsque l’adaptateur secteur fourni avec votre ordinateur est connecté, la batterie se recharge, que l’ordinateur soit éteint, allumé ou en mode suspension d’activité. La recharge sera toutefois plus rapide si l’ordinateur est éteint ou en mode suspension d’activité. Vous pouvez vérifier le niveau de charge de la batterie en vous servant de l’icône d’état de la batterie dans la barre des menus. Le niveau affiché dépend de la quantité d’énergie restant dans la batterie mais aussi des applications et des périphériques en cours d’utilisation et des réglages de votre système (luminosité de l’écran, réglages de l’Économiseur d’énergie, etc.). Pour disposer de plus d’énergie, fermez des applications, déconnectez les périphériques non utilisés et réglez votre Économiseur d’énergie (consultez la section suivante). Conseils d’économie de la batterie L’autonomie assurée par la batterie de votre PowerBook avant qu’il soit nécessaire de la recharger dépend des applications et des périphériques utilisés, ainsi que des mesures prises pour économiser l’énergie. Pour économiser l’énergie de la batterie de façon optimale, procédez comme suit : • Déconnectez tout périphérique USB ou FireWire alimenté par bus dès qu’ils ne sont pas utilisés. • Si une carte AirPort Extreme est installée, désactivez AirPort lorsqu’il n’est pas utilisé (à l’aide de l’icône d’état AirPort de la barre des menus). • Désactivez le module sans fil Bluetooth quand il n’est pas utilisé. • Quittez les applications ouvertes non utilisées. • Retirez les CD et les DVD non utilisés. • Réduisez la luminosité de l’écran à l’aide des boutons de réglage de luminosité situés sur le clavier du PowerBook. • Configurez le disque dur afin qu’il réduise sa vitesse de rotation après un bref délai. Dans la sous-fenêtre Économiseur d’énergie des Préférences Système, sélectionnez l’option “Suspendre l’activité du/des disque(s) dur(s) chaque fois que possible”. • Configurez votre PowerBook de façon qu’il suspende son activité après un maximum de cinq minutes.Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 55 Pour économiser davantage encore l’énergie de la batterie, sélectionnez les options suivantes dans la sous-fenêtre Économiseur d’énergie des Préférences Système : • Configurez votre ordinateur de sorte qu’il modifie la vitesse de son processeur en fonction du niveau d’activité de traitement requis. Vous pouvez configurer votre PowerBook de manière à ce qu’il réduise automatiquement sa vitesse de traitement pendant les périodes de faible activité de traitement, et ce afin d’économiser de l’énergie. Pendant les périodes d’activité élevée de traitement, votre ordinateur passera automatiquement à une vitesse de traitement plus élevée. Dans la sousfenêtre Économiseur d’énergie des Préférences Système, cliquez sur Afficher les détails pour afficher les Réglages. Choisissez la batterie dans le menu local Réglages de, cliquez sur l’onglet Options, puis choisissez automatique dans le menu local Performance du processeur. (Pour que votre ordinateur utilise en permanence la vitesse maximale du processeur, choisissez “Maximale” dans le menu local Performance du processeur.) • Pour accroître au maximum la durée de vie de la batterie, choisissez “Longévité maximale de la batterie” dans le menu local Optimisation des réglages. Informations supplémentaires sur la batterie de votre PowerBook Des informations supplémentaires sont disponibles dans l’Aide Mac. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis recherchez “batterie”.56 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Rainure de sécurité Afin de protéger votre PowerBook contre le vol, vous pouvez vous procurer un câble de sécurité pour attacher votre ordinateur à un bureau ou une table. Informations supplémentaires sur les options de sécurité Des informations supplémentaires sur les fonctionnalités logicielles de sécurité de votre PowerBook, y compris les mots de passe d’utilisateurs multiples et le cryptage de fichiers, sont disponibles dans l’Aide OS Mac. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus et recherchez “sécurité” ou “plusieurs utilisateurs”. ® Dispositif de verrouillage avec câble de sécurité Logement de sécurité4 57 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur Ce chapitre fournit des informations et des instructions pour installer de la mémoire supplémentaire sur votre PowerBook. Ajout de mémoire Votre ordinateur possède deux logements pour la mémoire, l’un au-dessus de l’autre, auxquels vous pouvez accéder à partir du dessous de votre ordinateur. Le logement inférieur contient à l’origine au moins 256 Mo de mémoire DDR (Double Data Rate) SDRAM (Synchronous Dynamic Random-Access Memory). Ces deux logements peuvent recevoir un module SDRAM répondant aux caractéristiques suivantes : • Format DDR SO-DIMM (Double Data Rate Small Outline Dual Inline Memory Module) • Taille inférieure à 3,8 cm • 256 Mo, 512 Mo ou 1 Go • 200 broches • PC2700 DDR 333 Type RAM Selon la configuration de votre PowerBook, les deux logements de mémoire peuvent être déjà occupés. La quantité maximum de mémoire que vous pouvez installer sur votre PowerBook est de 2 Go en utilisant des modules DIMM de 1 Go dans chacun des logements de mémoire. Avertissement : Apple vous recommande de confier l’installation de mémoire à un technicien agréé Apple. Consultez les informations sur l’assistance technique fournies avec l’ordinateur pour savoir comment joindre la société Apple. Tout dommage causé à votre matériel en tentant d’installer vous-même de la mémoire n’est pas couvert par la garantie limitée de votre ordinateur.58 Chapitre 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur Pour installer de la mémoire supplémentaire : 1 Éteignez votre ordinateur. Débranchez l’adapteur secteur, le câble téléphonique et tout autre câble connecté à l’ordinateur. Retournez l’ordinateur et retirez la batterie en donnant un quart de tour au loquet. 2 À l’aide d’un tournevis à pointe cruciforme de taille 00, dévissez le couvercle du logement de mémoire, puis détachez-le du boîtier de l’ordinateur. Avertissement : les composants internes de votre PowerBook risquent d’être chauds. Si vous venez d’utiliser votre PowerBook, attendez 10 minutes après l’extinction, afin de laisser aux composants internes le temps de se refroidir. LoquetChapitre 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur 59 3 Touchez la surface métallique de l’intérieur de l’ordinateur afin de décharger toute électricité statique que vous pouvez avoir emmagasinée. 4 Si une carte mémoire est installée dans le logement, retirez-la. Écartez les languettes du logement des encoches de la carte mémoire, de sorte que cette dernière se dégage légèrement. 5 Insérez la nouvelle carte mémoire, inclinée à 30º, dans le logement. Poussez la carte pour la placer entièrement dans le logement. 30 O60 Chapitre 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur 6 Appuyez sur la carte pour la fixer en place. Si la carte mémoire se bloque, n’essayez pas de l’enfoncer par la force. Essayez de réinsérer la carte pour vous assurer qu’elle est placée entièrement. 7 Replacez le couvercle du logement de mémoire et revissez-le. Remarque : veillez à ne pas serrer excessivement les vis, afin de ne rien endommager.Chapitre 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur 61 8 Remettez la batterie en place. Placez la partie gauche de la batterie dans son compartiment. Appuyez doucement sur la partie droite de la batterie jusqu’à ce que le loquet soit bloqué. 9 Reconnectez l’adapteur secteur et tout autre câble connecté auparavant à l’ordinateur. Vérification de la reconnaissance de la nouvelle mémoire par votre ordinateur Après avoir ajouté de la mémoire dans votre PowerBook, vérifiez si ce dernier la reconnaît. Pour vérifier la mémoire de votre ordinateur : 1 Démarrez votre ordinateur. 2 Lorsque le bureau Mac OS s’affiche, sélectionnez le menu Pomme (K) > À propos de ce Mac dans la barre des menus. Une zone de dialogue s’affiche en indiquant la quantité de mémoire installée sur votre ordinateur, en tenant compte des éventuels modules ajoutés. Pour plus de détails sur la quantité de mémoire installée sur votre ordinateur, cliquez sur le bouton Plus d’infos. 3 Si la mémoire n’est pas reconnue ou que votre ordinateur ne démarre pas correctement, éteignez-le et relisez les instructions afin d’être sûr que la mémoire est correctement installée et compatible avec ce PowerBook. Si les problèmes persistent, retirez la mémoire et consultez les informations d’assistance technique fournies avec la mémoire ou contactez le fournisseur de la mémoire. 5 63 5 Dépannage Si vous rencontrez un problème avec votre PowerBook, commencez par chercher ici les solutions et conseils. Généralement, il existe toujours une solution simple et rapide pour le régler. Ayez en tête les conditions qui ont entraîné l’apparition de ce problème. Ce récapitulatif de la totalité des opérations effectuées avant que le problème ne survienne permet de restreindre ses possible causes et de trouver la solution. Les éléments à noter comprennent : • Les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu. Les problèmes qui n’apparaissent qu’avec une application spécifique peuvent indiquer que cette application n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur votre ordinateur. • Les logiciels que vous avez installés récemment, notamment ceux qui ont ajouté des éléments à votre dossier Système. (Certaines applications installent des extensions qui peuvent ne pas être compatibles avec l’environnement Classic.) • Tout nouveau composant matériel installé, mémoire supplémentaire ou périphérique par exemple. Vous trouverez également d’autres informations de dépannage dans l’aide Mac OS, sur le site Web d’assistance Apple Support, à l’adresse www.apple.com/support, et dans la base de connaissances AppleCare Knowledge Base à l’adresse kbase.info.apple.com.64 Chapitre 5 Dépannage Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur Si l’ordinateur ne répond pas ou que le pointeur se fige • Appuyez sur Commande (x) + Option + Échap pour forcer une application bloquée à quitter. Si une zone de dialogue apparaît, sélectionnez l’application que vous désirez quitter et cliquez sur Forcer à quitter. Si vous travaillez dans un environnement Classic, maintenez les touches Option + Commande (x) enfoncées, puis appuyez sur la touche Échap. Enregistrez ensuite le travail de toute application ouverte, puis redémarrez l’ordinateur afin de vous assurer que le problème est entièrement réglé. • Si vous ne parvenez pas à forcer la fermeture de l’application, maintenez le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant quelques secondes pour éteindre l’ordinateur. • Si l’ordinateur ne répond toujours pas, essayez de le redémarrer en appuyant simultanément sur les touches Commande (x) et Contrôle de votre clavier et sur le bouton d’alimentation (®). Si le problème survient fréquemment, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus en haut de l’écran. Recherchez le mot “bloquer” pour obtenir de l’aide quand l’ordinateur se bloque ou ne répond pas. Si le problème ne survient qu’avec une application particulière, consultez l’éditeur de l’application concernée afin de vérifier si elle est compatible avec votre ordinateur. Si vous découvrez que l’application est compatible, vous devrez peut-être réinstaller le logiciel système de l’ordinateur ou, si vous utilisez Classic, vérifiez la compatibilité des extensions système. Consultez le sujet suivant pour les instructions. Si l’ordinateur se bloque au démarrage ou qu’un point d’interrogation clignotant apparaît Essayez d’utiliser Utilitaire de disque pour réparer votre disque dur. 1 Insérez le premier disque d’installation et de restauration de logiciels dans votre ordinateur. Redémarrez ensuite votre ordinateur en maintenant la touche C enfoncée lors du démarrage. 2 Choisissez Installation > Ouvrir Utilitaire de disque. Lorsque Utilitaire de disque s’ouvre, suivez les instructions dans la sous-fenêtre S.O.S pour tenter de le réparer. Si l’utilisation de l’Utilitaire de disque ne résout rien, vous devrez peut-être réinstaller le logiciel système de votre ordinateur. Pour obtenir des instructions, consultez la page 67. Si vous utilisez l’environnement Classic de Mac OS X, il se peut que le problème soit dû à une extension incompatible. (Mac OS X n’emploie pas d’extensions système.) Essayez de désactiver vos extensions système pour voir si cela résout le problème. Pour désactiver les extensions de Classic, ouvrez Préférences Système, cliquez sur Classic, Options avancées, puis choisissez “Désactiver les extensions” dans le menu local. Cliquez ensuite sur Redémarrer Classic. Chapitre 5 Dépannage 65 Si la désactivation des extensions semble résoudre le problème, il se peut que vous ayez besoin d’identifier, éliminer ou réinstaller l’extension qui provoque le problème. Ouvrez le tableau de bord Gestionnaire d’extensions et désactivez les extensions qui, selon vous, sont susceptibles d’être à l’origine du problème. Puis redémarrez Classic en réactivant les extensions. Si l’ordinateur ne s’allume pas ou ne démarre pas • Assurez-vous que l’adaptateur secteur est connecté à l’ordinateur et branché sur une prise électrique en état de marche. Veillez à utiliser l’adaptateur secteur fourni avec votre ordinateur. • Vérifiez si votre batterie à besoin d’être rechargée. Appuyez sur le petit bouton situé sur la batterie. Vous devriez voir apparaître un à quatre voyants indiquant le niveau de charge de la batterie. Si un seul témoin lumineux du niveau de la batterie clignote, branchez l’adaptateur secteur pour charger la batterie jusqu’à ce qu’au moins un témoin lumineux reste allumé en permanence. • En cas d’échec, appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et maintenez immédiatement enfoncées les touches Commande (x), Option, P et R jusqu’à ce que le signal sonore de démarrage retentisse une deuxième fois. • Si vous avez récemment ajouté de la mémoire, assurez-vous qu’elle est correctement installée et compatible avec votre ordinateur. Vérifiez si son retrait permet à l’ordinateur de démarrer (voir la page 57). • Si vous ne réussissez toujours pas à démarrer, consultez les informations sur les options de services et d’assistance fournies avec votre PowerBook pour savoir comment contacter Apple. Si l’écran devient soudainement noir ou si le système se bloque Essayez de redémarrer votre système. 1 Débranchez tout appareil connecté à votre PowerBook excepté de votre adaptateur secteur. 2 Maintenez les touches Commande (x) et Contrôle enfoncées, puis appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour redémarrer le système. 3 Le niveau de charge de la batterie doit atteindre au moins 10 pour cent avant la connexion d’un périphérique et la reprise du travail. Pour vérifier le niveau de charge de la batterie, regardez l’icône d’état de la batterie dans la barre des menus. Autres problèmes Si vous avez oublié votre mot de passe 1 Insérez le premier disque d’installation et de restauration de logiciels dans votre ordinateur. Redémarrez ensuite votre ordinateur en maintenant la touche C enfoncée lors du démarrage. 66 Chapitre 5 Dépannage 2 Choisissez Installation > Réinitialiser le mot de passe dans la barre des menus. Suivez les instructions à l’écran. En cas de problème avec une application • Pour les problèmes liés aux logiciels provenant d’éditeurs tiers, contactez l’éditeur concerné. Les fabricants de logiciels fournissent souvent des mises à jour logicielles sur leurs sites Web. • Vous pouvez configurer votre PowerBook pour qu’il cherche et installe automatiquement les dernières mises à jour Apple via la sous-fenêtre Mise à jour de logiciels des Préférences Système. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis recherchez “mise à jour de logiciels”. En cas de problèmes avec les communications sans fil AirPort Extreme • Vérifiez que vous avez correctement configuré le logiciel en respectant les instructions fournies avec la carte AirPort Extreme ou la borne d’accès AirPort. • Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé et dispose d’un point d’accès sans fil. • Assurez-vous que vous êtes bien dans la zone de portée de l’antenne de l’autre ordinateur ou du point d’accès du réseau en vérifiant le niveau du signal AirPort Extreme. Vérifiez l’icône d’état AirPort dans la barre des menus. Jusqu’à quatre barres de mesure apparaissent pour afficher la puissance du signal. Des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre antenne. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en réorientant l’ordinateur. • Consultez l’Aide AirPort (choisissez Aide > Aide Mac, puis Bibliothèque > Aide AirPort dans la barre des menus) et suivez les instructions fournies avec votre périphérique sans fil pour plus d’informations. En cas de problème avec l’éjection d’un disque m Quittez toute application susceptible d’utiliser le disque, puis réessayez. Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez l’ordinateur tout en maintenant le bouton du trackpad enfoncé. Si vous suspectez un problème matériel m Vous pouvez utiliser l’application “Apple Hardware Test” pour déterminer s’il existe un problème dû à l’un des composants de votre ordinateur, tels que la mémoire ou le processeur. L’application Apple Hardware Test se trouve sur le premier disque d’installation et de restauration de logiciels. Pour utiliser Apple Hardware Test : 1 Déconnectez tous les périphériques externes de votre ordinateur. Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le.Chapitre 5 Dépannage 67 2 Démarrez votre ordinateur à l’aide d’Apple Hardware Test. Insérez le premier disque d’installation et de restauration de logiciels dans votre ordinateur. Redémarrez ensuite ce dernier en maintenant la touche Option enfoncée lors du démarrage. Une liste de volumes de démarrage disponibles apparaît alors. Cliquez sur Apple Hardware Test, puis sur la flèche droite. 3 Lorsque l’écran principal Apple Hardware Test apparaît, suivez les instructions affichées à l’écran. 4 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Notez le code d’erreur avant d’entreprendre d’autres démarches d’assistance. Si Apple Hardware Test ne détecte pas de panne matérielle, il est probable que le problème soit lié aux logiciels. Pour en savoir plus sur Apple Hardware Test, consultez le fichier Ouvrez-moi Apple Hardware Test situé sur le premier disque d’installation et de restauration de logiciels. En cas de problèmes de connexion à Internet • Assurez-vous que votre ligne téléphonique ou que votre câble réseau est connecté et qu’il fonctionne correctement. • Si vous utilisez une connexion à Internet par appel commuté, vérifiez que votre câble téléphonique est relié au port modem (repéré à l’aide du symbole W) et non au port Ethernet (repéré à l’aide du symbole G) de l’ordinateur. • Ouvrez la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système et vérifiez les informations qui y sont saisies avec votre Fournisseur d’Accès Internet (FAI) ou votre administrateur réseau. En cas de problèmes de fonctionnement de votre ordinateur ou de Mac OS • Si les réponses à vos questions ne figurent pas dans ce manuel, recherchez des instructions et des informations de dépannage dans l’Aide Mac OS. • Pour obtenir les dernières informations de dépannage et des mises à jour de logiciels, consultez le site Web d’assistance Apple, à l’adresse www.apple.com/support. Restauration des logiciels de votre ordinateur Utilisez les disques d’installation et de restauration de logiciels fournis avec votre ordinateur pour installer Mac OS X, les applications et la gestion de Classic. Pour installer Mac OS X : 1 Si possible, sauvegardez les fichiers essentiels. 2 Insérez le premier disque d’installation et de restauration fourni avec votre ordinateur. 3 Double-cliquez sur l’icône d’installation de Mac OS X. 4 Suivez les instructions à l’écran.68 Chapitre 5 Dépannage Remarque : si vous rencontrez des problèmes et que l’ordinateur ne démarre pas, essayez le mode Disque cible FireWire pour transférer des fichiers vers un autre ordinateur (consultez la page 37). Redémarrez ensuite l’ordinateur en insérant le premier disque d’installation et de restauration de logiciels dans le lecteur optique. Pour installer des applications et la Gestion de Classic : 1 Si possible, sauvegardez les fichiers essentiels. 2 Insérez le premier disque d’installation et de restauration fourni avec votre ordinateur. 3 Double-cliquez sur l’icône “Installer appli/gestion Classic”. 4 Suivez les instructions à l’écran. Remarque : iCal, iChat, iMovie, iPhoto, iSync, iTunes et Safari font partie intégrante de Mac OS X. Pour installer ces applications, vous devez suivre les instructions d’installation de Mac OS X. Localisation du numéro de série de votre produit Pour connaître le numéro de série de votre ordinateur, choisissez À propos de ce Mac dans le menu Pomme (K) et cliquez sur le bouton Plus d’infos, ou ouvrez Informations Système (dans le dossier Applications/Utilitaires) et cliquez sur Matériel. Le numéro de série de votre PowerBook figure également dans le logement de la batterie. 69 A Annexe A Caractéristiques Vous pouvez utiliser Informations Système pour obtenir des informations détaillées sur votre PowerBook, telles que la quantité de mémoire vive, la taille du disque dur, les périphériques connectés et le numéro de série du produit. Pour accéder au contenu des Informations Système, sélectionnez le menu Pomme (K) > À propos de ce Mac dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos ou ouvrez les Profil du système, se trouvant dans le dossier Applications/Utilitaires. Conditions ambiantes • Température de fonctionnement : 10° C à 35° C • Altitude : 3 048 m maximum • Humidité relative : de 20 % à 80 % sans condensation Adaptateur secteur : • Entrée : 100-240 volts (V) CA, 50/60 hertz (Hz) • Sortie : 24,5 V CC et 2,65 A Dans la fenêtre apparaissant, cliquez sur les triangles pour afficher ou cacher le contenu des différentes catégories.70 Annexe A Caractéristiques Batterie • Sortie : 10,8 V CC • Capacité : 4600 mAh Des informations supplémentaires sont disponibles sur les sites Internet www.apple.com/powerbook et www.apple.com/support. 71 B Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien Ces consignes de sécurité et de maintenance concernant votre PowerBook sont importantes. Lisez-les. Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation de votre ordinateur Branchement de l’adaptateur secteur Veillez à toujours laisser suffisamment d’espace autour de votre adaptateur secteur. N’utilisez pas ce matériel dans un endroit où l’air ne circule pas près de l’adaptateur secteur ou près de l’ordinateur. Veillez à toujours débrancher l’adaptateur secteur et à retirer la batterie avant d’ouvrir l’ordinateur en vue d’opérations telles que l’installation de mémoire ou le retrait du disque dur. Connexion du modem interne à la ligne téléphonique Veillez à toujours débrancher le câble téléphonique avant d’ouvrir l’ordinateur en vue d’opérations telles que l’installation de mémoire ou l’extraction du disque dur. Connecteurs et ports N’insérez jamais un connecteur en force dans un port. Si le connecteur ne se raccorde pas facilement au port, alors ils sont probablement incompatibles. Assurez-vous que le connecteur correspond bien au port et que vous l’avez correctement positionné par rapport à celui-ci. Avertissement : utilisez uniquement l’adaptateur secteur fourni avec votre ordinateur PowerBook. Les adaptateurs d’autres appareils électroniques (y compris d’autres modèles de PowerBook et d’ordinateurs portables) peuvent paraître similaires, mais risquent d’altérer les performances de votre ordinateur voire de l’endommager. Avertissement : ne branchez pas le modem à une ligne numérique car cela pourrait l’endommager.72 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien Utilisation de votre PowerBook Lorsque vous utilisez votre PowerBook ou que vous rechargez la batterie, il est normal que la température du dessous du boîtier s’élève. En cas d’utilisation prolongée, placez votre PowerBook sur une surface plane et stable. Cette partie du boîtier sert de surface de refroidissement et sert à évacuer la chaleur de l’ordinateur vers l’extérieur. Le dessous du boîtier est légèrement surélevé pour permettre la circulation d’air et assurer ainsi à l’équipement une température de fonctionnement normale. De plus, l’ordinateur dégage de l’air chaud à l’arrière du boîtier. Transport de votre PowerBook Si vous transportez votre PowerBook dans un sac ou dans un attaché-case, assurezvous que ce dernier ne contient pas d’objets non attachés (tels que des trombones ou des pièces de monnaie) qui pourraient pénétrer accidentellement dans l’ordinateur par une ouverture telle que la fente du lecteur optique. Rangement de votre PowerBook Si vous comptez ranger votre PowerBook pendant une période prolongée, effectuez l’une des opérations suivantes afin d’empêcher la décharge complète de la batterie : • Laissez l’adaptateur secteur branché. • Chargez complètement la batterie avant de stocker l’ordinateur. • Rechargez complètement la batterie du PowerBook, puis retirez-la avant de stocker l’ordinateur (en particulier si la période de stockage est supérieure à 5 mois). Nettoyage de votre PowerBook Respectez les règles suivantes lors du nettoyage de votre ordinateur et de ses accessoires : • Éteignez votre PowerBook et retirez la batterie. • Pour nettoyer le boîtier de l’ordinateur, utilisez un chiffon doux, humide et non pelucheux. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’ordinateur. • N’utilisez ni aérosols, ni dissolvant, ni abrasifs. Avertissement : ne posez pas votre PowerBook allumé sur un oreiller ou tout autre surface dans laquelle il pourrait s’enfoncer, car cela risque de bloquer les conduits d’air, en particulier les conduits arrière, et d’entraîner une surchauffe de l’ordinateur. Évitez également de laisser des objets sur le clavier avant de rabattre l’écran. Cela risque de provoquer une succession d’arrêts et de mises en marche de votre ordinateur, entraînant une surchauffe et la décharge de la batterie. N’allumez jamais l’ordinateur tant que tous ses composants internes ou externes ne sont pas en place. L’utilisation de l’ordinateur lorsque son boîtier est ouvert ou que certains composants ont été démontés peut s’avérer dangereuse et risque de l’endommager.Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 73 Nettoyage de l’écran de votre PowerBook Pour nettoyer l’écran, procédez comme suit : • Éteignez votre PowerBook et retirez la batterie. • Humidifiez, à l’eau seulement, un chiffon propre, doux et non pelucheux et essuyez l’écran. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’écran. Consignes générales de sécurité Pour votre propre sécurité et celle de votre matériel, respectez toujours les consignes suivantes. Débranchez le cordon d’alimentation (en tirant sur la prise plutôt que sur le cordon), retirez la batterie principale et débranchez le câble téléphonique si l’un des cas suivants se présente : • Vous voulez retirer un ou plusieurs composants. • Le câble d’alimentation ou la prise est endommagé(e). • Un liquide a été renversé dans le boîtier. • Votre ordinateur est exposé à la pluie ou à une humidité excessive. • Votre ordinateur a subi une chute ou le boîtier a été endommagé de quelque autre façon. • Vous pensez que votre ordinateur a besoin d’être inspecté ou réparé. • Vous voulez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez à la lettre les instructions exposées précédemment). Important : la seule manière de couper complètement l’alimentation de l’ordinateur consiste à débrancher le cordon d’alimentation et le câble téléphonique, et à retirer la batterie. Assurez-vous qu’au moins une extrémité du cordon d’alimentation se trouve à portée de main afin de pouvoir débrancher l’ordinateur si nécessaire. Observez toujours les consignes ci-dessous : • Évitez de placer votre ordinateur à proximité d’un évier, d’un lavabo, d’une baignoire, d’une douche, etc. • Protégez votre ordinateur de l’humidité et des intempéries (neige, pluie...). • Lisez soigneusement les instructions d’installation avant de brancher votre ordinateur sur une prise murale. • Gardez ces instructions dans un endroit facile d’accès pour vous et pour les utilisateurs éventuels. Avertissement : votre câble CA est livré avec une fiche de terre à trois broches (fiche équipée d’une troisième broche de mise à la terre). Cette fiche ne peut être branchée que sur une prise CA reliée à la terre. Si vous ne pouvez pas brancher la fiche car la prise n’est pas reliée à la terre, contactez un électricien agréé pour qu’il remplace cette prise par une prise reliée à la terre. Ne dérogez en aucun cas à cette consigne.74 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien • Suivez toutes les instructions et mises en garde concernant votre système. Important : le matériel électrique peut s’avérer dangereux s’il n’est pas utilisé correctement. L’utilisation de ce produit ou de tout produit similaire doit toujours être supervisée par un adulte. Évitez que des enfants ne manipulent les composants internes ou les câbles de ces appareils. Batterie Protégez votre système auditif Apple et l’environnement Apple Computer reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact qu’ont ses produits et ses activités sur l’environnement. Pour plus d’informations Rendez-vous sur le site Web www.apple.com/about/environment. Avertissement : n’introduisez jamais d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures du boîtier. Cela peut être dangereux et provoquer un incendie ou un choc électrique. Avertissement : il y a un risque d’explosion si la batterie est remplacée par une autre de type incorrect. Disposez des batteries usagées conformément aux directives d’environnement locales en vigueur. Veillez à ne pas percer ni incinérer la batterie. Avertissement : vous risquez de devenir sourd si vous utilisez des écouteurs ou un casque à un volume trop élevé. Il est possible de supporter petit à petit des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent sembler normaux à la longue, mais qui risquent néanmoins d’endommager votre ouïe. Réglez le volume de votre PowerBook à un niveau raisonnable avant que le mal soit fait. Si vous souffrez de bourdonnements d’oreilles, baissez le volume ou cessez d’utiliser des écouteurs ou un casque avec votre PowerBook.Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 75 Ergonomie Voici quelques conseils pour la mise en place d’un environnement de travail sain. Clavier et trackpad Lorsque vous tapez au clavier ou que vous vous servez du trackpad, vos épaules doivent être détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, la main étant placée dans le prolongement du poignet. Vous devez avoir les mains et les doigts détendus lorsque vous tapez au clavier ou que vous utilisez le trackpad. Évitez de replier les pouces à l’intérieur des paumes. Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un effort continu et intensif, certains utilisateurs ressentent des douleurs aux mains, aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste. Position à éviter Position recommandée Position à éviter Position recommandée76 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien Siège Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale et vos pieds à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire, c’est-à- dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie. Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Vous pouvez également abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau dont le poste de saisie est situé plus bas que le plan de travail. Souris externe Si vous utilisez une souris externe, veillez à ce qu’elle se trouve à hauteur du clavier. Ménagez un espace suffisant pour la manipuler avec aisance. Écran intégré Orientez l’écran de manière à réduire le plus possible les reflets de l’éclairage électrique et de la lumière du jour. Ne forcez pas l’écran si vous rencontrez une résistance. L’angle d’ouverture maximal de l’écran ne peut dépasser 140 degrés. Réglez la luminosité et le contraste de l’écran chaque fois que vous déplacez l’ordinateur ou que l’éclairage ambiant change. Pour plus d’informations Rendez-vous sur le site Web www.apple.com/about/ergonomics. 77 C Annexe C Connexion à Internet Votre ordinateur vous permet de naviguer sur le Web, d’échanger du courrier électronique avec vos amis et votre famille ou de dialoguer en temps réel via Internet. Suivez les instructions de ce guide détaillé pour vous connecter à Internet. Lors du premier démarrage de Mac OS X, l’Assistant réglages vous aide à configurer votre connexion à Internet et à choisir, le cas échéant, un fournisseur d’accès (FAI). Dans certains pays, l’Assistant réglages ne choisit pas de FAI pour vous : vous devez prendre vous-même contact avec un FAI pour obtenir un compte, puis configurer votre connexion à l’aide des informations ci-dessous. Si vous n’avez pas utilisé l’Assistant réglages pour configurer votre connexion à Internet, vous pouvez l’utiliser maintenant. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. Cliquez sur le bouton Assistez-moi pour ouvrir l’Assistant réglages de réseau. Si vous ne souhaitez pas utiliser cet Assistant, vous pouvez réaliser votre connexion manuellement à l’aide des informations données dans cet annexe. Il existe quatre types de connexion à Internet : • Connexion par ligne téléphonique : votre ordinateur est relié à une prise téléphonique murale au moyen d’un câble téléphonique. • Connexion via un modem câble ou DSL à haut débit : l’ordinateur est relié via un câble Ethernet à un modem spécial fourni par un FAI. • Connexion sans fil AirPort Extreme : votre ordinateur est connecté sans fil à Internet via une borne d’accès AirPort Extreme. • Réseau local (LAN) : l’ordinateur est connecté à un réseau local via un câble Ethernet. C’est le type de connexion habituellement utilisé dans les entreprises.78 Annexe C Connexion à Internet Avant de vous connecter à Internet : 1 Procurez-vous les informations de connexion auprès de votre FAI ou de votre administrateur réseau. Consultez la section suivante, “Collecte des informations nécessaires”, pour savoir quelles sont les informations dont vous avez besoin pour chaque type de connexion. Si un autre ordinateur se trouvant au même emplacement est déjà connecté à Internet, vous pouvez probablement utiliser ses réglages. Pour accéder aux réglages sur un ordinateur Mac OS X : • Ouvrez la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système. • Dans le menu local Afficher, sélectionnez votre mode de connexion. • Copiez les informations concernant votre connexion. Pour accéder aux réglages sur un ordinateur Mac OS 9 : • Ouvrez le tableau de bord TCP/IP. • Rechercher le mode de connexion dans le menu local “Connexion”. • Rechercher la configuration dans le menu local Configurer. • Notez l’adresse IP, le masque de sous-réseau et l’adresse du routeur figurant dans les champs correspondants. Pour accéder aux réglages sur un PC Windows : Les informations de connexion d’un PC Windows se trouvent à deux endroits. • Pour trouver l’adresse IP et le masque de sous-réseau, ouvrez le tableau de bord “Connexions réseau et Internet”. • Pour accéder aux informations relatives aux comptes d’utilisateurs, ouvrez le tableau de bord Comptes d’utilisateurs. Vous pouvez écrire ces informations directement sur les pages suivantes, puis les saisir dans l’Assistant réglages. 2 Si vous utilisez un modem téléphonique, branchez le câble téléphonique (inclus avec la plupart des ordinateurs Macintosh) sur le port modem de votre ordinateur et sur une prise téléphonique murale. Si vous disposez d’un modem DSL ou câble, connectez-le à votre ordinateur en suivant les instructions incluses.Annexe C Connexion à Internet 79 Collecte des informations nécessaires Vous pouvez noter sur ces pages les informations obtenues auprès de votre Fournisseur d’Accès à Internet (FAI), de votre administrateur réseau ou de votre autre ordinateur, puis les saisir dans l’Assistant réglages de réseau. Pour configurer une connexion téléphonique classique, procurez-vous les informations suivantes : • Nom du fournisseur d’accès • Nom de l’utilisateur ou du compte • Mot de passe • Numéro de téléphone du FAI • Autre numéro de téléphone • Préfixe pour obtenir une ligne extérieure Pour configurer une connexion DSL, modem câble, LAN ou sans fil AirPort Extreme : m Commencez par choisir votre méthode de connexion (contactez votre administrateur réseau ou votre FAI si vous ne la connaissez pas) : • Manuellement • Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle • Via DHCP • Via BootP • PPP Si vous ne savez pas quelle méthode utiliser, “Via DHCP” peut être un bon choix, car le réseau fournit automatiquement la plupart des informations requises. Si vous avez sélectionné “Manuellement” ou “Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle” procurez-vous les informations suivantes : • Adresse IP • Masque de sous-réseau • Adresse du routeur Remarque : si vous avez sélectionné “Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle”, vous n’avez pas besoin d’un masque de sous-réseau ou d’une adresse de routeur. Si vous avez sélectionné “Via DHCP”, procurez-vous les informations suivantes facultatives (le cas échéant, consultez votre FAI) : • ID client DHCP • Serveurs DNS80 Annexe C Connexion à Internet Si vous avez sélectionné “PPP”” (pour des connexions PPPoE), procurez-vous les informations suivantes : • Fournisseur de services • Nom du compte • Mot de passe • Nom du service PPPoE Les informations ci-dessous sont facultatives. Consultez votre FAI ou votre administrateur système si nécessaire. • Serveurs DNS • Nom de domaine • Serveur proxy Saisie de vos informations Après vous être procuré les informations de configuration spécifiques auprès de votre FAI ou de votre administrateur réseau, vous pouvez cliquer sur le bouton Assistez-moi dans la sous-fenêtre des préférences Réseau pour ouvrir l’Assistant réglages de réseau ou bien saisir les informations manuellement. Pour saisir vos informations manuellement, suivez les étapes correspondant à votre mode de connexion. • Modem téléphonique avec connexion PPP (Point-to-Point Protocol) (voir la page 81) • Connexion par modem câble, ligne DSL ou réseau LAN via les configurations suivantes : • Manuelle (voir la page 85) • DHCP (voir la page 86) • PPPoE (voir la page 87) • Connexion sans fil AirPort Extreme (voir la page 89)Annexe C Connexion à Internet 81 Modem commuté avec connexions PPP (Point-To-Point Protocol) Le modem téléphonique constitue la manière la plus courante de se connecter à Internet. Votre modem utilise une méthode appelée PPP (Point-to-Point Protocol) pour se connecter à un FAI. Assurez-vous que votre modem est branché sur une ligne téléphonique et que vous disposez des informations fournies par votre FAI (voir la page 79). Pour configurer les Préférences réseau pour vous connecter via le port de modem interne : 1 Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Choisissez Configuration des ports réseau dans le menu local Afficher, puis cochez la case Activé à côté de Modem interne. 4 Faites glisser Modem interne en haut de la liste Configurations de port pour en faire l’interface réseau préférée ou principale.82 Annexe C Connexion à Internet 5 Choisissez Modem interne dans le menu local Afficher et cliquez sur PPP. 6 Tapez les informations fournies par votre FAI, puis cliquez sur Appliquer. Pour tester votre configuration Internet : 1 Ouvrez l’application Connexion à Internet (dans le dossier Applications). 2 Cliquez sur l’icône Modem interne si nécessaire. 3 Tapez le numéro de téléphone de connexion de votre FAI, votre nom de compte et votre mot de passe, si nécessaire. 4 Cliquez sur Se connecter. L’application Connexion à Internet compose le numéro de votre FAI et établit une connexion.Annexe C Connexion à Internet 83 Pour vous connecter automatiquement dès que vous ouvrez une application TCP/IP, telle qu’un navigateur Web ou une messagerie électronique : 1 Cliquez sur Options PPP (dans la sous-fenêtre PPP des préférences Réseau). 2 Cochez la case “Se connecter automatiquement si nécessaire”. 3 Cliquez sur OK, puis sur Appliquer. Connexions à Internet par ligne DSL, modem câble ou réseau LAN Si vous vous connectez à Internet soit à l’aide d’un modem DSL ou câble, soit via un réseau LAN Ethernet, demandez à votre FAI ou à votre administrateur réseau comment vous devriez configurer votre connexion à Internet : • Manuellement. Dans le cas d’une configuration manuelle, votre FAI ou administrateur réseau vous indique une adresse IP statique et d’autres informations que vous devez saisir dans les Préférences réseau. • Via le protocole DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol). Avec une configuration DHCP, le serveur DHCP saisit automatiquement les informations à votre place. • Via le protocole PPPoE (Point-to-Point Protocol over Ethernet). Si vous utilisez un modem DSL et que vous avez besoin d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe pour vous connecter à Internet, vous devrez éventuellement configurer votre réseau pour qu’il utilise le protocole PPPoE. Lors de la configuration de votre réseau, veillez à garder les informations fournies par votre FAI à portée de main (voir la page 79).84 Annexe C Connexion à Internet Pour configurer les Préférences réseau pour le port Ethernet intégré : 1 Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations des ports réseau. 4 Cochez la case Activé à côté d’Ethernet intégré. 5 Faites glisser Ethernet intégré en haut de la liste Configurations de port pour en faire l’interface réseau préférée ou principale. Suivez ensuite les instructions de configuration manuelle de votre réseau, via DHCP ou PPPoE, selon les recommandations de votre FAI ou de votre administrateur réseau.Annexe C Connexion à Internet 85 Configuration manuelle Ayez à portée de main votre adresse IP statique, l’adresse du routeur et le masque de sous-réseau fournis par votre FAI (voir la page 79). Pour effectuer une configuration manuelle : 1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher. 2 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire. 3 Dans le menu local Configurer IPv4, choisissez Manuellement. 4 Remplissez le reste des champs. 5 Cliquez sur Appliquer. Votre connexion est prête dès que vous avez configuré votre réseau. Ouvrez votre navigateur Web (ou une autre application TCP/IP) afin de tester votre connexion à Internet.86 Annexe C Connexion à Internet Configuration DHCP Après avoir choisi une configuration DHCP, le serveur DHCP fournit automatiquement vos informations de réseau. Pour effectuer une configuration DHCP : 1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher. 2 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire. 3 Choisissez Via DHCP dans le menu local Configurer IPv4. 4 Cliquez sur Appliquer. Ouvrez votre navigateur Web (ou une autre application TCP/IP) afin de tester votre connexion à Internet. Remarque : sauf instructions contraires de votre FAI, ignorez les champs Client DHCP et Domaines de recherche.Annexe C Connexion à Internet 87 Configuration PPPoE Certains FAI recourant à la technologie DSL utilisent le protocole PPPoE (Point-to-Point Protocol over Ethernet)). Si vous utilisez un modem DSL et que vous avez besoin d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe pour vous connecter à Internet, contactez votre FAI pour savoir si vous devez vous connecter via PPPoE. Pour configurer une connexion PPPoE : Ayez à portée de main votre nom d’utilisateur, votre mot de passe et, le cas échéant, l’adresse du serveur de noms de domaine (DNS) fournis par votre FAI (voir la page 79). 1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher. 2 Cliquez sur PPPoE et sélectionnez “Se connecter via PPPoE”. 3 Remplissez le reste des champs. Si vous souhaitez que tous les utilisateurs de votre ordinateur utilisent la même méthode de connexion, sélectionnez “Enregistrer le mot de passe”. Remarque : pour vous connecter automatiquement au démarrage d’une application TCP/IP, telle qu’un navigateur Web ou une application de courrier électronique, cliquez sur Options PPPoE, puis sélectionnez “Se connecter automatiquement si nécessaire”.88 Annexe C Connexion à Internet 4 Cliquez sur TCP/IP et sélectionnez Via PPP ou Manuellement dans le menu local Configurer IPv4, selon les instructions de votre FAI. Si votre FAI vous a communiqué une adresse IP statique, choisissez Manuellement et tapez l’adresse dans le champ Adresse IP. 5 Saisissez les adresses des serveurs de noms de domaine (DNS) dans le champ Serveurs DNS. 6 Cliquez sur Appliquer. Votre connexion à Internet est prête dès que vous avez configuré votre réseau. Vous pouvez alors ouvrir votre navigateur Web ou une autre application TCP/IP afin de tester votre connexion. Important : si vous n’avez pas sélectionné l’option de connexion automatique, vous devez ouvrir l’application Connexion à Internet, choisir la configuration adéquate, puis cliquer sur Se connecter. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Connexion à Internet dans la barre des menus située en haut de l’écran. Annexe C Connexion à Internet 89 Connexion sans fil AirPort Extreme Vous pouvez configurer votre réseau AirPort Extreme et votre connexion Internet à l’aide de l’Assistant réglages AirPort, situé dans le dossier Utilitaires de votre dossier Applications. L’assistant vous aide à configurer votre borne d’accès AirPort Extreme et à régler votre ordinateur pour qu’il utilise AirPort Extreme. Pour en savoir plus sur votre borne d’accès AirPort Extreme, consultez le Guide de configuration de la borne d’accès AirPort Extreme livré avec votre borne d’accès. Si votre borne d’accès AirPort Extreme est déjà configurée, votre carte AirPort Extreme peut dans la plupart des cas y accéder immédiatement. Pour vérifier l’accès au réseau AirPort Extreme : m Cliquez sur l’icône d’état AirPort dans la barre des menus et choisissez un réseau AirPort dans la liste. Si aucun réseau AirPort n’y figure, vous pouvez utiliser l’Assistant réglages AirPort pour vérifier ou modifier vos réglages ou bien les changer via la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système. Configuration manuelle d’une connexion AirPort Extreme Pour configurer une connexion manuelle utilisant des adresses spécifiques affectées par avance pour vos serveurs et votre ordinateur, procurez-vous les informations suivantes auprès de votre administrateur de système. Si vous vous connectez via DHCP, la plupart de ces informations sont automatiquement transmises à votre ordinateur via le réseau. Consultez votre administrateur de système pour obtenir les renseignements nécessaires. • Adresses des serveurs de noms de domaine (DNS), si nécessaire • Configuration d’adresse IP manuelle ou via DHCP • Adresse IP • Adresse du routeur • Masque de sous-réseau • Mot de passe, si nécessaire90 Annexe C Connexion à Internet Assurez-vous ensuite que les options de connexion AirPort sont activées dans les préférences Réseau. Pour configurer les Préférences réseau pour une connexion AirPort Extreme : 1 Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau. 4 Cochez la case Activé à côté d’AirPort. Suivez ensuite les instructions fournies par votre FAI ou votre administrateur réseau pour configurer votre réseau manuellement ou via DHCP. Si vous configurez vousmême votre réseau, il est peut-être plus simple d’utiliser DHCP car le serveur attribue automatiquement les adresses IP.Annexe C Connexion à Internet 91 5 Choisissez AirPort dans le menu local Afficher. 6 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire. 7 Dans le menu local Configurer IPv4, choisissez Manuellement ou Via DHCP. • Si vous choisissez Manuellement, saisissez les autres informations dans les champs correspondants. • Si vous choisissez Via DHCP, il est inutile de saisir d’autres informations, sauf instructions contraires de votre administrateur de système. 8 Cliquez sur AirPort et sélectionnez les options requises pour vous connecter à un réseau AirPort Extreme après le redémarrage ou lors de la réactivation de l’ordinateur après une suspension d’activité. 9 Cliquez sur Appliquer. Une fois les réglages AirPort configurés, vous êtes prêt à vous connecter. Pour tester votre connexion AirPort Extreme : m Cliquez sur l’icône d’état AirPort dans la barre des menus et choisissez Activer AirPort. Tout réseau AirPort Extreme situé dans la zone de couverture doit apparaître dans le menu.92 Annexe C Connexion à Internet Dépannage de votre connexion Connexion à Internet par modem câble, ligne DSL et réseau LAN Si vous ne parvenez pas à vous connecter à Internet à l’aide de votre modem câble ou DSL ou via votre réseau local (LAN), suivez les étapes ci-après. Important : les instructions relatives aux modems ne concernent pas les utilisateurs de réseau LAN. Contrairement aux utilisateurs de modems câble et DSL, les utilisateurs de réseau LAN peuvent disposer de concentrateurs, de commutateurs, de routeurs et autres dispositifs de connexion. Ils doivent faire appel à leur administrateur réseau plutôt qu’à un FAI. Vérifiez les câbles et les sources d’alimentation Assurez-vous que tous les câbles du modem sont correctement branchés, y compris le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à l’ordinateur et le câble raccordant le modem à la prise murale. Vérifiez les câbles et l’alimentation des routeurs et des concentrateurs Ethernet. Éteignez puis rallumez le modem et réinitialisez le matériel modem Éteignez votre modem DSL ou votre modem câble pendant quelques minutes puis rallumez-le. Certains FAI conseillent de débrancher le câble d’alimentation du modem. Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez l’actionner avant ou après avoir éteint puis rallumé le modem. Connexions PPPoE Si vous n’arrivez pas à vous connecter à votre FAI via PPPoE, commencez par vérifier les câbles et l’alimentation, puis éteignez le modem et rallumez-le et réinitialisez le matériel modem. Vérifiez les réglages de Préférences Système 1 Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau. 4 Sélectionnez Ethernet intégré, puis faites glisser cette configuration en haut de la liste des configurations de ports. 5 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Ethernet intégré. 6 Cliquez sur PPPoE. 7 Sélectionnez Se connecter via PPPoE. 8 Vérifiez le champ Nom de compte pour vous assurer d’avoir tapé les informations correctes fournies par votre FAI. 9 Si vous avez choisi d’enregistrer votre mot de passe, saisissez-le à nouveau afin d’être sûr(e) qu’il est correct. Annexe C Connexion à Internet 93 10 Cliquez sur TCP/IP. Assurez-vous d’avoir saisi dans cette sous-fenêtre les informations correctes fournies par votre FAI. 11 Cliquez sur Appliquer. Connexions au réseau Si vous disposez de plusieurs ordinateurs tentant de partager une connexion à Internet, assurez-vous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre FAI fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque ordinateur. Si une seule adresse IP est utilisée, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion (on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage d’adresses IP). Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre réseau. La borne d’accès AirPort Extreme peut être utilisée pour que plusieurs ordinateurs partagent une adresse IP. Pour plus d’informations sur l’utilisation de la borne d’accès AirPort Extreme, consultez l’aide à l’écran ou rendez-vous sur le site Web AirPort, à l’adresse www.apple.com/airport. Si ces instructions s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés, contactez votre fournisseur d’accès à Internet. 95 D Annexe D Les dix questions principales Une question ? Voici les dix questions les plus fréquemment posées par les nouveaux utilisateurs du PowerBook. Ma connexion Internet ne semble pas fonctionner. Comment la configurer ? Il y a différents types de connexions Internet. Vous pouvez, par exemple, vous connecter via un modem, une connexion DSL, une connexion sans fil AirPort ou via un réseau Ethernet. Vous devrez fournir à Mac OS X des informations spécifiques sur votre type de connexion, votre fournisseur d’accès Internet ou votre réseau. La première étape de configuration de votre connexion consiste à regrouper les informations requises pour votre type de connexion. Pour connaître les informations requise et savoir comment configurer votre type de connexion, consultez l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 77. Votre ordinateur dispose également d’une application Assistant réglages pour vous aider à configurer votre connexion Internet. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. Cliquez sur le bouton Assistez-moi pour ouvrir l’Assistant réglages de réseau. Comment configurer mon imprimante ? Est-elle compatible avec mon PowerBook ? Commencez par connecter votre imprimante et installer tous les logiciels en suivant les instructions fournies avec. Ensuite, ouvrez les Préférences Système puis cliquez sur l’icône Imprimantes et fax. Utilisez la sous-fenêtre Imprimantes et fax pour configurer votre PowerBook de sorte qu’il puisse utiliser l’imprimante. Vous trouverez de nombreuses informations sur la configuration des imprimantes dans l’aide Mac OS (à la rubrique “imprimantes”). Consultez également “Connexion à une imprimante” à la page 28 de ce manuel. Si votre imprimante ne semble pas fonctionner comme prévu, consultez le site Web du fabricant pour obtenir les pilotes d’impression mis à jour. La dernière version du logiciel d’imprimante est souvent disponible en téléchargement.96 Annexe D Les dix questions principales Si vous envoyez une tâche à votre imprimante et que celle-ci n’imprime pas, cliquez sur l’icône de l’imprimante dans le Dock pour vérifier si l’impression est interrompue ou si la tâche est en pause. (Si aucune icône n’apparaît dans le Dock, ouvrez Configuration d’imprimante dans le dossier Applications/Utilitaires et double-cliquez sur le nom de l’imprimante.) Si la fenêtre de l’imprimante annonce “Tâche suspendue” , cliquez sur le bouton Démarrer tâches. Si “Pause” apparaît à côté du nom de la tâche, reprenez l’impression en cliquant sur le nom de la tâche, puis sur Reprendre. Si l’impression d’une tâche a été interrompue à la suite d’une erreur technique, effacez la tâche défectueuse en la sélectionnant et en cliquant sur Effacer. Essayer ensuite d’imprimer la tâche à nouveau. Comment fonctionne l’interface Mac OS X ? Les nouveaux utilisateurs de Mac OS X se demandent souvent comment exécuter certaines tâches. L’aide Mac OS constitue l’outil de référence pour obtenir des informations sur Mac OS. S’y trouvent des explications préliminaires destinées aux nouveaux utilisateurs, aux utilisateurs Windows s’initiant à Mac OS X ainsi qu’aux utilisateurs ayant effectué une mise à niveau de Mac OS 9. Sélectionnez Aide > Aide Mac dans le menu Aide de la barre des menus en haut de l’écran, puis parcourez les informations destinées aux nouveaux utilisateurs. Parmi les principales tâches élémentaires recherchées par l’utilisateur figure le Finder, essayez donc de rechercher “Finder” également. Comment prolonger la longévité de la batterie de mon PowerBook ? Vous pouvez économiser l’énergie de la batterie à l’aide de la sous-fenêtre des préférences Économiseur d’énergie pour spécifier quand l’ordinateur doit suspendre son activité et quand l’écran doit s’éteindre. Ouvrez Préférences système et cliquez sur l’icône Économiseur d’énergie. Choisissez les réglages les mieux adaptés à votre mode d’utilisation. L’utilisation de périphériques, tels que les disques durs, qui tirent leur énergie de votre ordinateur, peut aussi contribuer à diminuer l’autonomie de votre batterie. Vous pouvez économiser l’énergie de la batterie en déconnectant ces appareils. Vous pouvez également vous procurer une batterie supplémentaire et la brancher à votre ordinateur lorsque la batterie est faible. Pour plus d’informations sur les moyens d’économiser l’énergie de la batterie, voir “Conseils d’économie de la batterie” à la page 54. J’ai inséré un disque dans le lecteur optique, mais rien ne se passe. Comment savoir si le disque est compatible avec mon lecteur optique ? Appuyez sur la touche Éjecter disque ( ) pour éjecter le disque. Les lecteurs optiques à chargement par fente Apple ne prennent en charge que des disques circulaires de 12 cm. Les disques non standards n’ayant pas une forme circulaire ne fonctionnent pas avec le lecteur optique. Pour plus d’informations sur les disques non standards, consultez la base de données AppleCare Knowledge Base à l’adresse www.apple.com/support. Avertissement : l’insertion d’un disque non standard risque d’endommager le lecteur.Annexe D Les dix questions principales 97 Comment connecter un moniteur ou un téléviseur à mon PowerBook ? Votre PowerBook est équipé d’un port moniteur externe ainsi que d’adaptateurs destinés à la connexion de la plupart des moniteurs, téléviseurs et écrans vidéo existant sur le marché. Si votre périphérique possède un connecteur différent du port moniteur externe de votre PowerBook, vous devez relier un adaptateur pour le connecter au port. Pour savoir quels adaptateurs sont livrés avec votre PowerBook, voir la page 5. Pour plus d’informations sur la connexion d’écrans et autres périphériques, consultez “Gestion vidéo externe (DVI/VGA et S-Vidéo)” à la page 44. J’ai oublié mon mot de passe. Comment le réinitialiser ? Vous pouvez réinitialiser votre mot de passe en cas d’oubli. Pour cela, démarrez à partir du disque d’installation et de restauration de logiciels qui vous a été fourni avec votre ordinateur. Une fois le programme d’installation ouvert, sélectionnez Installation > Réinitialiser le mot de passe dans la barre des menus. Suivez les instructions à l’écran. J’entends un ventilateur se déclencher et mon PowerBook semble chauffer. Est-ce normal ? Votre PowerBook est conçu pour fonctionner dans le cadre de limites thermiques sûres. Le ventilateur se déclenche et fonctionne pour maintenir le PowerBook à températures normales lorsqu’il est en activité. La partie inférieure de votre PowerBook est susceptible de chauffer car elle sert à évacuer la chaleur par le boîtier. Cela est normal. Pour en savoir plus, reportez-vous à la “Utilisation de votre PowerBook” à la page 72. Mon application ou Mac OS X ne semblent pas fonctionner correctement. Dois-je réinstaller Mac OS X ? Le processus de dépannage d’un problème exige que vous déterminiez un certain nombre de choses, comme savoir si un problème arrive toujours avec une application spécifique, s’il est lié au système d’exploitation ou s’il est dû à un matériel défectueux. Avant de réinstaller, consultez “Dépannage” à la page 63 pour vous aider à analyser le problème. Apple vous fournit également un grand nombre d’explications et de conseils techniques pour résoudre vos problèmes dans la base de données AppleCare Knowledge Base. Pour accéder à cette base de données en ligne, allez sur www.apple.com/support. Si vous constatez qu’une réinstallation de Mac OS X s’impose, vous trouverez des instructions dans “Restauration des logiciels de votre ordinateur” à la page 67. J’ai installé une application sur mon PowerBook, mais elle ne semble pas fonctionner. Où trouver de l’aide ? Vérifiez la documentation fournie avec l’application pour obtenir des instructions sur l’assistance. Les fabricants sont souvent conscients des problèmes courants susceptibles de survenir avec leurs applications et fournissent des solutions et des mises à jours à usage immédiat. Si votre programme n’est pas un produit Apple, contactez directement l’éditeur pour obtenir une meilleure assistance. 99 Communications Regulation Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures: • Turn the television or radio antenna until the interference stops. • Move the computer to one side or the other of the television or radio. • Move the computer farther away from the television or radio. • Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple-authorized service provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Computer, Inc., could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product was tested for EMC compliance under conditions that included the use of Apple peripheral devices and Apple shielded cables and connectors between system components. It is important that you use Apple peripheral devices and shielded cables and connectors between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. You can obtain Apple peripheral devices and the proper shielded cables and connectors through an Apple-authorized dealer. For non-Apple peripheral devices, contact the manufacturer or dealer for assistance. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Computer, Inc. Product Compliance, 1 Infinite Loop M/S 26-A, Cupertino, CA 95014-2084, 408-974-2000. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada. VCCI Class B Statement Communauté Européenne Conforme aux directives européennes 72/23/CEE, 89/336/CEE et 99/5/CEE.100 Laser Information Making adjustments or performing procedures other than those specified in your equipment’s manual may result in hazardous radiation exposure. Do not attempt to disassemble the cabinet containing the laser. The laser beam used in this product is harmful to the eyes. The use of optical instruments, such as magnifying lenses, with this product increases the potential hazard to your eyes. For your safety, have this equipment serviced only by an Apple-authorized service provider. If you have an internal Apple CD-ROM, DVD-ROM, or DVD-RAM drive in your computer, your computer is a Class 1 laser product. The Class 1 label, located in a user-accessible area, indicates that the drive meets minimum safety requirements. A service warning label is located in a service-accessible area. The labels on your product may differ slightly from the ones shown here. Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of the optional AirPort Extreme Card is far below the FCC radio frequency exposure limits. Nevertheless, it is advised to use the wireless equipment in such a manner that the potential for human contact during normal operation is minimized. Informations sur la souris et la clavier La souris optique d’Apple est un appareil à diode électroluminescente de catégorie 1. Ce produit est conforme aux exigences des directives européennes 72/23/CEE et 89/336/CEE. It also complies with the Canadian ICES-003 Class B Specification. Avertissement relatif aux activités à haut risque Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien, ni dans aucune autre situation où une panne du système informatique pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques. Conformité ENERGY STAR® En tant que partenaire ENERGY STAR® Apple a configuré ce produit de telle sorte qu’il respecte les recommandations d’économie d’énergie d’ENERGY STAR® . Le programme ENERGY STAR® est un partenariat avec les fabricants de matériel de bureau visant à promouvoir une consommation efficace de l’énergie. La réduction de la consommation d’énergie des appareils de bureau permet de réaliser des économies et contribue à réduire la pollution en éliminant le gaspillage d’énergie. Informations sur l’élimination des piles usagées Les batteries usagées doivent être recyclées ou traitées conformément aux normes d’environnement locales. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Informations relatives au téléphone et au modem Apple 56K Notifiez votre opérateur téléphonique. Certains opérateurs téléphoniques exigent que vous informiez votre agence locale lorsque vous raccordez un modem à leur réseau. Information You Need in the United States The internal modem complies with Part 68 of the FCC rules. On the back of this equipment is a label that contains, among other information, the FCC registration number and ringer equivalence number (REN). If requested, provide this information to your telephone company. • Ringer equivalence number (REN) : 0.1B The REN is useful to determine the quantity of devices you may connect to your telephone lines and still have all those devices ring when your telephone number is called. In most, but not all areas, the sum of the RENs of all devices connected to one line should not exceed five (5.0). To be certain of the number of devices you may connect to your line, as determined by the REN, you should contact your local telephone company to determine the maximum REN for your calling area. • Telephone jack type: USOC, RJ-11 An FCC-compliant telephone cord and modular plug are provided with this equipment. This equipment is designed to be connected to the telephone network or premises wiring using a compatible modular jack that complies with Part 6B rules. See the installation instructions for details. Class 1 label Service warning label 101 Telephone Line Problems If your telephone doesn’t work, there may be a problem with your telephone line. Disconnect the modem to see if the problem goes away. If it doesn’t, report the problem either to your local telephone company or to your company’s telecommunications people. If disconnecting the modem eliminates the problem, the modem itself may need service. See the service and support information that came with your Apple product for instructions on how to contact Apple or an Apple-authorized service provider for assistance. If you do not disconnect your modem when it is adversely affecting the telephone line, the telephone company has the right to disconnect your service temporarily until you correct the problem. The telephone company will notify you as soon as possible. Also, you will be informed of your right to file a complaint with the FCC. The telephone company may make changes in its facilities, equipment, operations, or procedures that could affect the operation of your equipment. If this happens, the telephone company will provide advance notice in order for you to make the necessary modifications to maintain uninterrupted service. The internal modem will not work with party lines, cannot be connected to a coin-operated telephone, and may not work with a private branch exchange (PBX). Telephone Consumer Protection Act The Telephone Consumer Protection Act of 1991 makes it unlawful for any person to use a computer or other electronic device to send any message via a telephone fax machine unless such message clearly contains, in a margin at the top or bottom of each transmitted page or on the first page of the transmission, the date and time it was sent and an identification of the business or other entity, or individual sending the message and the telephone number of the sending machine of such business, entity, or individual. Information You Need in Canada The Industry Canada (IC) label identifies certified equipment. This certification means that the equipment meets certain telecommunications network protective, operational, and safety requirements. The Department does not guarantee the equipment will operate to a user’s satisfaction. Before installing this equipment, make sure that you are permitted to connect to the facilities of the local telecommunications company. Be sure you use an acceptable method of connection to install the equipment. In some cases, you may extend the company’s internal wiring for single-line individual service by means of a certified telephone extension cord. Be aware, however, that compliance with these conditions may not prevent degradation of service in some situations. Repairs to certified equipment should be made by an authorized Canadian maintenance facility designated by the supplier. Any equipment malfunctions or repairs or alterations that you make to this equipment may cause the telecommunications company to request that you disconnect the equipment. In Canada, contact Apple at: 7495 Birchmount Road, Markham, Ontario, L3R 5G2, 800-263-3394 Users should not attempt to make such connections themselves, but should contact the appropriate electric inspection authority or electrician. • Load number:0.1 The load number (LN) assigned to each terminal device denotes the percentage of the total load to be connected to the telephone loop that is used by the device, to prevent overloading. The termination of a loop may consist of any combination of devices, subject only to the requirement that the sum of the load numbers of all devices does not exceed 100. • Telephone jack type: CA-11 Informations destinées aux utilisateurs canadiens L’étiquette d’Industrie Canada identifie un matériel homologué. Cette étiquette certifie que le matériel est conforme à certaines normes de protection, d’exploitation et de sécurité des réseaux de télécommunications. Le Ministère n’assure toutefois pas que le matériel fonctionnera à la satisfaction de l’utilisateur. Avant d’installer ce matériel, l’utilisateur doit s’assurer qu’il est permis de le raccorder au réseau de l’entreprise locale de télécommunication. Le matériel doit également être installé en suivant une méthode acceptée de raccordement. Dans certains cas, le câblage appartenant à l’entreprise utilisé pour un service individuel à ligne unique peut être prolongé au moyen d’un dispositif homologué de raccordement (cordon prolongateur téléphonique). L’abonné ne doit pas oublier qu’il est possible que la conformité aux conditions énoncées ci-dessus n’empêche pas la dégradation du service dans Warning: Users should ensure for their own protection that the electrical ground connections of the power utility, telephone lines, and internal metallic water pipe system, if present, are connected together. This precaution may be particularly important in rural areas. 102 certaines situations. De fait, les entreprises de télécommunication ne permettent pas que l’on raccorde un matériel aux prises d’abonnés, sauf dans les cas précis prévus par les tarifs particuliers de ces entreprises. Les réparations de matériel homologué doivent être effectuées par un centre d’entretien canadien autorisé désigné par le fournisseur. La compagnie de télécommunications peut demander à l’utilisateur de débrancher un appareil suite à des réparations ou à des modifications effectuées par l’utilisateur ou en raison d’un mauvais fonctionnement. Veuillez contacter Apple pour des informations supplémentaires : Apple Canada, Inc. 7495 Birchmount Road Markham, Ontario Canada L3R 5G2 Service clientèle d’Apple Canada : 800-263-3394 L’utilisateur ne doit pas tenter de faire ces raccordements lui-même ; il doit avoir recours à un service d’inspection des installations électriques ou à un électricien, selon le cas. • Numéro de charge : 0,1 L’indice de charge (IC) assigné à chaque dispositif terminal indique, pour éviter toute surcharge, le pourcentage de la charge totale qui sera raccordée à un circuit téléphonique bouclé utilisé par ce dispositif. La terminaison du circuit bouclé peut être constituée de n’importe quelle combinaison de dispositifs pourvu que la somme des indices de charge de l’ensemble des dispositifs ne dépasse pas 100. • Type de prise téléphonique : CA-11 Information You Need in the United Kingdom This terminal equipment is intended for direct connection to the analogue Public Switched Telecommunications Network and is approved for use within the United Kingdom with the following features: • Modem facility • Autocalling facility • Autoanswer facility • DTMF signaling Operation in the absence of proceed indication or upon detection of proceed indication This product is in conformity with relevant regulatory standards following the provisions of European Council Directives 73/23/EEC (Low Voltage Directive) and 89/336/EEC amended by 92/31/EEC (EMC Directive). Informationen fur Deutschland Diese Modem-Karte ist als Endeinrichtung vorgesehen und muss an ein TAE mit F-Kodierung angeschlossen werden. Diese Endeinrichtung ist in Konformität gemäss Niederspannungsrichtlinie 73 / 23 / EWG sowie EMC-Richtlinien 89 / 336 / EWG und 92 / 31 / EWG. Informations pour la France Ce matériel est conforme aux normes applicables de sécurité électrique d’après la directive 73/23/CEE et aux normes applicables de comptabilité électromagnétique d’après la directive 89/336/CEE, modifiée par la directive 92/31/CEE. Information You Need in Australia All telecommunications devices are required to be labelled as complying to the Australian telecommunications standards, ensuring the health and safety of the operator and the integrity of the Australian telecommunications network. To provide compliance with the Australian Communications Authority’s technical standards, please ensure that the following AT commands are maintained: • ATB0 (ITU/CCITT operation) • AT&G0 (no guard tone) • AT&P1 (33/66 pulse dial make/break ratio) • ATS0 = 0 or ATS0 = 1 (no answer or answer greater than one ring) • ATS6 = 95 (DTMF period between 70–255 ms) • ATS11 = 95 (DTMF period between 70–255 ms) For calls that are automatically generated, a total of three call attempts are allowed to a telephone number, with a minimum period between calls of 2 seconds. If the call does not connect after three attempts, 30 minutes must expire before automatic redialing may be initiated. Failure to set the modem (and any associated communications software) to the above settings may result in the modem being non-compliant with Australian telecommunications standards. Under these circumstances a user could be subject to significant penalties under the Telecommunications Act 1997. This modem must be properly secured in order for you to use it. Telecommunications network voltages exist inside the computer and the telecommunications line connection must be removed before opening the computer. Avertissement : pour sa propre sécurité, l’utilisateur doit s’assurer que tout les fils de mise à la terre du secteur, des lignes téléphoniques et les canalisations d’eau métalliques, s’il y en a, soient raccordés ensemble. Cette précaution est particulièrement importante dans les régions rurales. 103 Information You Need in New Zealand This modem is fully approved to operate on the New Zealand telecommunications network under Telepermit number PTC 211/04/002. All telecommunications devices are required to hold a Telepermit and be labelled accordingly with the approved Telepermit number to comply with the New Zealand telecommunications standards, ensuring the health and safety of the operator and the integrity of the New Zealand telecommunications network. To ensure compliance, all calls that are automatically generated should not make more than 10 call attempts to the same number within any 30 minute period with a minimum period between calls of 30 seconds. Failure to adhere to these standards may result in the modem being non-compliant with New Zealand Telecom standards. Under these circumstances a user could be subject to significant penalties. Important: The grant of a Telepermit for any item of terminal equipment indicates that only Telecom has accepted that the item complies with minimum conditions for connection to its network. It indicates no endorsement of the product by Telecom, nor does it provide any sort of warranty. Above all, it provides no assurance that any item will work correctly in all respects with another item of Telepermitted equipment of a different make or model, nor does it imply that any product is compatible with all of Telecom’s network services. iPad Guide de l’utilisateur Pour le logiciel iOS 5.1Table des matières 9 Chapitre 1: En un coup d’œil 9 Vue d’ensemble 10 Boutons 12 Tiroir de carte micro-SIM 13 Écran d’accueil 17 Utilisation de l’écran Multi-Touch 19 Chapitre 2: Démarrage 19 Éléments nécessaires 19 Configuration de l’iPad 19 Configuration de Mail et d’autres comptes 20 Gestion du contenu de votre iPad 20 Utilisation d’iCloud 22 Synchronisation avec iTunes 23 Connexion de l’iPad à votre ordinateur 23 Visualisation du guide de l’utilisateur sur l’iPad 23 Batterie 25 Utilisation et entretien de l’iPad 26 Chapitre 3: Notions élémentaires 26 Utilisation des apps 28 Personnalisation de l’écran d’accueil 30 Saisie de texte 35 Recherche 36 Impression 38 Partage de fichiers 38 Notifications 39 Twitter 40 Utilisation d’AirPlay 40 Utilisation d’appareils Bluetooth 41 Fonctionnalités de sécurité 43 Chapitre 4: Safari 43 Affichage de pages web 44 Liens 44 Liste de lecture 45 Lecteur 45 Saisie de texte et remplissage de formulaires 45 Recherche 46 Signets et historique 46 Impression de pages web, de documents PDF et d’autres documents 46 Clips web 247 Chapitre 5: Mail 47 Relève de la boîte aux lettres et lecture du courrier électronique 48 Fonctionner avec plusieurs comptes 48 Envoi de courrier électronique 49 Utilisation des liens et données détectées 49 Consultation de pièces jointes 50 Impression de messages et de pièces jointes 50 Organisation du courrier électronique 51 Recherche dans le courrier électronique 51 Comptes de messagerie et réglages 53 Chapitre 6: Les messages. 53 Envoi et réception de messages 55 Envoi de messages à un groupe 55 Envoi de photos, vidéos, etc. 55 Modification de conversations 55 Recherche de messages 56 Chapitre 7: Appareil photo 56 À propos d’Appareil photo 56 Capture de photos et de vidéos 57 Visionnage, partage et impression 58 Modification de photos 58 Ajustement des vidéos 58 Téléchargement de photos et de vidéos sur votre ordinateur 59 Flux de photos 60 Chapitre 8: FaceTime 60 À propos de FaceTime 61 Passage d’un appel FaceTime 61 En cours d’appel FaceTime 62 Chapitre 9: Photo Booth 62 À propos de Photo Booth 62 Sélection d’un effet 63 Prise de photo 63 Affichage et partage de photos 63 Téléchargement de photos sur votre ordinateur 64 Chapitre 10: Photos 64 Visionnage de photos et de vidéos 65 Affichage de diaporamas 65 Organisation de photos et de vidéos 66 Partage de photos et de vidéos 66 Impression de photos 66 Utilisation du mode Cadre photo 67 Importation de photos et de vidéos 68 Chapitre 11: Vidéos 68 À propos de Vidéos 68 Lecture de vidéos 69 Visionnage de films en location Table des matières 370 Visionnage de vidéos sur un téléviseur 71 Suppression de vidéos de l’iPad 71 Utilisation de Partage à domicile 72 Chapitre 12: YouTube 72 À propos de YouTube 72 Exploration et recherche de vidéos 73 Lecture de vidéos 74 Suivi des vidéos que vous appréciez 74 Partage de vidéos, commentaires et classements 74 Visionnage de vidéos YouTube sur un téléviseur 75 Chapitre 13: Calendrier 75 À propos de Calendrier 75 Affichage de vos calendriers 76 Ajout d’événements 76 Réponse à des invitations 77 Recherche dans les calendriers 77 Abonnement à des calendriers 77 Importation d’événements de calendrier depuis Mail 77 Synchronisation de calendriers 78 Comptes de calendrier et réglages 79 Chapitre 14: Contacts 79 À propos de Contacts 79 Synchronisation des contacts 80 Recherche de contacts 80 Ajout et modification de contacts 81 Comptes de Contacts et réglages 82 Chapitre 15: Notes 82 À propos de Notes 82 Rédaction et lecture de notes 83 Recherche dans les notes 83 Impression ou envoi de notes par courrier électronique 84 Chapitre 16: Rappels 84 À propos de Rappels 85 Configuration d’un rappel 85 Gestion des rappels en présentation par liste 86 Gestion des rappels en présentation par date 86 Gestion des rappels accomplis 86 Recherche dans les rappels 87 Chapitre 17: Plans 87 Recherche de lieux 88 Itinéraires 89 Obtenir et partager des informations sur un lieu 89 Affichage de l’état de la circulation 90 Affichages de plan 4 Table des matières91 Chapitre 18: Musique 91 Ajout de musique et d’audio 91 Lecture de morceaux et d’autre contenu audio 93 Affichage des pistes d’un album 93 Recherche de contenu audio 93 iTunes Match 94 Genius 94 Listes de lecture 95 Partage à domicile 96 Chapitre 19: iTunes Store 96 À propos de l’iTunes Store 96 Recherche de musique, vidéos, etc. 97 Achat de musique, livres audio et sons 97 Achat et location de vidéos 98 Suivi d’artistes et d’amis 98 Diffusion en continu ou téléchargement de podcasts 99 Vérification de l’état de téléchargement 99 Affichage des informations du compte 99 Vérification des téléchargements 100 Chapitre 20: App Store 100 À propos de l’App Store 101 Recherche et téléchargement d’apps 101 Suppression d’apps 102 Réglages du Store 103 Chapitre 21: Kiosque 103 À propos de Kiosque 104 Lecture des derniers numéros 105 Chapitre 22: iBooks 105 À propos d’iBooks 105 Utilisation de l’iBookstore 106 Synchronisation de livres et de documents PDF 106 Lecture de livres 108 Modification de l’apparence d’un livre 109 Notes d’étude et listes de vocabulaire 109 Interagir avec du contenu multimédia 109 Impression ou envoi par courrier d’un document PDF 110 Organisation de l’étagère 111 Chapitre 23: Game Center 111 À propos de Game Center 112 Connexion à Game Center 112 Achat et téléchargement de jeux 112 Jeux 112 Jeu avec des amis 113 Réglages Game Center Table des matières 5114 Chapitre 24: Accessibilité 114 Fonctionnalités d’accès universel 115 À propos de VoiceOver 125 Triple clic sur le bouton principal 126 Zoom 126 Grande police 126 Blanc sur noir 126 Énoncer la sélection 127 Énonciation automatique 127 Audio mono 127 AssistiveTouch 128 Accès universel sous OS X 128 Taille minimale de police pour les messages Mail 128 Larges claviers à l’écran 128 Sous-titres codés 129 Chapitre 25: Réglages 129 Mode Avion 129 Wi-Fi 130 Notifications 131 Service de localisation 131 Données cellulaires 132 VPN 132 Partage de connexion 133 Luminosité et fond d’écran 133 Cadre photo 133 Général 139 Réglages des apps 140 L’annexe A: L’iPad en entreprise 140 L’iPad en entreprise 140 Utilisation de profils de configuration 141 Configuration de comptes Microsoft Exchange 141 Accès par VPN 141 Comptes LDAP et CardDAV 142 L’annexe B: Claviers internationaux 142 Ajout et suppression de claviers 142 Basculement entre les claviers 142 Chinois 144 Japonais 145 Saisie de caractères emoji 145 Utilisation de la liste des candidats 145 Utilisation des raccourcis 146 Vietnamien 147 L’annexe C: Assistance et autres informations 147 Site d’assistance iPad 147 L’image de batterie faible ou le message « Aucune recharge en cours » s’affiche 147 L’iPad ne répond pas 148 Redémarrage et réinitialisation de l’iPad 148 Le message « Cet accessoire n’est pas reconnu par l’iPad » s’affiche 6 Table des matières148 Une app ne remplit pas l’écran 148 Le clavier à l’écran ne s’affiche pas 148 Sauvegarde de l’iPad 150 Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPad 151 Impossible de passer ou de recevoir du courrier électronique 152 Son, musique et vidéo 153 iTunes Store et App Store 154 Informations relatives à la sécurité, aux réparations et à l’assistance 155 Informations concernant l’élimination et le recyclage 155 Apple et l’environnement 155 Température de fonctionnement de l’iPad Table des matières 7En un coup d’œil 1 Lisez ce chapitre pour découvrir les fonctionnalités de l’iPad, l’utilisation des commandes, etc. Vue d’ensemble Écran Multi-Touch Écran Multi-Touch Appareil photo frontal Appareil photo frontal %RXWRQ¬SULQFLSDO %RXWRQ¬SULQFLSDO ,F{QHVG·$SS ,F{QHVG·$SS %DUUHG·pWDW %DUUHG·pWDW Haut-parleur Haut-parleur Connecteur Dock Connecteur Dock Micro Micro Prise G·pFRXWHXUV Prise G·pFRXWHXUV Tiroir micro SIM (sur certains modèles) Tiroir micro SIM (sur certains modèles) Marche/Veille Marche/Veille Appareil SKRWRVLWXp jO·DUULqUH Appareil SKRWRVLWXp jO·DUULqUH Boutons de volume Boutons de volume Commutateur ODWpUDO Commutateur ODWpUDO Il se peut les fonctionnalités et l’écran d’accueil de votre iPad soient différents selon le modèle d’iPad dont vous disposez. 9Accessoires Les accessoires suivants sont fournis avec l’iPad : $GDSWDWHXUVHFWHXU86%¬: Câble Connecteur Dock vers USB Article Utilisation Adaptateur secteur USB 10 W Utilisez l’adaptateur secteur USB de 10 W pour alimenter l’iPad et recharger la batterie. Câble Dock Connector vers USB Utilisez ce câble pour connecter l’iPad à l’adaptateur secteur USB de 10 W pour le charger ou à votre ordinateur pour le synchroniser. Utilisez le câble avec la station d’accueil iPad en option, ou connectez-le directement à l’iPad. Boutons L’iPad est doté de quelques boutons qui permettent de facilement le verrouiller et ajuster le volume. Bouton Veille/Éveil Vous pouvez verrouiller votre iPad en le plaçant en mode veille lorsque vous ne l’utilisez pas. Lorsque vous verrouillez l’iPad, rien ne se passe si vous touchez l’écran, mais la lecture de la musique continue et vous pouvez utiliser les boutons de volume. Bouton Marche/Veille Bouton Marche/Veille Verrouiller l’iPad Appuyez sur le bouton Veille/Éveil. Déverrouiller l’iPad Appuyez sur le bouton principal ou sur le bouton Marche/Veille, puis faites glisser le curseur. Éteindre l’iPad Maintenez le bouton Veille/Éveil enfoncé pendant quelques secondes jusqu’à ce que le curseur rouge apparaisse, puis faites glisser le curseur à l’écran. Allumer l’iPad Maintenez le bouton Veille/Éveil enfoncé jusqu’à ce que le logo Apple apparaisse. 10 Chapitre 1 En un coup d’œilL’iPad se verrouille automatiquement si vous ne touchez pas l’écran pendant une minute ou deux. Vous pouvez modifier de temps nécessaire au verrouillage de l’écran ou définir un code pour dé- verrouiller l’iPad. Définir la durée de Verrouillage auto. : Dans Réglages, accédez à Général > Verrouillage auto., puis réglez une durée pour le verrouillage automatique de l’iPad. Définir un code : Dans Réglages, accédez à Général > Verrouillage par code, puis touchez pour activer ou désactiver cette fonctionnalité. Utilisez l’iPad Smart Cover, vendue séparément avec l’iPad 2 ou les modèles ultérieurs, pour déverrouiller automatiquement l’iPad lorsque vous ouvrez la Smart Cover et verrouiller l’iPad lorsque la fermez. Utiliser l’iPad Smart Cover : Dans Réglages, accédez à Général > Verrouillage en fermant l’étui, puis touchez Activé. Bouton principal Le bouton principal vous permet de revenir à l’écran d’accueil à n’importe quel moment. Il fournit également d’autres raccourcis pratiques. Atteindre l’écran d’accueil : Appuyer sur le bouton principal . Sur l’écran d’accueil, touchez une app pour l’ouvrir. Consultez la section « Ouverture d’apps et basculement entre apps » à la page 26. Afficher la barre multitâche pour voir les apps récemment utilisées Lorsque l’iPad est déverrouillé, appuyez deux fois le bouton principal . Afficher les commandes de lecture audio Lorsque l’iPad est verrouillé : Touchez deux fois le bouton principal . Consultez la section « Lecture de morceaux et d’autre contenu audio » à la page 91. Lors de l’utilisation d’une autre app : Touchez deux fois le bouton principal , puis balayez la barre multitâche de gauche à droite. Boutons de volume Utilisez les boutons de volume pour ajuster le volume audio des morceaux et autres contenus multimédias, ainsi que les alertes et les effets sonores. Boutons de volume Boutons de volume Commutateur latéral Commutateur latéral Augmenter le volume Appuyez sur le bouton d’augmentation du volume. Diminuer le volume Appuyez sur le bouton de diminution du volume. Régler un volume maximal Dans Réglages, accédez à Musique > Volume maximum. Couper le son Maintenez le bouton de diminution du volume enfoncé. AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la perte d’audition, consultez le Guide d’informations importantes sur le produit iPad à l’adresse support.apple.com/fr_FR/ manuals/ipad. Chapitre 1 En un coup d’œil 11Bouton latéral Vous pouvez utiliser le bouton latéral pour désactiver les alertes audio et les notifications. Vous pouvez également l’utiliser pour verrouiller la rotation de l’écran et empêcher l’écran de l’iPad de basculer entre les modes portrait et paysage. Passer en mode silence les notifications, alertes et autres effets sonores Faites glisser le bouton latéral vers le bas pour passer les notifications, alertes et autres effets sonores en mode silence. Ce bouton ne coupe pas la lecture audio, telle que la musique, les podcasts, les films et les séries TV. Consultez la section « Bouton latéral » à la page 137. Verrouiller la rotation de l’écran Dans Réglages, accédez à Général > Le bouton latéral sert à, puis touchez Verrouiller la rotation. Consultez la section « Bouton latéral » à la page 137. Tiroir de carte micro-SIM La carte micro-SIM de certains modèles 3G et 4G est utilisée pour les données cellulaires. Si votre carte micro-SIM n’était pas préinstallée ou si vous changez d’opérateur de données cellulaires, vous devrez installer ou remplacer la carte micro-SIM. Carte micro SIM Carte micro SIM Tiroir de carte SIM Tiroir de carte SIM 2XWLOG·pMHFWLRQ de la carte SIM 2XWLOG·pMHFWLRQ de la carte SIM Ouvrir le plateau SIM : Insérez l’extrémité de l’outil d’éjection de carte SIM dans l’orifice du tiroir de carte SIM. Appuyez fermement sur l’outil en le tenant bien droit jusqu’à ce que le tiroir s’éjecte. Extrayez le tiroir de carte SIM pour installer ou remplacer la carte micro SIM. Si vous ne disposez pas d’un outil d’éjection de carte SIM, vous pouvez utiliser l’extrémité d’un trombone. Pour en savoir plus, consultez la section « Données cellulaires » à la page 131. 12 Chapitre 1 En un coup d’œilÉcran d’accueil Appuyez sur le bouton principal à tout moment pour accéder à l’écran d’accueil affichant vos apps iPad. Touchez n’importe quelle icône pour ouvrir l’app correspondante. Consultez la section « Utilisation des apps » à la page 26. Icônes d’état Les icônes de la barre d’état située en haut de l’écran proposent des informations concernant l’iPad : Icône d’état Signification Mode Avion Indique que le mode Avion est activé : vous ne pouvez pas accéder à Internet ni utiliser d’appareil Bluetooth®. Les fonctionnalités qui ne sont pas liées au réseau sans fil sont disponibles. Consultez la section « Mode Avion » à la page 129. LTE Indique que le réseau 4G LTE de votre opérateur (iPad WiFi + 4G) est disponible et que vous pouvez vous connecter à Internet via ce réseau. 4G Indique que le réseau 4G de votre opérateur (disponible sur certains modèles d’iPad Wi-Fi + 4G) est disponible et que vous pouvez vous connecter à Internet via ce réseau. 3G Indique que le réseau 3G de votre opérateur (modèles 4G ou 3G) est disponible et que vous pouvez vous connecter à Internet via ce réseau. EDGE Indique que le réseau EDGE de votre opérateur (disponible sur certains modèles 4G ou 3G) est disponible et que vous pouvez vous connecter à Internet via ce réseau. GPRS Indique que le réseau GPRS de votre opérateur (disponible sur certains modèles 4G ou 3G) est disponible et que vous pouvez vous connecter à Internet via ce réseau. Wi-Fi Indique que l’iPad dispose d’une connexion Wi-Fi à Internet. Le nombre de barres est proportionnel à la qualité de la connexion. Consultez la section « Accès à un réseau Wi-Fi » à la page 129. Partage de connexion Indique que l’iPad offre un Partage de connexion à un autre iPad, iPhone ou iPod touch. Consultez la section « Partage de connexion » à la page 132. Synchronisation Indique que l’iPad est en cours de synchronisation avec iTunes. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 22. Activité Affiche entre autres l’activité du réseau. Certaines apps tierces utilisent cette icône pour indiquer un processus actif. VPN Indique que vous êtes connecté à un réseau en utilisant un VPN (réseau privé virtuel). Consultez la section « VPN » à la page 132. Chapitre 1 En un coup d’œil 13Icône d’état Signification Cadenas Indique que l’iPad est verrouillé. Consultez la section « Bouton Veille/Éveil » à la page 10. Verrou d’orientation de l’écran Indique que l’orientation de l’écran est verrouillée. Consultez la section « Affichage en mode portrait ou paysage » à la page 16. Service de localisation Indique qu’un élément utilise le Service de localisation. Consultez la section « Service de localisation » à la page 131. Lecture Indique qu’un morceau, un livre audio ou un podcast est à l’écoute. Consultez la section « Lecture de morceaux et d’autre contenu audio » à la page 91. Bluetooth Icône blanche : le Bluetooth est activé et jumelé à un appareil, tel qu’un casque ou un clavier. Icône grise : le Bluetooth est activé et jumelé à un appareil, mais l’appareil est hors de portée ou désactivé. Aucune icône : le Bluetooth est désactivé ou n’est pas jumelé. Consultez la section « Utilisation d’appareils Bluetooth » à la page 40. Batterie Indique le niveau de la batterie ou l’état de la charge. Consultez la section « Recharge de la batterie » à la page 23. Apps iPad L’iPad est doté des apps suivantes : Safari Explorez des sites web sur Internet. Faites pivoter l’iPad d’un quart de tour pour un affichage grand écran. Touchez deux fois pour effectuer un zoom avant ou arrière. Safari adapte automatiquement la colonne de la page web à l’écran. Ouvrez plusieurs pages à l’aide des onglets. Synchronisez vos signets avec Safari ou Microsoft Internet Explorer sur votre ordinateur. Ajoutez des clips web Safari à l’écran d’accueil pour un accès rapide à vos sites web préférés. Enregistrez des images dans votre Photothèque à partir de sites web. Imprimez des pages web à l’aide d’AirPrint. Consultez la section Chapitre 4, « Safari, » à la page 43. Mail Envoyez et recevez du courrier à l’aide de nombreux services de messagerie communs, de Microsoft Exchange ou de la majorité des services standard de messagerie POP3 ou IMAP. Envoyez et enregistrez des photos. Affichez des fichiers PDF et d’autres pièces jointes, ou ouvrezles dans d’autres apps. Imprimez des messages et des pièces jointes à l’aide d’AirPrint. Consultez la section Chapitre 5, « Mail, » à la page 47. Photos Organisez en albums vos photos et vidéos préférées. Visionnez des diaporamas. Effectuez un zoom pour les voir plus en détail. Modifiez des photos et imprimez-les à l’aide d’AirPrint. Utilisez Flux de photos pour pousser les photos que vous prenez avec l’iPad vers vos appareils. Consultez la section Chapitre 10, « Photos, » à la page 64. 14 Chapitre 1 En un coup d’œilMusique Synchronisez votre bibliothèque iTunes, et écoutez vos morceaux, vos livres audio et vos podcasts sur l’iPad. Créez et gérez des listes de lecture On-The-Go ou utilisez la fonction Genius pour créer des listes de lecture automatiquement. Écoutez les Mix Genius de morceaux extraits de votre bibliothèque. Utilisez le partage à domicile pour lire de la musique à partir de votre ordinateur. Diffusez de la musique ou des vidéos sans fil sur une Apple TV ou un système audio compatible à l’aide d’AirPlay. Consultez la section Chapitre 18, « Musique, » à la page 91. les messages. Envoyez des messages via Wi-Fi à d’autres utilisateurs d’iOS 5, et joignez des photos, des vidéos et d’autres informations. Vos messages sont chiffrés. Consultez la section Chapitre 6, « Les messages., » à la page 53. Calendrier Gardez votre calendrier à jour sur l’iPad ou synchronisez-le avec votre calendrier Mac OS X ou Windows. Abonnez-vous aux calendriers d’autres personnes. Synchronisez sur Internet avec des serveurs Microsoft Exchange ou CalDAV. Consultez la section Chapitre 13, « Calendrier, » à la page 75. Notes Prenez des notes lors de vos déplacements : listes de courses, réflexions. Envoyez-les par courrier électronique. Synchronisez vos notes avec Mail, Microsoft Outlook ou Outlook Express. Consultez la section Chapitre 15, « Notes, » à la page 82. Rappels Organisez votre vie avec des échéances et des listes. Les rappels fonctionnent avec iCal et Microsoft Outlook sur votre ordinateur. Vous pouvez garder vos rappels à jour sur l’ensemble de vos appareils en utilisant iCloud ou un compte Microsoft Exchange. Consultez la section Chapitre 16, « Rappels, » à la page 84. Plans Découvrez des vues standards, satellites, mixtes et du terrain de lieux dans le monde entier. Effectuez un zoom avant pour regarder de plus près ou découvrez les vues Google Street View. Déterminez votre lieu actuel. Les plans vous proposent des itinéraires routiers, en transport en commun et à pied. Ils vous indiquent également les conditions de circulation autoroutière. Recherchez un commerce à proximité. Consultez la section Chapitre 17, « Plans, » à la page 87. YouTube Visionnez des vidéos tirées de votre collection YouTube en ligne. Recherchez une vidéo ou parcourez les vidéos sélectionnées, populaires, mises à jour récemment et les plus cotées. Configurez votre compte YouTube et ouvrez une session : évaluez des vidéos, synchronisez vos signets, affichez vos abonnements et bien plus encore. Consultez la section Chapitre 12, « YouTube, » à la page 72. Vidéos Visionnez des films, des séries TV, des podcasts et des vidéos de votre bibliothèque iTunes ou de votre collection de films. Achetez ou louez des films sur l’iPad à partir de l’iTunes Store. Téléchargez des podcasts vidéo. Consultez la section Chapitre 11, « Vidéos, » à la page 68. Contacts Organisez votre carnet d’adresses sur l’iPad et gardez-le à jour sur tous vos appareils iOS avec iCloud. Consultez la section Chapitre 14, « Contacts, » à la page 79. Game Center Découvrez de nouveaux jeux et faites part de vos expériences de jeu à vos amis. Invitez un ami ou proposez une partie à un adversaire. Consultez les classements des autres joueurs. Gagnez des points de réalisation. Consultez la section Chapitre 23, « Game Center, » à la page 111. Chapitre 1 En un coup d’œil 15iTunes Store Recherchez de la musique, des livres audio, des séries TV, des clips vidéo et des films dans l’iTunes Store. Parcourez, écoutez des extraits, achetez et téléchargez les nouvelles sorties, les meilleurs classements et bien plus encore. Louez ou achetez des films, et achetez des séries TV pour les visionner sur l’iPad. Téléchargez des podcasts. Lisez des évaluations ou rédigez les vô- tres sur vos articles préférés dans le Store. Consultez la section Chapitre 19, « iTunes Store, » à la page 96. App Store Recherchez des apps à acheter et télécharger dans l’App Store. Lisez ou rédigez vos propres évaluations pour vos apps préférées. Téléchargez et installez les apps sur votre écran d’accueil. Consultez la section Chapitre 20, « App Store, » à la page 100. Kiosque Conservez dans un seul endroit la totalité de vos abonnements à des apps. Kiosque télécharge automatiquement tout ce qui est nouveau pour chacun de vos abonnements à une app. Tout cela s’exécute en arrière-plan : vous n’avez pas besoin d’interrompre vos activités. Consultez la section Chapitre 21, « Kiosque, » à la page 103. FaceTime Passez des appels vidéo vers d’autres utilisateurs de FaceTime via Wi-Fi. Utilisez la caméra frontale pour parler en face à face, ou la caméra principale pour partager ce que vous voyez. Consultez la section Chapitre 8, « FaceTime, » à la page 60. Appareil photo Prenez des photos et enregistrez des vidéos HD. Visionnez-les sur l’iPad, envoyez-les par courrier électronique, ou téléchargez-les sur votre ordinateur ou Internet. Touchez pour régler l’exposition. Raccourcissez et enregistrez des clips vidéo. Téléchargez directement des vidéos vers YouTube. Consultez la section Chapitre 7, « Appareil photo, » à la page 56. Photo Booth Utilisez la caméra de devant ou de derrière pour prendre un cliché. Ajoutez un effet spécial, tel qu’un tournoiement ou un étirement, avant de prendre un cliché. Les clichés sont enregistrés dans un album de l’app Photos. Consultez la section Chapitre 9, « Photo Booth, » à la page 62. Réglages Personnalisez depuis un seul endroit pratique les réglages de votre iPad : Réseau, Mail, Safari, Musique, Vidéos, Photos, etc. Configurez Cadre photo, les comptes de messagerie, les contacts et les calendriers. Gérez votre compte de données cellulaires. Activez le verrouillage automatique et un code de sécurité. Consultez la section Chapitre 25, « Réglages, » à la page 129. Remarque : Les fonctionnalités et la disponibilité des apps peuvent varier en fonction de la zone géographique où vous achetez et utilisez l’iPad. Affichage en mode portrait ou paysage Vous pouvez afficher les apps intégrées de l’iPad en mode portrait ou paysage. Faites pivoter l’iPad et l’affichage pivote également pour s’adapter automatiquement à la nouvelle orientation de l’écran. 16 Chapitre 1 En un coup d’œilL’orientation paysage convient mieux à l’affichage de pages web dans Safari et à la saisie de texte, par exemple. Les pages web se mettent automatiquement à l’échelle de l’écran plus large, ce qui permet d’agrandir le texte et les images. Le clavier à l’écran devient également plus grand, ce qui peut vous aider à taper plus vite et plus précisément. Verrouillez l’orientation de l’écran pour empêcher que l’affichage ne pivote. Verrouiller l’écran en mode portrait ou mode paysage : Appuyez deux fois sur le bouton principal pour afficher la barre multitâche, puis feuilletez de gauche à droite. Touchez pour verrouiller l’orientation de l’écran. Vous pouvez également régler le bouton latéral pour verrouiller l’orientation de l’écran plutôt que de couper le son des effets sonores et notifications. Dans Réglages, accédez à Général > Le bouton latéral sert à, puis touchez Verrouiller la rotation. Consultez la section « Bouton latéral » à la page 137. Utilisation de l’écran Multi-Touch Les commandes de l’écran Multi-Touch changent en fonction des tâches que vous réalisez. Pour contrôler l’iPad, utilisez vos doigts pour pincer, balayer, toucher et toucher deux fois. Utilisation des gestes pour le multitâche Vous pouvez utiliser des gestes pour le multitâche sur l’iPad pour revenir à l’écran d’accueil, afficher la barre multitâche ou basculer vers une autre app. Revenir à l’écran d’accueil : Pincez avec quatre ou cinq doigts. Afficher la barre multitâche : Balayez l’écran vers le haut avec quatre ou cinq doigts. Basculer entre les apps : Balayez l’écran vers la gauche ou la droite avec quatre ou cinq doigts. Activer ou désactiver les gestes pour le multitâche : Dans Réglages, accédez à Général > Gestes pour le multitâche, puis touchez pour activer ou désactiver cette fonctionnalité. Zoom avant ou arrière Lorsque vous consultez des photos, pages web, courriers électroniques ou plans, vous pouvez les agrandir ou les réduire. Pincez avec deux doigts ou écartez deux doigts. Pour les photos et les pages web, vous pouvez toucher deux fois (rapidement) pour effectuer un zoom avant, puis toucher à nouveau deux fois pour effectuer un zoom arrière. Sur les plans, touchez deux fois pour effectuer un zoom avant et touchez une fois avec deux doigts pour effectuer un zoom arrière. Chapitre 1 En un coup d’œil 17La fonction Zoom est également une fonction d’accessibilité spéciale avec laquelle vous pouvez agrandir l’écran de chaque app pour vous aider à mieux voir ce qui est affiché. Consultez la section « Zoom » à la page 126. Réglage de la luminosité Pour ajuster la luminosité de l’écran, appuyez deux fois le bouton principal pour afficher la barre multitâche. Feuilletez de gauche à droite, puis faites glisser le curseur de luminosité. Luminosité Luminosité Utilisez la fonction Réglage automatique pour régler automatiquement la luminosité de l’écran : dans Réglages, choisissez Luminosité et fond d’écran. Consultez la section « Luminosité et fond d’écran » à la page 133. Utilisation du clavier à l’écran Le clavier à l’écran s’affiche automatiquement chaque fois que vous devez saisir du texte. Utilisez le clavier pour saisir du texte, tel que des coordonnées, des courriers électroniques et des adresses web. Le clavier corrige les erreurs d’orthographe, prédit ce que vous saisissez et apprend à mesure que vous l’utilisez. Consultez la section « Saisie de texte » à la page 30. Utilisation des listes Certaines listes comportent un index sur le côté pour vous aider à naviguer rapidement. Rechercher des éléments dans une liste indexée : Touchez une lettre pour passer directement aux éléments commençant par cette lettre. Faites glisser votre doigt le long de l’index pour faire rapidement défiler la liste. Choisir un élément : Touchez un élément de la liste. En fonction de la liste, le fait de toucher un élément peut entraîner différentes actions, par exemple l’ouverture d’une nouvelle liste, la lecture d’un morceau, l’ouverture d’un message électronique ou l’affichage des coordonnées d’une personne. Revenir à une liste précédente : Touchez le bouton Précédent en haut à gauche. 18 Chapitre 1 En un coup d’œilDémarrage 2 Consultez ce chapitre pour découvrir comment configurer l’iPad, configurer des comptes de courrier électronique, utiliser iCloud, etc. Éléments nécessaires AVERTISSEMENT : Pour éviter tout risque de dommage corporel, lisez attentivement toutes les instructions d’utilisation comprises dans ce guide, ainsi que les consignes de sécurité du Guide d’informations importantes sur le produit de l’iPad à l’adresse support.apple.com/fr_FR/manuals/ ipad avant d’utiliser l’iPad. · Pour utiliser l’iPad, vous avez besoin des éléments suivants :  un identifiant Apple pour certaines fonctionnalités, notamment iCloud, l’App Store et l’iTunes Store, et les achats en ligne ;  une connexion Internet (haut débit recommandé). Pour utiliser l’iPad avec votre ordinateur, vous avez besoin des éléments suivants :  un Mac ou un PC équipé d’un port USB 2.0 et de l’un des systèmes d’exploitation suivants :  Mac OS X version 10.5.8 ou ultérieure ;  Windows 7, Windows Vista, Windows XP Édition Familiale ou Windows XP Professionnel avec Service Pack 3 ou ultérieur ;  iTunes 10,6 ou ultérieur, disponible à la page www.itunes.com/fr/download Configuration de l’iPad Pour configurer et activer l’iPad, allumez-le et suivez l’Assistant réglages. Les instructions à l’écran de l’Assistant réglages vous guident lors de la configuration, notamment lors de la connexion à un réseau Wi-Fi, la connexion à un identifiant Apple ou la création d’un identifiant Apple gratuit, la configuration d’iCloud, l’activation de fonctionnalités recommandées telles que Service de localisation et Localiser mon iPad. Au cours de la configuration, vous pouvez copier vos apps, vos réglages et votre contenu depuis un autre iPad en effectuant une restauration depuis une sauvegarde iCloud ou à partir d’iTunes. Consultez la section « Sauvegarde de l’iPad » à la page 148. Configuration de Mail et d’autres comptes L’iPad fonctionne avec iCloud, Microsoft Exchange et de nombreux fournisseurs de services de messagerie, de contacts et de calendriers populaires. Si vous ne possédez pas encore de compte de messagerie, vous pouvez créer un compte iCloud gratuit lors de la configuration de votre iPad, ou en créer un ultérieurement en accédant à Réglages > iCloud. Consultez la section « Utilisation d’iCloud » à la page 20. 19Configurer un compte iCloud : Accédez à Réglages > iCloud. Configurer un autre compte : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Vous pouvez ajouter des contacts à l’aide d’un compte LDAP ou CardDAV, si votre entreprise ou votre organisation le prend en charge. Consultez la section « Synchronisation des contacts » à la page 79. Pour en savoir plus sur la configuration d’un compte Microsoft Exchange dans un environnement d’entreprise, consultez la section « Configuration de comptes Microsoft Exchange » à la page 141. Gestion du contenu de votre iPad Vous pouvez transférer des données et des fichiers entre votre iPad et vos autres appareils iOS et ordinateurs à l’aide d’iCloud ou d’iTunes.  iCloud stocke du contenu, notamment de la musique, des photos, etc., et les transfère sans fil sur vos autres appareils iOS et ordinateurs, de façon que toutes vos données soient à jour. Consultez la section « Utilisation d’iCloud » ci-dessous.  iTunes synchronise de la musique, des vidéos, des photos et bien plus entre votre ordinateur et votre iPad. Les modifications apportées à un appareil s’appliquent à l’autre appareil lors de la synchronisation. Vous pouvez aussi utiliser iTunes pour copier un fichier sur l’iPad et l’utiliser dans une app, ou copier un document créé sur l’iPad sur votre ordinateur. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 22. Vous pouvez utiliser iCloud, iTunes ou les deux selon vos besoins. Par exemple, vous pouvez utiliser Flux de photos iCloud pour transférer automatiquement les photos que vous prenez avec votre iPad sur vos autres appareils, et utiliser iTunes pour synchroniser les albums photo de votre ordinateur avec votre iPad. Remarque : Ne synchronisez pas des éléments de la sous-fenêtre Infos d’iTunes (tels que des contacts, des calendriers et des notes) tout en utilisant iCloud pour maintenir ces données à jour sur vos appareils. Autrement, vous risquez d’obtenir des données en double sur l’iPad. Utilisation d’iCloud iCloud stocke votre contenu, notamment votre musique, vos photos, contacts, calendriers et documents pris en charge. Le contenu stocké dans iCloud est transféré sans fil vers vos autres appareils iOS et ordinateurs, sur lesquels le même compte iCloud est configuré. iCloud est disponible sur les appareils dotés d’iOS 5, sur les Mac dotés d’OS X Lion 10.7.2 ou d’une version ultérieure et sur les ordinateurs Windows dotés du Panneau de configuration iCloud pour Windows (Windows Vista Service Pack 2 ou Windows 7 requis). Parmi les fonctionnalités d’iCloud figurent :  iTunes dans le nuage : télécharger gratuitement vos précédents achats de musique et séries TV iTunes vers l’iPad, au moment qui vous convient.  Apps et livres : télécharger gratuitement les achats que vous avez précédemment effectués dans l’App Store et l’iBookstore, au moment qui vous convient.  Flux de photos : les photos que vous prenez avec un appareil apparaissent automatiquement sur tous vos appareils. Consultez la section « Flux de photos » à la page 59.  Documents dans le nuage : pour les apps compatibles avec iCloud, gardez les documents et données de vos apps à jour entre tous vos appareils. 20 Chapitre 2 Démarrage Mail, Contacts, Calendrier : gardez les contacts de votre messagerie, vos calendriers, notes et rappels à jour entre tous vos appareils.  Sauvegarde : sauvegardez votre iPad dans iCloud automatiquement lorsque l’appareil est relié à une source d’alimentation et connecté à un réseau Wi-Fi. Consultez la section « Copie de sauvegarde avec iCloud » à la page 149.  Localiser mon iPad : localisez votre iPad sur un plan, affichez un message, faites sonner l’appareil, verrouillez l’écran ou effacez les données à distance. Consultez la section « Localiser mon iPad » à la page 42.  Localiser mes amis : suivez votre famille et vos amis (lorsque vous êtes connecté à un réseau WiFi ou cellulaire) grâce à l’app Localiser mes amis. Téléchargez l’app gratuite dans l’App Store.  iTunes Match : lorsque vous êtes inscrit à iTunes Match, toute votre musique, y compris la musique importée de CD ou achetée ailleurs que sur iTunes, apparaît sur tous vos appareils et peut être téléchargée et jouée à la demande. Consultez la section « iTunes Match » à la page 93. iCloud vous donne accès à un compte de messagerie électronique gratuit et à 5 Go de stockage pour vos courriers électroniques, documents et sauvegardes. Vos achats de musique, d’apps, de séries TV et de livres, ainsi que votre Flux de photos, n’utilisent pas votre espace gratuit. Remarque : iCloud n’est pas disponible dans toutes les régions, et ses fonctionnalités varient en fonction de l’endroit. Pour en savoir plus sur iCloud, accédez à la page www.apple.com/fr/icloud. Se connecter ou créer un compte iCloud : Accédez à Réglages > iCloud. Si vous disposez d’un abonnement à MobileMe, vous pouvez effectuer un transfert vers iCloud à partir d’un ordinateur Mac ou Windows à l’adresse www.me.com/move/fr, jusqu’au 30 juin 2012. Activer ou désactiver les services iCloud Accédez à Réglages > iCloud. Activer les sauvegardes iCloud Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde. Localiser votre iPad Accédez à la page www.icloud.com/fr, connectez-vous avec votre identifiant Apple, puis choisissez Localiser mon iPad. Important : Sur votre iPad, dans Réglages > iCloud, la fonction Localiser mon iPad doit être activée pour que votre iPad puisse être localisé. Acheter davantage d’espace de stockage iCloud Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis touchez Acheter plus de stockage. Pour en savoir plus sur l’achat d’espace de stockage iCloud, consultez la section help.apple.com/fr/icloud. Consulter et télécharger des achats antérieurs dans l’iTunes Store Accédez à l’iTunes Store, puis touchez Achats . Consulter et télécharger des achats antérieurs dans l’App Store Accédez à l’App Store, puis touchez Achats . Consulter et télécharger des achats iBookstore antérieurs Accédez à iBooks, touchez Store, puis touchez Achats . Activer ou désactiver Flux de photos : Accédez à Réglages > iCloud > Flux de photos. Activer les téléchargements automatiques pour la musique, les apps ou les livres Accédez à Réglages > Store. Pour en savoir plus sur iCloud, accédez à la page www.apple.com/fr/icloud. Pour obtenir des informations d’assistance, consultez la page www.apple.com/fr/support/icloud. Chapitre 2 Démarrage 21Synchronisation avec iTunes La synchronisation avec iTunes copie des données à partir d’un ordinateur vers l’iPad, et vice versa. Pour synchroniser, connectez l’iPad à votre ordinateur à l’aide du câble Dock Connector vers USB ou configurez une synchronisation automatique d’iTunes par Wi-Fi. Vous pouvez régler iTunes de manière à synchroniser votre musique, vos photos, vos vidéos, vos podcasts, vos apps, etc. Pour en savoir plus sur la synchronisation de l’iPad avec un ordinateur, ouvrez iTunes puis sélectionnez Aide iTunes dans le menu Aide. Configurer la synchronisation iTunes sans fil : Connectez l’iPad à votre ordinateur à l’aide du câble Dock Connector vers USB. Sur iTunes, activez « Synchroniser par connexion Wi-Fi » dans la sous-fenêtre Résumé de l’appareil. Lorsque la synchronisation Wi-Fi est activée, l’iPad se synchronise automatiquement chaque jour. L’iPad doit être connecté à une source d’alimentation. L’iPad et votre ordinateur doivent être connectés au même réseau sans fil, et iTunes doit être ouvert sur l’ordinateur. Pour en savoir plus, consultez la section « Synchronisation Wi-Fi d’iTunes ». Astuces pour la synchronisation avec iTunes  Si vous utilisez iCloud pour stocker vos contacts, calendriers, signets et notes, ne les synchronisez pas également sur votre iPad à l’aide d’iTunes.  Les achats effectués avec l’iPad dans l’iTunes Store ou l’App Store sont synchronisés vers votre bibliothèque iTunes. Vous pouvez également acheter ou télécharger du contenu et des apps depuis l’iTunes Store sur votre ordinateur, puis les synchroniser sur votre iPad.  Dans la sous-fenêtre Résumé de l’appareil, configurez iTunes pour synchroniser automatiquement l’iPad lorsqu’il est connecté à votre ordinateur. Pour temporairement passer outre, maintenez enfoncées les touches Commande et Option (sur un Mac) ou Maj et Contrôle (sur un PC) jusqu’à ce que l’iPad apparaisse dans la barre latérale.  Dans la sous-fenêtre Résumé de l’appareil, sélectionnez « Chiffrer la sauvegarde » pour chiffrer les informations stockées sur votre ordinateur au moment où iTunes crée une sauvegarde. Les sauvegardes chiffrées sont identifiées par une icône de cadenas et un mot de passe est né- cessaire pour restaurer les sauvegardes. Si vous ne sélectionnez pas cette option, les mots de passe (tels que ceux pour les comptes de messagerie) ne sont pas inclus dans la sauvegarde et doivent être saisis à nouveau si vous utilisez la sauvegarde pour restaurer l’iPad.  Dans la sous-fenêtre Infos de l’appareil, lorsque vous synchronisez des comptes de messagerie, seuls les réglages sont transférés de votre ordinateur vers l’iPad. Les modifications apportées à un compte de messagerie sur l’iPad n’ont aucun effet sur le compte de votre ordinateur.  Dans la sous-fenêtre Infos de l’appareil, cliquez sur Avancé pour sélectionner les options vous permettant de remplacer, lors de la prochaine synchronisation, les informations qui se trouvent sur l’iPad par celles qui se trouvent sur votre ordinateur.  Si vous écoutez une partie d’un podcast ou d’un livre audio, l’endroit où vous vous êtes arrêté est inclus lors de la synchronisation du contenu avec iTunes. Si vous avez commencé l’écoute sur l’iPad, vous pouvez reprendre où vous vous êtes arrêté en utilisant iTunes sur votre ordinateur, et inversement.  Dans la sous-fenêtre Photos de l’appareil, vous pouvez synchroniser des photos et des vidéos à partir d’un dossier sur votre ordinateur. 22 Chapitre 2 DémarrageConnexion de l’iPad à votre ordinateur Utilisez le câble Dock Connector vers USB inclus pour connecter l’iPad à votre ordinateur. La connexion de l’iPad à votre ordinateur vous permet de synchroniser des données, de la musique et d’autres contenus avec iTunes. Vous pouvez également effectuer une synchronisation sans fil avec iTunes. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes ». Sauf si l’iPad est en cours de synchronisation avec votre ordinateur, vous pouvez le déconnecter à tout moment. Si vous le faites pendant une synchronisation, il se peut que certaines données ne soient pas synchronisées jusqu’à la prochaine synchronisation entre l’iPad et votre ordinateur. Annuler une synchronisation : Faites glisser le curseur sur l’iPad. Visualisation du guide de l’utilisateur sur l’iPad Vous pouvez consulter le Guide de l’utilisateur de l’iPad sur l’iPad dans Safari. Vous pouvez également installer l’app gratuite iBooks et télécharger le guide dans l’iBookstore. Consulter le guide de l’utilisateur dans Safari : Dans Safari, touchez , puis le signet Guide de l’utilisateur de l’iPad. Vous pouvez également consulter la page http://support.apple.com/fr_FR/ manuals/ipad. Ajouter l’icône du guide de l’utilisateur à l’écran d’accueil : Touchez , puis touchez « Ajouter à l’écran d’accueil ». Consulter le guide de l’utilisateur dans iBooks : Si vous n’avez pas installé iBooks, ouvrez l’App Store, recherchez « iBooks », puis installez l’app. Ouvrez iBooks et touchez Store. Recherchez « Guide de l’utilisateur de l’iPad », puis sélectionnez et téléchargez le guide. Batterie L’iPad est doté d’une batterie interne rechargeable. Pour en savoir plus sur les batteries de l’iPad, consultez la page www.apple.com/fr/batteries/ipad.html. Recharge de la batterie AVERTISSEMENT : Pour prendre connaissance des consignes de sécurité importantes concernant la recharge de l’iPad, consultez le Guide d’informations importantes sur le produit iPad à l’adresse support.apple.com/fr_FR/manuals/ipad. L’icône représentant une batterie située en haut à droite de la barre d’état indique le niveau de charge ou la progression de l’opération de charge de la batterie. Pas de charge en cours Pas de charge en cours Charge en cours Charge en cours Chargé Chargé Chapitre 2 Démarrage 23Recharger la batterie : La meilleure manière de recharger la batterie de l’iPad est de connecter l’iPad à une prise de courant à l’aide du câble Dock Connector vers USB et de l’adaptateur secteur USB 10 W. Lorsque vous connectez l’iPad à un port USB 2.0 sur un Mac avec le câble Dock Connector vers USB, l’iPad peut se charger lentement lors de la synchronisation. Important : La batterie de l’iPad peut se décharger au lieu de se recharger si l’iPad est connecté à un PC, à un ordinateur éteint, en mode veille ou en mode de suspension d’activité, à un concentrateur USB ou au port USB d’un clavier. Si votre Mac ou PC ne fournit pas une alimentation suffisante pour recharger votre iPad, un message « Aucune recharge en cours » apparaît dans la barre d’état. Pour recharger l’iPad, déconnectez-le de votre ordinateur et connectez-le à une prise secteur à l’aide du câble Dock Connector vers USB et de l’adaptateur secteur USB 10 W. Important : Si le niveau de la batterie de l’iPad est très faible, une des images suivantes peut s’afficher afin d’indiquer que l’iPad ne pourra être utilisé qu’après vingt minutes de charge. Si l’alimentation de l’iPad est extrêmement faible, il se peut que l’écran reste éteint. Jusqu’à deux minutes peuvent s’écouler avant qu’apparaisse l’une des images de faible charge. ouou Prolongation de la durée de vie de la batterie L’iPad utilise une batterie au lithium-ion. Pour en savoir plus sur le prolongement de la durée de vie de la batterie de votre iPad, consultez la page www.apple.com/fr/batteries/ipad.html. Remplacement de la batterie La batterie de l’iPad n’est pas remplaçable par l’utilisateur. Elle ne peut l’être que par un Centre de Services Agréé Apple (CSAA). Le nombre de cycles de recharge des batteries rechargeables reste limité et il peut s’avérer nécessaire de les remplacer. Les Centres de Services Agréés Apple recyclent également les batteries d’iPad selon la législation et la réglementation locales en vigueur. Pour en savoir plus, consultez www.apple.com/fr/batteries/replacements.html. 24 Chapitre 2 DémarrageUtilisation et entretien de l’iPad Il est important d’utiliser l’iPad dans une posture confortable et de prendre des pauses fréquentes. Utilisez l’iPad sur vos genoux, une table, un étui ou une station d’accueil en guise de support. Manipulez l’iPad avec précaution pour protéger son apparence. Pour éviter de rayer ou d’érafler l’écran, vous pouvez utiliser l’un des nombreux étuis vendus séparément. Pour nettoyer l’iPad, débranchez tous les câbles et éteignez l’iPad (maintenez le bouton Veille/ Éveil enfoncé jusqu’à l’apparition du curseur rouge, puis faites glisser le curseur à l’écran). Utilisez un tissu doux, légèrement humide et sans peluche. Évitez toute pénétration d’humidité dans les orifices de l’appareil. N’utilisez pas de produit lave-vitre, de détergent domestique, d’aérosol, de solvant, d’alcool, d’ammoniac ni de produit abrasif pour nettoyer l’iPad. L’écran de l’iPad dispose d’une protection oléophobe. Il vous suffit de l’essuyer avec un chiffon doux et non pelucheux pour retirer les corps gras déposés par vos mains. Les propriétés oléophobes de ce film diminuent avec le temps et une utilisation normale. Évitez de frotter l’écran avec un matériau abrasif, afin de ne pas affecter davantage ses propriétés oléophobes et de ne pas le rayer. Pour en savoir plus sur la manipulation de l’iPad, consultez le Guide d’informations importantes sur le produit de l’iPad à l’adresse support.apple.com/fr_FR/manuals/ipad. Chapitre 2 Démarrage 25Notions élémentaires 3 Lisez ce chapitre pour découvrir comment utiliser les apps sur l’iPad. Vous apprendrez également à effectuer des recherches, imprimer, partager des fichiers, etc. Utilisation des apps L’écran Multi-Touch haute résolution et des gestes simples des doigts rendent facile l’utilisation des apps de l’iPad. Ouvrez une app en touchant son icône. Vous pouvez basculer entre les apps, modifier l’ordre des apps et les organiser dans des dossiers. Ouverture d’apps et basculement entre apps Ouvrir une app : Touchez son icône sur l’écran d’accueil. Revenir à l’écran d’accueil : Appuyez sur le bouton principal ou pincez l’écran avec quatre ou cinq doigts. La fonctionnalité multitâche vous permet d’exécuter certaines apps en tâches de fond, de manière à pouvoir basculer entre les apps que vous utilisez. Consulter les apps utilisées le plus récemment : Touchez deux fois le bouton principal . Les apps utilisées le plus récemment apparaissent dans la barre multitâche située au bas de l’écran. Feuilletez vers la gauche pour en voir davantage. Forcer une app à quitter : Touchez l’icône de l’app et maintenez le doigt dessus jusqu’à ce qu’elle se mette à bouger, puis touchez . L’app est à nouveau ajoutée à la liste des apps récentes la prochaine fois que vous l’ouvrez. Verrouiller l’orientation de l’écran ou utiliser les commandes de la musique : Appuyez deux fois sur le bouton principal , puis feuilletez au bas de l’écran de gauche à droite. 26Le verrou d’orientation de l’écran, le curseur de luminosité et les commandes de la musique apparaissent. Luminosité Luminosité Verrouillage de O·RULHQWDWLRQGHO·pFUDQ Verrouillage de O·RULHQWDWLRQGHO·pFUDQ Réglage de la musique Réglage de la musique Supprimer une app de l’écran d’accueil : Maintenez le doigt sur l’icône de l’app jusqu’à ce qu’elle se mette à bouger et que apparaisse. Touchez pour supprimer l’app, puis appuyez sur le bouton principal . Important : Lorsque vous supprimez une app de l’iPad, vous supprimez également les documents et les données créés par cette app. Défilement Faites glisser votre doigt vers le haut ou le bas pour faire défiler verticalement. Vous pouvez également faire défiler latéralement dans les apps telles que Safari, Photos et Plans. Lorsque vous faites glisser votre doigt, vous ne choisissez et n’activez aucune fonction sur l’écran. Feuilletez pour faire défiler rapidement. Vous pouvez attendre que le défilement s’arrête ou toucher n’importe quel endroit de l’écran pour l’arrêter immédiatement. Si vous touchez l’écran pour arrêter le défilement, vous ne risquez pas de sélectionner ou d’activer des éléments affichés. Chapitre 3 Notions élémentaires 27Pour faire défiler rapidement jusqu’au début d’une liste, d’une page web ou d’un message électronique, touchez la barre d’état en haut de l’écran. Personnalisation de l’écran d’accueil Vous pouvez personnaliser la disposition des icônes des apps sur l’écran d’accueil (y compris les icônes du Dock du bas de l’écran). Réorganisation des icônes Vous pouvez créer des écrans d’accueil supplémentaires et organiser vos apps sur plusieurs écrans d’accueil. Modifier la disposition des icônes : 1 Maintenez le doigt sur n’importe quelle app de l’écran d’accueil jusqu’à ce qu’elle se mette à bouger. 2 Réorganisez les apps en les faisant glisser. 3 Appuyez sur le bouton principal pour enregistrer votre disposition. Déplacer une icône vers un autre écran Lorsque vous changez la disposition des icônes, faites en glisser une vers l’extrémité droite de l’écran jusqu’à ce qu’un nouvel écran apparaisse. Vous pouvez revenir à un écran précédent et faire glisser d’autres icônes vers le nouvel écran. Créer des écrans d’accueil supplémentaires Alors que vous changez la disposition des icônes, balayez jusqu’à l’écran d’accueil le plus à droite et faites glisser une app vers le bord droit de l’écran. Il est possible de créer jusqu’à 11 écrans d’accueil. Les points qui apparaissent au-dessus du Dock indiquent le nombre d’écrans disponibles et celui qui est actuellement affiché. Accéder à un autre écran d’accueil Feuilletez l’écran vers la gauche ou la droite, ou touchez à gauche ou à droite de la rangée de points. Atteindre le premier écran d’accueil Appuyer sur le bouton principal . Réinitialiser la disposition d’origine de l’écran d’accueil Dans Réglages, accédez à Général > Réinitialiser, puis touchez Réinitialiser l’écran d’accueil. La réinitialisation de l’écran d’accueil supprime les dossiers que vous avez créés et lui applique le fond d’écran par défaut. Lorsque vous connectez l’iPad à votre ordinateur à l’aide du câble Dock Connector vers USB, vous pouvez réorganiser les icônes de l’écran d’accueil, ainsi que l’ordre des écrans, sur iTunes. Sélectionnez l’iPad dans la barre latérale d’iTunes, puis cliquez sur l’onglet Apps. 28 Chapitre 3 Notions élémentairesOrganisation à l’aide de dossiers Vous pouvez utiliser des dossiers pour organiser les icônes sur l’écran d’accueil. Vous pouvez placer jusqu’à 20 icônes dans un dossier. L’iPad nomme automatiquement chaque dossier à sa création en fonction des icônes utilisées pour le créer, mais vous pouvez modifier le nom. Vous pouvez modifier la disposition des dossiers en les faisant glisser sur l’écran d’accueil ou en les déplaçant vers un nouvel écran d’accueil ou vers le Dock. Créer un dossier : Touchez une icône de l’écran d’accueil et gardez le doigt dessus jusqu’à ce que les icônes se mettent à bouger, puis faites glisser l’icône sur une autre. L’iPad crée un nouveau dossier contenant les deux icônes et affiche le nom du dossier. Vous pouvez toucher le champ du nom pour saisir un autre nom. Ajouter une icône à un dossier Lorsque les icônes bougent, faites glisser l’icône sur le dossier. Supprimer une icône d’un dossier Pendant que vous modifiez la disposition des icônes, touchez pour ouvrir le dossier puis faites glisser l’icône hors du dossier. Ouvrir un dossier Touchez le dossier. Vous pouvez alors toucher une icône d’app pour ouvrir l’app correspondante. Fermer un dossier Touchez hors du dossier ou appuyez sur le bouton principal. Supprimer un dossier Supprimez toutes les icônes du dossier. Ce dernier est automatiquement supprimé lorsqu’il est vide. Renommer un dossier Pendant que vous modifiez la disposition des icônes, touchez le nom du dossier en haut et utilisez le clavier pour saisir un nouveau nom. Lorsque vous avez terminé l’organisation de votre écran d’accueil, appuyez sur le bouton principal pour enregistrer vos modifications. De nombreuses apps, notamment Mail et l’App Store, affichent sur leur icône de l’écran d’accueil une pastille dotée d’un numéro (pour indiquer le nombre d’éléments entrants) ou un point d’exclamation (pour indiquer un problème). Si l’app est contenue dans un dossier, la pastille apparaît également sur le dossier. Une pastille numérotée indique le nombre d’éléments dont vous ne vous êtes pas encore occupé, par exemple des messages électroniques entrants et des mises à jour d’applications à télécharger. Une pastille d’alarme indique la présence d’un problème lié à l’app. Changement de fond d’écran Vous pouvez choisir les images ou les photos que vous souhaitez utiliser comme fond d’écran de l’écran verrouillé et de l’écran d’accueil. Choisissez une image fournie avec l’iPad, ou une photo de votre album Pellicule ou d’un autre album présent sur votre iPad. Choisir le fond d’écran : 1 Dans Réglages, accédez à Luminosité et fond d’écran, touchez l’image des écrans de verrouillage et d’accueil, puis touchez Fond d’écran ou Photos enregistrées. 2 Touchez pour choisir une image ou une photo. Si vous choisissez une photo, faites-la glisser ou pincez-la pour la déplacer ou la redimensionner jusqu’à ce qu’elle ait l’aspect souhaité. 3 Touchez Écran verrouillé, Écran d’accueil ou Les deux. Chapitre 3 Notions élémentaires 29Saisie de texte Le clavier à l’écran s’affiche automatiquement chaque fois que vous devez saisir du texte. Utilisez le clavier pour saisir du texte, tel que des coordonnées, des courriers électroniques et des adresses web. Le clavier corrige les erreurs d’orthographe, prédit ce que vous saisissez et apprend à mesure que vous l’utilisez. Vous pouvez également taper du texte sur un clavier sans fil Apple. Lorsque vous utilisez un clavier externe, le clavier à l’écran ne s’affiche pas. Consultez la section « Utilisation d’un clavier sans fil Apple » à la page 34. Saisie de texte Suivant l’app que vous utilisez, le clavier intelligent peut automatiquement suggérer des corrections pendant que vous tapez pour éviter les fautes d’orthographe. Saisir du texte : Touchez un champ de texte, par exemple dans une note ou un nouveau contact, pour activer le clavier, puis touchez des touches du clavier. Si vous touchez la mauvaise touche, vous pouvez faire glisser votre doigt jusqu’à la bonne. La lettre n’est pas validée tant que vous n’éloignez pas votre doigt de la touche. Supprimer le caractère précédent Touchez . Saisir rapidement un point et une espace Touchez deux fois la barre d’espace. Pour désactiver cette fonctionnalité, accédez à Réglages > Général > Clavier. Écrire en majuscules Touchez la touche Maj avant de toucher une lettre. Vous pouvez également maintenir la touche Maj enfoncée, puis faire glisser votre doigt sur une lettre. Activer le verrouillage des majuscules Touchez deux fois la touche Maj . La touche Maj devient bleue et toutes les lettres que vous tapez s’affichent en majuscules. Touchez la touche Maj pour déverrouiller les majuscules. Pour désactiver cette fonctionnalité, accédez à Réglages > Général > Clavier. Saisir des chiffres, la ponctuation ou des symboles Touchez la touche des chiffres . Touchez la touche des symboles pour afficher des signes de ponctuation et des symboles complémentaires. Saisir des lettres accentuées ou d’autres caractères secondaires Maintenez le doigt sur la touche la plus proche, puis faites glisser pour choisir une variante. Utiliser la correction automatique pour saisir « votre » Saisissez « vostre ». Par exemple, saisissez « vostre » pour obtenir « votre ». 30 Chapitre 3 Notions élémentairesRégler les options de saisie Accédez à Réglages > Général > Clavier. Masquer le clavier à l’écran Touchez la touche Clavier . Dictée Sur un iPad prenant en charge la dictée, vous pouvez dicter du texte plutôt que de le saisir sur le clavier à l’écran. Par exemple, vous pouvez dicter un message dans Mail ou une note dans Notes. Pour utiliser la dictée, l’iPad doit être connecté à Internet. Activer la dictée : accédez à Réglages > Général > Clavier > Dictée. Touchez pour commencer la dictée. Touchez pour commencer la dictée. Dicter du texte : Sur le clavier à l’écran, touchez , puis dictez. Lorsque vous avez fini, touchez à nouveau . Ajouter à un message : Touchez à nouveau et continuez la dictée. Saisir des signes de ponctuation : Dites le signe de ponctuation. Remarque : La fonction Dictée n’est pas disponible dans toutes les langues et toutes les régions, et ses fonctionnalités peuvent varier selon les régions. Des frais de données cellulaires peuvent s’appliquer. Modification de texte Avec l’écran Multi-Touch, il est facile de modifier le texte que vous saisissez. Une loupe à l’écran vous aide à positionner le point d’insertion à l’endroit précis de votre choix. Des poignées vous permettent de sélectionner plus ou moins de texte. Vous pouvez également couper, copier et coller du texte et des photos dans des apps ou d’une app à une autre. Positionner le point d’insertion : Touchez l’écran et gardez le doigt dessus pour afficher la loupe, puis faites glisser le doigt pour positionner le point d’insertion. Chapitre 3 Notions élémentaires 31Sélectionner du texte : Touchez le point d’insertion pour afficher les boutons de sélection. Touchez Sélectionner pour sélectionner le mot attenant ou Tout sélectionner pour sélectionner tout le texte. Vous pouvez également toucher deux fois un mot pour le sélectionner. Faites glisser les poignées pour sélectionner plus ou moins de texte. Dans les documents en lecture seule, tels que les pages web ou les courriers électroniques que vous recevez, maintenez le doigt sur un mot pour le sélectionner. Points G·DFFURFKH Points G·DFFURFKH Couper ou copier du texte Sélectionnez du texte, puis touchez Couper ou Copier. Coller du texte Touchez le point d’insertion, puis touchez Coller pour insérer le dernier texte que vous avez coupé ou copié. Vous pouvez également sélectionner du texte, puis toucher Coller pour le remplacer. Annuler la dernière modification Secouez l’iPad. Mettre du texte en gras, en italique ou le souligner Touchez (si l’icône est disponible), puis touchez B/I/U. Trouver la définition d’un mot Touchez un mot pour le sélectionner, puis touchez Définition. Trouver des mots alternatifs Touchez un mot, touchez Sélectionner, Suggérer, puis un des mots suggérés. Justifier du texte Le cas échéant, sélectionnez le texte que vous souhaitez justifier, puis toucher la flèche vers la droite ou la flèche vers la gauche. Dispositions de clavier Sur l’iPad, vous pouvez saisir sur un clavier dissocié qui se trouve en bas de l’écran ou un clavier détaché situé au milieu de l’écran. Utiliser un clavier dissocié Maintenez le doigt sur la touche Clavier , faites glisser votre doigt sur Dissocier, puis relâchez. Déplacer le clavier Maintenez le doigt sur , faites glisser le doigt sur Détacher pour déplacer le clavier au milieu de l’écran, puis relâchez. Revenir à un clavier complet Maintenez le doigt sur la touche Clavier , faites glisser votre doigt sur Ancrer et réunir, puis relâchez. Revenir à un clavier complet au bas de l’écran Maintenez le doigt sur la touche Clavier , faites glisser votre doigt sur Ancrer, puis relâchez. 32 Chapitre 3 Notions élémentairesActiver et désactiver Clavier dissocié Accédez à Réglages > Général > Clavier > Clavier dissocié, puis touchez pour activer ou désactiver cette fonctionnalité. Vous pouvez utiliser Réglages pour définir les dispositions du clavier tactile et de vos claviers matériels. Les dispositions disponibles dépendent de la langue choisie. Consultez la section L’annexe B, « Claviers internationaux, » à la page 142. Pour chaque langue, vous pouvez choisir des dispositions différentes pour le clavier logiciel à l’écran et les claviers matériels externes. La disposition du clavier logiciel détermine la disposition du clavier tactile de votre iPad. La disposition du clavier matériel détermine la disposition d’un clavier sans fil Apple connecté à votre iPad. Consultez la section « Utilisation d’un clavier sans fil Apple » à la page 34. Sélectionner une disposition de clavier matériel ou logiciel Accédez à Réglages > Général > International > Claviers, touchez une langue, puis choisissez une disposition de clavier logiciel ou matériel. Ajouter ou supprimer un clavier international Accédez à Réglages > Général > International > Claviers. Utiliser un clavier international Maintenez le doigt sur la touche de globe sur le clavier à l’écran pour afficher une liste des langues activées, puis faites glisser votre doigt pour choisir une langue. Consultez la section L’annexe B, « Claviers internationaux, » à la page 142. Correction automatique et vérification de l’orthographe Pour de nombreuses langues, l’iPad corrige automatiquement les fautes d’orthographe ou fait des suggestions à mesure de la saisie. Lorsque l’iPad suggère un mot, vous pouvez accepter la suggestion sans interrompre la saisie. Accepter la suggestion : Saisissez une espace, un signe de ponctuation ou le caractère de retour. Refuser une suggestion : Terminez de saisir le mot comme vous le souhaitez, puis touchez le « X » à côté de la suggestion. Chaque fois que vous rejetez une suggestion pour un même mot, il devient plus probable que l’iPad accepte le mot. L’iPad peut également souligner des mots que vous avez déjà saisis et qui pourraient être mal orthographiés. Chapitre 3 Notions élémentaires 33Remplacer un mot mal orthographié Touchez le mot, puis touchez l’une des autres orthographes. Si le mot que vous souhaitez saisir n’apparaît pas, saisissez-le à nouveau. Activer et désactiver la correction automatique ou la vérification orthographique Accédez à Réglages > Général > Clavier. Ajouter un mot au dictionnaire clavier Accédez à Réglages > Général > Clavier. Touchez Ajouter un raccourci. Saisissez le mot dans le champ Expression, mais laissez le champ Raccourci vide. Ainsi, le mot est ajouté au dictionnaire clavier et ne sera plus identifié comme étant mal orthographié lorsque vous le saisirez. Raccourcis Les raccourcis vous permettent de ne saisir que quelques caractères au lieu d’un mot ou d’une expression plus longs. Le texte complet apparaît dès que vous saisissez le raccourci. Par exemple, le raccourci « bjr » saisit le texte complet « bonjour ». Créer un raccourci : Accédez à Réglages > Général > Clavier, puis touchez Ajouter un raccourci. Pour ajouter un mot ou une expression au dictionnaire clavier de façon que l’iPad n’essaye pas de le corriger ou de le remplacer, laissez le champ Raccourci vide. Modifier un raccourci : Accédez à Réglages > Général > Clavier, puis touchez le raccourci. Utilisation d’un clavier sans fil Apple En plus du clavier à l’écran, vous pouvez également utiliser un clavier sans fil Apple avec l’iPad. Le clavier sans fil Apple se connecte à l’aide de Bluetooth. Vous devez donc le jumeler à votre iPad. Consultez la section « Jumelage d’appareils Bluetooth » à la page 40. Une fois le clavier jumelé avec l’iPad, il se connecte chaque fois que le clavier est à portée (jusqu’à 10 m). Vous savez que le clavier est connecté si le clavier tactile n’apparaît pas lorsque vous touchez un champ de texte. Changer de langue pendant l’utilisation d’un clavier matériel : Maintenez le doigt sur la touche Commande et touchez la barre d’espace pour afficher une liste des langues disponibles. Touchez à nouveau la barre d’espace pour choisir une langue. Déconnecter un clavier sans fil de l’iPad : Maintenez enfoncé le bouton d’alimentation du clavier jusqu’à l’extinction du voyant vert. L’iPad déconnecte le clavier lorsqu’il est hors de portée. Annuler le jumelage entre un clavier sans fil et l’iPad : Dans Réglages, accédez à Général > Bluetooth, touchez à côté du nom du clavier, puis touchez « Oublier cet appareil ». Vous avez la possibilité d’appliquer différentes dispositions à un clavier sans fil. Consultez les sections L’annexe B, « Claviers internationaux, » à la page 142 et « Dispositions de clavier » à la page 32. 34 Chapitre 3 Notions élémentairesRecherche Vous pouvez effectuer des recherches dans les apps intégrées à l’iPad, notamment Mail, Calendrier, Musique, Vidéos, Notes et Contacts. Effectuez une recherche dans une app particulière ou dans toutes les apps à la fois à l’aide de Spotlight. Accéder à la fonction Recherche : Depuis l’écran d’accueil, feuilletez vers la droite ou appuyez sur le bouton principal . Sur la page Recherche, vous pouvez appuyer sur le bouton principal pour revenir à l’écran d’accueil principal. Effectuer une recherche sur l’iPad : Sur la page Recherche, saisissez du texte dans le champ Recherche. Les résultats de la recherche apparaissent automatiquement à mesure que vous tapez. Touchez Rechercher pour masquer le clavier et afficher plus de résultats. Touchez un élément dans la liste des résultats pour l’ouvrir. Les icônes qui apparaissent à gauche des résultats de la recherche indiquent l’app dont proviennent les résultats. En haut de la liste, l’iPad affiche les meilleurs résultats en fonction des recherches précédentes. Au bas de la liste, les résultats de recherche comprennent également des options pour rechercher sur le Web ou dans Wikipedia. La liste suivante présente les apps dans lesquelles s’effectue la recherche et le type d’informations recherchées dans chaque app : App Éléments recherchés Contacts Le prénom, le nom et la raison sociale Mail Les champs À, De et Objet de tous les comptes (le texte des messages est ignoré) Calendrier Le nom de l’événement, les invités, le lieu et les notes Musique La musique (noms des morceaux, artistes et albums), ainsi que les titres des podcasts, des vidéos et des livres audio Notes Le texte des notes les messages. Le titre et le texte des messages Rappels Titres Chapitre 3 Notions élémentaires 35Recherche effectue également une recherche dans le nom des apps intégrées et installées sur l’iPad. Si vous disposez de nombreuses apps, vous pouvez utiliser Spotlight pour les rechercher et les ouvrir. Ouvrir une app à partir de Recherche : Saisissez une partie ou la totalité du nom de l’app, puis touchez-la pour l’ouvrir. Vous pouvez sélectionner les apps sur lesquelles doit porter la recherche et définir l’ordre dans lequel elles sont traitées. Dans Réglages, accédez à Général > Recherche Spotlight. Impression L’iPad peut imprimer sans fil sur les imprimantes compatibles AirPrint. Vous pouvez imprimer à partir des apps intégrées sur l’iPad suivantes :  Mail : messages électroniques et pièces jointes affichables  Photos et Appareil photo : photos  Safari : pages web, fichiers PDF et pièces jointes affichables  iBooks : fichiers PDF  Notes : note actuellement affichée  Plans : vue d’un plan affiché à l’écran D’autres apps disponibles dans l’App Store prennent également en charge AirPrint. Une imprimante compatible AirPrint ne requiert pas de logiciel d’imprimante. Elle doit seulement être connectée au même réseau Wi-Fi que l’iPad. Si vous ne savez pas si votre imprimante est compatible AirPrint, consultez sa documentation. Pour en savoir plus sur AirPrint, consultez la page support.apple.com/kb/ HT4356?viewlocale=fr_FR. Impression d’un document AirPrint utilise votre réseau Wi-Fi pour envoyer sans fil des tâches d’impression à votre imprimante. L’iPad et l’imprimante doivent être sur le même réseau Wi-Fi. Imprimer un document : 1 Touchez ou (suivant l’app que vous utilisez), puis touchez Imprimer. 2 Touchez Sélection pour sélectionner une imprimante. 3 Configurez les options d’imprimante, telles que le nombre de copies et l’impression recto verso (si votre imprimante la prend en charge). Certaines apps vous permettent de configurer un intervalle de pages à imprimer. 36 Chapitre 3 Notions élémentaires4 Touchez Imprimer. Si vous appuyez deux fois sur le bouton principal pendant l’impression d’un document, l’app Impression apparaît comme app la plus récente. L’icône affiche une pastille indiquant combien de documents, y compris le document en cours d’impression, sont prêts à imprimer. Consulter le statut d’une tâche d’impression Appuyez deux fois sur le bouton principal , touchez l’icône Impression, puis sélectionnez une tâche d’impression. Annuler une tâche d’impression Appuyez deux fois sur le bouton principal , touchez l’icône Impression, sélectionnez la tâche d’impression puis touchez Annuler l’impression. Chapitre 3 Notions élémentaires 37Partage de fichiers Partage de fichiers vous permet de transférer des fichiers avec un câble Dock Connector vers USB entre l’iPad et votre ordinateur à l’aide d’iTunes. Vous pouvez partager des fichiers créés avec une app compatible et enregistrés dans un format pris en charge. Les apps qui prennent en charge le partage de fichiers figurent sur iTunes parmi la liste des apps compatibles avec le partage de fichiers. Pour chaque app, la liste Fichiers affiche les documents qui se trouvent sur l’iPad. Consultez la documentation de l’app pour obtenir des informations sur le partage des fichiers. Toutes les apps ne prennent pas en charge cette fonctionnalité. Transférer un fichier de l’iPad vers votre ordinateur : Sur iTunes, accédez à la sous-fenêtre Applications de votre appareil. Dans la section Partage de fichiers, sélectionnez une app dans la liste. Sur la droite, sélectionnez le fichier à transférer puis cliquez sur « Enregistrer dans ». Transférer un fichier de votre ordinateur vers l’iPad : Sur iTunes, accédez à la sous-fenêtre Applications de votre appareil. Dans la section Partage de fichiers, sélectionnez une application, puis cliquez sur Ajouter. Le fichier est immédiatement transféré sur votre appareil pour être utilisé avec l’app choisie. Supprimer un fichier de l’iPad : Sur iTunes, accédez à la sous-fenêtre Applications de votre appareil. Sélectionnez le fichier dans la liste Fichiers de la section Partage de fichiers de la sous-fenêtre Apps, puis appuyez sur la touche Supprimer. Notifications Le Centre de notifications affiche vos alertes dans un seul emplacement, notamment vos alertes concernant les éléments suivants :  Rappels  Événements de calendrier  Nouveaux courriers électroniques  Nouveaux messages  Demandes d’amis (Game Center) Les alertes apparaissent également sur l’écran verrouillé, ou brièvement en haut de l’écran lorsque vous utilisez l’iPad. Vous pouvez consulter toutes les alertes en cours dans le Centre de notifications. 38 Chapitre 3 Notions élémentairesAfficher le Centre de notifications Balayez vers le bas depuis le haut de l’écran. Répondre à une alerte dans le Centre de notifications Touchez l’alerte. Répondre à une alerte sur l’écran verrouillé Balayez l’alerte de gauche à droite. Supprimer une alerte du Centre de notifications Touchez , puis touchez Effacer. Régler les options des notifications Accédez à Réglages > Notifications. Twitter Connectez-vous à votre compte Twitter (ou créez un compte) dans Réglages pour activer les Tweets avec des pièces jointes provenant des apps suivantes :  Appareil photo ou Photos : avec une photo de votre album Pellicule ;  Safari : avec une page web ;  Plans : avec un lieu ;  YouTube : avec une vidéo. Se connecter à un compte Twitter (ou en créer un) : 1 Accédez à Réglages > Twitter. 2 Saisissez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe pour un compte existant, ou touchez Créer un compte. Pour ajouter un autre compte, touchez Ajouter un compte. Envoyer une photo, une vidéo ou une page web par Twitter Affichez l’élément, touchez , puis touchez Tweet. Si n’apparaît pas, touchez l’écran. Pour ajouter votre localisation, touchez Ajouter le lieu. Service de localisation doit être activé. Accédez à Réglages > Service de localisation. Envoyer un lieu dans Plans par Twitter Touchez le repère, , Envoyer ce lieu, puis Tweeter. Service de localisation doit être activé. Accédez à Réglages > Service de localisation. Ajouter des noms d’utilisateur Twitter et des photos à vos contacts Accédez à Réglages > Twitter, puis touchez Actualiser les contacts. Activer ou désactiver Twitter pour Photos ou Safari Accédez à Réglages > Twitter. Ajouter votre lieu actuel Ajouter votre lieu actuel Pièce jointe Pièce jointe Caractères disponibles restants Caractères disponibles restants Chapitre 3 Notions élémentaires 39Lorsque vous rédigez un Tweet, le chiffre présent dans l’angle inférieur droit de l’écran Tweet indique le nombre de caractères restants à saisir. Les pièces jointes utilisent une partie des 140 caractères d’un Tweet. Vous pouvez installer et utiliser l’app Twitter pour envoyer un Tweet, afficher votre chronologie, rechercher des sujets tendance, etc. Dans Réglages, accédez à Twitter, puis touchez Installer. Pour apprendre comment utiliser l’app Twitter, ouvrez l’app, touchez le bouton Autre (...), touchez Comptes et réglages, Réglages, puis Manuel. Utilisation d’AirPlay Vous pouvez diffuser sans fil de la musique, des photos et des vidéos sur votre téléviseur HD ou vos haut-parleurs en utilisant AirPlay et une Apple TV. Vous pouvez utiliser AirPlay pour diffuser de l’audio sur une borne d’accès AirPort Express ou AirPort Extreme. D’autres récepteurs compatibles avec AirPlay sont disponibles auprès de tiers. Consultez l’Apple Store en ligne pour obtenir des détails. L’iPad et l’appareil compatible avec AirPlay doivent se trouver sur le même réseau Wi-Fi. Diffuser un contenu vers un appareil compatible AirPlay : Démarrez la vidéo, le diaporama ou la musique, puis touchez et sélectionnez l’appareil AirPlay. Lorsque la diffusion commence, vous pouvez quitter l’app qui lit le contenu. Accéder rapidement aux commandes AirPlay Lorsque l’écran est activé, appuyez deux fois sur le bouton principal et faites défiler vers l’extrémité gauche de la barre multitâche. Basculer la lecture vers l’iPad Touchez et choisissez l’iPad. Vous pouvez effectuer une recopie vidéo de l’écran de l’iPad (iPad 2 ou ultérieur) sur un téléviseur grâce à l’Apple TV. Tout ce qui se trouve sur l’écran de l’iPad apparaît sur le téléviseur. Effectuer une recopie vidéo de l’écran de l’iPad sur un téléviseur : Touchez à l’extrémité gauche de la barre multitâche, choisissez une Apple TV, et touchez le bouton Recopie vidéo qui apparaît. Une barre bleue apparaît dans la partie supérieure de l’écran de l’iPad lorsque la recopie vidéo AirPlay est activée. Vous pouvez également effectuer une recopie vidéo de l’écran de l’iPad sur un téléviseur à l’aide d’un câble. Consultez la section « Visionnage de vidéos sur un téléviseur » à la page 70. Utilisation d’appareils Bluetooth Vous pouvez utiliser l’iPad avec le clavier sans fil Apple et d’autres appareils Bluetooth, notamment des oreillettes Bluetooth. Pour connaître les profils Bluetooth pris en charge, consultez la page support.apple.com/kb/HT3647?viewlocale=fr_FR. Jumelage d’appareils Bluetooth Vous devez commencer par jumeler un appareil Bluetooth (par exemple un clavier ou des écouteurs) avec l’iPad avant de pouvoir l’utiliser. Jumeler un appareil Bluetooth avec un iPad : 1 Suivez les instructions fournies avec l’appareil pour rendre celui-ci détectable. 2 Dans Réglages, touchez Général > Bluetooth et activez Bluetooth. 40 Chapitre 3 Notions élémentaires3 Sélectionnez l’appareil et tapez le code d’accès ou le code PIN qui vous est demandé, le cas échéant. Consultez les instructions relatives au mot de passe ou au code personnel fournies avec l’appareil. Remarque : Avant de jumeler un clavier sans fil Apple, appuyez sur le bouton d’alimentation pour le mettre sous tension. Vous ne pouvez jumeler qu’un clavier sans fil Apple à la fois avec votre iPad. Pour jumeler un autre clavier, vous devez commencer par supprimer le jumelage en cours. Une fois votre clavier jumelé avec l’iPad, le nom du produit et une icône Bluetooth apparaissent sur l’écran. Une fois vos écouteurs jumelés avec l’iPad, le nom du produit et une icône audio Bluetooth apparaissent à l’écran, avec les commandes de lecture audio ou vidéo. Touchez pour changer de sortie audio (haut-parleur interne par exemple). Pour utiliser à nouveau le clavier à l’écran, désactivez l’option Bluetooth dans Réglages > Général > Bluetooth, ou appuyez sur la touche d’éjection du clavier Bluetooth. État Bluetooth L’icône Bluetooth apparaît dans la barre d’état de l’iPad en haut de l’écran :  (blanche) : le Bluetooth est activé et jumelé à un appareil.  (grise) : le Bluetooth est activé et jumelé à un appareil, mais l’appareil est hors de portée ou désactivé.  Pas d’icône Bluetooth : le Bluetooth est désactivé ou n’est jumelé à aucun appareil. Suppression du jumelage d’un appareil Bluetooth avec l’iPad Si vous jumelez l’iPad avec un appareil Bluetooth, puis souhaitez utiliser un autre appareil du même type, vous devez d’abord supprimer le jumelage du premier. Annuler le jumelage d’un appareil Bluetooth : Accédez à Réglages > Général > Bluetooth et activez Bluetooth. Choisissez l’appareil, puis touchez Oublier cet appareil. Fonctionnalités de sécurité Diverses fonctionnalités de sécurité protègent les informations qui se trouvent sur l’iPad contre l’accès par des personnes non autorisées. Codes secrets et protection des données Par mesure de sécurité, vous pouvez configurer un code à saisir chaque fois que vous allumez ou réactivez l’iPad. Définir un code : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code > Activer le code. Saisissez un code à 4 chiffres, puis saisissez à nouveau le code, à titre de vérification. L’iPad vous demande alors de saisir le mot de passe pour le déverrouiller ou afficher les réglages de verrouillage par code. La configuration d’un code active la protection des données, qui utilise votre code comme clé de chiffrement des messages électroniques et des pièces jointes stockées sur l’iPad. (Certaines apps disponibles dans l’App Store peuvent également utiliser la protection des données.) Une mention située au bas de l’écran Verrouillage par code dans Réglages indique que la protection des données est activée. Pour augmenter la sécurité, désactivez Code simple (nombre à quatre chiffres) et utilisez un code plus robuste combinant chiffres, lettres, signes de ponctuation et caractères spéciaux. Consultez la section « Verrouillage automatique » à la page 135. Chapitre 3 Notions élémentaires 41Localiser mon iPad La fonctionnalité Localiser mon iPad peut vous aider à localiser un iPad perdu ou égaré en utilisant un iPhone, un iPod touch ou un autre iPad. Vous pouvez également utiliser Localiser mon iPad à l’aide d’un Mac ou d’un PC avec un navigateur web connecté à www.icloud.com ou www.me.com. Localiser mon iPad comprend les fonctions suivantes :  Localiser sur un plan : affichez l’emplacement approximatif de votre iPad sur un plan en plein écran  Afficher un message ou émettre un son : composez un message qui s’affiche sur votre iPad ou faites émettre un son pendant deux minutes.  Verrouillage distant par code : verrouillez votre iPad à distance et configurez un code à 4 chiffres si vous ne l’avez pas encore fait.  Effacement distant : protège votre confidentialité par l’effacement de la totalité des informations et fichiers multimédias de votre iPad en la restauration de la configuration d’usine de votre iPad. Important : Avant de pouvoir utiliser ces fonctionnalités, vous devez activer Localiser mon iPad dans les réglages iCloud ou MobileMe sur votre iPad. Localiser mon iPad ne peut être activé que dans un compte. Activer Localiser mon iPad à l’aide d’iCloud Accédez à Réglages > iCloud et activez Localiser mon iPad. Activer Localiser mon iPad à l’aide de MobileMe Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, touchez votre compte MobileMe, puis activez Localiser mon iPad. La fonction Localiser mon iPad utilise le réseau Wi-Fi pour localiser votre iPad. Si le mode Wi-Fi est désactivé ou si votre iPad n’est pas connecté à un réseau Wi-Fi, Localiser mon iPad n’est pas en mesure de le trouver. Consultez la section « Utilisation d’iCloud » à la page 20. 42 Chapitre 3 Notions élémentairesSafari 4 Affichage de pages web Affichez vos signets ou votre liste de lecture. Affichez vos signets ou votre liste de lecture. Ouvrez une nouvelle page. Ouvrez une nouvelle page. Effectuez des recherches sur le Web et dans la page actuelle. Effectuez des recherches sur le Web et dans la page actuelle. Saisissez une adresse web (URL). Saisissez une adresse web (URL). Touchez deux fois un élément ou pincez pour agrandir ou réduire. Touchez deux fois un élément ou pincez pour agrandir ou réduire. Afficher une page web : Touchez le champ d’adresse (dans la barre de titre), saisissez l’adresse web, puis touchez Aller. Vous pouvez afficher les pages web en mode portrait ou paysage. Effacer le texte dans le champ d’adresse Touchez . Faire défiler une page web Faites glisser la page vers le haut, le bas ou le côté. Faire défiler un cadre sur une page web Faites défiler avec deux doigts à l’intérieur du cadre. Ouvrir une nouvelle page Touchez . Vous pouvez avoir jusqu’à neuf pages ouvertes simultanément. 43Accéder à une autre page Touchez un onglet en haut de la page. Interrompre le chargement d’une page web Touchez dans le champ d’adresse. Actualiser une page web Touchez dans le champ d’adresse. Fermer une page Touchez sur l’onglet de la page. Protéger vos informations privées et bloquer le suivi de vos actions pour certains sites web Accédez à Réglages > Safari et activez Navigation privée. Régler les options de Safari Accédez à Réglages > Safari. Liens Suivre un lien sur une page web : Touchez le lien. Ouvrir un lien dans un nouvel onglet Maintenez le doigt sur le lien, puis touchez « Ouvrir dans un nouvel onglet ». Afficher l’adresse de destination d’un lien Touchez le lien et maintenez votre doigt dessus. Les données détectées, telles que les numéros de téléphone et les adresses électroniques, peuvent également apparaître sous forme de liens dans les pages web. Maintenez le doigt sur un lien pour afficher les options disponibles. Consultez la section « Utilisation des liens et données détectées » à la page 49. Liste de lecture La liste de lecture vous permet de recueillir des liens vers des pages web afin de les lire ultérieurement. Ajouter un lien vers la page actuelle à votre liste de lecture : Touchez , puis « Ajouter à la liste de lecture ». Ajouter un lien à votre liste de lecture : Maintenez le doigt sur le lien, puis choisissez « Ajouter à la liste de lecture ». Afficher votre liste de lecture Touchez , puis touchez Liste de lecture. Utiliser iCloud pour maintenir votre liste de lecture à jour sur vos appareils iOS et ordinateurs Accédez à Réglages > iCloud, puis activez l’option Signets. Consultez la section « Utilisation d’iCloud » à la page 20. 44 Chapitre 4 SafariLecteur Lecteur affiche des articles web sans publicité ni encombrement, pour que vous puissiez lire sans être dérangé. Sur une page web avec un article, vous pouvez utiliser Lecteur pour afficher uniquement l’article. Afficher un article dans Lecteur : Touchez le bouton Lecteur s’il apparaît dans le champ d’adresse. Ajuster la taille de la police Touchez . Ajouter un article aux signets, à la liste de lecture ou à l’écran d’accueil, ou le partager ou l’imprimer Touchez . Revenir à la présentation normale Touchez Lecteur. Saisie de texte et remplissage de formulaires Saisir du texte : Touchez un champ de texte pour activer le clavier. Passer à un autre champ de texte Touchez le champ de texte, ou touchez Suivant ou Précédent. Envoyer un formulaire Touchez Aller ou Rechercher, ou, le cas échéant, touchez le lien sur la page pour envoyer le formulaire. Pour activer la fonction Auto-remplissage qui vous aide à remplir les formulaires, accédez à Réglages > Safari > Auto-remplissage. Recherche Le champ de recherche situé dans l’angle supérieur droit vous permet d’effectuer des recherches sur le Web, et dans la page ou le document PDF actuel. Effectuer des recherches sur le Web, et dans la page ou le document PDF recherchable actuel : Saisissez du texte dans le champ de recherche.  Effectuer des recherches sur le Web : Touchez l’une des suggestions qui apparaissent, ou touchez Rechercher.  Trouver le texte recherché sur la page ou le document PDF actuel : Faites défiler vers le bas de l’écran, puis touchez l’entrée située sous Sur cette page. La première occurrence est surlignée. Pour rechercher les occurrences ultérieures, touchez . Changer de moteur de recherche Accédez à Réglages > Safari > Moteur de recherche. Chapitre 4 Safari 45Signets et historique Lorsque vous enregistrez un signet, vous pouvez modifier son titre. Les signets sont normalement enregistrés dans le dossier de plus haut niveau de Signets. Touchez Signets pour choisir un dossier différent. Ajouter un signet vers une page web : Ouvrez la page, touchez , puis touchez Ajouter un signet. Consulter les pages web précédentes (historique) : Touchez , puis touchez Historique. Pour effacer l’historique, touchez Effacer. Ouvrir une page web enregistrée dans les signets Touchez . Afficher la barre de signets Touchez le champ d’adresse. Pour toujours afficher la barre des signets, accédez à Réglages > Safari, sous Général. Modifier un signet ou un dossier de signets Touchez , choisissez le dossier qui contient le signet ou le dossier que vous souhaitez modifier, puis touchez Modifier. Utiliser iCloud pour maintenir les signets à jour sur vos appareils iOS et vos ordinateurs Accédez à Réglages > iCloud, puis activez l’option Signets. Consultez la section « Utilisation d’iCloud » à la page 20. Synchroniser vos signets avec le navigateur web présent sur votre ordinateur Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 22. Impression de pages web, de documents PDF et d’autres documents Imprimer une page web, un document PDF ou un document Coup d’œil : Touchez , puis Imprimer. Pour en savoir plus, consultez la section « Impression d’un document » à la page 36. Clips web Vous pouvez créer des clips web, qui apparaissent sous forme d’icônes sur l’écran d’accueil. Lorsque vous ouvrez un clip web, Safari effectue automatiquement un zoom sur la partie de la page web affichée lorsque vous avez enregistré le clip web. Ajouter un clip web : Ouvrez la page web et touchez . Touchez ensuite « Ajouter à l’écran d’accueil ». À moins que la page web dispose d’une icône personnalisée, cette image est également utilisée pour l’icône du clip web sur l’écran d’accueil. Les clips web sont sauvegardés par iCloud et iTunes, mais ne sont pas synchronisés par iTunes ni MobileMe. Ils ne sont pas non plus transférés vers vos autres appareils par iCloud. 46 Chapitre 4 SafariMail 5 Relève de la boîte aux lettres et lecture du courrier électronique Dans Mail, l’écran BAL vous fournit un accès rapide à toutes vos boîtes de réception et autres boî- tes aux lettres. Lorsque vous ouvrez une boîte aux lettres, Mail récupère et affiche les messages les plus récents. Vous pouvez définir le nombre de messages récupérés dans les réglages Mail. Consultez la section « Comptes de messagerie et réglages » à la page 51. Balayez pour faire apparaitre la liste des messages. Balayez pour faire apparaitre la liste des messages. Relevez les nouveaux messages. Relevez les nouveaux messages. Afficher la liste de messages En mode portrait, balayez de gauche à droite pour afficher la liste de messages pour la boîte aux lettres actuelle. Ensuite, touchez BAL pour accéder à la liste des boîtes aux lettres. Organiser les messages par fil de discussion Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Si vous organisez vos messages par fil de discussion, les messages associés apparaissent comme une seule entrée dans la boîte aux lettres. Consultez la section « Comptes de messagerie et réglages » à la page 51. Relever les nouveaux messages électroniques Choisissez une boîte aux lettres, ou touchez à tout moment. Charger des messages supplémentaires Faites défiler jusqu’au bas de la liste de messages et touchez « Charger les messages suivants ». 47Effectuer un zoom sur une partie d’un message Touchez deux fois une zone du message. Touchez à nouveau deux fois pour effectuer un zoom arrière. Vous pouvez également pincer la zone pour la réduire ou écarter les doigts pour l’agrandir. Redimensionner une colonne de texte afin de l’adapter à l’écran Touchez deux fois le texte. Afficher tous les destinataires d’un message Touchez Détails. Touchez un nom ou une adresse électronique pour afficher les coordonnées du destinataire. Touchez un numéro de téléphone ou une adresse électronique pour contacter la personne. Ajouter un destinataire de courrier électronique à votre liste de contacts Touchez le message et, si nécessaire, touchez Détails pour afficher les destinataires. Touchez ensuite un nom ou une adresse électronique et touchez « Créer un nouveau contact » ou « Ajouter à un contact ». Signaler ou marquer un message comme non lu Ouvrez le message et, si nécessaire, touchez Détails. Touchez ensuite Signaler. Pour signaler plusieurs messages comme non lus, consultez « Organisation du courrier électronique » à la page 50. Ouvrir une invitation à une réunion Touchez l’invitation. Consultez la section « Réponse à des invitations » à la page 76. Fonctionner avec plusieurs comptes Si vous configurez plusieurs comptes, la section Comptes de l’écran BAL vous permet d’accéder à ces comptes. Vous pouvez également toucher Toutes les boîtes pour voir tous vos messages entrants dans une seule liste. Pour en savoir plus sur l’ajout de comptes, consultez la section « Comptes de messagerie et réglages » à la page 51. Lors de la composition d’un nouveau message, touchez le champ De et sélectionnez le compte à partir duquel envoyer le message. Envoi de courrier électronique Vous pouvez envoyer un message électronique à toute personne ayant une adresse électronique. Rédiger un message : Touchez . Ajouter un destinataire à partir de Contacts Tapez un nom ou une adresse électronique dans le champ À, ou touchez . Réorganiser les destinataires Pour déplacer un destinataire d’un champ à un autre, par exemple de À à Cc, faites glisser le nom du destinataire sur le nouvel emplacement. Mettre du texte en gras, en italique ou le souligner Touchez le point d’insertion pour afficher les boutons de sélection, puis touchez Sélectionner. Faites glisser les points pour sélectionner le texte que vous souhaitez modifier. Touchez , puis touchez G/I/S. Touchez Gras, Italique ou Souligné pour appliquer le style. Envoyer une photo ou une vidéo dans un message électronique Dans Photos, choisissez une photo ou une vidéo, touchez , puis touchez Envoyer par courrier. Vous pouvez également copier et coller des photos et des vidéos. Pour envoyer plusieurs photos ou vidéos, touchez pendant que vous visualisez les vignettes d’un album. Touchez pour sélectionner les photos et vidéos, touchez Partage et touchez Envoyer par courrier. 48 Chapitre 5 MailEnregistrer le brouillon d’un message à terminer ultérieurement Touchez Annuler, puis Enregistrer. Le message est enregistré dans Brouillons. Touchez et maintenez le doigt dessus pour y accéder rapidement. Répondre à un message Touchez , puis touchez Répondre. Les fichiers ou images joints au message initial ne sont pas renvoyés. Pour inclure les pièces jointes, transférez-le plutôt que d’y répondre. Citer une partie du message dans la réponse ou le transfert Touchez le texte et maintenez le doigt dessus pour le sélectionner. Faites glisser les points d’accroche pour sélectionner le texte que vous souhaitez inclure dans votre réponse, puis touchez . Pour modifier l’indentation de texte cité, touchez le texte et maintenez le doigt dessus pour le sélectionner, puis touchez . Touchez Indentation, puis touchez Augmenter ou Diminuer. Transférer un message Ouvrez un message et touchez , puis touchez Transférer. Partager des coordonnées Dans Contacts, sélectionnez un contact, puis touchez Envoyer cette fiche en bas de l’écran Informations. Utilisation des liens et données détectées L’iPad détecte les liens web, numéros de téléphone, adresses électroniques, dates et d’autres types d’informations que vous pouvez utiliser pour ouvrir une page web, créer un courrier électronique pré-adressé, créer un contact ou y ajouter des informations, ou réaliser toute autre action utile. Les données détectées apparaissent sous forme de texte souligné en bleu. Touchez les données pour utiliser l’action par défaut, ou maintenez votre doigt dessus pour voir d’autres actions. Par exemple, dans le cas d’une adresse, vous pouvez afficher le lieu dans Plans ou l’ajouter dans Contacts. Consultation de pièces jointes L’iPad affiche les images jointes dans les formats couramment utilisés (JPEG, GIF et TIFF) dans le corps du texte des courriers électroniques. L’iPad peut restituer de nombreux types de pièces audio jointes, notamment MP3, AAC, WAV et AIFF. Vous pouvez télécharger et afficher des fichiers (notamment documents PDF, pages web, fichiers texte et documents au format Pages, Keynote, Numbers, et Microsoft Word, Excel ou PowerPoint) joints aux messages que vous recevez. Afficher un fichier joint : Touchez la pièce jointe pour l’ouvrir dans Coup d’œil. Vous devez attendre pendant son téléchargement avant de l’afficher. Ouvrir un fichier joint Touchez la pièce jointe et maintenez votre doigt dessus, puis choisissez une app pour l’ouvrir. Si ni vos apps ni Coup d’œil ne prennent en charge le fichier, vous pouvez voir le nom du fichier, mais pas l’ouvrir. Enregistrer une photo ou une vidéo jointe Touchez la photo ou la vidéo et maintenez votre doigt dessus, puis sélectionnez Enregistrer l’image ou la vidéo. L’élément est enregistré dans votre album Pellicule de l’app Photos. Coup d’œil prend en charge les types de documents suivants : .doc, .docx Microsoft Word .htm, .html Page web .key Keynote Chapitre 5 Mail 49.numbers Numbers .pages Pages .pdf Aperçu, Adobe Acrobat .ppt, .pptx Microsoft PowerPoint .rtf Format RTF .txt Format texte .vcf Coordonnées .xls, .xlsx Microsoft Excel Impression de messages et de pièces jointes Vous pouvez imprimer des messages électroniques et des pièces jointes qui s’ouvrent dans Coup d’œil. Imprimer un message électronique : Touchez , puis Imprimer. Imprimer une image dans le corps du texte Touchez l’image et maintenez votre doigt dessus, puis touchez Enregistrer l’image. Ouvrez ensuite Photos et imprimez l’image à partir de votre album Pellicule. Imprimer une pièce jointe Touchez la pièce jointe pour l’afficher dans Coup d’œil, puis touchez et Imprimer. Pour en savoir plus, consultez la section « Impression » à la page 36. Organisation du courrier électronique Vous pouvez organiser vos messages dans n’importe quel dossier, boîte aux lettres ou fenêtre de résultats de recherche. Vous pouvez supprimer ou signaler les messages comme lus. Vous pouvez également déplacer des messages d’une boîte aux lettres ou d’un dossier à l’autre dans le même compte, ou entre comptes. Vous pouvez ajouter, supprimer ou renommer les boîtes aux lettres et les dossiers. Supprimer des messages : Ouvrez le message et touchez . Vous pouvez également directement supprimer un message dans la liste des messages de la boîte aux lettres : passez le doigt sur le titre du message vers la gauche ou vers la droite puis touchez Supprimer. Certains comptes de messagerie prennent en charge l’archivage des messages et évitent la suppression. Lorsque vous archivez un message, il est déplacé de la boîte de réception vers Tous les messages. Activez ou désactivez l’archivage dans Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Récupérer un message Les messages supprimés sont placés dans la corbeille. Pour changer le temps que passent les messages dans la corbeille avant d’être définitivement supprimés, accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Touchez ensuite Avancé. Supprimer ou déplacer plusieurs messages Pendant la consultation d’une liste de messages, touchez Modifier, sélectionnez les messages que vous souhaitez supprimer, puis touchez Déplacer ou Supprimer. Déplacer un message vers une autre boîte aux lettres ou un autre dossier Pendant la consultation d’un message, touchez , puis choisissez une boîte aux lettres ou un dossier. 50 Chapitre 5 MailAjouter une boîte aux lettres Accédez à la liste des boîtes aux lettres, touchez Modifier, puis Nouvelle boîte aux lettres. Supprimer ou renommer une boîte aux lettres Accédez à la liste des boîtes aux lettres, touchez Modifier, puis touchez une boîte aux lettres. Saisissez un nouveau nom ou emplacement pour la boîte aux lettres. Touchez Supprimer la boîte aux lettres pour la supprimer avec tout son contenu. Signaler et marquer plusieurs messages comme lus Pendant la consultation d’une liste de messages, touchez Modifier, sélectionnez les messages, puis touchez Signaler. Choisissez Marquer d’un drapeau ou Marquer comme lu. Recherche dans le courrier électronique Vous pouvez effectuer des recherches dans les champs À, De, Objet et le corps de texte des messages électroniques. Mail recherche le texte dans les messages téléchargés qui se trouvent dans la boîte aux lettres actuelle. Pour les comptes iCloud, Exchange et certains comptes de courrier électronique IMAP, vous pouvez aussi effectuer des recherches dans les messages qui se trouvent sur le serveur. Effectuer des recherches dans les messages électroniques : Ouvrez une boîte aux lettres, faitesen défiler le contenu jusqu’au début, puis saisissez du texte dans le champ de recherche. Touchez De, À, Objet ou Tous pour choisir les champs dans lesquels vous souhaitez effectuer la recherche. La recherche inclut les messages sur le serveur si cela est pris en charge par votre compte de messagerie. Les messages électroniques peuvent également être inclus dans les recherches effectuées à partir de l’écran d’accueil. Consultez la section « Recherche » à la page 35. Comptes de messagerie et réglages Comptes Pour les réglages de Mail et de vos comptes de messagerie, accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Vous pouvez configurer :  iCloud  Microsoft Exchange  Gmail  Contacts Yahoo!  AOL  Microsoft Hotmail  MobileMe  Autres systèmes de messagerie POP et IMAP Certains réglages dépendent du type de compte que vous configurez. Votre prestataire de service ou administrateur système peut vous fournir les informations nécessaires. Modifier les réglages d’un compte : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte puis effectuez les modifications souhaitées. Chapitre 5 Mail 51Arrêter d’utiliser un compte Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte, puis désactivez un service (par exemple Mail, Calendrier ou Notes). Lorsqu’un service de compte est désactivé, l’iPad n’affiche et ne synchronise aucune information avec celui-ci tant que vous ne le réactivez pas. Il s’agit d’un bon moyen d’arrêter de recevoir des messages professionnels en vacances, par exemple. Stocker les brouillons, et les messages envoyés et supprimés sur l’iPad Avec les comptes IMAP, vous pouvez modifier l’emplacement de stockage de ces messages. Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte IMAP, puis touchez Avancé. Choisissez un emplacement pour Brouillons, Messages envoyés et Messages supprimés. Régler le délai de suppression permanente des messages dans Mail Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte puis touchez Avancé. Touchez Supprimer, puis choisissez un délai : jamais, après un jour, après une semaine ou après un mois. Ajuster les réglages de serveur de courrier électronique Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis choisissez un compte. Demandez les réglages appropriés à l’administrateur de votre réseau ou à votre fournisseur d’accès à Internet. Ajuster les réglages SSL et les réglages de mot de passe Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte puis touchez Avancé. Demandez les réglages appropriés à l’administrateur de votre réseau ou à votre fournisseur d’accès à Internet. Activer ou désactiver Archiver les messages Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis choisissez un compte. Consultez la section « Organisation du courrier électronique » à la page 50. Supprimer un compte Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte, puis faites défiler vers le bas et touchez Supprimer le compte. Tous les messages électroniques et les informations sur les contacts, calendriers et signets synchronisés avec le compte sont supprimés de l’iPad. Envoyer des messages signés et chiffrés Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte puis touchez Avancé. Activez S/MIME puis sélectionnez les certificats pour signer et chiffrer les messages envoyés. Pour installer des certificats, demandez un profil de configuration à votre administrateur système, téléchargez les certificats à partir du site web de l’émetteur à l’aide de Safari ou recevez-les en pièces jointes dans Mail. Configurer les réglages Push Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Nouvelles Données. Push fournit de nouvelles informations lorsque l’iPad est connecté à Internet (avec un certain décalage parfois). Vous pouvez désactiver le mode Push pour suspendre la livraison de courrier électronique et autres informations ou pour économiser la charge de la batterie. Lorsque le mode Push est dé- sactivé, utilisez le réglage Nouvelles données pour indiquer la fréquence à laquelle demander les données. Pour optimiser l’autonomie de la batterie, privilégiez une fréquence basse. Réglages de Mail Pour modifier des réglages s’appliquant à l’ensemble de vos comptes, accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Modifiez les sons joués lorsque vous envoyez ou recevez un message : Accédez à Réglages > Sons. 52 Chapitre 5 MailLes messages. 6 Envoi et réception de messages Avec l’app Messages et le service iMessage intégré, vous pouvez envoyer des messages texte à d’autres utilisateurs d’iOS 5 par le biais d’une connexion Wi-Fi ou de données cellulaires. Messages peut inclure des photos, des vidéos et d’autres informations, vous permettre de voir quand l’autre personne tape et faire en sorte que les autres personnes soient informées lorsque vous avez lu leurs messages. Puisque les messages iMessage sont affichés sur tous vos appareils iOS 5 connectés au même compte, vous pouvez commencer une conversation sur l’un de vos appareils iOS et la poursuivre sur un autre. Ces messages sont également chiffrés. Remarque : Des frais de données cellulaires ou des frais supplémentaires peuvent s’appliquer. Envoyer un message texte : Touchez , puis , et choisissez un contact, effectuez une recherche par nom dans vos contacts, ou saisissez un numéro de téléphone ou une adresse électronique manuellement. Saisissez votre message puis touchez Envoyer. Remarque : Une pastille d’alerte s’affiche si un message ne peut pas être envoyé. Si l’alerte apparaît dans le champ d’adresse, assurez-vous de saisir le nom, le numéro de téléphone ou l’adresse électronique d’un autre utilisateur d’iOS 5. Dans une conversation, touchez l’alerte pour essayer de renvoyer le message. 53Les conversations sont enregistrées dans la liste Messages. Un point bleu indique vos messages non lus. Touchez une conversation pour la consulter ou la poursuivre. Dans une conversation iMessage, vos messages sortants sont surlignés en bleu. Touchez le bouton de modification pour modifier ou poursuivre une conversation. Touchez le bouton de modification pour modifier ou poursuivre une conversation. Touchez le bouton de composition pour démarrer une nouvelle conversation. Touchez le bouton de composition pour démarrer une nouvelle conversation. Touchez le bouton Joindre un fichier pour inclure une photo ou une vidéo. Touchez le bouton Joindre un fichier pour inclure une photo ou une vidéo. Utiliser des caractères emoji Accédez à Réglages > Général > Clavier > Claviers internationaux > Ajouter un clavier, puis touchez Emoji pour rendre ce clavier disponible. Pour saisir des caractères emoji lors de la rédaction d’un message, touchez pour faire apparaître le clavier Emoji. Consultez la section « Basculement entre les claviers » à la page 142. Masquer le clavier Touchez dans l’angle inférieur droit. Reprendre une conversation Touchez la conversation dans la liste Messages, saisissez un message, puis touchez Envoyer. Afficher des messages précédents de la conversation Touchez la barre d’état pour faire défiler vers le haut, puis touchez Charger les messages plus anciens. Recevoir des messages iMessage à l’aide d’une autre adresse électronique Accédez à Réglages > Messages > Réception > Ajoutez une adresse électronique. Suivre un lien dans un message Touchez le lien. Un lien peut, par exemple, ouvrir une page web dans Safari ou vous permettre d’ajouter un numéro de téléphone à vos contacts. Transférer une conversation Sélectionnez une conversation, puis touchez . Sélectionnez les parties à inclure, puis touchez Transférer. Ajouter quelqu’un à votre liste de contacts ou partager un contact Touchez un numéro de téléphone ou une adresse électronique dans la liste Messages, puis touchez . Notifier d’autres personnes lorsque vous avez lu leurs messages Accédez à Réglages > Messages, et activez l’option Confirmations de lecture. Configurer d’autres options de messages Accédez à Réglages > Messages. Gérer les notifications pour les messages Consultez la section « Notifications » à la page 130. 54 Chapitre 6 Les messages.Définir une alerte sonore pour les messages texte entrants Consultez la section « Sons » à la page 134. Envoi de messages à un groupe Les messages collectifs vous permettent d’envoyer un message à plusieurs destinataires. Envoyer des messages à un groupe : Touchez , puis saisissez plusieurs destinataires. Envoi de photos, vidéos, etc. Vous pouvez envoyer des photos, des vidéos, des lieux, des coordonnées et des mémos vocaux. Envoyer une photo ou une vidéo : Touchez . La taille maximale des pièces jointes dépend de votre fournisseur de services. Si nécessaire, l’iPad peut compresser les photos et les vidéos en pièces jointes. Envoyer un lieu Dans Plans, touchez pour un lieu, touchez Envoyer ce lieu, puis touchez Message. Envoyer des coordonnées Dans Contacts, sélectionnez un contact, touchez Envoyer cette fiche (sous Notes), puis touchez Envoyer un message. Enregistrer une photo ou une vidéo reçue dans votre album Pellicule Touchez la photo ou la vidéo, touchez , puis touchez Enregistrer l’image. Copier une photo ou une vidéo Touchez la pièce jointe et maintenez votre doigt dessus, puis sélectionnez Copier. Enregistrer des coordonnées reçues Touchez la bulle du contact, puis « Créer un nouveau contact » ou « Ajouter à un contact ». Modification de conversations Si vous souhaitez ne conserver qu’une partie de conversation, vous pouvez supprimer les parties qui ne vous intéressent pas. Vous pouvez également supprimer des conversations entières de la liste Messages. Modifier une conversation : Touchez Modifier, sélectionnez les parties à supprimer, puis touchez Supprimer. Effacer tout le texte et les fichiers sans supprimer la conversation Touchez Modifier, puis Tout effacer. Supprimer une conversation Balayez la conversation, puis touchez Supprimer. Recherche de messages Vous pouvez également effectuer des recherches dans le contenu des conversations dans la liste Messages. Rechercher une conversation : Touchez le champ de recherche, puis saisissez le texte à rechercher. Vous pouvez également chercher des conversations à partir de l’écran d’accueil. Consultez la section « Recherche » à la page 35. Chapitre 6 Les messages. 55Appareil photo 7 À propos d’Appareil photo Si vous disposez d’un iPad 2 ou ultérieur, vous pouvez à la fois prendre des photos et filmer des vidéos. L’appareil est doté d’une caméra à l’arrière, ainsi que d’une à l’avant pour utiliser FaceTime et faire des auto-portraits. Visionnez les photos et vidéos que vous YHQH]G·HQUHJLVWUHU Visionnez les photos et vidéos que vous YHQH]G·HQUHJLVWUHU Lancez ou DUUrWH] O·HQUHJLVWUHPHQW YLGpR Lancez ou DUUrWH] O·HQUHJLVWUHPHQW YLGpR &RPPXWDWHXU $SSDUHLO SKRWR9LGpR &RPPXWDWHXU $SSDUHLO SKRWR9LGpR Si Service de localisation est activé, des données de localisation sont associées aux photos et vidéos, et elles peuvent être utilisées par certaines apps et certains sites web de partage de photos. Consultez la section « Service de localisation » à la page 131. Remarque : Si Service de localisation est désactivé lorsque vous ouvrez Appareil photo, il peut vous être demandé de l’activer. Vous pouvez utiliser Appareil photo sans Service de localisation. Capture de photos et de vidéos Prendre une photo : Assurez-vous que le commutateur Photo/Vidéo est réglé sur , pointez l’iPad et touchez . Vous pouvez également prendre une photo en appuyant sur le bouton d’augmentation du volume. Enregistrer une vidéo : Faites glisser le commutateur Photo/Vidéo sur , puis touchez pour commencer ou arrêter l’enregistrement, ou appuyez sur le bouton d’augmentation du volume. Lorsque vous prenez une photo ou lancez l’enregistrement d’une vidéo, l’iPad émet un bruit d’obturateur. Vous pouvez contrôler le volume avec les boutons de volume ou le bouton latéral. 56Remarque : Dans certaines régions, le son d’obturateur n’est pas coupé par le bouton latéral. Un rectangle s’affiche brièvement pour indiquer la zone sur laquelle l’appareil photo fait la mise au point et règle l’exposition. Lorsque vous photographiez des personnes, l’iPad (3e génération) utilise la détection des visages pour faire automatiquement la mise au point et équilibrer l’exposition sur 10 visages au maximum. Un rectangle apparaît sur chaque visage détecté. Zoom avant ou arrière Pincez l’écran (caméra de derrière, en mode photo uniquement). Activer la grille Touchez Options. Régler l’exposition Touchez la personne ou l’objet sur l’écran. Verrouiller l’exposition Touchez l’écran et maintenez votre doigt jusqu’à ce que le rectangle clignote. Verrouillage AE apparaît sur l’écran, et l’exposition reste verrouillée jusqu’à ce que vous touchiez à nouveau l’écran. Prendre une copie d’écran Appuyez simultanément sur le bouton Veille/Éveil et le bouton principal , puis relâchez-les. La copie d’écran est ajoutée à votre album Pellicule. Remarque : Sur un iPad sans appareil photo, les copies d’écran sont ajoutées à votre album Photos enregistrées. Visionnage, partage et impression Les photos et vidéos que vous réalisez avec Appareil photo sont enregistrées dans votre album Pellicule. Consulter votre album Pellicule : Feuilletez de gauche à droite ou touchez la vignette qui se trouve dans le coin inférieur gauche de l’écran. Vous pouvez également afficher votre album Pellicule dans l’app Photos. Pour capturer davantage de photos ou de vidéos, touchez Terminé. Si Flux de photos iCloud est activé dans Réglages > iCloud, les nouvelles photos apparaissent également dans votre album Flux de photos et sont envoyées vers vos autres appareils iOS et ordinateurs. Consultez la section « Utilisation d’iCloud » à la page 20. Pour en savoir plus sur l’affichage et le partage de photos et de vidéos, consultez les sections « Partage de photos et de vidéos » à la page 66 et « Téléchargement de photos et de vidéos sur votre ordinateur » à la page 58. Afficher ou masquer les commandes lorsque vous regardez une photo ou une vidéo en plein écran Touchez l’écran. Envoyer une photo ou une vidéo par courrier électronique ou message texte Touchez . Envoyer une photo par Twitter Affichez la photo en plein écran, touchez , puis touchez Tweeter. Pour publier un Tweet, vous devez être connecté à votre compte Twitter. Accédez à Réglages > Twitter. Pour ajouter votre localisation, touchez Ajouter le lieu. Imprimer une photo Touchez . Consultez la section « Impression d’un document » à la page 36. Supprimer une photo ou une vidéo Touchez . Chapitre 7 Appareil photo 57Modification de photos Vous pouvez faire pivoter, améliorer et rogner les photos, ainsi que supprimer les yeux rouges L’amélioration améliore la luminosité générale, la saturation des couleurs et d’autres qualités d’une photo. Amélioration Rogner Rogner automatique Amélioration automatique Pivoter Pivoter Supprimer les yeux rouges Supprimer les yeux rouges Modifier une photo : Alors que la photo est en plein écran, touchez Modifier, puis choisissez un outil. Avec l’outil des yeux rouges, touchez chaque œil pour le corriger. Pour rogner, faites glisser les angles de la grille, faites glisser la photo pour la repositionner, puis touchez Rogner. Vous pouvez également toucher Imposer un format lorsque vous rognez une photo pour définir un rapport particulier. Ajustement des vidéos Vous pouvez supprimer des images au début et à la fin de la vidéo que vous venez de prendre ou de toute autre vidéo de votre album Pellicule. Vous pouvez remplacer la vidéo originale ou enregistrer la version raccourcie en tant que nouveau clip vidéo. Raccourcir une vidéo : Lors de la lecture d’une vidéo, touchez l’écran pour afficher les commandes. Faites glisser l’une des deux extrémités du visualiseur d’image en haut de la vidéo, puis touchez Raccourcir. Important : Si vous avez choisi Raccourcir l’original, les images supprimées de la vidéo d’origine le sont de manière permanente. Si vous avez choisi « Nouvel extrait », un nouveau clip vidéo raccourci est enregistré dans votre album Pellicule. La vidéo d’origine n’est pas modifiée. Téléchargement de photos et de vidéos sur votre ordinateur Vous pouvez télécharger les photos et les vidéos que vous avez prises avec Appareil photo vers des applications photo de votre ordinateur, comme iPhoto sur un Mac. Télécharger des photos et des vidéos sur votre ordinateur : Connectez l’iPad à votre ordinateur à l’aide du câble Dock Connector vers USB.  Mac : sélectionnez les photos et vidéos souhaitées, puis cliquez sur le bouton Importer ou Télécharger dans iPhoto ou toute autre application photo prise en charge sur votre ordinateur.  PC : suivez les instructions fournies avec votre application photo. Si vous supprimez les photos et vidéos de l’iPad lors du téléchargement sur l’ordinateur, celles-ci sont supprimées de votre album Pellicule. Vous pouvez utiliser la sous-fenêtre de réglages Photos d’iTunes pour synchroniser des photos et vidéos avec l’app Photos de l’iPad (les vidéos ne peuvent être synchronisées qu’avec un Mac). Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 22. 58 Chapitre 7 Appareil photoFlux de photos Grâce à Flux de photos, une fonctionnalité d’iCloud, les photos que vous prenez avec votre iPad sont automatiquement chargées dans iCloud et envoyées à tous vos autres appareils sur lesquels la fonction Flux de photos est activée. Les photos chargées dans iCloud à partir de vos autres appareils et ordinateurs sont transférées dans l’album Flux de photo de votre iPad. Consultez la section « Utilisation d’iCloud » à la page 20. Activer Flux de photos : Accédez à Réglages > iCloud > Flux de photos. Les photos que vous venez de prendre sont chargées dans Flux de photos lorsque vous quittez l’app Appareil photo, dès que l’iPad est connecté à Internet via Wi-Fi. Toutes les autres photos ajoutées à votre Pellicule (y compris les photos téléchargées à partir de courriers électroniques et messages texte, ainsi que les images enregistrées provenant de pages web, Photo Booth ou captures d’écran), sont également chargées dans Flux de photo et envoyées à vos autres appareils. Flux de photos peut partager jusqu’à 1 000 de vos photos les plus récentes entre vos appareils iOS. Vos ordinateurs peuvent conserver toutes vos photos de Flux de photos de façon permanente. Enregistrer des photos de Flux de photos sur l’iPad Dans votre album Flux de photos, touchez , sélectionnez les photos que vous souhaitez enregistrer, puis touchez Enregistrer. Supprimer une photo d’iCloud Dans votre album Flux de photos, sélectionnez la photo, puis touchez . Supprimer plusieurs photos d’iCloud Dans votre album Flux de photos, touchez , sélectionnez les photos que vous souhaitez supprimer, puis touchez Supprimer. Remarque : Pour supprimer des photos de Flux de photos, iOS 5.1 (ou version ultérieure) doit être installé sur votre iPad et sur tous vos autres appareils iOS. Pour en savoir plus, consultez la page support.apple.com/kb/HT4486?viewlocale=fr_FR. Bien que les photos supprimées sont retirées de Flux de photos sur vos appareils, les photos originales restent dans l’album Pellicule (ou Photos enregistrées) sur l’appareil d’où elles proviennent. Chapitre 7 Appareil photo 59FaceTime 8 À propos de FaceTime FaceTime vous permet de passer des appels vidéo via Wi-Fi. Utilisez la caméra de devant pour parler en face à face, ou la caméra de derrière pour partager ce que vous voyez autour de vous. Pour utiliser FaceTime, vous avez besoin d’un iPad 2 ou ultérieur et d’une connexion Wi-Fi à Internet. Consultez la section « Réseau » à la page 134. Votre interlocuteur doit également disposer d’un appareil iOS ou d’un ordinateur compatible FaceTime. Remarque : FaceTime peut ne pas être disponible dans toutes les régions. Faites glisser votre image GDQVQ·LPSRUWHTXHOFRLQ Faites glisser votre image GDQVQ·LPSRUWHTXHOFRLQ %DVFXOH]HQWUH OHVFDPpUDV %DVFXOH]HQWUH OHVFDPpUDV 6LOHQFH YRXVSRXYH] HQWHQGUHHWYRLU¬ O·LQWHUORFXWHXUSHXWYRLU PDLVSDVHQWHQGUH  6LOHQFH YRXVSRXYH] HQWHQGUHHWYRLU¬ O·LQWHUORFXWHXUSHXWYRLU PDLVSDVHQWHQGUH  60Passage d’un appel FaceTime Pour passer un appel FaceTime, choisissez quelqu’un parmi vos contacts, vos favoris ou votre liste d’appels récents. Lorsque vous ouvrez FaceTime, il est possible que vous soyez invité à vous connecter avec votre identifiant Apple ou à créer un nouveau compte. Appeler un contact : Touchez Contacts, choisissez un nom, puis touchez le numéro de téléphone ou l’adresse électronique utilisée par la personne pour FaceTime. FaceTime doit être activé dans Réglages > FaceTime. Rappeler l’interlocuteur d’un appel récent Touchez Appels, puis choisissez l’appel dans la liste. Ajouter un favori Touchez Favoris, touchez , choisissez un contact, et sélectionnez le numéro de téléphone ou l’adresse électronique utilisée par la personne pour FaceTime. Appeler un favori Touchez Favoris, puis touchez un nom ou un numéro dans la liste. Ajouter un contact Touchez Contacts, puis touchez . Si le contact est situé hors de votre région, assurez-vous de composer le numéro complet, y compris le code du pays et de la zone géographique. Régler les options de FaceTime Accédez à Réglages > FaceTime. En cours d’appel FaceTime Pendant que vous parlez à quelqu’un grâce à FaceTime, vous pouvez basculer entre les caméras, changer l’orientation de l’iPad, passer votre microphone en mode silence, déplacer votre incrustation, ouvrir une autre app et mettre fin à l’appel. Basculer entre la caméra de devant et la caméra de derrière Touchez . Changer l’orientation de l’iPad Faites pivoter l’iPad. L’image que voit votre interlocuteur se modifie en conséquence. Pour éviter les modifications involontaires d’orientation pendant que vous vous déplacez, verrouillez l’orientation de l’iPad. Consultez la section « Affichage en mode portrait ou paysage » à la page 16. Couper le son d’un appel Touchez . Votre interlocuteur peut toujours vous voir et vous pouvez toujours le voir et l’entendre. Déplacer votre incrustation Faites glisser la fenêtre en incrustation vers n’importe quel coin. Utiliser une autre app au cours d’un appel Appuyez sur le bouton principal , puis touchez une icône d’app. Vous pouvez continuer à parler à votre interlocuteur, mais sans vous voir. Pour revenir à l’appel, touchez la barre verte située en haut de l’écran. Mettre fin à l’appel Touchez . Chapitre 8 FaceTime 61Photo Booth 9 À propos de Photo Booth L’iPad 2 ou ultérieur vous permet de prendre facilement des photos grâce à Photo Booth. Rendez votre photo plus intéressante en appliquant un effet lors de sa prise. Photo Booth fonctionne avec les caméras de devant et de derrière. Sélection d’un effet Avant de prendre une photo, vous devez sélectionner un effet à lui appliquer. Sélectionner un effet : Touchez , puis touchez l’effet souhaité. Appliquer une distorsion à une image : Si vous sélectionnez un effet de distorsion, faites glisser votre doigt le long de l’écran pour modifier la distorsion. Vous pouvez également pincer, balayer ou faire pivoter l’image pour modifier la distorsion. 62Prise de photo Pour prendre une photo dans Photo Booth, il vous suffit de pointer votre iPad vers le sujet et de toucher. Prendre une photo : Pointez l’iPad et touchez . Lorsque vous prenez une photo, l’iPad émet un son d’obturateur Vous pouvez utiliser les boutons de volume situés sur le côté de l’iPad pour commander le volume sonore de l’obturateur. Vous n’entendrez rien si le bouton latéral est réglé sur Silence. Consultez la section « Boutons » à la page 10. Remarque : Dans certaines régions, les effets sonores sont émis même si le bouton latéral est ré- glé sur Silence. Basculer entre la caméra frontale et la caméra de derrière : Touchez au bas de l’écran. Examiner la photo que vous venez de prendre : Touchez la vignette de votre dernier cliché. Balayez vers la gauche ou la droite pour afficher davantage de vignettes. Si vous ne voyez pas les commandes, touchez l’écran pour les afficher. Supprimer une photo : Sélectionnez une vignette, puis touchez . Gérer les photos : Touchez une ou plusieurs vignettes. Touchez , puis touchez Envoyer, Copier ou Supprimer. Affichage et partage de photos Les photos que vous prenez avec Photo Booth sont enregistrées dans votre album Pellicule dans l’app Photos sur l’iPad. Afficher des photos de votre album Pellicule : Dans Photos, touchez votre album Pellicule. Pour faire défiler les photos, touchez le bouton de gauche ou de droite, ou balayez vers la gauche ou la droite. Consultez la section « Visionnage de photos et de vidéos » à la page 64. Vous pouvez utiliser Mail pour envoyer une photo Photo Booth dans un message électronique. Envoyer une photo par courrier électronique : Touchez une vignette pour sélectionner la photo, ou touchez à nouveau pour sélectionner plusieurs photos. Touchez , puis touchez le bouton Envoyer au bas de l’écran. Mail s’ouvre et crée un nouveau message auquel est jointe la photo. Téléchargement de photos sur votre ordinateur Téléchargez les photos prises avec Photo Booth vers des applications photo de votre ordinateur, comme iPhoto sur un Mac. Télécharger des images sur votre ordinateur : Connectez l’iPad à votre ordinateur à l’aide du câble Dock Connector vers USB.  Mac : Sélectionnez les photos souhaitées, puis cliquez sur le bouton Importer ou Télécharger dans iPhoto ou toute autre application photo prise en charge sur votre ordinateur.  PC : suivez les instructions fournies avec votre application photo. Si vous supprimez les photos de l’iPad lors de leur téléchargement sur l’ordinateur, celles-ci sont supprimées de votre album Pellicule. Vous pouvez utiliser la sous-fenêtre des réglages Photos sur iTunes pour synchroniser des photos avec l’app Photo sur l’iPad. Chapitre 9 Photo Booth 63Photos 10 Visionnage de photos et de vidéos Photos vous permet de visionner des photos et des vidéos que vous capturez ou synchronisez sur l’iPad dans :  votre album Pellicule : les photos et vidéos que vous prenez avec l’appareil photo intégré, ou que vous enregistrez à partir d’un courrier électronique, d’un message texte, d’une page web ou d’une capture d’écran ;  votre album Flux de photos : les photos provenant d’iCloud (consultez la rubrique « Flux de photos » à la page 59) ;  votre album Dernière import. : les photos et les vidéos importées à partir d’un appareil photo numérique, un appareil iOS ou une carte mémoire SD (consultez la section « Importation de photos et de vidéos » à la page 67) ;  votre photothèque et d’autres albums synchronisés à partir de votre ordinateur (consultez la rubrique « Synchronisation avec iTunes » à la page 22). Remarque : Sur un iPad sans caméra, l’album Pellicule s’appelle Photos enregistrées. Sélectionnez une photo à afficher. Sélectionnez une photo à afficher. Modifiez la photo. Modifiez la photo. Visionnez un diaporama. Visionnez un diaporama. Supprimez la photo. Supprimez la photo. Diffusez un diaporama vers un téléviseur HD à O·DLGHG·$LU3OD\ Diffusez un diaporama vers un téléviseur HD à O·DLGHG·$LU3OD\ 3DUWDJH]ODSKRWR DVVLJQH]ODjXQ FRQWDFWXWLOLVH]ODHQ IRQGG·pFUDQRX LPSULPH]OD 3DUWDJH]ODSKRWR DVVLJQH]ODjXQ FRQWDFWXWLOLVH]ODHQ IRQGG·pFUDQRX LPSULPH]OD 7RXFKH]O·pFUDQSRXU afficher les commandes. 7RXFKH]O·pFUDQSRXU afficher les commandes. 64Visionner des photos et des vidéos : Touchez l’un des boutons situés en haut de l’écran. Par exemple, touchez Album, puis touchez un album pour voir ses vignettes. Touchez une vignette pour afficher la photo ou la vidéo en plein écran. Vous pouvez également pincer pour ouvrir ou fermer un album, afficher une photo ou une vidéo en plein écran, ou revenir à l’affichage des vignettes. Les albums que vous synchronisez avec iPhoto 8.0 (iLife ’09) ou une version ultérieure, ou Aperture v3.0.2 ou une version ultérieure, peuvent être visionnés par événement ou par visage. Vous pouvez également visionner les photos par lieu si elles ont été prises avec un appareil photo prenant en charge la géolocalisation. Afficher ou masquer les commandes Touchez la photo ou la vidéo en plein écran. Visionner la photo ou la vidéo pré- cédente ou suivante Feuilletez vers la gauche ou la droite. Zoom avant ou arrière Pincez ou touchez deux fois. Effectuer un panoramique d’une photo Faites glisser la photo. Lire une vidéo Touchez au centre de l’écran. Diffuser une vidéo vers un téléviseur HD Consultez la section « Utilisation d’AirPlay » à la page 40. Modifier des photos ou raccourcir des vidéos Consultez les sections « Modification de photos » ou « Ajustement des vidéos » à la page 58. Affichage de diaporamas Afficher un diaporama : Touchez Diaporama. Sélectionnez des options de diaporama, puis touchez Démarrer le diaporama. Diffuser un diaporama vers un télé- viseur HD Consultez la section « Utilisation d’AirPlay » à la page 40. Arrêter un diaporama Touchez l’écran. Régler des options supplémentaires Accédez à Réglages > Photos. Organisation de photos et de vidéos Vous pouvez créer, renommer et supprimer des albums sur l’iPad afin d’organiser vos photos et vos vidéos. Créer un album : Alors que vous visionnez des albums, touchez Modifier, puis Ajouter. Sélectionnez les photos à ajouter au nouvel album, puis touchez OK. Remarque : Les albums créés sur l’iPad ne sont pas synchronisés vers votre ordinateur. Renommer un album Touchez Modifier, puis sélectionnez un album. Réorganiser les albums Touchez Modifier, puis faites glisser vers le haut ou le bas. Supprimer un album Touchez Modifier, puis touchez . Chapitre 10 Photos 65Partage de photos et de vidéos Envoyer une photo ou une vidéo dans un courrier électronique, un message texte ou un Tweet : Choisissez une photo ou une vidéo, puis touchez . Si vous ne voyez pas , touchez l’écran pour afficher les commandes. Pour publier un Tweet, vous devez être connecté à votre compte Twitter. Accédez à Réglages > Twitter. La taille maximale des pièces jointes dépend de votre fournisseur de services. Si nécessaire, l’iPad peut compresser les photos et les vidéos en pièces jointes. Envoyer plusieurs photos ou vidéos Alors que les vignettes sont affichées, touchez , sélectionnez les photos ou les vidéos, puis touchez Partager. Copier une photo ou une vidéo Touchez , puis touchez Copier. Copier plusieurs photos ou vidéos Touchez , sélectionnez les photos et les vidéos, puis touchez Copier. Coller une photo ou une vidéo dans un courrier électronique ou un message texte Maintenez le doigt sur l’emplacement où vous souhaitez placer la photo ou la vidéo, puis touchez Coller. Enregistrer une photo ou une vidéo à partir d’un courrier électronique Touchez l’écran pour télécharger l’élément si nécessaire, touchez la photo ou maintenez le doigt sur la vidéo, puis touchez Enregistrer. Enregistrer une photo ou une vidéo à partir d’un message texte Touchez l’image dans la conversation, , puis Enregistrer. Enregistrer une photo à partir d’une page web Touchez la photo et maintenez votre doigt dessus, puis sélectionnez Enregistrer l’image. Les photos et les vidéos que vous recevez ou que vous enregistrez à partir d’une page web sont enregistrées dans votre album Pellicule (ou dans Photos enregistrées sur un iPad sans caméra). Impression de photos Imprimer une photo : Touchez , puis Imprimer. Imprimer plusieurs photos : Pendant que vous visionnez un album photo, touchez . Sélectionnez les photos à imprimer puis touchez Imprimer. Pour en savoir plus, consultez la section « Impression » à la page 36. Utilisation du mode Cadre photo Lorsque l’iPad est verrouillé, vous pouvez afficher un diaporama de la totalité de vos photos ou d’albums sélectionnés. Démarrer Cadre photo : Appuyez sur le bouton Veille/Éveil pour verrouiller l’iPad, appuyez à nouveau sur le bouton pour activer l’écran, puis touchez . Mettre le diaporama en pause Touchez l’écran. Arrêter le diaporama Mettez le diaporama en pause, puis touchez . Régler les options de Cadre photo Accédez à Réglages > Cadre photo. Désactiver Cadre photo Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code. 66 Chapitre 10 PhotosImportation de photos et de vidéos Avec le kit de connexion d’appareil photo iPad (vendu séparément), vous pouvez importer des photos et des vidéos directement depuis un appareil photo numérique, un autre appareil iOS avec un appareil photo, ou une carte mémoire SD. Importer des photos : 1 Insérez le lecteur de carte SD ou le connecteur d’appareil photo inclus dans le kit de connexion d’appareil photo iPad dans le port de connexion Dock de l’iPad.  Pour connecter un appareil photo ou un appareil iOS : Utilisez le câble USB fourni avec l’appareil photo ou l’appareil iOS, et connectez-le au port USB du connecteur d’appareil photo. Si vous utilisez un appareil iOS, vérifiez qu’il est allumé et déverrouillé. Pour connecter un appareil photo, vérifiez qu’il est allumé et réglé en mode transfert. Pour en savoir plus, consultez la documentation fournie avec l’appareil photo.  Pour utiliser une carte mémoire SD : Insérez la carte dans le logement du lecteur de carte SD. N’insérez pas la carte en force dans l’emplacement ; elle s’insère dans un sens uniquement. Pour en savoir plus, consultez la documentation du kit de connexion d’appareil photo iPad. 2 Déverrouillez l’iPad. 3 L’app Photos s’ouvre automatiquement et affiche les photos et vidéos disponibles pour l’importation. 4 Sélectionnez les photos et vidéos que vous souhaitez importer.  Pour importer tous les éléments : Touchez Tout importer.  Pour importer seulement certains des éléments : Touchez ceux que vous souhaitez inclure (une coche doit apparaître sur chacun d’eux), touchez Importer, puis Importer la sélection. 5 Une fois que les photos et vidéos sont importées, conservez-les sur la carte, l’appareil photo ou l’appareil iOS, ou supprimez-les. 6 Déconnectez le lecteur de carte SD ou le connecteur d’appareil photo. Pour afficher les photos, ouvrez l’album Dernière import. Un nouvel événement contient toutes les photos sélectionnées pour l’importation. Pour transférer les photos vers votre ordinateur, connectez l’iPad à votre ordinateur et importez les images avec une app de photo telle qu’iPhoto ou Adobe Elements. Chapitre 10 Photos 67Vidéos 11 À propos de Vidéos L’iPad vous permet de visionner des films, des clips vidéo, des podcasts vidéo et, si elles sont disponibles dans votre région, des séries TV. L’iPad prend également en charge des fonctionnalités spéciales telles que les chapitres, les sous-titres, les autres sources audio et le sous-titrage codé. Vous pouvez louer et acheter des vidéos dans l’iTunes Store, et utiliser un câble adaptateur vidéo pour visionner des vidéos sur un téléviseur ou un projecteur. Si vous disposez d’une Apple TV, vous pouvez utiliser AirPlay pour regarder des vidéos sans fil sur un téléviseur. Lecture de vidéos Visionner une vidéo : Touchez Vidéos, puis touchez une catégorie de vidéos, par exemple Films. Touchez la vidéo que vous souhaitez regarder. Si la vidéo comporte des chapitres, touchez Chapitres, puis touchez un titre de chapitre ou seulement . &DUV¬ &DUV¬ © Disney/Pixar. © Disney/Pixar. Faites glisser pour avancer ou reculer. Faites glisser pour avancer ou reculer. Touchez la vidéo pour afficher ou masquer les commandes. Touchez la vidéo pour afficher ou masquer les commandes. Regardez la vidéo sur un téléviseur avec une $SSOH¬79 Regardez la vidéo sur un téléviseur avec une $SSOH¬79 Faites glisser pour ajuster le volume. Faites glisser pour ajuster le volume. Afficher ou masquer les commandes de lecture Touchez l’écran lors de la lecture d’une vidéo. Ajuster le volume Faites glisser le curseur de volume, ou utilisez les boutons de volume situés sur le côté de l’iPad ou les boutons d’une oreillette compatible. Visualiser en grand écran Faites pivoter l’iPad. Afficher une vidéo en plein écran ou l’adapter à la taille de l’écran Touchez deux fois l’écran. Sinon, touchez pour afficher la vidéo en plein écran ou pour l’adapter à la taille de l’écran. 68Mettre en pause ou reprendre la lecture Touchez ou , ou appuyez sur le bouton central (ou le bouton équivalent) d’une oreillette compatible. Reprendre depuis le début Si la vidéo contient des chapitres, faites glisser la tête de lecture tout à fait vers la gauche sur la barre de défilement. Si la vidéo ne contient pas de chapitres, touchez . Si la vidéo a débuté depuis moins de 5 secondes, la vidéo précédente dans votre bibliothèque s’ouvre. Passer à un autre chapitre Touchez OK, touchez Chapitres, puis choisissez un chapitre. (Cette option n’est pas toujours disponible.) Passer au chapitre suivant Touchez ou appuyez deux fois rapidement sur le bouton central (ou le bouton équivalent) d’une oreillette compatible. (Cette option n’est pas toujours disponible.) Passer au chapitre précédent Touchez ou appuyez trois fois rapidement sur le bouton central (ou le bouton équivalent) d’une oreillette compatible. Si la vidéo a débuté depuis moins de 5 secondes, la vidéo précédente dans votre bibliothèque s’ouvre. (Cette option n’est pas toujours disponible.) Effectuer un retour ou une avance rapide Maintenez le doigt sur ou . Passer à n’importe quel endroit d’une vidéo Faites glisser la tête de lecture le long du défileur. Faites glisser votre doigt vers le bas pour faire passer la vitesse de défilement de rapide à lente. Interrompre une vidéo Touchez OK. Lire une vidéo sur une Apple TV à l’aide d’AirPlay Touchez et choisissez une Apple TV. Consultez la section « Visionnage de vidéos sur un téléviseur » à la page 70. Sélectionner une autre langue audio Touchez , puis choisissez une langue dans la liste Audio. (Cette option n’est pas toujours disponible.) Afficher ou masquer les sous-titres Touchez , puis choisissez une langue ou désactivez l’option dans la liste Sous-titres. (Cette option n’est pas toujours disponible.) Afficher ou masquer les sous-titres codés Accédez à Réglages > Vidéo. (Cette option n’est pas toujours disponible.) Visionnage de films en location Vous pouvez louer des films en définition standard ou en haute définition dans l’iTunes Store et les regarder sur votre iPad. Vous pouvez télécharger des films loués sur l’iPad ou les transférer d’iTunes sur votre ordinateur vers l’iPad. (Les films en location ne sont pas disponibles dans toutes les régions). Un film doit être entièrement téléchargé avant que vous puissiez le visionner. Vous pouvez interrompre un téléchargement et le poursuivre ultérieurement. Les films loués expirent au bout d’un nombre de jours donné ; une fois que vous avez commencé à visionner un film, vous disposez d’un temps limité pour le terminer. Les films sont ensuite automatiquement supprimés à leur expiration. Avant de louer un film, consultez l’iTunes Store pour connaître son délai d’expiration. Regarder un film loué : Touchez Films, touchez la vidéo que vous souhaitez regarder, puis sélectionnez un chapitre ou touchez simplement . Si la vidéo n’apparaît pas dans la liste, elle est peut- être en cours de téléchargement. Transférer des films loués vers l’iPad : Connectez l’iPad à votre ordinateur. Dans la barre laté- rale iTunes, sélectionnez l’iPad, cliquez sur Films, puis choisissez les films en location à transférer. Assurez-vous que votre ordinateur est connecté à Internet. Les films loués sur l’iPad ne peuvent pas être transférés sur un ordinateur. Chapitre 11 Vidéos 69Visionnage de vidéos sur un téléviseur Vous pouvez également diffuser des vidéos sans fil sur un téléviseur en utilisant AirPlay et une Apple TV, ou en connectant l’iPad à votre téléviseur à l’aide de l’un des câbles suivants :  un adaptateur AV numérique Apple et un câble HDMI ;  le câble composante AV Apple ;  le câble AV composite Apple ;  l’adaptateur VGA Apple et un câble VGA. Les câbles Apple sont vendus séparément dans de nombreux pays. Consultez la page www.apple.com/fr/store ou votre revendeur Apple local. Diffuser des vidéos à l’aide d’AirPlay : Lancez la lecture de la vidéo puis touchez et choisissez votre Apple TV dans la liste d’appareils AirPlay. Si n’apparaît pas ou si vous ne voyez pas votre Apple TV dans la liste des appareils AirPlay, assurez-vous qu’elle se trouve sur le même réseau sans fil que l’iPad. Pour en savoir plus, consultez la section « Utilisation d’AirPlay » à la page 40. Lors de la lecture de la vidéo, vous pouvez quitter Vidéos et utiliser d’autres applications. Pour revenir à la lecture sur votre iPad, touchez et choisissez l’iPad. Diffuser des vidéos à l’aide d’un câble : Utilisez le câble pour connecter l’iPad à votre téléviseur ou récepteur AV, et choisissez l’entrée correspondante. Connexion à l’aide d’un adaptateur AV numérique Apple Connectez l’adaptateur AV numérique Apple au connecteur Dock de l’iPad. Utilisez un câble HDMI pour connecter le port HDMI de l’adaptateur à votre téléviseur ou récepteur. Pour conserver l’iPad chargé tandis que vous regardez des vidéos, utilisez un câble Apple Dock Connector vers USB pour connecter le port à 30 broches de l’adaptateur à l’adaptateur secteur USB 10 W de l’iPad. Connexion à l’aide d’un câble AV Utilisez le câble Composante AV Apple, Composite AV Apple, ou tout autre câble compatible iPad autorisé. Vous pouvez également utiliser ces câbles avec la station d’accueil Apple Universal Dock pour connecter l’iPad à votre téléviseur. Utilisez la télécommande de la station d’accueil pour contrôler la lecture. Connexion à l’aide d’un adaptateur VGA Connectez l’adaptateur VGA au connecteur Dock de l’iPad. Connectez l’adaptateur VGA avec un câble VGA à un téléviseur, un projecteur ou un écran VGA compatible. Avec l’iPad 2 ou ultérieur, lorsque le câble est connecté à un téléviseur ou un projecteur, la recopie vidéo de l’écran de l’iPad s’effectue automatiquement sur l’écran externe en résolution 1080p au maximum, et les vidéos sont affichées en résolution 1080p au maximum. Certaines apps telles que Keynote peuvent utiliser l’affichage externe comme second moniteur vidéo. Avec les précédents modèles d’iPad, seules certaines apps (notamment YouTube, Vidéos et Photos) utilisent l’affichage externe. Avec l’iPad 2 ou ultérieur, vous pouvez également effectuer une recopie vidéo sans fil de l’écran sur un téléviseur à l’aide de la fonctionnalité Recopie vidéo d’AirPlay et de l’Apple TV. Consultez la section « Utilisation d’AirPlay » à la page 40. Si vous utilisez l’adaptateur AV numérique Apple ou le câble AV composants Apple, les vidéos en haute résolution sont affichées en qualité HD. 70 Chapitre 11 VidéosSuppression de vidéos de l’iPad Pour économiser de l’espace, vous pouvez supprimer des vidéos de l’iPad. Supprimer des vidéos : Dans la liste des vidéos, touchez un film et maintenez le doigt dessus jusqu’à ce que le bouton de suppression apparaisse, puis touchez . Touchez l’option Annuler ou le bouton principal lorsque vous avez terminé la suppression des vidéos. Lorsque vous supprimez une vidéo (autre qu’un film loué) de l’iPad, elle n’est pas supprimée de la bibliothèque iTunes de votre ordinateur. Vous pouvez la synchroniser à nouveau vers votre iPad ultérieurement. Si vous ne souhaitez pas synchroniser à nouveau la vidéo sur l’iPad, configurez iTunes de manière à ne plus le faire. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 22. Important : Si vous supprimez un film loué de votre iPad, il est supprimé définitivement et ne peut pas être transféré à nouveau vers votre ordinateur. Utilisation de Partage à domicile Le partage à domicile vous permet de lire de la musique, des films et des séries TV sur l’iPad à partir de la bibliothèque iTunes de votre Mac ou PC. Consultez la section « Partage à domicile » à la page 95. Chapitre 11 Vidéos 71YouTube 12 À propos de YouTube YouTube vous permet de regarder des vidéos de courte durée envoyées par des internautes du monde entier. Certaines fonctionnalités de YouTube nécessitent un compte YouTube. Pour créer un compte, accédez au site www.youtube.com. Vous ne pouvez utiliser YouTube que lorsque l’iPad est connecté à Internet. Consultez la section « Réseau » à la page 134. Remarque : YouTube n’est pas disponible dans toutes les langues et dans tous les pays. Exploration et recherche de vidéos Explorer les vidéos : Touchez un bouton de navigation dans la partie inférieure de l’écran. Rechercher une vidéo Touchez le champ de recherche, saisissez un mot ou une phrase, puis touchez Rechercher. Pour afficher d’autres vidéos de cet utilisateur YouTube Lors de la lecture en plein écran, touchez l’écran pour afficher les commandes, puis touchez . Dans la barre latérale, touchez « Du même auteur ». Vous devez avoir ouvert une session sur votre compte YouTube. Afficher des vidéos similaires à celle-ci Dans la barre latérale, touchez « Similaires ». 72Lecture de vidéos Regarder une vidéo : Touchez une vidéo pendant votre exploration. La lecture commence dès qu’une quantité suffisante de la vidéo est téléchargée sur l’iPad. Touchez pour démarrer la vidéo plus rapidement. Faites glisser pour avancer ou reculer. Faites glisser pour avancer ou reculer. Touchez la vidéo pour afficher ou masquer les commandes. Touchez la vidéo pour afficher ou masquer les commandes. Faites glisser pour ajuster le volume. Faites glisser pour ajuster le volume. Affichez les informations sur la vidéo, les vidéos connexes et les commentaires. Affichez les informations sur la vidéo, les vidéos connexes et les commentaires. Ajoutez cette vidéo à vos favoris YouTube. Ajoutez cette vidéo à vos favoris YouTube. Afficher ou masquer les commandes vidéo Touchez l’écran. Ajuster le volume Faites glisser le curseur de volume, ou utilisez les boutons de volume de l’iPad ou d’une oreillette compatible. Visualiser en plein écran Faites pivoter l’iPad en orientation paysage Si vous voyez encore les informations sur la vidéo, touchez . Basculer entre le plein écran et l’ajustement à l’écran Lorsque vous êtes en plein écran, touchez deux fois la vidéo. Vous pouvez également toucher pour afficher la vidéo en plein écran ou pour l’adapter à la taille de l’écran. Si vous ne voyez pas ces commandes, cela signifie que la vidéo est déjà parfaitement adaptée à la taille de l’écran. Mettre en pause ou reprendre la lecture Touchez ou . Vous pouvez également appuyer sur le bouton central (ou le bouton équivalent) d’un casque compatible. Reprendre depuis le début Touchez pendant la lecture de la vidéo. Si vous avez regardé moins de cinq secondes de la vidéo, vous passez à la vidéo précédente de la liste. Avance ou retour rapides Maintenez le doigt sur ou . Passer directement à un endroit quelconque Faites glisser la tête de lecture le long du défileur. Faites glisser votre doigt vers le bas pour faire passer la vitesse de défilement de rapide à lente. Passer à la vidéo précédente ou suivante dans une liste Touchez pour passer à la vidéo suivante. Touchez deux fois pour passer à la vidéo précédente. Si vous avez regardé moins de cinq secondes de la vidéo, touchez une seule fois. Interrompre une vidéo Touchez OK. Lire une vidéo sur une Apple TV à l’aide d’AirPlay Touchez et choisissez Apple TV. Pour en savoir plus, consultez la section « Utilisation d’AirPlay » à la page 40. Chapitre 12 YouTube 73Suivi des vidéos que vous appréciez Afficher les commandes pour la gestion des vidéos : Lors de la lecture d’une vidéo en plein écran, touchez l’écran pour afficher les commandes de lecture, puis touchez . Ajouter une vidéo aux favoris Touchez Ajouter puis sélectionnez Favoris. Lorsque vous regardez la vidéo, touchez . Ajouter une vidéo à une liste de lecture Touchez Ajouter, puis sélectionnez la liste. Si vous ne voyez pas vos listes, connectez-vous. Vous abonner à des vidéos de cet utilisateur YouTube Touchez Autres vidéos, puis S’abonner. Vous devez avoir ouvert une session sur votre compte YouTube. Supprimer un favori Touchez Favoris, puis Modifier. Supprimer une vidéo d’une liste ou la totalité d’une liste Touchez Listes, puis Modifier. Signaler une vidéo Touchez . Partage de vidéos, commentaires et classements Afficher les commandes pour le partage, les commentaires et les évaluations : Lors de la lecture d’une vidéo en plein écran, touchez l’écran pour afficher le contrôleur, puis touchez . Noter une vidéo Touchez J’aime ou Je n’aime pas. Vous devez avoir ouvert une session sur votre compte YouTube. Ajouter un commentaire Touchez Commentaires, puis touchez le champ de commentaire. Vous devez avoir ouvert une session sur votre compte YouTube. Ajouter une vidéo aux favoris ou à une liste Touchez Ajouter puis sélectionnez Favoris ou une liste. Envoyer un lien vers une vidéo par courrier électronique Touchez Partager. Signaler une vidéo Touchez le film pour afficher la barre d’outils, puis touchez . Envoyer votre propre vidéo sur YouTube Ouvrez l’app Photos, sélectionnez la vidéo, puis touchez . Visionnage de vidéos YouTube sur un téléviseur Si vous disposez d’une Apple TV, vous pouvez utiliser AirPlay pour regarder des vidéos sur un télé- viseur. Consultez la section « Lecture de vidéos » à la page 73. Vous pouvez également utiliser un câble pour connecter l’iPad à votre téléviseur ou à un projecteur. Consultez la section « Visionnage de vidéos sur un téléviseur » à la page 70. 74 Chapitre 12 YouTubeCalendrier 13 À propos de Calendrier Calendrier vous permet de facilement respecter votre planning. Vous pouvez afficher vos calendriers individuellement ou simultanément. Vous pouvez afficher vos événements par jour, par semaine, par mois ou dans une liste. Vous pouvez effectuer des recherches dans les titres, les invités, les emplacements et les notes des événements de vos calendriers. Si vous saisissez des anniversaires pour vos contacts, vous pouvez les afficher dans Calendrier. Vous pouvez également créer, modifier ou annuler des événements sur l’iPad, et les synchroniser avec votre ordinateur. Vous pouvez vous abonner aux calendriers iCloud, Google, Yahoo! ou iCal. Si vous disposez d’un compte Microsoft Exchange ou iCloud, vous pouvez recevoir des invitations et y répondre. Affichage de vos calendriers Vous pouvez afficher vos calendriers individuellement ou sous forme de calendrier combiné. Cela simplifie la gestion simultanée de vos calendriers professionnel et personnel. Choisissez un mode de visualisation. Choisissez un mode de visualisation. Ajoutez un événement. Ajoutez un événement. Touchez et faites glisser pour régler. Touchez et faites glisser pour régler. Changer de présentation : Touchez Liste, Jour, Année ou Mois. 75Afficher le calendrier des anniversaires Touchez Calendriers, puis touchez Anniversaires pour inclure les anniversaires de vos contacts à vos événements. Afficher les détails d’un événement Touchez l’événement. Vous pouvez toucher des informations sur l’événement pour obtenir des détails supplémentaires. Par exemple, si une adresse est précisée pour le lieu, touchez-la pour ouvrir Plans. Modifier ou supprimer un calendrier Touchez Calendriers, puis Modifier. Sélectionner les calendriers à afficher Touchez Calendriers, puis touchez les calendriers que vous souhaitez afficher. Les événements de tous vos calendriers sélectionnés apparaissent dans le même calendrier sur l’iPad. Ajout d’événements Vous pouvez ajouter et modifier des événements de calendrier directement sur l’iPad. Ajouter un événement : Touchez et saisissez les informations sur l’événement, puis touchez OK. Vous pouvez également maintenir le doigt pour ajouter un nouvel événement à un emplacement vide sur un calendrier. Faites glisser les poignées pour ajuster la durée de l’événement. Régler une alerte Touchez Alerte, puis configurez une alerte entre cinq minutes et deux jours avant l’événement. Configurer une alerte par défaut pour les événements Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Notifications par défaut. Mettre à jour un événement Touchez Modifier, puis modifiez les informations de l’événement. Pour ajuster l’heure ou la durée d’un événement, maintenez le doigt sur l’événement pour le sélectionner. Ensuite, faites-le glisser vers une nouvelle heure ou faites glisser les poignées pour modifier sa durée. Supprimer un événement Touchez l’événement, touchez Modifier, puis faites défiler vers le bas et touchez Supprimer l’événement. Inviter d’autres personnes à un événement Touchez Invités pour sélectionner des personnes dans Contacts. Cette action nécessite un compte iCloud, Microsoft Exchange ou CalDAV. Réponse à des invitations Si vous disposez d’un compte iCloud ou Microsoft Exchange, ou d’un compte CalDAV pris en charge, vous pouvez recevoir des invitations à des réunions envoyées par d’autres personnes de votre société, et y répondre. Lorsque vous recevez une invitation, la réunion apparaît dans votre calendrier avec une ligne pointillée autour et apparaît dans l’angle inférieur droit de l’écran. Répondre à une invitation : Touchez une invitation à une réunion dans le calendrier, ou touchez pour afficher l’écran Événement et touchez l’invitation. Afficher les coordonnées de l’organisateur Touchez « Invitation de ». Consulter les autres invités Touchez Invités. Touchez un nom pour afficher les coordonnées de la personne. Ajouter des commentaires dans la réponse Touchez Annoter. Vos commentaires peuvent être consultés par l’organisateur, mais pas par les autres participants. Les commentaires peuvent ne pas être disponibles, en fonction du service de calendrier que vous utilisez. 76 Chapitre 13 CalendrierIndiquer votre disponibilité Touchez Disponibilité, et choisissez « occupé » ou « disponible ». Occupé identifie l’heure comme réservée lorsque quelqu’un vous invite à une réunion. Recherche dans les calendriers En présentation par liste, vous pouvez effectuer des recherches dans les champs de titres, d’invités, d’emplacements et de notes des événements de vos calendriers. Calendrier effectue la recherche dans les calendriers actuellement affichés. Rechercher des événements : Touchez Liste, puis saisissez le texte recherché dans le champ de recherche. Les événements de calendrier peuvent également être inclus dans les recherches effectuées à partir de l’écran d’accueil. Consultez la section « Recherche » à la page 35. Abonnement à des calendriers Vous pouvez vous abonner à des calendriers au format iCalendar (.ics). De nombreux services à base de calendrier, notamment iCloud, Yahoo!, Google et l’application iCal d’OS X, prennent en charge les abonnements aux calendriers. Les calendriers auxquels vous êtes abonné sont en lecture seule. Vous pouvez afficher les événements des calendriers auxquels vous êtes abonné sur l’iPad, mais vous ne pouvez pas les modifier, ni créer de nouveaux événements. S’abonner à un calendrier : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis touchez Ajouter un compte. Touchez Autre, puis S’abonner à un calendrier. Vous pouvez également vous abonner à un calendrier iCal (ou autre calendrier .ics) publié sur le Web en touchant un lien vers ce calendrier. Importation d’événements de calendrier depuis Mail Vous pouvez ajouter des événements à un calendrier en important un fichier de calendrier à partir d’un message électronique. Vous pouvez importer n’importe quel fichier de calendrier .ics standard. Importer des événements à partir d’un fichier de calendrier : Dans Mail, ouvrez le message et touchez le fichier de calendrier. Synchronisation de calendriers Vous pouvez synchroniser Calendrier de l’une des manières suivantes :  Sur iTunes : Utilisez la sous-fenêtre des réglages de l’appareil pour effectuer une synchronisation avec iCal ou Microsoft Entourage sur un Mac, ou Microsoft Outlook 2003, 2007, 2010 sur un PC, lorsque vous connectez l’iPad à votre ordinateur.  Dans Réglages : Activez les calendriers de votre compte iCloud, Microsoft Exchange, Google ou Yahoo! pour synchroniser les informations de votre calendrier via Internet, ou configurez un compte CalDAV si votre société ou organisation prend cela en charge. Consultez la section « Configuration de Mail et d’autres comptes » à la page 19. Chapitre 13 Calendrier 77Comptes de calendrier et réglages Plusieurs réglages sont disponibles pour Calendrier et vos comptes de calendrier. Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Les comptes de calendrier sont également utilisés pour synchroniser les tâches pour les rappels. Ajouter un compte CalDAV : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, touchez Ajouter un compte, puis Autre. Sous Calendriers, touchez Ajouter un compte CalDAV. Les options suivantes s’appliquent à tous vos calendriers : Régler le son des alertes de calendrier Accédez à Réglages > Sons > Alertes de calendrier. Synchroniser des événements passés Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Synchroniser, puis choisissez une période. Les événements futurs sont toujours synchronisés. Configurer des alertes sonores déclenchées à la réception d’une invitation à une réunion Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier et touchez « Alerte nouv. invitation ». Activer la prise en charge du fuseau horaire dans Calendrier Accédez à Réglages >Mail, Contacts, Calendrier > Heure locale, puis activez cette fonction. Définir un calendrier par défaut Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Calendrier par défaut. Utiliser iCloud pour maintenir Calendrier à jour sur vos appareils iOS et vos ordinateurs Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Calendrier. Consultez la section « Utilisation d’iCloud » à la page 20. Important : Lorsque l’option Heure locale est activée, Calendrier affiche les dates et heures des événements dans le fuseau horaire de la ville sélectionnée. Lorsque l’option Heure locale est dé- sactivée, Calendrier affiche les dates et heures des événements dans le fuseau local de votre lieu actuel, tel qu’indiqué par votre connexion Internet. Lorsque vous êtes en déplacement, l’iPad peut ne pas afficher les événements ou faire sonner les alertes à la bonne heure locale. Pour régler manuellement la bonne heure, consultez la section « Date et heure » à la page 138. 78 Chapitre 13 CalendrierContacts 14 À propos de Contacts Contacts vous permet d’accéder aisément à vos listes de contacts, et de les modifier, depuis vos comptes personnels, professionnels et d’entreprise. Vous pouvez effectuer des recherches dans la totalité de vos groupes. L’accès aux informations présentes dans Contacts est automatique, pour que vous puissiez adresser des courriers électroniques rapidement et facilement. Affichez dans Plans. Affichez dans Plans. Ajoutez ou modifiez des informations. Ajoutez ou modifiez des informations. Recherchez des contacts. Recherchez des contacts. Synchronisation des contacts Vous pouvez ajouter des contacts des manières suivantes :  Utilisez vos contacts iCloud. Consultez la section « Utilisation d’iCloud » à la page 20.  Sur iTunes, synchronisez vos contacts depuis Google ou Yahoo!, ou synchronisez à partir d’applications installées sur votre ordinateur. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 22.  Configurez un compte Microsoft Exchange sur l’iPad, avec Contacts activé. Consultez la section « Comptes de Contacts et réglages » à la page 81.  Configurez un compte LDAP ou CardDAV pour accéder à des répertoires d’entreprise ou d’école. Consultez la section « Comptes de Contacts et réglages » à la page 81.  Saisissez des contacts directement sur l’iPad. Consultez la section « Ajout et modification de contacts » à la page 80. 79Recherche de contacts Vous pouvez effectuer une recherche sur le titre, le prénom, le nom et le nom de la société dans vos contacts sur l’iPad. Si vous disposez d’un compte Microsoft Exchange, d’un compte LDAP ou d’un compte CardDAV, vous pouvez également effectuer des recherches dans ces contacts. Rechercher des contacts : Dans Contacts, touchez le champ de recherche, puis saisissez votre recherche. Rechercher dans une liste d’adresses globale Touchez Groupes, puis Annuaires au bas de la liste et tapez ce que vous recherchez. Rechercher sur un serveur LDAP Touchez Groupes, le nom du serveur LDAP, puis tapez ce que vous recherchez. Rechercher sur un serveur CardDAV Touchez Groupes, puis le groupe CardDAV « recherchable » au bas de la liste et tapez ce que vous recherchez. Enregistrer des coordonnées depuis un serveur GAL, LDAP ou CardDAV Recherchez les contacts que vous souhaitez ajouter, puis touchez Ajouter un contact. Les contacts peuvent également être trouvés par le biais des recherches effectuées à partir de l’écran d’accueil. Consultez la section « Recherche » à la page 35. Ajout et modification de contacts Ajouter un contact sur l’iPad : Touchez Contacts, puis . Si n’est pas visible, assurez-vous que vous ne consultez pas une liste de contacts LDAP, CalDAV ou GAL. Vous ne pouvez pas y ajouter des contacts. Modifier des coordonnées : Choisissez un contact, puis touchez Modifier. Ajouter un nouveau champ Touchez Ajouter un champ. Ajouter le nom d’utilisateur Twitter d’un contact Touchez Ajouter un champ, puis touchez Twitter. Modifier le libellé d’un champ Touchez le libellé et choisissez-en un autre. Pour ajouter un nouveau libellé, faites défiler vers le bas de la liste et touchez Ajouter un libellé personnalisé. Modifier la sonnerie ou le son SMS pour le contact Touchez le champ de sonnerie ou de son SMS, puis touchez un nouveau son dans Réglages >Sons. Supprimer un élément Touchez , puis touchez Supprimer. Attribuer une photo à un contact En mode d’édition, touchez Ajouter une photo ou touchez la photo existante. Vous pouvez choisir de prendre une photo avec l’appareil photo ou d’utiliser une photo existante. Pour importer des photos depuis les profils Twitter de vos contacts, accédez à Réglages > Twitter. Connectez-vous à votre compte Twitter, puis touchez Actualiser les contacts. Supprimer un contact Dans Contacts, choisissez un contact, puis touchez Modifier. Faites défiler vers le bas et touchez Supprimer le contact. 80 Chapitre 14 ContactsComptes de Contacts et réglages Vous pouvez ajouter des comptes de Contacts supplémentaires, et modifier la manière dont les noms des contacts sont triés et affichés. Ajouter un compte de Contacts : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis touchez Ajouter un compte. Pour modifier les réglages de Contacts, accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier afin d’accéder aux options suivantes : Régler l’ordre des contacts Touchez Ordre de tri, et choisissez le tri par le prénom ou le nom de famille. Régler l’affichage des contacts Touchez Ordre d’affichage, et choisissez l’affichage par le prénom ou le nom de famille. Définition de votre fiche Mes infos Touchez Mes Infos et sélectionnez la fiche de contact avec votre nom et vos informations dans la liste. La fiche Mes infos est utilisées par Safari et d’autres apps. Définir un compte Contacts par défaut Touchez Compte par défaut, puis choisissez un compte. Les nouveaux contacts que vous créez sans préciser un autre compte sont stockés ici. Utiliser iCloud pour maintenir Contacts à jour sur vos appareils iOS et vos ordinateurs Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Contacts. Consultez la section « Utilisation d’iCloud » à la page 20. Chapitre 14 Contacts 81Notes 15 À propos de Notes Avec son grand écran et son grand clavier à l’écran, l’iPad facilite la prise de notes. iCloud rend disponibles sur tous vos autres appareils iOS et ordinateurs les notes que vous prenez sur l’iPad. Vous pouvez lire et écrire des notes en mode portrait ou paysage. En mode portrait, touchez Notes pour afficher une liste de vos notes. En mode paysage, la liste des notes s’affiche sur la gauche ; la note ouverte est entourée en rouge. Rédaction et lecture de notes Les notes sont classées par date de modification, la plus récente apparaissant en haut de la liste. Les premiers mots de chaque note apparaissent dans la liste. Touchez une note dans la liste pour la lire ou la modifier. Ajouter une note : Touchez , saisissez la note, puis touchez OK. Envoyez la note par courrier électronique ou imprimez-la. Envoyez la note par courrier électronique ou imprimez-la. Supprimez la note. Supprimez la note. Touchez la note à afficher. Touchez la note à afficher. Ajoutez une note. Ajoutez une note. Affichez la note précédente ou suivante. Affichez la note précédente ou suivante. Lire une note : Touchez la note dans la liste, ou touchez ou pour afficher la note précédente ou suivante. Modifier une note Touchez la note, n’importe où, pour activer le clavier. Modifiez la note, puis touchez OK. Changer de police Accédez à Réglages > Notes. Supprimer une note Touchez au bas de la note. 82Utiliser iCloud pour maintenir vos notes à jour sur vos appareils iOS et ordinateurs Mac Accédez à Réglages > iCloud et activez Notes (activé par défaut). Consultez la section « Utilisation d’iCloud » à la page 20. Recherche dans les notes Vous pouvez effectuer une recherche dans le texte des notes pour trouver une note donnée. Rechercher des notes : Saisissez du texte dans le champ de recherche qui s’affiche en haut de la liste des notes. En mode portrait, touchez Notes pour afficher la liste des notes. Les résultats de la recherche apparaissent à mesure que vous tapez. Touchez le bouton du clavier pour masquer le clavier et afficher plus de résultats. Pour afficher une note, touchez-la dans la liste des résultats de la recherche. Impression ou envoi de notes par courrier électronique Impression ou envoi d’une note par courrier électronique : Touchez la note, puis . Pour envoyer une note par courrier électronique, l’iPad doit être configuré pour le courrier électronique. Consultez la section « Envoi de courrier électronique » à la page 48. Chapitre 15 Notes 83Rappels 16 À propos de Rappels Rappels vous permet d’organiser votre vie, avec des échéances et des listes. Rappels fonctionne avec vos comptes de calendrier. Ainsi, les modifications que vous apportez se mettent à jour automatiquement sur la totalité de vos appareils iOS et ordinateurs. Marquez un élément comme terminé. Marquez un élément comme terminé. Ajoutez un rappel. Ajoutez un rappel. Changez de présentation. Changez de présentation. Basculer entre la présentation par liste et par date : En haut de l’écran, touchez Liste ou Date. 84Configuration d’un rappel Ajouter un rappel : Dans Rappels, touchez , puis saisissez une description et touchez Fermer. Lorsque vous ajoutez un rappel, vous pouvez ajuster ses réglages : Définir un jour ou une heure pour un rappel Touchez le rappel, puis touchez M’avertir. Activez « À une date », puis définissez la date et l’heure du rappel. Les rappels arrivés à échéance apparaissent dans le Centre de notifications. Ajouter des notes à un rappel Touchez le rappel, puis touchez Plus. Touchez Notes. Déplacer un rappel vers une autre liste Touchez le rappel, puis touchez Plus. Touchez Liste et choisissez une autre liste. Pour créer ou modifier des listes, consultez « Gestion des rappels en présentation par liste » à la page 85. Supprimer un rappel Touchez un rappel, Plus, puis Supprimer. Modifier un rappel Touchez un rappel, puis touchez son nom. Marquer un rappel comme accompli Touchez la case située en regard du rappel de manière à ce qu’une coche apparaisse. Les rappels accomplis sont présents dans la liste Accompli. Consultez la section « Gestion des rappels accomplis » à la page 86. Régler le son des rappels Accédez à Réglages > Son. Utiliser iCloud pour maintenir Rappels à jour sur vos appareils iOS et vos ordinateurs Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Rappels. Consultez la section « Utilisation d’iCloud » à la page 20. Gestion des rappels en présentation par liste Avec l’organisation des rappels dans des listes, vous pouvez facilement séparer vos tâches professionnelles, personnelles ou autres. Rappels dispose d’une liste pour les rappels actifs, plus une liste intégrée pour les éléments accomplis. Vous pouvez ajouter d’autres listes personnalisées. Créer une liste : En haut de l’écran, touchez Liste, puis Modifier. Basculer entre les listes En présentation par liste, touchez la liste que vous souhaitez afficher. Afficher les éléments accomplis En présentation par liste, touchez Accompli. Changer l’ordre des listes En présentation par liste, touchez Modifier. Faites glisser situé à côté d’une liste pour modifier l’ordre. Vous ne pouvez pas déplacer une liste vers un autre compte et vous ne pouvez pas modifier l’ordre des rappels dans une liste. Supprimer une liste En présentation par liste, touchez Modifier. Touchez pour chaque liste que vous souhaitez supprimer. Lorsque vous supprimez une liste, tous les éléments présents dans celle-ci sont supprimés. Changer le nom d’une liste En présentation par liste, touchez Modifier. Touchez le nom que vous souhaitez modifier, puis saisissez un nouveau nom. Touchez OK. Configurer une liste par défaut pour les nouveaux rappels Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis touchez Liste par dé- faut sous le titre Rappels. Chapitre 16 Rappels 85Gestion des rappels en présentation par date Utilisez la présentation par date pour consulter et gérer les rappels possédant une échéance. Afficher les rappels pour une date : En haut de l’écran, touchez Date pour afficher les rappels du jour et les éléments non accomplis des jours précédents. Gestion des rappels accomplis Rappels garde la trace des éléments que vous avez marqués comme accomplis. Vous pouvez les afficher en présentation par liste ou par date, ou utiliser la vue des éléments accomplis. Afficher les éléments accomplis : Touchez le bouton Liste situé en haut de l’écran puis touchez Accompli. Marquer un rappel accompli comme non accompli Touchez pour supprimer la coche. L’élément est automatiquement déplacé vers son site d’origine. Synchroniser des rappels antérieurs Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Ensuite, sous Rappels, touchez Synchroniser. Ce réglage s’applique à tous vos comptes de rappel. Pour obtenir des résultats optimaux, ne synchronisez pas plus d’éléments antérieurs que nécessaire. Recherche dans les rappels Rechercher dans les rappels : Touchez le champ de recherche, puis saisissez une expression à rechercher. La recherche dans les rappels est effectuée par nom. Vous pouvez également chercher des rappels à partir de l’écran d’accueil. Consultez la section « Recherche Spotlight » à la page 135. 86 Chapitre 16 RappelsPlans 17 Recherche de lieux AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la conduite et la navigation en toute sécurité, consultez le Guide d’informations importantes sur le produit à l’adresse support.apple.com/fr_FR/manuals/ipad. 3OXVG·LQIRUPDWLRQV 3OXVG·LQIRUPDWLRQV 7RXFKH]GHX[IRLVSRXU HIIHFWXHUXQ]RRPDYDQWHW WRXFKH]DYHFGHX[GRLJWV SRXUHIIHFWXHUXQ]RRP DUULqUH2XELHQSLQFH] SRXUDJUDQGLURXUpGXLUH 7RXFKH]GHX[IRLVSRXU HIIHFWXHUXQ]RRPDYDQWHW WRXFKH]DYHFGHX[GRLJWV SRXUHIIHFWXHUXQ]RRP DUULqUH2XELHQSLQFH] SRXUDJUDQGLURXUpGXLUH 5pJOH]OHVRSWLRQVWHOOHVTXH O·DIILFKDJHGHODFLUFXODWLRQ RXODYXH6DWHOOLWH 5pJOH]OHVRSWLRQVWHOOHVTXH O·DIILFKDJHGHODFLUFXODWLRQ RXODYXH6DWHOOLWH ?*RRJOH'RQQpHV0DS?*RRJOH ?*RRJOH'RQQpHV0DS?*RRJOH 2EWHQH]XQLWLQpUDLUH HQYRLWXUHHQWUDQVSRUW SXEOLFRXjSLHG 2EWHQH]XQLWLQpUDLUH HQYRLWXUHHQWUDQVSRUW SXEOLFRXjSLHG 6DLVLVVH]OHWHUPHjUHFKHUFKHU 6DLVLVVH]OHWHUPHjUHFKHUFKHU $IILFKH]O·HQGURLWRVH WURXYHXQHHQWUHSULVHRX XQHSHUVRQQHGHYRWUH OLVWHGHFRQWDFWV $IILFKH]O·HQGURLWRVH WURXYHXQHHQWUHSULVHRX XQHSHUVRQQHGHYRWUH OLVWHGHFRQWDFWV $IILFKH]YRWUH HPSODFHPHQWDFWXHO $IILFKH]YRWUH HPSODFHPHQWDFWXHO Trouver un lieu : Touchez Recherche, puis touchez le champ de recherche pour activer le clavier. Saisissez une adresse ou d’autres informations, puis touchez Rechercher. Vous pouvez effectuer une recherche avec des informations telles que :  une intersection (« 8th et market ») ;  un quartier (« greenwich village ») ;  un repère (« guggenheim ») ;  un code postal ;  une entreprise ou un commerce (« cinémas », « restaurants san francisco ca », « apple inc new york »). 87Vous pouvez également toucher pour trouver la position d’un contact. Consulter le nom ou la description d’un lieu Touchez le repère. Consulter une liste des commerces trouvés au cours d’une recherche Touchez . Touchez un commerce pour voir son emplacement. Déterminer votre lieu actuel Touchez . Votre position actuelle est indiquée par un marqueur bleu. S’il n’est pas possible de déterminer votre position de manière précise, un cercle apparaît autour du marqueur. Plus le cercle est petit, plus la position est précise. Utiliser la boussole numérique Touchez à nouveau . L’icône devient alors et une petite boussole apparaît à l’écran. Marquer un lieu Maintenez le doigt sur le plan jusqu’à l’apparition du repère. Important : Les apps cartographiques, géodépendantes ou proposant des itinéraires reposent sur des services de données. Ces services de données sont susceptibles de changer et ne sont pas disponibles dans toutes les zones, ce qui rend indisponibles, inexacts ou incomplets les plans, itinéraires et informations dépendant de la position géographique. Comparez les informations fournies par l’iPad à ce que vous voyez autour de vous et fiez-vous aux panneaux de signalisation pour résoudre les divergences. Si la fonctionnalité Service de localisation est désactivée lorsque vous ouvrez Plans, il peut vous être demandé de l’activer. Vous pouvez utiliser Plans sans Service de localisation. Consultez la section « Service de localisation » à la page 131. Itinéraires Obtenir des itinéraires : 1 Touchez Itinéraire. 2 Entrez des lieux de départ et d’arrivée. Touchez pour choisir un lieu dans Signets (notamment votre position actuelle ou le repère), un lieu récent ou un contact. 3 Touchez Itinéraire, puis sélectionnez les indications en voiture ( ), en transport public ( ) ou à pied ( ). 4 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour afficher un itinéraire étape par étape, touchez Démarrer, puis touchez pour afficher le tronçon suivant de l’itinéraire.  Pour afficher l’itinéraire sous la forme d’une liste, touchez Démarrer, puis touchez . Touchez n’importe quel élément de la liste pour afficher un plan représentant ce tronçon du trajet. 5 Si plusieurs itinéraires apparaissent, choisissez celui que vous souhaitez utiliser. Si vous prenez les transports publics, touchez pour indiquer votre heure de départ ou d’arrivée, et pour choisir l’horaire du voyage. Touchez l’icône d’un arrêt pour connaître l’heure de départ du bus ou du train, et obtenir le lien d’accès aux coordonnées ou au site web de la compagnie de transport correspondante (le cas échéant). 88 Chapitre 17 PlansObtenir un itinéraire à partir d’un lieu sur le plan Touchez le repère, , puis Itinéraire vers ce lieu ou Itinéraire à partir de ce lieu. Associer un signet à un lieu Touchez « Ajouter aux signets ». Obtenir et partager des informations sur un lieu Passez un appel FaceTime (si disponible). Passez un appel FaceTime (si disponible). Consultez le site web. Consultez le site web. © 2012 Google. Données Map © 2012 Google. © 2012 Google. Données Map © 2012 Google. Obtenir et partager des informations sur un lieu : Touchez le repère, puis . Ajouter une entreprise à vos contacts Touchez « Ajouter aux contacts ». Envoyer votre lieu par courrier électronique, message texte ou Tweet Touchez Envoyer ce lieu. Pour publier un Tweet, vous devez être connecté à votre compte Twitter. Accédez à Réglages > Twitter. Affichage de l’état de la circulation Vous avez accès à l’état de la circulation sur les artères principales et les autoroutes sur le plan. Afficher l’état de la circulation : Touchez ou faites glisser l’angle inférieur droit de l’écran, puis activez Circulation. Selon l’état de la circulation, une couleur est attribuée aux rues et aux autoroutes :  gris : aucune donnée n’est disponible ;  vert : limitation de vitesse publiée ;  jaune : plus lent que la limitation de vitesse publiée ;  rouge : circulation discontinue. L’état de la circulation n’est pas disponible partout. Chapitre 17 Plans 89Affichages de plan © 2012 Google. Données Map © 2012 Google. © 2012 Google. Données Map © 2012 Google. Afficher une vue standard, satellite, mixte ou terrain : Touchez ou faites glisser l’angle inférieur droit de l’écran, puis sélectionnez la vue souhaitée. Accéder à la présentation Google Street d’un lieu : Touchez . Feuilletez vers la gauche ou vers la droite pour faire pivoter la vue panoramique sur 360° (l’encadré vous indique la présentation active). Touchez une flèche pour avancer dans la rue. Pour revenir à l’affichage du plan, touchez l’encadré du plan. Touchez pour revenir à O·DIILFKDJHGH ODFDUWH Touchez pour revenir à O·DIILFKDJHGH ODFDUWH ?*RRJOH ?*RRJOH Street View peut ne pas être disponible partout. 90 Chapitre 17 PlansMusique 18 Ajout de musique et d’audio Pour obtenir de la musique et d’autres contenus audio sur votre iPad :  Achetez et téléchargez du contenu dans l’iTunes Store sur l’iPad. Dans Musique, touchez Store pendant la navigation. Consultez la section Chapitre 19, « iTunes Store, » à la page 96.  Utilisez Téléchargement automatique pour télécharger automatiquement la nouvelle musique achetée sur vos autres appareils iOS et ordinateurs. Consultez la section « Utilisation d’iCloud » à la page 20.  Synchronisez avec iTunes sur votre ordinateur. Vous pouvez synchroniser tous vos fichiers multimédias, ou des morceaux sélectionnés et d’autres éléments. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 22.  Utilisez iTunes Match pour stocker votre bibliothèque musicale dans iCloud et y accéder sur tous vos appareils iOS et ordinateurs. Consultez la section « iTunes Match » à la page 93. Lecture de morceaux et d’autre contenu audio AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la perte d’audition, consultez le Guide d’informations importantes sur le produit à l’adresse support.apple.com/fr_FR/manuals/ipad. Vous pouvez écouter l’audio par le biais du haut-parleur intégré, d’écouteurs connectés au port écouteur ou d’une oreillette stéréo Bluetooh sans fil jumelée avec l’iPad. Lorsque des écouteurs sont connectés ou jumelés, aucun son ne provient du haut-parleur. Explorer votre collection : Touchez l’un des boutons situés au bas de l’écran. Vous pouvez explorer par liste de lecture, morceau, artiste ou album. Touchez Autre pour explorer par genre ou compositeur, ou pour voir vos podcasts. Écouter un morceau ou un autre article : Touchez l’article. Utilisez les commandes situées dans la partie supérieure de l’écran pour contrôler la lecture. 91Afficher l’écran À l’écoute : Touchez la vignette d’une pochette d’album en haut de l’écran. Faites glisser pour avancer ou reculer. Faites glisser pour avancer ou reculer. Réglez le volume. Réglez le volume. Retour Retour Parcourez vos morceaux de musique. Parcourez vos morceaux de musique. Liste de pistes Liste de pistes Passez des morceaux en cours de lecture au navigateur. Passez des morceaux en cours de lecture au navigateur. Créez une liste de lecture Genius. Créez une liste de lecture Genius. Lecture/Pause Lecture/Pause Répétition Répétition Ordre aléatoire Ordre aléatoire AirPlay AirPlay Répéter les morceaux Touchez . = répéter tous les morceaux de l’album ou de la liste = ne répéter que le morceau en cours de lecture = pas de répétition Lecture de morceaux dans un ordre aléatoire Touchez . = les morceaux sont lus aléatoirement = les morceaux sont lus dans l’ordre Passer à n’importe quel endroit d’un morceau Faites glisser la tête de lecture le long du défileur. Faites glisser votre doigt vers le bas pour ralentir la vitesse de défilement. Régler la vitesse de lecture des podcasts Touchez . Touchez à nouveau pour changer la vitesse. = lire à double vitesse. = lire à demi vitesse. = lire à vitesse normale. Répéter les 30 dernières secondes d’un podcast Touchez . Parcourir les morceaux d’une liste à l’aide de l’illustration À partir de l’écran À l’écoute, feuilletez de la gauche vers la droite. La lecture des morceaux commence automatiquement. Utiliser Ping Consultez la section « Suivi d’artistes et d’amis » à la page 98. Écoutez de la musique sur des haut-parleurs AirPlay ou sur une Apple TV. Touchez . Consultez la section « Utilisation d’AirPlay » à la page 40. Configurer des options de Musique Accédez à Réglages > Musique. 92 Chapitre 18 MusiqueLorsque vous utilisez une autre app, vous pouvez afficher les commandes de lecture audio en cliquant deux fois sur le bouton principal , puis en feuilletant au bas de l’écran de gauche à droite. Les commandes contrôlent l’app en cours d’exécution ou, si la musique est en pause, l’app la plus récemment exécutée. L’icône de l’app apparaît sur la droite. Touchez-la pour ouvrir l’app. Appuyez deux fois sur le bouton principal affiche également les commandes de lecture audio lorsque l’écran est verrouillé. Affichage des pistes d’un album Afficher toutes les pistes de l’album contenant le morceau à l’écoute : À partir de l’écran À l’écoute, touchez . (Touchez d’abord l’écran si les commandes n’apparaissent pas.) Touchez une piste pour la lire. Touchez à nouveau pour revenir à l’écran À l’écoute. En affichage de la liste des pistes, vous pouvez attribuer un classement aux morceaux. Utilisez les classements lors de la création de listes de lecture intelligentes sur iTunes. Recherche de contenu audio Vous pouvez effectuer des recherches sur les titres, les artistes, les albums et les compositeurs de morceaux, de podcasts et autres contenus audio présents sur l’iPad. Rechercher de la musique : Pendant la navigation, saisissez du texte dans le champ de recherche situé dans l’angle inférieur droit de l’écran. Vous pouvez aussi chercher du contenu audio dans l’écran d’accueil. Consultez la section « Recherche » à la page 35. iTunes Match iTunes Match stocke votre bibliothèque musicale dans iCloud (même les morceaux importés de CD), et vous permet de profiter de votre collection à tout moment et en tous lieux sur votre iPad et vos autres appareils iOS et ordinateurs. iTunes Match est disponible sous forme d’abonnement payant. Remarque : iTunes Match n’est pas disponible dans toutes les régions. Des frais de données cellulaires peuvent s’appliquer lorsque l’option Données cellulaires est activée dans Réglages > Musique. S’abonner à iTunes Match : Sur iTunes sur votre ordinateur, accédez à Store > Activer iTunes Match, puis cliquez sur le bouton S’abonner. Une fois que vous êtes abonné, iTunes ajoute votre musique, vos listes de lecture et mix Genius à iCloud. Vos morceaux correspondant à de la musique déjà présente dans l’iTunes Store deviennent automatiquement disponibles dans iCloud. Tout morceau restant est téléchargé. Vous pouvez télécharger et lire les morceaux disposant de correspondances en qualité iTunes Plus (AAC sans DRM à 256 kbit/s), même si votre original était de qualité inférieure. Pour en savoir plus, consultez la page www.apple.com/fr/icloud/features. Activer iTunes Match Accédez à Réglages > Musique. L’activation d’iTunes Match supprime la musique synchronisée de votre iPad et désactive les mix et listes de lecture Genius. Chapitre 18 Musique 93Genius Une liste Genius est une sélection de morceaux de votre bibliothèque qui s’accordent bien. Vous pouvez créer des listes Genius sur iTunes et les synchroniser avec l’iPad. Vous pouvez également créer et enregistrer des listes Genius directement sur l’iPad. Un mix Genius est une sélection de morceaux du même type de musique, recréée à partir de votre bibliothèque chaque fois que vous écoutez le mix. Pour utiliser Genius sur l’iPad, vous devez d’abord configurer Genius sur iTunes, puis synchroniser l’iPad avec iTunes. Les mix Genius sont synchronisés automatiquement, sauf si vous gérez manuellement votre musique et que vous avez choisi les mix que vous voulez synchroniser sur iTunes. Genius est un service gratuit, mais il requiert un identifiant Apple. Lorsque vous synchronisez un mix Genius, iTunes peut sélectionner et synchroniser des morceaux de votre bibliothèque que vous n’avez pas choisi de synchroniser. Lire un Mix Genius : Touchez Listes, puis touchez l’un des Mix Genius en haut des listes. Créer une liste Genius : Touchez un morceau, puis touchez dans la partie supérieure de l’écran. La liste Genius est ajoutée à vos listes de lecture, après les mix Genius. Enregistrer une liste Genius Affichez vos listes de lecture, touchez Liste Genius, puis touchez Enregistrer. La liste de lecture est renommée avec le titre du morceau que vous avez choisi. Actualiser une liste Genius Dans la liste, touchez Actualiser. Créer une liste Genius à partir d’un morceau différent Lancez la lecture d’un morceau, puis touchez . Supprimer une liste Genius Touchez la liste, puis . Les listes Genius créées sur un iPad sont copiées sur votre ordinateur lorsque vous effectuez une synchronisation avec iTunes. Remarque : Lorsqu’une liste Genius est synchronisée sur iTunes, vous ne pouvez pas la supprimer directement sur l’iPad. Utilisez iTunes pour modifier le nom de la liste de lecture, arrêter la synchronisation ou supprimer la liste de lecture. Listes de lecture Vous pouvez créer et modifier vos propres listes de lecture sur l’iPad ou modifier des listes de lecture synchronisées à partir d’iTunes sur votre ordinateur. Créer une liste de lecture : Affichez Listes de lecture, puis touchez Nouvelle vers le haut de l’écran. Saisissez et enregistrez un titre, sélectionnez des morceaux et des vidéos à inclure, puis touchez OK. Lorsque vous créez une liste de lecture puis synchronisez l’iPad à votre ordinateur, la liste de lecture est synchronisée dans votre bibliothèque iTunes. Modifier une liste de lecture : Affichez Listes de lecture et sélectionnez la liste de lecture. Touchez Modifier, puis : Pour ajouter d’autres morceaux : Touchez Nouveaux morceaux. Pour supprimer un morceau : Touchez . Lorsque vous supprimez un morceau d’une liste de lecture, il n’est pas supprimé de l’iPad. Pour déplacer un morceau vers le haut ou vers le bas dans la liste : Faites glisser . 94 Chapitre 18 MusiqueVos modifications sont copiées dans la liste de lecture de votre bibliothèque iTunes, soit lors de la prochaine synchronisation entre votre iPad et votre ordinateur, soit sans fil, par le biais d’iCloud, si vous êtes inscrit à iTunes Match. Supprimer une liste de lecture Dans Listes, maintenez votre doigt sur la liste, puis touchez . Supprimer un morceau de l’iPad Dans Morceaux, balayez le morceau, puis touchez Supprimer. Le morceau est supprimé de l’iPad, mais pas de votre bibliothèque iTunes sur votre Mac ou PC. Partage à domicile La fonction Partage à domicile vous permet de lire de la musique, des films et des séries TV sur l’iPad à partir de la bibliothèque iTunes de votre Mac ou PC. L’iPad et votre ordinateur doivent se trouver sur le même réseau Wi-Fi. Sur votre ordinateur, iTunes doit être ouvert, avec la fonction Partage à domicile activée et une session ouverte avec le même identifiant Apple que Partage à domicile sur l'iPad. Remarque : Partage à domicile requiert iTunes 10.2 ou ultérieur, disponible à l’adresse www.itunes.com/fr/download. Il est impossible de partager le contenu en prime, notamment les livrets numériques et iTunes Extras. Lire de la musique sur votre iPad à partir de votre bibliothèque iTunes de votre ordinateur : 1 Sur iTunes sur votre ordinateur, accédez à Avancé > Activer le partage à domicile. 2 Connectez-vous, puis cliquez sur Créer un partage à domicile. 3 Sur l’iPad, accédez à Réglages > Musique, puis ouvrez une session dans Partage à domicile à l’aide des mêmes identifiant et mot de passe Apple. 4 Dans Musique, touchez Plus, puis touchez Partagé et choisissez la bibliothèque de votre ordinateur. Revenir au contenu de l’iPad Touchez Partagé et choisissez Mon iPad. Chapitre 18 Musique 95iTunes Store 19 À propos de l’iTunes Store Utilisez l’iTunes Store pour ajouter du contenu à l’iPad. Vous pouvez parcourir et acheter de la musique, des séries TV, des livres audio et des sons d’alerte. Vous pouvez également acheter et louer des films, ou télécharger et lire des podcasts ou des collections iTunes U. Vous avez besoin d’un identifiant Apple pour acheter du contenu. Consultez la section « Réglages du Store » à la page 102. Remarque : L’iTunes Store n’est pas disponible dans toutes les zones géographiques, et son contenu varie en fonction de l’endroit. Les fonctionnalités sont susceptibles d’être modifiées. Pour accéder à l’iTunes Store, l’iPad doit disposer d’une connexion à Internet. Consultez la section « Réseau » à la page 134. Recherche de musique, vidéos, etc. Choisissez une catégorie. Choisissez une catégorie. Parcourir du contenu : Touchez l’une des catégories de contenu, par exemple Musique ou Vidéos. 96Rechercher du contenu Touchez le champ de recherche, saisissez un ou plusieurs mots, puis touchez Rechercher. Acheter un article, le recommander à un ami ou rédiger un avis Touchez un élément de la liste pour afficher des détails dans son écran Infos. Explorer les recommandations d’artistes et de vos amis Touchez Ping. Consultez la section « Suivi d’artistes et d’amis » à la page 98. Achat de musique, livres audio et sons Lorsque vous trouvez un morceau, un album, un son ou un livre audio qui vous plaît dans l’iTunes Store, vous pouvez l’acheter et le télécharger. Vous pouvez écouter un extrait de l’article avant de l’acheter pour vous assurer qu’il s’agit bien de celui que vous voulez. Écouter un extrait de morceau, de son ou de livre audio : Touchez l’article et suivez les instructions à l’écran. Utiliser une carte-cadeau ou un code Touchez Musique, sélectionnez Télécharger au bas de l’écran, puis suivez les instructions à l’écran. Lorsque vous êtes connecté à votre compte, le crédit restant est affiché avec les informations de votre identifiant Apple au bas de la plupart des écrans de l’iTunes Store. Compléter un album Pendant que vous visualisez un album, touchez le prix réduit correspondant aux morceaux restants, au-dessous de Compléter l’album (non disponible dans toutes les régions). Pour afficher les offres de complétion d’autres albums, touchez Musique, puis touchez Offres Compléter l’album. Télécharger un article acheté précédemment Touchez Achats. Vous pouvez également télécharger un article lorsque vous naviguez. Il vous suffit de toucher Télécharger là où vous voyez normalement le prix. Télécharger automatiquement des achats effectués sur d’autres appareils iOS et ordinateurs Accédez à Réglages > Store, puis activez les types d’achats que vous souhaitez télécharger automatiquement. Achat et location de vidéos L’iTunes Store vous permet d’acheter et de télécharger des films, des séries TV et des clips vidéo. Certains films peuvent également être loués pendant une période limitée. Le contenu vidéo peut être disponible en définition standard (SD), en haute définition (HD), ou les deux. Acheter ou louer une vidéo : Touchez Acheter ou Louer. Dès que vous avez acheté un article, son téléchargement commence et il apparaît sur l’écran Téléchargements. Consultez la section « Vérification de l’état de téléchargement » à la page 99. Visionner un extrait de vidéo Touchez Aperçu. Visualiser un extrait sur un téléviseur avec AirPlay et une Apple TV Lorsque l’extrait commence, touchez et choisissez Apple TV. Consultez la section « Utilisation d’AirPlay » à la page 40. Chapitre 19 iTunes Store 97Suivi d’artistes et d’amis Utilisez Ping pour vous connecter aux fans de musique les plus passionnés au monde. Suivez vos artistes favoris pour découvrir leurs nouveautés, et leurs concerts et tournées à venir, profitez d’un point de vue d’initié grâce à leurs photos et vidéos, et découvrez leurs influences musicales. Lisez les commentaires de vos amis à propos de la musique qu’ils écoutent et découvrez ce qu’ils les achètent et les concerts auxquels ils comptent assister. De plus, exprimez vos préférences musicales et publiez des commentaires pour ceux qui vous suivent. Pour créer et explorer des connexions musicales, vous devez créer un profil Ping. Créer un profil Ping : Ouvrez l’application iTunes sur votre Mac ou PC, cliquez sur Ping et suivez les instructions à l’écran. Suivre un artiste Touchez Suivre sur la page de profil de l’artiste. Suivre un ami Touchez Personnes, saisissez le nom de votre ami dans le champ de recherche, puis touchez Suivre. Lorsque vous suivez quelqu’un, il ne vous suit pas automatiquement. Dans votre profil, vous pouvez choisir d’approuver ou décliner au fur et à mesure les requêtes de suivi ou tout simplement accepter les nouvelles demandes de suivi sans les vérifier (le comportement par défaut). Faire part de vos pensées Tandis que vous explorez des albums et des morceaux, touchez Publier pour commenter un article ou touchez J’aime pour indiquer qu’il vous plaît. Vos amis verront ainsi vos pensées dans leur flux Activité Ping. Communiquer vos plans de concert Touchez Concerts sur votre page de profil pour voir les concerts à venir des artistes que vous suivez et savoir lesquels de vos amis vont à un concert donné. Touchez Billets pour acheter une place ou touchez J’y vais pour indiquer aux autres que vous y serez également. (Cette fonction n’est pas disponible dans toutes les régions.) Diffusion en continu ou téléchargement de podcasts Vous pouvez écouter des podcasts audio ou regarder des podcasts vidéo diffusés en continu sur Internet par le biais de l’iTunes Store. Vous avez également la possibilité de télécharger des podcasts vidéo et audio. Diffusion en continu d’un podcast : Touchez Podcasts pour parcourir les podcasts dans l’iTunes Store. Les podcasts vidéo sont indiqués par une icône de vidéo . Télécharger un podcast Touchez le bouton Gratuit, puis Télécharger. Les podcasts téléchargés apparaissent dans la liste de lecture Podcasts. Écouter ou regarder un podcast téléchargé Dans Musique, touchez Podcasts, puis touchez le podcast. Les podcasts vidéo apparaissent également dans votre liste de vidéos. 98 Chapitre 19 iTunes StoreVérification de l’état de téléchargement Vous pouvez consulter l’écran Téléchargements pour voir l’état des téléchargements en cours et planifiés, y compris les achats en pré-commande. Afficher l’état des éléments en cours de téléchargement : Touchez Téléchargements. Les éléments en pré-commande ne sont pas téléchargés automatiquement lors de leur sortie. Retournez l’écran Téléchargements pour lancer le téléchargement. Télécharger un article en pré- commande Touchez l’article, puis . En cas d’interruption d’un téléchargement, celui-ci reprend la fois suivante où une connexion à Internet est disponible. Sinon, lorsque vous ouvrez iTunes sur votre ordinateur, iTunes termine le téléchargement dans votre bibliothèque iTunes (si votre ordinateur est connecté à Internet et que vous vous êtes connecté avec le même identifiant Apple). Affichage des informations du compte Pour visualiser les informations iTunes Store pour votre identifiant Apple sur l’iPad, touchez votre identifiant Apple (au bas de la plupart des écrans de l’iTunes Store). Sinon, accédez à Réglages > Store, puis touchez Afficher l’identifiant Apple. Vous devez être connecté pour afficher les informations de votre compte. Consultez la section « Réglages du Store » à la page 102. Vérification des téléchargements Vous pouvez utiliser iTunes sur votre ordinateur pour vérifier que tous les morceaux, vidéos, apps et autres articles que vous avez achetés dans l’iTunes Store ou l’App Store se trouvent dans votre bibliothèque iTunes. Procédez ainsi si un téléchargement s’est interrompu. Vérifier vos téléchargements : Sur iTunes sur votre ordinateur, accédez à Store > Rechercher les téléchargements disponibles. Pour voir tous vos achats, connectez-vous avec votre identifiant Apple, accédez à Store > Voir mon compte, et cliquez sur Historique d’achats. Chapitre 19 iTunes Store 99App Store 20 À propos de l’App Store Vous pouvez directement rechercher, explorer, acheter et télécharger des apps à partir de l’App Store sur votre iPad, ainsi que rédiger des avis. Remarque : L’App Store n’est pas disponible dans tous les pays et régions, et son contenu varie en fonction de l’endroit. Les fonctionnalités sont susceptibles d’être modifiées. Pour pouvoir explorer l’App Store, l’iPad doit être connecté à Internet. Consultez la section « Réseau » à la page 134. Pour acheter des apps, vous devez disposer d’un identifiant Apple. Consultez la section « Réglages du Store » à la page 102. Vérifiez les mises à jour des apps. Vérifiez les mises à jour des apps. 100Recherche et téléchargement d’apps Parcourez les sélections d’apps nouvelles, spéciales ou recommandées ou le Top 25 pour afficher les apps les plus populaires. Si vous recherchez une app donnée, utilisez Recherche. Explorer l’App Store : Touchez Sélection, Catégories ou Classements. Explorer à l’aide de Genius Touchez Genius pour afficher une liste des apps recommandées en fonction de ce qui se trouve dans votre collection d’apps. Pour activer Genius, suivez les instructions à l’écran. Genius est un service gratuit, mais vous devez disposer d’un identifiant Apple. Rechercher des apps Touchez Recherche puis le champ de recherche, saisissez un ou plusieurs mots, puis touchez Rechercher. Envoyer un lien par courrier électronique vers la page d’information d’une app sur iTunes Touchez « Recommander à un ami ». Envoyer une app en cadeau à quelqu’un Touchez « Offrir l’app », puis suivez les instructions à l’écran. Signaler un problème Touchez « Signaler un problème ». Sélectionnez un problème dans la liste ou tapez des commentaires facultatifs, et touchez Signaler. Acheter et télécharger une app Touchez le prix (ou touchez Gratuit), puis touchez Acheter. Si vous avez déjà acheté l’app, le mot « Installer » s’affiche à la place du prix sur l’écran d’informations. Vous n’êtes pas facturé si vous la téléchargez à nouveau. Utiliser une carte-cadeau ou un code Touchez Code au bas de l’écran Sélection et suivez les instructions à l’écran. Consulter le statut des téléchargements Lorsque vous commencez à télécharger une app, son icône s’affiche sur l’écran d’accueil avec une barre de progression. Télécharger une app achetée précédemment Touchez Achats, trouvez l’app dans la liste, puis touchez Télécharger. Vous pouvez également télécharger un article lorsque vous naviguez. Il vous suffit de toucher Télécharger là où vous voyez normalement le prix. Télécharger automatiquement des achats effectués sur d’autres appareils iOS et ordinateurs Accédez à Réglages > Store, puis activez les types d’achats que vous souhaitez télécharger automatiquement. Suppression d’apps Vous pouvez supprimer des apps installées à partir de l’App Store. Si vous supprimez une app, les données associées à cette app sont également supprimées. Supprimer une app de l’App Store : Touchez l’icône de l’app sur l’écran d’accueil et maintenez le doigt dessus jusqu’à ce que les icônes se mettent à bouger, puis touchez . Appuyez sur le bouton principal lorsque vous avez terminé la suppression des apps. Pour obtenir des informations sur la réinitialisation de l’iPad afin d’effacer toutes les apps et la totalité de vos données et réglages, consultez la section « Réinitialisation » à la page 139. Chapitre 20 App Store 101Réglages du Store Utilisez les réglages Store pour vous connecter à l’aide d’un identifiant Apple, créer un nouvel identifiant Apple ou en modifier un existant. Si vous disposez de plusieurs identifiants Apple, vous pouvez utiliser les réglages Store pour vous déconnecter et vous connecter à l’aide d’un autre identifiant Apple. Consultez la page www.apple.com/fr/legal/itunes/ww/ pour connaître les conditions générales de l’iTunes Store. Se connecter à l’aide d’un identifiant Apple : Accédez à Réglages > Store, touchez Connexion, puis touchez Utiliser votre identifiant, et saisissez votre identifiant Apple et votre mot de passe. Consulter et modifier les informations relatives à votre compte Accédez à Réglages > Store, touchez votre identifiant Apple, puis touchez Afficher l’identifiant Apple. Touchez un élément pour le modifier. Pour modifier votre mot de passe, touchez le champ Identifiant Apple. Se connecter avec un autre identifiant Apple Accédez à Réglages > Store, touchez votre nom de compte, puis Déconnexion. Créer un nouvel identifiant Apple Accédez à Réglages > Store, touchez Connexion, touchez Créer un nouvel identifiant Apple et suivez les instructions à l’écran. Télécharger automatiquement les achats Accédez à Réglages > Store, puis activez les types d’achats, tels que Musique ou Livres, que vous souhaitez télécharger automatiquement sur l’iPad. Vous pouvez également désactiver la mise à jour automatique des apps de Kiosque. Télécharger les achats à l’aide du réseau cellulaire Accédez à Réglages > Store, puis activez ou désactivez Données cellulaires. Le téléchargement des achats sur le réseau cellulaire peut induire des frais facturés par votre opérateur. Les apps de Kiosque ne se mettent à jour que lorsque l’iPad est connecté à un réseau Wi-Fi. Consultez la section Chapitre 21, « Kiosque, » à la page 103. 102 Chapitre 20 App StoreKiosque 21 À propos de Kiosque Kiosque organise vos abonnements aux apps de magazines et journaux avec une étagère qui vous permet d’accéder à vos publications rapidement et aisément. Les apps de Kiosque apparaissent sur l’étagère, et une pastille vous informe lorsque de nouveaux numéros sont disponibles. Ils apparaissent automatiquement sur l’iPad. Touchez une publication et maintenez le doigt dessus pour réorganiser. Touchez une publication et maintenez le doigt dessus pour réorganiser. Trouver des apps Kiosque : Touchez Kiosque pour afficher l’étagère, puis touchez Store. Lorsque vous achetez une app de kiosque, elle est ajoutée à votre étagère pour que vous puissiez y accéder facilement. Après le téléchargement de l’app, ouvrez-la pour consulter ses publications et les options d’abonnement. Les abonnements sont des achats intégrés, facturés au compte de votre identifiant Apple. Consultez la section « Réglages du Store » à la page 102. Les prix varient et les apps Kiosque peuvent ne pas être disponibles dans tous les pays et toutes les régions. 103Lecture des derniers numéros Lorsque paraît un nouveau numéro d’un journal ou d’un magazine, Kiosque le télécharge automatiquement lors d’une connexion Wi-Fi et vous informe en affichant une pastille sur l’icône de l’app. Pour commencer la lecture, ouvrez Kiosque et cherchez les apps disposant d’une bannière qui indique un nouveau numéro. Chaque app dispose de sa propre méthode de gestion des numéros. Pour savoir comment supprimer, trouver ou travailler avec des numéros individuels, consultez la liste de l’App Store ou les informations d’aide de l’app. Vous ne pouvez pas retirer une app Kiosque de l’étagère, ni placer d’autres types d’apps sur cette dernière. Désactiver les téléchargements automatiques : Accédez à Réglages > Store, et désactivez les téléchargements automatiques pour la publication. 104 Chapitre 21 KiosqueiBooks 22 À propos d’iBooks L’app iBooks est un excellent moyen de lire et d’acheter des livres. Téléchargez l’app iBooks gratuite dans l’App Store et procurez-vous, sur l’iBookstore intégré, des livres de tous les genres, des grands classiques aux best-sellers. Une fois que vous avez téléchargé un livre, il s’affiche dans votre étagère. Pour télécharger l’app iBooks et utiliser l’iBookstore, vous devez disposer d’une connexion Internet et d’un identifiant Apple. Si vous ne disposez pas d’un identifiant Apple ou que vous souhaitez effectuer des achats avec un autre identifiant Apple, accédez à Réglages > Store. Consultez la section « Réglages du Store » à la page 102. Remarque : L’app iBooks et l’iBookstore ne sont pas disponibles dans toutes les langues ni dans toutes les régions. Utilisation de l’iBookstore Dans l’app iBooks, touchez Store pour ouvrir l’iBookstore. Vous pouvez ensuite parcourir les livres sélectionnés ou les best-sellers, et rechercher des livres par auteur ou par sujet. Lorsqu’un livre vous intéresse, vous pouvez l’acheter et le télécharger. Remarque : Certaines fonctions de l’iBookstore peuvent ne pas être disponibles partout. Acheter un livre : Trouvez un livre qui vous intéresse, touchez le prix, puis Acheter le livre ou, si le livre est gratuit, Obtenir le livre. Obtenir des informations sur un livre Vous pouvez lire un résumé du livre, consulter les avis et télécharger un extrait du livre avant de l’acheter. Après avoir acheté le livre, vous pouvez rédiger votre propre avis. Télécharger un achat antérieur Touchez Achats, ou touchez Télécharger là où vous voyez normalement le prix. Télécharger automatiquement des achats effectués sur d’autres appareils iOS et ordinateurs Accédez à Réglages > Store, puis activez les types d’achats que vous souhaitez télécharger automatiquement. 105Synchronisation de livres et de documents PDF Utilisez iTunes pour synchroniser vos livres et documents PDF entre l’iPad et votre ordinateur, et acheter des livres dans l’iTunes Store. Lorsque l’iPad est connecté à votre ordinateur, la sous-fenê- tre Livres vous permet de choisir quels éléments synchroniser. Vous pouvez également ajouter à votre bibliothèque iTunes des livres ePub sans DRM et des documents PDF. Des livres au format PDF et ePub sont disponibles sur le web. Synchroniser un livre ou un document PDF avec l’iPad : Sur iTunes sur votre ordinateur, choisissez Fichier > Ajouter à la bibliothèque, puis sélectionnez un fichier .pdf, .epub ou .ibooks. Connectez l’iPad à votre ordinateur, puis synchronisez-les. Pour ajouter un livre ou un document PDF à iBooks sans effectuer de synchronisation, envoyez le fichier sur votre messagerie électronique depuis votre ordinateur. Ouvrez le courrier électronique sur l’iPad, touchez la pièce jointe et maintenez le doigt dessus, puis choisissez « Ouvrir dans iBooks » dans le menu qui apparaît. Lecture de livres Il est facile de lire un livre. Dans l’étagère, touchez le livre que vous souhaitez lire. Si vous ne voyez pas le livre que vous recherchez, touchez Collections pour passer à d’autres collections. Ajoutez un signet. Ajoutez un signet. Touchez deux fois pour effectuer un zoom. Touchez deux fois pour effectuer un zoom. Allez sur une autre page. Allez sur une autre page. Lire un livre allongé : Utilisez le verrouillage de l’orientation pour que l’iPad ne fasse pas pivoter l’écran lorsque vous inclinez l’iPad. Consultez la section « Affichage en mode portrait ou paysage » à la page 16. Chaque livre dispose d’un ensemble de fonctionnalités spécifique, dépendant de son contenu et de son format. Il se peut que certaines des fonctions décrites ci-dessous ne soient pas disponibles dans le livre que vous lisez. Par exemple, l’impression n’est disponible qu’avec les documents PDF et, si un livre n’inclut pas l’enregistrement du récit, vous ne verrez pas l’icône Lire à voix haute. 106 Chapitre 22 iBooksAfficher les commandes Touchez au centre de la page. Tourner la page Touchez à proximité de la marge droite ou gauche d’une page, puis feuilletez vers la droite ou la gauche. Pour modifier la direction dans laquelle la page tourne lorsque vous touchez la marge gauche, accédez à Réglages > iBooks > Toucher marge gauche. Afficher la table des matières Touchez . Dans certains livres, vous pouvez également pincer l’écran pour consulter la table des matières. Ajouter ou supprimer un signet Touchez . Vous pouvez avoir plusieurs signets. Pour supprimer un signet, touchez-le. Vous n’avez pas besoin d’ajouter de signet lorsque vous fermez un livre, car iBooks enregistre automatiquement votre avancement. Ajouter ou supprimer un surlignage Touchez deux fois un mot, utilisez les points d’accroche pour ajuster la sé- lection, puis touchez Surlignage et choisissez une couleur. Pour supprimer un surlignage, touchez le texte surligné, puis . Pour souligner des mots, touchez . Pour changer la couleur, touchez le texte surligné, puis sélectionnez une couleur dans le menu. Ajouter, supprimer ou modifier une note Touchez deux fois un mot, puis touchez Note. Lorsque vous avez fini de rédiger la note, touchez un autre endroit de la page pour la fermer. Pour consulter une note, touchez l’indicateur qui se trouve dans la marge à proximité du texte surligné. Pour supprimer une note, supprimez son texte. Pour supprimer une note et son surlignage, touchez le texte surligné, puis . Pour changer la couleur, touchez le texte surligné, puis sélectionnez une couleur dans le menu. Pour ajouter une note à un surlignage, touchez le texte surligné, puis . Voir tous vos signets Touchez , puis choisissez un signet dans la liste. Voir toutes vos notes Selon le livre, soit touchez puis touchez Notes, soit touchez . Consultez la section « Notes d’étude et listes de vocabulaire » à la page 109. Agrandir une image Touchez deux fois l’image pour effectuer un zoom avant ou, dans certains livres, pincez l’écran pour agrandir l’image. Ouvrir une page spécifique Utilisez les commandes permettant de naviguer dans la page, au bas de l’écran. Autrement, touchez et entrez un numéro de page, puis touchez le numéro de la page dans les résultats de la recherche. Rechercher dans un livre Touchez . Pour effectuer une recherche sur le web, touchez Web ou Wikipedia. Safari s’ouvre et affiche les résultats. Rechercher d’autres occurrences d’un mot ou d’une expression Touchez deux fois un mot, utilisez les points d’accroche pour ajuster la sé- lection, puis touchez Rechercher dans le menu qui apparaît. Rechercher un mot Touchez deux fois un mot, utilisez les points d’accroche pour ajuster la sé- lection, puis touchez Définition dans le menu qui apparaît. Les définitions ne sont pas disponibles dans toutes les langues. Écouter un livre Touchez . Cette fonctionnalité n’est pas disponible pour tous les livres. Si vous êtes malvoyant, VoiceOver vous permet également d’écouter la plupart des livres à haute voix. Consultez la section « À propos de VoiceOver » à la page 115. Chapitre 22 iBooks 107iBooks stocke vos collections, signets, notes et information sur la page en cours à l’aide de votre identifiant Apple, de façon que vous puissiez jongler sans difficultés entre vos différents appareil iOS lorsque vous lisez un livre. iBooks enregistre ces informations pour tous vos livres dès que vous ouvrez ou quittez l’app. Les informations concernant les livres individuels sont également enregistrées lorsque vous ouvrez ou fermez ces derniers. Activer ou désactiver la synchronisation : Accédez à Réglages > iBooks. Certains livres peuvent accéder à du contenu audio ou vidéo du web. Activer ou désactiver l’accès au contenu audio et vidéo en ligne : Accédez à Réglages > iBooks > Audio et vidéo en ligne. Remarque : Si l’iPad dispose d’une connexion de données cellulaires, la lecture de ces fichiers peut engendrer l’application de frais par votre opérateur. Modification de l’apparence d’un livre Dans certains livres, vous pouvez modifier la police, la taille des caractères et la couleur des pages. Pour modifier la luminosité : Touchez le centre de la page pour afficher les commandes, puis touchez . Si vous ne voyez pas , touchez d’abord . Modifier la police ou la taille des caractères Touchez le centre de la page pour afficher les commandes, puis touchez . Touchez Police pour sélectionner un style de caractères. Notez que le changement de police fonctionne pour tous les livres. Dans certains livres, vous pouvez modifier la taille des caractères uniquement lorsque l’iPad est en orientation portrait. Changer la couleur des pages et du texte Touchez le centre de la page pour afficher les commandes, touchez , puis Thème. Ce réglage ne s’applique qu’aux livres qui le prennent en charge. Utiliser le mode plein écran pour lire un livre Touchez le centre de la page pour afficher les commandes, touchez , Thème, puis activez l’option Plein écran. Certains livres s’ajustent automatiquement à la taille de l’écran. Activer ou désactiver la justification et la césure Accédez à Réglages > iBooks. Dans certains livres et documents PDF, le texte ne peut pas être justifié ni inclure de traits d’union. 108 Chapitre 22 iBooksNotes d’étude et listes de vocabulaire Dans les livres prenant en charge cette fonctionnalité, vous pouvez utiliser l’affichage des notes pour consulter l’ensemble du contenu que vous avez surligné ainsi que vos notes sous forme de fiches. Pour localiser rapidement vos notes, consultez-les par chapitre ou recherchez leur contenu. Consulter vos notes : Touchez . Consulter des notes par chapitre Les pastilles incluses dans la liste des chapitres indiquent le nombre de notes et de contenus surlignés présents dans chaque chapitre. Si vous ne voyez pas la liste des chapitres, touchez le bouton Chapitre. Touchez un chapitre pour consulter les notes qu’il contient. Touchez un élément de la liste pour afficher la note ou le contenu surligné en contexte. Rechercher dans toutes les notes Dans l’affichage des notes, saisissez un mot ou une expression dans le champ de recherche. Si vous ne voyez pas le champ de recherche, touchez le bouton Chapitres. Les chapitres contenant des notes et des contenus surlignés correspondant à votre recherche s’affichent. Touchez un chapitre pour consulter les notes qu’il contient. Consulter les notes et le vocabulaire sous forme de fiches Touchez Fiches. Le recto de chaque fiche présente le texte que vous avez surligné. Feuilletez pour faire défiler les fiches. Si une fiche contient des notes, indiquées par , touchez la fiche pour la retourner. Touchez pour choisir les contenus surlignés à afficher ou pour présenter les fiches dans un ordre aléatoire. Si le chapitre contient une liste de vocabulaire, vous pouvez également inclure cette liste dans vos fiches. Envoyer vos notes par courrier électronique Lorsque vous consultez des notes, touchez . Sélectionnez les notes que vous souhaitez partager, puis touchez Envoyer. Supprimer des notes Lorsque vous consultez des notes, touchez . Sélectionnez les notes que vous souhaitez supprimer, puis touchez Supprimer. Interagir avec du contenu multimédia Certains livres contiennent des éléments interactifs, tels que des films, des schémas, des présentations, des galeries, des objets en 3D et des résumés de chapitres. Pour interagir avec un objet multimédia, touchez-le, feuilletez-le ou pincez-le. Dans le cas d’une présentation par exemple, vous pouvez toucher pour la lancer, puis touchez l’appareil pour afficher chaque écran. Pour visionner un élément en mode plein écran, écartez deux doigts sur l’écran. Lorsque vous avez terminé, pincez l’écran pour fermer l’élément. Impression ou envoi par courrier d’un document PDF Vous pouvez utiliser iBooks pour envoyer une copie d’un document PDF par courrier électronique, ou l’imprimer en totalité ou en partie sur une imprimante compatible. Vous pouvez imprimer et envoyer les documents PDF par courrier électronique, mais pas les livres. Envoyer un document PDF par courrier électronique : Ouvrez le document PDF, puis touchez et choisissez Envoyer par courrier. Un nouveau message apparaît, avec le document PDF joint. Lorsque vous avez terminé votre message, touchez Envoyer. Imprimer un document PDF Ouvrez le document PDF, puis touchez et choisissez Imprimer. Sélectionnez une imprimante, l’intervalle de pages et le nombre de copies, puis touchez Imprimer. Consultez la section « Impression » à la page 36. Chapitre 22 iBooks 109Organisation de l’étagère Utilisez l’étagère pour explorer vos livres et documents PDF. Vous pouvez également organiser les éléments dans des collections. Touchez un livre et maintenez le doigt dessus pour réorganiser. Touchez un livre et maintenez le doigt dessus pour réorganiser. Disponible sur l’iBookstore. La disponibilité des titres peut varier. Disponible sur l’iBookstore. La disponibilité des titres peut varier. Déplacer un livre ou un document PDF vers une collection : Accédez à l’étagère et touchez Modifier. Sélectionnez les éléments que vous souhaitez déplacer, puis touchez Déplacer et sélectionnez une collection. Lorsque vous ajoutez un livre ou un document PDF à votre étagère, il est placé dans votre collection Livres ou PDF. À partir de là, vous pouvez le déplacer dans une collection différente. Par exemple, vous pouvez créer des collections pour le travail et la maison, ou pour les documents de référence et la lecture de loisir. Afficher une collection Touchez Collections, puis choisissez une nouvelle collection dans la liste qui apparaît. Gérer les collections Touchez Collections pour afficher la liste de collections. Pour modifier le nom d’une collection, touchez Modifier. Vous ne pouvez pas modifier ni supprimer les collections Livres et PDF intégrées. Trier la bibliothèque Touchez , puis sélectionnez une méthode de tri parmi les choix au bas de l’écran. Supprimer un élément de l’étagère Touchez Modifier, puis touchez chaque livre ou document PDF que vous souhaitez supprimer de manière qu’une coche apparaisse. Touchez Supprimer. Lorsque vous avez fini de supprimer, touchez Terminé. Si vous supprimez un livre acheté, vous pouvez le télécharger à nouveau depuis l’onglet Achats de l’iBookstore. Rechercher un livre Accédez à l’étagère. Touchez la barre d’état pour faire défiler jusqu’en haut de l’écran, puis touchez . La recherche prend en compte le titre et le nom de l’auteur. 110 Chapitre 22 iBooksGame Center 23 À propos de Game Center Découvrez de nouveaux jeux et faites part de vos expériences de jeu à vos amis du monde entier dans Game Center. Invitez vos amis à jouer ou utilisez la fonction de match automatique pour trouver d’autres adversaires de niveau similaire. Gagnez des points de bonus en atteignant des réalisations spécifiques dans un jeu, affichez les réalisations de vos amis et consultez les classements pour savoir qui sont les meilleurs joueurs. Remarque : Game Center n’est pas disponible dans toutes les régions, et la disponibilité des jeux peut varier. Pour utiliser Game Center, vous devez disposer d’une connexion Internet et d’un identifiant Apple. Si vous disposez d’un compte iCloud, vous pouvez utiliser cet identifiant Apple avec Game Center. Si vous n’avez pas d’identifiant Apple ou si vous souhaitez en utiliser un différent pour les jeux, vous pouvez en créer un dans Game Center, comme décrit ci-dessous. Indiquez votre statut, modifiez votre photo ou déconnectez-vous. Indiquez votre statut, modifiez votre photo ou déconnectez-vous. Invitez des amis à jouer à un jeu. Invitez des amis à jouer à un jeu. Choisissez un jeu. Choisissez un jeu. Répondez à une demande G·DPLWLp Répondez à une demande G·DPLWLp 111Connexion à Game Center Vous connecter : Ouvrez Game Center. Si vous voyez votre surnom et votre photo en haut de l’écran Moi, vous êtes déjà connecté. Sinon, saisissez votre identifiant Apple et votre mot de passe, puis touchez Connexion. Vous pouvez également toucher Créer un compte pour créer un nouvel identifiant Apple. Ajouter votre photo Touchez la photo à côté de votre nom. Déclarer votre statut Touchez Moi, touchez la barre d’état, puis saisissez votre statut. Afficher les réglages de votre compte Touchez Moi, touchez la bannière du compte, puis choisissez Données du compte. Vous déconnecter Touchez Moi, la bannière du compte, puis Déconnexion. Vous n’avez pas besoin de vous déconnecter chaque fois que vous utilisez Game Center. Achat et téléchargement de jeux Les jeux pour Game Center sont disponibles dans l’App Store. Acheter et télécharger un jeu : Touchez Jeux, puis touchez un jeu recommandé, ou touchez Rechercher des jeux de Game Center. La section Game Center de l’App Store affiche des jeux qui fonctionnent avec Game Center. Vous pouvez explorer cette section, et y acheter et télécharger des jeux. Consultez la section Chapitre 20, « App Store, » à la page 100. Acheter un jeu dont dispose votre ami Touchez Amis, puis le nom de votre ami. Touchez un jeu dans la liste des jeux de votre ami, puis touchez le prix du jeu. Jeux Jouer à un jeu : Touchez Jeux, choisissez un jeu, puis touchez Jouer. Consulter une liste des meilleurs joueurs Touchez Jeux, puis touchez le jeu et touchez Classement. Afficher les réalisations que vous pouvez essayer d’atteindre Touchez Jeux, puis touchez un jeu et touchez Réalisations. Revenir à Game Center après une partie Appuyez sur le bouton principal, puis touchez Game Center sur l’écran d’accueil. Jeu avec des amis Game Center vous met en contact avec des joueurs du monde entier. Vous pouvez ajouter des amis à Game Center en leur envoyant une demande ou en acceptant une demande envoyée par un autre joueur. Inviter des amis à jouer à un jeu multijoueur : Touchez Amis, choisissez un ami, choisissez un jeu et touchez Jouer. Si le jeu autorise ou oblige la présence de joueurs supplémentaires, choisissez des joueurs à inviter puis toucher Suivant. Envoyez votre invitation, puis attendez que les autres acceptent. Lorsque tout le monde est prêt, commencez le jeu. Si un ami n’est pas disponible ou s’il ne répond pas à votre invitation, vous pouvez toucher Sélection auto. pour que Game Center trouve un autre joueur pour vous ou toucher Inviter un ami pour essayer d’inviter un autre ami. 112 Chapitre 23 Game CenterEnvoyer une demande d’amitié Touchez Amis ou Demandes, touchez Ajouter des amis, et saisissez l’adresse électronique ou le surnom Game Center de votre ami. Pour parcourir vos contacts, touchez . Pour ajouter plusieurs amis dans une demande, touchez Retour après chaque adresse. Répondre à une demande d’amitié Touchez Demandes, touchez la demande, puis touchez Accepter ou Ignorer. Pour signaler un problème avec une demande, feuilletez vers le haut et touchez « Signaler un problème ». Voir les jeux auxquels un ami joue et consulter ses scores Touchez Amis, le nom de l’ami, puis Jeux ou Points. Chercher quelqu’un dans votre liste d’amis Touchez la barre d’état pour faire défiler jusqu’en haut de l’écran, puis touchez le champ de recherche et commencez à taper. Interdire les invitations Désactivez les invitations aux jeux dans vos réglages de compte Game Center. Consultez la section « Réglages Game Center » à la page 113. Maintenir la confidentialité de votre adresse électronique Désactivez Me trouver par e-mail dans vos réglages de compte Game Center. Consultez la section « Réglages Game Center » à la page 113. Désactiver toutes les activités multijoueurs Accédez à Réglages > Général > Restrictions > Game Center, et désactivez Jeux multijoueurs. Supprimer l’autorisation des demandes d’amitié Accédez à Réglages > Général > Restrictions > Game Center, et désactivez Ajout d’amis. Voir une liste des amis d’un ami Touchez Amis, touchez le nom de l’ami et touchez Amis juste sous sa photo. Supprimer un ami Touchez Amis, touchez un nom, puis touchez Supprimer. Signaler un comportement offensant ou inapproprié Touchez Amis, touchez le nom de la personne, puis touchez Signaler un problème. Réglages Game Center Certains réglages de Game Center sont associés à l’identifiant Apple que vous utilisez pour vous connecter. D’autres se trouvent dans l’app Réglages de l’iPad. Modifier les réglages de Game Center pour votre identifiant Apple : Connectez-vous à l’aide de votre identifiant Apple, touchez Moi, touchez la bannière Compte, puis choisissez Compte. Indiquer quelles notifications vous souhaitez pour Game Center : Accédez à Réglages > Notifications > Game Center. Si Game Center n’apparaît pas, activez Notifications. Modifier les restrictions concernant Game Center : Accédez à Réglages > Général > Restrictions > Game Center. Chapitre 23 Game Center 113Accessibilité 24 Fonctionnalités d’accès universel L’iPad comporte de nombreuses fonctionnalités d’accessibilité, notamment :  Lecteur d’écran VoiceOver  Augmentation de l’agrandissement  Grande police  Blanc sur noir  Énoncer la sélection  Énonciation automatique  Audio mono et balance  AssistiveTouch  Prise en charge des affichages Braille  Lecture de contenu avec sous-titres codés Les fonctionnalités Zoom, Blanc sur noir et Audio mono sont utilisables avec toutes les apps. L’option Grande police fonctionne avec Mail et Notes. VoiceOver fonctionne avec les apps iPad intégrées et certaines apps tierces téléchargeables dans l’App Store. Le sous-titrage codé fonctionne pour les vidéos et podcasts qui le prennent en charge. Pour en savoir plus sur les fonctionnalités d’accessibilité de l’iPad, consultez la page www.apple.com/fr/accessibility. Vous pouvez activer ou désactiver chaque fonctionnalité d’accessibilité dans les réglages Accessibilité sur l’iPad. Vous pouvez également activer ou désactiver certaines fonctionnalités sur iTunes lorsque l’iPad est connecté à votre ordinateur. Activer les fonctions d’accessibilité sur l’iPad : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité. Activer les fonctions d’Accessibilité à l’aide d’iTunes : Connectez l’iPad à votre ordinateur et sé- lectionnez l’iPad dans la liste des appareils d’iTunes. Cliquez sur Résumé, puis sur Configurer Accès universel au bas de l’écran Résumé. 114À propos de VoiceOver VoiceOver décrit vocalement le contenu de l’écran, ce qui permet d’utiliser l’iPad sans le voir. VoiceOver décrit chaque élément que vous sélectionnez à l’écran. Lorsque vous sélectionnez un élément, un rectangle noir (le curseur VoiceOver) l’entoure et VoiceOver énonce le nom de l’élé- ment ou le décrit. Touchez l’écran ou faites glisser vos doigts pour énoncer les différents éléments à l’écran. Lorsque du texte est sélectionné, VoiceOver lit le texte. Si l’option Énoncer les conseils est activée, VoiceOver peut vous renseigner sur le nom de l’élément ou vous fournir des instructions, par exemple « toucher deux fois pour ouvrir ». Pour interagir avec des éléments de l’écran, tels que des boutons et des liens, utilisez les gestes décrits dans « À propos des gestes de VoiceOver » à la page 118. Lorsque vous accédez à un nouvel écran, VoiceOver émet un son, puis sélectionne et lit automatiquement le premier élément de l’écran (généralement celui situé dans le coin supérieur gauche). VoiceOver vous avertit également lorsque l’écran passe en orientation paysage ou portrait, ou lorsque l’écran est verrouillé ou déverrouillé. Remarque : VoiceOver parle dans la langue définie dans les réglages International, qui peut dépendre du réglage Format régional (Réglages > Général > International > Format régional). VoiceOver est disponible dans de nombreuses langues, mais pas toutes. Configuration de VoiceOver Important : VoiceOver change les gestes utilisés pour contrôler l’iPad. Lorsque VoiceOver est activé, vous devez utiliser des gestes VoiceOver pour contrôler l’iPad, même pour désactiver à nouveau VoiceOver et revenir au mode de fonctionnement standard. Remarque : Les fonctionnalités VoiceOver et Zoom ne peuvent pas être utilisées en même temps. Activer ou désactiver VoiceOver : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver. Vous pouvez également régler la fonction Triple clic sur le bouton principal de manière à activer ou dé- sactiver VoiceOver. Consultez la section « Triple clic sur le bouton principal » à la page 125. Activer ou désactiver l’énonciation des conseils Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver. Lorsque l’option Énoncer les conseils est activée, VoiceOver peut vous renseigner sur la fonction de l’élément ou vous fournir des instructions, par exemple « toucher deux fois pour ouvrir ». Vous pouvez également ajouter la fonctionnalité Conseils au rotor, puis balayer vers le haut ou le bas pour ajuster le réglage. Consultez la section « Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver » à la page 119. Définir le débit vocal de VoiceOver Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver, et déplacez le curseur Débit vocal. Vous pouvez également ajouter la fonction Débit vocal au rotor, puis balayer vers le haut ou le bas pour ajuster le réglage. Consultez la section « Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver » à la page 119. Changer le mode de lecture du texte saisi Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Énoncer la saisie. Utiliser l’alphabet radio dans la lecture du texte saisi Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Alphabet radio. Le texte est lu caractère par caractère. VoiceOver commence par énoncer le caractère, puis son équivalent phonétique (par exemple, « f » puis « foxtrot »). Chapitre 24 Accessibilité 115Utiliser le changement de ton Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Changement de ton. VoiceOver utilise une voix plus aiguë lors de la saisie d’un caractère et plus grave lors de la suppression d’un caractère. VoiceOver utilise également une voix plus aiguë lorsqu’il énonce le premier élément d’un groupe (par exemple liste ou tableau), et plus grave lorsqu’il en énonce le dernier. Modifier les options du rotor pour la navigation web Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Rotor. Touchez pour sélectionner ou désélectionner des options, ou faites glisser vers le haut pour repositionner un élément. Modifier la prononciation de VoiceOver Réglez le rotor sur Langue puis balayez vers le haut ou le bas. La position du rotor de langue est disponible lorsque vous sélectionnez plusieurs prononciations. Sélectionner les prononciations disponibles dans le rotor de langue Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Rotor de langue. Pour changer la position d’une langue dans la liste, faites glisser vers le haut ou le bas. Changer la langue de l’iPad Accédez à Réglages > Général > International > Langue. Le réglage Format régional, dans Réglages > Général > International > Format régional, peut avoir un impact sur certaines langues. Passer les images pendant la navigation Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Parcourir les images. Vous pouvez choisir de passer toutes les images ou seulement celles qui ne possèdent pas de descriptions. Lire les notifications lorsque vous déverrouillez l’iPad Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Lire les notifications. Si cette fonctionnalité est désactivée, l’iPad n’énonce que l’heure lorsque vous le déverrouillez. Utilisation de VoiceOver Sélectionner des éléments à l’écran : Faites glisser votre doigt sur l’écran. VoiceOver identifie chaque élément que vous touchez. Vous pouvez aussi passer systématiquement d’un élément à l’autre en feuilletant l’écran vers la gauche ou la droite d’un seul doigt. Les éléments sont sélectionnés de la gauche vers la droite et de haut en bas. Feuilletez l’écran vers la droite pour passer à l’élément suivant ou vers la gauche pour passer au précédent. Activer la navigation verticale Ajoutez la navigation verticale au rotor, utilisez le rotor pour sélectionner cette fonctionnalité, puis balayez vers le haut ou le bas pour passer à l’élé- ment au-dessus ou au-dessous. Consultez la section « Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver » à la page 119. Sélectionner le premier ou le dernier élément à l’écran Feuilletez l’écran vers le haut ou le bas avec quatre doigts. Déverrouiller l’iPad Sélectionnez le bouton Déverrouiller, puis touchez deux fois l’écran. Sélectionner un élément par son nom Touchez trois fois avec deux doigts n’importe où sur l’écran pour ouvrir le Sélecteur d’élément. Saisissez ensuite un nom dans le champ de recherche ou feuilletez vers la gauche ou vers la droite pour vous déplacer dans la liste par ordre alphabétique, ou touchez l’index du tableau à droite de la liste et feuilletez vers le haut ou le bas pour rapidement vous déplacer dans la liste des éléments. Renommer un élément à l’écran pour le trouver plus facilement Touchez l’écran avec deux doigts et maintenez-les appuyés. Énoncer le texte de l’élément sélectionné : Feuilletez vers le haut ou le bas avec un doigt pour lire le mot ou caractère suivant ou précédent (faites pivoter le rotor de contrôle pour choisir les caractères ou les mots). Vous pouvez inclure la lecture phonétique. Consultez la section « Configuration de VoiceOver » à la page 115. 116 Chapitre 24 AccessibilitéInterrompre l’énonciation d’un élément Touchez une fois avec deux doigts. Vous pouvez toucher à nouveau avec deux doigts pour reprendre l’énonciation. La lecture reprend automatiquement lorsque vous sélectionnez un autre élément. Modifier le volume de l’énonciation Utilisez les boutons de volume de l’iPad, ou ajoutez le volume au rotor, puis balayez vers le haut ou le bas pour ajuster le réglage. Consultez la section « Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver » à la page 119. Désactiver VoiceOver Touchez deux fois l’écran avec trois doigts. Répétez l’action pour réactiver la fonction de lecture. Pour couper uniquement les sons VoiceOver, mettez le bouton latéral sur Silence. Si un clavier externe est connecté, vous pouvez également appuyer sur la touche Contrôle du clavier pour activer ou désactiver le son de VoiceOver. Changer de voix d’énonciation Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Utiliser la voix compacte. Énoncer tout le contenu de l’écran en partant du début Feuilletez l’écran vers le haut avec deux doigts. Énoncer l’écran depuis l’élément courant jusqu’au bas de l’écran Feuilletez l’écran vers le bas avec deux doigts. Énoncer les informations sur l’état de l’iPad Touchez le haut de l’écran pour écouter l’heure, le niveau de charge de la batterie, la puissance du signal Wi-Fi, etc. « Toucher » l’élément sélectionné lorsque VoiceOver est activé : Touchez deux fois n’importe quel endroit de l’écran. « Toucher » deux fois l’élément sélectionné lorsque VoiceOver est activé Touchez trois fois n’importe quel endroit de l’écran. Régler un curseur D’un seul doigt, feuilletez vers le haut pour augmenter le réglage ou vers le bas pour le diminuer. Faire défiler une liste ou une zone de l’écran Feuilletez l’écran vers le haut ou le bas avec trois doigts. Feuilletez l’écran vers le bas ou le haut pour parcourir la liste ou l’écran dans un sens ou dans l’autre. Si vous faites défiler les pages d’une liste, VoiceOver énonce la plage d’éléments affichée (par exemple, « affichage des lignes 5 à 10 »). Vous pouvez également faire défiler une liste en continu plutôt que page après page. Touchez deux fois et maintenez votre doigt sur l’écran. Lorsque vous entendez une série de sons, vous pouvez déplacer votre doigt vers le bas ou le haut pour faire défiler la liste. Le défilement continu s’arrête lorsque vous retirez le doigt. Utilisation d’un index de liste Certaines listes présentent un index alphabétique sur le côté droit. Vous ne pouvez pas sélectionner l’index en balayant votre doigt entre les éléments ; vous devez le toucher directement pour cela. Lorsque l’index est sélectionné, feuilletez vers le haut ou le bas pour faire défiler. Vous pouvez également toucher deux fois, puis faire glisser votre doigt vers le haut ou le bas. Chapitre 24 Accessibilité 117Réorganiser une liste Il est possible de réordonner certaines listes, notamment Rotor et Rotor de langue, dans les réglages Accessibilité. Sélectionnez à droite d’un élément, touchez deux fois et maintenez votre doigt dessus jusqu’à entendre un son, puis faites glisser vers le haut ou le bas. VoiceOver énonce l’élément déplacé vers le haut ou le bas en fonction de la direction de votre glissement. Personnaliser l’écran d’accueil Sur l’écran d’accueil, sélectionnez l’icône que vous souhaitez déplacer. Touchez deux fois l’icône et maintenez votre doigt dessus, puis faites-la glisser. VoiceOver énonce la position (ligne et colonne) à mesure que vous faites glisser l’icône. Relâchez l’icône lorsqu’elle est placée où vous le souhaitez. Vous pouvez faire glisser d’autres icônes. Faites glisser un élément vers le bord gauche ou droit de l’écran pour le déplacer vers une autre page de l’écran d’accueil. Lorsque vous avez terminé, appuyez sur le bouton principal . Activer ou désactiver le rideau d’écran Touchez trois fois de suite avec trois doigts. Lorsque le rideau d’écran est activé, le contenu de l’écran est actif même si rien ne s’affiche. Déverrouiller l’iPad Sélectionnez le commutateur Déverrouiller, puis touchez deux fois l’écran. À propos des gestes de VoiceOver Lorsque le mode VoiceOver est activé, les gestes standard effectués sur l’écran tactile donnent des résultats différents. Ces gestes et d’autres permettent de se déplacer à l’écran et de contrôler les éléments sélectionnés. VoiceOver comprend des gestes de toucher ou de feuillettement à deux ou trois doigts. Pour de meilleurs résultats lors de l’utilisation de ces derniers, gardez les doigts détendus et écartez-les un peu lorsqu’ils touchent l’écran. Pour utiliser des gestes standard lorsque VoiceOver est activé, touchez deux fois l’écran et maintenez votre doigt dessus. Une série de sons indique que les gestes normaux sont activés. Ils demeurent activés jusqu’à ce que vous leviez votre doigt. Les gestes VoiceOver sont ensuite réactivés. Il existe plusieurs techniques pour utiliser des gestes dans VoiceOver. Vous pouvez par exemple utiliser deux doigts d’une main ou un doigt de chaque main pour toucher l’écran. Vous pouvez également utiliser vos pouces. « Toucher en deux temps » est souvent considéré comme très efficace : au lieu de sélectionner un élément puis de le toucher deux fois, vous pouvez toucher l’élément d’un doigt et maintenir le doigt dessus, puis toucher l’écran d’un autre doigt. Essayez différentes techniques pour découvrir celle qui vous convient le mieux. Si vos gestes ne fonctionnent pas, essayez des mouvements plus rapides, notamment pour toucher deux fois et feuilleter l’écran. Pour ce dernier geste, essayez de feuilleter rapidement l’écran d’un ou plusieurs doigts. Lorsque le mode VoiceOver est activé, le bouton Entraînement VoiceOver apparaît pour vous permettre de vous entraîner aux gestes VoiceOver avant de continuer. Apprendre les gestes : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver, puis touchez Entraînement VoiceOver. Lorsque vous avez fini de vous exercer, touchez Terminé. Si le bouton Entraînement VoiceOver n’est pas visible, assurez-vous que le mode VoiceOver est activé. Les principaux gestes VoiceOver sont : Naviguer et lire  Toucher : énonce l’élément à voix haute.  Feuilleter vers la gauche ou la droite : sélectionne l’élément précédent ou suivant.  Feuilleter vers le haut ou le bas : varie selon le réglage du rotor de contrôle. Consultez la section « Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver » à la page 119.  Toucher avec deux doigts : arrête d’énoncer l’élément en cours. 118 Chapitre 24 Accessibilité Feuilleter vers le haut avec deux doigts : lit tout depuis le haut de l’écran.  Feuilleter vers le bas avec deux doigts : lit tout depuis la position actuelle.  Gratter avec deux doigts : déplacer deux doigts rapidement en dessinant un « z » fait disparaître une alerte ou revient à l’écran précédent.  Toucher trois fois avec deux doigts : ouvre le Sélecteur d’élément.  Feuilleter vers le haut ou le bas avec trois doigts : fait défiler page par page.  Feuilleter vers la gauche ou la droite avec trois doigts : affiche la page précédente ou suivante (par exemple l’écran d’accueil, Bourse ou Safari).  Toucher avec trois doigts : énonce des informations supplémentaires, telles que la position dans une liste ou si le texte est sélectionné.  Toucher le haut de l’écran avec quatre doigts : sélectionne le premier élément de la page.  Toucher le bas de l’écran avec quatre doigts : sélectionne le dernier élément de la page. Activer  Toucher deux fois : active l’élément sélectionné.  Toucher trois fois : touche deux fois l’élément.  Toucher en deux temps : au lieu de sélectionner un élément puis de le toucher deux fois, vous pouvez toucher l’élément d’un doigt et maintenir le doigt dessus, puis toucher l’écran d’un autre doigt pour l’activer.  Toucher un élément avec un seul doigt et toucher brièvement l’écran avec un autre doigt (geste en deux temps) : active l’élément.  Toucher deux fois et maintenir la position pendant 1 seconde + geste standard : utilise un geste standard. Lorsque vous touchez deux fois l’écran et maintenez la position, cela indique à l’iPad que le prochain geste doit être interprété comme un geste standard. Par exemple, touchez deux fois l’écran et maintenez la position puis, sans soulever le doigt, faites-le glisser pour activer/désactiver un commutateur.  Toucher deux fois avec deux doigts : lance la lecture ou la suspend dans Musique, Vidéos, YouTube, Dictaphone ou Photos. Prend une photo (Appareil photo). Démarre ou suspend l’enregistrement dans Appareil photo ou Dictaphone. Lance ou arrête le chronomètre.  Toucher deux fois avec deux doigts et maintenir la position : ouvre l’étiqueteuse d’élément.  Toucher trois fois avec deux doigts : ouvre le Sélecteur d’élément.  Toucher deux fois avec trois doigts : active ou désactive le son VoiceOver.  Toucher trois fois avec trois doigts : active ou désactive le rideau d’écran. Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver Le rotor de contrôle est une molette virtuelle que vous pouvez utiliser pour modifier le résultat obtenu lorsque vous feuilletez verticalement et que le mode VoiceOver est activé. Utiliser le rotor : Effectuez un mouvement circulaire avec deux doigts sur l’écran de l’iPad autour d’un point situé entre vos doigts. Chapitre 24 Accessibilité 119Modifier les options incluses dans le rotor : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Rotor et sélectionnez les options dont vous souhaitez disposer dans le rotor. Le rôle du rotor varie selon l’application ouverte. Lorsque vous lisez un courrier électronique, vous pouvez utiliser le rotor pour passer de la lecture mot à mot à la lecture caractère par caractère ou ligne par ligne en feuilletant vers le haut ou le bas. Lorsque vous parcourez une page web, vous pouvez utiliser le réglage du rotor pour entendre tout le texte (mot à mot ou caractère par caractère) ou écouter seulement le texte d’un certain type, par exemple les titres ou les liens. Lecture de texte Sélectionner et écouter du texte par :  Caractère, mot ou ligne Énonciation Ajuster la voix VoiceOver par :  Volume ou débit  Utiliser l’épellation, le changement de ton ou l’alphabet radio (à l’aide d’un clavier sans fil Apple) Consultez la section « Contrôle de VoiceOver à l’aide d’un clavier sans fil Apple » à la page 123. Navigation Sélectionner et écouter du texte par :  Caractère, mot ou ligne  En-tête  Lien, lien consulté, lien non consulté ou lien interne  Contrôle de formulaire  Tableau ou rang (lors de la navigation dans un tableau)  Liste  Repère  Image  Texte statique  Éléments du même type  Boutons  Champs de texte  Champs de recherche  Conteneurs (zones de l’écran telles que le Dock) Zoom avant ou arrière Saisie de texte Déplacer le point d’insertion et écouter du texte par :  Caractère, mot ou ligne Sélectionner la fonction d’édition Sélectionner la langue Utilisation d’une commande Sélectionner et écouter des valeurs par :  Caractère, mot ou ligne Ajustement de la valeur de l’objet de contrôle 120 Chapitre 24 AccessibilitéSaisie et édition de texte avec VoiceOver Lorsque vous sélectionnez un champ de texte avec VoiceOver, vous pouvez utiliser le clavier à l’écran ou un clavier externe connecté à l’iPad pour saisir du texte. Vous pouvez utiliser les fonctions d’édition de l’iPad pour couper, copier ou coller du texte dans le champ. Vous pouvez saisir du texte de deux manières dans VoiceOver : saisie standard et saisie dactylographique. En saisie standard, sélectionnez une touche puis touchez deux fois l’écran pour saisir le caractère. En saisie dactylographique, touchez pour sélectionner une touche et le caractère est automatiquement saisi lorsque vous levez le doigt. La saisie dactylographique peut être plus rapide, mais elle demande plus de pratique que la saisie standard. VoiceOver vous permet également d’utiliser les fonctions d’édition de l’iPad pour couper, copier ou coller du texte dans un champ de texte. Saisir du texte : Sélectionnez un champ de texte éditable, touchez deux fois pour afficher le point d’insertion sur le clavier à l’écran, puis saisissez des caractères.  Saisie standard : sélectionnez une touche du clavier en feuilletant vers la gauche ou la droite, puis touchez deux fois pour saisir le caractère. Une autre solution consiste à faire glisser le doigt sur le clavier pour sélectionner une touche, puis à maintenir le doigt dessus et à toucher l’écran avec un autre doigt. VoiceOver énonce la touche lorsque vous la sélectionnez et de nouveau lorsque le caractère est saisi.  Saisie dactylographique : touchez une touche du clavier pour la sélectionner, puis levez votre doigt pour saisir le caractère. Si vous touchez une touche incorrecte, déplacez votre doigt jusqu’à sélectionner celle que vous souhaitez. VoiceOver énonce le caractère correspondant à la touche que vous touchez, mais ne le saisit que lorsque vous levez le doigt. Remarque : La saisie dactylographique ne fonctionne que pour les touches qui saisissent du texte. Utilisez la saisie standard pour les autres touches, notamment Maj, Supprimer et Retour. Déplacer le point d’insertion : Feuilletez vers le haut ou le bas pour déplacer le point d’insertion vers l’avant ou l’arrière dans le corps du texte. Utilisez le rotor pour choisir si vous voulez déplacer le point d’insertion d’un caractère, d’un mot ou d’une ligne à l’autre. VoiceOver émet un son lorsque le point d’insertion se déplace et énonce le caractère, le mot ou la ligne sur lesquels il passe. Lorsque le déplacement est vers l’avant par mot, le point d’insertion est placé à la fin du mot traversé, avant l’espace ou le signe de ponctuation qui suit. Lorsque le déplacement est vers l’arrière, le point d’insertion est placé à la fin du mot précédent, avant l’espace ou le signe de ponctuation qui suit. Pour placer le point d’insertion après le signe de ponctuation suivant un mot ou une phrase, utilisez le rotor pour basculer en mode caractère. Lorsque le point d’insertion est déplacé ligne par ligne, VoiceOver énonce chaque ligne sur laquelle il passe. Lorsque le déplacement est vers l’avant, le point d’insertion est placé au début de la ligne suivante (sauf lorsque vous avez atteint la dernière ligne d’un paragraphe, auquel cas le point d’insertion est placé à la fin de la ligne énoncée). Lorsque le déplacement est vers l’arrière, le point d’insertion est placé au début de la ligne énoncée. Chapitre 24 Accessibilité 121Choisir entre saisies standard et dactylographique Activez VoiceOver et sélectionnez une touche du clavier, puis utilisez le rotor pour sélectionner Mode de saisie et feuilletez vers le haut ou le bas. Supprimer un caractère Sélectionnez et touchez deux fois ou touchez en deux temps. Vous devez effectuer cette opération même en saisie dactylographique. Pour supprimer plusieurs caractères, touchez la touche Supprimer, maintenez le doigt dessus, puis touchez une fois l’écran d’un autre doigt pour chaque caractère à supprimer. VoiceOver énonce le caractère supprimé. Si vous avez activé la fonction Changement de ton, VoiceOver énonce les caractè- res supprimés d’une voix plus grave. Sélectionner du texte Réglez le rotor sur Modifier, puis feuilletez vers le haut ou le bas pour choisir Sélectionner ou Tout sélectionner, puis touchez deux fois l’écran. Si vous choisissez Sélectionner, le mot le plus proche du point d’insertion est sélectionné lorsque vous touchez deux fois. Si vous choisissez Tout sélectionner, le texte entier est sélectionné. Pincez ou écartez les doigts pour augmenter ou réduire la sélection. Couper, copier ou coller Assurez-vous que le rotor est réglé sur la modification. Sélectionnez du texte, feuilletez vers le haut ou le bas pour choisir Couper, Copier ou Coller, puis touchez deux fois. Annuler Secouez l’iPad, feuilletez vers la gauche ou vers la droite pour choisir l’action à annuler, puis touchez deux fois. Saisir un caractère accentué En mode de saisie standard, sélectionnez le caractère puis touchez-le deux fois et maintenez le doigt dessus jusqu’à entendre un son indiquant l’apparition d’autres caractères. Faites glisser vers la gauche ou vers la droite pour sélectionner et entendre les possibilités. Relâchez le doigt pour saisir la sélection en cours. Modifier la langue de saisie Réglez le rotor sur Langue puis feuilletez vers le haut ou le bas. Choisissez « langue par défaut » pour utiliser la langue précisée dans les réglages International. Le rotor de langue apparaît seulement lorsque vous sélectionnez plusieurs langues dans le réglage Rotor de langue de VoiceOver. Consultez la section « Configuration de VoiceOver » à la page 115. Utilisation de VoiceOver avec Safari Lorsque vous effectuez des recherches sur Internet dans Safari avec le mode VoiceOver activé, les éléments du rotor Résultats de la recherche vous permettent d’entendre la liste des phrases de recherche suggérées. Effectuer des recherches sur le Web : Sélectionnez le champ de recherche, saisissez votre recherche, puis sélectionnez Résultats de la recherche dans le rotor. Feuilletez vers la droite ou la gauche pour avancer ou reculer dans la liste, puis touchez deux fois l’écran pour effectuer des recherches sur le Web à l’aide de la phrase de recherche actuelle. Utilisation de VoiceOver avec Plan Avec VoiceOver, vous pouvez effectuer un zoom avant ou arrière, sélectionner des repères et obtenir des informations sur les lieux. Effectuer un zoom avant ou arrière : Sélectionnez le plan, utilisez le rotor pour choisir le mode de zoom, puis feuilletez vers le haut ou le bas pour effectuer un zoom avant ou arrière. Sélectionner un repère : Touchez un repère ou feuilletez vers la gauche ou vers la droite pour passer d’un élément à un autre. Obtenir des informations sur une position géographique : Lorsqu’un repère est sélectionné, touchez-le deux fois rapidement pour afficher l’écran d’informations. Balayez vers la gauche ou vers la droite pour sélectionner le bouton d’expansion, puis touchez deux fois l’écran pour afficher la page d’informations. 122 Chapitre 24 AccessibilitéContrôle de VoiceOver à l’aide d’un clavier sans fil Apple Vous pouvez contrôler VoiceOver sur un iPad à l’aide d’un clavier sans fil Apple. Consultez la section « Utilisation d’appareils Bluetooth » à la page 40. Les commandes VoiceOver au clavier vous permettent d’explorer l’écran, sélectionner des élé- ments, lire le contenu de l’écran, ajuster le rotor et effectuer d’autres actions VoiceOver. Toutes ces commandes (sauf une) comprennent les touches Contrôle + Option, représentées par « VO » dans le tableau ci-dessous. L’Aide VoiceOver énonce les touches ou commandes du clavier lorsque vous les tapez. Vous pouvez utiliser l’Aide VoiceOver pour apprendre la disposition du clavier et les actions associées aux combinaisons de touches. Commandes VoiceOver au clavier VO = Contrôle + Option Tout lire depuis la position actuelle VO + A Lire à partir du haut VO + B Passer à la barre d’état VO + M Appuyer sur le bouton principal VO + H Sélectionner l’élément précédent ou suivant VO + Flèche droite ou VO + Flèche gauche Toucher un élément VO + Barre d’espace Toucher deux avec deux doigts VO + Signe - Choisir l’élément précédent ou suivant du rotor VO + Flèche haut ou VO + Flèche bas Choisir l’élément précédent ou suivant du rotor vocal VO + Commande + Flèche gauche ou VO + Commande + Flèche droite Ajuster l’élément du rotor vocal VO + Commande + Flèche haut ou VO + Commande + Flèche bas Activer ou désactiver le son VoiceOver VO + S Activer ou désactiver le rideau d’écran VO + Maj-S Activer l’Aide VoiceOver VO + K Revenir à l’écran précédent ou dé- sactiver l’Aide VoiceOver Échap Navigation rapide Activez Navigation rapide pour contrôler VoiceOver à l’aide des touches fléchées. Navigation rapide est désactivée par défaut. Activer ou désactiver Navigation rapide Flèche gauche + Flèche droite Sélectionner l’élément précédent ou suivant Flèche droite ou Flèche gauche Sélectionner l’élément précédent ou suivant indiqué par le réglage du rotor Flèche haut ou Flèche bas Sélectionner le premier ou dernier élément Contrôle + Flèche haut ou Contrôle + Flèche bas Chapitre 24 Accessibilité 123« Toucher » un élément Flèche haut + Flèche bas Faire défiler vers le haut, le bas, la gauche ou la droite. Option + Flèche haut, Option + Flèche bas, Option + Flèche gauche, Option + Flèche droite Modifier le rotor Flèche haut + Flèche gauche ou Flèche haut + Flèche droite Navigation rapide à une lettre pour le web Lorsque vous consultez une page web avec la fonctionnalité Navigation rapide activée, vous pouvez utiliser les touches suivantes du clavier pour naviguer rapidement sur la page. Lorsque vous appuyez sur la touche, vous passez à l’élément suivant du type indiqué. Maintenez la touche Maj lorsque vous appuyez sur la lettre pour passer à l’élément précédent. H En-tête L Lien R Champ de texte B Bouton C Contrôle de formulaire I Image T Tableau S Texte statique W Repère ARIA X Liste M Élément du même type 1 En-tête de niveau 1 2 En-tête de niveau 2 3 En-tête de niveau 3 4 En-tête de niveau 4 5 En-tête de niveau 5 6 En-tête de niveau 6 Utilisation d’un afficheur braille avec VoiceOver Vous pouvez utiliser un afficheur braille Bluetooth à rafraîchissement pour lire les sorties VoiceOver en braille, et pouvez aussi utiliser un afficheur braille avec des touches de saisie et d’autres commandes pour contrôler l’iPad lorsque le mode VoiceOver est activé. L’iPad fonctionne avec la majorité des afficheurs braille sans fil communs. Pour obtenir la liste des afficheurs braille pris en charge, consultez la page web www.apple.com/fr/accessibility/iphone/braille-display.html. Configurer un afficheur Braille : Allumez l’afficheur, puis accédez à Réglages > Général > Bluetooth et activez Bluetooth. Ensuite, accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Braille et choisissez l’afficheur. Activer ou désactiver l’option Braille contracté Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Braille. Activer ou désactiver le braille à huit points Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Braille. 124 Chapitre 24 AccessibilitéPour en savoir sur les commandes en braille courantes permettant la navigation dans VoiceOver et sur certains afficheurs en particulier, consultez la page web support.apple.com/kb/ HT4400?viewlocale=fr_FR. L’afficheur Braille utilise la langue définie pour Contrôle vocal. Il s’agit normalement de la langue définie pour l’iPad dans Réglages > International > Langue. Vous pouvez utiliser le réglage de langue VoiceOver pour définir une langue différente pour VoiceOver et les afficheurs Braille. Régler la langue de VoiceOver : Accédez à Réglages > Général > International > Contrôle vocal, puis sélectionnez la langue. Si vous modifiez la langue de l’iPad, vous devrez peut-être réinitialiser celle de VoiceOver et de votre afficheur Braille. Vous pouvez configurer la cellule la plus à gauche ou la plus à droite de votre afficheur Braille de manière à indiquer l’état du système et d’autres informations :  L’historique des annonces contient un message non lu  Le message actuel de l’historique des annonces n’a pas été lu  VoiceOver est inaudible  La charge de la batterie de l’iPad est faible (inférieure à 20 %).  L’iPad est en orientation paysage  L’écran est éteint  La ligne actuelle contient du texte supplémentaire sur la gauche  La ligne actuelle contient du texte supplémentaire sur la droite Configurer la cellule la plus à gauche ou la plus à droite de manière à indiquer des informations sur l’état : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Braille > Cellule d’état, puis touchez Gauche ou Droite. Voir une description étendue de la cellule d’état : Sur votre afficheur Braille, appuyez sur le bouton du routeur de la cellule d’état. Triple clic sur le bouton principal Un moyen simple d’activer ou de désactiver certaines fonctionnalités d’accessibilité consiste à appuyer rapidement sur le bouton principal à trois reprises. Vous pouvez régler le triple clic sur le bouton principal de manière qu’il active ou désactive VoiceOver, active ou désactive Blanc sur noir, active ou désactive le toucher, ou demande quelle fonction vous souhaitez voir sollicitée par le triple clic sur le bouton principal :  Activer ou désactiver VoiceOver  Activer ou désactiver Blanc sur noir  Activer ou désactiver le zoom  Activer ou désactiver AssistiveTouch Le triple clic sur le bouton principal est habituellement désactivé. Régler la fonction Triple clic sur le bouton principal : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Triple clic sur le bouton principal, puis choisissez la fonction souhaitée. Chapitre 24 Accessibilité 125Zoom La fonctionnalité d’accessibilité Zoom vous permet d’agrandir l’écran entier pour vous aider à mieux voir ce qui est affiché. Activer ou désactiver le zoom : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Zoom Sinon, utilisez Triple clic sur le bouton principal. Consultez la section « Triple clic sur le bouton principal » à la page 125. Zoom avant ou arrière Touchez l’écran deux fois de suite avec trois doigts. Le niveau d’agrandissement de l’écran est réglé par défaut sur 200 pour cent. Si vous modifiez l’agrandissement manuellement (en utilisant le geste de toucher-glisser décrit plus loin), l’iPad revient automatiquement à cet agrandissement lorsque vous effectuez un zoom avant en touchant l’écran deux fois avec trois doigts. Augmenter l’agrandissement Avec trois doigts, touchez l’écran, puis faites glisser les doigts vers le haut de l’écran (pour augmenter l’agrandissement) ou vers le bas (pour le diminuer). Le geste du toucher-glisser est semblable au double toucher, sauf que vous ne relevez pas vos doigts au second toucher, mais les faites glisser sur l’écran. Une fois que vous commencez à faire glisser, vous pouvez le faire avec un seul doigt. Se déplacer à l’écran Lorsque vous avez fait un zoom avant, faites glisser ou feuilletez l’écran avec trois doigts. Lorsque vous commencez à faire défiler l’écran, vous pouvez utiliser un seul doigt pour voir le reste. Maintenez un seul doigt près du bord de l’écran pour faire défiler l’écran dans cette direction. Rapprochez le doigt du bord pour augmenter la vitesse du panoramique. Chaque fois que vous ouvrez un nouvel écran, la fonction Zoom affiche toujours la partie supérieure du milieu de l’écran. Lorsque vous utilisez la fonction Zoom avec un clavier sans fil Apple, l’image de l’écran suit le point d’insertion en le conservant au centre de l’écran. Consultez la section « Utilisation d’un clavier sans fil Apple » à la page 34. Grande police L’option Grande police vous permet d’agrandir le texte dans Mail et Notes. Vous pouvez choisir du texte de 20, 24, 32, 40, 48 ou 56 points. Sélectionner la taille du texte : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Grande police. Blanc sur noir Utilisez la fonctionnalité Blanc sur noir pour inverser les couleurs de l’écran de l’iPad, ce qui peut en faciliter la lecture. Lorsque la fonctionnalité Blanc sur noir est activée, l’écran ressemble à un négatif photographique. Inverser les couleurs de l’écran : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Blanc sur noir. Énoncer la sélection Même lorsque VoiceOver est désactivé, l’iPad peut énoncer tout le texte que vous sélectionnez. Activer Énoncer la sélection et ajuster la vitesse d’énonciation : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Énoncer la sélection. Se faire énoncer du texte Sélectionnez le texte, puis touchez Énoncer. 126 Chapitre 24 AccessibilitéÉnonciation automatique La fonctionnalité Énonciation automatique énonce les corrections apportées au texte et les suggestions que l’iPad fait lors de la saisie. Activer ou désactiver Énonciation auto : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Énonciation auto. La fonction Énonciation automatique est également compatible avec les applications VoiceOver et Zoom. Audio mono La fonctionnalité Audio mono combine le son des canaux gauche et droit en un seul signal mono émis des deux côtés. Cela permet aux utilisateurs souffrant d’une perte auditive dans une oreille d’entendre l’intégralité du signal sonore dans l’autre. Activer ou désactiver Audio mono : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Audio mono. AssistiveTouch AssistiveTouch vous aide dans votre utilisation de l’iPad si vous avez des difficultés à toucher l’écran ou à appuyer sur les boutons. Vous pouvez utiliser un accessoire adaptatif compatible (tel qu’une manette), ainsi qu’AssistiveTouch pour contrôler l’iPad. Vous pouvez également utiliser AssistiveTouch sans accessoire pour effectuer des gestes qui vous sont compliqués. Activer AssistiveTouch : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > AssistiveTouch. Vous pouvez également régler la fonction Triple clic sur le bouton principal de manière à activer ou désactiver AssistiveTouch : accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Triple clic sur le bouton principal. Ajuster la vitesse de déplacement Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > AssistiveTouch > Vitesse de touche. Afficher ou masquer le menu AssistiveTouch Cliquez sur le bouton secondaire de votre accessoire. Masquer le bouton de menu Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > AssistiveTouch > Toujours afficher le menu. Feuilleter ou faire glisser avec 2, 3, 4 ou 5 doigts Touchez le bouton de menu, touchez Gestes, puis touchez avec le nombre de doigts requis pour l’action. Lorsque le cercle correspondant apparaît à l’écran, feuilletez ou faites glisser dans la direction requise par le geste. Lorsque vous avez terminé, touchez le bouton de menu. Pincer Touchez le bouton de menu, touchez Favoris, puis touchez Pincer. Lorsque les cercles de pincement apparaissent, touchez l’écran pour les déplacer, puis faites-les glisser vers l’intérieur ou l’extérieur pour effectuer un geste de pincement. Lorsque vous avez terminé, touchez le bouton de menu. Créer votre propre geste Touchez le bouton de menu, touchez Favoris, puis touchez un geste fictif vide. Vous pouvez également accéder à Réglages > Général > Accessibilité > AssistiveTouch > Créer un geste personnalisé. Verrouiller ou faire pivoter l’écran, ajuster le volume de l’iPad, utiliser le bouton latéral ou simuler la secousse de l’iPad Touchez le bouton de menu, puis touchez Appareil. Simuler l’appui sur le bouton principal Touchez le bouton de menu, puis touchez Principal. Chapitre 24 Accessibilité 127Déplacer le bouton de menu Faites-le glisser n’importe où sur l’écran. Quitter un menu sans effectuer de geste Touchez en dehors du menu. Accès universel sous OS X Tirez parti des fonctionnalités d’accès universel d’OS X lorsque vous utilisez iTunes pour synchroniser des informations et des contenus de votre bibliothèque iTunes vers votre iPad. Dans le Finder, choisissez Aide > Centre d’aide, puis recherchez « accès universel ». Pour en savoir plus sur les fonctions d’accessibilité de l’iPad et d’OS X, consultez la page www.apple.com/fr/accessibility. Taille minimale de police pour les messages Mail Pour augmenter la lisibilité, choisissez pour le texte des messages électroniques une taille de caractères minimum Grande, Très grande ou Géante. Régler la taille de police minimale pour les messages : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Taille des caractères. Le réglage Très grande outrepasse cette taille de caractères minimale. Larges claviers à l’écran Toutes les apps intégrées de l’iPad affichent un plus grand clavier à l’écran lorsque vous faites pivoter l’iPad en mode paysage. Vous pouvez également taper du texte sur un clavier sans fil Apple. Sous-titres codés Activer le sous-titrage codé pour les vidéos : Accédez à Réglages > Vidéo > Accessibilité > Soustitres codés. Tout le contenu vidéo ne contient pas des sous-titres codés. 128 Chapitre 24 AccessibilitéRéglages 25 Mode Avion Le mode Avion désactive les fonctions sans fil de l’iPad pour réduire toute interférence potentielle avec le fonctionnement de l’appareil et d’autres équipements électriques. Activer le mode Avion : Touchez Réglages et activez le mode Avion. Lorsque le mode Avion est activé, apparaît dans la barre d’état en haut de l’écran, et l’iPad n’émet aucun signal Wi-Fi, cellulaire (modèles 4G ou 3G) ou Bluetooth. Vous ne pouvez alors pas utiliser les apps ni les fonctionnalités qui dépendent de telles connexions. Si l’opérateur de l’avion et les lois et réglementations en vigueur le permettent, vous pouvez écouter votre musique, regarder des vidéos, consulter vos messages électroniques, vos calendriers et des données précédemment reçues, et utiliser des apps qui n’ont pas besoin de connexion à Internet. Si le Wi-Fi est disponible et permis par l’opérateur de l’avion et les lois et réglementations en vigueur, accédez à Réglages > Wi-Fi pour l’activer. De même, vous pouvez activer Bluetooth dans Réglages > Général > Bluetooth. Wi-Fi Accès à un réseau Wi-Fi Les réglages Wi-Fi déterminent si l’iPad utilise des réseaux locaux Wi-Fi pour se connecter à Internet. Lorsque l’iPad est connecté à un réseau Wi-Fi, l’icône Wi-Fi située dans la barre d’état en haut de l’écran indique la puissance du signal. Le nombre de barres affichées est proportionnel à la qualité du signal. Une fois que vous avez rejoint un réseau Wi-Fi, l’iPad s’y connecte automatiquement chaque fois que le réseau est à portée. Si plusieurs réseaux déjà utilisés se trouvent à portée, l’iPad se connecte au dernier réseau utilisé. Si aucun réseau Wi-Fi n’est disponible, l’iPad (modèles 4G ou 3G) se connecte via votre réseau de données cellulaire, si possible. Vous pouvez également utiliser l’iPad pour configurer une borne d’accès AirPort qui fournit des services Wi-Fi chez vous ou au bureau. Consultez la section « Configuration d’une borne d’accès AirPort » à la page 130. Activer et désactiver le mode Wi-Fi : Accédez à Réglages > Wi-Fi. 129Régler l’iPad de manière qu’il confirme l’accès à un nouveau réseau Accédez à Réglages > Wi-Fi, puis activez ou désactivez « Confirmer l’accès ». Si l’option « Confirmer l’accès » est désactivée, vous devez rejoindre manuellement un réseau pour vous connecter à Internet lorsqu’aucun réseau déjà utilisé n’est disponible. Oublier un réseau de sorte que l’iPad ne s’y connecte plus Accédez à Réglages > Wi-Fi, puis touchez situé à côté d’un réseau auquel vous vous êtes connecté auparavant. Touchez ensuite « Oublier ce réseau ». Rejoindre un réseau Wi-Fi fermé Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi ne figurant pas dans la liste des ré- seaux découverts, accédez à Réglages > Wi-Fi > Autre, puis saisissez le nom du réseau. Vous devez connaître le nom du réseau, le mot de passe et le type de sécurité afin de vous connecter à un réseau fermé. Ajuster les réglages de connexion à un réseau Wi-Fi Accédez à Réglages > Wi-Fi, puis touchez situé à côté d’un réseau. Vous pouvez configurer un serveur proxy HTTP, définir les réglages de réseaux statiques, activer BootP ou renouveler les réglages à partir d’un serveur DHCP. Configuration d’une borne d’accès AirPort Une borne d’accès AirPort fournit une connexion Wi-Fi pour votre maison, votre école ou le réseau d’une petite entreprise. Vous pouvez utiliser l’iPad pour configurer de nouvelles bornes d’accès AirPort Express ou AirPort Extreme, ou un nouveau Time Capsule. Utiliser l’Assistant réglages AirPort : Accédez à Réglages > Wi-Fi. Sous l’en-tête « Configurer une borne d’accès AirPort », touchez le nom de la borne d’accès à configurer. Suivez ensuite les instructions à l’écran. Certaines bornes d’accès AirPort plus anciennes ne peuvent pas être configurées à l’aide d’un appareil iOS. Pour obtenir les instructions de configuration, consultez la documentation fournie avec la borne d’accès. Si la borne d’accès que vous souhaitez configurer ne figure pas dans la liste, assurez-vous qu’elle est alimentée, que vous êtes à portée et qu’elle n’a pas déjà été configurée. Vous ne pouvez configurer que de nouvelles bornes d’accès ou qui ont été réinitialisées. Si votre borne d’accès AirPort est déjà configurée, l’app Utilitaire AirPort de l’App Store vous permet de changer ses réglages et de contrôler son statut. Notifications Les notifications Push apparaissent dans le Centre de notifications et vous préviennent de l’existence de nouvelles informations, même si une app n’est pas ouverte. Les notifications varient d’une app à l’autre, mais il peut s’agir d’alertes texte ou sonores, et d’une pastille numérotée sur l’icône de l’app, sur l’écran d’accueil. Vous pouvez désactiver les notifications si vous ne souhaitez pas être averti, et vous pouvez modifier l’ordre d’apparition des notifications. Activer ou désactiver les notifications : Accédez à Réglages > Notifications. Touchez un élément de la liste, puis activez ou désactivez les notifications pour cet élément. Les apps pour lesquelles les notifications sont désactivées apparaissent dans la liste Hors du Centre de notifications. 130 Chapitre 25 RéglagesChanger le nombre des notifications récentes affichées Accédez à Réglages > Notifications, puis choisissez un élément dans la liste Dans le Centre de notifications. Touchez Afficher pour sélectionner le nombre de notifications du type devant apparaître dans le Centre de notifications. Modifier les styles d’alerte Accédez à Réglages > Notifications, puis choisissez un élément dans la liste Dans le Centre de notifications. Choisissez un style d’alerte, ou sélectionnez Aucune pour désactiver les alertes et les bannières. Les notifications apparaîtront toujours dans le Centre de notifications. Changer l’ordre des notifications Accédez à Réglages > Notifications, puis touchez Modifier. Faites glisser les notifications pour les réorganiser. Pour désactiver une notification, faites-la glisser dans la liste Hors du Centre de notifications. Afficher des pastilles numérotées sur les apps avec des notifications Accédez à Réglages > Notifications, puis choisissez un élément dans la liste Dans le Centre de notifications. Activez Pastille sur icône d’app. Désactiver l’affichage des alertes lorsque l’iPad est verrouillé Accédez à Réglages > Notifications, puis choisissez une app dans la liste Dans le Centre de notifications. Désactivez « Sur l’écran verrouillé » pour masquer les alertes de l’app lorsque l’iPad est verrouillé. Certaines apps possèdent des options supplémentaires. Par exemple, Messages permet de préciser le nombre de répétitions du son de l’alerte et si les aperçus de messages sont ou non inclus dans la notification. Service de localisation Service de localisation permet aux apps telles que Rappels, Plans, Appareil photo et les apps tierces basées sur la localisation, de recueillir et d’utiliser des données indiquant votre position. Votre position approximative est calculée à l’aide des informations disponibles provenant des données du réseau cellulaire (modèles 4G ou 3G), et des réseaux Wi-Fi locaux (si la fonction Wi-Fi est activée). Pour économiser l’autonomie de la batterie, désactivez Service de localisation lorsque vous ne l’utilisez pas. Lorsqu’une app utilise Service de localisation, apparaît dans la barre d’état. Chaque app et service système qui utilise Service de localisation apparaît dans l’écran de réglages de Service de localisation, indiquant si la fonctionnalité est activée ou pas pour l’app ou le service. Vous pouvez désactiver Service de localisation pour une partie ou la totalité des apps et services si vous ne souhaitez pas utiliser cette fonction. Si vous désactivez Service de localisation, vous êtes invité à le réactiver la prochaine fois qu’une app ou un service tente de l’utiliser. Les données de localisation collectées par Apple ne vous identifient pas personnellement. Si vous disposez sur l’iPad d’apps tierces qui utilisent Service de localisation, passez en revue les conditions générales et la politique de confidentialité de chaque app pour comprendre comment elles utilisent vos données de localisation. Activer ou désactiver Service de localisation : Accédez à Réglages > Service de localisation. Données cellulaires Utilisez les réglages Données cellulaires (sur les modèles prenant en charge les connexions cellulaires) pour activer le service de données cellulaires, activer ou désactiver l’utilisation des données cellulaires ou ajouter un PIN pour verrouiller la carte micro SIM. Avec certains opérateurs, vous pouvez également modifier votre forfait de données. Activer, consulter ou modifier votre compte de données cellulaires : Accédez à Réglages > Données cellulaires, puis touchez Afficher le compte. Suivez les instructions à l’écran. Chapitre 25 Réglages 131Activer ou désactiver l’option Données cellulaires Accédez à Réglages > Données cellulaires. Si l’option Données cellulaires est désactivée, tous les services de données utilisent uniquement le Wi-Fi, y compris le courrier électronique, la navigation web, les notifications push et les autres services. Si l’option Données cellulaires est activée, votre opé- rateur peut vous facturer des frais. Par exemple, l’utilisation de certains services et fonctionnalités, tels que les données de transfert de Messages, peut engendrer la facturation de frais sur votre forfait de données. Activer et désactiver Données à l’étranger Accédez à Réglages > Données cellulaires. La désactivation de Données à l’étranger évite les éventuels frais facturés par l’opérateur lors de l’utilisation d’un réseau fourni par un autre opérateur. VPN Les connexions VPN utilisées au sein d’organisations vous permettent de communiquer des informations privées de manière sécurisée sur un réseau non privé. Vous pouvez être amené à configurer un réseau VPN, notamment pour accéder à votre compte de courrier électronique professionnel. Ce réglage apparaît lorsque vous avez configuré un réseau virtuel (VPN) sur l’iPad, ce qui vous permet d’activer ou désactiver le mode VPN. Consultez la section « Réseau » à la page 134. Partage de connexion Avec les modèles d’(iPad Wi-Fi + 4G), vous pouvez utiliser le partage de connexion pour partager une connexion Internet avec un ordinateur ou un autre appareil, tel qu’un iPod touch, un iPhone ou un autre iPad, connecté à votre iPad via Wi-Fi. Vous pouvez également utiliser le partage de connexion pour partager une connexion Internet avec un ordinateur connecté à votre iPad via Bluetooth ou USB. Le partage de connexion fonctionne uniquement si l’iPad est connecté à Internet par le biais du réseau de données cellulaire. Remarque : Cette fonctionnalité peut ne pas être disponible partout. Des frais supplémentaires peuvent s’appliquer. Contactez votre opérateur pour en savoir plus. Partager une connexion Internet : Accédez à Réglages > Général > Réseau, et touchez Configurer Partage de connexion (si l’option apparaît) pour configurer le service avec votre opérateur. Après avoir activé Partage de connexion, d’autres appareils peuvent se connecter d’une des manières suivantes :  Via W-Fi : sur l’appareil, choisissez votre iPad dans la liste des réseaux Wi-Fi disponibles.  Via USB : connectez votre ordinateur à l’iPad à l’aide du câble Dock Connector vers USB. Dans les préférences Réseau de votre ordinateur, choisissez l’iPad et configurez les réglages réseau.  Via Bluetooth : Sur l’iPad, accédez à Réglages > Général > Bluetooth et activez le Bluetooth. Pour jumeler et connecter votre iPad avec votre appareil, reportez-vous à la documentation fournie avec votre ordinateur. Une fois la connexion établie, une bande bleue apparaît en haut de l’écran de l’iPad. Le partage de connexion demeure activé lorsque vous vous connectez via le port USB, même si vous n’utilisez pas activement la connexion à Internet. Remarque : L’icône Partage de connexion apparaît dans la barre d’état des appareils iOS qui utilisent le partage de connexion. 132 Chapitre 25 RéglagesModifier le mot de passe Wi-Fi de l’iPad Accédez à Réglages > Partage de connexion > Mot de passe Wi-Fi, puis saisissez un mot de passer d’au moins 8 caractères. Contrôler l’utilisation du réseau de données cellulaires Accédez à Réglages > Général > Utilisation > Utilisation cellulaire. Luminosité et fond d’écran Utilisez les réglages Luminosité pour régler l’écran à un niveau confortable. Régler la luminosité de l’écran : Accédez à Réglages > Luminosité et fond d’écran, puis faites glisser le curseur. Régler l’ajustement automatique de la luminosité de l’iPad Accédez à Réglages > Luminosité et fond d’écran, et activez ou désactivez Réglage automatique. Si Réglage automatique est activé, l’iPad ajuste la luminosité de l’écran en fonction des conditions d’éclairage actuelles à l’aide du capteur de lumière ambiante intégré. Les réglages Fond d’écran permettent de définir une image ou une photo comme fond d’écran de l’écran verrouillé ou de l’écran d’accueil. Consultez la section « Changement de fond d’écran » à la page 29. Cadre photo Le mode Cadre photo transforme l’iPad en un cadre de photo animé. Choisissez la transition à utiliser entre les photos, la durée d’affichage de chaque photo et l’album à afficher. Choisissez si vous souhaitez effectuer un zoom sur les visages ou choisir aléatoirement les photos. Démarrer Cadre photo : Touchez sur l’écran verrouillé. Supprimer le bouton Cadre photo de l’écran verrouillé Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code. Général Les réglages Général comprennent les réglages de réseau, de partage, de sécurité et d’autres ré- glages du logiciel iOS. Ils permettent également d’obtenir des informations concernant l’iPad et de réinitialiser différents réglages de l’iPad. Informations Accédez à Réglages > Général > Informations pour obtenir des informations sur votre iPad, notamment l’espace de stockage disponible, les numéros de série, les adresses réseau, et des informations légales et règlementaires. Vous pouvez également consulter les informations de diagnostic et désactiver leur envoi à Apple. Modifier le nom de votre iPad : Accédez à Réglages > Général > Informations, puis touchez Nom. Le nom apparaît dans la barre latérale lorsque l’iPad est connecté à iTunes. Ce nom est utilisé par iCloud. Chapitre 25 Réglages 133Mise à jour de logiciels Mises à jour de logiciels vous permet de télécharger et installer les mises à jour d’iOS provenant d’Apple. Mettre à jour avec la dernière version du logiciel : Accédez à Réglages > Général > Mise à jour de logiciels. Si une nouvelle version d’iOS est disponible, suivez les instructions à l’écran pour la télécharger et l’installer. Remarque : Assurez-vous que l’iPad est connecté à une source d’alimentation pour que l’installation, qui peut prendre plusieurs minutes, se termine avec succès. Utilisation Vous pouvez consulter votre espace de stockage disponible, le pourcentage d’autonomie restante de la batterie et, sur les modèles 4G ou 3G, l’utilisation cellulaire. Afficher l’espace de stockage disponible : Accédez à Réglages > Général > Utilisation. Gérer le stockage iCloud Accédez à Réglages > Général > Utilisation > Gérer le stockage. Vous pouvez consulter ou supprimer des sauvegardes, et désactiver la sauvegarde de votre Pellicule. Vous pouvez également acheter davantage d’espace de stockage iCloud. Afficher l’espace de stockage des apps Accédez à Réglages > Général > Utilisation. L’espace de stockage total de chaque app installée est indiqué. Pour obtenir davantage de détails, touchez le nom de l’app. Consulter l’utilisation cellulaire Accédez à Réglages > Général > Utilisation > Utilisation cellulaire. Disponible sur l’modèles 4G ou 3G. Réinitialiser vos statistiques d’utilisation Accédez à Réglages > Général > Utilisation > Utilisation cellulaire, puis touchez Réinitialiser les statistiques pour effacer les statistiques de temps et de données cumulées. Afficher le niveau de la batterie Accédez à Réglages > Général > Utilisation et activez Niveau de la batterie. Sons Vous pouvez configurer l’iPad de manière à émettre un son lorsque vous recevez un nouveau message, courrier électronique ou rappel. Vous pouvez également configurer des sons pour les rendez-vous, l’envoi de message électronique, les touches sur le clavier et le verrouillage de l’iPad. Régler le volume des alertes : Accédez à Réglages > Général > Sons, puis faites glisser le curseur. Si l’option « Utiliser les boutons » est activée, utilisez les boutons de volume situés sur le côté de l’iPad. Remarque : Dans certaines régions, les effets sonores d’Appareil photo sont émis, même si l’iPad est réglé sur silence. Permettre aux boutons de volume de modifier le volume des alertes Accédez à Réglages > Général > Sons et activez l’option « Utiliser les boutons ». Modifier les alertes et les autres sons Accédez à Réglages > Général > Sons et sélectionnez les sons pour les élé- ments de la liste. Modifier le volume des autres sons Utilisez les boutons de volume situés sur le côté de l’iPad. Réseau Utilisez les réglages Réseau pour configurer une connexion VPN (réseau privé virtuel) et accéder aux réglages Wi-Fi. 134 Chapitre 25 RéglagesAjouter une nouvelle configuration VPN Accédez à Réglages > Général > Réseau > VPN > Ajouter une configuration VPN. Demandez à votre administrateur réseau quels réglages utiliser. Dans la plupart des cas, si vous avez configuré un VPN sur votre ordinateur, vous pouvez utiliser les mêmes réglages VPN pour l’iPad. Consultez la section « VPN » à la page 132. Pour en savoir plus sur les réglages Wi-Fi, consultez la section « Wi-Fi » à la page 129. Bluetooth L’iPad peut se connecter sans fil aux appareils Bluetooth tels que des écouteurs. Vous pouvez également connecter le clavier sans fil Apple via Bluetooth. Consultez la section « Utilisation d’un clavier sans fil Apple » à la page 34. Activer et désactiver le mode Bluetooth : Accédez à Réglages > Général > Bluetooth. Établir une connexion avec un appareil Bluetooth Touchez un appareil dans la liste Appareils, puis suivez les instructions à l’écran pour vous y connecter. Consultez la documentation qui accompagne l’appareil pour plus d’informations sur le jumelage Bluetooth. Synchronisation Wi-Fi d’iTunes Vous pouvez synchroniser l’iPad avec iTunes sur un ordinateur connecté au même réseau Wi-Fi. Activer la synchronisation Wi-Fi d’iTunes : Connectez l’iPad à votre ordinateur à l’aide du câble Dock Connector vers USB. Sur iTunes, activez « Synchroniser par connexion Wi-Fi » dans la sous-fenêtre Résumé de l’appareil. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 22. Après la configuration de la synchronisation Wi-Fi, l’iPad se synchronise automatiquement avec iTunes, une fois par jour, lorsqu’il est connecté à une source d’alimentation et que :  l’iPad et votre ordinateur sont connectés au même réseau Wi-Fi ;  iTunes est ouvert sur votre ordinateur. Afficher l’état de la synchronisation Wi-Fi Accédez à Réglages > Général > Synchronisation Wi-Fi iTunes. Synchroniser immédiatement avec iTunes Accédez à Réglages > Général > Synchronisation Wi-Fi iTunes, puis touchez Synchroniser. Recherche Spotlight Le réglage Recherche Spotlight vous permet de déterminer les zones de contenu recherchées par Recherche et de réordonner les résultats. Définir le contenu sur lequel porte la recherche de Recherche : Accédez à Réglages > Général > Recherche Spotlight, puis sélectionnez les éléments à rechercher. Définir l’ordre des domaines de recherche Accédez à Réglages > Général > Recherche Spotlight. Touchez , situé à côté d’un élément, et faites glisser pour déplacer l’élément dans la liste. Verrouillage automatique Le verrouillage de l’iPad désactive l’écran, économise votre batterie et empêche toute utilisation de l’iPad par inadvertance. Réglage de la durée de déclenchement du verrouillage de l’iPad : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage auto., puis choisissez une durée. Chapitre 25 Réglages 135Si vous écoutez de la musique alors que l’écran est verrouillé, utilisez les boutons de volume pour régler ce dernier. Verrouillage par code Par défaut, l’iPad ne requiert pas un code pour le déverrouiller. Configurer un mode de passe active la protection des données. Consultez la section « Fonctionnalités de sécurité » à la page 41. Définir un code : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code pour définir un code à 4 chiffres. Si vous oubliez votre code, vous devez restaurer le logiciel de l’iPad. Consultez la section « Mise à jour de l’iPad » à la page 150. Désactiver le verrouillage par code ou changer le code Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code. Régler le délai d’activation du verrouillage par code Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, puis saisissez votre code. Touchez Exiger le code, puis sélectionnez le délai à appliquer entre le moment où l’iPad est verrouillé et le moment où il vous invite à saisir votre mot de passe pour le déverrouiller. Activer ou désactiver l’option Code simple Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code. Un code simple est un nombre à 4 chiffres. Pour augmenter la sécurité, désactivez Code simple et utilisez un code plus long combinant chiffres, lettres, signes de ponctuation et caractères spéciaux. Effacer les données après dix tentatives de saisie infructueuses Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, puis touchez Effacer les données. Après dix tentatives de saisie infructueuses, vos réglages sont réinitialisés, et toutes les informations et tout le contenu sont effacés par la suppression de la clé de chiffrement des données. Activer ou désactiver Cadre photo Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code. Consultez la section « Cadre photo » à la page 133. Verrouiller/déverrouiller l’étui de l’iPad Vous pouvez automatiquement verrouiller ou déverrouiller l’iPad 2 ou ultérieur lorsque vous l’utilisez avec l’iPad Smart Cover (disponible séparément). Lorsque cette fonctionnalité est activée, l’iPad se verrouille automatiquement et se met en veille lorsque vous fermez la Smart Cover, et sort de veille lorsque vous l’ouvrez. Ce réglage apparaît lorsque vous positionnez l’iPad Smart Cover. Restrictions Vous pouvez définir des restrictions pour l’utilisation de certaines apps et pour le contenu acheté. Les parents peuvent ainsi restreindre dans les listes de lecture l’accès à la musique dont le contenu est explicite ou désactiver les Achats intégrés. Activer des restrictions : Accédez à Réglages > Général > Restrictions, puis touchez Activer les restrictions. Important : Si vous oubliez votre code de restrictions, vous devez restaurer le logiciel de l’iPad. Consultez la section « Restauration de l’iPad » à la page 151. Vous pouvez configurer les restrictions suivantes : 136 Chapitre 25 RéglagesSafari Safari est désactivé et son icône est supprimée de l’écran d’accueil. Vous ne pouvez pas utiliser Safari pour naviguer sur le Web ou accéder à des clips web. YouTube YouTube est désactivé et son icône est supprimée de l’écran d’accueil. Appareil photo Appareil photo est désactivé et son icône est supprimée de l’écran principal. Vous ne pouvez pas prendre de photos. FaceTime Vous ne pouvez pas passer ou recevoir d’appels vidéo FaceTime. L’icône FaceTime est supprimée de l’écran d’accueil. iTunes L’iTunes Store est désactivé et son icône est supprimée de l’écran d’accueil. Vous ne pouvez pas écouter d’extrait, acheter ou télécharger de contenu. Ping Vous ne pouvez pas accéder à Ping ni à aucune de ses fonctions. Ajout d’apps L’App Store est désactivé et son icône est supprimée de l’écran d’accueil. Vous ne pouvez pas installer d’apps sur l’iPad. Suppression d’apps Vous ne pouvez pas supprimer d’apps de l’iPad. n’apparaît pas sur les icônes d’app lorsque vous personnalisez l’écran d’accueil. Dictée Vous ne pouvez pas utiliser la dictée de texte. Langage explicite L’iPad essaie de remplacer les mots explicites dictés par des astérisques. Lieu Désactivez le service de localisation pour des apps. Vous pouvez également verrouiller Service de localisation pour qu’aucun changement de réglage ne puisse être opéré, dont l’autorisation d’utilisation du service par d’autres apps. Comptes Les réglages Mail, Contacts, Calendrier actuels sont verrouillés et vous ne pouvez pas ajouter, modifier ou supprimer de compte. Définir des restrictions relatives au contenu Touchez Classification, puis sélectionnez un pays dans la liste. Vous pouvez ensuite définir des restrictions à l’aide du système de classification d’un pays pour la musique, les podcasts, les films, les séries TV et les apps. Le contenu n’atteignant pas vos critères de sélection n’apparaît pas sur l’iPad. Achats intégrés Désactivez Achats intégrés. Lorsqu’elle est activée, cette fonction vous permet d’acheter du contenu ou des fonctionnalités supplémentaires dans les apps téléchargées à partir de l’App Store. Exiger le mot de passe Exige que vous saisissiez un identifiant Apple pour les achats intégrés après une durée spécifique. Jeux multijoueurs Lorsque l’option Jeux multijoueurs est désactivée, vous ne pouvez pas demander de match, envoyer ou recevoir des invitations à jouer à des jeux ou ajouter des amis dans Game Center. Ajout d’amis Lorsque la fonctionnalité Ajout d’amis est désactivée, vous ne pouvez ni envoyer ni recevoir de demande d’amitié dans Game Center. Si la fonctionnalité Jeux multijoueurs est activée, vous pouvez continuer à jouer avec des amis existants. Bouton latéral Vous pouvez utiliser le bouton latéral pour verrouiller l’orientation de l’écran ou pour faire passer en mode silence les notifications et effets sonores. Verrouiller l’écran en mode portrait ou mode paysage : Accédez à Réglages > Général > Le bouton latéral sert à, puis touchez Verrouiller la rotation. Passer en mode silence les notifications et autres effets sonores : Accédez à Réglages > Général > Le bouton latéral sert à, puis touchez Couper le son. Le bouton latéral ne coupe pas le son de l’audio ou de la vidéo. Utilisez les boutons de volume situés sur le côté de l’appareil pour ne plus entendre ces sons. Chapitre 25 Réglages 137Gestes pour le multitâche Les gestes pour le multitâche vous permettent de rapidement basculer entre les apps, afficher la barre multitâche et accéder à l’écran d’accueil. Consultez la section « Utilisation des gestes pour le multitâche » à la page 17. Date et heure Ces réglages s’appliquent à l’heure indiquée dans la barre d’état en haut de l’écran et dans les horloges mondiales et calendriers. Définir le format 24 heures ou 12 heures de l’iPad : Accédez à Réglages > Général > Date et heure. (L’affichage 24 h peut ne pas être disponible dans tous les pays ou toutes les régions.) Régler la mise à jour automatique de la date et de l’heure de l’iPad Accédez à Réglages > Général > Date et heure. Si l’iPad est réglé pour mettre automatiquement l’heure à jour, il détermine votre fuseau horaire d’après votre connexion à Internet et la met à jour pour votre fuseau horaire. Si vous voyagez, l’iPad peut ne pas être en mesure de régler automatiquement l’heure locale. Régler la date et l’heure manuellement Accédez à Réglages > Général > Date et heure, puis désactivez Réglage automatique. Touchez Fuseau horaire pour définir votre fuseau horaire. Touchez Date et heure, puis touchez Régler la date et l’heure, et saisissez la date et l’heure. Clavier Vous pouvez activer des claviers pour écrire dans différentes langues et activer ou désactiver des fonctionnalités de saisie telles que la correction orthographique. Pour en savoir plus sur les options de clavier, consultez la section « Saisie de texte » à la page 30. Pour réinitialiser le dictionnaire clavier, consultez « Réinitialisation » à la page 139 Pour en savoir plus sur l’utilisation des claviers internationaux, consultez la section L’annexe B, « Claviers internationaux, » à la page 142. International Utilisez les réglages International pour définir la langue de l’iPad, activer ou désactiver les claviers de différentes langues et régler les formats de date, d’heure et de numéro de téléphone de votre pays ou région. Régler la langue de l’iPad : Accédez à Réglages > Général > International > Langue, choisissez la langue souhaitée, puis touchez OK. Régler le format du calendrier Accédez à Réglages > Général > International > Calendrier, puis choisissez le format. Régler les formats de date, d’heure et de numéro de téléphone Accédez à Réglages > Général > International > Format régional, puis choisissez votre région. Le format régional détermine également la langue utilisée pour les jours et les mois qui apparaissent dans les apps. Accessibilité Pour activer les fonctionnalités d’accessibilité, choisissez Accessibilité, puis sélectionnez les fonctionnalités souhaitées. Consultez la section Chapitre 24, « Accessibilité, » à la page 114. Profils Ce réglage apparaît lorsque vous installez un ou plusieurs profils sur l’iPad. Touchez Profils pour afficher des informations sur les profils que vous avez installés. Pour en savoir plus sur les profils, consultez la section L’annexe A, « L’iPad en entreprise, » à la page 140. 138 Chapitre 25 RéglagesRéinitialisation Vous pouvez réinitialiser le dictionnaire clavier, les réglages réseau, la disposition de l’écran d’accueil et les alertes de localisation. Vous pouvez également effacer la totalité de vos contenus et réglages. Effacer tout le contenu et les réglages : Accédez à Réglages > Général > Réinitialiser et touchez Effacer contenu et réglages. Après confirmation que vous souhaitez réinitialiser le contenu de l’iPad, la totalité de votre contenu, vos données personnelles et vos réglages sont supprimés. L’appareil ne peut pas être utilisé tant qu’il n’a pas été configuré à nouveau. Réinitialiser tous les réglages Accédez à Réglages > Général > Réinitialiser et touchez Réinitialiser tous les réglages. Vos préférences et réglages sont tous réinitialisés. Réinitialiser les réglages réseau Accédez à Réglages > Général > Réinitialiser et touchez Réinitialiser les ré- glages réseau. Lorsque vous réinitialisez les réglages réseau, la liste des réseaux utilisés précédemment et les réglages VPN qui ne sont pas installés par un profil de configuration sont supprimés. Wi-Fi est désactivé puis réactivé : vous êtes alors déconnecté de tout réseau, le cas échéant. Les réglages Wi-Fi et « Confirmer l’accès » restent activés. Pour supprimer les réglages VPN installés par un profil de configuration, accédez à Réglages > Général > Profil, puis sélectionnez le profil et touchez Supprimer. Cela supprime également les autres réglages et comptes du profil. Réinitialiser le dictionnaire clavier Accédez à Réglages > Général > Réinitialiser et touchez Réinitialiser le dictionnaire clavier. Vous ajoutez des mots au dictionnaire clavier en refusant les mots que l’iPad suggère lors de la frappe. Touchez un mot pour rejeter la correction et ajouter votre mot au dictionnaire clavier. La réinitialisation du dictionnaire clavier efface tous les mots que vous avez ajoutés. Réinitialiser la disposition de l’écran d’accueil Accédez à Réglages > Général > Réinitialiser et touchez Réinitialiser l’écran d’accueil. Réinitialiser les alertes de localisation Accédez à Réglages > Général > Réinitialiser et touchez Réinitialiser alertes de localisation. Les alertes de localisation sont des requêtes d’utilisation de Service de localisation lancées par des apps. L’iPad émet une alerte de localisation pour une app la première fois que celle-ci lance une telle requête. Si vous touchez Annuler en réponse, la requête n’apparaîtra plus. Pour réinitialiser les alertes de localisation et recevoir une requête pour chaque app, touchez Réinitialiser alertes de localisation. Réglages des apps Consultez les autres chapitres pour en savoir plus sur les réglages des apps. Par exemple, pour les réglages de Safari, consultez Chapitre 4, « Safari, » à la page 43. Chapitre 25 Réglages 139L’iPad en entreprise A L’annexe L’iPad en entreprise Avec la prise en charge de l’accès sécurisé aux répertoires, aux réseaux d’entreprise et à Microsoft Exchange, l’iPad est prêt à vous suivre au travail. Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’iPad en entreprise, consultez la page www.apple.com/fr/ipad/business. Utilisation de profils de configuration Dans un environnement d’entreprise, vous pouvez être amené à configurer des comptes et d’autres éléments sur votre iPad en installant un profil de configuration. Les profils de configuration permettent à votre administrateur de configurer votre iPad pour utiliser les systèmes informatiques de votre société, votre école ou votre organisation. Par exemple, un profil de configuration peut configurer l’accès de votre iPad aux serveurs Microsoft Exchange de votre bureau, ce qui permet à votre iPad d’accéder à votre courrier électronique, vos calendriers et vos contacts Exchange. Un profil de configuration peut configurer de nombreux réglages différents sur l’iPad. Un profil de configuration peut par exemple paramétrer votre compte Microsoft Exchange, votre compte VPN et des certificats destinés à un accès sécurisé au réseau et aux informations de votre société. Un profil de configuration peut également activer le Verrouillage par code, ce qui vous oblige à créer et à saisir un code pour utiliser votre iPad. Votre administrateur peut diffuser des profils de configuration par courrier électronique, sur une page web sécurisée, ou via une installation directe sur votre iPad. Il se peut que votre administrateur vous demande d’installer un profil qui lie votre iPad à un serveur de gestion d’appareils mobiles, ce qui lui permet d’en configurer les réglages à distance. Installer des profils de configuration : Sur votre iPad, ouvrez le message électronique ou télé- chargez les profils de configuration à partir du site web fourni par votre administrateur. Lorsque vous ouvrez le profil de configuration, l’installation débute. Important : Il peut vous être demandé si le profil de configuration est fiable. En cas de doute, consultez votre administrateur avant de l’installer. Vous pouvez modifier les réglages d’un profil de configuration. Si vous souhaitez modifier les ré- glages, vous devez d’abord supprimer le profil de configuration ou en installer un nouveau comprenant les nouveaux réglages. Supprimer un profil de configuration : Accédez à Réglages > Général > Profil, puis sélectionnez le profil de configuration et touchez Supprimer. La suppression d’un profil de configuration supprime les réglages et toutes les autres informations installées par le profil. 140Configuration de comptes Microsoft Exchange Microsoft Exchange fournit une messagerie électronique, des tâches, des coordonnées et des informations de calendrier que vous pouvez automatiquement synchroniser sans fil avec l’iPad. Vous pouvez configurer un compte Exchange directement sur l’iPad. Configurer un compte Exchange sur l’iPad : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Touchez Ajouter un compte puis Microsoft Exchange. Votre prestataire de service ou administrateur peut vous fournir les réglages de compte nécessaires. Accès par VPN La norme VPN (réseau privé virtuel, en anglais « Virtual Private Network ») permet un accès sécurisé via Internet à des réseaux privés, comme le réseau de votre entreprise ou école. Utilisez les réglages Réseau sur l’iPad pour configurer et activer VPN. Demandez à votre administrateur quels réglages utiliser. Il est aussi possible de configurer VPN automatiquement à l’aide d’un profil de configuration. Lorsqu’un réseau VPN est configuré à l’aide d’un profil de configuration, l’iPad peut l’activer automatiquement chaque fois que cela est nécessaire. Pour en savoir plus, contactez votre administrateur. Comptes LDAP et CardDAV Lorsque vous configurez un compte LDAP, vous pouvez afficher et rechercher des contacts sur le serveur LDAP de votre entreprise ou de votre organisation. Le serveur apparaît sous la forme d’un nouveau groupe dans Contacts. Étant donné que les contacts LDAP ne sont pas téléchargés sur l’iPad, vous devez disposer d’une connexion Internet pour les consulter. Contactez votre administrateur au sujet des réglages de compte et autres configurations requises (telles que VPN). Lorsque vous configurez un compte CardDAV, les contacts de votre compte sont synchronisés sans fil avec l’iPad. Vous pouvez également rechercher des contacts sur le serveur CardDAV de votre société ou organisation. Configurer un compte LDAP ou CardDAV : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis touchez Ajouter un compte. Touchez Autre. Votre prestataire de service ou administrateur peut vous fournir les réglages de compte nécessaires. L’annexe A L’iPad en entreprise 141Claviers internationaux B L’annexe Les claviers internationaux vous permettent de saisir du texte dans de nombreuses langues, y compris les langues asiatiques et celles qui se lisent de la droite vers la gauche. Ajout et suppression de claviers Sur l’iPad, il est possible de saisir du texte dans différentes langues en utilisant différents claviers. Par défaut, seul le clavier de la langue définie est disponible. Pour rendre disponibles les claviers d’autres langues, utilisez les réglages Clavier. Une liste des claviers pris en charge par l’iPad se trouve à la page www.apple.com/fr/ipad/specs. Ajouter un clavier : Accédez à Réglages > Général > International > Claviers > Ajouter un clavier, puis choisissez un clavier dans la liste. Répétez l’opération pour ajouter d’autres claviers. Supprimer un clavier : Accédez à Réglages > Général > International > Claviers, puis touchez Modifier. Touchez à côté du clavier que vous souhaitez supprimer, puis touchez Supprimer. Modifier votre liste de claviers : Accédez à Réglages > Général > International > Claviers. Touchez Modifier, puis faites glisser à côté d’un clavier vers une nouvelle position dans la liste. Basculement entre les claviers Pour saisir du texte dans une autre langue, changez de clavier. Changer de clavier en cours de saisie : Maintenez le doigt sur la touche de globe pour afficher tous les claviers activés. Pour choisir un clavier, faites glisser votre doigt sur le nom du clavier, puis levez votre doigt. La touche de globe apparaît lorsque vous activez plusieurs claviers. Vous pouvez également toucher . Lorsque vous touchez , le nom du clavier que vous venez d’activer apparaît brièvement. Continuez à toucher cette touche pour accéder à d’autres claviers activés. De nombreux claviers proposent des lettres, chiffres et symboles non visibles sur le clavier luimême. Saisir des lettres accentuées ou d’autres caractères secondaires : Touchez la lettre, le chiffre ou le symbole le plus proche et maintenez le doigt dessus, puis faites glisser pour choisir une variante. Sur un clavier thaïlandais, par exemple, pour choisir des chiffres natifs, vous pouvez toucher le chiffre arabe correspondant et maintenir le doigt dessus. Chinois Vous pouvez utiliser les claviers pour saisir du chinois en utilisant différentes méthodes, notamment Pinyin, Kanji, Wubihua et Zhuyin. Vous pouvez également utiliser votre doigt pour écrire des caractères chinois à l’écran. 142Saisie en Pinyin Utilisez le clavier AZERTY pour saisir du Pinyin simplifié ou traditionnel. Au fur et à mesure que vous tapez, des suggestions de caractères apparaissent. Touchez un caractère pour le choisir ou continuez à saisir du Pinyin pour afficher davantage d’options. Si vous continuez à saisir du Pinyin sans espace, des suggestions de phrase apparaissent. Saisie en Kanji Construisez des caractères chinois à partir des touches Kanji de composants. Au fur et à mesure que vous tapez, des suggestions de caractères apparaissent. Touchez un caractère pour le choisir ou continuez à saisir jusqu’à cinq composants pour afficher davantage d’options. Saisie avec des traits (Wubihua) Utilisez le clavier numérique pour construire des caractères chinois en utilisant jusqu’à cinq traits dans la séquence d’écriture correcte : horizontal, vertical, gauche vers le bas, droit vers le bas et crochet. Par exemple, le caractère chinois ? (cercle) doit commencer par le trait vertical ?. Au fur et à mesure que vous tapez, les caractères chinois suggérés apparaissent (en commençant par les plus communs). Touchez un caractère pour le choisir. Si vous n’êtes pas sûr du trait, tapez un astérisque (*). Pour afficher davantage d’options de caractères, tapez un autre trait ou faites défiler la liste de caractères. Touchez la touche correspondante (??) pour n’afficher que les caractères correspondant exactement à ce que vous avez tapé. Saisie en Zhuyin Utilisez le clavier pour taper des lettres Zhuyin. Au fur et à mesure que vous tapez, les caractères chinois suggérés apparaissent. Touchez une suggestion pour la choisir ou continuez à saisir des lettres Zhuyin pour afficher davantage d’options. Une fois la première lettre saisie, le clavier affiche d’autres lettres. Si vous continuez à saisir du Zhuyin sans espace, des suggestions de phrase apparaissent. L’annexe B Claviers internationaux 143Dessin de caractères chinois Lorsque les formats manuels de chinois simplifié ou traditionnel sont activés, vous pouvez dessiner ou écrire des caractères chinois directement sur l’écran avec votre doigt. Tandis que vous tracez des traits, l’iPad les reconnaît et propose une liste de caractères correspondants classés par ordre de similarité. Lorsque vous choisissez un caractère, ceux qui sont susceptibles de suivre apparaissent dans la liste en tant que choix supplémentaires. Pavé tactile Pavé tactile Certains caractères complexes tels que ? (une partie du nom de l’aéroport international de Hong Kong), ?? (ascenseur) et ? (particule utilisée en cantonnais) peuvent être saisis en écrivant à la suite deux caractères composants ou davantage. Touchez le caractère pour remplacer les caractè- res que vous avez saisis. Les caractères romains sont également reconnus. Conversion entre chinois simplifié et chinois traditionnel Sélectionnez le ou les caractères à convertir, puis touchez Remplacer. Japonais Vous pouvez saisir du Japonais à l’aide des claviers Kana ou Romaji. Vous pouvez également saisir des smileys. Saisie de texte japonais en caractères kana Utilisez le clavier Kana pour sélectionner des syllabes. Pour obtenir plus d’options de syllabes, touchez la flèche et sélectionnez une autre syllabe ou un autre mot dans la fenêtre. 144 L’annexe B Claviers internationauxSaisie de texte japonais en caractères romaji Utilisez le clavier Romaji pour saisir des syllabes. D’autres choix apparaissent en haut du clavier, touchez-en un pour le saisir. Pour obtenir plus d’options de syllabes, touchez la flèche et sélectionnez une autre syllabe ou un autre mot dans la fenêtre. Saisie de smileys ou d’émoticônes En utilisant le clavier japonais Kana, touchez la touche ^_^. En utilisant le clavier japonais Romaji (AZERTY en disposition japonaise), touchez la touche de nombre , puis la touche ^_^. En utilisant le clavier chinois pinyin (simplifié ou traditionnel) ou zhuyin (traditionnel) , touchez la touche des symboles , puis la touche ^_^. Saisie de caractères emoji Utilisez le clavier Emoji pour saisir des caractères picturaux. Vous pouvez également saisir des caractères emoji à l’aide d’un clavier japonais. Par exemple, saisissez ??? pour obtenir ?. Utilisation de la liste des candidats Lorsque vous tapez sur des claviers chinois, japonais ou arabes, des suggestions de caractères ou candidats apparaissent en haut du clavier. Touchez un candidat pour le saisir ou feuilletez vers la gauche pour afficher davantage de candidats. Utiliser la liste étendue des candidats : Touchez la flèche vers le haut située à droite pour afficher la liste complète des candidats. Feuilletez vers le haut ou le bas pour faire défiler la liste. Touchez la flèche vers le bas pour revenir à la liste restreinte. Utilisation des raccourcis Lors de l’utilisation de certains claviers chinois ou japonais, vous pouvez créer un raccourci pour des mots et des paires d’entrées. Le raccourci est ajouté au dictionnaire personnel. Lorsque vous tapez un raccourci en utilisant un clavier pris en charge, le mot ou la paire d’entrée associée est substituée au raccourci. Les raccourcis sont disponibles pour les claviers suivants :  Chinois simplifié (Pinyin)  Chinois traditionnel (Pinyin)  Chinois traditionnel (Zhuyin)  Japonais (Romaji)  Japonais (50 touches) Activer ou désactiver les raccourcis : Accédez à Réglages > Général > Clavier > Raccourcis. L’annexe B Claviers internationaux 145Vietnamien Touchez un caractère et maintenez le doigt dessus pour afficher tous les signes diacritiques puis faites glisser votre doigt pour choisir celui souhaité. Vous pouvez également taper les séquences de caractères suivantes pour saisir des caractères diacritiques :  aa—â (a accent circonflexe)  aw—a (a caron)  ee—ê (e accent circonflexe)  oo—ô (o accent circonflexe)  ow—o (o crochet)  w—u (u crochet)  dd—d (d trait)  as—á (a accent aigu)  af—à (a accent grave)  ar—? (a point d’interrogation)  ax—ã (a accent ascendant)  aj—? (a ton tombant) 146 L’annexe B Claviers internationauxAssistance et autres informations C L’annexe Site d’assistance iPad Des informations d’assistance technique complètes sont disponibles en ligne à l’adresse www.apple.com/fr/support/ipad. Vous pouvez également utiliser Express Lane pour une assistance personnalisée (non disponible dans toutes les zones). Consultez la page expresslane.apple.com/fr. L’image de batterie faible ou le message « Aucune recharge en cours » s’affiche L’iPad n’est presque plus alimenté. Jusqu’à vingt minutes de charge peuvent être nécessaires avant qu’il ne soit utilisable. Pour en savoir plus sur la recharge de l’iPad, consultez la section « Recharge de la batterie » à la page 23. ouou  Lors de la recharge, utilisez l’adaptateur secteur USB 10 W fourni avec l’iPad ou le port USB d’un Mac récent. La manière la plus rapide consiste à utiliser l’adaptateur secteur. Consultez la section « Recharge de la batterie » à la page 23.  Pour une recharge plus rapide, éteignez l’iPad.  Il est possible que l’iPad ne se recharge pas lorsqu’il est connecté au port USB d’un Mac plus ancien, d’un PC, d’un clavier ou d’un concentrateur USB. Si votre Mac ou PC ne fournit pas une alimentation suffisante pour recharger votre iPad, un message Aucune recharge en cours apparaît dans la barre d’état. Pour recharger l’iPad, déconnectez-le de votre ordinateur et connectez-le à une prise secteur à l’aide du câble Dock Connector vers USB et de l’adaptateur secteur USB 10 W. L’iPad ne répond pas  La batterie de l’iPad est peut-être faible. Connectez l’iPad à l’adaptateur secteur USB 10 W pour le recharger. Consultez la section « Recharge de la batterie » à la page 23.  Maintenez enfoncé le bouton Veille/Éveil pendant quelques secondes. Lorsqu’un curseur rouge apparaît, maintenez enfoncé le bouton principal pour forcer la fermeture de l’app que vous utilisiez.  Si cela ne fonctionne pas, éteignez l’iPad, puis rallumez-le. Maintenez le bouton Veille/Éveil enfoncé jusqu’à ce qu’un curseur rouge apparaisse, puis faites glisser ce curseur. Maintenez ensuite le bouton Veille/Éveil enfoncé jusqu’à ce que le logo Apple apparaisse. 147 Si cela ne fonctionne pas, réinitialisez l’iPad. Maintenez enfoncés le bouton Veille/Éveil et le bouton principal pendant au moins dix secondes, jusqu’à ce que le logo Apple apparaisse.  Si l’écran ne pivote pas lorsque vous faites pivoter votre iPad, tenez l’iPad verticalement et vérifiez que le verrouillage de rotation de l’écran n’est pas activé. Redémarrage et réinitialisation de l’iPad En cas de mauvais fonctionnement, essayez de redémarrer l’iPad, de forcer la fermeture d’une app ou de réinitialiser l’iPad. Redémarrer l’iPad : Maintenez le bouton Veille/Éveil enfoncé jusqu’à ce que le curseur rouge apparaisse. Faites glisser votre doigt sur le curseur pour éteindre l’iPad. Pour rallumer l’iPad, appuyez sur le bouton Veille/Éveil jusqu’à l’apparition du logo Apple. Forcer une app à quitter : Maintenez enfoncé le bouton Veille/Éveil situé sur le dessus de l’iPad pendant quelques secondes jusqu’à l’apparition d’un curseur rouge, puis maintenez le bouton principal enfoncé jusqu’à la fermeture de l’app. Si vous ne parvenez pas à éteindre l’iPad ou que le problème persiste, il est peut-être nécessaire de réinitialiser l’iPad. Ne réinitialisez l’iPad que si son redémarrage ne permet pas de résoudre le problème. Réinitialiser l’iPad : Maintenez simultanément enfoncés le bouton Veille/Éveil et le bouton principal pendant au moins dix secondes, jusqu’à l’apparition du logo Apple. Le message « Cet accessoire n’est pas reconnu par l’iPad » s’affiche L’accessoire que vous avez connecté peut ne pas fonctionner avec l’iPad. Assurez-vous que le câble Dock Connector vers USB est exempt de débris, et consultez la documentation livrée avec l’accessoire. Une app ne remplit pas l’écran La plupart des apps iPhone et iPod touch sont utilisables sur l’iPad, mais ne sont pas forcément optimisées pour l’écran large. Si c’est le cas, touchez pour agrandir l’app. Touchez pour revenir à la taille d’origine. Vérifiez dans l’App Store s’il existe une version de l’app optimisée pour l’iPad ou une version universelle optimisée pour l’iPhone, l’iPod touch et l’iPad. Le clavier à l’écran ne s’affiche pas Si l’iPad est jumelé à un clavier Bluetooth, le clavier à l’écran n’apparaît pas. Pour faire apparaître le clavier à l’écran, appuyez sur la touche d’éjection d’un clavier Bluetooth. Vous pouvez également le faire apparaître en déplaçant le clavier Bluetooth hors de portée ou en l’éteignant. Sauvegarde de l’iPad Vous pouvez également utiliser iCloud ou iTunes pour sauvegarder automatiquement l’iPad. Si vous choisissez la sauvegarde automatique à l’aide d’iCloud, vous ne pouvez pas également effectuer de sauvegarde automatique vers votre ordinateur à l’aide d’iTunes, mais vous pouvez utiliser iTunes pour effectuer une sauvegarde manuelle vers votre ordinateur. 148 L’annexe C Assistance et autres informationsCopie de sauvegarde avec iCloud Automatiquement, iCloud effectue chaque jour une sauvegarde vers l’iPad via Wi-Fi lorsqu’il est connecté à une source d’alimentation et verrouillé. La date et l’heure de la dernière sauvegarde apparaissent en bas de l’écran Stockage et sauvegarde. iCloud sauvegarde les éléments suivants :  Achats de musique, de séries TV, d’apps et de livres  Photos et vidéos dans votre Pellicule  Réglages de l’iPad  Données des apps  Organisation de l’écran d’accueil et des apps  Messages Remarque : La musique achetée n’est pas sauvegardée dans toutes les régions et les séries TV ne sont pas disponibles dans toutes les régions. Si vous n’avez pas activé les sauvegardes iCloud lors de la première configuration de votre iPad, vous pouvez l’activer dans les réglages iCloud. Lorsque vous activez la sauvegarde iCloud, l'iPad n'effectue plus une sauvegarde automatique vers votre ordinateur lorsque vous réalisez une synchronisation avec iTunes. Activer les sauvegardes iCloud Accédez à Réglages > iCloud, puis connectez-vous à l’aide de votre identifiant Apple et de votre mot de passe, si ceux-ci vous sont demandés. Accédez à Stockage et sauvegarde, puis activez Sauvegarde iCloud. Effectuer immédiatement une copie de sauvegarde Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis touchez Sauvegarder. Gérer les copies de sauvegarde Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis touchez Gérer le stockage. Touchez le nom de votre iPad. Activer ou désactiver la sauvegarde de la Pellicule Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis touchez Gérer le stockage. Touchez le nom de votre iPad, puis activez ou désactivez la sauvegarde de la Pellicule. Consulter les appareils sauvegardés Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde > Gérer le stockage. Arrêter les sauvegardes automatiques iCloud Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis désactivez Sauvegarde iCloud. La musique qui n’a pas été achetée sur iTunes n’est pas sauvegardée dans iCloud. Vous devez utiliser iTunes pour sauvegarder et restaurer ce contenu. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 22. Important : La sauvegarde de la musique et des séries TV n’est pas disponible dans toutes les ré- gions. Les achats antérieurs peuvent ne pas être disponibles s’ils ne sont plus présents dans l’iTunes Store, l’App Store ou l’iBookstore. Le contenu acheté, ainsi que le contenu de Flux de photos, n’utilisent pas votre espace de stockage iCloud gratuit de 5 Go. Copie de sauvegarde avec iTunes iTunes crée une sauvegarde des photos de vos albums Pellicule ou Photos enregistrées, des messages texte, des notes, des contacts favoris, des réglages de son, etc. Les fichiers multimédias, tels que les morceaux, et certaines photos, ne sont pas sauvegardés, mais peuvent être restaurés par une synchronisation avec iTunes. L’annexe C Assistance et autres informations 149Lorsque vous connectez l’iPad à l’ordinateur que vous utilisez habituellement pour la synchronisation, iTunes créer une sauvegarde chaque fois que vous effectuez l’une des actions suivantes :  Synchroniser avec iTunes : iTunes synchronise l'iPad chaque fois que vous connectez l'iPad à votre ordinateur. iTunes ne sauvegarde pas automatiquement un iPad qui n'est pas configuré pour être synchronisé avec cet ordinateur. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 22.  Mettre à jour ou restaurer l'iPad : iTunes sauvegarde automatiquement l’iPad avant la mise à jour et la restauration. iTunes peut également chiffrer les sauvegardes de l'iPad pour protéger vos données. Chiffrer les sauvegardes de l'iPad : Sélectionnez « Chiffrer la sauvegarde de l’iPad » dans l’écran Résumé d’iTunes. Restaurer les fichiers et les réglages de l’iPad : Connectez l’iPad à l’ordinateur que vous utilisez habituellement pour la synchronisation, sélectionnez l’iPad dans la fenêtre iTunes et cliquez sur Restaurer dans la sous-fenêtre Résumé. Suppression d’une copie de sauvegarde iTunes Vous pouvez supprimer une sauvegarde de l’iPad de la liste des sauvegardes sur iTunes. Utilisez par exemple cette fonction si une sauvegarde a été créée sur un autre ordinateur que le vôtre. Supprimer une sauvegarde : 1 Sur iTunes, ouvrez les Préférences iTunes.  Mac : choisissez iTunes > Préférences.  Windows : choisissez Édition > Préférences. 2 Cliquez sur Appareils (il n’est pas nécessaire que l’iPad soit connecté). 3 Sélectionnez la sauvegarde que vous souhaitez supprimer, puis cliquez sur Supprimer la sauvegarde. 4 Cliquez sur Supprimer, pour confirmer que vous souhaitez supprimer la sauvegarde sélectionnée, puis cliquez sur OK. Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPad Vous pouvez mettre à jour le logiciel de l’iPad dans Réglages ou à l’aide d’iTunes. Vous pouvez également effacer l’iPad et utiliser iCould ou iTunes pour restaurer une copie de sauvegarde. Les données supprimées ne sont plus accessibles via l’interface utilisateur de l’iPad, mais elles ne sont pas effacées de votre iPad. Pour en savoir plus sur la manière d’effacer tout le contenu et les réglages, consultez la section « Réinitialisation » à la page 139. Mise à jour de l’iPad Vous pouvez mettre à jour le logiciel de l’iPad dans Réglages ou à l’aide d’iTunes. Mettre à jour sans fil sur l’iPad : Accédez à Réglages > Général > Mise à jour de logiciels. L’iPad recherche les mises à jour de logiciels disponibles. Mettre à jour le logiciel sur iTunes : iTunes recherche les mises à jour de logiciels disponibles chaque fois que vous synchronisez l'iPad à l'aide d'iTunes. Consultez la section « Synchronisation avec iTunes » à la page 22. Pour en savoir plus sur la mise à jour du logiciel de l’iPad, consultez la page support.apple.com/ kb/HT4623?viewlocale=fr_FR. 150 L’annexe C Assistance et autres informationsRestauration de l’iPad Vous pouvez utiliser iCloud ou iTunes pour restaurer l'iPad à partir d'une sauvegarde. Restaurer à partir d’une sauvegarde iCloud : Réinitialisez l’iPad pour effacer tout le contenu et les réglages. Connectez-vous à iCloud et choisissez Restaurer à partir d’une sauvegarde dans Assistant réglages. Consultez la section « Réinitialisation » à la page 139. Restaurer à partir d’une sauvegarde iTunes : Connectez l’iPad à l’ordinateur que vous utilisez habituellement pour la synchronisation, sélectionnez l’iPad dans la fenêtre iTunes et cliquez sur Restaurer dans la sous-fenêtre Résumé. Lorsque le logiciel de l’iPad a été restauré, vous pouvez choisir de configurer votre appareil comme un nouvel iPad, ou d’y restaurer votre musique, vos vidéos, les données de vos apps et le reste de votre contenu à partir d’une sauvegarde. Pour en savoir plus sur la restauration du logiciel de l’iPad, consultez la page support.apple.com/ kb/HT1414?viewlocale=fr_FR. Impossible de passer ou de recevoir du courrier électronique Si l’iPad ne parvient pas à envoyer ou recevoir du courrier électronique, essayez cette procédure : Impossible d’envoyer du courrier électronique  Éteignez l’iPad, puis rallumez-le. Maintenez le bouton Veille/Éveil enfoncé pendant quelques secondes jusqu’à ce qu’un curseur rouge apparaisse, puis faites glisser ce curseur. Maintenez ensuite le bouton Veille/Éveil enfoncé jusqu’à ce que le logo Apple apparaisse.  Dans Réglages, accédez à Mail, Contacts, Calendriers, puis sélectionnez le compte que vous essayez d’utiliser. Touchez Données du compte, puis SMTP sous Serveur d’envoi. Vous pouvez configurer des serveurs SMTP supplémentaires ou sélectionner celui d’un autre compte de messagerie sur l’iPad. Contactez votre fournisseur d’accès à Internet pour obtenir les informations de configuration.  Configurez votre compte de messagerie directement sur l’iPad au lieu de le synchroniser à partir de l’application iTunes. Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendriers, touchez Ajouter un compte et saisissez les informations de votre compte. Si l’iPad n’est pas en mesure de localiser les réglages de votre opérateur lorsque vous saisissez votre adresse électronique, consultez la page support.apple.com/kb/HT4810?viewlocale=fr_FR pour obtenir de l’aide quant à la configuration de votre compte. Pour obtenir plus d’informations de dépannage, consultez la page www.apple.com/fr/support/ ipad. Si vous ne parvenez toujours pas à envoyer du courrier électronique, vous pouvez utiliser Express Lane (ce service n’est pas disponible dans toutes les régions). Consultez la page expresslane.apple.com/fr. Impossible de recevoir du courrier électronique  Éteignez l’iPad, puis rallumez-le. Maintenez le bouton Veille/Éveil enfoncé pendant quelques secondes jusqu’à ce qu’un curseur rouge apparaisse, puis faites glisser ce curseur. Maintenez ensuite le bouton Veille/Éveil enfoncé jusqu’à ce que le logo Apple apparaisse.  Si vous utilisez un ou plusieurs ordinateurs pour consulter le même compte de messagerie, cela pourrait verrouiller le compte. Pour en savoir plus, consultez la page http://support.apple.com/ kb/TS2621?viewlocale=fr_FR. L’annexe C Assistance et autres informations 151 Configurez votre compte de messagerie directement sur l’iPad au lieu de le synchroniser à partir de l’application iTunes. Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendriers, touchez Ajouter un compte, puis saisissez les informations de votre compte. Si l’iPad n’est pas en mesure de localiser les réglages de votre opérateur lorsque vous saisissez votre adresse électronique, consultez la page support.apple.com/kb/HT4810?viewlocale=fr_FR pour obtenir de l’aide quant à la configuration de votre compte.  Si votre iPad 3G ou 4G utilise un réseau de données cellulaires, désactivez le Wi-Fi afin que l’iPad se connecte à Internet via le réseau de données cellulaires. Accédez à Réglages > Wi-Fi, puis désactivez Wi-Fi. Pour obtenir plus d’informations de dépannage, consultez la page www.apple.com/fr/support/ ipad. Si vous ne parvenez toujours pas à envoyer du courrier électronique, vous pouvez utiliser Express Lane (ce service n’est pas disponible dans tous les pays). Consultez la page expresslane.apple.com/fr. Son, musique et vidéo Si l’iPad n’émet pas de son ou si la vidéo n’est pas lue, essayez cette procédure : Pas de son  Vérifiez que le haut-parleur de l’iPad n’est pas recouvert.  Assurez-vous que le bouton latéral n’est pas en position Silence. Consultez la section « Boutons de volume » à la page 11.  Si vous utilisez un casque, débranchez-le puis rebranchez-le. Assurez-vous de bien enfoncer la fiche.  Vérifiez que le volume n’est pas complètement coupé.  Il est possible que la musique sur l’iPad soit en pause. Si vous utilisez un casque avec un bouton de lecture, appuyez sur ce bouton pour reprendre la lecture. Vous pouvez également accéder à l’écran d’accueil, toucher Musique, puis toucher .  Vérifiez si la limite du volume est activée. Dans Réglages, accédez à Musique > Volume maximum.  Si vous utilisez le port de sortie ligne sur la station d’accueil iPad en option, vérifiez que les haut-parleurs ou la chaîne stéréo sont allumés, qu’ils sont branchés et fonctionnent correctement. Utilisez les commandes de volume des haut-parleurs externes ou de la chaîne stéréo, pas celles de l’iPad.  Si vous utilisez une app qui fonctionne avec AirPlay, vérifiez que l’appareil AirPlay auquel vous envoyez le son est allumé et que le volume n’est pas au minimum. Si vous souhaitez entendre le son par le haut-parleur de l’iPad, touchez et sélectionnez-le dans la liste. Un morceau, une vidéo ou un autre article ne fonctionne pas Le morceau, la vidéo, le livre audio ou le podcast est peut-être encodé dans un format que l’iPad ne prend pas en charge. Pour en savoir plus sur les formats de fichiers audio et vidéo que l’iPad prend en charge, consultez la page www.apple.com/fr/ipad/specs. Si l’iPad ne prend pas en charge un morceau ou une vidéo de votre bibliothèque iTunes, essayez d’effectuer une conversion dans un format pris en charge par l’iPad. iTunes pour Windows vous permet par exemple de convertir les fichiers WMA non protégés dans un format que l’iPad prend en charge. Pour en savoir plus, ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. 152 L’annexe C Assistance et autres informationsAbsence de vidéo ou de son lors de l’utilisation d’AirPlay Pour envoyer de la vidéo ou de l’audio à un appareil AirPlay tel qu’une Apple TV, l’iPad et l’appareil AirPlay doivent être connectés au même réseau sans fil. Si vous ne voyez pas le bouton , l’iPad n’est pas connecté au même réseau Wi-Fi que votre appareil AirPlay, ou l’app que vous utilisez n’est pas compatible AirPlay.  Lorsque du son ou de la vidéo est envoyé à un appareil AirPlay, l’iPad n’affiche pas de vidéo ou ne restitue pas d’audio. Pour diriger le contenu vers l’iPad et déconnecter l’iPad de l’appareil AirPlay, touchez et sélectionnez l’iPad dans la liste.  Certaines apps ne peuvent lire que du contenu audio par le biais d’AirPlay. Si la vidéo ne fonctionne pas, assurez-vous que l’app que vous utilisez prend en charge l’audio et la vidéo.  Si l’Apple TV a été configurée pour exiger un code, vous devez le saisir sur l’iPad lorsque vous y êtes invité afin d’utiliser AirPlay.  Assurez-vous que les haut-parleurs de l’appareil AirPlay sont activés et que le volume n’est pas au minimum. Si vous utilisez une Apple TV, assurez-vous que la source d’entrée du téléviseur est réglée sur l’Apple TV. Assurez-vous que le volume de l’iPad n’est pas réglé au minimum.  Lorsque l’iPad diffuse à l’aide d’AirPlay, il doit rester connecté au réseau Wi-Fi. Si vous déplacez l’iPad hors de portée, la lecture s’arrête.  Suivant la vitesse de votre réseau, il se peut que la lecture ne commence qu’après 30 secondes ou plus avec AirPlay. Pour en savoir plus, consultez la page support.apple.com/kb/HT4437?viewlocale=fr_FR. Aucune image sur le téléviseur ou le projecteur connecté à l’iPad Lorsque vous connectez l’iPad à un téléviseur ou un projecteur à l’aide d’un câble USB, l’écran connecté affiche automatiquement la même chose que l’écran de l’iPad. Certaines apps peuvent prendre en charge l’utilisation de l’écran connecté en tant que deuxième moniteur. Vérifiez les réglages et la documentation de l’app.  Pour afficher les vidéos HD en haute résolution, utilisez l’adaptateur AV numérique Apple ou un câble vidéo composante.  Assurez-vous que le câble vidéo est fermement connecté aux deux extrémités et qu’il s’agit d’un câble compatible. Si l’iPad est connecté à un boîtier ou un récepteur A/V, essayez plutôt de le connecter directement au téléviseur ou au projecteur.  Assurez-vous que l’entrée vidéo correcte est sélectionnée sur votre téléviseur, par exemple HDMI ou vidéo composante.  Si aucune vidéo n’apparaît, appuyez sur le bouton principal, déconnectez puis reconnectez le câble et réessayez. iTunes Store et App Store Vous ne pouvez utiliser l’iTunes Store ou l’App Store que lorsque l’iPad est connecté à Internet. Consultez la section « Réseau » à la page 134. L’iTunes Store ou l’App Store n’est pas disponible Pour acheter du contenu dans l’iTunes Store ou l’App Store, vous devez disposer d’un identifiant Apple. Vous pouvez configurer un identifiant Apple sur l’iPad. Accédez à Réglages > Store > Créer un nouvel identifiant Apple. Vous pouvez également configurer un identifiant Apple sur votre ordinateur : ouvrez iTunes et choisissez Store > Créer un compte. Remarque : L’iTunes Store et l’App Store ne sont pas disponibles dans tous les pays. L’annexe C Assistance et autres informations 153Informations relatives à la sécurité, aux réparations et à l’assistance Le tableau suivant explique où obtenir des informations sur l’iPad en matière de sécurité, de logiciel et de réparations. Pour en savoir plus sur Procédez ainsi Utilisation de l’iPad en toute sécurité Consultez le Guide d’informations importantes sur le produit iPad à l’adresse support.apple.com/fr_FR/manuals/ ipad pour obtenir les dernières informations en matière de sécurité et de réglementation. Les réparations et l’assistance, les conseils, les forums de discussion et les téléchargements de logiciels Apple pour l’iPad Consultez la page www.apple.com/fr/support/ipad. Les toutes dernières informations sur l’iPad Consultez la page www.apple.com/fr/ipad. Gestion de votre compte à identifiant Apple Consultez la page appleid.apple.com/fr. Utilisation d’iCloud Consultez la page www.apple.com/fr/support/icloud. Utilisation d’iTunes Ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Un didacticiel iTunes en ligne (non disponible dans toutes les régions) est disponible à la page www.apple.com/fr/ support/itunes. Utilisation d’iPhoto sous OS X Ouvrez iPhoto et choisissez Aide > Aide iPhoto. Utilisation de Carnet d’adresses sous OS X Ouvrez Carnet d’adresses et choisissez Aide > Aide Carnet d’adresses. Utilisation d’iCal sous OS X Ouvrez iCal et choisissez Aide > Aide iCal. Microsoft Outlook, Carnet d’adresses Windows, Adobe Photoshop Album et Adobe Photoshop Elements Consultez la documentation fournie avec ces apps. Obtention de réparations sous garantie Commencez par suivre les conseils prodigués dans ce guide. Consultez ensuite la page www.apple.com/fr/ support/ipad ou le Guide d’informations importantes sur le produit iPad à l’adresse support.apple.com/fr_FR/ manuals/ipad. Service de remplacement des batteries Consultez le site web www.apple.com/fr/batteries/ replacements.html. Utilisation de l’iPad dans un environnement d’entreprise Consultez la page www.apple.com/fr/ipad/business. A pleine puissance, l'écoute prolongée du baladeur peut endommager l'oreille de l'utilisateur. Déclaration de Conformité : Utiliser cet iPad avec les écouteurs inclus ou les écouteurs actuellement commercialisés sous la marque Apple, sous la marque iPad ou revétus du logo Apple permet d'assurer le respect de la puissance sonore maximale fixée par l'article L5232-1 du Code de la Santé Publique français. Pour en savior plus sur l'écoute sans risque consultez les directives de sécurité dans la documentation de l'iPad. 154 L’annexe C Assistance et autres informationsInformations concernant l’élimination et le recyclage Respectez la législation et la réglementation locales en vigueur si vous devez vous débarrasser de votre iPad. Comme l’iPad contient une batterie, il ne peut être mis au rebut avec les déchets mé- nagers. Si votre iPad est arrivé en fin de cycle de vie, contactez Apple ou les autorités locales pour en savoir plus sur les possibilités de recyclage. Pour obtenir des informations sur le programme de recyclage d’Apple, accédez à la page www.apple.com/fr/recycling. Apple et l’environnement Apple est conscient de la responsabilité qui est la sienne de limiter l’impact écologique de ses produits et de son activité sur l’environnement. Pour en savoir plus, consultez la page www.apple.com/fr/environment. Température de fonctionnement de l’iPad Si la température intérieure de votre iPad dépasse sa température normale de fonctionnement, vous risquez d’observer les comportements suivants tandis qu’il tente de réguler sa température :  la charge de l’iPad est interrompue ;  l’écran devient plus sombre ;  une fenêtre de mise en garde sur la température s’affiche. Important : Vous ne pouvez pas utiliser l’iPad lorsque l’écran d’alerte de température est affiché. Si l’iPad ne parvient pas à réguler sa température interne, il passe automatiquement en mode de sommeil profond jusqu’à ce qu’il refroidisse. Déplacez l’iPad vers un endroit plus frais et attendez quelques minutes avant d’essayer à nouveau d’utiliser votre iPad. L’annexe C Assistance et autres informations 155K Apple Inc. © 2012 Apple Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, AirPlay, AirPort, AirPort Express, AirPort Extreme, Aperture, Apple TV, FaceTime, Finder, iBooks, iCal, iLife, iPad, iPhone, iPhoto, iPod, iPod touch, iTunes, iTunes Extras, Keynote, Mac, Mac OS, Numbers, OS X, Pages, Photo Booth, Safari, Spotlight et Time Capsule sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. AirPrint, iMessage et Multi-Touch sont des marques d’Apple Inc. Apple Store, Genius, iCloud, iTunes Plus, iTunes Store et MobileMe sont des marques de service d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. App Store, iBookstore et iTunes Match sont des marques de service d’Apple Inc. Adobe et Photoshop sont des marques ou des marques déposées d’Adobe Systems Incorporated aux États-Unis et/ou dans d’autres pays. La marque et les logos Bluetooth® sont des marques déposées de Bluetooth SIG, Inc. dont l’utilisation par Apple Inc. est soumise à un accord de licence. IOS est une marque ou une marque déposée de Cisco aux États-Unis et dans d’autres pays, utilisée ici sous licence. Ping est une marque déposée de Karsten Manufacturing Corporation et est utilisée aux États-Unis sous licence. Certaines apps ne sont pas disponibles dans toutes les régions. La disponibilité des apps est susceptible de changer. Contenu disponible sur iTunes. La disponibilité du titre est susceptible de changer. Les autres noms de sociétés et de produits mentionnés ici peuvent être des marques de leurs détenteurs respectifs. La mention de produits tiers n’est effectuée qu’à des fins informatives et ne constitue en aucun cas une approbation ni une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité vis- à-vis des performances ou de l’utilisation de ces produits. Tout arrangement, tout contrat ou toute garantie, le cas échéant, est réalisé directement entre les fournisseurs et les futurs utilisateurs. Tous les efforts nécessaires ont été mis en œuvre pour que les informations contenues dans ce manuel soient les plus exactes possible. Apple ne peut être tenu responsable des erreurs d’impression et d’écriture. F019-2266/2012-03 Logic Studio Instruments et effets? Apple Inc. © 2007 Apple Inc. Tous droits réservés. En vertu de ces lois et conventions, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Vos droits concernant le logiciel sont soumis aux termes de son contrat de licence. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option-1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tout a été mis en oeuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple Inc. n’est pas responsable des erreurs de reproduction ni d’impression. Remarque : Puisque Apple commercialise régulièrement de nouvelles versions et des mises à jour de logiciels, applications et sites web, les illustrations de ce manuel peuvent différer de celles affichées à l’écran. Apple Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, Bonjour, Final Cut, Final Cut Pro, FireWire, iMovie, iPod, iTunes, iTunes Music Store, Jam Pack, Logic, Mac, Mac OS, Macintosh, PowerBook, QuickTime, Soundtrack et Ultrabeat sont des marques d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Apple Remote Desktop, Finder, GarageBand, MacBook et Safari sont des marques d’Apple Inc. Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d’Intel Corp., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Tous les autres noms de produits sont des marques de leurs propriétaires respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tiers ne sont mentionnés qu’à titre d’information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple ne se porte pas garant de ces produits et décline toute responsabilité quant à leur utilisation et à leur fonctionnement. 3 1 Table des matières Préface 11 Présentation des modules Logic Studio 11 Effets et instruments Logic Pro 14 Effets Soundtrack Pro 15 Effets WaveBurner 17 Effets et instruments MainStage Chapitre 1 19 Modelage d’amplificateur 19 Bass Amp 21 Guitar Amp Pro Chapitre 2 27 Retard 28 Delay Designer 47 Echo 47 Sample Delay 48 Stereo Delay 49 Tape Delay Chapitre 3 51 Distorsion 52 Bitcrusher 53 Clip Distortion 54 Distortion 55 Distortion II 56 Overdrive 57 Phase Distortion Chapitre 4 59 Dynamique 61 Adaptive Limiter 62 Compressor 66 DeEsser 68 Ducker 69 Enveloper 71 Expander 73 Limiter 74 Multipressor4 Table des matières 78 Noise Gate 80 Silver Compressor 81 Silver Gate 82 Surround Compressor Chapitre 5 85 Égalisation 87 Channel EQ 91 DJ EQ 91 Fat EQ 93 Linear Phase EQ 94 Match EQ 100 Égaliseurs monobandes 101 Silver EQ 102 Plages de fréquences utilisées avec un égaliseur Chapitre 6 103 Filtre 104 AutoFilter 108 EVOC 20 Filterbank 112 EVOC 20 TrackOscillator 123 Fuzz-Wah 125 Spectral Gate 127 Autofilter Soundtrack Pro Chapitre 7 129 Image 129 Module Binaural Post-Processing 131 Direction Mixer 133 Stereo Spread Chapitre 8 135 Mesure 136 BPM Counter 136 Correlation Meter 137 Level Meter 137 MultiMeter 141 Surround MultiMeter 142 Tuner Chapitre 9 145 Modulation 146 Chorus 146 Ensemble 147 Flanger 148 Microphaser 148 Modulation Delay 150 Phaser 152 RingShifterTable des matières 5 156 Rotor Cabinet 158 Scanner Vibrato 159 Spreader 159 Tremolo Chapitre 10 161 Hauteur tonale 161 Pitch Correction 165 Pitch Shifter II 167 Vocal Transformer Chapitre 11 171 Réverbération 172 AVerb 173 EnVerb 175 GoldVerb 177 PlatinumVerb 180 SilverVerb 181 Soundtrack Pro Reverb Chapitre 12 183 Convolution Reverb : Space Designer 186 Paramètres de réponse impulsionnelle 189 Paramètres globaux 193 Paramètres Output 195 Écran Envelope and EQ 198 Paramètres Volume Envelope 199 Paramètres Filter 201 Paramètres de réponse impulsionnelle synthétisée 203 Paramètres EQ 204 Automatisation de Space Designer Chapitre 13 205 Modules spécialisés 206 Denoiser 208 Enhance Timing 209 Exciter 210 Grooveshifter 211 Speech Enhancer 212 SubBass Chapitre 14 215 Utilitaire 215 Down Mixer 216 Gain 217 I/O 218 Multichannel Gain 218 Test Oscillator6 Table des matières Chapitre 15 221 EVOC 20 PolySynth 222 Vocoder : Fondamentaux 222 Qu’est-ce qu’un vocoder? 222 Fonctionnement d’un vocoder 223 Fonctionnement d’une banque de filtres 224 Utilisation de l’EVOC 20 PolySynth 225 Paramètres EVOC 20 PolySynth 226 Paramètres de la section Synthesis 231 Paramètres de la section Sidechain Analysis 233 Paramètres Formant Filter 235 Paramètres de la section Modulation 237 Unvoiced/Voiced (U/V) Detection 239 Paramètres de la section Output 240 Schéma de principe 240 Conseils pour une meilleure intelligibilité des paroles 241 Modification des signaux d’analyse et de synthèse 241 Éviter les artefacts sonores 242 Obtenir les meilleurs signaux d’analyse et de synthèse 243 Histoire du vocoder Chapitre 16 247 EFM 1 248 Paramètres globaux 249 Modulator et Carrier 250 Paramètres FM 251 Section Output 252 Assignation de contrôleurs MIDI Chapitre 17 253 ES E Chapitre 18 255 ES M Chapitre 19 257 ES P Chapitre 20 259 ES1 259 Paramètres du module ES1 267 Liste des contrôleurs MIDI Chapitre 21 269 ES2 270 Paramètres de l’ES2 271 Paramètres globaux 275 Paramètres des oscillateurs 283 Filtres 292 Partie dynamique (amplificateur) 293 Le RouteurTable des matières 7 307 Les LFO 310 Les enveloppes (ENV 1 à ENV 3) 315 Le carré 316 L’enveloppe vectorielle 323 Processeur d’effets 324 Utilisation des contrôles et attribution de contrôleurs 325 Variations sonores aléatoires 328 Guides d’initiation 328 Atelier « son » 339 Modèles pour l’ES2 Chapitre 22 347 EVB3 348 Configuration MIDI 348 Jouer en live sur deux claviers et un pédalier 350 Division du clavier 350 Transposition (plage d’octaves) 351 MIDI Mode 352 Paramètres de l’EVB3 353 Tirettes harmoniques 354 Volume 355 Tune (Accord) 355 Scanner Vibrato 356 Percussion 358 Touches de présélection et Morphing 360 Paramètres Organ 361 Paramètres Condition 363 Paramètres Click 364 Paramètres Pitch 365 Sustain 366 Effets 373 Autres paramètres 374 Assignations des contrôleurs MIDI 375 Mode MIDI : RK 377 Mode MIDI : HS 378 Mode MIDI : NI 379 Mode MIDI : NE 381 Synthèse additive à l’aide des tirettes 382 Effet résiduel 383 Brève histoire de l’orgue Hammond 384 Génération sonore à roues phoniques 384 La cabine Leslie8 Table des matières Chapitre 23 385 EVD6 385 À propos de l’EVD6 386 Paramètres de l’EVD6 404 Contrôler l’EVD6 via MIDI 405 Brève histoire du Clavinet Chapitre 24 407 EVP88 407 À propos de l’EVP88 408 Paramètres de l’EVP88 415 Modèles de pianos électriques émulés 419 EVP88 et MIDI Chapitre 25 421 EXS24 mkII 422 À propos des instruments échantillonnés 424 Chargement d’instruments échantillonnés 426 Utilisation des réglages d’un instrument échantillonné 427 Gestion des instruments échantillonnés 428 Recherche d’instruments échantillonnés 429 Importation d’instruments échantillonnés 438 Fenêtre Parameters 457 wÉditeur d’instruments 479 Réglage des préférences du Sampler 482 Configuration de la mémoire virtuelle 483 Utilisation de VSL Performance Tool Chapitre 26 485 External Instrument 485 Paramètres du module External Instrument 486 Utilisation du module External Instrument Chapitre 27 487 KlopfGeist Chapitre 28 489 Sculpture 490 Cœur du moteur de synthèse de Sculpture 491 La corde en tant qu’élément de synthèse 493 Paramètres de Sculpture 494 Paramètres globaux 496 Paramètres de corde et d’objet 507 Paramètres de traitement 513 Post-traitement 521 Générateurs de modulation 529 Générateurs d’enveloppe 537 Fonction de morphing 546 Assignation de contrôleurs MIDI 547 Programmation : guide de démarrage rapideTable des matières 9 548 Différentes approches de la programmation 548 Principes 549 Moteur de synthèse 553 Création de sons de base 564 Modulations 565 Programmation : étude détaillée 565 Programmation de sons de basse électrique avec Sculpture 585 Sons synthétisés Chapitre 29 593 Ultrabeat 594 La structure d’Ultrabeat 595 Présentation d’Ultrabeat 596 Chargement et enregistrement de sons 596 La section d’assignation 603 Section Synthesizer 623 Modulation 632 Le séquenceur pas à pas 646 Création de sons de batterie dans Ultrabeat Chapitre 30 661 Instruments GarageBand 662 Paramètres d’instruments GarageBand Annexe 667 Notions élémentaires sur les synthétiseurs 667 Synthétiseur analogique et synthèse soustractive 668 Définition de la synthèse 669 Synthèse soustractive Glossaire 675 Index 699 11 Préface Présentation des modules Logic Studio La suite d’applications musicales et audio de Logic Studio comporte un ensemble complet de modules puissants. Il s’agit de synthétiseurs innovants, de modules d’effets haute qualité, d’un échantillonneur puissant et de recréation authentique d’instruments « vintage ». Ce manuel va vous présenter chacun des effets et des instruments ainsi que leurs paramètres. Tous les paramètres des modules sont abordés en détail. Les chapitres relatifs aux instruments comprennent des didacticiels qui vous permettront de tirer le meilleur parti de vos nouveaux instruments. Vous utiliserez plus facilement les modules si vous connaissez bien les fonctions de base de chacune des applications de Logic Studio. Des informations sur celles-ci figurent dans les manuels d’utilisateur respectifs. Ce manuel traite de tous les modules disponibles dans les applications Logic Studio. Ils ne sont cependant pas tous disponibles dans toutes les applications. Reportez-vous aux tableaux ci-après afin de savoir quels modules sont disponibles dans chaque application. Effets et instruments Logic Pro Les tableaux suivants indiquent les effets et les instruments inclus dans Logic Pro. Catégorie d’effet Effets inclus Modelage d’amplificateur  Bass Amp (p. 19)  Guitar Amp Pro (p. 21) Retard  Delay Designer (p. 28)  Echo (p. 47)  Sample Delay (p. 47)  Stereo Delay (p. 48)  Tape Delay (p. 49) Distorsion  Bitcrusher (p. 52)  Clip Distortion (p. 53)  Distortion (p. 54)  Distortion II (p. 55)  Overdrive (p. 56)  Phase Distortion (p. 57)12 Préface Présentation des modules Logic Studio Dynamique  Adaptive Limiter (p. 61)  Compressor (p. 62)  DeEsser (p. 66)  Ducker (p. 68)  Enveloper (p. 69)  Expander (p. 71)  Limiter (p. 73)  Multipressor (p. 74)  Noise Gate (p. 78)  Silver Compressor (p. 80)  Silver Gate (p. 81)  Surround Compressor (p. 82) Égaliseur  Channel EQ (p. 87)  DJ EQ (p. 91)  Fat EQ (p. 91)  Linear Phase EQ (p. 93)  Match EQ (p. 94)  Égaliseurs monobandes (p. 100)  Silver EQ (p. 101) Filtre  AutoFilter (p. 104)  EVOC 20 Filterbank (p. 108)  EVOC 20 TrackOscillator (p. 112)  Fuzz-Wah (p. 123)  Spectral Gate (p. 125) Image  Module Binaural Post-Processing (p. 129)  Direction Mixer (p. 131)  Stereo Spread (p. 133) Mesure  BPM Counter (p. 136)  Correlation Meter (p. 136)  Level Meter (p. 137)  MultiMeter (p. 137)  Surround MultiMeter (p. 141)  Tuner (p. 142) Modulation  Chorus (p. 146)  Ensemble (p. 146)  Flanger (p. 147)  Microphaser (p. 148)  Modulation Delay (p. 148)  Phaser (p. 150)  RingShifter (p. 152)  Rotor Cabinet (p. 156)  Scanner Vibrato (p. 158)  Spreader (p. 159)  Tremolo (p. 159) Hauteur tonale  Pitch Correction (p. 161)  Pitch Shifter II (p. 165)  Vocal Transformer (p. 167) Catégorie d’effet Effets inclusPréface Présentation des modules Logic Studio 13 Le tableau suivant présente les instruments inclus dans Logic Pro. Réverbération  AVerb (p. 172)  EnVerb (p. 173)  GoldVerb (p. 175)  PlatinumVerb (p. 177)  SilverVerb (p. 180)  Convolution Reverb : Space Designer (p. 183) Spécialisé  Denoiser (p. 206)  Enhance Timing (p. 208)  Exciter (p. 209)  Grooveshifter (p. 210)  Speech Enhancer (p. 211)  SubBass (p. 212) Utilitaire  Down Mixer (p. 215)  Gain (p. 216)  I/O (p. 217)  Test Oscillator (p. 218) Catégorie d’effet Effets inclus Catégorie d’instrument Instruments inclus Synthétiseur  EFM 1 (p. 247)  ES E (p. 253)  ES M (p. 255)  ES P (p. 257)  ES1 (p. 259)  ES2 (p. 269)  KlopfGeist (p. 487)  Sculpture (p. 489) Synthétiseur de batterie Ultrabeat (p. 593) Logiciel échantillonneur EXS24 mkII (p. 421) Synthétiseur vocodeur EVOC 20 PolySynth (p. 221) Instruments vintage  EVB3 (p. 347)  EVD6 (p. 385)  EVP88 (p. 407) Utilitaire External Instrument (p. 485) Instruments GarageBand Analogique de base, Mono analogique, Nappe analogique, Tourbillon analogique, Synchro analogique, Basse, Numérique de base, Mono numérique, Digital Stepper, Batteries, Clavicorde électrique, Piano électrique, Guitare, Cors, Hybride de base, Métamorphose hybride, Piano, Effets sonores, Cordes, Orgue à roues phoniques, Percussion syntonisée, Voix, Instruments à vent (voir « Instruments GarageBand » à la page 661) 14 Préface Présentation des modules Logic Studio Effets Soundtrack Pro Le tableau suivant présente les effets inclus dans Soundtrack Pro. Remarque : les effets inclus dans Soundtrack Pro ne comprennent les paramètres avancés décrits dans ce document. Catégorie d’effet Effets inclus Retard  Stereo Delay (p. 48)  Tape Delay (p. 49) Distorsion  Bitcrusher (p. 52)  Clip Distortion (p. 53)  Distortion (p. 54)  Distortion II (p. 55)  Overdrive (p. 56)  Phase Distortion (p. 57) Dynamique  Adaptive Limiter (p. 61)  Compressor (p. 62)  DeEsser (p. 66)  Enveloper (p. 69)  Expander (p. 71)  Limiter (p. 73)  Multipressor (p. 74)  Noise Gate (p. 78)  Surround Compressor (p. 82) Égaliseur  Channel EQ (p. 87)  Fat EQ (p. 91)  Linear Phase EQ (p. 93)  Match EQ (p. 94)  Égaliseurs monobandes (p. 100) Filtre  AutoFilter (p. 104)  Spectral Gate (p. 125) Image  Direction Mixer (p. 131)  Stereo Spread (p. 133) Mesure  Correlation Meter (p. 136)  MultiMeter (p. 137)  Surround MultiMeter (p. 141)  Tuner (p. 142) Modulation  Chorus (p. 146)  Ensemble (p. 146)  Flanger (p. 147)  Modulation Delay (p. 148)  Phaser (p. 150)  RingShifter (p. 152)  Scanner Vibrato (p. 158)  Tremolo (p. 159) Hauteur tonale  Pitch Shifter II (p. 165)  Vocal Transformer (p. 167)Préface Présentation des modules Logic Studio 15 Effets WaveBurner Le tableau suivant présente les effets inclus dans WaveBurner. Remarque : WaveBurner ne fournit pas de tempo de projet. Par conséquent, il ne prend pas en charge les paramètres d’effets qui reposent sur un tempo (tel que sync). Réverbération  PlatinumVerb (p. 177)  Soundtrack Pro Reverb (p. 181)  Convolution Reverb : Space Designer (p. 183) Spécialisé  Denoiser (p. 206)  Exciter (p. 209)  SubBass (p. 212) Utilitaire  Gain (p. 216)  Multichannel Gain (p. 218)  Test Oscillator (p. 218) Catégorie d’effet Effets inclus Catégorie d’effet Effets inclus Modelage d’amplificateur  Bass Amp (p. 19)  Guitar Amp Pro (p. 21) Retard  Delay Designer (p. 28)  Sample Delay (p. 47)  Stereo Delay (p. 48)  Tape Delay (p. 49) Distorsion  Bitcrusher (p. 52)  Clip Distortion (p. 53)  Distortion (p. 54)  Distortion II (p. 55)  Overdrive (p. 56)  Phase Distortion (p. 57) Dynamique  Adaptive Limiter (p. 61)  Compressor (p. 62)  DeEsser (p. 66)  Enveloper (p. 69)  Expander (p. 71)  Limiter (p. 73)  Multipressor (p. 74)  Noise Gate (p. 78)  Silver Compressor (p. 80)  Silver Gate (p. 81) Égaliseur  Channel EQ (p. 87)  DJ EQ (p. 91)  Fat EQ (p. 91)  Linear Phase EQ (p. 93)  Match EQ (p. 94)  Égaliseurs monobandes (p. 100)  Silver EQ (p. 101)16 Préface Présentation des modules Logic Studio Filtre  AutoFilter (p. 104)  EVOC 20 Filterbank (p. 108)  Fuzz-Wah (p. 123)  Spectral Gate (p. 125) Image  Direction Mixer (p. 131)  Stereo Spread (p. 133) Mesure  BPM Counter (p. 136)  Correlation Meter (p. 136)  Level Meter (p. 137)  MultiMeter (p. 137)  Tuner (p. 142) Modulation  Chorus (p. 146)  Ensemble (p. 146)  Flanger (p. 147)  Microphaser (p. 148)  Modulation Delay (p. 148)  Phaser (p. 150)  RingShifter (p. 152)  Rotor Cabinet (p. 156)  Scanner Vibrato (p. 158)  Spreader (p. 159)  Tremolo (p. 159) Hauteur tonale  Pitch Correction (p. 161)  Pitch Shifter II (p. 165)  Vocal Transformer (p. 167) Réverbération  AVerb (p. 172)  EnVerb (p. 173)  GoldVerb (p. 175)  PlatinumVerb (p. 177)  SilverVerb (p. 180)  Convolution Reverb : Space Designer (p. 183) Spécialisé  Denoiser (p. 206)  Exciter (p. 209)  Speech Enhancer (p. 211)  SubBass (p. 212) Utilitaire Gain (p. 216) Catégorie d’effet Effets inclusPréface Présentation des modules Logic Studio 17 Effets et instruments MainStage Les tableaux suivants indiquent les effets et les instruments inclus dans MainStage. Remarque : MainStage est une application en temps réel et n’inclut donc pas de modules d’effet introduisant un temps de latence significatif. Même chose pour l’éditeur d’instrument de l’EXS24 mkII. Catégorie d’effet Effets inclus Modelage d’amplificateur  Bass Amp (p. 19)  Guitar Amp Pro (p. 21) Retard  Delay Designer (p. 28)  Echo (p. 47)  Sample Delay (p. 47)  Stereo Delay (p. 48)  Tape Delay (p. 49) Distorsion  Bitcrusher (p. 52)  Clip Distortion (p. 53)  Distortion (p. 54)  Distortion II (p. 55)  Overdrive (p. 56)  Phase Distortion (p. 57) Dynamique  Compressor (p. 62)  DeEsser (p. 66)  Ducker (p. 68)  Enveloper (p. 69)  Expander (p. 71)  Limiter (p. 73)  Multipressor (p. 74)  Noise Gate (p. 78)  Silver Compressor (p. 80)  Silver Gate (p. 81) Égaliseur  Channel EQ (p. 87)  DJ EQ (p. 91)  Fat EQ (p. 91)  Égaliseurs monobandes (p. 100)  Silver EQ (p. 101) Filtre  AutoFilter (p. 104)  EVOC 20 Filterbank (p. 108)  EVOC 20 TrackOscillator (p. 112)  Fuzz-Wah (p. 123) Image  Direction Mixer (p. 131)  Stereo Spread (p. 133) Mesure  BPM Counter (p. 136)  Correlation Meter (p. 136)  Level Meter (p. 137)  MultiMeter (p. 137)  Tuner (p. 142)18 Préface Présentation des modules Logic Studio Le tableau suivant présente les instruments inclus dans MainStage. Modulation  Chorus (p. 146)  Ensemble (p. 146)  Flanger (p. 147)  Microphaser (p. 148)  Modulation Delay (p. 148)  Phaser (p. 150)  RingShifter (p. 152)  Rotor Cabinet (p. 156)  Scanner Vibrato (p. 158)  Spreader (p. 159)  Tremolo (p. 159) Hauteur tonale Pitch Shifter II (p. 165) Réverbération  AVerb (p. 172)  EnVerb (p. 173)  GoldVerb (p. 175)  PlatinumVerb (p. 177)  SilverVerb (p. 180)  Convolution Reverb : Space Designer (p. 183) Spécialisé  Exciter (p. 209)  SubBass (p. 212) Utilitaire  Gain (p. 216)  Test Oscillator (p. 218) Catégorie d’effet Effets inclus Catégorie d’instrument Instruments inclus Synthétiseur  EFM 1 (p. 247)  ES E (p. 253)  ES M (p. 255)  ES P (p. 257)  ES1 (p. 259)  ES2 (p. 269)  KlopfGeist (p. 487)  Sculpture (p. 489) Synthétiseur de batterie Ultrabeat (p. 593) Logiciel échantillonneur EXS24 mkII (p. 421) Synthétiseur vocodeur EVOC 20 PolySynth (p. 221) Instruments vintage  EVB3 (p. 347)  EVD6 (p. 385)  EVP88 (p. 407) Instruments GarageBand Analogique de base, Mono analogique, Nappe analogique, Tourbillon analogique, Synchro analogique, Basse, Numérique de base, Mono numérique, Digital Stepper, Batteries, Clavicorde électrique, Piano électrique, Guitare, Cors, Hybride de base, Métamorphose hybride, Piano, Effets sonores, Cordes, Orgue à roues phoniques, Percussion syntonisée, Voix, Instruments à vent (voir « Instruments GarageBand » à la page 661) 1 19 1 Modelage d’amplificateur Vous pouvez ajouter le son d’une guitare et d’un amplificateur de basse à vos enregistrements audio et instruments logiciels. À l’aide d’une méthode appelée Modélisation de composants, vous pouvez émuler le son et les fonctionnalités des amplificateurs d’instruments sous forme d’effets, en particulier pour les guitares et les basses électriques. Ces effets recréent le son des amplificateurs à tube comme des amplificateurs à semi-conducteurs et proposent un ensemble très complet de commandes, notamment de réglage du pré-gain et de la tonalité des graves, médiums et aigus, ainsi que du niveau de sortie. Ils permettent de sélectionner un des nombreux modèles d’amplificateurs habituels fournis. Les sections suivantes décrivent les différents modules fournis avec Logic Studio.  « Bass Amp » à la page 19  « Guitar Amp Pro » à la page 21 Bass Amp Le module Bass Amp (Ampli de basse) simule le son de plusieurs amplificateurs de basse renommés. Vous pouvez traiter les signaux de guitare basse directement dans Logic Pro et reproduire le son des amplis de basse de haute qualité. Vous pouvez également utiliser Bass Amp pour la conception sonore expérimentale. Vous pouvez utiliser librement le module sur d’autres instruments, en fonction de vos besoins, en appliquant le caractère sonore d’un ampli de basse à une partie vocale ou de percussions, par exemple. 20 Chapitre 1 Modelage d’amplificateur Paramètres du module Bass Amp  Menu local Model : sélectionnez l’un des neuf modèles d’amplis proposés. Les modèles suivants sont disponibles : Model Description American Basic Modèle d’amplificateur de basses américain des années 70 équipé de huit haut-parleurs de 10 pouces. Bien adapté aux enregistrements blues et rock. American Deep Dérivé du modèle American Basic avec une forte accentuation des fréquences médium les plus faibles (à partir de 500 Hz). Bien adapté aux enregistrements reggae et pop. American Scoop Dérivé du modèle American Basic alliant les caractéristiques de fréquence d’American Deep et American Bright, avec accentuation des fréquences médium faibles (à partir de 500 Hz) et des médiums forts (à partir de 4,5 kHz). Bien adapté aux enregistrements funk et fusion. American Bright Dérivé du modèle American Basic accentuant fortement les fréquences des médiums les plus forts (au-delà de 4,5 kHz). New American Basic Modèle d’ampli de basse américain des années 80, bien adapté aux enregistrements blues et rock. New American Bright Dérivé du New American Basic, ce modèle accentue fortement la plage de fréquence au-delà de 2 kHz. Bien adapté aux enregistrements rock et heavy metal. Top Class DI Warm Simulation DI réputée, bien adaptée aux enregistrements reggae et pop. Les médiums de la plage de fréquences large entre 500 et 5 000 Hz sont réduits. Top Class DI Deep Basé sur l’amplificateur Top Class DI Warm, ce modèle convient bien au funk et à la fusion. Sa plage de fréquences médium est la plus forte autour de 700 Hz. Top Class DI Mid Basé sur l’amplificateur Top Class DI Warm, ce modèle comporte une plage de fréquences plus ou moins linéaire n’accentuant aucune fréquence. Il est adapté aux enregistrements blues, rock et jazz. Chapitre 1 Modelage d’amplificateur 21  Curseur Pre Gain : détermine le niveau de préamplification du signal d’entrée.  Curseurs Bass, Mid et Treble : ajustent respectivement les niveaux de graves, de médiums et d’aigus.  Curseur Mid Frequency : détermine la fréquence centrale de la bande moyenne (comprise entre 200 Hz et 3 000 Hz).  Curseur Output Level : détermine le niveau de sortie final de Bass Amp. Guitar Amp Pro Le module Guitar Amp Pro peut émuler le son d’une grande variété d’amplis de guitare et d’enceintes/haut-parleurs utilisés avec ces derniers. Vous pouvez traiter les signaux de guitare directement dans Logic Pro, ce qui vous permet de reproduire le son des systèmes d’amplification de guitare de haute qualité. Guitar Amp Pro peut aussi être utilisé pour le traitement et la conception sonores expérimentaux. Vous pouvez utiliser librement le module sur d’autres instruments, en fonction de vos besoins, pour appliquer le caractère sonore d’un amplificateur de guitare à une partie de trompette ou vocale, par exemple. Guitar Amp Pro comporte une grande variété de modèles d’amplificateurs, de haut-parleurs et d’égaliseurs que vous pouvez combiner librement. Les égaliseurs sont équipés des commandes de graves, de médiums et d’aigus habituels des amplis de guitare. Pour les microphones, vous avez le choix entre deux types et positions de micros différents. Pour arrondir le complément des paramètres, Guitar Amp Pro intègre aussi des effets de guitare classique comme, par exemple, la réverbération, le vibrato et le trémolo. La fenêtre Guitar Amp Pro se compose de quatre sections principales. Section Amp Section Effects Section Microphone Position Section Microphone Type22 Chapitre 1 Modelage d’amplificateur  La section Amp contient les paramètres permettant de sélectionner le modèle d’ampli (Amp), de haut-parleurs (Speaker) et d’égaliseur (EQ), ainsi qu’un ensemble de commandes de tonalité, de gain et de niveau.  La section Effects (FX) contient les commandes relatives aux effets de guitare intégrés. En dessous se trouve la commande de sortie finale.  La section Microphone Position permet de définir la position du micro sur le haut-parleur.  La section Microphone Type permet de sélectionner le type de micro pour la capture du son de l’ampli. Section Amp  Menu local Amp : sélectionnez le modèle d’ampli souhaité. Les modèles suivants sont disponibles : Model Description UK Combo 30W Son neutre convenant bien aux parties rythmiques au son clair ou un mordant. UK Top 50W Assez agressif dans les hautes fréquences, ce modèle convient bien aux sons rock classiques. US Combo 40W Son net convenant bien aux musiques de style funk et jazz. US Hot Combo 40W Accentue les hauts-médiums, ce qui en fait le modèle idéal pour les solos. US Hot Top 100W Produit des sons très gras, même avec des réglages Master bas qui donnent des sons larges avec beaucoup de punch. Custom 50W Convient bien aux sons lead assez doux avec un paramètre Presence réglé sur 0. British Clean Simule les combos anglais classiques travaillant en classe A utilisés en rock depuis les années 1960 sans avoir subi de modifications importantes. Ce modèle convient très bien aux parties rythmiques claires ou mordantes. British Gain Reproduit le son d’une tête à lampes anglaise, synonyme d’un son typé rock, pour des rythmiques puissantes et des parties lead avec un riche sustain. American Clean Reproduit le son plein des combos à lampes, utilisés pour produire des sons clairs et mordants. American Gain Reproduit le son d’une tête d’amplification moderne réglée sur un gain élevé convenant bien aux parties lead rythmiques avec beaucoup de distorsion. Clean Tube Amp Reproduit le son d’un modèle à lampes réglé sur un gain faible. La distorsion n’apparaît que lorsque vous utilisez des niveaux d’entrée ou de réglages de Gain/Master très élevés.Chapitre 1 Modelage d’amplificateur 23  Menu local Speaker : sélectionnez un des 15 modèles de haut-parleurs. Les modèles suivants sont disponibles :  Menu local EQ : sélectionnez un des quatre modèles d’égaliseurs. Les modèles suivants sont disponibles : British 1, British 2, American et Modern EQ.  Bouton Amp–Speaker Link : lie les menus Amp et Speaker afin de charger automatiquement le haut-parleur associé à l’ampli choisi dans la section Model.  Bouton Amp–EQ Link : lie les menus Amp et EQ afin de charger automatiquement le modèle d’égaliseur associé à l’ampli choisi dans la section Model. Chaque modèle d’ampli est associé à un modèle de haut-parleur et d’égaliseur. C’est la combinaison d’un amplificateur, d’un haut-parleur et d’un égaliseur qui permet de recréer un son de guitare connu. Vous pouvez toutefois combiner librement les modèles de haut-parleurs ou d’égaliseurs avec n’importe quel amplificateur en désactivant ces deux boutons de lien. Type de haut-parleurs Description UK 1x12 open back Enceinte classique, ouverte et équipée d’un haut-parleur de 12". Son neutre, bien équilibré, assez polyvalent. UK 2x12 open back Enceinte classique ouverte, équipée de deux haut-parleurs de 12". Son neutre, bien équilibré, assez polyvalent. UK 2x12 closed Beaucoup de résonance dans les basses fréquences, convient donc bien aux combos : possibilité de sons plus mordants avec des réglages de commande de Bass (Graves) bas. UK 4x12 closed slanted Lorsqu’il est utilisé en combinaison avec des micros décentrés, vous obtenez une plage de médium intéressante. Il est le complément idéal des amplis à gain élevé. US 1x10 open back Peu de résonance dans les basses fréquences. Convient bien à l’harmonica (blues). US 1x12 open back 1 Enceinte ouverte d’un combo américain, son lead, un seul haut-parleur de 12". US 1x12 open back 2 Enceinte ouverte d’un combo américain pour son clair/légèrement saturé, un seul haut parleur de 12". US 1x12 open back 3 Enceinte ouverte d’un autre combo américain pour son clair/légèrement saturé, un seul haut-parleur de 12". US broad range Simulation d’une enceinte souvent utilisée sur un piano électrique classique. Analog simulation Simulation du circuit de charge du haut-parleur interne d’un célèbre préamplificateur anglais de 19". UK 1x12 Amplificateur à lampes clos, anglais, classe A, un seul haut-parleur de 12". UK 4x12 Enceinte close classique, équipée de quatre haut-parleurs de 12" (série noire), convient au rock. US 1x12 open back Enceinte ouverte d’un combo américain, son lead, un seul haut-parleur 12". US 1x12 bass reflex Enceinte close, de type « bass reflex », un seul haut-parleur de 12". DI Box Cette option permet de contourner la section de simulation de haut-parleur.24 Chapitre 1 Modelage d’amplificateur  Potentiomètre Gain : détermine la quantité de préamplification appliquée au signal d’entrée. Cette commande a un effet qui varie selon le modèle d’amplificateur sélectionné. Par exemple, lorsque vous utilisez le modèle d’amplificateur British Clean, le réglage de gain maximum produit un son saturé puissant. Par contre, lorsque vous utilisez les amplificateurs British Gain ou Modern Gain, les mêmes réglages de gain produisent de très fortes distorsions qui conviennent aux solos.  Potentiomètres Bass, Mids et Treble : ajustent les plages de fréquences des modèles d’égaliseur de la même façon que les potentiomètres de tonalité des amplificateurs matériels de guitare.  Potentiomètre Presence : ajuste la plage des hautes fréquences. Le paramètre Presence n’affecte que l’étage de sortie (Master) de Guitar Amp Pro.  Potentiomètre Master : détermine le volume de sortie de l’ampli (en direction du haut-parleur). En général, sur les amplificateurs à lampes, l’augmentation du niveau de Master produit un son plus compressé et plus saturé, ce qui donne un signal plus déformé et plus puissant (fort). Les réglages élevés peuvent produire une sortie extrêmement forte. Dans Guitar Amp Pro, le paramètre Master modifie le caractère sonique, tandis que le niveau de sortie final se définit à l’aide du paramètre Output sous la section FX (pour plus d’informations, voir plus bas). Section Effects La section Effects contient les effets Reverb, Tremolo et Vibrato. Vous avez le choix entre Tremolo (qui module l’amplitude ou le volume du son) ou Vibrato (qui module la hauteur tonale) et pouvez utiliser la Reverb avec l’un ou l’autre, ou séparément. Pour pouvoir utiliser ou ajuster un effet, vous devez l’activer en cliquant sur son bouton On (pourvu d’une icône de mise sous tension). Le bouton On s’allume lorsque l’effet est activé. Les boutons FX et Reverb On se trouvent à gauche des commandes des différents effets. Remarque : la section Effects se trouve devant la commande Master dans le flux de signaux ; elle reçoit donc le signal préamplifié (en amont du Master). Paramètres FX  Menu local FX : sélectionnez Tremolo ou Vibrato dans le menu.  Potentiomètre Depth : détermine l’intensité de la modulation.  Potentiomètre Speed : détermine la vitesse de modulation (en Hz). Les réglages bas produisent un son doux et flottant alors que les réglages plus élevés produisent un effet de rotor.  Bouton Sync : lorsqu’il est activé, la vitesse est synchronisée avec le tempo du projet. Si la synchronisation est activée, en ajustant le paramètre Speed, vous pouvez sélectionner différentes valeurs de notes de musique. Réglez le paramètre Speed sur la valeur souhaitée et, quel que soit l’effet que vous avez sélectionné, il sera parfaitement synchronisé avec le tempo du projet.Chapitre 1 Modelage d’amplificateur 25 Paramètres Reverb  Menu local Reverb : sélectionnez un des trois types de réverbération à ressort.  Potentiomètre Level : détermine la quantité de réverbération appliquée au signal préamplifié de l’amplificateur. Sections Microphone Position et Microphone Type Après avoir sélectionné un haut-parleur dans le menu Speaker, vous pouvez sélectionner le type de micro à émuler et son emplacement par rapport au haut-parleur. Paramètres Microphone Position  Bouton Centered : place le micro au centre du cône du haut-parleur, c’est-à-dire dans l’axe. Cette position produit un son plein et plus puissant qui convient aux sons de guitare blues ou jazz.  Bouton Off-Center : place le micro au bord du haut-parleur, c’est-à-dire de hors de l’axe. Cette position produit un son plus clair et plus précis, mais aussi plus mince qui convient aux sons de guitare rock ou rhythm and blues tranchants. Lorsque vous sélectionnez l’un de ces deux boutons, l’écran de haut-parleur graphique reflète le réglage en vigueur. Paramètres Microphone Type  Bouton Condenser : émule le son d’un micro électrostatique de studio. Le son des micros électrostatiques est fin, transparent et bien équilibré.  Bouton Dynamic : émule le son d’un micro cardioïde dynamique. Ce type de micro a un son plus clair et plus tranchant que les modèles électrostatiques. Par contre, les médiums inférieurs sont moins prononcés, ce qui fait que ce modèle convient mieux à l’enregistrement de guitares rock. Remarque : dans la pratique, il peut s’avérer très intéressant de combiner les deux types de micros. Dupliquez la piste de guitare et ajoutez Guitar Amp Pro comme effet d’insertion sur les deux pistes. Sélectionnez des micros différents dans les deux exemples Guitar Amp Pro tout en conservant des réglages identiques pour tous les autres paramètres puis mixez les niveaux de signal des pistes. Vous pouvez, bien entendu, faire varier les autres paramètres, si vous le souhaitez. Output En dessous de la section Effects se trouve le curseur Output, qui sert de commande de niveau final pour la sortie de Guitar Amp Pro. Vous pouvez vous représenter le paramètre Output comme une commande de volume située en aval de l’enceinte et qui est utilisée pour régler le niveau qui est envoyé vers les baies de modules suivants dans le canal ou dans la sortie du canal. Remarque : ce paramètre est distinct de la commande Master pour deux raisons : pour la conception sonore et pour contrôler le niveau de la section Amp.2 27 2 Retard Les effets Delay (de retard) enregistrent le signal d’entrée et le conservent un court instant avant de l’envoyer à l’entrée ou à la sortie de l’effet. La plupart des retards vous permettent de renvoyer le pourcentage de signal retardé à l’entrée et de créer ainsi un effet d’écho répétitif. Chaque répétition ultérieure est légèrement plus faible que la précédente. Le temps de retard peut être synchronisé avec le tempo du projet, via la mise en correspondance de la résolution de grille du projet, généralement en valeur de notes ou en millisecondes. Vous pouvez utiliser les retards pour effectuer les opérations suivantes :  doubler des sons isolés afin d’obtenir l’effet d’une même mélodie jouée par un groupe d’instruments ;  créer des effets d’écho et diffuser le son dans un espace indéfini ;  améliorer la position stéréo des pistes d’un mixage. Les effets de retard sont généralement utilisés comme insertion de canal ou effets de bus. Il est plus rare d’en faire usage sur l’ensemble d’un mixage (dans un canal de sortie), à moins que vous ne cherchiez à rendre un effet spécial, un peu « inquiétant ». Le présent chapitre décrit les effets de retard proposés par Logic Studio :  Delay Designer (reportez-vous à la rubrique ci-dessous)  Echo (reportez-vous à la rubrique « Echo » à la page 47)  Sample Delay (reportez-vous à la rubrique « Sample Delay » à la page 47)  Stereo Delay (reportez-vous à la rubrique « Stereo Delay » à la page 48)  Tape Delay (reportez-vous à la rubrique « Tape Delay » à la page 49)28 Chapitre 2 Retard Delay Designer L’effet Delay Designer est un effet de retard multi-tap. Chaque tap correspond à un retard indépendant. Contrairement aux effets de retard simples qui ne proposent qu’un ou deux taps, l’effet Delay Designer propose jusqu’à 26 taps isolés ! En d’autres termes, l’effet Delay Designer peut être défini comme 26 processeurs de retard distincts regroupés en un seul effet. Il permet de contrôler les aspects suivants de chaque tap :  Niveau et balance  Filtres passe-haut et passe-bas  Transposition de tonalité (vers le haut ou vers le bas) sur deux octaves Il existe également d’autres paramètres relatifs aux effets, tels que la synchronisation, la quantification et le retour. Comme son nom l’indique (concepteur de retard en anglais), l’effet Delay Designer offre un potentiel de création de son très intéressant. Il permet notamment de créer des effets d’échos de base, via un séquenceur audio. Vous pouvez créer des rythmes flexibles, évolutifs et complexes en synchronisant le positionnement des taps, ainsi qu’en transposant et en filtrant judicieusement la hauteur tonale. Vous pouvez également configurer plusieurs taps en tant que « répétitions » d’autres taps, tout comme vous utiliseriez le contrôle de retour d’un retard simple, mais en contrôlant les répétitions une à une. Vous pouvez utiliser l’effet Delay Designer sur les canaux dotés d’entrées et/ou de sorties mono, stéréo ou Surround. Pour plus de détails sur les canaux Surround, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de Delay Designer en Surround ». L’interface de l’effet Delay Designer se compose de cinq parties principales : Écran Tap Barre des paramètres de tap Section Sync Tap pads Section MasterChapitre 2 Retard 29  Écran Tap : cet écran d’affichage bleu propose une représentation graphique de tous les taps (points de lecture). Cette zone vous permet de visualiser et modifier les paramètres de chaque tap. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Écran Tap » de ce chapitre.  Barre des paramètres de tap : affiche une présentation numérique des réglages du paramètre indiqué pour le tap sélectionné. Cette zone vous permet de visualiser et modifier les paramètres de chaque tap. Reportez-vous à la rubrique « Barre des paramètres de tap » plus avant dans ce chapitre.  Section Sync : dans cette zone, vous pouvez définir tous les paramètres de synchronisation et de quantification de Delay Designer. Reportez-vous à la rubrique « Synchronisation des taps de retard (Delay Taps) » pour en savoir plus.  Tap pads : vous pouvez utiliser ces deux pavés pour créer des taps dans Delay Designer. Reportez-vous à la rubrique « Création et suppression de taps ».  Section Master : cette zone contient les paramètres généraux de mixage et de retour. Pour en savoir davantage, consultez la section « Partie Master ». Écran Tap Cet écran vous permet de visualiser les taps et de travailler avec ces derniers. Il est composé de plusieurs parties :  Boutons View : permettent de définir les paramètres représentés dans l’écran Tap.  Autozoom : lorsque cette fonction est activée, l’écran principal est réduit, ce qui permet d’afficher tous les taps. Désactivez le zoom automatique si vous souhaitez agrandir l’écran (en faisant glisser l’écran d’aperçu verticalement) pour afficher des taps spécifiques.  Écran Overview : affiche tous les taps de l’intervalle temporel.  Boutons Toggle : cliquez sur ce bouton pour faire basculer les paramètres d’un tap. Utilisez les boutons View pour sélectionner le paramètre à utiliser. Le nom situé à gauche de la barre de basculement indique toujours le paramètre vers lequel vous basculez. Pour en savoir plus, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des boutons Toggle pour modifier les paramètres de tap ».30 Chapitre 2 Retard  Écran principal : affiche une représentation visuelle de chaque tap sous forme d’une ligne bleue ombrée. Ils contiennent chacun une barre visible (ou un point pour la balance stéréo) qui indique la valeur du paramètre. Vous pouvez modifier les paramètres des taps directement à l’aide de la souris, dans l’écran principal. Pour plus de détails, reportez-vous à la rubrique « Modification de taps ».  Barre d’identification : inclut la lettre d’identification de chaque tap, ainsi que le poignées permettant de déplacer le tap sélectionné en avant ou en arrière dans le temps. Boutons View Les boutons de présentation déterminent le paramètre qui sera représenté dans l’écran principal.  Cutoff : lorsque vous cliquez sur ce bouton, les taps de l’écran principal affichent les fréquences de coupure des filtres passe-haut et passe-bas.  Reso : lorsque vous cliquez sur ce bouton, la valeur de résonance de filtre de chaque tap s’affiche dans l’écran principal.  Transp : cliquez sur ce bouton pour afficher la transposition de tonalité de chaque tap dans l’écran principal.  Pan : cliquez sur ce bouton pour afficher le paramètre de balance de chaque tap dans l’écran principal.  Pour les canaux mono-stéréo, chaque tap comprend une ligne représentant sa balance.  Pour les canaux stéréo-stéréo, chaque tap comprend un point représentant sa balance stéréo. Une ligne qui s’étend à l’extrémité du point indique la portée stéréo.  Pour les canaux Surround, chaque tap contient une ligne représentant l’angle Surround (pour plus de détails, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de Delay Designer en Surround »).  Level : cliquez sur ce bouton pour afficher le niveau de volume relatif de chaque tap dans l’écran principal.Chapitre 2 Retard 31 Écran Overview Vous pouvez utiliser cet écran d’aperçu pour réduire, agrandir ou parcourir l’écran principal : Pour réduire ou agrandir l’écran principal, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur le rectangle en surbrillance dans l’écran d’aperçu et, tout en maintenant la touche enfoncée, faites-le glisser vers le haut ou vers le bas. m Cliquez sur les barres en surbrillance à gauche ou à droite du rectangle et, tout en maintenant la touche enfoncée, faites-les glisser vers la gauche ou vers la droite. Remarque : le bouton Autozoom doit être désactivé pour que cette option fonctionne. Lorsque vous zoomez sur un petit groupe de taps, l’écran d’aperçu continue d’afficher tous les taps. La zone affichée dans l’écran Tap est indiquée par le rectangle en surbrillance. Pour vous déplacer entre les différentes rubriques de l’écran Tap, procédez comme suit : m Cliquez sur le rectangle en surbrillance et, tout en maintenant le bouton enfoncé, faites-le glisser vers la gauche ou vers la droite. La présentation sur laquelle vous appliquez le zoom dans l’écran principal est mise à jour à mesure que vous faites glisser le rectangle.32 Chapitre 2 Retard Création et suppression de taps Vous pouvez créer des taps de trois façons : à l’aide de la barre d’identification, en utilisant les tap pads ou en copiant les taps existants. Pour créer des taps à l’aide de la barre d’identification, procédez comme suit : m Cliquez sur l’emplacement souhaité. Pour créer des taps à l’aide des tap pads, procédez comme suit : 1 Cliquez sur le pad Start du haut. Remarque : à chaque fois que vous cliquez sur le pad Start, tous les taps existants sont automatiquement effacés. Aussi, lorsque vous avez créé les taps initiaux, cliquez dans la barre d’identification pour en créer de nouveaux. Le pad supérieur devient alors Tap et une barre d’enregistrement de tap rouge apparaît dans la bande située sous les boutons d’affichage. 2 Cliquez sur le bouton Tap pour enregistrer de nouveaux taps à la volée. De nouveaux taps sont créés simultanément à chaque clic, en fonction du rythme donné. 3 Pour terminer la création de taps, cliquez sur le bouton Last tap. Cela permet d’ajouter le tap final, de mettre fin à l’enregistrement de taps et d’attribuer au dernier la valeur de feedback tap (pour plus d’informations sur le feedback tap ou tap de retour, reportez-vous à la rubrique « Partie Master »). Remarque : si vous ne cliquez pas sur le bouton Dernier tap, l’enregistrement des taps prend fin automatiquement soit après dix secondes, soit après la création du vingt-sixième tap, selon le cas.Chapitre 2 Retard 33 Pour copier des taps dans la barre d’identification, procédez comme suit : m Faites glisser un ou plusieurs taps à l’emplacement souhaité. Le temps de retard des taps copiés est défini par rapport à la position cible. Conseils de création de tap Le moyen le plus rapide de créer plusieurs taps en même temps est d’utiliser tap pads. Si vous envisagez un rythme spécifique, il vous sera peut-être plus facile de taper votre rythme sur un périphérique spécial plutôt qu’avec la souris. Si vous disposez d’un contrôleur MIDI, vous pouvez attribuer les Tap pads à des touches de votre matériel. Consultez le manuel « Prise en charge des surfaces de contrôle » pour plus d’informations. À chaque fois que vous cliquez sur le pad Start tap, tous les taps existants sont automatiquement effacés. Aussi, lorsque vous avez créé les taps initiaux, cliquez dans la barre d’identification pour en créer de nouveaux. Lorsque vous avez créé un tap, vous pouvez ajuster sa position librement. Pour en savoir davantage, consultez la section « Déplacement de taps ». Identification des taps Les taps sont associés à des lettres en fonction de leur ordre de création. Le premier tap créé prend la valeur Tap A, le second prend la valeur Tap B, etc. Une fois attribuée, chaque tap est toujours identifié par la même lettre, même si les taps sont ensuite déplacés et suivent donc un autre ordre. Par exemple, si vous créez initialement trois taps, ils seront appelés Tap A, Tap B et Tap C. Si par la suite, vous modifiez le temps de retard du tap B de sorte qu’il soit placé avant le tap A, ce dernier s’appellera toujours Tap A. La barre d’identification indique la lettre de chaque tap visible. Le champ Tap delay de la barre de paramètres du tap affiche la lettre associée au tap sélectionné ou au tap en cours de modification lorsque plusieurs taps sont sélectionnés (pour plus de détails, reportez-vous à la rubrique « Sélection de taps »).34 Chapitre 2 Retard Suppression de taps Pour supprimer un tap, il suffit de le sélectionner et d’appuyer sur la touche Supprimer ou sur la touche Retour arrière. Vous pouvez également cliquer sur un tap et maintenir le bouton de la souris enfoncé pour le faire glisser sous l’écran Tap. Ces méthodes s’appliquent également lorsque plusieurs taps sont sélectionnés. Enfin, vous pouvez cliquer sur n’importe quel tap de l’interface de l’effet Delay Designer avec le bouton droit de la souris ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionner la commande Delete all taps à partir du menu contextuel afin de supprimer tous les taps. Sélection de taps Il doit toujours y avoir au moins un tap sélectionné. Vous pouvez facilement distinguer les taps sélectionnés par leur couleur : les icônes de la barre d’édition et les lettres de la barre d’identification sont blanches. Pour choisir un tap, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur un tap dans l’écran principal. m Cliquez sur la lettre correspondant au tap souhaité dans la barre d’identification.Chapitre 2 Retard 35 m Cliquez sur la flèche vers le bas dans le champ Tap de la barre de paramètres de tap (Tap parameter) et choisissez la lettre correspondant au tap souhaité dans le menu. Vous pouvez sélectionner le tap précédent ou suivant en cliquant sur les flèches situées à gauche du nom du tap. Pour sélectionner plusieurs taps, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez dans l’arrière-plan de l’écran principal et faites glisser le curseur pour étirer plusieurs taps. m Cliquez sur des taps spécifiques de l’écran Tap en appuyant sur la touche Maj pour sélectionner plusieurs taps non adjacents. Déplacement de taps Vous pouvez déplacer un tap vers un point antérieur ou postérieur dans le temps. Remarque : lorsque vous déplacez un tap, vous modifiez son temps de retard réel. Pour déplacer un tap, procédez comme suit : m Sélectionnez le tap dans la barre d’identification et faites-le glisser vers la gauche (en arrière dans le temps) ou vers la droite (en avant dans le temps). Remarque : le fait de modifier le paramètre du temps de retard dans le champ Tap delay de la barre des paramètres de tap déplace également le tap dans le temps. Pour en savoir plus sur le champ Tap delay et sur la modification des taps, reportezvous aux rubriques « Barre des paramètres de tap » et « Modification de taps ». Barre des paramètres de tap La barre des paramètres de tap affiche les valeurs numériques actuelles pour chaque paramètre du tap sélectionné. Dans cette zone, vous pouvez directement modifier ces paramètres.36 Chapitre 2 Retard Les paramètres affichés sont les suivants :  Bouton Filter On/Off : active ou désactive les filtres passe-haut et passe-bas du tap sélectionné.  HP – Cutoff– LP : permet de visualiser et de définir les fréquences de coupure (en hertz) des filtres passe-haut (HP) et passe-bas (LP).  Slope : détermine la raideur des filtres passe-haut et passe-bas. Cliquez sur 6 dB pour obtenir une pente de filtre moins raide ou sur 12 dB pour une pente plus raide avec un effet de filtre plus prononcé. Il n’est pas possible de définir les filtres passe-haut et passe-bas séparément.  Reso : définit le taux de résonance de filtre pour les deux filtres.  Champ Tap Delay : ce champ affiche à la fois le numéro (en haut), le nom et la durée de retard (en bas) du tap sélectionné.  Touche Pitch On/Off : active ou désactive la transposition de tonalité pour le tap sélectionné.  Transpose : utilisez le premier champ pour définir le nombre de demi-tons de transposition et le second champ pour ajuster chaque unité en centièmes de demi-tons (1/100 de demi-ton).  Flip : intervertit les côtés gauche et droit de l’image stéréo ou Surround. En d’autres termes, si vous cliquez sur ce bouton, vous inversez la position du tap de gauche à droite et inversement. Par exemple, si un tap est défini à 55 pour cent sur la gauche, le fait de cliquer sur le bouton le fera passer à 55 pour cent sur la droite.  Pan : ce paramètre contrôle la balance des signaux d’entrée mono, la balance stéréo des signaux d’entrée stéréo et l’angle Surround pour les configurations de type Surround. Il affiche un pourcentage compris entre 100 pour cent (entièrement à gauche) et 100 pour cent (entièrement à droite), qui représente la balance du tap. Une valeur de 0 pour cent représente une balance au centre. Dans un environnement Surround, une balance Surround remplace la représentation en pourcentage. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de Delay Designer en Surround » pour en savoir plus.  Spread : lorsque vous utilisez le stéréo-stéréo ou stéréo-Surround du Delay Designer, ce paramètre permet de définir la largeur Stereo spread pour le tap sélectionné.  Mute : permet d’activer ou de désactiver le son sur le tap sélectionné.  Level : détermine le niveau de sortie pour le tap sélectionné. Modification de taps Vous pouvez modifier des taps de manière graphique, à l’aide de l’écran Tap principal ou de manière numérique, à l’aide de la barre des paramètres de tap. Dans tous les cas, les modifications de taps seront reflétées aussi bien de manière graphique que numérique. Chapitre 2 Retard 37 Modification de taps dans la barre des paramètres de tap Vous pouvez modifier tous les paramètres de la barre des paramètres de tap d’un simple clic ou par glissement. Pour modifier un paramètre, procédez comme suit : m Cliquez sur un bouton ou sur une flèche vers le haut ou le bas pour activer/désactiver ou modifier la valeur d’un paramètre. m Cliquez sur une valeur de paramètre et faites-la glisser verticalement pour la modifier. Si vous avez sélectionné plusieurs taps dans l’écran Tap, les valeurs de tous ces taps seront augmentées ou réduites. Ces modifications sont liées aux autres taps. Pour rétablir la valeur par défaut d’un paramètre, cliquez dessus tout en appuyant sur la touche Option. Si plusieurs taps sont sélectionnés, lorsque vous cliquez sur un paramètre en appuyant sur la touche Option, vous en rétablissez la valeur par défaut pour tous les taps sélectionnés. Modification de paramètres dans l’écran Tap Display Vous pouvez modifier de manière graphique tout paramètre de tap représenté par une ligne verticale dans l’écran principal Tap. Pour modifier un paramètre de tap dans l’écran Tap, procédez comme suit : 1 Cliquez sur le bouton d’affichage du paramètre que vous souhaitez modifier. 2 Cliquez sur la ligne en surbrillance du tap que vous souhaitez modifier et faites-la glisser verticalement (ou cliquez sur l’un des taps sélectionnés, s’il y en a plusieurs). Si vous avez sélectionné plusieurs taps, les valeurs de tous les taps sélectionnés seront augmentées ou réduites en fonction des autres taps. 38 Chapitre 2 Retard Vous pouvez également définir la valeur de plusieurs taps en les faisant glisser horizontalement ou verticalement dans l’écran Tap tout en maintenant la touche Commande enfoncée. À mesure que vous faites glisser les taps, la valeur du paramètre change pour correspondre à la position de la souris. En d’autres termes, le fait de faire glisser plusieurs taps tout en maintenant la touche Commande enfoncée permet d’« esquisser » des valeurs, à l’image de l’outil Pencil qui permet d’esquisser des contrôleurs dans l’Hyper Editor. Vous pouvez également maintenir la touche Commande enfoncée et cliquer sur l’écran Tap avant de faire glisser les taps. Vous obtiendrez ainsi une ligne dessinée derrière le pointeur. Les valeurs des taps seront alignées sur la ligne lorsque vous relâcherez le bouton de la souris. En cliquant sur un tap tout en appuyant sur la touche Option, vous rétablissez la valeur par défaut du paramètre sélectionné. Si plusieurs taps sont sélectionnés, vous rétablissez la valeur par défaut du paramètre pour tous ces taps.Chapitre 2 Retard 39 Modification des paramètres Filter Cutoff dans l’écran Tap Si les techniques ci-dessus s’appliquent à la plupart des paramètres réglables de manière graphique, les paramètres Cutoff et Pan fonctionnent un peu différemment. Dans la présentation Cutoff, chaque tap indique en fait deux paramètres : la fréquence de coupure du filtre passe-haut et celle du filtre passe-bas. Vous pouvez régler les valeurs Cutoff séparément en cliquant sur la ligne de fréquence souhaitée (la ligne du haut représente le filtre passe-haut, celle du bas le filtre passe-bas) et en la faisant glisser. Vous pouvez également régler les deux fréquences de coupure simultanément en cliquant entre les deux puis en faisant glisser. Lorsque la valeur de la fréquence Cutoff du filtre passe-haut est inférieure à celle du filtre passe-bas, une seule ligne s’affiche. Elle représente la bande de fréquence qui passe dans les filtres (cela signifie que les filtres jouent le rôle de filtre passe-bande). Dans une telle configuration, les deux filtres fonctionnent en série, c’est-à-dire que le tap passe d’abord par un filtre, puis par l’autre. Si la valeur de la fréquence Cutoff du filtre passe-haut est supérieure à celle du filtre passe-bas, le filtrage passe alors d’un fonctionnement en série à un fonctionnement parallèle, ce qui signifie que le tap passe par les deux filtres en même temps. Dans ce cas, l’intervalle entre les deux fréquences Cutoff représente la bande de fréquence qui est rejetée (c’est-à-dire que les filtres jouent le rôle d’un filtre d’élimination de bande).40 Chapitre 2 Retard Modification du paramètre Pan dans l’écran Tap La représentation du paramètre Pan dans l’écran qui lui est consacré est entièrement liée à la configuration du canal d’entrée de Delay Designer. Dans une configuration entrée mono/sortie stéréo, tous les taps sont au centre, au départ. Pour modifier la balance, faites glisser verticalement le curseur depuis le centre du tap vers la direction souhaitée pour le(s) tap(s). Une ligne blanche s’étire alors depuis le centre vers la direction souhaitée et reflète la balance du tap (ou des taps, suivant le cas). Les lignes situées au-dessus du centre indiquent une balance à gauche et les lignes en dessous, une balance à droite. Dans une configuration entrée stéréo/sortie stéréo, le paramètre Pan ajuste la balance stéréo et non la position du tap dans le champ stéréo. Il prend la forme d’un point de balance stéréo sur le tap représentant sa balance stéréo. Pour effectuer un réglage, faites glisser le point de balance stéréo vers le haut ou le bas du tap.Chapitre 2 Retard 41 Par défaut, le Stereo Spread est défini à 100 pour cent. Pour le modifier, faites-le glisser. Vous pouvez ainsi modifier la largeur de la ligne (qui s’étend au-delà du point). Vérifiez le paramètre Spread dans la barre des paramètres de tap pour visualiser le pourcentage sous forme numérique. Dans une configuration Surround, la ligne en surbrillance représente l’angle Surround. Pour en savoir plus, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de Delay Designer en Surround ». Utilisation des boutons Toggle pour modifier les paramètres de tap La barre d’édition comprend un bouton par tap. Ils permettent d’activer et de désactiver plus rapidement des paramètres de façon visuelle. Le paramètre basculé par le bouton est fonction de la sélection du bouton de présentation View :  Présentation Cutoff : les boutons Toggle activent ou désactivent le filtre.  Présentation Reso : les boutons Toggle permettent de faire passer le slope de filtre de 6 à 12 dB.  Présentation Pitch : les boutons Toggle permettent d’activer ou de désactiver la transposition de tonalité.  Présentation Pan : les boutons Toggle permettent de passer d’un mode Flip à l’autre.  Présentation Level : les boutons Toggle permettent d’activer ou de désactiver le son du tap. Vous pouvez activer ou désactiver le son à tout moment, indépendamment de la présentation active en cliquant sur un bouton Toggle tout en maintenant les touches Commande et Option enfoncées. Lorsque vous relâchez les touches Option et Commande, les boutons reprennent leur fonction standard (mode View actif). 42 Chapitre 2 Retard Remarque : la première fois que vous modifiez un paramètre de filtre ou de transposition de tonalité, le module interne associé s’active automatiquement. Cela vous évite d’avoir à l’activer manuellement avant de le modifier. Toutefois, si vous le désactivez manuellement, vous devrez le réactiver manuellement. Modification des paramètres de tap avec le menu contextuel Cliquez avec le bouton droit de la souris ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée pour ouvrir un menu contextuel contenant les commandes suivantes :  Copy sound parameters : copie tous les paramètres des taps sélectionnés dans le Presse-papiers, à l’exception du temps de retard (delay time).  Paste sound parameters : colle tous les paramètres du Presse-papiers dans le ou les tap(s) sélectionné(s). Si le Presse-papiers contient plus de taps que de taps sélectionnés dans l’écran principal Tap, les taps superflus sont ignorés.  Reset sound parameters to default values : rétablit la valeur par défaut de tous les paramètres des taps sélectionnés, à l’exception du temps de retard (delay time).  Delete all taps : supprime tous les taps. Conseils relatifs à la modification de paramètres En règle générale, les opérations de modification à l’aide de la barre des paramètres de tap sont rapides et précises quand il s’agit de modifier les paramètres d’un tap à la fois. Tous les paramètres du tap sélectionné sont disponibles, ce qui évite de passer d’une présentation à l’autre et d’estimer les valeurs avec les lignes verticales. Si vous souhaitez modifier les paramètres d’un tap par rapport à d’autres taps, utilisez l’écran Tap. De même, si vous souhaitez modifier plusieurs taps à la fois, vous pouvez utiliser l’écran Tap pour les sélectionner et modifier en même temps. Pensez à faire glisser le curseur en maintenant la touche Commande enfoncée pour « esquisser » différentes valeurs pour plusieurs taps. Synchronisation des taps de retard (Delay Taps) Delay Designer peut se synchroniser au tempo du projet ou s’exécuter séparément. En mode synchronisé (mode Sync), les taps « s’accrochent » à une grille de positions musicales adéquates, en fonction des longueurs de note. Dans ce mode, vous pouvez également définir une valeur Swing, ce qui permet de faire varier la synchronisation précise de la grille, afin d’obtenir un effet plus « fluide » et moins « mécanique » pour chaque tap. Si vous n’êtes pas en mode Sync, les taps ne s’accrochent à aucune grille et vous ne pouvez pas appliquer la valeur Swing.Chapitre 2 Retard 43 Activation du mode Sync Le mode Sync s’active ou se désactive en cliquant sur le bouton Sync dans la rubrique Sync. Lorsqu’il est activé, le bouton Sync est entouré d’un cercle orange et une grille correspondant à la valeur du paramètre Grille sélectionné s’affiche dans la barre d’identification. Une fois le mode Sync activé, tous les taps se déplacent vers la valeur de temps de retard la plus proche dans la grille. Si par la suite vous créez ou déplacez des taps, ils se déplaceront toujours par graduation en fonction du réglage de la grille, ou seront créés sur une position « accrochée » de la grille. Réglage de la résolution de la grille Le menu Grid propose plusieurs résolutions de grille, qui correspondent à des longueurs de notes. La résolution de grille ainsi que le tempo du projet déterminent la longueur de chaque graduation de grille. Pour définir la résolution de la grille, procédez comme suit : m Cliquez sur le champ Grid et choisissez la résolution souhaitée dans le menu local. Lorsque vous modifiez des résolutions de grille, vous pouvez constater que les graduations figurant dans la barre d’identification varient en conséquence. Cela détermine également une limite d’« étape » pour tous les taps. Exemple : le tempo du projet est défini sur 120 pulsations minute, et le paramètre Grid de Delay Designer est défini sur des notes de 1/16. Pour ce tempo et cette résolution, chaque graduation correspond à 125 millisecondes. Si le Tap A est défini sur 380 ms, l’activation du mode Sync le fait immédiatement passer à 375 ms. Si, par la suite, vous avancez le Tap A dans le temps, il passera à 500 ms, 625 ms, 750 ms, etc. Avec une résolution de 1/8, les étapes sont séparées de 250 millisecondes. Ainsi, le Tap A passe automatiquement à la division la plus proche (500 ms) et peut être déplacé à 750 ms, 1000 ms, 1250 ms, etc.44 Chapitre 2 Retard Réglage de la valeur Swing La valeur Swing définit la proximité entre la position de grille absolue et chaque graduation de la grille secondaire. Si elle est réglée sur 50 pour cent, chaque graduation de grille a la même valeur. Avec un réglage inférieur à 50 pour cent, chaque graduation de la grille secondaire est plus courte. Si le réglage est supérieur à 50 pour cent, ces graduations sont plus longues. Pour régler la valeur Swing, procédez comme suit : m Cliquez sur le champ Swing et faites glisser le curseur vers le haut ou le bas pour augmenter ou réduire la valeur Swing. Si vous déplacez légèrement la position de grille de chaque graduation secondaire (valeurs comprises entre 45 et 55 pour cent), la fonction Swing crée un effet rythmique moins rigide. Vous obtenez ainsi un effet très « naturel », mais la fonction Swing ne se réduit pas à cet aspect. Les réglages de Swing très hauts sont beaucoup moins subtils puisqu’ils placent chaque graduation secondaire juste après la suivante. Vous pouvez utiliser cette fonctionnalité pour créer des rythmes doubles élaborés et intéressants avec certains taps, tout en conservant la grille pour verrouiller les autres taps dans une synchronisation plus stricte sur le tempo du projet. Enregistrement des réglages de synchronisation Lorsque vous enregistrez un réglage de Delay Designer, l’état du mode Sync, la grille ainsi que les valeurs Swing sont tous enregistrés. Lorsque vous enregistrez un réglage et que le mode Sync est activé, la position de grille de chaque tap est également enregistrée. Cela permet de garantir qu’avec un réglage chargé dans un projet avec un autre tempo (différent de celui avec lequel le réglage a été créé), tous les taps conservent leur position relative et leur rythme dans le nouveau tempo. Il faut toutefois garder à l’esprit que le temps de retard dans Delay Designer est de 10 secondes au maximum. Cela signifie que si vous chargez un réglage dans un projet dont le tempo est plus lent que le tempo auquel il a été créé, certains taps risquent de dépasser la limite de 10 secondes. Si tel est le cas, les taps en question ne seront pas joués mais conservés dans le réglage.Chapitre 2 Retard 45 Partie Master La partie Master comprend les paramètres relatifs à deux fonctions globales : delay feedback et dry/wet mix. Utilisation du feedback Pour les retards simples, le feedback est le seul moyen de répéter un retard. Delay Designer proposant 26 taps, vous pouvez les utiliser pour créer des répétitions sans avoir besoin de commandes discrètes de feedback pour chaque tap. Le paramètre de retour global de Delay Designer vous permet de renvoyer la sortie d’un tap via l’entrée de l’effet et de créer un rythme ou motif qui se suffit à lui-même. On l’appelle feedback tap (tap de retour). Pour activer ou désactiver le feedback, procédez comme suit : m Cliquez sur le bouton Feedback. Quand il est activé, il s’allume. La piste orange autour du potentiomètre Feedback Level indique le niveau de feedback actuel. Remarque : si le retour est activé et que vous commencez à créer des taps à l’aide des Tap pads, il est automatiquement désactivé. Une fois terminé, le feedback est réactivé lorsque vous cliquez sur le bouton Last Tap. Pour définir le tap de feedback, procédez comme suit : m Cliquez sur le champ Feedback Tap et sélectionnez le tap de votre choix dans le menu local. Vous pouvez modifier le niveau de sortie du feedback tap dans l’entrée de Delay Designer entre 0 pour cent (aucun feedback) et 100 pour cent (le feedback tap fait l’objet d’un retour sur l’intégralité du volume). Pour définir le feedback level du feedback tap, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur le potentiomètre Feedback Level et faites-le glisser. m Cliquez sur le champ Feedback Level et faites-le glisser.46 Chapitre 2 Retard Curseurs Mix Utilisez les curseurs de mixage pour régler le niveau du signal d’entrée sec et du signal mouillé (post-traitement). Utilisation de Delay Designer en Surround Delay Designer est tout particulièrement conçu pour être utilisé dans des configurations Surround. Avec 26 taps, vous pouvez utiliser les taps de delay dans le champ Surround pour obtenir des effets de rythme tout à fait étonnants ! Lors de l’utilisation de Delay Designer dans une configuration Surround, le pourcentage de la balance sur la barre des paramètres de tap est remplacé par une balance Surround, ce qui vous permet de définir la balance Surround de chaque tap. Les fonctions suivantes facilitent le déplacement de la balance Surround :  Maintenez la touche Commande enfoncée pour verrouiller la diversité.  Maintenez les touches Commande + Option enfoncées pour verrouiller l’angle.  Cliquez en appuyant sur la touche Option pour redéfinir l’angle et la diversité. Dans la présentation Pan de l’écran Tap, vous pouvez uniquement régler l’angle entre 0 et 360 degrés ; vous ne pouvez pas régler sa diversité. Le module Delay Designer traite toujours chaque canal d’entrée de manière individuelle.  Dans des configurations d’entrée mono/stéréo et de sortie Surround, le Delay Designer traite indépendamment les deux canaux et le panoramique Surround vous permet de placer chaque retard autour du champ Surround.  Dans des configurations d’entrée et de sortie Surround, le Delay Designer traite indépendamment chaque canal Surround et le panoramique Surround vous permet de régler la balance Surround de chaque tap dans le champ Surround. Remarque : le module Delay Designer génère des données d’automatisation distinctes pour le fonctionnement des balances stéréo et Surround. Ainsi, la présence de données d’automatisation de balance stéréo existantes n’entraînera aucun conflit lors de l’utilisation du module Designer dans des canaux Surround, et vice versa.Chapitre 2 Retard 47 Echo Cet effet d’écho simple permet de synchroniser le temps de retard avec le tempo du projet ; ainsi, vous pouvez créer rapidement des effets d’écho qui s’exécutent « en rythme » avec votre composition. Paramètres d’écho  Time : définit la résolution de grille du temps de retard au niveau des longueurs de notes, en fonction du tempo du projet. Les valeurs « T » représentent les triolets et les « . » les notes pointées.  Repeat : détermine la fréquence à laquelle l’effet de retard se répète.  Color : définit le contenu harmonique (couleur) du signal de retard.  Wet and Dry : chacune de ces options contrôle la valeur du signal original et du signal d’effet. Sample Delay Sample Delay n’est pas vraiment un effet, mais plutôt un outil : vous pouvez l’utiliser pour retarder un canal à l’aide de valeurs d’échantillons uniques. Si vous l’utilisez en association avec les fonctionnalités d’inversion de phase de l’effet, Sample Delay est parfaitement adapté à la correction des problèmes de synchronisation pouvant apparaître avec des micros multicanaux. Il peut également être utilisé dans le cadre de la création, pour émuler l’effet de séparation de canaux des micros stéréo. La version stéréo du module fournit des commandes séparées pour chaque canal. Elle offre également une option Link L & R qui déplace les deux canaux du même nombre d’échantillons. Chaque échantillon (d’une fréquence de 44,1 kHz) correspond au temps nécessaire à une onde sonore pour parcourir 7,76 millimètres. En d’autres termes : si vous retardez le canal d’un micro stéréo de 13 échantillons, vous émulez une séparation acoustique (micro) de 10 centimètres.48 Chapitre 2 Retard Stereo Delay Le fonctionnement de l’effet Stereo Delay est similaire à celui de Tape Delay (voir ci-dessous) mais vous permet en outre de régler séparément les paramètres Delay, Feedback et Mix pour le canal droit et le canal gauche. Cet effet comprend également un potentiomètre d’intercommunication pour chaque canal stéréo. Il détermine l’intensité du feedback, ou le niveau à partir duquel chaque signal est acheminé vers le canal stéréo opposé. Vous pouvez utiliser l’effet Stereo Delay librement sur les pistes ou sur les bus mono, lorsque vous souhaitez créer des retards indépendants pour chacun des canaux stéréo. Remarque : si vous utilisez cet effet sur des bandes de canal mono, la piste ou le bus sera associé à deux canaux à partir du point d’insertion (tous les logements d’insertion après le logement sélectionné seront stéréo). Cette rubrique couvre uniquement les fonctionnalités supplémentaires que présente l’effet Stereo Delay. Pour en savoir plus sur les paramètres communs avec l’effet Tape Delay, reportez-vous à la rubrique correspondante ci-dessous.  Left input et Right input : utilisez ces deux entrées pour choisir le signal d’entrée des deux canaux stéréo. Vous pouvez choisir parmi les options Off (Désactivé), Left (Gauche), Right (Droite), L+R (Gauche + Droite) et L-R (Gauche - Droite).  Bouton Feedback Phase : utilisez ce bouton pour inverser la phase du signal de feedback pour le canal correspondant.  Crossfeed Left to Right and Crossfeed Right to Left : utilisez cette option pour transférer le signal de feedback du canal de gauche vers le canal de droite et inversement.  Boutons Crossfeed Phase : utilisez ces boutons pour inverser la phase des signaux de feedback d’intercommunication.Chapitre 2 Retard 49 Tape Delay L’effet Tape Delay simule le son chaleureux des appareils à écho d’époque. Il a pour avantage de faciliter la synchronisation du temps de feedback avec le tempo de votre projet. Tape Delay comporte des filtres passe-haut et passe-bas dans sa boucle de feedback, afin de faciliter la création d’effets de « dub » (copie) authentiques. Il inclut également un LFO pour la modulation du temps de retard. Le LFO produit une onde triangulaire avec une intensité de vitesse et de modulation réglable. Vous pouvez l’utiliser pour produire des effets de chœur agréables ou originaux, même sur les longs retards.  Feedback : détermine la valeur du signal retardé et filtré qui est réacheminé vers l’entrée de l’effet Tape Delay.  Freeze : capture les répétitions de retard actuelles et les conserve jusqu’à ce que le paramètre soit désactivé.  Delay : définit le temps de retard actuel en millisecondes (si vous synchronisez le temps de retard avec le tempo du projet, ce paramètre est grisé).  Tempo : définit le temps de retard actuel en pulsations par minute (si vous synchronisez le temps de retard avec le tempo du projet, ce paramètre est grisé).  Bouton Sync : activez ce bouton pour synchroniser les répétitions du retard avec le tempo du projet (y compris les modifications de tempo).  Boutons Note : cliquez sur ces boutons pour définir la résolution de grille applicable au temps de retard, en fonction de la durée des notes.  Curseur Groove : détermine la proximité de chaque répétition de retard secondaire par rapport à la position de grille absolue (c’est-à-dire l’éloignement de chaque répétition de retard secondaire).  Distortion Level (Extended Parameter) : détermine le niveau du signal déformé (saturation de l’enregistrement).  Low Cut and High Cut : les fréquences situées en dessous de la valeur Low Cut (Passe-bas) et au-dessus de la valeur High Cut (Passe-haut) sont filtrées à partir du signal source.  LFO Speed : définit la fréquence (vitesse) du LFO.  LFO Depth : définit le taux de modulation du LFO. Dans le cas d’une valeur nulle (0), la modulation du retard est désactivée.  Flutter parameters : simule les irrégularités en termes de vitesse des mécanismes d’entraînement utilisés dans les unités de retard analogiques. Flutter Rate (taux de scintillement) ajuste la vitesse et Flutter Intensity (intensité du scintillement) détermine l’ampleur de l’effet.  Smooth : égalise le LFO et l’effet de scintillement.  Dry and Wet : chacune de ces options contrôle la valeur du signal original et du signal d’effet. Réglage du feedback Lorsque vous réglez le curseur Feedback sur la valeur la plus faible possible, l’effet Tape Delay génère un écho simple. Si vous choisissez la valeur la plus haute, les échos sont répétés à l’infini. Remarque : les niveaux du signal initial et de ses taps (répétitions d’échos) ont tendance à s’accumuler et risquent de causer des distorsions. Dans ce cas, le circuit de saturation interne intervient pour résoudre le problème. Vous pouvez l’utiliser pour garantir que les signaux de distorsion (overdrive) conservent un son satisfaisant. Réglage de la valeur Groove La valeur Groove détermine la proximité entre les répétitions de retard secondaires et la position absolue sur la grille. Un Groove de 50 pour cent signifie que chaque retard sera associé au même temps de retard. Avec un réglage inférieur à 50 pour cent, le retard secondaire est joué plus tôt. Si le réglage est supérieur à 50 pour cent, le retard secondaire intervient plus tard. Si vous souhaitez créer des valeurs de notes pointées, déplacez le curseur Groove tout à droite (à 75 pour cent) ; pour les triolets, choisissez le réglage 33,33 pour cent. Filtrage de l’effet de retard Vous pouvez ajuster le son des échos à l’aide des filtres passe-haut et passe-bas intégrés. Ces filtres se trouvent dans le circuit de retour ; par conséquent l’effet de filtre augmente en intensité à chaque répétition de retard. Si vous souhaitez obtenir une tonalité de plus en plus « floue », déplacez le curseur du filtre High Cut vers la gauche. Pour obtenir des échos encore plus « faibles », déplacez le curseur du filtre Low Cut vers la droite. Remarque : si vous ne parvenez pas à entendre l’effet souhaité, bien que votre configuration soit apparemment appropriée, assurez-vous que les commandes Dry/Wet sont toutes deux activées et vérifiez les réglages de filtre : déplacez le curseur du filtre High Cut (passe-haut) complètement à droite et le curseur du filtre Low Cut (passe-bas) complètement à gauche.3 51 3 Distorsion Vous pouvez utiliser les effets Distortion pour recréer le son de la distorsion analogique ou numérique et pour transformer radicalement votre audio. Les effets Distortion simulent la distorsion créée par les lampes à vide, les transistors ou les circuits numériques. Les lampes étaient utilisées dans les amplificateurs audio avant le développement de la technologie audio numérique et sont toujours utilisées dans certains amplis d’instruments de musique de nos jours. Lorsqu’on les pousse, ils produisent un type de distorsion que de nombreuses personnes trouvent plaisante et qui est devenue une caractéristique du son de la musique rock et pop. La distorsion de lampe analogique ajoute au signal une chaleur particulière et une vivacité. Il existe également des effets de distorsion qui génèrent intentionnellement un écrêtage (clipping) et une distorsion numérique du signal audio. Ils peuvent être utilisés pour modifier des pistes vocales, musicales et autres afin de générer un effet intense et artificiel, ou pour créer des effets sonores. Les effets de distorsion comportent des paramètres pour la tonalité (tone), qui permettent de définir la façon dont la distorsion altère le signal (souvent sous la forme d’un filtre de fréquences), et des paramètres pour le gain, qui permettent de contrôler la quantité de distorsion du niveau de sortie du signal. Les rubriques suivantes décrivent les différents effets fournis avec Logic Studio.  « Bitcrusher » à la page 52  « Clip Distortion » à la page 53  « Distortion » à la page 54  « Distortion II » à la page 55  « Overdrive » à la page 56  « Phase Distortion » à la page 57 Avertissement : lorsqu’ils sont réglés sur des niveaux de sortie élevés, les effets de distorsion peuvent endommager votre ouïe (et vos haut-parleurs). Lorsque vous ajustez les réglages d’un effet, il est recommandé de baisser le niveau de sortie de la piste et d’augmenter graduellement le niveau une fois que vous avez fini.52 Chapitre 3 Distorsion Bitcrusher L’effet Bitcrusher est un effet de distorsion numérique de basse résolution. Vous pouvez l’utiliser pour émuler le son des débuts des données audio numériques, créer du repliement artificiel en divisant la séquence d’échantillonnage ou déformer des signaux jusqu’à ce qu’ils soient méconnaissables. Paramètres de l’effet Bitcrusher  Curseur et champ Drive : détermine le gain (en décibels) à appliquer au signal d’entrée.  Curseur et champ Resolution : détermine le débit binaire (entre 1 et 24 bits).  Curseur et champ Downsampling : détermine de combien il faut réduire la fréquence d’échantillonnage. La valeur 1 x laisse le signal inchangé, la valeur 2 x divise la fréquence d’échantillonnage par deux et la valeur 10 x divise la fréquence d’échantillonnage du signal original par dix (par exemple, si vous réglez le Downsampling sur 10 x, un signal à 44,1 kHz sera échantillonné à exactement 4,41 kHz.)  Boutons Mode : cliquez sur l’un de ces boutons pour régler le mode de distorsion sur Folded, Cut ou Displaced (ces modes sont décrits dans la section qui suit).  Curseur et champ Clip Level : détermine le point en dessous du seuil normal auquel vous voulez que le signal soit écrêté.  Curseur et champ Mix (paramètre étendu) : détermine la balance entre les signaux secs et humides. Utilisation de l’effet Bitcrusher En réglant le paramètre Résolution sur une valeur inférieure au débit binaire du signal original, vous dégradez ce dernier en y introduisant de la distorsion numérique. En effet, en baissant la valeur, vous augmentez le nombre d’erreurs d’échantillonnage, ce qui génère plus de distorsion. Pour des débits binaires extrêmement bas, le niveau de distorsion peut même devenir supérieur au niveau du signal utile. Les boutons Mode déterminent si les crêtes de signal qui dépassent le niveau d’écrêtage doivent être repliées (Folded), coupées (Cut) ou déplacées (Displaced) (comme représenté dans les icônes des boutons et la forme d’onde résultante dans l’affichage). Le genre d’écrêtage qui se produit dans les systèmes numériques est généralement plus proche du mode Cut (coupées). La distorsion interne peut produire un écrêtage similaire aux types générés par les deux autres modes.Chapitre 3 Distorsion 53 Augmenter le niveau de Drive tend aussi à augmenter la quantité d’écrêtage à la sortie de l’effet Bitcrusher. Clip Distortion Clip Distortion est un effet de distorsion non linéaire qui produit un spectre imprévisible. Vous pouvez l’utiliser pour simuler des sons chauds de saturation à lampes ou une distorsion radicale. L’effet Clip Distortion propose une combinaison inhabituelle de filtres connectés en série. Le signal est d’abord amplifié selon la valeur du champ Drive, passe au travers d’un filtre passe-haut, puis est soumis à une distorsion non linéaire contrôlée par le paramètre Symétrie. Le signal passe ensuite au travers d’un filtre passe-bas. Le signal ainsi modifié est alors mixé avec le signal original, puis envoyé au travers d’un autre filtre passe-bas. Ces trois filtres ont une pente de 6 dB/octave. Cette combinaison unique de filtres permet des vides dans le spectre de fréquences qui peuvent donner de bons résultats avec ce type de distorsion non linéaire. Le graphique du circuit d’écrêtage représente visuellement tous les paramètres, à l’exception des paramètres du filtre High Shelving. Paramètres de l’effet Clip Distortion  Curseur et champ Drive : détermine le gain à appliquer au signal d’entrée. Après avoir été amplifié par la valeur du champ Drive, le signal passe au travers d’un filtre passe-haut.  Curseur et champ Tone : détermine la fréquence de coupure (en Hertz) du filtre passe-haut.  Curseur et champ Symmetry : détermine la distorsion non linéaire (asymétrique) à appliquer au signal.  Curseur et champ Clip Filter : détermine la fréquence de coupure (en Hertz) du premier filtre passe-bas au travers duquel le signal passe après la distorsion.  Curseur Mix : détermine le rapport entre le signal soumis à l’effet (humide) et le signal non soumis au filtre (sec) après le filtre d’écrêtage.  Champ et curseur circulaire Sum LPF : détermine la fréquence de coupure (en Hertz) du filtre passe-bas au travers duquel le signal mixé passe.54 Chapitre 3 Distorsion  Potentiomètre et champ High Shelving Frequency : détermine la fréquence (en Hertz) du filtre de shelving haut.  Potentiomètre et champ High Shelving Gain : détermine le gain à appliquer au signal de sortie.  Curseur et champ Input Gain (paramètre étendu) : détermine le gain à appliquer au signal d’entrée.  Curseur et champ Output Gain (paramètre étendu) : détermine le gain à appliquer au signal de sortie. Utilisation de l’effet Clip Distortion Si vous réglez le paramètre High Shelving Frequency autour des 12 kHz, vous pouvez l’utiliser comme contrôle des aigus sur une bande de canaux de mélangeur ou un amplificateur hi-fi stéréo. En revanche, contrairement à ces types de contrôles d’aigus, vous pouvez amplifier ou couper le signal de jusqu’à ±30 dB à l’aide du paramètre Gain. Distortion Cet effet Distortion simule le son sale et lo-fi généré par un transistor bipolaire. Vous pouvez l’utiliser pour simuler un instrument de musique au travers d’un amplificateur fortement poussé ou pour créer des sons déformés uniques. Paramètres de l’effet Distortion  Curseur et champ Drive : détermine la saturation à appliquer au signal.  Curseur et champ Tone : détermine la fréquence à laquelle le signal est filtré par un filtre high cut. En filtrant un signal déformé riche en harmoniques, on obtient un son plus doux légèrement moins râpeux.  Curseur et champ Output : détermine le volume de sortie. Permet de compenser les augmentations de contour provoquées par l’ajout de distorsion. Chapitre 3 Distorsion 55 Distortion II L’effet Distortion II émule l’effet de distorsion d’un orgue Hammond B3. Vous pouvez l’utiliser sur des instruments de musique pour recréer cet effet classique ou l’utiliser de façon plus créative dans le cadre de la conception sonore. Paramètres de l’effet Distortion II .  Modulateur PreGain : détermine le gain à appliquer au signal d’entrée.  Modulateur Drive : détermine la saturation à appliquer au signal.  Modulateur Tone : détermine la fréquence à laquelle le signal est filtré. En filtrant un signal déformé riche en harmoniques, on obtient un son plus doux légèrement moins râpeux.  Menu local Type : sélectionnez le type de distorsion à appliquer. Les modèles suivants sont disponibles : Growl, Bity et Nasty.  Growl : émule un amplificateur à lampe à deux niveaux semblable à celui que l’on retrouve dans le modèle Leslie 122, souvent utilisé avec un orgue Hammond B3.  Bity : émule le son d’un amplificateur de guitare blues (poussé).  Nasty : produit une distorsion dure qui convient à la création de sons très agressifs.56 Chapitre 3 Distorsion Overdrive L’effet Overdrive émule la distorsion générée par un transistor à effet de champ (FET), généralement utilisée dans les amplificateurs d’instruments et les générateurs d’effets. Lorsqu’ils sont saturés, les transistors à effet de champ génèrent une distorsion plus chaleureuse que les transistors bipolaires. Paramètres de l’effet Overdrive  Curseur et champ Drive : détermine la saturation du transistor.  Curseur et champ Tone : détermine la fréquence de coupure à laquelle le signal est filtré. En filtrant un signal déformé riche en harmoniques, on obtient un son plus doux légèrement moins râpeux.  Curseur et champ Output : détermine le volume de sortie. L’utilisation du module Overdrive tend à augmenter le niveau du signal original, mais vous pouvez compenser cela en diminuant le niveau de sortie. Chapitre 3 Distorsion 57 Phase Distortion L’effet Phase Distortion est basé sur une ligne de retard modulée, similaire à un effet de Chorus ou Flanger (pour en savoir plus sur ces effets, consultez le chapitre Modulation). En revanche, dans l’effet Phase Distortion, la durée du retard n’est pas modulée par un oscillateur basse fréquence (LFO), mais par une version à filtre passe-bas du signal d’entrée lui-même. Cela signifie que le signal module sa propre position de phase. Le signal d’entrée ne passe que par la ligne de retard et n’est affecté par aucun autre processus. Paramètres de l’effet Phase Distortion  Bouton Monitor : activez ce dernier pour n’entendre que le signal d’entrée ou désactivez-le pour entendre le signal mixé.  Champ et curseur circulaire Cutoff : détermine la fréquence de coupure du filtre passe-bas résonnant au travers duquel passe le signal d’entrée.  Champ et curseur circulaire Resonance : détermine la résonance du filtre passe-bas résonnant au travers duquel passe le signal d’entrée.  Curseur et champ Mix : ajuste le pourcentage de signal mixé soumis à l’effet par rapport au signal original.  Curseur et champ Max Modulation : détermine la durée du retard maximum.  Curseur et champ Intensity : détermine la modulation à appliquer au signal.  Menu local Phase Reverse (paramètre étendu) : choisissez On pour que les valeurs d’entrée positives réduisent la durée du retard sur le canal droit. Disponible uniquement pour les cas stéréo de l’effet Phase Distortion.Utilisation de l’effet Phase Distortion Le signal d’entrée ne passe que par la ligne de retard et n’est affecté par aucun autre processus. Le paramètre Mix mélange le signal soumis à l’effet avec le signal original. La durée du retard est modulée par un signal à chaîne latérale, en l’occurrence le signal d’entrée. Le signal d’entrée passe au travers d’un filtre passe-bas résonnant possédant une fréquence de coupure (Cutoff) dédiée et des commandes de résonance (Resonance). Vous pouvez écouter la chaîne latérale filtrée (et non le signal mixé) en actionnant le bouton Monitor. Pour définir la durée du retard maximum, utilisez le paramètre Max Modulation. La quantité de modulation elle-même est contrôlée par le champ Intensité. Sous les autres paramètres figure le paramètre Phase Reverse. Normalement, une valeur d’entrée positive donne un temps de retard plus long. En activant le paramètre Phase Reverse (Inversion de phase), les valeurs d’entrée positives engendrent une réduction du temps de retard sur le canal droit uniquement. Cette fonctionnalité est uniquement disponible dans les exemples stéréo de l’effet.4 59 4 Dynamique Vous pouvez utiliser les effets de dynamique pour contrôler le volume de vos données audio, donner plus d’intensité, de « punch », à vos pistes et projets et optimiser la qualité sonore de la lecture dans différentes situations. La plage dynamique d’un signal audio correspond à l’intervalle entre la partie la plus basse et la partie la plus forte du signal (en termes techniques, entre l’amplitude la plus faible et l’amplitude la plus élevée). Grâce aux effets de dynamique, vous pouvez ajuster la plage dynamique d’un fichier audio individuel, de plusieurs pistes ou de l’ensemble d’un projet, afin d’augmenter le volume perçu et de mettre en valeur les sons les plus importants sans pour autant rendre inaudibles les sons les plus doux. Les outils de dynamique sont les compresseurs, les limiteurs et les portes de bruit. Compresseurs Un compresseur fonctionne comme une commande de volume automatique, qui réduit ce volume dès qu’il dépasse un certain niveau, appelé seuil. Quel intérêt y a-t-il à réduire l’amplitude de la dynamique ? En coupant les sections les plus fortes du signal (appelées crêtes), le compresseur vous permet d’augmenter le niveau global de ce signal et ainsi d’amplifier le volume sonore perçu. L’intensité du son est alors renforcée, dans la mesure où les moments les plus forts prennent davantage de relief, tandis que les passages les plus doux restent audibles en arrière-plan. La compression a également pour effet de rendre le son plus vif, plus énergique, d’une part car les éléments transitoires sont mis en valeur (en fonction des réglages d’attaque et de relâchement, mais aussi parce que le volume maximal est plus rapidement atteint. Par ailleurs, la compression peut contribuer à améliorer la qualité sonore d’un projet lors de sa lecture dans différents environnements audio. Par exemple, la plage dynamique des haut-parleurs d’un téléviseur ou d’un autoradio est bien moindre que celle d’une salle de cinéma. La compression du mixage global permet d’amplifier et de clarifier le son lors d’une lecture basse fidélité.60 Chapitre 4 Dynamique Les compresseurs sont généralement utilisés sur des pistes vocales afin de mettre en valeur la voix dans le mixage global. Ils peuvent également être utilisés sur les pistes de musique et d’effets audio, mais rarement sur les pistes d’ambiance. Certains compresseurs, appelés compresseurs multibandes, sont capables de diviser le signal entrant en plusieurs bandes de fréquence, puis d’appliquer des réglages de compression différents à chacune de ces bandes. Cette démarche, généralement appliquée au mixage global du projet, permet d’obtenir un niveau optimal sans introduire d’effets de compression. Expandeurs Les expandeurs sont semblables aux compresseurs mais, lorsque le seuil fixé est atteint, ils amplifient le signal au lieu de le réduire. Leur rôle est donc de rendre le signal audio plus vivant. Limiteurs Les limiteurs (également appelés limiteurs de crête) fonctionnent de la même façon que les compresseurs, dans la mesure où ils réduisent le signal audio lorsque celui-ci atteint le seuil prédéfini. La différence est la suivante : alors qu’un compresseur réduit progressivement un signal dont le niveau est au-dessus du seuil, un limiteur ramène immédiatement un signal trop fort au niveau du seuil fixé. Le rôle principal d’un limiteur est d’éviter l’écrêtage tout en préservant le niveau maximal du signal global. Portes de bruit Les portes de bruit modifient le signal de façon contraire au traitement appliqué par les compresseurs ou les limiteurs. Alors qu’un compresseur réduit le niveau du signal lorsque celui-ci franchit le seuil prédéfini, une porte de bruit réduit le signal dès qu’il est inférieur à ce seuil. Ainsi, les sons les plus forts passent la porte sans être modifiés, alors que les sons plus faibles, tels que le bruit ambiant ou la chute d’une note tenue, sont éliminés. Les portes de bruit servent principalement à éliminer d’un signal audio les bruits parasites et les bourdonnements basse fréquence. Les sections suivantes décrivent les différents modules fournis avec Logic Studio.  « Adaptive Limiter » à la page 61  « Compressor » à la page 62  « DeEsser » à la page 66  « Ducker » à la page 68  « Enveloper » à la page 69  « Expander » à la page 71  « Limiter » à la page 73  « Multipressor » à la page 74  « Noise Gate » à la page 78  « Silver Compressor » à la page 80  « Silver Gate » à la page 81  « Surround Compressor » à la page 82Chapitre 4 Dynamique 61 Adaptive Limiter Le module Adaptive Limiter est un outil versatil qui permet de contrôler le volume sonore des signaux perçus. Il arrondit et lisse les crêtes du signal, produisant ainsi un effet similaire à celui d’un amplificateur analogique que l’on aurait poussé à l’extrême. Tout comme un amplificateur, il permet de colorer légèrement le son du signal. Vous pouvez utiliser l’Adaptive Limiter pour obtenir un gain maximal sans écrêtage (excédant 0 dBFS). L’Adaptive Limiter est généralement utilisé lors du mixage final, où il peut être placé après un compresseur (le module Multipressor, par exemple) et avant un contrôle de gain final et ce, afin de produire un mixage dont le volume sonore sera optimal. Grâce au module Adaptive Limiter, vous pouvez produire un mixage dont le volume sera plus fort que ce que vous pourriez obtenir en normalisant simplement le signal. Remarque : l’utilisation d’Adaptive Limiter ajoute un temps de latence lorsque le paramètre Lookahead est activé. Dans la plupart des cas, il est conseillé de faire appel à ce module pour le mixage et la mastérisation de pistes préalablement enregistrées, et non lors d’un enregistrement. Paramètres du module Adaptive Limiter  Potentiomètre Input Scale : permet de changer l’échelle du niveau d’entrée. Ce changement d’échelle est utile dans le cas de signaux d’entrée très forts ou au contraire très faibles, puisqu’il permet de ramener le niveau à l’intérieur de la plage dynamique la mieux adaptée au bon fonctionnement du potentiomètre Gain. En général, il ne doit jamais excéder 0 dBFS.  Potentiomètre Gain : définit l’importance du gain après le changement d’échelle du signal d’entrée.  Potentiomètre Out Ceiling : définit le niveau de sortie maximal, ou plafond, au-delà duquel le signal ne peut pas aller. 62 Chapitre 4 Dynamique Les compteurs Input (à gauche des boutons de contrôle) affichent les niveaux d’entrée en temps réel, à mesure que le fichier ou le projet est lu. Les compteurs Output affichent les niveaux de sortie, ce qui vous permet de voir les résultats du module Adaptive Limiter. Les deux champs Margin indiquent respectivement les niveaux les plus élevés d’entrée et de sortie (depuis le début de la lecture). Pour réinitialiser les champs Margin, cliquez simplement dessus. Paramètres étendus  Menu local Mode : vous permet de sélectionner le type de lissage des crêtes utilisé par l’Adaptive Limiter. Les options disponibles sont OptFit, avec laquelle la limitation du signal suit une courbe linéaire, ce qui autorise les crêtes de signal supérieures à 0 dB, et NoOver, qui évite les effets de distorsion depuis le matériel de sortie en s’assurant que le signal n’excède pas 0 dB.  Champ et curseur Lookahead : déterminent la portée de l’analyse effectuée par l’Adaptive Limiter sur le fichier à la recherche de crêtes.  Menu local Remove DC : sélectionnez On pour activer un filtre passe-haut chargé de supprimer le courant continu du signal. Ce courant continu peut être introduit par du matériel audio bas de gamme. Compressor Le module Compressor est conçu pour émuler le son et la réponse d’un compresseur (matériel) analogique professionnel. Il resserre vos données audio en réduisant les sons qui excèdent un certain niveau de seuil, atténuant ainsi la dynamique et augmentant le volume sonore global. La compression permet de mettre en valeur les moments clés d’une piste ou d’un mixage, tout en évitant que les passages les plus doux deviennent inaudibles. Avec l’égaliseur, il s’agit probablement de l’outil de traitement sonore le plus polyvalent et le plus répandu dans le domaine du mixage. Vous pouvez utiliser le module Compressor sur des pistes individuelles, y compris des pistes vocales, instrumentales et d’effets, ou bien sur l’intégralité du mixage. Dans la plupart des cas, vous devrez insérer directement le Compressor dans un canal.Chapitre 4 Dynamique 63 Paramètres du module Compressor  Curseur et champ Circuit Type : permettent de sélectionner le type de circuit émulé par le module Compressor. Les options disponibles sont Platinum, Classic A_R, Classic A_U, VCA, FET et Opto (optique).  Écran Gain Reduction : indique le degré de compression appliqué au fur et à mesure de la lecture des données audio.  Potentiomètre et champ Attack : déterminent le temps d’attaque (temps que met le compresseur à réagir lorsque le signal excède le seuil fixé).  Potentiomètre et champ Release : déterminent le temps de relâchement (temps que met le compresseur pour arrêter de réduire le signal une fois que celui-ci est repassé en dessous du seuil fixé).  Bouton Auto : lorsque ce bouton est sélectionné, le temps de relâchement s’ajuste de façon dynamique en fonction des données audio.  Écran Compression Curve : affiche la courbe de compression créée par les paramètres Ratio et Knee, avec le signal d’entrée en abscisse et le signal de sortie en ordonnée.  Curseur et champ Ratio : définissent le ratio de compression (selon lequel le signal est réduit lorsqu’il dépasse le seuil fixé).  Curseur et champ Knee : déterminent si le signal est compressé immédiatement ou de façon progressive lorsque son niveau est proche du seuil.  Définissent le point de seuil (qui détermine si le signal doit être légèrement compressé lorsque son niveau est tout juste inférieur au seuil).  Curseur et champ Compression Threshold : définissent le seuil pour le module Compressor (niveau au-delà duquel le signal est réduit).  Boutons Peak/RMS : activez l’un ou l’autre de ces boutons pour indiquer si le module Compressor doit analyser le signal à l’aide de la méthode Peak ou RMS lorsqu’il utilise le type de circuit Platinum.  Curseur et champ Gain : détermine le gain à appliquer au signal de sortie.  Menu local Gain : permet de sélectionner une valeur pour augmenter le niveau de sortie afin de compenser la baisse du volume causée par la compression. Les options possibles sont OFF, 0 dB et –12 dB.64 Chapitre 4 Dynamique  Curseur et champ Limiter Threshold : définissent le niveau de seuil du limiteur.  Bouton Limiter : active ou désactive le limiteur intégré. Paramètres étendus  Menu local Output Distortion : permet d’indiquer si l’écrêtage doit être appliqué au-dessus de 0 dB et de préciser le type d’écrêtage appliqué. Les valeurs possibles sont off, soft, hard et clip.  Curseur et champ Mix : détermine la balance entre les signaux sec et humide. Filtre d’entrée latérale  Menu local Activity : permet d’activer ou de désactiver l’entrée latérale du module Compressor ou d’indiquer si elle doit être en mode d’écoute. Les options possibles sont off, listen et on.  Menu local Mode : permet d’indiquer le type de filtre utilisé pour l’entrée latérale. Les options possibles sont BP (Band Pass, passe-bande), LP (Low Pass, passe-bas), HP (High Pass, passe-haut), ParEQ (égaliseur paramétrique) et HS (High Shelving, plateau d’aigus).  Curseur et champ Frequency : définissent la fréquence pour le filtre d’entrée latérale.  Curseur et champ Q : définissent la bande passante de la bande de fréquence affectée par le filtre d’entrée latérale.  Curseur et champ Gain : déterminent la quantité de gain appliquée au signal d’entrée latérale. Utilisation du module Compressor Les sections suivantes expliquent comment utiliser les principaux paramètres du module Compressor. Threshold et Ratio Les paramètres les plus importants du module Compressor sont Threshold et Ratio. Le paramètre Threshold correspond au niveau (en décibels) au-delà duquel le signal doit être réduit de la valeur définie par le paramètre Ratio. Étant donné que cette valeur Ratio correspond à un pourcentage du niveau global, la réduction du signal sera proportionnelle au dépassement du seuil. Par exemple, si le paramètre Threshold est défini sur –6 dB et le paramètre Ratio sur 4:1, une crête de –2 dB dans le signal (soit 4 dB de plus que le seuil fixé) est réduite de 3 dB, de sorte qu’elle se retrouve juste à 1 dB au-dessus du seuil ; en revanche, une crête de 6 dB (soit 4 dB au-dessus du seuil) sera réduite de 1 dB pour se retrouver à 2 dB au-dessus du seuil. L’échelle de dynamique est préservée mais les écarts entre les crêtes sont estompés. Chapitre 4 Dynamique 65 Attack et Release Après Threshold et Ratio, les autres paramètres les plus importants sont Attack et Release. Ils permettent de mettre en forme la réponse dynamique du module Compressor. Le paramètre Attack définit le délai qui s’écoule entre le moment où le volume des données audio dépasse le seuil fixé et celui où le module Compressor commence à réduire le signal. Pour bon nombre de sons, notamment les voix et les instrumentaux, l’attaque initiale est essentielle pour définir le son. Par conséquent, opter pour une valeur Attack plus élevée permet de s’assurer que l’attaque initiale ne sera pas modifiée. Pour maximiser le niveau d’un mixage global, attribuez une valeur plus faible au paramètre Attack afin que le module Compressor commence immédiatement à réduire le signal. De même, le paramètre Release contrôle la vitesse avec laquelle le module Compressor arrête de réduire le signal une fois qu’il repasse en dessous du seuil fixé. Si vous définissez une valeur Release plus élevée, la différence de dynamique sera plus subtile, alors qu’une valeur plus élevée est susceptible de rendre cette différence plus brusque. Un ajustement correct des paramètres Attack et Release peut permettre d’éviter le phénomène de « pompage », effet secondaire courant lié à la compression. Knee Le paramètre Knee atténue l’effet du Compressor en contrôlant si le signal est légèrement compressé lorsqu’il s’approche du seuil. Si vous attribuez au paramètre Knee une valeur proche de 0 (zéro), cela signifie que les niveaux juste en dessous du seuil ne seront pas compressés du tout (ratio 1:1), alors que les niveaux ayant atteint le seuil seront compressés en fonction de la valeur Ratio complète (4:1, 10:1 ou plus). C’est ce type de compression que les ingénieurs du son qualifient de « hard knee », car elle peut entraîner une transition brusque lorsque le signal atteint le seuil fixé. Si vous augmentez la valeur du paramètre Knee, un degré de compression est appliqué au signal à mesure qu’il se rapproche du seuil, d’où une transition bien plus subtile. On parle alors de compression « soft knee ». Le réglage du paramètre Knee permet de contrôler la forme de la compression autour du seuil, alors que les paramètres Threshold et Ratio contrôlent son intensité. Autres paramètres Puisque le module Compressor a pour rôle de réduire les niveaux, le volume global du signal de sortie se retrouve généralement plus bas que celui du signal d’entrée. Vous pouvez néanmoins ajuster ce niveau de sortie à l’aide du curseur Gain. Utilisez le paramètre Auto Gain pour compenser la réduction de gain engendrée par la compression (12 dB ou 0 dB). Auto Gain permet de définir le niveau du gain (amplification) sur une valeur égale à T—(T/R), où T correspond au seuil (Threshold) et R au ratio.66 Chapitre 4 Dynamique Le paramètre Gain Reduction Meter affiche le degré de compression appliqué pendant la lecture du signal. Il peut en effet s’avérer très pratique de regarder le niveau de compression de vos pistes et de vous assurer qu’elles ne font pas l’objet d’une compression trop importante. Lorsque vous utilisez le paramètre Platinum Circuit Type, le module Compressor peut analyser le signal à l’aide de l’une des deux méthodes suivantes : Peak ou RMS (Root Mean Square). La méthode Peak est plus précise techniquement parlant, mais la méthode RMS fournit une indication plus poussée de la façon dont les gens percevront le signal. Lorsque vous utilisez le module Compressor simplement comme un limiteur, sélectionnez le bouton Peak. Si vous compressez des pistes individuelles, en particulier des pistes musicales, sélectionnez le bouton RMS. Si vous activez simultanément les options Auto Gain et RMS, le signal risque d’être saturé. Si vous entendez la moindre distorsion, désactivez l’option Auto Gain et réglez le curseur Gain jusqu’à ce que la distorsion ait disparu. DeEsser Le module DeEsser est un compresseur spécifique de fréquences, conçu pour compresser uniquement une bande de fréquence particulière au sein d’un signal audio complexe. Il permet d’éliminer les sifflantes (également appelées « sibilance ») présentes dans le signal. L’intérêt d’utiliser le DeEsser plutôt qu’un égaliseur pour couper les hautes fréquences est que ce module compresse le signal de façon dynamique et non de façon statique. Ainsi, lorsque aucune sibilance n’est détectée dans le signal, le son ne devient pas plus sombre pour autant. Le DeEsser se caractérise par des temps d’attaque et de relâchement extrêmement rapides. Lorsque vous utilisez le DeEsser, vous pouvez définir la plage de fréquences compressée (fréquence Suppressor) indépendamment de celle analysée (fréquence Detector). Ces deux plages apparaissent alors séparément dans la fenêtre DeEsser, ce qui permet de les comparer facilement. Le module DeEsser effectue une réduction du gain sur la plage de fréquences Suppressor jusqu’à ce que la fréquence Detector repasse en dessous du seuil fixé. DeEsser n’utilise pas de réseau de séparation des fréquences (cross-over utilisant des filtres passe-haut et passe-bas). Au lieu de cela, il soustrait la bande de fréquence isolée et ne modifie donc pas la courbe de la phase.Chapitre 4 Dynamique 67 Paramètres du module DeEsser Les paramètres Detector se trouvent sur le côté gauche de la fenêtre du DeEsser, les paramètres Suppressor sur le côté droit. La partie centrale contient les écrans Detector et Suppressor, ainsi que le curseur de lissage Smoothing. Section Detector  Potentiomètre Detector Frequency : définit la plage de fréquences analysée par DeEsser.  Potentiomètre Detector Sensitivity : définit le degré de réponse au signal d’entrée. Plus le ratio est élevé, plus la réponse du Detector est importante.  Niveau de seuil au-delà duquel la fréquence Suppressor est réduite.  Menu local Monitor : permet d’indiquer si l’élément à contrôler est le signal Detector filtré (Det.), le signal Suppressor filtré (Sup.) ou le son supprimé du signal d’entrée en réponse au paramètre Sensitivity (Sens.). Sélectionnez Off pour écouter le signal de sortie DeEsser. Section Suppressor  Potentiomètre Suppressor Frequency : indique quelle bande de fréquence est réduite lorsque le signal excède le seuil de sensibilité Detector.  Potentiomètre Strength : règle l’importance de la réduction de gain autour de la fréquence Suppressor. Section centrale  Écrans de fréquence Detector et Suppressor : l’écran du haut affiche la plage de fréquences Detector, l’écran du bas la plage de fréquences Suppressor (en Hz).  Curseur Smoothing : définit la vitesse de réaction des phases de début et de fin de réduction du gain. Le curseur Smoothing contrôle à la fois le temps d’attaque et le temps de relâchement (lors de leur utilisation par les compresseurs).68 Chapitre 4 Dynamique Ducker L’atténuation (« ducking » en anglais) est une technique courante utilisée dans la diffusion radio et télé : lorsque le présentateur parle pendant la musique, le volume de celle-ci est automatiquement réduit. Une fois l’annonce terminée, la musique reprend automatiquement son niveau de volume original. Le module Ducker offre un moyen simple d’effectuer ce processus. Il permet même de réduire le niveau musical avant que le présentateur ne parle (même s’il en résulte un léger temps de latence). Paramètres du module Ducker  Intensity : définit le niveau de réduction du volume (de la piste musicale, ce qui correspond en fait au signal de sortie).  Threshold : détermine le niveau minimal qu’un signal d’entrée latérale doit atteindre avant de commencer à réduire le niveau de sortie (du mixage musical), selon la valeur définie à l’aide du curseur Intensity. Si le niveau du signal d’entrée latérale n’atteint pas le seuil fixé, le volume de la piste (du mixage musical) reste inchangé.  Attack : contrôle la vitesse avec laquelle le volume est réduit. Si vous souhaitez que le signal (du mixage musical) soit légèrement atténué, réglez ce curseur sur une valeur élevée. Cette valeur contrôle également si le volume doit être réduit avant que le signal n’atteigne le seuil fixé (plus cela se produit tôt, plus le temps de latence introduit est important). Il convient de noter que cela ne fonctionne que si le signal d’atténuation n’a pas lieu « en direct » (autrement dit, le signal doit être un enregistrement existant) : Logic Prodoit en effet analyser le niveau du signal avant de le lire, afin d’anticiper quand débute l’atténuation.  Hold : détermine le temps pendant lequel le volume de la piste (du mixage musical) est réduit. Ce contrôle évite l’effet de broutement pouvant être provoqué par un niveau d’entrée latérale évoluant rapidement. Si le niveau d’entrée latérale dépasse très légèrement le seuil, au lieu de le dépasser nettement ou de rester en deçà, configurez le paramètre Hold sur une valeur élevée afin de compenser les réductions rapides du volume. Chapitre 4 Dynamique 69  Release : contrôle la vitesse à laquelle le volume revient à son niveau d’origine. Utilisez une valeur élevée si vous souhaitez que le volume du mixage musical remonte progressivement une fois l’annonce terminée. Utilisation du module Ducker Pour des raisons techniques, le module Ducker peut uniquement être inséré dans les canaux de sortie et de bus. Pour utiliser le module Ducker : 1 Insérez le module Ducker dans une bande de canal audio ou de bus. 2 Affectez à un bus toutes les sorties de piste devant être atténuées (concernées par la réduction dynamique du volume de mixage). 3 Sélectionnez le bus qui transporte le signal d’atténuation (vocal) via le menu Side Chain du module Ducker. Remarque : contrairement à tous les autres modules à entrée latérale, l’entrée latérale du Ducker est mixée avec le signal de sortie une fois qu’elle est passée par le module. Cela permet de garantir que le signal d’entrée latérale de l’atténuation (la voix off) sera entendu en sortie. 4 Ajustez les paramètres du module Ducker. Enveloper Le module Enveloper est un outil plutôt inhabituel qui permet de mettre en forme les éléments transitoires, c’est-à-dire les phases d’attaque et de relâchement d’un signal. Vous disposez ainsi d’une fonctionnalité unique grâce à laquelle vous pouvez mettre en forme un signal sonore et ainsi obtenir des résultats impressionnants, dont aucun autre effet de dynamique n’est capable. Paramètres du module Enveloper70 Chapitre 4 Dynamique Les commandes Gain et Time situées sur la gauche s’appliquent à la phase d’attaque du signal, tandis que ces mêmes commandes disponibles à droite concernent la phase de relâchement.  Curseur et champ Threshold : fixent le seuil au-delà duquel les niveaux d’attaque et de relâchement seront modifiés.  Curseur et champ Gain (Attack) : définissent le gain pour la phase d’attaque du signal. Lorsque le curseur est placé au centre (0), le signal reste inchangé.  Potentiomètre Time (Attack) : définit la durée de la période considérée comme la phase d’attaque à partir du début du signal.  Zone Display : affiche sous forme de graphique les courbes d’attaque et de relâchement appliquées au signal.  Potentiomètre Time (Release) : définit la durée de la période considérée comme la phase de relâchement du signal.  Curseur Gain (Release) : définit le gain appliqué à la phase de relâchement du signal. Lorsque le curseur est placé au centre (0), le signal reste inchangé.  Curseur Out Level : définit le niveau du signal de sortie.  Champ et curseur Lookahead : déterminent la portée de l’analyse effectuée par le module Enveloper sur le signal. Utilisation du module Enveloper Les paramètres les plus importants du module Enveloper sont les deux curseurs Gain, situés de chaque côté de la zone d’affichage centrale et qui dirigent les phases Attack (à gauche) et Release (à droite). Si vous augmentez la valeur Gain, la phase d’attaque ou de relâchement associée est amplifiée ; si vous réduisez la valeur Gain, la phase correspondante est atténuée. Par exemple, si vous amplifiez l’attaque, un son de batterie aura davantage de « mordant » et le son des cordes pincées (ou grattées) d’une guitare sera amplifié. Si au contraire vous coupez l’attaque, le volume des signaux percussifs augmentera de façon plus douce. Vous pouvez également désactiver le son de l’attaque, afin de la rendre virtuellement inaudible. Cet effet offre un autre avantage non négligeable, celui de masquer la mauvaise synchronisation des instruments d’accompagnement. Si vous amplifiez le relâchement, les effets de réverbération appliqués à la piste concernée deviennent également beaucoup plus intenses. Inversement, si vous atténuez la phase de relâchement, les pistes jusqu’alors noyées dans la réverbération bénéficient d’un son beaucoup plus vif. Ce traitement est particulièrement utile lorsque vous travaillez avec des boucles de batterie, mais ses applications ne se limitent pas à ce seul usage. Laissez parler votre imagination !Chapitre 4 Dynamique 71 Lorsque vous utilisez le module Enveloper, définissez le paramètre Threshold sur la valeur minimale et n’y touchez plus. Ce n’est que lorsque vous déciderez de remonter de façon significative la phase de relâchement, entraînant ainsi une forte augmentation du niveau de bruit de l’enregistrement original, que vous devrez remonter légèrement le curseur Threshold. De cette façon, le champ d’action du module Enveloper est limité pour que seule la partie utile du signal soit modifiée. Une augmentation ou une réduction drastique de la phase d’attaque ou de relâchement est susceptible de modifier le niveau global du signal. Cela peut être compensé en baissant le curseur Out Level. Les paramètres Time de l’attaque et du relâchement (en dessous de la zone d’affichage) vous permettent d’accéder aux intervalles temporels interprétés par le module comme correspondant aux phases d’attaque et de relâchement. En règle générale, des valeurs d’environ 20 ms pour l’attaque et 1500 ms pour le relâchement constituent un bon point de départ. Il vous suffit ensuite de les ajuster en fonction du type de signal que vous traitez. Le curseur Lookahead vous permet de définir la portée de l’analyse effectuée par le module Enveloper sur le signal en vue d’anticiper les événements à venir. Normalement, vous n’aurez pas besoin de faire appel à cette fonctionnalité, à part peut-être pour des signaux dont les éléments transitoires seraient très sensibles. Si toutefois vous étiez amené à lever le curseur Lookahead, vous devrez probablement ajuster le temps d’attaque en conséquence. Contrairement à un compresseur ou un expandeur, le module Enveloper agit indépendamment du niveau absolu du signal d’entrée, à condition que le curseur Threshold soit réglé sur la valeur la plus basse possible. Expander Le module Expander est semblable à un compresseur, à cette différence près qu’il amplifie la plage dynamique située au-dessus du niveau de seuil (au lieu de la réduire). Vous pouvez utiliser l’Expander pour apporter plus de vie et de fraîcheur à vos données audio, en particulier en accentuant les éléments transitoires des signaux faisant l’objet d’une compression importante. 72 Chapitre 4 Dynamique Paramètres du module Expander  Curseur et champ Threshold : définissent le niveau au-dessus duquel l’Expander accroît le signal.  Curseur et champ Ratio : définissent le ratio selon lequel le signal est augmenté lorsqu’il dépasse le seuil fixé.  Potentiomètre et champ Attack : déterminent le temps que met l’expandeur à réagir lorsque le signal excède le seuil fixé.  Potentiomètre et champ Release : déterminent le temps que met l’expandeur pour arrêter d’amplifier le signal une fois que celui-ci est repassé en dessous du seuil.  Curseur et champ Knee : indiquent si le signal doit être légèrement amplifié lorsque son niveau est tout juste inférieur au seuil.  Curseur et champ Gain : définit la quantité de gain de sortie.  Bouton Auto Gain : lorsqu’il est sélectionné, le bouton Auto Gain a pour rôle de compenser l’augmentation de gain produite par l’expansion.  Écran Expansion : affiche la courbe d’expansion appliquée au signal.  Boutons Peak/RMS : activez l’un ou l’autre de ces boutons pour indiquer si le module Expander doit utiliser la méthode Peak ou RMS pour analyser le signal. Étant donné que l’Expander est un véritable expandeur vers le haut (par opposition à un expandeur vers le bas qui augmente la plage dynamique en dessous du seuil), le curseur Ratio propose une gamme de valeurs comprises entre 1:1 et 0.5:1. Lorsque vous utilisez le module Expander avec l’option Auto Gain activée, le signal sonore paraît plus doux, même si le niveau de crête reste le même ; autrement dit, l’expandeur réduit le niveau « subjectif » du son. Si vous modifiez de façon radicale la dynamique d’un signal (en optant pour des valeurs Threshold et Ratio plus élevées), vous serez peut-être contraint de réduire le niveau de sortie à l’aide du curseur Gain pour éviter toute distorsion. Dans la plupart des cas, l’option Auto Gain ajuste le signal au niveau approprié.Chapitre 4 Dynamique 73 Limiter Le fonctionnement du module Limiter est très semblable à celui d’un compresseur, à cette différence fondamentale près : alors qu’un compresseur réduit progressivement le signal lorsque celui-ci excède le seuil fixé, un limiteur ramène toute crête trop élevée au niveau du seuil fixé, limitant ainsi de façon effective le signal à ce niveau. Le module Limiter est principalement utilisé comme outil de mastérisation. Paramètres du module Limiter  Compteur Gain Reduction : affiche l’importance de la limitation lors de la lecture du signal.  Curseur et champ Gain : détermine le gain à appliquer au signal d’entrée.  Champ et curseur Lookahead : déterminent la portée (en millisecondes) de l’analyse effectuée par le Limiter sur le signal audio.  Curseur et champ Release : déterminent le délai qui s’écoule entre le moment où le signal repasse en dessous du seuil et celui où le module Limiter arrête d’appliquer une limitation.  Potentiomètre et champ Output Level : définissent le niveau de sortie du signal.  Bouton Softknee : lorsque ce bouton est sélectionné, le signal n’est limité qu’à partir du moment où il atteint le seuil. Une fois le bouton activé, la transition vers la limitation intégrale n’est pas linéaire, produisant ainsi un effet plus doux, moins brusque, et réduisant les effets de distorsion qu’une limitation extrême est susceptible de générer. Le paramètre Lookahead permet au module Limiter d’anticiper les données audio, de façon à pouvoir réagir rapidement aux volumes de crêtes en ajustant la réduction appliquée. L’utilisation de ce paramètre provoque un temps de latence, mais celui-ci n’est pas perceptible lorsque vous employez le module Limiter comme outil de mastérisation sur des données préalablement enregistrées. Attribuez des valeurs plus élevées au paramètre Lookahead si vous souhaitez que l’effet de limitation soit appliqué avant que le niveau maximal soit atteint, créant ainsi une transition plus subtile.74 Chapitre 4 Dynamique Généralement, le module Limiter est le dernier outil à appliquer dans la chaîne de mastérisation d’un signal. Dans ce cas, il est utilisé pour augmenter le volume global du signal, de façon à ce qu’il atteigne le seuil de 0 dB mais ne le dépasse pas. Le module Limiter est conçu de telle sorte que, si les options Gain et Output Level sont toutes les deux définies sur 0 dB, il ne produit aucun effet (sur un signal normalisé). Si le signal doit être écrêté (ligne de gain rouge), le Limiter utilise ses réglages de base et réduit le niveau avant que l’écrêtage puisse se produire (en revanche, le Limiter ne peut pas « réparer » des données audio écrêtées lors de l’enregistrement). Multipressor Le module Multipressor (contraction de l’anglais « multi-band compressor » ou compresseur multibande) est un outil extrêmement polyvalent utilisé dans le domaine de la mastérisation audio. Il divise le signal entrant en différentes bandes de fréquence (entre une et quatre) et vous permet d’appliquer une compression à chacune de ces bandes de façon individuelle. Une fois la compression appliquée, les bandes sont regroupées en un signal de sortie unique. La compression séparée de différentes bandes de fréquence présente l’avantage suivant : vous pouvez appliquer une compression plus importante aux bandes qui le nécessitent, sans pour autant produire l’effet de « pompage » souvent lié aux compressions importantes. Grâce au Multipressor, vous pouvez appliquer des ratios de compression plus importants sur des bandes de fréquence spécifiques et obtenir ainsi un volume moyen plus élevé sans causer d’effets secondaires audibles. Une hausse du volume global peut entraîner une augmentation spectaculaire du bruit de fond existant. Chaque bande de fréquence fait l’objet d’une expansion vers le bas, qui vous permet de réduire ce bruit, voire même de le supprimer. L’expansion vers le bas vient en fait compléter le travail de la compression : alors que le compresseur réduit la plage dynamique des niveaux de volume les plus élevés, l’expandeur vers le bas accroît la plage dynamique des niveaux de volume les plus faibles. Avec l’expansion vers le bas, le niveau du signal est réduit lorsqu’il passe en dessous du seuil fixé. Cette fonctionnalité est semblable à une porte de bruit, mais au lieu de couper simplement le son, elle atténue progressivement le volume au moyen d’un ratio ajustable.Chapitre 4 Dynamique 75 Paramètres du module Multipressor Les paramètres présents dans la fenêtre Multipressor sont répartis en trois catégories principales : la section de l’écran graphique située sur la partie supérieure, l’ensemble de contrôles de chaque bande de fréquence sur la partie inférieure, et les paramètres de sortie situés à droite. Section de l’écran graphique  Écran Graphic : chaque bande de fréquence est représentée sous forme de graphique. L’importance du changement de gain à partir de 0 dB est illustrée sur le graphique par les barres bleues. Le numéro des bandes actives apparaît au centre de cette zone. Vous pouvez ajuster chaque bande de fréquence individuellement des façons suivantes :  Faites glisser la barre horizontale vers le haut ou vers le bas pour ajuster la compensation de gain de la bande concernée.  Faites glisser les bordures verticales vers la gauche ou vers la droite pour définir les fréquences de croisement de cette bande (ce qui a pour effet d’ajuster sa plage de fréquences).  Champs Crossover : définissent la fréquence de croisement entre deux bandes adjacentes.  Champs Gain Make-up : déterminent l’importance de la compensation de gain pour chaque bande.76 Chapitre 4 Dynamique Section des bandes de fréquence Juste en dessous de la zone graphique se trouvent des champs de valeur et d’autres paramètres qui permettent de contrôler chaque bande de fréquence :  Champs Compr Thrsh (abréviation de Compression Threshold) : définissent le seuil de compression de la bande sélectionnée. Si vous attribuez la valeur 0 dB à ce paramètre, la bande ne fera l’objet d’aucune compression.  Champs Compr Ratio (abréviation de Compression Ratio) : définissent le ratio de compression de la bande sélectionnée. Si vous attribuez la valeur 1:1 dB à ce paramètre, la bande ne fera l’objet d’aucune compression.  Champs Expnd Thrsh (abréviation d’Expansion Threshold) : définissent le seuil d’expansion de la bande sélectionnée. Si vous attribuez à ce paramètre sa valeur minimale (–50 dB), seuls les signaux passant en dessous de ce niveau feront l’objet d’une expansion.  Champs Expnd Ratio (abréviation d’Expansion Ratio) : définissent le ratio d’expansion de la bande sélectionnée.  Champs Expnd Reduct (abréviation d’Expansion Reduction) : définissent le degré d’expansion vers le bas pour la bande sélectionnée.  Champs Peak/RMS : entrez une valeur plus faible pour une détection des crêtes plus courte ou une valeur plus élevée pour une détection RMS (en millisecondes).  Champs Attack : déterminent le délai qui s’écoule (en millisecondes) entre le moment où le signal excède le seuil fixé et celui où la compression commence pour la bande sélectionnée.  Champs Release : déterminent le délai nécessaire (en millisecondes) entre le moment où le signal repasse en dessous du seuil fixé et celui où la compression s’arrête pour la bande sélectionnée.  Boutons Band on/off : à chaque bande correspond un bouton (numéroté de 1 à 4). Cliquez sur ce bouton pour activer la bande (il devient alors bleu clair et la bande apparaît dans la zone graphique au-dessus). Cliquez à nouveau sur le bouton pour désactiver la bande.  Boutons Bypass : activez ces boutons pour contourner la bande de fréquence sélectionnée.  Boutons Solo : activez ces boutons pour lancer la lecture solo de la bande de fréquence sélectionnée.  Level meters : la barre bleu clair sur la gauche indique le niveau d’entrée, la barre bleu foncé sur la droite indique le niveau de sortie. Faites glisser « l’encoche » triangulaire supérieure pour ajuster le seuil de compression (Compr Thrsh), puis procédez de la même manière avec l’encoche triangulaire inférieure pour ajuster le seuil d’expansion (Expnd Thrsh). Faites glisser les deux encoches pour les déplacer.Chapitre 4 Dynamique 77 Paramètres Output  Menu local Auto Gain : contrôle si le Multipressor définit le traitement global du signal sur 0 dB, augmentant ainsi le volume de sortie (On), ou s’il produit une compression plus « standard », suite à laquelle les bandes compressées sont atténuées en fonction du degré de réduction appliqué à la plage dynamique (Off).  Champ de valeur Lookahead : indique dans quelle mesure le processeur anticipe les données audio, afin de réagir au plus vite aux volumes de crêtes et garantir une transition en douceur.  Curseur Out Gain : définit le gain global en sortie.  Level meter : affiche le niveau de sortie global. Utilisation du module Multipressor Dans la zone graphique, les barres bleues représentent le changement de gain réel, et pas seulement la réduction de gain comme dans un compresseur standard. La valeur du changement de gain affiché correspond à la somme des éléments suivants : réduction de compression, réduction d’expansion, compensation de gain auto et compensation de gain. Paramètres de compression Les paramètres Compression Threshold et Compression Ratio constituent les éléments essentiels pour le contrôle de la compression. Dans la plupart des cas, les combinaisons les plus utiles de ces deux paramètres sont soit une valeur Compression Threshold faible avec une valeur Compression Ratio faible, soit une valeur Compression Threshold élevée avec une valeur Compression Ratio élevée. Paramètres d’expansion vers le bas Les paramètres Expansion Threshold, Expansion Ratio et Expansion Reduction constituent les éléments essentiels pour le contrôle de l’expansion vers le bas. Ils déterminent la force de l’expansion applicable à la plage que vous souhaitez étendre. Paramètres Peak/RMS, Attack et Release Le choix des paramètres Peak (0 ms, valeur minimale) et RMS (Root Meantime Square, 200 ms, valeur maximale) dépend du type de signal à compresser. Un réglage de détection Peak extrêmement bas est idéal pour la compression de crêtes courtes et abruptes de faible puissance, ce qui est très rare en musique. La méthode de détection RMS mesure la puissance des données audio au fil du temps et a donc une approche beaucoup plus musicale. Cela vient du fait que l’oreille humaine est plus réactive à la puissance globale d’un signal qu’à des crêtes isolées. Il est recommandé de définir ce réglage sur une position centrale pour la plupart des applications.78 Chapitre 4 Dynamique Paramètres de sortie Le curseur Out Gain détermine le niveau de sortie global. Attribuez des valeurs plus élevées au paramètre Lookahead lorsque les champs Peak/RMS ont eux aussi des valeurs élevées (davantage portées vers la méthode RMS). Lorsque la paramètre Auto Gain est sur On, il définit le traitement global sur 0 dB, augmentant ainsi le volume du signal de sortie. Noise Gate Le module Noise Gate est généralement utilisé pour supprimer les bruits indésirables audibles lorsque le niveau du signal audio est faible. Vous pouvez l’utiliser, entre autres, pour supprimer le bruit de fond, la diaphonie causée par d’autres sources de signal ou encore le bourdonnement perceptible lorsque le volume est bas. Voici comment fonctionne le Noise Gate : les signaux situés au-dessus du seuil fixé sont autorisés à passer sans être altérés, alors que les signaux situés en dessous de ce seuil sont réduits. Cela vous permet de supprimer les portions du signal dont le niveau est le plus faible tout en autorisant le passage des sections audio que vous souhaitez conserver. Paramètres du module Noise Gate Paramètres principaux  Curseur et champ Threshold : définissent le niveau (en décibels) en dessous duquel le signal doit être réduit.  Curseur et champ Reduction : déterminent le degré de réduction du signal.  Potentiomètre et champ Attack : déterminent le temps nécessaire pour que la porte soit entièrement ouverte à partir du moment où le signal excède le seuil fixé.  Potentiomètre et champ Hold : déterminent combien de temps la porte reste ouverte une fois que le signal est repassé en dessous du seuil.  Potentiomètre et champ Release : déterminent le temps nécessaire pour que la porte soit entièrement refermée une fois que le signal est repassé en dessous du seuil.Chapitre 4 Dynamique 79  Curseur et champ Hysteresis : définissent l’écart (en décibels) entre les valeurs de seuil qui entraînent l’ouverture et la fermeture de la porte, afin d’éviter que celle-ci ne s’ouvre ou ne se referme trop rapidement lorsque le signal d’entrée est proche du seuil.  Champ et curseur Lookahead : déterminent la portée (en millisecondes) de l’analyse effectuée par la porte de bruit sur le signal. Paramètres d’entrée latérale  Bouton Monitor : activez ce bouton pour afficher un aperçu du signal d’entrée latérale, y compris l’effet des filtres High Cut et Low Cut.  Curseur et champ High Cut : définissent la fréquence de coupure supérieure associée au signal d’entrée latérale.  Curseur et champ Low Cut : définissent la fréquence de coupure inférieure associée au signal d’entrée latérale. Lorsque aucune entrée latérale externe n’est sélectionnée, le signal d’entrée est utilisé comme entrée latérale. Utilisation du module Noise Gate Le plus souvent, régler le curseur Reduction sur la valeur la plus basse possible permet de s’assurer que les sons situés en dessous du seuil fixé seront intégralement supprimés. Si vous optez pour une valeur plus élevée, les sons faibles seront atténués mais ils seront toujours autorisés à passer. Vous pouvez également régler le curseur Reduction sur une valeur supérieure à 0 (zéro) afin d’amplifier le signal de 20 dB maximum. Cette solution est utile pour les effets d’atténuation. Les trois potentiomètres rotatifs Attack, Hold et Release permettent de modifier la réponse dynamique du Noise Gate. Si vous souhaitez que la porte s’ouvre très rapidement, par exemple pour les signaux percussifs tels que la batterie, réglez le potentiomètre Attack sur une valeur plus faible. Pour les autres sons (cordes, par exemple), dont le signal augmente plus progressivement, attribuez une valeur plus élevée au paramètre Attack afin d’obtenir un effet plus naturel. De même, lorsque vous utilisez des signaux dont le volume diminue progressivement ou ayant une queue de réverbération plus longue, réglez le potentiomètre Release sur une valeur plus élevée pour que le volume du signal augmente de façon naturelle. Le potentiomètre Hold détermine la durée minimale pendant laquelle la porte reste ouverte. Les changements brusques (appelés « broutement ») dus à une ouverture et une fermeture trop rapides du Noise Gate sont ainsi évités. 80 Chapitre 4 Dynamique Le curseur Hysteresis permet lui aussi d’éviter le broutement, sans qu’il soit nécessaire de définir une durée de maintien (Hold) minimale. Il vous permet de définir l’intervalle entre les valeurs de seuil d’ouverture et de fermeture du Noise Gate, ce qui est particulièrement utile lorsque le niveau du signal « oscille » autour du seuil, c’est-à-dire qu’il fluctue légèrement mais rapidement. Suite à ce phénomène, le Noise Gate ne cesse de s’activer et se désactiver, d’où cet effet de broutement indésirable. À l’aide du curseur Hysteresis, vous pouvez configurer le Noise Gate pour qu’il s’ouvre au niveau du seuil et qu’il reste ouvert tant que le niveau ne passe pas en dessous d’un autre niveau plus faible. Tant que l’écart entre ces deux valeurs est suffisamment important pour contenir le niveau fluctuant du signal entrant, le Noise Gate peut fonctionner sans provoquer de broutement. Cette valeur est toujours négative et, de manière générale, une valeur de 6 dB constitue une bonne base de départ. Parfois, il peut arriver que les niveaux du signal que vous souhaitez conserver et le niveau de bruit soient si proches qu’il est difficile de les isoler. Par exemple, si vous enregistrez un morceau de batterie et utilisez le Noise Gate pour isoler le son de la grosse caisse, il est fort possible que la charleston entraîne elle aussi l’ouverture de la porte. Pour résoudre ce genre de situation, vous pouvez utiliser les commandes Sidechain pour isoler le signal souhaité à l’aide des filtres High Cut et Low Cut. Pour utiliser les filtres Sidechain, cliquez sur le bouton Monitor pour activer le monitoring. Vous pouvez alors entendre l’impact des filtres High Cut et Low Cut sur le signal entrant. Faites glisser les curseurs High Cut et Low Cut pour régler, respectivement, les fréquences au-delà et en deça desquelles le signal doit être filtré. Ces filtres ne laissent passer que les crêtes de signal les plus élevées. Dans notre exemple, vous pourriez supprimer le signal de la charleston, dont la fréquence est plus élevée, à l’aide du filtre High Cut, puis autoriser le passage du signal de la grosse caisse. Pour définir plus facilement un niveau de seuil adapté, désactivez le monitoring. Silver Compressor Le module Silver Compressor est une version simplifiée du Compressor. Il possède moins de paramètres et nécessite un processeur moins puissant. Paramètres du module Silver CompressorChapitre 4 Dynamique 81  Écran Gain Reduction : indique le degré de compression appliqué au fur et à mesure de la lecture des données audio.  Curseur et champ Threshold : définissent le seuil associé au module Compressor (niveau au-delà duquel le signal est réduit).  Potentiomètre et champ Attack : déterminent le temps d’attaque (temps que met le compresseur à réagir lorsque le signal excède le seuil fixé).  Potentiomètre et champ Release : déterminent le temps de relâchement (temps que met le compresseur pour arrêter de réduire le signal une fois que celui-ci est repassé en dessous du seuil fixé).  Curseur et champ Ratio : définissent le ratio de compression (selon lequel le signal est réduit lorsqu’il dépasse le seuil fixé). Utilisation du module Silver Compressor Les paramètres du Silver Compressor fonctionnent de la même façon que ceux du Compressor. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section « Compressor » à la page 62. Silver Gate Le module Silver Gate est une version simplifiée du Noise Gate. Il possède moins de paramètres et nécessite un processeur moins puissant. Paramètres du module Silver Gate  Champ et curseur Lookahead : déterminent la portée (en millisecondes) de l’analyse effectuée par la porte de bruit sur le signal.  Curseur et champ Threshold : définissent le niveau (en décibels) en dessous duquel le signal doit être réduit.  Potentiomètre et champ Attack : déterminent le temps nécessaire pour que la porte soit entièrement ouverte à partir du moment où le signal excède le seuil fixé.  Potentiomètre et champ Hold : déterminent combien de temps la porte reste ouverte une fois que le signal est repassé en dessous du seuil.  Potentiomètre et champ Release : déterminent le temps nécessaire pour que la porte soit entièrement refermée une fois que le signal est repassé en dessous du seuil.Utilisation du module Silver Gate Les paramètres du Silver Gate fonctionnent de la même façon que ceux du Noise Gate. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section « Noise Gate » à la page 78. Surround Compressor Le module Surround Compressor, basé sur le Compressor, est particulièrement adapté à la compression de mixages surround complets. C’est une fois inséré dans une sortie surround ou sur des canaux et des bus transportant des données audio multicanal qu’il démontre toute son utilité. Vous pouvez ajuster le ratio de compression, le point de seuil, l’attaque et le relâchement des deux canaux principaux et du canal LFE. Ces trois canaux incluent un limiteur intégré. En outre, vous pouvez définir le seuil et le niveau de sortie de chaque canal de façon individuelle. Vous pouvez également relier les canaux en les assignant à l’un des trois groupes. Lorsque vous ajustez le seuil ou le paramètre de sortie de l’un des canaux assignés à un groupe, ce paramètre est ajusté de la même façon pour tous les canaux assignés à ce groupe. Paramètres du module Surround Compressor Le Surround Compressor se divise en trois sections : la section Link, située dans la partie supérieure, contient un ensemble de menus au moyen desquels vous pouvez assigner chaque canal à un groupe. La section Main contient les commandes communes à tous les canaux principaux, ainsi que les commandes de seuil et de sortie de chaque canal. La section LFE, située en bas à droite, contient des commandes distinctes, propres au canal LFE.Chapitre 4 Dynamique 83  Curseur et champ Circuit Type : permettent de sélectionner le type de circuit émulé par le module Compressor. Les options disponibles sont Platinum, Classic A_R, Classic A_U, VCA, FET et Opto (optique).  Menu local Detection : permettent d’indiquer si le Surround Compressor utilise la valeur maximale des différents signaux de détection (Max) ou bien la somme de tous ces signaux (Sum) pour déterminer si le signal est au-dessus ou en dessous du seuil. Section Link  Menus locaux Grp. (Group) : pour chaque canal, permettent d’indique si le canal fait partie du groupe A, B ou C ou s’il n’appartient à aucun groupe (–). Si vous déplacez le curseur Threshold ou Output Level d’un canal assigné à un groupe, les curseurs de tous les canaux assignés à ce groupe se déplacent également.  Boutons Byp (Bypass) : cliquez sur l’un de ces boutons pour contourner le canal associé. Section Main  Curseur et champ Ratio : définissent le ratio selon lequel le signal est réduit lorsqu’il dépasse le seuil fixé.  Potentiomètre Knee : déterminent si le signal est compressé immédiatement ou de façon progressive lorsque son niveau est proche du seuil.  Potentiomètre Attack : détermine le temps nécessaire pour parvenir à une compression intégrale à partir du moment où le signal excède le seuil.  Potentiomètre Release : détermine le temps nécessaire pour revenir à une compression nulle à partir du moment où le signal repasse en dessous du seuil.  Bouton Auto : lorsque ce bouton est sélectionné, le temps de relâchement s’ajuste de façon dynamique en fonction des données audio.  Bouton Limiter : active ou désactive la limitation pour les canaux principaux.  Potentiomètre Threshold : définit le seuil pris en compte par le limiteur sur les canaux principaux.  Curseurs Main Compressor Threshold : définissent le seuil (niveau au-delà duquel le signal est réduit) pour chaque canal.  Commandes Main Output Levels : définissent le niveau de sortie de chaque canal.84 Chapitre 4 Dynamique Section LFE  Curseur et champ Ratio : définissent le ratio de compression du canal LFE.  Potentiomètre Knee : définit le point de seuil du canal LFE.  Potentiomètre Attack : définit le temps d’attaque du canal LFE.  Potentiomètre Release : définit le temps de relâchement du canal LFE.  Bouton Auto : lorsque ce bouton est sélectionné, le temps de relâchement s’adapte automatiquement au signal audio.  Bouton Limiter : active ou désactive la limitation pour le canal LFE.  Potentiomètre Threshold : définit le seuil pris en compte par le limiteur sur le canal LFE. Utilisation du module Surround Compressor À l’aide des commandes Link, vous pouvez assigner chaque canal individuellement à l’un des trois groupes (A, B ou C). Lorsque vous ajustez le curseur Threshold ou Output Level de l’un des canaux assignés à un groupe, les curseurs de tous les canaux de ce groupe sont ajustés de la même façon. Par ailleurs, si vous cliquez sur le bouton Bypass d’un canal groupé, tous les canaux du groupe sont contournés. Vous pouvez provisoirement « libérer » un canal en appuyant sur les touches Commande et Option et en les maintenant enfoncées tout en déplaçant le curseur Threshold ou Output Level du canal en question. Lorsque vous déplacez l’un des curseurs sans appuyer sur les touches Commande-Option, les canaux bougent simultanément, en gardant leurs positions relatives. Cela vous permet de définir des réglages de seuil indépendants tout en conservant le lien de détection d’entrée latérale nécessaire pour obtenir une image surround stable.5 85 5 Égalisation L’égalisation (ou EQ, abréviation du terme anglais « Equalization ») vous permet de modeler le son de vos« données audio en modifiant le niveau de bandes de fréquences spécifiques. Il s’agit de l’un des effets audio les plus utilisés, que ce soit pour des projets musicaux ou lors d’un travail de postproduction vidéo. Vous pouvez utiliser l’égalisation pour modeler le son d’un fichier audio, d’une piste ou d’un projet en ajustant des fréquences ou des plages de fréquences spécifiques. Grâce à l’égalisation, vous pouvez apporter au son de vos projets des modifications plus ou moins flagrantes. Les effets d’égalisation incluent divers filtres monobandes et égaliseurs multibandes. Tous les effets d’égalisation utilisent des filtres dont le rôle est de permettre à certaines fréquences de passer sans être altérées, tandis que d’autres fréquences seront augmentées ou diminuées (on parle également d’amplification ou de réduction des fréquences). Un égaliseur peut servir d’outil global capable d’amplifier ou de réduire une plage de fréquences importante ; certains (en particulier les égaliseurs paramétriques et multibandes) peuvent être utilisés davantage pour un travail de précision. Égaliseurs monobandes Les effets d’égalisation les plus simples sont obtenus à l’aide d’égaliseurs monobandes, qui comprennent des égaliseurs coupe-haut et coupe-bas, passe-haut et passe-bas, à plateau et paramétriques.  Un égaliseur Low Cut (coupe-bas) atténue uniquement les fréquences inférieures à une fréquence donnée, appelée fréquence de coupure, d’un nombre fixe de décibels par octave, appelé pente. Un égaliseur High Cut (coupe-haut) atténue uniquement les fréquences supérieures à la fréquence de coupure, selon une pente fixe.  Un égaliseur Low Pass (passe-bas) atténue les fréquences supérieures à la fréquence de coupure, alors qu’un égaliseur High Pass (passe-haut) diminue les fréquences inférieures à cette fréquence de coupure. En outre, vous pouvez contrôler la pente du filtre (la vitesse avec laquelle les fréquences au-delà de la coupure sont atténuées) à l’aide du paramètre Order.86 Chapitre 5 Égalisation  Un égaliseur High ou Low Shelving (à plateau de graves ou d’aigus) vous permet de définir la fréquence de coupure et de contrôler le gain (degré d’amplification ou de réduction), vous autorisant ainsi à modifier la valeur de ce gain selon une valeur fixe et non en fonction d’une pente.  Un égaliseur paramétrique amplifie ou réduit toutes les fréquences proches de la fréquence centrale (qu’elles soient inférieures ou supérieures à cette dernière). Vous pouvez définir la fréquence centrale, ainsi que la bande passante ou Q, ce qui détermine l’étendue de la plage de fréquences affectée autour de la fréquence centrale. Égaliseurs multibandes Les égaliseurs multibandes vous permettent de contrôler un ensemble de filtres qui, réunis, couvrent une grande partie du spectre de fréquences. Sur les égaliseurs multibandes, vous pouvez définir la fréquence, la bande passante et le facteur Q de chaque bande de façon individuelle. Grâce à un égaliseur multibande (tel que le Channel EQ, le Fat EQ ou le Linear Phase EQ), vous pouvez modeler le son de toute source audio de façon très élaborée. Les égaliseurs multibandes sont tout aussi utiles pour mettre en forme le son d’une piste individuelle que pour modeler le son d’un mixage global. Les sections suivantes décrivent les différents effets fournis avec Logic Studio.  « Channel EQ » à la page 87  « DJ EQ » à la page 91  « Fat EQ » à la page 91  « Linear Phase EQ » à la page 93  « Match EQ » à la page 94  « Égaliseurs monobandes » à la page 100  « High Cut et Low Cut Filter » à la page 100  « High Pass et Low Pass Filter » à la page 100  « High Shelving et Low Shelving EQ » à la page 100  « Égaliseurs paramétriques » à la page 100  « Silver EQ » à la page 101Chapitre 5 Égalisation 87 Channel EQ Le module Channel EQ est un égaliseur multibande extrêmement polyvalent. Il dispose de huit bandes de fréquence, incluant des filtres High Pass et Low Pass, des filtres High Shelving et Low Shelving et quatre bandes paramétriques flexibles. Il comprend également un analyseur FFT (Transformée de Fourier rapide) intégré, grâce auquel vous pouvez visualiser la courbe de fréquence des données audio à modifier et ainsi déterminer quelles portions du spectre de fréquences doivent être amplifiées ou réduites. Le Channel EQ peut être utilisé de diverses façons : pour modeler le son de pistes ou de fichiers audio individuels ou bien pour modeler la tonalité d’un mix global. Grâce à ses commandes graphiques et à l’Analyzer, il est très facile d’observer le signal audio et d’y apporter des ajustements en temps réel. Paramètres du module Channel EQ Sur le côté gauche de la fenêtre Channel EQ se trouvent le bouton Gain et les paramètres de l’Analyzer, tandis que la partie centrale de la fenêtre renferme l’écran graphique et les paramètres permettant de modeler chaque bande de l’égaliseur.  Curseur et champ Master Gain : définissent le niveau de sortie du signal. Après avoir amplifié ou réduit des bandes de fréquence individuelles, vous pouvez utiliser le curseur Master Gain pour ajuster le niveau de sortie.  Bouton Analyzer : permet d’activer ou de désactiver l’Analyzer.  Bouton Pre/Post EQ : lorsque le mode Analyzer est activé, ce bouton détermine si l’Analyzer doit afficher la courbe de fréquence avant ou après application de l’égalisation.  Menu local Resolution : permet de sélectionner la résolution des échantillons pour l’Analyzer. Les options suivantes sont disponibles : une résolution faible (1024 points), moyenne (2048 points) ou élevée (4096 points). 88 Chapitre 5 Égalisation Section de l’écran graphique  Boutons Band on/off : boutons situés au-dessus de l’écran graphique. Le fait de cliquer sur un bouton a pour effet d’activer ou de désactiver la bande correspondante. Chaque bouton est associé à une icône qui indique quel type d’égaliseur il utilise :  La bande 1 correspond à un filtre High Pass.  La bande 2 correspond à un filtre Low Shelving.  Les bandes 3 à 6 correspondent à des filtres paramétriques en cloche.  La bande 7 correspond à un filtre High Shelving.  La bande 8 correspond à un filtre Low Pass.  Écran graphique : affiche la courbe de chaque bande de l’égaliseur. Vous pouvez ajuster la fréquence de chaque bande en la faisant glisser vers la gauche ou vers la droite dans la section de l’écran associée à la bande concernée, puis ajuster le gain de chaque bande (à l’exception des bandes 1 et 8) en faisant glisser celle-ci vers le haut ou vers le bas au sein de sa section. L’écran reflète immédiatement les modifications apportées. Section Parameter Sous l’écran graphique se trouvent les commandes qui, d’une part, indiquent les réglages propres à chaque bande, d’autre part, vous permettent d’ajuster ces réglages.  Champs Frequency : permettent d’ajuster la fréquence de chaque bande.  Champs Gain/Slope : permettent d’ajuster la quantité de gain pour chaque bande. Pour les bandes 1 et 8, cette quantité modifie la pente du filtre.  Champs Q : permettent d’ajuster le « facteur Q » ou la résonance de chaque bande (plage de fréquences affectée autour de la fréquence centrale). Le paramètre Q des bandes 1 et 8 n’a aucun effet lorsque la pente est définie sur 6 dB/oct. Lorsque le paramètre Q des bandes 3 à 6 est défini sur une valeur très élevée (comme 100), ces filtres n’affectent qu’une bande de fréquence très étroite et peuvent être utilisés comme filtres de rupture.  Bouton Link : active le couplage Gain-Q, qui ajuste automatiquement le facteur Q (bande passante) lorsque vous augmentez ou réduisez le gain sur l’une des bandes de l’égaliseur, afin de préserver la bande passante perçue de la courbe en cloche. Si vous réglez le paramètre Gain-Q-Couple sur strong, la bande passante perçue est presque entièrement conservée, alors que les réglages light et medium permettent quelques modifications lors de l’augmentation ou de la réduction du gain. Les réglages asymétriques entraînent un couplage plus fort pour les valeurs de gain négatives que pour les valeurs positives, par conséquent la bande passante perçue est mieux préservée lorsque vous réduisez le gain plutôt que lorsque vous l’amplifiez. Notez que si vous lancez l’automatisation du paramètre Q avec un réglage Gain-Q-Couple différent, les valeurs réelles du facteur Q seront différentes de celles constatées lors de l’enregistrement de l’automatisation.Chapitre 5 Égalisation 89  Menu local Analyzer Mode (paramètre étendu) : permet de sélectionner la méthode Peak ou RMS.  Curseur et champ Analyzer Decay (paramètre étendu) : permettent d’ajuster le taux de chute (en dB par seconde) de la courbe de l’Analyzer (chute de crête en mode Peak ou chute moyenne en mode RMS)  Menu local Gain-Q Couple Strength (paramètre étendu) : permet de sélectionner le degré de couplage Gain-Q. Utilisation du module Channel EQ L’utilisation du Channel EQ dépend de vos données audio et de ce que vous souhaitez faire. Néanmoins, voici un flux de travaux utile et applicable à bon nombre de situations : lorsque le Channel EQ est réglé sur une réponse plane (aucune fréquence amplifiée ou réduite), activez l’Analyzer et lancez la lecture des données audio tout en observant l’écran graphique pour voir quelles portions du spectre de fréquences présentent des crêtes fréquentes et quelles portions gardent toujours un niveau bas. Notez en particulier les moments où le signal subit une distorsion ou un écrêtage. Ensuite, à l’aide de l’écran graphique ou des commandes Parameter, ajustez les bandes de fréquences comme vous le souhaitez pour obtenir le son recherché. Vous pouvez atténuer les fréquences écrêtées afin de réduire ou d’éliminer la distorsion et amplifier les zones calmes pour obtenir un son plus marqué. Ajustez la fréquence centrale des bandes 2 à 7 pour affecter une fréquence spécifique (une que vous souhaitez amplifier, telle que la note fondamentale de la musique, ou une que vous souhaitez éliminer, comme le bourdonnement ou tout autre bruit indésirable) ; ensuite, rétrécissez le facteur Q de sorte que seule une plage de fréquences étroite soit affectée ou élargissez-le pour modifier une plage plus large. Dans l’écran graphique, chaque bande de l’égaliseur apparaît avec une couleur différente. Vous pouvez ajuster la fréquence d’une bande dans le graphique en la faisant glisser horizontalement. Faites glisser la bande verticalement pour ajuster sa quantité de gain (pour les bandes 1 et 8, les valeurs de pente peuvent uniquement être modifiées dans la zone de paramètres, au-dessus de l’écran graphique). Chaque bande possède un point de pivot, représenté par un petit cercle sur la courbe, au niveau de la fréquence de la bande ; vous pouvez ajuster le facteur Q ou la largeur de la bande en faisant glisser ce point de pivot verticalement. Vous pouvez également ajuster l’échelle de décibels de l’écran graphique en faisant glisser verticalement le bord gauche ou droit de l’écran (où figurent les valeurs dB) lorsque l’Analyzer n’est pas activé. Lorsqu’il est activé et que vous faites glisser le bord gauche, l’échelle de dB linéaire est ajustée ; si vous faites glisser le bord droit, c’est l’échelle de dB de l’analyseur qui est ajustée.90 Chapitre 5 Égalisation Pour augmenter la résolution d’affichage de la courbe d’égalisation dans la zone la plus intéressante, voisine de la ligne du zéro, faites glisser vers le haut l’échelle de dB située sur le côté gauche de l’écran graphique. Faites-la glisser vers le bas pour réduire la résolution. La plage globale est toujours de ±30, mais les valeurs faibles sont plus faciles à reconnaître. Lorsque vous travaillez avec le Channel EQ, vous pouvez désactiver toutes les bandes que vous n’utilisez pas pour modeler le son. Les bandes inactives n’utilisent pas du tout les ressources de l’ordinateur. Utilisation de l’Analyzer Lorsque vous activez l’Analyzer, le module Channel EQ affiche une courbe en temps réel de tous les composants de fréquence du signal à mesure que les données audio sont lues. Cette courbe est superposée aux courbes d’égalisation que vous définissez, à l’aide d’une transformée de Fourier rapide (FFT). La courbe de l’Analyzer utilise la même échelle que les courbes d’égalisation, ce qui vous permet de reconnaître les fréquences importantes au sein des données audio et d’utiliser les courbes d’égalisation pour amplifier ou réduire ces fréquences. Dès que l’Analyzer est activé, vous pouvez modifier le paramètre Analyzer Top, qui modifie la mise à l’échelle de l’analyseur FFT, sur le côté droit de l’écran graphique. La zone visible représente une plage dynamique de 60 dB mais, si vous cliquez dessus et la faites glisser verticalement en maintenant le bouton de la souris enfoncé, vous pouvez régler la valeur maximale entre +20 dB et 40 dB. L’affichage de l’Analyzer est toujours linéaire en dB. Lorsque vous choisissez un paramètre Resolution dans le menu, n’oubliez pas que plus la résolution est élevée, plus l’ordinateur sera sollicité. Une résolution élevée est par exemple nécessaire lorsque vous avez besoin de résultats fiables dans les très basses fréquences. Les bandes dérivées de l’analyse FFT sont divisées conformément au principe linéaire de fréquence, ce qui signifie qu’il y a davantage de bandes dans les octaves aiguës que dans les octaves graves. Remarque : l’analyseur FFT sollicite davantage les ressources de l’ordinateur. En fait, la quantité de ressources nécessaire augmente de façon significative avec des résolutions plus élevées. Il est donc recommandé de désactiver l’Analyzer ou de fermer la fenêtre du Channel EQ lorsque vous lisez ou enregistrez le projet, après avoir défini les paramètres d’égalisation souhaités. Ainsi, une partie des ressources de l’ordinateur seront libérées pour d’autres tâches.Chapitre 5 Égalisation 91 DJ EQ Le module DJ EQ associe des filtres High et Low Shelving, chacun doté d’une fréquence fixe, et un égaliseur paramétrique pour lequel vous pouvez ajuster les paramètres Frequency, Gain et Q-Factor. L’une des caractéristiques spécifiques du DJ EQ est qu’il permet de réduire le gain des filtres jusqu’à –30 dB. Paramètres du module DJ EQ  Champ et curseur High Shelf : déterminent la quantité de gain pour le filtre High Shelving.  Champ et curseur Frequency : déterminent la fréquence centrale de l’égaliseur paramétrique.  Champ et curseur Q-Factor : déterminent la plage (bande passante) de l’égaliseur paramétrique.  Champ et curseur Gain : déterminent la quantité de gain pour l’égaliseur paramétrique.  Champ et curseur Low Shelf : déterminent la quantité de gain pour le filtre Low Shelving. Fat EQ Le module Fat EQ est un égaliseur multibande polyvalent pouvant posséder jusqu’à cinq bandes de fréquence individuelles. Vous pouvez utiliser le Fat EQ pour des pistes individuelles ou des mixages globaux. Le Fat EQ comprend un écran graphique illustrant les courbes d’égalisation, ainsi qu’un ensemble de paramètres pour chaque bande. Paramètres du module Fat EQ La partie principale de la fenêtre Fat EQ contient un écran graphique et une suite de sections renfermant les paramètres de chaque bande de fréquence. À droite de la section des paramètres figurent le curseur et le champ Master Gain. Section de l’écran graphique  Boutons Band Type : boutons situés au-dessus de l’écran graphique. Pour les bandes 1, 2, 4 et 5, cliquez sur l’une des paires de boutons pour sélectionner le type d’égaliseur associé à la bande correspondante.92 Chapitre 5 Égalisation  Pour la bande 1, cliquez sur le bouton de filtre High Pass ou Low Shelving.  Pour la bande 2, cliquez sur le bouton de filtre paramétrique ou Low Shelving.  La bande 3 agit toujours comme une bande d’égaliseur paramétrique (cliquez sur le bouton correspondant pour l’activer ou la désactiver).  Pour la bande 4, cliquez sur le bouton de filtre paramétrique ou High Shelving.  Pour la bande 5, cliquez sur le bouton de filtre Low Pass ou High Shelving.  Écran graphique : affiche la courbe d’égalisation de chaque bande de fréquence. Lorsque vous ajustez les réglages de chaque bande à l’aide des commandes de la section Parameter, l’écran reflète immédiatement les modifications apportées. Section Parameter Sous l’écran graphique se trouvent les commandes qui, d’une part, indiquent les réglages propres à chaque bande, d’autre part, vous permettent d’ajuster ces réglages.  Champs Frequency : déterminent la fréquence de chaque bande.  Potentiomètres Gain : déterminent la quantité de gain pour chaque bande.  Champs Q/Order : déterminent le facteur Q ou la bande passante de chaque bande (plage de fréquences affectée autour de la fréquence centrale). Pour les bandes 1 et 5, ces réglages modifient la pente du filtre.  Boutons Band on/off : cliquez sur un bouton numéroté pour activer ou désactiver la bande correspondante. Les bandes inactives n’utilisent pas du tout les ressources de l’ordinateur. Section Master Gain  Curseur et champ Master Gain : éléments situés à droite de la section Parameter qui définissent le niveau de sortie du signal. Après avoir amplifié ou réduit des bandes de fréquence, vous pouvez utiliser le curseur Master Gain pour ajuster le niveau de sortie. Utilisation du module Fat EQ Les icônes situées au-dessus de l’écran graphique vous permettent de changer de type d’égaliseur pour chaque bande, à l’exception de la bande 3, qui agit toujours comme un filtre en cloche intégralement paramétrique. Vous pouvez utiliser les commandes de la section Parameter pour régler la fréquence, le gain et le facteur Q de chaque bande, ainsi que pour activer ou désactiver chacune des bandes. Si vous optez pour des valeurs Q faibles, l’égaliseur couvre une plage de fréquences plus large, alors qu’avec des valeurs Q élevées, l’effet de la bande d’égalisation est limité à une plage de fréquences très étroite. N’oubliez pas que la valeur Q peut avoir un impact significatif sur le niveau d’audibilité de vos modifications :si vous travaillez avec une bande de fréquence étroite, vous devrez généralement l’amplifier ou la réduire de façon plus radicale pour constater une différence.Chapitre 5 Égalisation 93 Linear Phase EQ En apparence, le module de grande qualité Linear Phase EQ est très semblable au Channel EQ, puisqu’il partage avec lui les mêmes paramètres et la même disposition à huit bandes. Néanmoins, le Linear Phase EQ utilise une technologie sous-jacente différente, qui préserve intégralement la phase du signal audio (même lorsque vous appliquez les courbes d’égalisation les plus bizarres aux éléments transitoires les plus marqués). Le Linear Phase EQ nécessite davantage de ressources que le Channel EQ et introduit beaucoup plus de latence. Par conséquent, il est vivement recommandé d’utiliser ce module pour la mastérisation de données audio précédemment enregistrées. Ne l’utilisez pas pendant que vous jouez d’un instrument en direct, par exemple. La fonction de compensation de la latence fournie par Logic Pro peut également être utile lorsque vous utilisez ce module. Paramètres du module Linear Phase EQ Les paramètres du Linear Phase EQ sont les mêmes que ceux du Channel EQ. Pour en savoir plus sur les paramètres du module Channel EQ, reportez-vous à la section « Paramètres du module Channel EQ » à la page 87. Utilisation du module Linear Phase EQ Là encore, le fonctionnement du module Linear Phase EQ est semblable à celui du Channel EQ. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section « Menu local Gain-Q Couple Strength (paramètre étendu) : permet de sélectionner le degré de couplage Gain-Q. » à la page 89. Dans la mesure où les paramètres du Channel EQ et du Linear Phase EQ sont quasiment identiques, vous pouvez parfaitement copier les réglages de l’un pour les utiliser dans l’autre. Dans Logic Pro, si vous remplacez un effet Channel EQ par un effet Linear Phase EQ sur le même emplacement (et inversement), les réglages sont directement transférés vers le nouvel égaliseur. Il n’existe qu’une différence entre ces deux modules : le Linear Phase EQ utilise une quantité fixe de ressources de l’ordinateur, quel que soit le nombre de bandes actives.94 Chapitre 5 Égalisation Match EQ Le module Match EQ vous permet d’enregistrer le spectre de fréquences moyen d’un fichier audio sous la forme d’un modèle, puis d’appliquer ce modèle à votre projet de sorte que ce dernier adopte lui aussi le spectre du fichier d’origine. À l’aide du Match EQ, vous pouvez homogénéiser le son de différents morceaux que vous souhaitez inclure dans un album ou doter vos propres projets d’un « son de référence » tiré d’un enregistrement source. En plus d’adapter le spectre de fréquences du projet à celui de l’égaliseur du fichier d’origine, vous pouvez également modifier manuellement la courbe de filtre avant de l’appliquer à votre projet. Remarque : si Match EQ permet de faire correspondre la courbe de fréquences de deux signaux audio d’un point de vue acoustique, il n’intervient pas du tout sur leur dynamique. Paramètres du module Match EQ Partie gauche  Bouton Analyzer : active ou désactive la fonction Analyzer. Remarque : si vous désactivez l’Analyzer, vous libérez des ressources pour les autres applications.  Bouton Position : indique si l’Analyzer étudie le signal avant que la courbe de filtre soit appliquée (Pre) ou après (Post).  Menu local View : permet de choisir quelles informations apparaissent sur l’écran graphique. Les options suivantes sont disponibles :  Automatic : affiche automatiquement les informations relatives à la fonction en cours, déterminée par les boutons sélectionnés au-dessus de l’écran graphique.  Template : affiche la courbe de fréquence du fichier source identifié comme modèle (courbe affichée en rouge).  Current Material : affiche la courbe de fréquence des données audio identifiées comme étant le morceau actif (piste sur laquelle l’effet Match EQ est appliqué ou bien fichier ou modèle de réglages de module que vous avez chargé) ; cette courbe est affichée en vert.  Filter : affiche la courbe de filtre créée lors de l’homogénéisation du modèle et du morceau en cours (courbe affichée en jaune).Chapitre 5 Égalisation 95  Bouton Format : indique si l’Analyzer affiche les canaux audio au moyen de courbes distinctes (L&R pour les canaux stéréo, All Cha pour les canaux surround) ou s’il affiche le niveau maximal cumulé (LR Max pour les canaux stéréo, Cha Max pour les canaux surround).  Bouton Select : cliquez sur l’un de ces boutons pour contrôler si les modifications apportées à la courbe de filtre suite à son homogénéisation avec le morceau en cours doivent être appliquées uniquement au canal de gauche (L), au canal de droite (R) ou aux deux canaux (L+R).  Menu Select (non illustré) : lorsque vous utilisez une instance surround du module Match EQ, les boutons Select sont remplacés par un menu, à partir duquel vous pouvez sélectionner soit un canal individuel pour les modifications apportées à la courbe de filtre, soit l’ensemble des canaux (All).  Curseur Channel Link : affine les réglages définis à l’aide des boutons ou du menu Select. Si ce curseur est réglé sur 1.0, tous les canaux (gauche et droite pour des données stéréo, tous les canaux pour un fichier surround) sont représentés par une courbe d’égalisation commune. Si vous le réglez sur 0.0 (la valeur minimale), une courbe de filtre séparée est affichée pour chaque canal ; cette courbe peut être sélectionnée à l’aide des boutons ou du menu Select. Les réglages compris entre 0.0 et 1.0 vous permettent de fusionner ces valeurs, de sorte que les modifications que vous avez apportées aux courbes de filtre sont transférées vers chaque canal, en fonction du réglage défini. Remarque : les paramètres View, Select et Channel Link sont désactivés lorsque vous utilisez l’effet Match EQ sur un canal mono.  LFE Handling (paramètre étendu) : dans des instances Surround, les boutons d’option LFE Handling vous permettent de traiter ou de contourner le canal LFE. Section centrale  Écran graphique : affiche la courbe de filtre créée lors de l’homogénéisation du modèle et du morceau en cours. Vous pouvez modifier cette courbe de filtre (reportez-vous à la section « Modification de la courbe de filtre »).  Bouton Template Learn : cliquez sur ce bouton pour lancer le processus d’identification du spectre de fréquences du fichier source. Cliquez à nouveau dessus pour arrêter le processus.  Bouton Current Material Learn : cliquez sur ce bouton pour lancer le processus d’identification du spectre de fréquences du projet que vous souhaitez homogénéiser avec le fichier source. Cliquez à nouveau dessus pour arrêter le processus.  Bouton Current Material Match : homogénéise le spectre de fréquences du morceau en cours avec celui du fichier modèle (source).96 Chapitre 5 Égalisation Partie droite  Bouton Phase : détermine si le traitement modifie la phase du signal (Minimal) ou s’il en est empêché (Linear). Le réglage Linear augmente la latence, tandis que le réglage Minimal permet d’avoir des temps de latence moins importants.  Curseur et champ Apply : modifie l’effet de la courbe de filtre sur le signal. Les valeurs comprises entre 101 % et 200 % amplifient cet effet, les valeurs comprises entre 1 % et 99 % le réduisent et les valeurs comprises entre –1 % et –100 % inversent les crê- tes et les creux de la courbe de filtre. Une valeur de 100 % n’entraîne aucune modification de la courbe de filtre.  Curseur et champ Smoothing : détermine le degré de lissage de la courbe de filtre. Avec une valeur de 0.0, la courbe de filtre reste inchangée. Avec toute autre valeur, la courbe de filtre est lissée selon une bande passante constante, déterminée par la valeur définie en demi-tons. Par exemple, une valeur de 1.0 signifie que le lissage utilise une bande passante d’un demi-ton. Une valeur de 4.0 produit une bande passante de lissage de quatre demi-tons (une tierce majeure), une valeur de 12.0 produit une bande passante d’une octave, et ainsi de suite. Remarque : le lissage n’a pas d’incidence sur les modifications que vous apportez manuellement à la courbe de filtre.  Menu local Fade Extremes (paramètres étendus) : sélectionnez On pour lisser la courbe de filtre au niveau des extrêmes graves et aigus du spectre de fréquences. Utilisation du module Match EQ Le module Match EQ est un égaliseur qui analyse ou identifie le spectre de fréquences d’un signal audio, tel qu’un fichier audio, un signal d’entrée de piste ou un modèle. Vous pouvez également charger un fichier de réglages de module précédemment enregistré ou importer les réglages d’une autre instance Match EQ en faisant un copier-coller. Match EQ analyse le spectre de fréquences moyen du fichier source (le modèle) et de votre projet (le morceau en cours), puis il homogénéise les deux spectres, créant ainsi une courbe de filtre. Cette courbe de filtre adapte la réponse de fréquence du morceau en cours pour qu’elle corresponde à celle du modèle. Avant d’appliquer la courbe de filtre, vous pouvez la modifier en amplifiant ou en réduisant le nombre de fréquences de votre choix ou bien en inversant la courbe. L’analyseur vous permet d’effectuer une comparaison visuelle du spectre de fréquences du fichier source et celui de la courbe obtenue. Ainsi, il est beaucoup plus facile d’apporter manuellement des corrections sur des points spécifiques du spectre.Chapitre 5 Égalisation 97 Vous pouvez utiliser le Match EQ de différentes façons, selon ce que vous souhaitez faire et en fonction des données audio utilisées. En règle générale, il vous permet de faire ressembler le son de votre mix à celui d’un enregistrement existant (le vôtre ou celui d’un autre artiste). Voici un exemple d’utilisation courante que vous pouvez adapter à votre propre flux de travaux. Dans cet exemple, le spectre de fréquences d’un mix est adapté à celui d’un fichier audio source. Pour adapter l’égalisation d’un mix de projet à celle d’un fichier audio source : 1 Dans le projet que vous souhaitez adapter au fichier audio source, créez une instance Match EQ (en général avec une sortie 1-2). 2 Faites glisser le fichier audio source sur le bouton Template Learn. 3 Revenez au début de votre mix, cliquez sur Current Material Learn, puis lancez la lecture (du morceau en cours) du début jusqu’à la fin. 4 Une fois que la lecture est terminée, cliquez sur Current Material Match (cela désactive automatiquement le bouton Current Material Learn). Pour utiliser l’égalisation obtenue sur une piste : 1 Réglez la piste que vous souhaitez adapter sous la forme d’une entrée latérale au module Match EQ. 2 Cliquez sur le bouton Template Learn, lisez la piste audio source du début à la fin, puis cliquez à nouveau sur le bouton Template Learn. 3 Revenez au début de votre mix, cliquez sur Current Material Learn, puis lancez la lecture (du morceau en cours) du début jusqu’à la fin. 4 Une fois que la lecture est terminée, cliquez sur Current Material Match (cela désactive automatiquement le bouton Current Material Learn). Le Match EQ crée une courbe de filtre basée sur les différences entre le spectre du modèle et celui du morceau en cours. Cette courbe compense automatiquement les écarts de gain entre le modèle et le morceau en cours, d’où un résultat avec une courbe d’égalisation référencée sur 0 dB. Une courbe de réponse de filtre jaune apparaît dans l’écran graphique. Elle affiche le spectre moyen de votre mix alors qu’il approche (reflète) celui du fichier audio source. Vous pouvez également faire glisser un fichier audio sur le bouton Template Learn ou Current Material Learn, pour l’utiliser en tant que modèle ou que morceau en cours. Une barre de progression apparaît pendant que le module Match EQ analyse le fichier.98 Chapitre 5 Égalisation Le fait de cliquer sur l’un des boutons Learn tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée (ou de cliquer dessus avec le bouton droit, si vous possédez une souris adaptée) ouvre un menu contextuel contenant diverses options applicables au spectre du modèle ou du morceau en cours. Vous pouvez notamment : effacer le spectre, le copier vers le Presse-papiers du Match EQ (accessible depuis n’importe quelle instance Match EQ du projet en cours), le coller depuis le Presse-papiers du Match EQ dans l’instance en cours, le charger à partir d’un fichier de réglages enregistré ou générer un spectre de fréquences pour un fichier audio que vous sélectionnez dans une zone de dialogue. Lorsque vous cliquez sur l’un des boutons Learn, le paramètre View est défini sur Automatic et l’écran graphique affiche la courbe de fréquence de la fonction correspondant au bouton sélectionné. Vous pouvez consulter n’importe quelle courbe de fréquence lorsque aucun fichier n’est en cours de traitement, il vous suffit de sélectionner l’une des autres options View. La courbe de filtre est automatiquement mise à jour chaque fois que le spectre d’un nouveau modèle ou du morceau en cours est identifié ou chargé, dès que le bouton Match est activé. Vous pouvez passer de la courbe de filtre adaptée (et éventuellement mise à l’échelle et/ou modifiée manuellement) à une réponse plane en activant ou en désactivant le bouton Match. Vous ne pouvez activer qu’un seul des boutons Learn à la fois. Ainsi, si le bouton Learn de la section Template est activé et que vous cliquez sur le bouton Learn de la section Current Material, l’analyse du fichier modèle s’interrompt, l’état en cours est utilisé comme modèle spectral et l’analyse de la piste (Current Material) commence. Remarque : chaque fois que vous homogénéisez deux signaux audio (que ce soit en chargeant/identifiant un nouveau spectre alors que le bouton Match est activé ou en activant le bouton Match après avoir chargé un nouveau spectre), toutes les modifications existantes apportées à la courbe de filtre sont ignorées et le paramètre Apply est défini sur 100 %. Par défaut, le curseur Apply est réglé sur 100 % lorsque vous identifiez la courbe de fréquence d’un signal audio. Dans bon nombre de cas, vous devrez légèrement la réduire pour éviter que des changements de spectre brusques se produisent dans votre mix. Il est également recommandé d’utiliser le curseur Smoothing pour faire varier les détails de spectre de la courbe d’égalisation générée.Chapitre 5 Égalisation 99 Modification de la courbe de filtre Vous pouvez modifier la courbe de filtre adaptée dans l’écran graphique, en cliquant où vous le souhaitez sur la courbe. Faites glisser le curseur horizontalement pour changer la fréquence de crête de la bande concernée (sur l’ensemble du spectre). Faites-le glisser verticalement pour ajuster le gain de cette bande (entre –24 et +24 dB). Pour ajuster le facteur Q, maintenez la touche Maj enfoncée et faites glisser le curseur verticalement. Maintenez la touche Option enfoncée tout en faisant glisser le curseur pour réinitialiser le gain sur 0 dB. À mesure que vous faites glisser le curseur, les valeurs en cours apparaissent dans un petit encadré à l’intérieur de l’écran graphique, ce qui vous permet de faire des ajustements précis directement dans le graphique. Remarque : si vous modifiez manuellement la courbe de filtre, vous pouvez restaurer sa forme initiale (ou plane) en appuyant sur Option et en cliquant sur l’arrière-plan de l’écran de l’analyseur. Si vous cliquez à nouveau sur l’arrière-plan en appuyant sur Option, la dernière courbe modifiée est restaurée. Le facteur Q du filtre est déterminé par la distance verticale entre le point où vous cliquez et la courbe. En cliquant directement sur la courbe, la valeur maximale du facteur Q, c’est-à-dire 10 (pour les filtres de rupture), est utilisée. Si vous cliquez au-dessus ou en dessous de la courbe, la valeur Q diminue. Plus vous cliquez loin de la courbe, plus la valeur sera faible (jusqu’à un minimum de 0.3). Les couleurs et les modes des échelles de décibels situées à gauche et à droite de l’écran sont automatiquement adaptés à la fonction active. Si l’analyseur est actif, l’échelle de gauche affiche le spectre moyen dans le signal, tandis que l’échelle de droite sert de référence pour les valeurs de crête de l’analyseur. Généralement, l’analyseur visualise une plage dynamique de 60 dB. Toutefois, vous pouvez décaler la plage affichée entre les valeurs extrêmes de +20 dB et –100 dB, en cliquant sur l’échelle et en la faisant glisser. Si la courbe de filtre obtenue est affichée, l’échelle de gauche (et celle de droite, si l’analyseur est inactif) affiche les valeurs de dB de la courbe avec une couleur appropriée. En cliquant sur l’une des échelles et en la faisant glisser, le gain global de la courbe de filtre est ajusté selon un intervalle compris entre –30 et +30 dB.100 Chapitre 5 Égalisation Égaliseurs monobandes La section ci-dessous décrit les différents effets disponibles dans le sous-menu Single Band. High Cut et Low Cut Filter Comme leur nom l’indique, le Low Cut Filter (filtre coupe-bas) atténue la plage de fréquences inférieure à la fréquence sélectionnée, tandis que le High Cut Filter atténue la plage supérieure à cette fréquence. Chacun possède un paramètre unique vous permettant de définir la fréquence de coupure. High Pass et Low Pass Filter Le High Pass Filter (filtre passe-haut) affecte la plage de fréquences inférieure à la fréquence définie. Le filtre laisse passer uniquement les fréquences supérieures à cette dernière. Vous pouvez utiliser le High Pass Filter pour éliminer les basses situées en dessous d’une fréquence donnée. Par opposition, le Low Pass Filter affecte la plage de fréquences supérieure à la fréquence sélectionnée. Les deux modules Filter possèdent les paramètres suivants :  Champ et curseur Frequency : définissent la fréquence de coupure.  Champ et curseur Order : définissent l’ordre de filtrage.  Champ et curseur Smoothing : permettent d’ajuster le degré de lissage (en millisecondes). High Shelving et Low Shelving EQ Le Low Shelving EQ affecte uniquement la plage de fréquences inférieure à la fréquence sélectionnée, tandis que le High Shelving EQ affecte uniquement la plage supérieure à celle-ci. Chacun est associé à un paramètre Gain, qui permet d’amplifier ou de réduire le niveau de la bande de fréquence sélectionnée, et à un paramètre Frequency, qui permet de définir la fréquence de coupure. Égaliseurs paramétriques Le module Parametric EQ est un simple filtre doté d’une fréquence centrale variable. Il peut être utilisé pour amplifier ou réduire toute bande de fréquence du spectre audio, soit avec une plage de fréquences étendue, soit sous la forme d’un filtre de rupture associé à une plage très étroite. Ainsi, une plage de fréquences symétrique de part et d’autre de la fréquence centrale est amplifiée ou réduite. Le module Parametric EQ comprend les paramètres suivants :  Champ et curseur Gain : définit la quantité de gain.  Champ et curseur Frequency : définissent la fréquence de coupure.  Champ et curseur Q-Factor : permettent d’ajuster le facteur Q (bande passante).Chapitre 5 Égalisation 101 Silver EQ Le module Silver EQ comporte trois bandes : un égaliseur High Shelving, un égaliseur paramétrique et un égaliseur Low Shelving. Vous pouvez ajuster les fréquences de coupure des égaliseurs High et Low Shelving ou ajuster la fréquence centrale, le gain et le facteur Q de l’égaliseur paramétrique. Paramètres du module Silver EQ  Champ et curseur High Frequency : définissent la fréquence de coupure pour l’égaliseur High Shelving.  Champ et curseur Frequency : déterminent la fréquence centrale de l’égaliseur paramétrique.  Champ et curseur Q-Factor : permettent d’ajuster la plage (bande passante) de l’égaliseur paramétrique.  Champ et curseur Gain : déterminent la quantité de gain pour l’égaliseur paramétrique.  Champ et curseur Low Frequency : définissent la fréquence de coupure pour l’égaliseur Low Shelving.102 Chapitre 5 Égalisation Plages de fréquences utilisées avec un égaliseur Tous les sons peuvent être classés dans l’une des trois plages de fréquences de base suivantes : les basses, les médiums et les aigus. Ces catégories peuvent elles-mêmes être divisées en basses graves, hauts et bas médiums et hauts et bas aigus. Le tableau ci-dessous décrit quelques-uns des sons faisant partie de chaque catégorie : Remarque : les fréquences indiquées pour chaque plage sont approximatives. La division du son en plages de fréquences présente un caractère quelque peu arbitraire et ne constitue qu’une indication d’ordre général. Nom Plage de fréquences Description Hauts aigus 8–20 kHz Inclut les sons de cymbale et les harmoniques d’instruments les plus aigus. Une légère augmentation des fréquences de cette plage permet d’apporter plus d’intensité et de présence. Aigus 5–8 kHz Cette plage correspond globalement à la commande de tonalité des aigus sur une chaîne stéréo. L’amplification des fréquences de cette plage permet d’augmenter la clarté et l’éclat musical. Bas aigus 2,5–5 kHz Inclut les harmoniques les plus aigus des voix et des instruments de musique. Cette plage est importante pour ajouter de la présence. Une amplification excessive peut conférer à la musique un son strident ou rauque. Hauts médiums 1,2–2,5 kHz Inclut les consonnes des voix et les harmoniques aigus des instruments de musique, en particulier des cuivres. Une amplification excessive de cette plage peut produire un son pincé et nasillard. Médiums 750 Hz–1,2 kHz Inclut les voyelles des voix et les harmoniques des instruments de musique qui créent la couleur tonale. Bas médiums 250–750 Hz Inclut les harmoniques fondamentales et graves des voix et des instruments de musique. Une égalisation minutieuse de chacune peut les empêcher d’entrer en concurrence. Une amplification excessive de cette plage peut donner lieu à un son brouillé et trouble ; une atténuation excessive peut au contraire générer un son trop clair. Basses 50–250 Hz Correspond globalement à la commande de tonalité des graves sur une chaîne stéréo. Inclut les fréquences fondamentales des voix et des instruments de musique. Une amplification excessive peut conférer à la musique un son caverneux et sourd. Basses graves 50 Hz et moins Également appelées sous-basses. Les sons de voix ou d’instruments de musique compris dans cette plage sont très rares. De nombreux effets sonores utilisés dans les films, tels que les explosions ou les tremblements de terre, en font partie.6 103 6 Filtre Outre les filtres des effets d’égaliseur, vous pouvez utiliser des filtres pour changer le caractère de vos données audio de façon habituelle ou plus insolite. Le sous-menu Filtre contient divers effets basés sur des filtres permettant de modifier de façon créative vos données audio, parmi lesquels des autofiltres, des banques de filtres, des vocoders, des effets wah-wah et une porte de bruit utilisant la fréquence plutôt que l’amplitude (volume) comme critère de sélection de la partie du signal autorisée à passer. Les sections suivantes décrivent les différents modules fournis avec Logic Studio.  « AutoFilter » à la page 104  « EVOC 20 Filterbank » à la page 108  « EVOC 20 TrackOscillator » à la page 112  « Fuzz-Wah » à la page 123  « Spectral Gate » à la page 125  « Autofilter Soundtrack Pro » à la page 127104 Chapitre 6 Filtre AutoFilter Le module AutoFilter est un effet de filtre polyvalent offrant plusieurs fonctions spécifiques. Vous pouvez l’utiliser pour créer des effets de synthétiseur analogique classique ou comme outil de conception sonore créatif. La fréquence de coupure du filtre peut être modulée de façon dynamique au moyen d’une enveloppe ADSR semblable à celle d’un synthétiseur et d’un oscillateur sub-audio. En outre, vous pouvez choisir parmi une variété de types et de pentes de filtres, contrôler le niveau de résonance, ajouter un effet de distorsion pour obtenir des sons plus agressifs et mélanger le signal sec d’origine avec le signal traité. Paramètres de l’AutoFilter Les zones principales de la fenêtre Autofilter incluent les sections Enveloppe, LFO, Filter et Distortion. Le contrôle Threshold général est situé dans l’angle supérieur gauche, tandis que les contrôles Output figurent dans la partie droite de la fenêtre. Curseur Seuil Définit la fréquence de coupure qui s’applique à l’enveloppe et à l’oscillateur sub-audio (LFO). Lorsque le niveau du signal d’entrée dépasse le seuil Threshold, l’enveloppe et l’oscillateur sub-audio sont redéclenchés. Le paramètre Threshold s’applique toujours à l’enveloppe. Il s’applique à l’oscillateur sub-audio uniquement si le bouton Retrigger est sélectionné. Section Enveloppe  Potentiomètre et champ Attack : définissent le temps d’attaque de l’enveloppe.  Potentiomètre et champ Decay : définissent le temps de chute de l’enveloppe.  Potentiomètre et champ Sustain : définissent le temps de maintien de l’enveloppe.  Potentiomètre et champ Release : définissent le temps de relâchement de l’enveloppe.  Potentiomètre et champ Dynamic : définissent l’intensité de la modulation appliquée par le signal d’entrée à la valeur crête de l’enveloppe.Chapitre 6 Filtre 105  Curseur et champ Cutoff Mod. : définissent l’intensité de l’effet du signal de contrôle sur la fréquence de coupure. Section LFO  Potentiomètres et champ Coarse/Fine Rate : utilisez conjointement ces paramètres pour définir la fréquence de l’oscillateur sub-audio (LFO). Déplacez le curseur Coarse pour définir la fréquence de l’oscillateur sub-audio en Hertz, puis utilisez le curseur Fine pour régler plus précisément la fréquence au 1/000ème de Hertz.  Bouton Beat Sync : lorsque ce bouton est sélectionné, l’oscillateur sub-audio est synchronisé sur le tempo du séquenceur.  Potentiomètre Phase : permet de décaler la relation de phase entre l’oscillateur sub-audio et le séquenceur lorsque l’option Beat Sync est active.  Potentiomètre Decay/Delay : indiquent le temps dont l’oscillateur sub-audio a besoin pour passer de 0 à sa valeur maximale.  Potentiomètre et champ Rate Mod. : définissent le taux de modulation de la fréquence de l’oscillateur sub-audio, indépendamment du niveau du signal d’entrée. Lorsque le signal d’entrée dépasse le seuil Threshold, la largeur de modulation de l’oscillateur sub-audio passe de 0 à la valeur entrée pour Rate Mod.  Potentiomètre et champ Stereo Phase : pour les instances stéréo de l’Autofilter, définissent les relations de phase des modulations de l’oscillateur sub-audio sur les deux canaux stéréo.  Curseur et champ Cutoff Mod. : définissent l’intensité de l’effet du signal de contrôle sur la fréquence de coupure.  Bouton Retrigger : lorsque ce bouton est sélectionné, la forme d’onde commence à 0 ° dès le dépassement du seuil Threshold.  Boutons Waveform : cliquez sur un des boutons pour définir le type de forme d’onde de l’oscillateur sub-audio.  Curseur et champ Pulse Width : permettent de mettre en forme la courbe de la forme d’onde sélectionnée. Section Filter  Potentiomètre Cutoff Freq. : définit la fréquence de coupure du filtre passe-bas.  Potentiomètre Resonance : définit la largeur de la bande de fréquences voisine de la fréquence de coupure qui est accentuée.  Curseur et champ Fatness : règlent l’effet de « grossissement » du son (renforcement des basses fréquences). Si vous définissez le paramètre Fatness sur sa valeur maximale, le réglage de la résonance n’aura aucun effet sur les fréquences situées en deçà de la fréquence de coupure.  Boutons State Variable Filter : cliquez sur un des boutons pour indiquer si le filtre est un filtre passe-haut (HP), passe-bande (BP) ou passe-bas (LP).106 Chapitre 6 Filtre  Boutons 4-Pole Lowpass Filter : cliquez sur un des boutons pour définir la pente du filtre passe-bas sur 6, 12, 18 ou 24 dB par octave. Section Distortion  Bouton Input : définit le niveau de la distorsion appliquée avant la section de filtre.  Bouton Output : définit le niveau de la distorsion appliquée après la section de filtre. Section Output  Curseur et champ Dry Signal : définissent la portion de signal d’origine (sec) ajoutée au signal filtré.  Curseur et champ Main Out : définissent le volume de sortie final de l’Autofilter. Utilisation de l’Autofilter La présente section fournit des informations complémentaires sur l’utilisation des paramètres de la fenêtre Autofilter. Paramètres Filtre Les paramètres les plus importants sont situés dans la partie droite de la fenêtre Autofilter. Le bouton Filter Cutoff détermine le point à partir duquel le filtre entre en action. Les fréquences plus élevées sont atténuées, tandis que les fréquences plus basses sont autorisées à passer. Le bouton Resonance contrôle la zone de fréquences voisine de la fréquence de coupure qui est accentuée. Si vous affectez une valeur suffisante au paramètre Resonance, le filtre lui-même commence à osciller à sa fréquence de coupure. Ce phénomène d’auto-oscillation commence avant que le paramètre Resonance ait atteint sa valeur maximale, tout comme pour les filtres d’un synthétiseur Minimoog. Si vous augmentez la valeur de la résonance, le filtre passe-bas provoque une chute des graves ; le signal se met à sonner « plus maigre ». Vous pouvez compenser ce phénomène en utilisant le curseur Fatness. Les paramètres Envelope et LFO permettent de moduler de façon dynamique la fréquence de coupure. Le paramètre Threshold figurant dans l’angle supérieur gauche de la fenêtre Autofilter s’applique aux deux sections et analyse le niveau du signal d’entrée. Si le niveau du signal d’entrée dépasse le seuil Threshold, l’enveloppe et l’oscillateur sub-audio (LFO) sont redéclenchés. Chapitre 6 Filtre 107 Paramètres d’enveloppe Lorsque le signal d’entrée dépasse le seuil Threshold, le signal de contrôle est déclenché à la valeur minimale. Après un délai dont la durée est déterminée par le paramètre Attack, le signal atteint son niveau maximum Il diminue ensuite pendant la durée définie par la valeur Decay, puis reste à un niveau constant pendant le laps de temps correspondant à la valeur Sustain. Une fois que le niveau du signal tombe en dessous de la valeur Threshold, il chute jusqu’à sa valeur minimale pendant la période déterminée par le paramètre Release. Si le signal d’entrée passe sous le niveau Threshold avant que le signal de contrôle ait atteint le niveau Sustain, la phase Release est déclenchée. Vous pouvez moduler la valeur crête de la section Envelope par le niveau du signal d’entrée en ajustant le paramètre Dynamic. Le curseur Cutoff Mod. détermine l’intensité de l’effet du signal de contrôle sur la fréquence de coupure. Paramètres LFO Vous pouvez définir la forme d’onde de l’oscillateur sub-audio (LFO) en cliquant sur un des boutons Waveform. Les options suivantes sont disponibles : dent de scie descendante (saw down), dent de scie ascendante (saw up), triangle, onde d’impulsions ou forme d’onde aléatoire (valeurs aléatoires, mode Sample & Hold). Une fois que vous avez sélectionné une forme d’onde, vous pouvez mettre en forme la courbe avec le curseur Pulsewidth. Les potentiomètres Coarse et Fine Frequency permettent de définir la fréquence de l’oscillateur sub-audio. Le potentiomètre Rate Mod. (Rate Modulation) contrôle la modulation de la fréquence de l’oscillateur LFO indépendamment du niveau du signal d’entrée. Si le signal d’entrée dépasse le niveau Threshold, la largeur de modulation de l’oscillateur passe de 0 à la valeur entrée pour Rate Mod. Vous pouvez également définir le temps nécessaire à l’exécution de ce processus en entrant la valeur souhaitée avec le potentiomètre Decay/Delay. Si le bouton Retrigger est activé, la forme d’onde commence à 0 ° dès que le seuil Threshold est dépassé. Pour les instances stéréo de l’AutoFilter, vous pouvez contrôler les relations de phase des modulations de l’oscillateur sub-audio sur les deux canaux stéréo au moyen du potentiomètre Stereo Phase. L’activation de l’option Beat Sync permet de synchroniser l’oscillateur sub-audio (LFO) sur le tempo du séquenceur. Les valeurs de vitesse sont exprimées en valeurs de mesure, de triolet ou autres. Elles sont déterminées par le potentiomètre Rate situé juste en regard du bouton Beat Sync. Utilisez Sync Phase pour décaler la relation de phase entre l’oscillateur sub-audio et le séquenceur. Paramètres de l’effet Distortion Les paramètres Distortion Input et Output permettent de contrôler individuellement la distorsion avant l’entrée et après la sortie. Même si ces deux modules de distorsion fonctionnent de la même façon, leur position respective sur le parcours du signal, respectivement avant et après le filtre, produit des sons très différents.108 Chapitre 6 Filtre Paramètres Output Le paramètre Dry Signal définit le niveau du signal d’effet (sec) qui est mélangé avec le signal traité. Le paramètre Main Out permet de réduire le volume de sortie (jusqu’à 50 dB), de façon à compenser l’augmentation de niveau due à l’utilisation d’effets de distorsion ou d’autres traitements. EVOC 20 Filterbank L’EVOC 20 FilterBank se compose de deux banques de filtres de formants, qui peuvent également être utilisées dans le module de vocoder EVOC 20 PolySynth de Logic Pro et MainStage. Le signal d’entrée traverse ces deux banques de filtres en parallèle. Chaque banque dispose de curseurs de volume pour dix bandes de fréquences, vous permettant de régler le volume de chaque bande indépendamment. En réglant un curseur sur sa valeur minimale, vous supprimez complètement les formants de la bande correspondante. Vous pouvez contrôler la position et la largeur des bandes de filtre au moyen des paramètres Formant Stretch et Formant Shift. En outre, vous avez également la possibilité de réaliser un fondu enchaîné entre les deux banques de filtres. Pour de plus amples informations sur les banques de filtres, reportez-vous à la section « Fonctionnement d’une banque de filtres » à la page 223. Paramètres de l’EVOC 20 FilterBank La fenêtre EVOC 20 FilterBank est divisée en trois sections principales : la section Formant Filter située au centre de la fenêtre, la section Modulation se trouvant dans la partie centrale inférieure et la section Output figurant sur le côté droit.Chapitre 6 Filtre 109 Section Formant Filter Les paramètres de cette section contrôlent les bandes de fréquences des deux banques de filtres : la banque de filtres A et la banque de filtres B.  Curseurs Frequency band : vous pouvez définir le volume de chaque bande de fréquences de la banque de filtres A à l’aide des curseurs supérieurs (bleus) et paramétrer le volume de chaque bande de fréquences de la banque de filtres B au moyen des curseurs inférieurs (verts). Vous pouvez facilement créer des courbes complexes en faisant glisser horizontalement une des lignes de curseurs. Cette méthode permet de modifier rapidement et facilement plusieurs bandes de fréquences.  Barre et champs de fréquences : la barre bleue située au-dessus de la ligne supérieure de curseurs contrôle l’ensemble de la plage de fréquences des deux banques de filtres. Faites glisser la barre pour déplacer toute la plage de fréquences, l’extrémité gauche pour déplacer uniquement les fréquences inférieures (entre 75 et 750 Hz) ou bien encore l’extrémité droite pour déplacer uniquement les fréquences supérieures (entre 800 et 8000 Hz). Vous pouvez également modifier les valeurs numériques directement au-dessus de la barre (entre 80 et 8 000 Hz).  Potentiomètre Formant Shift : déplace toutes les bandes des deux banques de filtres vers le haut ou le bas de la plage de fréquences. Vous pouvez passer directement aux valeurs –0,5, –1, 0,+0,5 or +1,0 en cliquant sur l’une d’elles sur le bord du potentiomètre.  Champ de valeur Bands : définit le nombre de bandes de fréquences dans chaque banque de filtres. Les valeurs possibles sont comprises entre 5 et 20 bandes. Remarque : l’augmentation du nombre de bandes augmente également la charge du processeur.  Bouton Lowest : détermine si la bande la plus basse de chaque banque de filtres fonctionne comme un filtre passe-bas ou passe-bande.  Potentiomètre Resonance : contrôle le caractère sonore de base des deux banques de filtres. L’augmentation de la valeur Resonance accentue les fréquences moyennes de chaque bande. Des réglages faibles donnent un caractère plus doux, tandis que des réglages élevés donnent un caractère plus abrupt.110 Chapitre 6 Filtre  Potentiomètre Boost A : définit l’amplitude de l’amplification (ou de l’atténuation) appliquée aux bandes de fréquences de la banque de filtres A. La plage est ±20 dB. Cela permet de compenser la réduction de volume causée par la baisse du niveau d’une ou de plusieurs bandes. Boost est aussi très pratique pour régler les niveaux des deux banques de filtres l’une par rapport à l’autre, de façon à ce que l’utilisation de Fade A/B (voir ci-dessous) entraîne uniquement un changement de couleur sonore, mais pas un changement de niveau.  Bouton Highest : détermine si la bande la plus haute de chaque banque de filtres fonctionne comme un filtre passe-haut ou passe-bande.  Menu local Slope : détermine la valeur de la pente qui va être appliquée à tous les filtres des deux banques. Valeurs possibles : 1 (atténuation du filtre de 6 dB/oct.) et 2 (atténuation du filtre de 12 dB/oct.). 1 sonne plus doux, 2 sonne plus serré.  Potentiomètre Boost B : définit l’amplitude de l’amplification (ou de l’atténuation) appliquée aux bandes de fréquences de la banque de filtres B. Valeurs possibles : ±20 dB. Cela permet de compenser la réduction de volume causée par la baisse du niveau d’une ou de plusieurs bandes.  Curseur Fade AB : applique un fondu enchaîné entre les banques de filtres A et B. S’il est en position haute (0 %), seule la banque A est audible, tandis que s’il est en position basse (100 %), seule la banque B est audible. Lorsque le curseur est en position intermédiaire (50 %), les banques sont mélangées de façon égale. Section Modulation Les paramètres de cette section contrôlent les oscillateurs sub-audio (LFO) qui modulent respectivement les paramètres Formant Shift et Fade A/B de la section Formant Filter. Les paramètres LFO Shift situés sur la gauche modulent le paramètre Formant Shift des bandes de filtre, tandis que les paramètres LFO Fade figurant sur la droite modulent le paramètre Fade AB.  Curseur LFO Shift Intensity : définit l’intensité de la modulation appliquée par l’oscillateur sub-audio (LFO) au paramètre Formant Shift.  Potentiomètre LFO Shift Rate : définit la vitesse de modulation du paramètre Formant Shift. Les valeurs situées à gauche du centre sont synchronisées sur le tempo et exprimées en mesures et d’autres valeurs musicales, tandis que les valeurs situées à droite du centre sont des valeurs libres, exprimées en Hertz.Chapitre 6 Filtre 111  Boutons Waveform : sélectionnez les formes d’onde utilisées respectivement par les paramètres d’oscillateurs sub-audio LFO Shift et LFO Fade. Du haut vers le bas, les formes d’onde disponibles sont les suivantes : triangle, dent de scie (sawtooth) descendante ou montante, dent de scie carrée montante ou descendante autour de zéro (bipolaire), dent de scie carrée montante à partir de zéro (unipolaire), mode « sample and hold » (forme d’onde aléatoire par palier) et forme d’onde « sample and hold » lissée.  Curseur LFO Fade Intensity : définit l’intensité de la modulation appliquée par l’oscillateur sub-audio (LFO) au paramètre Fade AB.  Potentiomètre LFO Fade Rate : définit la vitesse de modulation du paramètre Fade AB. Les valeurs situées à gauche du centre sont synchronisées sur le tempo et exprimées en mesures et d’autres valeurs musicales, tandis que les valeurs situées à droite du centre sont des valeurs libres, exprimées en Hertz. ? Astuce : les modulations LFO Formant Shift et Fade sont à la base des sons les plus extraordinaires de l’EVOC 20 Filterbank : veillez à configurer des courbes de filtre complètement différentes ou complémentaires dans les deux banques de filtres. Vous avez la possibilité d’utiliser un enregistrement rythmique, tel qu’une boucle de batterie, comme signal d’entrée et de choisir des modulations synchronisées sur le tempo avec des vitesses (Rates) différentes pour chaque oscillateur sub-audio. Vous pouvez ensuite essayer le module Tape Delay synchronisé sur le tempo après l’EVOC 20 FilterBank, afin d’obtenir des rythmes uniques. Section Output112 Chapitre 6 Filtre Les paramètres de cette section contrôlent la sortie générale de l’EVOC 20 FilterBank.  Bouton Overdrive : permet d’activer ou de désactiver le circuit d’overdrive. Remarque : pour entendre l’effet d’overdrive, vous devrez peut-être augmenter le niveau d’une ou des deux banques de filtres.  Curseur Level : définit le niveau du signal de sortie. Menu local Stereo Mode : définit le mode d’entrée/sortie de l’EVOC 20 FilterBank. Choix possibles : m/s (entrée mono vers sortie stéréo) et s/s (entrée stéréo vers sortie stéréo). Définissez Stereo Mode sur m/s si le signal d’entrée est monophonique et sur s/s si le signal d’entrée est stéréophonique. En mode s/s, les canaux stéréo gauche et droit sont traités par des banques de filtres séparées. Lorsque vous utilisez le mode m/s sur un signal d’entrée stéréo, le signal est d’abord réduit en mono avant de passer par les banques de filtres.  Potentiomètre Stereo Width : contrôle la répartition des signaux de sortie des bandes de filtre dans l’image stéréo.  Lorsqu’il est positionné à gauche, la sortie de toutes les bandes est centrée.  Lorsqu’il est en position centrale, la sortie de toutes les bandes passe de gauche à droite.  Lorsqu’il est positionné à droite, la sortie des bandes est répartie de façon égale sur les canaux gauche et droit. Le mode stéréo/stéréo (s/s) utilise une banque de filtres A/B par canal. Le positionnement des bandes de fréquences correspond à ce qui a été indiqué ci-dessus, mais les bandes de chaque banque de filtres se déplacent dans des directions opposées, de gauche à droite. EVOC 20 TrackOscillator L’EVOC 20 TrackOscillator est un vocoder équipé d’un oscillateur de suivi de la hauteur tonale (pitch tracking oscillator) monophonique. L’oscillateur de suivi permet à l’EVOC 20 TrackOscillator de contrôler la hauteur tonale d’un signal d’entrée monophonique. Par exemple, si ce signal est une mélodie chantée, chaque hauteur de note chantée sera contrôlée et restituée par le moteur de synthèse. L’EVOC 20 TrackOscillator comporte deux banques de filtres de formants : Analysis et Synthesis. Chacune dispose de plusieurs paramètres d’entrée (configurables). Vous pouvez utiliser la piste dans laquelle l’EVOC est inséré comme source du signal Analysis ou employer une autre piste audio comme source d’entrée via une entrée latérale (Side Chain). La source Synthesis peut être la piste dans laquelle l’EVOC est inséré, une autre piste audio ou l’oscillateur de suivi. Chaque bande de fréquences Analysis comporte un suiveur d’enveloppe (« envelope follower ») qui contrôle le niveau de cette bande, de façon à ce qu’elle puisse être remodelée plus précisément. Chapitre 6 Filtre 113 Le parcours du signal de l’EVOC 20 TrackOscillator est présenté dans le schéma de principe à la page 240. ? Astuce : pour assurer un suivi correct de la hauteur tonale, il est essentiel d’utiliser un signal monophonique (sans superposition de hauteurs) le moins traité possible. Évitez absolument d’utiliser un signal comportant des bruits de fond. Par exemple, l’utilisation d’un signal traité avec même un léger effet de réverbération donnera des résultats plutôt étranges (et vraisemblablement indésirables). Des résultats encore plus étranges seront obtenus lorsqu’un signal sans hauteur tonale audible (tel qu’une boucle de batterie) est utilisé. Toutefois, il se peut que dans certains cas ce soit le résultat recherché. L’EVOC 20 TrackOscillator ne se limite pas à des effets de suivi de la hauteur tonale. Il peut aussi agir sur un signal par lui-même, ce qui est très utile pour obtenir des effets de filtre inhabituels. Essayez cette fonctionnalité avec différents réglages des param- ètres Resonance, Formant Shift et Formant Stretch. Comme les deux signaux d’entrée d’analyse et de synthèse sont disponibles, vous pouvez même « vocoder », par exemple, un orchestre avec des bruits de train. (Pour plus d’informations sur les vocoders, consultez « Vocoder : Fondamentaux » à la page 222. Paramètres de l’EVOC 20 TrackOscillator La fenêtre de l’EVOC 20 TrackOscillator est divisée en différentes sections, de gauche à droite : Analysis In, Synthesis In, Tracking Oscillator, Formant Filter, LFO, U/V Detection et Output.114 Chapitre 6 Filtre Section Analysis In Les paramètres de cette section contrôlent divers aspects du signal d’analyse.  Potentiomètre Attack : détermine la vitesse à laquelle chaque suiveur d’enveloppe (envelope follower) couplé à chaque bande de filtre Analysis réagit aux signaux montants. Des temps d’Attack plus longs donneront une réponse plus lente du suivi aux transitoires du signal d’entrée d’analyse. Remarque : un temps d’attaque (Attack) long sur des signaux d’entrée de type percussif (par exemple, des mots scandés ou un morceau de charleston) produira un effet de vocoder moins articulé. Il convient de définir le paramètre Attack sur une valeur la plus faible possible pour obtenir une articulation précise.  Potentiomètre Release : détermine la vitesse à laquelle chaque suiveur d’enveloppe (envelope follower) couplé à chaque bande de filtre Analysis réagit aux signaux descendants. Des temps de relâchement (Release) plus longs prolongeront les transitoires du son du signal d’entrée Analysis à la sortie du vocoder. Remarque : un temps de relâchement (Release) long sur des signaux d’entrée de type percussif produira un effet de vocoder moins articulé. Des temps Release trop courts donneront des sons de vocoder bruts et granuleux. Des valeurs Release comprises entre 8 et 10 ms représentent un bon point de départ.  Bouton Freeze : lorsque ce bouton est sélectionné, le spectre du son actuellement analysé est maintenu indéfiniment. Cela permet de capturer une caractéristique particulière du signal source, qui sera ensuite imposée comme forme de filtre complexe avec sustain sur la section Synthesis. Lorsque le bouton Freeze est sélectionné, la banque de filtres Analysis ignore la source d’entrée et les paramètres Attack et Release n’ont aucun effet. Ainsi, si vous utilisez une suite de mots parlés comme source, le paramètre Freeze pourra capturer la phase d’attaque ou de fin d’un mot particulier (par exemple, le son d’une voyelle).Chapitre 6 Filtre 115 Le paramètre Freeze peut également être utilisé pour compenser l’incapacité de certains chanteurs à tenir longtemps une note sans reprendre leur souffle. Si le signal Synthesis doit être tenu, alors que le signal source Analysis ne l’est pas, le paramètre Freeze peut servir à bloquer les niveaux actuels du formant (d’une note chantée), même pendant des interruptions de la partie vocale, comme il y en a entre les mots d’une phrase vocale.  Menu local Analysis In : définit le signal source Analysis. Les options suivantes sont disponibles :  Track : définit la piste audio dans laquelle l’EVOC 20 TrackOscillator est inséré en tant que signal Analysis.  Side Chain : définit l’entrée latérale (une autre piste audio) comme signal Analysis. Vous choisissez la piste source Side Chain dans le menu local Side Chain en haut de la fenêtre de l’EVOC 20 TrackOscillator. Remarque : si le paramètre Side Chain est sélectionné et qu’aucune piste Side Chain n’est assignée, le signal de la piste est utilisé comme source Analysis. Section Synthesis In Les paramètres de cette section contrôlent divers aspects du signal de synthèse.  Menu local Synthesis In : définit la source du signal Synthesis. Les options suivantes sont disponibles :  Oscillator (Osc.) : définit l’oscillateur de suivi comme source Synthesis. L’oscillateur suit la hauteur du signal d’entrée Analysis. La sélection du paramètre Osc. active les autres paramètres de la section Synthesis. Si Osc. n’est pas sélectionné, FM Ratio, FM Int et les autres paramètres de cette section n’auront aucun effet.  Track : définit la piste audio dans laquelle l’EVOC 20 TrackOscillator est inséré en tant que signal source Synthesis.  Side Chain (SideCh) : définit l’entrée latérale (une autre piste audio) comme signal source Synthesis. Vous choisissez la piste source Side Chain dans le menu local Side Chain en haut de la fenêtre de l’EVOC 20 TrackOscillator. Remarque : si le paramètre Side Chain est sélectionné et qu’aucune piste Side Chain n’est assignée, le signal de la piste est utilisé comme source Synthesis.  Champ de valeur Bands : détermine le nombre de bandes de fréquences utilisées par les banques de filtres de l’EVOC 20 TrackOscillator. Les valeurs possibles sont comprises entre 5 et 20. Plus il y a de bandes, plus le son sera remodelé avec précision. L’augmentation du nombre de bandes accroît aussi la charge du processeur.116 Chapitre 6 Filtre Oscillateur de suivi Les paramètres de la section Tracking Oscillator contrôlent différents aspects de l’oscillateur de suivi. Le générateur sonore FM de l’oscillateur de suivi est composé de deux oscillateurs, chacun générant une onde sinusoïdale. La fréquence de l’oscillateur 1 (porteur) est modulée linéairement par l’oscillateur 2 (modulateur), ce qui a pour effet de transformer l’onde sinusoïdale de l’oscillateur 1 en une forme d’onde à la structure harmonique riche. Le contrôle FM Int détermine si les oscillateurs de suivi délivrent une onde en dent de scie ou le signal d’un générateur sonore FM.  Potentiomètre FM Ratio : définit le rapport entre les oscillateurs 1 et 2, ce qui détermine le caractère de base du son. Des valeurs paires (ou leurs multiples) produisent des sons harmoniques, tandis que des valeurs impaires (ou leurs multiples) génèrent des sons non harmoniques, perçus comme des sons métalliques.  Un contrôle FM Ratio de 1 000 donne des résultats ressemblant à une forme d’onde en dent de scie.  Un contrôle FM Ratio de 2 000 donne des résultats ressemblant à une forme d’onde carrée avec une largeur d’impulsion de 50 %.  Un contrôle FM Ratio de 3 000 donne des résultats ressemblant à une forme d’onde carrée avec une largeur d’impulsion de 33 %.  Potentiomètre FM Int : sélectionne la forme d’onde de base et contrôle l’intensité de la modulation FM.  S’il est réglé sur 0, le générateur sonore FM est désactivé et une onde en dent de scie est générée à la place.  Pour des valeurs supérieures à 0, le générateur sonore FM est activé. Des valeurs plus élevées produisent un son plus complexe et plus brillant.  Champ de valeur Coarse Tune : définit le décalage de hauteur de l’oscillateur par demi-tons, jusqu’à ±2 octaves.  Champ de valeur Fine Tune : définit le décalage de hauteur par incréments d’un cent. La valeur par défaut est le La de référence à 440 Hz. Les valeurs possibles sont comprises entre 425 et 455 Hz.Chapitre 6 Filtre 117 Conjointement avec les touches de piano du clavier à l’écran, les contrôles Pitch Quantize, Root/Scale et Max Track contrôlent la fonction de correction automatique de la hauteur (Pitch Quantize) de l’oscillateur de suivi. Le contrôle Pitch Quantize peut être utilisé avec les paramètres Root/Scale et Max Track pour limiter la hauteur de l’oscillateur de suivi à une gamme ou un accord. Il permet d’obtenir des corrections de hauteurs subtiles ou sauvages et peut aussi être employé de façon créative sur des données dotées d’un contenu harmonique aigu mais dont la hauteur tonale n’est pas déterminée, comme des cymbales et une charleston. Pour utiliser la quantification de hauteur, le paramètre Strength doit être réglé sur une valeur supérieure à zéro et au moins une des touches de piano du clavier à l’écran doit être activée.  Curseur Pitch Quantize Strength : détermine l’amplitude de la correction automatique de hauteur.  Curseur Pitch Quantize Glide : détermine la durée de la correction de hauteur, ce qui permet des transitions progressives vers les hauteurs quantifiées.  Menu local et clavier Root/Scale : utilisez conjointement ces éléments pour définir la ou les hauteurs sur lesquelles l’oscillateur de suivi est quantifié, comme indiqué ci-dessous.  Cliquez sur la valeur située sous le mot Scale pour afficher le menu local Root/Scale.  Choisissez la gamme ou l’accord à utiliser comme base de la correction de hauteur dans le menu local.  Définissez la note fondamentale de la gamme ou de l’accord choisi en faisant glisser verticalement le paramètre Root ou double-cliquez et entrez une note fondamentale comprise entre Do et Si. Le paramètre Root n’est pas disponible lorsque la valeur Root/Scale est définie sur chromatic (chromatique) ou user (utilisateur).  Vous avez la possibilité d’ajouter des notes à la gamme ou l’accord choisi en cliquant sur les touches du petit et d’en supprimer en cliquant sur des notes déjà sélectionnées. Les notes sélectionnées apparaissent en vert fluo. Lors de la sélection d’une note, la valeur Root/Scale est définie sur user.  Votre dernière modification est enregistrée. Si vous sélectionnez une nouvelle gamme ou un nouvel accord, mais que vous n’apportez aucune modification, vous pouvez revenir à la gamme utilisateur précédente. Vous pouvez automatiser les paramètres Root et Scale ainsi que les touches du clavier à l’écran de Logic Pro.118 Chapitre 6 Filtre  Champ de valeur Max Track : définit la fréquence au-delà de laquelle les fréquences aiguës du signal Analysis sont coupées, ce qui rend la détection de hauteur plus fiable. Si la détection de hauteur génère des résultats instables, réduisez la valeur du paramètre Max Track en lui attribuant la valeur la plus faible possible. Section Formant Filter Les paramètres de cette section contrôlent les deux banques de filtres de formants de l’EVOC 20 TrackOscillator.  Affichage graphique Formant Filter : affiche les bandes de fréquences des paramètres Analysis et Synthesis. La fenêtre Formant Filterdisplay est divisée en deux sections par une ligne horizontale. La partie supérieure concerne la section Analysis et la partie inférieure, la section Synthesis. Les modifications apportées aux paramètres High/Low Frequency, Bands ou Formant Stretch et Formant Shift entraîneront des changements visuels dans la fenêtre Formant Filter. Vous disposez ainsi d’informations très précieuses décrivant ce qui arrive au signal lorsqu’il passe à travers les deux banques de filtres de formants.  Barre et champs de fréquences : la barre bleue située au-dessus de la ligne supérieure de curseurs contrôle les fréquences les plus hautes et les plus basses des deux banques de filtres. Faites glisser la barre pour déplacer à la fois la fréquence la plus haute et la fréquence la plus basse, l’extrémité gauche pour déplacer uniquement la fréquence la plus basse (la plage de valeurs possibles est comprise entre 75 et 750 Hz) ou bien l’extrémité droite pour déplacer uniquement la fréquence la plus haute (la plage de valeurs possibles est comprise entre 800 et 8000 Hz). Vous pouvez également modifier les valeurs numériques directement au-dessus de la barre (entre 80 et 8 000 Hz).  Bouton Lowest : détermine si la bande la plus basse de chaque banque de filtres fonctionne comme un filtre passe-bas ou passe-bande.  Bouton Highest : détermine si la bande la plus basse de chaque banque de filtres fonctionne comme un filtre passe-haut ou passe-bande.  Potentiomètre Formant Stretch : modifie la largeur et la répartition des bandes de la banque de filtres Synthesis, de façon à étendre ou réduire la plage de fréquences définie par la barre bleue (paramètres Low/High Frequency) pour la banque de filtres Synthesis.Chapitre 6 Filtre 119 Si le paramètre Formant Stretch est défini sur 0, la largeur et la répartition des bandes de la banque de filtres Synthesis seront équivalentes à la largeur des bandes de la banque de filtres Analysis. Des valeurs faibles réduisent la largeur de chaque bande, alors que des valeurs élevées l’augmentent. Les valeurs possibles sont comprises entre 0,5 et 2 (par rapport à la bande passante totale). Remarque : vous pouvez passer directement à la valeur 1 en cliquant sur celle-ci.  Potentiomètre Formant Shift : déplace la position des bandes vers le haut ou le bas dans la banque de filtres Synthesis. Lorsqu’il est défini sur 0, la position des bandes dans la banque de filtres Synthesis est équivalente à celle des bandes de la banque de filtres Analysis. Des valeurs positives déplaceront les bandes vers le haut, en terme de fréquences, alors que des valeurs négatives les déplaceront vers les bas en fonction de la banque de filtres d’analyse. Vous pouvez passer directement aux valeurs –0,5, –1, 0, +0,5 et +1 en cliquant sur celles-ci. ? Astuce : lorsqu’ils sont combinés, les paramètres Formant Stretch et Formant Shift modifient la structure du formant du son de vocoder résultant, ce qui peut donner des changements de timbre intéressants. Par exemple, utiliser des signaux vocaux tout en réglant le paramètre Formant Shift plus haut produit un effet « Mickey Mouse ». Les paramètres Formant Stretch et Formant Shift sont particulièrement utiles si le spectre de fréquences du signal Synthesis ne complète pas celui du signal Analysis. Par exemple, vous pouvez créer un signal Synthesis dans la plage de fréquences élevées à partir d’un signal Analysis qui module le son principalement dans une plage de fréquences plus basses.  Potentiomètre Resonance : contrôle le caractère sonore de base des deux banques de filtres. L’augmentation de la valeur du paramètre Resonance accentue les fréquences moyennes de chaque bande. Des réglages faibles donnent un caractère plus doux, tandis que des réglages élevés donnent un caractère plus abrupt. Remarque : l’utilisation individuelle ou combinée des paramètres Formant Stretch et Formant Shift peut provoquer la génération de fréquences résonantes inhabituelles lorsque des valeurs élevées sont définies pour le réglage Resonance.120 Chapitre 6 Filtre Section LFO Les paramètres de cette section contrôlent l’oscillateur sub-audio (LFO) permettant de moduler la fréquence (Pitch) de l’oscillateur de suivi (vibrato) ou le paramètre Formant Shift (Shift) de la banque de filtres Synthesis. Ils permettent une modulation synchrone ou asynchrone selon la mesure, le battement (triolet) ou toute autre valeur.  Boutons Wave : sélectionnez la forme d’onde utilisée par l’oscillateur sub-audio (LFO). Les options suivantes sont disponibles : triangle, dent de scie (sawtooth) montante ou descendante, dent de scie carrée montante ou descendante autour de zéro (bipolaire, idéale pour les trilles), dent de scie carrée montante à partir de zéro (unipolaire, idéale pour les changements entre deux hauteurs définissables), une forme d’onde aléatoire par palier (S&H) et une forme d’onde aléatoire lissée. Il suffit de cliquer sur le bouton approprié pour choisir un type de forme d’onde.  Curseur LFO Formant Shift Intensity : contrôle l’importance de la modification de formant effectuée par l’oscillateur sub-audio (LFO).  LFO Pitch Intensity : contrôle l’amplitude de la modulation (vibrato) appliquée par l’oscillateur sub-audio (LFO).  Potentiomètre et champ LFO Rate : définissent la vitesse de la modulation appliquée par l’oscillateur sub-audio (LFO). Les valeurs situées à gauche des positions centrales sont synchronisées sur le tempo du séquenceur et incluent notamment des valeurs de mesure et de triolet. Les valeurs situées à droite des positions centrales sont asynchrones et affichées en Hertz (cycles par seconde). Remarque : la possibilité d’utiliser des valeurs de mesure synchrones peut servir à effectuer une modification de formant toutes les quatre mesures sur une partie de percussion à une mesure reprise en cycle. Vous pouvez aussi effectuer la même modification de formant sur chaque croche d’un triolet à l’intérieur d’une même partie. Chaque méthode peut produire des résultats intéressants et apporter de nouvelles idées ou donner un nouvel essor aux équipements audio existants.Chapitre 6 Filtre 121 Section U/V Detection La section U/V Detection détecte les portions non vocales du son dans le signal Analysis, améliorant ainsi l’intelligibilité vocale. Reportez-vous à la section « Unvoiced/Voiced (U/V) Detection » à la page 237 pour en savoir plus sur le principe de fonctionnement de la détection de signaux voisés/non voisés (U/V Detection). Pour plus d’informations sur l’intelligibilité vocale, consultez « Conseils pour une meilleure intelligibilité des paroles » à la page 240.  Potentiomètre Sensitivity : définit le degré de réactivité de la fonction de détection des signaux voisés/non voisés (U/V detection). En tournant ce potentiomètre vers la droite, davantage de parties non vocales distinctes seront reconnues dans le signal d’entrée. Lorsque des réglages élevés sont utilisés, la sensibilité accrue aux signaux non vocaux peut conduire à ce que la source U/V, déterminée par le paramètre Mode, soit utilisée sur la majeure partie du signal d’entrée, en incluant les signaux vocaux. Cela aura pour résultat un son ressemblant à un signal radio, détérioré et contenant beaucoup de bruit de fond.  Menu local Mode : choisissez la ou les sources sonores pouvant être utilisées pour remplacer le contenu non vocal du signal d’entrée. Les options suivantes sont disponibles : Off, Noise, Noise + Synth, ou Blend.  Noise : utilise le bruit seul pour les parties non-vocales du son.  Noise + Synth : utilise le bruit et le synthétiseur pour les parties non-vocales du son.  Blend : utilise le signal d’analyse après son passage à travers un filtre passe-haut, pour les parties non-vocales du son. Ce signal d’analyse filtré est alors mélangé avec le signal de sortie de l’EVOC 20 TrackOscillator. Le paramètre Sensitivity n’a aucun effet sur ce réglage.122 Chapitre 6 Filtre  Curseur Level : contrôle la quantité de signal (Noise, Noise + Synth ou Blend) utilisée pour remplacer le contenu non vocal du signal d’entrée. Section Output  Menu interne Signal : choisissez le signal qui va être envoyé aux sorties principales de l’EVOC 20 TrackOscillator. Les options suivantes sont disponibles :Voc(oder), Syn(thesis) et Ana(lysis). Pour entendre l’effet de vocoder, choisissez Voc. Les deux autres réglages servent au monitoring.  Curseur Level : définit le niveau du signal de sortie.  Menu local Stereo Mode : définit le mode d’entrée/sortie de l’EVOC 20 FilterBank. Choix possibles : m/s (entrée mono vers sortie stéréo) et s/s (entrée stéréo vers sortie stéréo). Définissez Stereo Mode sur m/s si le signal d’entrée est monophonique et sur s/s si le signal d’entrée est stéréophonique. En mode s/s, les canaux stéréo gauche et droit sont traités par des banques de filtres séparées. Lorsque vous utilisez le mode m/s sur un signal d’entrée stéréo, le signal est d’abord réduit en mono avant de passer par les banques de filtres.  Potentiomètre Stereo Width : contrôle la répartition des signaux de sortie des bandes de filtre dans l’image stéréo.  Lorsqu’il est positionné à gauche, la sortie de toutes les bandes est centrée. Avertissement : faites très attention avec ce contrôle, surtout si vous utilisez une valeur de Sensitivity élevée, afin d’éviter toute saturation interne de l’EVOC 20 TrackOscillator.Chapitre 6 Filtre 123  Lorsqu’il est en position centrale, la sortie de toutes les bandes passe de gauche à droite.  Lorsqu’il est positionné à droite, la sortie des bandes est répartie de façon égale sur les canaux gauche et droit. Le mode stéréo/stéréo (s/s) utilise une banque de filtres A/B par canal. Le positionnement des bandes de fréquences correspond à ce qui a été indiqué ci-dessus, mais les bandes de chaque banque de filtres se déplacent dans des directions opposées, de gauche à droite. Fuzz-Wah Le Fuzz-Wah émule des effets wah-wah classiques souvent utilisés avec un Clavinet et ajoute des effets de compression et de distorsion (fuzz). Paramètres du Fuzz-Wah  Boutons Effect Order : indiquez si l’effet wah précède l’effet fuzz dans la chaîne du signal (Wah-Fuzz) ou vice versa (Fuzz-Wah). Le compresseur intégré précède toujours l’effet fuzz. Lorsque l’option Wah-Fuzz est sélectionnée, le compresseur est placé entre les effets wah et fuzz ; inversement, lorsque l’option Fuzz-Wah est sélectionnée, le compresseur est placé en premier dans la chaîne du signal. Section Wah  Menu local Wah Mode : choisissez un des six modes disponibles, qui émulent divers effets wah classiques et types de filtres ou sélectionnez off.  Bouton Auto Gain : l’effet wah peut faire varier considérablement le niveau de sortie. L’activation du paramètre Auto Gain permet de compenser cette tendance et de maintenir le signal de sortie dans une plage plus stable.  Potentiomètre Wah Level : définit le niveau du signal filtré par l’effet wah.  Curseur Relative Q : règle l’intensité du balayage wah en augmentant ou en réduisant la crête du filtre. Le réglage 0 (zéro) conserve le niveau de crête d’origine pour chaque mode.124 Chapitre 6 Filtre  Curseur Pedal Range : définit la plage de balayage exacte du filtre wah contrôlé au moyen de la pédale MIDI, permettant de compenser la différence entre les possibilités mécaniques offertes par une pédale MIDI et celles d’une pédale wah classique. Vous pouvez définir indépendamment les limites supérieure et inférieure de la plage en faisant glisser les bords gauche et droit du curseur Pedal Range. Vous avez également la possibilité de déplacer en même temps la plage entière en faisant glisser la section centrale du curseur. Section AutoWah  Potentiomètre Depth : définit la profondeur de l’effet autowah.  Potentiomètre Attack : définit le temps nécessaire à l’ouverture complète du filtre wah.  Potentiomètre Release : définit le temps nécessaire à la fermeture du filtre wah. Section Fuzz  Potentiomètre Comp (Compression) Ratio : définit le taux de compression du compresseur intégré.  Potentiomètre Fuzz Gain : définit le niveau de distorsion de l’effet fuzz entre 0 dB et 20 dB.  Potentiomètre Fuzz Tone : règle la tonalité de l’effet fuzz entre 2 kHz et 20 kHz. AutoWah Attack/Release Ces paramètres permettent de définir le temps d’ouverture et de fermeture du filtre wah. Valeurs possibles (en millisecondes) : 10 à 10 000 Utilisation du Fuzz-Wah Les sections ci-dessous traitent de divers aspects des paramètres du Fuzz-Wah. Réglage du niveau de l’effet wah avec le paramètre Auto Gain L’effet wah peut faire varier considérablement le niveau de sortie. L’activation du paramètre Auto Gain permet de compenser cette tendance et de maintenir le signal de sortie dans une plage plus stable. Pour entendre la différence apportée par le paramètre Auto Gain : 1 Activez la fonction Auto Gain. 2 Augmentez le niveau de l’effet en le définissant sur une valeur située juste en dessous de la limite d’écrêtage de la table de mixage. 3 Faites un balayage avec un réglage Relative Q élevé. 4 Désactivez la fonction Auto Gain et répétez le balayage. Avertissement : pendant ces manipulations, vos oreilles et votre système d’amplification peuvent être soumis à une pression sonore élevée.Chapitre 6 Filtre 125 AutoWah Depth L’effet wah peut non seulement être contrôlé au moyen des pédales MIDI (voir ci-dessus), mais également par le biais de la fonction Auto Wah. La sensibilité de l’Auto Wah peut être réglée à l’aide du paramètre Depth. Valeurs possibles : 0 à 100. (Voir aussi la section « Envelope (Depth) » page 401 et suivantes.) Relative Q La qualité de la crête du filtre principal peut être augmentée/réduite, en fonction du réglage du modèle, afin d’obtenir un balayage wah plus ou moins intense. Si ce paramètre est réglé sur 0, le réglage d’origine du modèle est actif. Valeurs possibles : –1.00 à +1.00 (0.00 est la valeur par défaut) Réglage du paramètre Pedal Range Les pédales MIDI usuelles offrent des possibilités mécaniques bien plus étendues que la plupart des pédales wah classiques. La plage de balayage exacte du filtre wah affecté par la pédale MIDI est définie par les paramètres Pedal Range. Les valeurs extrêmes pouvant être atteintes par la pédale sont représentées graphiquement par un crochet gris le long du curseur Pedal Position (qui représente la position actuelle de la pédale wah). Vous pouvez définir les limites gauche et droite en cliquant sur ce crochet et en le faisant glisser avec la souris. En outre, vous avez la possibilité de déplacer les deux valeurs simultanément en cliquant au centre du crochet et en déplaçant celui-ci vers la gauche ou la droite. Spectral Gate Le module Spectral Gate sépare les parties du signal situées au-dessus et au-dessous du niveau Threshold en deux plages de fréquences indépendantes pouvant être modulées individuellement. Il permet de produire des effets de filtre riches et inhabituels. Paramètres du module Spectral Gate  Curseur et champ Threshold : définissent le niveau du seuil à partir duquel la bande de fréquences définie par les paramètres Center Freq. et Bandwidth est divisée en plages de fréquences supérieure et inférieure.126 Chapitre 6 Filtre  Curseur et champ Speed : déterminent la fréquence de modulation pour la bande de fréquences définie.  Curseur et champ CF (Center Frequency) Modulation : règlent l’intensité de la modulation de la fréquence centrale.  Curseur et champ BW (Band Width) Modulation : définissent le niveau de la modulation de la largeur de bande.  Graphic display : affiche la bande de fréquences définie par les paramètres Center Freq. et Bandwidth.  Potentiomètre et champ Center Freq. (Frequency) : définissent la fréquence centrale de la bande de fréquences devant être traitée par le module Spectral Gate.  Potentiomètre et champ Bandwidth : définissent la largeur de bande de la bande de fréquences devant être traitée par le module Spectral Gate.  Curseur et champ Low Level : mélangent les fréquences du signal d’origine situées au-dessous la bande de fréquences sélectionnée avec le signal traité.  Potentiomètre et champ Super Energy : contrôlent le niveau de la plage de fréquences située au-dessus du seuil.  Potentiomètre et champ Sub Energy : contrôlent le niveau de la plage de fréquences située au-dessous du seuil.  Curseur et champ High Level : mélangent les fréquences du signal d’origine situées au-dessus de la bande de fréquences sélectionnée avec le signal traité.  Curseur et champ Gain : règlent le niveau de gain du signal de sortie final. Utilisation du module Spectral Gate À l’aide des paramètres Center Freq. et Bandwidth, définissez la bande de fréquences que vous souhaitez traiter avec le module Spectral Gate. La représentation graphique indique visuellement la bande définie par ces deux paramètres. Une fois la bande de fréquences définie, utilisez le paramètre Threshold pour déterminer le niveau au-delà et en deçà duquel la bande de fréquences est divisée en plages supérieure et inférieure. Utilisez le potentiomètre Super Energy ou Sub Energy pour contrôler respectivement le niveau des fréquences situées au-dessus et au-dessous du seuil Threshold. Vous pouvez également mélanger avec le signal traité les fréquences issues du signal d’origine qui se trouvent hors de la bande de fréquences définie par les paramètres Center Freq. et Bandwidth. Utilisez le curseur Low Level pour effectuer cette opération avec les fréquences graves situées au-dessous de la bande de fréquences définie et le curseur High Level pour l’exécuter avec les fréquences situées au-dessus de cette bande de fréquences.Chapitre 6 Filtre 127 Vous pouvez moduler la bande de fréquences définie à l’aide des paramètres Speed, CF Modulation et BW Modulation. Speed détermine la fréquence de modulation, CF (Center Frequency) Modulation définit l’intensité de la modulation de la fréquence centrale et BW (Band Width) Modulation contrôle la modulation de la largeur de bande. Une fois vos réglages effectués, vous pouvez utiliser le curseur Gain pour ajuster le niveau de sortie final du signal traité. Pour mieux vous familiariser avec le fonctionnement du module Spectral Gate, vous pouvez commencer par utiliser une boucle de batterie. Définissez le paramètre Center Freq. sur sa valeur minimale (20 Hz) et le paramètre Bandwidth sur sa valeur maximale (20 000 Hz) (de façon à ce que la plage de fréquences entière soit traitée). Tournez les potentiomètres Super Energy et Sub Energy l’un après l’autre, puis essayez différents réglages du paramètre Threshold. Cela devrait vous donner un bon aperçu de la façon dont les différents niveaux Threshold affectent le son dans les bandes contrôlées par Super Energy et Sub Energy. Lorsque vous avez trouvé un son qui vous plaît ou qui vous semble simplement utile, vous pouvez réduire considérablement la largeur de bande (Bandwidth), augmenter progressivement la fréquence centrale (Center Freq.), puis utiliser les curseurs Low Level et High Level de façon à ajouter un peu d’aigus et de basse provenant du signal d’origine. Pour des réglages bas du paramètre Speed, servez-vous du potentiomètre CF Mod. ou BW Mod. Autofilter Soundtrack Pro Soundtrack Pro Autofilter est un filtre de résonance passe-bas simple qui offre les paramètres suivants :  Curseur et champ Cutoff Frequency : définissent la fréquence de coupure du filtre passe-bas.  Curseur et champ Resonance : règlent l’intensité de l’accentuation de la bande de fréquences voisine de la fréquence de coupure.7 129 7 Image Vous pouvez utiliser les modules Imaging de Logic Studio pour étendre la base stéréo d’un enregistrement et modifier les positions du signal perçues. Ces effets permettent de rendre certains sons, ou la totalité du mixage plus larges et plus amples. Vous pouvez aussi modifier la phase des sons individuels dans un mixage, pour améliorer ou supprimer des éléments transitoires particuliers. Les sections suivantes décrivent les modules Imaging inclus dans Logic Studio :  « Module Binaural Post-Processing » à la page 129.  « Direction Mixer » à la page 131.  « Stereo Spread » à la page 133. Module Binaural Post-Processing Logic Pro vous permet d’acheminer des sorties de canaux via Binaural Panner, un processeur psychoacoustique capable de simuler des positions source de son arbitraires (y compris vers le haut et vers le bas) en utilisant un signal stéréo standard. Le signal qui résulte de l’utilisation de Binaural Panner est plus adapté à la lecture à l’aide d’écouteurs. Vous pouvez, toutefois, utiliser le conditionnement intégré du Binaural Panner pour garantir un son neutre pour une lecture par haut-parleurs (ou écouteurs). Lorsque vous utilisez plusieurs modules Binaural Panner (sur plusieurs canaux), vous devez désactiver le conditionnement intégré, et acheminer la sortie de tous les signaux faisant l’objet d’un panoramique binauralement vers un canal auxiliaire (dans lequel vous devrez insérer le module Binaural Post-Processing). Le module Binaural Post Processing vous permet d’appliquer une compensation de trame à toutes les sorties Binaural Panner en une seule fois, tout en économisant de l’énergie au niveau du processeur. 130 Chapitre 7 Image Le module Binaural Post-Processing est disponible pour des canaux de sortie et des canaux auxiliaires. Il offre les options de compensation suivantes :  Headphone FF - optimized for front direction : réglage pour une lecture par écouteurs, utilisant une compensation en champ libre. Dans ce mode de compensation, les sources sonores placées avant la position d’écoute auront des caractéristiques sonores neutres.  Headphone HB - optimized for horizontal directions : réglage pour lecture par écouteurs. Mode optimisé pour fournir un son le plus neutre possible pour des sources placées sur le, ou près du, plan horizontal.  Headphone DF - averaged over all directions : réglage pour une lecture par écouteurs, utilisant une compensation en champ diffus. Dans ce mode de compensation, les sons seront (globalement) plus neutres pour les sources placées, ou déplacées, de façon arbitraire.  Speaker CTC - Cross Talk Cancellation : réglage pour une lecture par haut-parleurs, qui vous permet de jouer des signaux faisant l’objet d’un panoramique binauralement via une configuration de haut-parleurs de type stéréo. Une bonne reproduction spatiale est limitée par une plage restreinte de positions d’écoute (sur le plan symétrique) entre les haut-parleurs. Si vous choisissez le réglage Speaker CTC, il existe un paramètre supplémentaire : CTC Speaker Angle. Pour obtenir le meilleur effet binaural, entrez l’angle correspondant à la position de vos haut-parleurs stéréo par rapport au centre (position d’écoute). Pour des informations plus détaillées sur l’utilisation de Binaural Panner avec le module Binaural Post-Processing, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Logic Pro 8.Chapitre 7 Image 131 Direction Mixer Vous pouvez utiliser le module Direction Mixer pour décoder les enregistrements audio MS (Middle and Side - milieu et côté) (voir la section « Explication sur MS » à la page 132) ou pour diffuser la base stéréo d’un enregistrement (gauche/droit) et déterminer sa balance.  Boutons Input : utilisez les boutons LR ou MS pour déterminer si le signal d’entrée est de type LR (Left Right - Gauche Droite) standard ou s’il s’agit d’un signal encodé MS (Middle and Side - Milieu et côté).  Curseur et champ Spread : détermine la diffusion de la base stéréo.  Potentiomètre et champ Direction : détermine la direction depuis laquelle le centre du signal stéréo enregistré va émettre depuis le mixage ou plus simplement, sa balance. Utilisation de Direction Mixer Direction Mixer est un module simple à utiliser car il ne comporte que deux paramètres : Spread et Direction Chacun modifie le signal entrant de façon différente lorsque les boutons d’entrée LR ou MS sont actifs. Utilisation du paramètre Spread sur des signaux d’entrée LR À la valeur neutre 1, le côté gauche du signal est positionné précisément sur la gauche et le côté droit précisément sur la droite. Lorsque la valeur Spread baisse, les deux côtés se rapprochent du centre de l’image stéréo. La valeur 0 génère un signal mono (les deux côtés du signal d’entrée sont acheminés vers les deux sorties au même niveau : un véritable signal central). Aux valeurs supérieures à 1, la base stéréo est diffusée vers un point imaginaire au-delà des limites spatiales des haut-parleurs. Remarque : si Direction Mixer est simplement utilisé pour diffuser la base stéréo, la compatibilité monophonique baisse avec les valeurs de diffusion supérieures à 1. Lorsqu’un signal stéréo a été traité avec un réglage Spread extrême de 2, le signal est annulé totalement s’il est lu en mono (L-R plus R-L laisse en effet peu d’amplitude). Utilisation du paramètre Spread sur des signaux d’entrée MS Lorsque vous modifiez les niveaux MS avec le paramètre Spread (au-dessus d’une valeur de 1), le niveau du signal devient plus élevé que le signal du centre. À une valeur de 2, vous n’entendrez que le signal latéral (sur la gauche vous entendrez L-R et sur la droite R-L). 132 Chapitre 7 Image Définition du paramètre Direction Lorsque le paramètre Direction a la valeur 0, le centre de l’enregistrement stéréo sera le point mort au sein du mixage. Si vous utilisez des valeurs positives, le point central de l’enregistrement stéréo est déplacé vers la gauche. Des valeurs négatives déplacent le point central vers la droite. Le mode de fonctionnement est le suivant :  À 90°, le point central de l’enregistrement stéréo est décalé de façon importante à gauche.  À –90°, le point central de l’enregistrement stéréo est décalé de façon importante à droite.  Des valeurs plus élevées ramènent le point central vers le centre du mixage stéréo, mais elles échangent également les côtés stéréo de l’enregistrement. Autrement dit : aux valeurs 180° ou –180°, le point central de l’enregistrement est le point mort du mixage, mais les côtés gauche et droit de l’enregistrement sont échangés. Explication sur MS Longtemps oubliée, la stéréo MS (milieu-côté par opposition à gauche-droite) a récemment connu une sorte de renaissance. Réalisation d’un enregistrement MS Deux micros sont positionnés le plus près possible l’un de l’autre (généralement sur un pied ou accrochés au plafond du studio). L’un est un micro cardioïde (ou unidirectionnel) qui fait directement face à la source sonore à enregistrer, dans un alignement droit. L’autre est un micro bidirectionnel dont les axes pointent sur la gauche et la droite (de la source sonore) à des angles de 90°.  Le micro cardioïde enregistre le signal central sur le côté gauche d’une piste stéréo.  Le micro bidirectionnel enregistre le signal latéral sur le côté droit d’une piste stéréo. Les enregistrements MS réalisés de cette façon peuvent être décodés par Direction Mixer. Intérêt des enregistrements MS L’avantage des enregistrements MS par rapport aux enregistrements XY (deux micros cardioïdes dirigés vers un point à mi-chemin sur la gauche et la droite de la source sonore) est que le centre stéréo est situé sur l’axe du faisceau principal (direction d’enregistrement principale) du micro cardioïde. Cela signifie que les légères fluctuations de la réponse en fréquence qui se produit hors de l’axe du faisceau principal, comme c’est le cas avec tous les micros, sont moins gênantes. En principe, les signaux MS et LR sont équivalents et peuvent être convertis à tout moment. Lorsque « – » signifie une inversion de phase, ce qui suit s’applique : M = L + R S = L – R En outre, L peut aussi être dérivé de la somme de M et S et R de la différence entre M et S. Chapitre 7 Image 133 Notez que les diffusions radiophoniques (FM) utilisent la stéréo M et S. Le signal MS est converti en un signal adéquat pour les haut-parleurs gauche et droit par le récepteur. Stereo Spread Le module Stereo Spread est généralement utilisé pour la mastérisation. Il existe plusieurs moyens d’étendre la base stéréo (ou perception de l’espace), notamment l’utilisation de réverbérations et d’autres effets et la modification de la phase du signal. Ils peuvent tous être très intéressants, mais ils risquent aussi d’affaiblir le son global de votre mixage en annihilant les réponses des éléments transitoires, par exemple. Le module Stereo Spread étend la base stéréo en distribuant un nombre (sélectionnable) de bandes de fréquences depuis la plage de fréquences centrale vers les canaux gauche et droit. Ceci est effectué tour à tour : les fréquences centrales vers le canal gauche, puis vers le canal droit, etc. La perception de largeur stéréo en est grandement accrue sans que le son perde sa qualité naturelle, particulièrement lors d’une utilisation sur des enregistrements mono. Paramètres du module Stereo Spread  Curseur et champ Lower Int : définit la quantité d’extension de base stéréo pour les bandes de fréquences inférieures.  Curseur et champ Upper Int. : définit la quantité d’extension de base stéréo pour les bandes de fréquences supérieures. Notez que lorsque vous définissez les curseurs d’intensité inférieure et supérieure, l’effet stéréo est le plus visible dans les fréquences centrales et supérieures et que la distribution de faibles fréquences entre les haut-parleurs gauche et droit réduit de façon significative l’énergie de ceux-ci. Vous devez donc utiliser une intensité inférieure plus faible et éviter d’utiliser moins de 300 Hz pour la fréquence inférieure.134 Chapitre 7 Image  Écran Graphic : montre le nombre de bandes constituant le signal et l’intensité de l’effet Stereo Spread dans les bandes de fréquences supérieure et inférieure. La section supérieure représente le canal gauche et la section inférieure, le canal droit. L’échelle de fréquence affiche les fréquences par ordre croissant, de gauche à droite.  Curseur et champs Upper and Lower Freq. : permettent de déterminer les limites supérieures et inférieures de la fréquence la plus haute et la bande la plus basse, à distribuer dans l’image stéréo.  Potentiomètre Order : définit le nombre de bandes de fréquences constituant le signal. La valeur 8n est généralement suffisante pour la plupart des tâches, mais vous pouvez utiliser jusqu’à 12 bandes.8 135 8 Mesure Vous pouvez utiliser les modules Metering de Logic Studio pour analyser l’audio de différentes façons. Chaque module Metering permet de visualiser différentes caractéristiques d’un signal audio. Exemples : BPM Counter affiche le tempo d’un fichier audio, Correlation Meter affiche la relation de phase et Level Meter affiche le niveau d’un enregistrement audio. Ce chapitre décrit les modules Metering inclus dans Logic Studio :  « BPM Counter » à la page 136  « Correlation Meter » à la page 136  « Level Meter » à la page 137  « MultiMeter » à la page 137  « Surround MultiMeter » à la page 141  « Tuner » à la page 142136 Chapitre 8 Mesure BPM Counter Vous pouvez utiliser le module BPM Counter pour analyser le tempo d’une piste audio. Insé- rez le module dans une piste pour analyser les événements dynamiques du signal audio. Le circuit de détection recherche les éléments transitoires dans le signal d’entrée. Les éléments transitoires sont des événements sonores très rapides, non périodiques dans la partie d’attaque du signal. Plus l’impulsion est nette, plus il est facile pour le compteur BPM de détecter le tempo. Par conséquent, les pistes de percussion et instrumentales (lignes de basse, par exemple) sont très bien adaptées à l’analyse de tempo. Les sons feutrés ne constituent pas un bon choix. Le voyant DEL indique l’état de l’analyse en cours. S’il clignote, il s’agit d’une mesure de tempo. Lorsqu’il est allumé, l’analyse est terminée et le tempo s’affiche. La mesure va de 80 à 160 battements par minute. La valeur mesurée est affichée avec une décimale. BPM Counter détecte aussi la variation de tempo dans le signal et tente de l’analyser de façon précise. Si le voyant DEL commence à clignoter au cours de la lecture, cela indique que BPM a détecté un tempo qui a dévié du dernier tempo reçu (ou défini). Dès qu’un nouveau tempo constant est reconnu, le voyant DEL s’allume en continu. Cliquez sur le voyant DEL pour réinitialiser BPM Counter. Correlation Meter Le module Correlation Meter affiche la relation de phase d’un signal stéréo.  Une corrélation de +1 (plus un, la position la plus à droite) signifie que les canaux gauche et droit sont à 100 % en corrélation (ils sont complètement en phase).  Une corrélation de 0 (zéro, position centrale) indique la divergence gauche/droite la plus large autorisée, souvent perçue comme un effet stéréo extrêmement large.  Les valeurs de corrélation inférieures à zéro indiquent que du matériel hors phrase est présent, ce qui peut conduire à des annulations de phase si le signal stéréo est combiné en un signal monaural.Chapitre 8 Mesure 137 Level Meter Le module Level Meter affiche le niveau de signal en cours sur une échelle de décibels. Le niveau du signal pour chaque canal est représenté par une mesure bleue. Lorsque le niveau dépasse 0 dB, la partie de la mesure au-dessus du point 0 dB devient rouge. Les instances stéréo de Level Meter montrent les mesures gauche et droite indépendantes, les instances mono n’affichant qu’une mesure. Les instances Surround affichent une mesure pour chaque canal dans une orientation verticale plutôt qu’horizontale. Les valeurs de crête en cours sont affichées numériquement, superposées sur l’écran graphique. Vous pouvez redéfinir ces valeurs en cliquant dans l’écran. Le module Level Meter peut être défini afin d’afficher les niveaux via les caractéristiques Peak, ou Peak & RMS. Sélectionnez simplement le réglage de votre choix dans le menu local (en dessous de la représentation graphique). Les niveaux RMS apparaissent sous forme de barres bleu foncé. Les niveaux Peak apparaissent sous forme de barres bleu foncé. Vous pouvez également choisir de visualiser simultanément les niveaux Peak et RMS. MultiMeter Le module Multimeter fournit un ensemble d’outils de calibrage et d’analyse dans une seule fenêtre. Il s’agit des outils suivants :  l’Analyzer, pour afficher le niveau de chaque bande de fréquence de tiers d’octave,  le Goniometer, pour juger de la cohérence de phase dans le champ sonore stéréo,  le Correlation Meter, pour situer la compatibilité mono phase,  le Level Meter intégré pour afficher le niveau de signal de chaque canal. Il existe aussi une version Surround du Multimeter, avec des paramètres pour chaque canal et une présentation légèrement différente. Pour en savoir plus sur le Surround Multimeter, reportez-vous à la section « Surround MultiMeter » à la page 141.138 Chapitre 8 Mesure Paramètres du module Multimeter L’outil Analyzer ou Goniometer est présenté dans la zone d’affichage principale. Vous pouvez modifier l’affichage et définir d’autres paramètres du Multimeter via les commandes sur la gauche de la fenêtre. L’outil Phase Correlation Meter est toujours visible au bas de la fenêtre et les Level Meters figurent sur la droite. Section Analyzer  Bouton Analyzer : lorsqu’il est utilisé, affiche l’Analyzer au centre de la fenêtre.  Boutons Left, Right, LRMax et Mono : définissent les canaux qui sont affichés dans l’Analyzer. Sélectionner Left ou Right n’affiche que ces canaux, respectivement ; sélectionner LRMax affiche le niveau maximal des entrées stéréo et sélectionner Mono affiche le spectre de la somme mono des deux entrées (stéréo).  Boutons Mode : cliquez sur l’un des boutons pour définir si les niveaux sont affichés via les caractéristiques Peak, Slow RMS ou Fast RMS. Section Goniometer  Bouton Goniometer : permet d’afficher le Goniometer au centre de la fenêtre.  Champ Auto Gain (display only) : définit le niveau d’intensité permettant de compenser les niveaux d’entrée faibles. Vous pouvez définir le niveau Auto Gain par incréments de 10 % ou le désactiver (off).  Champ Decay : définit en combien de temps la trace du Goniometer devient noire. Section Peak  Bouton Hold : permet d’activer la retenue de crête pour tous les outils de mesure du Multimeter. La retenue de crête a les effets suivants :  Dans l’Analyzer, un petit segment jaune au-dessus de chaque mesure de niveau de tiers d’octave identifie le niveau de crête le plus récent.  Dans le Goniometer, tous les pixels mis en évidence dans l’écran restent en place au cours de la retenue de crête. Chapitre 8 Mesure 139  Dans le Correlation Meter, une zone horizontale qui s’étend autour de l’indicateur de corrélation blanc montre les déviations de corrélation de phase, dans les deux directions. Une ligne rouge verticale sur la gauche de l’indicateur de corrélation montre en permanence la valeur de déviation de phase négative maximale. Vous pouvez réinitialiser cette ligne en cliquant dessus au cours de la lecture.  Dans Level Meter, un petit segment jaune au-dessus de chaque mesure de niveau stéréo identifie le niveau de crête le plus récent.  Menu local Hold Time : lorsque la retenue de crête est active, définit la durée de retenue pour tous les outils de mesure sur 2 s, 4 s, 5 s, 6 s ou infinite.  Bouton Reset : cliquez dessus pour réinitialiser les segments de retenue de crête de tous les outils de mesure. Écran Graphic Affiche l’outil Analyzer ou Goniometer au centre de la fenêtre. Le Correlation Meter apparaît toujours au bas de la fenêtre et les Level Meters figurent sur la droite de la fenêtre. Utilisation du Multimeter La section suivante fournit des informations sur l’utilisation des différents indicateurs du Multimeter. Analyzer L’Analyzer affiche le spectre de fréquences du signal d’entrée en 31 bandes de fréquence indépendantes. Chaque bande de fréquence représente un tiers d’une octave. Vous pouvez n’afficher qu’une partie du signal d’entrée via l’un des boutons Channel. Sélectionnez le bouton Left ou Right pour afficher ces canaux indépendamment, sélectionnez LRmax pour voir mes niveaux de bande maximaux d’un des canaux ou sélectionnez Mono pour afficher les niveaux du signal stéréo comme une entrée mono récapitulée. Vous pouvez modifier l’échelle des valeurs affichées dans l’Analyzer de différentes façons. Par le biais des paramètres View, qui permettent de définir le niveau maximal affiché et la plage dynamique globale, en faisant glisser verticalement l’échelle dB sur le côté gauche de l’Analyzer. L’ajustement de l’échelle est utile lors de l’analyse de matériel hautement compressé, de sorte que vous puissiez identifier des différences de niveau plus réduites plus facilement en déplaçant et/ou en réduisant la plage d’affichage. Vous pouvez aussi modifier la plage (les valeurs minimale et maximale affichées) en faisant glisser verticalement la zone d’affichage Analyzer et en ajustant la valeur maximale affichée en la faisant glisser verticalement dans la zone d’affichage. Les deux réglages de réponse RMS modes with Slow et Fast montrent la moyenne de signal effective et fournissent une présentation représentative des niveaux de volume perçus. Le mode Peak montre les crêtes de niveau de façon précise.140 Chapitre 8 Mesure Goniometer Un goniomètre permet de juger de la cohérence de l’image stéréo et de déterminer les différences de phase entre les canaux gauche et droit. Les problèmes de phase sont facilement détectables sous la forme d’annulations le long de la ligne centrale (M - mid/mono). Le concept du goniomètre est né suite à l’avènement des premiers oscilloscopes bicanaux. Pour utiliser des appareils tels que des goniomètres, les utilisateurs doivent connecter les canaux stéréo gauche et droit aux entrées X et Y, tout en effectuant une rotation de l’écran de 45 degrés pour aboutir à une visualisation utile de la phase stéréo du signal. La trace du signal devient progressivement noire et prend l’aspect brillant des tubes des goniomètres anciens, ce qui améliore aussi la lisibilité de l’écran. Dans le goniomètre du Multimeter, le paramètre Auto Gain permet d’obtenir une meilleure lisibilité sur les passages à bas niveau, car l’écran compense automatiquement les niveaux d’entrée faibles. Vous pouvez définir le niveau de compensation en incréments de 10 %. N’oubliez pas que pour le Multimeter, Auto Gain est uniquement un paramètre d’affichage qui augmente les niveaux d’affichage afin d’optimiser la lisibilité. Il ne change pas les niveaux audio. Correlation Meter Correlation Meter est un outil de mesure de phase supplémentaire qui calibre la relation de phase d’un signal stéréo. La plage de valeurs de Correlation Meter va de –1 à +1 et différentes valeurs fournissent les indications suivantes :  Une valeur de corrélation +1 indique que les canaux gauche et droit sont en corrélation à 100 %. En d’autres termes, les signaux gauche et droit sont en phase et ont la même forme.  Les valeurs de corrélation dans la zone bleue (entre +1 et la position du milieu) indiquent que le signal stéréo est compatible mono.  La position du milieu indique le niveau acceptable le plus élevé de divergence gauche/droite, qui est souvent audible sous la forme d’un effet stéréo extrêmement étendu.  Lorsque Correlation Meter passe dans la zone rouge à gauche de la position centrale, du matériel hors phase est présent. Cela aboutira à des annulations de phase si le signal stéréo est combiné en un signal mono. Level Meter (Peak/RMS Meter) Le Level Meter affiche le niveau de signal en cours sur une échelle des décibels logarithmique. Le niveau du signal pour chaque canal est représenté par une mesure bleue. Les niveaux RMS et Peak sont présentés simultanément, les niveaux RMS apparaissant sous la forme de mesures bleu foncé et les niveaux Peak sous la forme de mesures bleu clair. Lorsque le niveau dépasse 0 dB, la partie de la mesure au-dessus du point 0 dB devient rouge. Les valeurs de crête en cours sont affichées numériquement (en incréments de dB), au-dessus du Level Meter. Les valeurs sont réinitialisées en cliquant sur l’écran.Chapitre 8 Mesure 141 Surround MultiMeter La version Surround du Multimeter inclut des paramètres supplémentaires pour analyser les fichiers Surround multicanaux. Paramètres de Surround Multimeter Section Analyzer Ces paramètres sont similaires à ceux du Multimeter stéréo, à l’exception des boutons de chaque canal Surround. Vous pouvez sélectionner un seul canal ou une combinaison de canaux. Lors de l’analyse d’une combinaison de canaux, vous pouvez définir l’Analyzer pour qu’il affiche le maximum ou la somme des canaux sélectionnés via les boutons Sum et Max. Section Goniometer Ces paramètres sont similaires à ceux du Multimeter stéréo, à l’exception des boutons de chaque paire de canaux (L–R, Lm–Rm, Ls–Rs), ou pour toutes les paires de canaux (les deux). Lors de l’utilisation du Surround Multimeter dans des configurations d’exactement deux paires de canaux (configurations quadruples, 5.1 et 6.1), le goniomètre peut optionnellement afficher les deux paires en sélectionnant Both. Une paire (pour L-R) s’affiche dans le centre supérieur de l’écran graphique et une autre (pour Ls-Rs) s’affiche dans le centre inférieur. Section Balance/Correlation Dans le Surround Multimeter, le Correlation Meter n’est pas visible lorsque l’Analyzer ou le goniomètre sont actifs, mais il est affiché séparément lorsque vous sélectionnez le bouton Balance/Correlation. La zone mise en surbrillance indique la balance globale du signal Surround. L’indicateur Balance/Correlation combine deux indicateurs en un écran compact, facile à lire. Il est basé sur l’indicateur de balance, montrant le placement du son, tout en incorporant aussi un écran de corrélation qui montre les signaux fortement corrélés sous la forme d’un marqueur, des signaux moins fortement corrélés sous la forme de zones floues et des corrélations négatives en rouge.142 Chapitre 8 Mesure Section Peak (Level Meter) Ces paramètres sont identiques à ceux du Multimeter stéréo. Tuner Vous pouvez accorder les instruments de musique acoustiques et électriques connectés à votre système via le Tuner. Cette opération garantit que vos enregistrements seront accordés avec les instruments logiciels, les échantillons ou les enregistrements existants dans vos projets. Paramètres du Tuner  Écran Graphic tuning : lorsque vous jouez, la hauteur tonale de la note s’affiche dans la zone semi-circulaire, centrée autour de la tonique. Si la mesure jaune se déplace vers la gauche du centre, la note est accordée trop bas, si la mesure jaune se déplace vers la droite du centre, la note est accordée trop haut. Les numéros autour du bord de l’écran montrent la variance, en cents, avec la hauteur tonale cible.  Écran Keynote/Octave : la zone Keynote en haut montre la hauteur tonale cible de la note jouée (la hauteur tonale la plus proche par rapport à l’accord). La zone Octave en bas indique l’octave à laquelle appartient la note. Cela correspond à l’échelle des octaves MIDI, le Do au-dessus du Do central étant représenté par C4, et le Do central représenté par C3.  Potentiomètre et champ Tuning Adjustment : définit la hauteur tonale de la note utilisée comme base pour réaliser l’accord. Par défaut, le Tuner est défini pour que la hauteur tonale du La soit égale à 440 Hz. Tournez le potentiomètre vers la gauche pour baisser la hauteur tonale correspondant à La ou vers la droite pour l’augmenter. La valeur en cours est affichée dans la zone.Chapitre 8 Mesure 143 Utilisation du Tuner Le Tuner est très facile à utiliser. Votre instrument (ou votre micro enregistrant le son d’un instrument acoustique) étant connecté au canal avec le Tuner, jouez une note et observez l’écran. Si la note est accordée trop bas par rapport à la tonique, les segments à gauche du centre sont mis en surbrillance, montrant de combien (en cents) la note est hors tonalité. Si la note est accordée trop haut, les segments à droite du centre sont mis en surbrillance. Accordez votre instrument jusqu’à ce que le segment central soit mis en surbrillance (rouge). Sur l’écran d’accord, la plage est marquée en étapes de demi-tons de ±6 cents près du centre et en incréments plus importants d’un maximum de ±50 cents. 9 145 9 Modulation Les effets de modulation sont utilisés pour ajouter du mouvement et de la profondeur à vos sons. Parmi les effets de modulation on trouve, entre autres, le Chorus, le Flanger et le Phaser, qui enrichissent les sons ou les animent. On obtient souvent ces effets en utilisant un oscillateur basse fréquence (LFO) contrôlé avec des paramètres comme la vitesse, la fréquence et la profondeur (également appelées largeur, la quantité ou l’intensité). Vous pouvez aussi contrôler le ratio du signal soumis à l’effet (humide) et du signal original (sec). Certains effets de modulation comportent en outre des paramètres de retour, qui remettent une partie de la sortie de l’effet dans l’entrée. Logic Studio contient les effets de modulation suivants :  « Chorus » à la page 146  « Ensemble » à la page 146  « Flanger » à la page 147  « Microphaser » à la page 148  « Modulation Delay » à la page 148  « Phaser » à la page 150  « RingShifter » à la page 152  « Rotor Cabinet » à la page 156  « Scanner Vibrato » à la page 158  « Spreader » à la page 159  « Tremolo » à la page 159146 Chapitre 9 Modulation Chorus L’effet Chorus retarde le signal original. Le temps de retard est modulé à l’aide d’un oscillateur basse fréquence (LFO). Le signal retardé et modulé est mixé avec le signal original sec. Vous pouvez utiliser l’effet Chorus pour enrichir le son et donner l’impression qu’il est joué à l’unisson par plusieurs instruments ou voix. Les légères variations dans le temps de retard générées par l’oscillateur basse fréquence simulent les différences subtiles de durée et de hauteur tonale perceptibles lorsque plusieurs personnes jouent ensemble. Le chorus confère en outre davantage d’ampleur et de richesse au signal et peut augmenter le mouvement des sons graves ou soutenus.  Curseur et champ Intensity : détermine la quantité de modulation.  Potentiomètre et champ Rate : détermine la fréquence et donc la vitesse du LFO.  Curseur et champ Mix : détermine la balance entre les signaux sec et humide. Ensemble L’effet Ensemble permet de combiner jusqu’à huit effets de chorus. Deux oscillateurs standard et un oscillateur aléatoire (qui génère des modulations aléatoires) vous permettent de créer des modulations complexes. Le graphique de l’effet Ensemble représente visuellement les signaux traités.  Curseur et champ Voices : détermine le nombre de chorus à utiliser simultanément et donc le nombre de voix (ou signaux) à générer, en plus du signal original. Chapitre 9 Modulation 147  Potentiomètres et champs Rate : utilisez les potentiomètres pour contrôler la fréquence de chaque LFO.  Curseurs et champs Intensity : utilisez ces derniers pour définir la quantité de modulation des différents LFO.  Potentiomètre et champ Phase : contrôle la relation de phase entre les différentes modulations de voix. La valeur sélectionnée ici dépend du nombre de voix, c’est pourquoi elle est représentée sous la forme d’un pourcentage plutôt qu’en degrés. La valeur 100 (ou –100) correspond à la plus grande distance possible entre les phases de modulation de toutes les voix.  Curseur et champ Spread : utilisez ces derniers pour distribuer les voix dans le champ stéréo ou surround. Avec la valeur 200 %, la base stéréo ou surround est étendue artificiellement. Notez que ce réglage peut nuire à la compatibilité monaurale.  Curseur et champ Mix : détermine la balance entre les signaux sec et humide.  Potentiomètre et champ Effect Volume : utilisez ces derniers pour déterminer le niveau du signal de l’effet de manière indépendante. Cet outil s’avère très utile pour compenser les modifications de volume provoquées par les changements du paramètre Voices. Utilisation de l’effet Ensemble en Surround L’effet Ensemble convertit le signal d’entrée en mono avant de le traiter, l’effet Ensemble est donc inséré comme effet multi-canaux en surround dans les canaux surround. Pour accéder aux paramètres Surround de l’effet Ensemble, vous devez insérer l’effet Ensemble en Mono to Surround ou Stereo to Surround. Flanger L’effet Flanger fonctionne un peu comme l’effet Chorus, si ce n’est qu’il utilise un temps de retard nettement plus court. De plus, le signal de l’effet peut être renvoyé dans l’entrée de la ligne de retard. On utilise principalement l’effet Flanger pour donner un style « espace » ou « subaquatique ».  Potentiomètre et champ Rate : détermine la fréquence et donc la vitesse du LFO.  Curseur et champ Intensity : détermine la modulation. 148 Chapitre 9 Modulation  Curseur et champ Feedback : détermine la quantité de signal d’effet renvoyée dans l’entrée. Les valeurs négatives inversent la phase du signal renvoyé.  Curseur et champ Mix : détermine la balance entre les signaux sec et humide. Microphaser L’effet Microphaser est un simple effet de modulation de phase qui permet de créer rapidement des effets de « bruissement » et de phaser avec seulement trois paramètres.  Curseur et champ LFO Rate : détermine la fréquence et donc la vitesse du LFO.  Curseur et champ Feedback : détermine la quantité de signal d’effet renvoyée dans l’entrée.  Curseur et champ Intensity : détermine la quantité de modulation. Modulation Delay L’effet Modulation Delay reprend les mêmes principes que les effets Flanger et Chorus, mais vous pouvez régler le temps du retard, ce qui permet de générer de l’effet Chorus et Flanger. Il peut aussi être utilisé sans modulation pour créer des effets de résonance ou de doublage. La section de modulation comprend deux oscillateurs basse fréquence à fréquences variables.  Curseur et champ Feedback : détermine la quantité de signal d’effet renvoyée dans l’entrée. Pour des effets de Flanger radicaux, saisissez une valeur élevée. Pour un doublage, ne définissez aucun feedback.  Potentiomètre et champ Flanger-Chorus : détermine le temps de retard élémentaire. Positionnez le curseur à l’extrême gauche pour créer des effets de Flanger, au centre pour des effets de Chorus et à l’extrême droite pour entendre très nettement un retard.  Curseur et champ Intensity : définit le taux de modulation.  Bouton De-Warble : activez-le pour vous assurer que la hauteur tonale du signal modulé reste constante. Chapitre 9 Modulation 149  Bouton Constant Mod. (Modulation constante) : activez-le pour vous assurer que la largeur de modulation reste constante, quelle que soit la fréquence de modulation. Notez que lorsque cette option est activée, les fréquences de modulation hautes réduisent la largeur de modulation.  Curseur et champs LFO Mix : détermine la balance entre deux oscillateurs.  Potentiomètres et champs LFO 1 et LFO 2 Rate : utilisez le potentiomètre gauche pour régler la fréquence de modulation du canal stéréo gauche et le bouton droit pour régler celle du canal stéréo droit. Le potentiomètre LFO Rate de droite n’est disponible qu’en stéréo et surround et ne peut être réglé séparément que lorsque le bouton Left Right Link n’est pas activé. En Surround, le canal central se voit attribuer la valeur médiane des potentiomètres LFO Rate de gauche et de droite. Les autres canaux reçoivent des valeurs situées entre les deux fréquences LFO de gauche et de droite.  Bouton LFO Left Right Link (disponible uniquement en stéréo et surround) : activez ce dernier pour lier entre elles les fréquences de modulation des canaux stéréo gauche et droite.  Potentiomètre et champ LFO Phase (disponible uniquement en stéréo et surround) : contrôlent la relation de phase entre les différentes modulations de canal. Sur 0 °, les valeurs extrêmes de la modulation sont atteintes en simultané sur tous les canaux. Les valeurs 180 ° et –180 ° correspondent aux plus grandes distances possibles entre les phases de modulation des canaux. Le paramètre LFO Phase n’est disponible que si le bouton LFO Left Right Link est actif.  Menu Distribution (disponible uniquement en surround) : détermine la façon dont les décalages de phase entre les différents canaux sont distribués dans le champ surround. Vous avez le choix entre les distributions Circular (Circulaire), Random (Aléatoire), Front <> Rear (Avant - Arrière) et Left <> Right (Gauche - Droite). Lorsque vous chargez un réglage qui utilise l’option Random, la valeur du décalage de phase enregistré est rappelée. Si vous souhaitez rendre le réglage de la phase à nouveau aléatoire, choisissez « new random » dans le menu Distribution.  Curseur et champ Vol.Mod. (Modulation du volume) : utilisez ces derniers pour déterminer l’incidence de la modulation du LFO sur l’amplitude du signal de l’effet.  Curseur et champ Output Mix : détermine la balance entre les signaux sec et humide.  Menu True Analog (paramètre étendu) : utilisez ce dernier pour introduire un filtre passe-tout supplémentaire sur le parcours du signal. Un filtre passe-tout décale l’angle de la phase d’un signal, ce qui influence son image stéréo.  Curseurs et champs Analog Left et Analog Right (paramètre étendu) : contrôlent la fréquence à laquelle le déphasage traverse 90 ° (le point à mi-chemin de 180 °) pour chacun des canaux stéréo. En surround, les autres canaux se voient attribuer des valeurs comprises entre ces deux réglages.150 Chapitre 9 Modulation Phaser L’effet Phaser allie le signal original à une copie de l’original légèrement déphasée. Cela signifie que l’amplitude des deux signaux atteint son point maximal et minimal avec un léger décalage temporel. Le décalage entre les deux signaux est modulé par deux LFO indépendants. De plus, l’effet Phaser comprend un circuit de filtrage et un suiveur d’enveloppe intégré qui détecte tout changement de volume dans le signal d’entrée et génère un signal de contrôle dynamique.  Bouton Filter : cliquez sur ce bouton pour activer la section de filtrage permettant de traiter le signal de retour du déphaseur de hauteur tonale.  Potentiomètres et champs LP et HP : utilisez ces derniers pour régler la fréquence de coupure des filtres passe-haut et passe-bas.  Curseur et champ Feedback : détermine la quantité de signal de l’effet renvoyée dans l’entrée.  Curseur et champs Ceiling and Floor : utilisez les poignées du curseur pour définir la plage de fréquences sur laquelle les modulations du LFO doivent porter.  Curseur et champ Order : vous permet de sélectionner un algorithme de modulateur de phase. Plus un modulateur de phase a d’ordres, plus l’effet est fort.  Curseur et champ Env Follow (section Sweep) : détermine la modulation de la plage de fréquences (définie par les contrôles Ceiling and Floor) en fonction du signal d’entrée.  Potentiomètres et champs LFO 1 et LFO 2 Rate : utilisez ces derniers pour définir la vitesse des différents oscillateurs de façon indépendante.  Curseur et champs LFO Mix : détermine la balance entre deux oscillateurs.  Curseur et champ Env Follow (section LFO) : utilisez ces derniers pour définir la modulation de la vitesse du LFO 1 en fonction du signal d’entrée. Chapitre 9 Modulation 151  Potentiomètre et champ Phase (disponible uniquement en stéréo et surround) : contrôlent la relation de phase entre les différentes modulations de canal. Sur 0 °, les valeurs extrêmes de la modulation sont atteintes en simultané sur tous les canaux. Les valeurs 180 ° et –180 ° correspondent aux plus grandes distances possibles entre les phases de modulation des canaux.  Menu Distribution (disponible uniquement en surround) : détermine la façon dont les décalages de phase entre les différents canaux sont distribués dans le champ surround. Vous avez le choix entre les distributions Circular (Circulaire), Random (Aléatoire), Front <> Rear (Avant - Arrière) et Left <> Right (Gauche - Droite). Lorsque vous chargez un réglage qui utilise l’option Random, la valeur du décalage de phase enregistré est rappelée. Si vous souhaitez rendre le réglage de la phase à nouveau aléatoire, choisissez « new random » dans le menu Distribution.  Curseur et champ Output Mix : détermine la balance entre les signaux sec et humide. Les valeurs négatives donnent un mixage de phase inversée de l’effet et un signal direct (sec).  BoutonWarmth : cliquez dessus pour activer un circuit de distorsion supplémentaire, ce qui permet de créer des effets d’overdrive chauds. Réglage des ordres de Phaser Plus un modulateur de phase a d’ordres, plus l’effet est fort. Les réglages 4, 6, 8, 10 et 12 vous permettent d’accéder à cinq algorithmes de phaser différents reproduisant tous les circuits analogiques sur lesquels ils sont modelés et tous conçus pour une application particulière. Rien ne vous empêche de sélectionner des réglages impairs (5, 7, 9, 11), mais ils ne génèrent pas de phasing à proprement parler. Les effets de filtrage en peigne plus subtils produits par les réglages impairs peuvent toutefois s’avérer pratiques à l’occasion.152 Chapitre 9 Modulation RingShifter L’effet RingShifter combine un modulateur en anneau avec un effet de décaleur de fréquence. Ces deux effets étaient populaires dans les années 70 et vivent une sorte de renaissance.  Le modulateur en anneau module l’amplitude du signal d’entrée à l’aide de l’oscillateur intégré ou d’un signal de chaîne latérale. Le spectre de fréquence du signal d’effet qui en résulte est égal à la somme et la différence des fréquences contenues dans les deux signaux originaux. On dit souvent qu’il donne un son métallique. Le modulateur en anneau fut beaucoup utilisé sur des enregistrements de jazz, de rock et de fusion au début des années 70.  Le décaleur de fréquence déplace le contenu de fréquence du signal d’entrée d’une valeur fixe et, ce faisant, altère la relation de fréquence des harmoniques originales. Les sons qui en résultent vont d’effets de phasing mélodieux et amples à des timbres robotiques étranges. Il ne faut pas confondre le décalage de fréquence avec le décalage de hauteur tonale. Le décalage de hauteur tonale transpose le signal original sans altérer sa relation de fréquence harmonique. L’effet RingShifter est composé des groupes de paramètres suivants :  Boutons Mode : déterminent si l’effet RingShifter doit fonctionner comme un décaleur de fréquence ou un modulateur en anneau.  Paramètres Oscillator : configurent l’oscillateur d’onde sinusoïdale interne qui module l’amplitude du signal d’entrée tant en mode décaleur de fréquence qu’en mode OSC du modulateur en anneau.  Paramètres du suiveur d’enveloppe et du LFO : la fréquence de l’oscillateur et le signal de sortie peuvent être modulés à l’aide d’un suiveur d’enveloppe et d’un LFO.  Paramètres Delay : utilisez ces derniers pour retarder le signal de l’effet.  Paramètres Output : la section output de l’effet RingShifter comporte une boucle de retour et des contrôles permettant de définir la largeur stéréo et la quantité de signaux sec et humide. Boutons Mode Paramètres des oscillateurs Paramètres du suiveur d’enveloppe Paramètres LFO Paramètres Delay Paramètres OutputChapitre 9 Modulation 153 Modes Les quatre boutons de mode déterminent si l’effet RingShifter doit fonctionner comme un décaleur de fréquence ou un modulateur en anneau.  Bouton Single (Frequency Shifter) : le décaleur de fréquence génère un seul signal d’effet, décalé. La commande Frequency de l’oscillateur détermine si le signal doit être décalé vers le haut (valeur positive) ou vers le bas (valeur négative).  Bouton Dual (Frequency Shifter) : le glissement de fréquence produit un signal d’effet décalé pour chaque canal stéréo, l’un étant décalé vers le haut, l’autre vers le bas. Le contrôle Frequency de l’oscillateur détermine la direction du décalage dans le canal gauche ou droit.  Bouton OSC (Ring Modulator) : le modulateur en anneau utilise l’oscillateur d’onde sinusoïdale pour moduler le signal d’entrée.  Bouton Side Chain (Ring Modulator) : le modulateur en anneau module l’amplitude du signal d’entrée avec le signal audio attribué via l’entrée latérale. L’oscillateur d’onde sinusoïdale est désactivé et les commandes Frequency ne sont pas accessibles lorsque le mode Side Chain est actif. L’oscillateur Dans les deux modes du décaleur de fréquence et dans le mode OSC du modulateur en anneau, l’oscillateur d’onde sinusoïdale interne est utilisé pour moduler l’amplitude du signal d’entrée. La commande Frequency contrôle la fréquence de l’oscillateur d’onde sinusoïdale.  Dans les modes du décaleur de fréquence, ce paramètre contrôle le glissement de fréquence (vers le haut et/ou vers le bas) à appliquer au signal d’entrée.  Dans le mode OSC du modulateur en anneau, ce paramètre contrôle le contenu de fréquence (timbre) de l’effet qui en résulte. Ce timbre va des effets de trémolo subtils aux sons métalliques. 154 Chapitre 9 Modulation  Commande Frequency : définit la fréquence de l’oscillateur d’ondes sinusoïdales.  Boutons Lin(éaire) et Exp(onentiel) : utilisez ces boutons pour changer l’échelle de la commande Frequency :  L’échelle exponentielle offre des incréments extrêmement petits autour du point 0, ce qui est utile pour la programmation d’effets de phasing et de trémolo.  En mode Lin (linéaire), la résolution de l’échelle est la même sur toute la plage de la commande.  Curseur et champ Env Follower : utilisez ceci pour définir la modulation de l’oscillateur en fonction du signal d’entrée.  Curseur et champ LFO : à utiliser pour déterminer la modulation d’oscillateur par le LFO. Delay Le signal de l’effet est routé après un retard, suivant l’oscillateur.  Potentiomètre et champ Time : détermine le temps de retard.  Bouton Sync : activez-le pour synchroniser le retard par rapport au tempo de votre projet, en valeurs de notes de musique.  Potentiomètre et champ Level : définit le niveau du retard à ajouter au signal du modulateur en anneau ou de décalage de fréquence. Un niveau de 0 passe le signal de l’effet directement à la sortie (dérivation). Output  Potentiomètre et champ Feedback : détermine le signal qui est renvoyé dans l’entrée de l’effet. Chapitre 9 Modulation 155  Potentiomètre et champ Stereo Width : détermine la largeur du signal de l’effet dans le champ stéréo. La largeur stéréo n’affecte que le signal de l’effet RingShifter, pas le signal d’entrée sec.  Potentiomètre et champ Dry/Wet : détermine le ratio entre le signal d’entrée sec et de signal d’effet humide pour le mixage.  Curseur et champ Env Follower : à utiliser pour définir la modulation du paramètre Dry/Wet en fonction du signal d’entrée.  Curseur et champ LFO : détermine la profondeur de modulation du paramètre Dry/Wet par rapport au LFO. Configuration du Feedback Le retour donne au son de l’effet RingShifter un petit quelque chose de plus et est très utile pour une série d’effets spéciaux. Il produit un son de phasing riche lorsqu’il est utilisé en combinaison avec un mouvement d’oscillateur lent. Les effets de filtrage en peigne sont créés en utilisant un feedback élevé avec un retard de courte durée (< 10 ms). L’utilisation de retards plus longs avec le feedback crée des effets de glissement de fréquence en spirale montant et descendant constamment. Sources de modulation La fréquence de l’oscillateur et les paramètres Dry/Wet peuvent être modulés à l’aide du suiveur d’enveloppe et du LFO. La fréquence de l’oscillateur permet même la modulation au travers du point 0 Hz, ce qui permet de changer la direction des oscillations. Envelope Follower Envelope Follower analyse l’amplitude (volume) du signal d’entrée et l’utilise pour créer un signal de contrôle changeant continuellement, une enveloppe de volume dynamique du signal d’entrée. Ce signal de contrôle peut être utilisé pour la modulation.  Bouton Power : active ou désactive le suiveur d’enveloppe.  Curseur et champ Sens(ibilité) : détermine la réactivité du suiveur d’enveloppe par rapport au signal d’entrée. Réglé sur des valeurs basses, il ne réagit qu’aux crêtes de signal dominantes. Réglé sur des valeurs élevées, il suit le signal de plus près, mais peut réagir de façon moins dynamique.  Curseur et champ Attack : détermine le temps de réponse du suiveur d’enveloppe.  Curseur et champ Decay : contrôle le temps que prend le suiveur d’enveloppe pour passer d’une valeur élevée à une valeur basse.156 Chapitre 9 Modulation LFO Le LFO est la seconde source de modulation. Il produit des signaux de contrôle continus et en cycle.  Bouton Power : active ou désactive le LFO.  Curseurs et champs Symmetry et Smooth : ces contrôles forment l’onde du LFO. L’écran de forme d’onde du LFO donne un retour visuel.  Potentiomètre et champ Rate : détermine la vitesse de cycle du LFO.  Bouton Sync : activez-le pour synchroniser les cycles du LFO (fréquence du LFO) avec le tempo du projet à l’aide de valeurs de notes de musique. Rotor Cabinet L’effet Rotor Cabinet émule le style « Leslie » de l’enceinte de haut-parleur rotative d’un orgue Hammond. Il simule à la fois l’enceinte de haut-parleur rotatif avec et sans déflecteurs et les microphones qui captent le son.  Boutons Rotor speed : déterminent la vitesse du rotor. Chorale permet de sélectionner un mouvement lent, Tremolo un mouvement rapide et Brake arrête le rotor.  Menu Cabinet Type : vous avez le choix entre plusieurs tailles, formes et matériaux de cabine.  Curseur Horn Deflector : active ou désactive le déflecteur du double pavillon de l’enceinte du rotor. La désactivation du déflecteur augmente la modulation de l’amplitude, son activation diminue la modulation de fréquence.  Menu Motor Control : permet de sélectionner un des modes qui définissent la vitesse des contrôles de graves et d’aigus séparément.  Curseur Rotor Fast Rate : à utiliser pour définir la vitesse de rotor maximum possible pour le mode Tremolo. Pendant que vous déplacez le curseur, la vitesse de trémolo (rotation) est affichée en Hertz.Chapitre 9 Modulation 157  Curseur Acc/Dec Scale : détermine la vitesse à laquelle le moteur Leslie accélère les rotors (le temps qu’il faut pour amener les rotors à une vitesse déterminée) et le temps nécessaire pour ralentir.  Curseur Mic Angle : modifie l’angle des microphones simulés. Un angle de 0 ° donne un son mono tandis qu’un angle de 180 ° provoque des annulations de phase.  Curseur Mic Distance : détermine la distance des microphones simulés par rapport à la source sonore. Les valeurs élevées donnent des sons plus sombres et moins définis. Sélection du type de cabine Vous avez le choix entre les types de cabines suivants dans le menu Cabinet Type :  Off : permet de désactiver le rotor. Pour désactiver l’effet du rotor, vous pouvez aussi procéder comme suit : en mode Brake, les haut-parleurs ne tournent pas mais sont toujours captés par les microphones simulés dans une position aléatoire (voir « Vitesse du rotor » plus bas).  Wood : simule une Leslie équipée d’une enceinte en bois et sonne comme les modèles Leslie 122 ou 147.  Proline : simule une Leslie équipée d’une enceinte plus ouverte semblable au modèle Leslie 760.  Single : simule le son d’une Leslie équipée d’un rotor simple full-range. Le son ressemble au modèle Leslie 825.  Split : le signal du rotor de graves est dirigé plus à gauche tandis que le signal du rotor des aigus est dirigé vers la droite.  Wood & Horn IR : ce réglage utilise une réponse d’impulsion (un enregistrement) de Leslie équipée d’une enceinte en bois.  Proline & Horn IR : ce réglage utilise une réponse d’impulsion de Leslie équipée d’une enceinte plus ouverte.  Split & Horn IR : ce réglage utilise une réponse d’impulsion de Leslie dont le signal du rotor des graves est dirigé plus à gauche tandis que le signal du rotor des aigus est dirigé plus à droite. Sélection d’un mode de contrôle du moteur Dans le menu Motor Control, vous pouvez sélectionner différentes vitesses pour les rotors des graves et des aigus :  Normal : les deux rotors utilisent la vitesse définie par les boutons de vitesse de rotor.  Inv (mode inversé) : en mode Tremolo, le compartiment des graves tourne à grande vitesse, alors que le compartiment du pavillon acoustique tourne lentement. C’est l’inverse en mode Chorale. En mode Brake, les deux rotors sont arrêtés.158 Chapitre 9 Modulation  910 : le 910, ou mode « Memphis », arrête la rotation du tambour des graves à basse vitesse, tandis que la vitesse du compartiment du pavillon acoustique peut être réglée. Cela peut être utile si vous recherchez un son de graves solide, mais souhaitez conserver un peu de mouvement dans les aigus.  Sync : l’accélération et la décélération du pavillon acoustique et du tambour de graves sont pratiquement identiques. On a l’impression que les deux sont synchronisés, mais ce n’est clairement audible que pendant l’accélération ou la décélération. Remarque : si vous sélectionnez Single Cabinet dans le menu Cabinet Type, le réglage Motor Ctrl est inopérant, parce qu’il n’y a pas de rotors de graves et d’aigus séparés dans une enceinte acoustique simple. Scanner Vibrato L’effet Scanner Vibrato simule la section d’effet Scanner vibrato d’un orgue Hammond. Vous avez le choix entre trois types de vibrato et de chorus. La version stéréo de l’effet comporte deux paramètres supplémentaires : Stereo Phase et Rate Right. Ces derniers permettent de régler la vitesse de modulation des canaux gauche et droite de façon indépendante.  Potentiomètre Vibrato : détermine les types de vibrato ou de chorus. Le réglage C0 désactive les effets de vibrato et de chorus.  Potentiomètre Chorus Int : détermine l’intensité du type d’effet de chorus sélectionné. Si vous avez choisi un effet de type vibrato, ce paramètre n’a pas d’effet.  Potentiomètre Stereo Phase : s’il est réglé sur une valeur comprise entre 0 et 360 degrés, il détermine la relation de phase entre les modulations du canal gauche et du canal droit, ce qui donne des effets stéréo synchronisés. Si vous sélectionnez « free », vous pouvez régler la vitesse de modulation du canal gauche et du canal droit séparément.  Potentiomètre Rate Left : détermine la vitesse de modulation du canal gauche lorsque Stereo Phase est réglé sur « free ». S’il est réglé sur une valeur comprise entre 0 et 360 degrés, Rate Left détermine la vitesse de modulation des canaux gauche et droit. Rate Right est inopérant dans ce mode.  Potentiomètre Rate Right : détermine la vitesse de modulation du canal droit lorsque Stereo Phase est réglé sur « free ». Les paramètres stéréo de la version mono de l’effet Scanner Vibrato sont masqués derrière un cache transparent à droite. Chapitre 9 Modulation 159 Spreader Vous pouvez utiliser l’effet Spreader pour élargir le spectre stéréo d’un signal. L’effet décale périodiquement la plage de fréquences du signal original de façon non linéaire, ce qui modifie la largeur perçue du signal.  Curseur et champ Intensity : détermine la modulation.  Potentiomètre et champ Speed : détermine la fréquence et donc la vitesse du LFO.  Curseur et champ Channel Delay : détermine la durée du retard en échantillons.  Curseur et champ Mix : détermine la balance entre les signaux sec et humide. Tremolo L’effet Tremolo module l’amplitude d’un signal, ce qui donne des changements de volume périodiques. On reconnaît parfois cet effet dans les vieux amplis mixtes de guitare (où on l’appelle parfois à tort un vibrato). Le graphique montre tous les paramètres, à l’exception de la fréquence.  Curseur et champ Depth : détermine la modulation.  Potentiomètre et champ Rate : détermine la fréquence et donc la vitesse du LFO.  Potentiomètres et champs Symmetry et Smoothing : utilisez-les pour définir la forme de la modulation.160 Chapitre 9 Modulation  Potentiomètres et champs Phase (disponible uniquement en stéréo et surround) : contrôlent la relation de phase entre les différentes modulations de canal. Sur 0 °, les valeurs extrêmes de la modulation sont atteintes en simultané sur tous les canaux. Les valeurs 180 ° et –180 ° correspondent aux plus grandes distances possibles entre les phases de modulation des canaux.  Menu Distribution (disponible uniquement en surround) : détermine la façon dont les décalages de phase entre les différents canaux sont distribués dans le champ surround. Vous avez le choix entre les distributions Circular (Circulaire), Random (Aléatoire), Front <> Rear (Avant - Arrière) et Left <> Right (Gauche - Droite). Lorsque vous chargez un réglage qui utilise l’option Random, la valeur du décalage de phase enregistré est rappelée. Si vous souhaitez rendre le réglage de la phase à nouveau aléatoire, choisissez « new random » dans le menu Distribution.  Curseur et champ Offset (paramètre étendu) : détermine le décalage de la modulation (cycle) vers la gauche ou vers la droite, ce qui donne des variations de trémolo subtiles ou plus évidentes. Symmetry et Smoothing Si Symmetry est réglé sur 50 % et Smoothing sur 0 %, la modulation a une forme rectangulaire. Cela signifie que le timing du signal à plein volume est égal à celui du signal à faible volume, et que le passage d’un état à l’autre se fait de façon abrupte. Vous pouvez définir le ratio de temps entre le son et le silence à l’aide de Symmetry et définir un fondu d’entrée ou de sortie à l’aide de Smoothing.10 161 10 Hauteur tonale Vous pouvez utiliser les effets Pitch de Logic Studio pour transposer ou corriger la hauteur tonale des pistes audio. Ces effets peuvent aussi être utilisés pour créer des parties à l’unisson ou légèrement plus fournies ou même des voix harmoniques. Logic Studio inclut les effets de hauteur tonale suivants :  « Pitch Correction » à la page 161  « Pitch Shifter II » à la page 165  « Vocal Transformer » à la page 167 Pitch Correction Vous pouvez utiliser le module Pitch Correction pour corriger la hauteur tonale des pistes audio. Une intonation incorrecte est un problème courant dans le cas de pistes vocales, par exemple. Les artefacts acoustiques pouvant être introduits par le processus sont infimes et peuvent être à peine entendus, tant que vos corrections sont modérées. La correction fonctionne en accélérant et en ralentissant la vitesse de lecture, en vérifiant que le signal d’entrée (le chant) correspond toujours à la hauteur tonale de note correcte. Si vous utilisez l’algorithme pour corriger des intervalles plus importants, vous pouvez créer des effets spéciaux. Les éléments naturels de la performance, comme la respiration, sont préservés. Une gamme peut-être définie comme une grille de quantification de hauteur tonale. Les notes dont l’intonation est incorrecte seront corrigées en fonction de cette grille. Remarque : il n’est pas possible d’ajuster les enregistrements polyphoniques (choeurs sur une piste) et les signaux hautement percussifs, constitués de parties fortes prédominantes, en fonction d’une hauteur tonale spécifique. Que cela ne vous empêche pas de tenter d’utiliser le module sur des pistes de batterie.162 Chapitre 10 Hauteur tonale Paramètres du module Pitch Correction  Boutons Normal et Low : déterminent le plage de hauteur tonale analysée (pour les notes devant être corrigées).  Bouton Use Global Tuning : permet d’utiliser les réglages Tuning du projet pour le processus de correction de hauteur tonale. Si ce bouton est désactivé, vous pouvez utiliser le champ Ref. Pitch pour définir l’accord de référence voulu, en cents.  Champ Scale : cliquez pour choisir différentes grilles de quantification de hauteur tonale dans le menu Scale.  Champ Root : cliquez pour choisir la note d’origine de la gamme.  Clavier : cliquez sur une tonalité pour exclure la note correspondant des grilles de quantification de hauteur tonale. La tonalité est supprimée de la gamme, aboutissant à des corrections de notes qui sont forcées vers la hauteur tonale (tonalité) disponible la plus proche.  Boutons Bypass : permettent d’exclure la note correspondante de la correction de hauteur tonale. En d’autres termes, toutes les notes correspondant à cette hauteur tonale ne seront pas corrigées. Cela est applicable aux grilles de quantification de gammes utilisateur et prédéfinies. Le bouton Bypass All permet de comparer rapidement les signaux corrigés et d’origine ou peut être utilisé pour les modifications d’automatisation.  Boutons Show Input et Show Output : ces boutons permettent d’afficher la hauteur tonale du signal d’entrée et de sortie, respectivement, sur les notes du clavier.  Écran Correction Amount : indique le niveau de modification de la hauteur tonale. Le marqueur rouge indique le niveau de correction moyen sur une longue période.  Curseur et champ Response : déterminent la vitesse à laquelle la voix atteint la hauteur tonale de destination corrigée.  Curseur et champ Detune : désaccordent le signal entrant de la valeur définie. Chapitre 10 Hauteur tonale 163 Utilisation du module Pitch Correction Vous pouvez utiliser les boutons Normal et Low pour déterminer la plage de hauteur tonale où rechercher les notes à corriger. Normal est la plage par défaut, qui fonctionne pour la plupart des morceaux audio. Low ne doit être utilisé que pour le morceau audio contenant des fréquences extrêmement basses (sous 100 Hz), ce qui peut aboutir à une détection de hauteur tonale inexacte. Ces paramètres n’ont aucun effet sur le son, il s’agit simplement d’options de suivi pour la plage de hauteur tonale cible choisie. Définition de la grille de quantification de hauteur tonale Le menu Scale permet de choisir différentes grilles de quantification de hauteur tonale. La gamme définie manuellement (avec le clavier) est appelée la gamme utilisateur. Le réglage par défaut est la gamme chromatique. Les autres noms de gammes sont explicites. Si vous n’êtes pas sûr des intervalles utilisés dans une gamme donnée, faites votre choix dans le menu Scale et vérifiez les valeurs figurant sur le clavier. Vous pouvez modifier toute note de la gamme en cliquant sur les touches du clavier. De tels ajustements écraseront les réglages de la gamme utilisateur existante. Il n’existe qu’une seule gamme utilisateur par projet. Vous pouvez cependant en créer plusieurs et les enregistrer comme fichiers de réglages Pitch Correction. ? Astuce : la gamme Drone utilise une quinte comme grille de quantification, la gamme Single définit une seule note. Ces deux gammes ne sont pas censées produire des voix chantées réalistes, par conséquent, si vous recherchez des effets un peu spéciaux, vous devriez les essayer. Cliquez sur le champ Root pour choisir la note d’origine de la gamme dans un menu local. Deux gammes sont exclues : les gammes utilisateur et chromatique—car il n’existe pas de note d’origine (aucune). Vous pouvez transposer librement les gammes majeures et mineures, ainsi que les gammes portant des noms d’accords. Vous pouvez utiliser le clavier pour exclure des notes de la grille de quantification de hauteur tonale. Lorsque vous ouvrez le module pour la première fois, toutes les notes de la gamme chromatique sont sélectionnées. Cela signifie que chaque note entrante sera modifiée pour correspondre à la prochaine étape de demi-ton de la gamme chromatique. Si l’intonation du chanteur est insuffisante, cela peut aboutir à une identification et donc à une correction incorrecte des notes. Par exemple, le chanteur peut avoir eu l’intention de chanter un Mi, mais il est plus proche d’un Ré#. Si vous ne voulez pas de Ré# dans le morceau, la touche Ré# peut être désactivée sur le clavier. Étant donné que la hauteur tonale d’origine était plus proche d’un Mi que d’un Ré, elle sera corrigée en Mi. Remarque : les réglages sont valables pour toutes les plages d’octaves. Il n’existe pas de réglages individuels pour les différentes octaves. 164 Chapitre 10 Hauteur tonale Exclusion de notes de la correction L’utilisation des petits boutons bypass (byp) au-dessus des touches vertes (noires) et sous les touches bleues (blanches) exclut les notes de la correction. Ceci est très utile pour les notes caractéristiques du blues. Il s’agit de notes passant d’une hauteur tonale à une autre, rendant la tonalité difficile à identifier comme étant majeure ou mineure. Comme vous le savez peut-être, l’une des principales différences entre le Do mineur et le Do majeur est le Mib (Mi bémol) et le Sib (Si bémol), au lieu du Mi et du Si. Les chanteurs de Blues glissent entre ces notes, créant un incertitude ou une tension entre les gammes. L’utilisation des boutons bypass permet de laisser inchangées des tonalités particulières Si vous activez le bouton Bypass All, le signal d’entrée n’est ni traité ni corrigé. Ceci est utile pour les corrections ponctuelles de hauteur tonale via l’utilisation de l’automatisation. Le bouton Bypass All est optimisé pour effectuer un contournement transparent dans toutes les situations. ? Astuce : vous vous rendrez souvent compte qu’il vaut mieux ne corriger que les notes ayant le plus de gravité harmonique. Par exemple, choisissez la gamme « sus 4 » et définissez la note d’origine en fonction de la tonalité du projet. Cela va limiter la correction à la note d’origine, la quarte et la quinte de la gamme de tonalités. Mettez toutes les autres notes en mode Bypass et seulement les notes les plus importantes et les plus sensibles seront corrigées, le reste du chant restant inchangé. Définition de l’accord de référence Les réglages File > Project Settings > Tuning déterminent la référence d’accord pour tous les instruments logiciel. Si vous employez Use Global Tuning dans la fenêtre Pitch Correction, les réglages d’accord du projet seront utilisés pour le processus de la hauteur tonale. Si ce paramètre est désactivé, vous pouvez utiliser le champ Ref. Pitch pour définir l’accord de référence voulu. Exemple : l’intonation d’une ligne vocale est souvent légèrement trop haute ou trop basse sur un morceau entier. Utilisez le paramètre Reference Pitch pour résoudre ce problème à l’entrée du processus de détection de la hauteur tonale. Définissez la Tonalité de référence pour refléter la déviation de tonalité constante en centièmes. Cela permet une correction plus précise de la tonalité. Remarque : des accords différents de l’accord des instruments logiciels peuvent être intéressants, lorsque vous voulez corriger individuellement les notes des chanteurs d’un choeur. Si toutes les voix étaient toutes corrigées individuellement et parfaitement à la même hauteur tonale, l’effet du choeur serait partiellement perdu. Vous pouvez éviter cela en (dés) accordant les corrections de hauteur tonale individuellement.Chapitre 10 Hauteur tonale 165 Définition de la réponse aux modifications de hauteur tonale Utilisez le paramètre Response pour déterminer la vitesse à laquelle la voix atteint la hauteur tonale (corrigée) de destination. Les chanteurs utilisent le portamenti et d’autres techniques de glissé. Si vous choisissez une valeur Response trop élevée, les portamenti transparents deviennent des glissandi sur demi-ton, mais l’intonation sera parfaite. Si la valeur de réponse est trop faible, la hauteur tonale du signal de sortie ne changera pas assez vite. La réponse aux modifications de hauteur tonale est indiquée en millisecondes. Le réglage optimal pour ce paramètre dépend du style de chant, du tempo, du vibrato et de la qualité des performances d’origine. Présentation de l’écran Correction Amount Le degré de hauteur tonale modifié est indiqué dans la mesure horizontale affichée sous le clavier. Le marqueur rouge indique le niveau de correction moyen sur une longue période. Si vous consultez attentivement cet écran, vous pouvez l’utiliser pour deux tâches importantes : pour mieux comprendre le fonctionnement interne de l’algorithme et ajuster la réponse en conséquence. Vous pouvez aussi faire appel à cet écran lors de discussions (et d’optimisations) relatives à l’intonation vocale avec un chanteur au cours d’une session d’enregistrement. Automatisation du module Pitch Correction Ce module peut être entièrement automatisé. Cela signifie que vous pouvez automatiser les paramètres Scale et Root afin qu’ils soient conformes aux harmonies du morceau. Selon la qualité de l’intonation d’origine, la définition de la gamme de tonalités peut suffire. Des intonations plus faibles peuvent nécessiter des modifications plus importantes des paramètres Scale et Root. Pitch Shifter II Le module Pitch Shifter II offre un moyen simple de combiner une version du signal dont la tonalité a été changée avec le signal d’origine.166 Chapitre 10 Hauteur tonale Paramètres du module Pitch Shifter II  Curseur et champ Semi Tones : définissent la valeur de changement de tonalité en demi-tons.  Curseur et champ Cents : contrôlent le désaccordage de la valeur de changement de tonalité en cents (100èmes d’un demi-ton).  Boutons Drums, Speech et Vocals : sélectionnez l’un des trois préréglages pour optimiser le fonctionnement de Pitch Shifter II pour les types courants de morceau audio :  Drums laisse le groove de la piste d’origine intact.  Vocals conserve l’intonation de l’original sans changement. Ce bouton convient donc bien pour les signaux harmoniques ou mélodieux par nature, comme les nappes de cordes.  Speech offre un compromis entre les deux en tentant de conserver les aspects rythmiques et harmoniques du signal. Il convient bien pour les signaux complexes comme les enregistrements parlés, le rap et d’autres signaux hybrides comme une guitare rythmique.  Curseur et champ Mix : définit la quantité de signal traité mixé avec le signal d’origine.  Menu local Timing (paramètres étendus) : définit si le contrôle du temps est conforme aux préréglages (Preset) sélectionnés, crée un préréglage en analysant le signal entrant (auto), ou utilise les réglages des paramètres Delay, Crossfade et Stereo Link, décrit ci-dessous (Manual). Les trois paramètres suivants sont actifs uniquement lorsque l’option Manual est choisie dans le menu local Timing  Curseur et champ Delay : définissent le délai appliqué au signal d’entrée. Plus les fré- quences du signal d’entrée sont profondes, plus le délai défini doit être élevé (long) afin de transposer réellement la hauteur tonale du signal.  Curseur et champ Crossfade : définissent le degré de fondu enchaîné entre les deux pointeurs qu’utilise Pitch Shifter afin d’analyser le signal d’entrée.  Menu local Stereo Link : choisissez Inv. pour inverser les signaux des canaux stéréo, le traitement pour le canal droit ayant lieu à gauche et vice versa. Choisir Normal ne génère aucun changement du signal.Chapitre 10 Hauteur tonale 167 Utilisation de Pitch Shifter II Définissez le degré de transposition (changement de tonalité) avec le paramètre Semi Tones, puis définissez le degré de désaccordage via le paramètre Cents. Utilisez l’un des trois préréglages (Drums, Vocals ou Speech) en fonction du morceau que vous utilisez. Pour les autres types de morceau, vous pouvez essayer chacun des préréglages (en commençant par Speech), comparer les résultats et utiliser celui qui convient le mieux. Lors d’essais et de comparaisons de différents réglages, il est souvent utile de définir temporairement le paramètre Mix sur 100 % pour entendre l’effet maximal du traitement. N’oubliez pas que les effets de Pitch Shifter II sont beaucoup plus difficiles à entendre si le paramètre Mix est défini sur un pourcentage inférieur. Dans la présentation Controls du Pitch Shifter II, vous pouvez créer vos propres préréglages, via les paramètres Delay et Crossfade. Ces paramètres ne sont actifs que lorsque vous sélectionnez l’option Manual dans le menu Timing. Vous pouvez aussi sélectionner l’option Auto ; Pitch Shifter créera alors automatiquement des préréglages en analysant le signal entrant. Le paramètre Stereo Link permet d’inverser les signaux des canaux stéréo, le traitement pour le canal droit ayant lieu à gauche et vice versa. Vocal Transformer Vocal Transformer permet de manipuler les pistes vocales de nombreuses façons différentes. Vous pouvez l’utiliser pour transposer la hauteur tonale d’une ligne vocale, pour augmenter ou réduire la plage de la mélodie ou même la réduire à une seule note, afin de mettre en miroir les hauteurs tonales d’une mélodie. Quelle que soit la façon dont vous modifiez les hauteurs tonales de la mélodie, les formants restent inchangés. Vous pouvez modifier les formants de façon indépendante, ce qui signifie que vous pouvez transformer une piste vocale en une voix de type « Mickey Mouse », tout en conservant la hauteur tonale d’origine. Vocal Transformer est bien adapté aux effets vocaux extrêmes. Les meilleurs résultats sont obtenus avec les signaux monophoniques, y compris les pistes instrumentales monophoniques. Le module n’est pas conçu pour les voix polyphoniques (un choeur sur une seule piste, par exemple) ou d’autres pistes « choristiques ». Paramètres du module Vocal Transformer  Potentiomètre et champ Pitch : détermine le degré de transposition appliqué au signal d’entrée. 168 Chapitre 10 Hauteur tonale  Glide (paramètre étendu) : détermine la durée de la transformation vocale, autorisant des transitions par glissement vers la valeur Pitch définie.  Potentiomètre et champ Formant : changent les formants du signal d’entrée.  Menu Formants (paramètres étendus) : détermine si Vocal Transformer traite tous les formants (réglage « Process always »), ou uniquement les ceux de type sonore (réglage « Keep unvoiced formants »). L’option « Keep unvoiced formants » laisse inchangé le bruit sifflant caractéristique d’une représentation vocale. Pour certaines applications, ce réglage produit un effet de transformation avec une sonorité plus naturelle.  Bouton Robotize : cliquer sur ce bouton permet de faire passer Vocal Transformer en mode Robotize. Le mode Robotize est utilisé pour augmenter, diminuer ou mettre en miroir la mélodie.  Curseur et boutons Tracking (uniquement disponible en mode Robotize) : contrôlent la façon dont la mélodie est modifiée en mode Robotize.  Curseur et champ Pitch Base (uniquement disponible en mode Robotize) : permettent de transposer la note suivie par le paramètre Tracking.  Curseur et champ Mix : définissent le rapport de niveaux entre les signaux d’origine (secs) et d’effet.  Champ et curseur Grain Size (paramètre étendu) : l’algorithme de Vocal Transformer est basé sur une synthèse granulaire. Le paramètre Grain Size vous permet de définir la taille des grains et affecte donc la précision du processus. Faites des essais afin de déterminer le meilleur paramètre. Essayez d’abord Auto. Définition des paramètres Pitch et Formant Le paramètre Pitch transpose la hauteur tonale du signal (jusqu’à) deux octaves vers le haut ou vers le bas. Les ajustements sont faits par étapes de demi-ton. Les hauteurs tonales entrantes sont indiquées par une ligne verticale sous le champ Pitch Base. Les transpositions d’une quinte vers le haut (hauteur tonale = +7), une quarte vers le bas (hauteur tonale = –5) ou d’une octave (hauteur tonale = ±12) sont les plus utiles harmoniquement. En modifiant le paramètre Pitch, vous remarquerez peut-être que les formants ne changent pas. Les formants sont des emphases caractéristiques de certaines plages de fréquences. Ils sont statiques et ne changent pas avec la hauteur tonale. Les formants définissent le timbre spécifique d’une voix humaine donnée. Le paramètre Pitch est expressément utilisé pour modifier la hauteur tonale d’une voix, pas son caractère. Si vous définissez des valeurs Pitch négatives pour une voix de soprano féminine, vous pouvez la transformer en voix alto, sans modifier le caractère spécifique de la voix de la chanteuse.Chapitre 10 Hauteur tonale 169 Le paramètre Formant change les formants, tout en conservant —ou en modifiant de façon indépendante—la hauteur tonale. Si vous définissez ce paramètre sur des valeurs positives, le chanteur a la voix de Mickey Mouse. En baissant la valeur du paramètre, vous pouvez obtenir des voix similaires à celle de Dark Vador. ? Astuce : si Pitch est défini sur 0 demi-tons, Mix sur 50 % et Formant sur +1 (Robotize étant désactivé), vous pouvez véritablement rajouter un chanteur (avec une plus petite tête) en parallèle au vrai chanteur. Ils chanteront tout deux avec la même voix, comme un choeur de deux personnes. Cet effet de choeur est très convaincant et est facilement contrôlé avec le paramètre Mix. Utilisation du mode Robotize Si vous activez le mode Robotize, Vocal Transformer peut augmenter ou diminuer la mélodie. Vous pouvez contrôler l’intensité de cette distorsion avec le paramètre Tracking. Les quatre boutons –1, 0, 1 et 2 définissent le curseur Tracking sur les valeurs –100 %, 0 %, 100 % et 200 %, respectivement. Ces boutons ont un rôle purement pratique car ils permettent de définir plus rapidement le paramètre Tracking sur les réglages les plus utiles.  À une valeur de 100 % (bouton 1), la plage de la mélodie est conservée. Les valeurs les plus élevées augmentent la mélodie et les valeurs les plus faibles la diminuent.  À une valeur de 200 % (bouton 2) les intervalles sont doublés.  La valeur 0 % (bouton 0) donne des résultats intéressants, chaque syllabe de la piste vocale étant chantée à la même hauteur tonale. Les valeurs faibles transforment les lignes chantées en énoncé parlé.  À une valeur de –100 % (bouton –1), tous les intervalles sont mis en miroir. Le paramètre Pitch Base est utilisé pour transposer la note suivie par le paramètre Tracking. Exemple : la note parlée, si Tracking est défini sur 0 %. 11 171 11 Réverbération Vous pouvez utiliser les effets de type Reverb (réverbération) pour simuler le son d’environnements acoustiques tels que des pièces, des salles de concerts, des cavernes ou le son d’un espace infini. Les sons rebondissent sur les surfaces ou les objets d’un espace donné, de manière répétée, puis s’éteignent progressivement jusqu’à devenir inaudibles. Les ondes sonores du bounce produisent un « schéma de réflexion », plus connu sous le nom de réverbération (Reverb). La première étape d’une réverbération consiste en un certain nombre de réflexions séparées que vous pouvez distinguer clairement avant que l’apparition du champ diffus (ou queue de réverbération). Ces réflexions précoces sont essentielles à la perception que vous avez de l’espace d’une pièce. Toutes les informations relatives à la taille et à la forme d’une pièce et qui peuvent être distinguées par l’oreille humaine sont contenues dans ces réflexions précoces. Signal Discrete reflections Diffuse reverb tail Reflection pattern/reverberation Time172 Chapitre 11 Réverbération Planches, effets de réverbération numériques et réverbération à convolution La première forme de réverbération utilisée dans la production musicale était une pièce spéciale dotée de surfaces rigides, appelée chambre d’écho. Elle était utilisée pour ajouter des échos au signal. Des appareils mécaniques, y compris des planches et des ressorts, étaient utilisés pour ajouter un effet de réverbération à la sortie des instruments musicaux et des microphones. Avec l’enregistrement numérique sont apparus les effets de réverbération numériques, qui se composent de milliers de retards de longueur et d’intensité variables. L’intervalle entre le signal d’origine et l’arrivée des réflexions précoces peut être ajusté par un paramètre généralement appelé un predelay (pré-retard). Le nombre moyen de réflexions dans une période donnée est défini par le paramètre de densité. La régularité ou l’irrégularité de la densité est contrôlée par le paramètre de diffusion. Avec l’augmentation continue de la puissance informatique, les caractéristiques de réverbération d’espaces réels ont pu être reproduites, grâce aux réverbérations à convolution. Ces enregistrements échantillons des caractéristiques d’une pièce sont appelés « réponse impulsionnelle ». Les réverbérations à convolution fonctionnent par convolution (combinaison) d’un signal audio avec l’enregistrement par réponse impulsionnelle des caractéristiques de réverbération d’une pièce. Le présent chapitre décrit les effets de réverbération inclus dans Logic Studio :  AVerb  SilverVerb  GoldVerb  PlatinumVerb  Enverb  Space Designer : Space Designer propose une réverbération à convolution, décrite séparément dans le chapitre « Convolution Reverb : Space Designer » à la page 183 et suivantes.  « Soundtrack Pro Reverb » à la page 181. AVerb Le module AVerb est un effet de réverbération simple qui utilise un paramètre pour contrôler à la fois les réflexions précoces de l’effet et le champ diffus : Density/Time. Une valeur faible génère souvent des groupes de réflexions précoces clairement perceptibles et crée un effet similaire à l’écho. L’utilisation de valeurs élevées produit un effet similaire à la réverbération. Chapitre 11 Réverbération 173 Le module AVerb constitue un outil rapide et facile permettant de créer toute une gamme d’effets sonores intéressants « d’espace » et « d’écho ». Il ne représente toutefois pas le choix idéal pour la simulation d’environnements acoustiques réels.  Predelay : détermine l’intervalle de temps entre le signal d’origine et les réflexions précoces du signal de réverbération.  Reflectivity : définit le degré de réflexivité des murs, plafonds et sols imaginaires. La rigidité d’un mur et sa composition (verre, pierre, bois, moquette, etc.), ont un impact considérable sur la tonalité de la réverbération.  Room Size: définit les dimensions des pièces simulées.  Density/Time : détermine à la fois la densité et la durée de la réverbération.  Mix : détermine la balance entre les signaux d’effet (mouillés) et directs (secs). EnVerb Le module EnVerb est un effet de réverbération polyvalent doté d’une fonctionnalité unique : il vous permet d’ajuster librement l’enveloppe de la queue de réverbération diffuse. L’interface peut être divisée en trois zones :  Paramètres Time : ces paramètres déterminent le temps de retard du signal d’origine et de la queue de réverbération et modifient la queue de réverbération dans le temps. L’écran graphique fournit une représentation numérique de l’enveloppe de la réverbération.  Paramètres Sound : cette zone vous permet de définir le son du signal de réverbération. Vous pouvez également utiliser le paramètre Crossover pour fractionner le signal entrant en deux bandes et définir le niveau de la bande de fréquence basse.  Paramètre Mix : détermine la balance entre les signaux d’effet (mouillés) et directs (secs).174 Chapitre 11 Réverbération Paramètres Time  Dry Signal Delay : détermine le retard du signal d’origine. Vous ne pouvez entendre le signal sec que lorsque le paramètre Mixage est défini sur une valeur autre que 100 pour cent.  Predelay : définit l’intervalle de temps entre le signal d’origine et le point de départ de la phase d’attaque de la réverbération (toute première phase de la première réflexion).  Attack : définit le temps nécessaire à la réverbération pour atteindre son niveau le plus haut.  Decay : définit le temps nécessaire pour que le niveau de réverbération passe du point culminant au niveau de maintien (Sustain).  Sustain : définit le niveau de réverbération qui reste constant tout au long de la phase de maintien. Ce niveau est exprimé en pourcentage du volume total du signal de réverbération.  Hold : définit la durée de la phase de sustain.  Release : définit le temps nécessaire à la réverbération pour se terminer en fondu, une fois la phase de maintien terminée. Paramètres du son  Density : définit la densité de la réverbération.  Spread : contrôle l’image stéréo de la réverbération. À une valeur de 0 pour cent, l’effet génère une réverbération monophonique. À 200 pour cent, la base stéréo est étendue de manière artificielle.  High Cut : les fréquences situées au-dessus de la valeur définie sont filtrées à partir de la queue de réverbération.  Crossover : définit la fréquence à laquelle le signal d’entrée est fractionné en deux bandes de fréquences pour qu’elles soient traitées séparément.  Low Freq Level : détermine le niveau relatif de réverbération des fréquences situées au-dessous de la fréquence de répartition. Dans la plupart des cas, on obtient des résultats sonores plus satisfaisants en définissant des valeurs négatives pour ce paramètre.Chapitre 11 Réverbération 175 GoldVerb Le module GoldVerb vous permet de modifier les réflexions précoces et les queues de réverbération diffuses séparément, ce qui facilite l’émulation précise des environnements réels. L’interface peut être divisée en quatre groupes de paramètres :  Paramètres Early Reflections : cette section permet d’émuler les premières réflexions du signal d’origine lorsqu’elles rebondissent sur les murs, le plafond ou le sol d’une pièce.  Paramètres Reverb : cette section contrôle les réverbérations diffuses.  Paramètre Balance ER/Reverb : contrôle la balance entre les sections Early Reflections et Reverb. Lorsque vous placez le curseur sur l’une des extrémités, la section inutilisée est désactivée.  Paramètre Mix : détermine la balance entre les signaux d’effet (mouillés) et directs (secs). Paramètres Early Reflection  Predelay : détermine l’intervalle de temps entre le début du signal d’origine et l’arrivée des réflexions précoces.  Room Shape : définit la forme géométrique de la pièce. La valeur numérique (entre 3 et 7) représente le nombre d’angles dans la pièce. L’écran graphique fournit une représentation visuelle de ce réglage.  Room Size : définit les dimensions de la pièce. La valeur numérique indique la longueur des murs, c’est-à-dire la distance entre deux angles.  Stereo Base : définit la distance entre les deux microphones virtuels que vous utilisez dans la pièce simulée. Le fait d’éloigner légèrement les microphones d’une largeur plus importante que la distance entre les deux oreilles offre généralement de meilleurs résultats. Vous pouvez obtenir des résultats plus proches de la réalité si vous choisissez d’utiliser la distance entre les deux oreilles. Ce paramètre n’est disponible que pour les effets en stéréo. Paramètres Reverb  Initial Delay : détermine l’intervalle de temps entre le signal d’origine et la queue de réverbération diffuse. 176 Chapitre 11 Réverbération  Density : contrôle la densité de la queue de réverbération diffuse.  Diffusion (paramètres étendus) : définit la diffusion de la queue de réverbération.  Reverb Time : temps nécessaire pour que le niveau de réverbération diminue de 60 dB.  High Cut : les fréquences situées au-dessus de la valeur définie sont filtrées à partir du signal de réverbération.  Spread : contrôle l’image stéréo de la réverbération. À une valeur de 0 pour cent, l’effet génère une réverbération monophonique. À 200 pour cent, la base stéréo est étendue de manière artificielle. Réglage du pré-retard et du retard initial En pratique, un pré-retard trop court a tendance à rendre difficile le repérage de la position du signal. Le son du signal d’origine peut également en être coloré. Inversement, un pré-retard trop long peut être perçu comme un écho non naturel. Cela peut également séparer le signal d’origine de ses réflexions précoces et faire apparaître un intervalle de temps audible. Le réglage optimal du pré-retard dépend du type (ou de l’enveloppe) du signal. Les signaux percussifs requièrent généralement des pré-retards plus courts que les signaux pour lesquels les attaques diminuent progressivement. Il est recommandé d’utiliser le pré-retard le plus long possible avant d’entendre des effets secondaires indésirables, tels qu’un écho audible. Si vous souhaitez obtenir une sonorité naturelle et une réverbération harmonieuse, la transition entre les réflexions précoces et la queue de réverbération doit être aussi fluide et transparente que possible. Réglez le retard initial de sorte qu’il soit le plus long possible, sans qu’il soit possible de percevoir un intervalle de temps entre les réflexions précoces et la queue de réverbération. Réglage de la densité et de la diffusion En règle générale, vous souhaitez que le signal soit aussi dense que possible. Toutefois, le fait d’utiliser une valeur de Density faible signifie que l’effet consomme moins de puissance. Au-delà, dans de rares cas, une valeur haute peut colorer le son. Vous pouvez résoudre ce problème en réduisant simplement la valeur de la densité. Inversement, si vous sélectionnez une valeur trop faible, la queue de réverbération aura un son granuleux. Les valeurs de diffusion haute représentent une densité régulière, avec quelques modifications en termes de niveau, de temps et de balance. Des valeurs de diffusion basse génèrent une densité de réflexion irrégulière et granuleuse. Le spectre stéréo est également modifié.Chapitre 11 Réverbération 177 Réglage du temps de réverbération Le temps de réverbération est souvent considéré comme le temps nécessaire pour que le niveau d’un signal de réverbération diminue de 60 dB. C’est pourquoi le temps de réverbération indiqué est souvent RT60. La plupart des pièces réelles possèdent un temps de réverbération compris entre une et trois secondes. Cette durée est réduite par les surfaces absorbantes et les meubles. Pour un grand hall ou une grande église vide, ce temps peut atteindre jusqu’à huit secondes, voire plus pour les lieux caverneux ou les cathédrales. Réglage du High Cut Les surfaces inégales ou absorbantes (papier peint, lambris, tapis, etc.) ont tendance à mieux renvoyer les basses fréquences que les hautes. Le filtre High Cut reproduit cet effet. Si vous définissez le filtre passe-haut de façon qu’il soit totalement ouvert, le son de la réverbération sera proche du son d’une pièce en pierre ou en verre. PlatinumVerb Le module PlatinumVerb vous permet de modifier les réflexions précoces et les queues de réverbération diffuse séparément, ce qui facilite l’émulation précise des environnements réels. La section Reverb à double bande divise le signal entrant en deux bandes, chacune d’entre elles pouvant alors être traitée et modifiée séparément. L’interface peut être divisée en quatre groupes de paramètres :  Paramètres Early Reflections : cette section permet d’émuler les premières réflexions du signal d’origine lorsqu’elles rebondissent sur les murs, le plafond ou le sol d’une pièce.  Paramètres Reverb : cette section contrôle les réverbérations diffuses.  Paramètre Balance ER/Reverb : contrôle la balance entre les sections Early Reflections et Reverb. Lorsque vous placez le curseur sur l’une des extrémités, la section inutilisée est désactivée.  Section Output : détermine la balance entre les signaux d’effet (mouillés) et directs (secs).178 Chapitre 11 Réverbération Paramètres Early Reflection  Predelay : détermine l’intervalle de temps entre le début du signal d’origine et l’arrivée des réflexions précoces.  Room Shape : définit la forme géométrique de la pièce. La valeur numérique (entre 3 et 7) représente le nombre d’angles dans la pièce. L’écran graphique fournit une représentation visuelle de ce réglage.  Room Size: définit les dimensions de la pièce. La valeur numérique indique la longueur des murs, c’est-à-dire la distance entre deux angles.  Stereo Base (disponible uniquement dans les instances stéréos) : définit la distance entre les deux microphones virtuels que vous utilisez dans la pièce simulée. Le fait d’éloigner légèrement les microphones d’une largeur plus importante que la distance entre les deux oreilles offre généralement de meilleurs résultats. Vous pouvez obtenir des résultats plus proches de la réalité si vous choisissez d’utiliser la distance entre les deux oreilles.  ER Scale (paramètre étendu) : définit les réflexions précoces le long de l’axe temporel et influence simultanément les paramètres de forme de la pièce, de taille de la pièce et de base stéréo. Paramètres Reverb  Initial Delay : détermine l’intervalle de temps entre le signal d’origine et la queue de réverbération diffuse.  Spread : contrôle l’image stéréo de la réverbération. À une valeur de 0 pour cent, l’effet génère une réverbération monophonique. À 200 pour cent, la base stéréo est étendue de manière artificielle.  Crossover : définit la fréquence à laquelle le signal d’entrée est fractionné en deux bandes de fréquences pour qu’elles soient traitées séparément.  Low Ratio : détermine le temps de réverbération de la bande basse par rapport au temps de réverbération de la bande haute. Ce rapport est exprimé en pourcentage, entre 0 et 200 pour cent.  Low Freq Level : définit le niveau de la réverbération basse. À 0 dB, le volume des deux bandes est identique.  High Cut : les fréquences situées au-dessus de la valeur définie sont filtrées à partir du signal de réverbération.  Density : contrôle la densité de la queue de réverbération diffuse.  Diffusion : définit la diffusion de la queue de réverbération.  Reverb Time : détermine le temps de réverbération de la bande haute. Paramètres Output  Dry : détermine le taux du signal d’origine.  Wet : détermine le taux du signal d’effet.Chapitre 11 Réverbération 179 Réglage du pré-retard et du retard initial En pratique, un pré-retard trop court a tendance à rendre difficile le repérage de la position du signal. Le son du signal d’origine peut également en être coloré. Inversement, un pré-retard trop long peut être perçu comme un écho non naturel. Cela peut également séparer le signal d’origine de ses réflexions précoces et faire apparaître un intervalle de temps audible. Le réglage optimal du pré-retard dépend du type (ou de l’enveloppe) du signal. Les signaux percussifs requièrent généralement des pré-retards plus courts que les signaux pour lesquels les attaques diminuent progressivement. Il est recommandé d’utiliser le pré-retard le plus long possible avant d’entendre des effets secondaires indésirables, tels qu’un écho audible. Si vous souhaitez obtenir une sonorité naturelle et une réverbération harmonieuse, la transition entre les réflexions précoces et la queue de réverbération doit être aussi fluide et transparente que possible. Réglez le retard initial de sorte qu’il soit le plus long possible, sans qu’il soit possible de percevoir un intervalle de temps entre les réflexions précoces et la queue de réverbération. Réglage de la densité et de la diffusion En règle générale, vous souhaitez que le signal soit aussi dense que possible. Toutefois, le fait d’utiliser une valeur de Density faible signifie que l’effet consomme moins de puissance. Au-delà, dans de rares cas, une valeur haute peut colorer le son. Vous pouvez résoudre ce problème en réduisant simplement la valeur de la densité. Inversement, si vous sélectionnez une valeur trop faible, la queue de réverbération aura un son granuleux. Les valeurs de diffusion haute représentent une densité régulière, avec quelques modifications en termes de niveau, de temps et de balance. Des valeurs de diffusion basse génèrent une densité de réflexion irrégulière et granuleuse. Le spectre stéréo est également modifié. Réglage du temps de réverbération Le temps de réverbération est souvent considéré comme le temps nécessaire pour que le niveau d’un signal de réverbération diminue de 60 dB. C’est pourquoi le temps de réverbération indiqué est souvent RT60. La plupart des pièces réelles possèdent un temps de réverbération compris entre une et trois secondes. Cette durée est réduite par les surfaces absorbantes et les meubles. Pour un grand hall ou une grande église vide, ce temps peut atteindre jusqu’à huit secondes, voire plus pour les lieux caverneux ou les cathédrales.180 Chapitre 11 Réverbération Réglage du High Cut Les surfaces inégales ou absorbantes (papier peint, lambris, tapis, etc.) ont tendance à mieux renvoyer les basses fréquences que les hautes. Le filtre High Cut reproduit cet effet. Si vous définissez le filtre passe-haut de sorte à ce qu’il soit totalement ouvert, le son de la réverbération sera proche du son d’une pièce en pierre ou en verre. Réglage du temps de réverbération et de la bande de fréquence basse Vous pouvez utiliser le contrôle du faible rapport pour corriger le temps de réverbération de la bande de fréquence basse. À 100 pour cent, le temps de réverbération des deux bandes est identique. Avec des valeurs moins élevées, le temps de réverbération des fréquences situées en deçà de la fréquence de répartition est plus court. Avec des valeurs supérieures à 100 pour cent, le temps de réverbération des fréquences basses est plus long. Ces deux phénomènes se produisent dans les environnements naturels. Dans la plupart des mixages, il est préférable d’utiliser un temps de réverbération plus court. Par exemple, si vous utilisez le module PlatinumVerb sur une boucle de batterie de type « kick and snare », l’utilisation d’un temps de réverbération court pour le battement bas (kick) vous permet de définir un signal mouillé beaucoup plus élevé. Le curseur Low Freq Level vous permet d’augmenter ou d’atténuer le niveau de la bande de fréquence basse. Dans la plupart des mixages, il est particulièrement recommandé de définir le signal de réverbération de la fréquence basse à un niveau inférieur. Cela vous permet d’augmenter le niveau de l’instrument grave et de le rendre plus vivant. Les effets de masque de l’extrémité inférieure en sont par ailleurs atténués. SilverVerb Le module SilverVerb est similaire au module AVerb, mais il fournit un LFO supplémentaire que vous pouvez utiliser pour moduler le signal résultant de la réverb. Il comprend également un filtre passe-haut et un filtre passe-bas qui vous permettent de filtrer les fréquences à partir du signal de réverbération. Les fréquences hautes produisent généralement un son peu agréable, altèrent l’intelligibilité des paroles ou masquent les accents du signal d’origine. Les queues de réverbération longue dont l’extrémité est importante produisent généralement un mixage « mou ». Chapitre 11 Réverbération 181  Predelay : détermine l’intervalle de temps entre le signal d’origine et le signal de réverbération.  Reflectivity : définit le degré de réflexivité des murs, plafonds et sols imaginaires.  Room Size: définit les dimensions des pièces simulées.  Density/Time : détermine à la fois la densité et la durée de la réverbération.  High Cut : les fréquences situées au-dessus de la valeur définie sont filtrées à partir du signal de réverbération. Notez que cela n’affecte que la tonalité de la réverbération, et non le signal source.  Low Cut : les fréquences situées en dessous de la valeur définie sont filtrées à partir de la queue de réverbération. Comme indiqué précédemment, cela affecte uniquement le signal de réverbération.  Mod Rate : définit la fréquence (vitesse) du LFO.  Modulation Phase : définit la phase de modulation entre les canaux gauche et droite du signal de réverbération. À une valeur de 0 °, les valeurs extrêmes (minimum ou maximum) de la modulation sont atteintes simultanément sur les canaux gauche et droite. À une valeur de 180 °, les valeurs extrêmes opposées l’une à l’autre (le canal de gauche au minimum et le canal de droite au maximum, ou inversement) sont atteintes simultanément.  Mod. Intensity : définit le taux de modulation. Dans le cas d’une valeur nulle (0), la modulation du retard est désactivée.  Mix : détermine la balance entre le signal d’effet et le signal sec. Soundtrack Pro Reverb La Soundtrack Pro Reverb offre un effet de réverbération simple ne nécessitant que des ressources processeur limitées. Vous pouvez l’utiliser sur du matériel audio musical et non musical.  Curseur et champ Mix (dry/wet mix %) : détermine le rapport entre le signal d’origine (sec) et le signal soumis à l’effet (mouillé) à la sortie.  Curseur et champ Decay (decay %) : détermine le pourcentage du signal traité qui est renvoyé dans l’effet.12 183 12 Convolution Reverb : Space Designer Space Designer est un module de réverbération à convolution Vous pouvez l’utiliser pour créer des réverbérations plus vraies que nature. Space Designer génère des réverbérations en combinant un signal audio avec un échantillon de la réverbération de la réponse impulsionnelle. Imaginez par exemple que vous appliquiez Space Designer sur une piste vocale. Si vous chargez une réponse impulsionnelle enregistrée à l’opéra dans Space Designer, ce dernier combine la réponse impulsionnelle de l’opéra avec la piste vocale et place l’interprète directement sur la scène de l’opéra. Une réponse impulsionnelle est l’enregistrement du caractère de réverbération d’une salle ; en d’autres termes, il s’agit de l’enregistrement de toutes les réflexions dans une pièce, suite à un pic de signal initial. Le fichier de réponse impulsionnelle est, quant à lui, un fichier audio standard. Ce n’est pas le type de fichier qui est unique, c’est l’utilisation que vous en faites. Space Designer peut fonctionner avec un effet mono, stéréo, true stereo (ce qui signifie que chaque canal est traité individuellement) ou Surround. Il ne se contente pas de charger des réponses impulsionnelles existantes, il offre également des fonctions de création de sons, comme des enveloppes, des filtres, des égaliseurs et des contrôles de balance stéréo/Surround, grâce auxquels vous disposez d’une maîtrise sans précédent de la dynamique, du timbre et de la durée par le biais d’un ensemble complet de paramètres. En outre, Space Designer inclut une fonction intégrée de synthétisation des réponses impulsionnelles. 184 Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer Vous pouvez utiliser Space Designer pour créer une réverbération hautement réaliste si vous faites appel à une réponse impulsionnelle enregistrée dans un espace réel ou créer un effet totalement unique si vous utilisez une réponse impulsionnelle synthé- tisée ne correspondant à aucun espace réel. Si vous créez une réponse impulsionnelle à partir de votre signal audio, la convolution peut être employée pour placer ce dernier dans n’importe quel type d’espace, y compris un caisson de haut-parleur, un jouet en plastique, etc. De plus, grâce aux fonctions étendues de traitement audio de Space Designer, vous pouvez adapter précisément son espace à votre matériel. Space Designer comprend les groupes de paramètres suivants :  Paramètres de réponse impulsionnelle : utilisez ces paramètres pour charger, enregistrer ou manipuler les fichiers de réponse impulsionnelle. Le fichier choisi détermine les paramètres utilisés par Space Designer pour effectuer la convolution avec votre signal audio. Ceux-ci constitueront les paramètres initiaux que vous utiliserez pour charger votre fichier de réponse impulsionnelle, ainsi que les paramètres finaux si vous souhaitez enregistrer votre réponse impulsionnelle synthétisée. reportez-vous à la section « Paramètres de réponse impulsionnelle », à la page 186.  Paramètres globaux : une fois votre réponse impulsionnelle chargée, vous utilisez ces paramètres généraux pour ajuster la façon dont Space Designer agit sur le signal et sur la réponse impulsionnelle. Les paramètres globaux incluent des paramètres d’entrée et de sortie, de retard et de compensation du volume, de pré-retard, etc. Ces paramètres affectent le traitement global de Space Designer, contrairement aux groupes de paramètres spécifiques qui ne concernent qu’un aspect particulier du traitement de Space Designer. reportez-vous à la section « Paramètres globaux », à la page 189. Paramètres Filter Paramètres Volume Envelope Paramètres de réponse impulsionnelle Écran Envelope and EQChapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer 185  Écran Envelope and EQ : utilisez la barre de boutons supérieure pour faire basculer l’affichage des enveloppes à l’égaliseur. Vous pouvez modifier les paramètres sélectionnés de façon graphique ou numérique dans l’écran lui-même.  Paramètres Volume envelope : utilisez l’enveloppe de volume pour animer de façon dynamique le volume de votre réverbération pendant toute la durée de la réponse impulsionnelle. reportez-vous à la section « Paramètres Volume Envelope », à la page 198.  Paramètres Filter : vous pouvez modifier le timbre de la réverbération Space Designer à l’aide de ces paramètres de filtre de résonance. Vous pouvez choisir entre divers modes de filtrage, régler la résonance du filtre, ajuster l’enveloppe de filtre de façon dynamique au fil du temps et ajuster l’enveloppe de volume. reportez-vous à la section « Paramètres Filter », à la page 199.  Paramètres de réponse impulsionnelle synthétisée : si vous avez suffisamment exploité la réponse impulsionnelle originale, vous pouvez en synthétiser une nouvelle à partir des paramètres modifiés. Utilisez-les pour ajuster l’enveloppe de densité, ainsi que d’autres paramètres de réponse impulsionnelle synthétisée. reportez-vous à la section « Paramètres de réponse impulsionnelle synthétisée », à la page 201.  EQ : pour finaliser le son créé, Space Designer inclut un égaliseur intégré à quatre bandes, soit deux filtres shelving et deux filtres paramétriques. Utilisez ces paramètres pour optimiser le son de votre réverbération comme vous le souhaitez. reportez-vous à la section « Paramètres EQ », à la page 203. Important : afin d’effectuer la convolution de données audio en temps réel, Space Designer doit d’abord calculer les ajustements de paramètres nécessaires pour la réponse impulsionnelle. Cette opération peut prendre quelques instants à partir du moment où vous modifiez les paramètres ; son état d’avancement est indiqué par une barre de progression bleue. Pendant ce temps-là, vous pouvez continuer d’ajuster les paramètres. Une fois que le calcul commence, la barre bleue est remplacée par une barre rouge pour vous prévenir que le calcul est en cours.186 Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer Paramètres de réponse impulsionnelle Space Designer peut utiliser des fichiers de réponse impulsionnelle ou bien ses propres réponses synthétisées. La zone circulaire à gauche de l’écran Envelope and EQ contient les paramètres de réponse impulsionnelle. Depuis cette zone, vous pouvez déterminer le mode de réponse impulsionnelle (mode IR Sample impulsionnelle ou Synthesized IR), charger ou créer des réponses impulsionnelles et définir la fréquence d’échantillonnage.  Bouton IR Sample : cliquez sur ce bouton pour faire passer Space Designer en mode IR Sample. L’échantillon chargé est utilisé pour générer la réverbération.  Bouton à flèche IR Sample : cliquez dessus pour charger une réponse impulsionnelle.  Paramètre Sample Rate : détermine la fréquence d’échantillonnage de la réponse impulsionnelle chargée.  Option Preserve Length : activez cette option pour préserver la durée de la réponse impulsionnelle lorsque vous modifiez la fréquence d’échantillonnage.  Paramètre Length : permet d’ajuster la durée de la réponse impulsionnelle.  Bouton Synthesized IR : cliquez dessus pour faire passer Space Designer en mode Synthesized IR. Avec ce mode, Space Designer génère une nouvelle réponse impulsionnelle synthétisée à partir des valeurs des paramètres de durée, d’enveloppe, de filtre, d’égaliseur et de diffusion. Vous pouvez librement passer d’un échantillon de réponse impulsionnelle à une réponse impulsionnelle synthétisée sans perdre les paramètres de l’un ou de l’autre. Reportez-vous à la rubrique « Paramètres de réponse impulsionnelle synthétisée » pour plus d’informations sur l’utilisation du mode Synthesized IR. Utilisation du mode IR Sample Lorsque vous cliquez sur le bouton IR Sample pour la première fois, une zone de sélection de fichier s’ouvre, dans laquelle vous pouvez sélectionner le fichier de réponse impulsionnelle souhaité dans un dossier de votre disque dur ou un CD. Si vous avez déjà chargé un fichier de réponse impulsionnelle, ce bouton permet de repasser du mode Synthesized IR au mode IR Sample.Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer 187 Chargement de réponses impulsionnelles Pour modifier la réponse impulsionnelle en cours, cliquez sur la flèche vers le bas, à droite du bouton. Vous accédez ainsi aux options de menu suivantes :  Load IR : charge un échantillon de réponse impulsionnelle sans modifier les enveloppes.  Load IR & Init : charge un échantillon de réponse impulsionnelle et initialise les enveloppes.  Show in Finder : ouvre une fenêtre de recherche affichant l’emplacement du fichier. Le nom du fichier de réponse impulsionnelle chargé et sa durée s’affichent dans la fenêtre Envelope de l’écran principal. Toutes les réponses impulsionnelles fournies avec Logic Studio sont installées dans le dossier /Bibliothèque/Audio/Impulse Responses/Apple. Le nom par défaut des fichiers de déconvolution est constitué du nom du fichier source suivi de l’extension .SDIR. Formats de réponse impulsionnelle Tout fichier AIFF, SDII ou WAV mono ou stéréo peut être utilisé. Par ailleurs, Space Designer prenant en charge les formats Surround jusqu’à 7.1, les fichiers audio individuels et au format B comprenant une réponse impulsionnelle Surround unique peuvent également être utilisés. Réglage du paramètre Sample Rate Le curseur Sample Rate permet de déterminer la fréquence d’échantillonnage d’une réponse impulsionnelle. Vous avez le choix parmi les réglages suivants :  Orig : Space Designer utilise la fréquence d’échantillonnage actuelle du projet. Lorsqu’il charge une réponse impulsionnelle, Space Designer convertit automatiquement la fréquence d’échantillonnage de la réponse impulsionnelle pour qu’elle corresponde à celle actuellement associée au projet (si nécessaire). Par exemple, cela vous permet de charger une réponse impulsionnelle de 44,1 kHz dans un projet s’exécutant à 96 kHz, et vice versa.  /2, /4, /8 : ces réglages correspondent à des demi-divisions de la valeur précédente (un demi, un quart, un huitième). Exemples :  Si la fréquence d’échantillonnage du projet est de 96 kHz, les options disponibles seront 48 kHz, 24 kHz et 12 kHz.  Si la fréquence d’échantillonnage du projet est de 44,1 kHz, les options disponibles seront 22,05 kHz, 11,025 kHz et 5512 Hz. 188 Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer Si vous modifiez la fréquence d’échantillonnage, la fréquence de la réponse impulsionnelle augmente ou diminue, ainsi que sa durée et, dans une certaine mesure, la qualité sonore globale de la réverbération. Cela dit, ne vous inquiétez pas trop si la bande passante maximale de la queue de réverbération est réduite à 11,025 kHz lorsque vous sélectionnez une fréquence d’échantillonnage de 22,05 kHz (la moitié de 44,1 kHz). Les pièces possédant des surfaces naturelles (à l’exception du béton et des tuiles) reflètent très peu ces fréquences élevées. En sélectionnant la moitié de la fréquence d’échantillonnage, la réponse impulsionnelle devient deux fois plus longue. La fréquence la plus élevée pouvant être réverbérée est divisée par deux. Cette fonction entraîne un comportement qui équivaut à doubler chaque dimension d’une pièce virtuelle (et donc multiplier le volume de la pièce par huit). Un autre avantage lié à la réduction de la fréquence d’échantillonnage est que le traitement requiert un processeur beaucoup moins performant ; la solution idéale pour les grandes salles ouvertes consiste donc à utiliser des réglages de fréquence d’échantillonnage réduits de moitié. Si vous activez le bouton Preserve Length, la durée de la réponse impulsionnelle est préservée lorsque vous modifiez la fréquence d’échantillonnage. Manipulez ces deux paramètres comme il vous convient et vous pourrez obtenir des résultats intéressants. Les fréquences d’échantillonnage moins élevées peuvent également être utilisées pour créer des effets sonores numériques de tempo, de tonalité et rétro. Si vous exécutez Space Designer dans un projet qui utilise une fréquence d’échantillonnage plus élevée que la réponse impulsionnelle, vous pouvez également réduire la fréquence d’échantillonnage de cette dernière. Vérifiez que la fonction Preserve Length est activée. La consommation de ressources de processeur est ainsi réduite sans nuire à la qualité de la réverbération. Cette qualité ne diminue pas car la réponse impulsionnelle ne bénéficie pas de la fréquence d’échantillonnage plus élevée du projet. Des ajustements similaires peuvent être effectués lorsque vous vous trouvez en mode Synthesized IR. La plupart des sons typiques d’une réverbération ne présentent pas un contenu très élevé de fréquence. En 96 kHz, vous devriez utiliser un filtre passe-bas pour obtenir la douceur caractéristique de la réponse de fréquence de nombreux sons de réverbération. Avec une approche différente, il est préférable de commencer par réduire les fréquences élevées de moitié ou même d’un quart à l’aide du curseur Sample Rate, puis d’appliquer le filtre passe-bas. Ainsi, vous économisez considérablement les ressources processeur. Réglage de la durée (Length) de la réponse impulsionnelle Vous pouvez utiliser le paramètre Length pour définir la durée de la réponse impulsionnelle (qu’elle provienne d’un échantillon ou qu’elle ait été synthétisée). Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer 189 Toutes les enveloppes sont automatiquement calculées sous la forme d’un pourcentage de la durée globale, ce qui signifie que si vous modifiez ce paramètre, la courbe de votre enveloppe va s’étirer ou se rétrécir pour s’adapter, vous permettant ainsi de gagner du temps. Lorsque vous utilisez un fichier de réponse impulsionnelle, la valeur du paramètre Length ne peut pas excéder la durée de l’échantillon de réponse impulsionnelle proprement dit. Les réponses impulsionnelles plus longues (issues de l’échantillon ou synthé- tisées) entraînent une charge plus lourde sur le processeur. Paramètres globaux L’écran Envelope and EQ de Space Designer contient la plupart des éléments d’interface de Space Designer modifiés pour refléter le groupe de paramètres que vous êtes en train d’ajuster. Les paramètres globaux, répartis dans toute l’interface autour de l’écran Envelope and EQ et en dessous, restent constants. Ils peuvent être divisés par les images de relief de l’interface. La partie supérieure (bombée) de Space Designer contient les paramètres globaux suivants :  Curseur Input : détermine la façon dont Space Designer traite un signal d’entrée stéréo ou Surround. Reportez-vous à la rubrique « Curseur Input » à la page 191 pour de plus amples informations.  Bouton Latency Compensation : active ou désactive la fonction de compensation de la latence interne de Space Designer. Reportez-vous à la rubrique « Latency Compensation » à la page 192 pour de plus amples informations.  Zone Definition : vous permet de configurer Space Designer pour passer à une réponse impulsionnelle moins définie afin d’émuler la diffusion de la réverbération et d’économiser les ressources du processeur. Reportez-vous à la rubrique « Definition » à la page 192 pour de plus amples informations. Écran principal Curseur Input Bouton Latency Compensation Bouton Rev Vol Compensation Curseurs Output Zone Definition190 Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer  Rev Vol Compensation : active la correspondance de volume interne de la réponse impulsionnelle dans Space Designer (reportez-vous à la rubrique « Rev Vol Compensation » à la page 192 pour de plus amples informations).  Curseurs Output : ajustent les niveaux de sortie (reportez-vous à la rubrique « Paramètres Output » pour de plus amples informations). La partie inférieure (plate) de Space Designer contient les paramètres globaux suivants :  Paramètres Filter : activent, ajustent la résonance et sélectionnent le mode du filtre de résonance de Space Designer. Reportez-vous à la rubrique « Paramètres Filter » pour de plus amples informations.  Potentiomètre Pre-Dly : définit le pré-retard de la réverbération ou le temps entre le signal d’origine et les premières réflexions de la réverbération. Reportez-vous à la rubrique « Pre-Delay » pour de plus amples informations.  Potentiomètre IR Start : détermine le point où la lecture de la réponse impulsionnelle doit reprendre. Reportez-vous à la rubrique « Départ d’une réponse impulsionnelle » pour de plus amples informations.  Potentiomètre Spread : pour les réponses impulsionnelles synthétisées, ce paramètre ajuste la largeur stéréo perçue (en stéréo dans Space Designer) ou la largeur Surround (en Surround), afin d’élargir le champ de perception stéréo ou Surround et d’améliorer l’effet associé. Reportez-vous à la rubrique « Paramètres Spread » pour de plus amples informations.  Potentiomètre Xover : définit la fréquence de répartition en deçà de laquelle les réponses impulsionnelles synthétisées seront traitées par le potentiomètre Spread. Reportez-vous à la rubrique « Paramètres Spread » pour de plus amples informations.Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer 191 Curseur Input Le curseur Input fonctionne soit comme un curseur de traitement stéréo pour les instances stéréo de Space Designer, soit comme un curseur de signal LFE pour la réverbération en mode Surround. Ce curseur n’apparaît pas en mono ou mono vers stéréo dans Space Designer. Mode Stereo Pour les situations stéréo de Space Designer, le curseur Input détermine la façon dont un signal stéréo est traité :  Réglage Stereo (haut du curseur) : le signal est traité sur les deux canaux, en conservant la balance stéréo du signal d’origine.  Réglage Mono (milieu du curseur) : le signal est traité en mono.  Réglage XStereo (bas du curseur) : le signal est inversé, c’est-à-dire que le traitement du canal de droite a lieu à gauche et inversement.  Positions intermédiaires : produisent un mélange de signaux d’intercommunications mono et stéréo. ? Astuce : les trois positions de base du curseur Input sont des positions de paramètres clés cliquables : si vous cliquez sur l’une d’elles, le curseur se place immédiatement sur la position correspondante. Mode Surround En situation Surround dans Space Designer, le curseur Input détermine la quantité de signal LFE mixée aux canaux Surround qui alimentent la réverbération. Avec le réglage le plus bas, le curseur fait office de dérivation LFE, suite à laquelle l’intégralité du signal LFE passe par la réverbération sans être traitée.192 Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer Latency Compensation Les calculs complexes effectués par Space Designer prennent du temps. Cela entraîne une latence dans le traitement, ou retard, entre le signal direct (d’entrée) et le signal traité (de sortie). Le bouton Latency Compensation détermine la façon dont Space Designer retarde le signal direct par rapport au signal traité. La latence de traitement de Space Designer est de 128 échantillons à 44,1 kHz et elle double à chaque division de la fréquence d’échantillonnage. Par exemple, si vous placez le curseur Sample Rate de Space Designer sur « /2 », la latence de traitement passe à 256 échantillons. Elle n’augmente pas en mode Surround ou avec des fréquences d’échantillonnage supérieures à 44,1 kHz. Lorsqu’il est activé, ce paramètre retarde le signal direct (dans la section Output) pour le faire correspondre au temps de traitement du signal d’effet. Cela n’a aucune incidence sur la compensation de latence dans l’application hôte : cette compensation a lieu au sein de Space Designer et s’applique exclusivement à ce dernier. Rev Vol Compensation La fonction de compensation du volume de réverbération (Rev Vol Compensation) a pour objectif d’équilibrer les différences de volume perçues (non réelles) des fichiers de réponse impulsionnelle. Elle est activée par défaut et il est généralement préférable de la laisser activée dans ce mode, même si vous constatez qu’elle ne fonctionne pas avec tous les types de réponses impulsionnelles. Dans ce genre de situation, désactivez-la et ajustez les niveaux d’entrée et de sortie de façon appropriée. Definition Le paramètre Definition apparaît dans la zone de définition au bas de l’écran Envelope and EQ. Le calcul de chaque détail précis de la réverbération dérivée d’une réponse impulsionnelle nécessite une grande quantité de ressources processeur. Le paramètre Definition émule la diffusion de motifs de réverbération naturels, tout en réduisant la consommation de ressources processeur de Space Designer.Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer 193 La grande majorité des informations spatiales d’une réverbération naturelle est contenue dans les premières millisecondes. Vers la fin de la réverbération, son motif de réflexion diffuse un contenu de plus en plus dense, comportant moins d’informations spatiales. Afin d’émuler ce phénomène tout en économisant les ressources, vous pouvez configurer Space Designer pour qu’il utilise uniquement la résolution maximale de réponse impulsionnelle au début de la réverbération, puis une résolution moindre vers la fin. Le paramètre Definition fait office de point de répartition au niveau duquel la résolution de réponse impulsionnelle diminue. Le paramètre est affiché en millisecondes (indiquant quand la répartition a lieu) et en pourcentage (100 % correspond à la durée de la réponse impulsionnelle en résolution maximale). Remarque : le curseur Definition apparaît uniquement lorsque vous avez chargé des formats de réponse impulsionnelle intensive de processeur, tels que true stereo. Paramètres Output Les paramètres de sortie vous permettent d’ajuster la combinaison entre signaux directs (secs) et signaux traités. Les paramètres disponibles dépendent de la configuration d’entrée de Space Designer. Configurations Mono et Stereo Si vous insérez Space Designer en tant qu’effet mono, mono vers stéréo ou stéréo, il propose deux curseurs de sortie : un pour le signal direct et un pour le signal de réverbération.  Curseur Dry : définit le niveau du signal non traité (dry). Placez ce curseur sur 0 (muet) si Space Designer est inséré dans un canal de bus ou lorsque vous utilisez des réponses impulsionnelles de modélisation, telles que des simulations de haut-parleur.  Curseur Rev(erb) : ajuste le niveau de sortie du signal traité (wet).194 Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer Configuration Surround Dans les configurations Surround, Space Designer offre quatre curseurs de sortie qui, ensemble, constituent une petite table de mixage de sortie Surround. Ces curseurs ont les fonctions suivantes :  C(enter) : ajuste le niveau de réverbération au centre.  Bal(ance) : définit la balance entre les haut-parleurs L-C-R avant et Ls-Rs arrière. En mode Surround ITU 7.1, la balance pivote autour des haut-parleurs Lm-Rm, en prenant en compte les angles Surround. Avec le Surround SDDS 7.1, les haut-parleurs Lc-Rc sont considérés comme des haut-parleurs avant.  Rev(erb) : ajuste le niveau de sortie du signal traité (wet).  Dry: définit le niveau du signal non traité. Réglez ce paramètre sur 0 (silencieux) lorsque vous utilisez Space Designer sur un canal auxiliaire. Pre-Delay Le pré-retard correspond au temps qui s’écoule entre le signal d’origine et les premières réflexions de la réverbération générée par Space Designer. Pour une pièce d’une taille et d’une forme données, le pré-retard détermine la distance entre l’auditeur et les murs, le plafond et le sol. Bien entendu, Space Designer vous permet d’ajuster ce paramètre séparément et de lui attribuer une valeur plus importante que ce qu’on peut considérer comme naturel. En pratique, avec un pré-retard trop court, il devient difficile de repérer la position du signal. Il peut également colorer le son du signal original. En revanche, un pré-retard trop long peut être perçu comme un écho non naturel. Il peut également dissocier le signal original de ses premières réflexions, ce qui laisse un blanc audible entre les signaux. Le réglage de pré-retard idéal pour créer un espace réaliste dépend des propriétés (ou plus exactement de l’enveloppe) du signal d’origine. Les signaux percussifs requièrent généralement des pré-retards plus courts que les signaux avec lesquels l’attaque diminue progressivement. En règle générale, il est préférable d’utiliser le pré-retard le plus long possible avant que des effets secondaires indésirables ne commencent à se matérialiser, comme un écho perceptible. Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer 195 Évidemment, ces consignes ont pour but de vous aider à concevoir des espaces sonores réalistes. Si vous souhaitez créer des paysages sonores surnaturels à l’aide de Space Designer, faites diverses tentatives avec le paramètre Pre-Delay pour créer des réverbé- rations et des échos d’un autre monde. Départ d’une réponse impulsionnelle Le paramètre IR Start vous permet de déplacer le point de lecture dans la réponse impulsionnelle, ce qui a pour effet de couper le début de la réponse impulsionnelle. Vous pouvez par exemple utiliser le paramètre IR Start pour éliminer les crêtes au début de l’échantillon de réponse impulsionnelle. Il offre également diverses options créatives, telles que son utilisation combinée avec la fonction Reverse (reportez-vous à la rubrique « Barre de boutons » à la page 196). Remarque : le paramètre IR Start n’est pas disponible en mode Synthesized IR. En effet, dans ce mode, ce paramètre n’est pas nécessaire puisque, par nature, le paramètre Length fournit la même fonctionnalité. Écran Envelope and EQ L’écran Envelope and EQ de Space Designer est constitué de deux composants : la barre de boutons dans la partie supérieure et l’écran principal (incluant une barre de paramètres). L’écran lui-même affiche soit l’enveloppe en cours d’édition, soit la courbe de l’égaliseur, en fonction du bouton activé. Barre de boutons Écran principal Affichage dans une vue Envelope Affichage dans une vue EQ Barre des paramètres196 Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer Barre de boutons La barre de boutons de l’écran Envelope and EQ contient permet de passer des enveloppes à l’égaliseur et inversement et comporte quelques boutons de fonction.  Bouton Reset : cliquez sur ce bouton pour réinitialiser les valeurs par défaut de l’enveloppe ou de l’égaliseur actuellement affiché.  Bouton All : cliquez sur ce bouton pour réinitialiser les valeurs par défaut de l’égaliseur et de toutes les enveloppes.  Bouton Volume Env : cliquez sur ce bouton pour afficher l’enveloppe de volume au premier plan sur l’écran principal. Les autres courbes de l’enveloppe s’affichent en transparence en arrière-plan. Reportez-vous à la rubrique « Paramètres Volume Envelope » pour plus d’informations sur l’enveloppe de volume.  Bouton Filter Env : cliquez sur ce bouton pour afficher l’enveloppe de filtre au premier plan sur l’écran principal. Les autres courbes de l’enveloppe s’affichent en transparence en arrière-plan. Reportez-vous à la rubrique « Paramètres Filter » pour plus d’informations sur l’enveloppe de filtre.  Bouton Density Env : cliquez sur ce bouton pour afficher l’enveloppe de densité au premier plan sur l’écran principal. Les autres courbes de l’enveloppe s’affichent en transparence en arrière-plan. Reportez-vous à la rubrique « Paramètres de réponse impulsionnelle synthétisée » pour plus d’informations sur l’enveloppe de densité.  Bouton EQ : cliquez dessus pour basculer l’affichage principal sur l’égaliseur paramétrique à quatre bandes de Space Designer. Reportez-vous à la rubrique « Paramètres EQ » pour plus d’informations sur l’égaliseur de Space Designer.  Bouton Reverse : cliquez sur ce bouton pour inverser la réponse impulsionnelle ainsi que ses enveloppes. Lorsque vous inversez la réponse impulsionnelle, vous utilisez la queue et non la tête de l’échantillon. C’est pourquoi vous devrez peut-être utiliser des valeurs de pré-retard inférieures, voire négatives, en cas d’inversion.Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer 197 Autres éléments visibles dans la fenêtre Envelope Lorsque vous affichez des enveloppes, l’écran principal offre quelques boutons supplémentaires, ainsi qu’une vue d’ensemble non disponible dans la fenêtre EQ :  Vue d’ensemble Impulse response : indique la partie du fichier de réponse impulsionnelle actuellement visible, ce qui vous aide à vous orienter lorsque le zoom est actif.  Bouton Zoom to Fit : activez ce bouton pour afficher la totalité de la forme d’onde de la réponse impulsionnelle. L’écran s’adapte automatiquement à tout changement de durée des enveloppes.  Boutons A et D : cliquez dessus pour limiter la fonction Zoom to Fit aux portions d’attaque et de chute de l’enveloppe (actuellement sélectionnée). Les boutons A et D ne sont disponibles que pour les enveloppes de volume et de filtre. Réglage des paramètres Envelope Space Designer vous permet de modifier les enveloppes de filtre et de volume de toutes les réponses impulsionnelles, ainsi que l’enveloppe de densité des réponses impulsionnelles synthétisées. Vous pouvez ajuster ces trois enveloppes de façon graphique et numérique (dans la barre de paramètres). Alors que certains paramètres sont propres à une enveloppe en particulier, les paramè- tres Attack Time et Decay Time sont associés à toutes les enveloppes : le total cumulé des paramètres Attack Time et Decay Time équivaut à la durée totale de la réponse impulsionnelle, qu’elle soit synthétisée ou issue d’un échantillon (durée totale elle-même déterminée par le paramètre Length, reportez-vous à la rubrique « Réglage de la durée (Length) de la réponse impulsionnelle » à la page 188), sauf si la valeur Decay time est réduite.198 Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer  Vous pouvez modifier la forme de la courbe en cliquant directement sur la courbe de l’enveloppe et en la faisant glisser. Utilisez les petits nœuds associés à une ligne pour réaliser des ajustements plus précis sur les courbes de l’enveloppe. Ces nœuds sont directement attachés à la courbe de l’enveloppe, on peut donc les envisager comme des sortes de « poignées ». Si vous déplacez les nœuds horizontalement ou verticalement, la courbe de l’enveloppe change de forme.  Les gros nœuds sont des indicateurs de valeur des paramètres qui figurent au-dessous, dans la barre de paramètres horizontale (Init Level, Attack Time, Decay Time, etc.). Si vous modifiez une valeur numérique, le nœud correspondant se déplace dans l’écran principal. Essayez de procéder ainsi avec chaque paramètre numérique pour identifier chacun des nœuds. Lorsque vous déplacez le curseur de la souris sur l’un de ces nœuds, une paire de flèches apparaît. Elles indiquent simplement les directions dans lesquelles le nœud peut être déplacé. Paramètres Volume Envelope L’enveloppe de volume vous permet de définir le niveau initial de la réverbération et d’ajuster la façon dont le volume change au fil du temps. Vous pouvez modifier tous les paramètres de l’enveloppe de volume de façon numérique et bon nombre d’entre eux peuvent également être modifiés de façon graphique, à l’aide des techniques décrites dans la rubrique « Réglage des paramètres Envelope ». L’enveloppe de volume comprend les paramètres suivants :  Init Level : définit le niveau de volume initial de l’attaque de la réponse impulsionnelle. Il est exprimé sous la forme d’un pourcentage de l’échelle de volume totale du fichier de réponse impulsionnelle. La phase d’attaque correspond (généralement) au point le plus fort de la réponse impulsionnelle. Réglez le paramètre Init Level sur 100 % pour garantir un volume maximal pour les premières réflexions.  Attack Time : détermine le temps écoulé avant que la phase de chute de l’enveloppe de volume ne commence.  Decay Time : définit la durée de la phase de chute. Nœud Init Level Nœud Attack/Decay Time Nœud Decay Time/End LevelChapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer 199  Boutons de mode Volume decay : cliquez dessus pour sélectionner la courbe de chute du volume.  Exp : la sortie de l’enveloppe de volume est formée par un algorithme exponentiel afin de générer un son de queue de réverbération le plus naturel possible.  Lin : la chute du volume est plus linéaire (et sonne moins naturelle).  End Level : définit le niveau de volume final. Il est exprimé sous la forme d’un pourcentage de l’enveloppe de volume globale. Si vous définissez ce paramètre sur 0 %, la queue de réverbération se coupe brusquement, ce qui produit un effet de réverbé- ration avec « porte de bruit ». Paramètres Filter Les filtres de Space Designer permettent de contrôler le timbre de la réverbération. Les contrôles sont répartis dans deux parties de l’interface Space Designer : les principaux paramètres de filtre se trouvent dans le coin inférieur gauche de Space Designer, tandis que l’enveloppe de filtre figure dans l’écran Envelope and EQ, lorsque le bouton Filter est activé. Vous avez le choix entre différents types de filtres mais, grâce à l’enveloppe, vous contrôlez également la coupure de filtre, indépendamment de l’enveloppe de volume. Toute modification apportée aux réglages du filtre entraîne un nouveau calcul de la réponse impulsionnelle, plutôt qu’un changement direct du son lorsqu’il est joué par la réverbération. Principaux paramètres de filtre  Bouton Filter On/Off : active ou désactive la section de filtre.  Potentiomètre Filter Mode : permet de sélectionner l’un des quatre modes de filtre.  Potentiomètre Reso(nance) : l’ajustement de ce paramètre permet d’accentuer les fréquences au-dessus, autour et en dessous de la fréquence de coupure. Plus la valeur de résonance augmente, plus les basses diminuent et plus le son devient aigu. L’impact de la valeur de résonance sur le son dépend également du mode de filtre sélectionné, les filtres plus sélectifs entraînant une résonance plus prononcée. Réglage du Filter Mode Le potentiomètre Filter Mode permet de choisir entre quatre modes. Cliquez sur la valeur LP (passe-bas) 6 dB et 12 dB, BP (passe-bande) ou HP (passe-haut). 200 Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer  6 dB (LP) : mode de filtre général, pour une qualité correcte. Il peut être utilisé pour conserver l’extrémité supérieure de la plupart des matériaux, tout en appliquant un filtrage.  12 dB (LP) : utile lorsque l’on souhaite un son plus chaud, sans effets de filtre drastiques. Cette fonction est pratique pour atténuer les réverbérations trop vives.  BP : 6 dB par dessin d’octave. Réduit la quantité de signal entourant les valeurs intermédiaires du matériel d’entrée, sans affecter les fréquences autour de la fréquence de coupure.  HP : 12 dB par dessin d’octave/bipolaire. Ce filtre réduit le niveau des fréquences inférieures à la fréquence de coupure. Paramètres Filter Envelope L’enveloppe de filtre vous permet de contrôler la fréquence de coupure du filtre au fil du temps. Tous ses paramètres peuvent être ajustés de façon numérique dans la zone de paramètres ou de façon graphique dans l’écran principal, à l’aide des techniques décrites dans la rubrique « Réglage des paramètres Envelope ». Les paramètres de l’enveloppe de filtre sont :  Init Level : définit la fréquence de coupure initiale de l’enveloppe de filtre.  Attack Time : détermine le temps nécessaire pour atteindre la valeur du niveau de rupture (voir ci-dessous).  Break Level : définit la fréquence de coupure maximale du filtre atteinte par l’enveloppe. Ce paramètre fait également office de point de rupture entre les phases d’attaque et de chute de l’enveloppe de filtre globale. En d’autres termes, lorsque ce niveau est atteint après la phase d’attaque, la phase de chute commence. Vous pouvez créer des trajectoires de filtre intéressantes en définissant le paramètre Break Level sur une valeur inférieure à celle d’Init Level.  Decay Time : détermine le temps nécessaire (après le point Break Level) pour atteindre la valeur End Level.  End Level : définit la fréquence de coupure finale du filtre. Contrôle simultanément le point de fin Attack Time (et le point de départ Decay Time) et les paramètres Break Level. Contrôle simultanément le point de fin Decay et les paramètres End LevelChapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer 201 Paramètres de réponse impulsionnelle synthétisée En mode Synthesizer IR mode, Space Designer génère une réponse impulsionnelle synthétisée, déterminée par les valeurs des paramètres de durée, d’enveloppes, de filtre, d’égaliseur et de diffusion. Pour passer en mode Synthesizer IR mode, activez le bouton correspondant dans la section des paramètres de réponse impulsionnelle. Si vous cliquez sur le bouton Synthesized IR après l’avoir activé, de nouvelles réponses impulsionnelles sont générées de façon aléatoire, avec des motifs de réflexion légèrement différents. L’état de la réponse impulsionnelle en cours est toujours enregistré avec un réglage, ce qui permet une reproduction précise du son de la réverbération lors de son prochain chargement. Density Envelope L’enveloppe de densité vous permet de contrôler la densité de la réponse impulsionnelle synthétisée au fil du temps. Vous pouvez ajuster l’enveloppe de densité de façon numérique dans la barre des paramètres ou bien éditer les paramètres Init Level, Ramp Time et End Level à l’aide des techniques décrites dans la rubrique « Réglage des paramètres Envelope ». Notez que la fonction Density Envelope n’est disponible qu’en mode Synthesized IR. L’enveloppe de densité comprend les paramètres suivants :  Init Level : définit la densité initiale de la réverbération (le nombre moyen de réflexions sur une période donnée). Si vous baissez les niveaux de densité, vous obtenez des motifs de réflexion audibles et des échos distincts.202 Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer  Ramp Time : ajuste la durée écoulée entre le niveau de densité initial et le niveau de densité final.  End Level : définit la densité de la queue de réverbération. Si vous sélectionnez une valeur End Level trop basse, la queue de réverbération aura un son « granuleux ». Il est également possible que le spectre stéréo soit affecté par des valeurs trop basses.  Reflection Shape : détermine la pente (forme) des clusters des premières réflexions lorsqu’elles rebondissent sur les murs, le plafond et le mobilier de l’espace virtuel. Avec des valeurs basses, les clusters ont un contour précis, tandis qu’avec des valeurs élevées, on obtient une inclinaison exponentielle et un son plus harmonieux. Cette fonction s’avère utile pour recréer des pièces constituées de plusieurs matériaux. Le paramètre Reflection Shape, associé aux réglages appropriés d’enveloppes, de densité et de réflexion initiale, vous permet de créer des pièces de toutes les formes et contenant tous types de matériaux. Paramètres Spread Les potentiomètres Spread et Xover permettent d’ajuster la perception de la largeur stéréo ou Surround d’une réponse impulsionnelle synthétisée. Même s’ils font partie des paramètres globaux, ils ne fonctionnent qu’en mode Synthesized IR mode. Remarque : étant donné que ces paramètres ajustent le traitement stéréo ou Surround, ils n’ont aucun impact lorsque vous utilisez Space Designer en tant que module mono. Le paramètre Spread étend la base stéréo ou Surround sur des fréquences inférieures à celle déterminée par le paramètre Xover. Avec une valeur Spread égale à 0, aucune information stéréo ou Surround n’est ajoutée (même si les informations de ce type inhérentes à un signal et à sa réverbération sont conservées). Avec une valeur égale à 100, la divergence entre le canal de gauche et celui de droite est maximale. Le paramètre Spread est exprimé en hertz. Toute réponse impulsionnelle synthétisée ayant une valeur inférieure à ce seuil sera traitée par des ajustements supérieurs à 0 pour le paramètre Spread.Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer 203 L’effet améliore la largeur du signal perçu, sans perdre les informations directionnelles du signal d’entrée que l’on trouve généralement dans la plage de fréquences supérieure. Les fréquences basses sont diffusées vers les côtés, ce qui réduit leur quantité au centre et permet à la réverbération de bien envelopper la version mixée. Paramètres EQ Space Designer inclut un égaliseur à quatre bandes, constitué de deux bandes moyennes et de deux filtres shelving (un pour les aigus, un autre pour les graves). L’égaliseur est doté des paramètres suivants :  Bouton EQ On/Off : cliquez sur ce bouton pour activer ou désactiver l’ensemble de la section de l’égaliseur.  Boutons individuels EQ (1 à 4) : cliquez sur ces boutons pour activer ou désactiver chaque bande de l’égaliseur.  Frequency : définit la fréquence pour la bande d’égaliseur sélectionnée.  Gain : ajuste la réduction ou l’augmentation du gain pour la bande d’égaliseur sélectionnée.  Q : définit le facteur Q des deux bandes paramétriques. Les valeurs du paramètre Q peuvent aller de 0,1 (très étroit) à 10 (très large).204 Chapitre 12 Convolution Reverb : Space Designer Vous pouvez modifier les paramètres de l’égaliseur de façon numérique dans la barre de paramètres ou de façon graphique dans l’écran principal. Déplacez le curseur à l’horizontale sur l’écran. Lorsqu’il se retrouve dans la zone d’accès d’une bande, sa courbe individuelle et sa zone de paramètres sont mises en surbrillance et un point pivot apparaît.  Cliquez sur une bande et faites-la glisser vers la droite ou vers la gauche pour ajuster sa fréquence.  Cliquez sur une bande et faites-la glisser vers le haut pour augmenter la valeur du paramètre Gain ou vers le bas pour la réduire.  Cliquez directement sur le point pivot (éclairé) d’une bande paramétrique, maintenez le bouton de la souris enfoncé et faites-le glisser vers le haut pour augmenter la valeur du paramètre Q ou vers le bas pour la réduire. Automatisation de Space Designer Comme la plupart des autres modules Logic Studio, Space Designer ne peut pas être entièrement automatisé. En effet, Space Designer doit recharger la réponse impulsionnelle (et recalculer la convolution) avant de pouvoir acheminer des données audio. Néanmoins, vous pouvez enregistrer, éditer et lire tout mouvement des paramètres suivants de Space Designer :  Stereo Crossfeed  Direct Output  Reverb Output13 205 13 Modules spécialisés Logic Studio inclut un ensemble de modules spécialisés conçus pour traiter les tâches récurrentes au cours de la production audio. Prenez connaissance de ces effets spécialisés si vous voulez effectuer l’une des opérations suivantes :  Éliminer ou réduire le bruit sous un niveau de seuil (voir la section « Denoiser » à la page 206).  Améliorer le contrôle du temps des enregistrements audio (voir la section « Enhance Timing » à la page 208).  Ajouter des enregistrements numériques plus vivants en ajoutant des composants haute fréquence (voir la section « Exciter » à la page 209).  Varier les enregistrements rythmiquement (voir la section « Grooveshifter » à la page 210).  Améliorer les enregistrements parlés effectués avec le micro interne de votre ordinateur (voir la section « Speech Enhancer » à la page 211).  Ajouter des signaux graves artificiels, dérivés du signal entrant (voir la section « SubBass » à la page 212).206 Chapitre 13 Modules spécialisés Denoiser Le module Denoiser élimine ou réduit les bruits en dessous d’un niveau de volume seuil. Paramètres du module Denoiser  Curseur et champ Threshold : définissent le niveau de volume (le seuil) sous lequel Denoiser réduit le signal.  Curseur et champ Reduce : définissent la quantité de réduction de bruit appliquée aux sons sous le seuil. Lors de la réduction du bruit, n’oubliez pas que chaque réduction de 6 dB est équivalente à la réduction de moitié du niveau de volume (et chaque augmentation de 6 dB correspond au doublement du niveau de volume). Par exemple, si le bruit de fond de votre enregistrement est très élevé (supérieur à 68 dB), le réduire à un niveau compris entre 83 et 78 dB devrait suffire, si cela n’introduit pas d’effets secondaires audibles. Le bruit est réduit de plus de 10 dB, moins de la moitié du volume (bruit) d’origine.  Curseur et champ Noise Type : la valeur indiquée doit être appropriée pour le type de bruit à réduire.  La valeur 0 est égale à un bruit blanc (distribution de fréquences égales).  Les valeurs positives changent le type de bruit en bruit rose (bruit harmonique ; plus grande réponse de basse).  Les valeurs négatives changent le type de bruit en bruit bleu (bruit de bande de type « souffle »).  Potentiomètre Smoothing Frequency : ajuste la façon dont le lissage est appliqué aux fréquences voisines. Lorsque le Denoiser reconnaît que seul du bruit est présent dans une certaine bande de fréquences, plus le paramètre Frequency Smoothing est élevé, plus il modifie également les bandes de fréquences voisines afin d’éviter le bruit de verre.  Potentiomètre Smoothing Time : définit combien de temps met le Denoiser pour atteindre (ou déclencher) une réduction maximale. Il s’agit de la forme la plus simple de lissage. Chapitre 13 Modules spécialisés 207  Potentiomètre Smoothing Transition : ajuste la façon dont le lissage est appliqué aux niveaux de volume voisins. Lorsque le Denoiser reconnaît que seul du bruit est présent dans une certaine plage de volumes, plus le paramètre Transition Smoothing est élevé, plus il modifie également les valeurs de niveau similaires afin d’éviter le bruit de verre.  Écran Graphic : montre comment les niveaux de volume les plus bas de votre morceau audio (qui doit être majoritairement ou entièrement du bruit) sont réduits. Les changements apportés aux paramètres sont instantanément pris en compte sur cet écran, vous devez donc le consulter régulièrement. Utilisation du Denoiser Localisez une section du morceau audio où uniquement du bruit est audible et définissez la valeur Threshold de sorte que seuls les signaux inférieurs ou égaux à ce niveau soient filtrés. Lancez ensuite la lecture et définissez la valeur Reduce en écoutant le morceau audio, pour que le plus de bruit possible soit réduit, mais aussi de façon à réduire le moins possible le signal voulu. Le Denoiser utilise l’analyse FFT (Fast Fourier Transform) pour reconnaître les bandes de fréquences de volume plus faible et de structure harmonique moins complexe, puis les réduit au niveau de dB voulu. En principe, cette méthode est complètement discrète, les fréquences voisines étant aussi affectées. Si vous utilisez le Denoiser de façon trop agressive, cependant, l’algorithme va générer des effets comme du bruit de verre, qui sont bien évidemment artificiels et donc moins souhaitables que le bruit existant dans la plupart des cas. Si l’utilisation du Denoiser génère ces effets, vous pouvez utiliser les trois potentiomètres Smoothing pour les réduire ou les éliminer.208 Chapitre 13 Modules spécialisés Enhance Timing L’effet Enhance Timing améliore de façon non destructrice le contrôle du temps des enregistrements audio. Paramètres du module Enhance Timing  Curseur et champ Intensity : détermine le degré d’amélioration du contrôle du temps. Les éléments transitoires audio qui ne tombent pas sur les divisions de grille (déterminées par la valeur choisie dans le menu Grille) sont corrigées.  Menu Grid : permet de choisir entre plusieurs divisions de grille. Comme décrit ci-dessous, les divisions de grille servent de points de référence pour le processus de correction de contrôle du temps. Utilisation de l’effet Enhance Timing Le module Enhance Timing est conçu pour « resserrer » la lecture (de l’audio enregistré) dans une production. Il peut être utilisé sur divers morceaux et fonctionne en temps réel. À l’évidence, ce type de quantification en temps réel présente certaines limitations. Il ne fonctionne pas bien sur les enregistrements qui ont été lus avec trop de décalage par rapport au rythme. Il en va de même pour les pistes de percussion très complexes, à plusieurs couches. Il améliorera de façon notable le contrôle du temps sur les morceaux percussifs et mélodiques raisonnablement serrés (lus sur la base de croches et de noires). Si de nombreuses corrections du contrôle de temps sont requises et si les éléments transitoires sont modifiés trop avant, il se peut que vous remarquiez un certain nombre d’effets audio. Il est donc important de tenter d’équilibrer la qualité du son et les améliorations du contrôle du temps. Important : pour des raisons techniques, le module Enhance Timing ne fonctionne que sur les pistes audio et doit être inséré dans le logement d’insertion supérieur. Astuce pour les triolets, essayez le réglage de note 1/12 pour les triolets de notes d’un huitième.Chapitre 13 Modules spécialisés 209 Exciter Exciter génère des composants haute fréquence qui ne font pas partie du signal d’origine, via un processus de distorsion non linéaire qui ressemble aux effets de type Overdrive et Distortion. Cependant, contrairement à ces effets, Exciter transmet le signal d’entrée par le biais d’un filtre passe-haut avant de l’intégrer dans le générateur (de distorsion) à formant. Les harmoniques artificiels ajoutés au signal ont alors des fréquences d’au moins une octave supérieure au seuil du filtre passe-haut. Le signal distordu est mixé avec le signal sec d’origine. Vous pouvez utiliser Exciter pour rendre plus vivants des enregistrements numériques. Il convient particulièrement bien aux pistes audio ayant une plage de fréquences à aigus faibles. Exciter est aussi utile pour améliorer les pistes de guitare. Paramètres du module Exciter  Curseur et champ Frequency : détermine la fréquence de coupure (en Hertz) du filtre passe-haut. Le signal d’entrée passe par ce filtre avant que la distorsion (harmonique) ne soit introduite.  Écran Frequency : le graphique affiche la plage de fréquences utilisée comme signal source pour le processus.  Bouton Input : lorsqu’il est sélectionné, le signal d’origine (avant effet) est mixé au signal avec effet. Si vous désactivez Input, seul le signal avec effet est entendu.  Potentiomètre et champ Harmonics : définit la quantité du signal avec effet mixé avec le signal d’origine (exprimé en pourcentage). Si le bouton Input est désactivé, cela n’a aucun effet sur le signal. Dans la plupart des cas, des valeurs Frequency et Harmonics plus élevées sont préférables, car l’oreille humaine ne peut pas facilement faire la distinction entre les hautes fréquences artificielles et d’origine.  Boutons Color 1 et Color 2 : Cliquez sur Color 1 pour générer un spectre de distorsion harmonique moins dense. Cliquez sur Color 2 pour obtenir une distorsion plus intense. Color 2 introduit aussi plus de distorsions intermodulation (indésirables).210 Chapitre 13 Modules spécialisés Grooveshifter L’effet Grooveshifter permet de varier rythmiquement les enregistrements, donnant un feeling « swing » à la piste. Imaginez un solo de guitare joué en 1/8 ou 1/16 de notes fixes. Grooveshifter est à même de réaliser ce solo franc et direct. Le tempo de référence est celui du projet. Grooveshifter va automatiquement suivre toutes les modifications du tempo du projet. Remarque : Grooveshifter repose sur une mise en correspondance parfaite du tempo du projet avec celui de l’enregistrement traité. Toute variation de tempo aboutira à un résultat moins précis. Paramètres de Grooveshifter  Boutons Tonal et Beat : il s’agit de deux algorithmes, chacun optimisé pour différents types de morceau audio.  L’algorithme Beat est optimisé pour les morceaux d’entrée percussifs. Le curseur Grain n’a aucun effet lorsque Beat est choisi.  L’algorithme Tonal est optimisé pour les morceaux d’entrée tonaux. Cet algorithme étant basé sur la synthèse granulaire, il offre un curseur Grain supplémentaire, qui permet de définir la taille des grains et donc la précision de l’analyse.  Curseur et champ Swing : déterminent de combien les battements pairs seront retardés. Une valeur de 50 % n’introduit aucun swing, ce qui est typique de la majeure partie des morceaux de pop et de rock. Plus la valeur est élevée, plus l’effet swing est important.  Boutons Grid : déterminent la division de battement utilisée comme référence de contrôle du temps par l’algorithme pour analyser le morceau audio. Choisissez 1/8ème si le morceau audio contient principalement des croches et 1/16 s’il est constitué principalement de doubles croches.  Curseur et champ Accent : augmente ou réduit le niveau des battements pairs, en les accentuant. Ces accents sont typiques de plusieurs styles rythmiques, comme le swing ou le reggae. Chapitre 13 Modules spécialisés 211 Speech Enhancer Vous pouvez utiliser l’effet Speech Enhancer pour améliorer les enregistrements parlés effectués avec le micro interne de votre ordinateur (le cas échéant). Il combine la réduction du bruit, la remodélisation avancée des fréquences du micro et la compression multibande.  Curseur et champ Denoise : détermine le bruit de fond (votre estimation) dans votre enregistrement et donc la quantité de bruit qui doit être éliminée. Les réglages vers 100 dB permettent de conserver davantage de bruit. Les réglages vers 0 dB vont supprimer plus avant le bruit de fond, mais augmenteront aussi proportionnellement les effets.  Bouton Mic Correction : activez ce bouton pour améliorer la réponse en fréquence des enregistrements effectués avec votre micro intégré. Cela donne l’impression qu’un micro haut de gamme a été utilisé.  Menu Mic Model : choisissez le modèle approprié de micro. Vous pouvez utiliser l’effet Speech Enhancer avec d’autres micros, mais les modèles de correction de micro sont uniquement proposés pour les micros Macintosh intégrés. Si un micro non Macintosh est utilisé, le résultat sera meilleur si l’option Mic Correction a la valeur « Generic ».  Bouton Voice Enhance et menu Enhance Mode : l’activation de ce bouton entraîne celle de la compression multibande de Speech Enhancer. Vous pouvez choisir entre quatre réglages du menu Enhance Mode, afin de rendre la voix enregistrée plus audible et intelligible. Choisissez le réglage offrant les meilleurs résultats dans votre situation d’enregistrement. 212 Chapitre 13 Modules spécialisés SubBass Le module SubBass génère des fréquences sous celles du signal d’origine, en d’autres termes, une basse artificielle. Le plus simple consiste à utiliser SubBass comme diviseur d’octaves, similaire aux pédales d’effet Octaver pour les guitares basses électriques. Si de telles pédales peuvent uniquement traiter une source sonore d’entrée monophonique d’une hauteur tonale clairement définie, SubBass peut être utilisé avec des signaux cumulés complexes. SubBass crée deux signaux graves, dérivés de deux parties distinctes du signal entrant. Ils sont définis avec les paramètres High et Low. Paramètres de SubBass  Potentiomètre High Ratio : ajuste le rapport entre le signal généré et le signal de bande supérieure d’origine.  Potentiomètre High Center : définit la fréquence centrale de la bande supérieure.  Potentiomètre High Bandwidth : définit la bande passante de la bande supérieure.  Écran Graphic : affiche les bandes de fréquences supérieure et inférieure sélectionnées.  Curseur et champ Mix : ajuste le rapport de mixage entre les bandes de fréquences supérieure et inférieure.  Potentiomètre Low Ratio : ajuste le rapport entre le signal généré et le signal de la bande inférieure d’origine.  Potentiomètre Low Center : définit la fréquence centrale de la bande inférieure.  Potentiomètre Low Bandwidth : définit la bande passante de la bande inférieure. Avertissement : SubBass peut générer des signaux de sortie extrêmement forts. Choisissez des niveaux de monitoring modérés et n’utilisez que des haut-parleurs pouvant reproduire les très basses fréquences générées. N’essayez jamais de forcer un haut-parleur à émettre ces bandes de fréquences avec un égaliseur.Chapitre 13 Modules spécialisés 213  Curseur et champ Dry : définit la quantité de signal (sans effet) sec.  Curseur et champ Wet : définit la quantité de signal (avec effet) mouillé. Utilisation de SubBass Contrairement à un Pitch Shifter (appareil qui permet d’entendre la transposition d’une note), la forme d’onde du signal généré par SubBass n’est pas basée sur celle du signal d’entrée, mais est sinusoïdale (elle utilise une onde sinusoïdale). Étant donné que les ondes sinusoïdales pures s’intègrent rarement bien dans des arrangements complexes, vous pouvez contrôler la quantité (et l’équilibre entre) les signaux généré et d’origine via les curseurs Dry et Wet. Les deux bandes de fréquences (utilisées par SubBass pour générer des tons) sont définies via les paramètres High et Low. High Center et Low Center définissent la fréquence centrale de chaque bande ; High Bandwidth et Low Bandwidth définissent la bande passante de chaque bande. Les potentiomètres High Ratio et Low Ratio définissent de combien le signal généré est transposé pour chaque bande. Ceci est exprimé sous la forme d’un ratio du signal d’origine. Par exemple : Ratio = 2 transpose le signal d’une octave vers le bas. Important : dans chaque bande de fréquences, le signal filtré doit avoir une hauteur tonale raisonnablement stable pour être analysé correctement. En général, des bandes passantes étroites génèrent les meilleurs résultats, car elles évitent les intermodulations non souhaitées. Définissez High Center une quinte plus haut que Low Center, ce qui signifie une facteur de 1,5 pour la fréquence centrale. Dérivez la sous-basse à synthétiser depuis la partie grave existante du signal et transposez d’une octave dans les deux bandes (Ratio = 2). Ne poussez pas trop le processus ou vous introduirez de la distorsion. Si vous entendez des écarts de fréquence, tournez l’un des potentiomètres Center Frequency (ou les deux) ou élargissez un peu la bande passante (d’une ou des deux plages de fréquences). ? Astuce : utilisez SubBass de façon raisonnable et comparez le contenu d’extrême basse fréquence de vos mixages avec d’autres productions. Il est très facile de le surutiliser.14 215 14 Utilitaire Les modules Utility sont des outils pratiques pouvant vous assister dans les tâches et les situations classiques générées par la création musicale. Il s’agit des tâches suivantes :  Ajustement du format d’entrée d’un canal (voir « Down Mixer » à la page 215).  Ajustement du niveau ou de la phase des signaux d’entrée (voir « Gain » à la page 216 et « Multichannel Gain » à la page 218).  Intégration d’effets audio externes dans Logic Pro (voir « I/O » à la page 217).  Génération d’une fréquence statique ou d’un balayage sinusoïdal (voir « Test Oscillator » à la page 218). Down Mixer Vous pouvez utiliser le module Down Mixer pour ajuster le format d’entrée d’une bande de canaux maître surround. Cela vous permet, par exemple, de contrôler rapidement le mixage Surround en stéréo. Le mappage, la balance et le mixage de canaux sont réalisés « en coulisses ». Cependant, vous pouvez contrôler le mixage, dans une certaine mesure :  Destination Format : choisissez le format Surround voulu dans le menu (notamment To Stereo, To Quad, To LCRS).  Curseurs de niveau génériques : ces curseurs contrôlent les niveaux de chaque canal. Le nombre et les noms des curseurs dépendent du format de module choisi.216 Chapitre 14 Utilitaire Gain Gain permet d’amplifier (ou de réduire) le signal d’une certaine quantité de décibels. Cela s’avère très utile lorsque vous utilisez des pistes automatisées au cours du posttraitement et souhaitez ajuster rapidement les niveaux. Exemples : lorsque vous avez inséré un autre effet qui n’a pas son propre contrôle de gain, ou quand vous voulez modifier le niveau d’une piste pour une version remixée. Paramètres du module Gain  Curseur et champ Gain : définit la quantité de gain.  Boutons Phase Invert (Left et Right) : ces boutons inversent la phase des canaux de gauche et de droite, respectivement.  Potentiomètre Balance : ajuste la balance du signal entrant entre les canaux de gauche et de droite.  Bouton Swap L/R (Left/Right) : permet d’échanger les canaux de sortie de gauche et de droite. L échange a lieu après la balance dans le chemin de signal.  Bouton Mono : émet le signal mono cumulé sur les canaux de gauche et de droite. Remarque : le module Gain est disponible en configurations m ? m, m ? s et s ? s. En modes m ? m et m ? s, un seul bouton Phase Invert est disponible. Dans la version ? m, les paramètres Stereo Balance, Swap Left/Right et Mono sont désactivés. Utilisation de l’inversion de phase L’inversion de phase permet de combattre les problèmes de réglage de temporisation, particulièrement ceux causés par l’enregistrement avec plusieurs micros en même temps. Lorsque vous inversez la phase d’un signal entendu de façon isolée, il a le même son que l’original. Mais, lorsque le signal est entendu conjointement avec d’autres signaux, l’inversion de phase a un effet audible. Par exemple, si vous placez des micros au-dessus et en dessous d’une caisse claire, vous devez inverser la phase du signal du micro du bas afin qu’il soit « en phase » avec le signal du micro du haut. Chapitre 14 Utilitaire 217 I/O Le module I/O permet d’utiliser des unités d’effets audio externes de façon similaire aux effets internes de Logic Studio. Cela n’a de sens que si vous utilisez une interface audio qui fournit des entrées et des sorties discrètes (analogiques ou numériques), utilisées pour envoyer des signaux vers et depuis l’unité d’effets audio externes. Paramètres du module I/O  Curseur et champ Output Volume : ajuste le volume du signal de sortie.  Menu Output : affecte la sortie respective (ou paire de sorties) de votre matériel audio au module.  Menu Input : affecte l’entrée respective (ou paire d’entrées) de votre matériel audio au module.  Curseur et champ Input Volume : ajuste le volume du signal d’entrée. Utilisation du module I/O La section suivante indique les étapes à suivre pour intégrer des effets audio externes au chemin de signal Logic Pro. Pour intégrer et utiliser une unité d’effets externes dans Logic Pro : 1 Connectez une sortie (ou paire de sorties) de votre interface audio avec la (paire de) sortie(s) sur votre unité d’effets. 2 Connectez la sortie (ou paire de sorties) de votre unité d’effets avec une (paire d’) entrée(s) sur votre interface audio. Remarque : il peut s’agir de connexions analogiques ou numériques si votre interface audio et unité d’effets sont équipées de l’une d’entre elles ou des deux. 3 Cliquez sur un logement d’insertion du canal à traiter avec l’unité d’effets externes et choisissez Utility > I/O. 4 Dans la fenêtre du module I/O, choisissez les sortie (Output) et entrée (Input) (indiquées sous la forme de numéros) auxquelles votre unité d’effets est connectée. 5 Ajustez le volume d’entrée et de sortie. Lorsque vous commencez la lecture, le signal du canal audio sera traité par l’unité d’effets externes.218 Chapitre 14 Utilitaire Multichannel Gain Multichannel Gain permet de contrôler le gain (et la phase) de chaque canal d’une piste ou d’un bus Surround indépendamment.  Curseur Master : définit le gain principal pour la sortie de canal combinée.  Curseurs Channel gain : chaque curseur définit le gain pour son canal.  Boutons Phase Invert : permettent d’inverser la phase du canal sélectionné.  Boutons Mute : permettent de désactiver le son du canal depuis la sortie globale. Test Oscillator Le module Test Oscillator génère une fréquence statique ou un balayage sinusoïdal. Ce dernier est un balayage sonore du spectre de fréquences défini par l’utilisateur. Paramètres du module Test Oscillator  Boutons Waveform : permettent de sélectionner le type de forme d’onde à utiliser pour la génération du bruit rose.  Les formes d’onde Square Wave (onde carrée) et Needle Pulse (largeur très réduite) sont disponibles en versions repliement ou anti-repliement. Cette dernière version étant obtenue via le bouton Anti Aliased.  Needle Pulse est une forme d’onde à une seule impulsion très réduite.  Si le bouton Sine Sweep est actif, les réglages de l’oscillateur fixe dans la section Waveform au-dessus sont désactivés.  Frequency : détermine la fréquence de l’oscillateur (la valeur par défaut est 1 kHz). Chapitre 14 Utilitaire 219  Level : détermine le niveau de sortie global de Test Oscillator.  Bouton Sine Sweep : permet de générer un balayage d’onde sinusoïdale du spectre de fréquences défini par l’utilisateur.  Champ Time : détermine la durée du balayage.  Champs Start Freq et End Freq : définissent la fréquence de l’oscillateur au début et à la fin du balayage sinusoïdal.  Sweep Mode (paramètre étendu) : choisissez une courbe de balayage de type Linear ou Logarithmic.  Bouton Trigger : permet de déclencher un balayage sinusoïdal. Le comportement du bouton Trigger peut être modifié via le menu ci-dessous :  Single : cliquer sur le bouton Trigger déclenche le balayage une fois.  Continuous : cliquer sur le bouton Trigger déclenche le balayage indéfiniment. Utilisation du module Test Oscillator Si vous insérez l’Oscillateur de test dans un logement d’insertion d’une voie audio, vous devez transmettre l’audio via cette voie afin de générer un signal. Pour utiliser le module Test Oscillator dans un logement d’insertion d’une voie audio : 1 Placez une région audio sur une piste. 2 Insérez le module Test Oscillator dans le canal de cette piste et lancez la lecture. Vous pouvez également insérer le module Test Oscillator dans le logement Instrument des bandes de canaux d’instrument. Test Oscillator commence à générer le signal test dès qu’il est inséré. Vous pouvez le désactiver en l’ignorant.15 221 15 EVOC 20 PolySynth L’EVOC 20 PolySynth combine un vocoder avec un synthétiseur polyphonique, et peut être joué en temps réel. L’EVOC 20 PolySynth est un vocoder sophistiqué, équipé d’un synthétiseur polyphonique, capable de recevoir des notes MIDI entrantes. Il vous permet, par exemple, de jouer des sons de chœur de vocoder classiques. Des notes et des accords isolés joués avec l’EVOC 20 PolySynth polyphonique sonneront avec l’articulation de la source audio d’analyse. Au cours de ce processus, les caractéristiques sonores et les changements du signal audio arrivant à l’entrée Analysis (c’est-à-dire la piste audio que vous avez sélectionnée comme Side Chain) sont imposés au signal de sortie de synthétiseur intégré (section Synthesis). Le parcours du signal de l’EVOC 20 PolySynth est présenté dans le schéma de principe à la page 240.222 Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth Vocoder : Fondamentaux Si vous n’êtes pas familier des vocoders, vous êtes invité à lire cette section. Elle contient les informations de base au sujet des vocoders et de leurs fonctionnalités. Vous y trouverez également des astuces sur l’utilisation des vocoders, afin d’atteindre une bonne intelligibilité vocale. Qu’est-ce qu’un vocoder? Le terme vocoder est la contraction de VOice enCODER. Un vocoder analyse et transfère le caractère sonore du signal audio arrivant à son entrée Analysis vers le signal audio présent à son entrée Synthesis. Le résultat de ce processus est entendu à la sortie du vocoder. Le son classique du vocoder utilise la voix comme signal d’analyse et un son de synthétiseur comme signal de synthèse. Ce son classique a été popularisé à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Vous le connaissez probablement grâce aux morceaux « O Superman » de Laurie Anderson, « Funky Town » de Lipps Inc. et de nombreux morceaux de Kraftwerk, d’« Autobahn » à « Europe Endless », en passant par « The Robots » et « Computer World ». Outre ces sons de « robots chantants », le vocoder a également été utilisé dans de nombreux films. Exemples : les Cylons dans Battlestar Galactica, et plus connue encore, la voix de Dark Vador dans la guerre des étoiles. Le vocodage, en tant que processus, n’est pas strictement limité aux performances vocales. Vous pouvez utiliser une boucle de batterie comme signal d’analyse afin de former un son d’ensemble à corde arrivant à l’entrée Synthesis. Fonctionnement d’un vocoder L’analyseur et le synthétiseur vocaux mentionnés ci-dessus sont en fait deux banques de filtres de type passe-bande. Les filtres passe-bande permettent à une bande de fréquence (une tranche) d’un spectre de fréquences global de transiter sans être modifiée, et coupent les fréquences qui ne font pas partie de la plage de la bande. Dans les modules EVOC 20, ces banques de filtres sont nommées sections Analysis et Synthesis. Elles disposent d’un nombre de bandes correspondantes identique. Si la banque de filtres d’analyse dispose de cinq bandes (1, 2, 3, 4 et 5), il y aura un ensemble correspondant de cinq bandes dans la banque de filtres de synthèse. La bande 1 de la banque d’analyse est associée à la bande 1 de la banque de synthèse, la bande 2 à la bande 2, et ainsi de suite. Le signal audio qui arrive à l’entrée Analysis passe à travers la banque de filtres d’analyse, où il est divisé en 20 bandes.Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth 223 Une enveloppe de type follower est couplée avec chaque bande de filtre. Chacune de ces enveloppes piste (suit) toutes les modifications de volume dans la partie de la source audio autorisée à passer par le filtre passe-bande associé. De cette façon, l’enveloppe follower de chaque bande génère des signaux de contrôles dynamiques. Ces signaux de contrôles sont alors envoyés vers la banque de filtre de synthèse où ils contrôlent les niveaux des bandes de filtres de synthèse correspondantes. Cela est effectué via des VCA, amplificateurs commandés en tension. Cela permet d’imposer des modifications de volume des bandes, et donc des modifications du son d’origine, de la banque de filtres d’analyse sur les bandes correspondantes de la banque de filtres de synthèse. Plus un vocoder offre de bandes, plus le caractère du son d’origine sera remodelé de façon précise. Fonctionnement d’une banque de filtres Si vous supprimez tous les circuits responsables du transfert des caractéristiques sonores du signal Analysis vers le signal de synthèse à partir d’un vocoder, et offrez la détection de signaux vocaux ou non vocaux, il vous restera deux banques de filtres, les filtres d’analyse et de synthèse. Pour les utiliser à des fins musicales, vous devrez garantir que vous pouvez contrôler le niveau de sortie de chaque filtre passe-bande. Avec ce niveau de contrôle, vous pouvez appliquer des modifications considérables et uniques au spectre de fréquences. Analysis audio source Synthesis audio source Analysis filter bank band 1-5 Synthesis filter bank band 1-5 Envelope follower 1-5 VCA 1-5 Control signal 1-5 Audio output U/V detection224 Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth Utilisation de l’EVOC 20 PolySynth Pour pouvoir utiliser l’EVOC 20 PolySynth, vous devez l’insérer dans un emplacement Instrument d’un canal d’instrument, et fournir un signal audio comme source audio d’analyse. Pour cela, effectuez les étapes ci-dessous : 1 Sélectionnez ou créez une nouvelle piste audio dans la fenêtre Arrangement. 2 Insérez (ou enregistrez) un fichier audio (utilisez une partie vocale pour commencer) dans cette piste audio. ? Astuce : il peut être utile de définir une zone de cycle dans la fenêtre Arrangement, afin de lire en continu cette partie audio. Cela facilitera votre expérimentation. 3 Insérez l’EVOC 20 PolySynth dans l’emplacement Instrument d’un canal d’instrument. 4 Dans le menu Side Chain de l’EVOC 20 PolySynth, choisissez la piste audio qui contient le fichier audio. 5 Vérifiez que la piste d’instrument correspondante est sélectionnée dans la fenêtre Arrangement. L’EVOC 20 PolySynth est à présent prêt pour accepter des données MIDI entrantes, et a été assigné pour accueillir la sortie provenant de la piste audio sélectionnée via un Side Chain. 6 Dans la table de mixage, désactiver le son de la piste audio (piste vocale) utilisée comme entrée Side Chain. 7 Lancez la lecture. 8 Pendant que le fichier audio est relu, jouez sur votre clavier MIDI. 9 Dans la table de mixage, réglez les niveaux de volume de l’EVOC 20 PolySynth et la piste audio utilisée comme Side Chain à votre convenance. 10 Faites quelques petites expérimentations avec les potentiomètres, les curseurs et autres contrôles. Amusez-vous et n’hésitez pas à insérer davantage de modules d’effets dans le canal ou les bus pour améliorer le son.Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth 225 Paramètres EVOC 20 PolySynth L’interface de l’EVOC 20 PolySynth est divisée en six sections principales.  Section Synthesis : contrôle le synthétiseur polyphonique de l’EVOC 20 PolySynth. Reportez-vous à la section « Paramètres de la section Synthesis » à la page 226.  Section Sidechain Analysis : les paramètres de cette section définissent le comportement de l’EVOC 20 PolySynth face au signal Analysis. Reportez-vous à la section « Paramètres de la section Sidechain Analysis » à la page 231.  Section Formant Filter : configure les banques de filtres d’analyse et de synthèse. Reportez-vous à la section « Paramètres Formant Filter » à la page 233.  Section Modulation : la section Modulation dispose de deux LFPO pour contrôler les paramètres Formant Shift et Pitch de l’EVOC 20 PolySynth. Reportez-vous à la section « Paramètres de la section Modulation » à la page 235.  Section U/V Detection : détecte les portions non vocales du son dans le signal Analysis, améliorant ainsi l’intelligibilité vocale. Reportez-vous à la section « Unvoiced/Voiced (U/V) Detection » à la page 237.  Section Output : configure le signal de sortie de l’EVOC 20 PolySynth. « Paramètres de la section Output » à la page 239. Section Sidechain Analysis Section Formant Filter Section Synthesis Section Modulation Section U/V Detection Section Output226 Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth Paramètres de la section Synthesis L’EVOC 20 PolySynth est équipé d’un synthétiseur polyphonique, capable de recevoir des notes MIDI. Les paramètres de la section Synthesis sont décrits ci-dessous. Boutons Mode Ces boutons déterminent le nombre de voix utilisées par l’EVOC 20 PolySynth :  Lorsque Poly est sélectionné, le nombre maximal de voix est défini via le champ numérique situé à côté du bouton Poly. Remarque : le fait d’augmenter le nombre de voies augmente aussi la charge du processeur.  Lorsque Mono ou Legato est sélectionné, l’EVOC 20 PolySynth est monophonique, et utilise une seule voix.  En mode Legato, la fonction Glide n’est active que sur les notes liées. Les enveloppes ne sont pas redéclenchées lorsque les notes liées sont jouées (single trigger, un seul déclenchement).  En mode Mono, Glide est toujours actif et les enveloppes sont redéclenchées par chacune des notes jouées (multi trigger, déclenchement multiple).  Le bouton Unison permet d’activer ou de désactiver le mode Unison. Dans ce mode, chaque voix de l’EVOC 20 PolySynth est doublée, ce qui réduit de moitié la polyphonie (à un maximum de 8 voix) comme l’indique le champ numérique Voices. Les voix doublées sont désaccordées selon la valeur du paramètre Analog.  En mode Unison-Mono (les deux boutons Unison et Mono ou Legato sont engagés), 16 voix maximum peuvent être empilées et jouées monophoniquement. Dans ce mode, le champ Voices indique le nombre de voix empilées qui jouent en même temps. Avertissement : les voix empilées en mode Unison-Mono augmentent le volume de sortie de l’EVOC 20 PolySynth. Pour éviter de saturer la sortie de canal d’instrument, réglez en conséquence le curseur Level de l’EVOC 20 PolySynth.Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth 227 Section Oscillator L’EVOC 20 PolySynth est équipé d’un synthétiseur numérique à deux oscillateurs disposant d’un certain nombre de formes d’onde, et de la synthèse FM (Modulation de fréquence). Outre ces générateurs sonores, la section Synthesis dispose également d’un générateur de bruit indépendant. Il existe deux modes de fonctionnement pour les oscillateurs.  Dual : les deux oscillateurs emploient des formes d’onde numériques à un seul cycle comme source(s) sonore(s) de synthèse.  FM : un moteur FM à deux opérateurs, avec Oscillator 1 comme porteur d’onde sinus, et Oscillator 2 comme modulateur. L’Oscillator 2 peut utiliser n’importe quelle forme d’onde numérique à un seul cycle. Vous pouvez passer du mode Dual au mode FM en cliquant sur le libellé Dual ou FM situé en haut à gauche de la section représentée dans les captures d’écran ci-dessus. Comme vous pouvez le constater, il existe de légères différences entre les deux modes. Cette section décrit d’abord les paramètres communs, puis les options propres à chaque mode. Paramètres Wave 1 Les valeurs en pieds (footages) situées sous la mention Wave 1 dans les deux modes nous renvoient aux orgues à tuyaux. Plus le tuyau est long, plus le son est profond. Ceci s’applique aussi à Wave 1. Cliquez simplement sur les valeurs en pieds 16, 8 ou 4 pour sélectionner une plage dans laquelle Wave (oscillateur) 1 fonctionne. Votre sélection sera mise en surbrillance. La valeur numérique située à côté du libellé Wave 1 indique le type de forme d’onde actuellement sélectionné. L’EVOC 20 PolySynth dispose de 50 formes d’onde avec différentes caractéristiques sonores. Cliquez ici pour basculer entre les modes Dual et FM.228 Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth Pour passer d’une forme d’onde à l’autre, procédez comme suit : m Cliquez, sans relâcher le bouton de la souris, sur le champ numérique relatif aux formes d’onde et faites-le glisser vers le haut ou vers le bas. Lorsque le numéro de la forme d’onde souhaité est visible, relâchez le bouton de la souris. m Double-cliquez sur le champ numérique et entrez la valeur désirée. Remarque : notez qu’en mode FM, la forme d’onde de Wave 1 est une onde sinus fixe. Le paramètre Waveform de Wave 1 n’a aucun effet dans ce mode. Paramètres Wave 2 La valeur numérique située à côté de Wave 2 indique le type de forme d’onde actuellement sélectionné. L’EVOC 20 PolySynth dispose de 50 formes d’onde numériques à un seul cycle avec différentes caractéristiques sonores. Pour passer d’une forme d’onde à l’autre, procédez comme suit : m Cliquez, sans relâcher le bouton de la souris, sur le champ numérique relatif aux formes d’onde et faites-le glisser vers le haut ou vers le bas. Lorsque le numéro de la forme d’onde souhaité est visible, relâchez le bouton de la souris. m Double-cliquez sur le champ numérique et entrez la valeur désirée. Paramètres Noise Le générateur de bruit (Noise) fournit une source sonore supplémentaire pouvant être utilisée en plus des deux oscillateurs (Wave 1 et Wave 2).  Potentiomètre Level : contrôle la quantité de bruit ajoutée aux signaux des deux oscillateurs.  Potentiomètre Color : contrôle le timbre du signal de bruit. Lorsque le potentiomètre Color est tourné complètement à gauche, le générateur de bruit crée un bruit blanc pur. Lorsqu’il est tourné complètement à droite, il génère un bruit bleu (filtré par un filtre passe-haut). Le bruit blanc sert à créer des effets de pluie et de vent. Il a la même énergie dans chaque intervalle de fréquence. Le bruit bleu sonne d’une façon plus claire, car sa portion basse est supprimée par un filtre passe-haut.Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth 229 Il est important de noter que le générateur de bruit de la section Oscillator est indépendant du générateur de bruit de la section U/V Detection. Pour plus d’informations sur les signaux vocaux et non vocaux, reportez-vous à la section « Unvoiced/Voiced (U/V) Detection », page 237 et suivantes. ? Astuce : tournez Color complètement sur la droite et Level juste un petit peu pour obtenir un signal de synthèse plus vivant et plus frais. Paramètres Dual Mode Les paramètres spécifiques au mode Dual se trouvent dans la section Wave 2, plus le curseur Balance situé à droite.  Paramètre Semi : définit l’accord du second oscillateur (Wave 2) par pas d’un demi-ton.  Paramètre Detune : permet un accord précis de Wave 1 et Wave 2 en centièmes. 100 centièmes égalent un demi-ton. Ce paramètre permet de désaccorder Wave 1 par rapport à Wave 2 autour du point d’accord zéro.  Curseur Balance : permet de mélanger les signaux des deux oscillateurs (Wave 1 et Wave 2). Paramètres FM Mode Les paramètres propres au mode FM se trouvent dans la section Wave 2, plus le curseur FM Int situé à droite.  Paramètre Ratio c(oarse) : règle le rapport de fréquence approximatif du second oscillateur en fonction du premier. 230 Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth  Paramètre Ratio f(ine) : règle le rapport de fréquence précis du second oscillateur en fonction du premier.  Curseur FM Int : détermine l’intensité de la modulation de la forme d’onde sinus de Wave 1 par Wave 2. Des réglages élevés de FM Int donneront une forme d’onde plus complexe avec davantage d’harmoniques. Lorsqu’ils sont combinés, les paramètres Ratio et FM Int donnent une forme d’onde FM complexe et définissent donc leur contenu harmonique. Paramètres Tuning et Pitch  Potentiomètre Analog : simule l’instabilité des circuits analogiques dans des vocoders vintages. Analog modifie la hauteur de chaque note de manière aléatoire. Ce comportement ressemble à celui des synthétiseurs analogiques polyphoniques. Le potentiomètre Analog contrôle l’intensité de ce désaccordage aléatoire.  Tune : définit l’étendue du désaccordage.  Glide : glide détermine le temps que met la hauteur pour glisser d’une note à l’autre (portamento).  Bend Range : détermine la fourchette de modulation, en demi-tons pour la modulation du Pitch Bend. Cutoff et Resonance  Cutoff : définit la fréquence de coupure du filtre passe-bas. Plus vous tournez ce potentiomètre vers la gauche, plus il y aura de fréquences aiguës qui seront filtrées du signal.Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth 231  Resonance : augmenter la Resonance revient à accentuer la zone de fréquence entourant celle qui a été définie par le paramètre Cutoff. Le filtre sert a effectué un premier modelage du signal, avant que celui-ci ne soit articulé par les circuits du vocoder. ? Astuce : réglez le paramètre Cutoff aussi élevé que possible, et poussez un petit peu le paramètre Resonance pour obtenir un son agréable et clair. Paramètres d’enveloppe L’EVOC 20 PolySynth dispose d’un générateur d’enveloppes Attack/Release utilisé pour contrôler le niveau dans la section Oscillator.  Curseur Attack : détermine le temps que mettent les oscillateurs de la section Synthesis pour atteindre leur niveau maximum.  Curseur Release : détermine le temps que mettent les oscillateurs de la section Synthesis pour atteindre leur niveau minimal. Paramètres de la section Sidechain Analysis Les paramètres de la section Sidechain Analysis contrôlent différents aspects du signal d’analyse. Ils nécessitent un contrôle précis pour garantir le suivi et l’intelligibilité les meilleurs possibles. Attack Le potentiomètre Attack détermine la vitesse à laquelle chaque enveloppe follower (couplé à chaque bande de filtre d’analyse) réagit aux signaux montants. Des temps d’Attack plus longs donneront une réponse plus lente du suivi aux transitoires du signal d’entrée d’analyse. 232 Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth Remarque : un temps d’Attack long sur des signaux d’entrée de type percussif (des mots scandés ou une partie de charley, par exemple) seront transformés en un effet de vocoder moins articulé. Régler Attack sur une valeur aussi faible que possible pour renforcer une articulation. Release Le paramètre Release détermine la vitesse à laquelle chaque enveloppe follower (couplé à chaque bande de filtre d’analyse) réagit aux signaux descendants. Des temps de Release plus longs prolongeront les transitoires du signal d’entrée Analysis en sortie du vocoder. Remarque : un temps de Release long sur des signaux d’entrée de type percussif (des mots scandés ou une partie de charley, par exemple) seront transformés en un effet de vocoder moins articulé. Notez que des temps de Release qui sont trop courts donneront des sons de vocoder bruts et granuleux. Les valeurs de Release autour de 8 à 10 ms ont prouvé qu’elles étaient de bons points de départ. Freeze Ce bouton Freeze permet de maintenir indéfiniment le spectre du son actuellement analysé. Le signal d’analyse gelé peut capter une caractéristique particulière du signal source qui sera ensuite imposée comme forme de filtre complexe avec sustain à la section Synthesis. Si Freeze est activé, la banque de filtres d’analyse ignore la source d’entrée, et les paramètres Attack et Release n’ont aucun effet. Par exemple, si vous utilisez une suite de mots parlés comme source, le bouton Freeze pourra capturer la phase d’attaque ou la fin d’un mot particulier, la voyelle a, par exemple. Autre usage du paramètre Freeze (qui peut être automatisé) : compenser la tenue des notes chantées par des chanteurs ne pouvant pas tenir trop longtemps une note sans reprendre leur souffle. Si le signal de synthèse doit être tenu, alors que le signal source d’analyse (partie vocale) ne l’est pas, Freeze peut servir à bloquer les niveaux actuels du formant (d’une note chantée), même pendant des interruptions de la partie vocale, tel qu’il y en a entre les mots d’une phrase vocale. Bands Le paramètre Bands détermine le nombre de bandes de fréquence utilisées par l’EVOC 20 PolySynth. Plus il y a de bandes, plus le son sera remodelé avec précision. Si vous réduisez le nombre de bandes, la plage de fréquences du signal source sera divisée en moins de bandes et le son résultant sera formé avec moins de précision par le moteur de synthèse. Remarque : le fait d’augmenter le nombre de bandes augmente aussi la charge du processeur. Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth 233 Il faut souvent trouver un compromis entre la précision sonore, qui permet aux signaux reçus (paroles et chants, en particulier) de rester intelligibles, et l’usage des ressources qui se trouve entre 10 et 15 bandes. Paramètres Formant Filter La fenêtre Formant Filter est divisée en deux sections par une ligne horizontale. La partie supérieure concerne la section Analysis et la partie inférieure, la section Synthesis. Les modifications apportées aux paramètres High/Low Frequency, Bands, Formant Stretch et Shift provoqueront des changements visuels dans la fenêtre Formant Filter. Vous avez ainsi un retour appréciable de ce qui se produit avec le signal lorsqu’il passe à travers les deux banques de filtres de formant. High/Low Frequency La barre bleue située juste sous le logo EVOC 20 PolySynth est un contrôle qui sert à déterminer les fréquences les plus hautes et les plus basses autorisées à passer par la section du filtre. La longueur de cette barre bleue représente la plage des fréquences pour l’analyse et la synthèse. Les fréquences de toute entrée audio se trouvant en dehors de ces limites seront coupées. Toutes les bandes de filtre sont réparties régulièrement sur l’ensemble de l’étendue définie par les valeurs High/Low Frequency.  Pour régler la valeur de la fréquence basse, cliquez, sans relâcher le bouton de la souris, sur le curseur argenté situé à gauche de la barre bleue puis faites-le glisser vers la droite (ou la gauche). Les valeurs vont de 75 à 750 Hz.  Pour régler la valeur de la fréquence aiguë, cliquez, sans relâcher le bouton de la souris, sur le curseur argenté situé à droite de la barre bleue puis faites-le glisser vers la gauche (ou la droite). Les valeurs vont de 800 à 8000 Hz.  Pour régler simultanément les deux curseurs, cliquer sur la zone située entre les deux moitiés de curseur (directement sur la barre bleue) et faites-la glisser vers la gauche ou la droite. Contrôle les hautes et basses fréquences234 Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth  Vous pouvez modifier les valeurs High/Low Frequency directement en éditant les champs numériques en dessous de la barre bleue. Lowest/Highest Ces paramètres se trouvent dans deux petits champs situés de chaque côté de la fenêtre Formant Filter. Ces commutateurs déterminent si les bandes de filtres les plus basses et hautes seront des filtres passe-bande (comme toutes les autres bandes intermédiaires), ou s’ils agissent respectivement comme des filtres passe-bas/passe-haut. Cliquer dessus une fois pour passer d’une courbe à l’autre.  Avec le réglage Bandpass, les fréquences situées au-dessous ou au-dessus des bandes les plus basses et hautes sont ignorées pour l’analyse et la synthèse.  Avec le réglage Highpass (ou Lowpass), toutes les fréquences au-dessous des bandes les plus basses (ou au-dessus des plus hautes) seront considérées pour l’analyse et la synthèse. Formant Stretch Ce paramètre modifie la largeur et la répartition de toutes les bandes de la banque de filtres de synthèse, pour étendre ou resserrer la plage de fréquences définie par la barre bleue (paramètres Low/High Frequency) pour la banque de filtre de synthèse. Avec le paramètre Formant Stretch défini sur 0, la largeur et la répartition des bandes de la banque de filtres de synthèse est égale à la largeur des bandes de la banque de filtre d’analyse. Des valeurs faibles réduiront la largeur de chaque bande, alors que des valeurs élevées l’élargiront. La plage de contrôle va de 0,5 à 2 (par rapport à la bande passante totale). Remarque : vous pouvez passer directement à la valeur 1 en cliquant sur ce nombre. Formant Shift Formant Shift déplace la position de toutes les bandes vers le haut et vers le bas dans la banque de filtres de synthèse. Avec Formant Shift réglé sur 0, la position des bandes de la banque de filtres de synthèse est la même que celle des bandes de la banque de filtres d’analyse. Des valeurs positives déplaceront les bandes vers le haut, en terme de fréquences, alors que des valeurs négatives les déplaceront vers les bas en fonction de la banque de filtres d’analyse. Remarque : vous pouvez passer directement aux valeurs –0.5, –1, +0.5 et +1 en cliquant sur leurs nombres. Lorsqu’ils sont associés, Formant Stretch et Formant Shift modifient la structure du formant du son de vocoder résultant, ce qui peut donner des changements de timbre intéressants. Par exemple, utiliser des signaux vocaux tout en réglant le paramètre Formant Shift plus haut produit un effet « Mickey Mouse ».Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth 235 Les paramètres Formant Stretch et Formant Shift sont également très utiles si le spectre des fréquences du signal Synthesis ne complète pas celui du signal Analysis. Vous pouvez créer un signal Synthesis dans la plage haute des fréquences à partir d’un signal Analysis qui module le son principalement dans la plage basse des fréquences, par exemple. Resonance Le paramètre Resonance est à la base du caractère sonore du vocoder : des valeurs basses lui donneront un caractère doux, des valeurs élevées lui donneront un caractère plus abrupte et plus criard. Le fait d’augmenter la valeur de Resonance accentue la fréquence moyenne de chaque bande de fréquences. Remarque : l’utilisation de l’un des paramètres Formant Stretch et Formant Shift, voire des deux, peut provoquer la génération de fréquences résonnantes inhabituelles, lorsque des valeurs élevées de Resonance sont utilisées. Paramètres de la section Modulation La section Modulation dispose de deux LFO pour contrôler les paramètres Formant Shift et Pitch de l’EVOC 20 PolySynth. Ces LFO peuvent fonctionner librement ou être synchronisés au tempo du morceau.  Pitch LFO : contrôle la modulation de hauteur Pitch (Vibrato) des oscillateurs intégrés au synthétiseur. Il est câblé pour accepter des données provenant de la molette de modulation de votre clavier MIDI (ou des données MIDI correspondant) afin de contrôler l’intensité de la modulation.  Shift LFO : contrôle le paramètre Formant Shift de la banque de filtres Synthesis afin de produire des effets de type phasing dynamiques. Boutons Wave236 Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth Les boutons Wave de cette section vous permettent de sélectionner le type de forme d’onde utilisé par Pitch LFO et Shift LFO. Pour chaque LFO, vous avez le choix entre les différentes formes d’onde suivantes : Triangle, Sawtooth (en dent de scie), Square (carrée) montante et descendante autour de zéro (bipolaire, idéale pour les trilles), Square (carrée) montante à partir de zéro (unipolaire, idéale pour les changements entre deux hauteurs définissables), une forme d’onde aléatoire par palier (S&H), et une forme d’onde aléatoire lissée. Intensity et Int via Whl Le curseur Intensity contrôle la valeur de la modulation Formant Shift modulation par Shift LFO. Le curseur Int via Whl de Pitch LFO permet de régler plusieurs paramètres. L’intensité de la modulation de hauteur par le LFO peut être contrôlée par la molette de modulation d’un clavier MIDI connecté. La partie supérieure du curseur détermine l’intensité lorsque la molette de modulation est poussée au maximum, et la partie inférieure quand cette molette est réglée au minimum. En cliquant et faisant glisser la souris dans la zone située entre les deux segments du curseur, vous pouvez déplacer les deux simultanément. Potentiomètres Rate Ces potentiomètres déterminent la vitesse de la modulation. Les valeurs situées à gauche des positions centrales sont synchronisées au tempo du séquenceur et incluent des valeurs de mesure, de triolet et autres. Les valeurs situées à droite des positions centrales sont asynchrones, et sont affichées en Hertz (cycles par seconde). Remarque : la possibilité d’utiliser des valeurs de mesure synchrones peut servir à effectuer une modification de formant (formant shift) toutes les quatre mesures sur une partie de percussion à une mesure reprise en cycle. Vous pouvez aussi effectuer la même modification de formant (formant shift) sur chaque croche d’un triolet au sein d’une même partie. Chacune de ces méthodes peut donner des résultats intéressants et apporter de nouvelles idées ou un second souffle aux anciens équipements audio.Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth 237 Unvoiced/Voiced (U/V) Detection Le discours humain est constitué d’une série de sons vocaux (sons tonals) et de sons non vocaux (bruits). La différence principale entre sons vocaux et non vocaux est que les sons vocaux sont produits par une oscillation des cordes vocales, alors que les sons non vocaux sont produits par des blocages et des restrictions imposés sur le flux d’air par les lèvres, la langue, le palais, la gorge et le larynx. Ce type de discours, contenant à la fois des sons vocaux et non vocaux, pourrait être utilisé comme signal d’analyse d’un vocoder, mais le moteur de synthèse ne pourrait pas les différencier, et il en résulterait un son sans relief. Pour éviter cela, la section Synthesis du vocoder doit produire des sons différents pour les parties vocales et non vocales du signal. C’est pourquoi l’EVOC 20 PolySynth est équipé d’un détecteur non vocal/vocal (Unvoiced/ Voiced, U/V). Cette unité détecte les parties non vocales du son dans le signal d’analyse, puis remplace les parties correspondantes dans le signal de synthèse par du bruit (Noise), un mélange de bruit et de synthétiseur (Noise + Synth) ou par le signal d’origine (Blend). Si le détecteur U/V identifie des parties vocales, il transmet ces informations à la section Synthesis, qui utilise le signal de synthèse normal pour ces parties. ? Astuce : l’intelligibilité d’un discours est fortement dépendante de son contenu en fréquences aiguës, car l’ouïe humaine se base sur celles-ci pour déterminer les syllabes composant les mots. Gardez cela à l’esprit lorsque vous utilisez l’EVOC 20 PolySynth, et réglez soigneusement la fréquence de filtre dans les sections Synthesis et Formant Filter. Pour contribuer à l’intelligibilité, il peut être intéressant de recourir à une égalisation afin d’accentuer certaines fréquences dans la plage de fréquences moyennes à hautes, avant de traiter le signal avec l’EVOC 20 PolySynth. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section « Conseils pour une meilleure intelligibilité des paroles » à la page 240.238 Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth Sensitivity Ce paramètre détermine la sensibilité de la détection U/V. En tournant ce potentiomètre vers la droite, davantage de parties non vocales distinctes seront reconnues dans le signal d’entrée. Lorsque des réglages élevés sont utilisés, la sensibilité accrue aux signaux non vocaux peut conduire à ce que la source U/V, déterminée par le paramètre Mode, soit utilisée sur la majeure partie du signal d’entrée, en incluant les signaux vocaux. Cela donnera un son ressemblant à un signal radio, détérioré et contenant beaucoup de parasites et de bruit de fond. Mode Le paramètre Mode permet de sélectionner des sources sonores pouvant être utilisées pour remplacer le contenu non vocal du signal d’entrée. Les réglages disponibles sont Off, Noise, Noise + Synth ou Blend.  Noise : utilise le bruit seul pour les parties non vocales du son.  Noise + Synth : utilise le bruit et le synthétiseur pour les parties non vocales du son.  Blend : utilise le signal d’analyse après son passage à travers un filtre passe-haut, pour les parties non vocales du son. Ce signal d’analyse filtré est ensuite combiné au signal de sortie de l’EVOC 20 PolySynth. Le paramètre Sensitivity n’a aucun effet lorsque ce réglage est utilisé. Level Le potentiomètre Level contrôle le volume du signal (Noise, Noise + Synth ou Blend) utilisé pour remplacer le contenu non vocal du signal d’entrée. Avertissement : faites très attention avec ce contrôle, surtout si vous utilisez une valeur de Sensitivity élevée, afin d’éviter toute saturation interne de l’EVOC 20 PolySynth.Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth 239 Paramètres de la section Output Cette section présente les différents paramètres disponibles dans la section Output de l’EVOC 20 PolySynth. Signal Ce menu permet de choisir parmi les options Voc(oder), Syn(thesis) et Ana(lysis). Ces réglages vous permettent de déterminer le signal que vous voulez envoyer vers les sorties principales de l’EVOC 20 PolySynth. Pour entendre l’effet du vocoder, le paramètre Signal doit être réglé sur Voc. Les deux autres réglages servent au monitoring. Ensemble Les trois boutons Ensemble permettent d’activer ou de désactiver les effets d’ensemble. Ensemble I est un effet de chorus spécial. Ensemble II est une variation, créant un son plus rond et plus riche en utilisant une routine de modulation plus complexe. Level Le curseur Level contrôle le volume du signal de sortie de l’EVOC 20 PolySynth. Stereo Width Stereo Width répartit les signaux de sortie des bandes de filtre de la section Synthesis dans l’image stéréo.  Positionné à gauche, la sortie de toutes les bandes est centrée.  Positionné au centre, la sortie de toutes les bandes passe de gauche à droite.  Positionné à droite, la sortie des bandes est répartie, de manière alternative, sur les canaux gauche et droit.240 Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth Schéma de principe Ce schéma de principe illustre le parcours du signal dans l’EVOC 20 TrackOscillator et l’EVOC 20 PolySynth. Conseils pour une meilleure intelligibilité des paroles L’effet classique du vocoder est très exigeant quant à la qualité des deux signaux d’analyse et de synthèse. De plus, les paramètres du vocoder nécessitent un réglage soigneux. Voici quelques conseils concernant ces deux points. Analysis source Track ------------ Side chain R L Stereo to mono TO: pitch analysis Sensitivity TO: Max/Quant./ Glide Analysis section Synthesis section U/V detection PS: MIDI keyboard Noise, N + Synth Synthesis source EVOC20 PS: Poly synth pitch Level Frequency range between highest/lowest 1-5 Envelope follower 1-5 A B Freeze Stretch Resonance Shift Filter bank with five bands (example) Level Stereo width L R Filter bank input Filter bank with five bands (example) Voltagecontrolled Oscillator 1-5 LFO EVOC20 TO: Tracking oscillator Track or side chain Blend LFO Parameter control Legend Audio signal Control signalChapitre 15 EVOC 20 PolySynth 241 Modification des signaux d’analyse et de synthèse La section suivante vous explique comment modifier les signaux d’analyse et de synthèse pour obtenir une meilleure intelligibilité des paroles. Compression du signal d’analyse Moins le niveau change, meilleure sera l’intelligibilité du vocoder. Il est donc recommandé de compresser le signal d’analyse dans la plupart des cas. Améliorer l’énergie des fréquences élevées D’une certaine façon, le vocoder génère toujours le point d’intersection des signaux d’analyse et de synthèse. Autrement dit : s’il n’y a pas d’aigus dans le signal d’analyse, la sortie résultante du vocoder manquera aussi d’aigus. C’est aussi le cas lorsque le signal de synthèse présente beaucoup d’aigus. Cela se vérifie pour chaque bande de fréquence. Ainsi, le vocoder nécessite un niveau stable dans toutes les bandes de fréquence pour les deux signaux d’entrée, afin de donner de bons résultats. Du fait des caractéristiques de l’ouïe humaine, l’intelligibilité de la parole est très liée à la présence d’aigus. Pour aider à conserver un discours clair, il peut être utile d’utiliser une égalisation pour accentuer ou réduire certaines fréquences dans les signaux d’analyse avant de les traiter via un vocoder. Si le signal d’analyse comporte des voix ou un discours, un simple filtre de type shelving sera suffisant. Il ne nécessite pas beaucoup de puissance de calcul et accentue efficacement les médiums et les aigus, ce qui est primordial pour l’intelligibilité des paroles. Si le signal de synthèse manque d’énergie dans les aigus, celle-ci peut être générée à l’aide d’un effet de distorsion. L’effet Overdrive est parfait pour cela (voir la section « Overdrive » page 56 et suivantes). Éviter les artefacts sonores Un problème apparaît fréquemment avec les sons de vocoder, il s’agit d’interruptions soudaines du signal (sons hachés, interrompus) et d’apparitions rapides de bruits pendant les pauses au cours du discours. Paramètre Release de la section Analysis Le paramètre Release définit la vitesse à laquelle une bande de fréquence de synthèse donnée peut décroître en niveau, si le niveau du signal de la bande d’analyse correspondante décroît brutalement. Le son est plus régulier lorsque les niveaux décroissent lentement. Pour obtenir ce caractère plus régulier, utilisez des valeurs de Release plus élevées dans la section Analysis de l’interface. Des temps de relâchement plus longs donneront un son insipide. Des valeurs d’Attack courtes ne sont pas un problème. Elles peuvent, en fait, être souhaitables lorsqu’une réaction rapide du vocoder aux signaux d’impulsion est nécessaire.242 Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth Bloquer les bruits de fond dans le signal d’analyse Si le signal d’analyse est compressé, ce qui est recommandé, le niveau de souffle, de ronronnement et des bruits de fond augmentera. Ces bruits de fond peuvent entraîner l’ouverture des bandes du vocoder, ce qui n’est pas souhaitable. Pour éliminer ces bruits, il peut être judicieux d’utiliser un Noise Gate avant la compression et l’accentuation des aigus. Si le signal d’analyse est correctement traité par le Noise Gate, vous devrez peut-être réduire la valeur de Release de la section Analysis. Lorsque des paroles et des voix sont traitées par un Noise Gate, le paramètre Hysteresis devient important. Threshold définit un niveau de seuil au-delà duquel la porte s’ouvrira. Hysteresis définit un niveau de seuil plus faible, au-dessous duquel la porte se fermera. Cette valeur est relative au niveau de seuil (Threshold). Le graphique ci-dessus montre un réglage de Threshold parfaitement adapté aux paroles compressées. Un déclenchement intempestif par un bruit de fréquence basse ou aiguë est évité par les filtres sidechain dédiés du Noise Gate. Les valeurs Hold, Release et Hysteresis affichées sont adaptées à des niveaux d’enveloppe typiques de la plupart des signaux vocaux et de discours. Obtenir les meilleurs signaux d’analyse et de synthèse Pour une bonne intelligibilité du discours, veuillez garder à l’esprit ces quelques points :  Le spectre des signaux d’analyse et de synthèse doivent se recouvrir presque complètement. Les voix d’hommes basses avec des signaux de synthèse dans les aigus ne fonctionnent pas très bien.  Le signal de synthèse doit être constamment maintenu, sans interruption. La piste doit être jouée legato, car des interruptions dans le signal de synthèse arrêteraient la sortie du vocoder. Sinon, le paramètre Release du signal de synthèse (à ne pas confondre avec le temps Release de la section Analysis) peut être réglé sur un temps plus long. De jolis effets peuvent également être obtenus en utilisant un signal de réverbération comme signal de synthèse. Notez que ces deux dernières méthodes peuvent provoquer des superpositions harmoniques.  Ne pas saturer le vocoder. Cela peut se produire facilement, ce qui entraînera de la distorsion. Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth 243  Prononcer son discours clairement, si l’enregistrement doit être utilisé comme signal d’analyse. Des paroles, à une hauteur relativement basse, fonctionnent mieux que des voix chantées, même si la création d’un chœur de vocoder est votre objectif ! Prononcer correctement les consonnes. Un bel exemple : le R roulé de « We are the Robots » de Kraftwerk, un classique du vocoder. Cette prononciation a été spécialement étudiée en fonction du vocoder. Réglez les paramètres Formant à votre convenance. L’intelligibilité des paroles est étonnamment peu affectée par le décalage, l’étirement ou la compression des formants. Même le nombre de bandes de fréquences utilisé a un impact minimal sur la qualité de l’intelligibilité. Cela s’explique par notre aptitude à différencier intuitivement les voix d’enfants, de femmes et d’hommes, dont la boîte crânienne et la gorge varient énormément par nature. De telles différences physiques provoquent des variations dans les formants qui composent leur voix. Notre perception (identification) des paroles est basée sur une analyse des relations entre ces formants. Dans les modules EVOC 20, ceux-ci restent intacts, même lorsque des réglages de formant extrêmes sont utilisés. Histoire du vocoder Vous serez sans doute surpris d’apprendre que les voder et vocoder datent respectivement des années 1939 et 1940. Homer Dudley, un chercheur en physique des Laboratoires Bell, New Jersey (USA) a développé le Voice Operated reCOrDER comme machine de recherche. Il a été conçu à l’origine pour tester des schémas de compression pour la sécurisation de la transmission de signaux vocaux sur des lignes téléphoniques en cuivre. Il était composé d’un dispositif associant un analyseur et un synthétiseur de voix artificielle. Il s’agissait des :  Parallel bandpass vocoder (vocoder à bande-passante parallèle) : Un analyseur de paroles et un resynthétiseur, inventé en 1940.  Vocoder speech synthesizer (synthétiseur de paroles vocoder) : Un modèle de voix relu par un opérateur humain, inventé n 1939. Cette machine basée sur des tubes était équipée de deux claviers, de boutons pour recréer les consonnes, d’une pédale pour le contrôle de la fréquence de l’oscillateur et d’une barre de poignet pour activer et désactiver les sons des voyelles. L’analyseur détectait les niveaux d’énergie des échantillons sonores successifs mesurés sur l’ensemble du spectre des fréquences audio via une série de filtres à bande étroite. Les résultats de cette analyse pouvaient être visualisés graphiquement sous forme de fonctions de fréquence évoluant dans le temps. 244 Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth Le synthétiseur inversait le processus en scannant les données fournies par l’analyseur et en donnant ces résultats à un certain nombre de filtres analytiques reliés à un géné- rateur de bruit. Cette combinaison produisait alors des sons. Le voder a été présenté à l’Exposition Universelle de 1939, où il fit sensation. Lors de la Seconde Guerre Mondiale, le vocoder (il s’appelle désormais VOice enCODER) a fait preuve de son importance cruciale, en brouillant les conversations transocéaniques entre Winston Churchill et Franklin Delanore Roosevelt. Werner Meyer-Eppler, le directeur du département Phonétique à l’Université de Bonn, a reconnu l’intérêt de ces machines pour la musique électronique après la visite de Dudley à l’Université en 1948. Meyer-Eppler utilisera le vocoder comme base de ses futurs écrits qui, à leur tour, deviendront la source d’inspiration du mouvement allemand « Elektronische Musik ». Dans les années 1950, quelques enregistrements suivront. En 1960, le synthétiseur Siemens a été développé à Munich. Parmi ses nombreux oscillateurs et filtres, il comportait un circuit de vocoder à lampes. En 1967, une société appelée Sylvania créait un certain nombre de machines numériques utilisant l’analyse temporelle des signaux d’entrée, plutôt que l’analyse basée sur des filtres passe-bande. En 1971, après avoir étudié la machine de Dudley, Bob Moog et Wendy Carlos modifiaient un certain nombre de modules de synthétiseurs pour créer leur propre vocoder pour la bande originale du film Orange mécanique. La société « EMS » de Peter Zinovieff, basée à Londres, a développé un vocoder autonome, et donc davantage portable. Cette société est probablement plus connue pour ses synthétiseurs « Synthi AKS » et VCS3. Le vocoder EMS Studio a été le premier à être commercialisé au niveau mondial, en 1976. Il a ensuite été renommé EMS 5000. Parmi ses utilisateurs, on retrouve Stevie Wonder et Kraftwerk. Stockhausen, le pionnier allemand du mouvement « Elektronische Musik », utilisait également un vocoder EMS. Sennheiser met en vente le VMS 201 en 1977, et EMS lance l’EMS 2000, qui était une version simplifiée de son frère aîné. 1978 voit les débuts de l’usage intensif du vocoder, qui gagne en popularité grâce à la musique de Herbie Hancock, Kraftwerk, et quelques autres artistes. Parmi les fabricants qui sont passés à la production de vocoders cette année-là, on trouve : Synton/Bode, Electro-Harmonix et Korg, avec le VC-10. En 1979, Roland lance le VP 330, un ensemble vocoder/clavier.Chapitre 15 EVOC 20 PolySynth 245 La fin des années 1970 et le début des années 1980 voient l’apogée du vocoder. Les artistes qui l’utilisent se nomment : ELO, Pink Floyd, Eurythmics, Tangerine Dream, Telex, David Bowie, Kate Bush et bien d’autres encore. Côté production, les vocoders étaient (et sont toujours) assemblés pour pas cher sous forme de kits vendus par les magasins d’électronique. Depuis les années 1980 et jusqu’à aujourd’hui, EMS au Royaume-Uni, Synton en Hollande et PAiA aux USA sont toujours les principaux étendards du vocoder. En 1996, Doepfer en Allemagne et Music & More ont rejoint la grande famille des fabricants de vocoders. Au cours des années 1990, sont apparus de nombreux vocoders autonomes basés sur des logiciels.16 247 16 EFM 1 L’EFM1 à 16 voix est un synthétiseur à la fois simple et performant qui s’appuie sur la modulation de fréquence. Il produit les sonorités numériques et les sons de cloche riches typiques de la synthèse par modulation de fréquence, plus communément appelée synthèse FM. Au cœur du moteur de l’EFM1, se trouvent un oscillateur à ondes multiples modulator et un oscillateur sinusoïdal carrier. Le rôle de l’oscillateur Modulator est de moduler la fréquence de l’oscillateur Carrier au sein du spectre audio, produisant ainsi de nouvelles harmoniques. Ces harmoniques sont connus sous le nom de bandes latérales. Le module EFM 1 se divise en plusieurs parties.  La partie supérieure contient les paramètres globaux Transpose, Tune, Glide, Voices et Unison.  Le moteur FM se compose des paramètres Modulator et Carrier (sections plus sombres, en relief) et des commandes FM, notamment l’enveloppe de modulation (Modulation Env) et l’oscillateur basse fréquence (LFO) figurant dans la zone centrale en forme de champignon. 248 Chapitre 16 EFM 1  La partie inférieure renferme la section Output, composée des paramètres Sub Osc Level et Stereo Detune, ainsi que des commandes Volume Envelope, Main Level et Velocity. Dans le coin inférieur droit figure également un champ Randomize.  Le panneau des paramètres étendus (accessible en cliquant sur le triangle d’affichage en bas à gauche) vous permet d’assigner des contrôleurs MIDI aux paramètres FM Amount (profondeur FM) et Vibrato. Paramètres globaux Ces paramètres ont un impact sur le son instrumental global produit par l’EFM 1. Transpose La tonalité de base est déterminée par le paramètre Transpose. Vous pouvez transposer l’EFM 1 de ±2 octaves. Tune Le paramètre Tune permet d’accorder avec précision l’EFM 1 à ± 50 cents. Un cent équivaut à 1/100e d’un demi-ton. Unison Lorsque vous activez le bouton Unison, deux voix EFM 1 complètes sont superposées ; le son de l’EFM 1 devient alors plus lourd et plus épais. En mode Unison, l’EFM 1 peut être joué avec une polyphonie de 8 voix. Voices Le nombre de voix pouvant être jouées simultanément (polyphonie) est déterminé par le paramètre Voices. Les valeurs possibles sont : Mono (une voix), Legato (une voix) et de 2 à 16 voix. En mode monophonique Legato, la lecture de notes superposées ne redéclenche pas les enveloppes de l’EFM 1. Glide Le paramètre Glide permet d’introduire une modulation de hauteur continue entre deux notes consécutives. La valeur Glide (en ms) détermine le temps que met la hauteur tonale pour passer d’une note jouée à la suivante. Vous pouvez utiliser le paramètre Glide en mode monophonique Mono ou Legato, ainsi qu’en mode polyphonique (de 2 à 16 voix). Randomize La fonction Randomize (disponible dans l’angle inférieur droit de l’interface) génère de nouveaux sons chaque fois que vous cliquez sur le bouton correspondant. Le degré de randomisation (ou variance par rapport au son d’origine) est déterminé par la valeur indiquée dans le champ numérique. Il est conseillé d’utiliser des valeurs inférieures à 10 % si vous souhaitez juste modifier légèrement le son actuel. Chapitre 16 EFM 1 249 Modulator et Carrier Les paramètres Modulator et Carrier sont expliqués ci-après. Harmonic En synthèse FM, la structure harmonique de base est déterminée par la relation d’accord entre le Modulator et le Volume envelope. Cette relation est souvent appelée rapport d’accord. Dans le module EFM 1, ce rapport est établi à l’aide des commandes Harmonic du Modulator et du Carrier. L’accord peut également être réglé par le biais des paramètres Fine (Tune). Vous pouvez accorder le Modulator et Volume envelope sur l’un des 32 premiers harmoniques. La relation (ou rapport) d’accord modifie de façon considérable le son de base de l’EFM 1, c’est pourquoi il est préférable de régler ce paramètre à l’oreille. En règle générale, voici ce que l’on peut dire : les rapports d’accord pairs ont tendance à produire un son plus harmonique ou plus musical, tandis que les rapports impairs produisent des sonorités beaucoup moins mélodieuses, parfaites pour les sons de cloche et les bruits métalliques. Par exemple, si vous réglez le Modulator et le Volume envelope sur le premier harmonique (rapport de 1:1), vous obtiendrez un son en dent de scie. Si vous réglez le Modulator sur le deuxième harmonique et le Volume envelope sur le premier (rapport 2:1), la tonalité produite vous fera penser à une onde carrée. Le rapport d’accord peut, par conséquent, être comparé au sélecteur de forme d’onde d’un synthétiseur analogique. Fine Le paramètre Fine permet d’ajuster l’accord entre deux harmoniques adjacents (tel qu’il est déterminé par la commande Harmonic). Cette commande a une plage de ±0.5 harmonique. Selon le degré de désaccord, cela peut soit créer un « battement » subtil du timbre, soit, si un effet de désaccord important est utilisé, ajouter de nouvelles notes, harmoniques et inharmoniques En position centrale (0), le paramètre Fine n’a aucun effet. Vous pouvez facilement le centrer en le réglant sur 0. Modulator Wave En synthèse FM classique, les sinusoïdes sont utilisées en tant que formes d’onde pour le Modulator et le Carrier. Pour étendre ses capacités acoustiques, l’oscillateur Modulator de l’EFM 1 fournit un certain nombre de formes d’onde numériques supplémentaires. Lorsque le bouton est tourné complètement vers la gauche, le Modulator produit une sinusoïde. Si vous tournez le paramètre Wave dans le sens des aiguilles d’une montre, vous verrez défiler une suite de formes d’onde numériques complexes. Ces formes d’onde offrent une dimension harmonique supplémentaire aux sons FM obtenus.250 Chapitre 16 EFM 1 Bouton Fixed Carrier Ce bouton vous permet de déconnecter la fréquence porteuse des modulations du clavier, de la hauteur tonale et du LFO. Paramètres FM Ces paramètres concernent les aspects de modulation de fréquence du module EFM 1. FM (Intensity) L’oscillateur Modulator a pour effet de moduler la fréquence du Volume envelope, ce qui génère de nouvelles bandes latérales et donc de nouveaux harmoniques. Si vous augmentez la valeur FM (Intensity) à l’aide du gros bouton central, le nombre d’harmoniques augmente et le son devient plus clair. Le paramètre FM (Intensity) est parfois appelé FM Index. Remarque : bien que la technologie sous-jacente soit très différente, le paramètre FM (Intensity) peut être comparé au paramètre Filter Cutoff d’un synthétiseur analogique. Modulation Env(elope) Pour contrôler le paramètre FM (Intensity) de façon dynamique, l’EFM 1 fournit une enveloppe de modulation ADSR (FM), composée de quatre curseurs : A (Attack, temps d’attaque), D (Decay, temps de chute), S (Sustain, niveau de tenue) et R (Release, temps de relâchement). L’enveloppe Modulation Env se déclenche dès qu’elle reçoit une note MIDI. Le curseur Attack détermine le temps nécessaire pour atteindre le niveau d’enveloppe maximal. Le curseur Decay détermine le temps nécessaire pour atteindre le niveau de tenue (lui-même déterminé par le curseur Sustain). Le niveau Sustain est maintenu jusqu’à ce que la note MIDI soit relâchée. Le curseur Release détermine le temps nécessaire pour atteindre le niveau zéro une fois que la note MIDI a été relâchée. FM Depth La force, ou impact, de l’enveloppe Modulation Env sur l’intensité FM est déterminée par la commande FM Depth. Si vous tournez le bouton FM Depth dans le sens des aiguilles d’une montre, l’effet de l’enveloppe de modulation augmente. Si vous tournez ce même bouton dans le sens contraire, l’effet de l’enveloppe de modulation est inversé, ce qui signifie que l’enveloppe descend lors de la phase d’attaque et remonte pendant les phases de chute et de relâchement. En position centrale (0), l’enveloppe n’a aucun effet. Vous pouvez facilement centrer le bouton FM Depth en le réglant sur 0.Chapitre 16 EFM 1 251 Modulator Pitch L’impact de l’enveloppe de modulation sur la tonalité de l’oscillateur Modulator est déterminé par la commande Modulator Pitch. Si vous tournez le bouton Modulator Pitch dans le sens des aiguilles d’une montre, l’effet de l’enveloppe de modulation augmente. Si vous tournez ce même bouton dans le sens contraire, l’effet de l’enveloppe de modulation est inversé, ce qui signifie que l’enveloppe descend lors de la phase d’attaque et remonte pendant les phases de chute et de relâchement. En position centrale (0), l’enveloppe n’a aucun effet. Vous pouvez facilement centrer le bouton Modulator Pitch en le réglant sur 0. LFO Le LFO (Low Frequency Oscillator, oscillateur basse fréquence) sert de source de modulation cyclique pour les paramètres FM Intensity ou Vibrato. Si vous tournez le bouton LFO dans le sens des aiguilles d’une montre, l’effet du LFO sur l’intensité FM augmente. Si vous le tournez dans le sens inverse, cela introduit un vibrato. En position centrale (0), le LFO n’a aucun effet. Vous pouvez facilement centrer le bouton LFO en le réglant sur 0. Rate Le rapport vitesse/fréquence des cycles du LFO est défini à l’aide du paramètre Rate. Section Output Le module EFM1 fournit plusieurs commandes de niveau, présentées ci-après. Sub Osc Level Pour obtenir une meilleure réponse dans les basses, l’EFM 1 comprend un oscillateur sinusoïdal secondaire. Celui-ci agit une octave en dessous du moteur FM (selon la valeur déterminée par le paramètre Transpose). Si vous montez le bouton Sub Osc Level, la sinusoïde de l’oscillateur secondaire est mélangée à la sortie du moteur FM de l’EFM 1. Stereo Detune Stereo Detune ajoute un effet de chorus riche et varié au son de l’EFM 1. Pour cela, la voix de l’EFM 1 est doublée à l’aide d’un second moteur FM désaccordé. Pour régler le degré de désaccord, utilisez le bouton Stereo Detune. Un effet stéréo de grande ampleur est également ajouté, ce qui augmente la « dimension spatiale » et la « largeur » de votre son.252 Chapitre 16 EFM 1 Vol(ume) Envelope L’enveloppe de volume (Volume Envelope) détermine la forme globale du volume. Elle est constituée de quatre curseurs : Attack (temps d’attaque), Decay (temps de chute), Sustain (niveau de tenue) et Release (temps de relâchement). L’enveloppe de volume se déclenche dès qu’elle reçoit une note MIDI. Le curseur Attack détermine le temps nécessaire pour atteindre le niveau de volume maximal. Le curseur Decay détermine le temps nécessaire pour atteindre le niveau de tenue (lui-même déterminé par le curseur Sustain). Le niveau Sustain est maintenu jusqu’à ce que la note MIDI soit relâchée. Le curseur Release détermine le temps nécessaire pour atteindre un niveau de volume égal à zéro une fois que la note MIDI a été relâchée. Main Level Le bouton Main Level permet d’ajuster le niveau de sortie global de l’EFM 1. Si vous le tournez dans le sens des aiguilles d’une montre, le volume de sortie de l’EFM 1 augmente. Tournez-le dans le sens inverse et le volume de sortie diminuera. Velocity Le module EFM 1 est capable de répondre à la vélocité MIDI ; il réagit au moyen de changements dynamiques de son et de volume. Ainsi, plus votre jeu est puissant, plus le son sera fort et clair. La sensibilité de l’EFM 1 en réponse aux informations de vélocité entrantes est déterminée par le paramètre Velocity. Tournez le bouton Velocity complètement vers la gauche si vous souhaitez que l’EFM 1 ne réagisse pas à la vélocité des notes. Plus vous tournez le bouton vers la droite, plus la sensibilité à la vélocité augmente et, par la même occasion, les changements de son dynamiques que l’EFM 1 est capable de produire. Assignation de contrôleurs MIDI La section des paramètres étendus de l’EFM 1 vous permet d’assigner le contrôleur MIDI de votre choix aux paramètres suivants :  FM Intensity  Vibrato Sélectionnez simplement le contrôleur souhaité dans les menus Ctrl FM et Ctrl Vibrato, puis réglez le degré de modulation ou de vibrato à l’aide des curseurs associés. Remarque : le module EFM 1 répond également aux données de modulation de hauteur : cette dernière est liée à la hauteur globale de l’EFM 1. 17 253 17 ES E Ce chapitre présente le synthétiseur ES E polyphonique huit voix. L’ES E (ES Ensemble) est conçu pour les sons de nappe et d’ensemble. Il permet d’ajouter des effets atmosphériques à votre musique, et requiert un temps système faible. Tous les paramètres de l’ES E sont présentés dans la section ci-dessous.  Boutons 4, 8 et 16 : détermine la transposition d’octaves de l’ES E.  Potentiomètre Wave : si vous réglez le paramètre Wave complètement à gauche, les oscillateurs produisent des signaux en dent de scie, qui peuvent être modulés en fréquence par l’oscillateur sub-audio (LFO) intégré. Pour toute la plage restante, les oscillateurs produisent des ondes pulsées dont la largeur moyenne d’impulsion est définie par le paramètre Wave.  Potentiomètre Vib/PWM : si le paramètre Wave est réglé sur une onde en dent de scie, ce paramètre permet de définir l’amplitude de modulation de fréquence, donnant un effet de vibrato ou de « sirène », selon l’intensité et la vitesse de l’oscillateur sub-audio (LFO). S’il est réglé sur une onde pulsée, il contrôle l’amplitude de la modulation de la largeur d’impulsion (PWM). Lorsque la largeur d’impulsion devient très réduite, le son semble être « interrompu ». Compte tenu de cet effet potentiel, il convient de régler l’intensité PWM avec précaution et de choisir la position centrale (12 h) du paramètre Wave (rectangulaire à 50 %) pour la largeur d’impulsion, si vous souhaitez obtenir une plage de modulation maximale.  Potentiomètre Speed : contrôle la fréquence de modulation de la tonalité (dent de scie) ou de la largeur d’impulsion.254 Chapitre 17 ES E  Potentiomètre Cutoff : définit la fréquence de coupure du filtre passe-bas dynamique à résonance.  Potentiomètre Resonance : définit la résonance du filtre passe-bas dynamique de l’ES E.  Potentiomètre AR Int : l’ES E possède un générateur d’enveloppe pour chaque voix, et comporte les paramètres Attaque et Relâchement. Le paramètre AR Int définit l’amplitude de la modulation de la fréquence de coupure appliquée par le générateur d’enveloppe.  Potentiomètre Velo Filter : détermine la sensibilité à la vélocité de la modulation de la fréquence de coupure appliquée par le générateur d’enveloppe. Ce paramètre n’a aucune incidence si le paramètre AR Int est défini sur 0.  Curseur Attack : détermine le temps d’attaque du générateur d’enveloppe.  Curseur Release : détermine le temps de relâchement du générateur d’enveloppe.  Potentiomètre Velo Volume : contrôle la sensibilité à la vélocité, le volume sonore de chaque note dépendant de la force avec laquelle elle a été créée.  Potentiomètre Volume : définit le niveau de sortie de l’ES E.  Bouton Chorus I, Chorus II et Ensemble : active/désactive l’une des trois variations d’effets chorus/ensemble ES E.18 255 18 ES M L’ES M monophonique (ES Mono) est un bon point de départ si vous recherchez des sons de basse qui apportent plus d’intensité à votre mixage. Le synthétiseur compact ES M présente un mode de jeu portamento automatique, facilitant le glissement de basses. Il comporte également un circuit de compensation de filtre automatique qui offre des sons de basse riches et crémeux, même lors de l’utilisation de valeurs de résonances plus importantes. Tous les paramètres de l’ES M sont présentés dans la section ci-dessous.  Boutons 8, 16 et 32 : détermine la transposition d’octaves de l’ES M.  Potentiomètre Glide : l’ES M fonctionne en permanence dans un mode de jeu portamento, c’est-à-dire que les notes sont jouées en legato, ce qui permet de glisser (effet portamento) d’une hauteur à l’autre. La vitesse du glissé est définie par le paramètre Glide. S’il est réglé sur 0, aucun effet de glissé n’est utilisé.  Potentiomètre Mix : effectue un fondu enchaîné entre une onde en dent de scie et une onde rectangulaire à 50 %, qui sonne une octave plus bas.  Potentiomètre Cutoff : définit la fréquence de coupure du filtre passe-bas dynamique à résonance. Sa pente est de 24 dB/octave.  Potentiomètre Resonance : définit la résonance du filtre passe-bas dynamique. L’augmentation de la valeur de résonance entraîne un rejet des basses (énergie des basses fréquences) lors de l’utilisation des filtres passe-bas. L’ES M compense en interne cet effet secondaire, de façon à produire un son plus chargé en basses.256 Chapitre 18 ES M  Potentiomètre Int : l’ES M dispose de deux générateurs d’enveloppes très simples offrant un seul paramètre Decay. Int permet la modulation de la fréquence de coupure par l’enveloppe du filtre.  Potentiomètre Decay (Filter) : détermine le temps de chute de l’enveloppe du filtre. Il ne s’applique que si Int n’est pas défini sur 0.  Potentiomètre Velo (Filter) : détermine la sensibilité à la vélocité de l’enveloppe du filtre. Ce paramètre ne s’applique que si Int n’est pas défini sur 0.  Potentiomètre Decay (Volume) : détermine le temps de chute de l’amplificateur dynamique. Les temps d’attaque, de relâchement et de maintien du synthétiseur sont réglés en interne sur 0.  Potentiomètre Velo (Volume) : détermine la sensibilité à la vélocité de l’amplificateur dynamique.  Potentiomètre Vol : règle le volume général de l’ES M.  Potentiomètre Overdrive : règle le niveau de saturation/distorsion de la sortie de l’ES M. Attention : l’effet Overdrive augmente le niveau de sortie de façon significative.  Curseurs Bender Range (paramètres étendus) : règle la sensibilité de la modulation de hauteur par incréments d’un demi-ton. 19 257 19 ES P Ce chapitre présente le synthétiseur polyphonique 8 voix ES P (ES Poly) de Logic. Son fonctionnement, (à l’exception de sa sensibilité à la vélocité) rappelle un peu les synthétiseurs polyphoniques abordables produits par les plus grands fabricants japonais dans les années 1980. Sa conception est facile à comprendre, il est capable de produire un grand nombre de sons utiles en musique et avec lui, vous aurez certainement du mal à créer des sons qui ne puissent s’intégrer dans la plupart des styles musicaux. Les sons classiques de cuivres synthétiques analogiques ne sont qu’une de ses nombreuses spécialités. Vous trouverez dans la section suivante, une description de chacun des paramètres ES P.  Boutons 8, 16 et 32 : les boutons 8, 16 et 32 servent à régler la transposition d’octave de l’ES P.  Curseurs de forme d’onde : les curseurs situés sur le côté gauche de la fenêtre vous permettent de mélanger plusieurs formes d’onde, produites par les oscillateurs de l’ES P. En plus des ondes triangulaires, en dent de scie et rectangulaires, des ondes rectangulaires de deux sous-oscillateurs sont également disponibles. L’une d’elles « sonne » une octave en dessous des oscillateurs principaux et l’autre, deux octaves en dessous. La largeur d’impulsion de toutes les ondes rectangulaires est de 50 pour cent. Le curseur situé tout à fait à droite permet d’ajouter du bruit blanc au mélange. C’est la « matière première » des effets sonores classiques de synthétiseur, comme ceux évoquant les vagues de l’océan, le vent et les hélicoptères.258 Chapitre 19 ES P  Potentiomètre Vib/Wah : l’ES P dispose d’un LFO qui peut moduler soit la fréquence des oscillateurs, pour un effet de vibrato, soit la fréquence de coupure du filtre passe-bas dynamique, donnant un effet « Wah-Wah ». Tournez le bouton vers la gauche pour obtenir un vibrato ou vers la droite pour moduler le filtre de façon cyclique.  Potentiomètre Speed : contrôle la vitesse de la modulation de la fréquence de l’oscillateur ou de la fréquence de coupure.  Potentiomètre Frequency : définit la fréquence de coupure du filtre passe-bas dynamique à résonance.  Potentiomètre Resonance : définit la résonance du filtre passe-bas dynamique. Augmenter la valeur de Resonance donnera une réjection des basses (l’énergie des fréquences basses) lors de l’utilisation des filtres passe-bas. L’ES P compense cet effet secondaire en interne, ce qui donne un son avec plus de basses.  Boutons 1/3, 2/3 et 3/3 : la fréquence de coupure peut être modulée par un numéro de note MIDI (position sur le clavier) ; vous connaissez peut être ce paramètre sous le nom de « Keyboard Follow » (Suivi du Clavier) sur d’autres synthétiseurs. Vous avez le choix entre : pas de modulation, suivi sur un tiers, deux tiers ou sur la totalité du clavier (3/3). Réglé sur 3/3, le contenu harmonique relatif de chaque note est le même, indépendamment de la hauteur de celle-ci.  Potentiomètre ADSR : l’ES P dispose d’un générateur d’enveloppe ADSR par voie. ADSR Int règle la valeur de la modulation de la fréquence de coupure par le générateur d’enveloppe ADSR.  Potentiomètre Velo Filter : la modulation de la fréquence de coupure par le générateur d’enveloppe ADSR est sensible à la vélocité. Le degré de sensibilité à la vélocité est définit par le potentiomètre Velo Filter.  Potentiomètre Volume : règle le volume général de l’ES P.  Potentiomètre Velo Volume : contrôle la sensibilité à la vélocité, le volume de chaque note dépendant de la force avec laquelle elle a été créée.  Curseur A (Attack) : détermine le temps d’attaque du générateur d’enveloppe.  Curseur D (Decay) : détermine le temps de chute du générateur d’enveloppe.  Curseur S (Sustain) : détermine le niveau de maintient du générateur d’enveloppe.  Curseur R (Release) : détermine le temps de relâchement du générateur d’enveloppe.  Potentiomètre Chorus : règle l’intensité de l’effet chorus intégré.  Potentiomètre Overdrive : règle le niveau de saturation/distorsion de la sortie de l’ES P. Attention : l’effet Overdrive augmente le niveau de sortie de façon significative.20 259 20 ES1 Ce chapitre présente le synthétiseur analogique virtuel ES1. Le système très flexible de génération sonore de l’ES1 et ses options de modulation intéressantes mettent à votre disposition toute une palette de sons analogiques : basses dynamiques, atmosphères, leads mordants et percussions marquées. Paramètres du module ES1260 Chapitre 20 ES1 Boutons 2', 4', 8', 16', 32' Ces valeurs de séquence permettent de changer de tonalité en passant d’une octave à une autre. 32 pieds correspond au réglage le plus grave, 2 pieds au réglage le plus aigu. L’utilisation du terme « pied » pour mesurer les octaves vient du fait que l’on employait cette unité pour mesurer la longueur des tuyaux d’un orgue. Wave Le paramètre Wave vous permet de sélectionner la forme d’onde de l’oscillateur, sur laquelle repose la couleur sonore de base du morceau. Vous pouvez choisir n’importe quelle largeur d’impulsion comprise entre les symboles d’onde carrée et d’onde pulsée. La largeur d’impulsion peut également être modulée via la section de modulation (reportez-vous à la section « Router » à la page 264). Par exemple, une modulation de la largeur d’impulsion à l’aide d’un LFO à cycle lent permet de rendre provisoirement muets les sons de basses graves. Sub L’oscillateur secondaire (Sub) génère des ondes carrées (inférieures d’une ou deux octaves par rapport à la fréquence de l’oscillateur principal), ainsi qu’une onde pulsée (inférieure de deux octaves par rapport à la fréquence de l’oscillateur principal). Outre les ondes carrées pures, le sélecteur de formes d’onde permet de choisir entre différents mixages et différentes relations de phase entre ces ondes, ce qui produit des sons différents. Vous pouvez également utiliser un bruit blanc ou mettre l’oscillateur secondaire en position OFF. Vous pouvez diriger un signal Side Chain (depuis n’importe quelle piste) dans le filtre du synthétiseur (sélectionnez EXT). Pour sélectionner la piste source Side Chain, cliquez sur le menu Side Chain situé en haut de la fenêtre du module. Mix Ce curseur définit la relation de mixage entre le signal de l’oscillateur principal et celui de l’oscillateur secondaire. Lorsque l’onde de l’oscillateur secondaire est désactivée (position OFF), son signal de sortie est totalement supprimé du mixage. ? Astuce : des valeurs de résonance élevées permettent de provoquer une auto-oscillation du filtre, ce qui peut être utile si vous souhaitez utiliser le filtre comme oscillateur. Chapitre 20 ES1 261 Paramètres Filter Cette section décrit les paramètres de filtrage disponibles dans le module ES1. Drive Il s’agit d’une commande du niveau d’entrée associée au filtre passe-bas, qui vous permet d’appliquer un effet d’Overdrive au filtre. Son utilisation modifie le comportement du paramètre Resonance et le son la forme d’onde peut subir une distorsion. Cutoff et Resonance Le paramètre Cutoff contrôle la fréquence de coupure du filtre passe-bas de l’ES1. Le paramètre Resonance accentue les portions du signal qui entourent la fréquence définie par le paramètre Cutoff. Cette accentuation peut être définie de façon si intense que le filtre commence à osciller par lui-même. Lorsqu’il atteint l’auto-oscillation, le filtre génère une oscillation sinusoïdale (ou sinusoïde). Si le paramètre Key est réglé sur 1, vous pouvez jouer le filtre de façon chromatique à partir d’un clavier MIDI. Il existe un autre moyen de définir la fréquence de coupure : cliquez sur le mot Filter (entouré par les sélecteurs de pente), maintenez le bouton de la souris enfoncé et déplacez le curseur verticalement pour ajuster la fréquence de coupure. Déplacez la souris horizontalement pour ajuster la résonance. Boutons Slope Le filtre passe-bas offre quatre pentes différentes de rejet de bandes au-dessus de la fréquence de coupure.  Le réglage « 24 dB classic » imite le comportement d’un filtre de type Moog : si vous augmentez la résonance, la partie basse du signal est réduite.  Le réglage « 24 dB fat » compense cette réduction du contenu basse fréquence. Une augmentation de la résonance ne diminue pas la partie basse du signal ; ce réglage est donc proche d’un filtre de type Oberheim.  Le réglage 18 dB tend à faire ressembler le son du filtre à celui du TB-303 de Roland.  Le réglage 12 dB produit un son doux et homogène qui rappelle celui des premiers Oberheim SEM. Key Ce paramètre contrôle l’intensité de modulation de la fréquence de coupure en fonction de la tonalité du clavier (numéro de note). Si le paramètre Key est réglé sur zéro, la fréquence de coupure reste inchangée, quelle que soit la note jouée. Ainsi, les notes graves auront un son relativement plus clair que celui des notes aiguës. Si le paramètre Key est réglé sur la valeur maximale, le filtre suit la tonalité, afin que la relation entre la fréquence de coupure et la tonalité soit constante.262 Chapitre 20 ES1 ADSR Via Vel Le générateur d’enveloppe principal (ADSR) module la fréquence de coupure pendant toute la durée d’une note. L’intensité de cette modulation peut avoir une valeur positive ou négative et peut réagir aux informations de vélocité. Si vous jouez pianissimo (Velocity = 1), la modulation aura lieu au niveau de la flèche du bas. Si vous jouez vraiment fortissimo (Velocity = 127), la modulation aura lieu au niveau de la flèche du haut. La barre bleue entre les flèches illustre la dynamique de cette modulation. Vous pouvez ajuster simultanément l’étendue et l’intensité de la modulation en attrapant la barre et en déplaçant les deux flèches en même temps. En procédant ainsi, vous pourrez constater que la distance relative entre les deux est préservée. Level Via Vel La flèche du haut agit comme une commande de volume principale pour le synthétiseur. Plus elle est éloignée de la flèche du bas (indiquée par les barres bleues), plus le volume est affecté par les messages de vélocité entrants. La flèche du bas indique le niveau lorsque vous jouez pianissimo (vélocité =1). Vous pouvez ajuster simultanément l’étendue et l’intensité de la modulation en attrapant la barre et en déplaçant les deux flèches en même temps. En procédant ainsi, vous pourrez constater que la distance relative entre les deux est préservée. Afin de conserver la meilleure résolution possible pour la sensibilité à la vélocité, même lorsque le volume est bas, le module ES1 dispose d’un paramètre Out Level supplémentaire, accessible depuis la présentation Controls. Sélecteur de l’enveloppe d’amplification Les boutons AGateR, ADSR et GateR déterminent quelles commandes du générateur d’enveloppe ADSR ont une incidence sur l’enveloppe d’amplification.  AGateR : active les commandes de temps d’attaque et de relâchement mais permet de conserver un niveau constant entre le moment où le niveau de crête est atteint et celui où la note est relâchée, quels que soient les réglages de chute et de tenue définis.  ADSR : active toutes les commandes de la section de l’amplificateur.  GateR : définit le temps d’attaque de la section de l’amplificateur sur zéro, de sorte que seule la commande de relâchement continue d’agir sur l’enveloppe de volume. Chapitre 20 ES1 263 Tous les paramètres ADSR resteront toujours actifs pour le filtre (ADSR via Vel). A correspond au temps d’attaque, R au temps de relâchement et Gate est le nom d’un signal de contrôle utilisé dans les synthétiseurs analogiques, qui indique à un générateur d’enveloppe qu’une touche est pressée. Tant qu’une touche de synthétiseur analogique reste enfoncée, le signal Gate garde une tension constante. Utilisé comme source de modulation dans l’amplificateur contrôlé en tension (et non dans l’enveloppe elle-même), il crée une enveloppe de type orgue sans aucun paramètre d’attaque, de chute ou de relâchement. Glide Le paramètre Glide définit la durée (portamento) appliquée à chaque note déclenchée. Le comportement du déclencheur Glide dépend de la valeur définie pour le paramètre Voices (reportez-vous à la section « Voices » à la page 266). La valeur 0 désactive la fonction Glide. LFO Waveform Le LFO propose plusieurs formes d’onde : triangulaire, en dents de scie ascendantes et descendantes, onde carrée, Sample & Hold (aléatoire) et une onde aléatoire décalée dont la forme change en douceur. Vous pouvez également assigner un signal Side Chain (toute piste audio) comme source de modulation (EXT). Sélectionnez la piste source Side Chain via le menu Side Chain situé en haut de la fenêtre du module. Rate Ce paramètre définit la vitesse (fréquence) de modulation. Si vous choisissez des valeurs situées à gauche du zéro, la phase du LFO est verrouillée sur le tempo du projet, avec des durées de phase ajustables entre 1/96 de mesure et 32 mesures. Si vous optez pour des valeurs situées à droite du zéro, la phase du LFO peut évoluer librement. S’il est défini sur zéro, le LFO produit un niveau constant (et complet), ce qui vous permet d’utiliser la roulette de modulation pour moduler, entre autres, la largeur d’impulsion : un déplacement de la roulette de modulation modifie la largeur d’impulsion en fonction du réglage « Int via Whl », sans introduire de modulation du LFO. Int Via Whl La flèche du haut définit l’intensité de modulation du LFO si la roulette de modulation (contrôleur MIDI 1) est réglée sur sa valeur maximale. La flèche du bas définit l’intensité de modulation du LFO si la roulette de modulation est réglée sur zéro. La distance entre les flèches (représentée par une barre verte) indique la portée de la roulette de modulation de votre clavier. Vous pouvez ajuster simultanément l’étendue et l’intensité de la modulation en attrapant la barre et en déplaçant les deux flèches en même temps. En procédant ainsi, vous pourrez constater que la distance relative entre les deux est préservée. 264 Chapitre 20 ES1 Router La section Router définit la cible pour la modulation du LFO et l’enveloppe de modulation. Une cible peut être définie pour le LFO, une autre pour l’enveloppe de modulation. Vous pouvez moduler les éléments suivants :  La tonalité (fréquence) de l’oscillateur  La largeur d’impulsion de l’onde pulsée  Le mixage entre l’oscillateur principal et l’oscillateur secondaire  La fréquence de coupure du filtre  La résonance du filtre  Le volume principal (amplificateur) Les deux cibles suivantes sont uniquement disponibles pour l’enveloppe de modulation :  Filter FM (intensité de modulation de la fréquence de coupure par l’onde triangulaire de l’oscillateur) : les caractéristiques de la modulation ne sont pas linéaires. Par conséquent, vous pouvez obtenir une pseudo-distorsion des sons existants ou, si seule l’auto-oscillation du filtre de résonance est perceptible, créer des sons métalliques, de style FM. Pour ce faire, réglez l’option Sub sur off et l’option Mix sur Sub.  LFO Amp (intensité globale de la modulation du LFO) : l’une des applications consiste à créer un vibrato décalé en modulant l’intensité de la modulation du LFO, si le paramètre Router du LFO est réglé sur Pitch. La forme de l’enveloppe de modulation contrôle l’intensité du vibrato. Sélectionnez un réglage de style d’attaque (valeur élevée pour l’option form). Int Via Vel La flèche vers le haut contrôle le réglage de l’intensité de modulation supérieure associée à l’enveloppe de modulation, si vous frappez une touche selon le paramètre fortissimo le plus élevé (vélocité = 127). La flèche vers le bas contrôle le réglage de l’intensité de modulation inférieure associée à l’enveloppe de modulation, si vous frappez une touche selon le paramètre pianissimo le plus doux (vélocité = 1). La barre verte entre les flèches illustre l’impact de la sensibilité à la vélocité sur l’enveloppe de modulation (ou sur l’intensité de cette dernière). Vous pouvez ajuster simultané- ment l’étendue et l’intensité de la modulation en attrapant la barre et en déplaçant les deux flèches en même temps. En procédant ainsi, vous pourrez constater que la distance relative entre les deux est préservée.Chapitre 20 ES1 265 Mod Envelope La section Mod Envelope (enveloppe de modulation) n’est constituée que d’un paramètre. Vous pouvez définir une enveloppe de chute de type percussif (valeurs faibles) ou des enveloppes de type attaque (valeurs élevées). Un réglage maximal de l’enveloppe de modulation produit un niveau constant et maximal, ce qui est utile lorsque vous souhaitez qu’un paramètre soit modulé uniquement en fonction de la vélocité. Pour ce faire, sélectionnez une destination de modulation (LFO Amplitude, par exemple), réglez l’enveloppe de modulation sur la valeur maximale et ajustez le paramètre Int via Vel de façon appropriée afin d’obtenir un niveau de modulation LFO Amplitude sensible à la vélocité mais ne variant pas au fil du temps. ADSR L’enveloppe ADSR affecte le filtre (ADSR via Vel) et l’amplificateur (s’il est réglé sur ADSR). Les paramètres sont le temps d’attaque (A), le temps de chute (D), le niveau de tenue (S) et le temps de relâchement (R). Si vous n’avez pas l’habitude de ces paramètres : réglez l’amplificateur sur ADSR, le réglage Cutoff sur une valeur faible, le réglage Resonance sur une valeur élevée et déplacez les deux flèches « ADSR via Vel » vers le haut, afin de voir la fonction de ces paramètres. Tune Le réglage Tune définit la tonalité de l’ES1. Analog Le réglage Analog modifie légèrement la hauteur de chaque note, ainsi que la fréquence de coupure, de façon aléatoire. Comme dans un synthétiseur analogique polyphonique, les valeurs Analog supérieures à zéro permettent au cycle des oscillateurs de toutes les voix déclenchées d’évoluer librement. Notez que si le réglage Analog a la valeur zéro, les points de départ de chaque cycle d’oscillateur de toutes les voix déclenchées sont synchronisés. Cela peut s’avérer utile pour les sons percussifs, lorsque vous cherchez à obtenir une caractéristique d’attaque plus franche. Pour obtenir un son chaud de type analogique, le paramètre Analog doit être défini sur des valeurs plus élevées, chaque voix déclenchée sera alors associée à des variations plus subtiles. Bender Range Le réglage Bender Range permet de sélectionner la sensibilité du modulateur de hauteur en demi-tons.266 Chapitre 20 ES1 Out Level Out Level correspond à la commande de volume principale du synthétiseur ES1. Voices Le nombre affiché correspond au nombre maximal de notes pouvant être jouées simultanément. Chaque instance de l’ES1 offre une polyphonie de 16 voix maximum. Si vous jouez moins de voix, vous aurez besoin de moins de ressources système. Si vous réglez le paramètre Voices sur Legato, l’ES1 se comporte comme un synthétiseur monophonique à déclencheur simple et avec la fonction Fingered portamento activée. Cela signifie que, si vous jouez legato, un effet portamento correspondant au réglage Glide se produira ; en revanche, si vous relâchez chaque touche avant d’appuyer sur la suivante, il n’y aura aucun effet de portamento. L’enveloppe ne sera pas déclenchée par la nouvelle note. Ainsi, vous obtenez des effets de modulation de hauteur sans vous servir du modulateur. N’oubliez pas de sélectionnez une valeur Glide plus élevée lorsque vous utilisez le réglage Legato. Chorus L’ES1 offre des effets Chorus/Ensemble stéréo classiques. Quatre réglages sont disponibles : Off, C1, C2 et Ens. L’option Off désactive l’effet Chorus. C1 et C2 constituent des effets Chorus typiques. C2 est une variante de C1, caractérisée par une modulation plus importante. En comparaison, l’effet Ensemble (Ens) fait appel à une routine de modulation plus complexe, qui crée un son plus riche et plus dense.Chapitre 20 ES1 267 Liste des contrôleurs MIDI Numéro de contrôleur Nom de paramètre 12 Boutons de tonalité de l’oscillateur 13 Forme d’onde de l’oscillateur 14 Curseur Mix 15 Forme d’onde de l’oscillateur secondaire 16 Curseur Drive 17 Curseur Cutoff 18 Curseur Resonance 19 Boutons Slope 20 ADSR via Vel : curseur inférieur 21 ADSR via Vel : curseur supérieur 22 Curseur Attack 23 Curseur Decay 24 Curseur Sustain 25 Curseur Release 26 Curseur Key 27 Boutons du sélecteur de l’enveloppe d’amplification 28 Level via Velocity : curseur inférieur 29 Level via Velocity : curseur supérieur 30 Paramètre Chorus 31 Cible de l’enveloppe de modulation 102 Curseur de forme de l’enveloppe de modulation 103 Enveloppe de modulation : paramètre Int via Vel : curseur inférieur 104 Enveloppe de modulation : paramètre Int via Vel : curseur supérieur 105 Fréquence du LFO 106 Forme d’onde du LFO 107 Cible de modulation du LFO 108 LFO : Int via Whl : curseur inférieur 109 LFO : Int via Whl : curseur supérieur 110 Curseur Glide 111 Paramètre Tune 112 Paramètre Analog 113 Paramètre Bender Range 114 Paramètre Out Level 115 Paramètre Voices21 269 21 ES2 Le synthétiseur ES2 associe un puissant moteur de synthèse sonore à de nombreuses fonctionnalités de modulation. L’ES2 fournit trois oscillateurs synchronisables. Ces derniers peuvent, en outre, utiliser la fonction de modulation en anneau. La modulation par largeur d’impulsion est également possible. L’oscillateur 2 permet de moduler la fréquence de l’oscillateur 1 et ce dernier vous permet de produire des sons de synthétiseur de style FM. Outre les formes d’onde des synthétiseurs analogiques classiques, les oscillateurs de l’ES2 fournissent 100 formes d’onde à cycle unique, connues sous le nom de Digiwaves. Chacune a une couleur sonore totalement différente des autres. Vous pouvez même, à l’aide de la matrice de modulation, réaliser des fondus enchaînés ou des pas entre ces formes d’onde. Vous obtenez de cette manière des sons évoquant les synthétiseurs à tables d’ondes. La matrice de modulation (connue sous le nom de routeur) peut être utilisée en plus d’un certain nombre de configurations de modulation câblées en dur. Le concept d’association d’une source de modulation à une cible de modulation (pour effectuer des processus) de modulation, est pratiquement aussi ancien que le synthétiseur lui-même. Au centre de ce concept, il y a la possibilité d’insérer d’importants ensembles de cibles et de sources de modulation dans des canaux de modulation. L’ES2 propose 10 canaux dans le routeur. Deux filtres multimodes dynamiques (utilisables en parallèle ou en série) peuvent fournir des sons épais, proches de ceux des synthétiseurs analogiques. Le mode Unison d’ES2 peut être utilisé à la fois en monophonique et polyphonique. Il est ainsi facile de recréer, quasi à l’identique, les sons volumineux des synthétiseurs analogiques classiques tels que le Roland Jupiter 8, le SCI Prophet V ou l’Oberheim OB 8. Vous pouvez directement mixer une onde sinusoïdale (issue de l’oscillateur 1) dans l’amplificateur dynamique afin d’épaissir le son. 270 Chapitre 21 ES2 Des contrôles macros dédiés simplifient et accélèrent l’ajustement simultané de plusieurs paramètres de génération de sons dans l’ES2. Pour régler ces contrôles, vous pouvez utiliser la souris ou les potentiomètres et curseurs de votre clavier MIDI, comme sur un vrai synthétiseur. Dernière caractéristique, et non des moindres, les effets de type Distortion, Chorus, Phaser et Flanger sont intégrés dans l’ES2. Paramètres de l’ES2 Pour résumer le principe des synthétiseurs soustractifs, on pourrait s’exprimer ainsi : L’oscillateur génère l’oscillation (ou forme d’onde), le filtre enlève les harmoniques superflus (de la forme d’onde) et l’amplificateur dynamique règle le volume de l’oscillation permanente (la forme d’onde filtrée) sur zéro tant qu’aucune touche n’est appuyée. Sur un synthétiseur analogique, ces trois sections sont communément appelées VCO, VCF et VCA, VC correspondant à Voltage Controlled (contrôlé en tension), les autres lettres signifiant respectivement Oscillateur, Filtre et Amplificateur. Les paramètres élémentaires d’un synthétiseur sont contrôlés (modulés) par des tensions : tonalité pour l’oscillateur, timbre pour le filtre, niveau sonore dans l’amplificateur. Ces tensions sont générées par des sources de modulation. Dans l’ES2, le routeur détermine quelles sources contrôlent quels paramètres. Pour terminer, il faut signaler que le son du synthétiseur est affiné par des effets de type Distortion ou Chorus. Le simple cheminement du signal est retracé ici pour présenter les différents modules internes de l’ES2 et leurs paramètres.Chapitre 21 ES2 271 Paramètres globaux Ces paramètres affectent le son instrumental global produit par l’ES2. Les paramètres globaux se trouvent sur la partie gauche des oscillateurs, et au-dessus de la section Filter. Dans des instances Surround, les deux paramètres globaux supplémentaires sont affichés dans la section Paramètres étendus. Tune (Accord) Ce paramètre permet de régler la tonalité de l’ES2 au cent près. 100 cents correspondent à un demi-ton. Une valeur de 0 c (zéro cent), signifie que le La’ correspond à 440 Hz, soit le diapason de concert. Analog Ce paramètre modifie la tonalité de chaque note, ainsi que la fréquence de coupure de manière aléatoire. Comme avec les synthétiseurs analogiques polyphoniques, les trois oscillateurs utilisés par chaque voix de synthétiseur conservent leur propre déviation, mais sont décalés d’autant, aléatoirement. Des valeurs moyennes simulent les instabilités d’accord typiques des circuits des synthétiseurs analogiques. Cela peut être utile notamment pour reproduire cette chaleur très recherchée des vrais synthétiseurs analogiques. Si l’ES2 est réglé en mono ou legato, le paramètre Analog n’est effectif que lorsque le mode Unison est activé. Dans ce cas, le paramètre Analog permet de déterminer l’ampleur du désaccord entre les différentes voix superposées (unisson). Si les voix sont réglées sur 1 et que le mode Unison est désactivé, le paramètre Analog n’a aucun effet. Pour en savoir davantage sur ces paramètres, reportez-vous à la section « Mode clavier (Poly/Mono/Legato) » à la page 272. Paramètres globaux Paramètres globaux272 Chapitre 21 ES2 CBD Ce paramètre permet de désaccorder les oscillateurs 1, 2 et 3 au cent près (1/100 pour cent d’un demi-ton). Cela engendre des battements (effet de phasing), dont la vitesse est déterminée par la différence entre les fréquences (presque identiques) des deux oscillateurs. Plus la hauteur tonale est haute, plus rapides sont les battements. Les notes aiguës peuvent donc sembler plus désaccordées que les graves. Le paramètre CBD (Constant Beat Detuning) recrée cet effet naturel en désaccordant les basses fréquences selon un taux proportionnel aux fréquences élevées. Lorsqu’il n’est pas désactivé, il est possible de lui affecter quatre valeurs différentes : 25, 50, 75, 100 pour cent. Si vous choisissez 100 pour cent, les battements sont (presque) constants sur toute la gamme. Cette valeur peut toutefois se révéler trop élevée : les notes graves peuvent être trop désaccordées, alors que tout se passe bien au niveau des plus aiguës. Dans ce type de cas, essayez des valeurs plus faibles pour CBD (et réaliser un désaccord, bien sûr). La tonalité de référence pour CBD correspond à Do3 (Do central) : le désaccord de cette note reste identique, quelle que soit la valeur de CDB. Glide Le paramètre Glide permet de définir la durée de portamento. Il s’agit du temps nécessaire pour que la tonalité passe d’une note à une autre. Le comportement de ce paramètre dépend du réglage des paramètres relatifs au mode clavier. Si le mode clavier est réglé sur Poly ou Mono et que le paramètre Glide possède une valeur autre que 0, le portamento est activé. Si le mode clavier est réglé sur Legato et que Glide possède une valeur autre que 0, vous devez jouer legato (appuyer sur une nouvelle touche tandis que l’autre est toujours enfoncée) pour activer le portamento. Si vous ne jouez pas legato, le portamento est inactif. Ce comportement est également appelé « fingered portamento ». Bend Range Bend Range permet de déterminer l’amplitude de la modulation de hauteur tonale (pitch bend). L’amplitude est définie par ±36 demi-tons. Vous pouvez régler séparément le pitch bend supérieur et le pitch bend inférieur, et utiliser un mode de couplage optionnel. Mode clavier (Poly/Mono/Legato) Lors de l’utilisation d’un instrument polyphonique, plusieurs notes peuvent être jouées simultanément, comme le permettent notamment un orgue ou un piano. De nombreux synthétiseurs sont monophoniques, surtout les plus anciens. Autrement dit, vous ne pouvez jouer qu’une seule note à la fois, comme avec un instrument à vent (à embouchure ou à anche). Ce n’est pas un inconvénient en soi : la monophonie autorise des styles de jeu impossibles avec des instruments à clavier polyphoniques. Chapitre 21 ES2 273 Pour passer du mode monophonique au mode polyphonique, il suffit de cliquer sur les boutons Poly et Mono. Le mode Legato est également monophonique, toutefois, il présente une différence : les générateurs d’enveloppe sont redéclenchés uniquement si vous jouez staccato. (Autrement dit, si vous relâchez chaque note avant de jouer la suivante.) Si vous jouez legato (c’est-à-dire, si vous appuyez sur une nouvelle touche tout en maintenant l’ancienne enfoncée), les générateurs d’enveloppe ne sont déclenchés qu’à la première note jouée et leurs courbes poursuivent leur évolution jusqu’à ce que vous relâchiez la dernière note jouée legato. Si vous passez en Mono, un jeu legato ou staccato n’a aucune influence : les générateurs d’enveloppe sont redéclenchés à chaque nouvelle note. Remarque : si vous passez en mode Legato, il faut réellement jouer legato pour entendre l’effet produit par le paramètre Glide. Remarque : sur plusieurs synthétiseurs monophoniques, le comportement en mode Legato est désigné par l’expression « déclenchement unique », alors que le mode Mono est appelé « déclenchements multiples ». Voices Ce paramètre permet de définir le nombre maximal de notes pouvant être jouées simultanément. La valeur maximale est 32. La valeur de ce paramètre a un impact significatif sur les ressources consommées par l’ES2 pour jouer en polyphonie maximale. Réduisez cette valeur au nombre de voix dont vous avez effectivement besoin pour votre morceau. Si vous affectez une valeur supérieure au paramètre, vous exigez davantage de votre processeur et gaspillez ses ressources. Unison Le mode Unison est l’un des éléments clés des synthétiseurs analogiques. Traditionnellement, en mode Unison, les synthétiseurs analogiques polyphoniques fonctionnent en monophonie, tous leurs oscillateurs jouant alors simultanément la même note. Comme ils ne sont jamais parfaitement accordés, il en résulte un son d’une épaisseur incroyable, avec un effet de chorus et une grande profondeur. Faites passer l’ES2 en mode Mono ou Legato et activez le mode Unison pour reproduire cet effet. L’intensité de l’effet d’unisson dépend du nombre de voix sélectionnées. Gardez à l’esprit que les ressources de traitement exigées sont directement proportionnelles au nombre de voix. L’intensité du désaccord (déviation de la voix) se règle par l’intermédiaire du paramètre Analog. Outre cet effet classique d’unisson monophonique, l’ES2 possède également un effet d’unisson polyphonique. En mode Poly/Unison, chaque note jouée est effectivement doublée, ou, plus exactement, la valeur de polyphonie du paramètre Voices est divisée en deux. Les deux voix sont ensuite utilisées pour chaque note déclenchée. En activant simultanément Poly et Unison, vous obtenez le même effet qu’en réglant l’ES2 sur Mono, Unison et Voices = 2, sauf que vous pouvez jouer polyphoniquement.274 Chapitre 21 ES2 Osc Start Les oscillateurs peuvent fonctionner indépendamment ou avoir la même position de début de phase dans le cycle de leur forme d’onde à chaque fois qu’une touche est enfoncée (chaque fois qu’ES2 reçoit un message de début de note).  Si Osc Start (Oscillator Start) est défini sur Free, le point de départ de la phase initiale de chaque oscillateur est aléatoire, pour chaque note jouée. Le son est alors plus vivant et moins statique, comme avec un vrai synthétiseur analogique. En contrepartie, le niveau de sortie peut varier à chaque note jouée et l’attaque peut voir son impact émoussé.  Si vous réglez le paramètre Osc Start sur Soft, la phase initiale de chaque oscillateur débute à un point de passage par zéro, à chaque fois qu’une note est jouée. Cela imite le caractère acoustique d’un synthétiseur numérique ordinaire.  Si vous réglez le paramètre Osc Start sur Hard, à chaque touche enfoncée, la phase initiale de chaque oscillateur commence au niveau le plus élevé du cycle de la forme d’onde. Cet effet est perceptible uniquement si une faible valeur est affectée au paramètre ENV3 Attack Time (ce qui correspond à une attaque très rapide). Un tel réglage est particulièrement recommandé pour les sons de percussions électroniques et de basses plutôt durs. Remarque : le réglage d’Osc Start sur Soft ou Hard assure un niveau de sortie constant de la phase initiale de l’oscillateur, à chaque fois que le son est rejoué. Ce comportement peut être d’une importance particulière lorsque vous utilisez la fonction Bounce de Logic Pro, à un niveau d’enregistrement proche du maximum. Surround Range et Diversity Dans des instances Surround, les paramètres étendus d’ES2 comportent les paramètres Surround Range et Surround Diversity :  Surround Range : détermine la plage de l’angle Surround. Les valeurs possibles vont de 0 à 360 °. Autrement dit, ce paramètre détermine l’ampleur du champ Surround. Vous pouvez moduler le mouvement des sons dans cette plage Surround via la cible Diversity dans le routeur (reportez-vous à la section « Diversity » à la page 300).  Surround Diversity : détermine le degré de propagation du signal de sortie dans vos haut-parleurs Surround. Si vous définissez une valeur égale à 0, seuls les haut-parleurs les plus proches de la position du signal d’origine traiteront le signal. Une valeur Diversity égale à 1 distribue une quantité de signal identique à l’ensemble des haut-parleurs.Chapitre 21 ES2 275 Paramètres des oscillateurs La section suivante décrit les paramètres pouvant être définis pour chaque oscillateur. Ces paramètres se situent dans la zone argentée, sur la droite de l’interface ES2. Désactivation du son des oscillateurs En cliquant sur les numéros verts à droite des oscillateurs, vous pouvez activer ou désactiver leur son indépendamment. Cela permet d’économiser les ressources de traitement. Potentiomètres de fréquence Les potentiomètres de fréquence permettent de régler la tonalité par pas d’un demi-ton pour une plage de ±3 octaves. Une octave comprend 12 demi-tons, les réglages ±12, 24 et 36 représentent donc des octaves. Vous pouvez cliquer sur ces options pour définir rapidement l’octave correspondante. L’affichage des valeurs fonctionne comme suit : les chiffres à gauche indiquent les demi-tons (s, pour semitone en anglais), les chiffres à droite indiquent les cents (c, 1 cent = 1/100 de demi-ton). Vous pouvez ajuster ces deux valeurs séparément. Exemple : un oscillateur réglé sur 12 s et 30 c sonne une octave (12 demi-tons) et 30 cents plus haut qu’un oscillateur réglé sur 0 s, 0 c. Remarque : la quinte (qui équivaut à 7 demi-tons) et tous les réglages correspondant aux harmoniques d’un oscillateur réglé sur 0 demi-ton (par exemple, 19 ou 28 demi-tons) donnent des résultats harmoniques.276 Chapitre 21 ES2 Onde Chacun des trois oscillateurs présente un potentiomètre rotatif permettant de sélectionner une forme d’onde. Cela détermine le contenu harmonique de base et la couleur tonale du son. Les oscillateurs 2 et 3 sont quasiment identiques, tandis que l’oscillateur 1 est différent. Ce dernier peut générer une onde sinusoïdale, dont la fréquence peut être modulée dans la plage audio, pour obtenir de véritables sons de synthèse FM. Les oscillateurs 2 et 3 peuvent être synchronisés avec l’oscillateur 1 ou être modulés en anneau via l’oscillateur 1. Ils présentent, en outre, des ondes rectangulaires avec des largeurs d’impulsion fixes librement définissables et des fonctions de modulation de largeur d’impulsion (PWM, Pulse Wave Modulation). Via le routeur, les ondes rectangulaires et pulsées de l’oscillateur 1 peuvent être modulées en largeur en association avec les ondes rectangulaires synchronisées et modulées en anneau des oscillateurs 2 et 3. Remarque : le bouton Filter permet de désactiver la totalité de la section de filtrage. Cela permet d’écouter facilement les formes d’onde pures qui sont générées par les oscillateurs. Formes d’onde de l’oscillateur 1 L’oscillateur 1 génère des formes d’onde standard (impulsion, rectangle, dent de scie, triangle) ou encore une des 155 Digiwaves disponibles. Il peut également générer une onde sinusoïdale pure. L’onde sinusoïdale peut être modulée en fréquence par l’oscillateur 2 dans la plage de fréquences audio. Ce type de modulation de fréquence linéaire est au centre de la synthèse FM. La synthèse FM a été généralisée par les synthétiseurs tels que le DX7 de Yamaha (dont l’architecture est bien plus complexe, en ce qui concerne la synthèse FM). En cliquant sur son numéro, vous désactivez la sortie de l’oscillateur 1. Remarque : toutefois, même dans ce cas, l’oscillateur 1 reste disponible comme source de modulation et de synchronisation pour les oscillateurs 2 et 3. Digiwaves L’ES2 propose non seulement les formes d’onde les plus courantes, mais aussi une sélection de 100 formes d’onde supplémentaires, appelées Digiwaves. Chapitre 21 ES2 277 Pour sélectionner une Digiwave : m Sélectionnez la sinusoïde avec le potentiomètre de forme d’onde, puis effectuez l’une des opérations suivantes :  Cliquez sur l’étiquette de la forme sinusoïdale en maintenant la touche Ctrl enfoncée, puis choisissez la forme d’onde souhaitée à partir du menu contextuel.  Cliquez sur l’étiquette de la forme sinusoïdale et, tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé, déplacez la souris verticalement. ? Astuce : vous pouvez sélectionner la Digiwave en utilisant son numéro et la touche Maj. enfoncée. Le numéro de la Digiwave est un paramètre modulable. En modulant la cible OscWave, vous déroulez la liste des DigiWaves. Choisissez une vitesse et une fréquence de modulation suffisamment faibles pour entendre le fondu enchaîné entre une DigiWave et la suivante. Les Digiwaves des trois oscillateurs peuvent être modulées séparément ou conjointement. Les cibles de modulation sont expliquées dans la section « OscWaves », à la page 296, jusqu’à la section « OscWaveB », à la page 297. Grâce à cette fonction de modulation de DigiWave, l’ES2 peut produire des sons ressemblant à ceux des célèbres synthétiseurs à tables d’ondes, comme les PPG, Waldorf ou Wavestation de Korg. Modulation de fréquence linéaire Le principe de la synthèse par modulation de fréquence (FM) linéaire a été développé vers la fin des années 60 et au début des années 70 par John Chowning. Cette technique de synthèse sonore est si souple et puissante qu’elle a constitué la base de toute une génération de synthétiseurs exploitant exclusivement la synthèse FM, le plus célèbre d’entre eux étant, sans conteste, le DX7 de Yamaha. La synthèse FM a aussi été employée dans d’autres modèles de la gamme DX et dans certains pianos électroniques Yahama. En termes de synthèse FM pure, l’ES2 ne peut pas être comparé à ces synthétiseurs, mais il est parfaitement capable de créer des sons relevant de cette signature caractéristique.278 Chapitre 21 ES2 Entre le réglage sinusoïdal (quand le symbole de forme sinusoïdale est sélectionné) et le symbole FM du potentiomètre de l’oscillateur 1, une plage de contrôle permet un réglage progressif de l’intensité de la modulation de fréquence. Ce paramètre est également disponible comme cible de modulation. Remarque : Osc1Wave est optimisé pour des sons de type FM subtils, utilisant des intensités modérées pour la modulation de fréquence. Pour des modulations FM plus extrêmes, le routeur propose la cible Osc1WaveB. Voir la section « Cibles de modulation », à la page 295. La fréquence de l’oscillateur 1 peut être modulée par le signal de sortie de l’oscillateur 2. Dès que la tension de ce dernier est positive, la fréquence de l’oscillateur 1 augmente. Quand elle est négative, la fréquence de l’oscillateur 1 diminue. L’effet est similaire à celui obtenu avec une modulation par oscillateur basse fréquence (LFO, Low Frequency Oscillator) pour créer un vibrato (modulation périodique de la fré- quence) ou un lent effet de sirène. Toutefois, comparé à un LFO, l’oscillateur 2 n’oscille pas lentement. Dans la plage audio, il oscille même un peu plus rapidement que l’oscillateur 1 lui-même. Par conséquent, l’oscillation de l’oscillateur 1 accélère et ralentit au cours d’une même phase, ce qui entraîne une distorsion de la forme sinusoïdale originale de l’oscillateur 1. Cette distorsion permet d’entendre un certain nombre de nouveaux harmoniques. L’effet obtenu par la modulation de fréquence dépend à la fois de l’intensité (profondeur) de la modulation et des rapports de fréquences entre les deux oscillateurs concernés. Il dépend également de la forme d’onde utilisée par l’oscillateur de modulation (Oscillateur 2). Les effets obtenus par la modulation varient selon la forme d’onde sélectionnée pour l’oscillateur 2, laquelle peut parfaitement être synchronisée à l’oscillateur 1. Vous disposez de 100 DigiWaves différentes et il existe d’innombrables combinaisons d’intensités de modulation et de rapports de fréquences modulateur/ porteur : l’ES2 autorise donc une infinité de spectres et de couleurs sonores. Formes d’onde des oscillateurs 2 et 3 Les oscillateurs 2 et 3 offrent les mêmes choix de formes d’onde analogiques que l’oscillateur 1 : sinusoïdales, triangulaires, en dents de scie et rectangulaires. La largeur d’impulsion peut varier progressivement de 50 pour cent à presque rien, et être modulée de diverses façons (voir la section « Modulation de la largeur d’impulsion » à la page 279). Les oscillateurs 2 et 3 proposent également :  une onde rectangulaire, synchronisée sur l’oscillateur 1 ;  une onde en dents de scie, synchronisée sur l’oscillateur 1 ;  un modulateur en anneau, alimenté par la sortie de l’oscillateur 1 et une onde carrée issue de l’oscillateur 2 ;  un bruit coloré pour l’oscillateur 3.Chapitre 21 ES2 279 La synchronisation et la modulation en anneau permettent de créer des spectres harmoniques très complexes et souples. Le principe de la synchronisation d’oscillateurs est décrit à la page 279 et celui de la modulation en anneau à la page 280. Modulation de la largeur d’impulsion Les oscillateurs 2 et 3 permettent d’attribuer n’importe quelle valeur à la largeur d’impulsion. Or, le spectre et la couleur sonore générés par ces oscillateurs dépendent de la largeur d’impulsion. Celle-ci peut d’ailleurs être modulée. Vous pouvez même moduler la largeur d’impulsion des ondes carrées et pulsées de l’oscillateur 1, celle des signaux pulsés synchronisés issus des oscillateurs 2 et 3, et même celle du signal carré du modulateur en anneau de l’oscillateur 2. Cette modulation de la largeur d’impulsion se contrôle dans le routeur (la matrice de modulation). La largeur d’impulsion est définie par la position du potentiomètre de forme d’onde. Le schéma ci-dessous montre une onde pulsée dont la largeur est modulée par un LFO. Vous pouvez clairement observer l’évolution de la largeur d’impulsion dans le temps. Remarque : en modulant la largeur d’impulsion d’un signal par l’intermédiaire d’un LFO générant un signal sinusoïdal, vous pouvez rendre le son d’un seul oscillateur plus vivant, ondulant et riche en harmoniques. Au niveau sonore, le résultat évoque le son obtenu en combinant les signaux de deux oscillateurs légèrement désaccordés. Cela est particulièrement intéressant avec les sons de nappes et de basses tenus. Définissez soigneusement l’intensité et la vitesse de la modulation. En effet, lorsque les impulsions deviennent très étroites (largeur inférieure à 10 pour cent), le volume général (et le niveau du premier partiel) diminue et un léger désaccord apparaît. Les modulations de largeur d’impulsion via des générateurs d’enveloppe sensibles à la vélocité engendrent un jeu particulièrement dynamique. Cet effet intéressant convient tout spécialement aux sons percussifs de basses. Sync Les formes d’onde rectangulaires et en dent de scie comportent également une option Sync. Dans ce mode, la fréquence de l’oscillateur 2 (ou 3, respectivement) est synchronisée sur la fréquence de l’oscillateur 1. 280 Chapitre 21 ES2 Cela ne signifie pas que leurs contrôles de fréquence sont tout simplement désactivés. En fait, ils oscillent toujours aux fréquences sélectionnées, mais à chaque fois que l’oscillateur 1 entame une nouvelle phase, l’oscillateur synchronisé est forcé de repartir au début d’une phase. Entre les impulsions de l’oscillateur 1, l’oscillateur synchronisé fonctionne indépendamment. Les sons obtenus en synchronisant les oscillateurs sont particulièrement intéressants lorsqu’on module la fréquence de l’oscillateur synchronisé par un générateur d’enveloppe. De cette façon, le nombre de phases contenues dans une section (phase) du cycle de synchronisation change continuellement, et donc le spectre aussi. Les sons typiques obtenus en synchronisant les oscillateurs ont tendance à être agressifs. Ils donnent ces sons lead un peu criards dont les fabricants de synthétiseurs parlent souvent. Ring (Modulation en anneau) Le sélecteur de forme d’onde de l’oscillateur 2 présente également une position Ring. Dans le mode Ring, la sortie de l’oscillateur 2 est celle d’un modulateur en anneau. Le modulateur en anneau est alimenté par le signal de sortie de l’oscillateur 1 et l’onde carrée de l’oscillateur 2. La largeur d’impulsion de cette dernière peut d’ailleurs être modulée. Rappelons qu’un modulateur en anneau possède toujours deux entrées. À sa sortie, vous obtenez la somme et la différence fréquentielle des signaux d’entrée. Si vous utilisez la modulation en anneau sur une cible sinusoïdale de 200 Hz avec une source sinusoïdale de 500 Hz, le signal de sortie du modulateur en anneau est caractérisé par la somme des fréquences, soit 700 Hz, et une différence fréquentielle de 300 Hz. Les fréquences négatives conduisent à un changement de polarité des signaux de sortie. Avec des signaux en dents de scie et rectangulaires en entrée, la sortie est bien plus complexe. En effet, les formes d’onde de départ, riches en harmoniques, produisent un grand nombre de « bandes latérales » supplémentaires. Remarque : le modulateur en anneau est un puissant outil de création de sons métalliques et inharmoniques, car le spectre obtenu en sortie est inharmonique pour presque tous les rapports de fréquences des signaux d’entrée. C’était un outil de choix pour les sons de type cloche, dès les premiers synthétiseurs (voir la section « RingShifter » à la page 152).Chapitre 21 ES2 281 Bruits blancs et colorés (sur l’oscillateur 3 uniquement) Contrairement à l’oscillateur 2, l’oscillateur 3 ne peut générer ni signaux modulés en anneau ni signaux sinusoïdaux. En revanche, sa palette sonore est élargie par l’inclusion d’un générateur de bruits. Par défaut, le générateur de bruits de l’oscillateur 3 génère un bruit blanc. Il s’agit d’un signal contenant toutes les fréquences (un nombre infini) sonnant simultanément et avec la même intensité, sur une bande de fréquences donnée. La largeur de la bande de fréquences se mesure en Hertz. On qualifie ce bruit de « blanc » par analogie avec la lumière blanche qui contient, à parts égales, toutes les longueurs d’ondes optiques (c’est-à-dire, toutes les couleurs de l’arc-en-ciel). En termes sonores, le bruit blanc se situe entre le son de la consonne F et les vagues déferlantes (surf). Pour synthétiser des bruits de vagues ou de vent, ou encore des sons de caisse claire électronique, le bruit blanc est indispensable. L’oscillateur 3 permet, certes, de générer ce bruit blanc qui est relativement neutre, mais également de changer la « couleur » du bruit généré en un souffle ou un grondement. De plus, vous pouvez moduler la couleur du son en temps réel, sans utiliser les principaux filtres de l’ES2. Si la forme de l’oscillateur 3 est modulée (cible de modulation : Osc3Wave), la couleur du bruit change. Le signal de sortie peut être filtré par un filtre passe-haut ou passe-bas dédié avec une pente de 6 dB/octave. Avec des valeurs négatives, le son devient plus sombre (rouge) ; le filtre passe-haut peut être réglé sur 18 Hz avec un réglage de –1. Lorsque la cible Osc3Wave est modulée de manière positive, le bruit devient plus lumineux (bleu) : avec une valeur de +1 affectée à Osc3Wave, la fréquence de coupure du filtre passe-haut est de 18 kHz. Ce filtrage du signal de bruit est effectué indépendamment des filtres principaux de l’ES2 et peut être automatiquement modifié en temps réel. Zone de mixage des oscillateurs : le triangle En faisant glisser le curseur dans le triangle, vous pouvez effectuer des fondus enchaînés entre les signaux de sortie des trois oscillateurs. Le fonctionnement de cette zone de mixage est assez intuitif. Par exemple, en déplaçant le curseur le long d’un des côtés du triangle, vous effectuez un fondu enchaîné entre les sons de deux oscillateurs, le troisième restant muet. 282 Chapitre 21 ES2 L’emplacement du curseur peut être contrôlé par l’enveloppe vectorielle, exactement comme dans le cas du Track Pad (le carré), que nous expliquerons dans la section « Le carré » à la page 315. Veuillez noter que l’enveloppe vectorielle possède une fonction de boucle. Cette fonction étend ses capacités et vous pouvez la considérer comme un pseudo-LFO de luxe, doté d’une forme d’onde programmable. Vous pouvez l’utiliser pour modifier l’emplacement des curseurs dans le triangle et dans le carré. Pour en savoir davantage à ce sujet, consultez la section « Menu Vector Mode » à la page 315 et la section « L’enveloppe vectorielle » à la page 316. Valeurs du triangle dans la présentation des contrôles En interne, l’emplacement du curseur dans le triangle est décrite par deux paramètres (en réalité, des coordonnées) qui sont prises en compte lors de l’automation du mixage des signaux issus des oscillateurs. Ces paramètres, appelés OscLevelX et OscLevelY, figurent dans la présentation des contrôles. Attention à ne pas les confondre avec les positions X et Y du carré. Si vous souhaitez modifier une région de données d’automation du mixage dans l’Hyper Editor, vous devez utiliser les valeurs de contrôleur MIDI suivantes. Lisez les informations ci-dessous pour mieux comprendre leur fonctionnement. Pour écouter uniquement l’oscillateur 1 : m définissez OscLevelX sur 1,0 (MIDI : 127) et OscLevelY sur 1,154 (MIDI : 127). Pour écouter uniquement l’oscillateur 2 : m définissez OscLevelX sur 0,0 (MIDI : 0) et OscLevelY sur 0,577 (MIDI : 64). Pour écouter uniquement l’oscillateur 3 : m définissez OscLevelX sur 1,0 (MIDI : 127) et OscLevelY sur 0,0 (MIDI : 127). Pour écouter uniquement l’oscillateur 1 et le 2 : m définissez OscLevelX sur 0,5 (MIDI : 64) et OscLevelY sur 0,866 (MIDI : 95). Pour écouter uniquement l’oscillateur 1 et le 3 : m définissez OscLevelX sur 1,0 (MIDI : 127) et OscLevelY sur 0,577 (MIDI : 64). Pour écouter uniquement les oscillateurs 2 et 3 : m définissez OscLevelX sur 0,5 (MIDI : 64) et OscLevelY sur 0,288 (MIDI : 32). Pour régler tous les oscillateurs au même niveau : m définissez OscLevelX sur 0,667 (MIDI : 85) et OscLevelY sur 0,577 (MIDI : 64).Chapitre 21 ES2 283 Filtres L’ES2 possède deux filtres dynamiques. Ils remplacent les filtres commandés en tension (VCF, Voltage Controlled Filters) des synthétiseurs analogiques. Ces deux filtres ne sont pas identiques. Le premier filtre propose plusieurs modes : passe-bas, passe-haut, passe-bande, rejet de bande, pic. Le second, en revanche, fonctionne toujours en mode passe-bas. En outre, le second filtre est le seul à offrir des valeurs de pente variables (mesurées en dB/octave). Le bouton Filter permet de contourner (désactiver) la totalité de la section de filtrage de l’ES2. En désactivant les filtres, il est plus facile d’entendre les modifications apportées aux autres paramètres. En effet, les filtres influent énormément sur le son généré. Si le mot Filter apparaît en vert, les filtres sont actifs. La désactivation des filtres permet d’économiser les ressources de traitement. Cheminement du signal dans les filtres : configuration en série ou en parallèle Vous pouvez faire pivoter toute la partie circulaire relative aux filtres dans l’interface utilisateur de l’ES2. Pour ce faire, cliquez sur le bouton libellé Parallel ou Series. L’étiquette et la position/direction des contrôles de filtrage indiquent clairement le cheminement actuel du signal. Bouton Filter Cheminement du signal du filtre Series Cheminement du signal du filtre Parallel284 Chapitre 21 ES2 Dans l’image de gauche, les filtres sont câblés en série. Le signal issu de la section de mixage des oscillateurs (le triangle) passe donc d’abord dans le premier filtre, puis ce signal filtré passe dans le second filtre, dans le cas où le paramètre Blend est sur 0 (position médiane). Consultez la section « Utilisation du paramètre Blend des filtres : Application d’un fondu enchaîné aux filtres » à la page 284 pour obtenir une description détaillée de ce paramètre. Le signal de sortie mono issu du second filtre est ensuite envoyé vers l’entrée de l’amplificateur dynamique (ce qui correspond à un VCA sur un synthétiseur analogique). Il est alors placé dans le spectre stéréo ou Surround, puis dirigé vers le processeur d’effets. Dans l’image de droite, les filtres sont câblés en parallèle. Si le paramètre de filtrage Blend est sur 0, vous entendez un mixage à 50/50 du signal source via le premier filtre et via le second filtre. Le signal ainsi obtenu est ensuite envoyé vers l’entrée mono de l’amplificateur dynamique. À ce stade, il est placé dans le spectre stéréo ou Surround, puis dirigé vers le processeur d’effets. Utilisation du paramètre Blend des filtres : Application d’un fondu enchaîné aux filtres Vous pouvez effectuer un fondu enchaîné entre les deux filtres. Lorsqu’ils sont en parallèle, l’utilité de la fonction Blend est facile à voir et à comprendre : si le paramètre de filtrage Blend est réglé à son maximum, seul le son issu du premier filtre peut être entendu. Au contraire, s’il est à son minimum, vous entendez uniquement le son du second filtre. À une position intermédiaire, les sons issus des filtres sont mélangés. Dans la majorité des cas, les filtres sont utilisés en série. Vous pouvez alors effectuer un fondu enchaîné entre les sons filtrés. Pour ce faire, il faut utiliser des entrées latérales (voies de contournement) contrôlables. Dans ce cas de figure, les circuits de distorsion, contrôlés par le paramètre Drive, doivent également être pris en considération : ils figurent avant ou entre les filtres, selon la valeur du paramètre Blend. Remarque : le paramètre Blend peut être modulé de manière dynamique via le routeur.Chapitre 21 ES2 285 Blend et cheminement du signal Que la configuration en série ou en parallèle soit choisie, si la valeur 1 est affectée au paramètre Blend, seul le son du premier filtre est audible. De même, une valeur Blend de +1 ne permet d’entendre que le second filtre. L’interface utilisateur reflète cette situation. Si le circuit de distorsion/saturation (Drive) et une configuration en série sont utilisés, le cheminement du signal dans l’ES2 est assez particulier. Les illustrations représentent le cheminement du signal entre la zone de mixage des signaux des oscillateurs (le triangle) et l’amplificateur dynamique, toujours contrôlé par le générateur ENV 3. Le passage du signal à travers les filtres, les circuits de distorsion et les entrées latérales dépend de la valeur du paramètre Blend. Blend et configuration en série : Astuces  Avec des valeurs positives affectées au paramètre Filter Blend, le premier filtre est partiellement contourné.  Avec des valeurs négatives affectées au paramètre Filter Blend, le second filtre (passe-bas) est partiellement contourné.  Si la valeur zéro et des valeurs positives sont affectées au paramètre Filter Blend, un seul circuit de distorsion est employé pour les deux filtres.  Dans les cas de valeurs négatives, un second circuit est utilisé : il permet d’effectuer la distorsion du signal de sortie de la zone de mixage des oscillateurs, avant le transit par le premier filtre, si Filter Blend = –1. Remarque : si le paramètre Drive est défini sur 0, aucune distorsion n’est effectuée. Mix Filter 1 Drive Filter 2 Blend et mode Parallel. Filter 1 Filter 1 Filter 1 Drive Drive Drive Drive Drive Filter 1 Filter 1 Filter 2 Filter 2 Filter 2 Drive Drive Filter 2 Filter 2 +1: –0,5: +0,5: –1: 0: Blend et mode Series. Entre 0 et –1, deux circuits de distorsion sont actifs, un avant chaque filtre. Blend permet de combiner en fondu enchaîné jusqu’à trois lignes de contournement simultanément.286 Chapitre 21 ES2 Blend et configuration en parallèle : Astuces Le circuit de distorsion/saturation (Drive) figure toujours après la zone de mixage des oscillateurs et avant les filtres. Les filtres reçoivent un signal d’entrée mono en provenance du circuit de distorsion. Les sorties des deux filtres sont mixées en mono selon le paramètre Blend. Remarque : si le paramètre Drive est défini sur 0, aucune distorsion n’est effectuée. Amplification (Drive) Les filtres sont équipés de modules internes de distorsion/saturation (overdrive) distincts. L’intensité de la distorsion est définie par le paramètre Drive. Si les filtres sont en parallèle, la distorsion est réalisée avant le passage par les filtres. Si les filtres sont en série, l’emplacement des circuits de distorsion dépend du paramètre Blend, comme expliqué ci-dessus. Distorsions polyphoniques réelles L’ES2 propose, dans la section relative aux effets, une fonction fournissant un effet de distorsion et équipée d’un réglage de tonalité. Aussi, vous vous demandez peut-être quel est l’intérêt de la fonction Drive dans la section de filtrage ? Le circuit de distorsion de la section des effets affecte la totalité du jeu au niveau de la synthèse polyphonique. Par conséquent, des accords complexes (plus évolués que les classiques accords parfaits, quintes et octaves parallèles) sonnent de façon un peu rugueuse lorsque vous utilisez la distorsion. Tous les guitaristes rock connaissent ce phénomène : à cause des distorsions d’intermodulation, ils doivent se limiter, lorsqu’ils jouent saturé, à des accords comptant peu de notes ou à des quintes et à des octaves parallèles. Le paramètre Drive, en revanche, affecte chaque voix séparément. Or, chaque voix de l’ES2 subissant sa propre saturation (comme si les guitaristes jouaient avec six pédales de distorsion, une par corde), vous pouvez jouer les harmonies et accords les plus complexes sur toute l’étendue du clavier. Le son obtenu reste propre et n’est pas perturbé par ces phénomènes d’intermodulation indésirables. En outre, les différents réglages du paramètre Drive confèrent au son un caractère distinct. En effet, le comportement des filtres analogiques en cas de saturation est spécifique à la personnalité sonore du synthétiseur. Chaque modèle de synthétiseur est unique dans ce domaine. L’ES2 est extrêmement souple à ce niveau et autorise aussi bien le fuzz le plus subtil que les distorsions les plus marquées.Chapitre 21 ES2 287 Enfin, en mode série, la distorsion intervient toujours avant le filtre passe-bas (le second filtre). Comme ce dernier peut atténuer les harmoniques apparus par distorsion, la fonction Drive peut être considérée (et utilisée) comme un autre outil permettant de déformer les formes d’onde issues des oscillateurs. Pour comprendre le fonctionnement du circuit de distorsion situé entre les filtres, programmez un son en procédant comme suit :  Forme d’onde simple et statique (en dents de scie)  Filtre réglé en mode Series  Paramètre Blend réglé sur 0 (position centrale)  Premier filtre réglé en mode Peak  Premier filtre avec une valeur de résonance élevée  Modulation de la fréquence de coupure du premier filtre (Cut) en manuel ou via le routeur.  Paramètre Drive défini à votre convenance.  Filtrage (atténuation) des hautes fréquences via le second filtre, à votre convenance. Le résultat sonore ressemble à l’effet obtenu par la synchronisation des oscillateurs. Lorsque les valeurs de résonance sont élevées, le son devient un peu criard. Modulez, si vous le souhaitez la valeur de résonance du premier filtre. Paramètres Filter Cette section explique en détail les paramètres de filtrage de l’ES2. Coupure et résonance Tout filtre passe-bas (dans l’ES2 : mode Lo pour le premier filtre et tous les modes du second filtre) permet d’atténuer l’ensemble des plages de fréquences supérieures à la fréquence de coupure (Cut). La fréquence de coupure permet d’agir sur la brillance du son. Plus la fréquence définie est élevée, plus les fréquences des signaux autorisés à passer par le filtre passe-bas sont élevées. Remarque : le filtre passe-bas dynamique est le module interne essentiel de tout synthétiseur soustractif. C’est la raison pour laquelle le second filtre fonctionne toujours en mode passe-bas. 288 Chapitre 21 ES2 Le paramètre de résonance (Res) accentue les plages du signal proches de la fréquence de coupure. Cette accentuation peut être définie de manière si intense dans le second filtre que le filtre lui-même se met à entrer en auto-oscillation. À ce stade, le signal en sortie est une oscillation sinusoïdale (onde sinusoïdale). Cette auto-oscillation peut être prise en charge par le paramètre Flt Reset. Pour en savoir davantage, consultez la section « Réinitialisation du filtre (Flt Reset) » à la page 288. ? Astuce : si vous êtes novice en matière de synthétiseurs, essayez de produire une simple onde en dents de scie à l’aide de l’oscillateur 1 et du second filtre seul (filtre passe-bas, Filter Blend = +1). Testez les paramètres de fréquence de coupure et de résonance. Vous apprendrez vite à émuler un certain nombre de sons reconnaissables et vous assimilerez intuitivement les principes de base de la synthèse soustractive. Les symboles de chaîne Savoir jouer en temps réel sur les valeurs des paramètres de coupure et de résonance est crucial pour la production de sons de synthétiseurs expressifs. Vous serez donc heureux d’apprendre que vous pouvez contrôler simultanément deux paramètres de filtrage : pour ce faire, il vous suffit de cliquer sur un des trois petits symboles de chaîne situés dans la représentation graphique du filtre, et de le faire glisser.  La chaîne située entre les paramètres Cut et Res du premier filtre permet de contrôler simultanément la résonance (mouvements de souris horizontaux) et la fréquence de coupure (mouvements de souris verticaux) de ce filtre.  La chaîne située entre les paramètres Cut et Res du second filtre permet de contrôler simultanément la résonance (mouvements de souris horizontaux) et la fréquence de coupure (mouvements de souris verticaux) de ce filtre.  La chaîne située entre les paramètres Cut du premier filtre et du second filtre permet de contrôler simultanément la fréquence de coupure (mouvements de souris verticaux) du premier filtre et la fréquence de coupure (mouvements de souris horizontaux) du second filtre. Réinitialisation du filtre (Flt Reset) Si vous réglez le paramètre de résonance sur des valeurs plus élevées, le filtre entre en auto-oscillation et commence à résonner seul. Une onde sinusoïdale est alors générée. Vous êtes probablement familier de ce phénomène si vous avez déjà utilisé des synthétiseurs soustractifs. Chapitre 21 ES2 289 Pour pouvoir initier ce type d’oscillation, le filtre nécessite un déclencheur. Dans un synthétiseur analogique, le signal de déclenchement peut être le bruit de fond ou la sortie de l’oscillateur. Dans le cadre numérique de l’ES2, le bruit de fond est quasi éliminé. De ce fait, lorsque le son des oscillateurs est coupé, aucun signal d’entrée n’est acheminé vers le filtre. Toutefois, lorsque le mode de réinitialisation du filtre (Flt Reset) est activé, chaque note commence avec un signal de déclenchement, qui sert à faire résonner immédiatement le filtre. Le bouton Filter Reset se trouve dans la partie supérieure droite de l’interface de l’ES2. Pente du filtre Un filtre ne peut pas supprimer complètement les fréquences situées en-dehors de la plage définie par la fréquence de coupure. La pente de la courbe du filtre, exprimée en dB par octave, indique l’ampleur de l’atténuation apportée par le filtre passe-bas (au-delà de la fréquence de coupure). Le second filtre propose trois valeurs de pente différentes : 12 dB, 18 dB et 24 dB par octave. En d’autres termes, plus la valeur de pente est élevée, plus la pente est raide et plus l’atténuation au-delà de la fréquence de coupure est marquée, pour chaque octave. Épaisseur du son (Fat) L’augmentation de la valeur de résonance provoque une réjection des graves (énergie dans les basses fréquences) lorsque vous utilisez des filtres passe-bas. Le bouton Fat (situé sous les boutons Pente de filtre) permet de compenser cet effet secondaire et fournit un son plus riche. Mode de filtrage (Lo, Hi, Peak, BR, BP) Le premier filtre peut fonctionner dans plusieurs modes, ce qui permet d’atténuer et/ou d’accentuer des plages de fréquences spécifiques.290 Chapitre 21 ES2  Un filtre passe-bas laisse passer toutes les fréquences inférieures à la fréquence de coupure. Réglé en mode Lo, le filtre fonctionne comme ce type de filtre. La pente du premier filtre est de 12 dB/octave en mode Lo.  Un filtre passe-haut laisse passer toutes les fréquences supérieures à la fréquence de coupure. Réglé en mode Hi, le filtre fonctionne comme ce type de filtre. La pente du premier filtre est de 12 dB/octave en mode Hi.  Réglé en mode Peak, le premier filtre fonctionne comme un filtre de type Peak. Il permet alors d’augmenter le niveau d’une bande de fréquences particulière, dont la largeur est définie par le paramètre de résonance.  L’abréviation BR signifie band rejection (réjection de bande). Dans ce mode, une bande de fréquences proches de la fréquence de coupure est rejetée (atténuée) tandis que les autres fréquences peuvent passer. Le paramètre de résonance définit la largeur de la bande de fréquences à rejeter.  L’abréviation BP signifie bandpass (passe-bande). Dans ce mode, seule la bande de fréquences situées directement de part et d’autre de la fréquence de coupure peut passer. Toutes les autres fréquences sont atténuées. Le paramètre de résonance sert, cette fois, à définir la largeur de la bande de fréquences autorisée. Ce filtre est bipolaire et sa pente est de 6 dB/octave à chaque extrémité. FM et second filtre La fréquence de coupure du second filtre peut être modulée par l’onde sinusoïdale de l’oscillateur 1. Cette modulation peut donc s’effectuer dans la plage des fréquences audio. L’effet de telles modulations de filtre sur le spectre audio reste difficilement prévisible. Les résultats obtenus semblent, toutefois, toujours harmonieux tant que l’intensité (profondeur) de la modulation reste modérée. Le paramètre FM détermine l’intensité de la modulation de fréquence. Il peut être modulé en temps réel : dans le routeur, cette modulation est désignée sous l’abréviation LPF FM. La source de modulation utilisée est toujours un signal sinusoïdal pur, à la fréquence de l’oscillateur 1. Chapitre 21 ES2 291 Remarque : ne confondez pas ce type de modulation de fréquence du filtre avec la fonction FM du premier oscillateur, ce dernier pouvant être modulé par le second oscillateur, comme indiqué dans la section « Modulation de fréquence linéaire » à la page 277. Si le second oscillateur est utilisé pour moduler la fréquence du premier oscillateur, celui-ci n’a aucune incidence sur le signal (onde sinusoïdale) utilisé pour moduler les fréquences de coupure. Vous pouvez pousser le filtre 2 jusqu’à l’auto-oscillation. Si vous entrez une valeur très élevée pour le paramètre de résonance, le filtre génère alors une forme d’onde sinusoïdale. Cette onde subit une auto-oscillation et sa distorsion correspond à la valeur de résonance maximale. Si vous coupez le son (Mute) de tous les oscillateurs, vous n’entendez plus que cette oscillation sinusoïdale. En modulant la fréquence de coupure, vous pouvez alors créer des effets proches de ceux obtenus via la modulation de la fréquence de l’oscillateur 1 par l’oscillateur 2. Gestion économique de la puissance de traitement La conception de l’ES2 vise à utiliser le plus efficacement possible la puissance de traitement de l’ordinateur hôte : les modules internes et fonctions non utilisés ne consomment pas de puissance de calcul. Ce principe vaut pour tous les éléments de l’ES2. Exemples : Si vous n’utilisez qu’un seul des trois oscillateurs et que le son des autres est coupé (Mute), vous consommez moins de puissance. Si vous ne modulez pas les DigiWaves ou si vous désactivez les filtres, vous économisez, là encore, les ressources de traitement. En matière de filtrage, voici quelques astuces pour utiliser le plus efficacement possible les ressources :  Si vous pouvez obtenir le même son filtré par passe-bas avec le premier et le second filtre, préférez le premier. Il utilise moins de ressources et, bien qu’il produise un son légèrement différent, il n’est pas du tout moins bon.  Le filtre FM demande davantage de puissance. Si vous n’en avez pas besoin, ne l’utilisez pas.  La modulation du paramètre Blend nécessite pas mal de puissance supplémentaire, dès lors qu’elle intervient au niveau du routeur.  Le paramètre Drive demande également des ressources supplémentaires. Cela est particulièrement vrai quand les filtres sont en série et que les réglages Blend utilisent deux circuits de distorsion. Pour en savoir davantage, consultez la section « Blend et cheminement du signal », à la page 285.292 Chapitre 21 ES2 Partie dynamique (amplificateur) L’amplificateur dynamique définit le niveau, c’est-à-dire le volume sonore perçu, de la note jouée. L’évolution du niveau sonore au fil du temps est définie par un générateur d’enveloppe. ENV 3 et l’amplificateur dynamique Le générateur d’enveloppe ENV 3 est « câblé en dur » au niveau de l’amplificateur dynamique. Il est utilisé en permanence pour contrôler le niveau sonore. Pour en savoir davantage sur les paramètres d’enveloppe, consultez la section « Les enveloppes (ENV 1 à ENV 3) » à la page 310. Cible de modulation dans le routeur : Amp La partie dynamique peut être modulée par n’importe laquelle des sources de modulation du routeur. La cible de la modulation est alors désignée par AMP dans le routeur. Remarque : si vous sélectionnez AMP comme cible, LFO1 comme source, et que vous n’activez pas le paramètre Via dans le routeur, le niveau sonore change périodiquement, selon la fréquence actuelle du LFO. Vous entendez alors un effet de trémolo. Sine Level Le potentiomètre Sine Level (situé en regard de la section du second filtre) permet de mélanger une onde sinusoïdale (à la fréquence du premier oscillateur) directement lors de la phase dynamique, indépendamment des filtres. Même si vous avez éliminé la tonalité partielle fondamentale de l’oscillateur 1 via un filtre passe-haut, vous pouvez la reconstituer ici en utilisant ce paramètre. Veuillez noter les précisions suivantes :  Lorsque l’oscillateur 1 est modulé en fréquence par l’oscillateur 2 (si vous avez activé la fonction FM avec le sélecteur de forme d’onde), seule la forme d’onde sinusoïdale est mixée dans l’amplificateur dynamique, et non la forme d’onde FM distordue.Chapitre 21 ES2 293  Les modulations de basses fréquences pour la tonalité de l’oscillateur 1, réglées dans le routeur, affectent la fréquence du signal sinusoïdal qui y est mixé. Remarque : sine Level convient parfaitement pour ajouter de la chaleur et de la densité dans les graves. Les sons légers peuvent se voir renforcer par l’intermédiaire de cette fonction, l’oscillateur 1 jouant effectivement la tonalité de base de la note. Le Routeur L’ES2 possède une matrice de modulation, appelée le routeur. Si l’enveloppe vectorielle est affichée, cliquez sur le bouton Routeur pour afficher ce dernier. Toute source de modulation peut être associée à n’importe quelle cible de modulation, un peu comme sur un ancien standard téléphonique ou un tableau de raccordement. L’intensité de la modulation, c’est-à-dire à quel point la cible est influencée par la source, est définie à l’aide du curseur vertical associé. Remarque : pour régler l’intensité de la modulation sur zéro, il suffit de cliquer sur le petit symbole avec un zéro (le petit cercle), en regard du paramètre via. L’intensité de la modulation elle-même peut être modulée : le paramètre via permet de déterminer encore une autre source de modulation, qui définit la profondeur ou l’intensité de la modulation. Il est possible d’effectuer dix modulations de type Source, Via et Target simultanément, en plus de celles « câbles en dur » hors du routeur. Le paramètre de contournement (b/p) permet d’activer/désactiver les différents chemins de modulation, sans perdre les réglages. Remarque : certaines modulations sont impossibles, pour des raisons techniques. Par exemple, les durées d’enveloppe ne peuvent être modulées que par des paramètres disponibles uniquement lors de messages de début de note. Par conséquent, il existe des situations où les enveloppes ne sont pas disponibles en tant que cibles. Par ailleurs, le LFO 1 ne peut moduler sa propre fréquence. Les valeurs non disponibles figurent en grisé.294 Chapitre 21 ES2 Valeurs de Via L’intensité de la modulation est définie à l’aide du curseur vertical. L’utilisation du curseur est intuitive, tant que le curseur « via » est réglé sur Off. De ce cas, l’intensité de la modulation est constante, sauf si elle est affectée par un autre contrôleur (roulette de modulation ou aftertouch). Dès que vous sélectionnez une valeur autre que Off pour le paramètre « via », le curseur est divisé en deux sections. La section inférieure définit l’intensité minimale de la modulation, lorsque le contrôleur via a une valeur minimale. La section supérieure définit l’intensité maximale de la modulation. Celle-ci est appliquée lorsque le contrôleur via (roulette de modulation) se trouve à sa valeur maximale. La zone située entre les deux sections de curseur définit la région contrôlée par le paramètre via. Vous pouvez cliquer avec la souris sur la zone située entre les deux sections et ainsi faire glisser simultanément les deux sections. Si cette zone est trop petite pour utiliser la souris, il suffit de cliquer dans une partie libre de la course du curseur et de faire glisser la souris vers le haut ou vers le bas pour déplacer la zone. Dans l’exemple ci-dessous, la section inférieure du curseur définit l’intensité du vibrato lorsque la roulette de modulation se trouve à sa valeur minimale (désactivée). La section supérieure définit l’intensité du vibrato lorsque la roulette de modulation atteint sa valeur maximale. Remarque : pour inverser l’effet de la source de modulation via, il suffit d’activer le paramètre « Via » invert (inv) dans le routeur. Exemple de modulation Supposons que vous ayez effectué les réglages suivants :  Target : Pitch 123  via : Wheel  Source : LFO1  Intensité de la modulation : position du curseur, à votre convenanceChapitre 21 ES2 295 Dans cette configuration, la source de modulation, LFO1, est utilisée pour moduler la fréquence (tonalité) des trois oscillateurs (Pitch 123). (Pitch 123) est la cible de la modulation dans notre exemple. Vous entendrez un vibrato (une modulation de la tonalité) intervenant selon la fréquence du LFO 1. L’intensité de la modulation est contrôlée par la roulette (de modulation), laquelle est déterminée par le paramètre via. Vous pouvez donc contrôler la profondeur du vibrato (intensité de la modulation de tonalité) via la roulette de votre clavier de commande. Ce type de configuration est utilisé pour bon nombre de réglages (sonorités prédéfinies). Vous pouvez utiliser n’importe lequel des dix canaux de routeur. Vous pouvez sélectionner la même cible pour plusieurs canaux, en parallèle. Vous pouvez utiliser librement, et aussi souvent que vous le désirez, les mêmes sources et les mêmes contrôleurs via pour un ou plusieurs canaux de routeur. Cibles de modulation Les cibles suivantes sont disponibles pour la modulation en temps réel. Remarque : ces cibles de modulation sont également disponibles au niveau des axes X et Y du modulateur X/Y (le carré). Reportez-vous à la section « Le carré » à la page 315. Pitch 123 Cette cible permet de moduler en parallèle les fréquences (tonalités) des trois oscillateurs. Si vous sélectionnez un LFO comme source avec cette cible, des effets de sirène ou de vibrato sont créés. Sélectionnez un des générateurs d’enveloppe avec une attaque nulle, une chute courte, un paramètre Sustain sur zéro et un temps de libération court comme source pour les sons de tom et de grosse caisse. Pitch 1 Cette cible permet de moduler la fréquence (tonalité) de l’oscillateur 1. Dans le cas où l’oscillateur 1 est à l’unisson avec un autre oscillateur (non modulé), des modulations d’enveloppe légères peuvent modifier l’importance du désaccord dans le temps. Cela peut être utile avec des sons de cuivres synthétisés. Pitch 2 Cette cible permet de moduler la fréquence (tonalité) de l’oscillateur 2. Pitch 3 Cette cible permet de moduler la fréquence (tonalité) de l’oscillateur 3. Detune Cette cible permet de contrôler l’importance du désaccord entre les trois oscillateurs.296 Chapitre 21 ES2 Remarque : veuillez noter que la sensibilité de toutes les cibles décrites ci-dessus dépend de l’intensité de la modulation. Cette gradation de la sensibilité autorise aussi bien des vibratos très délicats, dont l’amplitude se compte en cents (rappelons qu’un cent = 1/100 de demi-ton), que des sautes de hauteur tonale très prononcées, d’une ou plusieurs octaves.  Intensité de modulation de 0 à 8 : les pas sont de 1,25 cents.  Intensité de modulation de 8 à 20 : les pas sont de 3,33 cents.  Intensité de modulation de 20 à 28 : les pas sont de 6,25 cents.  Intensité de modulation de 28 à 36 : les pas sont de 12,5 cents.  Intensité de modulation de 36 à 76 : les pas sont de 25 cents.  Intensité de modulation de 76 à 100 : les pas sont de 100 cents. Il en résulte les réglages d’intensité de modulation suivants.  À une intensité de modulation de 8, on obtient une modification de la tonalité de 10 cents.  À une intensité de modulation de 20, on obtient une modification de la tonalité de 50 cents, soit un quart de ton.  À une intensité de modulation de 28, on obtient une modification de la tonalité de 100 cents, soit un demi-ton.  À une intensité de modulation de 36, on obtient une modification de la tonalité de 200 cents, soit deux demi-tons.  À une intensité de modulation de 76, on obtient une modification de la tonalité de 1 200 cents, soit une octave.  À une intensité de modulation de 100, on obtient une modification de la tonalité de 3 600 cents, soit trois octaves. OscWaves Selon les formes d’onde définies pour les trois oscillateurs, cette cible peut servir à moduler :  la largeur d’impulsion des formes d’onde rectangulaires et pulsées,  l’intensité de la modulation de fréquence (oscillateur 1 uniquement),  la couleur du bruit (oscillateur 3 uniquement),  la position des Digiwaves. La cible OscWaves affecte l’ensemble des oscillateurs. En revanche, les cibles Osc1Wave, Osc2Wave et Osc3Wave n’affectent que l’oscillateur correspondant. Consultez les paragraphes suivants pour comprendre l’effet de la modulation sur les trois oscillateurs. Pour en savoir davantage sur les effets de ces modulations, consultez la section « Modulation de la largeur d’impulsion » à la page 279. Lisez également la section « Modulation de fréquence linéaire » à la page 277, la section « Bruits blancs et colorés (sur l’oscillateur 3 uniquement) », à la page 281 et la section « Digiwaves » à la page 276.Chapitre 21 ES2 297 Osc1Wave Selon la forme d’onde sélectionnée, vous pouvez agir sur la largeur d’impulsion des formes d’onde rectangulaires et pulsées de l’oscillateur 1, l’intensité de la modulation de fré- quence (l’oscillateur 1 jouant le rôle de porteur et l’oscillateur 2, le rôle du modulateur) ou la position de la DigiWave. Par conséquent, la largeur d’impulsion des formes d’onde rectangulaires et pulsées n’est pas restreinte à deux valeurs fixes pour l’oscillateur 1. Remarque : dans les synthétiseurs FM classiques, l’intensité de la modulation de fréquence est contrôlée en temps réel par des générateurs d’enveloppe sensibles à la vélocité. Sélectionnez un des générateurs ENV comme source pour générer ce type de son. Osc2Wave Cette cible fonctionne comme Osc1Wave, sauf que l’oscillateur 2 ne présente pas la fonction FM. Veuillez noter que la modulation de largeur d’impulsion s’applique également aux formes d’onde rectangulaires synchronisées et à celles modulées en anneau. Osc3Wave Cette cible fonctionne comme Osc1Wave et Osc2Wave, sauf que l’oscillateur 3 ne présente ni la fonction FM ni la modulation en anneau. Il propose, en revanche, la fonction Noise, dont la couleur peut être modulée à l’aide de ce paramètre. OscWaveB Les transitions entre DigiWaves lors d’une modulation par table d’ondes sont toujours progressives. Selon l’intensité de la modulation, vous pouvez utiliser une cible OscWaveB supplémentaire pour moduler en permanence la forme des transitions, et ainsi passer de transitions progressives à brutales. Cela est possible avec tous les oscillateurs. Osc1WaveB Si vous avez activé la modulation par table d’ondes pour une DigiWave via Osc1Wav, vous pouvez utiliser cette cible pour moduler la forme de la transition. Mode Osc1 FM : L’Osc1-FM câblé en dur et la cible de modulation Osc1Wave offrent une intensité FM nettement moins élevée que la cible de modulation Osc1WaveB. Osc2WaveB Si vous avez activé la modulation par table d’ondes pour une DigiWave via Osc2Wav, vous pouvez utiliser cette cible pour moduler la forme de la transition. Osc3WaveB Si vous avez activé la modulation par table d’ondes pour une DigiWave via Osc3Wav, vous pouvez utiliser cette cible pour moduler la forme de la transition.298 Chapitre 21 ES2 SineLevl SineLevl (niveau sinusoïdal) permet de moduler le niveau de l’onde sinusoïdale de l’oscillateur 1, qui peut être mixée directement en entrée de l’amplificateur dynamique, sans transiter par les filtres. Ce paramètre définit le niveau de la tonalité fondamentale (premier partiel) de l’oscillateur 1. Voir la section « Sine Level » à la page 292. OscLScle OscLScle (échelle du niveau des oscillateurs) permet de moduler les niveaux des trois oscillateurs simultanément. Une valeur de modulation de 0 coupe le son de tous les oscillateurs, tandis qu’une valeur de 1 augmente le gain du signal mixé de 12 dB. La modulation est appliquée avant l’étape de distorsion (Overdrive), autorisant ainsi les distorsions dynamiques. Osc1Levl Osc1Levl (niveau de l’oscillateur 1) permet la modulation du niveau de l’oscillateur 1. Osc2Levl Osc2Levl (niveau de l’oscillateur 2) permet de moduler le niveau de l’oscillateur 2. Osc3Levl Osc3Levl (niveau de l’oscillateur 3) permet la modulation du niveau de l’oscillateur 3. Cutoff 1 Cette cible permet la modulation de la fréquence de coupure du premier filtre. Voir la section « Coupure et résonance » à la page 287. Reso 1 (résonance 1) Cette cible permet la modulation de la résonance du premier filtre. Voir la section « Coupure et résonance » à la page 287. Cutoff 2 Cette cible permet la modulation de la fréquence de coupure du second filtre. Reso2 (résonance 2) Cette cible permet la modulation de la résonance du second filtre. LPF FM Un signal sinusoïdal, à la même fréquence que l’oscillateur 1, peut moduler la fréquence de coupure du second filtre (qui fonctionne en permanence comme un filtre passe-bas). Le paramètre LPF FM (Lowpass Filter Frequency Modulation, modulation de fréquence du filtre passe-bas) permet de moduler l’intensité de la modulation FM du second filtre. Il est présenté plus en détail dans la section « FM et second filtre » à la page 290. Cut 1+2 Cut 1+2 (coupure 1 et 2) modulate les fréquences de coupure des filtres en parallèle, exacteemnt comme si vous appliquiez la même modulation aux paramètres Cutoff 1 et Cutoff 2 dans deux canaux Router. Chapitre 21 ES2 299 Cut1inv2 Cut1inv2 (coupure 1 normale et coupure 2 inversée) permet de moduler simultanément les fréquences de coupure du premier et du second filtre, de façon inverse (dans des directions opposées). Autrement dit, lorsque la valeur de la fréquence de coupure du premier filtre augmente, la coupure du second filtre diminue, et vice versa. Remarque : si vous combinez en mode série le premier filtre (paramétré en mode passe-haut) et le second (toujours en mode passe-bas), les deux constituent un filtre passe-bande. Dans cette configuration, la modulation du paramètre cible Cut1 inv 2 provoque une modulation de la largeur de bande du filtre passe-bande ainsi créé. FltBlend FltBlend (Filter Blend) permet de moduler le mélange des sons issus des filtres (fondu enchaîné entre les deux filtres), comme expliqué dans la section « Blend et cheminement du signal » à la page 285. Remarque : si le paramètre FilterBlend est défini comme cible dans un ou plusieurs canaux du routeur, les données de modulation sont calculées même si FilterBlend a une valeur de 1.0 ou +1.0. Par conséquent, soyez vigilant lorsque vous définissez ce paramètre comme cible de modulation car il risque de solliciter davantage votre système. Amp Cette cible module l’amplificateur dynamique, autrement dit le niveau ou le volume de la voix. Si vous sélectionnez Amp comme cible et que vous la modulez avec un LFO comme source, le niveau change régulièrement et vous entendez un effet de trémolo. Pan Si vous définissez la balance (Pan) en tant que cible, le positionnement du son dans le spectre stéréo ou Surround est modulé. Si vous modulez la balance avec un LFO, vous obtenez un trémolo stéréo ou Surround (également appelé panoramique automatique ou autopan). En mode Unison, les différentes voix utilisées se voient réparties sur toute la largeur du spectre stéréo ou Surround. Vous pouvez néanmoins encore moduler le paramètre Pan : les différents positionnements sont alors modifiés en parallèle. Remarque : le paramètre étendu Surround Range permet de définir la plage d’angles issue des valeurs de modulation. Exemple : Si la balance est modulée selon la valeur maximale d’un LFO (avec une forme d’onde en dents de scie), une valeur Surround Range de 360 ° provoque des mouvements circulaires au niveau de la sortie voix.300 Chapitre 21 ES2 Diversity Ce paramètre (uniquement disponible dans les instances Surround de l’ES2) permet de contrôler dynamiquement le volume de la sortie voix à diffuser entre les différents canaux Surround. Les valeurs négatives diminuent l’effet de Surround. Pour en savoir davantage sur la terminologie et l’utilisation de la fonction Surround, consultez le chapitre Surround du Logic Pro 8Manuel de l’utilisateur. Lfo1Asym Le paramètre Lfo1Asym (asymétrie du Lfo1) permet de moduler la forme d’onde sélectionnée pour le LFO 1. Dans le cas d’une onde de forme carrée, par exemple, il modifie la largeur d’impulsion. Pour une onde de forme triangulaire, il fait évoluer la forme entre triangles et dents de scie. Enfin, s’il s’agit d’une onde en dents de scie, il change son point de passage par zéro. Lfo1Curve Cette cible permet de moduler le lissage de la forme d’onde d’un signal carré vers un signal aléatoire. Dans le cas d’un signal triangulaire ou en dents de scie, elle modifie les courbes, en les faisant passer par les stades convexes, linéaires et concaves. Modulations démultipliées L’ensemble des cibles suivantes subissent une modulation par démultiplication. Cela signifie que les valeurs de modulation ne sont pas simplement ajoutées à la valeur de paramètre de la cible, mais que cette valeur cible est multipliée. Le fonctionnement de cette fonction peut s’expliquer de la manière suivante : une valeur de modulation de 0.0 n’a aucun effet alors qu’une valeur de modulation de +1.0 revient à multiplier par 10 et une valeur de modulation de –1.0 revient à multiplier par 0.04. LFO1Rate Cette cible permet de moduler la fréquence (vitesse, taux) du LFO 1. Remarque : supposons que vous ayez créé un vibrato avec un autre canal de routeur en modulant la cible Pitch 123 avec le LFO 1. Si vous le souhaitez, vous pouvez faire ralentir ou accélérer automatiquement la fréquence du LFO 1 (la vitesse du vibrato). Pour ce faire, modulez le paramètre cible LFO1Rate avec un des générateurs d’enveloppe (ENV). Sélectionnez LFO 2 comme source et diminuez la valeur Rate, afin que le vibrato accélère et ralentisse régulièrement. Env2Atck Le paramètre Env2Atck (attaque de l’enveloppe 2) module le temps d’attaque du deuxième générateur d’enveloppe. Env2Dec Le paramètre Env2Dec (chute de l’enveloppe 2) module le temps de chute du deuxième générateur d’enveloppe. Chapitre 21 ES2 301 Si vous avez sélectionné ENV2 Dec comme cible et Velocity comme source, le temps de chute de la note jouée dépend de la force avec laquelle vous avez appuyé sur cette note. Si vous sélectionnez Keyboard comme source, les notes aiguës ont une chute plus rapide (ou plus lente). Env2Rel Le paramètre Env2Rel (libération de l’enveloppe 2) module le temps de libération du deuxième générateur d’enveloppe. Env2Time Env2Time (tous les temps de l’enveloppe 2) module l’ensemble des paramètres de temps de l’ENV2 : temps d’attaque, temps de chute, temps de maintien et temps de libération. Env3Atck Le paramètre Env3Atck (attaque de l’enveloppe 3) module le temps d’attaque du troisième générateur d’enveloppe. Env3Dec Le paramètre Env3Dec (chute de l’enveloppe 3) module le temps de chute du troisième générateur d’enveloppe. Env3Rel Le paramètre Env3Rel (libération de l’enveloppe 3) module le temps de libération du troisième générateur d’enveloppe. Env3Time Le paramètre Env3Time (tous les temps de l’enveloppe 3) module l’ensemble des paramètres de temps de l’ENV3 : temps d’attaque, temps de chute, temps de maintien et temps de libération. Glide Cette cible module la durée de l’effet Glide (portamento). Remarque : si vous modulez l’effet Glide en utilisant Velocity comme source, la vélocité (force du jeu) détermine la durée nécessaire pour que les notes jouées atteignent leur tonalité. Voir la section « Glide » à la page 272. Sources de modulation Certaines sources de modulation sont unipolaires, générant des valeurs comprises entre 0 et 1. D’autres sont bipolaires et génèrent des valeurs de sortie comprises entre –1 et +1. Les sources de modulation suivantes sont disponibles : LFO1 Le LFO1 est décrit dans la section « Les LFO » à la page 307.302 Chapitre 21 ES2 LFO2 Le LFO2 est décrit dans la section « Les LFO » à la page 307. ENV1 Le premier générateur d’enveloppe est décrit dans la section « Les enveloppes (ENV 1 à ENV 3) » à la page 310. ENV2 Le second générateur d’enveloppe est décrit dans la section « Les enveloppes (ENV 1 à ENV 3) » à la page 310. ENV3 Le troisième générateur d’enveloppe est décrit dans la section « Les enveloppes (ENV 1 à ENV 3) » à la page 310. Remarque : le troisième générateur sert toujours à contrôler le niveau sonore global. Pad-X, Pad-Y Ces sources de modulation vous permettent de définir les axes du carré en vue d’une utilisation avec la cible de modulation sélectionnée. Vous pouvez déplacer le curseur n’importe où au sein du carré, soit manuellement, soit via le contrôle d’une enveloppe vectorielle. Voir les sections « Le carré » à la page 315 et « L’enveloppe vectorielle » à la page 316. Max Si vous sélectionnez Max en tant que source, la valeur de cette source sera définie sur +1 de façon permanente. Cela offre des options intéressantes avec via, car les valeurs disponibles possibles pour via contrôlent l’intensité de la modulation. Kybd Le paramètre Kybd (Keyboard, clavier) correspond à la touche enfoncée sur le clavier (numéro de note MIDI). La note centrale correspond à Do3 (valeur de sortie 0). Si on se place cinq octaves plus bas ou plus haut, les valeurs de sortie correspondantes sont –1 et, respectivement. Remarque : ce paramètre peut servir à contrôler les fréquences de coupure des filtres selon les touches du clavier : lorsque vous montez ou descendez la gamme sur le clavier, les fréquences de coupure changent. Pour ce faire, modulez la cible Cut 1+2 avec le clavier comme source. Avec une intensité de modulation de 0,5, les fréquences de coupure augmentent proportionnellement aux tonalités jouées au clavier. Velo Si vous sélectionnez le paramètre de vélocité (Velo), la sensibilité à la vélocité sert de source de modulation.Chapitre 21 ES2 303 Bender Si le paramètre Bender est sélectionné, le levier « pitch bend » sert de source de modulation bipolaire. Cela est également possible lorsque le paramètre Bend Range des oscillateurs est sur 0. ModWhl Si le paramètre ModWhl est sélectionné, la roulette de modulation est une source de modulation unipolaire. Remarque : dans la plupart des applications standard, vous utilisez la roulette comme contrôleur via. Traditionnellement, elle permet de contrôler l’intensité des modulations périodiques produites par le LFO. Dans notre cas précis, vous pouvez l’employer pour des modulations directes et statiques, notamment pour le contrôle des fréquences de coupure des filtres (Target = Cut 1+2). Remarque : la roulette de modulation s’utilise également avec le contrôleur LSB (Least Significant Byte, octet dont le poids est le plus faible). Touch Le paramètre Aftertouch peut servir de source de modulation. L’ES2 réagit aux messages d’aftertouch polyphonique (poly pressure). Il utilise la somme de la pression de canal (channel pressure) et de la valeur d’aftertouch polyphonique spécifique à la note. Remarque : si vous définissez comme cible le paramètre Cut 1+2, les fréquences de coupure augmentent et diminuent, selon la force du jeu après la première note jouée sur le clavier MIDI sensible au toucher. Whl+To La roulette de modulation et le paramètre Aftertouch sont utilisés comme sources de modulation. Contrôleurs MIDI A–F Les contrôleurs MIDI disponibles dans la matrice de modulation sont nommés Ctrl A à F. Ils peuvent être assignés à des numéros de contrôleurs arbitraires (via les menus d’assignation de contrôleurs MIDI situés en bas de l’interface de l’ES2). Remarque : les anciennes versions de l’ES2 proposaient comme sources de modulation les éléments suivants : messages Control Change MIDI(16 à 19), Expression et Breath. Ces contrôleurs MIDI correspondent aux valeurs d’assignation par défaut et garantissent une compatibilité descendante. Les valeurs des menus d’assignation des contrôleurs MIDI ne sont mises à jour que si le réglage par défaut est chargé ou si un réglage sauvegardé avec un projet particulier est chargé. Si vous passez simplement le curseur sur ces réglages, les valeurs d’assignation restent inchangées. 304 Chapitre 21 ES2 Les menus d’assignation des contrôleurs MIDI vous permettent d’affecter vos contrôleurs MIDI favoris à des valeurs telles que Ctrl A, Ctrl B, etc. Tous ces menu disposent d’une option Learn. Si elle est sélectionnée, le paramètre est automatiquement assigné par le premier message entrant de données MIDI approprié. Le mode d’apprentissage présente une fonction de délai de 20 secondes : si l’ES2 ne reçoit aucun message MIDI dans les 20 secondes, l’assignation de contrôleur MIDI initiale est rétablie. Remarque : si aucun contrôleur (Ctrl A–F) n’est assigné au paramètre Expression, le message Expression CC (Ctrl #11) contrôle le volume de sortie. Remarque : par exemple, le Vector Stick (manette) du synthétiseur Korg Wavestation génère les messages des contrôleurs 16 et 17. Si vous utilisez cet instrument comme clavier maître, vous pouvez contrôler directement n’importe quelle paire de paramètres ES2 avec la manette. Remarque : dans la norme MIDI, pour tous les contrôleurs dont le numéro est compris entre 0 et 31, un contrôleur LSB est également défini (avec un numéro compris entre 32 et 63). Ce contrôleur Least Significant Byte permet une résolution de 14 bits au lieu de 7. L’ES2 reconnaît correctement ces messages de modification de contrôleur (Control Change), par exemple, pour un contrôleur Breath (souffle) ou Expression. RndN01 Le paramètre RndNO1 (Note On Random1) génère une valeur de modulation aléatoire comprise entre –1.0 et 1.0 (même plage de valeurs qu’avec un LFO). Cette valeur change à chaque déclenchement ou redéclenchement de note. La modulation (aléatoire) par note entrée reste constante pendant toute la durée de la note jouée, jusqu’au déclenchement de note suivant. Remarque : en mode legato, aucun changement de valeur n’intervient lorsque vous jouez legato. RndN02 Le comportement du paramètre RndNO2 (Note On Random2) est similaire à celui de Note On Random1, sauf que ce paramètre permet de glisser vers la nouvelle valeur générée aléatoirement selon le temps Glide défini (comprenant la modulation). Autre différence avec le paramètre NoteOnRandom1 : en mode legato, la valeur issue de la modulation aléatoire change lorsque vous jouez en mode legato. SideCh Le paramètre SideCh (Side Chain) utilise une entrée latérale (pistes, entrées, bus) pour créer le signal de modulation. Vous pouvez sélectionner la source à utiliser comme entrée latérale dans la zone grisée située en haut de la fenêtre. Le signal correspondant est envoyé vers le suiveur d’enveloppe interne. Ce dernier crée une valeur de modulation en fonction du niveau actuel du signal Side Chain. Chapitre 21 ES2 305 Via : Contrôle de l’intensité de la modulation Certaines sources de modulation sont unipolaires, générant des valeurs comprises entre 0 et 1. D’autres sont bipolaires et génèrent des valeurs de sortie comprises entre –1 et +1. Les sources suivantes peuvent être utilisées pour faire varier l’intensité de la modulation. LFO1 Le LFO1 contrôle l’intensité de la modulation en fonction de la vitesse et de la forme d’onde de son signal. LFO2 Le LFO2 contrôle l’intensité de la modulation en fonction de la vitesse et de la forme d’onde de son signal. ENV1 L’ENV1 contrôle l’intensité de la modulation. ENV2 L’ENV2 contrôle l’intensité de la modulation. ENV3 L’ENV3 (l’enveloppe de niveau) contrôle l’intensité de la modulation. Pad-X, Pad-Y Les deux axes du carré (l’enveloppe vectorielle) sont également utilisables comme sources via. Vous pouvez donc contrôler l’intensité de la modulation avec le carré. Kybd Le paramètre Kybd (Keyboard, clavier) correspond à la touche enfoncée sur le clavier (numéro de note MIDI). La note centrale correspond à Do3 (valeur de sortie 0). Si on se place cinq octaves plus bas ou plus haut, les valeurs de sortie correspondantes sont –1 et +1, respectivement. Si vous sélectionnez Pitch 123 comme cible, que vous la modulez avec LFO1 comme source, et que vous utilisez Kybd comme valeur via, la profondeur du vibrato varie selon la note jouée. Autrement dit, l’intensité du vibrato est différente lorsque des notes plus aiguës ou plus graves que le positionnement Kybd défini sont jouées. Velo Si vous sélectionnez le paramètre de vélocité (Velo) comme valeur via, l’intensité de la modulation dépend de la vélocité. La modulation est plus ou moins accentuée selon la rapidité (force) du jeu. Bender Le levier « pitch bend » contrôle l’intensité de la modulation.306 Chapitre 21 ES2 ModWhl Si vous sélectionnez ModWhl (Modulation Wheel) comme valeur via, l’intensité de la modulation est contrôlée par la roulette de modulation de votre clavier MIDI. La roulette de modulation s’utilise également avec le contrôleur LSB (Least Significant Byte). Touch Si vous sélectionnez le paramètre Touch (Aftertouch) comme valeur via, l’intensité de la modulation dépend de la force utilisée pour appuyer sur les touches du clavier MIDI sensible au toucher, une fois la première note jouée. (L’aftertouch est également connu sous l’expression « sensibilité à la pression ».) Whl+To Lorsque ce paramètre est sélectionné, la roulette de modulation et l’aftertouch contrôlent tous deux la modulation. Contrôleurs MIDI A–F Les contrôleurs MIDI disponibles dans la matrice de modulation sont nommés Ctrl A à F, au lieu de Expression, Breath et General Purpose 1–4. (Les messages MIDI Control Change de 16 à 19 sont aussi appelés General Purpose Slider 1/2/3/4). Ces contrôleurs peuvent être assignés à des numéros de contrôleurs arbitraires via les menus d’assignation de contrôleurs MIDI situés en bas de l’interface. (Appuyez sur le bouton MIDI pour accéder aux menus à A à F.) Les valeurs par défaut de ces assignations garantissent la compatibilité descendante. Les valeurs des menus d’assignation ne sont mises à jour que si le réglage par défaut est chargé ou si un réglage sauvegardé avec un projet particulier est chargé. Si vous passez simplement le curseur sur ces réglages, les valeurs d’assignation restent inchangées. Cette fonction est particulièrement utile si vous souhaitez utiliser le Contrôleur n° 4 (pédale), par exemple, comme source de modulation. Elle vous permet, en effet, d’assigner vos contrôleurs MIDI temps réel favoris à des valeurs telles que Ctrl A, Ctrl B, etc. Tous les paramètres vous permettant de sélectionner un contrôleur MIDI disposent d’une option Learn (Apprendre). Si elle est sélectionnée, le paramètre est automatiquement assigné par le premier message entrant de données MIDI approprié. Le mode d’apprentissage présente une fonction de délai de 20 secondes : si l’ES2 ne reçoit aucun message MIDI dans les 20 secondes, l’assignation de contrôleur MIDI initiale est rétablie. Remarque : comme la nouvelle entrée est ajoutée en haut de la liste, les données d’automation existantes sont incrémentées de un. Dans le cas d’assignations supplémentaires, chaque nouvelle entrée entraîne une incrémentation de un.Chapitre 21 ES2 307 Remarque : si aucun contrôleur (Ctrl A–F) n’est assigné au paramètre Expression, le message Expression CC (Ctrl #11) contrôle le volume de sortie. Remarque : par exemple, le Vector Stick (manette) du synthétiseur Korg Wavestation génère les messages des contrôleurs 16 et 17. Si vous utilisez cet instrument comme clavier maître, vous pouvez contrôler directement les intensités de modulation avec la manette. Remarque : dans la norme MIDI, pour tous les contrôleurs dont le numéro est compris entre 0 et 31, un contrôleur LSB est également défini (avec un numéro compris entre 32 et 63). Ce contrôleur Least Significant Byte permet une résolution de 14 bits au lieu de 7. L’ES2 reconnaît correctement ces messages de modification de contrôleur (Control Change), par exemple, pour un contrôleur Breath (souffle) ou Expression. RndN01 RndN01 (NoteOnRandom1) contrôle l’intensité de la modulation (Voir RndNO1 à la page 304). RndN02 RndNO2 (NoteOnRandom2) contrôle l’intensité de la modulation (Voir RndNO2 à la page 304). SideCh Une source d’entrée latérale (pistes, entrées, bus) est utilisée pour créer le signal de modulation. Les LFO Le terme « oscillateur basse fréquence » est abrégé en LFO (Low Frequency Oscillator). Sur les synthétiseurs analogiques, le LFO génère des signaux de modulation, dont la fréquence est inférieure à la plage de fréquences audibles : leur bande passante se situe entre 0,1 et 20 Hz ; parfois elle atteint 50 Hz. Le LFO sert à créer des effets de modulation cycliques. Si vous modulez légèrement la tonalité d’un oscillateur audio avec une fréquence de LFO d’environ 3 à 8 Hz, vous entendez un effet de vibrato. Si vous modulez la fréquence de coupure d’un filtre passe-bas, vous entendrez un effet wah-wah ; si vous modulez l’amplificateur dynamique, vous obtenez un effet de trémolo. L’ES2 possède deux LFO, dont les sorties peuvent servir de sources dans le routeur. 308 Chapitre 21 ES2  Le LFO 1 est polyphonique : si vous l’utilisez pour moduler plusieurs voix, celles-ci ne sont pas verrouillées en phase. Par ailleurs, il est synchronisé sur les touches : chaque fois que vous enfoncez une touche, le signal LFO 1 de la voix associée repart de zéro. Autrement dit, lorsqu’elle est utilisée sur une entrée polyphonique (un accord joué sur le clavier), la modulation est indépendante pour chaque voix (note). La tonalité d’une voix peut donc monter, celle d’une autre, descendre et celle d’une troisième, atteindre sa valeur minimale.  Le LFO 2 est monophonique : si vous modulez, par exemple, la tonalité des trois oscillateurs (avec Pitch123 comme cible et LFO2 comme source), la hauteur tonale de chaque note de l’accord monte ou baisse simultanément. Les deux LFO offrent un certain nombre de formes d’onde différentes. Le LFO 1 permet d’effectuer automatiquement des fondus entrants et sortants, sans recourir à un géné- rateur d’enveloppe distinct. Les paramètres des LFO sont décrits ci-après : EG (LFO1) Si le curseur EG a une position médiane (pour ce faire, cliquez sur le repère du milieu), l’intensité de la modulation est statique : elle ne subit aucune variation (ni fondu entrant, ni fondu sortant). Avec des valeurs positives, la modulation subit une fondu entrant. Plus la valeur est élevée, plus le temps de retard est long. Avec des valeurs négatives, elle subit un fondu sortant. Plus le curseur est bas (à l’écran), plus le temps de chute est court. Ce curseur est appelé EG car les fondus entrants et sortants sont effectués en interne par un générateur d’enveloppe extrêmement simple. Le plus souvent, il permet de retarder le vibrato. (De nombreux instrumentistes et chanteurs tiennent de cette façon les notes longues.) Pour ce faire, montez le curseur au niveau de la moitié supérieure (Delay) et modulez la cible Pitch123 avec la source LFO1. Entrez une intensité de modulation modérée. Sélectionnez une valeur Rate de 5 Hz environ et une forme d’onde triangulaire pour le LFO. ? Astuce : si vous modulez rapidement, de façon chaotique, les fréquences des oscillateurs Pitch123 selon le signal LFO 1 avec Sample&Hold retardé comme forme d’onde, une valeur Rate élevée et un fondu sortant court, la phase d’attaque de la note produit un son Moog « rugueux », un peu comme dans le cas des cuivres. Rate Ce paramètre permet de définir la fréquence (vitesse) de la modulation. La valeur sélectionnée est indiquée en Hertz (Hz), sous le curseur. Wave La partie Wave vous permet de sélectionner la forme d’onde souhaitée pour le LFO. Essayez l’effet obtenu avec chacune des formes, lorsque la modulation Pitch123 est activée. Les symboles des diverses formes possibles sont assez significatifs.Chapitre 21 ES2 309 Onde triangulaire La forme d’onde triangulaire convient bien aux effets de vibrato. Onde en dents de scie ou en dents de scie inversées La forme d’onde en dents de scie convient bien aux effets sonores d’hélicoptères et d’épées laser. Une modulation marquée des fréquences des oscillateurs avec une onde en dents de scie inversée génère des sons de type bulle, ébullition ou environnement sous-marin. Un modulation marquée, en dents de scie, au niveau des signaux issus des filtres passe-bas (le second filtre, notamment) crée des effets rythmiques. Ondes rectangulaires Les formes d’onde rectangulaires font varier régulièrement le signal LFO entre deux valeurs. Une forme rectangulaire saillante évolue entre une valeur positive et zéro. Une forme rectangulaire en creux évolue entre une valeur positive et une valeur négative ; ces valeurs sont symétriques par rapport à zéro. Remarque : vous pouvez obtenir un effet intéressant en modulant Pitch123 selon une intensité appropriée, de façon à obtenir un intervalle de quinte. Pour ce faire, utilisez l’onde rectangulaire saillante. Sample & Hold Les deux derniers réglages de forme d’onde pour le LFO génèrent des valeurs aléatoires. Une valeur aléatoire est déterminée à intervalles réguliers, selon la fréquence du LFO. L’avant-dernière forme d’onde fournit les pas aléatoires exacts. Avec la dernière, en revanche, l’onde aléatoire est lissée ; les transitions entre les différentes valeurs sont donc plus fluides. L’expression Sample & Hold (abrégée en S & H) fait référence à la procédure qui consiste à prendre des échantillons d’un signal de bruit à intervalles réguliers. La valeur de tension de l’échantillon est ensuite maintenue jusqu’au prochain échantillon. Lors de la conversion de signaux audio analogiques en signaux numériques, une procédure similaire est utilisée : des échantillons de la tension du signal audio analogique sont prélevés selon la fréquence d’échantillonnage. ? Astuce : une modulation aléatoire de Pitch123 permet de produire l’effet de génération de modèle de tonalité aléatoire, communément appelé « sample and hold ». Essayez cette modulation avec des notes très aiguës, à des fréquences et intensités très élevées, vous reconnaîtrez cet effet sonore très populaire, présent dans des centaines films de science fiction. 310 Chapitre 21 ES2 Rate (LFO 2) Le curseur LFO2 Rate (fréquence) permet un fonctionnement libre du LFO 2, s’il est situé dans la moitié supérieure. En revanche, le LFO 2 est synchronisé sur le tempo du projet si le curseur figure dans la moitié inférieure. La fréquence est indiquée en Hertz ou en valeurs rythmiques, selon que la synchronisation par rapport au tempo du projet est enclenchée ou non. La plage rythmique va de la quadruple croche à 32 mesures. Les triolets et les notes pointées sont également possibles. Le LFO 2 convient particulièrement aux effets rythmiques nécessitant une synchronicité parfaite, même en cas de changement de tempo au sein du projet. Les enveloppes (ENV 1 à ENV 3) Outre l’enveloppe vectorielle complexe, décrite dans la section « L’enveloppe vectorielle » à la page 316, l’ES2 présente trois générateurs d’enveloppe par voix. Sur l’interface utilisateur et dans la section source du routeur, ces générateurs sont abrégés en ENV 1, ENV 2 et ENV 3. Remarque : l’origine de l’expression générateur d’enveloppe et les fonctionnalités élémentaires sont expliquées dans la section « Enveloppes » à la page 673. Les fonctions disponibles dans l’ENV 2 et l’ENV 3 sont identiques. L’ENV 3 définit l’évolution du niveau de chaque note jouée. Autrement dit, ce générateur est « câblé en dur » à la cible de modulation AMP dans le routeur. Les paramètres de l’ENV 2 et de l’ENV 3 sont identiques ; toutefois, le générateur ENV 3 est toujours utilisé pour contrôler le niveau sonore.Chapitre 21 ES2 311 Contrairement à la plupart des synthétiseurs, il n’existe dans l’ES2 aucune connexion en dur entre un des générateurs d’enveloppe et les fréquences de coupure des filtres. La modulation des fréquences de coupure doit être paramétrée séparément dans le routeur. Cela est déjà le cas dans le réglage par défaut : dans le canal de routeur situé juste en dessous du filtre (voir illustration). Pour définir ce type de modulation, configurez un canal de routeur comme suit : affectez Cutoff 1, Cutoff 2 ou Cut 1+2 à la cible et définissez ENV 2, par exemple, comme source. Une fois ces réglages effectués, le curseur du canal joue le rôle de paramètre EG Depth (profondeur du générateur d’enveloppe) pour le filtre. Remarque : ENV 2 et ENV 3 sont tous deux sensibles à la vélocité, il est donc inutile de régler le paramètre via sur Velo dans le canal routeur : vous pouvez le laisser désactivé. Les paramètres de l’ENV 1 À première vue, le générateur ENV 1 semble assez rudimentaire. Ses quelques paramètres s’avèrent, cependant, utiles pour de nombreuses fonctions de synthétiseur. Modes de déclenchement : Poly, Mono et Retrig En mode Poly, le générateur d’enveloppe se comporte comme sur n’importe quel synthétiseur polyphonique : chaque voix dispose de sa propre enveloppe. Menu Trigger Modes Bouton Decay Release Curseur Attack via Velocity312 Chapitre 21 ES2 Avec les modes Mono et Retrig, un même générateur d’enveloppe module toutes les voix en parallèle, c’est-à-dire, de manière identique.  Si l’ENV 1 est réglé sur Mono, toutes les notes doivent être relâchées pour que l’enveloppe puisse être à nouveau déclenchée. Si vous jouez legato ou tant qu’une touche reste enfoncée, l’enveloppe ne reprend pas sa phase d’attaque.  En mode Retrig, l’enveloppe est déclenchée à chaque fois que vous enfoncez une touche, qu’il y ait ou non des notes tenues dans le même temps. Toutes les notes tenues sont affectées par le redéclenchement de l’enveloppe. Dans les premiers synthétiseurs analogiques polyphoniques, toutes les voix des instruments polyphoniques transitaient par un seul et même filtre passe-bas. Ce choix de conception était essentiellement motivé par des raisons économiques. Parmi les modèles de synthétiseurs polyphoniques les plus connus, citons le Moog Polymoog, le Yamaha SK20 ou le Korg Poly 800. Pour reproduire un tel comportement, utilisez les modes Mono ou Retrig. Prenons l’exemple suivant : vous modulez la cible Cutoff 2 avec une source percussive telle que l’ENV1 en mode Retrig. Si vous jouez une note grave et que vous tenez la note, celle-ci subit un effet de filtre percussif à chaque fois qu’une nouvelle touche est enfoncée. La nouvelle note jouée est également affectée par ce filtre. Lorsque vous jouez un son configuré de la sorte, la sonorité obtenue est proche de celle d’un synthétiseur polyphonique avec un seul filtre. et ce, même si les filtres ES2 sont toujours polyphoniques et peuvent donc être modulés simultanément par plusieurs sources polyphoniques. ? Astuce : si vous désirez simuler l’effet percussif d’un orgue Hammond, vous devez également utiliser les modes Mono ou Retrig. Chute/libération L’ENV 1 peut être configuré en tant que générateur d’enveloppe avec les paramètres Temps d’attaque et Temps de chute ou Temps d’attaque et Temps de libération. Pour basculer entre ces deux modes, il suffit de cliquer sur D (pour Decay en anglais, chute) ou sur R (pour Release en anglais, libération) au-dessus du curseur ENV 1 de droite.  En mode attaque/chute, le niveau tombe à zéro une fois la phase d’attaque terminée, que la note soit tenue ou non. Le temps de chute est le même, même si vous relâchez la note. Il est défini à l’aide du curseur de temps de chute, signalé par la lettre D.  En mode attaque/libération, le niveau de l’enveloppe reste à son maximum une fois la phase d’attaque terminée, tant que la touche reste enfoncée. Une fois la touche relâchée, son niveau descend progressivement selon la durée définie à l’aide du curseur R (représentant le temps de libération).Chapitre 21 ES2 313 Temps d’attaque et Attaque via Vel Le curseur relatif au temps d’attaque est divisé en deux sections. La section inférieure définit le temps d’attaque, lorsque la force du jeu est élevée (vélocité maximale). La section supérieure détermine le temps d’attaque, à une vélocité minimale. Vous pouvez cliquer avec la souris sur la zone située entre les deux sections et ainsi faire glisser simultanément les deux sections. Si cette zone est trop petite pour utiliser la souris, il suffit de cliquer dans une partie libre de la course du curseur et de faire glisser la souris vers le haut ou vers le bas pour déplacer la zone. Les paramètres de l’ENV 2 et de l’ENV 3 Les fonctions disponibles dans les générateurs ENV 2 et ENV 3 sont identiques. Toutefois, l’ENV 3 sert toujours à définir le niveau de chaque note, pour moduler l’amplificateur dynamique. Vous pouvez aussi utiliser simultanément l’ENV 3 comme source dans le routeur. Les paramètres temporels de l’enveloppe peuvent également être utilisés comme cibles de modulation dans le routeur. Remarque : pour en savoir davantage sur les fonctions élémentaires et la signification des générateurs d’enveloppe, consultez la section « Enveloppes » à la page 673. Attack Time À l’instar du curseur d’attaque de l’ENV 1, les curseurs relatifs aux temps d’attaque de l’ENV 2 et de l’ENV 3 sont divisés en deux sections. La section inférieure définit le temps d’attaque, à une vélocité maximale. La section supérieure détermine le temps d’attaque, à une vélocité minimale. Vous pouvez cliquer avec la souris sur la zone située entre les deux sections et ainsi faire glisser simultanément les deux sections. Si cette zone est trop petite pour utiliser la souris, il suffit de cliquer dans une partie libre de la course du curseur et de faire glisser la souris vers le haut ou vers le bas pour déplacer la zone. Symbole au centre Cliquez dessus pour régler le curseur Sustain Time sur la valeur centrale.314 Chapitre 21 ES2 Temps de chute (D) Le paramètre relatif au temps de chute définit la durée nécessaire pour qu’une note tenue atteigne le niveau Sustain défini, une fois la phase d’attaque terminée. Si le niveau Sustain est réglé à son maximum, le paramètre de chute (Decay) n’a aucun effet. En revanche, lorsqu’une valeur minimale est affectée, le paramètre Decay détermine la durée du fond sortant de la note. Le paramètre Decay figure comme cible de modulation dans le routeur. Une valeur distincte peut être définie pour l’ENV 2 et l’ENV 3 (ENV2Dec, ENV3Dec). ? Astuce : sur les pianos et les instruments à cordes pincées, les notes aiguës résonnent moins longtemps que les notes graves. Pour simuler cet effet, il suffit de définir le temps de chute comme cible et Kybd comme source de modulation dans le routeur. Le curseur du canal du routeur doit avoir une valeur négative. Notes tenues (S) et temps de maintien (Time) Lorsque le paramètre de temps de maintien a une valeur médiane (cliquez sur le symbole central indiqué ci-dessous pour ce faire), le niveau Sustain joue le rôle de tout paramètre Sustain pour une enveloppe ADSR de synthétiseur. À cette valeur, le niveau Sustain (abrégé par S) définit le niveau maintenu pendant tout le temps où la touche reste enfoncée, une fois le temps d’attaque et le temps de chute terminés. Le curseur relatif au temps de maintien (Time) définit la durée nécessaire pour que le niveau atteigne sa valeur maximum, ou tombe à zéro, une fois la phase de chute terminée. Les réglages effectués dans la section inférieure (Fall) déterminent la vitesse de la chute, autrement dit, la durée nécessaire pour que le niveau passe de la valeur S à zéro. Plus le curseur est bas, plus la chute est rapide. Les réglages effectués dans la section supérieure (Rise) déterminent la vitesse de la hausse, autrement dit, la durée nécessaire pour que le niveau passe de la valeur S à la valeur maximum. Plus le curseur est haut, plus la hausse est rapide. Temps de libération Comme pour n’importe quelle enveloppe de synthétiseur de type ADSR, le paramètre de temps de libération (R pour Release en anglais) définit la durée de chute nécessaire pour que le niveau tombe à zéro une fois la touche relâchée. Vel Le paramètre Vel définit la sensibilité à la vélocité pour l’ensemble de l’enveloppe. Lorsqu’il est à son maximum, l’enveloppe ne produit un niveau maximal que lorsque vous frappez les touches très fort (vélocité maximale). Chapitre 21 ES2 315 Le carré Le carré possède deux axes : X et Y. Tous deux possèdent des plages de valeurs négatives et positives. On dit qu’ils sont bipolaires. En cliquant sur le curseur puis en le déplaçant à l’aide de la souris, les valeurs des deux axes sont transmises en continu. En effet, vous pouvez moduler un paramètre de votre choix sur X et un autre sur Y, et ainsi utiliser la souris comme une manette de jeu. Outre ce contrôle en temps réel, vous pouvez utiliser l’enveloppe vectorielle pour moduler la position du curseur, exactement comme pour le mixage des signaux des trois oscillateurs dans le triangle. La fonction de boucle du générateur d’enveloppe vectorielle permet d’obtenir des mouvements cycliques. De nombreuses possibilités s’offrent donc à vous, vous permettant d’obtenir un pseudo-LFO de qualité, travaillant en deux dimensions, avec une forme d’onde programmable. Pour en savoir davantage, consultez la section « L’enveloppe vectorielle » à la page 316. Menu Vector Mode Le menu Vector Mode situé sous le bouton Enveloppe vectorielle permet de désactiver le contrôle du curseur carré via l’enveloppe vectorielle. Il permet également de définir si le triangle (la table de mixage de l’oscillateur) doit être géré ou non par l’enveloppe vectorielle.  Off : l’enveloppe vectorielle n’affecte ni le triangle ni le carré. Elle est simplement désactivée. Vous pouvez donc régler et contrôler les curseurs du triangle et du carré en temps réel.  Mix : l’enveloppe vectorielle contrôle le triangle (mixage des signaux des oscillateurs), mais pas le carré.  XY : l’enveloppe vectorielle contrôle le carré, mais pas le triangle.  Mix+XY : l’enveloppe vectorielle contrôle simultanément le carré et le triangle. Menu Vector Mode Paramètres Vector Intensity Menus Vector Target Square316 Chapitre 21 ES2 Remarque : à l’instar de tous les paramètres ES2, le déplacement des curseurs (triangle et carré) peut être enregistré et automatisé dans Logic Pro. Ces données d’automation peuvent ensuite être éditées et converties en boucles dans Logic Pro. Ce fonctionnement est totalement indépendant des modulations cycliques déterminées par l’enveloppe vectorielle. Pour ce faire, la modulation vectorielle doit être désactivée pour le carré et le triangle (Vector Mode = Off). Cible vectorielle et destinations de modulation Les menus de cible Vector X et Vector Y déterminent l’effet des déplacements du curseur dans le carré. Les cibles de modulation sont identiques à celles disponibles dans le routeur. Veuillez consulter la section « Cibles de modulation » à la page 295 pour une description de ces cibles. La position du curseur dans le carré est également disponible dans le routeur, avec les options Source et Via : Pad-X et Pad-Y. Vector Int (intensité de la modulation) L’intensité maximale, la sensibilité et la polarité de la modulation se règlent par l’intermédiaire des paramètres Vector X Int et Vector Y Int. L’enveloppe vectorielle Le triangle et le carré sont les éléments les plus spécifiques et les plus particuliers de l’interface graphique utilisateur de l’ES2. Alors que le triangle agit sur le mixage des signaux issus des trois oscillateurs, les axes X et Y du carré peuvent moduler n’importe quelle cible. L’enveloppe vectorielle permet de contrôler en temps réel le déplacement des curseurs dans le triangle et le carré. Chaque voix possède sa propre enveloppe vectorielle, dont le déclenchement depuis son point de départ se produit à chaque nouvelle frappe de touche (ou, plus précisément, à chaque message MIDI de début de note). Triangle Square Vector EnvelopeChapitre 21 ES2 317 Les concepts d’enveloppe vectorielle, de carré et de triangle peuvent intriguer au premier abord, mais lorsqu’ils sont combinés à d’autres options de synthèse d’ES2, vous obtiendrez des sons totalement uniques et, en quelque sorte, prenants. Enveloppe : Points, durées et boucles L’enveloppe vectorielle comporte jusqu’à 16 points sur l’axe temporel. Chaque point peut contrôler l’emplacement des curseurs du triangle et du carré. Les points sont numérotés de façon séquentielle. Le point 1 est le point de départ. Pour modifier un point, il suffit de le sélectionner en cliquant dessus. Remarque : plusieurs commandes de modification de l’enveloppe vectorielle sont rapidement accessibles via un menu contextuel. Cliquez en tout point de l’enveloppe en maintenant la touche Ctrl enfoncée pour ouvrir ce menu. Point Sustain Tout point peut être défini comme point Sustain. En supposant que la note jouée soit tenue suffisamment longtemps et qu’aucune boucle ne soit en cours, tout mouvement d’enveloppe s’arrête lorsque le point Sustain est atteint. Le mouvement sera maintenu jusqu’à ce que la note soit relâchée (commande MIDI de fin de note). Pour définir un point en tant que point Sustain, cliquez sur le bandeau turquoise situé au-dessus du point désiré. Le point sélectionné est indiqué par un S, figurant entre le point et son numéro, sur le bande turquoise.318 Chapitre 21 ES2 Point Loop Tout point peut être défini comme point Loop. En supposant que la note jouée soit tenue suffisamment longtemps, l’enveloppe peut être répétée en boucle. La région convertie en boucle se situe entre le point Sustain et le point Loop. Entre ces deux points, vous pouvez définir plusieurs points décrivant le déplacement des curseurs du carré et du triangle. Pour définir un point comme point Loop, cliquez sur la bande turquoise située sous ce point. Le point Loop est indiqué par la lettre L sur la bande. Pour visualiser ou définir le point Loop, la fonction de boucle doit être activée. Voir la section « Mode Loop », à la page 321. ? Astuce : une fois la fonction de boucle activée, l’enveloppe vectorielle fonctionne comme un LFO multidimensionnel, polyphonique et à forme d’onde programmable. Durées d’enveloppe vectorielle Hormis le premier point, qui dépend du début de chaque note jouée, chaque point dispose d’un paramètre Time. Ce paramètre définit la durée nécessaire au curseur pour aller d’un point vers le suivant. Les durées sont généralement exprimées en millisecondes (ms). Pour modifier une durée, vous pouvez directement cliquer sur la valeur numérique et utiliser votre souris en guise de curseur. Réglage par défaut de l’enveloppe vectorielle Le réglage par défaut de l’enveloppe vectorielle comporte trois points. Le point 1 est le point de départ, le point 2 est défini comme point Sustain et le point 3 est le point final, désigné par défaut. Chapitre 21 ES2 319 L’impact de l’enveloppe vectorielle sur le triangle de mixage des oscillateurs ou sur le carré est désactivé par défaut. ES2 peut ainsi se comporter comme un synthétiseur non doté de générateur d’enveloppe vectorielle. Cette configuration initiale classique est plus pratique lorsque vous créez des sonorités entièrement nouvelles. Il existe deux façons de désactiver l’enveloppe vectorielle :  Vous pouvez activer le point Solo (paramètre décrit à la page 320). Lorsqu’il est activé, seul le positionnement des curseurs du triangle et du carré pour le point sélectionné est actif.  Vous pouvez également désactiver l’enveloppe vectorielle dans son ensemble (ou uniquement pour le triangle ou le carré), comme décrit dans la section « Menu Vector Mode » à la page 315. Création et suppression de points Plus vous définissez de points, plus les mouvements d’enveloppe vectorielle peuvent être complexes. Vous pouvez effectuer les opérations suivantes :  Créer un nouveau point en cliquant entre deux points existants avec la touche Maj. enfoncée. Le segment situé entre les deux anciens points est alors divisé à l’emplacement défini par le pointeur de la souris. La somme des durées de ces deux nouveaux segments est égale à celle de l’ancien segment entier. De ce fait, les points conservent leurs positions temporelles absolues. De plus, les emplacements des curseurs dans le triangle et le carré sont fixes et la création de nouveaux points ne risque donc pas de modifier les mouvements déjà définis.  Supprimer des points en cliquant dessus tout en maintenant la touche Ctrl. enfoncée. Réglage des durées d’enveloppe vectorielle Pour modifier une durée sur l’enveloppe vectorielle, il suffit de cliquer sur une valeur temporelle puis de déplacer la souris. La durée nécessaire à l’enveloppe pour aller du point précédant cette valeur temporelle au point suivant est alors modifiée. Pour ce faire, vous pouvez procéder de deux façons :  Faites glisser simplement le paramètre temporel verticalement afin d’atteindre les points ultérieurs plus tardivement (ou plus tôt, selon le cas).  Faites glisser le paramètre avec la touche Ctrl enfoncée ; vous diminuez ou augmentez alors d’autant la durée du point suivant. Vous êtes ainsi assuré que le point adjacent et tous les points ultérieurs conservent leurs positions temporelles absolues. Rétablissement des valeurs d’un point Vous pouvez revenir aux positions de curseur par défaut pour le triangle et le carré de la manière suivante :  Cliquez dans le triangle tout en maintenant la touche Option enfoncée. Tous les oscillateurs ont alors le même niveau de sortie. Le curseur est placé au centre du triangle.  Cliquez sur le carré tout en maintenant la touche Option enfoncée. Le curseur est alors situé au centre du carré. Les valeurs sont égales à zéro sur les deux axes.320 Chapitre 21 ES2 Point Solo Le bouton Point Solo désactive l’ensemble du générateur d’enveloppe vectorielle. Si le point Solo est activé, aucune modulation dynamique n’est appliquée par l’enveloppe vectorielle. Dans ce cas, les positionnements actuellement visibles des curseurs dans le triangle et le carré sont toujours en vigueur. Ils correspondent au point d’enveloppe vectorielle actuellement sélectionné. Si vous sélectionnez un autre point de l’enveloppe vectorielle (en cliquant dessus), vous activez immédiatement les emplacements de curseur correspondants dans le triangle et le carré. Si le paramètre de point Solo est activé, le nouveau point sélectionné devient le point solo. Remarque : vous pouvez désactiver séparément la modulation vectorielle du carré en réglant le paramètre Vector Mode sur off, comme décrit à la page 315. Modes d’enveloppe : Normal et Finish Si le menu Env Mode est défini sur Normal, la phase de libération (phase suivant le point Sustain) commence dès que la touche est relâchée (fin de note). La phase de libération débute au point d’enveloppe vectorielle correspondant au moment où vous avez relâché la touche.  Si la fonction de boucle est désactivée et que l’enveloppe vectorielle atteint le point Sustain (S), ce point est joué tant que vous maintenez la touche enfoncée.  Si la fonction de boucle est activée (voir section « Mode Loop », à la page 321) et que le point Loop est placé avant le point Sustain, la boucle est rejouée tant que vous maintenez la touche enfoncée.  Si la fonction de boucle est activée et que le point Loop est placé après le point Sustain, la boucle est jouée une fois la touche relâchée. Lorsque le paramètre Env Mode est défini sur Finish, l’enveloppe vectorielle ne commence pas immédiatement la phase de libération lorsque la touche est relâchée. Elle joue en revanche tous les points (selon leur durée totale) jusqu’au dernier, que la touche soit relâchée ou non.  Si la fonction de boucle est désactivée, le point Sustain est ignoré. L’enveloppe vectorielle se termine une fois son dernier point joué, que vous mainteniez la touche enfoncée ou non.  Si la fonction de boucle est activée, l’enveloppe vectorielle joue tous les points jusqu’au point Loop, puis joue la boucle jusqu’à la fin du son. Dans ce cas, cela n’a aucune importance que le point Loop figure avant ou après le point Sustain (S).  Si la fonction de boucle est activée et que le paramètre Loop Count a une valeur différente de « Infinite », l’enveloppe vectorielle poursuit avec les points suivants, une fois le nombre de boucles sélectionné effectué. Si le paramètre Loop Count est défini sur la valeur « Infinite », le nombre de segments postérieurs à la boucle n’a aucune importance. Reportez-vous à la rubrique « Nombre de boucles », à la page 322.Chapitre 21 ES2 321 Curve Le paramètre Curve définit la forme de la transition entre les différents points. Vous avez le choix entre neuf formes convexes et neuf concaves. Il existe également deux formes extrêmes : « hold+step » et « step+hold », permettant une modulation par pas. La forme « step+hold » permet de faire la transition au début, alors que « hold+step » permet de le faire à la fin. Remarque : vous pouvez utiliser « hold+step » pour créer des grooves vectoriels de 15 pas maximum. Boucles d’enveloppe vectorielle L’enveloppe vectorielle peut, comme toute enveloppe, fonctionner en mode exécution unique (tant que la note est tenue). Elle peut aussi s’exécuter plusieurs fois ou selon un cycle infini, un peu comme un LFO. Pour cela, vous devez utiliser des boucles. Remarque : ces paramètres de boucle vous rappellent peut-être ceux disponibles au niveau des échantillons. Pour plus de clarté, nous rappelons que l’enveloppe vectorielle fournit uniquement des signaux de contrôle pour le positionnement du curseur dans le triangle ou le carré. Les données audio de l’ES2 ne sont absolument pas converties en boucle. Mode Loop L’ES2 comporte les modes Loop suivants :  Off : si le mode Loop est désactivé, l’enveloppe vectorielle fonctionne en mode exé- cution unique, du début à la fin, en supposant que la note soit tenue suffisamment longtemps. Tous les autres paramètres de boucle sont également désactivés.  Forward : si le mode Loop est défini sur Forward, l’enveloppe va jusqu’au point de Sustain, puis commence à répéter périodiquement la section comprise entre le point de boucle et le point de Sustain, toujours vers l’avant.  Backward : si le mode Loop est défini sur Backward, l’enveloppe va jusqu’au point de Sustain, puis commence à répéter périodiquement la section comprise entre le point de boucle et le point de Sustain, toujours vers l’arrière.  Alternate : si le mode Loop est défini sur Alternate, l’enveloppe vectorielle va jusqu’au point de Sustain et revient au point de boucle, puis repart jusqu’au point de Sustain, périodiquement. Elle est donc parcourue de façon alternée en avant et en arrière.322 Chapitre 21 ES2 Fréquence des boucles De la même manière que chaque LFO dispose de son propre paramètre de fréquence (ou Rate), le cycle des boucles peut être défini selon un paramètre Loop Rate. De plus, toujours comme avec les LFO, la fréquence des boucles de l’enveloppe vectorielle peut être automatiquement synchronisée au tempo du projet.  Si vous définissez le paramètre sur As set, la durée du cycle d’une boucle est égale à la somme des durées situées entre les points Sustain et Loop. Cliquez sur le champ As set (sous le curseur Rate) pour sélectionner cette valeur.  Si vous attribuez au paramètre Loop Rate une des valeurs rythmiques (Sync (moitié gauche du curseur) ou 32 bars jusqu’à 64th Triplet Note), la fréquence des boucles s’adapte au tempo du projet.  Vous pouvez également définir la valeur Loop Rate dans le petit panneau à droite du curseur (Free). La valeur indiquée correspond au nombre de cycles par seconde. Utilisez la souris en guise de curseur pour le réglage. Remarque : si Loop Rate n’a pas la valeur « As set », et que la fonction de boucle est activée (Loop Mode Forward, Backward ou Alternate), les durées des points situés entre les points Loop et Sustain, ainsi que la valeur de Loop Smooth, sont exprimées comme pourcentages de la durée de la boucle, plutôt qu’en millisecondes. Lissage des boucles Lorsque Loop Mode est défini sur Forward ou Backward, inévitablement, à un moment donné, une transition du point Sustain au point Loop a lieu. Pour éviter tout changement brutal de positionnement du curseur, le paramètre Loop Smooth permet de lisser cette transition.  Si Loop Rate est défini sur Sync ou Free, la durée de lissage de la boucle est affichée comme pourcentage de la durée du cycle de la boucle.  Si Loop Rate est défini sur As set, la durée de lissage de la boucle est exprimée en millisecondes (ms). Nombre de boucles Les cycles de boucles de l’enveloppe vectorielle ne sont pas nécessairement infinis, vous pouvez définir un cycle de quelques boucles seulement. Une fois le nombre de répétitions définies effectué, l’enveloppe vectorielle s’exécute à partir du point S et se poursuit, comme lorsque Loop Mode est désactivé. Utilisez la souris en guise de curseur pour définir la valeur Loop Count. Les valeurs possibles vont de 1 à 10 ou l’infini. Chapitre 21 ES2 323 Mise à l’échelle Vous pouvez étendre ou comprimer l’ensemble de l’enveloppe vectorielle. Par exemple, si vous désirez doubler la vitesse de l’enveloppe vectorielle, il n’est pas nécessaire de réduire de moitié les valeurs temporelles de chaque point. Vous pouvez tout simplement définir le paramètre Time Scaling sur 50 pour cent.  La plage de valeurs pour le paramètre Time Scaling s’étend de 10 à 1 000 pour cent, selon une échelle logarithmique.  Si Loop Rate est défini sur « As set », la mise à l’échelle a également une incidence sur la boucle. À défaut (Loop Rate = Free ou Sync), le réglage n’est pas affecté par le paramètre Time Scaling. Fix Timing : Normalisation des paramètres Time Scaling et Loop Rate Lorsque vous cliquez sur le bouton Fix Timing en regard du paramètre Time Scaling, la valeur Time Scaling est multipliée par l’ensemble des valeurs des paramètres de temps et le paramètre Time Scaling est à nouveau défini sur 100 pour cent. Aucune différence audible ne peut être notée. Il s’agit simplement d’une procédure de normalisation, tout à fait similaire à la fonction de normalisation des paramètres de lecture de régions dans Logic Pro. Si vous utilisez une boucle synchronisée sur le tempo du projet (Loop Rate = sync), en cliquant sur Fix Timing, vous définissez également Loop Rate sur « As set ». Cela permet de respecter la valeur absolue de la fréquence. Processeur d’effets L’ES2 possède un processeur d’effets intégré. Toute modification au niveau des réglages de ces effets est enregistrée comme partie intégrante de chaque programme sonore. Malgré l’intégration de ce processeur d’effets, n’hésitez pas à traiter les sons issus de l’ES2 avec les autres modules d’effets inclus dans Logic Studio. Les sons et les jeux de paramètres du processeur intégré rappellent ceux des pédales d’effets des guitares électriques. Sur scène, il était courant que les musiciens utilisent ce type de pédale pour guitare sur des synthétiseurs analogiques. 324 Chapitre 21 ES2 Distorsion En mode Soft, le circuit de distorsion se comporte comme une pédale d’overdrive à lampe, tandis qu’en mode Hard, la sonorité est proche de celle d’une pédale fuzz entièrement transistorisée. Le potentiomètre Distortion permet de définir l’intensité tandis que le potentiomètre Tone agit sur les aigus de la sortie du processus de distorsion. Chorus, Phaser, Flanger Ces effets de modulation classiques et leurs paramètres (Intensity et Speed) simulent le son d’effets du même genre, à une exception près : le bruit est nettement moindre.  Un effet de chœur (chorus) est basé sur une ligne à retard dont la sortie est mixée avec le signal d’origine, pur. Le temps de retard est court, modulé de façon périodique, provoquant ainsi des variations de tonalité. Ces variations, combinées à la tonalité du signal initial, produisent l’effet de cœur.  L’effet Flanger fonctionne de la même manière que l’effet Chorus. Cependant, les temps de retard sont encore plus courts et le signal de sortie est réinjecté en entrée de la ligne à retard. De cette façon, de nombreuses résonances harmoniques sont créées, évoluant de manière cyclique sur le spectre et conférant un son métallique.  L’effet Phaser est basé sur un mixage du signal d’origine et d’un signal retardé. Le retard est produit par un filtre passe-tout qui applique au signal un délai relatif à la fréquence. Ce dernier est exprimé en tant qu’angle de phase. L’effet repose sur un filtre en peigne. Il s’agit essentiellement d’une rangée de crans inharmoniques (et non des résonances, comme avec l’effet Flanger), parcourant également le spectre de fréquences. Utilisation des contrôles et attribution de contrôleurs La section au bas de l’interface ES2 propose trois modes, accessibles en cliquant sur les boutons respectifs à gauche :  Macro : propose un certain nombre de macro-paramètres qui affectent des groupes de plusieurs autres paramètres.  MIDI : permet d’assigner des contrôleurs MIDI à des canaux de routeur particuliers (reportez-vous à la section « Contrôleurs MIDI A–F » à la page 303).  Macro Only : remplace l’interface ES2 par une présentation dédiée (plus petite) et limitée aux macro-paramètres.Chapitre 21 ES2 325 Macro-paramètres Les macro-paramètres fournissent un accès rapide à plusieurs paramètres liés (et connexes). Lorsque vous modifiez les contrôles de ces macros, un, deux, voire plusieurs paramètres de l’interface ES2 sont mis à jour en conséquence. Par exemple, le réglage du contrôle macro Detune peut affecter simultanément les paramètres Analog, Coarse et Fine Tune. Important : l’impact de chaque contrôle macro dépend entièrement des valeurs de paramètres du réglage actuel. Dans certaines sonorités, il est possible que plusieurs contrôles macro n’aient aucun effet. Un autre avantage des macro-paramètres est qu’ils sont compatibles avec les réglages des instruments GarageBand basés sur l’ES2. Vous pouvez donc utiliser l’ES2 ou certains réglages de synthétiseur GarageBand indifféremment. Variations sonores aléatoires L’ES2 offre une fonction unique, permettant de faire varier les paramètres du son de façon aléatoire. Vous pouvez définir l’amplitude de cette variation aléatoire et limiter les variations à des éléments spécifiques du son. Ces variations seront, sans nul doute, une source d’inspiration, voire d’amusement, et une aide pour la création de sons. En cliquant sur le bouton RND (pour Random en anglais), vous altérez le son de manière aléatoire. D’un simple clic vous pouvez donc lancer cette fonction et la réutiliser aussi souvent que vous le souhaiter. Remarque : attention, cette fonction n’a rien à voir avec les modulations aléatoires en temps réel. Elle modifie les paramètres de manière aléatoire à chaque clic de souris sur le bouton RND. Les modulations aléatoires en temps réel, en revanche, s’effectuent via les formes d’onde aléatoires des LFO et avec le paramètre Analog, pour le réglage aléatoire de la tonalité.326 Chapitre 21 ES2 Intensité des variations aléatoires Le paramètre RND Int définit l’intensité de l’altération aléatoire. Plus vous faites glisser le curseur vers la droite, plus vous augmentez l’amplitude de la variation aléatoire. La fonction de variation aléatoire altère toujours les valeurs actuelles des paramètres, non celles mémorisées dans le fichier de réglage. De ce fait, si vous cliquez plusieurs fois de suite sur RND, le son devient de plus en plus éloigné de l’original. Lorsque vous souhaitez comparer plusieurs légères altérations du même réglage actuel, vous pouvez recharger le réglage initial après chaque variation aléatoire. Destination des variations aléatoires Il est possible que certains aspects du son généré vous conviennent déjà parfaitement. Dans ce cas, il est préférable de ne pas les altérer. Par exemple, si votre son a un côté percussif plaisant et que vous avez envie d’essayer quelques variations de couleur sonore tout en le préservant, vous pouvez éviter l’altération aléatoire des temps d’attaque en limitant la variation aux paramètres d’oscillation et de filtrage, et en excluant les paramètres d’enveloppe. Pour ce faire, il suffit de régler le paramètre RND Destination sur Waves ou Filters. Veuillez noter les précisions suivantes :  Les paramètres Master Level, Filter Bypass ainsi que les paramètres On/Off des trois oscillateurs et les options de présentation Vector/Router ne subissent jamais de variation aléatoire.  Lorsqu’une variation aléatoire est appliquée à l’enveloppe vectorielle, le point Solo est toujours désactivé. Il est possible de restreindre les variations sonores aléatoires aux groupes de paramètres répertoriés ci-dessous : All Tous les paramètres ES2, hormis ceux cités ci-dessus, sont altérés. All except Router and Pitch Tous les paramètres ES2, hormis ceux relatifs au routeur et à la tonalité de base (réglages demi-tons des oscillateurs), sont altérés. L’accord fin des oscillateurssubit quand même la variation, afin d’offrir des sons musicalement plus pertinents. All except Vector Env Tous les paramètres ES2, hormis les paramètres d’enveloppe vectorielle, sont altérés. Cela permet de préserver le feeling rythmique d’un réglage donné. Waves Seuls les paramètres Wave et DigiWave des oscillateurs sont altérés. Les autres paramètres des oscillateurs (accord, mixage et modulations dans le routeur) sont préservés.Chapitre 21 ES2 327 DigiWaves Les DigiWaves sont sélectionnées dans tous les oscillateurs. Le numéro Digiwave sera modifié. Les autres paramètres des oscillateurs (accord, mixage et modulations dans le routeur) sont préservés. Filters Les paramètres de filtrage sont altérés. Les paramètres concernés sont les suivants : Filter Structure (configuration en série ou en parallèle), Blend, Filter Mode, Cutoff Frequency et Resonance pour les filtres 1 et 2, Fatness, Filter FM pour le filtre 2 uniquement. Envs Tous les paramètres des trois générateurs d’enveloppe (ENV 1, ENV 2 et ENV 3) sont affectés. L’enveloppe vectorielle en est exclue. LFOs L’ensemble des paramètres de tous les LFO sont altérés. Router L’ensemble les paramètres de tous les canaux de routeur sont altérés par les paramètres Intensity, Target, via et Source. FX Tous les paramètres relatifs aux effets subissent des variations aléatoires. Vector Envelope Tous les paramètres d’enveloppe vectorielle sont altérés, y compris les assignations sur les axes XY du carré. Vector Env Mix Pad Les niveaux de mixage des oscillateurs (positionnement du curseur dans le triangle) pour les points de l’enveloppe vectorielle sont altérés. En revanche, le rythme et le tempo de la modulation (les paramètres temporels des points) ne sont pas modifiés. Options Vector Env XY Pad Le positionnement du curseur dans le carré pour les points de l’enveloppe vectorielle est modifié. En revanche, les assignations sur les axes XY restent inchangées. Le rythme et le tempo de la modulation (les paramètres temporels des points) ne sont pas modifiés. Vous pouvez définir un sens d’altération unique en choisissant l’une des options suivantes :  Vector Env XY Pad X only  Vector Env XY Pad Y only Vec Env Times Seuls les paramètres temporels des points de l’enveloppe vectorielle sont altérés.328 Chapitre 21 ES2 Vec Env Structure La structure même de l’enveloppe vectorielle est altérée : tous les paramètres temporels, le point Sustain (S), le nombre de points et tous les paramètres de boucle. Vec Env Shuffle Times Les temps de réorganisation de l’enveloppe vectorielle (au sein des boucles) sont altérés : cela inclut la valeur Loop Smooth, si Loop Mode est réglé sur Forward ou Backward. Remarque : nous vous recommandons d’enregistrer, au fur et à mesure, tous les sons intéressants obtenus avec la fonction RND. Enregistrez-les sous un nouveau nom dans le menu Settings de la fenêtre du module. Guides d’initiation Vous trouverez les réglages correspondants à ces guides d’initiation dans le dossier Tutorial Settings du menu Settings (au niveau de l’en-tête de la fenêtre de l’ES2). Atelier « son » Cet atelier vous explique la création complète de sons courants. La section suivante vous guide également au cours du processus de création de sons, mais à partir de différents modèles. Conception de sons à partir de zéro, réglage du filtrage et des DigiWaves Le réglage « Analog Saw Init » est conçu comme un point de départ pour la programmation de sons entièrement nouveaux. Les professionnels apprécient ce type de réglage pour la programmation de sons nouveaux : un son non filtré avec une forme d’onde en dents de scie, sans enveloppe, modulation ni gimmick. Ce type de réglage s’avère également utile lorsque vous apprenez à utiliser un nouveau synthétiseur. Vous pouvez, en effet, accéder à l’ensemble des paramètres sans vous soucier d’éventuelles valeurs préréglées.  Nous allons commencer par nous attaquer aux filtres, au centre de tout synthétiseur substractif. Testez les quatre types de filtre passe-bas 12 dB, 18 dB, 24 dB et fat (filtre 2) avec différentes valeurs de coupure (Cutoff Frequency) et de résonance (Res). Définissez Env 2 comme générateur d’enveloppe pour le filtre. Cette configuration de modulation est prédéfinie dans le routeur.  Placez le curseur Blend complètement à gauche. Vous pouvez ainsi entendre le son issu du premier filtre seul. Dans de nombreux cas, vous préférerez certainement utiliser le second filtre. Toutefois, le premier filtre a certains avantages. Outre le mode passe-bas avec une pente de 12 dB/octaves (Lo), le second filtre dispose des modes suivants : passe-haut, pic, passe-bande (BP) et réjection de bande (BR). Les sons issus du premier filtre paraissent plus « doux » que ceux du second. Le premier convient mieux aux sons dont le filtrage est/doit être moins audible (cordes, sons FM). Les sons distordus de type TB-303 sont obtenus plus facilement avec le premier filtre.Chapitre 21 ES2 329  Ce réglage permet, en outre, d’observer les différentes formes d’onde des oscillateurs. Les formes d’onde analogiques se définissent dans la présentation Editor. Pour sélectionner les DigiWaves, réglez le paramètre Osc 1 Wave sur DigiWave. Trois sons en dents de scie issus d’oscillateurs désaccordés et mode Unison Les sons de synthétiseur « épais » ont toujours été prisés et la tendance risque de se poursuivre, si on considère les styles de musique moderne trance, techno, R n’ B, et plus encore. Le réglage « Analog Saw 3 Osc » présente trois oscillateurs désaccordés et génère un son particulièrement gras. Nous vous présentons ci-dessous quelques outils supplémentaires permettant d’obtenir un son encore plus épais.  Vérifiez le son de base obtenu avec les trois oscillateurs, en utilisant différents réglages de filtre et d’enveloppe.  Testez l’effet Chorus avec différentes intensités et vitesses.  Lancez le mode Unison et affectez une valeur supérieure à Analog. Le son étant polyphonique, chaque note est doublée. Le nombre de notes pouvant être jouées simultanément est alors réduit de 10 à 5. Vous obtenez ainsi un son plus riche et plus vaste. En associant le mode Unison à des valeurs Analog élevées, vous diffusez le son sur l’ensemble du spectre stéréo ou Surround. Dans la plupart des réglages prédéfinis, le mode Unison est activé. Or, ce mode demande énormément de puissance de traitement. Si votre ordinateur n’est pas assez puissant, vous pouvez le désactiver et insérer un effet Ensemble sur un bus, en vue d’une utilisation avec plusieurs modules. Vous économisez ainsi les ressources de traitement. Un autre moyen d’économiser les ressources consiste à appliquer la fonction Freeze ou Bounce à plusieurs pistes d’instruments logiciels. Sons analogiques, monophoniques et extrêmement désaccordés avec application d’effets Le réglage « Analog Unison » produit un son de base non filtré, gras et très désaccordé. Comme dans l’exemple ci-dessus, trois oscillateurs en dents de scie sont utilisés, mais leur désaccord est ici amplifié. L’association du mode Unison à une valeur Analog élevée joue un rôle central, sauf que cette fois le mode monophonique est utilisé pour assembler dix voix. Sans ajout d’effets, le son obtenu est extrêmement chargé, comme dans les innombrables productions dance et trance. À l’aide des réglages de filtre et d’enveloppe appropriés, il est facile de définir les sons électroniques (convenant parfaitement pour l’arpégiation et le séquençage).  Affectez la valeur 0 à la fréquence de coupure du second filtre. Vous activez ainsi l’enveloppe prédéfinie du filtre. N’hésitez pas à essayer différents réglages d’enveloppe.  Réglez l’oscillateur 1 pour obtenir un son une ou deux octaves plus bas.  Augmentez la valeur du paramètre Drive ou Distortion.330 Chapitre 21 ES2  Définissez le générateur Env 2 de sorte qu’il prenne en compte la vélocité du jeu. Vous pouvez ainsi effectuer des modulations de filtre sensibles à la vélocité.  Ajoutez un effet de retard à une bande de canal instrumental de l’ES2. Pour retarder plusieurs canaux instrumentaux logiciels, vous souhaiterez peut-être ajouter l’effet sur un bus, accessible via le paramètre Send de chaque canal. Logic Studio intègre les effets de réverbération et de retard essentiels à de nombreux sons de synthétiseurs. Ces effets ne sont pas proposés dans l’ES2, évitant ainsi le gaspillage des ressources de traitement. Réglages d’un son de basse pur avec un seul oscillateur Il n’est pas obligatoire d’utiliser plusieurs oscillateurs pour générer un son. De nombreux sons simples et efficaces requiert uniquement un oscillateur. Les sons de basse synthé- tisés en sont un exemple type : ils peuvent être créés rapidement et facilement avec le réglage élémentaire « Analog Bass clean ». Le son de base a une forme d’onde rectangulaire et il est transposé une octave en dessous. Il est filtré par le second filtre. La particularité de ce son réside dans la combinaison d’effets legato et glissé (portamento). Lorsque le jeu est staccato, aucun effet glissé n’est appliqué. Lorsque vous jouez legato, la tonalité passe délicatement d’une note à une autre. Pour redéclencher les enveloppes, il faut relâcher toutes les touches avant de jouer une nouvelle note.  Essayez différents réglages pour le filtre et le générateur d’enveloppe.  Remplacez la forme d’onde rectangulaire par un signal en dents de scie.  Modifiez les valeurs du paramètre Glide. Mieux vaut effectuer des modifications lorsqu’une ligne de basse est en cours de lecture. Créez une région MIDI monophonique, la plupart des notes étant jouées staccato et certaines, legato. Vous pouvez obtenir des résultats très intéressants avec des glissés très longs. Basse analogique distordue Pour ce réglage « Analog Bass distorted », le premier filtre est activé avec des valeurs élevées pour les paramètres Drive et Distortion. Ce filtre convient mieux à la création de sons analogiques distordus que le second filtre.  Essayez le second filtre en plaçant le curseur Blend totalement à droite. Vous pouvez constater que le premier filtre est plus adapté aux sons distordus.  Pour contrôler la modulation du filtre, déplacez les curseurs verts du premier canal de modulation dans le routeur. Ce canal contrôle l’intensité de la modulation.Chapitre 21 ES2 331 Intensité FM et fréquence Le réglage FM Start permet de vous habituer à la synthèse de modulation de fréquence (FM) linéaire. Le signal de base est sinusoïdal et non modulé. Il est généré par l’oscillateur 1. Activez l’oscillateur 2 pour produire également une oscillation sinusoïdale, mais avec un niveau nul : déplacez le curseur vers le sommet supérieur du triangle. Dans l’ES2, l’oscillateur 1 est toujours le porteur et l’oscillateur 2, le modulateur. En d’autres termes, l’oscillateur 2 module l’oscillateur 1.  Réglez l’intensité de la fréquence de modulation en déplaçant doucement le sélecteur de forme d’onde de Sine vers FM. Vous entendez alors un spectre FM typique, avec le porteur et le modulateur sur une même fréquence.  Modifiez alors la fréquence du modulateur (oscillateur 2) en faisant passer le paramè- tre Fine Tune de 0 c à 50 c. Il en résulte une modulation de fréquence très lente, comparable à l’effet d’un LFO. Toutefois, cette modulation se produit au sein du spectre audio. Elle est réglable par pas d’un demi-ton via le sélecteur de fréquence. En essayant les différentes valeurs disponibles pour l’oscillateur 2, comprises entre –36 s et +36 s, vous produisez un vaste spectre de sons FM. Il est possible que certains réglages vous évoquent certains sons classiques de synthétiseurs FM.  Sélectionnez d’autres formes d’onde pour l’oscillateur 2. La forme sinusoïdale est la forme classique et standard en FM. Cependant, d’autres formes d’onde procurent d’intéressants résultats, en particulier les DigiWaves.  Il est possible de générer d’autres sons remarquables en modifiant la fréquence du porteur (oscillateur 1). Essayez les diverses valeurs de la plage allant de –36 s à +36 s demi-tons, là encore. Les intervalles impairs sont particulièrement étonnants. Notez que la tonalité de base est alors modifiée. Contrôle de l’intensité FM par une enveloppe et une mise à l’échelle FM Avec le réglage « FM Envelope », vous pouvez contrôler l’intensité FM par une enveloppe, produite par le générateur Env 2. Toutes les valeurs du sélecteur d’onde de l’oscillateur comprises entre Sine et FM constituent la cible de modulation. Pour ce faire, vous utilisez le premier canal de routeur. Vous pouvez contrôler une plus grande plage d’intensités en recourant à des modulations supplémentaires prédéfinies. Pour ce faire, vous devez simplement attribuer des valeurs à ces modulations. Étant donné qu’elles ne sont pas sensibles à la vélocité, vous pouvez les définir dans la présentation Editor, en déplaçant à la fois les sections inférieures et supérieures des curseurs vers leurs valeurs maximum.  Réglez le second canal de modulation sur 1,0. Vous pouvez entendre la modulation évoluée sur une plage sonore plus vaste.  Réglez également les canaux de modulation 3 et 4 sur 1,0, puis écoutez l’élargissement de plage sonore.332 Chapitre 21 ES2  Suite à ces fortes augmentations de la plage de modulation, le son est inégalement réparti sur le clavier. Au niveau des notes graves et médium, le son est agréable, mais dans les aigus, l’intensité FM est trop prononcée. Vous pouvez contrebalancer cet effet en modulant la cible Osc 1 Wave par la position clavier (kybd) sur les canaux de modulation 5 et 6. Il en résulte une mise à l’échelle de l’intensité FM par le clavier.  La plage sonore obtenue est tellement vaste (à cause des 4 modulations) qu’il est nécessaire d’utiliser deux canaux de modulation. Abaissez au maximum les deux sections de curseur inférieures. Une bonne mise à l’échelle au clavier est essentielle à tout son FM. FM avec distorsion et filtre FM Le réglage FM Drive illustre comment vous pouvez modifier considérablement le caractère des sons FM en définissant les paramètres Drive et Filter FM. Les sons ainsi produits rappellent ceux des circuits à réinjection (feedback) des synthétiseurs FM classiques.  Testez différents réglages pour Drive et Filter FM.  Réglez la fréquence de coupure du second filtre sur 0. Le second générateur d’enveloppe module le second filtre. Cette configuration de modulation est prédéfinie dans le réglage. FM et Digiwaves Dans le réglage « FM DigiWave », une DigiWave sert de modulateur FM. Il en résulte un spectre sonore évoquant un son de cloche utilisant deux opérateurs seulement. En général, lorsque vous utilisez une synthèse FM traditionnelle, ce type de timbre est uniquement obtenu avec davantage d’oscillateurs sinusoïdaux. Pour créer un son plus épais, évocateur et ondulant, le mode Unison polyphonique est activé. Les enveloppes de filtre et d’amplitude ont été préréglées pour définir la forme du son.  Testez les nombreuses DigiWaves en tant que sources de modulation FM.  Utilisez différentes valeurs pour le paramètre Analog. FM avec tables d’ondes Vous pouvez programmer des sons FM particulièrement colorés par métamorphose de la source de modulation entre les différentes Digiwaves. Ces transformations graduelles présentes dans le réglage « FM DigiWave » sont contrôlées par le LFO 2. Le tempo du LFO 2 (et donc la métamorphose) dépend du tempo du séquenceur (ici : 2 mesures).  Définissez différentes formes d’onde pour le LFO 2. La valeur Lag S/H (lissage aléatoire), notamment, donne souvent des résultats amusants.  Essayez diverses intensités FM et fréquences d’oscillateur.  Modifiez l’intensité de la modulation du premier canal de modulation (LFO2 modulant Osc2 Wave) et la fréquence du LFO 2.Chapitre 21 ES2 333 FM avec distorsion et mode Unison monophonique Le réglage « FM Megafat » convient parfaitement aux sons de basse ou de guitare distordus. Ce son devient assez « rude » dans les aigus. Or, il est impossible de contrebalancer cela par une mise à l’échelle des notes. Cependant, on ne cherche pas forcément à ne produire que des sons « agréables » sur tout le clavier.  Essayez des désaccords extrêmes en modifiant le paramètre Analog.  Testez ce son avec l’effet Flanger.  Activez l’enveloppe de filtre en abaissant à 0 la fréquence de coupure du second filtre.  Ajoutez un effet Glide aux sons lead.  Comme toujours en FM, vous pouvez altérer considérablement le son en faisant varier les fréquences des oscillateurs. N’oubliez pas de tester également les intervalles impairs. FM avec spectre inhabituel Si la tonalité n’a aucune importance, vous pouvez obtenir le spectre le plus étrange qu’il soit grâce à des rapports de fréquences impairs (intervalles d’oscillateur). Le réglage « FM Out of Tune » offre un son semblable à celui d’une cloche, évoquant un modulateur en anneau. Il est obtenu avec les valeurs suivantes : 30 s 0 c, le modulateur étant sur 0 s 0 c. Dans les années 80, les sons de ce type étaient très populaires. Ils connaissent désormais un regain d’intérêt grâce aux styles modernes tels que la musique d’ambiance et la trance. Vous pouvez développer davantage ce son en appliquant des modulations de filtre et d’enveloppe, ainsi que des effets. Il n’en reste pas moins, qu’hélas, il est désaccordé.  Utilisez l’oscillateur 3 comme référence pour accorder le son FM, en déplaçant le curseur dans le triangle.  Vous constatez que le son est trop haut de 5 demi-tons (ou trop bas de 7, respectivement).  Transposez les oscillateurs 1 et 2 cinq demi-tons en dessous (500 c). Il n’est pas pratique d’effectuer une transposition vers le haut. En effet, dans ce cas vous devez sélectionner 37 s 0 c pour l’oscillateur 1, alors que sa valeur maximale est 36 s 0 c.  Il est important de conserver le rapport de fréquences (intervalle) entre l’oscillateur 1 et le 2. Le premier oscillateur sonne donc à 25 s O c si le deuxième est réglé sur –5 s 0 c. Modulations d’impulsions lentes et rapides avec l’oscillateur 2 La modulation de la largeur d’impulsion (PWM, Pulse Width Modulation) est une des fonctions essentielles de tout synthétiseur analogique sophistiqué.  Choisissez le réglage « PWM Start » et sélectionnez tour à tour l’onde de forme rectangulaire et celle pulsée dans la section Wave. Les deux symboles correspondants sont verts. Ce que vous entendez alors est une modulation manuelle de la largeur d’impulsion.334 Chapitre 21 ES2  Choisissez le réglage « PWM Slow ». À présent la source de la modulation de la largeur d’impulsion est contrôlée par le LFO 1 et non manuellement. Le résultat doit être sensiblement identique.  Augmentez la fréquence du LFO 1 en le faisant passer de sa valeur prédéfinie 0,230 à 4,400. Le résultat est une PWM rapide et classique.  Dans ce réglage et le suivant, la PWM doit être définie de sorte qu’elle paraisse plus lente dans le bas du clavier et plus rapide dans la partie haute. Cela est souhaitable pour de nombreux sons, comme les sons de cordes synthétiques. Réduisez tout d’abord la fréquence du LFO 1 à 3,800.  Changez ensuite l’intensité de la modulation du second canal de routeur (Target = LFO1 Rate, Source = Kybd) en lui affectant une valeur de 0,46. La mise à l’échelle de la PWM est ainsi modifiée et le son semble plus rapide dans les aigus. Ce type d’effet est également utilisé dans le réglage « PWM Scaled ». ? Astuce : évitez d’utiliser les paramètres Drive et Distortion avec les sons PWM. Modulation de la largeur d’impulsion avec deux oscillateurs, PWM Strings Pour générer un son plus épais, ajoutez l’oscillateur 3, lequel peut également subir une modulation de sa largeur d’impulsion. En fait, même le premier oscillateur peut fournir une PWM. Avec le réglage PWM 2 Osc, les deux oscillateurs sont désaccordés de manière plutôt significative. Développez votre propre son de cordes PWM en utilisant ce réglage comme base de départ.  Ajustez l’intensité du cœur (Chorus). Vous affecterez probablement des valeurs plus élevées pour conférer davantage de largeur au son.  Programmez le générateur Env 3 à votre guise. Vous devez, au moins, augmenter ses temps d’attaque et de libération. Vous pouvez aussi le paramétrer en fonction de la vélocité, si vous préférez. Si vous n’avez pas l’intention d’utiliser ce son uniquement comme simple nappe, il peut être indiqué de définir un Temps de chute plus court et un Temps de maintien de seulement 80 à 90 pour cent.  Diminuez la fréquence de coupure et la résonance du premier filtre afin d’adoucir le son.  Enregistrez ce nouveau réglage.  Comparez le son obtenu avec celui du réglage PWM 2 Osc. Vous pouvez constater que le son a considérablement évolué.  Comparez-le au réglage PWM Soft Strings, lequel a été créé comme décrit ci-dessus. Des ressemblances notables peuvent être observées. Modulation en anneau Un modulateur en anneau a deux signaux en entrée et produit en sortie leur somme ainsi que leur rapport de fréquences. Chapitre 21 ES2 335 Dans l’ES2, la sortie de l’oscillateur 2 peut jouer le rôle de modulateur en anneau. Elle peut être alimentée par, d’une part, une onde de forme carrée produite par l’oscillateur 2 et, d’autre part, par le signal de l’oscillateur 1, tandis que la forme d’onde sélectionnée pour l’oscillateur 2 est Ring. Les intervalles (rapports de fréquences) impairs entre les oscillateurs, en particulier, créent des spectres de type son de cloche, rappelant ceux du réglage « RingMod Start ». Comme expliqué dans la section relative au réglage « FM Out of Tune », à la page 333, le troisième oscillateur peut être utilisé comme référence pour l’accord, afin de conserver un certain accord fondamental. Il est possible que vous trouviez parfois qu’un son désaccordé est utile, notamment comme source d’inharmoniques et d’harmoniques pour une autre onde élémentaire, fournie par le troisième oscillateur. Essayez de programmer un son de cloches atmosphérique. Ayez recours à votre imagination, mais voici entre autres quelques conseils pouvant vous être utiles :  Essayez divers rapports de fréquences entre les oscillateurs 1 et 2. Vous pouvez, par exemple, tester le rapport 29 s 0 c/21 s 0 c, qui ne sonne pas du tout comme un son désaccordé. La modulation en anneau ne sert pas uniquement aux sons de type cloche, elle permet également d’obtenir une grande diversité de spectres qui tendent à paraître assez étonnants avec des basses fréquences. Essayez aussi de modifier l’accord fin des oscillateurs.  Pour l’effet Chorus, essayez une intensité de 50 pour cent et une valeur Rate équivalente à 2/3 environ de la valeur maximum.  Réglez à votre guise les temps d’attaque et de libération du générateur Env 3.  Utilisez les paramètre Drive et Filter FM, si vous aimez les sons un peu « débridés ».  Pour le reste, à vous de jouer ! Synchronisation des oscillateurs Si vous sélectionnez la forme d’onde carrée avec synchronisation et celle en dents de scie avec synchronisation pour les oscillateurs 2 et 3, ces derniers sont synchronisés avec l’oscillateur 1. Dans le réglage « Sync Start », seul le son de l’oscillateur 2 est audible et l’oscillateur 3 est désactivé. Les sons synchronisés typiques présentent des balayages de fréquences dynamiques sur de larges plages. Ces modulations de fréquence (ou balayages) peuvent être utilisées de différentes manières.  Essayez tout d’abord la modulation de tonalité préprogrammée, affectée à la roulette de modulation.  Dans le deuxième canal du routeur, un générateur d’enveloppe a été prédéfini pour moduler la tonalité (Target = Pitch 2, Source = Env 1). En définissant 1,0 comme valeur minimum, on obtient une enveloppe synchronisée typique. Essayez également des temps de chute plus courts pour le générateur Env 1.336 Chapitre 21 ES2  Pour éviter l’aspect stérile et sans vie (une fois la phase de chute de l’enveloppe terminée), vous pouvez également moduler la fréquence de l’oscillateur avec un LFO. Utilisez le troisième canal du routeur : définissez sur 0.50 la valeur minimale de modulation appliquée par le LFO 1.  Remplacez l’onde carrée avec synchronisation par l’onde en dent de scie avec synchronisation, observez le résultat et voyez si celui-ci vous convient. Remarque : la modulation de la largeur d’impulsion est également possible en utilisant l’onde de forme carrée avec synchronisation des oscillateurs 2 et 3 : la modulation des paramètres d’onde (de ces deux oscillateurs) conduit à une PWM si l’onde carrée est sélectionnée. Premières étapes de la synthèse vectorielle Cette section fournit des conseils utiles vous permettant de programmer des enveloppes vectorielles. Dans le réglage Vector Start, le mixage des sons issus des oscillateurs est contrôlé par une enveloppe vectorielle. Chaque oscillateur a été défini avec une forme d’onde différente.  Passez de la présentation Router à la présentation Vector.  Le réglage élémentaire (par défaut) de l’enveloppe vectorielle consiste en 3 points d’enveloppe, le premier étant le point de départ, le deuxième, le point Sustain et le troisième, la cible de la phase de libération. En cliquant sur ces points, vous pouvez voir, dans le triangle, que le mixage est à chaque fois défini sur 100 pour cent pour l’oscillateur 1.  Cliquez sur le point 2 et déplacez le curseur du triangle vers l’oscillateur 2. Vous entendez alors une onde de forme carrée à la place de celle en dents de scie de l’oscillateur 1.  Lancez l’enveloppe vectorielle en désactivant le paramètre Solo Point. En effet, tant qu’il est activé, vous entendez uniquement le point sélectionné, sans modulation dynamique. Une fois qu’il est désactivé, vous entendez le son osciller entre dents de scie et carrés, à chaque déclenchement de note.  Modifiez la durée préréglée de 498 ms, entre les points 1 et 2.  Maintenez enfoncée la touche Maj., puis cliquez entre ces deux points. Vous créez ainsi un nouveau point 2 et l’ancien point 2 devient le point 3. La durée totale entre le point 1 et le point 3 correspond à la durée de la section allant du point 1 au 2, ajoutée à celle entre les points 2 et 3. La division en deux sections s’effectue à l’endroit où vous avez cliqué. Si vous avez cliqué à mi-chemin exactement, les deux nouvelles sections ont des durées égales.  Cliquez sur le nouveau point 2 et, dans le triangle, déplacez le curseur vers l’oscillateur 2.  Cliquez sur le point 3 et, dans le triangle, déplacez le curseur vers l’oscillateur 3. Écoutez à présent la métamorphose du son entre les trois oscillateurs, passant d’une forme en dents de scie à une carrée puis à une triangulaire au point final Sustain.Chapitre 21 ES2 337  Cliquez sur le point 4 (le point de fin) et, dans le triangle, déplacez le curseur vers l’oscillateur 1 (si ce n’est pas déjà le cas). Une fois la touche jouée relâchée, vous pouvez entendre le son revenir vers la forme d’onde en dents de scie de l’oscillateur 1. Synthèse vectorielle : Carré XY Cet exemple d’enveloppe vectorielle reprend le résultat obtenu à l’exercice précédent. Vous disposez donc d’une simple enveloppe vectorielle comprenant 4 points, définie pour moduler le mixage des sons issus des oscillateurs (le triangle). Dans cet exemple, l’enveloppe vectorielle sert à contrôler deux paramètres supplémentaires : la fréquence de coupure du second filtre et le panorama. Ces deux paramètres sont prédéfinis comme cibles X et Y dans le carré. La valeur 0,50 leur est affectée à chacun.  Activez le paramètre Solo Point pour entendre plus facilement les réglages de chaque point.  Cliquez sur le point 1. Vous entendez uniquement l’onde en dents de scie de l’oscillateur 1.  Déplacez le curseur du carré complètement à gauche ; vous définissez ainsi une faible fréquence de coupure pour l’oscillateur 2.  Cliquez sur le point 2. Vous entendez uniquement l’onde carrée de l’oscillateur 2.  Déplacez le curseur du carré complètement vers le bas ; vous définissez ainsi une position panoramique totalement à droite.  Cliquez sur le point 3. Vous entendez uniquement l’onde triangulaire de l’oscillateur 3.  Déplacez le curseur du carré complètement vers le haut ; vous définissez ainsi une position panoramique totalement à gauche.  Activez Solo Point. Au départ le son a une forme d’onde en dents de scie, avec un filtrage très marqué, puis il prend une forme carrée et sans filtrage. Il vient alors de la droite, puis va vers la gauche à mesure que la métamorphose tend vers une onde triangulaire. Une fois la note relâchée, un signal en dents de scie est perçu. Synthèse vectorielle : Boucles Le son de base du réglage « Vector Loop » (sans l’enveloppe vectorielle) consiste en trois éléments :  L’oscillateur 1 génère un spectre FM de caractère métallique, modulé par la table d’ondes de l’oscillateur 2.  L’oscillateur 2 produit des DigiWaves avec fondu enchaîné (soit, une table d’ondes), modulées par le LFO 2.  L’oscillateur 3 joue un son PWM bien équilibré, selon la vitesse du LFO 1 et mis à l’échelle au clavier. L’utilisation des modes Unison et Analog confère corps et largeur au son.338 Chapitre 21 ES2 Ces couleurs sonores plutôt hétérogènes servent de sources sonores à la boucle vectorielle. Une boucle de lecture en avant lente est prédéfinie. Elle passe de l’oscillateur 3 (son PWM, point 1) à l’oscillateur 1 (son FM, point 2), puis de nouveau à l’oscillateur 3 (PWM, point 3) et à l’oscillateur 2 (table d’ondes, point 4). Finalement, elle revient à l’oscillateur 3 (PWM, point 5). Les points 1 et 5 sont identiques, empêchant toute transition depuis le point 5 vers le point 1, dans la boucle en avant. Il est possible d’adoucir ce genre de transition à l’aide du paramètre Loop Smooth. Toutefois, cela complexifie la programmation des éléments rythmiques. Les distances entre les différents points de l’enveloppe vectorielle ont été définies pour une rythmique exacte. Avec le paramètre Loop Rate activé, les valeurs temporelles ne sont pas exprimées en ms, mais en pourcentages. On compte quatre valeurs temporelles (chacune de 25 pour cent), ce qui facilite la conversion en valeurs de notes.  Pour désactiver l’enveloppe vectorielle, il suffit d’activer la fonction Solo Point. Elle permet d’écouter un à un les différents points.  Profitez-en pour déplacer le curseur du carré selon vos goûts. Comme dans l’exemple précédent, les axes X/Y du carré contrôlent la fréquence de coupure du second filtre ainsi que la position panoramique. Vous pouvez ajuster ces paramètres pour rendre le son plus vivant.  Pour activer l’enveloppe vectorielle, désactivez la fonction Solo Point. Écoutez le résultat obtenu et affinez le positionnement du curseur dans le carré.  Changez la valeur du paramètre Loop Rate en la passant de 0,09 (valeur prédéfinie) à 2,00, maximum. Vous observez alors une modulation périodique, proche de celle d’un LFO. À ce stade, la modulation n’est pas synchronisée au tempo du projet. Pour synchroniser la lecture de la boucle avec le tempo du projet, placez le curseur Rate complètement à gauche et entrez une valeur de note ou un nombre de mesure.  Vous pouvez créer des valeurs de notes avec un rythme plus rapide en cliquant entre deux points, puis en affectant le pourcentage 12,5, par exemple, aux nouvelles valeurs temporelles (créées suite à la division en nouvelles sections). Grosse caisse avec filtre auto-oscillant et enveloppe vectorielle Les sons de grosse caisse électroniques sont souvent créés en modulant des filtres auto-oscillants. L’ES2 permet de recourir à cette technique, notamment si vous utilisez l’enveloppe vectorielle comme source de modulation du filtre. Par rapport aux générateurs d’enveloppe de type ADSR conventionnels, l’enveloppe vectorielle présente l’avantage de pouvoir définir/fournir deux phases de chute distinctes et indépendantes. L’effet de distorsion permet d’appliquer le « drive » approprié, sans pour autant perdre le caractère sonore original du son de batterie.Chapitre 21 ES2 339 Remarque : pour ajouter un aspect plus incisif au réglage « Vector Kick », vous devez activer le paramètre Flt Reset. Cette opération est nécessaire, car tous les oscillateurs sont désactivés pour ce réglage, et le filtre met un certain temps avant de démarrer le processus d’oscillation. Au début de chaque note, Flt Reset envoie une impulsion très courte vers le filtre, de façon à ce qu’il oscille tout de suite. En ajustant le réglage Vector Kick, vous pouvez très certainement arriver à produire tous les sons de grosse caisse possibles pour enthousiasmer les pistes de danse. Voici les paramètres à privilégier pour essayer des variantes efficaces et significatives :  Pentes du second filtre (12 dB, 18 dB et 24 dB)  Intensité de la distorsion (Soft/Hard)  Temps de chute du générateur Env 3 (D)  Enveloppe vectorielle : durée 1 > 2 (valeur prédéfinie : 9,0 ms)  Enveloppe vectorielle : durée 2 > 3 (valeur prédéfinie : 303 ms)  Mise à l’échelle de la durée vectorielle Sons de synthétiseurs et de basses percussifs avec deux phases de chute pour le filtre Comme « Vector Kick », le réglage « Vector Perc Synth » utilise l’enveloppe vectorielle pour contrôler la fréquence de coupure du filtre (avec deux phases de chute pouvant être ajustées séparément). Cela est impossible à réaliser avec un générateur d’enveloppe de type ADSR conventionnel. Essayez de créer d’autres sons percussifs de synthétiseur et de basses en jouant sur les paramètres suivants :  Enveloppe vectorielle : durée 1 > 2 (= Decay 1)  Enveloppe vectorielle : durée 2 > 3 (= Decay 2)  Mise à l’échelle de la durée vectorielle  Emplacements du curseur du carré pour les points 1, 2 et 3 (= Cutoff Frequency),  Sélection d’autres formes d’onde Modèles pour l’ES2 Voici une brève présentation de la programmation avec l’ES2. Lors de la programmation des sons prédéfinis fournis avec l’ES2, un certain nombre de testeurs, de programmeurs et d’autres personnes impliquées dans ce projet ont émis le souhait de disposer de modèles pour leur travail de programmation, au lieu de partir de zéro. Inutile de le préciser, il est impossible de créer des modèles englobant tous les genres. Une fois familiarisé avec l’architecture de l’ES2, vous commencerez à comprendre pourquoi…340 Chapitre 21 ES2 Nous avons toutefois inclus ce petit guide de la programmation avec l’ES2 dans la barre d’outils afin de vous aider à connaître et comprendre l’architecture de l’ES2 par la pratique. L’approche choisie est amusante. De plus, par le biais de quelques opérations simples, vous allez découvrir qu’il est possible d’obtenir des résultats rapidement lorsque vous commencerez à créer votre bibliothèque personnelle de sons. Une fois familiarisé avec l’ES2, l’utilité de tous ces paramètres et fonctions vous paraîtra plus claire et vous pourrez créer vos propres modèles. Ils vous serviront de points de départ pour la conception de nouveaux sons. Clean Stratocaster (Slap Strat) Le but avec ce préréglage était de s’approcher au maximum du son d’une guitare électrique Stratocaster, avec le sélecteur (switch) entre chevalet et micro central en position médiane (en phase). Celui-ci tente de reproduire les caractéristiques sonores typiques de ce grattement de cordes criard. Ce modèle peut être une bonne base de travail pour émuler des sons proches de ceux produits par des instruments frettés, des clavecins ou des clavinets, notamment. Commençons par décrire sa structure : Les oscillateurs 1 et 3 fournissent la combinaison de formes d’onde de base, dans le cadre de Digiwave. La modification des Digiwaves des deux oscillateurs (en combinaison) fournit de nombreuses variations basiques, dont certaines conviennent également bien aux sons de type piano électrique. L’oscillateur 2 ajoute des harmoniques, grâce à sa forme d’onde synchronisée. Par conséquent, faites varier uniquement sa tonalité ou sa forme d’onde. Diverses valeurs peuvent être modifiées afin d’obtenir un son plus équilibré et plus virulent. Nous avons usé d’un vieux stratagème pour avoir cette attaque vigoureuse que l’utilisation d’une onde nue ne permettrait pas d’obtenir, même avec les filtres les plus perfectionnés et les plus rapides : une enveloppe (dans ce cas, l’enveloppe N° 1) est utilisée pour donner une « poussée » rapide à une fenêtre de table d’ondes (ou à toutes les tables d’ondes ensemble, le cas échéant). Il faut ensuite configurer le temps de chute de l’enveloppe 1 en fonction de cette courte poussée. Pour ce faire, déplacez les sélecteurs de formes d’onde de tous les oscillateurs sur l’attaque. (En fait, cela n’a aucun intérêt au niveau du signal en dents de scie synchronisé du deuxième oscillateur, mais il s’agit de son mode de fonctionnement …) Vous pouvez faire varier la vivacité du contenu avec les éléments suivants :  La contribution d’Env 1 au bruit d’attaque global, selon la vitesse de chute : une chute lente engendre une crête tandis qu’une longue produit un grondement, puisque plusieurs ondes de la table sont alors lues.Chapitre 21 ES2 341  La destination de la modulation : vous pouvez toujours l’assigner à chacun des oscillateurs séparément.  Le point de départ : vous faites varier le début de la fenêtre de l’onde avec le potentiomètre minimum/maximum régissant la modulation EG1/ondes osc. ; des valeurs négatives permettent d’avoir une onde de départ avant l’onde sélectionnée, des valeurs positives permettent de commencer la lecture après l’onde sélectionnée et de remonter la table…  N’hésitez pas à tester cette astuce relative à la table d’onde. L’effet de grondement fonctionne bien pour les sons de cuivres et certains sons d’orgues se révèlent complètement en leur ajoutant un petit clic, obtenu en poussant la table d’onde. Le générateur Env 2, qui contrôle le filtre, génère une légère attaque, utilisée pour l’aspect « frappé » (slap). En lui affectant la valeur la plus rapide, vous éliminez l’attaque de type wah (tout en gardant suffisamment de punch). Au niveau du jeu, le LFO 2 est utilisé comme source de vibrato en temps réel. La roulette de modulation et la force du jeu (pression) lui sont assignées. N’accordez pas trop d’attention aux différents réglages de roulette et de pression. N’hésitez pas à les modifier ! Le paramètre de vélocité est configuré de façon à être très réactif : en effet, de nombreux joueurs de synthétiseur n’appuient pas sur les touches à la manière d’un pianiste habitué aux touches « lourdes ». C’est pourquoi nous vous recommandons de jouer cette sonorité assez doucement, sous peine d’entendre l’aspect frappé glisser légèrement. À défaut, vous pouvez ajuster la sensibilité à la vélocité pour la modulation du filtre afin qu’elle corresponde à votre jeu. Par ailleurs, n’hésitez pas à entrer une valeur maximale pour le paramètre Voices ; six cordes sont suffisantes pour des sons de guitare, toutefois, pour les notes tenues ou suspendues, quelques voix supplémentaires peuvent être utiles. Son tournant élémentaire (Wheelrocker) Ce son d’orgue, assez ordinaire, ne recèle pas de grand secret de programmation : les trois oscillateurs sont combinés, et leurs niveaux d’onde sont mixés. Vous découvrirez vraisemblablement une combinaison différente, qui correspond davantage à l’idée que vous vous faites d’un son d’orgue. Testez les Digiwaves. Prêtez plus particulièrement attention aux répercussions de la roulette de modulation : tenez un accord et faites tourner doucement la roulette vers le haut, jusqu’à la valeur maximum. La programmation de cette modulation (roulette) vise à simuler une enceinte rotative Leslie accélérée.La configuration de la modulation permet d’assurer les tâches suivantes :  Modulation 1 (Cutoff 1) assigne le générateur Env 2 au premier filtre (le seul utilisé dans ce son) et produit, avec l’enveloppe, un léger clic de touche d’orgue. Le filtre est légèrement ouvert (avec Keyboard comme via) pour les aigus (avec la valeur maximale).  Modulation 2 et 3 (Pitch 2/Pitch 3) gèrent le vibrato du LFO 1 et les deux oscillateurs sont modulés hors phase.  Modulation 5 réduit le volume général ; le niveau de sortie d’un orgue ne doit pas augmenter de façon trop prononcée lorsque toutes les modulations sont au maximum.  Modulations 6 et 7 (Pitch 2/Pitch 3) désaccordent les oscillateurs 2 et 3 l’un par rapport à l’autre, avec des valeurs symétriques. (Cela permet d’éviter des désaccords globaux trop importants.) Là encore, tous deux travaillent hors phase avec les modulations 2 et 3 ; l’oscillateur 1 reste à une tonalité stable.  Modulation 8 utilise le LFO 1 comme modulateur pour les déplacements à l’intérieur de l’image stéréo (panorama) ; en effet, ce son passe de mono à stéréo. Si vous préfé- rez un vrai son stéréo, avec un effet Leslie lent au repos, entrez la valeur minimale de l’ampleur désirée. Vous obtenez ainsi une rotation lente et continue. Vous pouvez, éventuellement, essayer une valeur plus élevée, permettant d’atteindre une séparation des canaux plus marquée.  Modulation 9 accélère la fréquence de modulation du LFO 2.  Modulation 10 Une faible valeur Cutoff a été ajoutée au premier filtre, ce qui permet d’augmenter l’intensité de l’effet tournant. N’hésitez pas à définir vos propres valeurs. Gardez alors à l’esprit qu’il existe deux couples de modulation, qui ne doivent être modifiés que de manière symétrique : Mod. 2 et 3 fonctionnent comme des jumeaux, de même que Mod. 6 et 7. Autrement dit, si vous abaissez la valeur de Pitch 2 (à une valeur négative), pensez à augmenter d’autant la valeur de Pitch 3 (en affectant une valeur positive). La paire de modulation 6 et 7 fonctionne de la même manière. Vous pouvez également introduire le LFO 2 pour accroître la diffusion de la tonalité, contre les mouvements panoramiques et la tonalité du LFO 1. Utilisez-le simplement à la place du LFO 1 pour la modulation 2 et 3. Notez, cependant, qu’il n’y aura aucune source de modulation pour l’accélération de l’effet Leslie. Vous devrez donc l’utiliser de manière statique, en appliquant un fondu entrant uniquement. À défaut, vous devrez sacrifier l’une des autres modulations au profit d’un second effet tournant. Pour une autre modification stéréo du son au repos, vous pouvez utiliser le mode Unison, avec un léger désaccord. (Pour ce faire, agissez sur le paramètre Analog.) Chapitre 21 ES2 343 Son de type cuivres (Crescendo Brass) Avant tout, les oscillateurs permettent d’effectuer les tâches suivantes :  L’oscillateur 1 fournit l’onde de base pour les sons de cuivres ; elle est en forme de dents de scie.  L’oscillateur 2 fournit une forme d’onde de type « impulsion », un peu plus éloignée du son d’un cuivre. Elle contribue à l’effet d’ensemble. Sa largeur d’impulsion est modulée par le LFO 1 (modulation 4). Remarque : le point majeur suivant doit être pris en compte lors de tout type de modulation. Il y a quatre (4) paramètres dont le comportement change complètement si l’un d’eux est modifié. Par conséquent, il faut agir sur les quatre lorsque vous procédez à des modifications :  Vous pouvez modifier la largeur d’impulsion initiale en jouant sur le paramètre Wave de l’oscillateur 2. Une position de son « épais » (fat), proche de l’onde carrée idéale, a été choisie pour cette tonalité afin de programmer un son complet alliant des effets de cuivres et de synthétiseur.  La modulation 4 permet de régler l’intensité de la modulation, soit : l’étendue de la plage de sons allant d’épais à étroit, lorsque la modulation de la largeur d’impulsion est utilisée. Définissez-la avec le paramètre Minimum.  La fréquence du LFO1 contrôle directement la vitesse du mouvement pour la modulation de la largeur d’impulsion. Avec ce réglage, les deux LFO sont utilisés pour obtenir un effet de diffusion plus marqué à diverses vitesses de modulation. ? Astuce : vous devez utiliser les LFO1 pour l’ensemble des modulations automatiques et permanentes car vous pouvez retarder son impact à l’aide du paramètre EG. Le LFO 2 peut servir aux modulations en temps réel. Celles-ci sont accessibles via la roulette de modulation, le paramètre de sensibilité à la force du jeu ou d’autres contrôles pendant que vous jouez.  Une assignation de clavier a été définie en tant que source de modulation 4. Cela est dû au fait que les modulations par tonalité, ou par largeur d’impulsion, ont tendance à provoquer un déréglage plus important dans les graves, alors que l’effet de diffusion souhaité est obtenu pour les notes du milieu et les aigus. Lorsque vous utilisez le clavier, il faut d’abord régler les paramètres pour la région des graves, jusqu’à atteindre un effet de désaccord (résultant de la modulation) acceptable. Ensuite, vérifiez que les modulations dans les aigus sont également satisfaisantes. Modifiez les relations entre les valeurs d’intensité (Max) et de mise à l’échelle (Min). L’oscillateur 3 génère une Digiwave suffisamment proche d’un son de cuivre lorsqu’elle est incluse dans le mixage global. À la place d’une Digiwave, il est possible d’utiliser une autre onde pulsée modulée pour prendre en charge l’ensemble ou une onde en dents de scie pour obtenir un son « plus épais ». Pour ce faire, il faut la désaccorder par rapport à l’onde en dents de scie de l’oscillateur 1.344 Chapitre 21 ES2 Toutefois, il était auparavant nécessaire d’obtenir le petit effet de « grondement » recherché, et nous avons poussé légèrement la table d’ondes, comme décrit pour le réglage Stratocaster, à la page 340. Cette configuration est effectuée dans la modulation 3 : l’onde de l’oscillateur 3 est déplacée par la chute du générateur Env 1. Autres contrôles Le générateur Env 1 affecte également la tonalité de l’oscillateur 2 par rapport à l’oscillateur 3. Ces deux tonalités sont donc en conflit entre elles ainsi qu’avec la tonalité stable de l’oscillateur 1 (lors de la phase d’attaque du son). La conception de l’enveloppe du filtre provoque une fermeture avec un court accident lors de la phase d’attaque, puis le filtre s’ouvre de nouveau pour une phase de crescendo plus lente. Un autre crescendo en temps réel a été assigné à la roulette de modulation. Cela provoque également une modulation de la tonalité globale, contrôlée par le LFO 2. Enfin, nous avons programmé une modulation en temps réel (par pression) « contraire », qui ferme les filtres. Vous pouvez ainsi jouer avec un decrescendo supplémentaire, commandé par la force du jeu. Essayez de sentir les réactions au niveau de la sonorité. Vous pourrez constater que cela permet un certain contrôle sur l’expression : vélocité, pression après début de note et pression à l’avance. Écoutez ce qui se passe lorsque vous appuyez sur les touches avec la main gauche avant de plaquer un nouvel accord de la main droite, en laissant le crescendo entrer. MW-Pad-Creator 3 Il s’agit de créer une sonorité capable de générer automatiquement de nouvelles sonorités. Les fondamentaux Là encore, l’oscillateur 2 permet d’obtenir une modulation de la largeur d’impulsion, afin de créer une impression d’ensemble prononcée (pour en savoir davantage, consultez la section « Son de type cuivres (Crescendo Brass) » à la page 343). Les oscillateurs 1 et 3 servent à la combinaison initiale des formes d’onde, avec leurs tables Digiwave respectives. Vous pouvez, si vous le souhaitez, les modifier et commencer d’emblée avec une autre combinaison de Digiwaves. La modulation 3 « contrôle » les tables d’onde des trois oscillateurs, via la molette de modulation. Autrement dit : vous pouvez faire défiler simultanément les tables d’onde des oscillateurs 1 et 3, et modifier la largeur d’impulsion de l’oscillateur 2 en agissant sur la molette de modulation. Chapitre 21 ES2 345 Essayez de bouger, prudemment et très lentement, la roulette de modulation ; vous entendez alors des modifications assez marquées dans la configuration des formes d’onde. À chaque incrément de la roulette, un son de nappe numérique différent est produit. Évitez de faire des mouvements rapides, sinon le son produit sera similaire à celui d’une radio AM. Un autre type de modification peut être réalisé par le biais de l’intensité de la modulation des paramètres Wave des oscillateurs 1, 2 et 3. Comme nous l’avons déjà mentionné à propos du réglage Stratocaster, la valeur du paramètre d’intensité définit à la fois la largeur des pas et la direction suivie pour la lecture des tables d’ondes. Vous pouvez essayer de modifier les valeurs, à l’aide de valeurs positives ou négatives. Un effet secondaire provoqué par l’assignation FM au second filtre (modulation 4/filtre passe-bas FM) survient lorsque la molette de modulation est déplacée vers les aigus : la fréquence de modulation du filtre est augmentée, ce qui entraîne une accentuation des battements cycliques (tonalités vibrantes, désaccords, largeur d’impulsion). Il en résulte également une qualité rugueuse, « sifflante » du son émis. La FM offre un vaste champ d’expérimentation et vous avez le choix entre les modulations suivantes :  Une FM initiale, via le paramètre FM du second filtre que vous pouvez remettre en forme (en affectant une valeur de modulation négative comme maximum pour la modulation 4) en plaçant la roulette de modulation tout en haut de sa course.  Une FM permanente (et une autre configuration de modulation, enregistrée pour une assignation différente). Vous pouvez également désactiver la FM, si vous trouvez que l’effet produit donne un son trop « sale ». Le contrôle en temps réel s’effectue via la pression pour un vibrato (modulation 10) et aussi pour une légère ouverture de filtre (paramètre Cutoff) afin de mettre en valeur la modulation (modulation 9).346 Chapitre 21 ES2 Une autre approche de « Crybaby » (Wheelsyncer) Les sons synchronisés ne sont jamais devenus obsolètes et ils connaissent même aujourd’hui un renouveau avec les derniers styles de musique électronique populaires. Les aspects techniques de la procédure permettant de forcer la synchronisation d’un oscillateur sont décrits dans la section « Sync » à la page 279. Voici, en pratique, comment procéder : Wheelsyncer est un son lead n’utilisant qu’un seul oscillateur. (Tous les autres sont désactivés.) Bien que l’oscillateur 2 soit le seul à générer activement un son, il dépend directement de l’oscillateur 1. Si vous modifiez la tonalité ou l’accord de l’oscillateur 1, la tonalité globale du son devient fausse ou subit une transposition. La tonalité de l’oscillateur 2 crée la couleur sonore (les harmoniques) du son synchronisé. Les changements de tonalité sont régis par la configuration de la modulation 7, dans laquelle la tonalité de l’oscillateur 2 est définie par la roulette de modulation. En faisant varier la roulette, vous pouvez explorer les différents spectres harmoniques programmés pour les changements en temps réel. Toute modification apportée ici commence par s’appliquer à la tonalité de l’oscillateur 2 lui-même. Ce dernier est réglé trois demi-tons en dessous de la tonalité globale. N’hésitez pas à entrer une autre tonalité pour l’oscillateur 2 ; elle ne modifie pas l’accord du réglage. La modification suivante peut porter, par exemple, sur l’intensité (ou l’intervalle) de la modulation 7. La valeur maximale a été définie ; or, si celle-ci est trop extrême pour vos besoins, n’hésitez pas à la diminuer. Une autre modification concerne la couleur tonale du son lead lui-même. L’oscillateur 1 est désactivé et la tonalité vous convient. Si vous l’activez, toutes les formes d’onde de l’oscillateur 1 (Digiwaves, formes d’onde standard ou onde sinusoïdale pouvant être davantage modulée par la FM) peuvent être utilisées. Tous les contrôles en temps réel s’effectuent via la roulette de modulation : elle sert à ouvrir le filtre (modulation 6), à définir un mouvement de balance (modulation 8) et à accélérer la balance (modulation 9). Si vous souhaitez obtenir des modulations plus intenses, consultez la section « Son tournant élémentaire (Wheelrocker) » à la page 341, qui détaille une configuration similaire utilisée pour une simulation d’un effet de l’enceinte Leslie.22 347 22 EVB3 L’instrument logiciel EVB3 imite le son et les fonctions d’un Hammond B3 avec cabine Leslie. L’EVB3 simule un orgue à deux claviers et un pédalier, chacun d’eux pouvant avoir son propre réglage des sons (registration). Le processus de génération sonore simule totalement les générateurs à roues phoniques d’un orgue Hammond électromécanique, jusque dans leurs moindres détails. Ce qui inclut certaines imperfections qui font le charme du Hammond, comme son niveau élevé de diaphonie et les bruits de contact des touches. Vous pouvez même régler l’intensité de ces particularités selon vos goûts. Cette flexibilité permet de créer un son parfaitement propre, aussi bien que des sons sales et ravageurs avec tous les intermédiaires possibles. L’EVB3 simule aussi trois différents types de sons de cabine Leslie avec systèmes rotatifs, avec et sans déflecteurs. De même, l’EVB3 comporte trois overdrives à tube, dotés de caractéristiques sonores différentes, d’un égaliseur, des effets wah-wah et de réverbération sont aussi intégrés. Vous pouvez définir librement le parcours du signal de ces effets. Vous pouvez aussi régler la valeur stéréo correspondant à la position du microphone comme vous le souhaitez. Si vous êtes un familier du B3 d’origine, vous retrouverez les touches noires (inversées) de la première octave de chaque clavier. Ces touches inversées sont des commandes correspondant à des registrations présélectionnées (un préréglage des tirettes harmoniques). Cette fonction est également émulée par l’EVB3, mais vous n’aurez pas à utiliser de tournevis pour modifier les réglages de registration de vos présélections. Une fonction de Morphing permet des enchaînements propres entre deux registrations, sans avoir recours à un pupitre de curseurs externe. L’EVB3 peut être joué avec deux claviers et un pédalier MIDI, si vous le désirez (et si vous disposez de ces appareils). Il dispose aussi de fonctions permettant de jouer tous les registres (Upper, Lower et Pedal) avec un clavier maître ayant un seul clavier.348 Chapitre 22 EVB3 Configuration MIDI Si vous désirez exploiter pleinement toutes les fonctionnalités de l’EVB3, vous aurez besoin d’un pédalier MIDI (basses) et de deux claviers MIDI à 73 touches. Étant donné que l’EVB3 simule également les touches de présélection du B3, l’octave la plus grave des claviers MIDI servira à la sélection des registres de l’EVB3, exactement comme sur un vrai B3. Pour plus d’informations, consultez la rubrique suivante. L’EVB3 peut, bien sûr, être joué avec des claviers simples dotés des 61 touches standard (5 octaves de Do à Do). Pour plus d’informations, veuillez consulter la section « Division du clavier » à la page 350. Jouer en live sur deux claviers et un pédalier L’EVB3 reçoit les notes des claviers supérieur, inférieur et du pédalier, sur trois canaux MIDI successifs. Remarque : le canal MIDI (MIDI Cha) de l’instrument doit être réglé sur All, et le mode du clavier (Keyboard Mode) sur Multi. Le canal de réception par défaut du clavier supérieur est le canal MIDI 1, le clavier inférieur dispose du canal MIDI 2 et le pédalier du canal MIDI 3. Si votre clavier maître envoie des notes MIDI sur le canal 1, il utilisera le clavier supérieur, s’il les envoie sur le canal 2, il utilisera le clavier inférieur, et s’il les envoie sur le canal 3, il utilisera le pédalier. Vous pouvez utiliser l’une de vos entrées d’interface MIDI pour vos claviers maîtres et/ ou votre pédalier. Vous pouvez aussi utiliser un clavier maître à un seul clavier (avec plusieurs zones clavier ou une fonction de division de clavier) qui envoie des données sur différents canaux MIDI. Quels que soient les appareils utilisés en entrée, le seul facteur important est le canal d’émission MIDI ! Logic Pro enregistre les informations de canal des notes reçues. Sur la plupart des autres instruments MIDI et logiciels, ces informations ne sont jamais utilisées. Ceci est dû au réglage de canal MIDI (dans les paramètres de piste de l’Inspecteur), qui a la priorité, et remplace les informations de canal d’origine. Cela peut être contourné en réglant le canal MIDI (MIDI Cha) sur All (réglage recommandé pour l’EVB3). Ce réglage permet d’imposer l’utilisation des informations de canal d’origine. Vous pourrez alors utiliser directement les deux claviers et le pédalier de l’orgue, et ce simultanément, lorsque vous jouerez en live. Remarque : veuillez lire le mode d’emploi de votre clavier maître, pour savoir comment régler son canal d’émission MIDI, souvent appelé canal TX (TX Channel). Chapitre 22 EVB3 349 Changement des canaux MIDI Vous pouvez également configurer l’EVB3 de manière à ce qu’il utilise des canaux MIDI autres que ceux définis par défaut. Ceci grâce au paramètre Basic MIDI Ch de la section General de la vue Controls. Ce paramètre assigne un canal MIDI au clavier supérieur. Le numéro du canal de réception du clavier inférieur est toujours supérieur d’une unité à celui assigné au clavier supérieur. Le numéro du canal de réception du pédalier est toujours supérieur de deux unités à celui assigné au clavier supérieur. En d’autres termes, si vous définissez le paramètre Basic MIDI Ch sur 8, le canal de réception du clavier supérieur sera le canal 8, celui du clavier inférieur sera le canal 9 et le canal de réception du pédalier sera le canal 10. Pour régler le paramètre Basic MIDI Channel : 1 Choisissez View > Controls dans la fenêtre du module pour accéder à la vue Controls. 2 Faites glisser le curseur ou cliquez sur les boutons Flèche pour modifier le numéro du canal MIDI. Important : le paramètre Basic MIDI Ch fonctionne uniquement si le mode clavier (Keyboard Mode) est défini sur Multi. Si le paramètre Basic MIDI Ch est réglé sur 16, le clavier inférieur reçoit sur le canal 1, le pédalier sur le canal 2. Si le paramètre MIDI Ch de base est réglé sur 15, le clavier inférieur reçoit sur le canal 16, et le pédalier sur le canal 1. Remarque : ce paramètre peut s’avérer nécessaire dans le cas de performances en live, en particulier si vous avez besoin de changer le canal d’émission MIDI de votre clavier maître, afin d’utiliser d’autres générateurs sonores. Tessitures des claviers supérieur et inférieur La note MIDI la plus basse pouvant être jouée est la n° 36 (C1, soit Do1). Les notes correspondant aux présélections vont de 24 à 35 (C0 à B0), c’est-à-dire Do0 à Si0. Remarque : la norme MIDI définit 128 notes, mais mêmes les plus grands claviers maîtres ne sont équipés que de 88 notes, tout comme les pianos à queue de concert. Par exemple : si l’étendue de votre clavier maître va de Do à Do (5 octaves, 61 touches), et que les paramètres Région et Piste de Logic Pro sont définis sur zéro (Transpose. = 0), vous pouvez jouer sur toute l’étendue du clavier, c’est-à-dire chacune des notes de l’EVB3. Les touches de présélection (registration) sont positionnées une octave plus bas. Si vous réglez le paramètre Transpose. sur –12, vous pourrez utiliser l’octave la plus grave pour passer d’une présélection à l’autre.350 Chapitre 22 EVB3 Division du clavier L’EVB3 peut être aussi bien joué depuis un clavier MIDI simple, uniquement capable de transmettre sur un seul canal d’émission MIDI. Dans ce cas, il vous suffit de diviser le clavier afin de pouvoir jouer les registres Upper, Lower et Pedal sur différentes zones du clavier. Dans le champ relatif aux paramètres situé en bas de l’interface, au milieu, réglez le mode clavier (Keyboard Mode) sur Split. Réglez les zones du clavier à l’aide des paramètres UL Split et LP Split, et des boutons Set. Ces abréviations (UL et LP) signifient respectivement : Upper/Lower (supérieur/inférieur) et Lower/Pedal (inférieur/pédalier). Pour définir la zone du clavier : 1 Cliquez sur le bouton de réglage qui convient (celui-ci deviendra orange). 2 Appuyez sur la note de votre choix sur votre clavier MIDI. Si vous sélectionnez la même valeur pour les deux points de division, le clavier inférieur (Lower) ne sera ni audible, ni actif. Si le paramètre LP Split est défini sur une valeur supérieure à celle du paramètre UL Split, l’autre point de division est déplacé (et vice versa). Remarque : afin d’utiliser les touches de présélection avec le paramètre Keyboard Mode défini sur Split, vous devez régler la transposition des claviers supérieur (Trans UM), inférieur (Trans LM) et du pédalier (Trans Ped). Transposition (plage d’octaves) Vous pouvez transposer chacun des registres Upper (Trans UM), Lower (Trans LM) et Pedal (Trans Ped) individuellement, d’une ou deux octaves vers le haut ou vers le bas, sans recourir aux fonctions de transposition globale. La transposition est utile pour régler les différents registres sur des tessitures particulières, correspondant à vos besoins. Cette fonction est particulièrement importance lorsque vous utilisez le mode Split (division). Remarque : ces transpositions spécifiques à chaque clavier n’ont aucun impact sur les touches préréglées. Voir également la section « Touches de présélection et Morphing » à la page 358.Chapitre 22 EVB3 351 MIDI Mode Ce paramètre permet de définir comment les réglages des tirettes harmoniques (également appelées « drawbars ») répondront aux messages de changement de contrôle MIDI à distance. Normalement, vous n’avez pas à modifier quoique ce soit ici. En revanche, si vous disposez d’un orgue MIDI équipé de tirettes vous pouvez l’utiliser afin de contrôler l’EVB3. La plupart des orgues à tirettes harmoniques utilisent un numéro de changement de contrôle indépendant pour chaque tirette. Certains modèles vous permettent de définir ces numéros comme vous le souhaitez. Vous trouverez les listes des assignations des numéros de changement de contrôle correspondant aux Modes MIDI suivants dans la section « Assignations des contrôleurs MIDI » à la page 374. Si vous définissez le menu MIDI Mode sur RK, chaque tirette répond à un numéro de changement de contrôle (CC) MIDI spécifique, en commençant par le CC n°70. (Les autres paramètres peuvent être réglés à l’aide des messages de changement de contrôle allant jusqu’au CC n° 118). Si vous choisissez HS dans le menu MIDI Mode, toutes les tirettes de l’EVB3 sont contrôlées par un nombre de numéros de changement de contrôle plus restreint, du CC n° 80 à 82. Ces valeurs seront intelligemment réparties sur toutes les tirettes. Cette technique ne permet pas une résolution particulièrement élevée (tout comme le B3 d’origine), mais elle fonctionne bien. L’orgue Hammond-Suzuki XB-2 utilise cette méthode d’assignation des contrôleurs, afin de vous permettre de contrôler à distance les tirettes de l’EVB3. Outre la prise en charge des tirettes, vous pouvez, pour contrôler votre EVB3 à distance, utiliser les contrôles des orgues Hammond Suzuki XB-1, XK-2 et XK-3 suivants :  Leslie : Frein/Activé/Rapide  Vibrato et Chorus  Percussion (2ème/3ème/léger/rapide) Vous trouverez la liste des assignations des numéros de changement de contrôle page 377. Si vous réglez MIDI Mode sur NI, les réglages du Native Instruments B4 seront dupliqués, permettant ainsi l’utilisation du contrôleur de tirettes Native Instruments B4D. Si vous réglez MIDI Mode sur NE, l’EVB3 pourra répondre aux messages de changement de contrôle à partir du clavier Nord Electro II de Clavia. Si vous réglez MIDI Mode sur off, l’EVB3 ne répondra pas aux messages de tirettes MIDI.352 Chapitre 22 EVB3 Remarque : avant de commencer une session d’enregistrement comportant des mouvements de tirettes, effectués sur un orgue réel et avec l’EVB3 réglé sur MIDI Mode HS, nous vous recommandons de désactiver l’option MIDI Data Reduction (Compression des données MIDI) de Logic Pro. Ce paramètre est situé sous Fichier > Réglages du projet > Enregistrement. Cette fonction réduit le flux des données reçues, ce qui n’est presque jamais noté dans le cadre d’assignations de contrôleurs normales. La répartition des contrôleurs des tirettes du Hammond XB-2 exploite toutefois les contrôleurs jusqu’à leurs dernières limites. L’activation du paramètre MIDI Data Reduction peut ainsi conduire à des valeurs erronées. Réactivez ce paramètre lorsque la session d’enregistrement comportant des mouvements de tirettes est terminée, afin de récupérer de la mémoire et de la puissance de calcul. Paramètres de l’EVB3 Vous pouvez ouvrir et fermer le couvercle en bois de l’EVB3 en cliquant sur le bouton situé sous le contrôle de volume. Cliquez ici pour ouvrir le couvercle en boisChapitre 22 EVB3 353 Laissez-le ouvert en lisant cette section du manuel, car nous allons aborder chaque paramètre en détail. Tirettes harmoniques Le principe de la synthèse additive d’ondes sinusoïdales commandée par des tirettes harmoniques est expliqué en détails dans la section « Synthèse additive à l’aide des tirettes » à la page 381. Vous pouvez saisir intuitivement les principes de base en jouant un peu avec les tirettes. Plus vous tirez les tirettes vers vous, plus les sons sinusoïdaux sélectionnés seront forts ; c’est-à-dire que les tirettes se comportent à l’inverse des curseurs d’une console de mixage. Le contrôle MIDI des tirettes est aussi inversé, lorsque vous utilisez un pupitre de curseurs MIDI standard. Tirettes des claviers supérieur et inférieur, plus tirettes du pédalier. Tirettes du pédalier L’EVB3 est équipé de deux tirettes pour le pédalier basse. La forme d’onde de la basse n’est pas une onde sinus pure, mais un mélange de formes d’onde, qui simule avec réalisme la basse du B3 Hammond. Les deux registres diffèrent en hauteur, mais aussi sur les points suivants :  Le registre Lower 16’ contient plus d’octaves  Le registre 8’ intègre une quinte plus proéminente354 Chapitre 22 EVB3 Volume L’EVB3 dispose de plusieurs paramètres permettant de régler le volume. Volumes relatifs : Upper/Lower/Pedal Dans la section des paramètres, vous pouvez régler le volume du clavier inférieur (Lower) et du pédalier (Pedal), en fonction du volume du clavier supérieur. Les paramètres sont appelés Lower Volume et Pedal Volume. Contrôle du volume et pédale d’expression Le volume général de l’EVB3 n’est pas contrôlé uniquement par le curseur de volume du canal de l’instrument logiciel et le changement de contrôle n°7, mais aussi par le contrôle de volume de l’interface graphique utilisateur de l’EVB3. Avertissement : le volume doit être réduit chaque fois que des craquements ou autres manifestations de distorsion numérique se produisent dans le canal de l’instrument. Des niveaux de volume au-delà de 0 dB peuvent se produire si vous poussez tous les registres, jouez beaucoup de notes et utilisez l’effet de distorsion. Contrôle de volumeChapitre 22 EVB3 355 Vous pouvez contrôler le volume en temps réel à l’aide de la pédale d’expression. Un usage intensif et souvent rythmique de la pédale d’expression fait partie du style de nombreux organistes. Le contrôle de l’expression simule également les changements de sonorité du préamplificateur du B3. Les graves et les aigus ne sont pas atténués aussi fortement que les médiums, un peu comme sur un amplificateur Hifi équipé d’une fonction de type Loudness. Normalement, vous devez connecter la pédale d’expression à la prise jack 6,35 mm marquée Expression de votre clavier maître. Votre clavier maître doit transmettre le changement de contrôle MIDI n° 11 lorsque cette pédale est actionnée. Tune (Accord) Le générateur à roues phoniques simulé peut être accordé au centième près (1/100 de demi-ton). 0 c correspond à La = 440 Hz. Scanner Vibrato Le vibrato de l’orgue lui-même ne doit pas être confondu avec l’effet Leslie, basé sur des systèmes rotatifs diffusant le son des haut-parleurs. L’EVB3 simule les deux. Le Scanner Vibrato est basé sur une ligne à retard analogique, comportant plusieurs filtres passe-bas. La ligne à retard est analysée (scannée) par condensateur rotatif à lames multipôles. Il s’agit d’un effet très particulier, qui ne peut pas être simulé par de simples LFO.356 Chapitre 22 EVB3 Tout comme le B3 Hammond, l’EVB3 dispose de trois types de vibrato, avec différentes intensités (V1, V2, V3). La vitesse du Vibrato se règle à l’aide du paramètre Rate. Lorsque le paramètre Type est réglé sur les positions V1, V2, V3, seul le signal de la ligne à retard est audible. Les positions Chorus C1, C2 et C3 du paramètre Type mélange le signal de la ligne à retard avec le signal d’origine. Le mélange du signal de vibrato avec un signal d’origine, statiquement élevé, donne un effet de chorus. Le paramètre Chorus vous permet de mélanger le signal sec avec le signal du vibrato, comme vous le souhaitez. Le paramètre Chorus n’est actif que si un des réglages de chorus est engagé. Si le réglage C0 est active, chorus et vibrato sont désactivés. Notez que les aigus de l’orgue seront légèrement accentués si l’un des réglages de vibrato est utilisé. Cette accentuation des aigus est maintenue avec le réglage C0. Les boutons Upper et Lower vous permettent d’activer ou de désactiver le Scanner Vibrato (et l’accentuation des aigus associée), individuellement, pour les claviers supérieur et inférieur. Comme le B3 mélange le registre des basses (Pedal) avec le clavier inférieur (Lower), le registre du pédalier est affecté par les réglages Scanner Vibrato du clavier inférieur. Cet effet secondaire reflète les limitations techniques du B3 d’origine. Remarque : écoutez les effets de chorus et de vibrato, et comparez-les au son imitant la cabine Leslie. Les sons de chorus de l’orgue sont différents de ceux des effets de chorus modernes (tels que l’effet Chorus de Logic Studio). La plupart des organistes n’utilisent que très rarement le Scanner Vibrato, préférant employer la cabine Leslie seule. D’autres, comme le virtuose du B3, Brian Auger, préfèrent utiliser le vibrato interne de l’orgue par-dessus la Leslie. Percussion L’option Percussion n’est disponible que sur le clavier supérieur, comme sur un B3 d’origine. La percussion d’un orgue électromécanique est polyphonique, mais n’est (re) déclenchée qu’après le relâchement de toutes les touches. Si vous relâchez toutes les touches, les nouvelles notes ou les nouveaux accords sonneront avec une percussion. Si vous jouez legato, ou maintenez certaines notes enfoncées sur le clavier supérieur, aucune percussion ne sera audible. Chapitre 22 EVB3 357 Sur le B3 d’origine, la percussion n’est disponible que si la touche de présélection « B » est sélectionnée (voir « Touches de présélection et Morphing » à la page 358). Si vous souhaitez que cette restriction soit aussi simulée, réglez le paramètre Perc sur Only B. Vous trouverez ce paramètre dans la section Organ. Si vous préférez que la percussion soit toujours disponible, sélectionnez Always. Activez la percussion en cliquant sur le bouton On de la section Percussion, située en haut à droite de l’interface. La percussion est audible dans le registre 4’ ou dans le registre 2 2/3’, si le bouton 2nd/3rd est activé. Réglez le temps de chute de la percussion à l’aide du paramètre Time, puis son niveau à l’aide du paramètre Vol. Ce réglage constitue une réelle amélioration par rapport au B3, sur lequel les paramètres Time et Vol ne pouvaient être qu’activés ou désactivés. Ils peuvent être réglés et prendre différentes valeurs sur l’EVB3. Remarque : le paramètre Time est doté d’un réglage maximum appelé « Paradise ». Dans cette position, la percussion ne décroît jamais. Ce nom provient d’un célèbre enregistrement de Jimmy Smith « Groovin’ at Small’s Paradise », dans lequel Jimmy utilise un B3 qui a un défaut dans le déclenchement de la percussion. L’intérêt de cette bizarrerie technique est qu’un des sons harmonique est sans Chorus-Vibrato, alors que les harmoniques des tirettes ont un Chorus-Vibrato. Bien que très spécialisée, il peut s’avérer utile d’inclure cette technique dans des morceaux, et plus particulièrement dans des compositions de jazz. Le registre percussion de l’EVB3 peut être joué avec une sensibilité à la vélocité, contrairement à celui du B3. Réglez la sensibilité à la vélocité de la percussion à l’aide du paramètre Vel. Si vous engagez la percussion d’un B3, le volume des registres normaux, non percussifs est légèrement réduit. Le paramètre Up Level simule ce comportement, vous permettant de définir le volume du clavier supérieur, lorsque la percussion est engagée.358 Chapitre 22 EVB3 Touches de présélection et Morphing Le Hammond B3 est équipé de 12 sélecteurs, situés sous l’octave la plus grave des deux claviers. Il s’agit des touches de présélection, repérables par leurs couleurs inversées (touches noires, dièses blancs). Elles servent à appeler les registrations de tirettes. Ces présélections ne peuvent être modifiées qu’à l’aide d’un tournevis, sur le B3 d’origine. Les notes MIDI 24 à 35, c’est-à-dire l’octave située sous la note la plus grave d’un clavier 5 octaves (non transposé) servent de touches de présélection. Reportez-vous à la section « Tessitures des claviers supérieur et inférieur » à la page 349. Vous pouvez cliquer directement sur ces touches de présélection dans l’interface graphique de l’EVB3. Elles sont situées à gauche (Upper) et à droite (Lower) de la molette Morph. Les registrations de tirettes actuelles sont indiquées par de petites lignes verticales sur chaque touche. Les présélections ne concernent que la registration d’un seul clavier. Elles ne mémorisent pas les réglages de vibrato ou d’autres paramètres. Les touches de présélection fonctionnent en temps réel, ainsi les réglages globaux (incluant les effets, etc.) peuvent être mémorisés et rappelés via le menu relatif aux réglages. Remarque : sur les touches Do(n) à La(n), la percussion fonctionne uniquement en mode Percussion Mode Always (voir « Percussion » à la page 356). Désactiver la présélection MIDI Vous pouvez désactiver la présélection via les notes MIDI 24 à 35, afin d’éviter tout problème du aux transpositions. Pour cela, définissez le paramètre MIDI to Presetkey sur « Off ». Touche d’annulation, changer de registre tout en jouant La touche de présélection la plus basse (C) est la touche d’annulation (Cancel). Si vous appuyez dessus, toutes les tirettes sont replacées à leur réglage minimum. Les 11 autres touches, de Do(n) à Si, appellent les registrations. Vous pouvez modifiez immédiatement les présélections rappelées. La présélection mémorise ces modifications instantanément, sans qu’aucune autre action ne soit nécessaire. Cela signifie que si vous appelez une nouvelle présélection, l’ancienne présélection mémorisera les réglages des tirettes au moment où cette nouvelle présélection a été appelée. Touches de présélectionChapitre 22 EVB3 359 Si vous maintenez la touche d’annulation (C) sur votre clavier maître avec le petit doigt de votre main gauche, et plaquez un accord à la main droite, vous pouvez faire jouer cet accord avec différentes registrations, en appuyant sur les touches de présélection avec les autres doigts de votre main gauche. Ceci donne un effet de type Gate spécifique à l’orgue, qu’il n’est pas possible d’obtenir avec la main droite seule. Morphing Vous pouvez parcourir les présélections du clavier supérieur à l’aide d’un contrôleur MIDI, notamment avec la molette de modulation. Sélectionnez le contrôleur MIDI de votre choix à l’aide du paramètre MIDI CC. Les options Step ou Linear Mode déterminent comment se fera le passage d’une présélection à l’autre : une commutation abrupte ou un morphisme progressif (fondu enchaîné). Remarque : le passage d’un registre à un autre avec cette fonction Morphing n’est disponible que pour le clavier supérieur (Upper). Range Après avoir choisi un contrôleur pour le changement de registre ou le morphing pour le clavier supérieur, vous pouvez déterminer le nombre de touches de présélection qui seront concernées. Le morphing (ou la commutation) commence toujours par la première touche de présélection, le Si (B). Le paramètre Range définit la touche de présélection finale. Si Range = A#, vous enchaînerez deux présélections. Si Range = G#, vous enchaînerez quatre présélections (B, A#, A et G soit Si, La(n), La et Sol). Save To En Linear Mode (morphing à la place de la commutation), l’enchaînement résulte d’un ensemble de nouveaux réglages de tirettes que vous pouvez avoir envie de sauvegarder. Mais avant, vous pouvez avoir besoin de modifier manuellement certaines positions des tirettes. Cliquez sur les termes Save To, puis sélectionnez la touche de présélection de destination. Il n’y a rien d’autre à faire pour sauvegarder ces réglages sur une autre touche de présélection. Remarque : dès que le morphisme commence, la mention Morph devient orange, pour indiquer l’évolution du morphisme. Les résultats du morphing peuvent encore être modifiés à l’aide des tirettes, mais ils seront perdus si vous ne les sauvegardez pas. La mention Morph se met à clignoter dès qu’une modification des tirettes a été effectuée, ce qui indique des changements dans les valeurs de Morphing.360 Chapitre 22 EVB3 Paramètres Organ Les paramètres Organ définissent le comportement général de votre EVB3. Les paramètres Lower Volume et Pedal Volume sont décrits dans la section « Volumes relatifs : Upper/Lower/Pedal » à la page 354. Le paramètre Perc est décrit dans la section « Percussion » à la page 356. Max Wheels Le calcul (la simulation) de l’ensemble des roues phoniques des générateurs consomme une puissance de calcul considérable. Une réduction de la valeur de ce paramètre entraîne une réduction de l’appétit de l’EVB3 en ressources système. Remarque : notez que ceci réduit également quelques harmoniques, vous ne devez donc pas réduire cette valeur si vous recherchez une simulation ultra-réaliste. Tonal Balance Modifie le dosage aigus/basses des roues phoniques. Une valeur positive donne un son plus léger et plus brillant. Essayez avec différents réglages Tonal Balance et Equalizer. Pour plus d’informations, consultez la section « Equalizer » à la page 367. Shape Alors que les générateurs sonores du Hammond produisent des ondes sinusoïdales pures (malgré quelques artefacts techniques), d’autres orgues produisent des formes d’onde distordues. Vous pouvez produire de sons ressemblant à ceux des orgues Farfisa, Solina ou Yamaha grâce au paramètre Shape. Vous pouvez modifier subtilement la forme d’onde des sons émanant du générateur à roues phoniques grâce au paramètre Shape. En le déplaçant vers la droite, le son sera plus brillant (et plus fort), et en le déplaçant vers la gauche il deviendra plus terne (et plus doux). Remarque : notez que le paramètre Shape est placé après les filtres qui suivent les générateurs d’ondes sinusoïdales. Paramètres OrganChapitre 22 EVB3 361 Bass Filter Le son des tirettes du pédalier apparaît souvent un peu trop « brillant », dans le contexte musical global. Pour remédier à cela, et pour supprimer les aigus du registre des basses, vous pouvez utiliser le paramètre Bass Filter. Lorsqu’il est actif, vous n’entendrez plus que le son de basse fondamental de l’orgue dans le registre des basses. Ultra Bass Si vous activez le paramètre Ultra Bass, une autre octave basse sera ajoutée à la tessiture jouable des claviers supérieur et inférieur. Ces octaves basses supplémentaires et la possibilité de transposer indépendamment les deux claviers (voir « Transposition (plage d’octaves) » à la page 350), n’existent pas sur le B3 d’origine. Paramètres Condition Les limitations techniques des orgues électromécaniques à roues phoniques génèrent d’étranges artefacts sonores, tels que la diaphonie. Ces bizarreries font partie intégrante du charme du B3. Vous pouvez régler les paramètres décrits ci-après afin de redéfinir l’âge de votre EVB3. Remarque : voir également la section « Paramètres Click » à la page 363 relative aux paramètres Click. Drawbar Leak Même si toutes les tirettes sont à leur position minimum, le générateur à roues phoniques du B3 continue à tourner. Cela est du à une dispersion issue des roues phoniques, qui crée une diaphonie en sortie. La fonction Drawbar Leak (résiduelle) vous permet de régler le niveau de sortie minimum des tirettes, lorsqu’elles sont déjà en position minimum. Avec une valeur 0, vous pouvez complètement éliminer cette résiduelle. Avec un réglage au maximum, elle sera beaucoup plus audible. Paramètres Condition362 Chapitre 22 EVB3 Leakage La fonction Leakage (dispersion) ajoute un son provenant de la diaphonie des roues phoniques, incluant même celle des notes que vous n’avez pas jouées. Ceci donne un souffle au son de l’orgue. Crosstalk Les roues phoniques du Hammond sont réparties en compartiments de quatre, correspondant la même touche mais sur des octaves différentes. Il y a deux roues phoniques, espacées de quatre octaves, sur chaque axe rotatif. Le signal produit par la roue inférieure contient un peu du signal induit par la roue supérieure, et vice versa. Cette diaphonie peut être réglé à l’aide du curseur Crosstalk. Notez que la diaphonie n’est audible que sur certaines roues, ce qui évite les bruits de fond lorsque des accords sont joués. Random FM Si le générateur à roues phoniques fonctionne correctement, toutes les fréquences sont pures, c’est-à-dire qu’elles sont uniformes/accordées. Le système mécanique de rotation et d’entraînement des roues phoniques (ressorts, couplages et engrenages) est très efficace, mais il ne peut compenser les irrégularités dues à la poussière et à la graisse présentes dans le générateur. Cette accumulation de saleté dans le mécanisme rend irrégulière la révolution des roues phoniques sur leur axe. Et ceci est transmis par les roues phoniques. Le curseur Random FM vous permet de simuler cet effet. Remarque : cet effet ne devient audible que dans les fréquences les plus aiguës. Filter Age Les aigus des générateurs à roues phoniques du B3 sont filtrés par des filtres passe-bande. La fréquence centrale de ces filtres varie avec l’âge des condensateurs. La fonction Filter Age vous permet de modifier la fréquence centrale des filtres. Ceci colore le son d’une certaine instabilité due au paramètre Random FM et d’un certain bruit de fond résultant du paramètre Leakage. (Voir « Leakage » à la page 362 et « Random FM » à la page 362.) Ce paramètre influence également l’intonation de l’orgue, si vous utilisez le Pitch Bender.Chapitre 22 EVB3 363 Paramètres Click Les contacts des touches des orgues électromécaniques à roues phoniques tendent à abîmer un peu les barres de contact, introduisant un bref clic. S’il y a un peu de corrosion sur les contacts ou les barres de contact, la durée et le niveau de ce clic seront plus élevés Cet aspect de la conception du B3 cause des bruits erratiques (communément appelés « bruit de touche »), lors de la frappe et du relâchement des touches. Les fans du Hammond adorent ces bruits de clic, car ils donnent une qualité percutante éphémère à la note. L’EVB3 vous permet de régler le volume et le son de ce clic. Le son du clic est modifié de manière aléatoire et indépendante, à l’aide des réglages de volume Click On et Click Off (relâchement). Click On/Click Off Ces deux potentiomètres contrôlent indépendamment le volume du clic au début (Click On) et lors du relâchement de la note (Click Off). Le Click Off est toujours plus doux, même si ces deux contrôles sont réglés sur la même position. Click Min/Click Max Non seulement la couleur sonore et le volume des clics sont modifiés de manière aléatoire, mais il en va de même pour leur durée. La durée du clic peut aller d’un bref tic à un scratch plus long. La durée minimum est définie par Click Min, et la durée maximum par Click Max. Cette durée est affichée en millisecondes, lorsque vous faites glisser les curseurs. Remarque : même si ces deux paramètres ont des valeurs identiques, il y a toujours une variation aléatoire du son. C’est cette variation qui fait que certains clics semblent plus courts que la valeur Click Min. Click Color Ce paramètre permet de régler la couleur sonore du clic. Bien qu’il varie de manière aléatoire, vous pouvez définir sa quantité d’aigus, globalement. Paramètres Click364 Chapitre 22 EVB3 Paramètres Pitch Comparé au B3 d’origine, l’EVB3 offre bien plus de paramètres permettant de modifier tout ce qui concerne les changements de hauteur. Remarque : les paramètres Trans UM, Trans LM et Trans Ped sont expliqués dans la section « Transposition (plage d’octaves) » à la page 350. Stretch L’EVB3 est accordé selon un tempérament égal. Mais à partir de cet accord standard, vous pouvez faire dévier l’accord dans les basses et les aigus, un peu comme pour les pianos acoustiques (surtout les pianos droits). Si vous sélectionnez une valeur supérieure à 0 pour for Upper Stretch, la hauteur des notes les plus aiguës sera élevée. Si vous sélectionnez une valeur supérieure à 0 pour Lower Stretch, la hauteur des notes les plus basses sera baissée. Remarque : les sons des clavinets, clavecins et pianos comportent des éléments « inharmoniques » dans leur structure. Les fréquences de ces sons dominants (harmoniques) ne sont pas exactement des multiples entiers de la fréquence de base. Elles ne sont qu’approximatives et sont en fait un peu plus aiguës. Les harmoniques des notes (accordées) les plus basses sont, par conséquent, relativement plus proches des fréquences principales des notes plus aiguës. Du fait de l’absence de cordes, cette relation inharmonique n’est pas vraie pour les orgues. La fonction Stretch a été inclue au cas où vous souhaiteriez utiliser l’EVB3 dans un arrangement, associé à un piano acoustique ou numérique (EVP88 et le Clavinet EVD6). Le paramètre Lower Stretch contrôle la valeur de déviation par rapport au tempérament égal pour les fréquences de basses. Plus cette valeur est élevée, plus les notes basses seront accordées vers le bas. Avec une valeur de 0, l’EVB3 est accordé selon un tempé- rament égal, chaque octave ayant une fréquence réduite exactement de moitié par rapport à la précédente. Le paramètre Upper Stretch contrôle la valeur de déviation par rapport au tempérament égal pour les aigus du son. Plus cette valeur est élevée, plus les notes aiguës seront accordées vers le haut. Avec une valeur de 0, l’EVB3 est accordé avec un tempérament égal, chaque octave ayant une fréquence exactement double par rapport à la suivante.Chapitre 22 EVB3 365 Warmth Le paramètre Warmth contrôle la valeur de déviation aléatoire par rapport au tempérament égal. Des valeurs élevées ajoutent de la vie aux sons d’orgue, mais ont tendance à sonner légèrement désaccordé. Lorsque vous appliquez les paramètres Warmth et Stretch, n’oubliez pas qu’ils peuvent donner un son désaccordé, similaire à l’usage intensif de l’effet de chorus. Définissez le paramètre Warmth sur 0 si vous recherchez un son pur. Pitch Bender, Brake Effect L’orgue Hammond ne dispose pas de la fonction Pitch Bender. L’usage du Pitch Bender n’est donc pas recommandé si vous souhaitez une simulation réaliste, mais il offre un grand nombre d’options créatives. La sensibilité du Pitch Bender peut être réglée indépendamment vers le haut ou vers le bas, par pas d’un demi-ton, à l’aide des paramètres Pitchbend Up et Pitchbend Down. La sensibilité maximum vers le haut est d’une octave. Vous pouvez régler le paramètre Pitch Bend Down sur Brake, ce qui ralentit progressivement le mouvement des roues phoniques jusqu’à l’arrêt total, lorsque le Pitch Bender est en position minimum. Remarque : le réglage Brake recrée un effet audible à la fin du « Knife Edge » d’Emerson, Lake et Palmer. L’oeuvre de Keith Emerson, virtuose du Hammond, a été enregistrée sur un magnétophone à bobines. À la fin du morceau, vous pouvez entendre le magnétophone ralentir progressivement jusqu’à l’arrêt total. Sustain Les joueurs de synthétiseur appellent le temps que prend la note pour disparaître après le relâchement de la touche, le Temps de libération ou Release time. L’EVB3 vous permet également de contrôler ce paramètre, appelé Sustain ou Soutien dans le jargon des orgues. Ces trois contrôles permettent un réglage spécifique des registres Upper (Up), Lower (Low) et Pedal (Ped). Paramètres Sustain366 Chapitre 22 EVB3 Si vous sélectionnez Smart Mode, le fait de jouer de nouvelles notes coupera la phase de soutien (relâchement) des notes relâchées. Le mode Normal Mode permet des phases de soutien polyphonique, c’est-à-dire que toutes les notes relâchées continueront à sonner. Le mode Smart Mode permet de longs temps de soutien, même dans le registre des basses, ce qui entraîne habituellement des dissonances désagréables. Effets L’EVB3 est équipé d’un égaliseur trois bandes, d’un effet de réverbération, d’un effet wah contrôlable par pédale, et d’un créateur de distorsion simulant le son d’un amplificateur à tube saturé. Enfin, le signal peut être traité par l’effet de « rotor ». Effect Chain Le parcours du signal de l’EVB3 est le suivant : le signal de l’orgue passe par l’égaliseur, les effets wah et de distorsion. Vous pouvez choisir parmi quatre parcours de signal différents pour l’égaliseur, les effets wah-wah et de distorsion dans le menu Effect Chain. Ce signal traité passe ensuite par la réverbération et enfin par l’effet de rotor. Un ensemble B3 classique serait : un orgue avec égalisation, branché dans une pédale wah-wah, amplifié par une Leslie saturée. Sélectionnez EQ-Wah-Dist. Le son de la saturation change si le signal d’entrée a été filtré, soit par l’égaliseur, soit par la pédale wah. Si vous raccordez l’égaliseur avant l’overdrive, le son de l’overdrive deviendra beaucoup plus souple. Le signal de sortie de l’effet de distorsion contient toujours des fréquences aiguës. Si vous désirez supprimer ces fréquences, l’effet wah-wah doit être l’effet final de la chaîne, exemple : EQ-Dist-Wah. Si vous désirez créer un son « hurlant » (obtenu par la distorsion de la sortie wah-wah), vous pouvez réduire sa « rudesse » en choisissant le parcours Wah-Dist-EQ. Vous pouvez supprimer les harmoniques brutaux des distorsions extrêmes grâce à deux filtres : Sélectionnez Dist-EQ-Wah. Contournement des effets Les effets de distorsion, Wah et l’égaliseur peuvent être contournés séparément par le registre du pédalier. Pour cela, réglez Effect Bypass sur Pedal. Cela évite la suppression de toutes les basses de l’orgue par l’effet wah-wah. Cela évite également les inconvénients d’une intermodulation indésirable, lorsque vous utilisez l’effet d’overdrive (saturation). Si vous sélectionnez None, tout le son qui sort de l’orgue sera traité, comme si vous aviez branché la sortie mono du B3 dans une cabine Leslie. Chapitre 22 EVB3 367 Equalizer  EQ Low : permet de régler le niveau des fréquences basses.  EQ Mid : permet de régler le niveau des fréquences moyennes.  EQ High : permet de régler le niveau des fréquences élevées.  EQ Level : permet de régler le niveau EQ global. Reverb L’EVB3 possède six algorithmes de réverbération : Box, Small, Medium, Large, Big et Spring. Le niveau de réverbération est défini par le paramètre Reverb. Une valeur de Reverb =0 économise les ressources de traitement. Vous pouvez également sélectionner Bypass (contournement) dans le menu Reverb Mode, si vous souhaitez désactiver la réverbération sans modifier son niveau. La réverbération est toujours raccordée après l’égaliseur, les effets wah-wah et de distorsion, mais avant l’effet de rotor. Cela signifie que la réverbération sonne toujours comme si elle était jouée via les enceintes rotatives. Pour entendre la réverbération après le rotor, éteignez la réverbération de l’orgue et utilisez Aux Send pour appliquer une réverbération au canal d’instrument. 368 Chapitre 22 EVB3 Wah Le nom Wah Wah provient du son produit par cette pédale. Elle a été rendue célèbre par les guitaristes électriques à l’époque de Jimi Hendrix. Cette pédale contrôle la fréquence de coupure (cutoff) d’un filtre passe-bande, passe-bas ou, plus rarement, d’un filtre passe-haut. La pédale wah-wah a également été beaucoup utilisée avec l’orgue Hammond. Contrôle de la pédale via MIDI Pour obtenir la plupart des performances dynamiques et musicales de l’effet wah-wah, ajoutez une pédale d’expression à votre clavier maître MIDI. Votre clavier maître doit transmettre le changement de contrôle MIDI n° 11 (volume de l’Expression en temps réel), si vous branchez une pédale d’expression à la prise Expression et que vous l’actionnez. Cette pédale sert normalement à contrôler le volume tout en jouant. Si vous programmez un réglage EVB3, réglez le paramètre Expression sur 0, puis définissez un effet wah-wah (avec le contrôleur 11 contrôlant la fréquence de coupure du wah-wah), vous pouvez contrôler l’effet wah-wah avec la pédale, sans avoir à programmer quoique ce soit sur le clavier maître. Pour plus d’informations sur ce sujet, consultez la section « Configuration MIDI » à la page 348. Consultez également le mode d’emploi de votre clavier. Contrôle du Wah-Wah avec d’autres contrôleurs MIDI ou l’Aftertouch Vous pouvez utiliser n’importe quel message de changement de contrôle MIDI pour contrôler l’effet wah-wah. Vous pouvez sélectionner n’importe quel numéro de contrôleur et l’Aftertouch par canal (Touch) dans le champ CC. Mode L’option Mode permet d’activer et de désactiver l’effet wah-wah. Si vous choisissez Mode off, l’effet est désactivé. Il existe six types de filtres différents :  ResoLP (Resonating Low Pass Filter, filtre passe-bas résonant) : dans ce mode, l’effet wah-wah fonctionne comme un filtre passe-bas avec résonance. Si la pédale est en position minimum, seules les fréquences basses peuvent passer.  ResoHP (Resonating High Pass Filter, filtre passe-haut résonant) : dans ce mode, l’effet wah-wah fonctionne comme un filtre passe-haut avec résonance. Si la pédale est en position minimum, seules les fréquences hautes peuvent passer.Chapitre 22 EVB3 369  Peak : dans ce mode, l’effet wah-wah fonctionne comme un filtre à crête (en cloche). Les fréquences autour de la fréquence centrale, contrôlée par le contrôleur MIDI choisi, seront accentuées.  CryB : ce réglage imite le son du célèbre wah « Cry Baby ».  Morley 1 : ce réglage imite le son d’une célèbre pédale wah-wah, fabriquée par Morley, avec une légère crête caractéristique.  Morley 2 : ce réglage imite le son de la distorsion de pédale Morley, avec facteur Q constant. Range Permet de contrôler la sensibilité de la pédale wah-wah aux mouvements du contrôleur. Si vous souhaitez seulement avoir de légères altérations de la fréquence de coupure, choisissez une valeur faible. Bite Il s’agit du paramètre de résonance du filtre wah-wah. Vous connaissez ce paramètre, qui signifie « mordant », si vous êtes un joueur de synthétiseur. Quoi qu’il en soit : la fré- quence de coupure est accentuée. Des valeurs élevées rendent le son wah plus agressif. Distorsion L’effet de distorsion simule un amplificateur à tube à deux étages saturé. Son rôle principal étant la simulation de l’amplificateur Leslie, ou tout autre ampli pouvant être utilisé pour alimenter une cabine Leslie. Sous Type, vous avez le choix entre trois types d’amplis à tube différents : Growl (grognement), Bity (mordant) et Nasty (déplaisant). Growl simule un amplificateur à tube à deux étages, ressemblant à la Leslie 122, la partenaire habituelle de l’orgue Hammond B3. Bity est une réminiscence d’un ampli de guitare bluesy. Nasty délivre des distorsions dures et convient aux sons agressifs. Le contrôle Tone n’affecte que la partie distordue du son, alors que la partie du signal sec reste non affectée. Vous obtenez ainsi des sons très chauds et saturés qui ne deviendront pas « grinçants » si vous essayez de sortir plus d’aigus de l’instrument. L’option Drive contrôle la quantité de distorsion « overdrive ». Le niveau de sortie est automatiquement compensé, il n’est donc pas nécessaire d’avoir un autre contrôle de volume général.370 Chapitre 22 EVB3 Enceinte rotative L’histoire Hammond ne serait pas complète sans un chapitre sur les enceintes à système rotatif, fabriquées par Leslie. En fait, jouer du B3 sans une telle enceinte est plutôt considéré de nos jours comme un effet spécial. La section enceinte rotative de l’EVB3 simule non seulement la cabine de haut-parleurs avec système rotatif elle-même, mais aussi les microphones qui captent le son provenant de ce système rotatif. Boutons de vitesse du rotor Ces boutons permettent de contrôler la vitesse du rotor comme suit :  Chorale : mouvement lent  Tremolo : mouvement rapide.  Brake : arrête le rotor. Menu Cabinet Le menu Cabinet dispose des réglages suivants :  Off : permet de désactiver le rotor. Pour désactiver l’effet du rotor, vous pouvez aussi procéder comme suit : en mode Brake, les rotors ne tournent plus, mais le son est toujours capté par les microphones simulés, selon une position aléatoire, (voir le paragraphe relatif à la vitesse du rotor ci-dessous). Vous pouvez également désactiver directement la simulation Leslie avec le bouton On/Off situé à côté du menu de contrôle de la vitesse.  Wood : simule une Leslie du type meuble en bois, et sonne comme les modèles de Leslie 122 ou 147.  Proline : simule une Leslie ayant une enceinte ouverte, similaire à la Leslie 760.  Single : simule le son d’une Leslie équipé d’un rotor simple à gamme étendue. Le son ressemble au modèle Leslie 825.  Split : le signal du rotor de graves est dirigé plus à gauche tandis que le signal du rotor des aigus est dirigé plus à droite.  Wood & Horn IR : ce réglage utilise une réponse d’impulsion d’une Leslie avec une enceinte en bois.  Proline & Horn IR : ce réglage utilise une réponse d’impulsion d’une Leslie avec une enceinte acoustique plus ouverte.  Split & Horn IR : ce réglage utilise une réponse d’impulsion d’une Leslie dont le signal du rotor des graves est dirigé plus à gauche tandis que le signal du rotor des aigus est dirigé plus à droite.Chapitre 22 EVB3 371 Contrôle de la vitesse Le menu relatif au contrôle de la vitesse vous permet de définir les contrôleurs permettant d’activer et de désactiver à distance les boutons associés à la vitesse du rotor. Le réglage ModWheel utilise la molette de modulation pour passer d’un réglage de vitesse à l’autre, parmi les trois réglages disponibles. Brake se trouve autour de la position centrale de la molette de modulation, alors que Choral se trouve vers le bas et Tremolo dans le tiers supérieur de la course de la molette de modulation. Toutes les autres entrées du menu Speed Control (contrôle de la vitesse) permettent de passer de Tremolo à la vitesse définie via les boutons Rotor Speed (vitesse du rotor), c’est-à-dire entre Chorale et Tremolo, ou entre Brake et Tremolo. Si Rotor Speed est réglé sur Tremolo, vous passerez de Tremolo à Choral. La différence entre ces options est fonction du réglage choisi :  ModWhl Toggle : change dès que la molette de modulation dépasse sa position centrale en allant de la position basse à la position haute. Si la molette de modulation dépasse sa position central en allant du haut vers le bas, il n’y aura pas de changement. Ceci a été implémenté pour les claviers Roland ayant des molettes de Pitch Bend et de modulation combinées.  ModWhl Temp : change dès que la molette de modulation dépasse sa position centrale, quel quoi soit le sens du mouvement. Ceci a été implémenté pour les claviers Roland ayant des molettes de Pitch Bend et de modulation combinées.  Touch : change dès que vous employez l’Aftertouch. Si vous relâchez l’Aftertouch, il n’y aura pas de changement.  Touch Temp : change dès que vous utilisez l’Aftertouch. Si vous relâchez l’Aftertouch, il y aura un autre changement.  SusPdl Toggle : change dès que vous pressez la pédale de tenue. Si vous relâchez la pédale, il n’y aura pas de changement.  SusPdl Temp : change dès que vous pressez la pédale de tenue. Si vous relâchez la pédale Sustain, il y aura un autre changement.  CC #18 and CC #19 Touch : change dès que vous appuyez sur le contrôleur 18 ou 19. Si vous relâchez le contrôleur, il n’y aura pas de changement.  CC #18 and CC #1 Temp : change dès que vous appuyez sur le contrôleur 18 ou 19. Si vous relâchez le contrôleur 18 ou 19, il y aura un autre changement. Rotor Fast Rate Rotor Fast Rate définit la vitesse maximum possible du rotor (Tremolo). Lorsque vous actionnez le curseur, la vitesse de rotation du Tremolo est indiquée en Hertz.372 Chapitre 22 EVB3 Acc/Dec Scale Les moteurs Leslie doivent accélérer et ralentir physiquement les diffuseurs mécaniques situés sur les haut-parleurs dans les enceintes, pour cela leur puissance est limitée. Acc/Dec Scale détermine la vitesse à laquelle les moteurs peuvent accélérer les rotors (le temps que mettent les rotors pour arriver à une vitesse déterminée), et le temps qu’ils mettent à ralentir. Si le curseur est réglé complètement à gauche, vous pouvez passer immédiatement à la vitesse présélectionnée. S’il est complètement à droite, les changements de vitesse mettent plus de temps pour être effectifs. Dans sa position par défaut, soit 1, le comportement ressemble à celui de la Leslie. Horn Deflector Si vous regardez à l’intérieur d’une cabine Leslie, vous verrez un double diffuseur rotatif, muni d’un déflecteur à son embouchure. C’est lui qui fabrique le son Leslie. Certaines personnes, toutefois, le suppriment pour modifier le son Leslie, car sa suppression augmente la modulation d’amplitude, et réduit la modulation de fréquence. Ce paramètre vous permet d’activer et de désactiver les déflecteurs, sans qu’il soit nécessaire de commander ces pièces détachées. Mic Angle et Mic Distance Le Mic Angle définit l’image stéréo, en modifiant l’angle des microphones simulés. Un angle de 0° donnera un son mono, tandis qu’un angle de 180° provoque des annulations de phase. Les ingénieurs du son expérimentés ont tendance à éviter les écartements trop larges. Mic Distance rend le son plus sombre et moins défini, s’il est réglé sur des valeurs élevées. C’est typique des microphones, lorsqu’ils sont placés trop loin de la source sonore. Motor Control Dans le menu Motor Control (contrôle du moteur), vous pouvez sélectionner différentes vitesses pour les rotors des graves et des aigus :  Normal : les deux rotors utilisent la vitesse définie par les boutons de vitesse de rotor.  Inv (mode inversé) : en mode Tremolo, le compartiment des graves tourne à vitesse rapide, alors que le compartiment du déflecteur tourne à vitesse lente, et inversement en mode Chorale. En mode Frein, les deux rotors sont arrêtés.  910 : le 910, ou mode Memphis, arrête la rotation du tambour des graves à basse vitesse, tandis que la vitesse du compartiment du pavillon acoustique peut être réglée. Cela peut être utile si vous recherchez un son de graves solide, mais souhaitez conserver un peu de mouvement dans les aigus.  Sync. : l’accélération et la décélération du déflecteur et du tambour des graves sont à peu près les mêmes. Cela sonne comme s’ils avaient été verrouillés, mais cela n’est clairement audible que durant l’accélération ou la décélération. Remarque : si vous sélectionnez Single dans le menu Cabinet Type, le réglage du contrôle du moteur est inopérant, parce qu’il n’y a pas de rotors de graves et d’aigus séparés dans une enceinte acoustique simple.Chapitre 22 EVB3 373 Autres paramètres Un certain nombre d’autres paramètres sont accessibles dans la vue correspondante de la fenêtre de l’EVB3. Dry Level Permet d’ajuster le niveau du signal sec, ce qui peut également être utile si l’option « Switches to dry sound » est sélectionnée dans le menu Brake, au-dessous. Menu Brake Le menu Brake offre deux options permettant de modifier le mode Brake de l’EVB3 :  Stops rotor : ce mode permet de ralentir progressivement le mouvement du rotor jusqu’à l’arrêt complet.  Switches to dry sound : ce mode permet de contourner l’enceinte du rotor lorsque celui-ci est arrêté, et ce en une seconde. Cela s’avère utile si vous utilisez la roue de modulation pour basculer entre les modes Tremolo (vitesse de rotor élevée) et Chorale (mouvement lent). Si vous revenez ensuite au mode Brake, les rotors sont ralentis au cours de la transition vers le son sec. Horn Brake et Drum Brake Pos Les curseurs Horn Brake Pos et Drum Brak Pos vous permettent de régler une position d’arrêt exacte, respectivement pour le déflecteur et le tambour des graves de la Leslie. Ceci ne pouvait être effectué sur la Leslie d’origine, car parfois le déflecteur s’arrêtait au fond de la cabine, générant un son plus que désagréable. Menu Reverb Le menu Reverb permet d’appliquer l’effet de réverbération avant (option Pre) ou après (option Post) l’effet du rotor. Velo to Click Le curseur Velo to Click permet de régler la sensibilité à la vélocité des paramètres Click (voir la section « Paramètres Click » à la page 395 et suivantes). Menu Bass Le menu Bass permet d’imiter le comportement de non-repli des graves du premier orgue Hammond, le modèle A. Ce modèle ne comportait pas de repli pour la tirette 16’ dans l’octave la plus basse, avec les sorties du générateur douze tons inférieurs disponibles sur la première tirette de l’octave inférieure des manuels. Sur d’autres orgues de console, les sorties les plus basses du générateur douze tons sont uniquement disponibles via les pédales. Pour simuler le comportement du modèle A Hammond, choisissez l’option « All the way down » dans le menu Bass. Sans le repli, vous constaterez que le son est plus strident, et semblable au son de pédale, en particulier si vous n’utilisez pas de module Leslie lors de la lecture de l’EVB3. 374 Chapitre 22 EVB3 Lorsque vous utilisez un contrôleur à deux tirettes, le menu « Drawbar affects » offre un mode supplémentaire qui permet le changement façon Hammond entre deux registrations. Si vous utilisez le réglage par défaut (« Drawbar affects current preset key »), les tirettes changent toujours l’enregistrement de la clé d’enregistrement de préréglage actuellement active. Cela fonctionne différemment dans un « vrai » orgue Hammond, dans lequel les tirettes affectent uniquement les registrations de préréglage Bb (clavier supérieur) et B (clavier inférieur). Cela permet au joueur de préparer une nouvelle registration avec les tirettes lors de la lecture, puis de passer à la nouvelle registration en fonction des besoins. Pour simuler ce comportement avec l’EVB3 : 1 Choisissez l’option “Clé Si et Sib uniquement” dans le menu Mode drawbar. Cette option permet aux drawbars manuelles supérieures de changer l’enregistrement de la clé de préréglage Sib, et les drawbars manuelles inférieures affectent la clé de préréglage Si. 2 Changez les drawbars de la clé de préréglage Sib en fonction des besoins. Vous pouvez librement jouer sur le clavier pendant cette opération, sans changer l’enregistrement choisi actuellement. 3 Basculez vers l’enregistrement préparé avec la clé de préréglage Sib. Assignations des contrôleurs MIDI Les assignations des contrôleurs MIDI ne sont mises à jour que si le réglage par défaut est chargé, ou si un réglage qui a été sauvegardé avec un morceau, est chargé. Tous les paramètres vous permettant de sélectionner un contrôleur MIDI disposent d’une option Learn (apprendre). Si cette option est sélectionnée, le paramètre sera automatiquement assigné au premier message de données MIDI entrant approprié. Le mode d’apprentissage présente une fonction de délai de 20 secondes : si l’EVB3 ne reçoit pas de message MIDI dans les 20 secondes, le paramètre revient à son assignation de contrôleur MIDI d’origine. Remarque : comme la nouvelle entrée est ajoutée en haut de la liste, les données d’automation existantes doivent être augmentées d’une unité. Dans la plupart des cas, l’automation de piste de Logic Pro est le meilleur moyen d’enregistrer les mouvements manuels effectués dans la fenêtre du module. L’automation MIDI est le meilleur moyen si souhaitez utiliser votre orgue à tirettes MIDI pour contrôler à distance l’EVB3. Les tableaux suivants regroupent les assignations des contrôleurs MIDI de l’EVB3. Les assignations sont optimisées pour être utilisées avec plusieurs modèles d’orgues à tirettes MIDI parmi les plus populaires. Afin de correspondre au réglages par défaut de tous les orgues les plus répandus, certains paramètres ont été assignés deux fois. Ne vous en souciez pas. Chapitre 22 EVB3 375 Mode MIDI : RK Ce tableau liste les assignations des numéros de message de changement de contrôle MIDI lorsque le mode MIDI est réglé sur RK. Il s’agit du bon réglage si vous utilisez un orgue à tirettes Roland VK ou Korg CX-3 pour contrôler l’EVB3 à distance. Numéro de contrôleur Mode MIDI RK : Nom du paramètre 70 Drawbar 16’ 71 Drawbar 5 1/3’ 72 Drawbar 8’ 73 Drawbar 4’ 74 Drawbar 2 2/3’ 75 Drawbar 2’ 76 Drawbar 1 3/5’ 77 Drawbar 1 1/3’ 78 Drawbar 1’ Rotor Cabinet 80, 92 Chorale/Brake/Tremolo 81 Chorale/Brake Reverb 82 Reverb Level Vibrato 85 Upper Vibrato on/off 86 Lower Vibrato on/off 87 Chorus Vibrato Type Percussions 94 on/off 95 2nd/3rd 102 Percussion Volume 103 Percussion Time Equalizer 104 EQ Low 105 EQ Mid 106 EQ Hi 107 EQ Level Wah 108 Wah Mode 109 Wah Bite376 Chapitre 22 EVB3 Distorsion 110 Distortion Type 111 Distortion Drive 112 Distortion Tone Click Levels 113 Click On Level 114 Click Off Level Balance 115 Main Volume 116 Lower Volume 117 Pedal Volume Rotor Fast Rate 118 Rotor Fast Rate Numéro de contrôleur Mode MIDI RK : Nom du paramètreChapitre 22 EVB3 377 Mode MIDI : HS Ce tableau liste les assignations des contrôleurs MIDI lorsque le mode MIDI est réglé sur HS. Ce réglage correspond à la répartition des contrôleurs des orgues Hammond XB. Désactivez l’option MIDI Data Reduction lors de l’enregistrement de données à partir d’un orgue XB (Fichier > Réglages du projet > Enregistrement). Numéro de contrôleur Mode MIDI HS : Nom du paramètre 80 All Upper Drawbars 81 All Lower Drawbars 82 Pedal Drawbars, Scanner Vibrato, Bass Filter Rotor Cabinet Leslie On Rotor Cabinet on/off Leslie Fast Chorale/Brake Leslie Brake Contrôle la fonctionnalité du frein de l’enceinte du rotor Vibrato Vibrato On Upper Vibrato on/off (XK-3 uniquement) Vibrato Mode Vibrato Type (V1 – C3, XK-3 uniquement) 87 Chorus Vibrato Type Drive Distortion Drive Reverb Level Reverb Level Perc 2nd and Perc 3rd Percussion Harmonic, le 3ème harmonique a priorité sur le 2ème. La conversion des boutons XK vers l’EVB3 s’effectue comme suit :  2e off, 3e off ? EVB3 : Percussion désactivée  2e on, 3e off ? EVB3 : 2ème harmonique  2e off, 3e on ? EVB3 : 3ème harmonique  2e on, 3e on ? EVB3 : 3ème harmonique Perc Fast Sélectionne un temps de chute prédéfini pour une chute lente ou rapide. Perc Soft Sélectionne un niveau prédéfini pour une percussion normale ou légère. Vibrato Mode Sélectionne Vibrato Off, V1/V2/V3 ou C1/C2/C3 (XK-2 uniquement) Vibrato VC Permet de basculer entre Vibrato et Chorus Vibrato (XK-2 uniquement)378 Chapitre 22 EVB3 Mode MIDI : NI Ce tableau liste les assignations des contrôleurs MIDI lorsque le mode MIDI est réglé sur NI. Ce réglage correspond à la répartition des contrôleurs du Native Instruments B4D. Numéro de contrôleur Mode MIDI NI : Nom du paramètre 12 Upper Drawbar 16’ 13 Upper Drawbar 5 1/3’ 14 Upper Drawbar 8’ 15 Upper Drawbar 4’ 16 Upper Drawbar 2 2/3’ 17 Upper Drawbar 2’ 18 Upper Drawbar 1 3/5’ 19 Upper Drawbar 1 1/3’ 20 Upper Drawbar 1’ 21 Lower Drawbar 16’ 22 Lower Drawbar 5 1/3’ 23 Lower Drawbar 8’ 24 Lower Drawbar 4’ 25 Lower Drawbar 2 2/3’ 26 Lower Drawbar 2’ 27 Lower Drawbar 1 3/5’ 28 Lower Drawbar 1 1/3’ 29 Lower Drawbar 1’ Vibrato 31 Upper Vibrato on/off 30 Lower Vibrato on/off Brightness Vibrato Attack Time Chorus Intensity Percussion Sostenuto Percussion on/off Release Time Percussion Harmonic (2ème/3ème) Sound Variation Percussion Volume Harmonic Content Percussion Time Equalizer 90 EQ Low 70 EQ Mid 5 EQ HighChapitre 22 EVB3 379 Mode MIDI : NE Ce tableau liste les assignations des numéros de messages de changement de contrôle MIDI lorsque le mode MIDI est réglé sur NE. Ce réglage correspond à la répartition des contrôleurs du Nord Electro 2 de Clavia. Distortion/Click 76 Distortion Drive 78 Distortion Tone 75 Click On Level Leslie Pan MSB Microphone Angle 3 Microphone Distance GP 8 Leslie Accelerate/Decelerate GP 7 Leslie Fast ModWheel MSB Leslie Speed 68 Contrôle la fonctionnalité du frein : Si la valeur = 0.0, la Leslie passe sur Brake. Toutes les autres valeurs règle la Leslie sur la vitesse précédente. Numéro de contrôleur Mode MIDI NI : Nom du paramètre Numéro de contrôleur Mode MIDI NE : Nom du paramètre 16 Upper Drawbar 16’ 17 Upper Drawbar 5 1/3’ 18 Upper Drawbar 8’ 19 Upper Drawbar 4’ 20 Upper Drawbar 2 2/3’ 21 Upper Drawbar 2’ 22 Upper Drawbar 1 3/5’ 23 Upper Drawbar 1 1/3’ 24 Upper Drawbar 1’ 70 Lower Drawbar 16’ 71 Lower Drawbar 5 1/3’ 72 Lower Drawbar 8’ 73 Lower Drawbar 4’ 74 Lower Drawbar 2 2/3’ 75 Lower Drawbar 2’ 76 Lower Drawbar 1 3/5’ 77 Lower Drawbar 1 1/3’380 Chapitre 22 EVB3 78 Lower Drawbar 1’ Chorus/Vibrato 85 Upper Vibrato on/off 86 Lower Vibrato on/off 84 Mode Vibrato (la sélection va de V1 à C3, à l’exception de C0) Percussion 87 Percussion on/off 88 Percussion Volume (soft/normal) et Time (short/long) 95 Percussion Harmonic (2ème/3ème) Equalizer 113 EQ High 114 EQ Low Distortion/Click 111 Distortion Drive Leslie GP 6 on/off GP 7 Leslie Speed GP 8 Contrôle la fonctionnalité du frein Numéro de contrôleur Mode MIDI NE : Nom du paramètreChapitre 22 EVB3 381 Synthèse additive à l’aide des tirettes Le B3 Hammond est l’orgue classique à tirettes. Comme avec un orgue acoustique à tuyaux, les registres (tirettes, ou tirants de l’orgue à tuyaux) peuvent être tirés afin de les engager. Mais contrairement à l’orgue à tuyaux, le B3 permet un mélange progressif de tous les registres de tirettes. Plus vous les tirez vers le bas, plus elles donnent de la puissance. En dépit de ses caractéristiques, telles que les bruits de touche ou keyclicks, les ondulations d’intonation, la distorsion et la diaphonie (qui sont simulées par l’EVB3), le fait de jouer une seule note, sur un seul registre, donne un son sinusoïdal pur. Le mélange de sons sinusoïdaux selon différents harmoniques donne un spectre plus complexe, appelé « synthèse additive ». Les orgues, même les orgues acoustiques à tuyaux, peuvent être considérés comme des synthétiseurs « additifs ». Il existe toutefois plusieurs limitations qui doivent être prises en compte avant de considérer l’instrument de cette manière. D’un autre côté, ces limitations constituent le caractère d’un instrument de musique réel, tout ce qui fait son charme. Le nom des tirettes vient de la longueur des tuyaux de l’orgue, mesurée en pied (’). Cette convention de dénomination est toujours utilisée avec les instruments de musique électroniques. Diviser par deux la longueur d’un tuyau double sa fréquence. Doubler la fréquence ne signifie rien d’autre que : une octave plus haut. Le registre le plus bas, 16’ (complètement à gauche, tirette brune), les huit octaves les plus aiguës 8’, 4’, 2’ et 1’ (tirettes blanches) peuvent être librement mélangées, dans toutes les combinaisons possibles. 16’ est communément appelé sous-octave. Si nous considérons ce registre comme le registre fondamental, l’octave au-dessus de 8’ est le second partiel, 4’ est le quatrième, 2’ le huitième et 1’ le sixième partiel. Avec le registre 5 1/3’, la deuxième tirette brune, vous pouvez ajouter le troisième partiel. C’est la quinte au dessus de 8’. En général, les tirettes sont classées en fonction de la tonalité, à une exception près. La seconde tirette (5 1/3’) sonne une quinte plus haut que la troisième. Pour obtenir une explication, voir la section « Effet résiduel » à la page 382. 2 2/3’donne le sixième, 1 3/5’ le dixième et 1 1/3’ le douzième partiel. Ainsi un orgue électromécanique à roues phoniques vous donne les partiels 1 (16’), 2 (8’), 3 (5 1/3’), 4 (4’), 6 (2 2/3’), 8 (2’), 10 (1 3/5’), 12 (1 1/3’) et 16 (1’). Comme vous pouvez le constater, le spectre harmonique est quand même assez complet. C’est la raison pour laquelle les effets de distorsion sont si appréciés sur ces orgues électromécaniques à roues phoniques, ils enrichissent le spectre harmonique en générant davantage de partiels.382 Chapitre 22 EVB3 Remarque : le terme « partiel » est un synonyme d’harmonique, mais ils sont comptés d’une manière légèrement différente. La fondamentale est considérée comme le premier partiel. Son octave, à savoir deux fois la fréquence, correspond au deuxième partiel, mais est connue en tant que « première harmonique ». Le cinquième partiel oscille à cinq fois la fréquence de la fondamentale. Ce cinquième partiel est appelé quatrième harmonique, car avec les harmoniques, la fondamentale n’est pas comptée (ce qui rend le terme « harmonique » moins pratique à utiliser). Remarque : 2 2/3’ est une quinte au-dessus de 4’. 1 3/5’ est une tierce majeure au-dessus de 2’. 1 1/3’ est une quinte au-dessus de 2’. Dans les basses, cela conduit à des sons inharmoniques, en particulier dans le jeu de lignes de basse en clé mineure. C’est pourquoi mélanger 2’, 1 3/5’ et 1 1/3’ donne un accord majeur. Effet résiduel L’effet résiduel est un phénomène psychoacoustique. Les humains peuvent percevoir la hauteur d’une note, même si la fondamentale est complètement absente. Si nous n’entendions pas de cette manière, il serait impossible d’écouter de la musique sur un poste de radio bon marché. En effet, son haut-parleur ne restitue jamais la fondamentale de la ligne de basse, ayant une fréquence bien en dessous du spectre que le haut-parleur peut émettre. Si vous tirez tous les registres de tirettes d’un orgue, sauf le fondamental, 16’, vous percevrez quand même la même hauteur. Le son devient plus ténu, avec moins de basse et moins de chaleur, mais la hauteur reste la même. Le réglage des registres de tirettes implique souvent ce phénomène psychoacoustique. Dans les octaves les plus basses, mélanger les tirettes sinus 8’ et 5 1/3’ crée l’illusion d’un son 16’, bien que cette fréquence soit absente. Les anciens orgues à tuyaux utilisaient aussi l’effet résiduel, en combinant deux tuyaux plus petits, ce qui élimine le besoin d’avoir des tuyaux géants, longs, lourds, gourmands en air et très chers. Cette tradition perdure dans les orgues modernes, et c’est la raison pour laquelle la 5 1/3’ est placée sous la 8 : la 5 1/3’ tend à créer l’illusion d’une hauteur située une octave en dessous de 8’.Chapitre 22 EVB3 383 Brève histoire de l’orgue Hammond Trois inventions ont inspiré Laurens Hammond (1895–1973), un fabricant d’horloges électriques, pour construire et commercialiser un orgue électromécanique compact avec une génération sonore à roues phoniques. Le Telharmonium de Thaddeus Cahill a été son inspiration musicale, les méthodes de production de masse de Henry Ford et son propre moteur à horloge synchrone ont été les deux autres facteurs. Le Telharmonium était le premier instrument de musique utilisant des techniques de génération sonore électromécaniques. En 1900, ces générateurs comportant des roues phoniques à taille humaine remplissaient un immeuble de deux étages à New York. Pendant une courte période à cette époque, les abonnés pouvaient écouter la musique produite par le Telharmonium sur le réseau téléphonique new-yorkais (le système de streaming audio du moment). Le seul moyen d’amplification était le diaphragme mécanique du téléphone, car l’amplificateur à tube adéquat et des haut-parleurs acceptables n’étaient pas encore inventés. Le Telharmonium a été un « flop » commercial mais son statut historique de précurseur des instruments de musique électroniques modernes est indéniable. Le Telharmonium a également introduit les principes de la synthèse additive électronique (voir « Synthèse additive à l’aide des tirettes » à la page 381). Laurens Hammond a commencé à produire des orgues en 1935, à Chicago (Illinois), utilisant la même méthode de génération sonore. À quelques différences près : ces générateurs étaient plus petits et les registres étaient moins nombreux. Le brevet de cet orgue modèle A date de 1934. Hammond détient également un brevet pour une réverbération à ressort électromécanique, que l’on trouve encore dans d’innombrables amplificateurs de guitare aujourd’hui même ! Le B3 Hammond a été fabriqué entre 1955 et 1974. C’est le modèle Hammond préféré des organistes de jazz et de rock tels que : Fats Waller, Wild Bill Davis, Brother Jack McDuff, Jimmy Smith, Keith Emerson, Jon Lord, Brian Auger, Steve Winwood, Joey DeFrancesco et Barbara Dennerlein. En plus du B3, il existe un certain nombre d’instruments Hammond, connus sous le nom de « spinet » (M3, M100, L100, T100). Des modèles à console plus grands, dont un grand nombre a été conçu pour satisfaire les besoins des églises et des théâtres aux États-Unis (H100, X66, X77, E100, R100, G-100), ont également été fabriqués. La production d’orgues électromécaniques a cessé en 1974. Ensuite, Hammond a fabriqué des orgues entièrement électroniques. Aujourd’hui, les employés de Hammond-Suzuki sont particulièrement conscients de leur glorieux passé et fabriquent d’excellents orgues à tirettes électroniques. En 2002, ils ont même présenté un nouveau modèle de B3 numérique qui imite le design et les fonctions du B3 classique (à l’exception de son poids). Ce nouveau B3 utilise une vraie enceinte rotative mécanique à rotor.384 Chapitre 22 EVB3 Génération sonore à roues phoniques La génération sonore à roues phoniques ressemble à celle d’une sirène. Bien, sûr, il n’y a pas d’air à souffler par les trous d’une roue tournante. À la place, c’est un capteur électromagnétique, comme celui d’une guitare électrique qui est utilisé. Une roue dentée métallique, appelée roue phonique, tourne au bout d’une tige aimantée. La denture de la roue provoque des variations dans le champ magnétique, induisant une tension électrique. Cette tension (ce son) est ensuite filtrée, envoyée à travers les claviers, amplifiée, du vibrato et de l’expression lui sont ajoutés, et le signal résultant est encore amplifié. Un long axe est actionné par un moteur CA synchrone. 24 pignons de 12 tailles diffé- rentes sont fixés sur l’axe. Ces pignons actionnent les roues phoniques. La fréquence dépend des rapports de vitesse, et du nombre de dents des roues. Le Hammond est accordé au tempérament presque exact. Comme pour les orgues à tuyaux disposant de registres multiplexés, l’orgue Hammond utilise certains générateurs pour plusieurs tâches. Certaines roues haute fréquence servent de fondamentale pour les notes aiguës, et produisent des harmoniques pour les notes graves. Ce qui a un impact positif sur le son global de l’orgue, évite qu’il soit désaccordé et stabilise les niveaux. La cabine Leslie Don Leslie a développé ses enceintes à système rotatif en 1937, et a commencé à les commercialiser en 1940. Ce concept de haut-parleurs rotatifs n’enthousiasmait pas du tout Laurens Hammond. Le principe de Leslie était de simuler divers emplacements dans les tuyaux, donnant une nouvelle perception spatiale de chaque note. Les enceintes de haut-parleurs à système rotatif devaient simuler cet effet, et le sens de l’espace qu’elles transmettaient était incomparable, lorsqu’elles étaient placées à côté de n’importe quel haut-parleur fixe. Les ondulations périodiques du son et du volume, et le vibrato causé par l’effet Doppler ne constituent pas tout le son Leslie, il y a aussi un effet d’espace ! La première Leslie, le modèle 30, ne disposait pas de chorale, juste un trémolo et un stop. L’idée de l’effet Chorale (qui est venue plus tard) est née d’un désir d’ajouter un vibrato à l’orgue. Cet effet offre beaucoup plus qu’un simple vibrato, et a été introduit sur le marché dans les modèles 122/147. À ce moment-là, Leslie a aussi ajouté la mention « Voice of the pipe organ » (voix de l’orgue à tuyaux) sur ses enceintes. Ce n’est qu’en 1980 que les deux noms de sociétés et de marques se sont associés, six ans après la construction du dernier orgue à roues phoniques. Les enceintes rotatives Leslie sont toujours fabriquées aujourd’hui, par la société Hammond-Suzuki. À savoir que le nouveau modèle B3 numérique actuel est toujours associé à une vraie cabine Leslie mécanique.23 385 23 EVD6 L’EVD6 est une simulation virtuelle du Clavinet D6 d’Hohner classique. Le son émis par le Clavinet D6 d’Hohner s’apparente à du funk, mais les années 1970 ont également vu l’apparition de sons rock, pop et de jazz électriques joués par des artistes tels que Stevie Wonder, Herbie Hancock, Keith Emerson, Foreigner ou encore les Commodores. Si vous avez écouté « Superstition » ou « Higher Ground » par Stevie Wonder, alors vous savez que le D6 est le plus funky des instruments qui existent ! À propos de l’EVD6 Le moteur de synthèse d’EVD6 émule le son d’un clavinet D6 d’Hohner. Celui-ci permet d’améliorer les sons d’origine car il est utilisé en mode stéréo, et contrairement au D6 original, l’EVD6 est dépourvu de composants bruyants qui compromettent la mélodie émise par l’instrument. Le clavier de 60 touches (Fa à Mi) de l’instrument d’origine a été étendu sur un clavier MIDI complet (127 notes) tout en conservant les nuances et la répartition des sons. Le moteur EVD6 simule également les différents ronflements, bruits de touche ainsi que la particularité des capteurs qui se trouvaient dans l’instrument d’origine. Il synthétise le « pincement » et le « mordant » de la phase d’attaque, ainsi que le bruit « adhérant » des coussinets des marteaux. Le générateur sonore réagit doucement, musicalement et avec précision aux 127 niveaux de vélocité, tel que le définit la norme MIDI. Vous pouvez presque sentir les cordes sous votre clavier ! L’ensemble des paramètres String, très complet, permet de modifier radicalement le son de l’EVD6, afin de simuler un ancien clavinet, ou de créer un nouveau « instrument ». L’EVD6 est capable de générer des sons vraiment uniques, que vous découvrirez en prenant le temps de l’explorer et en écoutant les sons produits par certains des réglages indiqués.386 Chapitre 23 EVD6 Vous découvrirez aussi le processeur d’effets intégré à la luxueuse face avant de EVD6, qui dispose des effets habituellement utilisés avec le clavinet d’origine. Les algorithmes de ce processeur d’effets ont été adaptés et optimisés pour l’EVD6. Vous trouverez un magnifique effet Wah-Wah, un circuit de modulation et de distorsion. Paramètres de l’EVD6 La plupart des paramètres de type « curseurs » de l’interface de l’EVD6 ont une position centrale à zéro, et dans cette position « neutre », le son de base du modèle EVD6 sélectionné n’est pas modifié. Si le curseur est déplacé vers la gauche ou la droite, il modifie la valeur du paramètre d’origine de façon positive ou négative en conséquence. La face avant de l’EVD6 peut être divisée en cinq sections principales, à savoir :  Section Global : contient les paramètres globaux  Sections Excite/Click et String : comporte des paramètres de réglage de réponse de corde  Affichage Pickup : représentation visuelle ajustable de la position du capteur  Section Effects : paramètres relatifs aux effets intégrés. Paramètres globaux Les paramètres globaux se trouvent en bas à gauche de l’interface de l’EVD6. Chapitre 23 EVD6 387 Voices Définit le nombre maximal de voix pouvant être écoutées simultanément. Réduire la valeur de ce paramètre limite la polyphonie mais aussi la puissance de calcul nécessaire à l’EVD6, Il y a deux réglages pour monophonique : mono et legato. Chacun d’eux ne fournit qu’une seule voix à l’EVD6. En mode mono, la voix de l’EVD6 est déclenchée à chaque fois qu’une note est jouée. En mode legato, le processus de modelage du son de l’EVD6 n’est pas déclenché si les notes sont jouées legato, seule la hauteur change. Si les notes sont jouées staccato, la voix de l’EVD6 avec un processus de modelage de tous les sons est déclenchée. qui devient minime lorsque l’instrument fonctionne en monophonique. La valeur maximale est 24, ce qui vous autorise les glissandi avec sustain. Un réglage de 24 sera bien sûr plus gourmand en puissance de calcul. La valeur par défaut est 10. Cliquez sans relâcher le bouton de la souris, et utilisez la souris comme un curseur pour régler ce paramètre. Tune Règle l’accord par intervalles de cents. La valeur 0 équivaut au LA de référence à 440 Hz. La plage de valeurs possibles est de ±50 cents ou, en termes plus « musicaux », plus ou moins la moitié d’un demi-ton. Pour les transpositions par demi-ton ou par octave, utilisez la zone des paramètres d’instrument dans la fenêtre Arrangement, comme pour tout autre instrument MIDI standard. Bender Détermine la plage de modulation, en demi-tons. Cliquez sans relâcher le bouton de la souris, et utilisez la souris comme un curseur pour régler ce paramètre. Warmth Définit la valeur de la déviation aléatoire par rapport au tempérament égal. Des valeurs élevées donnent plus de « vie » aux sons. Cela peut être utile pour simuler un instrument qui n’a pas été accordé depuis longtemps, ou pour épaissir légèrement un son. Lorsque vous jouez des accords, le paramètre Warmth est très utile pour recréer la chaleur d’un effet de désaccordage ou de battement entre les notes d’un accord. Cliquez sans relâcher le bouton de la souris, et utilisez la souris comme un curseur pour régler ce paramètre.388 Chapitre 23 EVD6 Stretch L’EVD6 est accordé selon un tempérament égal. Mais à partir de cet accord standard, vous pouvez faire dévier l’accord dans les notes basses et aiguës finales du son. Vous simulez ainsi la manière dont les instruments à clavier utilisant des cordes, tels que les pianos, sont accordés, tentant de trouver un équilibre de l’accord plus cohérent entre les notes basses et aiguës. La fonction stretch a été incluse pour les cas où vous souhaiteriez utiliser l’EVD6 avec des pianos acoustiques. Lorsqu’il fait partie d’un arrangement avec orchestre ou synthétiseurs, la fonction stretch ne doit pas être utilisée. Cliquez sans relâcher le bouton de la souris, et utilisez la souris comme un curseur pour régler ce paramètre. Remarque : les sons des clavinets, clavecins et pianos comportent des éléments « inharmoniques » dans leur structure. Les fréquences de ces sons dominants (harmoniques) ne sont pas exactement des multiples entiers de la fréquence de base. Elles ne sont qu’approximatives et sont en fait un peu plus aiguës. Les harmoniques des notes (accordées) les plus basses sont, par conséquent, relativement plus proches des fréquences principales des notes plus aiguës. Voir également la section « Stiffness/ Inharmonicity » à la page 397. Remarque : lorsque vous appliquez les paramètres Warmth et Stretch, il ne faut pas oublier qu’ils peuvent donner un son désaccordé, similaire à l’usage intensif de l’effet de chorus. Pressure Sur le D6 d’origine, le fait d’appliquer une pression (aftertouch) à une note déjà enfoncée fait légèrement monter sa hauteur. Le paramètre Pressure permet de faire cela, ou à l’inverse de baisser la hauteur par pression. Cliquez sans relâcher le bouton de la souris, et utilisez la souris comme un curseur pour régler ce paramètre. Valeurs : –1.00 à +1.00 Sélecteurs de filtre Les quatre sélecteurs de filtres ressemblent à ceux du D6 d’origine, à une exception près. S’ils sont tous désactivés, vous entendrez le son non filtré au lieu du son bourdonnant du D6 d’origine. Cliquez n’importe où sur chacun des sélecteurs pour les activer/désactiver. Les sélecteurs actifs sont repérables à leur lettrage vert clair, et par le fait qu’ils sont enfoncés vers le bas de la fenêtre du module. Vous pouvez employer ces sélecteurs de filtre dans toutes les combinaisons on/off possibles.  Brilliant : crée un son nasal, coupe les basses.Chapitre 23 EVD6 389  Treble : rend le son plus pointu, coupe les basses plus doucement.  Medium : rend le son plus ténu, réduit plus légèrement les basses.  Soft : rend le son plus doux, plus atténué. Sélecteurs de capteur (Pickup) Comme avec le D6 d’origine, les deux capteurs (pickups) peuvent être utilisés selon différents modes. Les sélecteurs AB et CD permettent de changer de modes. En fonction des différentes positions des sélecteurs, le câblage interne des deux capteurs est modifié et avec lui le son issu de la sortie combinée des capteurs. L’EVD6 dispose d’un menu supplémentaire affichant le mode actuel au-dessus des sélecteurs de capteur. Pour plus d’informations sur l’utilisation de ces paramètres et de ces capteurs, consultez la section « Paramètres des capteurs (Pickup) » à la page 398.390 Chapitre 23 EVD6 Diffusion stéréo Le contrôle Stereo Spread comporte deux sections : Pickup et Key. Vous pouvez employer les deux types de diffusion stéréo en même temps. Elles seront automatiquement mélangées. L’effet des deux paramètres de diffusion stéréo est affiché graphiquement dans la zone située autour du potentiomètre Stereo Spread. Pickup Alors que le D6 d’origine n’avait qu’une seule sortie mono, l’EVD6 est stéréo. Lorsque les deux capteurs sont actifs (modes upper+lower et upper-lower), leurs deux signaux peuvent être répartis dans l’image stéréo. Pour régler la position de la diffusion stéréo ou stereo spread, cliquez, sans relâcher le bouton de la souris, sur les flèches vers le haut/vers le bas dans la moitié inférieure du bouton circulaire, c’est-à-dire la section Pickup. En tournant le contrôle Pickup de Spread stereo vers le haut, vous éloignez les signaux des deux capteurs de la position centrale, un vers la droite, l’autre vers la gauche. Définissez le paramètre Spread sur sa valeur maximale au niveau de la balance gauche ou droite extrême. Valeurs : 0.00 (centre, aucun effet) à 1.00 (stéréo gauche/droite totale). Pour plus d’informations sur l’utilisation des capteurs, consultez la section « Paramètres des capteurs (Pickup) » à la page 398. Key Définit une modulation de la gamme de tonalités de la position de balance. La position du clavier définit la balance. La position centrale est la note MIDI 60 (Yamaha C3). Pour régler la position Key(clavier), cliquez, sans relâcher le bouton de la souris, sur les flèches vers le haut/vers le bas dans la moitié supérieure du bouton circulaire, c’est-à-dire la section Key. Sélecteur C/D Sélecteur A/B Résultat en bas en bas capteur Neck : son chaud en bas en haut capteur Bridge : son clair en haut en haut les deux capteurs : son plein en haut en bas les deux capteurs hors phase : son ténuChapitre 23 EVD6 391 S’il est tourné à fond vers le haut, les positions extrêmes, gauche ou droite, seront atteintes à la note MIDI 60 ± 30 demi-tons. Valeurs : (centre, aucun effet) à 1.00 (stéréo gauche/droite totale). Model Le paramètre Model vous permet de choisir un type de son de base, ou modèle. Chaque modèle possède ses propres caractéristiques tonales visant à créer des sons différents et variés. Chaque modèle est un instrument spécifique, pouvant être immé- diatement joué, sans aucune modification supplémentaire. Chaque modèle est défini plus en détails ci-dessous. Pour sélectionner un modèle, cliquez, sans relâcher le bouton de la souris, sur une zone située entre les contrôles Stereo Spread et Level, et de faire votre choix dans la liste déroulante qui apparaît. Relâchez le bouton de la souris, une fois votre sélection effectuée. Tous les paramètres de l’EVD6 sont alors disponibles pour modeler davantage encore les caractéristiques sonore du modèle. Vous pouvez, en quelque sorte, choisir des paramètres Model tout en sélectionnant une forme d’onde de l’oscillateur d’un synthétiseur. Comme avec les formes d’onde de base de synthétiseur, les paramètres d’édition peuvent affecter le modèle de manières assez différentes. Par exemple, un réglage particulier du paramètre Excite peut rendre un modèle plus « nasillard et un autre modèle plus « bruyant ». Ces différences de comportement sont dues aux structures harmoniques spécifiques, utilisées par chacun des modèles. Les modèles Cette section décrit les caractéristiques des différents modèles de clavinet simulés. Class(ic) D6 Une simulation quasiment à l’identique du modèle D6 d’origine. Il comporte des bruits de cordes sur de longs temps de chute et un comportement de relâchement réaliste, qui suit le relâchement des touches. Chaque D6 était unique, aussi n’hésitez pas à régler les nombreux contrôles de modelage du son, afin de retrouver le son des clavinets D6 que vous avez utilisées ou entendues.392 Chapitre 23 EVD6 Old D6 Ce modèle simule un D6 qui a bien servi. Les marteaux et les cordes sont un peu anciens et usés. Le son provenant de la frappe des têtes des marteaux est imité, ainsi que le son plus riche typique, dans les basses. Sharp D6 Ce modèle génère un son très pointu avec beaucoup de mordant, un joli son avec effets wah-wah et phaser. Mello(w) D6 Comme son nom l’indique, ce modèle génère un son moelleux. Basic Ce modèle génère le son d’un clavinet de base, tout simple. Domin(ation) Un modèle puissant avec une attaque forte et dynamique, qui réagit de manière plus agressive à la vélocité que les autres modèles. GuruFnk (Guru Funk) Dans les octaves les plus basses, les oscillations des cordes deviennent beaucoup plus résonantes dans le temps, jusqu’à ce qu’elle finissent par s’arrêter (au bout de 20 à 30 secondes). Les notes plus aiguës ont un temps de chute beaucoup plus court, qui influe aussi sur leur résonance. Ce modèle invite à un jeu de basse de style heavy, funk dans les octaves graves. Il est agréable avec un petit peu de phaser, et des accords tenus, lorsque vous jouez des notes basses. Ajouter un module de chute Logic Studio est aussi une bonne idée ! Harpsi(chord) Ce modèle reproduit le son d’un clavecin. Pluck Ce modèle simule le son d’une corde pincée. Lorsque vous changez les positions des capteurs, le son des cordes en est modifié et ce son devient plus proche de celui de la guitare. Les sons de style Harpe sont aussi possibles, en positionnant le capteur inférieur autour de la position centrale. Pour obtenir un son de harpe, augmentez les valeurs de String Decay, Release, et Excite Shape et diminuez celle de Excite Brilliance. (Tuned) Wood Ce modèle génère un son boisé, ténu avec quelques éléments inharmoniques. Il peut sonner légèrement désaccordé dans certains contextes. Ltl (Little) India Ce modèle génère un son de sitar, riche en résonance. S(tring) Bells Un modèle de type cloche, avec de forts éléments inharmoniques.Chapitre 23 EVD6 393 Dulcimer Ce modèle génère un son de type Dulcimer. Picked Ce modèle simule une corde en nylon jouée en « picking ». Remarques particulières sur les modèles Vous remarquerez certaines zones du clavier où le son change de manière significative entre deux touches adjacentes. C’est intentionnel, et reflète le comportement de certains vrais modèles de clavinet simulés par l’EVD6. Le D6 d’origine a lui aussi des différences de timbre très marquées de note à note, la plus évidente étant celle entre la corde la plus aiguë et la corde la plus basse. Si vous êtes un instrumentiste aimant le son d’origine, mais pas les sauts de timbre du mécanisme d’origine, l’EVD6 dispose d’un modèle intermédiaire : MelloD6. Lorsque vous utilisez un réglage employant les deux capteurs assez près des aigus des cordes avec les sélecteurs de filtre Brilliant + Treble, le son fondamental devient relativement faible dans le signal de sortie. Dans ce cas, vous entendrez surtout les harmoniques qui ne sont pas exactement accordés dans les modèles inharmoniques, comme le modèle Wood par exemple. Essayez de déplacer les capteurs vers le centre et désactivez tous les sélecteurs de filtre afin de circonvenir cet effet « désaccordé ». Level Ce bouton permet de régler le niveau « après les effets » en dB (décibels). Pour le régler, cliquez dessus sans relâcher le bouton de la souris et faites-le glisser. Si le contrôleur Expression est utilisé en tant que contrôleur MIDI, le niveau de sortie est ajusté, à moins que ce contrôleur ne soit assigné aux paramètres Wah ou Damper. Damper Wheel et Damper Ctrl Le D6 d’origine est équipé d’un curseur étouffoir situé à droite du clavier qui permet à l’instrumentiste de créer des sons de cordes étouffés. Vous pouvez régler Damper Wheel de deux manières :  Cliquez sur Damper Wheel, et maintenez-le enfoncé, puis faites-le glisser.  Utilisez un contrôleur MIDI, notamment la roulette de modulation de votre clavier. 394 Chapitre 23 EVD6 La position Damper Wheel est sauvegardée avec le son. Le paramètre Damper Ctrl (numéro) vous permet de choisir le contrôleur MIDI qui agira sur la molette d’atténuation (Damper Wheel). Cliquez dessus et choisissez un nom ou un numéro de contrôleur dans le menu. Relâchez le bouton de la souris, une fois votre sélection effectuée. Remarque : vous pouvez utiliser la vélocité MIDI pour contrôler la molette d’atténuation (Damper Wheel). Il suffit de sélectionner le paramètre Velocity dans le menu. Lorsque vous déplacez la molette de votre logiciel via un contrôleur MIDI, celle-ci se déplace également sur l’écran. Le contrôle MIDI peut être désactivé en sélectionnant l’option off, située dans le menu. Remarque : le paramètre Wah Ctrl est traité dans la section page 402. Courbe de vélocité EVD6 comporte neuf courbes de vélocité prédéfinies. Vous pouvez ainsi définir une courbe adaptée à votre style de jeu ou au son. Les neuf courbes disponibles sont les suivantes : fix25%, fix50%, fix75%, fix100%, convex1, convex2, linear (courbe par défaut), concave1 et concave2. Paramètres Excite Les paramètres Escite permettent de décrire le degré d’excitation de la corde. En d’autres termes, ils permettent de définir le niveau de force physique entraînant une oscillation de la corde.Chapitre 23 EVD6 395 Shape Définit la forme de l’attaque, permettant de simuler la dureté des marteaux de caoutchouc dans le D6 d’origine. Avec le vieillissement de l’instrument, les marteaux s’usent, se fendent, etc., ce qui a un impact sur la sonorité et la brillance générales du D6. Des valeurs négatives (vers la gauche) donneront une attaque plus douce, et des valeurs positives une attaque plus dure. Valeurs :–1.00 à +1.00 Brilliance Ce paramètre contrôle le contenu harmonique de l’excitation des cordes. Des valeurs positives (vers la droite) donneront un son plus pointu. Des valeurs négatives donneront un son plus étouffé. Paramètres Click Les marteaux de caoutchouc du D6 d’origine s’usent et déclinent, comme les feutres d’un piano. Un D6 qui a été aimé (et qui est donc usé) produit un « clic » distinctif lorsqu’une touche est relâchée. Ce petit clic est dû à l’adhérence de la corde sur les marteaux de caoutchouc, avant le relâchement de la touche. Les caractéristiques de ce clic de relâchement font partie de chacun des modèles, et peuvent être réglées avec précision à l’aide des paramètres suivants. Intensity Des valeurs positives augmentent le niveau du clic de relâchement au-dessus du réglage d’origine du modèle. Des valeurs négatives réduisent le niveau, une valeur de –1.00 équivaut à une absence du clic de relâchement. Si vous souhaitez simuler un ancien D6, augmentez cette valeur, en déplaçant le curseur vers la droite. Valeurs : –1.00 à +1.00 Random Ce paramètre contrôle la quantité des variations aléatoires du niveau du clic sur le clavier. Ce curseur simule l’usure de certains des marteaux, pas de tous les marteaux, imitant ainsi l’usure réelle et inégale de l’original. Plus vous poussez ce curseur vers la droite, plus la variation sera grande entre les clics de certaines touches. S’il est réglé complètement à gauche, toutes les touches auront le même niveau de clic. Valeurs : 0.00 à +1.00396 Chapitre 23 EVD6 Velocity Le paramètre Velocity contrôle le niveau de modulation du clic de relâchement grâce à la vélocité, exemple : vélocité de relâchement Note On ou Note Off. Valeurs : 0.00 à 1.00. La sélection des informations Note Off et Note On comme source de modulation est déterminée par les boutons KeyOn et KeyOff. Boutons KeyOn et KeyOff Appuyez sur le bouton approprié pour sélectionner le type d’informations de vélocité qui sera utilisé pour la modulation du niveau du clic de relâchement. Appuyez, par exemple, sur le bouton KeyOn, si vous voulez utiliser votre vélocité d’attaque (force avec laquelle vous appuyez sur le clavier) comme valeur pour le clic de touche. Si vous préfé- rez utiliser votre vélocité de relâchement (force avec laquelle vous relâchez les touches de votre clavier) pour déterminer cette valeur, alors appuyez sur le bouton KeyOff. Remarque : KeyOff nécessite un clavier doté de fonctions de vélocité de relâchement. Remarque : le paramètre Velocity doit être défini sur une valeur correcte pour que la modulation KeyOn/KeyOff fonctionne. Paramètres des cordes (String) Le comportement de base des cordes est principalement déterminé par le paramètre Model sélectionné, mais les paramètres suivants vous permettent de modifier plusieurs caractéristiques de cordes, relatives au réglage du modèle. Pour plus d’informations sur la sélection d’un modèle, reportez-vous à la section « Model » à la page 391. Decay Des valeurs positives fournissent un temps de chute, Decay, plus long après l’attaque d’une note. Des valeurs négatives réduisent le temps de chute. Valeurs : –1.00 à +1.00 Paramètres des cordes Chapitre 23 EVD6 397 Release Les valeurs positives offrent un temps de relâchement, Release, plus long suite au relâchement physique de la touche. Valeurs : –1.00 à +1.00 Damping Permet de modifier l’atténuation des sons de corde. Cette atténuation correspond essentiellement à une chute plus rapide pour les partiels/harmoniques les plus aigus d’un son. Il s’agit d’une propriété liée au matériau de la corde utilisé (atténuation plus forte pour les cordes en boyaux, atténuation moyenne pour les cordes en nylon, atténuation faible pour les cordes en acier). L’atténuation donne un son plus moelleux, plus rond ou plus proche du bois, en fonction du modèle utilisé. Une valeur positive rendra le son plus moelleux, et une valeur négative laissera passer davantage de partiels aigus, rendant ainsi le son plus clair. Valeurs : –1.00 à +1.00 Tension Mod Permet d’ajouter un effet non linéaire aux sons de corde, entraînant généralement une tonalité légèrement plus forte, dès que les cordes ont été pincées, touchées ou grattées. Cet effet est commun à tous les instruments à cordes, comme le D6, les guitares, etc. Cette caractéristique de la modulation de tension est intégrée ç chaque modèle, mais peut être davantage modifiée à l’aide du paramètre Tension Mod. La fourchette de ce paramètre est assez large, vous pouvez ainsi l’utiliser pour obtenir des effets sonores bizarres avec l’EVD6. Vous pouvez également simuler un clavinet désaccordé, ou un son de sitar bref et sale, utilisé dans des reprises de type « Norwegian Wood ». Valeurs : –1.00 à +1.00 Stiffness/Inharmonicity Permet d’accroître ou de réduire le degré d’inharmonicité du son. Lorsqu’ils sont combinés à différents niveaux, ces paramètres peuvent créer des sons « métalliques » de type cloche, ou des sons de type piano électrique comme ceux du DX. Ils peuvent également être utiles pour produire des sons de basse de type acoustique. Essayez ces deux paramètres sur chaque modèle. Plus le niveau du paramètre Inharmonicity est élevé, plus le seuil des fréquences entrantes est bas. En d’autres termes, le paramètre Inharmonicity détermine l’harmonique le plus bas, au-delà duquel l’étalement du spectre inharmonique devient significatif. Valeurs : –1.00 à +1.00 Le paramètre Stiffness contrôle l’intensité de cet étalement spectral, de cet étirement. La tonique n’est pas affectée par ces paramètres.398 Chapitre 23 EVD6 Pitch Fall Du fait même de la construction du D6 d’origine, la hauteur de chaque note retombe immédiatement après le relâchement de la touche. L’intensité de cet effet, qui varie selon chaque modèle, peut être modifiée à l’aide de ce paramètre. Pour désactiver complètement cette chute de hauteur, quel que soit le modèle sélectionné, réglez ce paramètre complètement à gauche (1.00). Valeurs : –1.00 à +1.00 Paramètres des capteurs (Pickup) Le D6 d’origine est équipé de deux capteurs (pickups) électromagnétiques, un peu comme ceux qui équipent les guitares électriques : un au-dessous des cordes (lower) et un au-dessus (upper). Pickup Position Contrairement aux capteurs fixes de l’instrument d’origine, les capteurs de l’EVD6 peuvent être placés sur des positions et des angles arbitraires. Pour cela, il suffit de cliquer sur une des extrémités d’un des capteurs (Upper ou Lower) sans relâcher le bouton de la souris et de faire glisser cette extrémité à une autre position. Relâchez le bouton de la souris lorsque vous avez terminé. Les deux extrémités peuvent être déplacées simultanément en cliquant et en faisant glisser le point central du capteur à une nouvelle position. Les champs numériques upper et lower, situés en haut à gauche de la fenêtre, indique la position actuelle de chaque capteur, par rapport à la corde. Une valeur de 50 (pour cent) signifie que l’extrémité de ce capteur est positionné au-dessus ou en dessous du centre de la corde, ce qui donnera un son plein avec du corps. Si le capteur se rapproche d’une des deux extrémités de la corde (valeur proche de 0 ou de 99), le son deviendra plus ténu. Dans la fenêtre graphique des capteurs, les cordes sont alignés de gauche à droite selon leur hauteur, les basses à gauche et les aiguës à droite. Chapitre 23 EVD6 399 Lorsque vous déplacez la position des capteurs, frappez répétitivement une note afin d’entendre l’effet de cette position sur la tonalité générale de votre son. Des effets intéressants, de type phaser, peuvent être obtenus en automatisant les positions des capteurs. Important : il est possible de filtrer les capteurs dans la fenêtre Pickup Position. Toutefois, cela peut provoquer un « trou » (notes muettes ou très faibles) dans la plage de votre clavier. Cela est dû à une annulation de phase entre les capteurs. Si vous rencontrez ce type « d’annulations », réglez un des capteurs (ou les deux) jusqu’à ce que les notes concernées puissent être jouées. Pickup Mode En cliquant sur les sélecteurs AB et CD, vous pouvez modifier le câblage virtuel des deux capteurs. Le câblage actuel, appelé Pickup Mode sur l’EVD6, est affiché dans le champ Pickup Mode. Vous pouvez également cliquer directement sur la fenêtre Pickup Mode, et sélectionner le mode de votre choix dans le menu.  C + A = Lower  C + B = Upper  D + A = Lower-Upper  D + B = Lower+Upper Consultez également les sections « Diffusion stéréo » à la page 390 et « Sélecteurs de capteur (Pickup) » à la page 389. Paramètres des effets Une simulation de clavinet est incomplète si vous n’avez pas sélectionné de créateurs d’effets. L’EVD6 ne vous décevra pas sur ce point, car il comporte trois effets de type pédale qui font partie intégrante des sons classiques d’un clavinet depuis des décennies. Chaque effet a été soigneusement modelé sur les pédales d’effets qui ont accompagné les années de gloire du clavinet, les années 70, vous assurant un son vraiment « vintage ». Bien entendu, vous pouvez également utiliser la gamme complète de modules d’effets Logic Studio pour affiner davantage votre son.400 Chapitre 23 EVD6 Distortion L’effet de distorsion intégré permet d’ajuster l’intensité et la tonalité. Valeurs : Tone (tonalité) –2 000 Hz à 20 000 Hz, Gain (intensité) –0 dB à 20 dB. De faibles valeurs de Tone et de Gain pour l’unité de distorsion, permettent la création d’effets de saturation chauds. Des valeurs de Tone et de Gain plus élevées produiront des effets de distorsion plus criards. Compressor Le compresseur précède toujours l’effet Distortion. Il vous permet d’augmenter ou de diminuer l’intensité perçue, et ce afin de définir le niveau d’entrée souhaité au circuit Distortion. Le compresseur permet de réelles distorsions « crunchy », associées à un effet wah-wah, ou de phaser. Il peut aussi être utile pour améliorer le son du bruit de touche, et accentuer les harmoniques des divers modèles. Compression Ratio Le champ Compression Ratio permet de régler la pente de la compression appliquée. Pour le régler, il suffit de cliquer sur le champ sans relâcher le bouton de la souris, et d’utiliser la souris comme un curseur. Le compresseur est lié à l’effet de distorsion, et le précède toujours. Ainsi, le paramètre Effects Order est très important pour le placement de ce compresseur dans la chaîne des effets. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section « FX Order » à la page 404. Remarque : si l’effet Compressor/Distortion est utilisé comme le dernier effet de la chaîne, et que son gain est complètement baissé, mais que le paramètre Compression Ratio est élevé, vous compressez effectivement le signal de sortie de l’EVD6. Chapitre 23 EVD6 401 Wah L’effet wah-wah typique est généré par un filtre à déplacement dynamique. L’EVD6 permet des simulations de plusieurs effets wah-wah classiques, ainsi que certains types de filtre de base. Les valeurs possibles sont les suivantes : off, ResoLP, ResoHP, Peak, CryB, Morl1, Morl2. Ces abréviations signifient Resonant Low et High Pass (filtres résonants Passe-Haut et Passe- Bas), filtres Peaking, CryBaby, Morley 1 et Morley 2. Les trois derniers correspondent à de célèbres modèles de pédales d’effets qui sont toujours fabriquées de nos jours. Remarque : la combinaison de l’effet wah, suivi d’une distorsion, satisfera ceux qui recherchent un résultat de type « funky fuzz-wah ». Wah Mode Il suffit de cliquer sur le champ (Wah) Mode sans relâcher le bouton de la souris, et de choisir le modèle (d’effet de pédale) désiré dans le menu local. Range Permet de déterminer la fréquence de coupure du filtre défini dans le champ Wah Mode. Si le potentiomètre Range est tourné vers la gauche, la fréquence de coupure ne se déplacera que sur une bande étroite. Pour obtenir des possibilités de contrôle plus étendues, tournez le potentiomètre Range vers la droite. Envelope (Depth) Permet de régler la sensibilité de l’enveloppe selon vos performances, ainsi que l’ampleur de la modulation du filtre. La forme de l’enveloppe suivra les nuances de votre interprétation. Un effet Auto Wah est produit par le biais d’une enveloppe follower afin de contrôler automatiquement la fréquence de coupure du filtre. Réglez le paramètre Envelope vers la droite pour augmenter l’ampleur de la modulation.402 Chapitre 23 EVD6 Wah Ctrl Permet de définir le (numéro/nom) du contrôleur MIDI utilisé pour contrôler manuellement l’effet wah. Par exemple, les contrôleurs au pied MIDI sont fréquemment utilisés pour contrôler des effets wah, et ce paramètre vous permet de configurer l’EVD6 à utiliser avec votre contrôleur au pied MIDI pour contrôler des effets wah. Vous pouvez également utiliser la vélocité MIDI pour contrôler l’effet wah. Cliquez simplement sur le champ du paramètre correspondant et sélectionnez la vélocité dans le menu local qui apparaît. Le contrôle/couplage MIDI peut être désactivé en sélectionnant la valeur off. Remarque : le contrôleur manuel et l’enveloppe peuvent contrôler l’effet wah simultanément. Dans ce cas, l’effet de l’enveloppe et du contrôleur manuel sont mélangés. Comme pour Damper, il y a un curseur nommé Wah Pedal Position qui représente toujours la position actuelle de la pédale. Ainsi vous êtes sûr que la plus récente position de la pédale est sauvegardée avec le son. Le curseur Wah Pedal Position n’est disponible que dans la vue des contrôles. Choisissez View > Controls pour passer de la vue Controls à la vue Editor. La position de la pédale (Pedal Position) peut être automatisée en enregistrant les messages du contrôleur MIDI, ou en utilisant le système d’automation de piste.Chapitre 23 EVD6 403 Modulation L’EVD6 dispose d’une unité de modulation avec trois types d’effets au choix. Mode Le champ Mode vous permet de choisir entre un effet de modulation de type Phaser, Flanger ou Chorus. Cliquez sur le menu local sans relâcher le bouton de la souris, puis faites votre choix. Phaser Le paramètre Rate permet de régler la vitesse du phasing, et le paramètre Intensity son ampleur. Valeurs : Rate 0,10 Hz à 10 Hz, Intensity 0 à 100 En cas de valeurs élevées, ces sons coupants connaîtront des changements de phases importants et variant de manière incontrôlée (Attention : ces sons peuvent également endommager les oreilles, ainsi que les haut-parleurs). Chorus Permet de régler la vitesse de l’effet Chorus, et le paramètre Intensity permet de régler son intensité. Des valeurs élevées pour l’Intensity donneront des effets de type ensemble. Valeurs : Rate –0,10 Hz à 10 Hz, Intensity –0 à 100 Flanger Le paramètre Rate permet de régler la vitesse du flanging, et le paramètre Intensity son ampleur. Valeurs : Rate –0,10 Hz à 10 Hz, Intensity –0 à 100. Unité de modulation404 Chapitre 23 EVD6 FX Order L’ordre des effets combinés en série peut être sélectionné ici. Quatre possibilités vous sont proposées.  WDM : Wah > Distortion > Modulation  DWM : Distortion > Wah > Modulation  MDW : Modulation > Distortion > Wah  WMD : Wah > Modulation > Distortion Tout comme des pédales qui pourraient être connectées les unes aux autres en série, la section des effets de l’EVD6 vous invite à l’expérimentation. Ce routage d’effets assignable à votre convenance est particulièrement utile pour indiquer si un signal distordu doit être filtré par l’effet Wah (pour donner des sons « plus funky »), ou inversement si le son filtré par l’effet Wah doit être ensuite distordu (pour donner des sons « hurlants ») par exemple. Contrôler l’EVD6 via MIDI Il est possible de contrôler et d’automatiser les paramètres de l’EVD6 et des autres modules à l’aide des contrôles MIDI disponibles sur la plupart des claviers maîtres et des pupitres de curseurs MIDI. Les assignations des contrôleurs MIDI ne sont mises à jour que si le réglage par défaut est chargé, ou si un réglage qui a été sauvegardé avec un morceau, est chargé. Il existe toutefois une exception. Si Velocity est choisi dans un réglage, l’assignation est mise à jour. Lorsque vous sélectionnez un réglage qui n’a pas d’autre contrôleur assigné que la vélocité, la valeur par défaut ou la dernière valeur sélectionnée manuellement (autre que la vélocité) est utilisée. Tous les paramètres vous permettant de sélectionner un contrôleur MIDI disposent d’une option Learn (apprendre). Si cette option est sélectionnée, le paramètre sera automatiquement assigné au premier message de données MIDI entrant approprié. Le mode d’apprentissage présente une fonction de délai de 20 secondes : Si l’EVD6 ne reçoit pas de message MIDI dans les 20 secondes, le paramètre revient à son assignation de contrôleur MIDI d’origine.Chapitre 23 EVD6 405 Remarque : comme la nouvelle entrée est ajoutée en haut de la liste, les données d’automatisation existantes doivent être augmentées d’une unité. Brève histoire du Clavinet La société allemande Hohner, qui a conçu le Clavinet, était surtout connue pour ses instruments à anches (harmonicas, accordéons, mélodicas, etc.), mais la marque a aussi fabriqué un certain nombre de claviers « classiques », avant la première incarnation du Clavinet, connue sous le nom de « Cembalet ». Le musicien et inventeur, Ernst Zacharias, a conçu le Cembalet dans les années 50. Il était supposé être une version portable et amplifiable du Cembalo ou de l’Harpsichord. Son mécanisme revenait à pincer l’extrémité d’une anche plate avec la touche, dont le son était ensuite capté et amplifié un peu comme dans une guitare électrique. Un an ou deux après la commercialisation du Cembalet, deux modèles de Pianet sont apparus. Ces deux modèles, CH et N, utilisaient des anches plates pour la génération sonore, mais avec une action mécanique (pincement/frappe) très différente. Lorsqu’une touche était enfoncée, elle entraînait un « patin adhésif » avec un renforcement en mousse, qui était en fait collé à l’anche. Lorsque la touche était relâchée, son poids permettait au patin adhésif de se libérer de l’anche, provoquant ainsi la vibration de l’anche, vibration qui était ensuite amplifiée. Le Pianet modèle T a été commercialisé plusieurs années après, et utilisait un « patin de succion » en caoutchouc souple sur les anches au lieu d u patin adhésif utilisé pour les modèles CH et N. Cette méthode présentait encore quelques inconvénients, mais ils n’étaient pas trop gênants car la dynamique du clavier était limitée. Autre défaut, toutes les anches étaient atténuées lors du relâchement des touches, ce qui enlevait toute possibilité d’obtenir une tenue (sustain) via une pédale. Malgré ces problèmes flagrants, le son du Pianet modèle T a été rendu populaire par certains groupes, comme les Zombies et les Small Faces, dans les années 60. Entre la commercialisation des Pianet modèles N et T, Zacharias a inventé ce qui allait devenir le plus grand succès d’Hohner, et certainement le plus funky des claviers : le Clavinet. Le Clavinet a été conçu pour imiter le son d’un clavicorde, mais avec un son plus « plein ». (Le clavicorde était réputé pour avoir un son très « ténu «.) Les premiers modèles, Clavinet I avec ampli intégré, Clavinet II avec filtres, Clavinet L avec sa forme bizarre en triangle, ont tous conduit au modèle C du Clavinet. Celui-ci a, à son tour été redéfini pour devenir le D6, un clavier portable et amplifiable. Le D6 utilisait un marteau frappant une corde contre une surface métallique pour produire le son. Il était équipé d’un clavier entièrement dynamique. Comme un marteau était situé directement sous la touche, plus vous frappiez fort, plus le son était fort et vibrant.406 Chapitre 23 EVD6 Si vous dites « Clavinet » aujourd’hui tout le monde pensera automatiquement au titre « Superstition » de Stevie Wonder, un morceau qui a rendu aussi célèbre le D6, que l’artiste qui l’a écrit et interprété. Le D6 a ensuite été remplacé par le E7 et le Clavinet/ Pianet Duo. Ils étaient identiques au D6, mais plus achevés, plus silencieux et mieux protégés comme les bruits parasites que les anciens modèles. Comment fonctionne le Clavinet D6 Chaque touche du clavier du D6 forme un seul bras de levier. Lorsqu’une touche est enfoncée, un piston situé en dessous presse la corde contre une enclume. La corde frappe l’enclume avec une force correspondant à la vélocité de la touche. Cela affecte la dynamique de la corde qui vibre. Ces vibrations mécaniques sont converties en fréquences électriques à travers des capteurs magnétiques, puis sont amplifiées et reproduites par le haut-parleur. Lorsque la touche est relâchée, le contact entre le piston et l’enclume est rompu, le garnissage de laine entourant la corde est alors libéré et la vibration de la corde est étouffée. Double déclenchement des notes Lorsque vous essayez l’EVD6, ou écoutez certains des réglages fournis, vous pouvez rencontrer des sons qui semblent être déclenchés deux fois : lors de l’enfoncement de la note et lors de son relâchement. Il s’agit d’une caractéristique, qui simule le D6 d’origine. Le vrai D6 avait un « problème » lié aux cordes qui adhéraient aux marteaux lorsqu’ils étaient usés, produisant ainsi un second déclenchement lorsque la touche était relâchée. Vous pouvez régler l’intensité de ce double déclenchement à l’aide du curseur Intensity de la section Click (voir « Paramètres Click » à la page 395). En déplaçant ce curseur complètement vers la gauche, le second déclenchement du au relâchement des touches ne sera plus audible !24 407 24 EVP88 L’EVP88 est un piano électrique virtuel qui simule le son des différents pianos Rhodes et Wurlitzer ainsi que celui du piano Hohner Electra. Les sons des divers pianos Fender Rhodes sont parmi les plus populaires des sons d’instruments à clavier utilisés dans la seconde moitié du vingtième siècle. Les différents modèles Rhodes ont été rendus célèbres dans divers styles musicaux, allant de la pop, du rock, au jazz et à la soul ainsi que dans des genres plus récents comme la house et le hip hop. Le piano Wurlitzer, qui connut l’apogée de son succès dans les années 70, fut presque aussi populaire. Le piano Rhodes, l’orgue Hammond et les synthétiseurs analogiques à synthèse soustractive étaient considérés comme des instruments « fondamentaux » dans la panoplie de claviers des musiciens rock entre 1965 et 1985. Ils apparaissaient alors comme des instruments incomparables et inégalables, ce qui est encore le cas aujourd’hui. À propos de l’EVP88 Le moteur de synthèse du piano EVP88 a été conçu uniquement pour simuler les pianos électriques de façon très réaliste. La dynamique des sons qu’il offre et leur répartition sur un clavier à 88 notes sont très progressives et ne souffrent d’aucun changement brusque de sonorité, caractéristique des instruments échantillonnés. Aucune boucle n’est audible et vous n’entendrez jamais de fermeture de filtre passe-bas pendant la phase de chute d’une note. Le moteur de l’EVP88 simule également le mouvement physique des diverses anches, tiges et barres tonales du piano électrique dans les champs électriques et magnétiques des capteurs présents dans les instruments d’origine. Il synthétise l’effet des éléments transitoires typiques de la phase d’attaque (sonneries, claquements, sons de cloche) ainsi que l’action des marteaux et les bruits d’étouffoir. Le générateur sonore réagit en douceur, musicalement et avec précision aux 127 niveaux de sensibilité à la vélocité définis par la spécification MIDI.408 Chapitre 24 EVP88 Vous découvrirez, incorporé à la face avant de l’EVP88, un processeur d’effets intégré, fournissant divers effets classiques couramment utilisés sur les sons de piano électrique. Les algorithmes employés dans le processeur d’effets ont été spécialement conçus, adaptés et optimisés pour l’EVP88. Ils incluent : un égaliseur sonore très performant, un overdrive, un modulateur de phase stéréo, un effet de trémolo stéréo et un effet de chorus stéréo. Paramètres de l’EVP88 Cette section décrit les divers contrôles disponibles sur le panneau avant de l’EVP88. Paramètres globaux Les paramètres globaux influent l’ensemble de l’instrument EVP88, plutôt que des modèles de piano électrique spécifiques. Model Le gros potentiomètre Model vous permet de choisir le modèle de piano électrique. Lorsque vous sélectionnez un nouveau modèle, toutes les voix audibles sont coupées et les valeurs standard de tous les paramètres sont restaurées. Il est donc conseillé de choisir le modèle avant de modifier les réglages d’effets et de paramètres. Plusieurs modèles Rhodes sont disponibles, tels que le Mark I, le Mark II et le Suitcase Piano ainsi que les modèles Wurlitzer et Hohner Electra. Pour en savoir plus sur les instruments simulés, reportez-vous à la section « Brève histoire du Clavinet » à la page 405. Les noms de ces instruments sont des marques déposées et sont protégés par la loi. Chapitre 24 EVP88 409 Voices Le paramètre Voices permet de définir le nombre maximum de voix pouvant être combinées simultanément. En réduisant la valeur de ce paramètre, vous limitez la polyphonie et les besoins de traitement de l’EVP88. Lorsque ce paramètre est défini sur 1, l’instrument est monophonique et utilise une puissance de calcul minimale. La valeur maximale 88 permet des glissandi avec sustain sur toute l’étendue du clavier. Ce réglage consommera bien entendu beaucoup plus de puissance de calcul. Tune Le réglage Tune global permet d’accorder l’EVP88 par incréments de cent. La valeur 0 équivaut au LA de référence à 440 Hz. La plage de valeurs possibles est de ±50 cents ou, en termes plus «musicaux, plus ou moins la moitié d’un demi-ton. Pour les transpositions par demi-ton ou par octave, utilisez la zone Paramètres de région de la fenêtre d’Arrangement, comme pour tout autre instrument MIDI standard. Paramètres de modélisation Les paramètres de modélisation affectent spécifiquement le modèle sélectionné. Decay Temps de chute du son du piano. Plus cette valeur est basse, moins le son est soutenu et plus l’effet d’atténuation appliqué à la vibration des tiges est important. Si ce paramètre est réglé sur des durées courtes, la tonalité principale sera plus prononcée et les sons plus longs que ceux des harmoniques transitoires. L’effet rappelle un peu celui d’une corde de guitare électrique qui serait étouffée par la paume d’une main. Les pianos électriques peuvent être modifiés de la même manière. Des durées plus longues résultent en un son plus soutenu et une impression de dynamique moindre. Remarque : essayez les modules de compression de Logic Studio et testez différents réglages du paramètre Decay. Release Le paramètre Release détermine le niveau d’atténuation appliqué après le relâchement des touches. Des réglages extrêmement longs permettent d’utiliser ce piano comme un vibraphone.410 Chapitre 24 EVP88 Bell Le paramètre Bell détermine le niveau des aigus inharmoniques dans le son. Il est utile pour émuler un certain nombre de sons classiques et typiques des pianos électriques. Damper Ce paramètre règle le niveau du bruit d’atténuation causé par le feutre de l’étouffoir sur la tige en vibration. Stereo Lorsque ce paramètre est réglé sur des valeurs élevées, le son des notes graves est produit par le canal gauche et celui des notes aiguës par le canal droit. Bien qu’il soit agréable et « planant », l’effet n’est pas typique des sons de pianos électriques « vintage ». Remarque : grâce aux modules de Logic Studio, vous pouvez traiter différemment les notes hautes et les notes basses. Avec un routage approprié du signal, vous avez par exemple la possibilité d’ajouter des basses au moyen d’un égaliseur dans le canal gauche correspondant et d’appliquer un peu d’écho aux notes plus hautes. Soyez créatif ! Stretch et Warmth L’EVP88 est accordé selon un tempérament égal. Toutefois, à partir de ce réglage standard, vous pouvez modifier l’accord dans les basses et les aigus, un peu comme pour les pianos acoustiques (en particulier les pianos droits). Vous pouvez aussi moduler l’accord de chaque note de façon aléatoire. Remarque : la sonorité des pianos droits et, dans une moindre mesure (du fait de leurs cordes plus longues), celle des pianos à queue, comporte des « inharmoniques » dans sa structure harmonique. Les fréquences de ces harmoniques ne sont pas exactement des multiples pairs de la fréquence de base. Elles ne sont qu’approximatives et sont en fait un peu plus aiguës. Ainsi, les harmoniques des notes (accordées) plus basses sont relativement plus proches des fréquences principales des notes plus hautes. Étant donné qu’ils sont dépourvus de corde, cette relation inharmonique n’est pas vraie pour les pianos électriques, ni pour l’EVP88. La fonction Stretch a été incluse au cas où vous souhaiteriez utiliser l’EVP88 dans un arrangement, en association avec un piano acoustique.Chapitre 24 EVP88 411 Lower Stretch Définit la déviation par rapport au tempérament égal pour les basses. Plus cette valeur est élevée, plus les notes basses seront accordées vers le bas. Avec un réglage sur 0, l’EVP88 est accordé selon un tempérament égal, la fréquence étant réduite exactement de moitié à chaque passage à l’octave inférieure. Upper Stretch Définit la déviation par rapport au tempérament égal pour les aiguës. Plus cette valeur est élevée, plus les notes aiguës seront accordées vers le haut. Avec un réglage sur 0, l’EVP88 est accordé selon un tempérament égal, la fréquence étant exactement doublée à chaque passage à l’octave supérieure. Warmth Valeur de la déviation aléatoire par rapport au tempérament égal. Des valeurs élevées donnent plus de vie aux sons. Remarque : lorsque vous appliquez les paramètres Warmth et Stretch, n’oubliez pas qu’ils peuvent donner un son désaccordé, similaire à un effet de chorus un peu lourd. Effets L’EVP88 offre des effets intégrés d’égaliseur, d’(over) drive, de modulateur de phase, de trémolo et de chorus. Equalizer L’égaliseur vous permet d’amplifier ou de réduire les fréquences hautes et basses du son de l’EVP88. Treble Il s’agit d’un filtre conventionnel pour les fréquences hautes. En fonction du modèle choisi, des filtres en plateau ou à crête sont employés, avec des plages de fréquences optimisées pour chaque modèle. Bass Il s’agit d’un filtre conventionnel pour les fréquences basses. En fonction du modèle choisi, des filtres en plateau ou à crête sont employés, avec des plages de fréquences optimisées pour chaque modèle.412 Chapitre 24 EVP88 Remarque : en supprimant les bandes de fréquences aiguës et basses, vous obtiendrez un son très direct et très agressif avec une forte dominance des médiums. Si vous avez besoin d’une égalisation plus précise, souvenez-vous que vous pouvez insérer n’importe quel module d’égalisation deLogic Studio dans la bande de canal instrumental. Un contrôle du son dans l’effet d’overdrive peut également être utilisé pour mieux définir le contour du son. Drive Les pianos électriques sont plus performants lorsque des amplificateurs à tube sont utilisés. Ces derniers offrent une grande variété de possibilités sonores, allant de la subtilité chaude des sons mordants des amplificateurs de guitare à la distorsion rock hurlante et psychédélique. L’EVP88 offre un effet d’overdrive simulant la saturation caractéristique d’un amplificateur à tube. Le processus d’overdrive est le premier circuit de traitement du signal dans la chaîne des effets disponible sur l’EVP88. Tone Le contrôle Tone sert à égaliser le son avant que le circuit de l’amplificateur à tube virtuel l’amplifie ou lui fasse subir une distorsion. Vous pouvez choisir ici une sonorité plus moelleuse et encore accentuer les aigus à l’aide de l’égaliseur situé après le circuit d’overdrive. Si vous préférez une distorsion ayant des caractéristiques plus dures typiques d’un amplificateur à transistor saturé, utilisez des valeurs plus élevées pour ce paramètre. Si le son devient trop dur, vous pouvez supprimer les aigus au moyen du contrôle Treble, après le processus d’overdrive. Gain Le contrôle Gain détermine le taux de distorsion harmonique.Chapitre 24 EVP88 413 Phaser Les pédales de modulation de phase popularisées par les guitaristes électriques sont également très populaires parmi les pianistes électriques, en particulier dans les styles jazz électrique, jazz, jazz rock et pop des années 70. Les effets de modulation de phase à quatre étages sont basés sur un décalage de phase obtenu au moyen de filtres passetout modulés. Le mélange du signal déphasé avec le signal d’origine provoque des ruptures caractéristiques dans la courbe de réponse en fréquence, également connues sous le nom d’effet de filtre en peigne. Les fréquences de ces ruptures dans la plage de fréquences ne sont pas harmoniques, mais sont décalées vers le haut ou le bas dans le spectre sonore au moyen de la modulation LFO. Remarque : Logic Studio offre davantage de paramètres dans son Phaser et d’autres modules de modulation. Vous pouvez utiliser ces effets à la place du Phaser de l’EVP88 ou bien conjointement avec ce dernier. Les paramètres du module Phase de l’EVP88 ont de nombreux points communs avec ceux des meilleurs modulateurs de phase analogique des années 60 et 70, parmi lesquels un effet de distorsion subtil de type analogique. Il offre les mêmes possibilités de traitement interne 32 bits et la même qualité sonore que le module Phaser de Logic Studio. Rate Définit la vitesse de la modulation de phase. Lorsque ce paramètre est réglé sur 0, le module Phaser est désactivé. Color Définit l’intensité de la coloration sonore introduite par le module Phaser, qui est causée par la réinjection du signal de sortie du modulateur de phase dans sa propre entrée. Stereophase Décalage de phase relatif entre les canaux gauche et droit, allant de 0° à 180°. Si la valeur 0° est sélectionnée, l’effet est très intense, mais pas stéréophonique. Si la valeur 180° est sélectionnée, l’effet augmente dans le canal gauche alors qu’il se réduit de manière symétrique dans le canal droit, et vice versa. 414 Chapitre 24 EVP88 Tremolo Une modulation périodique de l’amplitude (niveau) du son est appelée tré- molo. La modulation est contrôlée par le biais d’un modulateur sub-audio (LFO). Le « Suitcase Piano » Fender Rhodes est équipé d’un trémolo stéréo alors que de nombreux autres pianos électriques disposent d’un trémolo monophonique simple, mais très marqué, pouvant même introduire une sorte de sensation polyrythmique dans l’interprétation. Remarque : le piano Wurlitzer original est doté d’un trémolo monophonique avec une vitesse de modulation fixe de 5,5 Hz. Pour obtenir un son Wurlitzer authentique, choisissez la valeur 0°. Pour obtenir des sons Rhodes, sélectionnez 180°. Les réglages intermédiaires donnent des effets agréables et « planants », en particulier pour des vitesses de modulation LFO basses. Rate Définit la vitesse de l’effet trémolo (fréquence de l’oscillateur sub-audio). Intensity Ajuste le taux de modulation du LFO. Lorsque la valeur 0 est sélectionnée, l’effet de trémolo est désactivé. Stereophase Avec un réglage sur 0°, le niveau ondule en phase sur les deux canaux. Si la valeur 180° est sélectionnée, la modulation est complètement déphasée, ce qui produit un effet de trémolo stéréo également connu sous le nom de « panoramique automatique ». Cet effet est similaire à celui obtenu lorsque vous tournez manuellement le potentiomètre panoramique d’un côté à l’autre.Chapitre 24 EVP88 415 Chorus L’effet bien connu de chorus est basé sur un circuit à retard, dont le temps de retard est en permanence modulé par un oscillateur sub-audio (LFO), tandis que le signal d’effet retardé est mélangé avec le signal sec d’origine. Il s’agit de l’effet le plus couramment utilisé sur les sons de pianos électriques. Ce paramètre régule l’intensité (valeur de la déviation du temps de retard) alors que la vitesse de l’oscillateur sub-audio est fixée à 0,7 Hz. Faites très attention lorsque vous utilisez des valeurs élevées, car le piano peut sembler désaccordé avec ce paramétrage. Autres paramètres L’EVP88 offre des paramètres étendus accessibles par le biais du triangle d’affichage situé en bas de sa fenêtre.  Curseur et champ Volume : définissent le niveau de sortie global de l’EVP88 (plage : –20 à +20 dB).  Curseurs et champs Bend Range Down et Bend Range Up : déterminent la plage du Pitch Bend, en demi-tons.  Curseur et champs Chorus Rate : détermine la vitesse de l’effet Chorus, en Hz.  Curseurs et champs Delay PP et FF : définissent le temps de retard (en millisecondes) pour un jeu pianissimo (PP, doux) ou forte (FF, fort). Modèles de pianos électriques émulés Cette section fournit des informations générales sur les instruments émulés par l’EVP88.416 Chapitre 24 EVP88 Rhodes Harold Rhodes (né en 1910) a, sans conteste, construit le modèle de piano électrique le plus connu et le plus largement utilisé. Conçu en 1946 comme un substitut au piano pour l’étude, l’éducation et les spectacles de l’armée, le piano Rhodes a été commercialisé avec succès par le fabricant de guitares Fender dès 1956. Le Fender Rhodes est devenu un des instruments de musique les plus populaires en Jazz, surtout en Jazz électrique. Sa popularité au sein de la musique Pop et Rock s’est développée après que CBS ait repris la production du Rhodes en 1965. Malgré les différents changements de propriétaires au cours de l’histoire de la société, cet instrument est surtout connu sous son appellation « Fender Rhodes » Il existe ainsi un certain nombre de synthétiseurs « Rhodes » (qui ont été développés par l’ancien fabricant de synthétiseurs ARP). Le fabricant japonais de technologie musicale et de synthétiseurs Roland a été propriétaire du nom Rhodes pendant un moment et a commercialisé plusieurs pianos numériques sous cette appellation. À par tir de1997, et jusqu ’à sa mort en décembre 2000, c’est Harold Rhodes qui est redevenu à nouveau propriétaire du nom. La méthode de génération sonore utilisée par le piano Rhodes est basée sur des tiges métalliques qui fonctionnent un peu comme un diapason. Ces tiges sont frappées par un marteau qui fonctionne comme les marteaux d’un piano de concert. Le diapason conçu de façon asymétrique se compose d’une fine tige reliée à une barre tonale massive. En raison de contraintes de fabrication, certaines des barres tonales sont pivotées de 90 degrés. Le piano peut être accordé grâce à la masse d’un ressort pouvant être déplacé le long de la tige. La tige oscille devant un capteur électrique, similaire à celui d’une guitare électrique. Cela fonctionne selon les principes de l’induction, avec des aimants permanents placés autour de la tige ayant un effet d’atténuation sur son mouvement et affectant de ce fait le son. Le signal de sortie du piano Rhodes, comme celui d’une guitare électrique, est plutôt faible et nécessite une forte préamplification. Le son de ce piano n’est pas riche en harmoniques. C’est pourquoi une accentuation des aigus ou un effet d’overdrive, tous deux pouvant ajouter des harmoniques, sont plutôt les bienvenus lorsqu’il s’agit de jouer sur un Rhodes. Et comme mentionné précédemment, les performances sont encore meilleures si des amplificateurs à tube sont utilisés. Le piano Rhodes a également été proposé sous la forme d’un « suitcase piano » (avec préamplificateur et amplificateur combo à deux voies) et d’un piano de scène, sans amplificateur. Ces deux versions « portables » à 73 touches disposent d’un cadre en bois recouvert de vinyle et d’un couvercle en plastique. En 1973, un modèle à 88 touches a été lancé. Les versions Celeste et pour basses, de taille plus réduite, eurent moins de succès. Le couvercle du Mk II (1978) était plat au lieu d’être arrondi. Cela permettait à l’instrumentiste de poser d’autres claviers sur le Rhodes. Lancé en 1984, le Mark V était même équipé d’une sortie MIDI. À cette époque, la production de Rhodes a diminué, la plupart des musiciens investissant dans des synthétiseurs numériques plus souples d’emploi (et plus légers). Ces claviers pouvaient émuler le son des anciens pianos, comme le Rhodes, et offraient en supplément une grande variété de nouveaux sons admirables.Chapitre 24 EVP88 417 Les caractéristiques sonores spécifiques à chaque piano Rhodes dépendent davantage du réglage et de la maintenance de l’instrument que du modèle lui-même. Les premiers modèles disposaient de marteaux recouverts de feutre, qui leur donnaient un son plus doux que celui des modèles plus récents, dotés de marteaux recouverts de néoprène. Le « suitcase piano » était équipé d’un préamplificateur capable de créer un son avec une forte prédominance des médiums. Toutefois, des préamplificateurs et des égaliseurs appropriés permettent d’obtenir le même résultat avec un piano de scène. Le piano de scène ne dispose pas de cordon d’alimentation, tout comme les guitares électriques. Le MkII n’est pas équipé de résonateurs dans les aigus, contrairement aux modèles plus anciens. C’est pour cette raison qu’il tient un peu moins la note dans les aigus. Les différences les plus importantes en termes sonores dépendent de la distance qui sépare la tige du capteur. Si la tige est proche du capteur, le son de cloche caractéristique devient plus proéminent. Dans les années 80, beaucoup de pianos Rhodes étaient réglés afin de renforcer ce type de son, qui était à la mode à l’époque, c’était le goût du jour. Modèles de piano Rhodes  Suitcase MkI  Suitcase V2  Bright Suitcase  Stage Piano MkI  Stage Piano MkII  Bright Stage MkII  Hard Stage MkII  MarkIV  Metal Piano  Attack Piano Les modèles Metal Piano et Attack Piano offrent des sons de qualité, pouvant être comparés à ceux des instruments Rhodes d’origine, mais sans les égaler tout à fait. Ils ne sont pas aussi réalistes, mais représentent l’idéal que les techniciens Rhodes pouvaient rechercher lorsqu’ils concevaient leurs claviers.418 Chapitre 24 EVP88 Piano Wurlitzer Ce célèbre fabricant de juke-boxes et d’orgues a aussi construit des pianos électriques, dont les versions portables ont contribué à écrire l’histoire de la musique pop et rock. Les pianos Wurlitzer de la gamme 200 sont plus petits et plus légers que les pianos Rhodes, avec un clavier de 64 touches de La à Do ainsi qu’un amplificateur intégré et des haut-parleurs. L’action ressemble à celle des pianos acoustiques conventionnels. Son clavier, tout comme celui du Rhodes, est sensible à la vélocité. Son système de génération sonore est basé sur des tiges d’acier à ressort pouvant être accordées à l’aide d’une masse de soudure. Le Wurlitzer est équipé de capteurs électrostatiques : les tiges sont alimentées par un courant à 0 volt et se déplacent entre les électrodes d’une armature reliée à un courant de 150 volts. La sonorité du Wurlitzer, qui a d’abord été fabriqué au début des années 60, se caractérise par un grand nombre d’harmoniques de rang impair. Le Wurlitzer est surtout connu comme le son de piano fétiche du groupe « Supertramp ». Vous le découvrirez dans leur album « Crime of the Century ». Il est également présent dans « Bloody Well Right », « Dreamer », « Hide in Your Shell » et également dans « The Logical Song ». Vous reconnaîtrez aussi le son du Wurlitzer en écoutant les titres des Pink Floyd « The Dark Side of the Moon » ou « Wish You Were Here » (« Have a Cigar », « Money », « Time ») et dans « I am the Walrus » des Beatles. Modèles de piano Wurlitzer  Wurlitzer 200 A  Wurlitzer 240 V  Soft Wurlitzer  Funk Piano Le modèle Funk Piano offre un son de synthèse spécial avec des basses excessives qui ne se trouve chez aucun vrai Wurlitzers, mais qui peut être très musical et de surcroît très utile. Piano Hohner Electra Extrêmement rare, le piano Hohner Electra, qui ne doit pas être confondu avec le RMI Electrapiano tout électronique, est équipé de marteaux frappant les cordes, semblables à ceux du Rhodes, mais avec une mécanique du clavier plus lourde. Il a été conçu pour ressembler à un piano droit acoustique conventionnel. John Paul Jones de Led Zeppelin l’utilise dans « Stairway to Heaven », « Misty Mountain Hop » et « No Quarter ». Modèle de piano Hohner Electra  Electra PianoChapitre 24 EVP88 419 EVP88 et MIDI Cette section décrit certaines fonctions de contrôle MIDI spéciales qui sont disponibles sur l’EVP88. Adaptation de la sensibilité à la vélocité de vos claviers MIDI L’EVP88 répond avec une extrême sensibilité aux informations de vélocité transmises par les messages de note MIDI. Il est conseillé de régler avec soin les paramètres de piste dynamique et de vélocité dans Logic Pro. Vous pouvez essayer de suivre la recommandation ci-dessous pour ajuster avec précision la courbe de vélocité si la mécanique de votre clavier MIDI ne donne pas la sensation souhaitée.  Créez un objet Transformateur dans l’Environnement, et câblez-le entre les objets Entrée physique et Entrée séquenceur sur la couche Click et ports.  Réglez les paramètres du transformateur afin que tous les événements MIDI ayant la condition de « note » soient réglés sur Utiliser la table sous Vél. dans la ligne opératoire inférieure. Vous pouvez ensuite dessiner votre propre courbe de vélocité pour votre clavier. Pour de plus amples informations, veuillez vous reporter au chapitre Environnement du manuel de l’utilisateur Logic Pro 8.Liste des contrôleurs MIDI Numéro de contrôleur Nom de paramètre 1 Paramètres de trémolo : potentiomètre Intensity 12 Potentiomètre Model 13 Paramètres de modèle : potentiomètre Decay 14 Paramètres de modèle : potentiomètre Release 15 Paramètres de modèle : potentiomètre Bell 16 Paramètres de modèle : potentiomètre Damper 17 Paramètres de modèle : potentiomètre Stereo Intensity 18 Paramètres d’égaliseur : potentiomètre Treble 19 Paramètres d’égaliseur : potentiomètre Bass 20 Paramètres d’attaque : potentiomètre Gain 21 Paramètres d’attaque : potentiomètre Tone 22 Paramètres de modulateur de phase : potentiomètre Rate 23 Paramètres de modulateur de phase : potentiomètre Color 24 Paramètres de modulateur de phase : potentiomètre Stereophase 25 Paramètres de trémolo : potentiomètre Rate 26 Paramètres de trémolo : potentiomètre Intensity 27 Paramètres de trémolo : potentiomètre Stereophase 28 Paramètres de chorus : potentiomètre Intensity25 421 25 EXS24 mkII L’EXS24 mkII est un logiciel échantillonneur, c’est-à-dire qu’il ne dispose pas de bloc sonore intégré mais lit simplement les fichiers audio (appelés échantillons) que vous chargez. Ces échantillons sont ensuite regroupés en collections accordées et organisées, appelées instruments échantillonnés. L’EXS24 mkII permet de lire, d’éditer et de créer des instruments échantillonnés. Il est possible d’attribuer certaines plages de notes et de vélocité aux échantillons (des instruments échantillonnés), puis de les traiter à l’aide des filtres et des modulateurs de l’EXS24 mkII. Les instruments échantillonnés étant basés sur des enregistrements audio, ils conviennent parfaitement à l’émulation de vrais instruments. L’EXS24 mkII est fourni avec une bibliothèque d’instruments échantillonnés, disponible au format natif, EXS. Il est également possible d’importer des instruments échantillonnés aux formats de fichiers d’échantillons AKAI S1000 et S3000, SampleCell, Gigasampler, DLS et SoundFont2. L’interface de l’EXS24 mkII est composée de deux fenêtres :  Fenêtre des paramètres : elle offre de nombreuses options de traitement et de synthèse d’échantillons, vous permettant de personnaliser les sons instrumentaux EXS.422 Chapitre 25 EXS24 mkII  Éditeur d’instruments : il permet de créer et d’éditer des instruments échantillonnés. Lorsque vous travaillez avec l’EXS24 mkII, vous êtes généralement amené à effectuer les étapes suivantes : 1 Charger ou importer un instrument échantillonné. 2 Modifier le son d’un instrument échantillonné dans la fenêtre des paramètres de l’EXS24 mkII à l’aide des potentiomètres, des commutateurs et des curseurs. Il est également possible d’automatiser ces contrôles, ce qui permet d’effectuer des modifications dynamiques au fil du temps. 3 Éditer certains échantillons dans l’Éditeur d’instruments. Les utilisateurs avancés peuvent également créer de toutes pièces un instrument. Dans ce cas, ils commenceront par cette étape, puis passeront à l’étape 2 ci-dessus. À propos des instruments échantillonnés Un instrument échantillonné correspond au type de fichier chargé pour lecture dans l’EXS24 mkII. L’instrument échantillonné indique à l’EXS24 mkII les échantillons (fichiers audio) à charger, ainsi que la façon dont ils doivent être organisés en zones et groupes. L’EXS24 mkII vous permet de lire et d’enregistrer l’instrument comme vous le feriez avec n’importe quel instrument logiciel. Dans l’EXS24 mkII, le menu de l’instrument échantillonné permet de charger des instruments échantillonnés. Lorsque vous sélectionnez un instrument échantillonné, les fichiers audio associés sont automatiquement trouvés sur le (ou les) disque(s) dur(s) et chargé(s) dans la mémoire RAM de votre ordinateur.Chapitre 25 EXS24 mkII 423 Les instruments échantillonnés sont distincts des réglages du module, qui sont chargés et enregistrés dans l’en-tête du module. Dans la hiérarchie de fichiers, les réglages du module se situent au-dessus des instruments échantillonnés : un réglage contient un pointeur vers un instrument échantillonné, et lorsqu’un nouveau réglage est sélectionné, l’instrument échantillonné vers lequel il pointe est chargé automatiquement. Les réglages du module stockent tous les ajustements de paramètres réalisés dans la fenêtre des paramètres. Ils ne font pas partie de l’instrument échantillonné en cours de chargement. ? Astuce : cette distinction vous permet d’utiliser des instruments échantillonnés tels que des formes d’ondes dans un synthétiseur. Créez un réglage pour le module et définissez l’enveloppe, la modulation et les autres paramètres correspondants en fonction de vos besoins. Utilisez ensuite le menu de l’instrument échantillonné pour charger diverses « formes d’ondes » et créer des sons « de synthétiseur ». Vous avez cependant la possibilité de stocker les réglages actuels de la fenêtre Parameters dans un instrument échantillonné (pour en savoir plus, reportez-vous à la section « Utilisation des réglages d’un instrument échantillonné » à la page 426). Les réglages enregistrés dans l’instrument échantillonné sont alors annulés. L’EXS24 mkII est compatible avec tous les formats de fichiers audio pris en charge par Logic Pro : AIFF, WAV, SDII, CAF. Chaque fichier audio est chargé dans l’EXS24 mkII comme échantillon distinct. Une zone est ensuite automatiquement attribuée à chaque fichier audio dans l’Éditeur d’instruments de l’EXS24 mkII. Ces zones peuvent ensuite être éditées et organisées en instruments échantillonnés. Pour obtenir de plus amples informations sur l’utilisation des fichiers audio dans les zones, reportez-vous à la section « Édition de zones et de groupes ». Plug-in setting Parameter setting Audio files Sampler instrument points to audio files Sampler instrument setting424 Chapitre 25 EXS24 mkII Notez que les fichiers audio eux-mêmes ne se trouvent pas dans l’instrument échantillonné. Ce dernier stocke uniquement les informations relatives au nom d’un fichier audio, aux réglages des paramètres qui lui correspondent et à son emplacement sur le disque dur. Si vous supprimez ou renommez un fichier audio, tous les instruments échantillonnés utilisant ce fichier ne seront pas capables de le trouver. Pensez-y lorsque vous travaillez sur des fichiers audio. Par contre, vous pouvez déplacer des fichiers audio vers un autre emplacement au sein du système. L’EXS24 mkII pourra les retrouver une fois les instruments échantillonnés chargés. Chargement d’instruments échantillonnés L’EXS24 mkII est fourni avec une bibliothèque d’instruments échantillonnés prête à l’emploi. Pour charger un instrument, procédez comme suit : 1 Cliquez sur le champ de l’instrument échantillonné qui se trouve juste au-dessus du potentiomètre Cutoff, dans la fenêtre des paramètres de l’EXS24 mkII. Le menu de l’instrument échantillonné s’affiche. 2 Sélectionnez un instrument échantillonné. Pour apparaître dans le menu de l’instrument échantillonné de l’EXS24 mkII, les instruments doivent être stockés dans le sous-dossier Sampler Instruments de l’un des dossiers suivants :  ~/Bibliothèque/Application Support/Logic : emplacement de stockage des instruments édités ou définis par l’utilisateur.  /Bibliothèque/Application Support/Logic : emplacement d’installation des instruments EXS fournis par l’usine.Chapitre 25 EXS24 mkII 425  /Applications/Logic 6 Series : emplacement de stockage des instruments EXS de Logic 6 Series.  …/Nom_projet : Logic Pro recherche également les instruments EXS dans le dossier du projet. Remarque : les instruments échantillonnés peuvent être stockés dans n’importe quel dossier des différents disques durs de votre ordinateur. Si vous créez un alias qui pointe vers ce dossier dans le dossier Sampler Instruments (se trouvant lui-même dans l’un des dossiers énumérés ci-dessus), les instruments s’affichent dans le menu de l’instrument échantillonné. Pour atteindre l’instrument suivant ou précédent au sein de votre bibliothèque d’instruments échantillonnés, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur le bouton plus ou moins, de part et d’autre du menu de Sampler Instruments. m Cliquez sur Next Instrument ou sur Previous Instrument dans le menu Sampler Instruments (ou utilisez les raccourcis clavier correspondants). Si la fenêtre EXS24 mkII est masquée, vous pouvez également utiliser les deux raccourcis clavier suivants :  Next Channel Strip or Plug-In Setting or EXS Instrument  Previous Channel Strip or Plug-In Setting or EXS Instrument ? Astuce : vous pouvez également naviguer dans vos instruments échantillonnés à l’aide du clavier MIDI. Dans la fenêtre Préférences Sampler, il existe deux préférences pour Instrument précédent et pour Instrument suivant. Elles vous permettent de choisir un événement MIDI (par exemple, une note MIDI), de contrôler ou programmer un changement, etc., pour sélectionner l’instrument précédent ou suivant dans la liste des instruments échantillonnés. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section « Réglage des préférences du Sampler ». Le menu Instrument de l’Éditeur d’instruments permet de charger manuellement des instruments échantillonnés qui n’apparaissent pas dans le menu Sampler Instruments.426 Chapitre 25 EXS24 mkII Pour charger des instruments échantillonnés à partir d’un autre emplacement, procédez comme suit : 1 Ouvrez l’Éditeur d’instruments en cliquant sur le bouton Edit en haut à droite de la fenêtre des paramètres. 2 Sélectionnez Instrument > Ouvrir, puis recherchez l’instrument voulu dans le sélecteur de fichiers qui s’affiche. Il est fortement conseillé de copier sur vos disques durs tous les instruments échantillonnés EXS avec les fichiers audio qui leur sont associés. Vous aurez ainsi un accès direct et immédiat à vos instruments échantillonnés, sans avoir à rechercher et insérer des CD-ROM ou des DVD. Cela vous permet également d’organiser vos instruments échantillonnés en fonction de vos besoins. Pour copier des instruments échantillonnés sur vos disques durs, procédez comme suit : 1 Copiez le fichier de l’instrument échantillonné dans le dossier ~/Bibliothèque/ Application Support/Logic/Sampler Instruments. 2 Copiez les échantillons associés dans un dossier Samples, dans le même répertoire que celui dans lequel se trouve le dossier Sampler Instruments. Utilisation des réglages d’un instrument échantillonné Ne confondez pas les réglages du module, qui sont chargés et enregistrés dans l’en-tête du module, et les instruments échantillonnés. Les réglages du module, qui peuvent être stockés et récupérés dans la fenêtre Parameters de l’EXS24 mkII, ne font pas partie de l’instrument échantillonné en cours de chargement. Ces réglages doivent être enregistrés et chargés comme des réglages de module standard dans l’en-tête du module. Dans le menu Options de la fenêtre Parameters de l’EXS24 mkII, il existe cependant quelques commandes qui vous permettent de définir et de récupérer des réglages du module intégrés à votre instrument échantillonné. Il s’agit des commandes suivantes :  Rappeler le réglage par défaut de l’EXS :rétablit le réglage neutre de tous les paramè- tres de la fenêtre Parameters. Cela vous donne une bonne « base de départ » pour l’ajustement des paramètres de votre instrument échantillonné. Chapitre 25 EXS24 mkII 427  Rappeler les réglages de l’instrument : rétablit les réglages d’origine des paramètres de l’instrument échantillonné chargé. Ce paramètre s’avère très utile si vous avez fait preuve d’excès de zèle dans vos modifications et que vous souhaitez revenir aux réglages d’origine des paramètres de l’instrument échantillonné.  Enregistrer les réglages de l’instrument : stocke les réglages actuels de la fenêtre Parameters dans le fichier de l’instrument échantillonné. Ces réglages sont restaurés lorsque l’instrument est rechargé.  Supprimer les réglages de l’instrument : supprime les réglages stockés de l’instrument. Gestion des instruments échantillonnés La liste des instruments échantillonnés s’allonge au fur et à mesure que votre bibliothèque d’échantillons grossit. Pour que la liste des instruments échantillonnés reste gérable, l’EXS24 mkII offre une méthode de gestion simple mais élaborée. Pour classer hiérarchiquement vos instruments échantillonnés, procédez comme suit : 1 Créez un dossier dans le Finder (Basses, par exemple) et faites-le glisser dans le dossier Sampler Instruments voulu. 2 Faites glisser les instruments échantillonnés EXS24 mkII voulus dans le dossier qui vient d’être créé. La structure de leur menu est reproduite lorsque vous cliquez sur le menu des instruments échantillonnés de l’EXS24. Remarque : lorsque vous modifiez la hiérarchie des dossiers contenus dans le dossier Sampler Instruments, vous devez cliquer sur l’option Refresh menu, au-dessus du menu Sampler Instruments. Le menu affiche uniquement les sous-menus des dossiers qui contiennent des fichiers d’instruments EXS. Les autres dossiers ne figurent pas dans le menu. Il est également possible d’ajouter dans ce menu les alias pointant vers des dossiers (contenant des fichiers d’instruments EXS) qui ne se trouvent pas dans les dossiers Sampler Instruments. Même le dossier Sampler Instruments peut être lui-même l’alias d’un dossier qui se trouve sur un autre lecteur ou à un emplacement différent.428 Chapitre 25 EXS24 mkII Sauvegarde d’instruments Vous pouvez utiliser le raccourci clavier « Backup audio files of all used and active instruments of current project » pour copier dans un fichier de votre choix les fichiers audio et ceux des instruments échantillonnés de tous les instruments échantillonnés actifs du projet. Les dossiers des fichiers audio associés à ces instruments échantillonnés sont créés dans l’emplacement cible. Il est ainsi plus aisé de conserver tous vos instruments échantillonnés et vos échantillons audio à un seul endroit, et vous êtes assuré que chaque dossier de projet contient tous les instruments échantillonnés et les fichiers audio dont vous aurez besoin, même si vous n’avez pas accès à votre bibliothèque d’instruments échantillonnés. ? Astuce : vous pouvez arriver au même résultat en configurant votre projet de telle sorte que les instruments échantillonnés et les échantillons de l’EXS24 soient copiés dans le dossier de projet. Pour en savoir plus, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Logic Pro 8. Recherche d’instruments échantillonnés Pour que le nombre d’instruments échantillonnés affichés dans le menu Sampler Instruments ne soit pas trop important, vous pouvez utiliser la fonction Find. Apparaissent alors dans le menu Sampler Instruments uniquement le nom des instruments échantillonnés qui contiennent le mot recherché. Pour rechercher des instruments échantillonnés, procédez comme suit : 1 Cliquez dans le champ Sample Instrument qui se trouve juste au-dessus du potentiomètre Cutoff, dans la fenêtre Parameters de l’EXS24 mkII, puis cliquez sur Find dans le menu Sample Instruments. 2 Dans la fenêtre Filtre, entrez la chaîne de caractères (terme) à rechercher. Pour désactiver le filtre de recherche, procédez comme suit : m Choisissez Effacer recherche dans le menu Sampler Instruments. L’intégralité du menu Sampler Instruments s’affiche, mais le terme recherché entré dans la fenêtre Filter n’est pas effacé. Pour revenir au menu restreint, sélectionnez le réglage Activer la recherche dans le menu Sampler Instruments. Vous pouvez ainsi passer de l’un à l’autre sans avoir à retaper le terme recherché.Chapitre 25 EXS24 mkII 429 Pour rechercher une autre chaîne de caractères, cliquez à nouveau sur l’option Rechercher et entrez le terme à rechercher. Importation d’instruments échantillonnés L’EXS24 mkII est compatible avec les formats d’échantillons AKAI S1000 et S3000, SampleCell, ReCycle, Gigasampler, DLS et SoundFont2, ainsi qu’avec Vienna Library. Importation de fichiers SoundFont2, SampleCell, DLS et Gigasampler L’EXS24 mkII reconnaît automatiquement les fichiers SoundFont2, SampleCell, DLS et Gigasampler placés dans le dossier Sampler Instruments et les convertit en instruments échantillonnés. Pour importer des fichiers SoundFont2, SampleCell, DLS ou Gigasampler dans l’EXS24 mkII, procédez comme suit : 1 Copiez ou déplacez vos fichiers SoundFont2, SampleCell, DLS ou Gigasampler dans le dossier ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/Sampler Instruments. 2 Cliquez sur le fichier SoundFont2, SampleCell, DLS ou Gigasampler dans le menu Sampler Instruments de l’EXS24 mkII. L’EXS24 mkII convertit automatiquement les fichiers SoundFont2, SampleCell, DLS ou Gigasampler en instrument échantillonné EXS :  Un fichier d’instrument EXS est créé dans le dossier Sampler Instruments qui contient le fichier dans son format d’origine.  Les échantillons bruts associés à l’instrument échantillonné sont placés dans l’un des dossiers suivants (en fonction du format à convertir) :  ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/SoundFont Samples  ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/SampleCell Samples  ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/Gigasampler Samples  ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/DLS Samples Sampler Instruments DLS Samples (folder) SampleCell Samples (folder) Gigasampler Samples (folder) SoundFont Samples (folder) Sampler Instruments (folder) Logic (folder) Gigasampler sampler instrument DLS sampler instrument SampleCell sampler instrument SoundFont sampler instrument430 Chapitre 25 EXS24 mkII La procédure indiquée ci-dessus peut également être utilisée pour importer des fichiers SoundFont2 et SampleCell Bank, qui contiennent plusieurs sons, en plus des fichiers mono-instrumentaux. Si vous chargez un fichier SoundFont2 ou SampleCell Bank dans l’EXS24 mkII, un dossier Bank et un dossier Samples sont créés, d’après le nom du fichier SoundFont2/SampleCell Bank. Les termes « Bank » ou « Samples » sont ajoutés à chaque nom de dossier. Pour chaque son contenu dans le fichier Bank, un fichier d’instrument échantillonné EXS est automatiquement créé et placé dans le nouveau dossier Bank. Dans l’EXS24 mkII, le menu Sampler Instruments est automatiquement mis à jour pour reproduire la nouvelle hiérarchie. Pour chaque échantillon associé au fichier Bank, un dossier Samples est automatiquement créé dans le dossier SoundFont/SampleCell Samples. Par exemple, si vous chargez dans l’EXS24 mkII un fichier SoundFont2 Bank nommé Vintage Drums contenant plus de 50 batteries individuelles provenant de batteries vintage différentes :  Un nouveau dossier nommé Vintage Drums Bank est créé dans le dossier Sampler Instruments, dans le dossier ~/Bibliothèque/Application Support/Logic.  Un second dossier nommé Vintage Drums Samples est créé dans le dossier SoundFont Samples, dans le dossier ~/Bibliothèque/Application Support/Logic.  La hiérarchie du menu Sampler Instruments est mise à jour et l’entrée Vintage Drums d’origine est remplacée par une entrée Vintage Drums.Bank. Cette nouvelle entrée est un dossier contenant chaque instrument échantillonné. Elle peut être sélectionnée et chargée normalement. Une fois la conversion terminée, les fichiers source SoundFont2, SampleCell ou Gigasampler d’origine peuvent être librement supprimés des disques durs. Sampler Instrument category Logic (folder) Sampler instruments Sampler Instruments (folder) EXS Samples (folder) SoundFont Samples (folder) Basses (folder) Vintage Drums Bank (folder) Acoustic Bass (sampler instrument) Vintage Drums Kit 1 (sampler instrument) Vintage drums samples Acoustic bass samplesChapitre 25 EXS24 mkII 431 Remarque : les instruments échantillonnés importés peuvent être stockés dans n’importe quel dossier des disques durs de votre ordinateur. Pour vous assurer que ces instruments s’affichent bien dans le menu Sampler Instruments, vous devez créer un alias pointant vers ce dossier, dans le dossier ~/Bibliothèque/Application Support/ Logic/Sampler Instruments. Conversion de fichiers ReCycle en instruments EXS ReCycle, un logiciel Propellerhead d’édition d’échantillons, permet de diviser un échantillon en petits segments (appelés coupes) en fonction des crêtes de la forme d’onde, appelées éléments transitoires, dans un fichier audio. ReCycle est donc capable de découper un fichier audio en coupes musicales pertinentes. ReCycle peut générer un certain nombre de types de fichiers que Logic Pro et l’EXS24 mkII peuvent lire. L’EXS24 mkII prend en charge les types de fichiers ReCycle suivants :  Fichier Old ReCycle: ces fichiers ont pour suffixe .rcy. Leur abréviation est RCSO. Ils ne sont actuellement plus beaucoup utilisés.  Fichier d’exportation Old ReCycle : ces fichiers ont pour suffixe .rex. Leur abréviation est REX. Les anciennes bibliothèques d’échantillons prenant en charge les fichiers REX ont souvent ce format.  Fichier ReCycle 2.0 : ces fichiers ont pour suffixe .rx2. Leur abréviation est REX2. Ils sont beaucoup utilisés par le logiciel Propellerheads Reason et de nombreuses bibliothèques d’échantillons incluent ce format de fichier. Génération d’une zone pour chaque coupe La commande « Extraire la région MIDI et créer un instrument » permet de créer un instrument EXS24 à partir d’un fichier ReCycle et de générer une zone indépendante pour chaque coupe. Pour créer un instrument EXS et attribuer chaque coupe à une zone, procédez comme suit : 1 Dans l’Éditeur d’instruments, sélectionnez Instrument > Conversion ReCycle > « Extraire la région MIDI et créer un instrument ». 2 Recherchez et sélectionnez le fichier ReCycle voulu dans le sélecteur de fichiers, puis cliquez sur Open. 3 Entrez un facteur de vélocité dans la fenêtre Creér région MIDI.432 Chapitre 25 EXS24 mkII Le facteur de vélocité détermine la façon dont le volume sonore de chaque coupe du fichier ReCycle importé affecte les valeurs de vélocité de la note MIDI générée pour déclencher cette coupe.  Si vous entrez une valeur positive (jusqu’à 100), les coupes dont le volume est plus fort génèreront des notes MIDI avec des valeurs de vélocité plus élevées.  Si vous entrez une valeur négative, ces mêmes coupes génèreront des vélocités de notes MIDI moins élevées. 4 Cliquez sur OK. L’EXS24 mkII génère une zone pour chaque coupe du fichier ReCycle importé et attribue ces zones à un groupe (pour obtenir de plus amples informations sur les zones et les groupes, reportez-vous à la section « Édition de zones et de groupes »). Le nouvel instrument EXS portera le nom de la boucle ReCycle. S’il existe déjà un instrument EXS portant ce nom, il sera suivi du symbole # et d’un numéro. Ainsi, si vous importez par exemple un fichier ReCycle nommé « Tricky Backbeat » mais qu’un instrument échantillonné portant le nom de « Tricky Backbeat » existe déjà, l’instrument importé aura pour nom « Tricky Backbeat#2 », afin que ce nom de fichier soit unique dans le dossier Sampler Instruments. Une région MIDI est également générée sur la piste sélectionnée, au niveau du projet en cours (arrondi à la mesure). Cette région MIDI permet de déclencher les coupes au moment défini par le fichier ReCycle. Vous pouvez librement modifier ou supprimer cette région car il est possible d’en générer de nouvelles à tout moment à partir de l’instrument EXS importé (voir la section « Génération d’une région MIDI à partir d’un instrument ReCycle » page 433 et suivantes). La commande « Extraire la région MIDI et ajouter des échantillons à cet instrument » permet d’ajouter les coupes d’une boucle ReCycle à n’importe quel instrument EXS ouvert dans l’Éditeur d’instruments. Vous pouvez ainsi utiliser plusieurs boucles ReCycle différentes dans un seul instrument échantillonné. Attribution de toute la boucle ReCycle à une zone La commande Instrument > Conversion ReCycle > « Découper la boucle et créer un instrument » permet de créer un instrument EXS à partir d’une boucle ReCycle dans laquelle chaque zone lit la boucle jusqu’à la fin (au tempo du projet en cours), en commençant par les points de coupe attribués au départ à chaque zone. La zone inférieure lira donc toute la boucle, tandis que la zone supérieure lira uniquement la dernière coupe. Ces techniques permettent de déclencher une boucle à l’ancienne, dans le style « drum’n’bass », le point de départ de la boucle d’échantillonnage étant déterminé en jouant les notes respectives au clavier. Chapitre 25 EXS24 mkII 433 La commande Instrument > Conversion ReCycle > « Découper la boucle et ajouter des échantillons à l’instrument » permet d’ajouter les zones de la boucle découpée à l’instrument échantillonné actif. Collage de boucles à partir du Presse-papiers La commande Édition > « Coller la boucle ReCycle comme nouvel instrument » permet de créer un instrument EXS à partir d’une boucle ReCycle copiée dans le Presse-papiers via la fonction Copy Loop de ReCycle. Cette méthode de création d’instrument donne le même résultat que lorsque vous utilisez la commande « Extraire la région MIDI et créer un instrument ». La commande Édition > « Coller la boucle ReCycle à cet instrument » permet d’ajouter les zones à l’instrument échantillonné actif. Génération d’une région MIDI à partir d’un instrument ReCycle Vous pouvez générer une région MIDI dans les instruments EXS à partir de fichiers ReCycle importés, en déclenchant les coupes importées au moment défini par les fichiers ReCycle. Pour générer une nouvelle région MIDI à partir d’un instrument ReCycle, procédez comme suit : m Sélectionnez Instrument > Conversion ReCycle > « Extraire la ou les régions de l’instrument ReCycle ». Les régions MIDI sont créées sur la piste sélectionnée, au niveau du projet en cours (arrondi à la mesure). Une région MIDI est générée pour chaque boucle ReCycle importée dans l’instrument ouvert. Cette fonction nécessite également un facteur de vélocité (voir ci-dessus). Conversion de fichiers AKAI L’EXS24 mkII permet d’importer des échantillons aux formats AKAI S1000 et S3000. La fonction de conversion AKAI permet d’importer :  l’intégralité d’un CD-ROM au format AKAI,  une partition AKAI,  un volume AKAI,  un programme AKAI,  un fichier audio seul (échantillon).434 Chapitre 25 EXS24 mkII Pour convertir des fichiers AKAI, procédez comme suit : 1 Cliquez sur le bouton Options dans la fenêtre Parameters, puis sélectionnez Conversion AKAI dans le menu qui s’affiche. La fenêtre AKAI Convert s’ouvre alors, avec le texte « Attente d’un AKAI CD » apparaissant sur les quatre colonnes. 2 Insérez un disque d’échantillon au format AKAI dans votre lecteur de CD-ROM. Le contenu du CD-ROM s’affiche. La colonne Partition contient les informations : Partition A, Partition B, etc. 3 Pour visualiser le contenu d’une partition, cliquez avec la souris sur l’entrée correspondante. Les informations relatives au volume contenu dans la partition s’affichent.Chapitre 25 EXS24 mkII 435 4 Pour naviguer dans l’architecture du CD-ROM, cliquez sur les entrées de volumes pour afficher les programmes qu’ils contiennent, et sur les entrées de programmes pour afficher les fichiers audio bruts (échantillons). Pour écouter un fichier audio AKAI avant de décider de l’importer ou pas, cliquez sur le bouton en dessous, en dessous de la colonne Fichier audio. 5 Vous pouvez régler en fonction de vos besoins un ou plusieurs des paramètres de conversion AKAI supplémentaires, en bas de la fenêtre (voir ci-dessous la section « Paramètres de conversion AKAI supplémentaires »). 6 Une fois que vous avez sélectionné une partition, un volume ou un programme, cliquez sur le bouton Convertir, sous la colonne correspondante. Pour convertir l’intégralité d’un CD-ROM AKAI, cliquez sur le bouton « Convertir le CD entier », en bas à droite de la fenêtre Conversion AKAI. La partition, le volume ou le programme sélectionné(e) est alors importé(e), ainsi que tous les fichiers audio associés. Logic (folder) Sampler Instruments (folder) AKAI sampler instruments AKAI Samples (folder) Audio files (samples)436 Chapitre 25 EXS24 mkII  Tous les fichiers audio importés sont stockés dans un dossier dont le nom correspond à celui du volume. Ce dossier est créé dans le dossier ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/AKAI Samples.  Le nom des instruments échantillonnés créés par importation est le même que celui du programme correspondant. Ces instruments échantillonnés sont placés dans le dossier ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/Sampler Instruments, ou dans le sous-dossier déterminé par le paramètre « Save converted instrument file(s) into sub folder ». Les sous-dossiers (dont le nom correspond au volume) sont créés lors de la conversion d’une partition. Si le volume ne contient qu’un seul programme, aucun sous-dossier n’est créé. Les sous-dossiers dont le nom correspond à la partition sont créés lors de la conversion de plusieurs partitions. Les instruments convertis sont affichés dans le menu Sampler Instruments de la façon suivante : Paramètres de conversion AKAI supplémentaires Les paramètres supplémentaires indiqués ci-dessous sont disponibles dans la fenêtre AKAI Convert. Paramètre « Enregistrer le fichier instrument converti dans le sous-dossier » Ce paramètre peut être utile lorsque vous importez un CD entier. Il permet de créer un dossier dont le nom correspond à celui du CD-ROM. Vous avez également la possibilité d’enregistrer vos instruments convertis en fonction d’une catégorie, par exemple, Cordes. De cette façon, si votre CD AKAI est constitué d’échantillons d’instruments à cordes, tous les programmes ou volumes importés seront ajoutés au sous-dossier Cordes. Pour entrer le nom d’un sous-dossier dans le champ de ce paramètre, cliquez dessus avec la souris et saisissez un nom, puis appuyez sur la touche Retour. Tous les volumes et programmes importés seront automatiquement ajoutés à ce dossier. Chapitre 25 EXS24 mkII 437 Remarque : si le nom utilisé existe déjà, l’instrument échantillonné importé est ajouté au dossier. Ainsi, aucun nouveau dossier portant ce nom n’est créé. Volume de sortie par défaut de l’instrument (head room) Au format AKAI, les sons de nappe de niveau constant et les instruments polyphoniques ont généralement un niveau de sortie plus élevé qu’un « drum groove », par exemple. Les niveaux de sortie de certains instruments AKAI convertis peuvent ainsi être beaucoup plus élevés que ceux du reste de votre bibliothèque d’instruments échantillonnés EXS24 mkII (les programmes convertis ont parfois un tel niveau sonore qu’ils se coupent). Vous pouvez régler ce paramètre à votre convenance, de façon à limiter la réserve dynamique (le niveau de sortie) des réglages des paramètres de l’EXS24 mkII pour chaque programme AKAI converti. Pour trouver la valeur adéquate pour un CD AKAI, rien de tel que faire vous-même quelques essais et d’apporter des corrections en fonction de vos besoins. Voici néanmoins quelques suggestions qui pourront vous aider :  Pour les CD de batterie, commencez soit sans rien changer (0 dB), soit avec une réserve dynamique de –3 dB.  Pour les CD de piano, cordes ou nappes, vous pouvez essayer une valeur de –9 dB.  Pour les programmes très sonores, tels que ceux des synthétiseurs analogiques superposés, vous pouvez même essayer avec –12 dB.  Si vous ne savez pas trop quelle valeur de réserve dynamique sélectionner, commencez par un réglage de –6 dB (valeur moyenne). Fusionner les programmes (même canal MIDI et numéro de Prog. Change) en un seul instrument EXS De nombreux CD-ROM créés pour les échantillonneurs AKAI proposent des programmes contenant plusieurs couches de vélocité « élémentaires » par instrument. Les échantillonneurs AKAI exigent le chargement de tout le volume, ou de tous les programmes « élémentaires » nécessaires, pour pouvoir jouer toutes les couches de vélocité. Tous ces programmes sont automatiquement assignés au même canal MIDI et réagissent au même numéro de changement de programme MIDI. La fonction de conversion AKAI de l’EXS24 mkII vérifie intelligemment tous ces réglages et crée un unique instrument échantillonné EXS à partir de plusieurs programmes « élémentaires ». En général, cette option doit être activée lors de l’importation de ce type d’échantillons. Le principe est le même pour les CD-ROM de batterie, dans lesquels des programmes « élémentaires » contiennent un seul instrument d’une batterie complète (grosse caisse, caisse claire, charleston, etc., sous forme d’entités séparées). Vous souhaiterez probablement rassembler ces programmes AKAI « élémentaires » en un seul instrument échantillonné EXS, afin de constituer une batterie complète. 438 Chapitre 25 EXS24 mkII Il existe toutefois un certain nombre de CD AKAI dans lesquels un seul volume AKAI issu d’un programme contient tout l’instrument et où les autres programmes du même volume possèdent le même canal MIDI et le même numéro de changement de programme MIDI préréglés. Pour ce type de CD, il n’est pas souhaitable d’utiliser le paramètre Merge programs. L’option doit donc être désactivée. Créer des fichiers stéréos entrelacés lorsque c’est possible Il est conseillé de garder cette option toujours activée, car les fichiers entrelacés offrent de meilleures performances avec l’EXS24 mkII. Lors de la conversion d’échantillons au format AKAI, certains fichiers audio sont créés comme fichiers stéréo séparés et comme fichiers stéréo entrelacés. Ce sont les informations stockées avec le programme AKAI et les fichiers audio qui permettent de savoir s’il est possible ou non de créer un fichier entrelacé. Les fichiers correspondant aux canaux droit et gauche doivent disposer de réglages identiques, sinon ils ne peuvent pas être utilisés pour créer un fichier entrelacé. Fenêtre Parameters Les réglages de la fenêtre des paramètres déterminent la façon dont l’EXS24 mkII traite l’intégralité de l’instrument échantillonné chargé. Cette fenêtre contient les groupes de paramètres suivants :  Paramètres General : paramètres permettant de sélectionner et de configurer les instruments échantillonnés, les fondus enchaînés, de déterminer le nombre de voix que l’EXS24 mkII jouera en même temps et de configurer les échantillons en tant que destinations de modulation. Matrice de modulation Paramètres Pitch Paramètres General Paramètres Volume et Pan Paramètres LFO Paramètres Filter Paramètres General Filtre et enveloppes d’amplitude Paramètres GeneralChapitre 25 EXS24 mkII 439  Paramètres Pitch : permettent d’ajuster l’accord, la transposition, la modulation de hauteur tonale, etc.  Paramètres Filter : permettent d’activer et de configurer des paramètres contrôlant la résonance, la pente, l’amplification et l’enveloppe du filtre de l’EXS24 mkII.  Paramètres Volume et Pan : permettent d’ajuster le volume, l’enveloppe du volume et la balance de l’instrument échantillonné chargé.  Paramètres LFO : permettent d’ajuster les trois LFO disponibles, qui peuvent être utilisés comme modulateurs.  Matrice de modulation : permet de régler jusqu’à dix parcours de modulation complexes, afin de sélectionner un paramètre de source de modulation pour moduler un paramètre de destination ; il est même possible de moduler la source de modulation, à l’aide du paramètre via. Paramètres généraux Vous trouverez dans cette section une description des paramètres généraux de l’EXS24 mkII. Boutons Legato/Mono/Poly Ces boutons permettent de déterminer le nombre de voix utilisées par l’EXS24 mkII (c’est-à-dire combien de notes peuvent être jouées simultanément) :  Lorsque Poly est sélectionné, le nombre maximum de voix est fixé par le champ numérique situé à droite du bouton Poly. Pour modifier la valeur, cliquez avec la souris et faites glisser le curseur vers le haut ou vers le bas pour augmenter ou diminuer la polyphonie. En général, ce sont les instruments qui permettent de jouer des accords (le piano ou la guitare, par exemple) qui sont polyphoniques et se prêtent particulièrement à ce mode.  Lorsque Mono ou Legato est sélectionné, l’EXS24 mkII passe en mode monophonique, n’utilisant alors qu’une seule voix. En général, ce sont les instruments qui ne jouent qu’une seule note à la fois (la flûte ou le synthétiseur monophonique Moog, par exemple) qui se prêtent au mode Mono ou Legato.  En mode Legato, la fonction Glide n’est active que sur les notes liées. Les enveloppes ne sont pas redéclenchées lorsque vous jouez des notes liées (en d’autres termes, lorsque plusieurs notes liées sont jouées, il n’y a qu’un seul déclenchement d’enveloppe). Pour en savoir plus sur la fonction Glide, reportez-vous à la section « Glide » à la page 446.  En mode Mono, la fonction Glide est toujours active et les enveloppes sont redéclenchées à chaque note jouée.440 Chapitre 25 EXS24 mkII Voices Ce paramètre détermine le nombre de voix (polyphonie) que l’EXS24 mkII doit jouer. Le champ used indique le nombre de voix effectivement utilisées. Si les deux champs ont tendance à indiquer en permanence la même valeur (provoquant sans doute une perte audible d’échantillons), il est souhaitable de régler une valeur plus élevée pour Voices. Mode Unison En mode Unison, plusieurs voix d’EXS24 mkII sont jouées à chaque fois que vous enfoncez une touche :  En mode Poly, deux voix par note.  En mode Mono ou Legato, vous pouvez définir le nombre de voix par note grâce au paramètre Voices. Les différentes voix sont équitablement réparties dans le champ du panorama et sont désaccordées de façon symétrique, en fonction de la valeur du potentiomètre Random. Remarque : le nombre de voix effectivement utilisées par note augmente proportionnellement au nombre de zones comprenant des superpositions d’échantillons. Menu Sampler Instruments Cliquez dans le menu Sampler Instruments pour charger un instrument échantillonné dans l’EXS24 mkII. Pour obtenir de plus amples informations sur ce menu, reportez-vous à la section « Chargement d’instruments échantillonnés ». Bouton Edit Ce bouton, situé à droite du menu Sampler Instruments de l’instrument échantillonné, permet d’ouvrir l’instrument échantillonné chargé dans l’Éditeur d’instruments dans EXS24 mkII. Si aucun instrument échantillonné n’est chargé, l’Éditeur d’instruments s’ouvre pour vous permettre de créer un nouvel instrument échantillonné. Pour en savoir plus sur l’Éditeur d’instruments, reportez-vous à la section « wÉditeur d’instruments ».Chapitre 25 EXS24 mkII 441 Bouton Options Le fait de cliquer sur le bouton Options permet d’ouvrir un menu dans lequel figurent les options suivantes :  Rappeler le réglage par défaut de l’EXS :rétablit le réglage neutre de tous les paramè- tres de la fenêtre Parameters. Cela vous donne une bonne « base de départ » pour l’ajustement des paramètres de votre instrument échantillonné.  Rappeler les réglages de l’instrument : rétablit les réglages d’origine des paramètres de l’instrument échantillonné chargé. Ce paramètre s’avère très utile si vous avez fait preuve d’excès de zèle dans vos modifications et que vous souhaitez revenir aux réglages d’origine des paramètres de l’instrument échantillonné.  Enregistrer les réglages de l’instrument : stocke les réglages actuels de la fenêtre Parameters dans le fichier de l’instrument. Lorsque l’instrument est rechargé, ces réglages sont restaurés dans la fenêtre Parameters.  Supprimer les réglages de l’instrument : supprime les réglages stockés de l’instrument.  Renommer instrument : ouvre une zone de dialogue de fichier dans laquelle vous pouvez entrer un nouveau nom pour l’instrument. Le nom existant de l’instrument est alors supprimé.  Enregistrer instrument comme : permet d’enregistrer l’instrument échantillonné ouvert sous un autre nom. Lorsque vous appelez cette fonction, une zone de dialogue s’ouvre.  Supprimer instrument : supprime l’instrument échantillonné ouvert.  (Rappeler le réglage par défaut de l’EXS24 mkI) : destiné aux instruments échantillonnés qui ont été créés avec la version précédente de l’EXS24. Les réglages des paramè- tres de la version précédente sont rétablis pour l’instrument échantillonné, notamment ceux correspondant aux précédents parcours de modulation (voir la section « Parcours de modulation de l’EXS24 mkI » page 455 et suivantes). Pour les instruments échantillonnés créés avec l’EXS24 mkII, ce paramètre est inutile.  Extraire régions MIDI de l’instrument ReCycle : permet d’extraire les régions contenues dans un instrument ReCycle. Si aucun instrument ReCycle n’est sélectionné, cette option apparaît en grisé.  Conversion AKAI : ouvre la fenêtre AKAI Convert (voir la section « Conversion de fichiers AKAI » à la page 433).  Conversion SoundFont, Conversion SampleCell, Conversion DLS, Conversion Giga : chacune de ces commandes fait apparaître une zone de dialogue expliquant comment procé- der à ces conversions.  Préférences : ouvre la fenêtre des préférences de l’EXS24 mkII (voir la section « Réglage des préférences du Sampler » page 479 et suivantes). 442 Chapitre 25 EXS24 mkII  Mémoire virtuelle : ouvre une fenêtre comprenant divers réglages pour la configuration des fonctions de la mémoire virtuelle de l’EXS24 mkII. La mémoire virtuelle autorise la lecture d’échantillons d’une durée quasiment illimitée, grâce à des flux de données (audio) récupérés directement sur le disque dur en temps réel. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section « Configuration de la mémoire virtuelle ». Vel Offset Le paramètre Vel Offset, qui se trouve en haut à gauche de l’interface de l’EXS24 mkII, permet de décaler la valeur de la vélocité des notes MIDI entrantes de ±127. Ceci permet de limiter ou d’étendre la réponse dynamique de l’EXS24 mkII s’appliquant aux événements de notes entrantes. Hold via Ce paramètre détermine la source de modulation qui déclenche la fonction de la pédale Sustain (toutes les notes jouées sont alors maintenues et leur message de fin de note est ignoré tant que la valeur de la source de modulation reste supérieure à 64). La valeur par défaut est le numéro de contrôleur MIDI 64 (numéro de contrôleur standard MIDI pour toutes les fonctions Hold). Vous pouvez la modifier si vous pensez qu’il faut désactiver l’assignation de la fonction de Sustain au contrôleur continu (CC) 64, ou si vous voulez déclencher la fonction de Sustain avec une autre source de modulation. Paramètres Fondu enchainé (Xfade) Si vous maîtrisez le concept de superposition de zones d’échantillons par plage de vélocité, les paramètres de fondu vous permettent de passer par fondu enchaîné d’un échantillon à un autre dans une zone où plusieurs échantillons sont superposés, avec des réglages de plage de vélocité adjacents. Si vous ne connaissez pas ce concept, en voici une brève explication : Lorsque vous assignez un échantillon à une zone, vous avez la possibilité de régler la vélocité la plus basse et la vélocité la plus haute qui auront pour effet de déclencher cette zone. La plage comprise entre ces deux valeurs est appelée « plage de vélocité » de la zone. Les zones peuvent être superposées en les faisant déclencher par une même touche, mais à des vélocités différentes. Prenons l’exemple de l’échantillon d’une caisse claire avec une frappe douce légèrement excentrée, assigné à la zone n°1, et celui de l’échantillon d’une caisse claire avec une frappe forte au centre, assigné à la zone n°2. Si la plage de vélocité de la zone n°1 est comprise entre 24 et 90, celle de la zone n°2 entre 91 et 127, et si les deux zones sont assignées à la note MIDI La#2, alors on peut parler de zones superposées en La#2.Chapitre 25 EXS24 mkII 443 Dans cet exemple, la valeur supérieure de la plage de vélocité de la zone n°1 et la valeur inférieure de la plage de vélocité de la zone n°2 sont adjacentes. À ce point, il y aura un changement assez abrupt entre l’échantillon audio utilisé dans la zone n°1 et celui utilisé dans la zone n°2. Les paramètres de fondu enchaîné permettent de passer d’un échantillon à l’autre de façon moins abrupte. Lorsque vous disposez d’échantillons audio très différents dans des zones adjacentes, le fondu enchaîné s’avère très utile pour créer des instruments échantillonnés réalistes. Les fondus enchaînés sont contrôlés par deux paramètres : Amount et Type. Le paramètre Amount correspond à la plage des valeurs de vélocité dans laquelle intervient le fondu. En d’autres termes, le fondu est appliqué de façon symétrique autour de chaque zone superposée, le niveau de fondu déterminant le chevauchement des deux zones. Le réglage Velocity Range de toutes les zones se verra augmenté par cette valeur, le fondu enchaîné intervenant dans la zone étendue. Lorsque le paramètre Amount est réglé sur 0, l’EXS24 mkII passe d’une zone à une autre normalement, sans fondu. Comme vous le verrez plus loin dans la section « Matrice de modulation », vous pouvez également régler d’autres sources de modulation (par exemple, la roulette de modulation du contrôleur MIDI) pour moduler le paramètre Amount. Dans ce cas, le paramètre Amount fonctionne toujours de la même façon, mais le fondu enchaîné n’est pas déclenché par la vélocité mais par le modulateur choisi. Le menu Type offre trois types de courbes de fondu différents pour le fondu enchaîné par vélocité :  dB lin (dB linear) : courbe logarithmique avec laquelle le fondu enchaîné est joué de façon régulière des deux côtés.  linear (gain linear) : courbe convexe avec laquelle le fondu enchaîné est joué comme si rien ne se passait au début, puis avec un fondu rapide du volume vers la fin.  Eq. Pow (equal power) : courbe non linéaire avec laquelle le volume augmente plus rapidement au début, puis redevient normal plus lentement. Ce paramètre est utile lorsque l’intensité du volume d’un fondu enchaîné semble baisser au milieu.444 Chapitre 25 EXS24 mkII Paramètres Pitch Ces paramètres permettent d’ajuster l’accord et la transposition de l’instrument échantillonné chargé. Tune Ce potentiomètre permet d’augmenter ou de diminuer la hauteur tonale des échantillons chargés, par incréments de demi-tons. Lorsque le potentiomètre est réglé au centre (en cliquant sur le petit bouton 0), la hauteur tonale reste inchangée. Transpose Ce paramètre vous permet également de transposer l’EXS2 mkII par incréments de demi -tons. Contrairement au paramètre Tune, le paramètre Transpose intervient non seulement au niveau de la hauteur tonale, mais déplace également les zones en fonction de la façon dont il est réglé. Random Ce potentiomètre rotatif permet de doser le désaccord aléatoire appliqué à chaque note jouée. Le paramètre Random (detune) est très utile pour simuler les dérives de l’accord des synthétiseurs analogiques. Il est également très efficace pour retrouver un certain « feeling naturel » pour certains instruments à cordes. Fine Ce paramètre permet d’accorder l’instrument échantillonné chargé par incréments de cents. Vous pouvez l’utiliser pour corriger des échantillons qui sont légèrement désaccordés ou pour créer un effet de style solo d’instrument soliste complet. Pitch Bend Up Ce paramètre détermine la limite supérieure de la modulation de hauteur (en demi-tons) pouvant être définie en plaçant la roulette Pitch Bend en bout de course supérieure. La plage de ce paramètre s’étend de 0 demi-ton (la roulette Pitch Bend placée en bout de course supérieure n’augmente pas du tout la tonalité) à 12 demi-tons (la roulette Pitch Bend placée en bout de course supérieure augmente la tonalité d’une octave).Chapitre 25 EXS24 mkII 445 Pitch Bend Down Ce paramètre détermine la limite inférieure de la modulation de hauteur (en demi-tons) pouvant être définie en plaçant la roulette Pitch Bend en bout de course inférieure. La plage de ce paramètre s’étend de 0 demi-ton (la roulette Pitch Bend placée en bout de course inférieure ne diminue pas du tout la tonalité) à 36 demi-tons (la roulette Pitch Bend placée en bout de course inférieure diminue la tonalité de trois octaves). Lorsque Linked est sélectionné, c’est la valeur Pitch Bend Up qui est utilisée. Remote Ce paramètre permet d’intervenir en temps réel sur la hauteur tonale d’instruments EXS24 mkII complets. Pour ce faire, réglez le paramètre Remote sur la touche de votre clavier MIDI que vous souhaitez utiliser comme hauteur tonale d’origine. Toutes les touches voisines situées à ±1 octave autour de cette touche redéfinissent alors la hauteur de tout l’instrument, au lieu de le déclencher. Cette plage de deux octaves est similaire à la fonction Pitch Bend, mais quantifiée en demi-tons. Notez que les 2 octaves des touches distantes ne permettent alors plus de déclencher l’instrument, elles servent exclusivement à l’accorder par demi-tons.446 Chapitre 25 EXS24 mkII Glide L’effet de ce curseur dépend du réglage du curseur Pitcher : lorsque ce dernier est centré, le paramètre Glide détermine la durée nécessaire à la tonalité pour glisser d’une note à l’autre (ce que l’on appelle le portamento). Lorsque le paramètre Pitcher est réglé au-dessus de la valeur centrale, le paramètre Glide détermine la durée nécessaire à la tonalité pour repasser de cette valeur supérieure à la valeur normale. Lorsque le paramètre Pitcher est réglé en dessous de la valeur centrale, le paramètre Glide détermine la durée nécessaire à la tonalité pour repasser de cette valeur inférieure à la valeur normale. Pitcher Le curseur Pitcher fonctionne conjointement avec le curseur Glide : lorsque le curseur Pitcher est réglé au centre (en cliquant sur le petit bouton Port(amento)), le paramètre Glide détermine la durée du portamento. Lorsque le curseur Pitcher est réglé sur une valeur supérieure ou inférieure, une enveloppe de hauteur tonale est activée. Dans cette situation, le paramètre Glide détermine la durée nécessaire à la tonalité pour repasser de ce réglage tonal supérieur ou inférieur à la valeur d’origine. Le paramètre Pitcher peut voir sa valeur modulée par la vélocité : la moitié supérieure du curseur détermine le réglage correspondant à la valeur maximale de vélocité, la moitié inférieure celui qui correspond à la valeur minimale de vélocité. Pour agir simultanément sur les deux, cliquez puis faites glisser le curseur de la souris dans la zone située entre les deux segments de curseur. Notez que la moitié supérieure du curseur Pitcher peut être amenée au-dessus de la position centrale, et la moitié inférieure en dessous de la position centrale. Lorsque les curseurs Pitcher sont réglés de cette façon, les valeurs de vélocité basses font remonter la tonalité vers la hauteur d’origine de la note, tandis que les valeurs de vélocité élevées font retomber la tonalité à la hauteur d’origine. En d’autres termes, il est possible de modifier la polarité de l’enveloppe de hauteur tonale en fonction des valeurs de vélocité. Chapitre 25 EXS24 mkII 447 Lorsque les deux moitiés du curseur Pitcher sont réglées en dessous ou au-dessus de la position centrale, une vélocité basse ou élevée fera glisser la tonalité vers le haut ou vers le bas par rapport à la hauteur tonale d’origine. Selon la position des moitiés supérieure et inférieure du curseur par rapport à la position centrale, la durée nécessaire pour le glissement vers le haut ou vers le bas jusqu’à la hauteur tonale d’origine de la note peut être définie de façon indépendante pour les vélocités modérées et les vélocités élevées. Paramètres Filtre Ces paramètres permettent de contrôler la section de filtrage de l’EXS24 mkII. Vous pouvez configurer le type de filtre, sa résonance, sa fréquence de coupure, son amplification et le nombre de touches concernées, ainsi qu’ajuster son enveloppe ADSR (Attack Decay Sustain Release ; en français : attaque, chute, soutien, relâchement). Bouton Filter On/Off Ce bouton permet d’activer ou de désactiver la section du filtre. Notez que les potentiomètres et boutons du panneau argenté et l’enveloppe de filtre ne sont actifs que lorsque le filtre est activé (On). Lorsque la section du filtre est désactivée (Off), l’EXS24 mkII consomme beaucoup moins de ressources processeur. Lowpass (LP) Cliquez sur l’un des quatre boutons sous le sigle LP pour activer la pente lowpass voulue. Le trait orange au-dessus du bouton indique la pente lowpass sélectionnée. Quatre réglages différents permettent de définir la valeur de pente (efficacité du filtrage) du filtre lowpass : 24 dB (4 pôles), 18 dB (3 pôles), 12 dB (2 pôles) et 6 dB (1 pôle). La valeur 24 dB est tout à fait adaptée pour des effets spectaculaires de balayage, par exemple une coupe ne laissant subsister que quelques notes, ou pour la création de sons graves profonds, en ne laissant que les harmoniques vraiment nécessaires. La pente de 6 dB par octave est très utile pour obtenir un son légèrement plus chaud, dénué de tout effet drastique de filtrage, par exemple pour lisser des échantillons au son « trop brillant ». 448 Chapitre 25 EXS24 mkII Fat (Fatness) Cliquez sur le bouton Fat pour activer la fonction Fatness. Cette fonction est indépendante du réglage de la pente et peut donc être utilisée avec toutes les valeurs de pente. La fonction Fatness respecte la réponse dans les graves, même avec des valeurs élevées de résonance. Notez que ce paramètre s’applique uniquement dans le cas de filtres lowpass. Il n’a aucune fonction avec les filtres de type highpass ou bandpass. Highpass (HP) Cliquez sur le bouton sous le sigle HP pour activer le filtre highpass. Il s’agit d’un filtre à 2 pôles (12 dB/octave). Son rôle est d’atténuer les fréquences situées en dessous de la fréquence de coupure. Il s’avère utile pour supprimer la basse et la grosse caisse dans un échantillon par exemple, ou pour créer des effets classiques de balayage de filtre highpass. Bandpass (BP) Cliquez sur le bouton sous le sigle BP pour activer le filtre bandpass. Il s’agit d’un filtre à 2 pôles (12 dB/octave). Son rôle est de ne laisser passer que les bandes de fréquences situées de part et d’autre de la valeur de fréquence de coupure. Les fréquences situées à l’extérieur de ces bandes de fréquences sont coupées. Drive Ce potentiomètre permet de saturer l’entrée du filtre. Si vous tournez le potentiomètre Drive vers le haut, vous obtenez un signal saturé, plus dense, faisant apparaître des harmoniques supplémentaires. Cutoff Ce potentiomètre permet de régler la fréquence de coupure du filtre. Plus vous le tournez vers la gauche, plus le nombre de hautes fréquences atténuées par filtrage est élevé. La valeur Cutoff sert également de point de départ pour toute modulation faisant intervenir le filtre. Resonance L’augmentation de la valeur Resonance a pour effet d’accentuer la bande de fréquences située de part et d’autre de la fréquence définie par la valeur du paramètre Cutoff. Pour des valeurs de résonance très élevées, un phénomène d’auto-oscillation apparaît et le filtre se met à produire un signal sinusoïdal qui lui est propre. Contrôle simultané des paramètres Cutoff et Resonance Chapitre 25 EXS24 mkII 449 Pour contrôler simultanément les valeurs des paramètres Cutoff et Resonance, cliquez sur le symbole de chaîne situé entre les potentiomètres correspondants et faites-le glisser : déplacez la souris verticalement pour modifier les valeurs de coupure ou horizontalement pour agir sur les valeurs de résonance. Vous pouvez ainsi tester les différentes coupures et résonances du filtre tout en conservant la relation entre ces deux paramètres. Key Ce potentiomètre définit l’évolution de la fréquence de coupure du filtre en fonction du numéro de note. Lorsque le potentiomètre Key est tourné complètement vers la gauche, la fréquence de coupure n’est pas modifiée par le numéro de note : elle reste identique quelle que soit la note jouée. Lorsque le potentiomètre Key est tourné complètement vers la droite, la fréquence de coupure suit le numéro de note dans un rapport 1:1 (c’est-à-dire que si vous jouez une octave plus haut, la fréquence de coupure se voit elle aussi décalée d’une octave). Ce paramètre est très utile pour éviter de filtrer de façon excessive les notes aiguës. Filter Envelope Dans la partie inférieure de l’interface de l’EXS24 mkII, le paramètre ENV1 correspond au générateur d’enveloppe ADSR du filtre. Cette enveloppe permet de contrôler l’évolution du filtre dans le temps. Il offre les paramètres Attack, Decay, Sustain et Release. Faites glisser les curseurs A, D, S et R en fonction du paramètre que vous souhaitez configurer. Le temps d’attaque peut se voir réduit en fonction de la vélocité : la moitié supérieure du curseur détermine le temps correspondant à la valeur minimale de vélocité, la moitié inférieure celui qui correspond à la valeur maximale de vélocité. Pour déplacer les deux curseurs simultanément, cliquez puis faites glisser le curseur de la souris dans la zone située entre les deux segments de curseur.450 Chapitre 25 EXS24 mkII Time Curve Ces curseurs s’appliquent aux enveloppes de filtre (ENV1) et de volume (ENV2) ; le curseur de gauche peut être utilisé pour dimensionner (raccourcir ou allonger) les intervalles des deux enveloppes. Notez que la position C3 est le point central ; la longueur des intervalles de toutes les zones affectées aux touches au-dessus de C3 peut être réduite avec ce curseur. Tous les intervalles des zones affectées aux touches sous C3 peuvent être allongés. Le curseur (Attack) Curve détermine la forme de l’attaque de l’enveloppe. Paramètres Volume et Pan Vous trouverez dans cette section une description des paramètres Volume et Pan de l’EXS24 mkII. Level via Vel Ce curseur permet de contrôler le niveau du son. Le paramètre Level peut voir sa valeur modulée par la vélocité : la moitié supérieure du curseur détermine le volume correspondant à la valeur maximale de vélocité, la moitié inférieure celui qui correspond à la valeur minimale de vélocité. Pour agir simultanément sur les deux, cliquez puis faites glisser le curseur de la souris dans la zone située entre les deux segments de curseur. Volume Ce potentiomètre correspond au volume principal de l’EXS24 mkII. Réglez ce potentiomètre pour trouver l’équilibre approprié entre l’apparition de distorsions et l’obtention de la meilleure résolution (la plus haute) possible sur l’équilibreur de canal et sur le curseur Level via Vel. Key Scale Ce paramètre permet de moduler le niveau du son en fonction du numéro de note (c’est-à-dire en fonction de l’emplacement sur le clavier de la touche jouée). Pour des valeurs négatives, le niveau des notes graves augmente. Pour des valeurs positives, c’est le niveau des notes aiguës qui augmente.Chapitre 25 EXS24 mkII 451 Amp Envelope (ENV 2) Il s’agit d’un générateur d’enveloppe de type ADSR, permettant de contrôler l’évolution du niveau du son dans le temps. Il offre les paramètres Attack, Decay, Sustain et Release. Faites glisser les curseurs A, D, S et R en fonction du paramètre que vous souhaitez configurer. Le temps d’attaque peut se voir réduit en fonction de la vélocité : la moitié supérieure du curseur détermine le temps correspondant à la valeur minimale de vélocité, la moitié inférieure celui qui correspond à la valeur maximale de vélocité. Pour déplacer les deux curseurs simultanément, cliquez puis faites glisser le curseur de la souris dans la zone située entre les deux segments de curseur. Paramètres LFO L’EXS24 mkII intègre trois LFO (oscillateurs basse fréquence) qui peuvent servir de sources de modulation. Les paramètres des LFO sont expliqués dans cette section. LFO 1 EG Ce potentiomètre permet de diminuer le volume sonore du LFO 1 (lorsqu’il est réglé dans la zone Decay) ou de l’augmenter (lorsqu’il est réglé dans la zone Delay). Lorsque le potentiomètre est réglé au centre (en cliquant sur le petit bouton 0), l’intensité du LFO est constante. LFO 1 Rate Ce potentiomètre correspond à la fréquence du LFO 1. Vous pouvez entrer des valeurs de note (zone de gauche) ou des valeurs en Hertz (zone de droite). Lorsque le potentiomètre est réglé au centre (en cliquant sur le petit bouton 0), le LFO est arrêté et génère une valeur de modulation constante, à niveau nominal (DC = Direct Current).452 Chapitre 25 EXS24 mkII Forme d’onde pour LFO 1 et LFO 2 Ces deux colonnes de boutons radio permettent de choisir le type de forme d’onde utilisé respectivement par le LFO 1 et le LFO 2. Pour chaque LFO, les formes disponibles sont un triangle, une dent de scie descendante et une ascendante, un signal carré ascendant et un descendant, une forme d’onde aléatoire par paliers et une forme d’onde aléatoire lissée. Le LFO 1 est un LFO polyphonique avec fonction de synchronisation de touches. Autrement dit, lorsque le LFO 1 est utilisé, chaque voix de l’EXS24 dispose de son propre LFO séparé. Dès qu’une note est jouée, le LFO correspondant à cette voix entame son cycle. Ce principe de fonctionnement signifie que les cycles de LFO de chaque voix jouée ne sont pas synchronisés et évoluent indépendamment les uns des autres, ce qui ouvre un grand nombre de possibilités. Par exemple, à un instant donné, le LFO d’une voix pourrait générer la valeur de modulation maximale, tandis que le LFO assigné à une autre voix pourrait générer sa valeur minimale. Cette approche extrêmement souple peut donner des modulations très vivantes. À l’inverse, le LFO 2 est un LFO monophonique, dépourvu de fonction de synchronisation de touches. Autrement dit, le LFO 2 fonctionne en permanence et n’est pas redémarré à chaque nouvelle note. Toutes les voix sont modulées par un même LFO, le degré de modulation à un instant donné est donc le même pour toutes les voix. Cela donne des modulations assez synthétiques à l’oreille. Optimisez ces différentes caractéristiques pour personnaliser le son en fonction de vos besoins. LFO 2 Rate Ce potentiomètre correspond à la fréquence du LFO 2. Vous pouvez entrer des valeurs de note (zone de gauche) ou des valeurs en Hertz (zone de droite). Lorsque le potentiomètre est réglé au centre (en cliquant sur le petit bouton 0), le LFO est arrêté et génère une valeur de modulation constante, à niveau nominal (DC = Direct Current). LFO 3 Rate Il existe un troisième LFO, qui utilise toujours une forme d’onde triangulaire. Le LFO 3 peut osciller librement entre 0 et 35 Hz, ou peut se synchroniser au tempo, pour des valeurs comprises entre 32 mesures et un triolet d’octuple croche (1/128).Chapitre 25 EXS24 mkII 453 Matrice de modulation La matrice de modulation est la bande horizontale sur fond sombre apparaissant au centre de l’interface de l’EXS24 mkII. Elle est constituée de dix parcours de modulation, chacun mettant en relation une source de modulation (l’élément qui effectuera la modulation) avec une destination de modulation (le paramètre sonore à moduler). Ce concept est similaire à l’utilisation des cordons de patch d’un synthétiseur modulaire, mais avec une possibilité supplémentaire de contrôler l’intensité de modulation via une autre source de modulation (appelée via). Pour créer un parcours de modulation, procédez comme suit : 1 Choisissez d’abord la destination de modulation dans le menu Dest(ination). 2 Choisissez ensuite la source de modulation souhaitée dans le menu Src (Source). 3 Réglez l’intensité de modulation à l’aide du curseur triangulaire vert situé à droite de chaque parcours de modulation. Dans l’exemple ci-dessus, le paramètre LFO 1 Speed est modulé par les messages de pression (Pressure) par canal, ou « aftertouch », émis par un clavier MIDI. Vous avez la possibilité d’insérer une autre source de modulation dans l’emplacement du milieu intitulé « via ». La source de modulation via ne module pas directement la destination, mais la source (en fait, on peut dire qu’elle module le modulateur).454 Chapitre 25 EXS24 mkII Dans ce cas de figure, le curseur triangulaire vert se fend et vous permet de définir une valeur pour l’intensité de modulation. L’étendue de la modulation dépend des valeurs autorisées par la source de modulation via. Dans l’exemple ci-dessous, le numéro de touche sur le clavier MIDI (Key) détermine dans quelle mesure l’Aftertouch contrôle le paramètre LFO1 Speed. Les utilisateurs plus expérimentés s’exprimeraient ainsi : « Pressure vers LFO1 Speed via numéro de touche (Key) ». Inversion des sources Vous pouvez également inverser l’influence de l’effet de la source sur l’intensité de modulation. Pour ce faire, cliquez sur le bouton inv (à droite du mot Src ou via), selon la source dont vous désirez inverser l’influence. Dans l’exemple ci-dessous, la source de modulation via est inversée. Remarquez que les triangles vert et orange ont interverti leurs emplacements. Le triangle orange indique toujours l’intensité de modulation correspondant à la valeur maximale de la source via, tandis que le triangle vert indique toujours l’intensité de modulation correspondant à la valeur minimale de la source via. Ils se retrouvent intervertis si vous inversez la modulation.Chapitre 25 EXS24 mkII 455 Contournement des parcours de modulation Le bouton b/p (pour « bypass ») situé en regard du terme « Dest » permet de désactiver provisoirement tout le parcours de modulation. Dans notre exemple, les deux sources de modulation (Pressure et Key) sont déconnectées de la destination de la modulation, LFO1 Speed. Si vous cliquez à nouveau sur le bouton b/p, le parcours de modulation est reconstitué et les anciennes valeurs d’intensité de modulation sont rétablies. Modulations de second ordre L’EXS24 permet également d’utiliser des destinations de modulation de second ordre :  Une mêmesource peut être utilisée aussi souvent que vous le voulez pour contrôler différentes destinations.  Une même destination peut être contrôlée par différentes sources. Les diverses valeurs entrées se cumulent. Parcours de modulation de l’EXS24 mkI De nombreux parcours de modulation câblés auparavant directement accessibles sous forme de curseurs sur l’EXSP24 d’origine (mkI) font désormais partie de la matrice de modulation. Pour reconstituer les curseurs de modulation de la version mkI, cliquez sur le bouton Options en haut à droite, puis sur (« Recall default EXS24 mkI settings ») dans le menu local. Les parcours de modulation de la version mkI sont chargés dans la matrice de la façon suivante :  Velocity vers Sample Select  LFO 1 vers Pitch via ModWheel (= Ctrl#1)  Velocity vers Sample Start (inv)  LFO 2 vers Filter Cutoff via ModWheel  Velocity vers Filter Cutoff  Envelope 1 vers Filter Cutoff via Velocity  LFO 2 vers Pan via ModWheel Vous pouvez bien entendu modifier le réglage de ces parcours de modulation en fonction de vos besoins, par exemple en remplaçant certaines sources de modulation par des sources qui n’étaient pas disponibles dans l’EXS24 mkI (voir la liste complète des sources et des destinations ci-après).456 Chapitre 25 EXS24 mkII Remarque : pour des raisons d’ordre technique, les réglages de la matrice de modulation ne peuvent pas s’appliquer à l’EXS24 mkI. Sources et destinations de modulation disponibles Voici les différentes sources et destinations de modulation disponibles dans l’EXS24 mkII : Sources de modulation :  Side Chain (level)  Maximum  Env 1  Env 2 (Amp)  LFO 1, LFO2 et LFO 3  Release Velocity  Pressure  Pitch Bend  Key  Velocity  Control Nr. 1 - Control Nr. 120 Destinations de modulation :  Sample Select  Sample Start  Glide Time  Pitch  Filter Drive, Filter Cutoff et Filter Resonance  Volume  Pan  Relative Volume  LFO 1 Dcy./Dly (LFO 1 Decay/Delay)  LFO 1 Speed, LFO 2 Speed, LFO 3 Speed  Env 1 Attack, Env 1 Decay, Env 1 Release  Env 2 Attack, Env 2 Decay, Env 2 Release  Time  Hold Remarque : les contrôleurs n° 7 et 10 sont repérés comme (non disponibles). Logic Pro utilise ces contrôleurs pour l’automation du volume et de la balance des bandes de canaux audio. Le contrôleur n° 11 est repéré comme (Expression). Il dispose d’une connexion fixe à cette fonctionnalité mais peut également être utilisé pour contrôler d’autres sources de modulation.Chapitre 25 EXS24 mkII 457 Sample Select Cette destination de modulation mérite une explication un peu plus approfondie. Par défaut, la destination Sample Select est contrôlée par la vélocité, par l’intermédiaire du parcours de modulation par défaut Velocity vers Sample Select. C’est donc la valeur de vélocité de la note reçue qui détermine la zone écoutée, parmi les zones superposées avec différents réglages de plage de vélocité. La vélocité n’est pas le seul moyen de déterminer l’échantillon joué : si vous assignez d’autres sources de modulation que Velocity à la destination de modulation Sample Select (par exemple, la roulette de modulation, ModWheel), vous pouvez déterminer l’échantillon en cours de lecture autrement qu’à l’aide de la vélocité. La matrice de modulation vous permet même d’utiliser plusieurs sources, telles que Velocity associée à ModWheel, par exemple. Cependant, lorsque vous utilisez plusieurs sources de modulation (ou toute autre source que Velocity ou Key), n’oubliez pas que toutes les couches de vélocité risquent alors de fonctionner simultanément, utilisant autant de voix qu’il y a de zones superposées. Ce phénomène peut également se produire lorsque les zones sont inaudibles au niveau de contrôle sélectionné. Dans ce cas, le processeur est très sollicité, car même si vous ne les entendez pas, toutes les couches de vélocité sont actives en mémoire. Le choix d’un contrôleur continu, tel que ModWheel, pour moduler la destination Sample Select vous permet de franchir les couches de vélocité pendant la lecture. Dans ce cas, les paramètres de fondu enchaîné (XFade) sont essentiels à la réalisation de transitions douces entre chaque point de séparation de la vélocité. wÉditeur d’instruments L’Éditeur d’instruments de l’EXS24 mkII permet de créer et d’éditer des instruments échantillonnés. Un instrument échantillonné est constitué de zones et de groupes :  Une zone est un emplacement dans lequel un échantillon unique (ou fichier audio, si vous préférez ce terme) peut être chargé à partir du disque dur ou d’un CD-ROM.  Les zones peuvent être assignées à des groupes, qui offrent plusieurs paramètres de contrôle simultané de toutes les zones assignées. Vous pouvez définir autant de groupes que vous le souhaitez. Les paramètres de groupe peuvent être édités en mode d’affichage Group.458 Chapitre 25 EXS24 mkII Pour ouvrir l’Éditeur d’instruments : m Cliquez sur le bouton Edit, en haut à droite de la fenêtre des paramètres de l’EXS24 mkII (ou utilisez le raccourci clavier Ouvrir l’éditeur des instruments EXS24). L’Éditeur d’instruments présente deux modes d’affichage : Zones et Groupes. L’affichage Zones présente les zones et leurs paramètres, dans la section des paramètres. En mode d’affichage Zones, la section au-dessus du clavier s’intitule Zones et affiche les barres correspondant aux zones créées. L’affichage Groupes présente les groupes et leurs paramètres. En mode d’affichage Groupes, la section au-dessus du clavier s’intitule Groupes et affiche les barres correspondant aux groupes créés. Les éléments géné- raux (menus, boutons, etc.) sont visibles dans les deux modes d’affichage. La capture d’écran ci-dessous montre l’Éditeur d’instruments en mode d’affichage Zones. Cliquez pour basculer entre les vues Zones et Groupes Colonne Zone Section Zones/Groupes : Section Parameters : Clavier : Section Vélocité :Chapitre 25 EXS24 mkII 459  Colonne Zones : affiche tous les groupes de zones de l’instrument. Les groupes Toutes les zones et Zones dissociées existent par défaut pour chaque instrument. Cliquez sur un groupe pour afficher les zones associées dans la section des paramètres. Vous pouvez également sélectionner et afficher plusieurs groupes de zones à la fois (uniquement si le groupe Toutes les zones n’est pas sélectionné).  Section des paramètres : affiche les paramètres du groupe de zones sélectionné dans la colonne Zones.  Section de la vélocité : affiche la plage de vélocité de la zone sélectionnée.  Section des zones/groupes : affiche les zones ou les groupes qui apparaissent graphiquement au-dessus du clavier.  Clavier : permet de déclencher des notes pour l’EXS24 mkII, dans la piste sélectionnée. Le clavier sert également de référence visuelle pour le placement des zones ou des groupes dans la section des zones ou des groupes. Pour passer en mode d’affichage Groupes, cliquez sur le bouton Groupes, en haut à gauche. Pour passer en mode d’affichage Zones, cliquez sur le bouton Zones, en haut à gauche. Vous pouvez également utiliser le raccourci clavier Afficher/Masquer la présentation des zones/groupes pour passer d’un mode d’affichage à l’autre. Le bouton EXS24 en haut à droite de l’Éditeur d’instruments permet d’ouvrir à nouveau une fenêtre des paramètres de l’EXS24 mkII fermée. Ce bouton ne permet pas d’amener la fenêtre des paramètres au premier plan lorsqu’elle se trouve masquée par d’autres fenêtres flottantes. Éditeur d’instruments dans la vue Groupes460 Chapitre 25 EXS24 mkII Création d’instruments, de zones et de groupes Vous pouvez soit ajouter des zones et des groupes à des instruments chargés, soit créer un nouvel instrument et y intégrer des zones et des groupes. Pour créer un instrument, procédez comme suit : m Dans le menu Éditeur d’instruments, sélectionnez Instrument > Nouveau. Pour en savoir plus sur le chargement d’instruments échantillonnés existants, reportezvous à la section « Chargement d’instruments échantillonnés » à la page 424. Zones Une zone est un emplacement dans lequel un échantillon unique (ou fichier audio, si vous préférez ce terme) peut être chargé. L’échantillon chargé dans la zone réside en mémoire, c’est-à-dire qu’il utilise la mémoire RAM de votre ordinateur. Une zone offre divers paramètres permettant de contrôler la lecture de l’échantillon. Chaque zone vous permet de déterminer la plage de notes sur laquelle l’échantillon doit être écouté (plage de touches) ainsi que la note fondamentale (la note à laquelle l’échantillon est à sa hauteur tonale d’origine). Plusieurs autres paramètres, tels que le début, la fin de l’échantillon, les points de boucle ou le volume (entre autres) peuvent être ajustés dans la zone. Vous pouvez définir autant de zones que vous le souhaitez. Chaque zone nécessite au moins une voix EXS24 mkII lors de la lecture. Pour créer une zone et y assigner un échantillon, procédez comme suit : 1 Sélectionnez Zone > Nouvelle zone (ou utilisez le raccourci clavier correspondant). Une nouvelle entrée de zone apparaît dans l’Éditeur d’instruments. 2 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Cliquez sur la flèche dans la colonne Fichier audio, puis sélectionnez « Charger l’échantillon audio » dans le menu local (ou utilisez le raccourci clavier correspondant).  Double-cliquez sur la zone vide dans la colonne des fichiers audio. 3 Sélectionnez le fichier audio voulu dans la zone de dialogue de sélection de fichier. Si vous cochez la case « Masquer les fichiers audio en cours d’utilisation », les fichiers utilisés par l’instrument EXS chargé apparaissent en grisé.Chapitre 25 EXS24 mkII 461 4 Appuyez sur le bouton Lecture pour avoir un aperçu du fichier audio :  Cliquez sur le bouton Lecture pour lire en boucle le fichier d’échantillon sélectionné.  Cliquez une deuxième fois sur ce bouton pour arrêter la lecture.  Pour écouter plusieurs fichiers à la suite, appuyez une fois sur Lecture, puis passez d’un fichier à l’autre. L’option « Aperçu de l’échantillon par l’Instrument EXS » replace temporairement les fichiers d’échantillons dans la zone sélectionnée. La zone n’est pas directement déclenchée par cette option, mais elle peut être déclenchée par des notes MIDI lorsque vous sélectionnez différents fichiers dans la zone de dialogue de sélection de fichier. L’échantillon sélectionné peut être écouté en tant que partie intégrante de la zone avec le traitement du synthétiseur appliqué dans son intégralité (c’est-à-dire incluant l’application de filtres, d’effets de modulation, etc.). 5 Une fois que vous avez choisi l’échantillon à inclure, cliquez sur Ouvrir pour le charger. Une fois chargé, le nom de l’échantillon s’affiche dans le champ grisé. Création de zones par glisser-déposer Vous pouvez également créer une zone (et un instrument, si aucun n’apparaît dans l’éditeur) en faisant glisser un fichier sur l’une des touches du clavier affiché à l’écran. La note de début, la note de fin et la note fondamentale sont toutes les trois accordées sur la note sur laquelle le fichier est déposé. Cette fonctionnalité de glisser-déposer est valable pour les fichiers audio provenant des sources suivantes : navigateur, chutier audio et Finder. Vous pouvez également créer une zone (et un instrument, si aucun n’apparaît dans l’éditeur) en faisant glisser un fichier directement dans la section Zone. La note fondamentale de la zone correspond à la note à laquelle l’échantillon est joué à sa hauteur tonale enregistrée. Cette information est inscrite dans l’en-tête de l’échantillon. Si aucune note fondamentale n’est définie dans l’en-tête de l’échantillon, la note Do3 est utilisée par défaut.462 Chapitre 25 EXS24 mkII Remarque : si vous faites glisser un fichier audio dans une zone existante, le fichier référencé par cette zone est remplacé par le nouveau (le fichier déposé). Le curseur de la souris se transforme alors en flèche de repositionnement. Si vous faites glisser un échantillon unique dans la partie vide en dessous de la section Zones dissociées, une zone et un groupe par défaut sont créés, la nouvelle zone par défaut étant placée dans le groupe par défaut. Il est également possible de charger plusieurs échantillons à la fois. Dans ce cas, l’Éditeur d’instruments crée automatiquement de nouvelles zones, dans lesquelles il place les échantillons chargés. Pour charger plusieurs échantillons à la fois en une seule opération, procédez comme suit : 1 Dans l’Éditeur d’instruments, sélectionnez Zone > « Charger plusieurs échantillons » dans l’Éditeur d’instruments (ou utilisez le raccourci clavier correspondant). 2 Accédez à l’emplacement souhaité, puis utilisez les boutons Ajouter, Tout ajouter, Retirer ou Tout retirer pour sélectionner les échantillons voulus. 3 Lorsque vous avez fini, cliquez sur le bouton Terminé. 4 Choisissez l’un des trois modes de mappage automatique dans la zone de dialogue Charger plusieurs échantillons :  « Map auto » en lisant la note d’origine du fichier audio : utilise la note fondamentale stockée dans les fichiers audio et place les échantillons (en tant que zones) sur la plage correspondante du clavier. Le nombre de notes constituant une zone est déterminé de façon « intelligente » en fonction du placement des zones avoisinantes.  « Batterie » zone sans limite, note d’origine du fichier audio : utilise la note fondamentale stockée dans les fichiers audio. Chaque zone contient une note unique sur le clavier, déterminée d’après la note fondamentale.Chapitre 25 EXS24 mkII 463  Zones contiguës : ignore toutes les informations sur la note fondamentale indiquées dans les fichiers audio et place les échantillons sur le clavier par ordre chromatique. Le champ « Largeur de la zone » vous permet d’indiquer la largeur des nouvelles zones générées. Le champ « Note de démarrage » définit la note de début des nouvelles zones générées. Vous pouvez également charger plusieurs échantillons en les faisant glisser dans l’Éditeur d’instruments. Lorsque vous faites glisser plusieurs échantillons dans un dossier de groupes, chacun d’entre eux est assigné à son groupe respectif. Lorsque vous faites glisser plusieurs échantillons en dessous de la section Zones dissociées, les fichiers audio sont assignés à un nouveau groupe par défaut. Si vous faites glisser plusieurs fichiers sur l’une des touches du clavier, la zone de dialogue « Charger plusieurs échantillons » n’inclut pas le champ « Note de démarrage », puisque la note de début, la note de fin et la note fondamentale sont toutes les trois accordées sur la note sur laquelle le fichier est déposé. Groupes Imaginons par exemple qu’une batterie vient d’être créée, à l’aide d’un certain nombre d’échantillons utilisés dans plusieurs zones, répartis sur l’ensemble du clavier. Dans de nombreuses situations musicales, il serait appréciable de pouvoir traiter les paramètres d’édition du son indépendamment pour chaque échantillon (pour modifier la chute de la caisse claire, ou pour utiliser une valeur de coupure différente pour les échantillons de charleston, par exemple). C’est dans ce cas de figure qu’intervient la fonctionnalité Groupes de l’EXS24 mkII. Les groupes permettent une grande souplesse d’organisation des échantillons. Vous pouvez définir un nombre illimité de groupes et chaque zone peut être assignée à l’un de ces groupes. Dans le cas d’une batterie, par exemple, vous pouvez assigner toutes les grosses caisses au groupe 1, toutes les caisses claires au groupe 2, toutes les charlestons au groupe 3, et ainsi de suite. À quoi cela sert-il ? Un groupe permet, par exemple, de définir une plage de vélocité pour toutes les zones assignées. Vous pouvez ainsi spécifier une fenêtre de vélocité dans laquelle les zones groupées doivent être jouées. Chaque groupe offre également des paramètres de décalage des valeurs de l’enveloppe d’amplitude et du filtre entrées dans la fenêtre des paramètres. Il est également possible de lire toutes les zones sans définir ni assigner un seul groupe. Dans ce cas, les valeurs des paramètres s’appliquent de manière identique à tous les échantillons de toutes les zones. 464 Chapitre 25 EXS24 mkII Pour créer un groupe, procédez comme suit : m Dans l’Éditeur d’instruments, sélectionnez Groupe > Nouveau Groupe (ou utilisez le raccourci clavier correspondant). Un nouveau groupe apparaît dans la colonne Zones, dans la partie gauche de l’Éditeur d’instruments. Pour assigner une zone à un groupe, effectuez l’une des opérations suivantes : m Sélectionnez un groupe dans le menu Groupe de la zone. m Sélectionnez une zone dans l’Éditeur d’instruments EXS, le Finder, le chutier audio ou le navigateur et faites-la glisser vers l’un des groupes affichés dans la colonne Zones. m Pour faire passer à un nouveau groupe l’assignation de groupe d’une zone (ou d’une sélection de plusieurs zones), faites-la glisser hors du groupe et déposez-la dans un autre. m Pour faire passer à « unassigned » l’assignation de groupe d’une zone (ou d’une sélection de plusieurs zones), faites-la glisser hors du groupe et déposez-la dans la section Zones dissociées. m Pour créer un groupe contenant la ou les zone(s) déposée(s), faites glisser une zone non groupée (ou une sélection de plusieurs zones) dans la partie vide en dessous de la section Zones dissociées. m Pour créer un groupe contenant la ou les zone(s) déposée(s), faites glisser une zone (ou une sélection de plusieurs zones) hors d’un dossier de groupes vers la partie vide en dessous de la section Zones dissociées. ? Astuce : pour copier les zones sélectionnées, cliquez sur Option tout en faisant glisser les zones vers un autre groupe. Les paramètres de groupe affecteront désormais l’échantillon qui se trouve dans la zone. Pour supprimer tous les groupes qui ne disposent pas d’assignation de zone, procédez comme suit : m Dans l’Éditeur d’instruments, sélectionnez Groupe > Supprimer les groupes inutilisés. Chapitre 25 EXS24 mkII 465 Édition de zones et de groupes Zones et groupes disposent d’un certain nombre de paramètres que vous pouvez éditer pour personnaliser votre instrument échantillonné. Les paramètres de hauteur tonale, de plage de vélocité, de panorama, de boucle, ainsi que ceux d’autres fonctions des zones peuvent être édités. Vous pouvez également éditer, entre autres, les paramè- tres de groupe concernant la vélocité, la sortie et les filtres et enveloppes de décalage. Alors que certaines techniques d’édition (édition graphique, options de menu, modification de valeurs par simple clic, etc.) sont similaires, les zones et les groupes disposent de paramètres distincts, qui seront abordés plus loin dans cette documentation. Techniques d’édition générales Le menu Édition gère toutes les opérations de base relatives à l’édition d’instruments échantillonnés, telles que la copie de zones, l’annulation d’opérations d’édition, etc.  Annuler : permet d’annuler la modification la plus récente apportée à l’instrument échantillonné.  Rétablir : annule la dernière commande Undo.  Couper, Le copier, Coller : commandes classiques permettant de couper, copier et coller des valeurs. Vous pouvez aussi couper, copier et coller des zones ou des groupes sélectionnés. Lorsque vous procédez à la copie de groupes en mode d’affichage Zones, les groupes sélectionnés ainsi que les zones qui y sont associées sont copiés. Les assignations de groupe des zones sont conservées. Lorsque vous procédez à la copie de groupes en mode d’affichage Groups, seuls les groupes eux-mêmes sont copiés, sans les zones qui y sont associées.  Supprimerl : supprime la zone ou le groupe sélectionné(e). Sélection de zones et de groupes Il existe plusieurs façons de sélectionner des zones et des groupes pour les éditer. Tout d’abord, le menu Édition comporte des commandes spécifiques à la sélection de zones et de groupes EXS24 mkII :  Tout sélectionner : permet de sélectionner toutes les zones et tous les groupes de l’instrument échantillonné chargé.  Inverser la sélection (également disponible en raccourci clavier) : permet d’inverser la sélection entre les zones ou groupes sélectionnés et les zones ou groupes non sélectionnés. Vous pouvez également cliquer sur les zones et les groupes dans la section des paramètres :  Cliquez sur les paramètres d’une zone ou d’un groupe pour sélectionner cette zone ou ce groupe.  En mode d’affichage Zones, si vous cliquez sur deux zones tout en appuyant sur la touche Maj., toutes celles qui se trouvent entre ces deux zones sont sélectionnées.466 Chapitre 25 EXS24 mkII  Si vous cliquez sur plusieurs zones tout en maintenant la touche Commande enfoncée, toutes les zones sur lesquelles vous cliquez sont sélectionnées. Pour sélectionner la zone ou le groupe suivant(e) ou précédent(e), vous pouvez également utiliser les touches Flèche vers le haut et Flèche vers le bas. Sélection de la zone de la dernière note jouée Si vous sélectionnez l’élément de menu « Sélectionner la zone selon la dernière note jouée », dans le menu Zone, vous pouvez passer d’une zone à l’autre en appuyant simplement sur une touche, sur un clavier MIDI connecté. Même lorsque cette fonction est activée, vous pouvez toujours sélectionner des zones en cliquant dessus dans l’éditeur. Réglage des paramètres de zone Les paramètres de zone offrent un large contrôle sur chaque zone (échantillon) de votre instrument échantillonné. Zone Name Les nouvelles zones sont numérotées de façon consécutive. Double-cliquez sur le numéro d’une zone pour entrer un nom à la place du numéro. Fichier audio Le fichier audio d’une zone s’affiche dans cette colonne. Lorsque vous passez la souris sur un fichier audio, une info-bulle apparaît avec des informations complémentaires sur ce fichier (format, profondeur de bits, fréquence d’échantillonnage, etc.). Si vous appuyez sur la touche Commande avant que l’info-bulle apparaisse, celle-ci indique alors également le chemin d’accès complet au fichier audio. Cliquez sur la flèche pour ouvrir un menu contextuel proposant les commandes suivantes :  Charger l’échantillon audio : ouvre une zone de sélection de fichier, dans laquelle vous pouvez sélectionner un fichier audio. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section « Zones » à la page 460.  Ouvrir dans l’éditeur des échantillons : ouvre l’échantillon sélectionné dans l’Éditeur des échantillons de Logic Pro (ou dans l’éditeur d’échantillons choisi dans la zone de préférence Open External Sample Editor), pour poursuivre l’édition.  Révéler dans le Finder : affiche le fichier audio (chargé) dans le Finder. ? Astuce : double-cliquer sur la colonne Fichier audio (lorsqu’un fichier audio est chargé) permet d’ouvrir le fichier audio dans l’Éditeur des échantillons. Lorsqu’il n’y a pas de fichier audio chargé, le sélecteur de fichiers audio s’ouvre.Chapitre 25 EXS24 mkII 467 Groupe Indique l’assignation de groupe d’une zone. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section « Groupes ». Paramètres Pitch La colonne Key permet de déterminer la note fondamentale de l’échantillon (c’est-à-dire la note à laquelle l’échantillon est à sa hauteur tonale d’origine. Les colonnes Brut et Fin permettent d’accorder l’échantillon par incréments de demi-tons et de cents. Plage de notes Les deux paramètres Plage de notes permettent de définir une plage de notes pour la zone.  Bas : règle la note la plus basse à laquelle la zone est jouée.  Haut : règle la note la plus haute à laquelle la zone est jouée. Les notes jouées en dehors de cette plage n’auront pas pour effet de déclencher l’échantillon assigné à cette zone. Plage de vélocité Cochez la case Velocity Range pour définir une plage de vélocité pour la zone. La valeur Lo(w) définit la vélocité la plus basse à laquelle la zone est jouée, la valeur Hi(gh) la vélocité la plus haute. Les notes jouées en dehors de cette plage n’auront pas pour effet de déclencher l’échantillon assigné à cette zone. Paramètres Sortie La colonne Vol permet de régler le volume de la zone. La colonne Pan permet de régler la balance de la zone. Ce paramètre fonctionne uniquement lorsque l’EXS24 mkII est utilisé en stéréo. Pour des valeurs négatives du paramètre Scale, les notes plus basses que l’emplacement défini par la note fondamentale sonneront plus fort que les notes plus hautes, tandis que pour des valeurs positives, vous obtiendrez l’effet inverse. Ce paramètre permet d’équilibrer le volume d’un échantillon tout au long de la plage de notes sélectionnée.468 Chapitre 25 EXS24 mkII Le paramètre Routing détermine les sorties qu’utilise la zone. Sont disponibles les sorties principales (Main), les canaux jumelés 3 et 4, 5 et 6, 7 et 8, 9 et 10, ou les sorties individuelles 11 à 16. Chaque zone peut ainsi être routée de façon indépendante vers des canaux auxiliaires dans une configuration EXS24 mkII à plusieurs sorties. Paramètres Playback Cochez la case Pitch pour permettre à l’échantillon de modifier sa hauteur tonale en fonction des différentes touches qui le déclenchent. Lorsque cette case est décochée, l’échantillon est toujours joué à sa hauteur tonale d’origine, quelle que soit la note jouée. Lorsque la case 1Shot est cochée, la zone ne tient pas compte de la durée des notes jouées pour déclencher l’échantillon. Celui-ci est toujours joué jusqu’au bout. Cette option s’avère utile dans le cas d’échantillons de batterie, pour lesquels il n’est le plus souvent pas souhaitable que la durée de la note MIDI soit prise en compte pour la lecture de l’échantillon. Cochez la case Rvrs (Reverse) pour lire l’échantillon à l’envers, de la fin au début. Début et fin de l’échantillon Les paramètres Début d’échantillon et Fin de l’échantillon permettent de régler respectivement le point de début et le point de fin de l’échantillon. Si vous cliquez sur les deux valeurs tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, un menu contextuel s’affiche, permettant d’ouvrir l’échantillon dans l’Éditeur des échantillons de Logic Pro. Dans cet Éditeur, vous avez la possibilité de définir graphiquement les points de début et de fin de l’échantillon. Reportez-vous à la section « Édition d’échantillons dans Éditeur des échantillons » ci-dessous. Paramètres Boucle Lorsque vous déclenchez la lecture d’un échantillon audio, l’EXS24 mkII peut lire en boucle tout ou partie de cet échantillon. En d’autres termes, l’échantillon est lu en boucle lorsque des notes MIDI soutenues sont reçues.  Case Boucle activée : cochez cette case pour que les autres paramètres de bouclage puissent être édités. Chapitre 25 EXS24 mkII 469  Début de l’échantillon, Fin de l’échantillon : vous pouvez définir des points de début et de fin de bouclage discrets dans ces champs, pour pouvoir lire une partie d’un fichier audio en boucle. Cliquez sur le petit bouton E entre les deux valeurs pour ouvrir le fichier audio dans l’Éditeur des échantillons de Logic Pro et définir graphiquement les points de début et de fin de la lecture en boucle : le marqueur LS (Début de l’échantillon) indique le point de début de la boucle et le marqueur LE (Fin de l’échantillon) sont point de fin. Reportez-vous à la section « Édition d’échantillons dans Éditeur des échantillons » ci-dessous.  Ajuster : permet d’affiner l’accord de la partie du fichier audio lue en boucle, par incréments de cents.  Xfade (Fondu enchainé) : dans une boucle avec fondu enchaîné, il n’y a aucune coupure brutale entre le point de fin et le point de début de la boucle : la transition est progressive, grâce au fondu enchaîné. Cette fonction s’avère particulièrement pratique pour les échantillons difficiles à lire en boucle, pour lesquels surviendraient des clics au point de jonction de la boucle. Le champ XFade permet de déterminer le moment du fondu enchaîné. Plus la valeur est élevée et plus la transition entre les points de début et de fin de boucle est progressive.  Case E. Pwr (Equal Power) : permet d’appliquer au fondu enchaîné une forme d’onde exponentielle, créant une augmentation du volume sonore de 3 dB au milieu du fondu enchaîné. Dans ce cas, la fin et le début de la boucle sont lus de façon à maintenir un volume sonore constant. Remarque : les valeurs parfaites des paramètres régissant le fondu enchaîné dépendent des particularités de l’échantillon. Une boucle se lisant déjà sans discontinuité trop marquée constitue un point de départ idéal pour obtenir une boucle parfaite avec un fondu enchaîné, mais, à l’inverse, ce n’est pas parce que vous lui appliquez un fondu enchaîné qu’un raccord de boucle sonne forcément mieux. Faites plusieurs essais de valeurs de paramètres et vous découvrirez rapidement par vous-même de quelle façon, à quels moments et à quels endroits elles fonctionnent le mieux. Édition d’échantillons dans Éditeur des échantillons La façon la plus intuitive de régler les points de début et de fin d’un échantillon et d’une boucle consiste à disposer d’une représentation visuelle de la forme d’onde, qui vous aidera à déplacer graphiquement les points sur la courbe en fonction de vos besoins. Vous obtiendrez ainsi les valeurs voulues de façon bien plus précise et plus rapide que si vous deviez entrer des valeurs numériques sans guide visuel. 470 Chapitre 25 EXS24 mkII L’Éditeur d’instruments n’offre pas de représentation graphique de la forme d’onde d’un échantillon. Pour définir les points de début et de fin de boucle d’un échantillon dans l’Éditeur d’instruments, il faut donc d’abord entrer des valeurs numériques. Si vous cliquez sur les paramètres des points de début et de fin de bouclage tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, un menu contextuel s’affiche, qui vous permet d’ouvrir l’échantillon sélectionné dans l’Éditeur des échantillons de Logic Pro (ou dans l’éditeur d’échantillons externe défini dans les préférences). Cela vous permet d’éditer les limites de l’échantillon et les points de la boucle de manière graphique. Ensuite, vous n’aurez qu’à enregistrer l’échantillon et les nouvelles valeurs seront retranscrites dans l’en-tête du fichier audio pour être utilisées par l’EXS24 mkII. Une fois enregistré un échantillon édité dans l’Éditeur des échantillons de Logic Pro ou dans un éditeur d’échantillons tiers, il est probable que lorsque vous l’ouvrez à nouveau, les points de début et de fin ou les points de bouclage de la section des paramètres ne soient plus exacts. La commande « MÀJ infos des zones sélectionnées dans le fichier audio » (du menu Zone), lit les valeurs de bouclage et les points de début et de fin contenus dans le fichier audio et met à jour les réglages de la zone en conséquence. La fenêtre de l’Éditeur des échantillons offre également les fonctions Édition > Boucle d’échantillon ? Sélection, Édition > Sélection ? Boucle d’échantillon et Édition > Écrire l’échantillon en boucle dans un fichier audio.Chapitre 25 EXS24 mkII 471 Pour utiliser les commandes Boucle d’échantillon de l’Éditeur des échantillons : 1 Choisissez les commandes de sélection dans le menu Édition de l’Éditeur des échantillons :  Boucle d’échantillon ? Sélection : la zone de la boucle (définie par les points de début et de fin de la boucle) permet de sélectionner une partie du fichier audio.  Sélection ? Boucle d’échantillon : la zone sélectionnée permet de définir les points de début et de fin de la boucle. 2 Après avoir sélectionné la zone de votre choix à l’aide de l’une des commandes ci-dessus, choisissez Édition > Écrire l’échantillon en boucle dans un fichier audio. Les nouvelles valeurs de la boucle seront inscrites dans l’en-tête du fichier audio. Réglage des paramètres de groupe Les groupes offrent plusieurs paramètres pour le contrôle simultané de toutes les zones assignées. Plage de notes Les deux paramètres Plage de notes permettent de définir une plage de notes pour le groupe.  Bas : règle la note la plus basse à laquelle le groupe est joué.  Haut : règle la note la plus haute à laquelle le groupe est joué. Les notes jouées en dehors de cette plage n’auront pas pour effet de déclencher les zones assignées à ce groupe.472 Chapitre 25 EXS24 mkII Plage de vélocité Les deux paramètres Plage de vélocité permettent de configurer une plage de vélocité pour le groupe. Servez-vous en pour les sons pour lesquels vous désirez mélanger ou choisir plusieurs échantillons de façon dynamique, selon que vous appuyez plus ou moins fort sur les touches de votre clavier MIDI (par exemple, dans le cas de superpositions de sons, ou encore pour passer d’un échantillon de percussion à un autre). La valeur Bas définit la vélocité la plus basse à laquelle le groupe est joué, la valeur Haut la vélocité la plus haute. Les notes jouées en dehors de cette plage n’auront pas pour effet de déclencher l’échantillon assigné à ce groupe. Le cas échéant, ces réglages sont prioritaires par rapport à ceux des zones : lorsque la plage de vélocité d’une zone est supérieure à celle autorisée par le réglage défini pour le groupe, elle se voit limitée de fait par ce dernier. Paramètres Sortie  Volume : permet de régler le volume du groupe, et donc simultanément le volume de toutes les zones assignées. Ce paramètre fonctionne de façon similaire au curseur du volume d’un sous-groupe sur une console de mixage.  Pan : permet de régler la balance du groupe (la balance stéréo dans le cas d’échantillons stéréo), et donc simultanément la balance de toutes les zones assignées.  Routage : détermine les sorties utilisées par le groupe. Sont disponibles les sorties principales (Main), les canaux jumelés 3 et 4, 5 et 6, 7 et 8, 9 et 10, ou les sorties individuelles 11 à 16. Chaque groupe peut ainsi être routé de façon indépendante vers des canaux auxiliaires dans une configuration EXS24 mkII à plusieurs sorties. Paramètres Voix  Poly. (Polyphonie) : détermine le nombre de voix que le groupe est autorisé à utiliser. Application pratique : le mode charleston classique à l’intérieur d’une batterie complète, dont les sons sont répartis sur toute l’étendue du clavier. Dans cette situation, vous pouvez assigner un son de charleston ouvert et un son de charleston fermé à un même groupe et régler la valeur du paramètre Voices sur 1. Dans cet exemple, l’échantillon de charleston déclenché le plus récemment coupe l’autre, puisqu’une seule voix est autorisée pour le groupe. Ce comportement est conforme à la réalité : un son de charleston ne peut être à la fois ouvert et fermé. Lorsque les échantillons se trouvant dans des zones sont assignés à un autre groupe, les autres sons de batterie peuvent toujours être joués de façon polyphonique. L’option Max permet de s’assurer que le groupe utilise le nombre maximum de voix autorisé par le paramètre Voices de la fenêtre des paramètres.  Menu Déclencheur : détermine si les zones pointant sur ce groupe sont déclenchées en appuyant sur une touche (réglage Touche enfoncée) ou en relâchant une touche (réglage Touche relâchée). Ce paramètre est utile pour simuler les « clics » de touches d’un orgue, par exemple : dans ce cas vous pouvez vouloir déclencher une note en appuyant sur une touche, mais déclencher un « clic » en relâchant une touche.Chapitre 25 EXS24 mkII 473  Case Dc (Chute) : cochez cette case pour accéder au paramètre Decay Time.  (Chute) Durée : détermine la durée de chute du volume d’un échantillon déclenché par le relâchement d’une touche. N’oubliez pas que les paramètres de Chute fonctionnent uniquement lorsque Déclencheur est défini sur Touche relâchée. Décalages des filtres Ce paramètre permet de décaler séparément pour chaque groupe les réglages Fré- quence de coupure et Résonance de la fenêtre des paramètres. Il peut s’avérer utile si vous souhaitez que l’impact initial d’une note ne soit pas filtré pour un groupe, mais qu’il le soit pour les autres. Paramètres Décalages de l’enveloppe 1 et Décalages de l’enveloppe 2 Ces paramètres permettent de décaler séparément pour chaque groupe les réglages de l’enveloppe, à partir de la fenêtre des paramètres. Il peut s’avérer utile si vous souhaitez que les enveloppes de filtre ou de volume affectent les échantillons d’un groupe après l’impact initial des sons déclenchés. Remarque : lorsque le paramètre Déclencheur est défini sur Touche relâchée, c’est le paramètre Decay Time qui détermine la chute du volume, et non le paramètre Envelope 2 (l’enveloppe de volume). Ainsi, lorsque le paramètre Trigger est défini sur Touche relâchée, le paramètre Envelope 2 Offsets n’a aucun effet. Le paramètre H (Hold) détermine la période pendant laquelle l’enveloppe sera conservée au niveau d’attaque maximum, avant le début de la phase de chute. Sélection par regroupement Les paramètres de cette colonne permettent de définir un événement de sélection spécifique pour sélectionner un groupe. Dès que l’événement de sélection défini est déclenché, les zones pointant vers ce groupe peuvent être lues, tandis que les autres groupes (sélectionnés à l’aide d’un événement de sélection différent) ne sont pas lus. L’événement défini n’est lui-même pas déclenché, il sert simplement de commande à distance pour la sélection du groupe en question. Cette fonctionnalité peut être utilisée pour les événements MIDI (notes, contrôleurs, modulations, canal MIDI) et les groupes, une fois que vous avez défini le numéro de groupe qui permet de lancer la commande Select By. Par la suite, lorsque vous sélectionnez ce groupe, seules les zones pointant vers ce groupe sont lues (les autres groupes ne sont pas lus).474 Chapitre 25 EXS24 mkII Par exemple, si vous souhaitez que l’EXS24 mkII bascule automatiquement entre deux groupes d’échantillons d’instruments à cordes, l’un pour les échantillons en staccato et l’autre pour ceux en legato, vous pouvez utiliser pour les notes MIDI la sélection de menu Sélection par regroupement, et assigner une note MIDI différente pour le déclenchement de chaque groupe. Vous pouvez ainsi utiliser une note que vous ne jouez pas pour choisir un des deux groupes et basculer automatiquement d’un groupe à l’autre en jouant sur le clavier. Pour consulter un autre exemple d’utilisation de cette fonction pour basculer automatiquement d’un groupe à l’autre, reportez-vous à la section « Réassociation des événements des roulettes de Pitch Bend et de modulation » ci-dessous. Cliquez sur l’icône plus située en haut à gauche de la colonne « Sélection par regroupement » pour affiner les conditions de sélection d’un groupe. Cliquez sur l’icône moins pour supprimer une condition Sélection par regroupement et élargir les critères de sélection d’un groupe. Réassociation des événements des roulettes de Pitch Bend et de modulation Pour créer des performances réalistes de manière simple et intuitive, les instruments Jam Pack 4 (orchestre symphonique) utilisent la roulette de modulation pour basculer entre les articulations (legato, staccato, etc.) et la roulette de Pitch Bend pour changer l’expression (crescendo, diminuendo, etc.). Vous trouverez davantage d’informations à ce sujet dans la documentation de Jam Pack 4. Ce résultat est obtenu par réassociation interne des événements de Pitch Bend avec le contrôleur MIDI n°11 et des événements de la roulette de modulation avec le contrôleur MIDI n°4. Pour garantir la compatibilité avec les instruments Jam Pack 4, l’EXS24 mkII fait appel à ce comportement de réassociation pour les instruments Jam Pack 4. Vous pouvez également utiliser ce modèle de réassociation pour d’autres instruments en activant le réglage « Map Mod & Pitch Wheel to Ctrl 4 & 11 » dans le menu Instrument. L’EXS24 mkII réassocie alors respectivement les événements entrants de la roulette de Pitch Bend et ceux de la roulette de modulation au contrôleur n°11 ou au contrô- leur n°4. Les fonctionnalités par défaut des roulettes de Pitch Bend et de modulation ne peuvent pas être utilisées. Chapitre 25 EXS24 mkII 475 Édition graphique de zones et de groupes L’édition des zones et des groupes ne se fait pas uniquement dans la section des paramètres. Vous pouvez aussi éditer graphiquement certains paramètres de zone et de groupe, dans la zone d’affichage Zones ou la zone d’affichage Groups, au-dessus du clavier de l’Éditeur d’instruments. Pour déplacer une zone ou un groupe : 1 Placez le curseur de la souris sur une zone ou un groupe existant(e). La flèche du curseur se dédouble. 2 Cliquez sur la zone ou le groupe et maintenez le bouton de la souris enfoncé tout en faisant glisser la zone ou le groupe jusqu’à l’emplacement souhaité. Remarque : vous pouvez également changer la note fondamentale d’une zone : pour ce faire, appuyez simultanément sur les touches Option et Commande tout en faisant glisser la zone. Pour déplacer plusieurs zones ou groupes en même temps, vous pouvez les sélectionner soit par étirement, soit en appuyant simultanément sur la touche Maj., soit en appuyant simultanément sur la touche Commande.476 Chapitre 25 EXS24 mkII Pour modifier la note de début ou de fin d’une zone ou d’un groupe, procédez comme suit : 1 Placez le curseur de la souris au début ou à la fin d’une zone ou d’un groupe. La flèche du curseur se dédouble. 2 Cliquez sur le point de début ou de fin de la zone ou du groupe et maintenez le bouton de la souris enfoncé tout en faisant glisser le point jusqu’à l’emplacement souhaité. Vous pouvez également déplacer une zone vers la gauche ou vers la droite, à l’aide de l’un des deux raccourcis clavier suivants :  Déplacer la ou les zones/le ou les groupes sélectionné(e)s vers la gauche : Option + touche Flèche vers la gauche  Déplacer la ou les zones/le ou les groupes sélectionné(e)s vers la droite : Option + touche Flèche vers la droite Pour déplacer la note fondamentale de la zone en même temps que la zone elle-même, utilisez l’un des deux raccourcis clavier suivants :  Déplacer la ou les zones/le ou les groupes sélectionné(e)s vers la gauche (avec note fondam.) : Maj. + Option + touche Flèche vers la gauche  Déplacer la ou les zones/le ou les groupes sélectionné(e)s vers la droite (avec note fondam.) : Maj. + Option + touche Flèche vers la droite Pour éditer la plage de vélocité d’une zone ou d’un groupe, procédez comme suit : 1 Cliquez sur le bouton Afficher la velocité, tout en haut à droite de l’Éditeur d’instruments (ou utilisez le raccourci clavier correspondant). La zone d’affichage de la vélocité s’ouvre au-dessus de la zone d’affichage des zones ou des groupes. 2 Dans la zone d’affichage, cliquez sur un(e) ou plusieurs zones ou groupes. Les barres de vélocité des zones sélectionnées apparaissent en surbrillance dans la zone d’affichage de la vélocité.Chapitre 25 EXS24 mkII 477 3 Cliquez sur la valeur haute ou la valeur basse de la barre de vélocité de la zone ou du groupe à éditer et maintenez le bouton de la souris enfoncé. 4 Faites glisser le paramètre vers le haut pour augmenter la valeur, ou vers le bas pour la diminuer. Tri de zones et de groupes Pour trier des zones et des groupes dans l’Éditeur d’instruments EXS24 mkII, il suffit de cliquer sur l’en-tête de la sous-colonne de référence du tri. Par exemple, pour trier les zones par nom, cliquez sur l’en-tête de sous-colonne Name. Les zones seront alors triées par ordre alphabétique en fonction de leur nom. Par exemple, pour trier des groupes par ordre croissant de vélocité de départ (de la plus basse à la plus haute), cliquez sur l’en-tête de sous-colonne Basse, dans la colonne Plage de vélocité. Les groupes sont alors triés, en commençant par celui dont la plage de vélocité de départ est la plus faible. Affichage/masquage des paramètres Zone et Groupe Le menu Présentation vous permet de déterminer les paramètres de zone et de groupe que vous souhaitez voir apparaître dans la section des paramètres de l’Éditeur d’instruments :  Tout afficher : affiche toutes les colonnes et sous-colonnes disponibles (raccourci clavier correspondant : Présentation : Tout afficher). 478 Chapitre 25 EXS24 mkII  Individual Group and Zone display settings : permet d’afficher les colonnes et souscolonnes de votre choix. Les entrées de zones sont disponibles en mode d’affichage Zones, les entrées de groupes en mode d’affichage Groups. ? Astuce : si vous appuyez sur la touche Option et que vous sélectionnez une colonne de zone ou de groupe désactivée, seule la colonne sélectionnée s’affiche.  Rétablir les valeurs par défaut : permet de revenir à l’affichage par défaut (raccourci clavier correspondant : Présentation : Rétablir les valeurs par défaut).  Enregistrer comme valeur par défaut : enregistre les paramètres de zone et de groupe en cours comme présentation par défaut pour chaque ouverture de l’Éditeur d’instruments EXS24 mkII. Enregistrer, supprimer, renommer et exporter des instruments Toutes les opérations de base relatives aux instruments échantillonnés sont accessibles via le menu Instrument de l’Éditeur d’instruments. Enregistrer Enregistre l’instrument échantillonné chargé. Lors de la création d’un instrument, lorsque vous l’enregistrez pour la première fois, le système vous demande de lui attribuer un nom. Si vous éditez un instrument échantillonné existant et que vous l’enregistrez à l’aide de cette commande, c’est le nom du fichier existant qui est utilisé et l’ancien instrument est remplacé. Vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier Save Instrument. Enregistrer sous Cette commande permet aussi d’enregistrer l’instrument échantillonné chargé. Lorsque vous utilisez l’option Save As, le système vous demande d’attribuer un nom au fichier. Utilisez cette commande pour enregistrer une copie ou plusieurs versions d’un instrument échantillonné édité, au lieu d’écraser la version d’origine. Renommer Cette commande permet de renommer l’instrument échantillonné chargé. La version renommée remplace la précédente sur le disque dur. Exporter l’instrument de l’échantillonneur et les fichiers des échantillons Copie dans un autre dossier de votre choix, l’instrument échantillonné sélectionné et les fichiers audio associés. Lorsque vous utilisez cette commande, une boîte de dialogue standard de navigation dans les fichiers du système d’exploitation s’ouvre. En fonction de vos besoins, vous pouvez utiliser un dossier existant ou en créer un avec un nouveau nom. Vous pouvez également utiliser le raccourci clavier correspondant (par défaut : Contrôle + C).Chapitre 25 EXS24 mkII 479 Réglage des préférences du Sampler L’EXS24 mkII offre une fenêtre séparée des préférences du Sampler, qui permet de configurer diverses préférences relatives au fonctionnement et à l’échantillon même : qualité de la conversion de la fréquence d’échantillonnage, réactivité de la vélocité, stockage des échantillons, paramètres de recherche, etc. Pour ouvrir la fenêtre Préférences Sampler, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur le bouton Options dans la fenêtre des paramètres, puis sélectionnez Préférences dans le menu local. m Dans l’Éditeur d’instruments, sélectionnez Édition > Préférences. Conversion de fréquence Choisissez la qualité d’interpolation utilisée par l’EXS24 mkII. Lorsque le paramètre Conversion de fréquence est réglé sur Meilleur, la transposition des échantillons fait intervenir la meilleure qualité sonore possible. Gestion des échantillons Ce paramètre permet de choisir le format auquel les données des échantillons chargés vont être gérées par l’EXS24 mkII. Lorsqu’il est réglé sur Original, les échantillons sont chargés dans la RAM à leur résolution originale et sont ensuite convertis, au moment de la lecture, au format interne de Logic Pro, 32 bits virgule flottante. Lorsque l’option 32 bits en virgule flottante est sélectionnée, les échantillons sont stockés et chargés dans ce format. Il n’est alors plus nécessaire de réaliser une conversion en temps réel, ce qui permet à l’EXS24 mkII de gérer les données des échantillons de façon plus efficace et de lire un plus grand nombre de voix en simultané. Notez cependant que les échantillons 16 bits requièrent deux fois plus de RAM et les échantillons 24 bits un tiers de plus. Courbe de vélocité Ce paramètre détermine la manière dont l’EXS24 mkII répond aux valeurs de vélocité reçues depuis votre clavier MIDI. Les valeurs négatives accentuent la réponse aux frappes douces sur les touches, tandis que les valeurs positives la modèrent.480 Chapitre 25 EXS24 mkII Rechercher des échantillons sur Ce paramètre définit l’emplacement auquel rechercher les échantillons d’instruments. Vous pouvez choisir soit les lecteurs généralement utilisés par le système d’exploitation, soit des lecteurs SCSI externes, FireWire ou USB, accessibles directement ou via le réseau. Les lecteurs peuvent être sélectionnés individuellement ou par groupes, comme suit :  Volumes Locaux : supports de stockage internes (disques durs et CD-ROM) reliés à l’ordinateur ou directement installés dessus.  Volumes externes : supports de stockage externes accessibles via le réseau.  Tous les volumes : tous les supports, internes et en réseau, sont explorés pour rechercher les données appropriées. Remarque : si vous sélectionnez Volumes externes ou Tous les volumes, le temps nécessaire à l’EXS24 mkII pour rechercher et charger les instruments échantillonnés et les fichiers peut augmenter de façon spectaculaire. Lire la note d’origine de Permet de déterminer la façon dont l’EXS24 mkII définit la note fondamentale des fichiers audio chargés. Vous avez le choix entre les options suivantes :  Fichier/nom de fichier : lors du chargement d’un fichier audio dans une zone, l’EXS24 mkII consulte d’abord les informations relatives à la note fondamentale contenues dans le fichier lui-même (dans l’en-tête du fichier AIFF ou WAVE). Si ce type d’information ne figure pas dans l’en-tête du fichier, une analyse intelligente du nom du fichier peut aider à retrouver la note fondamentale. Si cette seconde méthode ne donne aucun résultat utile, c’est la note Do3 qui est utilisée par défaut comme note fondamentale dans la zone.  Nom de fichier/fichier : comme pour l’option précédente, mais inversée. La recherche de la note fondamentale s’effectue d’abord dans le nom du fichier, puis dans l’entête.  Nom de fichier seulement : recherche uniquement à partir du nom de fichier. Si aucune information n’est trouvée sur la note fondamentale, c’est la note Do3 qui est automatiquement assignée à la zone comme note fondamentale.  Fichier seulement : recherche uniquement à partir de l’en-tête du fichier. Si aucune information n’est trouvée sur la note fondamentale, c’est la note Do3 qui est automatiquement assignée à la zone comme note fondamentale. Note d’origine à la position du nom Normalement, l’EXS24 mkII détermine de façon intelligente la note fondamentale à partir de l’en-tête du fichier audio chargé. Il peut cependant parfois arriver que vous souhaitiez contrôler ce paramètre manuellement, si vous pensez que la note fondamentale n’est pas déterminée correctement. Dans ce cas, utilisez le paramètre Note d’origine à la position du nom. Les options proposées dans le menu local sont Auto, ou des valeurs numériques allant de 1 à 30.Chapitre 25 EXS24 mkII 481 La valeur recommandée est Auto. Elle effectue une analyse intelligente des chiffres et des notes éventuellement présents dans le nom du fichier. Un chiffre est reconnu dans un nom de fichier, quel que soit son format (« 60 » et « 060 » sont tous les deux valides, par exemple). Les autres chiffres valides sont compris entre 21 et 127. Les valeurs numériques non comprises dans cette fourchette ne sont généralement que des numéros de version. Un numéro de touche exprimé à l’anglaise (C3, C 3, C_3, A–1, A –1 ou #C3, C#3, par exemple) est également une valeur reconnue. Les valeurs possibles s’échelonnent de C–2 à G8. Remarque : dans certains cas, le concepteur sonore a intégré plusieurs valeurs dans le nom du fichier : c’est souvent le cas pour les boucles, où une valeur indique le tempo (par exemple, « loop60-100.wav »). Dans ce cas, il n’est pas toujours évident de savoir à quoi correspondent ces valeurs : 60 ou 100 peuvent par exemple indiquer le numéro de fichier dans une collection, le tempo, la note fondamentale, etc. Vous pouvez définir la valeur « 8 » pour lire la note fondamentale à la position (lettre/caractère) huit du nom du fichier (dans notre exemple, 100, soit Mi6). De même, si vous définissez la valeur 5, c’est la valeur 60 (soit Do3) qui est définie comme position de la note fondamentale. Instrument précédent et Instrument suivant Les préférences Instrument précédent et Instrument suivant permettent de déterminer le type d’événement MIDI (et la valeur de données) qui sera pris en compte pour la sélection de l’instrument précédent ou suivant. Choisissez un type d’événement MIDI dans les menus Instrument précédent et Instrument suivant. Vous avez le choix entre Note, Pression polyphon., Changement de commande, Changement de programme, Pression par canal et Pitch Bend. Le champ en regard des menus vous permet d’entrer soit le numéro de note, soit la valeur du premier octet de données. Lorsque le paramètre Changement de commande est sélectionné, la valeur entrée dans le champ définit le numéro de contrôleur. Conversion Giga incluant le déclencheur de relâchement Ce paramètre permet de déterminer si la fonction de déclencheur de relâchement du format Gigasampler est exécutée ou non par l’EXS24 mkII. 482 Chapitre 25 EXS24 mkII Ignorer la vélocité de relâchement Cette option se rapporte également à la fonction de déclencheur de relâchement du format Gigasampler et doit toujours être activée si vous utilisez ce dernier. Que votre clavier soit ou non capable d’envoyer des messages de vélocité de relâchement, vous pouvez alors faire en sorte que les échantillons joués par la fonction de déclencheur de relâchement soient plus forts ou moins forts que l’échantillon original, ou que les échantillons soient toujours lus au même niveau de volume sonore, quelle que soit la vélocité initiale. À l’inverse, lorsque vous jouez avec la fonction de déclencheur de relâchement, vous pouvez disposer d’une valeur de vélocité de relâchement identique à la valeur de vélocité initiale. Pour ce faire, vous pouvez désactiver la vélocité de relâchement. Garder en mémoire les échantillons les plus courants lors d’un passage d’un projet à l’autre Ce paramètre permet de définir si les échantillons utilisés en commun par deux fichiers de projets ouverts doivent être rechargés lorsque vous passez d’un projet à l’autre. Configuration de la mémoire virtuelle Nombre de bibliothèques d’échantillons contiennent maintenant plusieurs gigaoctets d’échantillons audio, afin de créer des instruments échantillonnés les plus précis possible. Ces bibliothèques d’échantillons sont souvent trop imposantes pour être entièrement intégrées dans la mémoire RAM de votre ordinateur. Pour vous permettre d’accéder à ces gigantesques bibliothèques d’échantillons, l’EXS24 mkII peut utiliser une portion de votre disque dur comme mémoire virtuelle. Lorsque vous activez la mémoire virtuelle de l’EXS24 mkII, seules les attaques initiales des échantillons audio sont chargées dans la RAM de votre ordinateur, le reste de l’échantillon est diffusé en continu en temps réel à partir du disque dur. La fonction de mémoire virtuelle de l’EXS24 mkII peut être configurée dans la fenêtre Virtual Memory. Pour ouvrir la fenêtre Mémoire Virtuelle, procédez comme suit : m Cliquez sur le bouton Options dans la fenêtre des paramètres, puis sélectionnez Mémoire Virtuelle dans le menu local.Chapitre 25 EXS24 mkII 483  Case Activer : cochez cette case pour activer la fonction de mémoire virtuelle de l’EXS24 mkII.  Vitesse du disque : il s’agit de la vitesse de votre disque dur. Si vous disposez d’un disque cadencé à au moins 7200 RPM pour vos échantillons audio, sélectionnez le réglage Fast. Si vous utilisez un ordinateur portable cadencé à 5400 RPM pour vos échantillons audio, sélectionnez Medium. Avec les Macintosh modernes, vous n’aurez généralement pas l’occasion d’utiliser le réglage Slow.  Activité d’enregistrement du disque : indique la proportion d’enregistrements et de diffusion en continu de fichiers audio non échantillonnés. Par exemple, si vous enregistrez des batteries entières avec plus d’une douzaine de micros, en diffusant des guitares et des basses live en continu, en enregistrant des chœurs, etc., réglez le paramètre Hard Disk Recording Activity sur High. Par contre, si vos projets sont principalement constitués d’instruments logiciels, avec éventuellement un(e) ou deux instruments ou voix enregistré(e)s, réglez le paramètre Hard Disk Recording Activity sur Low. Si vous n’êtes pas sûr, laissez ce paramètre sur Average.  Champ Requires Constant RAM Allocation of : indique la quantité de mémoire nécessaire aux deux paramètres mentionnés ci-dessus. Plus votre disque dur est lent et plus votre activité d’enregistrement du disque est élevée, plus vous aurez besoin d’allouer de RAM à la mémoire virtuelle.  Section Performance : indique le trafic d’E/S sur le disque et les données non lues à temps. Si ces valeurs augmentent, l’EXS24 mkII risque de rencontrer des problèmes pour diffuser vos échantillons en continu à partir du disque par rapport à vos performances. Si vous remarquez que ces valeurs atteignent des niveaux trop élevés, il est conseillé de modifier les réglages généraux afin de libérer de la RAM supplémentaire pour la mémoire virtuelle. Si le problème persiste, il est conseillé d’installer de la mémoire RAM supplémentaire sur votre Macintosh. Utilisation de VSL Performance Tool L’EXS24 mkII intègre une interface complémentaire pour le logiciel Vienna Symphonic Library Performance Tool. Pour y accéder, vous devez installer le logiciel Performance Tool de VSL. Pour en savoir plus, reportez-vous à la documentation de VSL.26 485 26 External Instrument Vous pouvez utiliser le module External Instrument pour faire passer les données de vos générateurs de sons MIDI externes à travers la table de mixage de Logic Pro, de façon à pouvoir les traiter avec des effets Logic Pro. L’idéal serait d’utiliser une interface audio à plusieurs entrées et sorties, pour éviter d’avoir à constamment modifier le raccordement des périphériques. Le module External Instrument peut être inséré dans les canaux d’instruments logiciels à la place d’un instrument logiciel. Paramètres du module External Instrument  Menu MIDI Destination : choisissez l’objet Instrument MIDI souhaité dans votre environnement.  Menu Input : choisissez les entrées du matériel audio auxquelles le générateur de sons MIDI est connecté.  Curseur et champ Input Volume : déterminent le niveau du signal entrant.486 Chapitre 26 External Instrument Utilisation du module External Instrument La section ci-dessous décrit la procédure à suivre pour faire passer les données de vos générateurs de sons MIDI externes à travers la table de mixage de Logic Pro. Pour traiter les données d’instruments MIDI externes avec des effets : 1 Connectez la sortie (ou la paire de sorties) de votre module MIDI à une entrée (paire) de votre interface audio. Remarque : il peut s’agir de connexions analogiques ou numériques si votre interface audio et votre processeur d’effets sont équipés d’un de ces types de connexions ou des deux. 2 Créez un canal d’instrument. 3 Cliquez sur le logement Instrument et choisissez External Instrument dans le menu local. 4 Choisissez la destination MIDI dans le menu de la fenêtre External Instrument. 5 Choisissez l’entrée (de votre interface audio) à laquelle le générateur de sons MIDI est connecté dans le menu local Input. 6 Réglez le volume d’entrée, si nécessaire. 7 Insérez les effets souhaités dans les logements d’insertion du canal. Alors que la piste est dirigée vers un canal d’instrument (utilisé pour un module de son MIDI externe), elle se comporte exactement comme une piste d’instrument logiciel standard. Vous pouvez donc enregistrer et lire des régions MIDI figurant sur celle-ci, en bénéficiant des avantages suivants :  Vous pouvez tirer parti des sons et du moteur de synthèse de votre module MIDI, sans augmenter la charge du processeur de votre Macintosh (à part les effets utilisés sur le canal).  Vous pouvez évidemment utiliser des effets d’insertion, mais également l’envoi d’effets en dirigeant le canal d’instrument vers des canaux auxiliaires.  Vous pouvez effectuer un bounce de vos sections instrumentales MIDI externes en temps réel, avec ou sans effet, vers un fichier audio. Cela permet de créer en une seule opération une version mixée incluant l’ensemble des pistes et périphériques internes et externes. Autres points à prendre en compte Si vous utilisez des sources sonores MIDI multitimbrales, n’oubliez pas que chaque module External Instrument exige une sortie audio séparée. La fonction Freeze ne peut pas être appliquée à une piste External Instrument plus rapidement qu’en temps réel, comme pour toute opération de bounce impliquant du matériel MIDI.27 487 27 KlopfGeist KlopfGeist est un instrument optimisé pour fournir le battement d’un métronome dans Logic Pro. KlopfGeist est inséré sur le canal d’instrument 128 par défaut et utilisé pour générer le battement du métronome MIDI. Théoriquement, tout instrument de Logic Pro ou de tiers pourrait être utilisé comme source de son de métronome sur le canal d’instrument 128. De même, KlopfGeist peut être inséré dans tout autre canal d’instrument afin d’être utilisé comme tel. Une étude des paramètres de KlopfGeist va toutefois clairement démontrer qu’il s’agit d’un synthétiseur conçu pour créer le son du battement d’un métronome.  Boutons Trigger Mode : permettent de faire fonctionner KlopfGeist comme un instrument monophonique ou polyphonique (4 voix).  Potentiomètre et champ Tune : accordent KlopfGeist par étapes de demi-ton.  Potentiomètre et champ Detune : permettent de réaliser un accord fin de KlopfGeist en cents.  Curseur et champ Tonality : modifient le son de KlopfGeist, qui passe d’un bref battement à un son de percussion ayant une tonalité, comme un bloc de bois ou des claves. 488 Chapitre 27 KlopfGeist  Curseur et champ Damp : contrôlent le temps de libération. Le temps de libération le plus court est atteint lorsque Damp a sa valeur maximale (1.00).  Curseur et champs Level Via Vel : déterminent la sensibilité de KlopfGeist en matière de vélocité. La moitié supérieure du curseur (qui compte deux parties) détermine le volume pour la vélocité maximale, la moitié inférieure pour la vélocité minimale. En cliquant et en faisant glisser la zone entre les deux segments du curseur, vous pouvez les déplacer simultanément.28 489 28 Sculpture Sculpture est un synthétiseur qui génère des sons en fonction d’une mesure ou d’une corde simulée en mouvement ou en cours de vibration. Dans un souci de clarté, il sera toujours fait référence à la « corde » dans ce chapitre, bien que nombre des sons pouvant être obtenus avec Sculpture n’aient rien à voir avec ce que l’on peut attendre d’un instrument à cordes. Sculpture utilise une méthode de synthèse appelée modélisation de composantes. Cette approche de la génération de tonalité présente des aspects et des paramètres communs avec d’autres techniques de synthèse, telles que celles disponibles dans les synthétiseurs additifs et soustractifs. À ce titre, nombre de paramètres utilisés par Sculpture vous sembleront immédiatement familiers, notamment les oscillateurs sub-audio, les vibratos, les enveloppes, etc. En revanche, de nombreux autres seront totalement nouveaux pour vous. Les enveloppes enregistrables de Sculpture proposent une portée très étendue pour l’animation sonore, avec pour récompense des sons tout simplement extraordinaires. La souplesse de Sculpture en la matière offre un niveau de contrôle qui ne manquera pas de vous étonner, même si vous êtes un utilisateur aguerri des synthétiseurs. Explorez à fond les possibilités offertes par tous les contrôles et paramètres disponibles, pour écouter les sons intégrés au logiciel et pour créer les vôtres. Sculpture est un exemple classique de synthétiseur « à performances », qui tire parti de l’utilisation des contrôleurs, des modulations et des différentes techniques de jeu. Du point de vue de la conception du son, n’hésitez pas à vous lancer dans des expérimentations, car c’est dans cet esprit que Sculpture a été créé. La création de types de sons particuliers est évoquée dans la section « Programmation : guide de démarrage rapide » à la page 547. Avant de découvrir les différentes fonctionnalités, lisez la courte section qui suit sur le cœur du moteur de synthèse dans Sculpture. 490 Chapitre 28 Sculpture Cœur du moteur de synthèse de Sculpture Cette section est destinée à vous donner un aperçu de la façon dont fonctionne Sculpture. Comme vous le constaterez par vous-même, la modélisation des composantes est très différente des méthodes de synthèse « traditionnelles », de même que les résultats. La présentation des descriptions de paramètres suit le chemin du signal (affiché dans le diagramme) du moteur de synthèse. Vérifiez les options de chaque paramètre à mesure que vous les découvrez. Cela vous donnera une meilleure idée de l’emplacement et de la disponibilité de chaque élément. La corde est l’élément de synthèse central. Elle propose une gamme de paramètres qui permettent de régler son matériau, autrement dit, ce qui la compose. Pickups Amplitude envelope Wave Shaper Filter Delay Body EQ Level Limiter Objects String Retard Corde Level Limiter Waveshaper Enveloppe d’amplitude Body EQ Paramètres des cordes (String) Objets Filtre Fenêtre PickupChapitre 28 Sculpture 491 Vous pouvez utiliser jusqu’à trois objets de types différents pour exciter ou perturber la vibration de la corde. Ces objets peuvent être placés à n’importe quel endroit le long de la corde et offrent de multiples paramètres permettant de régler les propriétés. La corde elle-même ne produit pas de son, sauf si elle est stimulée (excitée ou perturbée) par les objets. La vibration de la corde est transmise à la section de traitement suivante par l’intermé- diaire de deux capteurs mobiles (semblables aux capteurs électromagnétiques utilisés sur les guitares ou les pianos et Clavinets électriques). La section de traitement est constituée de la plage d’amplitude ADSR, d’un Waveshaper (avec types sélectionnables) et d’un filtre polyvalent. Remarque : tous les éléments décrits ci-dessus existent sur la base de la voix. La somme de tous les signaux de voix est alors traitée par un effet de retard intégré. De là, le signal est envoyé vers un module interne de type égaliseur (Body EQ), qui simule globalement la réponse spectrale forme/corps de votre instrument. Le signal obtenu est alors transmis vers une section Level Limiter. Un grand nombre d’options de modulation sont aussi disponibles : des oscillateurs sub-audio avec tempo synchronisé aux générateurs de fluctuations et aux enveloppes enregistrables. Une fonction de morphing (enregistrable) permet également des transitions douces ou brutales entre cinq instantanés de morphing au maximum. La corde en tant qu’élément de synthèse En tant que synthétiseur de modélisation de composantes, Sculpture vous propose une « corde » à la place des oscillateurs disponibles dans les synthétiseurs traditionnels. La corde est un concept beaucoup plus sophistiqué que les simples oscillateurs. En fait, vous créez la forme d’onde ou le timbre de base en partant de rien. Vous obtenez ce résultat en décrivant (mathématiquement) les propriétés de la corde et de son environnement. Parmi celles-ci, on trouve notamment le matériau dans lequel la corde est fabriquée, son épaisseur et sa tension, ses caractéristiques dans la durée, l’atmosphère (eau, air, etc.) dans laquelle elle est utilisée et la façon dont elle est jouée (frappée, frottées, etc.). Dans Sculpture, le timbre général est défini par les paramètres de la corde. Les modules internes tels que Waveshaper, Filter et Body EQ sont des compléments utiles qui aident à affiner le son global.492 Chapitre 28 Sculpture Sculpture va bien au-delà de la simple création d’un nombre infini de timbres de base, cependant. L’une des différences essentielles entre la corde utilisée dans Sculpture et la forme d’onde d’un synthétiseur traditionnel est que le timbre de base (généré par la corde) demeure dans un état de flux constant. Autrement dit, si la corde de Sculpture continue de vibrer pour une note spécifique, le redéclenchement de cette même note donnera lieu à une interaction avec la vibration en cours. Cela ressemble à l’effet obtenu en pinçant de façon répétée une corde de guitare, alors que la corde continue de vibrer lorsque la note suivante est jouée. Cette opération altère à chaque fois le spectre harmonique, ce qui explique pourquoi les guitares acoustiques produisent un son organique lorsqu’une note est jouée de façon répétée, contrairement aux guitares échantillonnées. Comme vous pouvez le constater, cela diffère fortement des autres méthodes de synthèse, avec lesquelles le timbre de base (la forme d’onde), même lorsqu’il est modulé, n’interagit pas de façon harmonique avec les notes sonores redéclenchées. Dans les synthétiseurs traditionnels, la forme d’onde est généralement redémarrée, à partir du milieu du cycle ou depuis le début, ce qui entraîne une hausse du volume ou un léger déplacement cyclique de l’onde. Au-delà de cet aspect du contrôle et de l’interaction du timbre de base, Sculpture permet aussi d’émuler (reproduire) un certain nombre de propriétés d’instruments acoustiques. Vous pouvez par exemple reproduire le frottement d’un archet sur une corde, la frappe d’un marteau de piano, voire la chute d’une pièce de monnaie sur le chevalet d’une guitare. Il n’y aurait cependant aucun intérêt à frotter ou pincer une corde si votre violon, violoncelle ou guitare ne disposait pas d’un manche ou d’une caisse. Vous souhaiteriez probablement trouver un moyen de modifier la tension des cordes ou bien essayer l’acier plutôt que le nylon ou le catgut. En d’autres termes, pour contrôler les propriétés physiques de la corde et son excitation (la façon dont elle est jouée). Vous pouvez faire tout cela grâce à Sculpture. C’est un outil qui exige un investissement en temps de votre part, mais vous serez récompensé par de belles sonorités organiques et chaudes, des ambiances sonores évolutives ou des sonorités rugueuses et métalliques de type « Hell’s Bells », si le cœur vous en dit.Chapitre 28 Sculpture 493 Paramètres de Sculpture Cette section traite des paramètres de Sculpture. Cependant, avant de les aborder, l’un des facteurs clé de la modélisation des composantes est l’interaction entre les différentes sections du moteur de synthèse. Cela peut aboutir à des sons véritablement uniques, mais aussi à des résultats inattendus. Sculpture est très différent des synthétiseurs traditionnels et exige une approche plus mesurée pour obtenir un résultat précis. Dans la section « Programmation : guide de démarrage rapide » à la page 547, vous trouverez une série d’astuces qui vous aideront dans l’élaboration de types de sons spécifiques. Pensez à consulter cette section. Conservez l’organigramme de Sculpture (page 490) à portée de main tout en vous familiarisant avec l’interface et la programmation. Si vous adoptez une approche méthodique et que vous suivez l’organigramme, vous ne devriez pas être trop souvent confronté à des résultats inattendus. L’interface utilisateur de Sculpture se divise en trois zones principales. Dans la partie supérieure, la section de couleur argentée contient le moteur de son. Il se divise en quatre sections :  Paramètres globaux : zone de couleur argentée claire dans la partie supérieure, incluant notamment les paramètres globaux Glide, Tune, etc.  Paramètres de corde et d’objet : zone de couleur argentée foncée à gauche et « l’anneau » de la nappe Material au centre. Moteur de son Sources de modulation polyphonique Sources de contrôle globales494 Chapitre 28 Sculpture  Paramètres de traitement : ces paramètres incluent la zone de filtre de couleur gris-vert, le Waveshaper (zone de couleur argentée claire au-dessus), un capteur (zone de couleur argentée foncée à gauche) et un générateur d’enveloppe d’amplitude (zone de couleur argentée foncée à droite).  Paramètres de post-traitement : zone de couleur argentée foncée à droite qui contient les paramètres Delay, Body EQ, Spread, Level et Level Limiter. Cette zone comprend également les paramètres du générateur d’enveloppe d’amplitude. La zone bleu gris ci-dessous comprend les sources de modulation polyphonique (oscillateurs sub-audio, générateurs de fluctuations et enveloppes enregistrables). Les sources de contrôle globales, qui incorporent la nappe Morph, sont situées dans la partie inférieure grise. C’est à cet endroit que vous pouvez affecter des contrôleurs MIDI à plusieurs paramètres de Sculpture. Paramètres globaux Ces derniers se trouvent dans la partie supérieure de l’interface de Sculpture, sauf indication contraire. Transpose L’option Transpose sert à l’accordage brut de tout l’instrument. Étant donné la capacité de la modélisation des composantes à altérer radicalement la tonalité avec certains réglages, l’accordage brut se limite à l’incrémentation par octaves. Tune L’option Tune sert à l’accordage de précision de tout l’instrument (gamme : ±50 centièmes). Un centième correspond à 1/100e de demi-ton. Warmth L’option Warmth sert à désaccorder légèrement les différentes voix, ce qui ressemble beaucoup aux fluctuations aléatoires provoquées par les composantes et les circuits des synthétiseurs analogiques. Comme le nom du paramètre le suggère, cela « réchauffe » ou « épaissit » le son. Glide Time Les valeurs supérieures à 0,0 engendrent un changement de tonalité plus doux entre les notes jouées. Chapitre 28 Sculpture 495 Voix Lorsque le paramètre Keyboard Mode est défini sur Poly, ce paramètre limite le nombre de voix sonnant simultanément à la valeur définie. La polyphonie maximale de Sculpture correspond à 16 voix. Keyboard Mode Ici, vous avez le choix entre les modes clavier Mono, Legato ou Poly. Vous pouvez basculer entre les modes Mono et Poly en cliquant sur les boutons Poly et Mono. Le Portamento, dont la durée est définie par le paramètre Glide Time, a une incidence sur les performances du Legato. Tant que vous ne relâchez pas la touche de la note précédente avant d’appuyer sur la suivante, le glissement caractéristique de l’effet de portamento se manifestera. En revanche, si vous relâchez chaque note avant de jouer la suivante (style portato ou même staccato), l’effet de glissement ne sera pas audible. Si le bouton Legato est activé, un autre phénomène collatéral se produit. Le générateur d’enveloppe d’amplitude n’est pas redéclenché à chaque note : le son est maintenu et la phase d’attaque des nouvelles notes jouées n’est pas redéclenchée. Ces comportements sont parfois appelés modes Single Trigger et Multi Trigger. Tous les modes redéclenchent simplement une voix (potentiellement sonnante) avec la même tonalité, au lieu d’en attribuer une nouvelle. De ce fait, le déclenchement multiple d’une note donnée aboutit à de légères variations de timbre, selon l’état dans lequel se trouve le modèle au moment où la note est jouée. Si la corde de Sculpture continue de vibrer pour une note spécifique, le redéclenchement de cette même note donne lieu à une interaction avec la vibration en cours ou l’état de la corde. Important : un véritable redéclenchement de la corde vibrante ne se produira que si les deux curseurs Attack du générateur d’enveloppe d’amplitude sont définis sur zéro. Si l’un des curseurs est défini sur une autre valeur, une nouvelle voix sera affectée à chaque note redéclenchée. Bender Range Up/Down Ces paramètres se situent sous Object 3, sur le côté gauche de l’interface de Sculpture. Des réglages séparés sont disponibles pour les modulations de hauteur vers le haut ou vers le bas, en utilisant le contrôleur correspondant sur votre clavier MIDI. 496 Chapitre 28 Sculpture Lorsque le paramètre Bender Range Down est défini sur Linked, la valeur de Bender Range Up est utilisée pour les deux directions (haut/bas). Remarque : tout comme sur une véritable guitare, la modulation de la corde va altérer la forme du modèle et non agir comme une simple modulation de hauteur. Paramètres de corde et d’objet Les paramètres de corde et d’objet décrits dans cette section s’appliquent voix par voix. Vous remarquerez qu’un certain nombre de noms de paramètres sont suivis du terme « (morphable) ». Cela signifie que ces paramètres peuvent subir un morphing, autrement dit des transitions plus ou moins progressives ou abruptes entre des instantanés, dits points de morphing (cinq au maximum). Pour en savoir plus sur le morphing, reportez-vous à la section « Fonction de morphing » à la page 537. Boutons Hide, Keyscale et Release Cette section aborde brièvement certains paramètres courants que vous rencontrerez en manipulant la corde. Par défaut, la position de la note de la corde est Do3 (Do central). Vous disposez de trois boutons pour activer et masquer plusieurs paramètres Keyscale et Release. Cliquez simplement sur les boutons Keyscale, Release ou Hide, selon les réglages que vous voulez effectuer. Les paramètres correspondants deviendront visibles dans l’anneau entourant la nappe Material.  Vous pouvez définir les paramètres Keyscale pour les notes inférieures au Do3 ou celles qui sont placées au-dessus. En d’autres termes, l’impact de ces paramètres peut être contrôlé sur l’étendue du clavier. Exemple : un paramètre tel que la rigidité de la corde (évoqué brièvement) peut être plus intense dans les aigus et plus faible dans les graves. En pratique, cela se traduit par des notes plus harmoniques (douces) dans les graves et des notes au spectre moins harmonique, plus dissonant, dans les aigus (notes au-dessus du Do3). Cliquez sur ces boutons pour activer ou masquer les paramètres Keyscale ou Release. Chapitre 28 Sculpture 497  Les paramètres Release de la corde ont une incidence sur les vibrations de cette dernière une fois que la touche est relâchée.  Le bouton Hide est très utile pour éviter des modifications accidentelles de paramètres et il simplifie l’interface. Nappe Material Les deux paramètres suivants relatifs au matériau de la corde déterminent le timbre général et sont contrôlés par la « boule » (qui fait correspondre les coordonnées X et Y) dans la nappe Material. La croix est une poignée pour les losanges Key Scale et Release Scale au cas où ils seraient masqués par la boule. Elle permet également de modifier indépendamment le suivi clavier pour l’un des deux axes (positions X/Y : Inner Loss ou Stiffness). D’une manière générale, en termes de synthétiseurs, tout se passe comme si vous disposiez d’un générateur de timbre de base dans la section de l’oscillateur. Remarque : le fait de cliquer en maintenant la touche Option enfoncée restaure les valeurs par défaut de tous les paramètres de corde. Inner Loss (morphable) Ce paramètre détermine l’amortissement de la corde, provoqué par son matériau : acier, verre, nylon ou bois. Ces pertes sont variables en fonction de la fréquence, ce qui se traduit par un son devenant plus doux au fil de la phase de chute du niveau. Tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, cliquez simplement sur la boule Inner Loss et Stiffness, puis faites-la glisser à la position souhaitée. Inner Loss Scale Low/High Ce paramètre permet de doser le suivi clavier indépendamment des pertes internes pour les notes situées au-dessus et en dessous du Do3. Pour régler le suivi clavier du paramètre Inner Loss, sélectionnez d’abord le bouton Keyscale puis, tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, cliquez sur la ligne horizontale verte (pour les notes graves) ou sur la ligne horizontale bleue (pour les notes aiguës), puis faites glisser vers le haut/vers le bas jusqu’à la position souhaitée.498 Chapitre 28 Sculpture Un losange matérialise l’intersection entre les positions de suivi Inner Loss et Stiffness Low/High. Vous pouvez faire glisser directement ce losange après avoir cliqué dessus, pour régler simultanément ces deux paramètres. Inner Loss Scale Release Lorsque les valeurs sont supérieures à 1,0, les pertes internes augmentent lorsque vous relâchez la touche. Ce phénomène est inhabituel, car il signifierait que le matériau de la corde change une fois la note relâchée. Dans la pratique, toutefois, l’utilisation de ce paramètre avec le paramètre Media Loss Scale Release permet d’obtenir une simulation naturelle des cordes amorties lorsque la note est relâchée. Pour régler les valeurs, sélectionnez d’abord le bouton Release puis, tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, cliquez sur la ligne Release bleue et faites glisser vers le haut ou le bas jusqu’à la position souhaitée. Stiffness (morphable) Ce paramètre contrôle la rigidité de la corde. En réalité, cet aspect est déterminé par le matériau de la corde et son diamètre (ou pour être plus précis : par son moment géométrique d’inertie). Les cordes rigides sont le siège de vibrations non harmoniques ; autrement dit, les harmoniques ne sont pas forcément des multiples de la fréquence fondamentale. Leurs fréquences sont plutôt aiguës. En fait, plus vous augmentez la valeur du paramètre Stiffness, plus la corde a tendance à se comporter comme une barre métallique solide. Tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, cliquez simplement sur la boule Inner Loss et Stiffness, puis faites-la glisser à la position souhaitée. Notez que, simultanément, l’épaisseur de la corde (la ligne horizontale verte dans la fenêtre Pickup) change. Stiffness Scale Low/High Ce paramètre permet de doser le suivi clavier indépendamment du paramètre de rigidité pour les notes situées au-dessus et en dessous du Do3. Pour régler le suivi clavier du paramètre Stiffness, sélectionnez d’abord le bouton Keyscale puis, tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, cliquez sur la ligne horizontale verte (pour les notes graves) ou sur la ligne horizontale bleue (pour les notes aiguës), puis faites glisser vers le haut/vers le bas jusqu’à la position souhaitée. Vous pouvez également agir simultanément sur le suivi clavier des paramètres Stiffness et Inner Loss en faisant glisser le losange matérialisant l’intersection entre les lignes vertes.Chapitre 28 Sculpture 499 Définition des paramètres Inner Loss et Stiffness La combinaison de valeurs basses pour Stiffness et de valeurs basses pour Inner Loss génère des sons métalliques. L’augmentation de la valeur du paramètre Stiffness donne un son ressemblant à une cloche ou à du verre. L’augmentation de la valeur du paramètre Inner Loss, tout en maintenant un niveau bas pour le paramètre Stiffness, correspond à des cordes en nylon ou en catgut. Des valeurs élevées pour le paramètre Stiffness combinées à des valeurs élevées pour le paramètre Inner Loss simulent des matériaux de type « bois ». Paramètres de corde autour de la nappe Material La section suivante détaille les paramètres de corde disponibles autour de la nappe Material. Resolution (Harmonics) Ce paramètre détermine le nombre maximal d’harmoniques contenus dans le son pour un Do3, ainsi que la résolution spatiale. La charge de travail du processeur est proportionnelle à la valeur de ce réglage : plus le son généré est riche et comporte d’harmoniques, plus les calculs nécessaires seront intenses. Remarque : la modification de la valeur du paramètre Resolution change l’interaction de la corde avec les objets, notamment les fréquences des harmoniques. Pour des valeurs basses de Resolution, vous obtenez des spectres non harmoniques, même si le paramètre Stiffness est défini à zéro. Resolution Scale Low/High Ces paramètres permettent de définir la résolution du suivi clavier (sa précision) séparément pour les notes situées au-dessus et en dessous du Do central (Do3). Le curseur vert « Low » (les graves s’étendent jusqu’au Do0), à l’intérieur de l’anneau de la nappe Material, apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Keyscale. Pour modifier les valeurs, cliquez dessus tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, puis faites glisser. Le curseur bleu « High » (les aigus vont jusqu’au Do6) se trouve à gauche de l’anneau extérieur. Pour modifier les valeurs, cliquez dessus tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, puis faites glisser.500 Chapitre 28 Sculpture Media Loss (morphable) Ce paramètre permet de contrôler l’amortissement de la corde provoqué par son environnement : air, eau, etc. Ces pertes sont indépendantes de la fréquence. Cette approche permet de contrôler la durée de la chute (exponentielle) de l’amplitude de la vibration, une fois l’excitation de la corde terminée. Media Loss Scale Low/High Ces paramètres permettent de définir le suivi clavier du paramètre Media Loss indépendamment pour les notes situées au-dessus et en dessous du Do central (Do3). Le curseur vert « Low » (les graves s’étendent jusqu’au Do0), à l’intérieur de l’anneau de la nappe Material, apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Keyscale. Pour modifier les valeurs, cliquez tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, puis faites glisser la flèche verte. Le curseur bleu « High » (les aigus vont jusqu’au Do6) se trouve à gauche de l’anneau extérieur. Pour modifier les valeurs, cliquez tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, puis faites glisser la flèche bleue. Media Loss Release Le curseur bleu (situé dans l’anneau extérieur de la nappe Material) permet d’agir sur la durée de relâchement du paramètre Media Loss. Pour l’activer, vous devez d’abord cliquer sur le bouton Release, situé en bas à droite de la nappe Material. Pour des valeurs supérieures à 1,0, les pertes dans le matériau augmentent lorsque vous relâchez la touche. Ce paramètre permet, par exemple, de simuler l’immersion d’une corde dans un seau d’eau après sa mise en vibration dans l’air. Évidemment, un violoniste ou un pianiste « normal » ne se livre pas habituellement à ce genre d’expérience, mais cela peut servir à créer des variations sonores intéressantes. Tension Mod (morphable) Les cordes, telles celles d’une guitare par exemple, présentent des non-linéarités de comportement assez remarquables. Ainsi, si l’excursion de la corde est importante, celle-ci se voit désaccordée vers le haut. Comme ce désaccord est provoqué par l’excursion provisoire, et non moyenne, de la corde, le désaccord intervient très rapidement. Techniquement, ce phénomène est connu sous le nom de « non-linéarité de la modulation de la tension ». D’un point de vue non technique, la définition ou la modulation du paramètre Tension Mod au-delà de 0,0 imite cet effet de désaccord momentané dans Sculpture. Notez que cet effet non linéaire peut aboutir à des résultats surprenants, voire rendre tout le modèle instable, surtout si vous le combinez avec des valeurs basses des paramètres Media Loss et Inner Loss. Par conséquent, si vous vous apercevez que votre son « pique » ou « tombe » lors de la phase de chute, essayez de réduire la valeur du paramètre Tension Mod (et peut-être de Resolution).Chapitre 28 Sculpture 501 Tension Mod Scale Low/High Ces paramètres permettent de modifier le suivi clavier de la modulation de tension, indépendamment pour les notes situées au-dessus et en dessous du Do central (Do3). Le curseur vert « Low » (les graves s’étendent jusqu’au Do0), à l’intérieur de l’anneau de la nappe Material, apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Keyscale. Pour modifier les valeurs, cliquez dessus tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, puis faites glisser. Le curseur bleu « High » (les aigus vont jusqu’au Do6) se trouve à gauche de l’anneau extérieur. Pour modifier les valeurs, cliquez dessus tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, puis faites glisser. Remarque : si vous trouvez que votre instrument est désaccordé, un peu trop haut ou trop bas, lorsque vous jouez de bas en haut du clavier, essayez de modifier les valeurs de suivi clavier du paramètre Tension Mod, voire du paramètre Media Loss. Paramètres d’objets Excite ou Disturb Les paramètres suivants servent à exciter, entraver ou amortir les vibrations de la corde. Important : au moins un objet doit être utilisé, car la corde elle-même ne produit pas de son. Comme vous allez le découvrir, il existe un certain nombre de modèles différents pour exciter la corde : souffle, pincement, archet, etc. Il va sans dire que ces modes influencent radicalement le timbre général lors de la phase d’attaque : vous pouvez ainsi obtenir des sons de flûte pizzicato ou de cloche joués à l’archet ou pincés, ou encore de guitares avec une attaque soufflée. En utilisant judicieusement les paramètres des objets, vous pouvez obtenir des imitations très précises d’instruments réels ou des sons venus carrément d’un autre monde.502 Chapitre 28 Sculpture Un aspect particulier de la modélisation des composantes, qu’il est important de noter, est que chaque objet supplémentaire d’entrave/amortissement activé exerce une influence sur la corde et interagit avec les autres objets activés sur la corde, ce qui, souvent, change complètement le caractère de votre son. Bien sûr, le plus souvent, on utilise un nouvel objet pour modifier le son, mais selon les autres réglages déjà effectués, la combinaison « pincement + souffle » que vous avez sélectionnée peut fort bien sonner comme des ongles grinçant sur un tableau noir au lieu du son de flûte de Pan pizzicato que vous recherchiez au départ. Il est donc primordial d’accorder une attention toute particulière aux paramètres Type et Strength des objets. Vous vous apercevrez peut-être, par exemple, que le caractère de l’objet excitateur (1 ou 2), par exemple, a changé de façon significative et qu’il vous faudra peut-être modifier ou changer les paramètres de tous les objets (et peut-être un certain nombre de valeurs des paramètres de corde) après avoir introduit un nouvel objet d’entrave ou d’amortissement (2 ou 3). De même, la sélection d’un type différent pour un objet d’excitation aura un impact sur les objets d’entrave ou d’amortissement (et, évidemment, sur la corde), ce qui modifiera le caractère de votre son. La modification du placement des objets change le timbre de la corde. Par exemple, si vous imitez une guitare, le fait de changer la position d’un objet revient en réalité à pincer ou à jouer à l’archet une corde à différents endroits dans le sens longitudinal. À propos des objets et de la sensibilité à la vélocité Il est important de noter ce qui suit :  L’objet 1 est sensible à la vélocité.  L’objet 2 n’est sensible à la vélocité que si vous avez sélectionné un type qui excite la corde de façon active. Si vous avez choisi des objets de type amortissement, l’objet 2 n’est pas sensible à la vélocité.  L’objet 3 n’est pas sensible à la vélocité. En effet, il ne peut servir que d’objet d’entrave de vibrations de la corde et non d’élément actif d’excitation. Activation des objets Cliquez sur les boutons 1, 2 ou 3 pour activer ou désactiver l’objet correspondant. Lorsqu’un objet est actif, son bouton devient lumineux (jeu d’ombres, couleur bleu turquoise).Chapitre 28 Sculpture 503 Type Les deux tableaux suivants répertorient tous les types disponibles pour les objets Sculpture. Cliquez sur le bouton Type correspondant à ces objets, puis effectuez votre choix dans le menu. Remarque : l’objet 1 ne peut utiliser que les types d’excitation se trouvant dans le premier tableau. L’objet 2 peut utiliser tous les types d’excitation figurant dans les deux tableaux. L’objet 3 ne peut utiliser que les types d’entrave/amortissement se trouvant dans le second tableau. Types d’excitation (objets 1 et 2) Le tableau suivant dresse la liste de tous les types d’excitation disponibles pour les objets 1 et 2 ; il donne aussi des informations sur les contrôles disponibles pour chacun. Nom Description Strength contrôle... Timbre contrôle... Variation contrôle... Impulse Impulsion courte l’amplitude de l’impulsion la largeur la sensibilité à la vélocité de la largeur Strike Excitation courte, type marteau de piano ou mailloche la vitesse de départ du marteau (selon la vélocité) la masse du marteau la rigidité du feutre GravStrike Comme le marteau, mais en tenant compte de la gravitation côté corde, ce qui suscite de multiples interactions marteau/corde et perturbe les vibrations de la corde la vitesse de départ du marteau la rigidité du feutre la gravitation Pick Pincement (doigt ou médiator) la force et la vitesse du pincement le rapport force/ vitesse la rigidité du médiator Bow Jeu à l’archet la vitesse de l’archet la pression de l’archet les caractéristiques du glissement Bow Wide Même chose que pour Bow, mais avec un archet plus large, ce qui donne une tonalité plus douce qui convient bien aux changements progressifs de position d’archet la vitesse de l’archet la pression de l’archet les caractéristiques du glissement Noise Bruit injecté dans la corde le niveau de bruit la bande passante/ fréquence de coupure du bruit la résonance du bruit504 Chapitre 28 Sculpture Types d’entrave et d’amortissement (objets 2 et 3) Le tableau suivant répertorie tous les types d’entrave et d’amortissement disponibles pour les objets 2 et 3. Blow Souffle dans une extrémité de la corde (colonne d’air ou tube). En diverses positions, à partir de 0,0 (extrémité gauche) : modifie la position et change le sens du souffle le long de la corde, jusqu’à l’autre extrémité. La corde reçoit le souffle sur le côté, à la position choisie. le retrait de la lèvre la pression de l’air le bruit de souffle External (disponible uniquement pour l’objet 2) Envoie un signal latéral dans la corde. le niveau la fréquence de coupure du filtre passe-bas utilisé pour le traitement du signal latéral la largeur (taille) de la partie de la corde affectée par le signal latéral Nom Description Strength contrôle... Timbre contrôle... Variation contrôle... Nom Description Strength contrôle... Timbre contrôle... Variation contrôle... Disturb Objet d’entrave placé à distance fixe de la position de repos de la corde la dureté de l’objet la distance par rapport à la position de repos.  Valeurs négatives : poussent la corde pour l’éloigner de sa position de repos.  Valeurs positives : la corde n’est pas affectée lorsqu’elle se trouve en position de repos. la largeur des contrôles.  Valeurs négatives : seule une petite portion de la corde est affectée.  Valeurs positives : une portion plus importante de la corde est affectée. Disturb 2-Sided Ce paramètre s’apparente à un anneau placé autour de la corde, limitant ses vibrations dans toutes les directions. la dureté de l’anneau le débattement de l’anneau (la distance séparant l’anneau de la corde).  Valeurs négatives : les bords intérieurs de l’anneau amortisseur se touchent, ce qui a une incidence sur la corde au moindre mouvement.  Valeurs positives : les bords intérieurs de l’anneau laissent de la place libre. La corde n’est influencée que si elle bouge suffisamment pour toucher l’anneau. Aucun effet Bouncing Simule un objet « volant » reposant ou rebondissant sur la corde vibrante et interagissant avec elle. Ce comportement est très aléatoire par nature et ne peut se synchroniser. Contrôle la constante de gravité pour l’objet reposant ou rebondissant sur la corde. la rigidité de l’objet l’amortissement de l’objetChapitre 28 Sculpture 505 Gate Détermine quand l’objet est actif, autrement dit, quand il entrave ou excite la corde. Les réglages sont les suivants :  KeyOn : entre l’activation et la désactivation de la note.  Always : entre l’activation de la note et la fin de la phase de relâchement.  KeyOff : déclenché à la désactivation de la note et demeurant actif jusqu’au relâchement de la voix. Remarque : si vous utilisez un type d’objet tel que Gravity Strike, la note peut se redéclencher lorsque vous relâchez la touche. Pour éviter ce problème, définissez le mode Gate sur Always. Strength (morphable) Le potentiomètre central règle l’intensité de l’excitation/entrave, selon le type. Reportez-vous au tableau ci-dessus. Pour une valeur de 0,0, aucune excitation/entrave ne se produit. Toutefois, contrairement à ce qui se passe avec le bouton On/Off, vous pouvez effectuer un fondu avec le paramètre Strength (intensité de l’excitation/ entrave) via la modulation ou le morphing. Timbre (morphable) Le curseur situé à gauche des contrôles de chaque objet détermine le timbre (la couleur tonale) de l’excitation/entrave, variable selon le type. Reportez-vous au tableau ci-dessus. La valeur 0,0 est la valeur normale pour l’objet. Avec des valeurs positives, le son devient plus brillant ; avec des valeurs négatives, vous obtenez un son plus doux. Variation (morphable) Le curseur Variation situé à droite des contrôles de chaque objet est un paramètre de timbre supplémentaire, variant selon le type d’objet. Reportez-vous au tableau ci-dessus pour plus de détails sur son influence au niveau du son. Bound Limite arrêtant et réfléchissant le mouvement de la corde. S’apparente à une frette, qui limite le mouvement de la corde lorsque vous la pincez. la distance séparant la position centrale de la position de repos de la corde. la pente (raideur) de la limite. Une valeur de 0,0 place la limite parallèlement à la corde. Pour les autres valeurs, la limite est placée plus près de la corde d’un côté et plus loin de l’autre. l’amplitude de la réflexion au niveau des limites. Mass Sert à modéliser une masse supplémentaire attachée à la corde. Vous pouvez ainsi obtenir des sons non harmoniques et des résultats très intéressants en modulant la position de cette masse le long de la corde. la valeur (taille) de la masse ou du poids Aucun effet Aucun effet Damp Amortisseur localisé, utile pour un amortissement doux. l’intensité de l’amortissement les caractéristiques de l’amortissement la largeur de la section amortie de la corde Nom Description Strength contrôle... Timbre contrôle... Variation contrôle...506 Chapitre 28 Sculpture VeloSens (objets 1 et 2 uniquement) Les objets d’excitation/entrave sont sensibles à la vélocité, mais ce comportement ne convient pas à tous les sons. Le paramètre VeloSens, situé au niveau inférieur des objets 1 et 2, permet de réduire à 0 la sensibilité à la vélocité. Position (morphable) Détermine la position de chaque objet le long de la corde (la valeur 0,0 correspond à une extrémité de la corde ; la valeur 1,0 à l’autre extrémité). Pour régler la valeur, il suffit de cliquer tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, puis de faire glisser la poignée du curseur de numéro approprié (les flèches 1, 2 ou 3) pour chaque objet. Le réglage de la position des capteurs de ces objets entrave/excite une portion donnée de la corde. L’objet 1 peut être un excitateur. L’objet 3 peut être un amortisseur. Vous constatez que l’objet 2 dispose de deux flèches. Cela signifie que cet objet peut servir soit d’excitateur, soit d’amortisseur.  À mesure que vous déplacez les capteurs d’objets dans les régions Pickup A et B (qui apparaissent sous la forme de courbes transparentes en forme de cloche), vous remarquez que l’intensité de la perturbation créée par l’objet croît de façon significative. Un certain nombre de changements s’opèrent alors, qui peuvent transformer radicalement le timbre général de votre son.  La ligne horizontale verte située à l’intérieur de la fenêtre Pickup représente la corde. Plus vous augmentez la valeur du paramètre Stiffness de la corde, plus la ligne s’épaissit.  Vous pouvez cliquer sur la ligne horizontale verte tout en appuyant sur la touche Control (la corde) pour activer/désactiver l’animation de la corde. Lorsque l’animation est activée, cette corde graphique vibre, ce qui permet de visualiser plus facilement l’impact des objets et des capteurs. Notez que cette animation de la corde mobilise les ressources du processeur, n’hésitez donc pas à la désactiver si votre ordinateur a du mal à traiter toutes les données en temps réel.  Les lignes verticales orange représentent les positions des objets 1, 2 et 3. Leur épaisseur et leur brillance donnent une idée de l’intensité des objets.Chapitre 28 Sculpture 507 Paramètres de traitement Les outils de traitement décrits dans cette section fonctionnent voix par voix, comme les paramètres de corde détaillés dans le chapitre précédent. Paramètres des capteurs (Pickup)  Les courbes transparentes en forme de cloche représentent les positions et les largeurs des capteurs A et B.  La ligne horizontale verte située à l’intérieur de la fenêtre des capteurs représente la corde. Plus vous augmentez la valeur du paramètre Stiffness de la corde, plus la ligne s’épaissit. La ligne est animée et affiche la portée du mouvement de la corde.  Les lignes verticales orange représentent les positions des objets d’entrave/ excitation 1, 2 et 3. Leur épaisseur et leur brillance augmentent à mesure que la valeur du paramètre Strength de chaque objet s’accroît. Remarque : considérez ces capteurs comme l’équivalent des capteurs électromagnétiques d’une guitare électrique. Bien évidemment, la modification de leur position change la tonalité de la guitare : le même principe est respecté dans Sculpture. Position du capteur Pickup A (morphable) Le curseur Pickup A, situé en haut de la fenêtre Pickup, détermine la position du capteur A le long de la corde. Pour modifier les valeurs, cliquez tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, puis faites glisser le curseur. Les valeurs 0,0 et 1,0 correspondent aux deux extrémités de la corde. Position du capteur Pickup B (morphable) Le curseur Pickup B, situé en bas de la fenêtre Pickup, détermine la position du capteur B le long de la corde. Pour modifier les valeurs, cliquez tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, puis faites glisser le curseur. Les valeurs 0,0 et 1,0 correspondent aux deux extrémités de la corde. Invert (phase Pickup B) Le bouton Invert est situé dans le coin inférieur gauche de la fenêtre Pickup. Les options disponibles sont les suivantes : normal ou Invert(ed). 508 Chapitre 28 Sculpture Remarque : si la phase du capteur Pickup B est définie sur Invert(ed), le son devient plus grêle, car certaines portions des signaux issus des capteurs Pickup A et Pickup B s’annulent. Bien que n’étant pas disponibles dans la fenêtre Pickup, deux paramètres de capteur supplémentaires sont disponibles à proximité du potentiomètre Level, sur la partie gauche de Sculpture. Spread (Key) La position panoramique est déterminée par le numéro de note MIDI. Selon les réglages, plus vous jouez sur le haut ou le bas du clavier, plus le signal de la voix est « panoramiqué » vers la gauche/vers la droite. Pour modifier les valeurs, cliquez en maintenant enfoncé le bouton de la souris sur le bouton Key, puis faites glisser verticalement. Dans l’anneau qui entoure les paramètres Spread, deux lignes indiquent les valeurs. Dans les instances Surround, le paramètre Surround Range (situé dans la section des paramètres avancés de Sculpture) permet de sélectionner la gamme d’angles qui correspond à une valeur panoramique de ±1,0 (voir « Surround Range et Diversity » à la page 519). Spread (Pickup) Ce paramètre répartit les signaux issus des deux capteurs d’une façon plus diffuse sur la base stéréo ou Surround. Autrement dit, la position des micros, alliée à ce paramè- tre, est plus étalée vers/depuis les canaux gauche/droite stéréo/Surround. Pour modifier les valeurs, cliquez tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris sur le bouton Pickup, puis faites glisser verticalement. Dans l’anneau qui entoure les paramètres Spread, deux points indiquent les valeurs. Dans les instances Surround, le paramètre Surround Range (situé dans la section des paramètres avancés de Sculpture) permet de sélectionner la gamme d’angles qui correspond à une valeur panoramique de ±1,0 (voir « Surround Range et Diversity » à la page 519). Remarque : vous pouvez ainsi créer des effets de largeur et de chorus en modulant les valeurs des paramètres Pickup Position avec un oscillateur sub-audio ou tout autre modulateur.Chapitre 28 Sculpture 509 Paramètres du générateur d’enveloppe d’amplitude Il s’agit d’un générateur d’enveloppe analogique classique de type ADSR, qui étalonne les signaux des capteurs avant de les transmettre au Waveshaper et au filtre. Cette approche, ainsi que l’implantation du générateur d’enveloppe d’amplitude à cet endroit précis du chemin du signal, produit des résultats plus naturels lorsque vous utilisez le Waveshaper. Remarque : même pour des valeurs élevées de chute/relâchement, le son peut décroître rapidement. Une cause possible est la définition de valeurs élevées pour les paramètres Inner Loss ou Media Loss (dans la section Material de la corde) ou au niveau des objets (2 ou 3) utilisés pour amortir la corde. Attack - Soft/Hard Le paramètre Attack dispose de deux curseurs. Celui du bas détermine la durée d’attaque lorsque vous jouez doucement sur le clavier (vélocité minimale). Celui du haut détermine la durée d’attaque lorsque vous jouez rapidement sur le clavier (vélocité maximale). Vous pouvez régler les deux moitiés de curseur simultanément, en faisant glisser le pointeur de la souris dans l’espace qui les sépare. Important : les paramètres de durée d’attaque du générateur d’enveloppe d’amplitude ont une influence directe sur le redéclenchement d’une note isolée. Si les deux paramètres Attack Soft et Attack Hard sont définis sur 0, la corde vibrante est redéclenchée. Si l’un de ces paramètres est défini sur une valeur supérieure à zéro, une nouvelle note est déclenchée. Decay Ce paramètre permet de définir la durée de la chute, autrement dit, la durée nécessaire pour que le niveau du signal retombe à la valeur Sustain à l’issue de la phase d’attaque initiale (durée déterminée par le paramètre Attack). Sustain Ce paramètre permet de définir le niveau de Sustain, qui est maintenu jusqu’au relâchement de la touche.510 Chapitre 28 Sculpture Release Ce paramètre permet de déterminer le délai qui s’écoule avant que le signal ne retombe à un niveau nul, en partant du niveau Sustain. Des valeurs Release courtes ménagent les ressources du processeur, puisque la voix n’est plus traitée à l’issue de la phase de Release. Paramètres du Waveshaper Ces paramètres contrôlent et déterminent toute distorsion polyphonique non linéaire, issue d’un traitement, pour le signal, en partant du suivi clavier du panoramique et du niveau des deux signaux issus des capteurs. Le Waveshaper fournit une courbe de mise en forme non linéaire (par voix), qui s’applique au signal provenant des capteurs (après passage dans le générateur d’enveloppe d’amplitude), puis renvoie ce signal remis en forme vers le filtre. Cette procédure est assez similaire à la mise en forme des formes d’ondes des oscillateurs dans des synthétiseurs, tels que le Korg 01/W par exemple. Bouton On/Off du Waveshaper Ce bouton permet d’activer/de désactiver le Waveshaper. Type Le menu Type, situé au-dessus du bouton du Waveshaper, permet de sélectionner différents types de courbe de mise en forme dans la liste ci-dessous.  SoftSat  VariDrive  Tube Dist.  Scream Input Scale (morphable) Ce paramètre est bipolaire. Les valeurs négatives atténuent le signal d’entrée avant son traitement par le Waveshaper, alors que les valeurs positives l’amplifient. Avec des valeurs positives, vous obtenez un spectre harmonique plus riche. L’accroissement de niveau induit par ce paramètre est automatiquement compensé par le Waveshaper. Compte tenu de son impact sur le spectre harmonique, il est préférable de considérer le paramètre Input Scale comme un contrôle de timbre, plutôt qu’un contrôle de niveau. Chapitre 28 Sculpture 511 Remarque : pour des valeurs extrêmes d’Input Scale, un bruit issu du traitement peut se manifester en sortie du Waveshaper. Variation (morphable) Le paramètre Variation est de type bipolaire. Son action dépend du type de Waveshaper sélectionné. Paramètres Filtre Ces paramètres offrent un contrôle du timbre du son (du spectre du signal) encore plus précis. Si vous avez déjà manipulé des synthétiseurs, les intitulés vous seront sans doute familiers. Activation/Désactivation Le bouton Filtre active/désactive le filtre. Boutons de type de filtre Les cinq boutons situés en bas de la section de filtre déterminent le mode du filtre. Les choix disponibles sont les suivants :  Hipass : ce filtre passe-haut laisse passer les fréquences situées au-dessus de la fréquence de coupure. Comme les fréquences situées en dessous de la valeur de fréquence de coupure sont atténuées, ce filtre est également connu sous le nom de filtre coupe-bas. Sa pente est égale à 12 dB/octave. Type Variation contrôle... Valeur de 0,0 Valeurs négatives Valeurs positives VariDrive la proportion Wet/Dry signal mis en forme uniquement. réduisent le niveau du signal mis en forme et ajoutent le signal d’origine. augmentent le niveau du signal mis en forme et ajoutent le signal d’origine en inversant sa phase, ce qui donne un son plus agressif.  SoftSat  Tube Dist.  Scream le paramètre Bias, qui altère la symétrie de la courbe de mise en forme. mise en forme symétrique. altèrent la symétrie. altèrent la symétrie.512 Chapitre 28 Sculpture  Lowpass : ce filtre passe-haut laisse passer les fréquences situées au-dessous de la fréquence de coupure. Comme les fréquences situées au-dessus de la valeur de fréquence de coupure sont supprimées, ce filtre est également connu sous le nom de filtre coupe-haut. Sa pente est égale à 12 dB/octave.  Peak : ce mode permet d’augmenter le niveau d’une bande de fréquences déterminée, dont la largeur est définie par le paramètre Resonance.  Bandpass : dans ce mode passe-bande, seule la bande de fréquences située directement de part et d’autre de la fréquence de coupure traverse le filtre, les autres bandes étant atténuées. Le paramètre Resonance contrôle la largeur de la bande de fréquences traversant le filtre. Ce filtre passe-bande est un modèle à deux pôles, doté d’une pente de 6 dB/octave de chaque côté de la bande.  Notch : dans ce mode passe-bande, la bande de fréquence située directement de part et d’autre de la fréquence de coupure est coupée. Toutes les autres fréquences peuvent traverser le filtre. Le paramètre Resonance contrôle la largeur de la bande de fréquences atténuée. Cutoff (morphable) Ce paramètre détermine la fréquence de coupure du filtre. Voici un exemple d’utilisation : dans la cas d’un filtre passe-bas, toutes les portions de fréquence situées au-dessus de la fréquence de coupure sont supprimées, ou coupées, d’où leur nom. Le paramètre Cutoff Frequency permet de doser la brillance du signal. Plus sa valeur est élevée, plus les fréquences des signaux passant tels quels à travers le filtre sont hautes. Resonance (morphable) Ce paramètre détermine la valeur de résonance du filtre.  Dans le cas des modes passe-haut et passe-bas, le paramètre Resonance accentue les portions du signal situées de part et d’autre de la fréquence de coupure, telle que définie par la valeur du paramètre Cutoff.  En modes Peak, Notch et Bandpass, le paramètre Resonance contrôle la bande passante. Key Ce potentiomètre permet de régler le suivi clavier du paramètre de fréquence de coupure. En gros, plus vous jouez sur le haut/bas du clavier, plus le son devient brillant/doux. Pour utiliser des termes plus techniques, la valeur de la fréquence de coupure est modulée par la position des notes sur le clavier.  Si la valeur est définie sur 0,0, le suivi clavier est désactivé.  Si la valeur est définie sur 1,0, la valeur de la fréquence de coupure suit, de façon proportionnelle, la fondamentale de la note jouée sur toute l’étendue du clavier.Chapitre 28 Sculpture 513 Velo Sens Ce paramètre détermine la sensibilité à la vélocité du paramètre Cutoff Frequency. Plus vous jouez fort sur les touches, plus la valeur de la fréquence d’échantillonnage (et, de façon générale, la brillance du son) est élevée.  Si la valeur est définie sur 0,0, la sensibilité à la vélocité est désactivée.  Si la valeur est définie sur 1,0, la sensibilité à la vélocité est maximale. Post-traitement Les outils de post-traitement abordés dans cette section agissent sur le signal obtenu par addition de toutes les voix et non voix par voix. Delay Il s’agit d’un retard stéréophonique ou véritable Surround, synchronisable au tempo du projet. Vous pouvez aussi le laisser tourner librement (sans synchronisation). La section Delay dispose de tous les paramètres généraux de retard courants, ainsi que de la nappe Groove (temporisation du retard). Paramètres de retard généraux La section suivante détaille les paramètres généraux de la section Delay. Activation/Désactivation Ce bouton permet d’activer/désactiver la section Delay. Wet Level Le potentiomètre Wet Level sert à définir le niveau de sortie du retard (signal Wet). La valeur de ce paramètre s’exprime sous la forme d’un pourcentage (%). Feedback Ce paramètre définit la portion de signal de retard réacheminée depuis les canaux de sortie (de l’unité de retard) vers les canaux d’entrée (de l’unité de retard). Pour les valeurs négatives, le signal est réinjecté en opposition de phase.514 Chapitre 28 Sculpture Xfeed (Crossfeed) Comme ci-dessus, mais ce paramètre définit la portion de signal de retard renvoyée de la sortie gauche vers l’entrée droite du retard, et de la sortie droite vers l’entrée gauche (de l’unité de retard). Pour les valeurs négatives, le signal est réinjecté en opposition de phase. Dans les instances Surround, le contrôle Xfeed continue à contrôler l’opposition de phase entre les lignes de retard, mais offre des modes supplémentaires. La section des paramètres avancés de Sculpture contient les paramètres suivants : LoCut Détermine la valeur de la fréquence de coupure du filtre passe-haut inséré dans la boucle de réinjection (entre la sortie et l’entrée du retard). HiCut Détermine la valeur de la fréquence de coupure du filtre passe-bas inséré dans la boucle de réinjection (entre la sortie et l’entrée du retard). Input Balance Ce paramètre permet de déplacer le centre stéréo de l’entrée du retard vers la gauche ou vers la droite, sans perdre aucun élément du signal. Il est idéal pour configurer des retards de type « ping-pong ». Dans les instances Surround, le paramètre déplace tous les canaux vers le canal avant gauche ou avant droit. Delay Time Ce paramètre, couplé avec le réglage Sync, permet de définir le temps de retard. Il existe deux possibilités : en valeurs de notes musicales (1/4, 1/4t (t = triolet), etc.) ou en millisecondes. Sync Le bouton Sync permet de choisir entre les modes de retard synchronisé au tempo ou indépendant du tempo. Output Width Ce paramètre permet de réduire la largeur Surround ou Stereo du signal mouillé.  Avec une valeur de 0,0, le signal de sortie est monophonique.Chapitre 28 Sculpture 515  Pour une valeur de 1,0, le signal de sortie est complètement stéréophonique ou Surround : autrement dit, les canaux de sortie de la ligne de retard gauche sont envoyés uniquement sur le canal gauche, et les canaux de sortie de la ligne de retard droite sont envoyés uniquement sur le canal droit. Ce paramètre sert à obtenir des grooves de retard purs, sans panoramiques gauche/ droite de type ping-pong. Nappe Groove (Stereo) Lorsqu’ils sont utilisés dans une instance stéréo de Sculpture, les paramètres Spread et Groove sont combinés dans une nappe Groove à deux dimensions. Faites glisser le losange vers le centre de la croix pour ajuster. Vous pouvez régler séparément les valeurs des paramètres Spread et Groove en faisant glisser directement les lignes qui sont en intersection avec le losange. Spread Les valeurs positives de l’axe des Y (au-dessus de la position centrée par défaut) augmentent la durée de retard de la ligne de retard droite et réduisent celle de la ligne de retard gauche, ce qui décale les retards sur les canaux gauche et droit. Pour des valeurs négatives, l’effet est inversé. Le paramètre Spread est utile pour obtenir des effets de retard stéréo larges. Groove Ce paramètre (situé sur l’axe des X) permet de réduire la durée de retard sur l’une des lignes de retard, d’un pourcentage donné, tout en laissant la durée inchangée sur l’autre ligne de retard. En fin de compte, le paramètre Groove distribue les points de lecture (taps) de retard sur les canaux gauche et droit, au lieu de décaler leurs durées comme le fait le paramètre Spread. Regardez bien l’info-bulle pendant que vous modifiez la valeur.516 Chapitre 28 Sculpture Par exemple, une valeur de +50 % réduit la durée du retard droit de moitié. Si la valeur du paramètre Delay Time est 1/4, le retard droit sera égal à 1/8, alors que le retard gauche reste de 1/4. Il va sans dire que ce paramètre est parfait pour créer des retards rythmiques stéréo intéressants. Remarque : vous pouvez créer des effets vraiment larges de chorus et de retard modulé très intéressants en modulant les valeurs des paramètres Pickup Position et Pickup Spread (avec un oscillateur sub-audio ou tout autre modulateur), puis en envoyant ce signal dans l’unité de retard. Nappe Groove (Surround) Lorsqu’elle est utilisée dans une instance Surround de Sculpture, la nappe Delay Time est convertie en nappe groove pure qui contrôle la relation de temps de retard entre :  les canaux gauche et droit (haut-parleurs) dans la direction horizontale,  les canaux avant et arrière (haut-parleurs) dans la direction verticale. Le paramètre Spread est accessible séparément en tant que champ d’édition numérique dans la partie supérieure gauche de la nappe. Pour modifier la valeur, cliquez et faites glisser ou double-cliquez et saisissez quelque chose. Effacement et copie des paramètres de retard Vous pouvez cliquer sur la nappe Delay Time tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée pour accéder à un menu contextuel qui propose les commandes Clear, Copy et Paste pour les réglages de retard. Ces derniers peuvent servir à copier et coller des réglages de retard entre plusieurs instances de Sculpture ou entre des réglages chargés de façon consécutive. L’option Clear réinitialise les réglages de retard en cours.Chapitre 28 Sculpture 517 Body EQ Body EQ peut fonctionner comme un simple égaliseur, un outil de mise en forme spectral ou un simulateur de réponse de corps d’instrument. En réalité, Body EQ peut imiter les caractéristiques de résonance d’un corps en bois ou en métal, comme celui d’une guitare ou d’un violon. Les divers modèles sont dérivés d’enregistrements de réponses impulsionnelles de corps d’instruments. Ces enregistrements ont été séparés en une structure de formants géné- rale et une structure plus fine, ce qui permet de modifier séparément ces propriétés. Bouton d’activation/de désactivation Body EQ Ce bouton (situé à gauche de l’image) permet d’activer/de désactiver la section de mise en forme spectrale. Model Le menu permet de sélectionner le modèle Body EQ de votre choix. Vous pouvez choisir entre plusieurs imitations de corps d’instruments acoustiques et le modèle Basic EQ. Toute sélection sera reflétée dans l’affichage graphique situé à droite. Commandes du modèle Basic EQ Les commandes du modèle Basic EQ offrent des paramètres différents des autres modèles EQ. Pour en savoir plus sur les paramètres offerts par les autres modèles, consultez la section suivante.  Low : gain d’un filtre de plateau de graves.  Mid : gain d’un filtre de pic (à balayage, voir ci-dessous).  High : gain d’un filtre de plateau d’aigus.  Curseur Mid Frequency : permet de définir la fréquence centrale de la bande moyenne sur une valeur comprise entre 100 Hz et 10 kHz.518 Chapitre 28 Sculpture Réglage graphique du modèle Basic EQ Vous pouvez contrôler directement le modèle Lo Mid Hi en cliquant, puis en faisant glisser dans la représentation graphique de Body EQ :  Cliquer/faire glisser verticalement dans le tiers gauche de la représentation graphique permet de contrôler la valeur du paramètre Low.  Cliquer/faire glisser verticalement dans le tiers central de la représentation graphique permet de contrôler la valeur du paramètre Mid.  Cliquer/faire glisser horizontalement dans le tiers central de la représentation graphique permet de contrôler la valeur du paramètre Frequency.  Cliquer/faire glisser verticalement dans le tiers droit de la représentation graphique permet de contrôler la valeur du paramètre Hi. Autres modèles EQ Pour tous les autres modèles Body EQ, vous disposez des paramètres suivants : Formant - Intensity Agit sur l’intensité des formants du modèle. Autrement dit, selon les valeurs de ce paramètre, les formants (régions harmoniques) du modèle seront amplifiés ou inversés.  Si la valeur est définie sur 0,0, la courbe de réponse est plate.  Si la valeur est définie sur 1,0, les formants sont renforcés.  Si les valeurs sont négatives, les formants sont inversés. Formant - Shift Ce paramètre décale les fréquences des formants de façon logarithmique. Par exemple, une valeur de –0,3 décale tous les formants d’une octave vers le bas, tandis qu’une valeur de +0,3 les décale d’une octave vers le haut. Une valeur de +1,0 provoque un décalage d’un facteur 10, de 500 Hz à 5000 Hz par exemple. Formant - Stretch Ce paramètre étire les fréquences des formants les unes par rapport aux autres. Autrement dit, ce paramètre modifie la largeur de toutes les bandes de fréquences traitées par l’égaliseur Body EQ, en augmentant ou en réduisant la gamme de fréquences.Chapitre 28 Sculpture 519 Des valeurs basses au niveau du paramètre Formant Stretch rapprochent les formants (centrés aux alentours de 1 kHz), tandis que des valeurs élevées éloignent les formants les uns des autres. Les valeurs du paramètre s’expriment sous la forme d’un rapport de la largeur de bande générale. Lorsqu’ils sont combinés, les paramètres Formant Stretch et Formant Shift modifient la structure des formants du son, ce qui peut générer des changements de timbre intéressants. Fine Structure Ce paramètre permet d’améliorer la structure spectrale (harmonique) fine, ce qui permet de préciser les changements apportés au timbre général du son. Vous obtenez ainsi un son plus détaillé, plus riche au niveau harmonique et, selon le modèle sélectionné, ressemblant davantage à une guitare ou à un violon, par exemple. Autrement dit, les cavités résonnantes de l’instrument deviennent encore plus sonores, de la même façon qu’une guitare avec une grande caisse, par exemple.  Une valeur de 0,0 indique une absence de structure « fine ».  Une valeur de 1,0 engendre une structure fine améliorant considérablement le modèle sélectionné. Notez que l’utilisation intensive du paramètre Fine Structure sollicite fortement les ressources du processeur. Notez également que l’utilisation du paramètre Fine Structure peut ne pas engendrer de différence significative au niveau de votre son. Tout dépend des modes du Waveshaper et du Body EQ, ainsi que des autres réglages des paramètres de corde. Alors, tendez l’oreille ! Réglage graphique des autres modèles Vous pouvez contrôler directement le modèle en cliquant, puis en faisant glisser dans la représentation graphique de Body EQ :  Le fait de cliquer/faire glisser verticalement dans la représentation graphique permet de contrôler la valeur du paramètre Formant Intensity.  Le fait de cliquer/faire glisser horizontalement dans la représentation graphique permet de contrôler la valeur du paramètre Formant Shift. Surround Range et Diversity Dans les instances Surround, les paramètres avancés de Sculpture comprennent les paramètres Surround Range et Surround Diversity :520 Chapitre 28 Sculpture  Surround Range : détermine la plage de l’angle Surround. Autrement dit, ce paramètre détermine l’ampleur du champ Surround. Pour mieux comprendre son utilisation : Imaginez un oscillateur sub-audio acheminé vers la balance d’un capteur avec une valeur de 1,0. En définissant la forme d’onde de l’oscillateur sub-audio sur dent de scie et le paramètre Surround Range sur 360, vous obtenez un mouvement circulaire (autour de la totalité du cercle Surround) de la sortie vocale. Le paramètre Surround Range influence aussi l’étalement de Key et Pickup de la même façon.  Surround Diversity : détermine la manière dont le signal de sortie est réparti entre les haut-parleurs Surround. Si vous choisissez la valeur 0, seuls les haut-parleurs les plus proches de la position du signal d’origine transmettrons le signal. Une diversité de 1 signifie que tous les haut-parleurs transmettront la même quantité du signal. Level Limiter  Level : contrôle le niveau de sortie général de l’instrument.  Mode Level Limiter : en cliquant sur le bouton souhaité, vous activez ou désactivez le limiteur intégré. Les options disponibles sont les suivantes :  Off : désactive le limiteur.  Mono : limiteur monophonique agissant sur le signal obtenu par addition de toutes les voix.  Poly : limiteur polyphonique traitant chaque voix séparément.  Both : combinaison des deux types de limiteur. Cette fonction est très pratique pour maîtriser certains des aspects les plus agressifs du moteur de synthèse par modélisation de composantes de Sculpture.Chapitre 28 Sculpture 521 Générateurs de modulation Sculpture dispose d’une gamme complète de générateurs de modulation. Notamment :  Deux oscillateurs sub-audio assignables, avec fréquence synchronisable au tempo (du projet).  Deux générateurs de fluctuations (avec largeur de bande ajustable) permettant de créer des variations aléatoires.  Un oscillateur sub-audio supplémentaire, précâblé au Vibrato.  Deux générateurs aléatoires qui ne changent les valeurs qu’au début de la note (Note-On).  Deux générateurs d’enveloppe, qui peuvent servir soit de générateurs d’enveloppe standard, soit de modulateurs à contrôle MIDI, avec la possibilité d’enregistrer, de relire polyphoniquement (voix par voix) et de modifier les mouvements de contrôleurs MIDI entrants. Toutes les assignations de modulation s’effectuent à l’intérieur des générateurs. Les modulations de premier ordre sont celles où le générateur de modulation nuance les principaux paramètres de synthèse. Les modulations de second ordre sont celles où le générateur de modulation nuance les paramètres du générateur de modulation. Notamment : LFO Rate Modulation, VariMod, Morph Envelope Modulation et A Time Velosens. Chaque générateur de modulation permet de sélectionner un (ou, dans la plupart des cas, deux) des principaux paramètres de synthèse comme cible de modulation. Vous avez la possibilité de sélectionner la même cible pour tous les modulateurs. Les modules internes tels que les oscillateurs sub-audio et les générateurs d’enveloppe proposent également des modulations via : quantité/intensité librement modulable (facteur de mise à l’échelle) du niveau de sortie de la source de modulation). Il s’agit de modulations latérales.522 Chapitre 28 Sculpture Certains paramètres de générateur de modulation, tels que les taux d’oscillateur subaudio, peuvent être modulés en sélectionnant la source et l’amplitude de modulation souhaitées. Pour accéder au générateur de modulation souhaité, cliquez sur le bouton correspondant dans cette section de l’interface de Sculpture. Dès qu’une source de modulation est activée, la mention de bouton correspondante s’allume. Oscillateur sub-audio 1 et 2 Les deux oscillateurs sub-audio possèdent des fonctionnalités très complètes, allant bien au-delà de celui de Vibrato et des générateurs de fluctuations décrits ci-dessous. Waveform Ce menu permet de choisir la forme d’onde utilisée pour la modulation des oscillateurs sub-audio. Les options disponibles sont les suivantes : Sine, Triangle, Sawtooth, Rectangle Unipolar, Rectangle Bipolar, Sample&Hold, Sample&Hold with Lag, Filtered Noise.  La forme d’onde triangulaire convient bien aux effets de vibrato.  La forme d’onde en dents de scie convient bien aux effets sonores d’hélicoptères et d’épées laser. Des modulations intenses des fréquences entrantes donnent des effets de bulles et de sons sous-marins. Des modulations intenses en dent de scie au niveau des filtres passe-bas créent des effets rythmiques.  La forme d’onde rectangulaire unipolaire fait basculer périodiquement l’oscillateur sub-audio entre deux valeurs (par exemple, une valeur positive et zéro). La forme d’onde rectangulaire bipolaire passe d’une valeur positive à une valeur négative, symétriques par rapport à zéro.  Les deux réglages de forme d’onde Sample&Hold génèrent des valeurs aléatoires. Une valeur aléatoire est sélectionnée à intervalles réguliers définis par la fréquence de l’oscillateur sub-audio. La modulation de la hauteur du son donne un effet connu sous le nom de « générateur de motifs de hauteur aléatoire » ou « échantillonneurbloqueur ». Essayez avec des notes très aiguës à des taux et des intensités élevés : vous reconnaîtrez un effet très connu fréquemment utilisé dans des films de sciencefiction. Si le réglage Sample&Hold with Lag est utilisé, l’onde aléatoire est retardée, ce qui aboutit à un changement « fluide » des valeurs.Chapitre 28 Sculpture 523 Remarque : l’expression Sample & Hold (abrégée en S & H) fait référence à la procédure qui consiste à prendre des échantillons d’un signal de bruit à intervalles réguliers. La valeur de tension de l’échantillon est ensuite maintenue jusqu’au prochain échantillon. Lors de la conversion de signaux audio analogiques en signaux numériques, une procé- dure similaire est utilisée : les échantillons de tension du signal audio analogique sont prélevés à la fréquence d’échantillonnage. Rate Le potentiomètre Rate détermine la fréquence de la modulation de l’oscillateur sub-audio, que vous pouvez soit synchroniser avec le tempo en cours du projet, soit définir dans l’absolu (en Hertz).  En mode Hz, les fréquences s’échelonnent de 0 Hz (courant continu, ou c.c.) à 100 Hz.  En mode Sync, les fréquences correspondent à une durée comprise entre 32 mesures et 1/64 de triolet. Les valeurs ternaires et pointées sont également admises. Les oscillateurs sub-audio conviennent très bien aux effets rythmiques qui restent synchronisés, même si le projet change de tempo. Boutons Sync/Free Faisant partie intégrante du paramètre Rate, ces boutons permettent de sélectionner des fréquences d’oscillateurs sub-audio synchronisées ou libres. Lors du basculement d’un mode à l’autre, la valeur est calculée d’après le tempo et la métrique du projet. Curve Ce paramètre permet de définir un nombre librement variable de variations dans la forme d’onde, ce qui engendre des changements subtils ou drastiques au niveau des formes d’onde de modulation. Le paramètre Curve peut même avoir une incidence sur la forme d’onde sinusoïdale.  Valeur Curve égale à 0,0 : onde purement sinusoïdale.  Valeur Curve supérieure à 0,0 : onde transformée progressivement pour aboutir à une forme quasi rectangulaire.  Valeur Curve inférieure à 0,0 : la pente au point de passage par zéro est réduite, ce qui crée des impulsions douces, plus courtes, de +1 et –1. Remarque : la forme d’onde affichée entre le potentiomètre Curve et le menu Waveform permet de visualiser le résultat obtenu avec ces deux réglages de paramètres. Envelope Un contrôle d’enveloppe assez simple, de type oscillateur sub-audio, autorisant au choix :  une modulation constante,  une rampe ascendante vers la valeur nominale,  une décroissance vers un niveau nul.524 Chapitre 28 Sculpture Phase Ce paramètre permet de choisir entre des modulations d’oscillateur sub-audio strictement monophoniques et polyphoniques : phases similaires, relations de phase complètement aléatoires, phase synchronisée à l’enfoncement des touches, etc. ou toute valeur intermédiaire.  Si vous les utilisez polyphoniquement pour moduler plusieurs voix, le verrouillage en phase des modulations sera impossible. Autrement dit, lorsqu’elle est utilisée sur une entrée polyphonique (un accord joué sur le clavier), la modulation est indépendante pour chaque voix (note). Là où la hauteur (par exemple) d’une des voix pourra monter, celle d’une autre voix pourra descendre et celle d’une troisième voix atteindre sa valeur minimale.  En cas d’utilisation monophonique, les hauteurs de toutes les voix monteront et baisseront simultanément.  En cas d’utilisation aléatoire, seules certaines notes seront modulées de façon synchrone. Remarque : si vous décalez légèrement le potentiomètre Phase par rapport à la position mono, vous obtiendrez des modulations non verrouillées pour toutes les voix de phase similaire, mais non identique. C’est la solution idéale pour les vibratos de sections de cordes. RateMod Source et Amount Vous pouvez moduler la fréquence de l’oscillateur sub-audio à l’aide de la source et de la valeur déterminées avec ce menu et ce curseur vertical (à droite des contrôles de l’oscillateur sub-audio déjà mentionnés).Chapitre 28 Sculpture 525 Modulations Target et Via Deux destinations de modulation Target peuvent être assignées par oscillateur sub-audio, avec éventuellement une modulation via supplémentaire. Pour les activer, cliquez sur les boutons 1 ou 2 (ce qui met en surbrillance les menus Target et Via) puis, tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, cliquez sur le menu Target. Les menus Via déterminent la source contrôlant la mise à l’échelle de la modulation pour chaque oscillateur sub-audio. Curseurs d’amplitude de modulation : Amt et Via (Amount) Si la source via est définie sur Off, seul le curseur Amt est visible ; le curseur Via (Amount) est masqué :  Amt 1/2 : le curseur Amt détermine l’intensité de la modulation. Si une source Via autre que Off est sélectionnée, deux curseurs sont visibles :  Amt 1/2 : le curseur Amt détermine l’amplitude de modulation lorsque le signal Via entrant est défini à zéro, par exemple une roulette de modulation à sa position minimale.  Via (Amount) 1/2 : le curseur Via (Amount) détermine l’intensité de la modulation lorsque le signal Via entrant est défini sur Full, par exemple une roulette de modulation à sa position maximale. Vibrato Un oscillateur sub-audio est préassigné à la hauteur du son, ce qui permet de créer des effets de vibrato. L’intensité de l’effet de vibrato est ajustée à l’aide du contrôleur MIDI assigné dans le menu VibDepth Ctrl (dans la section d’assignation du contrôleur MIDI). Pour en savoir plus, reportez-vous à la section « Assignation de contrôleurs MIDI » à la page 546.526 Chapitre 28 Sculpture Menu Waveform Ce paramètre permet de choisir la forme d’onde utilisée pour le vibrato : sinus, triangle, dent de scie, etc. Il existe également deux formes d’ondes rectangulaires particulières : Rect01 et Rect1. La première oscille entre des valeurs comprise entre 0,0 et 1,0 (unipolaire), la seconde entre des valeurs comprises entre 1,0 et +1,0 (bipolaire, comme les autres formes d’ondes). Reportez-vous à la section « Oscillateur sub-audio 1 et 2 » à la page 522. Curve Ce paramètre permet de définir un nombre librement variable de variations dans la forme d’onde, ce qui engendre des changements subtils ou drastiques au niveau des formes d’onde de modulation. Le paramètre Curve peut même avoir une incidence sur la forme d’onde sinusoïdale.  Valeur Curve égale à 0,0 : onde purement sinusoïdale.  Valeur Curve supérieure à 0,0 : onde transformée progressivement pour aboutir à une forme quasi rectangulaire.  Valeur Curve inférieure à 0,0 : la pente au point de passage par zéro est réduite, ce qui crée des impulsions douces, plus courtes, de +1 et –1. Remarque : la forme d’onde affichée entre le potentiomètre Curve et le menu Waveform permet de visualiser le résultat obtenu avec ces deux réglages de paramètres. Phase Ce paramètre permet de choisir entre des vibratos strictement monophoniques ou polyphoniques : phases similaires, relations de phase complètement aléatoires, phase synchronisée à l’enfoncement des touches, etc. ou tout élément intermédiaire. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section « Oscillateur sub-audio 1 et 2 » à la page 522. Rate Ce paramètre détermine la fréquence du vibrato, que vous pouvez soit synchroniser au tempo en cours du projet, soit définir dans l’absolu (en Hertz). Pour en savoir plus, reportez-vous à la section « Oscillateur sub-audio 1 et 2 » à la page 522. Depth via Vib Ctrl - Max Ce curseur détermine l’amplitude maximale de modulation. Depth via Vib Ctrl - Min Ce curseur détermine l’amplitude minimale de modulation.Chapitre 28 Sculpture 527 Variations aléatoires De nombreux sons peuvent tirer parti de l’utilisation des modulations aléatoires au niveau des paramètres. Celles-ci peuvent imiter de petites variations qui se produisent lorsque des instruments spécifiques sont joués. Jitter 1 et Jitter 2 Les deux générateurs de fluctuations sont des oscillateurs sub-audio spéciaux, conçus pour produire des variations aléatoires continues, notamment des changements progressifs de position de l’archet. Les générateurs de fluctuations équivalent à des oscillateurs sub-audio généraux définis sur une forme d’onde de type bruit. Pour activer le routage des générateurs de fluctuations, cliquez sur les boutons 1 ou 2. Remarque : la modulation des fluctuations au niveau des positions des capteurs en tant que cible permet d’obtenir des effets de chorus intéressants.  Potentiomètres Rate : ces potentiomètres définissent la vitesse du signal de modulation (fluctuations) pour chaque générateur de fluctuations.  Target 1 et 2 : ces menus permettent de définir les destinations des modulations 1 et 2.  Amount 1 et 2 : ces curseurs permettent de déterminer l’amplitude de modulation séparément pour chaque générateur de fluctuations. Note On Random Les deux générateurs Note On Random servent à introduire des variations aléatoires entre différentes notes/voix. Leurs valeurs subissent des manipulations aléatoires pour chaque note et restent constantes jusqu’au relâchement de la voix. De telles variations aléatoires sont très utiles pour ajouter de l’intérêt et épaissir le son lorsque vous jouez de façon polyphonique. Elles le sont également pour recréer les variations aléatoires introduites par le musicien jouant l’instrument, même en répétant la même note.528 Chapitre 28 Sculpture Pour activer le routage des modulateurs Note On Random, cliquez sur les boutons 1 ou 2.  Target : ce paramètre détermine la destination de la modulation, à savoir le paramètre dont la valeur est modulée de façon aléatoire lorsque vous jouez une note.  Amount : ce paramètre définit l’amplitude de modulation, à savoir son intensité. Modulations de vélocité Les objets d’excitation et le filtre disposent de contrôles dédiés pour la sensibilité à la vélocité. De nombreuses autres routages de modulation permettent de sélectionner la vélocité comme source d’entrée « via ». Dans certains cas, il peut être intéressant de contrôler directement d’autres paramètres de synthèse principaux par la vélocité. C’est ce que permet cette section, qui met à votre disposition deux emplacements indépendants de courbe de destination/ d’amplitude/de vélocité. Pour activer l’un ou l’autre, cliquez sur les boutons 1 ou 2.  Target 1/2 : cliquez sur le menu Target souhaité afin de sélectionner le paramètre de destination que vous souhaitez moduler par la vélocité.  Amount 1/2 : le curseur situé en dessous de chaque menu Target détermine l’amplitude de modulation.  Curve 1/2 : cliquez sur le bouton radio approprié pour sélectionner la courbe de vélocité de votre choix : concave, linéaire ou convexe.Chapitre 28 Sculpture 529 Controller A et Controller B Ces paramètres permettent de définir deux cibles séparées pour la modulation, ainsi que l’intensité de modulation pour Controller A et Controller B. Pour cela, il suffit de cliquer sur les boutons 1 et 2, de sélectionner la cible et le mode Target souhaités, puis de régler le curseur Intensity. Chaque menu Target dispose d’un bouton à deux positions :  Continue : modulation continue  Note On : les valeurs de modulation ne sont actualisées qu’à réception d’un message de type Note-On. Générateurs d’enveloppe Les deux générateurs d’enveloppe sont un peu spéciaux, car ils peuvent servir :  d’enveloppes traditionnelles à quatre segments,  de modulations de contrôleur MIDI,  d’une combinaison des deux, à savoir d’enregistreurs de mouvement de contrôleur MIDI (avec des macro-paramètres de type ADSR), pour la lecture polyphonique. Les boutons Mode (Ctrl et Env) situés dans le coin inférieur gauche de l’écran Envelope permettent de sélectionner la fonction désirée : enveloppe ou contrôleur (mode « run »). Si les deux sont activées, la valeur du contrôleur est ajoutée à la sortie de l’enveloppe, ce qui crée un décalage de modulation. Boutons Mode Fenêtre de l’enveloppe530 Chapitre 28 Sculpture Les enveloppes peuvent faire office d’enregistreurs/lecteurs de modulation polyphonique. Chaque voix est gérée indépendamment, avec une enveloppe séparée déclenchée à chaque note jouée. Pour sélectionner Envelope 1 ou 2, il suffit de cliquer sur le bouton correspondant. Routage des modulations Comme dans la section LFO, chaque enveloppe offre deux sélecteurs de cible (Target) de modulation, avec réglage d’amplitude et d’amplitude « via », ainsi qu’une option de modulation « via » séparée. Les réglages Target/Amount/Via suivants sont disponibles pour tous les modes « run ».  Target 1 et 2 : deux cibles de modulation peuvent être assignées par enveloppe, avec éventuellement une modulation via supplémentaire. Ces paramètres déterminent les destinations de modulation 1 et 2. Pour activer ces options de modulation, vous devez cliquer sur les boutons 1 ou 2. Un grand nombre de cibles potentielles sont disponibles, notamment les paramètres de corde, d’objet, de capteur, de Waveshaper et de filtre. Pour les sélectionner, cliquez sur le bouton situé sous le mot Target, puis effectuez votre choix dans la liste.  Via (source) 1/2 : le paramètre « via » définit l’amplitude de modulation pour les enveloppes 1 et 2. Les menus « via » permettent de sélectionner des sources qui sont utilisées pour étalonner l’amplitude de modulation des enveloppes.  Curseurs Amt 1/2 et Via (Amount) : le curseur Amt détermine l’intensité de la modulation. Si une source Via autre que Off est sélectionnée, deux curseurs sont visibles. Le curseur Amt détermine l’amplitude de modulation lorsque le signal Via entrant est défini à zéro, par exemple une roulette de modulation à sa position minimale. Le curseur Via (Amount) détermine l’intensité de la modulation lorsque le signal Via entrant est défini sur Full, par exemple une roulette de modulation à sa position maximale. Fenêtre de l’enveloppe La courbe de l’enveloppe s’affiche dans le coin inférieur droit de l’interface de Sculpture. La fenêtre de l’enveloppe n’est active que si la fonctionnalité de l’enveloppe est enclenchée (paramètre Mode défini sur Env ou Ctrl+Env).Chapitre 28 Sculpture 531  La durée totale de l’enveloppe est indiquée par l’entrée numérique située dans le coin supérieur droit de la fenêtre (2400 ms dans l’exemple).  La durée maximale de l’enveloppe est de 48 mesures/40 secondes.  Les lignes formant la grille en arrière-plan sont espacées de 100 ms.  Pour les durées d’enveloppe très longues, elles sont espacées de 1000 ms. En mode synchronisé, les lignes représentent une noire.  Dès que vous relâchez le bouton de la souris, l’enveloppe est agrandie par un effet de zoom. Cela permet de visualiser l’intégralité de l’enveloppe avec la meilleure résolution possible pour l’affichage dans la fenêtre.  Vous pouvez désactiver/activer ce comportement en cliquant sur le bouton Autozoom (en forme de loupe).  La fonction Autozoom est automatiquement désactivée lorsque vous procédez à un zoom manuel, en cliquant sur l’arrière-plan de la fenêtre de l’enveloppe tout en maintenant le bouton enfoncé, puis en faisant glisser horizontalement. À titre de référence, la largeur de la fenêtre en cours apparaît au niveau de l’entrée numérique située dans le coin supérieur droit de la fenêtre. Vous pouvez réactiver la fonction Autozoom en cliquant sur le bouton correspondant.  Si vous cliquez sur les poignées (nœuds) ou sur les lignes séparant les nœuds dans la fenêtre Envelope, le segment d’enveloppe correspondant passe en surbrillance. Un petit message d’aide indique la durée, en millisecondes, du segment en question. Gestion des enveloppes Lors de sa première ouverture, une courbe d’enveloppe par défaut est automatiquement créée pour chaque enveloppe. Pour afficher l’une ou l’autre, cliquez sur le bouton Env dans la section Mode. Vous verrez quelques poignées (nœuds) placées de gauche à droite le long d’une ligne droite située à l’intérieur de l’enveloppe. Il s’agit d’indicateurs des paramètres suivants :  Nœud 1 : niveau de départ.  Nœud 2 : position/niveau de durée d’attaque.  Nœud 3 : niveau/position de durée de boucle (positionnement libre).  Nœud 4 : niveau/position de Sustain (positionnement libre).  Nœud 5 : niveau/position de durée de fin. Lorsque vous déplacez le curseur de la souris le long de la ligne ou que vous intervenez directement sur les nœuds, le segment d’enveloppe correspondant apparaît en surbrillance. Vous pouvez créer vos propres enveloppes manuellement, en intervenant directement sur les nœuds et les lignes, ou vous pouvez enregistrer une enveloppe, comme expliqué à la section « Enregistrement d’une enveloppe » à la page 533.532 Chapitre 28 Sculpture Pour ajuster la durée séparant les nœuds, cliquez sur la poignée souhaitée, puis faites-la glisser vers la gauche ou vers la droite. Ce faisant, la durée globale de l’enveloppe change et tous les nœuds suivants sont décalés. Vous ne pouvez pas déplacer un nœud au-delà de la position du nœud précédent. Vous pouvez en revanche déplacer des nœuds au-delà de la position du nœud suivant, y compris au-delà du côté droit de la fenêtre de l’enveloppe, ce qui rallonge à la fois le segment de l’enveloppe et l’enveloppe globale. Lorsque vous relâchez le bouton de la souris, la fenêtre de l’enveloppe zoome automatiquement pour afficher l’intégralité de l’enveloppe. Pour ajuster le niveau de chaque nœud, cliquez sur la poignée souhaitée et faites-la glisser vers le haut ou vers le bas. Pour ajuster la forme de la courbe entre les nœuds, cliquez directement sur la ligne qui les relie et faites-la glisser vers le haut ou vers le bas. Dans le cas d’enveloppes enregistrées, vous pouvez avoir courbe plus complexe entre deux nœuds. Pour ajuster les valeurs, cliquez sur la courbe en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis faites glisser la courbe. Essayez diverses manipulations avec chaque nœud et chaque paramètre, de façon à bien comprendre comment ils fonctionnent. Vous constaterez que l’utilisation des enveloppes est très intuitive. Copie d’enveloppes Si vous cliquez sur les boutons d’enveloppe ou sur l’arrière-plan de la fenêtre d’enveloppe tout en appuyant sur la touche Contrôle, un menu contextuel s’affiche avec les commandes Copy, Paste et Clear. Celles-ci vous permettent de copier, de coller ou d’effacer les enveloppes comprises entre les Enveloppes 1 et 2, entre les réglages ou entre plusieurs instances ouvertes de Sculpture. Enregistrement d’enveloppes Avant de commencer, il est important de noter que vous ne pouvez enregistrer que les mouvements du contrôleur MIDI assigné. Cette assignation de contrôleur MIDI pour les enveloppes s’effectue dans la section MIDI Controller Assignment, dans la partie inférieure de l’interface de Sculpture. Assignation d’un contrôleur MIDI d’enveloppeChapitre 28 Sculpture 533 Bouton R(ecord) Ce bouton active la fonction d’enregistrement d’enveloppe. Il fonctionne de la même façon que les boutons de préparation en enregistrement dans Logic Pro. Pour arrêter l’enregistrement, il suffit de cliquer une nouvelle fois sur le bouton R ou d’utiliser la fonction de réglage du mode de déclenchement d’enregistrement, décrite ci-après. Mode Record Trigger Le menu situé à droite du bouton R permet de choisir différents modes de déclenchement pour lancer l’enregistrement (lorsque le bouton R(ecord) est actif) :  NoteOn : l’enregistrement commence dès que vous jouez une note.  Note+ Ctrl Movement : l’enregistrement démarre lorsque des messages de changement de contrôle MIDI (pour les contrôleurs assignés, reportez-vous à la section « Assignation de contrôleurs MIDI » à la page 546) arrivent alors qu’une note est maintenue.  Note + Sustain Pedal : l’enregistrement commence lorsque la pédale Sustain est enfoncée et qu’une note est maintenue. Enregistrement d’une enveloppe Exemple concret d’enregistrement d’une enveloppe :  Définissez le mode Record Trigger sur Note+Ctrl.  Activez l’enregistrement en cliquant sur le bouton R.  Jouez une note et maintenez enfoncée la touche correspondante, puis commencez à déplacer la roulette de modulation ou tout contrôleur assigné au contrôle des enveloppes 1 ou 2. Arrêt de l’enregistrement d’une enveloppe L’enregistrement d’une enveloppe se termine dès que l’une des conditions suivantes est remplie :  Pour désactiver manuellement le bouton Record (R), cliquez dessus.  Toutes les voix sont relâchées.  Une nouvelle note est jouée après relâchement de toutes les touches.534 Chapitre 28 Sculpture Après l’enregistrement d’un mouvement de contrôleur, R(ecord) est réglé automatiquement sur Off et Mode est défini sur Env. Vous avez ainsi l’assurance que seul le mouvement enregistré sera actif, quelle que soit la position « stop » du contrôleur enregistré. Lecture d’une enveloppe enregistrée La lecture polyphonique de l’enveloppe enregistrée s’effectue lorsque vous appuyez sur une touche. Le paramètre Mode doit être défini sur Env et le paramètre R(ecord) doit être réglé sur Off. Vous pouvez également activer les boutons Env et Ctrl du paramètre Mode. Dans ce cas, vous pouvez utiliser les contrôleurs assignés à Ctrl Env1 ou Ctrl Env2 pour manipuler l’enveloppe en temps réel, tout en lisant l’enveloppe enregistrée. Notez cependant que si Env et Ctrl sont tous deux activés, la valeur du contrôleur est ajoutée à la valeur de sortie de l’enveloppe, ce qui engendre un décalage de modulation. Préparation de l’enveloppe enregistrée pour l’édition Les segments et les poignées de l’enveloppe sont définis automatiquement à l’issue de l’enregistrement. Pour changer l’interprétation de l’enveloppe, vous pouvez cliquer sur les lignes verticales en intersection avec les poignées, puis les faire glisser (reportezvous également au paragraphe VariMod ci-après). Notez que cette manipulation ne changera pas la forme de l’enveloppe. Paramètres d’enveloppe Les paramètres suivants ne sont actifs que si la fonctionnalité de l’enveloppe est enclenchée (paramètre Mode défini sur Env ou Ctrl+Env). A-Time Velosens Ce curseur sert à définir la sensibilité à la vélocité du temps d’attaque de l’enveloppe. Avec des valeurs positives, le temps d’attaque est plus court lorsque la vélocité est minimale ; avec des valeurs négatives, le temps d’attaque est plus court lorsque la vélocité est maximale. Timescale Ce paramètre vous permet d’étalonner la durée l’enveloppe entière, entre 10 pour cent (dix fois plus rapide) et 1 000 pour cent (dix fois plus lente). Cela a également une incidence sur l’apparence de la courbe d’enveloppe affichée selon qu’elle est raccourcie (accélérée) ou allongée (ralentie).Chapitre 28 Sculpture 535 Menu Sustain Mode Ce menu permet de définir le comportement de l’enveloppe lorsqu’une note est maintenue. Les choix disponibles sont les suivants : le mode Sustain normal, le mode Finish ou l’un des trois modes de boucle (Loop Forward, Loop Backward, Loop Alternate). L’enveloppe peut, comme n’importe quelle enveloppe, être parcourue en une fois (tant que la note est soutenue). Vous pouvez également la parcourir plusieurs fois ou en une boucle infinie, un peu comme un oscillateur sub-audio. Pour cela, vous devez utiliser des boucles. Lorsque vous utilisez l’un des modes de boucle, la boucle se répète toujours entre des « poignées » d’enveloppe définies par l’utilisateur qui indiquent le point de départ de la boucle (icône L) et le point de Sustain (icône S). Vous pouvez faire glisser ces poignées vers la position souhaitée.  En mode Finish, l’enveloppe est parcourue « en une seule fois » du début à la fin, même si la note est relâchée avant que l’enveloppe n’arrive à sa fin. Les autres paramètres de boucle sont désactivés.  En mode Loop Forward, l’enveloppe va jusqu’au point de Sustain, puis commence à répéter périodiquement la section comprise entre le point de boucle et le point de Sustain, toujours vers l’avant.  En mode Loop Backward, l’enveloppe va jusqu’au point de Sustain, puis commence à répéter périodiquement la section comprise entre le point de Sustain et le point de boucle, toujours vers l’arrière.  En mode Loop Alternate, l’enveloppe va jusqu’au point de Sustain et revient au point de boucle, puis repart jusqu’au point de Sustain, périodiquement. Elle est donc parcourue de façon alternée en avant et en arrière. Remarque : si le point de boucle est situé derrière le point de Sustain, la boucle commence après le relâchement de la touche. Vous pouvez synchroniser automatiquement les boucles au tempo du projet, en utilisant les boutons « sync » et « ms ». Boutons Sync et « ms » Ces boutons vous permettent de choisir entre une enveloppe tournant librement (les durées des segments étant alors affichées en millisecondes) ou une enveloppe synchronisée au tempo, en tenant compte de valeurs de notes, telles que 1/8 ou 1/4. Le passage d’une valeur à l’autre déclenche un nouveau calcul des valeurs, arrondies à la durée en ms ou à la valeur de note la plus proche, en fonction du tempo en vigueur dans le projet.536 Chapitre 28 Sculpture Bouton Compare Après l’enregistrement initial (original) d’une enveloppe, et à l’issue d’éventuelles modifications ultérieures, ce bouton vous permet d’alterner entre l’enregistrement original et la version modifiée. Cette option n’est disponible que si vous avez effectivement enregistré une courbe d’enveloppe. VariMod - Source et Amount VariMod n’est disponible que pour les enveloppes enregistrées. Il vous permet de sélectionner une source, et une amplitude, de modulation pour contrôler l’intensité de la variation d’une enveloppe. Pour les enveloppes, le terme « variation » désigne la déviation entre le chemin de l’enveloppe enregistrée et la ligne « droite » passant par ses points. Après avoir enregistré une enveloppe, vous pouvez réduire ou exagérer les fluctuations d’amplitude (variations) de l’enregistrement en appuyant sur la touche Commande et en faisant glisser les courbes entre les points vers le bas (pour réduire) ou vers le haut (pour accentuer). Pour régler l’amplitude de la modulation de la variation, déplacez simplement le curseur VariMod vers le haut ou vers le bas. Les options Source sont accessibles en cliquant sur le bouton Source, puis en choisissant l’un des éléments suivants dans le menu : Off, Velocity Concave, Velocity, Velocity Convex, KeyScale, Ctrl A et Ctrl B.Chapitre 28 Sculpture 537 Fonction de morphing Sculpture offre des fonctionnalités de « morphing » qui vous permettent de modifier progressivement le son (de façon subtile ou radicale) entre un maximum de cinq instantanés, appelés points de morphing. Chaque point de morphing offre des réglages séparés pour plus de 20 paramètres de synthèse essentiels, notamment ceux relatifs au matériau de la corde, à la position des objets d’excitation/entrave, à la position des capteurs, au filtre et au Waveshaper. Tous les paramètres « morphables » peuvent être automatisés séparément pour chaque point de morphing. La position de point de morphing en cours à l’intérieur de la nappe Morph est contrôlée à l’aide des contrôleurs MIDI (par exemple, par l’intermédiaire d’un stick vectoriel). Vous pouvez enregistrer et lire ces mouvements séparément, chaque voix peut subir un morphing différent. La section de morphing comprend deux parties :  La nappe Morph, qui offre cinq points de morphing (au centre et aux quatre coins), ainsi que des options de valeurs aléatoires (par l’intermédiaire des paramètres Randomize) et de copier/coller de points de morphing et d’états de la nappe Morph via un menu contextuel.  La section Morph Envelope peut être éditée soit par segment (avec la souris) soit enregistrée par l’intermédiaire des mouvements de contrôleurs MIDI. Par exemple, avec un stick vectoriel (contrôleurs Morph X/Y) ou via les mouvements imprimés par la souris au curseur Morph (la boule) sur la nappe Morph. Nappe Morph Enveloppe de morphing538 Chapitre 28 Sculpture Sélection de points de morphing L’un des cinq points de la nappe Morph (A/B/C/D/Center) est toujours sélectionné pour l’édition. Ce point sélectionné est indiqué par deux cercles concentriques qui l’entourent. Tous les paramètres « morphables » (ceux qui possèdent une barre de valeur orange et non bleue ou turquoise) sont affichés, ce qui vous permet de modifier les valeurs du point de nappe Morph sélectionné. Lorsque vous activez le mode Auto Select, les mouvements du curseur Morph sélectionnent automatiquement le point de morphing le plus proche. Vous pouvez également cliquer dans les cercles autour de A, B, C, D ou Option pour sélectionner manuellement un point de la nappe Morph. Manipulation aléatoire des points de morphing La fonction Randomize permet de créer des variations aléatoires pour les points de morphing sélectionnés. Combinée avec les fonctions de copier/coller également disponibles, cette fonction permet d’utiliser la nappe Morph comme une sorte de dispositif de culture de cellules sonores. L’utilisation de la nappe Morph permet d’obtenir un son composite intéressant. Vous pouvez copier ce son dans un ou plusieurs coins de la nappe Morph et lui appliquer des manipulations aléatoires, selon une amplitude définie. Le son « morphé » devient ensuite un nouvel élément timbral, créant ainsi des permutations qui peuvent, à leur tour, être déplacées vers les coins, subir une manipulation aléatoire, etc. En fait, ces manipulations reviennent à faire se « reproduire » un son, tout en maintenant un certain contrôle en sélectionnant les sons « parents » et « enfants ». Cette approche peut vous permettre de générer des sons nouveaux d’une grande complexité, sans que vous soyez un as de la programmation. Point de morphing actif Bouton Auto SelectChapitre 28 Sculpture 539 Paramètres de manipulation aléatoire Les paramètres suivants vous permettent de définir vos variations aléatoires.  Boutons Points : ce paramètre permet de sélectionner le nombre de points de morphing utilisés pour la manipulation aléatoire et indique quels seront les points qui en feront l’objet. Lorsque le bouton du bas est activé, la manipulation aléatoire est limitée au point de morphing sélectionné.  Bouton Randomize : cliquez sur ce bouton pour générer une collection aléatoire de points de morphing.  Curseur Int(ensity) : détermine l’intensité du processus de « manipulation aléatoire », de 1 % (légère déviation) à 100 % (valeurs totalement aléatoires). Utilisation de la manipulation aléatoire L’exemple suivant illustre comment réaliser une manipulation aléatoire au niveau des points de morphing. Pour utiliser la manipulation aléatoire : 1 Sélectionnez le bouton du haut (cinq points) dans la section Points. 2 Vérifiez que la fonction Auto Select est activée. 3 Sélectionnez le curseur Int(ensity) et faites-le glisser jusqu’à une valeur d’environ 25 %. 4 Cliquez sur le bouton Rnd. Ce faisant, observez les paramètres du moteur de synthèse. Un certain nombre d’entre eux changeront après le clic de la souris. 5 Cliquez sur le curseur Morph (la boule) tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé, puis faites-le glisser dans chacun des coins de la nappe Morph. Procédez ainsi le long des bords, en repassant au centre de la nappe Morph et notez l’incidence de ces déplacements sur le morphing. 6 N’oubliez pas de jouer quelques notes sur votre clavier MIDI pendant la procédure. Remarque : la boule de morphing n’est visible que lorsque le bouton Record Trigger est actif. Lors du déplacement du curseur Morph, vous verrez les mouvements en temps réel des commandes « fantômes » dans la fenêtre Pickup, de la boule « fantôme » dans la nappe Material et, si vous regardez attentivement, vous verrez également un certain nombre de points rouges se déplacer dans les divers paramètres de corde et d’objets. Boutons Point Bouton Randomize Curseur Intensity540 Chapitre 28 Sculpture Chacun d’entre eux indique la position de morphing en cours. C’est un outil très pratique pour voir quels paramètres ont été modifiés, et de quelle façon. Vous noterez également que les positions sur la nappe Morph qui tombent entre les différents points de morphing amènent les paramètres soumis à une manipulation aléatoire à effectuer des interpolations entre valeurs, ce qui est le but même du morphing. Lisez la section suivante consacrée aux options Copy et Paste. Ces dernières vous aideront à faire bon usage de ces réglages intermédiaires. Commandes du menu Morph Vous pouvez également accéder à ce menu contextuel en cliquant sur la nappe Morph tout en maintenant enfoncée la touche Contrôle. Commandes Copy et Paste  Copy selected Point : copie le point de morphing en cours dans le Presse-papiers de Sculpture.  Copy current Pad Position : copie l’état de morphing en cours dans le Presse-papiers de Sculpture.  Paste to selected Point : colle le contenu du Presse-papiers au niveau du point sélectionné.  Exchange selected Point : permute les données copiées précédemment avec celles d’un autre point de votre choix.  Paste to all Points : colle le contenu du Presse-papiers au niveau de tous les points sélectionnés. Autres commandes Les autres commandes du menu contextuel de la nappe Morph se rapportent au regroupement des paramètres aléatoires. Autrement dit, les commandes suivantes vous permettent de déterminer quels types de paramètres vont faire l’objet d’une manipulation aléatoire (à l’aide du bouton Rnd et du curseur Int(ensity)). Chapitre 28 Sculpture 541  All (Random Group) : cette fonction permet d’obtenir des sons « bizarres », dans la mesure où tous les paramètres des trois groupes suivants font l’objet d’une manipulation aléatoire. Cela peut aussi aboutir à des résultats incontrôlés. En revanche, c’est moins utile par rapport à la notion de « culture de cellules sonores » évoquée dans la section « Utilisation de la manipulation aléatoire » ci-dessus.  All except TensionMod : globalement, a le même rôle que l’option All (Random Group), mais en excluant de la manipulation aléatoire le paramètre TensionMod qui doit être utilisé avec précaution.  String Material + Media : en isolement (ce qui inclut la position dans la nappe Material, ainsi que les paramètres Stiffness, Inner Loss, Media Loss, Resolution et Tension Modulation.  Objects + Pickups : modifie les positions des objets et des capteurs, ainsi que les différents paramètres d’objet.  Filter + Waveshaper : rend aléatoires les positions de tous les paramètres de filtre et Waveshaper. Fenêtre Morph Envelope L’enveloppe de morphing comporte neuf points et huit segments et offre des fonctionnalités d’enregistrement ressemblant beaucoup à celles applicables aux enveloppes de contrôleur. Dans le diagramme ci-dessous, apparaît un point sélectionné dans le panneau inférieur (Timeline) et la poignée correspondante du point sélectionné de la trajectoire dans la nappe Morph. Ils sont représentés sous la forme d’un losange orange dans le panneau Timeline et d’un losange (ou d’une boule) orange dans la nappe Morph.  La durée globale de l’enveloppe de morphing est indiquée par l’entrée numérique située en haut à droite de la fenêtre.  La durée maximale de l’enveloppe de morphing est de 48 mesures/40 secondes.  Les lignes formant la grille en arrière-plan sont espacées de 100 ms.  Si vous cliquez sur les poignées (nœuds) ou sur les lignes séparant les nœuds dans la fenêtre Envelope, le segment d’enveloppe correspondant passe en surbrillance. Un petit message d’aide indique la durée, en millisecondes, du segment en question.542 Chapitre 28 Sculpture  Lorsque vous déplacez le curseur de la souris le long de la ligne ou que vous intervenez directement sur les nœuds, le segment d’enveloppe correspondant apparaît en surbrillance.  Vous pouvez créer vos propres enveloppes manuellement, en intervenant directement sur les nœuds et les lignes, ou vous pouvez enregistrer une enveloppe, comme expliqué à la section « Enregistrement d’enveloppes de morphing » à la page 542.  Pour ajuster la durée séparant les nœuds, cliquez sur la poignée souhaitée, puis faites-la glisser vers la gauche ou vers la droite. Ce faisant, la durée générale de l’enveloppe de morphing change et tous les nœuds suivants sont décalés d’autant. Vous ne pouvez pas déplacer un nœud au-delà de la position du nœud précédent. Vous pouvez en revanche déplacer des nœuds au-delà de la position du nœud suivant, y compris au-delà du côté droit de la fenêtre de l’enveloppe, ce qui rallonge à la fois le segment de l’enveloppe et l’enveloppe globale. Remarque : la nappe Morph de Sculpture affiche un point mobile qui indique la position actuelle du morphing sur un son joué de façon monophonique. La ligne rouge dans la Timeline ci-dessous affiche la position temporelle actuelle. Enregistrement d’enveloppes de morphing La section suivante détaille les paramètres nécessaires à l’enregistrement d’une enveloppe de morphing. Bouton R(ecord) Enable Le bouton R active la fonction d’enregistrement d’enveloppe de morphing. Il fonctionne de la même façon que les boutons de préparation en enregistrement dans Logic Pro. Pour effectuer un enregistrement d’enveloppe de morphing, cliquez simplement sur le bouton R, jouez une note et commencez à déplacer la boule argentée sur la nappe Morph à l’aide de la souris. Vous pouvez également utiliser un contrôleur externe (reportez- vous à la section « Menus Morph X et Morph Y » à la page 547). Le mode est automatiquement réglé sur Pad dès que vous cliquez sur le bouton R (pour en savoir plus sur les modes, reportez-vous à la section « Paramètres Morph Envelope » à la page 543). Mode Record Trigger Le menu situé à droite du bouton R permet de sélectionner différents mode de déclenchement pour lancer l’enregistrement (lorsque le bouton R(ecord) Enable est actif) :Chapitre 28 Sculpture 543  NoteOn : l’enregistrement commence dès que vous jouez une note.  Note + Move Morph Point : l’enregistrement démarre lorsque les messages de changement de contrôle MIDI (tels qu’ils ont été affectés dans les paramètres Morph X et Y de la section MIDI Controller Assign) arrivent lorsqu’une note est maintenue.  Note + Sustain Pedal : l’enregistrement commence lorsque la pédale Sustain est enfoncée et qu’une note est maintenue. L’enregistrement est arrêté en cliquant sur le bouton (ou le déclencheur) R(ecord) Enable une seconde fois. L’enregistrement prend fin une fois toutes les touches relâchées et toutes les voix arrivées au terme de leur phase de chute. Pour arrêter l’enregistrement plus tôt, il suffit de relâcher toutes les touches, puis d’appuyer sur une seule touche. Après l’enregistrement d’un mouvement de contrôleur, R(ecord) Enable est réglé automatiquement sur Off et Mode est défini sur Env only. Vous avez ainsi l’assurance que seul le mouvement enregistré sera actif, quelle que soit la position « stop » du contrôleur enregistré. Paramètres Morph Envelope La section suivante détaille les paramètres de l’enveloppe de morphing. Mode Ces boutons activent l’enveloppe de morphing et vous permettent de choisir l’un des modes suivants :  Position Off pour les deux boutons : la fonction Morph est désactivée.  Pad only : l’enveloppe est désactivée et la fonction Morph est contrôlée par le curseur Morph (la boule) ou les contrôleurs MIDI X/Y uniquement.  Env only : l’enveloppe est fonctionnelle, mais le curseur Morph et les contrôleurs MIDI X/Y sont désactivés.  Env + Pad : l’enveloppe est fonctionnelle et la position du curseur Morph ou des contrôleurs MIDI X/Y est utilisée comme décalage pour les éventuels mouvements d’enveloppe. Dans ce mode (avec les deux boutons Pad et Env activés), vous pouvez effectuer votre sélection depuis le réglage suivant en cliquant sur l’étiquette de décalage en regard des boutons de mode :544 Chapitre 28 Sculpture  Offset : le comportement du mode par défaut est décrit dans le mode Env+Pad détaillé ci-dessus).  Point Set : l’enveloppe est en cours d’exécution. Le point d’enveloppe sélectionné peut être édité en déplaçant le curseur Morph sur la nappe ou via MIDI (assignations de contrôleurs « MorphX » et « MorphY »).  Point Solo : l’enveloppe se trouve dans un mode de fonctionnement « figé ». Le point d’enveloppe sélectionné peut être édité en déplaçant le curseur Morph sur la nappe. Time Scale Ce paramètre permet d’étalonner la durée globale de l’enveloppe par un facteur compris entre 10 % et 1000 %. Menu Sustain Mode Ce paramètre permet de sélectionner le comportement de l’enveloppe de morphing lorsqu’une note est maintenue. Les choix disponibles sont les suivants : mode Sustain, mode Finish, l’un des trois modes de boucle (Loop Forward, Loop Backward, Loop Alternate) ou mode Scan via CtrlB. Lorsque vous utilisez l’un des modes de boucle, la boucle se répète toujours entre des poignées d’enveloppe de type boucle ou Sustain (les nœuds indiqués par les petites icônes L et S). L’enveloppe de morphing peut, comme toute enveloppe, être parcourue en une seule fois (tant que la note est soutenue). Vous pouvez également la parcourir plusieurs fois ou en une boucle infinie, un peu comme un oscillateur sub-audio. Pour cela, vous devez utiliser des boucles. Vous pouvez saisir et repositionner directement les poignées (les petites icônes « L » et « S ») correspondant aux points de boucle et de Sustain. N’oubliez pas que ce faisant, vous risquez de modifier la durée de la boucle (et la durée globale de l’enveloppe Morph).  En mode Finish, l’enveloppe de morphing est parcourue « en une fois » du début à la fin, même si la note est relâchée avant que l’enveloppe n’arrive à sa fin. Les autres paramètres de boucle sont désactivés.Chapitre 28 Sculpture 545  En mode Forward, l’enveloppe va jusqu’au point de Sustain, puis commence à répéter périodiquement la section comprise entre le point de boucle et le point de Sustain, toujours vers l’avant.  En mode Backward, l’enveloppe va jusqu’au point de Sustain, puis commence à répéter périodiquement la section comprise entre le point de Sustain et le point de départ de la boucle, toujours vers l’arrière.  En mode Alternate, l’enveloppe va jusqu’au point de Sustain et revient au point de boucle, puis repart jusqu’au point de Sustain, périodiquement. Elle est donc parcourue de façon alternée en avant et en arrière.  En mode Scan via CtrlB, la position du plan de montage dans l’enveloppe est « déconnectée » du temps réel et vous pouvez « scanner » l’intégralité de l’intervalle de temps en utilisant le contrôleur MIDI choisi pour Ctrl B (dans la section MIDI Controller Assign). ? Astuce : vous pouvez également faire glisser manuellement le marqueur rouge de position temporelle avec la souris. Remarque : si l’un des trois modes de bouclage est sélectionné et que le point de boucle est placé avant le point de Sustain, la boucle sera active jusqu’à ce que vous relâchiez la boucle. Après relâchement de la touche, l’enveloppe continue ensuite au-delà du point de Sustain, comme à l’accoutumée. Si le point de boucle est positionné après le point de Sustain, la boucle est activée dès que la touche est relâchée et sera répétée indéfiniment (jusqu’à ce que la voix complète ait terminé la phase de relâchement du générateur d’enveloppe d’amplitude). Boutons Sync et « ms » Ces boutons vous permettent de choisir entre une enveloppe tournant librement (les durées des segments étant alors affichées en millisecondes) ou une enveloppe synchronisée au tempo, en tenant compte de valeurs de notes, telles que 1/8 ou 1/4. Le passage d’une valeur à l’autre déclenche un nouveau calcul des valeurs, arrondies à la durée en ms ou à la valeur de note la plus proche, en fonction du tempo en vigueur dans le projet. Potentiomètre Depth Ce paramètre permet d’étalonner l’amplitude du mouvement de morphing provoqué par l’enveloppe de morphing. L’effet du paramètre Depth apparaît sous forme visuelle sur la nappe Morph. À mesure que vous augmentez ou réduisez la valeur, la trajectoire de morphing est étalonnée. Potentiomètre Modulation et menu Source Ces paramètres permettent de sélectionner une source et une amplitude de modulation, dont les valeurs conditionnent ensuite le mouvement de l’enveloppe de morphing.546 Chapitre 28 Sculpture Potentiomètre Transition Ce paramètre permet de gérer les transitions entre les points de morphing. Ces dernières peuvent aller du mouvement original (éventuellement enregistré) aux connexions linéaires, et au-delà, aux transitions échelonnées. Dans ce dernier cas, le paramètre reste à un certain état de morphing tout au long du segment d’enveloppe de morphing, puis passe brutalement à l’état de morphing réglé pour le point d’enveloppe suivant. Ce paramètre (ainsi que l’enveloppe de morphing elle-même) permet de concevoir des sons intéressants, évolutifs ou même des sonorités rythmiques. Fenêtre de position du morphing La ligne rouge qui apparaît au niveau du paramètre Timeline de l’enveloppe de morphing affiche la position temporelle en cours, lors d’un morphing. La nappe Morph de Sculpture affiche un point mobile qui indique la position actuelle du morphing. Remarque : la position actuelle du morphing est affichée tant qu’une seule note est jouée. Assignation de contrôleurs MIDI Cette section permet de définir les contrôleurs MIDI que vous souhaitez utiliser pour contrôler l’intensité du vibrato ou les mouvements de la nappe Morph, par exemple. Ces paramètres sont enregistrés avec chaque réglage. Ils ne sont mis à jour que si le réglage par défaut (celui chargé lorsque vous lancez le module) est utilisé ou si le réglage a été sauvegardé avec un projet. Cette approche vous aide à adapter tous les contrôleurs MIDI au clavier, sans devoir modifier et enregistrer chaque réglage séparément. Le point et la ligne indiquent la position actuelle du morphing.Chapitre 28 Sculpture 547 Apprentissage d’un message MIDI Tous les paramètres permettant de sélectionner un contrôleur MIDI (VibDepth Ctrl, CtrlA, CtrlB, CtrlEnv1, CtrlEnv2, Morph X, Morph Y) disposent d’une option Learn. Si elle est sélectionnée, le paramètre est automatiquement réglé de façon à utiliser le premier message MIDI entrant approprié. Le mode d’apprentissage présente une fonction de délai de 20 secondes : Si Sculpture ne reçoit pas un message MIDI dans les 20 secondes qui suivent, le paramètre est de nouveau assigné au contrôleur MIDI initial. Menu Vib Depth Ctrl Définit le contrôleur MIDI utilisé pour contrôler l’intensité du vibrato. Menus Ctrl A et Ctrl B Ils permettent d’assigner deux contrôleurs qui peuvent servir de signaux de modulation « via », pour les routages directs de modulation sur l’onglet CtrlA/CtrlB ou pour les modulations latérales. Menus CtrlEnv 1 et CtrlEnv 2 Ils définissent les assignations de contrôleur pour les deux générateurs d’enveloppe (utilisés en tant que signal de modulation ou décalage) dans les cas où les générateurs d’enveloppe sont définis sur les modes Ctrl only ou Ctrl+Env. Ils servent également à définir la source pour enregistrer les mouvements de contrôleur. Menus Morph X et Morph Y Ils déterminent les assignations de contrôleur pour les coordonnées X et Y de la nappe Morph. Une fois assigné, le contrôleur peut être utilisé pour déplacer manuellement le point de morphing, programmer un à un des points d’enveloppe de morphing, décaler globalement l’enveloppe de morphing ou faire office de source pour l’enregistrement de mouvements de morphing. Mode, menu Lorsque vous chargez un réglage, les deux entrées du menu Mode permettent de déterminer si les assignations de contrôleurs MIDI doivent être retirées de ce réglage ou rester en l’état. Le basculement d’un mode à l’autre permet de passer des assignations originales, enregistrées avec le réglage, aux assignations par défaut (extraites du fichier de réglage #default.pst qui, s’il existe, est chargé lors du lancement de Sculpture). Programmation : guide de démarrage rapide Cette section du manuel réunit un ensemble d’indications, de conseils, d’astuces et d’informations destinés à vous aider dans la création de types de son particuliers. Pour en savoir plus sur la programmation, reportez-vous à la section « Programmation : étude détaillée » à la page 565.548 Chapitre 28 Sculpture Différentes approches de la programmation La souplesse du moteur de synthèse de Sculpture autorise une grande diversité d’approches de la conception sonore. Si vous aimez créer un son en partant de zéro, paramètre par paramètre, c’est possible. Si vous préférez tirer parti des fonctions de morphing de Sculpture pour créer des sons, c’est également possible. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section « Utilisation de la manipulation aléatoire » à la page 539. Si vous préférez « bricoler » des sonorités préexistantes ou définies par un utilisateur, alors les paramètres qui ont une incidence sur l’intégralité de l’instrument vous intéresseront davantage, notamment les sections Body EQ et Filter, ainsi que les modulateurs, par exemple. Quelle que soit votre préférence en la matière, vous pouvez obtenir des résultats nouveaux et intéressants. Procédez à des expérimentations et familiarisez-vous avec chaque approche. Vous vous apercevrez que chacune possède des points forts et des faiblesses, et qu’il faut parfois combiner plusieurs méthodes pour obtenir un équilibre acceptable. Principes Tout au long de ce manuel, le fil conducteur est le chemin du signal du moteur de synthèse. Si vous choisissez de programmer « en partant de zéro », il est conseillé d’adopter également cette approche, en travaillant séparément sur chaque composante du son. Évidemment, lorsque vous commencez à travailler avec Sculpture, vous ne connaissez pas bien l’impact de chacun des paramètres sur les résultats finaux. Pas de panique , cette section (et les suivantes) fournissent des conseils pour des types de son particuliers. Pour commencer, il faut un son brut de départ pour travailler à partir de rien. Vous obtenez cette sonorité lorsque vous lancez Sculpture pour la première fois, autrement dit un jeu par défaut de paramètres neutres. Cette sonorité n’a bien sûr rien de renversant : son seul but est de vous fournir un point de départ pour tous les exemples de création sonore de ce chapitre. Remarque : cette sonorité est enregistrée en tant que fichier de réglages de type « #default ». Il est conseillé d’enregistrer immédiatement une copie de ce réglage et de le nommer comme vous le souhaitez, par exemple « son neutre », « son brut » ou « partant de zéro ». Vous pouvez le recharger en passant d’un exemple à l’autre.Chapitre 28 Sculpture 549 Moteur de synthèse Le cheminement du signal a été évoqué dans la section « Cœur du moteur de synthèse de Sculpture » à la page 490. En guise de rappel et pour donner une orientation plus concrète, suivez les étapes suivantes. Cette section a été délibérément simplifiée, mais passez-la quand même en revue. Une bonne connaissance de la « mécanique » de Sculpture est essentielle pour obtenir ce que vous souhaitez : Corde La corde est l’élément de synthèse central. Elle propose un certain nombre de paramè- tres afin de vous permettre d’en modifier l’aspect matériel, par exemple, de quoi elle est faite et dans quel milieu ambiant elle est jouée (eau, air, etc.). Pour en savoir plus sur chaque paramètre, reportez-vous à la section « Paramètres de corde et d’objet » à la page 496. Avant de commencer, cliquez sur la corde tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée (la ligne horizontale verte se trouvant dans la section Pickup) pour en activer/désactiver l’animation. Lorsque l’animation est activée, la corde vibre, ce qui permet de visualiser plus facilement l’impact des objets et des capteurs.  Cliquez sur le bouton Keyscale dans la partie inférieure de l’anneau de la nappe Material, comme indiqué dans le graphique.  Sur votre clavier, jouez et maintenez enfoncé le Do central ou jouez-le de façon répétée. Cette hauteur musicale de Do central correspond à la hauteur par défaut de la corde.  Ce faisant, cliquez sur la boule de la nappe Material, maintenez enfoncé le bouton de la souris, puis faites-la glisser. Écoutez les variations sonores lorsque vous passez d’un matériau à un autre : Nylon, Wood, Steel et Glass. Observez la corde (la ligne horizontale verte dans la fenêtre Pickup, sur la gauche) pendant l’opération.  Relâchez le bouton de la souris une fois que vous avez trouvé une tonalité de base qui vous plaît.550 Chapitre 28 Sculpture  À présent, testez les valeurs de chacun des curseurs situés autour de la nappe Material, à savoir les paramètres Media Loss, Tension Mod et Resolution (tout en continuant à jouer le Do central). Notez bien les changements ainsi apportés au son et à l’animation de la corde dans la section Pickup. Jouez quelques notes au-dessus et en dessous du Do central, là encore tout en observant la corde.  Vous avez probablement remarqué que le déplacement des curseurs Media Loss, Tension Mod et Resolution avait également une incidence sur les curseurs Keyscale de couleur grise et bleue, à l’intérieur et à l’extérieur de l’anneau. Cliquez sur chacune des pointes de flèche de ces curseurs Keyscale et faites-les glisser à différentes positions, une par une, et jouez en même temps quelques notes de part et d’autre du Do central. Écoutez bien les changements apportés en haut ou en bas du clavier.  Une fois que vous avez terminé, cliquez sur le bouton Release situé dans la partie inférieure de l’anneau de la nappe Material, puis ajustez le curseur bleu Media Loss Release pendant que vous jouez des notes. Objets Vous pouvez utiliser jusqu’à trois objets de types différents pour exciter ou perturber la vibration de la corde. Pour en savoir plus sur chaque paramètre, reportez-vous à la section « Paramètres de corde et d’objet » à la page 496.  Rechargez le réglage par défaut ou « son brut » enregistré précédemment.  Cliquez ensuite sur le bouton (Object) 1, qui devient gris, tout en appuyant sur une touche. Aucun son n’est émis. La corde elle-même ne produit pas de son, sauf si elle est stimulée par les objets. Réactivez le bouton en cliquant à nouveau dessus.  À présent, cliquez sur le menu Type de l’objet 1, puis choisissez chaque entrée dans la liste. Jouez une note de façon répétée afin de mieux entendre l’influence de chaque type d’objet sur la corde. Encore une fois, observez l’animation de la corde.  Ajustez le potentiomètre Strength en cliquant dessus tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, puis en le faisant glisser verticalement pour obtenir des variations de grande ampleur ou horizontalement pour des réglages fins. Ce faisant, jouez une note de façon répétée. Potentiomètres/contrôles des trois objets de corde, avec la section Pickup à gauche au centre.Chapitre 28 Sculpture 551  Faites glisser les pointes de flèches Timbre et VeloSens en différentes positions tout en appuyant sur une touche, afin d’entendre les modifications ainsi apportées. L’incidence du paramètre Variation est indiquée dans les tableaux que vous trouverez dans la section « Type » à la page 503.  Essayez chacun des réglages disponibles dans la section Gate.  Une fois que vous avez déterminé un groupe spécifique de réglages pour l’objet 1, activez l’objet 2 en cliquant sur le bouton 2.  Modifiez les paramètres de cet objet selon vos besoins, puis notez l’interaction des deux objets entre eux et avec la corde.  Procédez de la même façon avec l’objet 3. Capteurs La vibration de la corde est recueillie par deux capteurs mobiles. La section Pickup héberge également trois curseurs, soit un pour chaque objet.  Rechargez le réglage « son brut ».  Cliquez sur la « poignée » du capteur de l’objet 1 (la flèche vers le bas qui porte le numéro 1) et maintenez le bouton de la souris enfoncé, puis faites-la glisser vers la gauche ou vers la droite tout en appuyant sur une touche. Vous remarquerez que les modifications de la position du capteur de l’objet changent les caractéristiques du son émis par la corde.  Ajustez la valeur du paramètre Strength de l’objet 1 pour mieux entendre ce qui se passe ou réglez la tonalité, si vous le souhaitez. Vous pouvez également, si vous le souhaitez, utiliser les paramètres Timbre et Variation de l’objet pour modifier la tonalité. Reportez-vous au tableau de la section « Type » à la page 503.  Procédez de la même façon avec les curseurs Pickup A et Pickup B. Vous remarquerez que les modifications apportées aux positions des capteurs induisent des vibrations différentes dans la corde (et donc, une tonalité différente). Si vous souhaitez augmenter le volume, ajustez le potentiomètre Level (situé en regard de la section Pickup, sur la droite de l’interface de Sculpture).  Ajustez les capteurs des deux autres objets. Réglez les paramètres Strength, Timbre et Variation de chacun d’eux afin de modifier la tonalité. Reportez-vous aux tableaux de la section « Type » à la page 503. 552 Chapitre 28 Sculpture Notez que l’objet 1 ne peut utiliser que les types d’excitation se trouvant dans le premier tableau. L’objet 2 peut utiliser tous les types d’excitation figurant dans les deux tableaux. L’objet 3 ne peut utiliser que les types d’entrave et d’amortissement qui se trouvent dans le second tableau. Vous pouvez désactiver un objet à tout moment : il suffit d’appuyer sur le bouton portant son numéro (1, 2 ou 3). À propos des interactions entre les paramètres Comme vous êtes probablement en train de le découvrir, chaque paramètre a une incidence sur la tonalité globale émise par la corde et, plus encore, sur l’interaction de la corde avec d’autres paramètres. De fait, chaque paramètre introduit ou dont la valeur est modifiée a une incidence sur la corde modélisée. Ce qui, en retour, modifie l’interaction de chaque paramètre avec la corde modélisée. Ainsi, vous devrez sans doute remodifier les réglages des paramètres de l’objet 1 une fois que vous aurez activé l’objet 2. De façon générale, ces ajustements ultérieurs restent modérés : le plus souvent, il suffit d’intervenir légèrement sur les paramètres Strength ou peut-être sur la position des capteurs de chaque objet, par exemple. Ce sont ces paramètres qui ont la plus grande incidence sur la tonalité et le niveau des objets. Vous devez donc y être attentif si l’introduction de l’objet 2 provoque un changement de timbre intempestif dans votre son. Pour apporter des variations subtiles aux objets, utilisez les potentiomètres Timbre et Variation. Contrairement aux changements radicaux, des modifications légères permettent de conserver la tonalité globale de la corde (et de l’objet 1), tout en introduisant un nouvel élément grâce à l’objet 2. Retour au sujet principal… Traitement Une fois recueilli par les capteurs, le signal est envoyé à la section de traitement, qui se compose d’une étape d’amplitude de type ADSR, d’un Waveshaper (avec un choix de plusieurs types de courbes de mise en forme) et d’un filtre polyvalent. Ces processeurs et les paramètres de capteur sont évoqués dans la section « Paramètres de traitement » à la page 507. N’hésitez pas à essayer diverses valeurs tout en vous référant aux descriptions de chaque paramètre. Tous les éléments décrits jusqu’ici existent voix par voix.Chapitre 28 Sculpture 553 Traitement additionnel Tous les signaux des voix en provenance des capteurs sont additionnés, puis traités par un effet de retard intégré. À partir de là, le signal est envoyé vers un module interne de type égaliseur (Body EQ), qui simule globalement la réponse spectrale forme/corps de votre instrument. Vous avez le choix entre plusieurs types de corps d’instruments. Le signal obtenu est alors transmis vers une section Level/Limiter. Explorez tous les paramètres disponibles dans les sections de traitement, en utilisant à chaque fois le réglage « son brut ». Cela vous permettra de vous faire une « impression » de chaque paramètre et de son incidence sur les sons que vous entendez. Tous les autres paramètres des portions inférieures de l’interface Sculpture (Modulation, Morph, Envelope et Controller Assignments) ne font pas partie du moteur de synthèse, bien qu’ils aient aussi une incidence sur ce dernier. Vous trouverez des conseils d’utilisation de ces paramètres un peu plus loin. Création de sons de base Cette section aborde la création de divers types de sons de base : orgues, basses, guitares, etc. Le but est de vous fournir un point de départ pour vos propres expérimentations et de vous présenter différentes approches pour créer des sons avec Sculpture. À mesure que vous vous familiariserez avec le synthétiseur et avec la modélisation de composantes, vous vous apercevrez qu’il existe plusieurs façons de parvenir à un même résultat final. Autrement dit, chaque composante du son peut se voir modélisée en utilisant divers outils et techniques disponibles dans Sculpture. Cette approche très souple vous permet de créer, entre autres, un son de cuivres de plusieurs façons : par exemple, en utilisant le Waveshaper comme élément tonal principal dans une sonorité. Dans une autre sonorité de type cuivres, le filtre et l’égaliseur Body EQ peuvent servir à imiter la même composante sonore fournie par le Waveshaper dans la première sonorité. Une bonne compréhension des propriétés physiques de l’instrument que vous souhaitez imiter est un avantage. Ce type de connaissances est très spécialisé, mais vous pouvez les trouver facilement sur des sites Internet. Vous pouvez donc vous lancer dans des recherches détaillées, mais pour la plupart des tâches de création sonore avec Sculpture, il suffit de se poser les questions suivantes lorsque vous créez votre corde.554 Chapitre 28 Sculpture Comment l’instrument génère-t-il le son ? Autrement dit :  Est-ce une corde qui vibre et fait entrer en résonance un corps (comme sur une guitare ou un violon, par exemple) ?  Est-ce une colonne d’air qui vibre dans un tuyau (flûte, trompette) ?  Est-ce un objet solide qui est frappé, causant ainsi des vibrations (bloc de bois) ?  Est-ce un objet creux qui est frappé, causant ainsi des vibrations ou un phénomène de résonance, tels une batterie ou une cloche ? Quelles sont les propriétés physiques de l’instrument ? En d’autres termes, de quoi est-il fait ? Pour répondre à cette question, ne vous limitez pas au corps de l’instrument. Prenez également en compte le matériau de fabrication des cordes (nylon ou acier sur une guitare), voire aussi l’épaisseur et le matériau de l’anche dans le cas d’une clarinette ou d’un hautbois, la présence d’une sourdine pour une trompette, etc. L’instrument est-il polyphonique ou monophonique ? Ce facteur est très important, puisqu’il intervient aussi dans la question suivante. Outre certaines évidences, comme l’impossibilité de jouer des accords sur une flûte, une corde modélisée interagit avec toute autre corde active. Ce phénomène ne se produit pas avec une flûte, instrument qui ne peut générer qu’une seule note à la fois. Quel est le mode de jeu de l’instrument ? Autrement dit, faut-il le jouer à l’archet, souffler dedans, le frapper ou en pincer les cordes ? Existe-t-il d’autres facteurs contribuant au caractère sonore de l’instrument ? Par exemple :  Modification de la pression des lèvres et de la position de la bouche dans le cas des cuivres et des instruments à vent.  Bruits de souffle ou mécaniques.  Changements provisoires de hauteur, par exemple lorsque vous appuyez avec vos doigts sur la frette ou si vous pincez une corde.  Changements provisoires de timbre ou de niveau, par exemple un joueur de cuivre qui arrive à bout de souffle ou qui s’amuse avec les pistons. Une fois que vous avez établi, dans votre tête ou sur le papier, votre liste de propriétés, essayez d’imiter chacune des composantes contribuant au caractère du son. C’est là tout l’intérêt de l’approche de la synthèse par modélisation de composantes.Chapitre 28 Sculpture 555 Important : avant de commencer, il faut rappeler que les exemples suivants ne constituent justement que de simples exemples. Il existe bien sûr de nombreuses façons de modéliser chaque composante d’un son. Procédez à des expérimentations avec les divers réglages et paramètres suggérés, afin de créer votre propre version des sonorités. Vous noterez que les exemples de valeurs spécifiques de paramètres sont rares ; et même si c’est le cas, n’hésitez pas à en essayer d’autres. Pour équilibrer un peu tout ça. Des modifications subtiles, notamment dans le cas de paramètres de suivi clavier, donnent des sons plus contrôlés. Prenez votre temps et essayez toutes les possibilités lorsque vous suivez ces exemples. Essayez les sonorités définies par d’autres utilisateurs et les réglages préexistants livrés avec l’instrument. En les étudiant de près, vous découvrirez comment le son a été créé. N’hésitez pas à activer/désactiver telle ou telle section de Sculpture pour juger de la contribution de chacune au son final et utilisez les connaissances ainsi acquises pour votre futur chef d’œuvre musical. Amusez-vous et n’hésitez pas à prendre des risques, Sculpture est incassable ! Basses La création de sons de basse avec Sculpture est très simple.  Commencez par charger votre réglage « son brut ».  Définissez la valeur du paramètre Transpose sur 1 Oct. et jouez quelques notes autour du Do2. Vous remarquerez que la couleur sonore globale d’une basse acoustique est déjà là.  Vous pouvez tout à fait régler la boule de la nappe Material sur l’entrée Nylon, mais avant cela, définissez le type de l’objet 1 sur Pick.  Jouez quelques notes sur le clavier et, ce faisant, ajustez la position de la boule.  Occupez-vous ensuite des paramètres Strength, Variation, Timbre et VeloSens de l’objet 1. Réglez ensuite chacun d’eux selon vos besoins.  Si vous le souhaitez, réglez également le paramètre Amplitude Envelope Release.  Pour donner à votre basse un son davantage typé « bois », déplacez le capteur de l’objet 1 vers la droite. Pour des positions extrêmes (tout à gauche ou tout à droite), le grave de la basse devient très musclé. Essayez !  À présent, réglez la position des capteurs Pickup A et Pickup B. Comme vous pouvez le constater, il est facile de recréer rapidement un son de basse acoustique ou électrique jouée au médiator.  Pour obtenir instantanément un son de basse hybride acoustique/synthétique, cliquez sur le bouton WaveShaper et choisissez l’un des types disponibles.  Enregistrez vos sons au fur et à mesure à l’aide de la fonction Save Setting As. Il vous suffira sans doute de quelques minutes pour créer plusieurs sons de basse intéressants. Vous pourrez ensuite les réutiliser pour créer d’autres sons.556 Chapitre 28 Sculpture Cloches À un niveau basique, les sons de cloche sont assez faciles à obtenir avec Sculpture. Pour obtenir des sons de cloches réellement intéressants, quelques efforts supplémentaires de recherche sont nécessaires, mais c’est l’évolution de la richesse harmonique et du désaccord lors de la phase de chute/relâchement qui font toute la différence.  Chargez votre « son brut ».  Définissez le type de l’objet 1 sur Strike.  Placez la boule tout en bas de la nappe Material, à mi-chemin entre les entrées Steel et Glass. Si vous jouez quelques notes, vous vous apercevrez que le son obtenu ressemble déjà bien à celui d’une « cloche ».  Cliquez à présent sur le curseur Media Loss et faites-le glisser presque totalement vers le bas. Là encore, jouez quelques notes et vous vous apercevrez que la phase de relâchement du son est beaucoup plus longue.  Faites glisser le curseur Resolution complètement à droite.  Faites glisser la position du capteur Pickup A jusqu’à mi-course environ (0,48).  Faites glisser la position du capteur de l’objet 1 jusqu’à une valeur de 0,10. Le son de cloches devient alors plus intéressant… Jouez quelques notes pour vous en convaincre.  Cliquez à présent sur le bouton Delay pour activer l’unité de retard.  Cliquez sur le bouton « sync » (Delay) et faites glisser le curseur Delay Time à une valeur de 20 ms.  Augmentez la valeur du paramètre (Delay) Wet Level jusqu’à atteindre 66 %.  Activez l’égaliseur Body EQ en cliquant sur le bouton Body EQ. Vérifiez que le modèle Lo Mid Hi est sélectionné.  Réglez le niveau Low sur 0,55, le niveau Mid sur 0,2 et le niveau Hi sur 0,20.  À ce stade, vous avez un son de cloche en bonne et due forme, mais vous vous apercevrez probablement qu’il y a un problème d’accord, particulièrement lorsque vous descendez en dessous du Do3. Cette approche de programmation a été choisie parce que les harmoniques du son sont plus facilement repérables une fois que tous les autres paramètres ont été réglés. La solution au problème d’accord évoqué précédemment réside principalement dans les paramètres de suivi clavier Inner Loss et Stiffness. Pour les ajuster, sélectionnez d’abord le bouton Keyscale, puis cliquez sur la ligne horizontale verte (à l’intérieur de la nappe Material) pour les notes graves ou sur la ligne horizontale bleue pour les notes aiguës, maintenez enfoncé le bouton de la souris et faites glisser vers le haut ou vers le bas jusqu’à la position souhaitée.  Enregistrez votre réglage via la fonction Save setting as avec un nouveau nom. Vous pourrez vous en servir par la suite pour créer d’autres sons de cloches ou votre prochaine compilation de Noël.Chapitre 28 Sculpture 557 Cuivres Les instruments de type cuivres ont la réputation, justifiée, d’être difficiles à recréer de façon électronique. Placés entre des mains expertes et avec des banques de sons de qualité, les échantillonneurs s’en tirent plutôt bien, mais il leur manque cette chaleur organique caractéristique des vrais instrumentistes. Il s’agit d’une sonorité de cuivres plutôt simple et générique, que vous pouvez jouer comme instrument solo ou comme section de cuivres.  Chargez votre « son brut ».  Définissez le type de l’objet 1 sur Blow.  Activez l’objet 2 et définissez son type sur Noise.  Ajustez le paramètre Strength de l’objet 1 à environ 0,90.  Définissez le paramètre VeloSens de l’objet 1 à environ 0,30.  Faites glisser la boule de la nappe Material jusqu’à une position située dans la diagonale définie par le « I » d’Inner Loss et le « l » du mot Steel, puis jouez un Do central. Le son devrait déjà bien évoquer les cuivres.  À présent, jouez le Mi au-dessus du Do central : le son évoque un hybride entre une mandoline et un téléphone.  Faites glisser le curseur Resolution vers la gauche ou vers la droite tout en jouant le Do central et quelques notes, sur une octave vers le bas environ. Vous découvrirez alors une gamme de sons couvrant une palette très étendue, des sitars aux flûtes, en manipulant simplement ce paramètre.  À présent, cliquez sur le bouton Keyscale et, tout en montant/descendant le clavier, réglez séparément les valeurs du curseur Resolution et des curseurs Resolution Low/ High Keyscale jusqu’à ce que la région du clavier que vous souhaitez jouer (disons environ une octave autour du Do central) ne souffre plus de ces artefacts de type mandoline/téléphone. Vérifiez que vous ne perdez pas la sonorité de cuivres.  Modifiez la position du capteur Pickup A jusqu’à atteindre environ 77 %.  Activez le Waveshaper et sélectionnez le type Scream. Réglez les valeurs des paramètres Input Scale et Variation selon vos besoins.  Activez le filtre. Sélectionnez le mode HiPass et réglez les paramètres Cutoff, Resonance et autres selon vos besoins. (Vous pouvez par exemple utiliser la valeur 0,30 pour Cutoff et 0,41 pour Resonance.)  Enregistrez votre son avec un nouveau nom, à l’aide de la fonction Save setting as. Prenez le temps d’explorer cette sonorité plus en profondeur. Vous pouvez la décliner en pas mal de variantes : trompette bouchée, cor anglais, voire sitars ou flûtes. Le Waveshaper exerce une influence significative sur ce son : c’est sur lui qu’il faut intervenir en priorité si vous souhaitez modifier le son de façon radicale. Utilisez le retard pour créer une sensation d’espace, ainsi que l’égaliseur Body EQ pour atténuer les graves et accentuer les médiums et les aigus.558 Chapitre 28 Sculpture Placez la boule de la nappe Material au niveau de l’entrée Nylon, sélectionnez le type Blow pour l’objet 2, puis essayez différentes positions pour les objets 1 et 2. C’est une autre façon d’obtenir des sons de cuivres différents. Flûte Ce son peut servir de base à la plupart des instruments de la famille des « bois » : flûtes, clarinettes, shakuhachi, flûte de Pan, etc.  Chargez votre « son brut ».  Le mode Keyboard devrait, au moins théoriquement, être réglé sur « mono », car les flûtes et les autres instruments de la famille des bois sont des instruments monophoniques. Une fois que vous avez configuré cette sonorité, procédez à des expériences avec ce paramètre tout en jouant, puis faites votre choix.  Définissez le type de l’objet 1 sur Blow.  Définissez le type de l’objet 2 sur Noise.  Définissez le paramètre Gate des deux objets sur Always.  Ajustez le paramètre Strength de l’objet 2 sur une valeur d’environ 0,25.  Ajustez le paramètre Velosens de l’objet 1 sur une valeur d’environ 0,33.  Placez la boule de la nappe Material dans une position située à la fin de l’entrée Inner Loss (sous le mot « Nylon »).  Jouez quelques notes sur le clavier : vous devriez entendre un son proche de la flûte, mais avec un long relâchement, ce qui n’est pas idéal. Faites glisser le curseur Amplitude Envelope Release à la valeur 0,99 ms.  Le capteur Pickup A devrait être défini sur une valeur de 1,00 (extrémité droite).  Définissez la position du capteur de l’objet 1 sur 0,27 environ.  Définissez la position du capteur de l’objet 2 sur 0,57.  Activez à présent le Waveshaper en cliquant sur le bouton Waveshaper, puis sélectionnez le type Tube-like Distortion.  Jouez quelques notes et ajustez les paramètres Input Scale et Variation du Waveshaper selon vos besoins : (par exemple, In. Scl sur 0,16 et Var sur 0,55)  Lorsque vous jouez des notes soutenues, vous remarquerez probablement l’absence des variations sonores intéressantes, typiques des sons de flûtes réels (dus aux changements survenant dans le souffle de l’instrumentiste, la position de ses lèvres, etc.).  Vous pouvez adopter plusieurs approches pour ajouter de l’intérêt au son soutenu. Citons par exemple l’utilisation du modulateur Vibrato (assigné à l’Aftertouch), ou bien l’enregistrement ou le dessin d’une enveloppe et le contrôle des paramètres Waveshape Inner Scale ou String Media Loss par l’intermédiaire de la vélocité. Vous pouvez même utiliser le paramètre Loop Alternate du mode Sustain. N’hésitez pas à procéder à des expérimentations !  Enregistrez votre son avec un nouveau nom, à l’aide de la fonction Save setting as.Chapitre 28 Sculpture 559 Guitare Cette sonorité de base permet de créer des sons de guitare, de luth, de mandoline et d’autres instruments à cordes pincées (notamment les harpes).  Chargez votre « son brut ».  Définissez le paramètre Voices sur 6 (une guitare ne comporte que 6 cordes). Pour un banjo, choisissez 7 ; pour une harpe, le plus grand nombre possible.  Définissez le type de l’objet 1 sur Impulse, si tel n’est pas déjà le cas.  Activez l’objet 2 et définissez son type sur Pick.  Déplacez à présent le capteur Pickup A à l’extrémité droite.  Déplacez le capteur de l’objet 2 jusqu’à la valeur 0,14.  Activez l’égaliseur Body EQ et sélectionnez l’un des modèles Guitar.  Réglez les divers paramètres de Body EQ. Ils ont une incidence déterminante sur la brillance et la tonalité générales de votre son de guitare. (Vous pouvez par exemple définir Guitar sur 2, Int sur 0,46, Shift sur 0,38 et Stretch sur 0,20).  La valeur du paramètre Finestructure devrait être comprise entre 0,30 et 0,35, mais là encore utilisez vos oreilles pour en juger. N’oubliez pas que plus la valeur du paramètre Finestructure est élevée, plus les ressources de votre ordinateur sont mises à contribution.  Pour augmenter la largeur subjective du son, cliquez sur le bouton Spread Pickup, maintenez enfoncé, puis faites glisser votre souris vers le haut. Une valeur comprise entre 10 heures et 2 heures donne généralement de bons résultats.  Activez le filtre et sélectionnez le mode Lo Pass.  Réglez les paramètres Cutoff et Resonance selon vos besoins (suggestion : 0,81 pour les deux).  Faites glisser le curseur Tension Mod vers le haut, puis jouez sur le clavier pour juger de l’effet de désaccord momentané créé par ce paramètre. Définissez sa valeur de façon appropriée.  Définissez Level Limiter sur Both.  Enregistrez votre son avec un nouveau nom, à l’aide de la fonction Save setting as. Vous avez peut-être constaté un « détour » par rapport au chemin de signal du moteur de synthèse lors de la création de ce réglage. Ceci est dû à l’impact majeur que le modèle choisi pour l’égaliseur Body EQ peut engendrer au niveau du son. Dans certains cas, comme celui-ci, il peut être préférable de travailler dans un ordre légèrement différent, plutôt que de suivre strictement le chemin du signal. Il ne s’agit que d’un son de guitare. Vous pouvez jouer sur les valeurs des paramètres Object Strength, Variation et Timbre, ainsi que déplacer la boule de la nappe Material afin de créer une tonalité complètement différente pour votre guitare.560 Chapitre 28 Sculpture Pour obtenir des sons de mandoline rapidement et facilement, pensez à utiliser l’effet Delay (ou Vibrato) afin d’imiter le double pincement d’attaque typique de cet instrument. Orgue Les sons d’orgues comptent parmi les plus faciles et les plus rapides à imiter dans Sculpture, puisqu’ils sont dépourvus de phase de relâchement. La programmation s’en trouve simplifiée d’autant, puisqu’il n’est pas nécessaire de configurer les paramètres Keyscaling pour créer la tonalité de base. Vous pouvez, toutefois, souhaiter le faire à un stade ultérieur, pour des routages de modulation ou des manipulations sonores spécifiques. ? Astuce : jouez des notes et des accords tout en réglant les paramètres. C’est la meilleure façon de se rendre compte de l’effet obtenu par chacun sur le son.  Chargez votre « son brut ». (Le type de l’objet 1 doit être défini sur Impulse. Si tel n’est pas le cas, faites-le.)  Augmentez la valeur du paramètre Voices jusqu’à atteindre 8 (ou davantage si vous le souhaitez).  Placez la boule de la nappe Material dans le coin supérieur gauche.  Activez l’objet 2 en cliquant sur le bouton 2.  Définissez le type de l’objet 2 sur Bow.  Définissez le paramètre Gate Time de l’objet 2 sur Always.  Baissez complètement le curseur Release de l’enveloppe d’amplitude.  Jouez un accord de Do et vous entendrez un son évoquant celui d’une flûte.  Faites glisser le capteur Pickup A complètement à droite.  Jouez un accord de Do et vous entendrez un son plutôt ringard évoquant celui d’un orgue. Comme vous pouvez le constater, la position du capteur A a une incidence significative sur la personnalité du son.  Faites glisser le capteur de l’objet 2 et déplacez-le tout en tenant l’accord de Do. Une fois que vous avez trouvé une position donnant un son correspondant à votre conception d’un son d’orgue, relâchez le capteur de l’objet.  À présent, augmentez très légèrement la valeur du paramètre Timbre de l’objet 2.  Augmentez ou réduisez légèrement la valeur du paramètre Variation de l’objet 2, jusqu’à obtenir une tonalité qui vous plaît.  À ce stade, vous souhaitez peut-être déplacer le capteur de l’objet 2 vers une position différente. Tenez un accord lors du déplacement.  Vous pouvez « triturer » encore le son en apportant quelques modifications aux valeurs des paramètres Variation et Timbre de l’objet 2.  Pour introduire un léger « clic de touche », faites passer le type de l’objet 1 sur Strike, puis ajustez ses valeurs Strength et Timbre.  Pour ajouter une vibration de style « orgue désaccordé », définissez le paramètre Warmth sur une valeur comprise entre 0,150 et 0,200.Chapitre 28 Sculpture 561 À ce stade, vous devez déjà avoir un son d’orgue « de base ». Enregistrez votre son avec un nouveau nom, à l’aide de la fonction Save setting as. Vous pourrez vous en servir pour créer un autre son d’orgue. Vous allez probablement remarquer qu’un phénomène d’intermodulation est audible lorsque vous jouez des accords. Outre les différences de hauteur des notes composant l’accord, c’est là le résultat des interactions entre chacune des voix générées par Sculpture. Ces légères variations entre chaque voix (ou corde, si vous préférez) et leurs interactions harmoniques ressemblent aux interactions harmoniques d’une section de violons dans un orchestre, même s’ils jouent tous la même chose. Percussion Tous les sons percussifs (de batterie, par exemple) ont tendance à avoir une forme d’enveloppe assez similaire. Ils contiennent un élément de « frappe » où apparaît la plus grande partie du caractère du son, suivi par une courte phase de chute. La phase de relâchement peut être de durée variable, selon l’instrument lui-même (caisse claire ou bloc de bois, par exemple) et les caractéristiques acoustiques du local où il se trouve (caverne, salle de bains, etc.).  Chargez votre « son brut ».  Définissez le type de l’objet 1 sur Strike.  Activez l’objet 2 et définissez son type sur Disturb 2.  Définissez le paramètre Gate de l’objet 2 sur Always.  Le paramètre Strength de l’objet 1 doit être défini sur 0,84.  Le paramètre Strength de l’objet 2 doit être défini sur 0,34.  Augmentez ou réduisez la valeur du paramètre Media Loss tout en jouant afin de bien percevoir son impact. Trouvez une valeur qui vous convient.  De même, vous pouvez modifier la position de la boule de la nappe Material, même si son incidence sur la tonalité globale dépend beaucoup de la valeur du paramètre Media Loss.  Activez l’égaliseur Body EQ ou le filtre, puis réglez le son en fonction de vos préférences.  Enregistrez votre son avec un nouveau nom, à l’aide de la fonction Save setting as. Vous pouvez utiliser ce son comme point de départ pour une vaste gamme de sons percussifs : batteries, blocs, percussions « industrielles » et même sons de synthé pour séquences rythmiques. Ajustez simplement la position de la boule sur la nappe Material et modifiez celle du curseur Media Loss. Violoncelle joué à l’archet et cordes solo Les instruments à cordes solistes, tels que les violons ou les violoncelles, joués à l’archet, se créent dans Sculpture d’une façon assez similaire. Rien ne vous empêche de jouer ce son de façon polyphonique.562 Chapitre 28 Sculpture  Chargez votre « son brut ».  Définissez le paramètre Transpose sur –1 Oct.  Définissez le type de l’objet 1 sur Bow.  Jouez sur la moitié grave de votre clavier MIDI et vous entendrez un son évoquant un alto ou un violoncelle. Ce son laisse une grande latitude d’amélioration.  Tout en jouant sur le clavier, définissez le curseur Velosens de l’objet 1 en fonction de votre style de jeu et de celui de la musique. Vous pouvez aussi le régler plus tard, si vous le préférez.  Bougez légèrement le curseur Tension Mod vers le haut, de façon à ce que la pointe de la flèche recouvre la lettre « d ». Vous imitez ainsi l’effet de désaccord provisoire dû à l’étirement, par frottement, de la corde par l’archet.  Modifiez la position du capteur Pickup A jusqu’à atteindre environ 0,90.  Modifiez la position du capteur de l’objet 1 jusqu’à atteindre environ 0,48.  Activez l’égaliseur Body EQ, puis sélectionnez le modèle Violin 1.  Définissez les paramètres Body EQ de la façon suivante : 0,73 pour Int, +1,00 pour Shift et +1,00 pour Stretch.  Ajustez le paramètre Fine Structure selon vos besoins.  Cliquez sur le potentiomètre Spread Pickup sans relâcher le bouton de la souris, puis faites glisser vers le haut jusqu’à atteindre une position comprise entre 10 h 30 et 1 h 30.  Définissez Level Limiter sur Both.  Enregistrez votre son avec un nouveau nom, à l’aide de la fonction Save setting as. Configurez vos propres modulations pour ce son. L’option la plus évidente consiste à introduire un vibrato sur le son après une courte durée. Pour créer des instruments à corde solo plus aigus, la procédure est la même que celle de l’exemple précédent, mais il faut porter une attention particulière à tous les paramètres Keyscaling. L’égaliseur Body EQ agit de façon très efficace sur les octaves élevées, il faut donc être prudent avec ses paramètres. ? Astuce : il suffit de définir le type de l’objet 1 sur Pick pour obtenir un son de synthé basse bien rond et élastique (si vous jouez dans les graves) et une « harpe » passable (si vous jouez sur le reste du clavier). Synthétiseurs L’un des points forts de Sculpture réside dans la création de nappes en évolution constante et de sons « atmosphériques ». Sculpture peut également générer des sons de basses synthé bien épais (comme vous l’avez sans doute déjà constaté si vous avez parcouru la section « Basses » à la page 555), des sons Lead très puissants et bien d’autres types de sons de synthétiseurs caractéristiques.Chapitre 28 Sculpture 563 Sculpture possède un avantage sur les synthétiseurs traditionnels : son moteur de synthèse produit, à la base, une variété plus étendue de tonalités de départ, lesquelles possèdent une qualité « organique » et une richesse qui leur sont propres. Nappe de base  Chargez votre « son brut ».  Définissez le paramètre Voices sur 16.  Définissez le type de l’objet 1 sur Bow.  Définissez le type de l’objet 2 sur Bow Wide.  Placez la boule de la nappe Material à l’extrême gauche de la nappe, exactement à mi-chemin entre le haut et le bas, sur la ligne « Material ».  Jouez un accord de Do (Do central) et vous entendrez un son de nappe.  Si vous déplacez le capteur Pickup A sur 0,75, le son de nappe devient un peu plus agréable.  Déplacez l’objet 1 jusqu’à la valeur 0,84.  Déplacez l’objet 2 jusqu’à la valeur 0,34.  Enfin, cliquez sur l’icône Points portant cinq points dans la section Morph Pad.  Dans la section Morph Pad Randomize, définissez par exemple le curseur Int sur 25 %.  Cliquez une fois sur le bouton Rnd Morph.  Enregistrez le réglage sous un nouveau nom à l’aide de la fonction Save settings as, par exemple « nappe_brute ». Vous utiliserez ce son de nappe de base pour les exemples suivants. N’ayez pas peur d’intervenir sur votre « son brut » : tout est possible, alors n’hésitez pas à utiliser le filtre, le retard, l’égaliseur et le Waveshaper pour créer des sons. Evolver  Chargez votre sonorité « nappe_brute ».  Cliquez sur l’onglet LFO 1 situé dans la partie inférieure de l’interface.  Cliquez sur le bouton 1 et jouez sur le clavier. Pour l’instant, pas de grande différence.  À présent, cliquez sur les curseurs Min/Max et faites glisser à gauche et à droite, tout en tenant un accord. Enfin, choisissez une valeur de 0,15.  Cliquez sur Target (Pitch), maintenez le bouton de la souris enfoncé, puis sélectionnez Object 1 Strength. Vous entendez alors un son un peu « flottant ».  Cliquez à présent sur le bouton « sync » et réglez le potentiomètre Rate sur 1/8t.  Activez ensuite le second objet du LFO 1, en cliquant sur le bouton 1, puis définissez Target sur Object 1 Position.  Si vous jouez au clavier, là encore vous ne percevrez pas une grande différence.  Définissez l’option via du second objet du LFO 1 sur Velocity.564 Chapitre 28 Sculpture  Jouez sur le clavier avec différentes vélocités ; vous entendrez les décalages de position du capteur de l’objet 1. Plus intéressant encore :  Définissez Waveform sur Sample&Hold, puis jouez au clavier à des vélocités différentes. Si vous avez une pédale Sustain, utilisez-la. Écoutez ce son qui évolue sans cesse.  N’hésitez pas à essayer différentes valeurs de tempo du projet et de LFO Rate, si vous le souhaitez.  Vous pouvez également modifier la valeur Spread Pickup et introduire le LFO 2 ou d’autres modulateurs. Morpher  Chargez votre sonorité « nappe_brute ».  Cliquez sur le bouton R(ecord) dans la section Morph Trigger.  Jouez un accord sur le clavier et déplacez la boule de la nappe Morph de façon circulaire.  Une fois que vous avez terminé, cliquez sur le bouton R(ecord).  Faites passer le mode Morph sur Env only : vous devriez voir apparaître votre cercle Morph.  Jouez sur le clavier. Voilà votre nappe avec effet Morph.  N’hésitez pas à modifier les paramètres Morph Envelope selon vos besoins. Souvenez-vous qu’il vous a été demandé d’utiliser les paramètres Morph Points, Intensity et Rnd lors de la configuration de votre « nappe_brute ». Le but était de s’assurer qu’il existait quelques points de morphing déjà disponibles. Vous pouvez, si vous le souhaitez, conserver le chemin parcouru dans la nappe Morph, ainsi que continuer à cliquer sur le bouton RND et à régler le curseur Intensity pour obtenir une variété infinie de sons. Modulations Les options de modulation peuvent présenter une importance capitale dans le cadre de l’imitation d’instruments acoustiques. Pour prendre un exemple simple, citons l’introduction progressive d’un vibrato dans un son de trompette. De nombreux sons de synthétiseurs classiques s’appuient au moins autant sur les modulations que sur les composantes de base des sons (VCO, VCF et VCA). Quelques astuces de modulation :  Imaginons par exemple que vous souhaitez moduler le timbre de l’objet 2 à l’aide de l’oscillateur sub-audio. Pour cela, cliquez sur l’onglet LFO 1 ou 2, cliquez sur le bouton 1 ou 2, sélectionnez la source et la cible (Source/Target), ainsi que les valeurs souhaitées. C’est tout.Chapitre 28 Sculpture 565  Pour contrôler une modulation par l’intermédiaire d’un contrôleur externe, comme par exemple la roulette de modulation de votre clavier, réglez le paramètre « Via » souhaité sur CtrlA ou CtrlB, respectivement. Par défaut, la roulette de modulation est réglée sur CtrlA.  L’atténuation de type « Bouncing » n’est disponible que pour l’objet 3. Il affecte le son d’une manière très intéressante, mais ne peut pas se synchroniser au tempo du projet. Si vous souhaitez créer un effet ressemblant à celui obtenu avec l’objet « Bouncing », mais synchronisable, vous pouvez utiliser un type d’objet « Disturb » et l’animer en modulant sa position verticale (timbre) à l’aide d’un oscillateur sub-audio. Le contrôle Breath est disponible pour tous les utilisateurs de Sculpture, même si vous ne disposez pas du contrôleur physique de souffle correspondant. Pour ce faire, enregistrez les modulations du contrôleur de souffle dans les enveloppes enregistrables (en utilisant une roulette de modulation ou tout autre contrôleur), puis réassignez le chemin de modulation enregistré (utilisez les paramètres CtrlEnv 1 ou 2) à chaque NoteOn. Programmation : étude détaillée Ce didacticiel explique comment programmer des sons dans Sculpture en partant de zéro. En étudiant le modèle de corde de Sculpture, vous apprendrez à utiliser chacun des paramètres de mise en forme sonore pour recréer dans le détail les propriétés physiques d’un instrument. Remarque : vous trouverez les réglages de ce didacticiel dans le sous-dossier Factory > Tutorial Settings du menu Settings (dans l’en-tête de la fenêtre du module Sculpture). Programmation de sons de basse électrique avec Sculpture Cette section se concentre sur un seul type d’instrument : la basse électrique, avec ses variations et articulations importantes. La nature physique d’une basse électrique n’est pas aussi complexe et soumise à des considérations acoustiques que la plupart des instruments acoustiques. Cet instrument constitue donc un excellent choix pour le didacticiel consacré à la programmation de sons, le but étant de vous faire acquérir suffisamment de compétences pour utiliser Sculpture et reproduire avec précision tous les détails d’un son. Pour élaborer une basse (et toutes ses composantes) dans Sculpture, il est nécessaire de comprendre les phénomènes physiques de base à l’origine de l’émission d’un son dans l’instrument. Avant d’envisager en pratique le processus de programmation dans Sculpture, vous trouverez des informations détaillées sur la construction d’une basse électrique dans la section suivante.566 Chapitre 28 Sculpture Aspects importants des basses électriques En général, une basse électrique possède quatre cordes. La corde la plus grave est généralement accordée sur un Mi 0 (numéro de note MIDI : 28). Les cordes situées au-dessus du Mi grave sont accordées à la quarte supérieure, soit La, Ré et Sol. Bien sûr, on trouve couramment des basses possédant cinq ou six cordes, parfois plus encore. Comme Sculpture ne connaît pas de limites tonales, mais cet aspect a peu d’importance. Le contenu harmonique du son de basse revêt un aspect fondamental pour la programmation. Il dépend en priorité des propriétés des cordes.  Cordes à filet rond : un fil métallique très fin est enroulé autour d’une âme de câble en acier, ce qui donne un son métallique, très riche en harmoniques.  Cordes à filet plat : tombées en désuétude de nos jours, le bobinage en fil très fin est raboté ou poli. Le son est alors beaucoup moins riche en harmoniques que le son de cordes rondes. (Ces dernières ont moins de succès de nos jours.) Contrairement à ce qui se passe pour les cordes de guitare, la structure et la fabrication des cordes sont identiques dans un même jeu. Il n’existe pas de jeux de cordes réunissant des cordes à filet rond et des cordes à filet à plat. Le rapport entre la longueur de la corde et sa tension a une incidence significative sur le contenu harmonique. En laissant de côté les basses qui peuvent se régler sur différentes tonalités (en modifiant la longueur des cordes vibrantes), la position où vous jouez sur la corde a un rôle important. Si vous jouez un Ré sur la dixième frette de la corde de Mi grave, le son sera plus sourd que si vous jouez la même note sur la corde de Ré à vide. Le nombre de frettes diffère d’une basse à l’autre et dépend de l’étendue des notes jouables sur l’instrument. Pas la peine de se soucier des notes au-delà du Do écrit au-dessus de la portée ; le registre utile de cet instrument est en fait limité aux deux octaves inférieures, soit du Mi 0 au Mi 2. Il faut également mentionner la basse électrique sans frette. Comme tous les instruments dépourvus de frettes, elle laisse à l’instrumentiste le libre choix de la hauteur des notes jouées et possède un son particulier, parfaitement identifiable. Dans le cadre de ce didacticiel, vous apprendrez à programmer ce type de son instrumental dans Sculpture. Trois types d’articulations seront évoqués :  Au doigt : l’instrumentiste utilise tour à tour l’index et le majeur pour mettre les cordes en mouvement.  Au médiator : les cordes sont pincées avec un médiator (plectre).  Frappement : les cordes sont frappées avec le côté du pouce ou tirées très fort avec les doigts, puis relâchées brutalement.Chapitre 28 Sculpture 567 La vibration des cordes est recueillie par un capteur électromagnétique. Lorsque la corde vibre, les oscillations de son âme d’acier modifient le champ magnétique. Les capteurs sont presque toujours situés à une certaine distance sur le côté, près du chevalet et du dispositif de fixation des cordes. Il existe plusieurs variantes de capteurs pour les basses électriques et on en réunit souvent plusieurs sur un même instrument pour créer le son. Pour éviter de trop entrer dans les détails à ce stade, sachez qu’il existe une règle générale qui s’applique : Plus vous décalez le capteur vers le milieu de la corde, plus le son sera grave et moins il aura de plénitude. Plus vous décalez le capteur vers la fin de la corde, plus le contenu harmonique augmentera, devenant ainsi plus dense et compact. Le registre médium est mis en avant et les graves en retrait. S’il est placé à l’extrémité de la corde, le son devient très fin. Ce comportement rappelle la position de jeu effective d’une véritable corde : si vous jouez vers le milieu de la corde, vous obtenez un son puissant, égal et doux, contenant peu d’harmoniques. Si vous jouez au niveau du chevalet, le son devient plus nasal, plus métallique et comporte davantage d’harmoniques. Passons à présent au corps de l’instrument et à ses propriétés de résonance. Presque toutes les basses électriques possèdent un manche en bois rigidifié par un axe métallique (pour le renforcer) et un corps en bois plein. Du fait de cette construction, la corde vibre avec une grande liberté (Sustain), sans produire de son acoustique direct. C’est l’ensemble capteurs/amplificateur/haut-parleur qui crée le son de l’instrument. L’interaction acoustique entre le corps, les cordes et les sources sonores externes sont bien moins complexes qu’avec des instruments acoustiques « purs ». La vibration des cordes est, bien sûr, régie naturellement par un certain nombre de facteurs physiques : l’amplitude de mouvement de la corde, limitée par le pontet ou par la première frette avec laquelle elle entre en contact (ainsi que les frettes intermédiaires). Il peut naître ainsi des harmoniques, qui peuvent prendre des formes très diverses : d’un léger souffle ou bourdonnement à un son plus perçant ou déchirant. Autres facteurs : les propriétés physiques du matériau de la corde et de l’instrument, ainsi que l’état (dureté) de vos doigts, amortissent la vibration de la corde. Programmation d’une basse de base Cette section traite de la programmation d’un son de basse « de base ». Il vous servira de point de départ pour les autres sons de basse que vous créerez par la suite. Suivez les instructions suivantes afin de créer l’environnement de travail adéquat pour concevoir votre son de basse personnalisé : 1 Vérifiez que vous pouvez jouer les notes comprises entre Do0 et Do3 sur votre clavier. Pour cela, utilisez soit la fonction de transposition sur votre clavier de commande, soit celle de Logic Pro (elle est disponible dans la case des paramètres de région).568 Chapitre 28 Sculpture Remarque : vous pouvez, bien sûr, transposer des sons à l’intérieur de Sculpture, mais dans ce cas, ce n’est pas la meilleure solution. En effet, elle ne serait pas compatible avec des régions MIDI où la norme est de considérer le Do central (numéro de note 60) comme référence. 2 Choisissez le réglage par défaut dans Sculpture. Pour recréer les caractéristiques sonores d’une basse typique : 1 Réglez la valeur Attack de l’enveloppe d’amplitude à sa valeur minimale (0,00 ms). Le curseur Attack se trouve juste à droite de la nappe Material. 2 Raccourcissez la durée de relâchement de l’enveloppe d’amplitude à une valeur comprise entre 4 et 5 ms. Jouez une touche sur votre clavier. Elle doit s’arrêter de façon abrupte lorsque vous relâchez la touche et être dépourvue de tout artefact (tel que craquement numérique ou autre parasite). Si, au cours de ce didacticiel, vous êtes confronté à un quelconque problème de parasite audio, essayez de rallonger, avec prudence, la durée du relâchement. 3 Jouez quelques notes tenues dans la région située au-dessus du Mi0. Elles s’éteignent (trop) rapidement. Résolvez ce problème avec le paramètre Media Loss, en faisant glisser le curseur situé à la gauche de la nappe Material presque en bas de sa course. Petite précision : sur une basse de haute qualité, la corde de Mi grave peut continuer de vibrer pendant plus d’une minute. La « basse de base » doit simuler un jeu aux doigts, ce qui signifie qu’il faut créer le son en frappant les cordes. 4 Choisissez l’entrée Pick dans le menu Type de l’objet 1. Ne vous laissez pas abuser par le nom du type d’objet : même si à la base il évoque un médiator, ce modèle convient tout à fait pour simuler le jeu des cordes avec les doigts. Jouez quelques notes dans le bas du clavier. Vous remarquerez que le son est très étouffé, faux et déformé. Avant de régler d’autres paramètres de l’objet 1, vous devez affiner la position du capteur. Ces modifications s’effectuent dans la fenêtre Pickup de Sculpture, située à gauche de la nappe Material. Vous y trouverez trois curseurs de forme trapézoïdale, représentant les objets 1 à 3. Les courbes transparentes en forme de cloche vous aident à visualiser la position et la largeur des capteurs Pickup A et Pickup B. Sur les basses électriques, les capteurs sont le plus souvent déportés sur le côté, près du chevalet. Ce modèle de basse ne dispose que d’un seul capteur. Pour simuler le comportement d’un seul capteur, il suffit de placer les deux capteurs exactement à la même position.Chapitre 28 Sculpture 569 5 En surveillant le message d’aide, faites glisser le capteur Pickup B exactement au même endroit que le capteur Pickup A. Les deux lignes fines de couleur orange doivent se superposer parfaitement. Dans cet exemple, il convient de définir les deux capteurs sur 0,10. Remarque : vérifiez bien que le sélecteur Invert, situé en bas à gauche de la fenêtre Pickup, n’est pas activé : si l’est, les signaux issus des deux capteurs s’annuleront mutuellement. À présent, il est temps de déterminer la position du jeu : 6 Dans la fenêtre Pickup, faites glisser horizontalement le curseur de l’objet 1. Jouez quelques notes au clavier pour bien entendre les modifications ainsi apportées. 7 Vous vous apercevrez rapidement que vous ne pouvez obtenir de son précis et vivant qu’en vous situant relativement loin du milieu de la corde. Déplacez l’objet 1 plus près du capteur (position 0,15, voir la capture d’écran ci-dessous). 8 Les notes graves restent déformées. Pour y remédier, réglez le potentiomètre Level, qui se trouve à droite de la section Amplitude Envelope, sur une valeur de –10 dB. Vous pouvez déjà reconnaître le son d’une basse électrique, mais il lui manque encore une dimension de corde. Regardons à présent les cordes mêmes de la basse. Pour recréer les propriétés matérielles d’un jeu de cordes à bobinage rond : 1 Déplacez la boule de la nappe Material vers le haut et vers le bas dans le coin gauche. Écoutez bien également les variations au niveau des harmoniques. Placez la boule dans le coin inférieur gauche. Le son obtenu rappelle vaguement celui d’une corde grave de piano. Comme le Sustain des harmoniques est trop long, il donne une impression très artificielle.570 Chapitre 28 Sculpture 2 Déplacez la boule vers le haut, jusqu’à obtenir un son acceptable. Essayez la position illustrée par l’exemple : Remarque : en général, il est typique de rencontrer une déviation des harmoniques dans les cordes à filet rond. Elle se reconnaît à un son légèrement « impur » et métallique. Cela est dû au fait que les partiels (groupes d’harmoniques accentués) ne coïncident pas avec des multiples entiers de la fréquence fondamentale, mais sont légèrement décalés vers le haut. Un exemple connu dans le domaine des instruments électroacoustiques est le registre grave du piano électrique Yamaha CP-70. C’est un peu exagéré, mais votre modèle de basse bénéficiera d’une petite partie de cet effet. Comment « écarter » les harmoniques dans Sculpture : 1 Déplacez progressivement la boule de la nappe Material vers la droite. Le son prend alors un caractère plus « pur », plus proche d’une cloche. 2 Pour simuler d’une façon réaliste cet « écart » progressif des harmoniques, essayez l’exemple de réglage suivant : La vibration de la corde d’une basse électrique n’a pas lieu dans le vide. Les particularités naturelles du milieu ambiant influencent fréquemment la façon de vibrer de la corde. Au point de contact entre la corde et les frettes, des phénomènes de bourdonnement voire de claquement se produisent.Chapitre 28 Sculpture 571 Pour simuler ces éléments perturbateurs avec l’objet 2 : 1 Activez l’objet 2, puis choisissez l’élément de menu Bouncing. Le son devrait normalement évoquer un trémolo de mandoline. Cet effet est bien trop prononcé pour ce type de son. 2 Déplacez l’objet 2 complètement vers la droite (jusqu’à la valeur 1,00). 3 Essayez diverses valeurs pour les paramètres de l’objet 2. Vous obtenez un résultat discret et réaliste en utilisant les valeurs de paramètres suivantes : Strength : 0,33, Timbre : –1,00 et Variation : –0,69. Jouez quelques notes graves et vous vous apercevrez qu’une fois de plus, le Sustain des harmoniques est un peu trop long (comme sur les cordes graves d’un piano). Utilisez l’objet 3 pour amortir ces harmoniques : 1 Activez l’objet 3, puis choisissez l’option de menu Damp pour le type. 2 Déplacez également l’objet 3 complètement vers la droite (jusqu’à la valeur 1,00). 3 Définissez le paramètre Strength sur 0,18. Remarque : essayez d’autres valeurs pour comprendre de quelle façon le paramètre Strength de l’objet 3 interagit avec le paramètre Inner Loss de la nappe Material. Plus la valeur d’Inner Loss est élevée, plus la valeur de Strength est petite, et vice versa. Pour recréer les différentes régions tonales de la basse de façon plus réaliste, utilisez la fonction de suivi de Sculpture. Commencez par activer l’écran de la fonction de suivi : m Cliquez sur le bouton Keyscale situé dans la partie inférieure de la nappe Material. La région clavier située en dessous du Do 3 apparaît en vert, celle au-dessus en bleu clair. Nappe Material avec les paramètres de suivi clavier correspondants activés :572 Chapitre 28 Sculpture Remarque : le registre le plus approprié pour jouer une basse correspond aux notes situées en dessous du Do3. Pour cette raison, utilisez les curseurs verts pour définir le timbre du son. Les curseurs primaires, situés autour de l’anneau, déterminent le timbre du son au-dessus du Do3. Pour le moment, ignorez les curseurs bleus (qui contrôlent le suivi clavier avancé) et réglez-les simplement sur les mêmes positions que les curseurs principaux. Une fois qu’elle est activée, la fonction de suivi clavier sert à régler le timbre du son, indépendamment de la hauteur. Pour cela, vous devez d’abord utiliser le paramètre Resolution. Il sert normalement à trouver un compromis entre consommation de ressources processeur et qualité sonore. Comme des valeurs Resolution basses réduisent le spectre des harmoniques, ce paramètre permet de mettre en forme le son. Pour utiliser le paramètre Resolution afin de contrôler le timbre, indépendamment de la hauteur : 1 Jouez quelques notes dans le registre aigu de la basse (au voisinage du Do2), puis déplacez le curseur Resolution complètement à droite, puis revenez progressivement vers la gauche. 2 Vous entendrez alors de quelle façon le son perd progressivement ses harmoniques, tout en devenant plus fort. Pour des valeurs Resolution basses, une sonorité métallique non harmonique vient se greffer sur le son. 3 Augmentez la valeur Resolution jusqu’à ce que ce son métallique disparaisse. Réglez le curseur à la position suivante : 4 Jouez quelques notes dans le grave de l’instrument (autour de Mi0). Vous noterez que le son est assez étouffé, plutôt « vintage ». Déplacez le curseur vert Low Keyscale (situé en dessous du curseur principal Resolution) complètement à droite ; le registre grave devrait à présent présenter un son un peu plus consistant. Sur la plupart des instruments à cordes, le niveau des harmoniques décroît à mesure que la note devient plus aiguë. Au sens strict du terme, cette particularité n’est vraie que pour les cordes à vide, et même dans ce cas, d’une façon modérée. Si les cordes sont jouées avec les doigts, la longueur de corde est raccourcie (en particulier dans la partie haute du registre) et l’effet devient plus significatif.Chapitre 28 Sculpture 573 Utilisez le paramètre Inner Loss pour étalonner le contenu des harmoniques, en fonction de la hauteur : 1 Placez la boule de la nappe Material au-dessus des mots Inner Loss. Essayez de déplacer la boule uniquement à la verticale, afin de conserver une valeur constante pour le paramètre Stiffness. 2 Cliquez sur la ligne verte située près de la boule, puis faites-la glisser vers le bas jusqu’à ce que le petit losange vert se trouve juste au-dessus du mot Steel. Lorsque vous jouerez, vous reconnaîtrez la transition progressive qui intervient entre le son consistant, riche en harmoniques du registre grave et le son très amorti du registre aigu. Ce réglage exagéré a pour but de montrer clairement le principe de suivi clavier appliqué aux instruments à cordes. Pour obtenir un son et un timbre plus authentiques, essayez le réglage suivant : Dans le cas des basses en particulier, les notes graves possèdent naturellement une durée de Sustain bien plus longue que les notes aiguës. Sculpture vous permet de simuler ce comportement de façon réaliste grâce au paramètre Media Loss. Pour utiliser le paramètre Media Loss afin d’étalonner la diminution progressive de la phase de retombée de la note lorsque la hauteur augmente, procédez ainsi : 1 Tenez quelques notes dans la région située au voisinage de Do2 et au-dessus. Vous vous apercevrez que ces notes s’éteignent trop lentement. Déplacez le curseur Media Loss vers le haut, jusqu’à ce que la retombée soit assez rapide. L’ennui est qu’à présent les notes graves s’éteignent trop vite. 2 Déplacez le curseur vert Media Loss Key Scale vers le bas, jusqu’à ce que la phase d’extinction du registre grave retrouve une durée convenable.574 Chapitre 28 Sculpture 3 Comparez vos résultats avec ces valeurs recommandées : Vous avez terminé cette section, puis créé une basse « de base » articulée avec vos doigts. Enregistrez-le, par exemple, sous le nom « Basse_élect_basique_doigts ». Dans les sections suivantes, vous utiliserez cette basse « de base » comme point de départ pour l’élaboration d’autres sons de basse. Modification du spectre de fréquences de la basse « de base » Dans le domaine des instruments à capteurs électromagnétiques, il est beaucoup plus facile de se livrer à des recherches sonores en modifiant le spectre sonore original qu’en utilisant des instruments acoustiques. Outre le nombre de capteurs, le choix de l’amplificateur, le réglage d’égalisation au niveau de l’amplificateur et, surtout, les propriétés physiques des haut-parleurs et de l’enceinte acoustique jouent un rôle majeur. Les caractéristiques centrales de votre son de basse électrique sont en place, mais vous pouvez encore l’améliorer de façon significative en prêtant attention à quelques détails. Voici quelques suggestions d’ordre général :  Variez la position des capteurs. Placez-les à des emplacements différents. Cela permet d’annuler certaines fréquences, tandis que d’autres seront additionnées.  Essayez d’activer le sélecteur Invert, même si cet effet n’est pas typiquement utilisé sur des basses électriques.  Un aspect typique des sons de basse réside dans le placement des capteurs dans le tiers gauche extérieur de la corde modélisée. Plus vous les déportez vers la gauche, plus le son deviendra maigre et nasal.  Le décalage de l’objet 1 a un effet similaire. N’hésitez pas non plus à essayer diverses combinaisons. L’égaliseur Body EQ est idéal pour conférer au son de basse sa touche finale. Votre son de basse électrique pourrait être un peu plus doux et un peu plus précis en phase d’attaque. Les bassistes aiment utiliser les termes « plus sec » et « plus mordant ».Chapitre 28 Sculpture 575 Pour modifier le spectre de fréquences de votre son de basse « de base » avec l’égaliseur Body EQ : 1 Chargez le réglage « Basse_élect_basique_doigts ». 2 Sélectionnez le modèle d’égaliseur Body EQ Lo Mid Hi. 3 Réduisez le niveau dans les graves en réglant le potentiomètre Low sur –0,30. 4 Accentuez de façon significative le registre médium, en réglant le potentiomètre Mid sur +0,50. Définissez le curseur Mid frequency sur 0,26 environ. 5 À ce stade, vous trouverez sans doute que l’accentuation des fréquences correspondant au bas médium est un peu trop prononcée : revenez alors à une valeur de Mid de 0,30. 6 Le son pourrait être un peu plus nerveux : réglez le potentiomètre High sur 0,30. 7 Pour finir, réglez le potentiomètre Level (à la droite de l’enveloppe d’amplitude) sur –3 dB. Le son est désormais aussi fort que possible, sans distorsion sur les notes dans le grave. 8 Enregistrez ce réglage de son, car vous en aurez besoin plus tard pour des modifications plus poussées. Nommez-le « Basse_élect_basique_doigts_EQ1 ». Jeu de basse au médiator La basse « de base » se joue avec les doigts. Dans l’exemple suivant, vous allez simuler le jeu sur les cordes avec un médiator, à l’aide du type d’objet Pick. Le paramètre Timbre servira à ajuster la relation entre la vitesse et l’intensité avec lesquelles la corde est jouée. Le paramètre Variation sera utilisé pour définir la densité du matériau (ou la dureté) du médiator. Si vous considérez les doigts comme des médiators très souples, il est logique de modifier les paramètres Pick de façon à simuler un médiator en plastique dur. Pour simuler le jeu avec un médiator : 1 Chargez le réglage « Basse_élect_basique_doigts ». 2 Réglez le paramètre Timbre de l’objet 1 à sa valeur maximale, soit 1,00. Notez que l’attaque est désormais plus prononcée. 3 Essayez différentes valeurs de Variation, afin de bien sentir les qualités matérielles du médiator.576 Chapitre 28 Sculpture Remarque : toutes les positions ne donnent pas forcément des résultats utilisables sur l’ensemble du registre de l’instrument. 4 Pour obtenir un résultat utilisable et constant sur les deux octaves situées au-dessus de Mi0, utilisez les valeurs de paramètres suivantes : Position = 0,17 (fenêtre Pickup), Strength = 1,00 (maximum), Timbre = 0,90 et Variation = 0,56. Une fois ces valeurs entrées, vous vous apercevrez que le son est désormais plus doux et très fin. En fait, il évoque plutôt un Clavinet. Pour compenser cet effet secondaire avec Body EQ : 1 Activez l’égaliseur Body EQ et accentuez généreusement le grave du son en réglant le paramètre Low sur 0,60. Le paramètre Mid doit alors être défini sur 0,33. 2 Réglez le potentiomètre High sur -0,45, car le son est à présent si brillant qu’atténuer un peu les aigus est tout à fait approprié. 3 Il faut à présent régler le volume. Si vous réglez le potentiomètre Level sur 2,5 dB, il ne devrait y avoir aucune distorsion. Si tel n’est pas le cas, essayez d’atténuer un peu le grave à l’aide du potentiomètre Low. 4 Enregistrez ce réglage sous le nom « Médiator_ouvert_filet_rond ». Damping Lorsqu’ils jouent au médiator, les bassistes ont souvent tendance à amortir le son avec le côté du pouce. La main droite, qui tient également le médiator, doit se trouver au-dessus des cordes au niveau du chevalet. Cette technique de jeu donne un son possédant moins d’harmoniques, mais plus percutant, plus incisif. Vous pouvez contrôler le timbre du son en jouant, en modifiant l’angle de votre main et la pression qu’elle exerce sur les cordes. Dans cet exemple, l’objet 3 va servir à émuler la pulpe virtuelle du pouce. Le paramètre Timbre détermine les caractéristiques de l’amortissement. Le paramètre Variation agit sur la longueur de la partie de corde ainsi amortie. Pour obtenir cet effet, procédez de la façon suivante : 1 Définissez le type de l’objet 3 sur Damp. 2 Définissez le paramètre Strength de l’objet 3 sur 0,50. 3 Placez l’objet 3 légèrement à droite dans la fenêtre Pickup (à la position 0,95) afin de simuler la largeur et la position de la pulpe du pouce reposant sur le chevalet. 4 Réglez le paramètre Timbre à sa valeur minimale (-1,00) afin d’obtenir un effet d’amortissement très subtil. 5 Réglez le paramètre Variation à sa valeur maximale (1,00). Vous remarquerez qu’on perçoit encore, dans l’octave au-dessus de Mi0, une sorte de résonance métallique qui se produit au cours de la phase d’attaque.Chapitre 28 Sculpture 577 6 Pour la supprimer, placez le petit losange vert sur la nappe Material, à un endroit situé directement sous la boule. Ce faisant, vous augmentez la valeur du paramètre Inner Loss pour le registre grave. Remarque : pour placer le losange exactement sous la boule, vous pouvez également cliquer dessus tout en maintenant la touche Option enfoncée. 7 Enregistrez ce réglage sous le nom « Médiator_basse_demi_silencieux ». Harmoniques Les harmoniques sont des multiples de la fréquence fondamentale de la corde. Ils déterminent le spectre du son. Pour les faire ressortir, il suffit d’amortir la corde en certains points stratégiques. Pour cela, posez très légèrement les doigts de la main gauche (pour les bassistes droitiers) sur la corde, sans appuyer, avant que la note ne soit articulée. Pour obtenir le premier harmonique, l’octave, il faut placer le doigt exactement au milieu de la corde, ce qui la partage en deux moitiés. L’harmonique suivant est la quinte au-dessus de l’octave ; pour le faire ressortir, votre doigt doit diviser la longueur de la corde dans un rapport 1/3–2/3. L’harmonique suivant correspond à des proportions 1/4–3/4, etc. Pour simuler le contact léger du doigt avec les cordes : 1 L’objet 3 sert d’amortisseur. Sélectionnez le type Damp. 2 Réglez le paramètre Timbre de l’objet 3 à sa valeur maximale, soit 1,00. 3 Le paramètre Variation doit être défini à sa valeur initiale, soit 0,00. Pour cela, il suffit de cliquer sur le curseur tout en maintenant la touche Option enfoncée. 4 Placez l’objet 3 exactement au milieu (0,50) de la fenêtre Pickup. Jouez sur votre clavier et vous entendrez le premier harmonique. 5 Tout en jouant, déplacez très lentement l’objet 3 vers la gauche de la fenêtre Pickup. Ce faisant, vous faites en quelque sorte défiler la série des différents harmoniques. 6 Enregistrez ce réglage sous le nom « Exemple_flageolet ». Basse vintage jouée au médiator, avec cordes à filet plat À présent, en quelques étapes faciles, vous pouvez transformer la basse jouée au médiator en basse vintage jouée au médiator avec des cordes à filet plat. Le son ainsi obtenu est typique des musiques funk et soul des années 1970 ; vous le retrouvez aussi dans nombre d’arrangements de style « easy listening ». Procédez comme suit : 1 Commencez par charger le réglage « Médiator_basse_demi_silencieux ». 2 Faites glisser la boule de la nappe Material vers le haut : le son devient plus étouffé. 3 Définissez le paramètre Strength de l’objet 3 sur 0,70. Vous obtenez une basse jouée au médiator, amortie, avec des cordes à filet plat.578 Chapitre 28 Sculpture ? Astuce : si vous désactivez l’objet 3, vous obtenez un son rappelant une basse Fender Precision des années 1970. 4 Enregistrez ce réglage sous le nom « Filet_plat_médiator_amorti ». Pour obtenir un beau son percussif à la Bert Kaempfert (célèbre musicien allemand), procédez comme suit : 1 Réactivez l’objet 3. 2 Déplacez légèrement les capteurs vers la gauche (position 0,08). 3 Le médiator virtuel (objet 1) peut également être déplacé un peu plus loin vers l’extérieur (position 0,10). 4 Cerise sur le gâteau : l’égaliseur Body EQ. Tournez le potentiomètre Low à sa valeur maximale (1,00). 5 Pour supprimer l’accent lors de la phase d’attaque, utilisez la représentation graphique afin de choisir une valeur de 0,48 pour la fréquence Mid de l’égaliseur Body EQ, puis avec le potentiomètre, faites passer cette valeur à 0,51. Tout en maintenant la touche Option enfoncée, cliquez sur le paramètre High de l’égaliseur Body EQ de façon à le régler sur 0,00. 6 Enregistrez ce réglage sous le nom « Easy_listening_médiator_basse ». Basse frappée Ce terme regroupe en fait deux techniques d’articulation différentes. Dans le grave, cela consiste à frapper littéralement les notes avec le côté du pouce, dans la partie supérieure du corps de la basse. Dans les aigus, il faut tirer assez fortement sur la corde. Pour cela, passez le doigt en dessous, puis laissez-la revenir en place en claquant. C’est la conjonction de ces deux techniques qui donne le son de « basse frappée », agressif et riche en harmoniques. Pour simuler un son de basse frappée : 1 Chargez le réglage « Basse_élect_basique_doigts_EQ1 ». 2 Désactivez l’égaliseur Body EQ. 3 Désactivez également les objets 2 et 3, pour l’instant. Comme la matière sonore de base d’un son frappé est plus brillante que celle d’une basse standard jouée avec les doigts, vous devez intervenir sur les réglages de la nappe Material :Chapitre 28 Sculpture 579 4 Rétablissez la valeur initiale du paramètre Low Key Scale en cliquant sur le petit triangle vert tout en maintenant la touche Option enfoncée. 5 Déplacez un peu la boule et le son devient plus dur. Placez maintenant la boule au-dessus du mot « Steel », sur l’axe horizontal. Parmi tous les modèles disponibles, Strike est le plus adapté à la simulation de la frappe d’un pouce sur le dessus des cordes. Ce modèle n’est toutefois pas aussi approprié pour les cordes tirées. Pour cela, il est préférable de choisir le modèle Pick. 6 Pour plus de sûreté, définissez le potentiomètre Level sur –25 dB. 7 Sélectionnez le modèle Pick pour l’objet 1. 8 Dans la fenêtre Pickup, déplacez l’objet 1 à la position 0,90. Elle correspond à une position de jeu appropriée, sur la touche ou au-dessus. Remarque : compte tenu de son concept universel, Sculpture ne réagira pas exactement comme une basse, sur laquelle on aurait tendance à jouer au milieu de la corde, dans la partie supérieure de la touche. Essayez de placer l’objet 1 sur cette position et écoutez le résultat. Vous constaterez que le son est un peu trop « doux ». Définissez les paramètres pour l’objet 1. 1 Réglez la valeur du paramètre Timbre sur 0,38 ; vous obtenez ainsi une attaque rapide. 2 Définissez le paramètre Strength sur 0,53. 3 Réglez la valeur du paramètre Variation sur 0,69 ; vous définissez ainsi un matériau plus « doux » pour votre pouce « frappeur ». Vous connaissez probablement le son des notes graves jouées avec le pouce. Jusqu’ici, il manque le côté métallique de la percussion de la corde sur la touche. Utilisez l’objet 2 dans ce but, en sélectionnant le type Bound. Le type Bound limite le débattement de la corde, exactement comme la touche sur une vraie basse électrique. Les fonctions de ces paramètres se résument ainsi : Timbre détermine l’angle de l’obstacle à la vibration de la corde, tandis que Variation définit le type et l’intensité de la réflexion.580 Chapitre 28 Sculpture Attribuez les valeurs suivantes pour les réglages de l’objet 2 : 1 Réglez la valeur du paramètre Timbre sur 0,39. Elle correspond à une touche à peu près parallèle au plan des cordes. 2 Définissez le paramètre Strength sur 0,33. Remarque : essayez également des valeurs plus élevées. Vous constaterez que le son s’adoucit de plus en plus, jusqu’à amortissement complet par l’obstacle. 3 Pour le paramètre Variation, la valeur appropriée est 0,64. Malgré des réflexions qui enrichissent le spectre en harmoniques, la corde peut encore vibrer librement. Remarque : essayez des valeurs négatives : Vous vous apercevrez que les réflexions ne peuvent alors plus se développer sans entrave. 4 Réglez le potentiomètre Level sur -3 dB ; l’obstacle Bound radoucit le son. 5 Le son reste encore trop doux pour une « vraie » basse frappée ; essayez à nouveau d’utiliser l’égaliseur Body EQ. Activez-le, puis réglez ses paramètres sur les valeurs suivantes : Low = 0,25, Mid Frequency = 0,59, Mid = 0,43, High = 0,51. 6 Enregistrez ce son sous le nom « Basse frappée de base#1 ». Basse sans frette À l’exception des techniques de jeu partagé, la basse sans frette se reconnaît immédiatement par rapport à une basse normale, par sa sonorité plus dense, plus chantante. Alors que les frettes placées sur le manche d’une basse standard font office de « mini-sillets » et permettent à la corde de vibrer sans contrainte, le contact direct de la corde sur le manche d’une basse sans frette explique ce son caractéristique. Sur une basse sans frette, la longueur de la corde est sensiblement plus courte que sur une contrebasse. C’est ce qui explique ce son un peu bourdonnant, même avec une attaque peu marquée sur la corde. Ce « bourdonnement » peut être fidèlement reproduit dans les aigus, y compris sur des basses sans frette dont les cordes sont très courtes. L’utilisation du bout de votre doigt, relativement souple, et non d’une frette métallique dure pour diviser ou réduire la corde joue également un rôle. Pour programmer le son d’une basse sans frette : 1 Chargez le réglage « Basse_élect_basique_doigts_EQ1 ». 2 Désactivez l’objet 3. Vous y reviendrez ultérieurement. 3 Dans le menu Type de l’objet 2, choisissez l’option Disturb.Chapitre 28 Sculpture 581 ? Astuce : le modèle Disturb fonctionne de la façon suivante : le paramètre Timbre détermine l’intensité de la déviation de la corde par rapport à sa position de repos, déviation provoquée par l’obstacle. Les valeurs positives ne provoquent aucune déviation de la vibration par rapport à la position de repos. Le paramètre Variation définit la longueur de la section de corde sollicitée : les valeurs positives correspondent à une section de corde plus longue, alors que les valeurs négatives correspondent à une section de corde plus courte. 4 Attribuez les valeurs suivantes aux paramètres de l’objet 2 : Strength = 0,14, Timbre = –0,05, Variation = –1,00. 5 L’emplacement du capteur de l’objet 2 reste à l’extrême droite ; entrez la valeur 0,99. Vous remarquerez que la section comprise entre Do2 et Do3 a déjà un son acceptable, mais le bourdonnement des notes plus graves reste trop fort. Cela ressemble à un sitar. Si vous désirez créer un jour un son de sitar, pensez à utiliser le modèle Disturb. 6 Essayez différentes valeurs pour le paramètre Strength, aussi bien pour le registre supérieur qu’inférieur de votre jeu. Vous vous apercevrez qu’au mieux, un seul compromis est possible. Le « bourdonnement » est soit trop présent dans le registre grave, soit pas assez présent dans le registre aigu. Il est évident que vous devez limiter l’effet au registre tonal concerné. À l’inverse des paramètres concernant la corde, les objets 1 à 3 ne disposent pas de fonction de suivi clavier directement adressable. Il existe une astuce pour contourner cet état de fait : Les deux oscillateurs sub-audio proposent une fonction de suivi clavier. Comme vous ne voulez pas que l’effet de bourdonnement soit modulé par une oscillation périodique, vous devez réduire la fréquence de l’oscillateur sub-audio à « infiniment lent » ou 0. De cette façon, vous pouvez désactiver l’oscillateur sub-audio lui-même, mais continuer à utiliser la matrice de modulation. 7 Activez le second oscillateur sub-audio en cliquant sur le bouton LFO2 situé en bas à gauche, puis réglez le potentiomètre Rate sur 0,00 Hz. 8 Cliquez sur le bouton marqué 1 (près du curseur Rate, en haut à droite) afin d’activer la première cible de modulation. 9 Choisissez le paramètre Strength de l’objet 2 comme paramètre Target. 10 Sélectionnez l’option KeyScale dans la colonne via.582 Chapitre 28 Sculpture 11 Déplacez le curseur du bas, marqué Amt (amount), vers la droite tout en jouant. Vous vous apercevrez rapidement que le bourdonnement « chantant » est prépondérant dans le registre grave et redevient modéré à mesure que vous vous rapprochez du Do3. Définissez le curseur sur une valeur d’environ 0,15. Le bourdonnement sera désormais bien plus modéré dans le registre grave. 12 Réactivez l’objet 3. Réglez le paramètre Timbre à sa valeur minimale (–1,00) et Variation à sa valeur maximale (1,00). L’objet 3 doit être placé tout à droite, jusqu’à la valeur 1,00. 13 Faites varier le paramètre Strength de l’objet 3. Vous découvrirez alors que le contenu harmonique du « bourdonnement » peut se contrôler très efficacement. Dans ce cas précis, il est recommandé de définir le paramètre Strength sur 0,25. 14 Enregistrez ce réglage sous le nom « Sans_frette_filet_rond#1 ». Modulation et désaccord Normalement, les effets de désaccord et d’ensemble s’obtiennent en utilisant un effet de modulation ou en combinant doublage et désaccord. Si vous utilisez une basse sans frette pour un solo, un effet de chorus large ajoute une touche agréable. Comme Sculpture ne peut générer qu’une seule note à la fois à une certaine hauteur, le simple « doublage » n’est pas une solution. Il existe toutefois d’autres solutions pour apporter du mouvement et de la vie aux sons. Presque tous les paramètres Type des différents objets peuvent être modulés par des oscillateurs sub-audio, ce qui crée un grand nombre de combinaisons possibles. Émulation de l’effet de chorus par modulation de la position des capteurs : 1 Vérifiez que vous avez chargé le réglage « Sans_frette_filet_rond#1 ». 2 Réglez l’emplacement du capteur Pickup B à 0,20. 3 L’élément de contrôle Spread est situé à gauche du potentiomètre Level. Cliquez sur le demi-cercle (Spread) Pickup sans relâcher le bouton de la souris et déplacez la souris vers le haut. Les deux points de couleur bleu clair se déplacent vers le bas, vers les lettres L et R. Vous entendez alors la largeur stéréo du son de la basse sans frette augmenter. Le capteur Pickup A est envoyé sur le canal droit, tandis que le signal du capteur Pickup B occupe le canal gauche.Chapitre 28 Sculpture 583 Remarque : même si seules les basses modernes offrent des signaux stéréophoniques, il est toujours intéressant de traiter des sons conventionnels (comme ceux que vous avez créés dans les exemples précédents) avec cet effet. Notez que toutes les positions de capteurs ne sont pas forcément compatibles en mono ; pour vérifier cette compatibilité, il suffit de faire passer la valeur Spread Pickup sur mono (en cliquant sur le demi-cercle Pickup tout en maintenant la touche Option enfoncée). Pour déplacer les capteurs : 1 Sélectionnez LFO1. 2 Activez la première cible de modulation en cliquant sur le bouton « 1 » (situé près du curseur Rate, vers le haut à droite). 3 Choisissez Pickup Position A-B comme cible de modulation. 4 Réglez le potentiomètre Rate sur 1,00 Hz. 5 Pour entendre l’effet, vous devez définir l’intensité de la modulation. Familiarisez-vous avec cet effet en déplaçant progressivement vers la droite le curseur marqué Amt (amount). Réglez-le sur une valeur finale de 0,15, fréquence modérée qui ne fait pas trop « onduler » le son. 6 Enregistrez ce réglage sous le nom « Chorus sec sans frette ». ? Astuce : pour la largeur stéréo maximale, les effets basés sur le désaccord ne sont plus aussi aisément décelables, surtout lorsque les battements entendus dans le son résultent de différences de signal entre les canaux gauche et droit. Cette remarque n’est valide qu’à un certain degré, car le mouvement du capteur ne crée pas un véritable effet de chorus ou d’harmoniseur. Essayez d’écouter ce qui se passe lorsque vous réduisez légèrement la largeur stéréo. Essayez également d’autres cibles de modulation : Pickup Pos A+B, Pickup Pan A+B, Pickup Pan A-B et String Stiffness, par exemple. Amusez-vous bien ! Réverbération et réflexions De façon générale, les basses sont mixées sans effets (« à sec ») et vous n’avez probablement raté jusqu’ici aucun effet de réverbération ou de retard dans les exemples. Ceci étant, l’ajout d’un peu de réverbération sur une basse sans frette peut se révéler bien séduisant lorsqu’elle est utilisée comme instrument solo. Utilisez la section Delay de Sculpture pour émuler cet effet. Pour créer un effet d’espace et d’atmosphère discret, procédez de la façon suivante : 1 Chargez le réglage « Chorus sec sans frette ». 2 Activez la section Delay en cliquant sur le bouton Delay. 3 Réglez le curseur Input Balance sur une valeur de 1,00.584 Chapitre 28 Sculpture 4 Désactivez la synchronisation du tempo du retard en désactivant le petit bouton Sync (qui se trouve directement à droite du curseur Delay Time). 5 Réglez le curseur Delay Time sur 90 ms. 6 Définissez le potentiomètre Xfeed sur 0,30. Les réflexions séparées sont encore trop distinctes. Pour rendre l’effet plus discret, modifiez le spectre de fréquences et l’amplitude des réflexions. Commencez par le spectre de fréquence : 7 Réglez LoCut sur 200 Hz et HiCut sur 1000 Hz (dans la section Delay). Le filtre LoCut réglé à 200 Hz atténue les graves dans les réflexions, ce qui permet d’éviter toute « confusion » sonore. L’atténuation assez drastique des aigus, effectuée via le paramètre HiCut, a tendance à estomper les réflexions séparées, ce qui crée l’impression d’une petite pièce, avec des surfaces assez douces. 8 Réduisez le niveau total de l’effet en réglant le potentiomètre Wet Level sur 25 %. 9 Enregistrez ce réglage sous le nom « Chorus sans frette + ambiance ». Cet exemple montre que la section Delay peut servir de réverbération de substitution pour de petits espaces. Toutefois, pour obtenir des effets de réverbération plus sophistiqués, il est préférable de traiter le signal de sortie de Sculpture avec l’un des modules de réverbération de Logic Studio. Création d’un effet de son « noyé » dans le retard : 1 Chargez à nouveau le réglage « Chorus sec sans frette ». 2 Activez la section Delay. 3 Déplacez le curseur Input Balance complètement à droite (jusqu’à la valeur 1,00). 4 Réglez la valeur du paramètre Delay Time sur « 1/4t » (soit un triolet de noire). 5 Définissez le potentiomètre Feedback sur 0,20. 6 Ajustez le potentiomètre Xfeed sur 0,30. 7 Réglez LoCut sur 200 Hz et HiCut sur 1600 Hz. 8 Réglez à présent le niveau global de l’effet en réglant le potentiomètre Wet Level sur 45 %. 9 Faites varier l’emplacement stéréo et la structure rythmique du retard en déplaçant le petit losange bleu clair dans la nappe Delay. 10 Enregistrez ce réglage sous le nom « Chorus sans frette + retard mouillé ».Chapitre 28 Sculpture 585 Sons synthétisés Dans les sections précédentes, vous avez appris à programmer des sons de basse « naturels » dans Sculpture : en reproduisant avec authenticité l’interaction physique réelle se produisant entre une corde et le facteur d’excitation qui la fait entrer en vibration. La capacité de produire des modèles aussi ressemblants constitue sans aucun doute l’un des points forts de l’architecture de Sculpture, mais ses capacités sonores s’étendent également à la création de sons très différents. Sculpture offre un certain nombre de fonctions que vous pouvez mettre à profit pour créer des sons synthétisés nouveaux. Cela inclut par exemple la nappe Morph, qui peut être automatisée, ainsi que les générateurs d’enveloppes programmables et enregistrables, que vous pouvez utiliser dans un contexte rythmique. De telles fonctions sont généralement superflues pour reproduire des sons de basse naturels, puisque aucune basse électrique existante ne peut modifier les caractéristiques tonales de la corde durant la phase de chute d’une note (par exemple, passer du bois au métal) ni synchroniser rythmiquement ce changement au tempo du projet. Elles sont toutefois très utiles pour créer des sons atmosphériques, basés sur le Sustain, que des modulations lentes et intéressantes contribuent à « rendre vivants ». Dans les sections suivantes, la capacité de Sculpture à créer des sons davantage basés sur l’espace et moins sur un côté organique sera démontrée, en prenant comme exemple plusieurs sons de nappes. Après avoir étudié dans le détail la modélisation de sons de basses dans les sections précédentes, vous allez découvrir un groupe de sons totalement différents. En supposant que vous êtes suffisamment curieux et que vous êtes prêt à passer un peu de temps en expérimentations diverses, vous allez découvrir une variété étendue de sons intéressants et animés. Dans le cadre limité de ces courtes expériences, il est bien sûr impossible de couvrir de façon exhaustive toutes les possibilités de Sculpture. Procédez à des expérimentations à partir des valeurs suggérées et observez bien les conséquences des changements que vous apportez. C’est en procédant de la sorte que vous apprendrez le plus de choses concernant l’instrument et que vous trouverez l’inspiration pour créer des sons et des variations. Remarque : vous trouverez les réglages de ces didacticiels dans le dossier Tutorial Settings du menu Settings (dans l’en-tête de la fenêtre du module Sculpture). Son soutenu Commencez par charger de nouveau le réglage par défaut de Sculpture ; celui, très simple, qui consiste en une corde pincée qui vibre et dont l’énergie sonore disparaît peu à peu. Il est évident que ce son doit être modifié de façon drastique, car vous souhaitez obtenir un son soutenu et étendu pour les nappes et non un son qui s’éteint rapidement une fois joué.586 Chapitre 28 Sculpture Observez les trois objets : vous remarquerez que seul l’objet 1 est activé et agit sur la corde par l’intermédiaire d’une impulsion. De même que pour l’exemple avec médiator dans la section consacrée au son de basse, la corde est excitée brièvement lorsque vous jouez la note, puis le son disparaît progressivement. Un son de nappe soutenu requiert qu’un agent d’excitation agisse constamment au niveau de la corde ; les types d’objet appropriés sont Bow ou Bow wide (la corde est jouée avec des coups d’archet soit courts, soit longs), Noise (excitation par un signal aléatoire de bruit) ou Blow (excitation par un souffle, comme une clarinette ou une flûte par exemple). Essayez les différents types d’objet mentionnés ci-dessus, l’un après l’autre, et déplacez le curseur Object 1 (Pickup), qui régit la position exacte de l’agent excitateur le long de la corde lorsque vous jouez. Vous arriverez à une double conclusion. Premièrement, le son est à présent soutenu tant que vous maintenez la touche enfoncée. Deuxièmement, c’est en sélectionnant le type Bow que les changements sonores sont les plus prononcés lorsque vous faites glisser le curseur de l’objet 1. Ce réglage permet d’envisager les possibilités les plus fructueuses de variation du son et c’est pour cette raison qu’il a été utilisé. Enregistrement d’une enveloppe Les variations sonores créées par le type Bow lorsque vous déplacez le coup d’archet virtuel le long de la corde sont très intéressantes. Vous pouvez contrôler ce mouvement via l’utilisation d’une enveloppe, créant ainsi la fondation nécessaire pour votre son de nappe. Il est plus logique (et plus pratique) d’enregistrer l’enveloppe que de la programmer, même si cette programmation s’effectue facilement, par l’intermédiaire de l’affichage graphique. Pour enregistrer une enveloppe, procédez de la façon suivante : 1 Déplacez le curseur Object 1 complètement à gauche. En partant de cette position (où il génère un son riche en harmoniques), commencez à l’animer, en utilisant une enveloppe. 2 Repérez où se trouve la section Envelope, dans le coin inférieur droit de la fenêtre de Sculpture. Choisissez la première des deux enveloppes en cliquant sur le bouton Envelope 1, si nécessaire. Dans la partie gauche de la section Envelope se trouvent deux possibilités pour effectuer le routage d’une cible de modulation au générateur d’enveloppe.Chapitre 28 Sculpture 587 3 Activez le premier lien de routage en cliquant sur le bouton 1, puis choisissez Object1 Position comme cible de modulation dans le menu Target. Réglez l’intensité de la modulation à sa valeur maximale, en plaçant le curseur horizontal complètement à droite. Vous pouvez à présent enregistrer l’enveloppe. On suppose que votre clavier MIDI dispose d’une roulette de modulation émettant les messages de contrôleur MIDI correspondants (numéro de contrôleur continu : 1) et que l’option 1 ModWh est sélectionnée pour le contrôle de l’enveloppe 1 (CtrlEnv 1) dans le coin inférieur sombre de la fenêtre Sculpture. 4 Cliquez sur le bouton R, situé dans le coin supérieur droit de la section Envelope, en dessous de Record Trigger, afin de préparer le générateur d’enveloppe pour l’enregistrement. Sélectionnez l’option Note + Ctrl Movement pour l’enregistrement. Cette option assure que l’enregistrement des messages de contrôleur issus de la roulette de modulation commenceront dès l’instant où vous jouerez la première note. 5 Jouez une note lorsque vous désirez lancer l’enregistrement, puis tournez lentement la roulette de modulation vers le haut, tout en maintenant enfoncée la touche sur le clavier. Concentrez-vous sur les variations sonores que vous créez en agissant sur la roulette de modulation. 6 Une fois l’enregistrement terminé, replacez la roulette à son emplacement initial puis, après avoir relâché la note enfoncée jusqu’ici, cliquez sur le bouton R afin de désactiver le mode d’enregistrement.588 Chapitre 28 Sculpture Sur l’affichage graphique, vous pouvez à présent examiner la courbe que vous venez d’enregistrer. Remarquez que la courbe évolue uniquement d’un côté de l’axe de référence (correspondant à la valeur zéro) : rien d’étonnant à cela, puisque la roulette de modulation n’émet que des valeurs unipolaires (comprises entre 0 et une valeur maximale positive). Comme vous avez déjà déplacé le curseur de l’objet 1 jusqu’à l’extrémité gauche de la corde, sa position ne peut se voir décalée que vers la droite par le générateur d’enveloppe, jusqu’à l’extrémité droite de la corde lorsque vous atteignez la valeur maximale d’intensité de modulation. Jouez une note, ou mieux encore, plaquez un accord et écoutez la modulation que vous avez enregistrée. Si vous n’êtes pas satisfait du résultat obtenu, vous pouvez, bien sûr, reprendre la procédure décrite précédemment, autant de fois que nécessaire. La durée maximale d’enregistrement disponible est 40 secondes. Il est par conséquent possible, si vous le désirez, de contrôler les paramètres et de créer des modulations qui s’étendent bien au-delà de la solution classique apportée par une simple évolution d’enveloppe ADSR. Remarque : si nécessaire, vous pouvez modifier la forme de l’enveloppe en déplaçant les points de jonction. Pour effectuer un zoom avant ou arrière sur l’affichage graphique, il suffit de cliquer dans une partie vide, puis de déplacer la souris vers la droite ou vers la gauche. Lorsque vous activez le petit bouton Sync, les points de jonction se calent sur une grille rythmique (pour en savoir plus sur ces paramètres et leurs fonctions, reportez-vous à la page 534). Sélectionnez Loop Alternate dans le menu Sustain mode en dessous de la représentation graphique de l’enveloppe. Comme le point de Sustain se trouve à la fin de l’enveloppe cette dernière est parcourue en permanence, du début à la fin, puis à l’envers, de la fin au début, ce qui crée un flux continu à l’intérieur du son. En résumé : vous disposez à présent d’un son de nappe assez rudimentaire, mais au son organique déjà intéressant, dont vous allez vous servir comme base, que vous allez améliorer par d’autres mises en forme et optimisations. Enregistrez cette version brute du son sous le nom « Sonorité 0001 nappe brute ».Chapitre 28 Sculpture 589 Augmentation de la largeur stéréo et du chorus Pour conférer à ce son de nappe très sec un peu plus de largeur stéréo et lui ajouter un effet de chorus, réutilisez l’astuce déjà présentée lors de la création de sons de basse. Pour rafraîchir votre mémoire, modulez les positions Pickup, puis assignez-les aux canaux gauche et droit. Description rapide du processus : 1 Tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé, cliquez sur le demi-cercle Pickup dans l’élément de contrôle Spread, puis déplacez la souris vers le haut afin de dissocier les positions panoramiques stéréo des capteurs. Les deux points de couleur bleu clair devraient se retrouver près de la ligne séparant les deux demi-cercles. 2 Activez les deux liens de modulation dans LFO1, en cliquant sur les boutons marqués 1 et 2. Pour le premier lien, modulez la position du capteur Pickup A (Target : PickA Pos) avec une petite valeur positive ; pour le second lien, la position du capteur Pickup B (Target : PickB Pos) avec une petite valeur négative (intensité ±0,15). Réduisez le paramètre Rate de l’oscillateur sub-audio à environ 0,3 Hz. Vous obtenez alors un effet de battement ou de chorus, très plaisant, qui confère largeur et plénitude au son et pallie le caractère trop sec et aride (preset 0002 lfo>pick pad). Autre aspect déplaisant, le son est trop fort dans la gamme de fréquence moyenne et aurait besoin d’être égalisé. Vous pouvez utiliser Body EQ pour corriger ce problème.590 Chapitre 28 Sculpture Activez le Body EQ et procédez à des expérimentations avec le modèle Lo Mid Hi (qui correspond au réglage standard). Essayez les réglages suivants : réduisez le paramètre Mid à – 0,5 et définissez Mid Frequency sur 0,37. Activez le paramètre Delay pour conférer un peu de profondeur au son de nappe. Définissez Delay Time sur 1/4 et réglez le potentiomètre Xfeed sur 30 pour cent. Le son de nappe possède désormais un effet d’ambiance plaisant et discret, vous pouvez donc conserver les valeurs d’origine des paramètres Delay (preset 0003 eqfx pad). Enfin, l’optimisation du son permet de lui conférer un peu plus d’animation. Le résultat final que vous visez doit être subtil, ce qui fait des modulateurs de fluctuations l’outil idéal pour cette tâche. Ces modulateurs de fluctuations s’apparentent en fait à des oscillateurs sub-audio qui utilisent une forme d’onde aléatoire. Utilisation des modulateurs de fluctuations pour obtenir des sons plus vivants : 1 Activez la fenêtre pour les deux modulateurs de fluctuations en cliquant sur le bouton Jitter situé sous l’oscillateur sub-audio. 2 Activez le premier lien dans Jitter 1 en cliquant sur le bouton marqué 1, puis choisissez Object1 Timbre dans le menu Target. 3 Réglez la valeur du paramètre Intensity sur –0,40 avec le curseur situé sous le menu Target, puis réduisez la valeur du paramètre Rate à 1 Hz. Vous créez ainsi quelques aberrations subtiles dans la pression exercée par l’archet sur la corde. Pour mieux identifier l’effet apporté, augmentez provisoirement la valeur du paramètre Intensity. Vous pouvez utiliser le second modulateur de fluctuations pour faire varier de façon aléatoire les positions des capteurs Pickup Pos A + B (positions des capteurs A et B).Chapitre 28 Sculpture 591 4 Activez Jitter 2 et choisissez le réglage Pickup Pos A+B dans le menu Target. 5 Réglez le curseur situé sous le menu Target sur une intensité d’environ 0,2, puis réglez le potentiomètre Rate sur 1,5 Hz. À mesure que vous augmentez la valeur du paramètre Intensity, le son développe un aspect « clinquant », « tintant » particulier. Utilisez cet effet en fonction de vos goûts. Vous disposez à présent d’un son de nappe plutôt satisfaisant. Conservez-le en l’état pour l’instant, bien que quelques unes des fonctions de Sculpture, telles que le filtre et le Waveshaper, ne soient pas utilisées, de même que les deux objets supplémentaires. Cependant, il faut parfois savoir s’arrêter. La dernière fonction, celle de morphing, a été gardée pour la fin. Consultez la section suivante pour expérimenter davantage encore avec votre son de nappe (à votre gré). Fonction de morphing La nappe Morph apparaît bien en évidence dans la partie inférieure de la fenêtre de Sculpture. Chacun de ses coins peut contenir un réglage différent pour un certain nombre de paramètres ; en faisant bouger la boule rouge (qui apparaît au centre de la nappe Morph), vous pouvez effectuer un « fondu enchaîné » entre ces différents réglages, ce qui crée un effet de morphing sonore. Choisissez la commande Paste to all Points dans le menu contextuel (accessible en cliquant sur la nappe Morph tout en maintenant enfoncée la touche Contrôle) afin de copier le réglage de sonorité en cours dans les quatre coins de la nappe Morph. Si vous déplacez la boule dans la nappe Morph maintenant, vous n’entendrez aucun changement au niveau du son, car les réglages (dans chaque coin) sont identiques. Mais cela ne va pas durer…592 Chapitre 28 Sculpture Pour faire varier le son avec la nappe Morph : 1 Lorsque vous déplacez la boule vers un coin, le son partiel correspondant est sélectionné, ce qui se repère grâce aux arches bleu gris qui s’allument dans la représentation graphique. Choisissez chacun des quatre coins, l’un après l’autre, puis faites varier le son en modifiant directement les valeurs de certains paramètres dans l’interface graphique de Sculpture. 2 En utilisant la nappe Material, vous pouvez obtenir une variation particulièrement notable : déplacez la boule avec prudence dans la nappe Material, puis essayez de trouver un emplacement où votre son de nappe prend un caractère nouveau et intéressant. N’hésitez pas à essayer les coins extrêmes, par exemple. Dès que vous avez choisi différents réglages pour les coins de la nappe Morph (A à D), le déplacement de la boule de morphing génère des variations sonores très marquées, même si les étapes intermédiaires ne se distinguent pas forcément par un caractère tonal remarquable. Vous pouvez automatiser la nappe Morph en assignant deux contrôleurs MIDI aux menus MorphX et MorphY dans la partie inférieure de Sculpture. Vous pouvez également automatiser la nappe Morph en utilisant une enveloppe déjà enregistrée. Pour en savoir plus, reportez-vous à la page 532. Autour de la nappe Morph, vous trouverez une fonction de « modifications aléatoires », qui permet de faire varier les sons de façon aléatoire, à un niveau d’intensité déterminé (définissant le degré d’aléatoire mis en œuvre). Cette approche est très utile pour créer des variations subtiles sur des sons naturels, mais utilisée de façon moins discrète, elle peut déboucher sur des sonorités synthétiques évolutives très gratifiantes. Pour utiliser la fonction de génération de modifications aléatoires : 1 Sur le côté gauche de la nappe Morph, choisissez le nombre de coins à faire varier, en sélectionnant l’un des cubes. 2 Utilisez le curseur situé à droite de la nappe Morph pour régler l’intensité des déviations aléatoires. 3 Pour effectuer la manipulation aléatoire, cliquez sur le bouton Rnd. La prochaine fois que vous déplacerez la boule de morphing, vous entendrez les variations que vous venez de créer. Vous avez atteint la fin de ce didacticiel sur la programmation. Après vous avoir expliqué comment créer des sons de base, puis détaillé quelques émulations de divers types de sons de basse électrique et expliqué comment aborder la génération de sons synthétiques, vous devriez désormais avoir un bon aperçu des possibilités offertes par les fonctions et les paramètres de Sculpture. Amusez-vous bien lors de la création de vos propres sculptures sonores !29 593 29 Ultrabeat Ultrabeat est un synthétiseur de sons rythmiques, équipé d’un séquenceur pas à pas. Le moteur de synthèse d’Ultrabeat est optimisé pour créer des sons de percussions ou de batterie acoustiques et électroniques. Il regroupe un large éventail de technologies de synthèse sonore : modulation de phase, lecture d’échantillon, modulation de fréquence (FM) et modélisation physique. Vous pouvez même utiliser une entrée latérale audio comme source sonore. Ultrabeat propose un séquenceur pas à pas intégré que vous pouvez utiliser pour créer des grooves rythmiques composés d’assemblages de motifs (patterns). Le séquenceur affiche des commandes de style « défilement de LED » comme sur les boîtes à rythmes classiques. Il offre également des fonctions d’automatisation pas à pas, permettant de varier le timbre du son selon la dynamique du jeu ou des rythmes programmés. Le séquenceur joue un rôle important dans la mise en forme dynamique des rythmes et des sons produits avec le module Ultrabeat. Ultrabeat permet de charger des échantillons audio ainsi que ses propres réglages, mais aussi d’importer des instruments EXS. Vous avez ainsi accès à davantage d’options de traitement des rythmes et de conception des sons pour les instruments EXS. Vous pouvez également utiliser la présentation intuitive « drum mixer » d’Ultrabeat pour jouer les kits de batterie EXS. Enfin, Ultrabeat offre une très large gamme de fonctions de modulation : quasiment tous ses composants peuvent être modulés.594 Chapitre 29 Ultrabeat La structure d’Ultrabeat La plupart des synthétiseurs logiciels présentent un synthétiseur par occurrence de module. Ultrabeat, en revanche, vous propose 25 synthétiseurs indépendants. Ces synthétiseurs, appelés drum voices (voix de batterie) dans Ultrabeat, sont adaptés à la création de sons de batterie et de percussions. La répartition des sons de batterie sur le clavier MIDI est simple et s’explique facilement de la manière suivante : chacune des 24 premières touches du clavier MIDI (en partant du bas) est affectée à un son de batterie unique. Le 25e son de batterie constitue une exception ; il peut être joué chromatiquement. Ultrabeat peut être comparé à une boîte à rythmes composée de 24 pads de batterie et d’un clavier intégré. Ces 24 pads de batterie sont affectés aux 24 premières touches du clavier MIDI standard (Notes MIDI C1-B2 soit Do1-Si2). La correspondance avec les notes MIDI est compatible avec celle de la configuration clavier standard Roland GM. Le clavier chromatique du 25e synthétiseur commence au Do3 ou C3 (la note la plus grave de sa tessiture). Remarque : si votre clavier MIDI n’est pas assez large ou ne prend pas en charge la transposition d’octave pour utiliser les octaves inférieures et supérieures d’Ultrabeat, vous pouvez définir le paramètre de transposition dans l’Inspecteur Logic Pro pour décaler les notes MIDI suivantes. Pour des raisons de simplicité (et pour maintenir l’analogie avec une boîte à rythmes), nous désignerons chaque synthétiseur indépendant (voix de batterie) par le terme son. Leur combinaison forme un kit de batterie Ultrabeat. Voix de batterie 1 à 24 La 25e voix de batterie peut être jouée de façon chromatiqueChapitre 29 Ultrabeat 595 Présentation d’Ultrabeat L’interface utilisateur d’Ultrabeat comporte trois sections fonctionnelles.  Section d’assignation : elle affiche tous les sons d’un kit de batterie ; vous pouvez ainsi les sélectionner, les renommer ou les organiser. Cette section comporte également une petite table de mixage que vous pouvez utiliser pour ajuster le volume et la balance de chaque son.  Section synthétiseur : la majeure partie de l’interface utilisateur d’Ultrabeat est consacrée à la création et à la mise en forme de sons de batterie distincts ; c’est-à-dire à la fonction Ultrabeat de synthétiseur. Les paramètres du son de batterie sélectionné dans la section d’assignation s’affichent dans cette section synthétiseur.  Séquenceur pas à pas : dans cette section, vous pouvez créer et contrôler des séquences et des patterns. Une séquence déclenche un son de batterie particulier et peut inclure jusqu’à 32 pas. Un pattern contient la totalité des séquences des 25 sons. Vous pouvez vous servir du séquenceur pas à pas à la place des notes MIDI ou en complément de celles-ci, en allant dans Ultrabeat (à partir de Logic Pro) pour contrô- ler les sons. Une description plus complète de séquenceur pas à pas figure dans la rubrique « Le séquenceur pas à pas » à la page 632. Section Assignment Séquenceur pas à pas Section synthétiseur596 Chapitre 29 Ultrabeat Chargement et enregistrement de sons Vous pouvez procéder de la même manière qu’avec tous les autres instruments Logic Pro pour enregistrer et charger des réglages dans Ultrabeat. Pour en savoir plus, consultez le Manuel de l’utilisateur Logic Pro 8. Un réglage Ultrabeat comporte les éléments suivants :  Le kit de batterie, incluant 25 sons et comprenant les réglages d’assignation et de mixage correspondants.  La totalité des réglages des paramètres des 25 sons.  Les réglages du séquenceur et la totalité des 24 patterns, y compris l’automatisation pas à pas ainsi que les rangées de déclencheurs, de vélocité et porte (durée des notes) des 25 sons. Remarque : le rappel de l’ensemble de ces données lors du chargement d’un réglage Ultrabeat est particulièrement utile. En effet, l’effet musical des patterns, notamment de ceux incluant des paramètres séquencés de vélocité et de porte, est souvent étroitement lié aux sons utilisés. La section d’assignation La section d’assignation affiche la totalité des sons de batterie inclus dans un kit de batterie et présente une petite table de mixage. Cette section vous permet de :  sélectionner, organiser et nommer des sons de batterie,  importer des sons de batterie à partir d’autres réglages Ultrabeat ou d’autres instruments EXS,  mixer des sons de batterie.Chapitre 29 Ultrabeat 597 Sélection de sons Les 25 sons d’un kit de batterie Ultrabeat sont associés au clavier représenté dans la partie gauche de la fenêtre Ultrabeat. L’ordre des sons sur le clavier correspond aux notes du clavier MIDI connecté, en commençant par C1 (Do1) pour le premier son (le plus bas à l’écran). Cliquez sur le nom du son dans la section d’assignation pour sélectionner le son de batterie souhaité. Les paramètres du son s’affichent dans la section synthétiseur, à droite. Vérifiez que le son joué via le clavier MIDI correspond à celui que vous modifiez : vous pouvez identifier le son sélectionné par le cadre gris qui entoure son nom dans la zone d’assignation. La touche correspondante sur la représentation du clavier à l’écran, à gauche du nom du son, devient bleue selon les données MIDI envoyées. Vous pouvez également cliquer sur ces touches pour jouer le son. Dans cet exemple, le son de batterie 2 est joué (touche bleue) alors que le son de batterie 4 est sélectionné (cadre gris). Vous pouvez également sélectionner des sons en entrant des notes MIDI. Pour ce faire, activez le bouton Voice Auto Select dans le coin supérieur gauche de la fenêtre Ultrabeat. Remarque : il est fort probable qu’à certains moments Ultrabeat reçoive de nombreuses notes à partir de Logic Pro ou du séquenceur pas à pas intégré. Dans ce cas, la sélection automatique de sons provoquerait des changements incessants dans l’affichage des paramètres, rendant leur visualisation difficile. Pour éviter cela, la fonction de sélection de voix Voice Select est automatiquement désactivée lors d’un enchaînement rapide de notes.598 Chapitre 29 Ultrabeat Désignation et organisation des sons Si vous double-cliquez sur le nom d’un son de batterie, le champ de saisie de texte correspondant s’ouvre et vous pouvez alors lui affecter un nom. Appuyez sur la touche Retour ou cliquez en dehors du champ de saisie afin de continuer. La permutation ou la copie de sons de batterie au sein d’un kit Ultrabeat peut s’effectuer par une opération de glisser-déposer ou en utilisant un menu contextuel. Pour permuter ou copier un son de batterie avec la fonction glisser-déposer : 1 Cliquez sur le son de batterie souhaité dans la section d’assignation (et non sur un bouton ou un menu) et maintenez le bouton de la souris enfoncé. 2 Faites ensuite glisser le nom jusqu’à l’emplacement voulu.  Une opération de glisser-déposer simple permet de permuter deux sons de batterie (dont les réglages Mixer suivants : volume, panoramique, activation et désactivation du son, solo et configuration de la sortie). Les séquences ne sont pas permutées.  Si vous maintenez la touche Commande enfoncée durant cette opération, les deux sons de batterie permutent. Les séquences sont permutées.  Si vous maintenez la touche Option enfoncée durant l’opération, le son est copié. Les séquences ne sont pas copiées.  Si vous maintenez les touches Option + Commande enfoncées durant l’opération, le son est copié. Les séquences sont copiées. Pour permuter ou copier un son de batterie via un menu contextuel : 1 Cliquez en maintenant la touche Contrôle enfoncée ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur un son de batterie dans la section d’assignation. Chapitre 29 Ultrabeat 599 2 Un menu contextuel s’affiche, dans lequel vous sélectionnez la commande souhaitée :  Copy (Voice & Seq) : cette commande copie le son sélectionné, y compris les séquences et les réglages Mixer, dans le Presse-papiers.  Paste Voice : cette commande remplace le son sélectionné par le son figurant dans le Presse-papiers, sans modifier les séquences associées.  Paste Sequence > (sous-menu) : le sous-menu Paste Sequence permet de remplacer la totalité des séquences du son de batterie cible ou seulement certaines de ses séquences. Cette opération n’affecte pas les paramètres du son de batterie. Si une seule séquence est collée, elle vient remplacer la séquence actuellement active (identifiée dans le menu Pattern) du son de batterie cible. Vous avez ainsi la possibilité de coller des séquences dans chacun des 24 emplacements possibles de pattern.  Swap with Clipboard : cette commande remplace le son sélectionné par le son du Presse-papiers et place l’ancien son dans le Presse-papiers.  Init > (sous-menu) : le sous-menu Init contient quelques sons servant de points de départ (Init). Si vous en sélectionnez un, il vient remplacer le son de batterie cible. L’échantillon Init initialise le filtre ainsi que les paramètres de tonalité selon des réglages neutres. Il s’agit du point de départ pour la programmation de sons de batterie basés sur des échantillons. Remarque : les commandes Paste et Swap with Clipboard du menu contextuel nécessitent bien évidemment une opération de copie préalable (afin de placer les données appropriées dans le Presse-papiers). Elles n’affectent que le son de batterie sélectionné ; toutes les données de séquence et les données audio des 24 autres sons de batterie restent inchangées. Importation de sons de batterie et d’instruments EXS Vous pouvez importer des sons de batterie et des séquences à partir d’autres réglages Ultrabeat vers votre kit de batterie actif. Vous avez également la possibilité d’importer des sons provenant d’autres instruments EXS : Ultrabeat reproduit la présentation EXS aussi fidèlement que possible. Les zones EXS formatées sont configurées en tant que sons de batterie formatés, en utilisant le mode de lecture d’échantillons de l’Osc 2. Pour ouvrir un réglage Ultrabeat ou un instrument EXS dans la liste d’importation : 1 Cliquez sur le champ Import dans la partie supérieure gauche de la fenêtre Ultrabeat. 2 Naviguez jusqu’au réglage Ultrabeat ou jusqu’à l’instrument EXS à partir duquel vous souhaitez importer des sons, sélectionnez-le, puis cliquez sur Open.600 Chapitre 29 Ultrabeat Une liste de tous les sons issus du réglage ou de l’instrument EXS sélectionné s’affiche en regard de la section relative au mixage. Remarque : dans le cas d’importations d’instrument EXS qui comportent plus de 25 sons, vous pouvez parcourir des jeux de 25 sons à l’aide des flèches vers le haut et le bas situées à gauche et à droite du nom de l’instrument EXS en question, en haut de la liste d’importation. Deux méthodes permettent de transférer des sons à partir de la liste d’importation vers la section d’assignation. La méthode la plus simple consiste à faire glisser les sons depuis la liste d’importation vers la section relative au mixage. Le maintien de la touche Commande pendant cette opération permet d’inclure toutes les séquences. Vous pouvez également utiliser un menu contextuel. Pour transférer des sons à l’aide d’un menu contextuel : 1 Dans la liste d’importation, cliquez en maintenant la touche Contrôle enfoncée (ou cliquez avec le bouton droit de la souris) sur le nom du son désiré. 2 Dans le menu contextuel qui s’affiche, sélectionnez Copy (Voice & Seq). Le son sélectionné et ses séquences sont alors copiés dans le Presse-papiers.Chapitre 29 Ultrabeat 601 3 Cliquez en maintenant la touche Contrôle enfoncée (ou cliquez avec le bouton droit de la souris) sur le son à remplacer dans le kit de batterie ouvert, puis, dans le menu contextuel, utilisez l’une des commandes suivantes :  Paste Voice : remplace le son de batterie cible, sans changer ses séquences.  Paste Sequence > (sous-menu) : permet de remplacer la totalité des séquences du son de batterie cible ou seulement certaines séquences. Cette commande n’affecte pas le son de batterie cible. Si une seule séquence est collée, elle vient remplacer la séquence actuellement active (identifiée dans le menu Pattern) du son de batterie cible. Cela vous permet d’importer des séquences de son de batterie vers l’un des 24 emplacements possibles de pattern. Ces commandes affectent uniquement le son de batterie sélectionné ; toutes les données de séquence et les données audio des 24 autres sons de batterie restent inchangées.  Swap with Clipboard : remplace le son de batterie cible par le contenu du Presse-papiers et place l’ancien son dans le Presse-papiers. La permutation porte à la fois sur le son de batterie et les données de séquence ; cette commande est donc particulièrement utile pour réorganiser un kit de batterie. Faire glisser des instruments EXS dans la section d’assignation Vous pouvez également faire glisser un instrument EXS directement dans la section d’assignation pour importer la totalité de l’instrument. Cette méthode ne permet pas de parcourir les sons inclus dans l’instrument EXS (si ce dernier comporte plus de 25 sons de matériel d’échantillon). Seules ces couches et zones d’échantillon seront mises en correspondance dans la tessiture de son de batterie d’Ultrabeat, entre C1 et C3 (Do1 et Do3), le reste. Le mixage La section d’assignation comporte une table de mixage pour les 25 sons figurant dans le kit de batterie Ultrabeat. Elle permet d’ajuster le volume et la balance de chaque son. Elle comporte, en outre, les boutons Mute et Solo. Bouton Mute Curseur Volume Volume principal Potentiomètre Pan Menu Output Selection Bouton Solo602 Chapitre 29 Ultrabeat Volume Le volume de chaque son est représenté par une barre bleue ; vous pouvez ainsi visualiser un aperçu complet des divers niveaux au sein du kit. Vous avez la possibilité d’ajuster le volume du son, selon le niveau de sortie global dans Ultrabeat, en faisant glisser la barre bleue sous le nom du son. Le contrôle (de volume) principal figure au-dessus du 25e son de batterie et permet de régler le niveau de tous les sons de batterie du kit : autrement dit, il agit sur le niveau de mixage global de tous les sons de batterie. Mute Vous pouvez rendre muets certains des sons d’un kit de batterie en cliquant sur le bouton Mute (M), situé à droite du nom du son en question. Solo Vous pouvez écouter certains sons séparément en cliquant sur le bouton Solo (S), à côté du bouton Mute. Pan Le potentiomètre rotatif, à droite des boutons Mute et Solo, contrôle le positionnement du signal dans le champ stéréo (Panorama). Sorties individuelles Ultrabeat présente huit sorties stéréo et mono distinctes qui peuvent être insérées en tant qu’instrument à sorties multiples. Dans ce cas, chaque son de batterie peut être envoyé séparément vers une sortie particulière (ou des paires de sorties) en paramétrant le menu de sélection de sortie, figurant à côté du potentiomètre Panorama. Les sons de batterie acheminés vers une paire de sorties autre que la principale sont automatiquement supprimés des sorties principales. Le contrôle des paires de sorties autres que 1–2 s’effectue via des canaux auxiliaires.Chapitre 29 Ultrabeat 603 Section Synthesizer La section synthétiseur est au cœur d’Ultrabeat. Comme nous l’avons indiqué précédemment, chaque son de batterie dispose de sa propre section synthétiseur. Le nombre de paramètres de synthétiseur Ultrabeat présentés dans une seule fenêtre du module est, certes, impressionnant ; toutefois, le cheminement du signal est assez facile à comprendre. Le cheminement du signal Le moteur de synthèse d’Ultrabeat est basé sur les règles de la synthèse soustractive classique. Si vous observez la section synthétiseur de gauche à droite, vous reconnaîtrez la structure traditionnelle et le cheminement du signal d’un synthétiseur soustractif. Tout d’abord, le matériel sonore de base est créé par les oscillateurs et le générateur de bruit. Un filtre permet ensuite de supprimer certaines fréquences du son brut, puis une mise en forme du volume (avec des enveloppes) est effectuée. L’interface en trois dimensions permet d’avoir une présentation claire des détails et de l’importance des diverses fonctions Ultrabeat. Elle permet, en outre, d’identifier les différents niveaux, du premier au dernier. La section relative au filtre se situe au milieu. Il s’agit d’un gros dispositif de contrôle rond. Son emplacement et sa représentation sont à la fois symboliques et pratiques. La section de filtrage joue, en effet, un rôle central dans Ultrabeat. Oscillateur 1 Oscillator 2 Noise Generator Filtre Bouton Signal flow Modulateur en anneau Bouton Signal flow Bouton Signal flow604 Chapitre 29 Ultrabeat Le filtre reçoit les signaux en provenance des sources sonores suivantes : oscillateur 1, oscillateur 2, générateur de bruit et modulateur en anneau. Leurs sections de sortie sont représentées par quatre dispositifs entourant le filtre (trois objets ronds et un plus petit, rectangulaire et situé à droite du filtre, pour le modulateur en anneau). En dessous, vous trouverez les éléments de contrôle de ces sources sonores. Pour chaque dispositif, vous pouvez voir un petit bouton signalant le parcours du signal et indiquant en rouge si les signaux doivent transiter par le filtre ou aller directement à la section de sortie du synthétiseur. Dans le parcours de droite vers la sortie, le signal transite par deux égaliseurs et une phase d’expansion stéréo ou de modulation du panoramique. Le signal de sortie du son de batterie passe ensuite par la table de mixage intégrée à la section d’assignation (voir la section « Le mixage » à la page 601). Paramètres communs aux oscillateurs 1 et 2 Pour utiliser l’oscillateur 1 (ou 2), vous devez d’abord l’activer. Pour ce faire, utilisez le bouton On/Off situé complètement à gauche de la section Osc 1 ou Osc 2. Une fois activé, le bouton devient rouge. Remarque : lors de la programmation d’un son de batterie, vous pouvez activer ou désactiver des sources sonores particulières à l’aide des boutons On/Off. Cela vous permet, en outre, d’écouter certaines composantes sonores séparément et de les supprimer, si nécessaire. Le volume de l’oscillateur 1 ou 2 est contrôlé via le potentiomètre Volume correspondant, situé complètement à droite. Le volume peut être modulé par les sources figurant dans les menus Mod et Via. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Modulation » à la page 623.Chapitre 29 Ultrabeat 605 Les curseurs incurvés à gauche des potentiomètres Volume contrôlent la tonalité des oscillateurs par demi-ton. En appuyant sur la touche Maj, vous pouvez ajuster la tonalité par centièmes. La valeur de la tonalité apparaît à gauche du curseur. Pour la modifier, cliquez dessus, puis, sans relâcher le bouton de la souris, déplacez la souris vers le haut. La tonalité peut également être modulée par les sources figurant dans les menus Mod et Via. Vous trouverez un bouton permettant de contrôler le parcours du signal entre chaque oscillateur et la section Filter (bouton de contournement du filtre). En cliquant sur ce bouton une ou deux fois, vous pouvez diriger le signal de l’oscillateur vers le filtre (le bouton de contournement devient rouge), ou l’envoyer directement vers la section de l’égaliseur (le bouton reste grisé). La direction de la flèche sur ce bouton de contournement du filtre illustre le parcours du signal. Remarque : le bouton de contournement détermine simplement le sens du signal. Il n’agit pas sur le fonctionnement de l’oscillateur. Utilisez le bouton On/Off pour activer ou désactiver l’oscillateur (comme expliqué précédemment). Propriétés propres à l’oscillateur 1 Cet oscillateur peut utiliser trois types de technologies de synthèse différentes : modulation de phase, modulation de fréquence et chaîne latérale (entrée audio externe). Pour utiliser l’une ou l’autre, il suffit de cliquer sur le bouton approprié dans la partie supérieure de la section Osc 1. 606 Chapitre 29 Ultrabeat Phase Oscillator Une onde de modulation de phase onde peut être déformée en fonction des paramètres relatifs à la pente (Slope), à la Saturation et à l’asymétrie (Asymmetry), et prendre la forme de quasiment toute onde élémentaire de synthétiseur. Les effets de ces paramètres sont illustrés par l’affichage de la forme d’onde dans la section de l’oscillateur. Si vous affectez la valeur zéro à ces trois paramètres, une onde sinusoïdale sera représentée.  Slope : cette valeur détermine la pente ou l’inclinaison de la forme d’onde. Plus elle est élevée, plus la forme d’onde est inclinée. Le son prend alors un caractère d’autant plus « nasal » que la pente est inclinée.  Saturation : si les valeurs de la saturation augmentent, cela se traduit par un écrêtage et la forme d’onde prend un aspect plus rectangulaire. Les harmoniques de rang impair sont alors plus nombreuses.  Asym (Asymétrie) : l’onde a une forme en dent de scie, le son étant alors plus agressif. L’asymétrie peut être modulée par les sources figurant dans les menus Mod et Via. Cela permet de créer des changements sonores plus dynamiques au niveau de l’oscillateur. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Modulation » à la page 623. Remarque : les formes d’onde élémentaires des synthétiseurs analogiques classiques peuvent être facilement reproduites grâce à la modulation de phase : les ondes sinusoïdales, rectangulaires ou en dents de scie résultent des différentes combinaisons de valeurs affectées aux paramètres Slope, Saturation et Asym. Ainsi, si vous définissez des valeurs de pente et de saturation maximales et une valeur d’asymétrie minimale, vous obtenez une onde carrée classique. Si la pente est définie à –0,20, la saturation au minimum et l’asymétrie au maximum, vous obtenez une onde en dents de scie. Chapitre 29 Ultrabeat 607 FM (Modulation de fréquence) En mode FM, l’oscillateur 1 génère une onde sinusoïdale. Sa fréquence est modulée par la forme d’onde de l’oscillateur 2. Pour ce faire, l’oscillateur 2 doit donc être activé. Lors du processus FM, plus la forme d’onde de l’oscillateur 2 est complexe, plus le nombre de partiels est important (en augmentant la valeur FM Amount). Vous pouvez visualiser l’onde sinusoïdale à l’écran et observer son évolution vers une forme de plus en plus complexe. Le paramètre FM Amount peut être modulé par les sources figurant dans les menus Mod et Via. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Modulation » à la page 623. Remarque : phase Oscillator convient parfaitement aux simulations de formes d’ondes analogiques et de sons de style analogique. Le mode FM, en revanche, offre des sonorités numériques de type sonnerie et des sons métalliques. Side chain En mode Side Chain, Ultrabeat utilise une entrée latérale externe comme source pour l’oscillateur 1. Vous pouvez ainsi utiliser tout canal audio, auxiliaire ou canal d’entrée en direct avec les filtres, les enveloppes, l’oscillateur basse fréquence (LFO) et le séquenceur pas à pas d’Ultrabeat. Une fois le mode Side Chain sélectionné pour l’oscillateur 1, vous devez sélectionner le canal à utiliser en tant qu’entrée latérale. Comme pour tout autre module disposant d’une entrée latérale, vous devez, pour ce faire, choisir le canal souhaité à partir du menu Side Chain dans Ultrabeat.608 Chapitre 29 Ultrabeat Le mode Side Chain vous offre un large éventail d’options de création avec Ultrabeat. Vous pouvez utiliser une entrée audio pour l’oscillateur 1 et le moteur de synthèse pour l’oscillateur 2 afin de créer un son de batterie en partie en audio direct et en partie synthétisé. Les autres sons de batterie et le séquenceur Ultrabeat continuent de fonctionner normalement, vous pouvez donc associer des programmations de batterie analogiques à un traitement d’entrée latérale, par exemple, en définissant un groove programmé et un son de batterie ajouté via le filtre d’une entrée audio externe. Remarque : un signal d’entrée latérale, seul, ne suffit pas au déclenchement des traitements Ultrabeat. Pour entendre le signal d’entrée latérale audio, Ultrabeat doit être déclenché via le clavier MIDI ou son séquenceur pas à pas intégré. Propriétés propres à l’oscillateur 2 Cet oscillateur peut utiliser trois types de technologies de synthèse différentes : modulation de phase, échantillonnage et modélisation. Pour utiliser l’une ou l’autre, il suffit de cliquer sur le bouton approprié dans la partie inférieure de la section Osc 2. Phase Oscillator La modulation de phase de l’oscillateur 2 fonctionne quasiment de la même manière que pour l’oscillateur 1. Toutefois, en mode Phase Oscillator, la saturation peut être modulée dans l’oscillateur 2 et l’asymétrie, avec l’oscillateur 1. Ainsi, lorsque les deux oscillateurs utilisent ce mode, ils peuvent produire des sons différents. Pour en savoir davantage sur le mode Phase Oscillator, consultez le paragraphe intitulé « Phase Oscillator » dans la rubrique « Propriétés propres à l’oscillateur 1 ». Sample En mode Sample, l’oscillateur 2 utilise un fichier audio en tant que source sonore. En cliquant sur la flèche située dans la partie gauche de l’affichage de la forme d’onde, un menu s’ouvre. Il permet de charger et de décharger des échantillons ou d’afficher l’échantillon chargé dans le Finder. La flèche Reverse permet de changer la direction de lecture de l’échantillon (avant/arrière).Chapitre 29 Ultrabeat 609 Les deux curseurs horizontaux Min/Max (Velocity) déterminent le point de départ de l’échantillon, selon la dynamique du jeu. Le curseur Min identifie le point de départ de l’échantillon au niveau de vélocité minimal (vélocité = 1), le curseur Max, au niveau maximal (vélocité = 127). Si les curseurs Min et Max ont la même valeur, le point de départ de l’échantillon est un paramètre statique. Les échantillons Ultrabeat fournis ainsi que les sons importés depuis des instruments EXS sont généralement constitués de plusieurs couches sélectionnées par le paramètre de vélocité, selon la dynamique du jeu. La couche d’échantillon particulière à laquelle les valeurs de vélocité entrées permettent d’accéder est déterminée par le petit curseur Vel Layer situé à droite. Ce curseur indique la couche déclenchée au niveau minimal (vélocité = 1). L’autre petit curseur, à gauche cette fois, signale la couche utilisée au niveau maximum (vélocité = 127). Si vous n’avez chargé qu’un échantillon contenant une seule couche, les réglages du curseur Vel Layer n’ont aucun effet. Pour charger un fichier audio : 1 Cliquez sur la flèche située dans la partie supérieure de l’affichage de la forme d’onde, puis choisissez Load Sample depuis le menu local. 2 Dans la fenêtre Load Sample, localisez et sélectionnez le fichier audio souhaité. Une sélection d’échantillons de sons de percussions ou de batterie multicouches spécifiquement créés pour Ultrabeat est fournie. Vous pouvez, par ailleurs, charger vos propres échantillons dans un format stéréo entrelacé (AIFF, WAV, CAF ou SDII). Cependant, sachez que la fonction relative aux couches de vélocité n’est pas disponible pour ce type d’échantillons.610 Chapitre 29 Ultrabeat Le bouton Play de la fenêtre Load Sample vous permet d’obtenir un aperçu des fichiers audio (AIFF, WAV, SD2, CAF, UBS) avant leur chargement.  Appuyez sur le bouton Play pour lire en boucle le fichier échantillon actuellement sélectionné. L’échantillon est lu directement à partir du disque dur, sans autre opération nécessaire : les filtres, égaliseurs, enveloppes et autres paramètres de synthétiseur sont ignorés.  La lecture s’interrompt si vous cliquez de nouveau sur le bouton. Vous pouvez écouter plusieurs fichiers à la suite en cliquant une fois sur Play, puis en passant d’un fichier à l’autre. Remarque : dans le cas de fichiers USB multicouches, l’échantillon est lu avec une vélocité fixe de 75 %. L’écoute indépendante de toutes les couches n’est pas possible. Seule la couche concernée par cette valeur Velocity est lue. La fonction Preview Sample dans l’option Ultrabeat Voice remplace temporairement les fichiers échantillons dans le son de batterie actuellement sélectionné. Le son de batterie n’est pas directement déclenché lorsque vous activez cette option. En revanche, il peut toujours être activé via les notes MIDI (notes jouées, événements de la région MIDI ou événement du séquenceur Ultrabeat) tandis que la fenêtre Load Sample est ouverte et que des fichiers différents y sont sélectionnés. L’échantillon sélectionné peut être écouté au sein du son de batterie actif, en prenant en compte l’ensemble des traitements du synthétiseur. Une fois que vous avez choisi l’échantillon à inclure, cliquez sur Open pour le charger. Cliquez sur Cancel pour revenir à l’échantillon précédemment chargé. Important : les effets ajoutés via le canal d’instrument Ultrabeat affectent les aperçus. Si vous enregistrez un kit de batterie à l’aide du menu Settings, l’emplacement de l’échantillon est stocké dans le paramètre. Ultrabeat n’enregistre pas les fichiers audio à proprement parler —il garde seulement la référence de leur emplacement. Si vous chargez un réglage qui comporte une référence à un échantillon qui a été déplacé ou supprimé, Ultrabeat affiche une zone de dialogue dans laquelle il vous demande de le localiser. Pour éviter cela, il est fortement recommandé d’utiliser un dossier d’échantillons Ultrabeat dédié.Chapitre 29 Ultrabeat 611 Model Ce type d’oscillateur propose le modèle physique d’un instrument à cordes pour créer des sons percussifs. Les paramètres dont vous disposez correspondent aux propriétés physiques d’une vraie corde. Deux exciteurs distincts, chacun avec des caractéristiques sonores bien particulières, sont disponibles. Vous pouvez passer de l’un à l’autre en utilisant leurs boutons respectifs (Type 1 et Type 2). Remarque : dans le modèle pour l’oscillateur 2 Ultrabeat, un exciteur est un agent ou un dispositif de déclenchement utilisé pour initier la vibration d’une corde. Il ne faut pas le confondre avec le module à effets du même nom. Dans le graphique Material Pad, vous pouvez définir les paramètres de corde Inner Loss et Stiffness. Ils déterminent les caractéristiques matérielles du modèle physique. Inner Loss définit l’amortissement de la corde. Ce phénomène dépend, dans la réalité, de la matière qui constitue la corde (acier, verre, nylon ou bois). L’amortissement touche principalement les hautes fréquences et produit un son plus étouffé et plus doux lors de la phase de chute (decay). Le paramètre Stiffness agit sur la rigidité de la corde. Encore une fois, ce phénomène dépend, dans la réalité, de la matière qui constitue les cordes, mais aussi de leur diamètre (ou, plus précisément : de la vitesse de vibration ou de réponse suite à leur pincement, par exemple). Des cordes rigides créent des vibrations inharmoniques ; en effet, elles ne représentent pas des multiples de nombres entiers dans la fréquence fondamentale. Elles sont, en fait, légèrement plus aiguës. Des valeurs élevées de rigidité (raideur) transforment, au final, la corde en tige métallique. L’axe des abscisses du graphique Material Pad représente les valeurs possibles du paramètre Stiffness, l’axe des ordonnées, les valeurs d’Inner Loss. Pour ajuster ces paramètres de manière graphique, cliquez sur le losange et, tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé, déplacez-le à l’endroit souhaité. Remarque : si vous souhaitez rétablir les valeurs par défaut des paramètres, cliquez sur le losange tout en maintenant la touche Option enfoncée.612 Chapitre 29 Ultrabeat À droite du graphique Material Pad, vous pouvez voir le paramètre Resolution. Contrairement aux autres paramètres gérant l’oscillateur Model, la résolution ne reproduit pas une propriété réelle et prédéfinie du modèle physique. En revanche, elle affecte le processus de modélisation même : des valeurs élevées améliorent la résolution au niveau des calculs, augmentant ainsi le nombre d’harmoniques. Des valeurs plus faibles réduisent la précision des calculs. Par conséquent, le nombre d’harmoniques diminue et, en général, le spectre évolue vers davantage d’inharmoniques. Ring Modulator Le modulateur en anneau fonctionne comme sa propre source sonore ; son signal peut transiter via le filtre ou non, indépendamment des oscillateurs 1 et 2. Il est, en outre, possible de régler son volume. Les deux oscillateurs doivent être activés pour que le modulateur soit utilisable. Le son issu du modulateur en anneau dépend fortement des deux oscillateurs. En effet, il module les signaux de sortie de chacun des oscillateurs. La modification des paramè- tres, et en particulier, la relation avec le réglage de chaque oscillateur, a un impact direct sur le son issu du modulateur en anneau. En revanche, le volume de chacun des oscillateurs n’influence pas le traitement au niveau de la modulation en anneau. Le modulateur en anneau ne dispose pas d’un bouton On/Off comme les oscillateurs. Il est activé en cliquant directement sur l’étiquette Ring Model elle-même. Une fois activé, son nom s’affiche rouge. Lorsqu’il est éteint, son nom est grisé. Remarque : le modulateur en anneau a besoin des signaux des deux oscillateurs pour produire le son de sortie. Si l’un d’eux est éteint, le modulateur reste silencieux. Si vous souhaitez écouter le signal du modulateur séparément (pour un meilleur réglage), baissez temporairement le volume des oscillateurs à 0. Le curseur permet d’ajuster le volume de la sortie au niveau du modulateur en anneau. Il peut être modulé par les sources figurant dans les menus Mod et Via. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Modulation » à la page 623. Chapitre 29 Ultrabeat 613 Entre le modulateur en anneau et la section de filtrage, vous trouverez un bouton permettant de contrôler le parcours du signal (bouton Filter Bypass). En cliquant dessus une ou deux fois, vous pouvez diriger le signal vers le filtre (le bouton devient rouge), ou l’envoyer directement vers la section EQ de l’égaliseur (le bouton reste grisé). La direction de la flèche sur ce bouton de contournement du filtre illustre le parcours du signal. Remarque : le bouton Filter Bypass détermine simplement le sens du signal. Il n’agit pas sur le fonctionnement du modulateur. Cliquez sur le champ Ring Mod pour l’activer ou le désactiver (voir détails ci-dessus). Noise Generator Le quatrième moteur de synthèse est le générateur de bruit. Par bruit, on désigne (au sens technique) l’ensemble des fréquences sonores ; c’est pourquoi, il nous est impossible d’identifier, à l’oreille, une tonalité particulière dans un signal de bruit. Toutefois (ou plutôt, en conséquence), le bruit est essentiel pour créer des sons de batterie. C’est pourquoi, le générateur de bruit d’Ultrabeat fournit de nombreuses fonctionnalités. Pour utiliser Noise Generator, vous devez d’abord l’activer. Pour ce faire, cliquez sur le bouton On/Off. Une fois activé, le bouton devient rouge. Le volume du générateur de bruit est contrôlé via le potentiomètre Volume. Il peut être modulé par les sources figurant dans les menus Mod et Via. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Modulation » à la page 623614 Chapitre 29 Ultrabeat Le générateur de bruit dispose de son propre filtre, indépendant du filtre multimode Ultrabeat. Les quatre boutons LP, HP, BP et Byp permettent de passer d’un mode de filtrage à un autre (passe-bas, passe-haut ou passe-bande) ou de le désactiver (Contournement). Les noms des types de filtrage indiquent leur rôle : Le filtre passe-bas (LP) autorise les fréquences inférieures à la fréquence de coupure (voir détails ci-après).Ce type de filtrage atténue les fréquences supérieures, le son étant alors moins aigu et moins clair. Le filtre passe-haut (HP) produit exactement l’effet inverse. Il filtre les fréquences inférieures, sans affecter les fréquences supérieures. Le filtre passe-bande (BP) n’autorise qu’une certaine fourchette de fréquences (une bande de fréquences) définie par rapport à la fréquence de coupure. Ce filtre peut être utilisé à la fois dans la partie supérieure et la partie inférieure du spectre de fréquences afin de diminuer les aigus et les graves pour un même son. Le potentiomètre Cut détermine la valeur de la fréquence de coupure. Il définit le point dans le spectre de fréquences à partir duquel le filtre s’applique. Selon le type de filtrage choisi, vous pouvez rendre le son plus sombre (LP), plus fin (HP) ou plus nasal (BP) en modifiant la valeur Cut. La coupure (Cutoff) peut être modulée par les sources figurant dans les menus Mod et Via. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Modulation » à la page 623. L’augmentation de la résonance accentue les fréquences proches de la fréquence de coupure. La fourchette de résonance s’étend de 0 (aucune accentuation) jusqu’aux plus hautes valeurs permettant l’auto-oscillation du filtre. Remarque : l’auto-oscillation est typique des circuits de filtrage analogiques. Elle se produit avec des valeurs de résonance élevées, lorsque le filtre fonctionne en boucle fermée et commence à osciller à sa fréquence naturelle. Dirt est un paramètre conçu spécifiquement pour Noise Generator. À mesure que vous tournez le potentiomètre de poussière, le son blanc et pur de départ évolue vers davantage de granulosité. Remarque : les effets du paramètre Dirt sont d’autant plus marqués que les valeurs de résonance sont élevées.Chapitre 29 Ultrabeat 615 Entre le générateur de bruit et la section de filtrage, vous trouverez un bouton permettant de contrôler le parcours du signal (bouton Filter Bypass). En cliquant dessus une ou deux fois, vous pouvez diriger le signal vers le filtre (le bouton devient rouge), ou l’envoyer directement vers la section EQ de l’égaliseur (le bouton reste grisé). La direction de la flèche sur ce bouton de contournement du filtre illustre le parcours du signal. Remarque : le bouton Filter Bypass détermine simplement le sens du signal. Il n’agit pas sur le fonctionnement du générateur. Il faut utiliser le bouton On/Off pour activer ou désactiver le générateur (voir ci-dessus). Le bouton Filter Bypass ne concerne pas le filtre intégré au générateur de bruit. Ce dernier est désactivé en cliquant sur le bouton Byp dans la section de filtrage du générateur de bruit. Il est donc possible de filtrer le signal du générateur de bruit deux fois. Toutefois dans la majorité des cas, il vaut probablement mieux éviter que le signal du générateur de bruit passe par le filtre principal pour ne pas surcharger le filtre (composant essentiel pour la programmation des sons de batterie). La section Filter Les signaux de sortie des deux oscillateurs, du modulateur en anneau et du générateur de bruit passent par la section de filtrage centrale d’Ultrabeat (sauf s’ils la contournent via les boutons de contournement du filtre). La section de filtrage offre un filtre multimode et une unité de distorsion. L’ordre de passage des sons dans le filtre et l’unité Distortion est contrôlé par la flèche située au centre de la section Filter. En cliquant dessus, vous pouvez en changer le sens et l’ordre de passage : flèche vers le haut (distorsion, puis filtre) et flèche vers le bas (filtre, puis distorsion). Filtre multimode Unité Distortion616 Chapitre 29 Ultrabeat Remarque : la suite de ce document donne une description des paramètres de filtrage d’Ultrabeat et des concepts fondamentaux relatifs à la synthèse soustractive et aux filtres analogiques. Si vous n’êtes pas familier avec les synthétiseurs, reportez-vous à la section « Notions élémentaires sur les synthétiseurs » à la page 667 pour plus d’informations. Filtre multimode En cliquant sur Filter dans la partie supérieure de la section centrale, vous activez ou désactivez le filtre multimode. S’il est désactivé (c’est-à-dire, s’il apparaît en grisé et non en rouge, comme lorsqu’il est activé), aucun signal issu du moteur de synthèse n’est traité par le filtre. Dans ce cas, les signaux sont directement transmis à l’unité de distorsion. Le filtre multimode présente plusieurs types de filtrage : passe-bas (LP), passe-haut (HP), passe-bande (BP) et rejet de bande (BR). Vous pouvez passer d’un type de filtrage à un autre en cliquant sur les boutons correspondants (situés directement sous le mot Filter). Les noms des types de filtrage indiquent leur rôle : Un filtre passe-bas (LP) autorise les fréquences inférieures à la fréquence de coupure. Il supprime (coupe) les aigus, rendant le son plus sombre et moins clair. Le filtre passe-haut (HP) autorise les fréquences supérieures à la fréquence de coupure. Les graves sont coupés. Le filtre de passe-bande (BP) autorise une fourchette de fréquences supérieures et inférieures à la fréquence de coupure. Les autres fréquences (inférieures et supérieures mais non comprises dans la bande) sont éliminées. Le son obtenu contient alors essentiellement des fréquences moyennes. L’abréviation BR correspond au filtre de rejet de bande. Ce mode de filtrage permet d’éliminer la zone (la bande de fréquences, pour être exact) autour de la fréquence de coupure et de garder uniquement les autres fréquences, plus éloignées (de la fréquence de coupure). Les fréquences moyennes sont ainsi atténuées tandis que les hautes et basses fréquences restent inchangées. Sous les boutons de type de filtrage figurent deux autres boutons : 12 et 24. Ils vous permettent de sélectionner la pente du filtre. Chaque type de filtre Ultrabeat propose, en effet, une pente de 12 ou de 24 dB/octave.Chapitre 29 Ultrabeat 617 Remarque : les filtres ne suppriment pas totalement les parties du signal à éliminer et s’appliquent toujours avec une précision limitée sur la bande sélectionnée. L’inclinaison ou la pente est mesurée en décibels par octave (dB/oct). Les fréquences à proximité de la fréquence de coupure sont généralement moins atténuées que celles plus éloignées. Plus la valeur de la pente augmente, plus la différence de niveau entre les fréquences devient frappante entre les fréquences proches de la coupure et celles plus distantes. Le potentiomètre Cut indique la fréquence de coupure du filtre. Remarque : en jouant sur la valeur de la fréquence de coupure, vous pouvez rendre un son plus sombre (LP), plus fin (HP), plus nasal (BP) ou plus transparent (BR), selon le type de filtre choisi. La coupure (Cutoff) peut être modulée par les sources figurant dans les menus Mod et Via. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Modulation » à la page 623. L’augmentation de la résonance accentue les fréquences proches de la fréquence de coupure. La fourchette de résonance s’étend de 0 (aucune accentuation) jusqu’aux plus hautes valeurs permettant l’auto-oscillation du filtre. La résonance peut, en outre, être modulée par les sources figurant dans les menus Mod et Via. Remarque : l’auto-oscillation est typique des circuits de filtrage analogiques. Elle se produit avec des valeurs de résonance élevées, lorsque le filtre fonctionne en boucle fermée et commence à osciller à sa fréquence naturelle. Distortion Unit La flèche située au centre de la section de filtrage détermine l’ordre de traitement : les signaux transitent par l’unité de distorsion (Distortion Unit) avant ou après leur passage dans le filtre multimode. Un effet de grésillement (Bitcrusher) ou de distorsion est alors créé. L’effet souhaité est activé en cliquant sur le bouton Crushou Distort. L’effet activé figure en rouge. Si aucun bouton n’apparaît en rouge, cela signifie que l’unité de distorsion n’est pas du tout utilisée.618 Chapitre 29 Ultrabeat L’effet de distorsion est modélisé à partir d’une unité de distorsion analogique, qui fonctionne par augmentation du niveau du signal jusqu’à écrêtage. L’effet de grésillement est réalisé de manière numérique : en réduisant volontairement la résolution numérique du son (mesurée en bits), on obtient une coloration numérique intentionnelle du son. Ces deux effets conduisent à des distorsions dont la tonalité diffère autant que les deux approches utilisées. La distorsion offre un caractère plus analogique tandis que le Bitcrusher ne peut dissimuler ses origines numériques (il aurait du mal à les cacher !). Ces deux effets sont contrôlés à l’aide des trois mêmes potentiomètres :  Drive :si vous augmentez la valeur de ce paramètre, le degré de distorsion augmente.  Color : détermine le son de base de la distorsion. Des valeurs élevées permettent d’obtenir un son plus clair, tandis que des valeurs plus faibles donnent une sonorité plus sombre et plus chaude.  Level/Clip : en mode Distortion, cette valeur (Niveau) correspond au volume de la sortie. En mode Bitcrusher, ce potentiomètre détermine le niveau initial requis pour la distorsion (Clip). Section Output Selon la position des différents boutons de contournement du filtre, les signaux de sortie des deux oscillateurs, du modulateur en anneau et du générateur de bruit vont directement vers la section de sortie d’Ultrabeat ou transitent par la section de filtrage. La section de sortie envoie les signaux dans deux égaliseurs (EQ) et dans la section pan modulation/stereo spread (selon un ordre défini préalablement) avant la définition du niveau final. Le comportement de déclenchement (des signaux) est alors ajusté. Égaliseur deux bandes Les deux bandes de l’égaliseur ont des caractéristiques quasiment identiques. Leur configuration est expliquée en combinant leurs paramètres, mais vous pouvez, bien évidemment, ajuster la bande 1 (l’égaliseur du haut dans la section Output) et la bande 2 séparément. Pour activer ou désactiver un égaliseur (EQ), il suffit de cliquer respectivement sur la bande 1 ou la bande 2. Si la bande est active, son nom figure en rouge. Si aucun égaliseur n’est activé, le signal ne subit aucun traitement à ce stade. Chapitre 29 Ultrabeat 619 Il est possible de passer d’un type d’égaliseur à un autre en utilisant les boutons suivants : shelving et peak. En mode shelving, toutes les fréquences supérieures ou inférieures à la fréquence définie sont accentuées ou atténuées. En mode peak, seules les fréquences proches de la fréquence définie sont traitées. Parmi les deux boutons d’égaliseur, celui du haut active le mode shelving. Le bouton du bas active le mode peak. La bande 1 propose un shelving bas et la bande 2, un shelving haut. Le shelving bas n’affecte que les fréquences inférieures à la fréquence définie. Le shelving haut ne traite que les fréquences supérieures à celle définie. Remarque : le shelving de l’égaliseur a un fonctionnement semblable aux filtres passe-bas et passe-haut du synthétiseur. La principale différence est la suivante : alors que les filtres passe-bas et passe-haut permettent uniquement d’atténuer certaines fréquences, le plateau permet également leur accentuation. Le potentiomètre Gain de l’égaliseur est bipolaire. Les valeurs positives amplifient une certaine fourchette de fréquences (identifiée par le type EQ et les réglages Hz). À l’inverse, les valeurs négatives ont un effet d’atténuation. Si le potentiomètre Gain est réglé sur 0, l’égaliseur n’a aucun effet (position neutre). Remarque : pour revenir à cette position neutre, vous pouvez cliquer dessus en maintenant la touche Option enfoncée. Vous pouvez également cliquer sur le petit 0 au-dessus du potentiomètre Gain. La fréquence est définie en cliquant sur le paramètre Hz et en le faisant glisser vers le haut, jusqu’à la valeur souhaitée. Cela détermine la fourchette de fréquences à accentuer ou à atténuer. Remarque : si vous cliquez sur le paramètre Hz tout en appuyant sur la touche Option, le paramètre Hz revient à une position neutre. Cette position correspond à 200 Hz pour la première bande et 2 000 Hz, pour la seconde. Le choix de ces fréquences par défaut a été effectué en fonction des différentes caractéristiques de shelving pour chaque bande de fréquences. La bande 1 est conçue pour filtrer les basses fréquences et la bande 2, les hautes.620 Chapitre 29 Ultrabeat Le facteur Q est géré en cliquant sur le paramètre correspondant, puis en le faisant glisser vers le haut, jusqu’à la valeur souhaitée. L’effet de ce facteur sur le son dépend largement du choix du type d’égaliseur :  Avec les filtres shelving, si la valeur Q augmente, la zone autour de la fréquence-seuil devient plus accentuée.  Avec l’égaliseur peak, la valeur Q détermine la largeur de la bande de fréquences à traiter : les valeurs basses sélectionnent une bande large et les valeurs élevées, une bande étroite, à amplifier ou à atténuer avec le contrôle Gain. Modification graphique des bandes de l’égaliseur Chaque bande dispose de sa propre représentation graphique signalant les modifications sur la courbe de réponse en fréquence. Cette représentation permet d’accéder directement aux paramètres Gain, Hz et Q. Cliquez simplement sur la courbe à l’aide de la souris, puis modifiez-la en la déplaçant verticalement ou horizontalement. Les déplacements horizontaux modifient la fréquence de l’égaliseur, et les verticaux, le gain. Le sommet de la courbe (point le plus élevé) présente une poignée permettant de modifier le facteur Q en fonction de son déplacement vertical. Pan Modulation et Stereo Spread Le signal de sortie de l’égaliseur transite par la section Pan Modulation/Stereo Spread. Dans cette section, le positionnement du son dans le champ stéréo (défini dans la table de mixage de la section d’assignation) peut être modulé (mode Pan Modulation). Il est également possible d’élargir la base stéréo du son (mode Stereo Spread). Activez le mode souhaité en cliquant sur le bouton approprié (Pan Mod ou Spread). Si aucun de ces modes n’est activé, le signal ne subit aucun traitement à ce stade. Pan Modulation La modulation de balance (Pan modulation) modifie la position du panorama du son de batterie en fonction d’une source Mod ou Via. La modulation définie ici est relative à la position du panorama indiquée dans la table de mixage Ultrabeat. Bouton Pan Mod Bouton SpreadChapitre 29 Ultrabeat 621 La position du panorama dans la table de mixage est représentée dans cette section par une fine ligne rouge. À gauche et à droite de la ligne, de petits curseurs (et les menus associés) permettent d’ajuster les processus de modulation Mod et Via. Remarque : dans cette section, vous ne pouvez pas cliquer sur la ligne rouge et la déplacer ainsi directement. Pour ce faire, vous devez tourner le potentiomètre Pan dans la section de la table de mixage. Diffusion stéréo La diffusion stéréo élargit l’image stéréo, augmentant ainsi la sensation d’espace. Le paramètre pour les fréquences graves applique l’effet de diffusion aux basses fréquences : plus la valeur est élevée, plus l’effet est marqué. Le paramètre pour les fréquences aiguës permet, quant à lui, d’appliquer l’effet aux hautes fréquences. Voice Volume Ce potentiomètre rotatif permet de régler le volume de sortie des différents sons de batterie. Pour être plus exact, vous contrôlez le volume voix avec Env 4. Vous ajustez ainsi le volume maximal atteint après la phase d’attaque d’Env 4. L’effet de l’enveloppe sur le volume voix peut, en outre, être modulé par la source Via. Remarque : l’étape de réglage pour le volume voix est antérieure à celle des curseurs de mixage. Vous pouvez ainsi commencer à ajuster le volume de chaque son de batterie, un par un, indépendamment de leurs niveaux relatifs dans le mixage du kit de batterie.622 Chapitre 29 Ultrabeat Menus Trigger et Group Le mode de traitement dans Ultrabeat d’une succession de notes entrantes est défini pour chaque son individuellement. Les paramètres correspondants se trouvent dans la section Output, sous le potentiomètre Voice Volume. Pour ouvrir le menu Trigger, cliquez sur le bouton figurant sous ce nom de menu. Choisissez ensuite entre les modes Single et Multi trigger.  Single : le déclenchement (trigger) d’une nouvelle note coupe la (même) note actuellement jouée.  Multi : lorsqu’une nouvelle note est jouée, les notes précédentes (actuellement jouées) poursuivent leur chute selon les réglages de leur enveloppe d’amplitude respective (Env 4). Pour ouvrir le menu Group, cliquez sur le bouton figurant sous ce nom de menu. Choisissez ensuite de désactiver la fonction associée ou sélectionnez un groupe de 1 à 8. Si deux sons différents sont affectés au même groupe, ils se coupent mutuellement. En général, cette fonction est utilisée pour la programmation de sons charlestons : lorsque vous jouez un vrai charleston, la note charleston de fermeture coupe net le charleston ouvert. Cette fonction est souvent désignée par « hi-hat group ». Remarque : en mode Single Trigger, seule la note (du même son) sonnant actuellement est coupée. En revanche, si le son est affecté à un groupe, il coupe tous les autres sons du groupe (quelle que soit la note). Pour activer ou désactiver la fonction Gate, cliquez sur le bouton du même nom. Si elle est active, le son est coupé dès que la note MIDI n’est plus enfoncée (relâchement de la note MIDI), indépendamment des réglages de l’enveloppe. Remarque : la fonction Gate permet d’empêcher qu’un son donné continue d’être joué au-delà d’un événement de relâchement de note, comme défini dans le séquenceur. Le paramètre Gate Length du séquenceur pas à pas d’Ultrabeat permet d’indiquer la définition rythmique correspondant à la durée exacte du relâchement de la note. Le séquenceur Logic Pro vous permet de quantifier les événements de relâchement de note et de les modifier manuellement avec précision. La longueur des notes peut être un élément créatif important lors de la programmation des pistes rythmiques.Chapitre 29 Ultrabeat 623 Modulation De nombreux paramètres de son peuvent être contrôlés dynamiquement (modulés) dans Ultrabeat. Ultrabeat fournit deux puissants oscillateurs basse fréquence (LFO), quatre générateurs d’enveloppe, un contrôleur de vélocité et quatre contrôleurs MIDI librement définissables en tant que sources de modulation. Le réglage des processus de modulation suit un principe universel (présenté dans la suite de ce chapitre). Principle des processus de modulation Les processus de modulation Ultrabeat reposent sur trois composantes clés :  le paramètre du synthétiseur à moduler (la cible de modulation),  la source de la modulation (la source de modulation),  une autre source de modulation affectant l’intensité de la première modulation (appelée modulation Via). Modulations Mod et Via Avec le paramètre Mod, vous pouvez moduler un paramètre de son à l’aide d’une valeur ajustable (nommée profondeur de modulation). Les sources de modulation disponibles sont les suivantes : deux LFO, quatre générateurs d’enveloppe et Max. Via permet de préciser davantage l’effet de modulation. En d’autres termes, la profondeur de la première modulation (Mod) peut être modulée par une source distincte et autonome. L’intensité de l’effet est indiquée à l’aide du paramètre Via. Les sources des modulations Via comprennent le contrôleur de vélocité et quatre contrôleurs MIDI pouvant être définis librement. Généralement, la fonction Via permet d’augmenter la vitesse de balayage de la tonalité si la vélocité du jeu est élevée, par exemple. Pour ce faire, une enveloppe (Env) est choisie comme source Mod pour la tonalité de l’oscillateur utilisé et la vélocité (Vel) sert de source Via. Plus la touche est enfoncée fermement, plus le son généré est élevé (en termes de hauteur tonale) : c’est typique, notamment, des sons de toms synthétisés. Fonctions de modulation particulières La conception des options de modulation Mod et Via est très innovante, si on compare Ultrabeat aux autres synthétiseurs, plus traditionnels. En effet, dans les options Mod et Via d’Ultrabeat, l’utilisateur indique une valeur cible à atteindre par la modulation des paramètres cible respectifs. Il ne définit pas la modulation ou l’intensité de l’effet par un pourcentage. Le résultat de ce processus de modulation (l’effet minimal et maximal à appliquer sur le paramètre à moduler) peut donc être défini simplement et visualisé rapidement ; l’utilisation de modulations primaires et secondaires devient alors une opération tout à fait intuitive. Voici un exemple permettant de mieux en comprendre le fonctionnement :624 Chapitre 29 Ultrabeat La valeur moyenne (par défaut) du paramètre Cut (Coupure) est 0,50. Ce paramètre n’est pas encore modulé car aucune source de modulation n’a été sélectionnée, que ce soit dans le menu rouge, Mod, ou le menu bleu, Via, (actuellement sur Off). Dès qu’une source de modulation est sélectionnée dans le menu Mod (Env 1, par exemple), l’anneau autour du potentiomètre rotatif devient actif. À l’aide de la souris, vous pouvez utiliser cet anneau pour définir la valeur cible du paramètre devant être amplifié par la source Mod (0,70 par exemple). Dès qu’une source de modulation est sélectionnée dans le menu Via (Vel, par exemple), un curseur apparaît sur l’anneau Mod. Vous pouvez le déplacer à l’aide de la souris afin de définir la valeur de modulation maximale à atteindre avec la source Via (0,90 par exemple). Les réglages sont à présent terminés. Que signifient les repères figurant autour du potentiomètre Cut ? Que se passe-t-il au niveau du son ? Les contrôles Mod et Via indiquent les valeurs minimale et maximale que le paramètre modulé peut atteindre (par rapport à sa valeur moyenne) ; autrement dit, le résultat de la modulation. Ces contrôles n’indiquent pas un pourcentage d’intensité, comme c’est généralement le cas sur les autres synthétiseurs, mais énoncent clairement : « les valeurs minimale et maximale possibles pour le paramètre modulé ».Chapitre 29 Ultrabeat 625 Revenons à notre exemple ; la valeur moyenne de 0,50 est affectée à la fréquence du filtre. Lorsque la source Mod Env 1 est utilisée, le générateur d’enveloppe Env 1 augmente la valeur Cut de 0,50 à 0,70 (lors de la phase Attack) et la redescend à 0,50 (lors de la phase Decay). Remarque : les valeurs exactes figurent dans les info-bulles qui s’affichent lorsque vous cliquez sur la poignée propre à chacun des paramètres. Si la source Via Ctrl A est également utilisée, les interactions suivantes se produisent : si la valeur minimale de Ctrl A est utilisée, aucun changement ne se produit (pour le moment) ; la coupure (Cutoff) est toujours modulée entre 0,50 et 0,70 par l’enveloppe. En revanche, la valeur maximale de Ctrl A conduit le générateur d’enveloppe à faire varier le paramètre entre 0,50 (la valeur moyenne) et 0,90 (l’amplitude Via). Vous pouvez, en un coup d’œil, estimer le degré d’influence maximal des sources de modulation Mod et Via sur les paramètres élémentaires : la zone située entre les points Mod et Via montre jusqu’où la profondeur de modulation peut être (encore plus) affectée par la source de modulation Via. Dans notre exemple, la coupure peut atteindre les valeurs comprises entre 0,70 et 0,90, selon la valeur transmise par Ctrl A. Voici un autre exemple : La coupure est de nouveau définie à 0,50, mais Env 1 descend désormais la valeur à 0,25 et une valeur maximale Ctrl A réduit la fréquence de coupure à 0. L’exemple suivant illustre la facilité d’utilisation et la rapidité des options de modulation Ultrabeat : Dans cet exemple, vous ne changez pas simplement l’intensité de la modulation appliquée par Env 1 (qui affecte la coupure) selon la dynamique de votre jeu (Vel), vous allez également contrôler sa direction. Essayez d’effectuer ces réglages dans Ultrabeat afin de créer des sons particulièrement intéressants.626 Chapitre 29 Ultrabeat Configuration du processus de modulation En cliquant sur Mod, vous ouvrez le menu du même nom. Vous pouvez alors sélectionner l’un des oscillateurs basse fréquence (LFO) ou des générateurs d’enveloppe (Env) comme source de modulation. Le paramètre Off désactive le processus de modulation ; il n’est alors plus possible d’utiliser l’anneau Mod. Dans un tel cas de figure, aucune modulation Via ne peut être effectuée (en effet, il n’existe aucune cible de modulation Via). En outre, le curseur Via est masqué. Remarque : le réglage Max conduit à une modulation statique, au plus haut niveau. Dans ce cas, le paramètre Via est affecté directement à la cible de modulation. La vélocité peut alors être utilisée comme source de modulation directe, même si elle n’est pas disponible en tant que source dans le menu Mod. Un autre exemple de réglage consiste à définir une unité de contrôle MIDI externe avec Ctrl A, B, C ou D (voir ci-après). Vous pouvez alors utiliser l’élément Max dans le menu Mod pour affecter la source Via (Ctrl A, B, C ou D) au paramètre que vous souhaitez contrôler à l’aide de l’un des curseurs de votre console de contrôle MIDI. Cliquez sur Via pour ouvrir le menu du même nom. Dans ce menu, vous pouvez choisir Vel ou les paramètres Ctrl A à Ctrl D. Vel représente la vélocité. Ctrl A à Ctrl D représentent les quatre contrôleurs continus pouvant être affectés aux quatre contrôleurs MIDI externes. Cette correspondance est effectuée dans la zone d’assignation de contrôleur MIDI, située dans la partie supérieure droite de la fenêtre Ultrabeat (voir ci-dessous). Les correspondances définies s’appliquent à l’ensemble des sons dans l’instance de module Ultrabeat active.Chapitre 29 Ultrabeat 627 Contrôleurs MIDI A–D Dans la zone d’assignation de contrôleur MIDI (dans la partie supérieure de la fenêtre Ultrabeat), vous pouvez attribuer un contrôleur MIDI standard à chacun des quatre logements de contrôleur : Ctrl A, B, C ou D. Ctrl A, B, C et D peuvent servir de source de modulation Via dans Ultrabeat. Utilisez ces correspondances pour configurer votre matériel de contrôleur MIDI externe afin qu’il fonctionne avec Ultrabeat, Exemples : pour utiliser l’aftertouch ou la mollette de modulation de votre clavier MIDI. Remarque : chaque menu d’assignation de contrôleur MIDI comporte une option Learn. Si vous la sélectionnez, le paramètre actif est automatiquement attribué au premier message de données MIDI entrant approprié. Le mode d’apprentissage présente une fonction de délai de 20 secondes :si Ultrabeat ne reçoit pas un message MIDI dans les 20 secondes suivantes, le paramètre est de nouveau attribué au contrôleur MIDI initial. LFO 1/2 Parmi les sources de modulation possibles, deux LFO sont disponibles dans le menu Mod. Le terme LFO est utilisé pour l’oscillateur basse fréquence. Le signal LFO est utilisé comme source de modulation. Avec un synthétiseur analogique, la fréquence LFO se situe généralement entre 0,1 et 20 Hz (au-delà du spectre de fréquences audibles). Remarque : la fréquence du LFO Ultrabeat peut atteindre 100 Hz. Une telle fréquence offre un grand nombre de possibilités, en comparaison avec les synthétiseurs analogiques. Ultrabeat présente deux LFO dotés d’un ensemble de fonctions identiques. Leurs paramètres sont décrits de manière indissociée ; toutefois, vous pouvez, bien évidemment, régler LFO 1 et LFO 2 de manière totalement indépendante. Les boutons indiquant 1 et 2 permettent de sélectionner le LFO correspondant ; vous pouvez ensuite régler les paramètres du LFO sélectionné. Le bouton bleu On/Off permet d’activer ou de désactiver le LFO sélectionné.628 Chapitre 29 Ultrabeat La section LFO affiche la forme d’onde de l’oscillateur. Elle est gérée à l’aide du curseur Shape, situé directement en dessous. En le déplaçant vers la gauche ou la droite, vous pouvez faire évoluer progressivement la forme d’onde vers une courbe sinusoïdale, un triangle et, enfin, un carré (avec une largeur d’impulsion variable), ce qui comprend également l’ensemble des variations intermédiaires. Si le curseur est placé complètement à droite, le LFO génère des formes d’onde aléatoires. La vitesse du LFO (Rate) peut être définie de manière indépendante (bouton Free) ou synchronisée (bouton Sync) par rapport au tempo du morceau Logic Pro. En cliquant une fois sur l’un de ces deux boutons, vous activez le mode correspondant. Le potentiomètre Rate permet de fixer la vitesse du LFO. Selon le réglage Free/Sync, elle s’affiche en Hz, ou en unités musicales (de mesure). Avec le potentiomètre Ramp, vous déterminez si un fondu en entrée ou en sortie est utilisé pour le signal de sortie du LFO. Ce potentiomètre est bipolaire : si vous le tournez vers la droite, vous augmentez la durée de l’attaque, vers la gauche, vous diminuez le temps de chute (decay). En position médiane, il n’a aucun effet sur le LFO. La valeur Ramp est indiquée en millisecondes dans le champ correspondant au paramètre. Normalement, un LFO oscille en permanence. Cependant, pour les signaux percussifs, il peut être intéressant de limiter les cycles du LFO à un nombre déterminé. Ultrabeat vous permet d’indiquer le nombre de cycles LFO dans le paramètre Cycles. Une fois ce nombre défini atteint, le LFO cesse d’osciller. Essayez avec des valeurs de cycle faibles et utilisez le volume de l’oscillateur pour créer des effets de claquements de mains et de roulement typiques. La fourchette de valeurs possibles va de 1 à 100. En tournant le potentiomètre vers sa valeur maximale (complètement à droite), une oscillation permanente se produit (un nombre de cycles infini). Une valeur de cycle de 1 permet au LFO de fonctionner comme un générateur d’enveloppe supplémentaire (mais simple). Le paramètre Cycle peut également déterminer si le LFO (forme d’onde) commence en partant du point initial (zéro) à chaque déclenchement de note, ou s’il continue simplement d’osciller. La valeur de cycle Inf (Infini) force le LFO à osciller librement. Il n’est pas réinitialisé à chaque message de note MIDI entrante. Lorsque des valeurs inférieures à 100 sont affectées au Cycle, le LFO est réinitialisé à chaque nouveau message de note MIDI entrante (réinitialisation à chaque nouvelle note). Le choix de déclencher un cycle LFO à partir du même point ou de laisser le LFO osciller librement, indépendamment de la phase n’est qu’une question de goût. La partie aléatoire dans la libre oscillation des LFO peut alourdir de nombreux sons. Toutefois, cela peut nuire à l’attaque des sons percussifs ; ce qui est souvent indésirable dans le cadre d’un synthétiseur de batterie.Chapitre 29 Ultrabeat 629 Remarque : vous pouvez, bien sûr, tirer avantages des légères déviations de la phase LFO (avec la valeur Cycle définie sur Infini), en ajoutant un caractère analogique au son de batterie, par exemple. Env 1 à 4 Parmi les autres sources de modulation dont vous disposez dans le menu Mod, il existe quatre générateurs d’enveloppe dotés de spécifications identiques. Les paramètres d’enveloppe sont décrits dans cette rubrique. Remarque : outre ses relations potentielles avec les menus Mod des différents paramètres de son, Env 4 dispose d’une connexion permanente avec Voice Volume. Autrement dit, Ultrabeat dispose d’un générateur d’enveloppe de volume bien connecté. Structure des générateurs d’enveloppe Le réglage par défaut des générateurs d’enveloppe est appelé mode Envelope à déclenchement unique : lorsqu’on appuie sur une touche (message à chaque note), les enveloppes suivent leur cours, quelle que soit la durée pendant laquelle la touche est maintenue enfoncée. Ce réglage convient parfaitement aux signaux percussifs car il permet d’émuler simplement le comportement des sons de percussion naturels. Dans des cas particuliers, par exemple, pour des sons de cymbales soutenus, vous pouvez activer le mode Sustain. Les enveloppes suivent alors la durée des notes jouées. Modification graphique des enveloppes Avant d’aborder chacun des paramètres, prenez le temps de vous familiariser avec la représentation graphique d’une enveloppe, illustrée ci-dessous. L’écran relatif aux enveloppes d’Ultrabeat fournit un nouveau mode de conception d’enveloppes, incluant des courbes de Bézier dans lesquelles deux segments, l’attaque et la chute (decay), constituent l’enveloppe. Dans la représentation d’une enveloppe, vous pouvez distinguer plusieurs points de jonction de deux tailles différentes. Les deux poignées les plus larges sur l’axe des abscisses (l’axe horizontal ou l’axe du temps) contrôlent les temps d’attaque et de chute (decay), respectivement. Une ligne verticale part de la première des deux poignées et divise l’enveloppe en phase d’attaque et de chute. Les deux segments contiennent chacun deux points de jonction de courbe. Vous pouvez les déplacer dans n’importe quelle direction afin de déformer le contour de l’enveloppe et définir librement son amplitude.630 Chapitre 29 Ultrabeat Pour déplacer les points de jonction de courbe, cliquez simplement dessus et faites les glisser jusqu’à l’emplacement souhaité. Essayez de déplacer les différents points de jonction. Vous réaliserez rapidement que leur manipulation est très intuitive. Vous pouvez, en outre, cliquer directement sur un angle de la courbe et le faire glisser en maintenant le bouton de la souris enfoncé. Paramètres d’enveloppe Pour modifier les paramètres d’une enveloppe, sélectionnez tout d’abord l’enveloppe en cliquant sur le bouton approprié parmi les quatre disponibles. Les paramètres de l’enveloppe sélectionnée peuvent à présent être directement modifiés dans la fenêtre d’affichage des enveloppes. Attack Time Attack time définit le temps que met l’enveloppe à atteindre sa valeur maximale. Cette durée est calculée à partir du moment où vous appuyez sur une touche (nouvelle note). Elle correspond à la phase d’attaque. À l’aide de la souris, cliquez sur le point de jonction de l’attaque (la poignée la plus à gauche parmi celles situées sur l’axe des abscisses), puis déplacez-le pour raccourcir ou prolonger la durée de l’attaque. Remarque : pour modifier la forme de l’enveloppe lors de la phase d’attaque, vous pouvez déplacer les deux points de jonction figurant dans ce segment. Vous pouvez également cliquer sur la courbe et la modifier. Decay Time La durée de chute détermine le temps que met l’enveloppe à redescendre vers une amplitude zéro, après avoir atteint sa valeur maximale (définie dans la phase d’attaque). Si vous déplacez le second point de jonction le long de l’axe des abscisses, vous raccourcissez ou prolongez la phase de chute. Remarque : pour modifier la forme de l’enveloppe lors de la phase de chute, vous pouvez déplacer les deux points de jonction figurant dans ce segment. Vous pouvez également cliquer sur la courbe et la modifier. Modulation d’enveloppe La durée et la forme des enveloppes peuvent être modulées par la vélocité. En cliquant sur le champ situé sous les boutons 1 à 4, vous ouvrez le menu Mod Env. Choisissez Time ou Shape de la phase (A)ttack ou (D)ecay comme cible de modulation. L’intensité de la modulation est réglée à l’aide du curseur mod, sous l’affichage de l’enveloppe. Remarque : lorsque vous modulez le paramètre Shape, de faibles valeurs de vélocité font « fléchir » la forme de l’enveloppe, tandis que des valeurs élevées font « saillir » le segment d’enveloppe sélectionné.Chapitre 29 Ultrabeat 631 Remarque : lorsque vous modulez la durée, l’augmentation des valeurs de vélocité conduit au raccourcissement de la longueur du segment considéré. Des valeurs de vélocité faibles, à l’inverse, augmentent la longueur du segment. Sustain Si vous activez le bouton Sustain, une poignée rouge (et une ligne verticale) apparaît sur l’axe des abscisses. Vous pouvez déplacer la poignée horizontalement, mais uniquement au sein de la zone du segment de chute. L’amplitude atteinte par l’enveloppe au niveau du point de jonction Sustain est prolongée jusqu’à ce que la note MIDI soit relâchée. Une fois la commande de relâchement de la note MIDI reçue, l’enveloppe poursuit son évolution pendant la durée de chute restante. Remarque : si le bouton Sustain n’est pas activé, l’enveloppe utilise le mode « déclenchement unique », et la longueur de la note (commande de relâchement MIDI) n’est pas prise en compte. Zoom (to fit) En cliquant sur le bouton Zoom, vous augmentez la taille de l’enveloppe pour qu’elle remplisse la totalité de la largeur de l’affichage. Il vous est ainsi plus facile d’ajuster les points de jonction et les courbes. Après la modification des valeurs Attack et Decay, le nouveau graphique s’affiche rapidement. Remarque : lorsque la fonction Zoom est sélectionnée, le point de jonction de chute peut être déplacé complètement à droite de la zone d’affichage, afin d’augmenter le délai de chute. Lorsque vous relâchez le bouton de la souris, le graphique de l’enveloppe est automatiquement redimensionné en fonction de la zone d’affichage. Zoom A/D Le bouton Zoom A permet de montrer uniquement la phase d’attaque sur la totalité de la zone d’affichage et le bouton Zoom D, uniquement la phase de chute (Decay). Vous pouvez ainsi modifier les formes d’enveloppe (shape) plus facilement et plus précisément (jusqu’à des valeurs en millisecondes). 632 Chapitre 29 Ultrabeat Affichage de la cible de modulation des LFO et des enveloppes L’interface d’Ultrabeat comporte une fonction qui accélère la recherche des cibles de modulation des LFO et des enveloppes : appuyez simplement sur le champ numérique de la source de modulation souhaitée afin de sélectionner toutes ses cibles de modulation. Le séquenceur pas à pas Le séquenceur pas à pas intégré permet de combiner tous les sons Ultrabeat en séquences, selon des patterns. Sa conception et son utilisation (entrée de programmation pas à pas) sont basées sur ces prédécesseurs analogiques. Cependant, contrairement à eux, vous pouvez également y programmer des changements automatiques pour quasiment la totalité des paramètres du synthétiseur. Selon vos goûts personnels et votre style de musique préféré, vous souhaiterez, pour la programmation de rythmes, contrôler Ultrabeat via le séquenceur pas à pas intégré ou à partir de Logic Pro. Il est également possible de combiner les deux séquenceurs. En effet, ils peuvent être activés en même temps. Dans ce cas, ils se synchronisent automatiquement. Le tempo Logic Pro détermine alors le tempo du séquenceur pas à pas interne d’Ultrabeat. Si vous ne connaissez pas le concept de « séquencement pas à pas », voici une brève présentation de l’avènement du séquenceur. Cela vous aidera à comprendre la conception du séquenceur pas à pas Ultrabeat. Le principe du séquenceur pas à pas Le principe de base au cœur des séquenceurs pas à pas analogiques était de configurer une progression de tensions de contrôle et de les « sortir » pas à pas. Au départ, trois tensions de contrôle étaient généralement créées par pas, permettant ainsi de gérer différents paramètres. En général, elles concernaient le contrôle de la tonalité (pitch), de l’amplitude et du timbre (cutoff) du son pour chaque pas. Cible de modulation sélectionnée pour l’enveloppe 1. Cliquez ici pour sélectionner toutes les cibles de modulation de l’enveloppe 1.Chapitre 29 Ultrabeat 633 La surface de contrôle des séquenceurs analogiques présentait souvent trois rangées de potentiomètres (ou boutons) les unes au-dessus (ou à côté) des autres ; chaque rangée comprenait 16 pas. Chaque rangée avait, en outre, sa propre sortie de tension de contrôle et le paramètre ainsi contrôlé était déterminé par la sortie de contrôle (du synthétiseur) à laquelle il était relié. Une impulsion de déclenchement (trigger) définissait le tempo des pas. Un défilement à LED (succession de diodes électroluminescentes) indiquait le pas joué. Ce principe permettait de créer un style de musique électronique dont l’attrait résidait dans l’effet hypnotisant de la répétition des patterns. Le concept de programmation à défilement à LED a, par la suite, été utilisé dans les boîtes à rythmes. Les plus connues de ces boîtes à rythmes étaient les Roland de la série TR, très répandues à l’époque. L’introduction de la norme MIDI et l’utilisation croissante des ordinateurs personnels pour faire de la musique ont conduit à un rapide déclin du séquenceur pas à pas et des technologies associées. Le concept de programmation pas à pas semblait alors désuet tandis que le principe de pattern était en vogue. Toutefois, les séquenceurs pas à pas n’ont pas totalement disparu. Les Groove Box autonomes ont même connu un net regain de popularité ces dernières années. Grâce à leur maniement intuitif, ce sont désormais des outils de programmation rythmique extrêmement précieux. Ultrabeat propose un séquenceur pas à pas intégré totalement innovant, qui conjugue les avantages de ces prédécesseurs analogiques au présent. Il forme avec Logic Pro un « duo dynamique » et porte la programmation rythmique à un niveau jamais atteint. Séquencement pas à pas avec Ultrabeat Le séquenceur pas à pas Ultrabeat comporte 24 séquences, chacune incluant 32 pas. Le séquenceur est divisé en trois sections.  Paramètres globaux : ces paramètres contrôlent de manière globale les patterns et les sons, quelles que soient leurs caractéristiques individuelles.  Paramètres de Pattern : contrôlent le pattern actuellement sélectionné. Paramètres de Pattern Grille des pas Paramètres globaux Paramètres de Pattern634 Chapitre 29 Ultrabeat  Step Grid : c’est ici que s’effectue le séquencement à proprement parler. Un pattern de 32 pas est indiqué pour chaque son. La grille de pattern du son actuellement sélectionné dans la section d’attribution s’affiche. Vous pouvez ajouter des éléments dans la grille, ou en supprimer, en cliquant simplement sur l’emplacement du pas concerné. Les valeurs des paramètres de chaque pas sont modifiées en cliquant dessus et en les déplaçant à l’aide de la souris. Paramètres globaux Les paramètres s’appliquant de manière globale à tous les patterns sont décrits ci-après. Bouton On/Off Ce bouton permet d’activer ou de désactiver le séquenceur pas à pas. Bouton Edit Mode Bouton permettant de passer du mode Voice au mode Step, et vice versa.  Mode Voice (par défaut) : dans ce mode, la modification des paramètres d’un son de batterie définit les paramètres du son de batterie lui-même.  Mode Step : vous permet d’automatiser un paramètre de son d’un pas vers le suivant. Les valeurs sont décalées, et non définies : l’ensemble de vos réglages de son de batterie initiaux restent intacts. Les modifications effectuées dans le cadre de l’automatisation pas à pas n’affectent les paramètres que lorsque le séquenceur est activé. Ces changements au niveau des paramètres se produisent individuellement, par pas. Cela signifie que si le séquenceur est désactivé, vous entendez toujours le son initial. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Mode Step » à la page 640. Bouton Transport Le bouton Transport lance et arrête le pattern du séquenceur. Vous pouvez ainsi analyser le motif du séquenceur pas à pas alors que Logic Pro est arrêté, par exemple. Le séquenceur pas à pas est toujours synchronisé sur le tempo Logic Pro. Remarque : si le bouton Transport est bleu, le séquenceur considère les notes MIDI entrantes (situées entre C1 et B0 soit Do1 et Si0) comme des informations d’interprétation. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Utilisation de MIDI pour contrôler le séquenceur » page 645 et suivantes Swing Ce potentiomètre rotatif détermine globalement l’intensité du swing pour tous les sons dont la fonction Swing est activée (voir « Activation du paramètre Swing » à la page 636). Chapitre 29 Ultrabeat 635 La fonction Swing modifie la distance entre les notes : celles se trouvant sur des pas impairs restent inchangées, tandis que celles se trouvant sur des pas pairs subissent un léger décalage. La fonction Swing n’est pas activée si son réglage est sur 0, c’est-à-dire si le potentiomètre est complètement à gauche. Si vous le tournez vers la droite, les notes affectées sont décalées vers la note suivante. Remarque : la fonction de Swing n’est active que pour des résolutions de grille de 1/8 et 1/16. Paramètres de Pattern Un pattern contient un nombre maximum de 32 pas et inclut l’ensemble des événements de chacun des 25 sons. Tout en bas de la fenêtre Ultrabeat, vous pouvez sélectionner un des 24 patterns et définir les paramètres de chacun pour la totalité des sons. Menu Pattern Il vous permet de choisir un pattern parmi les 24 disponibles. Paramètre Length Ce paramètre définit la durée d’un pattern. La longueur de la grille peut être ajustée en déplaçant la valeur du paramètre Length ou la barre située sous les boutons Swing. Resolution Ce paramètre détermine la résolution du pattern. Il définit l’unité métrique utilisée pour une mesure représentée par des pas distincts. Exemple :si la résolution est de 1/8, chaque pas de la grille représente une croche. Si la durée du pattern est de 32 pas, le pattern s’exécute sur 4 mesures (32 ÷ 8). Le paramètre Resolution s’applique à la totalité de la grille, et donc, à tous les sons de la même manière. Remarque : si vous utilisez conjointement les paramètres Length et Resolution, vous pouvez créer différents types de mesures. Voici quelques exemples : les valeurs Length = 14 et Resolution = 1/16 donnent une mesure à 7/8, Length = 12 et Resolution = 1/16, une mesure à 3/4, et Durée = 20 et Résolution = 1/16, une mesure à 5/4. Accent Des pas particuliers peuvent être fortement appuyés ou accentués.636 Chapitre 29 Ultrabeat Pour activer la fonction Accent, cliquez sur le voyant bleu à droite du curseur du même nom. Le curseur détermine le volume global des accentuations programmées. Si vous voulez programmer une accentuation pour un pas donné, cliquez sur le voyant bleu situé au-dessus du pas en question. Ce pas sera alors joué plus fort. Remarque : pour chaque son de batterie, vous pouvez activer ou désactiver le réglage de l’accentuation. Vous pouvez ainsi, activer l’accentuation des cymbales, mais désactiver celle de la grosse caisse. Activation du paramètre Swing Si vous activez le bouton Swing bleu sous le bouton Accent, la grille du son actuellement sélectionné est jouée conformément au réglage du potentiomètre Swing. Seuls les pas pairs sont affectés par le paramètre Swing ; pour savoir exactement à quels temps ils correspondent, il faut prendre en compte le réglage du paramètre Resolution, comme expliqué dans l’exemple suivant. Avec une résolution de 1/8 et une durée de 8, les notes des pas 1, 3, 5 et 7 représentent des noires sur la mesure. Elles ne sont pas affectées par ces modifications. Seules les croches intermédiaires (pas 2, 4 et ainsi de suite) sont décalées par la fonction Swing. L’ampleur du décalage est fonction de l’intensité du swing (voir la rubrique « Swing » à la page 634). Remarque : la fonction Swing n’est active que sur des résolutions de grille de 1/8 (croche) et 1/16 (double croche). Grille des pas Dans la grille des pas, le pattern est représenté par plusieurs rangées et pas. Les rangées correspondent toujours au son actuellement sélectionné dans la zone d’assignation. Si vous choisissez un autre son, l’affichage du séquenceur change afin de représenter les rangées du nouveau son sélectionné. La zone de la grille des pas contient deux rangées, comprenant chacune 32 champs.  Rangée Trigger : en cliquant sur l’un des boutons de cette rangée vous activez ou désactivez le son pour le battement correspondant. Rangée Trigger Rangée Velocity/GateChapitre 29 Ultrabeat 637  Rangée Velocity/Gate : ici, vous définissez la longueur (gate time) et la vélocité des notes entrées dans la rangée trigger. Ces deux paramètres sont représentés sous la forme d’une barre graphique unique. La hauteur de la barre indique la vélocité et sa longueur, la durée de la note. Rangée Trigger Dans cette rangée, constituée des boutons 1 à 32, les événements de déclenchement sont placés sur les pas correspondants. En d’autres termes, c’est ici que vous indiquez quand (sur quel battement) le son sélectionné doit être joué. En cliquant sur l’un de ces 32 boutons, vous activez ou désactivez le son pour le battement correspondant. Dans l’exemple précédent, les pas concernés étaient les pas 1, 4, 8, 9 et 14. Remarque : en faisant glisser le curseur de la souris sur les boutons, vous pouvez rapidement activer ou désactiver les déclencheurs correspondants. Menu xontextuel Trigger Cliquez en maintenant la touche Ctrl enfoncée (ou cliquez avec le bouton droit de la souris) sur l’un des boutons de déclenchement pour ouvrir le menu Trigger. Ce menu propose les commandes suivantes :  Copy : copie l’ensemble des déclencheurs activés dans le Presse-papiers.  Paste : colle l’ensemble des déclencheurs à partir du Presse-papiers.  Clear : désactive l’ensemble des déclencheurs activés.  Add Every Downbeat : ajoute des déclencheurs pour chaque temps frappé (downbeat), jusqu’à ce que la séquence soit complète. La définition exacte des pas à frapper dépend de la résolution de la grille. Par exemple, si la résolution est de 1/16, Add Every Downbeat crée un déclencheur à chaque quatrième pas. Si le premier temps frappé est joué sur le pas 1, des événements de déclencheur sont alors définis pour les pas 5, 9, 13 et ainsi de suite. Cette commande n’affecte pas les événements de déclencheur déjà existants, elle ne fait qu’en ajouter.  Add Every Upbeat : ajoute des déclencheurs pour chaque temps levé (upbeat), jusqu’à ce que la séquence soit complète. La définition exacte des pas à lever dépend de la résolution de la grille. Par exemple, si la résolution est de 1/16, « Add Every Upbeat » crée un déclencheur à chaque quatrième pas. Si le premier temps levé est joué sur le pas 3, des événements de déclencheur sont alors définis pour les pas 7, 11, 15 et ainsi de suite. Cette commande n’affecte pas les événements de déclencheur déjà existants, elle ne fait qu’en ajouter.  Alter Existing Randomly : réorganise les pas du séquenceur de façon aléatoire, en gardant les mêmes numéros de déclencheurs activés.  Reverse Existing : inverse l’ordre des pas actuels du séquenceur.638 Chapitre 29 Ultrabeat  Shift Left by 1 Step : décale les données du séquenceur un pas vers la gauche.  Shift Left by 1 Beat : décale les données du séquenceur d’un battement vers la gauche. Le nombre exact de pas inclus dans un battement dépend de la résolution actuelle de la grille. Par exemple, avec une résolution de 1/16, un battement équivaut à quatre pas ; avec une résolution de 1/8, un battement équivaut à deux pas et ainsi de suite.  Shift Left by 1/2 Beat : décale les données du séquenceur d’un demi battement vers la droite. Le nombre exact de pas inclus dans un demi battement dépend de la résolution actuelle de la grille. Par exemple, avec une résolution de 1/16, un battement équivaut à quatre pas, et donc un demi battement, à deux pas ; avec une résolution de 1/8, un battement équivaut à deux pas, et donc un demi, à un pas, etc.  Shift Right by 1 Step : décale les données du séquenceur d’un pas vers la droite.  Shift Right by 1 Beat : décale les données du séquenceur d’un battement vers la droite. Le nombre exact de pas inclus dans un battement dépend de la résolution actuelle de la grille. Par exemple, avec une résolution de 1/16, un battement équivaut à quatre pas ; avec une résolution de 1/8, un battement équivaut à deux pas et ainsi de suite.  Shift Right by 1/2 Beat : décale les données du séquenceur d’un demi battement vers la droite. Le nombre exact de pas inclus dans un demi battement dépend de la résolution actuelle de la grille. Par exemple, avec une résolution de 1/16, un battement équivaut à quatre pas, et donc un demi battement, à deux pas ; avec une résolution de 1/8, un battement équivaut à deux pas, et donc un demi, à un pas, etc.  Create & Replace Randomly : efface puis crée aléatoirement de nouveaux déclencheurs de séquence ; autrement dit, une toute nouvelle séquence est créée. Le nombre de créations dépend de la résolution de la grille.  Create & Replace Few : semblable à « Create & Replace Randomly », toutefois, seulement quelques événements de déclencheur sont créés. Le nombre de créations dépend de la résolution de la grille.  Create & Replace Some : semblable à « Create & Replace Randomly », toutefois, le nombre d’événements de déclencheur créés est inférieur. Le nombre de créations dépend de la résolution de la grille.  Create & Replace Many : semblable à « Create & Replace Randomly », toutefois, le nombre d’événements de déclencheur créés est supérieur, augmentant le nombre d’événements dans le séquenceur. Chapitre 29 Ultrabeat 639 Ragée Velocity/Gate Dans cette rangée, vous définissez la longueur (gate time) et la vélocité des notes entrées dans la rangée de déclencheurs. Ces deux paramètres sont représentés sous la forme d’une barre graphique unique. La hauteur de la barre indique la vélocité et sa longueur, la durée de la note. En cliquant sur la barre appropriée et en la faisant glisser, vous pouvez modifier les valeurs de vélocité et de longueur de chaque pas. La durée de gate est divisée en quatre parties égales. Il est ainsi plus facile de définir la durée rythmique précise des notes. Pour que l’enveloppe à déclenchement unique fonctionne avec le gate time, il faut activer la fonction Gate au niveau du son lui-même (voir la rubrique « Menus Trigger et Group » à la page 622) ou utiliser les enveloppes en mode Sustain (voir la rubrique « Sustain » à la page 631), en association avec des durées de chute (decay time) rythmiquement utiles (courtes). Reset Le bouton Reset, situé à gauche de la rangée Velocity/Gate, rétablit les valeurs par défaut des paramètres Velocity/Gate (valeur de vélocité par défaut : 75 pour cent ; valeur de porte par défaut : les quatre sections sont actives). Menu contextuel Velocity/Gate Cliquez en maintenant la touche Ctrl enfoncée (ou cliquez avec le bouton droit de la souris) sur des pas dans la rangée velocity/gate pour accéder au menu contextuel proposant les commandes suivantes :  Alter Vel(ocities) : modifie aléatoirement les valeurs de vélocité de l’ensemble des pas, en gardant les mêmes battements sélectionnés (la rangée de déclencheurs reste inchangée).  Alter Gate (Time) : modifie aléatoirement la longueur des notes de l’ensemble des pas, en gardant les mêmes battements sélectionnés (la rangée de déclencheurs reste inchangée).  Randomize Vel(ocities) : identique à Alter Velocities, toutefois, le critère aléatoire est renforcé.  Randomize Gate (Time) : identique à Alter Gate, toutefois, le critère aléatoire est renforcé.640 Chapitre 29 Ultrabeat Affichage de la grille des pas en plein écran Si vous cliquez sur le bouton Full View dans la partie inférieure droite d’Ultrabeat, les contrôles du synthétiseur apparaissent dans une grande grille contenant les boutons de déclenchement. Cette grille affiche les 32 boutons de déclenchement pour chacun des 25 sons de batterie simultanément, indépendamment du son actuellement sélectionné. Le son sélectionné est toujours visible dans le séquenceur pas à pas. Vous pouvez donc définir les paramètres velocity et gate time pour chaque pas ainsi que des décalages en mode Pas à pas. La voie du séquenceur pour le son de batterie sélectionné est représentée à la fois dans la grille en plein écran et dans la voie du séquenceur. La grille et la voie du séquenceur sont toutes deux activées pour le son de batterie sélectionné. Vous pouvez donc, par exemple, créer rapidement des événements de déclencheur dans la grille, puis définir des accentuations dans la voie du séquenceur. Mode Step L’activation du bouton Edit Mode en mode Step lance la fonction d’automatisation pas à pas Ultrabeat. Elle permet de programmer des modifications de paramètre par pas, pour chaque son de batterie. Vous pouvez automatiser tous les paramètres disponibles dans la fonction d’automatisation que vous souhaitez. Les paramètres de son qui peuvent être modifiés par pas incluent l’ensemble des fonctions de la section synthétiseur, hormis les menus (processus de modulation, etc.), les boutons (boutons de type d’oscillateur, boutons de la section trigger/group) et les paramètres Pan/Spread.Chapitre 29 Ultrabeat 641 Tous les paramètres que vous automatisez s’affichent dans un menu local, au-dessus de la rangée Parameter offset (voir la rubrique « Rangée Parameter offset » ci-après). Lorsque vous lancez le mode Step, l’affichage de l’interface Ultrabeat est le suivant :  Des cadres jaunes entourent tous les paramètres de la section synthétiseur disponibles pour l’automatisation. Les autres paramètres sont toujours visibles, mais désactivés.  La rangée Velocity/Gate dans la grille des pas affiche désormais la rangée Parameter offset. Rangée Parameter offset Dans cette rangée, vous pouvez voir et saisir des valeurs de décalage par pas pour chaque paramètre de la section synthétiseur encadré en jaune. La modification des paramètres eux-mêmes est faite, comme avant, à l’aide des contrôles figurant dans la section synthétiseur. En outre, vous pouvez modifier les valeurs de décalage directement dans la rangée offset. Remarque : ces valeurs affectent uniquement le paramètre actuel. En d’autres termes, une valeur saisie dans la rangée offset est soit ajoutée à la valeur définie dans la section synthétiseur (si la valeur de décalage est positive) soit soustraite (si elle est négative). Menu Offset Rangée Parameter Offset642 Chapitre 29 Ultrabeat Saisie de valeurs de décalage En cliquant sur la rangée Parameter offset, vous sélectionnez le pas pour lequel vous souhaitez saisir une valeur. Toutes les modifications effectuées ensuite sur les paramètres du synthétiseur sont enregistrées comme valeurs de décalage pour ce pas dans la rangée Parameter offset. Pour une présentation plus claire, les décalages des paramètres de la section synthétiseur sont indiqués par une fourchette de valeurs apparaissant en jaune. Pour saisir un décalage pour un nouveau paramètre, cliquez sur le paramètre (encadré en jaune) souhaité et faites-le glisser. Une fois le décalage créé, il est représenté de deux manières. Tout d’abord, une ligne jaune est ajoutée, allant du paramètre d’origine vers le nouveau. Dans la rangée Parameter offset, le décalage du paramètre d’origine est indiqué par une ligne jaune, partant du point zéro et augmentant progressivement vers des valeurs de décalage positives ou descendant vers des valeurs négatives. Menu Parameter de la rangée Parameter Offset Tous les paramètres modifiés en mode Step sont automatiquement ajoutés au menu Parameter de la rangée Parameter offset. Vous pouvez également sélectionner d’autres paramètres dans ce menu et ainsi afficher les enregistrements de leurs valeurs de décalage : Vous pouvez modifier ces valeurs de deux manières :  En utilisant simplement la souris, vous pouvez modifier ou ajouter des valeurs de décalage. Chapitre 29 Ultrabeat 643  En cliquant sur un pas donné dans la rangée Parameter offset et en cliquant sur le contrôle correspondant dans la section synthétiseur et en le déplaçant, vous pouvez modifier la valeur de décalage du paramètre affiché. Remarque : si vous déplacez un élément de contrôle de la section synthétiseur alors que sa valeur n’a pas encore été modifiée en mode Step, une entrée supplémentaire est ajoutée dans le menu de décalage. Boutons de la rangée Parameter offset La rangée Parameter offset possède trois boutons :Mute, Solo et Reset Les fonctions de ces boutons sont les suivantes :  Mute : rend silencieux les décalages du paramètre sélectionné.  Solo : permet d’écouter les décalages séparément pour le paramètre sélectionné.  Reset : affecte la valeur zéro à tous les décalages du paramètre sélectionné (aucun décalage). Si vous cliquez de nouveau sur ce bouton, le paramètre est supprimé du menu Parameter. Passage du mode Step au mode Voice Lors de la création de décalages en mode Step, il est possible que vous décidiez de faire une modification rapide sur le son de batterie initial. Pour une simple modification, il est inutile de basculer d’un mode à l’autre ; en effet, vous pouvez appuyer sur Option et Commande pour accéder temporairement au mode Voice dans Ultrabeat. Copie et réorganisation des patterns Vous pouvez réorganiser les 24 patterns d’un son dans le menu Pattern, par des opérations de copier-coller. Pour copier un pattern à l’aide d’un menu contextuel : 1 Sélectionnez un pattern dans le menu Pattern. 2 Cliquez en maintenant la touche Ctrl enfoncée (ou cliquez avec le bouton droit de la souris) sur le menu Pattern, puis choisissez Copy dans le menu contextuel. 3 Choisissez le pattern cible dans le menu Pattern. 4 Cliquez en maintenant la touche Ctrl enfoncée sur le menu Pattern, puis choisissez Paste dans le menu contextuel. Vous pouvez également utiliser des raccourcis clavier pour copier des patterns.644 Chapitre 29 Ultrabeat Pour copier un pattern en utilisant un raccourci clavier : 1 Sélectionnez le pattern souhaité dans le menu Pattern. 2 Appuyez sur Option, ouvrez le menu Pattern et sélectionnez un autre pattern Ultrabeat. Le pattern cible est alors remplacé. Toutes les données de séquenceur présentes dans le nouveau numéro de pattern sont remplacées. Si vous changez d’avis en cours de processus, sélectionnez le numéro du pattern source. Pour sélectionner un pattern : 1 Sélectionnez le motif musical souhaité dans le menu Pattern. 2 Cliquez en maintenant la touche Ctrl enfoncée (ou cliquez avec le bouton droit de la souris) sur le menu Pattern, puis choisissez Clear dans le menu contextuel. Exportation des patterns en tant que régions MIDI Les patterns programmés dans le séquenceur pas à pas interne d’Ultrabeat peuvent être exportés en tant que régions MIDI dans la zone Arrange de Logic Pro. Pour exporter un pattern Ultrabeat dans la zone Arrange : 1 Sélectionnez le motif souhaité dans le menu Pattern d’Ultrabeat. 2 Cliquez sur la zone à gauche du menu Pattern et maintenez le bouton enfoncé. 3 Faites glisser le pattern jusqu’à l’emplacement voulu sur la piste Ultrabeat correspondante. Une région est créée, contenant tous les événements MIDI, y compris les réglages Swing et Accent. Les accentuations sont interprétées comme des événements de pression polyphonique. Remarque : pour éviter un double déclenchement lors de la lecture de la région MIDI exportée, vous pouvez désactiver le séquenceur interne d’Ultrabeat. Remarque : toute automatisation créée en mode Step est également exportée dans la région MIDI.Chapitre 29 Ultrabeat 645 Utilisation de MIDI pour contrôler le séquenceur Le jeu du pattern peut être influencé par les notes MIDI entrantes. Vous pouvez ainsi interagir librement avec le séquenceur pas à pas et Ultrabeat peut alors parfaitement être utilisé comme instrument pour des performances en direct. Le mode de réaction d’Ultrabeat par rapport au contrôle MIDI est déterminé par les modes Pattern, Playback et Voice Mute. Mode Pattern Si ce mode est activé, vous pouvez changer de pattern et lancer les différents patterns à l’aide de commandes de notes MIDI entrantes. Le bouton Transport devient bleu pour indiquer qu’il est désormais prêt à recevoir les commandes de contrôle. Les notes MIDI C1 à B0 (Do1 à Si0) permettent de passer d’un pattern à l’autre : C–1 (Do1) sélectionne le pattern 1, C#–1 (Do#1) sélectionne le pattern 2, etc. jusqu’au pattern 24, sélectionné par la note MIDI B0 (Si0). Mode Playback La réponse au niveau des patterns face aux notes MIDI entrées est définie dans le menu du mode Playback. Dans ce menu, vous trouverez les options suivantes :  One Shot Trigger : la réception d’une note MIDI lance le pattern. Il est alors joué une fois dans sa totalité, puis s’arrête. Si la note suivante est reçue avant la fin du pattern, elle stoppe la lecture du premier et le second commence à être joué immédiatement (il peut s’agir d’un pattern différent ou du même pattern, selon la note MIDI reçue).  Sustain : la réception d’une note MIDI lance le pattern. Il est alors joué en boucle indéfiniment jusqu’à ce que la note MIDI correspondante soit relâchée.  Toggle : la réception d’une note MIDI lance le pattern. Il est alors joué en boucle indéfiniment jusqu’à ce que la note suivante soit reçue. S’il s’agit de la même note, le pattern s’arrête immédiatement. S’il s’agit d’une autre note, le séquenceur passe immédiatement au nouveau pattern. Remarque : en mode Toggle, vous pouvez changer de pattern au milieu d’une mesure sans crainte : le séquenceur garde le rythme et saute automatiquement au battement correspondant dans le nouveau pattern. Ce n’est pas le cas en mode One Shot Trigger. En effet, dans ce mode, dès que vous changez de pattern, le nouveau est joué depuis le début.  Toggle on Step 1 : le comportement est le même qu’en mode Toggle sauf que l’arrêt du pattern ou le changement ne se produit que lorsque le prochain battement 1 est atteint : au début du prochain cycle du pattern en cours.646 Chapitre 29 Ultrabeat Mode Voice Mute Lorsque le mode Voice Mute est activé, si vous jouez une note MIDI (C1 ou Do1 et au-dessus), le son correspondant est tu dans la table de mixage Ultrabeat. Une autre note MIDI de même pitch permet de rétablir le son. Ce mode convient parfaitement pour l’arrangement libre de patterns préprogrammés et permet de taire certains éléments d’un pattern sans avoir à les supprimer. Cela s’avère particulièrement utile dans le cadre de performances en direct, mais pas seulement. Le déclenchement du séquenceur pas à pas via les notes MIDI ouvre un large champ de possibilités de remixage. Enfin, la totalité des options créatives concernant les changements de motifs (présentées dans cette rubrique) sont réalisées en utilisant des messages de notes MIDI et peuvent donc facilement être enregistrées, modifiées, arrangées et automatisées dans Logic Pro. Création de sons de batterie dans Ultrabeat La rubrique suivante présente certaines astuces spécifiques à la création de sons. Prenez le temps d’explorer les nombreuses possibilités qu’offrent Ultrabeat, en utilisant les astuces suivantes comme point de départ. Vous découvrirez qu’il n’existe pratiquement aucun son de batterie électronique ne pouvant être créé aisément à l’aide d’Ultrabeat. Remarque : dans le dossier Ultrabeat’s Settings > Factory > Tutorial Settings, vous trouverez un kit de batterie nommé Tutorial Kit. Il contient tous les sons de batterie utilisés dans le cadre de l’initiation. Il comprend également un son de batterie appelé Standard Tut(orial), qui correspond à un jeu par défaut de paramètres neutres fournissant un très bon point de départ pour la plupart des exemples suivants. Création d’une grosse caisse Les sons de grosse caisse créés électroniquement sont basés essentiellement sur un signal sinusoïdal de fréquence très grave. Pour programmer un son de grosse caisse dans Ultrabeat : 1 Chargez le son de base Standard Tutorial. Notez que l’oscillateur 1 est en mode Phase Oscillator. 2 Trouvez le pitch souhaité dans les octaves inférieures en écoutant en solo la grosse caisse avec d’autres éléments de tonalité importants du morceau (un son de basse ou de pad, par exemple). Utilisez le curseur Pitch de l’oscillateur 1 pour régler la tonalité. 3 Utilisez Env 4 pour mettre en forme le volume de la grosse caisse. Pour un tempo plus lent, vous augmentez la phase de chute (decay), alors que pour un tempo plus rapide, vous la raccourcissez. La phase d’attaque d’Env 4 doit être très courte dans tous les cas (zéro, dans la plupart des cas) ; sinon, le son perd de son caractère percussif et devient moins reconnaissable une fois mixé.Chapitre 29 Ultrabeat 647 Pour le moment, le son est encore très doux et rappelle un peu le célèbre son de grosse caisse de la boîte à rythmes Roland TR-808. Il lui manque encore une attaque clairement définie. Pour y remédier, contrôlez la tonalité (pitch) avec une enveloppe : 1 Vérifiez qu’Env 1 est bien sélectionnée dans le menu Mod du paramètre Pitch de l’oscillateur 1. 2 Définissez le degré de modulation en déplaçant le curseur Mod bleu d’environ 3 ou 4 octaves au-dessus de la tonalité initiale. 3 Définissez la phase d’attaque dans Env 1 sur zéro en déplaçant complètement à gauche les deux points de jonction figurant le plus à gauche sur l’axe des abscisses. 4 Modifiez la phase de chute (decay) en déplaçant les deux points de jonction figurant le plus à droite sur l’axe des abscisses ; vous constaterez que plus les valeurs de chute sont élevées (en déplaçant la poignée de Bézier à droite), plus le son s’approche des toms synthétisés, tandis que si les valeurs de chute sont plus faibles (déplacement vers la gauche), on obtient l’aspect incisif recherché. 5 Modifiez de nouveau la modulation (le contrôle Mod bleu) du paramètre Pitch de l’oscillateur 1 (voir étape 1). L’interaction entre ce paramètre et la phase de chute de l’enveloppe permet diverses mises en forme du caractère percussif ou incisif du son de grosse caisse. Remarque : le son de grosse caisse claire simple est appelé Kick 1 dans le kit d’initiation (note C1 = Do1).648 Chapitre 29 Ultrabeat Suppression d’une tonalité Les sons de grosse caisse basés sur un signal sinusoïdal ont l’avantage de pouvoir être réglés précisément pour correspondre au morceau. L’inconvénient est qu’il n’est pas toujours souhaitable de disposer d’une tonalité reconnaissable. Ultrabeat propose diverses méthodes pour diminuer la tonalité d’un son. Il existe notamment un outil très performant : l’égaliseur deux bandes. Pour diminuer la tonalité à l’aide de l’égaliseur deux bandes : 1 Pour la bande 1, sélectionnez le mode Shelving avec une fréquence de 80 Hz environ, une valeur Q élevée et une valeur Gain négative. 2 Pour la bande 2, sélectionnez le mode Peak avec une fréquence de 180 Hz environ, une valeur Q moyenne et une valeur Gain, là encore, négative. Sur le graphique de l’égaliseur, vous observez l’accentuation des fréquences proches de 80 Hz et l’atténuation des autres. 3 Modifiez la fréquence de la bande 2 (facilement reconnaissable dans la partie bleue sur le graphique de l’égaliseur) afin de régler la tonalité du son de grosse caisse. Une autre méthode pour diminuer la tonalité d’un son de batterie riche en harmoniques consiste à utiliser un filtre passe-bas. Dans l’exemple suivant, vous allez contrôler la fréquence de coupure du filtre via une enveloppe. Pour diminuer la tonalité à l’aide d’un filtre passe-bas : 1 Chargez de nouveau le son de base Standard Tutorial, sélectionnez un Pitch A#0 (La#0) dans l’oscillateur 1 et modulez-le (comme indiqué dans l’exemple page 647) en utilisant Env 1. 2 Augmentez la valeur du paramètre Saturation pour souligner les harmoniques du son de batterie. Notez que, lorsque le bouton de contournement de filtre est activé (entre Osc 1 et le filtre), la sortie de l’oscillateur 1 est envoyée vers le filtre. 3 Effectuez les réglages indiqués ci-dessous dans la section filter :  Filter type : LP 24  Valeur Cutoff : 0,10Chapitre 29 Ultrabeat 649  Source Mod pour Cut : Env 3  Ampleur Mod pour Cut : 0,60  Resonance : 0,30 4 Affectez la valeur zéro à Attack time de l’Env 3. Utilisez le Decay time de l’Env 3 pour mettre en forme le son filtré de la grosse caisse. 5 Vous pouvez également choisir de contrôler avec une enveloppe la résonance du filtre. Veillez à n’utiliser qu’une seule enveloppe pour ce faire (dans ce cas, utilisez l’Env 2 comme source Mod pour Res.) Fixez l’ampleur de la modulation de la résonance (Mod de Res) autour de 0,80. Sélectionnez une valeur Decay time plus longue dans l’Env 2 que dans l’Env 3 et écoutez attentivement le son de grosse caisse obtenu qui devient plus lourd et atonal (à cause d’une plus grande résonance du filtre). Remarque : le son de grosse caisse de l’exemple précédent est appelé Kick 2 dans le kit d’initiation ; il correspond à la note C#1 (Do#1). Il présente, en outre, un réglage particulier au niveau de l’égaliseur (expliqué dans le paragraphe suivant). Davantage de graves… Utilisez le son de grosse caisse filtré Kick 2 comme point de départ et essayez les autres paramètres disponibles dans Phase Oscillator. Vous pourrez alors observer, par exemple, que des valeurs de saturation élevées génèrent un son plus rond et plus grave. Le caractère du son utilisé pour cet exemple commence à se rapprocher de celui d’un son de TR-909.650 Chapitre 29 Ultrabeat Davantage d’impulsion… Pour que le son s’approche encore de celui d’une TR-909, utilisez le réglage d’égaliseur indiqué ci-après. Le point de pression dans les basses fréquences (situé à 60 Hz environ, dans la zone rouge sur le graphique de l’égaliseur) ainsi que l’impulsion ou l’impact puissant (dans la zone bleue, au-dessus de 460 Hz) d’un son de grosse caisse 909 sont renforcés. (Ce réglage de l’égaliseur est déjà effectué dans le Kick 2.) Davantage de contour… Cet exemple utilise les quatre enveloppes. Prenez le temps d’essayer diverses formes d’enveloppe, sans modifier les réglages Attack et Decay. Déplacez les points de jonction de la phase decay sur les différentes enveloppes pour vous familiariser avec les options permettant la mise en forme du son. Commencez par la phase de chute de l’Env 4 qui contrôle le volume de l’oscillateur 1, ainsi que la résonance du filtre. Vous pouvez ainsi observer l’effet des modifications de la forme « ventrue » de l’enveloppe sur le caractère du son : de net et court, il devient rond et volumineux. La grosse caisse Ultrabeat Les nombreuses fonctionnalités d’Ultrabeat permettent de créer des sons de grosse caisse spécifiquement « Ultrabeat ». Effectuez la modulation de la tonalité avec un LFO, par exemple, plutôt que via une enveloppe. Pour créer un son de grosse caisse modulé par LFO : 1 Utilisez le son de base Standard Tutorial correspondant à la note A#0 (Pitch de l’oscillateur 1), puis sélectionnez LFO 1 comme source Mod dans la section Pitch d’Osc 1. 2 Réglez le degré de la modulation en déplaçant le contrôle Mod bleu vers la valeur A3 (La3). 3 Indiquez pour LFO 1 : un nombre de Cycles réduit (entre 25 et 35), un Rate élevé (supérieur ou égal à 70 Hz) et une valeur moyenne de Decay (potentiomètre Ramp sur –190 environ). 4 En modifiant la forme d’onde LFO, vous pouvez constater qu’il est possible de nuancer le caractère de l’attaque de la grosse caisse. 5 Modulez le paramètre Asym (Asymétrie) avec le même LFO et faites varier également les valeurs de Slope et de Saturation. Chapitre 29 Ultrabeat 651 Vous pouvez ainsi créer des sons de grosse caisse très différents avec un seul oscillateur, un LFO et une enveloppe (pour le volume). Le son peut prendre toutes les nuances de caractère, allant de doux à incisif, et vous pouvez choisir la hauteur tonale selon vos goûts. Remarque : le son de grosse caisse décrit est appelé Kick 3 dans le kit d’initiation (D1 = Ré1). Utilisez le second oscillateur (avec un réglage identique ou en mode Sample) ou le filtre associé au modulateur en anneau. Tout est possible, laissez libre cours à votre imagination et créez le prochain son de batterie à la mode. Remarque : vous trouverez une émulation de la légendaire grosse caisse 808 sous le nom Kick 4 dans le kit d’initiation (note D#1 = Ré#1). Création d’une caisse claire Le son d’une caisse claire acoustique est essentiellement composé de deux éléments sonores : le son du fût lui-même et celui du timbre. Essayez de reproduire ce son dans Ultrabeat avec un seul oscillateur et le générateur de bruit. Pour créer un son de caisse claire basique : 1 Chargez le son de base Standard Tutorial. Désactivez l’oscillateur 1 et activez l’oscillateur 2 (en mode Phase Oscillator). 2 Pour éliminer la courbe sinusoïdale (qui n’est pas vraiment souhaitable pour un son de caisse claire, contrairement au cas de la grosse caisse), modulez le pitch de l’oscillateur 2 avec un LFO oscillant rapidement et une valeur moyenne de Ramp Decay. Pour ce faire, sélectionnez LFO 1 dans le menu Mod du Pitch de l’oscillateur 2. Le pitch de cet oscillateur doit se situer autour de G#2 (Sol#2) et la modulation (réglée avec le contrôle Mod bleu) doit être supérieure de 3 ou 4 octaves. 3 Indiquez un Rate élevé pour LFO 1. Définissez le nombre de Cycles sur 20 et affectez la valeur –20 au paramètre Ramp. Le paramètre Waveform du LFO doit avoir une valeur avoisinant 0,58 ce qui correspond à une onde carrée. 4 À l’aide d’Env 1, contrôlez le volume de l’oscillateur 2 en affectant la plus petite valeur possible (–60 dB) à Vol, en sélectionnant Env 1 dans le menu Mod et en réglant l’intensité de la modulation sur un point en dessous de sa valeur maximale. La capture d’écran montre les réglages d’Osc 2 et d’Env 1 correspondants aux étapes 2 et 3.652 Chapitre 29 Ultrabeat 5 Modifiez les valeurs Slope et Asym pour donner un caractère plus ou moins électronique au son. 6 Activez le générateur de bruit et réglez son volume avec les mêmes réglages rapides d’enveloppe que ceux utilisés pour le volume de l’oscillateur 2. 7 Utilisez les paramètres de filtrage du générateur de bruit pour salir, épurer ou éclaircir le bruit composant le son de caisse claire. Sélectionnez un filtre de type LP et essayez une fréquence de filtre comprise entre 0,60 et 0,90. Effectuez ensuite la modulation avec LFO 1 (déjà utilisé pour contrôler le pitch de l’oscillateur 2). Remarque : le son de caisse claire est appelé Snare 1 dans le kit d’initiation (note E1 = Mi1). Pour épurer le son de caisse claire en utilisant la synthèse FM : 1 Activez le mode FM de l’oscillateur 1. Utilisez Env 1 pour contrôler le volume de l’oscillateur 1 également. 2 Définissez le pitch de l’oscillateur 1 environ une octave en dessous de celle de l’oscillateur 2. Évitez volontairement les intervalles égaux entre les oscillateurs et désaccordez-les légèrement entre eux. Par exemple, essayez le pitch F#2 (Fa#2) pour Osc 2 et E1 (Mi1) pour Osc 1, puis réglez Osc 1 quelques centièmes plus haut en maintenant la touche Maj enfoncée pendant que vous déplacez le curseur Pitch. 3 Jouez sur le niveau FM et ajoutez, selon vos goûts, un aspect plus « tonal » (niveau FM faible) ou « bruité » (niveau FM plus élevé). Essayez également de moduler le niveau FM avec un réglage rapide pour le LFO. Remarque : vous trouverez un exemple de son de caisse claire utilisant la FM dans le kit d’initiation (note F1 = Fa1). Il s’appelle Snare 2. Un niveau FM plus élevé augmente considérablement le nombre d’harmoniques et accentue le caractère électronique du son. Si vous souhaitez obtenir un son plus acoustique, envoyez les sorties de l’oscillateur 1 (et, éventuellement, de l’oscillateur 2) vers le filtre principal. Utilisez les réglages suivants pour commencer : mode LP 24, Cutoff de 0,60 environ. La caisse claire 808 Le célèbre son de la caisse claire 808 utilise deux filtres de résonance et un générateur de bruit, le signal transitant ensuite par un filtre passe-haut. Il est possible d’ajuster la combinaison des deux filtres et du volume du générateur de bruit. Ultrabeat ne permet pas de répliquer cette structure totalement.Chapitre 29 Ultrabeat 653 Pour cloner le son de la caisse claire 808 : 1 Chargez le son de base Standard Tutorial. 2 Reproduisez les filtres de résonance de la 808 par deux Phase Oscillators bien programmés :  Affectez-leur des valeurs de Slope légèrement différentes et désaccordez-les d’une octave quasiment.  Leurs tonalités doivent également différer (E3 (Mi3) et F2 (Fa2), par exemple). 3 Contrôlez le volume de chaque oscillateur avec une enveloppe distincte. L’enveloppe de l’oscillateur accordé sur un son plus grave doit avoir une phase de chute plus longue que le réglage d’enveloppe très punchy de l’oscillateur accordé sur un son plus aigu. 4 Envoyez la sortie de chacun des oscillateurs vers le filtre principal d’Ultrabeat et creusez le son avec un filtre passe-haut. Pour ce faire, activez le bouton de contournement du filtre pour les deux oscillateurs. Réglez le filtre sur HP 12, puis définissez une valeur approximative de Cutoff de 0,40 et une résonance de 0,70 environ. Vous venez d’émuler d’une façon ingénieuse les deux filtres de résonance de la 808. En outre, en modifiant la tonalité des oscillateurs, vous simulez le comportement du contrôle de Tone de la 808. Pour ajouter du bruit afin de compléter l’émulation : 1 Activez le générateur de bruit et le mode passe-haut de son filtre (HP). Définissez une valeur de Cutoff de 0,65 environ ainsi qu’une résonance de 0,35 et augmentez la valeur du paramètre Dirt (autour de 0,06). 2 Le générateur de bruit produit un son de caisse claire soutenu. Pour obtenir un son ressemblant à celui de la 808, le signal doit être mis en forme par sa propre enveloppe, indépendamment des phases de chute des deux oscillateurs. En modifiant le volume du générateur de bruit, vous pouvez reproduire le claquement de la 808. Remarque : ce son de caisse claire de la 808 est appelé Snare 3-808 dans le kit d’initiation (note F#1 = Fa#1). Il présente, en outre, un réglage particulier au niveau de l’égaliseur. Dynamique et vélocité Utilisez les sons de caisse claire 808 du kit d’initiation pour étudier les possibilités offertes par Ultrabeat en matière de vélocité.654 Chapitre 29 Ultrabeat Pour mettre en pratique la vélocité : 1 Sélectionnez le son Snare 3-808. 2 Cliquez sur Off sous le potentiomètre Volume de l’oscillateur 1. 3 Dans le menu Via qui s’affiche, sélectionnez Vel. Un curseur apparaît sur la bague entourant le potentiomètre. 4 Faites-le tourner dans le sens des aiguilles d’une montre. Lorsque vous cliquez sur le curseur, une info-bulle indique sa valeur. Déplacez le curseur sur –0 dB. 5 Répétez les étapes 1 à 4 pour l’oscillateur 2 et le générateur de bruit. Vous pouvez désormais jouer les sons dynamiquement en utilisant la vélocité. Pour augmenter la dynamique du jeu : 1 Baissez les volumes individuels de chacun des oscillateurs et du générateur de bruit en utilisant les potentiomètres appropriés. Observez comment la bague Mod et les curseurs Via reviennent, eux aussi, en arrière. Modifiez les positions des curseurs Via, jusqu’à ce que les trois potentiomètres Volume aient le même aspect que sur la capture d’écran suivante : En utilisant des intensités différentes pour chaque potentiomètre Volume à l’étape 1, vous pouvez définir des réactions distinctes face à la vélocité pour chacune des composantes du son.Chapitre 29 Ultrabeat 655 2 Augmentez la dynamique globale du son en réglant le potentiomètre Voice Volume comme suit : Vous disposez à présent d’un son de caisse claire type 808 particulièrement réactif à la vélocité. Comme vous le savez peut-être, une telle réactivité était impossible avec la 808 originale ; et même avec un échantillon de la 808, il est impossible de contrôler le volume des différentes composantes sonores de façon dynamique comme nous venons de le faire avec Ultrabeat. En effet, un échantillon permet simplement d’obtenir une copie du son dans sa globalité, mais pas de chacun de ses éléments constitutifs. Dans l’étape suivante, vous allez utiliser la vélocité pour contrôler le caractère du son (individuellement, pour chaque composant) ainsi que le volume, bien évidemment : 3 Dans le menu Saturation Mod de l’oscillateur 2, sélectionnez Max, puis Velocity dans le menu Via correspondant. 4 Définissez le contrôle supplémentaire comme illustré ci-dessous, afin de contrôler le caractère du son en fonction de la vélocité :656 Chapitre 29 Ultrabeat 5 Répétez cette procédure pour les autres paramètres de l’oscillateur 2, ainsi que le pitch : 6 Modulez le générateur de bruit comme suit :  Paramètre Cut : indiquez Max pour la source de modulation, puis réglez le contrôle de modulation comme indiqué ci-après.  Paramètre Dirt : sélectionnez LFO 2 comme source de modulation, puis définissez le contrôle de modulation comme indiqué ci-après. Le son ne ressemble absolument plus à celui d’une caisse claire de type 808 ; notre but est donc atteint. Continuez à changer les valeurs de vélocité et déterminez les cas où il est opportun de s’en servir comme source de modulation directe ou indirecte, dans sa forme positive ou négative. Remarque : le son de caisse claire de type 808 dynamique est appelé Snare 4—Vel dans le kit d’initiation, (note G1 = Sol1). Caisse claire Kraftwerk Un autre son de caisse claire électronique classique est celui obtenu par un filtre passebas de synthétiseur analogique, très résonant, qui se termine par un claquement caractéristique. Ce son est très utilisé chez Kraftwerk. Pour reproduire le son d’une caisse claire Kraftwerk avec Ultrabeat : 1 Sélectionnez le son Snare 1. 2 Envoyez les signaux des deux oscillateurs et du générateur de bruit vers le filtre principal. 3 Modulez le Cutoff avec Env 1 (qui module déjà le volume du générateur de bruit). 4 Modulez la résonance du filtre avec Env 2. 5 Modifiez les paramètres décrits aux étapes 1 à 5 (notamment ceux des enveloppes) et utilisez l’égaliseur. Vous constaterez ainsi l’étendue des possibilités offertes par ces trois réglages élémentaires. Remarque : un exemple de son, nommé Snare 5—KW figure dans le kit d’initiation (note G#1 = Sol#1). Analysez-le et comparez-le à votre propre création. Chapitre 29 Ultrabeat 657 Création de toms et autres sons de percussion Les sons de percussion tonals tels que les toms ou congas sont relativement faciles à émuler électroniquement à l’aide d’oscillateurs à ondes sinusoïdales ou triangulaires. Phase Oscillator d’Ultrabeat offre un large éventail de sons élémentaires pouvant servir de points de départ. Contrôlez le pitch des oscillateurs avec des enveloppes et utilisez les techniques de programmation expliquées dans les sections relatives à la grosse caisse et à la caisse claire pour modifier la tonalité. Vous devriez être en mesure de créer facilement une palette étendue de sons de toms ou assimilés. Remarque : les notes allant de A1 (La1) à B0 (Si0) dans le kit d’initiation correspondent aux sons de toms 808 typiques. Analysez ces sons et modifiez-les à votre convenance. À ce stade, vous pouvez expérimenter le mode Model de l’oscillateur 2. Familiarisez-vous avec les effets de chacun des paramètres et créez vos propres sons de percussion tonals (allant de sons de tablas à des sons de type verre à pied). Remarque : les sons Tabla et Glass (verre) correspondant aux notes C2 et C#2 (Do2 et Do#2) du kit d’initiation combinent le mode Model de l’oscillateur 2 et la FM. Ce sont également de bons exemples de l’usage complexe de la vélocité comme source de modulation. Création de sons de charleston et de cymbales La création des sons de charleston électroniques est très rapide avec Ultrabeat. Pour créer un son de charleston dans Ultrabeat : 1 Chargez le son de base Standard Tutorial. 2 Désactivez l’oscillateur 1 et activez le générateur de bruit. 3 Effectuez les réglages suivants pour le générateur de bruit : Dans la capture d’écran ci-dessus, vous constatez que le paramètre Cutoff est modulé par Env 1. La modulation est négative et le curseur Mod figure en dessous de la valeur de base du paramètre. 4 Préférez des valeurs decay faibles pour Env 1 et Env 4. 5 Affectez la valeur 0 pour l’attack time d’Env 4. Celle d’Env 1 doit également être relativement courte, mais non nulle.658 Chapitre 29 Ultrabeat Remarque : vous trouverez un son créé avec la même méthode dans le jeu d’initiation. Il se nomme HiHat 1 (note F2 = Fa2). Vous pouvez également analyser le son HiHat 2 (note F#2 = Fa#2). Les sons de charleston et de cymbales sont très proches : la principale différence est la longueur de leur phase de chute (decay time). Pour produire des sons de cymbales différents, il est essentiel d’affecter correctement les enveloppes. Sélectionnez les sons Cym 1 et Cym 2 dans le kit d’initiation et essayez différentes affectations d’enveloppe et divers réglages pour les paramètres Cutoff et Volume du générateur de bruit, du filtre principal, etc. Sons métalliques Si vous souhaitez créer des sons métalliques dans Ultrabeat, le modulateur en anneau et le mode Model de l’oscillateur conviennent parfaitement. Pour utiliser le modulateur en anneau : 1 Chargez le son de base Standard Tutorial. 2 Activez un oscillateur en mode Phase Oscillator et un autre en mode Model. Définissez le pitch de chaque oscillateur au-dessus de C3 (Do3), de sorte qu’un léger intervalle de désaccord soit créé. 3 Dans le graphique Material Pad de l’oscillateur Model, choisissez un réglage incluant de nombreuses harmoniques, comme illustré ci-après. 4 Affectez une valeur de -60 dB à chaque oscillateur et activez le modulateur en anneau en cliquant sur son nom. Vous venez de créer un son semblable à celui d’une cloche. Vous pouvez le filtrer (avec une valeur de résonance élevée) si nécessaire. Remarque : le même type de son, appelé Ring Bell figure dans le kit d’initiation (note A2 = La2).Chapitre 29 Ultrabeat 659 Création de clics et de réglages extrêmes Ultrabeat présente des générateurs d’enveloppe extrêmement rapides et des LFO d’une puissance peu commune. Utilisez ces sources de modulation pour réaliser des modulations extrêmes au niveau des paramètres d’oscillation et de filtrage. Pour créer des sons « sortant de l’ordinaire », vous devez essayer de moduler autant de cibles que possible et ne pas hésiter à faire des réglages excessifs : utilisez une enveloppe rapide pour conduire le filtre à l’auto-oscillation pendant une fraction de seconde, définissez certains cycles LFO à un taux bien plus élevé ou jouez avec les paramètres Dirt ou Bitcrusher. Programmation par blocs Plus vous vous familiariserez avec la programmation de sons rythmiques, plus vous aurez tendance à penser directement en termes de blocs de construction. Autrement dit, vous intégrerez dès le départ le fait que les sons de batterie sont généralement la combinaison de plusieurs éléments. Une fois la liste de ces éléments dressée, vous pouvez essayer d’émuler chaque composant contribuant au caractère du son en utilisant les différents générateurs de sons disponibles dans Ultrabeat. En affectant des enveloppes (amplitudes) dédiées à certains composants, vous pouvez contrôler leur comportement dans le temps séparément. Exemple : vous pouvez émuler le fût d’une batterie avec l’oscillateur 1, le son de la baguette frappant la peau (transitoire) avec le générateur de bruit et les harmoniques supplémentaires peuvent être fournies pas l’oscillateur 2 ou le modulateur en anneau. Lorsque vous être capable de penser la création de sons de batterie en termes de couches ou de blocs constitutifs, le rôle des potentiomètres de volume au niveau des différents générateurs de son devient plus clair. Ce sont, en effet, les outils nécessaires à la combinaison, à l’équilibrage et au contrôle des différents blocs.30 661 30 Instruments GarageBand Les instruments GarageBand sont automatiquement installés avec Logic Pro. Vous pouvez les insérer comme n’importe quel autre instrument logiciel. Les instruments GarageBand sont des modules d’instruments logiciels utilisés dans l’application GarageBand d’Apple. Leur inclusion permet d’importer sans problème des fichiers GarageBand dans Logic Pro. Les instruments GarageBand sont en fait des versions moins consommatrices de ressources processeur (CPU) et de mémoire que les modules d’instruments Logic Pro équivalents. Dans le cas de sons de synthétiseurs, l’ES2 représente le « grand frère » des instruments GarageBand. Dans le cas de sons d’orgue, c’est l’EVB3 qui joue ce rôle, tandis que pour les sons de piano électrique, il s’agit de l’EVP88, et ainsi de suite avec le Clavinet (EVD6) ou d’autres sons (EXS24 mkII). L’interface des instruments GarageBand consiste en un simple panneau d’aspect « métal brossé » contenant un certain nombre de curseurs de paramètres et de champs de valeurs associés. Par exemple, l’instrument Digital Stepper est présenté ci-dessous. De nombreux paramètres GarageBand sont en fait des macros intervenant sur plusieurs paramètres spécifiques et utiles de l’EXS24 mkII, l’ES1 (ou tout autre instrument Logic Studio équivalent). 662 Chapitre 30 Instruments GarageBand Il en résulte deux avantages principaux :  Étant donné que les modules d’instruments GarageBand consomment moins de ressources processeur (CPU) et de mémoire, ils se chargent plus rapidement que les instruments logiciels Logic Studio équivalents  Le fait de se limiter à un nombre réduit de paramètres puissants simplifie considérablement l’utilisation des instruments. Explorez les différents paramètres disponibles pour découvrir comme il est facile d’obtenir des sons spectaculaires ! Les curseurs de macro-paramètres disponibles sont différents pour chaque Instrument GarageBand. En effet, les paramètres de l’instrument Logic Studio équivalent peuvent être différents ou inutiles : pas besoin d’inclure un paramètre de tirettes d’orgue sur un instrument piano GarageBand Piano par exemple (à moins d’avoir une imagination fertile et des dons de bricolage sur Steinway !). Paramètres d’instruments GarageBand De nombreux instruments GarageBand utilisent les mêmes paramètres, qui fonctionnent de façon identique pour chacun d’eux. La section suivante présente ces paramè- tres universels, tandis que les sections portant des noms spécifiques fournissent des informations sur un instrument GarageBand donné et décrivent les paramètres ou les fonctions qui lui sont propres. Notez que tous les instruments GarageBand ne contiennent pas l’ensemble des macro-paramètres décrits ci-dessous. Paramètres d’instruments GarageBand universels  Volume : définit le niveau général de l’instrument.  Accord : définit la tonalité générale de l’instrument.  Mixage : mixe deux tonalités en les modulant.  Coupure : permet de faire passer un son amplifié (valeur haute) ou atténué (valeur basse), qui devient ainsi plus clair ou plus sourd.  Résonance : détermine l’emplacement d’une crête aiguë dans la plage de fréquences.  Attaque : fait démarrer le son plus lentement ou plus rapidement. Avec un réglage rapide, le son est « frappé » comme une touche de piano tandis qu’avec un réglage lent, il s’apparente à la vibration d’une corde de violon sous l’effet d’un archet.  Chute : maintient la partie harmonique du son (clarté) plus longtemps à des valeurs plus faibles.  Soutien : détermine la durée pendant laquelle une note va être maintenue à son volume maximum.  Relâchement : détermine la vitesse à laquelle le volume sonore des notes rapides diminue une fois que vous avez relâché les touches du clavier.Chapitre 30 Instruments GarageBand 663 Analogique de base Le son Analogique de base est basé sur l’ES2. Il correspond au son d’un synthétiseur analogique simple, utile pour divers styles musicaux. Mono analogique Il correspond au son principal (lead) d’un synthétiseur analogique monophonique (pouvant jouer une seule note à la fois). Macro-paramètres spécifiques :  Glissé : détermine le temps nécessaire pour qu’une note soit remplacée par une autre (par un effet de « glissement »).  Richesse : détermine la complexité de la texture du son, de façon à enrichir ce dernier. Nappe analogique La fonction Nappe analogique est basée sur l’ES2. Il correspond à une nappe de synthétiseur analogique aux sonorités chaudes, utile pour divers styles musicaux. Paramètres spécifiques :  Modulation : accélère ou ralentit le mouvement de balayage de nappe.  Caractère : détermine si le son est doux ou aigu.  Env. fréq. coupure : détermine où la coupure de l’enveloppe est positionnée dans la plage de fréquences.  Durée : détermine la durée du mouvement de balayage.  Animation : détermine le nombre d’animations ajoutées à la nappe par l’enveloppe. Tourbillon analogique L’instrument Tourbillon analogique est basé sur l’ES2. Il correspond à une nappe de synthétiseur analogique aux sonorités chaudes produisant un effet de chorus tourbillonnant. Il offre un paramètre spécifique :  Modulation : accélère ou ralentit le mouvement de balayage de nappe. Synchro analogique L’instrument Synchro analogique est basé sur l’ES2. Il émule les tonalités de synthétiseurs analogiques qui produiraient leur son en synchronisant deux oscillateurs. L’instrument Synchro analogique est tout particulièrement utile pour générer les sons principaux (lead) très marqués des synthétiseurs analogiques. Paramètres spécifiques :  Synchro : détermine la synchronisation (ou la perte de synchronisation) entre les deux oscillateurs et par conséquent, la rugosité du son.  Modulation de synchro. : détermine l’intensité de modulation de la synchronisation des deux oscillateurs, ce qui engendre des tonalités plus complexes (et plus dures).  Enveloppe de synchro. : détermine dans quelle proportion les paramètres de l’enveloppe influent sur le son.664 Chapitre 30 Instruments GarageBand Basse Le son Basse est basé sur un échantillon. Il offre divers sons de basse, accessibles à partir du menu Réglages et peut être utilisé pour une variété de styles musicaux. Les basses Fingerstyle, Fretless, Muted et Slapped Electric sont incluses, ainsi qu’une basse Upright Jazz. Numérique de base L’instrument Numérique de base est basé sur l’ES2. Il correspond à un son de synthétiseur numérique de base, utile pour divers styles musicaux. Paramètres spécifiques :  Harmoniques : modifie sensiblement le son à mesure que de nouveaux harmoniques (partiels) sont ajoutés. L’impact de ce paramètre étant difficile à décrire, il est préférable que vous l’expérimentiez vous-même.  Timbre : change la couleur du son (de sombre à brillant). Mono numérique L’instrument Mono numérique est basé sur l’ES2. Il correspond au son principal (lead) d’un synthétiseur numérique monophonique. Paramètres spécifiques :  Harmoniques : épaissit (valeur supérieure) ou affine (valeur inférieure) légèrement le son.  Timbre : change la couleur du son (de sombre à brillant).  Enveloppe de timbre : change la couleur du son, en fonction de la force avec laquelle les touches du clavier sont frappées. Si un niveau bas est sélectionné, la couleur du son ne change pas beaucoup, quelle que soit la force avec laquelle vous frappez les touches. Si un niveau élevé est sélectionné, le son change de façon dynamique, selon que le jeu est plus ou moins affirmé.  Richesse : désaccorde légèrement les notes jouées les unes par rapport aux autres, de façon à épaissir le son à mesure que des valeurs plus élevées sont utilisées.  Distorsion : déforme le son général, de façon à le rendre très désagréable et agressif. Notez toutefois que ce paramètre amplifie considérablement le son. Digital Stepper Le son Digital Stepper est basé sur l’ES2. Il correspond à un son de synthétiseur numérique qui passe par différents niveaux de tonalités, de façon à créer un motif rythmique. Paramètres spécifiques :  Balance : définit l’équilibre entre un son plus dur et plus aigu (numérique) et un son plus chaud et plus doux (analogique).  Modulation : accélère (valeur haute) ou ralentit (valeur basse) les étapes tonales.  Harmoniques : épaissit (valeur supérieure) ou affine (valeur inférieure) légèrement le son.  Étapes harmoniques : rend les étapes tonales plus ou moins perceptibles, selon qu’elles sont larges ou petites.Chapitre 30 Instruments GarageBand 665  Étapes de coupure : définit l’importance de la coupure appliquée à chaque étape. Une valeur élevée (étape large) accentue l’effet de coupure.  Durée : définit la longueur des étapes. Batteries Les sons Batteries sont basés sur des échantillons. Le menu Réglages offre diverses batteries, et notamment Dance, Hip-Hop, Jazz, Pop, Rock et Techno. Clavicorde électrique Le son Clavicorde électrique est basé sur l’EVD6. Il émule le Clavinet Hohner D6. Il offre le paramètre spécifique suivant :  Atténuation : modifie la tonalité du Clavinet, la rendant moins soutenue et renforçant l’effet « sonorité boisée » à mesure que vous progressez vers la valeur haute. Piano électrique Le son Piano électrique est basé sur l’EVP88. Il s’apparente à celui du piano électrique Fender Rhodes. Ses macro-paramètres sont les suivants :  Modèle : un son s’apparentant à celui d’une cloche est obtenu lorsque le bouton Lamelles est sélectionné.  Chute : une valeur courte produira un son « pincé », tandis qu’un réglage long maintiendra le son tant que les touches sont enfoncées. Guitare Le son Guitare est basé sur un échantillon. Il offre les sons de guitare Acoustique classique, Son clair et Cordes métalliques qui sont accessibles à partir du menu Réglages. Cors Le son Cors est basé sur un échantillon. Il émule une Section Cors, une Section Cors Pop et une Section Trompette, accessibles via le menu Réglages. Hybride de base et métamorphose hybride Hybride de base et Métamorphose hybride sont des synthétiseurs basés sur des échantillons, capables de créer des sons spectaculaires. Paramètres spécifiques :  Forme d’onde : choisissez le jeu d’échantillons utilisé pour générer le son du synthétiseur de base. Chaque onde du synthétiseur Métamorphose hybride est basée sur deux couches d’échantillons.  Métamorphose : contrôle les fondus entre les deux couches d’échantillons.  Enveloppe de métamorphose : permet de contrôler la métamorphose au fil du temps. Par exemple, si vous définissez le paramètre Métamorphose sur B et son enveloppe Métamorphose sur « De A à B », la forme de l’onde du son se modifie de la valeur A à la valeur B selon les réglages d’enveloppe ADSR.  Type de coupure : ce menu contient diverses courbes de filtres prédéfinies. Essayez-les et testez les paramètres Coupure et Résonance.666 Chapitre 30 Instruments GarageBand Remarque : si vous réglez le paramètre Métamorphose sur A et l’enveloppe Métamorphose sur « De A à B », certains réglages ADSR n’entraîneront aucun son. Dans ce cas, vous pouvez obtenir des résultats intéressants en utilisant le contrôle de modulation afin de faire décaler la valeur du paramètre Métamorphose lors de représentations en direct. Dans le synthétiseur Hybride de base, utilisez les curseurs concernant la Molette pour vibrato et la Molette pour Coupure afin de déterminer les paramètres propres au contrôle de modulation. Piano, effets sonores et cordes Les sons Piano, Effets sonores et Cordes sont basés sur des échantillons. Comme pour les autres instruments GarageBand, le menu Réglages offre plusieurs variantes. Orgue à roues phoniques Le son Orgue à roues phoniques est basé sur l’EVB3. Il émule l’orgue Hammond B3. Cet instrument étant capable de générer une grande variété de sons d’orgue, nous vous conseillons d’essayer les divers paramètres disponibles. Paramètres spécifiques :  Tirettes : épaissit (valeur supérieure) ou affine (valeur inférieure) légèrement le son.  Niveau de percussion : ajoute un deuxième ou troisième harmonique au son, ce qui change à la fois la couleur et le timbre d l’instrument.  Temps de percussions : maintient le deuxième ou le troisième harmonique lorsqu’il est défini sur une valeur longue. Si une valeur courte est sélectionnée, l’harmonique ne sera entendu que lors de la frappe initiale.  Clic : introduit un clic dans la frappe. Sélectionnez un niveau élevé si vous souhaitez entendre distinctement ce son.  Distorsion : rend le son grossier et bruyant. Ce paramètre est parfaitement adapté si vous souhaitez faire des reprises de Deep Purple !  Enceinte à effet Leslie : ces commutateurs permettent d’effectuer une sélection parmi trois effets de haut-parleur différents. L’option Choral donne un effet « tourbillonnant » au son. L’option Frein donne initialement un effet « tourbillonnant » au son, puis ralentit le mouvement. L’option Trémolo fait « trembler » le son. Percussion syntonisée Le son Percussion syntonisée est basé sur un échantillon. Il émule un vibraphone. Voix Le son Voix est basé sur un échantillon. Il émule un chœur mixte. Instruments à vent Le son Instruments à vent est basé sur un échantillon. Il reproduit le son des instruments à vent, tels que les flûtes et les saxophones. 667 Annexe Notions élémentaires sur les synthétiseurs Si vous êtes novice dans le monde des synthétiseurs, vous êtes invité à lire ce chapitre. Il aborde des faits importants sur les synthétiseurs et explique la différence entre les synthétiseurs analogiques, numériques et analogiques virtuels. Des termes importants tels que fréquence de coupure (cutoff), résonance, enveloppe ou forme d’onde sont aussi expliqués. Synthétiseur analogique et synthèse soustractive Un signal de synthétiseur est un signal électrique, mesuré en volts. Pour faire une brève comparaison avec une technologie qui vous est probablement plus familière, étudions les haut-parleurs. Les membranes des haut-parleurs bougent lorsque la tension, amplifiée par un amplificateur de puissance et arrivant au haut-parleur, change. Lorsque la tension monte, la membrane du haut-parleur avance et elle recule lorsque la tension baisse. Dans un synthétiseur numérique, le flux du signal est numérique. Il s’agit de descriptions binaires du signal (une suite de zéros et de uns) qui passent d’un algorithme à un autre. Cette distinction est importante. Ce n’est pas le signal lui-même qui arrive d’un oscillateur virtuel pour passer à un filtre virtuel et ainsi de suite. Un synthétiseur analogique virtuel est un synthétiseur numérique qui imite l’architecture et reprend les particularités d’un synthétiseur analogique. Il dispose d’une face avant avec tous les contrôles, qui permettent accès direct à tous les paramètres de génération sonore. L’ES1 de Logic Pro est un exemple de synthétiseur analogique virtuel. Son flux de signal virtuel ressemble à celui des synthétiseurs analogiques. Il inclut même certaines particularités intéressantes des circuits analogiques, qui peuvent parfois donner un joli son, tels que des niveaux d’oscillateur élevés saturant le filtre. L’ES1 dispose d’une surface de contrôle graphique à l’écran. Le traitement du signal (dont les oscillateurs virtuels etc.) est réalisé par l’unité centrale (CPU) de votre ordinateur.668 Annexe Notions élémentaires sur les synthétiseurs Les phénomènes indésirables propres aux synthétiseurs analogiques, tels que leur tendance à se désaccorder complètement, ne sont pas simulés par les synthétiseurs analogiques virtuels. Vous pouvez toutefois régler les voix de l’ES1 sur un désaccordage aléatoire, ce qui rendra le son du synthétiseur plus vivant. Contrairement à ses homologues analogiques, l’ES1 est aussi complètement programmable (vous pouvez sauvegarder vos réglages de sons), peut être entièrement automatisé (vous pouvez enregistrer et relire les mouvements de l’équilibreur), il est polyphonique (vous pouvez lire jusqu’à 16 notes en même temps), il est multitimbral (vous pouvez lire différents sons en même temps sur différents canaux d’instruments), et il est sensible à la vélocité. Il s’agit d’atouts importants, dont ne disposaient pas les anciens synthétiseurs, plus limités. Si vous pensez qu’il est plus stimulant de ne pas utiliser ces fonctions, vous pouvez toujours les désactiver. Définition de la synthèse La synthèse, dans ce contexte, est la (re)production d’un son qui émule ou synthétise le son d’un autre instrument, d’une voix, d’un hélicoptère, d’une voiture, l’aboiement d’un chien, ou tout autre son. La reproduction synthétique d’autres sons est la fonction principale du synthétiseur, d’où son nom. Il va sans dire que les synthétiseurs peuvent aussi générer des sons qui n’existent pas dans la réalité. Cette capacité à générer des sons qui ne peuvent pas être créés d’une autre façon fait du synthétiseur un outil musical unique. Son impact sur la musique moderne a été énorme et continuera à l’être dans le futur, bien qu’il soit probable qu’il existera sous une forme virtuelle plutôt que matérielle.Annexe Notions élémentaires sur les synthétiseurs 669 Synthèse soustractive La synthèse soustractive fait appel à des filtres. Tous les synthétiseurs analogiques et analogiques virtuels utilisent la synthèse soustractive pour générer des sons. Dans les synthétiseurs analogiques, le signal audio de chaque voix est généré par un oscillateur. L’oscillateur génère un courant alternatif, utilisant une sélection de formes d’onde contenant des quantités diverses (plus ou moins) d’harmoniques. La fréquence fondamentale du signal détermine principalement la hauteur tonale perçue, sa forme d’onde est responsable de la couleur sonore de base du son, et l’amplitude (niveau) détermine le volume perçu. Fréquence de coupure et résonance, illustrées à l’aide d’une onde en dent de scie Cette illustration montre un aperçu d’une onde en dent de scie (a = 220 Hz). Le filtre est ouvert avec sa fréquence de coupure réglée à son maximum, sans résonance. Cette capture d’écran montre le signal de sortie de l’ES1 de Logic Pro, acheminé vers un canal de sortie Logic Pro monophonique. L’enregistrement a été effectué à l’aide de la fonction Bounce de ce canal et il est affiché dans l’Éditeur des échantillons avec un réglage de zoom élevé. ? Astuce : la documentation classique sur les synthétiseurs conseille l’utilisation de l’onde en dent de scie pour créer un son similaire à celui d’un violon. Le son chaud et dense de l’onde en dent de scie en fait la forme d’onde de synthétiseur la plus utilisée. Elle sert de base pour créer des sons de cordes et de cuivres synthétiques. Elle est aussi pratique pour créer des sons graves synthétiques. 670 Annexe Notions élémentaires sur les synthétiseurs Lorsqu’il lui a été demandé comment il allait faire pour sculpter un lion dans un bloc de pierre, Michel-Ange a répondu « Je vais juste enlever tout ce qui ne ressemble pas à un lion ». C’est le principe même de la synthèse soustractive : il s’agit simplement de filtrer (supprimer) les composants du son qui ne doivent pas être émis ; en d’autres termes, des parties du spectre du signal de l’oscillateur sont soustraites. Après avoir été filtrée, une onde en dent de scie sonnant de manière brillante devient un son adouci, chaud et sans aigus agressifs. Les synthétiseurs analogiques et analogiques virtuels ne sont pas les seuls appareils qui font usage des techniques de synthèse soustractive. Les échantillonneurs et les lecteurs d’échantillons l’utilisent également, mais emploient des modules internes qui lisent les enregistrements numériques (échantillons) à la place des oscillateurs, qui fournissent les formes d’onde en dent de scie et autres. L’illustration ci-dessous montre une onde en dent de scie avec le filtre à moitié fermé (24 dB/Fat). L’effet du filtre ressemble un peu à celui d’un égaliseur graphique avec un équilibreur réglé sur la fréquence de coupure donnée (la fréquence la plus haute autorisée à passer), poussé à fond (réjection totale), afin que les aigus soient atténués. Avec ce réglage, les pointes de l’onde en dent de scie sont arrondies, ce qui la fait ressembler à une onde sinusoïdale. La longueur de l’onde ici n’est pas vraiment plus élevée, c’est le réglage du zoom qui l’est. Théorème de Fourier et harmoniques « Chaque onde périodique peut être considérée comme la somme des ondes sinusoïdales ayant certaines longueurs et amplitudes d’onde, dont les longueurs d’onde ont des relations harmoniques (rapports de petits nombres) ». C’est ce que l’on appelle le Théorème de Fourier. Si l’on traduit en termes plus musicaux, cela signifie que tout son ayant une certaine hauteur tonale peut être considéré comme un mélange de sons sinusoïdaux partiels. Ceux-ci étant composés du son fondamental de base et de ses harmoniques. (sons dominants). Exemple : l’oscillation de base (le premier son partiel) est un La à 220 Hz. Le second partiel a une fréquence double (440 Hz), le troisième oscille trois fois plus vite (660 Hz), et les suivants 4 et 5 fois plus vite et ainsi de suite.Annexe Notions élémentaires sur les synthétiseurs 671 Vous pouvez accentuer les partiels situés autour de la fréquence de coupure grâce à des réglages élevés des valeurs de résonance. L’illustration ci-dessous montre une onde en dent de scie ES1 avec un réglage élevé de résonance et une fréquence de coupure de 60 % environ. Vous obtenez ainsi un intervalle d’un douzième (une octave et une quinte) plus élevé par rapport au son de base. Il apparaît qu’exactement trois cycles du son dominant ayant été fortement accentué tiennent dans un cycle de l’onde de base : L’effet du filtre résonant est comparable à celui d’un égaliseur graphique ayant tous ses équilibreurs supérieurs à 660 Hz complètement baissés, avec seulement le 660 Hz (Fréquence de coupure) en position maximum (résonance). Les équilibreurs des fréquences inférieures à 660 Hz restant au milieu (0 dB). Si vous coupez le signal de l’oscillateur, un réglage de résonance maximum fera entrer le filtre en auto-oscillation. Ce qui génère une onde sinusoïdale.672 Annexe Notions élémentaires sur les synthétiseurs Autres formes d’onde d’oscillateur Les formes d’onde sont nommées sawtooth (dent de scie), square (carrée), pulse (impulsion) ou triangular (triangulaire) à cause de leur forme représentée par un oscillogramme (comme dans l’Éditeur des échantillons de Logic Pro). Voici par exemple l’onde triangulaire : L’onde triangulaire a peu d’harmoniques, ce qui semble évident du fait qu’elle ressemble plus à une onde sinusoïdale qu’à une onde en dent de scie. Cette onde ne contient que des harmoniques de rangs impaires, c’est-à-dire pas d’octaves. La documentation classique sur les synthétiseurs conseille l’utilisation de l’onde triangulaire pour la création de sons de type flûte. Cependant à l’ère de l’échantillonnage, il est assez improbable que qui que ce soit souhaite utiliser une onde triangulaire pour créer un son de flûte. La capture d’écran ci-dessus montre une onde rectangulaire. Elle contient toutes les harmoniques impaires, dont les amplitudes diminuent proportionnellement avec leur nombre. La rectangularité peut être définie sur toute valeur et sert d’adresse de modulation. La documentation classique sur les synthétiseurs apparente l’onde rectangulaire au son d’une clarinette, celle-ci ne comportant pas non plus d’harmoniques paires dans une certaine plage de fréquences.Annexe Notions élémentaires sur les synthétiseurs 673 Enveloppes Que signifie le terme enveloppe dans ce contexte ? Dans cette illustration, vous voyez l’oscillogramme d’un son percussif. On voit clairement comment le niveau monte immé- diatement à son maximum et comment il décroît. Si vous aviez dessiné une ligne autour de la moitié supérieure de l’oscillogramme, celle-ci s’appellerait l’enveloppe du son : un graphique représentant le niveau comme une fonction de temps. C’est ce que fait le générateur d’enveloppe pour définir la forme de l’enveloppe. Cette capture d’écran montre l’enregistrement d’un son d’ES1 créé avec ce réglage des paramètres ADSR (temps d’attaque, temps de chute, niveau de Sustain et temps de relâchement) : attaque aussi courte que possible, valeur moyenne pour la chute, zéro pour le Sustain, valeur moyenne pour le relâchement. Lorsque vous utilisez une touche, l’enveloppe passe de zéro au niveau maximum pendant le temps d’attaque, redescend de ce niveau maximum jusqu’au niveau de Sustain dans le temps de chute, puis reste au niveau de Sustain tant que la touche reste enfoncée. Lorsque la touche est relâchée, l’enveloppe descend du niveau de Sustain à zéro pendant le temps de relâchement. L’enveloppe de type cuivre ou cordes du son suivant (l’enveloppe elle-même n’est pas représentée dans ce graphique) a des temps d’attaque et de relâchement plus longs et un niveau de Sustain plus élevé.674 Annexe Notions élémentaires sur les synthétiseurs Le générateur d’enveloppe peut aussi contrôler la montée et la descente de la fréquence de coupure. Vous pouvez également utiliser les générateurs d’enveloppe pour moduler d’autres paramètres. Dans ce contexte, la modulation peut être considérée comme une commande à distance d’un certain paramètre. Bien d’autres sources peuvent servir de sources de modulation : par exemple la hauteur tonale (numéro de note), la sensibilité à la vélocité ou la molette de modulation. 675 Glossaire Glossaire AAC Abréviation de Advanced Audio Codec. Algorithme de compression-décompression et format de fichier de données audio. AAF Abréviation de Advanced Authoring Format. Format de fichier d’échange de projet interplates-formes que vous pouvez utiliser pour importer des pistes audio multiples incluant des références à des pistes, à des positions temporelles et à l’automatisation du volume. accelerando Augmentation graduelle du tempo (voir tempo). ADAT Abréviation de Alesis Digital Audio Tape. Désigne un enregistreur de cassette numérique huit pistes qui utilise une bande vidéo S-VHS pour enregistrer du son à une profondeur de 16 ou 20 bits. ADAT optique Interface optique de transmission parallèle de huit canaux audio par câble à fibre optique. Il s’agit d’une norme reconnue pour les interfaces multicanaux numériques. AES/EBU Abréviation de Audio Engineering Society/European Broadcasting Union. Cette association possède un format de transmission standard, AES/EBU, pour les signaux audio numériques stéréo de qualité professionnelle. Le format est similaire S/P-DIF, mais se distingue de celui-ci par l’utilisation de gestionnaires de ligne équilibrée à une tension supérieure. Selon le type d’appareils, les interfaces coaxiales AES/EBU et S/P-DIF peuvent communiquer directement. affichage Contrôles Tous les modules Logic Pro (et unités audio) offrent une alternative autre que le graphique aux affichages Éditeur de paramètres d’effet et d’instrument. L’affichage Contrôles est accessible via l’élément Contrôle du menu Affichage de l’en-tête de module figurant dans la partie supérieure de chaque fenêtre de module. Cet affichage permet d’accéder à des paramètres supplémentaires et d’utiliser moins d’espace à l’écran.676 Glossaire affichage Éditeur Presque tous les modules Logic Pro (et unités audio) offrent une présentation graphique des paramètres d’effet et d’instrument. La présentation Éditeur est activée par défaut mais est accessible via l’option Éditeur du menu Présentation figurant dans la partie supérieure de chaque fenêtre de module, si la présentation Contrôles est visible. affichage vertical Autre terme pour niveau dynamique. Voir niveau dynamique. aftertouch Type de données MIDI généré en exerçant des pressions sur des touches ayant été actionnées préalablement. On distingue deux types : Aftertouch canal, dont la valeur est mesurée par un capteur qui s’applique à l’ensemble du clavier. Concerne toutes les notes jouées. Aftertouch polyphonique (rare) est mesuré individuellement et transmis pour chaque touche. Aftertouch est également appelé pression des touches ou sensibilité des pressions. AIFF Abréviation de Audio Interchange File Format. Format de fichier interplate-forme pris en charge par un grand nombre d’applications de montage audio et vidéo numérique. L’audio AIFF peut utiliser un grand nombre de profondeur de bits, le plus souvent une profondeur de 16 et 24 bits. aigus Fait référence aux sons haute fréquence ou aux composants haute fréquence d’un son. Voir fréquence. AKAI Format de données d’échantillon courant avec lequel EXS24 mkII est compatible. ALAC Abréviation de Apple Lossless Audio Codec, algorithme d’encodage et de décodage fournissant une compression audio sans perte. alias Pointeur d’une région MIDI dans la zone Arrangement. Un alias ne contient pas de données. Il pointe simplement vers les données de la région MIDI originale. Vous pouvez créer un alias en appuyant sur Maj+Option et en faisant glisser la région MIDI originale vers un nouvel emplacement. Il n’est pas possible d’éditer un alias directement. Toute modification apportée à la région d’origine sera reflétée dans l’alias. amplificateur Appareil qui augmente le niveau d’un signal. amplification Action d’augmenter un niveau audio (voir coupe). amplitude Ce terme est utilisé pour décrire la quantité d’un signal. Si vous possédez un signal audio, l’amplitude fait référence au volume sonore mesuré en décibels (dB). Apple Loops Format de fichier audio, généralement utilisé pour répéter des éléments musicaux rythmiques ou autres. Apple Loops contient des balises et des éléments transitoires utilisés par Logic Pro pour les tâches d’étirement temporel et de décalage de hauteur tonale. Ces balises permettent de localiser rapidement des fichiers par instrument, genre ou ambiance dans le navigateur de boucles. Glossaire 677 ASCII Acronyme de American Standard Code for Information Interchange. Jeu de caractères standard permettant aux ordinateurs de traiter des caractères texte. Lorsque vous saisissez des caractères ASCII au clavier, l’ordinateur les interprète en binaire pour qu’ils puissent être lus, manipulés, stockés et extraits. Voir également code d’analyse. attaque Phase de début d’un événement sonore. Également partie d’une enveloppe (voir enveloppe). atténuer Diminution du niveau d’un signal sonore (voir amplication et coupe). Audio MIDI Setup (AMS) L’utilitaire Configuration audio et MIDI (utilitaire AMS) permet de configurer les périphériques d’entrée et de sortie audio et MIDI connectés à votre ordinateur. Audio Units (AU) Audio Units est le format Mac OS X standard des modules en temps réel. Il peut être utilisé pour les effets audio, les instruments logiciels et les générateurs. Le format Audio Unit est intégré au système d’exploitation ; les modules Audio Unit installés sont accessibles simultanément par tous les programmes appropriés. audition binaurale Description de la façon dont l’homme traite les informations de positionnement audio, ce qui permet d’identifier la direction d’une source de signal (devant, derrière, au-dessus, en dessous et à gauche ou à droite de la position d’écoute). auto-oscillation L’auto-oscillation est une caractéristique des circuits de filtrage analogiques. Elle se produit, à des valeurs de résonance élevées, lorsque le filtre fonctionne en boucle fermée et commence à osciller à sa fréquence naturelle. automatisation L’automatisation désigne la capacité d’enregistrer, de modifier et de reproduction des mouvements de tous les boutons et commandes comme : les équilibreurs de volume, la balance, l’égaliseur et les commandes d’envoi auxiliaires, ainsi que la plupart des paramètres de modules d’effets et d’instruments. balance Positionnement de signaux audio mono dans le champ stéréo, en définissant des niveaux différents des deux côtés (voir Balance). balance binaurale Processus d’émulation de l’audition binaurale. balise d’aide Petite fenêtre de texte qui apparaît lorsque le curseur de la souris est placé sur un élément d’interface. Elle indique le nom ou la valeur de l’élément. Lors d’opérations de montage telles que le déplacement ou la coupe d’une région, une balise d’aide plus grande s’affichera en temps réel dans la position actuelle (et de début) de la région ou de la fonction. bande de canaux de sortie Type de bande de canaux du Mélangeur permettant de contrôler le niveau de sortie et la balance de chaque sortie physique de votre interface audio. 678 Glossaire bande de canaux master Bande de canaux du Mélangeur qui joue le rôle d’un atténuateur distinct, en modifiant le gain de toutes les bandes de canaux de sortie sans modifier les relations de niveau entre elles. barre de défilement Barre latérale grise d’une fenêtre. Une boîte mobile est employée dans la barre pour sélectionner la section de projet affichée à l’intérieur de la fenêtre. barre de menus locaux Menu d’une fenêtre qui contient uniquement des fonctions associées à celle-ci. barre principale de menus Figurant dans la partie supérieure de l’écran, offre des fonctions générales telles que l’ouverture, l’enregistrement, l’exportation ou l’importation de projets. Cette barre de menus n’offre pas d’accès aux fonctions de fenêtre locale. basculer Passer d’un état à un autre, tel qu’activé ou désactivé (s’applique aux fenêtres, aux valeurs de paramètre, par exemple). Basse Instrument de musique. Le terme fait également référence aux sons basse fréquence ou aux composants basse fréquence d’un son. Voir fréquence. battement En musique, intervalle de temps : « Le battement est la mesure rythmique régulière d’un morceau sur lequel les gens peuvent taper du pied en rythme. » Généralement, une noire. battements par minute Voir bpm. boucle Format de fichier audio, contenant des éléments musicaux rythmiques récurrents ou d’autres éléments à répéter. bounce Pour traiter des régions MIDI ou audio avec des effets appliqués, tels que le délai ou la compression, et les combiner dans un même fichier audio. bouton Lier Bouton figurant dans l’angle supérieur gauche de la plupart des fenêtres Logic Pro et comportant l’icône lien. Il contrôle la liaison entre des fenêtres différentes. bpm Abréviation de battements par minute, mesure du tempo d’un morceau de musique. Exemple : 120 bpm signifie qu’une minute comportera 120 battements musicaux (noires). Broadcast Wave Voir Wave.Glossaire 679 bruit blanc Type de bruit comportant toutes les fréquences (nombre infini) émises simultanément, de même intensité, sur une bande de fréquences donnée. On qualifie ce bruit de « blanc » par analogie avec la lumière blanche qui contient, à parts égales, toutes les longueurs d’ondes optiques (c’est-à-dire, toutes les couleurs de l’arc-en-ciel). En termes sonores, le bruit blanc se situe entre le son de la consonne F et les vagues déferlantes (surf). Pour synthétiser des bruits de vagues ou de vent, ou encore des sons de caisse claire électronique, le bruit blanc est indispensable. bruit bleu Son blanc filtré par passe-haut, qui ressemble au sifflement de ruban. bruit rose Type de bruit harmonique qui contient plus d’énergie dans la plage de fréquences basses. bus Les bus sont utilisés pour l’envoi de son à des bandes de canaux auxiliaires pour le traitement ou le sous-mixage de tâches. cadre Unité temporelle. Une seconde de la norme SMPTE est divisée en images correspondant à une seule image fixe dans un fichier vidéo ou sur une bande vidéo. CAF Abréviation de Core Audio Format. Ce format de fichier peut être utilisé comme conteneur pour les fichiers audio compressés et sans compression de (quasiment) n’importe quelle taille, fréquence d’échantillonnage ou profondeur de bits. Le format de fichier CAF peut gérer des enregistrements audio de trois heures environ (à une fréquence d’échantillonnage de 44,1 kHz — ou d’une durée plus courte à des fréquences d’échantillonnage supérieures). canal d’instruments Logic Pro et MainStage prennent en charge l’utilisation d’instruments logiciels. Les modules d’instruments logiciels sont insérés dans le logement Instrument de canaux d’instruments. canal MIDI Un canal MIDI est un « tube » de données MIDI passant par les ports MIDI. Un port accepte jusqu’à 16 canaux MIDI simultanés. Les pistes enregistrées dans Logic Pro peuvent être dirigées vers des tubes (canaux) différents, qui acceptent des informations différentes et jouent des sons différents affectés à chaque canal. Par exemple, canal 1 : piano, canal 2 : basse, canal 3 : cordes, etc. Cela suppose que les périphériques récepteurs sont capables de recevoir des données sur plusieurs canaux et de jouer des sons différents simultanément (voir multi-timbre). capturer (un objet) Positionner la souris sur un objet, appuyer sur le bouton de la souris et le maintenir enfoncé. case Case à cocher. L’utilisateur clique dans une case à cocher pour sélectionner ou désélectionner (activer/désactiver) une option. CD Audio Raccourci de Compact Disc—Audio, norme de CD de musique stéréo : fréquence d’échantillonnage 44,1 kHz et profondeur de 16 bits.680 Glossaire cent Division de personnalisation d’un demi-ton. Un demi-ton se compose de 100 cents. La plupart des instruments logiciels Logic Studio contiennent un paramètre Fine qui permet de personnaliser les sons en centièmes. clic Métronome ou son émis par un métronome. code d’analyse Chaque touche d’un clavier d’ordinateur possède un code d’analyse au lieu d’un symbole ASCII. Exemple : les touches plus et moins du pavé numérique et les touches correspondantes du clavier possèdent chacune un code d’analyse différent mais partagent les même symboles ASCII. Compressor Effet qui restreint la plage dynamique d’un signal audio (voir également expander). contrôle du temps Mesure de la capacité à jouer des notes au moment approprié. Le contrôle du temps fait également référence à la synchronisation entre événements, régions et périphériques. contrôleur Type de données MIDI. Exemples : curseurs, pédales ou paramètres standard tels que volume et balance. Le type de commande est encodé dans le premier octet de données, la valeur envoyée ou reçue est encodée dans le second octet de données. convertisseur AD ou ADC Abréviation de analog to digital converter (en français, convertisseur analogique-numérique) ; appareil qui convertit un signal analogique en signal numérique. convertisseur de fréquence d’échantillonnage Périphérique ou algorithme permettant de convertir une fréquence d’échantillonnage en une autre. Core Audio Système de pilotes audio normalisé pour tous les ordinateurs Macintosh sous Mac OS X version 10.2 ou ultérieure. Core Audio fait partie intégrante de Mac OS X, ce qui permet d’accéder à toutes les interfaces audio compatibles avec Core Audio. Core MIDI Système de pilotes MIDI normalisé pour tous les ordinateurs Macintosh sous Mac OS X version 10.2 ou ultérieure. Core MIDI fait partie intégrante de Mac OS X, ce qui permet les connexions à tous les périphériques MIDI compatibles avec Core MIDI. coupe (cut) Opération de réduction d’un niveau ou d’une fréquence lors de l’utilisation de l’égaliseur ou d’autres filtres. Permet aussi de décrire physiquement la division et la suppression de fichier et de régions, entre autres (voir amplification et atténuation). courbe de Bezier Courbe créée à partir d’une ligne qui contient deux points. Ces points peuvent être utilisés pour étirer la ligne et la transformer en courbe. En informatique, les courbes de Bezier sont créées par le déplacement de poignées au niveau de ces deux points, ce qui permet d’ajuster la forme de la courbe. Elles portent le nom de Pierre Bezier, qui découvrit la formule mathématique de ces courbes. Glossaire 681 crénelage Artefact numérique qui se produit quand l’échantillon contient des fréquences supérieures de moitié à la fréquence d’échantillonnage. crête 1) Niveau le plus élevé d’un signal audio. 2) Partie d’un signal audio numérique dépassant 0 dB, ce qui génère un écrêtage. chemin de modulation Un chemin de modulation détermine quel paramètre cible sera affecté par un modulateur précis (source de modulation). chute Paramètre d’enveloppe permettant de déterminer le délai qui s’écoule avant que le signal ne retombe du niveau d’attaque au niveau Sustain. Voir enveloppe. DAC Abréviation de analog to digital converter (en français, convertisseur analogiquenumérique) ; appareil qui convertit un signal analogique en signal numérique. DAW Acronyme de Digital Audio Workstation. Ordinateur employé pour l’enregistrement, le mixage et la production de fichiers audio. dB Abréviation de décibel, unité de mesure décrivant les relations entre niveaux de tension, intensité ou puissance, en particulier dans les systèmes audio. débit binaire Lorsqu’il s’applique aux fichiers MP3, le débit binaire fait référence au débit binaire de transfert auquel les fichiers sont encodés. Dans la langue courante, le terme décrit plus généralement la qualité relative du fichier, les débits binaires inférieurs générant des fichiers son moins riches. décalage DC Erreur susceptible d’apparaître dans le courant continu lorsque celui-ci est superposé sur le signal audio, ce qui engendre un décalage vertical au niveau de l’affichage de l’oscilloscope dans l’Éditeur des échantillons. décompte Battements audibles avant le début d’un enregistrement (ou d’une lecture). deesser Processeur de signaux supprimant le sifflement dans les signaux audio. demi-ton Le plus petit intervalle entre deux hauteurs tonales dans l’échelle diatonique standard, égal à la moitié d’un ton. Un demi-ton est également une demi-mesure. destructif Le processus audio destructif signifie que les données physiques d’un fichier audio sont modifiées, et non pas uniquement les paramètres de lecture ou du périphérique de montage. DFS Abréviation de Digital Full Scale. Parfois exprimé sous la forme 0 dB DFS. Il s’agit du niveau théorique maximum qu’un signal numérique peut atteindre avant l’écrêtage et d’autres types de distorsion peuvent être introduites. Digital Full Scale Voir DFS.682 Glossaire distorsion Effet qui se produit en cas de dépassement de la limite de reproduction d’un son dans un signal numérique, ce qui produit un son irrégulier et crépitant. DSP (digital signal processing) Le traitement mathématique des informations numériques en vue de modifier un signal. Par exemple, le logement Insert des bandes de canaux Logic Pro attribue des effets DSPtels que la compression dynamique et un retard de signal de canaux. Même les opérations simples telles que la modification de volume et de balance sont des calculs DSP. Dynamique Fait référence aux modifications de volume et d’autres aspects de musique dans le temps. échantillon Enregistrement numérique d’un son à un instant particulier. échantillonnage Processus de conversion d’informations audio analogiques en informations numériques. La fréquence d’échantillonnage d’un flux audio indique le nombre d’échantillons capturés à la seconde (voir fréquence d’échantillonnage). Le niveau de qualité audio est proportionnel à la valeur de la fréquence d’échantillonnage. échantillonneur Appareil ou périphérique utilisé pour l’échantillonnage. Dans Logic Pro et MainStage, ce terme fait généralement référence à l’échantillon EXS24 mkII basé sur des logiciels. échelle Groupe de notes de musique associées (ou hauteurs tonales) formant la base de la mélodie et de l’harmonie dans un morceau de musique. Les échelles les plus courantes sont l’échelle majeure et l’échelle mineure. écrêtage (d’enregistrement numérique) Génération d’un signal trop fort par une bande de canaux, qui dépasse la limite de reproduction sonore correcte et provoque un son distordu dénommé écrêtage. effet Type d’algorithme logiciel qui modifie le son d’un signal audio de multiples façons. Logic Studio inclut un ensemble d’effets de type égaliseur, dynamique, temporels, modulation et distorsion. effet chorus Effet obtenu par la superposition de deux sons identiques avec un délai et la modulation légère du délai de l’un des sons, voire des deux sons. Cela permet d’acheminer le signal audio en le rendant plus riche et plus profond, ce qui donne l’illusion de voix multiples. effet de filtrage Les filtres sont des effets conçus pour réduire l’énergie d’une fréquence spécifique dans un signal. Les noms des types de filtrage indiquent leur rôle. Exemple : Le filtre passe-bas autorise les fréquences inférieures à la fréquence de coupure (voir fréquence de coupure). Glossaire 683 effet de filtrage en peigne Généralement dénommé filtrage en peigne, retard de courte durée qui met en relief des harmoniques spécifiques dans un signal. Cet effet doit son nom à l’apparence d’un graphique de spectre, qui ressemble aux dents d’un peigne. égalisation Voir EQ. Égaliseur Forme abrégée d’égaliseur. Les égaliseurs sont utilisés pour amplifier ou couper des fréquences dans un signal audio. Les applications Logic Studio offrent plusieurs types d’égaliseur. élément transitoire Emplacement d’un enregistrement audio où le signal devient plus fort sur une courte période (un pic de signal, en d’autres mots). Comme c’est généralement le cas pour les enregistrements de batterie, les éléments transitoires sont utilisés pour indiquer où les battements se produisent dans un signal audio. enregistrement Opération de capture d’une performance en tant que données audio ou MIDI. Le terme est aussi communément utilisé lorsque l’on fait référence aux données réelles (dans Logic Pro, les mots région ou fichier sont plus compréhensibles dans le contexte des enregistrements). enveloppe L’enveloppe représente graphiquement la variation d’un son sur une période donnée. Utilisée en tant que périphérique de contrôle, une enveloppe détermine le mode de démarrage, d’exécution et d’arrêt d’un son. Les enveloppes de synthétiseur se composent généralement de phases d’attaque, de chute, de tenue et de libération. envoi Abréviation d’envoi auxiliaire. Sortie d’un périphérique audio utilisé pour le routage d’une quantité contrôlée du signal vers un autre périphérique. Les envois sont souvent utilisés pour envoyer plusieurs signaux au même effet, ce qui est pratique pour les effets nécessitant une grande quantité de ressources processeur, comme la réverbération. événement Commande MIDI individuelle, telle qu’une note sur commande. Les mouvements continus de contrôleur (molette de modulation, par exemple) produisent une succession rapide d’événements individuels, chacun ayant une valeur absolue. expander Processus d’effet qui accroît le niveau dynamique d’un signal audio. Effet contraire de l’effet de compression (voir Compressor). exportation Pour créer une version d’un fichier, telle qu’un projet Logic Pro, dans un format différent pour être distribué et utilisé par d’autres applications. facteur Q Terme généralement associé aux égaliseurs. Le facteur Q est le facteur de qualité de l’égalisation et permet de sélectionner une plage de fréquences plus étroite ou plus large dans le spectre sonore global du signal entrant.684 Glossaire fenêtre de module Fenêtre qui s’ouvre lors de l’insertion d’un module ou lorsque l’utilisateur double-clique sur le logement Insérer/Instrument. Permet d’interagir avec les paramètres du module. fenêtre flottante Voir type de fenêtre. fichier audio Tout enregistrement numérique sonore stocké sur votre disque dur. Vous pouvez stocker des fichiers aux formats AIFF, WAV, Sound Designer II (SDII) et CAF dans Logic Pro. Tous les fichiers WAV enregistrés et bouncés sont enregistrés au format Broadcast Wave. filtre allpass Filtre permettant le passage de toutes les fréquences, fournissant uniquement un décalage de phase ou un délai de phase sans modifier notablement la caractéristique d’amplitude. filtre coupe-bande Ce filtre coupe la bande de fréquences la plus proche de la fréquence de découpe, tout en autorisant le passage de toutes les autres fréquences. filtre de réjection de bande Ce filtre coupe la bande de fréquences centrée autour de la fréquence de coupure, tout en autorisant le passage des fréquences éloignées. Les fréquences moyennes sont ainsi atténuées tandis que les hautes et basses fréquences restent inchangées. filtre high cut Un filtre high cut est un filtre passe-bas qui n’offre aucun contrôle d’inclinaison ou de résonance. Comme son nom l’indique, il atténue les fréquences au-dessus de la coupure. filtre Low Cut Un filtre Low Cut est un filtre passe-haut qui n’offre aucun contrôle d’inclinaison ou de résonance. Il atténue toutes les fréquences qui se trouvent sous la coupure définie. filtre passe-haut Un filtre passe-haut laisse passer toutes les fréquences supérieures à la fréquence de coupure. Un filtre passe-haut est un filtre qui n’offre aucun contrôle d’inclinaison ou de résonance et qui est dénommé filtre Low Cut. FireWire Nom Apple déposé pour la norme IEEE 1394. Interface série rapide et polyvalente, souvent utilisée pour connecter des interfaces audio et des unités de traitement audio à des ordinateurs. FireWire est bien adapté aux applications qui transfèrent de grandes quantités de données et permet de connecter des disques durs, des scanneurs et d’autres types de périphériques. Il existe deux versions de FireWire : FireWire 400 et FireWire 800. La version 800 est la plus rapide et utilise un type de connecteur différent. L’utilisation de périphériques FireWire 400 sur un port FireWire 800 est possible avec un câblage approprié mais réduit de moitié la bande passante vers tous les périphériques du port (voir également M-LAN).Glossaire 685 Flanger L’effet Flanger est similaire à l’effet chorus, dans lequel un signal légèrement retardé (plus court que dans l’effet chorus) est renvoyé à l’entrée de ligne différée. L’effet slanging rend le son plus profond, et le décale légèrement. focus du clavier La fenêtre active sélectionnée possède le focus du clavier dans Logic Pro. La plupart des raccourcis clavier ne fonctionnent que lorsqu’une fenêtre possède le focus du clavier. La zone Inspecteur met également à jour les paramètres d’une fenêtre possédant le focus du clavier. fonction Annuler Fonction qui annule l’opération de modification précédente. fonction Freeze La fonction Freeze effectue des traitements bounce déconnectés individuels pour chaque piste bloquée, ce qui permet d’économiser presque 100 % du temps processeur pour les instruments logiciels et les modules d’effet. Tous les modules d’une piste (y compris les modules d’instrument logiciel, si nécessaire, ainsi que toutes les données d’automatisation liés) sont rendus dans un fichier freeze. forme d’onde Représentation visuelle d’un signal audio. Les graphiques de forme d’onde doivent être lus de gauche à droite et sont centrés sur une ligne horizontale. Les parties plus fortes de la forme d’onde (crêtes d’amplitude) sont représentées par des courbes ou des pics plus élevés. fréquence Nombre de vibrations d’un signal sonore par seconde, mesuré en cycles par seconde ou Hertz (Hz). fréquence d’échantillonnage Quand un signal audio analogique est convertit en signal numérique, ce terme fait référence au nombre d’échantillonnages du fichier audio par seconde. fréquence de coupure Fréquence à laquelle le signal audio passant par un filtre passe-bas ou passe-haut est atténué de 3 dB environ. fusionner Mélanger ou combiner au moins deux événements ou régions MIDI en un événement ou région. gestionnaire Les gestionnaires sont des programmes qui permettent à différentes parties de matériel et de logiciels d’être reconnus par des applications. Si le gestionnaire approprié n’est pas correctement installé pour votre périphérique audio, il se peut que votre ordinateur ne le reconnaisse pas ou ne le gère pas. Voir onglet Périphériques. glisser-déposer Capture des objets à l’aide de la souris, les déplacer et relâcher le bouton de la souris.686 Glossaire GM Abréviation de General MIDI. Norme des modules son MIDI qui spécifie un ensemble uniforme de sons d’instruments sur les 128 numéros de programme, une affectation de tonalités normalisées pour les sons de batterie et de percussion sur le canal 10 MIDI, les performances de timbres multiples en 16 parties et une polyphonie d’au moins 24 voix. La spécification GM est conçue pour assurer la compatibilité entre périphériques MIDI. Une séquence musicale générée par un instrument GM doit s’exécuter correctement sur n’importe quel autre module son ou synthétiseur GM. GS Norme GM étendu développée par Roland Inc. horloge Impulsion électrique de synchronisation, transmise tous les 1/96ème de note. Utilisée sur les anciennes machines de percussions avant l’avènement de MIDI (l’horloge MIDI est une implémentation moderne de signaux d’horloge simples. Elle s’exécute à 24 ppn (pulsations par noire) ou à 96 pulsations par note). horloge de référence Signal d’horloge requis par les interfaces audio numériques pour assurer l’exécution synchrone des fréquences d’échantillonnage de périphériques connectés. Quand deux périphériques sont connectés par l’intermédiaire d’une interface audio numérique standard (telle que S/P-DIF ou ADAT optique), l’Horloge de référence est transmise via le circuit audio. Pour que plus de deux périphériques audio numériques communiquent ensemble dans le cadre de la synchronisation, il est généralement nécessaire d’utiliser des ports Horloge de référence. horloge MIDI Court message MIDI pour les signaux d’horloge. Fournit une impulsion de contrôle du temps entre périphériques MIDI. Elle est réglée sur 24 impulsions par noire, bien que certains périphériques fassent une interpolation de ces valeurs, ce qui permet d’obtenir un signal d’horloge plus précis si chaque périphérique est capable d’interpréter ces informations supplémentaires correctement. Voir également : SPP. icône Petit symbole graphique. Dans Logic Pro, une icône peut être attribuée à chaque piste. importation Processus d’insertion de fichiers de différents types dans un projet. Les fichiers importés peuvent être créés dans une autre application, capturés à partir d’un autre périphérique ou extrait d’un autre projet. inactif Pour désactiver un module. Les modules inactivés n’épuisent pas les ressources système. inclinaison de filtre L’inclinaison de filtre désigne la gravité de l’atténuation de filtre (réduction de niveau). Par exemple, un inclinaison de filtre de 6 dB par octave adoucit plus le signal sonore qu’une inclinaison de filtre de 12 dB par octave. indicateur de crête VU-mètre numérique qui affiche le volume absolu d’un signal audio durant la lecture de celui-ci. Ainsi, chaque crête du signal est représentée.Glossaire 687 Insérer Slot Panneau de bandes de canaux Logic Pro dans lequel vous pouvez insérer un module d’effet. Inspecteur Zone figurant dans la partie gauche de la fenêtre Arrange de Logic Pro et des éditeurs, contenant les options de paramètres et les bandes de canaux (Arrange) de la piste sélectionnée. Voir également boîtes de paramètres. La zone Inspecteur met à jour les paramètres associés à la fenêtre de mise au point de la tonalité. instrument logiciel Équivalent logiciel d’échantillons matériels ou de modules de synthétiseurs, ou de sources sonores acoustiques, tels que des batteries ou des guitares. Les sons générés par des instruments logiciels sont calculés par le processeur de l’ordinateur et joués via les sorties d’interface audio. Parfois appelé synthétiseur logiciel ou échantillonneur logiciel. interface 1) Composant matériel, tel qu’un périphérique MIDI ou audio permettant à vos applications Logic Studio d’établir une connexion avec le monde extérieur. Une interface audio ou MIDI est requise pour recevoir et envoyer un son ou un signal MIDI à votre ordinateur. Voir également interface audio. 2) Terme décrivant des éléments graphiques dans vos applications Logic Studio avec lesquels vous pouvez interagir. Par exemple, la fenêtre Arrange de Logic Pro contient des éléments d’interface graphique, tels que des régions, avec lesquels vous pouvez créer un projet dans l’interface globale Logic Pro. interface audio Périphérique d’entrée et de sortie du son sur votre ordinateur. Une interface audio convertit des données audio numériques émises par votre ordinateur en signaux analogiques diffusés par des haut-parleurs. Dans l’autre direction, une interface audio convertit des signaux analogiques (émis par un chanteur, par exemple) en signaux numériques intelligibles par votre ordinateur. latence Vous pouvez constater un retard entre l’action de votre clavier et l’émission du son. Il s’agit d’une forme de latence. Un certain nombre de facteurs, comprenant l’interface audio utilisée, ainsi que les périphériques audio et MIDI, contribuent à la latence. La taille de mémoire tampon d’E-S est un paramètre que vous pouvez définir dans les préférences de Périphériques. lecture La lecture d’une région audio ou MIDI, d’un fichier audio ou d’un arrangement dans son ensemble permet de l’entendre. legato Méthode musicale consistant à lier une note avec la suivante. LFO Abréviation de Low Frequency Oscillator. Oscillateur qui génère des signaux de modulation, dont la fréquence est inférieure à la plage de fréquences audibles : leur bande passante se situe entre 0,1 et 20 Hz et atteint parfois 50 ou 400 Hz. longueur de mot Voir profondeur de bits.688 Glossaire M-LAN Variante Yamaha de l’interface FireWire. Elle permet aux mélangeurs numériques et à d’autres périphériques Yamaha d’être connectés directement à un port FireWire de Macintosh (voir FireWire). matrice de modulation EXS24 mkII et quelques autres instruments Logic Studio contiennent une grille permettant de faire varier un certain nombre de paramètres cible, tels que la hauteur tonale, avec un certain nombre de modulateurs (sources de modulation). Cette grille est connue sous le nom de matrice de modulation dans EXS24 mkII. mémoire virtuelle Zone du disque dur utilisée comme extension de la mémoire vive par l’ordinateur. La mémoire virtuelle offre des temps d’accès très lents par rapport à ceux de la mémoire vive physique. menu hiérarchique Menus structurés qui ouvrent des sous-menus en cascade lorsqu’un élément individuel est choisi à un niveau supérieur. menu Réglages Menu de l’en-tête gris figurant dans la partie supérieure de toutes les fenêtres de module Logic Pro. Permet d’enregistrer, de charger, de copier et de coller des réglages : les valeurs de paramètres d’effets et d’instruments logiciels. message MIDI Message transmis par l’intermédiaire de l’interface MIDI consistant en un octet d’état et zéro, un, deux ou plusieurs octets de données (avec des commandes système exclusives)). Voir événement. message pitch bend Message MIDI transmis par la molette pitch bend d’un clavier MIDI. mesure En notation musicale, une mesure contient un nombre spécifié de battements et établit la structure rythmique d’un morceau. métadonnées Les métadonnées sont des informations descriptives supplémentaires stockées dans l’en-tête d’un certain nombre de types de fichier (AAF, par exemple). Elles permettent de référencer des médias externes, pour simplifier les recherches, par exemple. métronome Appareil sonore reproduisant un battement musical. Dans Logic Pro, il peut être configuré dans les réglages de projet Métronome. MIDI Abréviation de Musical Instrument Digital Interface. Matériel et interface logicielle normalisée, asynchrone, série, orientée événement pour les instruments de musique électroniques. MIDI est une norme industrielle permettant à des appareils tels que des synthétiseurs et des ordinateurs de communiquer les uns avec les autres. Elle contrôle la tonalité, la longueur et le volume d’un événement musical, par exemple.Glossaire 689 mixage Processus de mise en forme sonore globale d’un projet par l’ajustement des niveaux de volume, de la balance, de l’ajout d’effets EQ et autres, et par le recours à l’automatisation afin de modifier dynamiquement ces aspects et d’autres. mixage mouillé/sec Fait référence à la proportion de l’ajout d’effets (mouillé) et du signal original non traité (sec). mixdown Terme communément utilisé pour décrire l’opération bounce (voir bounce) ou la fusion de pistes (voir fusion). Mode désactivé local Mode d’exploitation d’un clavier MIDI dans lequel le clavier ne lit pas directement son générateur de sons intégré. Pratique lorsque le clavier est utilisé comme clavier principal de vos applications Logic Studio. mode multiple MIDI Mode d’exploitation de timbres multiples d’un module sonore MIDI dans lequel des sons différents peuvent être contrôlés de manière polyphonique sur des canaux MIDI différents. Un tel module se comporte comme plusieurs modules sonores polyphoniques. General MIDI décrit un mode multiple à 16 parties (c’est-à-dire la capacité de contrôler 16 parties individuellement). La plupart des générateurs de son prennent en charge le mode multiple. Dans Logic Pro, les modules sonores de mode multiple sont adressés par l’intermédiaire d’objets multi-instruments. Ces modules sonores de mode MIDI ou de modes multiples sont généralement désignés sous le nom de modules multitimbraux (voir multitimbral). mode Multi Trigger Ce terme est associé aux synthétiseurs, tels que le modèle ES1. Dans ce mode, une enveloppe de synthétiseur est généralement redéclenchée par chaque événement de note entrante. mode Single Trigger Ce terme est associé aux synthétiseurs, tels que le modèle ES1. Dans ce mode, les enveloppes ne sont pas redéclenchées lors de la lecture de notes liées (legato). modèle Projet contenant des réglages et des préférences définis par vos soins. Les modèles servent de point de départ à de nouveaux projets (tâches de sonorisation, projets audio uniquement, projets MIDI uniquement, etc., selon vos besoins). Tout projet peut être utilisé comme modèle ; vous pouvez créer et enregistrer plusieurs modèles. modulation Généralement, modification variable continue et légère. La plupart des effets Logic Studio et des synthétiseurs contiennent des modulateurs. module Application logicielle qui améliore les fonctionnalités du programme principal (dans le cas présent, l’une de vos applications Logic Studio). mono Abrégé de reproduction sonore monophonique. Processus de mixage de canaux audio en une piste unique, utilisant un nombre égal de signaux audio gauche et droite. Comparer avec stéréo.690 Glossaire MP3 Abréviation de MPEG-2 Audio Layer 3. Format de fichier audio comprimé, généralement utilisé pour la distribution de fichiers audio sur Internet. MTC Voir MIDI Time Code. MTC (MIDI Time Code) Traduction d’un signal de code temporel SMPTE en signal de code temporel standard MIDI. MTC permet de synchroniser Logic Pro avec des périphériques MIDI, d’autres séquenceurs, des bandes audio et vidéo ou des ordinateurs dotés de disque dur prenant en charge le code MTC. Ce code détermine des positions temporelles absolues et prend en charge les messages débuter, arrêter et continuer. muet Fonction de désactivation de la sortie audio d’un canal ou d’une piste. Vous pouvez désactiver le son d’une piste ou d’un canal en cliquant sur le bouton Muet dans la liste de pistes ou dans le bas de la bande de canaux. multi-timbre Ce terme décrit un instrument ou un périphérique capable de jouer plusieurs sons différents simultanément à l’aide de canaux MIDI. Voir mode multiple MIDI. natif L’adjectif natif fait référence au processus hôte d’effets et d’instruments logiciels dans Logic Pro. Le processeur de l’ordinateur calcule les effets et les instruments en mode natif. Natif fait également référence au format de module Logic Pro interne, qui diffère du format Audio Unit. Les modules Logic Pro natifs ne fonctionnent que dans Logic Pro. niveau de zoom Le degré d’agrandissement du contenu d’une fenêtre. Un zoom avant à un niveau élevé permet d’effectuer des modifications plus précises. À l’inverse, vous pouvez effectuer un zoom arrière pour afficher le projet en totalité et travailler sur des sections très larges. normaliser Cette fonction applique les réglages de la boîte Paramètre en cours aux événements MIDI sélectionnés (en modifiant les événements réels eux-mêmes), et supprime les réglages existants. Lorsqu’elle doit traiter l’audio, une fonction de normalisation différente hausse le volume d’un fichier audio enregistré au niveau numérique maximal sans modifier le contenu dynamique. numérique Description de données stockée ou transmise sous forme d’une séquence de 1 et de 0. Plus communément, fait référence aux données binaires représentées par des signaux électroniques ou électromagnétiques. Tous les fichiers utilisés dans les applications Logic Studio sont numériques. Pour comparaison, voir également analogique. numéro de note Hauteur tonale d’une note MIDI contrôlée par le premier octet de données d’un événement de note MIDI. objet instrument Objet de l’environnement Logic Pro conçu pour communiquer avec un périphérique MIDI simple canal. Un objet instrument représente un périphérique physique ou virtuel qui gère des informations MIDI. Voir également objet multi-instrument.Glossaire 691 objet multi-instrument Objet de l’environnement Logic Pro représentant un périphérique matériel ou logiciel multitimbre capable de communiquer avec l’interface MIDI. L’objet multi-instrument regroupe 16 objets instrumentaux en un même paquet. Chacun d’eux, appelé sous-instrument, possède un canal MIDI fixe. Tous les sous-canaux partagent le même port MIDI. Tous les autres paramètres peuvent être définis individuellement. La vocation de l’objet multi-instrument est de communiquer avec des périphériques MIDI multicanaux, pouvant recevoir des données MIDI (et lire des sons différents) sur des canaux MIDI séparés. octet d’état Premier octet d’un message MIDI, qui définit le type de message. octets de données Octets qui définissent le contenu d’un message MIDI. Le premier octet de données représente la note ou numéro de contrôleur ; le second octet de données représente la vélocité ou valeur de contrôleur. OpenTL Abréviation de Open Track List. Ce format de fichier, généralement utilisé pour les échanges de données avec les enregistreurs à disque dur Tascam, tels que le modèle MX 2424, peut être importé par Logic Pro. Le format de fichier OpenTL ne prend en charge que l’échange de données audio (régions audio, avec informations de position de piste). Les données MIDI et les données d’automatisation sont ignorées lors de l’utilisation de la fonction d’exportation OpenTL de Logic Pro. option Fonction secondaire, généralement sous la forme d’une case à cocher, parfois disponible également en tant qu’option de menu. Option Touche de modification, également appelée touche Alt par Windows. oscillateur Un synthétiseur génère un courant alternatif, utilisant une sélection de formes d’onde contenant des quantités diverses d’harmoniques. par défaut Valeur de paramètre prédéfinie. paramètre Swing Modifie le contrôle rigide du temps d’une grille de quantification en différant chaque autre note d’une sous-division indiquée, selon un délai définissable. passe-bande, filtre Ce filtre permet uniquement le traitement de la bande de fréquences centrée autour de la fréquence de coupure, alors que les fréquences plus éloignées (fréquences basses et fréquences hautes) sont écartées. Il en résulte un son contenant de nombreuses fréquences moyennes. Voir également filtre. passe-bas, filtre Le filtre passe-bas définit la fréquence maximale d’un son sans altération de celui-ci ; ce filtre contrôle la clarté du son. Tout signal au-dessus de cette fréquence sera coupé. Plus la fréquence de coupure est élevée, plus les fréquences admissibles le sont également. Un filtre passe-bas qui n’offre aucun contrôle d’inclinaison ou de résonance est un filtre High Cut. 692 Glossaire pédale sustain Pédale optionnelle connectée aux claviers MIDI. Transmet le contrôleur MIDI numéro 64, qui est enregistré et lu par Logic Pro. pic d’amplitude Point le plus fort d’un signal audio. plage dynamique La plage dynamique est la différence de niveau entre la crête de signal la plus élevée pouvant être reproduite par un système audio (ou par un périphérique du système) et l’amplitude du composant spectral le plus élevé du bruit plancher. D’une autre façon, la plage dynamique est la différence entre le signal le plus fort et le signal le plus doux pouvant être reproduits par le système. Elle est mesurée en décibels (dB). Voir décibels. point d’ancrage Point de départ d’un fichier audio sur lequel s’appuie une région audio. Voir également Éditeur des échantillons. point zéro Dans un fichier audio, point où la forme d’onde croise l’axe d’amplitude zéro. Si vous coupez un fichier audio au point zéro, aucun clic ne sera possible au point de coupe. porteuse Dans la synthèse FM, la porteuse est l’équivalent de l’oscillateur de synthétiseur analogique qui produit une onde sinusoïdale. La fréquence de porteuse est modulée par le modulateur. post-équilibreur Dans les mélangeurs analogiques, les envois sont positionnés avant (pré) ou après (post) l’équilibreur. Post équilibreur signifie positionné après l’équilibreur du volume dans le cheminement du signal, le niveau du signal sortant suivant les variations de l’équilibreur. pré-équilibreur Dans les mélangeurs analogiques, les envois sont positionnés avant (pre) ou après (post) l’équilibreur. Pre-équilibreur signifie positionné avant l’équilibreur de volume dans le cheminement du signal, de sorte que le niveau d’un signal routé avant l’équilibreur vers une destination demeure constant, quelles que soient les mouvements de l’équilibreur. préréglage Ensemble de valeurs de paramètres de module pouvant être chargé, enregistré, copié ou collé via le menu Réglages dans l’en-tête d’une fenêtre de module. Voir réglage et menu Réglages. Presse-papiers Le Presse-papiers est une zone mémoire invisible, dans laquelle vous pouvez couper ou copier des données sélectionnées à l’aide du menu Édition. Les données stockées dans le Presse-papiers peuvent être collées dans différents emplacements. pressure Voir aftertouch.Glossaire 693 prises Pour simplifier, on peut affirmer qu’une prise est un enregistrement. Logic Pro permet de créer plusieurs prises, une à une, sans quitter le mode enregistrement. Ces prises peuvent ensuite être compilées dans une prise plus importante (voir comping). profondeur de bits Nombre de bits utilisés par un enregistrement numérique ou un périphérique numérique. Le nombre de bits de chaque échantillon détermine le niveau dynamique maximale (théorique) des données audio, indépendamment du taux d’échantillonnage. PWM Modulation de la largeur d’impulsion (PWM, Pulse Width Modulation). Les synthétiseurs implémentent souvent cette fonction, dans laquelle une forme d’onde carrée est déformée par sa largeur d’impulsion. Une forme d’onde carrée correspond généralement à un son caverneux, alors qu’une forme d’onde carrée modulée correspond à un son nasillard. quantification Correction temporelle des positions des notes en les déplaçant vers le point le plus proche sur une grille sélectionnable. quantité de modulation Force ou intensité de modulation. QuickTime QuickTime est une norme Apple interplate-forme pour la lecture et l’encodage vidéo de données comprimées numériques. raccourci clavier Fonction qui peut être exécutée en appuyant sur une touche ou une combinaison de touches précise de votre clavier d’ordinateur ou de votre contrôleur MIDI. RAM Abréviation de random-access memory. Capacité mémoire de l’ordinateur, mesurée en méga-octets (Mo), déterminant la quantité de données que l’ordinateur peut traiter et stocker temporairement à un moment donné. ReCycle ReCycle est le nom d’une application développée par l’éditeur Propellerhead, dont la vocation est d’éditer et de produire des boucles (échantillons audio répétés). ReCycle utilise des formats de fichier spécifiques (.REX) pouvant être importés par Logic Pro. région Les régions figurent dans les pistes Arrange de Logic Pro : il s’agit de barres rectangulaires qui jouent le rôle de conteneurs pour les données audio ou MIDI. Il existe trois types de régions : régions audio, régions MIDI ou régions dossiers (généralement appelées dossiers). Voir également : région audio, région MIDI et dossier. réglage 1) Valeur de paramètre. 2) Ensemble de valeurs de paramètres de module pouvant être chargé, enregistré, copié ou collé via le menu Réglages. Un réglage de module est également connu sous le nom de préréglage. Voir également préréglage et menu Réglages. repérage Contrôle de la lecture lors de l’avance rapide ou du rembobinage.694 Glossaire résolution binaire Synonyme de profondeur de bits. Voir profondeur binaire et fréquence d’échantillonnage. résonance Terme généralement associé aux filtres, en particulier à ceux des synthétiseurs. La résonance amplifie la plage de fréquences autour de la fréquence de coupure. Voir fréquence de coupure. retard Un processus d’effet qui retarde le signal audio entrant, générant ainsi des effets de chorus par les répétitions infinies du signal. réverbération La réverbération est le son d’un espace physique. Plus précisément, la réflexion des ondes sonores dans un espace. Par exemple, des applaudissements dans une cathédrale font réverbération tant que les ondes sonores rebondissent sur les surfaces de pierre de cet espace immense. Des applaudissements dans un espace réduit produiront peu de réverbération. Ceci s’explique par le fait que la durée nécessaire aux ondes sonores pour atteindre les murs et revenir à vos oreilles est très court, ce qui rend la réverbération à peine audible. ReWire Technologie de flux audio et de synchronisation de la société Propellerhead Software. La sortie des applications ReWired peut être dirigée vers et traitée par le Mélangeur Logic Pro. Logic Pro peut également contrôler les opérations de transport de programmes ReWired. De plus, les pistes instrumentales Logic Pro peuvent diriger les instruments logiciels des applications ReWire. ritardando Diminution graduelle du tempo (voir tempo). roue de modulation Contrôleur MIDI disponible sur la plupart des claviers MIDI. routage Fait généralement référence à la façon dont l’audio est envoyé aux unités de traitement. Parfois utilisé pour décrire des affectations d’entrée et de sortie spécifiques. saturation Terme généralement associé à une légère distorsion de bande ou aux caractéristiques des amplificateurs à tube. Il décrit un niveau de gain très élevé provoquant une légère distorsion du signal entrant, ce qui génère un son sourd et chaud. SDII Format de fichier audio Sound Designer II. Structure voisine de celle du format de fichier AIFF. sélection par étirement Technique de sélection de régions, objets ou événements consécutifs en cliquant sur le bouton de la souris, en le maintenant enfoncé, puis en faisant glisser le curseur de la souris autour des éléments souhaités. Une enveloppe de sélection (contour) se dessine à partir de la position du curseur de la souris. Tous les objets compris dans l’enveloppe ou en contact avec celle-ci sont sélectionnés. séquence Voir vidéo.Glossaire 695 séquenceur De nos jours, un séquenceur est considéré comme une application permettant d’enregistrer des données numériques et des données MIDI et de les mélanger à l’aide d’une console de mixage logiciel. Dans le passé, un séquenceur avait pour rôle de commander des synthétiseurs par une série de tensions et de barrières de tension ou simplement par l’intermédiaire d’une interface MIDI. Un séquenceur n’offrait pas de fonctions d’enregistrement ou de contrôle audio. séquenceur pas à pas Tandis que tous les séquenceurs, y compris Logic Pro, parcourent une série d’événements, ce terme permet de décrire un périphérique depuis les origines des synthétiseurs analogiques. Le réglage de la longueur de note (durée de porte) et de la hauteur tonale d’un synthétiseur connecté s’effectuait essentiellement par le biais de deux rangées de potentiomètres (au nombre de huit, en général) ajustés individuellement. Le séquenceur parcourait ces réglages une fois ou de façon répétée. La plupart des instruments logiciels actuels, particulièrement les synthétiseurs de batterie, comprennent un séquenceur pas à pas intégré qui permet d’effectuer la synchronisation avec la lecture Logic Pro. Ultrabeat incorpore un séquenceur pas à pas considérablement plus souple que ses cousins analogiques du passé. shelving EQ Type EQ permettant d’augmenter ou de réduire la plage de fréquences au-dessus ou au-dessous de la fréquence spécifiée. signal analogique Description de données consistant en un niveau de tension variable sans fin qui représente les informations audio. Les signaux numériques doivent être numérisés ou capturés pour être utilisés dans une application Logic Studio. À comparer avec numérique. side chain En pratique, un side chain est un signal d’entrée alternatif, généralement routé vers un effet, qui permet de contrôler un paramètre d’effet. Par exemple, vous pouvez utiliser une piste avec fonction Side Chain contenant une boucle de percussion pour qu’elle joue le rôle de signal de contrôle d’une porte insérée sur une piste de nappe soutenue, créant ainsi un effet de porte rythmique pour le son de nappe. SMF Voir Standard MIDI File. SMPTE Abréviation de Society of Motion Picture and Television Engineers. Organisation chargée d’établir un système de synchronisation divisant le temps en heures, minutes, secondes, cadres et sous-cadres (code temporel SMTPE). Le code temporel SMPTE permet également de synchroniser des périphériques différents. Le code temporel MTC (MIDI Time Code) est l’équivalent MIDI du code temporel SMTPE. Voir MTC. solo Façon de mettre en relief de façon temporaire un ou plusieurs événements, pistes ou régions, afin de les entendre isolément. sous-cadre Sous-division d’un cadre SMPTE, correspondant aux bits individuels d’un cadre SMPTE. Un cadre comprend 80 bits.696 Glossaire SPP Abréviation de Song Position Pointer, sous-message d’impulsion de contrôle du temps MIDI qui indique la position actuelle du morceau (projet). Ce sous-message est adapté aux mesures (et aux battements pour certains périphériques) mais ne l’est pas en tant que code MTC (MIDI Time Code). S/P-DIF Forme abrégée de Sony/Philips Digital Interface, format de transmissions standard pour les signaux audio numériques stéréo de qualité professionnelle. Le format est similaire à AES/EBU, mais utilise des connecteurs et des câbles optiques ou coaxiaux 75 ohms. Selon le type d’appareils, les interfaces coaxiales AES/EBU et S/P-DIF peuvent communiquer directement. La plupart des interfaces audio numériques actuelles sont dotées de connecteurs S/P-DIF. Standard MIDI File (SMF) Format de fichier standard pour l’échange de morceaux entre séquenceurs ou lecteurs de fichier MIDI différents. Les fichiers MIDI standard ne sont pas spécifiques à un programme séquenceur, à un type d’ordinateur ou à un périphérique particulier. Tout séquenceur doit être en mesure d’interpréter au moins le format de fichier MIDI type 0. Les fichiers SMF contiennent des informations sur les événements MIDI, comme les positions temporelles et les affectations de canaux, les noms de pistes individuelles, les noms d’instruments, les données de contrôleur, les modifications de tempo, entre autres. stéréo Forme abrégée de reproduction sonore stéréophonique de deux canaux audio différents. Comparer avec mono. surround Le terme surround désigne les systèmes de lecture qui utilisent plusieurs haut-parleurs. Actuellement le plus courant, le format surround 5.1 prend en charge plusieurs canaux (avant gauche, avant centre, avant droit, gauche surround, droit surround, canal LFE ou subwoofer), le plus souvent dans les systèmes Home Theater et dans les cinémas. synchronisation Méthode de verrouillage de l’heure de plusieurs périphériques d’enregistrement ou de lecture. Dans presque toutes les configurations synchronisées, on compte un périphérique maître et un ou plusieurs périphériques esclaves qui règlent leur horloge de synchronisation sur celle du périphérique maître. synchroniseur Unité centrale utilisée pour le contrôle de la synchronisation de plusieurs périphériques. synthétiseur Périphérique (matériel ou logiciel) utilisé pour générer des sons. Le mot est dérivé des premières tentatives d’émulation (de synthèse) du son d’instruments de musique, de la voix humaine, des chants d’oiseaux, etc. Logic Studio comprend plusieurs synthétiseurs logiciels, tels que ES1, ES2, EFM1, ES E, ES P et ES M.Glossaire 697 SysEx Abréviation de System Exclusive data. Les données SysEx forment l’intermédiaire supérieur dans la hiérarchie des commandes MIDI. Ces messages sont étiquetés avec un numéro d’identification pour chaque fabricant (le numéro SysEX d’identification du fabricant). Le contenu réel de ces commandes MIDI est laissé à la discrétion du fabricant. Les donnés SysEx permettent souvent de transférer des programmes son ou des réglages système individuellement ou par groupes, ou de régler la génération de sons individuels ou les paramètres de traitement de signaux. tempo Vitesse de lecture d’un morceau de musique mesurée en battements par minute. tick Plus petite unité de résolution du contrôle du temps d’un séquenceur MIDI. Dans Logic Pro, cela correspond à 1/3840ème de note. Logic Pro peut atteindre une précision d’échantillon simple (à des niveaux de zoom suffisants) pour les coupes et le positionnement, mais le protocole MIDI n’est pas assez rapide pour le prendre en charge. timecode Format (et signal) d’affectation d’une unité temporelle séquentielle unique à chaque cadre de vidéo ou de position de projet. Le format de timecode SMPTE, par exemple, est mesuré en heures : minutes : secondes : cadres et sous-cadres. tonalité Échelle d’un morceau de musique centrée sur une hauteur tonale spécifique. La hauteur tonale spécifiée est appelée la racine de la tonalité. Peut également faire référence à la tonalité noire ou à la tonalité blanche d’un clavier MIDI tonalité Hauteur d’un son musical, définie par les aigus et les basses. Correspond à la fréquence de l’onde sonore. touche de modification Touches du clavier d’ordinateur utilisées conjointement avec des touches alphabétiques pour modifier la fonctionnalité. Les touches de modification comprennent les touches Contrôle, Maj, Option et Commande. transposition La transposition est l’opération de modification de la hauteur tonale d’une région (ou d’un événement) audio ou MIDI de demi-tons. triangle d’affichage Petit triangle sur lequel vous cliquez pour afficher ou masquer des détails de l’interface utilisateur. type de fenêtre État de la fenêtre : fenêtre flottante ou fenêtre normale. Les fenêtres flottantes sont des fenêtres mobiles affichées au premier plan et qui ne peuvent être masquées par des fenêtres normales. Voir également fenêtre flottante. unicode Fondamentalement, les ordinateurs ne traitent que des nombres. Ils stockent les lettres et les autres caractères en attribuant un nombre à chacun d’eux. Unicode fournit un nombre unique pour chaque caractère, indépendamment de la plate-forme, du programme et de la langue.698 Glossaire utilitaire de boucles Apple Loops Cet utilitaire vous permet de créer vos propres boucles Apple Loops. Pour utiliser l’utilitaire de boucles Apple Loops, sélectionnez une région audio dans la zone d’arrangement, puis choisissez Audio > Ouvrir dans l’utilitaire de boucle Apple. vélocité Force à laquelle une note MIDI est jouée, contrôlée par le second octet de données d’un événement de note. VU-mètre Indicateur de contrôle des niveaux d’entrée et de sortie audio vers et depuis votre ordinateur. Vous pouvez utiliser les VU-mètres dans vos applications Logic Studio lors de l’enregistrement, de l’arrangement et du montage de fichiers audio et lors de la création d’un mixage. VU-mètre Traduction française de l’abréviation Volume Unit meter. Indicateur analogique utilisé pour le contrôle des niveaux audio. WAV, WAVE Format de fichier audio principal utilisé par les ordinateurs compatibles avec Windows. Dans Logic Pro, tous les fichiers WAV enregistrés et bouncés figurent dans le format Broadcast Wave, qui comprend des informations d’horodatage haute résolution positionnelles. Cela simplifie l’alignement de ces fichiers dans d’autres applications audio et vidéo. XG Norme Extended General MIDI développée par Yamaha, compatible avec Roland GS. zone de dialogue Fenêtre contenant une requête ou un message. Vous devez interagir avec cette fenêtre (en appuyant sur un bouton) pour pouvoir poursuivre votre travail. zoom Opération de grossissement (zoom avant) ou de rétrécissement (zoom arrière) de l’affichage dans une fenêtre. 699 Index Index A acheminement, description 694 Adaptive Limiter 61 affichage Contrôles (module) 675 affichage Éditeur (module) 676 AIFF, fichier 676 aigus, plage de fréquences 102 AKAI importation de fichier avec EXS24 mkII 433–438 AKAI, fichier description 676 aliasing description 681 allpass, filtre 684 amplification 676 amplitude, description 676 Analogique de base (instrument GarageBand) 663 atténuation 677 audio amélioration des enregistrements parlés 211 amélioration du contrôle du temps 208 amplification 216 application de la distorsion 51 correction de la hauteur tonale 161 feeling swing 210 rendre des enregistrements numériques plus vivants 209 rythmes variables 210 transformation des pistes vocales 167 transposition 161 transposition de la hauteur tonale 165 Audio Unit, module 677 AutoFilter 104–108 curseur Seuil 104 paramètres de l’effet Distortion 106, 107 paramètres Envelope 104, 107 paramètres Filter 105, 106 paramètres LFO 105, 107 paramètres Output 106, 108 Autofilter Soundtrack Pro 127 automatisation 677 AVerb 172 B balayage sinusoïdal 218 bande de fréquence analyse 90 compression 74 réglage 85 bande passante (Égaliseur) 86 banque de filtres 223 base stéréo, extension 129, 133 Bass Amp 19–21 basse (instrument GarageBand) 664 basse, génération artificielle 212 basses, plage de fréquences 102 battement 678 battement de métronome. Voir KlopfGeist battements par minute 678 batteries (instrument GarageBand) 665 Binaural Panner 129 Binaural Post-Processing, module 129–130 Bitcrusher 52 Bounce, description 678 bpm. Voir battements par minute bruit description 613 réduction 206 suppression 78 bruit blanc 281, 679 bruit bleu 679 bruit coloré 281 bruit rose 679 bus (Mélangeur), description 679 C CAF (fichier), description 679 Carlos, Wendy 244 case 679 cent 680 chambre d’écho 172 Channel EQ 87–90 activation d’Analyzer 87 écran graphique 88 section Parameter 88700 Index utilisation 89 utilisation d’Analyzer 90 Chorus (module d’effet) 146 Clavicorde électrique 665 Clavinet 405 Clip Distortion 53 clipping (écrêtage) 51, 682 compresseur décrit 59–60 description 680 spécifique de fréquences 66 Compressor 62–66 menu Circuit Type 66 paramètre Auto Gain 65 utilisation 64 vue d’ensemble des paramètres 63 Compteur BPM 136 contrôle du temps amélioration 208 description 680 contrôleur, description 680 cordes (instrument GarageBand) 666 Core Audio 680 Core MIDI 680 Correlation Meter 136 cors (instrument GarageBand) 665 courbe de Bezier 680 crête description 681 lissage 61 crête, limiteurs 60 D débit binaire 681 décaleur de fréquence 152 décibel 681 DeEsser 66 section Detector 67 section Suppressor 67 Delay Designer 28–46 application d’un zoom sur une zone de l’écran principal 31 Autozoom, bouton 31 basculement de l’écran principal 30 copie des paramètres de tap 42 copie de taps 33 création de taps 32 déplacement de taps 35 déplacement entre les différentes rubriques de l’écran Tap 31 en Surround 46 feedback 45 identification des taps 33 mélange des signaux secs et mouillés 46 modification de taps 36 paramètres de tap 35 réglage du paramètre Filter Cutoff de manière graphique 39 réglage du paramètre Pan de manière graphique 40 rétablissement des paramètres des taps 42 sélection de taps 34 suppression de taps 34, 42 synchronisation des taps 42 enregistrement des réglages de synchronisation 44 résolution de grille 43 valeurs Swing 44 Tap, écran 29 Toggle, paramètres 41 vue d’ensemble 28 Denoiser 206–207 utilisation 207 vue d’ensemble des paramètres 206 densité (effet de réverbération) 172 désactivation du son, description 690 diffusion (effet de réverbération) 172 Digital Stepper (instrument GarageBand) 664 Digiwave 276 Direction Mixer 131–133 Distortion (module d’effet) 54 Distortion II (module d’effet) 55 DJ EQ (module d’effet) 91 DLS, importation de fichier 429 doublage, effet 148 Down Mixer (module) 215 DSP. Voir traitement des signaux numériques Ducker 68 utilisation 69 vue d’ensemble des paramètres 68 Dudley, Homer 243 dynamique, effets 59–84 E échantillonnage 682 échelle, description 682 Echo (module d’effet) 47 effet audio externe, intégration dans la table de mixage Logic 217 effet de « dub » 49 effet de chœur, décrit 324, 682 effet de distorsion numérique 52 effet de filtrage en peigne 151, 683 effet de retard multi-tap 28 effet résiduel 382 effets inclus dans Logic Pro 11 inclus dans MainStage 17 inclus dans Soundtrack Pro 14 inclus dans WaveBurner 15Index 701 effets d’égalisation monobandes 85 effets d’égaliseur 85–102 multibande 86 plages de fréquences utilisées 102 effets Delay (de retard) 27–50 effets Distortion 51–58 effets du modelage d’amplificateur 19–25 effets Imaging 129–134 effets sonores (instrument GarageBand) 666 effets spécialisés 205–213 effet XG 698 EFM 1 247–252 Assignation d’un contrôleur MIDI 252 bouton Fixed Carrier 250 bouton Unison 248 formes d’onde 249 LFO 251 paramètre Glide 248 paramètre Randomize 248 paramètres carrier 249 paramètres de sortie 251 paramètres FM 250 paramètres modulator 249 paramètre Transpose 248 paramètre Tune 248 paramètre Voices 248 potentiomètre FM 250 potentiomètre FM Depth 250 potentiomètre Main Level 252 potentiomètre Modulator Pitch 251 potentiomètre Modulator Wave 249 potentiomètre Rate 251 potentiomètres Fine 249 potentiomètres Harmonic 249 potentiomètre Stereo Detune 251 potentiomètre Sub Osc Level 251 potentiomètre Velocity 252 potentiomètre Vol Envelope 252 section Modulation Env 250 égaliseurs monobandes 85 égaliseurs multibandes 86 égaliseur Voir Effets d’égaliseur élément transitoire description 683 mise en forme 69 Enhance Timing (module d’effet) 208 enregistrement parlé, amélioration 211 Ensemble (module d’effet) 146 Enveloper 69–71 utilisation 70 vue d’ensemble des paramètres 69 enveloppe 673, 683 attaque 673 chute 673 relâchement 673 Sustain 673 EnVerb 173 ES1 259–267 2’, 4’, 8’, 16’, 32’, boutons 260 acheminement de la modulation 264 ADSR via la section Vel 262 Analog, paramètre 265 Assignation d’un contrôleur MIDI 267 Bender Range, paramètre 265 Chorus, paramètre 266 curseur Cutoff 261 curseur Drive 261 curseur Glide 263 curseur Int via Vel 264 curseur Int via Whl 263 curseur Key 261 curseur Mix 260 curseur Resonance 261 Enveloppe de volume, commandes 265 Level via la section Vel 262 LFO Waveform 263 Mod Envelope, commande 265 modulation de la fréquence de coupure 262 oscillateur secondaire (Sub) 260 Out Level, paramètre 266 Rate, commande 263 réglage de la fréquence de coupure 261 router 264 sélecteur de l’enveloppe de volume 262 slope, boutons 261 transposition d’octaves 260 Tune, paramètre 265 Voices, paramètre 266 Volume, commande 262 Wave, potentiomètre 260 ES2 269–346 acheminement du filtre en parallèle 283 acheminement du filtre en série 283 Amp, cible de modulation 292, 299 amplificateur 292 Blend. Voir Filter Blend, curseur bouton BP 289 bouton BR 289 bouton Chorus 324 bouton D (ENV 1) 312 bouton Fat 289 bouton Fix Timing 323 bouton Flanger 324 bouton Flt Reset 288 bouton Hi 289 bouton inv (Router) 294 bouton Legato 272 bouton Lo 289 bouton Mono 272 bouton Peak 289 bouton Phaser 324702 Index bouton Poly 272 bouton R (ENV 1) 312 bouton RND 325 boutons Wave 308 bouton Unison 273 bruit 281 carré 315 chaîne, symbole 288 cible de modulation 295 cible de modulation démultipliée 300 Env2Atck 300 Env2Dec 300 Env2Rel 301 Env2Time 301 Env3Atck 301 Env3Dec 301 Env3Rel 301 Env3Time 301 Glide 301 LFO1Rate 300 contournement de la modulation 293 curseur Attack via Vel (ENV 1) 313 curseur Attack via Vel (ENV 2 et 3) 313 curseur Chute (ENV 2 et 3) 314 curseur EG (LFO 1) 308 curseur Libération 314 curseur Rate (LFO 1) 308 curseur Rate (LFO 2) 310 curseur RND Int 326 curseurs Notes tenues et Temps de maintien 314 curseur Vel 314 Cut 1+2, cible de modulation 298 Cut1inv2, cible de modulation 299 Cutoff 1, cible de modulation 298 Cutoff 2, cible de modulation 298 désactivation du son des oscillateurs 275 Detune, cible de modulation 295 Digiwave 276 distorsion 286 Diversity, cible de modulation 300 dynamique, partie 292 ENV 1 311 ENV 2 313 ENV 3 313 enveloppes 310–314 enveloppe vectorielle 316–323 désactivation 319 mise à l’échelle 323 exemple de modulation 294 Filter Blend, curseur 284 filtrage mode 289 filtre 283–291 acheminement 283 fondu enchaîné 284 modulation 290 pente 289 réinitialisation 288 FltBlend, cible de modulation 299 FM (modulation de fréquence) 277 fondu enchaîné aux filtres 284 fondu enchaîné entre les signaux des oscillateurs 281 forme d’onde LFO 308 formes d’onde de l’oscillateur 1 276 formes d’onde des oscillateurs 2 et 3 278 guide d’initiation 328–346 enveloppe vectorielle 337 réglage Analog Bass clean 330 réglage Sync Start 335 inversion de la modulation via 294 LFO 307–310 Lfo1Asym, cible de modulation 300 Lfo1Curve, cible de modulation 300 LPF FM, cible de modulation 298 matrice de modulation 293–307 menu CBD 272 menu Curve 321 menu Env Mode 320 menu Mode Loop 321 menu Osc Start 274 menu RND Destination 326 menus Vector X et Y Target 316 menu Vector Mode 315 menu via (Router) 294 modèles 339 modes de déclenchement de l’enveloppe 311 modulation en anneau 280 option Sync 279 Osc1Levl, cible de modulation 298 Osc1Wave, cible de modulation 297 Osc1WaveB, cible de modulation 297 Osc2Levl, cible de modulation 298 Osc2Wave, cible de modulation 297 Osc2WaveB, cible de modulation 297 Osc3Levl, cible de modulation 298 Osc3WaveB, cible de modulation 297 oscillateur désactivation du son 275 réglage 275 synchronisation 280 OscLScle, cible de modulation 298 OscWaveB, cible de modulation 297 OscWaves, cible de modulation 296 Pan, cible de modulation 299 paramètre Bend Range 272 paramètre Loop Count 322 paramètre Loop Rate 322 paramètre Loop Smooth 322 paramètres 270–328 paramètres des oscillateurs 275–282 paramètres globaux 271–274Index 703 paramètres OscLevelX et OscLevelY 282 paramètre Surround Diversity 274 paramètre Surround Range 274 paramètres Vector X et Y Int 316 paramètre Time Scaling 323 paramètre Tune 271 paramètre Voices 273 Pitch 1, cible de modulation 295 Pitch 123, cible de modulation 295 Pitch 2, cible de modulation 295 Pitch 3, cible de modulation 295 point d’enveloppe vectorielle modification 319 réglage 319 rétablissement 319 point d’une enveloppe vectorielle 317 point Loop (enveloppe vectorielle) 318 point Solo (enveloppe vectorielle) 320 point sustain (enveloppe vectorielle) 317 potentiomètre Analog 271 potentiomètre Cut (fréquence de coupure) 287 Potentiomètre de fréquence 275 potentiomètre Distortion 324 potentiomètre Drive 286 potentiomètre FM (second filtre) 290 potentiomètre Glide 272 potentiomètre Intensity 324 potentiomètre Res (résonance) 288 potentiomètre Sine Level 292 potentiomètre Speed 324 potentiomètre Tone 324 potentiomètre Wave 276 processeur d’effets 323 puissance de traitement, gestion économique 291 PWM 279 Random, fonction 325 réglage par défaut de l’enveloppe vectorielle 318 réglage Ring 280 Reso 1, cible de modulation 298 Reso 2, cible de modulation 298 routeur 293–307 SineLevl, cible de modulation 298 source de modulation 301 Bender 303 contrôleurs MIDI A–F 303 ENV1 302 ENV2 302 ENV3 302 Kybd 302 LFO1 301 LFO2 302 Max 302 ModWhl 303 Pad-X 302 Pad-Y 302 RndNO1 304 RndNO2 304 SideCh 304 Touch 303 Velo 302 Whl+To 303 source via 305 Bender 305 ENV1 305 ENV2 305 ENV3 305 Kybd 305 LFO 2 305 LFO1 305 ModWhl 306 Pad-X 305 Pad-Y 305 RndNO1 307 RndNO2 307 SideCh 307 Touch 306 Velo 305 Whl+To 306 Stratocaster 340 synthèse à tables d’ondes 277 Target. Voir cible de modulation 295 triangle (zone de mixage des oscillateurs) 281 utilisation de la souris comme manette de jeu 315 vibrato retardé 308 vue Macro 324 vue MIDI 324 ES E 253–254 ES M 255–256 ES P 257–258 EVB3 347–384 Bass, menu 373 bouton Brake 370 bouton Chorale 370 boutons de vitesse du rotor 370 bouton Tremolo 370 Brake, menu 373 canaux MIDI, changement 349 Cancel, touche d’annulation 358 CC, champ 368 changement façon Hammond entre deux registres 374 contrôle Rate 356 contrôle Time 357 contrôle Up Level 357 contrôleur de l’orgue à tirettes Korg CX-3 375 contrôleur du Native Instruments B4D 378 contrôleur MIDI, assignation 374 contrôleur Roland VK 375 contrôle Vel 357 curseur Acc/Dec Scale 372704 Index curseur Bass Filter 361 curseur Click Color 363 curseur Crosstalk 362 curseur Drawbar Leak 361 curseur Filter Age 362 curseur Horn Deflector 372 curseur Leakage 362 curseur Lower Stretch 364 curseur Lower Volume 354 curseur Max Wheels 360 curseur Mic Angle 372 curseur Pedal Volume 354 curseur Random FM 362 curseur Rotor Fast Rate 371 curseurs Click Max/Min 363 curseur Shape 360 curseurs Pitchbend Up/Down 365 curseur Tonal Balance 360 curseur Ultra Bass 361 curseur Upper Stretch 364 curseur Velo to Click 373 curseur Warmth 365 désactivation de la présélection MIDI 358 division du clavier 350 Drawbar affects, menu 374 Drum Brake Pos, paramètre 373 effet, contournement 366 effet de chœur 356 effet de distorsion 369 effet résiduel 382 effet Reverb 367 effets 366–372 effet Wah Wah 368 effet Wah Wah, contrôle via le contrôleur MIDI 368 enceinte rotative 370 génération sonore à roues phoniques 384 Horn Brake Pos, paramètre 373 jouer sur deux claviers et un pédalier 348 Leslie 370, 384 mappage du contrôleur Nord Electro 2 de Clavia 379 menu Cabinet 370 menu Effect Bypass 366 menu Effect Chain 366 menu Mode (Reverb) 367 menu Mode (section Sustain) 366 menu Mode (section Wah) 368 menu Range (morphing) 359 menu Reverb (paramètres étendus) 373 menu Save to 359 menu Speed Control 371 menu Type (section Distortion) 369 MIDI, configuration 348 mode HS MIDI 377 mode MIDI 379 mode NI MIDI 378 mode RK MIDI 375 Morphing 359 paramètre Basic MIDI Ch (vue Controls) 349 paramètre Keyboard Mode 350 paramètre LP Split 350 paramètre MIDI CC 359 paramètre MIDI Mode 351 paramètre MIDI to Presetkey 358 paramètre Mode (Morphing) 359 paramètres Click 363 paramètres de volume 354 paramètres étendus 373 paramètre UL Split 350 parcours du signal 366 potentiomètre Bite 369 potentiomètre Drive 369 potentiomètre Expression 354 potentiomètre Range (section Wah) 369 potentiomètres Click On/Off 363 potentiomètres EQ 367 potentiomètre Tone 369 potentiomètre Tune 355 potentiomètre Type (chœur/vibrato) 356 potentiomètre Volume 354 registre, transposition 350 registres de transposition 350 Scanner Vibrato 355 section Condition 361 section Organ 360 section Percussion 356 section Pitch 364 section Sustain 365 section Vibrato 355 synthèse additive 381 tessitures des claviers supérieur et inférieur 349 tirettes du pédalier 353 tirettes harmoniques 353 touche de présélection 358 volume, contrôle à l’aide de la pédale d’expression 355 EVD6 385–405 assignation d’un contrôleur MIDI 404 boutons FX Order 404 boutons Key On/Off 396 clavinet 405 contrôle Damper 393 contrôle Stereo Spread 390 curseur Brilliance 395 curseur Damping 397 curseur Decay 396 curseur Inharmonicity 397 curseur Intensity 395 curseur Pitch Fall 398 curseur Random 395 curseur Release 397Index 705 curseur Shape 395 curseur Stiffness 397 curseur Tension Mod 397 curseur Velocity 396 curseur Wah Pedal Position (vue Editor) 402 double déclenchement des notes 406 effet Chorus 403 effet Compressor 400 effet de distorsion 400 effet Flanger 403 effets 399–404 menu du contrôle Damper 394 menu du contrôle Wah 402 menu Mode (section Modulation) 403 menu Model 391 menu Pickup Mode 399 menu Velo Curve 394 menu Wah Mode 401 modèle Basic 392 modèle Class D6 391 modèle Domin 392 modèle Dulcimer 393 modèle Guru Funk 392 modèle Harpsi 392 modèle Ltl India 392 modèle Mello D6 392 modèle Old D6 392 modèle Picked 393 modèle Pluck 392 modèle Sharp D6 392 modèle StrBells 392 modèle Wood 392 paramètre Bender 387 paramètre Pressure 388 paramètre Stretch 388 paramètre Tune 387 paramètre Voices 387 paramètre Warmth 387 Phaser 403 potentiomètre Envelope 401 potentiomètre Gain (section Distortion) 400 potentiomètre Level 393 potentiomètre Range 401 potentiomètre Tone 400 section Click 395 section Excite 394 section Modulation 403 section Pickup Position 398 section String 396 section Wah 401 sélecteur AB 389 sélecteur Brilliant 388 sélecteur CD 389 sélecteur Medium 389 sélecteurs de capteur 389 sélecteurs de filtre 388 sélecteur Soft 389 sélecteur Treble 389 événement aftertouch 676 événement MIDI, description 683 événement SysEx 697 EVOC 20 Filterbank 108–112 paramètres de banque de filtres 109 paramètres LFO 110 section Output 111 EVOC 20 PolySynth 221–243 Analog, potentiomètre 230 Attack, curseur (enveloppe) 231 bande de fréquence la plus basse/la plus haute définition du type de filtre 234 détermination de la valeur 233 bandes d’analyse 232 Bands, paramètre 232 barre bleue 233 Bend Range, paramètre 230 Cutoff, potentiomètre 230 détecteur U/V 237 Dual, mode 227, 229 Ensemble, boutons 239 enveloppe, paramètres 231 FM (Frequency Modulation), mode 227, 229 Formant Filter, fenêtre 233 Formant Shift, paramètre 234 Formant Stretch, paramètre 234 gel du spectre du son analysé 232 générateur de bruit 228 Glide, potentiomètre 230 insertion 224 intelligibilité, augmentation 232, 240–243 Int via Whl, curseur 236 Legato, bouton 226 Level, curseur (section Output) 239 LFO, forme d’onde 235 menu Mode (section U/V Detection) 238 modulation, paramètres 235 Mono, bouton 226 nombre de bandes de fréquence 232 oscillateur, paramètres 227 paramètres 225–239 paramètres LFO 235 Pitch LFO, curseur 235 Poly, bouton 226 potentiomètre Level (section U/V Detection) 238 Rate, potentiomètres (modulation) 236 Release, curseur (enveloppe) 231 Resonance (Formant Filter), paramètre 235 Resonance, potentiomètre 231 schéma de principe 240 Sensitivity, potentiomètre 238 Shift LFO, curseur 235 Sidechain Analysis In, section 231 signal de sortie 239706 Index Stereo Width, potentiomètre 239 synthétiseur 226 Tune, paramètre 230 Tuning 230 Unison, bouton 226 utilisation des ressources de l’UC, diminution 232 voix 226 Wave 1, paramètres 227 Wave 2, paramètres 228 EVOC 20 TrackOscillator 112–123 correction de hauteur 117 paramètres de banque de filtres 118 paramètres de l’oscillateur de suivi 116 paramètres LFO 120 schéma de principe 240 section Analysis In 114 section Output 122 section Synthesis In 115 section U/V 121, 237 source du signal Analysis, définition 115 source du signal Synthesis, définition 115 EVP88 407–420 effets 411–415 liste des contrôleurs MIDI 420 modèle de piano électronique émulé piano Hohner Electra 418 piano Wurlitzer 418 Rhodes 415 paramètres de modélisation 409–410 paramètres étendus 415 paramètre Tune 409 paramètre Voices 409 potentiomètre Bass 411 potentiomètre Bell 410 potentiomètre Color 413 potentiomètre Damper 410 potentiomètre Decay 409 potentiomètre Gain 412 potentiomètre Intensity (section Chorus) 415 potentiomètre Intensity (section Tremolo) 414 potentiomètre Lower Stretch 411 potentiomètre Model 408 potentiomètre Rate (section Phaser) 413 potentiomètre Rate (section Tremolo) 414 potentiomètre Release 409 potentiomètre Stereo 410 potentiomètre Stereophase (section Phaser) 413 potentiomètre Stereophase (section Tremolo) 414 potentiomètre Tone 412 potentiomètre Treble 411 potentiomètre Upper Stretch 411 potentiomètre Warmth 411 section Drive 412 section EQ 411 section Phaser 413 section Tremolo 414 sensibilité à la vélocité d’un clavier MIDI 419 tempérament égal 410 Exciter (module d’effet) 209 Expander (module d’effet) 71 expandeurs 60 expansion vers le bas 74 EXS24 mkII 421–483 AKAIfenêtre Convert 436 boutons Wave (LFO 1, LFO 2) 452 curseur Glide 446 curseur Level via Vel 450 curseur Pitcher 446 désactivation du filtre de recherche 428 destinations de modulation 456 dossiers de l’instrument échantillonné 424 échantillon. Voir fichier audio Edit, bouton 440 Éditeur d’intruments View, menu 477 fichier audio aperçu 461 chargement 460, 466 formats pris en charge 423 note fondamentale 467 Filter Envelope 449 Filter On/Off, bouton 447 filtre bandpass 448 groupe 463 création 464 déplacement 475 déterminer la sortie 472 édition 465 édition de la plage de vélocité 476 édition graphique 475 sélection 465 suppression 465 suppression des groupes inutilisés 464 tri 477 instrument à sortie multiple 472 instrument échantillonné 422 chargement 424 création 460 enregistrement 478 gestion 427 importation 429–438 recherche 428 sauvegarde 428 inversion de la source de modulation 454 matrice de modulation 453–457 modulation de second ordre 455 Options, bouton 441 paramètre Hold via 442 paramètre Remote 445 paramètres Pitch Bend 444 paramètres zoneIndex 707 colonne Audio File 460, 466 paramètre Transpose 444 paramètre Vel Offset 442 paramètre Xfade 442 parcours de modulation 453 parcours de modulation de l’EXS24 mkI 455 pentes de filtre highpass 448 pentes de filtre lowpass 447 potentiomètre Cutoff 448 potentiomètre Drive 448 potentiomètre Fine 444 potentiomètre Key 449 potentiomètre Random 444 potentiomètre Resonance 448 potentiomètre Tune 444 potentiomètre Volume 450 Preferences 479–482 réassociation des événements des roulettes de Pitch Bend et de modulation 474 sources de modulation 456 symbole chaîne (filtre) 448 zone 460 assignation de fichier audio 460 attribution de noms 466 création 460–463 déplacement 475 édition 465 édition de la plage de vélocité 476 édition graphique 475 sélection 465 suppression 465 tri 477 EXS24 mkII Amp Envelope 451 bouton b/p (matrice de modulation) 455 bouton Fat 448 bouton inv (matrice de modulation) 454 bouton Legato 439 bouton Mono 439 bouton Poly 439 bouton Show Velocity 476 bouton Unison 440 case à cocher 1Shot 468 case à cocher Pitch (zone) 468 case à cocher Rvrs (Reverse) 468 commande Clear Find 428 commande Enable Find 428 commande Extract MIDI Region and Add Samples to Current Instrument 432 commande Extract MIDI Region and Make New Instrument 431 commande Extract Region(s) from ReCycle Instrument 433 commande Load Multiple Samples 462 commande Paste ReCycle Loop as New Instrument 433 commande Paste ReCycle Loop to Current Instrument 433 commande Slice Loop and Add Samples to the Current Instrument 433 commande Slice Loop and Make New Instrument 432 contrôle simultané des paramètres Cutoff et Resonance 448 conversion de fichier AKAI 433–438 curseurs Time Curve 450 Destination de modulation Sample Select 457 enregistrer les réglages des paramètres dans l’instrument échantillonné 427 ENV 1 449 ENV 2 451 fenêtre Parameters 438–457 fichier audio chargement de plusieurs fichiers en une seule fois 462 hauteur tonale de lecture 467 ouverture dans Sample Editor 466, 469 fichier DLS 429 fichier Gigasampler 429 fichier SampleCell 429 fichier SoundFont2 429 forme d’onde LFO 452 groupe assignation à une zone 464 modification du point de début/fin 476 réglage de la balance 472 ignorer le parcours de modulation 455 importation fichier AKAI 433–438 fichier DLS 429 fichier Gigasampler 429 fichier ReCycle 431–433 fichier SampleCell 429 fichier SoundFont2 429 importation de fichier ReCycle 431–433 instrument échantillonné copie sur le disque dur 426 création depuis un fichier ReCycle 431–433 exportation avec les fichiers audio 478 Instrument Editor configuration de l’affichage de la zone des paramètres 477 mémoire virtuelle 482 menu Dest(ination) (matrice de modulation) 453 menu Sampler Instruments 424 actualisation 427 organisation 427 menu Src (Source) (matrice de modulation) 453 menu via (matrice de modulation) 453 note fondamentale 467 paramètre Amount (section Xfade) 443 paramètre Key Scale 450708 Index paramètre Pan (zone) 467 paramètre Scale 467 paramètres de filtre 447–450 paramètres de groupe 471–474 paramètres de l’instrument échantillonné 426 paramètres de zone 466–471 paramètres généraux 439–443 paramètres Key Range (groupe) 471 paramètres Key Range (zone) 467 paramètres LFO 451 paramètres Pitch (fenêtre Parameters) 444–447 paramètres Pitch (zone) 467 paramètres Sample Start et End 468 paramètres Velocity Range 467 paramètres Voices (groupe) 472 paramètres Volume 450 paramètre Type (section Xfade) 443 paramètre Voices (fenêtre Parameters) 440 potentiomètre EG (LFO 1) 451 potentiomètre Rate (LFO 1) 451 potentiomètre Rate (LFO 2) 452 potentiomètre Rate (LFO 3) 452 réglage Map Mod & Pitch Wheel to Ctrl 4 & 11 474 rétablissement des paramètres de l’instrument 427 rétablissement du paramètre par défaut 426 suppression des réglages de l’instrument 427 Vienna Symphonic Library Performance Tool 483 zone assignation à un groupe 464, 467 balance 467 création de plusieurs fichiers à la fois 462 création par glisser-déplacer 461 modification du point de début/fin 476 zones superposées de fondu 442 External Instrument 485 Input Volume 485 MIDI Destination 485 F Facteur Q (Égaliseur) 86 Fat EQ 91–92 utilisation 92 vue d’ensemble des paramètres 91 feeling swing, application au signal audio 210 fenêtre de module 684 fichier numérique 690 filter slope 617 filtre 670 effets 103–127, 682 fréquence de coupure 670 résonance 671 Flanger 324 Flanger (module d’effet) 147 fonction Freeze 685 formant description 168 transposition 167 format d’entrée surround, ajustement 215 forme d’onde 672 fréquence d’échantillonnage 685 fréquence de coupure 85, 670 Fuzz-Wah 123–125 fonction Auto Gain 124 Pedal Range 125 vue d’ensemble des paramètres 123 G Gain (module d’effet) 216 General MIDI. Voir norme GM génération sonore à roues phoniques 384 gestionnaire 685 Gigasampler, importation de fichier 429 GoldVerb 175–177 densité et diffusion 176 Early Reflection, paramètres 175 High Cut, paramètre 177 Initial Delay, paramètre 176 Predelay, paramètre 176 Reverb, paramètres 175 temps de réverbération 177 Goniometer 140 Grooveshifter 210 Guitar Amp Pro 21–25 Amp, section 22 curseur Output 25 Effects, section 24 microphone position 25 microphone type 25 vue d’ensemble 21 guitare (instrument GarageBand) 665 H Hammond, orgue 383 Harmoniques 577 hauteur tonale correction 161 transposition 165 High Cut Filter (module d’effet) 100 High Pass Filter (module d’effet) 100 High Shelving EQ (module d’effet) 100 hybride de base (instrument GarageBand) 665 hysteresis 80 I I/O, module 217 inactivation, description 686 inclinaison de filtre 686 Inspecteur, description 687Index 709 instrument à vent (instrument GarageBand) 666 instruments inclus dans Logic Pro 13 inclus dans MainStage 18 instruments GarageBand 661–666 analogique de base 663 basse 664 batteries 665 Clavicorde électrique 665 cordes 666 cors 665 Digital Stepper 664 effets sonores 666 guitare 665 hybride de base 665 instrument à vent 666 macro-paramètres 661 métamorphose hybride 665 mono analogique 663 mono numérique 664 nappe analogique 663 numérique de base 664 orgue à roues phoniques 666 paramètres universels 662 percussion syntonisée 666 piano 666 piano électrique 665 synchro analogique 663 tourbillon analogique 663 voix 666 vue d’ensemble 661 interface, description 687 inversion de phase 216 K KlopfGeist 487 L latence 687 legato 687 Leslie 384 Level Meter (module) 137 LFO 307, 687 Lier (bouton), description 678 Limiter (module) 73 limiteurs 60 Linear Phase EQ 93 Logic Pro, effets et instruments 11 longueur de mot. Voir profondeur de bits Low Cut Filter (module d’effet) 100 Low Pass Filter (module d’effet) 100 Low Shelving EQ (module d’effet) 100 M MainStage, effets et instruments inclus 17 Match EQ 94–99 Analyzer Position 94 canaux de liaison 95 modification graphique de la courbe de filtre 99 utilisation 96 vue d’ensemble des paramètres 94 médiums, plage de fréquences 102 mesure, description 688 métamorphose hybride (instrument GarageBand) 665 Metering, modules 135–143 Meyer-Eppler, Werner 244 Microphaser 148 MIDI Time Code, description 690 mode de déclenchements multiples 273, 495, 689 mode de déclenchement unique 273, 495, 689 modélisation de composantes 19, 489 modulateur en anneau 152 modulation, description 674 modulation, effets 145–160 modulation de fréquence 247, 277 modulation de la fréquence 249–251 oscillateur Carrier 247 oscillateur Modulator 247 relation entre les accords 249 Modulation de la largeur d’impulsion (PWM) 279, 693 Modulation Delay 148–149 mono analogique (instrument GarageBand) 663 mono numérique (instrument GarageBand) 664 montage destructif, description 681 Moog, Bob 244 MS (Middle Side), enregistrement stéréo 132 Multichannel Gain 218 MultiMeter 137–140 Analyzer, paramètres 138, 139 Correlation Meter 140 écran graphique 139 Goniometer, paramètres 138, 140 Level Meter 140 Peak, section 138 Multipressor 74–78 écran graphique 75 section des bandes de fréquence 76 section Output 77 multi-timbre 690 N nappe analogique (instrument GarageBand) 663 niveau ajustement 216 analyse 137 Noise Gate (module d’effet) 78–80 curseur Hysteresis 80 utilisation 79710 Index vue d’ensemble des paramètres 78 norme GM, description 686 numérique de base (instrument GarageBand) 664 O onde rectangulaire 672 onde triangulaire 672 orgue à roues phoniques (instrument GarageBand) 666 oscillateur 691 oscillateur Carrier 247 oscillateur de suivi 112 oscillateur Modulator 247 oscillation autoentretenue 677 Overdrive (module d’effet) 56 P Parallel Bandpass Vocoder 243 Parametric EQ (module d’effet) 100 passe-bande, filtre 614 passe-bas, filtre 614 passe-haut, filtre 614, 684 pente 85 percussion syntonisée (instrument GarageBand) 666 phase d’attaque (enveloppe) 673, 677 Phase Distortion (module d’effet) 57 Phaser (module d’effet) 150–151 Phaser, effet 324 piano (instrument GarageBand) 666 piano électrique (instrument GarageBand) 665 piano Hohner Electra 418 piano Wurlitzer 418 Pitch, effets 161–169 Pitch Correction 161–165 automatisation 165 définition de la grille de quantification de hauteur tonale 163 écran Correction Amount 165 exclusion de notes de la correction 164 référence, accord 164 Root, champ 163 Scale, menu 163 temps de réponse 165 vue d’ensemble des paramètres 162 Pitch Shifter II 165–167 utilisation 167 vue d’ensemble des paramètres 166 plage dynamique 692 augmentation 71 compression 62 compression de bandes de fréquence individuelles 74 limitation 61, 73 lissage 62 plages de fréquences 102 PlatinumVerb 177–180 bande de fréquence basse, paramètres 180 densité et diffusion 179 Early Reflection, paramètres 178 High Cut, paramètre 180 Initial Delay, paramètre 179 Output, paramètres 178 Predelay, paramètre 179 Reverb, paramètres 178 temps de réverbération 179 point zéro, description 692 portes de bruit 60 post-équilibreur 692 pré-équilibreur 692 pré-retard (effet de réverbération) 172 problèmes de synchronisation, correction 47 profondeur de bits, description 693 Q queue de réverbération, ajustement de l’enveloppe 173 R réflexions précoces 171 relation de phase, analyse 136 repliement création artificielle 52 réponse impulsionnelle 172, 183 résolution binaire. Voir profondeur de bits résonance 671, 694 résonance, effet 148 retard de canaux à l’aide de valeurs d’échantillonnage 47 Reverb, effets 171–181, 694 réverbération 171 réverbération à convolution 172, 183 Rhodes 415 RingShifter 152–156 Delay, section 154 LFO, section 156 mode de fonctionnement 153 Oscillator, section 153 Output, section 154 sources de modulation 155 suiveur d’enveloppe 155 vue d’ensemble 152 Rotor Cabinet 156 rythme, variation 210 S Sample & Hold 309, 523 SampleCell, importation de fichier 429 Sample Delay 47 saturation 694 Scanner Vibrato 158Index 711 Sculpture 489–592 assignation d’apprentissage de contrôleur MIDI 547 assignation de contrôleur MIDI 546 Body EQ 517–519 activation 517 ajustement graphique 518, 519 commandes EQ 517 modèle 517 bouton « ms » (enveloppe de morphing) 545 bouton « ms » (section Envelopes) 535 bouton 1, 2 et 3 502 bouton Always 505 bouton Auto Select 538 bouton Bandpass 512 bouton Both (Level Limiter) 520 bouton Compare 536 bouton Ctrl 529 bouton Env (enveloppe de morphing) 543 bouton Env (fenêtre de l’enveloppe) 529 bouton Free 523 bouton Hide 497 bouton Hipass 511 bouton Invert 507 bouton KeyOff 505 bouton KeyOn 505 bouton Keyscale 496 bouton Legato 495 bouton Lopass 512 bouton Mono (Level Limiter) 520 bouton Mono (section Keyboard Mode) 495 bouton Notch 512 bouton Off (Level Limiter) 520 bouton Pad (enveloppe de morphing) 543 bouton Peak 512 bouton Poly (Level Limiter) 520 bouton Poly (section Keyboard Mode) 495 bouton R(ecord) (enveloppe de morphing) 542 bouton R(ecord) (section Envelopes) 533 bouton Release 497 bouton Rnd (Randomize) 539 boutons de mode (enveloppe de morphing) 543 boutons Gate (objet) 505 boutons Keyboard Mode 495 bouton Sync (effet retard) 514 bouton Sync (enveloppe de morphing) 545 bouton Sync (oscillateurs sub-audio) 523 bouton Sync (section Envelopes) 535 capteur 507–508, 551 paramètre Spread (Key) 508 paramètre Spread (Pickup) 508 phase d’inversion 507 positions du réglage 507 chemin du signal 490 cible de modulation 521 commande Spread (capteurs) 508 corde 491–492, 549 activation de l’animation 506 déclenchement 501 curseur A-Time Velosens 534 curseur Attack 509 curseur Decay 509 curseur Delay Time 514 curseur Fine Structure 519 curseur HiCut 514 curseur Input Balance 514 curseur Int(ensity) (fonction Randomize) 539 curseur LoCut 514 curseur Mid Frequency 517 curseur Output Width 514 curseur RateMod (oscillateurs sub-audio) 524 curseur Release 510 curseurs Depth via Vib Ctrl 526 curseur Sustain 509 curseur Timbre 505 curseur Timescale 534 curseur Variation (objets) 505 curseur VariMod (section Envelopes) 536 curseur Velo Sens (objets) 506 effet retard 513–516 activation 513 nappe Groove 515 paramètres de copie/d’effacement 516 paramètres stéréo 515 paramètres Surround 516 effet vibrato 525 contrôle de la profondeur avec MIDI 547 enregistrement d’enveloppes 532, 586 enveloppe de morphing 541 en boucle 544 enregistrement 542 mise à l’échelle 544 mode Sustain 544 modification 542 synchronisation au tempo du projet 545 enveloppeparamètres 534–536 enveloppes 529–536 ajustement de la forme de la courbe 532 ajustement de la position des nœuds 532 comparaison entre version originale et version modifiée 536 copie 532 détermination du mode Sustain 535 édition 531 en boucle 535 enregistrement 532, 586 mise à l’échelle 534 nœuds 531 routage des modulations 530 sensibilité à la vélocité 534 synchronisation au tempo du projet 535 zoom 531712 Index fenêtre de l’enveloppe 530 filtrage mode 511 résonance 512 filtre 511–513 activation 511 fréquence de coupure 512 fonction de morphing 537–546, 591 générateur d’enveloppe. Voir enveloppes générateur d’enveloppe d’amplitude 509 générateurs de fluctuations 527, 590 guide d’initiation guide de démarrage rapide 547–565 programmation, étude détaillée 565–592 interaction entre les paramètres 552 Level Limiter 520 menu Delay Crossfeed Mode 514 menu Mode (section MIDI Controller Assignment) 547 menu Model (Body EQ) 517 menu Morph 540 menu Pad Mode (enveloppe de morphing) 544 menu Record Trigger (enveloppe de morphing) 542 menu Record Trigger (section Envelopes) 533 menus Ctrl A/B 547 menus CtrlEnv 2 547 menus Morph X et Morph Y 547 menu Source (enveloppe de morphing) 545 menus Type (objets) 503 menu Sustain Mode (enveloppe de morphing) 544 menu Sustain Mode (section Envelope) 535 menu Type (Waveshaper) 510 menu Vib Depth Ctrl 547 menu Waveform (oscillateurs sub-audio) 522 menu Waveform (section Vibrato) 526 modélisation de composantes 489 modulation 521–529 modulation de Controller A/B 529 modulation de premier ordre 521 modulation de second ordre 521 modulation de vélocité 528 modulation via 521 nappe Groove 515 nappe Material 497–501 nappe Morph contrôle via MIDI 547 description 537 objet 491, 501–506, 550 activation 502 position 506 sensibilité à la vélocité 502 type 503 oscillateurs sub-audio 522–525 destination de modulation 525 intensité de modulation 525 modulation du taux 524 phase 524 synchronisation au tempo du projet 523 variations de forme d’onde 523 Waveform 522 paramètre Glide Time 494 paramètre Groove (effet retard) 515 paramètres Bender Range Up/Down 495 paramètres d’objets 501–506 paramètres de corde 496–501 paramètres de l’enveloppe de morphing 543 paramètres des capteurs 507–508 paramètres étendus 514, 519 paramètres globaux 494–496 paramètres Inner Loss 497 paramètres Media Loss 500 paramètre Spread (effet retard) 515 paramètres Resolution 499 paramètres Stiffness 498 paramètres Target (enveloppes) 530 paramètres Target (oscillateur sub-audio) 525 paramètres Target (section Jitter) 527 paramètres Target (section Note on Random) 528 paramètres Target (section Velocity) 528 paramètres Tension Mod 500 paramètres Transpose 494 paramètres Tune 494 paramètre Surround Diversity 520 paramètre Surround Range 520 paramètres via (oscillateur sub-audio) 525 paramètres Voices 495 paramètres Warmth 494 paramètre Time Scale (enveloppe de morphing) 544 point de morphing 537 copie 540 rendre aléatoire 538 sélection 538 potentiomètre Curve (oscillateurs sub-audio) 523 potentiomètre Curve (section Vibrato) 526 potentiomètre Cutoff 512 potentiomètre Depth (enveloppe de morphing) 545 potentiomètre Envelope 523 potentiomètre Feedback 513 potentiomètre Formant Intensity 518 potentiomètre Formant Shift 518 potentiomètre Formant Stretch 518 potentiomètre High (Body EQ) 517 potentiomètre Input Scale 510 potentiomètre Key (filtre) 512 potentiomètre Level (section Level Limiter) 520 potentiomètre Low (Body EQ) 517 potentiomètre Mid (Body EQ) 517Index 713 potentiomètre Modulation (enveloppe de morphing) 545 potentiomètre Phase (oscillateurs sub-audio) 524 potentiomètre Phase (section Vibrato) 526 potentiomètre Rate (oscillateurs sub-audio) 523 potentiomètre Rate (section Jitter) 527 potentiomètre Rate (section Vibrato) 526 potentiomètre Resonance 512 potentiomètre Strength 505 potentiomètre Transition (enveloppe de morphing) 546 potentiomètre Variation (Waveshaper) 511 potentiomètre Velo Sens (filtre) 513 potentiomètre Wet Level 513 potentiomètre Xfeed 514 programmation guide d’initiation, étude détaillée 565–592 guide de démarrage rapide 553–565 sons de basse. Voir sons de basse sons de cloches 556 sons de cordes jouées à l’archet 561 sons de cuivres 557 sons de flûte 558 sons de guitare 559 sons de synthétiseur. Voir sons de synthétiseur rendre des sons aléatoires 538–541, 592 section Note on Random 527 sensibilité à la vélocité 502, 513, 528, 534 sons d’orgue 560 sons de base 553 sons de basse 555 ajout de réverbération 583 amortir 576 basse de base 567 basse frappée 578 basse sans frette 580 basse vintage jouée au médiator, avec cordes à filet plat 577 électrique 565–584 jeu de basse 575 modification du spectre des fréquences 574 modulation 582 sons de cloches 556 sons de cordes jouées à l’archet 561 sons de cuivres 557 sons de flûte 558 sons de guitare 559 sons de percussion 561 sons de synthétiseur 562–564, 585–592 effet de chorus 589 morphing 591 sons Sustain 585 sons de synthétiseurs augmentation de la largeur stéréo 589 source de modulation accès 522 contrôleurs 529 enveloppe de morphing 545 enveloppes 530 générateurs de fluctuations 527 oscillateurs sub-audio 522 oscillateur sub-audio Vibrato 525 vélocité 528 vue d’ensemble des paramètres 493 Waveshaper 510 sélection par étirement 694 séquenceur, description 695 séquenceur pas à pas 632 seuil (compresseur) 59 sibilance, élimination 66 Side Chain (fonction), description 695 sifflante, élimination 66 signal analogique 695 Silver Compressor 80 Silver EQ 101 Silver Gate 81 SilverVerb 180 sons vocaux/non vocaux 237 SoundFont2, importation de fichier 429 Soundtrack Pro, effets inclus 14 Soundtrack Pro Reverb 181 Space Designer 183–204 automatisation 204 bouton Preserve Length 188 chargement de la réponse impulsionnelle 187 configurations des canaux 183 Definition, paramètre 192 définitions des paramètres d’enveloppe 197 Density Envelope 201 durée de la réponse impulsionnelle 188 durée du processus 185 Envelope and EQ, écran 195, 196 enveloppes 195–199, 200, 201 densité 201 édition 197 filtre 200 inversion 196 réinitialisation 196 volume 198 EQ, paramètres 203 Filter Envelope 200 filtre activer/désactiver 199 coupure 200 mode 199 résonance 199 fréquence d’échantillonnage d’une réponse impulsionnelle 187 Impulse Response, vue d’ensemble 197 Impulse Response Sample, mode 186 Input, section 191714 Index inversion d’une réponse impulsionnelle et de ses enveloppes 196 largeur stéréo/Surround, ajustement 202 Latency Compensation, fonction 192 paramètres de réponse impulsionnelle 186 paramètres de sortie 193 point de départ d’une réponse impulsionnelle 195 Pre-Delay, paramètre 194 réduction de la consommation de ressources de processeur 188, 193 réponse impulsionnelle 183 chargement 187 définition de la durée 188 formats 187 fréquence d’échantillonnage 187 génération aléatoire 201 point de lecture 195 zoom 197 réponse impulsionnelle aléatoire 201 Rev Vol Compensation, fonction 192 Spread, paramètre 202 Synthesizer IR, mode 201 table de mixage de sortie Surround 194 Volume Envelope 198 vue d’ensemble 184 zoom d’une réponse impulsionnelle 197 Spectral Gate 125–127 spectre de fréquences, correspondance de deux signaux audio 94 Speech Enhancer 211 Spreader 159 Stereo Delay 48 Stereo Spread 133–134 SubBass 212–213 utilisation 213 vue d’ensemble des paramètres 212 Surround Compressor 82–84 section LFE 84 section Link 83 section Main 83 utilisation 84 Surround MultiMeter 141 synchro analogique (instrument GarageBand) 663 synthèse 668 additive 381 FM. Voir modulation de fréquence soustractive 669 synthèse additive 381 synthèse soustractive 669 synthétiseur analogique 667 analogique virtuel 667 description 696 notions élémentaires 667–674 numérique 667 synthétiseur analogique 667 synthétiseur analogique virtuel 667 synthétiseur numérique 667 T Tape Delay 49–50 ajustement du son 50 feedback 50 réglage de la valeur Groove 50 tempo analyse 136 description 697 temps de réverbération 177, 179 Test Oscillator 218 Théorème de Fourier 670 tick 697 timecode, description 697 tonalité description 697 touche de modification 697 tourbillon analogique (instrument GarageBand) 663 traitement des signaux numériques 682 traitement natif 690 transistor à effet de champ 56 transitoire analyse 136 transposition description 697 signal audio 161, 165, 167 Tremolo (module d’effet) 159 Tuner (module) 142 U Ultrabeat 593–659 Accent, curseur 635 assignation, section 595, 596–602 augmentation de la dynamique des performances 654 automatisation des pas saisie des décalages 642 automatisation du séquenceur pas à pas. Voir automatisation pas à pas automatisation pas à pas 640–643 désactivation des décalages du paramètre 643 passage rapide au mode Voice 643 sélection du paramètre d’automatisation 642 Band 1/2, boutons 618 caisse claire 651 caisse claire 808 652 caisse claire Kraftwerk 656 charleston 657 cheminement du signal (section Filter) 615 cheminement du signal (section Synthesizer) 603 clics et réglages extrêmes 659 Clip, potentiomètre 618Index 715 Color, potentiomètre 618 Crush, bouton 617 curseur Asym (modulation de phase) 606 curseur Resolution 612 curseur Saturation (modulation de phase) 606 curseurs Min/Max (Velocity) 609 curseur Vel Layer 609 Cut, potentiomètre (section Filter) 617 Cycles, potentiomètre 628 découvrir les assignations de contrôleur MIDI 627 Dirt, potentiomètre 614 distorsion 617 Distort, bouton 617 Drive, potentiomètre 618 drum mixer 601 Mute, bouton 602 Pan, potentiomètre 602 Solo, bouton 602 sorties individuelles 602 Volume fader 602 drum voice 594 échantillon aperçu 610 inversion 608 égaliseur activer/désactiver 618 facteur Q 620 gain 619 modification graphique 620 plage de fréquences 619 type 619 élargissement de l’image stéréo 621 entrée audio 608 enveloppe 629–631 Attack, paramètre 630 Decay, paramètre 630 déclenchement unique 629 modification graphique 629 modulation 630 sélection 630 Sustain, bouton 631 zoom 631 Zoom, bouton 631 enveloppe de volume 629 EQ 618 fichier audio. Voir échantillon Filter, section 615–618 bouton en forme de flèche 615 cheminement du signal 615 Slope, boutons 616 Type, boutons 616 flèche Reverse 608 formes d’onde de base 606 Full View, bouton 640 Gate, bouton 622 générateur de bruit activer/désactiver 613 boutons de filtrage 614 parcours du signal vers le filtre 615 réglage du volume 613 grille des pas 636 grosse caisse 646 Group, menu 622 guide d’initiation 646–659 importation sons d’instrument EXS 599–601 sons Ultrabeat 599–601 instrument à sorties multiples 602 interface 595 kit de batterie 594 Length, menu 635 Level, potentiomètre 618 LFO 627 cycles 628 forme d’onde 628 on/off 627 Ramp, potentiomètre 628 taux 628 Material Pad 611 MIDI Controller Assignment, menu 627 mode FM (oscillateur 1) 607 Model, bouton 611 mode Side Chain 607 modulateur en anneau activer/désactiver 612 parcours du signal vers le filtre 613 réglage du volume 612 modulation 623–632 acheminement 626 Mod, paramètre 623 principe de base 623 sélection de la cible 632 Via, paramètre 623 modulation de fréquence 607 modulation de phase (oscillateur 2) 608 modulation de phase (oscillator 1) 606 Mute, bouton 602 Noise Generator 613–615 oscillateur activer/désactiver 604 parcours du signal vers le filtre 605 Pitch, paramètre 605 Volume, paramètre 604 oscillateur 1 605–608 oscillateur 2 608–612 Output, section 618–622 Pan, potentiomètre 602 Pan Mod, bouton 620 Parameter Offset, menu 642 paramètre Inner Loss 611 paramètres de l’oscillateur 604–612 paramètre Stiffness 611716 Index pattern 635 accentuation des étapes individuelles 635 choix 635 copie 643 définition de la longueur 635 effacement 644 exportation en tant que région MIDI 644 intensité de swing 634, 636 réglage de la durée et de la vélocité d’un son 639 résolution 635 son déclencheur 637 Pattern, menu 635 Pattern Mode, bouton 645 percussion tonale 657 performances en direct 645 Playback Mode, menu 645 potentiomètre Cut (générateur de bruit) 614 potentiomètre FM Amount 607 potentiomètre Res(onance) (générateur de bruit) 614 potentiomètre Slope (modulation de phase) 606 Ramp, potentiomètre 628 Rate, potentiomètre (LFO) 628 réglage 596 Res(onance), potentiomètre (section Filter) 617 Reset, bouton 639 Resolution, menu 635 Ring Modulator 612–613 sample loading 608, 609 Sample, mode 608 section Synthesizer 603–622 séquenceur pas à pas 632–646 affichage simultané des boutons de déclenchement de tous les sons 640 ajout d’un déclencheur sur chaque temps frappé/levé 637 automatisation Voir automatisation pas à pas copies de déclencheurs dans le Pressepapiers 637 décalage des déclencheurs 638 Edit Mode, bouton 634 effacement des déclencheurs 637 inversion des déclencheurs 637 lancement/interruption 634 MIDI, contrôle 645 on/off 634 paramètres globaux 634 passage au plein écran 640 principe 632 réglage de la durée et de la vélocité d’un son 639 remplacement aléatoire des déclencheurs 638 réorganisation aléatoire des déclencheurs 637 son déclencheur 637 Swing, potentiomètre 634 Solo, bouton 602 son de batterie automatisation des paramètres dans un séquenceur pas à pas. Voir automatisation pas à pas copie 598–599 déclenchement 637 désignation 598 importation 599–601 organisation 598–599 paste 599 permutation 598–599 réglage du volume 621, 629 sélection par saisie de note MIDI 597 sons de batterie sélection 597 sons métalliques 658 sources de modulation 627–631 Spread, bouton 621 Step, mode. Voir automatisation pas à pas step automation décalages du paramètre, solo 643 réinitialisation des décalages du paramètre 643 Swing, bouton 636 Swing, potentiomètre 634 toms 657 Trigger, menu 622 Trigger, menu contextuel 637 Trigger, rangée 637 Type, boutons (section Model) 611 Velocity/Gate, rangée 639 Voice, mode 634 Voice Auto Select, fonction 597 Voice Mute Mode, bouton 646 Voice Volume, contrôle 621 Volume fader 602 vue d’ensemble 594 Utility, effets 215–219 V vélocité, description 698 Vocal Transformer 167–169 Pitch Base 169 Robotize, mode 169 vue d’ensemble des paramètres 167 Vocoder éviter les artefacts sonores 241 signaux d’analyse/de synthèse adaptés 242 vocoder 222 avec oscillateur de suivi 112 Carlos, Wendy 244 Dudley, Homer 243 fonctionnement 222Index 717 histoire 243 intelligibilité des paroles 240 Meyer-Eppler, Werner 244 Moog, Bob 244 Parallel Bandpass Vocoder 243 Unvoiced/Voiced, détecteur 237 voder 243 Zinovieff, Peter 244 voder 243 voix (instrument GarageBand) 666 volume augmentation 62 contrôle à l’aide du signal d’entrée latérale 68 volume sonore augmentation 62 contrôle 61 VU-mètre, description 698 W WaveBurner, effets inclus 15 Z Zinovieff, Peter 244 zone de dialogue 681 zoom 698 Utilitaire RAID Guide de l’utilisateur Instructions de configuration de volumes RAID sur un ordinateur avec une carte RAID Mac Pro ou une carte Xserve RAID.2 1 Table des matières 3 Guide de l’utilisateur de l’Utilitaire RAID 3 Installation du logiciel RAID 3 Exécution de l’Utilitaire RAID 4 Configuration de volumes RAID 6 Migration d’un volume existant vers un volume RAID 7 Création d’un ensemble RAID 8 Création d’un volume 9 Configuration d’un disque de réserve 9 Rétablissement d’un disque de réserve 10 Suppression d’un volume ou d’un ensemble RAID 10 Résolution de problèmes 14 Utilisation de la ligne de commande 14 À propos des niveaux RAID 15 Utilisation de disques JBOD autres que RAID 16 Exemples de configuration 3 1 Guide de l’utilisateur de l’Utilitaire RAID Ce guide explique la configuration de volumes RAID à l’aide de l’application Utilitaire RAID sur un ordinateur avec une carte RAID Mac Pro ou une carte Xserve RAID. Avec une carte RAID Mac Pro ou une carte Xserve RAID installée sur votre ordinateur, l’Utilitaire RAID vous permet de transformer les disques internes de votre ordinateur en volumes de stockage basés sur des systèmes RAID (réseau redondant de disques indépendants) qui améliorent les performances et protègent vos données. Installation du logiciel RAID Si votre ordinateur possédait déjà une carte RAID au moment de l’achat, le logiciel RAID est déjà installé sur votre disque de démarrage et l’Utilitaire RAID se trouve dans /Applications/Utilitaires/. L’Utilitaire RAID est également disponible à partir du menu Utilitaires lorsque vous démarrez votre ordinateur à l’aide du disque d’installation de Mac OS X fourni avec l’ordinateur. Exécution de l’Utilitaire RAID L’application Utilitaire RAID est située dans /Applications/Utilitaires/.Vous pouvez l’y ouvrir à tout moment afin de vérifier l’état des composants RAID de votre ordinateur. Vous pouvez également exécuter l’Utilitaire RAID à partir du programme d’installation lorsque vous démarrez votre ordinateur à l’aide du disque d’installation de Mac OS X ou Mac OS X Server fourni. Sélectionnez Utilitaires > Utilitaire RAID au sein du programme d’installation. Remarque :si vous comptez réaliser des tâches de configuration qui affectent le disque de démarrage de l’ordinateur (comme la migration du disque de démarrage ou sa réutilisation pour créer des volumes ou des ensembles RAID), vous devez démarrer l’ordinateur à partir du disque d’installation fourni avec celui-ci ou à partir d’un disque externe sur lequel vous avez installé Mac OS X ou Mac OS X Server à l’aide du disque d’installation.4 Fenêtre Utilitaire RAID Configuration de volumes RAID Il existe deux manières principales de configurer des volumes RAID :  faire migrer un volume de démarrage existant ;  configurer manuellement des volumes et des ensembles RAID. Pour obtenir des exemples-types de configurations, voir « Exemples de configuration » à la page 16. Migration d’un volume de démarrage existant La manière la plus simple de configurer des volumes RAID sur un nouvel ordinateur est d’utiliser la commande « Migration de l’ensemble RAID » pour convertir, en une seule étape, le volume de démarrage existant ainsi que d’autres disques vides de l’ordinateur en un ou deux volumes RAID. Lorsque vous faites migrer votre volume de démarrage existant, vous n’avez pas besoin de réinstaller le système d’exploitation. Remarque :vous pouvez uniquement faire migrer un volume basé sur un ensemble RAID JBOD amélioré. Si votre ordinateur possédait déjà une carte RAID au moment de l’achat, le volume de démarrage est configuré de cette manière. Pour faire migrer vos disques vers un ou deux volumes RAID : m Suivez les instructions de la rubrique « Migration d’un volume existant vers un volume RAID » à la page 6. Composants de votre configuration RAID Éléments appartenant au composant sélectionné État RAID général État de la batterie RAID Affichage ou masquage de la barre d’outils5 Configuration manuelle de volumes et d’ensembles RAID Si vous voulez créer plus de deux volumes ou avoir plus de contrôle sur la configuration des volumes et des ensembles RAID et que la réinstallation de Mac OS X ou Mac OS X Server ne vous pose pas de problème, vous pouvez utiliser les commandes Créer l’ensemble RAID et Créer le volume afin de configurer votre stockage RAID. Pour configurer manuellement des volumes et des ensembles RAID : 1 démarrez l’ordinateur à l’aide du disque d’installation de Mac OS X ou Mac OS X Server fourni avec celui-ci. 2 À l’ouverture du programme d’installation, choisissez votre langue et cliquez sur le bouton Suivant pour afficher le menu Utilitaires dans la barre des menus en haut de l’écran. 3 Sélectionnez Utilitaires > Utilitaire RAID. 4 Dans l’Utilitaire RAID, utilisez les commandes Créer l’ensemble RAID et Créer le volume afin de créer vos volumes RAID. Pour obtenir des informations, voir « Création d’un ensemble RAID » à la page 7 et « Création d’un volume » à la page 8. 5 Une fois vos volumes créés, quittez l’Utilitaire RAID. 6 Suivez les instructions à l’écran du programme d’installation pour installer Mac OS X ou Mac OS X Server sur un des nouveaux volumes RAID, puis redémarrez l’ordinateur.6 Migration d’un volume existant vers un volume RAID Si votre ordinateur possédait déjà une carte RAID au moment de l’achat, le volume de démarrage est configuré comme ensemble RAID JBOD amélioré monodisque. Vous pouvez convertir en une seule étape cet ensemble RAID ainsi qu’un, deux ou trois disques vides en volume RAID à l’aide de la commande « Migration de l’ensemble RAID ». Tous les fichiers situés sur le disque unique d’origine sont déplacés vers le nouveau volume RAID. Les fichiers situés sur les disques supplémentaires sont effacés. Pour effectuer la migration vers un volume RAID : 1 Démarrez l’ordinateur à l’aide du disque d’installation de Mac OS X ou Mac OS X Server fourni avec celui-ci. 2 À l’ouverture du programme d’installation, choisissez votre langue et cliquez sur le bouton Suivant pour afficher le menu Utilitaires en haut de l’écran. 3 Sélectionnez Utilitaires > Utilitaire RAID. 4 Sélectionnez l’ensemble RAID existant (sur lequel se trouve votre volume de démarrage actuel) dans la colonne de gauche de la fenêtre Utilitaire RAID. 5 Cliquez sur « Migration de l’ensemble RAID » dans la barre d’outils. 6 Choisissez le type de volume RAID que vous souhaitez créer. Protection optimale : fait migrer votre système vers un volume RAID basé soit sur le niveau RAID 1, soit sur le niveau RAID 5, en fonction du nombre de disques disponibles. Performance maximale : crée un volume basé sur le niveau RAID 0.7 7 Choisissez les disques supplémentaires à inclure dans le volume. 8 Dans Options, choisissez si vous voulez utiliser l’espace des disques supplémentaires pour créer un deuxième volume ou si vous préférez laisser l’espace supplémentaire libre afin de créer d’autres volumes par la suite. Créer un volume de capacité supérieure : crée un doublon RAID du volume de démarrage d’origine et un deuxième volume RAID avec tout l’espace restant disponible sur l’ensemble RAID de base. Vous obtenez deux volumes dans le Finder : un volume de démarrage et un volume de données vide. Si vous ne sélectionnez pas cette option, l’Utilitaire RAID crée un seul doublon RAID du volume de démarrage d’origine et laisse l’espace restant sur l’ensemble RAID libre pour que vous puissiez y créer d’autres volumes lorsque vous le souhaitez. 9 Cliquez sur Faire migrer. 10 Lorsque le processus de migration est terminé, quittez l’Utilitaire RAID. 11 Quittez le programme d’installation et redémarrez l’ordinateur. Création d’un ensemble RAID Avant de créer un volume RAID, vous devez associer les disques physiques en une unité de disque logique appelée ensemble RAID. Le nombre de disques nécessaires à la création d’un ensemble RAID dépend du niveau RAID désiré. Vous pouvez utiliser un seul disque pour créer un ensemble JBOD amélioré, deux pour créer un ensemble RAID 0 ou RAID 1, trois ou quatre pour créer un ensemble RAID 0 ou RAID 5, ou quatre pour créer un ensemble RAID 0+1.8 Pour créer un ensemble RAID : 1 Ouvrez l’Utilitaire RAID et cliquez sur Créer l’ensemble RAID. 2 Dans la zone de dialogue qui s’affiche, choisissez le niveau RAID désiré. Les niveaux RAID disponibles dépendent du nombre de disques que vous choisissez. Si le niveau RAID que vous cherchez à utiliser n’est pas activé, essayez de sélectionner des disques supplémentaires. 3 Sélectionnez les disques à inclure dans l’ensemble. 4 Sélectionnez les options à appliquer à l’ensemble. Utilisez les disques non assignés comme disques de réserve : réserve tout disque non sélectionné pour l’ensemble RAID comme disque de réserve qui sera utilisé en cas de panne d’un des disques de l’ensemble. Vous ne pouvez pas assigner un disque de réserve à un ensemble RAID 0 ou JBOD amélioré. 5 Cliquez sur Créer. Pour obtenir des informations sur les niveaux RAID, voir « À propos des niveaux RAID » à la page 14. Création d’un volume Pour créer un volume RAID, utilisez l’Utilitaire RAID pour formater l’espace disponible sur un ensemble RAID.9 Pour créer un volume : 1 Dans l’Utilitaire RAID, sélectionnez un ensemble RAID dans la colonne de gauche, puis cliquez sur Créer le volume. 2 Saisissez le nom à donner au volume. 3 Choisissez un format de volume à partir du menu local. Si vous ne savez pas quel format utiliser, choisissez Mac OS X étendu (journalisé). 4 Saisissez la capacité à donner au volume. La capacité est définie initialement sur celle de l’ensemble RAID de base mais vous pouvez saisir une capacité moindre et conserver l’espace restant pour créer d’autres volumes. 5 Cliquez sur Créer le volume. Vous pouvez utiliser le volume dès que son icône apparaît dans le Finder. Les performances maximales de lecture et d’écriture ne sont toutefois disponibles que lorsque le volume est complètement initialisé. Jusqu’à ce qu’il soit initialisé, l’icône d’état du volume dans l’Utilitaire RAID reste jaune. La durée d’initialisation dépend du niveau RAID de l’ensemble RAID de base. Pour en connaître la progression, cliquez sur Tâches dans la colonne de gauche de la fenêtre Utilitaire RAID. Configuration d’un disque de réserve Vous pouvez configurer indépendamment un disque non assigné comme disque de réserve global. Si un des disques d’un ensemble RAID tombe en panne, le disque de réserve est alors automatiquement intégré à l’ensemble pour remplacer le disque tombé en panne. Seuls les ensembles RAID 1, RAID 0+1 et RAID 5 peuvent bénéficier de disques de réserve. Pour configurer un disque de réserve : 1 Ouvrez l’Utilitaire RAID. 2 Sélectionnez, dans la colonne de gauche, le disque à utiliser comme disque de réserve. 3 Sélectionnez RAID > Utiliser comme disque de réserve. Vous pouvez également assigner comme disques de réserve des disques non utilisés. Pour cela,sélectionnez l’option « Utiliser les disques non assignés comme disques de réserve » lorsque vous créez un ensemble à l’aide de la commande Créer l’ensemble RAID. Rétablissement d’un disque de réserve Vous pouvez utiliser la commande « Rétablir le disque de réserve » pour qu’un disque de réserve redevienne disponible pour créer des ensembles RAID. Pour rétablir un disque de réserve : 1 Ouvrez l’Utilitaire RAID. 2 Sélectionnez le disque dans la colonne de gauche. 3 Choisissez RAID > Rétablir le disque de réserve.10 Suppression d’un volume ou d’un ensemble RAID Comme premier pas dans la modification de la configuration de votre RAID, vous pouvez supprimer un volume existant ou un ensemble RAID afin de libérer les disques nécessaires pour la création d’un volume ou d’un ensemble RAID. Remarque :pour supprimer le volume de démarrage de l’ordinateur ou l’ensemble RAID sur lequel est basé le volume de démarrage, vous devez d’abord démarrer l’ordinateur à partir d’un autre disque sur lequel le logiciel RAID est installé, tel que :  le disque d’installation de Mac OS X ou Mac OS X Server fourni avec votre ordinateur ;  ou à partir d’un disque externe sur lequel vous avez installé Mac OS X ou Mac OS X Server à l’aide du disque d’installation fourni avec celui-ci. Important :lorsque vous supprimez un ensemble RAID, tous les volumes basés sur celui-ci sont également supprimés. Pour supprimer un volume ou un ensemble RAID : 1 ouvrez l’Utilitaire RAID et choisissez le volume ou l’ensemble RAID dans la colonne de gauche. 2 Cliquez sur Supprimer le volume ou Supprimer l’ensemble RAID. Résolution de problèmes Les paragraphes suivants vous permettent d’identifier et de résoudre les problèmes que vous rencontrez avec vos volumes RAID. Vérification de l’état des composants RAID L’Utilitaire RAID vous permet de vérifier l’état de la carte RAID, de sa batterie, de vos volumes RAID ainsi que des disques et des ensembles RAID sur lesquels ils sont construits. État général Liste des événements Cliquez pour effacer l’événement11 Pour vérifier l’état d’un composant : 1 Ouvrez l’Utilitaire RAID. 2 Cliquez sur un des éléments de la liste des composants située dans la partie gauche de la fenêtre. Vous pouvez également vérifier l’état des composants RAID grâce aux Informations Système. Choisissez « À propos de ce Mac » dans le menu Pomme, puis cliquez sur Plus d’infos. Sélectionnez ensuite Matériel RAID sous Matériel dans la liste du contenu. Les Informations Système sont également disponibles dans /Applications/Utilitaires/. Les informations d’état SMART (Self-Monitoring, Analysis, and Reporting Technology) sur les disques sont disponibles uniquement pour les disques SATA. Affichage des messages d’événements L’Utilitaire RAID élabore une liste des événements liés à l’état actuel de la carte RAID, des volumes RAID et de leurs composants. Pour afficher les événements : 1 Ouvrez l’Utilitaire RAID. 2 Cliquez sur État, sous Contrôleur, dans la liste située dans la partie gauche de la fenêtre. Pour effacer un événement, cliquez sur le bouton correspondant dans la colonne Effacer. Vérification d’un ensemble RAID Vous pouvez utiliser la commande Vérifier l’ensemble RAID pour confirmer que les données stockées sur un volume RAID 1, RAID 0+1 ou RAID 5 sont protégées. Les performances de l’ensemble RAID et de tout volume basé sur celui-ci sont moindres pendant la vérification. Pour vérifier un ensemble RAID : 1 Ouvrez l’Utilitaire RAID. 2 Sélectionnez l’ensemble RAID dans la liste située dans la partie gauche de la fenêtre. 3 Cliquez sur Vérifier l’ensemble RAID. Si le processus de vérification signale des problèmes, vous pouvez utiliser la commande $ raidutil modify volume --rewrite dans Terminal pour recréer les informations de protection des données du volume. Pour obtenir des informations, voir la page man de raidutil ou taper raidutil à la ligne de commande.12 Si les mémoires cache d’écriture sont désactivées Il se peut que la batterie de sauvegarde de la carte RAID ne soit pas complètement chargée. Pour protéger vos données, la carte RAID désactive automatiquement les mémoires cache d’écriture lorsque la batterie n’est pas complètement chargée. Tous les trois mois, la carte RAID renouvelle la batterie en la déchargeant et en la rechargeant complètement. Si la batterie n’est pas complètement chargée Tous les trois mois, la carte RAID renouvelle automatiquement sa batterie en la déchargeant et en la rechargeant complètement. Pendant le cycle de renouvellement, il se peut qu’une alerte apparaisse pour vous signaler que la réserve de batterie de 72 heures est indisponible. Il se peut également que l’état du contrôleur indique que les mémoires cache d’écriture sont désactivées. Les performances peuvent être moindres au cours de ce processus mais elles retrouvent leur niveau habituel une fois la batterie rechargée. Pour vérifier l’état de la batterie : 1 Ouvrez l’Utilitaire RAID. 2 Cliquez sur État dans la colonne de gauche. L’icône en bas à gauche de la fenêtre Utilitaire RAID indique également l’état actuel de la batterie. Si un volume est détérioré Un volume détérioré n’offre pas ses performances optimales ou ne garantit plus forcément la protection des données qu’il contient.Toutes les données présentes sur un volume dété- rioré sont disponibles mais les données sont perdues en cas de panne d’un disque. L’état d’un volume est répertorié comme détérioré :  Lors de la création du volume. Ce phénomène est normal et l’état du volume passe de détérioré à bon dès que l’initialisation est terminée.  En cas de panne d’un disque de l’ensemble RAID 1, RAID 5 ou RAID 0+1 sur lequel est basé le volume. Le volume reste détérioré jusqu’au remplacement du disque défectueux ou jusqu’à ce qu’un disque de réserve disponible soit intégré à l’ensemble RAID.  Lors de la récupération de l’ensemble RAID sur lequel est basé le volume après la redondance d’une perte de données. L’état du volume passe de détérioré à bon dès que le processus de récupération est terminé.13 Si un disque tombe en panne Si un volume ou un ensemble RAID se détériore car un disque tombe en panne, vous pouvez utiliser l’Utilitaire RAID pour identifier le disque à remplacer. Remarque :si votre configuration RAID comporte un disque de réserve, celui-ci est automatiquement intégré à l’ensemble RAID qui passe alors de détérioré à bon dès que le processus de récupération est terminé. S’il n’y a pas de disque de réserve, l’ensemble restera détérioré jusqu’à ce que vous remplaciez le disque en panne. De plus, si un deuxième disque tombe en panne avant le remplacement du premier, il se peut que vous perdiez des données. Pour remplacer un disque tombé en panne : 1 Ouvrez l’Utilitaire RAID,sélectionnez le volume ou l’ensemble RAID affichant un indicateur d’état de problème et recherchez une baie avec un indicateur d’état rouge. Le numéro des baies dans l’Utilitaire RAID correspond aux baies numérotées de votre Mac Pro ou Xserve. 2 Remplacez le module de disque défectueux. 3 Utilisez la commande « Utiliser comme disque de réserve » pour configurer le nouveau disque comme disque de réserve global. Si aucun disque de réserve n’était disponible lorsque le disque d’origine est tombé en panne, la carte RAID utilise immédiatement le nouveau disque de réserve pour reconstruire les volumes et ensembles RAID affectés. Si un disque de réserve était disponible au moment de la panne, celui-ci est déjà intégré à l’ensemble RAID affecté et le nouveau disque de réserve reste disponible jusqu’à ce qu’il soit utilisé. Si l’état SMART est répertorié comme Non géré Les informations d’état SMART (Self-Monitoring, Analysis, and Reporting Technology) sur les disques sont disponibles uniquement pour les disques SATA. Si vous utilisez des disques SAS, les informations sur le disque dans l’Utilitaire RAID indiquent que SMART n’est pas pris en charge. Visualisation de l’historique système RAID Si vous rencontrez des problèmes avec votre configuration RAID, vous pouvez consulter les diagnostics dans l’historique RAID pour obtenir plus d’informations. La carte RAID et le logiciel associé enregistrent l’état et les diagnostics dans /Bibliothèque/Logs/CoreRAID.log. Pour visualiser l’historique RAID : 1 Ouvrez l’application Console (dans /Applications/Utilitaires/). 2 Cliquez sur Historiques dans la barre d’outils. 3 Choisissez /Bibliothèque/Logs/CoreRAID.log dans la liste située à gauche.14 Utilisation de la ligne de commande Vous pouvez également configurer et gérer votre carte RAID à partir de la ligne de commande à l’aide de la commande raidutil. Pour obtenir des informations, voir la page man de raidutil ou taper raidutil à la ligne de commande. À propos des niveaux RAID L’Utilitaire RAID vous permet de configurer des ensembles RAID basés sur les niveaux RAID suivants :  JBOD amélioré  RAID 0 (entrelacement)  RAID 1 (mise en miroir)  RAID 0+1 (mise en miroir d’une paire entrelacée)  RAID 5 (entrelacement à parité distribuée) JBOD amélioré À l’aide de JBOD amélioré, vous pouvez créer un ensemble RAID avec un seul disque. L’ensemble RAID créé n’atteint ni les performances ni le niveau de protection des données des autres niveaux RAID mais il bénéficie de la mise en mémoire cache et de la copie de sauvegarde de la batterie fournies par la carte RAID. Vous pouvez également faire migrer un ensemble JBOD amélioré vers d’autres ensembles RAID ou le déplacer vers un autre ordinateur avec une carte Xserve RAID ou Mac Pro installée. RAID 0 RAID 0 offre des performances accrues mais pas de protection des données. Les blocs de données sont distribués à travers tous les disques de l’ensemble RAID au cours d’un processus appelé entrelacement. Ceci permet d’obtenir de meilleures performances car le contenu des fichiers se déplace en parallèle depuis et vers les disques individuels de l’ensemble. RAID 0 offre également le plus d’espace disque utilisable. Presque tout l’espace des disques est disponible pour les données utilisateur. Vous pouvez créer un ensemble RAID 0 avec deux, trois ou quatre disques. RAID 1 RAID 1 protège les données contre la panne d’un disque et permet d’améliorer les performances de lecture. Les données sont protégées en dupliquant le contenu de chaque disque sur un deuxième disque de l’ensemble. Ce processus est appelé mise en miroir. En raison de la duplication, un volume basé sur un ensemble RAID 1 ne peut pas dépasser la moitié de l’espace total disponible sur les disques de l’ensemble. Vous pouvez créer un ensemble RAID 1 avec deux, trois ou quatre disques.15 RAID 0+1 RAID 0+1 conjugue les performances de RAID 0 et la protection des données de RAID 1 en mettant un ensemble entrelacé en miroir sur une deuxième paire de disques. Étant donné que la mise en miroir duplique toutes les données, ce niveau offre moins d’espace disque disponible que RAID 5. L’espace utilisable correspond à la moitié de l’espace total disponible sur les disques de l’ensemble. Il vous faut quatre disques pour créer un ensemble RAID 0+1. RAID 5 RAID 5 représente un compromis entre les performances de RAID 0 et la protection des données de RAID 1. Les performances sont améliorées en entrelaçant les données à travers les disques de l’ensemble. La protection des données est offerte grâce aux données de parité distribuées à travers les disques. Les données peuvent être récupérées en cas de panne d’un des disques individuels. RAID 5 vous offre plus d’espace utilisable que RAID 1. RAID 5 nécessite seulement l’équivalent d’un disque en espace afin de stocker les données de parité. Vous pouvez créer un ensemble RAID 5 avec trois ou quatre disques. Utilisation de disques JBOD autres que RAID Les disques ne faisant pas partie de l’environnement RAID sont appelés disques JBOD (Just a Bunch Of Disks). Si vous installez un nouveau disque ou un disque provenant d’un ordinateur sans carte RAID, celui-ci est considéré comme un disque JBOD et une zone de dialogue s’affiche pour vous demander comment procéder. Ouvrir l’Utilitaire de disque : ouvre l’Utilitaire de disque pour que vous puissiez effacer ou segmenter le disque et l’utiliser dans le Finder comme tout autre disque. Le disque JBOD créé est également accessible sur un ordinateur sans carte RAID. Ignorer :permet à un disque formaté d’apparaître dans le Finder avec ses données intactes.16 Ouvrir l’Utilitaire RAID : ouvre l’Utilitaire RAID pour que vous puissiez créer un ensemble RAID ou un disque de réserve avec le disque. Le disque apparaît dans l’Utilitaire RAID avec l’état JBOD. Exemples de configuration Les exemples qui suivent présentent certaines manières courantes de configurer des volumes RAID. Migration vers un seul volume RAID Il s’agit de la manière la plus simple de configurer un volume RAID sur un nouvel ordinateur. Il n’est pas nécessaire de réinstaller le système d’exploitation ni de restaurer les fichiers existant sur le disque de démarrage de l’ordinateur. Le processus de migration prend toutefois un certain temps et vous ne pouvez utiliser le nouveau volume qu’une fois le processus terminé. L’exemple présent part du principe que vous avez acheté un ordinateur avec une carte RAID et quatre disques de 500 Go. L’ordinateur est fourni avec le système d’exploitation sur le premier disque. Avec quatre disques, vous pouvez faire migrer le volume de démarrage existant vers un volume RAID basé sur un système RAID 0, RAID 1, RAID 5 ou RAID 0+1. Pour obtenir la meilleure combinaison en termes de performances, de protection et de capacité, vous choisissez le niveau RAID 5 dans cet exemple. Avec RAID 5, l’espace consacré aux données de parité équivaut à environ un disque. Dans l’exemple présent, l’espace utilisable sur le volume correspond donc approximativement à la capacité totale des trois disques restants. L’état d’un disque non-RAID est indiqué comme JBOD17 Pour réaliser cette configuration : démarrez l’ordinateur à l’aide du disque d’installation de Mac OS X ou Mac OS X Server fourni avec celui-ci. Lorsque la première sous-fenêtre du programme d’installation apparaît, choisissez votre langue et cliquez sur Suivant. Lorsque la barre des menus apparaît, sélectionnez Utilitaires > Utilitaire RAID, puis la commande « Migration de l’ensemble RAID ». Enfin, dans la zone de dialogue qui s’affiche, choisissez Protection optimale. Assurez-vous que les trois disques restants sont tous sélectionnés, puis désélectionnez « Créer un volume de capacité supérieure » et cliquez sur Faire migrer. À la fin du processus de migration, vous obtenez un seul volume de démarrage et de l’espace supplémentaire sur le nouvel ensemble RAID pour la création d’autres volumes. Migration avec séparation des volumes de démarrage et de données Cet exemple est similaire au précédent mis à part le fait que vous obteniez deux volumes au lieu d’un. Le premier volume devient le disque de démarrage de l’ordinateur et le second est disponible pour l’utilisation générale. Pour réaliser cette configuration : suivez les mêmes étapes que dans l’exemple précédent mais sélectionnez « Créer un volume de capacité supérieure » dans les options de migration. À la fin du processus de migration, vous obtenez un volume de démarrage et un volume de données vide. Création d’un volume de données à hautes performances séparé Comme dans les deux exemples précédents, celui-ci part du principe que vous avez acheté un ordinateur avec une carte RAID et quatre disques de 500 Go.Dans le cas présent, vous souhaitez utiliser RAID pour créer un volume de données rapide (pour le montage vidéo, par exemple) et la protection des données n’est pas importante pour vous.Vous laissez le disque de démarrage actuel tel quel et utilisez un système RAID 0 pour créer un volume séparé sur les disques restants. RAID 0, qui entrelace les données à travers les disques de l’ensemble RAID, fournit généralement les performances les plus élevées. Cependant, ni le disque de démarrage ni le volume de données ne bénéficient de protection des données. Pour réaliser cette configuration : il n’est tout d’abord pas nécessaire de redémarrer l’ordinateur à partir d’un autre disque étant donné que le disque de démarrage d’origine est intact.Ouvrez simplement l’Utilitaire RAID et utilisez la commande « Créer l’ensemble RAID » pour créer un ensemble RAID 0 avec les trois disques restants. Lorsque l’ensemble RAID apparaît dans la liste dans la partie gauche de la fenêtre Utilitaire RAID, sélectionnez-le et utilisez la commande « Créer le volume » pour justement créer le volume.Vous obtenez un volume de données rapide de 1 500 Go indépendant du disque de démarrage de l’ordinateur.Création d’un volume de démarrage et de plusieurs volumes de données Dans l’exemple présent, vous recréez un volume de démarrage, ajoutez plusieurs volumes de données et gardez de l’espace pour un volume futur, le tout sur un ensemble RAID protégé avec un disque de réserve disponible. Comme dans les deux exemples précédents, celui-ci part du principe que vous avez acheté un ordinateur avec une carte RAID et quatre disques de 500 Go. Pour réaliser cette configuration : Étant donné que vous allez recréer le disque de démarrage actuel, vous devez redémarrer l’ordinateur à l’aide du disque d’installation fourni avec votre ordinateur et ouvrir l’Utilitaire RAID à partir du menu Utilitaires. Ensuite, de façon à protéger le nouveau disque de démarrage et les volumes de données, vous créez un seul ensemble RAID 5. Pour ce faire, choisissez la commande « Créer l’ensemble RAID », puis RAID 5 et sélectionnez trois disques sur les quatre disques disponibles. Sélectionnez l’option « Utiliser les disques non assignés comme disques de réserve » et cliquez sur Créer. Sélectionnez ensuite l’ensemble RAID et utilisez la commande Créer le volume pour créer un volume de démarrage de 20 Go (en changeant la capacité par défaut dans la zone de dialogue de création du volume). Réalisez à nouveau le processus de création du volume pour ajouter d’autres volumes de données de la capacité dont vous avez besoin. Enfin, installez Mac OS X ou Mac OS X Server sur le nouveau volume de démarrage à l’aide du disque d’installation fourni avec votre ordinateur. © 2007 Apple Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, Mac, Mac OS et Xserve sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. F019-0972-A/07-2007 Keynote ’09 Guide de l’utilisateurKApple Inc. Copyright © 2011 Apple Inc. Tous droits réservés. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + Maj + K) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tous les efforts nécessaires ont été mis en œuvre pour que les informations contenues dans ce manuel soient les plus exactes possibles. Apple n’est pas responsable des erreurs d’impression ou de reproduction. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, Aperture, AppleWorks, ColorSync, Exposé, Finder, GarageBand, iBook, iDVD, iLife, iPhoto, iPod, iTunes, iWork, Keynote, Mac, MacBook, MacBook Air, Mac OS, Numbers, Pages, PowerBook, QuickTime, Safari et Spotlight sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Apple Remote Desktop et iWeb sont des marques d’Apple Inc. App Store et MobileMe sont des marques de service d’Apple Inc. Adobe et Acrobat sont des marques ou des marques déposées d’Adobe Systems Incorporated, aux États-Unis et/ou dans d’autres pays. Les autres noms de sociétés et de produits mentionnés ici sont des marques de leurs détenteurs respectifs. La mention de produits tiers n’est effectuée qu’à des fins informatives et ne constitue en aucun cas une approbation ni une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité vis-à-vis des performances ou de l’utilisation de ces produits. F019-2122 07/201111 Préface : Bienvenue dans Keynote ’09 13 Chapitre 1 : Outils et techniques Keynote 13 À propos des thèmes et des modèles de diapositives 16 Fenêtre Keynote 17 Zoom avant et zoom arrière 17 Changement de mode d’affichage 21 Passage direct à une diapositive donnée 21 La barre d’outils 22 La barre de format 23 La fenêtre Inspecteur 24 Navigateur multimédia 25 La fenêtre Couleurs 27 Fenêtre Polices 28 Raccourcis clavier et menus contextuels 29 La fenêtre Avertissements 30 Chapitre 2 : Création, ouverture et enregistrement d’une présentation Keynote 30 À propos de la création et de l’ouverture d’un document 30 Création d’une présentation Keynote 31 Importation d’un diaporama 31 Ouverture d’un document Keynote existant 32 À propos de l’enregistrement de présentations 33 Enregistrement d’une présentation 34 Enregistrement d’une copie d’une présentation 35 Enregistrement automatique d’une version de sauvegarde d’une présentation 36 Retrouver une version archivée d’une présentation 38 Enregistrement d’un document en tant que thème 38 Enregistrement des termes de recherche d’un document 39 Verrouillage d’une présentation pour en empêcher la modification 39 Annulation de modifications 40 Protection par mot de passe de votre document 41 Fermeture d’un document sans quitter Keynote 3 Table des matières4 Table des matières 42 Chapitre 3 : Création et gestion de diapositives 42 À propos de l’ajout, la suppression et l’organisation des diapositives 42 Ajout de diapositives 44 Regroupement des diapositives 45 Suppression de diapositives 45 Ignorer des diapositives 45 Réorganisation des diapositives 46 Ajout de numéros de diapositives 46 À propos de la modification du thème, du modèle ou de la disposition d’une diapositive 47 Modification du thème d’une diapositive 48 Application d’un nouveau modèle à une diapositive 49 Personnalisation de la disposition d’une diapositive individuelle 50 Modification identique sur plusieurs diapositives 50 Commentaires sur les diapositives 52 Chapitre 4 : Utilisation du texte 52 Sélection de texte 53 Supprimer, copier et coller du texte 54 Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte 54 Mettre du texte en gras ou en italique ou le souligner 54 Ajout d’ombre au texte 55 Ajout d’un attribut barré au texte 55 Création de texte encadré 56 Modification de la taille du texte 57 Mise du texte en indice ou en exposant 58 Modification de l’emploi des majuscules dans le texte 58 Modification des polices 59 Modification de la couleur du texte 60 Utilisation des fonctionnalités typographiques avancées 60 Saisie des caractères spéciaux et des symboles 62 Utilisation de guillemets courbes 62 Ajout d’accents 63 Affichage des dispositions de clavier dans d’autres langues 63 Insertion d’un espace insécable 64 Réglage du lissage des polices 64 Mise en forme des puces de texte et numérotation 66 À propos de l’ajout de zones de texte libres et de texte dans les figures 66 Ajout d’une zone de texte libre 67 Ajout de texte dans une figure 68 Définition de l’alignement et de l’espacement du texte 69 Alignement horizontal du texte 70 Alignement vertical du texteTable des matières 5 70 Ajustement de l’espace dans les bordures de zone de texte 71 Définition des interlignes d’un texte 72 Définition de l’espacement avant ou après des paragraphes 72 Réglage de l’espace entre les caractères 73 Alignement de texte à l’aide de taquets de tabulation et de retrait de paragraphe 75 Présentation du texte en colonnes 76 Vérification de l’orthographe du texte de vos diapositives 76 Vérification des mots mal orthographiés 78 Remplacement automatique de texte 79 Recherche et remplacement de texte 80 Chapitre 5 : Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 80 Importation d’images 82 Réduction automatique des images pour les ajuster à vos diapositives 82 Remplacer les images des thèmes par vos propres images 83 Masquage (rognage) d’images 86 Suppression de l’arrière-plan ou des éléments superflus d’une image 87 Modification de la luminosité, du contraste et des autres réglages d’une image 88 À propos de la création de figures 89 Ajout d’une figure prédéfinie 89 Ajout d’une figure personnalisée 90 Figures modifiables 96 À propos de la manipulation, du tri et de la modification de l’aspect des objets 96 Sélection de plusieurs objets 96 Copie et duplication d’objets 97 Suppression d’objets 97 Déplacement d’objets et positionnement de ceux-ci dans le canevas 104 de la modification de la taille, de l’orientation, du contour d’un objet, etc. 110 remplissage d’objets à l’aide de couleurs ou d’images 114 Copie d’un style d’objet sur un autre objet 115 Utilisation de MathType 116 Chapitre 6 : Ajout de sons et de séquences 116 Types de sons et de séquences lisibles dans Keynote 117 À propos de l’ajout d’audio à votre diaporama 117 Ajout de son à une diapositive individuelle 118 Ajout d’une bande sonore à un diaporama 119 Enregistrement d’une narration en voix off 121 Ajout d’une séquence à une diapositive 121 Ajout d’un cadre autour d’une vidéo 122 Réglage des options de lecture des fichiers multimédias 123 Réduction de la taille des fichiers multimédias6 Table des matières 124 Chapitre 7 : Ajout de mouvements dans les diaporamas 125 Ajout de transitions entre les diapositives 127 Astuces pour créer une transition Magic Move 127 Astuces pour créer une transition à l’aide d’effets de texte 128 Astuces pour créer une transition à l’aide d’effets sur les objets 128 À propos de l’animation de diapositives avec des compositions d’objet 129 Utilisation d’effets de composition pour faire apparaître ou disparaître des objets sur des diapositives 131 À propos de l’animation d’objets sur des diapositives (compositions d’action) 135 Création d’une série d’images sur une seule diapositive (compositions intelligentes) 139 Réorganisation de compositions d’objet 139 Automatisation des compositions d’objet 140 À propos de l’animation de textes à puces, de tableaux et de graphiques 143 Création de compositions de séquence 144 Copie et suppression de compositions d’objet 145 Chapitre 8 : Utilisation de liens hypertextes dans une présentation 145 À propos des liens hypertextes 145 À propos de la conversion d’un objet en lien hypertexte 149 Création de présentations à liens uniquement 150 Soulignement des liens hypertextes 151 Chapitre 9 : Création de graphiques à partir de données 151 À propos des graphiques 154 Ajout d’un nouveau graphique et saisie de données 156 Changement du type de graphique 157 Modification des données dans un graphique existant 158 Formatage des graphiques 159 Placement et formatage du titre et de la légende d’un graphique 159 Redimensionnement ou rotation d’un graphique 160 Formatage des axes d’un graphique 164 Formatage des éléments d’une série de données d’un graphique 166 Affichage des barres d’erreur dans les graphiques 167 Affichage des corrélations linéaires dans les graphiques 168 Formatage du texte des titres, des étiquettes et des légendes de graphique 168 Personnalisation de l’aspect des diagrammes circulaires 173 Définition des ombres, de l’espacement et des noms de série dans les graphiques à barres et à colonnes 174 Personnalisation des lignes et des symboles de points de données dans les graphiques linéaires 174 Affichage des symboles de point de données dans les graphiques à couches 175 Utilisation des graphiques en nuage de points 176 Personnalisation des graphiques à 2 axes et des graphiques mixtes 177 Ajustement des réglages de scène pour les graphiques 3DTable des matières 7 178 Chapitre 10 : Utilisation des tableaux 178 Ajout d’un tableau 180 Ajout de rangs à un tableau 181 Ajout de colonnes à un tableau 181 Suppression de rangs et de colonnes d’un tableau 182 Redimensionnement d’un tableau 183 Saisie de contenu dans les cellules d’un tableau 185 Sélection et déplacement dans les cellules d’un tableau 186 Remplissage automatique des cellules d’un tableau 187 Modification du contenu des cellules d’un tableau 188 À propos de la personnalisation de l’aspect et de la disposition des tableaux 188 Alternance de couleurs de rangs dans un tableau 189 Ajout de rangs ou de colonnes d’en-tête au tableau 190 Ajout de rangs de bas de tableau 191 Fusion des cellules d’un tableau 192 Division des cellules d’un tableau 192 Sélection et déplacement des bordures de cellules d’un tableau 195 Remplissage de cellules d’un tableau avec des couleurs ou des images 196 À propos de l’utilisation de tableaux pour trier et traiter les données 196 Utilisation de nombres dans les cellules d’un tableau 197 Tri de données dans les cellules d’un tableau 198 Utilisation de la mise en forme conditionnelle pour surveiller les valeurs des cellules du tableau 201 Mise en forme des valeurs des cellules en vue de l’affichage 203 Application du format automatique aux cellules de tableau 204 Application du format des nombres aux cellules de tableau 204 Application du format de devise aux cellules de tableau 205 Application d’un format des pourcentages aux cellules de tableau 206 Application d’un format date et heure aux cellules de tableau 206 Application du format de durée aux cellules de tableau 207 Application du format fraction aux cellules de tableau 207 Application d’un format système numérique aux cellules de tableau 208 Application du format scientifique aux cellules de tableau 208 Application du format Texte aux cellules de tableau 209 Utilisation de vos propres formats pour afficher des valeurs dans les cellules d’un tableau 225 Chapitre 11 : Affichage, impression et exportation de votre diaporama 225 À propos des différentes manières de présenter des diaporamas 226 Création de présentations à lecture automatique 227 Définition des options de lecture du diaporama 227 À propos du test et de la visualisation des présentations 227 Ajout des notes de l’intervenant8 Table des matières 228 Réglage de la taille de la diapositive 229 Test de votre présentation 229 Affichage d’une présentation sur l’écran de votre ordinateur 230 Affichage d’une présentation sur un écran externe ou un projecteur 234 À propos du contrôle des présentations 235 Personnalisation de l’écran de l’intervenant 238 Commande d’une présentation à l’aide du clavier 241 Lecture de séquences 241 Affichage du pointeur au cours d’une présentation 242 Utilisation d’une télécommande Apple Remote 243 Utilisation de Keynote Remote 243 Utilisation d’autres applications au cours d’une présentation 244 Impression de vos diapositives 245 À propos de l’exportation d’un diaporama vers d’autres formats 246 Enregistrement d’une présentation au format iWork ’08 246 Partage d’une présentation entre plates-formes 252 À propos de l’envoi d’une présentation aux applications iLife 255 Visualisation d’un diaporama dans iChat Theater 256 Envoi de votre document Keynote directement par courrier électronique 257 Partage de votre présentation Keynote sur iWork.com Public Beta 262 Chapitre 12 : Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 262 Conception de modèles de diapositive et de thèmes 263 Utilisation des outils de modèle de diapositives 264 Aperçu des modèles de diapositives 265 À propos de la sélection des modèles de diapositives à personnaliser 265 Dupliquer un modèle de diapositives 265 Importation d’une diapositive ou d’un modèle de diapositives 266 Création d’un modèle de diapositive à partir de zéro 266 À propos de la personnalisation des dispositions des modèles de diapositives 266 Définition des paramètres fictifs d’un texte 267 Définition des paramètres fictifs d’un support 267 Définition de paramètres fictifs d’objet 267 Création d’éléments d’arrière-plan sur des modèles de diapositives 268 Ajout de guides d’alignement à des modèles de diapositives 269 Définition des attributs par défaut des textes et des objets 269 Définition des attributs par défaut des zones de texte et des figures 270 Définition des attributs par défaut des images importées 270 Définition des attributs par défaut des tableaux 272 Définition d’attributs par défaut pour les graphiques 272 Définition des transitions par défaut 273 Création de versions sur les modèles de diapositivesTable des matières 9 273 À propos des thèmes personnalisés 273 Enregistrement de thèmes personnalisés 274 Création d’un thème à partir de zéro 275 Retour aux attributs de thème originaux11 Racontez votre histoire efficacement avec une touche théâtrale en créant facilement des présentations de qualité cinématographique à l’aide de Keynote. Pour commencer à utiliser Keynote, il vous suffit de l’ouvrir et de choisir l’un des modèles préconçus. Remplacez le texte de remplissage, faites glisser vos images et vos vidéos pour les ajouter et élaborez des animations impressionnantes. Avant même de vous en rendre compte, vous aurez créé une présentation spectaculaire. Préface Bienvenue dans Keynote ’0912 Préface Bienvenue dans Keynote ’09 Ce guide de l’utilisateur fournit des instructions détaillées qui vous aideront à réaliser certaines tâches dans Keynote. Outre ce PDF, d’autres ressources sont disponibles : Guides d’initiation vidéo en ligne Les guides d’initiation en ligne, accessibles à l’adresse www.apple.com/fr/iwork/ tutorials/keynote, contiennent des vidéos expliquant comment exécuter des tâches courantes dans Keynote. La première fois que vous ouvrez Keynote, un message apparaît avec un lien vers ces vidéos sur le web. Vous pouvez visualiser les vidéos d’initiation Keynote à tout moment en choisissant Aide > Guides d’initiation vidéo. Aide à l’écran L’aide à l’écran contient des instructions détaillées sur l’exécution de toutes les tâches dans Keynote. Pour accéder à l’aide, ouvrez Keynote et choisissez Aide > Aide Keynote. La première page de l’aide propose également un accès à des sites web utiles. Aide sur les formules et fonctions d’iWork L’aide sur les formules et les fonctions d’iWork contient des instructions pour écrire et utiliser des formules et des fonctions dans vos présentations. Vous pouvez ouvrir l’aide concernant les formules et les fonctions d’iWork à partir du menu Aide de n’importe quelle application iWork. Lorsque Keynote, Numbers ou Pages est ouvert, choisissez Aide > Aide sur les formules et fonctions d’iWork. Site web d’iWork Consultez les dernières actualités et informations concernant iWork à l’adresse www.apple.com/fr/iwork. Site web d’assistance Vous trouverez des informations détaillées pour résoudre vos problèmes à l’adresse www.apple.com/fr/support/keynote. Bulles d’aide Keynote fournit des balises d’aide, c’est-à-dire des descriptions courtes, pour la plupart des éléments à l’écran. Pour afficher une bulle d’aide, maintenez le pointeur sur un élément pendant quelques secondes.13 Familiarisez-vous avec les fenêtres et les outils que vous utilisez pour créer des diaporamas dans Keynote. Chaque diaporama que vous créez constitue un document Keynote individuel. Si vous y ajoutez des séquences, du son ou autres données multimédias, vous pouvez les enregistrer dans le document pour permettre de passer facilement la présentation d’un ordinateur à l’autre. À propos des thèmes et des modèles de diapositives La première fois que vous ouvrez Keynote (en cliquant sur son icône dans le Dock ou en double-cliquant sur son icône dans le Finder), la liste de thèmes affiche les thèmes conçus par Apple que vous pouvez utiliser dans vos diaporamas. 1 Outils et techniques KeynoteChaque thème se compose d’une famille de modèles de diapositives avec des éléments de conception coordonnés qui créent un aspect reposant sur des polices, des arrièreplans, des textures, des styles de tableau et des couleurs de graphique prédéfinis, et bien plus encore. Vous commencez à créer un document Keynote en sélectionnant un thème à partir duquel vous allez travailler. la signifie qu’à chaque fois que vous ajoutez un élément, par exemple une zone de texte, une figure ou un graphique, à une diapositive de ce thème, ses couleurs et ses styles sont coordonnés avec le reste du diaporama. Les modèles de diapositives fournissent différentes dispositions pour le texte et les images qui correspondent à l’aspect de leur thème. Lorsque vous désirez créer une diapositive avec des éléments particuliers, par exemple un titre et un sous-titre, une liste à puces ou une image, vous sélectionnez le modèle de diapositive qui ressemble le plus à ce dont vous avez besoin. Les modèles de diapositives contiennent des paramètres fictifs pour le texte et les images que vous remplacez par votre propre contenu lorsque vous élaborez votre diaporama. Texte de paramètre fictif. Paramètres fictifs multimédias pour les images, séquences ou autres fichiers multimédias. Des paramètres fictifs multimédia contiennent des photographies que vous pouvez remplacer par vos propres clichés, fichiers PDF ou vidéos. Faites glisser votre propre image ou séquence sur le paramètre fictif pour la dimensionner, la positionner et l’encadrer automatiquement pour tenir dans la diapositive. Vous pouvez faire glisser des données multimédia vers une position quelconque de la diapositive (pas seulement sur les paramètres fictifs multimédia), mais celles-ci n’hériteront pas des attributs (taille, cadre, etc.) de l’image du paramètre fictif. Pour en savoir plus, consultez la section « Remplacer les images des thèmes par vos propres images » à la page 82. 14 Chapitre 1 Outils et techniques KeynoteChapitre 1 Outils et techniques Keynote 15 Un texte de remplissage apparaît dans les zones de titre et de corps de texte sur chaque nouvelle diapositive avec l’instruction « Double-cliquez pour éditer ». Son apparence montre à quoi ressemblera votre propre texte une fois que vous l’aurez tapé dans la zone de texte. Dans les zones de corps de texte, la puce qui apparaît sera la même que celle qui apparaîtra en regard de votre propre texte. Pour en savoir plus, consultez la section « Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte » à la page 54. Au fur et à mesure que vous créez votre diaporama, vous pouvez ajouter d’autres éléments, tels que des tableaux, des zones de texte, des figures et d’autres objets, à n’importe quelle diapositive. La plupart des thèmes utilisent les modèles de diapositives suivants. Modèle de diapositives Utilisation recommandée Titre et sous-titre Diapositive de titre ou titres de sections dans votre présentation Titre et puces Contenu Titre et puces : 2 colonnes Contenu devant apparaître côte à côte sur 2 colonnes Puces Pages de contenu général requérant du texte à puces. La diapositive est entièrement recouverte par une zone de texte En blanc Dispositions contenant des graphismes Titre : en haut ou au centre Page de titre ou titres de sections dans votre présentation Photo : horizontale Photo horizontale avec le titre en dessous Photo : verticale Photo verticale avec le titre et le sous-titre à gauche Titre, puces et photo Page de titre ou titre de section incluant du texte et une photo Titre et puces (gauche ou droite) Diapositives de contenu sur lesquelles vous pouvez placer un texte comportant des puces sur la droite ou sur la gauche et un graphique de l’autre côté de la diapositiveFenêtre Keynote La fenêtre Keynote peut être personnalisée pour vous faciliter le travail et vous aider à organiser votre diaporama. Vous pouvez afficher ou masquer chacun de ses nombreux éléments. Canevas Créez chaque diapositive en tapant du texte et en ajoutant des objets et des fichiers multimédia. Champ Notes de l’intervenant Ajoutez des notes pour des diapositives données. Vous pourrez consulter ces commentaires au cours de votre présentation ; vous seul pourrez les voir. Navigateur de diapositives Permet d’obtenir un aperçu visuel de la présentation de diapositives. Vous pouvez afficher les diapositives de votre présentation sous forme de vignettes ou uniquement le plan de la présentation. Barre d’outils Personnalisez-la de façon à inclure les outils que vous utilisez le plus souvent. Changez la taille des vignettes de diapositive. Voici différentes manières d’afficher ou de masquer ces éléments : m Une barre d’outils en haut de la fenêtre vous permet d’accéder rapidement aux outils dont vous avez besoin pour créer vos diapositives. Pour afficher ou masquer la barre d’outils, choisissez Présentation > Afficher la barre d’outils ou Présentation > Masquer la barre d’outils. Voir « La barre d’outils » à la page 21 pour plus de détails sur la barre d’outils. m Le navigateur de diapositives (sur la gauche de la fenêtre) donne un aperçu visuel de votre diaporama. Vous pouvez afficher les diapositives de votre présentation sous forme de vignettes ou uniquement le plan de la présentation. Pour afficher le Navigateur de diapositives, choisissez Présentation > Navigateur ou Présentation > Structure. Pour le masquer, choisissez Présentation > Diapositive. Voir « Changement de mode d’affichage » à la page 17 pour obtenir des informations plus détaillées sur le navigateur de diapositives. 16 Chapitre 1 Outils et techniques KeynoteChapitre 1 Outils et techniques Keynote 17 m Vous pouvez rédiger des notes sur chaque diapositive dans le champ Notes de l’intervenant. Vous pourrez consulter ces commentaires en cours de présentation (le spectateur ne les verra pas). Pour afficher ou masquer les notes de l’intervenant, choisissez Présentation > Afficher les notes de l’intervenant ou Présentation > Masquer les notes de l’intervenant. Voir « Ajout des notes de l’intervenant » à la page 227 pour des informations plus détaillées sur l’utilisation des notes de l’intervenant. m La barre des formats vous permet d’accéder rapidement aux outils de mise en forme permettant de personnaliser les textes, les tableaux, les graphiques, etc. Les commandes qui apparaissent dans la barre des formats dépendent de l’élément que vous avez sélectionné dans le canevas de diapositive. Pour afficher ou masquer la barre des formats, choisissez Présentation > Afficher la barre des formats ou Présentation > Masquer la barre des formats. Voir « La barre de format » à la page 22 pour des informations plus détaillées sur la barre des formats. Zoom avant et zoom arrière Vous pouvez agrandir (zoom avant) ou réduire (zoom arrière) l’affichage du canevas. Voici différentes manières d’effectuer un zoom avant ou arrière : m Choisissez Présentation > Zoom > niveau de zoom. m Choisissez un niveau d’agrandissement dans le menu local Zoom en bas à gauche du canevas de diapositive. Si vous utilisez Keynote avec Mac OS X v10.7 (Lion) ou ultérieur, vousp ouvez également afficher l’application en présentation plein écran afin de travailler sans distraction. Pour en savoir plus, consultez la section « Présentation plein écran » à la page 20. Changement de mode d’affichage Keynote propose différentes manières d’afficher, de gérer et d’organiser les diapositives d’un document Keynote. mode navigateur, mode plan et mode table lumineuse. Vous avez également la possibilité d’afficher uniquement le canevas de diapositive. Si vous utilisez Mac OS X v10.7 (Lion) ou ultérieur, vous pouvez également travailler en présentation plein écran. Pour passer d’un mode d’affichage à l’autre : m Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et sélectionnez une option (ou choisissez Présentation > Navigateur, Structure, Table lumineuse ou Diapositive).Mode Navigateur Le mode Navigateur affiche des vignettes pour chaque diapositive et s’avère utile pour les diaporamas contenant un grand nombre de graphismes, tableaux et autres objets. Cet affichage donne un bon aperçu visuel de vos diapositives mais ne vous permet pas nécessairement de lire tout le texte contenu dans les vignettes. Cliquez sur le triangle d’affichage pour afficher ou masquer des groupes de diapositives en retrait. Organisez vos diapositives en groupes en les mettant en retrait. Pour mettre en retrait une diapositive, faites-la glisser ou sélectionnez-la et appuyez sur la touche Tab. Visualisez en un seul coup d’œil les graphismes de chacune de vos diapositives. Affichez des vignettes de différentes tailles. Faites glisser cette poignée vers le bas pour afficher les modèles de diapositive. La diapositive sélectionnée ici est celle sur laquelle vous travaillez actuellement. Vous pouvez réorganiser et ordonner vos diapositives à l’aide du navigateur de diapositives. Voici différentes manières d’utiliser le mode Navigateur : m Pour afficher le mode navigateur, cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Navigateur, ou choisissez Présentation > Navigateur. m Pour réorganiser ou mettre en retrait des diapositives, faites-les glisser. m Pour afficher ou masquer des groupes de diapositives (diapositives en retrait et leurs « parents » correspondants), cliquez sur les triangles d’affichage. m Pour agrandir ou réduire la taille des vignettes, cliquez sur le bouton situé dans le coin inférieur gauche et choisissez une taille. m Pour dupliquer une ou plusieurs diapositives adjacentes, sélectionnez-les et choisissez Édition > Dupliquer. Les diapositives dupliquées sont insérées à la suite des diapositives sélectionnées. m Pour copier et coller une ou plusieurs diapositives adjacentes, sélectionnez-les, choisissez Édition > Copier, sélectionnez la diapo à la suite de laquelle vous désirez coller les diapositives copiées et choisissez Édition > Coller. 18 Chapitre 1 Outils et techniques KeynoteChapitre 1 Outils et techniques Keynote 19 m Pour afficher des modèles de diapositive (pratiques si vous créez vos propres modèles ou thèmes), faites glisser la poignée en haut à droite du Navigateur de diapositives, ou cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Afficher les modèles de diapositive. Consultez la rubrique « Conception de modèles de diapositive et de thèmes » à la page 262 pour plus de détails. Mode Structure Ce type d’affichage s’avère particulièrement utile pour visualiser les présentations riches en texte. Il affiche le texte des titres et des puces de chaque diapositive de votre diaporama. Tous les titres et toutes les puces apparaissent lisiblement dans le navigateur de diapositives. Le mode plan est une solution simple pour ordonner et réorganiser les puces dans une présentation. Vous pouvez ajouter des puces à un texte directement dans le navigateur de diapositives. Vous pouvez également faire glisser des puces d’une diapositive à l’autre ou les faire glisser vers un niveau supérieur ou inférieur dans une même diapositive. Faites glisser les puces vers la gauche ou vers la droite pour les placer à un niveau de retrait inférieur ou supérieur. Vous pouvez même faire glisser des puces d’une diapositive à l’autre. En mode plan, le texte apparaît sous forme de titres et de puces. Vous pouvez ajouter ou modifier du texte directement en mode plan. Double-cliquez sur l’icône d’une diapositive pour masquer son texte à puces dans le Navigateur de diapositives. Voici différentes manières d’utiliser le mode plan : m Pour afficher le mode plan, cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Structure (ou choisissez Présentation > Structure). m Pour changer la police utilisée en mode plan, choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Général, puis sélectionnez une police et une taille dans le menu local Police du mode plan.m Pour imprimer l’affichage en mode plan, choisissez Fichier > Imprimer. Dans la zone de dialogue Imprimer, choisissez Keynote dans le menu local Copies et pages, puis sélectionnez Structure. Mode table lumineuse Si votre diaporama contient plusieurs diapositives et que vous voulez afficher plus de vignettes en même temps, utilisez le mode table lumineuse. Vous pouvez facilement réorganiser des diapositives en les faisant glisser, comme si elles étaient étalées sur la table lumineuse d’un photographe. Voici différentes manières d’utiliser le mode table lumineuse : m Pour afficher le mode table lumineuse, cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Table lumineuse, ou choisissez Présentation > Table lumineuse. m Pour agrandir ou réduire la taille des vignettes, cliquez sur le bouton situé en bas à gauche de la fenêtre et choisissez une taille. m Pour modifier une diapositive ou revenir au mode précédent (navigateur ou structure), double-cliquez sur une diapositive. En mode table lumineuse, vous pouvez ajouter, supprimer, dupliquer, ignorer et réorganiser des diapositives exactement de la même manière qu’en mode navigateur et structure. Présentation plein écran Si vous utilisez Keynote avec Mac OS X v10.7 (Lion) ou ultérieur, vous pouvez afficher l’application en présentation plein écran afin de travailler sans distraction. En affichage plein écran, la fenêtre Keynote s’agrandit de manière à remplir tout votre écran et se déplace dans un différent espace pour vous permettre de passer facilement de Keynote à votre bureau. 20 Chapitre 1 Outils et techniques KeynoteChapitre 1 Outils et techniques Keynote 21 Pour afficher Keynote en plein écran : m Choisissez Présentation > Passer en plein écran ou cliquez sur le bouton Plein écran dans le coin supérieur droit de la fenêtre Keynote (il ressemblre à deux flèches dirigées vers l’extérieur). Pour quitter le mode plein écran, effectuez l’une des opérations suivantes : m Choisissez Présentation > Quitter le mode Plein écran. m Déplacez le pointeur vers la partie supérieure de l’écran pour afficher la barre des menus, puis cliquez sur le bouton Plein écran dans le coin supérieur droit de l’écran. m Appuyez sur Échap sur le clavier. Passage direct à une diapositive donnée Pendant que vous travaillez sur votre document, vous pouvez passer directement à une diapositive quelconque. Voici différentes manières de passer à une diapositive donnée : m En mode Navigateur ou Structure, cliquez sur une vignette dans le Navigateur de diapositives pour passer directement à la diapositive correspondante. m Choisissez Diapositive > Aller à et sélectionnez une des options (Diapo suivante, Diapo précédente, Première diapo ou Dernière diapo). La barre d’outils La barre d’outils Keynote permet d’accéder en un simple clic à nombre des fonctionnalités que vous utiliserez lorsque vous travaillerez dans Keynote. Vous pouvez ajouter, supprimer et réorganiser les boutons de la barre d’outils pour les adapter à votre mode de travail. Le jeu par défaut de boutons de barre d’outils est illustré ci-dessous. Le bouton Plein écran n’apparaît dans le coin supérieur droit que si vous exécutez Mac OS X v10.7 (Lion) ou ultérieur. Ajouter des diapositives. Lire un diaporama. Choisir une nouvelle présentation, un nouveau thème ou un nouveau modèle de diapositive. Partager des documents avec des relecteurs sur iWork.com. Ajouter une zone de texte libre, une figure, un tableau ou un graphique. Masquer ou supprimer les parties inutiles d’une photo. Choisir le niveau d’affichage de chaque objet sur la diapositive. Ajouter un commentaire de révision à une diapositive. Afficher et modifier en plein écran. Ouvrir les fenêtres Inspecteur, Couleurs, Polices et le navigateur multimédia.Pour personnaliser la barre d’outils : 1 Choisissez Présentation > Personnaliser la barre d’outils, ou bien cliquez sur la barre d’outils en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez Personnaliser la barre d’outils. 2 Apportez les modifications souhaitées à la barre d’outils. Pour ajouter un élément à la barre d’outils, faites glisser l’icône correspondante vers celle-ci (en haut). Pour supprimer un élément de la barre d’outils, faites-le glisser en dehors de celle-ci. Pour restaurer le jeu de boutons par défaut de la barre d’outils, faites glisser celui-ci vers la barre d’outils. Pour agrandir les icônes de la barre d’outils, désélectionnez « Utiliser la petite taille ». Pour afficher uniquement les icônes ou uniquement le texte, choisissez une option dans le menu local Afficher. Pour réorganiser les éléments de la barre d’outils, faites-les glisser. 3 Lorsque vous avez fini, cliquez sur Terminé. Voici quelques raccourcis qui vous permettent de personnaliser la barre d’outils sans passer par Présentation > Personnaliser la barre d’outils :  Pour supprimer un élément, appuyez sur la touche Commande tout en le faisant glisser hors de la barre d’outils ou cliquez dessus tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez ensuite Supprimer dans le menu contextuel.  Pour déplacer un élément, appuyez sur la touche Commande tout en faisant glisser celui-ci. Pour savoir à quoi sert un bouton de la barre d’outils, placez le pointeur sur celui-ci afin d’afficher sa description. La barre de format Utilisez la barre des formats pour modifier rapidement l’aspect de tableaux, graphiques, texte et autres éléments de votre feuille de calcul. Les contrôles de la barre des formats dépendent de l’objet sélectionné. Pour afficher une description des actions d’un bouton ou d’une commande de la barre des formats, laissez le pointeur dessus jusqu’à ce qu’une balise d’aide apparaisse. Pour afficher et masquer la barre des formats : m Choisissez Présentation > « Afficher la barre de format », ou Présentation > « Masquer la barre de format ». 22 Chapitre 1 Outils et techniques KeynoteChapitre 1 Outils et techniques Keynote 23 Voici l’aspect de la barre des formats lorsqu’une figure est sélectionnée. Modifiez la police, son style, sa taille et sa couleur. Choisissez l’interligne et le nombre de colonnes. Ajoutez un fond de couleur aux zones de texte et aux formes. Aligner le texte sélectionné. Choisissez la mise en forme des zones de texte et des bordures de forme. Réglez l’opacité et les ombres des zones de texte. Voici l’aspect de la barre des formats lorsqu’un tableau est sélectionné. Choisissez la mise en forme du texte des cellules de tableau. Triez le texte des cellules de tableau. Gérez les en-têtes et les bas-de-page. Choisissez la mise en forme des bordures de cellule. Définissez le nombre de rangs et de colonnes. Ajoutez une couleur de fond à une cellule. La fenêtre Inspecteur La plupart des éléments de votre diaporama peuvent être mis en forme à l’aide des inspecteurs de Keynote. Chaque inspecteur concerne un aspect différent de la mise en forme. L’inspecteur des documents, par exemple, contient des réglages destinés à l’ensemble du diaporama. Cliquez sur l’un de ces boutons pour afficher un autre inspecteur. L’ouverture de plusieurs fenêtres d’inspecteur dans votre document peut vous faciliter le travail. Par exemple, si vous ouvrez en même temps Inspecteur des graphismes et Inspecteur du texte, vous aurez accès à toutes les options de mise en forme de texte et d’image.Voici différentes façons d’ouvrir les fenêtres Inspecteur : m Pour ouvrir une seule fenêtre Inspecteur alors qu’aucune fenêtre n’est ouverte, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils. m Pour ouvrir plusieurs fenêtres Inspecteur, choisissez Présentation > Nouvel inspecteur. Une fois la fenêtre Inspecteur ouverte, cliquez sur l’un des boutons en haut de la fenêtre pour afficher un autre inspecteur. Par exemple, si vous cliquez sur le deuxième bouton à partir de la gauche, l’Inspecteur des diapositives s’affiche. Placez le pointeur sur les boutons et sur les autres commandes des inspecteurs afin d’afficher une description de leur fonction. Navigateur multimédia Le Navigateur de média permet d’accéder à tous les fichiers multimédias de votre photothèque iPhoto, de votre bibliothèque iTunes, de votre bibliothèque Aperture et de votre dossier Séquences. Vous pouvez faire glisser un élément du Navigateur de média sur une diapositive ou dans le cadre d’images d’un inspecteur. Cliquez sur un bouton pour afficher les fichiers dans votre bibliothèque iTunes, votre photothèque iPhoto, votre bibliothèque Aperture, ou votre dossier Vidéos. Faites glisser un fichier à votre document. Rechercher un fichier. Si vous n’utilisez pas iPhoto ou Aperture pour stocker vos photos, ou iTunes pour votre musique, ou si vous ne stockez pas vos vidéos dans le dossier Vidéos, vous pouvez ajouter d’autres dossiers au navigateur multimédia pour pouvoir accéder à leur contenu multimédia de la même manière. Pour ouvrir le navigateur de média : m Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils, ou sélectionnez Présentation > Afficher le Navigateur de média. 24 Chapitre 1 Outils et techniques KeynoteChapitre 1 Outils et techniques Keynote 25 Pour ajouter un autre dossier au navigateur multimédia, effectuez l’une des opérations suivantes : m Pour ajouter un dossier contenant des fichiers audio, cliquez sur Audio dans le navigateur multimédia, puis faites glisser le dossier souhaité du Finder vers le navigateur multimédia. m Pour ajouter un dossier contenant des photos, cliquez sur Photos dans le navigateur multimédia, puis faites glisser le dossier voulu depuis le Finder jusque dans le navigateur multimédia. m Pour ajouter un dossier contenant des vidéos, cliquez sur Vidéos dans le navigateur multimédia, puis faites glisser le dossier voulu depuis le Finder jusque dans le navigateur multimédia. La fenêtre Couleurs La fenêtre Couleurs sert à sélectionner la couleur des objets. La couleur sélectionnée dans la roue des couleurs s’affiche dans cette zone. (Le fait qu’il y ait deux couleurs dans cette zone indique que l’opacité est définie à moins de 100 pour cent.) Utilisez le curseur pour définir des teintes plus claires ou plus sombres dans la roue des Cliquez sur une couleur couleurs. pour la sélectionner dans la roue des couleurs. Faites glisser les couleurs à partir de la zone Couleurs afin de les stocker dans la palette de couleurs. Cliquez sur l’icône Rechercher puis sur un élément quelconque à l’écran pour faire correspondre sa couleur. Cliquez sur un bouton pour afficher différents modèles de couleur. Faites glisser le curseur Opacité vers la gauche afin de rendre la couleur plus transparente. Vous pouvez utiliser la roue des couleurs dans la fenêtre Couleurs afin de sélectionner des couleurs. La couleur que vous sélectionnez apparaît dans la zone en haut de la fenêtre Couleurs. Vous pouvez enregistrer cette couleur afin de l’utiliser ultérieurement, en la plaçant dans la palette de couleurs. Pour appliquer à un objet de la diapositive les couleurs que vous avez sélectionnées dans la fenêtre Couleurs, vous devez placer la couleur dans le cadre de couleur approprié d’une sous-fenêtre de l’Inspecteur. Vous pouvez sélectionner un cadre de couleurs dans l’un des Inspecteurs, puis cliquer sur une couleur de la roue des couleurs. Ou bien, vous pouvez faire glisser une couleur de la palette ou de la zone des couleurs jusque dans le cadre de couleurs de l’un des inspecteurs.Pour sélectionner une couleur : 1 Ouvrez la fenêtre Couleurs en cliquant sur Couleurs dans la barre d’outils ou sur un cadre de couleurs dans l’un des Inspecteurs. 2 Cliquez n’importe où dans la roue des couleurs. La couleur sélectionnée s’affiche dans la zone des couleurs en haut de la fenêtre Couleurs. 3 Pour assombrir ou éclaircir la couleur, faites glisser le curseur du côté droit de la fenêtre Couleurs. 4 Pour rendre la couleur plus transparente, faites glisser le curseur Opacité vers la gauche ou tapez un pourcentage dans le champ Opacité. 5 Pour utiliser la palette de couleurs, ouvrez-la en faisant glisser la poignée située en bas de la fenêtre Couleurs. Enregistrez une couleur dans la palette en la faisant glisser de la zone de couleur vers la palette. Pour supprimer une couleur de la palette, faites-glisser un carré blanc dessus. 6 Pour reproduire la couleur d’un élément affiché à l’écran, cliquez sur l’icône de recherche (la loupe) à gauche de la zone des couleurs de la fenêtre Couleurs. Cliquez sur l’élément de l’écran dont vous souhaitez utiliser la couleur. La couleur apparaît dans la zone des couleurs. Sélectionnez l’élément auquel vous souhaitez appliquer la couleur dans la fenêtre du document, puis faites glisser la couleur de la zone des couleurs vers l’élément. 26 Chapitre 1 Outils et techniques KeynoteChapitre 1 Outils et techniques Keynote 27 Fenêtre Polices La fenêtre Polices vous permet de sélectionner des polices de caractères, des tailles de police et d’autres attributs de police, y compris des ombres et des caractères barrés. Vous pouvez également utiliser la fenêtre Polices pour organiser vos polices de caractères favorites, afin qu’elles soient aisément accessibles lorsque vous en avez besoin. Créez des effets intéressants à l’aide de ces boutons. Menu Action Sélectionnez un type de caractère à appliquer au texte sélectionné. Recherchez des polices en tapant un nom de police dans le champ de recherche. Sélectionnez une taille de police à appliquer au texte sélectionné. Appliquer une ombre au texte sélectionné. Modifiez l’ombre à l’aide des contrôles Opacité, Flou, Décalage et Angle. Prévisualiser le type de caractère sélectionné (pour cela, il peut être nécessaire de cliquer sur Afficher un aperçu dans le menu Action). Pour ouvrir la fenêtre Polices, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur Polices dans la barre d’outils ou choisissez Format > Police > Afficher les polices. m Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. Pour changer la police du texte sélectionné : m Dans le champ de recherche, tapez le nom de la police que vous souhaitez utiliser, puis sélectionnez son nom dans la liste. m Sélectionnez le nom du type de caractère souhaité (par exemple, gras, italique, etc.). m Tapez ou sélectionnez le nombre correspondant à la taille de police que vous souhaitez. Pour mettre en forme du texte à l’aide de la fenêtre Polices, utilisez l’une des commandes suivantes : m Le menu local Texte souligné vous permet de choisir un style de soulignement (trait simple ou double, par exemple). m Le menu local Texte barré vous permet de sélectionner un style de barrage du texte (trait simple ou double, par exemple). m Le menu local Couleur du texte permet d’appliquer une couleur au texte.m Le menu local Couleur du document permet d’appliquer une couleur au fond d’un paragraphe. m Le bouton Ombre du texte applique une ombre au texte sélectionné. m Les commandes « Opacité de l’ombre », « Flou de l’ombre », « Décalage de l’ombre » et « Angle de l’ombre » permettent de déterminer l’apparence de l’ombre. Si les boutons d’effets de texte n’apparaissent pas, choisissez Afficher les effets dans le menu local Action situé dans le coin inférieur gauche de la fenêtre Polices. Pour organiser les polices dans la fenêtre Polices : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter une collection (+) pour créer une nouvelle collection. 2 Sélectionnez du texte et formatez-le en utilisant la famille, le type de caractères et la taille de votre choix. 3 Faites glisser son nom depuis la liste Famille et déposez-le à l’endroit où vous souhaitez le classer. Si vous changez souvent les polices, laissez la fenêtre Polices ouverte. Redimensionnez la fenêtre Polices à l’aide de la commande située dans le coin inférieur droit de la fenêtre, afin que seuls les familles et les types de caractères soient visibles dans votre collection de polices sélectionnée. Raccourcis clavier et menus contextuels Vous pouvez utiliser le clavier pour exécuter nombre de commandes et tâches des menus de Keynote. Pour afficher la liste complète des raccourcis clavier, ouvrez Keynote et sélectionnez Aide > Raccourcis clavier. De nombreux éléments de la fenêtre Keynote sont également associés à des raccourcis clavier qui répertorient les commandes spécifiques à cet élément. Les menus contextuels sont particulièrement utiles pour travailler sur les tableaux et les graphiques. 28 Chapitre 1 Outils et techniques KeynoteChapitre 1 Outils et techniques Keynote 29 Pour ouvrir un menu contextuel : m Appuyez sur la touche Contrôle en cliquant sur un objet. Les commandes disponibles dans le menu contextuel dépendent de l’élément sur lequel vous cliquez. Cette image affiche les options disponibles dans le menu contextuel lorsque vous cliquez sur le canevas de diapositive tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée. La fenêtre Avertissements Lorsque vous importez un document dans Keynote ou lorsque vous exportez un document Keynote vers un autre format, il est possible que certains éléments ne soient pas transférés de la même manière. La fenêtre Avertissements répertorie tous les problèmes rencontrés. Il se peut que vous receviez des avertissements dans d’autres situations, par exemple, lorsque vous enregistrez un document dans une version antérieure de l’application. Si des problèmes surviennent, un message s’affichera et vous permettra de passer en revue les avertissements. Si vous choisissez de ne pas passer en revue ces avertissements, vous avez la possibilité de consulter la fenêtre Avertissements à tout moment en sélectionnant Présentation > « Afficher les avertissements du document ». Si un avertissement apparaît vous indiquant qu’une police est manquante, vous pouvez sélectionner l’avertissement et cliquer sur Remplacer la police pour choisir une autre police. Vous pouvez copier les messages d’avertissement et les coller dans un document pour référence ultérieure ; ils peuvent s’avérer utiles pour diagnostiquer des problèmes.30 Apprenez les concepts de base qui permettent de travailler intelligemment lorsque vous ouvrez, importez, modifiez, enregistrez, sauvegardez et protégez par mot de passe vos documents Keynote. Ce chapitre vous fournit des astuces pour enregistrer rapidement votre présentation pendant que vous travaillez et pour protéger vos documents à l’aide d’un mot de passe. Keynote ouvre en toute transparence les présentations PowerPoint et AppleWorks, ce qui vous permet de continuer facilement à travailler sur des présentations que vous avez déjà créées ou de collaborer avec des utilisateurs qui utilisent d’autres applications. Pour en savoir plus sur l’enregistrement d’un document Keynote au format PowerPoint ou dans un autre format, consultez la rubrique « À propos de l’exportation d’un diaporama vers d’autres formats » à la page 245. À propos de la création et de l’ouverture d’un document Chaque diaporama que vous créez constitue un document Keynote individuel. Il existe plusieurs méthodes pour commencer à travailler dans un document Keynote :  Créez un nouveau document Keynote.  Importez un document créé dans PowerPoint ou AppleWorks.  Ouvrez un document Keynote existant. Création d’une présentation Keynote Pour créer une présentation Keynote : 1 Si Keynote n’est pas ouvert, ouvrez-le en cliquant sur son icône dans le Dock ou en double-cliquant sur son icône dans le Finder. Si Keynote est déjà ouvert, choisissez Fichier > Créer à partir de la liste de thèmes ou appuyez sur Commande + N. 2 Création, ouverture et enregistrement d’une présentation KeynoteChapitre 2 Création, ouverture et enregistrement d’une présentation Keynote 31 2 Dans le Sélecteur de thèmes, sélectionnez un thème. Pour afficher un aperçu des dispositions de diapositive dans un autre thème, déplacez doucement le pointeur de la souris au-dessus de la vignette de ce thème. Des diapositives échantillon présentant des graphiques, des tableaux et du texte défilent alors dans la vignette lorsque vous déplacez le pointeur pour vous donner une meilleure idée et vous aider à sélectionner un thème. Cependant, même après avoir sélectionné un thème et commencé à travailler, vous pouvez changer le thème de votre diaporama à tout moment et vous pouvez utiliser plusieurs thèmes dans un document (voir « Modification du thème d’une diapositive » à la page 47). 3 Si vous connaissez la taille optimale que vous allez utiliser au cours de la présentation de votre diaporama, il est préférable de la sélectionner dans le menu local Taille de la diapositive avant de commencer à créer votre diaporama. Pour plus de détails sur la sélection de la meilleure taille pour vos diapositives, voir « Réglage de la taille de la diapositive » à la page 228. En cas de doute, vous pouvez accepter la taille par défaut et la réinitialiser plus tard, le cas échéant ; Keynote ajuste la taille du contenu de toutes les diapositives. 4 Cliquez sur Choisir ou double-cliquez l’image vignette du thème souhaité. ? Conseil : Vous pouvez configurer Keynote pour qu’il utilise le même thème à chaque fois que vous créez un document. Choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Général, sélectionnez « Utiliser le thème », puis choisissez un thème. Pour en changer, cliquez sur Choisir. Importation d’un diaporama Si vous disposez d’une présentation de diapositives créée avec Microsoft PowerPoint ou AppleWorks, vous pouvez l’importer dans Keynote et continuer à y travailler. Dans la mesure du possible, Keynote préserve le texte, les couleurs, la disposition et les autres options de mise en forme du document d’origine. Voici plusieurs manières d’importer un document PowerPoint ou AppleWorks : m Dans Keynote, choisissez Fichier > Ouvrir. Dans la zone de dialogue Ouvrir, trouvez le document que vous souhaitez importer, puis cliquez sur Ouvrir. m Dans le Finder, faites glisser l’icône du document PowerPoint ou AppleWorks sur celle de l’application Keynote. Ouverture d’un document Keynote existant Il existe plusieurs manières d’ouvrir un document créé à l’aide d’une version quelconque de Keynote. Voici différentes manières d’ouvrir un document Keynote : m Pour ouvrir un document Keynote à partir du Finder, double-cliquez sur son icône ou faites-la glisser vers l’icône de l’application Keynote. m Pour ouvrir un document lorsque vous travaillez dans Keynote, choisissez Fichier > Ouvrir, sélectionnez le document, puis cliquez sur Ouvrir. m Dans la liste de thèmes, cliquez sur « Ouvrir un fichier », localisez le document voulu dans la fenêtre, puis cliquez sur Ouvrir. m Pour ouvrir l’un des derniers documents sur lesquels vous avez travaillé, choisissez Fichier > Ouvrir récent et sélectionnez le document dans le sous-menu. Vous pouvez également cliquer sur Ouvrir récent dans la liste de thèmes, puis sélectionner le fichier voulu. m Si le document est protégé par mot de passe, double-cliquez sur son icône, puis tapez le mot de passe dans le champ et cliquez sur OK. Si un message vous indique qu’il manque une police ou un fichier, vous pouvez néanmoins utiliser le document. Keynote remplace les polices manquantes par une police présente sur votre ordinateur. Pour restaurer les polices manquantes, quittez Keynote puis ajoutez les polices à votre dossier Polices (pour en savoir plus, consultez l’Aide Mac). Pour afficher les séquences ou les fichiers son manquants, ajoutez-les au document comme vous l’avez fait à l’origine. Pour éviter ce problème, vous pouvez intégrer les fichiers multimédia au document lorsque vous enregistrez ce dernier ; voir détails dans la rubrique « Enregistrement d’une présentation » à la page 33. Remarque : Si vous ouvrez un document créé avec iWork ’08 et que vous souhaitez le préserver pour l’utiliser avec l’ancienne version, enregistrez-le au même format. Consultez la section « Enregistrement d’une présentation au format iWork ’08 » à la page 246. À propos de l’enregistrement de présentations Les données d’images et de graphiques sont enregistrées dans la présentation Keynote, elles s’affichent donc correctement lorsque la présentation est ouverte sur un autre ordinateur. Les polices ne sont cependant pas incluses dans la présentation. Si vous transférez une présentation Keynote sur un autre ordinateur, assurez-vous que les polices utilisées dans la présentation ont été installées dans le dossier Polices de l’autre ordinateur. Par défaut, les fichiers audio et de séquence sont enregistrés avec les présentations Keynote, mais ce réglage est modifiable. Si vous n’enregistrez pas les fichiers multimédia dans la présentation, vous devez les transférer séparément pour les afficher dans la présentation sur un autre ordinateur. 32 Chapitre 2 Création, ouverture et enregistrement d’une présentation KeynoteChapitre 2 Création, ouverture et enregistrement d’une présentation Keynote 33 Si vous utilisez Mac OS X v10.7 (Lion) ou ultérieur, Keynote enregistre fréquemment et automatiquement votre présentation en arrière-plan. Vous n’avez donc pas à vous soucier de perdre les modifications apportées à votre présentation si l’application se ferme inopinément. Vous pouvez également enregistrer la présentation manuellement, créant ainsi une archive des versions antérieures, qui peuvent être récupérées à tout moment. Enregistrement d’une présentation Il est judicieux d’enregistrer régulièrement la présentation pendant votre travail. Après le premier enregistrement, vous pouvez appuyer sur Commande + S pour l’enregistrer rapidement au cours de votre travail, en utilisant les mêmes réglages à chaque fois. Pour enregistrer une présentation pour la première fois : 1 Choisissez Fichier > Enregistrer, ou appuyez sur Commande + S. 2 Dans le champ Enregistrer sous, saisissez le nom de la présentation. 3 Sélectionnez le dossier dans lequel vous souhaitez enregistrer votre présentation dans le menu local Où. Si l’emplacement souhaité n’est pas visible dans le menu local Où, cliquez sur le triangle d’affichage situé à droite du champ Enregistrer sous, puis accédez à l’emplacement souhaité pour enregistrer la présentation.. Si le menu local Où ne s’affiche pas, accédez à l’emplacement où vous souhaitez enregistrer la présentation. 4 Pour que le contenu de la présentation soit accessible via la fonction Coup d’œil dans le Finder de Mac OS X 10.5 ou ultérieur, sélectionnez l’option « Inclure l’aperçu du document ». 5 Si vous souhaitez que votre présentation s’ouvre dans Keynote ’08 ou PowerPoint, sélectionnez « Enregistrer la copie comme » puis choisissez le format de fichier souhaité. 6 Si vous ou une autre personne doit ouvrir la présentation sur un autre ordinateur, cliquez sur Options avancées et configurez les options afin de déterminer les éléments copiés dans votre présentation. Copier l’audio et la vidéo dans le document : si vous cochez cette case, les fichiers audio et vidéo sont enregistrés avec la présentation, pour permettre la lecture des fichiers en cas d’ouverture de la présentation sur un autre ordinateur. Vous pouvez désactiver cette case afin de réduire la taille du fichier, mais dans ce cas les fichiers multimédias ne fonctionneront pas sur un autre ordinateur à moins que vous ne les transfériez également.Pour apprendre à réduire la taille globale d’un document lorsque vous y incorporez des fichiers audio ou de séquence, voir « Réduction de la taille des fichiers multimédias » à la page 123. Pour apprendre à réduire la taille d’un document si vous avez utilisé des images de taille réduite dans ce document, voir « Réduction de la taille des fichiers d’image » à la page 85. Copier les images du thème dans le document : si vous ne sélectionnez pas cette option et si vous ouvrez la présentation sur un ordinateur ne disposant pas du même thème (par exemple, si vous avez créé votre propre thème), il est possible que l’aspect de la présentation soit différent. 7 Cliquez sur Enregistrer. Si vous avez créé la présentation avec une version antérieure de Keynote, le programme vous demande si vous souhaitez enregistrer la présentation au même format. Pour archiver une version d’une présentation dans Mac OS X v10.7 (Lion) ou ultérieur. m Choisissez Fichier > Enregistrer une version, ou appuyez sur Commande + S. Il est seulement possible de créer des versions archivées si vous utilisez Mac OS X v10.7 (Lion) ou ultérieur. Pour en savoir plus sur la restauration de versions de présentation archivées, voir « Retrouver une version archivée d’une présentation » à la page 36. En général, vous ne pouvez enregistrer des présentations Keynote que sur des ordinateurs ou des serveurs fonctionnant sous Mac OS X. Keynote n’est pas compatible avec les ordinateurs Mac OS 9 ni avec les serveurs Windows utilisant Services pour Macintosh. Si vous envisagez de partager la présentation avec d’autres personnes dont l’ordinateur n’est pas doté de Keynote, vous pouvez l’exporter afin de l’utiliser dans une autre application. Pour en savoir plus sur l’exportation d’une présentation dans d’autres formats (notamment QuickTime, PowerPoint et PDF), consultez la rubrique « Partage d’une présentation entre plates-formes » à la page 246. Enregistrement d’une copie d’une présentation Si vous souhaitez dupliquer une présentation ouverte, vous pouvez l’enregistrer sous un nom ou à un emplacement différent. Pour enregistrer une version d’une présentation dans Mac OS X v10.7 (Lion) ou ultérieur. 1 Choisissez Fichier > Dupliquer. Une copie sans titre de la présentation est créée. Les deux copies restent ouvertes sur votre bureau dans un but de consultation ou d’édition. 2 Fermez la fenêtre de la copie sans titre, tapez le nom de la présentation puis choisissez un emplacement dans le menu local. 34 Chapitre 2 Création, ouverture et enregistrement d’une présentation KeynoteChapitre 2 Création, ouverture et enregistrement d’une présentation Keynote 35 3 Cliquez sur Enregistrer. Pour enregistrer une copie d’une présentation dans Mac OS X v10.6.x (Snow Leopard) ou ultérieur. m Choisissez Fichier > Enregistrer sous, puis indiquez un nouveau nom ou un nouvel emplacement. Lorsque la présentation est copiée de cette manière, la présentation originale est fermée ; celle qui reste ouverte sur votre bureau est la nouvelle copie que vous venez de créer. Pour travailler avec la version d’origine, choisissez Fichier > Ouvrir récent, puis sélectionnez la version précédente dans le sous-menu. Vous pouvez également automatiser la création d’une sauvegarde de la présentation chaque fois que vous enregistrer, en conservant le nom et l’emplacement de l’original, avec les mots Sauvegarde de en préfixe du nom de fichier. Consultez la section « Enregistrement automatique d’une version de sauvegarde d’une présentation » à la page 35. Enregistrement automatique d’une version de sauvegarde d’une présentation Chaque fois que vous enregistrez une présentation, vous pouvez conserver automatiquement une copie de la dernière version enregistrée. De cette façon, si vous changez d’avis quant aux modifications effectuées, vous pouvez revenir à la version de sauvegarde de la présentation. La meilleure manière de créer des versions de sauvegarde dépend de la version de Mac OS X que vous utilisez. Mac OS X v10.7 (Lion) et ultérieur enregistre automatiquement un cliché de votre présentation chaque fois que vous enregistrez. Vous pouvez accéder à tout moment à une archive de toutes les versions enregistrées auparavant. Pour en savoir plus sur l’accès aux versions précédentes de documents et leur utilisation dans Lion, consultez la section « Retrouver une version archivée d’une présentation » à la page 36. Si vous utilisez Mac OS X v10.6.x (Snow Leopard) ou antérieur, vous pouvez configurer Keynote de manière à créer automatiquement une copie de la dernière version enregistrée de votre présentation. Cela peut également être utile si vous utilisez Lion et que vous souhaitez enregistrer une copie de sauvegarde de votre présentation sur un autre disque dur de votre réseau. Pour créer une archive des versions précédemment enregistrées de votre présentation sur Lion ou ultérieur : m Choisissez Fichier > Enregistrer une version, ou appuyez sur Commande + S. Pour créer une copie de la dernière version enregistrée de votre présentation : m Choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Général, puis sélectionnez « Créer une copie de sauvegarde de la version précédente ».Lors de l’enregistrement suivant de votre présentation, une version de sauvegarde est alors créée au même emplacement, portant le préfixe de « copie de sauvegarde de » ajouté au nom du fichier d’origine. Une seule version (la dernière version enregistrée) est sauvegardée. Chaque fois que vous enregistrez la présentation, le fichier de sauvegarde est remplacé par un nouveau. Retrouver une version archivée d’une présentation Si vous avez enregistré des versions archivées de votre présentation sur Mac OS X v10.7 (Lion) ou ultérieur, vous pouvez parcourir l’archive pour identifier n’importe quelle version antérieure que vous souhaitez restaurer à titre de référence. Une fois que vous avez identifié la version archivée souhaitée, vous pouvez la restaurer sous forme de copie entièrement modifiable ou seulement en extraire le texte, les images ou les réglages de document que vous souhaitez réutiliser. Pour parcourir les versions archivées de votre présentation : 1 Ouvrez la présentation dont vous souhaitez accéder à des versions antérieures, et maintenez votre pointeur sur le nom de la présentation en haut de la fenêtre de l’application Keynote. Un triangle apparaît. 2 Cliquez sur le triangle et choisissez Parcourir toutes les versions. 36 Chapitre 2 Création, ouverture et enregistrement d’une présentation KeynoteChapitre 2 Création, ouverture et enregistrement d’une présentation Keynote 37 L’affichage change pour afficher les clichés de toutes les versions enregistrées de la présentation, mis en retrait contre un champ d’étoiles. Une chronologie située sur le côté droit de l’écran indique quand a été enregistrée la version située au premier plan sur la droite. Version actuelle de la présentation Versions précédentes de la présentation Cliquer pour restaurer la version actuellement visible à droite de l’écran. Cliquer pour quitter cette présentation sans restaurer la version précédente. Faire glisser le long de la chronologie pour afficher les différentes versions enregistrées précédemment. 3 Faites glisser la poignée située le long de la chronologie pour reculer dans le temps et consulter des versions antérieures de la présentation. 4 Lorsque vous trouvez une version que vous souhaitez inspecter plus en détail, cliquez sur son image. La version passe au premier plan et vous pouvez cliquer sur différentes diapositives pour les afficher, sélectionner des éléments d’une diapositive, ouvrir les inspecteurs et copier des objets ou des réglages d’inspecteur. 5 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour restaurer complètement la version antérieure cliquez sur Restaurer lorsque la version souhaitée est au premier plan. Le document restauré apparaît sur votre bureau normal et remplace la dernière version sur laquelle vous travailliez avant d’afficher les versions antérieures. (Cette version est alors enregistrée dans la chronologie si vous souhaitez la récupérer.) Pour ne restaurer qu’un objet, réglage d’inspecteur ou texte à partir de la version précédente, copier l’élément en le sélectionnant avant d’appuyer sur Contrôle + C puis cliquez sur Document actuel pour afficher la version actuelle de la présentation. Retrouvez la diapositive sur laquelle vous souhaitez coller l’élément que vous venez de copier et cliquez pour insérer le curseur à l’endroit où vous souhaitz que l’élément apparaisse sur la diapositive. Coller l’élément en appuyant sur Commande + V.  Pour comparer la version antérieure côte à côte avec la version actuelle, cliquez sur Document actuel. 6 Pour revenir à votre bureau normal, cliquez sur Terminé. Enregistrement d’un document en tant que thème Vous pouvez modifier un thème puis l’enregistrer afin qu’il apparaisse dans le Sélecteur de thèmes et que vous puissiez le réutiliser. Pour enregistrer un document en tant que thème : m Choisissez Fichier > Enregistrer le thème. Voir « Conception de modèles de diapositive et de thèmes » à la page 262 pour plus de détails sur la conception de vos propres thèmes et modèles. Enregistrement des termes de recherche d’un document Vous pouvez marquer votre document Keynote avec le nom de l’auteur, des mots-clés ou tout autre commentaire pour qu’il soit plus facile à trouver sur votre ordinateur. Par exemple, sur des ordinateurs exécutant Mac OS X, vous pouvez utiliser Spotlight pour rechercher des documents contenant ce type d’informations. Pour stocker des informations relatives à un document : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des documents. 2 Cliquez sur Spotlight. 3 Saisissez les informations dans les champs. Pour rechercher des présentations contenant des informations stockées à l’aide de Spotlight, cliquez sur l’icône de recherche (la loupe) qui se trouve dans le coin supérieur droit de l’écran, puis tapez votre recherche. 38 Chapitre 2 Création, ouverture et enregistrement d’une présentation KeynoteChapitre 2 Création, ouverture et enregistrement d’une présentation Keynote 39 Verrouillage d’une présentation pour en empêcher la modification Si vous utilisez Mac OS X v!0.7 (Lion) ou ultérieur, vous pouvez verrouiller une présentation de manière à ne pas la modifier par accident lorsque vous souhaitez seulement l’ouvrir et l’afficher. Vous pouvez facilement déverrouiller une présentation à tout moment pour continuer à la modifier. Pour verrouiller une présentation : 1 Ouvrez la présentation que vous souhaitez verrouiller, et maintenez votre pointeur sur le nom de la présentation en haut de la fenêtre de l’application Keynote. Un triangle apparaît. 2 Cliquez sur le triangle et sélectionnez Verrouiller. Pour déverrouiller une présentation pour la modifier : m Maintenez votre pointeur sur le nom de la présentation en haut de la fenêtre de l’application jusqu’à l’apparition du triangle, cliquez sur ce dernier puis choisissez Déverrouiller. Annulation de modifications Si vous ne désirez pas enregistrer les modifications que vous avez effectuées dans le document depuis son ouverture ou depuis le dernier enregistrement, vous pouvez les annuler. Méthodes d’annulation des modifications : m Pour annuler la modification la plus récente, choisissez Édition > Annuler ou appuyez sur Commande + Z. m Pour annuler plusieurs modifications, choisissez plusieurs fois Édition > Annuler (ou appuyez plusieurs fois sur Commande + Z). Vous pouvez annuler toutes les modifications effectuées depuis l’ouverture du document ou revenir à la dernière version enregistrée. m Pour annuler une ou plusieurs opérations Édition > Annuler, choisissez Édition > Rétablir (ou appuyez sur Maj + Commande + Z) une ou plusieurs fois. m Pour annuler toutes les modifications effectuées depuis le dernier enregistrement de votre document, choisissez Fichier > « Revenir à la version enregistrée » et cliquez ensuite sur Revenir. Pour revenir à la dernière version enregistrée après avoir effectué des modifications que vous n’avez pas enregistrées : m Choisissez Fichier > « Revenir à la version enregistrée ». Les modifications du document ouvert sont annulées.Protection par mot de passe de votre document Si vous souhaitez limiter le nombre de personnes pouvant ouvrir et visualiser votre document Keynote, vous pouvez le protéger avec un mot de passe. Toute personne qui reçoit le document de votre part devra connaître le mot de passe pour pouvoir l’ouvrir, le modifier ou le visualiser, ou pour pouvoir supprimer ou modifier son mot de passe. Une autre manière de protéger un document par mot de passe consiste à demander un mot de passe pour arrêter la présentation lorsque celle-ci est en cours de lecture. Si un diaporama est protégé par mot de passe de cette manière, vous devez spécifier le nom et le mot de passe de l’administrateur de l’ordinateur sur lequel le diaporama est exécuté. Pour ajouter ou modifier un mot de passe sur un document Keynote : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des documents. 2 Dans Inspecteur des documents, cliquez sur Document. 3 Cochez la case « Exiger un mot de passe pour l’ouverture ». Si vous modifiez un mot de passe existant, cliquez sur « Modifier le mot de passe », puis tapez le mot de passe actuel du document. 4 Tapez le mot de passe que vous souhaitez utiliser dans le champ Mot de passe. Les mots de passe peuvent être composés d’une combinaison quelconque de chiffres et de lettres majuscules ou minuscules et de plusieurs caractères spéciaux du clavier. Les mots de passe composés d’une combinaison de lettres, de chiffres et d’autres caractères sont généralement considérés comme plus sûrs. Si vous avez besoin d’aide pour créer un mot de passe original ou sans faille, cliquez sur le bouton représentant une clé situé à côté du champ Mot de passe pour ouvrir l’Assistant mot de passe et utilisez celui-ci pour créer un mot de passe. Vous pouvez sélectionner un type de mot de passe dans le menu local, en fonction des caractéristiques de mot de passe qui sont importantes à vos yeux. Un mot de passe apparaît dans le champ Suggestion ; sa force (les mots de passe les plus fiables sont plus difficiles à trouver) est indiquée par la longueur et la couleur verte de la barre Qualité. Si le mot de passe suggéré vous convient, copiez-le puis collez-le dans le champ Mot de passe. Si le mot de passe suggéré ne vous convient pas, vous pouvez en choisir un autre dans le menu local du champ Suggestion, augmenter la longueur du mot de passe en faisant glisser le curseur ou saisir votre propre mot de passe. 5 Tapez à nouveau le mot de passe dans le champ Vérifier. 6 Tapez un pense-bête pour vous dans le champ « Indice du mot de passe ». 40 Chapitre 2 Création, ouverture et enregistrement d’une présentation KeynoteChapitre 2 Création, ouverture et enregistrement d’une présentation Keynote 41 L’indice du mot de passe apparaît si vous essayez d’ouvrir un document trois fois avec un mot de passe incorrect. 7 Cliquez sur « Définir le mot de passe ». 8 Appuyez sur Commande + S pour enregistrer la présentation. Pour exiger un mot de passe pour arrêter la présentation : m Dans la sous-fenêtre Document de l’inspecteur des documents, cochez la case « Demander un mot de passe pour sortir du diaporama », puis appuyez sur Commande + S pour enregistrer la présentation. Lorsque vous arrêtez un diaporama qui demande un mot de passe, tapez simplement le nom et le mot de passe de l’administrateur de l’ordinateur dans le champ qui apparaît après que vous avez essayé d’arrêter la présentation. Pour plus de détails sur l’arrêt d’une présentation, voir « Arrêt d’une présentation » à la page 240. Si la présentation est déplacée vers un autre ordinateur, vous devez taper le nom et le mot de passe de l’administrateur de cet ordinateur pour arrêter la présentation. Fermeture d’un document sans quitter Keynote Lorsque vous avez fini de travailler sur un document, vous pouvez le fermer sans quitter Keynote. Voici différentes manières de fermer des documents tout en maintenant l’application ouverte : m Pour fermer le document actif, choisissez Fichier > Fermer ou cliquez sur le bouton de fermeture dans l’angle supérieur gauche de la fenêtre du document. m Pour fermer tous les documents Keynote ouverts, choisissez Fichier > Tout fermer ou appuyez sur la touche Option et cliquez sur le bouton de fermeture du document actif. Si vous avez effectué des modifications depuis le dernier enregistrement du document, Keynote vous invite à les enregistrer.42 Voici plusieurs façons de travailler efficacement dans Keynote lors de la création de nouvelles diapositives, de l’organisation de présentations plus longues et de la collaboration. À propos de l’ajout, la suppression et l’organisation des diapositives Chaque nouvelle diapositive que vous créez utilise l’un des modèles de diapositives de Keynote. Chaque modèle de diapositives comporte certains éléments, notamment un titre, du texte à puces et des paramètres fictifs multimédias (contenant des photos). Lorsque vous créez un nouveau document Keynote, la première diapositive utilise automatiquement le modèle de diapositive Titre & sous-titre. Vous pouvez modifier le modèle de diapositive à tout moment (consultez la section « À propos de la modification du thème, du modèle ou de la disposition d’une diapositive » à la page 46). Une fois que vous avez créé une nouvelle diapositive, vous pouvez la personnaliser en lui ajoutant du texte, des images, des formes, des tableaux, des graphiques et bien plus encore. Ajout de diapositives Il existe plusieurs manières d’ajouter des diapositives à votre présentation pendant que vous travaillez. En règle générale, lorsque vous ajoutez une nouvelle diapositive, elle repose sur le thème et le modèle de la diapositive sélectionnée, et la nouvelle diapositive est placée après la diapositive sélectionnée. Cependant, si vous travaillez dans un nouveau document, la première diapositive est toujours la diapositive de titre et la diapositive suivante que vous ajoutez repose sur le deuxième modèle du jeu de modèles de ce thème. Que vous soyez en mode navigateur, plan ou table lumineuse, vous pouvez toujours réorganiser les diapositives en les faisant glisser. En outre, vous pouvez toujours changer le thème ou le modèle d’une diapositive après l’avoir ajoutée. 3 Création et gestion de diapositivesChapitre 3 Création et gestion de diapositives 43 Il existe plusieurs manières d’ajouter une diapositive : m Sélectionnez une diapositive dans le Navigateur de diapositives, puis appuyez sur Retour. m Sélectionnez une diapositive, puis cliquez sur le bouton Nouvelle (+) dans la barre d’outils. m Sélectionnez une diapositive, puis choisissez Diapositive > Nouvelle diapositive. m Appuyez sur Option et faites glisser la diapositive jusqu’à ce qu’un cercle vert contenant un signe plus (+) s’affiche. Cette action duplique la diapositive ainsi glissée. m Sélectionnez une diapositive et choisissez Édition > Dupliquer (ou appuyez sur Commande + D). Pour créer rapidement plusieurs diapositives à partir de plusieurs fichiers multimédia : m Faites glisser une ou plusieurs images du Finder ou du navigateur multimédia vers le navigateur de diapositives ou le mode table lumineuse. Copie, coupe et collage d’objets et de diapositives Vous pouvez copier ou supprimer du texte ou un objet d’une diapositive et le placer dans une autre diapositive. Pour copier un objet ou une diapositive : m Sélectionnez l’objet ou la diapositive, puis choisissez Édition > Copier ou appuyez sur Commande + C. La copie d’un objet entraîne son stockage temporaire dans une zone de stockage nommée Presse-papiers qui vous permet de le coller à un nouvel emplacement. Pour coller un objet ou une diapositive : 1 Copiez ou coupez l’objet ou la diapositive, puis effectuez l’une des opérations suivantes : Pour coller un objet, cliquez sur la diapositive dans laquelle vous souhaitez coller l’objet. L’objet est collé au même endroit que celui où il se trouvait dans la diapositive d’origine dans la nouvelle diapositive. Pour coller une diapositive complète, sélectionnez la diapositive (dans le navigateur de diapositives) après laquelle vous souhaitez coller la nouvelle diapositive. 2 Choisissez Édition > Coller ou appuyez sur Commande + V. Si vous collez du texte, sa mise en forme est conservée lorsque vous le collez. Si vous souhaitez que le texte prenne la mise en forme du texte présent à l’endroit où vous le collez, choisissez Édition > « Coller et appliquer le style actuel ». Voici quelques manières de couper (ou supprimer) un objet : m Sélectionnez l’objet et choisissez Édition > Couper, ou appuyez sur Commande + X.La coupe d’un objet entraîne son stockage dans le Presse-papiers qui vous permet de le coller à un nouvel emplacement. m Sélectionnez l’objet et choisissez Édition > Supprimer, ou appuyez sur la touche Suppr. Lorsque vous supprimez un objet d’une diapositive de cette manière, il n’est pas conservé dans le Presse-papiers. Pour coller une diapositive complète à un nouvel emplacement : m Choisissez Édition > Copier ou Édition > Couper, sélectionnez la diapositive après laquelle vous souhaitez que la nouvelle diapositive apparaisse, puis choisissez Édition > Coller. Les objets qui ont été copiés ou coupés restent dans le Presse-papiers jusqu’à ce que vous choisissiez à nouveau Copier ou Couper ou que vous éteigniez votre ordinateur. Le Presse-papiers ne conserve le contenu que d’une opération Copier ou Couper à la fois. Regroupement des diapositives En mode Navigateur, vous pouvez créer des groupes de diapositives en les mettant en retrait autant de fois que nécessaire. Les diapositives mises en retrait (subordonnées) sont appelées enfants. La mise en retrait des diapositives n’affecte pas la lecture du diaporama. Pour afficher le mode Navigateur, cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Navigateur. Voici différentes manières de travailler avec des groupes de diapositives en mode Navigateur : m Pour mettre des diapositives en retrait, sélectionnez-les et appuyez sur Tab ou faites-les glisser vers la droite jusqu’à ce qu’un triangle bleu apparaisse. Vous pouvez créer plusieurs niveaux de mise en retrait en appuyant à nouveau sur la touche Tab ou en faisant glisser les diapositives un peu plus loin vers la droite. Cependant, vous ne pouvez décaler une diapositive que d’un seul niveau par rapport à la diapositive du dessus. m Pour supprimer une mise en retrait, sélectionnez les diapositives et faites-les glisser vers la gauche ou appuyez sur les touches Maj + Tab. m Pour afficher ou réduire (masquer) un groupe de diapositives, cliquez sur le triangle d’affichage à gauche de la première diapositive au dessus du groupe. Si un groupe de diapositives est réduit afin d’afficher uniquement la diapositive de niveau supérieur en mode navigateur, la suppression de cette diapositive entraîne également celle de toutes ses diapositives enfant. Si le groupe n’est pas réduit, la suppression de la diapositive supérieure fait remonter tous ses enfants d’un niveau. 44 Chapitre 3 Création et gestion de diapositivesChapitre 3 Création et gestion de diapositives 45 m Pour déplacer un groupe de diapositives, sélectionnez la première diapositive du groupe et faites glisser celui-ci vers un nouvel emplacement dans le navigateur de diapositives. Suppression de diapositives Vous pouvez supprimer une seule diapositive ou un groupe de diapositives. Il existe plusieurs manières de supprimer des diapositives : m Pour supprimer une diapositive, sélectionnez-la dans le Navigateur de diapositives et appuyez sur la touche Supprimer. Vous pouvez maintenir la touche Maj enfoncée lorsque vous cliquez pour sélectionner plusieurs diapositives à supprimer. Si vous supprimez la première diapositive d’un groupe (voir « Regroupement des diapositives » à la page 44) alors que ses diapositives enfants sont visibles dans le navigateur de diapositives, celles-ci remontent d’un niveau dans la structure. m Pour supprimer une diapositive et tous ses enfants, masquez ces derniers (cliquez sur la flèche à gauche du haut de la diapositive) et appuyez sur la touche Supprimer. Si vous effacez involontairement des diapositives, vous pouvez les récupérer immédiatement en choisissant Édition > Annuler Supprimer. Ignorer des diapositives Vous pouvez ignorer une diapositive de votre diaporama sans la supprimer du document. Pour ignorer une ou plusieurs diapositives, effectuez l’une des opérations suivantes : m Sélectionnez la ou les diapositives dans le navigateur de diapositives, le mode plan ou le mode table lumineuse, puis choisissez Diapositive > Ignorer la diapositive. m Maintenez la touche Contrôle enfoncée lorsque vous cliquez sur la diapositive et choisissez Ignorer la diapositive. Pour rendre une diapositive ignorée visible dans un diaporama, effectuez l’une des opérations suivantes : m Sélectionnez la diapositive et choisissez Diapositive > Ne pas ignorer la diapositive. m Maintenez la touche Contrôle enfoncée lorsque vous cliquez sur la diapositive et choisissez « Ne pas ignorer la diapositive ». Si vous ignorez souvent des diapositives, vous pouvez ajouter un bouton Ignorer la diapositive dans la barre d’outils. Pour savoir comment, consultez la section « La barre d’outils » à la page 21. Réorganisation des diapositives Que vous utilisiez le mode navigateur, plan ou table lumineuse, vous pouvez réorganiser les diapositives en les faisant tout simplement glisser. Pour réorganiser les diapositives : m Sélectionnez une ou plusieurs diapositives et faites-les glisser vers un nouvel emplacement. Ajout de numéros de diapositives Vous pouvez ajouter des numéros de diapositive (similaires à des numéros de page) aux différentes diapositives ou activer la numérotation pour un modèle de diapositive afin que chaque nouvelle diapositive reposant sur ce modèle reçoive un numéro de diapositive croissant. Vous pouvez également afficher ou masquer simultanément les numéros de toutes les diapositives. Il existe différentes manières d’ajouter des numéros de diapositives : m Sélectionnez une diapositive dans le navigateur de diapositives, ouvrez l’Inspecteur des diapositives, cliquez sur Apparence, puis sélectionnez Numéro de diapositive. Le numéro affecté indique l’emplacement de la diapositive dans le navigateur de diapositives (les diapositives ignorées ne sont pas numérotées). m Pour ajouter des numéros de diapositive à un modèle de diapositive, cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Afficher les modèles de diapositive. Dans le navigateur de modèles de diapositives, sélectionnez le modèle que vous souhaitez modifier. Ouvrez l’Inspecteur des diapositives, cliquez sur Apparence, puis sélectionnez Numéro de diapositive. Pour afficher ou masquer les numéros sur toutes les diapositives : m Choisissez Diapositive > « Afficher les numéros de diapositive sur toutes les diapositives » pour afficher les numéros de diapositive sur toutes les diapositives ou « Masquer les numéros de diapositive sur toutes les diapositives » pour masquer les numéros de diapositive. Une fois que vous avez ajouté les numéros de diapositive, vous pouvez faire glisser le numéro à n’importe quel endroit de la diapositive et utiliser le panneau Police pour mettre en forme le numéro. Pour en savoir plus, consultez la section « Fenêtre Polices » à la page 27. À propos de la modification du thème, du modèle ou de la disposition d’une diapositive Vous pouvez modifier le thème, le modèle ou la disposition d’une diapositive à tout moment.  Thème : choisissez un autre thème lorsque vous désirez changer l’aspect global d’une diapositive, par exemple, la couleur d’arrière-plan, les polices et le « ton » (professionnel ou amical). 46 Chapitre 3 Création et gestion de diapositivesChapitre 3 Création et gestion de diapositives 47  Modèle : choisissez un autre modèle de diapositive si vous souhaitez utiliser une disposition prédéfinie différente. Par exemple, vous pouvez modifier facilement une diapositive pour passer d’une disposition de photo verticale à une disposition de photo horizontale en sélectionnant un nouveau modèle possédant la disposition voulue. Vous pouvez également modifier la disposition du modèle d’une diapositive, ou ajouter des éléments tels qu’un logo à un modèle, lorsque vous voulez que cette modification apparaisse sur toutes les diapositives qui utilisent ce modèle.  Disposition : personnalisez la disposition d’une diapositive lorsque vous souhaitez ajouter, supprimer ou modifier des éléments tels que des zones de texte et des paramètres fictifs sans modifier son modèle ni en sélectionner un autre. Pour plus de détails sur les thèmes et les modèles de diapositives, voir « À propos des thèmes et des modèles de diapositives » à la page 13. Modification du thème d’une diapositive Si vous créez des diaporamas comportant de nombreux « chapitres » ou sous-entêtes, vous pouvez utiliser plusieurs thèmes pour séparer visuellement les diapositives en chapitres ou rubriques. Vous pouvez également changer le thème de l’ensemble de votre diaporama ou de certaines diapositives seulement. Il est facile de changer le thème d’une ou de plusieurs diapositives en même temps, et la diapositive héritera de tous les attributs de son nouveau thème. Cependant, si vous avez modifié la mise en forme d’une diapositive et que vous souhaitez conserver les modifications, ou si vous souhaitez changer le thème de toutes vos diapositives, vous pouvez choisir de conserver la mise en forme personnalisée. Mais si vous avez modifié la mise en forme d’une diapositive et que vous souhaitez supprimer les modifications, vous pouvez réappliquer les réglages par défaut du thème. Pour changer le thème d’une diapositive : m Sélectionnez la diapositive et cliquez sur Thèmes dans la barre d’outils, puis choisissez un nouveau thème. Pour restaurer les réglages par défaut du thème d’une diapositive : m Sélectionnez la diapositive et choisissez Format > « Revenir au format du modèle pour la diapositive ». Pour changer le thème de plusieurs diapositives : 1 Dans le Navigateur de diapositives, sélectionnez la ou les diapositive(s) dont vous souhaitez modifier le thème. Si vous souhaitez changer le thème de toutes les diapositives, il est inutile de toutes les sélectionner ; vous pouvez ignorer cette étape.2 Cliquez sur Thèmes dans la barre d’outils, puis choisissez Sélecteur de thèmes. 3 Sélectionnez un nouveau thème. 4 Choisissez une option dans le menu local Appliquer sur. Toutes les diapos : change le thème de toutes les diapositives de votre présentation. Diapos sélectionnées : ne change le thème que des diapositives sélectionnées. 5 Selon que vous souhaitez ou non conserver les modifications de mise en forme, effectuez l’une des opérations suivantes : Si vous ne souhaitez pas conserver les modifications de mise en forme, désélectionnez « Appliquer les modifications aux thèmes par défaut ». Si vous souhaitez conserver les modifications de mise en forme, assurez-vous que la case est cochée. 6 Cliquez sur Choisir pour appliquer le nouveau thème. Application d’un nouveau modèle à une diapositive Vous pouvez modifier le modèle d’une diapositive à tout moment. Par exemple, vous pouvez modifier une diapositive contenant une photo pour passer d’un modèle de photo horizontal à un modèle vertical. Toutes les modifications de style apportées à la diapositive (changement de police, par exemple) sont conservées lorsque vous changez de modèle, mais vous pouvez supprimer les modifications de style en appliquant à nouveau le modèle de diapositive. Pour sélectionner rapidement un autre modèle de diapositive : m Sélectionnez la diapositive dont vous souhaitez changer le modèle, cliquez sur Modèles dans la barre d’outils, puis choisissez-en un autre. Pour restaurer les réglages par défaut du thème d’une diapositive : m Sélectionnez la diapositive et choisissez Format > « Revenir au format du modèle pour la diapositive ». Pour modifier le modèle d’une diapositive à l’aide de l’Inspecteur des diapositives : 1 Sélectionnez le modèle de diapositive à modifier. 2 Choisissez Présentation > Afficher l’inspecteur et cliquez sur le bouton Inspecteur des diapositives. 3 Cliquez sur Apparence. 4 Pour appliquer un modèle de diapositive différent, cliquez sur la vignette de la diapositive et choisissez un modèle dans la liste déroulante. 48 Chapitre 3 Création et gestion de diapositivesChapitre 3 Création et gestion de diapositives 49 Personnalisation de la disposition d’une diapositive individuelle Vous pouvez facilement ajouter une zone de titre, une zone de corps de texte, un paramètre fictif d’objet ou un numéro de diapositive préformaté à des diapositives individuelles sans changer le modèle de la diapositive. Pour modifier la disposition d’une diapositive : 1 Sélectionnez le modèle de diapositive à modifier. 2 Choisissez Présentation > Afficher l’inspecteur et cliquez sur le bouton Inspecteur des diapositives. 3 Cliquez sur Apparence. Choisissez une couleur ou une image d’arrière-plan. Choisissez un modèle de diapositive. Faites glisser une image à cet endroit depuis le Navigateur de média ou le Finder. 4 Pour ajouter une zone de titre ou d’autres éléments à la diapositive, utilisez les cases à cocher situées sous la vignette du modèle de diapositive. 5 Pour appliquer une image d’arrière-plan, choisissez un type d’arrière-plan dans le menu local Arrière-plan. Remplissage couleur : transforme l’arrière-plan en une couleur unique et unie. Cliquez sur le cadre de couleur et choisissez une couleur dans la fenêtre Couleurs. Remplissage dégradé : applique un dégradé de couleur au fond. Cliquez sur chaque cadre de couleur et choisissez des couleurs dans la fenêtre Couleurs. Remplissage image : utilise votre propre image comme fond. Cliquez sur Choisir et sélectionnez une image. Remplissage image teintée : Utilise votre propre image avec une teinte de couleur semi-opaque par-dessus. Cliquez sur Choisir et sélectionnez une image. Si vous choisissez l’option Remplissage image ou Remplissage image teintée, choisissez une option de mise à l’échelle dans le menu local. Consultez « Image de remplissage d’un objet » à la page 113 pour en savoir plus.Vous pouvez également modifier le modèle de diapositives d’une diapositive, ou même en créer un nouveau. Consultez « Conception de modèles de diapositive et de thèmes » à la page 262 pour en savoir plus. Modification identique sur plusieurs diapositives Le moyen le plus facile d’appliquer les mêmes modifications (par exemple, redimensionner le texte, repositionner une image ou utiliser une autre couleur d’arrière-plan) à plusieurs diapositives est de modifier le modèle sur lequel elles reposent. Pour personnaliser un modèle de diapositive : 1 Sélectionnez la diapositive que vous désirez modifier. 2 Cliquez sur Affichage dans la barre d’outils et choisissez Afficher les modèles de diapositive. 3 Dans le Navigateur de diapositives, cliquez sur le modèle utilisé pour la diapositive sélectionnée (ce modèle porte une coche en regard). 4 Effectuez vos modifications sur le modèle de diapositive. Les modifications que vous apportez au modèle de diapositives s’appliquent à toutes les diapositives basées sur celui-ci. Pour obtenir des informations plus détaillées sur la modification des modèles de diapositives et la création de vos propres thèmes, voir « Conception de modèles de diapositive et de thèmes » à la page 262. Commentaires sur les diapositives Pendant que vous travaillez sur votre diaporama, vous pouvez ajouter des commentaires sur les diapositives. Par exemple, vous pouvez utiliser les commentaires pour vous rappeler des modifications que vous souhaitez apporter à la diapositive. Vous pouvez également utiliser les commentaires pour communiquer avec d’autres utilisateurs collaborant au développement d’une présentation. (Les commentaires sont différents des notes de l’intervenant ; pour en savoir plus sur la rédaction des notes que vous pouvez utiliser comme rappels lors de votre présentation, consultez la section « Ajout des notes de l’intervenant » à la page 227.) 50 Chapitre 3 Création et gestion de diapositivesChapitre 3 Création et gestion de diapositives 51 Les commentaires sont toujours placés au dessus du canevas, ils peuvent donc masquer certaines zones de votre diapositive. Faites glisser simplement les commentaires en dehors de la diapositive, masquez-les ou redimensionnez-les. Ajout de commentaires aux diapositives.Vous pouvez facilement afficher et masquer des commentaires. Vous pouvez déplacer les commentaires n’importe où sur le canevas. Si vous disposez de votre propre moniteur lorsque vous effectuez une présentation, vous pouvez afficher vos commentaires sans que l’assistance ne les voie. Cependant, au cours de votre présentation, vous ne pourrez pas masquer, déplacer ou redimensionner les commentaires, qui risquent de masquer des portions de votre diapositive sur l’écran de l’intervenant. Il existe différentes manières de travailler avec les commentaires : m Pour ajouter un commentaire, cliquez sur Commentaire dans la barre d’outils ou choisissez Insertion > Commentaire. Tapez une note, une idée, ou un rappel, puis faites glisser le commentaire à l’endroit souhaité sur le canevas. m Pour masquer ou afficher des commentaires, cliquez sur Présentation dans la barre d’outils, puis choisissez Masquer les commentaires ou Afficher les commentaires. m Pour redimensionner un commentaire, faites glisser le coin inférieur droit. m Pour supprimer un commentaire, cliquez sur X dans le coin supérieur droit. m Pour mettre en forme un commentaire, suivez les instructions des sections « Création de texte encadré » à la page 55 et « Remplir un objet avec une couleur unie » à la page 110. m Pour imprimer les diapositives avec les commentaires affichés, assurez-vous qu’ils sont bien visibles sur le canevas de diapositive avant de lancer l’impression.52 Ajoutez des zones de texte libre pour créer des étiquettes, des légendes et bien d’autres éléments encore. Sélectionnez le texte et modifiiez son apparence et son alignement à l’intérieur des zones de texte, des figures et des cellules de tableau. Modifiez l’apparence des puces ou convertissez des listes à puces en listes à numéros. Keynote vous permet de faire ressortir vos informations à l’aide de texte clair et précis, sur chaque diapositive. Chaque thème présente de manière agréable du texte stylé, mais il est toujours très facile de le personnaliser. À l’aide de l’inspecteur du texte, vous pouvez modifier l’apparence des puces ou convertir des listes à puces en listes numérotées. L’ajout de texte à des zones de texte de remplissage est aussi aisé que la saisie dans celles-ci. De plus, vous pouvez ajouter du texte n’importe où dans une diapositive en insérant une zone de texte libre d’un simple clic sur un bouton. De plus, vous pouvez modifier le style de tout le texte avec vos couleurs, polices, interlignages, ligatures préférés, etc. Sélection de texte Avant de mettre en forme ou d’effectuer toute autre opération sur le texte, vous devez le sélectionner, ou sélectionner la zone de texte contenant le texte, que vous souhaitez utiliser. Lorsque vous sélectionnez le texte directement, comme un seul mot, une seule ligne ou un seul paragraphe, vous pouvez utiliser divers raccourcis clavier pour vous faciliter la tâche. Méthodes de sélection de texte : m Pour sélectionner un ou plusieurs caractères, cliquez devant le premier caractère et faites glisser le curseur sur les caractères que vous souhaitez sélectionner. m Pour sélectionner un mot, double-cliquez dessus. m Pour sélectionner un paragraphe, triple-cliquez dans ce paragraphe. 4 Utilisation du texteChapitre 4 Utilisation du texte 53 m Pour sélectionner tout le texte d’un document, choisissez Édition > Tout sélectionner. m Pour sélectionner des blocs de texte, cliquez au début du bloc de texte, puis cliquez à la fin d’un autre bloc de texte, tout en maintenant la touche Maj enfoncée. m Pour effectuer une sélection depuis le point d’insertion jusqu’au début du paragraphe, appuyez sur la touche Flèche vers le haut tout en maintenant les touches Maj et Option enfoncées. m Pour effectuer une sélection depuis le point d’insertion jusqu’à la fin du paragraphe, appuyez sur la touche Flèche vers le bas tout en maintenant les touches Maj et Option enfoncées. m Pour étendre la sélection d’un caractère à la fois, appuyez sur la touche Flèche gauche ou Flèche droite tout en maintenant la touche Maj enfoncée. m Pour étendre la sélection d’une ligne à la fois, appuyez sur la touche Flèche vers le haut ou Flèche vers le bas tout en maintenant la touche Maj enfoncée. m Pour sélectionner plusieurs mots ou blocs de texte non contigus, sélectionnez le premier bloc de texte souhaité, puis sélectionnez le reste du texte en maintenant la touche Commande enfoncée. Supprimer, copier et coller du texte Le menu Édition contient des commandes de modification de texte. Voici différentes manières de modifier du texte : m Pour copier (ou couper) et coller du texte, sélectionnez le texte et choisissez Édition > Copier ou Édition > Couper. Cliquez à l’endroit où vous souhaitez coller le texte. Pour que le texte copié conserve sa mise en forme, choisissez Édition > Coller. Pour que la mise en forme du texte copié corresponde à la mise en forme situé autour, choisissez Édition > « Coller et appliquer le style ». m Pour supprimer du texte, sélectionnez le texte et choisissez Édition > Supprimer ou appuyez sur la touche Suppr. Si vous supprimez du texte par erreur, choisissez Édition > Annuler. Lorsque vous utilisez la commande Copier ou Couper, le texte sélectionné est placé dans une zone d’attente nommée Presse-papiers, dans laquelle il reste jusqu’à ce que vous sélectionniez à nouveau la commande Copier ou Couper ou que vous éteigniez votre ordinateur. Le Presse-papiers ne conserve le contenu que d’une opération Copier ou Couper à la fois.Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte Modifiez la taille du texte, sa police, sa couleur et d’autres caractéristiques à l’aide de la barre de format, des commandes de menu, de l’inspecteur du texte et de la fenêtre Polices. Mettre du texte en gras ou en italique ou le souligner La barre des formats, le menu Format et la fenêtre Polices permettent de modifier rapidement et aisément l’apparence du texte. Commencez par sélectionner du texte ou une zone de texte contenant le texte que vous souhaitez mettre en gras, en italique ou souligner. Voici différentes façons de mettre du texte sélectionné en gras ou en italique ou de le souligner : m Dans la barre de format, cliquez sur le bouton pour créer l’effet souhaité :  Cliquez sur le bouton B pour mettre le texte en gras.  Cliquez sur le bouton I pour mettre le texte en italiques.  Cliquez sur le bouton U pour souligner le texte. Définissez la couleur du texte. Modifiez la police, le style et la taille. Mettez le texte en gras ou en italique, ou soulignez-le. m Choisissez Format > Police > Gras, Italique ou Souligner. m Cliquez sur Polices dans la barre d’outils, puis sélectionnez un type de caractère dans la fenêtre Polices pour mettre le texte en gras ou en italique ou pour le souligner. Ajout d’ombre au texte Vous pouvez utiliser la barre de format pour ajouter rapidement une ombre aux texte. Pour modifier l’aspect des ombres, utilisez la fenêtre Polices. Commencez par sélectionner du texte ou une zone de texte contenant du texte auquel vous souhaitez ajouter une ombre. Pour ajouter des ombres à du texte sélectionné : m Sélectionnez Ombre dans la barre de format. Pour ajouter des ombres au texte sélectionné et modifier leur apparence : 1 Pour ajouter une ombre au texte sélectionné, cliquez sur Polices dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Ombre de texte. 2 Faites glisser le curseur Opacité de l’ombre (premier curseur à gauche) vers la droite afin de rendre l’ombre plus foncée. 54 Chapitre 4 Utilisation du texteChapitre 4 Utilisation du texte 55 3 Faites glisser le curseur Flou de l’ombre (curseur du milieu) vers la droite afin de rendre l’ombre plus floue. 4 Faites glisser le curseur Décalage de l’ombre (troisième curseur) vers la droite afin de séparer l’ombre du texte. 5 Faites tourner la molette Angle de l’ombre afin de définir la direction de l’ombre. Vous pouvez également utiliser l’inspecteur des graphiques pour ajuster l’apparence des ombres sur le texte ; consultez la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 108 pour plus d’informations. Ajout d’un attribut barré au texte L’utilisation de la commande Barré est la manière la plus simple de créer une ligne barrée à travers le texte sélectionné. Si vous souhaitez modifier davantage l’aspect de la ligne, vous pouvez utiliser les options disponibles dans la fenêtre Polices. Commencez par sélectionner du texte ou une zone de texte contenant du texte auquel vous souhaitez ajouter un attribut barré. Pour ajouter un attribut barré au texte sélectionné : m Choisissez Format > Police > Barré. Le texte sélectionné est barré de lignes de la même couleur que le texte. Pour ajouter un attribut barré au texte sélectionné et le mettre en forme : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Dans la fenêtre Polices, sélectionnez le type d’attribut barré que vous souhaitez dans le menu local Texte barré : Simple : un trait simple barre le texte. Double : un trait double barre le texte. Le texte sélectionné est barré de lignes de la même couleur que le texte. 3 Pour changer la couleur de l’attribut barré, choisissez Couleur dans le menu local Texte barré. 4 Sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. Les lignes qui barrent le texte prennent la couleur que vous avez sélectionnée, mais le texte conserve sa couleur d’origine. Création de texte encadré Vous pouvez modifier du texte pour l’afficher sous la forme d’un cadre polycopié. Pour créer du texte encadré : 1 Sélectionnez le texte à encadrer ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez saisir le nouveau texte. 2 Choisissez Format > Police > Contour.Modification de la taille du texte Il existe plusieurs manières de modifier la taille du point du texte pour que le texte soit plus grand ou plus petit. Si vous redimensionnez fréquemment le texte au cours de votre travail, vous pouvez ajouter des icônes Plus grand ou Plus petit à la barre d’outils pour redimensionner le texte d’un seul clic sur un bouton. Commencez par sélectionner le texte ou la zone de texte contenant le texte que vous souhaitez redimensionner. Pour modifier la taille du texte sélectionné par incréments de 1 point : 1 Sélectionnez le texte à redimensionner. 2 Choisissez Format > Police > Plus grand. Ou choisissez Format > Police > Plus petit. Pour ajouter les icônes Plus grand et Plus petit à la barre d’outils : 1 Choisissez Afficher > « Personnaliser la barre d’outils ». 2 Faites glisser les icônes Plus grand et Plus petit de l’ensemble des icônes vers la barre d’outils. Vous pouvez les placer à l’endroit de votre choix dans la barre d’outil. 3 Cliquez sur Terminé. Le fait de cliquer sur le bouton Plus grand ou Plus petit modifie la taille du texte sélectionné par incréments de 1 point. Pour spécifier une taille précise pour le texte sélectionné : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Sélectionnez un taille de police ou tapez la taille souhaitée dans le champ Taille de la fenêtre Polices. Pour en savoir plus, consultez « Fenêtre Polices » à la page 27. Réduction automatique du texte Si vous avez des problèmes avec du texte qui ne tient pas dans les zones de texte de remplissage du corps ou du titre, vous pouvez faire en sorte que Keynote réduise automatiquement le texte afin que vous n’ayez pas à modifier sa taille pour qu’il tienne. Lorsqu’il y a trop de texte dans une zone pour qu’il soit affiché, un indicateur de découpage apparaît sous la forme d’un petit signe plus (+) dans une boîte en bas de la zone de texte. Commencez par sélectionner la zone de texte contenant le texte que vous souhaitez réduire. Pour réduire automatiquement le texte afin qu’il s’adapte à la zone de texte sélectionnée, effectuez l’une des opérations suivantes : m Double-cliquez sur l’indicateur de découpage en bas de la zone de texte. m Dans la barre de format, sélectionnez la case intitulée « Réduction automatique ». 56 Chapitre 4 Utilisation du texteChapitre 4 Utilisation du texte 57 m Maintenez la touche Contrôle enfoncée tout en cliquant dans la zone de texte, puis choisissez « Réduire automatiquement le texte ». m Dans Inspecteur du texte, sélectionnez la case intitulée Réduire automatiquement le texte. La proportion à laquelle le texte a été réduit pour s’adapter à la zone est affichée en regard de la case, dans l’inspecteur du texte. Lorsque vous réduisez automatiquement du texte, sa police et son interlignage sont ajustés comme vous le souhaitez pour s’adapter à la zone de texte, tous les réglages d’interlignage ou de taille de police que vous avez appliqué au texte est écrasé. Ceci étant, Keynote ne réduit pas le texte de plus de 40 %. Si, après avoir été réduit au maximum, le texte est toujours trop grand pour entrer dans la zone de texte, un découpage se produira à nouveau et vous devrez alors réduire la quantité de texte dans la zone de texte, réduire la taille de la police ou modifier la police pour que le texte entre. Si vous copiez le texte d’une zone de texte de remplissage réglée sur la réduction automatique et que vous le collez dans une zone de texte sans la réduction automatique, le texte retrouvera sa taille d’origine. Si vous collez du texte dans une zone de texte de remplissage à laquelle la réduction a déjà été appliquée, tout le texte de la zone de texte est réajusté pour s’adapter à la zone de texte. Remarque : La taille du texte réduit n’est pas indiquée dans la fenêtre Polices, de même que n’apparaît pas l’espacement reflété par les curseurs de caractère et de ligne dans l’inspecteur du texte. Ces commandes continuent de refléter la taille de la police et l’espacement entre les caractères et les lignes de la taille de texte optimale. Si vous réglez ces paramètres sur le texte auquel a été appliquée la réduction automatique, cela affecte les paramètres du texte d’origine, que vous verrez uniquement si vous copiez et collez le texte vers une nouvelle zone de texte sur laquelle la réduction automatique n’a pas été appliquée. Vous pouvez appliquer la réduction automatique sur les zones de texte de paramètre fictif sur un modèle de diapositive, et cette qualité est héritée par toutes les nouvelles diapositives reposant sur ce modèle. Pour en savoir plus sur la modification des modèles de diapositive, consultez la rubrique « Conception de modèles de diapositive et de thèmes » à la page 262. Mise du texte en indice ou en exposant Vous pouvez élever ou abaisser le texte par rapport à la ligne de base, pour l’afficher comme exposant ou comme indice. Ou, si vous préférez, vous pouvez élever ou abaisser le texte un tout petit peu par rapport à la ligne de base, de manière incrémentielle. Commencez par sélectionner le texte que vous souhaitez modifier.Pour mettre le texte sélectionné en indice ou en exposant : m Choisissez Format > Police > Ligne de base > Indice. m Choisissez Format > Police > Ligne de base > Exposant. Pour élever ou abaisser le texte sélectionné de manière incrémentale : m Choisissez Format > Police > Ligne de base > Élever. m Choisissez Format > Police > Ligne de base > Abaisser. Pour restaurer le texte sélectionné sur la ligne de base : m Choisissez Format > Police > Ligne de base > Réglage par défaut. Si vous utilisez fréquemment des exposants ou des indices lorsque vous saisissez du texte, vous pouvez ajouter des boutons à la barre d’outils pour pouvoir créer des exposants ou des indices d’un seul clic. Pour savoir comment, consultez la section « La barre d’outils » à la page 21. Modification de l’emploi des majuscules dans le texte Vous pouvez rapidement convertir toutes les lettres d’un bloc de texte en majuscules ou en minuscules ou formater du texte pour lui donner l’apparence d’un titre. Commencez par sélectionner le texte ou la zone de texte contenant le texte pour lequel vous souhaitez modifier le style de majuscules. Pour changer les majuscules du texte, effectuez l’une des opérations suivantes : m Choisissez Format > Police > Majuscules puis sélectionnez une option dans le sousmenu. Pour que le texte passe en majuscules, choisissez Tout en majuscules. Pour que le texte passe en petites majuscules avec des lettres plus grandes pour les capitales, choisissez Petites majuscules. Pour transformer un texte en titre, ce qui met la première lettre de chaque mot en majuscules, choisissez Titre. Pour désactiver la capitalisation automatique des caractères, choisissez Aucun. La mise en forme originale des caractères est rétablie : si vous avez tapé une majuscule, celle-ci est conservée ; si vous avez tapé une minuscule, celle-ci est restaurée. Modification des polices Lorsque le texte est sélectionné, modifiez rapidement la famille de polices, le type de caractères, la taille, la couleur et la couleur d’arrière-plan au moyen des commandes de la barre des formats. La fenêtre Polices vous permet de contrôler complètement les polices du texte. Utilisez les contrôles de taille et les réglages typographiques pour personnaliser l’apparence de votre texte. 58 Chapitre 4 Utilisation du texteChapitre 4 Utilisation du texte 59 Pour modifier la police du texte sélectionné : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Dans la fenêtre Polices, sélectionnez un style de police dans la colonne Famille, puis sélectionnez le type de caractères dans la colonne Type de caractères. Si vous ne voyez pas certaines familles de polices alors que vous savez qu’elles sont installées sur votre ordinateur, sélectionnez Toutes les polices dans la colonne Collections ou saisissez le nom de la police que vous recherchez dans le champ de recherche situé au bas de la fenêtre Polices. Un aperçu de la police sélectionnée apparaît dans la sous-fenêtre d’aperçu située en haut de la fenêtre Polices. Si vous ne voyez pas de sous-fenêtre d’aperçu, sélectionnez Afficher l’aperçu dans le menu local Action situé dans l’angle inférieur gauche de la fenêtre Polices. 3 Réglez la taille de la police à l’aide du curseur ou d’autres commandes contrôlant la taille. 4 Ajustez les réglages de typographie de la police sélectionnée en choisissant Typographie dans le menu local Action. Dans la fenêtre Typographie, cliquez sur les triangles d’affichage afin de visualiser et de sélectionner les différents effets typographiques disponibles pour la police sélectionnée. Les effets typographiques disponibles dépendent de la police. Consultez « Utilisation des fonctionnalités typographiques avancées » à la page 60 pour en savoir plus. Modification de la couleur du texte Vous pouvez modifier la couleur du texte au moyen de la barre des formats, de l’inspecteur du texte et de la fenêtre Polices. Les modifications apportées au moyen de ces outils remplaceront les modifications effectuées avec d’autres outils. Commencez par sélectionner du texte ou une zone de texte contenant du texte dont vous souhaitez changer la couleur. Vous pouvez modifier la couleur du texte de deux façons : m Cliquez sur le cadre de couleurs Couleur du texte dans la barre des formats. Dans le tableau des couleurs qui apparaît, sélectionnez une couleur en cliquant dessus ou en cliquant sur Afficher les couleurs pour ouvrir la fenêtre Couleurs et obtenir plus de choix.m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Texte, cliquez sur Texte, puis cliquez sur le cadre de couleurs. Sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. m Cliquez sur Polices dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Couleur du texte dans la fenêtre Polices (le troisième depuis la gauche), puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. Faites glisser une couleur depuis la fenêtre Couleurs vers le texte sélectionner pour changer sa couleur. La rubrique « La fenêtre Couleurs » à la page 25 fournit des instructions plus détaillées sur l’utilisation de la fenêtre Couleurs. Utilisation des fonctionnalités typographiques avancées Certaines polices, telles que Zapfino et Hœfler, présentent des fonctions typographiques avancées qui vous permettent de créer différents effets. Si vous utilisez une telle police dans une zone de texte pour laquelle différents effets typographiques sont disponibles, vous pouvez modifier la plupart de ces effets via le sous-menu Police du menu Format. Par exemple, vous pouvez ajuster les éléments suivants :  Crénage : : ajuste l’espacement entre les caractères.  Ligature : : utilise ou évite les styles élaborés entre les lettres, au début ou à la fin des lignes combinant plusieurs caractères en un seul symbole graphique. Ligature non utilisée Ligature utilisée Dans le sous-menu Ligature, sélectionnez Réglage par défaut afin d’utiliser les réglages de ligature spécifiés dans la fenêtre Typographie pour la police que vous utilisez. Choisissez Aucune afin de désactiver les ligatures pour le texte sélectionné ou choisissez Toutes afin d’activer des ligatures supplémentaires pour le texte sélectionné. Des fonctions typographiques avancées sont disponibles dans la fenêtre Typographie. Pour ouvrir la fenêtre Typographie : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Dans la fenêtre Polices, choisissez Typographie dans le menu local Action (dans l’angle inférieur gauche). Saisie des caractères spéciaux et des symboles La fenêtre Caractères Mac OS X vous permet d’insérer des caractères spéciaux tels que des symboles mathématiques, des lettres accentuées, des flèches et autres « dingbats », etc. Cette palette vous permet également de saisir des caractères japonais, de chinois traditionnel, de chinois simplifié, de coréen ainsi que d’autres langues. 60 Chapitre 4 Utilisation du texteChapitre 4 Utilisation du texte 61 Pour insérer des caractères spéciaux ou des symboles : 1 Placez le point d’insertion à l’endroit où le caractère ou le symbole spécial doit apparaître. 2 Sélectionnez Édition > Caractères spéciaux pour ouvrir la fenêtre Caractères (ou sélectionnez Caractères dans le menu local Action situé dans l’angle inférieur gauche de la fenêtre Polices). 3 Utilisez le menu local Afficher, situé en haut de la fenêtre Caractères, pour choisir le type de caractères à afficher. Si le menu local ne s’affiche pas, cliquez sur le bouton dans le coin supérieur droit de la fenêtre afin d’afficher la partie supérieure de la fenêtre. Cliquez de nouveau sur ce bouton afin de masquer la partie supérieure de la fenêtre. 4 Cliquez sur un élément de la liste de gauche afin de voir les caractères disponibles dans chaque catégorie. 5 Double-cliquez sur le caractère ou le symbole de droite que vous souhaitez insérer dans votre document, ou sélectionnez le caractère et cliquez sur Insérer. Si le caractère ou le symbole présente des variantes, celles-ci s’affichent en bas de la fenêtre lorsque vous cliquez sur le triangle Infos du caractère ou le triangle Variante de police en bas de la palette. Double-cliquez dessus afin de l’insérer dans votre document. Si le caractère ne s’insère pas dans votre document, il se peut alors que Keynote ne le prenne pas en charge.Utilisation de guillemets courbes Les guillemets courbes sont des guillemets ouvrant et fermant qui sont incurvés ; le guillemet ouvrant est donc différent du guillemet fermant. Si vous n’utilisez pas de guillemets courbes, les guillemets sont droits, si bien que les guillemets ouvrants et fermants sont identiques. Guillemets courbes Guillemets droits Pour utiliser des guillemets courbes : m Sélectionnez Keynote > Préférences, cliquez sur Correction automatique, puis sélectionnez « Utiliser les guillemets courbes ». Ajout d’accents Vous pouvez utiliser le Visualiseur de clavier pour ajouter des accents aux caractères. Le Visualiseur de clavier affiche les caractères de la disposition du clavier ou de la méthode de saisie sélectionnée dans le menu Saisie. Par exemple, si vous choisissez Américain dans le menu Saisie, vous voyez dans le Visualiseur de clavier les caractères qui s’affichent sur un clavier américain. Pour ajouter des accents : 1 Choisissez « Afficher le Visualiseur de clavier » dans le menu Saisie situé à droite de la barre des menus. Le menu Saisie est visible à droite de la barre des menus, il est représenté par un drapeau ou un caractère. Si le menu Saisie n’est pas visible, consultez la rubrique « Affichage des dispositions de clavier dans d’autres langues ». 2 Appuyez sur la touche Maj ou Option, ou sur la combinaison de touches Maj + Option, pour surligner les accents disponibles dans le Visualiseur de clavier. Les touches d’accents sont surlignées. Selon votre clavier, il peut s’avérer nécessaire d’appuyer sur l’une des touches de modification pour afficher les touches d’accent. 3 Placez le point d’insertion dans le document à l’endroit où vous souhaitez commencer la saisie. 4 Appuyez sur la même touche de modification qu’à l’étape 2 (Maj, Option, Maj + Option ou aucune), puis appuyez sur la touche correspondant à celle où vous voyez l’accent recherché dans le Visualiseur de clavier. 5 Relâchez la touche de modification, puis appuyez sur celle du caractère que vous souhaitez accentuer. Sur un clavier américain (États-Unis), par exemple, la lettre « é » est obtenue en appuyant sur les touches Option + E (la touche d’accent), puis en appuyant sur E (la lettre à accentuer). 62 Chapitre 4 Utilisation du texteChapitre 4 Utilisation du texte 63 Affichage des dispositions de clavier dans d’autres langues Le Visualiseur de clavier montre les caractères correspondant à la disposition de clavier ou à la méthode de saisie sélectionnée dans le menu Saisie. Par exemple, si vous choisissez Américain dans le menu Saisie, vous voyez dans le Visualiseur de clavier les caractères qui s’affichent sur un clavier américain. Vous pouvez utiliser le Visualiseur de clavier pour apprendre où sont situés les caractères sur des claviers de langues étrangères si vous avez installé les polices correspondantes. Pour accéder au Visualiseur de clavier, le menu Saisie doit être visible dans la barre des menus. Pour afficher le menu Saisie : 1 Sélectionnez Pomme > Préférences Système et procédez de l’une des manières suivantes :  Sous Mac OS X 10.6 ou ultérieur, cliquez sur Langues et Textes, puis sur Méthodes de saisie et cochez la case située à côté de Visualiseur de clavier et de caractères.  Sous Mac OS X 10.5.7 ou antérieur, cliquez sur International, puis sur Menu Saisie et cochez la case située à côté de Visualiseur de clavier. Le menu Saisie apparaît sur le côté droit de votre barre des menus avec une icône de drapeau ou de caractère. 2 Cochez la case située à côté d’une disposition de clavier ou d’une méthode de saisie propre à un pays pour afficher la disposition des caractères sur les claviers utilisés dans ce pays. 3 Cochez la case située à côté de « Afficher le menu Saisie dans la barre des menus ». Pour afficher la disposition du clavier d’une autre langue : 1 Choisissez une langue ou une méthode de saisie dans le menu Saisie qui apparaît sur le côté droit de la barre des menus.. 2 Choisissez Afficher le Visualiseur de clavier dans le menu Saisie. 3 Appuyez sur les touches de votre clavier pour voir où elles se trouvent dans le Visualiseur de clavier. Appuyez sur Option, Maj et Commande + Option pour afficher les accents et les caractères spéciaux. 4 Pour insérer un caractère à l’endroit voulu de votre document, cliquez sur la touche représentant ce caractère dans le Visualiseur de clavier. Insertion d’un espace insécable Vous pouvez insérer un espace insécable entre des mots pour vous assurer qu’ils apparaîtront toujours sur la même ligne de texte. Pour insérer un espace insécable : m Appuyez sur la barre d’espace tout en maintenant la touche Option enfoncée. Réglage du lissage des polices Si les polices affichées sur votre écran paraissent floues ou irrégulières, vous pouvez régler le style de lissage de police ou modifier la taille du texte requise pour que Mac OS X lisse les polices. Il se peut aussi que les polices soient déformées après exportation dans un fichier PDF. Vous pouvez ajuster les réglages du lissage des polices pour lisser les polices exportées dans des fichiers PDF. Pour lisser les polices affichées à l’écran : 1 Ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Apparence. 2 Pour activer le lissage des polices sous Mac OS X 10.6 (Snow Leopard) ou ultérieur, sélectionnez « Utiliser le lissage des polices LCD lorsque l’option est disponible ». Pour spécifier un style de lissage des polices dans Mac OS X 10.5.7 (Leopard) ou antérieur, choisissez un style de lissage des polices dans le menu local « Style de lissage des polices ». En fonction du type de votre écran, les différences entre les styles de lissage peuvent vous paraître très légères. 3 Si vous envisagez d’utiliser des polices de petite taille dans votre document, choisissez une taille de point dans le menu local « Désactiver le lissage du texte pour les polices de taille ». Le lissage du texte (anticrénelage) peut rendre la lecture des petites polices plus difficiles. Il est préférable de désactiver cette option pour les petites polices de caractères. Pour en savoir plus à propos du lissage des polices sous Mac OS X, cliquez sur le bouton Aide dans le coin inférieur droit de la fenêtre des préférences Apparence. Mise en forme des puces de texte et numérotation Dans de nombreuses zones de texte de paramètres fictifs, Keynote fournit des styles de puces préformatées qui correspondent au thème que vous utilisez, mais vous pouvez les modifier. Vous pouvez également modifier les puces et les numéros, et inversement. Ou bien retirez les puces prédéfinies du texte. Par défaut, les zones de texte libre ne contiennent aucune puce ou numérotation, mais vous pouvez ajouter des puces ou des numérotations à n’importe quel texte. L’ajout, la suppression et la modification du type de puces ou de numérotation s’effectuent dans l’inspecteur du texte. 64 Chapitre 4 Utilisation du texteChapitre 4 Utilisation du texte 65 Commencez par sélectionner les paragraphes ou une zone de texte contenant les paragraphes pour lesquels vous souhaitez ajouter ou modifier les puces et la numérotation. Pour ajouter, supprimer ou modifier le style de puce ou de numérotation des paragraphes sélectionnés : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Texte, puis cliquez sur Puces. 2 Choisissez une option de puce ou de numérotation dans le menu local Puces et numérotation, puis effectuez les réglages nécessaires : Pas de puces : Supprime toutes les puces et formate les paragraphes comme texte standard. Puces de texte : Vous permet d’utiliser des caractères tapés comme puces. Sélectionnez un caractère dans la liste du menu local, ou tapez un nouveau caractère dans le champ. Pour modifier la couleur de la puce, cliquez sur le cadre de couleurs et faites glisser le couleur de la fenêtre Couleurs vers le cadre de couleurs. Pour modifier la taille de la puce par rapport au texte, spécifiez un pourcentage de sa taille d’origine dans le champ Taille, ou sélectionnez la case « Adapter au texte » et spécifiez un pourcentage de la taille du texte ; cette option conserve le rapport de taille image/ texte des puces même si vous modifiez ultérieurement la taille de la police du texte. Puces d’image : Utilise une image (une punaise ou une fleur) comme puce. Sélectionnez une image dans la liste. Pour modifier la taille de la puce par rapport au texte, spécifiez un pourcentage de sa taille d’origine dans le champ Taille, ou sélectionnez la case « Adapter au texte » et spécifiez un pourcentage de la taille du texte ; cette option conserve le rapport de taille image/texte des puces même si vous modifiez ultérieurement la taille de la police du texte. Personnaliser l’image : vous permet d’utiliser votre propre image comme puce. Localisez l’image souhaitée dans la fenêtre Ouvrir, puis cliquez sur Ouvrir. Pour modifier la taille de la puce par rapport au texte, spécifiez un pourcentage de sa taille d’origine dans le champ Taille, ou sélectionnez la case « Adapter au texte » et spécifiez un pourcentage de la taille du texte ; cette option conserve le rapport de taille image/ texte des puces même si vous modifiez ultérieurement la taille de la police du texte. Numbers : crée une liste numérotée. Sélectionnez un style de numérotation (par exemple des numéros romains ou arabes) dans le menu local. Pour continuer une liste précédente, sélectionnez « Continuer à partir de la précédente ». Sinon, sélectionnez « Démarrer à » et saisissez un nombre dans le champ. Numérotation progressive : crée une liste numérotée hiérarchique. Sélectionnez un style de numérotation (par exemple des numéros romains ou arabes) dans le menu local. Pour continuer une liste précédente, sélectionnez « Continuer à partir de la précédente ». Sinon, sélectionnez « Démarrer à » et saisissez un nombre dans le champ.3 Si vous souhaitez que les point subordonnés de votre liste présentent un style de numérotation (ou de puce) différent, ce qui est généralement le cas avec les listes numérotation progressive, cliquez sur le bouton Niveau de retrait jusqu’au niveau suivant puis sélectionnez un nouveau style de numérotation (ou style de puce). Répétez cette opération pour chaque niveau de retrait que vous souhaitez définir pour votre liste hiérarchique. 4 Pour régler l’espace entre les puces et les numéros et la marge de gauche, spécifiez une valeur dans le champ Retrait des puces ou Retrait des numéros. 5 Pour régler l’espace entre les puces et les numéros et leur texte, spécifiez une valeur dans le champ Retrait du texte. 6 Pour placer les puces ou les numéros plus haut ou plus bas par rapport à leur texte, utilisez le champ Aligner. À propos de l’ajout de zones de texte libres et de texte dans les figures Si vous souhaitez ajouter du texte en dehors des zones de texte de paramètre fictif sur une diapositive, vous pouvez ajouter une zone de texte à une diapositive. Les zones de texte ne comportent pas de puces (mais vous pouvez en ajouter) et sont parfaites pour ajouter des légendes aux images, des étiquettes aux diagrammes d’organisation ou à toute autre aide visuelle, ou pour ajouter simplement du texte que vous souhaitez séparer des en-têtes ou des points de puce du corps principal sur vos diapositives. Si vous souhaitez placer du texte dans une figure non rectangulaire, ou si vous souhaitez mieux contrôler la couleur, les bordures et le style du conteneur du texte, placez le texte à l’intérieur d’une figure. Ajout d’une zone de texte libre Placez une zone de texte libre sur n’importe quelle diapositive. Le fait de la placer sur un modèle de diapositive constitue une manière rapide de l’ajouter à toutes les diapositives qui reposent sur ce modèle ; par exemple, si vous souhaitez placer des informations relatives au copyright en bas de chaque diapositive. Pour ajouter une zone de texte libre : 1 Cliquez sur Zone de texte dans la barre d’outils puis commencez la saisie. Une zone de texte apparaît sur la diapositive et se développe pour s’adapter à votre texte, en insérant des sauts de ligne à chaque fois qu’elle atteint l’extrémité de la diapositive. Si vous cliquez en dehors de la zone de texte avant de commencer à saisir, doublecliquez à l’intérieur de la zone de texte pou replacer le point d’insertion à l’intérieur, puis commencez la saisie. 66 Chapitre 4 Utilisation du texteChapitre 4 Utilisation du texte 67 2 Une fois la saisie terminée, cliquez en dehors de la zone de texte (ou appuyez sur Commande+Retour pour arrêter de modifier et sélectionner la zone de texte). 3 Faites glisser les poignées de sélection pour redimensionner la zone de texte. Vous pouvez ajuster uniquement la largeur de la zone de texte ; sa longueur s’adapte automatiquement à la longueur du texte qu’elle contient. Une fois que vous avez ajusté la largeur de la zone de texte, celle-ci reste fixe et seule la longueur change lorsque vous ajoutez ou supprimez du texte, sauf si vous réajustez la largeur à l’aide des poignées de sélection. 4 Faites glisser la zone de texte à l’endroit où vous souhaitez la placer sur le canevas. 5 Pour verrouiller la zone de texte sur le canevas afin qu’elle ne soit pas déplacée accidentellement pendant votre travail, sélectionnez-la, puis choisissez Disposition > Verrouiller. Pour en savoir plus sur la modification de l’aspect du texte à l’intérieur de la zone, consultez la rubrique « Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte » à la page 54. Pour en savoir plus sur la modification de l’espace entre le texte et l’intérieur de la zone de texte, consultez la rubrique « Ajustement de l’espace dans les bordures de zone de texte » à la page 70. Pour en savoir plus sur le formatage des bordures et de la couleur d’arrière-plan d’une zone de texte, consultez les rubriques « remplissage d’objets à l’aide de couleurs ou d’images » à la page 110 et « Modification du style des bordures » à la page 106. Si vous souhaitez ajouter un titre ou un paramètre fictif de corps de texte à votre diapositive, consultez la rubrique « Personnalisation de la disposition d’une diapositive individuelle » à la page 49. Ajout de texte dans une figure Toutes les figures, à l’exception des lignes, peuvent contenir du texte. Pour ajouter du texte à une figure : 1 Placez une figure à l’emplacement souhaité sur le canevas. Pour en savoir plus sur l’ajout de figures, consultez la rubrique « À propos de la création de figures » à la page 88. 2 Double-cliquez sur la figure et tapez le texte souhaité. Si le texte s’étend au-delà de la bordure de la figure, un indicateur de découpage apparaît. L’indicateur de découpage indique que le texte s’étend au-delà des bordures d’une forme. 3 Pour redimensionner la figure, sélectionnez-la et faites glisser les poignées de sélection. Si le point d’insertion se trouve à l’intérieur de la figure, appuyez sur Commande + Retour afin de quitter le mode édition de texte et sélectionnez la figure. 4 Pour faire pivoter la figure, maintenez la touche Commande enfoncée tout en maintenant le pointeur sur un coin du cadre de contour de la figure. Lorsque le pointeur se transforme en flèche courbée, faites le glisser pour faire pivoter la figure. Pour faire pivoter une figure en maintenant son texte en position horizontale, une fois la rotation de la figure effectuée, choisissez Format > Figure > « Réinitialiser les poignées de l’objet et du texte ». 5 Pour ajouter du texte à une figure qui fait partie d’un groupe, double-cliquez sur la zone de texte de la figure que vous souhaitez modifier. Si vous redimensionnez le groupe, tout est redimensionné sauf le texte, mais vous pouvez toujours sélectionner le texte et modifier la taille de sa police. Consultez la rubrique « Regroupement et dissociation d’objets » à la page 102pour obtenir des détails sur le regroupement d’objets. Pour obtenir plus d’informations sur la manière de modifier l’apparence du texte à l’intérieur d’une figure, consultez la rubrique « Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte » à la page 54. Pour en savoir plus sur la modification de l’espace entre le texte et l’intérieur de la figure, consultez la rubrique « Ajustement de l’espace dans les bordures de zone de texte » à la page 70. Pour en savoir plus sur le formatage des bordures et de la couleur d’arrière-plan de la figure, consultez les rubriques « Modification du style des bordures » à la page 106 et « remplissage d’objets à l’aide de couleurs ou d’images » à la page 110. Définition de l’alignement et de l’espacement du texte Vous pouvez rapidement aligner horizontalement le texte (le centrer ou l’aligner à gauche, par exemple) grâce au menu Format. Lorsque le texte est sélectionné dans une zone de texte, un commentaire ou une figure, la manière la plus rapide de définir l’alignement horizontal du texte et de définir l’espacement entre les lignes est d’utiliser la barre des formats. 68 Chapitre 4 Utilisation du texteChapitre 4 Utilisation du texte 69 Pour l’alignement vertical et un alignement horizontal plus précis, utilisez l’Inspecteur di texte. Pour définir des taquets de tabulation, utilisez les règles horizontales (choisissez Afficher > Afficher les règles). Alignement horizontal du texte Vous pouvez modifier l’alignement des paragraphes dans une zone de texte, une cellule de tableau ou une colonne afin d’aligner le texte du côté gauche ou droit, de le centrer ou de l’aligner à gauche et à droite (justifié). Commencez par sélectionner le texte ou la zone de texte contenant le texte que vous souhaitez aligner Pour justifier le texte ou l’aligner à gauche, le centrer ou l’aligner à droite, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur les boutons Alignement dans la barre de format. m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Texte, puis cliquez sur Texte. Cliquez sur l’un des cinq boutons d’alignement horizontal situés à droite du cadre de couleurs. m Choisissez Format > Texte > Aligner à gauche, Centrer, Aligner à droite, Justifier, Aligner automatiquement la cellule du tableau De gauche à droite, les boutons dans la barre de format et l’inspecteur du texte ont les effets suivants : Alignement à gauche : Place chaque ligne de texte contre la marge gauche de l’objet. Centrer : Place le centre de chaque ligne de texte au centre de l’objet. Alignement à droite : Place chaque ligne de texte contre la marge droite de l’objet. Justification : Espace les caractères sur chaque ligne afin que les lignes de texte touchent à la fois la marge gauche et la marge droite de l’objet. Alignement automatique d’une cellule de tableau : Aligne le texte à gauche et aligne les nombres à droite dans les cellules de tableau. (Cette option n’est disponible que si vous avez sélectionné un tableau ou une cellule de tableau.) Les quatre premiers boutons d’alignement sont disponibles dans la barre des formats lorsque le texte est sélectionné. Le cinquième bouton d’alignement horizontal est également disponible dans la barre des formats lorsqu’une cellule de tableau est sélectionnée.Pour placer la première ligne d’un paragraphe en retrait ou apprendre à supprimer les retraits de paragraphe, consultez la rubrique « Alignement de texte à l’aide de taquets de tabulation et de retrait de paragraphe » à la page 73. Alignement vertical du texte Vous pouvez modifier l’alignement vertical des paragraphes dans une cellule de tableau, une zone de texte ou une figure, afin que le texte soit aligné sur le bord supérieur, sur le bord inférieur ou au centre. Pour aligner du texte en haut, au centre ou en bas d’une zone de texte, d’une cellule de tableau ou d’une figure : 1 Sélectionnez la zone de texte, la cellule de tableau ou la figure dont vous souhaitez modifier l’alignement. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Texte, puis cliquez sur Texte. 3 Cliquez sur l’un des trois boutons d’alignement vertical afin d’aligner le texte sur le bord supérieur, au centre ou sur le bord inférieur de la cellule de tableau, de la zone de texte ou de la figure. Les boutons d’alignement vertical sont également disponibles dans la barre des formats lorsque vous utilisez une cellule de tableau. Ajustement de l’espace dans les bordures de zone de texte L’espace entre les bordures d’une zone de texte ou d’une figure et le texte qu’elle contient est appelé marge intérieure. Vous pouvez ajuster cet espacement à l’aide d’un curseur dans l’Inspecteur de texte. Pour régler la marge intérieure : 1 Sélectionnez une zone de texte ou une figure contenant du texte. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte. 3 Dans Inspecteur du texte, cliquez sur Texte. 4 Faites glisser le curseur en bas de l’inspecteur du texte pour obtenir l’aspect souhaité, ou spécifiez une valeur dans le champ adjacent. Spécifiez la quantité d’espace souhaitée autour du texte dans une zone de texte, une figure ou une cellule de tableau. 70 Chapitre 4 Utilisation du texteChapitre 4 Utilisation du texte 71 Définition des interlignes d’un texte Vous pouvez augmenter ou diminuer la distance entre les lignes à l’aide de la commande Interligne de la barre de format qui apparaît lorsque du texte ou une zone de texte est sélectionné. Pour un contrôle plus précis de l’interligne, utilisez les commandes disponibles dans l’inspecteur du texte. Pour régler rapidement l’interligne : m Sélectionnez le texte à modifier, puis choisissez une valeur dans le menu local d’interligne. Cliquez pour modifier l’espace entre les lignes du texte. L’option Plus permet d’ouvrir l’inspecteur du texte. Pour effectuer des réglages poussés de l’interligne : 1 Sélectionnez le texte à modifier. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Texte, puis cliquez sur Texte. 3 Déplacez le curseur Ligne vers la gauche pour réduire l’interligne et vers la droite pour l’augmenter. Pour spécifier une valeur d’interligne précise, tapez une valeur (en points) dans le champ Ligne ou cliquez sur les flèches vers le haut ou vers le bas en regard de ce champ. 4 Choisissez une option d’interligne dans le menu local Espacement lignes qui apparaît lorsque vous cliquez sur le texte situé en dessous du champ Ligne. Menu local Interligne : cliquez sur le texte situé en dessous du champ Ligne et choisissez une option d’interligne. Champ Ligne : tapez une valeur (ou cliquez sur les flèches) pour spécifier l’espace entre les lignes de texte dans un paragraphe.Espacement de ligne standard (Simple, Double, Multiple) : l’espacement entre les lignes est proportionnel à la taille de la police. Utilisez cette option lorsque la distance relative entre les hampes montantes (parties des lettres situées au-dessus du haut de la ligne) et les hampes descendantes (parties situées sous le bas de la ligne) doivent rester fixe. L’espacement simple définit un interligne simple et l’espacement double définit un interligne double. L’option Multiple vous permet de définir des valeurs d’interligne : simple, double ou supérieures à double. Au moins : La distance séparant les lignes n’est jamais inférieure à la valeur que vous définissez, mais elle peut être supérieure pour des polices plus grandes afin d’éviter que les lignes de texte ne se chevauchent. Utilisez cette option lorsque la distance entre les lignes doit rester fixe, mais le chevauchement n’est pas souhaitable si le texte s’agrandit. Exactement : la distance entre les lignes de base. Entre : la valeur définie accroît l’espace entre les lignes, et non leur hauteur. À l’inverse, l’interligne double augmente donc la hauteur de chaque ligne de deux fois. Définition de l’espacement avant ou après des paragraphes Vous pouvez augmenter ou diminuer l’espacement avant ou après les paragraphes. Pour ajuster la quantité d’espace avant ou après un paragraphe : 1 Sélectionnez les paragraphes ou la zone de texte à modifier. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Texte, puis cliquez sur Texte. 3 Faites glisser les curseurs Avant le paragraphe ou Après le paragraphe pour obtenir l’aspect souhaité ou spécifiez une valeur précise (5 points, par exemple) dans les champs adjacents. Si vous définissez un espacement Après le paragraphe sur une valeur différente de celle de l’espacement Avant le paragraphe du paragraphe suivant, la valeur la plus élevée sera utilisée. Par exemple, si la valeur Après le paragraphe du premier paragraphe est de 12 points alors que la valeur Avant le paragraphe du paragraphe suivant est de 14 points, l’interligne entre les paragraphes est de 14 points. L’espace avant un paragraphe n’apparaîtra pas si le paragraphe se trouve dans une zone de texte, une figure ou une cellule de tableau. Pour définir l’espacement autour du texte dans des zones de texte, des figures et des cellules de tableau, utilisez la commande Insérer une marge décrite à la rubrique « Ajustement de l’espace dans les bordures de zone de texte » à la page 70. Réglage de l’espace entre les caractères Vous pouvez augmenter ou diminuer l’espace entre les caractères. 72 Chapitre 4 Utilisation du texteChapitre 4 Utilisation du texte 73 Commencez par sélectionner le texte ou la zone de texte contenant le texte que vous souhaitez modifier. Pour ajuster l’espacement entre les caractères sélectionnés, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Texte, puis cliquez sur Texte. Faites glisser le curseur de caractère ou spécifiez un pourcentage dans le champ Caractère pour obtenir l’espacement souhaité. m Choisissez Format > Police > Suivi, puis sélectionnez une option dans le sousmenu pour augmenter ou diminuer l’espacement du texte par incréments. Répétez l’opération jusqu’à ce que vous obteniez l’aspect souhaité. Alignement de texte à l’aide de taquets de tabulation et de retrait de paragraphe Lorsque vous appuyez sur la touche Tab (ou Option + Tab si vous vous trouvez dans une cellule de tableau), le point d’insertion (et tout texte situé à la droite de ce point) est déplacé au prochain taquet de tabulation et le texte que vous tapez commence à ce point. Par défaut, un taquet de tabulation se situe tous les cinq espaces, mais vous pouvez définir vos propres taquets de tabulation à l’aide des symboles de tabulation situés dans la règle horizontale. Utilisez également la règle pour définir les marges, le retrait de première ligne d’un paragraphe ou le retrait des puces. Pour afficher les taquets de tabulation et les symboles de retrait dans la règle horizontale, assurez-vous que celle-ci est affichée, puis sélectionnez du texte sur la diapositive. Vous pouvez configurer une règle pour qu’elle affiche les mesures de votre choix dans les préférences de règle. Des symboles de tabulations bleus apparaissent sur la règle horizontale lorsque vous sélectionnez du texte avec des tabulations. Tabulation décimale Tabulation à droite Tabulation centrale Tabulation à gauche Retrait de première ligne Retrait de gauche Retrait de droite Les symboles sont des petites figures bleues dans la règle horizontale. Ils sont de plusieurs types, chacun indiquant un alignement différent : Triangle orienté vers la droite : aligne le côté gauche du texte avec le taquet de tabulation. Triangle orienté vers la gauche : aligne le côté droit du texte avec le taquet de tabulation.Losange : place le centre du texte au niveau du taquet de tabulation. Cercle : pour les nombres, aligne le caractère décimal (comme un point ou une virgule) avec le taquet de tabulation. Triangle orienté vers le bas : définit le retrait du texte à gauche et à droite pour le paragraphe sélectionné. Rectangle étroit : définit le retrait de première ligne (retrait suspendu) pour le paragraphe sélectionné. Petit carré : définit le retrait de puce (ou de numérotation) du paragraphe sélectionné. Pour configurer la règle horizontale : 1 Choisissez Afficher > Afficher les règles pour faire apparaître la règle horizontale. Placez le point d’insertion dans n’importe quel texte pour afficher les petits symboles bleus de taquet de tabulation pour le paragraphe en cours. 2 Pour changer les unités de mesure des règles, choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Règles et choisissez un élément dans le menu local « Unités de la règle ». Pour afficher les mesures sous forme de pourcentage de la distance par rapport à la page, choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Règles, puis sélectionnez « Afficher en pourcentage les unités de la règle ». Pour placer le point d’origine horizontal de la règle au milieu de la page, choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Règles et sélectionnez « Placer l’origine au centre de la règle ». Lorsque vous modifiez les paramètres de la règle dans les Préférences de Keynote, les nouveaux réglages s’appliquent à tous les documents affichés dans Keynote jusqu’à ce que vous les changiez de nouveau. Il existe différentes manières de travailler avec les taquets de tabulation : m Pour déplacer un taquet de tabulation, déplacez son symbole le long de la règle. m Pour ajouter un taquet de tabulation, cliquez sur la règle à la position où vous souhaitez placer le nouveau taquet de tabulation. m Pour modifier le type d’alignement de la tabulation, double-cliquez sur son symbole de manière répétée jusqu’à ce que le type souhaité apparaisse, ou maintenez la touche Contrôle enfoncée pendant que vous cliquez sur le symbole de tabulation et sélectionnez une option dans le menu contextuel. Choisissez parmi ces types de tabulation. m Pour supprimer un taquet de tabulation, retirez son symbole de la règle. 74 Chapitre 4 Utilisation du texteChapitre 4 Utilisation du texte 75 Voici différentes façons de définir des retraits de paragraphe : m Pour définir le retrait de paragraphe de première ligne, faites glisser le symbole de rectangle étroit le long de la règle. Retrait de première ligne Retrait de gauche Retrait de droite m Pour changer le retrait de droite, faites glisser le symbole de retrait de droite (triangle bleu pointant vers le bas dans la partie droite de la règle horizontale) jusqu’au point où vous souhaitez que se termine le bord droit du paragraphe. m Pour changer le retrait de gauche, faites glisser son symbole (triangle bleu pointant vers le bas dans la partie gauche de la règle) jusqu’au point où le bord gauche du paragraphe doit commencer. Pour définir un retrait de puce (ou de numérotation) : m Faites glisser le petit carré bleu le long de la règle. Présentation du texte en colonnes Vous pouvez organiser le texte se trouvant dans une zone de texte ou une forme rectangulaire en colonnes. Lorsque le texte a rempli une colonne, il s’étend dans la colonne suivante. Utilisez le menu contextuel Colonnes dans la barre des formats pour répartir rapidement du texte en colonnes. Pour définir des colonnes de largeur précise ou distincte, ou pour créer plus de quatre colonnes, utilisez Inspecteur du texte. Commencez par sélectionne la zone de texte ou la forme rectangulaire dont vous souhaitez diviser le texte en colonnes. Pour diviser rapidement un texte en colonnes égales : m Cliquez sur le bouton Colonnes dans la barre de format, puis sélectionnez le nombre de colonnes souhaité, jusqu’à quatre. Pour créer et mettre en forme des colonnes à l’aide de l’Inspecteur de texte : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Texte, puis cliquez sur Colonnes.2 Spécifiez le nombre de colonnes que vous souhaitez dans le champ Colonnes. 3 Pour configurer des colonnes de largeur différente, désactivez la case « Largeur de colonne identique », double-cliquez sur une valeur de colonne dans le tableau et saisissez une nouvelle largeur. Pour créer des colonnes de même largeur, sélectionnez « Largeur de colonne identique ». 4 Pour modifier l’espace entre colonnes, double-cliquez sur une valeur de petit fond et tapez une nouvelle valeur. Vérification de l’orthographe du texte de vos diapositives Keynote fournit plusieurs outils de vérification et de correction des fautes d’orthographe. Vérification des mots mal orthographiés Keynote intègre un utilitaire de vérification de l’orthographe que vous pouvez configurer pour marquer les fautes d’orthographe lors de la frappe. Si vous préférez, vous pouvez l’utiliser pour vérifier l’ensemble du document en une seule fois ou pour vérifier le texte sélectionné à tout moment. Lorsque le vérificateur orthographique détecte une faute, le mot mal orthographié est souligné par une ligne rouge pointillée. Voici différentes manières de trouver les mots mal orthographiés : m Pour vérifier l’orthographe en cours de saisie, choisissez Édition > Orthographe > « Vérifier l’orthographe lors de la frappe ». Pour désactiver la vérification orthographique en cours de saisie, cliquez sur Édition> Orthographe Vérifier l’orthographe lors de la frappe, puis désactivez cette option (assurez-vous que la coche n’apparaît plus en regard de la commande). m Pour vérifier l’orthographe depuis le point d’insertion jusqu’à la fin du diaporama, cliquez pour placer le point d’insertion, puis choisissez Édition > Orthographe > Vérifier l’orthographe. Pour limiter la vérification orthographique à une portion particulière du document, sélectionnez le texte que vous souhaitez vérifier avant de choisir la commande. Le premier mot mal orthographié est mis en surbrillance. Vous pouvez le corriger ou sélectionner à nouveau la même commande pour continuer la vérification du document. Pour parcourir le texte plus rapidement, appuyez sur Commande + point-virgule (;) afin de poursuivre la vérification du document. m Pour vérifier l’orthographe et obtenir des suggestions de correction, choisissez Édition > Orthographe > Orthographe. 76 Chapitre 4 Utilisation du texteChapitre 4 Utilisation du texte 77 La fenêtre Orthographe s’ouvre. Pour accepter automatiquement les suggestions orthographiques, choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Correction automatique, puis sélectionnez « Utiliser automatiquement les suggestions du correcteur orthographique ». Pour plus de détails sur l’utilisation de la fenêtre Orthographe, consultez la rubrique « Utilisation des suggestions de correction orthographique » à la page 77. Utilisation des suggestions de correction orthographique Utilisez la fenêtre Orthographe pour trouver des suggestions d’orthographe de mots figurant dans le texte de votre diaporama. Pour utiliser les suggestions de correction orthographique : 1 Choisissez Édition > Orthographe > Orthographe. La fenêtre Orthographe s’ouvre et le premier mot mal orthographié est mis en surbrillance. À chaque langue correspond un dictionnaire différent. Pour vous assurer que la langue correcte est sélectionnée, sélectionnez le texte à traiter, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Texte, puis cliquez sur Plus. Sélectionnez une langue dans le menu local Langue. 2 Pour remplacer le mot mal orthographié dans le texte, double-cliquez dessus ou sur l’orthographe correcte dans la liste des propositions. 3 Si le mot correct n’apparaît pas dans la liste des propositions mais que vous connaissez l’orthographe correcte, sélectionnez le mot mal orthographié dans la fenêtre Orthographe, tapez le mot correct, puis cliquez sur Corriger. 4 Si le mot est bien orthographié et que vous souhaitez le laisser tel quel, cliquez sur Ignorer ou sur Mémoriser l’orthographe. Cliquez sur Mémoriser l’orthographe si vous utilisez souvent le terme et que vous souhaitez l’ajouter au dictionnaire. Si avez mémorisé un terme et que vous souhaitez annuler l’opération, procédez de l’une des manières suivantes :  Sous Mac OS X 10.4, saisissez le terme en question dans le champ situé en-dessous de la liste de propositions, puis cliquez sur Oublier.  Sous Mac OS X 10.5, cliquez sur le mot en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez Oublier l’orthographe dans le menu local. 5 Si aucune autre suggestion n’apparaît dans la liste des propositions, sélectionnez le mot mal orthographié dans la fenêtre Orthographe, puis essayez une autre orthographe. 6 Cliquez sur Rechercher le suivant et répétez les étapes 2 à 5 jusqu’à ce que vous ne trouviez plus aucune faute d’orthographe.Vous pouvez également maintenir la touche Contrôle enfoncée et cliquer sur un mot mal orthographié. Dans le menu local, vous pouvez choisir une autre orthographe, cliquer sur Mémoriser l’orthographe ou sur Ignorer. Remplacement automatique de texte Keynote peut être configuré de manière à reconnaître et remplacer certains éléments de texte par d’autres. Par exemple, lorsque vous tapez « el », Keynote peut remplacer automatiquement ce terme par le terme correct « le ». Pour configurer la fonction de substitution automatique de texte : 1 Sélectionnez Keynote > Préférences. 2 Cliquez sur Correction automatique et définissez les réglages comme vous le souhaitez. Pour convertir automatiquement les guillemets droits simples ou doubles en guillemets courbes afin que les guillemets ouvrants et fermants soient différents, sélectionnez « Utiliser les guillemets courbes ». Pour être sûr que le premier mot d’une phrase commence bien par une majuscule, cochez « Corriger les majuscules ». Pour convertir automatiquement les lettres des termes « 1er », « 2e », « 3e », etc. en exposants, sélectionnez « Suffixes numériques en exposant ». Pour que Keynote détecte et convertisse en liens hypertexte les adresses électroniques ou URL que vous saisissez, cochez « Détecter automatiquement les adresses électroniques et de page Web ». Les URL et les adresses électroniques saisies se changent alors automatiquement en liens pour Mail ou Safari. Pour utiliser la génération automatique de liste, sélectionnez « Détecter automatiquement les listes ». Pour remplacer automatiquement les mots mal orthographiés, sous réserve qu’une seule option soit présente dans le dictionnaire, sélectionnez « Utiliser automatiquement les suggestions du correcteur orthographique ». Pour remplacer un ou plusieurs caractères par d’autres, cochez « Substitution de texte et de symbole ». Utilisez ensuite les rangs du tableau pour définir et activer les substitutions comme vous le souhaitez. Par exemple, si vous tapez le symbole du copyright sous la forme (c), vous pouvez configurer Keynote afin qu’il le convertisse automatiquement en ©, en cochant la case appropriée dans la colonne Activé. Pour ajouter un rang au tableau et définir l’élément de substitution, cliquez sur le bouton d’ajout (+). Pour supprimer un éléments sélectionné, cliquez sur le bouton de suppression (-). Après avoir indiqué les réglages de substitution, ces derniers s’appliqueront à tout texte que vous modifiez ou ajoutez dans n’importe quel document Keynote. 78 Chapitre 4 Utilisation du texteChapitre 4 Utilisation du texte 79 Recherche et remplacement de texte Vous pouvez rechercher toutes les occurrences d’un mot ou d’un groupe de mots dans votre document et les remplacer éventuellement par un autre mot ou groupe de mots. Voici différentes manières de rechercher et de remplacer du texte : m Choisissez Édition > Rechercher > Rechercher, cliquez sur Simple ou sur Avancé pour configurer les critères de recherche/remplacement, puis cliquez sur un bouton pour lancer les opérations de recherche/remplacement. Simple : dans le champ Rechercher, tapez le texte que vous souhaitez rechercher, puis tapez le texte par lequel vous souhaitez le remplacer dans le champ Remplacer. Avancé : en plus de saisir le texte dans les champs Rechercher et Remplacer, vous pouvez définir d’autres critères de recherche ou de remplacement. Tout remplacer : effectue automatiquement les opérations de recherche/ remplacement sans votre intervention. Remplacer : remplace la sélection actuelle par le texte de remplacement. Remplacer et rechercher : remplace le texte recherché avec le texte de substitution indiqué et recherche automatiquement l’occurrence suivante. Suivant ou Précédent : trouve l’occurrence suivante ou précédente du texte saisi dans le champ Rechercher sans le remplacer. m Utilisez les autres commandes dans Édition > Rechercher. Rechercher : affiche les résultats de la recherche des termes tapés dans le champ de recherche du document. Rechercher le suivant ou Rechercher le précédent : trouve l’occurrence suivante ou précédente du texte saisi dans le champ Rechercher actuel. Rechercher la sélection : recherche l’occurrence suivante du texte sélectionné. Aller à la sélection : affiche le texte sélectionné lorsqu’il n’apparaît pas à l’écran.80 Apprenez à ajouter, manipuler et modifier des images et des figures dans votre diaporama. Un grand nombre de ces techniques peut également être appliqué à d’autres objets, tels que des graphiques, des tableaux, des zones de texte et des vidéos. Un objet représente un élément quelconque que vous placez sur votre diapositive et qui s’affichera au cours de la présentation. Les images, les figures, les films, les champs de texte, les tableaux et les graphiques sont tous des objets. Ce chapitre est plus particulièrement consacré aux images (photos ou fichiers PDF), aux figures, qui incluent des figures prédessinées simples (telles que des triangles ou des flèches) et des figures personnalisées que vous pouvez dessiner vous-même à l’aide des outils disponibles dans Keynote. La plupart des techniques de placement et de manipulation de figures et d’images abordées dans ce chapitre sont applicables aux tableaux, aux graphiques et à d’autres objets. Toutes les particularités de formatage associées au tableaux, graphiques, films, zones de texte et affichages web sont examinées dans d’autres chapitres. Importation d’images Keynote accepte tous les formats pris en charge par QuickTime, y compris les types de fichiers d’image suivants :  TIFF  GIF  JPEG  PDF  PSD  EPS  PICT 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 81 Pour importer une image, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils, sur Photos dans le navigateur multimédia. Sélectionnez l’album dans lequel se trouve la photo, puis faites glisser la vignette à l’endroit souhaité. Choisissez ensuite une source. Tout d’abord, cliquez sur un bouton pour accéder à vos fichiers multimédias. Puis faites glisser un élément vers le document ou vers un cadre d’image dans un des Inspecteurs. Recherchez un fichier en saisissant son nom ici. Les boutons situés en haut du navigateur permettent d’accéder aux images de votre photothèque iPhoto, aux films de votre dossier Séquences ou aux fichiers audio de votre bibliothèque iTunes. m Choisissez Insertion > Choisir, sélectionnez le fichier image, puis cliquez sur Insérer. m Faites glisser un fichier depuis le Finder. m Faites glisser un fichier à partir d’une autre application. Après avoir importé votre image, vous pouvez la faire glisser pour la positionner où bon vous semble sur le canevas. Faites glisser l’image vers le navigateur de diapositives pour créer une nouvelle diapositive contenant l’image. Keynote met à votre disposition plusieurs outils permettant de masquer (rogner) une image, d’en modifier la luminosité, le contraste et d’autres caractéristiques ou bien, d’en effacer l’arrière-plan.Pour en savoir plus sur la manière de manipuler et d’utiliser des images dans une conception de présentation plus importante, et notamment comment placer, aligner, redimensionner, réorienter, ajouter des ombres, des reflets, des bordures et bien d’autres éléments encore, consultez les rubriques appropriées dans « À propos de la manipulation, du tri et de la modification de l’aspect des objets » à la page 96. Pour en savoir plus sur la manière de provoquer la modification ou la traversée des images à travers la diapositive au cours de votre présentation, consultez les rubriques dans Chapitre 7, « Ajout de mouvements dans les diaporamas, » à la page 124. Réduction automatique des images pour les ajuster à vos diapositives Par défaut, si une image que vous placez sur une diapositive est plus grande que la diapositive, Keynote réduit l’image pour l’ajuster à la diapositive, selon un processus nommé sous-échantillonnage. Une image réduite comporte moins de pixels que l’originale ; certaines données de l’image sont supprimées. Les images au format JPEG restent au format JPEG tandis que les autres formats sont convertis en TIFF. Une fois qu’une image a été sous-échantillonnée, vous ne pouvez pas la restaurer à sa taille d’origine en cliquant sur Dimensions d’origine dans l’inspecteur des mesures. Pour éviter de sous-échantillonner des images et les utiliser à leur taille d’origine, désactivez le sous-échantillonnage dans les préférences Keynote. Pour désactiver le sous-échantillonnage automatique des images : 1 Sélectionnez Keynote > Préférences, puis cliquez sur Général. 2 Décochez la case « Réduire les images pour les adapter aux diapos ». Si vous prévoyez d’augmenter ou de réduire fortement les dimensions d’un graphisme, envisagez de le convertir au format PDF avant de l’insérer dans Keynote. Les fichiers PDF ne perdent pas leur précision lorsqu’ils sont redimensionnés. Les autres types de fichier peuvent ne pas conserver toute leur netteté lorsqu’ils sont agrandis ou réduits. ? Conseil : Vous pouvez également convertir une image qui se trouve sur le bureau en fichier PDF à l’aide de l’application Capture. Ouvrez Capture (dans le dossier Applications de votre disque dur). Choisissez Capture > Sélection, puis sélectionnez l’image que vous voulez convertir en fichier PDF. Choisissez Fichier > Imprimer, puis cliquez sur Aperçu pour enregistrer l’image au format PDF. Remplacer les images des thèmes par vos propres images Les photos qui figurent dans chaque thème Keynote sont en fait des paramètres fictifs de média. Si vous faites glisser vos propres images ou fichiers de séquence sur ces paramètres fictifs, votre contenu multimédia est automatiquement redimensionné, positionné et cadré pour s’adapter au thème de la diapositive. Pour vérifier si le contenu multimédia sur une diapositive est en fait un élément fictif, immobilisez le pointeur dessus pour afficher une bulle d’aide vous expliquant comment faire pour y déposer votre propre fichier. 82 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 83 Voici plusieurs façons d’utiliser des éléments multimédias fictifs : m Pour remplacer un paramètre fictif multimédia par votre propre image, séquence, ou fichier audio , faites glisser ce contenu depuis le navigateur multimédia, le Finder ou une autre application et déposez-le sur le paramètre fictif. m Pour redimensionner ou repositionner votre image à l’intérieur d’un emplacement d’élément multimédia, cliquez sur le bouton Modifier le masque qui surplombe l’image après que vous l’ayez déposée dans l’emplacement, puis procédez de l’une des manières suivantes : Pour redimensionner votre image au sein du paramètre fictif, faites glisser la poignée de redimensionnement qui se trouver au-dessus du bouton Modifier le masque. Pour repositionner votre image au sein du paramètre fictif, placez le pointeur sur l’image (il prend alors la forme d’une main), puis faites glisser l’image pour la placer à l’endroit de votre choix. Pour remplacer un élément que vous avez déjà placé dans un paramètre fictif de média, faites glisser un nouveau fichier vers celui-ci. Il n’est pas nécessaire de supprimer d’abord l’ancien fichier. m Pour repositionner un paramètre fictif de média sur le canevas, faites-glisser le paramètre fictif à l’endroit de votre choix. m Pour supprimer un paramètre fictif de média du canevas, sélectionnez le paramètre fictif, puis appuyez sur la touche Suppr. Pour en savoir plus sur la création de paramètres fictifs de média, ou sur la conversion en paramètres non fictifs, afin de personnaliser un modèle de diapositive, consultez la rubrique « Définition des paramètres fictifs d’un support » à la page 267. Masquage (rognage) d’images Il est possible de rogner des images sans modifier les fichiers d’image en masquant les bords pour éliminer les parties inutiles ou pour modifier le contour de l’image. Si vous ne précisez pas de figure pour le masque, Keynote utilise par défaut un masque rectangulaire, mais vous pouvez également utiliser l’une des figures disponibles dans Keynote, y compris une figure personnalisée que vous avez créée à l’aide de l’outil de dessin, pour masquer les contours de votre image. Pour masquer une image avec un rectangle : 1 Importez l’image à masquer. 2 Sélectionnez l’image, puis cliquez sur le bouton Masquer dans la barre d’outils (ou choisissez Format > Masquer).Un masque apparaît au-dessus de l’image, de même que certaines commandes. Faites glisser l’image pour mettre en place la partie que vous désirez afficher. Faire glisser le curseur pour redimensionner l’image. Cliquez sur ce bouton pour afficher ou masquer la zone à l’extérieur du masque. Faites glisser les poignées de sélection pour redimensionner le masque. 3 Pour redimensionner l’image, faites glisser le curseur au-dessus du bouton Modifier le masque. 4 Vous pouvez affiner le masque de plusieurs façons :  Pour redimensionner le masque, faites glisser les poignées de sélection sur la figure du masque. Pour conserver les proportions des dimensions d’un masque, maintenez la touche Maj enfoncée lors du redimensionnement.  Pour faire pivoter le masque, maintenez la touche Commande enfoncée tout en faisant glisser la poignée de sélection dans un coin du masque. 5 Faites glisser l’image pour positionner la partie que vous souhaitez afficher ou déplacez le masque en cliquant sur le bord de celui-ci et en le faisant glisser. 6 Une fois que vous êtes satisfait de la position et de la taille de votre image et du masque, procédez de l’une des manières suivantes pour terminer :  Double-cliquez sur le masque ou sur l’image.  Appuyez sur Retour.  Cliquez en dehors de l’image.  Cliquez sur Modifier le masque. 7 Pour redimensionner ou faire pivoter l’image masquée, faites glisser (respectivement en maintenant ou non la touche Commande enfoncée) les poignées de sélection. 8 Pour changer la taille de l’image masquée, double-cliquez sur cette dernière, puis cliquez sur Modifier le masque. Répétez les étapes ci-dessus autant de fois que nécessaire. 9 Pour démasquer l’image, cliquez sur Ne plus masquer dans la barre d’outils (ou choisissez Format > Ne plus masquer). Pour masquer l’image à l’aide d’une figure prédessinée (un cercle ou une étoile, par exemple) : m Sélectionnez l’image, puis choisissez Format > « Masquer avec une figure » > figure. 84 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 85 Redimensionnez et alignez l’image et le masque pour toutes les images masquées, comme décrit ci-dessus. Pour masquer l’image avec une figure personnalisée : 1 Créez la figure que vous souhaitez utiliser comme masque, puis faites-la glisser par dessus l’image que vous souhaitez masquer. 2 Maintenez la touche Maj enfoncée, cliquez pour sélectionner à la fois la figure et l’image, puis cliquez sur Masquer dans la barre d’outils (ou choisissez Format > « Masquer avec la figure sélectionnée »). 3 Redimensionnez et alignez l’image et le masque pour toutes les images masquées, comme décrit ci-dessus. Réduction de la taille des fichiers d’image Si vous avez redimensionné ou masqué une image très grande taille, que vous souhaitez conserver le fichier d’image dans votre document Keynote (pour pouvoir le transférer aisément à un autre ordinateur) tout en minimisant la taille du document, vous pouvez choisir de n’enregistrer que la version réduite (rognée ou rétrécie) de l’image dans votre présentation. Avant de réduire la taille du fichier d’image, vous devez enregistrer votre document. Pour en savoir plus sur cette opération, consultez la rubrique « Enregistrement d’une présentation » à la page 33. Pour réduire la taille de fichier de votre document, effectuez l’une des opérations suivantes : m Pour réduire la taille de fichier d’une image individuelle que vous avez masquée ou réduite, sélectionnez l’image, puis choisissez Format > Image > « Réduire la taille du fichier d’image ». m Pour réduire la taille de toutes les images masquées et redimensionnées (réduites) et des vidéos raccourcies, choisissez Fichier > « Réduire la taille du fichier ». Pour apprendre comment réduire la taille de fichiers vidéo, consultez la rubrique « Réduction de la taille des fichiers multimédias » à la page 123. Remarque : Après avoir réduit la taille des fichiers d’images masquées ou réduites, il ne vous sera plus possible de rétablir leurs dimensions d’origine. Pour rétablir la taille des fichiers d’origine, vous devrez ajouter à nouveau les fichiers d’image originaux aux documents. Les images utilisées lors de remplissages par image ou de compositions d’actions ne peuvent pas être réduites de cette manière. Certains types de fichiers d’image ne peuvent être réduits de cette manière. Suppression de l’arrière-plan ou des éléments superflus d’une image L’outil Alpha instantané vous permet de rendre certaines parties d’image transparentes afin de supprimer l’arrière-plan d’une image. Vous obtiendrez des résultats optimaux si vous supprimez des couleurs unies dont les limites sont bien définies. Pour supprimer des zones moins bien délimitées, sélectionnez une zone de taille plus réduite et répétez le processus. Pour supprimer des éléments superflus : 1 Sélectionnez l’image. 2 Cliquez sur Alpha dans la barre d’outils (ou choisissez Format > Alpha instantané). 3 Cliquez sur la couleur pour la rendre transparente, puis faites glisser le curseur lentement au-dessus. En faisant glisser le pointeur, vous sélectionnez la zone contiguë utilisant des couleurs semblables à celle sur laquelle vous cliquez. À mesure que vous faites glisser le pointeur, la sélection s’agrandit pour englober la zone contiguë qui est de la même couleur. Plus vous faites glisser, plus la taille de la zone sélectionnée de l’image est importante. Si vous maintenez la touche Option enfoncée pendant que vous faites glisser le pointeur, toutes les instances de la couleur sur laquelle vous faites glisser le pointeur sont supprimées de l’image. 4 Répétez l’étape 3 autant de fois que vous le souhaitez. Faire glisser davantage ici... ...pour sélectionner une plus grande partie de l’image. 86 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 87 Vous pouvez restaurer les parties supprimées de l’image à tout moment. Pour restaurer l’image original, sélectionnez Format > « Supprimer l’instantané Alpha ». Pour restaurer les parties de l’image supprimées en utilisant l’instantané Alpha, sélectionnez Édition > Annuler Alpha instantané jusqu’à ce que les parties supprimées soient restaurées. Modification de la luminosité, du contraste et des autres réglages d’une image Vous pouvez modifier la luminosité, le contraste et certains autres réglages des images pour améliorer leur qualité ou créer des effets intéressants. Les modifications que vous effectuez n’ont pas d’effets sur l’image originale ; elles ne concernent que l’aspect de l’image dans Keynote. Pour régler une image: 1 Sélectionnez l’image. 2 Choisissez Présentation > Afficher Ajuster l’image. Réglez le contraste entre les tons clairs et foncés. Modifiez l’intensité de Augmentez la chaleur de la couleur. la couleur ou réduisez-la. Modifiez la proportion des tons rouges et verts. Rendez la mise au point plus ou moins nette. Ajustez l’ombre et la lumière. Appréciez la relation existant entre les ombres et l’éclairage. Modifiez le niveau des tons foncés et clairs. Rétablissez les réglages d’origine. Ajustez la lumière. Améliorez les couleurs automatiquement. 3 Utilisez les contrôles suivants pour réaliser les réglages. Luminosité : Modifie la quantité de blanc dans l’image. Faire glisser le curseur vers la droite augmente la quantité de blanc dans l’image et la rend plus lumineuse. Contraste : Modifie la différence entre les parties lumineuses et sombres de l’image. Si vous augmentez le contraste, les parties lumineuses deviennent plus lumineuses et les parties sombres deviennent plus sombres. En réduisant le contraste, vous réduisez la différence entre les parties lumineuses et les parties sombres. Faire glisser le curseur vers la droite permet d’accentuer la frontière entre les parties lumineuses et les parties sombres et peut donner à une photo un aspect d’illustration. Saturation : Modifie la richesse des couleurs de l’image. Faire glisser le curseur vers la droite rend les couleurs plus riches et plus vives. Température : Rend l’image plus chaude ou plus froide en réglant la quantité des tons chauds (rouge) ou des tons froids (bleu). Teinte : Modifie la dominante de couleur générale de l’image en réglant la quantité des tons verts ou rouges. Netteté : Rend l’image plus nette ou plus floue. Exposition : Modifie la quantité d’ombre ou de lumière générale de l’image. Lorsque vous réglez l’exposition, toutes les parties de l’image deviennent plus sombres ou plus lumineuses. Augmenter l’exposition d’une image permet également de réduire ses couleurs. Histogramme et niveaux : Décrit toutes les informations de couleur de l’image, des ombres les plus noires à gauche, aux lumières les plus blanches à droite. La hauteur de la courbe indique la quantité d’informations de couleur d’une plage donnée. Pour régler le niveau des ombres, faites glisser le curseur de gauche vers le milieu. Tout mouvement du curseur vers la droite réduit la plage des couleurs et peut éclaircir les ombres. La position du curseur détermine la quantité d’informations dans la partie la plus sombre de l’image ; toutes les informations à gauche du curseur sont éliminées de l’image. Il est recommandé de faire glisser le curseur jusqu’au point où la ligne d’histogramme semble décoller, ce qui signifie que certains détails sont disponibles à cet endroit. Pour régler le niveau de lumière, faites glisser le curseur de droite vers le milieu. Tout mouvement du curseur vers la gauche réduit la plage des couleurs et peut éclaircir les hautes lumières. La position du curseur détermine la quantité d’informations dans la partie la plus claire de l’image ; toutes les informations à droite du curseur sont éliminées de l’image. Il est recommandé de faire glisser le curseur jusqu’au point où la ligne d’histogramme semble décoller, ce qui signifie que certains détails sont disponibles à cet endroit. Améliorer : Règle automatiquement l’image en répartissant de manière équilibrée les tons rouges, verts et bleus à travers tout l’histogramme. 4 Pour rétablir les réglages d’origine, cliquez sur Réinitialiser l’image. Pour enregistrer les modifications apportées, enregistrez le document. Les réglages lors de l’enregistrement du document sont visibles chaque fois que vous ouvrez la fenêtre Ajuster l’image. À propos de la création de figures Keynote met à votre disposition une variété de figures prédessinées que vous pouvez ajouter aux diapositives. Vous pouvez également créer vos propres figures personnalisées ou modifier les lignes et les contours des figures prédéfinies. 88 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 89 Ajout d’une figure prédéfinie Comment ajouter une figure prédéfinie : m Cliquez sur Figures dans la barre d’outils, puis sélectionnez une figure dans le menu local. m Choisissez Insérer > Figure > Figure. m Maintenez la touche Option enfoncée tout en cliquant sur Figures dans la barre d’outils, puis sélectionnez une figure dans le menu local ; le pointeur se transforme alors en symbole de visée. Pour créer une figure de la taille souhaitée, faites glisser le pointeur à travers le canevas. Pour contraindre les proportions de la figure (afin d’obtenir un triangle isocèle par exemple), maintenez la touche Maj enfoncée tout en faisant glisser le pointeur. Faites glisser la nouvelle figure et déposez-la où vous voulez sur le canevas. Pour modifier les contours de la figure, vous devez d’abord la rendre modifiable (voir rubrique « Figures modifiables » à la page 90). Pour en savoir plus sur la manipulation et l’alignement des figures, ainsi que sur la modification de leurs propriétés générales d’objet comme la couleur, le style de contour (trait), la taille, l’orientation, les ombres et bien plus encore, consultez la rubrique « À propos de la manipulation, du tri et de la modification de l’aspect des objets » à la page 96. Ajout d’une figure personnalisée Vous pouvez utiliser l’outil de dessin pour créer vos propres figures. Pour créer une figure personnalisée : 1 Cliquez sur Figures dans la barre d’outils, puis sélectionnez l’outil de dessin (ou choisissez Insérer > Figure > Dessiner à la plume). Le pointeur, représentant au départ une flèche, se change alors en sorte de pointe de crayon. 2 Cliquez n’importe où dans le document pour créer le premier point de la figure personnalisée. 3 Cliquez de nouveau pour créer d’autres points. Chaque point que vous ajoutez est connecté au précédent. Pour supprimer un segment que vous venez de créer, appuyez sur la touche Suppr. Vous pouvez appuyez sur cette touche plusieurs fois.4 Pour mettre fin au dessin et fermer la figure (c’est-à-dire ajouter une ligne pleine entre le dernier et le premier point), cliquez sur le premier point. Pour arrêter de dessiner et laisser la figure ouverte (sans ligne pour connecter le premier et le dernier point), afin de pouvoir reprendre votre travail sur cette figure plus tard, appuyez sur la touche Échap (Échappement) ou double-cliquez sur le dernier point créé. 5 Pour fermer une figure ou lui ajouter des points supplémentaires, cliquez une seule fois dans la figure pour la sélectionner, puis cliquez une deuxième fois pour afficher ses points. Effectuez l’une des opérations suivantes :  Double-cliquez sur l’un des points d’extrémité du segment ouvert ; le pointeur se transforme alors en pointe de stylo.  Pour ajouter des points supplémentaires, cliquez à d’autres endroits selon vos besoins. Lorsque le dessin est terminé, cliquez sur le point à l’extrémité du segment ouvert pour fermer la figure. 6 Sélectionnez la bordure de la figure, faites-la glisser et déposez-la où bon vous semble sur le canevas. Si vous souhaitez revenir en arrière et modifier davantage les points ou les contours de la figure que vous avez créée, sélectionnez-la, puis cliquez une deuxième fois dessus pour la rendre modifiable, puis suivez les instructions de modification de figure. Pour en savoir plus sur la manipulation et l’alignement des figures, ainsi que sur la modification de leurs propriétés générales d’objet comme la couleur, le style de contour (trait), la taille, l’orientation, les ombres et bien plus encore, consultez la rubrique « À propos de la manipulation, du tri et de la modification de l’aspect des objets » à la page 96. Figures modifiables Il est possible de manipuler et de redessiner les points et les contours d’une figure que vous venez de placer sur le canevas. Pour pouvoir modifier une figure de cette manière, vous devez la rendre modifiable. Méthodes pour permettre les modifications dans une figure : m Pour rendre une figure prédéfinie modifiable, sélectionnez-la, puis choisissez Format > Figure > Rendre modifiable. 90 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 91 Des points rouges apparaissent sur la figure. Faites glisser les points pour redimensionner la figure. Ensuite, pour modifier une figure pré-dessinée qui a été rendue modifiable, cliquez une fois dans la figure pour la sélectionner, puis cliquez une deuxième fois pour la rendre éditable. m Pour rendre une figure personnalisée modifiable, cliquez une seule fois dans la figure pour la sélectionner, puis cliquez une deuxième fois pour afficher ses points de modification. Pour en savoir plus sur la manipulation des points et des contours d’une figure après l’avoir rendue modifiable, consultez les rubriques appropriées. Pour en savoir plus sur la modification de figures prédessinées spécifiques, consultez la section relative à chaque figure. Ajout, suppression et déplacement des points de modification d’une figure Vous pouvez modifier les lignes et les contours d’une figure en ajoutant, en déplaçant ou en supprimant des points de modification. Voici quelques méthodes permettant de manipuler les points de modification d’une figure : m Pour ajouter un point, rendez la figure modifiable, puis appuyez sur la touche Option et placez le pointeur sur la bordure de la figure. Le pointeur change et prend la forme d’une plume de stylo accompagnée d’un signe plus (+). Cliquez sur la bordure à l’endroit où vous souhaitez ajouter un point, puis déplacez ce dernier si besoin est. m Pour déplacer un point, rendez la figure modifiable, puis cliquez sur le point en question et faites-le glisser jusqu’à un nouvel emplacement. Vous pouvez déplacer plusieurs points à la fois en maintenant la touche Maj enfoncée tout en cliquant sur plusieurs points, puis en les faisant glisser. m Pour supprimer un point, rendez la figure modifiable, puis cliquez sur le point à éliminer et appuyez sur la touche Suppr. Vous pouvez supprimer plusieurs points à la fois en maintenant la touche Majuscule enfoncée tout en cliquant sur plusieurs points, puis en appuyant sur la touche Suppr. Modification du tracé d’une courbe L’une des méthodes permettant de créer une figure unique consiste à modifier les contours de la figure prédessinée . Cette technique peut également servir à modifier les courbes d’une figure personnalisée. Pour redessiner une courbe : 1 Rendez la figure modifiable. Des points rouges apparaissent sur la figure pour indiquer que vous pouvez redéfinir les courbes au niveau de ces points. 2 Cliquez sur un point rouge de la courbe à redessiner. Des poignées apparaissent alors de part et d’autre du point rouge. Vous pouvez également faire glisser un point pour modifier la courbe. Faites glisser ou faites pivoter une des poignées de commande afin de modifier la courbe. 3 Pour redessiner la courbe, faites glisser le point rouge ou l’une de ses poignées. Déplacez les poignées de commande dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans le sens inverse. Vous pouvez obtenir différents effets en déplaçant les poignées ensemble ou indépendamment l’une de l’autre. Prenez le temps de tester les options offertes jusqu’au résultat voulu. Pour déplacer les poignées ensemble, appuyez sur la touche Option et faites glisser l’une des poignées. Pour déplacer une seule poignée à la fois, appuyez sur la touche Commande tout en faisant glisser la poignée. 4 Pour un contrôle plus précis du contour, ajoutez des points de modification supplémentaires en maintenant la touche Option enfoncée tout en maintenant le pointeur sur la bordure de la figure. Lorsque le pointeur prend la forme d’une pointe de stylo accompagnée d’un signe plus (+), cliquez à l’endroit où vous voulez ajouter le nouveau point de modification. Pour en savoir plus, consultez « Ajout, suppression et déplacement des points de modification d’une figure » à la page 91. Modification du tracé d’un segment droit Vous pouvez modifier l’angle que forment deux segments ou modifier la longueur d’un segment. Pour redessiner un segment droit : 1 Rendez la figure modifiable. 2 Cliquez sur un point d’angle. 3 Pour modifier l’angle formé par deux segments qui se rejoignent, faites glisser le point dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans l’autre sens. 4 Pour modifier la longueur de l’un des segments, faites glisser le point vers l’extérieur ou vers l’intérieur. 92 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 93 5 Vous pouvez ajouter des points de modification supplémentaires en maintenant la touche Option enfoncée lorsque vous maintenez le pointeur sur une ligne. Lorsque le pointeur prend la forme d’une pointe de stylo accompagnée d’un signe plus (+), cliquez à l’endroit où vous voulez ajouter le nouveau point de modification. Pour en savoir plus, consultez « Ajout, suppression et déplacement des points de modification d’une figure » à la page 91. Conversion de points d’angle en points de courbe et vice-versa Vous pouvez transformer un ou plusieurs points en courbes ou courbes en points. Tout d’abord, vous devez rendre la figure modifiable. Voici plusieurs façons de convertir des points d’angle en points courbes, et viceversa: m Pour convertir un point d’angle en point de courbe, rendez la figure modifiable et double-cliquez sur le point d’angle. m Au contraire, pour convertir un point de courbe en point d’angle, rendez la figure pour modifiable et double-cliquez sur le point de courbe. m Pour transformer tous les points d’angle d’une ou de plusieurs figures en points de courbe, rendez les figures modifiables, sélectionnez les points, puis choisissez Format > Figure > Arrondir le contour. m Pour transformer tous les points de courbe d’une ou de plusieurs figures en points d’angle, rendez la figure modifiable, sélectionnez les points, puis choisissez Format > Figure > Affûter le contour. Une fois qu’une figure est modifiable, vous pouvez utiliser les commandes Arrondir le contour et Affûter le contour sans avoir à la rendre modifiable à nouveau. Modification d’un rectangle aux coins arrondis Le rectangle aux coins arrondis comprend une commande circulaire qui vous permet de modifier ses angles. Faites glisser pour redresser ou arrondir le coin. Pour modifier un rectangle aux angles arrondis : m Sélectionnez la figure et faites glisser son point de modification bleu vers la gauche pour redresser les angles ou vers la droite pour les arrondir. Modification de flèches simples et doubles Les figures en forme de flèche possèdent des points de modification particuliers qui vous permettent de régler les proportions relatives de la tête et de la pointe de la flèche. Faites glisser pour changer la longueur de la queue. Faites glisser vers le haut ou vers le bas pour modifier la largeur de la queue de la flèche. Faites glisser vers la gauche ou vers la droite pour redimensionner la tête de la flèche. Pour modifier les proportions d’une flèche simple ou double : m Sélectionnez la figure, puis faites l’une des opérations suivantes :  Pour allonger la flèche, faites glisser l’une des poignées de sélection situées à la pointe ou à la queue.  Pour diminuer ou augmenter l’épaisseur de la flèche, faites glisser l’une des poignées de sélection situées sur la boîte de la flèche aux environs de l’endroit où la pointe et la queue de la flèche se rencontrent.  Pour modifier l’épaisseur relative de la pointe et de la queue de la flèche, placez le pointeur sur le point de modification bleu à l’endroit où la pointe et la queue de la flèche se rencontrent. Lorsque l’aspect du pointeur change, faites glisser le point de modification dans n’importe quelle direction pour modifier les proportions de la flèche. Modification d’une bulle de texte ou d’une légende Les bulles de texte et les légendes possèdent des commandes de modification particulières. Ces commandes vous permettent de régler l’aspect carré ou arrondi des angles de la figure, ainsi que l’épaisseur et la longueur de la queue de la figure. Pour modifier l’aspect des bulles de texte ou des légendes : m Sélectionnez la figure, puis faites l’une des opérations suivantes :  Pour rendre les angles plus carrés, saisissez le point de modification bleu à son endroit le plus large, puis faites-le glisser vers la queue de la figure. Faites glisser ce point en l’éloignant de la queue pour arrondir les angles.  Pour augmenter ou réduire l’épaisseur de la queue de la figure, saisissez le point de modification bleu à l’intersection entre la queue et le corps de la figure et faites-le glisser vers l’intérieur ou vers l’extérieur. 94 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 95  Pour allonger la queue de la figure, saisissez le point de modification bleu au sommet de la queue, puis faites-le glisser vers l’intérieur ou vers l’extérieur.  Pour agrandir, raccourcir, élargir ou rétrécir le corps de la figure, faites glisser les poignées de sélection qui se trouvent sur la boîte de la figure. Modification d’une étoile L’étoile possède un curseur qui permet d’augmenter ou de diminuer le nombre de ses points et d’un point de modification bleu qui permet de rendre plus aigus ou plus obtus les angles entre ses points. Visualisez le nombre de points constituant actuellement l’étoile. Faites glisser pour augmenter ou réduire le nombre de points constituant l’étoile. Faites glisser pour changer les angles entre les points de l’étoile. Voici plusieurs façons de modifier une étoile : m Lorsque vous sélectionnez une figure en forme d’étoile, le curseur apparaît. Faites glisser le curseur pour augmenter ou réduire le nombre de points constituant l’étoile. m Faites glisser le point de modification bleu pour modifier les angles entre les points de l’étoile. Modification d’un polygone Le polygone dispose d’un curseur permettant d’augmenter ou de réduire le nombre de ses côtés. Faites glisser afin d’augmenter ou de réduire le nombre de côtés constituant le polygone. Visualisez le nombre de côtés constituant actuellement le polygone. Pour modifier un polygone : m Lorsque vous sélectionnez le polygone, le curseur apparaît. Faites glisser le curseur afin d’augmenter ou de réduire le nombre de côtés constituant le polygone. À propos de la manipulation, du tri et de la modification de l’aspect des objets La manière de sélectionner, de trier et de manipuler des objets dans Keynote est généralement identique qu’il s’agisse d’images, de figures, de vidéos, de tableaux, d’éléments de graphique ou de champs de texte. Pour la plupart des objets, les commandes de redimensionnement et de repositionnement sont identiques ; il en va de même pour l’ajout d’ombres ou de reflets, les styles de bordure (trait), l’application de couleur ou d’images, etc. Les rubriques suivantes de ce chapitre décrivent les outils et les techniques générales pour utiliser tous types d’objets dans Keynote. Pour en savoir plus sur les caractéristiques supplémentaires relatives à la mise en forme de texte et sur la conception de tableaux et de graphiques, consultez les rubriques appropriées dans ce guide. Sélection de plusieurs objets Avant de pouvoir déplacer, modifier ou effectuer d’autres opérations sur des objets, vous devez les sélectionner. Un objet sélectionné est muni de poignées qui vous permettent de le déplacer ou de le manipuler. Méthodes de sélection et de désélection des objets : m Pour sélectionner un seul objet, cliquez n’importe où sur l’objet (pour un objet n’ayant pas de contenu, cliquez sur le bord). m Pour sélectionner plusieurs objets sur une diapositive, maintenez la touche Maj enfoncée lorsque vous cliquez sur les objets. m Pour sélectionner tous les objets sur une diapositive, cliquez sur celle-ci et appuyez sur les touches Commande + A. m Pour sélectionner un objet faisant partie d’un groupe, vous devez tout d’abord dissocier les objets. Sélectionnez le groupe, puis choisissez Disposition > Dissocier. m Pour désélectionner les objets d’un groupe d’objets sélectionnés, maintenez la touche Commande enfoncée, puis cliquez sur les objets que vous souhaitez désélectionner. Copie et duplication d’objets La technique utilisée pour la copie d’un objet dépend de l’emplacement souhaité. Si la copie est destinée à être placée loin de l’original, voire dans un autre document, copier puis coller l’objet s’avère généralement plus facile. Si la copie doit être placée près de l’objet original, la duplication constitue généralement le meilleur choix. Méthodes de copie d’objets : m Pour copier et coller un objet, sélectionnez-le, puis choisissez Édition > Copier. Cliquez à l’endroit où vous souhaitez voir apparaître la copie. Cliquez sur Édition > Coller. 96 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 97 m Pour dupliquer un objet sur une diapositive, maintenez la touche Option enfoncée tout en faisant glisser l’objet. Vous pouvez également sélectionner l’objet, puis choisir Édition > Dupliquer. La copie apparaît en léger décalage au-dessus de l’original. Faites glisser la copie vers l’emplacement souhaité. m Pour copier une image entre deux documents Keynote, sélectionnez l’image et faites glisser son icône depuis le champ Informations du fichier de l’inspecteur des mesures vers une diapositive dans l’autre fichier Keynote. Suppression d’objets La suppression d’objets est rapide et facile. Pour supprimer des objets : m Sélectionnez le ou les objets et appuyez sur la touche Suppr. Si vous supprimez un objet par inadvertance, choisissez Édition > Annuler Supprimer. Déplacement d’objets et positionnement de ceux-ci dans le canevas Keynote fournit plusieurs outils qui permettent d’organiser les éléments sur votre canevas de diapositive avec une grande précision, y compris des guides d’alignement et un quadrillage personnalisables pour vous aider à mémoriser les positions des objets d’une diapositive à une autre. Il est possible de regrouper les objets pour pouvoir les manipuler plus facilement et de les verrouiller sur leur position pour éviter tout déplacement involontaire pendant que vous travaillez. De plus, il est possible de superposer (chevaucher) les objets sur une diapositive pour créer un effet de profondeur. Voici quelques méthodes permettant de manipuler directement des objets : m Pour déplacer un objet vers un autre endroit de la diapositive, faites-le glisser. Évitez de faire glisser l’objet en le tenant par ses poignées de sélection, car vous risqueriez de le redimensionner sans le vouloir. Pour aligner les objets précisément lorsque vous les faites glisser, vous pouvez utiliser les guides d’alignement et le quadrillage. Pour plus de détails, consultez les rubriques « Utilisation des guides d’alignement et d’espacement relatif » à la page 99 et « Utilisation d’un quadrillage principal » à la page 101. m Pour limiter les mouvements de l’objet dans le sens vertical ou horizontal, ou encore selon un angle à 45°, faites glisser l’objet en maintenant la touche Maj enfoncée. m Pour déplacer l’objet par petits incréments, appuyez sur l’une des touches fléchées pour faire progresser l’objet d’un seul point à la fois. Pour déplacer l’objet par intervalles de dix points, maintenez la touche Maj enfoncée tout en appuyant sur une touche fléchée.m Pour afficher la position de l’objet que vous déplacez, choisissez Keynote > Préférences, puis sélectionnez « Afficher la taille et la position des objets lors de leur déplacement » dans la sous-fenêtre Général. m Pour placer du texte ou un objet à l’intérieur d’un autre objet, sélectionnez l’objet, puis choisissez Édition > Couper. Placez le point d’insertion à l’endroit où vous souhaitez que l’objet apparaisse, puis cliquez sur Édition > Coller. Déplacement d’objets vers l’avant ou vers l’arrière (disposition en couches) Lorsque des objets se chevauchent ou lorsque du texte ou des objets se chevauchent, vous pouvez modifier l’ordre des objets dans la pile. Pour déplacer un objet de sorte qu’il se trouve devant ou derrière du texte ou un autre objet : 1 Sélectionnez l’objet à déplacer. 2 Pour déplacer un objet d’un seul plan à la fois, choisissez Disposition > Avancer d’un plan ou Disposition > Reculer d’un plan. 3 Pour placer un objet tout en bas ou tout en haut de la pile, choisissez Disposition > Placer au premier plan ou Disposition > Placer à l’arrière-plan. Si vous superposez fréquemment des objets, vous pouvez ajouter les boutons Devant, Derrière, Plan sup. et Plan inf. à la barre d’outils afin de travailler plus efficacement. Pour en savoir plus sur la personnalisation de la barre d’outils, reportez-vous à la rubrique « La barre d’outils » à la page 21. Alignement rapide d’objets les uns par rapport aux autres Vous pouvez utiliser des commandes de menu pour aligner rapidement des objets sur une même diapositive ou les répartir uniformément. Pour ce faire, vous devez d’abord sélectionner tous les objets alignés (maintenez la touche Maj ou Commande enfoncée tout en cliquant sur les objets à sélectionner). Pour aligner des objets sélectionnés : m Pour aligner des objets les uns par rapport aux autres, choisissez Disposition > Aligner les objets, puis sélectionnez une option d’alignement dans le sous-menu. À gauche : cette option positionne les objets de sorte que leur bord gauche soit aligné verticalement sur le premier objet que vous sélectionnez. Centrer : cette option positionne les objets de sorte que leur centre soit aligné verticalement sur le premier objet que vous sélectionnez. À droite : cette option positionne les objets de sorte que leur bord droit soit aligné verticalement sur le premier objet que vous sélectionnez. Populaires : cette option positionne les objets de sorte que leur bord supérieur soit aligné horizontalement sur le premier objet que vous sélectionnez. 98 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 99 Milieu : cette option déplace les objets verticalement de sorte que leur centre soit aligné horizontalement sur le premier objet que vous sélectionnez. Inférieur : cette option positionne les objets de sorte que leur bord inférieur soit aligné horizontalement sur le premier objet que vous sélectionnez. m Pour espacer uniformément des objets sur la diapositive, choisissez Disposition > Répartir les objets, puis sélectionnez une option dans le sous-menu. Horizontalement : règle l’espacement horizontal entre les objets. Verticalement : règle l’espacement vertical entre les objets. Vous pouvez aussi aligner des objets les uns par rapport aux autres en les faisant glisser et en vous servant des guides d’alignement qui vous permettent de déterminer s’ils sont correctement positionnés. Utilisation des guides d’alignement et d’espacement relatif Les guides d’alignement apparaissent et disparaissent lorsque vous faites glisser des objets sur le canevas. Il vous donnent ainsi des informations instantanées concernant la position de l’objet que vous faites glisser. Par exemple, des guides d’alignement peuvent apparaître chaque fois que des objets sont alignés par rapport à leur centre ou à leurs bordures. De même, des guides d’espacement relatif peuvent apparaître lorsque trois objets ou plus sont alignés sur le canevas. Si vous faites glisser un objet dans une ligne d’objets, afin qu’il soit équidistant du milieu de l’objet, les guides d’espacement relatif affichent la distance entre chaque paire d’objets dans les unités de la règle. Les guides de dimensionnement relatif apparaissent lorsque deux éléments ou plus alignés sur le canevas présentent la même hauteur ou largeur. Ces guides n’apparaissent que lorsque vous êtes en train de faire glisser un objet. Ils disparaissent dès que vous relâchez l’objet. Vous pouvez faire en sorte que les guides d’alignement et d’espacement relatif soient affichés dans des couleurs différentes afin de mieux distinguer ce qui est aligné lorsque vous déplacez des objets. Si vous activez les guides d’alignement ou que vous modifiez leurs couleurs, les réglages sont appliqués à tous les documents que vous ouvrez dans Keynote. Pour activer et personnaliser les guides d’alignement : 1 Pour définir des options de guides d’alignement, choisissez Keynote > Préférences, puis cliquez sur Règles. Sélectionnez l’option Alignement d’objet pour déterminer le moment où vous voulez que les guides d’alignement apparaissent : Pour afficher les guides lorsque le centre d’un objet est aligné avec le centre de la diapositive, sélectionnez « Afficher les guides au centre de l’objet ». Pour afficher les guides lorsque les bords d’un objet sont alignés avec un autre objet, sélectionnez « Afficher les guides sur les bords de l’objet ».2 Pour changer la couleur des guides d’alignement, cliquez sur la case de couleur Guides d’alignement, puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. 3 Pour définir des guides d’espacement relatif, sélectionnez les options Espacement et dimensionnement d’objet qui déterminent le moment où vous souhaitez que les guides apparaissent. Pour afficher la distance entre trois objets équidistants ou plus dans une ligne, sélectionnez « Afficher l’espacement relatif ». Pour afficher que les objets alignés ont la même hauteur ou largeur, sélectionnez « Afficher les tailles relatives ». 4 Pour changer la couleur des guides d’espacement ou de dimensionnement relatif, cliquez sur le cadre des couleurs adjacent et sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. 5 Pour afficher ou masquer les guides pendant que vous travaillez, choisissez Présentation > Afficher les guides ou Présentation > Masquer les guides. 6 Pour masquer momentanément les guides, maintenez la touche Commande enfoncée pendant que vous faites glisser un objet. Une autre manière d’aligner les objets consiste à utiliser le quadrillage sur le modèle de diapositive, ou à spécifier la position précise de l’objet en utilisant les coordonnées x et y sur la diapositive. Consultez les rubriques « Utilisation d’un quadrillage principal » à la page 101 et « Positionnement d’objets à l’aide de coordonnées x et y » à la page 101. Créer vos propres guides d’alignement selon vos besoins dans chaque diapositive peut vous aider à placer des objets dans la même position sur différentes diapositives. Création de vos propres guides d’alignement Vous pouvez également créer des guides d’alignement statique pour vous aider à aligner les objets sur une diapositive ou à les placer dans la même position sur différentes diapositives. Ces guides sont affichés en permanence dans le canevas, même lorsque vous abandonnez votre diapositive et que vous y revenez plus tard. Pour aligner des objets dans la même position sur différentes diapositives, placez les guides dans la même position sur chaque diapositive, puis utilisez ce guide pour vous aider à placer les objets. Pour créer un guide d’alignement : 1 Cliquez sur Affichage dans la barre d’outils, puis choisissez Afficher les règles. Remarque : Vous ne pouvez pas créer de guides d’alignement lorsque vous éditez du texte. Arrêtez l’édition du texte en sélectionnant un objet ou en cliquant sur le canevas de diapositive. 100 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 101 2 Placez le pointeur sur une règle et faites-la glisser dans le canevas. Un guide d’alignement apparaît. 3 Faites-le glisser sur la diapositive jusqu’à l’emplacement souhaité. 4 Pour supprimer un guide d’alignement que vous avez créé, faites-le glisser à l’extérieur de la diapositive. Les guides d’alignement n’apparaissent pas sur les diapositives imprimées ni au cours de la présentation. Utilisation d’un quadrillage principal En plus des guides d’alignement sur une diapositive, vous pouvez aligner des objets en activant un quadrillage vertical et horizontal pour la diviser en sections égales. Pendant que vous faites glisser un objet dans le canevas, il se « cale » sur le quadrillage à chaque fois qu’il est aligné avec une ligne par son centre ou sa bordure, en fonction de votre préférences d’alignement d’objet. Vous pouvez faire en sorte que le quadrillage principal s’affiche dans une couleur différente que les guides d’alignement et d’espacement relatif afin de mieux distinguer ce qui est aligné lorsque vous déplacez des objets. Pour activer le modèle de quadrillage : 1 Choisissez Keynote > Préférences, puis cliquez sur Règles. 2 Sélectionnez les cases Quadrillage principal horizontal, ou vertical ou les deux. 3 Saisissez une valeur en pourcentage dans le champ correspondant pour spécifier l’espacement souhaité pour le quadrillage. 4 Pour changer la couleur du quadrillage, cliquez sur le cadre de couleurs Quadrillage principal et sélectionnez-en une dans la fenêtre Couleurs. Pour masquer provisoirement le quadrillage, maintenez la touche Commande enfoncée tout en faisant glisser un objet. Le quadrillage peut être visible sur le modèle de diapositive mais n’apparaît pas sur les diapositives imprimées. Positionnement d’objets à l’aide de coordonnées x et y Vous pouvez placer des objets flottants exactement où vous voulez sur le canevas en spécifiant des coordonnées spatiales à partir de mesures effectuées avec une règle. Pour spécifier la position d’un objet à l’aide de ses coordonnées x et y : 1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez positionner. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures. 3 Tapez des valeurs x et y (conformément aux unités de mesure de la règle) dans les champs Position.Les coordonnées spécifiées déterminent la position du coin supérieur gauche du conteneur de l’objet. Si un objet effectue une rotation, les coordonnées x et y spécifient la position du coin supérieur gauche du conteneur de l’objet en rotation, qui peut être différente de la position originale.  La valeur X se mesure à partir du bord gauche du canevas.  La valeur Y se mesure à partir du bord supérieur du canevas. Lorsque vous positionnez des lignes en saisissant des coordonnées x et y dans l’Inspecteur des mesures, la coordonnée de début correspond à la première extrémité créée (ou au point d’extrémité supérieur gauche si vous n’avez pas encore tracé la ligne). Si vous retournez ou que vous faites pivoter cette ligne plus tard, la coordonnée de début continuera à indiquer cette même extrémité. Placez un trait en indiquant les coordonnées x et y du premier point. Indiquez les coordonnées x et y du deuxième point. Regroupement et dissociation d’objets Vous pouvez regrouper des objets afin qu’ils puissent être déplacés, copiés, redimensionnés et orientés comme un objet unique. Les objets regroupés peuvent également être composés sous forme d’objet unique lors de la composition d’objets. Vous pouvez modifier un objet individuel au sein d’un groupe sans avoir à dissocier le groupe au préalable. Il est possible de grouper à nouveau avec d’autres objets des objets qui sont déjà groupés, créant ainsi une hiérarchie d’objets groupés. Pour sélectionner un objet qui se trouve imbriqué dans plusieurs niveaux de regroupement, vous devez cliquer une fois sur chaque niveau de regroupement. Pour regrouper des objets : 1 Maintenez la touche Commande (ou Maj) enfoncée pendant que vous sélectionnez les objets que vous souhaitez regrouper. Si vous ne parvenez pas à sélectionner un objet, c’est qu’il est peut-être verrouillé ; vous devez d’abord le déverrouiller. 2 Choisissez Disposition > Grouper, ou cliquez sur Grouper dans la barre d’outils. Si vous groupez un objet comportant un effet de composition, l’effet est supprimé. Pour dissocier des objets : m Sélectionnez le groupe, puis choisissez Disposition > Dissocier ou cliquez sur Dissocier dans la barre d’outils. Si le groupe est verrouillé, déverrouillez-le au préalable. 102 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 103 Si vous ne parvenez pas à sélectionner un groupe d’objets, c’est qu’il est peut-être verrouillé ; vous devez d’abord le déverrouiller. Dégrouper un objet groupé auquel un effet de composition a été ajouté entraîne la suppression de cet effet de composition. Pour sélectionner un objet individuel qui a été regroupé avec d’autres objets : m Cliquez une première fois sur l’objet à modifier pour sélectionner le groupe, puis cliquez une nouvelle fois pour sélectionner l’objet individuel. Si le fait de cliquer une fois ne permet pas de sélectionner l’objet individuel souhaité, c’est qu’il est peut-être imbriqué dans plusieurs couches de regroupement. Cliquez à nouveau jusqu’à ce que l’objet souhaité soit sélectionné. Connexion d’objets au moyen d’une ligne ajustable Le moyen le plus simple de relier deux objets par une ligne consiste à utiliser une ligne de connexion (plutôt que de créer une ligne distincte au moyen d’une figure). Les deux objets connectés par une ligne demeurent connectés même si vous les repositionnez dans le canevas. Pour relier deux objets à l’aide d’une ligne de connexion : 1 Maintenez la touche Commande enfoncée tout en sélectionnant les deux objets à connecter, puis choisissez Insérer > Ligne de connexion. Une ligne droite apparaît entre les deux objets sélectionnés pour indiquer qu’ils sont connectés. Si vous déplacez chaque objet séparément, la ligne de connexion s’étire, rétrécit ou change de position pour garder les objets connectés. 2 Pour que la ligne de connexion soit courbe, faites glisser le point de modification blanc situé aux environs du centre de la ligne. Si vous faites glisser les objets pour les placer à des endroits différents sur le canevas, la courbe de la ligne est modifiée pour garder les objets connectés. 3 Pour créer un vide entre une extrémité de la ligne et l’un des objets connectés, afin qu’ils ne se touchent pas réellement, faites glisser le point de modification bleu situé en fin de ligne pour l’éloigner de l’objet qu’il touche. L’écart entre la ligne et l’objet connecté est maintenu au fur et à mesure que vous déplacez les objets. 4 Pour modifier la couleur, le style, l’épaisseur ou les extrémités de la ligne, utilisez les commandes de la barre des formats ou de l’inspecteur des graphismes, comme pour n’importe quel autre type de ligne. Pour obtenir des informations plus détaillées sur la modification de ces attributs, consultez la rubrique « de la modification de la taille, de l’orientation, du contour d’un objet, etc. » à la page 104.Verrouillage et déverrouillage des objets Vous pouvez verrouiller des objets afin d’éviter de les déplacer involontairement lorsque vous travaillez sur le document. Une fois que des objets individuels ou regroupés ont été verrouillés, il est impossible de les déplacer, de les supprimer ou de les modifier sans les avoir préalablement déverrouillés. Un objet verrouillé peut toutefois être sélectionné, copié ou dupliqué. Le résultat de la copie ou de la duplication d’un objet verrouillé est un nouvel objet également verrouillé. Pour verrouiller un objet : m Sélectionnez-le ou les objets à verrouiller, puis choisissez Disposition > Verrouiller. Pour déverrouiller un objet : m Sélectionnez-le ou les objets à déverrouiller, puis choisissez Disposition > Déverrouiller. de la modification de la taille, de l’orientation, du contour d’un objet, etc. Vous pouvez redimensionner les objets, changer leur orientation, modifier le style de leur bordure, leur ajouter des ombres et des reflets et ajuster leur opacité. Une fois que vous avez créé une apparence qui vous convient, il est facile de la copier directement sur d’autres objets. Redimensionnement des objets Vous pouvez redimensionner un objet en faisant glisser ses poignées, en définissant sa taille sur un certain pourcentage ou en tapant ces dimensions exactes. Voici plusieurs façons de redimensionner des objets : m Pour redimensionner un objet en le faisant glisser, sélectionnez-le, puis faites glisser l’une de ses poignées de sélection. Pour redimensionner un objet dans une seule direction, faites glisser une poignée latérale au lieu d’une poignée d’angle. Pour redimensionner l’objet à partir du centre, appuyez sur la touche Option tout en faisant glisser la souris. Pour conserver les proportions de l’objet, maintenez la touche Maj enfoncée lors du redimensionnement. Vous pouvez également cliquer sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquer sur le bouton Inspecteur des mesures, puis sélectionner « Conserver les proportions » avant de faire glisser l’objet. Pour afficher la taille d’un objet dont vous faites glisser une poignée de sélection, choisissez Keynote > Préférences, puis sélectionnez « Afficher la taille et la position des objets lors de leur déplacement » dans la sous-fenêtre Général. m Pour redimensionner un objet en utilisant des proportions exactes, sélectionnez-le, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures, puis utilisez les commandes Largeur et Hauteur. 104 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 105 m Pour redimensionner plusieurs objets à la fois, sélectionnez-les, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures, puis tapez de nouvelles valeurs dans les champs Largeurs et Hauteur. m Sélectionnez l’objet, puis cliquez sur Dimensions d’origine dans l’inspecteur Mesures. Si vous avez masqué une image de très grande taille, mais que vous ne devez utiliser que la version redimensionnée dans votre présentation, vous pouvez faire en sorte que Keynote ne conserve qu’une copie réduite de l’image, ce qui réduit la taille générale de votre document. Consultez la section « Réduction de la taille des fichiers d’image » à la page 85. Retournement et rotation d’objets Vous pouvez retourner ou faire pivoter n’importe quel objet. Par exemple, si vous disposez d’une image de flèche que vous souhaitez utiliser dans un document, mais de telle sorte que la flèche soit orientée dans l’autre sens, vous pouvez inverser sa direction verticalement ou horizontalement ou l’orienter en direction de n’importe quel angle. Voici plusieurs façons de changer l’orientation d’un objet : m Pour retourner un objet horizontalement ou verticalement, sélectionnez-le, puis choisissez Disposition > Retournement horizontal ou Disposition > Retournement vertical. Vous pouvez aussi cliquer sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquer sur le bouton Inspecteur des mesures, puis utiliser les boutons de retournement. m Pour faire pivoter un objet, sélectionnez-le, appuyez sur la touche Commande et maintenez-la enfoncée, déplacez le pointeur vers une poignée de sélection active jusqu’à ce qu’il se transforme en flèche courbe à deux têtes, puis faites glisser la poignée de sélection. Pour faire pivoter un objet de 45 degrés en 45 degrés, appuyez sur les touches Maj et Commande tout en faisant glisser une poignée de sélection. Vous pouvez aussi cliquer sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquer sur le bouton Inspecteur des mesures, puis faire glisser la molette de rotation ou utiliser les commandes Angle pour régler l’angle de l’objet. m Pour faire pivoter une figure en maintenant son texte en position horizontale, une fois la rotation de la figure effectuée, choisissez Format > Figure > « Réinitialiser les poignées de l’objet et du texte ».Modification du style des bordures Pour les figures, les éléments de graphiques, les zones de texte et les cellules de tableau, vous pouvez soit choisir un style et une couleur de ligne pour la bordure de l’objet, soit indiquer que vous ne souhaitez aucune bordure. Vous pouvez également placer une bordure autour des images importées. Vous pouvez définir un style et une couleur de ligne pour la bordure dans l’inspecteur des graphiques et dans la fenêtre Couleurs. Pour définir le style et la couleur du trait de la bordure d’un objet : 1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez modifier. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. 3 Choisissez Ligne dans le menu local Trait. 4 Choisissez un style de ligne dans le menu local. Pour les tableaux, seul un trait plein ou Aucun est disponible. Choisissez les points de terminaison de la ligne dans ces menus locaux. Cliquez sur le cadre de couleurs afin de choisir une couleur de trait. Sélectionnez l’épaisseur de la ligne. (L’abréviation « px » signifie pixels.) Choisissez un style de ligne. Choisissez Ligne. 5 Pour changer l’épaisseur du trait, saisissez une valeur dans le champ Trait (ou cliquez sur les flèches). 6 Pour changer la couleur du trait, cliquez sur le cadre de couleurs et sélectionnez une couleur. 7 Pour affecter des points de terminaison à la ligne, notamment une flèche ou un cercle, choisissez des points de terminaison gauche et droit dans les menus locaux. 106 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 107 Objets d’encadrement Vous pouvez entourer vos champs de texte, vos images, vos vidéos, vos figures et les emplacements réservés au contenu multimédia à l’aide de bordures également appelées cadres d’image. Cliquez sur cette flèche et sur la vignette pour choisir un style de cadre. Pour ajouter un cadre : 1 Sélectionnez un contenu multimédia ou un emplacement de contenu multimédia, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. 2 Choisissez Cadre d’image dans le menu local Trait, puis cliquez sur une vignette pour choisir un cadre. Pour modifier l’épaisseur de votre cadre, utilisez le curseur Échelle ou tapez un pourcentage spécifique dans le champ adjacent. (Certains cadres ne sont pas modifiables.) Pour changer de cadre : 1 Sélectionnez un objet ou un emplacement de contenu multimédia encadré, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. 2 Sélectionnez Cadre d’image dans le menu local Trait, cliquez sur la flèche qui se trouve à côté de la vignette pour choisir un autre cadre d’image. Pour retirer un cadre : m Sélectionnez un contenu multimédia ou un emplacement de contenu multimédia, puis choisissez un style de ligne (ou Aucun) dans le menu local Trait.Ajout d’ombres Les ombres créent une impression de profondeur sur vos diapositives. L’ombre d’un objet apparaît sur n’importe quel objet situé derrière. Vous pouvez créer une multitude d’effets d’ombre ou supprimer l’ombre d’un objet. Changez la couleur de l’ombre dans le cadre des couleurs. Sélectionnez la case afin d’ajouter une ombre à un objet sélectionné. Les valeurs dans Décalage, Flou et Opacité modifient l’aspect de l’ombre. Sélectionnez la case afin d’ajouter une ombre à un objet sélectionné. Pour ajouter une ombre à un objet ou à un texte : 1 Sélectionnez l’objet ou le texte. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. 3 Sélectionnez Ombre pour ajouter une ombre à l’objet. Désélectionnez Ombre pour supprimer une ombre existante. 4 Définissez l’orientation de l’ombre à l’aide des contrôles d’angle. 5 Pour définir la distance entre l’ombre et l’objet, utilisez les contrôles de décalage. Une valeur élevée de décalage de l’ombre fait apparaître l’ombre de l’objet plus longue et légèrement séparée de l’objet. 6 Pour adoucir le bord de l’ombre ou le rendre plus net, utilisez les contrôles de flou. Une valeur de flou plus élevée fait apparaître l’ombre de l’objet plus diffuse ; une valeur plus faible confère à l’ombre des bords mieux définis. 7 Pour modifier la transparence de l’ombre, indiquez un pourcentage dans le champ Opacité. N’utilisez pas le curseur Opacité qui se trouve en bas de l’inspecteur des graphismes, car il modifie l’opacité de l’objet plutôt que l’opacité de son nombre. 108 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 109 8 Pour changer la couleur de l’ombre, cliquez sur le cadre des couleurs de l’ombre, puis sélectionnez une couleur. Cet objet présente les propriétés d’ombre par défaut. L’ombre de cet objet est définie avec un angle différent. L’ombre de cet objet présente une valeur de décalage élevée. L’ombre de cet objet présente le facteur de flou le plus faible. Cet objet présente une couleur d’ombre différente. L’ombre de cet objet présente un facteur de flou élevé. Ajout d’un reflet Vous pouvez ajouter à un objet un reflet vertical vers le bas. Pour ajouter un reflet à un objet : 1 Sélectionnez l’objet. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. 3 Sélectionnez Reflet, puis faites glisser le curseur pour augmenter ou réduire l’intensité du reflet. Ajustement de l’opacité Vous pouvez créer des effets intéressants en rendant les objets plus ou moins opaques. Ainsi, lorsque vous placez un objet de faible opacité sur un autre objet, l’objet situé dessous transparaît via l’objet situé dessus. En fonction de la valeur définie pour l’opacité, les objets situés en dessous peuvent être facilement visibles, partiellement obscurcis ou totalement invisibles (opacité de 100 %). Pour changer l’opacité d’un objet : 1 Sélectionnez l’objet. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. 3 Faites glisser le curseur d’opacité ou saisissez un pourcentage dans le champ adjacent. Pour les figures, vous pouvez définir séparément l’opacité des couleurs de remplissage et de trait et celle de l’objet. Si vous déplacez le curseur Opacité dans la fenêtre Couleurs afin de modifier la couleur du remplissage ou du trait, cette valeur d’opacité devient l’opacité maximale de l’objet. Ensuite, lorsque vous modifiez l’opacité de l’objet dans l’Inspecteur des graphismes, vous la modifiez par rapport à l’opacité définie dans la fenêtre Couleurs. L’opacité du cercle est définie à 100 pour cent dans l’Inspecteur des graphismes. La couleur de remplissage a été définie sur une opacité de 50 % dans la fenêtre Couleurs. Le contour du cercle a été défini sur une opacité de 100 % dans la fenêtre Couleurs. L’opacité du cercle est définie à 100 pour cent dans l’Inspecteur des graphismes. L’opacité du cercle est définie à 50 pour cent dans l’Inspecteur des graphismes. Si vous modifiez l’opacité d’un objet, puis que vous ne parvenez plus à rétablir l’opacité à 100 pour cent de la couleur de remplissage de l’objet, c’est peut-être parce que l’opacité a été réglée sur une valeur inférieure à 100 pour cent dans la fenêtre Couleurs. Pour résoudre ce problème, sélectionnez l’objet, choisissez Présentation > Afficher les couleurs, puis réglez l’opacité sur 100 pour cent dans la fenêtre Couleurs. remplissage d’objets à l’aide de couleurs ou d’images Vous pouvez remplir les figures, les tableaux, les cellules de tableau, des éléments de graphique ou des arrière-plans de diapositives avec des couleurs unies, des dégradés de couleurs (couleurs qui fusionnent les unes avec les autres) ou des images. Remplir un objet avec une couleur unie Utilisez Inspecteur des graphismes pour remplir un objet avec une couleur unie. 110 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 111 Pour changer la couleur de remplissage d’un objet : 1 Sélectionnez l’objet. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. 3 Choisissez Remplissage couleur dans le menu local Remplissage. 4 Cliquez sur le cadre de couleurs qui se trouve au dessous du menu local Remplissage afin d’ouvrir la fenêtre Couleurs, puis sélectionnez une couleur dans cette fenêtre. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la fenêtre Couleurs, consultez la rubrique « La fenêtre Couleurs » à la page 25. Remplissage d’un objet à l’aide de dégradés de couleurs Pour créer des dégradés de couleurs destinés à remplir des objets, utilisez les options de l’inspecteur des graphiques. Les options élémentaires de Remplissage dégradé constituent le moyen le plus simple de fusionner deux couleurs en ligne droite. Les options Remplissage dégradé avancé vous permettent de fusionner plusieurs couleurs afin de créer un dégradé circulaire (radial). Pour ouvrir l’inspecteur des graphiques : m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. Pour remplir un objet à l’aide d’un dégradé linéaire (à deux couleurs) : 1 Dans l’inspecteur Graphismes, choisissez Remplissage dégradé dans le menu local Remplissage. Cliquez sur chaque cadre de couleur afin de sélectionner des couleurs. Inversez l’orientation du dégradé ou définissez son sens à l’aide des boutons fléchés ou de la molette Angle, ou encore en tapant une valeur. Cliquez sur la double flèche afin d’inverser le dégradé. 2 Cliquez sur chacune des cases de couleur pour choisir les couleurs à fusionner dans la fenêtre Couleurs. 3 Pour configurer une direction pour le dégradé, utilisez la molette ou le champ Angle. 4 Pour le retourner horizontalement ou verticalement, cliquez sur les boutons fléchés Angle. 5 Pour inverser le dégradé, cliquez sur la double flèche en regard des cadres de couleur.Pour remplir un objet à l’aide d’un dégradé à plusieurs couleurs : 1 Dans l’inspecteur Graphismes, choisissez Remplissage dégradé avancé dans le menu local Remplissage. 2 Pour ajouter une autre couleur au dégradé, maintenez le pointeur juste sous la bande du dégradé dans l’inspecteur, au niveau où la nouvelle couleur doit commencer. lorsqu’un signe plus (+) apparaît, cliquez pour ajouter une nouvelle commande de couleur. Ajouter une nouvelle commande de couleur pour chaque couleur à ajouter à votre dégradé. 3 Pour remplacer une couleur du dégradé, cliquez sur une commande de couleur (juste sous la bande du dégradé), puis sélectionnez une autre couleur dans la fenêtre Couleurs. Procédez de cette manière pour chacune des couleurs à ajouter à votre dégradé. 4 Pour supprimer une commande de couleur, faites-la glisser vers le bas en dehors de l’inspecteur. La commande disparaît. Vous devez avoir au moins deux commandes de couleur sous la bande du dégradé. 5 Pour modifier le degré de subtilité appliqué à la fusion des couleurs du dégradé, faites glisser les commandes de point de fusion (au-dessus de la bande du dégradé dans l’inspecteur). 6 Pour changer la direction d’un dégradé linéaire, utilisez la molette ou le champ Angle. 7 Pour inverser le dégradé, cliquez sur la double flèche en regard des cadres de couleur. Pour créer un dégradé radial : 1 Configurez les couleurs de votre dégradé, comme décrit dans les instructions de création de dégradés à plusieurs couleurs, ci-dessus. 2 Double-cliquez sur le bouton de dégradé radial en bas de fenêtre de l’inspecteur. 3 Ajustez l’aspect d’un dégradé radial en procédant de l’une des manières suivantes :  Pour recentrer le dégradé au sein de l’objet, faites glisser la petite commande circulaire de point de fusion bleue (au centre du dégradé, à l’intérieur de votre objet) et placez-la à l’endroit correspondant au nouveau centre. 112 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 113  Pour modifier le degré de subtilité de la fusion des couleurs le long du dégradé, faites glisser la commande circulaire de point de fusion en dehors de votre objet pour la rapprocher ou l’éloigner du centre du dégradé. Faites quelques essais en faisant glisser les commandes circulaires de point de fusion reliées à votre objet et les commandes de point de fusion situées au-dessus de la bande du dégradé dans l’inspecteur des graphismes jusqu’à ce que vous obteniez l’effet souhaité. 4 Pour inverser le dégradé, cliquez sur la double flèche en regard des cadres de couleur. Image de remplissage d’un objet Vous pouvez remplir une forme, une zone de texte, un tableau, des cellules de tableau, l’arrière-plan d’un graphique ou une série de graphiques avec une image. Pour remplir un objet avec une image : 1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez remplir. 2 Si l’Inspecteur des graphismes n’est pas ouvert, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des graphismes. 3 Dans Inspecteur des graphismes, sélectionnez Remplissage par image ou Remplissage par image teintée, puis choisissez une image. Vous pouvez aussi sélectionner l’image en faisant glisser le fichier image du Finder ou du Navigateur de média jusque dans le cadre d’images de l’inspecteur des graphismes. vous pouvez faire glisser une image vers une cellule de tableau ou une série de graphiques. Définissez la taille de l’image dans l’objet via le menu local. Pour changer l’image, faites glisser une image vers le cadre d’image. 4 Choisissez une échelle d’image dans le menu local. Ajuster : redimensionne l’image afin qu’elle s’adapte au mieux aux dimensions de l’objet. Si la forme de l’objet est différente de celle de l’image d’origine, il se peut que des parties n’apparaissent pas ; un espace vide peut également apparaître autour de l’image. Remplir : fait paraître l’image plus grande ou plus petite en la dimensionnant de façon à ne laisser qu’un espace minimum autour d’elle, même si elle n’a pas la même forme que l’objet. Étirer : permet d’adapter les dimensions de l’image à celles de l’objet. Toutefois, elle produit une distorsion de l’image si la forme de l’objet est différente de celle de l’image d’origine.Dimensions d’origine : place l’image dans l’objet sans modifier ses dimensions d’origine. Si l’image est plus grande que l’objet, vous ne voyez qu’une partie de l’image dans l’objet. Si l’image est plus petite que l’objet, elle est entourée d’espace vide. Mosaïque : répète l’image à l’intérieur de l’objet si celle-ci est plus petite que l’objet. Si l’image est plus grande que l’objet, vous ne voyez qu’une partie de l’image dans l’objet. Ajuster Étirer Dimensions d’origine Mosaïque (grande image) Remplir Mosaïque (petite image) Mosaïque (grande image) 5 Si vous choisissez Remplissage par image teintée, cliquez sur le cadre de couleurs (à droite du bouton Choisir) pour choisir une couleur de teinte. Faites glisser le curseur Opacité dans la fenêtre Couleurs afin de rendre la teinte plus foncée ou plus claire. (Si vous faites glisser le curseur Opacité dans l’inspecteur des graphismes, l’opacité de la teinte et de l’image change.) Cliquez pour sélectionner une couleur de teinte pour l’image. Copie d’un style d’objet sur un autre objet Une fois que vous avez créé un effet visuel sur un texte, des figures ou un tableau (ou des cellules individuelles d’un tableau) que vous souhaitez réutiliser, vous pouvez le copier et le coller sur d’autres objets du même type, afin de ne pas avoir à répéter les mêmes actions pour chacun d’eux. Les styles de texte peuvent être collés uniquement sur du texte ; les styles d’objet peuvent être collés sur d’autres objets. Pour copier des styles sur d’autres objets : 1 Sélectionnez le texte, la figure, les cellules du tableau dont vous souhaitez réutiliser les effets. 2 Choisissez Format > Copier le style 3 Sélectionnez le tableau ou les cellules à mettre en forme. 4 Choisissez Format > Coller le style 114 Chapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objetsChapitre 5 Utilisation d’images, de figures et d’autres objets 115 Utilisation de MathType Si vous avez installé MathType 6, vous pouvez l’ouvrir dans Keynote et l’utiliser pour taper des expressions et des équations mathématiques. Après avoir créé une équation dans MathType 6, vous pouvez la manipuler comme une image dans Keynote. Pour taper une équation à l’aide de MathType 6 dans Keynote : 1 Choisissez Insérer > Équation MathType. MathType 6 s’ouvre et l’équation « E=mc 2 » apparaît. 2 Double-cliquez sur l’équation et saisissez l’équation voulue à l’aide de la fenêtre et des outils de l’application MathType 6. Pour obtenir des instructions spécifiques concernant l’utilisation de cette application, consultez l’Aide de MathType 6. 3 Une fois que vous avez terminé de taper votre équation, choisissez Fichier > « Fermer et retourner dans Keynotes », puis cliquez sur Oui dans la fenêtre qui s’affiche pour enregistrer l’équation. 4 Faites glisser l’équation et déposez-la où vous voulez sur votre diapositive. Après avoir fermé MathType 6, Keynote traite l’équation comme s’il s’agissait d’un objet que vous pouvez repositionner, redimensionner, réorienter, regrouper, superposer ou même masquer comme une image. Sachez toutefois que si vous masquez l’équation, vous devrez la démasquer pour pouvoir la modifier. 5 Pour modifier l’équation, double-cliquez dessus pour ouvrir MathType 6 à nouveau.116 Apprenez à travailler avec des fichiers audio et vidéo que vous pouvez lire dans votre diaporama et apprenez à créer des diaporamas à lecture automatique avec une narration enregistrée. Vous pouvez ajouter de la vie à votre diaporama en ajoutant une bande sonore ou en diffusant de la musique, un effet sonore ou une séquence à tout moment sur une diapositive. Keynote propose également des outils permettant d’enregistrer une narration en voix off pour votre diaporama, ce qui est particulièrement utile pour les diaporamas en lecture automatique. Types de sons et de séquences lisibles dans Keynote Vous pouvez ajouter de l’audio (un fichier de musique ou une liste de lecture issu(e) de votre bibliothèque iTunes, ou n’importe quel autre fichier son) à un document Keynote. Keynote accepte tous les types de fichiers reconnus par QuickTime ou iTunes, y compris :  MOV  MP3  MPEG-4  AIFF  AAC Sachez également que certains fichiers multimédias sont protégés par les lois relatives à la propriété intellectuelle. Certains morceaux de musique téléchargés ne peuvent être lus que sur l’ordinateur à partir duquel ils ont été téléchargés. Assurez-vous que l’ordinateur que vous utilisez a la permission de lire tous les fichiers multimédia inclus dans votre diaporama. 6 Ajout de sons et de séquencesChapitre 6 Ajout de sons et de séquences 117 Lorsque vous ajoutez des fichiers multimédia, assurez-vous qu’ils seront disponibles si vous transférez votre document vers un autre ordinateur. Lorsque vous enregistrez votre document, assurez-vous que l’option « Copier l’audio et la vidéo dans le document » est sélectionnée dans la fenêtre Enregistrer. (Si cette option n’est pas visible, cliquez sur le bouton situé en regard du champ Enregistrer pour afficher la totalité de la fenêtre d’enregistrement, puis cliquez sur le triangle d’affichage Options avancées.) À propos de l’ajout d’audio à votre diaporama Vous pouvez ajouter du son à votre diaporama de l’une des manières suivantes :  Sur une diapositive individuelle : le son est lu uniquement sur une diapositive. Vous pouvez lancer et arrêter la lecture du son à tout moment pendant l’affichage de la diapositive. Lorsque vous passez à la diapositive suivante, la lecture du son s’arrête automatiquement. Pour savoir comment ajouter un fichier son ou une liste de lecture qui sera lu(e) uniquement sur une diapositive individuelle, voir « Ajout de son à une diapositive individuelle » à la page 117.  Comme bande sonore de tout le diaporama : la lecture du fichier audio commence dès le début du diaporama et s’arrête à la fin du fichier ou du diaporama (selon celui qui dure le plus longtemps). Vous pouvez également choisir de lire le fichier audio une seule fois, en boucle ou vers l’avant puis vers l’arrière. Pour savoir comment utiliser un fichier son ou une liste de lecture comme bande sonore d’un diaporama, voir « Ajout d’une bande sonore à un diaporama » à la page 118.  Comme une narration en voix off : vous pouvez créer un enregistrement synchronisé de vos commentaires à propos de chaque diapositive. Cet enregistrement sera lu pendant toute la durée du diaporama. Pour en savoir plus sur la création d’un diaporama enregistré, voir « Enregistrement d’une narration en voix off » à la page 119. Ajout de son à une diapositive individuelle Il existe différentes manière d’ajouter du son à une diapositive : m Faites glisser un fichier du Finder vers n’importe quel endroit du canevas de diapositive ou vers un paramètre fictif multimédia. m Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils, choisissez iTunes dans la sous-fenêtre Audio du navigateur multimédia, sélectionnez une liste de lecture, puis faites glisser un fichier ou une liste de lecture vers n’importe quel endroit du canevas (y compris un paramètre fictif de média).Dans le canevas de diapositive, le fichier son est représenté par une icône en forme de haut-parleur, mais cette icône n’apparaît pas lorsque vous lisez le diaporama. contrôler à quel moment la musique commence et s’arrête, sélectionnez l’icône du fichier son, puis définissez les options de lecture et utilisez les effets Démarrer audio et Arrêter audio dans l’Inspecteur des compositions. Pour en savoir plus, consultez « Réglage des options de lecture des fichiers multimédias » à la page 122 et « Création de compositions de séquence » à la page 143. Ajout d’une bande sonore à un diaporama Un fichier ajouté en tant que bande sonore est toujours lu depuis le début. Pour ajouter une bande sonore : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des documents. 2 Cliquez sur le bouton Audio. Le bouton Inspecteur des documents. Faites glisser un fichier audio ici pour le lire tout au long du diaporama. Pour répéter le fichier audio, choisissez Lecture en boucle. Réglez le volume de la bande son. Bouton Audio. Écoutez votre fichier audio. 3 Procédez de l’une des manières suivantes : Pour ajouter un morceau ou une liste de lecture de votre bibliothèque iTunes, cliquez sur Bibliothèque iTunes. Localisez le morceau ou la liste de lecture souhaité(e), puis faites glisser le morceau ou la liste de lecture du navigateur multimédia vers le cadre Audio dans l’inspecteur des documents. Notez que si vous modifiez la liste de lecture dans iTunes, les modifications ne seront pas prises en compte dans votre bande sonore tant que vous n’aurez pas ajouté à nouveau la liste de lecture. Pour ajouter un fichier audio depuis le Finder, faites-le glisser de votre bureau vers le cadre audio dans l’inspecteur des documents. 118 Chapitre 6 Ajout de sons et de séquencesChapitre 6 Ajout de sons et de séquences 119 4 Pour qu’un morceau ou une liste de lecture soit lu(e) en boucle pendant toute la durée de la présentation, choisissez Boucle dans le menu local adjacent au cadre audio. 5 Pour écouter un extrait du morceau pendant que vous travaillez sur votre diaporama, cliquez sur le bouton Lire sous le cadre audio. Enregistrement d’une narration en voix off Pour enregistrer une narration en voix off, vous commentez chaque diapositive tout au long du diaporama, à un rythme naturel. Au fur et à mesure que vous progressez à travers les diapositives ou compositions, votre minutage est également enregistré et sera conservé lorsque le diaporama sera diffusé aux spectateurs. Pour enregistrer la voix off, vous pouvez utiliser le micro intégré à l’ordinateur ou un micro externe. Si vous utilisez un micro externe, commencez par le raccorder, puis utilisez la sous-fenêtre Son des Préférences Système pour configurer les réglages d’entrée. Pour enregistrer une narration en voix off : 1 Sélectionnez la diapositive à partir de laquelle vous souhaitez commencer l’enregistrement. Si vous sélectionnez une diapositive ignorée, l’enregistrement commence par la diapositive précédente la plus proche. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Ouvrez Inspecteur des documents, cliquez sur Audio, puis sur Enregistrer.  Choisissez Fichier > Enregistrer le diaporama. La lecture du diaporama commence. Un témoin lumineux rouge intermittent dans l’angle supérieur gauche de l’écran indique que l’enregistrement est en cours. 3 Au fur et à mesure de la lecture de la présentation, parlez dans le micro pour enregistrer votre narration. 4 Pour passer à la diapositive suivante, cliquez avec le bouton de la souris ou appuyez sur la touche Flèche droite. 5 Pour mettre en pause l’enregistrement, cliquez sur l’indicateur d’enregistrement rouge ou appuyez sur l’une des touches suivantes : W : écran blanc F : bloquer B : écran noir Appuyez sur une touche quelconque pour reprendre l’enregistrement. 6 Une fois l’enregistrement de toutes les diapositives que vous souhaitez inclure dans votre narration en voix off terminé, appuyez sur la touche Échap pour arrêter la lecture du diaporama et enregistrer l’enregistrement.Dans la sous-fenêtre Document de l’inspecteur des documents, notez que l’option Enregistré apparaît désormais dans le menu local Présentation. Un diaporama enregistré est lu uniquement à partir de la première diapositive enregistrée (celle que vous avez sélectionnée à l’étape 1 ci-dessus). Si vous cliquez sur Lire dans la barre d’outils et que la présentation ne démarre pas comme prévu, vérifiez que l’option Enregistré est sélectionnée dans le menu local Présentation de l’inspecteur des documents. 7 Pour écouter la narration sans lire le diaporama, cliquez sur le bouton Lire de la sousfenêtre Audio de l’inspecteur des documents. Réglez le volume en faisant glisser le curseur de volume. Réenregistrement d’une narration en voix off dans un diaporama enregistré Si vous avez enregistré un diaporama et que vous avez modifié certaines de ses diapositives ou que vous avez ajouté de nouvelles diapositives à la fin, l’enregistrement risque d’être désynchronisé par rapport aux diapositives. Vous pouvez réenregistrer l’ensemble du diaporama ou compléter la narration à la fin de celui-ci pour inclure les nouvelles diapositives ajoutées. Pour réenregistrer une narration en voix off ou compléter une narration en voix off existante : 1 Sélectionnez la diapositive à partir de laquelle vous souhaitez commencer le nouvel enregistrement 2 Ouvrez Inspecteur des documents et cliquez sur Audio. 3 Cliquez sur Enregistrement. 4 Si la diapositive sélectionnée a été enregistrée auparavant, effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour remplacer l’enregistrement précédent, en commençant par la diapositive sélectionnée, cliquez sur Enregistrer & remplacer. Si l’enregistrement précédent commençait avant la première diapositive réenregistrée, sa portion initiale reste intacte.  Pour remplacer intégralement l’enregistrement, cliquez sur Enregistrer du début. 5 Si la diapositive sélectionnée n’a pas été enregistrée auparavant, effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour ajouter le nouvel enregistrement à la fin de l’enregistrement précédent, cliquez sur Enregistrer & ajouter.  Pour remplacer intégralement l’enregistrement, cliquez sur Enregistrer du début. Suppression d’une narration en voix off d’un diaporama enregistré Vous pouvez supprimer une narration en voix off d’un diaporama enregistré. Une fois la narration supprimée, le type de présentation reviendra à Normal dans le menu local Présentation de la sous-fenêtre Document de l’inspecteur des documents. 120 Chapitre 6 Ajout de sons et de séquencesChapitre 6 Ajout de sons et de séquences 121 Pour supprimer une narration en voix off, effectuez l’une des opérations suivantes : m Ouvrez l’inspecteur des documents, cliquez sur Audio, puis sur Effacer. m Choisissez Fichier > Effacer l’enregistrement. Ajout d’une séquence à une diapositive Les séquences peuvent être placées sur les paramètres fictifs ou à n’importe quel endroit du canevas de diapositive. Elles peuvent également être déplacées à l’intérieur et à l’extérieur d’une diapositive, ou lancées et arrêtées lorsque l’intervenant clique, à l’aide des compositions d’objet. (Pour plus de détails, consultez la section « Création de compositions de séquence » à la page 143.) Voici plusieurs façons d’ajouter une séquence : m Faites glisser un fichier de séquence du Finder vers le canevas de diapositive ou vers un paramètre fictif multimédia. m Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils, puis cliquez sur Vidéos dans le navigateur multimédia. Sélectionnez un fichier, puis faites-le glisser vers le canevas de diapositive ou un paramètre fictif multimédia. m Choisissez Insérer > Choisir, puis naviguez jusqu’au fichier vidéo à insérer. Sélectionnezle, puis cliquez sur Insérer Faites glisser la séquence vers l’endroit souhaité du canevas de diapositive. Pour en savoir plus sur la lecture d’une séquence au cours d’un diaporama, voir « Lecture de séquences » à la page 241. Ajout d’un cadre autour d’une vidéo La mise en place d’un cadre d’image autour d’une séquence est une manière attrayante de l’afficher sur une diapositive. Pour ajouter un cadre d’image, utilisez les réglages de trait de l’inspecteur des graphismes. Pour encadrer une vidéo : 1 Sélectionnez la vidéo, puis cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils pour ouvrir la fenêtre du même nom. Cliquez sur le bouton Graphismes dans la fenêtre de l’inspecteur. 2 Choisissez Cadre d’image dans le menu local Trait. 3 Cliquez sur le cadre d’image qui apparaît en dessous du menu local Trait et sélectionnez un style de cadre. 4 Faites glisser le curseur Échelle ou spécifiez un pourcentage pour définir l’épaisseur du cadre.Réglage des options de lecture des fichiers multimédias Si vous ne souhaitez pas utiliser un fichier audio ou de séquence complet dans votre diaporama, mais que vous souhaitez limiter la lecture à certaines portions uniquement, vous pouvez le configurer dans l’Inspecteur QuickTime. Vous pouvez également définir l’affiche de votre vidéo (affiche présentée avant la lecture de la vidéo), ainsi que d’autres options de lecture. Définissez le volume de lecture. Choisissez de lancer votre séquence à la suite d’un clic (plutôt que lorsque la diapositive apparaît). Le bouton Inspecteur QuickTime Sélectionnez les images de début et de fin de lecture de la séquence. Sélectionnez l’image à afficher en attendant le démarrage de la lecture de la séquence. Définissez les options de répétition de lecture. Utilisez ces contrôles pour afficher la séquence ou écouter le fichier son lorsque vous modifiez le diaporama. Les boutons Lire, Pause, Avance rapide et Retour rapide disponibles dans l’Inspecteur QuickTime vous permettent de lire et d’obtenir un aperçu de votre séquence lorsque vous définissez les préférences de lecture décrites ici. Pour définir les préférences de lecture multimédia : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur QuickTime. 2 Cliquez sur l’objet vidéo ou audio pour le sélectionner. 3 Si vous souhaitez qu’une partie seulement de la séquence soit lue au cours de votre présentation, définissez les images ou les heures de début et de fin en faisant glisser les curseurs Début et Fin. 4 Pour définir l’image fixe de la séquence que les spectateurs verront jusqu’au début de la lecture de la séquence, faites glisser le curseur Affiche jusqu’à ce que l’image souhaitée s’affiche. 5 Pour retarder le début de la séquence jusqu’à ce que l’intervenant clique avec la souris, sélectionnez « Démarrer la séquence au clic de souris ». 6 Choisissez une option de répétition dans le menu local Répétition : Aucun : une seule lecture. Boucle : lecture en continu. Lecture en boucle dans les 2 sens : lecture en continu vers l’avant et vers l’arrière. 122 Chapitre 6 Ajout de sons et de séquencesChapitre 6 Ajout de sons et de séquences 123 7 Pour augmenter ou réduire le volume de lecture, faites glisser le curseur de volume vers la droite ou vers la gauche. Lorsque votre séquence est lue pendant votre diaporama, les commandes de lecture apparaissent lorsque vous placez le pointeur sur la séquence. Pour en savoir plus sur le contrôle de la lecture de votre fichier audio ou de séquence au cours de votre présentation, voir « Lecture de séquences » à la page 241. Réduction de la taille des fichiers multimédias L’intégration de fichiers audio et de séquence dans votre document Keynote peut augmenter considérablement la taille globale du document. Si vous n’utilisez qu’une partie du fichier audio ou de séquence dans votre diaporama, vous pouvez supprimer les parties inutilisées du fichier audio ou vidéo pour réduire la taille du document Keynote. Vous pouvez choisir de réduire la taille des différents fichiers multimédia ou de réduire la taille de tous les fichiers multimédia du document qui ne sont pas complètement utilisés (y compris les fichiers image masqués ou redimensionnés). Avant de réduire la taille des fichiers vidéo ou audio, vous devez d’abord les enregistrer comme partie intégrante de votre document. Pour en savoir plus sur cette opération, consultez la rubrique « Enregistrement d’une présentation » à la page 33. Pour réduire la taille de fichier de votre document, effectuez l’une des opérations suivantes : m Pour réduire la taille d’un fichier individuel de votre document, sélectionnez un fichier audio ou vidéo pour lequel vous avez défini les curseurs Début et Fin pour exclure certaines parties du fichier, ou un fichier image que vous avez masqué ou redimensionné à une taille inférieure, puis choisissez Format > Image > « Réduire la taille du fichier multimédia ». m Pour réduire la taille de tous les fichiers multimédia de votre document, assurez-vous qu’aucun fichier audio, de séquence ou image n’est sélectionné, puis choisissez Fichier > « Réduire la taille du fichier ». Après avoir réduit la taille de votre fichier audio ou vidéo, vous ne pourrez plus rétablir la durée originale du fichier, ni visionner les parties que vous avez éliminées. Si vous avez réduit la taille d’un fichier image masqué ou redimensionné, vous ne pourrez plus le restaurer à une taille supérieure sans perdre en qualité d’image. Si vous changez d’avis et que vous souhaitez restaurer le fichier complet, vous devrez ajouter à nouveau le fichier à votre diapositive. Il est impossible de réduire de cette manière certains types de fichiers vidéo.124 Les transitions entre les diapositives et les compositions d’objet peuvent créer un attrait visuel pour votre diaporama et mettre l’accent sur vos points. Keynote fournit diverses transitions nettes et romancées et des effets de composition pour vous aider à créer une présentation dynamique. Une fois que vous avez créé et organisé vos diapositives, vous pouvez ajouter des effets animés qui sont lus entre les diapositives et déplacent des objets sur les diapositives. Il existe trois types d’animation de base que vous pouvez utiliser dans votre diaporama :  Les transitions ménagent des effets visuels lorsque vous passez d’une diapositive à une autre.  Les compositions d’objet (ou effets de composition) déplacent des objets à l’intérieur et à l’extérieur des diapositives (les objets apparaissent et disparaissent).  Les actions d’objets animent les objets dans une diapositive en les faisant bouger, pivoter, en modifiant leur taille ou leur opacité. 7 Ajout de mouvements dans les diaporamasChapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamas 125 Ajout de transitions entre les diapositives Vous pouvez définir la vitesse de lecture d’une transition de diapositive. Configurez les transitions de diapositive dans la sous-fenêtre Transition de l’Inspecteur des diapositives. Réglez la direction de la transition. Choisissez le mode de démarrage de la transition. Cliquez pour obtenir un aperçu de la transition. Le bouton Inspecteur des diapositives Choisissez une transition. Certaines transitions ont des options supplémentaires. Réglez la durée de la transition. Réglez le point de démarrage des transitions en mode lecture automatique. Pour ajouter un effet de transition après une diapositive sélectionnée : 1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils puis cliquez sur le bouton Inspecteur des diapositives. Cliquez sur Transition. 2 Choisissez une option dans le menu local Effet, où les transitions sont regroupées par type, comme décrit ci-dessous. Si la mention « Effets ne pouvant pas être lus sur cet ordinateur » apparaît, cela signifie que les transitions énumérées ensuite nécessitent une carte graphique haut de gamme dont vous ne disposez pas sur votre ordinateur. Certains types de transition fonctionnent mieux avec certains types de contenu. Ces transitions « sensibles au contenu » créent des effets en fonction des images ou du texte de vos diapositives. Les trois premiers ensembles de transitions décrits ci-dessous sont des transitions sensibles au contenu. Magic Move : Déplace et redimensionne les images et le texte qui apparaissent sur la diapositive en cours et sur la diapositive suivante. Au cours de la transition, les objets sont déplacés vers leur nouvelle position et redimensionnés dans la diapositive suivante. Cette transition fonctionne uniquement lorsque vous utilisez une image, une figure ou une zone de texte identique à un emplacement différent ou de taille différente dans la diapositive suivante.Effets de texte : Déplacent les lettres individuellement sur la diapositive lorsque le texte d’une diapositive est transféré au texte de la diapositive suivante. Les effets de texte sont plus efficaces lorsque la transition est effectuée entre deux diapositives contenant une majorité de texte. Un exemple d’effet de texte est la transition Anagramme. Effets sur les objets : Déplacent toutes les images en même temps sur la diapositive en les faisant entrer dans ou sortir de celle-ci. Les effets sur les objets sont plus efficaces lorsqu’ils sont utilisés entre deux diapositives contenant une majorité d’images. Effets 3D : Créent des effets visuels tridimensionnels qui sortent la diapositive de l’écran tandis que la diapositive suivante apparaît. Ces effets ne dépendent pas du contenu de la diapositive mais nécessitent une carte graphique haut de gamme pour un résultat harmonieux. Effets 2D : Créent des effets visuels bidimensionnels qui sortent la diapositive de l’écran tandis que la diapositive suivante apparaît. Effets récents : Conserve une liste des cinq dernières transitions utilisées, ce facilite la sélection des effets lorsque vous ajoutez de nouvelles diapositives. 3 Pour obtenir un aperçu d’une transition dans la fenêtre Inspecteur, cliquez sur sa vignette dans la sous-fenêtre Transition. Vous pouvez également cliquer sur Lire dans la barre d’outils pour visualiser l’animation en plein écran. 4 Pour modifier la durée de la transition, saisissez une valeur dans le champ Durée (ou cliquez sur les flèches). 5 Choisissez une option dans le menu local Direction (non applicable à tous les effets). 6 Choisissez une option dans le menu local Commencer la transition. Si vous souhaitez ne lancer la transition qu’après avoir cliqué pour passer à la diapositive suivante, choisissez « Au clic de souris ». Si vous souhaitez que la transition commence automatiquement après l’affichage de la diapositive en cours pendant une durée prédéterminée, choisissez Automatiquement. Dans le champ Délai, spécifiez la durée d’affichage de la diapositive en cours avant le lancement de la transition vers la diapositive suivante. 7 Si vous avez choisi un effet avec des options supplémentaires (comme Mosaïque, Échange ou Fondu couleur), sélectionnez vos réglages. 126 Chapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamasChapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamas 127 Si vos transitions Cube ou Miroir apparaissent rognées lorsque vous exécutez votre diaporama : des portions de la transition Cube ou Miroir risquent de ne pas être visibles si l’option « Agrandir les diapositives pour qu’elles occupent tout l’écran » est sélectionnée dans la sous-fenêtre Diaporama des préférences de Keynote. Pour que ces transitions ne soient pas rognées durant le diaporama, désélectionnez « Agrandir les diapositives pour qu’elles occupent tout l’écran » ou choisissez l’une des deux options « Réduire les transitions pour éviter le découpage » (voire les deux) dans la sous-fenêtre Diaporama des préférences. (Choisissez Keynote > Préférences, puis cliquez sur Diaporama.) Astuces pour créer une transition Magic Move Magic Move ne fonctionne pas avec les tableaux, les graphiques et les vidéos. Pour optimiser la transition Magic Move, dupliquez la diapositive, puis appliquez la transition Magic Move entre l’original et le double. Pour configurer une transition Magic Move : 1 Créez une diapositive et placez les objets (texte, figures, images) à l’endroit souhaité. 2 Sélectionnez la diapositive dans le navigateur de diapositives et appuyez sur Commande + D pour la dupliquer. 3 Sur la copie de la diapositive, repositionnez et redimensionnez tout ou partie du texte, des figures ou des images de la diapositive. 4 Ajoutez le texte ou les images supplémentaires que vous souhaitez ajouter à la diapositive copiée et supprimez tous les objets dont vous ne voulez pas. 5 Sélectionnez la première diapositive de la paire et appliquez la transition Magic Move. Astuces pour créer une transition à l’aide d’effets de texte Les transitions avec effet de texte incluent Anagramme, Scintillement, Étincelle et Balancement. Pour optimiser les transitions avec effet de texte, utilisez deux diapositives consécutives contenant une majorité de texte simple avec des lettres en commun. Appliquez la même police et la même taille de texte aux deux diapositives. Pour les transitions Anagramme et Balançoire, assurez-vous que le texte est également placé dans la même position dans les deux diapositives. Pour configurer une transition avec effet de texte : 1 Créez une diapositive contenant une majorité de texte simple (par exemple, un titre ou un slogan court). 2 Sélectionnez la diapositive dans le navigateur de diapositives et appuyez sur Commande + D pour la dupliquer. 3 Dans la copie de la diapositive, supprimez le texte existant et tapez le texte que vous souhaitez insérer.Assurez-vous que le nouveau texte est simple et contient au moins quelques lettres en commun avec la première diapositive. 4 Sélectionnez la première diapositive de la paire et appliquez la transition avec effet de texte de votre choix. Astuces pour créer une transition à l’aide d’effets sur les objets Les transitions avec effet sur les objets incluent le fait de pousser l’objet, d’effectuer un zoom sur l’objet, de le mettre en perspective ou de le faire pivoter. Pour optimiser les transitions avec effet sur les objets, utilisez deux diapositives consécutives contenant une majorité d’images ou d’autres grands graphiques. Pour configurer une transition avec effet sur les objets : 1 Créez une diapositive contenant plusieurs images de grande taille (par exemple des photos ou de grands logos). 2 Créez une seconde diapositive, immédiatement après la première, contenant également plusieurs images volumineuses. 3 Sélectionnez la première diapositive de la paire et appliquez la transition avec effet sur les objets de votre choix. À propos de l’animation de diapositives avec des compositions d’objet Les compositions d’objet permettent d’animer des éléments, individuellement ou par groupes, dans une diapositive :  Les effets Composition entrante entraînent l’apparition ou l’entrée d’éléments sur une diapositive, tandis que les effets Composition sortante entraînent la disparition ou la sortie d’éléments d’une diapositive.  Les Compositions d’action animent les éléments à l’intérieur d’une diapositive.  Les Compositions intelligentes sont des compositions d’action prédéfinies permettant d’animer des images à l’intérieur d’une diapositive. Vous pouvez créer plusieurs compositions d’objet dans une même diapositive et appliquer plusieurs compositions au même objet. Vous pouvez, par exemple, afficher un texte à puces ligne par ligne. Vous pouvez afficher une à une les différentes parties d’un graphique pour attirer l’attention de l’assistance ou créer un effet de surprise. Vous pouvez faire apparaître de droite à gauche une image sur une diapositive, puis la faire disparaître de gauche à droite. Après avoir configuré vos compositions, vous pouvez en modifier l’ordre. 128 Chapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamasChapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamas 129 Utilisation d’effets de composition pour faire apparaître ou disparaître des objets sur des diapositives Pour faire apparaître ou disparaître des éléments dans une diapositive, ouvrez la diapositive achevée (tous les éléments sont visibles), puis définissez une composition pour chaque élément à afficher ou à masquer. Pour déplacer automatiquement un objet dans ou en dehors d’une diapositive : 1 Dans une diapositive, sélectionnez l’objet à faire apparaître ou disparaître. Cliquez en appuyant sur la touche Maj pour sélectionnez plusieurs objets. 2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils et sur le bouton Inspecteur des compositions. 3 Pour faire entrer l’objet sélectionné dans la diapositive, cliquez sur Compo. entrante. Pour faire sortir l’objet sélectionné de la diapositive, cliquez sur Compo. sortante. Construisez des objets comme un tout ou en partie. Le bouton Inspecteur des compositions Utilisez les animations Version entrante pour faire entrer les éléments sur une diapositive, et les animations Version sortante pour déplacer les éléments hors-diapositive. Donnez des temps individuels à des éléments ou entrelacez-les. Configurez la durée de la composition. Choisissez les éléments à inclure. Ouvrez le tiroir Ordre de composition pour réordonner les compositions. Configurez le type d’animation, le sens et l’ordre de la version de chaque objet. Cliquez pour prévisualiser la composition. 4 Choisissez une option dans le menu local Effet. Si vous appliquez un effet à l’aide d’une composition intelligente, vous verrez « Utiliser composition intelligente » dans le menu des effets. Pour en savoir plus, consultez « Création d’une série d’images sur une seule diapositive (compositions intelligentes) » à la page 135. 5 Pour changer la direction d’entrée ou de sortie de l’objet dans la diapositive, choisissez une option dans le menu local Direction. (Tous les effets n’offrent pas cette option.) 6 Pour changer le fait qu’un objet apparaisse sur la diapositive tout d’un coup ou partie par partie, choisissez une option dans le menu local Apparition.Les options disponibles dans le menu local Apparition dépendent de l’objet sélectionné. Par exemple, pour un tableau, les options proposées comprennent la composition par ligne et la composition par colonne ; les options de texte comprennent la composition par paragraphe. Pour en savoir plus, consultez « À propos de l’animation de textes à puces, de tableaux et de graphiques » à la page 140. 7 Pour définir la durée d’affichage ou de masquage d’un objet (ou d’un élément d’objet), saisissez une valeur dans le champ Durée (ou cliquez sur les flèches). Pour apprendre à définir des minutages différents, changer l’ordre de composition ou automatiser la composition d’éléments individuels, sélectionnez « Définir des minutages séparés pour les éléments ». Dans le tiroir de l’ordre de composition, sélectionnez chaque éléments puis consultez les rubriques ci-dessous.  Pour modifier l’ordre d’exécution des compositions :« Réorganisation de compositions d’objet » à la page 139  Pour spécifier si la composition doit s’exécuter automatiquement ou par un clic :« Automatisation des compositions d’objet » à la page 139  Pour alterner les compositions de différents objets (par exemple, des lignes de tableau et des portions de graphiques sectoriels) :« Mélange de compositions de texte, de tableau et de graphique » à la page 142  Pour appliquer des compositions d’action ou modifier l’objet dans la diapositive :« À propos de l’animation d’objets sur des diapositives (compositions d’action) » à la page 131 8 Pour éviter la composition de certaines parties d’objets, choisissez des options autres que Premier et Dernier dans le menu local « Composer à partir de ». Pour visualiser la composition, cliquez sur l’image dans l’Inspecteur de composition ou cliquez sur Lire dans la barre d’outils. Vous pouvez également afficher la composition d’un seul élément en cliquant dessus dans le tiroir Ordre de composition. si vous groupez ou dissociez des objets pour lesquels une composition est déjà définie, l’effet de composition est supprimé. Vous pouvez créer une composition d’objet sur un modèle de diapositive de sorte que les effets de composition figurent dans chaque diapositive utilisant ce modèle. Consultez la rubrique « Définition des transitions par défaut » à la page 272 pour plus d’instructions. 130 Chapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamasChapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamas 131 À propos de l’animation d’objets sur des diapositives (compositions d’action) Les compositions d’action sont des compositions de diapositive qui vous permettent de déplacer ou de changer l’apparence d’un objet sans qu’il n’apparaisse ou ne disparaisse forcément de la diapositive. Il existe deux types généraux d’actions :  Déplacement d’un objet à travers une diapositive le long d’un chemin que vous définissez  Modification de l’apparence d’un objet en diminuant ou augmentant sa taille, en modifiant sa transparence ou en le faisant pivoter Vous pouvez créer une composition d’action sur un modèle de diapositive de sorte que les effets de composition figurent dans chaque diapositive utilisant ce modèle. Consultez la rubrique « Définition des transitions par défaut » à la page 272 pour plus d’instructions. Déplacement d’un objet à travers une diapositive Une composition d’action peut déplacer un objet à travers une diapositive en suivant des chemins rectilignes ou courbes. Si vous souhaitez que l’objet cesse son déplacement à un endroit précis du chemin, vous pouvez définir plusieurs segments de chemin, chacun d’eux constituant une composition distincte. Cliquez pour faire avancer l’objet le long du segment de chemin suivant, ou définissez un minutage automatique pour chaque segment. (Pour en savoir plus sur l’automatisation du minutage des compositions, voir « Automatisation des compositions d’objet » à la page 139.) Pour définir un chemin à suivre pour un objet : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des compositions.2 Cliquez sur Action. Cliquez pour prévisualiser la composition. Cliquez pour ajouter un autre chemin au mouvement de l’objet. Réglez les effets d’animation. Le bouton Inspecteur des compositions Configurez la durée de la composition. Utilisez les effets Action pour animer les éléments d’une diapositive. Appliquez les effets de mouvement, rétrécissement, agrandissement, fondu, rotation, etc. aux éléments. Cliquez pour réorganiser des étapes de composition. Pour déplacer les compositions, convertissez un chemin droit en chemin courbe ou inversement. 3 Dans une diapositive, sélectionnez un objet (image, forme, zone de texte, graphique, film ou d’autres fichiers de données, ou tableau). 4 Choisissez Déplacement dans le menu local Effet. Dans le canevas de diapositive, une ligne rouge connectée à une version « fantôme » (transparente) de l’objet indique la destination de l’objet. 5 Pour modifier le chemin, effectuez l’une des opérations suivantes : Changez le sens ou la distance de déplacement de l’objet en faisant glisser l’objet fantôme vers la position suivante. Modifiez la forme du chemin (de rectiligne à courbe) en cliquant sur le bouton Chemin correspondant dans l’Inspecteur des compositions. Remodelez la courbe du chemin en faisant glisser l’un de ses nœuds ou l’une de ses poignées de nœud (double-cliquez sur un nœud pour faire apparaître ses poignées). Pour davantage de contrôle, cliquez sur un nœud (un point sur un chemin) et faites glisser la poignée de celui-ci. Ajoutez un nœud (point) à un chemin en maintenant la touche Option enfoncée pendant que vous cliquez sur le chemin (lorsque le pointeur ressemble à une pointe de stylo). Vous pouvez alors remodeler la courbe du chemin au niveau de ce nœud en le faisant glisser ou en faisant glisser l’une de ses poignées. Contrôlez l’accélération de l’objet en choisissant une option dans le menu local Accélération de l’Inspecteur des compositions. 132 Chapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamasChapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamas 133 Déplacez le segment de chemin complet (ainsi que ses points de début et de fin) en faisant glisser le chemin. Utilisez ces poignées de noeud pour redimensionner le chemin. 6 Pour déplacer l’objet le long d’un nouveau segment de chemin, cliquez sur le bouton Ajouter un chemin sur l’objet fantôme, un carré rouge contenant un signe (+), ou cliquez sur le bouton Ajouter une action dans l’inspecteur des compositions. Pour ajouter un autre chemin pour l’objet, cliquez sur le bouton Ajouter un chemin (en regard du dernier objet fantôme). 7 Pour réorganiser les étapes de la composition d’action, cliquez sur Plus d’options (si le volet Ordre de composition n’est pas ouvert) et faites glisser les compositions dans le volet Ordre de composition. (pour en savoir plus, consultez « Réorganisation de compositions d’objet » à la page 139). L’objet commence à se déplacer à partir d’ici. Faites glisser un objet fantôme vers l’emplacement où vous souhaitez que s’arrête son déplacement. Vous pouvez même déplacer des objets hors de la diapositive.Lorsqu’un objet et tous ses chemins sont désélectionnés, les chemins ne sont plus visibles dans le canevas de diapositive. Vous pouvez les afficher à nouveau en cliquant sur le bouton Afficher le chemin sur l’objet, qui est représenté par un petit losange rouge contenant un point noir. Si vous maintenez la touche Option enfoncée tout en cliquant sur le bouton Afficher le chemin, le fantôme devient visible jusqu’à ce que vous cliquiez à nouveau sur le bouton Afficher le chemin. Cliquez sur le bouton Afficher le chemin pour visualiser toutes les étapes d’une composition d’action. Effets de fondu, de rotation, d’agrandissement et de rétrécissement Utilisez des compositions d’action pour faire pivoter des objets, changer leur opacité (transparence) ou leur taille. Pour qu’un objet change de taille, d’orientation ou d’opacité : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des compositions. 2 Cliquez sur Action. 3 Dans une diapositive, sélectionnez un objet (image, forme, zone de texte, graphique, film ou d’autres fichiers de données, ou tableau). 4 Choisissez une option dans le menu local Effet, puis utilisez les commandes pour indiquer l’apparence souhaitée pour l’objet après la transformation.  Pour appliquer un effet de fondu à l’objet (ou pour intensifier un objet fondu), choisissez Opacité dans le menu local Effet, puis utilisez le curseur ou le champ Opacité pour définir l’opacité finale de l’objet. Choisissez un style d’accélération dans le menu local, puis définissez la durée dans le champ ; plus la durée est courte, plus l’opacité de l’objet change rapidement.  Pour faire pivoter un objet, choisissez Rotation dans le menu local Effet, puis choisissez une direction dans le menu local. Définissez un angle dans le champ Rotation pour définir l’amplitude du mouvement de rotation de l’objet. Choisissez un style d’accélération dans le menu local, puis définissez la durée dans le champ ; plus la durée est courte, plus l’objet tourne vite. Vous pouvez faire en sorte qu’un objet pivote sur lui-même une fois en définissant un angle de 360º. Si vous définissez un angle multiple de 360º, l’objet tournera sur lui-même plusieurs fois. 134 Chapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamasChapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamas 135  Pour réduire ou agrandir l’objet, choisissez Échelle dans le menu local Effet, puis utilisez le curseur ou le champ Échelle pour définir la taille finale de l’objet (200 % au maximum). Choisissez un style d’accélération dans le menu local, puis définissez la durée dans le champ ; plus la durée est courte, plus la taille de l’objet change rapidement. Pour redimensionner ou faire pivoter un objet pendant qu’il se déplace à travers la diapositive : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des compositions. 2 Cliquez sur Action. 3 Dans une diapositive, sélectionnez un objet (image, forme, zone de texte, graphique, film ou d’autres fichiers de données, ou tableau). 4 Choisissez Déplacement dans le menu local Effet. Dans le canevas de diapositive, une ligne rouge connectée à une version « fantôme » (transparente) de l’objet indique la destination de l’objet. 5 Faites glisser l’objet fantôme vers sa destination dans le canevas de diapositive. 6 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour réduire ou agrandir l’objet, redimensionnez l’objet fantôme en faisant glisser ses poignées de sélection (comme vous le feriez avec un objet standard). La nouvelle taille de l’objet fantôme doit représenter la taille finale que vous souhaitez attribuer à l’objet.  Pour faire pivoter l’objet, maintenez la touche Commande enfoncée tout en maintenant le pointeur sur un coin du cadre de contour de l’objet. Lorsque le pointeur se transforme en flèche courbe, faites glisser le coin du cadre de contour pour faire pivoter l’objet (comme vous le feriez avec un objet standard). La nouvelle position de l’objet fantôme doit représenter l’orientation finale que vous souhaitez attribuer à l’objet. 7 Si vous souhaitez que l’objet continue son mouvement le long d’un nouveau segment de chemin, cliquez sur le bouton Ajouter un chemin et définissez le chemin. Création d’une série d’images sur une seule diapositive (compositions intelligentes) Keynote offre un moyen simple de créer une série de photos ou d’autres images sur une même diapositive en utilisant des transitions animées entre chacune d’elles. Ces effets de composition sont nommés Compositions intelligentes. Une Composition intelligente est facile à configurer, il suffit d’utiliser la vitesse, la direction et les autres attributs par défaut déjà définis pour chaque effet de composition. Mais vous pouvez personnaliser les détails, si vous le souhaitez. Une composition intelligente est facile à reconnaître dans le canevas de diapositive car elle est entourée d’un cadre bleu présentant un petit losange pourpre dans son coin inférieur droit. L’étiquette pourpre indique que la photo fait partie d’une composition intelligente. Pour configurer une composition intelligente : 1 Choisissez Insérer > Composition intelligente > effet de composition. 2 Faites glisser les images de la sous-fenêtre Photos du navigateur multimédia (si celui-ci n’est pas ouvert, cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils) vers la zone de dépôt du canevas de diapositive (un carré bleu entouré de pointillés) ou dans l’éditeur de compositions intelligentes. Certaines compositions intelligentes affichent des images dans deux états ; utilisez ces boutons et le curseur pour modifier la taille de l’image dans chaque état. Sélectionnez pour que toutes les images présentent la même taille. Désélectionnez pour utiliser les tailles relatives aux photos. Faites glisser les photos ici. Vous pouvez également faire glisser des photos et d’autres fichiers image à partir du Finder. 3 Utilisez l’éditeur de compositions intelligentes pour modifier la composition intelligente de l’une des manières suivantes : Pour inverser la position de deux images, faites-les glisser l’une sur l’autre dans l’éditeur de compositions intelligentes. Pour supprimer une image de la composition, faites-la glisser hors de l’éditeur de compositions intelligentes ou sélectionnez-la puis appuyez sur la touche Suppr. Pour que toutes les photos aient la même taille, sélectionnez “Dimensionner les images à la même taille.” Pour utiliser des tailles relatives de photos, désélectionnez “Dimensionner les images à la même taille.” Certaines compositions intelligentes affichent des images dans deux états. Utilisez les boutons de taille et le curseur Échelle pour spécifier la taille de l’image dans chaque état. 136 Chapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamasChapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamas 137 4 Pour augmenter ou diminuer la taille maximale des images dans le canevas de diapositive, faites glisser les poignées de la zone de composition intelligente bleue. Pour modifier la vitesse, la direction ou tout autre attribut de la composition : 1 Sélectionnez la composition intelligente, puis cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils. 2 Cliquez sur le bouton Inspecteur des compositions de l’inspecteur, puis cliquez sur Action. Les différents types de composition ont des attributs différents ; par conséquent, les options affichées dépendent de l’effet de composition sélectionné. Cliquez pour prévisualiser la composition. Affichez des photos dont certaines sont plus grandes que d’autres. Réglez les effets d’animation. Spécifiez quelles photos inclure dans la composition. Pour spécifier comment aligner des images. 3 Pour modifier la vitesse de la composition intelligente, définissez une valeur dans le champ Durée. Une durée plus longue implique que chaque image restera affichée plus longtemps à l’écran. 4 Pour définir l’image avec laquelle vous souhaitez commencer le cycle de la composition et l’image avec laquelle vous souhaitez le terminer, sélectionnez leur numéro dans les menus locaux « Composer à partir de » et « Composer jusqu’à ». En fonction des images de début et de fin sélectionnées, vous pouvez parcourir n’importe quel sous-ensemble consécutif d’images, ou vous pouvez parcourir toutes les images. 5 Pour personnaliser d’autres attributs de la composition intelligente, utilisez les commandes de personnalisation de la composition intelligente.Pour séparer le minutage des différentes compositions d’image : 1 Dans la sous-fenêtre Action de l’Inspecteur des compositions, cochez la case intitulée « Définir le minutage et l’ordre pour chaque composition ». 2 Si le volet Ordre de composition n’est pas ouvert, cliquez sur Plus d’options. Dans le volet, toutes les images constituant la composition intelligente sont sélectionnées et apparaissent dans l’ordre dans lequel elles seront composées. Par défaut, chaque image n’apparaît sur la diapositive qu’après que vous avez cliqué pour déclencher sa composition. 3 Pour automatiser la composition d’une image après une durée prédéfinie (au lieu d’avoir à cliquer), sélectionnez « Automatiquement après la composition n » ou « Automatiquement après la composition précédente » dans le menu local Lancer la composition en bas du volet. La composition sélectionnée commencera automatiquement à la fin de la composition précédente. 4 Pour définir un délai entre la composition précédente et la composition sélectionnée, définissez la durée dans le champ Délai. 5 Pour insérer la composition d’un autre objet de la diapositive entre les compositions d’image de cette composition intelligente, faites glisser l’autre composition d’objet entre les compositions d’image à l’endroit où vous souhaitez qu’elle s’exécute. Pour plus de détails sur l’alternance entre les compositions d’objet, suivez les instructions générales dans « Mélange de compositions de texte, de tableau et de graphique » à la page 142. Pour modifier le style de composition : m Sélectionnez la composition intelligente, puis choisissez un nouvel effet dans le menu local de la sous-fenêtre Action de l’inspecteur des compositions. Pour afficher l’éditeur de compositions intelligentes : m Cliquez n’importe où dans la zone de composition intelligente bleue. Certaines compositions intelligentes utilisent des effets pouvant également déplacer des images sur ou en dehors d’une diapositive. Pour en savoir plus, consultez « Utilisation d’effets de composition pour faire apparaître ou disparaître des objets sur des diapositives » à la page 129. Vous pouvez créer une composition d’action sur un modèle de diapositive de sorte que les effets de composition figurent dans chaque diapositive utilisant ce modèle. Consultez la rubrique « Définition des transitions par défaut » à la page 272 pour plus d’instructions. 138 Chapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamasChapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamas 139 Réorganisation de compositions d’objet Vous pouvez modifier l’ordre des compositions d’une diapositive. Par exemple, vous pouvez choisir de faire pénétrer ou de faire sortir un objet de l’écran avant qu’un autre y pénètre. Vous pouvez également choisir de composer à des moments différents les différentes parties d’un objet (l’une des puces d’une liste à puces, par exemple). (Pour plus d’informations sur l’utilisation de parties d’objet, voir « Mélange de compositions de texte, de tableau et de graphique » à la page 142.) Voici les moyens de modifier l’ordre de composition : m Si le volet Ordre de composition n’est pas ouvert, cliquez sur Plus d’options dans l’Inspecteur des compositions. Dans le tiroir Ordre de composition, faites glisser les éléments pour modifier leur ordre dans la composition. m Sélectionnez un objet dans le canevas de diapositive, puis sélectionnez une option dans le menu local Ordre de l’inspecteur des composition. Automatisation des compositions d’objet Par défaut, une composition d’objet que vous avez créée est activée lorsque vous cliquez. Cependant, en automatisant le lancement des compositions d’objet, vous pouvez créer des effets intéressants et des animations sophistiquées. Pour indiquer quand une composition doit être lancée : 1 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils et sur le bouton Inspecteur des compositions. 2 Si le tiroir Ordre de composition n’est pas ouvert, cliquez sur Plus d’options dans l’Inspecteur des compositions. 3 Dans le tiroir Ordre de composition, sélectionnez un élément de la liste, puis choisissez une option dans le menu local Lancer la composition. Au clic de souris : lance la composition lorsque vous cliquez avec la souris. Auto. après composition [numéro] ou bien Auto. après composition préc. : lance la composition après la fin de la composition précédente et à l’issue du délai indiqué dans le champ Délai.Auto. avec composition [numéro] : lance deux compositions simultanément, à l’issue du délai indiqué dans le champ Délai. Pour que les deux compositions aient lieu en même temps, elles doivent se succéder dans la liste Ordre de composition. Choisissez le mode de démarrage de la composition choisie. Faites glisser les éléments pour les réordonner. Spécifiez la durée d’attente entre la fin de la composition précédente et le démarrage de la composition sélectionnée, pour les compositions qui démarrent automatiquement. Vous pouvez également intégrer plusieurs compositions d’objet dans un même objet en les regroupant (voir « Regroupement et dissociation d’objets » à la page 102). 4 Si vous choisissez de lancer la composition automatiquement (et non par un clic de souris), spécifiez la durée d’attente après la fin de la composition précédente en tapant une valeur dans le champ Délai (ou en cliquant sur les flèches). La valeur maximum du délai est de 60 secondes. À propos de l’animation de textes à puces, de tableaux et de graphiques Le texte, les tableaux, les graphiques et les séquences ont des options de composition propres à chacun de ces types d’objet. Vous pouvez par exemple faire un graphique composé sur une diapositive une barre à la fois, ou une liste à puces composée une puce à la fois. Création de compositions de texte Vous pouvez composer du texte paragraphe par paragraphe, mot par mot ou caractère par caractère. Vous pouvez créer des compositions de texte pour un corps de texte à puces ou sans puces. Pour configurer une composition de texte : 1 Sélectionnez le texte dans le canevas de diapositive. 140 Chapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamasChapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamas 141 2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils et sur le bouton Inspecteur des compositions. 3 Choisissez une option dans le menu Apparition de la sous-fenêtre Composition entrante (pour faire apparaître le texte) ou Composition sortante (pour faire disparaître le texte) de l’Inspecteur des compositions. Toutes les options suivantes ne s’afficheront peut-être pas, selon que vous avez sélectionné du texte standard ou du texte à puces dans le canevas de diapositive : En une fois : déplace tout le texte de la zone de texte en même temps. Par puce : déplace le texte puce par puce. Par groupe de puces : déplace chaque puce et ses puces subordonnées en même temps. Par puce mise en surbrillance : met en surbrillance chaque puce au fur et à mesure qu’elle est déplacée, laissant ainsi en surbrillance uniquement la puce la plus récente. Par paragraphe : pour le texte standard (sans puces). Création d’une composition de tableau Vous pouvez faire apparaître ou disparaître un tableau de diapositive rang par rang, colonne par colonne, entre autres. Pour configurer une composition de tableau : 1 Sélectionnez un tableau dans le canevas de diapositive. 2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils et sur le bouton Inspecteur des compositions. 3 Choisissez une option dans le menu Apparition de la sous-fenêtre Composition entrante (pour faire apparaître les éléments du tableau) ou Composition sortante (pour faire disparaître les éléments du tableau) de l’Inspecteur des compositions. En une fois : permet de déplacer le tableau tout entier comme un objet unique. Par rang : permet de faire arriver le tableau sur l’écran rang par rang. Par colonne : permet de faire arriver le tableau sur l’écran colonne par colonne. Par cellule : permet de faire arriver le tableau sur l’écran cellule par cellule. Par contenu de rang : permet de faire arriver tout le tableau vide sur l’écran, puis d’insérer le contenu rang par rang. Par contenu de colonne : permet de faire arriver tout le tableau vide sur l’écran, puis d’insérer le contenu colonne par colonne. Par contenu de cellule : permet de faire arriver tout le tableau vide sur l’écran, puis d’y ajouter son contenu cellule par cellule. De bas en haut : Déplace le tableau sur l’écran, rang par rang, de bas en haut. De bas en haut – Contenu : Permet de faire arriver sur l’écran la totalité du tableau vide, puis d’y insérer le contenu rang par rang.Tous les éléments d’un tableau utilisent le même style de composition. Création d’une composition de graphique Faites apparaître ou disparaître les graphiques barre par barre, portion par portion, entre autres. Pour configurer une composition de graphique : 1 Sélectionnez un graphique dans le canevas de diapositive pour lequel vous avez défini une composition. 2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils et cliquez sur le bouton Inspecteur des compositions. 3 Choisissez une option dans le menu local Apparition de la sous-fenêtre Composition entrante (pour faire apparaître les éléments du graphique) ou Composition sortante (pour faire disparaître les éléments du graphique) de l’inspecteur des compositions. Toutes les options suivantes ne s’afficheront peut-être pas, selon le type de graphique que vous avez sélectionné dans le canevas de diapositive : En une fois : permet de déplacer le graphique comme un objet unique. Arr.-plan d’abord : permet de placer en premier lieu les axes du graphique, puis tous les éléments de données (barres, lignes ou couches) à la fois. Par séries : permet de placer les axes du graphique puis les éléments de données, une série complète après l’autre. Par groupe : permet de placer les axes du graphique puis les éléments de données, un groupe complet après l’autre. Par élém. de séries : permet de placer les axes du graphique puis chaque élément de données distinct, une série après l’autre. Par élém. de groupe : permet de placer les axes du graphique puis chaque élément de données distinct, un groupe après l’autre. Tous les éléments d’un graphique (à l’exception de la légende) utilisent le même style de composition. Il est possible d’attribuer un style et un ordre de composition à une légende de graphique. Pour que la légende accompagne le graphique, reliez-la au graphique avant de configurer le style de composition de ce dernier (consultez la rubrique « Regroupement et dissociation d’objets » à la page 102). Mélange de compositions de texte, de tableau et de graphique Après avoir défini des compositions d’objet dans une diapositive, vous pouvez définir les critères de lancement de l’animation des effets Composition entrante et Composition sortante. 142 Chapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamasChapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamas 143 Vous pouvez par exemple configurer une composition qui place la première puce d’un texte sur la diapositive, puis la première portion d’un graphique sectoriel, et ensuite la deuxième puce. Vous pouvez en faire de même pour que les objets se déplacent en quittant la diapositive. Il est également possible d’indiquer un ensemble d’éléments à utiliser dans une composition, comme par exemple les deuxième et troisième puces du texte dans une composition de texte. Pour mélanger des compositions d’objet : 1 Sélectionnez une zone de texte, un tableau ou un graphique dans le canevas de diapositive. 2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils et sur le bouton Inspecteur des compositions. 3 Configurez une composition d’objet en choisissant une option autre que « En une fois » dans le menu local Apparition situé en dessous de Composition entrante (pour faire apparaître les éléments d’un graphique) ou de Composition sortante (pour faire disparaître les éléments d’un graphique) dans l’inspecteur des compositions. 4 Pour définir un ensemble d’éléments à composer, utilisez les menus locaux « Composer à partir de » et « Composer jusqu’à ». 5 Sélectionnez « Définir le minutage et l’ordre pour chaque composition ». 6 Sélectionnez une autre zone de texte ou un autre tableau ou graphique dans le canevas de diapositive, puis configurez sa composition comme décrit aux étapes 3 à 5. 7 Dans le tiroir Ordre de composition, faites glisser les compositions dans l’ordre désiré. Si le volet Ordre de composition n’est pas ouvert, cliquez sur Plus d’options. Il se peut que vous deviez désélectionner toutes les compositions dans le volet Ordre de composition avant de sélectionner une composition à faire glisser. Pour en savoir plus sur la définition de minutages automatiques pour les compositions, voir « Automatisation des compositions d’objet » à la page 139. Création de compositions de séquence Si vous avez inséré une séquence sur une diapositive, sa lecture commence dès que la diapositive apparaît, sauf indication contraire de votre part. Pour pouvoir contrôler le début et la fin de la lecture de la séquence, vous devez créer une composition de séquence. Pour configurer une composition de séquence : 1 Sélectionnez une séquence dans le canevas de diapositive. 2 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils et sur le bouton Inspecteur des compositions. 3 Cliquez sur Composition entrante, puis choisissez Démarrer la séquence dans le menu local.4 Pour arrêter la lecture d’une vidéo, cliquez sur Composition sortante, puis choisissez Interrompre la vidéo dans le menu local Effet. La lecture de la séquence commence et se termine lorsque la composition se produit. À l’instar des autres compositions d’objet, vous pouvez indiquer si vous souhaitez contrôler la lecture de la séquence en cliquant ou si vous souhaitez qu’elle se lance automatiquement en fonction des autres compositions. Pour plus de détails, voir « Automatisation des compositions d’objet » à la page 139 et « Réorganisation de compositions d’objet » à la page 139. Copie et suppression de compositions d’objet Une fois que vous avez configuré une composition d’objet, vous pouvez facilement la copier et la coller sur un autre objet, afin que les deux objets se comportent de la même manière. Vous pouvez également supprimer des compositions d’objet à l’aide de l’Inspecteur des compositions. Pour copier une composition d’objet d’un objet à l’autre : 1 Sélectionnez l’objet sur lequel vous avez déjà configuré la composition comme vous la souhaitez. 2 Choisissez Format > Copier l’animation. 3 Sélectionnez le second objet et choisissez Format > Coller l’animation. Remarque : Vous ne pouvez coller une animation que sur un type d’objet compatible. Par exemple, un effet de composition spécifique au texte, tel que Rebondissant, ne peut pas être collé sur une image. Voici comment supprimer une composition d’objet : m Dans l’Inspecteur des compositions, cliquez sur Plus d’options pour ouvrir le volet Ordre de composition. Dans le tiroir Ordre de composition, sélectionnez la composition à supprimer, puis appuyez sur Supprimer. m Sélectionnez l’élément dont vous souhaitez supprimer l’effet, puis choisissez Aucun dans le menu local Effet de l’Inspecteur des compositions. 144 Chapitre 7 Ajout de mouvements dans les diaporamas145 Utilisez des liens hypertextes comme éléments de navigation dans votre présentation, ou utilisez-les pour passer de votre présentation au web. À propos des liens hypertextes Les liens hypertextes sont des éléments de navigation que vous pouvez créer pour vous aider à vous déplacer dans une présentation de diaporama ou pour passer à une page du web. Les liens hypertextes peuvent également déclencher des actions, telles que l’ouverture d’un courrier électronique préadressé ou d’une autre présentation Keynote. Les liens hypertextes se révèlent particulièrement utiles pour les présentations à lecture automatique, comme celles qui s’exécutent sur des bornes. Par exemple, vous pouvez configurer des liens hypertextes pour guider les spectateurs le long d’un chemin d’accès aux informations dans votre présentation ou pour afficher des informations lorsque le spectateur choisit de suivre un lien. À propos de la conversion d’un objet en lien hypertexte Vous pouvez transformer du texte, des images et des figures en liens hypertextes qui déclencheront une action lorsque vous cliquerez dessus au cours d’une présentation. Lorsque vous transformez un objet en lien hypertexte, celui-ci est marqué d’un badge représentant une flèche courbe sur le canevas de diapositive ; ce badge n’est pas visible lorsque vous visualisez la présentation. Mais le texte transformé en lien hypertexte imbriqué est souligné ; ce soulignement est alors visible lors de la visualisation de la présentation, sauf si vous choisissez ne pas l’utiliser pour remettre le texte en forme. La petite flèche bleue (visible uniquement lorsque vous modifiez une diapositive) caractérise un lien hypertexte sur lequel on peut cliquer. 8 Utilisation de liens hypertextes dans une présentationCes flèches prédessinées qui pointent vers l’avant ou l’arrière sont un exemple d’élément de navigation qui peut être utilisé dans un diaporama. Le petit badge représentant une flèche courbe dans le coin inférieur de chacune indique qu’elle a été transformée en lien hypertexte. La petite flèche bleue (visible uniquement lorsque vous modifiez une diapositive) caractérise un lien hypertexte sur lequel on peut cliquer. Cette zone de texte a également été transformée en lien hypertexte comme indiqué par le même badge représentant une flèche courbe dans son coin inférieure droit. Mais le texte en dessous est souligné, ce qui indique qu’il s’agit d’un lien hypertexte imbriqué. Utilisez des liens hypertextes pour déclencher l’une des actions suivantes au cours de votre présentation :  Passer à une diapositive donnée.  Ouvrir une page web dans le navigateur par défaut de l’ordinateur.  Ouvrir un autre document Keynote.  Ouvrir un message électronique.  Quitter le diaporama. Ouverture d’une page dans un navigateur web au cours de votre présentation Vous pouvez ajouter un lien hypertexte qui ouvre une page web dans le navigateur web par défaut de l’ordinateur sur lequel la présentation est exécutée. Pour ajouter un lien hypertexte qui ouvre une page web : 1 Sélectionnez le texte ou l’objet que vous souhaitez convertir en lien. Si vous saisissez un texte commençant par « www » ou « http » (ou si vous le copiez à partir d’un autre document), le texte se transforme automatiquement en lien hypertexte. Pour désactiver cette fonctionnalité, sélectionnez Keynote > Préférences, cliquez sur Correction automatique et désactivez « Détecter automatiquement les adresses électroniques et celles de pages web ». Ce réglage est propre à chaque ordinateur ; par conséquent si le document est ouvert sur un ordinateur dont la configuration est différente, c’est ce réglage qui sera utilisé. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des liens, puis sélectionnez « Activer comme lien ». 3 Choisissez Page Web dans le menu local Lier vers. 4 Tapez l’adresse de la page web dans le champ URL. 146 Chapitre 8 Utilisation de liens hypertextes dans une présentationChapitre 8 Utilisation de liens hypertextes dans une présentation 147 5 Si vous désirez modifier le texte qui apparaît comme lien hypertexte sur le document, saisissez-en un nouveau dans le champ Afficher. Bouton Inspecteur de lien hypertexte. Tapez l’URL vers laquelle le lien doit renvoyer. Tapez le texte du lien que vous souhaitez afficher sur la diapositive. Ouverture d’un courrier électronique préadressé Un lien hypertexte peut ouvrir un courrier électronique préadressé dans l’application de messagerie électronique par défaut de l’ordinateur sur lequel le diaporama est exécuté. Pour ajouter un lien hypertexte vers un message électronique : 1 Sélectionnez le texte ou l’objet que vous souhaitez convertir en lien. Si vous saisissez une adresse électronique (ou si vous la copiez à partir d’un autre document), le texte se transforme automatiquement en lien hypertexte. Pour désactiver cette fonctionnalité, sélectionnez Keynote > Préférences, cliquez sur Correction automatique, puis désactivez « Détecter automatiquement les adresses électroniques et celles de pages web ». Ce réglage est propre à chaque ordinateur ; par conséquent si le document est ouvert sur un ordinateur dont la configuration est différente, c’est ce réglage qui sera utilisé. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des liens, puis sélectionnez « Activer comme lien ». 3 Choisissez Message électronique dans le menu local Lier vers. 4 Tapez l’adresse électronique du destinataire dans le champ À. 5 Vous pouvez également spécifier l’objet du message dans le champ Objet.6 Pour afficher le texte personnalisé pour le lien hypertexte, tapez le nouveau texte dans le champ Afficher. (Cette option est estompée si vous avez choisi un objet au lieu d’un texte pour lien hypertexte.) Tapez l’objet du message. Tapez le texte du lien à afficher sur la diapositive. Tapez l’adresse électronique du destinataire. Passage direct à une diapositive donnée Si vous souhaitez vous déplacer dans votre présentation suivant un chemin non linéaire, ou si vous souhaitez que les spectateurs puissent choisir leur propre cheminement (par exemple, si le diaporama est affiché sur une borne), vous pouvez utiliser des liens hypertextes pour passer à une diapositive quelconque de votre document Keynote. Pour ajouter un lien hypertexte qui passe à une diapositive donnée : 1 Sélectionnez le texte ou l’objet que vous souhaitez convertir en lien. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des liens, puis sélectionnez « Activer comme lien ». 3 Choisissez Diapositive dans le menu local Lier vers. 4 Sélectionnez l’option décrivant la diapositive à afficher (suivante, précédente, première, dernière, dernière affichée, ou bien un numéro de diapositive). Vous pouvez utiliser des liens hypertexte pour opérer la navigation lors d’un diaporama. Consultez la section « Création de présentations à lecture automatique » à la page 226. Création d’un bouton « Arrêter le diaporama » dans votre diaporama Si vous souhaitez arrêter un diaporama en cliquant sur un bouton ou sur du texte dans le diaporama, créez un lien hypertexte qui arrête le diaporama. Pour ajouter un lien hypertexte permettant d’arrêter un diaporama : 1 Sélectionnez l’objet ou le texte que vous souhaitez utiliser pour déclencher l’arrêt du diaporama. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des liens, puis sélectionnez « Activer comme lien ». 3 Choisissez Quitter le diaporama dans le menu local Lier vers. 148 Chapitre 8 Utilisation de liens hypertextes dans une présentationChapitre 8 Utilisation de liens hypertextes dans une présentation 149 Ouverture d’un autre diaporama Keynote au cours de votre présentation Ajoutez un lien hypertexte permettant d’ouvrir un autre fichier Keynote. Pour ajouter un lien hypertexte qui ouvre un autre document Keynote : 1 Sélectionnez le texte ou l’objet que vous souhaitez convertir en lien. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des liens, puis sélectionnez « Activer comme lien ». 3 Choisissez Diaporama Keynote dans le menu local Lier vers. 4 Localisez le fichier et cliquez sur Ouvrir. 5 Si vous désirez modifier le texte qui apparaît comme lien hypertexte sur le document, saisissez-en un nouveau dans le champ Afficher. Lorsque vous cliquez sur un lien vers un autre document Keynote, la lecture du nouveau diaporama commence à la première diapositive. Création de présentations à liens uniquement Si votre diaporama est destiné à être exécuté sur une plate-forme où les spectateurs pourront en contrôler la lecture, vous pouvez leur fournir des commandes de navigation en créant des liens hypertextes qui mènent à des diapositives données, arrêtent le diaporama et déclenchent d’autres actions. Pour créer un diaporama qui est complètement contrôlé par des liens hypertextes, vous pouvez créer une présentation à liens uniquement, dans laquelle le pointeur apparaît sur les diapositives contenant des liens hypertextes. Au cours d’une présentation à liens uniquement, le pointeur n’apparaît par défaut que sur les diapositives contenant des liens. Mais vous pouvez également définir une préférence pour que le pointeur apparaisse à chaque mouvement de la souris. Pour créer une présentation comprenant uniquement des liens hypertextes : 1 Configurez un diaporama à l’aide de liens hypertextes permettant de naviguer vers des diapositives déterminées. Pour en savoir plus, consultez « Passage direct à une diapositive donnée » à la page 148. 2 Dans la sous-fenêtre Document de l’inspecteur des documents, choisissez « Liens uniquement » dans le menu local Présentation. Pour faire apparaître le pointeur dès que la souris bouge : m Choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Diaporama, puis sélectionnez « Afficher le pointeur lors du déplacement de la souris ».Pour en savoir plus sur la création d’un lien hypertexte qui arrête le diaporama, voir « Création d’un bouton « Arrêter le diaporama » dans votre diaporama ». Si vous souhaitez empêcher les spectateurs non autorisés d’arrêter le diaporama, vous pouvez demander un mot de passe pour arrêter le diaporama. Pour plus de détails, consultez la section « Arrêt d’une présentation » à la page 240. Soulignement des liens hypertextes Par défaut, les liens hypertexte sont soulignés, vous pouvez toutefois supprimer le soulignement si vous le souhaitez. Voici différentes manières d’activer et de désactiver le soulignement : m Pour empêcher que les nouveaux liens hypertextes ne soient automatiquement soulignés, choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Correction automatique, puis décochez la case « Souligner les liens à la création ». m Pour supprimer ou ajouter un soulignement à un lien hypertexte, sélectionnez le texte et cliquez sur le bouton U dans la barre des formats. Le texte souligné perd son soulignement et le texte au format standard est alors souligné. m Pour supprimer ou ajouter un soulignement à un lien hypertexte, sélectionnez le texte, cliquez sur Polices dans la barre d’outils, puis utilisez les options de la fenêtre Polices. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la fenêtre Polices, consultez la rubrique « Fenêtre Polices » à la page 27. 150 Chapitre 8 Utilisation de liens hypertextes dans une présentation151 Créez des graphiques 2D et 3D à partir de vos propres données - tels que des graphiques sectoriels, à barres, à colonnes, en couche, en ligne, ou en nuage de points - et personnalisez-les avec différents styles, couleurs et textures. Affichez des coches, des unités et d’autres étiquettes comme vous le souhaitez. Vous pouvez également combiner deux graphiques en une seule figure. Keynote fournit des outils permettant de créer des graphiques attrayants afin de présenter des données. Vous pouvez copier et coller vos données à partir d’une feuille de calcul ou les taper directement dans l’Éditeur de graphiques pour créer et modifier des graphiques directement dans le canevas. Par défaut, l’apparence des graphiques est coordonnée avec le thème que vous utilisez, mais vous pouvez modifier les couleurs, les textures, les ombres, les étiquettes et bien plus encore pour créer le résultat souhaité ou mettre en valeur plusieurs éléments de votre graphique. À propos des graphiques Utilisez un graphique si vous voulez représenter visuellement des tendances ou des relations qui peuvent s’avérer difficiles à distinguer lorsque les données sont présentées dans un tableau. Dans Keynote, il est possible de choisir parmi plusieurs types de graphiques 2D ou 3D comprenant entre autres des diagrammes circulaires, des graphiques linéaires, des graphiques à barres, des graphiques à colonnes et des graphique à couches, en fonction de la nature de vos données, ou d’utiliser un graphique mixte permettant de superposer deux types de graphiques au sein de la même illustration. Vous pouvez également représenter vos données dans un graphique en nuage de points à deux dimensions utilisant une échelle linéaire ou logarithmique. Keynote comprend les types de graphiques suivants : 9 Création de graphiques à partir de donnéesType de graphique Icône Colonne 2D et 3D Colonnes empilées 2D et 3D Barre 2D et 3D Barres empilées 2D et 3D Ligne 2D et 3D Couches 2D et 3D Couches empilées 2D et 3D Circulaire 2D et 3D Nuage de points 2D Mixte 2D 2 axes 2D 152 Chapitre 9 Création de graphiques à partir de donnéesChapitre 9 Création de graphiques à partir de données 153 Exemple Prenons l’exemple d’un graphique permettant de comparer l’évolution de deux populations d’oiseaux au sein de deux régions d’échantillonnage alpines entre 2007 et 2010. Ces données peuvent être présentées dans un tableau où chacun des rangs correspond respectivement à la Région 1 et à la Région 2. Le chercheur a compté le nombre d’oiseaux dans chaque région entre 2007 et 2010 et a obtenu 4 points de données (ou valeurs) pour chaque région. Si vous tracez ces données en tant que graphique à colonnes, celui-ci aura l’aspect du graphique ci-dessous : La légende du graphique désigne les quatre séries de données. Chaque ensemble de données contient quatre barres, une par série de données. Ces deux barres de la même couleur représentent une série de données. Chaque barre représente un point de données. Dans ce graphique, les régions 1 et 2 sont appelées séries de données, car les points de données (nombre d’oiseaux) de chaque région sont représentés par une série de colonnes de couleur identique, à raison d’une par année. Chaque colonne de la région 1 est représentée à côté de la colonne correspondante pour la région 2 et chaque paire de données est appelée ensemble de données ou catégorie (2007 est une catégorie, 2008 est une catégorie et ainsi de suite). Pour présenter vos données de manière différente, vous pouvez les transposer de sorte que les points de données soient regroupés par région plutôt que par année. Dans ce cas, les points de données correspondant à chaque année sont représentés par une série de colonnes (séries de données ; chaque série possède seulement deux points de données et les groupes de colonnes pour chaque région constituent des catégories. Ce graphique à colonnes contient donc deux ensembles de quatre colonnes (point de données), une catégorie pour la région 1 et un ensemble de données pour la région 2. La légende du graphique désigne les deux séries de données. Chaque ensemble de données contient deux barres, une issue de chaque série de données. Ces quatre barres de la même couleur représentent une série de données. Chaque barre représente un point de données. Les séries de données sont représentées différemment selon le type de graphique :  Dans les graphiques à colonnes et les graphiques à barres, les séries de données sont représentées par une série de colonnes ou de barres de même couleur ou texture.  Dans les graphiques linéaires, les séries de données sont représentés par une ligne.  Dans les graphiques à couches, les séries de données sont représentées par des couches.  Dans un graphique sectoriel, un seul jeu de données (le premier point de données de chaque série) est représenté sur le graphique (celui qui apparaît en premier sur la liste dans l’Éditeur de graphiques).  Dans les graphiques en nuages de points, chaque point du graphique est déterminé par ses valeurs x et y. Deux colonnes de valeurs sont tracées comme coordonnées x et y sur un graphique représentant les points de données en une seule série de données. Ajout d’un nouveau graphique et saisie de données La première fois que vous créez un graphique, il apparaît sur le canevas avec des données fictives dans l’éditeur de graphiques. Lorsque vous remplacez les données fictives, le graphique est mis à jour immédiatement avec vos propres données. 154 Chapitre 9 Création de graphiques à partir de donnéesChapitre 9 Création de graphiques à partir de données 155 Pour créer un nouveau graphique à partir de vos données : 1 Placez un graphique sur le canevas en effectuant l’une des opérations suivantes :  Cliquez sur Graphiques dans la barre d’outils et choisissez un autre type de graphique dans le menu local.  Tracez un graphique sur le canevas en maintenant la touche Option enfoncée en cliquant sur Graphiques dans la barre d’outils, puis choisissez un graphique. Relâchez la touche Option et déplacez le pointeur sur le canevas jusqu’à ce qu’il se transforme en réticule. Faites-le glisser sur le canevas afin de créer un graphique de la taille souhaitée. Pour conserver les proportions des dimensions d’un graphique, maintenez la touche Maj enfoncée lors du redimensionnement.  Ou choisissez Insertion > Graphique > [type de graphique]. Un graphique que vous pouvez faire glisser et redimensionner apparaît sur la page et l’éditeur de graphiques s’ouvre avec des données fictives. L’éditeur de graphiques est une fenêtre qui contient un tableau que vous pouvez modifier. Ce tableau n’apparaîtra pas sur la diapositive au cours de la présentation, mais vous allez l’utiliser pour saisir vos propres données destinées au graphique que vous avez créé. Ces carrés indiquent la couleur qui représente chaque série de données. 2 Pour saisir vos données dans l’éditeur de graphiques, faites l’une des opérations suivantes :  Pour modifier les étiquettes des rangs et des colonnes, double-cliquez sur une étiquette, puis tapez votre texte.  Pour ajouter ou modifier un nombre dans une cellule, double-cliquez dessus, puis tapez votre nombre.  Pour réorganiser des rangs ou des colonnes, faites glisser une étiquette de rang ou de colonne vers un nouvel emplacement.  Pour ajouter des rangs ou des colonnes, cliquez sur Insérer un rang ou Insérer une colonne afin de placer un rang au-dessus du rang sélectionné ou une colonne à gauche de la colonne sélectionnée. Si aucun rang ni aucune colonne n’est sélectionné, le nouveau rang ou la nouvelle colonne apparaît en bas ou à droite du tableau (Pour visualiser le nouveau rang ou la nouvelle colonne, vous devez appuyer sur la touche Retour ou Tab, agrandir la fenêtre de l’Éditeur de graphiques ou encore faire défiler l’affichage.) Sinon, sélectionnez n’importe quelle cellule vide, saisissez vos données et appuyez ensuite sur la touche Retour. Un nouveau rang ou une nouvelle colonne est automatiquement créé. Pour supprimer des rangs ou des colonnes, sélectionnez leur étiquette et appuyez ensuite sur la touche Retour.  Pour copier des données à partir d’Excel, d’AppleWorks, ou de toute autre application de feuille de calcul, copiez et collez-les dans l’éditeur de graphiques. 3 Pour spécifier si les séries de données du graphique doivent être représentées par rang ou par colonne, cliquez sur le bouton « Rang / colonne » dans l’éditeur de graphiques. Ce bouton fait des rangs de données de l’Éditeur de graphiques la série de données. Ce bouton fait des colonnes de données de l’Éditeur de graphiques la série de données. 4 Personnalisez l’apparence de votre graphique. Pour savoir comment, consultez les sections « Formatage des graphiques » à la page 158 et « Changement du type de graphique » à la page 156 Changement du type de graphique Vous pouvez changer de type de graphique à votre guise. Sachez toutefois que certains types de graphiques utilisent différemment les rangs et les colonnes (voir description ci-dessous). Pour remplacer un graphique par un autre type : 1 Sélectionnez le graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis choisissez un autre type de graphique dans le menu local qui apparaît lorsque vous cliquez sur l’icône de graphique dans le coin supérieur gauche. Si vous remplacez votre graphique par un diagramme circulaire, le premier point de données de chaque série est représenté par un « camembert ». Si vous optez pour un nuage de points, chaque point du graphique requiert deux valeurs. Si le graphique est basé sur un nombre impair de rangs ou de colonnes, le dernier rang (ou la dernière colonne) n’est pas traité. Si vous passez à un graphique à barres , à colonnes, à couches ou linéaire, chaque série du nouveau graphique correspond à un rang ou à une colonne dans l’Éditeur de graphiques. Si vous optez pour la version 3D d’un graphique, l’inspecteur des graphiques fournit des commandes permettant de gérer la profondeur des objets, le style d’éclairage et bien plus encore. 156 Chapitre 9 Création de graphiques à partir de donnéesChapitre 9 Création de graphiques à partir de données 157 La mise en forme appliquée au graphique que vous modifiez peut ne pas s’appliquer au nouveau graphique. Par exemple, l’attribut de remplissage couleur des éléments de point de données (barres, portions, etc.) possède une valeur par défaut différente pour chaque type de graphique. Si vous avez modifié la couleur de remplissage d’une colonne puis changé le graphique en graphique à barres, la modification du remplissage n’est alors pas conservée. En fonction du type de graphiques, les attributs qui peuvent adopter le style par défaut sont les étiquettes et la position des valeurs, le style de texte, le trait utilisé pour représenter les séries, l’ombre des séries, leur remplissage, les symboles de point de données et le remplissage des points de données. Si vous changez le type d’un graphique par un autre partageant certains des attributs, ces derniers sont alors conservés. Les attributs partagés incluent les axes, les quadrillages, les marques de graduation, les étiquettes des axes, l’affichage de la valeur minimale, le format des nombres, les bordures, les rotations d’objets, les ombres ainsi que le style d’éclairage 3D. Consultez « Formatage des graphiques » à la page 158 pour en savoir plus. Les graphiques à barres ou à colonnes, ainsi que les graphiques à barres ou à colonnes empilées, partagent tous leurs attributs sauf la position des étiquettes de valeur. Les graphiques à barres ou à colonnes possèdent des attributs de remplissage séparés. Les ombres des graphiques 3D sont partagées entre les types de graphiques. Modification des données dans un graphique existant Pour modifier les données d’un graphique existant, vous devez d’abord ouvrir l’éditeur de graphiques, puis saisir les nouvelles données. À mesure que vous modifiez les données, le graphique est mise à jour immédiatement de manière à refléter les nouvelles données. Pour ouvrir l’éditeur de graphiques et modifier les données : 1 Sélectionnez le graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Modifier les données. Vous pouvez également choisir Format > Graphique > Afficher l’Éditeur de graphiques. 3 Sélectionnez les cellules du tableau dans l’éditeur de graphiques, puis saisissez vos données dans celles-ci. Pour en savoir plus sur la modification de données dans l’éditeur de graphiques, y compris sur le basculement des séries de données entre les rangs et les colonnes, consultez les étapes 2 et 3 de la rubrique « Ajout d’un nouveau graphique et saisie de données » à la page 154.Mise à jour d’un graphique copié dans un document Numbers Si vous avez créé un graphique dans Numbers, vous pouvez le copier et le coller dans votre présentation Keynote. Une fois collé dans Keynote, le graphique reste lié au tableau de données auquel il fait référence dans Numbers. Pour modifier les données du graphique, ouvrez le document Numbers original et modifiez les données dans ce dernier, enregistrez le document Numbers, puis actualisez les données du graphique dans Keynote. Pour mettre à jour un graphique une fois que vous avez mis à jour ses données dans le tableau Numbers lié : m Sélectionnez le graphique sur le canevas, puis cliquez sur le bouton Actualiser qui apparaît. Remarque : Vous devez enregistrer le document Numbers avant de copier et de coller le graphique dans votre présentation Keynote et après avoir modifié le tableau de données Numbers auquel le graphique fait référence. Pour supprimer le lien entre un graphique et les tableaux dans Numbers : m Sélectionnez le graphique sur le canevas, puis cliquez sur Dissocier. Une fois que vous avez dissocié le graphique, il se comporte comme tout graphique créé dans Keynote, et doit être mis à jour à l’aide de l’éditeur de graphiques. Cliquer sur le lien Source près du bouton Actualiser ouvre le document Numbers auquel le graphique est lié. (Si le lien Source est masqué, développez le tableau de bord du bouton Actualiser en faisant glisser sa poignée vers l’extérieur). Formatage des graphiques Tout graphique que vous créez possède un titre, une légende et des étiquettes que vous pouvez choisir d’afficher ou de masquer dans votre diaporama et dont vous pouvez modifier l’aspect et le placement sur la diapositive. Vous pouvez également modifier les couleurs et les textures du graphique, l’échelle et la graduation de ses axes, ainsi que les étiquettes de ses points de données. Vous pouvez faire pivoter les graphiques 2D ou modifier l’angle et le style d’éclairage utilisés dans les graphiques 3D. De nombreuses instructions données ici contiennent des détails relatifs à des tâches qui nécessitent l’inspecteur des graphiques. Mais, parmi celles-ci, de nombreuses étapes peuvent également être effectuées à l’aide de la barre des formats. Les options de la barre des formats changent en fonction de l’élément sélectionné sur le canevas afin de toujours mettre à votre disposition les options de formatage appropriées. Pour placer des étiquettes et des légendes supplémentaires sur un graphique, ajoutez une zone de texte libre. Pour savoir comment, consultez la section « Ajout d’une zone de texte libre » à la page 66. 158 Chapitre 9 Création de graphiques à partir de donnéesChapitre 9 Création de graphiques à partir de données 159 Placement et formatage du titre et de la légende d’un graphique Le titre du graphique correspond au texte utilisé pour décrire l’objet du graphique. La légende du graphique décrit les couleurs utilisées dans le graphique pour représenter chaque série de données. Vous pouvez afficher ou masquer le titre ou la légende d’un graphique, modifier l’apparence du texte utilisé et faire glisser ce dernier pour le placer où vous le souhaitez sur la même diapositive. Pour modifier un attribut de graphique, commencez par sélectionner le graphique. Pour placer le titre ou la légende du graphique sélectionné et procéder à sa mise en forme, effectuez l’une des opérations suivantes : m Pour afficher le titre ou la légende, choisissez Afficher > Afficher l’inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques. Sélectionnez Afficher le titre ou Afficher la légende. m Pour donner au graphique un nouveau titre, sélectionnez le texte existant dans le champ de texte, puis tapez-en un nouveau. m Pour modifier les étiquettes dans la légende, cliquez sur Modifier les données pour ouvrir l’éditeur de graphiques, puis modifiez les étiquettes des séries dans l’éditeur de graphiques ou sélectionnez la légende et modifiez le texte directement dans la légende. m Pour mettre en forme le texte d’une légende ou d’un titre, reportez-vous aux rubriques répertoriées sous « Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte » à la page 54. Pour ajouter des éléments de texte descriptif à un graphique, créez une zone de texte libre ; voir « À propos de l’ajout de zones de texte libres et de texte dans les figures » à la page 66. Une fois que vous avez terminé de mettre en forme votre graphique, vous pouvez regrouper la zone de texte libre et le graphique afin qu’ils soient déplacés ensemble chaque fois que vous décidez de déplacer le graphique ; voir « Regroupement et dissociation d’objets » à la page 102. Redimensionnement ou rotation d’un graphique Il existe plusieurs techniques de rotation pour les graphiques 2D. Vous ne pouvez pas faire pivoter (ou retourner) les graphiques 3D. Si un graphique 3D est regroupé avec des graphiques 2D, vous pouvez faire pivoter le groupe mais sachez que seuls les graphiques 2D pivoteront. Voici différentes manières de redimensionner ou de faire pivoter un graphique : m Pour redimensionner un graphique, sélectionnez la totalité du graphique, puis essayez l’une des méthodes suivantes : Faites glisser une poignée de sélection active. Ces poignées sont dotées d’un pourtour noir.  Pour préserver les proportions d’un graphique, maintenez la touche Maj enfoncée lorsque vous faites glisser le graphique pour le redimensionner.  Pour redimensionner un graphique dans un sens, faites glisser une poignée latérale au lieu d’une poignée d’angle.  Pour redimensionner en spécifiant des dimensions exactes, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des mesures. Spécifiez une nouvelle largeur, une nouvelle hauteur ou un nouvel angle de rotation dans les champs appropriés. Pour conserver les proportions relatives de la hauteur et de la largeur du tableau, cochez la case située à côté de « Conserver les proportions ». m Pour faire pivoter des graphiques 2D, sélectionnez la totalité du graphique, puis essayez l’une des méthodes suivantes :  Sélectionnez le graphique, maintenez enfoncée la touche Commande et déplacez le pointeur vers une poignée de sélection active jusqu’à ce qu’elle se transforme en flèche double courbe, puis faites glisser une poignée de sélection.  Pour faire pivoter un graphique par incréments de 45 degrés, appuyez sur les touches Maj et Commande tout en faisant glisser une poignée de sélection.  Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures, puis faites glisser la molette de rotation ou utilisez les commandes d’angle pour définir l’angle du graphique. Il est également possible de faire pivoter des diagrammes circulaires au moyen de l’Inspecteur des graphiques. Consultez la section « Rotation de graphiques sectoriels 2D » à la page 172. Formatage des axes d’un graphique Dans les graphiques à colonnes, les graphiques à couches, les graphiques linéaires et les graphiques à barres, les points de données sont tracés le long d’un axe (l’axe y pour les graphiques à colonnes, à couches et les graphiques linéaires ; l’axe x pour les graphiques à barres) et les ensembles de données sont regroupés sur l’autre axe. L’axe des points de données est appelé axe des valeurs tandis que l’axe des ensembles de données est appelé axe des catégories. Dans les nuages de points, les axes x et y sont tous les deux des axes de valeurs. Dans les graphiques à 2 axes, il y a deux axes y ( axe des valeurs Y1 et axe des valeurs Y2) qui peuvent être formatés séparément. Pour en savoir plus sur les graphiques à 2 axes, consultez la rubrique « Personnalisation des graphiques à 2 axes et des graphiques mixtes » à la page 176. 160 Chapitre 9 Création de graphiques à partir de donnéesChapitre 9 Création de graphiques à partir de données 161 Pour afficher ou masquer les limites d’un graphique ou d’un axe, définissez l’échelle (linéaire ou logarithmique) et l’étendue de l’axe des valeurs ou ajustez la grille et les graduations le long des axes, faites des sélections et saisissez des valeurs appropriées dans la sous-fenêtre Axes de l’Inspecteur des graphiques. Définissez les attributs des étiquettes, marques de graduation et autres. Définissez la plage des valeurs qui apparaissent sur la grille du graphique. Sélectionnez des unités pour les valeurs du graphique. Affichez ou masquez les axes et les bordures des graphiques (pour les graphiques 2D uniquement). Pour ouvrir l’inspecteur des graphiques : m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils (ou choisissez Présentation > Afficher l’inspecteur) puis sur le bouton Inspecteur des graphiques. Pour placer une grille et des graduations le long des axes d’un graphique : m Sélectionnez la grille et les marques de graduations souhaitées dans un des menus locaux « Sélectionner les options de l’axe » (ou dans les deux). Pour formater les valeurs le long de l’axe des valeurs, procédez de l’une des manières suivantes : m Pour définir la valeur la plus élevée à afficher sur l’axe des valeurs, tapez un nombre dans le champ Maximum sous Axe des valeurs. Cette valeur ne peut être inférieure à la valeur maximale de votre ensemble de données. Si vous ne spécifiez pas de nombre, le champ affiche le mot « Auto » et la valeur est automatiquement calculée en fonction des données. m Pour définir la valeur à afficher au point d’origine de l’axe des valeurs, tapez un nombre dans le champ Minimum sous Axe des valeurs. Cette valeur ne peut être supérieure à la valeur minimale de votre ensemble de données. Si vous ne spécifiez pas de nombre, le champ affiche le mot « Auto » et la valeur est automatiquement calculée en fonction des données. m Pour spécifier le nombre de graduations entre zéro et les valeurs minimales et maximales de l’axe des valeurs, spécifiez un nombre dans le champ Intervalles sous Axe des valeurs.m Pour afficher les valeurs des données sur l’axe des valeurs, sélectionnez « Afficher les étiquettes de valeur » ou « Afficher la valeur minimale » dans le menu local « Sélectionner les options de l’axe » sous Axe des valeurs. m Pour spécifier les unités des nombres sur l’axe des valeurs, sélectionnez une option dans le menu local Format sous Axe des valeurs. Nombre : Affiche la valeur du point de données sans unités. Dans le champ Décimales, spécifiez le nombre de décimales à afficher. Pour afficher les valeurs négatives en les faisant précéder d’un signe moins ou en les inscrivant entre parenthèses, sélectionnez –100 ou (100) dans le menu local. Sélectionnez Séparateur si vous voulez séparer les ordres de grandeur à gauche du nombre décimal. Devise : Affiche la valeur des points de données en unités monétaires. Sélectionnez le symbole d’unité monétaire souhaité dans le menu local Symbole. Dans le champ Décimales, spécifiez le nombre de décimales à afficher. Pour afficher les valeurs négatives en les faisant précéder d’un signe moins ou en les inscrivant entre parenthèses, sélectionnez –100 ou (100) dans le menu local. Sélectionnez Séparateur si vous voulez séparer les ordres de grandeur à gauche du nombre décimal. Pourcentage : Affiche la valeur des points de données sous forme de pourcentage (en les divisant par 100). Dans le champ Décimales, spécifiez le nombre de décimales à afficher. Pour afficher les valeurs négatives en les faisant précéder d’un signe moins ou en les inscrivant entre parenthèses, sélectionnez –100 ou (100) dans le menu local. Sélectionnez Séparateur si vous voulez séparer les ordres de grandeur à gauche du nombre décimal. Date et heure : Affiche les valeurs des points de données à l’aide d’un format de date et d’heure. Durée : Affiche les valeurs des points de données sous forme d’unités temporelles, secondes, minutes ou semaines, par exemple. Fraction : Affiche les valeurs des points de données sous forme de fractions (valeurs inférieures à 1 exprimées sous la forme « 1/x »). (Si vos valeurs sont supérieures à 1, vos données ne sont pas représentées sous forme fractionnelle.) Le menu local Précision permet de déterminer le degré de précision de l’arrondi des fractions. Les options comme Moitiés ou Quarts permettent de représenter les valeurs en termes de portions du diagramme total, arrondies en fonction du degré de précision que vous avez sélectionné. Scientifique : Affiche les valeurs des points de données en notation scientifique où 10 élevé à une puissance est représenté par « E » + un entier. Dans le champ Décimales, spécifiez le nombre de décimales à afficher. Personnalisé : Sélectionnez un format de nombres personnalisé que vous avez créé ou créez un nouveau format. Consultez « Utilisation de vos propres formats pour afficher des valeurs dans les cellules d’un tableau » à la page 209 pour en savoir plus. 162 Chapitre 9 Création de graphiques à partir de donnéesChapitre 9 Création de graphiques à partir de données 163 Pour afficher les titres de catégorie (ensemble de données) : 1 Sélectionnez Afficher les catégories dans le menu local « Sélectionner les options de l’axe », puis effectuez l’une des opérations suivantes : 2 Pour afficher ou masquer certains des titres de catégories, faites l’une des opérations suivantes ou les deux :  Spécifiez l’intervalle entre les étiquettes de catégorie en tapant une valeur ou à l’aide de la flèche de défilement dans le champ « Étiqueter chaque … catégories ». Par exemple, une valeur égale à 2 permet d’afficher un titre de catégorie sur deux, une valeur égale à 3 permet d’afficher un titre de catégorie sur trois, etc.  Sélectionnez « Afficher la dernière catégorie » dans le menu local « Sélectionner les options de l’axe » sous Axe des catégories si vous souhaitez afficher le titre de la dernière catégorie. Pour ajouter ou masquer un titre d’axe : 1 Sélectionnez Afficher le titre dans le menu local « Sélectionner les options de l’axe » sous Axe des valeurs ou Axe des catégories. 2 Sélectionnez le texte du titre affiché, puis tapez le titre souhaité. 3 Pour formater le texte d’un titre, consultez la rubrique « Création de texte encadré » à la page 55. 4 Pour masquer le titre, desélectionnez l’option dans le même menu local. Pour définir une échelle linéaire, une échelle logarithmique ou une échelle en termes de pourcentage pour l’axe des valeurs : m Sélectionnez Échelle linéaire, Échelle logarithmique ou Échelle de pourcentages dans le menu local « Sélectionner les options de l’axe » sous Axe des valeurs. Les échelles de pourcentages ne sont disponibles que pour les graphiques 2D à couches, à barres ou à colonnes empilées ; les échelles linéaires et logarithmiques ne sont disponibles que pour les graphiques 2D non empilés. Les graphiques 3D sont limités aux échelles linéaires. Pour les graphiques circulaires, choisissez « Afficher les valeurs du graphique circulaire comme des pourcentages » dans le menu local Réglages des points de données pour afficher les valeurs sous la forme de pourcentages. Pour modifier la couleur et la texture des éléments d’une série ou formater les symboles et les étiquettes de valeur des points de données, utilisez la sous-fenêtre Série de l’Inspecteur des graphiques. Consultez la section « Formatage des éléments d’une série de données d’un graphique ». Pour les options de mise en forme propres à un type de graphique (par exemple, l’espacement entre les barres des graphiques à barres ou l’espacement entre les portions des graphiques sectoriels), consultez les sections spécifiques à ces types de graphique.Vous pouvez également afficher des barres d’erreur et des corrélations linéaires sur la plupart des types de graphique. Consultez les rubriques « Affichage des barres d’erreur dans les graphiques » à la page 166 et « Affichage des corrélations linéaires dans les graphiques » à la page 167. Formatage des éléments d’une série de données d’un graphique Pour apporter des modifications à des éléments de série, sélectionnez d’abord un élément dans la série que vous voulez modifier. La plupart des modifications se font à l’aide des commandes sous-fenêtre Séries de l’inspecteur des graphiques. Pour appliquer des couleurs et des textures adaptées aux éléments de série sélectionnés : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis cliquez sur Couleurs des graphiques. 2 Choisissez un type de remplissage (Remplissage de la texture, par exemple) dans le premier menu local. 3 Choisissez une collection de remplissage (Marbre ou Bois, par exemple) dans le deuxième menu local. 4 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour remplir les éléments dans toutes les séries de données, cliquez sur Tout appliquer. Le premier remplissage est appliqué aux éléments de la première série, le deuxième remplissage à la deuxième série, ainsi de suite.  Pour remplir des éléments dans une seule série de données, faites glisser le remplissage vers un élément (barre, colonne, etc.) de la série. Remarque : ces types de remplissage ne sont pas adaptés aux graphiques linéaires ni aux nuages de points. Pour en savoir plus sur le formatage des éléments de série pour ces types de graphiques, consultez les rubriques « Personnalisation des lignes et des symboles de points de données dans les graphiques linéaires » à la page 174 et « Utilisation des graphiques en nuage de points » à la page 175. Pour régler l’opacité, le trait, l’ombre ou le remplissage des éléments de série sélectionnés : m Sélectionnez l’élément à modifier, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes, puis effectuez les modifications souhaitées. Lorsque vous réglez l’opacité et le remplissage, vous remarquerez que le fait de faire glisser le curseur Opacité en bas de l’Inspecteur des graphismes permet de modifier l’opacité du graphique dans son ensemble. Pour ne formater qu’une série particulière, sélectionnez-la, puis réglez l’opacité de la couleur, du dégradé ou de la teinte comme bon vous semble. Pour plus d’informations, consultez les rubriques « Ajustement de l’opacité » à la page 109 et « Remplir un objet avec une couleur unie » à la page 110. 164 Chapitre 9 Création de graphiques à partir de donnéesChapitre 9 Création de graphiques à partir de données 165 Pour apprendre comment utiliser l’une de vos propres images comme élément de remplissage, consultez la rubrique« Image de remplissage d’un objet » à la page 113. Pour apprendre comment modifier l’aspect de la ligne tracée autour d’un élément, consultez la rubrique« Modification du style des bordures » à la page 106. Pour savoir comment modifier les ombres, consultez la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 108. Pour afficher et formater les étiquettes de point de données des séries sélectionnées : m Cliquez sur Séries dans l’inspecteur des graphiques, puis sélectionnez Afficher les valeurs. Effectuez ensuite l’une des opérations suivantes :  Pour déterminer la position des étiquettes, choisissez une option parmi les boutons : en haut à l’intérieur, au centre, en bas à l’intérieur ou à l’extérieur, à gauche ou à droite. Pour les graphiques à barres ou à colonnes, vous pouvez choisir de placer les étiquettes à l’intérieur, prés du haut, au centre ou près du bas, ou encore à l’extérieur de la barre.. Cette dernière option n’est pas disponibles pour les graphiques à barres ou à colonnes empilées. Pour les graphiques à couches, vous pouvez choisir de placer les étiquettes à l’intérieur, prés du haut, au centre ou près du bas et les aligner à gauche, au centre ou à droite. Pour les graphiques linéaires, vous pouvez choisir de placer les étiquettes au-dessus, directement dessus ou au-dessous des symboles de points de données et les aligner à gauche, au centre ou à droite.  Pour spécifier le format d’affichage des valeurs de données, choisir une option dans le menu local Format (pour plus de détails, consultez les descriptions à la rubrique « Formatage des axes d’un graphique » à la page 160). Choisissez Personnalisé si vous voulez utiliser un format de nombre personnalisé que vous avez configuré auparavant ou, si vous voulez en créer un, consultez la rubrique « Utilisation de vos propres formats pour afficher des valeurs dans les cellules d’un tableau » à la page 209 pour en savoir plus.  Pour afficher les nombres négatifs en les faisant précéder d’un signe moins ou en les inscrivant entre parenthèses, sélectionnez –-100 ou (100) dans le menu local adjacent.  Pour spécifiez le nombre de décimales à afficher, saisissez le nombre dans le champ Décimales.  Pour modifier les attributs du texte des étiquettes de point de données, consultez la rubrique « Création de texte encadré » à la page 55.Divers effets visuels sont à votre disposition pour améliorer l’apparence des éléments des séries de données, tels que les barres (dans les graphiques à colonnes et à barres), les formes de point de données (dans les graphiques linéaires et les nuages de points) et les formes de graphique à couches. Les portions triangulaires des diagrammes circulaires représentent également des séries de données, mais ne présentent aucune particularité du point de vue du formatage. Consultez la rubrique « Personnalisation de l’aspect des diagrammes circulaires » à la page 168 pour en savoir plus. Pour les graphiques à barres, à colonnes et à couches, vous pouvez apporter des modifications au formatage pour changer l’apparence des formes et des symboles des séries de données dans la sous-fenêtre Séries de l’inspecteur des graphiques. Un grand nombre des options de formatage de série sont également disponibles dans la barre des formats. Lorsque vous sélectionnez un élément de série dans un graphique, les options disponibles dans la barre des formats sont automatiquement adaptées à cet élément. Affichage des barres d’erreur dans les graphiques Vous pouvez afficher des barres d’erreur autour des points de données de tous les types de graphiques à l’exception des diagrammes circulaires. Sélectionnez des extrémités de ligne et des couleurs dans l’inspecteur Graphismes. Pour afficher des barres d’erreur sur les points de données d’une série sélectionnée : 1 Dans Inspecteur des graphiques, cliquez sur Série, puis sur Avancé en bas de la fenêtre Inspecteur. Cliquez ensuite sur Barres d’erreur. Les nuages de points disposent de barres d’erreur pour les deux séries de données. Réglez-les séparément en suivant les instructions correspondant à chacun des axes. 2 Dans le menu local, sélectionnez le mode d’affichage des barres d’erreur : Positif et négatif : Affiche des barres d’erreur complètes, à la fois au-dessus et endessous de chaque point de données. Uniquement Positif : affiche uniquement la partie de chaque barre d’erreur qui se trouve au-dessus de son point de données. Uniquement négatif : Affiche uniquement la partie de chaque barre d’erreur qui se trouve sous son point de données. 3 Dans le deuxième menu local, sélectionnez le type de barres d’erreur à afficher : Valeur fixe : Affiche une barre d’erreur de valeur absolue identique pour chaque point de données. Spécifiez une valeur dans le champ adjacent. Pourcentage : Affiche les barres d’erreur en fonction d’un pourcentage fixe de la valeur de chaque point de données. Spécifiez un pourcentage dans le champ adjacent. 166 Chapitre 9 Création de graphiques à partir de donnéesChapitre 9 Création de graphiques à partir de données 167 Écart-type : Affiche les barres d’erreur en fonction de l’écart-type de votre ensemble de données. Spécifiez le nombre d’écarts-types dans le champ adjacent. Erreur standard : Affiche des barres d’erreur standard. Personnalisé : Vous permet de définir vos barres d’erreur en fonction de vos propres critères. Dans le champ Positif, spécifiez jusqu’où les barres d’erreurs doivent s’étendre au-dessus des points de données ; dans le champ Négatif, spécifiez jusqu’où les barres d’erreur doivent s’étendre sous les points de données. Affichage des corrélations linéaires dans les graphiques Les corrélations linéaires sont des lignes calculées et tracées pour s’adapter à vos données en fonction d’un type d’équation que vous avez choisi. Elles peuvent être affichées pour la plupart des types de graphiques à l’exception des graphiques à barres, à colonnes et à couches empilées, ainsi que des diagrammes circulaires. Pour afficher la corrélation linéaire des points de données d’une série sélectionnée : 1 Sélectionnez la série pour laquelle vous voulez afficher une corrélation linéaire, puis cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils. 2 Cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis cliquez sur Série. 3 Cliquez sur Avancé en bas de la sous-fenêtre Série. Cliquez ensuite sur Corrélation linéaire. 4 Choisissez le type d’équation à utiliser pour calculer la corrélation linéaire parmi les types d’équation suivants : Linéaire : calcule une droite de régression ; technique particulièrement adaptée aux séries de données linéaires simples. Logarithmique : calcule une courbe de régression ; technique particulièrement adaptée si les valeurs augmentent ou diminuent rapidement avant de se stabiliser. Polynomiale : calcule une ligne courbe présentant des pics et des vallées pour montrer les endroits où les valeurs augmentent et ceux où elles diminuent. Spécifiez l’ordre à utiliser dans le champ Ordre ; un ordre 4 génère jusqu’à 3 pics ou vallées. Puissance : génère une courbe à utiliser pour comparer des mesures qui augmentent dans une proportion donnée. Cette option ne peut être utilisée avec des données contenant des valeurs nulles ou négatives. Exponentielle : génère une courbe à utiliser pour des valeurs qui augmentent ou diminuent dans des proportions de plus en plus élevées. Cette option ne peut être utilisée avec des données contenant des valeurs nulles ou négatives. Moyenne glissante : calcule une corrélation linéaire à partir du nombre de points de données que vous avez spécifié dans le champ Période, calcule ensuite la moyenne de ces points, puis utilise cette dernière comme point de corrélation linéaire. Spécifiez la période que vous voulez utiliser dans le champ adjacent.5 Pour afficher l’équation décrivant une corrélation linéaire, sélectionnez la courbe, puis choisissez Afficher l’équation. Vous pouvez faire glisser cette équation et la déposer où vous voulez dans la diapositive. 6 Pour afficher la valeur du cœfficient de corrélation au carré utilisé pour calculer la corrélation linéaire, sélectionnez la courbe, puis sélectionnez « Afficher la valeur R^2 ». Vous pouvez faire glisser cette valeur et la déposer où vous voulez dans la diapositive. 7 Pour afficher une étiquette de corrélation linéaire, sélectionnez-la, puis choisissez Étiquette. Tapez le nom de l’étiquette dans le champ adjacent. 8 Pour modifier la couleur ou l’épaisseur de la ligne, sélectionnez-la, puis cliquez sur le bouton Graphismes dans la fenêtre Inspecteur. Apportez des modifications à l’aide des commandes Trait de l’inspecteur des graphismes. Formatage du texte des titres, des étiquettes et des légendes de graphique Vous pouvez modifier la taille et l’apparence des titres de graphique et d’axe, des étiquettes d’axe, des étiquettes de point de données et des légendes. Pour mettre en forme le texte des étiquettes et des légendes : 1 Sélectionnez l’élément approprié en fonction du texte à formater. Pour formater tous les titres et les étiquettes de graphique (à l’exception des légendes), cliquez sur le graphique pour modifier la police et la couleur de tout le texte. Pour formater le texte de tous les points de données d’une seule série, sélectionnez le champ de texte d’un point de données de la série. Pour formater le texte d’une étiquette d’axe, sélectionnez le texte. Pour formater le texte de toutes les étiquettes de série, sélectionnez le champ de texte des étiquettes de série. Pour modifier le texte d’une légende graphique, sélectionnez la légende. 2 Utilisez la barre des formats ou la fenêtre Polices pour formater le texte. Pour obtenir des instructions, reportez-vous aux rubriques « Modification de la taille du texte » à la page 56 et « Mettre du texte en gras ou en italique ou le souligner » à la page 54. Personnalisation de l’aspect des diagrammes circulaires Un diagramme circulaire représente un seul ensemble de données et chacune de ses portions représente une valeur de point de données de cet ensemble (le premier point de données de chaque série de données). Si les séries de données se trouvent dans des rangs, seule la première colonne est utilisée pour créer le graphique ; si les séries de données se trouvent dans des colonnes, seul le premier rang est utilisé pour créer le graphique. Vous pouvez afficher sous la forme d’un graphique n’importe quel jeu de données en le déplaçant vers le premier rang ou la première colonne du tableau dans l’éditeur de graphiques. 168 Chapitre 9 Création de graphiques à partir de donnéesChapitre 9 Création de graphiques à partir de données 169 Pour modifier l’aspect d’une portion individuelle de diagramme circulaire, vous devez d’abord sélectionner le diagramme circulaire, puis sélectionner les portions à modifier. Voici différentes manières de sélectionner des portions sur un graphique sectoriel sélectionné : m Pour sélectionner une portion quelconque, cliquez dessus. m Pour sélectionner toutes les portions, sélectionnez-en une et appuyez sur Commande + A. m Pour sélectionner des portions non adjacentes, maintenez enfoncée la touche Commande tout en sélectionnant chaque portion. m Pour sélectionner un ensemble de portions adjacentes, sélectionnez la première portion puis maintenez la touche Maj enfoncée tout en sélectionnant la dernière portion. Modification des couleurs et des textures d’un diagramme circulaire Pour modifier les couleurs et les textures d’un graphique : 1 Pour appliquer des couleurs ou des textures spécialement conçues aux éléments d’une série, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis cliquez sur Couleurs des graphiques. Choisissez un type de remplissage (par exemple, parmi les textures de remplissage 3D) dans le premier menu local, puis une collection de remplissage (par exemple, Marbre ou Bois) dans le second. Exécutez ensuite l’une de ces actions : Pour remplir toutes les portions, cliquez sur Tout appliquer. Le premier remplissage est appliqué aux éléments de la première série, le deuxième remplissage à la deuxième série, ainsi de suite. Pour remplir une seule portion, faites glisser l’élément de remplissage et déposez-le sur la portion. 2 Pour régler l’opacité, le trait, l’ombre et d’autres attributs graphiques de portion individuelle, sélectionnez la portion à modifier, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes, puis effectuez les modifications souhaitées.  Lorsque vous réglez l’opacité et le remplissage, vous remarquerez que le fait de faire glisser le curseur Opacité en bas de l’Inspecteur des graphismes permet de modifier l’opacité du graphique dans son ensemble. Pour ne formater qu’une série particulière, sélectionnez-la, puis réglez l’opacité de la couleur, du dégradé ou de la teinte comme bon vous semble. Pour plus d’informations, consultez les rubriques « Ajustement de l’opacité » à la page 109 et « Remplir un objet avec une couleur unie » à la page 110.  Pour apprendre comment utiliser l’une de vos propres images comme élément de remplissage, consultez la rubrique « Image de remplissage d’un objet » à la page 113.  Pour apprendre comment modifier l’aspect de la ligne tracée autour de l’élément, consultez la rubrique « Modification du style des bordures » à la page 106. Pour apprendre comment modifier les ombres, consultez la rubrique « Ajout d’ombres aux graphiques sectoriels et aux portions » à la page 172.  Pour apprendre comment modifier des profondeurs dans un graphique sectoriel 3D, consultez la rubrique « Ajustement des réglages de scène pour les graphiques 3D » à la page 177. Affichage des étiquettes dans un diagramme circulaire Pour afficher les étiquettes de série et de point de données dans les diagrammes circulaires, utilisez l’Inspecteur des graphiques. Pour afficher les noms de série ou les étiquettes de point de données dans un diagramme circulaire : 1 Sélectionnez le diagramme ou les portions de diagramme individuelles pour lesquelles vous voulez afficher une étiquette ou un nom de série. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques. 3 Sélectionnez Étiquettes, puis faites glisser le curseur Position pour placer l’étiquette du point de données plus près ou plus loin du centre du diagramme circulaire ou spécifiez une valeur dans le champ pour définir la distance de la portion par rapport au centre du diagramme circulaire sous la forme d’un pourcentage du rayon de la portion. 4 Pour afficher les valeurs dans un format particulier, sélectionnez un format parmi les choix ci-dessous, dans le menu local Format, puis réglez les options : Nombre : Affiche la valeur du point de données sans unités. Dans le champ Décimales, spécifiez le nombre de décimales à afficher. Pour afficher les valeurs négatives en les faisant précéder d’un signe moins ou en les inscrivant entre parenthèses, sélectionnez –100 ou (100) dans le menu local. Sélectionnez Séparateur si vous voulez séparer les ordres de grandeur à gauche du nombre décimal. Devise : Affiche la valeur des points de données en unités monétaires. Sélectionnez le symbole d’unité monétaire souhaité dans le menu local Symbole. Dans le champ Décimales, spécifiez le nombre de décimales à afficher. Pour afficher les valeurs négatives en les faisant précéder d’un signe moins ou en les inscrivant entre parenthèses, sélectionnez –100 ou (100) dans le menu local. Sélectionnez Séparateur si vous voulez séparer les ordres de grandeur à gauche du nombre décimal. Pourcentage : Affiche la valeur des points de données sous forme de pourcentage (en les divisant par 100). Dans le champ Décimales, spécifiez le nombre de décimales à afficher. Pour afficher les valeurs négatives en les faisant précéder d’un signe moins ou en les inscrivant entre parenthèses, sélectionnez –100 ou (100) dans le menu local. Sélectionnez Séparateur si vous voulez séparer les ordres de grandeur à gauche du nombre décimal. 170 Chapitre 9 Création de graphiques à partir de donnéesChapitre 9 Création de graphiques à partir de données 171 Date et heure : Affiche les valeurs des points de données à l’aide d’un format de date et d’heure. Durée : Affiche les valeurs des points de données sous forme d’unités temporelles, secondes, minutes ou semaines, par exemple. Fraction : Affiche les valeurs des points de données sous forme de fractions (valeurs inférieures à 1 exprimées sous la forme « 1/x »). (Si vos valeurs sont supérieures à 1, vos données ne sont pas représentées sous forme fractionnelle.) Le menu local Précision permet de déterminer le degré de précision de l’arrondi des fractions. Les options comme Moitiés ou Quarts permettent de représenter les valeurs en termes de portions du diagramme total, arrondies en fonction du degré de précision que vous avez sélectionné. Scientifique : Affiche les valeurs des points de données en notation scientifique où 10 élevé à une puissance est représenté par « E » + un entier. Dans le champ Décimales, spécifiez le nombre de décimales à afficher. Personnalisé : Sélectionnez un format de nombres personnalisé que vous avez créé ou créez un nouveau format. Consultez « Utilisation de vos propres formats pour afficher des valeurs dans les cellules d’un tableau » à la page 209 pour en savoir plus. 5 Pour afficher le nom des séries, sélectionnez « Afficher le nom des séries ». Séparation des portions individuelles d’un diagramme circulaire Pour augmenter l’impact visuel des portions, vous pouvez les séparer du graphique. Dissociez une portion à l’aide du curseur Éloigner. Voici différentes manières d’éloigner des portions de graphique individuelles : m Pour éloigner une seule portion du centre d’un diagramme circulaire 2D ou 3D, sélectionnez-la, puis faites-la glisser ou utilisez la commande Explosion dans l’inspecteur des graphiques. m Pour éloigner plusieurs portions du centre d’un graphique sectoriel 2D ou 3D, maintenez enfoncée la touche Maj ou Commande lors de la sélection des portions voulues, puis faites-les glisser ou faites glisser le curseur Explosion dans l’inspecteur des graphiques.m Pour séparer toutes les portions du centre d’un graphique sectoriel 3D, sélectionnez le graphique avant de faire glisser le curseur Explosion dans l’inspecteur des graphiques. Ajout d’ombres aux graphiques sectoriels et aux portions Vous pouvez placer des ombres sur des portions individuelles ou sur le graphique entier. Appliquer des ombres à des portions individuelles donne l’impression qu’elles se trouvent sur des niveaux différents ; il est donc recommandé, lorsque vous ajoutez une ombre à une portion de diagramme circulaire, de la séparer préalablement du reste du diagramme. Pour ajouter des ombres : 1 Sélectionnez le graphique ou les portions individuelles. Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques. Exécutez l’une de ces actions :  Pour ajouter des ombres à des portions individuellement sélectionnées, choisissez Individuelle dans le menu local Ombre.  Pour ajouter une ombre à l’ensemble du diagramme, choisissez Groupée dans le menu local Ombre. 2 Pour définir les attributs de l’ombre, utilisez l’inspecteur des graphismes. Consultez la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 108 pour plus d’instructions. Rotation de graphiques sectoriels 2D Vous pouvez utiliser plusieurs techniques pour faire pivoter un graphique sectoriel 2D. Voici différentes manières de faire pivoter un graphique sectoriel : m Sélectionnez le graphique, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis utilisez la molette ou le champ Angle de rotation. m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures, puis faites glisser la molette de rotation ou utilisez les commandes d’angle pour définir l’angle du graphique. m Sélectionnez le graphique, maintenez enfoncée la touche Commande et déplacez le pointeur vers une poignée de sélection active jusqu’à ce qu’elle se transforme en flèche double courbe, puis faites glisser une poignée de sélection. m Pour faire pivoter le graphique par incréments de 45 degrés, appuyez sur les touches Maj et Commande tout en faisant glisser une poignée de sélection ou en faisant tourner la molette de rotation. 172 Chapitre 9 Création de graphiques à partir de donnéesChapitre 9 Création de graphiques à partir de données 173 Définition des ombres, de l’espacement et des noms de série dans les graphiques à barres et à colonnes Dans les graphiques à barres et à colonnes, vous pouvez ajuster la distance entre les jeux de barres ou de colonnes (les jeux de données) ; dans les graphiques dans lesquels les jeux de données ne sont pas empilés, vous pouvez également ajuster la distance entre les différentes barres ou colonnes (entre les différents jeux de données). Vous pouvez aussi appliquer des ombres soit à des séries de données individuelles, soit à l’ensemble du graphique. Dans les graphiques à barres et à colonnes qui ne sont pas empilées,vous avez également la possibilité d’afficher les noms des séries. Pour personnaliser les graphiques à barres et à colonnes : 1 Sélectionnez un graphique à barres ou à colonnes. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis cliquez sur Graphique. 3 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Modifiez l’espace entre les barres ou les catégories : Pour changer l’espacement entre les barres, tapez une valeur (ou cliquez sur les flèches) dans le champ « Espace entre les barres ». Pour changer l’espacement entre les catégories (dans les graphiques non empilés), spécifiez une valeur dans le champ « Espace entre les séries ». La valeur correspond au pourcentage de la largeur de la barre. Le fait de réduire l’espace entre les barres les rend plus épaisses. Vous pouvez également déplacer le pointeur près du bord d’une barre jusqu’à ce qu’il devienne une double flèche, puis le faire glisser afin de rendre les barres plus épaisses ou plus fines.  Ajoutez des ombres : Pour ajouter des ombres aux barres individuelles, choisissez Individuelle dans le menu local Ombre. Pour ajouter des ombres à caque groupe de barres, choisissez Groupée dans le menu local Ombre. Pour définir des attributs d’ombre, utilisez l’inspecteur des graphiques. Consultez la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 108 pour plus d’instructions.  Pour afficher le nom des séries, sélectionner « Afficher le nom des séries » dans le menu local « Sélectionner les options de l’axe » sous « Axe des catégories» dans la sous-fenêtre Axes de l’inspecteur des graphiques. (Cette option n’est pas disponible pour les graphiques à barres ou à colonnes empilées.)Personnalisation des lignes et des symboles de points de données dans les graphiques linéaires Dans le cas des graphiques à couches et des graphiques linéaires, vous pouvez représenter des points de données par des symboles (cercles, triangles, carrés et losanges). Vous pouvez également afficher une courbe ou une droite entre les points de données. Les points de données de cette série de données correspondent à des triangles. Les points de données de cette série de données correspondent à des cercles. Voici quelques méthodes permettant de modifier les symboles de point de données et la courbe des points de données : m Pour modifier le symbole des points de données, sélectionnez une série de données (surface ou ligne), cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis cliquez sur Série. Choisissez un symbole dans le menu local Symbole de données : Réglez la taille des symboles de point de données en saisissant une valeur ou en utilisant la flèche de défilement dans le champ adjacent. Joignez les points à l’aide d’une courbe. Choisissez un symbole à utiliser pour les points de données. m Pour relier les points à l’aide d’une courbe, sélectionnez une série de données (ligne), puis choisissez Courbe dans le menu local Relier les points. m Pour modifier la couleur de la ligne, sélectionnez une ligne, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes, puis utilisez la commande Trait. Consultez la rubrique « Modification du style des bordures » à la page 106 pour plus d’instructions. Affichage des symboles de point de données dans les graphiques à couches Dans les graphiques à couches, il est possible de représenter les points de données à l’aide de symboles (cercles, triangles, carrés et losanges). 174 Chapitre 9 Création de graphiques à partir de donnéesChapitre 9 Création de graphiques à partir de données 175 Pour afficher les symboles de point de données : 1 Sélectionnez une série de données (surface), cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis cliquez sur Série. 2 Choisissez un symbole dans le menu local Symbole de données : 3 Réglez la taille des symboles de point de données en saisissant une valeur ou en utilisant la flèche de défilement dans le champ adjacent. Utilisation des graphiques en nuage de points Sur les graphiques en nuage de points, les données s’affichent différemment des autres types de graphiques. Ils nécessitent au moins deux colonnes ou rangs de données pour tracer les points représentant les valeurs d’une série de données individuelle. Pour afficher plusieurs séries de données, vous devez utiliser des paires de colonnes (ou de rangées) supplémentaires. Chaque paire de valeurs détermine ainsi la position de chaque point de données. La première valeur de la paire correspond à l’axe x du point. La deuxième valeur de la paire correspond à l’axe y du point. Si vous avez déjà créé un graphique à partir de point de données qui ne sont pas associés en paires, puis que vous transformez votre graphique en nuage de points, Keynote ne sera pas en mesure de tracer les données comme vous le souhaitez. En fonction de la manière dont les données sont disposées dans le tableau, il ne sera peut-être pas possible de tracer quoi que ce soit. Assurezvous que vous avez saisi des valeurs x et y pour chaque série de données à représenter avant de vous lancer dans la création d’un graphique en nuage de points. Pour pouvoir modifier l’aspect des symboles ou des lignes de points de données, vous devez sélectionner un symbole ou une ligne qui vous intéresse, puis ouvrir Inspecteur des graphiques. Pour modifier l’apparence des symboles et des lignes de point de données sélectionnés, faites l’une des opérations suivantes : m Sélectionnez un élément dans le menu local Symbole de données, puis ajustez la taille du symbole en tapant une valeur ou en utilisant la flèche de défilement dans le champ adjacent. m Pour connecter les points de la série sélectionnée à l’aide d’une courbe ou d’une droite, sélectionnez une option dans le menu local Relier les points. m Pour modifier la couleur des points de données ou des lignes de votre graphique, sélectionnez une ligne ou un point de données à modifier, puis cliquez dans l’inspecteur des graphismes. (Remarque : vous pouvez modifier séparément la couleur des points de données, des lignes et des lignes de corrélation linéaire, même s’ils représentent la même série de données). Dans Inspecteur des graphismes, cliquez sur le cadre de couleurs Trait, puis sélectionnez une couleur dont la fenêtre Couleurs.m Pour modifier le style et l’épaisseur de n’importe quelle ligne de votre graphique, sélectionnez une ligne, puis choisissez un style de ligne dans le menu local Trait. Tapez une valeur ou utilisez la flèche de défilement dans le champ adjacent pour ajuster l’épaisseur de la ligne. Pour en savoir plus sur l’affichage d’une corrélation linéaire pour la série sélectionnée, consultez la rubrique « Affichage des corrélations linéaires dans les graphiques » à la page 167. Dans les graphiques en nuage de points, il est possible d’afficher des barres d’erreur pour les mesures x et y. Pour en savoir plus sur l’affichage des barres d’erreur, consultez la rubrique « Affichage des barres d’erreur dans les graphiques » à la page 166. Personnalisation des graphiques à 2 axes et des graphiques mixtes Les graphiques à deux axes représentent un graphique linéaire superposé à un graphique à colonnes ou à couches et affichent un axe des valeurs (l’axe des y) différent pour chaque graphique. L’axe sur le côté gauche du graphique appartient à la première série de données qui figure dans l’éditeur de graphiques, représentée par une ligne, et s’appelle l’axe des valeurs (Y1). L’axe sur le côté droit du graphique appartient à la deuxième série de données qui figure dans l’éditeur de graphiques, représentée par des colonnes, et s’appelle l’axe des valeurs (Y2). L’inspecteur Graphique contient des commandes qui vous permettent de formater individuellement chacun des axes. L’illustration ci-dessous montre une graphique à deux axes. Il s’agit de l’axe des y pour la série de données représentée par une ligne. Il s’agit de l’axe des y pour la série de données représentée par des colonnes. Les graphiques de type mixte présentent un graphique dans lequel chacune des deux séries peut être représentée sous la forme d’un type de graphique différent. Par exemple, une des séries de données peut être représentée par une ligne, tandis que l’autre série de données est représentée par des colonnes. Tant pour les graphiques à deux axes que pour les graphiques mixtes, une seule série de données peut être représentée par chaque type de graphique. Les deux séries de données peuvent être représentées sous la forme d’un graphique à colonnes, linéaire ou à couche. 176 Chapitre 9 Création de graphiques à partir de donnéesChapitre 9 Création de graphiques à partir de données 177 Pour changer de type de graphique dans la figure : 1 Sélectionnez la série de données dont vous voulez changer le type de graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries. 3 Sélectionnez le type de graphique dans le menu local Type de séries. Vous pouvez mettre en forme plus précisément les axes du graphique et personnaliser l’aspect des éléments de séries de données comme vous le feriez pour d’autres types de graphiques. Pour plus de détails, consultez les rubriques « Placement et formatage du titre et de la légende d’un graphique » à la page 159, « Formatage des axes d’un graphique » à la page 160, et « Formatage des éléments d’une série de données d’un graphique » à la page 164. Ajustement des réglages de scène pour les graphiques 3D Il est possible de modifier l’angle de vision et l’angle d’éclairage dans les graphiques 3D. Pour modifier l’angle d’affichage : m Sélectionnez le graphique 3D et faites glisser une tête de flèche de la flèche quadridirectionnelle qui apparaît. Pour ajuster les réglages de scène 3D : 1 Sélectionnez un graphique 3D, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis cliquez sur Graphique. 2 Pour modifier l’angle de vision du graphique, faites glisser l’une des têtes de flèche du bouton portant une flèche bleue jusqu’à obtenir la position voulue. 3 Pour changer l’angle et l’intensité de l’éclairage, sélectionnez l’option qui vous convient dans le menu local Style d’éclairage. 4 Pour modifier la profondeur des éléments du graphique, faites glisser le curseur Profondeur du graphique. Un déplacement du curseur vers la droite a pour effet d’étirer les éléments du graphique pour les rapprocher du spectateur. Si vous créez un graphique très profond, il se peut que vous deviez redimensionner le graphique pour qu’il tienne sur la diapositive. 5 Pour accentuer les contours d’un diagramme circulaire 3D, sélectionnez l’option « Afficher les bords biseautés ».178 Ajoutez et mettez en forme des tableaux contenant les lignes et les colonnes dont vous avez besoin. Fusionnez et divisez les cellules pour créer des dispositions intéressantes pour le texte et les images. Les tableaux constituent une manière intéressante de présenter des données ou des informations qui permet de les numériser ou de les comparer facilement. Vous pouvez également utiliser les tableaux comme une structure pour présenter du texte et des images de manière créative. Keynote vous fournit les outils pour vous permettre de concevoir des tableaux polyvalents et de créer des aides visuelles qui améliorent votre présentation. Utilisés conjointement avec des compositions de tableau, Keynote peut même faciliter l’animation de données numériques. Pour savoir ce que vous pouvez faire avec des compositions de tableau, consultez la rubrique « Création d’une composition de tableau » à la page 141. Les tableaux dans Keynote sont conçus pour exécuter des calculs mathématiques en conjonction avec l’ensemble des fonctions et formules intégrées à iWork. Pour des informations détaillées sur l’utilisation des formules et fonctions disponibles dans iWork, consultez le Guide de l’utilisateur des formules et fonctions d’iWork, ou ouvrez l’aide des fonctions et formules en choisissant Aide > « Aide sur les formules et fonctions d’iWork ». Ajout d’un tableau Lorsque vous ajoutez un tableau dans Keynote, il apparaît sous la forme d’un tableau à trois rangs et trois colonnes, avec ou sans en-tête de rang ou de colonne, selon le thème que vous utilisez. Les tableaux sont conçus pour correspondre au thème. Il est très facile de personnaliser un tableau en ajoutant autant de colonnes et de rangs que vous souhaitez, ou en ajoutant ou supprimant un en-tête de colonne et des rangs d’en-tête et de bas de page avant de commencer à saisir le contenu des cellules. 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 179 Pour créer un tableau : 1 Cliquez sur Tableau dans la barre d’outils ou choisissez Insérer > Tableau. Un tableau à trois rangs et trois colonnes apparaît. 2 Ajustez le nombre de lignes et de colonnes en spécifiant le nombre souhaité dans les champs Lignes et Colonnes de la barre de format. 3 Pour ajouter une ou plusieurs colonnes d’en-tête, cliquez sur le bouton de colonne d’en-tête dans la barre de format et sélectionnez le nombre souhaité dans le menu local, jusqu’à 5. Le fait de cliquer sur le bouton de colonne d’en-tête à cet endroit ajoute ou supprime une seule colonne d’en-tête, à moins que vous n’ayez déjà ajouté plusieurs en-têtes ou saisi du contenu dans les cellules. 4 Pour ajouter une ou plusieurs lignes d’en-tête, cliquez sur le bouton de ligne d’en-tête dans la barre de format et sélectionnez le nombre souhaité dans le menu local, jusqu’à 5. Le fait de cliquer sur le bouton de colonne d’en-tête à cet endroit ajoute ou supprime une seule colonne d’en-tête, à moins que vous n’ayez déjà ajouté plusieurs en-têtes ou saisi du contenu dans les cellules. 5 Pour ajouter une ou plusieurs lignes d’en-tête, cliquez sur le bouton de ligne d’en-tête dans la barre de format et sélectionnez le nombre souhaité dans le menu local, jusqu’à 5. Le fait de cliquer sur le bouton de rang de bas de page à cet endroit insère ou supprime un seul rang de bas de page, à moins que vous n’ayez déjà ajouté plusieurs bas de page ou saisi du contenu dans les cellules. 6 Pour redimensionner le tableau, faites glisser l’une de ses poignées de sélection. Pour conserver les proportions d’un tableau, maintenez la touche Maj enfoncée lors du redimensionnement. Pour développer le tableau depuis le milieu, maintenez la touche Option enfoncée lors du développement. 7 Faites glisser le tableau pour le placer où vous le souhaitez sur la diapositive. Pour dessiner un tableau avec le nombre de lignes et de colonnes souhaité : 1 Maintenez la touche Option enfoncée, puis cliquez sur Tableau dans la barre d’outils. 2 Relâchez la touche Option et faites glisser le pointeur à travers le canevas (celui-ci prend la forme d’un viseur). Pendant que vous faites glisser le pointeur, le nombre de rangs et de colonnes augmente ou diminue en fonction de la taille de votre tableau. 3 Redimensionnez et positionnez le tableau comme décrit dans la tâche ci-dessus.Voici de nouvelles manières de créer un nouveau tableau à partir d’un tableau existant : m Pour créer un tableau basé sur une cellule ou plusieurs cellules adjacentes d’un tableau existant, sélectionnez la ou les cellules, puis faites glisser la sélection vers un emplacement vide du canevas. m Copiez un tableau dans un document Pages ou une feuille de calcul Numbers et collez-le dans sur le canevas. Remarque : Les lignes et les colonnes qui sont masquées dans la feuille de calcul Numbers et tous les commentaires ajoutés aux cellules du tableau Numbers ne sont pas copiés dans Keynote. Pour en savoir plus sur la saisie de contenu dans les cellules d’un tableau, consultez la rubrique « Saisie de contenu dans les cellules d’un tableau » à la page 183. Après la création du tableau, vous pouvez, à tout moment, ajouter et supprimer des rangs et des colonnes, modifier les dimensions d’un rang, d’une colonne ou d’une cellule, modifier la couleur et les styles de bordure de la cellule, et bien plus encore pour lui donner l’aspect souhaité. Ajout de rangs à un tableau Vous pouvez ajouter des rangs dans un tableau ou à la fin d’un tableau. Si le tableau contient une ou plusieurs rangs de bas de page, les rangs ajoutés au bas du tableau sont placés au-dessus du rang de bas de page. Si le tableau contient un rang d’en-tête, les nouveaux rangs ajoutés en haut du tableau sont ajoutés après le rang d’en-tête. Voici différentes manières d’ajouter des rangs : m Sélectionnez le tableau, puis spécifiez le nombre de rangs souhaité dans le champ nombre de rangs de la barre de format. Les nouveaux rangs sont ajoutés à la fin du tableau existant. m Pour ajouter un rang à la fin du tableau, appuyez su la touche Tab lorsque la dernière cellule du tableau est sélectionnée (avant les rangs de pied de page). m Pour ajouter un seul rang n’importe où dans le tableau, sélectionnez une cellule, puis choisissez Format > Tableau > « Insérer un rang au-dessus » ou « Insérer un rang en dessous ». Vous pouvez également sélectionner ces commandes dans le menu local Modifier les rangs et les colonnes de l’inspecteur Tableau. Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Tableau, puis cliquez sur Tableau. m Pour ajouter plusieurs rangs n’importe où dans le tableau, sélectionnez les cellules qui s’étendent sur un nombre de rangs égal au nombre de nouveaux rangs que vous souhaitez ajouter (par exemple, sélectionnez trois rangs si vous souhaitez en ajouter trois), puis choisissez Format > Tableau > « Insérer des rangs au-dessus » ou « Insérer des rangs en dessous ». 180 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 181 Vous pouvez également sélectionner ces commandes dans le menu local Modifier les rangs et les colonnes de l’inspecteur Tableau. Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des tableaux et enfin sur Tableau. m Vous pouvez diviser les cellules en deux rangs égaux. La rubrique « Division des cellules d’un tableau » à la page 192 décrit la manière de procéder. Ajout de colonnes à un tableau Vous pouvez ajouter des colonnes dans un tableau ou à la fin de celui-ci. Les nouvelles colonnes ajoutées sur le côté gauche sont insérées après la colonne d’en-tête, si le tableau en contient une. Voici différentes manières d’ajouter des colonnes : m Sélectionnez le tableau, puis spécifiez le nombre de colonnes souhaité dans le champ nombre de colonnes de la barre de format. Les nouvelles colonnes sont ajoutées à la fin du tableau existant. m Pour ajouter une seule colonne n’importe où dans le tableau, sélectionnez une cellule, puis choisissez Format > Tableau > « Insérer une colonne avant » ou « Insérer une colonne après ». Vous pouvez également sélectionner ces commandes dans le menu local Modifier les rangs et les colonnes de l’inspecteur Tableau. Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des tableaux et enfin sur Tableau. m Pour ajouter plusieurs colonnes n’importe où dans le tableau, sélectionnez les cellules qui s’étendent sur un nombre de colonnes égal au nombre de nouvelles colonnes que vous souhaitez ajouter (par exemple, sélectionnez trois colonnes si vous souhaitez en ajouter trois), puis choisissez Format > Tableau > « Insérer des colonnes avant » ou « Insérer des colonnes après ». Vous pouvez également sélectionner ces commandes dans le menu local Modifier les rangs et les colonnes de l’inspecteur Tableau. Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des tableaux et enfin sur Tableau. m Vous pouvez diviser les cellules en deux rangs égaux. La rubrique « Division des cellules d’un tableau » à la page 192 décrit la manière de procéder. Suppression de rangs et de colonnes d’un tableau Pour supprimer un ou plusieurs rangs ou colonnes dans un tableau, vous devez sélectionner au moins une cellule dans chacun des rangs et dans chacune des colonnes que vous souhaitez supprimer. Voici différentes manières de supprimer des rangs ou des colonnes sélectionnés : m Choisissez Format > Tableau > Supprimer la colonne ou Supprimer le rang.m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Tableaux, puis choisissez Supprimer le rang ou Supprimer la colonne dans le menu local Modifier les rangs et les colonnes. Redimensionnement d’un tableau Vous pouvez agrandir ou réduire un tableau en faisant glisser l’une de ses poignées de sélection ou en utilisant l’Inspecteur des mesures. Vous pouvez également modifier la taille d’un tableau en redimensionnant ses colonnes et ses rangs. Il existe plusieurs manières de redimensionner un tableau sélectionné. m Faites glisser l’une des poignées de sélection carrées qui s’affiche lorsque vous sélectionnez un tableau. Pour conserver les proportions d’un tableau, maintenez la touche Maj enfoncée lors du redimensionnement. , Pour redimensionner le tableau à partir de son centre, maintenez la touche Option enfoncée pendant que vous le faites glisser. Pour redimensionner un tableau dans une direction, faites glisser une poignée latérale au lieu d’une poignée d’angle. m Pour redimensionner en spécifiant des dimensions précises, sélectionnez un tableau ou une cellule, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures. Spécifiez une nouvelle largeur et hauteur dans les champs Taille. Pour conserver les proportions du tableau, sélectionnez « Conserver les proportions » avant de modifier les valeurs de largeur et de hauteur. Redimensionnement de rangées et de colonnes d’un tableau Le moyen le plus facile de redimensionner les rangs et les colonnes consiste à faire glisser leurs bordures. Vous pouvez également sélectionner une ou plusieurs cellules et utiliser les commandes du menu pour que les rangs et les colonnes présentent la même hauteur ou largeur. Si vous souhaitez spécifier les dimensions exactes de la hauteur d’un rang ou de la largeur d’une colonne, utilisez l’Inspecteur des tableaux. Si le contenu de la cellule est trop volumineux, un indicateur de découpage apparaît sous la forme d’un signe plus (+) à l’intérieur d’un carré dans le coin inférieur droit de la cellule. Dans l’Inspecteur des tableaux, vous pouvez définir le redimensionnement automatique de cellule pour s’ajuster au contenu. Voici différentes manières de redimensionner des colonnes ou des rangs individuels : m Pour redimensionner un seul rang, faites glisser vers le haut ou le bas la bordure inférieure du rang. 182 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 183 m Pour redimensionner une colonne, faites glisser vers la gauche ou la droite la bordure de la colonne. Voici quelques manières d’égaliser les hauteurs de rangs ou les largeurs de colonnes : m Pour que tous les rangs soient de la même taille, sélectionnez le tableau, puis choisissez Format > Tableau > Répartir les rangs uniformément. m Pour que plusieurs rangs soient de la même taille, sélectionnez une ou plusieurs cellules dans les rangs et sélectionnez Tableau > « Répartir les rangs uniformément ». Les rangs ne doivent pas être nécessairement adjacents. m Pour que toutes les colonnes soient de la même taille, choisissez Format > Tableau > Répartir les colonnes uniformément. m Pour que plusieurs colonnes soient de la même taille, sélectionnez une ou plusieurs cellules dans les colonnes et sélectionnez Tableau > « Répartir les colonnes uniformément ». Les colonnes ne doivent pas être nécessairement adjacentes. Pour spécifier les dimensions de hauteur de rang ou de largeur de colonne : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. 2 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Tableaux. 3 Spécifiez les valeurs dans les champs Largeur de colonne et Hauteur de rang. Pour redimensionner automatiquement les cellules d’un tableau afin de les adapter à leur contenu : m Dans l’Inspecteur des tableaux, sélectionnez « Ajuster automatiquement au contenu ». Toutes les cellules du tableau sont redimensionnées pour s’adapter à leur contenu. Saisie de contenu dans les cellules d’un tableau Pour commencer à taper du texte dans une cellule, il suffit de la sélectionner et de commencer à taper. Pour sélectionner du texte qui se trouve déjà dans la cellule, vous devez placer le point d’insertion dans la cellule. Quel que soit le mode, vous pouvez naviguer dans le tableau à l’aide des touches fléchées, ce qui facilite la saisie de texte dans les cellules. Voici quelques astuces pour taper du texte dans les cellules d’un tableau : m Pour entrer du texte, sélectionnez une cellule, et commencez à taper. m Pour placer le point d’insertion à l’intérieur d’une cellule, cliquez une fois pour sélectionner le tableau, cliquez à nouveau pour sélectionner la cellule, puis cliquez une troisième fois pour placer le point d’insertion à l’intérieur de la cellule. Une fois que le point d’insertion est dans la cellule, vous pouvez sélectionner du texte en faisant glisser le pointeur dessus ou en double-cliquant pour sélectionner un mot ou triple-cliquant pour sélectionner un paragraphe.m Pour insérer un saut de paragraphe, lorsque le point d’insertion est dans la cellule, appuyez sur Retour. m Pour insérer un saut de ligne, lorsque le point d’insertion est dans la cellule, appuyez sur Option+Retour. m Pour insérer une tabulation dans un tableau, lorsque le point d’insertion est dans la cellule, appuyez sur Option + Tab. m Pour régler l’alignement du texte, sélectionnez une ou plusieurs cellules et cliquez sur le bouton d’alignement du texte dans la barre de format pour aligner le texte à gauche, à droite, au centre ou le justifier ou l’aligner par rapport au haut, au milieu ou au bas de la cellule. m Pour savoir comment redimensionner les cellules d’un tableau pour les adapter au contenu qui ne tient pas dedans, consultez la rubrique « Redimensionnement de rangées et de colonnes d’un tableau » à la page 182. Les cellules d’un tableau qui ne sont pas assez grandes pour afficher leur contenu comportent un indicateur de découpage en bas. Indicateur de coupure m Pour modifier le type de caractère, sélectionnez une ou plusieurs cellules, puis cliquez sur le bouton de formatage du texte dans la barre de format. Choisissez une police. Choisissez un type de caractère. Choisissez la taille de la police. Choisissez la couleur du texte. m Pour être sûr que Keynote interprète ce que vous tapez comme un nombre, du texte ou tout autre type de valeur, appliquez un format de valeur de cellule aux cellules. Consultez la rubrique « Mise en forme des valeurs des cellules en vue de l’affichage » à la page 201. Remarque : Les chaînes de texte sont ignorées dans les fonctions utilisant des valeurs pour réaliser des calculs. En plus de formater de texte à l’aide de la barre de format, comme décrit ci-dessus, vous pouvez également formater du texte dans les cellules d’un tableau, comme vous le feriez pour n’importe quel texte. Consultez la rubrique « Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte » à la page 54. Dans les tableaux, vous pouvez utiliser les fonctions Rechercher-Remplacer ou le vérificateur orthographique comme vous le feriez pour n’importe quel texte. Consultez la rubrique « Vérification de l’orthographe du texte de vos diapositives » à la page 76. 184 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 185 Pour en savoir plus sur le déplacement et la modification du contenu des cellules d’un tableau, consultez la rubrique « Modification du contenu des cellules d’un tableau » à la page 187. Sélection et déplacement dans les cellules d’un tableau Pour vous déplacer facilement dans un tableau, sélectionnez les cellules du tableau mais sans sélectionner le texte à l’intérieur des cellules. Lorsque vous sélectionnez une cellule, ses bordures sont mises en surbrillance. Pour sélectionner une seule cellule d’un tableau : m Cliquez une fois pour sélectionner le tableau et cliquez à nouveau pour sélectionner une cellule. Lorsqu’une cellule est sélectionnée, utilisez les touches Tab, Retour et les touches fléchées pour déplacer la sélection vers une cellule adjacente. Voici quelques manières de sélectionner plusieurs cellules, rangs et colonnes : m Pour sélectionner des cellules de tableau adjacentes, sélectionnez une cellule unique, puis maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous sélectionnez les cellules adjacentes. Vous pouvez également cliquer sur une cellule, puis faire glisser sur une série de cellules. m Pour sélectionner des cellules non adjacentes d’un tableau, maintenez la touche Commande enfoncée pendant que vous sélectionnez les cellules. Continuez de maintenir la touche Commande enfoncée et cliquez à nouveau pour désélectionner une cellule dans le groupe. m Pour sélectionner un rang ou une colonne unique, sélectionnez une seule cellule, puis choisissez Sélectionner le rang ou Sélectionner la colonne dans le menu local Modifier les rangs et les colonnes de l’Inspecteur des tableaux. m Pour sélectionner plusieurs rangs, sélectionnez deux cellules adjacentes verticalement ou plus avant de cliquer sur Sélectionner le rang. m Pour sélectionner plusieurs colonnes, sélectionnez deux cellules adjacentes horizontalement ou plus avant de cliquer sur Sélectionner la colonne. Pour déplacer la sélection de cellules dans un tableau à tout le tableau : m Appuyez sur Commande+Retour, ou cliquez en dehors du tableau puis cliquez n’importe où dans le tableau. Lorsqu’une cellule est sélectionnée, voici quelques raccourcis permettant de sélectionner des cellules adjacentes.Pour sélectionner Procédez comme suit la cellule suivante sur la droite Appuyez sur la touche de tabulation. Si vous appuyez sur la touche de tabulation dans la dernière colonne, la première cellule du rang suivant est sélectionnée. Si vous appuyez sur la touche de tabulation dans la dernière cellule, un nouveau rang est ajouté (sur lequel la première cellule est sélectionnée). La cellule suivante sur la gauche Appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de tabulation. La cellule suivante du dessous Appuyez sur la touche Flèche vers le bas. La cellule suivante au dessus Appuyez sur la touche Flèche vers le haut. Remplissage automatique des cellules d’un tableau Grâce au remplissage automatique, vous pouvez utiliser le contenu d’une ou de plusieurs cellules pour ajouter automatiquement des valeurs aux cellules adjacentes. Voici quelques moyens de remplir automatiquement des cellules : m Pour coller le contenu et le remplissage d’une cellule dans des cellules adjacentes, sélectionnez la cellule, puis faites glisser la poignée de remplissage (un petit cercle dans l’angle inférieur droit) vers les cellules dans lesquelles vous souhaitez coller le contenu. Lorsque vous positionnez le pointeur au dessus d’une poignée de remplissage, elle prend la forme d’un grand signe plus (+), qui vous indique que vous pouvez commencer à faire glisser le pointeur à travers les cellules que vous souhaitez remplir. Toutes les données, les formats, les formules et les remplissages associés à la cellule sélectionnée sont copiés. Si une des cellules cibles contient des données, le remplissage automatique écrase ces données avec la valeur que vous répétez. m Pour coller le contenu et le remplissage d’une cellule dans une ou plusieurs cellules du même rang ou de la même colonne, sélectionnez au moins deux cellules adjacentes et effectuez l’une des opérations suivantes : Format > Tableau > Remplissage > Remplir vers la droite : Affecte la valeur de la cellule la plus à gauche sélectionnée à cellule sélectionnée. Format > Tableau > Remplir à gauche : Affecte la valeur de la cellule la plus à droite sélectionnée à cellule sélectionnée. Format > Tableau > Remplir vers le haut : Affecte la valeur de la cellule la plus en bas sélectionnée à cellule sélectionnée. Format > Tableau > Remplir vers le bas : Affecte la valeur de la cellule la plus en haut sélectionnée à cellule sélectionnée. 186 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 187 Toutes les données, les formats, les formules et les remplissages associés à la cellule sélectionnée sont copiés. Si une des cellules cibles contient des données, le remplissage automatique écrase ces données avec la valeur que vous répétez. m Vous pouvez également ajouter des valeurs aux cellules en fonction des modèles de valeurs. Par exemple, si une cellule contient le nom d’un jour de la semaine ou d’un mois, vous pouvez sélectionner la cellule puis la faire glisser vers la droite ou vers le bas pour ajouter le jour ou le mois suivant dans la cellule adjacente. Pour ce faire, utilisez les options de remplissage décrites plus haut. Pour créer de nouvelles valeurs en fonction de caractéristiques numériques, sélectionnez deux cellules ou plus avant de les faire glisser. Par exemple, si les deux cellules sélectionnées contiennent les valeurs 1 et 2, les valeurs 3 et 4 sont ajoutées lorsque vous faites glisser le curseur sur les deux cellules adjacentes. De même, si les deux cellules sélectionnées contiennent les valeurs 1 et 4, les valeurs 7 et 10 sont ajoutées lorsque vous faites glisser le curseur sur les deux cellules adjacentes (les valeurs sont augmentées de 3). Le remplissage automatique n’établit pas de relation continue entre les cellules du groupe. Une fois le remplissage automatique effectué, vous pouvez modifier les cellules individuellement. Pour en savoir plus sur la suite de fonctions et formules disponibles dans iWork, et sur leur utilisation, consultez le Guide de l’utilisateur des formules et fonctions d’iWork ou l’Aide iWork (choisissez Aide > « Aide sur les formules et fonctions d’iWork »). Modification du contenu des cellules d’un tableau Vous pouvez modifier, supprimer, copier intervertir et déplace du contenu dans les cellules. Voici différentes manières de modifier des valeurs : m Pour remplacer un contenu spécifique existant dans une cellule, sélectionnez la cellule et sélectionnez le contenu que vous souhaitez remplacer en double-cliquant dessus tout en appuyant sur la touche Maj, et sélectionnez plus de contenu si vous souhaitez en remplacer plus. Tapez du texte pour remplacer le contenu sélectionné. m Pour tout remplacer dans la cellule, sélectionnez cette dernière et procédez à la saisie. Si l’option « La touche Retour déplace sur la cellule suivante » n’est pas sélectionnée dans l’Inspecteur des tableaux, vous pouvez également sélectionner la cellule et appuyer sur Retour ou Entrée, ce qui sélectionne tout le contenu de la cellule, avant de commencer à saisir du texte. m Pour insérer du contenu dans du contenu existant, sélectionnez la cellule, cliquez pour définir le point d’insertion, et procédez à la saisie. m Pour annuler les modifications apportées à une cellule de tableau depuis la sélection de la cellule, appuyez sur Échap.m Pour supprimer le contenu des cellules, des rangs ou des colonnes d’un tableau, sélectionnez les cellules, les rangs ou les colonnes, puis appuyez sur la touche Suppr ou choisissez Édition > Supprimer. Pour supprimer le contenu, le remplissage d’arrière-plan et tous les réglages de style, choisissez Édition > Tout effacer. Le style par défaut est alors appliqué à la sélection. m Pour intervertir des valeurs de cellule dans un tableau, sélectionnez une cellule ou plusieurs cellules adjacentes, puis faites glisser la sélection vers les cellules cibles. Les valeurs de la sélection sont interverties avec celles des cellules de destination. m Pour copier des cellules d’un tableau vers un autre tableau, ou vers le canevas, faites glisser les cellules sélectionnées tout en maintenant la touche Option enfoncée. Toutes les valeurs dans les cellules de destination sont remplacée, et les valeurs des cellules d’origine sont conservées. Vous pouvez également copier des cellules en les sélectionnant, en choisissant Édition > Copier, en sélectionnant les cellules de destination et en choisissant Édition > Coller. m Pour ajouter des formules et des fonctions aux cellules, consultez les instructions dans Aide. Choisissez Aide > « Aide sur les formules et fonctions iWork ». Pour en savoir plus sur la mise en forme des cellules, consultez la rubrique « Mise en forme des valeurs des cellules en vue de l’affichage » à la page 201. À propos de la personnalisation de l’aspect et de la disposition des tableaux Vous pouvez ajouter des rangs d’en-tête ou de pied de page, changer la couleur ou l’image d’arrière-plan de tableaux ou de cellules de tableaux, changer la couleur et les styles des bordures pour personnaliser l’aspect de vos tableaux. Pour des dispositions polyvalentes de tableaux, ajoutez, déplacez ou masquez les segments de bordure, et fusionnez ou divisez les cellules. Pour en savoir plus sur les effets de composition de diapositive qui sont spécifiques aux tableaux, consultez la rubrique « Création d’une composition de tableau » à la page 141. Alternance de couleurs de rangs dans un tableau Alternez la couleur d’arrière-plan d’un rang sur deux afin de conférer au tableau un effet de bandes. Pour alterner la couleur des rangs : 1 Sélectionnez le tableau. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. 3 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Tableaux. 188 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 189 4 Sélectionnez Couleur de rang en alternance en bas de l’Inspecteur des tableaux. 5 Cliquez sur le cadre de couleurs adjacent pour ouvrir la fenêtre Couleurs, puis choisissez une couleur pour les rangs alternés. Consultez la rubrique « La fenêtre Couleurs » à la page 25 pour plus d’instructions. 6 Pour modifier les attributs de remplissage des autres rangs, utilisez les options Arrièreplan de cellule de l’Inspecteur des tableaux. Consultez la rubrique « Remplissage de cellules d’un tableau avec des couleurs ou des images » à la page 195 pour plus d’instructions. Ajout de rangs ou de colonnes d’en-tête au tableau Utilisez des rangs et des colonnes d’en-tête pour identifier vos rangs et vos colonnes. Les rangs et colonnes d’en-tête sont mis en forme de telle sorte qu’ils se distinguent des autres rangs et colonnes (du corps) du tableau. Les rangs d’en-tête se composent de la cellule supérieure de chaque colonne. Les colonnes d’en-tête se composent de la cellule la plus à gauche de chaque rang. Vous pouvez utiliser jusqu’à cinq rangs d’en-tête et cinq colonnes d’en-tête. Les entêtes multiples sont utiles si vous souhaitez attribuer des noms à plusieurs colonnes ou rangs d’en-tête. Pour formater un en-tête couvrant plusieurs rangs ou colonnes, fusionnez les cellules d’en-tête en suivant les instructions de la rubrique « Fusion des cellules d’un tableau » à la page 191. Si un tableau contient des rangs d’en-tête et des colonnes d’en-tête, la ou les cellules en haut à gauche sont considérées comme faisant partie du rang d’en-tête. Les colonnes d’en-tête s’affichent en dessous des rangs d’en-tête. Pour ajouter des rangs ou des colonnes d’en-tête, commencez par sélectionner un tableau. Voici différentes manières d’ajouter des rangs ou colonnes d’en-tête. m Sélectionnez le nombre d’en-têtes que vous souhaitez dans les menus locaux de rangs et colonnes d’en-tête de la barre des formats. m Choisissez Format > Tableaux > Rangs d’en-tête ou Colonnes d’en-tête > n (le nombre de rangs d’en-tête ou de colonnes d’en-tête) dans le menu local.m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des tableaux et enfin sur Tableau. Choisissez le nombre de rangs ou de colonnes d’en-tête dans le menu local « En-têtes et bas de pages ». Supprimez les rangs et les colonnes d’en-tête comme vous supprimeriez des rangs ou des colonnes quelconques. Pour plus de détails, consultez la section « Suppression de rangs et de colonnes d’un tableau » à la page 181. Les cellules d’en-tête jouent un rôle important car elles facilitent la lecture et la création de formules dans des cellules de tableau. Pour en savoir plus sur la suite de fonctions et formules disponibles dans iWork, et sur leur utilisation, consultez le Guide de l’utilisateur des formules et fonctions d’iWork ou l’Aide iWork (choisissez Aide > « Aide sur les formules et fonctions d’iWork »). Ajout de rangs de bas de tableau Utilisez des rangs de bas de tableau pour attirer l’attention sur les rangs de la partie inférieure d’un tableau. Les rangs de bas de tableau sont mis en forme de telle sorte qu’ils se distinguent des autres rangs (du corps). Les rangs de bas de tableau sont constitués des cellules situées en bas de chaque colonne. Vous pouvez utiliser jusqu’à cinq rangs de bas de tableau. Pour mettre en forme un bas de tableau concernant des colonnes, fusionnez les cellules de bas de tableau tel que décrit par la rubrique « Fusion des cellules d’un tableau » à la page 191. Pour ajouter des rangs de pied de page, commencez par sélectionner un tableau. Voici différentes manières d’ajouter des rangs de pied de page : m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des tableaux. Dans l’inspecteur des tableaux, cliquez sur Tableaux, puis choisissez le nombre de rangs de pieds de page dans le menu local « En-têtes et pieds de page ». m Choisissez Format > Tableaux > Rangs de pied de page > n (le nombre de rangs de pied de page) dans le menu local. 190 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 191 Supprimez les rangs de pied de page comme vous supprimeriez des rangs quelconques. Pour plus de détails, consultez la section « Suppression de rangs et de colonnes d’un tableau » à la page 181. Fusion des cellules d’un tableau La fusion des cellules d’un tableau consiste à combiner des cellules adjacentes en une seule cellule, éliminant ainsi les bordures afin qu’elles se comportent comme une cellule unique. Pour fusionner les cellules d’un tableau : 1 Sélectionnez un groupe de deux cellules adjacentes ou plus. Le groupe de cellules choisi doit former un rectangle et les cellules doivent toutes être des cellules de corps, des cellules d’en-tête ou des cellules de bas de page. 2 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Choisissez Format >Tableau > Fusionner les cellules.  Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des tableaux. Cliquez sur Tableaux dans l’inspecteur des tableaux, puis sélectionnez Fusionner les cellules dans le menu local « Modifier les rangs et les colonnes ». Pour diviser des cellules qui ont été fusionnées : m Choisissez Format > Tableau > et désélectionnez Fusionner les cellules. m Désélectionnez Fusionner les cellules dans le menu local « Modifier les rangs et les colonnes » dans la sous-fenêtre Tableau de l’Inspecteur des tableaux. Voici ce qui arrive au contenu d’une cellule lors d’une fusion :  La fusion horizontale de cellules adjacentes ne contenant que du texte ou un mélange de texte, de nombres, de valeurs mises en forme et de formules, revient à joindre le contenu de toutes les cellules d’origine en texte séparé par des tabulations.  De même, la fusion verticale de cellules adjacentes ne contenant que du texte ou un mélange de texte, de nombres, des valeurs mises en forme et de formules, revient à joindre le contenu de toutes les cellules d’origine en texte séparé par un retour chariot.  Lors de la fusion de cellules de colonne, l’arrière-plan des cellules reprend l’image ou la couleur de la cellule la plus en haut.  Lors de la fusion de cellules de rang, l’arrière-plan des cellules reprend l’image ou la couleur de la cellule la plus à gauche.  Lorsqu’une cellule contenant du texte, un nombre, une formule ou un format de cellule est fusionnée avec une cellule vide, la nouvelle cellule conserve le contenu de la cellule non vide.  Lorsqu’une cellule contenant un format de nombre est fusionnée avec une cellule vide, la nouvelle cellule conserve également le format de nombre.Pour en savoir plus sur la suite de fonctions et formules disponibles dans iWork, et sur leur utilisation, consultez le Guide de l’utilisateur des formules et fonctions d’iWork ou l’Aide iWork (choisissez Aide > « Aide sur les formules et fonctions d’iWork »). Division des cellules d’un tableau La division de cellules divise celles-ci en deux parties, horizontalement (en rangées) ou verticalement (en colonnes). Les deux nouvelles cellules disposent des mêmes couleurs ou images d’arrière-plan. Tout texte présent dans la cellule d’origine reste dans la cellule la plus en haut ou la plus à gauche. Pour diviser des cellules individuelles, commencez par les sélectionner. Pour diviser une colonne ou un rang entier, sélectionnez toutes les cellules de la colonne ou du rang. Pour diviser les cellules sélectionnées horizontalement, procédez de l’une des manières suivantes : m Choisissez Format > Tableau > « Diviser en rangs ». m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des tableaux. Dans l’inspecteur des tableaux, cliquez sur Tableaux, puis sélectionnez « Diviser en rangs » dans le menu local « Modifier les rangs et les colonnes ». Pour diviser les cellules sélectionnées verticalement, procédez de l’une des manières suivantes : m Choisissez Format > Tableau > « Diviser en colonnes ». m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des tableaux. Dans l’inspecteur des tableaux, cliquez sur Tableaux, puis sélectionnez « Diviser les colonnes » dans le menu local « Modifier les rangs et les colonnes ». Pour regrouper des cellules préalablement divisées : m Sélectionnez toutes les cellules que vous souhaitez fusionner, puis cliquez sur Format > Tableau > Fusionner les cellules. Sélection et déplacement des bordures de cellules d’un tableau Sélectionnez les bordures de tableau ou de cellules pour modifier leur apparence ou les déplacer dans le tableau. Vous pouvez sélectionner toutes les bordures d’un tableau ou des bordures de cellule individuelles (segments). Vous pouvez également sélectionner plusieurs segments de bordure, ce qui vous permet de modifier facilement l’apparence de plusieurs segments en une seule fois. 192 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 193 Sélectionnez une cellule, maintenez le pointeur au-dessus d’une bordure pour qu’il chevauche la ligne ; si vous cliquez alors une nouvelle fois, vous sélectionnerez une bordure ou un segment de bordure. En pratique, cliquez une fois pour sélectionner un tableau, cliquez à nouveau pour sélectionner une bordure, puis cliquez une troisième fois pour sélectionner un segment de bordure. Le pointeur ressemble à ceci lorsqu’il passe au-dessus d’un segment horizontal. Le pointeur ressemble à ceci lorsqu’il passe au-dessus d’un segment vertical.Pour sélectionner rapidement des bordures d’un tableau spécifique : 1 Sélectionnez un tableau ou une cellule de tableau, puis cliquez sur le bouton de sélection de bordure dans la barre de format. Bouton Contours 2 Sélectionnez le jeu de bordures souhaité dans le menu local. 3 Pour sélectionner un autre segment (ou un seul segment si deux segments sont sélectionnés), maintenez le pointeur au-dessus du segment souhaité jusqu’à ce qu’il se transforme en lignes parallèles, puis cliquez sur la bordure pour la sélectionner. Pour sélectionner les bordures d’un tableau sélectionné, effectuez l’une ou l’autre des opérations suivantes : m Cliquez sur une bordure pour la sélectionner. m Cliquez sur une autre bordure pour sélectionner la bordure. m Maintenez le touche Maj ou Commande enfoncée pendant que vous cliquez pour sélectionner (ou désélectionner) plusieurs bordures. m Double-cliquez sur une bordure sélectionnée pour sélectionner un segment de la bordure. m Maintenez le touche Maj ou Commande enfoncée pendant que vous cliquez pour sélectionner (ou désélectionner) plusieurs segments de bordure. Pour sélectionner rapidement les bordures correspondantes de plusieurs cellules : 1 Sélectionnez le tableau, le rang, la colonne ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Tableaux pour ouvrir l’Inspecteur des tableaux. 3 Cliquez sur Tableaux dans l’Inspecteur des tableaux. 4 Cliquez sur un bouton de bordure de cellule quelconque dans l’inspecteur des tableaux. Pour déplacer le segment d’une bordure : m Sélectionnez-le et faites-le glisser à l’endroit souhaité. 194 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 195 Mise en forme des bordures des cellules d’un tableau Vous pouvez modifier l’épaisseur et la couleur des bordures des cellules d’un tableau. Vous pouvez également masquer la bordure de n’importe quelle cellule. Pour mettre en forme les bordures de cellule de tableau : 1 Sélectionnez les segments de bordure de cellule à mettre en forme. 2 Pour modifier le style de ligne (trait), cliquez sur le menu local Trait dans la barre de format et sélectionnez lignes continues, lignes pointillées ou Aucun (pour que les bordures soient invisibles). Cliquez sur la couleur du trait choisie. Cliquez sur le style de trait choisi. Cliquez sur l’épaisseur de trait voulu. 3 Pour modifier l’épaisseur de la ligne, spécifiez un nombre dans le champ adjacent au menu local Trait. Pour saisir une valeur en dehors de la plage comprise entre 0,25 et 10, vous pouvez la saisir dans le champ. 4 Pour changer la couleur de la ligne, cliquez sur le cadre des couleurs, puis sélectionnez une couleur dans le tableau de couleur. Pour plus d’options de couleur, choisissez Afficher les couleurs. Le même style de segment de bordure peut être obtenu dans la sous-fenêtre Tableaux de l’Inspecteur des tableaux. Pour obtenir des instructions sur l’utilisation de la fenêtre Couleurs pour sélectionner et gérer les couleurs, consultez la rubrique « La fenêtre Couleurs » à la page 25. Remplissage de cellules d’un tableau avec des couleurs ou des images Vous pouvez ajouter des images d’arrière-plan, une couleur unie ou un dégradé de couleurs à des cellules d’un tableau ou à l’ensemble du tableau en fonction de ce que vous avez sélectionné lors de l’ajout de l’arrière-plan. Pour remplacer une image qui a été utilisée comme arrière-plan ou pour changer la couleur de remplissage, répétez ces étapes. Pour ajouter ou modifier une image ou une couleur d’arrière-plan : 1 Sélectionnez l’ensemble du tableau ou une ou plusieurs cellules de tableau. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des tableaux pour ouvrir l’inspecteur des tableaux. 3 Cliquez sur Tableau dans l’Inspecteur des tableaux, puis effectuez l’une des opérations suivantes : Pour ajouter une image, choisissez Remplissage image dans le menu local Arrièreplan. Sélectionnez une image, puis choisissez la manière dont vous souhaitez l’afficher.  Pour ajouter une couleur d’arrière-plan, choisissez Remplissage couleur ou Remplissage dégradé dans le menu local Arrière-plan de cellule, puis sélectionnez la couleur de votre choix.  Pour ajouter une image d’arrière-plan surmontée d’une couleur teintée, choisissez Remplissage image teintée dans le menu local Arrière-plan de cellule, puis sélectionnez une image et une couleur. Le remplissage des cellules d’un tableau avec des images ou des couleurs est identique au remplissage d’une figure. Pour des instructions détaillées, reportez-vous à la rubrique « remplissage d’objets à l’aide de couleurs ou d’images » à la page 110. Après avoir placé une image en arrière-plan d’une cellule ou d’un tableau, ou l’avoir rempli avec une couleur, tout ce que vous saisissez dans la cellule apparaît par dessus le remplissage par image ou par couleur. À propos de l’utilisation de tableaux pour trier et traiter les données Les tableaux dans Keynote non seulement présentent les données mais vous permettent également de les trier et de leur appliquer un traitement. Par exemple, vous pouvez ajouter et multiplier des colonnes de données ou appliquer d’autres fonctions et formules afin de calculer les résultats à partir de valeurs numériques de vos tableaux. Vous pouvez également trier les colonnes de données par ordre croissant ou décroissant de leur valeur. De plus, vous pouvez appliquer des règles de mise en forme conditionnelle qui vous permettent de savoir immédiatement si les cellules contiennent les valeurs de données que vous spécifiez. Les tableaux dans Keynote sont conçus pour exécuter des calculs mathématiques en conjonction avec l’ensemble des fonctions et formules intégrées à iWork. Pour obtenir la liste des fonctions et des formules disponibles dans iWork, ainsi que les instructions détaillées sur leur utilisation, consultez le Guide de l’utilisateur des fonctions et formules d’iWork ou ouvrez l’aide en choisissant Aide > « Guide de l’utilisateur des fonctions et formules d’iWork » ou « Aide sur les formules et fonctions d’iWork ». Utilisation de nombres dans les cellules d’un tableau Certaines opérations du tableau, telles que les formules et les fonctions qui effectuent des opérations mathématiques, dépendent des cellules qui contiennent des valeurs numériques. 196 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 197 Voici quelques astuces pour utiliser les nombres dans les cellules d’un tableau : m Dans une cellule numérique, utilisez uniquement des chiffres (0 à 9) ou l’un des caractères suivants : signe plus (+), signe moins (–), parenthèse gauche ou droite ( ), barre oblique (/), symbole monétaire (par exemple, $), signe pour cent (%), point (.), E majuscule ou e minuscule. m Vous pouvez appliquer le formatage de cellule aux nombres, comme décrit dans la rubrique « Mise en forme des valeurs des cellules en vue de l’affichage » à la page 201. m Pour spécifier un nombre négatif, faites-le précéder du signe moins (–). Lorsque vous saisissez un nombre qui est trop long pour s’afficher dans une cellule de tableau Keynote le convertit en un autre format numérique :  Lorsqu’un nombre décimal est trop grand pour une cellule, il est arrondi. Par exemple, 1.77777777777777777777 devient ainsi 1.77777777777778.  Lorsqu’un nombre entier est trop grand pour une cellule, il est affiché en notation scientifique. Par exemple, 77777777777777777777 devient ainsi 7.77777EE+19. La notation scientifique affiche les nombres à l’aide d’un exposant élevé à la puissance 10. L’exposant est affiché à la suite du E. Si le nombre ainsi converti ne tient toujours pas dans la cellule, il est tronqué. Pour obtenir d’autres suggestions, consultez la rubrique « Redimensionnement de rangées et de colonnes d’un tableau » à la page 182. Tri de données dans les cellules d’un tableau Vous avez la possibilité de classer la totalité ou une partie des valeurs d’une colonne par ordre croissant ou décroissant. Les rangs contenant des cellules triées sont réorganisés. Les cellules d’en-tête ne sont pas triées. Pour trier des colonnes de données : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des tableaux pour ouvrir l’inspecteur des tableaux. 2 Cliquez sur Tableaux dans l’Inspecteur des tableaux. 3 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour trier un tableau en réorganisant les cellules d’une colonne, sélectionnez l’une des cellules de la colonne, puis choisissez « Trier en ordre croissant » ou « Trier en ordre décroissant » dans le menu local « Modifier les rangs et les colonnes ».  Pour trier partiellement un tableau en réorganisant certaines cellules d’une colonne, sélectionnez ces cellules avant de choisir « Trier en ordre croissant » ou « Trier en ordre décroissant ». Le tableau suivant décrit de quelle manière les différents types de données sont classés, par ordre croissant ou décroissant.Type de données Ordre croissant Ordre décroissant Texte aA-zZ Zz-Aa Dates Année (la moins récente en premier), puis Mois (Janvier en premier), et enfin jour (1-31) Année (la plus récente en premier), puis Mois (Décembre en premier), et enfin jour (31-1) Numbers –2, –1, 0, 1, etc. 1, 0, –1, –2, etc. Cellules ne contenant que du texte, combinées avec d’autres ne contenant que des nombres -2, -1, 0, 1, etc., puis aA-zZ Zz-Aa, puis 1, 0, -1, -2, etc. Cellules contenant un mélange de texte et de nombres Valeurs commençant par les nombres en premier (1z, 1Z, a1, A1) Valeurs commençant par du texte en premier (A1, a1, 1A, 1z) Cellules vides En bas de la liste En bas de la liste Booléen (VRAI/FAUX) Au-dessous du texte et audessus d’une cellule vide Au-dessus des valeurs texte Utilisation de la mise en forme conditionnelle pour surveiller les valeurs des cellules du tableau La mise en forme conditionnelle modifie l’apparence d’une cellule lorsque les cellules contiennent une valeur test, qui peut être une valeur spécifique que vous indiquez ou une valeur qui correspond à une autre valeur d’une cellule de tableau spécifique. Pour appliquer une mise en forme conditionnelle, sélectionnez une ou plusieurs cellules, puis définissez une ou plusieurs règles. Les règles spécifient les effets visuels à associer aux cellules lorsqu’elles contiennent la valeur de test. Les règles appliquées à plusieurs cellules déclenchent la mise en forme conditionnelle lorsque n’importe quellecellule contient la valeur test. Pour configurer ou modifier des règles de mise en forme conditionnelle : 1 Sélectionnez une ou plusieurs cellules. Pour appliquer la même règle à l’ensemble d’un tableau, sélectionnez l’ensemble du tableau. Les règles définies sont appliquées uniquement aux cellules qui sont sélectionnées au moment où vous définissez la règle. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des tableaux, puis cliquez sur Format dans l’Inspecteur des tableaux. 3 Cliquez sur Afficher les règles pour ouvrir la fenêtre Format conditionnel. 4 Choisissez la règle logique de votre test en effectuant une sélection dans le menu local « Choisissez une règle ». 198 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 199 Les options de la section supérieure du menu appliquent des tests aux valeurs numériques. Les options de la section intermédiaire concernent les valeurs textuelles. L’option Date est réservée aux dates. 5 Pour spécifier une valeur test, effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour spécifier un nombre ou du texte, tapez-le dans le champ de valeur à droite du menu local. Si vous avez sélectionné Entre et Ne pas appliquer entre comme règle logique, vous devrez spécifier deux nombres.  Pour spécifier une valeur dans une cellule de tableau existant, cliquez sur l’icône bleue dans le champ de valeur, puis cliquez sur la cellule de tableau contenant la valeur souhaitée. Si vous avez sélectionné Entre et Ne pas appliquer entre comme règle logique, vous devrez spécifier deux emplacements de cellules. 6 Pour spécifier la mise en forme à appliquer aux cellules contenant la valeur test, cliquez sur Édition puis effectuez les sélections comme décrit :Cadre de couleur Texte : cliquez dessus pour sélectionner une couleur à appliquer aux valeurs des cellules. Boutons Style de police : Cliquez sur B pour afficher les valeurs de cellule en gras, sur I pour les afficher en italique et sur U pour les souligner ; ou cliquez sur T pour appliquer le style barré. Cadre de couleur Remplissage : cliquez sur ce cadre pour sélectionner une couleur de remplissage pour la cellule. Lorsque vous cliquez les effets induits par vos choix sont affichés dans le champ Échantillon. 7 Lorsque l’effet vous semble satisfaisant, cliquez sur Terminé. 8 Pour ajouter une autre règle, cliquez sur le bouton Ajouter (+) et répétez les étapes 3 à 7. Pour supprimer une règle, cliquez sur le bouton Supprimer (-). Pour effacer toutes les règles, cliquez sur « Effacer toutes les règles ». 9 Pour supprimer une règle, cliquez sur le bouton Supprimer (-). 10 Pour modifier une règle, redéfinir ses options de menu local, modifier ses valeurs test ou sa mise en forme, effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour supprimer une valeur test qui fait référence à une cellule de tableau, sélectionnez la référence de la cellule dans le champ valeur test, puis appuyez sur la touche Suppr.  Pour remplacer une référence de cellule par une autre, sélectionnez la référence de cellule dans le champ valeur test et cliquez sur une autre cellule de tableau contenant la valeur souhaitée.  Pour remplacer une valeur test textuelle par une référence de cellule, sélectionnez le texte dans le champ valeur test et cliquez sur la petite icône bleue et cliquez sur une cellule du tableau. 11 Pour appliquer les mêmes règles de mise en forme conditionnelle à des cellules dans différents tableaux, sélectionnez une cellule dont vous souhaitez réutiliser les règles, puis choisissez Édition > Copier, sélectionnez une ou plusieurs cellules dans un autre tableau, puis choisissez Édition > Coller. 12 Pour trouver toutes les cellules d’un tableau présentant les mêmes règles de mise en forme conditionnelle qu’une cellule spécifique, sélectionnez la cellule, puis cliquez sur « Tout sélectionner ». Les cellules présentant les règles correspondantes sont sélectionnées dans le tableau. 200 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 201 Si plusieurs règles sont définies pour une cellule et si la valeur de la cellule satisfait les conditions de plusieurs règles :  La couleur de texte appliquée est la couleur associée à la règle située au niveau le plus haut et dotée d’une couleur de texte spécifiée.  Le type de police appliqué est le style de police associé à la règle située au niveau le plus haut et dotée d’un style de police spécifié.  La couleur de remplissage appliquée est la couleur de remplissage associée à la règle située au niveau le plus haut et dotée d’une couleur de remplissage spécifiée. Lorsque la couleur de texte spécifiée a été appliquée à une valeur de cellule, si vous saisissez un nouveau texte dans la cellule après avoir placé un point d’insertion et modifié la couleur du texte dans la barre des formats ou dans l’inspecteur du texte, le nouveau texte s’affiche dans la nouvelle couleur de texte, mais le texte existant conserve la couleur définie dans la règle. Mise en forme des valeurs des cellules en vue de l’affichage Vous pouvez appliquer un format à une cellule afin d’afficher sa valeur de manière particulière. Par exemple, vous pouvez appliquer le format devise aux cellules contenant des valeurs monétaires pour qu’un symbole monétaire (comme $, £ ou ¥) s’affiche après les montants dans les cellules. Si vous utilisez un format de cellule, vous devez définir uniquement les caractéristiques d’affichage d’une valeur. Si la valeur est utilisée dans des formules, c’est la valeur actuelle qui est utilisée et non la valeur formatée. La seule exception est la suivante : s’il y a trop de chiffres après une virgule, le nombre est arrondi. Pour appliquer un format de cellule : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des tableaux pour ouvrir l’inspecteur des tableaux. 3 Dans Inspecteur des tableaux, cliquez sur Format. 4 Choisissez un format dans le menu local Format de cellule. Pour en savoir plus sur le choix d’un format adapté à vos besoins, consultez « Formats de cellule de tableau » à la page 202. Pour des instructions détaillées sur la définition d’options pour chaque type de format, consultez la rubrique spécifique au type de format que vous souhaitez appliquer. Pour supprimer un format de cellule d’une cellule : m Appliquez le format automatique. m Pour supprimer la valeur et la mise en forme, choisissez Édition > Tout effacer.Une fois le format d’une cellule défini, vous pouvez l’associer à plusieurs cellules grâce au remplissage automatique. Consultez la rubrique « Remplissage automatique des cellules d’un tableau » à la page 186 pour plus d’instructions. Pour ajouter une valeur dans une cellule vide associée à un format, sélectionnez la cellule et saisissez une valeur. Le format est appliqué lorsque vous quittez la cellule. Formats de cellule de tableau Voici une description détaillée des formats de cellule de tableau. Utilisez ce format de cellule Si vous voulez Informations supplémentaires ici automatique Formater automatiquement du contenu en fonction des caractères qu’elle contient (pas de formatage spécial) « Application du format automatique aux cellules de tableau » à la page 203 nombre Appliquer un format d’affichage des décimales, du séparateur des milliers et des valeurs négatives d’un nombre « Application du format des nombres aux cellules de tableau » à la page 204 devise Appliquer un format d’affichage des valeurs monétaires « Application du format de devise aux cellules de tableau » à la page 204 pourcentage Afficher les valeurs numériques suivies du symbole % « Application d’un format des pourcentages aux cellules de tableau » à la page 205 date et heure Appliquer un format d’affichage des valeurs de date et d’heure « Application d’un format date et heure aux cellules de tableau » à la page 206 durée Appliquer un format d’affichage des valeurs de semaine, de jour, d’heure, de minute, de seconde et de microseconde « Application du format de durée aux cellules de tableau » à la page 206 fraction Appliquer un format d’affichage à n’importe quelle partie d’une valeur inférieure à 1 « Application du format fraction aux cellules de tableau » à la page 207 système numérique Appliquer un format d’affichage des nombres à l’aide des conventions d’un système numérique particulier (décimal ou binaire, par exemple) « Application d’un format système numérique aux cellules de tableau » à la page 207 scientifique Afficher les nombres sous la forme d’un exposant élevé à la puissance 10 « Application du format scientifique aux cellules de tableau » à la page 208 202 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 203 Utilisez ce format de cellule Si vous voulez Informations supplémentaires ici texte Afficher le contenu des cellules tel que vous le saisissez « Application du format Texte aux cellules de tableau » à la page 208 personnalisé Définir votre propre format de cellule. « Création d’un format numérique personnalisé » à la page 209 Application du format automatique aux cellules de tableau Le format automatique se base sur le contenu d’une cellule pour déterminer le mode d’affichage. Lorsque vous ajoutez une cellule, son contenu est affiché par défaut en utilisant le format automatique. Pour appliquer le format automatique : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. 3 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Format. 4 Choisissez Automatique dans le menu local Format de cellule. Ce contenu dans une cellule à laquelle le format automatique a été attribué Est formaté comme ceci pour l’affichage Un nombre Les décimales et les virgules sont conservées telles qu’elles ont été saisies. Par exemple, 1 000 000,008 est affiché comme ceci : 1 000 000,008. Une valeur de devise Les décimales et les virgules sont conservées telles qu’elles ont été saisies. Par exemple, $1,000.0075 devient $1,000.0075. Une valeur de date La valeur est conservée telle qu’elle est saisie et considérée comme du texte, par comme une date, dans les formules. Par exemple, 1/1 devient 1/1.Ce contenu dans une cellule à laquelle le format automatique a été attribué Est formaté comme ceci pour l’affichage Une valeur booléenne Les valeurs « vrai » et « faux » sont converties en « VRAI » et « FAUX ». Ces cellules peuvent être utilisées dans les opérations booléennes des formules. Une valeur en pourcentage Les nombres suivis du signe % sont affichés tels qu’ils ont été saisis et, dans les formules, la valeur est traitée comme un pourcentage. Un espace avant le signe % n’est pas obligatoire. Par exemple, vous pouvez saisir 5% ou 5 %. Une valeur scientifique La format d’affichage arrondit la valeur à 2 décimales. Par exemple, « 1,777E3 » est affiché comme ceci « 1,78+E3 ». Une valeur de durée La valeur est conservée telle qu’elle est saisie et considérée comme du texte. Une valeur de fraction La valeur est conservée telle qu’elle est saisie et considérée comme du texte. Application du format des nombres aux cellules de tableau Utilisez la mise en forme numérique pour mettre en forme l’affichage des décimales, du séparateur de milliers et des valeurs négatives d’un nombre. Pour appliquer un format de nombre : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. 3 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Format. 4 Choisissez Nombre dans le menu local Format de cellule. 5 Pour spécifier le nombre de chiffres après la virgule à afficher, utilisez le champ Décimales. Si une valeur contient plus de chiffres après la virgule que le nombre que vous avez spécifié, la valeur affichée est arrondie et non pas tronquée. Par exemple, si une cellule est mise en forme pour afficher deux chiffres après la virgule, la valeur 3.456 est affichée sous la forme 3.46 et non pas 3.45. 6 Pour spécifier l’affichage des valeurs négatives, choisissez une option du menu local adjacent au champ Décimales. 7 Pour préciser l’utilisation d’un séparateur de milliers, sélectionnez ou désélectionnez l’option Séparateur des milliers. Application du format de devise aux cellules de tableau Utilisez le format de devise pour mettre en forme l’affichage des valeurs monétaires. 204 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 205 Pour appliquer un format de devise : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. 3 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Format. 4 Choisissez Monnaie dans le menu local Format de cellule. 5 Pour spécifier un symbole monétaire, choisissez une option dans le menu local Symbole. 6 Pour spécifier le nombre de chiffres après la virgule à afficher, utilisez le champ Décimales. Si une valeur contient plus de chiffres après la virgule que le nombre que vous avez spécifié, la valeur affichée est arrondie et non pas tronquée. Par exemple, si une cellule est mise en forme pour afficher deux chiffres après la virgule, la valeur 3.456 est affichée sous la forme 3.46 et non pas 3.45. 7 Pour spécifier l’affichage des valeurs négatives, choisissez une option du menu local adjacent au champ Décimales. 8 Pour préciser l’utilisation d’un séparateur de milliers, sélectionnez ou désélectionnez l’option Séparateur des milliers. 9 Pour afficher le symbole de la devise contre le bord de la cellule, sélectionnez Style de comptabilité. Application d’un format des pourcentages aux cellules de tableau Utilisez le format Pourcentage pour afficher des valeurs numériques suivies du symbole %. Si la valeur est utilisée dans une formule, sa version décimale est utilisée. Par exemple, une valeur affichée sous la forme « 3,00% » est utilisée comme 0,03 dans une formule. Si vous saisissez 3 % dans une cellule formatée utilisant un format automatique et que vous appliquez le format de pourcentage à la cellule, la valeur affichée sera 3 %. Si vous saisissez 3 % dans une cellule formatée utilisant un format automatique et que vous appliquez le format de pourcentage à la cellule, la valeur affichée sera 300 %. Pour appliquer un format des pourcentages : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. 3 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Format. 4 Choisissez Pourcentage dans le menu local Format de cellule. 5 Pour spécifier le nombre de chiffres après la virgule à afficher, utilisez le champ Décimales. Si une valeur contient plus de chiffres après la virgule que le nombre que vous avez spécifié, la valeur affichée est arrondie et non pas tronquée. Par exemple, si une cellule est mise en forme pour afficher deux chiffres après la virgule, la valeur 3.456 est affichée sous la forme 3.46 et non pas 3.45. 6 Pour spécifier l’affichage des valeurs négatives, choisissez une option du menu local adjacent au champ Décimales. 7 Pour préciser l’utilisation d’un séparateur de milliers, sélectionnez ou désélectionnez l’option Séparateur des milliers. Si la cellule que vous mettez en forme contient déjà une valeur, la valeur est considérée comme un nombre décimal et convertie en pourcentage. Par exemple, 3 devient 300%. Pour en savoir plus sur la suite de fonctions et formules disponibles dans iWork, ainsi que sur leur utilisation, consultez le Guide de l’utilisateur des formules et fonctions d’iWork ou consultez l’aide (choisissez Aide > « Aide sur les formules et fonctions d’iWork » ou « Guide de l’utilisateur des formules et fonctions d’iWork »). Application d’un format date et heure aux cellules de tableau Utilisez le format Date et heure pour afficher des valeurs de date et/ou d’heure. Pour définir un format Date et heure à l’aide de l’Inspecteur des cellules : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. 3 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Format. 4 Sélectionnez Date et heure dans le menu local Format de cellule. 5 Pour spécifier la mise en forme de la date, choisissez un format dans le menu local Date. 6 Pour spécifier la mise en forme de l’heure, choisissez un format dans le menu local Heure. Application du format de durée aux cellules de tableau Utilisez le format de durée pour les valeurs décrivant des durées comme les semaines, les jours, les heures, les minutes, les secondes et les millisecondes. Pour appliquer un format de durée : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. 3 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Format. 4 Choisissez Durée dans le menu local Format de cellule. 206 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 207 5 Utilisez la commande Unités pour sélectionner les unités que vous souhaitez afficher pour une valeur de durée. Par défaut, les heures, minutes et secondes (h, m et s) sont affichées. Pour choisir une seule unité, faites glisser l’extrémité gauche ou droite du curseur vers le centre jusqu’à ce qu’il ne puisse plus être plus court. Cliquez ensuite au centre du curseur et faites-le glisser sur l’unité à utiliser. Pour choisir plusieurs unités, redimensionnez et faites glisser le curseur jusqu’à ce qu’il se trouve au dessus des unités que vous souhaitez utiliser. 6 Choisissez un format d’affichage dans le menu local Format. Application du format fraction aux cellules de tableau Utilisez le format de fraction pour contrôler l’affichage de n’importe quelle partie de valeur inférieure à 1. Par exemple, 27,5 s’affiche 27 1/2 lorsque le format est défini sur Moitiés et 27 4/8 lorsqu’il est défini sur Huitièmes. Pour appliquer un format fraction : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. 3 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Format. 4 Choisissez Fraction dans le menu local Format de cellule. 5 Choisissez un format d’affichage dans le menu local Précision. Application d’un format système numérique aux cellules de tableau Utilisez le format Système numérique pour représenter des nombres en adoptant les conventions de système numérique de la base 2 à la base 36. Lorsque vous utilisez le format Base 2, 8 ou 16, vous pouvez afficher les valeurs négatives en les faisant précéder d’un signe moins ou en adoptant la notation en complément à deux ; les valeurs négatives de toutes les autres bases sont affichées à l’aide du signe moins. Pour définir un format système numérique : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. 3 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Format. 4 Choisissez Système numérique dans le menu local Format de cellule. 5 Utilisez le champ Base pour préciser la valeur de base du système numérique que vous souhaitez utiliser. 6 Utilisez le champ Décimales pour spécifier le nombre total de chiffres à afficher. 7 Si vous avez sélectionné la Base 2, 8 ou 16, sélectionnez une option pour l’affichage des valeurs négatives. Signe négatif : affiche les valeurs négatives en les faisant précéder d’un signe moins. Complément à deux : affiche les valeurs négatives en adoptant la notation en complément à deux. Les valeurs négatives de tous les autres systèmes numériques sont toujours affichées à l’aide d’un signe moins. Le tableau ci-dessous fournit des exemples de l’affichage du format numérique dans différents cas. Dans ce système numérique 100 est affiché comme ceci –100 est affiché comme ceci si le signe négatif est utilisé –100 est affiché comme ceci si le complément à deux est utilisé Base 2 1100100 –1100100 10011100 Base 8 144 –144 634 Base 10 100 –100 –100 Base 16 64 –64 9C Application du format scientifique aux cellules de tableau Utilisez le format scientifique pour afficher les nombres avec un exposant élevé à la puissance 10. L’exposant est affiché après la lettre E. Par exemple, la valeur « 5,00 » est affichée comme ceci en format scientifique : 5,00E+00. La valeur « 12 345 » est affichée comme ceci : 1,23E+04. Pour appliquer le format scientifique : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. 3 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Format. 4 Choisissez Scientifique dans le menu local Format de cellule. 5 Utilisez le champ Décimales pour spécifier le nombre de décimales à afficher. Application du format Texte aux cellules de tableau Utilisez le format Texte si vous souhaitez que l’ensemble du contenu d’une cellule soit traité comme du texte, même s’il s’agit d’un nombre. Lorsqu’un format Texte est appliquée à une cellule, sa valeur est affichée exactement comme elle a été saisie. Pour appliquer le format Texte : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. 3 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Format. 4 Choisissez Texte dans le menu local Format de cellule. 208 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 209 Utilisation de vos propres formats pour afficher des valeurs dans les cellules d’un tableau Vous pouvez créer vos propres formats de cellule pour afficher des valeurs numériques, textuelles et de date et d’heure. Les formats de cellule que vous créez, appelés formats personnalisés, sont répertoriés dans le menu local Formats de cellule dans la sousfenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux. Pour savoir comment Aller à Définir un format numérique personnalisé destiné à afficher des devises, des chiffres décimaux et d’autres type de valeurs dans une cellule de tableau « Création d’un format numérique personnalisé » à la page 209 « Définition de l’élément Entiers d’un format numérique personnalisé » à la page 212 « Définition de l’élément Décimales d’un format numérique personnalisé » à la page 212 « Définition de l’Échelle d’un format numérique personnalisé » à la page 214 Définir un format numérique personnalisé qui varie avec la valeur du nombre affiché dans une cellule « Association de conditions à un format numérique personnalisé » à la page 217 Définir un format personnalisé de date et d’heure qui spécifie le jour, le mois, l’année, l’heure, les minutes et d’autres aspects d’une valeur de date/d’heure dans une cellule « Création d’un format Date et heure personnalisé » à la page 219 Définir le texte à afficher en regard d’une valeur saisie dans une cellule « Création d’un format Texte personnalisé » à la page 220 Gérer les formats personnalisés que vous avez créés « Modification d’un format de cellule personnalisé » à la page 222 « Réorganisation, modification du nom et suppression de formats de cellule personnalisés » à la page 223 Création d’un format numérique personnalisé Pour définir votre propre mise en forme d’affichage des nombres dans les cellules d’un tableau : 1 Sélectionnez une ou plusieurs cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. 3 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Format. 4 Choisissez Personnalisé dans le menu local Format de cellule.La fenêtre Format personnalisé s’ouvre. 5 Dans le menu local Type, choisissez Nombres et texte. 6 Définissez votre format numérique en faisant glisser les éléments (bleus) de la zone Éléments de texte et nombres dans le champ de format au dessus de la zone. Entiers : Ajoutez cet élément lorsque vous souhaitez formater les chiffres à gauche d’un séparateur décimal. Consultez « Définition de l’élément Entiers d’un format numérique personnalisé » à la page 212 pour en savoir plus. Devise : ajoutez cet élément pour afficher un symbole monétaire. Pour identifier le symbole que vous souhaitez utiliser, ajoutez l’élément de devise, cliquez sur le triangle d’affichage et choisissez un symbole. Décimales : ajoutez cet élément pour formater l’affichage des chiffres décimaux. Consultez « Définition de l’élément Décimales d’un format numérique personnalisé » à la page 212 pour en savoir plus. 210 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 211 Espaces : utilisez cet élément pour contrôler la quantité d’espace affiché entre les éléments. Pour spécifier la quantité d’espace, ajoutez l’élément Espaces, cliquez sur le triangle d’affichage, puis choisissez une option. Normal ajoute un espace standard, Étendue ajoute un cadratin et Fine ajoute un sixième de cadratin. Ces options vous permettent d’ajouter plusieurs éléments Espaces au champ de format, mais un seul de ces éléments Espaces peut être Flexible ; cette option aligne les éléments précédents à gauche et les éléments suivants à droite. Échelle : utilisez cet élément pour dimensionner la valeur d’affichage d’un nombre. Par exemple, vous pouvez afficher les valeurs supérieures à 100 sous forme de nombre de centaines (1 000 est alors représenté par 10). Consultez « Définition de l’Échelle d’un format numérique personnalisé » à la page 214 pour en savoir plus. 7 Pour afficher un texte prédéfini avant ou après un élément, placez un point d’insertion dans le champ de format, puis saisissez votre texte. Vous pouvez cliquer sur n’importe quel élément et utiliser les touches Flèche gauche et Flèche droite pour placer le point d’insertion. 8 Pour supprimer un élément du champ, sélectionnez-le, puis appuyez sur la touche Suppr. Pour déplacer un élément dans le champ, faites-le glisser. 9 Dans le champ Nom, saisissez un nom pour votre format numérique. Les noms des formats personnalisés sont affichés dans le menu local Format de cellule, dans la sous-fenêtre Format de l’inspecteur Tableau. 10 Cliquez sur OK pour enregistrer votre format numérique et l’appliquer aux cellules sélectionnées. Voici un exemple de format numérique :  Le tiret est un élément Espaces, défini pour afficher un espace Normal entre le symbole monétaire et le nombre.  Le signe dollar est un élément Devise.  #,### est un élément Entiers qui affiche les nombres supérieurs à 999 avec un séparateur de milliers.  .## est un élément Décimales. Lorsque vous saisissez ce nombre dans une cellule Le nombre est affiché comme ceci 10000000 Solde : $ 10,000.000 0.95 Solde : $ 0.95 .666 Solde : $ 0.67Définition de l’élément Entiers d’un format numérique personnalisé Les éléments d’entiers vous permettent de personnaliser l’apparence des entiers dans les cellules d’un tableau. Après avoir ajouté un élément Entiers à un format numérique personnalisé, vous pouvez le sélectionner, cliquer sur son triangle d’affichage et utiliser les options de son menu local pour personnaliser les attributs d’affichage de l’élément. Voici différents moyens d’utiliser le menu local de l’élément Entiers : m Pour afficher ou masquer le séparateur de milliers, choisissez Afficher le séparateur ou Masquer le séparateur. m Pour afficher des zéros ou des espaces devant l’entier lorsqu’il est inférieur à un nombre précis de chiffres, choisissez « Afficher des zéros pour combler les nombres » ou « Utiliser des espaces pour les chiffres inutilisés ». Pour augmenter ou diminuer le nombre de zéros ou de tirets affichés dans le champ de format, choisissez Ajouter un chiffre, Supprimer le chiffre, ou Nombre de chiffres dans le menu local ou utilisez les touches fléchées haut ou bas pour définir le nombre de chiffres. Si vous choisissez Ce nombre est affiché comme ceci Afficher le séparateur 10000000 10,000,000 Masquer le séparateur 10000000 10000000 « Afficher des zéros pour combler les nombres » et réglez le « Nombre de chiffres » sur 6 100 000100 Définition de l’élément Décimales d’un format numérique personnalisé L’élément Décimales vous permet de personnaliser l’apparence des chiffres décimaux dans les cellules de tableau. Les chiffres décimaux sont des nombres qui apparaissent à droite de la virgule. 212 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 213 Après avoir ajouté l’élément Décimales à un format numérique personnalisé, vous pouvez le sélectionner, cliquer sur son triangle d’affichage et utiliser les options de son menu local pour personnaliser les attributs d’affichage de l’élément. Voici différents moyens d’utiliser le menu local de l’élément Décimales. m Pour afficher les chiffres décimaux comme des nombres, choisissez Décimales. Pour représenter les chiffres décimaux non utilisés lorsque leur nombre est inférieur à un nombre précis de chiffres, choisissez « Afficher les zéros de fin » ou « Utiliser des espaces pour les zéros à droite des décimales ». Augmentez ou diminuez ensuite le nombre de zéros ou de tirets affichés dans le champ de format, choisissez Ajouter un chiffre, Supprimer le chiffre, ou « Nombre de chiffres » dans le menu local, ou utilisez les touches fléchées haut ou bas pour définir le nombre de chiffres. Si un nombre de chiffres décimaux supérieur à celui que vous avez spécifié est saisi dans une cellule, il est arrondi pour correspondre à votre nombre de chiffres. m Pour afficher les chiffres décimaux sous forme de fraction, choisissez Fractions. Pour préciser une unité fractionnelle (par exemples, Quarts), cliquez à nouveau sur le triangle d’affichage de l’élément et choisissez une option dans le menu local. m Pour ne pas afficher les chiffres décimaux lorsqu’ils sont saisis dans une cellule, n’ajoutez pas l’élément Décimales au champ de format. Les valeurs affichées sont arrondies à l’entier le plus proche lorsque des valeurs décimales sont saisies dans une cellule.Si vous choisissez Ce nombre est affiché comme ceci Décimales et « Afficher les zéros de fin », puis réglez le « Nombre de chiffres » sur 6 100.975 100.975000 Fractions et sélectionnez l’option « Deux chiffres (23/24) » 100.975 100 39/40 Un espace est affiché entre l’entier et la fraction si vous ajoutez un élément Espaces entre les éléments Entiers et Décimales dans le champ de format. Fractions et sélectionnez l’option Quarts 100.16 100 1/4 Définition de l’Échelle d’un format numérique personnalisé L’élément Échelle vous permet d’afficher un nombre saisi dans une cellule en utilisant des pourcentages, la notation scientifique ou d’autres conventions de dimensionnement des valeurs. Pour utiliser l’élément Échelle : 1 Ajoutez-le en suivant les instructions de la rubrique « Création d’un format numérique personnalisé » à la page 209. 2 Sélectionnez-le dans le champ de format, cliquez sur son triangle d’affichage et choisissez une option. Lorsque vous appliquez un format comprenant un élément Échelle à une cellule contenant déjà une valeur, la valeur d’origine est conservée (elle est simplement affichée différemment). Lorsque vous appliquez le même format à une cellule vide avant d’insérer une valeur dans la cellule, la valeur tient compte de l’échelle que vous avez précisée. Le tableau ci-dessous illustre ces cas. 214 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 215 Pour cette option d’échelle Lorsque vous saisissez 12000 dans une cellule La valeur réelle est La valeur affichée est Pourcentage Et que vous appliquez l’option ultérieurement 1200000% 1200000 Après avoir appliqué l’option 1200000% 12000 Pourcentage (%) Et que vous appliquez l’option ultérieurement 1200000% 1200000% Après avoir appliqué l’option 12000% 12000% Centaines Et que vous appliquez l’option ultérieurement 12000 120 Après avoir appliqué l’option 12000 120 Centaines (C) Et que vous appliquez l’option ultérieurement 12000 120C Après avoir appliqué l’option 12000 120C Milliers Et que vous appliquez l’option ultérieurement 12000 12 Après avoir appliqué l’option 12000 12 Milliers (K) Et que vous appliquez l’option ultérieurement 12000 12K Après avoir appliqué l’option 12000 12K Millions Et que vous appliquez l’option ultérieurement 12000 0 Après avoir appliqué l’option 12000 0 Millions (M) Et que vous appliquez l’option ultérieurement 12000 0M Après avoir appliqué l’option 12000 0M Milliards Et que vous appliquez l’option ultérieurement 12000 0 Après avoir appliqué l’option 12000 0Pour cette option d’échelle Lorsque vous saisissez 12000 dans une cellule La valeur réelle est La valeur affichée est Milliards (B) Et que vous appliquez l’option ultérieurement 12000 0B Après avoir appliqué l’option 12000 0B Trillions Et que vous appliquez l’option ultérieurement 12000 0 Après avoir appliqué l’option 12000 0 Trillions (T) Et que vous appliquez l’option ultérieurement 12000 0T Après avoir appliqué l’option 12000 0T scientifique Et que vous appliquez l’option ultérieurement 12000 1E+0,4 Après avoir appliqué l’option 12000 1E+0,4 216 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 217 Association de conditions à un format numérique personnalisé L’association de conditions à un format numérique personnalisé permet de faire varier les caractéristiques d’affichage d’une cellule en fonction de ce qui est saisi dans la cellule. Voici un exemple de format numérique qui comporte quatre conditions. Si vous saisissez cette valeur dans une cellule en respectant le format ci-dessus La valeur est affichée comme ceci 15000 Échéance : $0015,00K 0 Payé en totalité -500 Crédit : $ (0000,50K) Compte fermé Remarque : Compte fermé Pour créer un format numérique personnalisé doté de conditions : 1 Sélectionnez une ou plusieurs cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. 3 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Format. 4 Choisissez Personnalisé dans le menu local Format de cellule. La fenêtre Format personnalisé s’ouvre. Le format d’affichage que vous spécifiez dans le champ supérieur est utilisé si le nombre ne satisfait à aucune condition. Les conditions d’élément de texte ne sont utilisables que dans ce champ supérieur. Pour en savoir plus sur les éléments de texte, consultez la rubrique « Création d’un format Texte personnalisé » à la page 220. 5 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) à droite du champ de format pour ajouter une condition.6 Dans le menu local au dessus du nouveau champ de format, choisissez une option de condition. 7 Définissez le format numérique à appliquer lorsqu’un nombre satisfait la condition en ajoutant des éléments au champ de format. Consultez la rubrique « Création d’un format numérique personnalisé » à la page 209 pour obtenir des informations sur l’interaction avec le champ de format. 8 Répétez les étapes 5 à 7, le cas échéant, pour définir toutes vos conditions. Remarque : Pour supprimer une condition, cliquez sur le bouton Supprimer (–), à droite de son champ de format. 9 Dans le champ de format le plus haut, définissez le format d’affichage à utiliser si un nombre ne satisfait aucune des conditions. Vous pouvez utiliser l’élément Texte saisi pour afficher du texte prédéfini si la valeur saisie est une valeur de texte plutôt qu’un nombre. 10 Dans le champ Nom, tapez le nom de votre format numérique, puis cliquez sur OK pour l’enregistrer et l’appliquer aux cellules sélectionnées. Les noms des formats personnalisés sont affichés dans le menu local Format de cellule, dans la sous-fenêtre Format de l’inspecteur Tableau. 218 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 219 Création d’un format Date et heure personnalisé Pour définir votre propre format d’affichage pour les valeurs de date et d’heure dans les cellules d’un tableau : 1 Sélectionnez une ou plusieurs cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. 3 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Format. 4 Choisissez Personnalisé dans le menu local Format de cellule. La fenêtre Format personnalisé s’ouvre. 5 Dans le menu local Type, choisissez Date et heure. 6 Définissez votre format numérique en faisant glisser les éléments (bleus) de la zone Éléments Date et heure dans le champ de format au dessus de la zone. 7 Lorsqu’un élément se trouve dans le champ de format, cliquez sur son triangle d’affichage, et choisissez une option de formatage dans le menu local. 8 Pour afficher un texte prédéfini avant ou après un élément, placez un point d’insertion dans le champ de format, puis saisissez votre texte. Vous pouvez cliquer sur n’importe quel élément et utiliser les touches Flèche gauche et Flèche droite pour placer le point d’insertion. 9 Pour afficher un espace entre les éléments, placez un point d’insertion et appuyez sur la barre d’espace une ou plusieurs fois. 10 Pour supprimer un élément du champ, sélectionnez-le, puis appuyez sur la touche Suppr. Pour déplacer un élément dans le champ, faites-le glisser.11 Dans le champ Nom, saisissez un nom pour votre format de date et d’heure. Les noms des formats personnalisés sont affichés dans le menu local Format de cellule, dans la sous-fenêtre Format de l’inspecteur Tableau. 12 Cliquez sur OK pour enregistrer votre format de date et d’heure et l’appliquer aux cellules sélectionnées. Lorsque vous saisissez une valeur de date ou d’heure dans une cellule formatée, le format est appliqué si la valeur saisie contient un tiret (-) ou une barre oblique (/). Voici un exemple : Lorsque vous saisissez cette valeur dans une cellule La valeur est affichée comme ceci 4/16/99 Le 16 avril 1999 correspond au jour 106 de l’année 2-23 Le 23 février 2008 correspond au jour 54 de l’année 15, 2010 15, 2010 Création d’un format Texte personnalisé Vous pouvez définir le texte à afficher avant ou après une valeur saisie dans une cellule si aucun autre format n’a été appliqué à la cellule. Voici à quoi ressemble un format de texte personnalisé lorsque vous le créez : Lorsque vous saisissez « L’adresse doit être mise à jour » dans un champ auquel est appliqué le format ci-dessus, la valeur est affichée comme suit : Avertir le client : il faut actualiser l’adresse. 220 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 221 Pour définir le texte à afficher dans les cellules d’un tableau : 1 Sélectionnez une ou plusieurs cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Tableaux. 3 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Format. 4 Choisissez Personnalisé dans le menu local Format de cellule. La fenêtre Format personnalisé s’ouvre. 5 Dans le menu local Type, choisissez Nombres et texte. 6 Faites glisser l’élément Texte saisi (bleu) depuis la zone « Éléments de date et heure » et déposez-le dans le champ de format vide au-dessus de la zone. (Supprimez tout élément éventuel dans le champ avant de faire glisser et de déposer l’élément Texte saisi.) 7 Placez le point d’insertion avant ou après l’élément, puis saisissez votre texte, y compris les espaces, le cas échéant. Vous pouvez cliquer sur l’élément et utiliser les touches Flèche gauche et Flèche droite pour placer le point d’insertion. 8 Dans le champ Nom, saisissez un nom pour votre format Texte. Les noms des formats personnalisés sont affichés dans le menu local Format de cellule, dans la sous-fenêtre Format de l’inspecteur Tableau. 9 Cliquez sur OK pour enregistrer votre format Texte et l’appliquer aux cellules sélectionnées.Modification d’un format de cellule personnalisé Après avoir créé un format de cellule personnalisé, vous pouvez modifier à tout moment son nom ainsi que les éléments auxquels il est associé. Voici quelques manières de modifier les formats personnalisés et d’appliquer des modifications aux cellules de tableau : m Pour modifier les éléments associés à un format personnalisé qui a été appliqué à des cellules, sélectionnez les cellules, puis cliquez sur Afficher le format dans la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux. Pour supprimer un élément,sélectionnez-le dans le champ de format, puis appuyez sur la touche Suppr. Pour ajouter un élément, faites-le glisser vers le champ de format. Pour déplacer un élément, faites-le glisser dans le champ de format. Pour redéfinir un élément, cliquez sur son triangle d’affichage, puis choisissez une option dans le menu local. Après avoir effectué vos modifications, procédez de l’une des manières suivantes : Pour enregistrer le format modifié et l’appliquer aux cellules sélectionnées en utilisant le même nom, cliquez sur OK, puis cliquez sur Remplacer. Pour enregistrer le format modifié en tant que nouveau format et l’appliquer aux cellules sélectionnées, modifiez le nom de format et cliquez sur OK. Pour appliquer le format modifié à des cellules de tableau non sélectionnées,sélectionnez les cellules et choisissez le nom du format dans le menu local Formats de cellule dans la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux. m Pour modifier un nom de format personnalisé et appliquer la modification à des cellules sélectionnées, utilisez la zone de dialogue de gestion des formats de cellule personnalisés. Pour afficher la zone de dialogue, cliquez sur « Gérer les formats » dans la zone de dialogue du format personnalisé, double-cliquez sur le nom, tapez vos modifications, puis cliquez sur OK. 222 Chapitre 10 Utilisation des tableauxChapitre 10 Utilisation des tableaux 223 Lorsque vous modifiez le nom d’un format personnalisé, l’ancien nom demeure associé aux cellules auxquelles il était appliqué et est supprimé de la liste des formats personnalisés. Pour associer le format renommé à ces cellules, sélectionnez celles-ci et choisissez le nouveau nom dans le menu local Formats de cellules dans l’inspecteur des tableaux. m Pour créer un format personnalisé à partir du format actuel en lui attribuant un nouveau nom et pour l’appliquer à des cellules sélectionnées, cliquez sur Afficher le format dans la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux. Modifiez le champ Nom et cliquez sur OK. m Un format personnalisé modifié n’est pas automatiquement appliqué aux cellules du tableau sur lesquelles sa version précédente était appliquée. Pour appliquer un format personnalisé modifié aux cellules, sélectionnez les cellules et choisissez le nom du format dans le menu local Formats de cellule dans la barre des formats ou dans le menu Format de cellule de la sous-fenêtre Format de l’Inspecteur des tableaux. Réorganisation, modification du nom et suppression de formats de cellule personnalisés Vous utilisez la boîte de dialogue Gérer les formats de cellule personnalisés pour gérer les formats de cellule personnalisés. Cette zone de dialogue répertorie tous les formats personnalisés disponibles dans le document. 224 Chapitre 10 Utilisation des tableaux Pour gérer les formats de cellule personnalisés : 1 Si la boîte de dialogue Gérer les formats de cellule personnalisés n’est pas ouverte, cliquez sur Gérer les formats dans la boîte de dialogue des formats personnalisés pour l’ouvrir. 2 Effectuez l’une des opérations suivantes : Renommez un format personnalisé : Double-cliquez sur le format et saisissez vos modifications. Réorganisez les formats personnalisés dans les menus locaux : Sélectionnez un format, puis cliquez sur l’une des flèches en dessous de la liste pour le déplacer vers le haut ou vers le bas de la liste. Supprimez un format personnalisé : Sélectionnez un format, puis cliquez sur le bouton Supprimer (–) en dessous de la liste. 3 Cliquez sur OK pour enregistrer vos modifications et fermer la zone de dialogue.225 Diffusez votre diaporama Keynote en personne ou en tant que fichier multimédia autonome. Imprimez vos diapositives ou exportez-les vers un éventail d’autres formats et lieux de diffusion, y compris sur le web. Vous pouvez visionner une présentation Keynote sur l’écran de votre ordinateur ou en la projetant sur un grand écran. Il est possible de définir la lecture automatique de votre diaporama pour l’utiliser sur une borne. Vous pouvez partager votre présentation sous forme de séquence QuickTime, de présentation PowerPoint, de document PDF ou l’envoyer directement à YouTube. Vous pouvez également l’imprimer directement depuis Keynote et choisir parmi toute une gamme de dispositions. À propos des différentes manières de présenter des diaporamas Selon la façon dont il sera visionné, vous pouvez configurer votre diaporama de différentes manières :  Normal : la présentation avance à mesure que l’intervenant clique ou utilise un des raccourcis clavier de présentation . À moins que vous ne le spécifiez autrement, votre diaporama fonctionne de cette manière par défaut.  Liens uniquement : les diapositives ne changent que lorsque l’intervenant (ou le spectateur) clique sur un lien hypertexte. Pour plus d’instructions, consultez « Création de présentations à liens uniquement » à la page 149.  Enregistré : lit la présentation comme une séquence utilisant votre narration préenregistrée et votre minutage. Les spectateurs peuvent suspendre l’exécution de la présentation. Pour plus d’instructions, consultez « Enregistrement d’une narration en voix off » à la page 119.  Lecture automatique : la présentation avance automatiquement, comme une séquence. Aucune interaction de l’utilisateur n’est possible. Les présentations à lecture automatique sont utiles, par exemple, dans une configuration de type borne automatique. 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaCréation de présentations à lecture automatique Il est possible de définir la lecture automatique de votre présentation, par exemple si vous souhaitez l’utiliser sur une borne interactive. Dans une présentation à lecture automatique, les transitions ou les compositions configurées pour démarrer automatiquement démarrent comme elles le feraient dans le cas d’une présentation classique. De la même manière, les transitions et les compositions configurées pour démarrer à partir d’un clic de souris (lorsque la personne faisant la présentation clique) débutent automatiquement après le délai indiqué dans les champs Délai de l’inspecteur des documents. Les valeurs spécifiées dans les champs Délai sont appliquées à toutes les transitions et compositions configurées pour commencer au clic de souris. Bien que les spectateurs ne puissent interagir avec ce type de présentation, ils peuvent arrêter les présentations à lecture automatique de la même manière que les autres types de diaporamas (en appuyant sur la touche Échap, par exemple). Pour éviter que les utilisateurs arrêtent une présentation à lecture automatique, ne leur fournissez pas de clavier, ou exigez un mot de passe pour quitter la présentation. Le bouton Inspecteur des documents. Spécifiez le point de démarrage des effets démarrant « au clic de la souris ». Choisissez le type du diaporama. Pour configurer un diaporama en lecture automatique : 1 Si l’inspecteur des documents n’est pas ouvert, cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Document. 2 Dans Inspecteur des documents, cliquez sur Document. 3 Choisissez lecture automatique dans le menu local Présentation. 4 Pour indiquer le délai à attendre avant de commencer automatiquement les transitions après l’affichage d’une nouvelle diapositive, saisissez une valeur dans le champ Transitions. 226 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 227 5 Pour indiquer le délai à attendre avant de commencer automatiquement les compositions après l’affichage d’une nouvelle diapositive, saisissez une valeur dans le champ Compositions. 6 Pour définir d’autres options, telles qu’un mot de passe, activez les cases à cocher Réglages du diaporama. Consultez la rubrique « Définition des options de lecture du diaporama » (page 227) pour plus de détails. Définition des options de lecture du diaporama Vous pouvez, entre autres options, lancer un diaporama automatiquement lors de son ouverture ou activer la lecture en boucle d’une présentation. Pour modifier les options de lecture : 1 Si l’inspecteur des documents n’est pas ouvert, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Document. 2 Dans l’encadré Réglages du diaporama de la sous-fenêtre Document, sélectionnez les options appropriées : Lire automatiquement une fois ouvert : La présentation démarre à l’ouverture du document Keynote. Lire le diaporama en boucle : Quand elle atteint la dernière diapositive, la présentation reprend la lecture à partir de la première. Redémarrer le diaporama si inactif durant : En l’absence d’interaction utilisateur durant la durée indiquée en minutes, le diaporama recommence. Demander un mot de passe pour sortir du diaporama : pour quitter la présentation, les spectateurs doivent saisir le nom et le mot de passe de l’administrateur de l’ordinateur sur lequel le diaporama est exécuté. À propos du test et de la visualisation des présentations Les présentations plein écran tirent le meilleur parti des graphismes nets et des animations homogènes pouvant être obtenus avec Keynote. Vous pouvez afficher une présentation plein écran sur l’écran de votre ordinateur, sur un second écran ou la projeter sur grand écran ; vous pouvez diffuser séquences et son au cours de la présentation. Ajout des notes de l’intervenant Utilisez le champ des notes de l’intervenant pour saisir ou afficher les notes de chaque diapositive. Vous pouvez imprimer les notes de l’intervenant ou les afficher sur un autre écran que vous seul pouvez voir pendant que vous effectuez votre présentation. (Les notes de l’intervenant sont différentes des commentaires ; voir « Commentaires sur les diapositives » à la page 50.) Le champ des notes est donc une zone que vous pouvez utiliser comme aide-mémoire. Voici comment gérer les notes de l’intervenant : m Pour afficher les notes de l’intervenant, cliquez sur Affichage dans la barre d’outils, puis sélectionnez Afficher les notes de l’intervenant. m Pour ajouter des notes d’intervenant, saisissez le texte dans la zone sous le canevas de la diapositive. m Pour imprimer les notes de l’intervenant, sélectionnez Fichier > Imprimer, sélectionnez ensuite Keynote dans le menu local Copies et pages, puis sélectionnez Diapos avec notes. m Pour masquer les notes de l’intervenant, sélectionnez Affichage > Masquer les notes de l’intervenant. Réglage de la taille de la diapositive Pour une lecture de qualité optimale, la taille de vos diapositives doit être adaptée à la résolution d’écran du moniteur affichant le diaporama. La plupart des projecteurs fonctionnent mieux avec des diapositives de 800 x 600. Les plus récents peuvent afficher des diapositives ayant une résolution de 1024 x 768 ou supérieure. Si votre présentation comprend des séquences, vous avez la possibilité d’utiliser une résolution supérieure. Dans ce cas, choisissez un thème haute définition (HD) avec une résolution de 1920 x 1080 (tous les thèmes ne proposent pas de résolution supérieure). Une résolution supérieure requiert davantage de mémoire et une puissance de traitement plus rapide. Vous pouvez modifier la taille des diapositives d’un document Keynote dans la sousfenêtre Document de l’inspecteur des documents. Si vous n’êtes pas sûr de la taille la mieux adaptée ou que vous ne souhaitez pas modifier les dimensions d’origine des diapositives de votre document, Keynote lit les diapositives dans leurs dimensions d’origine ; elles apparaissent au centre de l’écran et sont entourées d’une bordure noire. Si la taille des diapositives est trop grande pour le moniteur, Keynote l’adapte automatiquement. Keynote peut également agrandir les diapositives pour qu’elles occupent tout l’écran lors de la lecture du diaporama. Pour ajuster un diaporama au cours de la lecture : 1 Sélectionnez Keynote > Préférences. 228 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 229 2 Cliquez sur Diaporama. 3 Sélectionnez la case « Agrandir les diapositives pour qu’elles occupent tout l’écran ». En fait, cette option ne modifie pas la taille des diapositives de votre document Keynote ; elle met le document à l’échelle de l’écran. Cette option est susceptible de réduire la qualité vidéo lors de la lecture. 4 Si vous utilisez la transition Cube ou Miroir, vous pouvez également sélectionner « Réduire les transitions Miroir pour éviter le découpage » ou « Réduire les transitions Cube pour éviter le découpage ». Autrement, une partie de la transition risque de ne pas être visible. Test de votre présentation L’affichage de test permet de visualiser les informations de l’intervenant sans nécessiter un second écran ; vous pouvez ainsi tester et affiner le minutage de la présentation. En affichage de test, vous pouvez visualiser la diapositive en cours, la diapositive suivante et les autres éléments sélectionnés dans les préférences de l’écran de l’intervenant (voir « Personnalisation de l’écran de l’intervenant » à la page 235). Pour tester votre diaporama : 1 Choisissez Lire > Tester le diaporama. 2 Pour parcourir les notes de l’intervenant, appuyez sur la touche U (vers le haut) ou D (vers le bas) ou utilisez la barre de défilement à droite des notes de l’intervenant. Si les notes de l’intervenant ne s’affichent pas, assurez-vous de sélectionner cette option dans les préférences de l’écran de l’intervenant. 3 Pour quitter l’affichage de test, appuyez sur Échap. Affichage d’une présentation sur l’écran de votre ordinateur Si vous présentez votre diaporama à un public réduit, la meilleure manière de le visualiser est de le regarder directement sur l’écran de votre ordinateur. Pour visionner une présentation plein écran sur un écran unique : 1 Ouvrez le document Keynote et sélectionnez la diapositive sur laquelle vous souhaitez commencer votre présentation. 2 Selon que votre diaporama a été ou non enregistré avec une narration en voix off, exécutez l’une des opérations suivantes :  Si la présentation n’a pas été enregistrée, cliquez sur Lire dans la barre d’outils. Pour passer à la diapositive ou à la composition d’objet suivante, cliquez avec la souris ou appuyez sur la Flèche droite ou la barre d’espace. Pour arrêter le diaporama, appuyez sur Échap ou sur Q.  Si la présentation a été enregistrée, cliquez sur Lire dans la barre d’outils.Pour mettre en pause le diaporama et le son, appuyez sur H. Pour le relancer, cliquez sur l’icône de Keynote dans le Dock. Pour arrêter la lecture, appuyez sur la touche Échap. Pour connaître les autres options, reportez-vous à la rubrique « Commande d’une présentation à l’aide du clavier » à la page 238. Affichage d’une présentation sur un écran externe ou un projecteur Il existe deux manières d’utiliser un second écran lors de la présentation de votre diaporama :  Recopie vidéo affiche le diaporama à l’identique sur les deux écrans.  Double affichage vous permet d’afficher les notes ou les invites de l’intervenant, par exemple, vos commentaires sur les diapositives, un aperçu de la diapositive suivante et une minuterie, sur un écran tandis que les spectateurs voient uniquement le diaporama sur l’autre. Sur certains ordinateurs portables, l’option de recopie vidéo est intégrée. Si votre ordinateur ne l’intègre pas, vous devez la configurer. D’autres ordinateurs portables ne sont pas du tout compatibles avec la recopie vidéo. Pour visualiser une présentation à l’aide d’une configuration double affichage : 1 Raccordez le second écran ou projecteur selon les instructions de l’appareil et les instructions de votre ordinateur. Reportez-vous à la rubrique « Conseils d’utilisation d’un écran externe » à la page 232 pour en savoir plus sur les recommandations de réglage. 2 Choisissez Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Moniteurs. 3 Cliquez sur Disposition et suivez les instructions à l’écran. Si le bouton Disposition ne s’affiche pas, votre ordinateur ne détecte pas le second écran. 4 Assurez-vous que Affichages miroir n’est pas sélectionné. 230 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 231 5 Choisissez Keynote > Préférences, puis cliquez sur Diaporama. Choisissez l’écran d’affichage des diapositives pendant un diaporama à l’aide de la configuration double affichage. 6 Sélectionnez Présenter sur l’écran principal ou Présenter sur l’écran secondaire. L’écran principal est celui sur lequel la barre des menus s’affiche. Si vous choisissez « Présenter sur l’écran secondaire », vous pouvez personnaliser l’écran principal du présentateur. Consultez la section « Personnalisation de l’écran de l’intervenant » à la page 235. 7 Cliquez sur Lire dans la barre d’outils. 8 Avancez dans la présentation en cliquant sur la souris ou en appuyant sur la barre d’espace. Voir « Commande d’une présentation à l’aide du clavier » à la page 238 pour d’autres options. Pour visualiser une présentation en utilisant la recopie vidéo : 1 Raccordez le second écran ou projecteur selon les instructions de l’appareil et les instructions de votre ordinateur. Reportez-vous à la rubrique « Conseils d’utilisation d’un écran externe » à la page 232 pour en savoir plus sur les recommandations de réglage. 2 Choisissez Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Moniteurs. 3 Choisissez une résolution et un nombre de couleurs. Utilisez les mêmes réglages pour les deux écrans. 4 Cliquez sur Organiser et sélectionnez Moniteurs en miroir. 5 Ouvrez le document Keynote et cliquez sur Lire dans la barre d’outils (ou sélectionnez Lire > Lecture du diaporama). Pour aller à la diapositive ou à la composition d’objet suivante, appuyez sur la barre d’espace ou cliquez sur la souris.6 Si des imperfections apparaissent au cours de la lecture, vous devez changer la fréquence de rafraîchissement de l’écran. Keynote offre généralement une lecture sans à coups des animations. Néanmoins, si les deux écrans possèdent des fréquences de rafraîchissement différentes, il se peut que l’image d’un des deux écrans semble « sauter » car Keynote ne peut effectuer la synchronisation qu’avec une seule fréquence de rafraîchissement à la fois. Si vous utilisez Keynote sur un iBook, un PowerBook, un MacBook, un MacBook Pro ou un MacBook Air doté de Mac OS X version 10.3.9 ou ultérieure, Keynote effectue la synchronisation avec l’écran extérieur. Pour changer de fréquence de rafraîchissement écran : 1 Choisissez Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Moniteurs. 2 Choisissez Affichage, puis choisissez une option dans le menu local Taux de rafraîchissement. Pour obtenir la meilleure qualité d’animation, utilisez la fréquence de rafraîchissement naturelle du moniteur externe. Vous trouverez probablement cette information dans la documentation du moniteur. Si ce n’est pas le cas, testez des fréquences de rafraîchissement différentes pour déterminer laquelle produit la meilleure qualité d’animation. La plupart des moniteurs LCD possèdent une fréquence de rafraîchissement de 60 Hz. La plupart des moniteurs CRT ne possèdent pas de fréquence de rafraîchissement optimale. Si vous utilisez un ordinateur de bureau et deux moniteurs, tentez de déterminer quel moniteur est synchronisé avec Keynote. Conseils d’utilisation d’un écran externe Vous pouvez lire votre diaporama Keynote sur différents types de projecteurs et d’écrans externes. 232 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 233 Voici les moyens d’obtenir la meilleure qualité vidéo dans votre présentation : m Si vous avez le choix entre un connecteur DVI et un connecteur VGA pour connecter le projecteur, choisissez un connecteur DVI. Les connexions DVI fournissent généralement la meilleure qualité d’image et sont plus faciles à configurer. Sélectionne la résolution d’écran native. m Réglez la résolution écran native (taille de l’image affichée) dans la sous-fenêtre Moniteurs des Préférences Système. Reportez-vous à ces informations dans la documentation de l’écran. Pour la plupart des projecteurs, la résolution de l’écran à préférer est 800 x 600 ou 1 024 x 768. La plupart des écrans à cristaux liquides (LCD) et des écrans à traitement numérique de la lumière (DLP) fonctionnent avec de nombreuses résolutions, mais l’une d’elles est préférable. Pour changer la résolution de l’écran de votre moniteur, choisissez Pomme > Préférences Système, cliquez sur Moniteurs, cliquez sur Affichage, puis sélectionnez la résolution souhaitée dans la liste Résolutions. m Dans la sous-fenêtre Moniteurs des Préférences Système, définissez la fréquence de rafraîchissement écran (c’est-à-dire le nombre de fois par seconde où les images sont mises à jour à l’écran). Si vous utilisez un moniteur LCD, un projecteur LCD ou un projecteur DLP, essayez de faire coïncider la fréquence de rafraîchissement de votre ordinateur ou de votre carte vidéo avec la fréquence de rafraîchissement optimale du périphérique d’affichage. (En général, cela ne pose de problème que si vous utilisez une connexion de type VGA avec un moniteur LCD ou DLP. Les moniteurs à tube cathodique (CRT) ne sont généralement pas limités à une seule fréquence de rafraîchissement optimale.) m Si les couleurs d’affichage semblent « délavées » lorsque vous connectez un nouveau projecteur ou si le texte est irrégulier, il peut être nécessaire de calibrer le moniteur. Ouvrez Utilitaire ColorSync (dans le sous-dossier Applications/Utilitaires de votre disque dur). m Si vous avez effectué une configuration double affichage et que vous souhaitez passer l’écran de l’intervenant sur l’autre écran au cours de la lecture de votre diaporama, appuyez sur X pour inverser les écrans. À propos du contrôle des présentations Si votre présentation n’est pas en lecture automatique, vous pouvez utiliser le clavier pour mettre en pause et reprendre la lecture des diaporamas ainsi que pour naviguer entre les diapositives. Vous pouvez également configurer l’écran de l’intervenant de manière à ce qu’il affiche la prochaine diapositive, le temps écoulé, etc. Si votre Mac comprend la télécommande Apple Remote, vous avez la possibilité de l’utiliser pour contrôler une présentation. 234 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 235 Personnalisation de l’écran de l’intervenant Si votre présentation est configurée en mode double affichage (un moniteur destiné à l’intervenant, un autre destiné au public) ou si vous voulez tester votre présentation à l’aide d’un seul moniteur, vous pouvez demander l’affichage d’informations qui vous seront utiles en tant qu’intervenant. Par exemple, vous pouvez configurer votre écran pour afficher une horloge, une minuterie, un aperçu de la diapositive suivante et d’autres informations. (Les présentations à lecture automatique ne peuvent pas être utilisées avec l’écran de l’intervenant.) Sélectionnez les options qui apparaissent sur l’écran de l’intervenant. Cliquez pour réorganiser les fenêtres de l’écran de l’intervenant. Cochez cette case pour afficher les informations de l’intervenant sur un autre écran (pendant un diaporama, si vous avez configuré le double affichage ). Sélectionnez pour que la barre des menus s’affiche en rouge pendant qu’une composition est en cours d’animation et en vert à la fin de celle-ci. Vous pouvez définir les informations que vous souhaitez afficher sur l’écran de l’intervenant, ainsi que leur disposition. Avant de personnaliser l’écran de l’intervenant, vous devez activer cet écran et indiquer sur lequel des deux écrans il sera affiché.Pour activer l’écran de l’intervenant : 1 Choisissez Keynote > Préférences, puis cliquez sur Écran de l’intervenant. 2 Sélectionnez “Utiliser un écran alternatif pour présenter les informations de l’intervenant.” Dans la fenêtre Préférences, vous pouvez également sélectionner les éléments que vous souhaitez afficher sur l’écran de l’intervenant. Mais vous pouvez également sélectionner différentes options et effectuer d’autres réglages lorsque vous personnalisez l’écran de l’intervenant. 3 Cliquez sur Diaporama en haut de la fenêtre Préférences. 4 Sélectionnez l’une des options suivantes en bas de la fenêtre Préférences : Présenter sur l’écran principal : Affiche le diaporama sur l’écran qui comporte la barre des menus. Présenter sur l’écran secondaire : Affiche le diaporama sur l’écran qui ne comporte pas la barre des menus. 5 Pour indiquer rapidement les éléments que vous souhaitez afficher sur l’écran de l’intervenant, sélectionnez-les. Pour une description de chacune des options, voir ci-dessous. Pour personnaliser l’écran de l’intervenant : 1 Affichez un aperçu de l’écran de l’intervenant en effectuant l’une des opérations suivantes :  Cliquez sur le bouton « Personnaliser l’écran de l’intervenant » en bas de la fenêtre des préférences de l’écran de l’intervenant.  Choisissez Lire > « Personnaliser l’écran de l’intervenant ». 2 Dans la fenêtre « Personnaliser l’écran de l’intervenant », sélectionnez les options que vous souhaitez afficher sur l’écran de l’intervenant. Diapositive en cours : Affiche un aperçu de la diapositive actuellement affichée sur l’écran que le public regarde. Cette option peut être utile si le diaporama est lu sur un écran situé derrière vous, par exemple. Marqueurs de composition : Apparaissent sous forme de points bleus en dessous de l’aperçu de la diapositive en cours et indiquent le nombre de compositions présentes sur celle-ci. Diapositive suivante : Affiche un aperçu de la diapositive suivante. Indicateur Prêt à avancer : Apparaît sous forme d’une barre rouge ou verte en haut de l’écran de l’intervenant et indique que la lecture de la composition en cours est terminée et que le diaporama attend que vous cliquiez pour continuer. La couleur rouge indique que le diaporama n’est pas encore prêt à continuer, tandis que la couleur verte indique qu’il est prêt à continuer. 236 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 237 Notes : Affiche les notes de l’intervenant que vous avez rédigées pour vous aider à commenter la diapositive en cours. Pour en savoir plus sur la création des notes de l’intervenant, consultez la rubrique « Ajout des notes de l’intervenant » à la page 227. Horloge : Affiche l’heure actuelle en fonction de l’horloge de l’ordinateur. Minuterie : Vous informe sur la durée de votre présentation, depuis le moment où vous passez à la diapositive suivante (et non depuis le moment où vous appuyez sur le bouton Lire). Sélectionnez une option pour indiquer la manière dont vous souhaitez configurer la minuterie : Temps restant : indique le temps qu’il reste pour votre présentation. Saisissez la durée maximale de votre présentation dans le champ adjacent. Temps écoulé : indique le temps écoulé depuis le début de la lecture de votre diaporama. 3 Faites glisser les éléments sur l’écran pour les positionner à votre convenance. 4 Pour redimensionner un élément sur l’écran, faites glisser son coin inférieur droit. 5 Cliquez sur Terminé. Accès aux commandes supplémentaires de l’écran de l’intervenant Vous pouvez modifier ou régler les éléments de l’écran de l’intervenant à tout moment au cours de la présentation. Des commandes de diaporama supplémentaires sont disponibles via l’écran de l’intervenant ; elles vous permettent de passer facilement d’une diapositive à l’autre, de mettre votre présentation en pause sur un écran noir, etc. Pour accéder aux commandes de l’écran de l’intervenant et les utiliser : m Pour accéder aux commandes, placez le pointeur sur le bord supérieur de l’écran de l’intervenant au cours de votre présentation. Une barre d’outils comportant quatre boutons apparaît alors. Diapositives : Affiche des vignettes de toutes les diapositives de la présentation dans une bande le long du haut de l’écran. Faites glisser la barre de défilement sous les vignettes pour parcourir les diapositives. Double-cliquez sur une vignette pour passer à cette diapositive, ou tapez le numéro de la diapositive dans le champ « Passer à la diapositive » et cliquez sur Aller (ou appuyez sur Retour). Noir : Rend l’écran de présentation principal noir (même effet que le fait d’appuyer sur la touche B au cours de la présentation). Cliquez pour restaurer l’image de la diapositive en cours. Options : Permet d’accéder rapidement aux options suivantes : Intervertir les écrans : inverse la configuration de l’affichage, afin que l’écran de l’intervenant apparaisse sur l’écran où s’exécutait le diaporama, et inversement. Adapter les diapositives à l’écran : règle la taille de la diapositive afin qu’elle remplisse l’écran autant que possible, sans modifier ses proportions.Personnaliser l’écran de l’intervenant : vous permet de sélectionner les éléments à afficher sur l’écran de l’intervenant, de les réorganiser ou de les redimensionner. Aide : Affiche une liste de raccourcis clavier permettant de contrôler la présentation à partir du clavier. Commande d’une présentation à l’aide du clavier Pour les diaporamas qui ne sont pas à lecture automatique, vous pouvez utiliser le clavier pour mettre en pause, reprendre ou arrêter une présentation, passer à la diapositive ou à la composition suivante, revenir à la diapositive ou à la composition précédente, ou passer à une diapositive spécifique. Voici comment mettre en pause une présentation et la reprendre : m Pour mettre en pause une présentation et afficher la diapositive actuelle, appuyez sur F. Appuyez sur n’importe quelle touche pour reprendre la présentation. m Pour mettre en pause une présentation et afficher un écran noir, appuyez sur B. Appuyez sur n’importe quelle touche pour reprendre la présentation. m Pour mettre en pause une présentation et afficher un écran blanc, appuyez sur W. Appuyez sur n’importe quelle touche pour reprendre la présentation. m Pour mettre en pause la présentation et afficher la dernière application utilisée, appuyez sur H. Pour la relancer, cliquez sur l’icône de Keynote dans le Dock. Remarque : Si vous utilisez Mac OS X v10.7 (Lion) ou ultérieur, et que la fenêtre de l’application Keynote est agrandie en présentation plein écran avant le début de la lecture de la présentation, vous pouvez appuyer sur H pour terminer la présentation et revenir à la fenêtre Keynote. m Cliquez sur un lien hypertexte qui ouvre une page Web, un message e-mail ou un fichier. Pour relancer la présentation, cliquez sur l’icône de Keynote dans le Dock. Appuyez sur n’importe laquelle des touches suivantes pour passer à la diapositive suivante : m Maj + Flèche vers le bas, Maj + Page suiv. ou crochet droit (]) Appuyez sur n’importe laquelle des touches suivantes pour passer à la composition suivante : m N, barre d’espace, Retour, Flèche droite, Flèche vers le bas, Maj + Flèche droite ou Page suiv. Appuyez sur l’une des touches suivantes pour revenir au début de toutes les compositions de la diapositive en cours ou, s’il n’existe pas de compositions, pour accéder à la diapositive précédente : m Flèche gauche, Flèche vers le haut, P, Suppr., Page préc. ou Maj + Flèche vers le haut 238 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 239 Si les compositions d’objet ont été lues dans la diapositive en cours avant que vous n’appuyiez sur l’une de ces touches ou de ces combinaisons de touches, le diaporama revient au début de la diapositive, au point situé avant les compositions lues. Si le diaporama se trouve déjà à cet emplacement (ou si la diapositive en cours ne contient pas de compositions d’objet), le fait d’appuyer sur l’une de ces touches ou de ces combinaisons de touches place le diaporama au début de la diapositive précédente. Appuyez sur n’importe laquelle des touches suivantes pour revenir à la composition précédente : m Maj + Flèche gauche, Maj + Page préc. ou crochet gauche ([) Voici comment atteindre une diapositive précise durant une présentation : m Si vous connaissez le numéro de la diapositive à atteindre, saisissez-le, puis appuyez sur Retour ou sur Entrée. m Pour localiser une diapositive spécifique, utilisez le sélecteur de diapositives. Pour ouvrir le sélecteur de diapositives, appuyez sur le signe égal (=), le signe plus (+) ou le signe moins (-), ou tapez un numéro. Pour ouvrir le sélecteur de diapositives pendant une présentation, appuyez sur le signe plus +, =, - ou bien saisissez un chiffre. Sauter à une diapositive en saisissant son numéro et en appuyant sur Retour. Pour avancer ou reculer dans les vignettes, appuyez sur la touche Flèche droite ou Flèche gauche ou faites glisser la barre de défilement située en dessous des vignettes des diapositives. Pour afficher la vignette de la première diapositive, appuyez sur la touche Flèche vers le haut ; pour afficher la vignette de la dernière diapositive, appuyez sur la touche Flèche vers le bas. Pour afficher une diapositive précise, cliquez sur sa vignette ou saisissez son numéro et appuyez sur Retour. Pour fermer le sélecteur de diapositives sans changer la diapositive actuelle, appuyez sur Échap.Remarque : Vous ne pouvez pas atteindre une diapositive ignorée (voir « Ignorer des diapositives » à la page 45). Voici comment afficher les raccourcis clavier : m Si vous visualisez l’écran de l’intervenant au cours d’une présentation, vous pouvez voir quelles touches contrôlent le diaporama en appuyant sur le bouton Aide, le point d’interrogation (?) ou la touche barre oblique (/). m Pour obtenir la liste complète de tous les raccourcis clavier de Keynote, choisissez Aide > «Raccourcis clavier». Arrêt d’une présentation Il existe plusieurs manières d’arrêter une présentation, en fonction de la configuration de celle-ci. Si vous souhaitez empêcher les spectateurs non autorisés d’arrêter une présentation (par exemple, si la présentation est exécutée sur une borne ou un stand de démonstration), vous pouvez configurer le diaporama pour que le spectateur soit obligé de saisir le nom et le mot de passe de l’administrateur (ou de l’utilisateur qui a ouvert la session) de l’ordinateur sur lequel le diaporama s’exécute. Pour arrêter une présentation en cours de lecture : m Appuyez sur Échap, Q, Command + point (.) ou Point (.). m Si la présentation contient un lien hypertexte qui l’arrête, cliquez dessus. Pour en savoir plus sur la création d’un lien hypertexte qui arrête la présentation, voir « Création d’un bouton « Arrêter le diaporama » dans votre diaporama » à la page 148. Pour demander le nom et le mot de passe de l’administrateur pour arrêter la présentation : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des documents. 2 Dans Inspecteur des documents, cliquez sur Document. 3 Cochez la case « Demander un mot de passe pour quitter le diaporama ». Lorsque vous arrêtez une présentation qui demande un mot de passe, tapez simplement le nom et le mot de passe de l’administrateur (ou de l’utilisateur qui a ouvert la session) dans les champs qui apparaissent lorsque vous tentez d’arrêter la présentation à l’aide de l’une des méthodes décrites ci-dessus. 240 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 241 Lecture de séquences Vous pouvez contrôler une séquence sur une diapositive en utilisant le pointeur pour cliquer sur les commandes qui apparaissent lorsque vous placez le pointeur audessus de la séquence dans la diapositive ; pour cela, le diaporama doit être configuré pour afficher le pointeur lorsqu’une séquence apparaît sur une diapositive. Les commandes qui apparaissent dépendent des dimensions de la séquence (sa taille sur la diapositive) ; une séquence plus petite propose moins de commandes. Une autre manière de contrôler la lecture d’une séquence au cours d’une présentation est d’utiliser le clavier. Pour afficher le pointeur lorsqu’une séquence apparaît sur une diapositive : 1 Choisissez Keynote > Préférences, puis cliquez sur Diaporama. 2 Cochez la case « Afficher les commandes de lecture lorsque le pointeur est au-dessus d’une séquence ». Pour utiliser le clavier pour contrôler la lecture de la séquence : m Maintenez enfoncée la touche qui correspond à l’action souhaitée : K : Appuyez sur cette touche pour mettre en pause, une deuxième fois pour relancer la lecture (bascule). J : Maintenez cette touche enfoncée pour effectuer un retour rapide (lit le film à l’envers). L : Maintenez cette touche enfoncée pour effectuer une avance rapide. I : Appuyez sur cette touche pour atteindre le début de la séquence. O : Appuyez sur cette touche pour atteindre la fin de la séquence. Lorsque vous créez votre diaporama, vous pouvez définir le volume de lecture pour les séquences et indiquer si la lecture de la séquence commence dès que la diapositive apparaît ou si elle commence lorsque vous cliquez. Vous pouvez également choisir de lire les séquences une fois complètement ou en boucle, ou d’effectuer une boucle vers l’avant et vers l’arrière. Pour plus d’instructions, consultez « Définition des options de lecture du diaporama » à la page 227. Affichage du pointeur au cours d’une présentation Vous pouvez configurer votre diaporama de façon à ce que le pointeur apparaisse uniquement sur les diapositives contenant des liens ou seulement lorsque vous déplacez la souris. Pour spécifier des options de pointeur : 1 Choisissez Keynote > Préférences, puis cliquez sur Diaporama. 2 Sélectionnez « N’afficher le pointeur que sur les diapositives dotées de liens ou de séquences » ou « Afficher le pointeur lors du déplacement de la souris ».Si vous choisissez d’afficher le pointeur uniquement sur des diapositives contenant des liens hypertextes ou des séquences, vous pouvez masquer le pointeur au cours de la présentation en appuyant sur la touche C. Utilisation d’une télécommande Apple Remote Si votre ordinateur est équipé d’une télécommande Apple Remote, vous pouvez l’utiliser pour contrôler votre diaporama. Les boutons de la télécommande Apple Remote permettent de passer à la diapositive suivante ou de revenir à la diapositive précédente, de lire, de mettre en pause ou de quitter le diaporama, et de contrôler le volume de l’ordinateur. Vous devez ouvrir le document Keynote sur votre ordinateur avant de commencer à le contrôler à l’aide de la télécommande Apple Remote. Le tableau suivant décrit comment contrôler Keynote à l’aide de la télécommande Apple Remote. Appuyez sur ce bouton Pour effectuer cette opération dans la fenêtre Keynote Pour effectuer cette opération en mode présentation Pour effectuer cette opération dans le sélecteur de diapositives Lecture/Pause Démarrer la présentation Bloquer/continuer la présentation Passer au numéro de diapositive sélectionné Menu Ouvrir Front Row Mettre la présentation en pause et ouvrir le sélecteur de diapositives Quitter le sélecteur de diapositives Maintenir la touche Menu enfoncée — Quitter la présentation Quitter la présentation Avance — Revenir à la diapositive ou à la composition précédente Diminuer le numéro de diapositive de un Inverser — Passer à la diapositive ou à la composition suivante Augmenter le numéro de diapositive de un Maintenir la touche Avance enfoncée — Aller à la première diapositive — Maintenir la touche Inverser enfoncée — Aller à la dernière diapositive — Plus (+) Augmenter le volume Augmenter le volume Augmenter le volume Moins (-) Diminuer le volume Diminuer le volume Diminuer le volume 242 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 243 Utilisation de Keynote Remote Si vous avez un iPhone ou un iPod Touch, vous pouvez acheter et télécharger l’application Keynote Remote via l’App Store et l’utiliser pour contrôler votre diaporama. Une fois que vous avez acheté l’application Keynote Remote, vous devez la relier à votre ordinateur avant de pouvoir l’utiliser. Pour cela, votre iPhone ou iPod Touch et votre ordinateur doivent être sur le même réseau WiFi. Vous devez ouvrir le diaporama Keynote sur votre ordinateur avant de commencer à le contrôler à l’aide de Keynote Remote. Pour relier votre Keynote Remote : 1 Ouvrez Keynote sur votre ordinateur, puis choisissez Keynote > Préférences. 2 Cliquez sur Remote dans la fenêtre Préférences et sélectionnez « Activer les télécommandes iPhone et iPod touch ». 3 Cliquez sur l’icône de l’application Keynote Remote sur votre iPhone ou iPod Touch. 4 Sur l’iPhone ou l’iPod Touch, créez un lien vers Keynote, en suivant les instructions de l’appareil. Un code apparaît. 5 Dans Keynote, cliquez sur le bouton de lien à côté de la télécommande à jumeler, puis tapez le code dans la fenêtre qui s’ouvre dans Keynote. 6 Refermez les préférences de Keynote. Utilisation d’autres applications au cours d’une présentation Pour utiliser Exposé, Dashboard ou d’autres applications (telles que Remote Desktop) pendant la lecture de votre diaporama, il vous faut définir une préférence de Keynote. Choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Diaporama, puis sélectionnez « Permettre l’utilisation de l’écran à Exposé, Dashboard et autres ». Si vous sélectionnez cette option, il se peut que votre diaporama soit plus lent et que les animations s’affichent mal. Les anciennes versions du logiciel Keyspan Remote ne sont pas configurées pour fonctionner avec Keynote, mais vous pouvez configurer Keyspan Remote manuellement. Pour configurer Keyspan Remote en vue de son fonctionnement avec Keynote : 1 Ouvrez l’application KeySpanDMR (située dans le dossier Applications de votre disque dur). 2 Cliquez sur Configurer dans le bas de la fenêtre. 3 Choisissez KeySpanDMR > Ajouter une application. 4 Recherchez Keynote dans la zone de dialogue Choisir, puis cliquez sur Choisir.Impression de vos diapositives Vous pouvez imprimer votre diaporama Keynote de diverses manières en fonction de vos besoins. Vous pouvez imprimer les diapositives avec ou sans leurs notes ou imprimer uniquement le diaporama au format structure ou au format document. Pour imprimer des diapositives : 1 Pour imprimer des commentaires, assurez-vous que ceux-ci sont visibles dans le canevas de la diapositive (cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et choisissez Afficher les commentaires). 2 Choisissez Fichier > Imprimer. 3 Si les options d’impression décrites ici ne s’affichent pas, cliquez sur le triangle d’affichage situé en regard du menu local Imprimante pour les afficher. 4 Pour imprimer une diapositive ou une plage de diapositives, entrez le ou les numéros de la diapositive ou de la plage dans les champs de texte De et À. Les numéros de diapositive s’affichent dans le navigateur de diapositives. 5 Pour définir les options d’impression de Keynote, choisissez Keynote dans le menu local Copies et pages. Sélectionnez le modèle de diapositives et de documents que vous désirez imprimer. Convertissez le groupe de diapositives en fichier PDF. Sélectionnez les options de mise en forme de l’impression. Choisissez Keynote dans ce menu local. 6 Sélectionnez une option dans la zone de dialogue Imprimer : Diapositives individuelles : imprime une diapositive par page sans les notes de l’intervenant. Diapositives avec notes : imprime une diapositive par page avec les notes de l’intervenant. Structure : imprime uniquement les titres des diapositives et le texte à puces (ce que vous voyez avec le mode structure du navigateur de diapositives). Le texte figurant dans les zones de texte libre n’est pas imprimé. 244 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 245 Document : propose des options permettant d’afficher plusieurs diapositives par page. Pour accélérer la vitesse d’impression des documents, sélectionnez « Imprimer en qualité brouillon ». 7 Sélectionnez les options de mise en forme de l’impression : Pour imprimer uniquement les diapositives sélectionnées : Imprime seulement les diapositives sélectionnées dans le navigateur avant de choisir Fichier > Imprimer. (Pour sélectionnez plusieurs diapositives dans le navigateur, maintenez enfoncée la touche Commande ou Maj lorsque vous effectuez votre sélection.) Ne pas imprimer les arrière-plans de Diapositive ou les remplissages : La couleur et les objets d’arrière-plan ne sont pas imprimés ; le texte clair est imprimé en noir. Cette option est particulièrement utile pour imprimer des diapositives très colorées sur une imprimante noir et blanc. Sur imprimante noir et blanc, les images en couleur sont imprimées avec des niveaux de gris. Avec les imprimantes couleur, les fichiers graphiques importés dans les diapositives sont imprimés en couleur. Imprimer chaque étape de composition : permet d’imprimer une image de diapositive pour chaque étape d’une composition d’objet (une diapositive présentant trois étapes de composition sera imprimée sous forme de trois diapositives). Inclure les diapositives ignorées : permet d’imprimer toutes les diapositives du navigateur de diapositives, même si certaines sont signalées comme étant ignorées. Ajouter des bordures aux diapositives : permet d’imprimer une ligne le long des bords de chaque diapositive. Inclure les numéros des diapositives : permet d’imprimer le numéro au bas de chaque diapositive. Inclure la date : permet d’imprimer la date sur chaque diapositive. Imprimer les graphiques 3D haute résolution : améliore la qualité d’impression pour les graphiques 3D. Utiliser les marges de la page : maintient les bordures de la diapositive dans les marges d’impression. 8 Cliquez sur Imprimer. À propos de l’exportation d’un diaporama vers d’autres formats Vous pouvez partager votre présentation entre plates-formes en l’exportant dans un autre format, tel que QuickTime, PowerPoint et PDF. Vous pouvez également envoyer le diaporama directement vers iDVD, iPhoto, iTunes, iWeb, GarageBand et YouTube. En outre, vous pouvez convertir votre diaporama en séquence visible sur iPod. Vous pouvez également le publier sur iWork.com Public Bêta.Enregistrement d’une présentation au format iWork ’08 Si d’autres utilisateurs ouvrent votre diaporama à l’aide d’une version plus ancienne de Keynote, vous pouvez exporter celui-ci au format iWork ’08. Les nouvelles fonctionnalités d’iWork ‘09, telles que les nouvelles transitions ou les nouveaux effets de composition, risquent de ne pas être conservées lorsque la présentation est exportée vers la version précédente. Pour enregistrer une présentation afin de pouvoir l’ouvrir dans iWork ’08 : 1 Ouvrez le diaporama à exporter. 2 Choisissez Fichier > Enregistrer sous. 3 Tapez un nom pour ce fichier et sélectionnez un emplacement. 4 Sélectionnez « Enregistrer une copie sous » et choisissez iWork ’08. Si vous ne trouvez pas ces options, cliquez sur le triangle d’affichage à droite du champ Enregistrer sous. 5 Si vous ne souhaitez pas inclure de fichier audio ou vidéo dans l’exportation, cliquez sur Options avancées et désélectionnez « Copier l’audio et la vidéo dans le document » (cette option est activée par défaut). 6 Cliquez sur Enregistrer. Partage d’une présentation entre plates-formes Exportation de votre présentation dans des formats compatibles sur des plates-formes différentes. Création d’un film QuickTime Vous pouvez convertir votre diaporama en séquence QuickTime contenant toutes les transitions et compositions d’objet animées. Vous pouvez créer une séquence interactive que les spectateurs peuvent visionner à leur rythme ou créer une séquence à lecture automatique dont vous avez minuté les transitions et les compositions. 246 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 247 Pour créer une séquence QuickTime à partir de votre présentation : 1 Choisissez Partage > Exporter, puis cliquez sur QuickTime. Choisissez le type de film. Choisissez un format de compression pour optimiser la taille de votre séquence et la qualité de la lecture. Pour les films à lecture automatique (minutage fixe), réglez la durée des diapositives et des compositions d’objet. Lisez la séquence une seule fois, plusieurs fois de suite (en boucle) ou en en boucle dans les deux sens. Indiquez si votre diaporama comprend une transparence que vous souhaiter conserver. Sélectionnez pour que le film soit reproduit en plein écran. 2 Choisissez une option dans le menu local Utilisations Lecture. Avance manuelle : les spectateurs lancent le diaporama en cliquant sur la souris ou sur Lecture (dans les commandes de QuickTime) ou en appuyant sur la barre d’espace. Liens uniquement : les spectateurs naviguent dans le diaporama en cliquant sur des liens. Minutage enregistré : Si vous avez enregistré votre diaporama (comme expliqué dans « Enregistrement d’une narration en voix off » à la page 119), le film est reproduit avec le minutage enregistré. Minutage fixe : Les spectateurs n’ont aucun contrôle sur la vitesse d’avance car le diaporama est lu selon le minutage que vous définissez à la prochaine étape. 3 Si vous choisissez Minutage fixe, tapez les valeurs dans les champs de durée des diapositives et de durée des compositions. Durée de la diapositive : Durée de l’apparition à l’écran de chaque diapositive entièrement composée après la fin de la dernière composition d’objet. Durée de la composition : Nombre de secondes écoulées entre le début d’une étape de composition et la suivante dans chaque composition d’objet. Il n’y a pas de décalage entre le moment où une diapositive apparaît à l’écran et la première étape d’une composition d’objet. 4 Si vous choisissez Minutage fixe, vous pouvez choisir une option dans le menu Répétition : Aucun : le diaporama est lu en une fois. Boucle : le diaporama est lu en continu.Va-et-vient : Le diaporama est lu du début à la fin, puis de la fin au début, et ainsi de suite. 5 Pour que le diaporama s’affiche en plein écran plutôt que dans une fenêtre, sélectionnez « Utiliser le mode plein écran lors de l’ouverture ». 6 Dans le menu local Formats, choisissez une qualité de lecture et une taille de fichier : Qualité maximale, grand : Cela permet de conserver la meilleure qualité de lecture, faisant que les séquences sont volumineuses et donc plus difficiles à transférer par courrier électronique ou sur le web. Film CD-ROM, moyen : Il s’agit de la solution idéale si vous utilisez un CD pour envoyer le diaporama à un autre utilisateur. Les séquences sont de haute qualité mais la taille des fichiers est un peu plus petite que celle des séquences de qualité supérieure. Film Web, petit : ces séquences ont généralement une moins bonne qualité de lecture mais elles sont suffisamment petites pour que vous puissiez les partager sur le Web ou par courrier électronique. Personnalisé : permet de choisir les réglages de la compression vidéo ou audio dans QuickTime et donc de contrôler le rapport taille-qualité du fichier. 7 Pour inclure la bande originale du diaporama ou l’audio enregistré, cochez la case Audio. 8 Si votre diaporama comprend un arrière-plan transparent que vous souhaitez conserver pour votre séquence QuickTime, sélectionnez Inclure la transparence. Lorsque cette option est sélectionnée, certaines transitions peuvent ne pas fonctionner correctement. 9 Cliquez sur suivant, saisissez le titre de votre séquence, choisissez un emplacement où l’enregistrer puis cliquez sur Exporter. Si le diaporama comprend une bande originale, deux fichiers de séquence sont créés. Le fichier auquel est adjoint la bande originale ne contient que l’audio et peut être ignoré. Lorsque vous exportez un diaporama à lecture automatique sous forme de séquence QuickTime, tenez compte des points suivants :  Si le diaporama comprend une bande originale, la séquence ne se termine qu’à la fin de l’audio. Si le diaporama est sensiblement plus court que l’audio, il vaut mieux que vous utilisiez un fichier audio plus court.  Si le diaporama contient un lien Quitter le diaporama, cliquer sur ce lien a pour effet de sortir du mode plein écran. 248 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 249 Création d’un diaporama PowerPoint Vous pouvez convertir des documents Keynote en fichiers PowerPoint qui pourront être visionnés et modifiés par les utilisateurs de PowerPoint équipés d’ordinateurs Windows ou Mac OS. Pour créer un diaporama PowerPoint : 1 Choisissez Partage > Exporter, puis cliquez sur PPT (PowerPoint). 2 Cliquez sur Suivant. 3 Nommez le fichier et choisissez-lui un emplacement, puis cliquez sur Exporter. PowerPoint ne prend pas en charge certaines fonctions de Keynote :  Certains éléments de texte à puces risquent d’être perdus. Si vous masquez le texte à puces dans une diapositive (en désélectionnant Corps dans l’Inspecteur des diapositives), il est supprimé de la structure lors de l’exportation.  PowerPoint ne prend pas en charge les images à canaux alpha, ce qui signifie que si vous utilisez une image avec découpe de photo, l’image d’arrière-plan apparaît au premier plan. Vous pourrez également remarquer de légères variations dans d’autres graphismes. Création d’un fichier PDF Vous pouvez convertir votre diaporama en fichier PDF, qui pourra être visualisé ou imprimé avec Preview, Adobe Reader ou toute autre application gérant les PDF. Si votre diaporama contient des liens, ils sont exportés comme des liens actifs dans le document PDF. Voici comment créer un fichier PDF : m Pour créer un fichier PDF destiné uniquement à l’affichage (et qui ne doit pas être imprimé), choisissez Fichier > Exporter, puis cliquez sur PDF. Sélectionnez vos options (pour en savoir plus, consultez « Impression de vos diapositives » à la page 244), cliquez sur Suivant, saisissez un nom, choisissez un emplacement pour le fichier, puis cliquez sur Exporter. Vous pouvez imprimer des documents PDF créés à l’aide de cette méthode, mais le document ne possédera pas les marges d’imprimante. Si vous avez l’intention d’imprimer votre fichier PDF, vous devriez obtenir de meilleurs résultats en utilisant la méthode suivante. m Pour créer un fichier PDF destiné à être imprimé, choisissez Fichier > Imprimer, puis sélectionnez « Enregistrer en tant que PDF » dans le menu local PDF. Dans la zone de dialogue Enregistrer, saisissez un nom, choisissez un emplacement pour le fichier, puis cliquez sur Enregistrer.Exporter des diapositives sous forme de fichiers image Vous pouvez exporter toutes vos diapositives sous forme de fichiers image aux formats JPEG, PNG ou TIFF. Pour exporter des diapositives sous forme de fichiers image : 1 Choisissez Partage > Exporter, puis cliquez sur Images. 2 Indiquez si la création concerne toutes les diapositives ou uniquement une plage de diapositives. 3 Pour créer une image distincte pour chaque étape de composition, sélectionnez « Générer des images différentes pour chaque étape de composition ». 4 Choisissez une option dans le menu local Format. Plus la qualité est bonne, plus le fichier sera grand. 5 Si vous choisissez le format JPEG, utilisez les commandes Qualité pour indiquer un pourcentage entre basse qualité et haute qualité. 6 Cliquez sur Suivant. 7 Nommez le fichier, choisissez un emplacement pour les fichiers, puis cliquez sur Exporter. Les fichiers sont nommés nomfichier.001, nomfichier.002, et ainsi de suite. Vous pouvez également envoyer des fichiers d’image à iPhoto, comme décrit dans la rubrique « Création d’un album iPhoto » à la page 253. Création d’un document HTML Vous pouvez transformer votre diaporama en document HTML qui pourra être consulté avec Safari ou un autre navigateur web. Dans ce cas, les spectateurs cliqueront sur des liens pour faire avancer la présentation. Pour exporter des diapositives vers un document HTML : 1 Choisissez Partage > Exporter, puis cliquez sur HTML. 2 Indiquez si vous souhaitez exporter toutes les diapositives ou uniquement une étendue de diapositives. 3 Pour créer une image distincte pour chaque étape de composition, sélectionnez « Générer des images différentes pour chaque étape de composition ». 4 Pour associer un lien Début, Précédent et Suivant à chaque diapositive (selon le cas), sélectionnez « Inclure les contrôles de navigation ». 5 Choisissez une option dans le menu local Format afin d’indiquer la qualité d’image voulue. Plus la qualité est bonne, plus le fichier sera grand. 6 Si vous choisissez le format JPEG, utilisez les commandes Qualité pour augmenter ou réduire le facteur de compression utilisé pour l’exportation. 250 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 251 7 Cliquez sur Suivant, saisissez un nom de fichier, indiquez un emplacement pour le fichier, puis cliquez sur Exporter. Publication sur YouTube Vous pouvez envoyer votre diaporama directement sur le site web de YouTube, où les visiteurs pourront voir votre présentation sous forme de séquence. Pour publier votre présentation sur YouTube, vous devez être connecté à Internet. Pour publier votre diaporama sur YouTube : 1 Choisissez Partage > Envoyer vers > YouTube. 2 Tapez le nom et le mot de passe du compte dans les champs appropriés. 3 Choisissez une catégorie dans le menu local Catégorie. 4 Dans le champ Titre, tapez le nom à donner à votre séquence et, dans le champ Description, saisissez une brève description que les visiteurs pourront lire. 5 Dans le champ Étiquettes, vous pouvez taper les mots-clés qui aideront les utilisateurs à trouver votre séquence en effectuant une recherche sur le site web de YouTube. 6 Choisissez la dimension de la vidéo dans le menu local « Taille de publication ». 7 Si vous souhaitez que votre séquence ne soit visible que par vous ou par les utilisateurs que vous avez désignés, sélectionnez « Vidéo privée ». 8 Cliquez sur Suivant. 9 Si votre diaporama n’est pas un diaporama enregistré, tapez le nombre de secondes pendant lesquelles vous souhaitez que votre diaporama affiche chaque diapositive avant de passer à la suivante et le nombre de secondes que vous souhaitez que le diaporama attende avant de passer à la composition suivante dans chaque diapositive. Si votre diaporama est un diaporama enregistré, choisissez Synchronisation enregistrée dans le menu local Utilisations Lecture pour conserver le minutage préenregistré des diapositives et compositions. Ou choisissez Minutage fixe et définissez le nombre de secondes que vous souhaitez attendre entre chaque composition et chaque diapositive, comme décrit ci-dessus. Pour en savoir plus sur les diaporamas enregistrés, consultez la rubrique « Enregistrement d’une narration en voix off » à la page 119. 10 Procédez de l’une des manières suivantes : Si votre diaporama comporte un fichier audio, sélectionnez « Inclure le fichier audio du diaporama » si vous souhaitez que le son soit diffusé avec le diaporama sur YouTube. Si votre diaporama est un diaporama enregistré, sélectionnez « Inclure le diaporama enregistré » si vous souhaitez que le son soit diffusé avec le diaporama sur YouTube. 11 Cliquez sur Suivant, puis sur Publier pour accepter les conditions de service de YouTube. Votre séquence est alors téléchargée vers le site web de YouTube.12 Dans la zone de dialogue qui apparaît, cliquez sur Afficher pour visualiser votre séquence sur le site web de YouTube. 13 Pour créer un courrier électronique contenant l’URL de votre séquence, sélectionnez la séquence, puis cliquez sur Partager la vidéo, en dessous de la séquence. À propos de l’envoi d’une présentation aux applications iLife Envoyez un diaporama directement vers iDVD, iPhoto, iTunes, iWeb ou GarageBand. Création d’un projet iDVD Vous pouvez créer un projet iDVD ou ajouter votre diaporama en tant que film à un projet iDVD existant. Pour créer une séquence iDVD à partir de votre présentation : 1 Choisissez Partage > Envoyer vers > iDVD. 2 Choisissez une option dans le menu local Taille de la vidéo. Standard: permet d’exporter les diapositives pour les visionner sur un écran vidéo standard. Écran large : permet d’exporter les diapositives pour les visionner sur un écran vidéo large. 3 Choisissez une option dans le menu local Utilisations Lecture. Avancer manuellement : les spectateurs avancent dans la vidéo en cliquant avec la souris ou en appuyant sur la flèche droite ou sur la barre d’espace. Synchronisation enregistrée :si vous avez enregistré votre diaporama (comme décrit dans « Enregistrement d’une narration en voix off » à la page 119), votre séquence de diaporama est lue en utilisant la synchronisation que vous avez enregistrée. Synchronisation fixe : les spectateurs n’ont aucun contrôle sur la vitesse d’avance car le diaporama est lu selon le minutage que vous définissez à la prochaine étape. 4 Si vous choisissez Minutage fixe, tapez les valeurs dans les champs de durée des diapositives et de durée des compositions. Durée de la diapositive : Durée de l’apparition à l’écran de chaque diapositive entièrement composée après la fin de la dernière composition d’objet. Durée de la composition : Nombre de secondes écoulées entre le début d’une étape de composition et la suivante dans chaque composition d’objet. Il n’y a pas de décalage entre le moment où une diapositive apparaît à l’écran et la première étape d’une composition d’objet. 5 Pour inclure la bande originale du diaporama ou l’audio enregistré, sélectionnez les cases à cocher Audio. 6 Cliquez sur Suivant, tapez un nom de fichier, spécifiez un emplacement (si vous ne souhaitez pas stocker la séquence dans le dossier Séquences, puis cliquez sur Exporter. 252 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 253 Création d’un album iPhoto Vous pouvez convertir votre diaporama en album iPhoto, chaque diapositive devenant un fichier image. Pour créer un album iPhoto à partir d’un diaporama : 1 Choisissez Partage > Envoyer vers > iPhoto. 2 Indiquez si la création concerne toutes les diapositives ou uniquement une plage de diapositives. 3 Pour créer une image distincte pour chaque étape de composition, sélectionnez « Générer des images différentes pour chaque étape de composition ». 4 Choisissez une option dans le menu local Format. Plus la qualité est bonne, plus le fichier sera grand. 5 Si vous choisissez le format JPEG, utilisez les commandes Qualité pour indiquer un pourcentage entre basse qualité et haute qualité. 6 Cliquez sur Suivant, tapez le nom de votre album, puis cliquez sur Envoyer. Si iPhoto n’est pas encore ouvert, il démarre ; votre nouvel album apparaît en bas de la liste. Exportation vers iWeb Si vous utilisez (ou si vous prévoyez d’utiliser) iWeb pour créer un site web, vous pouvez envoyer votre diaporama vers iWeb de sorte que les visiteurs de votre site puissent le télécharger et l’afficher sous forme de fichier PDF, de document Keynote ou de podcast vidéo. Votre diaporama est ajouté en tant qu’entrée de blog ou entrée de podcast. Pour envoyer votre diaporama à iWeb : 1 Vérifiez qu’iWeb ’08 ou ultérieur est installé. 2 Dans Keynote, choisissez Partage > Envoyer vers > iWeb. 3 Choisissez une option dans le menu local Type de fichier. PDF : vous pouvez choisir la plupart des options décrites à la rubrique « Impression de vos diapositives » à la page 244. Document Keynote : les visiteurs du site doivent utiliser Keynote pour afficher votre diaporama. Podcast vidéo : permet de créer un film à lecture automatique. 4 Si vous optez pour Podcast vidéo, choisissez une option dans le menu local Utilisations lecture : Synchronisation enregistrée : Si vous avez enregistré votre diaporama (comme expliqué dans la section « Enregistrement d’une narration en voix off » à la page 119), le film est reproduit avec le minutage enregistré.Synchronisation fixe : les spectateurs n’ont aucun contrôle sur la vitesse d’avance car la séquence est lue selon le minutage que vous définissez à la prochaine étape. 5 Si vous choisissez Minutage fixe, saisissez des valeurs dans les champs de durée : Durée de la diapositive : Durée de l’apparition à l’écran de chaque diapositive entièrement composée après la fin de la dernière composition d’objet. Durée de la composition : Nombre de secondes écoulées entre le début d’une étape de composition et la suivante dans chaque composition d’objet. Il n’y a pas de décalage entre le moment où une diapositive apparaît à l’écran et la première étape d’une composition d’objet. 6 Pour inclure la bande originale du diaporama ou l’audio enregistré, sélectionnez la case à cocher Audio. 7 Cliquez sur Envoyer. Si iWeb n’était pas ouvert, il s’ouvre, et vous pouvez choisir le blog ou podcast auquel joindre votre diaporama. Si vous avez uniquement un blog ou podcast, le document y est attaché. Exporter vers iTunes et iPod Vous pouvez convertir votre diaporama en film pouvant être lu sur iTunes. Si vous avez un iPod, vous pouvez utiliser iTunes pour y transférer la séquence. Pour envoyer votre diaporama à iTunes ou iPod : 1 Dans Keynote, effectuez l’une des opérations suivantes :  Choisissez Partage > Envoyer vers > iTunes.  Choisissez Partage > Exporter, puis cliquez sur iPod. 2 Choisissez une option dans le menu local Utilisations Lecture. Synchronisation enregistrée : si vous avez enregistré votre diaporama (comme expliqué dans la section « Enregistrement d’une narration en voix off » à la page 119), le film est reproduit avec le minutage enregistré. Synchronisation fixe : les spectateurs n’ont aucun contrôle sur la vitesse d’avance car la séquence est lue selon le minutage que vous définissez à la prochaine étape. 3 Si vous choisissez Minutage fixe, saisissez des valeurs dans les champs de durée : Durée de la diapositive : Durée de l’apparition à l’écran de chaque diapositive entièrement composée après la fin de la dernière composition d’objet. Durée de la composition : Nombre de secondes écoulées entre le début d’une étape de composition et la suivante dans chaque composition d’objet. Il n’y a pas de décalage entre le moment où une diapositive apparaît à l’écran et la première étape d’une composition d’objet. 4 Pour inclure la bande originale du diaporama ou l’audio enregistré, sélectionnez la case à cocher Audio. 254 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 255 5 Cliquez sur Envoyer. 6 Tapez un titre, choisissez un emplacement pour le diaporama, puis cliquez sur Exporter. Si iTunes n’était pas ouvert, il démarre alors. Votre diaporama est importé en tant que séquence. Pour plus d’informations sur le transfert de film vers votre iPod, reportezvous à l’Aide iTunes. Exportation vers GarageBand Vous pouvez convertir votre diaporama en podcast vidéo avec des effets audio sophistiqués en l’exportant vers GarageBand. Pour envoyer votre diaporama à GarageBand : 1 Dans Keynote, choisissez Partage > Envoyer vers > GarageBand. 2 Choisissez une option dans le menu local Minutage. Synchronisation enregistrée : Si vous avez enregistré votre diaporama (comme expliqué dans la section « Enregistrement d’une narration en voix off » à la page 119), le film est reproduit avec le minutage enregistré. Synchronisation fixe : les spectateurs n’ont aucun contrôle sur la vitesse d’avance car la séquence est lue selon le minutage que vous définissez à la prochaine étape. 3 Si vous choisissez Minutage fixe, saisissez des valeurs dans les champs de durée : Durée de la diapositive : Durée de l’apparition à l’écran de chaque diapositive entièrement composée après la fin de la dernière composition d’objet. Durée de la composition : Nombre de secondes écoulées entre le début d’une étape de composition et la suivante dans chaque composition d’objet. Il n’y a pas de décalage entre le moment où une diapositive apparaît à l’écran et la première étape d’une composition d’objet. 4 Pour inclure la bande originale du diaporama ou l’audio enregistré, sélectionnez la case à cocher Audio. 5 Cliquez sur Envoyer. 6 Tapez un titre, choisissez un emplacement pour le diaporama, puis cliquez sur Exporter. Si GarageBand n’était pas ouvert, il démarre alors. Votre diaporama est importé en tant que séquence. Visualisation d’un diaporama dans iChat Theater Si vous utilisez Mac OS X 10.5 ou ultérieur, vous pouvez partager un diaporama Keynote avec d’autres utilisateurs d’iChat. Pour partager un diaporama dans iChat Theater : 1 Dans iChat, choisissez Fichier > « Partager un fichier avec iChat Theater ».2 Choisissez le diaporama Keynote que vous souhaitez présenter. Cliquez sur Partage. Si vous avez déjà commencé une conversation vidéo, faites glisser le fichier Keynote sélectionné sur le contact ou le groupe affiché dans la fenêtre vidéo iChat. 3 Keynote s’ouvre et la première diapositive de votre diaporama s’affiche dans la fenêtre vidéo iChat. 4 Utilisez les commandes Keynote pour parcourir les diapositives. Pour plus de détails, consultez la section « Commande d’une présentation à l’aide du clavier » à la page 238. 5 Une fois votre diaporama terminé, fermez la fenêtre de commande de Keynote . Envoi de votre document Keynote directement par courrier électronique Si vous utilisez Mail comme logiciel de messagerie, vous pouvez joindre facilement et rapidement une version Keynote, PowerPoint ou PDF de votre diaporama à un courrier électronique, directement depuis l’application Keynote. Pour envoyer un document par courrier électronique : 1 Ouvrez votre document Keynote, choisissez Partage > « Envoyer par courrier électronique », puis choisissez Keynote, PowerPoint ou PDF dans le sous-menu. Keynote : crée une version Keynote de votre document. PowerPoint : crée une version PowerPoint de votre document. PDF : crée une version PDF de votre document. Un nouveau message de courrier électronique s’ouvre avec la version du document jointe. 2 Modifiez le courrier électronique, puis cliquez sur Envoyer. Les documents Keynote protégés par mot de passe sont envoyés par courrier électronique en toute sécurité. Les destinataires doivent saisir le mot de passe pour visualiser les documents sécurisés. Pour en savoir plus, consultez la section « Protection par mot de passe de votre document » à la page 40. La protection par mot de passe des documents PDF et Microsoft PowerPoint n’est pas prise en charge. 256 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 257 Partage de votre présentation Keynote sur iWork.com Public Beta Les présentations publiées sur iWork.com sont accessibles aux utilisateurs depuis n’importe quel navigateur web compatible. Ils peuvent consulter votre présentation une diapositive à la fois, ou lancer la présentation dans leur navigateur (les présentations préenregistrées avec narration en voix off, les présentations à lecture automatique et certains effets et transitions de diapositives ne sont pas pris en charge). Vous pouvez accéder à votre présentation à l’aide de n’importe quel ordinateur à l’aide d’un navigateur web compatible, un compte de messagerie et votre identifiant Apple. Ce dernier est le même que votre nom d’abonné MobileMe ou votre nom de compte iTunes. Si vous n’avez pas d’identifiant Apple, consultez la page https://appleid.apple.com/fr et suivez les instructions à l’écran pour en obtenir un. Lorsque vous envoyez une présentation à iWork.com, vous pouvez choisir parmi les options suivantes :  Partager avec les utilisateurs : inviter certains utilisateurs à ajouter des commentaires et des notes, et à télécharger votre présentation.  Publier sur le web : créer une adresse web publique (URL) que vous pouvez publier sur un site web ou ailleurs de manière que tout le monde puisse consulter votre présentation. Les utilisateurs normaux ne peuvent ni consulter les commentaires et notes de vos diaporamas, ni en laisser.  Télécharger pour utilisation privée : envoyer votre présentation à iWork.com pour la consulter vous-même ultérieurement. Vous pouvez choisir ultérieurement de la partager avec d’autres utilisateurs.Important : Si vous avez affecté un mot de passe à votre présentation, il ne protégera la présentation que lorsqu’elle est consultée sur iWork.com. Ce mot de passe est seulement en vigueur lorsque les utilisateurs téléchargent la présentation protégée par mot de passe et la consultent sur leur ordinateur. Pour protéger par mot de passe la présentation en ligne, vous devez définir un mot de passe en ligne lors de sa publication. Pour partager une présentation avec des utilisateurs invités : 1 Ouvrez la présentation que vous souhaitez partager et cliquez sur le bouton Partager de la barre d’outils, ou choisissez Partage > « Partager via iWork.com ». 2 Saisissez votre identifiant et votre mot de passe Apple, puis cliquez sur Se connecter. Si vous avez oublié votre identifiant ou votre mot de passe Apple, cliquez sur « Mot de passe oublié », puis suivez les instructions à l’écran. Si c’est la première fois que vous envoyez un document sur iWork.com, un message de vérification est envoyé à votre adresse électronique. Cliquez sur le lien de vérification contenu dans le message, puis continuez à partager. 3 Sélectionnez « Partager avec les utilisateurs ». 258 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporamaChapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 259 4 Dans les champs Spectateurs et Message, saisissez les adresses électroniques et un message pour les personnes auxquelles vous souhaitez accorder l’accès à la présentation. 5 Tapez un objet si vous ne souhaitez pas utiliser celui créé automatiquement. 6 Définissez les options de consultation pour votre présentation partagée. Cliquez sur Afficher les options avancées pour voir toutes ces options : Laisser des commentaires : sélectionnez cette option pour permettre aux utilisateurs de laisser des commentaires sur la présentation. Télécharger la présentation : sélectionnez cette option pour permettre aux utilisateurs de télécharger la présentation. Copier sur iWork.com en tant que : saisissez ou sélectionnez un nom de fichier pour la présentation en ligne. Options de téléchargement : sélectionnez une ou plusieurs options de format de fichier dans lesquels rendre la présentation disponible en téléchargement. Confidentialité : sélectionnez cette option pour que les utilisateurs soient obligés de saisir un mot de passe afin d’accéder à votre présentation en ligne. Saisissez un mot de passe dans les champs proposés, puis cliquez sur « Définir le mot de passe ». Assurezvous d’indiquer aux utilisateurs le mot de passe de la présentation. Vous pouvez utiliser l’Assistant mot de passe (cliquez sur le bouton disposant d’une icône de clé) pour créer un mot de passe plus fiable. Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’Assistant mot de passe, consultez la rubrique « Protection par mot de passe de votre document » à la page 40. 7 Cliquez sur Partage. Une copie de votre présentation est envoyée à iWork.com et des invitations sont envoyées par courrier électronique aux personnes à qui vous souhaitez donner accès à votre feuille de calcul. Ces utilisateurs cliquent le lien unique dans leur messagerie pour accéder à votre présentation en ligne. S’ils laissent des commentaries, leur nom apparaît sur ceux-ci. Pour publier sur Internet une présentation visible par tout le monde : 1 Ouvrez la présentation que vous souhaitez partager et cliquez sur le bouton Partager de la barre d’outils, ou choisissez Partage > « Partager via iWork.com ». 2 Saisissez votre identifiant et votre mot de passe Apple, puis cliquez sur Se connecter. Si vous avez oublié votre identifiant Apple ou votre mot de passe, cliquez sur « Mot de passe oublié » et suivez les instructions à l’écran. Si c’est la première fois que vous envoyez un document sur iWork.com, un message de vérification est envoyé à votre adresse électronique. Cliquez sur le lien de vérification contenu dans le message, puis continuez à publier.260 Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 3 Sélectionnez « Publier sur le web ». 4 Cliquez sur Afficher les options avancées si vous souhaitez modifier le nom de la présentation en ligne, puis tapez ou sélectionnez un nom de fichier pour la présentation en ligne. 5 Cliquez sur Publier. Une copie de votre présentation est publiée sur iWork.com. Les personnes à qui vous avez donné accès peuvent la voir, mais ils ne peuvent y ajouter des commentaires et des notes. 6 Dans la zone de dialogue qui apparaît, cliquez sur Afficher en ligne pour voir votre présentation sur iWork.com. Votre navigateur s’ouvre et affiche la présentation publiée sur iWork.com. 7 Vous pouvez copier l’adresse web (URL) et la publier sur un site web, un blog ou un site de réseau social. Toute personne disposant de l’adresse web peut afficher votre feuille de calcul en ligne. Pour les instructions, consultez l’Aide iWork (ouvrez iWork.com dans votre navigateur puis cliquez sur le lien Aide). Pour télécharger une présentation dans le but d’y accéder vous-même de manière privée : 1 Ouvrez le document et cliquez sur le bouton Partager de la barre d’outils, ou choisissez Partage > « Partager via iWork.com ». 2 Saisissez votre identifiant et votre mot de passe Apple, puis cliquez sur Se connecter. Si vous avez oublié votre identifiant ou votre mot de passe Apple, cliquez sur « Mot de passe oublié », puis suivez les instructions à l’écran. Si c’est la première fois que vous envoyez un document sur iWork.com, un message de vérification est envoyé à votre adresse électronique. Cliquez sur le lien de vérification contenu dans le message, puis continuez à télécharger. 3 Sélectionnez « Télécharger pour utilisation privée » : 4 Cliquez sur Afficher les options avancées si vous souhaitez modifier le nom de la présentation en ligne, puis tapez ou sélectionnez un nom de fichier pour la présentation en ligne. 5 Cliquez sur le bouton Télécharger. Une copie de votre présentation est envoyée sur iWork.com. 6 Cliquez sur Afficher en ligne Afficher en ligne pour voir votre présentation sur iWork.com ou cliquez sur OK pour fermer la zone de dialogue.Pour accéder à toutes vos présentations en ligne à partir de la présentation Documents partagés d’iWork.com, procédez d’une des manières suivantes : m Ouvrez une présentation et choisissez Partage > « Afficher les documents partagés ». Si vous n’êtes pas encore connecté, choisissez Partage > Se connecter, puis Afficher les documents partagés. m Rendez-vous à l’adresse http://www.iwork.com/. Vous pouvez configurer iWork.com de manière à recevoir une alerte par courrier électronique lorsqu’un utilisateur laisse un nouveau commentaire sur un document en ligne. Pour plus d’informations à ce sujet et à propos de l’utilisation d’iWork.com, consultez le site http://www.iwork.com/ et cliquez sur Aide au bas de la page. Chapitre 11 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 261262 Créez et enregistrez vos thèmes originaux et dispositions de modèles de diapositives en modifiant les attributs par défaut de vos images, objets, etc. Ce chapitre s’adresse aux personnes familiarisées avec les fonctionnalités de conception et de mise en forme de Keynote décrites dans les chapitres précédents. Conception de modèles de diapositive et de thèmes Les thèmes de Keynote sont des ensembles de modèles de diapositives dont les dispositions, arrière-plans, graphiques, tableaux et attributs de texte sont prédéfinis. Vous pouvez modifier ces attributs afin de créer vos propres modèles et thèmes. Lorsque vous modifiez un modèle de diapositive, les modifications apparaissent sur chaque diapositive du document basé sur ce modèle. Vous pouvez créer un nouveau thème en :  Modifiant des modèles de diapositive et en enregistrant le document en tant que nouveau thème.  Supprimant tous les modèles de diapositive et en conservant uniquement le modèle vide, en créant une collection de modèles de diapositive à partir de zéro et en enregistrant ensuite le document en tant que nouveau thème. Vous pouvez personnaliser les attributs de modèle de diapositive suivants :  Position par défaut du texte du titre et du corps de texte  Graphismes d’arrière-plan  Polices par défaut  Styles de puces par défaut  Emplacement par défaut des objets (paramètres fictifs d’objet)  Remplissages d’objet et styles de lignes pour les objets  Styles de graphiques  Styles de transition 12 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisésChapitre 12 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 263  Positions du guide d’alignement Utilisation des outils de modèle de diapositives Vous pouvez utiliser le navigateur et l’inspecteur de modèles de diapositives pour travailler avec des modèles de diapositives. Pour utiliser les outils des modèles de diapositives : 1 Ouvrez le navigateur de modèles de diapositive en cliquant sur Présentation dans la barre d’outils et en choisissant Afficher les modèles de diapositive . 2 Dans le navigateur, sélectionnez un modèle de diapositive. Reportez-vous à la rubrique « À propos de la sélection des modèles de diapositives à personnaliser » à la page 265 pour en savoir plus sur la sélection des modèles de diapositives. 3 Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils puis cliquez sur le bouton Inspecteur des diapositives. 4 Pour modifier les attributs de disposition et d’arrière-plan, cliquez sur Apparence. Consultez « À propos de la personnalisation des dispositions des modèles de diapositives » à la page 266 pour en savoir plus. Créez des espaces réservés aux tableaux, graphiques, affichages Web et graphismes importés. Insérez des zones de titre et de corps de texte dans vos modèles de diapositive. Sélectionnez pour que les objets des diapositives se superposent aux objets du modèle. Transformez un fichier audio, vidéo, ou image en un paramètre fictif pour un autre support. Vous pouvez également sélectionner du texte ou une forme et définir un paramètre fictif. Choisissez une couleur ou une image d’arrière-plan. 5 Pour ajouter ou modifier des transitions entre modèles de diapositive, cliquez sur Transition. Consultez « Définition des transitions par défaut » à la page 272 pour en savoir plus.Cliquez pour obtenir un aperçu de la transition. Réglez la durée de la transition. Réglez le point de démarrage des transitions en mode lecture automatique. Réglez la direction de la transition. Choisissez le mode de démarrage de la transition. Choisissez une transition. Aperçu des modèles de diapositives Au cours de votre travail sur un modèle de diapositives, vous pouvez tester vos modifications sur une diapositive normale afin d’avoir une meilleure idée de la nouvelle disposition. En alternant l’affichage de cette diapositive de test avec celui du modèle, vous pouvez réaliser des réglages précis, notamment rallonger ou raccourcir les lignes ou ajouter plusieurs niveaux de retrait. Afficher le texte d’une diapositive s’avère particulièrement utile pour ajuster les taquets de tabulation et les espaces entre les lignes. Pour tester un modèle de diapositives : 1 Sélectionnez une diapositive dans le Navigateur de diapositives et cliquez ensuite sur Nouveau dans la barre d’outils ou appuyez sur Retour. 2 Appliquez la disposition du modèle de diapositive à tester en cliquant sur Modèles dans la barre d’outils et en sélectionnant le modèle de diapositive. 3 Ajoutez du texte et des objets à la nouvelle diapositive, en revenant au besoin au modèle pour y effectuer des réglages. 4 Si vous apportez à la diapositive des modifications qui remplacent les réglages du modèle de diapositive (comme changer l’arrière-plan de la diapositive) et que vous souhaitez rétablir les réglages du modèle de diapositive pour cette diapositive, sélectionnez celle-ci et choisissez Format > « Revenir au format du modèle pour la diapositive ». 264 Chapitre 12 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisésChapitre 12 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 265 À propos de la sélection des modèles de diapositives à personnaliser Pour concevoir un nouveau modèle de diapositives, le plus simple est de partir d’un modèle existant proche de celui désiré, qu’il se trouve dans le document en cours ou qu’il soit importé d’un autre document. Autre possibilité : créer un modèle de diapositives à partir de zéro, en travaillant sur une diapositive vierge au départ. Dupliquer un modèle de diapositives Avant de modifier un modèle de diapositives, vous pouvez éventuellement le dupliquer afin de pouvoir continuer à utiliser la version originale du modèle dans votre document. Pour dupliquer un modèle de diapositives : 1 Cliquez sur Affichage dans la barre d’outils et choisissez Afficher les modèles de diapositive. 2 Dans le navigateur de modèles de diapositive, sélectionnez le modèle à dupliquer. 3 Procédez de l’une des manières suivantes :  Cliquez sur Nouvelle dans la barre d’outils.  Choisissez Diapositive > Nouveau modèle de diapositive.  Appuyez sur Retour.  Choisissez Édition > Dupliquer. 4 Dans le navigateur de modèles de diapositive, double-cliquez sur le nom de la nouvelle diapositive et saisissez-en un autre. Si vous apportez des changements à un modèle de diapositives et si vous décidez ensuite que vous préférez rétablir les réglages par défaut du thème, sélectionnez la diapositive et choisissez Format > "Revenir au format du modèle pour la sélection". Importation d’une diapositive ou d’un modèle de diapositives Vous pouvez importer des diapositives et des modèles de diapositives à partir d’autres documents Keynote. Pour importer une diapositive ou un modèle de diapositives : 1 Ouvrez le document Keynote source (celui qui contient la diapositive que vous souhaitez importer) et le document Keynote actuel (celui dans lequel vous souhaitez importer la diapositive). 2 Procédez de l’une des manières suivantes : Pour importer une diapositive, faites-la glisser du navigateur de diapositives du document source vers le navigateur de diapositives du document actuel. La diapositive et le modèle correspondant sont insérés dans le document courant. (Le modèle est la dernière diapositive du navigateur de modèles.)Pour importer un modèle de diapositive, faites-le glisser du navigateur de modèles de diapositives vers celui du document actuel. Création d’un modèle de diapositive à partir de zéro Si vous ne trouvez pas le modèle de diapositive s’approchant du modèle souhaité, vous pouvez en créer un de toutes pièces. Pour créer un nouveau modèle de diapositives : m Dans le navigateur, sélectionnez une diapositive vide. m S’il n’y en a pas pour le thème que vous utilisez, sélectionnez un modèle de diapositive, choisissez Édition > Tout sélectionner et appuyez ensuite sur la touche Suppr. À propos de la personnalisation des dispositions des modèles de diapositives Définissez les paramètres fictifs pour le texte, pour le support et pour les objets ; modifiez les éléments de fond d’un modèle de diapositives ; ajoutez des guides d’alignement, etc. Définition des paramètres fictifs d’un texte Vous pouvez ajouter des paramètres fictifs pour le texte et y définir des attributs par défaut pour le texte. Pour définir le paramètre fictif d’un texte : 1 Dans le navigateur du modèle de diapositive, sélectionnez une diapositive (ouvrir le navigateur de modèle de diapositive, cliquer sur Afficher dans la barre d’outils et choisir Montrer les modèles de diapositives). 2 Ouvrez l’inspecteur des modèles de diapositive et cliquez sur Apparence. 3 Pour ajouter une zone de titre de paramètre fictif, sélectionnez Titre. 4 Pour ajouter une zone de corps de paramètre fictif, sélectionnez Corps. Pour contrôler l’application de puces, de numéros ou du format standard par défaut dans la zone de texte, utilisez la sous-fenêtre Puces de l’inspecteur du texte. 5 Pour ajouter une zone de texte libre de paramètre fictif, cliquez sur Zone de texte dans la barre d’outils. Dans l’inspecteur de modèle de diapositive, sélectionnez « Définir comme paramètre fictif de Texte » (ou choisissez Format > Avancé > « Définir comme paramètre fictif de texte »). Vous pouvez ajouter également une figure et la définir comme un paramètre fictif de texte. 6 Redimensionnez et réorganisez vos zones de texte. 7 Sélectionnez le texte du paramètre fictif et mettez-le en forme à votre guise. 266 Chapitre 12 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisésChapitre 12 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 267 Dans une zone de texte, vous pouvez définir des attributs pour 5 niveaux de texte maximum. Définition des paramètres fictifs d’un support Vous pouvez créer un ou plusieurs paramètres fictifs sur un modèle de diapositive afin de conserver des images, des fichiers audio et des films. Lorsque vous faites glisser une image un fichier vidéo vers un paramètre fictif multimédia, le fichier prend automatiquement la position et la taille du paramètre fictif. Pour définir le paramètre fictif d’un support : 1 Sélectionnez une image ou une figure sur un modèle de diapositive. Vous pouvez placer votre propre image sur le modèle de diapositive et la sélectionner ou sélectionner une image qui apparaît déjà sur le modèle. 2 Ouvrez l’inspecteur des modèles de diapositive et cliquez sur Apparence. 3 Sélectionnez “Définir comme paramètre fictif d’un support.” 4 Si vous le souhaitez, vous pouvez taper une description dans le champ Balise. 5 Vous pouvez aussi redimensionner, masquer et changer la disposition des paramètres fictifs pour que leur apparence corresponde à ce que vous désirez. Pour en savoir plus sur la manière de modifier une image afin qu’elle apparaisse comme vous le souhaitez, consultez les rubriques« Masquage (rognage) d’images » à la page 83 et« À propos de la manipulation, du tri et de la modification de l’aspect des objets » à la page 96. Définition de paramètres fictifs d’objet Vous pouvez créer un paramètre fictif sur un modèle de diapositive pour conserver des tableaux et des graphiques. Lorsque vous ajoutez l’un de ces éléments à une diapositive basée sur ce modèle, l’objet va automatiquement dans le paramètre fictif à la position et la taille spécifiée. Pour définir le paramètre fictif d’un objet : 1 Dans le navigateur du modèle de diapositive, sélectionnez une diapositive (ouvrir le navigateur de modèle de diapositive, cliquer sur Afficher dans la barre d’outils et choisir Montrer les modèles de diapositives). 2 Ouvrez l’inspecteur des modèles de diapositive et cliquez sur Apparence. 3 Sélectionnez le paramètre fictif de l’objet. 4 Positionnez et redimensionnez le paramètre fictif. Création d’éléments d’arrière-plan sur des modèles de diapositives Vous pouvez faire en sorte qu’un élément (par exemple le logo d’une société, ou un autre graphisme, texte ou couleur) apparaisse sur chacune des diapositives basées sur un modèle en particulier. Cette technique permet notamment de créer des groupes de diapositives associées à l’intérieur d’une présentation. Vous pourriez, par exemple, ménager une légère différence dans l’arrière-plan de chaque groupe de diapositives. Vous devez pour ce faire créer un groupe de modèles doté des différents arrière-plans choisis. Pour modifier l’arrière-plan d’un modèle de diapositives : 1 Sélectionnez le modèle de diapositive à utiliser. 2 Sélectionnez les éléments qui ne vous intéressent pas et appuyez sur la touche Suppr. 3 Si vous souhaitez définir un objet (figure, image, fichier son ou séquence vidéo, tableau ou graphique) comme élément d’arrière-plan, ajoutez-le au modèle de diapositive puis ajustez sa taille et positionnez-le sur la diapositive. Une fois que vous avez placé un objet, vous pouvez sélectionner Disposition > Verrouiller afin d’empêcher qu’il ne soit déplacé par inadvertance pendant que vous travaillez. 4 Pour autoriser l’entrelacement des objets modèles avec des objets insérés dans des diapositives basées sur ce modèle, ouvrez l’inspecteur des modèles de diapositive, cliquez sur Apparence et sélectionnez « Autoriser la superposition des objets ». Pour en savoir plus sur l’application de couches aux objets, reportez-vous à la rubrique « Déplacement d’objets vers l’avant ou vers l’arrière (disposition en couches) » à la page 98. 5 Pour remplir l’arrière-plan de la diapositive avec une couleur ou pour y insérer une image, utilisez les contrôles d’arrière-plan dans la sous-fenêtre Apparence de l’inspecteur des modèles de diapositive. Les arrière-plans multiples en couches sont couramment utilisés dans le cas des graphismes à canal alpha (images avec transparence) ; vous pouvez ajouter des objets à une diapositive et les organiser en couche afin qu’ils s’affichent à travers une partie de l’image d’arrière-plan. Ajout de guides d’alignement à des modèles de diapositives Vous pouvez créer des guides d’alignement afin de vous aider à insérer votre texte et vos graphismes de manière harmonieuse sur chaque diapositive. Les guides d’alignement créés dans un modèle de diapositive sont disponibles lorsque vous insérez des objets sur n’importe quelle diapositive utilisant ce modèle. Pour créer des guides d’alignement dans un modèle de diapositives : 1 Sélectionnez le modèle de diapositive auquel vous désirez ajouter des guides d’alignement. 2 Cliquez sur Affichage dans la barre d’outils, puis choisissez Afficher les règles. 3 Placez le pointeur sur une règle et faites glisser un guide d’alignement vers n’importe quel endroit du modèle de diapositive. 268 Chapitre 12 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisésChapitre 12 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 269 Pour placer un guide horizontal, faites-le glisser depuis la règle située en haut de la diapositive. Pour placer un guide vertical, faites-le glisser depuis la règle située à gauche. Vous pouvez également tourner les grilles qui affichent les modèles de diapositives et apparaissent dynamiquement sur les diapositives. Pour en savoir plus, consultez « Utilisation d’un quadrillage principal » à la page 101. Définition des attributs par défaut des textes et des objets Vous pouvez définir des attributs par défaut pour le texte et les objets Par exemple, vous pouvez configurer Keynote pour qu’à chaque fois que vous cliquez sur Tableau dans la barre d’outils, le tableau par défaut soit inséré et mis en forme avec le nombre de rangs et de colonnes, la police d’en-tête et de corps de texte et les couleurs de bordure que vous avez prédéfinis. Pour modifier les attributs par défaut d’un élément, créez l’élément avec les attributs souhaités, puis définissez l’élément pour un modèle spécifique ou pour tous les modèles dans le thème. Si vous définissez l’élément pour un modèle, les valeurs par défaut s’appliquent aux nouveaux éléments sur les diapositives basées sur ce modèle. Si vous définissez l’élément pour tous les modèles, chaque nouvel élément dans le document utilise les valeurs par défaut. Définition des attributs par défaut des zones de texte et des figures Vous pouvez définir les attributs par défaut des nouvelles zones de texte et figures. Pour définir les attributs par défaut des zones de texte et des figures : 1 Créez une nouvelle diapositive dans le navigateur de diapositive. 2 Lorsque vous configurez des attributs par défaut pour un modèle de diapositive en particulier (et non pour tous les modèles correspondant au thème actuel), cliquez sur Modèles dans la barre d’outils et choisissez le modèle de diapositive. 3 Pour définir une zone de texte par défaut, cliquez sur Zone de Texte dans la barre d’outils puis mettez en forme le paramètre fictif de texte. Consultez « Création de texte encadré » à la page 55 pour en savoir plus. 4 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour que la zone de texte définie soit celle par défaut uniquement pour le modèle de diapositive actuel, sélectionnez Format > Avancé Définir un texte pour le modèle actuel.  Pour que la zone de texte soit celle par défaut de tous les modèles de diapositive du thème actuel, sélectionnez Format > Avancé Définir un texte pour tous les modèles.5 Pour définir une figure par défaut, insérez-la et configurez ensuite ses attributs. Pour obtenir des instructions, reportez-vous aux rubriques « de la modification de la taille, de l’orientation, du contour d’un objet, etc. » à la page 104 et « Remplir un objet avec une couleur unie » à la page 110. 6 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour que la forme définie soit celle par défaut uniquement pour le modèle de diapositive actuel, sélectionnez Format > Avancé Définir une forme pour le modèle actuel.  Pour que la forme soit celle par défaut de tous les modèles de diapositive du thème actuel, sélectionnez Format > Avancé Définir une forme pour tous les modèles. 7 Si vous ne souhaitez pas que l’objet par défaut figure sur la diapositive, supprimez-le. Définition des attributs par défaut des images importées Vous pouvez définir des attributs par défaut (notamment ombre, reflet, opacité et couleur du trait de bordure), afin qu’ils s’appliquent automatiquement à toutes les images que vous insérez dans votre diaporama. Pour définir les attributs par défaut des images : 1 Créez une nouvelle diapositive dans le navigateur de diapositive. 2 Si vous voulez configurer des attributs par défaut pour un modèle de diapositive en particulier (et non pour tous les modèles utilisant le thème actuel), cliquez sur Modèles dans la barre d’outils et choisissez le modèle de diapositive. 3 Positionnez une image sur la diapositive et définissez ses attributs par défaut. Reportez-vous aux rubriques suivantes, pour plus d’instructions :  « Sélection de plusieurs objets » à la page 96  « Ajout d’ombres » à la page 108  « Ajustement de l’opacité » à la page 109  « Modification du style des bordures » à la page 106 4 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour que l’image définie soit celle par défaut uniquement pour le modèle de diapositive actuel, sélectionnez Format > Avancé Définir une image pour le modèle actuel.  Pour que l’image soit celle par défaut de tous les modèles de diapositive du thème actuel, sélectionnez Format > Avancé Définir une image pour tous les modèles. 5 Si vous ne souhaitez pas que l’image apparaisse sur la diapositive, supprimez-la. Définition des attributs par défaut des tableaux Vous pouvez définir des attributs de tableau comme le nombre de rangs et de colonnes, les styles et couleurs de ligne, les styles de texte et les ombres. 270 Chapitre 12 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisésChapitre 12 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 271 Important : Un tableau est constitué de quatre zones de mise en forme distinctes : un en-tête de rang, un en-tête de colonne, des bordures internes et des bordures externes. Pour définir les attributs du tableau par défaut, vous devez appliquer chaque attribut à l’ensemble d’une zone de mise en forme. Par exemple, pour définir la mise en forme par défaut d’un rang d’en-tête, vous devez modifier la mise en forme de toutes les cellules qu’il contient (et non d’une seule cellule d’en-tête). Pour définir les attributs par défaut des tableaux : 1 Créez une nouvelle diapositive dans le navigateur de diapositive. 2 Si vous configurez des attributs par défaut pour un modèle de diapositive en particulier (et non pour tous les modèles correspondant au thème actuel), cliquez sur Modèles dans la barre d’outils et choisissez le modèle de diapositive. 3 Positionnez un tableau sur la diapositive. La section « Ajout d’un tableau » à la page 178 indique comment. 4 Sélectionnez le tableau et définissez ses attributs. Reportez-vous à la rubrique « Redimensionnement d’un tableau » à la page 182 si vous désirez modifier les dimensions du tableau. Consultez la rubrique « À propos de la personnalisation des dispositions des modèles de diapositives » à la page 266 pour obtenir plus d’informations sur la manière d’ajouter et de supprimer des colonnes et des rangs, de créer des rangs et des colonnes d’en-tête, de diviser, de fusionner et de redimensionner des cellules et de formater leurs bordures. Pour ajouter des graphismes au tableau, consultez la rubrique « Remplissage de cellules d’un tableau avec des couleurs ou des images » à la page 195. Reportez-vous aux rubriques« À propos de la personnalisation de l’aspect et de la disposition des tableaux » à la page 188et« Mise en forme des valeurs des cellules en vue de l’affichage » à la page 201 pour en savoir plus sur les options concernant la mise en forme d’affichage des valeurs de cellules. 5 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour que le tableau défini soit celui par défaut uniquement pour le modèle de diapositive actuel, sélectionnez Format > Avancé > « Définir un tableau pour le modèle actuel ».  Pour que le tableau soit celui par défaut de tous les modèles de diapositives du thème actuel, sélectionnez Format > Avancé > « Définir un tableau pour tous les modèles ». 6 Si vous ne souhaitez pas que le tableau apparaisse sur la diapositive, supprimez-le.Définition d’attributs par défaut pour les graphiques Vous pouvez définir l’apparence par défaut de chaque type de graphique (la façon dont il s’affiche lorsque vous ajoutez le graphique pour la première fois sur le canevas de diapositive). Les attributs par défaut doivent être définis séparément pour chaque type de graphique. Pour définir le style et la position par défaut des graphiques : 1 Créez une nouvelle diapositive dans le navigateur de diapositive. 2 Si vous configurez des attributs par défaut pour un modèle de diapositive en particulier (et non pour toutes les diapositives correspondant au thème actuel), cliquez sur Modèles dans la barre d’outils et choisissez le modèle de diapositive. 3 Positionnez un graphique sur la diapositive. Consultez la rubrique « Ajout d’un nouveau graphique et saisie de données » à la page 154 pour plus d’instructions. 4 Sélectionnez le graphique, puis définissez ses attributs. Reportez-vous à la rubrique « Changement du type de graphique » à la page 156 pour savoir comment modifier un type de graphique. Pour savoir comment redimensionner un graphique, le faire pivoter et définir d’autres attributs que les graphiques ont en commun, consultez la rubrique « Formatage des graphiques » à la page 158. Pour savoir comment personnaliser les attributs des graphiques sectoriels, des graphiques à barres et des autres types de graphique, reportez-vous aux rubriques spécifiques à chaque type de graphique. 5 Répétez les étapes 3 et 4 pour chaque type de graphique auquel vous souhaitez attribuer des valeurs par défaut. 6 Pour chaque graphique, effectuez l’une des opérations suivantes après l’avoir sélectionné :  Pour définir les réglages par défaut du type de graphique actuel uniquement pour le modèle de diapositive en cours, sélectionnez Format > Avancé > « Définir type de graphique pour le modèle en cours ».  Pour définir les réglages par défaut du type de graphique actuel pour tous les modèles de diapositives du thème actuel, choisissez Format > Avancé > « Définir type de graphique pour tous les modèles ». 7 Si vous ne souhaitez pas que les graphiques apparaissent sur la diapositive, supprimezles. Définition des transitions par défaut Vous pouvez préciser un style de transition par défaut pour un modèle de diapositives afin que toutes les diapositives basés sur celui-ci utilisent automatiquement le style spécifié pour passer à la diapo suivante. 272 Chapitre 12 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisésChapitre 12 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 273 Pour choisir le style de transition par défaut d’un modèle de diapositives : 1 Cliquez sur Affichage dans la barre d’outils et choisissez Afficher les modèles de diapositive. 2 Dans le navigateur, sélectionnez un modèle de diapositive. 3 Dans la sous-fenêtre Transition de l’inspecteur des modèles de diapositive, définissez la transition. Pour en savoir plus, consultez « Ajout de transitions entre les diapositives » à la page 125. Création de versions sur les modèles de diapositives Vous pouvez ajouter des compositions d’objet à un modèle de diapositive afin que les effets de composition apparaissent sur chaque diapositive reposant sur ce modèle. Par exemple, si vous prévoyez de créer un certain nombre de diapositives avec du texte à puces, et que vous souhaitez que chacune d’entre elle inclue une composition entrante puce par puce, créez un modèle de diapositives avec les effets de composition souhaités et utilisez ensuite le modèle pour créer les autres diapositives. Pour créer une composition sur un modèle de diapositives : 1 Cliquez sur Affichage dans la barre d’outils et choisissez Afficher les modèles de diapositive. 2 Dans le navigateur, sélectionnez un modèle de diapositive. 3 Définissez des compositions en suivant les instructions de la rubrique « Utilisation d’effets de composition pour faire apparaître ou disparaître des objets sur des diapositives » à la page 129. À propos des thèmes personnalisés Si vous modifiez les modèles de diapositives d’un thème et que souhaitez réutiliser ces modifications dans d’autres diaporamas, vous pouvez enregistrer le thème modifié en tant que thème personnalisé. Une fois votre thème personnalisé enregistré, il apparaît dans le Sélecteur de thèmes. Lorsque vous sélectionnez votre thème personnalisé, il contient également tous les modèles de diapositive que vous avez définis. Enregistrement de thèmes personnalisés Créez un nouveau thème contenant toutes les modifications de modèle de diapositives que vous avez effectuées sur le thème actuel. Pour enregistrer le thème actuel en tant que thème personnalisé : 1 Choisissez Fichier > Enregistrer le thème. 2 Attribuez un nom à votre thème.3 Si vous avez ajouté du son ou des séquences que vous désirez inclure au thème, sélectionnez « Copier l’audio et la vidéo dans le thème ». Si vous ne trouvez pas cette case à cocher, cliquez sur le triangle d’affichage à droite du champ Enregistrer sous. Le document devient beaucoup plus volumineux lorsque vous y ajoutez des fichiers média. 4 Cliquez sur Enregistrer. À moins que vous ne spécifiiez un autre emplacement, les thèmes personnalisés sont enregistrés dans le dossier Thèmes de votre disque dur ([départ]/Bibliothèque/ Application Support/iWork/Keynote/Thèmes). Seuls les thèmes de ce dossier apparaissent dans le Sélecteur de thèmes. Si vous conservez votre thème à un autre emplacement, vous pouvez toujours l’ouvrir (à partir du Finder) et l’utiliser pour créer un diaporama. Création d’un thème à partir de zéro Si vous désirez créer un thème entièrement nouveau qui ne soit pas basé sur un thème Keynote existant, le plus facile est d’ouvrir un nouveau document Keynote et de supprimer tous les modèles de diapositives qu’il contient en ne conservant qu’une diapositive vierge. Pour supprimer un modèle de diapositives, sélectionnez-le dans le navigateur et choisissez Édition > Supprimer ou appuyez sur la touche Suppr. Voici quelques conseils pour la création du nouveau thème : m Avant de créer des modèles de diapositive, configurez l’ensemble des attributs de texte et d’arrière-plan. m À l’aide d’une diapositive échantillon, testez vos dispositions de texte afin de vous assurer qu’elles fonctionnent correctement avec un texte de plusieurs lignes. Lorsque vous configurez la taille et le positionnement d’une zone de corps de texte, réfléchissez au nombre de puces que vous désirez y insérer. m Dupliquez le modèle de diapositive original pour créer plusieurs dispositions de texte. Les attributs originaux de texte et d’arrière-plan s’appliquent automatiquement aux nouveaux modèles réalisés à partir des copies. Il vous suffira ensuite d’ajuster les dispositions des zones de texte (vous pourrez par exemple supprimer la zone de titre et agrandir la zone de corps de texte afin de créer un modèle de diapositive « pur corps de texte »). 274 Chapitre 12 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisésChapitre 12 Conception de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 275 m Créez dans le navigateur de diapositives des diapositives échantillons à partir de chaque modèle que vous créez et insérez des zones de texte libres, des formes, des tableaux et des images dans chacune d’entre elles si vous souhaitez que les attributs d’objet par défaut soient différents dans les divers modèles de diapositive. Si vous voulez configurer les mêmes attributs d’objet par défaut pour tous les modèles, vous n’aurez besoin de procéder ainsi que pour un seul modèle de diapositive. m Créez dans le navigateur une série de diapositives échantillons basées sur chacun de vos modèles. Créez un graphique dans une diapositive, puis copiez-le et collez-le dans chaque diapositive. Ensuite, convertissez chaque graphique en un type de graphique différent et définissez sa taille et sa position. Réalisez cette étape avant de définir des styles de graphique par défaut dans Format > Avancé. Retour aux attributs de thème originaux Si vous modifiez des modèles de diapositives dans un document et que vous souhaitez ensuite revenir aux valeurs par défaut du thème original, vous pouvez appliquer de nouveau le thème à votre document ou à des diapositives spécifiques. Pour revenir au thème par défaut : 1 Si vous désirez restaurer les valeurs par défaut uniquement sur certaines diapositives, sélectionnez-les dans le navigateur (en appuyant sur la touche Commande pour en sélectionner plusieurs). 2 Choisissez Fichier > Sélectionner un thème. 3 Dans le Sélecteur de thèmes, sélectionnez le thème original ainsi que la taille de présentation. 4 Assurez-vous que "Appliquer les modifications aux thèmes par défaut" n’est pas sélectionné. 5 Choisissez Toutes les diapos ou Diapos sélectionnées dans le menu local Appliquer sur. 6 Cliquez sur Choisir. Keynote 3 Guide de l’utilisateurK Apple Computer, Inc. © 2006 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Ce manuel est soumis aux lois sur le droit d’auteur et ne peut être copié, totalement ou partiellement, sans le consentement écrit d’Apple. Vos droits concernant le logiciel sont régis par le contrat de licence qui l’accompagne. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer, Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation du logo Apple via le clavier (Option + 1) pour des motifs commerciaux sans l’autorisation écrite préalable d’Apple peut constituer une violation du droit des marques et une concurrence déloyale en violation des lois fédérales et nationales. Tous les efforts ont été déployés afin de garantir l’exactitude des informations de ce manuel. Apple n’est pas responsable des erreurs d’impression ou de rédaction. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AppleWorks, iBook, iDVD, iLife, iPhoto, iTunes, Mac et QuickTime sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, iWork, Keynote, Pages et Safari sont des marques d’Apple Computer Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Computer, Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. Adobe et Acrobat sont des marques ou des marques déposées d’Adobe Systems Incorporated, aux États-Unis et/ou dans d’autres pays. Les autres noms de sociétés et de produits mentionnés dans ce document sont des marques de leurs proprié- taires respectifs. La mention de produits tiers est indiquée à titre informatif exclusivement et ne constitue ni une approbation, ni une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité quant aux performances ou à l’utilisation de ces produits. F019-0529 01/20063 Table des matières 7 Préface : Bienvenue dans Keynote 7 Vue d’ensemble des fonctionnalités de Keynote 16 Nouveautés de Keynote 3 19 Utilisation des menus 19 Pour en savoir plus 21 Chapitre 1 : Vue d’ensemble de Keynote 21 La fenêtre de Keynote 22 Le canevas 23 Différents modes d’affichage 29 Le champ de notes 29 Commentaires 31 Outils Keynote 35 Chapitre 2 : Création d’une présentation 35 Étape 1 : Sélectionnez un thème 37 Étape 2 : Créez vos diapositives 44 Étape 3 : Classez vos diapositives 45 Étape 4 : Enregistrez votre diaporama 47 Étape 5 : Lecture de votre diaporama 49 Chapitre 3 : Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 49 Modification de texte et de propriétés de texte 58 Utilisation de graphismes 68 Redimensionnement, déplacement et superposition d’objets 74 Ajout d’audio et d’autres médias 80 Ajout de pages Web et de liens4 Table des matières 84 Modification des dispositions 85 Modification de l’arrière-plan de la diapositive 87 Maintien ou annulation des modifications apportées au style 89 Chapitre 4 : Modification des propriétés des objets 89 Utilisation de remplissages couleurs et image 94 Modification du style et de la couleur des bordures 95 Position des lignes 95 Ajout d’ombres 97 Ajustage de l’opacité 98 Réglage des images 99 Modification de l’orientation d’un objet 101 Modification de la taille et de l’emplacement d’un objet 103 Chapitre 5 : Création de tableaux 103 Ajout d’un tableau 105 Utilisation des cellules et des bordures d’un tableau 108 Saisie et modification de contenu dans les cellules d’un tableau 109 Mise en forme de tableaux 116 Ajout d’images ou de couleurs d’arrière-plan 117 Mise en forme des nombres 119 Classement de cellules 121 Remplissage automatique 122 Utilisation des formules 137 Chapitre 6 : Création de graphiques 137 À propos des graphiques 141 Ajout d’un graphique 143 Modification de données dans un graphique 145 Mise en forme de graphiques 159 Chapitre 7 : Transitions de diapositive et compositions d’objet 159 Ajout de transitions entre les diapositivesTable des matières 5 161 Création de compositions d’objet 163 Utilisation des compositions d’objets 169 Création de compositions sur des modèles de diapositives 171 Chapitre 8 : Affichage, impression et exportation de votre diaporama 171 Personnalisation d’une présentation pour votre public 174 Affichage des présentations plein écran 178 Recherche de présentations avec des mots-clés 178 Réglage des options de présentation 183 Impression de vos diapositives 185 Exportation dans d’autres formats de visualisation 193 Chapitre 9 : Conception de vos propres thèmes et modèles de diapo 194 Modification de la disposition et de l’arrière-plan des modèles de diapositive 200 Modification des styles par défaut du texte et des objets 202 Enregistrement des thèmes personnalisés 203 Création d’un thème personnalisé 205 Index7 Préface Bienvenue dans Keynote Avec Keynote, les présentations impressionnantes ne sont qu’un début. Cette préface présente les fonctionnalités de Keynote et répertorie les sources d’informations qui permettent d’en savoir plus. Keynote est un programme performant de création de présentations de qualité professionnelle. Des outils puissants et simples vous permettent de réaliser facilement des présentations irréprochables, de créer des story-boards et des portefeuilles de qualité professionnelle, et de composer des diaporamas interactifs. Vous pouvez incorporer des photos, des films ou de la musique issus de vos bibliothèques iLife, ainsi que des clichés obtenus sur le Web via Safari. Exposez vos données à l’aide des graphiques et tableaux intégrés à Keynote. Utilisez les thèmes séduisants et variés livrés avec Keynote ou personnalisez des thèmes pour qu’ils s’adaptent à vos besoins spécifiques. Ajoutez des animations attrayantes au texte et aux tableaux, et enregistrez vos idées grâce aux commentaires. Votre présentation Keynote peut être visionnée de multiples façons. Vous pouvez la regarder sur un ordinateur, la projeter sur un grand écran depuis l’ordinateur ou l’imprimer. Vous pouvez également exporter votre présentation comme un ensemble de fichiers d’images ou au format Flash, QuickTime, PowerPoint, HTML ou PDF afin qu’elle puisse être visionnée sur d’autres plateformes. Pour en savoir plus sur les options d’affichage, consultez le chapitre 8, “Affichage, impression et exportation de votre diaporama”. Vue d’ensemble des fonctionnalités de Keynote Les pages suivantes vous proposent une rapide vue d’ensemble des fonctionnalités de Keynote. Le reste du manuel indique les instructions étape par étape qui permettent d’utiliser Keynote pour créer, revoir et partager vos diaporamas.8 Préface Bienvenue dans Keynote Présentations de qualité professionnelle Keynote comprend une grande diversité de thèmes (y compris HD) que vous pouvez utiliser pour créer rapidement des présentations étonnantes. Chaque thème comprend des couleurs, du texte, des graphismes et des tableaux coordonnés. A tout moment, vous pouvez facilement modifier le thème d’un diaporama et adapter les thèmes pour qu’ils répondent à vos besoins. Vous pouvez même mettre en valeur des parties de votre diaporama en utilisant plusieurs thèmes dans la même présentation.Préface Bienvenue dans Keynote 9 Animations de texte et transitions de diapositives Rendez votre texte plus vivant grâce à des animations de qualité studio. Choisissez parmi une série d’animations de mots et de texte. Animez le texte de façon que les lignes entrent dans la diapositive l’une après l’autre ou en groupes. Ajoutez de l’inté- rêt en utilisant une ou plusieurs colonnes de texte sur une diapositive ou en utilisant des styles spéciaux de puces pour le texte ou les images. Passez d’une diapositive à l’autre avec des effets de transition étonnants tels que le glissement, la goutte d’eau et le reflet.10 Préface Bienvenue dans Keynote Outils d’animation performants Créez rapidement et facilement des animations de diapositives complexes (n’importe quel élément peut être déplacé et animé). Mélangez des graphiques, des tableaux et des graphismes sur la même diapositive. Affinez vos animations en changeant l’ordre d’apparition des éléments ou la façon dont ils entrent ou sortent de la diapositive. Créez des animations sophistiquées (“compositions d’objets”) et des transitions de diapositives. Synchronisez l’entrée et la sortie de divers objets sur une diapositive.Préface Bienvenue dans Keynote 11 Des outils multimédia simples d’emploi Recherchez les éléments que vous avez stockés dans votre bibliothèque iPhoto ou iTunes, ou dans votre dossier Séquences et faites glisser des photos ou des morceaux de musique directement sur une diapositive. Ajoutez des images et ajustez leurs niveaux de luminosité, de contraste, d’exposition, de saturation, de nuances, de netteté et de lumière directement dans Keynote. Sélectionnez l’album où se trouve l’image. Choisissez iPhoto, iTunes ou Séquences. Faites glisser une vignette vers la diapositive ou un cadre d’image dans l’un des inspecteurs. Recherchez un fichier par nom.12 Préface Bienvenue dans Keynote Courbes, figures et masques en format libre ssor et dans Batch Monitor. Création et gestion des modèles Compressor À l’usage de Compressor, vous remarquerez qu’en fonction de la tâche d’encodage que vous configurez, la façon dont sont disposées les différentes fenêtres de Compressor peut jouer sur sa simplicité d’utilisation. Pour vous faciliter la tâche, Compressor permet de configurer et de sauvegarder des modèles. Ils définissent les fenêtres visibles, leur taille, leur position et les icônes présentes dans la barre d’outils de la fenêtre Lot. Compressor propose deux modèles que vous pouvez utiliser comme point de départ à la création de vos propres modèles. Remarque : chaque modèle existe en plusieurs tailles, ce qui vous permet de choisir celle qui convient le mieux à votre moniteur. Vous pouvez modifier n’importe lequel de ces modèles et les sauvegarder comme modèles personnalisés. Modèle standard Dans le modèle standard, toutes les fenêtres de Compressor sont affichées et les onglets Réglages et Destinations partagent la même fenêtre. Ce modèle est optimisé pour le transcodage d’un seul fichier multimédia source.46 Chapitre 3 Interface de Compressor Modèle Lot Ce modèle met l’accent sur la fenêtre Lot. Il est optimisé pour le transcodage de plusieurs fichiers multimédia source similaires. Choix, enregistrement et gestion des modèles Compressor vous permet de choisir aisément un modèle. Pour choisir un modèle : m Choisissez Fenêtre > Modèles, puis sélectionnez un modèle dans la liste affichée. Une que vous avez choisi votre modèle, l’interface de Compressor change pour refléter ce choix. Vous pouvez également créer et enregistrer vos propres modèles. Pour enregistrer un modèle : 1 Configurez l’interface de Compressor comme vous souhaitez qu’elle soit enregistrée. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des fenêtres de Compressor » à la page 48 pour de plus amples informations sur la manière de travailler avec les différentes fenêtres. 2 Sélectionnez Fenêtre > Enregistrer comme modèle. 3 Dans la zone de dialogue qui apparaît, saisissez un nom pour le modèle et cliquez sur Enregistrer. Le modèle est enregistré et apparaît dans la liste Fenêtre > Modèles. Vous pouvez organiser la liste des modèles en supprimant ou en renommant des modèles existants. Chapitre 3 Interface de Compressor 47 Pour organiser vos modèles : 1 Choisissez Fenêtre > Organiser les modèles. La zone de dialogue d’organisation des modèles est alors affichée. 2 Pour renommer un modèle, double-cliquez dessus et saisissez un nouveau nom. 3 Pour supprimer un modèle, sélectionnez-le, puis cliquez sur le bouton de suppression ( – ). 4 Pour enregistrer la configuration de l’interface comme nouveau modèle, cliquez sur le bouton d’ajout ( + ) et saisissez un nom pour le modèle. 5 Pour choisir un modèle et l’appliquer à l’interface de Compressor, sélectionnez-le, puis cliquez sur le bouton Appliquer. La fenêtre d’organisation se ferme et l’interface de Compressor est modifiée pour reflé- ter le modèle sélectionné. 6 Cliquez sur Terminé lorsque vous avez fini d’organiser vos modèles. La liste des modè- les est divisée en deux parties : les modèles fournis par Apple et ceux que vous avez créés. Les modèles que vous avez créés sont rangés par ordre alphabétique. Pensez-y lorsque vous donnez un nom à un modèle afin de pouvoir le retrouver facilement. À propos des fichiers de modèle Si vous disposez de plusieurs stations de travail utilisant Compressor, il est conseillé d’avoir les mêmes modèles sur l’ensemble des ordinateurs. Pour cela, vous pouvez copier les fichiers de modèle d’un système à l’autre, en prenant garde de les placer dans l’emplacement adéquat. Les modèles sont stockés dans l’emplacement suivant : Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/Compressor/Layouts. Tous les modèles ont la même extension « .moduleLayout ». Important : n’ajoutez ou ne retirez jamais de fichiers de modèle manuellement tant que Compressor est ouvert. Compressor vérifie les modèles disponibles dans cet emplacement lors de son processus de démarrage. Vous devez donc redémarrer Compressor pour qu’il reconnaisse les modifications effectuées sur ces fichiers.48 Chapitre 3 Interface de Compressor Utilisation des fenêtres de Compressor Bien que les modèles Standard et Lot présentent l’interface de Compressor comme un seul grand élément, cette interface est en fait composée de plusieurs fenêtres que vous pouvez repositionner ou redimensionner suivant vos besoins. Pourquoi certaines fenêtres sont-elles cachées ? L’interface de Compressor étant composée de plusieurs fenêtres indépendantes, lorsque vous passez de Compressor à une autre application, puis que vous cliquez de nouveau sur une fenêtre de Compressor, seule cette dernière s’affiche et les autres restent cachées par les fenêtres ouvertes d’autres applications. Il y a trois façons d’éviter cette situation ou de faire apparaître toutes les fenêtres :  Lorsque vous passez d’une application à l’autre, utilisez la fonctionnalité de basculement intégrée à Mac OS X. Appuyez sur la touche de tabulation en maintenant la touche Commande enfoncée pour faire apparaître une zone de dialogue de sélection d’applications. Tant que vous maintenez la touche Commande enfoncée, vous pouvez appuyer sur la touche de tabulation pour parcourir les différentes applications en cours d’exécution, puis relâcher la touche Commande lorsque vous avez sélectionné l’icône de Compressor. Cela permet de s’assurer que toutes les fenêtres de Compressor sont visibles.  Choisissez Fenêtre > Tout ramener au premier plan.  Cliquez sur l’icône de l’application Compressor dans le Dock. Redimensionnement des fenêtres de Compressor Vous pouvez redimensionner toutes les fenêtres de Compressor à l’exception de celle de l’Inspecteur qui a une taille fixe. Chaque fenêtre possède une taille minimum, horizontalement ou verticalement, qui influence le redimensionnement. Pour redimensionner une fenêtre : m Faites glisser le coin inférieur droit de la fenêtre pour l’agrandir ou la réduire horizontalement ou verticalement. Faites glisser ce coin pour redimensionner la fenêtre.Chapitre 3 Interface de Compressor 49 Remarque : lorsque vous repositionnez une fenêtre ou que vous la redimensionnez, elle se colle à la fenêtre la plus proche. Cela permet d’avoir une présentation de fenê- tres nette, sans interstices ni chevauchements. À propos des onglets La fenêtre Lot et la fenêtre des onglets Réglages et Destinations peuvent comporter plusieurs onglets.  La fenêtre Lot : lorsque vous travaillez sur grand écran et que plusieurs lots sont ouverts, il est parfois utile d’afficher chacun d’eux dans sa propre fenêtre.  Les onglets Réglages et Destinations : par défaut, les onglets Réglages et Destinations se trouvent dans la même fenêtre. Vous pouvez néanmoins choisir de leur attribuer une fenêtre chacun ou de fermer l’un de ces onglets. Vous pouvez même y ajouter n’importe quelle autre fenêtre (à l’exception de la fenêtre Lot) sous forme d’onglet supplémentaire. Dans tous les cas, vous avez la possibilité de contrôler l’ordre des onglets. Pour placer un onglet dans sa propre fenêtre par glissement : 1 Faites glisser l’onglet hors de son emplacement actuel.50 Chapitre 3 Interface de Compressor 2 Relâchez l’onglet pour le faire apparaître dans sa propre fenêtre. Pour placer un onglet dans sa propre fenêtre à l’aide du menu contextuel : m Cliquez sur l’onglet tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et sélectionnez Extraire l’onglet dans le menu contextuel. Il s’ouvre alors dans sa propre fenêtre. Pour ajouter un onglet d’une fenêtre à une autre par glissement : 1 Faites glisser l’onglet dans la zone d’onglet de la fenêtre à laquelle vous voulez l’ajouter. La zone d’onglet apparaît alors en surbrillance.Chapitre 3 Interface de Compressor 51 2 Relâchez l’onglet. Il se place automatiquement dans la zone d’onglet et sa fenêtre d’origine se referme. Pour ajouter un onglet d’une fenêtre à une autre à l’aide du menu contextuel : m Cliquez sur la zone d’onglet tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée à l’endroit où vous voulez voir apparaître la fenêtre et choisissez l’onglet dans la liste proposée par le menu contextuel. Remarque : c’est la seule méthode qui permette d’ajouter les onglets Historique, Preview ou Inspecteur à la fenêtre. Pour modifier l’ordre des onglets dans leur fenêtre actuelle : m Faites glisser l’onglet vers la gauche ou la droite suivant l’emplacement souhaité. Les autres onglets sont déplacés pour lui laisser une place. Lorsque vous avez configuré l’interface de Compressor selon vos besoins, vous pouvez l’enregistrer en tant que modèle. Cela vous permet de facilement restaurer un modèle ou de passer de l’un à l’autre. Consultez la section « Création et gestion des modèles Compressor » à la page 45 pour plus d’informations. Fenêtre Lot Quand vous ouvrez Compressor pour la première fois, la fenêtre Lot apparaît. Cette dernière vous permet d’importer des fichiers média source à compresser, d’ajouter des réglages et des destinations, de nommer le lot et de choisir le dossier dans lequel vous souhaitez l’enregistrer. C’est là que vous devez placer vos fichiers multimédia sources en préparation du transcodage. Remarque : en général, la fenêtre Lot est toujours visible. Si vous la fermez, elle s’ouvre de nouveau lorsque vous créez un nouveau lot (Fichier > Nouveau lot) ou que vous ouvrez un lot existant (Fichier > Ouvrir).52 Chapitre 3 Interface de Compressor Vous pouvez utiliser la barre de menus de Compressor ou la barre d’outils située en haut de la fenêtre Lot pour ouvrir toutes les autres fenêtres. Si la barre d’outils n’est pas visible lorsque vous ouvrez Compressor, cliquez sur le bouton dans l’angle supérieur droit de la fenêtre Lot afin de l’ouvrir. En plus de la barre d’outils Compressor et du bouton Soumettre, la fenêtre Lot comprend des onglets représentant les lots ouverts et une zone permettant d’afficher et de configurer les tâches d’un lot. Pour plus d’informations sur l’ajout de fichiers multimédia sources à un lot, consultez la section « Ajout de fichiers multimédia sources à un lot pour créer des tâches » à la page 79. Pour savoir comment utiliser les tâches et les cibles, reportez-vous au chapitre 6, « Finalisation de tâches et soumission de lots », à la page 109. Personnalisation de la barre d’outils La fenêtre Lot contient une barre d’outils que vous pouvez personnaliser pour répondre au mieux à vos besoins. Remarque : si la barre d’outils n’est pas visible lorsque vous ouvrez Compressor, cliquez sur le bouton dans l’angle supérieur droit de la fenêtre Lot afin de l’ouvrir. Zone Tâche Barre d’outils Onglets Lot État du lot Bouton de soumission de lot Bouton « Afficher/Masquer la barre d’outils »Chapitre 3 Interface de Compressor 53 Pour personnaliser la barre d’outils de la fenêtre Lot : 1 Utilisez l’une des étapes suivantes pour ouvrir la palette de personnalisation de la barre d’outils :  Choisissez Présentation > Personnaliser la barre d’outils.  Cliquez dans la barre d’outils tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez « Personnaliser la barre d’outils » dans le menu contextuel.  Cliquez sur l’icône « Personnaliser la barre d’outils » (si elle est présente). La palette de la barre d’outils s’ouvre. 2 Pour supprimer des éléments de la barre d’outils, faites-les glisser hors de cette dernière. 3 Pour ajouter des éléments, faites-les glisser de la palette vers la barre d’outils en les plaçant à l’endroit souhaité. 4 Pour réorganiser les éléments de la barre d’outils, faites-les glisser de leur emplacement actuel vers la position souhaitée. 5 Pour restaurer la barre d’outils par défaut, faites glisser l’ensemble d’outils par défaut (situé en bas de la palette) dans la barre d’outils. 6 Pour configurer la façon dont les éléments sont affichés dans la barre d’outils, choisissez un réglage dans le menu local Afficher. Vous pouvez choisir d’afficher l’icône et le texte, uniquement l’icône ou uniquement le texte. 7 Cliquez sur Terminé lorsque vous avez fini.54 Chapitre 3 Interface de Compressor Remarque : la configuration de la barre d’outils est enregistrée comme élément d’un modèle. Consultez la section « Création et gestion des modèles Compressor » à la page 45 pour de plus amples informations sur les modèles. À propos des éléments de la barre d’outils La plupart des éléments ne peuvent être ajoutés qu’une seule fois à la barre d’outils. Certains, comme le séparateur, l’espace ou l’espace flexible peuvent être ajoutés plusieurs fois.  Nouveau lot : crée un nouveau lot sans nom.  Lot ouvert : ouvre une zone de dialogue permettant de localiser et de sélectionner un lot enregistré pour l’ouvrir.  Fermer : ferme le lot sélectionné. Remarque : vous ne pouvez pas fermer un lot s’il est le seul ouvert.  Ajouter un fichier : ouvre une zone de dialogue permettant de localiser et de sélectionner un ou plusieurs fichiers multimédia sources à importer dans le lot actuel.  Ajouter un son Surround : ouvre la zone de dialogue d’affectation de fichier audio permettant d’affecter manuellement des fichiers à chaque canal audio d’une configuration Surround.  Soumettre avec les réglages précédents : soumet le lot en utilisant les réglages utilisés lors des dernières soumissions de lot, sans ouvrir la zone de dialogue de soumission.  Historique : ouvre la fenêtre Historique.  Inspecteur : ouvre la fenêtre Inspecteur.  Réglages : ouvre l’onglet Réglages.  Destinations : ouvre l’onglet Destinations.  Aperçu : ouvre la fenêtre Preview.  Batch Monitor : ouvre l’application Batch Monitor.  Séparateur : ajoute une ligne verticale à la barre d’outils permettant ainsi de regrouper divers éléments.  Espace : ajoute un espace à largeur fixe à la barre d’outils.  Espace ajustable : ajoute un espace à largeur flexible à la barre d’outils. Cet espace permet de forcer le placement d’éléments sur les bords gauche et droit de la barre d’outils en agrandissant cette dernière de façon à remplir les zones inutilisées.  Personnaliser : ouvre la palette de personnalisation de la barre d’outils.Chapitre 3 Interface de Compressor 55 Il est possible d’ajouter plus d’éléments à la barre d’outils qu’elle ne peut en contenir. Lorsque cela arrive, une double flèche, sur laquelle vous pouvez cliquer pour accéder aux icônes non affichées, apparaît sur le bord droit de la barre. Onglet Réglages L’onglet Réglages permet de gérer de manière centralisée les réglages Apple et les réglages personnalisés. Utilisez l’onglet Réglages avec la fenêtre Inspecteur pour créer et modifier des réglages, décider exactement des réglages à utiliser pour transcoder votre fichier multimédia source et choisir le format de sortie dans lequel vous voulez convertir le fichier transcodé. Pour ouvrir l’onglet Réglages, effectuez l’une des opérations suivantes : m Sélectionnez Fenêtre > Réglages. m Appuyez sur Commande + 3. m Cliquez sur l’icône Réglages dans la barre d’outils de la fenêtre Lot (si elle s’y trouve). m Cliquez sur l’onglet Réglages (s’il est présent). Cliquez sur cette flè- che pour afficher les éléments qui ne tiennent pas dans la barre d’outils visible.56 Chapitre 3 Interface de Compressor L’onglet Réglages contient la liste des réglages existants et les boutons nécessaires à l’ajout, à la suppression et à la duplication d’un réglage, ainsi qu’à la création de groupes et de droplets. Pour plus de détails sur l’utilisation de l’onglet Réglages pour créer, organiser et choisir des réglages, reportez-vous au chapitre 5, « Création, aperçu et modification des réglages », à la page 93. Onglet Destinations L’onglet Destinations permet de créer, de modifier ou de supprimer vos réglages de destination, de définir une destination par défaut et d’ajouter des identificateurs aux noms de vos fichiers de média de sortie. Pour ouvrir l’onglet Destinations, effectuez l’une des opérations suivantes : m Sélectionnez Fenêtre > Destinations. m Appuyez sur Commande + 4. m Cliquez sur l’icône Destinations dans la barre d’outils de la fenêtre Lot (si elle s’y trouve).Chapitre 3 Interface de Compressor 57  Cliquez sur l’onglet Destinations (s’il s’y trouve). Consultez le chapitre 24, « Création et changement de destinations », à la page 325 pour en savoir plus sur la configuration de destinations afin de simplifier votre flux de production Compressor. Fenêtre Inspecteur La fenêtre Inspecteur permet d’accéder facilement aux commandes de transcodage courantes (pour créer et modifier des réglages et des destinations) et propose un tableau de résumé complet contenant tous les détails de chaque réglage, ainsi que des informations sur les fichiers multimédia sources, y compris les attributs A/V, les données de soustitres codés et autres annotations. Pour ouvrir la fenêtre Inspecteur, effectuez l’une des opérations suivantes : m Sélectionnez Fenêtre > Afficher l’inspecteur. m Appuyez sur Commande + Option + I. m Cliquez sur l’icône Inspecteur dans la barre d’outils de la fenêtre Lot. Remarque : contrairement aux autres fenêtres Compressor, la fenêtre Inspecteur ne peut pas être redimensionnée.58 Chapitre 3 Interface de Compressor À propos des réglages automatiques Plusieurs éléments des sous-fenêtres de réglages proposent un mode automatique facultatif. Lorsque ce mode est activé, Compressor détermine la valeur optimale pour le réglage. De façon générale, lorsque le mode automatique est activé, l’élément correspondant est estompé et ne peut pas être modifié.  Si le réglage n’a pas été affecté à un fichier multimédia source, « Automatique » apparaît à côté de l’élément. La sous-fenêtre « Contrôles d’image » de la fenêtre Inspecteur constitue toutefois une exception, puisque son état reste indéterminé tant que vous n’avez pas appliqué le réglage à un fichier multimédia source.  Si le réglage a été affecté, l’élément reste estompé, mais la valeur utilisée s’affiche. Lorsque le mode automatique est désactivé, son bouton est estompé et vous pouvez choisir des valeurs pour les éléments. Vous pouvez activer le bouton Automatique (le bouton s’obscurcit) ou le désactiver (le bouton s’éclaircit). Le bouton automatique est noir lorsqu’il est activé et l’élément correspondant est estompé. Le bouton automatique est estompé lorsqu’il est désactivé et l’élément correspondant peut alors être sélectionné.Chapitre 3 Interface de Compressor 59 ? Astuce : il peut être intéressant de vérifier dans les Inspecteurs les valeurs des réglages automatiques. Compressor peut généralement déterminer correctement les valeurs appropriées, mais il se peut que dans certains cas le fichier multimédia source ne contienne pas suffisamment d’informations pour cela. Par exemple, certaines séquences QuickTime peuvent ne pas comporter les bonnes métadonnées ou peuvent être incorrectes. De plus, si le fichier multimédia source utilise des réglages non standard (pour les dimensions d’image ou la fréquence d’images), Compressor choisit la valeur standard la plus proche. Fichiers multimédia sources et fenêtre Inspecteur Lorsque vous sélectionnez une tâche de lot, la fenêtre Inspecteur affiche des informations au sujet du fichier multimédia source de la tâche. La fenêtre Inspecteur comprend deux onglets : Attributs A/N et Informations supplémentaires.60 Chapitre 3 Interface de Compressor Attributs A/N L’onglet Attributs A/N contient des informations générales sur le fichier multimédia source et se divise en trois parties.  Informations de fichier : cette partie indique le nom du fichier, son emplacement et son format.  Informations vidéo : cette partie affiche, s’il y a lieu, toutes les informations vidéo du fichier. Cela comprend les dimensions de l’image, la fréquence d’images et les informations de timecode.  Informations audio : cette partie affiche, s’il y a lieu, toutes les informations audio du fichier. Cela comprend la taille d’échantillon et la fréquence d’échantillonnage. Informations supplémentaires L’onglet Informations supplémentaires vous permet de visualiser et de modifier divers éléments de métadonnées ayant pu être ajoutés dans d’autres applications telles que Final Cut Pro, Soundtrack Pro ou QuickTime. Vous pouvez également ajouter des élé- ments de métadonnées au fichier multimédia de sortie. Cela inclut la possibilité d’associer un fichier de sous-titres codés au fichier. Consultez la section « Utilisation de l’Inspecteur avec des fichiers multimédia sources » à la page 87 pour en savoir plus sur la gestion des fichiers de sous-titres codés et des annotations.Chapitre 3 Interface de Compressor 61 À propos des sous-fenêtres Réglages Lorsque vous sélectionnez un réglage dans l’onglet Réglages ou une cible dans une tâche par lot, l’Inspecteur affiche une des six sous-fenêtres. Sous-fenêtre Résumé La sous-fenêtre Résumé contient le tableau Résumé, qui décrit tous les réglages (audio, vidéo, géométrie et filtrage) associés au réglage sélectionné sous l’onglet Réglages. Les informations du tableau Résumé sont automatiquement mises à jour à chaque modification d’un réglage. Le tableau Résumé inclut les renseignements suivants :  Nom : nom du réglage sélectionné sous l’onglet Réglages.  Description : description du réglage sélectionné sous l’onglet Réglages.  Extension de fichier : l’extension attribuée au fichier multimédia transcodé. Cette extension identifie le format dans lequel est converti votre fichier multimédia source.  Taille estimée du fichier : lorsqu’on attribue cette option au fichier multimédia source, elle affiche une estimation de la taille totale du fichier. Si vous ne l’attribuez pas à un fichier multimédia source, elle affiche une estimation de taille par heure de données sources. Remarque : la taille totale estimée du fichier n’est pas disponible pour tous les formats de sortie.62 Chapitre 3 Interface de Compressor  Encodeur audio : indique le format du fichier de sortie audio et d’autres réglages de transcodage, comme la fréquence d’échantillonnage, les canaux, le nombre de bits par échantillon et le type de codec.  Encodeur vidéo : fournit des détails sur le format de fichier de sortie vidéo et d’autres réglages de transcodage tels que la largeur et la hauteur d’image, le rognage (en pixels), la fréquence d’images, les proportions, le type de codec, la profondeur de pixel, la qualité spatiale, la qualité spatiale minimale, l’intervalle entre les images clés, la qualité temporelle, la qualité temporelle minimale et le débit des données (en bits par seconde).  Filtre : détaille le ou les filtres (selon le nombre de filtres sélectionnés dans la sousfenêtre Filtres) sélectionnés parmi ceux disponibles dans Compressor. Sous-fenêtre Encodeur Utilisez la sous-fenêtre Encodeur pour sélectionner et configurer le format du fichier de sortie et les autres réglages. Les options et attributs du format de fichier sont différents pour chaque format.  Format de fichier : utilisez ce menu local pour choisir un format de fichier de sortie. Pour plus d’informations sur les formats de sortie disponibles, consultez la section « Choix d’un format de sortie » à la page 34.Chapitre 3 Interface de Compressor 63  Champ Extension de fichier : les extensions de fichier suivantes apparaissent automatiquement dans ce champ en fonction du format que vous choisissez dans le menu local « Format de fichier », et si les pistes vidéo et audio sont activées. Ne modifiez pas ce champ sans bonne raison, car le fichier pourrait alors ne pas être reconnu.  aiff : représente le format AIFF.  ac3 : représente Dolby Digital Professional.  dv : représente la vidéo au format Digital Video (DV).  mpg : représente le flux MPEG-1 multiplexé (vidéo et audio).  m1v : représente le flux élémentaire vidéo MPEG-1.  m1a : représente le flux élémentaire audio MPEG-1.  m2v : représente le flux vidéo élémentaire MPEG-2.  m2t : représente le flux de transport MPEG-2.  mpeg : représente le flux de programme MPEG-2.  m4v : représente le format H.264 pour appareils Apple.  mp4 : représente le format MPEG-4.  mov : représente le format QuickTime et H.264 pour DVD Studio Pro.  tga : représente le format TARGA.  tiff : représente le format TIFF.  Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation des tâches. Elle n’est importante que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué et avec l’encodage à deux passes ou multipasse. La fonctionnalité de traitement distribué de Compressor est limitée aux ordinateurs sur lesquels est installé Final Cut Studio ou DVD Studio Pro. Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.64 Chapitre 3 Interface de Compressor Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) Si vous choisissez le mode deux passes ou multipasse et que le traitement distribué est activé, vous devrez peut-être faire un choix entre rapidité de traitement et garantie de la meilleure qualité possible. Le système Apple Qmaster de traitement distribué accélère le traitement en distribuant le travail sur plusieurs nœuds de traitement (ordinateurs). L’un des moyens pour y parvenir consiste à diviser la quantité totale d’images d’un travail en segments plus petits. Chacun des ordinateurs de traitement opère alors sur un segment différent. Étant donné que les nœuds fonctionnent en parallèle, le travail est terminé plus vite qu’il ne le serait sur un ordinateur unique. Mais avec l’encodage VBR 2 passes et multipasse, chaque segment est traité de manière individuelle, ainsi l’allocation de débit généré dans la première passe pour n’importe quel segment ne comprend pas d’informations sur les segments traités sur d’autres ordinateurs. Commencez par évaluer la difficulté d’encodage (complexité) de vos données source. Ensuite décidez si vous souhaitez ou non autoriser la segmentation de tâche (à l’aide de la case « Autoriser la segmentation de la tâche » en haut de la sous-fenêtre Encodeur). Si la répartition des zones simples et complexes des données est similaire à travers tout le fichier multimédia source, vous pouvez obtenir la même qualité, que la segmentation soit activée ou non. Dans ce cas, il est utile d’autoriser la segmentation afin de réduire le temps de traitement. Cependant, il se peut qu’un fichier multimédia source présente une distribution inégale des scènes complexes. Par exemple, un programme sportif dans lequel la première heure correspond à l’entraînement, avec des présentateurs relativement statiques, et la deuxième heure correspondant à l’action sportive. Si ces données source sont fractionnées en deux segments, le plan d’allocation de débit du premier segment ne pourra pas « donner » certains de ses bits au deuxième segment, car les segments seront traités sur des ordinateurs distincts. La qualité du métrage d’action plus complexe du second segment en pâtira. Dans ce cas, si votre objectif est de garantir la meilleure qualité possible sur les deux heures de programme, il serait judicieux de ne pas autoriser la segmentation des travaux, en désactivant la case en haut de la sous-fenêtre de l’encodeur. Cela a pour effet de forcer le traitement du travail (et donc l’allocation de débit) sur un ordinateur unique. Remarque : la case « Autoriser la segmentation de la tâche » n’affecte que la segmentation des tâches individuelles (fichiers source). Si vous envoyez des lots avec plusieurs tâches, le système de traitement distribué continue d’accélérer le traitement en distribuant les tâches (non segmentées), même lorsque la segmentation des tâches est désactivée. Pour plus d’informations sur l’encodage à débit variable (VBR), consultez la section « Onglet Qualité » à la page 204. Pour plus d’informations sur le système de traitement distribué Apple Qmaster, consultez le guide Configuration du traitement distribué.Chapitre 3 Interface de Compressor 65 Sous-fenêtre Contrôles d’images Cette sous-fenêtre de l’Inspecteur propose des réglages automatiques et personnalisés pour l’analyse d’image avancée et la resynchronisation d’image. Le redimensionnement d’image peut s’avérer nécessaire lorsque vous transcodez d’un format haute définition tel que le 1080i vers un format de définition standard comme le DV-NTSC. La resynchronisation d’image quant à elle est nécessaire lorsque vous transcodez entre formats vidéo de fréquences d’images différentes comme le NTSC (29,97 images par seconde) et PAL (25 images par seconde). Pour plus d’informations sur la sous-fenêtre Contrôles d’images, consultez la section « À propos de la sousfenêtre Contrôles d’images » à la page 274. Sous-fenêtre Filtres Utilisez la sous-fenêtre Filtres pour ajouter des filtres à votre réglage. Parmi les tâches disponibles, vous pouvez effectuer une correction gamma et supprimer le bruit. 66 Chapitre 3 Interface de Compressor Cochez la case située en regard du filtre que vous souhaitez associer à un réglage donné. Utilisez les curseurs de défilement ou les flèches de contrôle pour ajuster les paramètres de filtrage selon vos besoins. Les filtres sont appliqués au fichier multimédia source en fonction de leur ordre d’organisation dans la liste des filtres. Vous pouvez réorganiser les filtres en les déplaçant vers le bas ou le haut dans la liste. Pour de plus amples informations sur la sous-fenêtre Filtres, consultez la section « À propos de la sous-fenêtre Filtres » à la page 260. Sous-fenêtre Géométrie Vous devez utiliser la sous-fenêtre Géométrie pour rogner et dimensionner le fichier multimédia à compresser et définir ses proportions. La sous-fenêtre Géométrie comporte trois parties :  Cadre de source (rognage) : utilisez n’importe lequel des quatre champs pour saisir le nombre de pixels par lequel vous voulez réduire la taille du fichier multimédia source ou cliquez sur la case « Détecter automatiquement les réglages de rognage pour le format Letterbox » pour que Compressor choisisse les valeurs de rognage en fonction du contenu vidéo du fichier multimédia source.  Dimensions (pixels encodés) : utilisez le menu local « Dimension de l’image » ou ces champs pour créer une dimension d’image et des proportions de sortie correspondant à votre fichier multimédia source. Utilisez le menu local « Aspect des pixels » pour définir les valeurs de largeur et de hauteur, afin qu’elles soient conformes à des proportions déterminées.  Cadre de l’image de sortie (remplissage) : utilisez le menu local Remplissage pour calculer les valeurs de hauteur et de largeur de sortie. Si vous sélectionnez Personnaliser, vous pouvez saisir des valeurs dans les champs.Chapitre 3 Interface de Compressor 67 Pour de plus amples informations sur la sous-fenêtre Géométrie, consultez le chapitre 21, « Ajout de réglages de géométrie », à la page 287. Sous-fenêtre Actions Utilisez la sous-fenêtre Actions pour activer les envois par message électronique des notifications de fin de transcodage et exécuter les actions AppleScript de post-transcodage.  Case à cocher et champs « Notification par courrier électronique à » : utilisez ce champ pour introduire l’adresse électronique à laquelle vous souhaitez que la notification soit envoyée après le transcodage du fichier multimédia ou en cas d’erreur.  Case à cocher « Exécuter AppleScript sur la sortie » : cochez cette case pour activer les scripts AppleScript attribués au réglage après le transcodage du fichier multimédia.  Bouton Choisir : cliquez pour sélectionner le script AppleScript que vous voulez affecter au réglage.  Destination par défaut : choisissez dans ce menu local la destination que ce réglage doit utiliser. Pour de plus amples informations sur la sous-fenêtre Actions, consultez le chapitre 22, « Ajout d’actions à un réglage », à la page 297.68 Chapitre 3 Interface de Compressor Fenêtre Historique La fenêtre Historique vous donne rapidement accès aux lots soumis précédemment, ainsi qu’aux informations qui les concernent. Vous pouvez l’utiliser pour mettre en pause une opération de transcodage, soumettre à nouveau des lots en les faisant glisser dans la fenêtre Lot ou visualiser les détails de la soumission de lots particuliers. Vous pouvez également l’utiliser pour localiser les fichiers multimédia de sortie des lots préalablement envoyés. La fenêtre Historique contient également une barre de progression que vous pouvez utiliser pour contrôler l’état des lots soumis au préalable. Pour ouvrir ou fermer la fenêtre Historique, procédez de l’une des manières suivantes : m Sélectionnez Fenêtre > Historique. m Appuyez sur Commande + 1. m Cliquez sur le bouton Historique dans la barre d’outils de la fenêtre Lot. Remarque : la fenêtre Historique s’ouvre automatiquement si elle est fermée lorsque vous envoyez un lot en vue de le transcoder. La fenêtre Historique contient des entrées qui affichent des informations sur le nom du lot et la date et l’heure auxquelles il a été transcodé au départ. Les entrées sont classées par date, en commençant par la plus ancienne. Lorsque vous faites glisser un lot dans une fenêtre Lot pour une nouvelle soumission, un nouveau lot sans nom est créé à cet effet (les lots existants ne s’en trouvent pas affectés). Pour plus d’informations sur les commandes et réglages dans la fenêtre Historique, consultez la section « À propos de la fenêtre Historique » à la page 123.Chapitre 3 Interface de Compressor 69 Fenêtre Preview La fenêtre Preview consiste en un écran partagé en deux, qui affiche à gauche le fichier multimédia source sous sa forme originale, et à droite ce à quoi ressemblerait votre fichier de média de sortie. Cela vous permet de comparer l’original et la version transcodée et, le cas échéant, d’ajuster vos réglages. En utilisant les options de cette fenê- tre, vous pouvez rogner l’image, ajouter des images clés et modifier les proportions. Pour ouvrir la fenêtre Preview, procédez comme suit : m Sélectionnez Fenêtre > Preview. m Cliquez sur le bouton Preview dans la barre d’outils de la fenêtre Lot. m Appuyez sur Commande + 2. La fenêtre Preview propose d’autres fonctionnalités et notamment un menu local de gestion de marqueurs. Le menu local de gestion des marqueurs vous permet d’importer des listes de chapitre ou d’ajouter manuellement marqueurs de chapitres (et de podcasts) et des marqueurs de compression (pour améliorer la qualité de la compression d’un fichier média). Vous pouvez également modifier/couper les marqueurs de compression générés dans d’autres applications comme Final Cut Pro. Si vous exportez un projet Final Cut Pro vers Compressor, ces paramètres ou ces marqueurs sont aussi transférés avec votre projet. Ces marqueurs sont également exportés vers DVD Studio Pro. Consultez les sections « Utilisation d’images I MPEG-2 » à la page 223 et « À propos des marqueurs MPEG-2 et de DVD Studio Pro » à la page 215 pour de plus amples informations. Pour plus d’informations sur les contrôles et les paramètres de la fenêtre Preview, consultez la section « À propos de la fenêtre Preview » à la page 304. Bouton de menu local Marqueur70 Chapitre 3 Interface de Compressor Batch Monitor Utilisez Batch Monitor pour surveiller la progression de l’activité de tous les transcodages des lots, y compris les estimations du temps de transcodage restant pour l’ensemble des tâches. Batch Monitor est une application distincte pouvant être ouverte sans ouvrir Compressor. Pour plus de détails sur Batch Monitor, consultez le Manuel de l’utilisateur de Batch Monitor. Pour ouvrir Batch Monitor, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur le bouton Batch Monitor dans la barre d’outils de la fenêtre Lot. m Double-cliquez sur l’icône Batch Monitor dans le dossier Utilitaires. Vous pouvez aussi définir les préférences de Compressor de façon à ce que Batch Monitor s’ouvre automatiquement lorsque vous soumettez un lot. Pour plus d’informations, consultez la section « Configuration des préférences de Compressor » à la page 39. Batch Monitor affiche l’état de tous les lots soumis et notamment leur nom et d’autres informations. Vous pouvez visualiser des rapports sur les tâches réussies ou échouées dans Batch Monitor ou la fenêtre Historique. Pour plus d’informations sur les contrôles et les réglages de Batch Monitor, consultez le Manuel de l’utilisateur de Batch Monitor.Chapitre 3 Interface de Compressor 71 Fenêtres Droplet Vous pouvez enregistrer un ou plusieurs réglages ou groupes de réglages dans une Droplet, un préréglage autonome, intégré dans une application glisser-déposer et enregistré en tant qu’icône. Vous pouvez ensuite transcoder les fichiers multimédia sources (sans même ouvrir Compressor) en les faisant tout simplement glisser sur une icône Droplet. Consultez le chapitre 25, « Utilisation de droplets », à la page 337 pour plus d’informations sur la création et l’utilisation de Droplets. Vous pouvez ouvrir n’importe quelle Droplet et afficher sa fenêtre pour voir tous les détails la concernant. Pour ouvrir une fenêtre Droplet : m Double-cliquez sur une icône Droplet. Pour plus d’informations sur les contrôles et réglages de la fenêtre Droplet, consultez la section « À propos de la fenêtre Droplet » à la page 338. Faites glisser les fichiers multimédia sources sélectionnés dans une Droplet pour les transcoder.72 Chapitre 3 Interface de Compressor À propos du changement des valeurs et des entrées de timecode Compressor propose plusieurs types de méthodes de saisie de valeurs. La plupart ont des fonctions permettant de simplifier la modification des champs de valeur ou de timecode. Utilisation des curseurs de valeur Deux méthodes sont utilisées pour saisir des valeurs numériques générales : les curseurs traditionnels avec champs d’entrée numérique séparés, qui allient le curseur et le champ d’entrée numérique. Les curseurs de valeur permettent de saisir un nombre spécifique dans le champ de valeur ou de faire glisser le pointeur dans le champ pour définir une valeur. Vous pouvez les utiliser en même temps qu’une touche de modification pour procéder à des modifications de valeurs importantes, réduites ou normales. Faire glisser le pointeur dans la partie centrale (où se trouve le nombre) fonctionne de la même façon qu’un curseur ordinaire : faire glisser vers la droite augmente la valeur et faire glisser vers la gauche réduit la valeur. De plus, vous pouvez cliquer sur la flèche gauche ou droite pour modifier la valeur d’un cran à la fois. Vous pouvez également double-cliquer sur le nombre lui-même et saisir une nouvelle valeur dans le champ de valeur. Pour modifier les valeurs d’incréments normaux, procédez de l’une des manières suivantes : m Faites glisser le pointeur vers la gauche ou la droite dans le champ de valeur. m Cliquez sur la flèche de gauche pour réduire la valeur et sur la flèche de droite pour l’augmenter. m Si vous disposez d’une souris à trois boutons avec molette de défilement, cliquez dans le champ de valeur et utilisez la molette de la souris. Pour modifier les valeurs de façon précise, procédez de l’une des manières suivantes : m Faites glisser le champ de valeur en maintenant la touche Option enfoncée. m Maintenez la touche Option enfoncée et cliquez sur la flèche de gauche pour réduire la valeur et sur la flèche de droite pour l’augmenter. m Si vous disposez d’une souris à molette de défilement, utilisez-la dans le champ de valeur tout en maintenant la touche Option enfoncée. Curseur de valeur avec curseur et champ d’entrée numérique combinés Curseur et champ d’entrée numérique séparésChapitre 3 Interface de Compressor 73 Pour modifier les valeurs de façon moins précise, procédez de l’une des manières suivantes : m Faites glisser le champ de valeur en maintenant la touche Maj enfoncée. m Maintenez la touche Maj enfoncée et cliquez sur la flèche de gauche pour réduire la valeur et sur la flèche de droite pour l’augmenter. m Si vous disposez d’une souris à molette de défilement, utilisez-la dans le champ valeur tout en maintenant la touche Maj enfoncée. Lorsqu’un curseur ou un champ de valeur est actif (mis en surbrillance), appuyez sur la touche Tab pour passer au champ suivant. Utilisation des curseurs de valeur de timecode Compressor utilise des curseurs de valeur de timecode pour tous les champs de timecode. Outre la possibilité de saisir directement des valeurs de timecode, vous pouvez « faire défiler » le timecode par glissement. Si vous positionnez le pointeur sur un segment de timecode, de petites flèches apparaissent au-dessus et en dessous de ce segment. Vous pouvez faire glisser le pointeur vers le haut ou vers la droite pour augmenter la valeur de ce segment (les valeurs des segments de gauche augmentent également si votre glissement dépasse la valeur maximale). En faisant glisser le curseur vers la gauche, la valeur est réduite. Vous pouvez maintenir la touche Option enfoncée pour faire des modifications de valeur plus lentes ou utiliser la touche Maj pour des modifications plus rapides. Vous pouvez également cliquer sur les flèches haut et bas de chaque côté de la valeur de timecode ou appuyer sur les touches Flèche vers le haut et Flèche vers le bas du clavier pour augmenter ou réduire la valeur de timecode. Vous pouvez contrôler le segment affecté par les flèches haut et bas en sélectionnant un segment, afin de faire apparaître un signe d’insertion en dessous du segment. Vous pouvez également utiliser les flèches gauche et droite du clavier pour sélectionner d’autres segments.74 Chapitre 3 Interface de Compressor Raccourcis clavier généraux de Compressor Commande clavier Fonction Passe la fenêtre Inspecteur au premier plan. Passe la fenêtre Historique au premier plan. Passe la fenêtre Preview au premier plan. Passe l’onglet Réglages au premier plan. Passe l’onglet Destinations au premier plan. Enregistre le lot actuel. Enregistre le lot actuel comme nouveau lot. Crée un nouveau lot sans nom. Ouvre un lot enregistré. Ouvre la fenêtre Préférences. Importe une ressource source pour créer une nouvelle tâche dans le lot. Crée une nouvelle tâche de groupe de son Surround dans le lot. Soumet le lot actuel. Envoie un lot à partir d’une Droplet ouverte. Supprime un élément sélectionné de la fenêtre Lot, Preview ou Destinations. Permet de se déplacer vers le haut dans les listes Lot, Destinations, Réglages et Filtres. Permet de se déplacer vers le bas dans les listes Lot, Destinations, Réglages et Filtres. Permet de passer d’un champ de texte à un autre dans toutes les sous-fenêtres. Ouvre la zone de dialogue « Monter le stockage du cluster ». Ouvre l’Aide Compressor. option I 1 2 3 4 S Maj S N O , l Maj I option S retour suppr. Maj M Maj ? Chapitre 3 Interface de Compressor 75 Raccourcis clavier de la fenêtre Preview Commande clavier Fonction Démarre une animation arrière rapide. Démarre une animation avant rapide. Lecture arrière du plan image par image. Lecture avant du plan image par image. Démarre ou arrête la lecture d’un plan. Ajoute ou supprime un marqueur. Lorsque la tête de lecture se trouve sur un marqueur, ouvre la zone de dialogue Modifier le marqueur. Définit un point d’entrée pour le plan. Définit un point de sortie pour le plan. J L espace M E l O4 77 4 Importation de fichiers multimédia sources La première étape du processus de transcodage dans Compressor consiste à importer au moins un fichier multimédia source dans la fenêtre Lot. L’importation d’un ou plusieurs fichiers multimédia sources dans un lot crée des tâches (une par fichier multimédia source). Il s’agit de la première étape pour pouvoir transcoder les fichiers multimédia sources en fichiers de sortie souhaités. Vous pouvez importer des fichiers multimédia sources pour créer des tâches à partir de n’importe quel dossier auquel vous avez accès. Compressor prend en charge une large gamme de formats multimédia sources allant des formats QuickTime les plus populaires au Dolby Digital Professional (AC-3), en passant par le MPEG-1, le MPEG-2 et le MPEG-4. Consultez la section « Ajout de fichiers multimédia sources à un lot pour créer des tâches » à la page 79 pour de plus amples informations. Ce chapitre traite des sujets suivants :  À propos de la fenêtre Lot (p. 78)  Ajout de fichiers multimédia sources à un lot pour créer des tâches (p. 79)  Utilisation de l’Inspecteur avec des fichiers multimédia sources (p. 87)  Astuces pour l’importation de fichiers multimédia sources (p. 90)78 Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources À propos de la fenêtre Lot La fenêtre Lot permet de centraliser l’organisation des tâches de transcodage et d’attribuer rapidement des réglages. Lorsque vous ouvrez Compressor pour la première fois, une fenêtre Lot sans nom apparaît. Imaginez les lots comme des documents pouvant être enregistrés, fermés puis ouverts de nouveau. Utilisez la barre de menus située en haut de la fenêtre Lot pour ouvrir toutes les autres fenêtres de tâche. Informations générales sur la fenêtre Lot Les lots sont le cœur même de votre flux de production Compressor et c’est dans la fenêtre Lot que vous traitez les lots. Cette fenêtre prend en charge l’ouverture de plusieurs lots à la fois et les affiche dans des onglets séparés. Pour créer un nouveau lot : m Choisissez Fichier > Nouveau lot (ou appuyez sur Commande + N). Un nouveau lot sans nom est ajouté à la fenêtre. Consultez la section « Enregistrement et ouverture d’un lot » à la page 125 pour en savoir plus sur les fichiers de lot. Vous pouvez même ouvrir plusieurs fenêtres Lot, contenant chacune un lot différent en faisant glisser un onglet de lot dans un nouvel emplacement. Consultez la section « À propos des onglets » à la page 49 pour en savoir plus sur le déplacement d’onglets par glisser-déposer pour ouvrir ou fermer des fenêtres de lot. Zone Tâches Barre d’outils Onglets Lot État du lot Bouton d’envoi de lot Bouton « Afficher/Masquer la barre d’outils » Nom du lot actuellement sélectionné Chaque onglet correspond à un lot différent L’onglet du nouveau lotChapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources 79 La fenêtre Lot comprend un bouton Soumettre, situé dans le coin inférieur droit, que vous pouvez utiliser pour commencer le transcodage du lot actuellement sélectionné. Le coin inférieur gauche affiche l’état du lot actuel (le nombre de tâches qu’il contient et s’il a été soumis). À propos de la barre d’outils de la fenêtre Lot Dans la partie supérieure de la fenêtre Lot se trouve une barre d’outils personnalisable. Vous pouvez choisir de l’afficher ou de la masquer en cliquant sur le bouton situé dans le coin supérieur droit de la fenêtre. Vous disposez d’un large choix d’éléments à intégrer à la barre d’outils, tels que des éléments permettant d’ouvrir, d’enregistrer et de fermer un lot. Pour plus de détails sur les éléments que vous pouvez ajouter et la façon de procéder, consultez la section « Personnalisation de la barre d’outils » à la page 52. Ajout de fichiers multimédia sources à un lot pour créer des tâches Vous devez importer les fichiers multimédia sources dans le lot de la fenêtre Lot avant de pouvoir leur ajouter tout réglage de transcodage. Lorsqu’ils sont importés dans un lot, les fichiers multimédia sources créent une tâche (première étape pour le transcodage des fichiers). Il existe quelques méthodes spéciales à utiliser lors de l’importation des fichiers multimédia sources avec son Surround. Bouton « Afficher/Masquer la barre d’outils » (la barre d’outils est cachée dans cet exemple)80 Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources Ajout de fichiers multimédia sources standard aux lots Vous trouverez ci-après les instructions d’ajout de fichiers multimédia sources standard (n’utilisant pas le son Surround) à un lot. Pour ajouter des fichiers multimédia sources à un lot : 1 Ouvrez Compressor. La fenêtre Lot s’ouvre avec un onglet de lot vide intitulé Sans titre. 2 Procédez de l’une des façons suivantes :  Choisissez Tâche > « Nouvelle tâche avec fichier » (ou appuyez sur Commande + I), naviguez jusqu’au dossier de fichiers multimédia souhaité, sélectionnez un ou plusieurs fichiers multimédia sources, puis cliquez sur Ouvrir. Remarque : choisissez Tâche > « Nouvelle tâche avec fichiers son Surround » (ou appuyez sur Commande + Maj + I) pour créer une tâche utilisant un ensemble de fichiers audio pour une sortie son Surround. Consultez la section « Ajout de fichiers multimédia sources avec son Surround aux lots » à la page 83 pour obtenir plus d’informations.  Cliquez sur le bouton « Ajouter fichier » (dans la barre d’outils Lot, s’il est visible), naviguez jusqu’au dossier de fichiers multimédia souhaité, sélectionnez un ou plusieurs fichiers multimédia sources, puis cliquez sur Ouvrir.  Cliquez sur une zone vide du lot tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez « Nouvelle tâche avec fichier » dans le menu contextuel. Vous pouvez alors naviguer vers le dossier de fichiers multimédia souhaité, sélectionner un ou plusieurs fichiers multimédia sources, puis cliquer sur Ouvrir. Onglet lot sans titre Zone de lot vide contenant une tâche fictiveChapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources 81  Ouvrez votre dossier de fichiers multimédia sources et faites glisser un ou plusieurs fichiers dans le lot. Remarque : vous pouvez combiner les étapes précédentes en sélectionnant tous les fichiers multimédia sources que vous souhaitez transcoder avant d’ouvrir Compressor, puis en les faisant glisser sur l’icône de l’application Compressor. Compressor s’ouvre alors et ajoute en même temps les fichiers multimédia au lot sans titre par défaut. 3 Enregistrez le lot au moyen de l’une des méthodes suivantes :  Choisissez Fichier > Enregistrer sous.  Appuyez sur Commande + Maj + S. 4 Saisissez un nom pour le lot et choisissez, dans la zone de dialogue qui apparaît, l’emplacement dans lequel vous voulez l’enregistrer. Cliquez sur Enregistrer une fois terminé. L’onglet de la fenêtre Lot change pour correspondre au nom du fichier. Remarque : si vos préférences de Finder sont réglées pour afficher les extensions, l’extension « .compressor » apparaît dans l’onglet à côté du nom. Vous n’avez aucune obligation de nommer et d’enregistrer vos lots ; il est parfois préfé- rable de ne pas le faire par souci de rapidité. Cependant, lorsque vous nommez et enregistrez un lot, il est plus facile par la suite d’y revenir et de le soumettre à nouveau si les fichiers de sortie ne correspondent pas à vos attentes ou si vos besoins ont changé. Cela permet également de savoir plus facilement ce qui se trouve dans la fenêtre Historique et dans Batch Monitor si vous soumettez plusieurs lots en peu de temps. 82 Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources Le lot contient maintenant vos fichiers multimédia sélectionnés, chacun dans sa propre tâche. Les fichiers multimédia sources à contenu vidéo comprennent également une vignette et un curseur que vous pouvez utiliser pour parcourir la vidéo. Vous pouvez modifier le fichier multimédia source affecté à une tâche. Pour modifier le fichier multimédia source affecté à une tâche : 1 Sélectionnez la tâche dont vous souhaitez modifier le fichier multimédia source. 2 Procédez de l’une des façons suivantes :  Choisissez Tâche > Source > Fichier, naviguez jusqu’au dossier de fichiers multimédia souhaité, sélectionnez un ou plusieurs fichiers multimédia sources, puis cliquez sur Ouvrir.  Cliquez sur la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez Source dans le menu contextuel. Vous pouvez alors naviguer vers le dossier de fichiers multimédia souhaité, sélectionner un ou plusieurs fichiers multimédia sources, puis cliquer sur Ouvrir.  Faites glisser un nouveau fichier multimédia source dans la tâche. Toutes les cibles déjà configurées sont conservées et sont maintenant appliquées au nouveau fichier multimédia source. Vous pouvez également supprimer un fichier multimédia source d’une tâche si nécessaire. Pour supprimer un fichier multimédia source d’une tâche : m Cliquez sur la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez Effacer la source dans le menu contextuel. Pour supprimer une tâche d’un lot, procédez de l’une des manières suivantes : m Sélectionnez la tâche et appuyez sur la touche de suppression. m Cliquez sur une partie vide du lot tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez « Supprimer toutes les tâches » dans le menu contextuel. Faites glisser ce curseur pour parcourir les images des fichiers vidéo. Cliquez à n’importe quel endroit de la tâche pour voir les attributs du fichier dans la fenêtre Inspecteur. Chaque fichier multimédia source crée une tâche. Les cibles de cette tâche apparaissent à cet endroit.Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources 83 Ces tâches sont maintenant prêtes à recevoir une nouvelle cible. Les cibles comprennent les réglages et destinations nécessaires pour en faire une tâche que vous pouvez soumettre au transcodage. Consultez le chapitre 6, « Finalisation de tâches et soumission de lots », à la page 109 pour de plus amples informations sur l’ajout de cibles aux tâches. Lisez également le chapitre 5, « Création, aperçu et modification des réglages », à la page 93 pour apprendre comment créer vos propres réglages. Ajout de fichiers multimédia sources avec son Surround aux lots Il existe deux méthodes permettant d’ajouter des fichiers audio à un lot pour créer une tâche avec son Surround : la méthode automatique, qui s’appuie sur le nom de fichier pour mapper les fichiers audio sur les canaux audio appropriés, et la méthode manuelle qui vous permet d’affecter manuellement les fichiers audio aux canaux. Chaque méthode produit une tâche à laquelle vous pouvez ajouter un réglage prenant en charge les sorties audio Surround, comme le Dolby Digital Professional, l’AIFF et d’autres codecs audio du format de sortie de séquence QuickTime. Important : certains formats de sortie ont plusieurs configurations pour les canaux audio Surround. Veillez à connaître la configuration requise par le périphérique de lecture souhaité. Par exemple, le format de sortie AIFF propose quatre configurations différentes pour les sorties audio 5.1 (6 canaux), la différence provenant de l’ordre des canaux. Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthode automatique) Compressor offre des techniques rationalisées d’affectation de canaux, qui vous permettent de gagner du temps. Pour afficher des fichiers à des canaux Surround avec des codes d’identificateur de canal : 1 Ajoutez le code d’identificateur du canal Surround cible au nom de chaque fichier audio source. Reportez-vous au tableau ci-dessous pour la liste des codes d’identificateur de canal appropriés. Affectation de canaux Code d’identificateur de canal Canal avant gauche -G Canal avant droit -D Canal avant central -C Canal Surround gauche -Gs Canal Surround droit -Ds Canal Surround central -S Canal basse fréquence (subwoofer, LFE) -LFE84 Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources Par exemple, pour affecter un fichier AIFF au canal Surround gauche, renommez le fichier comme suit nomdefichier-Gs.aiff (nomdefichier représentant le nom de votre fichier). Remarque : Mac OS X peut rajouter une extension de fichier de type .aiff. Cela n’interfère pas avec la méthode d’affectation de ce canal. Cette procédure ne fonctionne que lorsque vous glissez-déposez des fichiers dans la fenêtre Lot. Si vous faites glisser les fichiers sur l’icône de l’application Compressor, ils apparaissent comme fichiers sources séparés, chacun dans sa propre tâche. Remarque : si vous créez des flux audio Surround Dolby Digital Professional (AC-3), vous n’utiliserez pas immédiatement tous les canaux répertoriés dans le tableau. Consultez la section « Réglages de l’onglet Audio » à la page 141 pour un schéma des modes de codage audio Dolby. 2 Faites glisser vers la fenêtre Lot les fichiers audio source renommés. Si les conditions suivantes sont réunies, Compressor réduit automatiquement le groupe entier de fichiers en ce qui apparaît comme un fichier multimédia source Surround unique dans la fenêtre Lot :  Les fichiers du groupe doivent être nommés correctement (voir tableau ci-dessus).  Le nombre total de fichiers du groupe doit être inférieur à sept. Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthode manuelle) Suivez ces étapes pour utiliser la méthode manuelle d’affectation de fichiers audio individuels aux canaux audio Surround. Pour affecter manuellement des fichiers audio source aux canaux d’un flux audio Surround : 1 Pour importer les fichiers audio source, effectuez l’une des opérations suivantes :  Cliquez sur le bouton « Ajouter son Surround » dans la fenêtre Lot.  Choisissez Tâche > « Nouvelle tâche avec groupe Surround » (ou appuyez sur Commande + Maj + I).  Cliquez dans le lot tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez « Nouvelle tâche avec groupe Surround » dans le menu contextuel. L’interface d’affectation des canaux s’ouvre.Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources 85 2 Effectuez l’une des opérations suivantes pour affecter un fichier audio source à un canal particulier.  Faites glisser le fichier audio source du Finder vers l’icône d’un canal spécifique (par exemple « G »).  Cliquez sur l’icône d’un canal spécifique (par exemple « L ») et utilisez la zone de dialogue Ouvrir afin de localiser le fichier audio source destiné à ce canal. Le fichier est désormais affecté au canal « G » (avant gauche). 3 Répétez l’étape 2 pour chacun des fichiers audio source que vous prévoyez d’inclure dans le flux Surround. Remarque : si vous créez des flux audio Surround Dolby Digital Professional (AC-3), vous n’utiliserez pas immédiatement tous les canaux répertoriés dans le tableau. Consultez la section « Réglages de l’onglet Audio » à la page 141 pour un schéma des modes de codage audio Dolby. 4 Une fois que vous avez terminé l’ajout des fichiers audio source à l’interface d’affectation des canaux, cliquez sur OK. Le groupe de fichiers Surround apparaît comme une tâche unique de fichier multimé- dia source Surround dans la fenêtre Lot.86 Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources À propos des tâches audio Surround Lorsque vous avez créé une tâche audio Surround, la fenêtre Lot affiche l’icône de son Surround dans la vignette du fichier multimédia source et la fenêtre Inspecteur affiche les canaux et les fichiers correspondants. Vous pouvez modifier n’importe quelle affectation de fichier dans la fenêtre Inspecteur. Pour modifier l’affectation d’un fichier audio Surround : 1 Cliquez sur l’icône de haut-parleur du canal que vous voulez modifier. Une zone de dialogue de sélection de fichiers s’ouvre. 2 Localisez le fichier à affecter à ce canal et cliquez sur Ouvrir. Pour des informations sur la création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional, consultez le chapitre 8, « Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional », à la page 139. Consultez le Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro pour obtenir des informations détaillées sur la création de fichiers audio Surround. Si vous prévoyez de créer des DVD à l’aide de DVD Studio Pro, consultez le Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro pour plus d’informations sur le flux de production pour la création de DVD. Cliquez sur l’icône d’un canal pour changer le fichier qui lui est affecté.Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources 87 Utilisation de l’Inspecteur avec des fichiers multimédia sources Lorsque vous sélectionnez une tâche de lot, la fenêtre Inspecteur affiche des informations au sujet du fichier multimédia source de la tâche. La fenêtre Inspecteur comprend deux onglets : Attributs A/N et Informations supplémentaires. Onglet Attributs A/N L’onglet Attributs A/N contient des informations générales sur le fichier multimédia source et se divise en trois parties.  Informations de fichier : cette section indique le nom du fichier, son emplacement et son format.  Informations vidéo : cette partie, s’il y a lieu, affiche toutes les informations du fichier concernant la vidéo. Cela comprend la dimension de l’image, la fréquence d’images et les informations de timecode.  Informations audio : cette partie, s’il y a lieu, affiche toutes les informations du fichier concernant l’audio. Cela comprend la taille d’échantillon et la fréquence d’échantillonnage.88 Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources Onglet informations supplémentaires L’onglet Informations supplémentaires vous permet de visualiser et de modifier divers éléments de métadonnées ayant pu être ajoutés dans d’autres applications telles que Final Cut Pro ou QuickTime. Cela inclut la possibilité d’associer un fichier de sous-titres codés au fichier. Pour associer un fichier de sous-titres codés à un fichier multimédia source : 1 Cliquez sur la tâche pour afficher les attributs du fichier dans la fenêtre de l’Inspecteur. 2 Cliquez sur l’onglet des informations complémentaires. 3 Cliquez sur Choisir, localisez le fichier de sous-titres codés (un fichier au format de soustitres codés Scenarist portant généralement l’extension « .scc »), puis cliquez sur Ouvrir. Remarque : les données de sous-titres codés sont prises en charge par les formats de sortie H.264 pour appareils Apple, MPEG-2 et séquence QuickTime. Suivant le format de sortie de la cible de la tâche, Compressor applique le fichier de sous-titres codés aux fichiers multimédia de sortie.  Pour les sorties QuickTime : Compressor ajoute le fichier de sous-titres codés comme piste de sous-titres codés au fichier de sortie QuickTime. Vous pouvez visualiser les sous-titres codés à l’aide du lecteur QuickTime (version 7.2 ou ultérieure).  Pour les sorties de flux élémentaire MPEG-2 : Compressor incorpore les données de soustitres codés à un flux vidéo élémentaire MPEG-2 pour qu’elles puissent être utilisées pour la création de DVD. DVD Studio Pro retient ces données de sous-titres codés lorsque le flux vidéo est utilisé sur une piste dans un projet DVD NTSC de définition standard. Vous pouvez utiliser Apple DVD Player pour lire les fichiers de construction de DVD Studio Pro et vérifier que les données de sous-titres codés sont bien présentes.Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources 89  Pour les sorties de flux de transport et de programmation MPEG-2 : Compressor incorpore les données de sous-titres codés aux flux de programmation et de transport MPEG-2 à l’aide du protocole EIA-708 ATSC. Important : les valeurs de timecode du fichier de sous-titres codés doivent être directement liées au timecode du fichier multimédia source. Vous pouvez ouvrir le fichier de sous-titres codés dans TextEdit pour voir les valeurs de timecode qu’il contient (le texte proprement dit est codé et n’est pas lisible de cette façon). Pour ajouter une annotation : 1 Cliquez sur la tâche pour afficher les attributs du fichier dans la fenêtre de l’Inspecteur. 2 Cliquez sur l’onglet des informations supplémentaires. 3 Utilisez le menu local « Ajouter une annotation » pour choisir le type d’annotation. 4 Double-cliquez sur le champ de valeur correspondant et saisissez le texte d’annotation.90 Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources Remarque : cette fonctionnalité Ajouter annotation est prise en charge par les formats de sortie H.264 pour DVD Studio Pro, H.264 pour appareils Apple, MP3 et séquence QuickTime. Astuces pour l’importation de fichiers multimédia sources Voici quelques astuces complémentaires pour l’importation de fichiers multimédia sources. Fichiers sources hautement compressés Il est fortement recommandé de ne pas utiliser de fichiers sources hautement compressés, comme les fichiers MPEG, en guise de fichiers sources, car ils peuvent engendrer des artefacts indésirables dans la vidéo encodée. Séquences QuickTime de référence et traitement distribué À proprement dit, seules les séquences QuickTime (et non les séquences QuickTime de référence) sont prises en charge pour le traitement distribué. Si vous soumettez une séquence de référence en vue d’un traitement distribué, assurez-vous alors que les fichiers média spécifiés dans ladite séquence sont bel et bien disponibles à chacun des nœuds de cluster Apple Qmaster. En d’autres termes, placez les données dans le volume partagé (du stockage de cluster). Pour plus d’informations, consultez le guide Configuration du traitement distribué. Importation de fichiers MPEG-2 Lorsque vous importez un fichier MPEG-2, Compressor doit analyser le fichier avant que vous ne puissiez le lire dans la fenêtre Preview. L’analyse du fichier implique la détermination de sa structure d’images et d’autres informations nécessaires le concernant. Comme la structure d’images peut varier à travers le fichier, Compressor doit analyser l’intégralité du fichier, ce qui peut prendre plusieurs minutes pour les fichiers les plus longs. Cela n’arrive pas avec les fichiers élémentaires MPEG-2 encodés à l’aide de Compressor lorsque la case « Ajouter les métadonnées DVD Studio Pro » est cochée. Consultez la section « Onglet Compléments » à la page 211 pour obtenir plus d’informations. À propos des fichiers multimédia sources Dolby Digital Professional Vous pouvez utiliser des fichiers audio AC-3 Dolby Digital Professional comme fichiers multimédia sources pour vos tâches. Il peut y avoir deux raisons à cela :  Pour tester un fichier que vous venez d’encoder. Puisque vous ne pouvez pas prévisualiser les réglages de sortie Dolby Digital Professional, l’importation d’un fichier encodé dans une tâche vous permet de le lire et d’en vérifier les réglages.  Pour convertir un fichier audio Dolby Digital dans un autre format. Puisque tous les lecteurs multimédia ne sont pas équipés de décodeurs Dolby Digital, vous pouvez avoir besoin de transcoder le fichier dans un autre format.Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources 91 Compressor comprend un décodeur Dolby Digital qu’il utilise chaque fois que vous lisez ou transcodez des fichiers audio Dolby Digital. Cela vous permet de vérifier les réglages de sortie Dolby Digital Professional d’un fichier préalablement encodé sur votre système sans devoir recourir à un décodeur Dolby Digital externe. Pour entendre le son Surround, il vous faut un périphérique audio Surround connecté à la sortie USB ou FireWire de votre ordinateur. L’audio est sous-mixé dans deux canaux si vous le lisez à l’aide des haut-parleurs stéréo de votre système. Important : la sortie audio étant déjà décodée sans être au format Dolby Digital, il est impossible d’utiliser la sortie optique pour lire les fichiers Dolby Digital à partir de Compressor. ? Astuce : ajoutez une extension « .ac3 » au nom de fichier si Compressor ne vous permet pas de l’ajouter à une tâche. Valeurs automatiques et fichiers QuickTime non standard Compressor utilise plusieurs tactiques pour déterminer les valeurs appropriées des réglages en mode Automatique. Dans la plupart des cas, les fichiers QuickTime contiennent des métadonnées qui spécifient les nombreux attributs du fichier, comme la fré- quence d’images et la dimension de l’image. Dans certains cas, les métadonnées ne sont pas présentes, ce qui oblige Compressor à essayer de déterminer ces informations. Il arrive également que ces métadonnées soient incorrectes et entraînent Compressor à générer des valeurs incorrectes pour les réglages en mode Automatique. De plus, certains fichiers QuickTime utilisent des réglages non standard qui obligent Compressor à choisir une valeur automatique qui n’est pas forcément appropriée. C’est pour toutes ces raisons qu’il vaut mieux utiliser les Inspecteurs pour vérifier les valeurs des réglages en mode Automatique. Consultez la section « À propos des réglages automatiques » à la page 58 pour obtenir plus d’informations.5 93 5 Création, aperçu et modification des réglages Un réglage est une combinaison d’attributs de transcodage, comme le format de sortie, les filtres et les paramètres géométriques, que vous appliquez au fichier multimédia source pendant le processus de transcodage. Avant de pouvoir transcoder un fichier multimédia source, vous devez au moins lui associer un réglage. Lorsqu’un fichier multimédia source se trouve dans la fenêtre Lot, vous pouvez soit sélectionner un réglage préexistant, soit créer un réglage personnalisé à l’aide de l’onglet Réglages. Une fois que vous disposez de tous les réglages dont vous pensez avoir besoin, il n’est pas nécessaire d’ouvrir à nouveau l’onglet Réglages. Vous pouvez en effet sélectionner les réglages directement dans la fenêtre Lot. Ce chapitre traite des sujets suivants :  À propos de l’onglet Réglages (p. 94)  Utilisation de l’Inspecteur avec les réglages (p. 98)  Duplication des réglages (p. 99)  Création d’un réglage entièrement nouveau (p. 100)  Aperçu d’un réglage (p. 102)  Suppression de réglages (p. 104)  Création de groupes de réglages (p. 104)  Distribution et partage de réglages (p. 106)  Exemple : Création de réglages et de groupes personnalisés pour un DVD (p. 106) Remarque : un réglage est simplement un type de préréglage Compressor. Vous pouvez également créer, modifier, enregistrer ou supprimer des préréglages de destination. Pour en savoir plus sur les destinations, reportez-vous à la section « Création et changement de destinations » à la page 325. 94 Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages À propos de l’onglet Réglages L’onglet Réglages vous permet de gérer vos réglages. Conjointement avec la fenêtre Inspecteur, l’onglet Réglages fournit également des détails concernant tous les réglages, avec accès facile aux commandes de transcodage courantes. L’onglet Réglages (utilisé conjointement avec la fenêtre Inspecteur) sert à créer, modifier ou supprimer des réglages et à créer des dossiers de groupe destinés aux réglages multiples. Il permet également de créer des droplets. L’onglet Réglages contient la liste des réglages existants et les boutons nécessaires à l’ajout, à la suppression et à la duplication d’un réglage, ainsi qu’à la création de groupes et de droplets. Boutons de l’onglet Réglages Les boutons suivants sont situés dans le haut de l’onglet Réglages.  Créer un groupe de réglage : cette option crée un dossier pour grouper des réglages existants. Utilisez ce bouton comme un moyen d’organiser vos réglages dans un certain ordre logique, afin de conserver un onglet Réglages facile à parcourir. Une fois les réglages créés, vous pouvez affecter un groupe entier de réglages à un fichier multimédia source (en le faisant glisser sur le fichier source dans la fenêtre Lot), ou vous pouvez créer une droplet contenant plusieurs réglages. Consultez la section « Création de groupes de réglages » à la page 104 pour plus d’informations. Cliquez sur les triangles d’affichage pour afficher ou masquer le contenu d’un groupe de réglages. Enregistrer la sélection comme droplet Créer un groupe de réglage Bouton « Dupliquer le réglage sélectionné » Bouton « Supprimer les réglages sélectionnés » Liste Réglages Bouton « Créer un réglage » Exemple de réglageChapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages 95  Enregistrer la sélection comme droplet : cliquez pour créer une droplet à partir d’un réglage ou d’un groupe de réglages existant. Les droplets permettent de transcoder un fichier de données en faisant glisser un ou plusieurs fichiers de données source sur l’icône de la droplet. Une fois que vous avez sélectionné votre réglage ou votre groupe de réglages et cliqué sur le bouton « Enregistrer la sélection comme droplet », la zone de dialogue Enregistrer vous invite à attribuer un nom à votre droplet, à choisir un emplacement où l’enregistrer ainsi qu’un dossier de destination pour les fichiers multimédias de sortie pertinents. Lorsque toutes ces opérations ont été effectuées, votre droplet est prête et vous pouvez faire glisser sur son icône autant de fichiers que vous le souhaitez. Consultez le chapitre 25, « Utilisation de droplets », à la page 337 pour plus d’informations sur les droplets.  Dupliquer le réglage sélectionné : cliquez sur cette option pour dupliquer un réglage sélectionné dans l’onglet Réglages. Le bouton Dupliquer copie dans l’onglet Réglages exactement les paramètres du réglage actuellement sélectionné. Au lieu de créer un réglage à partir d’un brouillon, utilisez cette fonction pour en créer un à partir d’un réglage préexistant, que vous pouvez ensuite paramétrer selon vos besoins.  Créer un réglage (+) : cette option ajoute un nouveau réglage à l’onglet Réglages. Lorsque vous cliquez sur ce bouton, une zone de dialogue apparaît pour vous permettre de choisir le format du fichier de sortie (H.264 pour les appareils Apple, MPEG-2, MPEG-4, etc.).  Supprimer les réglages sélectionnés (–) : cette option supprime un réglage de l’onglet Réglages. Aucune confirmation ne vous est demandée, soyez donc sûr de vouloir supprimer le réglage avant de cliquer sur ce bouton. Remarque : il n’est pas possible de supprimer les réglages Apple.96 Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages Liste Réglages Lorsque vous ouvrez l’onglet Réglages pour la première fois, il contient un jeu de réglages (Apple) préexistants fournis avec Compressor. L’onglet Réglages affiche le nom et la description de tous les réglages et groupes existants stockés sur votre ordinateur. De nouveaux réglages apparaissent dans le dossier de groupe Personnalisé avec le nom par défaut « Sans titre ___ », où « ___ » est le format de fichier que vous avez choisi dans le menu local (+). Il est judicieux de remplacer le nom du réglage par une appellation plus significative, par exemple le nom du réglage ou de la méthode de distribution associée au réglage. Cliquez sur le réglage dans l’onglet Réglages pour l’ouvrir dans la fenêtre Inspecteur. Groupe de réglages Apple et ses sous-groupes Nouveau réglage « Sans titre » Cliquez sur un réglage pour l’afficher dans la fenêtre Inspecteur. Saisissez le nom du réglage sélectionné et sa description dans la fenêtre Inspecteur.Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages 97 Saisissez un nom dans le champ Nom de la fenêtre Inspecteur. Utilisez le champ Description pour saisir plus d’informations sur chaque réglage. Ces informations apparaissent uniquement dans l’onglet Réglages et peuvent vous aider à identifier vos fichiers lorsque vous disposez de nombreux réglages. L’organisation des réglages dans des dossiers de groupe est une autre des possibilités qui vous sont offertes. Pour cela, après avoir créé et nommé un dossier de groupe, faites-y glisser n’importe quel réglage personnalisé existant. Lorsque vous faites glisser un réglage sur un groupe, vous le supprimez de son emplacement courant. Vous pouvez également sélectionner des réglages individuels d’un groupe, puis les faire glisser sur un fichier multimédia source. Consultez la section « Création de groupes de réglages » à la page 104 pour plus d’informations. Sélection d’une cible Lorsque vous sélectionnez la cible d’un lot, son réglage apparaît immédiatement dans la fenêtre Inspecteur et le champ Nom indique « Cible sélectionnée ». Il s’agit d’une copie temporaire du réglage, mais pas du réglage en soi, ce qui vous permet d’y apporter des modifications temporaires, uniquement pour cet envoi du lot. Dans la fenêtre Lot, sélectionnez une cible pour afficher ses réglages dans la fenêtre Inspecteur. Le nom du réglage est affiché comme « Cible sélectionnée ». Cliquez sur le bouton Enregistrer sous afin d’enregistrer le nouveau réglage qui contiendra toutes les modifications apportées.98 Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages Lorsque vous modifiez le réglage de la cible, le bouton Enregistrer sous en bas de la fenêtre Inspecteur devient actif. Cliquez sur Enregistrer sous afin d’attribuer un nouveau nom au réglage modifié. La copie enregistrée s’affiche dans l’onglet Réglages sous le nom Copie de Nom du réglage et devient immédiatement le réglage sélectionné dans l’onglet Réglages. Utilisation de l’Inspecteur avec les réglages La fenêtre Inspecteur contient les sous-fenêtres suivantes, lesquelles permettent de créer et de modifier tous les réglages liés à votre fichier de données multimédias de sortie, comme les filtres, la géométrie ou le format de sortie.  Sous-fenêtre Résumé : offre un résumé détaillé d’un réglage sélectionné. Consultez la section « Sous-fenêtre Résumé » à la page 61 pour de plus amples informations sur cette sous-fenêtre.  Sous-fenêtre Encodeur : permet de sélectionner un format de sortie de sortie et d’autres réglages audio et vidéo connexes. Consultez les sections spécifiques ci-dessous pour de plus amples informations sur les différentes sous-fenêtres Encodeur :  « À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder » à la page 134  « À propos de la sous-fenêtre Encodeur Dolby Digital Professional » à la page 140  « À propos de la sous-fenêtre Encodeur DV » à la page 157  « À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour appareils Apple » à la page 160  « À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour DVD Studio Pro » à la page 165  « À propos de la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images » à la page 174  « À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 » à la page 183  « À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 » à la page 198  « À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-4 » à la page 226  « À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder QuickTime » à la page 238  « À propos de la sous-fenêtre Encodeur Composants d’exportation au format QuickTime » à la page 255  Sous-fenêtre « Contrôles d’images » : permet de personnaliser les modifications relatives à la taille des images, à leur fréquence ou à la priorité de trame. (Pour plus d’informations, reportez-vous à la section « Utilisation des contrôles d’images » à la page 273.)  Sous-fenêtre Filtres : permet d’ajouter des filtres aux réglages afin d’améliorer la qualité des fichiers de sortie. (Pour plus d’informations, reportez-vous à la section « À propos de la sous-fenêtre Filtres » à la page 260.)  Sous-fenêtre Géométrie : permet de rogner et de définir la taille du cadre du fichier de données multimédias de sortie. (Pour plus d’informations, reportez-vous à la section « Ajout de réglages de géométrie » à la page 287.)Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages 99  Sous-fenêtre Actions : permet d’exécuter des scripts AppleScript et d’envoyer des notifications par message électronique. (Pour plus d’informations, reportez-vous à la section « Ajout d’actions à un réglage » à la page 297.) La fenêtre Inspecteur permet aussi d’attribuer un nom à vos réglages et d’ajouter des descriptions qui vous permettront ultérieurement de vous rappeler plus facilement des modifications personnalisées que vous avez effectuées. Duplication des réglages S’il existe un réglage qui contient des attributs que vous souhaitez utiliser dans un autre réglage, au lieu de créer un nouveau réglage, vous pouvez dupliquer le réglage existant et apporter les modifications nécessaires à la copie. La méthode la plus pratique pour créer des réglages personnalisés consiste à dupliquer un réglage prédéfini Apple et à adapter la copie de sorte qu’elle réponde à vos besoins. Pour dupliquer un réglage : 1 Sélectionnez sous l’onglet Réglages le réglage que vous souhaitez dupliquer. 2 Cliquez sur le bouton Dupliquer le réglage sélectionné. Un nouveau réglage apparaît dans le dossier Personnalisé et la mention Sans titre est ajoutée au début du nom original. 3 Sélectionnez le nouveau réglage dans le dossier Personnalisé. 4 Ouvrez les sous-fenêtres Inspecteur suivantes afin de modifier les éléments suivants :  Nom et description du réglage : permet de modifier le nom et la description du réglage de sorte que vous puissiez vous rappeler plus facilement pourquoi vous avez créé ce réglage personnalisé.  Sous-fenêtre Encodeur : permet de modifier le format de sortie et les codecs vidéo et audio, ainsi que les attributs qui y sont associés.  Sous-fenêtre Contrôles d’images : permet de changer les attributs souhaités dans la sous-fenêtre Contrôles d’images. Sélectionnez le réglage à dupliquer Cliquez sur le bouton « Dupliquer le réglage sélectionné » pour dupliquer le réglage sélectionné100 Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages  Sous-fenêtre Filtres : permet la modification des attributs des filtres. Pour ajouter ou supprimer un filtre d’un réglage, cochez ou décochez respectivement la case située en regard du filtre concerné.  Sous-fenêtre Géométrie : permet de modifier n’importe quel attribut de la sous-fenê- tre Géométrie.  Sous-fenêtre Actions : permet de modifier n’importe quel attribut de la sous-fenêtre Actions. 5 Si vous avez modifié le réglage d’une façon ou d’une autre, vous pouvez effectuer l’une des opérations suivantes pour enregistrer les modifications :  Cliquez sur le bouton Enregistrer en bas de la fenêtre de l’Inspecteur afin d’enregistrer les modifications.  Essayez de sélectionner n’importe quel autre réglage. Une zone de dialogue vous demande si vous souhaitez enregistrer les attributs modifiés. Cliquez sur OK pour enregistrer les modifications, ou sur Revenir pour annuler les modifications et retourner à l’Inspecteur. Consultez la section « Affectation de réglages à des fichiers multimédia sources » à la page 110 pour plus d’informations sur l’attribution de réglages. Création d’un réglage entièrement nouveau Si les réglages préexistants ne répondent pas à vos besoins en matière de transcodage ou que vous souhaitez simplement en ajouter de nouveaux, vous pouvez créer vos réglages. Remarque : la procédure recommandée pour créer des réglages personnalisés consiste à dupliquer un réglage prédéfini Apple, puis à adapter la copie de sorte qu’elle réponde à vos besoins. Pour en savoir plus sur la duplication de réglages, reportez-vous à la section « Duplication des réglages » à la page 99.Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages 101 Pour créer un réglage : 1 Dans l’onglet Réglages, cliquez sur le bouton Ajouter (+), puis choisissez un format de sortie dans le menu local. Un nouveau réglage nommé Sans titre suivi du format de fichier de sortie (par exemple, Sans titre MPEG-2) apparaît dans le dossier Personnalisé de l’onglet Réglages. La fenêtre Inspecteur change également pour afficher les paramètres de ce réglage. Remarque : vous pouvez toujours changer le format du fichier de sortie de ce réglage dans la sous-fenêtre Encodeur de l’Inspecteur, mais prenez soin de changer le nom du réglage afin de refléter son format de fichier de sortie. Nouveau réglage sans titre102 Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages 2 Saisissez un nom et une description appropriés dans les champs Nom et Description de la fenêtre Inspecteur. 3 Configurez le réglage selon vos besoins dans la fenêtre Inspecteur. 4 Cliquez sur Enregistrer pour enregistrer le réglage. Consultez la section « Affectation de réglages à des fichiers multimédia sources » à la page 110 pour plus d’informations sur l’attribution de réglages. Remarque : il est possible de créer des groupes de réglages, que vous pouvez ensuite appliquer à un fichier de données multimédias en une seule étape. Consultez la section « Création de groupes de réglages » à la page 104 pour plus d’informations. Aperçu d’un réglage La fenêtre Preview de Compressor permet de voir les effets de votre réglage (par exemple, les filtres et le redimensionnement du cadre) et d’ajuster ces attributs pendant la prévisualisation du fichier de données multimédia en temps réel. Remarque : il n’est pas possible de prévisualiser un réglage seul. Il faut tout d’abord qu’il ait été affecté à une tâche avec un fichier multimédia source. Important : il n’est pas possible de prévisualiser les réglages des sous-fenêtres « Contrôles d’images » et Encodeur. Si vous souhaitez voir les effets de vos réglages dans ces deux sous-fenêtres, vous pouvez utiliser la fenêtre Preview pour sélectionner une petite partie du fichier multimédia source à transcoder, puis afficher le fichier de sortie pour voir les résultats. Consultez la section « Soumission d’un lot » à la page 120 pour plus d’informations. Pour visualiser votre réglage dans la fenêtre Preview : 1 Appliquez le réglage à une tâche faisant partie d’un lot. Consultez la section « Affectation de réglages à des fichiers multimédia sources » à la page 110 pour plus d’informations. 2 Sélectionnez la cible avec le réglage que vous souhaitez prévisualiser dans la fenêtre Lot. 3 Procédez de l’une des façons suivantes :  Dans la fenêtre Lot, cliquez sur le réglage.  Cliquez sur le bouton Preview. Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages 103 La première image du fichier multimédia source sélectionné s’affiche dans la fenêtre Preview et le titre du réglage sélectionné apparaît dans le menu local « Élément de lot ». La moitié gauche de l’écran affiche le fichier multimédia source sous sa forme originale (vue Source), alors que la moitié droite affiche l’image de sortie telle qu’elle apparaîtrait en lui appliquant les filtres et les paramètres de réglage sélectionnés (vue Sortie). 4 Le cas échéant, ajustez tous les paramètres de votre réglage pendant la prévisualisation du fichier de données multimédia dans la fenêtre Preview. Vue Source Vue Sortie Bouton de sélection Élément Menu local Élément Cette moitié de la fenêtre Preview montre les effets des modifications apportées dans la fenêtre Inspecteur. Apportez les modifications pendant la prévisualisation du fichier de données multimédias dans la fenêtre Preview. Sélectionnez l’élément que vous souhaitez modifier.104 Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages Remarque : pour prévisualiser les effets de vos filtres sur votre fichier multimédia, prenez soin de sélectionner les filtres que vous souhaitez appliquer en cochant leur case respective dans la liste Filtres. Dans le cas contraire, les filtres non sélectionnés ne sont pas reconnus par la fenêtre Preview et ils n’entrent pas en compte dans les paramètres de transcodage de cette tâche. Consultez le chapitre 23, « Utilisation de la fenêtre Preview », à la page 303 pour plus d’informations sur la prévisualisation de vos réglages, et la section « À propos de la sous-fenêtre Filtres » à la page 260 pour plus d’informations sur les filtres. Suppression de réglages Pour supprimer des réglages personnalisés, cliquez sur le bouton « Supprimer le réglage sélectionné ». Remarque : il n’est pas possible de supprimer les réglages Apple. Pour supprimer un réglage : 1 Sélectionnez le réglage que vous souhaitez supprimer. 2 Cliquez sur le bouton « Supprimer le réglage sélectionné » (–) ou appuyez sur la touche Suppr. de votre clavier. Création de groupes de réglages La création d’un groupe de réglages permet d’associer rapidement plusieurs réglages à un fichier multimédia source. Pour créer un groupe de réglages : 1 Cliquez sur le bouton Grouper de l’onglet Réglages. Avertissement : aucun avertissement n’est affiché si vous supprimez un réglage, et cette opération est irréversible.Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages 105 Un dossier nommé Sans titre apparaît sous l’onglet Réglages et la colonne Description indique 0 réglages. Vous ne pouvez pas modifier ce champ, qui affiche le nombre de réglages que le groupe contient. 2 Saisissez un nom de groupe pertinent dans le champ Nom de l’Inspecteur. 3 Sous l’onglet Réglages, faites glisser les réglages appropriés dans le dossier de groupe. Remarque : vous pouvez aussi créer des hiérarchies de groupes (c’est-à-dire d’autres groupes à l’intérieur des groupes). Pour ce faire, il suffit de faire glisser un dossier de groupe dans un autre dossier de groupe. Le champ Description indique le nombre de réglages contenus par le groupe. Après avoir placé au moins un réglage dans le dossier de groupe, cliquez sur le triangle situé à gauche du dossier pour afficher ou cacher les détails concernant le groupe de réglages. Enfin, pour connaître en détail les réglages que contient chaque groupe, sélectionnez-en un, puis consultez la sous-fenêtre Résumé de la fenêtre Inspecteur. Cliquez sur le bouton Grouper. Un nouveau groupe intitulé « sans titre » et contenant 0 réglages est créé. Tapez un nom pour le nouveau groupe. Ce groupe personnalisé contient trois autres groupes personnalisés disposant chacun de leurs propres réglages.106 Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages Remarque : vous pouvez également faire glisser les réglages d’un groupe vers un autre. Pour ajouter le même réglage à plusieurs groupes : 1 Sélectionnez le réglage. 2 Cliquez sur le bouton Dupliquer pour en créer une copie, puis renommez le réglage dupliqué. 3 Faites glisser le réglage dupliqué dans le dossier d’un autre groupe. Distribution et partage de réglages Les réglages préexistants et les nouveaux réglages sont stockés en tant que fichiers XML dans le dossier de départ /Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/Compressor et portent l’extension de fichier .setting. Vous pouvez distribuer et partager ces réglages en les plaçant dans le même emplacement dans le dossier principal de l’ordinateur sur lequel vous les distribuez. Vous pouvez aussi transférer ces fichiers au moyen de la méthode que vous utiliseriez pour distribuer tout autre fichier, c’est-à-dire en les envoyant par message électronique comme pièce jointe ou en les téléchargeant sur un serveur. Exemple : Création de réglages et de groupes personnalisés pour un DVD Dans cet exemple, vous travaillez sur un projet HD qui sera finalement enregistré sur un DVD HD et sur un DVD SD. Vous devez pour cela fournir d’abord les DVD SD contenant les rushes. Une méthode aisée pour ce faire consiste à créer deux groupes de réglages :  Réglages pour les rushes : ces réglages devraient comprendre un encodeur audio AIFF (étant donné que vous souhaitez une réalisation rapide et que l’espace disque ne posera probablement aucun problème) et un encodeur MPEG-2 dont la taille d’image SD utilise les réglages les plus rapides (puisque la qualité n’est pas votre pré- occupation première). Il pourrait aussi s’agir d’un encodeur HD si vous disposez d’un appareil vous permettant de lire facilement les DVD HD.  Réglages pour le disque final : ces réglages devraient comprendre un encodeur audio AC-3, un encodeur vidéo HD H.264 pour DVD et un encodeur MPEG-2 utilisant les contrôles d’images pour garantir une vidéo de sortie HD de qualité supérieure.  Vous devrez très probablement créer un troisième groupe de réglages portant le même nom que ce projet et contenant les deux groupes ci-dessus.Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages 107 Pour créer les groupes destinés aux rushes et aux sorties finales : 1 Dans l’onglet Réglages, cliquez trois fois sur le bouton Grouper pour créer trois nouveaux groupes sans titre. 2 Sélectionnez le premier des nouveaux groupes et, à l’aide de la fenêtre Inspecteur, attribuez-lui le même nom que le projet. 3 Sélectionnez le deuxième des nouveaux groupes et nommez-le Rushes. 4 Sélectionnez le troisième des nouveaux groupes et nommez-le Disques finaux. 5 Dans l’onglet Réglages, faites glisser les groupes Rushes et Disques finaux vers le haut jusqu’à ce qu’une zone de couleur noire entoure le groupe portant le même nom que le projet, puis relâchez-les. Remarque : il est possible de sélectionner plusieurs groupes ou réglages en appuyant sur la touche Maj et en la maintenant enfoncée lorsque vous cliquez sur ces éléments. Cette manipulation a pour effet de placer les deux groupes à l’intérieur du groupe du projet. 6 Recherchez parmi les réglages Apple ceux dont la fonction correspond le mieux à la fonction souhaitée de chaque réglage au sein des nouveaux groupes. 7 Faites une copie de chaque réglage en cliquant sur le bouton « Dupliquer le réglage sélectionné ». 8 Sélectionnez chaque réglage copié, renommez-le, puis faites-le glisser jusque dans le dossier approprié. Vous pouvez ensuite sélectionner chaque réglage et lui apporter toute modification nécessaire. Une fois les fichiers multimédias sources importés et leurs tâches créées, il vous suffit d’affecter le groupe approprié (Rushes ou Disques finaux) pour que tous les réglages appropriés soient appliqués aux cibles. Ce groupe personnalisé contient les autres groupes personnalisés qui disposent chacun de leurs propres réglages. Ce groupe personnalisé contient les réglages utilisés pour créer les rushes. Ce groupe personnalisé contient les réglages utilisés pour créer le disque final.6 109 6 Finalisation de tâches et soumission de lots Une tâche consiste en un fichier multimédia source et au moins une cible (constituée d’un réglage et d’une destination) qui lui est affectée. Vous avez créé les tâches en important des fichiers multimédia sources. L’ajout de cibles les prépare pour la soumission au transcodage. Vous avez créé une tâche en important des fichiers multimédia sources dans un lot. Pour que la tâche soit terminée et prête à être soumise au transcodage, vous devez lui ajouter une ou plusieurs cibles. Chaque cible contient un réglage qui détermine toutes les informations concernant ce que doit devenir le fichier une fois transcodé, ainsi qu’une destination déterminant l’emplacement d’enregistrement du fichier transcodé et le mode de création de son nom. Chaque cible permet également de saisir manuellement le nom du fichier de sortie. Compressor vous propose toute une gamme d’options destinées à affecter des réglages et des destinations à vos cibles et à soumettre des lots. Remarque : consultez les sections « À propos de l’onglet Réglages » à la page 94 et « À propos de l’onglet Destinations » à la page 326 pour plus d’informations sur la création de préréglages dans ces fenêtres. Concernant l’attribution de réglages et de destinations et l’envoi de lots, veuillez aussi consulter les sections suivantes : Affectation de réglages  Affectation de réglages à des fichiers multimédia sources (p. 110)  Remplacement d’un réglage affecté par un autre réglage (p. 113)  Modification d’un réglage affecté (p. 114)110 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots Attribution de destinations  Affectation de destinations aux fichiers multimédia sources (p. 115)  Réglage du nom de fichier de sortie (p. 117) Informations générales sur les cibles et les tâches  À propos des cibles (p. 117)  À propos de l’ajout et de la copie de tâches (p. 118)  À propos de l’enchaînement de tâches (p. 119) Soumission de lots  Soumission d’un lot (p. 120)  Nouvelle soumission d’un lot (p. 124)  Envoi d’un projet Final Cut Pro pour transcodage (p. 126)  Transcodage de différents plans à partir d’un fichier multimédia source (p. 131) Enregistrement et ouverture de lots  Enregistrement et ouverture d’un lot (p. 125) Affectation de réglages à des fichiers multimédia sources Il existe de nombreuses méthodes permettant d’affecter des réglages à une tâche. Certaines, comme faire glisser le réglage depuis l’onglet Réglages, conviennent mieux pour travailler avec une tâche individuelle, tandis que d’autres, comme le recours au menu contextuel, sont plus appropriées pour affecter les mêmes réglages à un groupe de tâches. Remarque : les étapes suivantes impliquent que vous avez déjà ajouté des fichiers multimédia sources à un lot, créant ainsi les tâches auxquelles vous ajoutez les réglages. Consultez le chapitre 4, « Importation de fichiers multimédia sources », à la page 77 pour plus de détails sur l’importation de fichiers multimédia sources. ? Astuce : vous pouvez cliquer sur le triangle d’affichage d’un groupe de réglages tout en maintenant la touche Option enfoncée pour développer ce groupe (et tous ses sous-groupes) et afficher tous les réglages qu’il contient.Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 111 Pour affecter un réglage à une tâche par glissement : 1 Sélectionnez un ou plusieurs réglages ou groupes de réglages dans l’onglet Réglages. 2 Faites glisser les réglages sur la tâche dans la fenêtre Lot. Une nouvelle cible est créée pour chaque réglage ajouté à la tâche du lot. Remarque : vous ne pouvez appliquer les réglages qu’à une seule tâche si vous procé- dez par glisser-déposer. Tâche avec fichier multimédia source dans la fenêtre Lot. Sélectionnez un ou plusieurs réglages (deux dans notre cas) à appliquer à la tâche. De nouvelles cibles sont ajoutées pour chaque réglage que vous avez fait glissé sur la tâche.112 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots Pour affecter un réglage à une tâche à l’aide du menu Cible : 1 Sélectionnez une ou plusieurs tâches dans le lot actuel de la fenêtre Lot. 2 Choisissez Cible > Ajouter une cible avec réglage. La zone de dialogue de sélection de réglages apparaît par-dessus la fenêtre Lot. 3 Choisissez un ou plusieurs réglages ou groupes de réglages à affecter aux tâches et cliquez sur Ajouter. Les réglages sont affectés à chacune des tâches sélectionnées. Pour affecter un réglage à une tâche à l’aide du menu contextuel : 1 Sélectionnez une ou plusieurs tâches dans le lot actuel de la fenêtre Lot. 2 Cliquez sur l’une des tâches sélectionnées en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez « Ajouter une cible avec réglage » dans le menu contextuel. Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 113 Le menu contextuel affiche la liste des réglages en fonction de leurs groupes. Vous ne pouvez pas choisir directement un groupe à affecter, mais chacun dispose d’un élément « Tous » qui sélectionne tous les réglages du groupe. Remarque : cette méthode ne permet pas de sélectionner plusieurs réglages individuels. 3 Choisissez soit un réglage, soit Tous pour choisir tous les réglages d’un groupe. Les réglages s’appliquent à toutes les tâches sélectionnées. Remplacement d’un réglage affecté par un autre réglage Lorsque vous avez affecté un réglage à une tâche, vous pouvez trouver un réglage plus adéquat et décider de remplacer le réglage de la cible par un autre. Plusieurs méthodes permettent de modifier les réglages d’une cible. Elles conservent toutes les réglages de destination et le nom de fichier de sortie tels quels. Pour remplacer un réglage déjà affecté à une cible par un autre, procédez de l’une des manières suivantes : m Choisissez Cible > Modifier le réglage. La zone de dialogue de sélection de réglages s’ouvre pour vous permettre de choisir un nouveau réglage et de cliquer sur Ajouter pour l’affecter à la cible sélectionnée. m Cliquez sur la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez Modifier le réglage dans le menu contextuel. La zone de dialogue de sélection de réglages s’ouvre pour vous permettre de choisir un nouveau réglage et de cliquer sur Ajouter pour l’affecter à la cible sélectionnée. m Sélectionnez le nouveau réglage dans l’onglet Réglages et faites-le glisser sur la cible. Remarque : avec toutes les méthodes ci-dessus, si vous sélectionnez plusieurs réglages, seul celui du haut est affecté à la cible. 114 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots Modification d’un réglage affecté Vous pouvez modifier ou changer tout composant d’un réglage ayant déjà été affecté à un fichier multimédia source dans la fenêtre Lot (identifié comme Cible sélectionnée dans la fenêtre Inspecteur). Pour modifier un réglage associé à un fichier multimédia source dans la fenêtre Lot : 1 Sélectionnez la cible dans le lot avec le réglage que vous souhaitez changer. Le réglage apparaît dans la fenêtre Inspecteur avec « Cible sélectionnée » dans le champ Nom. Il s’agit d’une copie temporaire du réglage, mais pas du réglage en soi, ce qui vous permet d’y apporter des modifications temporaires, uniquement pour cet envoi du lot. 2 Procédez aux modifications du réglage. Lorsque vous modifiez le réglage, le bouton Enregistrer sous en bas de la fenêtre Inspecteur devient actif. 3 Cliquez sur Enregistrer sous afin d’attribuer un nouveau nom au réglage modifié. La copie enregistrée s’affiche dans l’onglet Réglages sous le nom Copie de Nom du réglage et devient immédiatement le réglage sélectionné dans l’onglet Réglages. Remarque : il n’est pas nécessaire de l’enregistrer, mais cela peut s’avérer utile au cas où vous devriez le réutiliser plus tard. Sélectionnez une cible dans la fenêtre Lot pour afficher ses réglages dans la fenêtre Inspecteur. Le nom du réglage est affiché comme « Cible sélectionnée ». Cliquez sur le bouton Enregistrer sous pour l’enregistrer comme nouveau réglage avec les modifications que vous avez effectuées.Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 115 Affectation de destinations aux fichiers multimédia sources Lorsque vous affectez des réglages à vos cibles, la destination par défaut est également affectée automatiquement. Vous pouvez définir la destination par défaut dans les préférences de Compressor. Sélectionnez Compressor > Préférences. Il peut s’agir d’une destination fournie avec Compressor ou d’une destination personnalisée que vous avez créé. Consultez la section « Création d’une destination » à la page 328 pour plus d’informations sur l’utilisation des destinations. Vous pouvez remplacer la destination par défaut par une autre ou même modifier manuellement un emplacement dans lequel enregistrer le fichier de sortie. Il existe différents moyens permettant d’affecter une destination à un fichier source. Comme pour l’affectation de réglages, les différentes méthodes ont toutes leurs avantages. Pour affecter une destination en procédant par glisser-déposer : 1 Sélectionnez une destination dans l’onglet Destinations. 2 Faites glisser la destination sur la cible dans la fenêtre Lot. Faites glisser la destination sur une tâche avec cible dans la fenêtre Lot. Sélectionnez une destination à appliquer à la cible.116 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots La partie destination de la cible pointe vers la nouvelle destination. Remarque : vous ne pouvez appliquer les réglages à une seule tâche que lorsque vous les lui affectez par glissement. De plus, vous ne pouvez pas créer de destination temporaire avec cette méthode. La méthode glisser-déposer permet également de créer une nouvelle cible (avec un réglage vide) en faisant glisser la destination vers une partie vide de la tâche. Pour affecter une destination à l’aide du menu contextuel ou du menu Cible : 1 Sélectionnez toutes les cibles sur lesquelles vous voulez régler la destination. 2 Procédez de l’une des façons suivantes :  Choisissez Cible > Destination > destination.  Cliquez sur l’une des cibles tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez Destination > destination dans le menu contextuel. Remarque : vous pouvez également attribuer une destination temporaire en choisissant Autre. Cela entraîne l’ouverture de la zone de dialogue Sélection de fichier, qui vous permet de créer une nouvelle destination exclusivement destinée à l’envoi de ce lot. Elle n’est pas enregistrée et ne s’applique qu’au lot soumis. Lorsque vous avez affecté toutes les destinations, elles s’affichent dans la section Destination de la cible. Menu contextuel DestinationChapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 117 Réglage du nom de fichier de sortie En plus de définir l’emplacement du fichier de sortie, les destinations déterminent la manière de créer le nom du fichier de sortie. Lorsque vous avez affecté une destination, le nom du fichier de sortie est complet. Vous pouvez choisir de l’utiliser tel quel, de le modifier manuellement ou de saisir un nouveau nom. Pour modifier ou saisir un nouveau nom de fichier de sortie : m Cliquez dans la zone du nom de fichier de sortie et modifiez le nom existant ou triplecliquez sur le nom du fichier pour en saisir un nouveau. À propos des cibles Les cibles contiennent trois éléments :  Le réglage  La destination  Le nom du fichier de sortie Le nom du fichier de sortie Le réglage La destination Le nom du fichier de sortie Faites glisser les séparateurs pour agrandir la section d’une cible et rendre l’entrée plus visible. Les boutons Ajouter et Supprimer de la cible118 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots Vous pouvez utiliser diverses méthodes pour ajouter des réglages à une tâche. La plus courante consiste à ajouter un réglage ou une destination à la tâche. Vous pouvez également utiliser une des méthodes suivantes. Pour ajouter une cible vide à une tâche, procédez de l’une des manières suivantes : m Sélectionnez une ou plusieurs tâches et choisissez Cible > Ajouter une cible. Cela ajoute une cible vide aux tâches. m Sélectionnez une ou plusieurs tâches, cliquez sur une de ses zones vides en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Cible > Ajouter une cible. Cela ajoute une cible vide aux tâches. m Cliquez sur le bouton Ajouter (+) d’une cible existante. Vous pouvez également copier une ou plusieurs cibles d’une tâche à l’autre : Pour copier des cibles dans une autre tâche par glisser-déposer : 1 Sélectionnez les cibles à copier. 2 Appuyez sur la touche Option, puis faites glisser les cibles sur la nouvelle tâche. Pour supprimer des cibles, procédez d’une des manières suivantes : m Sélectionnez une ou plusieurs cibles et appuyez sur Supprimer. m Cliquez sur le bouton Supprimer (–) dans une cible. À propos de l’ajout et de la copie de tâches Les tâches sont créées, la plupart du temps, en ajoutant des fichiers multimédia sources à un lot. Il existe plusieurs méthodes pour ajouter des tâches à un lot. De plus, vous pouvez enchaîner des tâches dans un lot pour définir l’ordre dans lequel les fichiers sont transcodés lorsqu’ils ont été soumis. Pour ajouter une tâche vide à un lot : m Choisissez Tâches > Nouvelle tâche. Pour supprimer une tâche d’un lot : m Sélectionnez la tâche et appuyez sur la touche Supprimer. Pour copier des tâches d’un lot à l’autre, procédez d’une des manières suivantes : m Ouvrez chaque lot dans sa propre fenêtre et faites glisser les tâches d’une fenêtre à l’autre. m Sélectionnez les tâches à copier, appuyez sur Commande + C, sélectionnez le lot dans lequel copier et appuyez sur Commande + V.Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 119 À propos de l’enchaînement de tâches L’enchaînement de tâches est utile lorsque vous devez appliquer plusieurs réglages à un fichier multimédia source mais que vous ne pouvez appliquer chaque réglage qu’une fois que le précédent est terminé. Cela vous permet de contrôler l’ordre dans lequel les réglages peuvent modifier le fichier multimédia source. Pour enchaîner toutes les cibles dans une tâche à de nouvelles tâches : 1 Sélectionnez la tâche dont vous voulez enchaîner les cibles à d’autres tâches. 2 Choisissez Tâches > Nouvelle tâche avec sortie cible. De nouvelles tâches sont ajoutées au lot avec un symbole de chaîne et le nom du fichier de sortie des cibles auxquelles est enchaîné. Pour enchaîner des cibles sélectionnées à d’autres tâches : 1 Sélectionnez les tâches dont vous voulez enchaîner les sorties à d’autres tâches. 2 Cliquez sur l’une des cibles sélectionnées en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez « Nouvelle tâche avec sortie cible » dans le menu contextuel. De nouvelles tâches sont ajoutées au lot avec un symbole de chaîne et le nom du fichier de sortie des cibles auxquelles est enchaîné. Vous pouvez enchaîner des tâches multiples si vous le désirez. Consultez la section « Création de vidéo PAL lors du processus de télécinéma inverse » à la page 282 pour voir un exemple d’enchaînement de deux tâches. Le nom source de la tâche enchaînée est le fichier de sortie de la cible à laquelle il est enchaîné. Ce logo de chaîne constitue la vignette de la tâche enchaînée.120 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots Soumission d’un lot Lorsque vous avez configuré les tâches et leurs cibles dans un lot, vous êtes prêt à soumettre le lot pour le traitement. Pour envoyer un lot : 1 Assurez-vous que le lot à envoyer est sélectionné dans la fenêtre Lot. 2 Procédez de l’une des façons suivantes :  Choisissez Fichier > Soumettre (ou appuyez sur Commande + Option + S).  Cliquez sur le bouton Soumettre dans la fenêtre Lot. La zone de dialogue correspondante est affichée. 3 Vérifiez le champ Nom pour confirmer le nom du lot. Par défaut, il s’agit du nom du premier fichier multimédia source du lot. Vous pouvez le modifier afin qu’il reflète mieux le contenu du lot. Ce nom sera utilisé pour la soumission du lot dans Batch Monitor et dans la fenêtre Historique. 4 Utilisez le menu local Cluster pour choisir l’ordinateur ou le cluster qui doit traiter le lot. Le réglage de cluster par défaut est « Cet ordinateur » ; Compressor n’implique donc aucun autre ordinateur pour traiter le lot. Vous pouvez choisir n’importe quel cluster disponible présent dans la liste. Consultez le guide Configuration du traitement distribué pour de plus amples informations sur la configuration d’un réseau de traitement distribué Apple Qmaster. 5 Cochez la case « Inclure des services non gérés sur d’autres ordinateurs » pour créer un cluster approprié comprenant « Cet ordinateur » et tout autre nœud de service disponible. Cela fait partie de la fonction AutoCluster. Consultez la section « À propos d’AutoCluster et des services non gérés » à la page 121 pour plus d’informations.Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 121 6 Utilisez le menu local Priorité pour choisir le niveau de priorité du lot. 7 Cliquez sur Soumettre ou appuyez sur Entrée pour soumettre le lot au traitement. La fenêtre Historique affiche la progression du lot. Consultez la section « À propos de la fenêtre Historique » à la page 123 pour plus d’informations. Remarque : la fenêtre Historique s’ouvre automatiquement si elle n’est pas encore ouverte. Vous pouvez suivre la progression du transcodage à l’aide de Batch Monitor en doublecliquant sur l’icône Batch Monitor qui se trouve dans le dossier Utilitaires, dans le dossier Applications, ou en cliquant sur son icône dans la fenêtre Lot. Pour en savoir plus sur Batch Monitor, consultez le Manuel de l’utilisateur de Batch Monitor disponible via le menu Aide. Vous pouvez configurer Batch Monitor pour qu’il s’ouvre automatiquement dans la fenêtre Préférences de Compressor. Consultez la section « Configuration des préférences de Compressor » à la page 39 pour obtenir plus d’informations. Remarque : lors du traitement d’un lot volumineux (par exemple, neuf fichiers multimédia sources associés chacun à trois réglages), l’envoi est suivi d’un délai d’environ dix secondes pendant lequel rien ne se passe. Soyez patient ! Compressor profite de ce délai pour préparer le lot en question afin de pouvoir l’envoyer dans les meilleures conditions pour traitement. Si vous souhaitez transcoder un lot volumineux, il est conseillé de désactiver l’écran de veille de votre ordinateur. Ceci augmente la vitesse du transcodage, car aucune ressource n’est réservée à l’écran de veille. À propos d’AutoCluster et des services non gérés Compressor comporte une fonction nommée AutoCluster qui permet de profiter facilement des capacités de traitement distribué offertes par Apple Qmaster sans devoir disposer de beaucoup de connaissances sur la façon dont les clusters sont configurés, sur la configuration du partage de fichiers, etc. L’utilisation d’AutoCluster se fait en deux étapes :  Création automatique de nœuds du service Apple Qmaster lors de l’installation de Final Cut Studio ou Apple Qmaster.  Sélection de la case « Inclure des services non gérés sur d’autres ordinateurs » lorsque vous envoyez un lot Compressor en vue de le traiter. Ces deux étapes permettent de maîtriser la puissance de traitement d’un nombre quelconque d’ordinateurs sur votre réseau sans effort ni connaissances supplémentaires de votre part. Pour en savoir plus, consultez le Guide de configuration du traitement distribué disponible via le menu Aide de Compressor.122 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots Lorsque le lot a été soumis, un triangle jaune avec un point d’exclamation apparaît dans le lot. Compressor utilise ces symboles chaque fois qu’il y a un problème dans un lot. Vous pouvez placer le pointeur au-dessus du symbole pour afficher une bulle d’aide expliquant sa présence ou cliquer dessus pour ouvrir une zone de dialogue le concernant. Dans la case du dessus, lorsque le lot a été soumis, cet avertissement vous permet de savoir qu’un fichier portant ce nom existe désormais dans cet emplacement et qu’il sera écrasé si vous soumettez à nouveau le lot. Vous pouvez éviter la zone de dialogue de soumission de lots lorsque vous soumettez un lot. Le lot soumis pour traitement utilise automatiquement les réglages du lot précédent. Pour soumettre un lot en utilisant les réglages précédents, procédez d’une des manières suivantes : m Choisissez Fichier > Soumettre avec les réglages précédents. m Cliquez sur l’élément « Soumettre avec les réglages précédents » dans la barre d’outils de la fenêtre Lot (s’il s’y trouve). Consultez la section « À propos de la fenêtre Lot » à la page 78 pour plus d’informations sur l’utilisation de la fenêtre Lot. Cliquez sur le symbole d’avertissement pour recevoir des explications sur sa présence.Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 123 Astuce relative au test du transcodage Avant de vous lancer dans une longue session de transcodage, faites un test rapide en utilisant un petit passage du fichier de données source. S’il y a un problème (comme, par exemple, un réglage incorrect ou un fichier de référence qui ne trouve pas les fichiers auxquels il fait référence), vous pourrez procéder à la correction sans perdre trop de temps. De tels tests vous permettent aussi de prévisualiser les résultats de la sous-fenêtre Encodeur et Contrôles d’image qui ne sont pas visibles dans la fenêtre Preview. Pour sélectionner rapidement une petite partie d’un fichier multimédia source, consultez la section « Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Preview » à la page 315. Assurez-vous que la partie test est propre au type de réglages appliqués. Par exemple, sélectionnez une scène d’action rapide si vous effectuez une conversion de la fréquence d’images ou de l’ordre de trame avec Contrôles d’images. À propos de la fenêtre Historique La fenêtre Historique propose un accès rapide à tous les lots préalablement soumis, ce qui vous permet de soumettre à nouveau des lots en les faisant glisser dans la fenêtre Lot et de consulter des informations concernant la date de soumission de certains lots depuis votre ordinateur. Le contenu de la fenêtre Historique est organisé par date de soumission. Vous pouvez modifier l’ordre de tri du contenu en cliquant sur le bouton « Inverser l’ordre de tri » en bas de la fenêtre. Vous pouvez également effacer le contenu de l’Historique en cliquant sur le bouton Effacer ou en supprimant les éléments sélectionnés avec la touche Supprimer. Cliquez sur le triangle d’affichage pour afficher le détail des soumissions de la journée.124 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots La fenêtre Historique peut également afficher la progression d’un lot en cours de transcodage. Remarque : si elle est fermée, la fenêtre Historique s’ouvre automatiquement lorsque vous envoyez un lot. Lorsque le transcodage est terminé, un nouveau bouton apparaît dans la fenêtre Historique pour faciliter la recherche des fichiers encodés. Nouvelle soumission d’un lot Toutes les informations concernant la soumission de lots sont stockées dans la fenêtre Historique. Vous y trouverez des détails sur toutes les tâches et cibles du lot et notamment les fichiers multimédia sources qui leur ont été affectés. Vous pouvez utiliser ces informations pour envoyer à nouveau un lot en faisant tout simplement glisser une entrée spécifique de la fenêtre Historique vers la fenêtre Lot. Pour soumettre à nouveau un lot à partir de la fenêtre Historique : 1 Utilisez les triangles d’affichage pour localiser le lot à soumettre de nouveau. Remarque : c’est dans ce cas que l’on comprend l’utilité de donner à la soumission un nom reconnaissable. 2 Faites glisser la soumission de la fenêtre Historique dans la fenêtre Lot. Cliquez sur le triangle d’affichage pour voir les détails concernant chaque cible de cette soumission. Cliquez sur le bouton Pause pour mettre en pause le transcodage. Cliquez une nouvelle fois pour reprendre le transcodage. Nom de la soumission Cliquez sur le bouton Annuler pour mettre fin au processus de transcodage. Cible appartenant au lot envoyé Cliquez sur le bouton « Révéler dans le Finder » pour afficher le fichier encodé dans une fenêtre du Finder. En cliquant sur le triangle d’affichage, vous pouvez afficher les détails de la soumission.Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 125 Lorsque vous faites glisser un lot de la fenêtre Historique vers la fenêtre Lot, Compressor crée un nouvel onglet sans titre dans la fenêtre Lot correspondante. Le lot apparaît dans le nouvel onglet avec tous les détails originaux (fichiers multimédia sources, cibles, réglages affectés, destinations, format de sortie et nom du lot). Vous pouvez modifier le lot avant de le soumettre à nouveau. Enregistrement et ouverture d’un lot Il peut arriver que vous ne puissiez pas envoyer immédiatement un lot que vous venez de configurer. Dans ce cas, il peut être utile d’enregistrer les paramètres du lot afin d’y faire référence ultérieurement. Pour enregistrer un lot : 1 Procédez de l’une des façons suivantes :  Choisissez Fichier > Enregistrer sous.  Appuyez sur les touches Maj + Commande + S. Une zone de dialogue s’ouvre pour vous permettre de nommer le fichier et de sélectionner sa destination. Par défaut, le nom du fichier est le même que celui du premier fichier source. 2 Saisissez un nom pour le fichier si vous ne souhaitez pas utiliser le nom par défaut. 3 Choisissez la destination du fichier. 4 Cliquez sur Enregistrer. L’extension « .compressor » est ajoutée au nom des fichiers de lot. Remarque : l’extension « .compressor » apparaît dans les onglets de la fenêtre Lot si vous avez choisi d’afficher les extensions dans les préférences du Finder. Pour ouvrir un fichier de lot dans Compressor : 1 Procédez de l’une des façons suivantes :  Choisissez Fichier > Ouvrir.  Appuyez sur les touches Commande + O. Une zone de dialogue s’ouvre pour vous permettre de sélectionner le fichier de lot à ouvrir. 2 Localisez et choisissez le fichier. 3 Cliquez sur Ouvrir. Vous pouvez également ouvrir un fichier de lot en double-cliquant dessus dans le Finder ou en le faisant glisser vers l’icône de l’application Compressor. Remarque : un message d’erreur apparaît si Compressor ne parvient pas à localiser les fichiers source répertoriés dans le fichier de lot ; seuls les fichiers source trouvés seront affichés.126 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots Envoi d’un projet Final Cut Pro pour transcodage Vous pouvez utiliser Compressor pour améliorer le processus de transcodage de vos projets Final Cut Pro. Par exemple, vous pouvez transcoder un projet Final Cut Pro sans le soumettre à un programme de rendu. Cela évite une étape qui prend potentiellement du temps selon les transitions, les filtres et les effets vidéo que vous avez appliqués au projet, ainsi que les dégradations du contenu des fichiers multimédia sources qui peuvent survenir après les multiples étapes de compression et de décompression. Ce processus élimine également une étape du processus d’encodage précédent qui impliquait une exportation de Final Cut Pro vers QuickTime, puis un transcodage de cette séquence QuickTime dans Compressor. Selon sa taille, un projet Final Cut Pro transcodé uniquement sur votre ordinateur peut affecter de manière significative les performances de votre ordinateur. Remarque : le transcodage d’un projet Final Cut Pro ne crée pas de projet rendu, bien que tous les effets rendus doivent être appliqués au fichier multimédia de sortie. Si vous souhaitez continuer à travailler sur le projet dans Final Cut Pro, vous devez le rendre dans Final Cut Pro. Pour transcoder un projet Final Cut Pro : 1 Ouvrez dans Final Cut Pro le projet que vous voulez transcoder. 2 À l’aide d’une des méthodes suivantes, sélectionnez dans Final Cut Pro le projet à transcoder :  Dans le navigateur, sélectionnez la séquence que vous souhaitez transcoder.  Faites de la Timeline la fenêtre active en cliquant dessus. 3 Enregistrez votre projet Final Cut Pro et nommez-le. 4 Sélectionnez Fichier > Exporter > Avec Compressor. Compressor s’ouvre (s’il ne l’était pas déjà) et la séquence apparaît en tant que tâche dans un lot sans titre. La séquence et les noms de projet Final Cut Pro sont combinés pour créer le nouveau nom de tâche.Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 127 5 Affectez des réglages et des destinations à la tâche comme il convient. Consultez les sections suivantes pour plus d’informations :  « Affectation de réglages à des fichiers multimédia sources » à la page 110  « Affectation de destinations aux fichiers multimédia sources » à la page 115 6 Cliquez sur le bouton Soumettre dans la fenêtre Lot. Compressor commence alors le transcodage du projet Final Cut Pro, puis se ferme. Remarque : Final Cut Pro doit rester ouvert jusqu’à la fin de ce processus, car la préparation du transcodage des images se déroule principalement dans Final Cut Pro plutôt que dans Compressor. De même, vous ne pouvez pas travailler avec Final Cut Pro tant que le transcodage n’est pas terminé. Consultez la section « Exportation à partir de Final Cut Pro et traitement distribué, » ci-dessous pour en savoir plus sur le fonctionnement du processus si vous utilisez le traitement distribué. Renvoi d’un projet Final Cut Pro Vous pouvez utiliser la fenêtre Historique pour renvoyer un projet Final Cut Pro, comme si vous renvoyiez n’importe quel autre lot. Étant donné que Compressor reconnaît les lots créés dans Final Cut Pro, Final Cut Pro s’ouvre automatiquement quand vous faites glisser un lot dans la fenêtre Lot à partir de la fenêtre Historique. Consultez la section « Nouvelle soumission d’un lot » à la page 124 pour plus de détails sur les étapes de ce processus. Exportation à partir de Final Cut Pro et traitement distribué Compressor et Apple Qmaster peuvent distribuer des tâches de compression audio et vidéo sur plusieurs ordinateurs connectés en réseau. Remarque : cette fonctionnalité de traitement distribué de Compressor est limitée aux ordinateurs sur lesquels Final Cut Studio est installé. Il existe deux méthodes pour éviter d’exporter des fichiers multimédia autonomes depuis Final Cut Pro pour un traitement distribué dans Compressor :  Exportez directement une séquence de Final Cut Pro vers Compressor, puis soumettez cette tâche à un cluster dans un réseau de traitement distribué Apple Qmaster. Dans ce processus, Final Cut Pro s’ouvre sur chaque nœud de traitement du cluster pour réaliser la tâche. 128 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots  Exportez la séquence Final Cut Pro en tant que séquence de référence QuickTime, puis soumettez le résultat au cluster pour traitement. Bien qu’avec cette méthode il n’est pas nécessaire que Final Cut Pro soit installé sur tous les ordinateurs du cluster de traitement distribué, les fichiers multimédia spécifiés dans la séquence de réfé- rence doivent être disponibles sur chacun de ces ordinateurs. Pour exporter une séquence Final Cut Pro directement vers Compressor pour le traitement distribué : 1 Assurez-vous que Final Cut Pro est bien installé sur chacun des ordinateurs du cluster à utiliser pour le traitement distribué. Chaque installation de Final Cut Pro doit disposer de son propre numéro de série. Pour plus d’informations sur les licences en volume, rendez-vous sur http://www.apple.com/fr/finalcutstudio/. 2 Assurez-vous que tous les fichiers multimédia sources et de rendu de votre projet Final Cut Pro se trouvent sur un disque dur pouvant être partagé (monté) par tous les ordinateurs du cluster qui doit traiter la tâche. (Les instructions suivantes prennent l’exemple d’un disque de travail nommé Media1.) Si vous copiez tous les fichiers multimédia sur un autre disque dur à cet effet, vous devrez peut-être reconnecter les fichiers multimédia dans Final Cut Pro avant de continuer. Important : le disque dur que vous utilisez pour stocker les fichiers multimédia ne doit pas faire office de disque de démarrage pour un ordinateur du cluster. 3 Dans Final Cut Pro, réglez le disque de travail sur le disque dur utilisé pour le stockage des fichiers multimédia à l’étape 2 : a Choisissez Final Cut Pro > « Réglages système », puis cliquez sur l’onglet « Disques de travail ». b Cliquez sur Définir. c Dans la zone de dialogue qui apparaît, localisez et sélectionnez le disque que vous souhaitez utiliser (Media1 dans notre exemple). d Cliquez sur Choisir. Le disque spécifié (Media1) apparaît à côté du bouton Définir avec l’espace libre. Pour plus d’informations sur les disques de travail Final Cut Pro consultez le Manuel de l’utilisateur de Final Cut Pro. 4 Activez le partage de fichiers sur l’ordinateur contenant le disque de travail (Media1). (Dans la sous-fenêtre Partage des Préférences système, cliquez sur Services, puis sélectionnez Partage de fichiers.)Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 129 5 Sur chacun des ordinateurs du cluster, montez le disque de travail spécifié à l’étape 3 (dans la barre latérale du Finder, cliquez sur Réseau, accédez à l’ordinateur contenant le disque Media1, cliquez sur Se connecter, puis sélectionnez Media1). 6 Dans les Préférences Compressor, spécifiez les réglages d’options de cluster : a Choisissez Préférences Compressor > ou appuyez sur Commande + virgule ( , ). La fenêtre des préférences s’ouvre. b Choisissez « Copier la source vers le cluster si nécessaire » dans le menu local « Options de cluster ». 7 Dans Final Cut Pro, choisissez Fichier > Exporter > Avec Compressor. Compressor s’ouvre avec le fichier multimédia sélectionné (la séquence Final Cut Pro) dans la fenêtre Lot. 8 Dans Compressor, double-cliquez sur le fichier sélectionné et lisez-le dans la fenêtre de prévisualisation pour en vérifier l’intégrité. 9 Dans la fenêtre Lot, affectez des réglages et destinations au fichier sélectionné si nécessaire. 10 Cliquez sur le bouton Soumettre. La zone de dialogue correspondante est affichée. 11 Procédez de l’une des façons suivantes :  Choisissez le cluster souhaité dans le menu local Cluster.  Sélectionnez la case « Inclure des services non gérés sur d’autres ordinateurs » pour utiliser la fonction AutoCluster. Consultez la section « À propos d’AutoCluster et des services non gérés » à la page 121 pour plus d’informations. 12 Cliquez sur Soumettre. Important : pour de meilleurs résultats, vérifiez que Final Cut Pro est déjà ouvert sur les ordinateurs du cluster. Apple Qmaster tente d’ouvrir Final Cut Pro si nécessaire mais, si l’avertissement relatif à l’absence de périphérique A/V externe apparaît, Final Cut Pro ne s’ouvre pas et ne peut pas être utilisé. De plus, lorsque vous utilisez la fonction AutoCluster, sachez que soumettre un lot provoque l’ouverture de Final Cut Pro sur les ordinateurs qui fournissent les services non gérés, ce qui peut surprendre une éventuelle personne utilisant l’ordinateur. Pour exporter une séquence Final Cut Pro en tant que séquence de référence QuickTime et la soumettre à Compressor pour le traitement distribué : 1 Assurez-vous que tous les fichiers multimédia sources et de rendu de votre projet Final Cut Pro se trouvent sur un disque dur pouvant être partagé (monté) par tous les ordinateurs du cluster qui doit traiter la tâche. (Les instructions suivantes prennent l’exemple d’un disque de travail nommé Media1.) 130 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots Si vous copiez tous les fichiers multimédia sur un autre disque dur à cet effet, vous devrez peut-être reconnecter les fichiers multimédia dans Final Cut Pro avant de continuer. Important : le disque dur que vous utilisez pour stocker les fichiers multimédia ne doit pas faire office de disque de démarrage pour un ordinateur du cluster. 2 Dans Final Cut Pro, choisissez Fichier > Exporter > Séquence QuickTime. 3 Dans la zone de dialogue Enregistrer, assurez-vous que la case Film autonome n’est pas cochée. 4 Enregistrez la séquence de référence QuickTime sur le disque dur (Media1) utilisé pour stocker les fichiers multimédia à l’étape 1. 5 Activez le partage de fichiers sur l’ordinateur contenant le disque de travail (Media1). (Dans la sous-fenêtre Partage des Préférences système, cliquez sur Services, puis sélectionnez Partage de fichiers.) 6 Sur chaque ordinateur du cluster, montez le disque dur (Media1) à l’endroit où se trouvent les fichiers multimédia et les séquences de référence QuickTime (dans la barre latérale du Finder, cliquez sur Réseau, accédez à l’ordinateur contenant le disque Media1, cliquez sur Se connecter, puis sélectionnez Media1.) 7 Dans les Préférences Compressor, spécifiez les réglages d’options de cluster : a Choisissez Préférences Compressor > ou appuyez sur Commande + virgule ( , ). La fenêtre des préférences s’ouvre. b Choisissez « Ne jamais copier la source vers le cluster » dans le menu local « Options de cluster ». 8 Importez la séquence de référence QuickTime dans Compressor (faites-la glisser du Bureau vers la fenêtre Lot de Compressor). 9 Double-cliquez sur le fichier dans la fenêtre Lot et lisez-le dans la fenêtre de prévisualisation pour vérifier l’intégrité du plan. 10 Dans la fenêtre Lot, affectez des réglages et destinations au fichier sélectionné si nécessaire. 11 Cliquez sur le bouton Soumettre. La zone de dialogue correspondante est affichée. 12 Procédez de l’une des façons suivantes :  Choisissez le cluster souhaité dans le menu local Cluster.  Sélectionnez la case « Inclure des services non gérés sur d’autres ordinateurs » pour utiliser la fonction AutoCluster. Consultez la section « À propos d’AutoCluster et des services non gérés » à la page 121 pour plus d’informations. 13 Cliquez sur Soumettre.Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 131 Transcodage de différents plans à partir d’un fichier multimédia source Si vous avez un fichier multimédia source volumineux dont vous ne souhaitez transcoder que quelques sections, vous pouvez le faire en un seul envoi de lot. Pour transcoder différents plans à partir d’un seul fichier multimédia source : 1 Ouvrez la fenêtre Lot. 2 Importez le fichier multimédia dans un lot autant de fois que c’est nécessaire pour créer le nombre de plans voulu. Une nouvelle tâche est créée à chaque importation. 3 Ajout de réglages à chaque tâche. Un identificateur unique est automatiquement appliqué au nom des fichiers de sortie, de manière à pouvoir facilement identifier chaque plan après son transcodage. 4 Pour ouvrir la fenêtre Preview, procédez comme suit :  Cliquez sur le bouton Aperçu dans la fenêtre Lot.  Cliquez sur l’une des cibles. La fenêtre Preview s’ouvre. 5 Utilisez les boutons ou le menu local de sélection de lot pour accéder aux fichiers que vous souhaitez transcoder. Des identificateurs de fichier uniques sont automatiquement appliqués à chaque tâche.132 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots Spécifiez le plan que vous voulez transcoder dans le premier fichier multimédia en pla- çant des points d’entrée et de sortie, puis répétez l’opération pour chaque fichier multimédia suivant en définissant les plans à transcoder à l’aide de ces points. Vous pouvez aussi utiliser les touches I (pour entrée) et O (pour sortie) du clavier pour positionner les marqueurs là où se trouve la tête de lecture. 6 Retournez à la fenêtre Lot et cliquez sur le bouton Soumettre. Consultez la section « À propos de la fenêtre Preview » à la page 304 pour de plus amples informations. Point d’entrée Point de sortie7 133 7 Création de fichiers AIFF Vous pouvez utiliser Compressor pour produire de l’audio au format AIFF. Le présent chapitre décrit la production d’audio au format de fichier AIFF :  Création de fichiers de sortie AIFF (p. 133)  À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder (p. 134)  À propos de la zone de dialogue Réglages audio (p. 135)  Configuration des réglages AIFF (p. 136) Création de fichiers de sortie AIFF Le format de fichier AIFF (Audio Interchange File Format) a été développé par Apple pour le stockage de données audio de haute qualité. Le format était destiné à la création de DVD et de CD et est désormais l’un des formats de fichier audio les plus couramment utilisés pour Mac OS. 134 Chapitre 7 Création de fichiers AIFF À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder Les options suivantes apparaissent lorsque vous choisissez le format de sortie AIFF dans le menu local « Format du fichier » de la sous-fenêtre Encodeur de la fenêtre Inspecteur :  Extension de fichier : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier aiff une fois le format de sortie AIFF sélectionné dans le menu local « Format du fichier » ou dans le menu local (+) de l’onglet Réglages. Ne modifiez pas ce champ.  Autoriser la segmentation de la tâche : cette case vous permet de désactiver la segmentation de tâche. Comme la segmentation de tâche n’est pas utilisée pour les encodages purement audio, cette case n’est pas activée avec le format de fichier AIFF. Pour plus d’informations, consultez « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.  Réglages : ce bouton ouvre la zone de dialogue Réglages audio QuickTime. Utilisez cette zone de dialogue pour sélectionner les codecs audio appropriés et modifier les autres paramètres de compression audio. Consultez la section « À propos de la zone de dialogue Réglages audio » ci-après pour plus d’informations.  Résumé QuickTime AIFF : ce tableau affiche des détails complets pour ce réglage. Champ Extension de fichier Tableau Résumé AIFF QuickTime Cliquez sur ce bouton pour ouvrir la zone de dialogue Réglages audio. Choisissez AIFF.Chapitre 7 Création de fichiers AIFF 135 À propos de la zone de dialogue Réglages audio Utilisez la zone de dialogue Réglages audio pour modifier les réglages de compression audio des formats de sortie QuickTime et AIFF. Pour ouvrir cette zone de dialogue, cliquez sur le bouton Réglages audio dans la sous-fenêtre Encodeur Séquence QuickTime ou AIFF. Les éventuels réglages audio qui ne peuvent pas être modifiés restent inactifs. Certains codecs audio vous permettent d’effectuer des réglages supplémentaires, qui apparaissent dans la moitié inférieure de la zone de dialogue Réglages audio. Dans certains cas, un bouton Option devient accessible. Cliquez dessus pour procéder à des ajustements auxiliaires. La zone de dialogue Réglages audio contient les éléments suivants, avec différents choix pour chacun, en fonction du codec audio que vous choisissez dans le menu local Format.  Format : choisissez le codec audio à ajouter à votre réglage.  Canaux : choisissez le type de sortie de canal (mono ou stéréo) ou un type de sortie multicanal, en fonction du codec.  Fréquence : choisissez le taux d’échantillonnage que vous souhaitez appliquer à votre fichier multimédia. Plus le taux d’échantillonnage est important, meilleure est la qualité, mais plus le fichier est volumineux. Or, le téléchargement de fichiers volumineux est plus long et requiert une bande passante plus large.  Afficher les réglages avancés : ce bouton demeure estompé, sauf si le codec sélectionné dans le menu local « Format du fichier » offre des options. Il est conseillé de contacter directement les fabricants de ces codecs pour obtenir plus d’informations sur les options supplémentaires offertes. Choisissez le nombre de canaux (la sélection varie en fonction du codec). Choisissez un débit garantissant la qualité et la taille de fichier requises. Choisissez un codec audio. Réglages propres au format en fonction du codec136 Chapitre 7 Création de fichiers AIFF Tailles et fréquences d’échantillonnage audio QuickTime Si vous disposez de l’espace disque et de la bande passante suffisants, il vaut mieux ne pas compresser la composante audio. Les données audio non compressées utilisent normalement des échantillons 8 bits (qualité téléphone) ou 16 bits (qualité CD). Compressor prend en charge un maximum de 64 bits par échantillon en virgule flottante et une fréquence d’échantillonnage maximale de 192 kHz. Choix d’un codec audio AAC est un bon codec de diffusion audio polyvalent, compatible avec un large éventail de périphériques de lecture. Pour de faibles bandes passantes sur des ordinateurs rapides, le codec QDesign Music (QDMC) est approprié à la plupart des cas, tandis que le codec Qualcomm PureVoice est le meilleur choix pour les contenus exclusivement vocaux. Concernant les ordinateurs plus lents, les CD-ROM et les bornes interactives, le codec IMA est une meilleure option, car il fait moins appel aux ressources de l’ordinateur, ce qui permet à ce dernier de se focaliser sur le flux vidéo, plus exigeant. Configuration des réglages AIFF Lorsque vous choisissez le format de fichier de sortie AIFF, vous ne pouvez créer que des réglages audio, car il s’agit d’un format exclusivement audio. Si vous souhaitez ajouter un codec audio à votre préréglage AIFF, ouvrez la zone de dialogue Réglages audio, puis choisissez les paramètres de votre codec audio. Pour créer un réglage de codec audio AIFF : 1 Dans l’onglet Réglages, effectuez l’une des opérations suivantes :  Assurez-vous que le réglage correct est sélectionné.  Créez un réglage en choisissant AIFF dans le menu local « Créer un réglage » (+). 2 Cliquez sur le bouton Réglages dans la sous-fenêtre Encodeur AIFF. La zone de dialogue Réglages audio s’ouvre. Choisissez un codec audio dans le menu local Format.Chapitre 7 Création de fichiers AIFF 137 3 Choisissez un codec audio dans le menu local Format, puis acceptez ses paramètres par défaut ou personnalisez les autres réglages du codec audio (le format, les canaux, la fré- quence d’échantillonnage et, si possible, les options). Consultez la section « À propos de la zone de dialogue Réglages audio » à la page 135 pour obtenir plus d’informations. Remarque : vous pouvez consulter les détails complets des paramètres de votre préré- glage dans le tableau Résumé AIFF QuickTime de la sous-fenêtre Encodeur. 4 Cliquez sur OK pour enregistrer vos réglages et fermer la zone de dialogue.8 139 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional Compressor offre les outils dont vous avez besoin pour encoder (par lot ou pas) les fichiers audio AC-3 (Dolby Digital Professional). Le format Dolby Digital Professional (également appelé AC-3) est un format audio comprimé très répandu pour les disques DVD-vidéo. Compressor accepte les fichiers audio multicanaux dans différents formats et vous donne le contrôle complet sur le processus d’encodage AC-3. Les programmes Dolby Digital peuvent diffuser du son Surround 5.1 avec cinq canaux discrets (gauche, centre, droite, gauche Surround et droite Surround), plus un sixième canal pour les effets basse fréquence (LFE), parfois appelé « subwoofer ». Dolby Surround est une autre option Surround, avec quatre canaux (gauche, centre, droite, Surround). Cependant, tous les fichiers audio AC-3 ne sont pas au format audio Surround 5.1. Dolby Digital Professional est couramment utilisé pour encoder des fichiers stéréo afin de réduire fortement leur taille. Ce chapitre traite des sujets suivants :  À propos de la sous-fenêtre Encodeur Dolby Digital Professional (p. 140)  Informations générales sur la création de fichiers Dolby Digital Professional (p. 147)  Conversion de fichiers audio stéréo au format Dolby Digital Professional (p. 148)  Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthode manuelle) (p. 149)  Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthodes automatiques) (p. 152)  Affectation de fichiers à des canaux audio Surround à l’aide de droplets (p. 154)  Options de mixage spatial (p. 154) Remarque : l’encodage Dolby Digital Professional avec Compressor est disponible uniquement sur les ordinateurs équipés de Final Cut Studio. Si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué, Final Cut Studio doit être installé sur chaque nœud qui procède à l’encodage Dolby Digital Professional.140 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional Pour obtenir des informations détaillées sur la création de fichiers audio de son Surround, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro. Si vous prévoyez de créer des DVD à l’aide de DVD Studio Pro, consultez le Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro pour plus d’informations sur le flux de création de DVD. Pour en savoir plus sur la création de fichiers audio de son Surround à l’aide d’autres formats de sortie, reportez-vous à la section « Ajout de fichiers multimédia sources avec son Surround aux lots » à la page 83. Remarque : il est important de comprendre que Compressor ne peut pas utiliser des fichiers stéréo pour en créer du son Surround 5.1. Si vous souhaitez créer un fichier audio AC-3 Surround 5.1, vous devez d’abord créer les six canaux audio dont il a besoin. Pour ce faire, vous devez utiliser d’autres applications que Compressor, telles que Soundtrack Pro. À propos de la sous-fenêtre Encodeur Dolby Digital Professional Cette section contient des informations détaillées sur les différents onglets de la sousfenêtre Encodeur Dolby Digital Professional (AC-3) de la fenêtre Inspecteur. Vous devez définir vos réglages Dolby Digital Professional à l’aide des onglets décrits ci-dessous, en modifiant un réglage existant ou en créant un nouveau réglage dans l’onglet Réglages. La sous-fenêtre Dolby Digital Professional, qui contient les éléments décrits ci-après, s’ouvre par défaut avec l’onglet Audio actif :  Extension de fichier : ce champ affiche automatiquement l’extension du fichier Dolby Digital Professional (ac3) une fois que vous avez sélectionné le format de sortie Dolby Digital Professional dans le menu local « Format du fichier » ou dans le menu local (+) de l’onglet Réglages.Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 141  Autoriser la segmentation de la tâche : cette case vous permet de désactiver la segmentation de tâche. Étant donné que la segmentation de la tâche n’est pas utilisée pour l’encodage purement audio, cette case est désactivée pour le format de fichier Dolby Digital Professional. Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.  Audio, Bitstream et Prétraitement : ces boutons permettent d’ouvrir les onglets Audio, Bitstream et Prétraitement décrits ci-après. Réglages de l’onglet Audio L’onglet Audio permet d’accéder aux réglages Dolby Digital Professional les plus importants.  Système cible : Compressor limite les réglages disponibles à ceux qui sont appropriés pour le système cible. Si vous procédez à l’encodage pour une utilisation avec DVD Studio Pro, choisissez DVD Vidéo. Si vous procédez à un encodage destiné à une application de création DVD Audio, choisissez DVD audio uniquement. Pour supprimer les limites des réglages, choisissez AC-3 générique.  Mode de codage audio : spécifie les canaux audio du flux encodé. Ce réglage dispose également d’un bouton Automatique. Bouton Automatique du mode de codage audio142 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional Par exemple, « 3/2 (G, C, D, Gs, Ds) » signifie trois canaux avant (gauche, centre, droite) et deux canaux arrière (Surround). « 2/0 (G, D) » est essentiellement un fichier stéréo standard. Le mode de codage audio a une incidence sur les réglages tels que la bande passante disponible et le prétraitement des canaux Surround. Si vous cliquez sur le bouton Automatique (en regard du menu local « Mode de codage audio »), Compressor détermine au mieux le mode de codage audio souhaité en fonction des fichiers audio sources disponibles. Remarque : dans le menu local « Mode de codage audio », « S » désigne un canal « Surround » arrière unique, et dans cette illustration, « LFE » signifie Low Frequency Effects (effets basse fréquence, également appelé « subwoofer »). Pour plus d’informations, consultez les sections « Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthode manuelle) » à la page 149 et « Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthodes automatiques) » à la page 152.  Activer les effets de basse fréquence : cochez cette case pour inclure le canal LFE dans le flux encodé (indisponible pour la monophonie 1/0 ou la stéréophonie 2/0).  Échantillonnage : cette option permet de spécifier la fréquence d’échantillonnage. Tous les fichiers destinés à la création de DVD vidéo et audio doivent être réglés sur une fréquence d’échantillonnage de 48 kHz conformément aux spécifications du DVD. Les fréquences d’échantillonnage de 32 kHz et 44,1 kHz ne sont disponibles que lorsque AC-3 générique est le système cible. canaux 3/1 canaux 3/0 canaux 2/2 canaux 2/1 canaux 2/0 canaux 1/0 (option LFE indisponible) (option LFE indisponible) canaux 3/2 G C LFE LFE LFE LFE LFE D Gs Ds G D Gs Ds G D G D S G C LFE D S G C C LFE DChapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 143  Débit de données : les choix dépendent du mode d’encodage et du système cible. Plus le débit est élevé, meilleure est la qualité. Le débit des flux AC-3 est stable. À 448 kbps, la valeur par défaut pour l’encodage 5.1, une minute d’audio AC-3 nécessite environ 3,3 Mo d’espace de stockage. Pour l’encodage stéréo, les fréquences de 192 kbps et 224 kbps sont standard et donnent de bons résultats.  Mode BitStream : détermine la finalité des données audio encodées. Les informations figurent dans le flux final et peuvent être lues par certains systèmes de décodage.  Normalisation des dialogues : cette option permet de spécifier le volume moyen du dialogue, mesuré en décibels pleine échelle (dBFS, de l’anglais « Decibels of Full Scale »), de vos fichiers audio par rapport à la modulation maximale. Le périphérique de lecture utilise cette information pour maintenir un volume similaire sur différents flux AC-3. L’objectif recherché est que le niveau d’écoute soit le même pour tous les fichiers audio encodés en AC-3, quel que soit le fichier source. Cela est particulièrement important pour assurer une utilisation correcte de la fonction Normalisation des dialogues lorsque vous enregistrez des fichiers audio diffé- rents (avec des niveaux de volume différents) sur un DVD. Si vous connaissez le niveau moyen de chaque fichier, tapez sa valeur dans le champ Normalisation des dialogues pour chaque fichier. Par exemple, si le VU-mètre indique que le niveau moyen du dialogue de votre séquence Final Cut Pro se situe autour de –12 dB, tapez –12 dans le champ Normalisation des dialogues. Remarque : cette normalisation s’effectue entre les flux audio du DVD. Elle n’a aucun effet à l’intérieur de chaque flux audio. Pour ce type de normalisation, utilisez un outil de montage audio tel que Soundtrack Pro. Vous pouvez saisir des valeurs comprises entre –1 dBFS et –31 dBFS. La différence entre la valeur que vous tapez et 31 dBFS (qui représente le niveau d’écoute normal des dialogues) constitue l’ampleur de l’atténuation du volume audio source.  Si vous tapez –31 dBFS, l’atténuation sera de 0 dB (31 dBFS–31 dBFS), ce qui n’aura absolument aucune incidence sur les niveaux audio sources.  Si vous tapez –27 dBFS, l’atténuation sera de 4 dB (31 dBFS–27 dBFS).  Si vous tapez –12 dBFS, l’atténuation sera de 19 dB (31 dBFS–12 dBFS). Plus le volume du fichier source est élevé, plus la valeur que vous saisissez est réduite et plus le volume du fichier encodé est atténué au cours de la lecture. Important : si vous avez l’intention d’utiliser l’un des préréglages de compression, une définition correcte du réglage Normalisation des dialogues est cruciale. Les pré- réglages de compression considèrent qu’une fois le dialogue normalisé, le volume est réglé sur un niveau d’écoute normal de 31 dBFS. Les niveaux constamment situés au dessus de cette valeur entraînent des distorsions du son et des niveaux inégaux.144 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional Si vous ignorez le niveau sonore du fichier source ou si, pour une raison ou une autre, vous souhaitez vous assurer que l’encodeur Dolby Digital Professional n’a aucune incidence sur vos niveaux sonores, saisissez –31 dans le champ Normalisation des dialogues, puis choisissez Aucun dans le menu local « Préréglage de compression » (situé dans l’onglet Prétraitement). Réglages de l’onglet Bitstream Ces réglages sont stockés dans le flux terminé en vue d’une utilisation par le périphérique de lecture. Conservez leur valeur par défaut, si vous avez une raison technique spécifique pour les modifier.  « Downmix du canal central », « Downmix de Surround » : si l’audio encodé dispose de ces trois canaux, mais pas le lecteur, les canaux sont mixés dans la sortie stéréo au niveau indiqué.  Mode Dolby Surround : lors de l’encodage en mode 2/0 (stéréo), indique si le signal utilise Dolby Surround (Pro Logic).  Protégé par Copyright : cochez cette case pour spécifier que ces données audio sont protégées par un copyright.  Contenu original : cochez cette case pour spécifier que ces données audio proviennent de la source originale et non d’une copie.  Informations de production audio : cochez cette case et remplissez les champs en dessous afin de spécifier la façon dont le contenu audio encodé a été mixé. Les périphé- riques de lecture peuvent utiliser ces informations pour ajuster les réglages de sortie.  Niveau de mixage des pics : spécifie le niveau du pic de pression sonore (SPL) (entre 80 dB et 111 dB) dans l’environnement de production où ce mixage a été masterisé.  Type de pièce : permet d’indiquer des informations relatives au studio de mixage.Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 145 Réglages de l’onglet Prétraitement Les options de prétraitement sont appliquées aux données audio avant l’encodage. À l’exception du réglage Préréglage de compression, conservez les valeurs par défaut de ces réglages, sauf si vous avez une raison technique de les modifier.  Préréglage de compression : spécifie l’un des modes de traitement de plage dynamique intégré au format AC-3. La valeur par défaut Compression standard pour films doit uniquement être utilisée lorsque vous encodez un mixage original destiné au cinéma. Dans la plupart des cas, vous devez choisir Aucun. Important : si vous avez l’intention d’utiliser l’un de ces préréglages de compression, il essentiel que vous définissiez correctement le réglage Normalisation des dialogues dans l’onglet Audio. Les préréglages de compression considèrent qu’une fois le dialogue normalisé, le volume est réglé sur un niveau d’écoute normal de 31 dBFS. Les niveaux constamment situés au dessus de cette valeur entraînent des distorsions du son et des niveaux inégaux. Remarque : si vous créez un DVD avec un son Dolby Digital Professional Surround 5.1 canaux, vous utiliserez « Compression standard pour films ».146 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional Général  Désaccentuation numérique : permet de préciser si les données audio d’entrée ont été accentuées au préalable et s’il est nécessaire d’annuler cette accentuation avant l’encodage. Canal LFE  Filtre passe-bas : cochez cette case pour appliquer un filtre passe-bas 120 Hz au canal LFE (Low Frequency Effects). Désactivez ce filtre si le signal numérique sur l’entrée LFE ne contient pas d’informations au-delà de 120 Hz. Canal bande pass. compl.  Filtre passe-bas : cochez cette case pour activer un filtre passe-bas avec une coupe près de la bande passante audio disponible qui est appliquée aux principaux canaux d’entrée. Si le signal numérique sur les principaux canaux d’entrée ne contient pas d’informations au-delà de la bande passante audio, vous pouvez désactiver ce filtre. Compressor détermine automatiquement la bande passante disponible.  Filtre CN : cochez cette case afin d’activer un filtre passe-haut CN pour tous les canaux d’entrée, comme un moyen simple de supprimer les décalages CN. La plupart des élé- ments audio mixés est déjà libre de décalages CN. Canaux Surround  Augmentation de phase de 90º : cochez cette case pour générer des flux AC-3 multicanaux pouvant être sous-mixés avec un décodeur externe à deux canaux afin de créer une sortie compatible Dolby Surround.  Atténuation du son de 3 dB : cochez cette case afin d’appliquer une atténuation de 3 dB aux canaux Surround d’une piste audio cinéma multicanal transférée vers un format home cinéma grand public. Les canaux Surround cinéma sont mixés à 3 dB de plus que les canaux avant afin de tenir compte des gains des amplificateurs cinéma.Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 147 Informations générales sur la création de fichiers Dolby Digital Professional Vous trouverez ci-dessous certains éléments dont il convient de tenir compte lors de la configuration et de l’encodage de fichiers Dolby Digital Professional AC-3. À propos des fichiers multimédias sources Il est important de tenir compte de quelques directives lors de l’encodage de fichiers de sortie Dolby Digital Professional à partir de fichiers multimédias sources. En fonction du format, un fichier peut contenir un canal unique (mono), des canaux doubles (stéréo) ou plusieurs canaux. Compressor prend en charge Dolby Digital Professional dans toutes ces configurations. Les fichiers audio destinés à l’encodage Dolby Digital Professional doivent respecter les règles suivantes :  Tous les fichiers sources doivent être de longueur identique. Dans le cas contraire Compressor définit la longueur du flux AC-3 pour qu’elle corresponde à celle du fichier le plus long.  Tous les fichiers doivent présenter une fréquence d’échantillonnage de 48 kHz (requise pour les DVD).  Les flux AC-3 doivent comporter un multiple de 1536 échantillons. Si ce n’est pas le cas des fichiers d’entrée sélectionnés, Compressor ajoute du silence numérique à la fin des fichiers. Remarque : Compressor peut prendre en charge tout type de fichier source pouvant contenir du son Surround et de l’audio haute résolution jusqu’à 64 bits par échantillon (en virgule flottante), et des fréquences d’échantillonnage jusqu’à 192 kHz. À propos de la prévisualisation des réglages de l’encodeur Il n’est pas possible de prévisualiser les réglages définis dans la sous-fenêtre de l’encodeur Dolby Digital Professional. Si un appareil capable de reproduire le son Surround est connecté à un port USB ou FireWire de votre ordinateur ou à une autre sortie de ce dernier, vous serez en mesure d’entendre le son affecté aux différent canaux, mais il ne tiendra pas compte des réglages tels que ceux définis dans Normalisation des dialogues ou Préréglage de compression.148 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional Important : étant donné que la sortie audio n’est pas une sortie Dolby Digital, la sortie optique ne peut pas être utilisée pour vérifier le son affecté à chaque canal. La seule méthode permettant de vérifier les réglages consiste à soumettre le lot et à écouter les résultats. Si vous n’êtes pas sûr des réglages, utilisez la fenêtre Preview pour faire un essai en encodant une partie relativement courte de la source. Vous pouvez importer un fichier AC-3 en tant que fichier multimédia source dans un lot Compressor. Compressor dispose d’un décodeur Dolby Digital intégré qu’il utilise pour décoder les fichiers AC-3. Ce décodeur applique correctement tout réglage défini dans la sous-fenêtre de l’encodeur Dolby Digital Professional, ce qui vous permet d’entendre les effets même si vous ne disposez pas d’un décodeur Dolby Digital externe. Vous pouvez aussi transcoder les fichiers AC-3 dans un autre format. Remarque : les fichiers AC-3 avec son Surround sont sous-mixés en stéréo si aucun système externe reproduisant le son Surround n’est connecté à l’ordinateur. Conversion de fichiers audio stéréo au format Dolby Digital Professional Suivez ces étapes pour encoder un flux Dolby Digital Professional (AC-3) stéréo (2/0 D,G) à partir d’un fichier multimédia source stéréo. Pour encoder un flux AC-3 : 1 Ajoutez des fichiers audio sources à la fenêtre Lot. (Pour obtenir des détails, reportezvous au chapitre 4, « Importation de fichiers multimédia sources », à la page 77.) 2 Enregistrez le lot en choisissant Fichier > Enregistrer sous (ou en appuyant sur Commande + Maj + S), en saisissant un nom pour le lot, en sélectionnant un emplacement et en cliquant sur Enregistrer. 3 Effectuez l’une des opérations suivantes pour appliquer le réglage Apple approprié de la catégorie Dolby Digital Professional au fichier audio source :  Choisissez Cible > « Nouvelle cible avec réglage », sélectionnez un réglage et cliquez sur Ajouter.  Dans la fenêtre Lot, cliquez sur un espace vide de la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, choisissez Nouvelle cible avec réglage dans le menu local, sélectionnez un réglage, puis cliquez sur Ajouter.  Faites glisser un réglage de l’onglet Réglages jusque sur la tâche du fichier audio source dans la fenêtre Lot.Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 149 4 Vous pouvez à l’occasion apporter des ajustements au réglage de la sous-fenêtre Encodage de la fenêtre Inspecteur. Consultez la section « À propos de la sous-fenêtre Encodeur Dolby Digital Professional » à la page 140 pour plus d’informations. Remarque : Compressor associe les canaux de manière intelligente. Voici quelques exemples :  Si vous importez un fichier source stéréo et que vous lui appliquez un mode de codage audio mono 1/0 (C), le fichier fait l’objet d’un sous-mixage.  Si vous appliquez un mode de codage audio Surround au fichier stéréo, les canaux gauche et droit sont mappés sur les canaux frontaux gauche (G) et droit (D) et les autres canaux du mode de codage restent silencieux.  Si vous affectez un fichier stéréo au canal Surround avant gauche ou (arrière) gauche, Compressor sélectionne le canal de gauche et ignore le canal de droite. 5 Cliquez sur Soumettre. Pour obtenir des informations sur l’encodage des fichiers avec son Surround, reportez-vous à la section « Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthode manuelle), » ci-après et à la section « Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthodes automatiques) » à la page 152. Consultez également la section « À propos de la prévisualisation des réglages de l’encodeur » à la page 147 pour en savoir plus sur la lecture des fichiers audio AC-3 avec Compressor. Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthode manuelle) Suivez ces étapes pour utiliser la méthode manuelle d’affectation de fichiers audio individuels aux canaux audio Surround. Pour affecter manuellement des fichiers audio sources aux canaux d’un flux audio Surround : 1 Pour importer les fichiers audio sources, effectuez l’une des opérations suivantes :  Cliquez sur le bouton « Ajouter du son Surround » de la fenêtre Lot.  Choisissez Tâche > Nouvelle tâche avec groupe de sons Surround (ou appuyez sur Commande + Maj + I).  Cliquez sur le lot tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez « Nouvelle tâche avec groupe de sons Surround » dans le menu contextuel. L’interface d’affectation des canaux s’ouvre.150 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 2 Effectuez l’une des opérations suivantes pour affecter un fichier audio source à un canal particulier.  Faites glisser le fichier audio source du Finder vers l’icône d’un canal spécifique (par exemple « G »).  Cliquez sur l’icône d’un canal spécifique (par exemple « G ») et utilisez la zone de dialogue Ouvrir afin de localiser le fichier audio source destiné à ce canal. Le fichier est désormais affecté au canal « G » (avant gauche). 3 Répétez l’étape 2 pour chacun des fichiers audio sources que vous prévoyez d’inclure dans le flux Surround. Remarque : si vous créez des flux audio Surround Dolby Digital Professional (AC-3), vous n’utiliserez pas immédiatement tous les canaux répertoriés dans le tableau. Consultez la section « Réglages de l’onglet Audio » à la page 141 pour un schéma des modes de codage audio Dolby. 4 Une fois que vous avez terminé l’ajout des fichiers audio sources à l’interface d’affectation des canaux, cliquez sur OK.Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 151 Le groupe de fichiers Surround apparaît comme un seul fichier multimédia source Surround dans la fenêtre Lot et s’affiche également dans la fenêtre Inspecteur. Remarque : vous pouvez cliquer sur l’icône d’un canal dans la fenêtre Inspecteur pour changer le fichier qui lui est affecté. 5 Effectuez l’une des opérations suivantes pour appliquer le réglage Apple approprié de la catégorie Dolby Digital Professional au fichier audio source :  Choisissez Cible > « Nouvelle cible avec réglage », sélectionnez un réglage et cliquez sur Ajouter.  Dans la fenêtre Lot, cliquez sur un espace vide de la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, choisissez « Nouvelle cible avec réglage » dans le menu local, sélectionnez un réglage, puis cliquez sur Ajouter.  Faites glisser un réglage de l’onglet Réglages jusque sur la tâche du fichier audio source dans la fenêtre Lot. 6 Apportez les ajustements nécessaires dans la fenêtre Inspecteur, puis cliquez sur Soumettre. Compressor crée un flux audio Surround AC-3. Consultez la section « À propos de la prévisualisation des réglages de l’encodeur » à la page 147 pour en savoir plus sur la lecture de fichiers audio AC-3 avec Compressor.152 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthodes automatiques) Compressor offre des techniques rationalisées d’affectation de canaux, qui vous permettent de gagner du temps. Pour afficher des fichiers à des canaux Surround avec des codes d’identificateur de canal : 1 Ajoutez le code d’identificateur du canal Surround cible au nom de chaque fichier audio source. Reportez-vous au tableau ci-dessous pour la liste des codes d’identificateur de canal appropriés. Par exemple, pour affecter un fichier AIFF au canal Surround gauche, renommez le fichier comme suit : nomdefichier-Gs.aiff (où nomdefichier est le nom de votre fichier). Remarque : il se peut que Mac OS X ajoute une extension de fichier telle que .aiff. Cela n’interfère pas avec la méthode d’affectation de ce canal. Cette procédure ne fonctionne que lorsque vous glissez-déposez des fichiers dans la fenêtre Lot. Si vous faites glisser les fichiers sur l’icône de l’application Compressor, il apparaîtront en tant que fichiers sources distincts, chacun dans sa tâche. Remarque : si vous créez des flux audio Surround Dolby Digital Professional (AC-3), vous n’utiliserez pas immédiatement tous les canaux répertoriés dans le tableau. Consultez la section « Réglages de l’onglet Audio » à la page 141 pour un schéma des modes de codage audio Dolby. Affectation de canaux Code d’identificateur de canal Canal avant gauche -G Canal avant droit -D Canal avant central -C Canal Surround gauche -Gs Canal Surround droit -Ds Canal Surround central -S Canal basse fréquence (subwoofer, LFE) -LFEChapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 153 2 Faites glisser vers la fenêtre Lot les fichiers audio sources renommés. Si les conditions suivantes sont réunies, Compressor réduit automatiquement le groupe entier de fichiers en ce qui apparaît comme un fichier multimédia source Surround unique dans la fenêtre Lot :  Les fichiers du groupe doivent être nommés correctement (voir tableau ci-dessus).  Le nombre total de fichiers du groupe doit être inférieur à sept. Les fichiers audio affectés à chaque canal sont affichés dans la fenêtre Inspecteur. Remarque : vous pouvez cliquer sur l’icône d’un canal dans la fenêtre Inspecteur pour changer le fichier qui lui est affecté. 3 Effectuez l’une des opérations suivantes pour appliquer le réglage Apple approprié de la catégorie Dolby Digital Professional à la tâche du fichier audio source :  Choisissez Cible > « Nouvelle cible avec réglage », sélectionnez un réglage et cliquez sur Ajouter.  Dans la fenêtre Lot, cliquez sur un espace vide de la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, choisissez « Nouvelle cible avec réglage » dans le menu local, sélectionnez un réglage, puis cliquez sur Ajouter.  Faites glisser un réglage de l’onglet Réglages jusque sur la tâche du fichier audio source dans la fenêtre Lot.154 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 4 Apportez les ajustements nécessaires dans la fenêtre Inspecteur, puis cliquez sur Soumettre. Compressor crée un flux audio Surround AC-3. Consultez la section « À propos de la prévisualisation des réglages de l’encodeur » à la page 147 pour en savoir plus sur la lecture de fichiers audio AC-3 avec Compressor. Affectation de fichiers à des canaux audio Surround à l’aide de droplets Vous pouvez rationaliser davantage le processus d’affectation des canaux en encapsulant dans un droplet la méthode « automatique » décrite ci-dessus. Pour en savoir plus sur les droplets, reportez-vous à la section « Utilisation de droplets » à la page 337. Options de mixage spatial Cette section contient des perspectives et suggestions supplémentaires pour l’utilisation des canaux dans un programme Dolby Digital Professional. Utilisation du canal central Dans un système multicanal, il existe trois moyens de centrer une image audio :  Créez un « centre fantôme » (mixez le son à gauche et à droite de façon équilibrée, comme pour la stéréo). Cette méthode est couramment utilisée, mais elle suppose que l’auditeur soit assis juste entre les haut-parleurs (ce qui est impossible dans une voiture et pas toujours le cas dans une maison). Le timbre du son n’est pas le même qu’en provenance d’un haut-parleur direct, en raison des effets d’annulation croisée.  Utilisez le canal central seul. Il en résulte une image centrale stable pour les auditeurs, quelle que soit leur position. Pour éviter que l’audio ne soit trop nette ou trop étriquée, sa réverbération peut être étalée sur les canaux de gauche et de droite.  Utilisez les trois canaux avant de manière égale ou dans des proportions différentes. Cette méthode permet davantage de contrôle de la plage de largeur et de profondeur spatiale. Le centre fantôme peut être renforcé par des signaux supplémentaires dans le canal central, opération qui peut être améliorée par l’étalement du signal dans la paire gauche/droite. Cette méthode présente toutefois un inconvénient : le son issu des trois haut-parleurs peut ne pas être fluide ou ne pas parvenir à l’auditeur en même temps, ce qui entraîne un filtrage en peigne, des variations de tonalité ou autres irrégularités. Pour palier ces problèmes, les signaux supplémentaires peuvent d’abord être traités pour en changer le caractère spatial, le timbre ou l’intensité par rapport au signal central principal.Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 155 Utilisation de canaux Surround De subtils effets Surround permettent d’améliorer de façon notoire la sensation de profondeur pour l’auditeur, par rapport à la stéréo conventionnelle. La musique populaire tire souvent parti de l’utilisation créative du son Surround. N’en abusez pas toutefois. Le principe de l’industrie cinématographique (ne pas utiliser les effets Surround comme distraction par rapport à l’histoire) s’applique également au monde de la musique. Limitations du canal LFE Le canal LFE (basse fréquence) est un signal distinct avec une plage de fréquences limitée ; il est créé par l’ingénieur de mixage et est diffusé en plus des canaux principaux dans le mixage. Un filtre « anti-repliement » à 120 Hz dans l’encodeur Dolby Digital Professional limite son utilisation aux deux octaves audibles inférieures. Dolby recommande de limiter le signal à 80 Hz lors du mixage de votre son. Dans la plupart des productions musicales (à quelques exceptions près, notamment les fameux coups de canon dans l’ouverture 1812 de Tchaikovsky), le canal LFE n’est pas nécessaire. Le signal LFE est également ignoré dans le processus de sous-mixage Dolby Digital Professional, de sorte que les signaux de basse intense ne provoquent pas de dégâts sur les petits systèmes stéréo. Prenez soin de ne pas inclure dans le canal LFE des informations vitales qui seraient manquantes lors d’une lecture mono, stéréo ou Pro Logic. Étant donné que le canal LFE est distinct des autres canaux, sa capacité à fusionner avec les fréquences plus élevées peut être modifiée par les filtres utilisés pour générer le signal LFE. Pour garantir un signal audio cohérent, conservez le signal entier dans les canaux principaux. Évitez de créer un canal LFE pour les documents créés à l’origine sans ce canal. Les cinq canaux principaux du format Dolby Digital Professional sont tous complets et le canal LFE n’accroît pas la réponse en fréquence. Les décodeurs Dolby Digital Professional permettent une gestion des basses en dirigeant les fréquences faibles vers un caisson de sous-basses ou d’autres haut-parleurs adaptés. Une piste LFE peut gêner la gestion des basses.156 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional Adaptation de la lecture stéréo Malgré la popularité des systèmes 5.1, il est conseillé de toujours effectuer une reproduction stéréo. Vous pouvez procéder de trois façons différentes :  Préparez un nouveau mixage stéréo à partir des éléments multipistes d’origine (à l’aide des sessions de mixage stéréo standard).  Préparez un sous-mixage ajusté en studio à partir du mixage multicanal. Cette méthode tire parti du travail de mixage de la version 5.1. Elle reste flexible dans les proportions exactes de chaque canal représenté dans le mixage stéréo final.  Laissez le décodeur générer un sous-mixage stéréo, à partir des formules prédéfinies du décodeur. Les options de sous-mixage et les effets de contrôle de plage dynamique peuvent être prévisualisés et ajustés dans le studio de production, et une plage d’ajustements est possible. Vérifiez toujours le mixage sur un système audio bas de gamme afin d’évaluer sa qualité sur les systèmes de lecture les plus modestes. Remarque : pour plus d’informations sur Dolby Digital Professional, consultez la section « Questions fréquences sur Dolby Digital Professional », disponible sur le site Web de Dolby Laboratories Inc. : http://www.dolby.com (en anglais).9 157 9 Création de fichiers de sortie pour flux DV Compressor comprend les outils dont vous avez besoin pour créer des fichiers DV. Parce qu’il est peu coûteux et très répandu, le format vidéo DV est très apprécié pour la capture et la distribution de vidéo en définition standard (SD). Ce chapitre traite des sujets suivants :  À propos de la sous-fenêtre Encodeur DV (p. 157)  Processus de transcodage DV (p. 158) À propos de la sous-fenêtre Encodeur DV Cette section contient des informations détaillées sur les divers réglages qui se trouvent à l’intérieur de la sous-fenêtre Encodeur DV de la fenêtre Inspecteur. Vous devez définir vos réglages DV en modifiant un réglage existant ou en créant un nouveau réglage dans l’onglet Réglages. Les boutons Automatique pour les valeurs Format, Proportions et « Ordre de trame »158 Chapitre 9 Création de fichiers de sortie pour flux DV La sous-fenêtre Encodeur de flux DV contient les réglages suivants :  Extension : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier dv une fois le format de sortie Flux DV sélectionné dans le menu local « Format du fichier » ou dans le menu local (+) de l’onglet Réglages.  Autoriser la segmentation de la tâche : cette case vous permet de désactiver la segmentation de tâche. Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.  Format : vous avez le choix entre NTSC et PAL pour le format vidéo de sortie.  Proportions : vous avez le choix entre 16:9 et 4:3 pour les proportions de la vidéo de sortie. Remarque : le format 16:9 utilise la vidéo anamorphosée.  Ordre de trame : sélectionnez le champ « Première trame inférieure » (obligatoire pour la vidéo DV entrelacée) avec des sources entrelacées ou Progressive avec des sources progressives. Processus de transcodage DV La méthode utilisée pour transcoder votre vidéo en fichiers au format Flux DV à l’aide de Compressor dépend de l’utilisation que vous comptez faire de ces fichiers. Les étapes essentielles sont les suivantes : Étape 1 : Créez un lot Comme pour toute opération de transcodage, vous devez commencer par créer un lot. Étape 2 : Créez des tâches avec les fichiers audio source Importez les fichiers vidéo source en les faisant glisser depuis le Finder jusque sur le lot ou en choisissant Tâche > Nouvelle tâche avec fichier. Étape 3 : Ajoutez des cibles avec un réglage DV à chacune des tâches Chacune des tâches requiert au moins une cible ; dans ce cas, les tâches nécessitent des cibles avec réglage Flux DV. S’il existe plusieurs tâches, il est plus facile de choisir Édition > Tout sélectionner pour sélectionner toutes les tâches, puis de sélectionner Cible > Nouvelle cible avec réglage pour appliquer le même réglage à toutes les tâches. Étape 4 : Envoyez le lot en transcodage Cliquez sur le bouton Soumettre pour lancer le processus de transcodage.10 159 10 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple Compressor permet de créer des fichiers H.264 compatibles avec iTunes. Ces fichiers peuvent être lus par iTunes sur un iPod vidéo ou avec Apple TV. L’efficacité de l’encodeur H.264 le rend particulièrement approprié pour la création de fichiers de média destinés à être utilisés avec iTunes et les appareils qui y sont associés, tels que l’iPod ou l’Apple TV. Compressor comprend des réglages prédéfinis qui, grâce à la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour appareils Apple, facilitent la création de fichiers de média compatibles. Ce chapitre traite des sujets suivants :  À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour appareils Apple (p. 160)  Processus H.264 pour iPod et Apple TV (p. 164) Pour en savoir plus sur la création de fichiers H.264 destinés à la création de DVD, reportez-vous au chapitre 11, « Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro », à la page 165. Pour obtenir des informations sur la création de fichiers H.264 en vue d’une utilisation dans un autre contexte que la création de DVD (comme par exemple la vidéo Web), voir le chapitre 17, « Création de fichiers de sortie QuickTime », à la page 237. 160 Chapitre 10 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour appareils Apple Cette section comprend des informations détaillées sur les éléments de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour appareils Apple de la fenêtre Inspecteur. Vous devez définir vos réglages H.264 à l’aide de cette sous-fenêtre, soit en modifiant un réglage existant, soit en créant un nouveau réglage dans l’onglet Réglages. Définissez vos réglages H.264 pour appareils Apple à l’aide des contrôles décrits ciaprès, soit en dupliquant puis en modifiant un réglage existant, soit en créant un nouveau réglage dans l’onglet Réglages de la fenêtre Réglages. La sous-fenêtre Encodeur H.264 pour appareils Apple contient les éléments suivants :  Extension : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier propre au format H.264 pour appareils Apple (.m4v) une fois le format de sortie H.264 pour appareils Apple sélectionné dans le menu local « Format du fichier » ou dans le menu local (+) de l’onglet Réglages qui se trouve dans la fenêtre Réglages.  Autoriser la segmentation de la tâche : cette case vous permet de désactiver la segmentation de la tâche. Elle n’est utile que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué et l’encodage multipasse. (La fonction Traitement distribué ne peut être utilisée que sur les ordinateurs sur lesquels Final Cut Studio est installé.) Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.  Taille : ce menu local vous permet de sélectionner l’une des options de taille suivantes :  iPod 640 (VGA) : cette option permet de créer des fichiers de sortie vidéo d’une largeur d’image de 640 pixels.  iPod 320 (QVGA) : cette option permet de créer des fichiers de sortie vidéo d’une largeur d’image de 320 pixels.Chapitre 10 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple 161  SD Apple TV : cette option permet de créer des fichiers vidéo de sortie d’une largeur d’image de 640 pixels avec une plage de débit supérieure à celle de la taille 640 (VGA) utilisée par l’iPod.  HD Apple TV : cette option permet de créer des fichiers de sortie vidéo d’une largeur d’image de 1280 pixels.  Proportions : utilisez ce menu local pour choisir la taille de pixel exacte du fichier de données de sortie. Les options disponibles dépendent de l’option de taille (VGA, QVGA ou 720p) que vous avez sélectionnée. Consultez la section « À propos des proportions » à la page 163 pour plus d’informations. Le réglage Proportions dispose également d’un bouton Automatique. Si vous cliquez sur ce bouton, l’encodeur choisit les proportions qui correspondent au fichier vidéo source. Important : le mode automatique du réglage Proportions est capable de choisir parmi une grande variété de valeurs pour mieux correspondre à la vidéo source (avec les valeurs déterminées et affichées lorsque ce format de sortie est appliqué à un fichier multimédia source). Pour les meilleurs résultats, il est recommandé d’utiliser le mode automatique pour le réglage Proportions. Remarque : par défaut, la fonctionnalité « Contrôles d’images » est réglée sur « Automatique ». Comme pour le réglage H.264 pour DVD Studio Pro, le « Contrôle de resynchronisation » des « Contrôles d’images » ne sera activé que si le fichier source est entrelacé.  Fréquence d’images : utilisez ce menu local pour choisir l’une des six options suivantes :  29.97 : utilisé pour la vidéo NTSC  25 : utilisé pour la vidéo PAL  24 : utilisé pour la vidéo PAL  23.98 : utilisé pour la vidéo NTSC  15 : utilisé pour la vidéo diffusée sur le web Bouton Automatique des proportions162 Chapitre 10 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple Le réglage « Fréquence d’images » dispose également d’un bouton Automatique. Si vous cliquez sur ce bouton, l’encodeur choisit la fréquence d’images qui correspond au fichier vidéo source.  Débit : utilisez ce curseur pour choisir le débit à utiliser pour la vidéo de sortie ou saisissez une valeur dans le champ de texte. les plages disponibles dépendent du réglage Taille. Le réglage à choisir dépend de l’utilisation que vous souhaitez faire du fichier de sortie. Les débits élevés donnent des images de meilleure qualité, mais les fichiers de sortie sont plus volumineux.  Synchronisation des images : également appelée intervalle entre les images clés, la valeur « Synchronisation des images » représente la fréquence d’insertion d’images clés dans le flux H.264. Plus cette valeur est faible, plus la vidéo peut être manipulée (par défilement) de manière fluide durant la lecture (les images clés sont plus fréquentes). Plus cette valeur est élevée, plus la compression est efficace (les images clés sont moins fréquentes). La plage disponible va de 2 à 10 secondes ; la valeur par défaut est de 5 secondes. Le réglage « Synchronisation des images » dispose également d’un bouton Automatique. Si vous cliquez sur ce bouton, l’encodeur choisit une fréquence de synchronisation des images appropriée pour le fichier vidéo source.  Multipasse : semblable à l’encodage MPEG-2 à deux passes, l’encodage multipasse offre la meilleure qualité possible. Si vous souhaitez un encodage plus rapide (passe unique), désélectionnez cette case. Remarque : si vous utilisez aussi le traitement distribué, il peut être également utile de désactiver la segmentation de tâches (consultez la section « Autoriser la segmentation de la tâche » à la page 160). Pour en savoir plus, reportez-vous à la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64. Bouton Automatique de la fréquence d’imagesChapitre 10 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple 163  Inclure l’audio AAC : utilisez cette case pour inclure une piste audio AAC stéréo dans la séquence de sortie. Le débit de la piste audio sera de 128 kbps. La fréquence d’échantillonnage sera de 44,1 kHz ou de 48 kHz, en fonction de l’audio d’entrée. Marqueurs de chapitre et de podcast pour la sortie sur iPod Les marqueurs de chapitre créés dans Final Cut Pro sont transférés à d’autres fichiers de sortie qui peuvent être reconnus par QuickTime Player, iTunes (fichiers .m4v), Final Cut Pro et DVD Studio Pro. Vous pouvez aussi ajouter des marqueurs de podcast au fichier de sortie. Les marqueurs de podcast sont similaires aux marqueurs de chapitre (il est possible de leur affecter une URL et une illustration), mais il n’est pas possible d’y accéder directement avec le visualiseur. Ils sont destinés à fournir une fonction de diaporama à des podcasts audio. Pour obtenir des informations sur l’ajout de marqueurs de chapitre et de podcast, consultez la section « Ajout de marqueurs à un plan » à la page 317. À propos des proportions L’option que vous choisissez dans le menu local Taille détermine la largeur du fichier encodé. Celle que vous sélectionnez dans le menu local Proportions détermine sa hauteur. Compressor redimensionne verticalement la vidéo source pour qu’elle soit adaptée à la hauteur. Cela signifie que la vidéo source doit être anamorphosée (les objets semblent étirés verticalement) en prévision d’un redimensionnement destiné à l’adapter aux proportions souhaitées. Si une vidéo qui n’est pas anamorphosée est réglée sur des proportions autres que ses proportions d’origine, l’image du fichier encodé apparaît déformée à l’écran. Important : si votre vidéo source est au format Letterbox, utilisez les proportions qui correspondent à l’intégralité de l’image vidéo, bandes noires comprises, sinon vous obtiendrez des fichiers de sortie déformés. Vous pouvez éliminer les bandes du format Letterbox à l’aide de la fonction de rognage automatique. Pour plus d’informations, consultez le chapitre 21, « Ajout de réglages de géométrie », à la page 287. Les options suivantes sont disponibles dans le menu local Proportions : iPod 640 (VGA) iPod 320 (QVGA) Apple TV SD Apple TV HD 4:3 (640 x 480) 4:3 (320 x 240) 4:3 (640 x 480) Sans objet 16:9 (640 x 360) 16:9 (320 x 180) 16:9 (640 x 360) 16:9 (1 280 x 720) 1,85:1 (640 x 346) 1,85:1 (320 x 173) 1,85:1 (640 x 346) 1.85:1 (1 280 x 692) 2,35:1 (640 x 272) 2,35:1 (320 x 136) 2,35:1 (640 x 272) 2.35:1 (1 280 x 544)164 Chapitre 10 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple Si le fichier de média source est un fichier NTSC DV ou HDV et que vous n’êtes pas sûr de ses proportions, cliquez sur le bouton Automatique. Cette option analyse les proportions du fichier multimédia source pour déterminer les proportions idéales en pixels. Processus H.264 pour iPod et Apple TV L’efficacité et la qualité du format H.264 offrent un certain nombre d’options aux créateurs de vidéo destinée aux iPod et à l’Apple TV :  Compressor propose deux tailles de vidéo spécialement conçues pour la lecture sur iPod : iPod 320 (QVGA) et iPod 640 (VGA). Quelle que soit l’option choisie, les fichiers de média de sortie pourront être lus par l’iPod et, dans les deux cas, l’image affichée sur l’écran de l’iPod sera de bonne qualité.  Si vous avez l’intention de regarder les fichiers de média de sortie sur l’iPod même, vous pouvez utiliser la taille d’encodage iPod 320 qui crée des fichiers dont l’image correspond à environ la moitié de celle obtenue en choisissant la taille d’encodage iPod 640.  Si vous pensez que les fichiers de média de sortie seront affichés sur des écrans de plus grande taille, dans iTunes ou sur un moniteur connecté à un iPod, utilisez plutôt la taille d’encodage iPod 640 qui offre une meilleure qualité.  Si vous avez ajouté des marqueurs de chapitre à la vidéo à l’aide de la fenêtre Preview, iTunes utilise automatiquement le premier marqueur comme affiche. Si vous avez affecté une image à l’un des marqueurs à l’aide de Compressor, le premier marqueur disposant d’une image devient l’affiche dans iTunes. Vous pouvez, si nécessaire, changer d’affiche dans iTunes. Pour en savoir plus, reportez-vous à l’Aide iTunes. Consultez la section « Ajout de marqueurs de chapitre ou de podcast à un plan » à la page 320 pour obtenir d’autres informations sur l’ajout de marqueurs de chapitre dans Compressor.  La taille d’encodage Apple TV HD permet de créer des fichiers vidéo dont la taille d’image est environ quatre fois celle des fichiers obtenus en choisissant la taille d’encodage iPod 640. Il n’est pas possible de lire ces fichiers sur un iPod et il se peut que leur lecture ne soit pas fluide sur les ordinateurs Macintosh plus anciens.11 165 11 Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro Compressor permet de créer facilement des réglages H.264 spécialement configurés pour la création de DVD haute définition. Les DVD haute définition peuvent utiliser des fichiers sources encodés en MPEG-2 HD ou en H.264. Aux débits des données utilisés par les DVD, le format H.264 est généralement deux fois plus efficace que le format MPEG-2. Cela signifie que vous pouvez utiliser un débit de données plus faible pour le format H.264 et obtenir la même qualité (et des fichiers de taille plus réduite) qu’avec un encodeur MPEG-2, ou même obtenir une qualité supérieure (et des fichiers de taille semblable) si le débit de données du format H.264 est le même que celui utilisé pour le format MPEG-2. Ce chapitre traite des sujets suivants :  À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour DVD Studio Pro (p. 165)  Flux de production H.264 pour DVD (p. 171) À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour DVD Studio Pro Cette section contient des informations détaillées sur les éléments de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour DVD Studio Pro de la fenêtre Inspecteur. Vous devez définir vos réglages H.264 à l’aide de cette sous-fenêtre, soit en modifiant un réglage existant, soit en créant un nouveau réglage dans l’onglet Réglages. Remarque : cette sous-fenêtre Encodeur particulière est dédiée à l’encodage de fichiers H.264 pour la création de DVD vidéo au format haute définition (HD). Pour en savoir plus sur la création de fichiers H.264 qui seront utilisés avec des produits Apple tels qu’iTunes, un iPod ou Apple TV, reportez-vous au chapitre 10, « Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple », à la page 159. Pour plus d’informations sur l’utilisation de H.264 pour d’autres objectifs, consultez le chapitre 17, « Création de fichiers de sortie QuickTime », à la page 237.166 Chapitre 11 Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro La sous-fenêtre H.264 pour DVD Studio Pro contient les éléments suivants :  Champ Extension de fichier : affiche automatiquement l’extension de fichier QuickTime (mov) lorsque le format de sortie H.264 pour DVD Studio Pro est sélectionné dans le menu local « Format du fichier ».  Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation des tâches. Elle n’est pertinente que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué et un encodage à deux ou plusieurs passes. (La fonction Traitement distribué est limitée aux ordinateurs sur lesquels Final Cut Studio est installé.) Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.  Format vidéo : choisissez l’une des quatre options suivantes proposées dans ce menu local. Ce sont tous des formats progressifs HD :  NTSC : ce format, également appelé 480p, utilise une taille d’image de 720 x 480 et un format 16x9 anamorphosé à 59,94 ips.  PAL : ce format, également appelé 576p, utilise une taille d’image de 720 x 576 et un format 16x9 anamorphosé à 50 ips.  720p : ce format utilise une taille d’image de 1 280 x 720 et un format 16x9 à 59,94 ips pour le NTSC ou 50 ips pour le PAL.  1 920 x 1 080 : ce format, également appelé 1080p, utilise une taille d’image de 1 920 x 1 080 et un format 16x9 à 59,94 ips pour le NTSC ou 50 ips pour le PAL. Chapitre 11 Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro 167 Le réglage Format vidéo dispose également d’un bouton Automatique. Si vous cliquez sur ce bouton, l’encodeur choisit le format vidéo qui correspond au fichier vidéo source.  Fréquence d’images : choisissez l’une des options suivantes dans ce menu local :  23.98 : utilisé pour la vidéo NTSC  25 : utilisé pour la vidéo PAL  29.97 : utilisé pour la vidéo NTSC  50 : utilisé pour la vidéo PAL  50.94 : utilisé pour la vidéo NTSC Le réglage Fréquence d’images dispose également d’un bouton Automatique. Si vous cliquez sur ce bouton, l’encodeur choisit la fréquence d’images qui correspond au fichier vidéo source. Remarque : si vous choisissez un format dans le menu Format vidéo, le menu Fréquence d’images est rempli automatiquement.  Curseur et champ Débit moyen : choisissez le débit moyen à utiliser pour la vidéo de sortie à l’aide du curseur ou saisissez directement une valeur. Bien que la plage disponible soit comprise entre 0,5 Mbps et 24,99 Mbps, les débits vidéo des DVD HD se situent habituellement entre 7 Mbps et 15 Mbps pour le format H.264 et dépendent du nombre de bits de votre DVD et de la nature de vos fichiers de média source. Le format de fichier H.264 est deux fois plus efficace que le format MPEG-2 standard. Cela signifie que vous pouvez utiliser un débit moins élevé pour obtenir la même qualité ou obtenir une qualité supérieure au même débit. Consultez la section « À propos des réglages Débit » à la page 170 pour plus d’informations. Bouton Automatique du format vidéo Bouton Automatique de la fréquence d’images168 Chapitre 11 Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro  Curseur et champ Débit maximum : choisissez un débit maximum compris entre 0,59 Mbps et 29,4 Mbps. Vous pouvez aussi saisir tout nombre situé entre ces deux valeurs dans le champ à proximité du curseur. Le débit maximum ne peut pas être réglé sur une valeur inférieure au débit moyen. En règle générale, introduisez un débit maximum supérieur d’au moins 1 Mbps au débit moyen, afin d’autoriser les variations de débit et d’être ainsi conforme aux objectifs de qualité constante. Important : pour assurer une compatibilité maximale avec les lecteurs DVD HD, évitez de régler le débit maximum sur plus de 18 Mbps.  Synchronisation des images : utilisez le curseur ou saisissez directement une valeur pour choisir la vitesse de « Synchronisation des images » pour la vidéo de sortie. Le réglage par défaut est de 2 secondes. Consultez la section « À propos du réglage Synchronisation des images » à la page 169 pour plus d’informations.  Multipasse : cochez cette case pour activer l’encodage multipasse. Semblable à l’encodage MPEG-2 à deux passes, l’encodage multipasse offre une qualité optimale. Pour des encodages plus rapides (une seule passe), désactivez cette case. Consultez la section « Utilisation de l’encodage multipasse pour la création de DVD » à la page 170 et la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64 pour de plus amples informations.  Inclure l’audio PCM : cochez cette case pour ajouter une piste audio PCM stéréo 16 bits d’une fréquence de 48 kHz à la séquence QuickTime de sortie. La plupart des producteurs de DVD utilisent un réglage Dolby Digital Professional (AC-3) pour l’audio, beaucoup plus efficace. Dans ce cas, vous pouvez désélectionner cette case et vous assurer qu’un réglage Dolby 2.0 est appliqué à la tâche dans la fenêtre Lot. Si vous cochez la case, que vous encodez le film H.264, puis que vous importez le film dans DVD Studio Pro, la piste vidéo et la piste audio apparaissent comme deux éléments distincts sous l’onglet Ressources, comme si vous aviez importé une ressource vidéo et une ressource audio.Chapitre 11 Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro 169 À propos du réglage Synchronisation des images Le réglage « Synchronisation des images » permet de définir un groupe d’images (« Group Of Pictures » en anglais ou « GOP ») H.264. L’une des différences qui existent entre l’encodage MPEG-2 et l’encodage H.264 est le fait qu’une image faisant partie d’un groupe d’images peut faire référence à d’autres images que celles à côté desquelles elle se trouve, ce qui signifie que le décodeur doit stocker toutes les images de réfé- rence éventuelles afin de pouvoir y accéder. La première image d’un groupe d’images H.264 est une image I spéciale appelée image IDR (de l’anglais « Instantaneous decoder refresh ») qui a notamment pour effet d’effacer les mémoires tampons des images de référence du décodeur. Cela signifie que les images qui constituent le groupe d’images défini par le réglage Synchronisation des images peuvent faire référence à n’importe quelle autre image du groupe, mais pas à celles qui se trouvent en dehors du groupe. Il en résulte qu’un réglage de synchronisation d’images plus long crée un plus grand groupe d’images, contenant plus d’images disponibles pour le référencement, alors qu’un réglage plus court donne lieu à un groupe d’images plus petit et à un nombre plus réduit d’images auxquelles il est possible de faire référence. Des images I, appelées images-clés de synchronisation partielle, sont ajoutées au groupe d’images. Ces images I standard définissent un groupe GOVU (de l’anglais « Group of video access unit »). Important : afin d’assurer la conformité aux spécifications des DVD HD et à leurs exigences relatives à la longueur maximale du groupe GOVU, Compressor insère automatiquement une image-clé de synchronisation partielle toutes les 0,5 secondes. FS PS GOP défaut de deux secondes GOVU défaut de 0,5 secondes Synchronisation partielle image-clé PS PS Synchronisation des images image-clé170 Chapitre 11 Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro Utilisation de l’encodage multipasse pour la création de DVD Pour vous assurer que tous les fichiers H.264 créés avec Compressor sont correctement compilés en fichiers compatibles avec les DVD HD dans DVD Studio Pro, veillez à ce que l’encodage multipasse soit activé. Pour activer cet encodage : 1 Ouvrez l’onglet Réglages. 2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier de données source dans la fenêtre Lot. 3 Ouvrez la sous-fenêtre Encodeur H.264 dans la fenêtre Inspecteur. 4 Cochez la case Multipasse. À propos des réglages Débit Lorsque vous déterminez les débits moyen et maximum pour la lecture de DVD, n’oubliez pas de prendre en considération le débit de vos pistes audio ainsi que le débit H.264. Important : pour assurer une compatibilité maximale avec les lecteurs DVD HD, évitez de régler le débit maximum sur plus de 18 Mbps. Vous devez faire en sorte que la somme des débits audio et vidéo, moyens et maximum ne dépasse pas 30 Mbps, le débit maximum garanti par les lecteurs de DVD haute définition. Étant donné que les formats audio compatibles avec les DVD utilisent un débit constant (CBR, de l’anglais « Constant bit rate »), vous n’avez pas à vous préoccuper d’un éventuel débit audio maximum. Par exemple, si vous utilisez de l’audio AIFF à 1,5 Mbps, vous devriez veiller à ce que les débits vidéo moyen et maximum pour les DVD haute définition ne dépasse pas 28,5 Mbps. En règle générale, votre débit moyen sera inférieur à cette valeur (entre 7 Mbps et 15 Mbps). Le débit maximum doit toutefois être, lui aussi, inférieur à cette valeur. Il est recommandé de ne pas dépasser 28,0 Mbps comme débit maximum afin de conserver une marge d’erreur (par exemple, pour les flux des sous-titres). Si vous utilisez un format audio comprimé compatible avec les DVD, tel que le format Dolby Digital ou MPEG-1/Layer-2, il se peut que le débit audio soit relativement bas et se situe entre 0,2 Mbps et 0,4 Mbps, auquel cas vous pouvez régler le débit maximum sur une valeur environ 1 Mbps plus élevée. En règle générale, introduisez un débit maximum supérieur d’au moins 1 Mbps au débit moyen, afin d’autoriser les variations de débit et d’être ainsi conforme aux objectifs de qualité constante.Chapitre 11 Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro 171 Flux de production H.264 pour DVD L’efficacité et la qualité de H.264 donnent lieu à un certain nombre d’options pour les créateurs de DVD :  Étant donné que le format H.264 est capable de produire une vidéo haute définition (HD) à un débit de définition standard (SD), vous pouvez enregistrer 90 minutes de contenu HD sur un disque DVD-5 ordinaire lisible sur les nouveaux lecteurs DVD HD.  Les résolutions vidéo prises en charge par les DVD SD sont également prises en charge par les DVD HD. Cela signifie qu’un DVD haute définition peut utiliser un fichier de résolution vidéo HD pour son contenu principal, par exemple un long métrage, puis utiliser des fichiers de résolution vidéo SD pour les fonctionnalités supplémentaires telles que les génériques et les documentaires de tournage.  Les ressources H.264 doivent être progressives, si bien que les fichiers vidéo SD entrelacés doivent être convertis en fichiers progressifs. Sinon, vous pouvez encoder des fichiers MPEG-2 à partir des fichiers vidéo SD entrelacés, puis les ajouter à votre projet DVD.12 173 12 Création de fichiers de séquence d’images Vous pouvez utiliser Compressor pour produire une séquence d’images destinée aux applications de compositing Ce chapitre décrit les séquences d’images que Compressor peut produire à partir de vos fichiers multimédia sources :  Création de fichiers de sortie de séquence d’images (p. 173)  À propos de la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images (p. 174)  Définition de réglages de séquence d’images (p. 175) Création de fichiers de sortie de séquence d’images Le format de sortie Séquence d’images produit un ensemble de fichiers d’images fixes représentant les images vidéo sources. Utilisez cet encodeur pour convertir un plan vidéo en une séquence d’images à utiliser avec des applications de composition incompatibles avec QuickTime. Le format de sortie « Séquence d’images » prend en charge deux formats d’images fixes :  TIFF (Tagged Image File Format) : le format d’image fixe TIFF est l’un des plus courants et des plus flexibles qui soient, et a été développé pour créer un format de fichier standard pour le stockage et l’échange d’images numériques utilisés dans la publication assistée par ordinateur. Il est compatible avec une grande variété d’applications de composition et de traitement d’images.  TARGA (Truevision Advanced Raster Graphics Adapter) : le format TARGA, aussi souvent appelé simplement TGA, est un format d’infographie par quadrillage principalement utilisé par les applications d’animation et vidéo.174 Chapitre 12 Création de fichiers de séquence d’images À propos de la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images La sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images contient les éléments suivants pour vous aider à créer des fichiers de sortie TIFF ou TARGA :  Extension de fichier : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier tiff une fois le format de sortie TIFF sélectionné dans le menu local « Format de fichier » ou dans le menu local (+) de l’onglet Réglages. Ne modifiez pas ce champ.  Autoriser la segmentation de la tâche : cette case vous permet de désactiver la segmentation de tâche. Elle n’est importante que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué et avec l’encodage à deux passes ou multipasse. (Cette fonctionnalité est limitée aux ordinateurs sur lesquels Final Cut Studio est installé.) Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.  Type d’image : choisissez soit TIFF soit TARGA dans le menu local.  Fréq. d’images (ips) : utilisez ce champ et le menu local pour saisir la fréquence d’images à laquelle vous souhaitez que les images fixes soient créées. Plus cette fréquence est élevée, plus le nombre d’images créées est important et plus le fichier de sortie est gros. Par exemple, si vous choisissez 30 images par seconde, Compressor crée 30 images pour chaque seconde de plan en cours de transcodage. Si vous choisissez 8 images par seconde, Compressor ne crée que 8 images fixes par seconde. Choisissez Séquence d’images. Choisissez le type d’image TIFF ou TARGA. Choisissez une fréquence d’images dans le menu local « Fréq. d’images » ou cliquez sur le bouton Automatique.Chapitre 12 Création de fichiers de séquence d’images 175  Créer un répertoire de sortie unique : cochez cette case pour créer un dossier de stockage des fichiers de sortie. Le nom attribué au dossier est celui du fichier multimédia et les fichiers sont stockés dans ce dossier sous le nom image-nnn. Par exemple, si le nom du fichier de sortie est test, le chemin d’accès est destination/test/image-nnn. Si vous ne cochez pas cette case, les fichiers sont stockés au niveau supérieur de votre dossier de destination et nommés nom_de_fichier-nnn au lieu de image-nnn. N’oubliez pas que même à un faible débit de 8 images par seconde, un grand nombre de fichiers est créé lors du transcodage dans ce format de sortie ; la création d’un répertoire de sortie s’avère donc être une bonne solution pour que vos fichiers restent organisés.  Ajouter des zéros en tête des numéros d’images : cochez cette case pour ajouter des zéros non significatifs aux numéros des images. Quand vous choisissez cette méthode, tous les noms des fichiers TIFF comprennent plusieurs chiffres, comme image-000001 (ou nom_de_fichier-000001 si ces fichiers ne sont pas stockés dans un répertoire de sortie unique). Inversement, les fichiers TIFF adoptent des noms standard, tels que cadre-1 (ou nom_de_fichier-1 si ces fichiers ne sont pas stockés dans un répertoire de sortie unique). Définition de réglages de séquence d’images Utilisez le format de sortie « Séquence d’images » pour transcoder un plan vidéo en une série d’images fixes. Pour créer un réglage de séquence d’images : 1 Dans l’onglet Réglages, effectuez l’une des opérations suivantes :  Assurez-vous que le réglage correct est sélectionné.  Créez un réglage en choisissant « Séquence d’images » dans le menu local « Créer un réglage (+) ». 2 Cliquez sur l’onglet Encodeur, puis choisissez « Séquence d’images » dans le menu local « Format de fichier ». La sous-fenêtre « Encodeur de séquence d’images » apparaît. 3 Choisissez le type d’image TIFF ou TARGA. 4 Saisissez une valeur dans le champ Vitesse (ips) ou choisissez une fréquence d’images dans le menu local. 5 Cochez la case « Créer un répertoire de sortie unique » pour que vos fichiers de séquence d’images soient stockés dans leur propre dossier à l’intérieur du dossier de destination. 6 Cochez la case « Ajouter des zéros en tête des numéros d’image » pour que les noms de fichier de sortie de séquence d’images soient au format 0000nn.176 Chapitre 12 Création de fichiers de séquence d’images Important : la fonction de destination distante de Compressor ne prend pas en charge le téléchargement de séquences d’images vers une destination distante (serveur FTP). Utilisez dans ce cas un logiciel de transfert FTP pour pouvoir télécharger la séquence d’images vers des serveurs distants. Consultez la section « À propos de la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images » à la page 174 pour plus d’informations sur la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images. Remarque : vous pouvez consulter le contenu actuel de votre réglage dans la sousfenêtre Résumé de la fenêtre Inspecteur.13 177 13 Création de fichiers de sortie MP3 Compressor fournit les outils nécessaires pour créer des fichiers MP3 exceptionnels. MP3 est un type d’encodage MPEG spécifique officiellement nommé « MPEG audio layer 3 ». MP3 utilise le codage audio perceptif et la compression psychoacoustique pour éliminer toutes les informations superflues (et notamment les parties de signal sonore redondantes et inutiles que l’oreille humaine ne peut pas entendre de toute façon). Le codage MP3 permet donc de réduire les données audio originales d’un CD (dont le débit de données s’élève à 1 411,2 kilobits par seconde de musique stéréo) d’un facteur de 12 (jusqu’à 112 – 128 Kbps) sans trop sacrifier la qualité sonore. Les partisans du format MP3 prétendent que la qualité sonore n’est pas sacrifiée, toutefois les professionnels audio peuvent entendre la différence sur des équipements de qualité. Ce chapitre traite des sujets suivants :  Utilisations courantes du format MP3 (p. 177)  À propos de la sous-fenêtre Encodeur MP3 (p. 178)  Processus de transcodage MP3 (p. 180) Utilisations courantes du format MP3 MP3 est une norme de fichiers audio compressés largement adoptée qui peut être utilisée de différentes manières. En voici quelques exemples : Musique Presque tous les lecteurs de musique portables prennent en charge le format audio MP3. En utilisant des débits plus élevés (256 Kbps, par exemple), vous pouvez créer un fichier audio d’excellente qualité et de taille largement inférieure au format audio non compressé. Vous pouvez également ajouter des métadonnées au fichier, afin de pouvoir afficher, lors de l’ouverture du fichier multimédia source sur de nombreux lecteurs (y comprisiTunes), les informations courantes telles que le nom de l’artiste, de l’album, etc.178 Chapitre 13 Création de fichiers de sortie MP3 Podcasts Le large éventail de débits pris en charge par le MP3 en font le format idéal pour diffuser des podcasts de niveaux de qualité variés, permettant ainsi aux utilisateurs de choisir la taille du fichier et le niveau de qualité qui leur convient. Remarque : pour profiter du plus grand nombre d’options lors de la création de podcasts audio améliorés, utilisez le format de sortie MPEG-4. Vous pouvez ajouter des marqueurs de chapitre et de podcast contenant des URL et des illustrations au fichier de sortie. Pour plus d’informations, consultez le chapitre 16, « Création de fichiers de sortie MPEG-4 », à la page 225. À propos de la sous-fenêtre Encodeur MP3 Cette section contient des informations détaillées sur les différents réglages de la sous-fenêtre Encodeur MP3 de la fenêtre Inspecteur. La configuration des réglages MP3 s’effectue par l’intermédiaire de ces réglages, soit en modifiant un réglage, soit en créant un sous l’onglet Réglages. La sous-fenêtre Encodeur MP3 contient les réglages suivants :  Extension : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier mp3, une fois le format de sortie MP3 sélectionné dans le menu local « Format de fichier » ou dans le menu local (+) de l’onglet Réglages.  Autoriser la segmentation de la tâche : cette case vous permet de désactiver la segmentation de tâche. Comme la segmentation de tâche n’est pas utilisée pour les encodages purement audio, cette case n’est pas activée pour le format de fichier MP3. Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.Chapitre 13 Création de fichiers de sortie MP3 179  Menu local Débit stéréo : plus le nombre de kilobits par seconde (Kbps) en mono ou en stéréo est élevé, plus la qualité des données audio est élevée et plus le fichier est volumineux. Les débits les plus courants pour les fichiers MP3 stéréo se situent entre 128 Kbps et 192 Kbps. Les débits plus faibles sont plus adaptés aux fichiers sonores contenant des enregistrements vocaux (plutôt que de la musique). Voici quelques exemples de réglages et de leur utilisation :  32 Kbps : qualité de radio AM, réglage adapté à un discours de qualité moyenne  96 Kbps : qualité de radio FM, réglage adapté à un discours de haute qualité ou à de la musique de qualité moyenne  128 Kbps : adapté à de la musique de bonne qualité  256 Kbps et 320 Kbps : adapté à de la musique de qualité proche d’un CD audio  Utiliser le codage VBR : ce réglage fait varier le nombre de bits utilisés pour stocker la musique en fonction de la complexité de celle-ci. Il permet de maintenir la taille du fichier à un minimum.  Menu local Echantillonnage : nombre de fois par seconde où les formes d’onde de la musique sont capturées numériquement. Plus le taux d’échantillonnage est important, meilleure est la qualité, mais plus le fichier est volumineux. Ne sélectionnez pas un taux d’échantillonnage supérieur à celui utilisé à l’origine pour stocker la musique, car vous risqueriez de gaspiller de l’espace. La qualité CD, par exemple, s’élève à 44,100 kHz, il est donc inutile de sélectionner un taux d’échantillonnage supérieur lorsque vous effectuez un encodage à partir d’un CD.  Menu local Canaux : si vous ne disposez pas de haut-parleurs stéréo ou si vos fichiers audio sont monophoniques, choisissez Mono (les fichiers mono sont près de deux fois plus petits que les fichiers stéréo). Si vous envisagez d’écouter vos fichiers MP3 sur un système stéréo, choisissez Stéréo.  Stéréo joint : lorsque cette option est désélectionnée, vos fichiers MP3 contiennent une piste pour le canal stéréo de droite et une piste pour le canal de gauche. Dans de nombreux cas, les deux canaux contiennent des informations connexes. Lorsque la case Stéréo joint est activée, un canal porte les informations qui sont identiques sur les deux canaux, tandis que l’autre canal véhicule les informations uniques. À des débits inférieurs ou égaux à 160 Kbps, cela peut améliorer la qualité sonore de vos données audio converties.  Réglages d’encodage avancé : sélectionnez cette option pour que Compressor analyse vos réglages d’encodage et la source musicale, afin d’ajuster les réglages pour maximiser la qualité.  Filtrer les fréquences inférieures à 10 Hz : le filtrage des fréquences inaudibles permet de générer des fichiers moins volumineux, plus efficaces et sans perte de qualité perceptible. 180 Chapitre 13 Création de fichiers de sortie MP3 Processus de transcodage MP3 La manière d’utiliser Compressor pour transcoder vos données audio en fichiers MP3 dépend de l’utilisation que vous souhaitez en faire. Les étapes de base sont les suivantes : Étape 1 : Créez un lot Comme pour tout processus de transcodage, vous devez commencer par créer un lot. Étape 2 : Créez des tâches avec les fichiers audio sources Importez les fichiers audio sources en les faisant glisser du Finder vers le lot ou en choisissant la commande Tâche > Nouvelle tâche avec fichier. Étape 3 : Ajoutez des annotations (si nécessaire) Si vous avez l’intention de lire les fichiers MP3 à l’aide d’un appareil ou d’une application telle qu’iTunes, vous pouvez ajouter diverses annotations, comme le nom de l’artiste, le nom de l’album, le titre et d’autres, qui peuvent être lues et affichées. Étape 4 : Ajoutez des cibles avec un réglage MP3 pour chacune des tâches Chacune des tâches nécessite au moins une cible ; dans ce cas, les tâches ont besoin de cibles avec un réglage MP3. S’il existe plusieurs tâches, il est plus facile de sélectionner toutes les tâches, de choisir Édition > Tout sélectionner, puis Cible > « Nouvelle cible avec réglage », afin d’appliquer le même réglage à toutes les tâches. Étape 5 : Soumission du lot pour transcodage Cliquez sur le bouton Soumettre pour lancer le processus de transcodage.14 181 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 Compressor fournit les outils dont vous avez besoin pour créer des fichiers transcodés MPEG-1 exceptionnels MPEG-1 est une norme de compression internationale, développée par le groupe MPEG (Motion Picture Experts Group). Elle permet de créer des fichiers vidéo de qualité VHS et a été conçue pour prendre en charge la vidéo non entrelacée (progressive) de résolution SIF (Standard Interface Format) en utilisant des débits relativement faibles Compressor prend en charge des débits allant de 0,5 Mbps à 2 Mbps. Elle permet également de créer des séquences audio compressées à un ou deux canaux. Ce chapitre traite des sujets suivants :  Utilisations courantes de MPEG-1 (p. 181)  Spécifications de la norme MPEG-1 (p. 182)  À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 (p. 183)  À propos des flux système et élémentaires (p. 186)  Flux de production de transcodage MPEG-1 (p. 186)  Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une utilisation Web (p. 188)  Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une utilisation DVD (p. 189) Utilisations courantes de MPEG-1 MPEG-1 est une norme largement adoptée, ce qui permet de nombreuses utilisations différentes. En voici quelques exemples : DVD, VCD et CD-ROM MPEG-1 est le format de compression vidéo utilisé pour les titres vidéo CD (VCD) et est compatible avec les titres DVD, car tous les lecteurs de DVD contiennent le matériel requis pour lire les séquences MPEG-1. MPEG-1 est couramment utilisé pour la vidéo distribuée sur CD-ROM. Son faible débit et la taille réduite de ses fichiers sont utiles lorsque vous devez faire tenir plusieurs heures de vidéo sur un DVD et que vous n’avez pas besoin de la qualité de diffusion fournie par le codage MPEG-2. Un DVD peut contenir un mélange de vidéo aux formats MPEG-2 et MPEG-1.182 Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 Sur le web Dans la mesure où MPEG-1 a été l’une des premières normes de compression standard largement répandue, elle présente l’avantage d’être compatible avec la plupart des lecteurs. Cela rend cette norme intéressante pour une utilisation sur le Web où il est nécessaire d’associer une compatibilité maximale avec une qualité relativement élevée. Audio seulement Vous pouvez utiliser la compression audio MPEG-1 couche 2 comme alternative à la compression Dolby Digital Professional ou DTS. Bien qu’il n’y ait pas de réglage Apple, pour les fichiers MPEG-1 audio seulement, dans cette version de Compressor, vous pouvez toujours en créer un vous-même au besoin. Pour plus d’informations, consultez la section « Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une utilisation DVD » à la page 189. Spécifications de la norme MPEG-1 Compressor prend en charge toutes les spécifications MPEG-1 pour la taille d’image, la fréquence d’images, l’encodage vidéo et l’encodage audio. Tailles d’images et fréquences d’images MPEG-1 Compressor peut générer de la vidéo au débit maximal (25 ips et 29,97 ips pour les DVD, 23,976 ips, 25 ips et 29,97 ips pour le Web) avec des résolutions SIF qui dépendent de l’utilisation :  Web : 320 x 240  NTSC : 352 x 240  PAL : 352 x 288 Bien que les résolutions NTSC et PAL correspondent à environ la moitié de la résolution maximale de la vidéo MPEG-2, l’image remplit automatiquement la totalité de l’écran lorsqu’elle est lue sur un lecteur de DVD. Spécifications du format de fichier MPEG-1 L’encodage vidéo MPEG-1 utilise un processus très similaire à celui de l’encodage MPEG-2 ; il applique plusieurs termes et réglages identiques. Dans Compressor, les paramètres de codage sont définis de la façon suivante :  Mode de codage : une passe  Structure GOP : ouverte  Motif GOP : BBIBBP  Longueur GOP : 15 images pour NTSC ; 12 images pour PALChapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 183 Ces paramètres sont fixes et s’appliquent à tous les fichiers de sortie vidéo MPEG-1 de Compressor. Consultez la section « Onglet GOP » à la page 209 pour plus d’informations sur les paramètres GOP (Group of Pictures). Consultez la section « Onglet Qualité » à la page 204 pour plus d’informations sur le mode de codage. Les fichiers de sortie MPEG-1 peuvent contenir des cadres flottants qui ont été forcés sur des images spécifiques en plaçant des marqueurs de compression dessus. Ces marqueurs peuvent être soit ajoutés au fichier source à l’aide de Final Cut Pro, soit ajoutés manuellement dans la fenêtre Preview. Consultez la section « Ajout de marqueurs à un plan » à la page 317 pour plus d’informations. Le format MPEG-1 ne gère pas les marqueurs de chapitre nommés. À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 Cette section contient des informations détaillées sur les différents onglets de la sousfenêtre Encodeur MPEG-1 de la fenêtre Inspecteur. Vous pouvez faire vos réglages MPEG-1 avec ces onglets, en modifiant un réglage existant ou en créant un nouveau réglage dans l’onglet Réglages. La sous-fenêtre de l’encodeur MPEG-1 s’ouvre avec l’onglet Vidéo par défaut en haut ; elle contient les éléments suivants :  Extension : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier MPEG-1 mpg lorsque le format de sortie MPEG-1 a été sélectionné dans le menu local « Format de fichier » ou le menu local (+) de l’onglet Réglages. Il est remplacé par m1v si l’onglet Audio est désactivé ou par m1a si l’onglet Vidéo est désactivé.184 Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1  Autoriser la segmentation de la tâche : cette case vous permet de désactiver la segmentation de tâche. Elle n’a d’intérêt que si vous utilisez le traitement distribué (cette fonctionnalité est limitée aux ordinateurs sur lesquels Final Cut Studio est installé). Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.  Onglets Vidéo et Audio : ces boutons ouvrent les onglets Vidéo et Audio décrits ci-après. Onglet Vidéo Vous pouvez utiliser l’onglet Vidéo pour définir des réglages liés au format vidéo.  Case Activé : assurez-vous que cette case est cochée si vous souhaitez que le format de sortie MPEG-1 inclue les paramètres de l’onglet Vidéo.  Menu local « Fréquence d’images » : choisissez la vitesse de défilement de la vidéo que vous êtes en train de coder.  Avec l’option Web, vous avez le choix entre : 23,976 ips, 25 ips (vitesse PAL), 29,97 ips (vitesse NTSC) et Automatique.  Avec l’option DVD, vous avez le choix entre : 25 ips (vitesse PAL), 29,97 ips (vitesse NTSC) et Automatique. Cliquez sur le bouton Automatique pour forcer l’encodeur à déterminer la fréquence appropriée en choisissant celle qui est la plus proche de la source. Remarque : l’utilisation de l’option Automatique avec des vitesses de défilement source non standard peut entraîner des vitesses de sortie qui ne correspondent pas à la vitesse de défilement vidéo prévue. Par exemple, une vitesse de défilement source de 15 ips avec l’option DVD entraîne la sélection automatique de 25 ips (PAL). Si vous prévoyez d’utiliser la sortie sur un DVD NTSC, vous devez choisir 29,97 ips comme vitesse de défilement.  Boutons d’utilisation : choisissez l’utilisation prévue des fichiers de sortie. Bouton AutomatiqueChapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 185  Web : force la résolution sur 320 x 240, indépendamment de l’option « Fréquence d’images » sélectionnée.  DVD : permet à la fréquence sélectionnée de déterminer la résolution. Avec une vitesse de défilement de 29,97 ips, la résolution est de 352 x 240. Avec une vitesse de 25 ips, la résolution est de 352 x 288.  Débit : utilisez ce curseur pour choisir le débit à utiliser pour la vidéo de sortie, ou bien saisissez une valeur directement dans le champ. La plage disponible étant comprise entre 0,5 Mbps et 2,0 Mbps, la valeur à utiliser dépend de la façon dont la sortie doit être utilisée. Les débits élevés donnent des images de meilleure qualité, mais les fichiers de sortie sont plus volumineux.  Pour les projets Web, choisissez le meilleur compromis entre qualité de l’image, taille du fichier et temps de téléchargement.  Pour les projets VCD, le débit vidéo recommandé est de 1,15 Mbps, avec un débit de flux système (vidéo et audio multiplexées dans le même fichier) inférieur à 1,3944 Mbps.  Pour les projets DVD, le débit vidéo standard est de 1,15 Mbps, le maximum autorisé étant de 1,856 Mbps. Onglet Audio Vous pouvez utiliser l’onglet Audio pour associer des réglages au format audio.  Case Activé : assurez-vous que cette case est cochée si vous souhaitez que le format de sortie MPEG-1 inclue les paramètres de l’onglet Audio.  Menu local Échantillonnage : choisissez la fréquence d’échantillonnage de l’audio de sortie.  48 kHz : requis pour une utilisation sur des DVD.  44,1 kHz : utilisé sur les CD audio. Il s’agit de la fréquence d’échantillonnage la plus répandue. 186 Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1  Boutons Canaux : indiquez si vous souhaitez créer une séquence audio de sortie sté- réo ou mono.  Menu local Débit : sélectionnez le débit à utiliser pour l’audio de sortie. Les options proposées sont les suivantes : 64 Kbps, 128 Kbps, 192 Kbps, 224 Kbps et 384 Kbps. Si des débits supérieurs offrent une meilleure qualité audio, ils génèrent également des fichiers de sortie plus volumineux. Remarque : les valeurs 224 Kbps et 384 Kbps ne sont pas disponibles lorsque l’option Canaux est réglée sur Mono. À propos des flux système et élémentaires Vous pouvez utiliser Compressor pour créer des flux MPEG-1 système ou élémentaires. Flux système Les flux système, également appelés flux multiplexés, associent les composants vidéo et audio dans un même fichier. Ce type de flux est le plus souvent utilisé dans les applications Web. Compressor crée automatiquement un flux système lorsque vous activez les onglets Vidéo et Audio dans le même réglage. Flux élémentaires Dans les flux élémentaires, des fichiers distincts sont utilisés pour les composants vidéo et audio. Certaines applications, telles que DVD Studio Pro, requièrent des flux élémentaires. Compressor crée automatiquement un flux élémentaire si seul l’onglet Vidéo ou Audio est activé. Pour créer des flux élémentaires à partir de la vidéo et de l’audio, vous devez utiliser deux réglages, un avec l’onglet Vidéo activé utilisant l’extension de fichier .m1v, l’autre avec l’onglet Audio activé utilisant l’extension de fichier .m1a. Flux de production de transcodage MPEG-1 Cette section vous propose des instructions de configuration de vos attributs MPEG-1 étape par étape, avant la création de fichiers de sortie MPEG-1 avec Compressor. Configurez vos réglages MPEG-1 à partir de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1, soit en modifiant un réglage existant, soit en en créant un autre. Suivez les étapes ci-après pour savoir comment utiliser le format de fichier de sortie MPEG-1.Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 187 Exemples de paramètres MPEG-1 Les paramètres que vous utilisez varient selon que vous procédez au codage pour le Web ou pour un projet de DVD. Codage pour le Web Utilisez les paramètres suivants lors du codage de flux système MPEG-1 pour le Web. Onglet Vidéo  Vitesse : automatique.  Utilisation : Web.  Débit : le plus faible possible, tout en conservant une qualité d’image acceptable. Onglet Audio  Échantillonnage : 44,1 kHz.  Canaux : stéréo avec les sources à deux canaux, mono avec les sources à un seul canal.  Débit : le plus faible possible, tout en conservant une qualité audio acceptable ; utilisez des débits plus élevés lors de l’encodage audio stéréo. Codage pour un DVD Utilisez les réglages suivants pour configurer deux réglages lorsque vous encodez des flux élémentaires MPEG-1 destinés à la création de DVD. Réglage de flux vidéo élémentaire : onglet Vidéo  Vitesse : 29,97 pour NTSC ou 25 pour PAL.  Utilisation : DVD.  Débit : 1,15 Mbps. Réglage de flux vidéo élémentaire : onglet Audio  Case Activé non cochée. Réglage de flux audio élémentaire : onglet Vidéo  Case Activé non cochée. Réglage de flux audio élémentaire : onglet Audio  Échantillonnage : 48 kHz.  Canaux : stéréo avec les sources à deux canaux, mono avec les sources à un seul canal.  Débit : 192 Kbps ou 224 Kbps.188 Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une utilisation Web La procédure qui suit vous guide à travers la configuration du format de fichier de sortie MPEG-1 pour une utilisation Web. Ce processus crée un flux système MPEG-1 unique. Étape 1 : Ouvrez la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 et choisissez les paramètres Vidéo 1 Ouvrez l’onglet Réglages puis choisissez MPEG-1 dans le menu local « Créer un réglage (+) ». La sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 s’ouvre dans l’Inspecteur, avec l’onglet Vidéo qui s’affiche par défaut. 2 Nommez le nouveau réglage « MPEG-1 pour le Web ». 3 Cochez la case Activé. 4 Cliquez sur le bouton Automatique à côté du menu local « Fréquence d’images. » Vous pouvez aussi choisir 23,976, 29,97 ou 25 dans le menu local « Fréquence d’images » de la vidéo source. 5 Sélectionnez le bouton Web. Cela permet de régler la résolution de sortie sur 320 x 240. 6 Utilisez le curseur Débit pour choisir le débit à utiliser ou saisissez directement une valeur. Activez l’onglet Vidéo. Cliquez sur le bouton Automatique ou choisissez une fréquence d’images. Sélectionnez Web pour régler la résolution sur 320 x 240. Sélectionnez le débit.Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 189 Étape 2 : Sélectionnez les paramètres Audio 1 Cliquez sur le bouton Audio dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 pour ouvrir l’onglet correspondant. 2 Cochez la case Activé. 3 Choisissez 44,1 kHz dans le menu local Échantillonnage. 4 Sélectionnez Stéréo si vous utilisez des sources audio à deux canaux et Mono pour les sources audio à un seul canal. 5 Choisissez le débit à utiliser dans le menu local correspondant. 6 Cliquez sur le bouton Enregistrer (dans le coin inférieur droit de l’Inspecteur) pour enregistrer ce réglage. Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une utilisation DVD La procédure qui suit vous guide à travers la configuration du format de fichier de sortie MPEG- destiné à une utilisation DVD. Ce processus crée deux réglages, un pour la vidéo et l’autre pour l’audio, en créant des flux élémentaires. Création du réglage Vidéo MPEG-1 pour DVD La procédure qui suit permet de créer le réglage pour un fichier de sortie vidéo MPEG-1 élémentaire. Étape 1 : Créez le réglage Vidéo MPEG-1 pour DVD 1 Ouvrez l’onglet Réglages et choisissez MPEG-1 dans le menu local « Créer un réglage » (+). Un nouveau réglage est ajouté à la liste. 2 Nommez le nouveau réglage « Vidéo MPEG-1 pour DVD ». Consultez la section « Création d’un réglage entièrement nouveau » à la page 100 pour plus d’informations. Activez l’onglet Audio. Sélectionnez la fréquence d’échantillonnage 44,1 kHz. Sélectionnez le nombre de canaux audio. Sélectionnez le débit.190 Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 Étape 2 : Ouvrez la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 et configurez les réglages Vidéo 1 Cliquez sur l’onglet Encodeur, puis choisissez MPEG-1 dans le menu local « Format de fichier ». 2 Cliquez sur le bouton Vidéo dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 pour ouvrir l’onglet Vidéo. 3 Cochez la case Activé. 4 Choisissez la fréquence d’échantillonnage correspondant à votre vidéo source (29,97 ou 25) dans le menu local Échantillonnage. 5 Sélectionnez le bouton DVD. La résolution de sortie correspond ainsi à la vitesse de défilement sélectionnée. 6 Utilisez le curseur Débit pour choisir le débit à utiliser ou saisissez directement une valeur. Pour les projets DVD, la valeur standard est de 1,15 Mbps, le maximum autorisé étant de 1,856 Mbps. Activez l’onglet Vidéo. Sélectionnez la vitesse de défilement. Sélectionnez DVD pour que la résolution corresponde à la vitesse de défilement. Sélectionnez le débit. L’extension de fichier devient m1v dès que l’onglet Audio est désactivé.Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 191 Étape 3 : Désactivez l’audio pour le réglage vidéo 1 Cliquez sur le bouton Audio dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 pour ouvrir l’onglet correspondant. 2 Désactivez la case Activé. Cela permet de régler l’extension de fichier sur m1v et de garantir que ce préréglage crée uniquement un flux vidéo élémentaire. 3 Cliquez sur le bouton Enregistrer (dans le coin inférieur droit de l’Inspecteur) pour enregistrer ce réglage. Le réglage « Vidéo MPEG-1 pour DVD » est enregistré. Création du réglage Audio MPEG-1 pour DVD La procédure qui suit permet de créer le réglage pour un fichier de sortie audio MPEG-1 élémentaire. Étape 1 : Création du réglage Audio MPEG-1 pour DVD 1 Ouvrez l’onglet Réglages et cliquez sur le bouton « Ajouter un préréglage » (+). Un nouveau réglage est ajouté à la liste. 2 Nommez le nouveau réglage « Audio MPEG-1 pour DVD ». Consultez la section « Création d’un réglage entièrement nouveau » à la page 100 pour plus d’informations. Désactivez l’onglet Audio.192 Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 Étape 2 : Désactivez la vidéo pour le réglage audio 1 Cliquez sur l’onglet Encodeur, puis choisissez MPEG-1 dans le menu local « Format de fichier ». 2 Cliquez sur le bouton Vidéo dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 pour ouvrir l’onglet Vidéo. 3 Désactivez la case Activé. Cela permet de garantir que ce préréglage crée uniquement un flux vidéo élémentaire, et l’extension du fichier devient m1a. Étape 3 : Configurez les réglages Audio 1 Cliquez sur le bouton Audio dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 pour ouvrir l’onglet correspondant. 2 Cochez la case Activé. 3 Choisissez 48 kHz dans le menu local Échantillonnage. 4 Sélectionnez Stéréo si vous utilisez des sources audio à deux canaux et Mono pour les sources audio à un seul canal. 5 Choisissez le débit à utiliser dans le menu local correspondant. Les valeurs habituelles utilisées pour les projets DVD sont 192 Kbps et 224 Kbps. Désactivez l’onglet Vidéo. L’extension de fichier devient m1a lorsque l’onglet Vidéo est désactivé. Activez l’onglet Audio. Sélectionnez la fréquence d’échantillonnage 48 kHz. Choisissez soit Stéréo, soit Mono. Sélectionnez le débit.Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 193 6 Cliquez sur le bouton Enregistrer (dans le coin inférieur droit de l’Inspecteur) pour enregistrer ce réglage. Le préréglage « Audio MPEG-1 pour DVD » est enregistré. Création d’un groupe et d’une destination Pour faciliter l’utilisation de ces deux préréglages MPEG-1 avec une source, vous pouvez les rassembler en créant un groupe de préréglages. Consultez la section « Création de groupes de réglages » à la page 104 pour plus d’informations. Pour faciliter l’utilisation des fichiers de sortie créés par ces préréglages dans DVD Studio Pro, créez une destination qui garantisse que les fichiers de sortie vidéo et audio aient le même nom, mais pas les mêmes extensions. Consultez la section « Création de destinations à utiliser avec DVD Studio Pro » à la page 335 pour plus d’informations.15 195 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 Compressor fournit les outils dont vous avez besoin pour créer des fichiers transcodés MPEG-2 exceptionnels MPEG-2 est un standard international de compression, développé par le groupe MPEG (Motion Picture Experts Group). Le format MPEG-2 vous permet de créer des fichiers vidéo de qualité diffusion et a été conçu pour prendre en charge des vidéos à haut débit et à haute résolution. Ce format de compression est celui utilisé pour les titres vidéo de haute qualité sur DVD, la diffusion en haute définition et les systèmes de télévision par satellite. Tous les lecteurs DVD disposent du matériel requis pour la lecture MPEG-2. Ce chapitre traite des sujets suivants :  À propos du format MPEG-2 en définition standard (p. 195)  À propos des sources haute définition et de MPEG-2 (p. 196)  À propos des flux élémentaires, des flux de transport et des flux de programme (p. 197)  À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 (p. 198)  Flux de production de transcodage MPEG-2 (p. 216) À propos du format MPEG-2 en définition standard La norme MPEG-2 est définie par une fréquence d’images maximale (23,98 à 29,97 images par seconde) et une résolution plein écran (720 x 480 en NTSC et 720 x 576 en PAL). Le MPEG-2 présente les caractéristiques suivantes :  Prise en charge de la vidéo entrelacée : MPEG-2 prend en charge aussi bien la vidéo entrelacée que la vidéo progressive. Comme les contenus MPEG-2 sont généralement lus à partir d’un lecteur DVD local plutôt que sur un réseau (où la bande passante est variable), la fréquence d’images est habituellement constante et la vidéo semble d’une régularité parfaite.  Non-prise en charge de la lecture en continu : le MPEG-2 n’est pas adapté à la lecture en continu de fichiers vidéo sur le web, car il requiert un débit élevé (de 2 à 9 Mbps) pour maintenir une qualité d’image acceptable. 196 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 Remarque : l’encodeur de Compressor peut créer des flux vidéo MPEG-2 pour le format DVD vidéo. La création de disques DVD vidéo requiert une application particulière, telle que DVD Studio Pro, qui doit être utilisée conjointement à Compressor. À propos des sources haute définition et de MPEG-2 Compressor offre différentes options et différents flux de production pour le transcodage de fichiers source vidéo haute définition (HD) en fichiers MPEG-2. HD sur DVD Compressor peut générer des fichiers MPEG-2 pour la création de DVD HD (haute définition) à partir de données source HD ou SD (définition standard). Compressor peut conserver les différentes tailles et fréquences d’images de la vidéo haute définition lors du transcodage au format MPEG-2. En outre, Compressor prend en charge les débits plus élevés requis par les formats de DVD HD. Pour plus d’informations sur la création d’une sortie pour les DVD HD, consultez la section « À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 » à la page 198 et le Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro. Remarque : l’autre format de fichier de sortie pour les DVD HD est H.264, également appelé MPEG-4 Partie 10. H.264 est actuellement obligatoire dans les deux nouvelles spécifications de DVD haute définition (DVD HD et Blu-Ray). Pour plus d’informations sur la création de fichiers H.264 pour la HD sur DVD, consultez la section « Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro » à la page 165. Conversion de HD en SD Lorsque vous montez des sources haute définition (HD) dans Final Cut Pro et que vous souhaitez créer un DVD en définition standard à partir de ces sources, utilisez les moyens de conversion fournis par Compressor. Compressor conserve le maximum de détails possible lors de la conversion et préserve les formats progressifs ou entrelacés lors du codage en format MPEG-2 pour les DVD. Pour afficher la résolution des données source et la vitesse de défilement : 1 Importez le fichier multimédia source dans la fenêtre Lot. 2 Cliquez sur le nom de la source dans la fenêtre Lot. La résolution et la vitesse de défilement du fichier source, ainsi que sa durée, apparaissent dans l’angle inférieur gauche de la fenêtre Preview.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 197 À propos des flux élémentaires, des flux de transport et des flux de programme Il existe trois types courants de flux MPEG-2 utilisés pour générer de la vidéo encodée en MPEG-2 :  Flux élémentaires : ces flux contiennent un seul canal de contenu MPEG-2 et pas de données audio. Vous devez utiliser des flux élémentaires si vous souhaitez utiliser votre vidéo encodée en MPEG-2 comme ressource DVD Studio Pro.  Flux de transport : ces flux contiennent un seul canal de contenu MPEG-2 et ses données audio associées. Tous les canaux sont multiplexés, ce qui permet au destinataire de choisir le canal qu’il souhaite lire. Compressor prend en charge la création de flux de transport à canal unique pouvant éventuellement inclure des données audio. Les flux de transport peuvent également reprendre après une interruption, ce qui les rend particulièrement adaptés aux applications de diffusion et de lecture en continu dans lesquelles le bruit ou l’encombrement du réseau peuvent provoquer des interruptions.  Flux de programme : ces flux contiennent un seul canal de contenu MPEG-2 et ses données audio associées. Les flux de programme nécessitent une méthode de diffusion sans erreur et sont principalement utilisés pour le stockage ou le traitement au sein d’un ordinateur. Par défaut, l’encodeur MPEG-2 de Compressor crée des flux MPEG-2 élémentaires. Vous pouvez cependant configurer l’encodeur MPEG-2 pour qu’il crée des flux de transport ou de programme et décider s’ils doivent contenir ou non des données audio dans l’onglet Compléments. Consultez la section « Onglet Compléments » à la page 211 pour plus d’informations. Remarque : tous les réglages d’utilisation de flux, à l’exception des réglages génériques, génèrent des flux élémentaires. Si vous sélectionnez l’un des réglages d’utilisation de flux et que vous configurez la sortie pour générer un flux de transport ou de programme, l’utilisation de flux devient générique. Consultez la section « Utilisation de flux » à la page 199 pour plus d’informations.198 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 Cette section contient des informations détaillées sur les différents onglets de la sousfenêtre Encodeur MPEG-2 de la fenêtre Inspecteur. La configuration des réglages MPEG-2 s’effectue par l’intermédiaire de ces onglets, soit en modifiant un réglage, soit en créant un sous l’onglet Réglages. La sous-fenêtre MPEG-2, qui contient les éléments décrits ci-après, s’ouvre par défaut sur l’onglet Format vidéo :  Champ Extension : affiche automatiquement l’extension de fichier MPEG-2 m2v automatiquement dès que le format de sortie MPEG-2 est sélectionné dans le menu local « Format du fichier ».  Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation des tâches. Elle n’est importante que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué et avec l’encodage à deux passes ou multipasse. (La fonctionnalité de traitement distribué est limitée aux ordinateurs sur lesquels est installé Final Cut Studio.) Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.  Utilisation de flux : ce menu local permet de choisir l’utilisation du flux MPEG-2. Compressor modifie les options disponibles et la plage de débits en fonction de l’utilisation que vous choisissez dans ce menu local. Consultez la section « Utilisation de flux, » qui suit, pour plus d’informations.  Format vidéo, Qualité, GOP et Compléments : cliquez sur ces boutons pour ouvrir les onglets Format vidéo, Qualité, GOP et Compléments. Les réglages de ces onglets sont expliqués dans les sections suivantes.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 199 Utilisation de flux Le choix d’un réglage du menu local « Utilisation de flux » permet de s’assurer que le flux encodé en MPEG-2 sera adapté à l’utilisation que vous souhaitez en faire. Les options du menu local « Utilisation du flux » comprennent :  Générique : l’option générique vous donne un accès complet à tous les réglages MPEG-2. C’est la seule option qui prend en charge le format vidéo MPEG-2 640 x 480 en plus des formats vidéo SD et HD. C’est également la seule option qui prend en charge la création de flux de transport et de programme. Elle prend en charge la plage de débits complète comprise entre 2,0 Mbps et 40,0 Mbps.  DVD SD : l’option DVD SD restreint les options d’encodage aux options admises par la spécification DVD SD. Cela inclut les formats vidéo NTSC et PAL et une plage de débits compris entre 2,0 Mbps et 9,0 Mbps.  Blu-ray : l’option Blu-ray restreint les options d’encodage aux options autorisées par les disques vidéo Blu-ray. Cela inclut les formats vidéo SD et HD et une plage de débits compris entre 10,0 Mbps et 40,0 Mbps.  HD DVD : l’option HD DVD restreint les options d’encodage aux options admises par la spécification HD DVD. Cela inclut les formats vidéo SD et HD et une plage de débits qui varie en fonction du format vidéo sélectionné.  Pour les formats vidéo HD, la plage de débits va de 10,0 Mbps à 29,4 Mbps.  Pour les formats vidéo SD, la plage de débits va de 2,0 Mbps à 15,0 Mbps. Onglet Format vidéo Utilisez l’onglet Format vidéo pour configurer les réglages liés aux formats vidéo, aux fréquences d’images, aux proportions, à la priorité de trame et au timecode. Tous ces réglages, sauf le timecode, peuvent être définis pour une configuration automatique en fonction des données vidéo encodées. L’onglet Format vidéo contient les contrôles suivants :200 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2  Menu local Format vidéo : choisissez votre format de fichier de sortie vidéo parmi NTSC, PAL, 720p, HD 1440x1080, HD 1920x1080 ou diverses versions de formats de largeur égale à 640. Les réglages « Utilisation de flux » déterminent lesquels de ces formats sont réellement disponibles. Lorsque vous choisissez un réglage Format vidéo, les autres réglages de cet onglet sont remplis avec des valeurs par défaut ou ils sont grisés, indiquant qu’il existe des options pour ce réglage. Les éléments NTSC et PAL font référence aux réglages de définition standard pour les normes TV NTSC et PAL. Concernant les principales régions d’utilisation du DVD, sachez que le format NTSC est utilisé en Amérique du Nord et au Japon, tandis que la norme PAL est utilisée partout en Europe. Normalement, le format vidéo de sortie devrait correspondre au format vidéo source. Pour la vidéo entrelacée créée à partir de caméscopes traditionnels NTSC ou PAL, choisissez NTSC ou PAL dans ce menu local. Si vous ne connaissez pas le format vidéo de votre fichier multimédia source, vous pouvez choisir Automatique. Ce paramètre analyse la fréquence d’images d’un plan multimédia source pour déterminer le format vidéo adéquat. Si vous cliquez sur le bouton de format vidéo Automatique, la taille GOP est limitée à 12 ou 15 (en fonction du format de la vidéo, PAL ou NTSC) avec un modèle IBBP fermé. Avec l’option Automatique sélectionnée, vous ne pouvez changer aucun des réglages de fréquence d’images sous cet onglet, ou les réglages GOP sous l’onglet GOP. Consultez la section « Compréhension des types de GOP et d’images » à la page 211 pour plus d’informations sur les GOP. Remarque : comme le format MPEG-2 pour DVD met en œuvre des tailles d’images vidéo fixes (cf. le tableau ci-dessous), Compressor introduit automatiquement les dimensions de l’image de sortie dans les champs de la sous-fenêtre Géométrie en fonction du format vidéo choisi. Le format vidéo que vous choisissez détermine les options des caractéristiques associées, telles que la taille d’image et la fréquence d’images, les proportions et la priorité de trame. Bouton Format vidéo AutomatiqueChapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 201 Remarque : les dimensions normales de l’image d’une vidéo numérique NTSC en résolution standard sont de 720 x 486. En conséquence, si vous souhaitez transcoder un fichier source en utilisant le paramètre NTSC, celui-ci est rogné par Compressor afin d’être conforme à la taille d’image MPEG-2 de 720 x 480, sauf si vous avez spécifié des attributs de rognage pour votre préréglage. Dans le cas contraire, Compressor rogne deux lignes de pixels à partir du haut et quatre lignes à partir du bas. Cet attribut de rognage n’est que temporaire et n’est pas enregistré dans le réglage. Vous pouvez visualiser les effets du rognage en double-cliquant sur le réglage dans la tâche pour ouvrir la fenêtre Preview. Format vidéo Taille d’image (en pixels) Fréquence d’images (images par seconde) Proportions Méthode de balayage NTSC 720 x 480 23,98 (progressive uniquement), 29,97 4:3 ou 16:9 Entrelacée, progressive PAL 720 x 576 25 4:3 ou 16:9 Entrelacée, progressive 720p 1280 x 720 23,98, 25, 29,97, 50, 59,94 16:9 Progressif HD 1440x1080 1440 x 1080 23,98 (progressive uniquement), 25, 29.97 16:9 Entrelacée, progressive HD 1920x1080 1920 x 1080 23,98 (progressive uniquement), 25, 29.97 16:9 Entrelacée, progressive 640x480 (1,33) 640 x 480 23,98, 25, 29,97 4:3 ou 16:9 Entrelacée, progressive 640x360 (1,78) 640 x 360 23,98, 25, 29,97 4:3 ou 16:9 Entrelacée, progressive 640x352 (1,82) 640 x 352 23,98, 25, 29,97 4:3 ou 16:9 Entrelacée, progressive 640x384 (1,67) 640 x 384 23,98, 25, 29,97 4:3 ou 16:9 Entrelacée, progressive 640x320 (2,00) 640 x 320 23,98, 25, 29,97 4:3 ou 16:9 Entrelacée, progressive202 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2  Menu local « Fréquence d’image » : choisissez la fréquence d’image prévue pour le fichier de sortie MPEG-2. Les films et certains caméscopes récents créent des contenus progressifs à 24 images par seconde (ou à 23,98 images par seconde avec la variante NTSC). Bien que le terme « 24p » implique une vidéo avec une fréquence d’images de 24 ips, la fréquence d’images est généralement de 23,976 ips (arrondie à 23,98) ips. Pour transcoder ces sources pour la lecture de DVD sur des téléviseurs NTSC, choisissez le réglage 23,98. Consultez la section « Environ 24p (23,98p) » à la page 204 pour plus d’informations.  Menu local Proportions : choisissez les proportions de votre fichier vidéo. Le paramètre par défaut est 4:3 et l’option 16:9 est utilisée pour les DVD anamorphosés. Ces proportions déterminent la manière dont l’image remplit l’écran de la télévision. Un DVD en 16:9 (grand écran) vu sur une télévision classique 4:3 s’affiche au format boîte aux lettres (bandes noires en haut et en bas de l’écran). Au contraire, un DVD grand écran vu sur une télévision 16:9 (grand écran) résulte en un remplissage complet de l’écran. À propos des fréquences d’image NTSC La fréquence de défilement généralement indiquée pour le format NTSC est de 29,97 images par seconde. De la même manière, la « version NTSC » à 24 images par seconde est mentionnée à la place de la version à 23,98 images par seconde. Ces deux nombres (29,97 et 23,98) sont des approximations des valeurs réelles 30/1,001 et 24/1,001, c’est-à-dire respectivement 29,97003 et 23,97602 avec plus de décimales. Ces valeurs montrent que 29,97 est une approximation relativement bonne de 30/1,001 (décalage de 3 images seulement pour 100 000 secondes), mais que 23,976 serait nettement mieux que 23.98. En fait, même si la valeur 23,98 est utilisée par commodité dans l’Aide Compressor et dans l’interface utilisateurde Compressor, une précision supérieure ou égale à 23,976 est gérée en interne dans Compressor QuickTime et généralement dans QuickTime également.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 203  Menu local « Priorité de trame » : choisissez si ce sera la première ou la dernière trame de votre fichier multimédia source entrelacé qui sera prioritaire (la première) dans le fichier vidéo de sortie MPEG-2. Si vous choisissez Automatique (par défaut), Compressor analyse la vidéo source et essaie de déterminer automatiquement quelle est la trame prioritaire. La trame prioritaire des vidéos sources DV est la trame inférieure. Ce réglage ne concerne pas le format vidéo 720p, car ce format doit être progressif. Remarque : pour la vidéo entrelacée, la première trame est également appelée trame supérieure ou impaire, tandis que la dernière trame est également appelée trame inférieure ou paire.  Champ et case à cocher « Choisir le timecode de départ » : si vous ne sélectionnez pas cette case (état par défaut), Compressor incorpore le timecode existant du fichier multimédia source au fichier multimédia de sortie. Toutefois, en cochant cette case vous pouvez écraser le timecode existant et en introduire un nouveau dans le champ contigu. Ce champ reste inactif tant que la case n’est pas cochée, et s’il n’est pas rempli, le fichier multimédia de sortie utilise le timecode par défaut 00:00:00:00.  Case à cocher Drop frame : si vous avez déjà coché la case « Choisir le timecode de départ » et que vous souhaitez un timecode Drop Frame (plutôt que Non-Drop Frame), vous devez également cocher cette case. Le timecode est un système de numérotation pour l’étiquetage des images dans une séquence vidéo. Dans le cas des vidéos à 30 images par seconde, le timecode fonctionne avec un compteur d’images, qui compte de 0 à 29 puis incrémente le compteur de secondes avant de revenir à 0. Ce type de timecode, également connu sous le nom de timecode 30 images, maintient dans ce cas une mesure précise du temps écoulé. Cependant, dans le cas des vidéos NTSC, la fréquence d’images est égale à 29,97 images par seconde. Un timecode en temps réel a donc été conçu pour fournir des mesures plus précises du temps écoulé. Le timecode en temps réel saute les images 0 et 1 de chaque nouvelle minute, sauf toutes les 10 minutes. Par exemple, le timecode en temps réel 01:08:59;29 est suivi de 01:09:00;02, car les timecodes 01:09:00;00 et 01:09:00;01 ont été sautés. Remarque : le timecode en temps réel ne s’applique que si vous utilisez des vidéos NTSC entrelacées.204 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 Onglet Qualité L’onglet Qualité permet de définir le débit de votre vidéo, afin de pouvoir la transcoder à une taille et à une qualité convenables. Outre les contrôles, l’angle inférieur droit affiche une estimation du nombre de minutes de vidéo pouvant tenir sur un DVD de 4,7 Go en tenant compte des paramètres actuels. Cette durée suppose l’utilisation d’un flux audio AIFF avec le flux MPEG-2. Environ 24p (23,98p) Pour la création et l’encodage de DVD, le format 24P se réfère à une séquence vidéo qui contient 24 images progressives (non entrelacées) par seconde, avec une résolution d’image standard de type NTSC (720 x 480 pour le MPEG-2). La fréquence d’images naturelle des films est de 24 images par seconde, et comme le format MPEG-2 est capable de représenter en interne des vidéos à cette fréquence, de nombreux films DVD commerciaux sont encodés à l’aide de cette méthode. Cependant, chaque fois que vous utilisez de la vidéo NTSC dans votre projet, la fréquence d’images des données transférées à partir d’un film est ralentie de 24 ips à 23,976 ips (arrondi à 23,98) et un pulldown 2:3:2:3 est ajouté. Ainsi, le terme plus précis est en fait « 23,98p ». Compressor peut également effectuer cette opération pour les fichiers vidéo sources 24p. Pour ce type de fichiers, l’option de fréquence d’images 23,98 (sous l’onglet Format vidéo) compresse une par une chaque image source, sans compresser les images ou les trames qui se répètent, dans le but d’obtenir une fréquence d’images de 29,97 images par seconde. Avec un taux de compression inférieur, le résultat obtenu est de meilleure qualité que si le fichier avait été converti à 29,97 images par seconde avant le transcodage. Compressor définit en outre convenablement les indicateurs d’images MPEG-2 internes, ce qui permet aux lecteurs DVD d’appliquer de manière appropriée le processus pulldown 3:2 pour l’affichage de 29,97 images entrelacées par seconde sur des télévisions NTSC. Remarque : si la fréquence d’images de votre vidéo source est de 24,00 images par seconde au lieu de 23,98, Compressor saute une image toutes les 1000 images source. Au contraire, lorsque la fréquence de la vidéo source 24P est de 23,98 images par seconde, Compressor transcode toutes les images sources, sans en sauter ou en répé- ter aucune.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 205 L’onglet Qualité contient les contrôles suivants :  Menu local Mode : vous permet de choisir l’un des modes d’encodage MPEG-2 ciaprès. Les modes haute définition (HD) sont « VBR 1 passe optimal » et « VBR 2 passes optimal ».  CBR une passe : si vous utilisez ce mode, le débit du flux vidéo MPEG-2 de sortie est maintenu à un taux à peu près constant d’un GOP à l’autre. Ce mode d’encodage MPEG-2 est le plus rapide de Compressor et permet d’obtenir une qualité finale bonne, voire très bonne, notamment à des débits compris entre 5 et 9 Mbps.  VBR une passe : ce mode d’encodage VBR (débit variable) a pour but d’assurer une qualité constante (au détriment d’un débit constant) du fichier vidéo transcodé. Ainsi, dans les scènes très détaillées ou en mouvement rapide, Compressor autorise un débit supérieur à celui des séquences moins détaillées ou fixes du flux vidéo. Malgré cette variation de débit, Compressor veille à ce que le débit moyen soit conforme à la valeur que vous avez spécifiée et à ce que le débit maximum ne soit pas dépassé. Contrairement au mode à deux passes, ce mode ne permet pas de parcourir la totalité du média source avant son transcodage, ce qui entraîne une distribution de débit moins optimisée que celle obtenue avec un débit variable à deux passes. Néanmoins, pour la plupart des fichiers de données en définition standard (SD) à des débits de 3,5 Mbits et plus, la qualité finale est bonne ou excellente et le transcodage est rapide. Menu local Mode Estimation de la durée pour un disque de 4,7 Go avec un flux audio AIFF stéréo Menu local « Estimation d’animation »206 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2  VBR 1 passe optimal : cette option est similaire au mode VBR à une passe, mais dans ce mode, Compressor donne la priorité à ses processus décisionnels internes. Malgré un transcodage plus lent dans ce mode qu’en VBR 1 passe, la qualité vidéo SD finale à des débits de 3 à 3,5 Mbits/s et au-delà est excellente, voire exceptionnelle. Les débits en MPEG-2 HD peuvent aller de 10 à 29 Mbps en moyenne, de 12 à 29 Mbps au maximum. Comparé au mode VBR 1 passe, ce mode offre une meilleure qualité, notamment avec des données difficiles à traiter à de faibles débits. Remarque : pour les flux courts d’une ou deux minutes tout au plus, la précision du débit peut être réduite de 10 à 30 % quel que soit le mode précédent utilisé.  VBR 2 passes : dans ce mode, Compressor lit deux fois l’ensemble du fichier vidéo source. Durant la première passe, Compressor analyse entièrement le flux vidéo source avant de le transcoder dans le but de déterminer le degré de difficulté de l’encodage de chaque scène. Il crée ensuite un plan de distribution de débit qui affecte le débit le plus rapide aux scènes les plus complexes et le débit le plus lent aux scènes les plus simples, en veillant à obtenir un débit moyen conforme à la valeur indiquée sans dépasser le débit maximum spécifié. Lors de la deuxième passe, Compressor procède à la compression, en créant le fichier vidéo de sortie MPEG-2 conformément à son plan de distribution de débit. Tout comme le mode VBR 1 passe, le but du mode VBR 2 passes est d’obtenir une qualité constante plutôt qu’un débit constant. En revanche, le mode VBR deux passes est capable de déterminer où distribuer au mieux les bits dans le fichier multimédia source avant de commencer son encodage. L’inconvénient de ce processus est que la durée du transcodage est près de deux fois plus longue qu’en mode VBR une passe. Bien qu’il soit impossible d’obtenir une qualité deux fois meilleure, la qualité finale est en général plus régulière en mode VBR 2 passes qu’en mode VBR 1 passe, notamment avec des fichiers de données sources dans lesquels les différences entre les scènes les plus complexes et les scènes les plus simples sont notables.  VBR 2 passes optimal : ce mode favorise plus ses processus décisionnels internes que le mode VBR 2 passes. En conséquence, la durée de l’encodage est plus longue. Cependant, la qualité offerte par l’encodeur MPEG-2 de Compressor est la meilleure possible. Ce mode offre une qualité exceptionnelle à des débits de 3 à 5,5 Mbps et au-delà pour la vidéo en définition standard (SD). Remarque : pour plus d’informations sur l’utilisation des modes à deux passes avec la segmentation de tâche, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 207  Champ et curseur de défilement Débit moyen : choisissez le débit moyen en faisant glisser le curseur ou en saisissant un nombre dans le champ prévu à cet effet. La plage dont vous disposez dépend du réglage « Utilisation de flux ». Consultez la section « Utilisation de flux » à la page 199 pour plus d’informations. Remarque : le réglage de débit moyen contrôle directement la taille du fichier encodé. Le réglage de débit maximum n’affecte pas du tout la taille du fichier encodé.  Curseur et champ Débit maximum : choisissez le débit maximum en faisant glisser le curseur ou en saisissant un nombre dans le champ prévu à cet effet. La plage dont vous disposez dépend du réglage « Utilisation de flux ». Consultez la section « Utilisation de flux » à la page 199 pour plus d’informations. Remarque : ce curseur de défilement n’est disponible qu’avec les modes VBR et ne peut pas être placé sur une valeur inférieure au débit moyen. À propos de la sélection des débits Lorsque vous déterminez les débits moyen et maximum pour la lecture de DVD standard, n’oubliez pas de prendre en compte le débit de la piste audio, ainsi que le débit MPEG2. Vous devez faire en sorte que le total des débits audio et vidéo moyens et maximum soit inférieur à 10,08 Mbps, vitesse maximum de transfert garantie par les lecteurs DVD standard (Comme les formats audio compatibles DVD sont à débit constant, il ne faut pas se soucier du débit audio maximum.) Par exemple, si vous traitez la composante audio au format AIFF à 1,5 Mbps, vous devez maintenir les débits vidéo maximum et moyen sous la barre des 8,5 Mbps. Généralement, le débit moyen sera inférieur à cette valeur (par exemple, 3,5 Mbps pour deux heures de métrage sur votre DVD). Le débit maximum doit toutefois être, lui aussi, inférieur à cette valeur. Un débit maximum de 8,0 Mbps est recommandé pour prévoir une marge d’erreur supplémentaire, afin de s’adapter par exemple aux flux de sous-titrage. Si vous utilisez un format audio compressé compatible DVD comme, par exemple, Dolby Digital ou MPEG-1/ Layer-2, le débit audio peut descendre jusqu’à entre 0,2 et 0,4 Mbps, ce qui vous permet alors de régler le débit maximum sur environ 1 Mbps plus haut. En règle générale, réglez le débit maximum au moins 1 Mbps plus haut que le débit moyen afin de permettre au débit de varier et d’obtenir une qualité constante.208 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2  Menu local « Estimation d’animation » : ce menu est un autre compromis entre qualité d’image et durée de traitement, en particulier si le fichier source comporte beaucoup de mouvements. Choisissez l’un des paramètres suivants :  Bonne : réglage d’estimation des mouvements le plus rapide. Ce mode fonctionne bien, y compris avec d’importantes quantités de mouvement entre les images, à condition que les images comportent une quantité minimum de mouvements au sein des images. Par exemple, un métrage soumis à une conversion de sa fré- quence d’images ou à d’autres processus tend à ne comporter que peu de mouvements au sein des images. De manière générale, utilisez ce paramètre avec le mode d’encodage à une passe.  Meilleure : ce mode est un bon compromis général pour le paramètre d’estimation des mouvements. Il offre de bons résultats même avec des mouvements entrelacés complexes, et fonctionne bien avec la plupart des types de sources vidéo entrelacées, y compris avec les métrages précaires réalisés avec des petits caméscopes grand public. En général, choisissez cette option avec les modes VBR une passe et VBR deux passes. Remarque : si vous utilisez un format vidéo progressif, l’option Meilleure n’effectue qu’une estimation des mouvements image par image plutôt qu’une recherche de vecteur cinétique trame par trame, qui n’est pas pertinente avec les sources progressives. Dans ce cas, le mode Meilleure est quelque peu plus rapide.  Optimale : l’estimation des mouvements est dans ce cas de qualité optimale et ce mode ne devrait être utilisé qu’avec des sources entrelacées dont les mouvements sont les plus complexes et les plus exigeants. En contrepartie, il est plus lent que le mode Meilleure. En général, utilisez ce mode pour optimiser la qualité lorsque vous avez choisi les modes VBR une passe Optimale ou VBR deux passes Optimale. Remarque : choisissez dans le menu local « Estimation d’animation » le mode d’estimation d’animation (EM) qui convient le mieux au mode d’encodage sélectionné parmi les cinq possibilités décrites ci-dessus. Choisissez l’option d’estimation d’animation Bonne pour le mode une passe, Meilleure pour les modes VBR une passe et VBR deux passes, et Optimale pour les modes VBR une passe Optimale et VBR deux passes Optimale. Bien que les modes d’estimation d’animation fonctionnent quel que soit le mode d’encodage choisi, il est recommandé d’utiliser ces combinaisons.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 209 Onglet GOP Vous utilisez l’onglet GOP (groupe d’images) pour sélectionner un format, une structure et une taille de GOP. Cette sous-fenêtre contient les contrôles suivants Consultez la section « Compréhension des types de GOP et d’images » à la page 211 pour plus d’informations. Remarque : si vous choisissez l’un des formats vidéo HD proposés dans l’onglet Format vidéo, vous ne pouvez pas modifier les réglages de l’onglet GOP et ces derniers adoptent par défaut les valeurs d’une structure IBBP GOP fermée avec une taille de 12 (PAL) ou 15 (NTSC).  Menu local Structure GOP : ce paramètre indique qu’il y aura deux, une ou aucune image B entres les images de référence au sein d’un GOP. La structure et la taille d’un GOP permettent de définir le nombre d’images I, P et B utilisées dans un GOP pendant l’encodage. Choisissez l’une des options suivantes :  IP : aucune image B n’est utilisée avec ce paramètre. Ne choisissez ce paramètre que si votre média contient des mouvements rapides qui ne sont pas encodés avec une qualité suffisante avec une structure IBBP ou IBP.  IBP : dans une structure IBP, une image B est insérée entre les images de référence (images I et images P). Ne choisissez ce paramètre que si votre média contient des mouvements rapides qui ne sont pas encodés avec une qualité suffisante avec une structure IBBP ou IBP.  IBBP : vous pouvez utiliser cette option dans la plupart des cas d’encodage MPEG-2, avec une taille de GOP de 15 pour NTSC ou de 12 pour PAL. Si vous choisissez ce paramètre, deux images B sont insérées entre les images de référence. Remarque : dans la plupart des situations d’encodage MPEG-2 destiné à la création de DVD, choisissez une structure de GOP IBBP et une taille de GOP de 15 en NTSC ou de 12 en PAL. Ces paramètres donnent de bons résultats dans la majorité des cas. Consultez la section « Structure GOP » à la page 213 pour plus d’informations.210 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2  Boutons Ouvert et Fermé : les GOP fermés ne contiennent aucune image faisant réfé- rence à une image du GOP précédent ou suivant, tandis que les GOP ouverts commencent par une ou plusieurs images B faisant référence à la dernière image P du GOP précédent. Les GOP fermés créés par l’encodeur MPEG-2 de Compressor commencent par une image I. Pour choisir un type de GOP (ouvert ou fermé), décidez si vous allez créer et de quelle manière des marqueurs de chapitre pour la création de DVD avec DVD Studio Pro ou si vous avez l’intention d’utiliser de multiples angles vidéo dans votre titre. Consultez la section « GOP ouverts et fermés » à la page 214 pour plus d’informations.  Menu local Taille GOP : choisissez le nombre d’images contenues dans votre GOP, suivant le format de la structure GOP sélectionnée. Dans Compressor, un GOP peut contenir au maximum 15 images (NTSC) ou 12 images (PAL et 720p). Quant au nombre minimum d’images d’un GOP, il est de 6 pour un GOP fermé et de 7 pour un GOP ouvert, quel que soit le format vidéo. La relation entre la structure d’un GOP et sa taille vous donnent les différents motifs d’un GOP. Consultez les sections « Compréhension des types de GOP et d’images » à la page 211 et « Taille GOP » à la page 213 pour de plus amples informations.  Champ Modèle : ce champ ne peut être édité, mais il affiche le modèle GOP réel en fonction de la structure et de la taille que vous avez choisies.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 211 . Onglet Compléments Utilisez l’onglet Compléments pour contrôler l’inclusion ou l’exclusion d’informations de création MPEG-2 spécifiques. L’onglet Compléments contient les contrôles suivants : Compréhension des types de GOP et d’images L’une des principales fonctions de l’encodage MPEG-2 est sa capacité à supprimer les redondances, pas seulement dans une image, mais aussi dans un groupe d’images. Le MPEG-2 utilise trois types d’image (I, P et B) pour représenter une vidéo. Les paramètres des groupes d’images (GOP) permettent de définir le motif des trois types d’image utilisées. Ces trois types d’image sont définis comme suit :  Intra (I) : également connue sous le nom d’image clé. Chaque GOP contient une image I. L’image I est le seul type d’image MPEG-2 qui peut être totalement décompressé sans faire aucune référence aux images qui la précèdent ou la suivent. Comme c’est aussi le type d’image le plus « lourd » en terme de données, c’est lui qui requiert le plus d’espace disque. Si vous souhaitez placer une image I à un changement de scène ou à tout autre emplacement précis, vous devez le paramétrer manuellement à l’aide de la fenêtre Preview. Dans ce cas, une image I est qualifiée de forcée. Consultez la section « Ajout de marqueurs à un plan » à la page 317 pour plus d’informations.  Prédite (P) : image encodée à partir d’une image « prédite » selon l’image I ou P précédente la plus proche. Les images P requièrent généralement moins d’espace disque que les images I, car elles font référence à l’image I ou P qui la précède dans le GOP. Remarque : les images I et P sont aussi dénommées images de référence, car une image B peut faire référence à l’un ou l’autre type d’image.  Bidirectionnelle (B) : image encodée à partir d’une interpolation des images de réfé- rence suivantes et précédentes, qu’il s’agisse d’images I ou P. Les images B sont le type d’image MPEG-2 le plus efficace en termes de stockage, car c’est celui qui requiert le moins d’espace disque. C’est l’utilisation d’images B et P qui permet au MPEG-2 de supprimer les redondances temporaires, contribuant ainsi à l’efficacité de la compression vidéo.212 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2  Ajouter des métadonnées DVD Studio Pro : en cochant cette case, vous permettez à Compressor d’analyser des informations de création MPEG-2 spécifiques pendant le processus de transcodage, afin d’accélérer l’importation dans DVD Studio Pro. Néanmoins, ces fichiers MPEG-2 seront incompatibles avec les versions 1.5 ou précé- dentes de DVD Studio Pro. Si vous laissez cette case décochée, les informations seront analysées plus tard dans DVD Studio Pro. Remarque : les flux MPEG-2 contenant des métadonnées DVD Studio Pro supplé- mentaires ne sont compatibles qu’avec la version DVD Studio Pro 2 (ou ultérieure). Les flux MPEG-2 pour lesquels cette case est cochée ne sont pas compatibles avec les versions antérieures à DVD Studio Pro 2, ou avec d’autres outils de création de DVD. Cette case est cochée par défaut dans tous les réglages Apple. Pour que vos fichiers MPEG-2 soient compatibles avec d’autres outils de création de DVD, désélectionnez cette case, puis enregistrez le réglage.  Inclure les marqueurs de chapitre uniquement : en cochant cette case, vous excluez du flux de données les marqueurs de compression sans nom, tout en conservant les marqueurs de chapitre. Si vous laissez cette case décochée, tous les marqueurs sont reconnus dans le fichier multimédia de sortie. Consultez les sections « À propos des marqueurs MPEG-2 et de DVD Studio Pro » à la page 215 et « Ajout de marqueurs de chapitre ou de podcast à un plan » à la page 320 pour plus d’informations sur les marqueurs de chapitre.  Audio couche 2/MPEG-1 multiplexé : utilisez cette option pour créer un flux multiplexé (au lieu d’un flux élémentaire). Vous pouvez ainsi transformer le fichier de sortie en flux de transport ou de programme. Consultez la section « À propos des flux élémentaires, des flux de transport et des flux de programme » à la page 197 pour en savoir plus sur les différences entre les différents types de flux. L’audio de ce flux est au format couche 2/MPEG-1, avec une fréquence d’échantillonnage de 44,1 kHz ou 48 kHz (en fonction de la source) et un débit de 384 kbps. Pour créer un flux élémentaire audio uniquement (audio couche 2/MPEG-1), consultez la section « Création du réglage Audio MPEG-1 pour DVD » à la page 191. Important : générique est également la seule option qui prend en charge la création de flux de transport et de programme. En cochant la case « Audio couche 2 MPEG-1 multiplexé », vous réglez l’utilisation de votre flux sur Générique si cette utilisation est actuellement réglée sur une autre valeur.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 213 Informations supplémentaires sur les GOP et les marqueurs Vous trouverez ci-dessous des informations supplémentaires qui pourront vous être utiles pour décider comment configurer les paramètres GOP et comprendre comment les paramètres GOP affectent les marqueurs DVD Studio Pro. Points à considérer avant de choisir les paramètres d’un GOP Vous devez considérer les aspects suivants avant de choisir les paramètres d’un GOP : Structure GOP Ce paramètre indique qu’il y aura deux, une ou aucune image(s) B entre les images de référence au sein d’un GOP. La structure et la taille d’un GOP permettent de définir le nombre d’images I, P et B utilisées dans un GOP pendant l’encodage. La structure que vous choisissez dépend de l’éloignement des images P. Comme une image P est prédite à partir de l’image de référence antérieure (soit une image I, soit une image P) et qu’il peut y avoir entre elles une ou deux images B, la prédiction doit couvrir la distance que les objets peuvent parcourir pendant la durée de deux ou trois images. En principe, plus le mouvement moyen est faible d’une image à l’autre, plus les images P peuvent être espacées, et plus la compression peut être importante. Pour la plupart des contenus vidéo, la structure IBBP est un bon choix. Dans le cas de contenus qui ont des séquences entières avec de rares mouvements rapides, il est possible de choisir une structure IBP ou IP, mais un débit relativement élevé (6 à 8 Mbps pour la vidéo SD) peut alors s’avérer nécessaire pour obtenir une bonne qualité. Taille GOP Ce paramètre spécifie le nombre d’images contenues dans un GOP. Or, comme un GOP ne contient exactement qu’une seule image I, une taille plus grande permet généralement d’obtenir une meilleure compression, car les images B et P occupent moins d’espace que les images I. Pour la plupart des médias, un espacement d’environ une demi-seconde entre chaque image I donne de bons résultats. Cela revient à une taille de GOP contenant 15 images en NTSC et 12 images en PAL. Les spécifications du format DVD vidéo interdisent des GOP contenant plus d’images. Généralement, seuls les contenus dont les changements de scènes à des intervalles inférieurs à une demi-seconde sont fréquents bénéficient de GOP de taille plus petite.214 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 GOP ouverts et fermés Les GOP ouverts sont plus efficaces, car ils permettent l’insertion d’une autre image B dans le modèle GOP. Les GOP ouverts commencent par une image B capable de consulter la dernière image P du GOP précédent ainsi que la première image I de son propre GOP. Par définition, les GOP fermés ne peuvent contenir aucune image faisant référence à une image du GOP précédent, ou suivant. Au contraire, les GOP ouverts commencent par une ou plusieurs images B qui font référence à la dernière image P du GOP anté- rieur. Les GOP fermés créés par Compressor commencent toujours par une image I. À structure et taille identiques, la compression obtenue est généralement meilleure avec les GOP ouverts qu’avec les GOP fermés. En effet, l’illustration ci-dessus montre qu’un GOP fermé contient plus d’images P qu’un GOP ouvert de même longueur. Or, comme les images P requièrent habituellement plus de bits que les images B, la compression des GOP ouverts est d’une qualité légèrement supérieure. Certaines restrictions s’appliquent à l’utilisation de GOP ouverts avec des disques DVD vidéo créés à l’aide d’une application de création de DVD de type DVD Studio Pro. La première limite exclusivement aux GOP fermés les flux MPEG-2 utilisés pour des DVD à angles multiples ou mixtes. :06 :07 :08 :09 :09 :04 :05 :10 :11 :12 :13 :14 :15 :16 :17 :18 :19 :20 :21 GOP ouvert (IBBP, 15 images) P B B I B B P B B P B B P B B P B B I :03 :04 :05 :06 :07 :08 :10 :11 :12 :13 :14 :15 :16 :17 :18 GOP fermé (IBBP, 15 images) I B B B P B B P B P B P B P B Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 215 La deuxième oblige à définir les marqueurs de chapitre des DVD au début d’un GOP fermé. Le meilleur moment pour définir des marqueurs de chapitre est avant d’effectuer le transcodage MPEG-2. Par exemple, si vous spécifiez des marqueurs de chapitre dans Final Cut Pro, vous pouvez paramétrer Compressor de manière à procéder au transcodage MPEG-2 avec des GOP ouverts. Compressor forcera alors un GOP fermé à commencer uniquement au niveau des marqueurs de chapitre spécifiés, et rendra les autres GOP ouverts. Vous pouvez également faire cela en spécifiant « images I forcées » dans la fenêtre Preview de Compressor, puis en leur indiquant un nom de chapitre à utiliser par DVD Studio Pro. Toutefois, si vous souhaitez définir des marqueurs de chapitre à chaque limite de GOP après le transcodage de votre vidéo au format MPEG-2, vous ne devriez utiliser que des GOP fermés. Cette liberté d’action est limitée, car vous ne pouvez définir des marqueurs de chapitre qu’aux limites des GOP et pas à n’importe quelle image de la vidéo. À propos des marqueurs MPEG-2 et de DVD Studio Pro Vous pouvez trouver les marqueurs MPEG-2 suivants dans un fichier multimédia source :  Marqueurs de chapitre : ces marqueurs identifient les images qui devraient être encodées en tant qu’images I et qui sont reconnues comme marqueurs de chapitre lors de l’importation dans DVD Studio Pro.  Marqueurs de compression forcée : ces marqueurs sont ajoutés durant la phase de montage et servent à identifier les images de la vidéo qui devraient être forcées à être des images I pour une meilleure qualité d’encodage, comme la première image d’une nouvelle scène. Les marqueurs de compression forcée ne sont pas reconnus comme des marqueurs de chapitre par DVD Studio Pro.  Marqueurs de compression automatique : ces marqueurs sont insérés par Final Cut Pro à tous les points de montage, forçant des images I là où des changements de scène sont susceptibles de se produire. Les marqueurs de compression automatique ne sont pas reconnus comme des marqueurs de chapitre par DVD Studio Pro. Ils ne seront pas inclus si vous cochez la case « Inclure les marqueurs de chapitre uniquement ». Si la case « Inclure les marqueurs de chapitre uniquement » n’est pas cochée, Compressor place automatiquement des images I à chaque fois qu’il détecte l’un des trois types de marqueur. Dans la plupart des cas, cela permet d’obtenir les meilleurs résultats. Cependant, si vous avez l’intention d’utiliser les fichiers multimédia comme faisant partie d’un titre DVD à angles multiples ou angles mixtes, ceux-ci doivent tous avoir les mêmes motifs d’images I.216 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 Les marqueurs de chapitre définis dans Final Cut Pro et transcodés dans Compressor ou directement définis dans Compressor seront absents des données MPEG-2 importées si vous utilisez une version antérieure à DVD Studio Pro 2. Toutefois, les images I seront définies là où les marqueurs de chapitre ont été nommés. Si vous utilisez une version antérieure à DVD Studio Pro 2, les options suivantes sont à votre disposition : Projets natifs Final Cut Pro Les deux options suivantes sont disponibles pour les projets d’origine Final Cut Pro :  Exportation à l’aide de Compressor : si les contrôles de qualité et de transcodage sont importants pour votre projet, utilisez Compressor pour exporter votre fichier multimédia MPEG-2. Vous gagnerez du temps et éviterez les pertes dues à la génération. L’inconvénient de ce mode est que vous ne pouvez pas utiliser Final Cut Pro au cours de l’exportation.  Exporter une séquence de référence QuickTime et la transcoder dans Compressor : vous n’obtiendrez pas la haute qualité et les options d’encodage offertes par Compressor, mais vous pourrez continuer le montage dans le plan de montage de Final Cut Pro pendant que Compressor travaille en arrière-plan. Projets natifs Compressor Vous pouvez définir des marqueurs de chapitre au moyen de la fenêtre d’aperçu Compressor, mais ceux-ci ne seront pas conservés lors de leur exportation vers des versions antérieures à DVD Studio Pro 2. Les images I sont par contre maintenues. Si vous utilisez une version antérieure à DVD Studio Pro 2, vous pouvez définir manuellement les marqueurs de chapitre directement dans DVD Studio Pro. Flux de production de transcodage MPEG-2 Cette section vous propose des exemples et des instructions de configuration de vos attributs MPEG-2 étape par étape, avant la création de fichiers de sortie MPEG-2 avec Compressor. La configuration des réglages MPEG-2 s’effectue via la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2, soit en modifiant un réglage, soit en créant un sous l’onglet Réglages.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 217 Exemples de paramètres MPEG-2 Les réglages MPEG-2 suivants peuvent être utilisés dans la majorité des cas d’encodage MPEG-2 généraux. Ouvrez la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2, puis cliquez sur le bouton approprié pour accéder à ces onglets. Remarque : n’oubliez pas que la plupart des paramètres donnés dans cet exemple ne sont pas adaptés à tous les formats vidéo d’entrée, ni à toutes les situations d’encodage. Le cas échéant, quelques paramètres alternatifs sont donnés entre parenthèses. Consultez les sections au début du présent chapitre pour obtenir plus d’informations sur quand et comment utiliser d’autres paramètres. Onglet Format vidéo  Format vidéo : NTSC (PAL, 720p, HD 1440x1080, HD 1920x1080 ou l’une des options de largeur égale à 640)  Proportions : 4:3 (16:9 pour un grand écran anamorphosé ou haute définition)  Priorité de trame : automatique (non disponible avec le format 720p) Onglet Qualité  Mode : VBR à une passe Optimale (ou d’autres réglages à une passe et à deux passes)  Débit moyen : 5 Mbps (entre 2 et 9 Mbps) pour le format DVD standard ou 18 Mbps pour les formats vidéo HD (plage variable) Remarque : votre choix de débit peut être influencé par de nombreux facteurs, comme la complexité de la vidéo source, le format et le nombre des flots audio, ainsi que la durée totale des plans vidéo à inclure sur le DVD.  Débit maximum : 8,0 Mbps pour le format DVD standard ou 27 Mbps pour les formats vidéo HD  Estimation d’animation : Optimale Onglet GOP  Structure GOP : IBBP  Taille GOP : 15 (12 pour PAL et les formats HD 50i, 50p et 24p)  Type de GOP : Ouvert (Fermé) Remarque : pour choisir un type de GOP (ouvert ou fermé), décidez si vous allez créer et de quelle manière des marqueurs de chapitre pour la création de DVD avec DVD Studio Pro ou si vous avez l’intention d’utiliser de multiples angles vidéo dans votre titre. Consultez les sections « À propos des marqueurs MPEG-2 et de DVD Studio Pro » à la page 215 et « Ajout de marqueurs de chapitre ou de podcast à un plan » à la page 320 pour de plus amples informations.218 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 Suivez les étapes ci-après pour savoir comment utiliser le format de fichier de sortie MPEG-2. Étape 1 : Ouvrez la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 et choisissez Format vidéo Il est important que le format vidéo, les proportions et le champ dominant concordent avec les paramètres de votre fichier multimédia source. Consultez la section « Onglet Format vidéo » à la page 199 pour une description plus détaillée de chacun de ces paramètres. Remarque : le moyen le plus facile de vous assurer que les réglages sont adaptés au fichier multimédia source consiste à activer les boutons Automatique. Consultez la section « À propos des réglages automatiques » à la page 58 pour plus d’informations. 1 Ouvrez l’onglet Réglages, puis choisissez MPEG-2 à l’aide du bouton de menu local « Ajouter un préréglage » (+). La sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 s’ouvre dans l’Inspecteur, avec l’onglet Format vidéo qui s’affiche par défaut. 2 Choisissez dans le menu local « Utilisation de flux » le réglage qui correspond à la façon dont vous comptez utiliser la vidéo encodée. Cela garantit que les options d’encodage MPEG-2 sont limitées au options prises en charge par l’usage escompté. Les options sont les suivantes :  Générique  DVD SD  Blu-ray  DVD HD Configurez ces réglages manuellement si vous n’avez pas l’intention de les adapter au fichier multimédia source. Sélectionnez les boutons Automatique pour que l’encodeur adapte les réglages au fichier multimédia source. Choisissez le type de flux MPEG-2 à créer.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 219 3 Choisissez un format dans le menu local Format vidéo ou sélectionnez son bouton Automatique :  NTSC (par défaut)  PAL  720p  HD 1440x1080  HD 1920x1080  640x480  640x360  640x352  640x384  640x320 4 Choisissez des proportions dans le menu local Proportions ou sélectionnez son bouton Automatique. Avant cela, vous devez déterminer si la forme prévue de votre vidéo source est au format 4:3 (normal) ou 16:9 (grand écran). 5 En fonction du type de votre média source, choisissez un paramètre de champ dans le menu local « Priorité de trame ». Par exemple, pour un format DV, choisissez Première inférieure. Vous pouvez également choisir le bouton « Priorité de trame automatique » pour laisser Compressor déterminer le réglage correct. 6 Si vous souhaitez utiliser le timecode de votre vidéo source, laissez la case « Choisir le timecode de départ » décochée. Sinon, cochez-la et introduisez un nouveau timecode. 7 Si vous avez coché la case « Choisir le timecode de départ » et que votre format vidéo est NTSC, cochez aussi la case Drop Frame si vous voulez utiliser le timecode en temps réel (au lieu d’avoir un timecode 30 images). Consultez la section « Onglet Format vidéo » à la page 199 pour plus d’informations. Étape 2 : Choix des paramètres de qualité Dans l’onglet Qualité, ajustez les attributs d’encodage MPEG-2 qui ont le plus d’influence sur la qualité finale de votre fichier de sortie vidéo MPEG-2 : mode d’encodage, débits maximum et moyen et type d’estimation d’animation.220 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 1 Cliquez sur le bouton Qualité dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 pour ouvrir l’onglet correspondant. 2 Faites votre choix parmi les options proposées par le menu local Mode. Pour une qualité d’image optimale, choisissez « VBR 1 passe optimal » ou « VBR 2 passes optimal ». Si vous souhaitez obtenir l’encodage le plus rapide possible, choisissez « VBR une passe » ou « VBR 2 passes ». Pour les sources HD, choisissez « VBR 1 passe optimal » ou « VBR 2 passes optimal ». Avec les modes à deux passes, le fichier multimédia source est examiné pendant la première passe, puis transcodé pendant la deuxième avec les débits adaptés au contenu vidéo. À l’inverse, les modes à une passe transcodent plus rapidement, mais distribuent les débits de façon moins optimale que ne le font les modes à deux passes analogues. Remarque : si vous utilisez VBR à deux passes et que le traitement distribué est activé, vous pouvez désactiver la case « Autoriser la segmentation des tâches » dans la sousfenêtre Encodeur. Consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64 pour plus d’informations. 3 Choisissez un débit moyen à l’aide du curseur de défilement Débit moyen ou du champ contigu. Choisissez un débit approprié en fonction du contenu et de la longueur de votre vidéo source, et de la taille (en octets) souhaitée pour votre fichier de sortie. En création de DVD, l’intégralité de la vidéo doit tenir sur le disque DVD, or plus le débit est faible, plus vous pouvez stocker de données. Cependant, plus le débit est important, plus l’image sera de qualité. Choisissez un mode correspondant à vos exigences en termes de durée et de qualité. Choisissez un réglage Estimation d’animation. Choisissez les débits appropriés à vos exigences en termes de taille de fichier et de qualité.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 221 Lorsque vous modifiez la valeur Débit moyen (avec le curseur ou le champ), le calculateur de débit en bas de l’onglet Qualité affiche de manière dynamique le nombre maximum de minutes de vidéo sur un DVD-5. Le calculateur suppose un débit de 1,5 Mbps pour l’audio (AIFF deux canaux). Le tableau ci-dessous fournit quelques débits et la durée des métrages correspondants pour un DVD de 4,7 Go : Remarque : lorsque vous choisissez VBR une passe ou VBR une passe Optimale pour des plans très courts (inférieurs à une ou deux minutes), il est possible que la taille du fichier de sortie MPEG-2 résultant ne reflète pas précisément le débit moyen que vous avez spécifié. Si la longueur du fichier multimédia de sortie MPEG-2 ne correspond pas à vos attentes, vous pouvez essayer de le transcoder à nouveau à un débit moyen plus faible. 4 Si possible, spécifiez le débit maximum en introduisant une valeur dans le champ correspondant ou en déplaçant le curseur de défilement. Comme les lecteurs DVD prennent en charge des débits de pointe pouvant atteindre jusqu’à 10,08 Mbps pour des composantes audio et vidéo, il est conseillé d’ajuster le débit vidéo maximum entre 8,0 et 8,5 Mbps si vous utilisez une piste audio (AIFF deux canaux) à 1,5 Mbps. Remarque : pour un résultat optimal, assurez-vous que le débit maximum est supé- rieur d’au moins 1 Mbps au réglage moyen. Des différences plus grandes peuvent donner de meilleurs résultats encore. Débit moyen1 Durée approximative pour un DVD de 4,7 Go 3,5 Mbps 121 minutes 5,0 Mbps 94 minutes 6,0 Mbps 82 minutes 7,5 Mbps 68 minutes 8,0 Mbps 65 minutes 1 Pour un plan DVD avec composantes audio et vidéo et sous-images : suppose un débit de 1,5 Mbps pour les données audio (AIFF deux canaux).222 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 5 Choisissez un réglage parmi ceux proposés par le menu local « Estimation d’animation » :  Bonne : c’est le réglage d’estimation d’animation le plus rapide ; suffisant lorsque les mouvements entre les images sont lents.  Meilleure : il s’agit d’un bon compromis général pour le réglage d’estimation d’animation ; il offre de très bons résultats y compris en présence de mouvements entrelacés complexes.  Optimale : réglage de qualité optimale pour manipuler la plupart des sources entrelacées dont les mouvements sont les plus complexes et les plus exigeants ; un peu plus lent que le mode Meilleure. Consultez la section « Onglet Qualité » à la page 204 pour plus d’informations. Étape 3 : Choix des réglages de GOP Sélectionnez la structure et la taille appropriées des GOP, puis décidez si vous souhaitez que les GOP soient ouverts ou fermés. Remarque : ces réglages ne sont pas modifiables si vous choisissez un format vidéo HD dans l’onglet Format vidéo. 1 Cliquez sur le bouton GOP dans la sous-fenêtre MPEG-2 Encoder pour ouvrir l’onglet correspondant. 2 Choisissez une structure de GOP dans le menu local Structure GOP. Pour la plupart des tâches d’encodage MPEG-2 destinées à la création de DVD, choisissez la structure IBBP. 3 Choisissez la taille des GOP dans le menu local Taille GOP. Dans la plupart des tâches d’encodage MPEG-2 destinées à la création de DVD, choisissez une taille de GOP de 15 en NTSC et une taille de 12 en PAL et 24P. Les options disponibles dans ce menu dépendent de la structure choisie pour les GOP, et de s’ils sont ouverts ou fermés. Choisissez une structure GOP pour contrôler le nombre d’images B utilisées. Choisissez des GOP ouverts ou fermés. Choisissez une taille de GOP.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 223 4 Décidez si vous souhaitez que le motif des GOP soit ouvert ou fermé, puis cliquez sur le bouton approprié. Consultez les sections « Compréhension des types de GOP et d’images » à la page 211, « Points à considérer avant de choisir les paramètres d’un GOP » à la page 213, et « Onglet GOP » à la page 209 pour plus d’informations sur les GOP. Étape 4 : Choix des paramètres supplémentaires Vous pouvez contrôler l’inclusion ou l’exclusion d’informations de création MPEG-2 spécifiques par l’intermédiaire de l’onglet Compléments. 1 Cliquez sur le bouton Compléments dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 pour ouvrir l’onglet correspondant. Utilisation d’images I MPEG-2 La fenêtre Preview de Compressor offre une flexibilité de transcodage supplémentaire en vous permettant d’insérer manuellement des images I à n’importe quel endroit dans le fichier MPEG-2 de sortie, indépendamment du motif et de la taille que vous avez choisis pour les GOP. Ces images I, qualifiées de forcées peuvent être utiles pour améliorer la qualité du fichier MPEG-2 à proximité d’un changement de scène. Consultez la section « Compréhension des types de GOP et d’images » à la page 211 pour plus d’informations sur les images I. En outre, l’ajout d’images I à votre plan vous permet de créer des marqueurs de chapitre pouvant être interprétés et utilisés par DVD Studio Pro. Consultez les sections « Ajout de marqueurs à un plan » à la page 317 et « Ajout de marqueurs de chapitre ou de podcast à un plan » à la page 320 pour de plus amples informations.224 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 2 Cochez la case « Ajouter métadonnées DVD Studio Pro » si vous souhaitez que les informations de création MPEG-2 spécifiques soient analysées par Compressor et non pas ultérieurement par DVD Studio Pro. 3 Cochez la case « Inclure les marqueurs de chapitre uniquement » si vous souhaitez exclure les marqueurs de compression automatique du flux de données, mais conserver les marqueurs de chapitre. 4 Activez la case « Audio couche 2/MPEG-1 multiplexé » uniquement si vous devez créer des flux de transport ou de programme. Consultez la section « À propos des flux élé- mentaires, des flux de transport et des flux de programme » à la page 197 pour plus d’informations. Consultez les sections « Onglet Compléments » à la page 211 et « À propos des marqueurs MPEG-2 et de DVD Studio Pro » à la page 215 pour en savoir plus sur les réglages de l’onglet Compléments. En outre, pour faciliter l’utilisation des fichiers de sortie créés par ces préréglages dans DVD Studio Pro, créez une destination qui garantit que les fichiers de sortie vidéo et audio portent le même nom, mais uniquement avec des extensions de fichier différentes. Consultez la section « Création de destinations à utiliser avec DVD Studio Pro » à la page 335 pour de plus amples informations. Avertissement : si vous cochez cette case, vos fichiers MPEG-2 sont incompatibles avec les outils de création de DVD autres que DVD Studio Pro 2 (ou version ultérieure).16 225 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4 Compressor fournit les outils dont vous avez besoin pour créer des fichiers transcodés MPEG-4 exceptionnels. La norme MPEG-4 Partie 2 (également appelée vidéo MPEG-4 dans QuickTime 6) joue un rôle important dans l’évolution des normes pour les secteurs de l’Internet et du multimédia sans fil, qui l’ont largement adoptée. Utilisez MPEG-4 Partie 2 lorsque vous souhaitez garantir la compatibilité avec les périphériques ou lecteurs MPEG-4 Partie 2, tels que les millions de téléphones portables 3G et d’appareils photo numériques qui capturent et lisent la vidéo MPEG-4 Partie 2. La norme H.264, également appelée MPEG-4 Partie 10, est une technologie plus récente que MPEG-4 Partie 2, offrant jusqu’à quatre fois la taille d’image de la vidéo encodée avec le codec MPEG-4 Partie 2 pour un débit donné. Cependant, tout comme les normes MPEG-1 et MPEG-2 sont toujours utilisées aujourd’hui, la norme MPEG-4 Partie 2 continuera d’être utilisée. Remarque : MPEG-4 Partie 2 est à la fois un codec QuickTime (vidéo MPEG-4) et un format de sortie. Dans ce chapitre, nous allons considérer MPEG-4 Partie 2 comme un format de sortie. MPEG-4 Partie 2 offre les avantages suivants :  Conformité aux normes : la sortie est compatible avec les périphériques MPEG-4 Partie 2 et les autres lecteurs normalisés (ISMA), tels que les téléphones portables.  Vidéo haute qualité : transcodeur polyvalent qui peut être réglé à un débit cible et, avec un débit variable une passe, peut optimiser la qualité ou la vitesse de sortie pour un transcodage le plus rapide possible.  Codage audio avancé (AAC) : le format audio MPEG-4 accepte une grande variété de données audio source et apporte à QuickTime un transcodage audio VBR réel. En outre, il utilise le codec AAC, lequel, à débit égal, s’avère plus précis que le MP3 et permet d’obtenir des fichiers de taille inférieure ou des fichiers de taille identique, mais de qualité supérieure. Vous pouvez également inclure des informations de podcasting, comme des marqueurs de chapitre accompagnés d’illustrations ou d’URL, ainsi que diverses annotations textuelles.226 Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4  Algorithmes d’optimisation pour la lecture en continu : les algorithmes d’optimisation indiquent la façon dont un flux vidéo est divisé en paquets pouvant être lus en continu. Pour créer un flux vidéo, le serveur de contenu multimédia requiert des algorithmes d’optimisation pour savoir quelles données envoyer et quand. Le principe de ces algorithmes est de définir la taille maximum d’un paquet et sa durée maximum. Les informations nécessaires à la lecture en continu de votre fichier de sortie sont contenues sur une piste dite piste d’algorithme. Cette piste d’algorithme est créée pour chaque piste multimédia (vidéo et audio) pouvant être lue en continu dans le fichier de sortie, et est utilisée par le serveur de contenu multimédia pour convertir le média en flux de données en temps réel. À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-4 La sous-fenêtre Encodeur MPEG-4 Partie 2 permet de sélectionner un large éventail de types et d’options de flux. La sous-fenêtre MPEG-4 Partie 2 contient les éléments suivants :  Champ Extension de fichier : affiche automatiquement l’extension de fichier MPEG-4 Partie 2 mp4 une fois que le format de sortie MPEG-4 est sélectionné dans le menu local « Format de fichier » ou dans le menu local (+) de l’onglet Réglages.  Boutons Vidéo, Audio et Diffusion : cliquez sur ces boutons pour ouvrir les sous-fenê- tres Vidéo, Audio et Diffusion décrites ci-après.Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4 227  Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation des tâches. Elle n’est importante que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué et avec l’encodage à deux passes ou multipasse. (La fonctionnalité de traitement distribué est limitée aux ordinateurs sur lesquels est installé Final Cut Studio.) Étant donné que le format MPEG-4 Partie 2 utilise le mode VBR à une seule passe, vous pouvez laisser cette case cochée dans tous les cas afin d’accé- lérer le traitement distribué. Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.  Autoriser les informations de podcasting : activez cette case pour vous assurer que les annotations et les métadonnées de podcasting sont enregistrées dans le fichier multimédia de sortie. Cette option s’applique uniquement aux fichiers audio. Pour que cette option soit disponible, désélectionnez la case Vidéo activée en haut de la fenê- tre Vidéo. Sous-fenêtre Vidéo La sous-fenêtre Vidéo permet de paramétrer la qualité (profil ISMA), la fréquence d’images (images par seconde), l’intervalle de création d’une image clé et le débit de votre fichier de sortie MPEG-4 Partie 2. La sous-fenêtre contient les contrôles suivants :  Case à cocher Vidéo activée : assurez-vous que cette case est activée si vous souhaitez que les réglages vidéo du format de sortie MPEG-4 Partie 2 soient appliqués.  Boutons Profil ISMA : choisissez l’une des qualités MPEG-4 Partie 2 suivantes :  Basique (0) : garantit la lecture sur tous les appareils MPEG-4 Partie 2.  Amélioré (1) : offre une meilleure qualité de sortie, mais ce réglage n’est compatible qu’avec les appareils MPEG-4 Partie 2 les plus récents.  Champ et menu local « Fréquence d’images » (ips) : choisissez ou saisissez une valeur pour spécifier la vitesse générale du fichier multimédia de sortie.  Champ « Intervalle entre les images-clés » : saisissez une valeur pour spécifier le nombre d’images clés créées dans le fichier multimédia de sortie.  Menu local Débit : choisissez l’un des débits suivants. Quel que soit le paramètre choisi, la qualité varie d’une image à l’autre pour maintenir le débit sélectionné constant. Spécifiez le débit en introduisant une valeur dans le champ correspondant ou en déplaçant le curseur de défilement (disponible uniquement avec l’option « Constant à »).228 Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4  Constant à : spécifiez manuellement le débit en introduisant une valeur dans le champ ou en déplaçant le curseur.  VBR bas : spécifie une qualité générale basse pour toutes les images.  VBR moyen : spécifie une qualité générale moyenne pour toutes les images.  VBR haut : spécifie une qualité générale élevée pour toutes les images.  Champ et curseur de défilement Débit : (disponible uniquement avec l’option « Constant à »). Déterminez le débit vidéo général de votre fichier multimédia de sortie (de 32 Kbps à 2048 Kbps) à l’aide du curseur de défilement ou en introduisant une valeur spécifique dans le champ correspondant. Sous-fenêtre Audio La sous-fenêtre Audio vous permet de définir la qualité des pistes audio, le taux d’échantillonnage et le débit du fichier de sortie MPEG-4. Utilisez les contrôles suivants pour effectuer vos réglages de manière précise :  Case à cocher Audio activé : assurez-vous que cette case est activée si vous souhaitez que les réglages audio du format MPEG-4 Partie 2 soient appliqués.  Boutons Canaux : indiquez si vous souhaitez que les canaux audio de votre fichier multimédia de sortie soient en mono ou en stéréo.  Menu local Échantillonnage : choisissez l’un des taux d’échantillonnage suivants : 8, 11,025, 12, 16, 22,05, 24, 32, 44,1 ou 48 kHz. Vous pouvez également choisir l’option Recommandé pour que Compressor choisisse un taux d’échantillonnage adapté aux réglages Canaux et Débit. Remarque : si vous choisissez l’option Recommandé, le taux d’échantillonnage n’est pas déterminé avant le lancement du transcodage.  Menu local Qualité : choisissez l’une des qualités audio suivantes pour votre fichier de sortie :  Bas : permet d’obtenir un transcodage rapide au détriment de la qualité du fichier de sortie.  Moyen : la qualité audio est meilleure, mais la durée du transcodage augmente. Menu local de sélection de la fréquence d’échantillonnage Curseur de réglage du débitChapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4 229  Haut : il s’agit de la meilleure qualité audio disponible. Choisissez cette option quand la qualité audio du fichier de sortie est importante, quelle que soit la durée du transcodage.  Champ et curseur de défilement Débit : déterminez le débit audio général de votre fichier multimédia de sortie, dans une gamme allant de 16 Kbps (2 Ko/s) à 256 Kbps (32 Ko/s), à l’aide du curseur de défilement ou en introduisant une valeur spécifique dans le champ correspondant. Sous-fenêtre Diffusion La sous-fenêtre Diffusion permet de paramétrer les algorithmes d’optimisation, ainsi que la taille maximum et la durée limite des paquets du fichier de sortie MPEG-4 Partie 2. Vous pouvez également configurer votre fichier multimédia de sortie pour qu’il soit compatible avec le serveur de diffusion QuickTime, version 4.1 ou précédentes. La sous-fenêtre Diffusion contient les contrôles suivants :  Case à cocher « Optimisation de diffusion activée » : assurez-vous que cette case est activée si vous souhaitez que les réglages de diffusion au format de sortie MPEG-4 Partie 2 soient appliqués.  Case « Compatibilité QuickTime Streaming Server (pré-4.1) » : cochez cette case pour que votre fichier de sortie soit compatible avec les anciennes versions de QuickTime Streaming Server (4.1 et antérieures). Ne cochez pas cette case si vous utilisez une version plus récente de QuickTime, tous les problèmes de compatibilité étant automatiquement résolus.  Champ Taille maximum de paquet : introduisez une valeur pour indiquer la taille maximum autorisée (en octets) des paquets du flux vidéo du fichier multimédia de sortie. La taille des paquets ne doit pas dépasser le paquet le plus gros utilisé sur un réseau quelconque entre le serveur de contenu multimédia et l’utilisateur. 230 Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4  Champ Durée maximum de paquet : introduisez une valeur pour indiquer la durée maximum autorisée (en millisecondes) des paquets du flux vidéo du fichier multimé- dia de sortie. La durée a une incidence sur les paramètres audio MPEG-4 Partie 2 uniquement. Elle permet de limiter la durée maximum de la composante audio (en millisecondes) dans chaque paquet, ce qui limite la perte d’informations audio engendrée par la perte d’un paquet. Processus de transcodage MPEG-4 Partie 2 Cette section contient des informations sur un processus MPEG-4 Partie 2 standard et sur la création d’un podcast audio. Processus MPEG-4 Partie 2 Si vous n’avez pas besoin de personnaliser les réglages audio et vidéo de votre fichier MPEG-4 Partie 2, vous pouvez utiliser la méthode « rapide et facile » pour transcoder vos fichiers de données source. Pour cela, acceptez les paramètres de sortie MPEG-4 Partie 2 par défaut : Sous-fenêtre Vidéo  Case Vidéo activée : Cochée  Profil ISMA : Basique  Fréquence d’images : 15 images par seconde  Intervalle entre les images clés : 15 images  Débit : 368 Kbps Consultez la section « Sous-fenêtre Vidéo » à la page 227 pour plus d’informations.Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4 231 Sous-fenêtre Audio  Case à cocher Audio activé : Cochée  Canaux : Stéréo  Échantillonnage : 44,1 kHz  Qualité : Haute  Débit : 64 Kbps Consultez la section « Sous-fenêtre Audio » à la page 228 pour plus d’informations. Sous-fenêtre Diffusion  Case à cocher « Optimisation de diffusion activée » : cochée  Taille maximum de paquet : 1 450 octets  Durée maximum de paquet : 100 millisecondes Consultez la section « Sous-fenêtre Diffusion » à la page 229 pour plus d’informations. Si ces paramètres vous conviennent, le paramétrage est terminé et vous pouvez dès à présent commencer le transcodage de vos fichiers multimédia sources.232 Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4 Si vous voulez personnaliser les réglages de format de fichier MPEG-4 Partie 2, le processus de transcodage décrit précédemment n’est pas suffisant et il est nécessaire d’en réaliser un plus détaillé incluant les étapes suivantes : Étape 1 : Personnalisation des paramètres vidéo MPEG-4 1 Dans la fenêtre Inspecteur, cliquez sur la sous-fenêtre Encodeur et choisissez MPEG-4 dans le menu local « Format du fichier ». La sous-fenêtre Encodeur MPEG-4 s’ouvre. Le champ Extension indique mp4 et la sousfenêtre Vidéo est au premier plan. 2 Ajustez les réglages vidéo MPEG-4 à l’aide des contrôles disponibles. Remarque : assurez-vous que la case Vidéo activée est cochée. Consultez la section « Sous-fenêtre Vidéo » à la page 227 pour plus de détails sur les réglages vidéo MPEG-4 Partie 2. Si vous ne souhaitez pas modifier d’autres attributs, le réglage MPEG-4 peut être attribué tel quel à un fichier multimédia source selon la méthode habituelle. Consultez la section « Préparation de Compressor au transcodage » à la page 32 pour plus d’informations. Sinon, passez à l’étape suivante pour modifier les paramètres audio MPEG-4. Spécifiez le débit en introduisant une valeur dans le champ Débit ou en déplaçant le curseur de défilement.Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4 233 Étape 2 : Personnalisation des paramètres audio MPEG-4 1 Cliquez sur le bouton Audio pour ouvrir la sous-fenêtre correspondante. 2 Ajustez les paramètres audio MPEG-4 à l’aide des contrôles disponibles. Remarque : assurez-vous que la case Audio activé est cochée. Consultez la section « Sous-fenêtre Audio » à la page 228 pour plus de détails sur les réglages audio MPEG-4 Partie 2. Si vous ne souhaitez pas modifier d’autres attributs, le réglage MPEG-4 peut être attribué tel quel à un fichier multimédia source selon la méthode habituelle. Consultez la section « Préparation de Compressor au transcodage » à la page 32 pour plus d’informations. Sinon, passez à l’étape suivante pour modifier les paramètres du flux vidéo. Étape 3 : Modification des paramètres du flux vidéo MPEG-4 1 Cliquez sur le bouton Diffusion pour ouvrir la sous-fenêtre correspondante. 2 Cochez la case « Compatibilité QuickTime Streaming Server (pré-4.1) » si vous prévoyez de distribuer vos fichiers via une version de QuickTime Streaming Server antérieure à la version 4.1. 3 Saisissez de nouvelles valeurs dans les champs Taille maximum de paquet et Durée maximum de paquet, et assurez-vous que la case « Optimisation de diffusion activée » est cochée. Spécifiez le débit en introduisant une valeur dans le champ Débit ou en déplaçant le curseur de défilement.234 Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4 4 Consultez la section « Sous-fenêtre Diffusion » à la page 229 pour plus de détails sur les réglages vidéo MPEG-4 Partie 2. Processus de podcasting audio Compressor facilite la création de podcasts audio évolués reposant sur le format de sortie MPEG-4. Un podcast audio évolué comprend des informations de podcasting telles que des marqueurs de chapitre ou de podcast accompagnés d’illustrations et d’URL, ainsi que diverses annotations textuelles. Étape 1 : Configurez la sortie MPEG-4 pour une sortie audio uniquement 1 Dans la fenêtre Inspecteur, cliquez sur la sous-fenêtre Encodeur et choisissez MPEG-4 dans le menu local « Format de fichier ». 2 Cliquez sur le bouton Vidéo pour ouvrir la sous-fenêtre correspondante. 3 Désélectionnez la case Vidéo activée. 4 Cliquez sur le bouton Audio pour ouvrir la sous-fenêtre correspondante. 5 Sélectionnez la case Audio activé. La sortie MPEG-4 est alors configurée pour l’audio uniquement. Vous pouvez également configurer d’autres réglages dans la fenêtre Audio si nécessaire. Étape 2 : Configurez la sortie MPEG-4 pour qu’elle comprenne des informations de podcasting 1 Activez la case « Autoriser les informations de podcasting » en bas de la fenêtre Inspecteur. Cette case est disponible uniquement si vous avez désélectionné l’option Vidéo activée dans la fenêtre Vidéo. L’activation de cette case garantit que toutes les annotations et tous les marqueurs de chapitre et de podcast, ainsi que les illustrations et les URL, sont incorporés au fichier multimédia de sortie. Désactivez cette case pour activer la case « Autoriser les informations de podcasting ». Activez cette case pour inclure les informations de podcasting dans le fichier multimédia de sortie.Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4 235 2 Enregistrez ce réglage pour pouvoir l’appliquer à la cible d’un fichier multimédia source. Étape 3 : Appliquez le réglage à la cible du fichier multimédia source Vous devez appliquer le réglage à la cible d’un fichier multimédia source pour pouvoir configurer les informations de podcasting que ce réglage vous permet d’ajouter au fichier multimédia de sortie. Consultez la section « Affectation de réglages à des fichiers multimédia sources » à la page 110 pour plus d’informations. Étape 4 : Saisissez les annotations destinées au fichier multimédia de sortie 1 Cliquez sur une zone non cible de la tâche créée par le fichier multimédia source. La fenêtre Inspecteur affiche les onglets Attributs A/N et Informations complémentaires. 2 Cliquez sur l’onglet Informations complémentaires. 3 L’onglet Informations complémentaires vous permet d’ajouter des annotations, telles que le titre ou le nom de l’artiste, au fichier multimédia de sortie. 4 Choisissez dans le menu local d’ajout d’annotations un élément à ajouter au fichier multimédia de sortie. L’élément sélectionné apparaît dans la colonne Annotation. 5 Double-cliquez sur la colonne Valeur de l’élément pour saisir le texte de l’annotation. 6 Répétez cette procédure pour chaque élément d’annotation à ajouter au fichier multimédia de sortie. 7 Cliquez sur Enregistrer. Consultez la section « Utilisation de l’Inspecteur avec des fichiers multimédia sources » à la page 87 pour plus d’informations. Choisissez des éléments dans ce menu local pour les inclure comme annotations dans le fichier multimédia de sortie. Cliquez sur Enregistrer une fois les annotations ajoutées.236 Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4 Étape 5 : Créez et configurez les marqueurs du fichier multimédia de sortie Vous pouvez utiliser la fenêtre Preview pour ajouter et configurer des marqueurs de chapitre et de podcast destinés au fichier multimédia de sortie. Vous pouvez ajouter manuellement les marqueurs ou importer une liste de marqueurs de chapitre. Chaque marqueur de chapitre et de podcast peut porter un nom, être associé à une URL ou recevoir une image ajoutée comme illustration. Lors de la lecture du fichier, l’illustration est affichée avec l’URL (sur laquelle l’utilisateur peut cliquer pour l’ouvrir dans un navigateur web). Consultez la section « Ajout de marqueurs à un plan » à la page 317 pour obtenir des détails sur l’ajout et la configuration de marqueurs dans la fenêtre Preview. Étape 6 : Soumettez la tâche et vérifiez le fichier multimédia de sortie Une fois que vous avez ajouté les annotations et les marqueurs au fichier, vous pouvez le soumettre pour créer le fichier multimédia de sortie. Une fois le processus d’encodage terminé, vous pouvez ouvrir le fichier multimédia de sortie dans le lecteur QuickTime pour vérifier que les marqueurs, les URL et les illustrations s’affichent comme prévu. Ajout de réglages et préréglages supplémentaires Bien que le réglage du format de sortie constitue la partie la plus importante du processus de Compressor, vous pouvez également ajouter d’autres réglages et préréglages, tels que les filtres, le rognage, la taille des images, les actions et les destinations. Pour plus d’instructions sur la manière d’ajouter ces paramètres, consultez les chapitres suivants :  chapitre 19, « Ajout de filtres à un réglage », à la page 257  chapitre 20, « Ajout de contrôles d’images à un réglage », à la page 273  chapitre 21, « Ajout de réglages de géométrie », à la page 287  chapitre 22, « Ajout d’actions à un réglage », à la page 297  chapitre 24, « Création et changement de destinations », à la page 32517 237 17 Création de fichiers de sortie QuickTime Compressor fournit les outils nécessaires pour créer des fichiers multimédia QuickTime. QuickTime est une technologie multimédia multiplateforme, qui permet aux applications Mac OS de capturer et de lire des fichiers vidéo et audio, ainsi que des fichiers d’images fixes. QuickTime prend en charge un large éventail de codecs et peut aussi être mis à niveau pour accepter des options de codec supplémentaires, ainsi que des codecs tiers. Consultez la section « Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime » à la page 253 pour plus d’informations sur les options d’exportation QuickTime supplémentaires. Ce chapitre traite des sujets suivants :  Création de fichiers de sortie QuickTime (p. 237)  À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder QuickTime (p. 238)  Flux de production de transcodage QuickTime (p. 246)  Compréhension des codecs (p. 250)  Codecs vidéo QuickTime (p. 250)  Codecs audio QuickTime (p. 251) Création de fichiers de sortie QuickTime QuickTime est une norme ouverte intégrant de nombreux codecs et constitue à la fois une architecture multimédia et une architecture de diffusion de contenu largement utilisée pour la création et la distribution. Par exemple, beaucoup d’applications de composition et de montage vidéo utilisent QuickTime comme format de base, et la plupart des créateurs de titres créent le contenu de leurs CD-ROM au format QuickTime. QuickTime contient un grand nombre de codecs audio et vidéo appropriés à toutes les situations, des flux vidéo aux DVD. L’architecture QuickTime peut aussi manipuler des formats de fichier autres que les séquences QuickTime, par exemple les fichiers AVI et les flux 3G. Pour plus d’informations sur la création de ces types de format, consultez le chapitre 18, « Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime », à la page 253.238 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder QuickTime Les options suivantes apparaissent lorsque vous choisissez Séquence QuickTime dans le menu local « Format de fichier » :  Champ Extension de fichier : indique l’extension de fichier pour ce format de fichier de sortie. L’extension de fichier .mov représente le format QuickTime. Il est conseillé de ne pas modifier ce champ. Fichiers multimédia QuickTime pour le web Vous pouvez transmettre en continu vos fichiers multimédia de sortie sur Internet à l’aide de QuickTime, après leur compression à un débit approprié à la bande passante supposée des utilisateurs. Pour cela, convertissez vos fichiers multimédia de sortie soit en séquences QuickTime à lancement rapide (téléchargement placé d’avance en mémoire tampon), soit en séquences QuickTime Streaming (téléchargement complet). Compressor vous permet de choisir différentes options de diffusion en continu via le menu local Diffusion dans la sous-fenêtre Encodeur QuickTime. Consultez la section du menu local Diffusion pour plus d’informations sur la diffusion en continu de fichiers multimédia QuickTime sur Internet. Tableau Résumé Champ Extension de fichier Bouton Options (inactif) Menu local DiffusionChapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime 239  Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation des tâches. Elle n’est importante que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué et avec l’encodage à deux passes ou multipasse. (La fonctionnalité de traitement distribué est limitée aux ordinateurs sur lesquels est installé Final Cut Studio.) Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.  Réglages vidéo et Réglages audio : ces boutons ouvrent respectivement les zones de dialogue Réglages de compression et Réglages audio de QuickTime. Utilisez ces zones de dialogue pour sélectionner les codecs appropriés et modifier les autres paramètres de compression audio ou vidéo. Consultez les sections « À propos de la zone de dialogue Réglages audio » à la page 244 et « À propos de la zone de dialogue Réglages de compression » à la page 242 pour plus d’informations sur ces zones de dialogue.  Passthrough activé/désactivé : utilisez ces menus locaux pour activer ou désactiver les réglages Vidéo et Audio. Activé signifie que la piste vidéo ou audio sera incluse dans la séquence de sortie. Désactivé signifie que la piste vidéo ou audio sera exclue de la séquence de sortie. Passthrough (audio uniquement) signifie que Compressor va copier les données audio dans la séquence de sortie sans les modifier. Un exemple évocateur serait celui où vous devez convertir des fichiers HD (haute définition) incluant plusieurs pistes audio en fichiers SD (définition standard) sans pour autant déranger les pistes audio. Remarque : si vous exportez une séquence filmée de Final Cut Pro à Compressor (par les menus Fichier > Exporter > Via Compressor) et que vous appliquiez un réglage avec l’option Passthrough activée, la partie audio du réglage se change bien alors en réglage PCM en fonction de celui de la séquence et du nombre de canaux, mais une seule piste est alors créée au moment de l’exportation de sortie. Si la fonction de passthrough audio est nécessaire pour une séquence filmée Final Cut Pro, exportez une séquence QuickTime (menus Fichier > Exporter > Séquence QuickTime), puis importer la séquence dans Compressor. Important : si « Passthrough » est sélectionné, les filtres de la sous-fenêtre Filtre ne sont pas disponibles. De plus, les contrôles de resynchronisation de la sous-fenêtre « Contrôles d’image » ne corrigerons pas l’audio, ce qui peut provoquer des erreurs de synchronisation de la vidéo.240 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime  Diffusion : choisissez l’une des options de diffusion QuickTime suivantes dans ce menu local :  Aucune : si vous choisissez cette option (sélectionnée par défaut), votre fichier multimédia de sortie ne sera pas diffusé en continu sur Internet.  Lancement rapide : grâce à cette option, votre fichier multimédia de sortie peut être visualisé avant même qu’il ne soit complètement téléchargé depuis son serveur.  Lancement rapide - En-tête comprimé : cette option produit le même résultat que Lancement rapide (visualisation de votre fichier multimédia de sortie avant même qu’il ne soit complètement téléchargé depuis le serveur), mais les fichiers multimé- dia de sortie sont moins volumineux.  Diffusion optimisée : cette option permet d’ajouter des pistes d’indices au fichier multimédia de sortie, afin qu’il puisse être utilisé avec un serveur QuickTime Streaming Server.  Bouton Options : ce bouton reste inactif tant que l’option Diffusion optimisée n’est pas sélectionnée dans le menu local Diffusion. Lorsque vous cliquez sur ce bouton, la zone de dialogue Réglage d’exportation d’indications de QuickTime s’ouvre, vous permettant de choisir des réglages supplémentaires pour les algorithmes d’optimisation de votre flux de données.  Tableau Résumé : affiche des détails complets pour ce réglage. Marqueurs de chapitre et de podcast pour la sortie au format QuickTime Les marqueurs de chapitre de Final Cut Pro sont transférés dans d’autres fichiers de sortie reconnaissables par QuickTime Player, iTunes (fichiers .m4v), Final Cut Pro et DVD Studio Pro. Pour des informations sur l’ajout de marqueurs de chapitre et de podcast, consultez la section « Ajout de marqueurs à un plan » à la page 317.Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime 241 Réglages vidéo et audio QuickTime Les boutons Réglages vidéo et Réglages audio de QuickTime apparaissent dans la sous-fenêtre Encodeur si vous sélectionnez Séquence QuickTime comme format de fichier de sortie. Le bouton Réglages audio apparaît également si vous choisissez AIFF dans le menu local « Format de fichier ». Ces boutons vous permettent d’ouvrir les zones de dialogue Réglages de compression et Réglages Audio, dans lesquelles vous pouvez modifier l’ensemble des codecs vidéo ou audio que vous souhaitez ajouter au réglage sélectionné sous l’onglet Réglages. Par défaut, les boutons Réglages vidéo et Réglages audio sont actifs, mais vous pouvez les désactiver en décochant leur case respective. Paramètres des codecs vidéo  Pour plus d’informations sur le mode de personnalisation des paramètres des codecs vidéo, consultez l’étape 2 de la section « Ajout d’un codec vidéo QuickTime à un réglage » à la page 247.  Tous les codecs sont compatibles avec QuickTime, mais il est conseillé d’utiliser ceux indiqués ci-dessous si vous avez l’intention de lire votre fichier de sortie avec le lecteur QuickTime :  H.264  Photo-JPEG Paramètres des codecs audio  Pour plus d’informations sur le mode de personnalisation des paramètres des codecs audio, consultez l’étape 3 de la section « Ajout d’un codec audio QuickTime à un réglage » à la page 249.  Tous les codecs sont compatibles avec QuickTime, mais il est conseillé d’utiliser ceux indiqués ci-dessous si vous avez l’intention de lire votre fichier multimédia de sortie avec le lecteur QuickTime :  AAC  IMA 4:1 Consultez la section « Codecs audio QuickTime » à la page 251 pour plus d’informations sur les codecs audio.242 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime À propos de la zone de dialogue Réglages de compression Utilisez la zone de dialogue « Réglages de compression » pour modifier les paramètres des codecs vidéo du format de sortie QuickTime. Pour ouvrir la zone de dialogue « Réglages de compression », cliquez sur le bouton Réglages vidéo dans la sous-fenê- tre Encodeur QuickTime. Les éventuels réglages qui ne peuvent pas être modifiés restent inactifs. Certains codecs vidéo, comme Sorenson Video 3 et Photo-JPEG, vous permettent d’effectuer des réglages supplémentaires. Dans ce cas, le bouton Options deviendrait actif. Cliquez dessus pour procéder à des ajustements auxiliaires. La zone de dialogue Réglages de compression contient les éléments suivants, en fonction du codec que vous choisissez dans le menu local « Type de compression » :  Type de compression : utilisez ce menu local pour choisir le codec vidéo à ajouter à votre préréglage.  Fréquence : avec ce menu local, vous pouvez réduire la fréquence d’images de votre fichier original afin de réduire la taille du fichier compressé. En effet, des fréquences d’images élevées rendent les mouvements plus réguliers, mais requièrent une bande passante plus large. Utilisez le menu local Fréquence pour choisir une autre fré- quence d’images, mais sachez que pour obtenir des résultats optimaux, la valeur de fréquence d’images du fichier original doit être divisible par la nouvelle valeur. Par exemple, si votre fichier original avait une fréquence d’images égale à 30 images par seconde, vous devriez utiliser une fréquence d’images de 10 ou de 15 images par seconde. Le choix d’une fréquence égale ou à peu près égale à 24 images par seconde entraînerait un mouvement irrégulier, voire des images effacées, car 30 n’est pas exactement divisible par 24. Choisissez parmi les options suivantes : 8, 10, 12, 15, 23.98, 24, 25, 29.97, 30, 59.94, 60 ips, ou choisissez Personnalisé afin de saisir une valeur manuellement. Choisissez une fréquence d’images dans ce menu local. Cliquez sur le bouton Options pour accéder à des réglages de configuration supplémentaires. Sélectionnez un type de compression dans ce menu local.Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime 243  Images clés : si le codec que vous avez sélectionné le permet, utilisez le champ « Images clés Tous les » pour saisir le nombre d’images souhaité entre deux images clés. Les codecs qui reposent sur une méthode de compression temporelle utilisent des images clés. Celles-ci servent d’images de référence pour la séquence d’images suivante, ce qui permet de supprimer n’importe quelle donnée redondante entre l’image clé et les images suivantes. Les images clés sont séparées par des images delta moins détaillées. L’insertion d’images clés dans votre fichier multimédia est nécessaire à cause des variations de contenu. Certains codecs vidéo permettent d’insérer une image clé toutes les X images, alors que d’autres utilisent des images clés naturelles en analysant la totalité du fichier pour rechercher des similarités et différences importantes, puis en insérant des images clés en fonction des résultats obtenus. Si votre fichier multimédia comporte beaucoup de mouvements, vous devez insérer des images clés plus souvent que vous ne le feriez avec un contenu plus statique, comme une séquence montrant un présentateur.  Menu local Profondeur : utilisez le menu local Profondeur pour définir le réglage de la couleur. Par exemple, si une séquence QuickTime est composée de millions ou de centaines de couleurs et que l’ordinateur de lecture n’est capable d’afficher que 256 couleurs, ce paramètre est nécessaire pour résoudre cette différence de couleur. Les options proposées par ce menu local changent en fonction du codec vidéo sélectionné dans le menu local « Type de compression ». Par exemple, si vous choisissez le codec PNG, vous pouvez faire votre choix parmi une sélection allant des gris à plusieurs millions de couleurs, tandis que le codec Photo-JPEG ne vous permet de choisir qu’entre la couleur et une échelle de gris. Image clé Images delta Image clé244 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime  Curseur Qualité : utilisez ce curseur pour modifier la qualité générale de l’image de votre fichier traité. Il s’agit d’un paramètre subjectif qui permet d’améliorer la qualité en réduisant la bande passante et inversement, et confère la même qualité à l’ensemble du fichier multimédia. Une qualité minimum signifie que les fichiers de sortie requièrent une bande passante plus étroite et qu’ils sont diffusés plus rapidement. Les paramètres disponibles sont Inférieure, Basse, Moyenne, Élevée et Optimale. Vous pouvez également positionner ce curseur entre l’un de ces paramètres pour obtenir un débit plus spécifique (affiché numériquement).  Bouton Options : ce bouton est estompé, sauf si le codec sélectionné dans le menu local « Type de compression » propose des options. Il est conseillé de contacter directement les fabricants de ces codecs pour obtenir plus d’informations sur les options supplémentaires offertes.  Débit : utilisez ce champ pour définir le nombre de kilo-octets par seconde (Ko/s) requis pour diffuser votre fichier multimédia. Ce réglage est utile si vous utilisez un débit spécifique (tel qu’une connexion DSL) ou une quantité d’espace spécifique (sur un DVD ou un CD-ROM). Vous devriez choisir un débit approprié pour une diffusion moyenne et, dans la mesure du possible, le configurer au maximum dans les limites de vos données. Ce paramètre est prioritaire sur tous les autres paramètres de qualité du codec, car ce dernier compresse le fichier autant que possible, conformément au débit limite introduit. N’oubliez pas que le débit ne concerne que la piste vidéo de votre fichier multimé- dia. Si votre fichier multimédia possède également des données audio, vous devez aussi en tenir compte. À propos de la zone de dialogue Réglages audio Utilisez la zone de dialogue Réglages audio pour modifier les réglages de compression audio des formats de sortie QuickTime ou AIFF. Pour ouvrir cette zone de dialogue, cliquez sur le bouton Réglages audio dans la sous-fenêtre Séquence QuickTime ou Encodeur AIFF.Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime 245 Les éventuels réglages audio qui ne peuvent pas être modifiés restent inactifs. Certains codecs audio, comme Qualcomm PureVoice et QDesign Music 2, vous permettent d’effectuer des réglages supplémentaires. Dans ce cas, le bouton Options deviendrait actif. Cliquez dessus pour procéder à des ajustements auxiliaires. La zone de dialogue Réglages audio contient les éléments suivants, avec différents choix pour chacun, en fonction du codec audio que vous choisissez dans le menu local Format.  Format : choisissez le codec audio à ajouter à votre réglage.  Canaux : choisissez le type de sortie de canal, par exemple mono, stéréo ou un type de sortie multicanal, en fonction du codec.  Fréquence : choisissez le taux d’échantillonnage à appliquer à votre fichier multimé- dia. Plus le taux d’échantillonnage est important, meilleure est la qualité, mais plus le fichier est volumineux. Or, le téléchargement de fichiers volumineux est plus long et requiert une bande passante plus large.  Options : ce bouton demeure estompé, sauf si le codec sélectionné dans le menu local Format propose des options. Il est conseillé de contacter directement les fabricants de ces codecs pour obtenir plus d’informations sur les options supplémentaires offertes. Menu local Format Champ et menu local Fréquence Bouton Options (inactif)246 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime Tailles et fréquences d’échantillonnage audio QuickTime Si vous disposez de l’espace disque et de la bande passante suffisants, il est préférable de ne pas compresser les données audio. Une composante audio non compressée utilise normalement des échantillons sur 8 bits (qualité téléphone) ou sur 16 bits (qualité CD). Compressor prend en charge un maximum de 64 bits par échantillon en virgule flottante et une fréquence d’échantillonnage maximale de 192 kHz. Choix d’un codec audio AAC est un bon codec de diffusion audio polyvalent, compatible avec un large éventail de périphériques de lecture. Pour de faibles bandes passantes sur des ordinateurs rapides, le codec QDesign Music (QDMC) est approprié à la plupart des cas, tandis que le codec Qualcomm PureVoice est le meilleur choix pour les contenus exclusivement vocaux. Concernant les ordinateurs plus lents, les CD-ROM et les bornes interactives, le codec IMA est une meilleure option, car il fait moins appel aux ressources de l’ordinateur, ce qui permet à ce dernier de se focaliser sur le flux vidéo, plus exigeant. Consultez la section « Codecs audio QuickTime » à la page 251 pour plus d’informations sur les codecs audio. Flux de production de transcodage QuickTime Les étapes suivantes présentent le processus de transcodage nécessaire à la création de fichiers multimédia de sortie QuickTime : Étape 1 : Ouvrez la sous-fenêtre Encodeur QuickTime Il existe une multitude de codecs vidéo et audio QuickTime parmi lesquels vous pouvez choisir dans Compressor. Ceux-ci sont accessibles par l’intermédiaire des zones de dialogue Réglages de compression et Réglages audio, que vous ouvrez à partir de la sous-fenêtre Encodeur QuickTime en cliquant sur les boutons Réglages vidéo et Réglages audio. 1 Dans l’onglet Réglages, effectuez l’une des opérations suivantes :  Assurez-vous que le réglage correct est sélectionné.  Créez un réglage en choisissant Séquence QuickTime dans le menu local « Créer un réglage » (+).Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime 247 2 Ouvrez la sous-fenêtre Encodeur dans la fenêtre Inspecteur. La sous-fenêtre Encodeur QuickTime s’affiche par défaut, avec les boutons Réglages vidéo et Réglages audio, les menus locaux Activer, le menu local Diffusion, le bouton Options (inactif) et le tableau Résumé. Consultez la section « À propos de la sousfenêtre AIFF Encoder QuickTime » à la page 238 pour plus d’informations. Remarque : assurez-vous que les menus locaux Activer en regard des boutons Réglages sont réglés sur Activer si vous souhaitez inclure ces réglages dans le transcodage. Étape 2 : Ajout d’un codec vidéo QuickTime à un réglage Pour ajouter un codec vidéo QuickTime à votre réglage, ouvrez la zone de dialogue « Réglages de compression », puis choisissez un codec vidéo dans le menu local « Type de compression ». Remarque : si vous avez l’intention de n’utiliser aucun réglage vidéo, décochez la case Activer à côté du bouton Réglages vidéo.248 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime 1 Cliquez sur le bouton Réglages vidéo dans la sous-fenêtre Encodeur QuickTime. La zone de dialogue « Réglages de compression » s’ouvre. 2 Choisissez un codec vidéo dans le menu local « Type de compression », puis acceptez ses réglages par défaut ou personnalisez les autres réglages (le mouvement, le mode d’encodage, la qualité, la profondeur et, si possible, les options). Consultez les sections ci-dessous pour de plus amples informations sur les codecs vidéo :  « Paramètres des codecs vidéo » à la page 241  « À propos de la zone de dialogue Réglages de compression » à la page 242  « Codecs vidéo QuickTime » à la page 250 Remarque : vous pouvez voir le contenu actuel du réglage en affichant le tableau Résumé. 3 Cliquez sur OK pour enregistrer les modifications et fermer la zone de dialogue. Choisissez un codec vidéo dans le menu local « Type de compression ».Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime 249 Étape 3 : Ajout d’un codec audio QuickTime à un réglage Si vous souhaitez ajouter un codec audio à votre réglage, ouvrez la zone de dialogue Réglages audio, puis choisissez vos paramètres de codec audio. Remarque : si vous avez l’intention de n’utiliser aucun paramètre audio, décochez la case Activer à côté du bouton Réglages audio. 1 Cliquez sur le bouton Réglages audio dans la sous-fenêtre Encodeur QuickTime. La zone de dialogue Réglages audio s’ouvre. 2 Choisissez un codec audio dans le menu local Format, puis acceptez ses paramètres par défaut ou personnalisez les autres réglages du codec audio (le format, les canaux, la fré- quence d’échantillonnage et, si possible, les options). Consultez les sections ci-dessous pour de plus amples informations sur les codecs audio :  « Paramètres des codecs audio » à la page 241  « À propos de la zone de dialogue Réglages audio » à la page 244  « Codecs audio QuickTime » à la page 251 Remarque : vous pouvez voir le détail du contenu actuel du réglage en affichant le tableau Résumé. 3 Cliquez sur OK pour enregistrer vos réglages et fermer la zone de dialogue. Choisissez un codec audio dans le menu local Format.250 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime Compréhension des codecs Codec est issu de la contraction de compresseur (CO) et de décompresseur (DEC). Différents codecs sont utilisés en fonction des différentes méthodes de lecture (comme le web ou les CD-ROM). Vous pouvez choisir le codec approprié dès que vous connaissez la méthode de lecture de votre audience cible. Pour savoir quel codec répond le mieux à vos besoins, vous devez choisir le niveau de compression nécessaire selon le débit limite et le niveau de qualité souhaités. Les sections suivantes vous expliquent comment faire votre choix entre un codec audio et un codec vidéo. Codecs vidéo QuickTime Chaque codec présente des avantages et des inconvénients. Certains sont plus adaptés au stockage de certains types de média, d’autres introduisent plus d’artefacts. Certains compressent lentement et décompressent rapidement, tandis que d’autres compressent et décompressent à la même vitesse. Certains codecs peuvent compresser un fichier à 1/100e de sa taille originale, alors que d’autres ne réduisent la taille d’un fichier que très peu. Certains codecs ne fonctionnent qu’avec des systèmes d’exploitation donnés, d’autres requièrent un processeur particulier ou une version minimum de QuickTime pour la lecture. Lors du choix d’un codec, vous devez prendre en compte les points suivants :  la configuration minimum du système de votre audience cible,  le matériel source,  la qualité du fichier multimédia compressé,  la taille du fichier multimédia compressé, Ajout de réglages et préréglages supplémentaires Bien que le réglage du format de sortie constitue la partie la plus importante du flux de production de Compressor, vous pouvez également ajouter d’autres réglages et préréglages, tels que les filtres, le rognage, la taille des images, les actions et les destinations. Pour plus d’instructions sur la manière d’ajouter ces paramètres, consultez les chapitres suivants :  chapitre 19, « Ajout de filtres à un réglage », à la page 257  chapitre 20, « Ajout de contrôles d’images à un réglage », à la page 273  chapitre 21, « Ajout de réglages de géométrie », à la page 287  chapitre 22, « Ajout d’actions à un réglage », à la page 297  chapitre 24, « Création et changement de destinations », à la page 325Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime 251  la durée de compression/décompression du fichier multimédia,  la diffusion ou non du fichier multimédia en continu. Compressor est livré avec les codecs vidéo standard offerts par QuickTime et les options de codec supplémentaires livrées avec QuickTime Pro. À moins d’être sûr que les ordinateurs de votre public cible sont équipés d’un codec particulier, utilisez l’un des codecs QuickTime standard afin de garantir une compatibilité globale. Remarque : consultez la documentation sur QuickTime pour plus d’informations sur le choix des codec vidéo et la façon de tirer au mieux parti de leurs paramètres. Les codecs vidéo peuvent être divisés en deux types : les codecs sans perte et les codecs avec perte.  Codecs sans perte : les codecs sans perte préservent intégralement les données qu’ils compressent et sont généralement utilisés pour transférer un métrage d’une suite d’édition à une autre. Ce type de codec peut nécessiter d’importants débits et des ordinateurs de pointe équipés d’un matériel spécialisé. Les codecs Animation et 4:4:2 non compressés 8 bits et 10 bits sont des exemples de codecs sans perte.  Codecs avec perte : contrairement aux codecs sans perte, les codecs avec perte ne renvoient qu’une approximation des données et sont généralement utilisés pour transmettre de la vidéo finalisée à un utilisateur final. Le niveau d’approximation dépend de la qualité du codec. Généralement, il existe un compromis entre la qualité de sortie du codec et le niveau de compression auquel il parvient. Avec certains codecs, il est possible d’atteindre un taux de compression d’au moins 5:1 sans dégradation visible. Le codec Photo-JPEG est un exemple de codec avec perte. Une compression avec perte de faible qualité introduit des artefacts visuels non naturels qui peuvent être visibles à l’œil nu. Si vous utilisez un codec avec perte, il est conseillé de ne compresser votre fichier multimédia qu’une seule fois, car le fait de comprimer un fichier plusieurs fois multiplierait les défauts. Codecs audio QuickTime Si vous disposez de l’espace disque et de la bande passante suffisants, la meilleure chose à faire est de ne pas compresser les données audio. Les données audio non compressées utilisent normalement des échantillons 8 bits (qualité téléphone) ou 16 bits (qualité CD). Compressor prend en charge un maximum de 64 bits par échantillon en virgule flottante et une fréquence d’échantillonnage maximale de 192 kHz. À l’inverse, si l’espace disque et la bande passante dont vous disposez sont limités, la compression des données audio est nécessaire. Toutefois, comme les données audio d’un fichier multimédia occupent moins d’espace disque que les données vidéo, il n’est pas indispensable de les compresser autant.252 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime Les principaux composants des codecs audio sont leur taille et leur taux d’échantillonnage. Le taux d’échantillonnage définit la qualité du son, tandis que la taille d’échantillonnage définit sa dynamique. Les codecs audio QuickTime permettent de définir le taux d’échantillonnage et la dynamique de votre fichier multimédia source. Taux d’échantillonnage audio Le son numérique consiste en différents échantillons sonores capturés à différentes fréquences. Plus il y a d’échantillons par seconde, plus la qualité du son est bonne. Par exemple, les CD audio utilisent un taux d’échantillonnage de 44,1 kHz, les DVD en utilisent un de 48 kHz et les réseaux téléphoniques échantillonnent la voix à 8 kHz. Le taux d’échantillonnage que vous allez choisir dépend de la nature du son. En effet, la musique requiert un taux d’échantillonnage supérieur à celui de la voix, car sa bande de fréquences est beaucoup plus large. Étant donné que la bande de fréquences de la voix est beaucoup plus limitée, vous pouvez choisir un taux d’échantillonnage plus bas tout en maintenant une qualité audio acceptable. Dans la plupart des cas, il est recommandé de toujours choisir le taux d’échantillonnage le plus élevé parmi ceux disponibles. La réduction du taux d’échantillonnage peut réduire la taille d’un fichier multimédia dans un rapport de 5:1. La qualité audio en sera affectée, mais pas autant que si vous utilisiez un échantillonnage sur 8 bits. Le tableau suivant indique des taux d’échantillonnage habituels et pour chacun, la qualité audio équivalente attendue : Taille d’échantillonnage audio La taille d’échantillonnage détermine la plage dynamique du son. Un son 8 bits fournit 256 valeurs possibles, tandis qu’un son 16 bits autorise plus de 65 000 valeurs. Choisissez un son 16 bits pour de la musique avec des sections hautes et modérées, comme de la musique orchestrale. Pour la voix ou la musique avec un niveau sonore plus ou moins constant, un son 8 bits devrait fournir de bons résultats. Si vous avez besoin de diminuer la taille de votre fichier multimédia, vous pouvez réduire la taille d’échantillonnage de 16 bits à 8 bits. Cela permet de diviser la taille du fichier par deux, mais dégrade également la qualité audio. Taux d’échantillonnage Qualité audio équivalente 48 kHz DAT/DV/DVD 44 kHz CD 22 kHz Radio FM 8 kHz Téléphone18 253 18 Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime Vous pouvez utiliser Compressor pour produire une grande variété de formats supplémentaires à l’aide de la fonction de module du composant QuickTime. Le présent chapitre décrit comment profiter fonction de module du composant QuickTime qui donne accès à une grande variété de formats de fichier supplémentaires que Compressor peut produire à partir de vos fichiers multimédia sources :  Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime (p. 253)  Installation des modules de composant d’exportation QuickTime (p. 254)  À propos du module iPod (p. 254)  À propos de la sous-fenêtre Encodeur Composants d’exportation au format QuickTime (p. 255)  Configuration des réglages de composant d’exportation (p. 256) Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime Compressor et QuickTime peuvent également être étendus afin de prendre en charge des options de codec et formats tiers supplémentaires. Cette section se concentre sur la fonctionnalité de module de composant QuickTime, qui vous permet d’exporter des formats de fichier exotiques pouvant être lus sur des périphériques et systèmes d’exploitation tiers, tels que les téléphones portables. Contrairement aux séquences QuickTime, ces fichiers exportés ne peuvent pas être lus par QuickTime Player ou d’autres applications QuickTime. Pour plus d’informations sur le format de fichier de séquence QuickTime natif, consultez la section « Création de fichiers de sortie QuickTime » à la page 237.254 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime Par le passé, la création de ces types de fichier nécessitait plusieurs étapes et plusieurs systèmes d’exploitation : l’exportation du fichier, son déplacement vers un ordinateur sur une autre plate-forme, puis l’encodage à l’aide d’une autre application logicielle. La fonctionnalité Composants d’exportation QuickTime vous permet de contrôler le moteur d’encodage tiers sans avoir à ouvrir une autre application. Cela permet de rationaliser le flux de production tout en vous permettant de gagner du temps et d’éviter de travailler avec plusieurs systèmes d’exploitation et logiciels. Installation des modules de composant d’exportation QuickTime Sans aucun logiciel tiers supplémentaire, Compressor prend actuellement en charge l’encodage 3G, AVI et iPod. La fonctionnalité de composant d’exportation de Compressor a été développée pour permettre l’ajout de modules d’exportation supplé- mentaires dans le futur. Il suffira d’installer le logiciel tiers, puis de choisir le format de fichier de sortie correspondant dans le menu local « Type d’encodeur » de la sous-fenê- tre Encodeur Composants d’exportation au format QuickTime de la fenêtre Inspecteur. Pour en savoir plus sur les modules et mises à jour disponibles, consultez le site web de support de Compressor : http://www.apple.com/fr/support/compressor. À propos du module iPod Le format « Composants d’exportation au format QuickTime » comporte un type d’encodeur pour iPod. Cet encodeur crée un fichier de sortie qui peut être lu sur un iPod à l’aide d’un Encodeur H.264 pour la vidéo et un encodeur AAC pour l’audio. Tous les réglages (dimension de l’image, fréquence d’images, etc.) sont définis automatiquement. Les inconvénients de l’utilisation de ce module (par rapport à l’utilisation du format de sortie H.264 pour périphériques Apple) sont l’impossibilité de bénéficier du traitement distribué, d’ajouter des marqueurs de chapitre et d’utiliser la sous-fenêtre Contrôles d’image. Consultez le chapitre 10, « Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple », à la page 159 pour en savoir plus sur la création de fichiers de données de sortie iPod.Chapitre 18 Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime 255 À propos de la sous-fenêtre Encodeur Composants d’exportation au format QuickTime Les options suivantes apparaissent lorsque vous choisissez le format de sortie Composants d’exportation au format QuickTime dans le menu local « Format de fichier » de la sous-fenêtre Encodeur de la fenêtre Inspecteur :  Extension de fichier : ce champ indique l’extension de fichier pour le format de sortie sélectionné dans le menu Type d’encodeur.  Autoriser la segmentation de la tâche : cette case vous permet de désactiver la segmentation de tâche. Étant donné que la segmentation n’est pas utilisée avec le format « Composant d’exportation », cette case n’est pas activée. Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.  Type d’encodeur : utilisez ce menu local pour choisir parmi les formats de sortie de composant d’exportation disponibles (modules).  Options : cliquez sur ce bouton pour ouvrir la fenêtre Réglages pour le format de fichier de sortie sélectionné dans le menu local « Type d’encodeur ». Champ Extension de fichier Choisissez Composants d’exportation au format QuickTime. Cliquez pour afficher les options du module d’encodage. Choisissez un module d’encodage.256 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime Configuration des réglages de composant d’exportation Lorsque vous choisissez « Composants d’exportation au format QuickTime » comme format de sortie, vous pouvez uniquement créer des réglages pour les modules d’exportation installés. Pour créer des réglages « Composants d’exportation au format QuickTime » : 1 Dans l’onglet Réglages, effectuez l’une des opérations suivantes :  Assurez-vous que le réglage correct est sélectionné.  Créez un réglage en choisissant « Composants d’exportation au format QuickTime » dans le menu local « Créer un réglage » (+). 2 Choisissez un format de fichier de sortie dans le menu local « Type d’encodeur ». 3 Cliquez sur le bouton Options dans la sous-fenêtre Encodeur. La fenêtre Réglages de ce format de fichier de sortie particulier apparaît. Important : utilisez l’interface utilisateur du module d’exportation tiers pour saisir de façon explicite la largeur, la hauteur et la fréquence d’images caractérisant le fichier de sortie. Ne laissez pas les champs de largeur, de hauteur et de fréquence d’images dans l’interface utilisateur de tierce partie sur leurs valeurs par défaut (c’est-à-dire leurs valeurs « actuelles »). 4 Cliquez sur OK pour enregistrer vos réglages et fermer la zone de dialogue. Remarque : la fonction « Contrôles d’images » de Compressor n’est pas disponible lors de l’utilisation de la fonction Composants d’exportation au format QuickTime. Configurez des réglages pour le composant d’exportation QuickTime.19 257 19 Ajout de filtres à un réglage Compressor comprend divers filtres (tels que les filtres d’étalonnage et de suppression de bruit) dont vous pouvez vous servir pour modifier les détails de vos projets de transcodage. Ce chapitre traite des sujets suivants :  Utilisation des filtres (p. 257)  À propos de la sous-fenêtre Filtres (p. 260)  Filtres disponibles (p. 261)  Ajout de filtres à un réglage (p. 271) Utilisation des filtres Vous pouvez traiter votre fichier multimédia source à l’aide de divers filtres avant de le transcoder, afin de contribuer à l’amélioration de la qualité de sortie de la vidéo et du son. La meilleure façon d’affecter ces réglages de filtre consiste à regarder, et écouter, votre fichier multimédia source et à choisir ce qui est le plus approprié en fonction de son contenu. Filtres de prévisualisation Vous pouvez prévisualiser un extrait contenant vos réglages de filtre actuels en cliquant sur la cible dans la fenêtre Lot afin de l’ouvrir dans la fenêtre Preview. L’écran Preview est divisé en deux parties dans lesquelles sont affichées la version originale et la version transcodée de votre fichier multimédia, pour que vous puissiez voir et entendre les effets de vos réglages de filtre avant de traiter le lot (à condition que la case correspondant à ce filtre particulier soit sélectionnée). Cela peut s’avérer utile si vous utilisez plusieurs filtres, car il est parfois difficile de pré- voir la manière dont les filtres interagissent. Important : l’ordre des filtres dans la liste de filtres correspond à l’ordre dans lequel ils sont appliqués à la vidéo ou au son. Essayez de changer l’ordre des filtres si vous voyez des résultats inattendus dans la fenêtre Preview.258 Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage Lorsque vous êtes satisfait de vos paramètres, il est conseillé de parcourir la totalité du film afin de vous assurer que les changements ne sont pas trop importants pour certaines scènes. Remarque : selon votre système, le type de fichier multimédia source et le nombre de filtres appliqués, il se peut que la fenêtre Preview dans laquelle les réglages de filtres sont affichés soit actualisée à une fréquence d’images inférieure à celle de la source. Pour plus d’informations, consultez le chapitre 23, « Utilisation de la fenêtre Preview », à la page 303. Désentrelacement La vidéo NTSC et la vidéo PAL sont entrelacées, c’est-à-dire que chaque image vidéo consiste en deux champs (déphasés de 1/60e de seconde), l’un avec les lignes de diffusion impaires et l’autre avec les lignes paires de l’image. La différence entre ces deux champs crée l’impression de mouvement, car nos yeux combinent ces deux images en une seule, ce qui permet d’obtenir à 30 images par seconde (en télévision définition standard) un mouvement régulier et réaliste. De plus, comme le taux de rafraîchissement des champs est élevé (1/60e de seconde), l’entrelacement est invisible. Les ajustements que vous faites peuvent être visualisés dans la fenêtre Preview.Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage 259 Comme l’entrelacement crée deux trames pour chaque image, les zones d’une trame où le mouvement est rapide sont séparées par des lignes alternatives en escalier. Vous pouvez visualiser votre média source image par image et vérifier la présence de bandes horizontales sur les bords avant et arrière des objets en mouvement. Si vous pouvez voir ces dernières, vous devez désentrelacer votre fichier multimédia source afin de le convertir à un format image par image. Remarque : pour le désentrelacement, l’option « Contrôles d’images » est recommandée par rapport au filtre de désentrelacement (filtre propriétaire), car elle offre toujours une qualité très supérieure. Pour plus d’informations, consultez le chapitre 20, « Ajout de contrôles d’images à un réglage », à la page 273. Espaces de couleur Compressor prend en charge les espaces colorimétriques suivants : YUV (R408), 2VUY, RGBA, ARGB et YUV (v210). Certains filtres requièrent une conversion des espaces de couleur, tandis que d’autres peuvent manipuler plusieurs espaces de couleur. Pour chaque fichier multimédia, Compressor choisit l’espace colorimétrique le plus approprié pour délivrer les meilleurs résultats de sortie et de performances en fonction de l’espace colorimétrique de ces trois attributs : le format du média source, le format de l’encodeur et les filtres choisis. L’entrelaçage crée un effet de « peigne » qui doit être supprimé.260 Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage À propos de la sous-fenêtre Filtres Utilisez les fonctions suivantes de la sous-fenêtre Filtres de l’Inspecteur pour sélectionner et ajuster les filtres à appliquer à vos réglages.  Liste des filtres : cochez la case située à gauche du filtre que vous souhaitez ajouter aux préréglages. Les paramètres de filtrage que vous sélectionnez apparaissent dans le tableau de la sous-fenêtre Résumé. Vous pouvez réorganiser les filtres en les déplaçant vers le bas ou le haut dans la liste Filtres. Comme ces filtres sont traités un par un pendant le transcodage (en commençant par le premier de la liste), leur classement dans la liste est très important. Par exemple, il est recommandé de placer le filtre de superposition de texte en dernier, afin que la couleur que vous avez choisie pour le texte ne soit pas modifiée par un autre filtre.  Contrôles du filtre : les contrôles disponibles dépendent du filtre sélectionné dans la liste. Le curseur de défilement vous permet de modifier rapidement les valeurs numériques de votre paramètre, tandis que les boutons fléchés n’autorisent que des modifications incrémentielles de la valeur numérique. Le numéro du paramètre apparaît dans le champ situé entre le curseur de défilement et les boutons fléchés. Remarque : après avoir paramétré un filtre, sa case est automatiquement cochée. Si vous décidez de ne plus vouloir utiliser ce filtre, assurez-vous de décocher sa case avant de procéder au transcodage. Liste des filtres. Contrôles de filtre. Choisissez des filtres vidéo ou audio.Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage 261 Filtres disponibles La sous-fenêtre Filtres comprend deux onglets : un pour la vidéo et un pour l’audio. Filtres vidéo  Rétablir BlackWhite : transforme les couleurs s’approchant du noir en noir pur et les couleurs s’approchant du blanc en blanc pur, sans modifier les autres couleurs du reste de l’image. Utilisez ce filtre pour mieux compresser les zones unies noires et blanches (luminance) de l’image, par exemple les arrière-plans. Les deux curseurs de défilement permettent de régler indépendamment les valeurs du blanc et du noir entre 0 et 100. Consultez la section « Espaces de couleur » à la page 259 pour plus d’informations sur la façon dont les espaces de couleur sont liés à ce filtre.  Luminosité et Contraste : modifie la couleur générale et les valeurs de luminance de votre fichier multimédia de sortie pour que l’image soit plus claire ou plus foncée. Certains codecs QuickTime assombrissent votre fichier vidéo ; vous pouvez donc utiliser ce filtre pour compenser ce phénomène. Choisissez une valeur comprise entre -100 et 100, mais il est déconseillé d’utiliser des valeurs extrêmes pour ne pas obtenir des images délavées.262 Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage  Étalonnage des hautes lumières, Tons intermédiaires ou Ombres : en fonction de ce que vous choisissez, cette option corrige les inexactitudes de balance des blancs et crée des effets de couleur dans les zones de couleurs vives, de tons intermédiaires ou de tons foncés des images de votre plan. Les valeurs de rouge, de vert et de bleu peuvent être réglées indépendamment entre -100 et 100.  Désentrelaçage : supprime les effets de l’entrelacement. Si votre fichier multimédia source doit être converti en un format image par image, vous devez le désentrelacer pour supprimer les effets de l’entrelacement. L’entrelacement sur les écrans d’ordinateur peut conférer aux objets en déplacement rapide un aspect flou, ce qui rend ce paramètre particulièrement important si vous lisez une vidéo au format QuickTime sur votre ordinateur ou en continu sur Internet. Vous pouvez supprimer la trame supérieure (impaire) ou inférieure (paire) d’un fichier vidéo entrelacé, mais cela aura un impact sur la fluidité des mouvements du plan. Lors des arrêts sur image, ce filtre peut également être utilisé pour éliminer le papillotement causé par l’entrelacement des images qui présentent de fines lignes verticales, comme les pages de titre avec du texte de petite taille. Les trames restantes sont interpolées pour créer une image complète, ce qui conduit à un adoucissement général de l’image. Consultez la section « Désentrelacement » à la page 258 pour plus d’informations. Remarque : l’option « Contrôles d’images » est recommandée par rapport au filtre de désentrelacement (filtre propriétaire), car elle offre toujours une qualité très supé- rieure. Pour plus d’informations, consultez le chapitre 20, « Ajout de contrôles d’images à un réglage », à la page 273.Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage 263 Parmi les méthodes de désentrelacement suivantes, sélectionnez dans le menu local celle qui fonctionne le mieux avec votre métrage :  Blur : mélange les trames paires et impaires. Ce paramètre rend les données temporaires plus importantes et préserve mieux les mouvements, mais comme les images individuelles sont composées de deux images, leur qualité n’est pas optimale lorsque vous suspendez la lecture.  Pair : garde les trames paires et ignore les trames impaires, évitant ainsi les mouvements flous.  Impair : garde les trames impaires et ignore les trames paires, évitant ainsi les mouvements flous.  Accentué : traite les deux trames pour rendre les bords plus nets. Ce paramètre met en valeur les données spatiales.  Fondu entrant/sortant : ajoute un fondu partant de ou aboutissant à une couleur de cache au début et à la fin du plan.  Durées de fondu entrant et sortant : définit la durée du fondu.  Opacité de fondu entrant et sortant : définit l’opacité de la première image vidéo du plan (fondu entrant) ou de la dernière (fondu sortant). Une valeur de 0,0 signifie que l’image vidéo concernée est complètement recouverte par la couleur de cache. Une valeur de 0,5 détermine un plan recouvert à 50 pour cent par la couleur de cache.  Couleur du fondu : définit la couleur de cache. Si vous cliquez sur cette option, le sélecteur de couleurs apparaît pour vous permettre de choisir la couleur de départ et d’arrivée du fondu. (La couleur du fondu entrant doit être la même que celle du fondu sortant.)264 Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage  Correction Gamma : contrôle la luminosité générale d’une image telle qu’elle apparaît à l’écran en modifiant la valeur du gamma du fichier multimédia. Ce filtre peut être utilisé pour supprimer les détails d’un plan sous-exposé ou pour réduire la saturation d’un plan surexposé à un niveau acceptable sans conduire à des images trop délavées. Les ordinateurs fonctionnant avec différents systèmes d’exploitation pré- sentent divers paramètres d’écran. En visualisation multi-plateforme, la correction gamma améliore l’image quelle que soit la plate-forme utilisée. Choisissez une valeur gamma comprise entre 0,1 et 4,0.  Letterbox : met à l’échelle et positionne l’image entre des barres horizontales de type « letterbox ».  Type : ce menu local permet de choisir le type de format Letterbox à utiliser. Échelle compresse verticalement la vidéo afin qu’elle tienne dans les barres Letterbox. Cache rogne la vidéo dans laquelle les barres Letterbox sont placées.  Position : ce menu local permet de choisir la position de la vidéo. L’option Au centre place des barres noires au-dessus et en dessous de la vidéo, cette dernière restant centrée. L’option Bas positionne la vidéo au bas de l’écran, avec une barre noire unique au-dessus. L’option Haut positionne la vidéo en haut de l’écran, avec une barre Letterbox unique au-dessous.  Sortie : ce menu local permet de choisir les proportions spécifiques à utiliser pour le format Letterbox. Chaque paramètre est suivi d’une valeur qui indique le ratio largeur/hauteur utilisé pour ce paramètre. Ainsi, le paramètre Academy indique un ratio de 1,85 :1, ce qui signifie que la largeur de l’image est égale à 1,85 fois sa hauteur. Le paramètre Manuelle active le curseur Manuelle que vous pouvez utiliser pour définir manuellement les proportions du format Letterbox. Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage 265  Curseur Manuelle : utilisé lorsque l’option Manuelle est sélectionnée dans le menu local Sortie. Cette option permet de définir manuellement les proportions Letterbox. Le curseur Manuelle n’a aucun effet lorsque l’option Manuelle n’est pas sélectionnée dans le menu local Sortie.  Case Arrière-plan : détermine la couleur de la boîte aux lettres. Cochez cette case pour choisir la couleur de l’arrière-plan à partir du sélecteur de couleur.  Suppression des bruits : réduit les zones de bruit aléatoire de l’image. Certains codecs introduisent dans les fichiers vidéo du bruit, qui peut être atténué à l’aide du filtre de suppression du bruit. Vous pouvez améliorer la qualité de l’image et compresser l’espace de votre contenu de manière plus efficace en réduisant les détails les plus fins. Le filtre de réduction de bruit vous permet de rendre floues certaines zones à faible contraste tout en gardant les bords à contraste élevé nets. Ce principe est connu sous le nom de réduction de bruit adaptative. Les résultats ne sont pas perceptibles à l’œil nu, mais améliorent la compression finale du média source. Il est particulièrement important d’utiliser ce filtre avec des vidéos diffusées en direct.  Appliquer à : ce menu local permet de choisir les canaux dont vous souhaitez filtrer le bruit. L’option par défaut est « Tous les canaux », qui permet de filtrer le bruit provenant de tous les canaux, y compris le canal alpha. L’autre option est « Canaux de colorimétrie », qui filtre uniquement le bruit provenant des deux canaux de colorimétrie (U et V) dans l’espace colorimétrique AYUV (ou R408 dans la terminologie Final Cut Pro).  Itérations : ce menu local atténue le bruit de l’image. Choisissez la fréquence d’application (entre 1 et 4) de l’algorithme sélectionné au fichier multimédia source. À chaque nouvelle application de l’algorithme, ce dernier utilise l’image modifiée résultant de l’application antérieure. Plus vous utilisez d’itérations, plus l’image devient floue.266 Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage  Algorithme : sélectionnez l’un des algorithmes suivants dans le menu local Algorithme : Moyen (la couleur de chaque pixel est modifiée en fonction de la couleur moyenne des pixels qui l’entourent, y compris sa propre couleur) ; Remplacement (la couleur de chaque pixel est modifiée en fonction de la couleur moyenne des pixels qui l’entourent, en excluant sa propre couleur) ; Fusionner (la couleur de chaque pixel est modifiée en fonction de la moyenne pondérée des couleurs des pixels qui l’entourent, y compris sa propre couleur).  Accentuer contour : améliore le contraste de l’image au niveau des bords des objets. Certains codecs rendent les images vidéo floues, ce filtre peut donc neutraliser l’effet d’adoucissement dû à la suppression du bruit ou à un média source flou, et augmenter l’impression de netteté de l’image. Lorsque vous utilisez des valeurs extrêmes, les images du fichier multimédia de sortie peuvent sembler granuleuses. Choisissez n’importe quelle valeur comprise entre 0 et 100.  Superposer texte : permet au texte d’apparaître en surimpression sur l’image. Cette option est utile pour apposer des informations textuelles sur votre fichier multimé- dia de sortie. Utilisez les contrôles suivants pour positionner du texte, sélectionner la couleur et la police, et spécifier sa transparence :  Menu local Position : détermine la position du texte dans le plan. Choisissez l’une des 13 positions (Au centre, Inférieure gauche, Inférieure gauche - Titre sécurisé, etc.).Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage 267  Alpha : ce curseur définit l’opacité du texte. Vous pouvez choisir une valeur comprise entre 0 et 1, sachant qu’une valeur égale à 0 équivaut à une transparence totale, tandis qu’une valeur égale à 1 correspond à une opacité complète.  Texte : tapez le texte souhaité dans ce champ.  Couleur du texte : cochez cette case pour choisir la couleur du texte à partir du sélecteur de couleur.  Sélectionner une police : cliquez sur ce bouton pour ouvrir une palette de polices vous permettant de sélectionner la police, son style et sa taille.  Générateur de timecode : superpose le texte du timecode du plan à l’image. Vous pouvez aussi ajouter une étiquette au texte du timecode.  Menu local Position : détermine la position du texte du timecode dans le plan. Choisissez l’une des 13 positions (Au centre, Inférieure gauche, Inférieure gauche, Titre sécurisé, etc.).  Alpha : ce curseur définit l’opacité du texte du timecode. Vous pouvez choisir une valeur comprise entre 0 et 1, sachant qu’une valeur égale à 0 équivaut à une transparence totale, tandis qu’une valeur égale à 1 correspond à une opacité complète.  Intitulé : saisissez dans ce champ tout texte que vous souhaitez voir apparaître à gauche du numéro du timecode.  Case « Démarrer timecode à 00:00:00:00 » : cochez cette case pour que le timecode commence à 00:00:00:00. Si cette option n’est pas sélectionnée, le timecode du plan est utilisé.  Couleur du texte : cochez cette case pour choisir la couleur du texte du timecode dans le sélecteur de couleurs.  Sélectionner la police : cliquez sur ce bouton pour ouvrir une palette de polices vous permettant de sélectionner la police, son style et sa taille.268 Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage  Filigrane : permet de superposer un filigrane à l’image. Cette option est utile pour apposer un logo approprié sur votre fichier multimédia de sortie. Le filtre Filigrane peut appliquer des images fixes ou des séquences en filigrane sur votre fichier multimédia de sortie. Utilisez les menus locaux, les curseurs de défilement et les champs ci-après pour positionner et dimensionner le filigrane, et régler sa transparence :  Menu local Position : ce menu local positionne l’image de filigrane dans le plan d’image. Choisissez l’une des 13 positions (Au centre, Inférieure gauche, Inférieure gauche - Titre sécurisé, etc.).  Échelle : ce curseur définit la taille de l’image de filigrane.  Alpha : ce curseur définit l’opacité de l’image de filigrane. Vous pouvez choisir une valeur comprise entre 0 et 1, sachant qu’une valeur égale à 0 équivaut à une transparence totale, tandis qu’une valeur égale à 1 correspond à une opacité complète.  Case Répétitive : si vous avez choisi un plan comme filigrane, le fait de cocher cette case permet de lire le filigrane en boucle. Si vous ne cochez pas cette case, le filigrane est lu une fois jusqu’à la fin puis disparaît.  Bouton Choisir : cliquez sur ce bouton pour ouvrir la zone de dialogue de sélection de fichiers, puis sélectionnez la séquence ou l’image à utiliser comme filigrane. Filtres audio Important : les filtres audio ne sont pas disponibles lorsque l’audio est réglé sur Passthrough dans les réglages QuickTime. Consultez la section « À propos de la sousfenêtre AIFF Encoder QuickTime » à la page 238 pour plus d’informations.Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage 269  Plage dynamique : cette option permet de contrôler les niveaux audio d’un plan de façon dynamique en augmentant le son des parties où le volume sonore est faible et en le baissant pour les parties où le volume sonore est plus élevé. Cette option est également appelée compression du niveau audio.  Adoucir au-dessus : les volumes sonores supérieurs à ce niveau audio sont réduits au niveau défini par le gain principal.  Seuil de bruit : définit le niveau de ce qui est considéré comme bruit. Le son dont le niveau est égal ou supérieur à ce niveau est amplifié de façon dynamique jusqu’au niveau défini par le gain principal. Le son au dessous de ce niveau demeure inchangé.  Gain principal : définit le niveau moyen du son comprimé de façon dynamique.  Écrêteur : définit le niveau maximum autorisé du son pour le plan.  Gain (dB) : définit le niveau au dessus duquel les pics plus élevés sont réduits.  Égaliseur graphique Apple AU : cette option vous permet d’utiliser l’égaliseur graphique AUGraphicEQ Apple pour créer un grand nombre de formes de fréquences sur toute la plage des fréquences audibles. Vous pouvez choisir entre une version à 31 bandes et une version à 10 bandes.270 Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage  Menu local Options : ouvre l’interface de l’égaliseur graphique AUGraphicEQ Apple. Le menu local « Nombre de bandes » de l’interface de l’égaliseur permet de choisir la version d’égaliseur à utiliser (31 bandes ou 10 bandes).  Fondu entrant/sortant : ajoute un mixage partant de ou aboutissant à un silence (ou un niveau de gain que vous avez défini) au début et à la fin du plan.  Durées de fondu entrant et sortant : définit la durée du mixage utilisé pour la transition entre la valeur de gain et le niveau audio normal du plan au début (fondu entrant) et à la fin (fondu sortant) du plan.Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage 271  Gains de fondu entrant et sortant : définit le niveau auquel le mixage commence (fondu entrant) ou se termine (fondu sortant). La valeur –100,0 correspond au silence et la valeur 0,0 signifie que le son n’est pas modifié. Remarque : lorsque vous utilisez à la fois le filtre Fondu entrant/sortant et le filtre Plage dynamique, veillez à ce que le filtre Plage dynamique se trouve avant le filtre Fondu entrant/sortant dans la liste de filtres. Ajout de filtres à un réglage Utilisez la sous-fenêtre Filtres dans la fenêtre Inspecteur pour ajouter des filtres à vos réglages. Pour ajouter des filtres à un réglage : 1 Ouvrez l’onglet Réglages. 2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier multimédia source dans la fenêtre Lot. De cette façon, vous pouvez ouvrir la fenêtre Preview et voir les effets de vos ajustements de filtre. 3 Cliquez sur la sous-fenêtre Filtres de l’Inspecteur. 4 Configurez selon vos souhaits les filtres que vous souhaitez ajouter à ce réglage. Remarque : une coche apparaît automatiquement dès que vous commencez à paramé- trer un filtre. Le filtre est automatiquement sélectionné si vous modifiez ses réglages. Toute modification apportée aux réglages d’un filtre est appliquée au filtre sélectionné.272 Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage 5 Dans la liste des filtres, déplacez les filtres vers le haut ou vers le bas pour déterminer l’ordre dans lequel vous souhaitez qu’ils soient appliqués au fichier multimédia source pendant son transcodage. Étant donné que ces filtres sont traités un par un pendant le transcodage (en commen- çant par le premier de la liste), il est important que vous les classiez selon leur ordre d’application. Par exemple, il est recommandé de placer le filtre de superposition de texte en dernier, afin que la couleur que vous avez choisie pour le texte ne soit pas modifiée par un autre filtre. Si vous déplacez un filtre, assurez-vous de cocher la case pour que Compressor sache qu’il faut l’appliquer au réglage concerné. Si vous essayez de sélectionner un autre réglage après avoir sélectionné un filtre déplacé, la zone de dialogue Enregistrer vous demande d’enregistrer ou d’annuler les changements apportés à ce réglage. Par défaut, tous les filtres sélectionnés s’affichent en premier dans la liste. Remarque : vous pouvez voir les détails des réglages dans la sous-fenêtre Résumé de la fenêtre Inspecteur. Consultez la section « À propos de la sous-fenêtre Filtres » à la page 260 pour obtenir plus d’informations. Faites glisser les filtres vers le haut ou vers le bas pour établir l’ordre dans lequel vous souhaitez qu’ils soient appliqués au fichier multimé- dia source.20 273 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage Les contrôles d’images reposent sur une analyse approfondie de l’image et servent à resynchroniser cette dernière, à la redimensionner ou à lui appliquer des effets vidéo sophistiqués. Ce chapitre contient les sections suivantes :  Utilisation des contrôles d’images (p. 273)  À propos de la sous-fenêtre Contrôles d’images (p. 274)  Ajout de contrôles d’images à un réglage (p. 279)  Utilisation du télécinéma inverse (p. 280)  Utilisation des contrôles de resynchronisation (p. 283) Utilisation des contrôles d’images Grâce aux contrôles d’images, Compressor permet de transcoder en haute qualité de nombreux formats sources différents dans de nombreux formats cibles en ayant recours à une analyse approfondie de l’image. Cela signifie que vous pouvez maintenant effectuer les différentes opérations suivantes à des niveaux de qualité qui étaient précédemment possibles uniquement avec des solutions matérielles coûteuses :  Convertir des fichiers vidéo entre les normes de télévision internationales, par exemple PAL vers NTSC ou NTSC vers PAL.  Convertir des sources vidéo haute définition (HD) en sources définition standard (SD), ou inversement.  Convertir un flux progressif en flux entrelacé, ou inversement.  Réaliser des ajustements de fréquence d’images de haute qualité, notamment pour obtenir des effets de ralenti de haute qualité.  Supprimer automatiquement le pulldown du télécinéma (télécinéma inverse). Remarque : le groupe de réglages « Conversions de format avancées » de l’onglet Réglages revêt une importance particulière pour l’utilisation des contrôles d’images.274 Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage Important : il n’est pas possible de prévisualiser les réglages « Contrôles d’images » dans la fenêtre Preview. Pour prévisualiser ces derniers, lancez un transcodage de test sur une petite section de votre fichier multimédia source (cf. « Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Preview » à la page 315 pour plus d’informations). À propos de la sous-fenêtre Contrôles d’images Utilisez les fonctionnalités suivantes sous l’onglet « Contrôles d’images » de l’Inspecteur afin de sélectionner et d’ajuster les attributs de contrôle d’images que vous souhaitez affecter à vos réglages. État des contrôles d’images Utilisez ce menu local pour choisir parmi les options suivantes de « Contrôles d’images » :  Désactivé : réglage par défaut pour la plupart des préréglages Apple. Choisissez Désactivé si votre projet Compressor n’implique pas de changements en termes de taille d’image, de fréquence d’images ou de priorité de trame.  Activé : cette option vous permet d’ajuster manuellement tous les attributs qui se trouvent dans la sous-fenêtre Contrôles d’images.  Sélection automatique : Compressor analyse la tâche de transcodage (le fichier multimédia source et le réglage appliqué), puis il détermine automatiquement les attributs « Contrôles d’images » appropriés. Contrôles de redimensionnement Contrôles de resynchronisation État des contrôles d’images Bouton Automatique des contrôles d’imagesChapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage 275 En mode Automatique, la technologie de « Contrôles d’images » intervient uniquement dans les deux types suivants de transcodages :  Le transcodage de sources haute définition (HD) en fichiers de sortie MPEG-2 en définition standard (SD)  Le transcodage de sources entrelacées en fichiers de sortie (progressifs) H.264 pour DVD Studio Pro et H.264 pour appareils Apple Contrôles de redimensionnement Utilisez les contrôles de cette section pour choisir l’algorithme avec lequel les images sont redimensionnées.  Filtre de redimensionnement : utilisez ce menu local pour choisir parmi les options suivantes de redimensionnement. Cette décision est un compromis entre une vitesse de traitement plus rapide et une qualité de sortie supérieure dans les projets qui impliquent un changement de résolution.  Rapide (pixel le plus proche)  Avancée (filtre linéaire)  Optimale (prédiction statistique)  Champs de sortie : utilisez ce menu local pour choisir la méthode de balayage de sortie (soit la priorité de trame, soit une conversion en balayage progressif).  Identique à la source : aucun changement de méthode de balayage.  Progressive : méthode de balayage où chaque image est complète (et non divisée en trames). Utilisez ce réglage au lieu du filtre Désentrelaçage de Compressor (un filtre hérité de la sous-fenêtre Filtres) car il offrira toujours une qualité bien supérieure.  Première supérieure : priorité de trame entrelacée (ordre des trames), également appelée trame deux, trame supérieure ou trame impaire.  Première inférieure : priorité de trame entrelacée (ordre des trames), également appelée trame une, trame inférieure ou trame paire.276 Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage  Désentrelacer : utilisez ce menu local pour choisir parmi différentes techniques de désentrelacement (ou désentrelaçage). Cette décision est un compromis entre une vitesse de traitement plus rapide et un désentrelaçage de qualité supérieure des zones de mouvement au sein de l’image. Dans tous les cas, toute option de désentrelaçage de qualité supérieure donne des résultats identiques ou meilleurs que l’option immédiatement inférieure. Toutefois, si le redimensionnement vers le bas est également appliqué à l’image, il se peut que les améliorations de qualité ne se remarquent pas. Dans ces conditions, les options Rapide ou Meilleure fourniront probablement une qualité suffisamment haute, selon l’ampleur du redimensionnement vers le bas.  Rapide (moyenne des lignes) : cette option fait la moyenne des lignes adjacentes d’une image.  Avancé (filtre Motion adaptive) : cette option offre une bonne qualité de désentrela- çage pour les zones de l’image qui sont en mouvement.  Optimale (correction des mouvements) : cette option offre une très bonne qualité de désentrelaçage pour les zones de l’image qui sont en mouvement.  Télécinéma inverse : cette option supprime les trames supplémentaires ajoutées lors du processus de télécinéma pour convertir les 24 ips du film en 29,97 ips pour le format NTSC. La sélection de cet élément entraîne la désactivation de tous les autres éléments de la sous-fenêtre Contrôles d’images. Remarque : pour en savoir plus sur le pulldown 3:2 et sur l’utilisation de la fonction Télécinéma inverse, reportez-vous à la section « Utilisation du télécinéma inverse » à la page 280. Alors que le menu local Désentrelacer est toujours actif, Compressor ne désentrelace que les tâches qui en ont besoin. (Par exemple, si la source est entrelacée et que le menu local « Champs de sortie » est défini sur Progressive, Compressor effectuera un désentrelaçage. Si le fichier multimédia source est progressif, Compressor n’effectuera pas de désentrelaçage.) Avertissement : l’utilisation de tous les réglages optimaux peut donner lieu à des temps de traitement beaucoup plus longs que prévu. Si vous réduisez la taille d’image en plus de désentrelacer l’image, les options Rapide ou Meilleure fourniront probablement une qualité suffisamment haute, selon l’ampleur du redimensionnement vers le bas.Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage 277  Détails de technique Adaptive : cochez cette case pour utiliser une analyser d’image avancée afin de distinguer les zones de bruit de celles de contour.  Anticrénelage : utilisez ce curseur pour régler un niveau d’adoucissement entre 0 et 100. Ce paramètre améliore la qualité des conversions lorsque vous augmentez l’échelle des données. Par exemple, lorsque vous transcodez de la vidéo de définition standard en haute définition, l’option Anticrénelage lisse les contours irréguliers pouvant apparaître dans l’image.  Niveau de détails : utilisez ce curseur pour définir un niveau (entre 0 et 100) pour conserver les contours accentués. Il s’agit d’un contrôle d’accentuation qui vous permet de rajouter des détails à une image agrandie. Contrairement aux autres opérations d’accentuation, le réglage « Niveau de détails » distingue les détails de bruit et ceux de fonction, et n’augmente généralement pas les grains non voulus. Le fait d’accroî- tre la valeur de ce paramètre peut donner lieu à des contours irréguliers, qui peuvent cependant être éliminés en augmentant la valeur d’anticrénelage. Remarque : les options « Détails de technique Adaptive », Anticrénelage et « Niveau de détails » se rapportent uniquement au redimensionnement d’image (mise à l’échelle), et non au désentrelaçage. Contrôles de resynchronisation Utilisez les commandes de cette section pour choisir l’algorithme avec lequel les fréquences d’images sont ajustées.  Conversion de fréquence : utilisez ce menu local pour choisir parmi les techniques suivantes de resynchronisation d’images (changement de la fréquence d’images). Cette décision est un compromis entre une vitesse de traitement plus rapide et une qualité de sortie supérieure. Dans de nombreux cas, le réglage Meilleure fournira une conversion d’une qualité suffisamment haute en économisant fortement du temps de traitement par rapport au réglage Optimale.  Rapide (image la plus proche) : aucune fusion d’images n’est appliquée ; Compressor utilise simplement une copie de l’image disponible la plus proche pour remplir les nouvelles images entre.278 Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage  Bonne (fusion d’images) : rassemble les images voisines afin de créer de nouvelles images entre.  Meilleure (correction des mouvements) : utilise un flux optique pour interpoler des images, avec des résultats de bonne qualité.  Maximum (correction des mouvements de haute qualité) : utilise un flux optique pour interpoler des images, avec des résultats de qualité supérieure ; cette option est particulièrement utile pour les transcodages qui impliquent des augmentations de fréquences d’images (par exemple, de 23,98 ips à 59,94 ips).  Régler la durée sur : utilisez cette option pour choisir l’une des trois méthodes proposées pour convertir la durée du plan en une nouvelle durée.  Pourcentage de la source : utilisez cette option pour saisir une valeur exprimée en pourcentage permettant de modifier la vitesse du plan ou choisissez un réglage spécifique dans le menu local.  Durée totale : servez-vous de cette option pour choisir la durée du plan.  Pour que les images source soient lues à une fréquence de [fréquence d’images] ips : utilisez cette option lorsque la fréquence d’images du fichier multimédia source ne correspond pas à celle qui est indiquée dans la sous-fenêtre Encodeur pour cet élément. Remarque : lorsque vous modifiez la vitesse de la vidéo à l’aide des contrôles de resynchronisation, Compressor ajuste également la partie audio du fichier multimé- dia de sortie de sorte que le son reste synchronisé avec l’image. Les contrôles de resynchronisation n’ont aucune incidence sur la hauteur tonale de l’audio. Pour en savoir plus sur l’utilisation de ces options, consultez la section « Utilisation des contrôles de resynchronisation » à la page 283. Avertissement : l’utilisation de tous les réglages optimaux peut donner lieu à des temps de traitement beaucoup plus longs que prévu. Le réglage Meilleure pour la conversion de fréquence fournira une conversion d’une qualité suffisamment haute, tout en économisant fortement du temps de traitement par rapport au réglage Optimale. Menu local de sélectionChapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage 279 Ajout de contrôles d’images à un réglage Utilisez la sous-fenêtre « Contrôles d’images » de la fenêtre de l’Inspecteur pour ajouter des réglages de resynchronisation et de redimensionnement d’image à vos réglages. Pour ajouter des réglages automatiques de contrôles d’images à un réglage : 1 Ouvrez l’onglet Réglages. 2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier multimédia source dans la fenêtre Lot. 3 Cliquez sur l’onglet « Contrôles d’images » dans la fenêtre de l’Inspecteur. 4 Cliquez sur le bouton Automatique qui se trouve à côté du menu local « Contrôles d’images ». Compressor analyse la tâche de transcodage (le fichier multimédia source et le réglage appliqué), puis il détermine automatiquement les attributs « Contrôles d’images » appropriés. En mode Automatique, la technologie de « Contrôles d’images » intervient uniquement dans les deux types suivants de transcodages :  Le transcodage de sources haute définition (HD) en fichiers de sortie MPEG-2 en définition standard (SD).  Le transcodage de sources entrelacées en fichiers de sortie (progressifs) H.264 pour DVD Studio Pro et H.264 pour appareils Apple. Pour ajouter des réglages personnalisés de contrôles d’images à un réglage : 1 Ouvrez l’onglet Réglages. 2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier multimédia source dans la fenêtre Lot. 3 Cliquez sur l’onglet « Contrôles d’images » dans la fenêtre de l’Inspecteur. 4 Dans le menu local « Contrôles d’images », choisissez Activé. Le choix de l’option Activé vous permet d’ajuster manuellement tous les attributs de la sous-fenêtre Contrôles d’images.280 Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage 5 Modifiez n’importe lequel des contrôles suivants dans la sous-fenêtre « Contrôles d’images ». (Voir « À propos de la sous-fenêtre Contrôles d’images » à la page 274 pour des détails concernant chacun de ces contrôles.)  Filtre de redimensionnement  Champs de sortie  Désentrelacer  Détails de technique Adaptive  Anticrénelage  Niveau de détails  Conversion de fréquence  Réglages de durée 6 Cliquez sur Enregistrer pour enregistrer les modifications. Utilisation du télécinéma inverse Le menu local Désentrelacer comprend un réglage permettant d’inverser le télécinéma. À propos du télécinéma inverse L’approche la plus courante pour distribuer un film à 24 ips destiné à la vidéo NTSC à 29,97 ips consiste à effectuer un pulldown 3:2 (également appelé pulldown 2:3:2:3). L’enregistrement en alternance de deux trames d’une image de film, puis de trois trames de l’image suivante permet de transformer les 24 images d’une seconde de film en 30 images d’une seconde de vidéo. Avant (23,98 ips) A B A B B C C D D D A B C D A D A B C D A B C D A B C D A B C D B C A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B C C D D D A A B B B D B C C D D D A B A B B C C D D A B C D A A B B B C C D D D Field 1 Field 2 Field 1 Field 2 Field 1 Field 2 Field 1 Field 2 Field 1 Field 2 Pulldown 3:2 Après (29,97 ips) Une secondeChapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage 281 Comme le montre la figure ci-dessus, le modèle 3:2 (qui est en fait un modèle 2:3:2:3 puisque l’image A est enregistrée sur deux trames et est suivie par l’image B enregistrée sur trois trames) se répète toutes les quatre images du film. Pratiquement tous les spots publicitaires, les films et les émissions de télévision en différé de qualité sont soumis à ce processus avant leur diffusion. Pour les besoins du montage et de l’ajout d’effets, il est souvent préférable de supprimer ces trames supplémentaires et de rétablir la fréquence originale de 23,98 ips de la vidéo. Le rétablissement de la fréquence originale de 23,98 ips a en outre l’avantage de permettre une conversion plus aisée à la fréquence de 25 ips du format PAL. La fréquence d’images moins élevée présente également l’avantage de requérir moins d’images par seconde de vidéo, ce qui signifie que la taille du fichier est moins importante. La fonction de télécinéma inverse facilite cette opération. À propos de la cadence Lorsqu’un film est transformé par télécinéma en vidéo NTSC, sa cadence est constante. Cela signifie que le modèle 3:2 est systématique et ininterrompu. La suppression du télécinéma sur un plan de cadence constante est une opération relativement aisée, car il suffit de déterminer le modèle une seule fois. Si vous montez ces plans transformés par télécinéma en tant que vidéo NTSC, vous obtenez un fichier vidéo final avec une cadence irrégulière et un modèle 3:2 fluctuant. La suppression du télécinéma sur ce type de plan s’avère bien plus compliquée puisque vous devez sans cesse vérifier la cadence pour ne pas choisir par mégarde des trames incorrectes lors de la création de vidéo à 23,98 ips. A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B C C D D D A A B B B D B C C D D D A B A B B C C D D A B A B B C C D D D A B C D A D A B C D A B C D A B C D A B C D B C A B C D A A B B C C D D Field 1 Field 2 Field 1 Field 2 Field 1 Field 2 Field 1 Field 2 D Field 2 B Field 1 Avant (29,97 ips) Après (23,98 ips) Une seconde Suppression de pulldown 3:2282 Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage La fonction de télécinéma inverse dont est muni Compressor détecte automatiquement les cadences irrégulières et adapte le traitement de façon appropriée. Autres remarques sur la fonction de télécinéma inverse Il convient de tenir compte de quelques autres considérations lors de l’utilisation de la fonction de télécinéma inverse. Tous les autres réglages de « Contrôles d’images » sont désactivés Étant donné que l’objectif de la fonction de télécinéma inverse est de produire de la vidéo progressive à 23,98 ips, toutes les autres options de la sous-fenêtre « Contrôles d’images » sont désactivées lorsque Télécinéma inverse est sélectionné. À propos du télécinéma inverse et de l’encodage segmenté En raison de la nature imprévisible du traitement appliqué lors du télécinéma inverse, l’encodage segmenté ne fonctionne pas de façon aussi efficace que lorsque la fonction télécinéma inverse n’est pas utilisée. À propos de la suspension du processus de transcodage Si vous suspendez (pause) le processus de transcodage, vous êtes ensuite obligé de le reprendre depuis le début. Création de vidéo PAL lors du processus de télécinéma inverse Convertir une vidéo à 23,98 ips ou une vidéo à 24 ips en vidéo PAL dont la fréquence est de 25 ips en accélérant la vitesse de lecture de 4 pour cent est une pratique courante. Si votre vidéo source est une vidéo NTSC à 29,97 ips convertie par télécinéma, vous pouvez la convertir au format PAL à l’aide de deux tâches.  Première tâche : appliquez à la tâche un réglage qui permette d’inverser le télécinéma et d’obtenir une vidéo NTSC à 23,98 ips. Remarque : vous pourriez appliquer un réglage convertissant également la vidéo au format PAL, mais dans ce cas, la conversion du format ne serait pas effectuée à l’aide des contrôles d’images et sa qualité pourrait être insatisfaisante.  Deuxième tâche : pour créer la deuxième tâche, sélectionnez la première, puis choisissez Tâche > Nouvelle tâche avec sortie cible. Vous créez ainsi une tâche reposant sur la sortie de la première tâche. Vous pouvez alors appliquer un réglage assurant un format de sortie PAL et utiliser la fonction « Contrôles d’images » qui vous garantit un fichier de sortie de haute qualité. Pour en savoir plus sur l’enchaînement de tâches, reportez-vous à la section « À propos de l’ajout et de la copie de tâches » à la page 118.Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage 283 Utilisation des contrôles de resynchronisation Les contrôles de resynchronisation sont couramment utilisés pour deux opérations :  Conversion de la fréquence d’images d’une vidéo : il s’agit généralement de convertir la fréquence d’images NTSC en fréquence d’images PAL ou inversement. Cette fonction utilise uniquement le réglage du menu local « Conversion de fréquence » et est automatiquement configurée lorsque cela est nécessaire.  Conversion de la vitesse d’une vidéo : cette opération consiste à lire les images existantes à une vitesse différente ou, dans le cas des effets de ralenti, à créer des images intermédiaires si nécessaire. Dans tous les cas, si le fichier multimédia source contient de l’audio, la vitesse de ce dernier est également modifiée et sa hauteur tonale corrigée, afin que le résultat soit identique à celui de l’audio original, mais avec une vitesse différente. Cela vous permet de conserver la synchronisation entre l’image et le son. Remarque : si vous prévisualisez un réglage qui utilise les contrôles de resynchronisation, la vidéo sera lue à la nouvelle fréquence d’images ou vitesse, mais elle n’aura pas été traitée par les contrôles d’images et, par conséquent, sa qualité sera inférieure à celle du fichier de sortie transcodé. La hauteur tonale du son est corrigée lors de la pré- visualisation du réglage. Important : si vous utilisez les contrôles de resynchronisation sur un réglage qui utilise le format de sortie QuickTime Movie et que vous choisissez Passthrough comme réglage audio, la vitesse audio n’est pas modifiée et la synchronisation avec la vidéo n’est pas conservée. Consultez la section « À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder QuickTime » à la page 238 pour plus d’informations. Conversion de la vitesse d’une vidéo Les contrôles de resynchronisation proposent trois options pour déterminer la vitesse de lecture :284 Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage  saisir un pourcentage ;  saisir une durée ;  forcer la lecture des images à la fréquence d’images définie dans le réglage « Fréquence d’images » de la sous-fenêtre Encodeur. Saisir un pourcentage Vous disposez de deux options lorsque vous choisissez de définir la durée du plan à l’aide de cette méthode :  saisir une valeur en pour cent ;  choisir une valeur prédéfinie. Chacun des préréglages disponibles est destiné à être utilisé pour un cas de figure particulier.  24 @ 25 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 24 ips en vidéo à 25 ips distribuée en format PAL.  23,98 @ 24 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 23,98 ips en vidéo à 24 ips.  23,98 @ 25 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 23,98 ips en vidéo à 25 ips distribuée en format PAL.  30 @ 29,97 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 30 ips en vidéo à 29,97 ips.  29,97 @ 30 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 29,97 ips en vidéo à 30 ips.  24 @ 23,98 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 24 ips en vidéo à 23,98 ips distribuée sous forme de DVD NTSC. Aucune de ces options n’exige l’insertion d’images vidéo intermédiaires. La différence entre les réglages correspond juste à une lecture plus ou moins rapide des images existantes.Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage 285 Saisir une durée Le champ Durée indique la durée actuelle du plan. Si vous modifiez cette durée, la valeur exprimée en pourcentage change pour refléter cette modification. Cette option est très utile lorsque la durée du fichier multimédia source est un peu plus longue ou un peu plus courte que nécessaire et que vous préférez changer la vitesse de lecture plutôt qu’ajouter ou supprimer des images vidéo. Cette méthode donne lieu à la création d’images vidéo intermédiaires en fonction des besoins. Forcer la lecture des images à la fréquence d’images définie dans le réglage « Fréquence d’images » de la sous-fenêtre Encodeur On utilise cette option lorsque la fréquence d’images du fichier multimédia source est différente de celle qui est indiquée dans le réglage « Fréquence d’images » de la sous-fenêtre Encodeur.21 287 21 Ajout de réglages de géométrie Vous pouvez ajuster vos réglages de façon plus précise à l’aide de la sous-fenêtre Géométrie de la fenêtre Inspecteur. Ce chapitre contient les sections suivantes :  Utilisation du rognage, de la mise à l’échelle et du remplissage (p. 287)  À propos de la sous-fenêtre Géométrie (p. 290)  Ajustements de géométrie pour un réglage (p. 294) Utilisation du rognage, de la mise à l’échelle et du remplissage La sous-fenêtre Géométrie propose trois méthodes différentes pour modifier l’image de sortie. Rognage Lorsque vous rognez une image, vous supprimez du contenu vidéo. Ce contenu représente souvent une partie superflue de l’image (telle que la zone de surbalayage, nécessaire pour la télévision, mais inutile pour les ordinateurs) et sa suppression permet d’agrandir la portion restante dans une image de même taille. La fonction Rognage comprend également un réglage automatique qui détecte les bords de l’image et saisit automatiquement des valeurs de rognage adaptées. Cette option s’avère particulièrement utile si vous souhaitez supprimer les bandes noires d’un fichier multimédia source. 288 Chapitre 21 Ajout de réglages de géométrie Lorsque vous ajustez les réglages de rognage, l’un des deux cas de figure suivants peut se présenter en ce qui concerne la taille d’image du fichier vidéo de sortie :  La taille d’image reste la même si vous avez choisi un réglage autre que 100 % de la source, 50 % de la source ou 25 % de la source dans le menu local « Taille d’image » de la section Dimensions de la sous-fenêtre Géométrie. Cela signifie que l’image vidéo source est agrandie pour remplir l’image du fichier vidéo de sortie, ce qui provoque une augmentation de la taille des pixels et une dégradation générale de l’image.  La taille d’image est réduite en fonction des valeurs de rognage si vous avez choisi les réglages 100 % de la source, 50 % de la source ou 25 % de la source dans menu local « Taille d’image » de la section Dimensions de la sous-fenêtre Géométrie. Cette réduction peut aboutir à des tailles d’image non standard. Les réglages de rognage se trouvent dans la section « Cadre de source (rognage) » de la sous-fenêtre Géométrie. Mise à l’échelle La mise à l’échelle permet de modifier la taille d’image du fichier vidéo de sortie sans supprimer aucune image source. Elle implique le plus souvent une réduction de la taille d’image du fichier multimédia de sortie pour économiser l’espace de stockage ou réduire le débit de données. Il existe trois méthodes simples permettant de changer l’échelle de la taille d’image de votre fichier de sortie :  Choisir un pourcentage de la taille source : trois réglages permettent de redimensionner l’image source en fonction d’un pourcentage (100 % de la source, 50 % de la source et 25 % de la source). Les valeurs de rognage ont une incidence non seulement sur la taille d’image de la vidéo source, mais aussi sur celle de la vidéo de sortie.  Choisir une taille d’image particulière : vous pouvez choisir entre plusieurs réglages de taille d’image standard, tels que 720 x 486, 720 x 576, etc. Si vous choisissez l’une ces options, la taille d’image du fichier vidéo de sortie correspondra à ce réglage.  Saisir une valeur personnalisée : vous pouvez saisir une taille d’image personnalisée. Il est en outre possible de contraindre cette taille d’image personnalisée à respecter des proportions courantes telles que 4:3 ou 16:9. Si vous saisissez une taille d’image personnalisée, la taille d’image du fichier vidéo de sortie correspondra à ce réglage.Chapitre 21 Ajout de réglages de géométrie 289 Vous avez également la possibilité de définir les proportions des pixels de l’image de sortie en sélectionnant une option dans un menu local proposant des réglages courants. Remarque : les réglages de mise à l’échelle ne sont activés que si vous utilisez les formats d’encodage de sortie MP4EG--4, QuickTime Movie et Séquence d’images. Les réglages de mise à l’échelle se trouvent dans la section « Dimensions (pixels encodés) » de la sous-fenêtre Géométrie. Remplissage Le remplissage est une méthode qui permet de réduire la taille de l’image tout en conservant la taille de la vidéo de sortie en remplissant les zones restantes en noir. À la différence du rognage, le remplissage ne supprime aucune image source. L’image est réduite en fonction des valeurs de remplissage. Le remplissage s’avère utile lorsque la taille de l’image source est inférieure à celle de l’image de sortie et que vous souhaitez empêcher le redimensionnement de l’image source en fonction de la taille de l’image de sortie. Si vous ajoutez un remplissage approprié, l’image source conservera la même taille dans l’image de sortie et les parties restantes seront remplies avec du noir. Le remplissage est automatiquement appliqué lorsque l’image vidéo source est au format NTSC 720 x 486 sans compression et la résolution de l’image de sortie est 720 x 480. Il existe également plusieurs réglages de remplissage courants tels que 16x9 et Panavision. Ils facilitent la configuration puisque c’est Compressor qui saisit automatiquement les valeurs de remplissage, ce qui permet de garantir que l’image source conserve ses proportions d’origine. Les réglages de remplissage se trouvent dans la section « Cadre d’image de sortie (remplissage) » de la sous-fenêtre Géométrie. 290 Chapitre 21 Ajout de réglages de géométrie À propos de la sous-fenêtre Géométrie Utilisez la sous-fenêtre Géométrie pour spécifier les paramètres de rognage et de dimensionnement, la taille du fichier multimédia de sortie et les proportions de l’image (le rapport entre sa hauteur et sa largeur) : Réglages Cadre de source (rognage)  Gauche, Droite, Haut et Bas : les quatre champs de rognage (Gauche, Haut, Droite et Bas) vous permettent de rogner l’image de votre fichier multimédia source par incré- ments exprimés en pixels. La plupart des fichiers vidéo de diffusion présentent des zones de surbalayage. Si le fichier de sortie est destiné à n’être affiché que sur un écran d’ordinateur plutôt que sur un écran de télévision, vous pouvez en toute tranquillité supprimer une partie de sa bordure sans que cela n’affecte la zone d’image. Les valeurs indiquent la distance (en pixels) entre le bord du cadre original et le bord du cadre rogné final. Par défaut, tous les champs sont remplis avec la valeur 0. Remarque : la zone de surbalayage (« zone d’action sécurisée ») est habituellement constituée par les 5 pour cent de l’image les plus éloignés du centre le long des quatre côtés. Si vous rognez 5 pour cent de plus, il vous reste une zone plus réduite dite « zone de titre sécurisé ». Vous pouvez, par conséquent, rogner votre image en supprimant entre 5 à 10 pour cent de sa bordure extérieure sans risque pour le contenu important. Mise à l’échelle Rognage RemplissageChapitre 21 Ajout de réglages de géométrie 291  Case « Détecter automatiquement les réglages de rognage pour le format Letterbox » : cette case permet à Compressor de déterminer si le fichier multimédia source a été mis au format Letterbox et, si c’est le cas, de saisir des valeurs de rognage pour supprimer les bandes noires. Remarque : si vous souhaitez transcoder un fichier multimédia source de taille normale (720 x 486) avec une résolution standard (DS) à l’aide d’un réglage MPEG-2 NTSC, votre fichier multimédia de sortie est automatiquement rogné de deux pixels à partir du haut et de quatre à partir du bas afin d’obtenir les dimensions MPEG-2 requises de 720 x 480, sauf si vous avez déjà appliqué des attributs de rognage. Cet attribut de rognage n’est que temporaire et n’est pas enregistré dans le réglage. Vous pouvez visualiser le rognage automatique via la méthode habituelle en double-cliquant sur le réglage dans la tâche afin d’ouvrir la fenêtre Preview. Pour plus d’informations sur le menu local Format vidéo, consultez la section « À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 » à la page 198. Réglages Dimensions (pixels encodés) Les réglages de la section Dimensions ne sont actifs que lorsque vous utilisez les formats d’encodage de sortie MPEG- 4, QuickTime Movie et Séquence d’images. Pour les autres formats, les réglages apparaissent estompés, mais il est possible de voir ceux qui seront utilisés une fois le lot envoyé.  Taille d’image : ces champs de texte et les menus locaux qui y sont associés vous permettent de personnaliser la taille d’image et les proportions de votre fichier multimé- dia de sortie. Choisissez l’un des réglages suivants : 100 % de la source, 50 % de la source, 25 % de la source, 320 x 240, 640 x 480, 720 x 480, 720 x 486, 1280 x 720, 1920 x 1080 ou Personnalisé (réglage défini manuellement). Trois réglages personnalisés avec contrainte de proportions particulières sont également disponibles : Personnalisé (4:3), Personnalisé (16:9) et Personnalisé (2.35:1). Pour les options personnalisées, vous devez saisir dans les champs Largeur et Hauteur les dimensions adaptées à vos besoins. Dans le cas des options personnalisées avec contrainte, vous devez saisir une valeur dans le champ Largeur ou dans le champ Hauteur, afin que l’autre valeur soit automatiquement déterminée.292 Chapitre 21 Ajout de réglages de géométrie Les dimensions pertinentes de la taille de sortie sont automatiquement saisies dans les champs Largeur et Hauteur en fonction de ce que vous choisissez dans les menus locaux.  Menu local « Aspect des pixels » : utilisez ce menu local pour définir les proportions des pixels du fichier multimédia de sortie. Il force les proportions des pixels à se conformer à des formats particuliers. Cela est particulièrement important lors de l’utilisation de certains filtres. Par exemple, si le graphique que vous utilisez pour le filtre Filigrane utilise un cercle et que vous souhaitez vous assurer qu’il ressemblera toujours à un cercle une fois l’opération terminée (et non à un ovale), vous devez choisir le paramètre « Aspect des pixels » correspondant à votre format de sortie. Les options sont les suivantes :  Par défaut : les valeurs de proportions des pixels sont définies en fonction de valeurs de largeur et de hauteur courantes. Ainsi, la valeur par défaut pour 720 x 480 ou 720 x 486 est NTSC CCIR 601/DV NTSC.  Carré : utilisez cette option lorsque la sortie doit être affichée sur des ordinateurs.  NTSC CCIR 601/DV : impose une proportion de 4:3 avec une résolution de 720 x 480 pixels.  NTSC CCIR 601/DV (anamorphosé) : impose une proportion de 16:9 avec une résolution de 720 x 480 pixels.  PAL CCIR 601 : impose une proportion de 4:3 avec une résolution de 720 x 576 pixels.Chapitre 21 Ajout de réglages de géométrie 293  PAL CCIR 601 (anamorphosé) : impose une proportion de 16:9 en utilisant 720 x 576 pixels.  DVCPRO HD 720p60 (16:9) : impose une proportion de 16:9 en utilisant 1280 x 720 pixels.  DVCPRO HD 1080i60 (16:9) : impose une proportion de 16:9 avec une résolution de 1920 x 1080 pixels.  HDV 1080i (16:9) : impose une proportion de 16:9 en utilisant 1440 x 1080 pixels. Cadre d’image de sortie (remplissage)  Remplissage : utilisez ce menu local pour choisir une configuration prédéfinie de remplissage ou le réglage Personnalisé qui vous permet de saisir manuellement des valeurs dans les champs Gauche, Droite, En haut et En bas. Les configurations prédéfinies sont 4x3 1,33:1, 16x9 1,78:1, Panavision 2,35:1, Norme Europe 1,66:1, Norme UK 1,75:1 et Academy 1,85:1.  Gauche, Droite, Haut et Bas : utilisez ces champs pour ajouter des pixels « de remplissage » au pourtour d’une image. Il s’agit en fait du contraire du rognage. Si la taille d’image du fichier multimédia de sortie est différente de celle du fichier multimédia source, il est parfois préférable de remplir l’image plutôt que de la redimensionner. 294 Chapitre 21 Ajout de réglages de géométrie Ajustements de géométrie pour un réglage Utilisez la sous-fenêtre Géométrie de la fenêtre Inspecteur pour rogner, mettre à l’échelle et changer les proportions d’un réglage. Pour ajouter des réglages de rognage, de dimensionnement d’image et de proportions à un réglage : 1 Ouvrez l’onglet Réglages. 2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier multimédia source dans la fenêtre Lot. 3 Cliquez sur l’onglet Géométrie de l’Inspecteur. 4 Saisissez vos réglages de cadre de source (rognage), choisissez les dimensions de la taille de sortie dans le menu local « Taille d’image », puis sélectionnez des réglages de remplissage dans la section « Cadre d’image de sortie ». Vous pouvez voir toutes les modifications apportées au réglage en consultant le tableau de la sous-fenêtre Résumé.Chapitre 21 Ajout de réglages de géométrie 295 Remarque : vous pouvez ajuster la taille de l’image de deux façons différentes : soit vous saisissez des valeurs dans les champs de rognage, soit vous déplacez les lignes rouges du cadre dans la fenêtre Preview. Dans ce dernier cas, les valeurs résultantes apparaissent dynamiquement dans les champs de rognage, ce qui vous permet d’avoir une représentation numérique du rognage du cadre. Maintenez enfoncée la touche Maj afin de forcer le rognage aux proportions, à la hauteur ou à la largeur de la source. Consultez la section « À propos de la sous-fenêtre Géométrie » à la page 290 ou « Prévisualisation d’un plan » à la page 310 pour plus d’informations. Si vous sélectionnez une cible de lot, tout redimensionnement effectué dans la fenêtre Preview est reflété dans la sous-fenêtre Géométrie. Vous pouvez aussi saisir des valeurs directement dans ces champs de rognage. Déplacez les lignes rouges du cadre (à l’aide des poignées) pour ajuster la taille du cadre du fichier de sortie.22 297 22 Ajout d’actions à un réglage Vous pouvez ajuster vos réglages de manière plus précise à l’aide de la sous-fenêtre Actions de la fenêtre Inspecteur. Ce chapitre contient les sections suivantes :  Utilisation des actions de post-transcodage (p. 297)  Ajout d’actions (p. 299)  Déclenchement des droplets AppleScript (p. 301) Utilisation des actions de post-transcodage Pour chaque préréglage, Compressor peut envoyer un message électronique à un destinataire pour l’informer que le transcodage est terminé. Vous pouvez aussi ajouter un script AppleScript par préréglage. Cela vous offre quelques options de post-transcodage pour votre fichier multimédia de sortie, telles que la création d’un script AppleScript permettant d’ajouter des métadonnées à un fichier QuickTime, le transfert automatique du fichier transcodé à un serveur web de diffusion ou la création d’un dossier surveillé déclenchant automatiquement le processus de transcodage chaque fois que vous y faites glisser de nouveaux fichiers multimédias sources. Remarque : dans vos préférences Internet, vous devez configurer un serveur de messagerie sortant pour pouvoir bénéficier de la notification par message électronique. Cette option n’est pas disponible pour les services de courrier nécessitant une authentification SMTP.298 Chapitre 22 Ajout d’actions à un réglage À propos de la sous-fenêtre Actions Utilisez la sous-fenêtre Actions de l’Inspecteur pour configurer les options liées aux envois par message électronique de notifications de fin de transcodage ou aux options « AppleScript de post-transcodage ». La sous-fenêtre Actions contient les éléments suivants :  Notification par courrier électronique à : si vous souhaitez recevoir une notification dès qu’une tâche de transcodage particulière est terminée, sélectionnez cette case et saisissez une adresse électronique valide dans le champ de texte. (Vous ne pouvez spé- cifier qu’une seule adresse.) Cette option est utile si le transcodage d’un fichier multimédia source particulièrement volumineux requiert plusieurs heures. Au lieu de vérifier de façon répétée le déroulement du transcodage, attendez simplement de recevoir un message électronique vous en indiquant la fin. Remarque : pour activer cette fonctionnalité de courrier électronique, vous devez d’abord saisir une adresse électronique et un serveur de courrier sortant dans les Préférences de Compressor. Sélectionnez Compressor > Préférences.  Exécuter AppleScript sur la sortie : sélectionnez cette case pour activer un script choisi. Même si vous avez choisi un script, il ne sera exécuté que si vous avez sélectionné cette case.  Bouton Sélectionner : cliquez sur ce bouton pour sélectionner un script existant que vous souhaitez affecter au fichier de sortie. L’ajout d’un script constitue une méthode utile pour appliquer des actions de post-transcodage à votre tâche, telles qu’ajouter des métadonnées à des fichiers QuickTime ou ajouter des éléments QuickTime interactifs. Bouton Choisir Case à cocher d’envoi d’une notification par message électroniqueChapitre 22 Ajout d’actions à un réglage 299 Ajout d’actions Utilisez la sous-fenêtre Actions dans la fenêtre Inspecteur pour configurer les options de post-transcodage pour le fichier multimédia de sortie, telles que l’envoi d’un message électronique, l’ajout de métadonnées à des fichiers QuickTime ou le transfert du fichier transcodé vers un serveur Web de contenu multimédia ou vers DVD Studio Pro. Pour ajouter une notification par courrier électronique à votre réglage : 1 Ouvrez l’onglet Réglages. 2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier de données source dans la fenêtre Lot. 3 Cliquez sur l’onglet « Actions de l’Inspecteur ». 4 Cochez la case « Notification par courrier électronique à » et introduisez l’adresse électronique appropriée dans le champ contigu. Remarque : pour activer cette fonctionnalité de courrier électronique, vous devez d’abord saisir une adresse électronique et un serveur de courrier sortant dans les Préférences de Compressor. Sélectionnez Compressor > Préférences. Pour ajouter un script à votre réglage : 1 Ouvrez l’onglet Réglages. 2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier de données source dans la fenêtre Lot. 3 Cliquez sur l’onglet « Actions de l’Inspecteur ».300 Chapitre 22 Ajout d’actions à un réglage 4 Cliquez sur le bouton Choisir. La zone de dialogue Sélection de fichier apparaît. 5 Naviguez jusqu’au fichier AppleScript souhaité, puis cliquez sur Ouvrir. Le chemin d’accès du fichier AppleScript apparaît sous le bouton Choisir. Assurez-vous que la case est sélectionnée. Dans le cas contraire, le script ne sera pas appliqué au réglage. Consultez la section « À propos de la sous-fenêtre Actions » à la page 298 pour obtenir plus d’informations.Chapitre 22 Ajout d’actions à un réglage 301 Déclenchement des droplets AppleScript Suivez la procédure ci-dessous pour vous assurer que votre script traitera correctement les fichiers multimédias de sortie Compressor. Pour créer une application droplet AppleScript en vue de traiter les fichiers créés par Compressor : 1 Dans Éditeur de scripts, choisissez Fichier > Enregistrer sous. 2 Dans la zone de dialogue Enregistrer : a Choisissez Application dans le menu local « Format du fichier ». b Désactivez les options Exécutable uniquement, Écran de démarrage et Rester en arrière-plan. c Cliquez sur Enregistrer. Le script est enregistré comme script applicatif. Étant donné que le script contient un gestionnaire « activé à l’ouverture », le script applicatif est enregistré comme application droplet, ce qui est indiqué par une flèche sur son icône. Pour déclencher automatiquement une droplet AppleScript après avoir comprimé des fichiers : 1 Dans Compressor, affectez un préréglage à un fichier Importé de la fenêtre Lot. 2 Dans la fenêtre Lot, sélectionnez le préréglage, puis choisissez Fenêtre > Afficher l’Inspecteur (ou appuyez sur Commande + Option + I). 3 Dans la fenêtre Inspecteur, cliquez sur l’onglet Actions. 4 Activez l’option « Exécuter AppleScript sur la sortie », puis choisissez l’application droplet AppleScript. Informations supplémentaires sur AppleScript Vous trouverez plus d’informations sur l’écriture de scripts destinés à être utilisés avec Compressor sur les sites web suivants :  Développeurs Apple : http://developer.apple.com/applescript/ (en anglais)  Clients généraux Apple : http://macscripter.net/ (en anglais)23 303 23 Utilisation de la fenêtre Preview La fenêtre Preview a deux rôles principaux : vous pouvez l’utiliser pour lire un fichier source dans son format d’origine ou afficher un aperçu du fichier avec les réglages qui lui ont été affectés. Ce chapitre traite des sujets suivants :  À propos de la fenêtre Preview (p. 304)  Prévisualisation d’un plan (p. 310)  Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Preview (p. 315)  Ajout de marqueurs à un plan (p. 317)  Raccourcis clavier de la fenêtre Preview (p. 323) Lorsque vous utilisez la fenêtre Preview pour comparer la version originale du plan à la version de sortie, vous pouvez effectuer et afficher les modifications en temps réel. Cette comparaison permet de vérifier les effets des réglages sur votre fichier avant d’engager du temps et des ressources dans le processus de transcodage. Il est conseillé de la faire pour vérifier la qualité d’un fichier multimédia de sortie. Version du plan mise à l’échelle, rognée et filtrée Version originale du plan304 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview Vous pouvez également utiliser la fenêtre Preview pour agrandir la taille de l’écran de prévisualisation, ajouter manuellement des images I (MPEG-1 et MPEG-2 uniquement), et désigner une portion d’un fichier de média pour transcodage à l’aide des marqueurs d’entrée et de sortie. À propos de la fenêtre Preview La fenêtre Preview permet de lire des éléments avant de les soumettre à l’étape de transcodage, et de comparer les versions d’un plan pour vous assurer que la qualité du fichier multimédia de sortie est acceptable. La fenêtre Preview contient les éléments suivants :  Sélection d’échelle Preview : permet d’adapter la taille de l’écran de prévisualisation. Les trois paramètres sont 100%, 75% et 50%, mais vous pouvez aussi déplacer la poignée de la fenêtre Preview pour définir la taille à votre guise.  Sélection source/réglage : utilisez ces boutons pour prévisualiser l’élément de lot sélectionné en utilisant les proportions et la taille de la source ou de la sortie. Le bouton Vue source fournit également une limite de rognage que vous pouvez utiliser pour définir un ou plusieurs bords à rogner. Le bouton « Vue de sortie » affiche la version rognée du fichier en tenant compte des réglages de proportions et de taille. Contrôles d’entrée et de sortie Sélection d’échelle Preview Sélection source/réglage Zone d’écran Preview Contrôles de sélection d’élément Contrôles de Timeline Menu local Marqueur Informations sur la source/sortie Contrôles de navigationChapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 305  Informations sur la source/sortie : la taille d’image et la fréquence d’images du plan sont illustrées dans l’angle inférieur gauche de la fenêtre Preview. La durée du plan (depuis le point d’entrée jusqu’au point de sortie) est affichée dans le coin inférieur droit. Lorsque le bouton Vue source est sélectionné, la taille d’image et la fréquence d’images représentent le plan source. Lorsque le bouton « Vue de sortie » est sélectionné, la taille d’image et la fréquence d’images représentent le réglage de cet élément du lot. Remarque : pour voir la durée totale d’un plan (sans les points d’entrée et de sortie), sélectionnez le fichier source dans la fenêtre Lot et ouvrez la fenêtre de l’Inspecteur (par les menus Fenêtre > Afficher l’Inspecteur). Zone de contrôle de sélection d’élément Vous pouvez utiliser la zone de sélection d’élément pour choisir dans la fenêtre Lot des éléments spécifiques à afficher dans la fenêtre Preview.  Boutons de sélection d’éléments : utilisez ces boutons pour avancer ou reculer dans la liste des fichiers multimédia sources et des plans associés à leurs réglages et disponibles pour la prévisualisation. Dès que vous cliquez dans la liste, l’élément sélectionné apparaît dans le menu local Élément.  Menu local Élément : choisissez, à l’aide de ce menu local, le fichier multimédia source que vous souhaitez prévisualiser avec ou sans les réglages qui lui sont associés. Contrôles d’entrée et de sortie Une fois que vous avez sélectionné l’élément, les contrôles d’entrée et de sortie peuvent être utilisés pour afficher et ajuster les informations de timecode des points d’entrée et de sortie.  Champs de timecode entrée et sortie : les emplacements exacts des points d’entrée et de sortie sont affichés dans ces champs dans le format de timecode standard : hh:mm:ss:ii. Vous pouvez les éditer manuellement en sélectionnant un champ, puis en saisissant de nouvelles valeurs. Si une nouvelle valeur est saisie, le point d’entrée ou de sortie approprié de la Timeline se déplace vers le point spécifié dans l’élément en cours. Boutons de sélection d’éléments Menu local Élément Règle le point d’entrée sur la position de lecture actuelle Règle le point de sortie sur la position de lecture actuelle Timecode du point d’entrée Timecode du point de sortie306 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview Remarque : si votre fichier multimédia source dispose d’une piste de timecode spécifique, le timecode de début et de fin du plan s’affiche dans ces deux champs. Dans tous les autres cas, le timecode commence par 00:00:00:00.  Boutons de point d’entrée et de sortie : faites glisser les boutons « Point d’entrée » (flèche pointant vers la droite) ou « Point de sortie » (flèche pointant vers la gauche) dans la Timeline afin de définir un nouveau point d’entrée ou de sortie. Vous pouvez également utiliser les boutons Définir entrée et Définir sortie (en regard des champs de timecode) afin de définir les points d’entrée et de sortie. Zone d’écran Preview La zone d’écran Preview affiche l’élément actuellement sélectionné. L’écran de prévisualisation contient aussi les éléments suivants :  Curseur de partage de l’écran : déplacez le curseur de partage d’écran situé en haut de l’écran de prévisualisation selon la distance souhaitée pour comparer le fichier multimédia source (à gauche) et le fichier multimédia de sortie (à droite). La division de l’écran est indiquée par ce curseur, mais également par une ligne verticale blanche qui coupe l’image en deux.  Limite de rognage : la limite de rognage n’est disponible que dans la vue Source. Utilisez les poignées pour déplacer les bordures et angles de rognage rouges dans la direction dans laquelle vous souhaitez rogner votre fichier de média de sortie. Quant à la poignée centrale, elle vous permet de déplacer l’image entière dans une direction quelconque tout en conservant ses dimensions. Les nouvelles valeurs (gauche, haut, droite et bas) s’affichent dynamiquement dans l’écran de prévisualisation à mesure que vous rognez le cadre. En outre, si la fenêtre Inspecteur est ouverte et que la cible du lot est sélectionnée, ces mêmes valeurs apparaissent aussi dans les champs de rognage de la sous-fenêtre Géométrie. Sélectionnez la vue Sortie pour afficher les résultats des paramètres de limite de rognage. Limite de rognage Dimensions de rognage (également visibles dans les champs Cadre de source de la sous-fenêtre Géométrie) Poignée de rognage pour l’angle inférieur droit Curseur de partage de l’écranChapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 307 Contrôles de Timeline Les contrôles de Timeline fournissent des informations sur le plan, notamment les marqueurs qu’il possède et les réglages actuels de point d’entrée et de sortie. Vous pouvez également utiliser la Timeline pour positionner la tête de lecture sur une image spécifique et pour définir les points d’entrée et de sortie.  Timecode de tête de lecture : affiche le timecode de la position de la tête de lecture dans la Timeline à l’aide du format de timecode standard hh:mm:ss:ii. Vous pouvez saisir une nouvelle valeur pour positionner avec précision la tête de lecture dans la Timeline. Remarque : si votre fichier multimédia source dispose d’une piste de timecode spécifique, le timecode du plan s’affiche dans ce champ. Dans tous les autres cas, le timecode commence par 00:00:00:00.  Points d’entrée et de sortie : utilisez ces points si vous souhaitez transcoder uniquement une section de votre fichier multimédia source au lieu de la totalité du fichier. Déplacez les points pour indiquer les points de début et de fin dans le fichier multimédia source que vous souhaitez transcoder. Les champs de timecode d’entrée et de sortie situés en bas de la fenêtre Preview sont mis à jour à mesure que vous faites glisser ces points. Vous pouvez également cliquer sur les boutons « Définir le point d’entrée » et « Définir le point de sortie » afin de définir les points à l’endroit où la tête de lecture est positionnée. Les points d’entrée et de sortie ne sont pas conservés à la fin du transcodage, vous devrez donc les réappliquer à votre plan si vous souhaitez resoumettre un lot depuis le tableau Historique. Les points d’entrée et de sortie sont assignés au fichier multimédia source et non au réglage. Ainsi, quels que soient les points d’entrée et de sortie que vous créez, le résultat est le même pour tous les autres réglages associés à ce fichier multimédia source dans le lot en cours.  Tête de lecture : elle vous donne une indication visuelle de l’emplacement de l’image affichée dans le plan. Vous pouvez déplacer la tête de lecture pour naviguer et atteindre rapidement un point donné du plan.  Marqueur : fournit une indication visuelle de l’emplacement où un marqueur a été placé dans le plan. La couleur du marqueur indique son type :  Bleu : marqueurs de compression (il s’agit des marqueurs de compression que l’on ajoute manuellement).  Violet : marqueurs de chapitre ou de podcast (il s’agit de marqueurs nommés destinés à servir à la navigation ou d’illustrations dans le fichier multimédia de sortie). Timecode de tête de lecture Tête de lecture Marqueur Point d’entrée Point de sortie308 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview  Vert : marqueurs de montage/de coupe (il s’agit de marqueurs de compression qui sont ajoutés automatiquement aux points de montage de la séquence Final Cut Pro). Consultez la section « Ajout de marqueurs à un plan » à la page 317 pour plus d’informations. Contrôles de navigation Ces contrôles positionnent la tête de lecture vers l’arrière ou l’avant là où se trouve exactement soit le prochain marqueur, soit le prochain marqueur point d’entrée ou de sortie, ce qui permet de naviguer facilement et rapidement entre les différents marqueurs. Vous pouvez aussi utiliser ces boutons pour placer rapidement la tête de lecture au début ou à la fin du plan.  Bouton Lecture/Pause : démarre ou arrête la lecture du plan. Si vous arrêtez la lecture, la tête de lecture reste à sa position actuelle. Pour revenir au début du plan, déplacez la tête de lecture vers l’arrière jusqu’au début du plan ou cliquez sur le contrôle de déplacement vers le marqueur précédent.  Bouton de déplacement vers le marqueur précédent ou suivant : déplace la tête de lecture soit vers le marqueur précédent ou suivant, soit vers le début ou la fin du plan si aucun autre marqueur n’est présent.  Boutons de retour et d’avance rapide : permet de lire votre plan dans les deux directions, à deux fois la vitesse normale. Maintenez un bouton enfoncé pour poursuivre le balayage dans la direction correspondante.  Bouton « Lecture en boucle » : cliquez sur ce bouton pour lire le média en boucle continue. Déplacement vers le marqueur précédent Lecture/pause Retour rapide Déplacement vers le marqueur suivant Avance rapide Bouton « Lecture en boucle »Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 309 Menu local Marqueur Utilisez le menu local Marqueur pour gérer les marqueurs du plan. Même si vous pouvez utiliser les marqueurs avec tous les réglages, ils n’affectent vraiment le fichier de sortie que lorsque le réglage utilise les formats MPEG-1, MPEG-2, MPEG-4 (configuré pour le podcasting), H.264 pour DVD Studio Pro, H.264 pour appareils Apple ou séquence QuickTime. Consultez la section « Ajout de marqueurs à un plan » à la page 317 pour plus d’informations.  Importer une liste des chapitres : cette option ouvre une zone de dialogue d’importation de fichiers qui vous permet d’importer un fichier contenant la liste des marqueurs temporels de chapitre du fichier multimédia source. Consultez la section « Ajout de marqueurs de chapitre ou de podcast à un plan » à la page 320 pour plus d’informations.  Ajouter/supprimer le marqueur : la fonction du bouton varie selon la position de la tête de lecture (sur un marqueur ou non).  Lorsqu’elle n’est pas positionnée sur un marqueur, le bouton indique Ajouter un marqueur. Si vous cliquez sur Ajouter un marqueur, un nouveau marqueur est placé sur la Timeline, à la position actuelle de la tête de lecture.  Lorsqu’elle est positionnée sur un marqueur, le bouton indique Supprimer le marqueur. Si vous cliquez sur Supprimer le marqueur, le marqueur actuel est supprimé.  Modifier : disponible uniquement lorsque la tête de lecture est positionnée sur un marqueur. Cliquer sur Modifier ouvre une zone de dialogue permettant de configurer le marqueur. Cette zone de dialogue vous permet de définir le type de marqueur et de lui assigner une URL et une image. Consultez la section « Ajout de marqueurs de chapitre ou de podcast à un plan » à la page 320 pour plus d’informations.  Afficher les marqueurs de chapitre/podcast : contrôle si les marqueurs de chapitre et de podcast (ceux qui possèdent un nom) sont affichés dans la Timeline. Une coche indique s’ils sont affichés.  Afficher les marqueurs de compression : permet de contrôler si les marqueurs de compression (ceux sans nom) sont affichés dans la Timeline. Une coche indique s’ils sont affichés.  Afficher marqueurs modifiés/coupés : contrôle si les marqueurs placés automatiquement à chaque point de montage par une autre application, telle que Final Cut Pro, sont affichés dans la Timeline. Une coche indique qu’ils sont affichés.310 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview Prévisualisation d’un plan Vous pouvez soit prévisualiser un fichier multimédia source d’origine seul, soit le prévisualiser avec les réglages qui lui ont été associés. Les fichiers multimédia sources apparaissent dans la liste sous leurs noms de fichiers. Tous les réglages appliqués au fichier multimédia source apparaissent immédiatement sous le nom du fichier, ce qui facilite leur identification. Le fait de visualiser le fichier multimédia source d’origine seul ou le fichier multimédia source avec les réglages qui lui ont été associés détermine les options affichées dans la fenêtre Preview. Important : il est impossible de prévisualiser les réglages effectués dans les sous-fenê- tres Encodeur ou Contrôles d’images. Seuls les réglages effectués dans les sous-fenê- tres Filtres et Géométrie peuvent être prévisualisés. Consultez la section « Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Preview » à la page 315 pour obtenir une autre méthode de prévisualisation des réglages effectués dans les sous-fenêtres Encodeur et Contrôles d’images. Pour prévisualiser un fichier multimédia source : 1 Ouvrez la fenêtre Preview. Remarque : vous pouvez ouvrir votre fichier multimédia source dans la fenêtre Preview en une seule étape, en double-cliquant sur ses tâches dans la fenêtre Lot. 2 Procédez de l’une des façons suivantes :  Choisissez un fichier multimédia source dans le menu local Élément (identifié par son nom de fichier).  Cliquez sur les boutons de sélection d’éléments jusqu’à ce que le fichier multimédia source apparaisse dans le menu local.  Sélectionnez le fichier multimédia source dans ses tâches au sein de la fenêtre Lot. Seul le bouton Vue source est valide (le bouton « Vue de sortie » est inactif), car vous avez sélectionné un fichier multimédia source normal, ce qui vous permet uniquement de visualiser le plan original, sans les lignes de rognage ou les lignes de division d’écran. Un réglage appliqué au fichier multimédia source « Nancy at table CU 5 ». La coche indique qu’elle est affichée dans la fenê- tre Preview. Le fichier multimédia source d’origine intitulé « Nancy at table CU 5 » Sélectionnez l’image des barres de couleurs par défaut.Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 311 3 Choisissez la taille de l’écran de prévisualisation dans le menu local de mise à l’échelle ou déplacez la poignée de la fenêtre Preview jusqu’à obtenir la taille souhaitée. Cela n’affecte pas la taille du cadre d’affichage du fichier de média de sortie proprement dit. Celle-ci ne peut être définie qu’à partir de la sous-fenêtre Géométrie de la fenêtre Inspecteur. 4 Cliquez sur le bouton Lecture pour prévisualiser le fichier multimédia source sélectionné. Les fichiers source contenant des marqueurs, tels que les fichiers de Final Cut Pro, les affichent dans la Timeline. Vous pouvez gérer les marqueurs si nécessaire. Consultez la section « Ajout de marqueurs à un plan » à la page 317 pour plus d’informations. Pour prévisualiser un plan associé à un réglage : 1 Ouvrez la fenêtre Preview. Remarque : vous pouvez ouvrir le plan dans la fenêtre Preview en une seule étape, en double-cliquant sur la cible (qui contient le réglage) d’une tâche dans la fenêtre Lot. 2 Procédez de l’une des façons suivantes :  Choisissez un réglage dans le menu local Élément (les noms de réglages situés en retrait, pas les noms de fichiers sources).  Cliquez sur les boutons de sélection d’élément jusqu’à ce que le plan et son réglage apparaisse dans le menu local.  Sélectionnez le réglage du plan dans ses tâches au sein de la fenêtre Lot. Les deux boutons Vue source et Vue réglage (sortie) sont actifs, ce qui vous permet de passer d’une vue à l’autre. Comme vous avez sélectionné un réglage, vous pouvez utiliser le curseur de division d’écran et les lignes de rognage de la fenêtre Preview. 3 Cliquez sur le bouton Vue de réglage dans l’angle supérieur droit de la fenêtre Preview. 4 Choisissez la taille de l’écran de prévisualisation dans le menu local de mise à l’échelle ou déplacez la poignée de la fenêtre Preview jusqu’à obtenir la taille souhaitée. Cela n’affecte pas la taille du cadre d’affichage du fichier de média de sortie proprement dit. Celle-ci ne peut être définie qu’à partir de la sous-fenêtre Géométrie de la fenêtre Inspecteur. Remarque : si vous adaptez la taille de l’image d’un réglage (dans la sous-fenêtre Géométrie) en cours de prévisualisation dans la fenêtre Preview, il se peut que la taille de l’image ne soit pas actualisée en conséquence. Si cela se produit, sélectionnez Échantillon de séquence ou une autre cible dans le menu local Élément, puis sélectionnez cette cible à nouveau afin qu’elle affiche la taille d’image adéquate.312 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 5 Faites glisser le curseur de partage de l’écran situé en haut de l’écran vers la gauche ou la droite pour déplacer plus ou moins la ligne de division de l’écran sur la portion transcodée du plan. 6 Utilisez les limites de rognage pour ajuster la taille du cadre d’affichage de votre fichier multimédia de sortie. 7 Vérifiez les résultats de votre rognage en cliquant sur les boutons Vue source et « Vue de réglage ». Remarque : paradoxalement, plus vous réduisez l’image d’un plan en la rognant, plus le facteur d’échelle de l’image de sortie sera grand, car la géométrie de cadrage est fonction des proportions de la taille de sortie, et pas des paramètres du fichier source. Tout se passe comme si vous agrandissiez l’image, avec comme conséquence des pixels plus grands et une dégradation générale de l’image. En conséquence, veillez à ne pas rogner une image agrandie pour lui redonner sa taille originale par rapport à la taille originale du cadre. Limites de rognage et poignées Curseur de partage de l’écran Ligne de division de l’écran Dimensions de rognage (également visibles dans les champs Cadre de source de la sous-fenêtre Géométrie) Boutons de visualisation de Menu local Élément la source et des réglages Boutons de visualisation de la source et des réglagesChapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 313 8 Sélectionnez le filtre que vous voulez ajuster et effectuez les modifications jugées nécessaires. Remarque : dans la liste Filtres, la case située à gauche du filtre que vous sélectionnez doit être cochée. Dans le cas contraire, le filtre ne sera pas appliqué au réglage. Sélection de réglage Filtres sélectionnés vus dans la fenêtre Preview314 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 9 Si vous souhaitez que la taille du cadre d’affichage de votre fichier de média de sortie soit différente de celle de votre fichier multimédia source, ouvrez la sous-fenêtre Géométrie dans la fenêtre Inspecteur, puis choisissez une valeur dans le menu local « Taille d’image » ou introduisez des valeurs de taille de sortie différentes dans les champs appropriés. Remarque : conformément aux spécifications MPEG-2, la taille des cadres d’affichage dans ce format est préétablie. Par conséquent, lorsque vous utilisez ce format, tous les éléments qui concernent la taille de sortie sont indisponibles. 10 Dans la fenêtre Preview, cliquez sur le bouton Lecture pour visualiser le plan. Consultez la section « À propos de la fenêtre Preview » à la page 304 pour plus de détails sur ces paramètres. Dimensions de rognage (également affichées dans la fenêtre Inspecteur quand les lignes de rognage sont déplacées)Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 315 Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Preview Alors que les options définies par Géométrie (tels que le rognage et le changement d’échelle) et Filtres s’affichent instantanément dans la fenêtre Preview, les réglages « Contrôles d’images » et Encodeur ne le sont pas. Pour prévisualiser ces derniers, lancez un transcodage de test sur une petite section de votre fichier multimédia source. Utilisez la fenêtre Preview pour définir les points d’entrée et de sortie, afin de transcoder uniquement une section de votre fichier multimédia au lieu du fichier entier. Lecture de fichiers Dolby Digital Professional (AC-3) dans la fenêtre Preview Vous pouvez utiliser la fenêtre Preview pour lire des fichiers Dolby Digital Professional (AC-3). Compressor comprend un décodeur Dolby Digital qui vous permet, lorsque vous ajoutez un fichier multimédia source AC-3 à un lot, de l’écouter à l’aide des hautparleurs de votre ordinateur. Il peut s’agir des haut-parleurs stéréo intégrés, qui lisent une version sous-mixée du fichier AC-3 s’il contient plus de deux canaux, ou de hautparleurs Surround externes connectés à une sortie USB ou FireWire. Important : pendant que Compressor décode le fichier audio Dolby Digital, vous ne pouvez pas utiliser la sortie optique de votre ordinateur pour écouter un aperçu du son Dolby Digital. Cette caractéristique est importante si vous utilisez l’encodeur Dolby Digital Professional, car vous ne pouvez pas prévisualiser les réglages de l’encodeur en temps réel dans la fenêtre Preview. Vous pouvez cependant ajouter les fichiers AC-3 encodés à un lot et les lire, afin de vérifier si les réglages de l’encodeur produisent de bons résultats. Consultez la section « Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Preview » à la page 315 pour plus d’informations sur la création d’un court plan test à cette fin.316 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview Pour désigner une section de votre fichier multimédia pour transcodage : 1 Ouvrez la fenêtre Preview. 2 Choisissez un plan dans le menu local ou cliquez sur les boutons de sélection de l’élé- ment jusqu’à ce que le plan apparaisse dans le menu local. 3 Procédez de l’une des façons suivantes :  Faites glisser le point d’entrée jusqu’à l’emplacement approprié.  Faites glisser la tête de lecture à l’endroit où vous souhaitez que le transcodage commence, puis cliquez sur le bouton « Définir le point d’entrée ». 4 Procédez de l’une des façons suivantes :  Faites glisser le point de sortie jusqu’à l’emplacement approprié.  Faites glisser la tête de lecture à l’endroit où vous souhaitez que le transcodage se termine, puis cliquez sur le bouton « Définir le point de sortie ». Le transcodage ne concerne que le segment du fichier multimédia compris entre les deux points que vous venez de définir. Le reste du plan n’est pas transcodé. Important : lorsque vous utilisez des marqueurs pour spécifier un segment du fichier multimédia source à transcoder, ils s’appliquent à toutes les cibles associées à la tâche du fichier. Vous pouvez ajouter plusieurs fois un fichier multimédia de sortie à un lot, afin de créer plusieurs tâches, et définir des points d’entrée et de sortie différents pour chaque tâche. Bouton « Définir le point d’entrée » Tête de lecture Point d’entrée Point de sortie Bouton « Définir le point de sortie »Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 317 Ajout de marqueurs à un plan Compressor peut importer et créer différents types de marqueurs. Compressor peut en outre importer des listes complètes de marqueurs de chapitre. Formats de fichiers de sortie compatibles avec les marqueurs Tous les formats de fichiers de sortie ne sont pas compatibles avec les marqueurs. Voici une liste des formats qui les reconnaissent.  MPEG-2  MPEG-4 configuré pour le podcasting (audio uniquement et si la case « Autoriser les informations de podcasting » est activée)  Séquences QuickTime  H.264 pour DVD Studio Pro  H.264 pour appareils Apple Vous pouvez définir et configurer des marqueurs pour d’autres formats de fichiers de sortie, mais ils ne seront pas intégrés au fichier de sortie encodé. Types de marqueurs Compressor peut importer et créer les types de marqueurs suivants :  Marqueurs de chapitre : les marqueurs de chapitre permettent d’accéder facilement aux points d’index d’un DVD, d’une séquence QuickTime ou d’un podcast. Compressor et DVD Studio Pro peuvent tous deux lire les marqueurs de chapitre exportés depuis Final Cut Pro. QuickTime Player peut interpréter n’importe quel texte contenant des horodatages comme piste de chapitre. Les marqueurs de chapitre peuvent également comporter des illustrations ou une URL qui apparaissent lors de la lecture d’un podcast. Ces marqueurs sont affichés en violet dans la Timeline de la fenêtre Preview.  Marqueurs de podcast : comme pour les marqueurs de chapitre, il est possible d’assigner des illustrations et une URL aux marqueurs de podcast. Les marqueurs de podcast ne peuvent toutefois pas être utilisés pour accéder à des images au sein du plan et ils n’apparaissent pas sous la forme de marqueurs de chapitre dans DVD Studio Pro ni QuickTime. Vous pouvez utiliser les marqueurs de podcast pour créer un diaporama (contenant des URL) que les utilisateurs peuvent regarder en lisant un podcast audio.  Marqueurs de compression : également appelés marqueurs de compression manuels, il s’agit des marqueurs que vous pouvez ajouter à une séquence Final Cut Pro (ou dans la fenêtre Preview de Compressor) pour indiquer à quel moment Compressor doit générer une image I MPEG au cours de la compression. Consultez la section « Compréhension des types de GOP et d’images » à la page 211 pour plus d’informations sur les images I.318 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview Ces marqueurs apparaissent en bleu dans la Timeline de la fenêtre Preview et sont du type créé lorsque vous ajoutez des marqueurs manuellement à l’aide de Compressor. Vous pouvez convertir des marqueurs de compression en marqueurs de chapitre en choisissant l’option Modifier du menu local Marqueurs.  Marqueurs de montage/de coupe : également appelés marqueurs de compression automatiques, ces marqueurs sont générés automatiquement par Final Cut Pro à chaque coupe ou point de transition d’une séquence. Au cours du transcodage, Compressor utilise les marqueurs de montage/de coupe pour générer des images I MPEG sur ces points, ce qui améliore la qualité de la compression. Ces marqueurs apparaissent en vert dans la Timeline de la fenêtre Preview. Remarque : DVD Studio Pro ignore les marqueurs de montage/de coupe, car ils risquent d’interférer avec l’alignement GOP des vidéo DVD multi-angles. Pour plus d’informations à ce sujet, consultez la documentation incluse avec DVD Studio Pro. Ajout et suppression manuelle de marqueurs La fenêtre Preview intègre une prise en charge complète des marqueurs, y compris la possibilité de gérer les marqueurs existants du fichier multimédia source, d’ajouter ou de supprimer manuellement des marqueurs et d’importer des listes de marqueurs de chapitre (décrit à la section « Ajout de marqueurs de chapitre ou de podcast à un plan » à la page 320). Pour ajouter un marqueur de compression à votre plan : 1 Ouvrez la fenêtre Preview. 2 Sélectionnez les éléments « Afficher les marqueurs de chapitre/podcast » et « Afficher les marqueurs de compression » dans le menu local Marqueur. 3 Choisissez un plan dans le menu local Élément ou cliquez sur le bouton de sélection d’élément jusqu’à ce que le plan apparaisse dans le menu local. Remarque : en ce qui concerne les plans contenant des marqueurs, tels que ceux de Final Cut Pro, ces marqueurs apparaissent dans la Timeline. Vous pouvez modifier ces marqueurs de la même façon que si vous les aviez saisis manuellement.Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 319 4 Effectuez l’une des opérations suivantes pour déterminer l’emplacement du marqueur :  Faites glisser la tête de lecture à l’endroit où vous souhaitez ajouter un marqueur.  Saisissez une valeur de timecode dans le champ de timecode de la tête de lecture. 5 Pour ajouter un marqueur, effectuez l’une des opérations suivantes :  Cliquez sur le bouton Marqueur et choisissez Ajouter un marqueur dans le menu local.  Appuyez sur M. Un marqueur bleu apparaît dans la Timeline. Il est possible de convertir les marqueurs de compression en marqueurs de chapitre à l’aide de l’option Modifier du menu local Marqueurs. Consultez la section « Ajout de marqueurs de chapitre ou de podcast à un plan » à la page 320 pour plus d’informations. Pour supprimer un marqueur du plan : 1 Cliquez sur les contrôles « Aller au marqueur précédent » ou « Aller au marqueur suivant » pour déplacer la tête de lecture vers le marqueur que vous souhaitez supprimer. 2 Pour supprimer le marqueur, effectuez l’une des opérations suivantes :  Cliquez sur le bouton Marqueur et choisissez Supprimer le marqueur dans le menu local.  Appuyez sur M. Le marqueur disparaît. Un marqueur bleu apparaît sous la tête de lecture après l’ajout du marqueur.320 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview Ajout de marqueurs de chapitre ou de podcast à un plan Pour ajouter manuellement un marqueur de chapitre ou de podcast à un plan, vous devez d’abord ajouter un marqueur de compression (voir description à la section précédente), puis modifier le marqueur. Remarque : un podcast peut contenir des marqueurs de chapitre et des marqueurs de podcast. La seule différence est que la personne qui visualise le plan peut naviguer directement jusqu’à un marqueur de chapitre, mais ne peut pas naviguer jusqu’à un marqueur de podcast. Consultez la section « Types de marqueurs » à la page 317 pour plus d’informations. Pour ajouter manuellement un marqueur de podcast à un plan : 1 Effectuez l’une des opérations suivantes pour déterminer l’emplacement du marqueur :  Faites glisser la tête de lecture à l’endroit où vous souhaitez ajouter un marqueur.  Saisissez une valeur de timecode dans le champ de timecode de la tête de lecture. 2 Pour ajouter un marqueur, effectuez l’une des opérations suivantes :  Cliquez sur le bouton Marqueur et choisissez Ajouter un marqueur dans le menu local.  Appuyez sur M. Un marqueur de compression bleu apparaît dans la Timeline. 3 Ouvrez le menu local Marqueurs, puis choisissez l’option Modifier (ou appuyez sur Commande + E). Une zone de dialogue permettant de modifier le marqueur apparaît. 4 Choisissez Chapitre ou Podcast dans le menu local Type.Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 321 5 Nommez le chapitre en remplissant le champ correspondant. Concernant les marqueurs de chapitre, ce nom apparaît dans le fichier multimédia de sortie où il peut être visualisé à l’aide de QuickTime Player, dans DVD Studio Pro (qui permet également de le modifier) et dans divers appareils de lecture. Pour les marqueurs de podcast, ce nom n’est pas visible par la personne qui regarde le plan. 6 Vous pouvez également saisir une URL dans le champ URL. Cette URL s’applique uniquement aux podcasts. Le nom du marqueur apparaît au-dessus de l’illustration et l’utilisateur peut cliquer dessus pour ouvrir le site correspondant dans le navigateur web. 7 Vous pouvez également associer une image au marqueur en choisissant l’une des options suivantes dans le menu Image :  Aucun : aucune image n’est associée au marqueur.  Image dans la source : vous choisissez une image dans le fichier multimédia source. L’image par défaut est l’image qui se trouve 2 secondes plus loin que l’image correspondant au marqueur de chapitre.  Depuis le fichier : cette option ouvre une zone de dialogue de sélection de fichiers qui vous permet de sélectionner un fichier d’image fixe à associer au marqueur. Remarque : les images associées aux marqueurs de chapitre sont ignorées par DVD Studio Pro. 8 Clique sur OK pour fermer la zone de dialogue. Le marqueur devient violet dans la Timeline pour indiquer qu’il s’agit désormais d’un marqueur de chapitre ou de podcast. Vous pouvez utiliser les boutons Marqueur précé- dent et Marqueur suivant pour sélectionner d’autres marqueurs de la Timeline à modifier. Vous pouvez également importer une liste de marqueurs de chapitre. Ces listes sont soit au format QuickTime TeXML (format reposant sur XML pour l’élaboration de pistes textuelles temporelles compatibles avec 3GPP dans un fichier de séquence QuickTime), soit au format texte des fichiers de listes de chapitres pris en charge par DVD Studio Pro. Pour plus d’informations, consultez la section « Création de listes de marqueurs de chapitre en texte brut, » ci-après. Pour importer une liste de marqueurs de chapitre : 1 Ouvrez la fenêtre Preview. 2 Choisissez un plan dans le menu local Élément ou cliquez sur le bouton de sélection d’élément jusqu’à ce que le plan apparaisse dans le menu local. 3 Dans le menu local Marqueurs, choisissez « Importer la liste des chapitres ». Une zone de dialogue de sélection de fichiers s’ouvre et vous permet de trouver et de sélectionner le fichier de marqueurs de chapitre correspondant au fichier multimédia de sortie. 322 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 4 Sélectionnez le fichier de marqueurs de chapitre, puis cliquez sur Ouvrir. Les marqueurs sont importés et ajoutés à la Timeline de la fenêtre Preview. Remarque : alors que tous les marqueurs importés à l’aide de la liste des marqueurs de chapitre sont configurés comme marqueurs de chapitre, vous pouvez utiliser la zone de dialogue de modification des marqueurs pour les transformer en marqueurs de podcast ou de compression. De plus, vous pouvez y ajouter des URL et des illustrations si vous le souhaitez. Important : les valeurs de timecode de la liste doivent être basées sur le timecode du fichier multimédia source. Création de listes de marqueurs de chapitre en texte brut Vous pouvez créer une liste de points de timecode que Compressor peut importer afin de créer des marqueurs. Les valeurs de timecode doivent correspondre aux timecode du plan vidéo de la piste. La liste des valeurs de timecode doit se présenter sous la forme d’un fichier en format texte brut ; vous pouvez le créer à l’aide de TextEdit (à condition d’enregistrer le fichier en texte brut). Si vous créez la liste avec une application de traitement de texte plus évoluée, veillez à enregistrer le fichier comme fichier texte ASCII sans aucun formatage. Le fichier doit respecter les règles suivantes :  Chaque marqueur doit se trouver sur une nouvelle ligne qui commence avec une valeur de timecode au format « 00:00:00:00 ». Ces valeurs identifient les positions du marqueur.  À la suite de la valeur de timecode, vous pouvez insérer le nom du marqueur. Vous pouvez utiliser une virgule, un espace ou une tabulation pour séparer la valeur du timecode du nom du marqueur.  Toutes les lignes qui ne commencent pas par une valeur de timecode sont ignorées. Cela vous permet d’ajouter facilement des commentaires à la liste.  Il est inutile d’établir la liste des valeurs de timecode selon l’ordre chronologique.Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 323 Raccourcis clavier de la fenêtre Preview Commande clavier Fonction Démarre une animation arrière rapide. Démarre une animation avant rapide. Lecture arrière du plan image par image. Lecture avant du plan image par image. Démarre ou arrête la lecture d’un plan. Ajoute ou supprime un marqueur. Lorsque la tête de lecture est positionnée sur un marqueur, ouvre la zone de dialogue Modifier marqueur. Définit un point d’entrée pour le plan. Définit un point de sortie pour le plan. J L espace M E l O24 325 24 Création et changement de destinations Compressor permet de choisir l’emplacement d’enregistrement des fichiers transcodés. Ce chapitre traite des sujets suivants :  À propos de l’onglet Destinations (p. 326)  Utilisation de l’Inspecteur avec l’onglet Destinations (p. 327)  Création d’une destination (p. 328)  Triangles d’avertissement (p. 332)  Suppression et duplication d’une destination (p. 333)  Création de destinations à utiliser avec DVD Studio Pro (p. 335) Si vous ne sélectionnez aucune destination, le fichier de sortie est enregistré dans le dossier du fichier multimédia source. Cela correspond peut-être à vos besoins, mais s’il existe plusieurs serveurs de téléchargement distants ou que vous souhaitez simplement obtenir un type spécifique de fichier de sortie à un emplacement donné, vous devez définir cette destination. Si un volume est ouvert sur votre bureau, il est traité de la même façon que s’il s’agissait d’une destination locale et vous pouvez y enregistrer directement les fichiers multimé- dias de sortie, sans qu’il soit nécessaire pour vous de suivre la procédure supplémentaire requise dans le cas des destinations distantes, telles que l’indication du nom d’hôte et la saisie du nom d’utilisateur et du mot de passe. Lorsque vous utilisez l’option distante pour votre destination, vous pouvez enregistrer vos fichiers dans n’importe quel dossier du répertoire Utilisateur de cet ordinateur distant. Une fois que vous aurez créé toutes les destinations dont vous avez besoin, il ne sera plus nécessaire pour vous de rouvrir l’onglet Destinations puisque vous pouvez les sélectionner directement à partir de la fenêtre Lot. Remarque : assurez-vous que les fichiers de sortie disposent des accès et des droits appropriés pour les destinations distantes que vous spécifiez. 326 Chapitre 24 Création et changement de destinations À propos de l’onglet Destinations Utilisez l’onglet Destinations conjointement avec la fenêtre Inspecteur pour créer, modifier ou supprimer vos réglages de destination et ajouter des identificateurs de fichier au nom de vos fichiers multimédia de sortie. L’onglet Destinations contient les éléments suivants :  Liste Destinations : énumère les noms et les chemins d’accès des destinations. Il existe quatre destinations par défaut dans le dossier Apple : Source est le dossier dont provient le fichier multimédia source ; Bureau est le dossier « Bureau de l’utilisateur » ; « Dossier des séquences de l’utilisateur » est le dossier « Séquences de l’utilisateur » ; « Stockage de clusters » est l’emplacement de stockage de travail d’un cluster. Remarque : le stockage de clusters ne s’applique qu’aux installations de Compressor sur lesquelles le traitement distribué est activé. La fonctionnalité de traitement distribué est limitée aux ordinateurs sur lesquels est installé Final Cut Studio.  Ajouter (+) : pour créer une destination locale ou distante, cliquez sur ce bouton, puis choisissez soit Local, soit À distance dans le menu local.  Si vous choisissez Local, une zone de dialogue vous permet de sélectionner un dossier de destination.  Si vous choisissez À distance, la zone de dialogue À distance apparaît. Saisissez les informations FTP concernant le nom de l’hôte, le chemin d’accès du fichier et le mot de passe afin d’accéder à l’emplacement distant. Vous pouvez aussi saisir un emplacement iDisk. Destinations par défaut Destinations personnalisées Bouton Ajouter Bouton Supprimer Bouton Dupliquer Menu local « Modèle de nom de fichier » Exemple de ligne de nom de fichier Identificateurs de nom de fichier par défautChapitre 24 Création et changement de destinations 327  Bouton Dupliquer : crée une copie de la destination sélectionnée et la place dans le dossier Personnalisé. Au lieu de créer une destination de zéro, utilisez cette fonction pour en créer une autre à partir d’une destination existante, que vous pouvez ensuite paramétrer selon vos besoins.  Supprimer (–) : supprime immédiatement la destination personnalisée sélectionnée de l’onglet Destinations. Aucune confirmation ne vous est demandée, soyez donc sûr de vouloir supprimer la destination avant de cliquer sur ce bouton. Remarque : vous ne pouvez pas supprimer les destinations du dossier Apple. Utilisation de l’Inspecteur avec l’onglet Destinations Lorsque vous double-cliquez ou sélectionnez une destination sous l’onglet Destinations, la fenêtre Inspecteur s’ouvre. Elle contient les éléments suivants :  Nom : utilisez ce champ pour modifier le nom du préréglage de destination.  Modèle : utilisez ce menu local pour ajouter des identificateurs de fichier à votre fichier multimédia de sortie. Ce champ peut être édité manuellement. Le fait de sélectionner l’un des identificateurs suivants ajoute cet identificateur à la suite du nom de votre fichier multimédia de sortie :  Date : indique, selon le format ci-après, la date à laquelle le fichier a été transcodé : AAAA-MM-JJ.  Nom du réglage : nom du réglage utilisé pour la tâche de transcodage.  Nom du média source : nom du fichier source sans son extension.  Extension du média source : extension du fichier source.328 Chapitre 24 Création et changement de destinations  Échantillon du modèle défini : affiche un échantillon de ce à quoi ressemblera le nom du fichier de sortie ainsi que les identificateurs de fichier que vous avez ajoutés. Vous ne pouvez pas éditer cette ligne, mais celle-ci est modifiée dynamiquement en fonction des identificateurs que vous ajoutez ou supprimez.  Chemin : affiche le chemin du dossier de destination. Création d’une destination Vous utilisez l’onglet Destinations avec la fenêtre Inspecteur pour créer et affecter une destination ainsi que pour ajouter des identificateurs de fichier à votre fichier de sortie. Si vous souhaitez sauvegarder vos fichiers multimédias de sortie à un emplacement distant, vous devez saisir des informations dans la zone de dialogue À distance pour que Compressor puisse accéder avec succès au serveur distant. Vous pouvez créer les destinations suivantes :  Local : tout répertoire sur votre ordinateur.  Volume ouvert : tout volume ouvert partagé sur votre ordinateur.  À distance : répertoire situé à l’emplacement par défaut d’un serveur FTP ou iDisk, si vous disposez des autorisations et des droits d’accès appropriés. Remarque : par défaut, la destination du fichier multimédia de sortie est le même dossier que celui dont proviennent les fichiers multimédias sources. Vous pouvez remplacer la destination par défaut par n’importe quel autre préréglage de destination. Choisissez Compressor > Préférences et utilisez le menu local « Destination par défaut » pour choisir parmi la liste des préréglages de destination.Chapitre 24 Création et changement de destinations 329 Pour créer une destination locale ou sur volume ouvert : 1 Ouvrez l’onglet Destinations. 2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) et choisissez Local dans le menu local. La zone de dialogue Sélection de la destination apparaît. 3 Naviguez jusqu’au dossier de destination choisi ou jusqu’au volume monté ouvert, puis cliquez sur Ouvrir. Une nouvelle destination appelée Sans titre Local-1 apparaît dans le dossier Destinations où est indiqué le chemin permettant d’accéder au dossier que vous venez d’affecter. 4 Dans l’onglet Destinations, double-cliquez sur la nouvelle destination. La fenêtre Inspecteur s’ouvre, affichant les informations importantes sur la nouvelle destination. 5 Effectuez l’une des opérations suivantes dans l’Inspecteur :  Modifiez le nom de la nouvelle destination dans le champ Nom.  Modifiez le chemin de la nouvelle destination en cliquant sur Choisir afin d’ouvrir la zone de dialogue de sélection de destination et en accédant à un nouveau dossier. 6 Ajoutez des identificateurs de fichier au nom de votre fichier de sortie à l’aide du menu local dans le champ Modèle. Vous pouvez également modifier manuellement ce champ en effectuant l’une des opérations suivantes :  Faites glisser les identificateurs de fichier afin de les réorganiser.  Cliquez de chaque côté des identificateurs de fichier afin de taper du texte supplémentaire. Dans le menu local, choisissez Local. Menu local « Modèle de nom de fichier »330 Chapitre 24 Création et changement de destinations  Utilisez la touche Suppr. de votre clavier afin de supprimer n’importe lequel des identificateurs de fichier. Le champ « Échantillon du modèle défini » de la fenêtre Inspecteur affiche un échantillon du nom du fichier de sortie ainsi que les identificateurs de fichier choisis. La combinaison d’identificateur de fichier par défaut est « Nom du média source-Nom du réglage ». Remarque : évitez de personnaliser vos modèles de nom de fichier en les commençant par un point (.). Le fichier résultant ne serait visible que via la ligne de commande et serait introuvable avec le Finder de Mac OS X. Consultez la section « À propos de l’onglet Destinations » à la page 326 pour plus de détails sur ces paramètres. Pour créer une destination distante : 1 Ouvrez l’onglet Destinations. 2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) et choisissez Distant dans le menu local. La zone de dialogue À distance apparaît. Elle contient les champs suivants :  Nom : utilisez ce champ pour modifier le nom du préréglage de destination.  Modèle : utilisez ce menu local pour ajouter des identificateurs de fichier à votre fichier multimédia de sortie. Ce champ peut être édité manuellement. Le fait de sélectionner l’un des identificateurs suivants ajoute cet identificateur à la suite du nom de votre fichier multimédia de sortie :  Date : indique, selon le format ci-après, la date à laquelle le fichier a été transcodé : AAAA-MM-JJ.  Nom du réglage : nom du réglage utilisé pour la tâche de transcodage.  Nom du média source : nom du fichier source sans son extension.  Extension du média source : extension du fichier source. Le nom de l’hôte est obligatoire. Le chemin d’accès du fichier est obligatoire.Chapitre 24 Création et changement de destinations 331  Échantillon du modèle défini : affiche un échantillon de ce à quoi ressemblera le nom du fichier de sortie ainsi que les identificateurs de fichier que vous avez ajoutés. Vous ne pouvez pas éditer cette ligne, mais celle-ci est modifiée dynamiquement en fonction des identificateurs que vous ajoutez ou supprimez.  Ftp ou iDisk : sélectionnez le type de destination distante que vous souhaitez créer.  Nom d’hôte : (requis) nom du serveur hôte. Compressor suppose que le système d’URL utilisé est du type ftp :, de sorte qu’il n’est pas nécessaire que vous saisissiez ce type ni aucun autre système d’URL.  Chemin d’accès : (obligatoire) spécifie le chemin interne de l’hôte sur lequel le fichier multimédia de sortie sera stocké. Par exemple : Volumes/Films/Media de sortie. Ne saisissez que le chemin d’accès du fichier multimédia de sortie ; il n’est pas nécessaire d’inclure son nom.  Utilisateur : (facultatif) ce champ n’est requis que si le serveur hôte est muni de restrictions d’accès qui exigent la saisie d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe. Si le serveur hôte est en accès libre, laissez ce champ vide.  Mot de passe : (facultatif) ce champ n’est requis que si le serveur hôte est muni de restrictions d’accès qui exigent la saisie d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe. Si le serveur hôte est en accès libre, laissez ce champ vide. 3 Le cas échéant, saisissez les informations dans les champs appropriés. 4 Cliquez ensuite sur OK. Une fois que vous avez créé au moins une destination autre que Source dans l’onglet Destinations, vous pouvez définir une nouvelle destination par défaut. Pour changer de destination par défaut : 1 Sélectionnez les préférences de Compressor. 2 Utilisez le menu local « Destination par défaut » pour choisir dans la liste des préréglages de destination existants. La destination que vous choisissez apparaît en tant que destination par défaut lorsque vous importez un nouveau fichier source dans la fenêtre Lot.332 Chapitre 24 Création et changement de destinations Triangles d’avertissement Lorsque la destination choisie pose problème, un triangle jaune d’avertissement apparaît. Vous devez d’abord résoudre ce problème si vous souhaitez effectuer un transcodage avec succès. Des triangles d’avertissement apparaissent dans l’onglet Destinations s’il n’est pas possible d’accéder à la destination ou si elle est protégée en écriture, et dans la fenêtre Lot si :  Un fichier identique se trouve déjà à cet emplacement.  Deux destinations portent le même nom.  Il est impossible d’atteindre la destination ou d’y écrire des données. Les avertissements apparaissent quel que soit le niveau d’apparition du problème (préréglage, tâche ou lot) et se propagent au niveau supérieur, de sorte que si le problème survient au niveau des préréglages, les triangles d’avertissement seront visibles depuis les préréglages et les tâches. Si vous placez le curseur sur le triangle d’avertissement, une bulle d’aide apparaît après quelques secondes en vous indiquant la nature du problème. Dès que ce problème est résolu, le triangle d’avertissement disparaît et vous pouvez poursuivre le transcodage. Cliquez sur le triangle d’avertissement dans la fenêtre Lot pour afficher une zone de dialogue contenant une explication.Chapitre 24 Création et changement de destinations 333 Suppression et duplication d’une destination Vous pouvez gérer les destinations en supprimant celles dont vous n’avez plus besoin et en en créant de nouvelles à partir des destinations existantes. Pour supprimer une destination : 1 Ouvrez l’onglet Destinations. 2 Dans l’onglet Destinations, sélectionnez la destination que vous souhaitez supprimer, puis cliquez sur le bouton Supprimer (-) ou appuyez sur Suppr. Important : aucune confirmation ne vous est demandée au cours de cette opération, donc assurez-vous de vouloir supprimer cette destination avant de cliquer sur ce bouton. Bouton Supprimer334 Chapitre 24 Création et changement de destinations Pour dupliquer une destination : 1 Ouvrez l’onglet Destinations. 2 Dans l’onglet Destinations, sélectionnez la destination que vous souhaitez copier, puis cliquez sur le bouton Dupliquer. Une nouvelle entrée apparaît dans l’onglet Destinations avec la mention Copie ajoutée à son nom. Cette destination est identique en tous points à l’originale. Le cas échéant, renommez la destination dupliquée. Bouton Dupliquer Destination dupliquéeChapitre 24 Création et changement de destinations 335 Création de destinations à utiliser avec DVD Studio Pro Lorsque vous procédez à l’encodage de fichiers vidéo et audio à utiliser dans DVD Studio Pro, vous pouvez faciliter l’importation et l’utilisation des fichiers dans DVD Studio Pro en créant une destination personnalisée. DVD Studio Pro est capable de localiser automatiquement et, éventuellement, d’importer ou d’utiliser un fichier audio lorsque vous importez ou utilisez un fichier vidéo doté du même nom racine. Ainsi, si vous affectez un fichier vidéo à l’arrière-plan d’un menu, DVD Studio Pro recherche un fichier audio portant le même nom et le définit automatiquement comme séquence audio du menu. Les destinations Compressor par défaut ajoutent le nom du réglage au nom du fichier. Étant donné que différents réglages sont nécessaires pour générer des fichiers de sortie vidéo et audio compatibles DVD, les noms de ces fichiers ne sont jamais les mêmes, y compris lorsqu’ils proviennent du même fichier source. Lors de la création de destinations personnalisées dans Compressor, vous pouvez choisir de ne pas inclure l’identificateur de fichier de nom de préréglage avec le nom de fichier de sortie. Pour supprimer le nom du réglage d’une destination : 1 Double-cliquez sur la destination. Le champ Modèle de la fenêtre Inspecteur répertorie les identificateurs de fichier affectés à la destination. 2 Si « Nom du réglage » est indiqué dans le champ Modèle, supprimez-le. Champ Modèle25 337 25 Utilisation de droplets Compressor vous permet d’enregistrer un ou plusieurs réglages ou groupes de réglages dans une droplet. Une droplet est un préréglage autonome créé par Compressor se présentant sous la forme d’une application glisser-déposer et enregistré sous forme d’icône. Lorsque vous faites glisser des fichiers de données source sur l’icône d’une droplet, ils sont automatiquement soumis en vue de leur transcodage en tenant compte des réglages incorporés spécifiés. Le processus de transcodage est alors lancé, que Compressor soit ouvert ou fermé. Vous pouvez faire glisser un nombre quelconque de fichiers multimédia sur une droplet. Ensuite, pour l’ouvrir et consulter les réglages qu’elle contient, il suffit de doublecliquer dessus. Remarque : l’utilisation des droplets requiert l’installation préalable de Compressor sur tous les ordinateurs sur lesquels vous souhaitez les utiliser. Ce chapitre traite des sujets suivants :  À propos de la fenêtre Droplet (p. 338)  Création d’une droplet (p. 340)  Vérification des réglages de droplets et des options AppleScript (p. 341)  Utilisation d’une droplet pour transcoder des fichiers multimédia sources (p. 342)  Conseils à propos des droplet (p. 344)338 Chapitre 25 Utilisation de droplets À propos de la fenêtre Droplet Vous pouvez ouvrir n’importe quelle droplet pour la consulter en détail. Vous avez aussi la possibilité de modifier certains réglages, comme la destination et les identificateurs des fichiers multimédia de sortie. La fenêtre Droplet contient les éléments suivants :  Cluster : ce menu local permet de choisir un cluster d’ordinateurs sur votre réseau, auquel vous pouvez soumettre des lots pour le traitement distribué. (La fonctionnalité de traitement distribué est limitée aux ordinateurs sur lesquels est installé Final Cut Studio.) Le menu ne comporte qu’une seule option (Cet ordinateur) sauf si toutes les conditions suivantes sont réunies :  Le traitement distribué est activé dans Compressor.  D’autres clusters sont disponibles sur le réseau.  Destination : ce champ affiche le chemin d’accès au dossier de destination du fichier multimédia de sortie. Vous pouvez modifier ce chemin en cliquant sur le bouton Choisir afin d’ouvrir la zone de dialogue de sélection de destination et en accédant à un nouveau dossier.  Modèle : utilisez ce menu local pour ajouter des identificateurs de fichier à votre fichier multimédia de sortie. Ce champ peut être édité manuellement. Le fait de sélectionner l’un des identificateurs suivants ajoute cet identificateur à la suite du nom de votre fichier multimédia de sortie :  Date : indique la date de transcodage selon le format AAAA-MM-JJ.  Nom du réglage : nom du réglage utilisé pour la tâche de transcodage.  Nom du média source : nom du fichier source sans son extension.  Extension du média source : extension du fichier source. Consultez la section « À propos de l’onglet Destinations » à la page 326 pour plus d’informations sur l’utilisation d’identificateurs de fichier. Champ Destination Tableau Fichiers source Menu local Réglage Case à cocher « Afficher au démarrage » Tableau Résumé Champ Modèle Bouton SoumettreChapitre 25 Utilisation de droplets 339  Fichiers source : contient toutes les tâches du lot sur le point d’être soumises au transcodage. Lorsque la case « Afficher au démarrage » est cochée, la fenêtre Droplet s’ouvre automatiquement après avoir fait glisser vos fichiers multimédia sources sur l’icône de la droplet et tous les fichiers multimédia sources apparaissent dans le tableau Fichiers source. Vous pouvez faire glisser un ou plusieurs fichiers multimédia sources dans ce tableau, et ceux-ci seront tous transcodés en même temps lors de l’envoi du lot, comme s’il s’agissait d’un envoi normal depuis la fenêtre Lot.  Réglage : ce menu local en lecture seule affiche la liste complète des réglages associés à chaque droplet. Vous pouvez attribuer à une droplet autant de réglages que vous le souhaitez en en créant une à partir d’un groupe de réglages (Pour plus d’informations, consultez la section « Création d’une droplet, » ci-après.) Quel que soit le réglage, vous pouvez voir ses détails complets en le sélectionnant dans le menu local, puis en consultant le tableau Résumé au bas de la fenêtre.  Résumé : ce tableau répertorie chaque composant du réglage sélectionné dans le menu local Réglage.  Afficher au démarrage : lorsque cette case est cochée, la fenêtre Droplet s’ouvre dès que vous faites glisser le fichier multimédia source sur l’icône de la droplet, avant la soumission du lot. Cela vous permet de vérifier les réglages contenus dans la droplet. Si la case n’est pas cochée, le lot est envoyé dès que vous le faites glisser sur l’icône de la droplet (à condition qu’il n’y ait aucune erreur), sans que la fenêtre ne s’ouvre.  Soumettre : cliquez sur ce bouton pour envoyer le lot. Cette action n’est nécessaire que si la case « Afficher au démarrage » n’est pas cochée, car sinon le lot est automatiquement envoyé. Menu local Réglage340 Chapitre 25 Utilisation de droplets Création d’une droplet La création d’une droplet est d’une grande simplicité, et une fois créée, il est possible d’envoyer rapidement et facilement des fichiers multimédia sources en transcodage. Pour créer une droplet : 1 Ouvrez l’onglet Réglages. 2 Sélectionnez le réglage ou le groupe de réglages que vous souhaitez enregistrer en tant que droplet, puis cliquez sur le bouton Enregistrer droplet. La zone de dialogue Enregistrer apparaît. Remarque : vous ne pouvez pas sélectionner plusieurs réglages dans l’onglet Réglages et les ajouter directement à une droplet. En revanche, vous pouvez placer les réglages que vous souhaitez utiliser dans un groupe de réglages, sélectionner ce groupe, puis cliquer sur Enregistrer. Dans ce cas, chaque fichier multimédia source est transcodé par chaque réglage de la droplet. Par exemple, si vous envoyez deux fichiers multimédia sources dans une droplet contenant trois réglages, Compressor crée six fichiers multimédia de sortie différents. Pour plus d’informations sur la création de groupes de réglages, consultez la section « Création de groupes de réglages » à la page 104. 3 Dans la zone de dialogue Enregistrer, nommez la droplet en remplissant le champ « Enregistrer sous », puis utilisez le menu local Où pour naviguer jusqu’à l’emplacement de la droplet et cliquez sur Enregistrer. Vous pouvez enregistrer votre droplet n’importe où sur votre ordinateur, mais il est conseillé de l’enregistrer sur le bureau, afin de pouvoir facilement y faire glisser des fichiers multimédia sources. Vous pouvez choisir un dossier de destination autre que Source par l’intermédiaire de la zone de dialogue Enregistrer, mais vous ne pouvez sélectionner que des destinations créées via l’onglet Destinations. Si aucune destination personnalisée n’a été créée, seules quatre destinations Apple par défaut apparaissent dans le menu local « Sélectionner une destination ». Consultez la section « Création d’une destination » à la page 328 pour plus d’informations sur les destinations. Bouton Enregistrer dropletChapitre 25 Utilisation de droplets 341 Pour choisir une destination alternative pour une droplet : 1 Choisissez une destination dans le menu local « Sélectionner une destination ». Remarque : la droplet affiche un triangle d’avertissement lorsque la destination choisie pose problème. Dans ce cas, changez de répertoire jusqu’à ce que l’avertissement disparaisse. Consultez la section « Triangles d’avertissement » à la page 332 pour plus d’informations. 2 Cliquez sur Enregistrer. La droplet que vous venez de créer apparaît sous forme d’icône à l’emplacement sélectionné. Elle est maintenant prête à être utilisée en transcodage. Vérification des réglages de droplets et des options AppleScript La case « Afficher au démarrage », située en bas de la fenêtre Droplet, détermine si une fenêtre Droplet s’ouvre ou non lorsque vous faites glisser un lot vers une icône de droplet. Si cette case est cochée, la fenêtre Droplet s’ouvre lorsque vous faites glisser un lot sur l’icône de la droplet et vous pouvez consulter les réglages de la droplet. Si cette case n’est pas cochée, double-cliquez sur l’icône de la droplet pour ouvrir sa fenêtre et consulter ses réglages. Consultez la section « À propos de la fenêtre Droplet » à la page 338 pour plus d’informations concernant les réglages de la droplet. Vous pouvez voir une liste des options dictionnaire AppleScript pouvant être utilisées avec une droplet en faisant glisser l’icône de la droplet sur l’éditeur de script situé dans /Applications/AppleScript. Case à cocher « Afficher au démarrage »342 Chapitre 25 Utilisation de droplets Utilisation d’une droplet pour transcoder des fichiers multimédia sources Une fois que vous avez créé une droplet, vous pouvez transcoder des fichiers multimé- dia sources en les faisant glisser sur l’icône de la droplet. Pour transcoder des fichiers multimédia sources à l’aide d’une droplet : 1 Faites glisser vos fichiers multimédia sources sur l’icône de la droplet. Rôle de la case « Afficher au démarrage » en bas de la fenêtre :  Si la case « Afficher au démarrage » n’est pas cochée : la droplet commence immédiatement le transcodage des fichiers multimédia sources.  Si la case « Afficher au démarrage » est cochée : la fenêtre Droplet s’ouvre et les fichiers multimédia sources sont affichés dans le tableau Fichiers source de la droplet. Passez à l’étape 2 pour envoyer votre lot. 2 Si la fenêtre Droplet s’ouvre, vous pouvez vérifier et modifier les réglages de la droplet, comme le dossier de destination et les identificateurs de fichier. Lorsque les réglages vous conviennent, cliquez sur le bouton Soumettre. Chaque fichier multimédia source est traité en fonction du réglage ou du groupe de réglages contenu dans cette droplet. Chapitre 25 Utilisation de droplets 343 3 Ouvrez Batch Monitor si vous souhaitez suivre l’état du traitement de vos fichiers multimédia sources. Pour plus d’informations, consultez le Manuel de l’utilisateur de Batch Monitor. Si une fenêtre Droplet est ouverte, vous pouvez faire glisser vos fichiers multimédia sources directement dans le tableau Fichiers source, puis les envoyer en transcodage. Pour transcoder des fichiers multimédia sources à l’aide d’une droplet ouverte : 1 Double-cliquez sur l’icône d’une droplet pour l’ouvrir. 2 À l’aide du Finder, localisez les fichiers multimédia sources, puis faites-les glisser dans le tableau Fichiers sources de la droplet. 3 Le cas échéant, modifiez les réglages de votre droplet, puis cliquez sur le bouton Soumettre. Chaque fichier multimédia source est traité en fonction du réglage ou du groupe de réglages contenu dans cette droplet. Par exemple, si vous envoyez deux fichiers multimédia sources vers une droplet contenant trois réglages, Compressor crée six fichiers multimédia de sortie différents. 4 Ouvrez Batch Monitor si vous souhaitez suivre l’état du traitement de vos fichiers multimédia sources.344 Chapitre 25 Utilisation de droplets Conseils à propos des droplet Voici quelques conseils supplémentaires sur l’utilisation des droplets pour le transcodage des fichiers multimédia sources. Droplets et services de traitement Compressor Si vous faites glisser des fichiers sur l’icône d’une droplet sans avoir ouvert l’application ou une droplet au préalable, il se peut que Compressor vous affiche un avertissement (« Cet ordinateur n’est pas disponible »), indiquant que les services de traitement Compressor ne se sont pas encore lancés à l’arrière-plan. Cliquez sur le bouton Soumettre en bas de la fenêtre Droplet. Les services de traitement Compressor démarrent alors pour transcoder les fichiers glissés. Droplets et grand nombre de fichiers multimédia sources Si vous soumettez un grand nombre de fichiers multimédia sources (par exemple 200 ou plus) à l’aide d’une droplet, un retard d’environ une minute peut se produire entre le message d’alerte « Préparation au traitement » et l’apparition de la zone de dialogue confirmant que la tâche est en cours de soumission. Vous pouvez éviter ce retard en réduisant le nombre de fichiers source que vous transmettez à la fois à l’aide d’une droplet. 345 A Annexe A Dépannage et assistance client Si vous rencontrez des problèmes lors de l’utilisation de Compressor, vous disposez de plusieurs ressources pour y remédier.  Notes commerciales : une page de notes commerciales, dans le menu Aide Compressor, fournit des informations de dernière minute qu’il n’a pas été possible de faire figurer dans le Manuel de l’utilisateur de Compressor. Consultez les notes commerciales dès l’installation ou la mise à jour de Compressor.  Page Web d’assistance de Compressor : Compressor possède sa propre page d’assistance technique consultable sur http://www.apple.com/fr/support/compressor et sa propre page de discussions sur http://discussions.info.apple.com/compressor (en anglais).  Base de données « AppleCare Knowledge Base » : AppleCare offre une base de données sur la résolution de problèmes courants, régulièrement mise à jour et enrichie pour tenir compte des nouveaux problèmes dès leur apparition. Cette base de données gratuite constitue une excellente ressource pour les utilisateurs de Compressor. Pour accéder à cette base d’informations techniques AppleCare, visitez la page d’assistance AppleCare à l’adresse suivante : http://www.apple.com/fr/support.  Assistance AppleCare : les utilisateurs de Final Cut Pro disposent de plusieurs types d’assistance. Pour plus d’informations, consultez le Guide d’assistance et de service pour logiciels professionnels Apple fourni avec la documentation de Compressor.346 Annexe A Dépannage et assistance client Contacter l’assistance AppleCare Une documentation sur les options d’assistance proposées par Apple est fournie avec Compressor. Selon vos besoins, plusieurs niveaux d’assistance sont disponibles. Quel que soit votre problème, il est toujours utile de disposer immédiatement des informations correspondantes disponibles. Plus vous avez d’informations à communiquer aux techniciens, plus vite ils seront en mesure de résoudre votre problème.  Le numéro d’enregistrement fourni avec Compressor. Ce numéro diffère du numéro de série logiciel utilisé pour activer votre copie de Compressor.  Version de Mac OS X installée. Vous trouverez cette information en choisissant l’option « À propos de ce Mac » dans le menu Pomme.  La version de Compressor installée, en tenant compte, le cas échéant, des mises à jour. Consultez le numéro de version en choisissant l’option Compressor > « À propos de Compressor ».  Le modèle d’ordinateur utilisé.  La quantité de mémoire RAM installée sur votre ordinateur et celle disponible pour Compressor. Vous pouvez connaître la quantité de mémoire RAM installée en choisissant « À propos de ce Mac » dans le menu Pomme du Finder.  Le matériel tiers connecté à l’ordinateur ou installé, ainsi que son fabricant. Il peut s’agir de disques durs, cartes graphiques, etc.  Modules de tierce partie ou autres logiciels installés avec Compressor. Création d’un profil de support Outre le fait qu’il propose un accès au Manuel de l’utilisateur de Compressor, le menu Aide comprend également un élément permettant de créer un profil d’assistance. Dans certains cas d’assistance technique, AppleCare demande des informations autant sur l’ordinateur que sur la configuration de l’application en question. Sélectionnez Aide > Créer un profil d’assistance pour créer un fichier contenant les informations nécessaires et pouvant être envoyé par courrier électronique à AppleCare. Vous devez normalement utiliser cette fonction, à moins qu’un représentant d’AppleCare ne vous indique le contraire. L’assistance AppleCare est accessible en ligne à l’adresse http://www.apple.com/fr/support/compressorAnnexe A Dépannage et assistance client 347 Astuces de dépannage Si vous rencontrez des problèmes lors de l’utilisation de Compressor, recherchez ici la réponse à vos questions. L’utilisation de la ligne de commande de Compressor requiert l’ouverture d’une session La ligne de commande permettant d’exécuter un réseau de traitement distribué Apple Qmaster, chaque nœud du service Compressor (c’est-à-dire chaque ordinateur fournissant des services Compressor de traitement distribué) doit avoir ouvert une session avec un nom d’utilisateur et un mot de passe Mac OS X pour pouvoir bénéficier de toutes les fonctionnalités qu’offre ce système. Mise à l’échelle (en couleurs 10 bits) de fichiers de données source Si vous utilisez Compressor pour transcoder des fichiers multimédias sources utilisant 10 bits par canal de couleur et que vous avez l’intention de mettre leur image à l’échelle (c’est-à-dire de la redimensionner), activez les contrôles d’images. Dans le cas contraire, le fichier de sortie transcodé n’utilise alors que des couleurs sur 8 bits plutôt que 10. Pour activer les contrôles d’images : 1 Ouvrez l’onglet Réglages. 2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier de données source dans la fenêtre Lot. 3 Cliquez sur l’onglet « Contrôles d’images » dans la fenêtre de l’Inspecteur. 4 Sélectionnez une des valeurs suivantes dans le menu local « Contrôles d’images » :  Automatique : Compressor analyse la tâche de transcodage (le fichier de données source et le réglage appliqué), puis il détermine automatiquement les attributs « Contrôles d’images » appropriés.  Personnalisé : cette option permet d’ajuster manuellement tous les attributs de la sous-fenêtre Contrôles d’images. 349 B Annexe B Utilisation de la ligne de commande Utilisation de la ligne de commande Si vous êtes habitué à effectuer votre travail à partir de shells Terminal et que vous avez besoin (ou préférez) exécuter Compressor à partir de la ligne de commande avec une utilisation minimale des interfaces d’application, cette annexe vous est destinée. L’annexe inclut les rubriques suivantes :  Commandes de shell pour la configuration des nœuds de service et des contrôleurs de cluster (p. 349)  Commandes de shell pour l’envoi de travaux Compressor (p. 350)  Commandes de shell pour le contrôle des lots (p. 353) Commandes de shell pour la configuration des nœuds de service et des contrôleurs de cluster Une alternative à l’utilisation de la sous-fenêtre Apple Qmaster des Préférences Système consiste à utiliser la commande qmasterprefs avec les options de ligne de commande destinées à activer et désactiver les services de contrôle des clusters et des nœuds de service. Dans les descriptions de ligne de commande ci-dessous, les crochets < > indiquent un argument obligatoire dans une commande et les crochets [ ] indiquent un argument facultatif. Remarque : la ligne de commande permettant d’exécuter un réseau de traitement distribué Apple Qmaster, chaque nœud du service Compressor (c’est-à-dire chaque ordinateur fournissant des services Compressor de traitement distribué) doit avoir ouvert une session avec un nom d’utilisateur et un mot de passe Mac OS X pour pouvoir bénéficier de toutes les fonctionnalités qu’offre ce système. Vue d’ensemble Vous trouverez ci-dessous un résumé de la commande permettant d’activer et de désactiver les services de contrôle des clusters sur un ordinateur. La commande qmasterprefs se trouve dans le dossier /usr/sbin. qmasterprefs -cluster [-timeout ] [-servername ] [-list] [-help] 350 Annexe B Utilisation de la ligne de commande Vous trouverez ci-dessous un résumé de la commande permettant d’activer et de désactiver le traitement des nœuds de service sur un ordinateur. qmasterprefs -service “Traitement Unix” [-instances ] [-timeout ] [-servername ] [-list] [-help] Options de commande Ce tableau fournit des informations sur l’activation et la désactivation de chacun des services de contrôle de cluster et de nœud de service. Commandes de shell pour l’envoi de travaux Compressor Vous pouvez exécuter l’application Compressor à partir de la ligne de commande en tapant Compressor , avec un certain nombre d’options de ligne de commande pour soumettre les tâches. Dans les descriptions de ligne de commande ci-dessous, les crochets < > indiquent un argument obligatoire dans une commande et les crochets [ ] indiquent un argument facultatif. Option de commande de préférence Description [-cluster] Active ou désactive les services de contrôle de cluster. [timeout min] [servername nom] [quickcluster on | off] [unmanagedservices on | off] [unmanagedmulticapturethreshold sec] [networkinterface allinterfaces | ] [-service Rendering] Active ou désactive les services de rendu UNIX. [timeout min] [instances n] [autorestart on | off] [unmanaged on | off] [-list] Répertorie les réglages qmasterprefs actuels. [-help] Affiche des informations sur les options prises en charge par qmasterprefs. [-restart] Redémarre les services Apple Qmaster. [-service name options] Définit les options des services.Annexe B Utilisation de la ligne de commande 351 Vue d’ensemble Voici une vue d’ensemble de la commande permettant d’envoyer un travail à un cluster. La commande Compressor se trouve dans le dossier /Applications/Compressor.app/ Contents/MacOS. Compressor [-clustername ][-clusterid ] [-batchfilepath ] [-batchname ] [-priority ] [-jobpath ] [-settingpath ] [-destinationpath ] [-info ] [-timeout ] [-help] [-show] Dans cet exemple, il est possible de répéter -jobpath, -settingpath et -destinationpath autant de fois que nécessaire, selon le nombre de tâches à « soumettre ». Remarque : les options ne sont pas toutes nécessaires. Vous pouvez, par exemple, indiquer le cluster soit par son nom (-clustername), oit par son identifiant (-clusterid). Vous n’avez pas besoin d’indiquer les deux. Dans le cas où les deux valeurs sont indiquées, seul -clusterid est utilisé. De plus, si vous indiquez une valeur -batchfilepath, les valeurs -jobpath, -settingpath, et -destinationpath ne sont alors pas nécessaires car le fichier de lot précédemment enregistré contient déjà les informations concernant la tâche, les réglages et la destination. Exemple de valeur -batchfilepath: Compressor -clustername "Cet ordinateur" -batchfilepath "/Volumes/Hermione/ SavedCompressorBatches/FreeChampagne.compressor" Une fois que la tâche a bien été envoyée, cette commande affiche l’identifiant (ID) du lot et celui de la tâche dans le shell. Vous pouvez également surveiller la progression du lot dans Batch Monitor.352 Annexe B Utilisation de la ligne de commande Options de commande Ce tableau contient des informations sur chacune des options de commande pour l’envoi de travaux. Option de commande d’envoi Description [-clustername ] Utilisez-la pour spécifier le nom du cluster auquel vous souhaitez envoyer le travail. Avec le nom du cluster, Compressor recherche le cluster sur le réseau afin de l’utiliser. [-batchname ] Utilisez-la pour spécifier un nom pour le lot, de façon à pouvoir le reconnaître facilement dans Batch Monitor. [-clusterid ] Vous pouvez aussi vous servir de -clusterid pour saisir l’ID et l e numéro du port du cluster au lieu d’utiliser -clustername. Lorsque vous saisissez l’ID de cluster et le port, moins de temps est nécessaire pour rechercher le cluster sur le réseau. Si vous avez utilisé -clustername et que le cluster nécessite un mot de passe, utilisez -clusterid pour spécifier le nom d’utilisateur et le mot de passe (vous devez également inclure l’adresse IP : numéro du port chaque fois que vous utilisez -clusterid). Astuce : utilisez la commande Compressor -show pour afficher l’adresse IP et le numéro de port d’un cluster. [-priority ] Spécifie le niveau de priorité d’un travail. [-jobpath ] Spécifie l’emplacement du fichier source. [-settingpath ] Spécifie l’emplacement des réglages pour le travail. [-destinationpath ] Spécifie l’URL du fichier de destination pour le travail. [-info ] Fournit des informations détaillées pour un lot ou un travail. [-timeout ] Utilisez cette commande pour spécifier le nombre de secondes avant que Compressor n’interrompe la recherche d’un cluster. La valeur par défaut est de 0, ce qui signifie qu’il n’y a pas de limite pour l’expiration, impliquant que Compressor parcourt le réseau jusqu’à ce qu’il ait trouvé le cluster. [-show] Affiche les informations relatives à l’identification du cluster spécifié avec -clustername ou -clusterid ou celles qui concernent tous les clusters si aucun d’entre eux n’est spécifié. [-help] Affiche les informations relatives aux paramètres obligatoires de la commande Compressor.Annexe B Utilisation de la ligne de commande 353 Exemple de code XML de commande Compressor Le code ci-dessous est un exemple de code XML pour l’envoi d’une commande Compressor. Remarquez qu’étant donné que ce code doit être saisi en tant que ligne de commande, chaque caractère non alphanumérique venant après -options doit être précédé d’une barre oblique inverse (\). ./Compressor -clusterid tcp://127.0.0.1:51737 -batchname myBatch -jobpath / Volumes/Source/ShortClips/NTSC24p.mov -settingpath /Utilisateurs/ stomper10/Bibliothèque/Application\ Support/Compressor/ PhotoJPEG.setting -destinationpath /Utilisateurs/nomdemachine/Séquence/ NomFichierdeDestination.mov. Cette commande comporte les éléments suivants :  L’adresse IP du cluster est tcp://127.0.0.1:51737.  Le nom du lot est myBatch.  Le chemin du travail est /Volumes/Source/ShortClips/NTSC24p.mov.  Le chemin d’accès des réglages est /Utilisateurs/stomper10/Bibliothèque/ Application/Support/Compressor/PhotoJPEG.setting.  Le chemin d’accès de destination est /Utilisateurs/nomdemachine/Séquence. Commandes de shell pour le contrôle des lots Vous pouvez utiliser la commande Batch Monitor, Batch\ Monitor, avec un certain nombre d’options de ligne de commande pour le contrôle des tâches. Dans les descriptions de ligne de commande ci-dessous, les crochets < > indiquent un argument obligatoire dans une commande et les crochets [ ] indiquent un argument facultatif. Vue d’ensemble Voici une vue d’ensemble de la commande pour le contrôle de lots. La commande Batch\ Monitor se trouve dans /Applications/Utilitaires/Batch Monitor.app/Contents/ MacOS. Batch\ Monitor [-clustername ] [-clusterid ] [-jobid -batchid ] [-timeout ] [-query ] [-help]354 Annexe B Utilisation de la ligne de commande Pour annuler un travail ou un lot : Batch\ Monitor [-clustername ] [-clusterid ] -kill -jobid -batchid Options de commande Ce tableau contient des informations sur chacune des options de commande pour le contrôle de lots. Option de commande de contrôle Description [-clustername ] Utilisez-la pour spécifier le nom du cluster auquel le travail a été envoyé. [-clusterid ] Vous pouvez aussi vous servir de -clusterid pour saisir l’ID et le numéro du port du cluster au lieu d’utiliser -clustername. Si vous avez utilisé -clustername et que le cluster nécessite un mot de passe, utilisez -clusterid pour spécifier le nom d’utilisateur et le mot de passe (vous devez également inclure l’adresse IP : numéro du port chaque fois que vous utilisez -clusterid). Astuce : utilisez Apple\ Qmaster -show ou Compressor - show pour afficher l’adresse IP et le numéro de port d’un cluster. [-jobid -batchid ] Utilisez-la pour spécifier le travail que vous souhaitez contrôler. Lorsque vous utilisez l’option -jobid, vous devez également spé- cifier -batchid sous la forme du nom qui a été attribué au lot lors de sa soumission. Les paramètres batchid et jobid sont affichés après l’envoi d’un lot. Si vous n’utilisez pas l’option -jobid, tous les travaux envoyés au cluster spécifié sont répertoriés. [-timeout ] Utilisez cette commande pour spécifier le nombre de secondes avant que Batch Monitor n’interrompe la recherche d’un cluster. La valeur par défaut est de 0, ce qui signifie qu’il n’y a pas de limite pour l’expiration, impliquant que Batch Monitor parcourt le réseau jusqu’à ce qu’il ait trouvé le cluster. [-query ] Utilisez cette option pour spécifier la fréquence, en secondes, selon laquelle l’état du travail doit être mis à jour. [-kill -jobid -batchid ] Annule le travail ou lot spécifié. [-help] Affiche des informations sur les options prises en charge par Batch\ Monitor. 355 Index Index A AAC 136 actions activation de la notification par message électronique 299 ajout d’AppleScripts 299–300 paramètres 31, 67 post-transcodage 299–300 affichage Échantillon du modèle défini 328 aide en ligne 16 profils d’assistance 16 AIFF (Audio Interchange File Format) choix de formats de sortie 34 description 133–137 encodeur 14 paramètres 134–137 réglages audio 244–245 réglages QuickTime 241 algorithmes d’optimisation 226, 229, 231, 233, 240 animation dans les séquences 208 annotations 89 AppleCare base de connaissances 345 profils d’assistance 16 Apple Qmaster alternatives 349 traitement distribué 64 AppleScripts activation 67 choix 67 exécution 298 options dictionnaire 341 ressources 301, 347 site Web 301, 347 Apple Store 18 Apple TV proportions 163 taille pour encodeur 164 vidéo H.264 pour 159 assistance client 345–347 atténuation de 3 dB 146 audio activation de pistes 239 audio PCM 168 canaux 141, 186 CD 246 codes d’identificateur de canaux 83, 152 débits maximum 170, 207 format Dolby Digital AC-3 12, 139, 148 liste des filtres 268–271 mixage spatial 154–156 MPEG-1/couche 2 212 PCM 168 qualité des périphériques 252 réglage Passthrough 239, 283 réglages MPEG-1 185 règles 142, 147 sans compression 136, 246, 251 son Surround 83–86, 149–154 stéréo. Voir audio stéréo taille d’échantillonnage 252 taux d’échantillonnage 252 8 bits 246, 252 16 bits 246, 252 Audio Interchange File Format. Voir AIFF audio stéréo canaux 228 débit de données 143 lecture stéréo 156 son Surround 140 sous-mixage 149 authentification SMTP 297 autorisations 328 avertissements, destinations 332 B balance des blancs 262 barre d’outils 52 configuration 52 éléments 54 vue d’ensemble 52–55 barre de menus 52 Batch Monitor état d’un lot 37 dans le flux de travaux 25356 Index options de ligne de commande 353 ouverture 70 ouverture automatique 39 présentation 70 bouton Ajouter 95 d’utilisation 184 de balayage 308 Définir le point d’entrée 316 Définir le point de sortie 316 de retour et d’avance rapide 308 Dupliquer 95, 99 Enregistrer droplet 95, 340 Grouper 94, 104 Lecture 308, 311 Lecture en boucle 308 Pause 308 Soumettre 339 Supprimer 95, 104 Vue de sortie 304 Vue source 304 C cache Letterbox 264 canal central 154 canaux affectation avec des codes d’identificateur 83, 152 Alpha 265 application de filtres 265 audio mono 228 bande passante complète 146 centre 154 de colorimétrie 265 Dolby Digital 141 LFE 146, 155 réglages MPEG-1 186 réglages QuickTime 245 sortie AIFF 135 sortie MPEG-4 228 Surround 146, 155 utilisation dans les programmes Dolby Digital 139, 154–156 case à cocher Afficher au démarrage 339, 341, 342 CBR (débits constants) 170, 207 CD audio 185, 252 CD-ROM contenu QuickTime 237 fréquences d’échantillonnage 252 sortie MPEG-1 181 CD vidéo. Voir VCD centres fantômes 154 champ de flou 263 de netteté 263 de rognage 290 Description 105 Destination 338 de timecode de tête de lecture 307 durée maximum de paquet 230 extension de fichier 63 intervalle entre les images-clés 227 modèle 210, 327, 338 taille maximum de paquet 229 chemins vers les destinations 328, 331 cibles ajout à une tâche 118 à propos de 117 copie 118 description 19, 31 suppression 118 clusters choix pour le traitement distribué 338 copie d’options 40 envoi de tâches 351 sélection d’emplacements de stockage 326 codage audio avancé (AAC) 225 code d’identificateur pour les canaux 83, 152 XML 353 codecs AAC (codage audio avancé) 136, 225 AIFF 136–137 audio 251–252 avec perte 251 choix 250 description 32 IMA 136 photo JPEG 242, 243 PNG 243 présentation 250–252 QDesign Music 136 QDesign Music 2 135, 245 QDMC 136 Qualcomm PureVoice 135, 136, 245 QuickTime 241, 247–252 sans perte 251 Sorenson Vidéo 3 242 codecs audio Voir aussi codecs AAC 225 AIFF 136–137 choix 135, 136, 246 MP3 177 codecs audio QuickTime 251–252 ajout aux préréglages 249–250 choix 136, 246, 251–252 paramètres 241 codecs vidéo Voir aussi codecs, noms des codecs spécifiques avec perte 251Index 357 considérations 250 sans perte 251 codecs vidéo QuickTime ajout aux préréglages 247–248 choix 250–251 paramètres 241 commande qmasterprefs 349 commandes Batch Monitor 353–354 de shell 349–354 de shell Terminal 349–354 compatibilité de la sortie MPEG-2 212 composante audio taux d’échantillonnage 147, 185 composants d’exportation au format QuickTime 256 de QuickTime 15 compression audio 145 audio sans compression 136, 246, 251 Compressor flux de travaux. Voir flux de travaux interface 43–75 introduction 9–15 mémoire allouée 346 modèles 45–47 préférences 39–41 premiers contacts avec 19–27 quitter après la soumission des lots 40 raccourcis 38 scénarios 11 site web 17 terminologie 32 vue d’ensemble des fonctionnalités 12–14 configuration contrôleurs de cluster 349–350 nœuds de service 349–350 Content Agent définition de préférences 40 description 40 contrôles de navigation 308 de Timeline 307 du filtre 260 contrôles de resynchronisation conversion de la vitesse vidéo 283 usages 283 contrôleurs de cluster activation/désactivation 349, 350 configuration de commandes de shell 349–350 conversions 196 de fréquences d’images vidéo 283 de la vitesse vidéo 283 copie d’éléments destinations 327, 334 réglages 95, 99 correction gamma 264 couleur d’arrière-plan 265 de marqueur 307 de pixel 266 espaces colorimétriques 259 filtres 262 incrustations de texte 267 réglages 243 curseur Débit maximum 168, 207, 221 Débit moyen 207, 220 de partage de l’écran 306 de réglage du débit 228, 229 manuel 265 qualité 244 D dates transcodages 327 débits 143, 244 constants 170, 207 maximum 168, 207, 221 moyens 207, 220–221 MPEG-1 185 MPEG-2 204–207 MPEG-4 227, 229 QuickTime 244 sortie au format H.264 pour DVD Studio Pro 167 variable. Voir VBR décodeur Dolby Digital 90, 315 lecture stéréo 155 défauts dans les fichiers de sortie 90, 251 dépannage ressources 345 déplacement de la tête de lecture 308 désentrelacement vidéo 258–259, 262 destinations 325–334 Voir aussi réglages affectation 22, 24, 36, 115–116 avertissements 332 changement des paramètres par défaut 41, 331 comparaison avec les réglages 93 création 33, 328–331 description 31 distantes 326, 328, 330, 331 droplets 340, 341 duplication 327, 334 DVD Studio Pro 193, 335 identificateurs de fichier 327 locales 326, 328, 329–330 par lots 29 sortie de la séquence d’images 175 suppression 327, 333358 Index suppression de noms 335 temporaires 116 types de 328 volume ouvert 329–330 distribution de réglages 106 dossier Bureau 326 de groupes 97, 105 fichiers transcodés 33 Séquences 326 downmix 144, 156 droplets 337–344 ajout d’identificateurs de fichier 338 création 38, 95, 340–341 description 38 destinations 340 enregistrement 95, 340 réglages 341, 342 réglages audio Surround 154 transcodage avec des 342–343 utilisation 38 duplication d’éléments destinations 327, 334 réglages 95, 99 DVD débits 185 DVD résolution HD 196 fréquences d’échantillonnage 185, 252 marqueurs de chapitre 215 minutes de vidéo 204 réglages MPEG-1 187, 189–193 sortie MPEG-1 181 vidéo SD 196 DVD-5 171 DVD HD prise en charge SD et HD 171 DVD Studio Pro configuration MPEG-1 189–193 destinations 193, 335 format MPEG-2 12 métadonnées 212, 224 options d’encodage Dolby 141 E échelle Letterbox 264 écrans de veille 37, 121 Éditeur de script 341 effets basse fréquence. Voir LFE enchaînement de tâches 119 encodage 1 passe 168, 205 à deux passes 63–64 de fichiers audio 148–149 multipasse 63–64, 168 VBR 1 passe optimal 205 VBR 2 passes optimal 205, 206 VBR 2 passes 206 VBR une passe 225 1 passe 205, 225 à 2 passes. Voir encodage à deux passes encodeur Dolby Digital 155 Dolby Digital Professional 34 MPEG-4 15 enregistrement d’éléments droplets 340 lots 125 en-têtes comprimés 240 envoi des réglages par courrier électronique 106 envoi de lots 37 options de ligne de commande 350 renvoi 123, 124–125 espaces de couleur 259 état des lots soumis 37 exportation d’éléments marqueurs de chapitre 216 média avec images I 69 modules Composants d’exportation au format QuickTime 254 projets Final Cut Pro 126 extensions .ac3 63, 140 .aiff 63 .compressor 125 .dv 63 .m1a 63, 186 .m1v 63 .m2t 63 .m2v 63, 198 .m4v 63 .mov 63, 238 s.mov 166 .mp4 63, 226 .mpeg 63 .mpg 63 Voir aussi les noms des extensions de fichier spécifiques dans le champ Extension de fichier 63 fichiers Dolby Digital 140 identificateurs de canal 84, 152 tableau Résumé 61 .setting 106 .tga 63 .tiff 63 F fenêtre Droplet 71, 338–339 Préférences 39–41Index 359 fenêtre Historique 44 état du transcodage 37 ouverture/fermeture 68 renvoi de lots 125 resoumettre des lots 124 vue d’ensemble 68, 123–124 fenêtre Inspecteur à propos des réglages automatiques 58 description 44 Destinations 327 présentation 57–67, 98–99 fenêtre Lot avertissements de destination 332 barre d’outils 52–55 droplets et 339 dans le flux de production 35, 44 importation de fichiers multimédia sources 79– 86 onglets 78 présentation 51–52, 78–79 fenêtre Preview 303–323 agrandissement de la taille de l’écran de prévisualisation 304 ajout d’images I à des fichiers MPEG-2 223 contrôles 304–309 description 33, 44 fichiers Dolby Digital 315 ouverture 69 présentation 69, 304–309 prévisualisation des plans 310–315 prévisualisation des réglages 33, 36, 44, 102–104 raccourcis clavier 75, 323 rôles 303 transcodage de sections de plans 315–316 fenêtres. Voir fenêtres de Compressor fenêtres de Compressor à propos des onglets 49–51 pourquoi elles sont parfois masquées 48 redimensionnement 48 utilisation 48–51 fichiers chemins 331 de sous-titres codés 88 média. Voir fichiers multimédia sources script AppleScript 300 source compressés 90 fichiers de données source fréquences d’images 196 haute définition 196 résolution 196 fichiers de séquence QuickTime encodeur 15 extension .mov extension 166 fichiers de séquence QuickTime 238 marqueurs de chapitre 240 séquences à lancement rapide 238, 240 fichiers de sortie Voir également les noms des formats spécifiques choix du format 31, 34 description 29, 31 destinations. Voir destinations formats, description 32 noms 117 qualité 303 réglages. Voir réglages transcodage 14 fichiers de sortie QuickTime création 237–238 fichiers web 238 flux de production de transcodage 246–250 réglages audio 135, 244–245 fichiers multimédia. Voir fichiers multimédia sources fichiers multimédia sources ajout à des lots 20–21, 79–83 attribution de destinations aux 22, 24, 36, 115– 116 attribution de réglages 22–23, 35, 110–113 confirmation de la fin du transcodage 37 dans la fenêtre Inspecteur 59 description 29, 30 diffusion en continu sur Internet 238 extensions des 61 fenêtre Droplet 339 fichiers audio 148 fichiers hautement compressés 90 importation 35, 77–83, 196 longueur 147 présentation 69, 310–315 processus de conversion 11 redimensionnement 66 transcodage. Voir transcodage transfert vers les clusters de traitement 41 films, description 30 filtres accentuer contour 266 ajout aux réglages 271–272 application 66, 313 CN 146 contraste de luminosité 261 de correction gamma 264 de filigrane 268 description 31 désentrelaçage 262 de suppression de bruit 265 égaliseur graphique Apple AU 269 étalonnage des hautes lumières 262 fondu entrant/sortant (audio) 270 fondu entrant/sortant (vidéo) 263 générateur de timecode 267 letterbox 264 limiteur de pics 269 ordre 257360 Index paramètres 65, 104, 261–271 passe-bas 146 passe-haut 146 plage dynamique 269 prévisualisation 104, 257, 313 réorganisation 66 rétablir BlackWhite 261 superposer texte 266 types de 261–271 utilisation 257–259, 260–272 Final Cut Pro marqueurs de chapitre 216 quitter Compressor après les lots 40 renvoi de projets 127 traitement distribué 127–130 transcodage de projets 126–127 flux de programme 197, 212 de transport 197, 212 élémentaires 186, 197, 212 multiplexés 186 système 186 flux de production fenêtres et flux de production Compressor 44 format Flux DV 158 format H.264 pour périphériques Apple 164, 171 MP3 180 MPEG-1 186–187 MPEG-2 216–224 podcasting avec MPEG-4 234–236 QuickTime 246–250 transcodage de base 29–38 flux de travaux rapides et faciles 20–26 forcer au format 66 format 080i 200 1080i 293 1920x1080 166 AVI 237, 254 Dolby Digital Professional 139 H.264 15 MPEG comme fichier source 90 rés HDV 200 VCPRO HD 293 vidéo anamorphosés 293 4p 204 720p 166, 200, 293 format AC-3 Voir aussi format Dolby Digital Professional débits de données 143 encodage 12, 63, 140 fréquences d’échantillonnage 147 longueur des flux 147 format Dolby Digital Professional 139–140, 154–156 à propos du 14 comme sources 90 conversion audio 148 description 12 prévisualisation 90, 147 prévisualiser 315 réglages de l’onglet Audio 141–144 réglages de l’onglet Bitstream 144 réglages de l’onglet Prétraitement 145–146 format DVD-Vidéo flux vidéo MPEG-2 196 GOP ouverts 214 format Flux DV à propos de 157 flux de production 158 réglages 157–158 format H.264 pour DVD Studio Pro sélection de formats de sortie 34 format H.264 pour périphériques Apple flux de production 164, 171 groupes GOVU 169 introduction 159 sélection de formats de sortie 34 sous-fenêtre Encodeur 160–164, 165–168 synchronisation des images 169 synchronisation partielle 169 utilisation de l’encodage multipasse 170 vidéo progressive 171 format MP3 flux de production 180 introduction 177 podcasts 178 sélection de formats de sortie 34 sous-fenêtre Encodeur 178 utilisations courantes du 177 format MPEG-1 ajout d’images I 318–319 choix de formats de sortie 34 configuration pour les DVD 189–193 configuration pour le web 188–189 description 15 exemples de réglages 187 exportation 12 comme fichiers source 90 flux de production de transcodage 186–187 flux élémentaires et système 186 fréquences et tailles d’images 182 introduction 181–182 plates-formes 181 spécifications d’encodeur 182 format MPEG-2 ajout d’images I 223, 318–319 analyse des sources 90 Blu-ray 199 choix de formats de sortie 34 description 15 DVD HD 196, 199Index 361 DVD SD 199 fichiers de sortie 195–215 comme fichiers source 90 flux de production de transcodage 216–224 générique 199 marqueurs 215 paramètres de création 211–224 prise en charge de la lecture en continu 195 projets DVD Studio Pro 12 réglages 217 réglages complémentaires 223–224 réglages de qualité 204–208, 217, 219–222 réglages GOP 209–215, 222–223 réglages vidéo 199–219 réglage Utilisation de flux 199 tailles d’image 314 types de flux 197 format MPEG-4 avantages 225 choix de formats de sortie 34 et podcasting 227 fichiers de sortie 225–236 comme fichiers source 90 flux de production de podcasts 234–236 processus de transcodage 230–236 réglages audio 228, 228–233 réglages d’enchaînement 229–230 réglages vidéo 227–228, 230, 232 format NTSC fréquence d’images 182, 202 proportions pixel 292 rognage 201 sortie MPEG-2 200 taille d’image SIF 182 taille GOP 210 format PAL proportions pixel 292 sortie MPEG-2 200 sortie MPEG SIF 182 taille GOP 210 formats. Voir formats spécifiques format 3G 237, 254 formats de fichier Voir aussi le nom des formats de fichier spécifiques description 32 extensions 63 format Séquence d’images encodeurs 15, 34 sorties 173–176 format Vidéo DVD DVD Studio Pro et le 141 fréquence d’images affichage 196 MPEG-1 182, 184 MPEG-2 202 MPEG-4 227 NTSC 202 QuickTime 242 réglages 277 resynchronisation d’images 65 séquences d’images 174 sortie au format H.264 pour DVD Studio Pro 167 synchronisation 168 fréquences d’échantillonnage audio DVD 142 audio QuickTime 136, 245 DAT 252 flux AC-3 147 présentation 252 réglages MPEG-1 185 réglages MPEG-4 228 son Surround 147 sortie AIFF 135 DV 252 G géométrie paramètres 31, 66, 290–295 gestion des basses 155 GOP (groupe d’images) ajout d’images I à des plans 223 fermé 210, 214–215 fichiers de sortie MPEG-2 222–223 ouvert 210, 214–215 paramètres 183, 209–211, 213–215 présentation 211–215 structure 209, 213 taille 200, 210, 213 GOP fermés 210, 214, 223 GOP ouverts 210, 214, 223 groupe d’images. Voir GOP groupes d’images H.264 169 description 32 GOVU 169 réglages 94, 104 I identificateurs de fichier 327, 338 illustration ajout au marqueur de chapitre 321 images bidirectionnelles 211 delta 243 fixes 30 mise à l’échelle 287, 291–293 numérotation 175 prédites 211 qualité des 244, 265 redimensionnement 65362 Index remplissage 289 resynchronisation 65 rognage 287, 290–291, 312 sortie de séquence 173 sortie TARGA 173 sortie TIFF 173 types 211–215 B 209, 211, 213 images clés description 211 de synchronisation partielle 169 H.264 168 MPEG-4 227 QuickTime 243 images I forcées 211, 215, 223 ajout à des plans 318–319 ajout aux fichiers MPEG-2 223 description 211, 215 forcées 215, 223 marqueurs 69 structures GOP 209, 213 suppression dans des plans 319 images P 209, 211, 213 importation d’éléments fichiers multimédia sources 35, 77–83 projets Final Cut Pro 126 indications 240 installation de modules QuickTime 254 Internet. Voir web intervalle entre les images clés (Fréquence de synchronisation des images) 168 intra image. Voir images I iPod format Composants d’exportation au format QuickTime 254 marqueurs de chapitre 163 marqueurs de podcast 163 proportions 163 tailles pour encodeurs 164 vidéo H.264 pour 159 iTunes marqueurs de chapitre 163 marqueurs de podcast 163 proportions 163 vidéo H.264 pour 159 L lecture commandes de lecture 308 en boucle 308 plates-formes 14 stéréo 156 vidéo en continu 195, 226, 229–230 LFE (effets basse fréquence) activation 142 canal 146, 155 interférence 155 limitations 155 ligne de commande 349–354 commandes de shell 349 contrôle de lots 353 envoi de tâches 350 limite de rognage 306 liste des filtres 260 des marqueurs de chapitre TeXML 321 lots 109–132 Voir aussi Batch Monitor affectation de destinations 36, 115–116 annulation 354 changement de fichier multimédia source 82 contrôle 353 contrôle à l’aide de commandes de shell 353–354 copie de tâches entre 118 création 35–37 description 19, 29, 31 destinations. Voir destinations destinations temporaires 116 enregistrement 125 envoi 25–26, 37, 120–121, 339 envoi à l’aide de commandes de shell 350–353 historique des. Voir fenêtre Historique importation de fichiers multimédia sources dans des 35, 79–83 noms 81 options de ligne de commande 350 ouverture de fichiers de lot 125 prévisualisation 304–309 quitter après la soumission 40 réglages. Voir réglages renvoi 123, 124–125, 127 sélections 97 tâches. Voir tâches tâches optionnelles 26–27 transcodage de différents éléments 131–132 visualisation de l’état 37 M marqueurs ajout de marqueurs de chapitre 320–322 ajouter à un plan de sortie 317 appellation 309 compression automatique 215 compression forcée 215 de montage/de coupe 308, 309, 318 formats qui les prennent en charge 317 images I 69 manipulation 309Index 363 marqueurs de chapitre 212, 215 MPEG-2 215 points d’entrée et de sortie 307 types 307, 317 marqueurs de chapitre 215, 224, 307, 309, 317 absence de prise en charge dans MPEG-1 183 affichage 309 ajout 320–322 ajout d’une image 321 ajout d’une URL 321 conservation 212, 224 création d’une liste au format Texte 322 définition 215 description 215 importer la liste des marqueurs 309, 321 indicateurs visuels 307 MPEG-1 183 URL 321 marqueurs de compression 212, 307, 309, 317, 318 automatique 215 forcée 215 marqueurs de podcast 317 définition 317 sortie H.264 163 mémoire allouée à Compressor 346 menu local algorithme 266 aspect des pixels 292 cluster 338 conversion de fréquence 277 débit 227 de sélection de la fréquence d’échantillonnage 228 désentrelacer 276 destination par défaut 41, 331 diffusion 240 élément 305 estimation d’animation 208, 222 filtre de redimensionnement 275 format vidéo 166, 200 GOP Structure 209, 222 itérations 265 marqueur 309 mode 205, 220 position 264 priorité de trame 203 profondeur 243 proportions 202 qualité 228 réglage par défaut 41 sortie 264 taille d’image 291 taille GOP 210, 222 type de compression 242 menu local Utilisation de flux 199 générique 212 métadonnées 212, 224 minutes de vidéo, DVD 204 mise à l’échelle des images 287, 291–293 mixage audio 144, 154–156 spatial 154–156 mode Estimation d’animation 208 modèles à propos des fichiers 47 configuration 45–47 enregistrer 46 gestion 46–47 lot 46 sélection 46 standard 45 modules 254 de tierce partie 346 mots de passe 331 MPEG-2 Blu-ray 199 MPEG-4 partie 10. Voir format H.264 musique 252 N niveaux de voix 252 nœuds de service activation/désactivation 350 configuration à l’aide de commandes de shell 349–350 noms d’utilisateur 331 des destinations 335 du réglage Cible sélectionnée 305 notification par courrier électronique activation 67, 299 description 297 préférence 39 numéros d’images 175 numérotation des images fixes 175 O onglet attributs A/N 59, 87 Audio 141–144, 185 Bitstream 144 Compléments 211–216, 223, 224 Format vidéo 199–204, 217 Géométrie 294 GOP 209–211, 217, 222 informations complémentaires 60, 88 Prétraitement 145–146 Qualité 204–208, 217 Vidéo 184 onglet Destinations 44, 56, 326–327, 333–334 à propos de 326–327 onglet Informations supplémentaires364 Index annotations 89 fichier de sous-titres codés 88 onglet Réglages 32, 44, 55, 94–98 à propos de 94–98 création de réglages 32 opacité du texte 267 option Atténuation du son de 3 dB 146 Augmentation de phase de 90° 146 Autoriser la segmentation des travaux 63 Correction des mouvements 276 Démarrage rapide 240 Désaccentuation numérique 146 DVD 185 Enchaînement à indications 240 Exécuter AppleScript sur la sortie 298 Exportation QuickTime 216 Filtre CN 146 Filtre linéaire 275 Filtre passe-bas 146 Format 135, 245 IBBP 209, 213 IBP 209 Image clé toutes les 243 Inclure l’audio PCM 168 IP 209 Lancer automatiquement Batch Monitor 39 Motion adaptive 276 Moyenne des lignes 276 Notification par courrier électronique à 298 Pixel le plus proche 275 Prédiction statistique 275 Volume ouvert 328 Web 185 ouverture de fichiers de lot 125 P paquets d’enchaînement 229 paramètres audio AIFF 134–137 fichiers MPEG-2 207 fichiers MPEG-4 228, 228–233 QuickTime 135, 244–245 paramètres vidéo fichiers MPEG-2 199–204, 218–219 fichiers MPEG-4 227–228, 230, 232 partage de préréglages 106 passthrough filtres audio 268 multipiste 239 réglage 239 performances, écrans de veille 37, 121 pistes activation de pistes audio ou vidéo 239 d’algorithme 226 d’indices 240 LFE 155 pixels carrés 292 plans ajout d’images I 223 ajout de marqueurs 318–319 exportation 11 lecture 307 prévisualisation 310–315 suppression d’images I 319 surexposés 264 transcodage à partir de différents fichiers multimédia 131–132 transcodage de sections de 315–316 plates-formes, lecture 14 podcasts 225 MPEG-4 227, 234–236 URL 321 utilisation du format Composants d’exportation au format QuickTime 254 utilisation du format MP3 178 vidéo au format H.264 164 points d’entrée et de sortie 306, 307–308, 315–316 polices 267 préréglages Voir destinations, droplets, réglages prévisualisation des éléments fichiers multimédia sources 310 plans 310–315 préréglages 257 réglages 33, 36, 44, 102–104 privilèges 325 d’accès 328 processus MPEG-4 230–236 processus pulldown 3:2 204 profils d’assistance 16 de support 346 ISMA 227 projets, Final Cut Pro 126 proportions options MPEG-2 219 périphériques Apple 163 pixels 292 réglages 202, 294–295 valeurs par défaut 202 pulldown 2:3:2:3 204 Q qualité fichiers MPEG-2 219–222 prévisualisation de la sortie 303 réglages QuickTime 244 segmentation des travaux 64Index 365 QuickTime encodeur 34 site web 17 quitter Compressor définition de préférences 40 R raccourcis Voir aussi raccourcis clavier flux de production 38 transcodage à l’aide de droplets 337–344 raccourcis clavier Voir aussi raccourcis contrôles généraux 74 fenêtre Preview 75, 323 RAM 346 redimensionnement d’images. Voir taille d’image réduction de bruit adaptative 265 reference frames 211 réglages actions de notification par courrier électronique 299 activer les effets de basse fréquence 142 affectation 22–23, 35, 110–113 affectation à plusieurs groupes 106 affectation à plusieurs tâches 36 affectation de destinations. Voir destinations ajout à l’onglet Réglages 95 anticrénelage 277 Apple 96 Audio Coding Mode 141 canal bande pass. compl. 146 codecs AIFF 136–137 codecs audio QuickTime 249–250 codecs de séquence d’images 175 codecs vidéo QuickTime 247–248 comparaison avec les destinations 93 composants d’exportation au format QuickTime 256 compression standard pour films 145 contenu original 144 création 32–33, 35, 100–102 débit de données 143 de domaine DNS 41 définition de réglages par défaut 41 description 29, 30 de sous-réseau 41 destinations. Voir destinations détails de technique Adaptive 277 distribution 106 Downmix du canal central, Downmix de Surround 144 droplets 36, 154 duplication 95, 99–100 emplacement 106 envoi par courrier électronique 106 estimation d’animation 208 filtres 271–272 fréquences d’images 277 général, onglet Prétraitement 146 géométrie 290–295 groupes 94, 104 identificateurs de fichier 327 informations de production audio 144 mode BitStream 143 mode Dolby Surround 144 modification 114 MPEG-1 191 MPEG-2 217 niveau de détails 277 niveau de mixage des pics 144 nombre dans les groupes 105 nom de fichier de sortie 117 noms 96, 102 normalisation des dialogues 143 organisation 97 partage 106 personnalisation 33 préexistants 35, 38 préréglage de compression 145 prévisualisation 33, 36, 44, 102–104 prévisualisation des plans et 311–315 proportions 294–295 protégé par Copyright 144 réglages de rognage 294–295 régler la durée sur 278 remplacement dans une tâche 113 reverse Telecine 276 scripts AppleScript 299–300 sous-fenêtre Résumé 61 stockage 106 suppression 95, 104 taille d’image 275, 294–295 Target System 141 type de pièce 144 utilisation 93–106 valeur Description 105 vidéo DVD 141 réglages Apple Voir aussi réglages réglages audio MP3 178 QuickTime 241 réglages automatiques 58 fichiers QuickTime non standard 91 réglages de stockage de travail emplacements 326 options de cluster 40 réglages vidéo QuickTime 241 remplissage366 Index à propos de 289 réglages 293 rendu, processus de transcodage 126 renvoi de lots 123, 124–125, 127 renvoi de projets Final Cut Pro 127 réseaux étendus 41 recherche de fichiers source 41 résolution 196 résolution des problèmes défauts dans les fichiers de sortie 90 suppression de réglages 104 triangles d’avertissement de destination 332 resynchronisation d’images 65 rognage d’éléments images 66, 294–295, 312 tailles d’images 201 S saturation 264 scintillement, suppression 262 scripts AppleScript actions 31 ajout aux réglages 297, 299–300 fichiers 300 segmentation des tâches options H.264 166 options MPEG-2 198 options MPEG-4 227 options QuickTime 239 sortie Composant d’exportation au format QuickTime 255 séquences d’images 173 de référence QuickTime 90 exportation 11 séquences QuickTime réglages audio 241 serveurs de courrier 297 hôtes 331 QuickTime Streaming Server 229, 233 SIF (Standard Interface Format) 181 sites web Apple 17, 18 AppleScripts 301, 347 Apple Store 18 assistance AppleCare 345, 346 assistance Compressor 17 Compressor 17, 345 Dolby Laboratories 156 FireWire 18 QuickTime 17 service et assistance Apple 17 son. Voir audio son Surround affectation de codes d’identificateur 83, 152 affectation manuelle de canaux 84, 149 audio stéréo 140 débits de données 143 description 139 lecture stéréo 156 mixage spatial 154–156 son Surround 5.1 83–86, 139, 140, 143, 149–154 soumission de lots 120–122 processus 25 sous-fenêtre Actions 67, 99, 100, 298–300 Apple Qmaster 349 Audio 228–229, 231, 233 Diffusion 229, 231, 233 Géométrie 66–67, 98, 100, 290–295 Résumé 61, 98 Vidéo 227, 230, 232 sous-fenêtre Contrôles d’image ajout automatique de réglages 279 ajout de réglages personnalisés 279 contrôles de resynchronisation 283 introduction 273 modification des réglages 99 présentation 65, 274 prévisualisation 274 télécinéma inverse 280 vue d’ensemble 278 sous-fenêtre Encodeur Voir aussi les noms des sous-fenêtres Encodeur spécifiques AIFF 134 composants d’exportation au format QuickTime 255 de séquence d’images 174–175 Dolby Digital Professional 140–146 modification des réglages 99 MPEG-1 183–186, 188 MPEG-2 198–215 MPEG-4 232 MPEG-4 Partie 2 226–230 présentation 62, 98 QuickTime 238–241 sous-fenêtre Filtres 65, 98, 100, 260–271 ajout aux réglages 271 sous-fenêtres Réglages à propos des 61–67 sous-fenêtre Actions 67 sous-fenêtre Contrôles d’images 65 sous-fenêtre Encodeur 62 sous-fenêtre Filtres 65 sous-fenêtre Géométrie 66 sous-fenêtre Résumé 61 Standard Interface Format (SIF) 181 Structures IBBP 200Index 367 suppression d’éléments destinations 327, 333 images I 319 marqueurs 309 noms de destinations 335 réglages 95, 104 suppression des bruits 265 synchronisation (resynchronisation) 65 partielle 169 T Tableau Résumé 339 tâches Voir aussi lots configuration 22 copie 118 description 19, 29, 31 destinations 115–116 enchaînement 119 importation de fichiers multimédia sources dans des 79–83 lots 35 options de ligne de commande 350 Tagged Image File Format. Voir TIFF taille d’échantillonnage, son 252 de l’écran de prévisualisation 304 taille des cadres MPEG-1 182 MPEG-2 314 taille des images mise à l’échelle et 287, 291–293 réglages 275 rognage et 201, 290–291 TARGA (Truevision Advanced Raster Graphics Adapter) description 173 encodeur 15, 34 fichiers de sortie 173–176 téléchargement de films 238, 240 préchargé en mémoire tampon (QuickTime) 238 télécinéma inverse à propos de 280 cadence 281 problèmes de 282 téléphones fréquences d’échantillonnage 252 qualité audio 246 terminologie 32 tête de lecture 307 texte, superposition 267 TIFF (Tagged Image File Format) description 173 encodeur 15, 34 fichiers de sortie 173–176 timecode contrôles d’entrée et de sortie 305 de départ 203 description 203 en temps réel 203 Non-Drop Frame 203 options MPEG-2 203, 219 tête de lecture 307 traitement distribué choix de clusters 338 Final Cut Pro 127–130 réglages de stockage de travail 40 segmentation des tâches 198, 227, 239 segmentation des travaux 63–64 séquences de référence QuickTime 90 sortie H.264 166 stockage de clusters 326 trames de cadre de source 66, 290 impaires 203, 262 inférieures 203, 262 paires 203, 262 prioritaire 203, 219 supérieures 203, 262 trames, sortie types 203 transcodage actions de post-transcodage 299–300 aperçu de réglages 33, 36 choix d’un format de sortie 34 composants typiques du 30–31 confirmation de la fin du 37 contrôles d’image 274–278 de lots. Voir lots description 32 destinations 33 différents plans à partir d’un seul fichier multimédia 131–132 droplets 337–344 économiseurs d’écran et 37, 121 fenêtres et flux de production Compressor 44 flux de production de base 29–38 formats de sortie 14 notifications par courrier électronique 297 options de post-transcodage 297–300 préparation de Compressor 32–33 projets Final Cut Pro 126–127 réglages 32–33 sections de fichiers multimédia 315–316 tâches facultatives 26–27 visualisation de l’état du 37 travaux segmentation 63–64368 Index V valeurs de luminance 261 VBR (débit variable) AAC et 225 options MPEG-2 205 segmentation des travaux 64 VBR (Variable Bit Rate - débit variable) deux passes 206–208 paramètres 228 une passe 205 VCD débits 185 sortie MPEG-1 181 Version Mac OS 346 vidéo activation de pistes 239 à définition standard Voir vidéo SD bruit 265 compression. Voir transcodage désentrelacement 258–259 entrelacement 195, 258–259 haute définition. Voir vidéo HD lecture en continu 195, 226 liste des filtres 261–268 minutes, sur DVD 204 non entrelacée 181 progressive 181, 195, 208 vidéo entrelacée création 195, 258–259 vidéo HD conversion 12, 196 disques DVD-5 171 options MPEG-2 196, 200, 205 redimensionnement d’image 65 source haute définition 196 vidéo progressive animation 208 MPEG-1 181 MPEG-2 195 vidéo SD conversion de vidéo HD 12, 196 dimension d’image 201 réglage des options MPEG-2 200 rognage de la sortie 291 volumes iDisk 326 normalisation 143 partagés 328 vue Sortie 103 Source 103 W WAN (réseaux étendus) 41 web diffusion en continu de fichiers multimédia 238 fréquences et tailles d’images 182 résolution 185 sortie MPEG-1 182, 187, 188–189 Z zéros de début 175 zone d’écran Preview 306 de surbalayage 290 sûres 290 zone de dialogue à distance 330 Enregistrer 340 QuickTime Réglage d’exportation d’indications 240 Réglages audio 135, 241, 244–250 Réglages audio QuickTime 134 Réglages de compression 242–244 Sélection de fichier 300 LiveType 2 Manuel de l’utilisateurK Apple Inc. Copyright © 2007 Apple Inc. Tous droits réservés. Vos droits quant à ce logiciel sont régis par le contrat de licence accompagnant le logiciel. Le propriétaire ou l’utilisateur autorisé d’une copie valide du logiciel Final Cut Studio peut reproduire cette publication dans le but d’apprendre à utiliser ce logiciel. Aucune partie de cette publication ne pourra être reproduite ou transmise à des fins commerciales telles que la vente de copies de cette publication ou la fourniture de services d’assistance rémunérés. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tous les efforts ont été fournis afin d’assurer la précision des informations contenues dans ce manuel. Apple n’est pas tenu responsable des erreurs d’impression ou d’écriture. Remarque : Apple publie fréquemment de nouvelles versions et des mises à jour de ses logiciels système, applications et sites Internet ; par conséquent, les images affichées dans ce manuel peuvent varier légèrement de celles que vous visualisez à l’écran. Apple Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014–2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AppleWorks, Final Cut, Final Cut Pro, Final Cut Studio, FireWire, Keynote, LiveType, Mac, Macintosh et QuickTime sont des marques d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder est une marque d’Apple Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. Helvetica est une marque déposée d’Heidelberger Druckmaschinen AG, disponible auprès de Linotype Library GmbH. Tous les autres noms de produits sont des marques de leurs propriétaires respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés qu’à titre d’information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant aux performances et à l’utilisation de ces produits. 3 1 Table des matières Préface 7 Introduction à LiveType 7 Comment fonctionne le titrage ? 8 Un nouveau monde de créativité 9 Procédure de création de titres 10 À propos de ce guide 10 Guide de l’utilisateur LiveType à l’écran 11 Sites Web Apple Chapitre 1 13 L’interface LiveType 14 Canevas 20 Inspecteur 25 Navigateur média 26 Timeline 29 Fichiers média LiveType Chapitre 2 31 Configuration d’un projet 31 Modèles 33 Démarrage d’un projet et définition des réglages par défaut 34 Réglage des attributs du projet Chapitre 3 41 Ajout d’un fond 41 Sélection d’une couleur de fond 42 Ajout d’une texture de fond 43 Importation d’un film ou d’une image fixe comme fond 45 Instructions de rendu du fond Chapitre 4 47 Manipulation de pistes 49 Positionnement de pistes dans le Canevas 50 Création d’angles et de courbes 52 Liaison d’extrémités 53 Ajout, copie et suppression de pistes 54 Manipulation de pistes dans la Timeline4 Table des matières Chapitre 5 59 Manipulation de texte 59 Insertion de texte 62 Réglage du chronométrage des LiveFonts 63 Formatage du texte 70 Amélioration du texte avec des styles 74 Création d’un remplissage 79 Modification de caractères individuels 80 Désactivation de polices dans Mac OS X Chapitre 6 81 Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés 82 Manipulation d’objets LiveType 83 Manipulation de textures LiveType 84 Importation de graphismes, d’images et de films 85 Transformation d’objets, de textures et d’éléments importés Chapitre 7 89 Manipulation d’effets et animation d’images clés 90 Effets prédéfinis 90 Application d’effets prédéfinis 92 Réglage du chronométrage d’un effet 95 Changer l’ordre des effets 95 Duplication des effets et des pistes 95 Modification d’un effet prédéfini 106 Création d’un effet en partant de zéro Chapitre 8 111 Aperçu et rendu total de votre film de titrage 111 Aperçu de votre travail 114 Optimisation des performances d’aperçu 115 Rendu, enregistrement et exportation de votre film de titrage Chapitre 9 121 Techniques avancées de conception 121 Imbrication de mots 12 3 Déformation d’ombres et d’éclats 12 5 Pistes courbes 12 7 Emploi créatif de caractères spéciaux 13 0 LiveFonts et couches 132 Création de défilements et de glissementsTable des matières 5 Annexe A 135 Solutions aux problèmes fréquents et assistance client 135 Foire aux questions 137 Page Apple destinée aux développeurs d’applications professionnelles 13 8 Contact de l’assistance AppleCare Annexe B 139 Création et modification d’EffectScripts 13 9 En-tête 13 9 Chronométrage par défaut 140 Images clés 144 Exemples d’EffectScripts Glossaire 147 Index 153 7 Préface Introduction à LiveType Bienvenue dans LiveType, une application de composition de titres avec effets spéciaux, particulièrement puissante, conviviale et polyvalente (qu’il s’agisse de créer des titres de films, des génériques, des publicités radiophoniques et télévisées ou des bannières Web). La création de titres vidéo dynamiques et percutants peut demander une bonne dose d’efforts : l’opération impliquant des réglages manuels et les images clés s’accumulant, au point de rebuter plus d’un animateur, même expérimenté. LiveType vous permet d’obtenir en un rien de temps des résultats stupéfiants dans le format désiré. Comment fonctionne le titrage ? En général, le titrage désigne l’ajout de texte à un film. L’évolution des graphismes numériques et des technologies vidéo a élargi la définition, laquelle porte désormais sur toute combinaison de texte et d’images ajoutée à un film. Le titrage correspond au processus de création d’un repère numérique ajouté aux images montées dans votre éditeur non linéaire ou programme de composition. LiveType représente le studio de création dans lequel vous générez des titres que vous importez ensuite dans Final Cut Pro. La technique du canal alpha sert de base au titrage. La plupart des programmes de composition et d’animation vous permettent de créer vos propres oeuvres à l’aide d’un canal alpha. Par ailleurs, les éditeurs non linéaires emploient le plus souvent des canaux alpha qu’il détectent dans une image ou un film afin de placer l’élément à l’endroit approprié dans la vidéo.8 Preface Introduction à LiveType Un canal alpha se compose de huit bits de pixels d’informations en niveaux de gris dans un fichier 32 bits. Les huit bits en niveaux de gris déterminent les parties de l’image à superposer à d’autres couches. Les pixels blancs rendent l’image superposée totalement opaque alors que les pixels noirs la rendent transparente ou invisible. Les niveaux de gris correspondent aux divers niveaux d’opacité. LiveType crée automatiquement un canal alpha pour votre projet au moment d’un rendu avec un fond transparent. Un nouveau monde de créativité LiveType a révolutionné la composition de titres. En premier lieu, une nouvelle approche de l’animation de texte a été développée grâce aux polices LiveFonts 32 bits, dans lesquelles chaque caractère constitue une séquence d’animation distincte. De plus, LiveType gère mieux les effets et les animations que d’autres applications de titrage. Animation de polices, d’objets et de textures LiveType inclut trois types d’éléments animés :  Les objets LiveType sont des graphismes animés.  Les textures LiveType sont des images animées servant à orner les fonds, le texte ou les objets.  Les LiveFonts correspondent à des jeux de caractères animés. Tous ces éléments sont en soi animés, avant même de leur appliquer des chemins d’animation et des effets spéciaux. LiveType est fourni avec des dizaines de LiveFonts et des centaines d’objets et de textures. En outre, vous pouvez créer vos propres polices animées à l’aide de l’utilitaire LiveType FontMaker, en créant des caractères via un objet graphique, à partir d’animations 3D, d’images créées dans Photoshop ou de plans vidéo, et leur appliquer des effets comme s’il s’agissait de mots. Gestion d’effets Dans LiveType, les effets sont gérés comme des entités distinctes (ou « packages ») intégrant des paramètres de mouvement, de transformation et de chronométrage applicables à un nombre illimité d’éléments du Canevas. À votre disposition se trouvent plus de 100 effets personnalisables fournis avec LiveType, parmi lesquels fondus, zooms, rotations et chemins d’animation. Vous pouvez également créer vos propres styles en modifiant les effets existants ou en créant intégralement de nouveaux effets. Préface Introduction à LiveType 9 Du point de vue de l’animation, LiveType est plus abordable que les autres applications de titrage, sachant qu’un seul marqueur d’image clé contient l’ensemble des paramè- tres d’un élément à un moment donné, ce qui évite l’accumulation d’images clés. Par ailleurs, de puissantes fonctions de chronométrage vous permettent de contrôler tous les aspects d’une animation. Outre les fonctions de base telles que boucle, vitesse et durée, LiveType vous permet de séquencer vos effets. Grâce au séquençage, vous pouvez animer individuellement des caractères d’une ligne de texte possédant leurs propres éléments de chronométrage ; vous n’êtes ainsi pas limité à des animations de blocs de texte solidaires. Que votre production soit le fruit de la combinaison d’éléments existants ou de la création pure, vous pouvez obtenir des compositions originales et percutantes sans déployer beaucoup d’efforts. Procédure de création de titres La production vidéo est généralement envisagée en termes de couches d’arrière vers l’avant, du tournage et du montage d’images à la génération d’effets, puis à l’application de titres et de son. La création de titres doit être plus ou moins abordée de la même façon. Le processus de conception étant libre, il n’existe pas d’instructions strictes. La procédure ci-après vous donne tout de même une idée de ce qu’implique généralement la réalisation d’un projet donné. Étape 1 : Configurez l’environnement de travail  Choisissez la résolution, la vitesse de défilement et d’autres Attributs du projet.  Configurez la grille, les guides et les règles du Canevas selon vos préférences de travail. Étape 2 : Appliquez un fond si nécessaire Étape 3 : Créez un par un les éléments (texte ou objets) dans le Canevas  Choisissez la position et la forme d’une piste pour l’élément.  Ajoutez un élément à cette piste.  Sélectionnez une police.  Adaptez les attributs et appliquez des styles à l’élément. Étape 4 : Animez les éléments  Fixez la durée du film.  Appliquez des effets et réglez le chronométrage.  Personnalisez l’animation en réglant les images clés.10 Preface Introduction à LiveType Étape 5 : Réalisez un aperçu et une mise au point du film Étape 6 : Rendez le film final pour une composition dans votre vidéo Étape 7 : Exportez le film dans un autre format, si nécessaire Vous pouvez gagner beaucoup de temps grâce aux modèles LiveType : il s’agit de fichiers de projet fournis avec le logiciel qui donnent des exemples de formats de titres. Il se peut que l’un d’eux ne requière que quelques changements pour répondre à vos besoins ou que certains de ses éléments puissent vous être utiles en les copiant dans votre projet. Pour en savoir plus sur les modèles, reportez-vous au chapitre 2, « Configuration d’un projet », à la page 31. À propos de ce guide LiveType étant un outil de création, la documentation ne peut pas aller plus loin que la présentation de ses possibilités. Ce guide offre une description détaillée de l’interface, des caractéristiques et des fonctions de LiveType tout en vous initiant aux ressources et modèles que le produit inclut pour en saisir la souplesse. Votre seule limite est votre créativité. Il ne vous reste qu’à vous plonger dans LiveType et à créer vos projets. Ce guide commence par présenter l’interface, puis comporte une série de chapitres expliquant les tâches à effectuer et diverses techniques avancées. Remarque : ce guide s’adresse aux personnes possédant des bases rudimentaires en matière de production vidéo. La terminologie employée sera déjà familière aux utilisateurs plus expérimentés. Les autres remarqueront que la plupart des termes sont abordés en contexte et que le glossaire en fin de guide peut s’avérer utile. Guide de l’utilisateur LiveType à l’écran Le guide de l’utilisateur LiveType à l’écran vous donne la possibilité d’accéder aux informations, directement à l’écran, pendant que vous travaillez dans LiveType. Pour visualiser ce guide, choisissez Aide > Guide de l’utilisateur LiveType. Le guide de l’utilisateur à l’écran offre une version du guide dotée d’hyperliens et assortie de nombreuses fonctions facilitant la recherche d’informations.  La page d’accueil offre un accès rapide à diverses fonctionnalités, dont les Informations de dernière minute, l’index et le site Web de LiveType.  Une liste complète de signets vous permet de choisir rapidement les éléments à afficher et de les consulter en un simple clic.Préface Introduction à LiveType 11 Outre ces outils de navigation, le guide de l’utilisateur à l’écran vous donne les moyens de rechercher rapidement des informations :  Toutes les références croisées dans le texte sont liées. Vous pouvez cliquer sur l’une d’elles pour passer immédiatement à son contenu. Utilisez ensuite le bouton « Page précédente » de la barre de navigation pour revenir à la page où vous avez cliqué sur la référence croisée.  La table des matières et l’index sont également dotés de liens. Si vous cliquez sur l’entrée d’une section, vous passez directement à cette dernière dans le guide de l’utilisateur.  Vous pouvez également utiliser la zone de dialogue Rechercher pour localiser une expression ou une phrase déterminée. L’Aide LiveType comporte également des informations sur les logiciels de tierce partie et les problèmes connus. Ces informations se trouvent dans la section Informations de dernière minute de l’Aide LiveType. Pour accéder aux informations de dernière minute : m Choisissez Aide > Infos de dernière minute. Remarque : vous devez être connecté à Internet pour télécharger le fichier des Infos de dernière minute. Par ailleurs, l’Aide LiveType contient un lien vers le fichier PDF consacré à la création de LiveFonts (Creating LiveFonts). Ce document détaille le processus de création de polices LiveFonts personnalisées, pour une utilisation dans LiveType. Pour accéder au fichier PDF de création de LiveFonts : m Choisissez Aide > Création de LiveFonts. Sites Web Apple Vous trouverez une série de forums de discussion et de ressources pédagogiques se rapportant à LiveType. Site Web LiveType Pour obtenir des informations générales et des mises à jour, ainsi que les informations de dernière minute sur LiveType consultez :  http://www.apple.com/fr/finalcutpro/livetype.html12 Preface Introduction à LiveType Site Web de service et d’assistance Apple Pour obtenir des mises à jour et des réponses aux questions les plus fréquemment posées sur tous les produits Apple, dont LiveType, consultez :  http://www.apple.com/fr/support Vous pouvez également accéder aux caractéristiques des produits, à la documentation de référence et à des articles techniques sur des produits Apple et de tierce partie. Pour des informations d’assistance sur LiveType, consultez :  http://www.apple.com/fr/support/livetype/index.html Autres site Web Apple Rendez-vous à la page d’accueil d’Apple pour obtenir les dernières informations sur les produits Apple.  http://www.apple.com/fr QuickTime est la technologie d’Apple devenue une norme dans la manipulation de vidéo, de son, d’animation, de graphismes, de texte, de musique et de réalité virtuelle à 360°. QuickTime offre un niveau élevé de performances, de compatibilité et de qualité en termes de vidéo numérique. Visitez le site Web QuickTime pour en savoir plus sur les types de supports gérés, découvrir l’interface et les caractéristiques de QuickTime.  http://www.apple.com/fr/quicktime FireWire est l’un des protocoles les plus rapides pour périphériques, notamment ceux multimédias tels que caméscopes et disques durs externes haut débit. Visitez ce site Web pour des informations sur la technologie FireWire et sur les produits FireWire disponibles auprès d’autres fabricants :  http://www.apple.com/fr/firewire Pour des informations sur les séminaires, les événements et les outils d’autres fournisseurs utilisés dans le domaine de l’édition sur Internet, de la création et de l’impression, de la musique et de l’audio, de la vidéotique, de l’image numérique et des arts médiatiques, consultez :  http://www.apple.com/fr/pro Pour rechercher des ressources, des anecdotes et des informations sur des projets développés par des utilisateurs évoluant dans le domaine de l’éducation à l’aide de logiciels Apple, dont LiveType, consultez :  http://www.apple.com/fr/education Visitez l’Apple Store pour acheter directement auprès d’Apple des logiciels, du matériel et des accessoires et pour y découvrir des promotions spéciales, notamment sur le matériel et les logiciels d’autres fabricants :  http://www.apple.com/f/store1 13 1 L’interface LiveType L’interface LiveType est composée de quatre fenêtres primaires : le Canevas, l’Inspecteur, le Navigateur média et la Timeline.  Canevas : l’emplacement où les projets prennent forme. Il vous sert à positionner du texte et des objets, à créer des chemins d’animation et à vérifier le résultat obtenu au fur et à mesure.  Inspecteur : une boîte à outils de réglages et de paramètres, incluant quasiment toutes les options de création et de personnalisation de titres.  Navigateur média : cette zone vous permet d’accéder à l’ensemble des polices, textures, objets et autres effets pour créer vos titres. Canevas Inspecteur Navigateur média Timeline14 Chapitre 1 L’interface LiveType  Timeline : c’est l’espace de gestion image par image de vos projets de titrage. Les images clés sont créées et positionnées dans la Timeline, ce qui vous permet d’organiser le mouvement des titres. Ces quatre fenêtres sont autonomes : elles peuvent être déplacées et redimensionnées selon vos préférences. Pour restaurer la disposition par défaut de LiveType : m Choisissez Fenêtre>Appliquer le modèle par défaut. Canevas Le Canevas est un environnement de création reflétant les dimensions de sortie que vous configurez dans la zone de dialogue Attributs du projet. (Reportez-vous à la section « Réglage des attributs du projet » à la page 34.) Le Canevas est conçu pour vous aider à organiser et à consulter facilement votre projet de titrage, qu’il se trouve au format HDTV, NTSC, PAL ou autre. À propos de l’interface Canevas Les différents éléments et commandes d’interface du Canevas sont présentés ci-dessous. Fond (transparent) Instructions d’action sécurisée Piste, affichant plusieurs lignes de texte sur une piste Menu local Zoom Instructions de titre sécurisé Commandes de lectureChapitre 1 L’interface LiveType 15 Fond À la première ouverture de LiveType, le modèle damier par défaut dans le Canevas représente un fond transparent, ce qui permet aux titres de canal alpha de recouvrir les données vidéo lors d’une composition dans un éditeur non linéaire tel que Final Cut Pro. Le fond peut être le résultat de n’importe quelle combinaison des éléments suivants :  transparent  couleur opaque  texture ou objet animés  image fixe  film Les fonds occupent souvent l’intégralité du Canevas. Toutefois, si vous choisissez la fonction de remplissage de l’onglet Attributs de l’Inspecteur, l’élément semble « traverser » un autre sous-jacent afin de dévoiler la couleur, l’image ou le film en fond. Reportezvous à la section « Création d’un remplissage » à la page 74 pour en savoir plus sur cette fonction. Pistes La ligne horizontale de couleur bleue qui se trouve dans le Canevas est une piste. Les pistes sont essentielles à toute composition avec LiveType. Chaque élément d’un projet est placé sur une piste. Les pistes déterminent :  la position du texte et des objets dans le Canevas ;  la superposition des éléments ;  dans certains cas, le chemin suivi pour déplacer des éléments. Les pistes possèdent deux extrémités et peuvent être dotées d’un nombre illimité de « points de contrôle », à savoir des noeuds créant des angles et des courbes sur la piste. Lorsque le Canevas comporte plusieurs pistes, seules les extrémités de la piste sélectionnée (active) sont visibles. Ce mode d’identification est fort utile lorsque vous appliquez des attributs à une piste. Guides d’action sécurisée et de titre sécurisé Les contours de couleur verte dans le Canevas délimitent les zones « action sécurisée » et « titre sécurisé ». La zone d’action sécurisée, démarquée par la ligne externe, repré- sente la portion de l’écran où l’image est encore visible, selon la courbe du tube cathodique. La zone de titre sécurisé, délimitée par la ligne interne, marque quant à elle la frontière au-delà de laquelle le texte ne se lit pas facilement. Pour activer ou désactiver les guides d’action sécurisée et de titre sécurisé : m Choisissez Présentation>Titre sécurisé.16 Chapitre 1 L’interface LiveType Menu local Zoom Canevas En bas du Canevas figure un menu local permettant de changer le grossissement du Canevas. Pour changer le zoom du Canevas, procédez de l’une des façons suivantes : m Ouvrez le menu local Zoom Canevas au bas de la fenêtre et choisissez l’une des options de grossissement. m Dans ce même menu, choisissez Adapter à la fenêtre, puis redimensionnez la fenêtre selon un nouveau grossissement. m Choisissez Présentation > Zoom avant ou Zoom arrière. m Lorsque le Canevas est actif, utilisez le raccourci clavier Commande + Z pour Ajuster à la fenêtre. m Lorsque le Canevas est actif, utilisez le raccourci clavier Commande suivie respectivement d’un + (plus) ou d’un - (moins) pour effectuer un zoom avant ou arrière. Contrôles de transport Les contrôles de transport vous permettent de générer un aperçu RAM de votre projet, afin de pouvoir visualiser votre titrage à l’intérieur même du Canevas. Lorsque vous cliquez sur le bouton Lecture, LiveType rend chaque image dans la mémoire RAM. Cette caractéristique est appelée aperçu RAM. Menu local Zoom Canevas Image précédente Lecture Image suivante BoucleChapitre 1 L’interface LiveType 17 Pour rendre l’aperçu RAM de votre projet dans le Canevas : 1 Cliquez sur le bouton Lecture (ou appuyez sur la barre d’espace lorsque le Canevas ou la Timeline sont actifs). L’aperçu rend chaque image avant de défiler en temps réel. 2 Arrêtez l’aperçu en cliquant n’importe où dans le Canevas. L’icône Lecture se transforme en Pause lorsque l’aperçu RAM est en cours. Le bouton Boucle permet de basculer d’une lecture unique à la répétition en boucle de l’aperçu. Reportez-vous au chapitre 8, « Aperçu et rendu total de votre film de titrage », à la page 111 pour en savoir plus sur l’affichage d’un aperçu de votre travail. Personnalisation du Canevas La plupart des réglages du Canevas peuvent être personnalisés dans le menu Présentation, ce qui permet de configurer les guides et le grossissement et de choisir les éléments apparaissant dans le Canevas. La grille, les règles et les guides sont utiles pour aligner et positionner avec exactitude les éléments dans le Canevas. Pour afficher les règles ou la grille : m Choisissez Présentation > Règles. m Choisissez Présentation > Quadrillage. Vous pouvez définir le nombre de pixels entre chaque ligne de la grille dans la zone de dialogue Attributs du projet. Grille Règle pour des guides verticaux Règle pour des guides horizontaux18 Chapitre 1 L’interface LiveType Pour personnaliser la grille : 1 Choisissez Édition > Attributs du projet. 2 Entrez une nouvelle valeur dans le champ Largeur de la grille au bas de la zone Réglages de la règle et de la grille. Pour ajouter un guide au Canevas : m Cliquez dans l’une des règles pour insérer un guide identifié par sa position horizontale ou verticale de pixels. Pour ajouter des réticules au Canevas : m Cliquez dans l’une des règles et placez le pointeur dans le Canevas. Pour supprimer des guides du Canevas, procédez de l’une des façons suivantes : m Glissez les marqueurs du guide au-delà de l’une des extrémités de la règle. m Choisissez Présentation > Effacer les guides pour effectuer une suppression globale. Vous pouvez isoler une piste et afficher tous les autres éléments comme des cadres de délimitation (contours illustrant grossièrement la taille, la position et l’orientation d’un élément). Cette option est utile pour « nettoyer » le Canevas lorsque vous travaillez sur une seule piste. Elle permet par ailleurs de gagner du temps lors du rendu de l’aperçu car un seul élément de votre composition est alors rendu. Marqueur du guide montrant la position des pixels Guide réticulesChapitre 1 L’interface LiveType 19 Pour isoler une piste dans le Canevas : m Sélectionnez la piste à isoler et choisissez Présentation > Sélectionné seulement. Revenez à la vue normale en choisissant à nouveau Présentation > Sélectionné seulement. L’option Image proxy seulement du menu Présentation (qui ne s’applique que lorsque vous utilisez des données LiveType installées) rend les LiveFonts, les textures et les objets sous forme d’images proxy dans le Canevas, ce qui fige leur animation. Dans le cas d’un élément animé dont le contenu varie énormément d’une image à l’autre (par exemple, les objets Particle, qui contiennent peu ou pas de pixels dans les images de début et de fin), il est plus facile d’utiliser l’image proxy car elle offre une forme plus représentative de l’objet, quelle que soit la position de la tête de lecture. Les cadres de délimitation montrent la taille et la position des éléments non sélectionnés. Choisissez Présentation > Sélectionné seulement pour afficher uniquement le contenu de la piste sélectionnée.20 Chapitre 1 L’interface LiveType Inspecteur l’Inspecteur est votre boîte à outils pour transformer des éléments (texte, objets ou images). Il existe un nombre illimité de combinaisons de paramètres et d’attributs pour créer des titres dynamiques et originaux. l’Inspecteur se compose d’une zone de saisie de texte et d’un aperçu filaire animé dans sa partie supérieure, ainsi que de cinq onglets de paramètres. Les réglages de l’Inspecteur s’appliquent toujours à la piste, au caractère ou à l’effet sélectionné dans le Canevas ou la Timeline. Zones de saisie de texte Deux zones de l’Inspecteur vous permettent d’ajouter du texte à une piste. L’une se trouve dans le coin supérieur gauche de la fenêtre. Du fait qu’elle est toujours visible, quel que soit l’onglet sélectionné, elle permet d’identifier la piste active et d’ajouter ou de modifier le texte sur une piste car vous pouvez le saisir directement. L’autre zone, plus grande, est située au bas de l’onglet Texte ; par sa taille, elle permet de saisir une quantité de texte plus importante. Les zones de saisie de texte vous permettent également de sélectionner des lettres ou des mots déterminés sur une piste. Lorsque vous mettez du texte en évidence dans ces zones, les caractères sont sélectionnés dans le Canevas. Cette opération est pratique si vous voulez modifier du texte masqué par d’autres éléments dans le Canevas. Zone de saisie de texte Aperçu filaire animé Onglets de l’Inspecteur Zone de saisie de texte (uniquement dans l’onglet Texte)Chapitre 1 L’interface LiveType 21 Aperçu filaire animé Dans le coin supérieur droit de l’Inspecteur, l’aperçu filaire animé lit en continu votre titre, de petits cadres de délimitation illustrant le mouvement de chaque caractère ou objet. Cette fonction permet de vérifier rapidement l’impact de vos changements sur l’animation sans devoir rendre chaque fois l’aperçu complet. Pour figer ou activer l’aperçu filaire animé : m Cliquez dans la zone d’aperçu. Onglets de l’Inspecteur l’Inspecteur comporte cinq onglets.  Onglet Texte : vous permet de saisir du texte et de modifier la taille, l’alignement et l’espacement du texte d’une piste active. Tête de lecture de l’aperçu De petits cadres de délimitation illustrent le mouvement des éléments du Canevas. Cliquez ici pour activer ou désactiver l’aperçu. Réglages de l’onglet Texte22 Chapitre 1 L’interface LiveType  Onglet Style : cet onglet offre les options de traitement Ombre, Éclat, Contour et Volume applicables au texte et aux objets. Elles servent souvent à ajouter de la profondeur et à mettre le texte ou l’objet en évidence, même si une large gamme d’effets graphiques sont également possibles.  Onglet Effets : cet onglet répertorie les effets appliqués à la piste active et permet d’afficher et de modifier des paramètres n’importe où dans votre titre. Les effets sont des combinaisons de mouvement et de transformation applicables aux pistes. La colonne Activé de l’onglet des Effets vous permet d’activer ou de désactiver un effet pour des caractères individuels sur la piste. Réglages onglet Style Onglet EffetsChapitre 1 L’interface LiveType 23  Onglet Chronométrage : les paramètres de chronométrage des pistes et des effets sont contrôlés dans cet onglet. La Timeline fournit un graphique image par image des pistes et des effets, ainsi que des images clés associées. Pour sa part, l’onglet Chronométrage permet de régler le chronométrage d’ensemble et de modifier les paramètres de votre animation. Certains réglages sont plus faciles à réaliser en déplaçant les éléments dans la Timeline qu’en saisissant des valeurs dans l’onglet Chronométrage. Toutefois, cet onglet vous offre l’accès à toute la gamme des variables et à des paramètres d’effets qui vous permettent de peaufiner votre animation. Onglet Chronométrage24 Chapitre 1 L’interface LiveType  Attributs : vous permet d’affecter une série d’ attributs (opacité, flou, échelle, décalage, rotation et couleur) aux éléments du Canevas. Les attributs s’appliquent à des pistes entières ou seulement à certains caractères d’une piste. L’onglet Attributs offre également des options pour créer un effet de remplissage, c’est-à-dire qu’un élément apparaît sous forme de fenêtre découpée révélant l’élément en dessous. Par exemple, une ligne de texte peut « prélever » un plan, qui « remplit » le texte. L’option Prélever dans Texture vous permet de remplir le contenu des pistes (même s’il s’agit de caractères individuels) avec une texture animée, sans devoir ajouter celle-ci au projet sous forme d’élément distinct. Les réglages de remplissage sont des variables permettant de créer des découpes et des remplissages avec texture. Les réglages de glyphe incluent des attributs tels que forme, couleur et position du texte et des objets. Onglet Attributs dans la sous-fenêtre Remplissage Onglet Attributs dans la sous-fenêtre GlypheChapitre 1 L’interface LiveType 25 Navigateur média La plupart des ressources installées disponibles pour vos projets de titrage se trouvent dans le Navigateur média (à l’exception des modèles, images et films LiveType importés d’autres sources). Différents onglets représentant différents éléments sont installés sur votre ordinateur : LiveFonts, polices système, textures, objets et effets. À l’aide du Navigateur média, vous pouvez faire défiler et visualiser des représentations de tous ces éléments avant de les appliquer à votre projet. L’aperçu du Navigateur média est le seul moyen de savoir comment les données de LiveType (LiveFonts, textures et objets) se déplacent et évoluent tant que vous n’avez pas installé le fichier de données sur votre ordinateur. Lorsque vous appliquez pour la première fois l’un de ces éléments dans le Canevas, une image représentative apparaît, et non la séquence animée entière. L’installation du fichier de données vous permet d’obtenir une représentation réelle de la LiveFont dans chaque image du film. Voir « Fichiers média LiveType » à la page 29 pour en savoir plus sur la gestion de fichiers LiveType. Aperçu du navigateur Onglets de données (média) et d’ effets26 Chapitre 1 L’interface LiveType Timeline La Timeline illustre l’organisation image par image de votre projet de titrage et fournit divers outils pour choisir le mouvement et le chronométrage des titres. La Timeline vous permet d’effectuer ce qui suit :  définir le chronométrage et la durée des pistes et des effets ;  gérer l’ordre des pistes, ou les couches ;  regrouper des pistes pour conserver leur position les unes par rapport aux autres ;  activer et désactiver des pistes et des effets ;  employer des images clés pour personnaliser votre animation ;  sélectionner des images à afficher ou à modifier ;  placer des marqueurs pour rendre uniquement une partie du film, soit dans le cadre d’aperçus, soit dans le cadre de la sortie finale. À propos de l’interface Timeline Les éléments et les contrôles de l’interface pour la Timeline sont présentés ci-dessous : Onglets de projets Les onglets dans le coin supérieur gauche de la Timeline indiquent quels projets sont ouverts et lequel est actif. Tête de lecture, timecode et règle d’image La tête de lecture et le timecode sur la règle d’image indiquent quelle image s’affiche dans le Canevas. Lors de la lecture d’un projet, la tête de lecture glisse le long de la règle. Vous pouvez la placer sur n’importe quelle image. Tête de lecture Curseur de zoom de la Timeline Onglet du projet Boutons de regroupement Image clé Barre de fond Timecode Boutons Activer/ Désactiver Piste Effet Règle de l’image Point de sortie du rendu de la sélectionChapitre 1 L’interface LiveType 27 Pour afficher une image donnée, procédez de l’une des façons suivantes : m Glissez la tête de lecture à l’image souhaitée. m Cliquez sur une image dans la règle d’image. Le Canevas indique toujours l’image qui se trouve sous la tête de lecture. Marqueurs de sélection de rendu Les marqueurs des points d’entrée et de sortie dans la règle de l’image vous permettent de délimiter la partie du film à rendre. Grâce à ces marqueurs, vous pouvez :  gagner du temps lors du rendu d’aperçus si vous n’avez pas besoin de visualiser le film dans son intégralité ;  choisir le nombre exact d’images à inclure dans le projet final. Pour changer la sélection de rendu, procédez de l’une des façons suivantes : m Glissez à l’endroit désiré les marqueurs des points d’entrée et de sortie dans la règle de l’image. m Placez la tête de lecture sur ce point et appuyez sur la touche I pour définir le point d’entrée de la sélection de rendu, ou sur la touche O pour définir son point de sortie. La Timeline doit être active pour que ces raccourcis fonctionnent. Lorsque vous limitez le nombre d’images à rendre, la zone d’information dans le coin supérieur gauche de la Timeline indique la nouvelle durée et le nouveau nombre d’images. Remarque : pour repérer rapidement le marqueur du point de sortie lorsqu’il se trouve audelà de la fin de la Timeline, placez le curseur de zoom de la Timeline à l’extrême droite. Pistes et effets Les pistes sont numérotées dans la colonne de gauche de la Timeline selon leur niveau de superposition (couche). La piste 1 correspond toujours à celle du dessus. Les effets apparaissent sous forme de barres distinctes en dessous de la piste à laquelle ils s’appliquent. Un effet peut s’appliquer à toute la durée de la piste ou seulement à un passage. Plusieurs effets peuvent être appliqués à une piste. Ils peuvent soit se suivre, soit se chevaucher. Barre de fond Tout élément tombant sous la barre de fond constitue un élément du fond. Vous pouvez déplacer verticalement la barre de fond entre les pistes de la Timeline. Pour en savoir plus, consultez « À propos de la barre de fond » à la page 43.28 Chapitre 1 L’interface LiveType Images clés Les images clés sont les éléments de base de l’animation numérique. Elles contiennent les paramètres que les éléments du Canevas illustrent à un point donné dans le temps. Au moment de rendre un film, LiveType intercale le mouvement des éléments entre les images clés pour donner une animation fluide. Lorsque la longueur d’un effet est augmentée, les images clés s’adaptent à ce changement et l’effet prend plus de temps pour s’exécuter. Reportez-vous au chapitre 7, « Manipulation d’effets et animation d’images clés », à la page 89 pour en savoir plus sur les images clés. Boutons de regroupement Les boutons de regroupement vous permettent de rassembler des pistes dans le Canevas (en verrouillant leur position les unes par rapport aux autres) et de déplacer le groupe comme un bloc solidaire. Boutons Activer/Désactiver Ces boutons permettent d’Activer/Désactiver les pistes et les effets. Lorsqu’une piste est désactivée, son contenu est supprimé du Canevas même si la ligne bleue demeure. Les pistes désactivées ne sont rendues ni dans les aperçus, ni dans le projet final. De la même façon, les effets peuvent être désactivés. Contrôles de zoom de la Timeline Les contrôles de zoom de la Timeline servent à ajuster le temps représenté dans la Timeline. Ceci est particulièrement utile lorsque vous travaillez sur le chronométrage d’une composition longue et complexe. Le curseur de zoom de la Timeline représente le principal contrôle de zoom. Lorsque vous faites glisser le curseur, celui-ci effectue un zoom avant et arrière autour de la tête de lecture. Vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier Commande associé au signe + ou Commande associé au signe – pour effectuer un zoom avant ou arrière sur la tête de lecture lorsque la Timeline est active. La commande Maj + Z est une autre commande utile, puisqu’elle positionne la Timeline de manière à afficher en une seule fois l’ensemble du projet. Raccourcis clavier L’interface LiveType présente de nombreuses options de menu et raccourcis pour une utilisation simple et efficace de l’application. Notez que la fonction de ces options dépend de la fenêtre LiveType active. Par exemple, lorsque le Canevas est actif, les touches fléchées déplacent progressivement la piste active. Toutefois, lorsque la Timeline est active, les touches fléchées vers la droite et vers la gauche font avancer ou reculer la tête de lecture d’une image.Chapitre 1 L’interface LiveType 29 Fichiers média LiveType LiveType comprend des centaines de fichiers média et effets, qui constituent les ressources mises à votre disposition à travers les navigateurs média et modèles. Les fichiers animés incluent les LiveFonts, les objets et les textures. Les effets et les modè- les prédéfinis, comme bien d’autres ressources LiveType, sont également fournis avec l’application. Ces fichiers sont regroupés sous le nom de fichiers média LiveType. LiveType utilise désormais un seul format de fichier pour des médias comme les LiveFonts, les textures et les objets, mais les médias utilisant le format précédent « pair format » est encore pris en charge. Recherche des fichiers média LiveType Lorsque vous installez LiveType, une hiérarchie de dossiers est créée à l’emplacement suivant : /Bibliothèque/Application Support/LiveType/. C’est à cet emplacement que LiveType recherche d’abord les fichiers média comme les LiveFonts, les objets, les textures, les effets, les images, les films et les modèles. Les fichiers média LiveType peuvent aussi être installés sur d’autres disques durs, notamment un serveur réseau. Vous pouvez affecter n’importe quel emplacement aux fichiers média via la zone de dialogue des Préférences. À propos de l’installation des fichiers média LiveType Le processus d’installation de LiveType vous permet d’installer les fichiers média LiveType à l’emplacement de votre choix. Pour en savoir plus sur l’installation de LiveType et sur les fichiers média LiveType, consultez le document Installation de votre logiciel, fourni avec les disques d’installation. Types de fichiers média Noms des fichiers média Contenu des fichiers média Effects LTFX Fichiers d’effets et extraits pour chaque effet LiveFonts LTLF Caractères de polices animés Objects .LTOB Animations pré-rendues avec un canal alpha Templates LTTM Projets LiveType Textures LTTX Fonds animés plein écran. Ces animations peuvent aussi être incorporées à n’importe quel caractère de police ou élément du Canevas LiveType.30 Chapitre 1 L’interface LiveType Gestion des fichiers média LiveType Chaque élément des onglets LiveFonts, Textures, Objets et Effets du Navigateur média possède un fichier média correspondant qui contient les composants permettant de travailler avec LiveType. Lorsque ces fichiers média sont installés dans le dossier /Bibliothèque/Application Support/LiveType, vous pouvez les déplacer vers un disque différent. Pour utiliser les fichiers média LiveType qui sont situés en dehors du dossier support de l’application : m Affectez l’emplacement des fichiers média depuis LiveType à l’aide de la zone de dialogue des Préférences. Choisissez LiveType > Préférences. Remarque : pour utiliser les fichiers média LiveType situés en dehors du dossier support de l’application, affectez leur emplacement depuis LiveType à l’aide de la zone de dialogue des Préférences. Si vous aviez déjà installé des médias pour une version précédente de LiveType, le Navigateur média indique « Oui » ou « Non » dans la colonne Installé pour ce média, indiquant ainsi si les fichiers média sont installés ou non. Cette convention s’applique uniquement aux formats précédents « file pair ». De nouveaux contenus sont repérés par des fichiers média qui apparaissent dans le Navigateur média avec un double tiret dans la colonne Installé, indiquant ainsi qu’ils sont installés. Les boutons Installer et Désinstaller dans l’angle inférieur gauche du Navigateur média ne s’appliquent pas aux contenus les plus récents, mais seulement aux fichiers média LiveType des versions précédentes de l’application. Création de catégories personnalisées pour les fichiers média LiveType Vous pouvez créer des catégories personnalisées pour les fichiers média LiveType en créant simplement un nouveau dossier à l’intérieur du dossier Média, comme par exemple LiveFont/Mon dossier/Ma police. LiveType reconnaît uniquement un niveau de dossier après la catégorie média d’origine. Vous pouvez déplacer des fichiers média « file pair » de versions précédentes de LiveType vers un autre disque, mais ceux-ci doivent conserver une arborescence identique à celle de leur emplacement précédent. Utilisation des fichiers importés Lorsque vous utilisez des graphismes ou des films provenant d’autres sources dans votre projet, LiveType doit se référer aux fichiers sources de ces éléments externes. Par conséquent, après avoir placé une image ou un film, il est préférable de ne pas déplacer ou renommer son fichier source. Le dossier Images dans l’arborescence de LiveType est l’emplacement idéal pour stocker des images associées à vos projets.2 31 2 Configuration d’un projet L’étape la plus importante au début d’un projet LiveType consiste à configurer les propriétés de ce dernier. Même s’il est tentant de commencer sans attendre à concevoir vos titres, vous devez d’abord choisir vos paramètres et enregistrer le projet sur le disque afin que vos titres soient générés à la taille et à la résolution de votre choix. Si vous créez directement un titre sans d’abord configurer le projet, vous vous exposez à des difficultés. Même si ces réglages sont à tout moment modifiables, une composition de titrage créée pour une diffusion standard par exemple ne remplira qu’une partie de l’écran si sa définition est augmentée. Vous devez d’abord ouvrir un nouveau projet. Pour ce faire, deux options sont possibles :  Commencer avec un modèle LiveType.  Commencer avec un projet LiveType existant. Modèles LiveType inclut des dizaines de modèles correspondant à des fichiers de projets LiveType organisés par catégorie. Vous pouvez utiliser ces modèles de diverses manières :  comme point de départ pour vos propres créations ;  comme référentiels d’éléments préconfigurés que vous pouvez coller dans vos projets ;  comme ressource pour stimuler l’imagination et découvrir les possibilités offertes par LiveType. Les modèles comportent divers types de projets préétablis, tous étant adaptables à vos besoins.32 Chapitre 2 Configuration d’un projet Pour ouvrir un modèle : 1 Choisissez Fichier > Ouvrir le modèle. 2 Explorez les catégories de modèles dans le navigateur modèles. 3 Dans le Navigateur média, choisissez NTSC, PAL, ou HD à partir du menu local Format. 4 Choisissez un modèle puis cliquez sur OK. Chaque fois que vous ouvrez un modèle, assurez-vous de définir immédiatement les attributs du projet. Reportez-vous à la section « Réglage des attributs du projet » à la page 34. Vous pouvez enregistrer vos projets sous forme de modèles afin de pouvoir y accéder via le navigateur de modèles. Pour enregistrer votre projet comme modèle : 1 Placez le fichier de projet (.ipr) dans un dossier à cet emplacement : /Bibliothèque/ Application Support/LiveType/Templates. 2 Générez un petit film QuickTime du projet (avec le même nom mais avec l’extension de film appropriée, comme .mov ou .mp4). Le modèle apparaît alors dans la fenêtre d’aperçu du navigateur modèles. Le navigateur modèlesChapitre 2 Configuration d’un projet 33 Démarrage d’un projet et définition des réglages par défaut À l’ouverture de LiveType, un projet par défaut sans titre s’affiche dans l’interface. Si vous voulez démarrer un nouveau projet lorsque LiveType est déjà ouvert, vous devez ouvrir un autre projet par défaut. Pour ouvrir un nouveau projet : m Choisissez Fichier > Nouveau. Un nouveau projet au Canevas vide apparaît et un onglet de projet « Sans nom » est ajouté à la Timeline. Remarque : au moins un projet LiveType doit être à tout moment ouvert ; ainsi, à la fermeture de l’unique projet ouvert, un autre par défaut s’ouvre automatiquement. Vous pouvez configurer l’interface LiveType et enregistrer vos réglages comme valeurs par défaut. Les réglages par défaut concernent, entre autres, les Propriétés du projet, les choix de polices et des données, les options du Canevas, les onglets visibles à l’écran. Ils permettent notamment d’enregistrer votre format préféré, ce qui vous évite de devoir reconfigurer les propriétés chaque fois que vous ouvrez un projet. Pour enregistrer vos réglages par défaut : 1 Configurez un projet LiveType avec les réglages et la configuration de votre choix. 2 Choisissez LiveType > Réglages > Mémoriser les réglages. Désormais, à chaque ouverture d’un nouveau projet ou de LiveType, ces réglages par défaut s’appliqueront. Les éléments du projet d’origine ne sont en revanche pas enregistrés comme contenu du projet par défaut. La configuration par défaut de votre choix peut très bien ne pas vous plaire ou compliquer vos tâches. Il est très facile d’effacer vos réglages et de revenir aux réglages LiveType d’origine. Pour supprimer vos réglages de projet : m Choisissez LiveType > Réglages > Effacer les réglages.34 Chapitre 2 Configuration d’un projet Réglage des attributs du projet Après l’ouverture d’un nouveau projet et son enregistrement sur le disque, vous devez déterminer le résultat escompté. Tous les réglages importants s’effectuent dans la zone de dialogue Propriétés du projet. Pour ouvrir la zone de dialogue Propriétés du projet : 1 Choisissez Édition > Propriétés du projet. 2 Effectuez les modifications souhaitées, puis cliquez sur OK. Pour des informations plus détaillées, consultez la section suivante, « Réglages dans la zone de dialogue Propriétés du projet ». La zone de dialogue Propriétés du projetChapitre 2 Configuration d’un projet 35 Réglages dans la zone de dialogue Propriétés du projet Différents menus locaux, réglages et couleurs peuvent être sélectionnés lorsque vous spécifiez les attributs de votre projet. Préréglages Ceux-ci déterminent la largeur, la hauteur, la vitesse et l’aspect des pixels selon le format sélectionné.  Préréglages : ce menu local répertorie les formats de sortie les plus fréquents. Après avoir sélectionné un préréglage différent, vous remarquerez comment sont modifiés les réglages. Vous pouvez également en vérifier l’impact sur la forme et la taille du Canevas. Si aucun préréglage ne correspond à votre projet, vous pouvez configurer manuellement les dimensions et la vitesse. « Personnalisé » apparaîtra alors automatiquement dans le champ Préréglages. Remarque : les options multimédia et de bannière Web figurent parmi les préré- glages, sachant que LiveType permet de créer des animations pour le Web et pour Keynote, qui importe directement les séquences QuickTime. Pour rappel, les bannières Web sont généralement créées au format GIF. Pour créer un GIF, vous devez utiliser un autre programme afin de convertir votre sortie LiveType.  Largeur : il s’agit de la largeur, en pixels et en centimètres.  Hauteur : il s’agit de la hauteur, en pixels et en centimètres.  Vitesse : il s’agit de la fréquences, en images par seconde. Les propriétés de préréglages définissent automatiquement la résolution du projet, la vitesse, etc., et ce pour les formats de sortie les plus fréquents.36 Chapitre 2 Configuration d’un projet  Priorité de trame : lorsque votre projet est prévu pour une sortie vidéo entrelacée, choisissez soit Supérieure (impaire) ou Inférieure (paire) pour l’animation la plus lisse. Une fois la bonne option choisie, LiveType effectue un rendu des trames, avec la trame du bas ou la trame du haut en premier. Choisissez Aucun pour des images non entrelacées. Les images numériques sont généralement trame en bas en premier, tandis que certaines cartes de capture vidéo peuvent avoir besoin d’un rendu avec l’option Supérieure (impaire). Dans tous les cas, utilisez l’option correspondant à vos réglages système vidéo. Pour en savoir plus à ce sujet, consultez « Sélection de l’ordre de rendu des trames » à la page 38.  Aspect des pixels : le rapport entre la largeur et la hauteur d’un pixel, c’est-à-dire sa proportion, varie d’un format à l’autre. La proportion des pixels dépend des propriétés prédéfinies, même si vous pouvez indiquer une valeur de votre choix.  Début : vous pouvez faire correspondre l’heure de début de votre projet avec un point précis de votre vidéo montée, ce qui facilite les superpositions au moment de la composition. Les unités de l’heure de début illustrent le format temporel saisi dans le champ de droite.  Format temporel : ce réglage détermine comment la position des données audio et vidéo est indiquée dans le temps. Plusieurs choix sont possibles : Images, SMPTE, et SMPTE Drop. Champ de description Le champ de description est pratique pour garder des notes sur le projet ainsi que la description de tout paramètre de sortie non standard que vous avez configuré et que vous réutiliserez. Réglages de qualité Les réglages de qualité peuvent faire énormément varier le temps consacré à un projet. Au fil de la conception de votre animation et de l’application d’effets, vous devez consulter à plusieurs reprises un aperçu de votre film. Chaque fois, votre système doit effectuer un rendu image par image. Options de format temporel Options de qualité pour le Canevas, rendus et aperçus de filmsChapitre 2 Configuration d’un projet 37 Ces réglages dans cette zone vous permettent de configurer la qualité de trois éléments distincts :  Canevas : un aperçu RAM dans le Canevas  Rendu : un rendu séquence complet  Aperçu : un aperçu standard accessible à partir du menu Fichier Le mode d’aperçu de votre film dépend de votre avancement dans la conception. Vous devrez parfois changer plusieurs fois ces réglages lors de la création de titres, notamment dans le cas de compositions complexes demandant un temps de rendu important. L’aperçu filaire, qui affiche les cadres de délimitation de chaque caractère, permet un temps de rendu très court. Lorsque vous vous attachez à l’animation des éléments du Canevas plutôt qu’à leurs attributs visuels, l’aperçu filaire s’avère fort efficace. Les réglages Fil de fer, Brouillon, Normale rendent votre projet avec des niveaux croissants de résolution. Réglages du fond Ces réglages vous permettent de sélectionner une couleur du Canevas et son niveau d’opacité.  Couleur : vous permet de choisir une couleur de fond dans le Canevas.  Opacité : ce réglage reflète l’opacité de la couleur sélectionnée ci-dessus. Un niveau d’opacité de 0 équivaut à l’absence de couleur et le Canevas affiche alors le modèle damier indiquant un fond transparent.  Rendre le fond : quand cette case est sélectionnée, toute couleur de fond, ainsi que les autres éléments du fond sont rendus dans les aperçus ou dans les films achevés. Important : la case Rendre le fond s’applique à tous les éléments se trouvant en dessous de la barre de fond dans la Timeline, ainsi qu’à la couleur du fond, absente de la Timeline. Si cette case n’est pas cochée, la couleur du fond et les autres éléments de fond ne sont pas rendus dans les aperçus et le projet final. Pour plus d’informations, consultez le chapitre 3, « Ajout d’un fond », à la page 41 qui présente une explication complète sur la façon de travailler avec les fonds dans LiveType. Réglages des règles et de la grille Vous pouvez afficher ou masquer les règles et la grille du Canevas, ainsi que choisir l’espace séparant les lignes de la grille au bas de la zone de dialogue Propriétés du projet. Reportez-vous à la section « Personnalisation du Canevas » à la page 17 pour en savoir plus sur les règles et la grille. La fréquence des lignes, à savoir la largeur de la grille, est définie dans la zone de dialogue Propriétés du projet.38 Chapitre 2 Configuration d’un projet Sélection de l’ordre de rendu des trames Vous pouvez effectuer un test pour savoir quel est l’ordre le plus approprié à votre système. Lorsque vous créez un film, l’ordre de rendu (commençant par la trame la plus haute ou la plus basse) doit correspondre à la méthode employée par votre équipement pour éviter que les images soient déformées. Remarque : l’ordre des trames dans lesquelles vous enregistrez avec votre équipement vidéo est modifiable en changeant le matériel ou les logiciels de votre configuration de production. Par exemple, le changement de votre carte vidéo, du logiciel de contrô- le de périphérique ou du magnétoscope une fois l’ordre établi peut inverser ce dernier. Ainsi, chaque fois que vous modifiez votre configuration, vous devez effectuer ce test pour l’ordre de rendu des trames. Pour tester votre système, réalisez le rendu de deux projets LiveType, l’un avec la trame du dessus en premier, l’autre avec celle du bas. Important : il est conseillé de vous familiariser avec les fonctions de base de LiveType avant de suivre cette procédure. Pour tester l’ordre de rendu des trames : 1 Démarrez un nouveau projet LiveType. 2 Choisissez Édition > Propriétés du projet. 3 Dans la zone de dialogue des Propriétés du projet, effectuez les actions suivantes : a Choisissez un réglage NTSC ou PAL dans le menu local Préréglages. b Choisissez Inférieure (paire) dans le menu local Priorité de trame. Ne choisissez pas Supérieure (impaire). Dans ce cas, vous effectuez le rendu à partir de la trame du bas. 4 Dans l’Inspecteur, effectuez les actions suivantes : a Saisissez la lettre capitale « O » dans une police système sur la Piste 1. b Augmentez sa taille pour remplir l’ensemble du Canevas. c Choisissez la couleur rouge pour la lettre, puis le noir pour le fond. 5 Appliquez un effet de déplacement rapide à la piste (tel que Jumpy) dans la catégorie d’effet Caricature dans le Navigateur média. 6 Dans l’onglet Chronométrage, optez pour une vitesse de 100 %. 7 Choisissez Fichier > Rendre le film. 8 Nommez le fichier lower.mov dans le champ Enregistrer sous, puis cliquez sur Enregistrer. Le film est rendu à l’emplacement que vous avez choisi. 9 Prenez à présent le bleu comme couleur de la lettre O. Cochez alors Supérieure (impaire) dans la zone de dialogue Propriétés du projet.Chapitre 2 Configuration d’un projet 39 10 Enregistrez le fichier, en le nommant upper.mov. 11 Rendez le deuxième film. 12 Importez les fichiers rendus dans Final Cut Pro, puis effectuez la lecture des deux films sur un moniteur NTSC. L’un d’eux apparaît déformé, l’autre se lit correctement et ses bords sont nettement marqués. Chaque fois que vous rendez un film LiveType pour ce système, employez les réglages de celui non déformé à l’écran.3 41 3 Ajout d’un fond Dans LiveType, les fonds jouent généralement l’un de ces deux rôles : soit ils forment partie intégrante de la composition du titre, soit ils sont utilisés pour aider à positionner des éléments et à adapter le chronométrage du film de titrage. Même si tout peut servir de fond, il s’agit en général d’une couleur uniforme, d’une texture animée, d’une image fixe ou d’un film remplissant le Canevas. Même si les images de fond, les films et les textures ont tendance à remplir le Canevas et ne sont pas particulièrement modifiés, ils peuvent être dimensionnés, positionnés et transformés de différentes manières. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 6, « Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés », à la page 81. Sélection d’une couleur de fond Le fond le plus simple est une couleur couvrant toute la surface du Canevas et qu’il est impossible de modifier, à part son niveau d’opacité. Mieux vaut envisager la couleur de fond comme une propriété de projet, et non un élément déplaçable ou modifiable. Par défaut, l’opacité du fond est de 0 % et le Canevas affiche alors un fond transparent symbolisé par le modèle damier gris et blanc. Réglages de fond dans la zone de dialogue Propriétés du projet42 Chapitre 3 Ajout d’un fond Pour choisir une couleur de fond : 1 Choisissez Édition > Propriétés du projet. 2 Cliquez sur le bouton Couleur dans la zone de dialogue Propriétés du projet. 3 Dans la fenêtre Couleurs, choisissez une couleur, puis fermez la fenêtre. Remarque : assurez-vous de toujours fermer cette fenêtre après avoir sélectionné une couleur. 4 Glissez le curseur d’opacité ou entrez dans le champ une valeur supérieure à 0 %. Cliquez sur OK. La couleur de fond apparaît dans le Canevas. Ajout d’une texture de fond Les textures LiveType créent des fonds animés et dynamiques. Elles sont aussi souvent employées avec la fonction de remplissage, ce qui permet d’appliquer un remplissage avec texture à du texte ou un objet. Reportez-vous au chapitre 5, « Manipulation de texte », à la page 59 pour en savoir plus sur la création d’un remplissage. Pour créer un fond texturé : 1 Cliquez sur l’onglet Textures dans le Navigateur média. 2 Explorez les catégories de textures et sélectionnez une texture. 3 Cliquez sur le bouton Appliquer à la nouvelle piste. La texture remplit le Canevas et apparaît sous forme de piste de fond dans la Timeline. Texture sélectionnée Menu local Catégorie Texture de fond (colorée ou éclairée)Chapitre 3 Ajout d’un fond 43 Importation d’un film ou d’une image fixe comme fond Vous pouvez importer des images ou des films d’autres sources et les utiliser comme fonds pour votre projet de titre. Pour tous vos projets, utilisez l’un des éléments ci-après :  une image ou un plan vidéo comme fond temporaire afin de définir avec exactitude la position et la durée de l’action de vos titres ;  un film à incorporer dans vos titres ;  une image ou un graphisme statique. LiveType peut importer des éléments de fond dans divers formats :  AVI  BMP  DV  GIF  JPEG  MPEG-2 et MPEG-4  Photoshop  PICS  PICT  PLS À propos de la barre de fond La couleur de fond se distingue des éléments de fond. Ces derniers sont présents dans la Timeline et manipulables de diverses manières. Un projet peut comprendre plusieurs éléments (ou aucun). L’unique façon de distinguer un élément de fond, qu’il s’agisse d’un objet ou d’une texture LiveType, d’un film ou d’une image, consiste à vérifier s’il se trouve en dessous de la barre de fond dans le Canevas. Vous pouvez déplacer verticalement la barre de fond entre les pistes de la Timeline. Le comportement de tous les éléments se trouvant en dessous de la barre de fond dépend de l’option Rendre le fond de la zone de dialogue Propriétés du projet. Barre de fond Texture de fond44 Chapitre 3 Ajout d’un fond  PNG  fichier d’images QuickTime  film QuickTime  SGI  Targa  TIFF Pour importer un film de fond : 1 Choisissez Fichier > Placer un film en fond. 2 Recherchez et sélectionnez le fichier de séquence à placer et cliquez sur Ouvrir. Remarque : lorsque vous importez un film de fond, les dimensions et la vitesse s’adaptent automatiquement. Il est conseillé de vérifier les Propriétés du projet lorsque vous importez un nouveau film de fond. Pour importer une image de fond : 1 Choisissez Fichier > Placer. 2 Recherchez et sélectionnez le fichier à placer dans le Canevas, puis cliquez sur Ouvrir. 3 Dans la Timeline, procédez de l’une des façons suivantes :  Glissez la piste d’image en dessous de la barre de fond.  Glissez la barre de fond au-dessus de la piste d’image. Remarque : le placement d’une image ou d’un film à l’aide de l’option Fichier > Placer est sans incidence sur la résolution et la vitesse du projet. En effet, l’image ou le film respecte les attributs du projet. Film de fond placéChapitre 3 Ajout d’un fond 45 Importation d’un film de fond avec des marqueurs de chronométrage Final Cut Pro vous permet d’enregistrer des films comportant des marqueurs de chronométrage, ce qui s’avère utile pour déterminer avec exactitude le chronométrage de vos titres. Lorsque vous placez un film Final Cut Pro dans LiveType, les marqueurs apparaissent dans la règle de l’image de la Timeline. Les marqueurs ne sont pas déplaçables dans la Timeline. Cliquez toutefois dessus pour déplacer la tête de lecture à l’image marquée. Instructions de rendu du fond Vous êtes libre de rendre ou non le fond de votre projet. Les réglages du fond de la zone de dialogue Propriétés du projet (Couleur, Opacité et Rendre le fond) offrent plusieurs options modifiant l’environnement de travail et le résultat final. Si vous créez une animation indépendante, une bannière Web ou un composant multimédia, par exemple, il est préférable d’incorporer un fond complet comme élément de votre film. Si vous créez une superposition de titres, il est le plus souvent inutile de rendre le fond. Prenez ce qui suit en compte :  Pour inclure une image, un film ou une texture animée comme fond dans le film final, conservez une opacité de couleur de 0 % et cochez la case Rendre le fond.  Pour obtenir un fond d’une couleur unie opaque ou à moitié transparente, choisissez une couleur et un niveau d’opacité et cochez la case Rendre le fond.  Si vous ne voulez aucun élément de fond dans votre film final, désactivez la case Rendre le fond. Vous pouvez alors effectuer ce qui suit :  Importer un film ou une image comme fond pour référence de placement et de chronométrage seulement, sans devoir l’incorporer au titre créé.  Déterminer une couleur de Canevas autre que le modèle damier par défaut, selon vos préférences de travail. Marqueur importé en tant que partie d’un film Final Cut Pro4 47 4 Manipulation de pistes Pour toute création dans LiveType, vous devez maîtriser le concept de pistes. Tout élément d’une composition de titrage appartient à une piste, chacune d’elles pouvant contenir une ou plusieurs lignes de texte, une image, un film, un objet ou une texture animés. Les pistes sont des « conteneurs » illustrés par des lignes bleu foncé dans le Canevas et des barres correspondantes dans la Timeline. Une piste comporte toutes les informations sur son contenu :  position, forme et ligne standard  attributs tels que couleur, ombre, police et espacement  effets et chronométrage48 Chapitre 4 Manipulation de pistes Le présent chapitre explique comment les pistes sont déplacées et formées dans le Canevas, ainsi que leur mode de manipulation dans la Timeline. Les trois chapitres suivants exposent en détail l’application de texte, d’objets et d’effets à des pistes afin d’assembler votre composition. Piste videChapitre 4 Manipulation de pistes 49 Positionnement de pistes dans le Canevas À la première ouverture de LiveType, le Canevas par défaut contient une piste vide avec deux extrémités. La forme d’une piste détermine l’interligne par défaut sur lequel se trouve son contenu. Les pistes sont manipulables à tout moment, qu’elles contiennent ou non des éléments. Si vous créez une piste sur laquelle placer du texte ou si vous voulez que le texte s’adapte à une forme précise, il est préférable de modeler et de positionner la piste avant d’ajouter ce dernier. Pour positionner une piste : m Pour déplacer une piste dans le Canevas ou l’en sortir partiellement, glissez-la. Les pistes peuvent déborder des limites du Canevas, ce qui permet aux éléments d’entrer et de sortir de la zone de visualisation. Pour incliner ou redimensionner une piste : m Glissez l’une des extrémités de la piste. Remarque : maintenez la touche Maj enfoncée lorsque vous positionnez un élément dans le Canevas afin d’en forcer la position horizontale, diagonale ou verticale. Cette opération est valable pour les pistes, les extrémités, les objets et les caractères. Piste active débordant du Canevas Extrémité Limite du titre sécurisé Limite de l’action sécurisée Fond blanc du Canevas Menu local Zoom Canevas réglé sur 50 % Pistes50 Chapitre 4 Manipulation de pistes Création d’angles et de courbes Les pistes peuvent suivre n’importe quel chemin linéaire. Vous pouvez également relier les extrémités d’une piste afin que l’élément se déplace selon une boucle continue. Pour créer un angle sur une piste, vous devez la doter d’un point de contrôle. Le nombre de points de contrôle possibles sur une piste est illimité. Pour créer un angle sur une piste : 1 En maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez sur la piste à l’endroit où vous souhaitez créer l’angle, puis choisissez Ajouter un point de contrôle dans le menu contextuel. 2 Glissez le nouveau point et les extrémités pour créer l’angle souhaité. Les points de contrôle servent également à créer des courbes. Si vous connaissez les courbes de Bézier, l’opération sera un jeu d’enfant. Dans le cas contraire, il est probable que vous deviez recommencer plusieurs fois.Chapitre 4 Manipulation de pistes 51 Pour créer une piste courbe : 1 Répétez les étapes 1 et 2 précédentes. 2 En maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez sur le point de contrôle, puis choisissez Courbe intérieure dans le menu contextuel. 3 Glissez la poignée de Bézier de manière à obtenir la courbe souhaitée. 4 En maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez sur le même point de contrôle, puis choisissez Courbe extérieure dans le menu contextuel. Une autre poignée apparaît et la courbe s’adoucit au point de contrôle. Une poignée de Bézier apparaît sous forme de point sur la piste, près du point de contrôle.52 Chapitre 4 Manipulation de pistes Remarque : vous pouvez également appliquer une courbe à une extrémité. Dans ce cas, seule l’une des deux options (Courbe intérieure ou Courbe extérieure) sera disponible car la piste part dans une seule direction à partir de ce point. Liaison d’extrémités Le paramètre Glisser, utile dans divers effets prédéfinis, permet au texte de se déplacer le long d’une piste. Si les extrémités sont liées, le texte se déplace alors selon une boucle continue. Reportez-vous au chapitre 7, « Manipulation d’effets et animation d’images clés », à la page 89 pour en savoir plus sur les effets et les chemins d’animation. Pour créer un chemin d’animation en forme de boucle continue, vous devez relier les extrémités de la piste. Il est inutile que les extrémités se chevauchent. En fait, elles peuvent être liées même si elles se trouvent de chaque côté du Canevas. La liaison d’extrémités permet au texte ou aux objets de passer immédiatement de la fin au début d’une piste (lecture en boucle) lorsqu’un effet utilisant le paramètre Glisser leur est appliqué. Pour relier les extrémités d’une piste : m En maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez sur l’une des extrémités d’une piste, puis choisissez Relier les extrémités dans le menu contextuel. De la même façon, vous pouvez délier des extrémités.Chapitre 4 Manipulation de pistes 53 Ajout, copie et suppression de pistes L’ajout de pistes au Canevas peut s’effectuer de plusieurs façons. Pour ajouter une piste vide, procédez de l’une des façons suivantes : m Choisissez Piste > Nouvelle Piste de texte (ou appuyez sur les touches Commande + T). m Choisissez une police dans le Navigateur média puis sélectionnez Appliquer à la nouvelle piste. Il est parfois utile de créer une piste en double, identique à une piste déjà créée du point de vue de la position, de la forme, du contenu, du chronométrage et des effets. Pour créer un double de piste : 1 Sélectionnez la piste en question. 2 Choisissez Piste > Dupliquer la piste (ou appuyez sur les touches Commande + D). Le double se superposant exactement à la piste d’origine, sa création ne peut se vérifier que par l’ajout d’une nouvelle piste dans la Timeline. La superposition de pistes com-portant des éléments identiques mais des effets et paramètres différents permet de produire des animations très sophistiquées. Séparez le double de la piste d’origine pour que les deux soient visibles. Pour supprimer une piste : 1 Sélectionnez la piste en question. 2 Procédez de l’une des façons suivantes :  Choisissez Piste > Supprimer la piste.  Appuyez sur la touche Suppr. Vous pouvez également copier dans votre projet en cours une piste d’un autre projet, tel qu’un modèle LiveType ou un projet créé auparavant. Pour copier une piste d’un projet dans un autre : 1 Ouvrez les projets source et cible. Un onglet apparaît pour chacun d’eux dans la Timeline. 2 Dans le projet source, sélectionnez la piste à copier puis choisissez Édition > Copier. 3 Cliquez sur l’onglet du projet cible dans la Timeline puis choisissez Édition > Coller.54 Chapitre 4 Manipulation de pistes Manipulation de pistes dans la Timeline Lorsque vous ajoutez des pistes dans le Canevas, elles apparaissent sous forme de barres numérotées dans la Timeline. Si des effets sont appliqués aux pistes, ils apparaissent alors sous forme de barres non numérotées en dessous des pistes. Réglage du chronométrage d’une piste Lorsque vous ajoutez une piste au Canevas, elle commence par défaut à l’image désignée par la tête de lecture. La durée d’une piste varie en fonction de son contenu. Une piste comportant du texte dans une police système ou une image statique dure par défaut deux secondes. La durée d’une piste contenant quant à elle des données LiveType ou tout film importé est fonction de la durée de ce dernier. Pour modifier ces paramètres de base de chronométrage dans la fenêtre Timeline, il suffit d’allonger ou de déplacer les barres de pistes. Vous pouvez également choisir un retard et la durée dans l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur, à l’instar de nombreux autres paramètres. Piste 2 Piste 1 Piste 1 Piste 2Chapitre 4 Manipulation de pistes 55 Pour régler la durée d’une piste, procédez de l’une des façons suivantes : m Glissez l’un des bords de la barre vers la droite ou vers la gauche. Remarque : la modification de la durée des pistes contenant des films ou des données LiveType entraîne celle de la vitesse à laquelle le film est lu. Si vous réduisez la durée d’une piste LiveFont par exemple, celle-ci est lue plus rapidement. m Sélectionnez la piste et procédez de l’une des façons suivantes :  Pour un contenu statique, modifiez le paramètre Durée dans l’onglet Chronomé- trage de l’Inspecteur.  Dans le cas de films et de contenu animé, modifiez le paramètre Vitesse dans l’onglet Chronométrage. Si vous le souhaitez, vous pouvez faire apparaître le contenu de la piste après la première image. Pour retarder l’apparition d’une piste, procédez de l’une des façons suivantes : m Cliquez à l’intérieur de la barre et glissez-la vers la droite. m Sélectionnez la piste et déplacez le curseur Retard dans l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur. Vous pouvez également repositionner plusieurs pistes à la fois, ce qui permet d’en conserver la place relative au moment de changer leur temps de retard. Cette opération correspond à un glissement ripple. Pour déplacer deux pistes ou plus à la fois dans la Timeline : m Appuyez sur la touche Option et glissez la piste la plus à gauche (celle commençant en premier) du groupe à déplacer. Toutes les pistes à droite de celle sélectionnée (avec des heures de début ultérieures) et les effets qui leur sont associés se déplacent en bloc. Tête de lecture Glissez l’une des extrémités d’une piste pour en changer la durée ou la vitesse. Glissez une piste pour changer son heure de début.56 Chapitre 4 Manipulation de pistes Couches et ordre des pistes Sachant que des éléments du Canevas se chevauchent en permanence, il est important de gérer les couches de pistes. Lorsque vous créez une piste, elle devient toujours la couche supérieure. Le contenu ajouté à cette piste se trouvera devant tous les autres éléments du Canevas. Remarque : dans la Timeline, les pistes sont affichées de l’avant vers l’arrière, la piste 1 étant en première position. Pour changer la position avant/arrière de la piste, procédez de l’une des façons suivantes : m Cliquez à l’intérieur de la barre d’une piste dans la Timeline et déplacez-la verticalement vers une nouvelle position. m Sélectionnez la piste à déplacer, que ce soit dans le Canevas ou dans la Timeline, puis choisissez l’une des options du menu Disposition : Faire passer au premier plan, Faire passer à l’arrière-plan, Avancer d’un plan [une couche] et Reculer d’un plan. Les numéros de pistes changent pour refléter le nouvel ordre. Piste 1 (couche supérieure) Boutons Activer/ DésactiverChapitre 4 Manipulation de pistes 57 Désactivation des pistes Dans le fenêtre Timeline, vous pouvez désactiver des pistes et les effets qui leur sont appliqués. Cette opération est utile pour réduire l’encombrement du Canevas et le temps de rendu des aperçus si vous ne souhaitez visualiser que peu d’éléments. La désactivation d’éléments permet également de comparer diverses possibilités de conception. Pour désactiver une piste ou un effet : m Cliquez sur le bouton Activer/Désactiver juste à gauche d’une piste ou d’un effet dans la Timeline. La ligne bleue d’une piste désactivée demeure dans le Canevas mais son contenu n’y apparaît plus, n’est plus représenté dans l’aperçu filaire animé de l’Inspecteur et n’est pas rendu lors de la génération d’un aperçu ou du film final. Regroupement de pistes Il est souvent utile de regrouper deux pistes ou plus afin de conserver leurs positions les unes par rapport aux autres dans le Canevas. Les pistes regroupées peuvent être déplacées dans le Canevas mais restent solidaires. Dans le cas de piles de pistes, le regroupement est le seul moyen de déplacer l’ensemble en un bloc. Vous pouvez par exemple, vouloir créer un effet en deux couches, avec un mot disparaissant en fondu et révélant le même mot en dessous, doté d’une texture animée. Pour ce faire, vous devez créer une piste se superposant exactement à celle d’origine à l’aide de la commande Dupliquer la piste du menu Piste. Pour repositionner les pistes dans le Canevas, vous devez alors les regrouper. Pour regrouper deux pistes ou plus : 1 Assurez-vous que le Canevas comporte plusieurs pistes. 2 Sélectionnez-en une, dans le Canevas même ou dans la Timeline. Il s’agit désormais de la piste active, le bouton de regroupement à son extrémité gauche étant alors désactivé. 3 Cliquez sur le bouton de regroupement d’une autre piste. L’icône de liaison apparaît et indique que la piste est associée à celle active (sélectionnée à l’étape 2). Piste active Bouton de regroupement58 Chapitre 4 Manipulation de pistes 4 Dans le Canevas, déplacez l’une des pistes regroupées. Vous remarquez qu’elles se déplacent ensemble. 5 Dans la Timeline, cliquez sur le bouton de regroupement d’une troisième piste. Trois pistes sont à présent regroupées. Pour dissocier des pistes : m Sélectionnez l’une des pistes associées, puis cliquez sur son bouton de regroupement. L’icône de liaison disparaît et les pistes peuvent alors se déplacer individuellement. Remarque : même si les pistes regroupées conservent leur position relative, il est possible d’en modifier et d’en déplacer le contenu. Si vous glissez une piste faisant partie d’un groupe, les autres pistes du groupe la suivent. En revanche, si vous glissez un glyphe se trouvant sur l’une des pistes du groupe, son déplacement est autonome. Le paramètre Offset change, alors que la piste reste la même.5 59 5 Manipulation de texte Les titres peuvent intégrer une série d’effets visuels, leur fonction première restant toutefois l’affichage de texte. Le présent chapitre explique comment insérer et formater du texte, y compris comment manipuler individuellement les caractères d’une piste. L’ajout de mouvement au texte (au-delà de l’animation propre aux LiveFonts) est traité au chapitre 7, « Manipulation d’effets et animation d’images clés », à la page 89. Insertion de texte Comme tout élément du Canevas, le texte doit se trouver sur une piste. Trois méthodes d’ajout de texte dans une police donnée sont possibles :  Créez une piste, sélectionnez une police et ajoutez du texte à la piste.  Créez une piste, ajoutez-lui du texte et appliquez ensuite une police.  Commencez par choisir une police, cliquez sur le bouton Appliquer à la nouvelle piste dans le Navigateur média et saisissez du texte. Les étapes ci-après illustrent la première approche. Pour ajouter du texte au Canevas : 1 Créez une nouvelle piste en choisissant Piste > Nouvelle piste de texte (ou appuyez sur les touches Commande + T). Remarque : une piste correspondante dans la Timeline apparaît. 2 Choisissez une police : a Cliquez sur l’onglet LiveFonts ou Polices dans le Navigateur média. 60 Chapitre 5 Manipulation de texte LiveType est livré avec un grand choix de polices LiveFonts. Cliquez sur le menu local Catégorie pour accéder aux différents ensembles de polices LiveFonts, notamment les LiveFonts d’autres fabricants et les polices personnalisées que vous pouvez créer. b Sélectionnez une police système ou une LiveFont. c Cliquez sur le bouton Appliquer. 3 Saisissez du texte dans la piste active en procédant de l’une des façons suivantes :  Saisissez du texte dans l’une des zones de saisie de l’Inspecteur.  Coupez et collez du texte d’une autre application dans une zone de saisie (le formatage depuis d’autres applications n’est pas conservé dans LiveType). Remarque : si vous ajoutez du texte à une piste avant de choisir une police, il apparaît dans le Canevas avec une police, une taille, une couleur et un espacement par défaut. Pour changer la police d’une piste de texte : 1 Sélectionnez la piste de texte en question. 2 Choisissez une police dans l’onglet LiveFonts ou Polices du Navigateur média. 3 Procédez de l’une des façons suivantes :  Cliquez sur le bouton Appliquer.  Double-cliquez sur le nom de la police. Remarque : l’option Appliquer ne gère pas les différents types de contenu. Aussi ne pouvez-vous pas appliquer une texture ou un objet à une piste comportant déjà du texte. De la même façon, vous ne pouvez pas appliquer une police à une piste contenant une texture, un objet, une image ou un film. Onglet LiveFonts Onglet Polices Options d’application de policesChapitre 5 Manipulation de texte 61 Plusieurs lignes de texte peuvent cohabiter sur une même piste. Vous pouvez ainsi créer un élément textuel assez long et défini par un ensemble de paramètres. Dans le cas d’un générique par exemple, il est possible de copier le texte dans un autre programme, d’effectuer un copier/coller dans la zone de saisie, puis de lui appliquer la police et les attributs avec un effet de défilement. Pour appliquer une autre police système à une piste : 1 Créez une piste de texte comportant un ou deux mots dans une police système. 2 Sélectionnez un ou plusieurs caractères sur la piste en les mettant en évidence dans la zone de saisie ou en les sélectionnant dans le Canevas. 3 Choisissez une police système, autre que celle déjà employée, dans l’onglet Polices du Navigateur média. 4 Cliquez sur le bouton Appliquer au bas de l’onglet Polices. LiveFonts et polices système Les deux types de polices disponibles dans LiveType sont fort différents. Les LiveFonts sont plus dynamiques car elles sont dotées d’animations complètes. Les polices système en revanche ressemblent davantage à des ardoises blanches adaptables pour obtenir diverses apparences. Les deux types de polices peuvent être transformés grâce aux paramètres décrits dans ce chapitre, mais certains de ces paramètres n’ont pas un grand intérêt visuel s’ils sont appliqués à des LiveFonts. Remarque : le bouton Utiliser les réglages par défaut dans l’onglet Texte de l’Inspecteur restaure la plupart des attributs originaux des LiveFonts, des objets et des textures, dont le chronométrage, la couleur, etc. Cette option s’avère notamment utile pour revenir à l’état d’origine de ces éléments LiveType lorsque vous essayez diverses combinaisons de formatage. Les LiveFonts et les polices système présentent également d’autres divergences dans LiveType :  Vous pouvez appliquer deux polices système ou plus à la même piste, mais une seule LiveFont.  Les LiveFonts sont des films numériques et possèdent en cela des options de chronométrage que vous pouvez contrôler dans l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur. Reportez-vous à la section « Réglage du chronométrage des LiveFonts » à la page 62.  Les polices système sont toujours basées sur des vecteurs, alors que les LiveFonts peuvent être basées sur des trames ou sur des vecteurs. Il est donc possible d’employer des LiveFonts d’une taille telle (plus de 500 points) que les bords ne sont plus lisses.  L’impact des LiveFonts sur les temps d’aperçus et de rendus est plus important.62 Chapitre 5 Manipulation de texte Jeu de caractères LiveFont Les LiveFonts incluses dans LiveType se composent de LiveType127 caractères pour l’anglais, le français, l’allemand et l’espagnol : Pour accéder à des caractères qui ne sont pas représentés sur votre clavier, utilisez le Visualiseur de clavier, que vous pouvez sélectionner dans la fenêtre Menu saisie, après avoir accédé à la fenêtre International des préférences Système. Réglage du chronométrage des LiveFonts Lorsque vous créez une piste de police système, sa durée par défaut est toujours de deux secondes. Pour leur part, les LiveFonts sont de durées variables, comme le montre la colonne du milieu dans l’onglet LiveFonts du Navigateur média. Comme il s’agit de films, les LiveFonts sont fonction de plusieurs paramètres de chronométrage disponibles dans l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur. Aa Bb Cc Dd Ee Ff Gg Hh Ii Jj Kk Ll Mm Nn Oo Pp Qq Rr Ss Tt Uu Vv Ww Xx Yy Zz ! # $ % & ( ) , . < > @ + = : ; _ - ? “ ‘/ * 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 Áá Àà Ââ Ää Çç Èè Éé Êê Ëë Îî Íí Ïï Ññ Ôô Öö Óó ß Üü Úú Ùù Ûû € Réglages dans l’onglet ChronométrageChapitre 5 Manipulation de texte 63 Réglages pour les LiveFonts dans l’onglet Chronométrage  Aléatoire et Séquence : vous permet d’appliquer le film LiveFont à chaque caractère de la piste dans un ordre différent, avec un délai variable entre chaque lettre.  Vitesse : vous permet de lire le film LiveFont plus ou moins rapidement. Lorsque vous changez la vitesse, la durée de la piste augmente ou diminue dans la Timeline. De la même façon, si vous modifiez la durée de la piste dans la Timeline, le paramètre de vitesse change dans l’onglet Chronométrage.  Retard : vous permet de fixer l’heure de début de la piste.  Boucle : détermine le nombre de fois que le film LiveFont est lu. Le réglage par défaut est 1, c’est-à-dire qu’il n’y a qu’une seule lecture. La valeur 2 indique que le film est lu deux fois. La durée de la piste est multipliée par deux, avec dans la plupart des cas une valeur de boucle de 2. Remarque : plusieurs LiveFonts, dont Burn Barrel, Cool et Gutter, profitent d’une « animation segmentée » marquant les segments de début, de milieu et de fin du film. Lorsque vous modifiez le paramètre Boucle pour ces polices, seul le segment du milieu de l’animation passe en boucle.  Durée : ne s’applique pas aux pistes LiveFont.  Suspendre premier et Suspendre dernier : vous permet de faire apparaître la première image de la LiveFont pour une durée donnée avant que la lecture du film ne commence. L’option Suspendre dernier agit de la même façon, pour la dernière image cette fois. Formatage du texte Une fois la police sélectionnée, vous disposez de multiples options de formatage disponibles via l’Inspecteur pour modifier l’apparence du texte. Lorsque vous changez les paramètres de formatage, le contenu de la piste active change de façon dynamique dans le Canevas, ce qui facilite vos tâches. Ces options peuvent s’appliquer à toute la piste ou à un ou plusieurs caractères s’y trouvant. Pour formater un élément dans le Canevas, vous devez d’abord sélectionner la piste où il se trouve.64 Chapitre 5 Manipulation de texte Pour sélectionner une piste entière, procédez de l’une des façons suivantes : m Cliquez sur la ligne bleue dans le Canevas. m Cliquez sur la piste correspondante dans la Timeline. Remarque : si vous cliquez directement sur du texte, un cadre de délimitation se dessine autour du caractère sur lequel vous avez cliqué et vos modifications n’affectent que ce dernier. Reportez-vous à la section « Modification de caractères individuels » à la page 79. Une fois la piste à formater sélectionnée, cliquez sur les onglets Texte, Style et Attributs de l’Inspecteur pour indiquer les options d’alignement, de taille, de crénage, d’interligne et de couleur. Alignement, taille, crénage et interligne Dans l’onglet Texte de l’Inspecteur, vous pouvez changer la taille, le crénage et l’interligne de la piste de texte, ainsi que son alignement horizontal et vertical. Les valeurs de taille s’expriment en points, celles de crénage et d’interligne en pourcentage de l’espacement par défaut de la police. Options de formatage dans l’onglet Texte de l’InspecteurChapitre 5 Manipulation de texte 65  Alignement : les options d’alignement permettent la lecture horizontale ou verticale du texte sur la piste. Les boutons d’alignement à gauche, au centre et à droite s’appliquent aux deux orientations. La position de la piste n’est pas affectée par les réglages d’alignement. Les options d’alignement sont également importantes pour placer le texte correctement lorsque la piste est utilisée avec un effet sollicitant le paramètre Glisser. Par exemple, si vous souhaitez glisser du texte de gauche à droite, créez une piste commençant du côté gauche du Canevas. Le texte doit être aligné à gauche pour qu’il débute à l’extrémité gauche de la piste, en dehors du Canevas. Appliquez alors l’effet Glisser à droite de la catégorie chemin d’animation.  Dimensions : la taille du texte se change en glissant le curseur, en cliquant dans la piste du curseur ou en entrant une valeur dans la case à droite du curseur. Remarque : les LiveFonts étant des images à trame faites de pixels, leurs bords perdent en précision dans de très grandes tailles (en général au-delà de 500 points). Les polices système sont quant à elles vectorielles et conservent donc la même qualité dans n’importe quelle taille.  Crénage : le réglage de crénage permet de modifier l’espacement des caractères. La valeur d’espacement normal est de 100 %. Un réglage de 110 % ajoute un petit espace supplémentaire entre les lettres. Lorsque le crénage est de 0 %, tous les caractères sont superposés.  Interligne : il s’agit de l’espace entre la base d’une ligne de texte et la suivante. Ce réglage ne s’applique qu’aux pistes comportant plusieurs lignes de texte, et non à l’écart séparant des pistes. La valeur par défaut est de 100 %. Un interligne de 0 % superpose toutes les lignes de texte d’une piste.66 Chapitre 5 Manipulation de texte Couleur Les options de couleur se trouvent dans la fenêtre Glyphe de l’onglet Attributs de l’Inspecteur. La partie inférieure de l’onglet contient les contrôles de couleur.  Couleur : le paramètre Couleur remplace les pixels de l’élément sélectionné par la couleur indiquée dans la zone Couleur tout en conservant les mêmes valeurs de luminosité. Un réglage de 100 % remplace complètement les couleurs existantes, alors que celui de 20 % combine une partie de la nouvelle couleur avec celle d’origine. Cliquez sur la zone Couleur pour en choisir une autre. Remarque : une fois une couleur sélectionnée, fermez la fenêtre Couleurs. Vous devez la rouvrir pour faire d’autres choix.  Teinte, Saturation et Luminosité (HSL) : ces trois curseurs sont interdépendants pour déterminer la couleur de l’élément sélectionné. La teinte définit, en degrés, le changement de valeur de couleur sur un spectre de 360°. La saturation définit, en pourcentage, l’intensité de la couleur. La luminosité définit, en pourcentage également, l’intensité selon un axe noir et blanc. La couleur par défaut d’une police système est le noir, ce qui rend inutiles les curseurs Teinte, Saturation et Luminosité. Les paramètres HSL et Couleur servent à modifier des éléments basés sur des trames, tels que des LiveFonts, alors que des couleurs doivent généralement être attribuées aux polices système et autres éléments basés sur des vecteurs via la fonction Couleur.  menu local Alpha : si vous avez un plan ou un graphisme importé dans une composition LiveType, vous pouvez choisir un type de canal alpha à partir de ce menu. Choisissez entre Prémultiplier blanc, Prémultiplier noir ou Droit. Réglages de couleurs dans la fenêtre Glyphe de l’onglet AttributsChapitre 5 Manipulation de texte 67 Pour modifier la couleur d’une police système : 1 Sélectionnez une piste contenant une police système noire. 2 Dans la fenêtre Glyphe de l’onglet Attributs, cliquez à l’intérieur de la zone Couleur puis choisissez dans la fenêtre Couleurs une couleur (de préférence primaire et vive). 3 Optez pour un réglage de 100 %. Le contenu de la piste prend cette couleur. En général, les LiveFonts sont conçues avec des couleurs primaires, ce qui permet d’utiliser les curseurs Teinte, Saturation et Luminosité, en plus du paramètre Couleur. Transformation du texte Au-delà du formatage standard du texte, LiveType permet d’appliquer de nombreux autres traitements afin d’étirer, de rendre flou, de fondre, de repositionner et de faire pivoter du texte. Toutes ces fonctions se trouvent dans la fenêtre Glyphe de l’onglet Attributs. Paramètres Glyphe dans l’onglet Attributs de l’Inspecteur68 Chapitre 5 Manipulation de texte  Opacité : elle détermine dans quelle mesure le contenu sous-jacent est visible. Une opacité de 0 rend le texte totalement transparent et, le plus souvent, un réglage de 100 le rend opaque. Lorsque l’attribut de flou est désactivé (valeur 0), un caractère opaque à 50 % possède des bords nets et est légèrement transparent. Remarque : LiveType permet de choisir des valeurs d’opacité supérieures à 100 %. Elles peuvent s’avérer utiles avec des paramètres d’éclats (onglet Style) ou des LiveFonts et des éléments flous ou un peu transparents. Par exemple, la LiveFont Charge laisse voir en partie le fond malgré une opacité de 100 %. À 150 % (valeur à entrer dans le champ Opacité), la police laisse à peine entrevoir le fond.  Flou : l’attribut de flou ressemble à celui d’opacité, sauf qu’il fond et étend les bords externes comme si le texte était flou. Le flou peut s’appliquer, dans la même mesure ou non, aux axes X et Y. Un réglage de 0 signifie que le flou est désactivé. La valeur maximum est de 25.  Échelle : l’échelle étire ou compacte le texte sur les axes X et Y, la valeur 100 correspondant à la taille du texte d’origine. Les paramètres d’échelle s’appliquent de façon indépendante à chaque caractère autour de son point pivot, et non à la piste en tant que bloc. Remarque : contrairement au paramètre Échelle, le paramètre Taille de l’onglet Texte agit sur le texte à partir de l’interligne et prend en compte le crénage. Un glyphe dont la taille est déterminée avec le paramètre Dimensions conserve sa ligne d’origine et s’aligne aux caractères adjacents. Un glyphe dont la taille est déterminée avec le paramètre Échelle s’étend autour de son point pivot sans modifier la position des autres glyphes de la piste.Chapitre 5 Manipulation de texte 69  Offset : ce réglage replace le texte à sa position d’origine sur la piste. Un décalage de 0 ne suppose aucun changement de position sur cet axe.  Rotation : grâce au disque de rotation, vous pouvez placer un élément dans la gamme de 360° et configurer le nombre de tours dans le contexte d’un effet. Par exemple, vous pouvez créer une première image clé à 45°, puis une autre à quatre tours, plus 180°. Lorsque vous lisez le film, l’élément tourne quatre fois dans le sens des aiguilles d’une montre, plus 135° entre ces deux images clés. Les valeurs positives illustrent un mouvement dans le sens des aiguilles d’une montre, les valeurs négatives un déplacement en sens inverse. La manipulation d’images clés est présentée en détail au chapitre 7, « Manipulation d’effets et animation d’images clés ». Exemple de texte avec une opacité de 35 % dans l’onglet Attributs Exemple de texte illustrant les options de flou et d’échelle dans l’onglet Attributs Exemple de texte avec l’ombre par défaut Couleur de fond unie70 Chapitre 5 Manipulation de texte Amélioration du texte avec des styles L’onglet Style de l’Inspecteur fournit quatre options permettant d’enjoliver votre texte. Les styles vous permettent d’ajouter de la profondeur à un texte (ou un objet) et de le mettre en évidence. Pour ce faire, il est le plus souvent question de changer l’espace autour de chaque caractère. Les boutons Ombre, Éclat, Contour et Volume de l’onglet Style indiquent les réglages disponibles pour ce traitement. Ombre et éclat Les styles Ombre et Éclat sont en fait deux variantes d’un même style et utilisent des paramètres similaires pour des résultats assez différents.  Caractère : ce réglage vous permet de rendre l’élément d’origine invisible en isolant le traitement de style dans le Canevas. Cette opération peut s’avérer utile pour réduire l’encombrement lors de la composition de votre traitement. Vous pouvez également conserver l’élément d’origine invisible dans le produit fini.  Activer : cette case à cocher permet d’activer ou de désactiver un style sans incidence sur les réglages choisis. Là encore, cette option est utile pour éliminer l’encombrement ou pour comparer des styles et combinaisons de styles divers.  Couche : ce menu local vous permet de placer l’ombre ou l’éclat devant ou derrière l’élément d’origine. Le réglage Seulement au premier plan cantonne l’effet d’ombre ou d’éclat aux contours de l’élément d’origine, sans extension au-delà des bords des lettres ou de l’objet. Paramètres d’ombre dans l’onglet Style de l’Inspecteur Tout réinitialiser Réinitialise les réglages de déformationChapitre 5 Manipulation de texte 71  Opacité : ce réglage définit l’intensité de l’ombre ou de l’éclat. Un réglage de 0 rend l’ombre ou l’éclat totalement transparent (invisible), celui de 100 complètement opaque (le fond ne se distingue pas). Si le flou est désactivé (valeur 0), une ombre opaque à 50 % possède des bords nets correspondant à l’élément d’origine et tout ce qui se trouve derrière elle se distingue à travers.  Flou : ce paramètre s’apparente à celui d’opacité, sauf qu’il fond et étend les bords externes comme si l’éclat ou l’ombre étaient flous. Un réglage de 0 signifie que le flou est désactivé. La valeur maximum est de 25. Le flou s’applique aux axes X et Y de façon indépendante. Un flou dans la direction Y donne une impression de déplacement vertical même si l’image est statique.  Échelle : l’échelle étire ou compacte l’éclat ou l’ombre sur les axes X et Y, la valeur 100 correspondant à la taille de l’élément d’origine. Les paramètres d’échelle sont appliqués de façon indépendante à chaque caractère d’une piste, et non à l’ombre ou à l’éclat en tant que bloc.  Décalage : ce réglage repositionne l’ombre ou l’éclat par rapport à l’élément d’origine. Un décalage de 0 ne suppose aucun changement de position sur cet axe.  Couleur : cette zone permet de sélectionner la couleur de l’ombre ou de l’éclat.  Déformation : cette zone permet d’étirer ou de reformer l’ombre ou l’éclat en glissant les quatre angles, ou en insérant les coordonnées X et Y pour chacun d’eux. L’une des possibilités de cette fonction consiste à étirer les ombres pour simuler différentes situations d’éclairage. Exemple de texte avec des options d’éclat dans l’onglet Style Exemple de texte avec un contour et une ombre décalée agrandie Exemple de texte avec le style Volume Couleur de fond unie72 Chapitre 5 Manipulation de texte Contour Ce style ajoute un contour au contenu d’une piste. Reportez-vous à la section antérieure pour connaître la définition des paramètres Opacité, Flou, Couleur et Déformation. Cliquez sur le bouton Contour en haut de l’onglet pour modifier les réglages de contour.  Épaisseur : cette valeur, qui détermine l’épaisseur du contour, est exprimée en pixels.  Afficher contour seulement : cette option élimine l’élément d’origine et crée un effet de contour qui rend le fond visible. Remarque : cette option est employée avec le paramètre de caractère Visible. Sinon, le contour et le caractère sont invisibles. Paramètres de contour dans l’onglet Style de l’InspecteurChapitre 5 Manipulation de texte 73  Extrusion du contour : lorsque le texte a été vidé (voir ci-dessous), cochez cette case pour étendre le contour autour de l’extrusion. Volume Les réglages de volume concernent la direction, la longueur et la couleur. Le réglage de direction indique dans quel sens orienter le volume et celui de longueur, jusqu’à quel point. Exemple de texte avec les options Afficher contour seulement et Extrusion du contour dans l’onglet Style Exemple de texte avec les options d’échelle X et Y dans l’onglet Attributs et doté d’un contour Exemple de texte avec l’option de caractère invisible et les styles Ombre et Éclat dans l’onglet Style Couleur de fond unie74 Chapitre 5 Manipulation de texte  Durée totale: cette valeur est exprimée en pixels.  Direction : cette valeur est exprimée en degrés, de 0 à 360.  Couleur : cette case permet de sélectionner la couleur du volume. Création d’un remplissage Cette fonction de LiveType vous permet de révéler un élément du fond à travers un élément du premier plan en « découpant » les couches intermédiaires. Lorsque vous créez un remplissage, chaque pixel de l’élément au premier plan est remplacé par un pixel correspondant de celui du fond. En d’autres termes, un remplissage s’apparente à une fenêtre dans une autre couche. LiveType vous offre trois options de création de remplissage se trouvant dans la fenêtre Remplissage de l’onglet Attributs de l’Inspecteur. La première, intitulée Prélever dans Fond, permet soit de remplir l’élément au premier plan avec un élément du fond, soit de créer une fenêtre vide pouvant rester transparente lorsque vous rendez le film de titrage. Pour créer un remplissage avec deux éléments : 1 Créez l’élément de fond en plaçant une texture, une image, un film ou un objet comme couche inférieure dans la Timeline. Reportez-vous au chapitre 3, « Ajout d’un fond », à la page 41 et au chapitre 6, « Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés », à la page 81 pour en savoir plus sur l’insertion de ce type d’éléments dans le Canevas. 2 Assurez-vous que le fond se trouve en dessous de la barre de fond dans la Timeline et qu’aucun élément ne figure sous cette barre. Barre de fond Texture de fondChapitre 5 Manipulation de texte 75 3 Créez une texture ou tout autre élément rendant le fond plus sombre. 4 Créez un élément au premier plan, à savoir du texte ou un objet que le fond doit « remplir ». 5 Sélectionnez la piste au premier plan et cliquez sur le bouton Remplissage dans l’onglet Attributs de l’Inspecteur. 6 Choisissez Fond dans le sous menu Prélever dans. L’image de fond semble remplir l’élément au premier plan. Pour créer une fenêtre dans un fond transparent : 1 Créez une texture ou toute combinaison d’éléments remplissant le Canevas. Reportez-vous au chapitre 3, « Ajout d’un fond », à la page 41 et au chapitre 6, « Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés », à la page 81 pour en savoir plus sur l’insertion de textures et d’autres éléments dans le Canevas. 2 Créez un élément au premier plan, à savoir du texte ou un objet ayant la forme de la fenêtre. 3 Si des éléments se trouvent en dessous de la barre de fond dans la Timeline, glissez cette barre tout en bas (en dessous des éléments). 4 Sélectionnez la piste au premier plan et cliquez sur l’onglet Attributs de l’Inspecteur, puis sur le bouton Remplissage. 5 Choisissez Fond dans le sous menu Prélever dans. 76 Chapitre 5 Manipulation de texte Le Canevas transparent (ou couleur de fond si le choix est effectué dans la zone de dialogue Propriétés du projet) semble remplir l’élément au premier plan. Les deux autres options de remplissage, Prélever dans Film ou image et Prélever dans Texture, sont différentes car le fond n’apparaît pas comme élément visible dans la Timeline. Par ailleurs, il est inutile que le remplissage « transperce » la couche. À la place, le contenu de la piste est simplement rempli avec l’image spécifiée. Ces deux possibilités de remplissage font appel à des options d’échelle, de vitesse et de séquence disponibles dans la fenêtre Remplissage. L’échelle modifie la taille de l’image de fond, la vitesse définit la vitesse du film ou de la texture de fond et la séquence permet de décaler le chronométrage du fond pour chaque lettre se trouvant sur la piste au premier plan. Remarque : lorsque vous remplissez un mot avec un film ou une image, LiveType calcule la portion de l’image sous-jacente à chaque lettre pour donner l’effet d’une véritable fenêtre dans une couche plus petite. Lorsque vous déplacez les lettres sur la piste, leur contenu reste le même. Cette caractéristique peut donner un résultat intéressant si vous appliquez un mouvement au texte, notamment si le remplissage se fait avec un film. Texture à l’échelle réduite sur l’axe Y Fond du Canevas transparent Piste de texte remplie avec le fond transparentChapitre 5 Manipulation de texte 77 Pour remplir le contenu d’une piste avec une image ou un film : 1 Sélectionnez la piste contenant le texte ou l’objet à remplir avec une image ou un film. 2 Cliquez sur l’onglet Attributs de l’Inspecteur. 3 Sélectionnez Film ou Image dans le menu local Prélever dans de la fenêtre Remplissage. 4 Recherchez le fichier dans la zone de dialogue Choisir séquence ou image, puis cliquez sur Ouvrir. Le contenu de la piste est rempli par le film ou l’image de fond. Remarque : pour dévoiler une partie donnée de l’image ou du film dans votre élément au premier plan, cette option n’est pas forcément appropriée car il est impossible de modifier la position de l’image et de l’élément en question. Dans ce cas, vous devez utiliser l’option Prélever dans Fond présentée auparavant, ce qui vous permet de positionner les deux composants indépendamment. Piste de texte remplie par un film78 Chapitre 5 Manipulation de texte Pour remplir le contenu d’une piste avec une texture : 1 Sélectionnez une piste contenant le texte ou l’objet à remplir avec une texture. 2 Choisissez une texture dans le Navigateur média, puis cliquez sur Appliquer au remplissage. La texture par défaut remplit le contenu de la piste active. Remarque : un grand choix de remplissages est disponible dans l’onglet Objets du Navigateur média dans le menu local Catégorie. Les zones bleues d’un remplissage LiveType définissent la zone où s’effectuera la lecture de la texture. Le texte ou les glyphe de la palette de caractères peuvent aussi être utilisés en tant que remplissages. Remarque : les caractères individuels d’une même piste peuvent être remplis avec différentes textures, séquences ou images. Reportez-vous à « Modification de caractères individuels », à la section suivante. Vous pouvez obtenir un résultat intéressant en associant la fonction de remplissage et le style Contour.Chapitre 5 Manipulation de texte 79 Pour remplir le contour d’un élément invisible : 1 Créez ou sélectionnez une piste de texte. 2 Dans l’onglet Style de l’Inspecteur, cliquez sur le bouton Visible. 3 Dans ce cas, vérifiez que la case Activer n’est pas cochée pour les styles Ombre, Éclat et Volume. 4 Cliquez sur le bouton Contour dans l’onglet Style et cochez la case Activer. 5 Cochez la case Afficher contour seulement et augmentez l’épaisseur du contour pour qu’il soit assez épais. 6 Choisissez une texture pour remplir le contour, puis cliquez sur Appliquer au remplissage. Le contour est alors rempli avec la texture. Modification de caractères individuels Vous pouvez également affecter des attributs à des caractères d’une piste. Tous les attributs abordés dans ce chapitre s’appliquent à un ou plusieurs caractères d’une même piste. Il s’agit d’une option importante de LiveType, car elle permet de repositionner des caractères isolés (ou glyphes) sans modifier leur relation avec la piste. Par exemple, ce type de modification permet de faire flotter un mot d’une phrase au-dessus de la piste, de l’étendre et de lui attribuer un éclat, avant de le faire revenir à la piste. Cette animation ne demande que très peu temps. De la même façon, plusieurs caractères peuvent présenter des transformations similaires, l’un après l’autre. Poignée de rotation Poignée de redimensionnement Tous les caractères appartiennent à une même piste. Cadre de délimitation du glyphe80 Chapitre 5 Manipulation de texte Pour modifier un ou plusieurs caractères d’une piste, procédez comme suit : 1 Sélectionnez ou créez une piste contenant du texte. 2 Sélectionnez une ou plusieurs lettres en procédant de l’une des façons suivantes :  Sélectionnez l’une des lettres dans le Canevas et, pour modifier plusieurs caractères à la fois, maintenez la touche Maj enfoncée lorsque vous cliquez sur d’autres lettres adjacentes. Un cadre de délimitation se dessine autour de la ou des lettres sélectionnées, avec une poignée à chaque coin supérieur.  Mettez en évidence une ou plusieurs lettres dans l’une des zones de saisie de l’Inspecteur. Des cadres de délimitation apparaissent autour des lettres sélectionnées dans le Canevas.  Maintenez le bouton gauche de la souris enfoncée et glissez celle-ci pour faire apparaître un cadre de sélection autour d’une ou plusieurs lettres dans le Canevas. Toute lettre en contact avec ce cadre est sélectionnée et possède un cadre de délimitation. 3 Cliquez à l’intérieur du cadre de délimitation et glissez la lettre n’importe où dans le Canevas. 4 Glissez la poignée du coin supérieur gauche pour faire pivoter la lettre. 5 Glissez la poignée du coin supérieur droit pour changer la taille de la lettre. Remarque : vous pouvez restaurer la taille et la position d’origine en choisissant Disposition > Réinitialiser la position. 6 Changez les attributs de la lettre dans l’onglet Attributs ou Style de l’Inspecteur. 7 Cliquez dans le Canevas, en dehors de la piste. Le cadre de délimitation autour du caractère disparaît, mais la piste demeure sélectionnée. 8 Replacez la piste dans le Canevas et modifiez-en les attributs. Remarque : ces modifications portent sur toute la piste, y compris la lettre que vous venez de changer. Désactivation de polices dans Mac OS X Dans la version 10.3 de Mac OS X, vous pouvez utiliser l’application Font Book pour désactiver les polices. Toutefois, LiveType nécessitant certaines polices (Geneva et Helvetica), celles-ci ne devraient pas être désactivées. Si vous les désactivez, il se peut que LiveType ait un comportement imprévisible. 6 81 6 Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés Les mots sont souvent les éléments clé des compositions de titrage, mais toutes sortes de composants supplémentaires viennent les encadrer, les améliorer et les compléter. Dans le présent guide, trois catégories d’éléments sont relevées :  Objets inclus dans LiveType  Textures incluses dans LiveType  Les images statiques et les films provenant d’autres sources Tous ces éléments se modifient et se déplacent de la même façon dans le Canevas. Contrairement au texte, ils ne se trouvent pas sur une piste linéaire, sauf si vous ajoutez plusieurs objets identiques à une piste (voir la section « Création de chaînes ou de piles d’éléments » à la page 86). Si vous les sélectionnez, un cadre de délimitation apparaît comme lorsque vous sélectionnez un caractère sur une piste de texte. Les deux angles supérieurs des cadres de délimitation sont dotés de poignées de rotation et de dimensionnement. 82 Chapitre 6 Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés Manipulation d’objets LiveType Dans LiveType, les objets sont des éléments graphiques possédant un canal alpha et conçus pour encadrer du texte ou le mettre en valeur. La plupart sont animés et, comme les LiveFonts, il est possible de les redimensionner, de les faire pivoter, de leur appliquer de la couleur et de les étirer. Par ailleurs, vous pouvez leur ajouter une ombre, un éclat ou un volume. Vous pouvez également appliquer des effets aux objets. Les objets placés dans le Canevas sont symbolisés par des pistes dans la Timeline, comme tous les autres éléments de titrage. Pour ajouter un objet LiveType au Canevas : 1 Cliquez sur l’onglet Objets dans le Navigateur média. 2 Explorez les catégories d’objets visibles dans le menu local Catégorie, puis sélectionnez un objet dans la colonne Nom de l’onglet Objets. 3 Cliquez sur le bouton Appliquer à la nouvelle piste. L’objet apparaît dans le Canevas ; une piste correspondante apparaît dans la Timeline. Objets LiveType disponibles dans le Navigateur médiaChapitre 6 Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés 83 Manipulation de textures LiveType Les textures de LiveType sont des motifs colorés animés pouvant être utilisés en tant que fond partiel ou plein écran, ou en tant que remplissage animé lorsqu’ils sont couplés à la fonction remplissage, décrite dans le chapitre 5, « Manipulation de texte », à la page 59. Les textures sont facilement adaptables et peuvent être transformées de la même manière que peuvent l’être les objets, particulièrement si la taille de la texture est réduite pour couvrir uniquement une partie du Canevas. Pour ajouter une texture au Canevas : 1 Cliquez sur l’onglet Textures du Navigateur média. 2 Explorez les catégories de textures affichées dans le menu local Catégorie et sélectionnez une texture dans la colonne Nom de l’onglet Textures. 3 Cliquez sur le bouton Appliquer à la nouvelle piste au bas de l’onglet Textures. La texture remplit le Canevas et une piste apparaît dans la Timeline, juste au-dessus de la barre de fond. Textures disponibles dans le Navigateur média84 Chapitre 6 Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés Importation de graphismes, d’images et de films Des éléments graphiques de formats variés peuvent être intégrés à un projet LiveType. Par ailleurs, des images, photos et illustrations scannées ainsi que des séquences et des animations peuvent être employées dans votre composition de titrage. À l’instar des objets et des textures, ces éléments graphiques peuvent être modifiés et placés à votre guise. LiveType peut importer des éléments dans des formats très variés. Pour importer un graphisme, une image ou un film : 1 Choisissez Fichier > Placer. 2 Recherchez le fichier, sélectionnez-le et cliquez sur Ouvrir. L’élément apparaît dans le Canevas et une piste correspondante apparaît dans la Timeline. Formats d’importation LiveType AVI JPEG PICT séquence QuickTime BMP MPEG-2 et MPEG-4 PLS SGI DV Photoshop PNG Targa GIF PICS fichier d’image QuickTime TIFF Film importé, redimensionné, avec rotation Texture LiveType redimensionnée, avec rotationChapitre 6 Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés 85 Transformation d’objets, de textures et d’éléments importés Les éléments importés peuvent être placés, modifiés et animés aussi facilement que du texte. Vous pouvez par exemple faire rebondir une photo dans le Canevas, lui appliquer un fondu entrant ou sortant, la faire grossir ou rapetisser, ou encore la doter d’une teinte pourpre. Redimensionnement et positionnement d’objets, de textures et d’éléments importés Lorsque vous placez un film ou une texture dans le Canevas, sa position est par défaut verrouillée. Ces types d’éléments sont souvent utilisés comme fonds remplissant l’écran et ne requérant pas de changement de taille ni de position. Si vous souhaitez les modifier, il est facile de les déverrouiller. Pour déverrouiller la position d’une texture ou d’un film importé : 1 Sélectionnez la piste à déverrouiller (il est parfois plus facile de réaliser l’opération dans la Timeline). 2 Choisissez Disposition > Verrouiller la position. La marque en regard de Verrouiller la position disparaît et les poignées du cadre de délimitation autour de l’élément sont désormais actives. Lorsque vous sélectionnez un élément non textuel dans le Canevas, un cadre de délimitation apparaît autour, identique à celui d’un caractère individuel sur une piste de texte. Si vous sélectionnez un élément plein écran, il est plus facile d’en voir le cadre de délimitation en effectuant un zoom arrière dans le Canevas. Pour redimensionner, faire pivoter et repositionner un élément non textuel dans le Canevas : m Glissez le cadre de délimitation ou ses poignées (dans les coins supérieurs gauche et droit). Les éléments non textuels peuvent également être transformés avec les attributs disponibles pour les caractères : ombre, couleur, flou, etc.86 Chapitre 6 Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés Création de chaînes ou de piles d’éléments D’une certaine façon, LiveType aborde les textures, les objets et les éléments importés comme des types de glyphes ou des caractères. Plus précisément, les éléments individuels sont traités comme des polices dont le jeu de caractères se compose d’un glyphe unique. Vous pouvez ainsi effectuer une opération inhabituelle dans LiveType :créer des chaînes, ou plusieurs copies, de ces éléments, ce qui équivaut en fait à une piste de texte. Tout ce que vous pouvez faire avec une lettre est également valable avec des objets, des textures et des éléments importés. Remarque : les objets ne peuvent toutefois pas être formatés sous forme de lignes multiples sur une piste. Pour créer une chaîne d’éléments sur une piste : 1 Ajoutez un objet, une texture ou un élément importé au Canevas. 2 Donnez à l’objet une taille suffisamment petite pour le copier en plusieurs exemplaires dans le Canevas : a Cliquez sur l’onglet Attributs de l’Inspecteur puis sur le bouton Glyphe. b Assurez-vous que l’icône de verrou en regard des curseurs Échelle est fermé pour que la mise à l’échelle soit proportionnelle. S’il n’est pas fermé, cliquez sur l’icône pour le verrouiller. c Déplacez les curseurs Échelle ou entrez une valeur dans l’un des champs Échelle. Un graphisme importé et copié sur une pisteChapitre 6 Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés 87 3 Cliquez dans la zone de saisie située dans le coin supérieur gauche de l’Inspecteur. Vous remarquez que la fenêtre comporte une seule puce symbolisant l’objet sous forme de glyphe. 4 Lorsque le curseur clignote dans la zone de saisie, appuyez sur la barre d’espace ou sur toute autre touche. Une autre puce apparaît dans la zone de saisie et deux objets identiques se trouvent sur une piste linéaire dans le Canevas. Ajoutez autant d’objets que désiré. 5 Modifiez l’alignement dans l’onglet Texte de l’Inspecteur, ainsi que tous les autres attributs applicables à une chaîne de lettres, y compris le formatage d’éléments individuels sur la piste. Modification des attributs et des styles De la même façon que des éléments non textuels peuvent être traités comme des glyphes, il est possible de leur affecter les mêmes styles et attributs disponibles pour du texte. Le chapitre 5, « Manipulation de texte », à la page 59 décrit toutes les transformations disponibles dans l’Inspecteur. Vous pouvez procéder comme suit dans le cas d’une image numérique ou d’un film :  Réduisez la taille de l’image, placez-la dans le Canevas et faites-la pivoter de 20° à l’aide des commandes Échelle, Décalage et Rotation de la fenêtre Glyphe de l’onglet Attributs (dans l’Inspecteur).  Ajoutez une ombre, un contour ou un volume à l’image grâce aux fonctions Style.  Changez la couleur de l’image à l’aide des commandes Couleur de la fenêtre Glyphe de l’onglet Attributs (dans l’Inspecteur).  Appliquez un effet prédéfini à l’image ou animez-la en concevant un effet personnalisé. Le chapitre 7, « Manipulation d’effets et animation d’images clés », à la page 89 explique comment procéder. D’autres éléments importés (logos, dessins, graphismes) sont encore plus facilement adaptables. Ils peuvent se prêter à un remplissage, un éclat, un flou, voire un contour où l’élément d’origine est rendu invisible. Les possibilités sont illimitées. Remplacement de données dans une piste À tout moment, vous pouvez facilement remplacer un film ou une image sur une piste de la Timeline. Pour remplacer un film ou une image par un nouveau contenu : 1 Cliquez sur la piste, tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez > Relier les données dans le menu contextuel. 2 Allez vers le nouveau fichier dans la zone de dialogue Ouvrir, puis cliquez sur Ouvrir. Le média existant est remplacé par la nouvelle séquence ou la nouvelle image.7 89 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés Grâce aux effets, les éléments du Canevas se déplacent et se transforment. Ils s’apparentent à des « paquets » d’animation contenant les paramètres qui déterminent l’animation et le chronométrage, ainsi que les attributs des éléments de chaque image. Les idées fondamentales relatives aux effets sont les suivantes :  Toutes les animations et transformations intégrées au titrage sont contrôlées par des effets, qu’ils soient de votre propre création ou déjà préconfigurés dans LiveType.  Les effets sont appliqués à des pistes. Ils apparaissent dans la Timeline sous forme de barres sous la piste à laquelle ils correspondent.  Plusieurs effets sont applicables à une même piste, y compris de façon simultanée.  Vous pouvez modifier un effet après son application à une piste et enregistrer un effet modifié afin qu’il soit disponible pour d’autres pistes et projets.  Lorsque les paramètres d’une piste et d’un effet sont incompatibles, ceux de l’effet l’emportent. Par exemple, si un effet désactive le style Éclat, les réglages d’éclat de la piste sont sans incidence.  Lorsque les paramètres d’une piste et d’un effet sont complémentaires, ils se combinent. Par exemple, si vous appliquez à une piste d’une opacité de 50 % un effet possédant la même valeur, l’opacité dans le Canevas sera de 25 %, soit la moitié de celle de la piste.  Vous pouvez modifier ou créer un effet en dehors de l’interface LiveType. Les instructions d’écriture de code EffectScript se trouvent à l’annexe B, « Création et modification d’EffectScripts », à la page 139.  Les effets peuvent être appliqués à des caractères individuels sur une piste et gérés à partir de l’onglet Effets dans l’Inspecteur.90 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés Effets prédéfinis Le tableau ci-dessous donne la liste des 41 effets prédéfinis disponibles dans LiveType. Ces effets sont situés dans l’onglet Effets du Navigateur média. Application d’effets prédéfinis Les effets prédéfinis dans LiveType rendent vos titres plus percutants et peuvent servir à déterminer le ton de votre composition. Explorez les effets disponibles dans le Navigateur média pour vous faire une meilleure idée des résultats possibles. Pour appliquer un effet prédéfini à une piste : 1 Créez une piste contenant du texte ou tout autre type d’élément. Veillez à ce que la piste soit active. 2 Cliquez sur l’onglet Effets dans le Navigateur média. Le menu local Catégorie présente les catégories d’effets installés correspondant aux sous-dossiers situés dans /Bibliothèque/Application Support/LiveType/Effects. Effets LiveType Caricature  Renversant  Compression à rebonds  Rebond  Rebondissant  Élastique  Essorage rapide Fondus  Cluster  Premier plan  Amoncellement Fantaisie  Envolée  Dispersion  Dilatation  Idées  Invention  Au revoir  Axe vertical Éclats  Éclat bleu  Combustible  Exhalation  Dédoublé  Impression  Éclair entrant  Éclair sortant  Forme  Paix  Lever de soleil  Défilé  Spectral  Zappeur Grunge  Parasites Mécanique  Assemblage  Scie circulaire  Extinction de téléviseur Chemin d’animation  Départ  Fuite  Séparation  Chute aléatoire  Glissade en suspension  Canal d’air Ombré  Arrêt au stand Zooms  BelvédèreChapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 91 3 Choisissez un effet dans la colonne Nom de l’onglet Effets. L’aperçu du navigateur illustre l’effet, la colonne Durée affiche sa longueur par défaut et le champ Description répertorie des notes sur le meilleur moyen d’appliquer l’effet. 4 Procédez de l’une des façons suivantes :  Sélectionnez le nom de l’effet et cliquez sur Appliquer.  Double-cliquez sur l’effet.  Faites glisser l’effet dans l’onglet Effets de l’Inspecteur. Lorsque vous appliquez un effet, une barre portant le nom de l’effet apparaît sous la piste active de la Timeline. Si l’effet suppose une animation, vous voyez immédiatement le mouvement dans l’aperçu filaire animé de l’Inspecteur. Selon la position de la tête de lecture dans la Timeline, les changements observables dans le Canevas sont variables. Déplacez la tête de lecture pour voir l’évolution des éléments à différents points ou cliquez sur le bouton Lecture dans le Canevas pour observer un rendu RAM. L’effet apparaît également dans l’onglet Effets de l’Inspecteur. L’onglet Effets présente une liste des effets appliqués à une piste. L’ordre est sans incidence sur la séquence ou le chronométrage d’un effet. L’onglet Effets du Navigateur média92 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés Pour désactiver un effet : m Cliquez sur le bouton Activer/Désactiver dans la Timeline, en regard de l’effet. Pour désactiver un effet pour un ou plusieurs glyphes d’une même piste : 1 Sélectionnez la piste. 2 Sélectionnez le ou les caractères auxquels il ne faut pas appliquer l’effet en les mettant en évidence dans la zone de saisie ou en les sélectionnant dans le Canevas. Sachant qu’il est impossible de sélectionner en même temps des caractères non adjacents, vous devrez éventuellement répéter ces étapes. 3 Dans l’onglet Effets de l’Inspecteur, décochez la case en regard de l’effet à désactiver pour les caractères sélectionnés. Réglage du chronométrage d’un effet Tous les paramètres de chronométrage applicables aux pistes contenant des données LiveType sont également valables pour les effets. Les éléments du Canevas reflètent l’image en cours, indiquée par la position de la tête de lecture. L’onglet Effets de l’Inspecteur montre les effets appliqués à la piste active. Des effets prédéfinis sont appliqués à partir de l’onglet Effets du Navigateur média. Tête de lecture Effects PisteChapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 93 Tout comme les pistes, vous pouvez glisser un effet dans la Timeline pour changer son point de départ et sa durée. Les réglages de l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur conditionnent l’application d’un effet à chaque lettre d’une piste, sa vitesse d’exécution et le nombre de fois où il est répété. L’onglet Chronométrage présente une série d’options permettant de choisir le mouvement des éléments du Canevas. Les réglages de cet onglet concernent l’effet sélectionné dans la Timeline. Pour modifier les paramètres de chronométrage d’un effet : 1 Dans la Timeline, sélectionnez un effet appliqué à une piste. 2 Cliquez sur l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur. Les paramètres de chronométrage pour l’effet sélectionné sont présentés. L’onglet Chronométrage présente les options suivantes :  Aléatoire : avec cette option, un effet traite chaque caractère d’une piste de façon distincte, contrairement aux paramètres s’appliquant à une piste dans son intégralité. Ainsi, l’effet transforme chaque caractère dans un ordre aléatoire et les sépare par un nombre donné d’images ou de secondes. Le champ Graine permet de sélectionner jusqu’à 255 autres ordres aléatoires si celui choisi ne vous plaît pas. L’onglet Chronométrage de l’Inspecteur94 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés  Séquence : avec cette option, un effet commence par transformer un caractère, puis passe au suivant, et ainsi de suite. La valeur 0 indique que l’effet est lu simultané- ment pour tous les caractères. Avec une valeur de 25, la transformation du premier caractère commence, et lorsque l’effet est à 25 % de la transformation, il passe au caractère suivant, et ainsi de suite. Le menu local Début sous le curseur Séquence détermine le sens de lecture de la séquence.  Vitesse : vous pouvez modifier la vitesse d’un effet en saisissant un pourcentage de celle par défaut. Plus un effet est rapide, plus sa durée est courte. Le menu local Début sous le curseur Vitesse permet de lire l’effet à l’envers.  Retard : ce réglage définit l’heure de début et de fin de l’effet par rapport au début ou à l’extrémité de la piste. Il offre une alternative au placement d’un effet directement dans la Timeline.  Boucle : ce réglage détermine le nombre de fois que l’effet est répété. Une valeur de 2 double la durée de l’effet. La case Jusqu’à la fin lit l’effet en boucle continue sur la durée de la piste.  Durée : ce réglage gère la durée d’une piste contenant un texte dans une police système ou tout autre élément statique. La durée des effets et des pistes contenant des éléments dynamiques (plan vidéo, LiveFont) se change à l’aide du curseur Vitesse.  Suspendre premier : cette option permet aux paramètres de la première image d’un effet d’être conservés pour la période de temps précédant le début de l’effet. Par exemple, si vous voulez appliquer un fondu sortant à une piste après deux secondes, choisissez de suspendre pendant deux secondes (la piste est alors invisible, c’est-à-dire d’une opacité nulle) avant que l’effet Fade In ne commence.  Suspendre dernier : le fonctionnement est identique à l’option précédente, sauf qu’elle agit à la fin d’un effet afin d’étendre les paramètres de l’image finale pendant un temps donné. Pour modifier le chronométrage d’un effet dans la Timeline, procédez de l’une des façons suivantes :  Glissez l’effet au milieu de la barre (mais pas sur une image clé) afin de le positionner sans en changer la vitesse. La valeur Retard est alors modifiée, comme le montre l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur. Remarque : vous pouvez positionner un effet afin de l’étendre au-delà des limites d’une piste, auquel cas ses paramètres externes ne sont pas utilisés.  Glissez l’un des bords de l’effet pour en modifier la vitesse. Un effet plus court s’exécute plus rapidement. Le redimensionnement à partir du bord gauche d’un effet, dont la valeur Lecture temporisée est Depuis le début, modifie la vitesse et le délai de l’effet en question. Il en va de même à partir du bord droit d’un effet dont la valeur est Depuis la fin.Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 95 Repositionnement de groupes d’effets à l’intérieur d’une piste pour régler le chronométrage Si vous avez des effets multiples sur une seule piste, vous pouvez les déplacer à l’unisson pour régler leur chronométrage. Pour repositionner des groupes d’effets au sein d’une piste : m Dans une piste ayant des effets multiples, maintenez la touche Option enfoncée tout en faisant glisser un seul effet. Les effets se déplacent à l’unisson vers le haut ou vers le bas de la Timeline. Tous les effets sur la piste conservent leurs positions relatives mais apparaissent simplement plus tôt ou plus tard. Changer l’ordre des effets Dans une piste comprenant plusieurs effets, vous pouvez modifier l’ordre (la position) d’un effet en le faisant glisser verticalement. Si l’effet contient des informations de chronométrage, il est possible d’ajuster sa position dans la nouvelle piste. Pour modifier l’ordre d’un effet : m Faites glisser l’effet vers le haut ou vers le bas sur la piste. L’ordre des effets est désormais modifié. Duplication des effets et des pistes Vous pourrez facilement dupliquer les effets et les pistes, voire dupliquer un effet d’une piste à l’autre. Pour dupliquer un effet ou une piste : Dans la Timeline, faites glisser l’effet ou la piste à son nouvel emplacement ou nouvelle piste en maintenant la touche Option enfoncée. Le fait de maintenir la touche Option enfoncée pendant que vous glissez un effet permet d’en faire une copie sur une nouvelle piste d’effets. Modification d’un effet prédéfini Outre la modification des paramètres de chronométrage d’un effet, vous pouvez changer le principe de l’effet, à savoir comment il transforme la piste concernée. La modification d’un effet employé dans votre projet n’affecte pas l’effet prédéfini d’origine. Une fois l’effet appliqué, vous pouvez le modifier, ces changements étant enregistrés dans le projet.96 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés Images clés et marqueurs de séquence L’animation sur ordinateur se fonde sur le concept d’images clés. Les créateurs d’animations fixent les paramètres de l’élément graphique (position, couleur, taille, forme, etc.) à des intervalles réguliers, le logiciel interpolant ces paramètres pour chaque image intermédiaire. Dans la Timeline, les images clés sont symbolisées par des marqueurs en forme de losange dans les effets. Lorsque vous sélectionnez une image clé, la tête de lecture s’y déplace et le Canevas affiche l’état des éléments du projet à ce point précis. Pour afficher les paramètres définis par une image clé : 1 Sélectionnez l’image clé dans la Timeline. 2 Cliquez sur l’onglet Effets dans l’Inspecteur. Les paramètres définis par cette image clé apparaissent dans la fenêtre Paramètres actifs. L’effet Clockwise, par exemple, possède un seul paramètre actif pour ses images clés. Quels que soient les attributs d’une piste ou d’autres effets pouvant l’affecter, l’effet Clockwise ne s’attache qu’à faire pivoter les lettres sur une piste. Le paramètre de chronométrage de séquence applique la rotation à chaque caractère de la piste, l’un après l’autre et de gauche à droite. Les marqueurs de séquence, les lignes verticales se trouvant dans la zone de couleur violet clair d’une barre d’effet, signalent quand l’effet commence à agir sur chaque glyphe. Le nombre de marqueurs de séquence, qui inclue la première image de l’effet et l’image clé de début (demi-losanges), est toujours égal au nombre de glyphes sur la piste. Remarque : tous les effets ne suivant pas une lecture séquentielle ou aléatoire, certains ne possèdent pas de marqueurs de séquence. Marqueur de séquence Image cléChapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 97 Modification des paramètres d’image clé Pour changer l’action d’un effet, vous devez en modifier les images clés. L’onglet Effets vous permet de changer les paramètres d’un effet en saisissant des valeurs numériques. Il est toutefois plus facile d’apporter des modifications de façon visuelle, via l’interface LiveType. Pour modifier une image clé en changeant des paramètres dans l’Inspecteur : 1 Sélectionnez une image clé dans la Timeline. La tête de lecture passe sur l’image clé et le Canevas montre l’apparence de la composition à cette image. Remarque : si vous modifiez un paramètre d’effet lorsque la tête de lecture ne se trouve pas sur une image clé, une nouvelle image clé est ajoutée à la position de la tête de lecture. 2 Modifiez les attributs de la piste. Les indicateurs LED dans l’Inspecteur montrent les attributs modifiables dans le contexte d’un effet, tous se trouvant dans les onglets Texte, Style et Attributs de cette fenêtre. 3 Cliquez sur le bouton Lecture dans le Canevas pour observer les résultats de votre modification. Indicateurs LED apparaissant lorsqu’un effet est sélectionné.98 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés Pour modifier une image clé en changeant les paramètres dans le Canevas : 1 Sélectionnez une image clé dans la Timeline. 2 Cliquez sur une lettre ou un objet pour afficher son cadre de délimitation. 3 Manipulez le glyphe sélectionné pour en changer la position, la rotation ou l’échelle. Lorsque vous glissez le glyphe, le mot entier se déplace et un chemin d’animation se dessine en pointillés. Chaque point correspond au point pivot de la lettre sélectionnée pour chaque image du film. Si vous sélectionnez une autre lettre, un chemin d’animation légèrement différent apparaît, illustrant la position centrale de la lettre dans chaque image. 4 Cliquez sur le bouton Lecture dans le Canevas pour observer les résultats de votre modification. Indicateurs LED dans l’Inspecteur Lorsque vous sélectionnez un effet ou une image clé, les onglets Texte, Style et Attributs de l’Inspecteur présentent des petits voyants ronds (LED) à gauche de tous les attributs modifiables dans un effet. Les LED jouent trois rôles :  Ils indiquent les paramètres de l’onglet actifs dans l’effet sélectionné, ce qui vous permet de voir immédiatement les valeurs pertinentes.  Ils permettent d’activer un nouveau paramètre pour un effet.  Ils servent à appliquer un attribut de façon identique à toutes les images clés dans l’effet. Vous pouvez ainsi réaliser des changements globaux sans devoir sélectionner et modifier individuellement chaque image clé. Pour appliquer un attribut de façon identique à toutes les images clés d’un effet : 1 Sélectionnez l’effet. 2 Changez un attribut dans l’onglet Texte, Style ou Attributs. 3 Maintenez la touche Option enfoncée et cliquez sur l’indicateur LED en regard de l’attribut que vous venez de modifier.Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 99 Paramètres actifs La zone Paramètres actifs de l’onglet Effets de l’Inspecteur est fort utile pour identifier les paramètres actifs dans un effet et les valeurs à chaque point donné dans le temps (position de la tête de lecture). Les paramètres actifs s’affichent avec les valeurs associées à l’image en cours. Leurs variables sont exposées dans l’annexe B, « Création et modification d’EffectScripts », à la page 139. Pour changer la valeur d’un paramètre dans l’onglet Effets : 1 Sélectionnez une image clé. 2 Double-cliquez sur un paramètre dans la pile Paramètres actifs. 3 Entrez une valeur dans la zone de dialogue puis cliquez sur OK. Remarque : si vous changez un paramètre lorsque la tête de lecture ne se trouve pas sur une image clé, une nouvelle image clé est ajoutée à l’effet à la position de la tête de lecture. Le menu local Paramètre répertorie tous les paramètres d’image clé. Pour ajouter un paramètre à la pile Paramètres actifs d’un effet : 1 Sélectionnez l’effet. 2 Procédez de l’une des façons suivantes :  Cliquez sur l’indicateur LED en regard du paramètre dans l’onglet Texte, Style ou Attributs de l’Inspecteur. Le LED sélectionné s’allume.  Dans l’onglet Effets de l’Inspecteur, faites un choix parmi les options du menu local Paramètre et cliquez sur le bouton +. Le paramètre apparaît dans la pile Paramètres actifs.  Changez le paramètre d’une image clé dans l’onglet Texte, Style ou Attributs de l’Inspecteur.  Ajoutez Décalage, Rotation ou Échelle à la pile en modifiant un glyphe de la piste active grâce aux poignées du cadre de délimitation ou en déplaçant le glyphe par glissement.100 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés Exemple : modification d’un effet L’exemple ci-après démontre la facilité de changer un effet et d’obtenir un aspect totalement différent. L’idée ici est d’ajouter une animation à l’effet Fade In. 1 Configurez un nouveau projet comme suit : a Choisissez Fichier > Nouveau. b Entrez « Aventure » dans l’une des zones de saisie de l’Inspecteur pour ajouter le mot à la piste. c Pour faire simple, appliquez une police système à la piste. d Définissez le point de sortie de la sélection de rendu en plaçant la tête de lecture à une seconde, puis en appuyant sur la touche O. 2 Appliquez l’effet de fondu entrant Fade In à la piste, qui se trouve dans la catégorie Fades de l’onglet Effets du Navigateur média. Vous remarquez les changements suivants :  L’effet apparaît immédiatement dans l’aperçu filaire animé de l’Inspecteur.  Si la tête de lecture se trouve sur la première image, le texte disparaît dans le Canevas lorsque vous appliquez l’effet. Ceci est dû au fait que l’effet Fade In commence avec une opacité de 0. Pour cet exemple, commencez par une piste de texte dans une police système.Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 101 3 Si la tête de lecture ne se trouve pas sur la première image, placez-la à cet endroit. 4 Dans la zone de saisie de l’Inspecteur, mettez en évidence la lettre A du mot « Aventure ». Même si le texte est invisible dans le Canevas, un cadre de délimitation apparaît pour vous permettre d’ajuster le glyphe. Vous remarquez également que la première image clé de l’effet se trouve à présent à la première image, les marqueurs de séquence étant derrière elle pour représenter les autres lettres du mot. 5 Modifiez le glyphe dans le Canevas comme suit et observez les résultats au fur et à mesure dans l’aperçu filaire animé : a Glissez la poignée de dimensionnement du coin supérieur gauche du cadre de délimitation pour agrandir le glyphe jusqu’à un tiers environ du Canevas. b À l’aide de la poignée de rotation du coin supérieur droit du cadre de délimitation, inclinez le glyphe de 45° dans le sens des aiguilles d’une montre. Vérifiez que la tête de lecture se trouve sur la première image. Placez le point de sortie de la sélection de rendu à une seconde. Marqueurs de séquence représentant la fin de l’effet pour chaque autre lettre du mot. Durée de l’effet Fade In sur le glyphe « A »102 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés c Glissez le glyphe afin que son point pivot se trouve dans le coin inférieur gauche du Canevas, ce qui permet d’étendre une partie du glyphe en dehors du Canevas. La pile (dans l’onglet Effets de l’Inspecteur) est automatiquement modifiée. Les paramètres Échelle, Rotation et Décalage s’appliquent désormais à cet effet, en plus du paramètre Opacité d’origine. 6 Cliquez sur le bouton Lecture dans le Canevas ou appuyez sur la barre d’espace pour lire un aperçu RAM. Redimensionnez, faites pivoter et repositionnez le cadre de délimitation du glyphe « A ».Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 103 Déplacement, suppression, ajout et copie d’images clés Plus vous manipulez des effets, plus vous souhaitez en créer et en modifier afin de répondre à vos goûts. Par exemple, vous pouvez changer la place des images clés dans un effet afin que celui-ci soit lu autrement. Vous pouvez également ajouter ou supprimer une image clé entière. Pour déplacer une image clé dans la Timeline : m Glissez son marqueur à gauche ou à droite dans la barre d’effet. Pour supprimer une image clé : 1 Sélectionnez l’image clé à supprimer. 2 Choisissez Piste > Supprimer l’image clé. Remarque : si vous sélectionnez une image clé et appuyez sur la touche Suppr, l’effet est totalement supprimé. Pour ajouter une image clé à un effet : 1 Sélectionnez l’effet auquel vous voulez ajouter une image clé. 2 Glissez la tête de lecture sur l’image où vous voulez insérer une image clé ou cliquez à la position de cette image dans la règle. 3 Procédez de l’une des façons suivantes :  Une fois la tête de lecture positionnée et l’effet sélectionné, choisissez Piste > Ajouter une image clé (ou appuyez sur les touches Commande + K).  Changez les paramètres souhaités dans l’onglet Texte, Style ou Attributs de l’Inspecteur ou modifiez un glyphe de la piste active à l’aide des poignées du cadre de délimitation ou en le déplaçant par glissement. Un marqueur d’image clé apparaît dans la barre d’effet. Pour copier une image clé : 1 Sélectionnez l’image clé à copier et choisissez Édition > Copier. 2 Placez la tête de lecture sur l’image où vous voulez insérer l’image clé, puis choisissez Édition > Coller. Vous pouvez copier et coller des images clés à partir d’autres effets, voire d’autres projets.104 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés Copier-coller des images clés, effets et pistes d’un projet à l’autre Vous pourrez copier et coller aisément des images clés, effets et pistes d’un projet à l’autre. Pour copier-coller une image clé d’un projet à l’autre : 1 Ouvrez le projet dans lequel se trouve l’image clé que vous voulez copier. 2 Dans la Timeline, procédez de l’une des façons suivantes :  Sélectionnez une image clé, puis allez dans le menu Édition > Copier image clé (ou appuyez sur Commande + C).  Cliquez sur l’image clé tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Copier piste, Copier effet ou Copier l’image clé dans le menu de raccourcis. 3 Ouvrez le deuxième projet et positionnez la tête de lecture dans la Timeline, à l’endroit où vous voulez voir apparaître l’image clé. 4 Procédez de l’une des façons suivantes :  Sélectionnez le menu Édition > Coller (ou appuyez sur Commande + V).  Cliquez sur la piste tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Coller dans le menu de raccourcis. L’image clé est alors copiée dans le deuxième projet. Pour copier-coller des effets ou pistes d’un projet à l’autre : 1 Ouvrez le projet dans lequel se trouve l’effet ou la piste à copier. 2 Dans la Timeline, procédez de l’une des façons suivantes :  Sélectionnez un effet ou une piste, puis choisissez Édition > Copier (ou appuyez sur Commande + C).  Cliquez sur l’effet ou la piste tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Copier piste ou Copier effet dans le menu de raccourcis. 3 Ouvrez le deuxième projet, cliquez dans la Timeline et procédez comme suit :  Sélectionnez le menu Édition > Coller (ou appuyez sur Commande + V).  Cliquez sur la piste tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Coller dans le menu de raccourcis. L’effet ou la piste est alors copié(e) dans le deuxième projet.Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 105 Changement du nom et enregistrement des effets modifiés Lorsque vous changez un effet dans un projet LiveType, il ne possède plus les mêmes attributs que celui prédéfini dans le Navigateur média. Il se peut que vous ayez employé plusieurs versions du même effet prédéfini dans un projet. Le suivi de ces modifications peut être réalisé de deux façons : en renommant les effets dans votre projet afin de les distinguer de ceux prédéfinis d’origine ou en les enregistrant comme nouveaux effets disponibles à tout moment. Pour renommer un effet dans un projet : 1 Sélectionnez l’effet ou la piste à laquelle il est appliqué. 2 Cliquez sur l’onglet Effets de l’Inspecteur. 3 Sélectionnez l’effet dont vous souhaitez modifier le nom et attribuez-lui un nouveau nom. Le nouveau nom apparaît dans la Timeline. Pour enregistrer un effet modifié : 1 Sélectionnez l’effet. 2 Choisissez Piste > Enregistrer l’effet. 3 Dans la zone de dialogue Enregistrer l’effet, nommez l’effet et sélectionnez la catégorie dans laquelle l’enregistrer, ou créez une nouvelle catégorie. L’effet apparaît dans l’onglet Effets du Navigateur média. Remarque : pour que le Navigateur média affiche un aperçu de l’effet enregistré, vous devez créer un plan d’aperçu de 160 x 120 pixels et le nommer comme l’effet avec l’extension appropriée. Les plans d’aperçus peuvent se trouver dans n’importe quel format QuickTime. Si vous prévoyez toutefois d’en créer un grand nombre, le format MPEG-4 est conseillé car il occupe nettement moins d’espace disque. Enregistrez les plans d’aperçus dans le dossier Effets (/Bibliothèque/Application Support/LiveType), où les effets enregistrés sont stockés.106 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés Création d’un effet en partant de zéro Il est parfois plus facile de créer l’effet en partant de zéro au lieu de tenter d’en modifier un existant. La procédure est la suivante : 1 Décidez à quel élément appliquer l’animation et comment le déplacer et le transformer. 2 Créez une piste contenant l’élément à animer, placé de préférence à la première image. 3 Configurez le chronométrage de la piste, à savoir son image de début et sa durée. 4 Ajoutez un effet vierge à la piste. 5 Ajoutez des images clés à l’effet et modifiez les paramètres de chacune d’elles. 6 Enregistrez l’effet si besoin est, pour l’utiliser plus tard avec d’autres pistes ou dans d’autres projets. Pour ajouter un effet vierge à une piste : 1 Sélectionnez la piste à laquelle ajouter l’effet. 2 Choisissez Piste > Ajouter un nouvel effet (ou appuyez sur les touches Commande + E). Un nouvel effet apparaît dans la Timeline, sous la piste active. 3 Nommez-le, si vous le souhaitez, en double-cliquant sur le nom Nouvel effet dans l’onglet Effets de l’Inspecteur. Exemple : création d’un effet L’exemple ci-après illustre comment créer un effet. Dans ce cas, une partie du texte d’une piste rebondit dans le Canevas. Cet exemple met en évidence comment les chemins d’animation sont générés dans un effet. 1 Démarrez un nouveau projet par défaut et ajoutez quelques mots à une piste vide, dans la police de votre choix. L’idée est que l’un de ces mots se déplace dans l’écran, indépendamment des autres.Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 107 2 Placez la piste où vous voulez dans le Canevas. Cette opération est sans incidence sur le mouvement du mot animé. 3 Définissez la durée de la piste en glissant son extrémité droite dans la Timeline. Deux ou trois secondes suffisent amplement. 4 Créez un effet vierge vous permettant d’appliquer un mouvement au texte. Attribuez à l’effet la même durée que celle de la piste dans la Timeline. 5 Avant même de générer l’effet, appliquez-le à un seul mot de la piste. L’idée est de désactiver l’effet, comme décrit à la section « Effets prédéfinis » à la page 90 plus tôt dans ce chapitre, pour les mots devant rester statiques. 6 Ajoutez la première des trois ou quatre images clés réparties équitablement dans l’effet. a Cliquez dans la règle pour positionner la tête de lecture. b Une fois la tête de lecture positionnée et l’effet sélectionné, choisissez Piste > Ajouter une image clé (ou appuyez sur les touches Commande + K).108 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 7 L’étape suivante consiste à placer le mot au point de son premier « rebond ». Vous ajoutez alors des paramètres de décalage x et y à l’effet. a Une fois l’image clé sélectionnée, choisissez l’une des lettres à déplacer. Un cadre de délimitation apparaît autour. b Glissez la lettre à un autre endroit dans le Canevas. Le mot entier, ou toutes les lettres auxquelles l’effet s’applique dans ce cas de figure, se déplace avec la lettre sélection-née. Vous remarquez que le chemin d’animation se dessine. c Si vous le souhaitez, modifiez la taille, la couleur ou tout autre attribut du texte pour cette image clé. 8 Créez une autre image clé et glissez le texte à un autre endroit. Le chemin d’animation prend alors la forme d’un triangle. Créez quelques « rebonds » supplémentaires pour le mot. Les chemins d’animation peuvent également être courbes. La procédure de création de pistes courbes est similaire, comme décrit au chapitre 4, « Manipulation de pistes », à la page 47. Point d’image clé Chemin d’animation du glyphe « u »Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 109 9 Ajoutez des courbes au chemin d’animation en procédant comme suit : a Une fois l’effet sélectionné dans la Timeline, cliquez sur une image clé ou déplacez la tête de lecture sur cette dernière. b Sélectionnez un glyphe dans le mot amené à « rebondir ». c Maintenez la touche Contrôle enfoncée et glissez le point pivot du glyphe, qui se trouve sur le point d’image clé dans le chemin d’animation. d Des poignées de Bézier se dessinent à partir du point et permettent de modifier la courbe. 10 Dans le Canevas, cliquez sur Lecture ou appuyez sur la barre d’espace pour observer les résultats de l’opération. Maintenez la touche Option enfoncée et glissez un point d’image clé pour tirer les poignées de Bézier, ce qui crée un chemin d’animation fait de courbes.110 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés Création d’effets pour les glyphes individuels Une fonctionnalité unique et puissante de LiveType repose sur sa capacité à affecter instantanément un effet à des groupes individuels ou sélectionnés de glyphes, de caractères, sur une piste. Cette méthode peut être utilisée aussi bien avec les nouveaux effets qu’avec les effets préréglés. Pour attribuer un effet aux caractères individuels : m Sélectionnez le caractère ou les caractères au(x)quel(s) vous voulez appliquer l’effet, puis effectuez l’une des actions suivantes :  Choisissez un effet prédéfini dans l’onglet Effets du Navigateur média, puis cliquez sur Appliquer.  Créez votre propre effet en choisissant Piste > Nouvel effet, puis appliquez les effets à partir du menu paramètres dans l’onglet Effets de l’Inspecteur. L’effet choisi est automatiquement désactivé pour tous les autres caractères non sélectionnés. Si la piste est sélectionnée mais qu’en revanche aucun caractère ne l’est, l’effet s’appliquera à tout le groupe de caractères de la piste. Vous pouvez réaffecter tous les caractères à un seul effet à tout moment. Recherche des effets et médias via la Timeline Grâce au menu de raccourcis de la Timeline, vous trouverez rapidement les effets, séquences et images. Pour rechercher des effets et médias via la Timeline : m Dans la Timeline, cliquez sur une piste tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis procédez comme suit :  Pour rechercher des effets, choisissez Réveler dans le Navigateur média dans le menu contextuel.  Pour rechercher des séquences ou des images, choisissez Réveler dans le Finder dans le menu contextuel. L’effet est sélectionné dans l’onglet adéquat du Navigateur média ou une fenêtre du Finder s’affiche avec la séquence ou l’image sélectionnée.8 111 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage Au fil de l’élaboration de votre projet, vous pouvez observer le résultat des modifications réalisées avant de créer une sortie finale. LiveType propose plusieurs modes et possibilités pour gérer le temps requis par les aperçus de rendu. Aperçu de votre travail Pour afficher une image de votre film de titrage, rien de plus simple : il suffit de placer la tête de lecture dans la Timeline sur un marqueur et d’observer les éléments du Canevas. Mais il est également nécessaire de pouvoir visualiser l’action de votre film. LiveType offre pour cela plusieurs approches. Aperçu filaire animé La fenêtre d’aperçu filaire animé, dans le coin supérieur droit de l’Inspecteur, lit en continu votre animation, de petits cadres de délimitation indiquant le mouvement de chaque caractère ou objet. Cette fonction vous donne à tout moment une indication de l’animation et du chronométrage de votre projet. Pour figer ou activer l’aperçu filaire animé : m Cliquez dans la fenêtre d’aperçu filaire animé de l’Inspecteur. Aperçu filaire animé dans l’Inspecteur112 Chapitre 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage Aperçu RAM dans le Canevas Les contrôles de transport au bas du Canevas vous permettent de lire un aperçu de votre film de titrage directement dans votre environnement de travail. Un aperçu RAM affiche tous les éléments visibles et activés dans le Canevas, ainsi que les guides, les règles, etc. de cette fenêtre. Le film d’aperçu donne une meilleure idée de la sortie finale que l’aperçu RAM. Pour exécuter un aperçu RAM, procédez de l’une des façons suivantes : m Cliquez sur le bouton Lecture dans les contrôles de transport au bas du Canevas. m Appuyez sur la barre Espace. Les images sont d’abord rendues et chargées une par une en mémoire. Ensuite, l’aperçu est lu en temps réel. Le bouton Pause est affiché pendant ce processus. Le bouton Boucle, commande la plus à droite, permet de choisir entre la lecture uni-que ou en boucle continue de l’aperçu RAM. Lorsque ce bouton est activé (de couleur bleue), l’aperçu RAM défile en boucle tant que vous ne cliquez pas dans l’interface LiveType. Pour arrêter la lecture en boucle d’un aperçu RAM : m Cliquez n’importe où dans l’interface LiveType. Pour suspendre un aperçu RAM : m Cliquez sur le bouton Pause à tout moment au cours d’un aperçu RAM. Le bouton Lecture apparaît et l’aperçu RAM s’arrête. L’aperçu RAM reprend lorsque vous cliquez à nouveau sur le bouton Lecture. Commandes de lectureChapitre 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage 113 Film d’aperçu Un film d’aperçu correspond à un rendu restreint de votre film de titrage. Pour rendre un film d’aperçu : 1 Choisissez Fichier > Aperçu du rendu, puis Fil de fer ou Normal. Le réglage Normal rend votre aperçu au niveau défini dans la zone de dialogue Propriétés du projet. LiveType recherche les fichiers .afd dans le dossier /Bibliothèque/ Application Support/LiveType/LiveType Data si vous utilisez des données LiveType dans votre composition. Si les fichiers de données ne sont pas encore installés, la zone de dialogue AFD manquant s’ouvre et vous permet d’installer les fichiers complets ou d’utiliser les images proxy (des fichiers .afp correspondants) dans l’aperçu. 2 Procédez de l’une des façons suivantes :  Sélectionnez Installer les données LiveType manquantes. Vous pouvez ainsi installer les fichiers .afd à un emplacement autre que le dossier LiveType Data, et y accéder pour le rendu des aperçus et des projets finaux. Reportez-vous à la section « Gestion des fichiers média LiveType » à la page 30 pour obtenir plus d’instructions.  Sélectionnez « Utiliser les affiches pour les pistes comportant des données manquantes ». L’aperçu apparaît dans une fenêtre distincte. Pour enregistrer un film d’aperçu, choisissez Fichier > Enregistrer sous. Sinon, LiveType supprime le film d’aperçu à la fermeture de la fenêtre.114 Chapitre 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage Optimisation des performances d’aperçu LiveType fonctionne avec des éléments pixelisés d’informations, contrairement aux données vectorielles. Ce format rend possible la série d’effets disponible dans LiveType ; toutefois, les fichiers sont volumineux et le temps de rendu d’un aperçu peut être long. Le temps de rendu est fonction de la complexité de chaque couche ajoutée à un projet : nombre d’éléments, taille, quantité d’effets appliqués à chacun d’eux et durée du film (nombre d’images à rendre). Réglages de qualité pour les aperçus et les projets finaux LiveType permet quatre niveaux de qualité de rendu, définis dans la zone de dialogue Propriétés du projet, afin de gérer le temps passé à la création d’aperçus. Une qualité inférieure demandera évidemment un temps de rendu moindre. Un aperçu de qualité filaire représente chaque élément par un cadre de délimitation vide, comme dans l’aperçu filaire animé de l’Inspecteur. Les réglages Brouillon, Normale et Haute se distinguent uniquement par la résolution de l’aperçu qu’ils offrent. Un canevas de qualité brouillon apparaît légèrement granuleux à un zoom de 100 %. Un film d’aperçu de qualité brouillon apparaît de petite taille à l’écran. Lors de la génération de votre projet, vous serez éventuellement amené à modifier à plusieurs reprises les réglages de qualité en fonction de vos préférences. Pour modifier les réglages de qualité afin d’afficher le Canevas, de générer des films d’aperçu et de rendre un film final : 1 Choisissez Édition > Propriétés du projet. 2 Dans la zone Qualité de la zone de dialogue, choisissez le niveau de qualité pour chacun des trois modes.Chapitre 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage 115 Stratégies d’amélioration des temps de rendu Outre les réglages de qualité, LiveType fournit diverses stratégies pour réduire les temps de rendu d’images et d’aperçus :  Les marqueurs de la sélection de rendu dans la règle d’images de la Timeline restreignent le nombre d’images rendues dans les films d’aperçu et la sortie finale.  L’option Sélectionné seulement du menu Présentation affiche uniquement le contenu de la piste active dans le Canevas, dans les films d’aperçu et dans la sortie finale. Elle s’avère utile si vous privilégiez le mouvement d’un seul élément.  Les boutons Activer et Désactiver de la Timeline permettent de désactiver temporairement des effets et de supprimer des pistes du Canevas. Vous gagnez ainsi en simplicité lorsque vous n’avez besoin que d’un aperçu partiel.  La taille de fichier des éléments importés a une incidence sur les performances système. Par exemple, au lieu d’importer un film volumineux comme fond pour créer des images clés de titres, importez une image ou un plan de courte durée. Si un élément importé doit être intégré à votre sortie finale, créez le fichier d’origine à la résolution requise ou proche de celle-ci, au lieu de prendre une image de grande taille et de la réduire dans LiveType.  La quantité de mémoire RAM sur votre système peut être déterminante. Pour gagner du temps, envisagez d’augmenter la RAM disponible. Rendu, enregistrement et exportation de votre film de titrage Le rendu, la sauvegarde et l’exportation de votre projet LiveType, une fois terminé, peuvent s’effectuer de différentes manières. De votre décision de travailler sur votre projet avec Final Cut Pro ou avec une autre application, dépendra largement le choix de la méthode la plus adaptée.  Si vous travaillez avec Final Cut Pro, importez le projet LiveType directement dans Final Cut Pro pour le rendu final.  Si vous travaillez avec une autre application, effectuez le rendu dans LiveType en premier, puis importez le film rendu dans l’application.116 Chapitre 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage Importation d’un projet LiveType dans Final Cut Pro pour le rendu Généralement, un fichier de projet LiveType enregistré est importé dans Final Cut Pro pour le rendu. Cela permet de gagner du temps, puisque, contrairement aux autres applications, vous n’avez pas besoin de rendre le fichier dans LiveType avant de l’importer. Pour importer un projet LiveType dans Final Cut Pro pour le rendu : 1 Choisissez Fichier > Importer > Fichiers (ou appuyez sur les touches Commande + I), sélectionnez le fichier de projet LiveType, puis cliquez sur Choisir. Le film LiveType est importé dans Final Cut Pro, apparaissant en tant que plan. 2 Éditez le plan dans une séquence Final Cut Pro. 3 Effectuez le rendu du film comme vous le feriez pour n’importe quel plan. Apporter des modifications à un film LiveType à partir de Final Cut Pro Si vous avez importé un film LiveType dans Final Cut Pro et si vous avez besoin d’y apporter des modifications, vous pouvez le faire dans LiveType et obtenir la version mise à jour dans Final Cut Pro. Pour effectuer des modifications dans un film LiveType déjà importé dans Final Cut Pro : 1 Sélectionnez le plan LiveType dans la Timeline Final Cut Pro. 2 Cliquez sur la piste, tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez > Ouvrir dans l’éditeur dans le menu contextuel. LiveType s’ouvre avec le film prêt à être modifié. 3 Dans LiveType, effectuez les modifications désirées, puis choisissez Fichier > Enregistrer. La modification est prise en compte immédiatement dans Final Cut Pro. Remarque : vous devrez rendre à nouveau tous les changements effectués à l’intérieur de Final Cut Pro.Chapitre 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage 117 Rendu d’un film LiveType pour l’exportation Lorsque vous travaillez avec une autre application, il est nécessaire d’effectuer le rendu de votre film dans LiveType avant de l’importer. Pour rendre votre projet à une résolution maximale pour l’exportation : 1 Choisissez Fichier > Rendre le film. 2 Choisissez un nom de fichier et un emplacement dans la zone de dialogue Enregistrer, puis cliquez sur Enregistrer. 3 Comme pour les films d’aperçu, LiveType requiert l’installation de tous les fichiers de données LiveType manquants. Procédez de l’une des façons suivantes :  Sélectionnez « Installer les données LiveType manquantes ». Vous pouvez ainsi installer les fichiers média LiveType à un emplacement autre que le dossier LiveType Data, et y accéder pour le rendu des aperçus et des projets finaux. Reportez-vous à la section « Gestion des fichiers média LiveType » à la page 30 pour obtenir plus d’instructions.  Sélectionnez « Utiliser les affiches pour les pistes comportant des données manquantes ». Remarque : par défaut, une séquence QuickTime avec un canal alpha est créée dans le codec Animation. Si vous préférez un autre codec, utilisez plutôt les options Depuis le fichier > Exporter le film.118 Chapitre 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage Lorsque LiveType a terminé le rendu de votre projet, celui-ci apparaît dans une nouvelle fenêtre. Formats d’exportation de LiveType LiveType produit des séquences QuickTime avec le codec Animation 32 bits pour insérer correctement des images clés dans votre vidéo. Si votre éditeur non linéaire ou votre programme de composition importe des séquences QuickTime 4 ou ultérieur, l’importation de celles-ci doit pouvoir se faire directement. Vous pouvez également exporter une variété de formats d’animation et d’images fixes. Pour rappel toutefois, si vous souhaitez conserver le canal Alpha, vous devez utiliser un format compatible avec celui 32 bits, tel que Photoshop, Targa, TIFF ou AVI. Votre film rendu apparaît dans une fenêtre distincte. (Dans cet exemple, le film de fond a été rendu avec les titres.) Codecs QuickTime Codecs QuickTime (suite) Formats de séquence d’images Autres formats Animation Motion JPEGA BMP AVI BMP Motion JPEGB JPEG DV Stream Cinepak Aucun (pas de compression) JPEG 2000 Image FLC Component Video PhotoJPEG MacPaint Heuris MPEG DV/DVCPRO-NTSC Planar RGB Photoshop MPEG-2 DVCPRO-PAL PNG PICT MPEG-4 Graphics Sorenson Video PNG H.261 Sorenson Video 3 QuickTime image H.263 TGA SGI image Intel Indeo Video r3.2 TIFF TGA Intel Raw Video TIFFChapitre 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage 119 Pour exporter une séquence LiveType rendue dans un nouveau format : 1 Ouvrez votre film afin qu’il s’affiche dans la fenêtre de visualisation. Si vous venez d’effectuer le rendu de votre projet, la séquence QuickTime sera déjà ouverte. Si vous avez rendu et enregistré le film auparavant, ouvrez-le en choisissant Fichier > Ouvrir. 2 Choisissez Fichier > Exporter le film. La zone de dialogue vous demande d’entrer un nouveau nom et un emplacement pour le fichier et vous propose une série de formats d’exportation. 3 Dans le menu local Exporter, choisissez la catégorie de sortie à générer. 4 Dans le menu local Mode, choisissez le format de fichier ou protocole requis. 5 Cliquez sur le bouton Options pour accéder à d’autres réglages du format sélectionné.9 121 9 Techniques avancées de conception Une conception de titres réussie repose sur la combinaison créative des fonctions et des données de LiveType. Le présent chapitre apporte quelques « recettes » intéressantes. Les exemples ci-après supposent la maîtrise des fonctions de base de LiveType. Chaque étape n’étant pas exposée en détail, vous devrez éventuellement vous reporter aux chapitres antérieurs pour effectuer certaines tâches. Imbrication de mots L’option Prélever dans Fond peut servir à créer des compositions de titre fort intéressantes. Contrairement aux options Prélever dans Texture et Prélever dans Film ou image, elle insère une « fenêtre » dans n’importe quel fond, même composé de plusieurs éléments. Par exemple, vous pouvez imbriquer des mots dans d’autres. Dans le cas présent, le texte au premier plan dessine une fenêtre dans le texte de fond, qui défile de droite à gauche derrière lui. Procédez comme suit : 1 Créez le texte au premier plan pour déterminer la forme du remplissage. a Ajoutez une piste de texte dans une police système épaisse, Helvetica Bold par exemple. b Tapez un mot dans la piste et choisissez une taille de façon à ce qu’il occupe toute la largeur du Canevas.122 Chapitre 9 Techniques avancées de conception 2 Créez une couche intermédiaire pour rendre le fond plus sombre. a Choisissez une texture dans le Navigateur média, puis cliquez sur Appliquer à la nouvelle piste. b Vérifiez que la texture se trouve sous le texte mais au-dessus de la barre de fond dans la Timeline. 3 Créez un fond dynamique visible à travers la fenêtre créée par le mot au premier plan. a Ajoutez une piste de texte au Canevas et entrez du texte dans une taille inférieure à celle du mot créé à l’étape 1. b Placez la piste sur le texte au premier plan et formatez le texte de fond comme vous voulez. c Appliquez un effet de défilement ou de glissement à la piste pour que le texte se déplace de droite à gauche. d Glissez la piste sous la barre de fond dans la Timeline. e Dans la Timeline, désactivez temporairement la texture et la piste de texte au premier plan. f Définissez une couleur de fond dans la zone de dialogue Propriétés du projet ou placez un fond différent derrière le texte de fond. Texte au premier plan pour déterminer la forme de la « fenêtre » dans le fond Texture pour assombrir les éléments de fondChapitre 9 Techniques avancées de conception 123 g Activez la texture et la piste de texte de fond dans la Timeline. 4 Sélectionnez le texte au premier plan et choisissez Fond dans le menu local Prélever dans de la fenêtre Remplissage (onglet Attributs de l’Inspecteur). Déformation d’ombres et d’éclats La fonction Déformation dans l’onglet Style de l’Inspecteur peut servir à créer une incroyable variété de formes pour vos titres. Cette section explique comment l’effet Needle Drop s’inspire du paramètre Déformation, associé à plusieurs autres, pour donner un résultat unique. 1 Ouvrez un nouveau projet et saisissez du texte dans une police système sur la piste. 2 Dans la fenêtre Glyphe de l’onglet Attributs (Inspecteur), dotez le texte d’une couleur vive, puis fermez la fenêtre Couleurs. 3 Dans la zone de dialogue Propriétés du projet, prenez le noir comme couleur de fond avec une opacité de 100 %. Éléments de fond Éléments au premier plan Le texte rempli dévoile un mot animé dans le fond.124 Chapitre 9 Techniques avancées de conception 4 Appliquez l’effet Needle Drop à la piste, lequel se trouve dans la catégorie Éclats de l’onglet Effets du Navigateur média. 5 Prenez une seconde comme durée de piste et d’effet et définissez à 1 seconde le point de sortie de la sélection de rendu, puis cliquez sur le bouton Lecture pour rendre un aperçu RAM. 6 Avec la tête de lecture sur l’effet dans la Timeline, cliquez sur l’onglet Effets de l’Inspecteur pour afficher les paramètres actifs. Les principaux paramètres employés pour créer l’effet Needle Drop sont les suivants :  Réglages de glyphe : à l’image clé de début, les glyphes sur la piste sont petits, transparents et flous. À l’image clé de fin, les caractères sont normaux. L’image clé intermédiaire agrandit simplement les lettres.  Réglages d’éclat : à l’image clé de début, l’éclat est invisible avec une opacité de 0 et marque un décalage vertical de –200 pixels. À l’image clé intermédiaire, l’opacité est de 500 %, avec quelques paramètres d’échelle et de flou, mais sans décalage. À l’image clé de fin, l’éclat est de nouveau invisible, avec un décalage vertical de 200 pixels.  Réglages d’ombre : l’ombre crée les « aiguilles ». L’ombre est de couleur blanche et l’échelle est de 10 % sur l’axe X, ce qui rend les ombres très fines. Les réglages de déformation accentuent les pointes des aiguilles. Le flou est de 2 %, ce qui est indispensable pour cet effet. À l’image clé de fin, l’ombre passe à une opacité nulle.  Réglages de chronométrage : le paramètre Aléatoire de l’onglet Chronométrage sert à appliquer cet effet à chaque glyphe dans un ordre aléatoire. Effet Needle Drop appliqué au texte sur un fond de Canevas noirChapitre 9 Techniques avancées de conception 125 Une piste, un effet, trois images clés : cet effet est assez simple à reproduire. Du fait qu’une image clé intègre tous les paramètres à un point donné, la Timeline LiveType reste incroyablement dégagée malgré le nombre de paramètres sollicités. Pour obtenir un autre exemple d’utilisation des paramètres de déformation, observez l’effet Screech dans la catégorie Caricature de l’onglet Effets (Navigateur média). Cet effet s’obtient en rendant les glyphes invisibles et en se servant du canal d’éclat pour afficher les lettres, qui sont déformées à l’aide du paramètre de déformation. Pistes courbes L’effet Glisser appliqué à une piste courbe peut créer un effet en 3D. L’exemple qui suit explique comment associer ces caractéristiques en quelques étapes pour animer du texte en spirale. 1 Ouvrez un nouveau projet et entrez du texte sur la piste. 2 Justifiez le texte à gauche. 3 Déplacez la piste vers le haut du Canevas. 4 Ajoutez un point de contrôle au centre de la piste en maintenant la touche Contrôle enfoncée et en cliquant sur la ligne de la piste dans le Canevas. Appuyez à nouveau sur la touche Contrôle en cliquant sur le point de contrôle, et choisissez Courbe extérieure. L’idée est de conserver la moitié gauche de la piste plus ou moins au même endroit et de créer un chemin courbe descendant et tournant dans le sens des aiguilles d’une montre autour de ce point. Seuls quelques points de contrôle supplémentaires sont requis pour cela. Reportez-vous au chapitre 4, « Manipulation de pistes », à la page 47 pour en savoir plus sur la création de pistes courbes.126 Chapitre 9 Techniques avancées de conception 5 Ajoutez un nouvel effet à la piste. 6 Sélectionnez l’image clé de fin de cet effet. 7 Dans l’onglet Effets de l’Inspecteur, ajoutez le paramètre Glisser à la pile Paramètres actifs. Double-cliquez sur ce paramètre et entrez la valeur 100, à savoir le pourcentage de la longueur de la piste. Lorsque vous attribuez une valeur de glissement à l’image clé de fin, celle de début possède par défaut la valeur 0. 8 Toujours pour l’image clé de fin, entrez 0 pour le paramètre Taille. 9 Dans l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur, entrez 10 comme valeur de séquence et choisissez À partir de la droite dans le menu local Début. Ajoutez des paramètres à l’aide du menu local et du bouton +. Changez les valeurs de paramètres en double-cliquant sur un paramètre actif.Chapitre 9 Techniques avancées de conception 127 10 Modifiez la valeur Glisser de l’image clé de fin en fonction de la longueur de la piste et du texte s’y déplaçant. Emploi créatif de caractères spéciaux Les symboles et autres caractères spéciaux peuvent être d’une grande utilité dans des titres. Sachant qu’ils se basent sur des vecteurs, leur taille de fichier est très petite et ils ne possèdent pas de limite de taille dans le Canevas. Par ailleurs, il est facile d’y accéder. Le présent exemple illustre comment créer un quadrillage remplissant le Canevas, changeant de couleur de façon aléatoire et disparaissant en fondu pour dévoiler un message ou une image. 1 Ouvrez un nouveau projet LiveType puis cliquez dans l’une des zones de saisie. 2 Ouvrez la palette de caractères.  Si la palette de caractères est déjà activée dans vos Préférences Système Mac OS X, son icône apparaît à droite du menu LiveType. Le texte défile selon une spirale.128 Chapitre 9 Techniques avancées de conception  Pour activer la palette de caractères, ouvrez les Préférences Système, cliquez sur International puis sur le bouton Menu Saisie et cochez Palette de caractères.  Dans LiveType, vous avez également la possibilité de cliquer, tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, à l’intérieur de l’une des zones de saisie de l’Inspecteur. Choisissez alors Police > Afficher les polices dans le menu local. La zone de dialogue apparaît. Choisissez Caractères dans le menu local Compléments, situé dans l’angle inférieur gauche de la zone de dialogue Police. 3 Choisissez un caractère carré plein puis cliquez sur Insérer afin de l’ajouter à la zone de saisie. Insérez trois lignes de quatre cases sur la même piste de texte. Activez la palette de caractères dans vos Préférences Système.Chapitre 9 Techniques avancées de conception 129 4 Réglez les paramètres Taille, Crénage et Interligne dans l’onglet Texte de l’Inspecteur de manière à créer un panneau de carrés distribués uniformément. 5 Dans l’onglet Style, désactivez l’ombre et ajoutez un contour blanc suffisamment épais pour que ceux des carrés se touchent et contrastent davantage avec le Canevas. 6 Ajoutez un effet et fixez la durée de la piste et de l’effet à une seconde dans la Timeline. 7 Sélectionnez l’image clé de début de l’effet et choisissez une couleur de glyphe dans l’onglet Attributs de l’Inspecteur. Changez la couleur de l’image clé de fin. Placez ensuite la tête de lecture à plusieurs points réguliers en changeant chaque fois la couleur. Si vous modifiez un paramètre d’effet lorsque la tête de lecture ne se trouve pas sur une image clé, une nouvelle image clé est automatiquement ajoutée à l’effet à la position de la tête de lecture. Cette étape montre comment l’insertion d’images clés peut faire gagner du temps. Première image clé image clé de fin130 Chapitre 9 Techniques avancées de conception 8 Pour le glyphe, prenez une opacité de 0 % à l’image clé de fin, afin que les cases disparaissent par fondu. 9 Dans l’onglet Chronométrage, entrez 15 pour le réglage Aléatoire. 10 Ajoutez derrière le panneau du texte ou tout autre élément qui apparaîtra au fur et à mesure que les cases disparaîtront en fondu. LiveFonts et couches Plusieurs LiveFonts fournies avec LiveType sont conçues pour fonctionner avec d’autres polices. L’une d’elles, nommée Nitro, donne l’impression que le texte subit une explosion. Cette procédure explique comment utiliser correctement ces polices. Remarque : pour suivre cet exemple, vous devez installer le fichier de données Nitro. Reportez-vous à la section « Gestion des fichiers média LiveType » à la page 30 pour en savoir plus sur l’installation de données LiveType. 1 Créez une piste de texte et appliquez une police système avec un format classique de votre choix. 2 Choisissez Piste > Dupliquer la piste pour créer une copie directement placée sur la piste d’origine. 3 Dans la Timeline, verrouillez ces deux pistes à l’aide des boutons de regroupement.Chapitre 9 Techniques avancées de conception 131 4 Sélectionnez la piste 1 et appliquez la LiveFont Nitro. 5 Dans l’onglet Style de l’Inspecteur, désactivez l’ombre pour la piste 1. 6 Dans l’onglet Chronométrage, définissez la séquence à 5 % et réduisez la durée de la piste, en glissant son extrémité dans la Timeline ou en modifiant le paramètre Vitesse. 7 Appliquez l’effet FadeOut à la piste 2 sachant que les lettres doivent disparaître après explosion. L’astuce est que les lettres doivent disparaître par fondu dès qu’elles ont explosé. Sachant que l’explosion se produit en séquence, vous devez aligner le chronométrage des marqueurs de séquence pour les deux pistes. 8 Prenez les marqueurs de séquence dans la Timeline comme référence et ajustez la vitesse de l’effet FadeOut de manière à aligner ceux de la piste 1 et l’effet de la piste 2. Alignez les marqueurs de séquence de la LiveFont Nitro et de l’effet FadeOut. La combinaison de la couche supérieure de texte dans la LiveFont Nitro et du texte sous-jacent disparaissant en fondu fait exploser les lettres de gauche à droite.132 Chapitre 9 Techniques avancées de conception Création de défilements et de glissements Les effets de défilement et de glissements permettent de créer des génériques ou de déplacer des chaînes de texte dans l’écran, à l’instar d’un défilement de texte. Ces deux types d’effets sollicitent le paramètre Décalage du Canevas afin de créer un chemin d’animation vertical ou horizontal, suffisamment long pour déplacer du texte d’une extrémité à l’autre du Canevas. La valeur de décalage, qui équivaut à la taille du chemin d’animation, est fonction de la longueur de l’élément à faire défiler ou glisser. Il est donc préférable de saisir et formater le texte avant d’appliquer l’effet. Ainsi, vous n’aurez pas à repositionner à plusieurs reprises le point de départ de l’élément. Remarque : en termes de conception, les défilements et les glissements s’accordent mieux avec des polices système que des LiveFonts. Si votre choix porte toutefois sur une LiveFont, il vous faudra régler les paramètres de chronométrage de la police, dont la vitesse et les options Suspendre premier et Suspendre dernier de l’onglet Chronométrage (Inspecteur). Vous pourrez ainsi coordonner l’animation de la LiveFont et le mouvement de défilement ou de glissement. Pour créer un défilement de texte : 1 Entrez plusieurs lignes de texte sur une nouvelle piste, en vous servant de la touche Retour pour insérer des sauts de ligne. 2 Formatez le texte en prenant soin de bien régler tout paramètre concernant la hauteur totale des lignes (police, taille, interligne, etc.). 3 Appliquez un effet de défilement de la catégorie Défilements et glissements dans l’onglet Effets du Navigateur média. 4 Réglez la vitesse de défilement, désormais visible dans l’aperçu animé en fil de fer, en glissant le bord droit de la barre d’effet dans la Timeline ou en modifiant le réglage Vitesse dans l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur. 5 Dans la Timeline, glissez le bord droit de la piste pour lui donner la même durée que l’effet.Chapitre 9 Techniques avancées de conception 133 6 Déplacez le texte jusqu’à sa position de départ. a Vérifiez que la tête de lecture se trouve sur la première image dans la Timeline. b Dans le Canevas, réglez le zoom sur 25 % afin de voir au-delà des limites de cette fenêtre. c Dans le Canevas toujours, glissez la piste pour déterminer le point de départ du texte déroulant. (Tout texte au-delà du bord du Canevas est symbolisé par des rectangles bleus de délimitation.) Maintenez la touche Maj enfoncée lors du glissement pour forcer la position horizontale de la piste. Si vous employez l’effet Défilement vers le haut par exemple, vous pouvez fixer le point de départ de la première ligne de texte juste en dessous du bord inférieur du Canevas. Pour créer un glissement de texte : 1 Entrez quelques mots ou une ligne de texte sur une nouvelle piste. 2 Formatez le texte en prenant soin de bien régler tout paramètre concernant sa longueur totale (police, taille, crénage, etc.). 3 Choisissez un effet de glissement de la catégorie Défilements et glissements dans l’onglet Effets du Navigateur média. 4 Réglez la vitesse de glissement, désormais visible dans l’aperçu animé en fil de fer, en glissant le bord droit de la barre d’effet dans la Timeline ou en modifiant le réglage Vitesse dans l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur. 5 Dans la Timeline, glissez le bord droit de la piste pour lui donner la même durée que l’effet. 6 Si la tête de lecture sur trouve sur la première image, glissez la piste dans le Canevas afin de déterminer sa position de départ. 135 A Annexe A Solutions aux problèmes fréquents et assistance client Si vous rencontrez des problèmes dans LiveType, voici plusieurs ressources pour trouver une solution.  La présente annexe : elle offre des informations sur certains problèmes fréquents rencontrés par les utilisateurs.  Informations de dernière minute : il s’agit d’une page disponible via le menu Aide LiveType et apportant des informations de dernière minute apparues après la publication de ce manuel. Pensez à consulter cette page dès que vous installez LiveType.  AppleCare Knowledge Base : l’assistance AppleCare fournit une base de données de problèmes courants, mise à jour et alimentée régulièrement. Il s’agit d’une ressource gratuite d’une grande utilité pour les utilisateurs de LiveType. Pour accéder à AppleCare Knowledge Base, rendez-vous à la page d’assistance AppleCare à l’adresse http://www.apple.com/fr/support.  Assistance AppleCare : il existe une variété d’options d’assistance à la disposition des utilisateurs de LiveType. Pour en savoir plus, reportez-vous au Guide de service et d’assistance des logiciels professionnels Apple fourni avec votre documentation Final Cut Pro. Foire aux questions Certaines polices tremblent dans le film d’aperçu.  Sachant que LiveType utilise un petit échantillonnage pour les aperçus de basse qualité, des données de pixels donnant un mouvement plus fluide peuvent manquer dans certaines images. Pour de meilleurs résultats, augmentez les réglages de qualité dans la zone de dialogue Propriétés du projet. Mes images apparaissent pixelisées.  Si vous rendez un aperçu, le film s’affiche dans une résolution faible et apparaît légè- rement pixelisé. Par ailleurs, si vous attribuez à des éléments une taille supérieure à celle d’origine, une pixelisation peut aussi se produire.136 Annexe A Solutions aux problèmes fréquents et assistance client LiveType ne s’ouvre plus.  L’enregistrement de certains réglages par défaut peut empêcher l’ouverture de LiveType. Essayez d’effacer votre fichier de réglages par défaut : / Bibliothèque/Preferences/LiveType Pro Defaults.dat. Votre configuration est restaurée aux réglages LiveType d’origine. L’opération revient à choisir LiveType > Réglages > Effacer les réglages dans l’application. L’animation n’est pas fluide sur mon moniteur NTSC.  Utilisez l’option de trame pour une animation plus fluide. Lorsque j’ouvre des titres dans mon éditeur non linéaire ou mon programme de composition, les caractères apparaissent serrés ou leur aspect est incorrect.  Choisissez des propriétés de projet dans LiveType en fonction de la taille et de l’aspect des pixels quel’éditeurutilise. Certains éditeurs non linéaires requièrent une taille exacte d’image même si le titre ne sollicite pas l’image entière. Les pixels carrés correspondent à la valeur 1, les pixels NTSC à la valeur 0,9. Une image clé est « bloquée » au début ou à la fin d’un effet et je ne peux pas la sélectionner, la déplacer ou la supprimer.  Augmentez le zoom de la Timeline afin de voir s’il est possible de sélectionner et de glisser l’image clé à un autre endroit dans l’effet. Sachant que les images clés de début et de fin ne peuvent être supprimées, vous pouvez glisser une image clé interne à l’extrémité de fin de l’effet afin d’en éviter la suppression, quel que soit le zoom appliqué à la Timeline. Pour sélectionner une image clé recouverte, procédez de la manière suivante : 1 Sélectionnez l’image clé de début ou de fin recouvrant l’autre image clé. 2 Choisissez Présentation > Aller à > Image clé suivante (ou Image clé précédente) afin de sélectionner l’image clé « perdue ». 3 Choisissez Édition > Couper. 4 Déplacez la tête de lecture et choisissez Édition > Coller. Lorsque j’applique un effet avec une modification d’éclat ou d’ombre, je ne vois pas de changement dans l’aperçu filaire animé de l’Inspecteur.  Les cases filaires dans l’aperçu montrent la forme de base de chaque glyphe et ne sont pas affectées par les réglages Style. D’autres options d’aperçu, telles que l’aperçu RAM ou le film d’aperçu, offrent des ombres et des éclats.Annexe A Solutions aux problèmes fréquents et assistance client 137 Lorsque je change certains attributs d’une piste, ils ne semblent pas s’appliquer.  Certains paramètres d’effets priment sur ceux de pistes, et il se peut que le paramètre que vous tentez de modifier soit celui qui est « remplacé ». Désactivez les effets associés à cette piste pour voir si les attributs redeviennent actifs. Dans ce cas, la solution passe par la modification des paramètres de l’effet. Je ne parviens pas à sélectionner un élément ou un caractère.  Vérifiez que l’option Verrouiller la position n’est pas sélectionnée dans le menu Disposition. Lorsque vous ajoutez une texture ou un film de fond, cet élément est par défaut verrouillé.  Par ailleurs, vous pouvez cliquer sur un élément utilisant le Canevas dans son intégralité. Essayez de faire un zoom arrière pour voir au-delà du bord du Canevas et révéler son cadre de délimitation.  Prenez également en compte l’ordre des couches lorsque vous sélectionnez un élément dans le Canevas. Si un élément vous gêne pour en choisir un autre, servezvous de la Timeline pour sélectionner la piste en dessous et mettez en évidence les glyphes dans l’une des zones de saisie de l’Inspecteur. Je sélectionne sans le vouloir comme image de fond la texture, l’image ou le film créés sur une piste.  Choisissez Disposition > Verrouiller la position pour empêcher qu’un élément ne soit sélectionné. Lorsque beaucoup d’éléments se trouvent dans le Canevas, l’ensemble est plus lent.  Reportez-vous au chapitre 8, « Aperçu et rendu total de votre film de titrage », à la page 111 pour découvrir comment optimiser les performances d’aperçu. Page Apple destinée aux développeurs d’applications professionnelles Le site Web Apple Developer Connection comporte une page Applications Apple sur laquelle les développeurs créant des contenus ou des extensions pour des applications professionnelles trouveront tout ce dont ils ont besoin. Sur cette page, les développeurs ont accès aux informations de dernière minute et aux ressources techniques, notamment de la documentation pour développeurs, des articles spéciaux et des paquets de développement logiciel (SDK). Les développeurs peuvent également s’inscrire à la nouvelle liste de diffusion pour développeurs d’applications pro. L’URL est la suivante http://developer.apple.com/appleapplications.138 Annexe A Solutions aux problèmes fréquents et assistance client Contact de l’assistance AppleCare LiveType inclut une documentation relative aux options d’assistance de la part d’Apple. Plusieurs niveaux d’assistance existent en fonction de vos besoins. Remarque : dans certains cas d’assistance technique, AppleCare demande des informations autant sur l’ordinateur que sur la configuration de l’application en question. Sélectionnez Aide > Créer un profil d’assistance pour créer un fichier contenant les informations nécessaires et pouvant être envoyé par courrier électronique à AppleCare. Vous n’aurez normalement pas à utiliser cette fonctionnalité sauf sur demande d’un représentant d’AppleCare. Quel que soit le problème rencontré, il est conseillé d’avoir les informations ci-après à disposition. Plus vous pouvez communiquer rapidement ces informations, plus vite l’assistance technique peut traiter votre demande.  Le numéro d’identification d’assistance que vous avez reçu avec Final Cut Pro. Il est différent du numéro de série du logiciel utilisé pour activer votre copie de LiveType.  La version de Mac OS X que vous avez installée. Cette information s’obtient en choisissant À propos de ce Mac dans le menu Pomme.  La version de LiveType installée, dont les mises à jour éventuelles. Ce numéro de version s’obtient en choisissant LiveType > À propos de LiveType.  Le modèle d’ordinateur utilisé.  La quantité de RAM installée sur votre ordinateur et celle disponible pour LiveType. Pour connaître la quantité de RAM installée, choisissez À propos de ce Mac dans le menu Pomme.  Les équipements de tierce partie connectés à ou installés sur l’ordinateur et leurs fabricants respectifs. Pensez aux disques durs, cartes vidéo, etc.  Tout module de tierce partie ou logiciel installé avec LiveType. L’assistance AppleCare peut être contactée en ligne à l’adresse http://www.apple.com/fr/support/livetype/index.html. 139 B Annexe B Création et modification d’EffectScripts Dans LiveType, les effets sont basés sur le langage EffectScript. Un effet correspond à un fichier texte et représente une séquence QuickTime apparaissant dans le Navigateur média de l’interface LiveType. Chaque ligne d’un EffectScript comporte une commande, suivie d’un groupe d’arguments de commande. Tabulations et espaces sont ignorés. Dans toute commande, deux tirets (--) peuvent être suivis d’un commentaire. Les commentaires sont ignorés par l’interpréteur d’EffectScripts. En-tête Les commandes d’en-tête ci-après doivent figurer au début de chaque EffectScript. EffectScript 1.0 • Prenez 1.0. comme numéro de version de spécification EffectScript. Name « nom de l’effet » • Nomme l’effet. Les guillemets peuvent correspondre à tout délimiteur hormis l’espace (”, ’, /, etc.). Desc « description » • Décrit l’effet. Il peut s’agir d’une longue chaîne, le texte passant à la ligne à l’écran. Chronométrage par défaut Après l’en-tête, un EffectScript doit posséder des réglages de chronométrage par défaut. DefOffset a b c • a est une valeur numérique. • b correspond à %, Secondes ou Images. • c équivaut à Début ou Fin. DefReverse a • a équivaut à 0 pour Avancer, 1 pour Inverser.140 Annexe B Création et modification d’EffectScripts DefSequence a b c • a équivaut à 0 pour Off, 1 pour On. • b est une valeur numérique de % et peut être à virgule flottante. • c correspond à L pour la gauche d’abord, à R pour la droite d’abord. DefRandStart a b c • a équivaut à 0 pour Off, 1 pour On. • b est une valeur numérique et peut être à virgule flottante. • c correspond à %, Secondes ou Images. DefLoop a • a est une valeur numérique, doit être un entier (prenez un chiffre élevé tel que 9999 pour appliquer une boucle continue). DefSpeed a • a est une valeur numérique de % et peut être à virgule flottante. Images clés Après l’en-tête, un EffectScript détermine un nombre d’images clés. Une image clé débute avec une commande Time : Time t • t est la durée de l’image clé en secondes. Chaque commande Time est suivie de commandes de paramètres. Voici l’exemple d’une image clé : Time 0,0 Scale 50 Track -50 Cette image clé signifie qu’au temps zéro secondes, chaque glyphe est mis à l’échelle de 50 % et son crénage diminue de 50 %. La première image clé doit se trouver au temps 0,0 et être suivie d’au moins une autre image clé. Toutes les images clés doivent être répertoriées dans l’ordre. Dans un effet donné, toutes les images clés doivent posséder le même jeu de commandes de paramètres. Les commandes de paramètres ci-après sont valides dans une image clé : Accelerate n • n est un pourcentage d’accélération. Il a une incidence sur le mode d’interpolation de toutes les autres valeurs de paramètres entre cette image clé et la suivante. 0 signale l’absence d’accélération, 100 % une accélération et -100 % un ralentissement.Annexe B Création et modification d’EffectScripts 141 Blur x [y] • x est le rayon de flou en pixels. Si y est précisé, les quantités de flou horizontal et vertical sont différentes. CanvasOffset x y • x et y sont les décalages horizontaux et verticaux, exprimés en pourcentage des dimensions du Canevas. Il s’agit du paramètre utilisé pour les défilements. Color r g b [n] • r, g et b sont des valeurs de couleur dans [0..255]. • n est facultatif et correspond à un pourcentage d’opacité. DoExtrude x • x a la valeur 0 en cas d’absence d’extrusion, 1 s’il y a un volume. DoGlow n • n a la valeur 0 pour Non, 1 pour Oui. DoShadow n • n a la valeur 0 pour Non, 1 pour Oui. ExtrudeDirection n • n correspond à un angle en degrés, 0 désignant le haut, 90 la droite, etc. ExtrudeLength n • n est la longueur d’extrusion exprimée en pixels. ExtrudeColor r g b • r, g et b sont les valeurs de couleur d’extrusion dans [0..255]. ExtrudeOutline n • n a la valeur 0 pour l’absence de contour, 1 si un contour est appliqué à l’extrusion. GlowBlur n • n est le rayon de flou d’éclat en pixels. GlowColor r g b • r, g et b sont les valeurs de couleur d’éclat dans [0..255]. GlowLayer n • n a la valeur 0 pour Derrière tout, 1 pour À l’arrière-plan, 2 pour Devant et 3 Devant avec remplissage du glyphe. GlowOffset x y • x et y sont les décalages d’éclat en pixels.142 Annexe B Création et modification d’EffectScripts GlowOpacity n • n est le pourcentage d’opacité de l’éclat. GlowScale x y • x et y sont des pourcentages d’échelle d’éclat. GlowWarp x1 y1 x2 y2 x3 y3 x4 y4 • les paires x, y correspondent aux quatre points de déformation. HideChar n • n a la valeur 0 pour afficher le glyphe avec des effets de luminosité (Contour, Ombre, Éclat, Volume) ou 1 pour le masquer. HSL h s l • h correspond au réglage d’angle de teinte en degrés, la valeur 0 indiquant qu’aucun changement n’a lieu. • s est le réglage de saturation en pourcentage, la valeur 0 indiquant qu’aucun changement n’a lieu. • l est le réglage de luminosité en pourcentage, la valeur 0 indiquant qu’aucun changement n’a lieu. Leading n • n est un pourcentage modifiant la position de la ligne suivante dans la piste (par exemple, prenez 0 pour placer la ligne suivante sur celle-ci, 100 pour ne pas y toucher ou 200 pour en faire un double). Matte n • n a la valeur 0 pour Off, 1 pour On. Offset x y • x et y sont des décalages horizontaux et verticaux en pixels. Opacity n • n est le pourcentage d’opacité. Il est multiplié par l’opacité du glyphe. Outline n • n est la largeur de pixel pour le contour. Rotate n • n est l’angle de rotation exprimé en degrés, dans le sens des aiguilles d’une montre. Scale x y • x et y sont des multiplicateurs de pourcentage d’échelle, en horizontal et en vertical. La mise à l’échelle est effectuée au niveau du point pivot du glyphe. SetOutlineColor r g b • r, g et b sont de valeurs de couleur du contour dans [0..255].Annexe B Création et modification d’EffectScripts 143 SetOutlineBlur n • n est un nombre en pixels. SetOutlineOnly n • n a la valeur 0 pour Non, 1 pour Oui. SetOutlineWarp x1 y1 x2 y2 x3 y3 x4 y4 • les paires x, y correspondent aux quatre points de déformation. ShadBlur n • n est le rayon de flou d’ombre en pixels. ShadColor r g b • r, g et b sont de valeurs de couleur de l’ombre dans [0..255]. ShadLayer n • n a la valeur 0 pour Derrière tout, 1 pour À l’arrière-plan, 2 pour Devant et 3 Devant avec remplissage du glyphe. ShadOffset x y • x et y sont des décalages d’ombre en pixels. ShadOpacity n • n est le pourcentage d’opacité de l’ombre. ShadScale x y • x et y sont des pourcentages d’échelle d’ombre. ShadWarp x1 y1 x2 y2 x3 y3 x4 y4 • les paires x, y correspondent aux quatre points de déformation. Size n • n est un modificateur en pourcentage pour la taille du glyphe. Il a une incidence sur la taille du glyphe, ainsi que sur l’interligne et le crénage dépendant de cette taille. Les glyphes sont dimensionnés par rapport au centre du glyphe sur la ligne. Slide n • n est la quantité de glissement d’un élément sur une piste, exprimée en pourcentage de la longueur de cette piste. Tracking n • n est un pourcentage modifiant la position du glyphe suivant (par exemple, prenez 0 pour placer le glyphe suivant sur celui-ci, 100 pour ne pas y toucher ou 200 pour en faire un double).144 Annexe B Création et modification d’EffectScripts Exemples d’EffectScripts Pour afficher un EffectScript, il suffit d’ouvrir l’un des fichiers d’effets se trouvant dans le dossier Bibliothèque/Application Support/LiveType/Effects de votre disque dur. Voici quelques EffectScripts simples : Zoom avant EffectScript 1.0 -------------------------------------------------------------------- -- exemple "Zoom avant" Name "Zoom avant" Desc "Faire un zoom avant de zéro à normal de chaque glyphe de façon linéaire, en partant de son point pivot. Augmenter en parallèle le crénage de zéro à normal". DefOffset 0 % Début DefSequence 0 0 L DefRandStart 0 0 % DefLoop 1 DefSpeed 100 Time 0,0 Tracking -100 -- crénage de -100%, c’est-à-dire nul. Scale 0 0 -- échelle de 0% Time 2,0 Tracking 0 -- crénage de 0%, c’est-à-dire normal. Scale 100 100 -- échelle de 100%. -------------------------------------------------------------------- Zoom arrière EffectScript 1.0 -------------------------------------------------------------------- -- exemple "Zoom arrière" Name "Zoom arrière" Desc "Faire un zoom arrière de normal à zéro de chaque glyphe de façon linéaire, en partant de son point pivot. Diminuer en parallèle le crénage de normal à zéro". DefOffset 0 % Fin DefSequence 0 0 L DefRandStart 0 0 % DefLoop 1 DefSpeed 105 Time 0,0 Tracking 0 Scale 100 100 Time 2,0 Tracking -100 Scale 0 0 --------------------------------------------------------------------Annexe B Création et modification d’EffectScripts 145 Rotation avec teinte EffectScript 1.0 -------------------------------------------------------------------- -- exemple "Rotation avec teinte" Name "Rotation avec teinte" Desc "Rotation de chaque glyphe autour de son point pivot à une vitesse de 1 retournement/sec. Pour vous amuser, jouez simultanément avec la couleur". DefOffset 0 % Début DefSequence 0 0 L DefRandStart 1 100 % -- la valeur loopCount est élevée pour que la boucle soit active pendant toute la durée. DefLoop 9999 DefSpeed 100 Time 0 Color 255 0 0 -- Tint Red (R=255, G=0, B=0) Rotate 0 Time 1 Color 0 255 0 -- Tint Green (R=0, G=255, B=0) Rotate 120 Time 2 Color 0 0 255 -- Tint Blur (R=0, G=0, B=255) Rotate 240 Time 3 Color 255 0 0 -- Tint Red (R=255, G=0, B=0) Rotate 0 -------------------------------------------------------------------- 147 Glossaire Glossaire 16:9 Proportion d’écran large pour la vidéo. Le rapport entre la largeur et la hauteur de la zone visible de l’image vidéo, également nommé proportion de l’image, est de 16:9, ou 1,78. AVI Acronyme d’Audio-Video Interleaved, le format standard de Microsoft pour la vidéo numérique. aspect des pixels Rapport entre la hauteur et la largeur des pixels composants l’image. Les pixels NTSC sont carrés (ratio 1:1), contrairement aux pixels D-1. canal alpha Un canal d’images supplémentaire utilisé pour enregistrer des informations de composition. Les canaux alpha sont souvent de 8 bits, certaines applications prenant toutefois en charge des canaux de 16 bits. Seuls certains formats, tels que PICT et le code Animation QuickTime, prennent en charge des canaux alpha. canaux Peut désigner des canaux de couleurs ou alpha. Les informations de couleurs et de transparence relatives aux plans vidéo et graphiques sont divisées en canaux individuels. Canevas L’une des quatre fenêtres principales de l’interface LiveType, où vous placez du texte et des objets, créez les chemins d’animation et observez le résultat obtenu au fil de votre composition. chutier Dans Final Cut Pro, fenêtre contenant vos plans, transitions, effets et générateurs. Le chutier permet d’organiser tous ces éléments, de les trier, d’y ajouter des commentaires, de les renommer, etc. CMYK Acronyme de Cyan Magenta Yellow Black. Espace de couleur généralement utilisé pour des images imprimées avec des imprimantes jet d’encre à 4 couleurs ou offset. codec Abréviation de compresseur/décompresseur. Composant logiciel servant à convertir la vidéo ou l’audio d’une forme décompressée à une forme compressée, dans laquelle le stockage a lieu. Sorenson Video et Cinepak sont des codecs vidéo QuickTime courants. Également désigné par le terme compresseur.148 Glossaire composition Processus de combinaison de deux images vidéo ou électroniques ou plus dans une seule image. Ce terme peut également faire référence à la création de divers effets vidéo. compression Processus réduisant la taille de fichiers audio, vidéo ou graphiques en supprimant les données redondantes ou de moindre importance. Voir aussi codec. décompression Processus de création d’une image pouvant être lue à partir d’un fichier audio, vidéo ou graphique compressé. données LiveType Terme collectif désignant les LiveFonts, textures et objets dans LiveType, tous étant conçus à l’aide du format .afd 32 bits pour les polices animées. durée Temps durant lequel une piste ou un effet existe dans la Timeline. DVD Un disque DVD s’apparente à un CD-ROM ou un disque audio, sauf qu’il emploie des méthodes de stockage de densité supérieure afin d’offrir plus de possibilités. écran large Le format écran large permet de tourner et de projeter un film sur un écran de cinéma. Contrairement au ratio 4:3, les images d’origine ne sont pas coupées. Avec l’avènement de la vidéo haute définition, la vidéo 16:9 écran large est devenue très populaire. effet Dans LiveType, ensemble de paramètres d’attributs et de chronométrage animant un élément. élément Dans LiveType, tout ce que vous placez sur une piste :un caractère, un bloc de texte sur une seule piste, un objet, un film, une texture ou une image. filaire Le mode d’aperçu basique de LiveType, représentant les caractères et les objets sous forme de cadres de délimitation. L’intérêt des aperçus filaires est leur temps de rendu très court pour montrer l’animation d’éléments. FireWire Marque déposée d’Apple pour le standard IEEE 1394. FireWire est une interface rapide et versatile servant à connecter des caméras DV à des ordinateurs. FireWire s’adapte parfaitement à des applications déplaçant de grandes quantités de données. Il peut par ailleurs permettre de connecter des disques durs, des scanners et d’autres types de périphériques. format NTSC Le sigle NTSC correspond à National Television Standards Committee, une organisation fixant les standards de diffusion aux États-Unis. Le terme « vidéo NTSC » se rapporte au standard vidéo établi par ce comité. Il se caractérise par une gamme de couleurs restreinte, un entrelaçage, sa taille de 720 x 480 pixels environ et une vitesse de 29,97 ips. format PAL Acronyme de format Phase Alternating Line. Format vidéo entrelacé de 25 ips (625 lignes par image) largement utilisé en Europe.Glossaire 149 glyphe Caractère isolé sur une piste. Un glyphe correspond souvent à une lettre ou un symbole, sachant qu’un objet, une texture ou un élément importé peuvent également être désignés comme glyphes dans LiveType. image La vidéo se compose d’un nombre d’images fixes donnant l’impression d’une animation lorsqu’elles sont lues. La vidéo NTSC lit 29,97 images par seconde, la vidéo PAL 25. Chaque image vidéo diffusée se compose de deux trames, ce qui diffère du mode de gestion des images au format film. Une image film est une photographie et ne possède pas deux trames distinctes. image clé Marqueur spécial soulignant un changement de valeur pour l’un des paramètres d’un effet appliqué. Lorsque deux images clés sont définies dans LiveType, l’application les utilise pour donner une transition fluide. importation Processus d’insertion de divers types de fichiers dans un projet LiveType. Les fichiers importés sont généralement créés ou capturés dans une autre application. Inspecteur L’une des quatre fenêtres principales de l’interface LiveType, servant à insérer du texte et à appliquer des attributs, des styles et des paramètres d’effets à des éléments de titrage. LiveFont Les LiveFonts sont des jeux de caractères 32 bits. La plupart des LiveFonts sont des animations informatisées. Elles peuvent toutefois se composer de données vidéo ou de photos. marqueurs Dans Final Cut Pro, les marqueurs désignent les points de montage signalant le début et la fin d’un plan ou des points de référence indiquant des passages intéressants dans les plans et séquences. Navigateur média L’une des quatre fenêtres principales de l’interface LiveType, servant à sélectionner des polices, des objets, des textures et des effets. numérique Qualificatif de données stockées ou transmises sous forme de séquences de 1 et de 0. Le plus souvent, il s’agit de données binaires représentées à l’aide de signaux électroniques ou électromagnétiques. Les séquences QuickTime sont par exemple numériques. objet Dans LiveType, les objets sont des éléments de 32 bits. À l’instar des LiveFonts, il peut s’agir d’animations informatisées, de vidéo ou de photographies, ainsi que d’autres éléments tels que des sous-titres. PICT Format de fichier d’image fixe développé par Apple. Les fichiers PICT peuvent contenir des images vectorielles et bitmap, ainsi que du texte et un canal alpha. PICT est un format très répandu sur les ordinateurs Mac OS.150 Glossaire piste Dans LiveType, une piste contient un élément et ses attributs. Dans le Canevas, une piste apparaît sous forme de ligne bleu foncé, généralement à la base du texte, de l’objet ou de l’image qu’elle contient. Une piste peut être modifiée pour former un chemin d’animation que suivra son contenu. Dans la Timeline, une piste est symbolisée par une barre numérotée, les effets appliqués se trouvant souvent en dessous. pixel Point dans une vidéo ou une image fixe. Généralement, la résolution basse d’un moniteur est de 640 pixels de largeur par 480 pixels de hauteur. Les vidéos numériques sont souvent de 320 x 240 pixels. poignées de Bézier Poignées bidirectionnelles contrôlant ou modifiant la courbe d’un segment de ligne entre la poignée et le point suivant, de l’un des deux côtés. Plus une poignée est éloignée de son point de vertex, plus elle courbe le segment de ligne concerné. Pour déplacer des poignées de direction, glissez-les. police Jeu complet de caractères. Voir aussi LiveFont. postproduction Processus de montage de film ou de vidéo après obtention des données sources. proportion Rapport entre la largeur et la hauteur d’une image vidéo sur votre écran. La proportion la plus courante est le ratio 4:3 des écrans de téléviseurs. QuickTime La technologie multimédia multi-plateforme d’Apple. Largement utilisée pour les CD-ROM, la vidéo diffusée sur le Web, le montage, etc. RAID Acronyme de Redundant Array of Independent Disks. Méthode dotant les éditeurs non linéaires de plusieurs méga-octets de stockage de données à haute performance en regroupant des disques durs meilleur marché, plus petits et plus lents. RAM Acronyme de random-access memory. Capacité de mémoire de votre ordinateur, exprimée en octets et déterminant la quantité de données pouvant être à tout moment traitée et stockée temporairement. rendu Dans LiveType, processus de combinaison d’éléments de projets à des effets appliqués, image par image. Une fois rendue, la séquence de titrage peut être lue en temps réel. RGB RGB Abréviation de Red Green Blue. Espace de couleur généralement utilisé sur les ordinateurs. Chaque couleur est décrite selon l’intensité de ses composants rouges, verts et bleus. Cet espace de couleur convertit directement les phosphores rouges, verts et bleus utilisés par les moniteurs. L’espace couleur RGB possède une immense gamme pouvant ainsi offrir une large palette. SECAM Acronyme de Sequential Couleur Avec Memoire. Standard télévisuel français de lecture. Similaire à PAL, avec une vitesse de lecture de 25 ips.Glossaire 151 séquençage Traitement d’effet dans lequel chaque glyphe d’une piste est transformé de façon individuelle. Un effet séquencé commence par transformer un caractère avant de passer au suivant, et ainsi de suite. texture Dans LiveType, les textures sont des animations plein écran servant de fonds, de remplissages ou de bordures. TIFF Acronyme de Tagged Image File Format. Format de fichier graphique pixelisé largement utilisé, développé par Aldus et Microsoft et gérant le monochrome, les tonalités de gris et les couleurs 8 bits et 24 bits. timecode Méthode associant chaque image de film ou vidéo dans un plan avec une unité de temps séquentielle. Le format est heures:minutes:secondes:images. Timeline L’une des quatre fenêtres principales de l’interface LiveType, affichant le chronométrage des éléments de projets et les effets qui leur sont appliqués. trame La moitié d’une image vidéo entrelacée se compose de lignes paires, l’autre de lignes impaires. Les trames vidéo s’alternent chaque 1/60e de seconde dans une vidéo NTSC pour faire défiler 30 images par seconde. Il existe deux trames pour chaque image, une supérieure, une inférieure. vidéo numérique Fait référence à la capture, la manipulation et le stockage de vidéo, à l’aide du format numérique, comme peut le faire QuickTime. Par exemple, un caméscope numérique est une caméra vidéo capturant et stockant des images sur un support numérique tel que DV. La vidéo peut ainsi être facilement importée. X Désigne la coordonnée X dans la géométrie cartésienne. Cette coordonnée correspond à l’emplacement horizontal. Y Désigne la coordonnée Y dans la géométrie cartésienne. Cette coordonnée correspond à l’emplacement vertical dans des effets d’animation. zone de titre sécurisé Partie de l’image vidéo qui apparaîtra toujours sur les téléviseurs. La zone de titre sécurisé occupe 80 % de l’écran. 153 Index Index A aide, en ligne 10–11 alignement de pistes de texte 65 angles, piste 50 animation animation segmentée LiveFont 63 images clés et 96 importation de fichiers 84 types d'éléments animés 8 animation segmentée LiveFont 63 aperçu d'éléments aperçu filaire animé 20 aperçu RAM 17, 37, 112 aperçus figés 111 aperçus filaires 21, 37, 111, 136, 148 aperçus suspendus 112 effets 105 effets prédéfinis 91 films de titrage 111–113 aperçu filaire animé 20, 21, 111, 136, 148 aperçu RAM 17, 37, 112 aperçus filaires 21, 37, 111, 136, 148 AppleCare Knowledge Base 135 Apple Store 12 application FontBook 80 assistance AppleCare 135, 138 attributs affectation 24 éléments importés 87 films 87 images numériques 87 objets 87 pistes 137 autres applications 117 B bannières, Web 35 bannières Web 35 barre de fond 27, 43 boucle d'éléments effets 94 bouton Boucle 112 boutons Activer/Désactiver 28 C canaux 147 canaux alpha 8, 66, 82, 147 Canevas 14–19 ajout d'objets au 82 ajout de texte au 59–60 ajout de textures au 83 Aperçu RAM dans le 112 commandes de lecture 16 contrôles de zoom 16 couleur 37 description 13, 14, 147 fond. Voir fonds grilles 18 guides 18 illustration 13, 14 isolement de pistes 19 personnalisation 17–19 positionnement de pistes 49 réglage d'images clés dans le 98 règles 17 utilisation de pistes dans 15, 150 caractères affectation d'effets à des 110 chemins d'animation 98 effets caractères spéciaux 127–130 éléments comme des 86 ensembles de caractères 62 espacement 65 modification de caractères individuels 79–80 problèmes lors de la sélection de 137 réglages de style 70 serrés 136 supprimer les effets sur des 92 verrouillés 137 catégories effets prédéfinis 90 Navigateur média 30 champ de description 36 champs champ de description 36154 Index chemins d'animation ajout aux effets 106 défilement ou glissement de texte 132 description 98 non fluides 136 chutiers 147 codec Animation 117, 118 codec BMP 118 codec Cinepak 118 codec Component vidéo 118 codec DV 118 codec DVCPRO-NTSC 118 codec DVCPRO-PAL 118 codec Graphismes 118 codec Intel Raw 118 codec PhotoJPEG 118 codec Planar RGB 118 codec PNG 118 codecs description 147 exportation de films et 117 QuickTime 118, 147 codecs H.261 et 263 118 codecs Motion JPEGA et JPEGB 118 codecs Sorenson Vidéo et Vidéo 3 118 codec TGA 118 codec TIFF 118 codec Vidéo 118 commande Réveler dans le Finder 110 commande Réveler dans le Navigateur média 110 composition 148 compresseurs. Voir codecs compression 148 contours extrudés 73 contrôles de transport 16 contrôles de zoom dans le Canevas 16 curseur de zoom de la timeline 28 EffectScripts pour les 144 coordonnée x 151 coordonnée y 151 copie d'éléments effets 95, 104 images clés 103 pistes 53, 104 couches affectation aux traitements de 70 piste 56 techniques avancées 130–131 trous dans les. Voir fonction de remplissage couleur attributs 24 Canevas 37 CMYK 147 éclat ou ombre 71 fond 37, 41, 43 images importées 87 réglages d'extrusion 74 RGB 150 texte 66–67 curseur de zoom de la timeline 28 curseur Retard 55 D décalage d'éléments paramètre de décalage du Canevas 132 décompression 148 défilement de texte 132 déformation d'éléments 71, 123–125 dépannage 135–138 défilement ou glissement de texte 132 désactiver des polices 80 LiveFonts dans des grandes tailles de texte 65 positions des images de remplissage et de fond 77 problèmes fréquents 135–137 rendu des trames déformé 38 ressources de 135 déplacer des éléments groupes d'effets 95 pistes regroupées 57 direction des extrusions 74 disques DVD 148 dissociation de pistes 58 données numériques 149 dossier Effects 29, 144 dossier Images 30 dossier LiveFonts 29 dossier Objects 29 dossiers 29–30 dossier Templates 29 dossier Textures 29 duplication d'éléments chaînes d'éléments 86 effets 95, 104 images clés 103 pistes 104 durée description 148 effets 91, 94 pistes 55 E édition de films LiveType dans Final Cut Pro 116 EffectScript Rotation avec teinte 145 EffectScripts 139–145 EffectScript Zoom arrière 144 EffectScript Zoom avant 144 effet Fade In 100–102 effet Glisser 125 effet imbrication de mots 121Index 155 effet Needle Drop 123–125 effets ajout d'images clés à des 103 aperçu 91, 105 application à des pistes 90–91 attribution d'un nouveau nom 105 utilisation de caractères ou glyphes individuels 110 considérations 89 copie d'images clés dans les 103 création personnalisée 106–109 désactivation 28, 57, 92, 115 description 22, 89, 139, 148 duplication 95 durée des 148 enregistrement 105 exemples d' 100–102 fichiers d'effets 29 groupes d' 95 liste des 90 dans LiveType 8 modification 95–102 ordre des 95 prédéfinis. Voir effets prédéfinis recherche 110 réglages du chronométrage 23, 92–94 séquencés 151 stockage 29, 144 dans la timeline 27 effet Screech 125 effets prédéfinis Voir aussi effets aperçu 91 application à des pistes 90–91 pour des caractères ou glyphes individuels 110 désactivation 92 liste des 90 modification 95–105 ordre des 95 réglages du chronométrage 92–94 effets séquencés 63, 94, 151 éléments Voir aussi objets création de chaînes d' 86–87 description 148 importés. Voir éléments importés problèmes lors de la sélection d' 137 redimensionnement 85 repositionnement 85 rotation 69, 85 types d' 8 verrouillés 137 éléments cachés 79 éléments d'échelle attributs pour 24 effets éclat ou ombre 71 éléments non textuels 85, 87 éléments textuels 68 éléments de décalage attributs pour 24 éclat ou ombre 71 éléments non textuels 87 texte 69 éléments de regroupement pistes 28, 57–58 éléments de remplissage. Voir fonction de remplissage éléments de rotation attributs pour 24 éléments non textuels 87 éléments importés Voir aussi éléments considérations de taille 115 création de chaînes de 86–87 performances système et 115 redimensionnement 85 transformation 85–87 éléments invisibles 79 éléments passant en boucle effets LiveFonts 63 éléments verrouillés caractères 137 éléments 137 films 85 pistes 28 textures 85 ensembles de caractères 62 en-têtes dans EffectScripts 139 épaisseur du texte du contour 72 espace de couleur 147, 150 espace de couleur CMYK 147 espace de couleur RGB 150 espacement dans le texte 65 explosion des polices 131 exportation d'éléments 116, 117, 118–119 extension .afd 113 extension .afp 113 extension .ipr 32 extension .ltfx 29 extension .ltlf 29 extension .ltob 29 extension .lttm 29 extension .lttx 29 extrémités liaison 52 pistes 15 F FAQ (Foire aux questions) 135–137 fenêtre Glyphe 66–69 fenêtre Paramètres actifs 96156 Index fichiers données 30 fichiers d'effets 139 fichiers de projets 32 importés 30 inclus dans LiveType 29 profils d'assistance 138 fichiers de données 30 fichiers média description 148 importation de 30 inclus dans LiveType 29 versions antérieures des 30 fichiers PICT 149 fichiers source 30 figer les aperçus 111 films Voir aussi film de titrage aperçu. Voir films d'aperçu attributs 87 déverrouillage de la position de 85 fond. 43–45 importation 43–45, 84 lecture en boucle dans les 112 qualité de sortie 114 remplissage du contenu d'une piste avec des 77 rendu 117–119 styles 87 films d'aperçu description 113 enregistrement 113 qualité des 114 rendu 113 films de fond 43–45 films de titrage Voir aussi films aperçu 111–113 rendu 117–119 Final Cut Pro édition de films LiveType dans 116 importation de films LiveType 116 rendu de projets LiveType dans 116 FireWire 148 flou attributs 24 éléments non textuels 87 éléments textuels 71 réglages 68 foire aux questions (FAQ) 135–137 fonction de remplissage 24, 74–79, 87, 121–123 fonds 41–45 ajout 41–45 à texture 42 couleur 37, 41, 43 importation d'images pour les 44 présentation 15 réglages 37 rendu 37, 45 révéler dans les remplissages 74 rôle des 41 transparents 75–76 fonds transparents 75–76 formatage du texte 63–74 format AVI 43, 84, 118, 147 format BMP 43, 84, 118 format d'image QuickTime 44, 84, 118 format de film QuickTime 44, 84, 117 format DV 43, 84 format écran large 148 format FLC 118 format Flux DV 118 format GIF 35, 43, 84 format Heuris MPEG 118 format image JPEG 2000 118 format Intel Indeo Vidéo r3.2 118 format JPEG 43, 84, 118 format MacPaint 118 format MPEG-2 43, 84, 118 format MPEG-4 43, 84, 105, 118 format NTSC 148 format PAL 148 format Photoshop 43, 84, 118 format PICS 43, 84 format PICT 43, 84, 118, 149 format PLS 43, 84 format PNG 44, 84, 118 formats Voir aussi formats spécifiques exportation 118–119 importation 43, 84 format SECAM 150 formats « file pair » 30 format SGI 44, 84, 118 format Targa 44, 84 format temporel SMPTE 36 format TGA 118 format TIFF 44, 84, 151 fréquences 35 G glissement de texte 133 glissements ripple 55 glyphe couleur 66–67 glyphes 136, 149 affectation d'effets à des 110 chemins d'animation 98 effets caractères spéciaux 127–130 éléments comme des 86 modification de glyphes individuels 79–80 options de transformation 67–69Index 157 supprimer les effets sur des 92 graphismes. Voir images grille affichage 17, 37 masquage 37 personnalisation 18 réglages 18, 37 grossissement de la vue. Voir contrôles de zoom groupe d'éléments effets 95 guides, Canevas 18 guides réticules 18 H haute qualité 114 HSL (Teinte, Saturation et Luminosité) 66 I IEEE 1394 (FireWire) 148 images Voir aussi images clés affichage dans la timeline 27 description 149 fixes 44 fond 44 images affiches 113 images proxy 19, 113 importation 44, 84 numériques 87 pixelisées 135 recherche 110 réglages temporels 36 remplissage du contenu d'une piste avec des 77 stockage 30 images affiches 113 images clés 96–98 affichage des paramètres 96 ajout à des effets 103 « bloquées » 136 cachées 136 copie d' 103 déplacement 103 description 28, 149 EffectScripts 140–143 modification de toutes les images clés 98 présentation 96 réglage de paramètres 97–98 rotation et 69 suppression 103 images clés cachées 136 images clés invisibles 136 images fixes 44 images numériques 87 Voir aussi images images pixelisées 135 images proxy 19, 113 importation d'éléments dans d'autres applications 117 description 149 fichiers de données 30 films 43–45, 84 films de fond 43–45 projets LiveType dans Final Cut Pro 116 formats pour l' 43, 84 images 44, 84 images de fond 44 images fixes 44 Inspecteur 20–24 aperçu filaire animé 21 description 13, 20, 149 illustration 13, 20 LED dans l' 98 onglets dans l' 21–24 options de formatage 64 zones de saisie de texte 20, 60 instructions d'action sécurisée 15 instructions de titre sécurisé 15 interligne, texte 65 L largeur d'images GIF 35 LED, Inspecteur 98 liaison d'extrémités 52 lignes standard de texte 69 listes de diffusion pour les développeurs d'applications Pro 137 LiveFont Nitro 131 LiveFonts description 8, 149 ensembles de caractères 62 et polices système 61 réglage du chronométrage 62–63 techniques avancées 130–131 LiveType 114 aide en ligne 10–11 fichiers d'effets 29 fichiers média 29, 148 impossible d'ouvrir 136 introduction à 7–12 restauration de la disposition par défaut 14 site Web 11 longueur des extrusions 74 M Mac OS, version de 138 marqueurs chronométrage 45 description 149 point d'entrée 27 point de sortie 27158 Index sélection de rendu 27, 115 séquence 96–98 marqueurs de chronométrage 45 marqueurs de la sélection de rendu 27, 115 marqueurs de séquence 96–98 marqueurs des points d'entrée et de sortie 27 matériel à noter pour communication à l'assistance technique 138 rendu des trames et 38 mémoire 115, 138, 150 menu local Alpha 66 menu local Paramètre 99 modèles 31–32 description 10 enregistrement de projets sous forme de 32 ouverture 32 stockage 29 moniteurs NTSC 136 N Navigateur média catégories dans 30 description 13, 25, 149 fichiers média dans 30 navigateur modèles 32 noms d'effets modifiés 105 O objets Voir aussi éléments ajout au Canevas 82 animés 8 attributs 87 création de chaînes d' 86–87 description 8, 149 manipulation d' 82 redimensionnement 85 stockage 29 styles 87 traitements 22 transformation 85–87 objets Particles 19 onglet Attributs 24, 66 onglet Chronométrage 23, 62–63, 93–94 onglet Effets 22, 89 onglet Objets 82 onglets de projets, timeline 26 onglet Style 22, 70–74 onglet Texte 21, 64 onglet Textures 83 opacité attributs 24 éclat ou ombre 71 fonds 41 remplissages. Voir fonction de remplissage rendu des fonds et 45 texte transparent 68 option aléatoire pour effets 93 pour effets LiveFonts 63 option extrusion du contour 73 option Priorité de trame 36 options de crénage pour le texte 65 options Suspendre premier et Suspendre dernier 63, 94 ordre des effets 95 P palette de caractères 127 paramètre Couleur 66 paramètre de décalage du Canevas 132 paramètre Échelle 68 paramètre Glisser 52 paramètres d'images clés 96 indicateurs LED 98 paramètres actifs 99 paramètres actifs 99 paramètre Taille 68 performances d’aperçu 114–115, 137 pistes 47–58 activation/désactivation 28 ajout 53 application d'effets prédéfinis à des 90–91 attributs 97, 137 chronométrage 23, 54–55 couches 56 courbes 51–52, 125–127 création de chaînes d'éléments sur des 86–87 déplacement 49, 55 désactivation 28, 57, 115 description 15, 47, 150 dissociation 58 duplication 53 duplication des effets sur des 95 durée 55, 148 extrémités 15 forme des 49 groupes d'effets dans 95 illustration 49 inclinaison 49 isolement dans le Canevas 19 liaison d'extrémités 52 manipulation dans la timeline 150, 54–58 manipulation du Canevas 15, 150 numérotation 27 points de contrôle 50–52 redimensionnement 49 regroupement 28, 57–58Index 159 remplacement d'éléments sur les 87 remplissage avec des films 77 remplissage avec des images 77 remplissage avec une texture 78 rendu d'aperçus 115 réorganisation 56 retarder l'apparition 55 saisie de texte sur 60 sélection 64 suppression 53 texte. Voir pistes de texte verrouillage de la position 28 vides 53 pistes courbes 51–52, 125–127 pistes de texte alignement 65 changement de polices 60 courbes 125–127 modification de caractères dans des 79–80 texte dans les 59 pixels 36, 136, 150 pixels carrés 136 pixels NTSC 136 plans vidéo, importation 43 poignées d'échelle 81 poignées de Bézier 51, 150 poignées de rotation 81 poignées pour les objets 81 points de contrôle 15, 50–52 polices Voir aussi texte animées 8 changement pour des pistes de texte 60 choix 59–60 couleur 66–67 désactiver 80 description 150 polices nécessaires 80 problèmes avec les 135 système 61, 62, 67 polices système changement de la couleur de 67 pour le défilement ou le glissement de texte 132 description 61 durée des 62 contre LiveFonts 61 position des effets 95 préréglages, projet 35 procédures, création de titres 9 processus de postproduction 150 processus de titrage 7, 8 profils pour l'assistance 138 projets chronométrage Voir réglages du chronométrage configuration 31–37 démarrage 33 enregistrement de modèles sous forme de 32 fonds. Voir fonds préréglages pour les 35 propriétés 31, 34–37 réglages de qualité 36 réglages par défaut 33 rendu 117–119 rendu dans Final Cut Pro 116 projets LiveType. Voir projets proportion 136, 147, 150 proportion 16:9 147 proportion de l'image 147 proportion des pixels 36, 147 propriétés, projet 31, 34–37, 114 Q qualité brouillon 114 qualité normale 114 QuickTime codecs 118, 147 description 150 effets et 105 plans d'aperçu et 105 R raccourcis clavier 28 RAM 115, 150 recherche d'éléments via la timeline 110 réglage Afficher contour seulement 72 réglage Rendre le fond 37 réglages de la hauteur pour GIF 35 réglages de qualité 36 réglages du chronométrage contrôle 23 EffectScripts 139–140 effets 92–94 format temporel 36 heure de début 36 LiveFonts 62–63 dans l'onglet Chronométrage 62–63 réglage temporel SMPTE Drop 36 règle de l'image 26 règles affichage 17, 37 masquage 37 réglages 37 remplacement d'éléments sur les pistes 87 rendu 117–119 amélioration de la vitesse de 115 changement de la sélection 27 critères temporels 114 description 150 films d'aperçu 113 dans Final Cut Pro 116 fonds 37, 45160 Index ordre de rendu des trames 36, 38–39 qualité du 114 réglages de 114 réglages de la qualité 37 réordonner les effets 95 ressources de dépannage 135 sites Web Apple 12 restaurer les positions des caractères 80 retard d'éléments effets 94 effets LiveFonts 63 retarder des éléments contenu de la piste 55 rotation d'éléments EffectScript pour 145 éléments non textuels 85 texte 69, 80 S sauvegarde des effets modifiés 105 scripts (EffectScripts) 139–145 séquences recherche via la timeline 110 sites Web AppleCare 135, 138 Apple Developer Connection 137 Apple Store 12 Applications Apple 137 FireWire 12 LiveType 11 service et assistance Apple 12 sites Web Apple 12, 135, 137 site Web Apple Developer Connection 137 site Web Applications Apple 137 stockage RAID 150 style Contour 22, 72–73, 87 style Éclat 22, 70–71, 87, 123–125, 136 style Ombre 22, 70–71, 87, 123–125, 136 styles éléments importés 87 films 87 images numériques 87 objets 87 texte 70–74, 123–125 style Volume 22, 73–74, 87 suppression d'éléments images clés 103 pistes 53 suppression de guides 18 Suspension d'aperçus 112 symboles 127–130 T taille de fichier 115, 127 terminologie 147–151 test du rendu des trames 38 tête de lecture 26 texte 59–80 alignement 65 caractères spéciaux 127–130 couleur 66–67 crénage 65 défilements et glissements 132–133 déformation 71, 123–125 effet contour 72–73 effet éclat 70–71, 123–125 effet extrusion 73–74 effet imbrication de mots 121–123 effet ombre 70–71, 123–125 effet remplissage 24, 74–79, 121–123 formatage 63–74 insertion 59–61 interligne 65 lignes standard 69 modification de caractères 79–80 polices. Voir polices rotation 69, 80 saisie et modification 21, 59–60 styles 70–74, 123–125 taille du 65, 68 traitements 22 transformation 67–69 textures ajout au Canevas 83 animées 8 création de chaînes de 86–87 description 8, 151 déverrouillage de la position de 85 fonds 42 manipulation de 83 redimensionnement 85 remplissage du contenu d'une piste avec des 78 stockage 29 transformation 85–87 timecode 26, 151 Timeline 26–28 affichage d'images dans la 27 barre de fond 43 déplacement d'images clés dans la 103 description 14, 26, 151 effets dans la 27 illustration 13, 26 manipulation de pistes dans la 27, 54–58, 150 onglets de projets 26 recherche d'éléments avec la 110 tête de lecture 26 timecode 26 titrage de films procédure de création 9 touches d'accès rapide 28Index 161 trames description 151 ordre de rendu 36, 38–39 transformation d'éléments éléments importés 85–87 texte 67–69 transparence fond 41 rendu et 45 texte 68 trous dans les couches. Voir fonction de remplissage U utilitaire FontMaker 8 utilité de la touche Maj. Voir Visualiseur de clavier V valeurs de luminosité 66 valeurs de saturation 66 valeurs de teinte 66 vidéo entrelacée 36 NTSC 149 numérique 151 PAL 149 vidéo entrelacée 36 vidéo NTSC 148, 149 vidéo numérique 151 vidéo PAL 149 visualiseur de clavier 62 vitesse ajuster au contenu de la piste 55 des effets 94 films LiveFont 63 Z zone de dialogue AFD manquante 113 zone de dialogue des Préférences 30 zone de dialogue Police 128 zone de dialogue Propriétés du projet 34–37, 114 zone de titre sécurisé 15, 151 zones de saisie de texte 20, 60 Pour afficher le manuel, cliquez sur une rubrique dans le volet latéral. Pour afficher le manuel Instruments et effets Logic Studio, cliquez sur le lien ci-dessous. m Instruments et effets Logic Studio WaveBurner Manuel de l’utilisateur? Apple Inc. © 2007 Apple Inc. Tous droits réservés. En vertu des lois sur les droits d’auteur, ce manuel ne peut être copié, en partie ou intégralement, sans l’autorisation écrite d’Apple. Vos droits sur le logiciel sont régis par l’accord de licence qui l’accompagne. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation du logo Apple sur un clavier (Option + 1) à des fins commerciales sans l’autorisation préalable écrite d’Apple peut constituer une contrefaçon de la marque et une concurrence déloyale en violation des lois fédérales et nationales. Tous les efforts nécessaires ont été mis en œuvre pour que les informations contenues dans ce manuel soient les plus exactes possibles. Apple n’est pas responsable des erreurs d’écriture et d’impression. Remarque : comme Apple met régulièrement sur le marché de nouvelles versions et des mises à jour de son logiciel système, de ses applications et de ses sites Internet, les images qui illustrent le présent ouvrage peuvent diffé- rer légèrement de ce que vous voyez à l’écran. Apple Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, Logic, Mac, Macintosh et Mac OS sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder et SuperDrive sont des marques d’Apple Inc. Les autres noms de sociétés ou de produits mentionnés ici sont des marques de leurs détenteurs respectifs. La mention de produits tiers n’est effectuée qu’à des fins informatives et ne constitue en aucun cas une approbation ni une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité vis-à-vis des performances ou de l’utilisation de ces produits. 3 1 Table des matières Préface 7 Introduction à WaveBurner 8 Création d’un CD avec WaveBurner 9 Présentation Chapitre 1 11 Interface WaveBurner 12 Barre d’outils 13 Vue d’ensemble 13 Zone Vue onde 15 Liste des séquences 16 Liste des pistes 17 Fenêtre de module 18 Fenêtre Données de la séquence 21 Fenêtre Données de la piste 22 Fenêtre Données du point d’index 23 VU-mètre 23 Personnalisation de la barre d’outils Chapitre 2 25 Premiers contacts avec WaveBurner 25 Éléments d’un projet 26 Création, ouverture et enregistrement de projets 26 Ajout de fichiers audio à un projet 27 Gestion des noms dans WaveBurner 27 Audition de projets et contrôle de la lecture 29 Navigation dans la zone Vue onde Chapitre 3 31 Utilisation des séquences 31 Sélection de séquences 32 Copie de séquences 32 Réorganisation des séquences 32 Déplacement de séquences 33 Application de Trims aux séquences 33 Scission de séquences 34 Ajustement des niveaux 34 Recherche de la présence d’écrêtage dans une séquence4 Table des matières 35 Normalisation des séquences 37 Ajout et ajustement de fondus 39 Bounce d’une séquence 40 Changement de nom des séquences 40 Suppression de séquences Chapitre 4 41 Utilisation des pistes 41 Liste des pistes 43 Fenêtre Données des pistes du CD 44 Bounce d’une piste Chapitre 5 45 Utilisation de marqueurs 45 Types de marqueurs 46 Insertion et suppression de marqueurs 47 Déplacement de marqueurs Chapitre 6 51 Utilisation des effets 51 Modules d’effet inclus dans WaveBurner 52 Utilisation de modules d’effet Audio Units 53 Ajout et suppression de modules 54 Dérivation de modules 54 Ajustement des paramètres des modules 55 Modification de l’ordre des modules 55 Utilisation du VU-mètre Chapitre 7 57 Gravure d’un projet sur CD 57 Préparation à la gravure d’un CD 57 Graveurs de CD pris en charge 57 Définition des options du disque 59 Aperçu des transitions 60 Gravure du CD Chapitre 8 61 Définition des préférences dans WaveBurner 61 Préférences générales 62 Préférences du gestionnaire audio 62 Préférences pour l’aperçu 63 Préférences pour la gravure 63 Préférences pour les bounces 64 Préférences SDII 65 Préférences pour les informationsTable des matières 5 Annexe 67 Raccourcis clavier de WaveBurner 67 Commandes de fichiers 67 Commandes d’édition 67 Exploitation des disques 68 Commandes de séquences 68 Commandes d’affichage 68 Exploitation des transports 69 Commandes de la zone d’affichage Onde 69 Commandes de fenêtres 69 Commandes d’aide 7 Préface 1 Introduction à WaveBurner WaveBurner est une application qui vous permet d’assembler, de mastériser et de graver des CD audio à l’aide du lecteur SuperDrive ou du graveur de CD pris en charge par Mac OS X. Les CD audio créés à l’aide de WaveBurner peuvent être lus sur n’importe quel lecteur de CD audio et servir de prémasters pour la production de masse. WaveBurner prend en charge toutes les options de la norme Livre rouge pour le stockage des données de CD audio. Vous pouvez ajouter au maximum jusqu’à 99 pistes et 99 sousindex par piste allouable selon la norme Livre rouge, inclure des codes ISRC pour chaque piste, définir des indicateurs d’anti-copie et de préaccentuation pour chaque piste, ainsi qu’ajouter des codes UPC/EAN pour le CD. WaveBurner prend également en charge la norme de texte du CD, ce qui vous permet d’ajouter des informations lisibles sur n’importe quel lecteur CD compatible avec le texte du CD. Vous créez un CD en ajoutant des fichiers audio à un projet WaveBurner. Ces fichiers audio apparaissent sous forme de séquences dans la fenêtre du projet, dans laquelle vous pouvez les modifier et les organiser graphiquement ou numériquement. Vous pouvez ajouter des effets aux séquences individuelles ou au projet global en utilisant les effets inclus ou les modules Audio Unit installés sur votre ordinateur. Vous pouvez modifier les pauses entre les pistes et ajouter des fondus entrants, sortants et enchaî- nés. Une fois votre projet terminé, vous pouvez le graver sur un CD.8 Préface Introduction à WaveBurner Création d’un CD avec WaveBurner WaveBurner facilite la création de CD audio de qualité professionnelle, de façon très simple. La rubrique suivante détaille le flux de travaux impliqué dans un projet WaveBurner typique. Étape 1 : Ajoutez des fichiers audio Vous commencez par créer un projet et par y ajouter des fichiers audio. Lorsque vous ajoutez un fichier audio, celui-ci est importé sous forme de séquence que vous pouvez trier et modifier dans la zone Vue onde et la liste Séquence. Une piste est créée pour chaque nouvelle région. Vous pouvez la modifier dans la zone Vue onde et dans la liste Piste. Étape 2 : Modifiez les séquences et les pistes Vous pouvez modifier les séquences et les pistes de différentes façons : graphiquement dans la zone Vue onde ou numériquement dans les listes Séquence et Piste. Vous pouvez copier, réorganiser, diviser et normaliser les séquences, ainsi que régler leur gain ou leur appliquer un Trim. Vous pouvez également combiner plusieurs séquences en une seule piste ou créer plusieurs pistes avec une seule séquence. À mesure que vous travaillez, vous pouvez lire tout ou partie du projet afin d’écouter immédiatement le résultat de vos changements. Étape 3 : Ajustez les fondus enchaînés Lorsque vous ajoutez une séquence, WaveBurner crée une piste et ajoute des marqueurs de piste pour définir la pause entre les pistes. Vous pouvez créer des fondus enchaînés entre les séquences superposées et ajuster les fondus enchaînés dans la zone Vue onde. Vous pouvez aussi insérer des marqueurs d’index pour créer des points d’index sur une piste. Étape 4 : Ajoutez des effets Vous pouvez ajouter des effets aux séquences individuelles et au mixage du projet global afin d’amplifier et de mettre en forme le son. Un ensemble d’effets de mastérisation de qualité professionnelle est livré avec WaveBurner, y compris l’égalisation (EQ), la compression, la limitation et la réduction du bruit, ainsi que des outils d’analyse qui vous aideront à optimiser le mixage global. Vous pouvez ajuster les paramètres des effets, ainsi qu’enregistrer et réutiliser les réglages, y compris les chaînes d’effets et leurs réglages. Vous pouvez également utiliser des modules d’effet Audio Unit d’Apple ou de fabricants tiers. Étape 5 : Gravez le projet sur CD Vous gravez votre projet à l’aide d’un matériel de gravure de CD pris en charge qui est connecté à (ou installé sur) votre Macintosh. Avant de graver le projet sur un CD, vous pouvez utiliser le mode Test de gravure pour déterminer la vitesse maximale à laquelle votre système peut écrire les données de façon fiable sur un CD-R.Préface Introduction à WaveBurner 9 Présentation Vous pouvez graver rapidement un CD en utilisant des fichiers audio et des réglages par défaut pour les pauses et les fondus enchaînés. Pour graver rapidement un CD : 1 Ouvrez WaveBurner. 2 Choisissez Fichier > Nouveau pour créer un projet. 3 Faites glisser les fichiers audio souhaités vers la liste Séquence ou la zone Vue onde dans l’ordre dans lequel vous souhaitez les voir apparaître sur le CD. 4 Cliquez sur le bouton Graver. La zone de dialogue Graver s’affiche dans la partie supérieure de la fenêtre. Le nom du graveur de CD s’affiche dans la zone de dialogue Graver. Si le plateau du graveur de CD ne contient aucun disque vierge, la zone de dialogue Graver vous invite à en insérer un. 5 Insérez un CD-R vierge, si vous ne l’avez pas déjà fait. 6 Dans la zone de dialogue Graver, cliquez sur le bouton Graver. WaveBurner lance immédiatement la gravure (l’écriture) de votre projet sur le CD vierge. La zone de dialogue Graver affiche la progression du processus de gravure. Lorsque le processus d’écriture est terminé, le CD est éjecté du graveur et prêt à être lu.1 11 1 Interface WaveBurner La création de projets s’effectue dans la fenêtre principale de WaveBurner. Vous pouvez ajouter des séquences à votre projet et les organiser, modifier graphiquement séquences, pauses et fondus enchaînés, lire le projet pour visionner un aperçu de vos modifications et ajouter des modules d’effets dans la fenêtre WaveBurner. L’interface WaveBurner se compose des principales zones suivantes :  Barre d’outils personnalisable avec compteur (si visible) : vous pouvez personnaliser la barre d’outils en y ajoutant un compteur et des boutons pour les commandes les plus fréquemment utilisées. Reportez-vous à la rubrique « Personnalisation de la barre d’outils » à la page 23 pour de plus amples informations.  Vue d’ensemble : affiche le plan de montage de tout le projet, y compris l’ensemble des séquences. Barre d’outils personnalisable Vue d’ensemble Zone Vue onde Liste des séquences Liste des pistes Listes Modules de séquences et Modules de mixage Champ Durée, piste et index12 Chapitre 1 Interface WaveBurner  Zone Vue onde : affiche les séquences par ordre de durée. Vous pouvez modifier graphiquement séquences, marqueurs de piste, pauses et fondus enchaînés dans la zone Vue onde.  Champ Durée, piste et index : affiche le numéro de la piste en cours, son numéro d’index et l’emplacement de la ligne de position.  Liste des séquences : répertorie les séquences par ordre chronologique. La liste des séquences vous permet d’ajouter des séquences et de les organiser.  Liste des pistes : répertorie les pistes dans l’ordre dans lequel elles apparaîtront sur le CD et affiche les informations relatives à chaque piste.  Listes Modules de séquences et Modules de mixage : permet d’ajouter des modules d’effets et de régler les paramètres de ces modules. Remarque : vous pouvez librement ajuster la taille relative de chaque rubrique de l’interface WaveBurner en cliquant sur les lignes parallèles aux extrémités des différents panneaux et en les faisant glisser. Les bordures verticales peuvent être déplacées horizontalement, les bordures horizontales verticalement. Barre d’outils La barre d’outils de WaveBurner est personnalisable (reportez-vous à la rubrique « Personnalisation de la barre d’outils » à la page 23). Elle contient un certain nombre d’outils par défaut, parmi lesquels les boutons Importer, Contrôler l’écrêtage du disque, Normaliser séq., Graver, Bounce projet, Notes de mastérisation, Texte du CD et Données de la séquence. Elle peut également disposer d’un compteur. Compteur Le champ Piste du Compteur affiche le numéro de la piste et, à droite, le marqueur d’index. L’emplacement actuel de la ligne de position est indiqué en minutes et secondes dans le champ Durée. Le compteur se met à jour en temps réel à mesure qu’un projet est lu. Il est conçu pour émuler l’affichage d’un lecteur CD. Un affichage plus précis est disponible dans la règle temporelle. Remarque : les informations affichées dans le compteur sont également visibles dans les champs Durée, Piste et Index, en dessous de la zone Vue onde, ce qui vous permet de ne pas afficher le compteur si vous le souhaitez.Chapitre 1 Interface WaveBurner 13 Vue d’ensemble La Vue d’ensemble affiche la durée intégrale du projet. Un rectangle rouge dans la vue d’ensemble indique la partie du projet actuellement visible dans la zone Vue onde. Vous pouvez accéder à une autre partie du projet tout en effectuant un zoom avant ou arrière sur la zone Vue onde, en faisant glisser le rectangle horizontalement (pour le déplacer) ou verticalement (pour zoomer dessus). Zone Vue onde La zone Vue onde constitue l’espace de travail principal pour vos projets. Elle permet de visualiser et de modifier graphiquement les séquences et les marqueurs. Les séquences sont classées en alternance, entre la première et la dernière ligne de la zone Vue onde. Fonctionnellement parlant, ces deux lignes sont identiques ; il n’en existe que deux afin de simplifier l’édition des séquences qui se chevauchent. Chaque séquence est affichée sous la forme d’un rectangle vert, contenant une forme d’onde. Chaque séquence est également associée à une ligne de niveau de volume, que vous pouvez ajuster. Les marqueurs de début de piste sont identifiés par des balises violettes, les marqueurs d’index par des balises marron. Commande Zoom sur la forme d’onde verticale Règle temporelle Barre de marqueur Ligne de position Boutons du mode d’édition Boutons de marqueurs Commandes de navigation Champs Durée, Piste et Index Barre de marqueur Commande Zoom horizontal Règle temporelle Ligne de position14 Chapitre 1 Interface WaveBurner La zone Vue onde est constituée des éléments suivants :  Barres de marqueurs : ces barres, situées en haut et en bas de la zone Vue onde, permettent d’ajouter et de trier les marqueurs.  Règles temporelles : ces règles affichent les unités temporelles, ce qui vous permet de placer précisément des séquences et des transitions à des emplacements bien spécifiques. Si vous cliquez sur le bouton fléché à droite de la commande Zoom, un menu s’affiche, à partir duquel vous pouvez modifier le format des règles temporelles. Vous pouvez également accéder à ce menu en cliquant sur les règles avec le bouton droit de la souris ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée. Si vous activez l’option Durée de la piste du CD dans le menu, les règles temporelles affichent la durée de la piste (et non celle du disque entier).  Ligne de position : affiche la position actuelle dans le temps (si le projet est en cours de lecture) ou le point de départ de la lecture (si le projet est arrêté).  Boutons de navigation : ces boutons permettent de contrôler la lecture, de l’arrêter, d’utiliser les fonctions d’avance et de rembobinage et de contrôler l’emplacement de la ligne de position.  Boutons du mode d’édition : cliquez sur un de ces boutons pour choisir l’un des modes de pointeur d’édition, afin d’effectuer diverses tâches d’édition des séquences dans la zone Vue onde. Appuyez sur Commande pour passer d’un mode de pointeur d’édition à l’autre.  Boutons de marqueurs : cliquez sur un de ces boutons pour sélectionner l’un des types de marqueurs, pour ensuite l’ajouter à la barre de marqueurs. Appuyez sur Commande pour passer d’un mode de pointeur d’édition à l’autre.  Champs Durée, Piste et Index : ces champs indiquent l’emplacement actuel de la ligne de position, la piste en cours et le point d’index actif (si le projet contient des marqueurs d’index). Ces informations sont les mêmes que celles affichées dans le Compteur, ce qui vous permet de masquer ce dernier si vous le souhaitez. Si vous cliquez sur l’icône repré- sentant une horloge (en regard du champ Durée), cela ouvre un menu à partir duquel vous pouvez opter pour l’un des formats de durée suivants : Temps écoulé de la piste, Temps restant de la piste, Temps écoulé du disque, Temps restant du disque.  Commande Zoom sur la forme d’onde verticale : cliquez sur cette commande pour définir le niveau de zoom appliqué sur l’écran de la forme d’onde verticale.  Commande Zoom horizontal : cliquez sur cette commande pour faire glisser le curseur et effectuer un zoom avant ou arrière.  Barre de défilement : faites glisser cette barre pour changer la zone visible du projet. Cliquez sur les boutons Défilement du zoom aux extrémités de la barre de défilement pour effectuer un zoom avant ou arrière sur l’écran afin de l’adapter à la taille de la fenêtre.Chapitre 1 Interface WaveBurner 15 Liste des séquences La liste des séquences vous permet d’ajouter des séquences à vos projets et de les organiser. Les séquences sont classées par ordre chronologique (en fonction de leur durée), de haut en bas. Lorsque vous sélectionnez une séquence dans la liste, elle est également sélectionnée dans la zone Vue onde. Si vous cliquez sur l’icône de fichier audio dans la première colonne tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé, vous pouvez réorganiser les séquences en les faisant glisser vers le haut ou vers le bas. Si vous faites glisser un nom de séquence en maintenant la touche Option enfoncée, vous obtenez une copie de la séquence. La liste des séquences affiche les informations suivantes concernant chaque séquence et ses points de marqueur :  Numéro  Heure de début  Titre  Durée  Commentaire Le menu fléché disponible en haut à droite de la liste de séquences vous permet de modifier le format de durée. Vous pouvez également déterminer si la durée des marqueurs doit être affichée sous forme de valeurs absolues (temps écoulé depuis le début du CD) ou de valeurs relatives (temps écoulé depuis le début de la piste). Vous pouvez librement changer la disposition des colonnes en cliquant sur le champ du nom d’une colonne, en maintenant le bouton de la souris enfoncé et en faisant glisser le champ vers la gauche ou vers la droite. Pour redimensionner la largeur des colonnes, cliquez sur les lignes verticales qui séparent les champs des noms de colonne et faites-les glisser. Si vous cliquez sur la ligne verticale entre la liste des séquences et la liste des pistes et que vous la faites glisser, cela vous permet de régler la largeur de la liste des séquences en affichant ou en masquant certaines colonnes. 16 Chapitre 1 Interface WaveBurner Liste des pistes La liste des pistes présente l’ordre des pistes tel qu’il apparaît sur le CD et affiche des informations concernant chaque piste. La liste des pistes contient les informations suivantes concernant chaque piste et ses points de marqueur :  Numéro  Heure de début  Titre  Durée  État de protection de la copie (SCMS)  État de préaccentuation (PE)  Code ISRC  Heure de début de la pause  Commentaires Le menu fléché disponible en haut à droite de la liste de pistes vous permet de modifier le format de durée. Vous pouvez également déterminer si la durée des marqueurs doit être affichée sous forme de valeurs absolues (temps écoulé depuis le début du CD) ou de valeurs relatives (temps écoulé depuis le début de la piste). Vous pouvez librement changer la disposition des colonnes en cliquant sur le champ du nom d’une colonne, en maintenant le bouton de la souris enfoncé et en faisant glisser le champ vers la gauche ou vers la droite. Pour redimensionner la largeur des colonnes, cliquez sur les lignes verticales qui séparent les champs des noms de colonne et faites-les glisser. Si vous cliquez sur la ligne verticale entre la liste des séquences et la liste des pistes et que vous la faites glisser, cela vous permet de régler la largeur de la liste des pistes en affichant ou en masquant certaines colonnes. Chapitre 1 Interface WaveBurner 17 Listes Modules de séquences et Modules de mixage Vous pouvez ajouter et organiser les différents modules dans les deux listes Modules. La liste Modules de séquences contient les modules associés à la séquence actuellement sélectionnée. wwLa liste Modules de mixage contient les modules utilisés pour l’ensemble du projet. Cliquez sur l’onglet correspondant pour sélectionner l’une des deux listes. Le menu Ajouter un module vous permet de charger un module. Cliquez sur le menu et accédez au nom du module souhaité. Cliquez sur le nom pour ajouter le module à la liste, en dessous des modules existants, le cas échéant. Le menu Chaîne de modules vous permet de charger et de configurer des chaînes de modules. Fenêtre de module Chaque module d’effet possède sa propre fenêtre, par le biais de laquelle vous pouvez ajuster les paramètres du module en question. Les contrôles disponibles sont notamment des curseurs, des boutons et des champs de valeurs, chacun étant libellé de façon à indiquer le paramètre contrôlé. Pour obtenir des informations sur les modules d’effet fournis avec WaveBurner, reportez-vous au Guide des effets et des instruments Logic Studio . Pour ouvrir la fenêtre d’un module : m Double-cliquez sur le nom du module dans la liste Modules de séquences ou Modules de mixage.18 Chapitre 1 Interface WaveBurner Fenêtre Données de la séquence La fenêtre Données de la séquence vous permet d’afficher et de modifier les informations relatives à la séquence actuellement sélectionnée et au fichier audio source associé. Pour afficher la fenêtre Données de la séquence, effectuez l’une des opérations suivantes :  Sélectionnez une séquence, puis cliquez sur Séquence > Données de la séquence (ou appuyez sur Commande + R).  Double-cliquez sur la séquence souhaitée. Les boutons Précédent et Suivant vous permettent de passer à la séquence précédente ou suivante de la liste. Cela permet d’accélérer le processus d’édition d’un paramètre donné au sein de plusieurs séquences. Les boutons Annuler et OK permettent d’annuler ou d’exécuter les modifications apportées dans la fenêtre Données de la séquence. Remarque : le bouton Annuler ne fonctionne que pour la séquence actuellement sélectionnée : si vous avez modifié une séquence, utilisé le bouton Précédent ou Suivant pour passer à une autre séquence, puis cliqué sur Annuler, seules les modifications apportées à la séquence actuellement affichée seront annulées. Onglet Général L’onglet Général de la fenêtre Données de la séquence contient les informations suivantes :  Nom de la séquence : double-cliquez et saisissez un nouveau nom pour modifier cette valeur.  Durée  Écart avec séquence précédente : durée du blanc entre le début de la séquence sélectionnée et la fin de la séquence précédente. Une valeur négative fait référence à des séquences qui se chevauchent, c’est-à-dire qu’une séquence donnée commence avant la fin de la séquence précédente. Chapitre 1 Interface WaveBurner 19  Début du Trim et Fin du Trim : ces deux valeurs indiquent les points au niveau desquels la séquence commence (après le début du fichier audio) et finit (avant la fin du fichier audio). Dès lors que la séquence couvre l’intégralité du fichier audio, les paramètres Début du Trim et Fin du Trim ont une valeur égale à 0.  Gain à gauche et Gain à droite : ces champs indiquent les paramètres de gain pour les canaux audio de gauche et de droite. Pour les ajuster, cliquez sur les flèches de chaque côté de la valeur numérique en maintenant le bouton de la souris enfoncé ou doublecliquez directement sur la valeur et saisissez-en une nouvelle.  Position et niveau du pic de la séquence : indique la position (par rapport au début de la séquence, pas du fichier audio) et le niveau du pic audio le plus élevé de la séquence. Les éventuels changements de volume effectués dans WaveBurner (à l’aide de l’enveloppe de volume de la séquence, par exemple) ne sont pas pris en compte. Onglet Fichier audio L’onglet Fichier audio de la fenêtre Données de la séquence affiche les informations suivantes concernant le fichier audio source de la séquence.  Format du fichier audio, notamment la profondeur et la disposition des bits, la fréquence d’échantillonnage et le type de fichier.  Durée et taille du fichier.  Dates de création et de modification.  Position et niveau du pic.  Emplacement du fichier audio sur le disque. Utilisez le bouton « Afficher dans le Finder » pour afficher le fichier dans le Finder.20 Chapitre 1 Interface WaveBurner Onglet Fondus L’onglet Fondus de la fenêtre Données de la séquence vous permet de consulter et d’éditer les informations de fondu suivantes pour les options Fondu entrant (en haut) et Fondu sortant (en bas) de la séquence.  Menu Fondu entrant et Fondu sortant : cliquez sur ce menu pour choisir un type de fondu. Les options sont Pas de fondu, Disponible, Courbe en S et Concave/Convexe. Cliquez sur le bouton Définir courbe linéaire pour réinitialiser les courbes de fondu en une courbe linéaire (ligne droite).  Durée du fondu : cliquez sur cette option pour indiquer la durée souhaitée pour le fondu.  Forme : si un type de courbe de fondu autre que Disponible est sélectionné, le paramètre Forme vous permet de modifier les points de la courbe de fondu. Des valeurs de forme peu élevées produisent une courbe peu profonde (la valeur zéro équivaut à une ligne droite).  Coordonnées x/y des points de la courbe : indique les positions des points sur l’enveloppe de la courbe de fondu, telles qu’elles sont visibles dans la zone Vue onde. Si le type de courbe est défini sur Disponible, vous pouvez modifier les coordonnées des points de la courbe manuellement dans les champs de valeurs. Onglet Commentaires L’onglet Commentaires de la fenêtre Données de la séquence vous permet d’ajouter des remarques et des informations concernant une séquence.Chapitre 1 Interface WaveBurner 21 Fenêtre Données de la piste La fenêtre Données de la piste vous permet de consulter et de modifier les informations relatives à la piste sélectionnée (dans la liste des pistes). Pour afficher la fenêtre Données des pistes du CD, effectuez l’une des opérations suivantes : m Sélectionnez une piste dans la liste de pistes, puis cliquez sur Disque > Données des pistes du CD (ou appuyez sur Commande + T). m Cliquez sur le marqueur de début de la piste, puis sélectionnez Disque > Données de la piste (ou appuyez sur Commande + T). m Double-cliquez sur le marqueur de début de la piste. Les boutons Précédent et Suivant vous permettent de passer à la piste précédente ou suivante de la liste. Cela permet d’accélérer le processus d’édition d’un paramètre donné au sein de plusieurs pistes. Les boutons Annuler et OK permettent d’annuler ou d’exécuter les modifications apportées dans la fenêtre Données de la piste. Onglet Général L’onglet Général de la fenêtre Données de la piste vous permet de consulter ou de modifier les informations suivantes :  Numéro de piste  Titre  Durée de la pause : temps écoulé avant que la piste ne commence.  Heure de début : heure de début de la piste telle qu’elle apparaîtra sur le CD.  Durée de la piste  Code ISRC  SCMS (Serial Copy Management System)  Pré-accentuation22 Chapitre 1 Interface WaveBurner Onglet Texte du CD L’onglet Texte du CD de la fenêtre Données de la piste vous permet de consulter ou de modifier les informations suivantes :  Numéro de piste  Titre  Interprète  Parolier  Compositeur  Arrangeur  Message Remarque : le texte du CD peut être écrit sur votre disque uniquement si votre graveur de CD prend en charge l’option Texte du CD et si l’option Écrire les données du texte du CD est cochée dans WaveBurner > Préférences > Graver. Seuls les lecteurs de CD compatibles avec l’option Texte du CD affichent le texte en question. Onglet Commentaires L’onglet Commentaires de la fenêtre Données de la piste vous permet d’ajouter des remarques et des informations concernant une piste, à des fins de gestion. Ces commentaires n’apparaîtront pas sur le CD. Fenêtre Données du point d’index La fenêtre Données du point d’index permet de consulter ou de modifier les informations relatives au point d’index actuellement sélectionné. Pour afficher la fenêtre Données du point d’index : m Sélectionnez le marqueur d’index souhaité, puis cliquez sur Disque > Données du point d’index (ou appuyez sur Commande + I). m Double-cliquez sur le marqueur d’index souhaité. Les boutons Précédent et Suivant vous permettent de passer aux points d’index précé- dents ou suivants. Chapitre 1 Interface WaveBurner 23 Les boutons Annuler et OK permettent d’annuler ou d’exécuter les modifications apportées dans la fenêtre Données du point d’index. L’onglet Général de la fenêtre Données du point d’index contient les informations suivantes :  Nom du point d’index  Numéro de piste  Numéro du point d’index  Position (du point d’index) par rapport à la piste  Position (du point d’index) par rapport au disque L’onglet Commentaires vous permet de saisir des remarques concernant le point d’index sélectionné. VU-mètre La fenêtre VU-mètre affiche le niveau de volume des canaux de gauche et de droite de votre projet, et ce en temps réel, au fur et à mesure de la lecture du projet. Pour afficher la fenêtre VU-mètre : m Cliquez sur Fenêtre > Ouvrir le VU-mètre (ou appuyez sur Commande + L). Personnalisation de la barre d’outils Vous pouvez personnaliser la barre d’outils de WaveBurner en y ajoutant des boutons pour les commandes que vous utilisez le plus. Pour personnaliser la barre d’outils de WaveBurner : 1 Cliquez sur la barre d’outils tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée (ou cliquez avec le bouton droit si vous possédez une souris à deux boutons), puis sélectionnez Personnaliser la barre d’outils dans le menu contextuel. 2 Faites glisser les boutons souhaités de la boîte de dialogue Personnaliser la barre d’outils vers une zone vide de la barre d’outils. Si vous faites glisser un bouton entre deux boutons existants, les boutons sont écartés afin de faire de la place au nouveau bouton. 3 Lorsque vous avez fini, cliquez sur Terminé.24 Chapitre 1 Interface WaveBurner Remarque : vous pouvez également faire glisser l’intégralité du « jeu par défaut » situé au bas de la boîte de dialogue Personnaliser la barre d’outils si les personnalisations apportées ne vous conviennent pas. Pour supprimer un élément de la barre d’outils : m Cliquez sur l’icône souhaitée tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée (ou cliquez avec le bouton droit si vous possédez une souris à deux boutons), puis sélectionnez Supprimer l’élément dans le menu. Le menu contextuel et le menu Afficher de la boîte de dialogue vous permettent de visualiser les éléments de la barre d’outils sous la forme Icône et texte, Icône seulement ou Texte seulement.2 25 2 Premiers contacts avec WaveBurner Vous assemblez des CD dans un projet WaveBurner. Un projet contient des séquences audio et des pistes de CD qui sont créées lorsque vous ajoutez des fichiers audio. L’ensemble des modifications apportées aux séquences et aux pistes, des modules d’effet et des marqueurs de piste et d’index est contenu dans le projet. Un projet peut également inclure des informations sur le texte du CD, le disque et la mastérisation. Les projets n’incluent les fichiers audio originaux, uniquement les références aux emplacements des fichiers sur le disque dur de votre ordinateur. Cela permet de limiter la taille du fichier du projet. Les fichiers audio originaux ne sont pas modifiés lorsque vous apportez des modifications dans WaveBurner. Remarque : si vous effectuez un bounce de votre projet, WaveBurner calcule le projet complet hors ligne et de le restituer sous la forme d’un fichier audio continu. Le fichier bounce est en fait un paquet Mac OS X qui contient un fichier audio continu, les données du document et les informations de mastérisation. Éléments d’un projet Les éléments principaux d’un projet WaveBurner sont les fichiers audio, les séquences et les pistes.  Fichiers audio : les fichiers audio constituent le matériel source des séquences de vos projets.  Séquences : lorsque vous ajoutez un fichier audio à un projet, une séquence est créée. Celle-ci peut inclure la totalité d’un fichier audio source ou une rubrique continue. Lorsque vous modifiez une séquence dans la zone Vue onde ou la liste Séquence, les modifications affectent uniquement la séquence et non le fichier audio source.  Pistes : les pistes sont les sélections individuelles d’un CD, qu’une personne choisit à l’aide du numéro de piste ou des boutons précédent/suivant du lecteur CD. Elles peuvent inclure plusieurs séquences et une séquence peut comporter plusieurs pistes.26 Chapitre 2 Premiers contacts avec WaveBurner Création, ouverture et enregistrement de projets La première étape pour élaborer un CD dans WaveBurner consiste à créer un projet. Pour créer un nouveau projet : m Choisissez Fichier > Nouveau (ou appuyez sur les touches Commande + N). Un nouveau projet vide et sans nom apparaît. Vous pouvez lui donner un nom lorsque vous l’enregistrez pour la première fois. ? Astuce : faites glisser les fichiers audio vers l’icône WaveBurner dans le Finder ou le Dock pour créer un projet. Les fichiers audio sont automatiquement ajoutés au nouveau projet. Pour ouvrir un projet existant : 1 Choisissez Fichier > Ouvrir (ou appuyez sur les touches Commande + O). 2 Recherchez et sélectionnez le projet dans la zone de dialogue Ouvrir, puis cliquez sur Ouvrir. Remarque : vous pouvez ouvrir d’anciens documents WB 2 (Mac OS 9) dans WaveBurner 1.5. Lorsque vous ouvrez ce type de document, son format est converti au format WaveBurner 1.5. Lorsque vous enregistrez ce document pour la première fois, une zone de dialogue du sélecteur de fichiers s’ouvre pour que l’ancien document ne soit pas automatiquement écrasé. Une fois enregistré au format WB 1.5, un document ne peut plus être ouvert dans les versions antérieures à 1.1. Pour enregistrer un projet : m Choisissez Fichier > Enregistrer (ou appuyez sur les touches Commande + S). Remarque : vous pouvez définir des préférences pour différents aspects de WaveBurner dans la fenêtre Préférences. Certaines préférences s’appliquent au projet en cours, d’autres aux nouveaux projets. Avant de commencer à travailler sur vos projets, vous avez la possibilité de spécifier des préférences. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Définition des préférences dans WaveBurner » à la page 61. Ajout de fichiers audio à un projet WaveBurner prend en charge les formats de fichiers audio suivants :  AIFF  WAV  SDII  AAC  MP3 Les fichiers audio peuvent être de type mono, stéréo séparée ou stéréo entrelacée et utiliser n’importe quelle combinaison parmi les fréquences d’échantillonnage et les profondeurs de bits suivantes :  Toutes les fréquences d’échantillonnage comprises entre 11 kHz et 192 kHz  Profondeurs de bits de 8, 16 et 24Chapitre 2 Premiers contacts avec WaveBurner 27 Pour ajouter un ou plusieurs fichiers audio à un projet, procédez de l’une des façons suivantes : m Faites glisser les fichiers audio du Finder vers la liste Séquence ou la zone Vue onde. m Faites glisser les fichiers audio vers l’icône WaveBurner dans le Finder ou le Dock. Les fichiers sont insérés à la fin du projet. m Choisissez Fichier > Importer fichier audio (ou appuyez sur les touches Commande + F), sélectionnez les fichiers audio que vous souhaitez utiliser, puis cliquez sur Ajouter. m Cliquez sur le bouton Importer dans le coin supérieur gauche de la liste Séquence, puis choisissez le fichier audio dans le sélecteur de fichiers. Gestion des noms dans WaveBurner Il existe quatre types de nom dans WaveBurner : le nom du fichier, le nom de la séquence, le nom de la piste et le nom du titre de la piste du texte du CD. Vous pouvez constater une connexion entre le titre de la piste affiché dans la liste Piste et le panneau de titre des pistes du texte du CD dans la fenêtre Infos de piste. Il s’agit d’entités séparées, car vous pouvez choisir de disposer d’une autre entrée pour le texte du CD, affiché sur les lecteurs CD appropriés. Par exemple, vous pouvez choisir d’établir une distinction entre une version enregistrée en public (concert) et une version studio pour une piste particulière. Audition de projets et contrôle de la lecture Lorsque vous travaillez sur un projet, vous souhaitez pouvoir écouter les séquences, les pistes, les pauses et les fondus enchaînés. Vous pouvez contrôler la lecture d’un projet avec les boutons Transport ou en déplaçant la ligne de position. Utilisation des boutons Transport Vous pouvez contrôler la lecture du projet et définir l’emplacement de la ligne de position à l’aide des boutons Transport situés dans la partie inférieure de la zone Vue onde, au centre. Les boutons Transport sont les suivants, de gauche à droite :  Aller au marqueur de début de piste précédent : déplace la ligne de position vers le marqueur de début de piste précédent. Si le projet est en cours de lecture, celle-ci continue à partir de ce point. Maintenez la touche Option enfoncée tout en cliquant sur ce bouton pour déplacer la ligne de position vers le marqueur d’index précédent. 28 Chapitre 2 Premiers contacts avec WaveBurner  Aller au marqueur de début de piste suivant : définit la ligne de position vers le marqueur de début de piste suivant. Si le projet est en cours de lecture, celle-ci continue à partir de ce point. Maintenez la touche Option enfoncée tout en cliquant sur ce bouton pour déplacer la ligne de position vers le marqueur d’index suivant.  Capture : active ou désactive le mode Capture. Lorsque le mode Capture est activé, la partie visible de la zone Vue onde défile, garantissant ainsi que la ligne de position reste toujours visible.  Lecture/Pause : démarre la lecture à partir de l’emplacement de la ligne de position.  Arrêt : interrompt la lecture.  Précédent : retourne au début du projet (au moment où l’audio est diffusé). Cliquez sur le bouton à utiliser et maintenez-le enfoncé.  Avance : va à la fin du projet (au moment où l’audio est diffusé). Cliquez sur le bouton à utiliser et maintenez-le enfoncé. Pour lancer la lecture, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur le bouton Lecture dans Transport (ou appuyez sur la barre d’espace). m Double-cliquez sur l’une des règles de temps pour lancer la lecture à partir de ce point. Pour arrêter la lecture, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur le bouton Arrêt dans Transport (ou appuyez sur la barre d’espace). Si vous appuyez une seconde fois sur le bouton Arrêt (ou sur la barre d’espace), la ligne de position se déplace au début du projet. m Double-cliquez sur l’une des règles de temps pour arrêter la lecture et déplacer la ligne de position vers l’emplacement cliqué. Déplacement de la ligne de position Vous pouvez directement déplacer la ligne de position vers n’importe quel emplacement. Pour déplacer la ligne de position, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez une fois sur le point vers lequel vous souhaitez déplacer la ligne de position sur l’une des règles de temps. m Faites glisser la ligne de position vers le point voulu. En sélectionnant une séquence, une piste ou un marqueur dans la liste Piste ou Séquence, vous définissez la position de lecture au début de cette séquence, de cette piste ou de ce marqueur. Lecture en boucle Vous pouvez réaliser des boucles (cycles) avec une section de votre projet, pour qu’elle soit lue de façon répétée. Cette opération peut s’avérer utile lorsque vous modifiez une partie du montage du projet et que vous souhaitez entendre les résultats de vos changements en temps réel. Vous pouvez lancer une lecture en boucle en définissant une zone de lecture en boucle dans l’une ou l’autre des règles de temps.Chapitre 2 Premiers contacts avec WaveBurner 29 Pour définir une zone de lecture en boucle : m Dans l’une des règles de temps, effectuez le glissement depuis la position de départ souhaitée de la boucle vers le point d’arrêt de votre choix. En cliquant sur les poignées de la zone de lecture en boucle et en les faisant glisser, vous pouvez redimensionner une zone de lecture en boucle existante. Pour supprimer la zone de lecture en boucle : m Cliquez à n’importe quel endroit situé hors de la zone de lecture en boucle actuelle dans la règle de temps. Notez que cette opération déplace la ligne de position vers le point cliqué. Navigation dans la zone Vue onde La navigation dans la zone Vue onde s’effectue à l’aide des commandes de zoom et de la barre de défilement. Vous pouvez également vous déplacer vers différentes parties de la zone Vue onde en utilisant le rectangle de la vue d’ensemble. Vous pouvez effectuer un zoom avant afin de réaliser des modifications précises ou effectuer un zoom arrière pour afficher une plus grande partie de votre projet. Le curseur de commande de zoom utilise une échelle graduée. Un déplacement du curseur vers la gauche ou un clic sur la partie gauche de l’échelle entraînent un zoom avant, permettant d’obtenir une vue agrandie d’une section de la Vue onde. Un déplacement du curseur vers la droite ou un clic sur la partie droite de l’échelle entraînent un zoom arrière, permettant d’obtenir une vue plus large. Vous pouvez également effectuer un zoom avant ou arrière à l’aide des commandes de menu, en cliquant sur les boutons Défilement du zoom et en les faisant glisser, ou en effectuant un glissement vertical dans le rectangle de vue d’ensemble. Pour effectuer un zoom avant, effectuez l’une des opérations suivantes : m Faites glisser le curseur du zoom vers la gauche. m Cliquez sur la partie gauche de la commande de zoom. m Choisissez Vue > Zoom avant (ou appuyez sur la touche Flèche vers le bas). m Cliquez et faites glisser vers le bas dans le rectangle rouge de la vue d’ensemble. m Réduisez la barre de défilement en cliquant sur les boutons Défilement du zoom et en les faisant glisser vers l’une des extrémités de la barre de défilement. Un clic sur les boutons Défilement du zoom en appuyant sur la touche Maj et en les faisant glisser vous permet d’effectuer un zoom avant sur un côté (d’une forme d’onde). m Faites défiler la molette de la souris vers le bas. Vous pouvez également choisir Vue > Zoom avant maximum (ou appuyer sur les touches Option + Flèche vers le bas) pour définir l’affichage au niveau de zoom le plus élevé.30 Chapitre 2 Premiers contacts avec WaveBurner Pour effectuer un zoom arrière, effectuez l’une des opérations suivantes : m Faites glisser le curseur du zoom vers la droite. m Cliquez sur la partie droite de la commande de zoom. m Choisissez Vue > Zoom arrière (ou appuyez sur la touche Flèche vers le haut). m Cliquez et faites glisser vers le haut dans le rectangle rouge de la vue d’ensemble. m Agrandissez la barre de défilement en cliquant sur les boutons Défilement du zoom et en les faisant glisser vers l’une des extrémités de la barre de défilement. Un clic sur les boutons Défilement du zoom en appuyant sur la touche Maj et en les faisant glisser vous permet d’effectuer un zoom arrière sur un côté (d’une forme d’onde). m Faites défiler la molette de la souris vers le haut. Vous pouvez aussi choisir Vue > Zoom arrière maximum (ou appuyer sur les touches Option + Flèche vers le haut) pour afficher au maximum votre projet dans la zone Vue onde. Remarque : l’activation de l’option WaveBurner > Préférences > Général > Zoom vers la ligne de position garantit que la ligne de position reste centrée dans la zone Vue onde au moment du zoom. Vous pouvez naviguer vers différentes parties de votre projet en faisant glisser la barre de défilement horizontale ou le rectangle rouge de la vue d’ensemble, vers la gauche ou vers la droite. Vous pouvez également utiliser plusieurs raccourcis clavier de transport. Consultez la rubrique « Exploitation des transports » à la page 68.3 31 3 Utilisation des séquences Les séquences constituent les éléments de base de vos projets WaveBurner. Elles peuvent inclure la totalité d’un fichier audio source ou une section continue. Les changements que vous apportez à une séquence ne modifient pas le fichier audio source. Vous pouvez donc toujours revenir à l’état d’origine du fichier. Lorsque vous ajoutez un fichier audio à un projet, une séquence est créée. Cette nouvelle séquence apparaît dans la zone Vue onde et dans la liste Séquence. Les séquences sont affichées par ordre chronologique dans la zone Vue onde, de gauche à droite. Elles sont affichées en alternance dans la moitié supérieure ou inférieure de la zone Vue onde, ce qui permet de voir plus facilement les zones superposées entre deux séquences. Elles sont affichées par ordre chronologique, de haut en bas, dans la liste Séquence. Une fois qu’une séquence est ajoutée au projet, un marqueur de début de piste lui est automatiquement attribué. Ce dernier contient le numéro de la piste affiché par le lecteur CD lors de la lecture. Ce marqueur de début de piste est reflété par une piste nouvellement créée qui utilise la nouvelle séquence et apparaît dans la liste Piste. Vous pouvez modifier les séquences de différentes façons. Vous pouvez copier, réorganiser et séparer les séquences, leur appliquer un Trim, ajuster leurs niveaux de volume, les normaliser, ainsi qu’y ajouter des fondus entrants, sortants et enchaînés. Sélection de séquences Vous devez sélectionner une séquence avant de la modifier. Pour sélectionner une séquence : m Cliquez sur le nom de la séquence dans la liste Séquence ou cliquez sur la forme d’onde dans la zone Vue onde. Remarque : vous pouvez sélectionner plusieurs séquences en utilisant la touche Commande ou en cliquant et en appuyant sur la touche Maj (séquences consécutives) dans les séquences souhaitées. Vous pouvez également utiliser la sélection par étirement pour les séquences consécutives. Les séquences sélectionnées apparaissent dans une couleur plus sombre dans la zone Vue onde. 32 Chapitre 3 Utilisation des séquences Copie de séquences Vous pouvez copier une séquence dans la liste Séquence. Pour copier une séquence : m Maintenez la touche Option enfoncée et faites glisser l’icône de la séquence vers le haut ou vers le bas dans la première colonne de la liste Séquence. Lors de cette opération, une ligne horizontale noire indique l’emplacement où la copie de la séquence sera placée. Réorganisation des séquences Les séquences sont affichées par ordre d’apparition dans le projet, à savoir de haut en bas dans la liste Séquence et de gauche à droite dans la zone Vue onde. Vous pouvez réorganiser les séquences dans la liste Séquence. Pour réorganiser la position des séquences : m Faites glisser l’icône de la séquence vers le haut ou vers le bas (dans la colonne de gauche de la liste Séquence). Déplacement de séquences Vous pouvez déplacer une séquence, ainsi que ses marqueurs, vers une nouvelle position d’heure en la faisant glisser vers la zone Vue onde. Pour déplacer une séquence vers une nouvelle position d’heure : m Faites glisser la séquence à gauche ou à droite dans la zone Vue onde. Lors du glissement, toutes les séquences suivantes sont également déplacées. Si vous souhaitez isoler la séquence sélectionnée, maintenez la touche Option enfoncée avant de sélectionner la séquence et de la faire glisser. Toutes les séquences suivantes conservent leurs positions. Les blancs au début et à la fin de la séquence déplacée sont modifiés en conséquence. Lorsque vous faites glisser une séquence vers la droite, la durée de la pause (intervalle entre le marqueur de début de piste et le point de départ de la pause) augmente. Lorsque vous faites glisser une séquence vers la gauche de façon à superposer la séquence précédente, la durée de la pause est définie à zéro ; en outre, des fondus sont automatiquement ajoutés à la séquence déplacée (fondu entrant) et à la séquence précédente (fondu sortant), réalisant ainsi un fondu enchaîné de la zone superposée. Vous pouvez ajuster les fondus enchaînés. Pour plus d’informations sur l’ajustement des fondus enchaînés, reportez-vous à la rubrique « Ajout et ajustement de fondus » à la page 37.Chapitre 3 Utilisation des séquences 33 Remarque : le comportement du marqueur de début de piste illustré plus haut n’est valable que lorsque vous n’avez pas modifié celui-ci manuellement (reportez-vous à la section « Positionnement automatique des marqueurs de début de piste », à la page 49.) Application de Trims aux séquences Vous appliquez un Trim à une séquence (la raccourcir) en ajustant son point de départ ou son point de fin, voire les deux. Pour appliquer un Trim à un point de départ ou de fin : 1 Déplacez le pointeur sur le bord gauche ou droit de la séquence. Le pointeur se transforme en pointeur de redimensionnement. 2 Faites glisser le bord de la séquence. Vous pouvez faire glisser le point de départ vers la droite ou le point de fin vers la gauche. Remarque : lors du glissement, un Trim est appliqué à la séquence et toutes les séquences suivantes sont déplacées, afin de conserver leurs positions relatives. Le fait d’appuyer sur la touche Option pendant l’opération de glissement vous permet d’appliquer un Trim à une séquence, sans déplacer les séquences adjacentes. Important : notez que la position absolue du matériel audio change lorsque vous appliquez un Trim au point de départ de la séquence. Le fait de modifier le point de fin d’une séquence n’a pas d’incidence sur sa position absolue. Seule la position absolue du point de fin est modifiée. Scission de séquences Vous pouvez scinder une séquence en deux séquences distinctes. Cette opération est utile si vous souhaitez supprimer une portion de séquence ou déplacer une partie de la séquence vers un autre emplacement dans le projet. Pour scinder une séquence : 1 Cliquez sur le bouton Scission (ciseaux). ? Astuce : vous pouvez également appuyer sur la touche Contrôle pour désactiver temporairement le mode d’édition. 34 Chapitre 3 Utilisation des séquences 2 Dans la zone Vue onde, cliquez sur la position de scission souhaitée dans la séquence. La séquence est scindée en deux et la partie de séquence qui suit le point de scission apparaît dans la moitié opposée (supérieure ou inférieure) de la zone Vue onde. Par défaut, un marqueur de piste est créé au début de la nouvelle séquence. Vous pouvez appuyer sur Option lors du découpage d’une séquence afin d’empêcher l’insertion du marqueur de piste. Ajustement des niveaux Une ligne horizontale, appelée enveloppe de niveau est placée sur la partie supérieure de chaque séquence dans la zone Vue onde. La ligne indique le niveau de volume de la séquence. Vous pouvez ajuster le niveau de volume de la séquence en la déplaçant vers le haut ou vers le bas. Pour ajuster le niveau d’une séquence : 1 Déplacez le pointeur sur l’enveloppe de niveau horizontale que vous voulez ajuster. Le pointeur se transforme en ligne verticale, avec des flèches pointant vers le haut et vers le bas. 2 Faites glisser l’enveloppe vers le haut ou vers le bas, jusqu’à une nouvelle valeur. Remarque : le fait d’appuyer sur la touche Option pendant le glissement vous permet de manipuler indépendamment le niveau pour chaque côté stéréo. Recherche de la présence d’écrêtage dans une séquence Vous pouvez vérifier la présence d’écrêtage dans les séquences. Pour vérifier la présence d’écrêtage dans les séquences : 1 Sélectionnez les séquences dans la zone Vue onde ou dans la liste Séquence. 2 Choisissez Séquence > Rechercher l’écrêtage dans la séquence.Chapitre 3 Utilisation des séquences 35 Après avoir terminé le processus, un historique détaillé affiche les résultats de l’analyse de l’écrêtage. Normalisation des séquences En règle générale, vous souhaitez que le niveau de volume des séquences audio soit aussi élevé que possible, sans provoquer d’écrêtage. L’opération qui consiste à faire passer une séquence au niveau maximum sans provoquer d’écrêtage est appelée normalisation. Lorsqu’une séquence est normalisée, elle est amplifiée pour que le pic du signal atteigne (mais ne dépasse pas) le niveau numérique défini (maximum : 0 dB, mais voir ci-dessous). Toutes les autres portions de la séquence sont amplifiées de la même façon, afin que la plage dynamique originale de l’enregistrement soit maintenue. Cela permet de faire en sorte que la séquence soit jouée au niveau maximum sans provoquer d’écrêtage. ? Astuce : ne choisissez pas la valeur 0 dB dans la zone de dialogue Normaliser, car cela est susceptible d’engendrer un phénomène d’écrêtage si vous souhaitez augmenter le gain de l’ensemble du signal par la suite, avec un EQ par exemple. Un autre problème est que de nombreux lecteurs CD écrêtent les signaux qui atteignent 0 dB. Il est recommandé de conserver au minimum 3 à 6 dB de « marge » pour d’autres tâches de traitement audio, telles que le mixage, et pour le traitement des effets. Pour normaliser les séquences : 1 Sélectionnez les séquences dans la liste Séquence ou dans la zone Vue onde. 2 Choisissez Séquence > Normaliser la séquence. 36 Chapitre 3 Utilisation des séquences 3 Dans la fenêtre Normaliser, définissez le niveau cible sur une valeur inférieure au niveau de pic maximal (0 dB) si vous le souhaitez. 4 Si plusieurs séquences sont sélectionnées, vous pouvez procéder d’une des deux manières suivantes :  maintenir les volumes relatifs des séquences en désactivant la case à cocher « Normaliser chaque séquence de manière individuelle » ;  les normaliser de manière individuelle (en activant l’option « Chaque piste de manière individuelle »). Bien que cette dernière option engendre des niveaux de volume plus élevés, elle peut aussi provoquer un changement dans les volumes relatifs entre les séquences.Chapitre 3 Utilisation des séquences 37 Ajout et ajustement de fondus Les fondus entrants et sortants sont fréquemment utilisés au début et à la fin des morceaux en production musicale. Les albums enregistrés commercialement utilisent souvent ces types de modifications pour créer une impression de continuité lors du passage d’une piste à l’autre. Pour ajouter un fondu : 1 Déplacez le pointeur sur la poignée de fondu située sur l’enveloppe de volume, sur le côté gauche de la séquence. Le pointeur se transforme en flèche gauche-droite. 2 Faites glisser le point de l’enveloppe vers la droite pour définir la durée du fondu. Lors du glissement, l’enveloppe se transforme pour afficher la durée du fondu. Pour ajouter un fondu sortant : 1 Déplacez le pointeur sur la poignée de fondu sortant située sur l’enveloppe de volume, sur le côté droit de la séquence. Le pointeur se transforme en flèche gauche-droite. 2 Faites glisser le point de l’enveloppe vers la gauche pour définir la durée du fondu sortant. Lors du glissement, l’enveloppe se transforme pour afficher la durée du fondu. Lorsque vous faites glisser une séquence (dans la zone Vue onde) vers une position qui se superpose à une séquence adjacente, les parties superposées des séquences réalisent aussitôt un fondu enchaîné. Un fondu sortant est automatiquement ajouté à la première séquence, et un fondu entrant est ajouté à la séquence qui suit. Remarque : cette fonction de fondu automatique s’applique uniquement si vous n’avez pas déjà créé un fondu manuellement. 38 Chapitre 3 Utilisation des séquences Pour réactiver le paramètre automatique d’un fondu modifié manuellement : 1 Déplacez la poignée de durée du fondu vers la position qui coïncide avec le début (ou la fin) de l’autre séquence superposée. 2 Lorsque le curseur se transforme en icône représentant une chaîne, libérez la poignée de durée du fondu. La fonction automatique de fondu sera rétablie. Si vous déplacez la séquence vers une position dans laquelle elle ne se superpose pas à une autre séquence, puis déplacez la poignée de durée de fondu correspondante vers la position zéro, la fonction de fondu automatique est réactivée. Remarque : maintenez la touche Option enfoncée pour empêcher la réactivation du paramètre de fondu automatique au niveau de la position de la chaîne. Vous pouvez ajuster les fondus entrants et sortants en faisant glisser les poignées de fondu de l’enveloppe de la séquence. Par défaut, la courbe de fondu est linéaire, ce qui signifie que le niveau augmente de façon régulière (linéaire) pendant la durée du fondu. Vous pouvez ajuster la courbe de fondu pour augmenter le niveau plus rapidement ou plus lentement à mesure que le fondu progresse. Remarque : vous pouvez également modifier numériquement vos fondus dans l’onglet Fondu de la fenêtre « Données de la séquence ». Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique relative à la fenêtre « Données sur la séquence » à la page 18.Chapitre 3 Utilisation des séquences 39 Bounce d’une séquence Lorsque vous effectuez un bounce d’une séquence dans WaveBurner, son audio, y compris les modifications que vous avez apportées (changements, fondus et Trims), et les effets de tous les modules de la séquence sont restitués sous la forme d’un nouveau fichier audio. Remarque : les modules des séquences sont inclus lorsque vous effectuez un bounce d’une séquence, mais pas les modules de mixage. En effectuant un bounce d’une séquence, vous économisez de la puissance au niveau du traitement. L’ordinateur lit simplement le fichier audio sur lequel un bounce a été effectué et n’a pas besoin de traiter les modifications ou les modules en temps réel. Pour effectuer un bounce d’une séquence : 1 Sélectionnez la séquence dans la liste Séquence ou dans la zone Vue onde. 2 Choisissez Séquence > Effectuer un bounce de la séquence. 3 Dans la zone de dialogue Bounce, accédez à l’emplacement cible destiné à l’enregistrement du fichier sur lequel un bounce a été effectué et définissez les options de fichiers souhaitées : Vous pouvez choisir le format de fichier (AIFF, SDII, WAV), la profondeur de bits, le type de stéréo (entrelacée, séparée, canal gauche, canal droit) et le mode de tramage aléatoire, s’il est appliqué. 4 Cliquez sur Enregistrer. Selon les options définies dans WaveBurner > Préférences > Bounce, la séquence originale peut être automatiquement remplacée par le fichier audio sur lequel un bounce a été effectué. Remarque : vous pouvez également effectuer un bounce du projet complet en choisissant Fichier > Effectuer un bounce du projet. Cette opération permet de calculer le projet complet hors ligne et de le restituer sous la forme d’un seul fichier audio. Le fichier bounce est en fait un paquet Mac OS X qui contient un fichier audio continu, les données du document et les informations de mastérisation.40 Chapitre 3 Utilisation des séquences Changement de nom des séquences Lors de leur création, les séquences se voient par défaut attribuer le nom du fichier audio source. Vous pouvez renommer les séquences dans la liste Séquence. Pour renommer une séquence : m Double-cliquez sur le nom de la séquence dans la liste Séquence, puis saisissez un nouveau nom. Suppression de séquences Vous pouvez supprimer une séquence du projet si vous décidez de ne plus l’inclure. Pour supprimer une séquence : m Sélectionnez la séquence, puis choisissez Édition > Supprimer (ou appuyez sur la touche Suppr/Arrière).4 41 4 Utilisation des pistes Les pistes correspondent aux sélections individuelles d’un CD, que l’auditeur choisit à partir des numéros de piste ou des boutons Avance et Retour d’un lecteur de CD. Par défaut, une piste est créée pour chaque séquence d’un projet. Il est également possible de combiner plusieurs séquences en une piste ou de créer plusieurs pistes à partir d’une même séquence. Une piste est identifiée par un marqueur de début de piste et un point de début de pause correspondant, automatiquement inséré lorsque vous ajoutez une séquence. Vous pouvez placer ce marqueur ailleurs que sur sa position par défaut et insérer des marqueurs supplémentaires. Pour plus d’informations sur l’insertion et le déplacement de marqueurs, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de marqueurs » à la page 45. Liste des pistes Les pistes sont affichées par ordre chronologique dans la liste des pistes, de haut en bas. Si vous réorganisez les séquences présentes dans la liste de séquences, la liste des pistes est mise à jour pour refléter le nouveau classement. La liste des pistes affiche des informations concernant chaque piste, notamment son nom, sa durée, son heure de début et le temps de pause entre deux pistes. Il est possible de modifier les informations d’une piste depuis cette liste. Vous pouvez en effet insérer des commentaires, ajouter des codes ISRC et définir des filtres de préaccentuation pour une piste. Ajout de commentaires Les commentaires vous permettent d’enregistrer des remarques et des informations concernant une piste, à des fins de gestion. Ces commentaires sont spécifiques à WaveBurner et n’apparaîtront pas sur le CD. Pour ajouter des commentaires à une piste : m Cliquez sur le champ Commentaires de la piste en question, puis saisissez le texte de votre choix.42 Chapitre 4 Utilisation des pistes Ajout de codes ISRC Le code ISRC (International Standard Recording Code) est un code d’enregistrement unique pour les enregistrements sonores et audiovisuels. La norme ISRC a été établie en 1986 par l’organisme de normalisation ISO (International Standards Organization), dans le document ISO numéro 3901. L’IFPI (International Federation of the Phonographic Industry) a été désignée en 1989 comme agence d’enregistrement internationale. Cet organisme recommande à ses membres d’inclure le code ISRC dans le sous-code, afin que tous les enregistrements numériques possèdent une « empreinte digitale ». En 1992, toutes les sociétés membres ont reçu leur code de « détenteur principal ». Le code ISRC est stocké de façon permanente dans le sous-code d’un enregistrement. Lorsque ce dernier est modifié, un nouveau code ISRC doit être utilisé. Un code ISRC ne peut être attribué qu’une fois. Le détenteur principal peut intégrer des codes ISRC dans un système de codage existant, à condition que cela ne requière pas plus de cinq chiffres (code de désignation). Un code ISRC complet contient 12 caractères, par exemple : DE-K22-05-256-12  Code pays (conforme à la norme ISO 3166, ici, l’Allemagne)  Code du détenteur principal (maison de disques, ici, Polydor)  Année du code d’enregistrement (2 chiffres)  Code de désignation (5 chiffres) Le code ISRC est utilisé par les stations de radio pour archiver les enregistrements. Les sociétés d’auteurs telles que la GEMA ou la MCPS/PRS utilisent également ce code pour générer automatiquement des historiques de transmission, simplifiant ainsi la comptabilité liée aux droits de licence. Pour les enregistrements commerciaux, le code ISRC correspond simplement au code fourni par le label du disque. Si ce dernier n’a pas reçu de code de détenteur principal, il convient de prendre contact avec l’IFPI. Pour ajouter un code ISRC : m Cliquez sur le champ ISRC d’une piste, puis saisissez le code ISRC. Remarque : vous pouvez uniquement taper des chiffres. Le champ ISRC n’accepte ni les espaces, ni les traits d’union.Chapitre 4 Utilisation des pistes 43 Fenêtre Données des pistes du CD La fenêtre Données des pistes du CD est l’élément le plus pratique pour consulter et modifier les informations relatives aux pistes, notamment la protection des copies et les filtres de préaccentuation. Pour afficher la fenêtre Données des pistes du CD, effectuez l’une des opérations suivantes : m Sélectionnez une piste dans la liste de pistes, puis cliquez sur Disque > Données des pistes du CD (ou appuyez sur Commande + T). m Cliquez sur le marqueur de début de la piste, puis sélectionnez Disque > Données de la piste (ou appuyez sur Commande + T). m Double-cliquez sur le marqueur de début de la piste. Réglage du bit d’interdiction de copie Pour toute piste, vous pouvez définir un bit d’interdiction de copie. Lorsque le bit d’interdiction de copie d’une piste est défini, la piste en question ne peut pas être copiée plus d’une fois au format numérique par des appareils d’enregistrement qui prennent en charge un système SCMS (Serial Copy Management System). Ces appareils génèrent automatiquement un bit d’interdiction de copie pour empêcher la réalisation de copies de deuxième génération (de la piste). En général, les enregistreurs DAT grand public (et un certain nombre d’enregistreurs professionnels) sont dotés d’un système SCMS. Étant donné le nombre d’appareils d’enregistrement n’incluant pas ce type de protection de la copie, le fait de définir le bit d’interdiction ne garantit pas qu’il sera impossible d’effectuer plusieurs copies d’une piste. WaveBurner fournit l’option de réglage du bit d’interdiction de copie afin d’être conforme à la norme Livre rouge. Pour définir l’option Bit d’interdiction de copie, effectuez l’une des opérations suivantes : m Dans la liste de pistes, sélectionnez Disponible, Original protégé ou Copie protégée dans le menu local SCMS. m Dans l’onglet Général de la fenêtre « Données de la piste du CD », sélectionnez Disponible, Original protégé ou Copie protégée dans le menu local SCMS.44 Chapitre 4 Utilisation des pistes Réglage de la préaccentuation des pistes La préaccentuation a fait son apparition dès les origines de la reproduction sonore numérique, lorsque les convertisseurs A/N 14 bits sans suréchantillonnage étaient fréquemment utilisés. Les hautes fréquences des enregistrements numériques étaient augmentées ou « accentuées » lors de la conversion (comme avec le processus d’égaliseur RIAA pour les disques vinyles), puis atténuées (désaccentuation) après la conversion A/N. Cette approche avait tendance à masquer les imprécisions du processus de conversion. De nos jours, les nouvelles technologies d’enregistrement numérique recommandent de laisser l’option de préaccentuation désactivée, car les convertisseurs modernes sont capables de fournir des conversions linéaires produisant beaucoup moins d’erreurs que les filtres de désaccentuation. Remarque : WaveBurner prend en charge la préaccentuation uniquement pour que les anciens enregistrements numériques (qui avaient été traités avec un algorithme de préaccentuation) puissent être identifiés comme tels. Le filtre Préaccentuation de WaveBurner est exclusivement destiné au lecteur de CD et le mode de traitement des données audio n’est absolument pas modifié lorsque vous gravez un CD. Pour activer la préaccentuation, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cochez la case Préaccentuation dans la liste des pistes. m Cochez la case Préaccentuation dans l’onglet Général de la fenêtre « Données de la piste du CD ». Bounce d’une piste Vous pouvez effectuer le bounce d’une piste. Comme avec une séquence, le bounce d’une piste présente deux avantages : il vous permet d’une part d’enregistrer une version traitée de la piste (notamment ses modules), et d’autre part de faire des économies d’énergie. Pour effectuer le bounce d’une piste : 1 Dans la liste des pistes, sélectionnez la piste souhaitée. 2 Cliquez sur Disque > Bounce d’une piste du CD. 3 Choisissez un dossier d’enregistrement et attribuez un nom à la piste dans la zone de dialogue Enregistrer, puis cliquez sur OK.5 45 5 Utilisation de marqueurs Les marqueurs font partie intégrante de la norme de format CD audio Livre rouge. Vous pouvez utiliser des marqueurs pour indiquer un point temporel spécifique sur le CD. Types de marqueurs WaveBurner utilise les types de marqueur suivants :  Marqueurs de début de piste : indiquent le début d’une piste ; ils apparaissent sous forme de numéros de piste sur l’affichage du lecteur CD et sont utilisés pour la navigation à l’aide des boutons Précédent, Suivant ou de numéro de piste d’un lecteur CD. Les marqueurs de début de piste comportent un marqueur de début de piste effectif (témoin violet pointant vers la droite) et le point de départ de la pause (témoin violet pointant vers la gauche). Le point de départ de la pause indique la pause avant le point de départ de la piste.  Marqueurs d’index : indiquent la position des points d’index ; il s’agit de sous-marqueurs supplémentaires dans une piste. Tous les lecteurs CD ne reconnaissent pas et ne signalent pas les points d’index.46 Chapitre 5 Utilisation de marqueurs Insertion et suppression de marqueurs Lorsque vous ajoutez un fichier audio à un projet, un marqueur de début de piste est inséré au début de la séquence. Ce marqueur est associé à un point de départ de pause inséré à la fin de la séquence précédente (y compris la première séquence du projet).La durée de pause par défaut (le temps écoulé entre le point de départ de la pause et les marqueurs de début de piste) dépendent à l’origine du paramètre Durée de la pause par défaut, défini dans l’onglet Préférences générales. Pour plus d’informations sur le réglage de la durée de la pause par défaut, reportez-vous à la rubrique « Préférences générales » à la page 61. Vous pouvez utiliser le placement par défaut des marqueurs ou les déplacer pour ajuster la durée de la pause. Remarque : la fonction Disque > Définir la durée de la pause vous permet de modifier les pauses existantes de pistes sélectionnées dans la liste des pistes. Si vous cochez la case Ignorer les pistes sans vide, les bordures de titre sans pause ne seront pas modifiées. Si cette case est désactivée, la nouvelle durée de la pause est appliquée à toutes les bordures de titre. Si vous cochez la case Décaler les séquences, les séquences seront déplacées du fait du changement de la durée de la pause. Vous pouvez insérer des marqueurs de début de piste manuellement. Les marqueurs de début de piste insérés sont toujours accompagnés par un point de départ de pause correspondant. Pour insérer un marqueur de début de piste : 1 Cliquez sur le bouton « Marqueur de début de piste » (bouton de marqueur violet à gauche des boutons Transport). 2 Cliquez sur la barre de marqueur (au-dessus ou en dessous de la séquence) au niveau de la position à laquelle vous voulez insérer le marqueur de début de piste. Un marqueur de début de piste et le point de départ de pause correspondant sont insérés au niveau de la position cliquée. Pour modifier la durée de la pause qui précède le point de départ de la piste, déplacez la portion gauche du marqueur (point de départ de la pause) vers la gauche. Les marqueurs d’index indiquent les sous-marqueurs, qui sont des positions d’heure spécifiques sur une piste. Notez que tous les lecteurs CD ne peuvent pas reconnaître les points d’index. Bouton « Marqueur de début de piste »Chapitre 5 Utilisation de marqueurs 47 Pour insérer un marqueur d’index : 1 Cliquez sur le bouton Marqueur d’index (bouton de marqueur orange à gauche des boutons Transport). 2 Cliquez sur la barre de marqueur (au-dessus ou en dessous de la séquence) au niveau de la position à laquelle vous voulez insérer le marqueur d’index. Les marqueurs sont toujours « associés » à une séquence. Cela permet de s’assurer qu’ils conservent leurs positions relatives. En d’autres termes, si la position d’une séquence de CD est déplacée ultérieurement, les marqueurs associés à celle-ci sont également déplacés ; les marqueurs associés à la séquence précédente conservent leur position absolue sur le CD. Si vous insérez un marqueur à un emplacement dans lequel deux séquences se superposent, vous pouvez déterminer celle à laquelle vous souhaitez associer le marqueur en le plaçant dans la barre de marqueur appropriée (au-dessus/en dessous) dans la zone Vue onde. Pour basculer entre deux pointeurs de marqueur : m Tout en pointant sur la barre de marqueur, appuyez sur la touche Commande pour alterner entre les pointeurs de marqueur de piste et de marqueur d’index. Pour supprimer un marqueur : m Cliquez sur le marqueur de piste ou d’index pour le sélectionner, puis appuyez sur la touche Suppr. Pour sélectionner plusieurs marqueurs, vous pouvez : m Appuyez sur la touche Maj et cliquer sur les marqueurs dans la liste Piste. m Cliquez sur l’arrière-plan de la ligne de marqueur et sélectionnez un groupe de marqueurs par étirement. Déplacement de marqueurs Vous pouvez déplacer les marqueurs d’index et de début de piste dans la zone Vue onde. Le marqueur de début de piste et le point de départ de pause peuvent être déplacés ensemble ou séparément. Bouton Marqueur d’index48 Chapitre 5 Utilisation de marqueurs Déplacement simultané du marqueur de début de piste et du point de départ de la pause Vous pouvez déplacer simultanément le marqueur de début de piste et le point de départ de la pause pour modifier l’heure de début de la piste, tout en conservant la durée de la pause. Pour déplacer le marqueur de début de piste et le point de départ de la pause : 1 Placez le pointeur entre le point de départ de la pause et le marqueur de début de piste. Le pointeur se transforme en flèche gauche-droite. 2 Faites glisser les marqueurs sur la position souhaitée. Déplacement séparé du marqueur de début de piste et du point de départ de la pause Vous pouvez déplacer séparément le marqueur de début de piste et le point de départ de la pause, ce qui a pour effet de modifier la durée de la pause. Pour déplacer séparément un marqueur de début de piste et un point de départ de pause : 1 Placez le pointeur directement sur le marqueur de piste que vous voulez déplacer. Le pointeur se transforme en symbole de marqueur de piste divisé. 2 Faites glisser la portion de marqueur (de piste ou de pause) vers la position souhaitée. Remarque : tant qu’aucune pause n’est définie (en d’autres termes, lorsque le marqueur de piste est encore entier), le déplacement de la portion droite du marqueur entraîne le déplacement des deux marqueurs. Dans ce cas, déplacez la portion gauche vers la gauche : cela a pour effet de diviser le marqueur de piste et de créer une pause. Une fois le marqueur de piste divisé, chaque portion peut être déplacée séparément.Chapitre 5 Utilisation de marqueurs 49 Positionnement automatique des marqueurs de début de piste Les marqueurs de début de piste sont repositionnés automatiquement lorsque les séquences sont déplacées : dans les séquences superposées, ceux-ci sont situés au centre de la séquence superposée. Dans les séquences superposées, un début de pause est situé à la fin de la première séquence et un début de piste est situé au début de la seconde séquence. Si vous modifiez manuellement les positions des marqueurs, la fonction automatique est désactivée. Si vous avez modifié un marqueur de début de piste manuellement et que vous souhaitez le déplacer vers la position automatique, libérez-le dès qu’une icône de « chaîne » apparaît à la place du curseur de la souris. Si vous souhaitez déplacer un marqueur de début de piste près de la position de la « chaîne », mais que vous ne voulez pas que le positionnement soit automatique, maintenez la touche Option enfoncée.6 51 6 Utilisation des effets Vous pouvez ajouter des effets aux séquences individuelles ou à l’ensemble du mixage d’un projet. Les effets vous permettent de modifier et de modeler le son des séquences ou des projets de plusieurs façons différentes. Vous ajoutez des effets au projet à l’aide de modules. WaveBurner inclut un ensemble complet de modules d’effet de qualité professionnelle pouvant servir à mastériser un CD. Vous pouvez aussi ajouter des modules d’effet de format Audio Unit, y compris ceux développés par des fournisseurs tiers. Vous pouvez librement ajuster les paramètres des modules d’effet pour obtenir le son exact recherché. Modules d’effet inclus dans WaveBurner WaveBurner inclut une suite complète d’effets à utiliser dans vos projets. Les effets livrés avec WaveBurner sont les suivants :  Modélisation d’ampli : Bass Amp, Guitar Amp Pro  Effets retard : Delay Designer, Sample Delay, Stereo Delay, Tape Delay  Effets de distorsion : Bitcrusher, Clip Distortion, Distortion, Distortion II, Overdrive, Phase Distortion  Dynamique : Adaptive Limiter, Compressor, DeEsser, Enveloper, Expander, Limiter, Multipressor, Noise Gate, Silver Compressor, Silver Gate  Égalisation : Channel EQ, DJ EQ, Fat EQ, High Cut, High Pass Filter, High Shelving, Linear Phase EQ, Low Cut, Low Pass Filter, Low Shelving, Match EQ, Parametric EQ, Silver EQ  Filtre : AutoFilter, EVOC 20 Filterbank, Fuzz-Wah, Spectral Gate  Imagerie : Direction Mixer, Stereo Spread  Mesure : BPM Counter, Correlation Meter, Level Meter, Multimeter, and Tuner  Modulation : Chorus, Ensemble, Flanger, Microphaser, Modulation Delay, Phaser, RingShifter, Rotor Cabinet, Scanner Vibrato, Spreader, Tremolo  Tonalité : Pitch Correction, Pitch Shifter II, Vocal Transformer52 Chapitre 6 Utilisation des effets  Réverbération : AVerb, Enverb, GoldVerb, PlatinumVerb, SilverVerb, Space Designer  Effets spécialisés : Denoiser, Exciter, Speech Enhancer, SubBass  Utilitaire : Gain Reportez-vous au Guide des effets et des instruments de Logic Studio pour obtenir une description complète de chaque effet. Utilisation de modules d’effet Audio Units Outre les modules d’effet inclus, vous pouvez ajouter des modules au format Audio Units. Les modules Audio Units sont disponibles auprès d’Apple et d’autres fabricants. Lorsque vous ajoutez des modules de fabricants tiers à votre ordinateur, prenez soin de lire la documentation, y compris les fichiers Ouvrez-moi et ceux d’installation accompagnant le module. Les modules Audio Unit d’Apple apparaissent dans le sous-menu Apple du menu local Ajouter un module. Les modules Audio Unit de fabricants tiers apparaissent dans les sousmenus dans lesquels figure le nom du fabricant dans le menu local Ajouter un module. Vous ajoutez des modules Audio Unit de la même manière que les effets inclus, en choisissant le module dans le sous-menu approprié du menu Ajouter un module. Vous ajustez les paramètres des modules Audio Unit, vous affichez les fenêtres de module et supprimez des modules de la même manière que vous le feriez avec les modules inclus. Utilisation de l’Audio Units Manager WaveBurner utilise l’outil de validation AU d’Apple pour garantir que seuls les modules totalement compatibles avec la spécification Audio Unit sont utilisés. Cela permet de limiter les problèmes provoqués par les modules Audio Unit de fabricants tiers lors de l’exécution de WaveBurner. Le processus de validation s’effectue automatiquement lorsque :  WaveBurner est lancé pour la première fois,  WaveBurner est mis à jour,  vous installez de nouveaux modules Audio Unit ou mettez à jour ceux existant déjà, vous pouvez voir les résultats de l’analyse dans l’Audio Units Manager. Pour ouvrir l’Audio Units Manager : m Choisissez WaveBurner > Audio Units Manager. Les résultats du test s’affichent dans la colonne Compatibility (compatibilité). Les modules Audio Unit qui ont échoué peuvent être activés, mais sachez qu’ils peuvent poser problème. L’utilisation de modules non validés risque de fausser les résultats des tests d’autres modules analysés ou de provoquer des arrêts inopinés de WaveBurner, voire des pertes de données (fichiers de morceau détruits).Chapitre 6 Utilisation des effets 53 Nous vous conseillons donc vivement de vous rendre sur le site web du fabricant pour y télécharger les mises à jour des modules Audio Unit qui n’ont pas pu être validés. L’Audio Units Manager permet également de désactiver les modules Audio Units que vous ne souhaitez pas utiliser dans WaveBurner même s’ils sont validés. Pour désactiver un module, il suffit de désélectionner la case à cocher correspondante dans la colonne Use (utiliser). Pour enregistrer votre sélection de modules Audio Unit, cliquez sur OK. Cliquez sur le bouton « Tout réinitialiser et réanalyser » pour effectuer un autre test de validation après avoir installé les modules/mises à jour ou déplacé les composants dans le Finder, WaveBurner ou l’Audio Units Manager étant ouverts. Remarque : si vous appuyez sur les touches Contrôle + Maj au lancement de WaveBurner, le mode sans échec AU Safe Mode est alors utilisé : seuls les modules admis par le test de validation seront disponibles ; les modules activés manuellement dont le test de validation a échoué ne seront pas disponibles. Ajout et suppression de modules Vous ajoutez des modules aux séquences sélectionnées dans la liste Modules de séquence ; vous ajoutez des modules au projet entier dans la liste Modules de mixage. Pour ajouter un module à une séquence : 1 Cliquez sur l’onglet Modules de séquence pour afficher la liste Modules de séquence. 2 Dans la liste Séquence, cliquez sur la séquence cible à laquelle vous souhaitez ajouter le module. 3 Choisissez la catégorie de module que vous souhaitez ajouter depuis le menu local Ajouter un module, puis sélectionnez le module dans le sous-menu. Ce module apparaît dans la liste Modules de séquence, en dessous de tout autre module déjà ajouté à la séquence. Pour ajouter un module au projet global : 1 Cliquez sur l’onglet Modules de mixage pour afficher la liste Modules de mixage. 2 Choisissez la catégorie de module que vous souhaitez ajouter depuis le menu local Ajouter un module, puis sélectionnez le module dans le sous-menu. Ce module apparaît dans la liste Modules de mixage, en dessous de tout autre module déjà ajouté au projet. Vous pouvez supprimer un module de la liste si vous ne souhaitez plus l’utiliser.54 Chapitre 6 Utilisation des effets Pour supprimer un module : m Sélectionnez le module dans la liste Modules de séquence ou Modules de mixage, puis appuyez sur la touche Suppr/Arrière. Remarque : vous pouvez copier les modules en appuyant sur la touche Option, en cliquant sur le nom du module souhaité et en le faisant glisser en bas de la liste de modules. Dérivation de modules Vous pouvez dériver un module afin d’écouter la séquence ou le projet sans ce module, sans perdre les modifications apportées aux paramètres du module. Pour dériver un module : m Cliquez sur la case située à droite de la ligne souhaitée dans la liste de modules. Cliquez à nouveau sur la case pour entendre le module. Ajustement des paramètres des modules Chaque module contient un ensemble de paramètres contrôlant la façon dont il met en forme le son. Vous pouvez afficher et ajuster les paramètres d’un module dans sa fenêtre ou dans la liste de modules. Pour accéder aux paramètres d’un module dans la liste de modules : m Cliquez sur le triangle situé à gauche du nom du module dans la liste de modules. Cette opération permet d’afficher les réglages de tous les paramètres du module. Les valeurs des paramètres individuels peuvent être modifiées en cliquant sur la valeur affichée dans la colonne Réglages et en la faisant glisser. Remarque : vous pouvez charger des réglages de module existants en cliquant sur le nom affiché dans la première colonne Réglages d’un module. Cette opération ouvre un menu local qui vous permet de charger et d’enregistrer les réglages du module. Pour accéder aux paramètres d’un module à partir de sa fenêtre : m Double-cliquez sur le nom du module dans la liste de modules. La fenêtre du module s’ouvre. Vous pouvez ajuster les paramètres du module en déplaçant les curseurs ou les potentiomètres, en saisissant des valeurs dans les champs ou en cliquant sur les boutons. Le menu à flèche situé à droite de la fenêtre de la liste de modules vous permet d’ouvrir et de fermer rapidement toutes les fenêtres de modules. Remarque : tout changement apporté aux valeurs des paramètres d’un module dans sa fenêtre ou dans la liste de paramètres (affichés dans la colonne Réglages) est reflété dans l’autre.Chapitre 6 Utilisation des effets 55 Modification de l’ordre des modules La modification de l’ordre des modules peut radicalement modifier le son de la séquence ou du mixage en cours de traitement. L’alimentation d’une séquence via une chaîne de type réverbération ? chorus ? retard offre des résultats d’une tonalité très différente au fait d’alimenter la même séquence avec une chaîne de type retard ? chorus ? réverbé- ration, même si des paramètres identiques sont utilisés pour chacun des trois effets. Cette différence de tonalité est due au fait que des fréquences particulières de votre séquence sont amplifiées/désamplifiées par chaque effet, puis intensifiées ou supprimées par les processus suivants. Pour modifier l’ordre des modules dans les listes de modules : m Cliquez sur le nom du module, puis faites-le glisser vers la position souhaitée, vers le haut ou vers le bas. Utilisation des chaînes de modules Vous pouvez enregistrer les chaînes de modules que vous avez définies dans les listes de modules. Vous pouvez également charger les chaînes de modules enregistrées pré- cédemment. Sélectionnez simplement la fonction appropriée dans le menu Chaîne de modules à côté du menu Ajouter un module. Utilisation du VU-mètre Vous pouvez surveiller les niveaux de sortie audio de vos projets à l’aide du VU-mètre. Pendant la lecture d’un projet, les niveaux de chaque canal stéréo changent constamment. Le VU-mètre affiche ces modifications sous la forme de barres bleues qui apparaissent de gauche à droite, celle située le plus à droite correspondant au niveau le plus élevé pour ce canal. Les pics momentanés sont affichés sous la forme de barres jaunes fines dans chaque canal. Les barres du VU-mètre deviennent rouges si elles dépassent la valeur 0 dB, faisant ainsi office d’indicateurs d’extraits. Vous pouvez vérifier la présence d’écrêtage dans votre projet. Pour vérifier la présence d’écrêtage dans votre projet : m Choisissez Disque > Rechercher l’écrêtage sur le disque.7 57 7 Gravure d’un projet sur CD Une fois votre projet terminé, vous pouvez le graver sur un CD. Le CD audio qui en résulte respecte la norme Livre rouge et peut être lu sur n’importe quel lecteur CD audio. Préparation à la gravure d’un CD Avant de graver votre projet sur un CD, vous devez effectuer plusieurs opérations :  Vérifiez que le graveur de CD est connecté, activé et opérationnel.  Vérifiez que WaveBurner reconnaît le graveur de CD.  Définissez les options de disque du projet.  Réalisez un aperçu des transitions entre les pistes. Graveurs de CD pris en charge WaveBurner fonctionne avec tous les graveurs de CD reconnus par Mac OS X, y compris les lecteurs SuperDrive et les graveurs de CD de fabricants tiers. Définition des options du disque Vous pouvez définir de nombreuses options de disque pour un projet, notamment les suivantes :  Ajout d’un code UPC/EAN  Définition des décalages pour les points de départ, les points de fin et les index  Définition de la durée de la pause par défaut  Ajout d’une période de silence à la fin du CD  Ajout d’informations relatives au texte du CD, y compris le titre, l’interprète, l’auteur, le compositeur et l’arrangeur, et d’un message de texte58 Chapitre 7 Gravure d’un projet sur CD Ajout d’un code UPC/EAN Les CD destinés à la vente incluent généralement un code universel des produits (UPC, Universal Product Code) et une numérotation européenne des articles (EAN, European Article Number). Ces données contiennent des informations sur la maison de disques qui produit le CD, ainsi que d’autres informations éventuelles. Pour ajouter un code UPC/EAN : 1 Choisissez Disque > Options du disque, puis cliquez sur l’onglet Général si nécessaire. 2 Saisissez le code dans le champ Code UPC/EAN. 3 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur OK. Définition des réglages Vous pouvez modifier globalement la position des marqueurs de point de départ, de point de fin et d’index en définissant un décalage. L’unité de valeur d’unité pour les décalages est une image CDDA (1/75e de seconde). Lorsque vous définissez un décalage, les marqueurs sont immédiatement déplacés avant que le projet ne soit gravé sur CD, puis replacés à leurs positions d’origine une fois le CD gravé. Les décalages ont pour but de compenser la désynchronisation de certains lecteurs CD, notamment les modèles anciens. La fenêtre Options du disque inclut des champs de décalage pour le premier point de départ, les autres points de départ, les points de fin et les points d’index, ce qui vous permet de décaler tout ou partie de ces marqueurs. Le premier point de départ est spécial, car la norme Livre rouge stipule qu’il doit y avoir une pause de deux à trois secondes avant le début de la première piste. En saisissant une valeur supérieure à 0 (zéro) dans le champ Premier point de départ, vous insérez un temps de silence de valeur correspondante avant la première piste. Toutes les pistes suivantes sont décalées du temps requis afin de maintenir ce temps de silence. La durée globale du CD s’accroît en fonction du nombre d’images CDDA requises pour conserver la période de silence initiale. Pour définir des décalages : 1 Choisissez Disque > Options du disque, puis cliquez sur l’onglet Général si nécessaire. 2 Saisissez les décalages que vous souhaitez définir dans les champs « Premier point de départ », « Autres points de départ », Points d’arrêt et Index. (En images CDDA). 3 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur OK.Chapitre 7 Gravure d’un projet sur CD 59 Enregistrement des notes de mastérisation Vous pouvez ajouter des remarques d’informations de mastérisation relatives à votre projet dans WaveBurner au cas où vous en auriez besoin par la suite. Vous pouvez enregistrer des informations sur la session, le client, les modules et le tramage aléatoire utilisé, ainsi que sur chaque piste.  Les informations de session incluent l’identifiant de la session, la date et l’heure, la maison de disques, le studio, l’ingénieur, le média source, la profondeur de bits et la fréquence d’échantillonnage.  Les informations sur les clients incluent le titre du disque, le client, l’artiste, le producteur et le copyright.  Les commentaires vous permettent d’ajouter des notes et des informations sur une session. Pour ajouter des informations de mastérisation à un projet : 1 Choisissez Disque > Notes de mastérisation pour afficher la fenêtre correspondante. 2 Cliquez sur l’onglet Session ou Client, selon le cas. 3 Saisissez les informations souhaitées dans le champ approprié. 4 Cliquez sur Appliquer. Aperçu des transitions Avant de graver un CD, il est recommandé de vérifier l’aperçu des transitions pour vous assurer que le résultat correspond à vos attentes. Pour vérifier l’aperçu de toutes les transitions de piste : 1 Ouvrez l’onglet Aperçu de la fenêtre Préférences et définissez le nombre de secondes qui doivent s’écouler au début (Pre-roll) et à la fin (Post-roll) d’un titre. 2 Sélectionnez Disque > Aperçu du disque. La fin et le début de chaque piste du CD seront lus. Remarque : la fonction Disque > Aperçu de la piste vous permet de vérifier l’aperçu du début et de la fin d’une piste choisie dans la liste des pistes.60 Chapitre 7 Gravure d’un projet sur CD Gravure du CD Après avoir terminé les étapes détaillées dans la rubrique « Préparation à la gravure d’un CD » à la page 57, vous êtes prêt à graver le projet sur un CD. Pour graver un projet sur un CD, procédez comme suit : 1 Choisissez Graver > Graver le disque. La zone de dialogue Graver apparaît, avec le nom du graveur de CD répertorié. Si vous n’avez pas déjà inséré un CD-R vierge sur le plateau du graveur, la zone de dialogue Graver vous invite à le faire. 2 Insérez un CD-R vierge sur le plateau du graveur, si tel n’est pas déjà le cas. Remarque : le CD-R doit être vierge. WaveBurner ne prend pas en charge la gravure sur un CD-R contenant déjà d’autres sessions CDDA, car la norme Livre rouge ne serait alors pas respectée. 3 Dans la zone de dialogue Graver, cliquez sur Graver. La zone de dialogue Graver affiche la progression du processus de gravure. Lorsque le processus de gravure est terminé, le CD est éjecté.8 61 8 Définition des préférences dans WaveBurner Vous pouvez définir des préférences pour différents aspects de WaveBurner dans la fenêtre Préférences. Certaines préférences s’appliquent au projet en cours, d’autres aux nouveaux projets. Avant de commencer à travailler sur vos projets, vous avez la possibilité de spécifier plusieurs préférences. Pour ouvrir la fenêtre Préférences : m Choisissez WaveBurner > Préférences (ou appuyez sur les touches Commande + virgule). Préférences générales  Au démarrage : définit le comportement par défaut lorsque vous ouvrez WaveBurner. Vous avez le choix entre les options « Créer un nouveau document » (pour créer un projet vierge), Ouvrir le document (pour afficher une zone de dialogue Ouvrir), « Ouvrir le dernier document » (pour ouvrir le dernier document sur lequel vous travailliez à la dernière fermeture de WaveBurner) ou Ne rien faire.  Durée de la pause par défaut : définit la durée de la pause par défaut qui est insérée lorsque vous ajoutez une séquence. La modification de la durée de la pause par défaut n’a pas d’incidence sur les documents déjà ouverts. Elle s’applique uniquement aux documents ouverts après la définition d’une nouvelle valeur.62 Chapitre 8 Définition des préférences dans WaveBurner  Zoom vers la ligne de position : lorsqu’elle est activée, la ligne de position reste centrée dans la zone Vue onde lors du zoom.  Définir le format temporel de forme générale : lorsque cette option est activée, le fait de changer le format temporel dans la liste Séquence, la liste Piste ou la zone Vue onde entraîne le changement du format dans toutes les autres vues. Préférences du gestionnaire audio  Gestionnaire : choisissez le périphérique audio (de sortie) dans le menu local.  Sortie : choisissez les canaux en sortie, ou canaux, dans le menu local. Le nombre de canaux disponibles dépend du périphérique sélectionné dans le menu local Gestionnaire. Préférences pour l’aperçu Si la fonction d’aperçu est activée (Disque > Aperçu du disque ou Aperçu de la piste), WaveBurner lit un court segment audio autour de chaque marqueur de piste, de façon consécutive.  Pre-roll : la durée de lecture (en secondes) qui précède un marqueur de pause de piste (lecture des x dernières secondes de la piste précédente).  Post-roll : la durée de lecture (en secondes) qui suit un marqueur de début de piste (lecture des x premières secondes de la piste suivante).Chapitre 8 Définition des préférences dans WaveBurner 63 Préférences pour la gravure  Écrire les données du texte du CD : activez cette option pour inclure le texte du CD sur le CD.  Écrire les points d’index : activez cette option pour inclure les informations relatives aux points d’index sur le CD.  Écrire le code UPC/EAN : activez cette option pour inclure le code UPC/EAN sur le CD.  Écrire les codes ISRC : activez cette option pour inclure les codes ISRC sur le CD.  Écrire la préaccentuation : activez cette option pour inclure les indicateurs de préaccentuation sur le CD.  Écrire les données SCMS : activez cette option pour inclure les données SCMS sur le CD. Remarque : le texte du CD peut uniquement être écrit sur votre disque si votre graveur prend en charge le texte de CD. Seuls les lecteurs de CD compatibles avec l’option Texte du CD affichent le texte en question. Préférences pour les bounces  Dithering : ce menu local vous permet de choisir le type de tramage aléatoire à appliquer lorsque vous effectuez un bounce du projet ou que vous le gravez. Les choix sont les suivants : « POW-r #1 (tramage aléatoire) », « POW-r #2 (mise en forme du son) », « POW-r #3 (mise en forme du son) » et « Pas de tramage aléatoire ». Pour plus d’informations sur l’utilisation du tramage aléatoire et les différences entre les différents types de tramage aléatoire, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Logic Pro 8.64 Chapitre 8 Définition des préférences dans WaveBurner  Remplacer la séquence par le bounce : lorsque cette option est activée, le nouveau fichier audio créé en choisissant Séquence > Effectuer un bounce de la séquence remplace la séquence d’origine (cette opération est impossible si le fichier d’origine est au format stéréo et le fichier sur lequel un bounce est effectué est au format mono, car des informations seraient perdues lorsque le fichier stéréo a été remplacé par le fichier mono).  La détection de l’écrêtage arrête le bounce : lorsqu’elle est activée, le processus de bounce est arrêté si un phénomène d’écrêtage est détecté dans la séquence ou le projet sur lesquels un bounce est effectué. Préférences SDII WaveBurner peut importer des fichiers et des séquences au format SDII (Sound Designer II). Les préférences SDII détermine la façon dont WaveBurner gère l’importation.  Ajouter les séquences SDII en tant que séquences WaveBurner : si cette option est désactivée, un fichier SDII est importé sous forme de séquence WaveBurner unique. Activez cette option pour ajouter plusieurs séquences SDII dans WaveBurner. Si le fichier SDII ne contient aucune définition de séquence, une zone de dialogue vous invite à ajouter le fichier entier en tant que séquence unique.  Adopter la durée des pauses des séquences SDII : activez cette option pour utiliser les durées de la pause des séquences SDII (du fichier d’origine) pour votre CD.  Importer les marqueurs SDII en tant que : vous pouvez décider d’utiliser des marqueurs SDII soit comme marqueurs d’index ou comme marqueurs de début de piste.  Afficher la zone de dialogue d’importation SDII : si vous activez cette option, la zone de dialogue Importation SDII apparaît chaque fois que vous importez une séquence SDII, ce qui vous permet de changer les préférences d’importation SDII. Si la préférence Afficher la zone de dialogue Importer SDII est désactivée, la zone de dialogue d’importation n’apparaît pas. Les fichiers sont importés comme spécifié par les préférences. L’activation de l’option Ne plus afficher dans la zone de dialogue Importation SDII désactive la préférence d’importation SDII.Chapitre 8 Définition des préférences dans WaveBurner 65 Préférences pour les informations Cet onglet de préférence vous permet de définir le type d’informations de piste de CD à inclure dans les informations de mastérisation. Vous pouvez activer ou désactiver l’heure de début, le nom de la piste, la durée de la piste, l’arrêt de la piste, la pause de la piste, l’anticopie, la préaccentuation, le code ISRC, les commentaires de la piste et les points d’index. 67 Annexe Raccourcis clavier de WaveBurner Commandes de fichiers Commandes d’édition Exploitation des disques Fonction Raccourci clavier Nouveau Commande + N Ouvrir Commande + O Fermer Commande + W Enregistrer Commande + S Enregistrer sous Commande + Maj + S Importer le fichier audio Commande + F Graver le disque Commande + B Fonction Raccourci clavier Annuler Commande + Z Rétablir Commande + Maj + Z Couper Commande + X Copier Commande + C Coller Commande + V Tout sélectionner Commande + A Fonction Raccourci clavier Aperçu du disque Commande + D Aperçu de la piste Commande + K Données des pistes du CD Commande + T Données du point d’index Commande + I Éjecter le disque Commande + E68 Annexe Raccourcis clavier de WaveBurner Commandes de séquences Commandes d’affichage Exploitation des transports Fonction Raccourci clavier Données de la séquence Commande + R Fonction Raccourci clavier Zoom avant Flèche vers le bas Zoom arrière Flèche vers le haut Zoom arrière maximum Option + Flèche vers le bas Zoom avant maximum Option + Flèche vers le haut Fonction Raccourci clavier Démarrer ou arrêter la lecture Barre d’espace, Retour Retourner au début du disque Retour Aller au début de la piste suivante Flèche droite Aller au début de la piste précédente Flèche gauche Aller au marqueur d’index suivant Option + Flèche droite Aller au marqueur d’index précédent Option + Flèche gauche Aller à la séquence suivante Option + Maj + Flèche droite Aller à la séquence précédente Option + Maj + Flèche gaucheAnnexe Raccourcis clavier de WaveBurner 69 Commandes de la zone d’affichage Onde Commandes de fenêtres Commandes d’aide Fonction Raccourci clavier Basculer entre les outils Ciseaux et Pointeur Commande, lorsque le pointeur de la souris est sur la séquence Basculer entre les pointeurs de marqueur de piste et de marqueur d’index Commande, lorsque le pointeur de la souris est sur la barre du marqueur Insérer un marqueur de début de piste à la ligne de position T Insérer un marqueur d’index à la ligne de position I Aller au marqueur suivant Option + Flèche droite Aller au marqueur précédent Option + Flèche gauche Déplacer le début de la piste sans déplacer le marqueur de début de pause quand le marqueur de piste est fermé Commande + Faire glisser le marqueur de début de piste vers la droite Appliquer un Trim à la fin de la séquence sans incidence sur les séquences suivantes Option + Faire glisser la fin de la séquence Appliquer un Trim au début de la séquence sans incidence sur les séquences suivantes Option + Faire glisser le début de la séquence Fonction Raccourci clavier Placer dans le Dock Commande + M Ouvrir le VU-mètre Commande + L Fonction Raccourci clavier Aide WaveBurner Commande + ? (point d’interrogation) Utilitaire de réponse d’impulsion Manuel de l’utilisateur? Apple Inc. © 2007 Apple Inc. Tous droits réservés. Conformément aux lois relatives au droit d’auteur, toute copie, complète ou partielle, du présent manuel est interdite sans le consentement écrit d’Apple. Vos droits concernant le logiciel sont régis par le contrat de licence accompagnant ce dernier. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation de ce logo via le clavier (Option + 1) à des fins commerciales sans le consentement écrit préalable d’Apple pourra constituer un acte de contrefaçon et de concurrence déloyale puni par les lois américaines en vigueur. Tous les efforts nécessaires ont été mis en œuvre pour que les informations contenues dans ce manuel soient les plus exactes possibles. Apple n’est pas responsable des erreurs d’écriture et d’impression. Remarque : comme Apple met régulièrement sur le marché de nouvelles versions et des mises à jour de son logiciel système, de ses applications et de ses sites Internet, les images qui illustrent le présent ouvrage peuvent différer légèrement de ce que vous voyez à l’écran. Apple Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Logic, Mac et Mac OS sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Les autres noms de sociétés ou de produits mentionnés ici sont des marques de leurs détenteurs respectifs. La mention de produits tiers n’est effectuée qu’à des fins informatives et ne constitue en aucun cas une approbation ni une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité vis-à-vis des performances ou de l’utilisation de ces produits. 3 Utilisation de l’Utilitaire de réponse d’impulsion L’Utilitaire de réponse d’impulsion est une application de déconvolution et d’enregistrement audio multipiste. Il vous permet de créer vos propres réponses d’impulsion mono, stéréo et Surround pour Space Designer, l’effet de réverbération à convolution de Logic Studio. Tous les paramètres et toutes les fonctions dont vous avez besoin pour créer des réponses d’impulsion sont réunis dans un même écran. L’interface de l’Utilitaire de réponse d’impulsion est divisée en quatre zones :  Zone Hardware I/O Assignment : comprend des menus locaux permettant de sélectionner l’entrée et la sortie audio.  Section du Monitor and Sweep Generator : offre des paramètres de monitoring et de génération de balayage sinusoïdal, ainsi que des boutons permettant de déconvoluer vos pistes audio en une réponse d’impulsion et d’écouter cette dernière.  Section Inputs/Track : répertorie toutes les pistes audio utilisées pour vos enregistrements de réponse d’impulsion.  Zone Editing : affiche les informations audio de la piste audio sélectionnée.4 La déconvolution est le processus utilisé pour créer des réponses d’impulsion à partir de balayages sinusoïdaux audio à large bande (enregistrés). La rubrique ci-dessous traite de la déconvolution et de son rôle dans le processus de création des réponses d’impulsion. Les rubriques suivantes présentent le matériel nécessaire à l’enregistrement des réponses d’impulsion et expliquent comment utiliser l’Utilitaire de réponse d’impulsion pour créer vos propres fichiers de réponse d’impulsion Space Designer (.sdir). La déconvolution et l’Utilitaire de réponse d’impulsion Space Designer combine, ou convolue, la réponse d’impulsion d’un espace acoustique avec un signal audio. Cela a pour effet de placer votre audio « dans » l’espace acoustique, représenté par cette réponse d’impulsion. Une réponse d’impulsion peut être vue comme la somme des échos (réflexions) produits dans un espace physique donné après le pic initial d’un signal. Le fichier de réponse d’impulsion est en fait un enregistrement audio réalisé dans un espace contenant ces échos. Enregistrement d’une réponse d’impulsion Deux méthodes pratiques peuvent être utilisées pour enregistrer une réponse d’impulsion. Utilisation d’un enregistrement d’élément transitoire La première méthode consiste à enregistrer une impulsion dans un espace à l’aide, par exemple, d’un pistolet de starter. Le coup de feu constitue l’impulsion, et le fichier audio que vous enregistrez capture à la fois cette impulsion et la réponse de la pièce. L’avantage de cette méthode est que le fichier audio enregistré peut être utilisé dans Space Designer sans être traité auparavant. Vous pouvez utiliser l’Utilitaire de réponse d’impulsion pour enregistrer les impulsions de votre pistolet de starter, puis les combiner dans un fichier de réponse d’impulsion Space Designer (.sdir) (et un fichier de réglage Space Designer). L’inconvénient de cette méthode est qu’il est extrêmement difficile de réaliser un enregistrement parfait de coup de feu sans distorsion. Cela s’explique par la très forte intensité sonore de l’élément transitoire initial du coup de feu. L’autre problème est que les coups de feu d’un pistolet de starter contiennent très peu d’informations de basse ou haute fré- quence, ce qui limite la plage de fréquences utilisable de la réverbération convoluée. 5 Utilisation d’un balayage sinusoïdal à large bande La seconde méthode (recommandée) permettant de créer des réponses d’impulsion consiste à lire un balayage sinusoïdal audio à large bande dans un espace et à enregistrer ce balayage (ainsi que la réponse de l’espace) à des niveaux d’enregistrement optimaux. Un balayage sinusoïdal couvrant la totalité de la plage de fréquences audible est utilisé, ce qui permet d’obtenir une réponse d’impulsion bien souvent de meilleure qualité avec une plage de fréquences étendue. Le fichier audio du balayage sinusoïdal enregistré ne peut pas être utilisé directement comme réponse d’impulsion. Il contient en effet tous les échos et toutes les réflexions, c’est-à-dire la réponse, de l’espace, et ce sur toute la longueur du balayage sinusoïdal, ce qui est très différent de l’approche avec le pistolet de starter, où la réponse est contenue au début du fichier dans une impulsion. Lorsque vous utilisez un balayage sinusoïdal, l’Utilitaire de réponse d’impulsion utilise un processus appelé déconvolution pour réaliser un alignement temporel et de niveau de toutes les réflexions enregistrées, qui sont présentes sur la totalité du balayage sinusoïdal enregistré, au tout début du fichier. Cela produit une réponse d’impulsion que Space Designer peut utiliser pour combiner, ou convoluer, avec votre signal audio. L’Utilitaire de réponse d’impulsion peut ensuite générer un fichier de réglage .sdir à partir de cette réponse d’impulsion. Configuration de votre système d’enregistrement de réponse d’impulsion Avant de pouvoir utiliser l’Utilitaire de réponse d’impulsion pour créer une réponse d’impulsion, vous devez configurer votre matériel d’enregistrement pour qu’il puisse lire et enregistrer le balayage sinusoïdal généré par l’Utilitaire de réponse d’impulsion. Dans l’idéal, vous devez disposer des éléments suivants :  Un haut-parleur pour chaque emplacement (de haut-parleur) requis par le format choisi, si vous prévoyez de générer des balayages d’onde sinusoïdale. Exemples : si vous enregistrez une vraie réponse d’impulsion stéréo, il vous faut deux haut-parleurs. Si vous enregistrez une réponse d’impulsion Surround à six canaux, il vous en faut six, etc. Si vous ne générerez pas de balayages d’onde sinusoïdale, vous n’avez pas besoin de haut-parleurs pour les lire (le son est généré par le pistolet de starter). Remarque : dans la plupart des cas, vous pouvez vous contenter d’enregistrer une seule position de haut-parleur (mais toutes les positions de micro requises par le format de réponse d’impulsion choisi) et de créer une réponse d’impulsion discrète mono/omni. Cela permet d’obtenir une réponse d’impulsion nécessitant moins de puissance de l’unité centrale dans le format requis. Voir « Enregistrement d’une réponse d’impulsion à 5 canaux Mono vers Omni » à la page 33.6  Un ou plusieurs micros pour enregistrer l’audio résultant produit par chaque hautparleur (ou par le coup de feu) combiné avec ses échos/réflexions. Le nombre de micros dont vous avez besoin dépend du format de réponse d’impulsion choisi. Exemples : si vous enregistrez une réponse d’impulsion Surround à six canaux, il y a six positions de micro, vous devez donc dans l’idéal disposer de six micros. Si vous enregistrez une réponse d’impulsion encodée au format B à six canaux, pour laquelle une seule position de micro et quatre pistes sont nécessaires, il vous en faut moins, etc. Voir « Encodage Surround au format B » à la page 29 pour en savoir plus.  Une interface audio dotée de suffisamment de sorties pour envoyer un balayage sinusoï- dal audio à large bande à chaque haut-parleur (en cas d’utilisation de balayages sinusoï- daux) et de suffisamment d’entrées pour enregistrer l’audio résultant de chaque position. Remarque : vous pouvez également avoir besoin de préamplificateurs de micro supplé- mentaires si vos micros ne sont pas en mesure de capturer un signal suffisamment fort ou si votre interface audio ne dispose pas d’assez d’entrées avec préamplificateur de micro. Il est possible de créer des réponses d’impulsion multipiste discrètes, même si vous n’avez pas suffisamment de haut-parleurs ou de micros. Dans la mesure où vous n’enregistrerez qu’un seul balayage sinusoïdal à la fois, vous pouvez installer les haut-parleurs dont vous disposez, les enregistrer dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion, puis les placer sur de nouvelles positions et répéter la procédure. Imaginez par exemple que vous n’ayez qu’une seule paire de haut-parleurs stéréo, mais que vous souhaitiez créer une réponse d’impulsion quadriphonique, ce qui nécessite l’enregistrement de quatre pistes dans quatre positions de haut-parleur différentes. Vous pourriez dans ce cas installer votre paire de moniteurs, enregistrer leur sortie, puis les déplacer pour enregistrer l’autre paire de pistes dans les deux autres positions de haut-parleur. Exemple de haut-parleurs et de micros configurés pour la capture d’une réponse d’impulsion Ordinateur Interface audio Système de micros Surround C L R Ls Rs7 Cette méthode de création de réponses d’impulsion prend évidemment plus de temps, et le fait de ne pas pouvoir installer tous vos haut-parleurs en même temps rend leur positionnement optimal l’un par rapport à l’autre difficile. Avec du temps et une planification minutieuse, vous pouvez toutefois obtenir les mêmes résultats. ? Astuce : vous pouvez également créer des réponses d’impulsion à plusieurs canaux dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion en utilisant le format « Mono to Omni Discrete ». Ce format ne nécessite l’enregistrement que d’un seul haut-parleur par autant de micros « canal » que nécessaire (pour le format choisi). La réponse d’impulsion obtenue nécessite moins de puissance de l’unité centrale. Voir « Enregistrement d’une réponse d’impulsion à 5 canaux Mono vers Omni » à la page 33. Si vous avez suffisamment de moniteurs mais pas assez de micros, vous pouvez installer les haut-parleurs requis et vous contenter de déplacer les micros disponibles de l’un à l’autre. Cette méthode rend le positionnement optimal des micros l’un par rapport à l’autre difficile, mais vous conservez tout de même l’avantage du positionnement idéal des haut-parleurs (et il faut bien avouer qu’il est beaucoup plus facile de déplacer des micros que des haut-parleurs !). Si votre interface audio n’offre pas suffisamment d’entrées et de sorties pour le nombre de haut-parleurs et de micros que vous utilisez pour créer votre réponse d’impulsion, vous pouvez tout de même installer tous les micros et haut-parleurs. Lors de l’enregistrement des différentes pistes dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion, vous devrez déconnecter/reconnecter les haut-parleurs et les micros à tour de rôle. Vous trouverez une présentation plus détaillée des haut-parleurs et des micros convenant à la création des réponses d’impulsion, ainsi que des suggestions concernant leur positionnement, dans la rubrique « Recommandations relatives aux micros et hautparleurs » à la page 23. Création de réponses d’impulsion dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion Les étapes nécessaires à la création d’une réponse d’impulsion dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion sont les suivantes : Étape 1 : création d’un projet de réponse d’impulsion Configurez votre projet Utilitaire de réponse d’impulsion pour le nombre de pistes nécessaire au format de réponse d’impulsion choisi. Étape 2 : définition des paramètres de l’Utilitaire de réponse d’impulsion Définissez les paramètres d’entrée et de sortie matérielles, du moniteur et du balayage pour l’enregistrement de vos pistes audio.8 Étape 3 : enregistrement Utilisez l’Utilitaire de réponse d’impulsion pour enregistrer les pistes audio nécessaires à votre réponse d’impulsion. Étape 4 : déconvolution de vos enregistrements audio Si vous avez enregistré des balayages sinusoïdaux, cliquez sur Déconvoluer une fois toutes les pistes audio enregistrées. L’Utilitaire de réponse d’impulsion génère alors une réponse d’impulsion à partir de vos pistes. Étape 5 : édition et écoute Coupez les parties de silence, appliquez des fondus, etc., pour optimiser votre réponse d’impulsion. Étape 6 : création d’un réglage Space Designer Cliquez sur « Create Space Designer » une fois toutes les étapes ci-dessus terminées. Cela ajoute la réponse d’impulsion créée à votre liste de réglages Space Designer disponibles. Les sous-rubriques suivantes décrivent chaque étape en détail. Création de votre projet Lorsque vous ouvrez l’Utilitaire de réponse d’impulsion pour la première fois, la zone de dialogue « New Impulse Response Project » s’affiche. Il s’agit de la première étape de la création d’un projet de réponse d’impulsion. Vous pouvez également créer un projet en choisissant File > New Project (ou en appuyant sur Commande + N). L’Utilitaire de réponse d’impulsion propose divers formats allant des formats conventionnels stéréo, véritable stéréo (où chaque canal est traité individuellement) et quadriphoniques, aux formats Surround à cinq, six ou sept canaux. Ces derniers peuvent être de deux types : multipiste standard ou avec encodage au format B. Voir « Encodage Surround au format B » à la page 29 pour en savoir plus. Vous pouvez également créer des réponses d’impulsion à plusieurs canaux dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion en utilisant le format « Mono to Omni Discrete ». Ce format ne nécessite l’enregistrement que d’un seul haut-parleur par autant de micros « canal » que nécessaire (pour le format choisi). La réponse d’impulsion obtenue nécessite moins de puissance de l’unité centrale. Voir « Enregistrement d’une réponse d’impulsion à 5 canaux Mono vers Omni » à la page 33.9 Pour créer un projet de réponse d’impulsion : 1 Choisissez le format de réponse d’impulsion souhaité dans le menu Configuration. Dans la fenêtre située sous le menu Configuration, la zone de dialogue affiche le nombre de positions de haut-parleur et de micro requis par le format sélectionné. 2 Cliquez sur OK. La zone de dialogue « New Impulse Response Project » se ferme et le nombre de pistes requis (déterminé par le format choisi) s’affiche dans la section Inputs/Tracks. Définition des paramètres de l’Utilitaire de réponse d’impulsion Après avoir créé un projet de réponse d’impulsion, vous devez assigner le périphérique d’entrée et de sortie audio et définir les réglages du moniteur et du générateur de balayage. Assignation du matériel d’entrée et de sortie Vous devez configurer le périphérique d’entrée et de sortie audio dans la zone « Hardware I/O Assignment » avant de pouvoir utiliser l’Utilitaire de réponse d’impulsion. La sélection de l’entrée audio détermine le périphérique audio utilisé pour enregistrer les pistes audio. La sélection de la sortie audio détermine le périphérique audio utilisé pour contrôler le signal enregistré et lire le balayage sinusoïdal généré. Pour sélectionner un périphérique d’entrée audio : m Dans le menu Audio Input, choisissez le pilote d’interface audio souhaité. Pour sélectionner un périphérique de sortie audio : m Dans le menu Audio Output, choisissez le pilote d’interface audio souhaité. Modification de la fréquence d’échantillonnage La zone « Hardware I/O Assignments » affiche également la fréquence d’échantillonnage actuelle. Vous ne pouvez pas modifier la fréquence d’échantillonnage de votre projet de réponse d’impulsion dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion. Si vous souhaitez enregistrer vos pistes audio à une autre fréquence d’échantillonnage, vous devez la modifier dans l’utilitaire Configuration audio et MIDI ou dans le logiciel de votre interface audio (le cas échéant). En cas de doutes, reportez-vous à la documentation de votre interface audio.10 Configuration des commandes du moniteur Après avoir enregistré des pistes de balayage sinusoïdal dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion, vous pouvez les contrôler via la sortie stéréo de votre choix. Les commandes du moniteur déterminent le canal et le niveau de ce dernier. Vous pouvez également désactiver le son de la section du moniteur. Pour sélectionner les canaux de sortie du moniteur stéréo : m Choisissez la paire de sorties stéréo souhaitée dans le menu Monitor Channel. Pour ajuster le niveau de sortie du signal contrôlé : 1 Cliquez dans le champ Monitor Level. 2 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Faites glisser le pointeur vers la gauche (ou le bas) pour réduire le volume ou vers la droite (ou le haut) pour l’augmenter.  Saisissez une valeur numérique pour le niveau du moniteur (toute valeur supérieure à 0 dB règle le niveau du moniteur sur 0 dB). Important : pour éviter l’effet de Larsen pendant l’enregistrement, veillez à désactiver le son de la sortie du moniteur. Pour désactiver le son de la sortie du moniteur : m Cochez la case Monitor Mute. Configuration du générateur de balayage Le générateur de balayage produit une onde sinusoïdale balayant progressivement la plage de fréquences de 20 Hz à 20 kHz. Les paramètres du générateur de balayage définissent la sortie matérielle, le volume, la longueur, le temps de réverbération et le pre-roll du balayage sinusoïdal.11 Pour définir le canal de sortie matérielle du balayage sinusoïdal : m Choisissez le canal de sortie souhaité dans le menu Sweep Channel. Pour définir le niveau de sortie du balayage sinusoïdal : 1 Cliquez dans le champ Sweep Level. 2 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Faites glisser le pointeur vers la gauche (ou le bas) pour réduire le volume ou vers la droite (ou le haut) pour l’augmenter.  Saisissez une valeur numérique pour le niveau du balayage (toute valeur supérieure à 0 dB règle le niveau du balayage sur 0 dB). Longueur du balayage Trois options de longueur sont disponibles pour le balayage sinusoïdal :  10 s : balayage sinusoïdal de dix secondes.  50 s : balayage sinusoïdal de cinquante secondes.  Désactivé : aucun balayage sinusoïdal. Choisissez ce réglage si vous enregistrez une impulsion de pistolet de starter. Dans l’idéal, l’onde sinusoïdale doit être courte. Cela permet d’éviter les artefacts dus au déplacement d’air, au bruit de la pièce et aux autres bruits ambiants dans votre enregistrement. Un balayage sinusoïdal de 10 secondes est donc un choix judicieux. Malheureusement, les balayages courts peuvent ne pas produire un rapport signal/bruit suffisamment élevé dans certaines situations d’enregistrement. Si vous estimez que les résultats obtenus à partir d’un enregistrement de 10 secondes ne sont pas satisfaisants, essayez avec une durée de 50 secondes. Pour définir la longueur du balayage sinusoïdal : m Choisissez la longueur de balayage souhaitée dans le menu Sweep Length. Reverb Time Le paramètre Reverb Time détermine la durée d’enregistrement maximale de chaque piste. Pour capturer avec précision les propriétés acoustiques d’un espace, vous devez définir un temps suffisamment long pour capturer la phase de rétablissement de toutes les réverbérations et de tous les échos. Si vous utilisez le générateur de balayage, le temps de réverbération commence lorsque le balayage sinusoïdal se termine. Si vous avez réglé le paramètre Sweep Length sur Désactivé (en vue d’enregistrer la réponse d’impulsion d’un coup de pistolet de starter), le paramètre Reverb Time détermine la longueur totale de l’enregistrement.12 Pour définir le temps de réverbération : 1 Cliquez dans l’affichage Reverb Time. 2 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Faites glisser le pointeur vers la gauche (ou le bas) pour réduire le temps ou vers la droite (ou le haut) pour l’augmenter.  Saisissez une valeur numérique pour le temps de réverbération. Preroll Le but est de s’assurer qu’aucun bruit d’opérateur, tels que les bruits de frappe ou encore ceux dus au réajustement des micros, n’est enregistré. Pour ce faire, vous pouvez définir un preroll. L’enregistrement ne débutera pas immédiatement, ce qui vous laissera le temps de terminer la frappe, de corriger la position des micros au dernier moment si nécessaire, etc. La durée du preroll est identique à celle définie pour le paramètre Reverb Time. Pour activer/désactiver le preroll : m Cochez la case Preroll. Générateur de signal de test L’Utilitaire de réponse d’impulsion inclut un générateur de signal d’onde sinusoïdale tenue (c’est-à-dire, sans balayage) intégré permettant d’étalonner vos sorties matérielles. Plusieurs fréquences sont disponibles : 100 Hz, 1 kHz, 5 kHz et 10 kHz. Utilisez ce signal de test pour vérifier que le canal de sortie matérielle est correctement connecté et que vos haut-parleurs peuvent reproduire la fréquence d’onde sinusoïdale sélectionnée. Pour définir la fréquence du signal de test : m Choisissez la fréquence souhaitée dans le menu Test Tone. Pour activer/désactiver le signal de test : m Cliquez sur la case On. Lorsque la case est cochée, vous entendez immédiatement le signal de test via le canal de balayage sélectionné. Remarque : le niveau du signal de test est déterminé par le paramètre Sweep Level.13 Enregistrement audio dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion Après avoir sélectionné vos assignations matérielles et configuré le moniteur ainsi que le générateur de balayage sinusoïdal, vous pouvez commencer à enregistrer vos pistes audio. L’enregistrement dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion se fait en trois étapes : 1 Sélectionnez une piste audio dans la section Inputs/Tracks. 2 Configurez la piste audio pour l’enregistrement. 3 Répétez cette étape pour chaque piste requise par le format choisi. 4 Cliquez sur le bouton Sweep/Record pour lancer l’enregistrement. Si vous utilisez le générateur de balayage, vous entendrez le balayage d’onde sinusoïdale sur toute sa plage de fréquences. L’Utilitaire de réponse d’impulsion enregistre le résultat sur la ou les pistes audio sélectionnées. Si vous avez désactivé le générateur de balayage, cliquez sur Enregistrement et tirez un coup de pistolet de starter. L’Utilitaire de réponse d’impulsion enregistre la réponse d’impulsion résultante sur la piste audio sélectionnée. Pour sélectionner une piste audio, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez dans la bande de piste souhaitée. m Utilisez les touches Flèche vers le haut et Flèche vers le bas pour parcourir la liste des pistes. Configuration des pistes audio pour l’enregistrement La section Inputs/Tracks affiche automatiquement le nombre de pistes requis pour l’enregistrement de la réponse d’impulsion en fonction de vos sélections dans la zone de dialogue « New Impulse Response Project ». Chaque bande de piste de la section Inputs/Tracks présente un certain nombre de paramètres. Certains d’entre eux sont automatiquement configurés par l’Utilitaire de réponse d’impulsion, les autres doivent être définis par l’utilisateur avant l’enregistrement. Paramètres des pistes  Menu Speaker Position : permet de choisir l’étiquette de position du haut-parleur pour la piste sélectionnée. L’Utilitaire de réponse d’impulsion et Space Designer utilisent tous deux ces étiquettes pour identifier et traiter les fichiers audio composant une réponse d’impulsion stéréo ou Surround multicanal. L’Utilitaire de réponse d’impulsion définit automatiquement l’étiquette de position du haut-parleur pour chaque piste, mais vous pouvez en sélectionner une autre (parmi celles disponibles dans le format de réponse d’impulsion actuel) si vous le souhaitez.14  Menu Mic Position : permet de choisir l’étiquette de position du micro pour la piste sélectionnée. L’Utilitaire de réponse d’impulsion et Space Designer utilisent tous deux ces étiquettes pour identifier, et traiter, les fichiers audio composant une réponse d’impulsion stéréo ou Surround multicanal. L’Utilitaire de réponse d’impulsion définit automatiquement l’étiquette de position du micro pour chaque piste, mais vous pouvez en sélectionner une autre (parmi celles disponibles dans le format de réponse d’impulsion actuel) si vous le souhaitez.  Menu Input : permet de définir l’entrée physique de chaque piste. Veillez à sélectionner la bonne entrée avant l’enregistrement.  Bouton S[olo] : cliquez dessus pour activer ou désactiver le mode Solo pour la piste sélectionnée. Lorsque le bouton Solo est activé (jaune), le signal d’entrée est acheminé vers la section du moniteur et le niveau d’entrée est affiché dans le VUmètre (voir « VU Meter » ci-dessous). Vous ne pouvez mettre qu’une seule piste à la fois en mode Solo.  Bouton R[ecord-Enable] : met la piste sélectionnée en mode « Prêt pour l’enregistrement ». Le bouton E devient rouge lorsqu’il est activé. Le fait de cliquer sur ce bouton active également le bouton Solo pour la piste sélectionnée, ce qui vous permet de contrôler le signal d’entrée avant l’enregistrement. Vous pouvez activer plusieurs pistes à la fois pour un enregistrement multicanal. Lorsque vous cliquez sur le bouton Sweep/Record, un enregistrement est réalisé sur toutes les pistes activées pour l’enregistrement.  Bouton L[ock] : verrouille les paramètres Sweep Length et Reverb Time pour garantir que tous les enregistrements suivants utilisent les mêmes valeurs.  Peak : affiche la valeur du niveau de crête en dB. Si le niveau vient à dépasser 0 dB, la valeur de crête est conservée jusqu’à ce qu’elle soit effacée. Le fait de cliquer sur l’en-tête de la colonne Crête réinitialise la mesure Crête de toutes les pistes.  Level : affiche le VU Meter de chaque piste. Ce VU Meter affichent toujours le niveau actuel des entrées physiques. Mode de verrouillage et générateur de balayage Lorsqu’une piste est verrouillée, les paramètres du générateur de balayage le sont également. Cela permet de garantir que tous les enregistrements suivants utilisent les mêmes réglages de balayage. Chaque piste doit en effet utiliser un balayage sinusoïdal identique pour pouvoir produire une réponse d’impulsion multicanal avec une phase cohérente et une sonorité précise.15 VU Meter L’Utilitaire de réponse d’impulsion offre un VU Meter mesurant soit le niveau du signal au niveau de l’entrée de la piste (mise en mode Solo), soit la sortie du générateur de balayage. Pendant la lecture de l’audio enregistré, le VU Meter affiche le niveau de la piste sélectionnée. Un message d’état affiché sous le VU Meter indique son mode de fonctionnement actuel. L’échelle du VU Meter va de 0 à 100 %, où 100 % représente 0 dB. Enregistrement Après avoir configuré et activé les pistes souhaitées pour l’enregistrement, cliquez sur le bouton Sweep/Record. Si vous utilisez le générateur de balayage, le bouton indique « Sweep ». Si vous n’utilisez pas le générateur de balayage (paramètre Longueur du balayage réglé sur Off), le bouton indique « Record ».  Le fait de cliquer sur Sweep lance automatiquement l’enregistrement et génère le balayage sinusoïdal (en utilisant les paramètres du générateur de balayage choisis). Le VU Meter affiche automatiquement la sortie du générateur de balayage.  Le fait de cliquer sur Record lance automatiquement l’enregistrement. Tirez un coup de pistolet de starter et l’Utilitaire de réponse d’impulsion enregistrera la réponse d’impulsion. L’enregistrement se poursuit jusqu’à ce que la durée définie pour le balayage sinusoïdal (si le générateur de balayage est utilisé) et le paramètre Reverb Time soit écoulée. Il s’arrête automatiquement. Vous pouvez également l’arrêter manuellement en cliquant sur le bouton Sweep/Record. Remarque : le bouton Sweep/Record est désactivé si aucune piste n’est activée pour l’enregistrement. Enregistrement automatique des projets L’Utilitaire de réponse d’impulsion enregistre l’audio dans la mémoire RAM plutôt que sur le disque dur. Cela signifie que l’audio enregistré n’est pas sauvegardé tant que vous n’avez pas enregistré votre projet. Pour plus de commodité, l’Utilitaire de réponse d’impulsion enregistre automatiquement votre projet sur disque après chaque enregistrement audio. 16 Si vous n’avez pas encore enregistré votre projet, la zone de dialogue Enregistrer s’ouvre pour vous permettre de lui attribuer un nom et de choisir un emplacement sur votre disque dur. Si vous l’avez déjà enregistré auparavant, l’enregistrement se fait automatiquement. Voir « Enregistrement et ouverture des projets » à la page 22 pour en savoir plus. Déconvolution de votre réponse d’impulsion Si vous utilisez le générateur de balayage, vous devez déconvoluer vos enregistrements audio pour pouvoir les utiliser comme réponse d’impulsion. Pour déconvoluer vos pistes audio, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur le bouton Deconvolve. m Choisissez Edit > Deconvolve (ou appuyez sur Maj + Commande + D). Après la déconvolution, vos pistes audio ne forment plus qu’une seule et même réponse d’impulsion que vous pouvez écouter, éditer et convertir en fichier de réglage .sdir. Remarque : bien qu’il soit possible de déconvoluer chaque piste audio après son enregistrement, cela ne présente aucun intérêt. Il est beaucoup plus efficace d’attendre que toutes les pistes soient enregistrées avant de les déconvoluer. Édition et écoute de votre réponse d’impulsion Après avoir enregistré (ou déconvolué vos pistes audio en) une réponse d’impulsion, vous pouvez utiliser la zone Editing pour la « retoucher ». Vous pouvez également utiliser la fenêtre Audition IR pour écouter le résultat obtenu lorsqu’elle est appliquée à un fichier audio test. Édition de votre réponse d’impulsion Une fois vos pistes audio enregistrées, il se peut que vous constatiez trop de silence au début ou à la fin, qu’elles ne s’atténuent pas suffisamment tôt, etc. Pour corriger ces problèmes mineurs, l’Utilitaire de réponse d’impulsion vous permet de couper, de tronquer et d’appliquer un fondu à vos fichiers audio dans la zone Editing.17 Pour afficher un fichier audio dans la zone Editing : m Sélectionnez le fichier audio. Il apparaît alors automatiquement dans la zone Editing. Vous pouvez choisir l’un des trois modes d’affichage disponibles dans la zone Editing :  Waveform : affiche l’audio enregistré sous la forme d’une forme d’onde standard. L’axe horizontal affiche le temps écoulé. L’axe vertical affiche le niveau sonore sous forme de pourcentage.  Energy : affiche la répartition de l’énergie acoustique dans le temps. L’axe horizontal affiche le temps écoulé. L’axe vertical affiche les niveaux sonores en dB.  Spectrogram : affiche la répartition des fréquences dans le temps. L’axe horizontal affiche le temps écoulé. L’axe vertical affiche les fréquences, qui sont colorées en fonction de la plage de décibels. La légende des couleurs dans le coin supérieur droit de la zone Editing indique le système de couleurs utilisé. Ces modes d’affichage vous permettent d’analyser efficacement vos formes d’onde et d’identifier facilement les parties à couper ou à tronquer, ou celles nécessitant un fondu. Le mode Spectrogramme, qui affiche simultanément la fréquence, le niveau et le temps, est particulièrement bien adapté à une analyse très détaillée de votre audio.18 Boutons de transport La zone Editing contient deux boutons de transport :  Play : lance ou arrête la lecture de la piste audio sélectionnée. Vous pouvez également utiliser la barre d’espace à cette fin.  Cycle : active/désactive le mode Cycle. Lorsque ce mode est activé (bouton assombri), la piste sélectionnée est lue en boucle. Fonctions d’édition L’Utilitaire de réponse d’impulsion offre trois fonctions d’édition utilisables à l’aide des deux boutons d’édition situés en haut à gauche de la fenêtre Editing : Cut, Crop, et Fade. Toutes les fonctions d’édition sont utilisables de la même manière : 1 Cliquez et faites glisser le pointeur sur une portion de l’audio dans la zone Editing. 2 Cliquez sur le bouton de la fonction d’édition de votre choix.  Crop : si vous effectuez une sélection n’incluant ni le début ni la fin de l’audio, le bouton d’édition de gauche active la fonction Crop. Le fait de cliquer sur ce bouton supprime l’audio se trouvant à droite et à gauche de votre sélection, sans affecter l’audio sélectionné. Vous pouvez également choisir Editing > Crop (ou appuyer sur Commande + X) à cette fin.  Cut : si vous effectuez une sélection incluant le début ou la fin de l’audio, le bouton d’édition de gauche active la fonction Cut. Le fait de cliquer sur ce bouton supprime la sélection sans affecter l’audio non sélectionné. Vous pouvez également choisir Editing > Cut (ou appuyer sur Commande + X) à cette fin.  Fade : si vous effectuez une sélection incluant le début ou la fin de l’audio, vous pouvez sélectionner la fonction Fade. Le fait de cliquer sur ce bouton crée un fondu progressif sur toute la longueur de la zone sélectionnée. Vous pouvez également choisir Editing > Fade (ou appuyer sur Commande + F). Remarque : pour préserver la cohérence de phase entre toutes les pistes de votre réponse d’impulsion, les opérations d’édition sont appliquées de la même manière à toutes les pistes. Pour que votre réponse d’impulsion ne comporte aucune piste éditée de manière diffé- rente, vous ne pouvez plus enregistrer d’autres pistes après une session d’édition.19 Écoute de votre réponse d’impulsion Pour vous faire une idée du son de votre réponse d’impulsion lorsqu’elle sera utilisée dans Space Designer, vous devez pouvoir l’écouter en contexte. L’Utilitaire de réponse d’impulsion inclut à cette fin une fenêtre Écoute dans laquelle vous pouvez convoluer la réponse d’impulsion chargée avec des fichiers audio test. La fenêtre Audition est divisée en trois sections : la zone Impulse Response, la zone Monitor et la zone Audio Test File. L’Utilitaire de réponse d’impulsion permet de charger/d’utiliser jusqu’à cinq fichiers audio comme sources lors de l’écoute de votre réponse d’impulsion. La fenêtre Audition comprend également quatre fichiers sources de test intégrés. Pour ouvrir la fenêtre Audition : m Cliquez sur le bouton Audition IR. La fenêtre Audition s’ouvre. Toutes les fonctions d’édition sont désactivées lorsque cette fenêtre est ouverte. La fenêtre Audition comporte les paramètres suivants :  Case Enable : permet d’activer ou de désactiver les différents enregistrements de réponse d’impulsion. Utilisez ces cases pour sélectionner le ou les fichiers à écouter.  Étiquette Input ID : identifie le fichier de réponse d’impulsion à l’aide de ses positions de haut-parleur > micro.  Menu Output Channel : permet de sélectionner le canal de sortie physique utilisé pour la lecture de la réponse d’impulsion sélectionnée.  Champ Mix : détermine le rapport signal source test sec/signal d’effet.20  Champ Monitor Level : permet de définir le niveau d’écoute global.  Boutons Test Audio File : permet de lire l’un des quatre fichiers audio sources de test intégrés.  Boutons Ouvrir : cliquez dessus pour charger un fichier audio à utiliser comme source de test. Vous pouvez utiliser n’importe quel fichier audio non compressé.  Boutons Play : cliquez dessus pour lire le fichier audio sélectionné combiné avec le ou les fichiers de réponse d’impulsion activés. Réponses d’impulsion en format B L’apparence de la fenêtre Audition change légèrement lorsque vous utilisez une réponse d’impulsion en format B. La fenêtre Audition du format B supprime le paramè- tre Output Channel de la zone Piste et comprend une zone Loudspeaker : La zone Loudspeaker comprend les paramètres suivants :  Number of Loudspeakers : permet de définir le nombre de haut-parleurs utilisés par l’Utilitaire de réponse d’impulsion pour décoder la réponse d’impulsion. Cliquez sur les flèches pour augmenter ou diminuer le nombre de haut-parleurs, ou double-cliquez sur le nombre affiché et saisissez une nouvelle valeur.  Loudspeaker Angle : permet de configurer l’angle de chaque haut-parleur. Le décodage du format B prend ce paramètre en compte pour recréer l’espace enregistré.  Output Channel : permet de définir le canal de sortie physique du haut-parleur sélectionné.21 Création d’un réglage Space Designer Lorsque vous êtes satisfait de votre réponse d’impulsion, vous pouvez générer un fichier .sdir, ainsi qu’un réglage de module. Une fois cette opération réalisée, vous pourrez utiliser votre nouvelle réponse d’impulsion dans Space Designer. Pour créer un réglage Space Designer, effectuez l’une des opérations suivantes : m Cliquez sur le bouton Create Space Designer Setting. m Choisissez File > Create Space Designer Setting. L’Utilitaire de réponse d’impulsion génère un fichier .sdir de votre réponse d’impulsion et l’enregistre dans le répertoire suivant : ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/Impulse Responses. Il génère également un fichier de réglage de module pour votre réponse d’impulsion et l’enregistre dans le répertoire suivant : ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/ Plug-In Settings/Space Designer. La prochaine fois que vous ouvrirez Logic, votre nouvelle réponse d’impulsion sera disponible dans la Bibliothèque, ainsi que dans l’interface de Space Designer.22 Enregistrement et ouverture des projets Comme indiqué précédemment, l’Utilitaire de réponse d’impulsion enregistre automatiquement votre projet dès que vous effectuez un enregistrement audio. Vous pouvez toutefois l’enregistrer manuellement à tout moment. Vous pouvez également ouvrir un projet pré- cédemment enregistré ou revenir à la dernière version enregistrée du projet ouvert. Pour enregistrer votre projet en utilisant son nom et son emplacement actuels : m Choisissez File > Save Project (ou appuyez sur Commande + S) pour enregistrer votre projet de réponse d’impulsion sous son nom actuel dans son emplacement actuel. Pour enregistrer votre projet en utilisant un nouveau nom ou un nouvel emplacement : m Choisissez File > Save As (ou appuyez sur Commande + Maj + S). Le fichier de projet de réponse d’impulsion est un paquet Mac OS X contenant tous les fichiers associés au projet. Ouverture des projets Si vous souhaitez poursuivre votre travail sur un projet précédemment enregistré, vous devez d’abord l’ouvrir. Pour ouvrir un projet, effectuez l’une des opérations suivantes : m Choisissez File > Open Project (ou appuyez sur Commande + O), puis recherchez votre fichier de projet. m Choisissez File > Open Recent pour ouvrir un menu hiérarchique des fichiers de projet récemment ouverts. Retour à la version enregistrée Si vous n’êtes pas satisfait des modifications ou des enregistrements effectués dans le projet en cours et que vous avez déjà enregistré ce dernier, vous pouvez utiliser la commande File > Revert to Saved. Cela permet de revenir à la dernière version enregistrée du projet. Remarque : lorsque vous utilisez la commande Revert to Saved, vous perdez toutes les modifications non enregistrées.23 Recommandations relatives aux micros et haut-parleurs La réponse d’impulsion d’un espace n’est jamais uniquement la réponse d’impulsion de cet espace. La réponse d’impulsion enregistrée est toujours la réponse de l’ensemble du système, c’est-à-dire de chaque élément de l’équipement que vous utilisez pour réaliser vos enregistrements. Cela inclut, dans l’ordre du trajet du signal : le convertisseur numé- rique-analogique, l’amplificateur et les haut-parleurs (ou les haut-parleurs amplifiés), les caractéristiques de la pièce, le ou les micros et, enfin, le préamplificateur du micro et le convertisseur analogique-numérique. Par conséquent, avant de quitter votre studio pour aller enregistrer la réponse d’impulsion d’un espace, vous devez penser à l’équipement que vous allez emporter. De nos jours, même les convertisseurs bon marché offrent une qualité acceptable, votre attention devra donc se porter sur la sélection des haut-parleurs et des micros. Recommandations pour la sélection des micros et des haut-parleurs Il n’existe aucune règle quant à la marque de micro ou de haut-parleur qui permettra d’obtenir la meilleure réponse d’impulsion. Un bon point de départ consiste à utiliser des haut-parleurs et des micros ayant une réponse linéaire (ce qui signifie qu’ils produisent un signal égal à toutes les fréquences). Vous trouverez des micros et des haut-parleurs offrant des réponses relativement linéaires à pratiquement tous les prix. Les micros à lampe, géné- ralement appréciés pour la « couleur » qu’ils ajoutent au signal, ne constituent pas nécessairement la meilleure option pour l’enregistrement de réponses d’impulsion. Les micros utilisés comme micros d’ambiance sont généralement de bons candidats. 24 Recommandations pour le positionnement des haut-parleurs et des micros L’endroit où vous placez vos haut-parleurs et vos micros dans l’espace d’enregistrement a un impact important sur les échos et les réflexions particuliers capturés par votre réponse d’impulsion. Il va sans dire que la créativité est la clé du succès et que tout repose sur l’expérimentation. Il existe toutefois quelques recommandations et principes généraux qui pourront vous aider à prendre un bon départ. Recommandation générale pour le positionnement dans les environnements présentant des sols durs faits de matériaux tels que le béton : il se peut qu’un son strident soit enregistré au début de votre réponse d’impulsion. Ce son est en fait le balayage sinusoïdal généré transmis par le sol et capté par le micro. Le son se propage en effet beaucoup plus vite dans les sols et le béton que dans l’air, ce qui produit une réponse pré-impulsionnelle avant celle que vous souhaitez enregistrer. Pour éviter ce problème potentiel, vous pouvez utiliser des pieds de batterie de « studio » et des suspensions de micro spéciaux dotées de puissants absorbeurs acoustiques intégrés. Si vous ne pouvez pas emmener de pieds de batterie ou si vous n’avez pas les moyens d’acheter des supports de micro onéreux, essayez de placer un tapis épais sous les haut-parleurs et le ou les pieds de micro. Vous trouverez ci-dessous certaines approches spécifiques que vous pouvez essayer lors de la création de réponses d’impulsion. Gardez à l’esprit qu’il ne s’agit que de suggestions. Il n’existe aucune règle quant à la distance à laquelle les haut-parleurs doivent être éloignés de la batterie de micros, aux angles optimaux, à la distance idéale entre les haut-parleurs et les micros, etc. Vous pouvez essayer différentes techniques et différents positionnements pour trouver la configuration idéale. La création de réponses d’impulsion est un art ! Approche de l’auditeur virtuel Il s’agit sans doute de la technique la plus courante pour positionner les haut-parleurs et les micros en vue de créer des réponses d’impulsion. L’objectif est de capturer l’effet des échos et des réflexions produits par tout l’espace, tels qu’ils sont entendus à la position d’écoute. Dans cette approche, les haut-parleurs sont installés sur les côtés de la pièce et le micro est placé à la position d’écoute. 25 La réponse d’impulsion résultante (lorsque vous l’utilisez plus tard dans Space Designer pour ajouter de la réverbération à votre signal) doit donner l’impression que votre audio provient des différentes positions de haut-parleur dans l’« espace ». Il n’est pas nécessaire d’avoir plusieurs micros pour cette méthode ; un seul micro peut être dirigé tour à tour vers chacun des haut-parleurs et plusieurs enregistrements audio peuvent être réalisés depuis le même emplacement. L’image ci-dessous illustre l’approche de l’auditeur virtuel pour positionner cinq haut-parleurs (pour une réponse d’impulsion Surround à cinq canaux), avec un micro placé au centre de l’espace. Cette méthode permet de donner l’impression que le signal audio est complètement immergé dans l’espace simulé. C L R Ls Système Rs de micros Surround26 Approche de l’auralisation L’auralisation est une autre méthode courante pour le positionnement des haut-parleurs et des micros dans un espace. Cette technique consiste à essayer de capturer les réflexions depuis la position de l’interprète. Installez un ou plusieurs haut-parleurs à la position de l’interprète (ou d’une autre source audio) et placez un micro à la position d’écoute. La réponse d’impulsion résultante (lorsque vous l’utilisez dans Space Designer) doit donner l’impression que votre audio provient de l’endroit précis où les haut-parleurs sont positionnés. Vous pouvez utiliser la technique de l’auralisation pour créer, par exemple, une réponse d’impulsion stéréo d’une scène particulière. Lorsque vous utilisez cette réponse d’impulsion dans Space Designer, votre audio doit donner l’impression qu’il provient de cette scène. L’image ci-dessous illustre l’utilisation de la technique de l’auralisation pour positionner vos haut-parleurs et vos micros en vue de créer une réponse d’impulsion stéréo véritable. Pour capturer une réponse d’impulsion Surround donnant l’impression d’être « dans le public » d’un espace, installez deux haut-parleurs à la position de l’interprète comme illustré ci-dessus, mais placez un ensemble Surround de micros autour de la pièce. Cela permet de créer l’impression (et l’effet) réaliste d’être « dans le public », comme si l’interprétation avait lieu face à vous. Vous pouvez ainsi créer un effet Surround à partir d’un enregistrement stéréo en direct. Scène Public L R27 Approche de la chambre d’échos virtuelle Une bonne alternative à l’approche de l’auralisation consiste à placer vos haut-parleurs et vos micros de façon à créer un espace virtuel ressemblant à une chambre d’échos réelle. Pour créer ce genre de réponse d’impulsion, orientez les haut-parleurs vers deux coins de la pièce et les micros vers les coins opposés. C’est ainsi que seraient positionnés les micros dans une chambre d’échos réelle. Cela élimine tout chemin direct entre le hautparleur et le micro et permet de capturer davantage de réflexions. L’image ci-dessous illustre la façon dont vous pouvez positionner deux haut-parleurs et deux micros pour créer une réponse d’impulsion stéréo à l’aide de cette approche de chambre d’échos virtuelle. Vous pouvez ainsi mixer la réverbération avec le signal sec sans problèmes d’annulation de phase causés par les premières réflexions ou les signaux directs. Cette approche fonctionne particulièrement bien si vous souhaitez conserver un signal pratiquement sec, non altéré ni coloré par la réverbération, tout en ajoutant une pointe de réverbération haute fidélité à votre audio. Vous pouvez également utiliser cette méthode pour créer des réverbérations Surround ou à plusieurs canaux. Le principal concept à garder à l’esprit est que les haut-parleurs doivent être orientés vers le mur afin d’éliminer tout chemin direct entre ces derniers et les micros. L’illustration ci-dessous présente une disposition possible pour une chambre de réverbération à cinq canaux. Les haut-parleurs, positionnés en cercle, sont dirigés vers les murs, et l’ensemble de micros est placé au centre du cercle. L R Système de micros Surround C L R Ls Rs28 Enregistrement de réponses d’impulsion de haut-parleurs de guitare et de périphériques matériels Vous n’êtes pas limité à la création de réponses d’impulsion de pièces et d’espaces. Vous pouvez créer une réponse d’impulsion de tout appareil permettant de lire un balayage sinusoïdal à large bande (et d’enregistrer le résultat). Voici deux exemples : les enceintes acoustiques de guitare et les périphériques de traitement matériels tels que les égaliseurs à lampes et les unités de réverbération. Le son d’une guitare électrique émis par un amplificateur de guitare est très influencé par la réponse en fréquence et la couleur de l’enceinte acoustique. Si vous créez une réponse d’impulsion d’une enceinte acoustique de guitare et que vous combinez ensuite un signal d’amplificateur de guitare direct avec cette réponse d’impulsion dans Space Designer (avec l’effet réglé à 100 %), le signal direct sonnera comme s’il était émis par l’enceinte. Vous devez toujours disposer d’un micro et d’une interface audio pour créer une réponse d’impulsion d’une enceinte acoustique de guitare, mais vous n’avez pas besoin d’un haut-parleur de monitoring supplémentaire pour le balayage sinusoïdal à large bande dans la mesure où celui-ci est lu via le haut-parleur/l’amplificateur de guitare lui-même. Si votre amplificateur de guitare est doté d’un retour d’effets, vous pouvez l’utiliser pour créer la réponse d’impulsion. S’il en est dépourvu, vous pouvez utiliser un boîtier de « ré-amplification » (qui augmente l’impédance de la sortie de ligne de votre interface audio au niveau requis par l’entrée de votre amplificateur de guitare) ou un amplificateur de niveau de ligne en lieu et place de votre amplificateur de guitare (pour amplifier le balayage sinusoïdal via l’enceinte acoustique de guitare). Vous pouvez tester plusieurs positionnements de micro tout comme vous le feriez pour la prise de son d’un espace physique, mais sachez que le positionnement le plus courant est la « prise de son de proximité », qui consiste à placer votre micro très près du hautparleur (jusqu’à 2,5 cm). L’illustration ci-dessous montre comment vous pouvez installer votre enceinte acoustique de guitare pour créer votre réponse d’impulsion. Ampli de guitare avec micro Interface audio Ordinateur29 Imaginons que vous souhaitiez créer une réponse d’impulsion de votre préamplificateur de micro à lampe favori pour pouvoir appliquer sa couleur unique à votre audio. Vous pourriez ainsi combiner un signal avec cette réponse d’impulsion dans Space Designer (avec l’effet réglé à 100 %) en vue d’ajouter la couleur de votre préamplificateur de micro à ce signal. Ce scénario ne nécessite ni haut-parleurs ni micros. Il suffit de brancher la sortie de votre interface audio sur l’entrée de votre périphérique matériel et de lire le balayage sinusoïdal via ce dernier. Branchez ensuite la sortie de votre périphérique matériel sur l’entrée de votre interface audio pour enregistrer le signal dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion. Vous pouvez utiliser cette méthode pour créer des réponses d’impulsion d’unités de réverbération, d’unités multi-effets ou encore d’égaliseurs matériels. Vous devez être prudent lors de la création de réponses d’impulsion de périphériques d’effets matériels incluant des effets de modulation. Les modulations telles que les rotophaseurs, les chorus, etc. interfèrent avec le balayage sinusoïdal lui-même, ce qui rend la déconvolution difficile, voire impossible. Cela vaut également pour certaines unités de réverbération telles que les périphériques de réverbération matériels Lexicon classiques, dans lesquels les queues de réverbération sont modulées. Dans ces cas, il est préférable d’envoyer une impulsion enregistrée (telle qu’un pic ou un coup de feu) au périphérique d’effets matériel plutôt qu’un balayage sinusoïdal. Encodage Surround au format B Le format B est une technique spéciale d’encodage d’informations spatiales. Il représente l’espace à l’aide de quatre flux audio : un pour capturer la pression acoustique (W) et trois pour capturer les coordonnées X (avant vers arrière), Y (gauche à droite) et Z (haut vers bas) de la pièce. L’illustration ci-dessous montre comment ces quatre flux audio interagissent entre eux pour créer une image spatiale en trois dimensions. Hauteur Z Avant X Droite Y Z Y Gauche X Arrière W30 Space Designer peut décoder et convoluer ces quatre flux audio en réverbérations dans tous les formats Surround pris en charge. Space Designer offre une bibliothèque complète de réponses d’impulsion au format B utilisant les quatre flux (W, X, Y et Z). Dans la mesure où les réponses d’impulsion n’utilisent pas les informations de l’axe Z, l’Utilitaire de réponse d’impulsion n’enregistre et n’encode que les informations des signaux W, X et Y, ce qui permet d’économiser de l’espace disque et les ressources de l’unité centrale. L’Utilitaire de réponse d’impulsion permet d’encoder tous les formats de réponse d’impulsion Surround pris en charge au format B. Avantages de l’encodage Surround au format B L’un des avantages du format B est qu’il permet de capturer une image Surround avec moins de fichiers audio. En temps normal, vous devez enregistrer chaque position de haut-parleur depuis chaque position de micro pour enregistrer correctement toutes les informations Surround. Avec le format B, ces quatre (ou trois, dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion) flux audio sont tout ce dont vous avez besoin pour capturer l’audio de chaque haut-parleur. Imaginons par exemple que vous utilisiez une installation à cinq canaux et que vous souhaitiez créer une réponse d’impulsion à cinq canaux à l’aide de l’Utilitaire de réponse d’impulsion. Avec les méthodes classiques, vous devriez enregistrer les cinq haut-parleurs depuis les cinq positions de micro, ce qui générerait 25 fichiers audio. Si vous choisissez de créer un projet de réponse d’impulsion à cinq canaux au format B, vous n’aurez à enregistrer que 15 fichiers audio, soit trois enregistrements audio (W, X et Y) pour chacune des cinq positions de haut-parleur. Comme vous pouvez le constater, les réponses d’impulsion Surround encodées au format B nécessitent beaucoup moins de fichiers audio, ce qui signifie moins d’espace disque, et également moins de mémoire RAM et de cycles d’unité centrale lors du décodage dans Space Designer. Un autre avantage de l’encodage au format B est la cohérence de phase lors de l’utilisation simultanée de plusieurs micros. Lorsque vous utilisez plusieurs micros, les différences de temps nécessaire au son pour atteindre chacun d’eux peuvent produire des annulations de phase et des déphasages, ce qui peut affecter la qualité de votre réponse d’impulsion. Dans la mesure où le point de référence est toujours le même avec l’encodage au format B, il n’y a pas de problèmes de phase, même lorsque vous utilisez plusieurs micros pour enregistrer votre réponse d’impulsion.31 Micros recommandés pour l’enregistrement au format B Les meilleurs micros pour l’enregistrement au format B sont probablement les micros Surround de marque SoundField. Ces micros contiennent toutes les capsules dont vous avez besoin pour réaliser un enregistrement de référence complet au format B en une seule prise et incluent les composants matériels nécessaires à l’envoi des flux d’axe distincts aux différentes pistes de l’Utilitaire de réponse d’impulsion. Il suffit de faire pivoter le micro une fois en direction de chaque position de haut-parleur et le matériel du micro et de traitement s’occupe du reste. Pour les personnes ne pouvant pas investir dans des micros SoundField, l’Utilitaire de réponse d’impulsion offre d’autres options de micro pour l’enregistrement au format B. La capture du signal W (pression acoustique) nécessite un micro omnidirectionnel. La capture des signaux d’axe X et Y nécessite un micro bidirectionnel (pour capturer le signal à l’avant et à l’arrière du micro). Ainsi, vous pouvez enregistrer chaque position de hautparleur en une seule prise à l’aide de deux micros bidirectionnels, l’un étant dirigé directement vers la source du haut-parleur (X) et l’autre placé perpendiculairement (Y), et d’un micro omnidirectionnel pour la pression acoustique (W). Veillez à positionner les micros de façon à ce que leurs capsules soient aussi proches que possible l’une de l’autre, l’idéal étant d’avoir un point de référence unique compact pour chaque position de haut-parleur. Vous devrez faire pivoter chaque micro bidirectionnel vers chaque position de haut-parleur. Il n’est pas nécessaire de déplacer le micro omnidirectionnel car sa capsule capte le son à 360 degrés. Même si votre budget est trop limité pour acquérir trois micros différents, vous pouvez toujours créer des réponses d’impulsion au format B en enregistrant chaque flux audio séparément dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion. Il vous suffit pour cela de disposer d’un micro permettant de basculer entre une courbe omnidirectionnelle et une courbe bidirectionnelle. De nombreux micros performants (à tous les prix) offrent cette possibilité. Vous devrez souvent basculer d’une courbe de directivité à une autre et faire pivoter les micros, mais cela est faisable. Guide d’initiation Cette rubrique vous guide tout au long du processus de création d’une réponse d’impulsion, de la création du projet à la génération du réglage Space Designer final. Pour ce guide d’initiation, imaginons que vous ayez l’autorisation d’enregistrer dans une salle de concert locale ayant une acoustique particulièrement bonne. Dans la mesure où cette opportunité ne se présentera probablement plus jamais, vous avez décidé d’enregistrer une réponse d’impulsion Surround à cinq canaux distincts.32 Création d’une réponse d’impulsion Surround à cinq canaux Suivez les étapes présentées ci-dessous pour créer une réponse d’impulsion Surround à cinq canaux distincts. Étape 1 : préparation : installation des micros et des haut-parleurs La première étape consiste à installer vos haut-parleurs et vos micros. Imaginons que vous ayez décidé d’utiliser l’approche de l’auditeur virtuel, qui nécessite cinq haut-parleurs et au moins un micro placé au centre que vous pouvez orienter tour à tour vers chacun des hautparleurs. Vous devriez idéalement disposer de cinq moniteurs amplifiés identiques. Cela vous fera gagner du temps lors de l’enregistrement et vous permettra de voir tous les hautparleurs à la fois, de vous assurer qu’ils sont tous à la même distance des coins et des murs, etc. Une fois tous les haut-parleurs positionnés, vous devez installer votre micro au centre de la salle. Vérifiez que tous les composants sont correctement connectés à votre interface audio. Étape 2 : création d’un projet L’étape suivante consiste à ouvrir l’Utilitaire de réponse d’impulsion et à créer un projet de réponse d’impulsion à cinq canaux. La zone de dialogueNew Impulse Response Project vous informe que ce format nécessite cinq positions de haut-parleur et de micro. Lorsque vous fermez la zone de dialogue, vingt-cinq pistes audio s’affichent dans la section Inputs/ Tracks, une pour chaque position de haut-parleur depuis chaque position de micro. Étape 3 : configuration des paramètres de l’Utilitaire de réponse d’impulsion Orientez votre micro vers le haut-parleur à enregistrer (celui situé devant à gauche, par exemple). Configurez la section Monitor, le générateur de balayage et l’entrée pour la piste sélectionnée. Étape 4 : enregistrement Activez la piste sélectionnée pour l’enregistrement, puis cliquez sur le bouton Sweep. L’Utilitaire de réponse d’impulsion vous invite à saisir un nom pour le nouveau projet et à l’enregistrer une fois le premier enregistrement terminé. Faites pivoter le micro vers la deuxième position Surround, activez la piste pour l’enregistrement, puis cliquez sur le bouton Sweep. Une fois l’enregistrement terminé, le projet est automatiquement enregistré en arrière-plan. Si vous le souhaitez, vous pouvez lire la piste dans la zone Editing pour contrôler l’enregistrement. Répétez cette procédure vingt-trois fois de plus jusqu’à ce que vous ayez enregistré les vingt-cinq pistes audio nécessaires à la capture de toutes les combinaisons de positions de micro et de haut-parleur possibles. Étape 5 : déconvolution Cliquez sur le bouton Deconvolve après avoir enregistré (et contrôlé) les fichiers audio pour chaque position. À ce stade, vous devriez enregistrer manuellement le projet.33 Étape 6 : édition et écoute Si vous constatez la présence de silence superflu au début ou à la fin de votre réponse d’impulsion, utilisez la zone Editing pour le supprimer. Utilisez la fenêtre Audition pour écouter des données de test combinées avec votre réponse d’impulsion pour vous assurer que le résultat est bien celui escompté. Si le résultat n’est pas satisfaisant, continuez d’éditer votre réponse d’impulsion. Si vous n’êtes toujours pas satisfait du résultat, recommencez à partir de l’étape deux ou trois. Étape 7 : création d’un réglage Space Designer Lorsque vous êtes entièrement satisfait de votre réponse d’impulsion, vous pouvez cliquer sur Create Space Designer Setting. L’Utilitaire de réponse d’impulsion génère alors les fichiers .sdir et de réglages Space Designer. Votre nouvelle réponse d’impulsion sera disponible à la prochaine ouverture de Space Designer. Ce processus de base est toujours le même, quel que soit le format de réponse d’impulsion ou l’approche de positionnement des micros et des haut-parleurs que vous choisissez. Il n’y a rien d’autre à faire ! Enregistrement d’une réponse d’impulsion à 5 canaux Mono vers Omni La procédure ci-dessus décrit l’enregistrement d’une véritable réponse d’impulsion Surround. Bien souvent, vous pouvez vous contenter d’enregistrer une seule position de haut-parleur pour créer une réponse d’impulsion mono/omni discrète. Les réponses d’impulsion mono/omni discrètes sont non seulement plus faciles et plus rapides à enregistrer, mais elles nécessitent également moins de puissance de l’unité centrale. Pour créer une réponse d’impulsion à 5 canaux Mono vers Omni : 1 Choisissez le modèle de canaux Mono/Omni to 5 dans la zone de dialogue New Projects. Vous verrez que les projets de réponse d’impulsion mono/omni discrète ne nécessitent qu’un seul haut-parleur. 2 Orientez votre haut-parleur vers le plafond ou vers un mur situé derrière. 3 Orientez votre micro vers la première position Surround : devant à gauche, par exemple. 4 Enregistrez le balayage. 5 Répétez cette procédure pour toutes les autres positions de micro. Final Cut Server Manuel de l’utilisateurK Apple Inc. Copyright © 2008 Apple, Inc. Tous droits réservés. Vos droits sur ce logiciel sont régis par la licence d’utilisation qui l’accompagne. Le propriétaire ou l’utilisateur autorisé d’une copie valide du logiciel Final Cut Server peut reproduire cet exemplaire pour en apprendre le fonctionnement. En revanche, il est interdit de reproduire ou de transmettre cette publication, même partiellement, à des fins commerciales telles que la vente de copies ou la prestation de services d’assistance payants. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option-1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tous les efforts nécessaires ont été mis en œuvre pour que les informations contenues dans ce manuel soient les plus exactes possibles. Apple n’est pas responsable des erreurs survenues lors de l’impression ou de la copie. Remarque : étant donné qu’Apple publie fréquemment des nouvelles versions et des mises à jour du logiciel système, des applications et des sites Internet, certaines images de ce manuel peuvent légèrement différer de celles qui s’affichent à l’écran. Apple Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014–2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, DVD Studio Pro, Final Cut, Final Cut Pro, Final Cut Studio, FireWire, iDVD, Keynote, Mac, Macintosh, Mac OS, Pages, QuickTime, Soundtrack et Xsan sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder et Leopard sont des marques d’Apple Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. Java et toutes les marques et logos basés sur Java sont des marques ou des marques déposées de Sun Microsystems, Inc. aux États-Unis et dans d’autres pays. Les autres noms de produits et de sociétés mentionnés dans ce document sont des marques appartenant à leurs détenteurs respectifs. Toute mention de produits de tierce partie n’est qu’à titre informatif et ne constitue ni une approbation, ni une recommandation. Apple se dégage de toute responsabilité en ce qui concerne les performances ou l’usage de ces produits. Ducati et le logo Ducati sont des marques déposées de Ducati Motor Holding SpA. Utilisées avec l’autorisation. Photos de production du film “Koffee House Mayhem” utilisées avec l’aimable autorisation de Jean-Paul Bonjour. “Koffee House Mayhem” © 2004 Jean-Paul Bonjour. Tous droits réservés. http://www.jbonjour.com Photos de production du film « Les Poupets » utilisées avec l’aimable autorisation de Jean-Paul Bonjour. « Les Poupets » © 2006 Jean-Paul Bonjour. Tous droits réservés. http://www.jbonjour.com 3 1 Table des matières Préface 7 Bienvenue dans Final Cut Server 7 À propos de Final Cut Server 9 Ressources à propos de Final Cut Server 11 Contact de l’assistance AppleCare Chapitre 1 13 À propos de Final Cut Server 14 Flux de travaux du client Final Cut Server 15 Installation du client Final Cut Server 15 Fenêtre principale de Final Cut Server 19 Affichages des sous-fenêtres Assets et Productions 21 Options de recherche et recherches enregistrées 23 Fenêtre Asset Info 24 Fenêtre Final Cut Pro Project Info 24 Fenêtre Final Cut Studio Project Info 25 Fenêtre Production Info 26 Fenêtre Annotations 27 Fenêtre Downloads & Uploads 27 Fenêtre Search All Jobs 28 Fenêtre Search Devices 29 Fenêtre Preferences 30 Utilisation des menus contextuels dans Final Cut Server 30 Utilisation des raccourcis clavier dans Final Cut Server Chapitre 2 31 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server 31 À propos de la création de ressources Final Cut Server 32 Types de fichiers pouvant être téléchargés vers Final Cut Server 32 À propos des métadonnées et des ensembles de métadonnées 33 Stratégies de téléchargement de fichiers de données et de projets 34 Téléchargement de fichiers de données 39 Téléchargement de projets Final Cut Pro 43 Téléchargement de projets Final Cut Studio4 Table des matières Chapitre 3 53 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server 53 Vue d’ensemble du catalogue de ressources Final Cut Server 59 Organisation des ressources à l’aide de productions 64 Utilisation de métadonnées pour organiser et rechercher des ressources 66 Recherche dans Final Cut Server 74 Affichage des résultats d’une recherche 75 Suivi de l’état d’une ressource ou d’une production à l’aide de métadonnées 77 Ajout et modification des métadonnées de ressources 78 Recherche de périphériques et de tâches Chapitre 4 83 Utilisation de Final Cut Server 84 Actions du client Final Cut Server 85 À propos de la fenêtre Asset Info 89 Affichage d’une ressource 91 Ajout de versions pour une ressource média ou de projet 94 Verrouillage et déverrouillage d’une ressource 99 Écriture d’annotations sur une ressource vidéo 103 Duplication d’une ressource 104 Utilisation de la fonction Edit-in-place 104 Monitoring des tâches 107 Définition des préférences du client Final Cut Server Chapitre 5 109 Utilisation des ressources média 109 À propos de la mise en cache 111 Extraction, modification et réintégration d’une ressource média 113 Préparation de ressources média en vue d’une utilisation sur un ordinateur non connecté au réseau Final Cut Server 117 Exportation de ressources média Chapitre 6 119 Utilisation des projets Final Cut Pro 12 0 À propos des projets Final Cut Pro 121 Utilisation conjointe de Final Cut Pro et de Final Cut Server 12 3 Déplacement de projets Final Cut Pro entre Final Cut Server et Final Cut Pro 12 4 Extraction d’un projet Final Cut Pro 12 6 Modification d’un projet extrait dans Final Cut Pro 12 7 Réintégration d’un projet Final Cut Pro 12 9 Création de copies de travail pour les ressources de projet Final Cut Pro 13 0 Utilisation de projets Final Cut Pro en-dehors du réseau Final Cut Server 133 Exportation d’un projet Final Cut ProTable des matières 5 Chapitre 7 135 Utilisation de projets Final Cut Studio 135 À propos de la modification de ressources de projet Final Cut Studio 13 6 Extraction, modification et réintégration de ressources regroupées 13 8 Extraction, modification et réintégration de projets Final Cut Studio et de leurs fichiers de données 143 Exportation d’une ressource de projet et de ses données Chapitre 8 147 Utilisation de métadonnées Status dans le flux de travaux Final Cut Server 147 Utilisation de métadonnées Status pour le suivi des ressources et productions 152 À propos de la fonction Review and Approve 153 Utilisation de la fonction Review and Approve Chapitre 9 159 Exportation, archivage et suppression des ressources et des projets terminés 159 Sortie d’un projet final 162 Archivage et restauration de ressources média 164 Suppression de ressources Final Cut Server Glossaire 167 Index 171 7 Préface Bienvenue dans Final Cut Server Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos de Final Cut Server (p. 7)  Ressources à propos de Final Cut Server (p. 9)  Contact de l’assistance AppleCare (p. 11) Final Cut Server est un logiciel puissant de gestion de ressources média et d’automatisation de flux de travaux. Final Cut Server peut gérer vos ressources et affiner les processus du flux de travaux de votre organisation, vous libérant ainsi des tâches répétitives de gestion de données et de projets. Il peut être personnalisé par votre administrateur Final Cut Server pour automatiser des opérations courantes. Que vous dirigiez un petit studio de production ou que vous apparteniez à un groupe de travail plus étendu, Final Cut Server peut rationaliser le flux de travaux de votre organisation. À propos de Final Cut Server Final Cut Server fonctionne de façon similaire à d’autres réseaux d’ordinateurs client-serveur. Un ordinateur client envoie une demande aux ordinateurs serveur. Sur réception de la demande, l’ordinateur serveur effectue une tâche pour traiter la demande, puis il renvoie les résultats (ou un message indiquant que la tâche est terminée) à l’ordinateur client. Les tâches possibles permettent de télécharger, copier, transcoder et cataloguer les fichiers de données, ainsi que de les suivre de différentes façons. Les données peuvent être stockées sur les disques internes et externes de l’ordinateur serveur, ainsi que sur de nombreux périphériques de réseau pris en charge. Les installations plus étendues peuvent utiliser un réseau de stockage SAN (storage area network) Apple Xsan pour le stockage de ressources et de productions. Le client Final Cut Server se trouve au centre de ce manuel de l’utilisateur. Le client Final Cut Server est un logiciel communiquant avec le serveur Final Cut Server. Le client vous permet, avec de nombreux autres utilisateurs, d’accéder aux ressources partagées réparties sur le système de votre organisation. Dans votre client Final Cut Server, vous pouvez consulter rapidement le catalogue de ressources de votre organisation et transférer des fichiers de données entre votre ordinateur local et les périphériques sur lesquels les ressources sont stockées. Vous pouvez exécuter le client Final Cut Server sous les systèmes d’exploitation Mac OS X 10.4 et Windows XP ou Windows Vista. 8 Préface Bienvenue dans Final Cut Server Le client Final Cut Server fournit de nombreuses fonctionnalités pour vous aider à gérer vos données. Ces fonctionnalités utilisent toutes des ressources Final Cut Server. Lorsque vous téléchargez un fichier de données ou de projet vers Final Cut Server, une ressource est créée pour lui. Cette ressource contient des métadonnées, le fichier d’origine (appelé fichier de représentation principale) et des copies proxy du fichier de représentation principale utilisées dans Final Cut Server. Final Cut Server peut vous aider à effectuer les opérations suivantes :  Retrouver les ressources dont vous avez besoin. Alors que le nombre de ressources augmente dans votre catalogue Final Cut Server, il devient de plus en plus important de créer et de gérer des recherches. Final Cut Server propose de multiples façons de rechercher et d’organiser des ressources dans le catalogue Final Cut Server de votre organisation.  Accéder immédiatement aux données. Final Cut Server permet un accès immédiat aux données à partir du logiciel client Final Cut Server. Vous pouvez facilement obtenir des informations et afficher une ressource média à partir du logiciel client. Si vous souhaitez modifier la ressource média, vous pouvez extraire une copie gérée par Final Cut Server vers votre ordinateur local, la modifier, puis la réintégrer dans Final Cut Server. Comme Final Cut Server gère le fichier extrait, les nouvelles modifications sont suivies par Final Cut Server.  Suivre l’état des données. Final Cut Server propose des champs de métadonnées et des recherches enregistrées pour vous aider à suivre la progression des ressources dans le flux de travaux de votre organisation. Votre administrateur Final Cut Server peut personnaliser davantage les champs de métadonnées afin d’améliorer l’efficacité du suivi des ressources pour votre organisation.  Effectuer de puissantes conversions de données. Final Cut Server utilise Compressor, une puissante application de transcodage intégrée à Final Cut Studio, pour convertir les données d’un format vidéo à un autre lors du téléchargement, de l’exportation et de la copie de fichiers de données.  Travailler en étant déconnecté du réseau Final Cut Server. Vous pouvez extraire des fichiers de projets et de données gérés par Final Cut Server, puis les modifier sans être connecté au réseau Final Cut Server. Lorsque vous vous connectez ultérieurement au réseau Final Cut Server, vous pouvez réintégrer les fichiers modifiés dans Final Cut Server. Lorsque vous réintégrez les fichiers, les ressources qui suivent les fichiers sont mises à jour avec les nouveaux fichiers. Ce manuel de l’utilisateur décrit ce que le client Final Cut Server apporte à ses utilisateurs. Pour en savoir plus sur l’administration et la personnalisation de Final Cut Server, lisez le Guide de configuration et d’administration de Final Cut Server, un document écrit pour les administrateurs système de Final Cut Server.Préface Bienvenue dans Final Cut Server 9 Ressources à propos de Final Cut Server Vous pouvez consulter diverses ressources pour en savoir plus sur le système Final Cut Server. Documentation imprimée Final Cut Server Ce guide fait partie de deux documents imprimés inclus avec Final Cut Server.  Manuel de l’utilisateur de Final Cut Server : ce manuel de l’utilisateur décrit comment employer le client Final Cut Server pour l’utilisation quotidienne du système, comme le parcours de ressources, la gestion des tâches et la gestion des productions.  Guide de configuration et d’administration de Final Cut Server : ce guide décrit comment installer, configurer et administrer la plupart des composants du système Final Cut Server. Il ne décrit pas l’utilisation quotidienne du système, comme le parcours de ressources et la gestion des tâches, des productions et des ordres qui est présentée dans le Manuel de l’utilisateur de Final Cut Server. Manuel à l’écran Final Cut Server Une version à l’écran du Manuel de l’utilisateur de Final Cut Server est mise à disposition de tous les utilisateurs à partir du menu Aide du client. Le contenu des versions à l’écran de cette documentation est identique à celui de la version imprimée. Toutefois, la version à l’écran est améliorée par des liens hypertexte complets et par de nombreuses fonctionnalités qui facilitent et accélèrent la recherche d’informations :  La page d’accès fournit un accès rapide à diverses fonctionnalités, notamment l’index et d’autres documents et sites web utiles.  Une liste de signets complète vous permet de choisir rapidement ce que vous souhaitez consulter et d’y accéder dès que vous cliquez sur le lien. Outre ces outils de navigation, le document à l’écran vous propose d’autres moyens de retrouver des informations rapidement :  Toutes les références contenues dans le texte sont reliées. Vous pouvez cliquer sur toute référence et passer directement à l’emplacement référencé. Vous pouvez ensuite utiliser le bouton Preview Back pour revenir à l’emplacement où vous vous trouviez avant de cliquer sur la référence.  La table des matières et l’index sont également reliés. Si vous cliquez sur une entrée dans l’une de ces rubriques, vous passez directement à cette rubrique dans le document.  Vous pouvez rechercher des mots ou des expressions spécifiques dans le texte.10 Préface Bienvenue dans Final Cut Server Sites web Apple Vous pouvez consulter des sites web Apple variés pour obtenir des informations supplémentaires. Site web Final Cut Server Visitez ce site pour obtenir des informations et des mises à jour générales, ainsi que les nouvelles les plus récentes sur Final Cut Server. Pour accéder au site web Final Cut Server, rendez-vous à l’adresse :  http://www.apple.com/fr/finalcutserver Le web comporte également divers forums de discussion et des ressources à but pédagogique relatifs à Final Cut Server. Site web de service et d’assistance d’Apple Rendez-vous sur ce site pour obtenir des mises à jour logicielles et des réponses aux questions les plus fréquentes pour tous les produits Apple, y compris Final Cut Server. Vous y trouverez également des spécifications de produits, de la documentation de référence et des articles techniques sur les produits Apple et de tiers. Pour accéder à la page web de service et d’assistance Apple, rendez-vous à l’adresse :  http://www.apple.com/fr/support Pour accéder à la page d’assistance Final Cut Server rendez-vous à l’adresse :  http://www.apple.com/fr/support/finalcutserver Pour accéder aux pages de discussion Apple, rendez-vous à l’adresse :  http://discussions.info.apple.comPréface Bienvenue dans Final Cut Server 11 Contact de l’assistance AppleCare Des informations sur les options d’assistance proposées par Apple sont fournies avec Final Cut Server. Plusieurs niveaux d’assistance sont disponibles. Quel que soit votre problème, nous vous conseillons de conserver près de vous les informations suivantes lorsque vous contactez Apple pour de l’assistance. Plus vous disposez d’informations à fournir aux agents d’assistance Apple, plus le problème sera résolu rapidement.  Numéro d’identifiant d’assistance Final Cut Server présent au recto de la feuille du numéro de série fournie avec Final Cut Server. Remarque : le numéro d’identifiant d’assistance à 11 chiffres est différent du numéro de série du produit utilisé pour installer Final Cut Server.  Version de Leopard ou de Leopard Server que vous avez installée. Pour obtenir cette version, choisissez le menu Pomme > À propos de ce Mac.  Version de Final Cut Server que vous avez installée et au sujet de laquelle vous souhaitez poser une question. Pour obtenir la version de Final Cut Server sur votre ordinateur, choisissez Final Cut Server > À propos de Final Cut Server.  Modèle d’ordinateur utilisé.  Quantité de RAM installée sur votre ordinateur. Pour déterminer cette quantité, choisissez le menu Pomme > À propos de ce Mac.  Autres matériels tiers installés sur votre ordinateur ou reliés à celui-ci et nom de leur fabricant. N’oubliez pas les disques durs, les cartes graphiques, etc. Pour accéder à la page d’assistance de Final Cut Server, rendez-vous à l’adresse :  http://www.apple.com/fr/support/finalcutserver Un élément est également présent dans le menu Aide de chaque client Final Cut Server vous permettant d’accéder directement au site web d’AppleCare. Pour accéder au site web d’AppleCare depuis un client Final Cut Server : m Choisissez Aide > Assistance Final Cut Server.1 13 1 À propos de Final Cut Server Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Flux de travaux du client Final Cut Server (p. 14)  Installation du client Final Cut Server (p. 15)  Fenêtre principale de Final Cut Server (p. 15)  Affichages des sous-fenêtres Assets et Productions (p. 19)  Options de recherche et recherches enregistrées (p. 21)  Fenêtre Asset Info (p. 23)  Fenêtre Final Cut Pro Project Info (p. 24)  Fenêtre Final Cut Studio Project Info (p. 24)  Fenêtre Production Info (p. 25)  Fenêtre Annotations (p. 26)  Fenêtre Downloads & Uploads (p. 27)  Fenêtre Search All Jobs (p. 27)  Fenêtre Search Devices (p. 28)  Fenêtre Preferences (p. 29)  Utilisation des menus contextuels dans Final Cut Server (p. 30)  Utilisation des raccourcis clavier dans Final Cut Server (p. 30) Ce chapitre propose une présentation générale du client Final Cut Server, en fournissant notamment des informations sur le flux de travaux Final Cut Server, la procédure d’installation du client Final Cut Server et une description de l’interface utilisateur Final Cut Server. Ce chapitre vous servira de guide lors de votre apprentissage du fonctionnement de Final Cut Server. Vous trouverez également dans les chapitres suivants plus d’informations sur les fonctions abordées dans le présent chapitre. 14 Chapitre 1 À propos de Final Cut Server Flux de travaux du client Final Cut Server Final Cut Server facilite, pour les utilisateurs, la recherche, l’accès et le suivi des fichiers de données et de projet, ainsi que le transcodage des données et l’extraction et la réintégration des ressources pour modification. Tandis que la plupart des organisations effectuent les tâches à leur manière, un flux de travaux Final Cut Server type se compose de quatre étapes. Étape 1 : Organisation des données existantes et téléchargement des nouvelles données Le projet sur lequel vous travaillez utilise peut-être des données déjà téléchargées dans Final Cut Server ou requiert l’utilisation de nouvelles données. Ces données peuvent être téléchargées via une analyse automatisée, mise en place par votre administrateur, ou manuellement, par n’importe quel membre de votre organisation. Étape 2 : Modification des données et du projet Cette étape de modification effectuée au sein de votre organisation peut inclure la création et la modification d’un projet Final Cut Pro, la création et la révision d’une illustration, d’incrustations graphiques ou d’effets de mouvement ou d’autres flux de travaux utilisés par votre organisation pour créer des projets de révision client. La partie finale de cette étape implique le regroupement de tous les éléments finis en une copie de révision du projet. Étape 3 : Révision et validation du projet Cette étape peut exiger que vos collègues ou clients ouvrent une session Final Cut Server et visualisent le projet ou envoient des copies du projet pour révision. Si votre administrateur Final Cut Server a configuré votre système pour qu’il envoie automatiquement des courriers électroniques de révision et de validation, cette opération a lieu lors de la présente étape. Étape 4 : Sortie et archivage des données et du projet finaux Cette étape inclut la création de copies de sauvegarde des ressources et l’archivage des ressources finales dans Final Cut Server. Final Cut Server peut être personnalisé afin de répondre aux besoins spécifiques des flux de travaux de votre organisation. Pour en savoir plus, contactez votre administrateur Final Cut Server.Chapitre 1 À propos de Final Cut Server 15 Installation du client Final Cut Server Votre administrateur Final Cut Server vous fournit une URL à partie de laquelle vous pouvez télécharger une copie du client Final Cut Server sur votre ordinateur. Votre administrateur vous fournit également un nom d’utilisateur et un mot de passe pour le client Final Cut Server. Après avoir téléchargé le client Final Cut Server, une fenêtre d’ouverture de session s’affiche. Vous pouvez alors vous connecter à Final Cut Server à l’aide du nom d’utilisateur et du mot de passe fournis par votre administrateur Final Cut Server. Pour vous déconnecter de Final Cut Server, sélectionnez Log Out dans le menu local Server ou cliquez sur le bouton Close dans la fenêtre principale de Final Cut Server. Lorsque le client Final Cut Server est installé sur votre ordinateur, vous pouvez l’ouvrir en double-cliquant sur l’icône d’application qui s’affiche à l’emplacement d’installation. Fenêtre principale de Final Cut Server Une fois la session Final Cut Server ouverte, vous voyez s’afficher la sous-fenêtre Assets de la fenêtre principale de Final Cut Server. Cette sous-fenêtre peut être vide ou contenir les données analysées par votre administrateur Final Cut Server ou téléchargées par d’autres utilisateurs Final Cut Server.16 Chapitre 1 À propos de Final Cut Server Remarque : les captures d’écran présentées dans ce manuel concernent un système Final Cut Server type, configuré avec les réglages par défaut. Il est possible que votre administrateur Final Cut Server ait configuré des trames de métadonnées et des types de données différents, et donc que votre système ne soit pas identique à celui présenté dans ces pages. Les sous-fenêtres Assets et Productions correspondent aux deux vues disponibles pour la fenêtre principale de Final Cut Server. Une ressource est un élément utilisé par Final Cut Server pour effectuer le suivi de chaque fichier téléchargé sur le serveur ou analysé. La sous-fenêtre Assets affiche toutes les ressources gérées par Final Cut Server. Les productions sont des éléments utilisés pour regrouper les ressources. La sous-fenêtre Productions affiche toutes les productions créées par vous-même ou par d’autres utilisateurs de votre système Final Cut Server. Pour basculer entre les sous-fenêtres Assets et Productions, cliquez sur Assets ou sur Productions en haut à gauche de la fenêtre principale de Final Cut Server. Menu local Help. Cliquez sur ce bouton pour afficher ou masquer la sous-fenêtre Information. Cliquez sur ce bouton pour ouvrir la fenêtre Downloads & Uploads. Menu local Server. Menu local Window. Les sous-fenêtres Assets et Productions possè- dent toutes deux une barre d’outils.Chapitre 1 À propos de Final Cut Server 17 Sous-fenêtre Assets Lorsque vous cliquez sur Assets, toutes les ressources existantes de Final Cut Server s’affichent dans le volet principal de la fenêtre. Vous pouvez parcourir les ressources en cliquant sur les commandes de page, en haut à droite de la sous-fenêtre Assets. La barre d’outils comprend les boutons Lock, Check Out et « New Production from Selection ». Ces boutons deviennent actifs lorsque vous sélectionnez une ressource. Pour en savoir plus sur les ressources média, consultez le chapitre 5, « Utilisation des ressources média », à la page 109. Pour en savoir plus sur les ressources de projet Final Cut Pro, consultez le chapitre 6, « Utilisation des projets Final Cut Pro », à la page 119. Pour en savoir plus sur les ressources de projet Final Cut Studio, consultez le chapitre 7, « Utilisation de projets Final Cut Studio », à la page 135. Cliquez sur Assets pour afficher la sous-fenêtre Assets. Emplacement d’affichage des ressources. Bouton Lock. La sous-fenêtre Information affiche des informations sur les tâches en cours. Bouton Check Out. Bouton New Production from Selection. Parcourez les différentes pages de ressources à l’aide de ces commandes.18 Chapitre 1 À propos de Final Cut Server Sous-fenêtre Productions Le contenu de la sous-fenêtre Productions varie en fonction de la sous-fenêtre Assets. Sa barre d’outils contient un bouton New Production. Pour en savoir plus sur les productions, consultez « Organisation des ressources à l’aide de productions » à la page 59. Cliquez sur Productions pour afficher la sousfenêtre Productions. Emplacement d’affichage des productions. La barre d’outils Production contient un bouton New Production.Chapitre 1 À propos de Final Cut Server 19 Affichages des sous-fenêtres Assets et Productions Les sous-fenêtres Assets et Productions peuvent s’afficher aussi bien sous forme de listes que de vignettes. Vous pouvez changer le mode d’affichage en cliquant sur le bouton List view ou le bouton Thumbnail View. Thumbnail View Ce mode affiche une image miniature (vignette) pour chaque ressource. Il peut s’agir d’une image provenant d’un fichier vidéo téléchargé, d’un fichier image ou graphique téléchargé ou d’une icône représentant le type de ressource ou l’application dans laquelle la ressource a été créée. La présentation par vignettes est utile lorsque vous souhaitez parcourir les ressources ou les productions dans un format compact, sans autres informations. Bouton List View. Bouton Thumbnail View. L’affichage Thumbnail View est sélectionné. Cette ressource vidéo est représentée par une vignette. Cette ressource de projet Final Cut Pro est représentée par une icône Final Cut Pro.20 Chapitre 1 À propos de Final Cut Server List View La présentation par liste affiche le titre de la ressource et les autres métadonnées sous forme de colonnes. Cet affichage est utile lorsque vous souhaitez afficher les informations relatives à la ressource ou à la production ou les trier sur la base d’un champ spécifique. Final Cut Server marque les ressources et les productions à l’aide d’icônes qui permettent de les identifier. Dans la vue des vignettes, les icônes s’affichent sur l’icône de la ressource ou de la production, juste au-dessus de l’icône ou de la vignette. Dans la présentation par liste, les icônes s’affichent à gauche de la colonne Title et dans la colonne State. Voici quelques icônes pouvant être associées aux ressources et aux productions : List View sélectionnée Icône Description Ressource de projet Final Cut Pro Ressource média (vidéo) Ressource média (graphisme ou image) Ressource média (audio) Ressource (générique) ou ressource regroupée Ressource extraite, par vousChapitre 1 À propos de Final Cut Server 21 Pour en savoir plus sur ces icônes, consultez le chapitre relatif au type de ressource ou à l’état décrit par l’icône. Options de recherche et recherches enregistrées Une zone de recherche est disponible en haut des sous-fenêtres Assets et Productions. Vous pouvez vous en servir pour rechercher une ressource/une production spécifique ou pour limiter le nombre de ressources ou de productions affichées. Ressource extraite, par un autre utilisateur Ressource verrouillée, par vous Ressource verrouillée, par un autre utilisateur Ressource archivée (jaune) ; indique que vous pouvez restaurer cette ressource à partir de son archive Ressource archivée (blanc) ; indique que vous n’êtes pas autorisé à restaurer cette ressource à partir de son archive Élément de projet Final Cut Pro non relié Représentation principale manquante, pour cette ressource, sur ce périphérique Cache Final Cut Server obsolète Icône Description Fermez le triangle d’affichage pour afficher uniquement les réglages de recherche simple.22 Chapitre 1 À propos de Final Cut Server Les options de recherche avancée s’affichent lorsque vous cliquez sur le triangle d’affichage. Les sous-fenêtres Assets et Productions disposent d’options de recherche avancée différentes. Si vous utilisez une même recherche régulièrement, vous pouvez l’enregistrer afin de ne pas avoir à la configurer à chaque fois. Final Cut Pro propose plusieurs recherches enregistrées par défaut, appelées Smart Searches, qui figurent dans la colonne à gauche de la fenêtre principale de Final Cut Server. Pour en savoir plus sur la recherche, consultez le chapitre 3, « Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server », à la page 53. Ouvrez le triangle d’affichage pour afficher les réglages de recherche avancée. Les Smart Searches de production et de ressource sont enregistrées ici.Chapitre 1 À propos de Final Cut Server 23 Fenêtre Asset Info Cette fenêtre contient de nombreuses informations sur la ressource sélectionnée. Lorsque vous double-cliquez sur une ressource figurant dans la sous-fenêtre Assets ou dans une production (ou lorsque vous cliquez sur la ressource en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Get Info dans le menu contextuel de la ressource), la fenêtre d’information de cette ressource s’affiche. Le volet gauche de la fenêtre d’information contient la vignette de la ressource et ses métadonnées générales. Le volet droit est divisé en plusieurs sections, qui contiennent chacune un type d’information spécifique. Vous pouvez afficher les informations de chaque sousfenêtre en cliquant sur le bouton correspondant.  Sous-fenêtre Metadata : cette sous-fenêtre contient les métadonnées du fichier de représentation principale (fichier initialement téléchargé dans Final Cut Server) et les métadonnées de la ressource.  Sous-fenêtre Resources : cette sous-fenêtre contient des informations sur les fichiers proxy et de représentation principale générés pour la ressource. Elle indique également où la ressource est actuellement utilisée.  Sous-fenêtre Versions : cette sous-fenêtre contient des informations sur les différentes versions, ou copies de travail, enregistrées pour une ressource.  Sous-fenêtre Locks : cette sous-fenêtre indique les verrous appliqués à la ressource.  Sous-fenêtre Review & Approve : cette sous-fenêtre indique l’état de la ressource et sert à la fonction de notification par courrier. Pour en savoir plus sur les sous-fenêtres Metadata, Resources, Versions et Locks, consultez « À propos de la fenêtre Asset Info » à la page 85. Pour en savoir plus sur la sous-fenêtre Review & Approve, consultez « À propos de la fonction Review and Approve » à la page 152. Vignette et métadonnées générales de la ressource. Cliquez sur le bouton Metadata pour afficher la sous-fenêtre Metadata. Sous-fenêtre Metadata.24 Chapitre 1 À propos de Final Cut Server Fenêtre Final Cut Pro Project Info Vous pouvez afficher la fenêtre d’information d’un projet Final Cut Pro en double-cliquant sur la ressource de projet Final Cut Pro (ou en cliquant sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis en sélectionnant Get Info dans le menu contextuel). Lorsque vous téléchargez un projet Final Cut Pro dans Final Cut Server, une ressource est créée pour le fichier de projet. Outre les sous-fenêtres présentes dans la fenêtre d’information d’une ressource, la fenêtre d’information d’une ressource de projet Final Cut Pro contient également la sous-fenêtre Elements. Celle-ci contient les ressources média utilisées dans le fichier de projet Final Cut Pro. Pour en savoir plus sur les ressources de projet Final Cut Pro, consultez le chapitre 6, « Utilisation des projets Final Cut Pro », à la page 119. Fenêtre Final Cut Studio Project Info Vous pouvez afficher la fenêtre d’information d’une ressource de projet Motion, Soundtrack Pro ou DVD Studio Pro en double-cliquant sur la ressource de projet Final Cut Pro (ou en cliquant sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis en sélectionnant Get Info dans le menu contextuel). Lorsque vous téléchargez les fichiers d’un projet Final Cut Studio dans Final Cut Server, la ressource créée pour le projet Final Cut Studio représente uniquement le fichier de projet. Contrairement aux ressources de projet Final Cut Pro, la ressource de projet Final Cut Studio ne contient pas une liste des données associées au projet. La sous-fenêtre Elements indique les données utilisées dans le cadre du projet Final Cut Pro. Cliquez sur Elements pour afficher la sous-fenêtre Elements.Chapitre 1 À propos de Final Cut Server 25 La fenêtre d’information d’une ressource de projet Final Cut Studio contient les sous-fenêtres Metadata, Resources, Versions, Locks et Review & Approve. Vous pouvez afficher les informations de chaque sous-fenêtre en cliquant sur le bouton correspondant. Pour en savoir plus sur les ressources de projet Final Cut Studio, consultez le chapitre 7, « Utilisation de projets Final Cut Studio », à la page 135. Fenêtre Production Info Dans Final Cut Server, vous pouvez utiliser des productions pour regrouper des ressources connexes. Si vous ouvrez la sous-fenêtre Productions en cliquant en haut à gauche de la fenêtre principale Final Cut Server, puis si vous double-cliquez sur l’une des productions (ou si vous cliquez sur la production tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Get Info dans le menu contextuel), la fenêtre d’information de cette production s’affiche. La sous-fenêtre Assets affiche toutes les ressources contenues dans la production ; la sous-fenêtre Metadata contient les métadonnées de la production. Pour en savoir plus sur les productions, consultez « Organisation des ressources à l’aide de productions » à la page 59. Vous pouvez cliquer sur l’un de ces boutons, au choix, pour afficher plus d’informations sur la production. Chacune de ces ressources fait partie de la production.26 Chapitre 1 À propos de Final Cut Server Fenêtre Annotations Vous pouvez créer des commentaires pour une ressource vidéo à l’aide de la fenêtre Annotations. Ces commentaires étant conservés avec la ressource vidéo dans Final Cut Server, les annotations sont utiles lors des révisions en interne ou des communications avec d’autres utilisateurs Final Cut Server. Pour afficher la fenêtre Annotations, ouvrez la fenêtre d’information de la ressource vidéo souhaitée, puis cliquez sur le bouton Annotations. Cliquez sur le bouton Annotations, dans la sous-fenêtre d’information d’une ressource vidéo, pour afficher la fenêtre Annotations. Vous pouvez afficher un aperçu du plan ici. Vous pouvez ajouter du texte dans le champ Annotation. Les annotations ajoutées à une ressource vidéo s’affichent ici.Chapitre 1 À propos de Final Cut Server 27 Fenêtre Downloads & Uploads Cette fenêtre vous aide à surveiller l’état des fichiers téléchargés à partir de ou vers Final Cut Server. Vous pouvez ouvrir la fenêtre Downloads & Uploads en cliquant sur le bouton Downloads and Uploads dans la fenêtre principale de Final Cut Server (ou en sélectionnant Downloads & Uploads dans le menu local Fenêtres). Pour en savoir plus sur la fenêtre Downloads & Uploads, consultez « Fenêtre Downloads & Uploads » à la page 105. Fenêtre Search All Jobs La fenêtre Search All Jobs s’ouvre à partir du menu local Server (situé en haut à gauche de la fenêtre principale de Final Cut Server). Elle contient une liste des tâches récentes lancées par tous les utilisateurs Final Cut Server. Pour en savoir plus sur la fenêtre Search All Jobs, consultez « Searching Devices » à la page 80. La fenêtre Search All Jobs contient une liste des tâches les plus récentes lancées par tous les utilisateurs Final Cut Server.28 Chapitre 1 À propos de Final Cut Server Fenêtre Search Devices La fenêtre Search Devices s’ouvre à partir du menu local Server de la fenêtre principale de Final Cut Server. Elle vous permet de rechercher directement un périphérique, d’afficher toutes les ressources (fichiers téléchargés dans Final Cut Server), ainsi que les autres fichiers, qui n’ont pas été téléchargés dans Final Cut Server et sont stockés sur le périphérique. Pour en savoir plus sur la fenêtre Search Devices, consultez « Recherche de périphériques » à la page 78. Avertissement : utilisez la fenêtre Search Devices avec précaution. Les périphériques peuvent contenir des fichiers figurant ou non dans le catalogue Final Cut Server. La manipulation de ces fichiers via la fenêtre Search Devices pourrait entraîner la duplication de ressources dans votre système serveur Final Cut Server ou la suppression de toutes les copies d’un fichier sur le périphérique. Chapitre 1 À propos de Final Cut Server 29 Fenêtre Preferences Votre administrateur Final Cut Server est chargé de la configuration de la plupart des préfé- rences d’utilisation de votre client Final Cut Server. Toutefois, il existe quelques réglages que vous pouvez définir vous-même pour votre client Final Cut Server. Ceux-ci incluent les pré- férences d’affichage des recherches, l’emplacement et la taille du cache Final Cut Server et l’emplacement d’enregistrement des copies d’alias pour les fichiers de données préparés. Vous pouvez ouvrir la fenêtre Preferences en sélectionnant Preferences dans le menu local Server. Pour en savoir plus sur les préférences de votre client Final Cut Server, consultez « Définition des préférences du client Final Cut Server » à la page 107.30 Chapitre 1 À propos de Final Cut Server Utilisation des menus contextuels dans Final Cut Server Vous pouvez effectuer de nombreuses opérations dans Final Cut Server en utilisant les éléments des menus contextuels. Pour afficher un menu contextuel, cliquez sur une ressource, un projet Final Cut Pro ou une autre section Final Cut Server, tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée. Les utilisateurs Mac se servant d’une souris standard (plusieurs boutons) peuvent également cliquer avec le bouton droit sur l’élément pour afficher son menu contextuel. Remarque : si vous utilisez Windows, pensez que le clic droit de la souris dans un système Windows est l’équivalent du Contrôle + Clic sous Mac. Pour afficher un menu contextuel sous Windows, cliquez avec le bouton droit de la souris sur l’élément souhaité. Utilisation des raccourcis clavier dans Final Cut Server La plupart des raccourcis clavier standard Mac OS X sont disponibles dans Final Cut Server. D’autres raccourcis clavier, spécifiques à l’application, sont également disponibles dans la fenêtre Annotations de Final Cut Server. Menu contextuel d’une ressource2 31 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos de la création de ressources Final Cut Server (p. 31)  Types de fichiers pouvant être téléchargés vers Final Cut Server (p. 32)  À propos des métadonnées et des ensembles de métadonnées (p. 32)  Stratégies de téléchargement de fichiers de données et de projets (p. 33)  Téléchargement de fichiers de données (p. 34)  Téléchargement de projets Final Cut Pro (p. 39)  Téléchargement de projets Final Cut Studio (p. 43) Avant de pouvoir gérer et suivre vos fichiers dans Final Cut Server, vous devez d’abord les télécharger. Ce chapitre décrit comment télécharger trois types de fichiers différents vers Final Cut Server : les fichiers de données, les fichiers de projet Final Cut Pro, ainsi que les projets Final Cut Studio et leurs fichiers de données reliées. À propos de la création de ressources Final Cut Server La première étape dans la création d’un catalogue de ressources Final Cut Server consiste à télécharger des données vers Final Cut Server. Vous pouvez télécharger manuellement des fichiers de données, des projets Final Cut Pro et d’autres fichiers de projet Final Cut Studio vers Final Cut Server. En outre, votre administrateur Final Cut Server peut configurer des processus automatisés pour permettre le téléchargement automatique des fichiers. Même si votre administrateur Final Cut Server a créé des flux de travaux de téléchargement automatisé, vous serez souvent amené à télécharger manuellement des fichiers vers Final Cut Server. Lorsqu’un fichier est téléchargé vers Final Cut Server, une ressource est créée. Celle-ci est utilisée par Final Cut Server pour suivre le fichier de données ou de projet que vous avez téléchargé. La ressource contient le fichier d’origine et les métadonnées de ce fichier. Selon le type de fichier téléchargé, la ressource peut également contenir plusieurs fichiers proxy, notamment un proxy de plan (pour les fichiers vidéo), un proxy de vignette et un proxy d’affiche (pour tous les fichiers de données). Vous trouverez plus d’informations sur les fichiers proxy plus loin dans ce chapitre.32 Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server Les ressources média, les ressources de projet Final Cut Pro et les ressources de projet Final Cut Studio (Motion, Soundtrack Pro et DVD Studio Pro) étant gérées différemment dans Final Cut Server, l’utilisation de chaque type de ressource est expliquée tout au long de ce manuel. Types de fichiers pouvant être téléchargés vers Final Cut Server Final Cut Server peut gérer plusieurs types de fichiers, notamment : À propos des métadonnées et des ensembles de métadonnées Les métadonnées constituent une partie importante des ressources et productions incluses dans le catalogue Final Cut Server. Étant donné que vous recherchez des métadonnées de ressources et de productions, il est important d’ajouter autant de métadonnées que possible lorsque vous téléchargez le fichier d’origine. Lorsque vous téléchargez un fichier de données ou de projet, toutes les métadonnées prises en charge contenues dans le fichier sont téléchargées avec celui-ci et appliquées comme métadonnées du fichier dans Final Cut Server. La fenêtre Upload vous invite également à fournir un ensemble de métadonnées. Un ensemble de métadonnées est une collection de groupes et de champs de métadonnées. L’ensemble de métadonnées que vous choisissez pour la ressource détermine les métadonnées pouvant être ajoutées à la ressource. Remarque : les métadonnées courantes, notamment XMP et QuickTime, sont prises en charge par Final Cut Server. Si vous avez des questions spécifiques aux métadonnées prises en charge par Final Cut Server, contactez votre administrateur Final Cut Server. Catégorie de données Types de fichiers pris en charge Vidéo Projets Final Cut Pro (.fcp) et autres formats de fichiers vidéo disponibles pour la sortie à partir de Final Cut Pro et de Compressor, notamment .mov et .mpeg Vous pouvez également télécharger les séquences de référence QuickTime. Audio Fichiers Soundtrack Pro (.stap et.stmp) et autres fichiers audio, notamment .aif, .ac3, fichiers audio sans compression, .mp3, .mp4, .m4a et .wav Graphismes Motion Projets Motion (.motn) DVD Fichiers de projet DVD Studio Pro (.dspproj), projets iDVD (.dvdproj) Images fixes et graphismes Fichiers Photoshop (.psd) et autres fichiers graphiques et images, notamment .tif, .jpeg, .png, .bmp et .gif Fichiers texte Fichiers pages (.pages), fichiers Keynote (.key) et autres fichiers de document, notamment .doc, .txt et .pdf Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server 33 Final Cut Server est fourni avec des ensembles de métadonnées par défaut pour décrire vos ressources. Si les ensembles de métadonnées par défaut ne répondent pas aux besoins du flux de travaux de votre organisation, votre administrateur Final Cut Server peut ajouter des champs de métadonnées à des ensembles existants ou créer des ensembles de métadonnées entièrement nouveaux. Important : si votre administrateur Final Cut Server a modifié les ensembles de métadonnées par défaut ou s’il en a créé de nouveaux, les ensembles de métadonnées listés dans votre copie de Final Cut Server n’auront pas la même apparence que la liste présentée ici. Lorsque vous utilisez Final Cut Server, vous pouvez vous servir des métadonnées contenues dans une ressource pour rechercher, trier et identifier des ressources et productions dans Final Cut Server, ainsi que pour suivre les informations au sein de votre groupe de travail. Après le téléchargement d’un fichier, vous et d’autres personnes pouvez à tout moment ajouter et modifier manuellement les métadonnées décrivant la ressource. Pour en savoir plus sur l’utilisation des métadonnées dans Final Cut Server, consultez « Utilisation de métadonnées pour organiser et rechercher des ressources » à la page 64. Stratégies de téléchargement de fichiers de données et de projets Votre administrateur Final Cut Server peut avoir configuré des analyses qui téléchargent automatiquement les fichiers vers Final Cut Server. Pour télécharger manuellement des fichiers de données et de projet, vous avez le choix entre deux méthodes :  Vous pouvez faire glisser les fichiers de votre système ou d’un périphérique connecté vers Final Cut Server. Choisissez cette méthode lorsque vous souhaitez ajouter seulement quelques données à votre catalogue de ressources.  Vous pouvez ouvrir la fenêtre Upload à partir du menu local Server dans la fenêtre principale de Final Cut Server, naviguer jusqu’à un dossier de fichiers de données, puis sélectionner les fichiers à télécharger. Choisissez cette méthode si vous téléchargez plusieurs fichiers de données. Important : il est recommandé d’inclure les extensions de fichiers sur tous les fichiers téléchargés vers Final Cut Server.34 Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server Dans la fenêtre Upload qui s’affiche, vous avez le choix entre plusieurs options. Vous pouvez sélectionner un ensemble de métadonnées pour la nouvelle ressource. Ajoutez également plusieurs types de métadonnées au fichier lors du téléchargement. Il est aussi possible de choisir de convertir le fichier téléchargé vers un autre codec (à l’aide des réglages de transcodage pour les fichiers vidéo et audio à partir de Compressor) pendant le téléchargement et de regrouper la ressource dans une production. Lorsque vous téléchargez un fichier, le nom du fichier est saisi, par défaut, dans le champ Title de la fenêtre Upload. Vous pouvez choisir de saisir un nouveau nom dans le champ Title. Toutefois, il est important de comprendre que le champ Title est exclusivement utilisé dans Final Cut Server. Le titre de la ressource n’apparaît pas dans les métadonnées de la ressource si vous exportez une copie de cette ressource. Important : si vous exportez des fichiers de projet ou de données volumineux, désactivez la fonction de suspension d’activité de votre ordinateur. Si l’ordinateur sur lequel le client Final Cut Server est exécuté passe en mode de suspension d’activité pendant un téléchargement, celui-ci est annulé. Téléchargement de fichiers de données Lorsque vous téléchargez un fichier de données ou de projet vers Final Cut Server, la ressource créée contient le fichier de données d’origine, que Final Cut Server appelle représentation principale. Au moment du téléchargement, Final Cut Server crée des fichiers proxy pour certains types de ressources média. Les fichiers Proxy sont des copies de la représentation principale utilisées pour certaines opérations dans Final Cut Server. À propos du téléchargement de séquences de référence QuickTime Une séquence de référence QuickTime peut contenir une liste de références à des séquences dont les débits des données sont différents, ce qui permet à une application de choisir la séquence ayant la meilleure apparence et pouvant être correctement lue lors de son téléchargement sur Internet, en fonction de la vitesse de connexion de l’utilisateur. Lorsque vous téléchargez une séquence de référence QuickTime, une zone de dialogue apparaît pour vous informer que la séquence dispose d’un ou de plusieurs fichiers d’alias externes et vous demander si vous souhaitez aplatir le fichier avant de le télécharger. L’aplatissement du fichier permet de créer un nouveau fichier contenant toutes les données qui se trouvaient précédemment dans le ou les fichiers d’alias externes. Il est recommandé de choisir d’aplatir toute séquence de référence QuickTime que vous téléchargez vers Final Cut Server.Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server 35 Si le fichier téléchargé est un fichier graphique ou un fichier vidéo, Final Cut Server crée deux fichiers de graphismes proxy : un fichier d’affiche et un fichier de vignette. Ces deux fichiers sont utilisés pour représenter les données de la ressource au sein de Final Cut Server. Si le fichier téléchargé est une ressource vidéo, Final Cut Server crée également un fichier proxy de plan. Le fichier proxy de plan est créé grâce au transcodage du fichier de repré- sentation principale en un codec de plus faible résolution. Le proxy de plan est utilisé pour l’affichage du fichier dans Final Cut Server. Voici un exemple. Lorsque vous téléchargez un plan vidéo HD sans compression vers Final Cut Server, une ressource Final Cut Server est créée. Cette ressource contient le fichier d’origine (la représentation principale). Le fichier d’origine est également transcodé afin de permettre la création du fichier proxy de plan. Des images JPEG sont créées pour être utilisées comme fichiers proxy de vignette et d’affiche pour la ressource. Fichier multimédia Ressource multimédia Proxy de plan Vignette Métadonnées Affiche Représentation principale Mise à jour du clip vidéo sur Final Cut Server36 Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server Une fois le téléchargement terminé, vous pouvez afficher une liste des fichiers proxy créés pour la ressource dans la sous-fenêtre Resources de la fenêtre d’information de la ressource. Vous pouvez télécharger un ou plusieurs fichiers de données vers Final Cut Server. Lorsque vous téléchargez plusieurs fichiers de données, n’oubliez pas que tous les réglages que vous définissez dans la fenêtre Multiple Upload, notamment les métadonnées, s’appliquent à tous les fichiers téléchargés. Par exemple, si vous spécifiez un format de transcodage, tous les fichiers téléchargés sont transcodés. Important : il est recommandé d’inclure les extensions de fichiers sur tous les fichiers téléchargés vers Final Cut Server Pour télécharger un ou plusieurs fichiers de données : 1 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Faites glisser le ou les fichiers de données à télécharger à partir du Finder, du bureau ou d’un volume connecté vers la colonne située sur la gauche de la fenêtre principale de Final Cut Server, la sous-fenêtre Assets ou une production.  Choisissez Upload File dans le menu local Server, sélectionnez le ou les fichiers de données dans l’explorateur de fichiers qui apparaît, puis cliquez sur Télécharger. Vous pouvez voir les fichiers proxy créés pour la ressource dans la sous-fenêtre Resources de la fenê- tre d’information de la ressource. Menu local ServerChapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server 37 Selon le nombre de fichiers que vous avez téléchargés, la fenêtre Upload ou la fenêtre Multiple Upload apparaît. Les fenêtres Upload et Multiple Upload sont très similaires. Dans la fenêtre Upload, vous pouvez saisir un nom de fichier pour la ressource (celui-ci est saisi automatiquement). Dans la fenêtre Multiple Upload, le champ Filename est masqué et le nom du fichier est automatiquement attribué à chaque ressource téléchargée. Remarque : une fois le téléchargement effectué, vous pouvez à tout moment modifier le titre d’une ressource dans la sous-fenêtre Metadata de la fenêtre d’information de la ressource. 2 Certaines des informations et métadonnées contenues dans la fenêtre Upload ou dans la fenêtre Upload Multiple sont automatiquement saisies. Vous pouvez modifier l’ensemble de métadonnées dans le menu local Metadata Set et ajouter des métadonnées aux nouvelles ressources. La fenêtre Upload comprend un champ Filename modifiable. Choisissez un ensemble de métadonnées diffé- rent dans le menu local. Vous pouvez saisir des métadonnées dans n’importe quel champ modifiable. Après avoir choisi un ensemble de métadonnées, divers groupes de métadonnées apparaissent.38 Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server Important : si vous téléchargez un fichier auquel vous avez précédemment ajouté des métadonnées à l’aide des champs d’annotation par défaut QuickTime, vous devez choisir l’ensemble de métadonnées Média pour la ressource. Ainsi, les métadonnées attribuées au fichier dans QuickTime apparaissent dans Final Cut Server, dans le groupe de métadonnées QuickTime de l’ensemble de métadonnées Média. Si vous appliquez n’importe quel autre ensemble de métadonnées à la ressource, les métadonnées QuickTime n’apparaissent pas dans la ressource Final Cut Server. N’oubliez pas que toutes les métadonnées que vous appliquez à un téléchargement multiple seront associées à chacune des ressources créées. 3 Si nécessaire, choisissez un nouveau périphérique de destination dans le menu local Destination. Vous spécifiez ainsi le périphérique sur lequel le fichier sera stocké. Si vous avez des questions sur le périphérique à utiliser, contactez votre administrateur Final Cut Server. Remarque : Media et Library sont les principaux périphériques de Final Cut Server. Demandez à votre administrateur Final Cut Server quels autres périphériques configurés sont adaptés au stockage de fichiers de données. 4 Si vous souhaitez regrouper la ou les ressources média dans une production, cliquez sur Choose à droite du champ Associate with Production et spécifiez une production. Pour en savoir plus sur les productions, consultez « Organisation des ressources à l’aide de productions » à la page 59. 5 Si vous souhaitez convertir le ou les fichiers de données d’origine vers un codec différent, cliquez sur le bouton Choose, puis sélectionnez un nouveau réglage de transcodage dans la fenêtre qui apparaît. 6 Cliquez sur Begin Upload pour créer des ressources à partir du ou des fichiers de données. Menu local Destination. Pour transcoder les fichiers de données, cliquez sur Choose et sélectionnez un codec. Lorsque vous êtes prêt à télécharger les fichiers, cliquez sur Begin Upload. Pour regrouper les ressources dans une production, cliquez sur Choose et sélectionnez une production.Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server 39 Le téléchargement commence. La progression du téléchargement s’affiche au-dessus de la sous-fenêtre Information dans le coin inférieur gauche de la fenêtre principale de Final Cut Server. 7 Pour surveiller la progression du téléchargement des fichiers, cliquez sur le bouton Downloads and Uploads afin d’afficher la fenêtre Downloads & Uploads. 8 Une fois le fichier téléchargé, cliquez sur la Smart Search « Assets created by me » pour afficher la ou les nouvelles ressources que vous venez de télécharger. Téléchargement de projets Final Cut Pro Les ressources de projet Final Cut Pro ont une structure différente de celle des ressources média. Lorsque vous téléchargez un projet Final Cut Pro vers Final Cut Server, le fichier de projet Final Cut Pro est la représentation principale de la ressource. Final Cut Server détecte les fichiers vidéo et d’autres fichiers de données reliées au projet Final Cut Pro et il télécharge chacun des fichiers de données en tant que ressource média unique. Final Cut Server liste ensuite chacun des fichiers de données reliées au projet en tant qu’élément de projet Final Cut Pro. Remarque : si votre administrateur Final Cut Server a activé la création d’un fichier Edit Proxy, un Edit Proxy sera également créé pour chaque fichier vidéo relié au projet Final Cut Pro. Cet Edit Proxy est utilisé pour extraire des projets Final Cut Pro afin de les modifier. Pour en savoir plus sur la fonction Edit Proxy, contactez votre administrateur Final Cut Server. L’indicateur Jobs in Progress indique le nombre de tâches en cours d’exécution. Cliquez sur ce bouton pour ouvrir la fenêtre Downloads & Uploads. Cliquez sur « Assets created by me » pour afficher la ressource créée.40 Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server L’illustration ci-dessous montre un projet Final Cut Pro au moment du téléchargement. Vous remarquerez que la liste des éléments se trouve à l’intérieur de la ressource mais que les ressources média référencées par la liste des éléments sont indépendantes. Vous pouvez voir chacune des ressources média en double-cliquant sur l’élément dans la sous-fenêtre Elements. La fenêtre d’information de la ressource média s’ouvre alors. Après le téléchargement d’un projet Final Cut Pro, vous pouvez obtenir des informations sur les fichiers de données reliées au projet dans la sous-fenêtre Elements de la fenêtre d’information de la ressource du projet Final Cut Pro. Projet Final Cut Pro Ressource du projet Mise à jour du projet Final Cut Pro sur Final Cut Server Liste d’éléments multimédia liés .mov .jpeg .aif .mov .jpeg .aif Clip Proxy Les données reliées apparaissent dans la sous-fenêtre Elements de la fenêtre d’information de la ressource.Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server 41 Vous pouvez également regarder dans la sous-fenêtre Resources de la fenêtre d’information d’une ressource média pour voir si elle est reliée à un projet Final Cut Pro. Important : il est recommandé d’inclure les extensions de fichiers sur tous les fichiers téléchargés vers Final Cut Server Pour télécharger un fichier de projet Final Cut Pro : 1 Effectuez l’une des opérations ci-dessous :  Faites glisser le fichier de projet Final Cut Pro vers la colonne située sur la gauche de la fenêtre principale de Final Cut Server, vers la sous-fenêtre Assets ou vers une production dans la sous-fenêtre Productions.  Choisissez Upload File dans le menu local Server (le menu local dans la fenêtre principale de Final Cut Server qui apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Server), sélectionnez le fichier de projet Final Cut Pro dans l’explorateur de fichiers qui s’affiche, puis cliquez sur Télécharger. Un exemple de cette ressource média est utilisé dans le projet Final Cut Pro intitulé « 3133_Motorbikes ». La production « Motorbikes1 » inclut ce fichier de données.42 Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server La fenêtre « Upload Final Cut Pro Project » apparaît. 2 Certaines des informations contenues dans la fenêtre « Link Final Cut Pro Upload » sont saisies automatiquement. Vous pouvez modifier l’ensemble de métadonnées et ajouter n’importe quelle métadonnée pour le nouveau projet Final Cut Pro et les données reliées. Important : toutes les métadonnées que vous saisissez pour la ressource de projet seront appliquées à la ressource du nouveau projet et à chaque ressource créée pour les fichiers de données reliées. 3 Si nécessaire, choisissez un nouveau périphérique de destination dans le menu local Destination. Vous spécifiez ainsi le périphérique sur lequel le fichier sera stocké. Si vous avez des questions sur le périphérique à utiliser, contactez votre administrateur Final Cut Server. Remarque : Media et Library sont les principaux périphériques de Final Cut Server. Demandez à votre administrateur Final Cut Server quels autres périphériques configurés sont adaptés au stockage de fichiers de données.Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server 43 4 Si vous souhaitez regrouper la ressource de projet Final Cut Pro dans une production, cliquez sur Choose à droite du champ Associate with Production et spécifiez une production. Pour en savoir plus sur les productions, notamment sur la création d’une nouvelle production, consultez « Organisation des ressources à l’aide de productions » à la page 59. 5 Cliquez sur Upload. Le téléchargement commence. La progression du téléchargement s’affiche au-dessus de la sous-fenêtre Information dans le coin inférieur gauche de la fenêtre principale de Final Cut Server. 6 Pour surveiller la progression du téléchargement des fichiers, cliquez sur le bouton Downloads and Uploads afin d’afficher la fenêtre Downloads & Uploads. 7 Une fois le fichier téléchargé, cliquez sur la Smart Search « Assets created by me » pour afficher la ou les nouvelles ressources que vous venez de télécharger. Téléchargement de projets Final Cut Studio Les ressources de projet Final Cut Pro sont uniques dans le sens où la relation entre un projet Final Cut Pro et ses fichiers de données reliées est gérée par Final Cut Server. Les fichiers de projet Final Cut Studio peuvent également être téléchargés en tant que ressources et suivis par Final Cut Server, mais les références entre le fichier de projet et les fichiers de données ne sont pas automatiquement gérées par Final Cut Server. Il est recommandé de télécharger un dossier contenant le fichier de projet Final Cut Studio et tous les fichiers de données reliées au projet vers Final Cut Server. Important : iI est possible de télécharger uniquement un fichier de projet Motion, Soundtrack Pro ou DVD Studio Pro vers Final Cut Server. Lorsque vous téléchargez uniquement le fichier de projet, une ressource est créée pour le fichier de projet seulement. Contrairement à un fichier de projet Final Cut Pro, le fichier de projet Final Cut Studio n’inclut pas de liste d’éléments. Plutôt que de télécharger un fichier de projet unique, il est recommandé de télécharger un dossier contenant le fichier de projet Motion, Soundtrack Pro ou DVD Studio Pro et tous les fichiers de données reliées au fichier de projet vers Final Cut Server. Lorsque vous téléchargez un dossier contenant le fichier de projet Motion, Soundtrack Pro ou DVD Studio Pro et tous les fichiers de données reliées au fichier de projet, une zone de dialogue apparaît pour vous demander si vous souhaitez télécharger le dossier et les fichiers qu’il contient en tant que ressource regroupée ou en tant que ressources individuelles. 44 Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server Si vous sélectionnez Create Bundle Asset, le fichier de projet et chacun des fichiers de données sont téléchargés en tant que ressource regroupée. Le téléchargement du dossier en tant que ressource regroupée garantit que lorsque vous extrayez ou exportez la ressource regroupée, tous les fichiers de données intégrés au projet sont toujours là. La ressource regroupée peut être extraite, modifiée et réintégrée. Elle peut également être exportée. Toutefois, lorsque vous téléchargez un dossier de fichiers en tant que ressource regroupée, les fichiers qu’elle contient ne sont pas disponibles en tant que ressources séparées dans Final Cut Server. Si vous sélectionnez Create Individual Assets, le fichier de projet et chacun de ses fichiers de données reliées sont téléchargés vers Final Cut Server en tant que ressources uniques. Final Cut Server ne gérant pas les références entre le projet et les fichiers de données, il est conseillé de regrouper la ressource de projet et les ressources média dans leur propre production et d’ajouter des métadonnées uniques à la ressource de projet et aux ressources média. Vous pouvez effectuer ces deux opérations dans la fenêtre Upload qui s’affiche après avoir sélectionné Create Individual Assets. Même si le téléchargement d’un dossier de fichiers en tant que ressources individuelles nécessite une certaine planification, cette opération est utile. En effet, chacun des fichiers du dossier est téléchargé en tant que ressource individuelle et vous pouvez y accéder à partir de Final Cut Server. Important : il est recommandé d’inclure les extensions de fichiers sur tous les fichiers téléchargés vers Final Cut Server Téléchargement d’un projet Final Cut Studio et de ses fichiers de données en tant que ressource regroupée Le téléchargement d’un projet Final Cut Studio et de ses fichiers de données en tant que ressource regroupée entraîne la création d’une ressource unique dans Final Cut Server. Cette ressource regroupée est simple d’utilisation : une fois la ressource regroupée extraite ou exportée, le dossier devient visible et vous pouvez ouvrir le fichier de projet qu’il contient dans l’application Final Cut Studio appropriée. Si les données étaient reliées au fichier de projet lorsque le dossier a été téléchargé vers Final Cut Server, toutes les données du fichier sont connectées et il est prêt à être utilisé lorsqu’il s’ouvre.Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server 45 L’illustration ci-dessous montre un projet Final Cut Studio téléchargé en tant que ressource regroupée. Celle-ci apparaît dans Final Cut Studio en tant que ressource générique unique, sans indication sur son fichier de projet ou ses fichiers de données reliées. Si vous téléchargez un projet Final Cut Studio et ses fichiers de données en tant que ressource regroupée, les données et fichiers de projet ne peuvent pas être affichés à partir de Final Cut Server. Pour accéder aux ressources média, vous devez extraire la ressource regroupée et accéder aux fichiers de données à partir du dossier. Important : si un projet Final Cut Studio et ses fichiers de données sont téléchargés en tant que ressource regroupée vers un périphérique que votre administrateur Final Cut Server a automatisé pour rechercher de nouvelles ressources, les fichiers de la ressource regroupée sont analysés et de nouvelles ressources sont créées pour chaque fichier de la ressource regroupée. Si vous téléchargez un projet Final Cut Studio et ses fichiers de ressources en tant que ressource regroupée et remarquez ensuite que de nouvelles ressources ont été créées pour les fichiers de la ressource, contactez votre administrateur Final Cut Server. Lot de ressources Dossier Projet Motofloue.motn Route_3232.mov Musique_3225.aif Motard_322.jpg Arbre_5344.jpg Motos.aif Mise à jour du dossier sur Final Cut Server46 Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server Pour télécharger un fichier de projet Final Cut Studio et ses fichiers de données en tant que ressource regroupée : 1 Dans l’application Final Cut Studio, enregistrez le projet et choisissez de rassembler les données. Dans Motion et Soundtrack Pro, vous pouvez, pour ce faire, sélectionner File > Save sous et choisir de rassembler les données dans la fenêtre Save as. Dans DVD Studio Pro, vous devez placer manuellement le projet et les fichiers de données dans un dossier. Remarque : pour obtenir des informations spécifiques sur l’utilisation de ces applications, consultez le manuel de l’utilisateur de l’application. Important : lorsque vous téléchargez un fichier de projet DVD Studio Pro et ses fichiers de données reliées, il est inutile de télécharger les fichiers .par. Lorsque vous extrayez et ouvrez le projet dans DVD Studio Pro, les fichiers .par sont automatiquement recréés. Le fichier de projet et ses fichiers de données sont enregistrés dans un dossier à l’emplacement que vous avez indiqué. 2 Dans Final Cut Server, créez une nouvelle production pour le projet et ses ressources en procédant comme suit : a Ouvrez la sous-fenêtre Productions en cliquant sur Productions dans la colonne située sur la gauche de la fenêtre principale de Final Cut Server. b Cliquez sur le bouton New Production dans la barre d’outils. c Choisissez un ensemble de métadonnées pour la nouvelle production dans le menu local Metadata Set. d Selon le type de production que vous choisissez, un certain nombre de champs de métadonnées de production apparaissent. Saisissez dans ces champs un titre et d’autres métadonnées uniques pour le projet. Les champs portant un astérisque (*) sont obligatoires. e Cliquez sur Save changes pour enregistrer la nouvelle production. 3 Faites glisser le dossier contenant le fichier de projet et ses données reliées du Finder vers la nouvelle production, dans la sous-fenêtre Productions de Final Cut Server. Projet Motion Fichiers de données d’un projet MotionChapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server 47 4 Une zone de dialogue apparaît, vous demandant si vous souhaitez télécharger le dossier en tant que ressource regroupée ou en tant que ressource individuelle. Cliquez sur Create Bundle Asset. La fenêtre Link Upload apparaît. Notez que le champ Associate with Production affiche la production dans laquelle vous avez fait glisser le dossier. 5 Choisissez un ensemble de métadonnées pour la ressource dans le menu local Metadata Set et ajoutez des métadonnées à un ou plusieurs champs, en les définissant comme ressource regroupée. 6 Si nécessaire, choisissez un nouveau périphérique de destination dans le menu local Destination. Vous spécifiez ainsi le périphérique sur lequel le fichier sera stocké. Si vous avez des questions sur le périphérique à utiliser, contactez votre administrateur Final Cut Server. Remarque : Media et Library sont les principaux périphériques de Final Cut Server. Demandez à votre administrateur Final Cut Server quels autres périphériques configurés sont adaptés au stockage de fichiers de données. 7 Cliquez sur le bouton Upload pour créer la ressource. Le fichier est téléchargé et la ressource regroupée créée. Ajoutez des métadonnées pour définir le type de projet téléchargé. Le nom de la production dans laquelle vous avez fait glisser le dossier apparaît ici.48 Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server 8 Une fois la ressource regroupée créée, sélectionnez la sous-fenêtre Productions, puis la production que vous avez créée et cliquez sur le bouton Search pour afficher la nouvelle ressource dans Final Cut Server. Si vous avez besoin d’identifier la ressource regroupée ultérieurement, vous pouvez ouvrir la fenêtre d’information de la ressource et afficher les métadonnées que vous avez ajoutées lors du téléchargement. Téléchargement d’un projet Final Cut Studio et de ses fichiers de données en tant que ressources individuelles Le téléchargement d’un projet Motion, Soundtrack Pro ou DVD Studio Pro et de ses fichiers de données en tant que ressources individuelles entraîne la création d’une ressource pour chaque fichier du dossier. Si le téléchargement du fichier de projet est similaire à celui du fichier de projet Final Cut Pro, une différence significative existe toutefois : contrairement à une ressource de projet Final Cut Pro, les fichiers de données du projet ne sont pas réfé- rencés vers le fichier de projet. Pour que le projet et ses données restent ensemble, vous pouvez ajouter aux ressources des métadonnées uniques, par exemple le nom du projet ou d’autres étiquettes utiles. Pour stocker ensemble et de manière pratique votre projet et les ressources média, vous pouvez télécharger les fichiers vers une nouvelle production ou vers une production existante. La ressource regroupée dispose d’une icône de document générique. Utilisez les métadonnées que vous avez ajoutées lors du téléchargement pour identifier la ressource regroupée.Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server 49 L’illustration ci-dessous montre un projet Final Cut Studio et ses données téléchargées en tant que ressources individuelles dans une production Final Cut Server. Important : il est recommandé de télécharger un fichier de projet Final Cut Studio et ses fichiers de données dans une production commune. Il est également recommandé d’ajouter des métadonnées uniques à la ressource de projet et à chacune de ses ressources média. Ces métadonnées doivent être utilisées uniquement sur la ressource de projet, les ressources média et la production. L’ajout de métadonnées uniques et la création d’une production vous offrent deux méthodes de connexion de la ressource de projet et de ses ressources média. Pour télécharger un fichier de projet Final Cut Studio ou autre et ses fichiers de données en tant que ressources individuelles : 1 Dans l’application Final Cut Studio, enregistrez le projet et choisissez de rassembler les données. Dans Motion et Soundtrack Pro, vous pouvez, pour ce faire, sélectionner Fichier > Enregistrer sous et choisir de rassembler les données dans la fenêtre Enregistrer sous. Dans DVD Studio Pro, vous devez placer manuellement le projet et les fichiers de données dans un dossier. Remarque : pour obtenir des informations spécifiques sur l’utilisation de ces applications, consultez le manuel de l’utilisateur de l’application. Important : lorsque vous téléchargez un fichier de projet DVD Studio Pro et ses fichiers de données reliées, il est inutile de télécharger les fichiers .par. Lorsque vous extrayez et ouvrez le projet dans DVD Studio Pro, les fichiers .par sont automatiquement recréés. Le fichier de projet et ses données sont enregistrés dans un dossier à l’emplacement que vous avez indiqué. Mise à jour du projet Final Cut Studio sur Final Cut Server Remarque : chacun des éléments de la production est une ressource. Production Final Cut Server Folder Project .mov .jpeg .aif Proxy de plan Motofloue.motn Route_3232.mov Musique_3225.aif Motard_322.jpg Arbre_5344.jpg Motos.aif50 Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server 2 Dans Final Cut Server, créez une nouvelle production pour le projet et ses ressources en procédant comme suit : a Ouvrez la sous-fenêtre Productions en cliquant sur Productions dans la colonne située sur la gauche de la fenêtre principale de Final Cut Server. b Cliquez sur le bouton New Production dans la barre d’outils. c Choisissez un ensemble de métadonnées pour la nouvelle production dans le menu local Metadata Set. d Selon le type de production que vous choisissez, un certain nombre de champs de métadonnées de production apparaissent. Saisissez dans ces champs un titre et d’autres métadonnées uniques pour le projet. Les champs portant un astérisque (*) sont obligatoires. e Cliquez sur Save Changes pour enregistrer la nouvelle production. 3 Faites glisser le dossier contenant le fichier de projet et ses données reliées du Finder vers la nouvelle production, dans la sous-fenêtre Productions de Final Cut Server. 4 Une zone de dialogue apparaît, vous demandant si vous souhaitez télécharger le dossier en tant que ressource regroupée ou en tant que ressource individuelle. Cliquez sur Create Individual Assets. 5 Une zone de dialogue apparaît pour vous informer que Final Cut Server ne peut pas gérer les références pouvant exister dans le fichier de projet que vous téléchargez. Cliquez sur Continue. La fenêtre Multiple Link Upload apparaît. Notez que le champ Associate with Production affiche la production dans laquelle vous avez fait glisser le dossier. 6 Choisissez un ensemble de métadonnées pour les ressources dans le menu local Metadata Set. Ajoutez aux fichiers téléchargés des métadonnées uniques. L’ajout de métadonnées reliées au projet vous aide à suivre les ressources reliées à la ressource de projet. Ajoutez des métadonnées pour différencier les fichiers téléchargés. Le nom de la production dans laquelle vous avez fait glisser le dossier apparaît ici.Chapitre 2 Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server 51 7 Si nécessaire, choisissez un nouveau périphérique de destination dans le menu local Destination. Vous spécifiez ainsi le périphérique sur lequel le fichier sera stocké. Si vous avez des questions sur le périphérique à utiliser, contactez votre administrateur Final Cut Server. Remarque : Media et Library sont les principaux périphériques de Final Cut Server. Demandez à votre administrateur Final Cut Server quels autres périphériques configurés sont adaptés au stockage de fichiers de données. 8 Cliquez sur le bouton Begin Upload afin de créer des ressources pour le fichier de projet et ses fichiers de données reliées. Les fichiers sont téléchargés. La progression du téléchargement s’affiche au-dessus de la sous-fenêtre Information dans le coin inférieur gauche de la fenêtre principale de Final Cut Server. Pour surveiller la progression du téléchargement des fichiers, cliquez sur le bouton Downloads and Uploads pour afficher la fenêtre Downloads & Uploads. 9 Une fois les fichiers téléchargés, sélectionnez la sous-fenêtre Productions, cliquez sur le bouton Search, puis double-cliquez sur la production afin d’afficher les nouvelles ressources. Le fichier de projet Final Cut Studio et chacun de ses fichiers de données ont été téléchargés comme des ressources. Les ressources apparaissent également dans la sous-fenêtre Assets de la fenêtre principale de Final Cut Server. Chacune des ressources individuelles apparaît dans la production.3 53 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server Ce chapitre couvre les éléments suivants :  Vue d’ensemble du catalogue de ressources Final Cut Server (p. 53)  Organisation des ressources à l’aide de productions (p. 59)  Utilisation de métadonnées pour organiser et rechercher des ressources (p. 64)  Recherche dans Final Cut Server (p. 66)  Affichage des résultats d’une recherche (p. 74)  Suivi de l’état d’une ressource ou d’une production à l’aide de métadonnées (p. 75)  Ajout et modification des métadonnées de ressources (p. 77)  Recherche de périphériques et de tâches (p. 78) Lorsque vous téléchargez des ressources, elles sont ajoutées à votre catalogue Final Cut Server, qui consiste en une collection de ressources téléchargées par vous et par d’autres utilisateurs de Final Cut Server. Alors que le nombre de ressources augmente dans votre catalogue, il devient de plus en plus important de créer et de gérer les recherches. Ce chapitre présente différentes utilisations de Final Cut Server pour organiser vos ressources et les rechercher. Vue d’ensemble du catalogue de ressources Final Cut Server Avant de pouvoir organiser ou rechercher des ressources dans le catalogue Final Cut Server, vous devez comprendre comment afficher les sous-fenêtres Assets et Productions. La sous-fenêtre Assets affiche toutes les ressources téléchargées vers Final Cut Server. Vous pouvez afficher toutes les ressources de votre système Final Cut Server en cliquant sur Search dans la fenêtre principale de Final Cut Server.54 Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server De même, la sous-fenêtre Productions affiche toutes les productions créées dans votre système Final Cut Server. Les productions sont utilisées pour organiser les ressources ; par exemple, si vous téléchargez un fichier de projet Soundtrack Pro et tous les fichiers audio utilisés dans ce projet, vous pouvez créer une production pour conserver cette ressource de projet et ses ressources média. Les productions sont également utilisées pour grouper des projets associés, comme les projets en cours d’un client particulier. Vous pouvez afficher toutes les productions présentes dans votre catalogue Final Cut Server en cliquant sur Productions dans la colonne située à gauche de la fenêtre principale de Final Cut Server. Vous pouvez réduire le nombre de ressources ou de productions qui apparaissent pour chaque recherche. La recherche la plus simple que vous pouvez effectuer consiste à saisir un terme à rechercher dans le champ de recherche, puis à cliquer sur le bouton Search. Vous pouvez également effectuer une recherche avancée, qui vous permet de rechercher un terme dans un champ de métadonnées particulier. Pour en savoir plus sur la recherche, consultez « Recherche dans Final Cut Server » à la page 66. Si vous souhaitez conserver une recherche, vous pouvez l’enregistrer. Les recherches enregistrées sont appelées des Smart Searches. Elles sont stockées dans la colonne située à gauche de la fenêtre principale de Final Cut Server. Pour en savoir plus sur les Smart Searches, consultez « Création d’une Smart Search » à la page 72. Votre administrateur Final Cut Server peut personnaliser les champs de métadonnées de recherche avancée dans votre système Final Cut Server. Pour en savoir plus, contactez votre administrateur Final Cut Server. Cliquez sur Assets ou sur Productions pour choisir le type d’éléments à afficher. Le fait de cliquer sur une Smart Search choisit également le type d’éléments à afficher.Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server 55 Icônes de ressources Les ressources peuvent être marquées par des icônes qui les identifient. Ces icônes peuvent indiquer qu’une ressource est extraite, verrouillée et archivée ; elles identifient également le type de la ressource (par exemple fichier audio et fichier vidéo) et si les données d’une ressource de projet sont non reliées. Ces icônes sont utiles pour en savoir plus sur la ressource sans avoir à ouvrir sa fenêtre d’information. Pour obtenir la liste complète des icônes qui peuvent marquer une ressource, consultez le tableau des icônes de ressources dans « Affichages des sous-fenêtres Assets et Productions » à la page 19. Types de ressources Les ressources peuvent être réparties parmi trois catégories principales : les ressources média, les ressources de projet Final Cut Pro et les ressources de projet Final Cut Studio ou d’autres projets. Les ressources média sont créées lorsque des fichiers audio, vidéo, graphiques ou d’autres données sont téléchargés vers Final Cut Server. Les ressources de projet Final Cut Pro sont créées lorsque des projets Final Cut Pro sont téléchargés vers Final Cut Server. La fenêtre d’information des ressources de projet Final Cut Pro contient une sous-fenêtre Elements qui répertorie les ressources média utilisées par le fichier de projets Final Cut Pro. Les ressources de projet Final Cut Studio sont créées lorsque les fichiers de projet Motion, Soundtrack Pro et DVD Studio Pro sont téléchargés vers Final Cut Server. Contrairement aux ressources de projet Final Cut Pro, ces fichiers de projet exigent que vous organisiez manuellement les ressources média reliées du projet. (Notez qu’un projet Final Cut Studio et ses données peuvent être téléchargés sous forme de ressource regroupée ou de ressources individuelles.) Pour en savoir plus sur les ressources que vous pouvez télécharger vers Final Cut Server, consultez le chapitre 2, « Téléchargement de fichiers vers Final Cut Server », à la page 31.56 Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server De nombreuses ressources affichent sur leur vignette une icône (vidéo, audio ou graphique, par exemple) ou un symbole d’application (fichiers de projet Final Cut Studio, par exemple). Ressource de projet Motion Ressource image Ressource vidéo Ressource audio Ressource Final Cut ProChapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server 57 Vous pouvez également obtenir des informations sur une ressource au moyen de son type mime. Le type mime décrit le type d’informations contenues dans le fichier de représentation principale ou l’application dans laquelle le fichier de représentation principale a été créé. Vous pouvez rechercher un type mime donné ; si vous utilisez souvent cette recherche, vous pouvez l’enregistrer sous forme de Smart Search. Pour en savoir plus, consultez « Recherche dans Final Cut Server » à la page 66. Le type mime de cette ressource image est affiché ici. Le type mime de cette ressource de projet Final Cut Pro est affiché ici.58 Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server À propos de la fenêtre Asset Info Chaque ressource du catalogue Final Cut Server comporte une fenêtre fournissant des informations détaillées sur la ressource. Les informations affichées dans une fenêtre d’information de ressource sont déterminées par le type de la ressource. Chaque fenêtre d’information de ressource contient des sousfenêtres d’information sur la ressource. Vous pouvez également effectuer de nombreuses commandes à partir du menu local Action de la fenêtre d’information de ressource. Pour ouvrir la fenêtre d’information d’une ressource, procédez de l’une des manières suivantes : m Double-cliquez sur la ressource dans la sous-fenêtre Assets ou dans une production. m Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Get Info dans le menu contextuel. Menu local Action Cliquez sur ces boutons pour afficher plus d’informations sur la ressource. Fenêtre d’information de ressource vidéoChapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server 59 Outre les informations affichées dans les fenêtres d’information des autres ressources, une fenêtre d’information de ressource de projet Final Cut Pro affiche tous les éléments utilisés dans le projet Final Cut Pro. Organisation des ressources à l’aide de productions Les productions sont utilisées pour grouper des ressources et des projets Final Cut Pro associés. Vous pouvez créer des productions pour conserver toute combinaison de ressources et de projets ayant une signification dans votre flux de travaux. Remarque : une ressource peut être associée à une ou plusieurs productions. Fenêtre d’information de ressource de projet Final Cut Pro La sous-fenêtre Elements affiche toutes les données reliées du projet. Cliquez sur un bouton pour afficher plus d’informations sur la production. Chacune de ces ressources est contenue dans la production.60 Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server Pour créer une production : 1 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Dans la sous-fenêtre Productions, cliquez sur le bouton New Production dans la barre d’outils. Une nouvelle production, vide, est créée.  Dans la sous-fenêtre Assets, sélectionnez une ou plusieurs ressources, puis cliquez sur le bouton « New Production from Selection » dans la barre d’outils. Une nouvelle production est créée, contenant les ressources sélectionnées. La fenêtre Production apparaît. 2 Dans le menu local Metadata Set, choisissez un ensemble de métadonnées pour la production. Cliquez sur le bouton New Production pour créer une nouvelle production. Le bouton New Production from Selection est disponible une fois que vous avez sélectionné une ou plusieurs ressources. Choisissez un ensemble de métadonnées.Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server 61 3 Selon les métadonnées choisies, plusieurs champs de métadonnées apparaissent. Saisissez dans ces champs des informations sur la production, notamment un titre et un état de priorité. Remarque : les champs marqués d’un astérisque (*) doivent être remplis. 4 Cliquez sur Save Changes. La fenêtre Production se ferme. Une fois que vous avez créé une production, celle-ci apparaît dans la sous-fenêtre Productions. Pour afficher la production que vous venez de créer : 1 Cliquez sur la Smart Search « Productions created by me » pour afficher la production que vous venez de créer. Un ensemble de métadonnées peut contenir plusieurs groupes de métadonnées. Nouvelle production Cliquez sur la Smart Search « Productions created by me » pour afficher la nouvelle production.62 Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server 2 Double-cliquez sur la production pour en afficher les détails. Vous pouvez ajouter une ressource à la production, depuis Final Cut Server ou lorsque vous téléchargez de nouveaux fichiers vers Final Cut Server. Pour ajouter une ressource à une fenêtre de production existante : m Faites glisser la ressource depuis la sous-fenêtre Assets vers la fenêtre de production ouverte. Pour ajouter une ressource média ou de projet à une production existante lors du téléchargement, procédez de l’une des manières suivantes : m Faites glisser la ressource média ou de projet directement du Finder vers une production. m Choisissez Upload File dans le menu local Server (le menu local dans la fenêtre principale de Final Cut Server qui apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Server), puis spécifiez une production à associer aux ressources dans la fenêtre Upload ou Multiple Upload. Lorsque le téléchargement est terminé, les ressources apparaissent dans la production que vous avez spécifiée. Veillez à cliquer sur le bouton Search, après avoir ajouté la ressource à la production, afin de réactualiser la sous-fenêtre Productions. Vous pouvez y faire glisser des ressources pour les ajouter à la nouvelle production. Cliquez sur Metadata pour afficher les métadonnées de la production.Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server 63 Une fois que vous avez ajouté une ressource à une production, Final Cut Server effectue le suivi de la ressource en tant que ressource reliée. Vous pouvez afficher les productions auxquelles une ressource est reliée en ouvrant la fenêtre d’information de la ressource et en cliquant sur Resources. La liste de productions auxquelles la ressource est reliée s’affiche en bas à droite de la fenêtre d’information de la ressource. Pour retirer une ressource d’une production : 1 Ouvrez la fenêtre d’information sur la production. 2 Sélectionnez la ressource que vous souhaitez retirer de la production. 3 Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Remove from Production dans le menu contextuel. La ressource est retirée de la production. Cette ressource est reliée à deux productions. Cliquez sur Resources dans la fenê- tre d’information de la ressource. Choisissez Remove from Production dans le menu contextuel.64 Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server Pour supprimer une production : m Dans la sous-fenêtre Productions, cliquez, tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, sur la production que vous souhaitez supprimer, puis choisissez Delete dans le menu contextuel. La production est supprimée. Remarque : seule la production est supprimée. Si la production contenait des ressources, aucune ressource n’est supprimée dans la sous-fenêtre Assets. Veillez à cliquer sur le bouton Search après avoir supprimé la production afin de réactualiser la sous-fenêtre Productions. Utilisation de métadonnées pour organiser et rechercher des ressources Vous pouvez utiliser toutes les métadonnées de fichier reconnues par Final Cut Server pour organiser et rechercher des ressources. Vous pouvez également ajouter des métadonnées à propos de la ressource dans l’ensemble de métadonnées de cette dernière. Par exemple, vous pouvez créer un mot-clé, puis créer une recherche enregistrée dans Final Cut Server pour les ressources qui contiennent ce mot-clé. À propos des métadonnées de fichiers et de ressources Lorsque vous importez une ressource, elle comporte diverses métadonnées. Les métadonnées spécifiques apportées par un fichier dans Final Cut Server dépendent du type du fichier où se trouve la ressource et de l’application ou des applications avec lesquelles la ressource a été créée et modifiée. Certains types de ressources comportent des métadonnées standard, comme les métadonnées XMP ou EXIF. Après le téléchargement, les métadonnées peuvent être ajoutées à une ressource existante. Par exemple, des mots-clés peuvent être ajoutés pour identifier le projet ou la production dont la ressource fait partie. Toutes les métadonnées d’une ressource, pour le fichier et pour la ressource, sont affichées dans une fenêtre d’information de ressource. Cela comprend les métadonnées importées avec le fichier lors du téléchargement et les métadonnées ajoutées dans Final Cut Server. Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server 65 Pour afficher les métadonnées d’une ressource : 1 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Double-cliquez sur la ressource.  Cliquez sur la ressource, tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Get Info dans le menu contextuel. 2 Cliquez sur le bouton Metadata. À propos des ensembles de métadonnées Final Cut Server comporte plusieurs ensembles de métadonnées. Les ensembles de métadonnées trient les nombreux champs de métadonnées contenus dans une ressource, y compris les métadonnées de projet et d’état de la ressource. Vous pouvez utiliser les diverses métadonnées d’un ensemble de métadonnées pour rechercher des ressources dans Final Cut Server, les trier et les identifier. Chaque ensemble de métadonnées dans Final Cut Server contient des champs de métadonnées spécifiques. Lors du téléchargement, les métadonnées de fichiers lisibles par Final Cut Server sont copiées et entrées dans tout champ de métadonnées correspondant dans l’ensemble de métadonnées que vous avez choisi pour la ressource. Il est important de comprendre que les ensembles de métadonnées ne contiennent pas toutes les métadonnées qu’un fichier de données peut comporter. Les métadonnées affichées dans la ressource sont influencées par deux facteurs : l’ensemble de métadonnées choisi pour la ressource, lors du téléchargement, et la méthode utilisée pour ajouter les métadonnées au fichier. Une ressource peut donc contenir des métadonnées qui ne sont pas affichées dans l’ensemble de métadonnées ou dans Final Cut Server. Si vous avez besoin d’ajouter à Final Cut Server des métadonnées qui ne sont pas actuellement importées par le téléchargement d’un fichier, contactez votre administrateur Final Cut Server. Une combinaison de métadonnées de fichiers et de ressources est affichée ici. Métadonnées de fichiers (utilisez la barre de défilement pour en voir davantage). Métadonnées de ressources. Dans la fenêtre d’information de la ressource, cliquez sur Metadata. Cette ressource comporte trois groupes de métadonnées.66 Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server Remarque : si vous avez ajouté des métadonnées à un fichier QuickTime au moyen des zones d’annotation QuickTime par défaut, ces métadonnées apparaissent dans le groupe de métadonnées QuickTime de l’ensemble de métadonnées Média. Vous devez attribuer l’ensemble de métadonnées de la ressource à Media pour afficher les informations d’annotation QuickTime ; si vous appliquez tout autre ensemble de métadonnées, les métadonnées QuickTime ne sont pas visibles dans la ressource Final Cut Server. Recherche dans Final Cut Server Vous pouvez effectuer des recherches dans les sous-fenêtres Assets et Productions de Final Cut Server. Vous pouvez également rechercher les périphériques disponibles et les tâches effectuées par Final Cut Server. Après avoir configuré une recherche, vous pouvez l’enregistrer et y accéder en un clic de souris. Remarque : une fois que vous avez saisi un terme de recherche, le champ de recherche conserve le dernier terme saisi. Il vous est donc facile de répéter la recherche que vous venez de saisir. Recherche simple Pour effectuer une recherche simple dans les sous-fenêtres Assets ou Productions de Final Cut Server, choisissez un type de recherche et saisissez un terme. Final Cut Server recherche ce terme dans chaque champ de métadonnées de chaque ressource ou production. La recherche n’est pas sensible au caractère. Dans le champ Simple Search, vous pouvez choisir deux types de recherche simple :  Choisissez Contains pour rechercher le terme que vous avez saisi dans un seul champ de métadonnée. Par exemple, si vous entrez le terme se, Final Cut Server recherche tous les termes comportant les caractères se, comme serein, dispose et dense, dans un seul champ de métadonnées.  Choisissez Matches Word pour rechercher un mot particulier dans chaque champ de métadonnées disponible. Les recherches Matches Word sont basées sur la recherche de radical, une procédure qui identifie la racine du mot, modifiée par les exigences grammaticales de l’anglais. Par exemple, la racine de work, works, worked, et working est work. Si vous saisissez le terme de recherche working, Final Cut Server tronque le terme à work, puis renvoie toutes les ressources contenant un terme de racine work dans les champs de métadonnées de la ressource. Remarque : lors d’une recherche de radical, les mots courants comme the, a, and et but sont ignorés. Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server 67 Vous pouvez rendre des recherches simples plus précises à l’aide d’un délimiteur de recherche. Pour effectuer une recherche simple : 1 Dans la sous-fenêtre Assets ou Production, choisissez un type de recherche (Contains ou Matches Word) dans le menu local Search. 2 Saisissez un ou plusieurs termes dans le champ de recherche. Par exemple, si vous souhaitez rechercher un type mime donné, saisissez le type mime complet dans le champ de recherche. 3 Cliquez sur le bouton Search. Délimiteur de recherche Exemple Renvoie Termes de recherche multiples ouragan vent eau Ressources comportant les termes ouragan, vent et eau Termes de recherche entre guillemets « Ouragan Alma » Ressources contenant l’expression de recherche complète Ouragan Alma Terme de recherche négatif (-) « Ouragan -Alma » Ressources contenant le terme Ouragan (et sans le terme Alma) Cliquez ensuite sur Search. Choisissez un type de recherche dans le menu local. Saisissez un terme de recherche.68 Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server Chaque ressource contenant dans ses métadonnées le terme que vous avez saisi est renvoyée. Les résultats de la recherche sont affichés ici. Utilisez les boutons View, les menus locaux Sort et les boutons de navigation de page pour mieux trier les résultats de la recherche.Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server 69 Recherche avancée Lorsque vous cliquez pour ouvrir le triangle d’affichage de la recherche, les champs de recherche avancée s’affichent. Ces champs vous permettent de rechercher dans des champs de métadonnées spécifiques le ou les termes que vous saisissez. Les sous-fenêtres Assets et Productions comportent des champs de recherche avancée différents. Le menu local situé en regard de chaque champ de métadonnées fournit un filtre de recherche approprié. Un filtre de recherche trie les résultats de la recherche selon le critère du filtre. Champs de recherche avancée de la sous-fenêtre Assets. Champs de recherche avancée de la sous-fenêtre Productions.70 Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server Pour effectuer une recherche avancée : 1 Dans la sous-fenêtre Assets ou Productions, cliquez sur le triangle d’affichage pour afficher les termes de recherche avancée. 2 Saisissez un ou plusieurs termes ou valeurs de recherche dans le ou les champs de métadonnées dans lesquels vous souhaitez rechercher. 3 Cliquez sur le bouton Search. Les résultats de votre recherche sont affichés dans la partie principale de la fenêtre. Ouvrez le triangle d’affichage pour afficher les réglages de recherche avancée.Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server 71 Critères de filtre de texte Les critères de filtre de texte sont utilisés pour rechercher dans les champs de métadonnées Title, Filename, Location, Stored On, etc. Vous pouvez utiliser les filtres suivants pour rechercher dans ces champs de métadonnées : Critère de filtre de date Les critères de filtre de date sont utilisés pour rechercher dans les champs de métadonnées Creation Date, File Creation Date, Deadline et d’autres champs de métadonnées relatifs aux dates. Notez que le filtrage de date est relatif à l’heure à laquelle vous l’avez utilisé ; si vous créez une Smart Search en utilisant un filtre de date, la date de création de la Smart Search est retenue. Vous pouvez utiliser les filtres suivants pour rechercher dans ces champs de métadonnées : Filtre Définition All Renvoie tous les termes. Equals Renvoie uniquement le texte saisi. Not Equals Renvoie les ressources qui ne contiennent pas le texte saisi. Contains Renvoie toutes les ressources qui contiennent le texte saisi. Begins with Renvoie les ressources qui commencent par le texte saisi. Ends with Renvoie les ressources qui se terminent par le texte saisi. Matches Word Renvoie le mot entier. Any Of Renvoie au moins l’un des mots saisis dans le champ. Filtre Définition All Renvoie tous les nombres. Last 2 hours Renvoie toutes les ressources téléchargées ou modifiées dans les deux heures suivant la dernière recherche. Last 24 hours Renvoie toutes les ressources téléchargées ou modifiées dans les 24 heures suivant la dernière recherche. Last 7 days Renvoie toutes les ressources téléchargées ou modifiées dans les sept jours suivant la dernière recherche. Last 31 days Renvoie toutes les ressources téléchargées ou modifiées dans les 31 jours suivant la dernière recherche. Before Renvoie toutes les ressources modifiées avant la date saisie. After Renvoie toutes les ressources modifiées après la date saisie.72 Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server Création d’une Smart Search Si vous souhaitez enregistrer une recherche simple ou avancée que vous avez configurée, vous pouvez créer une Smart Search. Les Smart Searches sont utiles car vous pouvez les réutiliser. Remarque : une Smart Search est enregistrée uniquement pour l’utilisateur qui l’a créée. Elle n’est pas enregistrée pour les clients d’autres utilisateurs ou de l’administrateur Final Cut Server. Pour créer une Smart Search : 1 Après avoir configuré une recherche, cliquez sur le bouton « Save as Smart Search » dans l’angle inférieur droit de la fenêtre principale de Final Cut Server. La Smart Search apparaît dans la liste des Smart Searches dans la colonne située à gauche de la fenêtre. Elle s’intitule « Untitled » et elle est sélectionnée. 2 Saisissez le nom de la Smart Search, puis appuyez sur Retour. Une fois que vous avez cliqué sur « Save as Smart Search », une nouvelle Smart Search apparaît. La nouvelle Smart Search est ajoutée à la liste des Smart Searches par ordre alphabétique.Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server 73 Le nom de la recherche est enregistré dans Final Cut Server. Pour rechercher dans la sous-fenêtre Assets ou Productions à l’aide d’une Smart Search : m Cliquez sur une Smart Search dans la liste de la colonne située à gauche de la fenêtre principale de Final Cut Server. Les résultats de la recherche apparaissent dans la partie principale de la fenêtre. Une fois que vous avez créé une Smart Search, vous ne pouvez plus la modifier. Vous pouvez cependant supprimer une Smart Search à tout instant. Pour supprimer une Smart Search : m Cliquez sur la Smart Search tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Delete dans le menu contextuel. La Smart Search est supprimée. Smart Searches de ressources Smart Searches de productions74 Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server Affichage des résultats d’une recherche Dans les sous-fenêtres Assets et Productions, vous pouvez afficher les résultats de votre recherche sous forme de vignettes ou de listes et modifier l’ordre d’affichage des éléments au moyen des boutons et des contrôles de la barre d’outils. Pour modifier l’affichage de votre sous-fenêtre Assets ou Productions (filtré ou non) : m Cliquez sur le bouton Thumbnail View ou le bouton List View. Pour modifier l’ordre d’affichage des éléments dans la sous-fenêtre Assets ou Productions : m Choisissez une option de tri dans le menu local Sort selon. Pour parcourir les pages des résultats de la recherche : m Utilisez les boutons de navigation de page pour passer à la page précédente ou suivante ou pour choisir d’afficher une autre page. Remarque : par défaut, 25 éléments sont affichés par page. Vous pouvez modifier ce nombre dans la fenêtre Preferences. Choisissez l’affichage Thumbnail View ou List View. Choisissez une option de tri dans ce menu local. Choisissez un ordre de tri (ascendant ou descendant). Parcourez les pages des résultats de la recherche. Choisissez une page spécifique de résultats de recherche.Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server 75 Suivi de l’état d’une ressource ou d’une production à l’aide de métadonnées Final Cut Server comporte plusieurs Smart Searches et ensembles de métadonnées par défaut, que vous pouvez utiliser pour déterminer l’état d’une ressource. L’ensemble de métadonnées Status, par exemple, a été conçu pour vous aider à suivre l’état des ressources et des productions dans Final Cut Server. Les ressources et les productions disposent d’un ensemble de champs de métadonnées Status légèrement différent. Pour en savoir plus sur le suivi de l’état des ressources et des productions, consultez « Utilisation de métadonnées Status pour le suivi des ressources et productions » à la page 147. Important : votre administrateur Final Cut Server peut avoir modifié les métadonnées Status ou d’autres métadonnées disponibles pour les ressources ou les productions, afin de répondre aux besoins du flux de travaux de votre organisation. Si vous avez des questions sur les métadonnées disponibles pour une ressource, contactez votre administrateur Final Cut Server. À mesure de la progression de votre travail, vous pouvez rechercher des ressources se trouvant dans une phase particulière de votre flux de travaux, en recherchant leurs métadonnées d’état ou d’autres métadonnées. Final Cut Server comporte plusieurs Smart Searches préconfigurées qui vous permettent de rechercher facilement les ressources modifiées récemment ou celles marquées Ready for Review dans le champ de métadonnées Status. Cliquez sur cette Smart Search pour afficher toutes les ressources dont l’état est défini sur Ready for Review.76 Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server Vous pouvez configurer votre propre recherche au moyen des options de recherche avancées. Par exemple, vous pouvez rechercher toutes les ressources dont le champ de métadonnées Status est défini sur In progress. Après avoir défini une recherche, vous pouvez l’enregistrer sous forme de Smart Search. La zone des ressources est mise en surbrillance pour indiquer que la configuration de recherche ne correspond pas à une Smart Search. Définissez le champ Status sur In progress pour rechercher ces ressources. Cliquez sur ce bouton pour enregistrer le réglage actuel de la recherche sous forme de Smart Search.Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server 77 Ajout et modification des métadonnées de ressources À mesure de la progression d’une ressource dans le flux de travaux de votre organisation, vous souhaitez peut-être ajouter ou modifier les métadonnées associées à cette ressource. Par exemple, lorsqu’une ressource a été modifiée et qu’elle est prête à être révisée par un client, vous pouvez définir son champ de métadonnées Status sur Ready for Review. Pour ajouter des métadonnées associées à une ressource ou pour les modifier : 1 Double-cliquez sur la ressource dans la sous-fenêtre Assets ou dans une production. 2 Dans la fenêtre d’information de la ressource, cliquez sur Metadata. 3 Choisissez un groupe de métadonnées à afficher. 4 Saisissez de nouveaux détails dans l’un des champs de métadonnées ou faites vos choix dans le menu local. 5 Lorsque vous avez terminé de modifier les métadonnées, cliquez sur Save Changes. Les modifications que vous avez apportées sont enregistrées. Veillez à cliquer sur le bouton Search après avoir mis à jour les métadonnées de ressources afin de réactualiser la sous-fenêtre Assets. Cliquez sur Metadata pour afficher les métadonnées de la ressource ou de la production. Cliquez sur un groupe de métadonnées à afficher. Lorsque vous avez apporté les modifications nécessaires, cliquez sur Enregistrer les modifications.78 Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server Recherche de périphériques et de tâches Deux fonctions de recherche avancée, Search Devices et Search All Jobs, sont disponibles dans le client Final Cut Server. Selon vos autorisations, ces recherches peuvent être disponibles ou non pour vous. Si vous avez des questions sur l’opportunité d’utiliser ces recherches, contactez votre administrateur Final Cut Server. Recherche de périphériques Si votre administrateur Final Cut Server vous y a autorisé, vous pouvez rechercher un fichier sur tout périphérique connecté à Final Cut Server. Cela vous permet d’examiner le contenu d’un périphérique, y compris les éléments qui n’ont pas été ajoutés au catalogue Final Cut Server. Les périphériques auxquels vous avez accès, en tant qu’utilisateur client, sont déterminés par votre administrateur Final Cut Server. Envisagez de consulter votre administrateur Final Cut Server avant de rechercher ou d’utiliser un fichier présent sur un périphérique. Pour rechercher dans un périphérique : 1 Choisissez Search Devices dans le menu local Server. Avertissement : utilisez la fenêtre Search Devices avec précaution. Lorsque vous recherchez dans un périphérique, vous recherchez des fichiers et non des ressources Final Cut Server. Les périphériques peuvent contenir des fichiers ajoutés ou non au catalogue Final Cut Server. À partir de la fenêtre Search Devices, vous pouvez ajouter un fichier de données à votre catalogue Final Cut Server et copier, supprimer et télécharger le fichier vers votre système local ; ces actions peuvent produire de multiples copies d’une ressource dans votre système serveur Final Cut Server ou supprimer toutes les copies d’un fichier sur un périphérique. Cliquez sur le bouton Server. Choisissez Search Devices dans le menu local.Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server 79 2 Dans la fenêtre Search Devices qui s’affiche, choisissez le périphérique où effectuer la recherche dans le menu local Device. 3 Cliquez sur le bouton Search pour rechercher à partir de la racine du périphérique. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Choose pour ouvrir une zone de dialogue vous permettant de préciser un dossier dans lequel effectuer la recherche. 4 Si vous souhaitez restreindre la recherche, saisissez un terme dans le champ de recherche ou cliquez sur le triangle d’affichage de la recherche pour afficher des options de recherche avancée. Important : veillez à entrer des mots entiers dans le champ de recherche. Contrairement au champ de recherche de la fenêtre principale de Final Cut Server, le champ de recherche de Search Devices ne renvoie pas de mots entiers si vous recherchez une partie de mot. Par exemple si vous souhaitez rechercher toutes les ressources contenant le mot image, vous devez rechercher le mot entier. Si vous recherchez uniquement ima, seules les ressources comportant les caractères ima sont trouvées et le mot image n’est pas trouvé. 5 Cliquez sur le bouton Search. Une fois que vous avez sélectionné un ou plusieurs éléments, vous pouvez choisir d’effectuer les actions suivantes en cliquant, tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, sur le nom du fichier dans la liste des résultats de la recherche, puis en choisissant l’une de ces options dans le menu contextuel :  Catalog asset : ajoute le fichier au catalogue Final Cut Server.  Get Info : affiche une fenêtre d’information qui résume les informations et les métadonnées du fichier.  View : affiche le fichier dans l’application appropriée (souvent l’emplacement où le fichier a été créé).  Export : exporte le fichier.  Duplicate : duplique le fichier.  Delete : supprime le fichier du périphérique.80 Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server Searching Devices Final Cut Server utilise des tâches pour effectuer des actions telles que le téléchargement et le transcodage de fichiers. À l’aide de la fenêtre Search All Jobs, vous pouvez rechercher une tâche donnée s’exécutant ou ayant été exécutée sous Final Cut Server. À propos des tâches Final Cut Server utilise des tâches pour certaines opérations. Le nombre de tâches qui s’exécutent dépend du type d’action effectué. Voici quelques exemples de tâches :  La copie d’un fichier d’un emplacement à un autre exécute une tâche.  La création d’une nouvelle ressource exécute des tâches pour effectuer la copie initiale, puis pour créer la ressource.  L’analyse d’une ressource utilise plusieurs tâches pour créer les fichiers de proxy de la ressource. Chaque tâche crée plusieurs entrées d’historique pour chaque étape de l’opération. Si vous souhaitez contrôler les tâches Final Cut Server en cours d’exécution, vous pouvez ouvrir la fenêtre Jobs. Vous pouvez y rechercher une tâche spécifique, puis afficher ses détails. Pour rechercher une ou plusieurs tâches spécifiques : 1 Choisissez Search All Jobs dans le menu local Server (le menu local de la fenêtre principale de Final Cut Server qui apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Server). Choisissez Search All Jobs dans le menu local. Cliquez sur le bouton Server.Chapitre 3 Organisation et recherche dans le catalogue Final Cut Server 81 La fenêtre Search All Jobs apparaît. 2 Saisissez vos critères de recherche de l’une des manières suivantes :  Saisissez un mot ou une valeur dans le champ de recherche.  Cliquez sur le triangle d’affichage de la recherche pour afficher les options de recherche avancée. Choisissez un délimiteur dans le menu local, puis saisissez une valeur dans un ou plusieurs champs de recherche. 3 Lorsque vous avez saisi vos critères de recherche de tâches, cliquez sur le bouton Search. Les tâches qui correspondent à vos critères de recherche apparaissent dans la partie principale de la fenêtre. N’oubliez pas que les résultats de vos recherches peuvent couvrir plusieurs pages ; vous pouvez naviguer dans les résultats au moyen des commandes de page situés à droite de la fenêtre. 4 83 4 Utilisation de Final Cut Server Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Actions du client Final Cut Server (p. 84)  À propos de la fenêtre Asset Info (p. 85)  Affichage d’une ressource (p. 89)  Ajout de versions pour une ressource média ou de projet (p. 91)  Verrouillage et déverrouillage d’une ressource (p. 94)  Écriture d’annotations sur une ressource vidéo (p. 99)  Duplication d’une ressource (p. 103)  Utilisation de la fonction Edit-in-place (p. 104)  Monitoring des tâches (p. 104)  Définition des préférences du client Final Cut Server (p. 107) Ce chapitre explique comment utiliser tous les types de ressources dans le client Final Cut Server. Il explique comment interpréter les informations contenues dans la fenêtre d’information d’une ressource média ou d’un projet. Il inclut également des descriptions de toutes les actions disponibles dans Final Cut Server.84 Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server Actions du client Final Cut Server Cette rubrique offre une vue d’ensemble des actions que vous pouvez effectuer à partir de la barre d’outils, des menus contextuels et d’autres emplacements dans le client Final Cut Server. Ce tableau décrit les différentes actions que vous pouvez effectuer dans Final Cut Server : Action Description Get Info Fournit des informations et des métadonnées pour la ressource sélectionnée. Pour en savoir plus, consultez « À propos de la fenêtre Asset Info » à la page 85. View Affiche la ressource dans un visualiseur multimédia approprié ; l’application d’affichage pourrait être QuickTime Player, Preview ou une autre application média. Pour en savoir plus sur l’affichage d’une ressource, consultez « Affichage d’une ressource » à la page 89. Add to Cache Ajoute une copie de la ressource sur le cache de l’ordinateur local. C’est la première étape de plusieurs opérations dans Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez « À propos de la mise en cache » à la page 109. Check In/Check Out/Cancel Check Out Extraire la ressource vous permet de modifier la représentation principale suivie par la ressource et empêche cette dernière d’être modifiée par tous les autres utilisateurs. Pour en savoir plus sur l’extraction d’une ressource média, consultez « Extraction, modification et réintégration d’une ressource média » à la page 111. Pour en savoir plus sur l’extraction d’un projet Final Cut Pro, consultez « Extraction d’un projet Final Cut Pro » à la page 124. Pour en savoir plus sur l’extraction d’une ressource de projet Final Cut Studio ou sur l’extraction d’une ressource regroupée, consultez le chapitre 7, « Utilisation de projets Final Cut Studio », à la page 135. Prepare for Disconnected Use Crée des copies d’alias des ressources média. Vous pouvez utiliser cette action pour créer des copies de ressources vidéo, puis utiliser ces ressources pour créer un nouveau projet Final Cut Pro tandis que vous êtes déconnecté du réseau Final Cut Server. Pour toute information complémentaire sur l’utilisation d’un projet Final Cut Pro existant lorsque vous n’êtes pas connecté au réseau Final Cut Server, consultez « Utilisation de projets Final Cut Pro endehors du réseau Final Cut Server » à la page 130. Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server 85 À propos de la fenêtre Asset Info Lorsque vous double-cliquez sur une ressource dans la sous-fenêtre Assets ou depuis le contenu une production, la fenêtre d’information de la ressource apparaît. Final Cut Server utilise les informations contenues dans la fenêtre d’information pour suivre et gérer la ressource. Lock/Unlock Empêche les autres utilisateurs de modifier le fichier contenu dans la ressource. Pour en savoir plus sur le verrouillage, consultez « Verrouillage et déverrouillage d’une ressource » à la page 94. Archive to/Restore L’archivage d’une ressource crée une copie de la ressource pouvant être restaurée. Pour en savoir plus sur l’archivage, consultez « Archivage et restauration de ressources média » à la page 162. New Production from Selection Crée une nouvelle production pour la ou les ressources sélectionnées. Pour en savoir plus, consultez « Organisation des ressources à l’aide de productions » à la page 59. Duplicate Crée une copie d’une ressource. Pour en savoir plus, consultez « Duplication d’une ressource » à la page 103. Export Crée une copie de la ressource sur le système de fichiers local ou sur un volume externe. Pour en savoir plus, consultez « Sortie d’un projet final » à la page 159. Delete Supprime la ressource, son fichier de représentation principale et tous ses fichiers proxy du catalogue Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez « Suppression de ressources Final Cut Server » à la page 164. Action Description Les icônes affichées dans la sous-fenêtre Assets apparaissent également dans la fenêtre d’information de la ressource individuelle. Cliquer sur n’importe lequel de ces boutons affiche des informations spé- cifiques sur la ressource.86 Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server À propos des fenêtres Media Asset Les fenêtres d’information de la ressource média contiennent des sous-fenêtres destinées aux informations relatives aux métadonnées, aux ressources, aux versions, aux verrous, ainsi qu’à la fonction Review and Approve.  Sous-fenêtre Metadata : cette sous-fenêtre affiche les métadonnées pour la ressource et son fichier de représentation principale. Vous pouvez mettre à jour n’importe quel champ de cette sous-fenêtre en saisissant du texte ou une valeur, puis en cliquant sur le bouton Save Changes.  Sous-fenêtre Resources : cette sous-fenêtre affiche les informations sur les fichiers de représentation principale et les fichiers proxy créés pour la ressource. Elle affiche également d’autres emplacements où la ressource est utilisée et d’autres ressources auxquelles celle-ci est reliée. Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server 87  Sous-fenêtre Versions : cette sous-fenêtre affiche différentes versions créées pour la ressource. Pour en savoir plus sur la création de versions, consultez « Ajout de versions pour une ressource média ou de projet » à la page 91.  Sous-fenêtre Locks : cette sous-fenêtre affiche les informations sur tout verrou sur la ressource. Pour en savoir plus sur les verrous, consultez « Verrouillage et déverrouillage d’une ressource » à la page 94.88 Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server  Sous-fenêtre Review and Approve : si votre administrateur Final Cut Server a configuré la fonction Review and Approve, la sous-fenêtre Review & Approve est utilisée pour l’envoi de courriers de notification de révision. Votre administrateur Final Cut Server doit configurer cette fonction pour qu’elle fonctionne correctement. Pour en savoir plus sur la fonction Review and Approve, consultez « À propos de la fonction Review and Approve » à la page 152. La fenêtre d’information d’une ressource média contient également un bouton Refresh, que vous pouvez utiliser pour mettre à jour la fenêtre d’information de la ressource, ainsi qu’un menu local Action, qui contient les actions les plus courantes. La fenêtre d’information d’une ressource vidéo contient également un bouton Annotations, qui ouvre la fenê- tre Annotations. Les ressources vidéo disposent d’un bouton Annotations. Menu local Action Bouton RefreshChapitre 4 Utilisation de Final Cut Server 89 À propos des fenêtres d’information du projet Final Cut Pro Une fenêtre d’information pour les projets Final Cut Pro diffère légèrement des fenêtres pour les autres types de ressources. Son menu local Action ne dispose pas de tous les éléments du menu local Action pour les autres types de ressources car certaines actions ne peuvent pas être effectuées sur une ressource Final Cut Pro. Elle contient également une sous-fenêtre supplémentaire, la sous-fenêtre Elements. Les éléments du projet Final Cut Pro sont des représentations des plans utilisés dans le projet Final Cut Pro. Final Cut Server crée les éléments à partir des ressources média créées lorsque le projet Final Cut Pro est téléchargé du Final Cut Server. Pour en savoir plus sur les éléments, consultez « Téléchargement de projets Final Cut Pro » à la page 39. Affichage d’une ressource Vous pouvez afficher plusieurs ressources vidéo, audio et image. Pour les ressources vidéo et image, vous pouvez choisir d’afficher les données d’origine du fichier ou l’un des nombreux fichiers proxy. Une fois que vous avez choisi un type de fichiers à afficher, il s’ouvre dans QuickTime Player ou dans une autre application appropriée (il peut s’agir de l’application dans laquelle le fichier a été créé). Remarque : n’oubliez pas que Final Cut Server ne peut pas prévisualiser les ressources regroupées, Final Cut Pro ou d’autres fichiers du projet. La sous-fenêtre Elements affiche les éléments qui font partie du projet Final Cut Pro. Fenêtre d’information de la ressource du projet Final Cut Pro.90 Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server Pour afficher une ressource, procédez de l’une des manières suivantes : m Cliquez sur l’icône média dans la vignette de la ressource. m Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez View et un format d’affichage dans le menu contextuel. La ressource sélectionnée apparaît dans une application d’affichage appropriée. Le plan vidéo illustré dans cet exemple apparaît dans QuickTime Player. Lorsque vous affichez une image, l’image en taille réelle apparaît. Toutes les informations et les métadonnées d’un fichier de données et de sa ressource sont affichées dans la fenêtre d’information de la ressource. Cliquez sur l’icône d’une ressource pour l’afficher.Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server 91 Ajout de versions pour une ressource média ou de projet Final Cut Server peut suivre une ressource lorsque vous la modifiez, fournissant une version pour chaque modification apportée à la représentation principale de chaque fichier. Si votre administrateur Final Cut Server a activé le contrôle de versions de ressource au cours du processus d’installation, il est possible que votre système soit déjà en train de créer des versions pour les ressources à mesure que vous les extrayez, puis les réintégrez. Vous pouvez voir si le contrôle de versions est activé pour une ressource en affichant la sous-fenêtre Versions dans la fenêtre d’information de la ressource. Lorsque la fonction de contrôle de versions est activée, vous pouvez afficher les versions d’une ressource dans la fenêtre d’information d’une ressource. Lorsque vous réintégrez une version mise à jour de la ressource, la version précédente apparaît dans la liste des versions. Final Cut Server numérote les versions dans leur ordre de création ; par conséquent, la version présentant le numéro le plus élevé est la version la plus récente de la ressource. Remarque : la version actuelle de la ressource n’apparaît pas dans la liste. Seule la version antérieure apparaît. Important : lorsque la fonction de contrôle de versions est activée pour une ressource, Final Cut Server crée une copie de chaque version qui est réintégrée. Avant d’activer Final Cut Server pour le suivi des versions d’une ressource, vérifiez que vous disposez de l’espace disque suffisant. Si vous avez des questions sur l’activation de la fonction de contrôle de versions pour une ressource particulière, contactez votre administrateur Final Cut Server. La case de la version est cochée, ce qui indique que le contrôle de versions est activé pour cette ressource. Trois versions existent pour cette ressource.92 Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server Pour vérifier que le contrôle de versions est activé pour une ressource : 1 Double-cliquez sur la ressource. 2 Cliquez sur le bouton Versions. 3 Si la case « Store and track versions of this asset » n’est pas cochée, faites-le. Pour extraire et modifier la ressource : 1 Sélectionnez la ressource, puis procédez de l’une des manières suivantes :  Cliquez sur le bouton Check Out de la barre d’outils.  Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Check Out dans le menu contextuel. 2 Dans la fenêtre Check Out qui apparaît, saisissez un emplacement d’extraction, puis cliquez sur Check Out. 3 Modifiez la ressource. 4 Une fois la modification terminée, enregistrez la ressource. Pour réintégrer la ressource modifiée en tant que nouvelle version : 1 Sélectionnez la ressource, puis procédez de l’une des manières suivantes :  Cliquez sur le bouton Check In de la barre d’outils.  Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Check In dans le menu contextuel. 2 Si vous le souhaitez, vous pouvez ajouter un commentaire dans le champ Version Comment de la fenêtre Check In qui apparaît. Cochez la case Versions pour pouvoir créer des versions pour cette ressource. Cliquez sur Versions pour activer les versions pour cette ressource. Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server 93 3 Cliquez sur le bouton Check In. Lorsque vous réintégrez une version mise à jour de la ressource, la version précédente apparaît dans la liste des versions. Important : vous ne verrez pas le commentaire que vous venez d’ajouter à la version réintégrée étant donné qu’il s’agit de la version actuelle et que la sous-fenêtre Versions affiche uniquement les versions antérieures. Lorsque vous cliquez sur une version tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée dans la sous-fenêtre Versions, le menu contextuel qui apparaît inclut :  Get Info : sélectionnez cette option pour afficher les informations relatives à la version.  View : sélectionnez cette option pour afficher la version dans un visualiseur approprié.  New Asset from Version : cliquez sur cette option pour créer une nouvelle ressource à partir de la version ou pour copier la version sélectionnée d’une ressource sur un autre périphérique.  Revert to this Version : cliquez sur cette option pour supprimer les ressources créées après la version sélectionnée. Lorsque vous revenez à une version précédente, la version actuelle est remplacée par la version sélectionnée. Votre administrateur Final Cut Server a configuré la fonction de contrôle de versions pour répondre aux besoins de votre organisation. Pour obtenir plus d’informations sur d’autres manières de configurer le contrôle de versions, contactez votre administrateur Final Cut Server. Cliquez sur une version tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée pour ouvrir un menu contextuel.94 Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server Verrouillage et déverrouillage d’une ressource Dans Final Cut Server, les verrous servent à protéger le fichier de représentation principale, les fichiers proxy et les métadonnées dans la ressource. Il existe plusieurs types de verrous. Le verrou User est le plus évident car c’est le seul verrou que vous appliquez manuellement. Le verrou User est appliqué à une ressource depuis la barre d’outils ou depuis le menu contextuel de la ressource. Vous pouvez savoir qu’une ressource est verrouillée lorsque vous voyez l’icône locked by me ou locked by other sur la vignette d’une ressource. Les verrous d’extraction et de référence ne sont pas appliqués manuellement. Ils sont appliqués lorsque vous extrayez une ressource du projet Final Cut Pro. Les rubriques suivantes décrivent les types de verrous que vous rencontrez dans Final Cut Server. L’icône de verrou jaune indique que vous avez verrouillé la ressource. Sélectionnez une ressource, puis cliquez sur le bouton Lock pour verrouiller ou déverrouiller une ressource. Une icône de verrou blanc indique qu’une autre personne a verrouillé une ressource.Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server 95 Verrou User Vous-même ou un autre utilisateur pouvez mettre un verrou User sur une ressource en cliquant sur le bouton Lock de la barre d’outils ou en choisissant Lock dans le menu contextuel de la ressource. Lorsqu’un verrou User est appliqué à une ressource, une icône de verrou (« locked by me » ou « locked by other ») apparaît sur la vignette de la ressource. En outre, le verrou qui était appliqué est noté en tant que verrou User dans la sous-fenêtre Locks de la fenêtre d’information de la ressource. Lorsque vous verrouillez la ressource, la représentation principale du fichier ne peut pas être modifiée, extraite, supprimée ou archivée par un autre utilisateur. Important : un verrou User ne vous empêche pas, vous ou un autre utilisateur, de modifier les métadonnées et les fichiers proxy de la ressource. Remarque : lorsque vous verrouillez une ressource, vous êtes la seule personne à pouvoir l’extraire correctement. Si une ressource est à la fois verrouillée manuellement et extraite, elle est verrouillée avec un verrou d’extraction et un verrou User. Si une autre personne que celle qui a verrouillé la ressource tente de l’extraire, l’extraction échoue. Verrou Checkout Un verrou d’extraction est appliqué lorsqu’une ressource est extraite par vous ou par un autre utilisateur. Lorsqu’une ressource est extraite, aucune partie de la ressource, notamment la représentation principale du fichier, les fichiers proxy ou les métadonnées, ne peut être modifiée ; de plus, la ressource ne peut pas être modifiée, extraite, supprimée ou archivée. La sous-fenêtre Locks affiche les détails du verrou. Le type de verrou montre qu’il s’agit d’un verrou d’extraction.96 Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server Pour en savoir plus sur l’extraction d’une ressource média, consultez « Extraction, modification et réintégration d’une ressource média » à la page 111. Pour en savoir plus sur l’extraction d’un projet Final Cut Pro, consultez « Extraction d’un projet Final Cut Pro » à la page 124. Consultez également Verrou de référence, ci-après. Pour en savoir plus sur l’extraction d’une ressource du projet Final Cut Studio, consultez le chapitre 7, « Utilisation de projets Final Cut Studio », à la page 135. Verrou de référence Lorsqu’une ressource du projet Final Cut Pro est extraite, la ressource du projet est verrouillée à l’aide d’un verrou Checkout. Outre le verrou Checkout, chacune des ressources média reliées au projet est verrouillée à l’aide d’un verrou de référence. Les verrous de réfé- rence ne sont pas indiqués sur la vignette de la ressource média ; vous pouvez uniquement trouver une preuve de verrou de référence dans la sous-fenêtre Locks de la fenêtre d’information de la ressource. Important : un verrou de référence n’empêche pas la modification des métadonnées du projet Final Cut Pro ou d’une ressource média par vous-même ou par un autre utilisateur ; il n’empêche pas non plus l’utilisation d’une ressource média dans un autre projet Final Cut Pro. Verrouillage et déverrouillage de ressources à l’aide d’un verrou User Cette rubrique explique comment verrouiller et déverrouiller une ressource à l’aide du verrou User. Seule la personne qui a verrouillé la ressource et votre administrateur Final Cut Server peuvent déverrouiller une ressource verrouillée. Si vous devez accéder à une ressource verrouillée, parlez-en à la personne qui l’a verrouillée ou à votre administrateur Final Cut Server. Le type de verrou montre qu’il s’agit d’un verrou de référence. Notez que rien n’indique que cette ressource est verrouillée.Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server 97 Pour appliquer un verrou User à une ressource, procédez de l’une des manières suivantes : m Sélectionnez la ressource dans la sous-fenêtre Assets, puis cliquez sur le bouton Lock de la barre d’outils. m Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Lock dans le menu contextuel. Une fois la ressource verrouillée, une icône de verrou apparaît sur la ressource, indiquant qu’elle est verrouillée. Dans d’autres clients Final Cut Server, l’icône de verrou est différente, indiquant qu’un autre utilisateur a verrouillé la ressource. Si vous préférez, vous pouvez cliquer sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisir Lock dans le menu contextuel. Sélectionnez la ressource, puis cliquez sur le bouton Lock. Le verrou jaune indique que vous avez verrouillé la ressource. Le verrou blanc indique qu’un autre utilisateur a verrouillé la ressource.98 Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server Pour déverrouiller une ressource que vous avez verrouillée, procédez de l’une des manières suivantes : m Sélectionnez la ressource dans la sous-fenêtre Assets, puis cliquez sur le bouton Unlock de la barre d’outils. m Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Unlock dans le menu contextuel. L’icône disparaît et la ressource est déverrouillée. Si une ressource est verrouillée par un autre utilisateur, vous pouvez ouvrir la fenêtre d’information de cette ressource et afficher la sous-fenêtre Locks pour savoir quel utilisateur l’a verrouillée. Sélectionnez la ressource, puis cliquez sur le bouton Unlock. Si vous préférez, vous pouvez cliquer sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisir Unlock dans le menu contextuel. Le champ Locked By affiche qui a verrouillé la ressource. Cette icône indique que cette ressource est verrouillée par une autre personne.Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server 99 Écriture d’annotations sur une ressource vidéo Vous pouvez ajouter des annotations à une ressource vidéo. Dans la fenêtre Annotations, vous pouvez afficher un plan vidéo, puis ajouter du texte à différents endroits du plan vidéo. Les annotations restant avec la ressource du plan dans Final Cut Server, elles sont utiles pour prendre des notes pour vous-même ou pour d’autres personnes de votre groupe de travail. Vous pouvez facilement afficher ces annotations dans Final Cut Server. Elles restent avec la ressource jusqu’à ce que vous les effaciez manuellement. Pour annoter une ressource vidéo : 1 Localisez la ressource vidéo que vous souhaitez annoter dans la sous-fenêtre Assets, dans une production ou dans la sous-fenêtre Elements de la ressource du projet Final Cut Pro. 2 Double-cliquez sur la ressource du plan pour afficher la fenêtre d’information de la ressource. 3 Cliquez sur le bouton Annotate dans la fenêtre d’information de la ressource. Fenêtre du visualiseur. Ajoutez des annotations ici. Annotations saisies. Cliquez sur le bouton Annotate de la fenêtre d’information d’une ressource vidéo.100 Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server La fenêtre Annotations apparaît. Vous devez marquer un point d’entrée ou un point de sortie pour chaque annotation. 4 Positionnez la tête de lecture au niveau du point d’entrée, en la faisant glisser ou en utilisant les commandes de navigation. Cliquez ensuite sur le bouton Mark In ou appuyez sur I sur votre clavier. Vous pouvez définir un point de sortie en suivant la même procédure. Important : les commandes du clavier ne sont pas disponibles lorsque le champ Annotation est actif. Cela vous permet de saisir des annotations dans le champ. Cliquez sur ce bouton pour ouvrir la fenêtre d’information de la ressource. Faites glisser ce curseur pour localiser des images de vidéos. Cliquez sur les boutons Mark In et Mark Out (ou appuyez sur la touche I ou O de votre clavier) pour marquer des points d’entrée et de sortie. Utilisez ces commandes pour lire et parcourir la vidéo.Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server 101 5 Saisissez un commentaire dans le champ Annotation, sous la fenêtre du visualiseur. 6 Pour ajouter l’annotation à la liste des annotations à droite, cliquez sur le bouton Add Annotation. L’annotation est ajoutée à la liste. Pour remplacer le texte d’une annotation existante : 1 Cliquez sur le bouton In Point ou le bouton Out Point dans la liste des annotations. 2 Dans le champ de texte Annotation, saisissez le nouveau texte pour l’annotation. 3 Cliquez sur Add Annotation. 4 Une zone de dialogue apparaît, vous demandant si vous souhaitez remplacer l’annotation. Cliquez sur Yes. L’annotation est remplacée. Cliquez sur le bouton Add Annotation pour enregistrer l’annotation. Annotation. Points d’entrée et de sortie associés à l’annotation. L’annotation que vous venez d’ajouter apparaît dans cette liste. Bouton In Point. Bouton Out Point.102 Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server Pour supprimer une ou plusieurs annotations sélectionnées de la liste des annotations : 1 Sélectionnez une ou plusieurs annotations que vous souhaitez supprimer. 2 Cliquez sur l’annotation tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Delete Selected dans le menu contextuel. La ou les annotations sélectionnées sont supprimées. Pour supprimer toutes les annotations sur une ressource : 1 Sélectionnez toute annotation que vous souhaitez supprimer. 2 Cliquez sur l’annotation tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Delete All dans le menu contextuel. 3 Une zone de dialogue apparaît, vous demandant de confirmer que vous souhaitez supprimer les annotations. Cliquez sur Yes. Toutes les annotations sont supprimées. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Delete pour supprimer une seule annotation. Cliquez sur une annotation tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée pour ouvrir ce menu contextuel.Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server 103 Duplication d’une ressource Choisir de dupliquer une ressource crée une copie de la ressource dans Final Cut Server. Si vous souhaitez créer deux itérations distinctes d’une ressource média ou de projet, vous pouvez facilement le faire en dupliquant la ressource. Pour dupliquer une ressource : 1 Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Duplicate dans le menu contextuel. La fenêtre Duplicate apparaît. 2 Sélectionnez un périphérique de destination dans le menu local Destination. Si vous souhaitez placer le fichier dupliqué au sein de la structure de fichiers du périphérique, cliquez sur le bouton Choose et naviguez jusqu’à l’emplacement approprié de l’explorateur de fichiers. Le chemin d’accès au fichier de destination apparaît dans le champ Destination. 3 Si vous souhaitez associer la nouvelle ressource à une production, cliquez sur le bouton Choose à la droite de Production, sélectionnez une production, puis cliquez sur Open. La production sélectionnée apparaît dans le champ Associate with Production. 4 Si vous souhaitez transcoder la ressource, modifier l’ensemble de métadonnées ou ajouter des métadonnées à la ressource, cliquez sur le triangle d’affichage Advanced Options et procédez aux modifications nécessaires. 5 Cliquez sur le bouton Duplicate pour dupliquer le fichier et créer une nouvelle ressource.104 Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server Utilisation de la fonction Edit-in-place Votre administrateur Final Cut Server peut configurer la fonction Edit-in-place et créer des copies des ressources pour la modification directe sur un serveur Xsan ou sur d’autres emplacements de stockage partagés. Lorsque la fonction Edit-in-place est configurée, vous n’avez plus besoin de télécharger, de mettre en cache ou d’extraire la ressource ; à la place, vous pouvez faire glisser votre ressource directement depuis le catalogue de ressources vers une application pour la modification. Important : la fonction Edit-in-place doit être configurée par votre administrateur Final Cut Server. Contactez votre administrateur pour savoir si la fonction Edit-in-place est configurée avant d’essayer de l’utiliser. Monitoring des tâches Les fichiers sont constamment en cours de téléchargement par Final Cut Server. L’indicateur de progression des tâches, la fenêtre Downloads & Uploads et la fenêtre Search All Jobs affichent des informations sur la progression des fichiers en cours de téléchargement à partir de ou vers Final Cut Server. Indicateur Jobs in Progress L’indicateur Jobs in Progress apparaît dans le coin inférieur gauche de la fenêtre principale Final Cut Server lorsque les fichiers sont téléchargés. Il ressemble à un engrenage en rotation et indique qu’un certain nombre de tâches sont en cours. Indicateur Jobs in Progress. Cliquez sur ce bouton pour afficher la fenêtre Downloads & Uploads.Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server 105 Fenêtre Downloads & Uploads Pour en savoir plus sur les fichiers en cours de téléchargement, vous pouvez ouvrir la fenê- tre Downloads & Uploads, qui affiche les fichiers spécifiques en cours de téléchargement, ainsi que les informations relatives à leur état propre. Remarque : la fenêtre Downloads & Uploads n’affiche pas de détails sur les fichiers qui sont transcodés pour la création de fichiers proxy. Vous pouvez voir les détails relatifs au transcodage de ces fichiers dans la fenêtre Search All Jobs. Pour ouvrir la fenêtre Downloads & Uploads : m Cliquez sur le bouton Downloads et Uploads dans le coin inférieur gauche de la fenêtre principale Final Cut Server. Remarque : en cas d’échec d’un téléchargement, une icône d’erreur apparaît dans la fenêtre Downloads & Uploads. Vous devez effacer les tâches répertoriées dans cette fenêtre pour faire disparaître cette icône. Pour effacer les tâches répertoriées dans la fenêtre Downloads & Uploads : m Cliquez dans le coin inférieur gauche de la fenêtre Downloads & Uploads. Fenêtre Search All Jobs Vous pouvez obtenir des informations détaillées sur chacun des fichiers en cours de téléchargement dans la fenêtre Search All Jobs. À la différence de la fenêtre Downloads & Uploads, la fenêtre Search All Jobs contient un historique détaillé des tâches exécutées par Final Cut Server. Les tâches sont affichées pour la copie d’un fichier d’un emplacement vers un autre, le téléchargement de fichiers, la création de fichiers proxy de la nouvelle ressource, etc. Chaque tâche crée également plusieurs entrées d’historique pour chaque étape de l’opération. Pour limiter les tâches affichées dans la fenêtre Jobs, vous pouvez effectuer une recherche dans la fenêtre Jobs. Ouvrez le triangle d’affichage pour afficher les fichiers faisant partie d’une tâche.106 Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server Pour rechercher une ou plusieurs tâches spécifiques : 1 Choisissez Search All Jobs dans le menu local Server. La fenêtre Search All Jobs apparaît. 2 Saisissez vos critères de recherche en procédant de l’une des manières suivantes :  Saisissez un mot ou une valeur dans le champ de recherche et limitez la recherche aux fichiers contenant le terme de recherche dans leur titre à l’aide de l’option Contains (more results) ou aux fichiers correspondant exactement au terme de recherche à l’aide de l’option Matches Word (faster).  Cliquez sur le triangle d’affichage de recherche pour afficher les options de recherche avancée. Choisissez un limiteur dans le menu local et saisissez une valeur dans un ou plusieurs champs de recherche. 3 Lorsque vous avez saisi les critères de recherche des tâches, cliquez sur le bouton Search. Les tâches correspondant à vos critères de recherche sont répertoriées dans la fenêtre Search All Jobs. N’oubliez pas que vos résultats de recherche peuvent s’étendre sur plusieurs pages ; vous pouvez parcourir les résultats de recherche à l’aide des commandes de page, tout à droite. Choisissez Search All Jobs dans le menu local. Cliquez sur le bouton Server. Cliquez sur ce bouton pour voir les options de recherche avancée. Saisissez un terme de recherche.Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server 107 Définition des préférences du client Final Cut Server Votre administrateur Final Cut Server est responsable de la configuration de la plupart des préférences qui vous affectent lors de l’utilisation de votre client Final Cut Server. Toutefois, vous avez la possibilité de modifier quelques réglages dans votre copie de client uniquement. Pour configurer les réglages des préférences utilisateur, procédez de l’une des manières suivantes : m Choisissez Final Cut Server > Preferences. m Choisissez Preferences dans le menu local Server (le menu local de la fenêtre principale Final Cut Server qui apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Server). Pour apporter des modifications dans la fenêtre Preferences : m Saisissez un nombre ou un chemin d’accès au fichier (en cliquant sur le bouton Choose, puis en spécifiant un chemin d’accès au fichier) dans le champ que vous souhaitez modifier, puis cliquez sur le bouton Apply Changes. À propos des préférences de recherche Les préférences de recherche contrôlent le nombre de résultats trouvés par Final Cut Server et le nombre d’éléments affichés par page. Cela peut être utile si vous avez un écran large ou petit. Les préférences de recherche incluent :  Maximum # of Search Results : saisissez une valeur représentant le nombre maximal d’éléments qui apparaissent après une recherche.  Items Per Page : les résultats de recherche sont divisés en pages pour que l’affichage soit plus efficace. Vous pouvez entrer une valeur qui définit le nombre d’éléments apparaissant sur chaque page.  Remember the last search : cochez cette case pour que Final Cut Server mémorise et exécute, lors de la prochaine connexion, la dernière recherche que vous avez effectuée. Vous pouvez modifier l’affichage des résultats de recherche dans votre client. Vous pouvez définir l’emplacement et la taille de votre mémoire cache. 108 Chapitre 4 Utilisation de Final Cut Server À propos des préférences du cache Le cache est l’emplacement où sont téléchargées vos copies locales des fichiers de données. Il n’est pas recommandé que les utilisateurs affichent ou déplacent des fichiers qui se trouvent dans le cache. Exportez plutôt des copies de fichiers que vous souhaitez utiliser vers votre bureau ou vers un autre emplacement pratique. Toutefois, vous pouvez décider de l’emplacement de votre cache. Dans la fenêtre Preferences, vous pouvez modifier l’emplacement et la taille du cache. Vous pouvez également l’effacer rapidement dans la fenêtre Preferences. Les préférences de cache incluent :  Emplacement du cache : cliquez sur le bouton Choose pour choisir un emplacement à utiliser pour le stockage de vos caches. Les emplacements par défaut sont /utilisateur/ Bibliothèque/Caches/ lorsque vous exécutez le client sur un ordinateur Macintosh et le répertoire /username/AppData/ sur un ordinateur Windows. Important : la modification de l’emplacement du cache se traduit par le fait que tous les caches actuels deviennent indisponibles. Si vous modifiez l’emplacement du cache, vous devez ajouter manuellement les ressources dont vous avez besoin sur le nouvel emplacement du cache.  Maximum Cache Size : saisissez une valeur pour définir une taille de cache maximale.  Clear Cache : cliquez sur le bouton Clear Cache pour supprimer les fichiers dans l’emplacement du cache.  Saved aliases for prepared media files : cliquez sur le bouton Choose pour choisir un emplacement à utiliser pour le stockage des alias sur les fichiers cache. Cet emplacement est utilisé lorsque vous choisissez l’option Prepare for Disconnected Use pour les ressources. Remarque : si votre cache local dépasse la limite définie dans la fenêtre Preferences, un message d’erreur apparaît, vous conseillant de supprimer le cache, d’annuler l’action ou de la poursuivre. Il est recommandé de choisir de supprimer votre cache. À propos du champ Saved Aliases for Prepared Media Files Préparer des ressources média pour une utilisation déconnectée vous permet de créer des copies d’alias d’un fichier de données qui est stocké dans votre cache Final Cut Server sur un ordinateur portable. Vous pouvez utiliser les fichiers d’alias pour créer un nouveau projet Final Cut Pro lorsque vous êtes déconnecté du réseau Final Cut Server. Vous pouvez définir l’emplacement où Final Cut Server enregistre les copies d’alias des fichiers de données préparés dans la fenêtre Preferences. Pour en savoir plus sur la préparation de ressources média pour une utilisation déconnectée, consultez « Préparation de ressources média en vue d’une utilisation sur un ordinateur non connecté au réseau Final Cut Server » à la page 113.5 109 5 Utilisation des ressources média Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos de la mise en cache (p. 109)  Extraction, modification et réintégration d’une ressource média (p. 111)  Préparation de ressources média en vue d’une utilisation sur un ordinateur non connecté au réseau Final Cut Server (p. 113)  Exportation de ressources média (p. 117) Ce chapitre explique comment modifier les ressources média, notamment les plans vidéo et les graphismes, dans des applications autres que Final Cut Server. Vous pouvez modifier la copie gérée d’une ressource média en extrayant cette ressource, puis en modifiant le fichier extrait et en le réintégrant lorsque vous avez terminé les modifications. Un flux de travaux séparé est fourni pour préparer les fichiers de données qui seront utilisés dans le nouveau projet Final Cut Pro que vous créez lorsque vous n’êtes pas connecté au réseau Final Cut Server. Vous pouvez également copier ou exporter la copie non gérée d’une ressource média à partir de Final Cut Server. À propos de la mise en cache Mettre en cache une ressource signifie la télécharger dans le cache Final Cut Server de votre ordinateur local. Lorsque vous avez mis en cache une ressource média, vous pouvez l’extraire et travailler sur cette copie gérée dans une autre application, en faire glisser une copie à partir de Final Cut Server ou en exporter une copie et créer une copie non gérée. Vous pouvez déterminer qu’une ressource est en cache par la couleur de sa vignette, qui devient gris clair. Remarque : si votre système Final Cut Server est connecté à un périphérique de réseau de stockage (SAN) Xsan Apple et que la fonction edit-in-place est activée, vos ressources sont toujours mises en cache et prêtes à être utilisées. Pour en savoir plus, contactez votre administrateur Final Cut Server.110 Chapitre 5 Utilisation des ressources média Final Cut Server affiche une invite lorsque vous devez mettre en cache une ressource ; pour effectuer cette opération, il vous suffit donc souvent de cliquer sur le bouton Add to Cache qui s’affiche dans la zone de dialogue d’invite. Cependant, vous pouvez également ajouter manuellement une ressource à votre cache Final Cut Server. Pour ajouter une ressource à votre cache : m Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Add to Cache dans le menu contextuel. Lorsqu’une ressource est mise en cache, son arrière-plan change de couleur et devient gris clair. Dans certaines situations, un fichier stocké dans votre cache Final Cut Server peut arriver à expiration. Dans un tel cas, une icône apparaît sur la ressource, indiquant que le fichier mis en cache pour cette ressource a expiré. 4_2, dont l’arrière plan est d’un gris plus clair, est mise en cache. Cette icône indique que le fichier mis en cache pour cette ressource a expiré.Chapitre 5 Utilisation des ressources média 111 Pour corriger un fichier expiré : m Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Remove from Cache dans le menu contextuel. Cette icône disparaît, indiquant que le fichier expiré a été retiré de votre cache Final Cut Server. Vous pouvez modifier plusieurs réglages pour votre cache Final Cut Server dans les préfé- rences Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez « À propos des préférences du cache » à la page 108. Important : Final Cut Server gère les fichiers situés dans le cache de votre ordinateur local. Dans la plupart des cas, vous n’avez pas besoin de travailler manuellement dans le cache de votre ordinateur. Si vous souhaitez modifier votre cache, contactez votre administrateur Final Cut Server. Extraction, modification et réintégration d’une ressource média Une ressource média est très simple à utiliser, car elle ne représente qu’un simple fichier de données. Pour modifier une ressource média, vous pouvez l’extraire, la modifier, puis la réintégrer dans Final Cut Server. Une ressource média peut également être exportée, modifiée, puis téléchargée dans Final Cut Server en tant que nouvelle ressource ; cependant, lorsque vous exportez une ressource média, celle-ci n’est plus gérée par Final Cut Server. Si vous appliquez des modifications au fichier de données et souhaitez que Final Cut Server en assure de nouveau la gestion, vous devez créer une nouvelle ressource pour le fichier, en le réinté- grant dans Final Cut Server. Bien qu’une ressource média représente un simple fichier de données, elle est rarement utilisée seule. Les ressources média peuvent être référencées en tant qu’éléments d’une ressource de projet Final Cut Pro ou référencées dans d’autres ressources de projet Final Cut Studio. Lorsque vous modifiez une ressource, il peut vous arriver de modifier par inadvertance la manière dont la ressource apparaît dans différentes ressources de projet. Il est donc préférable de toujours consulter la sous-fenêtre Resources d’une ressource média, afin de vérifier les projets auxquels cette ressource est associée. Si vous savez que vos modifications affecteront tous les projets auxquels la ressource est associée, appliquez ces modifications sans vous poser de questions. Si vous ne reconnaissez pas les ressources associées indiquées dans la sous-fenêtre Resources, envisagez plutôt d’exporter la ressource, puis de la télécharger en tant que nouvelle ressource média et de remplacer manuellement cette ressource dans les projets concernés. Cette opération est peut être un peu plus longue, mais elle vous évitera, à vous et à vos collègues, des heures de travail par la suite pour réparer les dégâts causés. N’oubliez pas que, lorsqu’une ressource média est extraite, cette ressource ne peut pas être modifiée, extraite, supprimée ou archivée par un autre utilisateur. 112 Chapitre 5 Utilisation des ressources média Pour extraire une ressource média, la modifier et réintégrer le fichier de données dans Final Cut Server : 1 Recherchez la ressource média que vous souhaitez extraire. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Sélectionnez la ressource, puis cliquez sur le bouton Check Out dans la barre d’outils.  Cliquez sur la ressource média tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Check Out dans le menu contextuel. 3 Dans la fenêtre Check Out qui s’affiche, sélectionnez l’emplacement d’enregistrement du fichier de données extrait. 4 Cliquez sur le bouton Check Out. 5 Pour ouvrir le fichier dans son application d’origine, procédez de l’une des manières suivantes :  Faites glisser le fichier de Final Cut Server vers l’icône de l’application, sur votre Dock.  Faites glisser le fichier de son emplacement d’extraction jusqu’à l’icône de l’application d’origine, sur votre Dock.  Ouvrez le fichier dans son application d’origine, en sélectionnant File > Open. 6 Modifiez le fichier. 7 Enregistrez le nouveau fichier à l’emplacement d’extraction. Important : si vous enregistrez le fichier ailleurs qu’à son emplacement d’extraction initial, Final Cut Server ne pourra pas en assurer la gestion. Cliquez sur le bouton Check Out.Chapitre 5 Utilisation des ressources média 113 8 Dans Final Cut Server, réintégrez le fichier en procédant de l’une des manières suivantes :  Sélectionnez la ressource extraite, puis cliquez sur le bouton Check In dans la barre d’outils.  Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Check In dans le menu contextuel. Si la fonction de contrôle de version est désactivée, la ressource est réintégrée. 9 Si cette fonction est activée, une fenêtre Check In s’affiche. Le cas échéant, saisissez un commentaire pour la version et cliquez sur Check In. Pour en savoir plus sur le contrôle de version, consultez « Ajout de versions pour une ressource média ou de projet » à la page 91. La ressource média mise à jour est réintégrée dans Final Cut Server et l’icône d’extraction disparaît de la vignette de la ressource. Préparation de ressources média en vue d’une utilisation sur un ordinateur non connecté au réseau Final Cut Server Vous aurez parfois besoin de sélectionner des ressources média pouvant être utilisées dans un nouveau projet Final Cut Pro créé alors que vous n’êtes pas connecté au réseau Final Cut Server. Préparer des ressources média pour une utilisation hors connexion vous permet de créer des copies d’alias d’un fichier de données stocké dans le cache Final Cut Server de votre ordinateur local. Ensuite, lorsque vous n’êtes plus connecté au réseau Final Cut Server, vous pouvez ajouter ces fichiers de données à un nouveau projet Final Cut Pro. Lorsque vous vous reconnectez au réseau Final Cut Server, il vous suffit de télécharger le nouveau projet Final Cut Pro dans Final Cut Server. Ceci crée une nouvelle ressource pour le projet Final Cut Pro, mais, comme les ressources média existent déjà dans Final Cut Server, les données ne sont pas téléchargées. Important : vous pouvez préparer les fichiers pour une utilisation hors connexion uniquement si votre ordinateur portable dispose d’un cache Final Cut Server local. Vous ne pouvez pas préparer les fichiers pour une utilisation hors connexion et les placer sur un disque externe.114 Chapitre 5 Utilisation des ressources média Pour préparer des ressources média à une utilisation hors connexion : 1 Sélectionnez Preferences dans le menu local Server (menu local de la fenêtre principale de Final Cut Server, qui apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Server). 2 Dans la fenêtre Preferences de Final Cut Server, vérifiez l’emplacement prévu pour les fichiers d’alias. Si vous souhaitez changer d’emplacement, cliquez sur Choose et saisissez le nouvel emplacement sur votre ordinateur local ; terminez en cliquant sur Apply Changes pour enregistrer le nouvel emplacement. 3 Dans la sous-fenêtre Assets, sélectionnez les ressources média que vous souhaitez préparer pour une utilisation hors connexion.  Pour sélectionner une série d’éléments, cliquez sur un élément, maintenez la touche Maj enfoncée, puis cliquez sur le dernier élément de la série.  Pour sélectionner plusieurs éléments individuels, maintenez la touche Commande enfoncée et cliquez sur les éléments souhaités, même s’ils ne sont pas l’un à côté de l’autre. 4 Cliquez sur l’une des ressources sélectionnées tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Prepare for Disconnected Use dans le menu contextuel. Cliquez sur le bouton Choose. Les copies d’alias des fichiers de données sont placées à l’endroit spécifié dans ce champ. Sélectionnez « Prepare for Disconnected Use ».Chapitre 5 Utilisation des ressources média 115 Les fichiers sont copiés dans le cache Final Cut Server et les copies d’alias des fichiers sont placées à l’endroit spécifié dans le champ « Saved aliases for prepared media files » de la fenêtre Preferences. Pour créer un projet Final Cut Pro à l’aide des fichiers préparés pour une utilisation hors connexion : 1 Créez un nouveau projet dans Final Cut Pro. 2 Faites glisser les fichiers d’alias vers le nouveau projet. Important : vérifiez le chemin d’accès aux fichiers de données pour l’emplacement « Prepared for Disconnected Use ». Ne déplacez pas les alias et ne changez pas le nom des fichiers. Vous pouvez également ajouter des fichiers de données non gérés par Final Cut Server au nouveau projet Final Cut Pro. Lorsque vous téléchargez le nouveau projet Final Cut Pro dans Final Cut Server, ces nouveaux fichiers sont téléchargés en tant que nouvelles ressources média. 3 Modifiez le projet. 4 Lorsque vous avez terminé, enregistrez le projet. La dernière étape de cette procédure consiste à télécharger le nouveau projet Final Cut Pro dans Final Cut Server. Lorsque vous téléchargez le projet, les ressources média que vous avez préparées pour une utilisation hors connexion sont mises à jour, si nécessaire, dans Final Cut Server ; le nouveau projet Final Cut Pro est téléchargé en tant que nouvelle ressource et les éventuels nouveaux fichiers de données sont téléchargés dans Final Cut Server en tant que nouvelles ressources média.116 Chapitre 5 Utilisation des ressources média Pour télécharger le nouveau projet Final Cut Pro dans Final Cut Server : 1 Procédez de l’une des manières suivantes :  Faites glisser le fichier de projet Final Cut Pro depuis Finder jusqu’à la colonne de gauche de la fenêtre principale de Final Cut Server, la sous-fenêtre Assets ou une production.  Sélectionnez Upload File dans le menu local Server (menu local de la fenêtre principale de Final Cut Server, qui s’affiche lorsque vous cliquez sur le bouton Server), sélectionnez le fichier de projet Final Cut Pro dans l’explorateur de fichiers, puis cliquez sur Upload. La fenêtre Upload de Final Cut Pro s’affiche. 2 Certaines informations contenues dans la fenêtre Upload de Final Cut Pro sont saisies automatiquement. Si nécessaire, vous pouvez modifier l’ensemble de métadonnées ou ajouter des métadonnées pour le nouveau projet Final Cut Pro et les données associées. Cliquez ici pour parcourir les catégories de métadonnées situées à gauche et afficher toutes les trames de métadonnées disponibles. 3 Si vous souhaitez intégrer la ressource de projet Final Cut Pro à une production, cliquez sur Choose, à droite du champ Associate with Production, et spécifiez la production souhaitée. Pour en savoir plus sur les productions, consultez « Organisation des ressources à l’aide de productions » à la page 59. 4 Cliquez sur Upload. Le fichier est téléchargé et une nouvelle ressource est créée. La progression du télé- chargement s’affiche au-dessus de la sous-fenêtre Information, en bas à gauche de la fenêtre principale de Final Cut Server. 5 Si vous souhaitez surveiller la progression du téléchargement des fichiers, cliquez sur le bouton Downloads and Uploads pour afficher la fenêtre Downloads & Uploads. Lorsque le fichier est téléchargé, sélectionnez la sous-fenêtre Assets et cliquez sur le bouton Search pour afficher la nouvelle ressource ou les ressources créées à partir du fichier de projet Final Cut Pro, ainsi que tous les nouveaux fichiers de données.Chapitre 5 Utilisation des ressources média 117 Exportation de ressources média La fonction d’exportation est utile lorsque vous souhaitez créer une copie des fichiers de données, à des fins de modification, ou créer une copie de sauvegarde. Vous pouvez exporter une copie de ressources média, même si la ressource a été verrouillée ou extraite par un autre utilisateur. Important : lorsque vous avez exporté une ressource média, le fichier exporté n’est plus géré par Final Cut Server. Si vous souhaitez créer une copie gérée de la ressource, pouvant être réintégrée et suivie par Final Cut Server, vous devez extraire la ressource. Pour exporter une ou plusieurs ressources média : 1 Sélectionnez une ou plusieurs ressources, cliquez sur une ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Export dans le menu contextuel. La fenêtre Export ou Multiple Export s’affiche. 2 Dans cette fenêtre, choisissez l’emplacement d’enregistrement des fichiers de données, en cliquant sur le bouton Choose et en recherchant l’emplacement souhaité dans l’explorateur de fichiers. 3 Si vous le souhaitez, sélectionnez un réglage de transcodage. 4 Si vous exportez un fichier unique, vous pouvez également en changer le nom. 5 Cliquez sur le bouton Start. Le fichier de données est exporté à l’emplacement que vous avez spécifié dans la fenêtre Export. 6 119 6 Utilisation des projets Final Cut Pro Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos des projets Final Cut Pro (p. 120)  Utilisation conjointe de Final Cut Pro et de Final Cut Server (p. 121)  Déplacement de projets Final Cut Pro entre Final Cut Server et Final Cut Pro (p. 123)  Extraction d’un projet Final Cut Pro (p. 124)  Modification d’un projet extrait dans Final Cut Pro (p. 126)  Réintégration d’un projet Final Cut Pro (p. 127)  Création de copies de travail pour les ressources de projet Final Cut Pro (p. 129)  Utilisation de projets Final Cut Pro en-dehors du réseau Final Cut Server (p. 130)  Exportation d’un projet Final Cut Pro (p. 133) Ce chapitre explique comment utiliser des projets Final Cut Pro. Vous pouvez notamment modifier des projets Final Cut Pro en extrayant la ressource du projet, en modifiant le fichier extrait dans Final Cut Pro et en réintégrant le fichier modifié dans Final Cut Server. Un flux de travaux distinct est fourni pour la modification d’une copie de projet Final Cut Pro gérée par Final Cut Server, lorsque vous n’êtes pas connecté au réseau Final Cut Server. Vous pouvez également exporter une copie de projet Final Cut Pro à partir de Final Cut Server.120 Chapitre 6 Utilisation des projets Final Cut Pro À propos des projets Final Cut Pro Lorsque vous téléchargez un projet Final Cut Pro dans Final Cut Server, le projet Final Cut Pro est téléchargé sous forme de ressource et chaque fichier de données relié à la ressource de projet Final Cut Pro est également téléchargé sous forme de ressource média indépendante, appelée élément de ce projet. Final Cut Server utilise les éléments pour assurer le suivi des ressources média reliées. Les éléments sont répertoriés dans la sous-fenêtre Elements de la ressource de projet. Une ressource de projet Final Cut Pro est toujours reliée à une ou plusieurs séquences Final Cut Pro, ainsi qu’aux données utilisées dans le cadre du projet. La relation d’élé- ment permet à plusieurs ressources de projet Final Cut Pro de référencer les mêmes ressources média. Pour afficher la ressource d’un élément : m Cliquez sur l’élément tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Show Master Asset dans le menu contextuel. La ressource référencée par l’élément s’ouvre. Afficher la ressource d’un élément peut être utile pour assurer le suivi des ressources source de cet élément. Chaque élément réfé- rence une ressource individuelle. Cliquez sur un élément en maintenant la touche Contrôle enfoncée pour ouvrir la fenêtre d’information de la ressource média. Cliquez sur Elements dans la fenêtre d’information d’une ressource de projet Final Cut Pro.Chapitre 6 Utilisation des projets Final Cut Pro 121 Utilisation conjointe de Final Cut Pro et de Final Cut Server Il existe plusieurs manières de travailler sur un projet Final Cut Pro :  Vous pouvez extraire le projet Final Cut Pro. L’extraction d’un projet Final Cut Pro est la méthode la plus efficace, car les projets et ressources média extraits sont gérés par Final Cut Server. Une fois que vous avez modifié le projet, vous pouvez le réinté- grer, mettant ainsi le projet à jour dans Final Cut Server. Vous avez également la possibilité d’activer la fonction de contrôle de versions, qui enregistre automatiquement les versions réintégrées du projet.  Vous pouvez exporter le projet Final Cut Pro. Cette opération est intéressante si vous avez besoin d’utiliser ou de partager une copie non gérée de votre projet Final Cut Pro. Cependant, il est important de noter que les projets Final Cut Pro exportés ne sont pas gérés par Final Cut Server. Si vous choisissez de mettre à jour un projet Final Cut Pro préalablement exporté à partir de Final Cut Server, vous devrez télécharger la version mise à jour en tant que nouvelle ressource Final Cut Server finale. Que vous téléchargiez un nouveau projet Final Cut Pro dans Final Cut Server ou que vous réintégriez une ressource de projet Final Cut Pro existante dans Final Cut Server, il est important de bien comprendre ce qui suit :  Final Cut Server ne prend pas en charge les hiérarchies de dossier dans le chutier Final Cut Pro. Les éléments que vous avez organisés dans le chutier Final Cut Pro apparaîtront donc sous une structure linéaire dans Final Cut Server.  Final Cut Server ne reconnaît pas les marqueurs définis dans Final Cut Pro. Les marqueurs et les commentaires de marqueur créés dans Final Cut Pro ne peuvent pas être affichés dans Final Cut Server. Cependant, lorsque vous extrayez ou exportez un projet Final Cut Pro à partir de Final Cut Server, les marqueurs et leur texte apparaissent de nouveau dans Final Cut Pro.  N’oubliez pas d’enregistrer les fichiers du projet extrait. Enregistrez les fichiers régulièrement et uniquement à l’emplacement d’extraction Final Cut Server. Ne déplacez pas ces fichiers de leur emplacement d’extraction.  N’oubliez pas que les projets exportés à partir de Final Cut Server ne sont plus gérés par Final Cut Server. Vous ne pouvez donc pas mettre à jour une ressource de projet Final Cut Pro existante dans Final Cut Server, à moins que vous ayez extrait, modifié et réintégré cette ressource. Si vous avez modifié un projet Final Cut Pro exporté ou dupliqué, celui-ci n’est plus géré par Final Cut Server. 122 Chapitre 6 Utilisation des projets Final Cut Pro Résolution de problèmes de données offline Après avoir téléchargé ou réintégré un projet Final Cut Pro, vous vous apercevrez peut-être qu’un ou plusieurs fichiers de données du projet ne sont plus en ligne. Vous le saurez car une icône Offline apparaît sur la ressource. Final Cut Server ne peut pas modifier les liens de données d’un projet Final Cut Pro. Lorsque Final Cut Server gère un projet Final Cut Pro, les données peuvent passer offline car la ressource du projet a été mal téléchargée ou parce que les fichiers de données sont passés offline lors de la modification du projet dans Final Cut Pro et que le téléchargement s’est fait avec les données offline. Si les données du projet ont fait l’objet d’un lien incorrect lors du téléchargement ou de la réintégration et si elles sont passées offline lors du téléchargement dans Final Cut Server, vous devez extraire le projet, recréer le lien pour les données, puis réintégrer le projet dans Final Cut Server. Si les données du projet ne sont pas reliées dans Final Cut Pro, tentez de créer un nouveau lien dans Final Cut Pro. Cette icône indique qu’un ou plusieurs fichiers de données du projet sont offline.Chapitre 6 Utilisation des projets Final Cut Pro 123 Déplacement de projets Final Cut Pro entre Final Cut Server et Final Cut Pro Après avoir téléchargé un projet Final Cut Pro, il est facile de réviser et de mettre à jour le projet original. Il vous suffit pour cela d’extraire le projet, de le modifier dans Final Cut Pro, de l’enregistrer, puis de le réintégrer. Lors de la réintégration, la ressource de projet Final Cut Server est mise à jour dans Final Cut Server. Important : votre administrateur Final Cut Server peut créer une copie de la ressource afin de la modifier directement sur un serveur Xsan ; ceci évite les opérations de télé- chargement, de cache et d’extraction de la ressource. En effet vous pouvez, à la place, faire glisser votre ressource directement de la sous-fenêtre Assets vers une application, pour modification. Pour ce faire, votre administrateur Final Cut Server doit configurer la fonction edit-in-place Demandez à votre administrateur Final Cut Server si cette fonction a été configurée pour votre système Final Cut Server. Vous pouvez enregistrer une version des ressources de projet précédentes en activant la fonction de contrôle de versions. Lorsque cette fonction est activée, vous pouvez enregistrer une copie chaque fois qu’une nouvelle version de la ressource est réintégrée. Pour en savoir plus sur le contrôle de versions, consultez la rubrique « Ajout de versions pour une ressource média ou de projet » à la page 91. N’oubliez pas que l’extraction du projet Final Cut Pro est la seule méthode existante pour assurer la maintenance de la ressource de projet. Si vous exportez une copie de la ressource Final Cut Pro ou si vous faites simplement glisser la ressource jusqu’à votre bureau, vous ne faites que créer une copie non gérée du projet Final Cut Pro, dont Final Cut Server n’assurera pas le suivi. Si vous apportez des modifications à un projet Final Cut Pro non géré, vous devrez le télécharger dans Final Cut Server en tant que nouvelle ressource.124 Chapitre 6 Utilisation des projets Final Cut Pro Extraction d’un projet Final Cut Pro L’opération d’extraction d’un projet Final Cut Pro crée une copie non gérée du projet, à l’emplacement que vous avez spécifié. Lorsque vous extrayez un projet Final Cut Pro, la représentation principale de la ressource de projet est verrouillée et ne peut pas être modifiée par d’autres utilisateurs. En outre, chaque ressource média utilisée dans le projet est également verrouillée pour référence et ne peut pas être modifiée par un autre utilisateur. Si la fonction Edit Proxy a été activée par votre administrateur Final Cut Server, vous avez la possibilité d’extraire les données d’origine ou le proxy de modification qui a été créé. L’utilisation des données d’origine permet d’obtenir la représentation principale de la ressource vidéo ; l’utilisation d’un proxy de modification permet d’obtenir le fichier de proxy de la ressource vidéo. Important : la fonction Edit Proxy peut être activée par votre administrateur Final Cut Server. Si cette fonction est désactivée, vous ne pourrez qu’extraire les données d’origine. Vous avez également la possibilité de créer une copie des données reliées d’un projet au moment de l’extraction. Toutes les données reliées étant copiées dans le cache de Final Cut Server, sur l’ordinateur, au moment de l’extraction, le seul moment où il est nécessaire d’inclure les données reliées est lors de l’extraction d’un projet sur un disque externe. Pour en savoir plus, consultez « Utilisation de projets Final Cut Pro endehors du réseau Final Cut Server » à la page 130.Chapitre 6 Utilisation des projets Final Cut Pro 125 Pour extraire un projet Final Cut Pro : 1 Dans la sous-fenêtre Assets ou dans une production, procédez de l’une des manières suivantes :  Sélectionnez le projet Final Cut Pro que vous souhaitez extraire, puis cliquez sur le bouton Check Out de la barre d’outils.  Tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez sur le projet Final Cut Pro que vous souhaitez extraire, puis sélectionnez Check Out dans le menu contextuel. La fenêtre Check Out Final Cut Pro s’affiche. 2 Dans la fenêtre Check Out du projet Final Cut Pro, sélectionnez un emplacement d’enregistrement pour le projet Final Cut Pro extrait, en cliquant sur le bouton Choose et en recherchant l’emplacement souhaité dans le navigateur de fichiers. Remarque : pour effectuer un suivi efficace des projets extraits, vous pouvez créer un dossier « Projets Final Cut Server extraits », ou un dossier similaire, sur le bureau ou à l’emplacement de votre choix. Sélectionnez la ressource Final Cut Pro et cliquez sur le bouton Check Out. Vous pouvez également sélectionner la ressource, puis choisir Check Out dans le menu contextuel. p Cliquez sur Choose pour spécifier un emplacement d’extracCliquez sur Check Out.126 Chapitre 6 Utilisation des projets Final Cut Pro 3 Si la fonction Edit Proxy n’est pas activée, les données d’origine seront utilisées par défaut. Si cette fonction est activée, sélectionnez Original Media ou Edit Proxy, dans le menu local Use. Ceci permet de définir le type de données utilisé lors de la modification de votre projet. Remarque : cochez la case Keep Media with Project uniquement si vous prévoyez de modifier le projet lorsque votre ordinateur ne sera pas connecté au réseau Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez « Utilisation de projets Final Cut Pro en-dehors du réseau Final Cut Server » à la page 130. 4 Cliquez sur le bouton Check Out. La ressource de projet Final Cut Pro est marquée de l’icône d’extraction, dans Final Cut Server. Une copie du projet est téléchargée à l’emplacement d’extraction préalablement spécifié. Toutes les données reliées au projet extrait sont ajoutées au cache Final Cut Server. Lorsque le projet est ouvert dans Final Cut Pro, les données en cache localement sont utilisées pour effectuer une reconnexion automatique au projet extrait. Vous pouvez suivre la progression de l’opération d’extraction via l’indicateur Jobs in Progress. Pour obtenir davantage d’informations, ouvrez la fenêtre Downloads & Uploads. Modification d’un projet extrait dans Final Cut Pro Une fois que vous avez extrait un projet Final Cut Pro, vous pouvez le modifier dans Final Cut Pro. Lorsque vous ouvrez un fichier appartenant à un projet que vous venez d’extraire dans Final Cut Pro, ce fichier de projet s’ouvre normalement en présentant tous ses liens de données intacts. Pour ouvrir un projet extrait dans Final Cut Pro : m Faites glisser le projet entre son emplacement d’extraction et l’icône Final Cut Pro du Dock. Le projet s’ouvre dans Final Cut Pro. Vous pouvez à présent le modifier comme vous le souhaitez. Remarque : normalement, vous n’avez pas à relier manuellement les fichiers de données du projet. Si cette opération est nécessaire, cela signifie certainement que le projet a été téléchargé dans Final Cut Server avec des données non reliées.Chapitre 6 Utilisation des projets Final Cut Pro 127 Pour enregistrer un projet Final Cut Pro extrait : m Enregistrez le projet à l’emplacement spécifié lors de l’extraction. Important : l’enregistrement doit se faire exactement au même endroit que l’extraction. Si vous n’enregistrez pas votre projet Final Cut Pro avant de le réintégrer, toutes vos modifications seront perdues. À propos de l’utilisation du Gestionnaire de données avec un projet extrait Divers problèmes de gestion des données peuvent surgir si vous utilisez le Gestionnaire de données Final Cut Pro pour organiser un projet géré par Final Cut Server. Vous pouvez vous servir du Gestionnaire de données pour organiser les données d’un projet, mais avant de le télécharger dans Final Cut Server. Il n’est pas recommandé d’utiliser le Gestionnaire de données lorsque le projet est géré par Final Cut Server. Réintégration d’un projet Final Cut Pro Lorsque vous réintégrez un projet Final Cut Pro dans Final Cut Server, le nouveau projet remplace l’ancien projet extrait. Toutes les données reliées (y compris les données inutilisées stockées dans un chutier ou un dossier) sont mises à jour et les éventuelles nouvelles données ajoutées sont téléchargées dans Final Cut Server. Si vous utilisez la fonction de contrôle de versions avec un projet Final Cut Pro, l’ancien projet extrait est enregistré en tant que copie de travail de la ressource de projet. Si vous n’utilisez pas cette fonction, l´ancienne ressource de projet est écrasée. La réintégration d’un projet supprime à la fois le verrou d’extraction appliqué à la ressource de projet Final Cut Pro et les verrous de référence appliqués aux ressources média.128 Chapitre 6 Utilisation des projets Final Cut Pro Pour réintégrer un projet dans Final Cut Server : 1 Dans la sous-fenêtre Assets ou dans une production, procédez de l’une des manières suivantes :  Sélectionnez la ressource souhaitée, puis cliquez sur le bouton Check In dans la barre d’outils.  Cliquez sur le projet tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Check In dans le menu contextuel. Lorsque vous réintégrez le projet, une fenêtre Check In s’affiche. 2 Si la fonction de contrôle de versions est activée, vous pouvez saisir des commentaires dans le champ Version Comments. 3 Si vous avez ajouté de nouveaux fichiers de données au projet Final Cut Pro, vous pouvez choisir un ensemble de métadonnées pour la nouvelle ressource média et ajouter ces métadonnées à n’importe quelle trame disponible. 4 Lorsque vous êtes prêt à réintégrer le projet, cliquez sur le bouton Check In. Sélectionnez la ressource Final Cut Pro et cliquez sur le bouton Check In. Vous pouvez également sélectionner la ressource, puis choisir Check In dans le menu contextuel. Si la fonction de contrôle de versions est activée, le champ Version Comments apparaît. Saisissez les métadonnées appropriées. Cliquez sur Check In.Chapitre 6 Utilisation des projets Final Cut Pro 129 Final Cut Server télécharge le nouveau projet modifié, ainsi que toutes les nouvelles données reliées au projet. Si la fonction de contrôle de versions est activée pour la ressource de projet, l’ancien projet est enregistré en tant que copie de travail ; si la fonction n’est pas activée, l’ancien projet est écrasé. Création de copies de travail pour les ressources de projet Final Cut Pro Final Cut Server peut assurer le suivi des fichiers de projet Final Cut Pro à mesure que vous les modifiez, en créant une copie de travail pour chaque nouvelle version modifiée du projet réintégrée dans Final Cut Server. Si votre administrateur Final Cut Server a activé la fonction de contrôle de versions pour la ressource, durant l’installation, le système crée peut-être déjà de nouvelles copies de travail pour chaque ressource modifiée. Important : lorsque la fonction de contrôle de versions est activée pour une ressource, Final Cut Server crée une copie de chaque version réintégrée. Avant d’activer le suivi des versions d’une ressource dans Final Cut Server, vérifiez que la capacité de votre disque est suffisante. Si vous avez des questions sur la pertinence de l’activation de la fonction de contrôle de versions, pour une ressource spécifique, contactez votre administrateur Final Cut Server. Pour créer une version d’une ressource de projet Final Cut Pro : 1 Vérifiez que la fonction de contrôle de versions est activée pour la ressource de projet Final Cut Pro concernée, en observant la procédure suivante : a Double-cliquez sur la ressource de projet pour afficher la fenêtre d’information correspondante. b Cliquez sur le bouton Versions. c Si la case « Store and track versions of this asset » n’est pas sélectionnée, cochez-la. 2 Extrayez le projet Final Cut Pro en procédant de l’une des manières suivantes : Â Cliquez sur le bouton Check Out dans la barre d’outils. Â Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Check Out dans le menu contextuel. 3 Dans la fenêtre Check Out qui s’affiche, spécifiez un emplacement d’extraction et cliquez sur Check Out.130 Chapitre 6 Utilisation des projets Final Cut Pro 4 Modifiez le projet Final Cut Pro à votre convenance. 5 Lorsque vous avez terminé, enregistrez le projet. 6 Réintégrez le projet Final Cut Pro en procédant de l’une des manières suivantes : Â Cliquez sur le bouton Check In dans la barre d’outils. Â Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Check Out dans le menu contextuel. 7 Ajoutez un commentaire dans la fenêtre qui s’affiche. 8 Cliquez sur le bouton Check In. Lorsque vous réintégrez une version de ressource modifiée, la version précédente apparaît dans la sous-fenêtre Versions de la fenêtre d’information de la ressource. Utilisation de projets Final Cut Pro en-dehors du réseau Final Cut Server Vous pouvez facilement utiliser des projets extraits lorsque votre ordinateur est déconnecté du réseau Final Cut Server. Lorsque vous extrayez un projet, vous pouvez choisir l’emplacement d’extraction pour ce projet. Vous pouvez également spécifier si vous souhaitez ou non inclure une copie des ressources média reliées, dans cet emplacement d’extraction. Saisissez ici vos commentaires sur cette version. Cochez cette case pour inclure une copie des fichiers de données reliés dans l’emplacement d’extraction.Chapitre 6 Utilisation des projets Final Cut Pro 131 La manière dont vous utilisez ces options dépend du périphérique sur lequel vous effectuez l’extraction. Vous pouvez extraire un projet sur un système connecté à Final Cut Server, par exemple un ordinateur portable, ou sur un disque externe. Si vous effectuez l’extraction sur un ordinateur connecté au réseau Final Cut Server (par exemple un ordinateur portable que vous utilisez aussi bien chez vous qu’au bureau), vous n’avez pas besoin d’inclure les données reliées lors de l’extraction. En effet, ces fichiers de données sont stockés dans le cache Final Cut Server, sur l’ordinateur. Le projet Final Cut Pro extrait fera référence aux fichiers de données stockés sur votre ordinateur local, ce même ordinateur que vous emportez à votre domicile pour effectuer des modifications. Une fois le projet extrait, vous pouvez donc emmener votre ordinateur avec vous et modifier le projet extrait alors que vous n’êtes pas connecté au réseau Final Cut Server. Lorsque vous retournez au bureau le jour suivant, il vous suffit d’ouvrir une session Final Cut Server et de réintégrer le projet modifié. Si vous extrayez le projet sur un disque externe, vous devez inclure les données reliées lors de l’extraction. Pour ce faire, cochez la case Keep Media with Project dans la fenêtre Check Out. Le cache Final Cut Server est stocké sur votre ordinateur local, donc un projet extrait sur un disque externe ne pourra pas accéder aux fichiers de données utilisés avec le projet Final Cut Pro. Pour pouvoir accéder à ces fichiers, vous devez les inclure dans l’opération d’extraction. Pour extraire un projet Final Cut Pro sur un ordinateur portable, à des fins de modification, sans être connecté au réseau Final Cut Server : 1 Ouvrez une session Final Cut Server avec l’ordinateur sur lequel vous souhaitez extraire le projet. 2 Dans Final Cut Server, recherchez la ressource de projet Final Cut Pro que vous souhaitez extraire. 3 Procédez de l’une des manières suivantes : Â Sélectionnez le projet Final Cut Pro souhaité, puis cliquez sur le bouton Check Out dans la barre d’outils. Â Cliquez sur ce projet Final Cut Pro tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Check Out dans le menu contextuel. 4 Dans la fenêtre Check Out de Final Cut Pro, choisissez l’emplacement d’extraction et enregistrez le projet Final Cut Pro extrait en cliquant sur le bouton Choose, puis en recherchant l’emplacement souhaité dans le navigateur de fichiers. Remarque : pour effectuer un suivi efficace des projets extraits, vous pouvez créer un dossier « Projets Final Cut Server extraits », ou un dossier similaire, sur le bureau ou à l’emplacement de votre choix. 132 Chapitre 6 Utilisation des projets Final Cut Pro 5 Cliquez sur le bouton Check Out. La ressource de projet Final Cut Pro est marquée de l’icône d’extraction, dans Final Cut Server. Le projet et ses fichiers de données sont téléchargés à l’emplacement de cache Final Cut Server et un alias de la copie mise en cache du projet Final Cut Pro est créé à l’emplacement que vous avez spécifié dans la fenêtre Check Out Final Cut Pro Project. Vous pouvez suivre la progression de l’extraction via l’indicateur Jobs in Progress. Le symbole d’engrenage en rotation indique que Final Cut Server télécharge actuellement les fichiers extraits ; le chiffre affiché indique le nombre de fichiers téléchargés. Pour en savoir plus, ouvrez la fenêtre Downloads & Uploads, qui indique précisément les fichiers téléchargés et contient des informations sur l’état de chacun d’eux. Pour extraire un projet Final Cut Pro sur un disque externe qui sera branché sur un ordinateur non connecté au réseau Final Cut Server : 1 Localisez le projet Final Cut Pro que vous souhaitez extraire. 2 Procédez de l’une des manières suivantes : Â Sélectionnez le projet Final Cut Pro souhaité, puis cliquez sur le bouton Check Out dans la barre d’outils. Â Cliquez sur ce projet Final Cut Pro tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Check Out dans le menu contextuel. 3 Dans la fenêtre Check Out de Final Cut Pro, recherchez le disque externe que vous utiliserez pour le transfert du projet Final Cut Pro en cliquant sur le bouton Choose, puis en recherchant l’emplacement correspondant dans le navigateur de fichiers. Remarque : pour effectuer un suivi plus efficace des projets extraits, vous pouvez créer un dossier « Projets Final Cut Server extraits » ou similaire. 4 Si la fonction Edit Proxy n’est pas activée, les données d’origine seront utilisées par défaut. Si cette fonction est activée, sélectionnez Original Media ou Edit Proxy, dans le menu local Use. Ceci permet de définir le type de données utilisé lors de la modification de votre projet. 5 Cochez la case Keep Media with Project. Important : si vous ne cochez pas cette case lors de l’extraction d’un projet sur un disque externe, vous ne pourrez plus accéder aux fichiers de données par la suite. Vérifiez que la case Keep Media with Project est cochée.Chapitre 6 Utilisation des projets Final Cut Pro 133 6 Cliquez sur Check Out. La ressource de projet Final Cut Pro est marquée de l’icône d’extraction, dans Final Cut Server. Le projet et ses fichiers de données sont extraits sur le disque externe, à l’emplacement que vous avez spécifié dans la fenêtre Check Out. Exportation d’un projet Final Cut Pro Vous pouvez exporter une copie de projet Final Cut Pro à des fins de modification, même si ce projet a été verrouillé ou extrait par un autre utilisateur. Lorsque vous effectuez une exportation sans transcodage, vous obtenez une simple copie du projet et de ses données, prête à être modifiée. Important : les fichiers de projet exportés ne peuvent pas être réintégrés ou référencés de quelque autre manière que ce soit dans la ressource de projet Final Cut Pro originale. Si vous souhaitez effectuer le suivi d’un projet Final Cut Pro exporté dans Final Cut Server, vous devez d’abord le télécharger en tant que nouvelle ressource. Pour exporter une copie de projet Final Cut Pro : 1 Cliquez sur la ressource de projet Final Cut Pro tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Export dans le menu contextuel. 2 Dans la fenêtre Export de Final Cut Pro, sélectionnez l’emplacement souhaité pour l’enregistrement du fichier de projet Final Cut Pro exporté et ses données. Pour ce faire, cliquez sur le bouton Choose et recherchez l’emplacement souhaité dans le navigateur de fichiers. Remarque : pour effectuer un suivi efficace des projets exportés, vous pouvez créer un dossier « Projets Final Cut Server exportés », ou similaire, sur le bureau ou à l’emplacement de votre choix. 3 Si vous souhaitez créer une copie locale des données du projet, sélectionnez Original Media ou Edit Proxy dans le menu local Use.134 Chapitre 6 Utilisation des projets Final Cut Pro 4 Cochez la case Keep Media with Project. Vous obtenez ainsi une copie locale des fichiers de données. 5 Cliquez sur le bouton Export. Une copie du fichier de projet et de ses fichiers de données est exportée à l’emplacement que vous avez spécifié dans la fenêtre Export de Final Cut Pro. Important : n’oubliez pas que vous ne pouvez pas réintégrer un fichier de projet Final Cut Pro exporté dans Final Cut Server. Si vous souhaitez effectuer le suivi de cette copie exportée dans Final Cut Server, vous devez tout d’abord télécharger le fichier de projet en tant que nouvelle ressource. Cochez la case Keep Media with Project.7 135 7 Utilisation de projets Final Cut Studio Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre : Â À propos de la modification de ressources de projet Final Cut Studio (p. 135) Â Extraction, modification et réintégration de ressources regroupées (p. 136) Â Extraction, modification et réintégration de projets Final Cut Studio et de leurs fichiers de données (p. 138) Â Exportation d’une ressource de projet et de ses données (p. 143) Ce chapitre est similaire au chapitre 6, « Utilisation des projets Final Cut Pro », car il explique comment exécuter les opérations présentées dans le Chapitre 6 pour les projets Motion, Soundtrack Pro et DVD Studio Pro et leurs fichiers de données reliées qui sont gérés par Final Cut Server. Toutefois, l’utilisation de ressources média et de projet Final Cut Studio nécessite des stratégies autres que l’utilisation de ressources de projet Final Cut Pro. Assurez-vous de lire les deux chapitres afin de vous familiariser avec les différentes utilisations des ressources de projet Final Cut Pro et Final Cut Studio et leurs fichiers de données reliées. À propos de la modification de ressources de projet Final Cut Studio Final Cut Server peut gérer les ressources des projets Soundtrack Pro, Motion et DVD Studio Pro et leurs fichiers de données reliées. À la différence des ressources de projet Final Cut Pro, les ressources de projet Final Cut Studio ne contiennent pas d’éléments qui représentent les fichiers de données reliées du projet. Par conséquent, les fichiers de données qui sont référencés par une ressource de projet Final Cut Studio doivent être explicitement suivis par les utilisateurs Final Cut Server. Final Cut Server offre deux méthodes de gestion des projets Final Cut Studio et de leurs fichiers de données reliées.136 Chapitre 7 Utilisation de projets Final Cut Studio Lorsque vous téléchargez un dossier contenant le fichier de projet et les fichiers de données, Final Cut Server affiche une zone de dialogue vous demandant si vous souhaitez télécharger le dossier en tant que ressource regroupée ou en tant que ressources individuelles. Ce chapitre explique comment extraire et exporter des projets Final Cut Studio qui ont été téléchargés à l’aide de l’une de ces options. La manière d’extraire un projet Final Cut Studio dépend de la manière dont vous l’avez téléchargé. Si vous avez téléchargé le projet et ses fichiers de données reliées en tant que ressource regroupée, vous pouvez extraire la ressource regroupée de la même manière que vous extrairiez une ressource média. Si vous avez téléchargé le fichier de projet et ses fichiers de données reliées en tant que ressources individuelles, vous devez extraire séparément la ressource de projet et chacune des ressources média. Extraction, modification et réintégration de ressources regroupées Lorsque vous extrayez une ressource regroupée, le fichier de projet et ses fichiers de données reliées sont tous contenus dans le dossier qui apparaît à l’emplacement d’extraction. Vous pouvez extraire la ressource regroupée vers n’importe quel emplacement et avoir accès au projet et aux fichiers de données que vous soyez connecté ou non à Final Cut Server. N’oubliez pas que lorsque vous extrayez une ressource, elle est verrouillée à l’aide d’un verrou d’extraction et que la représentation principale de la ressource ne peut pas être modifiée ; toutefois, les métadonnées de la ressource peuvent être modifiées par n’importe quel utilisateur. Pour extraire une ressource regroupée, modifiez-la et réintégrez-la : 1 Effectuez l’une des opérations ci-dessous : Â Sélectionnez la ressource Final Cut Studio que vous souhaitez extraire dans la sous-fenêtre Assets ou dans une production, puis cliquez sur le bouton Check Out de la barre d’outils. Â Cliquez sur la ressource média tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Check Out dans le menu contextuel.Chapitre 7 Utilisation de projets Final Cut Studio 137 2 Dans la fenêtre Check Out qui apparaît, choisissez un emplacement pour enregistrer la ressource regroupée extraite en navigant jusqu’à l’emplacement souhaité. 3 Cliquez sur le bouton Check Out. Le dossier de fichiers contenu dans la ressource regroupée apparaît dans l’emplacement spécifié. 4 Pour ouvrir le fichier de projet dans son application d’origine, procédez de l’une des manières suivantes : Â Faites glisser le fichier de projet de l’emplacement d’extraction vers l’icône de l’application d’origine dans votre Dock. Â Ouvrez l’application d’origine, choisissez Fichier > Ouvrir, puis naviguez jusqu’au fichier de projet. 5 Modifiez le fichier. 6 Enregistrez le nouveau fichier dans l’emplacement d’extraction. Important : l’enregistrement dans tout emplacement autre que l’emplacement d’origine empêche Final Cut Server de gérer le fichier. 7 Dans Final Cut Server, réintégrez le dossier en sélectionnant la ressource regroupée extraite dans la sous-fenêtre Assets ou dans une production et procédez de l’une des manières suivantes : Â Sélectionnez la ressource regroupée extraite, puis cliquez sur le bouton Check In. Â Cliquez sur la ressource regroupée extraite tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Check In dans le menu contextuel. Naviguez jusqu’à l’emplacement où vous souhaitez enregistrer la ressource regroupée extraite.138 Chapitre 7 Utilisation de projets Final Cut Studio 8 Si le contrôle de versions n’est pas activé pour la ressource regroupée, elle est réintégrée. Si le contrôle de versions est activé pour la ressource regroupée, une fenêtre Check In apparaît. Si nécessaire, saisissez un commentaire de version, puis cliquez sur Check In. Pour en savoir plus sur le contrôle de versions, consultez « Ajout de versions pour une ressource média ou de projet » à la page 91. Le dossier mis à jour est réintégré dans Final Cut Server. Extraction, modification et réintégration de projets Final Cut Studio et de leurs fichiers de données Si vous avez téléchargé un projet et ses fichiers de données reliées en tant que ressources individuelles, vous devez extraire séparément la ressource de projet et chacune des ressources média. Si la ressource de projet Final Cut Studio et ses fichiers de données reliées ont été placés dans une production Final Cut Server et ont reçu des métadonnées uniques lors du téléchargement, la recherche et le téléchargement du projet Final Cut Studio et de ses données sont aisés. Vous pouvez ouvrir la production ou rechercher le mot-clé du projet pour trouver le projet et ses ressources média. Vous pouvez ensuite extraire le projet et chacune de ses ressources média. Si le téléchargement du projet Final Cut Server n’a pas été explicitement organisé avec une production ou un mot-clé, vous devrez peut-être le télécharger, l’ouvrir dans son application d’origine, puis rechercher manuellement les données requises pour ce projet. Vous pouvez ensuite télécharger chaque donnée et modifier le projet. Lorsque vous réintégrez le projet, vous pouvez l’organiser dans une production et appliquer un mot-clé de projet. N’oubliez pas que lorsque vous extrayez une ressource, elle est verrouillée à l’aide d’un verrou d’extraction et que la représentation principale de la ressource ne peut pas être modifiée ; toutefois, les métadonnées de la ressource peuvent être modifiées par n’importe quel utilisateur.Chapitre 7 Utilisation de projets Final Cut Studio 139 Extraction d’une ressource de projet Final Cut Studio et de ses fichiers de données reliées Avant de pouvoir ouvrir correctement un projet, vous devez extraire ou exporter des copies des ressources média du projet. L’extraction d’une ressource est le seul moyen pour créer une copie gérée de la ressource que vous pouvez réintégrer dans Final Cut Server. Extrayez la ressource de projet à l’aide des étapes ci-dessous, puis extrayez chacune des ressources média. Après avoir extrait tous les fichiers de données, vous pouvez ouvrir le fichier de projet, reconnecter les fichiers de données et commencer la modification. Pour extraire une ressource média ou une ressource de projet Final Cut Studio : 1 Effectuez l’une des opérations ci-dessous : Â Sélectionnez la ressource de projet dans la sous-fenêtre Assets ou dans une production, puis cliquez sur le bouton Check Out de la barre d’outils. Â Cliquez sur la ressource de projet tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Check Out dans le menu contextuel. 2 Dans la fenêtre Check Out, choisissez un emplacement pour y enregistrer le projet extrait en navigant jusqu’à l’emplacement souhaité. Remarque : pour faciliter la reconnexion des données du projet, enregistrez le fichier de projet et tous ses fichiers de données reliées dans le même emplacement. Vous pouvez créer un dossier « Projets Final Cut Server extraits » ou similaire sur le bureau ou dans un autre emplacement pratique. 3 Cliquez sur le bouton Check Out. Le projet est extrait vers l’emplacement que vous avez spécifié. Après avoir extrait toutes les ressources média, vous pouvez ouvrir le fichier de projet, reconnecter les fichiers de données et commencer la modification. Si vous ne pensez pas modifier les fichiers de données, vous pouvez les exporter. Comme il est possible d’exporter plusieurs fichiers, c’est le choix le plus rapide. Pour obtenir des instructions relatives à l’exportation de fichiers de données, consultez « Exportation d’une ressource de projet et de ses données » à la page 143.140 Chapitre 7 Utilisation de projets Final Cut Studio Modification d’un fichier de projet dans son application d’origine Après l’extraction de la ressource de projet et l’extraction ou l’exportation des ressources média du projet, vous pouvez ouvrir le fichier de projet dans son application d’origine. Pour ouvrir un fichier de projet dans son application d’origine, procédez de l’une des manières suivantes : m Faites glisser le projet de l’emplacement dans lequel vous l’avez extrait vers l’icône de l’application appropriée dans votre Dock. m Ouvrez l’application d’origine, choisissez Fichier > Ouvrir, puis naviguez jusqu’au fichier de projet. Une fois le projet ouvert dans son application d’origine, vous pouvez le modifier. Assurezvous d’enregistrer régulièrement vos modifications. Il est possible que vous deviez relier votre fichier de projet à ses fichiers de données. Si vous obtenez un message de donnée offline ou à relier, vous saurez que le projet doit être relié. Pour en savoir plus sur la manière de relier des fichiers de projet, consultez la documentation fournie avec l’application. Reconnexion d’un projet Motion à ses fichiers de données Lorsque vous ouvrez un fichier de projet pour la première fois avec des données qui ne sont pas disponibles, une zone de dialogue apparaît, répertoriant tous les fichiers de données impossibles à trouver. Vous pouvez afficher une zone de dialogue pour naviguer directement jusqu’aux fichiers sans avoir à effectuer de recherche. Pour reconnecter des fichiers de données Motion : 1 Dans la zone de dialogue répertoriant tous les fichiers de données impossibles à trouver, cliquez sur Relier. 2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, naviguez jusqu’à l’emplacement de chaque fichier, puis cliquez sur Open. La donnée est reconnectée. Pour en savoir plus sur la reconnexion de projets Motion, consultez la documentation fournie avec l’application. Reconnexion d’un projet Soundtrack Pro à ses fichiers de données Lorsque vous ouvrez un projet multipiste Soundtrack Pro, l’application vérifie si les fichiers de données utilisés par le projet se trouvent dans le même emplacement que lors de la dernière ouverture du projet. Si les fichiers de données ne se trouvent pas dans l’emplacement prévu, Soundtrack Pro affiche une zone de dialogue Can’t Find File offrant trois choix : Â Tout ignorer : ouvre le projet sans reconnecter aucun fichier manquant. Â Ignorer le fichier : ouvre le projet sans reconnecter le fichier manquant. Â Rechercher l’emplacement : présente une zone de dialogue qui vous permet de localiser le fichier manquant et de le reconnecter au projet.Chapitre 7 Utilisation de projets Final Cut Studio 141 Pour reconnecter les fichiers de données Soundtrack Pro à l’aide de l’option Localiser : 1 Dans la zone de dialogue Can’t Find File, cliquez sur Rechercher l’emplacement. 2 La fenêtre qui apparaît affiche le nom de fichier qui doit être reconnecté en tant que titre de la fenêtre. Dans l’explorateur de fichiers qui s’affiche dans la fenêtre, naviguez jusqu’à l’emplacement du fichier. 3 Lorsque vous avez identifié l’emplacement du fichier, cliquez sur Open. Le fichier est reconnecté. Si vous choisissez d’ouvrir le projet dans Soundtrack Pro sans reconnecter ses fichiers, vous pouvez reconnecter des fichiers audio individuels à partir de l’onglet Timeline ou Chutier et reconnecter un fichier vidéo dans la piste vidéo de la Timeline. Pour reconnecter un fichier audio ou vidéo dans Soundtrack Pro : 1 Cliquez sur le plan tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée dans la Timeline ou la piste vidéo, puis choisissez Reconnecter [nom de fichier] dans le menu contextuel. 2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, localisez le fichier que vous souhaitez reconnecter. 3 Cliquez sur Open pour reconnecter le fichier. Pour en savoir plus sur la reconnexion de projets Soundtrack Pro, consultez le Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro. Reconnexion d’un projet DVD Studio Pro à ses fichiers de données Si le fichier de projet et tous ses fichiers de données se trouvent dans le même dossier, les projets DVD Studio Pro n’ont pas besoin d’être reconnectés. Toutefois, si vous ouvrez un projet et que DVD Studio Pro ne peut pas localiser une ressource dans son emplacement d’origine, une fenêtre Fichiers manquants apparaît. Pour localiser une ressource manquante lors de l’ouverture d’un projet DVD Studio Pro : 1 Sélectionnez la ressource dans la fenêtre Fichiers manquants. 2 Effectuez l’une des opérations suivantes : Â Cliquez sur Localiser et utilisez la fenêtre qui apparaît pour rechercher la ressource. Â Si la ressource est un fichier QuickTime et que sa version encodée au format MPEG-2 ou AIFF est disponible, vous pouvez cliquer sur « Remplacer par le fichier encodé ». Pour en savoir plus sur la reconnexion de projets DVD Studio Pro, consultez le Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro. 142 Chapitre 7 Utilisation de projets Final Cut Studio Réintégration du projet et de ses fichiers de données reliées dans Final Cut Server Une fois le fichier de projet modifié, vous devez le réintégrer, avec ses fichiers de données reliées, dans Final Cut Server. Chaque ressource doit être réintégrée séparément. Remarque : si vous avez ajouté toute nouvelle ressource à un projet, vous devez la télécharger séparément. Pour en savoir plus, consultez « Téléchargement de projets Final Cut Studio » à la page 43. Pour réintégrer une ressource de projet : 1 Dans l’application d’origine du projet, enregistrez le projet dans l’emplacement d’extraction. 2 Dans l’application Final Cut Studio, enregistrez le projet et choisissez de collecter les données. Dans Motion et Soundtrack Pro, vous pouvez le faire en choisissant Fichier > Enregistrer sous, puis en choisissant de collecter les données dans la fenêtre Enregistrer sous. Dans DVD Studio Pro, vous devez placer manuellement le projet et les fichiers de données dans un dossier. Remarque : pour obtenir des informations spécifiques concernant l’utilisation de ces applications, consultez la documentation fournie avec l’application. Important : lors du téléchargement d’un fichier de projet DVD Studio Pro et de ses fichiers de données reliées, il est inutile de télécharger les fichiers .par. Lorsque vous extrayez et que vous ouvrez le projet dans DVD Studio Pro, les fichiers .par sont automatiquement recréés. 3 Dans Final Cut Server, réintégrez le fichier de projet en procédant de l’une des manières suivantes : Â Sélectionnez la ressource de projet extraite dans la sous-fenêtre Assets ou dans une production, puis cliquez sur le bouton Check In de la barre d’outils. Â Cliquez sur le projet tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Check In dans le menu contextuel. 4 Si le contrôle de versions n’est pas activé pour la ressource, elle est réintégrée. Si le contrôle de versions est activé pour la ressource, une fenêtre Check In apparaît. Si nécessaire, saisissez un commentaire de version, puis cliquez sur Check In. Pour en savoir plus sur le contrôle de versions, consultez « Ajout de versions pour une ressource média ou de projet » à la page 91. Le fichier de projet Final Cut Studio est réintégré dans Final Cut Server.Chapitre 7 Utilisation de projets Final Cut Studio 143 Pour réintégrer une ressource média : 1 Dans Final Cut Server, réintégrez le fichier en procédant de l’une des manières suivantes : Â Sélectionnez la ressource média extraite dans la sous-fenêtre Assets ou dans une production, puis cliquez sur le bouton Check In de la barre d’outils. Â Cliquez sur la ressource média extraite tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Check In dans le menu contextuel. 2 Si le contrôle de versions n’est pas activé pour la ressource, elle est réintégrée. Si le contrôle de versions est activé pour la ressource, une fenêtre Check In apparaît. Si nécessaire, saisissez un commentaire de version, puis cliquez sur Check In. Pour en savoir plus sur le contrôle de versions, consultez « Ajout de versions pour une ressource média ou de projet » à la page 91. La ressource média mise à jour est réintégrée dans Final Cut Server. Exportation d’une ressource de projet et de ses données Vous pouvez toujours exporter une copie d’une ressource de projet Final Cut Studio et de ses fichiers de données téléchargés en tant que ressource regroupée ou une ressource de projet et ses ressources média téléchargées en tant que ressources individuelles, même si les ressources média ou de projet sont verrouillées ou extraites par un autre utilisateur. Toutefois, il est important de noter que les fichiers de données ou de projet exportés ne peuvent pas être réintégrés ni référencés d’une manière ou d’une autre vers les ressources média ou de projet d’origine. Si vous avez téléchargé le projet d’origine et ses fichiers de données en tant que ressource regroupée, vous pouvez exporter la ressource regroupée en une étape. Si vous avez télé- chargé le projet d’origine et ses fichiers de données en tant que ressources individuelles, vous devez exporter la ressource de projet, puis exporter toutes les ressources média. L’exportation de ressources média prend moins de temps que leur extraction, car vous pouvez exporter plusieurs ressources depuis Final Cut Server.144 Chapitre 7 Utilisation de projets Final Cut Studio Pour exporter une copie d’une ressource regroupée : 1 Cliquez sur la ressource regroupée tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Export dans le menu contextuel. La fenêtre Save apparaît. 2 Dans la fenêtre Save, choisissez une destination pour y enregistrer la ressource regroupée exportée, en cliquant sur le bouton Choose et en identifiant un emplacement dans l’explorateur de fichiers. 3 Ne choisissez pas de réglage de transcodage pour la ressource regroupée. 4 Cliquez sur le bouton Export. Une copie du dossier contenu dans la ressource regroupée est exportée vers l’emplacement spécifié dans la fenêtre Export. Chapitre 7 Utilisation de projets Final Cut Studio 145 Pour exporter une ressource de projet Final Cut Studio et des ressources média reliées téléchargées en tant que ressources individuelles : 1 Sélectionnez la ressource de projet et les ressources média. Si les ressources média et de projet ont été créées selon la méthode recommandée, les ressources doivent être regroupées dans une production Final Cut Server et avoir des métadonnées uniques aux ressources média et de projet. Pour en savoir plus sur la méthode recommandée pour le téléchargement d’un projet Final Cut Studio et de ses fichiers de données en tant que ressources individuelles, consultez « Téléchargement de projets Final Cut Studio » à la page 43. Remarque : en activant la présentation par liste dans la sous-fenêtre Productions, vous pouvez plus facilement cliquer sur une liste de ressources en appuyant sur la touche Maj. 2 Cliquez sur l’une des ressources sélectionnées en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Export dans le menu contextuel. La fenêtre Multiple Export apparaît. 3 Dans la fenêtre Multiple Export, choisissez une destination pour y enregistrer les ressources média en cliquant sur le bouton Choose et en identifiant un emplacement dans l’explorateur de fichiers. Remarque : pour éviter de perdre le suivi des projets exportés, vous pouvez créer un dossier pour le projet et ses données sur le bureau ou dans un autre emplacement pratique. 4 Ne choisissez pas de réglage de transcodage. 5 Cliquez sur le bouton Start. Chacune des ressources sélectionnées est exportée vers l’emplacement que vous avez spécifié dans la fenêtre Multiple Export. 8 147 8 Utilisation de métadonnées Status dans le flux de travaux Final Cut Server Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre : Â Utilisation de métadonnées Status pour le suivi des ressources et productions (p. 147) Â À propos de la fonction Review and Approve (p. 152) Â Utilisation de la fonction Review and Approve (p. 153) Ce chapitre explique comment utiliser le champ de métadonnées Status pour faciliter le suivi des ressources de votre flux de travaux Final Cut Server. Si votre organisation met diligemment à jour le champ de métadonnées Status sur chacune de ses ressources et productions, vous pouvez aisément rechercher chaque ressource et production se trouvant dans les différentes étapes du flux de travaux. Ce chapitre traite également de l’utilisation de courriers électroniques pour prévenir lorsqu’un champ de métadonnées Status est défini sur Ready For Review. Utilisation de métadonnées Status pour le suivi des ressources et productions Le champ de métadonnées Status est conçu pour indiquer l’endroit où se trouve une ressource dans le flux de travaux Final Cut Server. L’état de la ressource de ce projet Final Cut Pro est défini sur In Progress.148 Chapitre 8 Utilisation de métadonnées Status dans le flux de travaux Final Cut Server Au fur et à mesure de la progression de votre travail, vous pouvez effectuer des recherches pour localiser des ressources se trouvant dans une phase donnée du flux de travaux. Final Cut Server est fourni avec plusieurs Smart Searches préconfigurées, qui vous permettent de rechercher facilement les ressources récemment modifiées ou celles dont le champ de métadonnées Status est défini sur Ready for Review. Cliquez sur cette Smart Search pour afficher toutes les ressources dont l’état est défini sur Ready for Review. Smart Search modifie le réglage Status dans la recherche avancée. Cliquez sur cette Smart Search pour afficher toutes les ressources que vous avez extraites. Smart Search modifie le réglage Checked Out By dans la recherche avancée.Chapitre 8 Utilisation de métadonnées Status dans le flux de travaux Final Cut Server 149 Vous pouvez configurer votre propre recherche à l’aide des options de recherche avancée. Par exemple, vous pouvez rechercher des ressources dont le champ de métadonnées Status est défini sur In Progress. Après avoir configuré une recherche, vous pouvez l’enregistrer en tant que Smart Search. Cela vous permet d’accéder à la recherche en cliquant simplement dessus dans la liste des Smart Searches. Cliquez sur ce bouton pour enregistrer le réglage de recherche actuel en tant que Smart Search. Pour ce faire, définissez le champ Status sur In Progress. Si vous cliquez sur le bouton Save as Smart Search, vous ajoutez une nouvelle Smart Search, à laquelle vous pouvez ensuite attribuer un nom.150 Chapitre 8 Utilisation de métadonnées Status dans le flux de travaux Final Cut Server Application de métadonnées Status à une ressource ou une production Lorsque vous téléchargez le fichier ou après la création de la ressource ou de la production, vous pouvez appliquer des métadonnées d’état ou d’autres métadonnées. Important : lorsque vous appliquez des métadonnées à une ressource ou une production, elles ne sont pas appliquées à d’autres ressources associées. Par exemple, si vous modifiez l’état d’un projet Final Cut Pro, l’état de chacune des ressources média reliées ne change pas. Pour modifier les métadonnées Status d’une ressource ou d’une production : 1 Dans la sous-fenêtre Assets ou Productions, double-cliquez sur la ressource ou la production pour afficher sa fenêtre d’information. 2 Cliquez sur Metadata pour afficher la sous-fenêtre Metadata . 3 Cliquez sur Asset pour afficher le groupe de métadonnées Asset. En fonction de l’ensemble de métadonnées qui s’applique à la ressource ou à la production, plusieurs groupes de métadonnées s’affichent. Cliquez sur Metadata pour afficher les ensembles de métadonnées de la ressource et leurs champs. Cliquez sur Asset pour afficher le groupe de métadonnées Asset.Chapitre 8 Utilisation de métadonnées Status dans le flux de travaux Final Cut Server 151 4 Choisissez le réglage Status approprié dans le menu local Status. 5 Cliquez sur le bouton Save Changes. Les métadonnées sont modifiées. Recherche de ressources ou de productions à l’aide de métadonnées Status Après avoir défini l’état d’une ressource ou d’une production, vous pouvez rechercher des métadonnées d’état pour trouver toutes les ressources ou productions contenant un réglage de métadonnées Status donné. Pour rechercher des ressources ou productions par état : 1 Dans la sous-fenêtre Assets ou Productions, cliquez sur le triangle d’affichage de recherche pour afficher les options de recherche avancée. 2 Choisissez un réglage de métadonnées Status à rechercher dans le menu local Status. 3 Cliquez sur le bouton Search. Les résultats de la recherche s’affichent dans la partie principale de la fenêtre. Choisissez un réglage d’état dans le menu local Status. Cliquez sur Save Changes. Cliquez sur le triangle d’affichage pour afficher les réglages de recherche avancée. Une fois les réglages de recherche configurés, cliquez sur le bouton Search. Choisissez un réglage Status à rechercher.152 Chapitre 8 Utilisation de métadonnées Status dans le flux de travaux Final Cut Server Utilisation de Smart Searches pour localiser des éléments Ready for Review Final Cut Server est fourni avec une Smart Search configurée pour rechercher des ressources et productions dont le champ de métadonnées Status est défini sur Ready for Review. Pour rechercher des ressources ou productions dont le champ de métadonnées Status est défini sur Ready for Review : m Cliquez sur Assets ready for review ou sur Productions ready for review dans la liste des Smart Searches. À propos de la fonction Review and Approve La fonction Review and Approve est utilisée conjointement avec le champ de métadonnées Status. Lorsqu’une ressource est prête à être révisée, vous pouvez aisément définir le champ de métadonnées Status de la ressource sur Ready for Review, ajouter des commentaires de forme et envoyer un courrier de notification aux réviseurs requis à partir du client Final Cut Server. À l’aide des informations contenues dans le courrier électronique, les réviseurs peuvent rechercher, afficher, annoter et approuver des ressources sans avoir à télécharger des fichiers volumineux. Smart Searches pour la sous-fenêtre Assets. Smart Searches pour la sous-fenêtre Productions. Choix de métadonnées Status pour une ressource.Chapitre 8 Utilisation de métadonnées Status dans le flux de travaux Final Cut Server 153 Important : votre administrateur Final Cut Server doit configurer cette fonction avant que celle-ci puisse être utilisée comme décrit dans cette rubrique. Utilisation de la fonction Review and Approve Lorsque que votre administrateur Final Cut Server a installé Final Cut Server, il a configuré la fonction Review and Approve pour répondre aux besoins de votre organisation. Les options que l’administrateur a pu configurer consistent, entre autres, à écrire le texte du courrier électronique et à faire en sorte que les commentaires de l’éditeur (saisis dans la sous-fenêtre Review & Approve) et d’autres métadonnées apparaissent dans le corps du courrier de notification. L’administrateur choisit également l’une des trois méthodes permettant de spécifier qui est défini comme réviseur requis et qui reçoit par conséquent les courriers électroniques Review and Approve. Les courriers électroniques peuvent être adressés à une liste de destinataires définie par l’administrateur, à des adresses saisies manuellement par l’utilisateur dans le champ Required reviewers ou à ces deux catégories. Remarque : ces exemples vous présentent des méthodes de saisie manuelle des adresses électroniques. Selon la façon dont votre système Final Cut Server a été configuré, votre administrateur peut créer un menu local à utiliser pour attribuer des adresses électroniques. Pour en savoir plus, contactez votre administrateur Final Cut Server. Important : il est difficile, pour un utilisateur client Final Cut Server, de déterminer si la fonction Review and Approve a été configurée et si oui, de distinguer laquelle de ces trois approches est utilisée par votre système Final Cut Server. Votre administrateur Final Cut Server doit être votre premier interlocuteur pour toute question sur l’utilisation de la fonction Review and Approve dans votre système Final Cut Server. Cliquez sur Review & Approve pour saisir des commentaires et des adresses électroniques. Selon la manière dont votre administrateur a configuré la fonction Review and Approve, vous pouvez saisir des commentaires et des adresses électroniques ici. Vous pouvez définir l’état dans la sous-fenêtre Metadata ou Review & Approve.154 Chapitre 8 Utilisation de métadonnées Status dans le flux de travaux Final Cut Server Envoi de courriers électroniques pour la révision aux réviseurs définis par l’administrateur Dans cette configuration, l’administrateur Final Cut Server saisit manuellement l’adresse électronique de chaque réviseur requis lors de la configuration. Ainsi, l’utilisateur de Final Cut Server ne voit pas la liste des réviseurs requis et ne peut pas saisir manuellement les adresses électroniques dans le champ Required reviewers de la sous-fenêtre Review & Approve. Lorsque les adresses électroniques ont été saisies manuellement par l’administrateur, les notifications par courrier sont automatiquement envoyées dès que le champ de métadonnées Status est défini sur Ready for Review (et dès que la ressource est modifiée lorsqu’elle est définie sur Ready for Review). Cette configuration est plus adaptée si vous savez que le même ensemble de réviseurs doit recevoir des notifications par courrier Review and Approve pour toutes les ressources. Par ailleurs, avec cette configuration, vous n’avez pas besoin de saisir les adresses électroniques des réviseurs requis. Si vous le faites, ces adresses sont ignorées. Pour envoyer des notifications par courrier Review and Approve à un ensemble de réviseurs définis : 1 Localisez la ressource ou le projet à envoyer à la révision dans la sous-fenêtre Assets ou Productions, puis double-cliquez sur la ressource ou le projet pour afficher sa fenêtre d’information. 2 Dans la fenêtre d’information de la ressource ou du projet, ouvrez la sous-fenêtre Review & Approve. Ouvrez la sous-fenêtre Review & Approve.Chapitre 8 Utilisation de métadonnées Status dans le flux de travaux Final Cut Server 155 3 Si vous souhaitez ajouter des notes au courrier électronique, vous pouvez les saisir dans le champ Editor’s comments. 4 Lorsque vous êtes prêt à envoyer la notification par courrier aux réviseurs requis, définissez le champ de métadonnées Status sur Ready for Review. Remarque : ce champ est disponible à la fois dans la sous-fenêtre Metadata et dans la sous-fenêtre Review & Approve. 5 Cliquez sur le bouton Save Changes en bas de la sous-fenêtre Review & Approve. Cela envoie le courrier de notification. Remarque : votre administrateur Final Cut Server contrôle qui peut recevoir des courriers électroniques au sein du système Final Cut Server. Pour ajouter des adresses électroniques à Final Cut Server, contactez votre administrateur. Saisie manuelle des adresses électroniques des réviseurs Dans cette configuration, l’utilisateur de Final Cut Server doit saisir manuellement l’adresse électronique complète de chaque réviseur requis. Une fois les adresses électroniques saisies, l’enregistrement des modifications entraîne l’envoi du courrier électronique Review & Approve. Le courrier électronique est envoyé uniquement lorsque les modifications sont enregistrées. Cette configuration permet à l’utilisateur de choisir les destinataires du courrier électronique et la fréquence d’envoi des courriers électroniques de révision. Elle est toutefois moins automatisée, ce qui accroît le travail de l’utilisateur. Saisissez des commentaires dans le champ Editor’s comments. Lorsque vous êtes prêt à envoyer la notification par courrier, cliquez sur Save Changes.156 Chapitre 8 Utilisation de métadonnées Status dans le flux de travaux Final Cut Server Pour définir manuellement les destinataires des notifications par courrier Review and Approve : 1 Localisez la ressource ou le projet à envoyer à la révision et double-cliquez dessus pour afficher sa fenêtre d’information. 2 Dans la fenêtre d’information de la ressource ou du projet, ouvrez la sous-fenêtre Review & Approve. 3 Si vous souhaitez ajouter des notes au courrier électronique, vous pouvez les saisir dans le champ Editor’s comments. 4 Saisissez l’adresse électronique complète de chacun des réviseurs requis pour cette ressource dans le champ Required reviewers. 5 Lorsque vous êtes prêt à envoyer les notifications par courrier aux réviseurs requis, définissez l’état du champ de métadonnées sur Ready for Review. Remarque : ce champ est disponible à la fois dans la sous-fenêtre Metadata et dans la sous-fenêtre Review & Approve. 6 Cliquez sur le bouton Save Changes en bas à droite de la sous-fenêtre Review & Approve. Le courrier de notification est envoyé à chacune des adresses saisies dans le champ Required reviewers. Saisissez l’adresse électronique complète de chacun des réviseurs. Lorsque vous êtes prêt à envoyer la notification par courrier, cliquez sur Save Changes.Chapitre 8 Utilisation de métadonnées Status dans le flux de travaux Final Cut Server 157 Utilisation de réviseurs définis par l’administrateur et de réviseurs dont l’adresse électronique est saisie manuellement Une approche hybride permet à la fois à l’administrateur Final Cut Server de saisir une liste statique de réviseurs requis et à l’utilisateur de saisir manuellement des adresses électroniques supplémentaires dans le champ Required reviewers. L’administrateur et l’utilisateur peuvent ainsi tous deux définir les destinataires des courriers de notification. Pour définir manuellement les destinataires des notifications par courrier Review and Approve : 1 Localisez la ressource ou le projet à envoyer à la révision et double-cliquez dessus pour afficher sa fenêtre d’information. 2 Dans la fenêtre d’information de la ressource ou du projet, ouvrez la sous-fenêtre Review & Approve. 3 Si vous souhaitez ajouter des notes au courrier électronique, saisissez-les dans le champ Editor’s comments. 4 Saisissez une adresse électronique complète pour chacun des réviseurs requis. Les adresses que vous saisissez sont ajoutées à la liste des réviseurs configurée par votre administrateur Final Cut Server. Important : n’oubliez pas que votre administrateur Final Cut Server a également défini une liste de réviseurs qui recevront chaque courrier électronique envoyé à partir de la sous-fenêtre Review & Approve. Veillez à ne pas envoyer de courriers électroniques en double aux réviseurs en ajoutant manuellement leur adresse dans la sous-fenêtre Review & Approve. Saisissez une adresse électronique complète pour chacun des réviseurs requis. Lorsque vous êtes prêt à envoyer la notification par courrier, cliquez sur Save Changes.158 Chapitre 8 Utilisation de métadonnées Status dans le flux de travaux Final Cut Server 5 Lorsque vous êtes prêt à envoyer les notifications par courrier aux réviseurs requis, définissez l’état du champ de métadonnées sur Ready for Review. Remarque : ce champ est disponible à la fois dans la sous-fenêtre Metadata et dans la sous-fenêtre Review & Approve. 6 Cliquez sur le bouton Save Changes en bas à droite de la sous-fenêtre Review & Approve. Le courrier de notification est envoyé à chacune des adresses saisie dans le champ Required reviewers et à chacun des réviseurs requis saisis par défaut par votre administrateur Final Cut Server.9 159 9 Exportation, archivage et suppression des ressources et des projets terminés Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre : Â Sortie d’un projet final (p. 159) Â Archivage et restauration de ressources média (p. 162) Â Suppression de ressources Final Cut Server (p. 164) Ce chapitre décrit les étapes finales de l’utilisation d’une ressource : sortie d’une copie finale et création de copies de sauvegarde pour la ressource. Il explique également comment supprimer des ressources et des productions dans Final Cut Server. Sortie d’un projet final Vous pouvez utiliser la commande Export afin de créer une sortie des ressources média et de projet. Vous pouvez exporter les ressources sur un disque externe ou tout autre périphérique de sauvegarde ou les exporter sur votre système local, puis déplacer les fichiers souhaités à l’aide de Finder. Si vous exportez une ressource média, vous avez la possibilité de transcoder cette ressource durant l’exportation. Toutefois, le transcodage des ressources de projet et des ressources regroupées Final Cut Studio n’est pas recommandé. La méthode d’exportation de votre ressource média ou de projet finale dépend du type de ressource. Ce chapitre présente les étapes d’exportation d’un projet Final Cut Pro ou d’une ressource de projet Final Cut Studio ou autre, ainsi que des ressources média, d’un fichier de données et de la ressource regroupée associés. Important : lorsque vous exportez une ressource à partir de Final Cut Server, Final Cut Server n’en assure plus le suivi.160 Chapitre 9 Exportation, archivage et suppression des ressources et des projets terminés Exportation d’une ressource média L’exportation d’une ressource média individuelle est très simple. Pour exporter une ressource média individuelle : 1 Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Export dans le menu contextuel. La fenêtre Export s’affiche. 2 Dans cette fenêtre, choisissez l’endroit où vous souhaitez enregistrer la ressource média, en cliquant sur le bouton Choose et en recherchant l’emplacement souhaité dans le navigateur de fichiers. 3 Si nécessaire, sélectionnez un réglage de transcodage. 4 Cliquez sur le bouton Export. La ressource média est exportée à l’emplacement spécifié dans la fenêtre Export. Cliquez sur Export. Cliquez sur le bouton Choose pour changer l’emplacement d’exportation. Si nécessaire, sélectionnez un réglage de transcodage.Chapitre 9 Exportation, archivage et suppression des ressources et des projets terminés 161 Exportation d’un projet Final Cut Pro et des ressources média associées Vous pouvez exporter une ressource de projet Final Cut Pro et toutes ses ressources média lors d’une même opération. Pour exporter une copie d’un projet Final Cut Pro et les ressources média associées : 1 Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Export dans le menu contextuel. La fenêtre Export s’ouvre dans Final Cut Pro. 2 Dans cette fenêtre Final Cut Pro, sélectionnez l’emplacement souhaité pour l’enregistrement du fichier de projet Final Cut Pro exporté et ses ressources média. Pour ce faire, cliquez sur le bouton Choose et recherchez l’emplacement souhaité dans le navigateur de fichiers. 3 Si la fonction Edit Proxy n’est pas activée, les données d’origine seront utilisées par défaut. Si cette fonction est activée, sélectionnez Original Media ou Edit Proxy, dans le menu local Use. Ceci permet de définir le type de données exportées. 4 Cochez la case Keep Media with Project pour inclure les fichiers de données dans l’exportation. Important : si vous ne sélectionnez pas cette option, seule la ressource de projet Final Cut Pro sera exportée. 5 Cliquez sur le bouton Export. Une copie du projet est exportée à l’emplacement que vous avez spécifié dans la fenêtre Export de Final Cut Pro. Remarque : une fois l’exportation terminée, le suivi du projet et des fichiers de données n’est plus assuré par Final Cut Server. Exportation d’une ressource regroupée Final Cut Studio Lorsque vous avez téléchargé le fichier de projet Final Cut Studio et ses fichiers de données, vous avez choisi de télécharger une ressource regroupée (fichier de projet et fichiers de données) ou le fichier de projet et chacun de ses fichiers de données sous forme de ressources indépendantes. Si vous avez téléchargé une ressource regroupée, vous pouvez à nouveau l’exporter en une seule opération très simple. Pour exporter une ressource regroupée : 1 Cliquez sur la ressource regroupée tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Export dans le menu contextuel. La fenêtre Export s’affiche. 2 Dans cette fenêtre, choisissez l’endroit où vous souhaitez enregistrer la ressource regroupée, en cliquant sur le bouton Choose et en recherchant l’emplacement souhaité dans le navigateur de fichiers.162 Chapitre 9 Exportation, archivage et suppression des ressources et des projets terminés 3 Cliquez sur le bouton Export. Le dossier contenu dans la ressource regroupée est exporté à l’emplacement que vous avez spécifié dans la fenêtre Export. Exportation d’un projet Final Cut Studio et de ressources média individuelles Si vous avez téléchargé une ressource de projet Final Cut Studio et ses ressources média en tant que ressources individuelles, vous devez exporter la ressource de projet, puis toutes les ressources média séparément. Pour exporter une copie d’une ressource de projet Final Cut Studio et les ressources média associées : 1 Sélectionnez la ressource de projet Final Cut Studio et toutes les ressources média associées. Remarque : pour sélectionner plus facilement une liste de ressources média (Maj + Clic), passez en vue Liste dans la sous-fenêtre Productions. 2 Cliquez sur l’une des ressources sélectionnées en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Export dans le menu contextuel. La fenêtre Multiple Export s’affiche. 3 Dans cette fenêtre, choisissez l’endroit où vous souhaitez enregistrer les fichiers de données, en cliquant sur le bouton Choose et en recherchant l’emplacement souhaité dans le navigateur de fichiers. Remarque : pour effectuer un suivi efficace des projets exportés, vous pouvez créer un dossier spécifique au projet et à ses ressources média, sur le bureau ou à l’emplacement de votre choix. 4 Ne sélectionnez aucun réglage de transcodage. 5 Cliquez sur le bouton Start. Tous les fichiers de données sélectionnés sont exportés à l’emplacement que vous avez spécifié dans la fenêtre Multiple Export. Archivage et restauration de ressources média Vous pouvez déplacer la représentation principale d’une ressource média sur le périphérique d’archivage installé par votre administrateur Final Cut Server. Étant donné que seule la représentation principale est déplacée, la ressource figure toujours dans le catalogue Final Cut Server ; vous pouvez ainsi toujours la localiser et effectuer des recherches dans ses métadonnées. Cette procédure permet de conserver en lieu sûr le fichier de la repré- sentation principale, qui ne peut alors être ni téléchargé, ni modifié.Chapitre 9 Exportation, archivage et suppression des ressources et des projets terminés 163 Si vous essayez d’archiver une ressource média alors que celle-ci est en cours d’utilisation par une ressource de projet, une zone de dialogue s’affiche, vous demandant si vous souhaitez poursuivre l’opération d’archivage. Si vous choisissez de continuer, la ressource média ne sera plus disponible pour le projet. Si vous avez des questions concernant l’archivage, contactez votre administrateur Final Cut Server. Pour archiver une ressource : m Cliquez sur la ressource média tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Archive to et choisissez un périphérique d’archivage dans le menu contextuel. La ressource média est archivée et l’icône d’archive apparaît sur sa vignette.164 Chapitre 9 Exportation, archivage et suppression des ressources et des projets terminés Pour restaurer une ressource média et retirer du périphérique d’archivage la représentation principale de cette ressource : m Cliquez sur la ressource archivée tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Restore dans le menu contextuel. L’icône d’archive disparaît, indiquant que la représentation principale de la ressource a été retirée du périphérique d’archivage. La ressource média est de nouveau disponible et peut être utilisée. Suppression de ressources Final Cut Server Lorsque vous supprimez une ressource dans Final Cut Server, vous supprimez le fichier de représentation principale de cette ressource, les fichiers proxy créés pour cette ressource et toutes les métadonnées qui lui sont associées. Une ressource peut parfois être associée à plusieurs projets ou ressources Final Cut Pro ; toute opération de suppression doit donc faire l’objet de précautions. Ne supprimez des ressources Final Cut Server que si vous êtes certain qu’elles ne servent plus à personne. Vous pouvez afficher les ressources média ou de projet auxquelles une ressource donnée est associée dans la sous-fenêtre Resources de la fenêtre d’information de cette ressource. La procédure ci-dessous indique comment supprimer une ressource média, une ressource regroupée ou une ressource de projet Final Cut Pro. Les autres ressources utilisant cette ressource sont répertoriées dans la liste Instances.Chapitre 9 Exportation, archivage et suppression des ressources et des projets terminés 165 Pour supprimer une ressource média ou regroupée du catalogue Final Cut Server : 1 Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Delete dans le menu contextuel. 2 Dans la zone de dialogue qui s’affiche, cliquez sur Delete. La ressource est supprimée du catalogue Final Cut Server. Pour supprimer une ressource de projet Final Cut Pro du catalogue Final Cut Server : 1 Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Delete dans le menu contextuel. Une zone de dialogue vous indiquant les ressources et les fichiers qui seront supprimés s’affiche. 2 Lisez attentivement ce message et confirmez que vous souhaitez bien supprimer tous les fichiers et ressources associés à la ressource de projet Final Cut Pro. 3 Lorsque vous êtes prêt, cliquez sur Delete. La ressource Final Cut Pro et toutes ses ressources associées sont supprimées du catalogue Final Cut Server. 167 Glossaire Glossaire affiche Une affiche est un fichier proxy JPEG généré à partir du fichier de représentation principale d’une ressource média, lors du téléchargement. Consultez proxy. archive Lorsque vous avez terminé un projet ou une production, vous pouvez utiliser la fonction d’archive pour déplacer les ressources, de leur périphérique de stockage actuel vers un périphérique d’archivage, par exemple un disque FireWire, un disque de plus grande capacité, mais plus lent, ou un autre volume où l’espace disque ne manque pas. Les ressources figureront toujours dans le catalogue Final Cut Server, dans un état inactif. Elles peuvent être restaurées à tout moment en cas de besoin. automatisation Final Cut Server prend en charge une grande variété de fonctions d’automatisation, ce qui permet de configurer Final Cut Server pour effectuer de nombreuses tâches automatiquement. cache Si vous souhaitez utiliser une ressource du catalogue Final Cut Server sur un ordinateur client, celui-ci doit disposer d’une copie locale de la ressource. Final Cut Server possède une zone de cache sur l’ordinateur client, dont il se sert pour stocker les copies locales des ressources. Vous pouvez choisir l’emplacement et la taille de ce cache dans la fenêtre Preferences du client. catalogue Le catalogue est un ensemble de ressources gérées par Final Cut Server. client L’interaction entre l’utilisateur et le catalogue Final Cut Server se fait à l’aide d’un client Final Cut Server. Les clients Final Cut Server sont des applications Java pouvant être exécutées sur les ordinateurs fonctionnant sous le système d’exploitation Mac OS X, Windows XP ou Windows Vista. données préparées Dans Final Cut Server, vous pouvez préparer des fichiers de données que vous utiliserez ultérieurement dans un nouveau projet Final Cut Pro. Lorsque vous sélectionnez un ou plusieurs fichiers de données, puis choisissez « Prepare for Disconnected Use », des copies d’alias des fichiers placés dans le cache sont créées à l’emplacement spécifié. Par la suite, lorsque votre ordinateur se retrouve déconnecté de Final Cut Server, vous pouvez utiliser les fichiers de données préparés pour créer un nouveau projet Final Cut Pro.168 Glossaire Edit Proxy Lors du téléchargement, un fichier Edit Proxy peut être créé pour les fichiers vidéo téléchargés sur Final Cut Server dans le cadre d’un projet Final Cut Pro. Les fichiers Edit Proxy sont utilisés lors de l’extraction d’un projet Final Cut Pro. Notez que les fichiers Edit Proxy ne sont pas créés automatiquement ; l’administrateur Final Cut Server doit d’abord activer la fonction Edit Proxy pour pouvoir générer ce type de fichier. Consultez proxy. edit-in-place Généralement, lorsque vous souhaitez utiliser une ressource du catalogue Final Cut Server sur un ordinateur client, celui-ci doit disposer d’une copie locale de la ressource. Il existe toutefois une exception, lorsque le périphérique qui contient la ressource est configuré comme périphérique « edit-in-place » et qu’il est monté en tant que volume sur l’ordinateur client. L’exemple le plus courant de cette situation est le système Xsan, qui prend en charge une bande passante de données suffisamment élevée pour pouvoir transférer les données vidéo en temps réel. Consultez Xsan. élément Les ressources de projet Final Cut Pro contiennent une liste de ressources média qui sont reliées, ou associées, au fichier de projet Final Cut Pro. Les éléments de projet Final Cut Pro peuvent inclure les fichiers de données et les séquences Final Cut Pro. ensemble de métadonnées Final Cut Server organise les métadonnées en ensembles. Ces ensembles contiennent des groupes de métadonnées, qui eux-mêmes contiennent des trames de métadonnées. fichier d’alias Un fichier d’alias est un petit fichier qui représente un autre fichier. Dans Final Cut Server, vous pouvez préparer des fichiers de données que vous utiliserez ultérieurement dans un nouveau projet Final Cut Pro. Lorsque vous sélectionnez un ou plusieurs fichiers de données et choisissez « Prepare for Disconnected Use », des copies d’alias des fichiers placés dans le cache sont créées à l’emplacement spécifié. fichier géré Lorsque vous extrayez une ressource, Final Cut Server crée une copie gérée du fichier. Ce fichier géré peut être modifié, puis réintégré pour mettre à jour la ressource d’origine. Consultez fichier non géré. fichier non géré Lorsque vous copiez ou exportez un fichier, Final Cut Server crée une copie non gérée de ce fichier. Ce fichier non géré peut être modifié, puis réintégré pour mettre à jour la ressource d’origine. Si vous souhaitez effectuer le suivi d’un fichier non géré dans Final Cut Server, vous devez d’abord le télécharger et créer une nouvelle ressource. Consultez fichier géré. métadonnées Les métadonnées sont des informations relatives à un fichier. Dans Final Cut Server, les métadonnées servent à décrire le fichier de représentation principale de la ressource, ainsi que la ressource elle-même. périphérique Les périphériques sont des emplacements de stockage. Il peut s’agir de dossiers sur un volume local de serveur, de volumes en réseau ou encore de dossiers de volume Xsan.Glossaire 169 production Pour faciliter l’organisation des ressources dans votre catalogue Final Cut Server, vous pouvez créer des productions. Chaque production peut contenir une ou plusieurs ressources. En outre, une ressource peut appartenir à plusieurs productions. Par exemple, vous pouvez créer une production contenant tous les fichiers d’un client et une autre contenant uniquement les fichiers de ce client utilisés dans le cadre d’un épisode ou d’une publicité spécifique. projet Dans la création d’un projet, plusieurs applications Final Cut Studio utilisent des fichiers de projet, qui eux-mêmes utilisent un ou plusieurs fichiers de données associés. Final Cut Server assure le suivi des fichiers de projet à l’aide de ressources de projet. proxy Les images et les fichiers vidéo peuvent être très volumineux, ce qui rend leur manipulation difficile. Final Cut Server crée automatiquement des fichiers proxy lors du processus d’analyse, lorsque vous ajoutez des ressources à son catalogue. Ces fichiers proxy peuvent être utilisés à la place des véritables fichiers, dans les opérations de modification et de révision. Consultez proxy de plan, Edit Proxy, affiche, vignette. Proxy de plan Lors du téléchargement, Final Cut Server crée automatiquement un fichier de proxy de plan basse résolution pour les ressources vidéo. Le proxy de plan est utilisé à la place du véritable fichier vidéo, lors de la visualisation de la ressource dans Final Cut Server. Consultez proxy. réglages de transcodage Final Cut Server utilise les réglages de transcodage pour convertir une ressource média, en passant de son codec actuel à un autre. La plupart du temps, vous utilisez les réglages de transcodage pour convertir une ressource en une autre, plus petite et plus facile à lire. Les réglages de transcodage pour les ressources vidéo et audio proviennent de Compressor (installé sur le serveur). Les réglages de transcodage pour les images sont internes à Final Cut Server. représentation principale Fichier de données original téléchargé dans Final Cut Server. ressource Final Cut Server crée une ressource pour chaque fichier de données ou de projet téléchargé. Une ressource contient le fichier de représentation principale (fichier téléchargé) et, parfois, un ou plusieurs fichiers de proxy. ressource regroupée Dans Final Cut Server, vous pouvez télécharger un dossier de fichiers sous forme de ressource regroupée. Cette ressource regroupée contient tous les fichiers du dossier, ainsi que les fichiers auxquels il est impossible d’accéder depuis Final Cut Server. Les ressources regroupées servent au suivi des ressources de projet Soundtrack Pro, Motion et DVD Studio Pro, ainsi que des fichiers de données associés. tâches Terme désignant toute action exécutée par Final Cut Server sur une ressource. Ces actions incluent le téléchargement, la copie et le transcodage d’une ressource.170 Glossaire transcodage L’opération de transcodage permet de convertir une ressource média en passant d’un codec à un autre. Final Cut Server utilise les codecs vidéo et audio fournis par Compressor. Consultez réglages de transcodage. version Final Cut Server peut être configuré de manière à conserver les versions précédentes d’une sélection de ressources, ce qui rend possible la restauration d’une version anté- rieure, si nécessaire. Si vous extrayez une ressource à partir du catalogue Final Cut Server, puis la modifiez et la réintégrez, Final Cut Server copie tout d’abord la version actuelle sur le périphérique où elle se situe, puis copie la nouvelle version à l’endroit où la version actuelle se trouvait. vignette Dans la fenêtre principale de Final Cut Server, vous pouvez afficher les ressources ou les productions dans une vue Liste ou Vignette. Dans la vue Vignette, chaque ressource est représentée par une image miniature. Cette image provient du fichier proxy de vignette de la ressource (fichier proxy JPEG généré à partir du fichier de représentation principale de la ressource média, lors du téléchargement). Consultez proxy. Xsan Un réseau de stockage (SAN) Xsan Apple est un périphérique qui offre un accès rapide aux fichiers de données. Les périphériques Xsan prennent en charge la fonction edit-in-place lorsque vous vous connectez via un réseau Fibre Channel. Consultez edit-in-place. 171 Index Index A affichage des ressources 89 affiche 35 aide, utilisation à l’écran 9 annotations ajout 99 à propos 99–102 fenêtre 26 remplacement du texte 101 suppression 102 archivage des ressources 162 Assets, sous-fenêtre configuration de l’affichage 19 icônes 20 introduction 17 assistance AppleCare 11 automatisations 167 C cache 108 ajout d’une ressource 110 à propos 109–111 expiré 111 client. Consultez client Final Cut Server client Final Cut Server installation 15 tableau des actions 84 clients, à propos 7 courrier électronique, Review and Approve, fonction 152–158 D déconnexion de Final Cut Server projets Final Cut Pro 130–133 ressources média 113–116 déverrouillage des ressources 94–98 dossiers téléchargement du contenu en tant que ressources 44 téléchargement en tant que ressources regroupées 44 Downloads & Uploads, fenêtre introduction 27 duplication d’une ressource 103 E edit-in-place 104, 168 mise en cache 109 projets Final Cut Pro et 123 elements sous-fenêtre Elements 40 éléments à propos 40 ensembles de métadonnées présentation 32 exportation groupe Final Cut Studio 161 projet et ressources Final Cut Pro 133, 161 projet et ressources Final Cut Studio 162 projets Final Cut Studio 143–145 ressources finales et projets 159 ressources média 117, 160 extraction et réintégration 111–113 projets Final Cut Pro 124–129 ressources 111–113 F fenêtre d’information production 25 projet Final Cut Pro 24 projet Final Cut Studio 24 ressource 23 fenêtre d’information de la ressource Action, menu local 58 détails 85–88 fenêtre d’information 88 ouverture 58 sous-fenêtre Assets 86 sous-fenêtre Locks 87 sous-fenêtre Metadata 86, 87, 88 sous-fenêtre Review & Approve 88 sous-fenêtre Versions 87 fenêtre d’information du projet Final Cut Pro à propos 89 sous-fenêtre Elements 40172 Index fenêtre Downloads & Uploads effacement 105 ouverture 105 utilisation 105 fenêtre Link Upload 47 fenêtre Multiple Link Upload 50 fenêtre Multiple Upload 37 fenêtre Preferences ouverture 107 préférences de cache 108 préférences de recherche 107 utilisation 107–108 fenêtre Search All Jobs utilisation 80–81, 105 fenêtre Search Devices à propos de son contenu 78 astuces de recherche 79 utilisation 78–79 fenêtre Upload 37 fichier géré 168 fichier non géré 168 fichier proxy de plan 35 fichiers d’alias 114, 168 fichiers de données préparés 167 fichiers du proxy de modification extraction de projets Final Cut Pro 124 fichiers Edit Proxy à propos 168 extraction d’un projet Final Cut Pro 39 fichiers proxy 34, 169 affiche 35 Edit Proxy 39 proxy de plan 35 vignette 35 Final Cut Pro Check In, fenêtre 128 Check Out, fenêtre 125 utilisation avec Final Cut Server 121–122 Final Cut Pro, projets exportation 133, 161 Final Cut Server aide 9 documentation imprimée 9 edit-in-place 104 flux de travaux 14 installation du client 15 interface utilisateur 15–30 manuels de l’utilisateur à l’écran 9 ordinateur dont l’activité est suspendue 34 préférences 107–108 présentation 7–8 sites web 10 utilisation avec Final Cut Pro 121–122 vue d’ensemble des opérations 8 vue d’ensemble du catalogue 53–59 G Gestionnaire de données 127 groupes projets Final Cut Studio, exportation 161 I interface utilisateur fenêtre Annotations, introduction 26 fenêtre Downloads & Uploads, introduction 27 fenêtre Preferences, introduction 29 fenêtre principale 15 fenêtres d’information 23–25 fenêtre Search All Jobs, introduction 27 fenêtre Search Devices, introduction 28 icônes de ressource 20 introduction 15–30 introduction aux menus contextuels 30 K Keep Media with Project, case à cocher 131 M Menu local Action 58 menus contextuels introduction 30 versions 93 métadonnées affichage 65 à propos 65 fichier et ressource 64 métadonnées d’état 75, 147–149 métadonnées d’état, application 150 modification sur des ressources 77 présentation 32 utilisation 64–66 P périphériques edit-in-place 104 Library 38 Media 38 Preferences, fenêtre emplacement du fichier d’alias, réglage 114 introduction 29 présentation par liste 20 productions affichage 61 ajout de ressources 62 ajout de ressources durant un téléchargement 62 création 60 métadonnées d’état 75 métadonnées d’état, application 150 métadonnées d’état, utilisation pour la recherche 151 organisation des ressources 59–64Index 173 retrait de ressources 63 suppression 64 téléchargement de projets Final Cut Studio vers 49 Productions, sous-fenêtre configuration de l’affichage 19 icônes 20 introduction 18 projets DVD Studio Pro à propos des fichiers .par 46 reconnexion de fichiers de données 141 téléchargement d’un dossier avec des ressources 43 projets Final Cut Pro à propos 120 conservation des données du projet 126, 131 création à partir de ressources préparées pour une utilisation hors connexion 115 edit-in-place 123 éléments 40 extraction 124–129 extraction sur un disque externe 132 extraction sur un ordinateur portable déconnecté 131 fichiers du proxy de modification 124 Gestionnaire de données, utilisation 127 intégration et extraction de Final Cut Server 123 modification d’un projet extrait 126 problèmes connus 121 réintégration 127 résolution de problèmes de données offline 122 suppression de Final Cut Server 165 téléchargement 39–43 utilisation sans connexion à Final Cut Server 130– 133 versions 123, 129 projets Final Cut Studio à propos de la modification 135 exportation 143–145 exportation des ressources 162 exportation en groupes 161 extraction avec des données reliées 139 modification dans l’application d’origine 140 réintégration des fichiers de données reliées 142 réintégration et extraction en tant que fichiers individuels 138–143 réintégration et extraction en tant que ressources regroupées 136 téléchargement 43–51 téléchargement vers des productions 49 projets Motion reconnexion de fichiers de données 140 téléchargement d’un dossier avec des ressources 43 projets Soundtrack Pro reconnexion de fichiers de données 140 téléchargement d’un dossier avec des ressources 43 Q QuickTime métadonnées 38 séquences de référence 34 R raccourcis clavier, à propos 30 recherche affichage des résultats 74 avancée 69–71 introduction 21 pages de résultats 74 préférences 107 simple 66–68 Smart Search 72–73, 152 utilisation de la fenêtre Search All Jobs 80–81 utilisation de la fenêtre Search Devices 78–79 utilisation de métadonnées d’état 151 réintégration et extraction projets Final Cut Studio en tant que fichiers individuels 138–143 ressources regroupées de projet Final Cut Studio 136 représentation principale 34 réseau de stockage (SAN) et mise en cache 109 ressources activation du contrôle de versions 92 affichage 89 ajout au cache 110 ajout à une production durant un téléchargement 62 ajout d’annotations 99 archivage 162 disque externe 113 duplication 103 exportation 117 extensions de fichiers 33 extraction 92 fichiers d’alias 114 fichiers pouvant être téléchargés 32 fichiers proxy 34 métadonnées 64 métadonnées d’état 75 métadonnées d’état, application 150 métadonnées d’état, utilisation pour la recherche 151 mise en cache 109–111 modification des métadonnées 77 organisation à l’aide de productions 59–64 préparation pour une utilisation hors connexion 113–116 présentation 31174 Power Mac G5 Guide de l’utilisateur Inclut les informations de configuration, d’extension et de dépannage pour votre ordinateur Power Mac G5?Apple Computer Inc. © 2004 Apple Computer Inc. Tous droits réservés. Ce manuel est protégé par la loi du 11 mars 1957 sur la propriété littéraire et artistique, complétée par la loi du 3 juillet 1985 et par toutes les conventions internationales applicables aux droits d’auteurs. En vertu de ces lois et conventions, aucune reproduction totale ni partielle de ce manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AirPort, Apple Store, AppleShare, AppleTalk, DVD Studio Pro, Final Cut Pro, FireWire, iCal, iMovie, iTunes, Mac, Mac OS, Macintosh, Power Mac, Power Macintosh, QuickTime et Sherlock sont des marques d’Apple Computer Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, le logo FireWire, iDVD, iPhoto, iPod, Safari et SuperDrive sont des marques d’Apple Computer, Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Computer, Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. .Mac est une marque de service d’Apple Computer, Inc. ENERGY STAR est une marque déposée aux États-Unis. PowerPC et le logo PowerPC sont des marques d’International Business Machines Corporation, utilisées sous licence. La marque et les logos Bluetooth sont la propriété de Bluetooth SIG, Inc. et sont utilisés sous licence par Apple Computer, Inc. Ce produit inclut le logiciel développé par l’Université de Californie, Berkeley et ses collaborateurs. Les autres noms de produits et de sociétés sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. 3 1 Table des matières Chapitre 1 5 Installation 5 Positionnement de l’ordinateur et du moniteur 6 Branchement de l’ordinateur 10 Utilisation d’un clavier d’une souris sans fil 10 En cas de problème 10 Réglage de votre moniteur 11 Et ensuite ? 12 Procédure à suivre lorsque vous avez fini de travailler 14 Familiarisation avec votre ordinateur 16 Ports et connecteurs : extension des capacités de votre ordinateur 18 Intérieur de votre Power Mac G5 : options d’extension interne de votre ordinateur Chapitre 2 21 Utilisation de votre ordinateur 22 Utilisation de votre clavier Apple 23 Utilisation de votre souris Apple Mouse 23 Branchement d’un second moniteur 24 Connexion d’un téléviseur, d’un magnétoscope ou de tout autre appareil vidéo 26 Utilisation de l’Universal Serial Bus (USB) 28 Utilisation de FireWire 30 Utilisation des périphériques audio 32 Utilisation de appareils Bluetooth 34 Utilisation de votre lecteur optique 36 Utilisation de votre modem 37 Connexion à un réseau Ethernet 39 Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort 41 Suspension de l’activité de l’ordinateur pour économiser l’énergie 42 Transfert d’informations entre deux ordinateurs Macintosh Chapitre 3 43 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 44 Ouverture de l’ordinateur 49 Installation de mémoire 56 Installation d’unités de stockage internes4 Table des matières 64 Installation d’une carte d’extension PCI ou remplacement de la carte AGP 69 Installation d’une carte AirPort Extreme 70 Remplacement de la pile Chapitre 4 73 Dépannage 75 Problèmes de logiciels 76 Problèmes de moniteur 77 Utilisation de Apple Hardware Test 78 Installation de logiciels sur votre ordinateur 80 Optimisation des performances Ethernet 80 Localisation du numéro de série de votre produit Annexe A 81 Caractéristiques Annexe B 87 Environnement de travail, sécurité et entretien 87 Consignes de sécurité importantes 90 Entretien général 91 Informations importantes sur l’organisation de l’espace de travail et la santé Annexe C 93 Connexion à Internet 95 Collecte des informations nécessaires 96 Saisie de vos informations 97 Modem téléphonique avec connexions PPP (Point-To-Point Protocol) 99 Connexions à Internet par ligne DSL, modem câble ou réseau LAN 105 Connexion sans fil AirPort Extreme 108 Dépannage de votre connexion 111 Communications Regulation Information1 5 1 Installation Félicitations pour l’acquisition de votre nouvel ordinateur Power Mac G5 à hautes performances. Ce chapitre contient des instructions pour l’installation de l’ordinateur et du moniteur. Votre Power Mac G5 est doté de la dernière technologie informatique, notamment d’un processeur 64 bits évolué, de la mémoire rapide, d’une carte graphique AGP 8X Pro pour des effets visuels impressionnants et d’un stockage interne Serial ATA, le tout réuni dans un châssis en aluminium anodisé avec accès facile aux éléments internes. Positionnement de l’ordinateur et du moniteur Soulevez l’ordinateur par ses deux poignées en utilisant des techniques de levage adaptées. Si votre moniteur est lourd, veillez à utiliser également des techniques de levage correctes lorsque vous le mettez en place. Placez le moniteur et l’écran de sorte que : • ils reposent sur une surface plane et robuste ; • les fiches des câbles d’alimentation ne soient coincées ni contre un mur ni contre tout autre objet ; • rien n’obstrue la circulation d’air devant, derrière ou au-dessous du moniteur ou de l’ordinateur ; • le plateau du lecteur optique dispose d’assez d’espace pour s’ouvrir. Avertissement : Apple vous recommande d’utiliser votre Power Mac G5 en position verticale avec le panneau latéral placé correctement. L’ordinateur ne fonctionne pas correctement lorsqu’il est placé sur le côté ou lorsque le panneau latéral n’est pas en place.6 Chapitre 1 Installation Le seul moyen de couper totalement l’alimentation de votre ordinateur et de votre moniteur consiste à débrancher leur fiche de la source d’alimentation électrique. Assurez-vous que les câbles d’alimentation de votre ordinateur et de votre moniteur soient facilement accessibles, pour pouvoir débrancher l’ordinateur ou le moniteur en cas de besoin. Branchement de l’ordinateur 1 Enlevez tout film protecteur à l’intérieur du panneau latéral. Vous trouverez des instructions pour ouvrir le panneau latéral dans la section “Ouverture de l’ordinateur” à la page 44. 2 Enfoncez le câble d’alimentation fermement et complètement dans la prise encastrée au dos de l’ordinateur et branchez l’autre extrémité dans une prise de courant ou multiprise avec mise à la terre. Fiche du câble d’alimentation Prise du câble d’alimentationChapitre 1 Installation 7 3 Connectez les câbles du moniteur comme illustré ci-dessous : Important : en fonction de votre moniteur, vous devrez connecter un seul ou plusieurs câbles. Vérifiez les instructions fournies avec le moniteur pour d’autres informations sur sa configuration. La carte d’affichage à l’intérieur de votre ordinateur est dotée des ports suivants : • Un port de connecteur ADC (Apple Display Connector) pour connecter des moniteurs Apple à écran plat ; • Un port DVI (Digital Visual Interface) pour connecter des écrans numériques pourvus de connecteurs VI. • Pour connecter un moniteur VGA, utilisez un adaptateur DVI vers VGA (fourni avec votre ordinateur) afin de pouvoir connecter le moniteur au port DVI. • Pour connecter un deuxième moniteur ADC, utilisez un adaptateur DVI-ADC (non inclus) pour relier le moniteur au port DVI. • Pour connecter une télévision, un magnétoscope ou un autre appareil vidéo, utilisez un adaptateur DVI vers Vidéo (non inclus) pour relier l’appareil au port DVI. Pour plus d’informations sur la connexion d’un second moniteur, consultez les instructions du le chapitre 2, “Utilisation de votre ordinateur”. Ports d’écran Ports USB Câble de l’écran Port de moniteur DVI Port de moniteur ADC8 Chapitre 1 Installation 4 Pour accéder à Internet ou à un réseau, connectez votre ordinateur à un modem DSL ou câble, branchez votre modem à une ligne téléphonique analogique, ou connectezvous à un réseau Ethernet. Port modem Port EthernetChapitre 1 Installation 9 5 Connectez le câble du clavier à l’un des ports USB ( ) situés sur l’ordinateur ou sur le moniteur. Branchez le câble de la souris sur l’un des ports USB du clavier. Remarque : si le câble du clavier n’est pas assez long pour atteindre un port USB de votre ordinateur, employez le câble d’extension clavier fourni avec votre ordinateur. 6 Allumez votre ordinateur en appuyant sur le bouton d’alimentation (®) en façade. Avec certains moniteurs Apple, vous pouvez également allumer l’ordinateur à l’aide du bouton d’alimentation du moniteur. Si votre moniteur doit être allumé séparément, faites-le en appuyant sur son bouton d’alimentation. Clavier Souris Branchez la souris sur l'un des ports USB à l'arrière du clavier. Si vous voyez des bouts de film plastique à l'intérieur du panneau latéral (utilisés comme protection lors du transport), ouvrez le panneau latéral et enlevez-les. Câble d’extension clavier Apple Keyboard10 Chapitre 1 Installation Utilisation d’un clavier d’une souris sans fil Si vous avez fait l’acquisition d’un clavier Apple Wireless Keyboard et d’une souris Apple Wireless Mouse avec votre Power Mac G5, consultez les instructions fournies avec ces périphériques pour les configurer avec votre ordinateur. En cas de problème Si rien n’apparaît à l’écran après quelques instants ou si vous pensez que votre ordinateur n’a pas démarré correctement, effectuez les vérifications suivantes afin de tenter d’identifier la cause du problème : • L’ordinateur est-il connecté à une source d’alimentation ? S’il est connecté à une multiprise munie d’un interrupteur, est-elle allumée ? • Le câble d’alimentation est-il branché sur la prise située à l’arrière de l’ordinateur et correctement enclenché ? • Les câbles du clavier et du moniteur sont-ils correctement connectés ? • Le moniteur est-il allumé ? Les contrôles de luminosité et de contraste du moniteur sont-ils correctement réglés ? Si votre moniteur est muni de tels contrôles, réglez-les. • Redémarrez votre ordinateur. Appuyez sur le bouton de mise en marche de l’ordinateur et maintenez-le enfoncé pendant environ 5 secondes jusqu’à ce que l’ordinateur s’éteigne. Appuyez à nouveau sur ce bouton pour allumer l’ordinateur. • Si un point d’interrogation clignote à l’écran ou que le voyant d’état émet une série de clignotements lorsque vous allumez l’ordinateur, consultez le le chapitre 4, “Dépannage”, à la page 73. Réglage de votre moniteur Pour ajuster les réglages de votre moniteur, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système et cliquez sur Moniteurs. Pour plus de détails sur le dépannage de votre moniteur, consultez la section “Problèmes de moniteur” à la page 76. Pour plus de détails sur l’entretien de votre moniteur, consultez la section “Entretien de votre moniteur” à la page 90. L’Aide Mac OS contient des informations supplémentaires sur l’utilisation de votre moniteur. Chapitre 1 Installation 11 Et ensuite ? Vous avez à présent accompli toutes les tâches nécessaires pour rendre votre Power Mac G5 opérationnel. la première fois que vous démarrez votre ordinateur, l’Assistant réglages se met en route. L’Assistant réglages vous aide à saisir les informations relatives à Internet et à votre courrier électronique ainsi qu’à configurer votre compte sur votre ordinateur. Si vous possédez déjà un autre ordinateur Mac, l’Assistant réglages peut également vous aider à transférer des fichiers, des applications et d’autres informations de votre ancien Mac vers votre nouveauPower Mac G5. Transfert d’informations vers votre Power Mac G5 Vous pouvez utiliser l’Assistant réglages pour transférer automatiquement des informations d’un autre Mac vers votre nouveau Power Mac G5. Pour transférer des informations, assurez-vous des points suivants : • Vous devez disposer d’un câble FireWire 6 broches vers 6 broches. • L’autre ordinateur Mac dont vous disposez doit Mac OS X 10.1 ou ultérieur installé. • Votre autre ordinateur Mac doit disposer d’un port FireWire intégré et prendre en charge le mode disque FireWire. L’Assistant réglages vous guide tout au long du processus de transfert d’informations ; il vous suffit de suivre les instructions à l’écran. Le transfert d’informations vers votre Power Mac G5 n’affecte pas les informations se trouvant sur votre autre Mac. Vous pouvez transférer : • les comptes d’utilisateur, y compris les préférences et le courrier électronique ; • les réglages de réseau, pour que votre nouvel ordinateur soit automatiquement configuré avec les mêmes réglages de réseau que votre autre Mac ; • les applications*, pour que toutes les applications que vous utilisiez sur votre autre ordinateur Mac soient désormais sur votre nouveau Power Mac G5 ; • les fichiers et dossiers qui se trouvent sur votre disque dur et sur vos partitions. Cela vous permet d’accéder facilement aux fichiers et dossiers que vous utilisiez sur votre ancien Mac. *Il est possible que vous ayez à réinstaller des applications que vous transférez. Si vous n’utilisez pas l’Assistant réglages pour transférer des informations lorsque vous démarrez l’ordinateur pour la première fois, vous pouvez le faire plus tard. Allez dans le dossier Applications, ouvrez Utilitaires et double-cliquez sur “Assistant réglages”.12 Chapitre 1 Installation Configuration de votre Power Mac G5 pour Internet Si vous n’avez pas transféré les informations concernant le compte d’utilisateur et les réglages de réseau, l’Assistant réglages vous guide tout au long de la configuration de votre ordinateur et vous assiste en vue de la connexion à Internet. Pour les particuliers, l’accès à Internet requiert généralement l’ouverture d’un compte auprès d’un fournisseur d’accès à Internet (FAI) (payant dans certains cas). • Si vous ne disposez d’aucun compte Internet, l’assistant vous facilitera son obtention. • Si vous disposez déjà d’un compte Internet, consultez l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 93 pour savoir quelles sont les informations à saisir. Procédure à suivre lorsque vous avez fini de travailler Lorsque vous avez terminé de travailler avec votre Power Mac G5, suspendez l’activité de votre ordinateur ou éteignez-le. Suspension de l’activité de votre Power Mac G5 Cette option convient si vous n’utilisez pas votre Power Mac G5 pendant une période limitée. Lorsque l’ordinateur est en mode de suspension d’activité, son écran est noir. Vous pouvez le réactiver rapidement sans passer par la procédure de démarrage. Pour suspendre rapidement l’activité de votre ordinateur, sélectionnez l’une des méthodes suivantes : • Choisissez menu Pomme (K) > Suspendre l’activité. • Appuyez sur le bouton d’alimentation. Pour remettre votre ordinateur en activité : m Appuyez sur n’importe quelle touche du clavier. Pour en savoir plus sur la suspension d’activité, consultez la section “Suspension de l’activité de l’ordinateur pour économiser l’énergie” à la page 41. Chapitre 1 Installation 13 Éteindre votre Power Mac G5 Cette option est préférable si vous ne comptez pas utiliser votre Power Mac G5 pendant un jour ou deux. Pour éteindre votre ordinateur : m Choisissez menu Pomme (K) > Éteindre. Avertissement : n’éteignez jamais votre ordinateur via l’interrupteur d’une multiprise ou en débranchant sa fiche d’alimentation, sauf si vous ne parvenez pas à l’éteindre d’une autre manière. Toute extinction incorrecte de l’ordinateur risque d’endommager vos fichiers ou logiciels système. Avertissement : éteignez votre Power Mac G5 avant de le déplacer. Tout déplacement de votre ordinateur lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager ce dernier et d’entraîner une perte de données ou l’impossibilité de démarrer à partir du disque dur.14 Chapitre 1 Installation Familiarisation avec votre ordinateur Lecteur optique Prise pour casque d'écoute f ®Bouton d'alimentation Témoin d'alimentation Port USB 2.0 Port FireWire 400Chapitre 1 Installation 15 Lecteur optique Votre ordinateur possède une unité combinée ou Combo (DVD-ROM/CD-RW), ou un SuperDrive (DVD-R/CD-RW). Ces deux unités peuvent lire les disques DVD, les films DVD, les CD-ROM, les CD photos, les CD de musique, les disques audio standard et d’autres types de supports. Ils peuvent tous deux graver de la musique, des documents et d’autres types de fichiers numériques sur des disques CD-R et CD-RW vierges. Le graveur SuperDrive peut également enregistrer sur des disques DVD-R vierges. Pour ouvrir le lecteur optique, appuyez sur la touche d’éjection ( ) située sur votre clavier Apple. Voyant d’état Une lumière blanche indique que l’ordinateur est en activité, une lumière clignotante indique que l’ordinateur est en suspension d’activité. ® Bouton d’alimentation Appuyez sur ce bouton pour allumer votre Power Mac G5, suspendre son activité ou la lui faire reprendre. Pour redémarrer votre ordinateur, maintenez ce bouton enfoncé pendant environ 5 secondes jusqu’à ce que l’ordinateur s’éteigne, puis appuyez dessus une nouvelle fois pour allumer l’ordinateur. Avec certains moniteurs Apple, vous pouvez également toucher ou enfoncer le bouton d’alimentation du moniteur pour allumer l’ordinateur ou suspendre son activité. Port FireWire 400 Connectez votre Macintosh à des périphériques FireWire tels que l’iPod, des caméras vidéo numériques, des scanners et des disques durs. FireWire permet un transfert de données grande vitesse à tous ces périphériques. Le port FireWire 400 supporte des vitesses de transfert de 100, 200 et 400 mégabits par seconde (Mbps). f Prise pour casque d’écoute Connectez des écouteurs à votre Macintosh via la prise pour écouteurs. Lorsqu’une prise est insérée dans la prise pour écouteurs, le haut-parleur interne est désactivé. Port USB 2.0 Connectez votre Macintosh à des périphériques USB tels que claviers, souris, imprimantes, scanners, haut-parleurs, microphones et concentrateurs. Il est également possible que votre écran soit doté de ports USB.16 Chapitre 1 Installation Ports et connecteurs : extension des capacités de votre ordinateur Loquet Capots d’accès aux logements d’extension PCI Port de moniteur DVI Port d’antenne AirPort Port d’antenne Bluetooth Port de modem interne (sur certains modèles) Port optique de sortie audio numérique Port optique d’entrée audio numérique Prise d'alimentation Port de moniteur ADC Ports USB 2.0 (2) Port FireWire 400 W - v Port FireWire 800 G Port Ethernet Port de sortie audio Port d’entrée audioChapitre 1 Installation 17 s Ç Loquet Soulevez le loquet pour ouvrir le panneau latéral et accéder aux éléments internes de votre Power Mac G5. Il est aussi possible de placer un verrou sur ce loquet pour empêcher l’accès aux éléments internes. Port de moniteur DVI Branchez un moniteur qui utilise un connecteur Digital Visual Interface (DVI). Vous pouvez également utiliser l’adaptateur DVI-VGA, fourni avec l’ordinateur, afin de connecter ce dernier aux moniteurs dotés d’un connecteur VGA. Port d’antenne Airport Extreme Branchez l’antenne AirPort Extreme sur ce port si une carte optionnelle AirPort Extreme est installée dans votre Macintosh. Port d’antenne Bluetooth Si votre ordinateur est doté d’un module Bluetooth optionnel, branchez votre antenne Bluetooth® . Ports USB 2.0 Connectez votre Macintosh à des périphériques USB tels que claviers, souris, imprimantes, scanners, haut-parleurs, microphones et concentrateurs USB. Votre clavier Apple et votre moniteur peuvent également être équipés de ports USB. Ports FireWire 400 et 800 Le port FireWire 400 supporte des vitesses de transfert de 100, 200 et 400 Mbps. Le port FireWire 800 supporte des vitesses de transfert de 100, 200, 400 et 800 Mbps. Prise d’alimentation Branchez-y le câble d’alimentation de l’ordinateur. Capots d’accès aux logements d’extension PCI (3) Étendez les capacités de votre Macintosh en installant jusqu’à 3 cartes PCI (Peripheral Component Interconnect) dans les logements couverts numérotés 2, 3 et 4. Port de moniteur ADC Branchez un moniteur équipé d’un connecteur Apple Display Connector (ADC). Port optique de sortie audio numérique Reliez votre Macintosh à un récepteur ou à d’autres périphériques audio numériques. Port optique d’entrée audio numérique Reliez votre Macintosh à des périphériques audio numériques, tels que lecteurs CD et minidisque. - Port analogique de sortie audio Il permet de connecter des équipements MP3, CD et autres matériels audio à votre Macintosh. v Port analogique d’entrée audio Il permet de connecter des microphones et autres matériels audio à alimentation externe à votre Macintosh. G Port Ethernet paire torsadée 10/100/1000 Connectez votre Macintosh à un réseau Ethernet grande vitesse pour accéder à Internet ou à des ressources du réseau tels que des imprimantes ou des serveurs et partager des informations à travers le réseau. W Port de modem interne Connectez à une ligne téléphonique ordinaire si votre Macintosh est doté d’un modem interne 56K V.92 optionnel.18 Chapitre 1 Installation Intérieur de votre Power Mac G5 : options d’extension interne de votre ordinateur Baie de disque dur inférieure Lecteur optique Baie de disque dur supérieure Logement 1 : logement AGP 8X Pro (graphics card installed) Logements SDRAM DDR (4 ou 8 logements, selon le modèle) Logements 2–4 : logements PCI ou PCI-X (selon le modèle) Pile Connecteur de carte AirPort ExtremeChapitre 1 Installation 19 Lecteur optique Votre ordinateur possède soit un lecteur Combo (DVD-ROM/CD-RW) soit un lecteur-graveur SuperDrive (DVD-R/CD-RW). Pour plus d’informations sur le lecteur optique, voir “Utilisation de votre lecteur optique” à la page 34. Pile Votre ordinateur utilise une pile qu’il n’est nécessaire de remplacer que très rarement. Si votre ordinateur a des problèmes au démarrage ou que la date et l’heure du système sont souvent incorrectes, c’est qu’il est peut-être souhaitable que vous remplaciez la pile. Pour plus d’informations, consultez la section “Remplacement de la pile” à la page 70. Connecteur de la carte AirPort Extreme Connectez la carte AirPort Extreme, qui permet à votre ordinateur de communiquer avec un réseau sans fil. Pour en savoir plus, reportez-vous à la “Installation d’une carte AirPort Extreme” à la page 69. Logements de mémoire SDRAM DDR Augmentez la mémoire de votre ordinateur jusqu’à 4 ou 8 giga-octets (Go), selon votre modèle d’ordinateur. L’ajout se fait par insertion de paires de modules DIMM DDR SDRAM dans les logements mémoire. Pour plus d’informations, consultez la section “Installation de mémoire” à la page 49. Baies de disque dur Votre ordinateur est fourni avec un disque dur, installé dans la baie de disque dur supérieure. Vous pouvez installer un disque dur supplémentaire dans la baie de disque dur inférieure. Votre ordinateur accepte jusqu’à deux disques Serial ATA. Pour plus d’informations, consultez la section “Installation d’unités de stockage internes” à la page 56. Logements PCI ou PCI-X Selon le modèle, votre ordinateur dispose de logements d’extension PCI ou PCI-X, avec un total de trois logements. Vous pouvez installer des cartes PCI dans les logements 2 à 4 pour étendre les possibilités de votre ordinateur. Pour plus d’informations, consultez la section “Installation d’une carte d’extension PCI ou remplacement de la carte AGP” à la page 64. Logement de carte AGP 8X Pro Connectez votre moniteur à la carte insérée dans le logement AGP 8X Pro (advanced graphics port), qui fournit la puissance nécessaire au traitement rapide des graphiques. Vous pouvez aussi connecter un moniteur muni d’un connecteur de moniteur Apple (ADC) ou d’un connecteur d’interface visuelle numérique (DVI). 20 Chapitre 1 Installation Informations supplémentaires Pour obtenir davantage d’informations, consultez les sections suivantes : Pour en savoir plus sur... Consultez la section... L’extinction ou la suspension d’activité de votre ordinateur “Procédure à suivre lorsque vous avez fini de travailler” à la page 12. Utilisation d’une caractéristique matérielle spécifique de votre Power Mac G5 le chapitre 2, “Utilisation de votre ordinateur”, à la page 21. Installation de disques durs, de lecteurs, de mémoire et de cartes supplémentaires ou remplacement de la pile le chapitre 3, “Interventions à l’intérieur de l’ordinateur”, à la page 43. Que faire en cas de problème vous empêchant d’utiliser votre ordinateur le chapitre 4, “Dépannage”, à la page 73. Installation de la gestion de Classic pour utiliser les applications Mac OS 9 avec votre ordinateur le chapitre 4, “Dépannage”, à la page 73 Connexion de votre ordinateur à Internet l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 93.2 21 2 Utilisation de votre ordinateur Ce chapitre fournit des instructions concernant l’utilisation des fonctions importantes de votre ordinateur Power Mac G5, notamment le clavier, la souris, les ports FireWire, USB, audio, la technologie sans fil Bluetooth et la mise en réseau. Ce chapitre fournit des explications sur les sujets suivants : • “Utilisation de votre clavier Apple” à la page 22 • “Utilisation de votre souris Apple Mouse” à la page 23 • “Branchement d’un second moniteur” à la page 23 • “Connexion d’un téléviseur, d’un magnétoscope ou de tout autre appareil vidéo” à la page 24 • “Utilisation de l’Universal Serial Bus (USB)” à la page 26 • “Utilisation de FireWire” à la page 28 • “Utilisation des périphériques audio” à la page 30 • “Utilisation de appareils Bluetooth” à la page 32 • “Utilisation de votre lecteur optique” à la page 34 • “Utilisation de votre modem” à la page 36 • “Connexion à un réseau Ethernet” à la page 37 • “Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort” à la page 39 • “Suspension de l’activité de l’ordinateur pour économiser l’énergie” à la page 41 • “Transfert d’informations entre deux ordinateurs Macintosh” à la page 4222 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur Utilisation de votre clavier Apple Votre clavier Apple Keyboard dispose de touches de fonction préréglées pour les tâches récurrentes. Appuyez sur la touche d’éjection de disque ( ) pour éjecter les disques du lecteur optique. Appuyez sur les touches de hausse et de baisse du volume pour régler le son ou sur la touche Silence pour l’activer ou le désactiver. Utilisez les touches d’augmentation et de réduction de la luminosité pour régler la luminosité d’un moniteur Apple. Remarque : appuyez sur la touche F12 sur un clavier qui n’est pas de la marque Apple pour éjecter les disques du lecteur optique. Le clavier Apple est doté de deux ports Universal Serial Bus (USB) 1.1. Vous pouvez brancher le câble de votre souris ou d’autres périphériques USB dans les ports USB à l’arrière du clavier. Remarque : si vous avez acheté un clavier Apple Wireless Keyboard avec votre Power Mac G5, consultez les instructions livrées avec votre clavier pour obtenir de plus amples informations. Informations supplémentaires à propos de votre clavier Des informations supplémentaires sur votre clavier sont disponibles dans l’Aide Mac OS. Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez “clavier”. Touches de fonction Touche de baisse du volume -Touche d’augmentation du volume Touche de baisse de la luminosité Touche d’augmentation de la luminosité — Touche Silence Touche d’éjection de disque Câble clavier Ports USB Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 23 Utilisation de votre souris Apple Mouse Votre souris Apple Mouse utilise un système de repérage optique. Pour positionner le pointeur à l’aide de votre souris, déplacez celle-ci sur n’importe quelle surface adaptée, telle que le bureau, le tapis de souris ou toute autre surface granuleuse (certaines surfaces lisses et brillantes ne permettent pas un contrôle du pointeur aussi performant que d’autres). Pour cliquer sur un objet, appuyez une fois sur le corps de la souris jusqu’à ce que vous ressentiez un clic. Pour double-cliquer sur un élément, appuyez deux fois successivement et rapidement. Remarque : si vous avez acheté une souris Apple Wireless Mouse avec votre Power Mac G5, consultez les instructions livrées avec votre souris pour obtenir de plus amples informations. Informations supplémentaires à propos de votre souris Des informations supplémentaires sur votre souris sont disponibles dans l’Aide Mac OS. Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez “souris”. Branchement d’un second moniteur Vous pouvez connecter deux moniteurs à votre carte graphique et les utiliser simultanément. Si un deuxième moniteur est connecté, vous pouvez soit afficher la même image sur les deux moniteurs (mode miroir), soit utiliser le deuxième écran pour étendre la taille de votre bureau Mac OS X (mode bureau étendu). Il est nécessaire de disposer du câble approprié pour chaque moniteur à connecter. Pour utiliser plusieurs moniteurs : 1 Éteignez les moniteurs et votre ordinateur. 2 Branchez le câble vidéo de chaque moniteur au port approprié de la carte graphique. 3 Allumez les moniteurs et démarrez votre ordinateur. Pour régler les moniteurs, sélectionnez menu Pomme (K) > Préférences Système et cliquez sur Moniteurs. Si vous êtes en bout de course faute de place mais que vous voulez conserver le clic lorsque vous soulevez la souris, cliquez, puis appuyez sur les côtés avec le pouce et les doigts tandis que vous soulevez.24 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur Par défaut, votre ordinateur démarre en mode bureau étendu. Pour travailler en mode miroir, sélectionnez Pomme (K) > Préférences Système, cliquez sur Moniteurs et sélectionnez En miroir. Pour en savoir plus sur les moniteurs Pour obtenir des informations sur la connexion de votre moniteur, lisez les instructions d’installation dans le chapitre 1, “Installation”. L’Aide Mac OS fournit des informations supplémentaires sur l’utilisation et la configuration d’un moniteur externe. Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez “moniteur”. Connexion d’un téléviseur, d’un magnétoscope ou de tout autre appareil vidéo Vous pouvez connecter votre Power Mac G5 à une télévision, un magnétoscope, un projecteur ou un autre périphérique vidéo externe grâce à l’adaptateur DVI vers Vidéo, conçu pour être employé avec un Power Mac G5. Vous trouverez un adaptateur DVI vers Vidéo chez votre revendeur agréé Apple, dans un centre de distribution Apple ou en ligne sur Apple Store à l’adresse www.apple.com/store. Pour connecter un périphérique vidéo : 1 Éteignez le périphérique vidéo et votre ordinateur. 2 Connectez l’extrémité DVI de l’adaptateur DVI vers Vidéo au port DVI de la carte graphique de votre Power Mac G5. 3 Connectez l’autre extrémité de l’adaptateur au port vidéo composite (RCA) ou S-vidéo du téléviseur, du magnétoscope ou du projecteur. 4 Allumez le périphérique vidéo et démarrez votre ordinateur.Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 25 Pour ajuster l’image, sélectionnez menu Pomme (K) > Préférences Système, puis cliquez sur Moniteurs. Port d’affichage DVI Port de sortie S-vidéo Adapteur DVI vers Vidéo Port de sortie vidéo Composite26 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur Utilisation de l’Universal Serial Bus (USB) Votre Power Mac G5 est équipé de trois ports USB 2.0 ; un en façade et deux à l’arrière. Votre clavier Apple Keyboard possède également deux ports USB 1.1. Ces ports USB permettent de connecter de nombreux types de périphériques, notamment des imprimantes, des scanners, des appareils photo numériques, des microphones, des manettes de jeu, des claviers, des souris et des unités de stockage. La technologie USB facilite la connexion de périphériques externes. Dans la plupart des cas, vous pouvez connecter et déconnecter un périphérique USB pendant que l’ordinateur fonctionne. Vous pouvez utiliser les périphériques dès leur branchement, sans avoir à redémarrer votre ordinateur. Utilisation de périphériques USB Apple fournit d’origine des logiciels compatibles avec de nombreux périphériques USB. Dans la plupart des cas, il n’est pas nécessaire d’installer le pilote fourni avec le périphérique. Si vous connectez un périphérique USB et que votre Power Mac G5 ne trouve pas le pilote approprié, vous pouvez soit installer le pilote fourni avec le périphérique, soit vous adresser au fabricant du périphérique pour trouver, télécharger et installer le pilote approprié. Ports USB 2.0Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 27 Connexion de plusieurs périphériques USB Pour connecter plus de trois périphériques USB, vous pouvez vous procurer un concentrateur USB. Ce dernier se connecte à un port disponible de votre ordinateur et offre des ports USB supplémentaires (généralement quatre ou sept). Remarque : pour utiliser certains périphériques USB, il se peut que vous ayez besoin d’un concentrateur USB. Informations supplémentaires sur la technologie USB L’Aide Mac OS fournit des informations supplémentaires sur la technologie USB. Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez “USB”. Vous trouverez d’autres informations sur le site Web USB d’Apple, à l’adresse www.apple.com/usb. Pour obtenir des informations concernant les périphériques USB disponibles pour votre ordinateur, consultez le Guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/guide. Concentrateur USB28 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur Utilisation de FireWire FireWire est un système de transfert de données à haute vitesse qui vous permet de connecter et déconnecter aisément des périphériques tels que l’iPod, les caméras vidéonumériques (DV), les imprimantes, les scanners et les disques durs. Vous pouvez connecter et déconnecter des périphériques FireWire sans redémarrer votre ordinateur. Votre ordinateur est équipé de trois ports FireWire externes. • Deux ports FireWire 400, un en façade et un à l’arrière, acceptent un taux de transfert de données maximal de 400 mégabits par seconde (Mbps). • À l’arrière, un port rapide FireWire 800 accepte un taux de transfert de données maximal de 800 mégabits par seconde (Mbps). Le port FireWire 800 de votre Power Mac G5 peut transférer des données depuis des périphériques FireWire 800 Mbps bien plus rapidement qu’auparavant. Ce port est équipé d’un connecteur à 9 broches et est compatible avec les premiers périphériques FireWire, qui ont des connecteurs de 4 ou 6 broches. Avec un câble approprié, le port 9 broches est parfaitement compatible avec tous les périphériques FireWire. Des câbles sont disponibles pour connecter le port 9 broches à des périphériques 4, 6 ou 9 broches. Ports FireWire 400 Port FireWire 800 FireWire 400 (6 broches) FireWire 400 (4 broches) FireWire 800 (9 broches)Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 29 Utilisation de périphériques FireWire La technologie FireWire vous permet de : • Connecter une caméra vidéo numérique FireWire et capturer ou transférer directement de la vidéo de haute qualité vers ou à partir de votre ordinateur, puis d’utiliser ensuite un logiciel de montage vidéo tel que iMovie pour monter vos images vidéo. • Connecter un disque dur FireWire externe pour faire une copie de sauvegarde des données ou transférer des fichiers. Une unité de disque avec icône FireWire apparaît sur votre bureau une fois que vous connectez le disque dur à votre Power Mac G5. Certains disques durs FireWire sont alimentés via le câble FireWire, ce qui vous dispense de les brancher sur une source d’alimentation externe. • Si une défaillance empêche votre ordinateur de démarrer ou de transférer des fichiers, il est possible de connecter votre Power Mac G5 à un autre ordinateur via FireWire afin que votre Power Mac G5 apparaisse comme un disque dur externe sur l’autre ordinateur (fonctionnalité appelée mode disque cible FireWire). Consultez ci-dessous la section “Mode disque cible FireWire” pour plus d’informations. Pour utiliser un périphérique FireWire, connectez-le à l’ordinateur et installez les pilotes éventuellement fournis avec le périphérique. Votre ordinateur détecte automatiquement la connexion d’un nouveau périphérique. Pour démarrer à partir d’un disque dur FireWire sur lequel est installé Mac OS X, sélectionnez menu Pomme (K) > Préférences Système, cliquez sur Disque de démarrage et sélectionnez le disque dur FireWire. Si votre disque dur FireWire ne figure pas dans la liste ou que vous ne pouvez pas le sélectionner, contactez votre revendeur pour obtenir des pilotes mis à jour. Pour déconnecter votre disque dur FireWire en toute sécurité, faites glisser son icône dans la Corbeille avant de déconnecter le câble FireWire. Mode disque cible FireWire Si vous souhaitez transférer des fichiers de votre Power Mac G5 vers un autre ordinateur équipé de la technologie FireWire, ou que vous êtes confronté à un problème qui empêche le démarrage de votre ordinateur, utilisez le mode disque cible FireWire pour connecter votre Power Mac G5 à un autre ordinateur. Remarque : pour que votre Power Mac G5 puisse fonctionner en mode disque cible FireWire, l’ordinateur associé doit disposer de n’importe quelle version de Mac OS X ou de Mac OS 9 et de FireWire version 2.3.3 ou ultérieure. Utilisez Informations Système, dans les répertoires Applications/Utilitaires, pour vérifier la version de FireWire installée. Si l’autre ordinateur dispose d’une version antérieure, vérifiez s’il existe une mise à jour sur le site Web AppleCare Support à l’adresse www.apple.com/support. 30 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur Pour connecter votre Power Mac G5 en mode disque cible FireWire : 1 Éteignez votre Power Mac G5. 2 Utilisez un câble FireWire muni de connecteurs appropriés à 6 ou 9 broches à chaque extrémité pour connecter votre ordinateur à un autre ordinateur équipé de FireWire. 3 Démarrez ou redémarrez votre Power Mac G5 et maintenez immédiatement la touche T enfoncée. Le moniteur de votre Power Mac G5 affiche l’indicateur de mode du disque FireWire et l’icône du disque dur interne du Power Mac G5 apparaît sur le bureau de l’autre ordinateur. 4 Lorsque vous avez terminé le transfert de fichiers : sur l’autre ordinateur, glissez l’icône du disque dur Power Mac G5 jusqu’à la Corbeille pour démonter le disque. 5 Appuyez sur le bouton d’alimentation du Power Mac G5 pour éteindre ce dernier, puis déconnectez le câble FireWire. Informations supplémentaires sur la technologie FireWire Des informations supplémentaires relatives à FireWire sont disponibles sur le site Web FireWire d’Apple à l’adresse www.apple.com/firewire. Vous trouverez également des informations dans l’Aide Mac OS. Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez “FireWire”. Pour obtenir des informations sur les périphériques FireWire disponibles pour votre ordinateur, consultez le Guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/guide. Utilisation des périphériques audio Votre Power Mac G5 est doté de nombreux dispositifs audio, notamment une prise casque en façade, ainsi que des ports de sortie audio numérique, entrée audio numérique optique, sortie audio analogique et entrée audio analogique à l’arrière. Ports audio numérique optique Un câble numérique optique ou Toslink permet de connecter un lecteur Digital Audio Tape (DAT) ou un lecteur CD au port d’entrée audio numérique optique, pour enregistrer et mixer votre propre musique. Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 31 Vous pouvez également brancher un récepteur audio ou audiovisuel (AV) au port de sortie audio numérique optique pour construire un système home cinema à partir du Power Mac G5. Prise pour écouteurs Sur l’ordinateur, la prise pour écouteurs est prévue pour brancher des écouteurs. Lorsqu’une prise y est insérée, votre haut-parleur intégré est désactivé. Important : ne branchez pas de périphériques de sortie dans la prise pour écouteurs. Utilisez pour cela le port de sortie analogique à l’arrière. Ports audio analogique Au dos de l’ordinateur, les mini-jacks d’entrée et sortie analogique permettent de connecter un microphone externe ou d’autres équipements audio. Pour sélectionner le périphérique audio d’entrée ou de sortie à employer, utilisez la fenêtre Son des Préférences Système. Port optique d’entrée audio numérique Port optique de sortie audio numérique Câble optique numérique Câble optique numérique Récepteur AV Vers haut-parleurs ou autres sorties Lecteur CD ou autre source numérique32 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur Utilisation de appareils Bluetooth Votre Power Mac G5 peut se connecter et transférer des informations vers des périphériques exploitant la technologie sans fil Bluetooth® , comme le clavier et la souris sans fil d’Apple, des téléphones portables, des assistants numériques personnels (PDA) et des imprimantes, ce qui permet ainsi d’éliminer les câbles servant traditionnellement à relier les périphériques. Les périphériques Bluetooth peuvent communiquer entre eux dans un rayon de 10 mètres. Si votre ordinateur est fourni avec un module Bluetooth intégré, assurez-vous de branchez l’antenne Bluetooth accompagnant votre ordinateur dans le port d’antenne Bluetooth ( ) à l’arrière de l’ordinateur. La petite antenne cylindrique Bluetooth permet la réception des périphériques Bluetooth. Insérez l’antenne Bluetooth dans le port prévu à cet effet.Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 33 Voici quelques activités réalisables avec la technologie sans fil Bluetooth : • Utiliser un clavier Apple Wireless Keyboard ou une souris Apple Wireless Mouse avec votre Power Mac G5. • Communiquer avec votre assistant personnel (PDA). Exécuter une opération HotSync sans fil ou transmettre votre carte de visite ou encore des événements de calendrier directement sur le PDA d’un collègue. • Utiliser votre Power Mac G5 pour communiquer avec un téléphone mobile compatible avec la technologie Bluetooth. Utiliser iSync pour mettre à jour votre téléphone avec les informations de contact du Carnet d’adresses de votre Macintosh. Si votre Power Mac G5 n’est pas équipé d’un module Bluetooth, vous pouvez télécharger le logiciel Bluetooth et connecter un adaptateur USB Bluetooth externe d’une autre marque à l’un des ports USB disponibles sur votre ordinateur. Pour plus d’informations sur la technologie sans fil Bluetooth Si votre ordinateur a été livré avec un module Bluetooth intégré, vous pouvez obtenir de l’aide sur l’utilisation de la technologie Bluetooth en ouvrant l’application Échange de fichiers Bluetooth (dans le répertoire Applications/Utilitaires) et en sélectionnant Aide Bluetooth dans le menu Aide. Vous trouverez d’autres informations sur le site Web Bluetooth d’Apple, à l’adresse www.apple.com/bluetooth. Important : les modules Bluetooth ne peuvent pas être installés par l’utilisateur. Si vous avez acheté un Power Mac G5 sans module Bluetooth, vous pouvez acheter un adaptateur externe Bluetooth USB chez votre revendeur agréé Apple, dans un centre de distribution Apple ou en ligne sur Apple Store à l’adresse www.apple.com/store.34 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur Utilisation de votre lecteur optique Votre lecteur optique permet d’installer ou d’exécuter des applications à partir de CD ou DVD. Il permet également de lire des données multimédia à partir de CD, d’écouter de la musique à partir de CD audio, de graver de la musique, des documents et autres fichiers numériques sur des disques CD-R ou CD-RW. Vous pouvez également lire des films DVD et utiliser la plupart des disques DVD. Si votre ordinateur est équipé d’un graveur SuperDrive, vous pouvez enregistrer des informations sur disques DVD-R (DVD enregistrables) vierges. Remarque : si vous disposez de logiciels anciens stockés sur disquettes, contactez les éditeurs concernés pour savoir s’il existe des versions disponibles sur CD ou achetez un lecteur de disquettes USB externe adapté à votre Power Mac G5 chez votre distributeur agréé Apple, dans un centre de distribution Apple ou sur le site Apple Store à l’adresse www.apple.com/store. Insertion d’un disque Pour installer ou utiliser des programmes à partir de CD ou de DVD : 1 L’ordinateur étant allumé, ouvrez le lecteur en appuyant sur la touche d’éjection de disque ( ) de votre clavier Apple Pro Keyboard. 2 Placez un disque sur le plateau en veillant à le poser bien à plat, étiquette vers le haut. 3 Appuyez à nouveau sur la touche d’éjection de disque ( ) ou poussez doucement le plateau afin de le fermer. Dès que l’icône du disque s’affiche à l’écran, le disque est prêt à être utilisé. Éjection d’un disque Vous pouvez éjecter un disque soit en glissant son icône dans la Corbeille, soit en appuyant sur la touche d’éjection de disque ( ) de votre clavier Apple. Vous pouvez également éjecter un disque en maintenant le bouton de la souris enfoncé lors du redémarrage de votre ordinateur.Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 35 Enregistrement d’informations sur CD Votre lecteur optique permet de graver vos morceaux de musique, programmes et fichiers favoris sur des disques CD-R et CD-RW. Créez vos propres CD de musique et écoutez-les sur n’importe quel lecteur audio standard. Vous pouvez également enregistrer des fichiers informatiques, tels que des applications, des documents ou autres fichiers numériques sur un CD enregistrable. Avec les disques enregistrables CD-R (CD enregistrable), vous ne pouvez enregistrer les informations qu’une seule fois. Bien que vous ne puissiez pas modifier les informations enregistrées, vous avez peut-être la possibilité d’ajouter des informations jusqu’à ce que le disque soit plein, selon l’application utilisée. Pour obtenir des informations spécifiques concernant l’enregistrement sur votre disque CD-R, reportez-vous à la documentation fournie avec votre application. Il est préférable d’utiliser des disques CD-R pour graver des CD audio, car il se peut que votre lecteur CD ne puisse pas lire les disques CD-RW (disques réenregistrables). Avec les disques CD-RW, vous pouvez sauvegarder et modifier des informations sur un même CD à l’infini. Toutefois, certains logiciels conçus pour enregistrer des fichiers multimédia sur CD ne peuvent enregistrer qu’une seule fois des données sur un disque. Pour enregistrer de la musique provenant de la bibliothèque iTunes sur un CD-R : 1 Ouvrez iTunes (cliquez sur son icône dans le Dock). 2 Sélectionnez la liste de lecture à enregistrer. 3 Insérez un disque CD-R vierge. 4 Cliquez sur le bouton Graver le CD, en haut de la fenêtre iTunes. Pour enregistrer des données sur un CD-R à partir du Finder : 1 Insérez un disque CD-R vierge. 2 Dans la boîte de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque et sélectionnez le format souhaité. Une icône correspondant au CD apparaît sur le bureau. 3 Double-cliquez sur l’icône du CD, puis glissez-y des fichiers et des dossiers. 4 Choisissez Fichier > Graver le disque ou sélectionnez le disque, puis glissez-le sur l’icône “Graver le disque” située dans le Dock. Pour savoir comment faire afin d’enregistrer des fichiers musicaux sur un CD avec iTunes, consultez l’Aide iTunes. Ouvrez iTunes (dans Applications) et sélectionnez Aide > Aide iTunes et Music Store.36 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur Enregistrement d’informations sur un DVD Si vous disposez d’un SuperDrive, vous pouvez enregistrer un DVD interactif avec vos propres films numériques sur un disque DVD-R (DVD enregistrable) vierge. Vous pouvez également enregistrer d’autres types de données numériques sur les disques DVD-R afin, par exemple, de sauvegarder des fichiers. Toutefois, une fois que vous avez enregistré des informations sur un disque DVD-R, elles ne peuvent plus être écrasées. Avec les applications telles que iDVD ou DVD Studio Pro, vous pouvez créer votre propre projet DVD personnalisé, le graver sur un disque DVD-R et le lire sur la plupart des lecteurs DVD standards. Pour graver un disque avec iDVD : 1 Ouvrez iDVD ainsi que votre projet DVD final. 2 Cliquez sur le bouton Graver le DVD. 3 Insérez un disque DVD-R vierge dans le graveur dès qu’un message vous y invite. 4 Cliquez de nouveau sur le bouton Graver le DVD. Pour graver des données sur un DVD-R à partir du Finder : 1 Insérez un disque DVD-R vierge dans le graveur. 2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque et sélectionnez le format souhaité. Une icône représentant le DVD apparaît sur le bureau. 3 Double-cliquez sur l’icône du DVD, puis glissez-y des fichiers et des dossiers. 4 Choisissez Fichier > Graver le disque ou sélectionnez le disque, puis glissez-le sur l’icône “Graver le disque” située dans le Dock. Pour plus d’informations sur iDVD, ouvrez iDVD (dans Applications) et sélectionnez l’Aide iDVD dans le menu Aide. Utilisation de votre modem Votre Macintosh peut être fourni avec un modem interne 56 K Apple. Pour connecter le modem interne 56K Apple, branchez l’une des extrémités du câble modem ou du câble RJ-11 sur le port du modem qui se trouve à l’arrière de l’ordinateur et l’autre extrémité sur une prise téléphonique RJ-11 standard. Port modem Icône du port modemChapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 37 Important : veillez à connecter le modem interne à une ligne téléphonique analogique (type le plus répandu chez les particuliers). S’il est branché sur une ligne téléphonique numérique, le modem ne fonctionnera pas et risquera même d’être endommagé. Pour obtenir des informations sur la manière d’établir une connexion à Internet, consultez l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 93. Des informations supplémentaires à propos du modem interne sont également disponibles dans l’Aide Mac OS. Connexion à un réseau Ethernet Votre ordinateur comprend des fonctionnalités intégrées de mise en réseau Ethernet par câbles à paires torsadées à un débit de 10/100/1000 mégabits par seconde (Mbps). Vous pouvez les utiliser pour vous connecter à un réseau, à un modem câble ou à un modem DSL. La connexion à un réseau vous donne accès à d’autres ordinateurs Elle vous permet de stocker et de récupérer des informations, d’utiliser les imprimantes d’un réseau et une messagerie électronique ou de vous connecter à Internet. Vous pouvez également utiliser Ethernet pour partager des fichiers entre deux ordinateurs ou établir un petit réseau. Si vous vous connectez à un réseau existant, vous pouvez obtenir des renseignements sur le réseau lui-même et sur les logiciels nécessaires à son utilisation auprès de l’administrateur de réseau qui supervise son fonctionnement. Avant de commencer, identifiez votre administrateur de réseau. Suivez les instructions ci-après lorsque vous choisissez un câble pour votre réseau : Connexion à un réseau Ethernet à paires torsadées Vous pouvez vous connecter directement à un réseau Ethernet 10/100/1000 à paires torsadées. Remarque : vous pouvez également connecter votre ordinateur à un réseau Ethernet utilisant des câbles coaxiaux fins. Pour cela, procurez-vous un adaptateur coaxial fin RJ-45 (disponible auprès d’autres fabricants). Adressez-vous à votre revendeur agréé Apple pour plus d’informations sur les adaptateurs de support Ethernet. Avertissement : par temps d’orage, déconnectez votre modem de la prise téléphonique pour éviter qu’il ne soit endommagé par une surcharge de tension. Type de port Ethernet à paires torsadées Types de câbles à paires torsadées à utiliser 10 Mbps Classe 3, 5 ou 6 100/1000 Mbps Classe 5 ou 638 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur Pour connecter votre Macintosh à un réseau centralisé Ethernet 10/100/1000 à paires torsadées : 1 Connectez l’extrémité d’un câble à paire torsadée RJ-45 au port Ethernet de votre Macintosh. 2 Connectez l’autre extrémité à une prise murale RJ-45 ou à un concentrateur externe Ethernet RJ-45 relié à un réseau Ethernet à paires torsadées. Après avoir démarré l’ordinateur, vous devez configurer votre logiciel de connexion au réseau. Votre administrateur de réseau peut vous fournir les informations nécessaires. Vous pouvez également obtenir de l’aide pour la configuration de votre logiciel de réseau en consultant l’Aide Mac OS dans le menu Aide. Pour configurer les réglages Réseau : 1 Sélectionnez menu Pomme (K) > Préférences Système puis cliquez sur Réseau. 2 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Ethernet intégré. 3 Cliquez sur l’onglet TCP/IP et saisissez les informations concernant votre réseau. Par défaut, le réglage est Configurer : Via DHCP. 4 Cliquez sur Appliquer. Port Ethernet (Ethernet à paire torsadée) Prise murale RJ-45 Câble Ethernet à paire torsadée Commutateur ou concentrateur EthernetChapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 39 Informations supplémentaires sur l’utilisation d’Ethernet Des informations supplémentaires, y compris sur la configuration d’un réseau Ethernet ou le transfert de fichiers via Ethernet, sont disponibles dans l’Aide Mac OS. Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez “Ethernet” ou “réseau”. Pour plus d’informations sur la mise en réseau de votre Power Mac G5, consultez le Support AppleCare à l’adresse www.apple.com/support. Pour des informations sur les produits de mise en réseau que vous pouvez utiliser avec votre Power Mac G5, consultez le Guide des Produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/guide. Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort AirPort constitue une méthode simple et peu coûteuse pour établir un accès sans fil à Internet à partir de n’importe quel endroit dans une maison, un bureau ou une salle de classe. Au lieu de faire appel à des câbles classiques, AirPort utilise la technologie de réseau local (LAN) sans fil permettant une communication sans fil entre plusieurs ordinateurs. Un réseau sans fil vous permet d’établir un accès à Internet, de transférer des fichiers, de jouer à plusieurs, etc. Votre Power Mac G5 est préconfiguré pour l’utilisation d’AirPort. La seule chose que vous avez à ajouter est une carte AirPort Extreme. Voir “Installation d’une carte AirPort Extreme” à la page 69. Vous devez installer cette dernière dans un logement à l’intérieur de l’ordinateur, la connecter directement à l’extrémité d’un fil d’antenne intégré et installer une antenne AirPort. Pour obtenir des instructions sur l’utilisation de votre carte AirPort Extreme, consultez la brochure fournie avec votre carte et intitulée À propos de votre carte AirPort Extreme . Connexions sans fil à un réseau En installant une carte AirPort Extreme, vous pourrez : • Connecter votre ordinateur à un réseau disposant d’un accès sans fil. • Utiliser votre ordinateur pour permettre à d’autres ordinateurs d’accéder au réseau à l’aide de cartes de communication sans fil. • Établir une connexion sans fil et partager des données avec un autre ordinateur équipé d’une carte AirPort, une carte sans fil 802.11b ou une carte sans fil 802.11g. Pour plus d’informations sur la zone de couverture du point d’accès sans fil au réseau, adressez-vous à l’administrateur de réseau. Si votre ordinateur a été fourni avec une carte AirPort Extreme ou que vous en installez une, vous devez également installer dans le port d’antenne AirPort l’antenne AirPort fournie avec votre ordinateur( ) à l’arrière de l’ordinateur. Pour toute information supplémentaire, consultez la section “Installation d’une carte AirPort Extreme” à la page 69.Fonctionnement de l’accès sans fil à Internet via AirPort Le système AirPort permet d’établir une connexion sans fil avec un appareil appelé borne d’accès qui dispose, lui, d’une connexion physique à Internet. La technologie AirPort fonctionne comme un téléphone sans fil. Le combiné du téléphone établit une connexion sans fil avec la base qui est reliée à la ligne téléphonique. De même, votre ordinateur établit une connexion sans fil avec la borne qui est connectée à la ligne téléphonique ou à votre réseau Ethernet. Remarque : la carte Airport Extreme est compatible avec toutes les versions de la borne d’accès Airport. Important : plusieurs types d’objets placés près de l’ordinateur peuvent provoquer des interférences. Pour des informations sur la façon d’éviter les interférences, reportezvous aux instructions accompagnant la carte AirPort Extreme ou la borne d’accès AirPort Extreme. Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site d’assistance AppleCare à l’adresse www.apple.com/support. Borne d’accès AirPort Extreme Connexion téléphonique ou Ethernet Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 41 Informations supplémentaires sur AirPort Pour acheter une carte ou une borne d’accès AirPort Extreme, rendez-vous dans un centre de distribution Apple, contactez votre distributeur agréé Apple ou consultez le site Apple Store à l’adresse www.apple.com/store. Pour plus d’informations sur AirPort, recherchez le terme “AirPort” dans l’Aide Mac OS. Vous pouvez également trouver des informations sur le site Web AirPort d’Apple à l’adresse www.apple.com/airport. Suspension de l’activité de l’ordinateur pour économiser l’énergie Les ordinateurs Power Mac G5 sont configurés de manière à suspendre leur activité après une période d’inactivité. La suspension d’activité permet à votre ordinateur de consommer un minimum d’énergie. L’activité de l’ordinateur peut être suspendue à tout moment. Remarque : les ordinateurs Power Mac G5 sont réglés pour suspendre leur activité automatiquement après 15 minutes d’inactivité. Vous pouvez toutefois modifier les réglages de suspension d’activité automatique dans Préférences Système. À la réactivation de l’ordinateur, vos programmes, documents et réglages d’ordinateur réapparaissent exactement tels que vous les aviez laissés. Pour économiser davantage d’énergie, éteignez votre ordinateur lorsqu’il n’est pas utilisé. Vous pouvez utiliser une des méthodes suivantes pour mettre votre ordinateur en veille : • Appuyez sur le bouton d’alimentation situé à l’avant de l’ordinateur. • Choisissez menu Pomme (K) > Suspendre l’activité. • Sélectionnez menu Pomme (K) > Préférences Système, cliquez sur Économiseur d’énergie et choisissez un délai de suspension d’activité. Lorsque l’activité de l’ordinateur est suspendue, le témoin d’alimentation situé sur le panneau avant clignote. Pour réactiver l’ordinateur, appuyez sur le bouton d’alimentation en façade ou appuyez sur une touche du clavier. Vous pouvez également appuyer sur le bouton d’alimentation de certains moniteurs Apple pour suspendre l’activité de l’ordinateur ou le réactiver. Les cartes PCI ou les cartes de rechange AGP ne sont pas toutes conformes aux normes de consommation électrique de l’ordinateur. Si vous installez une carte non-conforme, l’ordinateur pourra toujours suspendre son activité, mais il se peut que les économies d’énergie obtenues ne soient pas optimales. Pour plus d’informations sur les options d’économie d’énergie, consultez l’Aide Mac OS.42 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur Transfert d’informations entre deux ordinateurs Macintosh Si deux ordinateurs Macintosh ne sont pas connectés via un réseau Ethernet, AirPort ou Bluetooth, vous pouvez transférer des informations de l’un à l’autre en les reliant à l’aide d’un câble Ethernet Cat 5 standard (créant ainsi un mini réseau constitué de deux ordinateurs). Ce type de câble est disponible auprès d’un revendeur agréé Apple. Branchez le câble sur chaque port Ethernet de votre ordinateur et activez le partage de fichiers sur les deux ordinateurs. Vous pouvez également configurer les réglages Ethernet sur les deux ordinateurs pour créer un petit réseau. Vous devez d’abord activer le partage de fichiers sur les deux ordinateurs : 1 Choisissez menu Pomme (K) > Préférences Système. 2 Cliquez sur Partage, puis sur Démarrer. 3 Ouvrez les préférences Réseau, sélectionnez AppleTalk, puis Activer AppleTalk” Ensuite, procédez comme suit sur un seul ordinateur : 1 Choisissez Aller > “Se connecter au serveur”. 2 Cliquez sur Réseau local. 3 Sélectionnez l’ordinateur auquel vous souhaitez avoir accès. Pour plus d’informations sur la configuration Ethernet, recherchez “Ethernet“ dans l’Aide Mac OS. Si vous disposez d’un réseau sans fil Bluetooth ou AirPort, vous pouvez aussi transférer des informations entre deux ordinateurs Macintosh. Pour plus d’informations sur les réseaux sans fil AirPort ou Bluetooth, recherchez “AirPort” ou “Bluetooth” dans l’Aide Mac OS. Vous pouvez également connecter deux ordinateurs Macintosh à l’aide d’un câble FireWire. Cela vous permet d’utiliser le mode disque cible FireWire pour transférer des fichiers d’un ordinateur à l’autre. Pour plus d’informations, consultez la section “Mode disque cible FireWire” à la page 29. Si vous disposez d’une connexion à Internet, vous pouvez également transférer des fichiers via le Web vers votre iDisk .Mac, d’où ils peuvent être téléchargés par vous ou par un autre utilisateur .Mac.3 43 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur Vous pouvez personnaliser et accroître les capacités de votre Power Mac G5 selon vos besoins. Ce chapitre fournit des informations et des instructions sur les interventions à l’intérieur de votre ordinateur et présente les procédures suivantes : • “Ouverture de l’ordinateur” à la page 44 • “Installation de mémoire” à la page 49 • “Installation d’unités de stockage internes” à la page 56 • “Installation d’une carte d’extension PCI ou remplacement de la carte AGP” à la page 64 • “Installation d’une carte AirPort Extreme” à la page 69 • “Remplacement de la pile” à la page 70 Avertissement : Apple recommande de faire appel à un technicien agréé Apple pour l’installation de modules de mémoire, de cartes d’extension PCI et d’unités de stockage internes. Consultez les informations relatives à l’assistance et à la maintenance fournies avec l’ordinateur pour savoir comment joindre un fournisseur de services agréé Apple. Si vous tentez d’installer vous-même ces composants, vous risquez d’endommager votre système et les dommages ne seront pas couverts par la garantie limitée de votre ordinateur. Adressez-vous à un revendeur ou à un centre de maintenance agréé Apple pour toute information complémentaire sur l’étendue de la garantie.44 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur Ouverture de l’ordinateur 1 Avant d’ouvrir votre ordinateur, éteignez-le en sélectionnant le menu Pomme (K) > Éteindre. 2 Patientez 5 à 10 minutes, le temps que les composants internes de l’ordinateur refroidissent. 3 Touchez les couvercles métalliques d’accès PCI de l’arrière de l’ordinateur pour décharger l’énergie statique que peut emmagasiner votre corps. Important : veilllez à toujours vous décharger de l’électricité statique que vous êtes susceptible d’avoir accumulé avant de toucher ou d’installer tout composant à l’intérieur de l’ordinateur. Pour éviter de générer de l’électricité statique, ne vous déplacez pas dans la pièce avant d’avoir achevé l’installation du composant concerné et d’avoir refermé l’ordinateur. Avertissement : veillez à toujours éteindre votre Power Mac G5 avant de l’ouvrir pour éviter d’endommager ses composants internes ou les composants à installer. N’ouvrez pas votre ordinateur et n’essayez pas d’y installer des composants s’il est allumé. Avertissement : même une fois votre ordinateur éteint, les composants internes peuvent être très chauds. Laissez refroidir l’ordinateur avant de continuer. Touchez la partie métallique des capots d’accès aux ports PCI.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 45 4 Débranchez tous les câbles de l’ordinateur, excepté le câble d’alimentation. 5 Tenez le panneau latéral et soulevez le loquet à l’arrière de l’ordinateur. Avertissement : débranchez toujours votre Power Mac G5 pour éviter d’endommager ses composants internes ou ceux que vous souhaitez installer. N’essayez pas d’installer des composants dans l’ordinateur quand il est branché. Tout en maintenant le panneau latéral, soulevez la languette.46 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 6 Enlevez le panneau latéral. Important : lorsque vous ôtez le panneau latéral, tenez-le fermement. Écartez la partie supérieure du panneau de l’ordinateur et soulevez-la pour l’extraire.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 47 7 Démontez le déflecteur d’air et placez-le sur un tissu doux et propre. Important : n’oubliez pas de replacer le déflecteur d’air à la fin de l’intervention à l’intérieur de l’ordinateur. Votre ordinateur ne fonctionnera pas correctement sans le déflecteur d’air. Pour retirer l’extracteur d’air de l’ordinateur, soulevez-le et ôtez-le en tirant au niveau de l’alvéole.48 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 8 Tirez le ventilateur de façade par la poignée pour l’enlever de l’ordinateur. Mettez-le de côté. Remarque : il est inutile de démonter le ventilateur de façade pour installer des disques durs, des cartes PCI et AGP, ou pour remplacer la pile. Retirez le ventilateur de l’ordinateur.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 49 Installation de mémoire Selon le modèle, votre Power Mac G5 est doté de quatre ou huit logements pour modules DIMM de mémoire SDRAM DDR. Votre ordinateur est fourni avec au minimum 256 Mo de mémoire RAM, installée sous forme d’une paire de modules DIMM de 128 Mo dans deux des logements DIMM. Vous pouvez installer des paires supplémentaires de DIMM dans les logements DIMM disponibles sur la carte mère de votre ordinateur. Les modules DIMM doivent être installées par paires de capacité identique et se conformer aux caractéristiques suivantes : • 400 MHz, PC 3200 DIMM • 2,5 volts (V) • Module 184 broches • Nombre maximal d’éléments de mémoire sur la SDRAM DDR : 16 • Sans parité • Sans code de correction d’erreurs • Sans tampon ; n’utilisez pas de SDRAM DDR enregistrée ou avec tampon. Important : il se peut que la mémoire provenant d’anciens ordinateurs Macintosh ne soit pas compatible avec votre Power Mac G5. Remarque : lorsque vous achetez de la mémoire SDRAM DDR pour ordinateurs Macintosh, assurez-vous qu’elle est conforme aux spécifications JEDEC (Joint Electron Device Engineering Council). Vérifiez auprès de votre vendeur que la mémoire SDRAM DDR gère les modes d’horloge adéquats et que la fonction SPD (Serial Presence Detect) a été correctement programmée, conformément aux spécifications JEDEC. Pour vérifier la comptabilité de vos modules DIMM SDRAM DDR, consultez le guide des produits Macintosh sur le site Web d’Apple, à l’adresse www.apple.com/guide. Vous pouvez acheter de la mémoire de marque Apple sur le site Web Apple Store, à l’adresse store.apple.com.50 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur Pour installer de la mémoire : 1 Ouvrez votre ordinateur, démontez le panneau latéral, le déflecteur d’air et le ventilateur en suivant les instructions commençant la page 44. 2 Localisez les logements DIMM dans l’ordinateur. Important : installez toujours les DIMM par paires de capacité égale et dans l’ordre indiqué par l’illustration ci-dessus. Quel que soit le nombre de logements de mémoire SDRAM fourni avec votre ordinateur, les modules DIMM SDRAM doivent être installés par pair (un DIMM par banque). Des modules DIMM sont déjà installés dans ces deux logements. Installez d’abord les modules supplémentaires dans les deux logements suivants. Si des logements sont disponibles et que vous désirez plus de mémoire, installez les modules DIMM supplémentaires de la même manière : par pairs, un par banque, du centre vers l’extérieur. Banque 1 Banque 2Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 51 3 Ouvrez les éjecteurs des logements DIMM en les écartant. 4 Placez une main à l’arrière de l’ordinateur pour le maintenir, positionnez le premier DIMM dans le logement et poussez les deux extrémités du DIMM vers le bas jusqu’à ce que les languettes soient en position verticale et que les éjecteurs reprennent leur place. Important : ne touchez pas aux connecteurs du module DIMM. Manipulez le module DIMM en le tenant uniquement par les bords. 5 Positionnez le second DIMM dans le logement opposé et poussez jusqu’à ce que les éjecteurs reprennent leur place. Modules DIMM DDR SDRAM (La forme et les composants des modules DIMM peuvent varier.) L'insertion des modules DIMM DDR SDRAM dans le logement ne s’effectue que de la manière suivante : alignez l’entaille du module DIMM avec l’épaulement situé à l’intérieur du logement, puis une fois les éjecteurs ouverts (comme illustré ci-contre), enfoncez le module DIMM jusqu'à ce qu'il se mette en place. Les éjecteurs se ferment alors automatiquement. Connecteurs Entaille Logement DDR SDRAM Éjecteurs (Ils doivent être enfoncés vers l’extérieur, comme indiqué ci-dessus, pour être en position fermée.) Pour vous assurer que les modules DIMM sont correctement installés dans leur logement, maintenez d’une main l’ordinateur afin d’empêcher tout mouvement de ce dernier, puis enfoncez fermement avec l’autre main le module DIMM dans son logement. Votre ordinateur est équipé de 4 ou 8 logements DDR SDRAM, selon le modèle. Épaulement (à l’intérieur du logement)52 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 6 Replacez le ventilateur de façade en le repoussant fermement dans l’ordinateur via la poignée, jusqu’à connexion. Important : vérifiez que le ventilateur est inséré dans le connecteur sous peine que votre ordinateur ne fonctionne pas correctement. Tirez légèrement sur le ventilateur pour voir s’il est correctement connecté. S’il résiste et reste en place, c’est qu’il est correctement branché. Glissez la saillie en plastique du ventilateur dans la partie découpée de la cloison métallique située à l’intérieur de l’ordinateur. Le ventilateur doit être inséré dans ce connecteur.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 53 7 Replacez le déflecteur d’air. Important : n’oubliez pas de replacer le déflecteur d’air. Votre ordinateur ne fonctionnera pas correctement si le déflecteur d’air n’est pas en place. Insérez les trois languettes du déflecteur d’air dans les logements prévus à cet effet, puis mettez-le en place.54 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 8 Replacez le panneau latéral. Important : replacez toujours le panneau latéral avant de démarrer votre ordinateur. Votre ordinateur ne fonctionnera pas correctement si le panneau latéral n’est pas en place. Insérez le panneau latéral dans le logement de l’ordinateur prévu à cet effet, puis remettez en place le panneau latéral.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 55 9 Poussez le loquet vers le bas pour verrouiller le panneau latéral. Important : lorsque vous replacez le panneau latéral, maintenez-le bien de façon qu’il reste bien en place lorsque vous abaissez le loquet. Tout en maintenant le panneau latéral contre l’ordinateur, abaissez le loquet jusqu’à ce qu’il soit bien fixé à l’arrière de l’ordinateur. Pour verrouiller le panneau latéral ou par mesure de sécurité, abaissez la languette de verrouillage avant de fermer le loquet, de manière à pouvoir fixer un verrou ou un câble à la boucle métallique.56 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur Installation d’unités de stockage internes Votre Macintosh dispose de trois baies d’unités internes : une baie de lecteur optique et deux baies de disque dur. Dans la plupart des configurations, un disque dur occupe la baie de disque dur du haut et un lecteur optique se trouve dans la baie de lecteur optique de devant. Vous pouvez ajouter un disque dur Serial ATA dans le logement vide de la baie de disque dur. Les disque durs doivent respecter les spécifications suivantes : • Type : serial ATA • Largeur : 102 mm (3,9 pouces) • Profondeur : 147 mm (5,7 pouces) • Hauteur : 25,4 mm (1 pouce) Important : utilisez les câbles Apple d’origine fournis avec votre Macintosh quand vous installez des disque durs ATA ou des lecteurs optiques. Pour plus d’informations sur les conditions requises et les périphériques compatibles, consultez votre distributeur agréé Apple et la section d’assistance technique du site Web Apple sur www.apple.com/support.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 57 Installation de disques durs Serial ATA Votre Macintosh peut accueillir un disque dur Serial ATA supplémentaire d’une hauteur de 25,4 mm (1 pouce ) dans la baie de disque dur, soit un total de deux disques durs. Votre ordinateur est fourni avec un disque dur Serial ATA, généralement dans la baie de disque dur du haut. Vous pouvez installer un deuxième disque dur Serial ATA dans la baie de disque dur inférieure. 1 Ouvrez votre ordinateur et ôtez le panneau latéral en suivant les instructions commençant la page 44. 2 Dévissez les quatre guides de disque dur du côté gauche de la baie de disque dur et vissez-les sur les côtés du disque dur comme illustré ci-dessus. Important : si la carte à circuit imprimé est visible au-dessous du disque dur, tenez le disque par ses côtés. Pour éviter d’endommager le disque dur, ne touchez pas le circuit imprimé pendant l’installation. Insérez les quatre guides de l’unité dans quatre des trous taraudés sur les côtés de celle-ci. Utilisez, si possible, les trous situés aux coins. Pour pouvoir relier les câbles d’alimentation et de données, l’unité doit être dotée de ces connecteurs en forme de lame. Certaines unités peuvent également être équipées de connecteurs en forme de broche. Ceux-ci ne permettent pas la connexion de câbles. Les quatre guides de l’unité se trouvent sur la cloison en plastique à côté des baies de disque dur.58 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 3 Pour installer un disque dur supplémentaire, glissez-le dans la baie de disque inférieure, en insérant les guides du disque dur dans les rails du bas, et poussez doucement le disque dur jusqu’à ce qu’il soit en place. 4 Pour remplacer le disque dur dans la baie de disque supérieure, retirez de celle-ci le disque dur d’origine et faites-le glisser légèrement vers le bas jusqu’à ce que la baie de disque soit vide. Faites glisser le disque de remplacement dans la baie de disque supérieure, en insérant les guides du disque de devant dans le rail du milieu. Enclenchez les guides du disque de derrière dans le rail supérieur à mesure que le disque s’emboîte dans la baie de disque. Poussez doucement le disque dans la baie jusqu’à ce qu’il soit en place. Insérez les guides du disque dur dans le rail inférieur et glissez le disque jusqu'à ce qu’il soit en place. Guides du disque durChapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 59 Remarque : si un disque dur est installé dans la baie de disque inférieure, retirez-le avant de remplacer le disque dur de la baie de disque supérieure. 5 Abaissez la languette de la baie de disque pour verrouiller le disque dur. 6 Reliez au disque dur le câble d’alimentation et le câble de données Serial ATA. 7 Replacez le panneau latéral en suivant les instructions qui commencent la page 54. Pour installer un lecteur de remplacement dans la baie supérieure du disque dur, placez les guides avant dans les rails du milieu et enfoncez le lecteur. Les guides arrière doivent suivre les rails supérieurs au fur et à mesure de son installation dans la baie. Glissez le lecteur jusqu'à ce qu’il se mette en place et consolidez son installation à l’aide de la languette de la baie supérieure. Guides du disque dur Connectez le câble d’alimentation et le câble de données au lecteur du disque dur. Afin de consolider l’installation du disque dur, rabaissez la patte des baies jusqu'à ce qu'elle soit en position fermée (horizontale). Reliez le câble d’alimentation et celui des données au disque dur. 60 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur Remplacement du lecteur optique Votre ordinateur est fourni avec un lecteur optique, de type SuperDrive ou Combo. Suivez ces instructions pour replacer le lecteur optique dans la baie de lecteur optique. Important : pour savoir si votre lecteur est réglé pour le mode de sélection par câble, adressez-vous au fabricant ou visitez son site Web. Avant l’installation, réglez le lecteur sur la sélection par câble si cela n’a pas été fait par le fabricant. 1 Ouvrez votre ordinateur et ôtez le panneau latéral en suivant les instructions qui commencent la page 44. 2 Débranchez le câble en nappe du lecteur optique de la carte mère. 3 Relevez les leviers du lecteur optique pour le libérer. Avant d’extraire le lecteur optique, déconnectez ce câble de la carte mère. Ouvrez les deux leviers du lecteur optique.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 61 4 Glissez soigneusement une partie du lecteur en dehors de la baie. 5 Débranchez le câble en nappe au dos du lecteur d’origine et tirez doucement sur le câble via l’ouverture dans la cloison métallique à l’arrière de la baie de lecteur optique. 6 Insérez deux ou trois doigts dans l’ouverture à l’arrière de la baie de lecteur optique et repoussez le lecteur légèrement pour pouvoir le retirer de l’ordinateur. 7 Débranchez le câble d’alimentation du lecteur. 8 Dévissez les quatre tenons de guidage situés au-dessous du lecteur optique d’origine et positionnez-les au-dessous du lecteur de remplacement. 9 Retirez la protection métallique à l’avant du lecteur et positionnez-la à l’avant du lecteur de remplacement. Retirez la protection métallique du lecteur optique. Retirez les quatre tenons de guidage métalliques du lecteur optique situés au-dessous de celui-ci. Retirez le câble d’alimentation de l’arrière du lecteur optique. Retirez le lecteur de la baie en insérant deux doigts dans l’ouverture du câble en nappe et en poussant sur le lecteur. Retirez le câble en nappe de l’arrière du lecteur optique. Glissez l’autre extrémité du câble à travers l’ouverture de la cloison métallique située à l’intérieur de l'ordinateur.62 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 10 Débranchez soigneusement le câble en nappe du haut du lecteur d’origine et rebranchez-le sur le lecteur de remplacement. Important : placer de la bande adhésive réutilisable sur le dessous du câble en nappe permet de maintenir le câble sur le lecteur. Lors de la déconnexion du câble du lecteur d’origine, veillez à conserver la bande avec le câble. 11 Branchez le connecteur du câble en nappe et le câble d’alimentation à l’arrière du lecteur de remplacement. 12 Insérez partiellement le lecteur dans la baie de disque, pliez l’extrémité libre du câble en nappe, et passez-la dans l’ouverture de la cloison métallique à l’arrière de la baie de lecteur optique. Installez la protection métallique sur le lecteur optique. Insérez les quatre tenons de guidage métalliques du lecteur optique dans la partie inférieure de celui-ci. Reliez le câble d’alimentation à la partie arrière du lecteur optique. Reliez le câble en nappe à la partie arrière du lecteur optique. Glissez l’autre extrémité de ce câble (vers le bas) à travers l’ouverture de la cloison métallique située à l’intérieur de l’ordinateur. Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 63 13 Glissez le reste du lecteur dans la baie de disque en l’alignant avec les tenons de guidage, et poussez doucement le lecteur en place. 14 Lorsque le lecteur est installé correctement, les leviers du lecteur optique se referment. S’ils ne se referment pas, appuyez doucement dessus. 15 Reliez le câble en nappe du lecteur optique à son connecteur sur la carte mère. 16 Replacez le panneau latéral en suivant les instructions qui commencent la page 54. Pour installer le lecteur optique, enfoncez-le de sorte à ce que les broches d’alignement s’insèrent dans les quatre logements de l’ordinateur. Une fois l’installation terminée, fermez les leviers du lecteur optique. Reliez à nouveau le câble au connecteur de la carte mère. 64 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur Installation d’une carte d’extension PCI ou remplacement de la carte AGP Vous pouvez accroître les capacités de votre Power Mac G5 en installant des cartes dans ses logements d’extension. Votre Power Mac G5 dispose de quatre logements de cartes d’extension : trois réservés aux cartes PCI (Peripheral Component Interconnect) et un destiné à accueillir une carte AGP (Advanced Graphics Port). Les cartes AGP et PCI étant munies de connecteurs différents, vous ne pouvez pas insérer une carte PCI dans un logement destiné à une carte AGP. À propos des cartes AGP Votre carte AGP, installée dans le logement 1, contient l’unité de processeur graphique (GPU - graphics processor unit) et fournit les ports du moniteur de l’ordinateur. Le logement 1 est spécialement conçu pour accueillir les cartes AGP. Ce logement à 533 mégahertz (MHz) abrite les cartes AGP à 1,5 volt (V) (voir l’illustration la page 67). Vous pouvez remplacer la carte fournie avec votre ordinateur par une carte AGP 8X ou AGP 8X Pro. Les cartes AGP de rechange doivent disposer de pilotes compatibles Mac OS X. À propos des cartes d’extension PCI Votre Macintosh compte trois logements d’extension (numéros 2, 3 et 4) qui acceptent des cartes d’une longueur maximale de 30 mm (12 pouces). Selon le modèle de votre Power Mac G5, vous pouvez installer des cartes PCI ou PCI-X. Type de carte prise en charge Logement Vitesse de la carte PCI1 logements 2, 3 et 4 64 bits, 33 MHz PCI-X logements 2 et 3 logement 4 64 bits, 100 MHz 64 bits, 133 MHz 1 Les logements PCI peuvent contenir des cartes de différentes tensions (5,0 V, 12 V ou 3,3 V), mais uniquement en signalisation 3,3 V, avec des tailles de données de 32 ou 64 bits et une fréquence de 33 MHz. Vous pouvez installer une carte cadencée à 66 MHz dans un logement PCI 33 MHz si la carte fonctionne également à la fréquence inférieure de 33 MHz. Avertissement : n’installez pas dans les logements PCI 33 MHz de cartes PCI ne fonctionnant qu’à 66 MHz : cela risquerait d’endommager votre matériel. Si vous avez une carte PCI fonctionnant à 66 MHz, vérifiez auprès de son fabricant qu’elle peut également fonctionner à 33 MHz.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 65 La quantité totale d’énergie consommée par les quatre logements d’extension (les trois cartes d’extension PCI et la carte AGP) ne doit pas excéder 90 watts (W). Pour savoir si votre ordinateur dispose de logements PCI ou PCI-X, lisez l’étiquette d’identification, située sur le côté de l’ordinateur, en bas, sous le déflecteur d’air. Vous pouvez aussi identifier votre modèle en fonction du nombre de logements DIMM. Les ordinateurs dotés de 4 logements DIMM ont des logements PCI 33 MHz ; les ordinateurs dotés de 8 logements DIMM disposent de logements PCI-X 100 et 133 MHz. L’étiquette d’identification de votre ordinateur vous propose des informations sur la configuration matérielle. Elle contient des codes et présente la même forme que l’étiquette illustrée ci-dessous. Si votre ordinateur est équipé de logements PCI-X, il sera répertorié dans la présente liste. Dans le cas contraire, il est alors doté de logements PCI. 66 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur Installation de votre carte Vous pouvez installer une carte AGP uniquement dans le logement 1. Le logement AGP accepte des cartes AGP ou AGP Pro standard. Vous pouvez indifféremment installer des cartes PCI ou PCI-X dans les logements PCI 2, 3 et 4. Voir le tableau de la page 64. 1 Ouvrez votre ordinateur et ôtez le panneau latéral et le déflecteur d’air en suivant les instructions de la page 44. 2 Enlevez la vis du capot d’accès aux ports, retirez le capot et mettez-le de côté. Remarque : pour éviter que les vis du capot d’accès PCI tombent dans le boîtier, employez un tournevis magnétique, disponible dans la plupart des magasins d’électronique. Attention à ne pas placer le tournevis magnétique près des disques durs ou de support tels que CD ou DVD. Avertissement : éteignez et débranchez toujours votre Power Mac G5 pour éviter d’endommager ses composants internes ou ceux que vous souhaitez installer. Attendez 5 ou 10 minutes pour qu’il refroidisse. N’essayez pas d’y installer des composants quand il est branché. Capot d’accès aux ports Enlevez la vis qui maintient en place le capot d’accès aux ports. Si vous devez retirer la carte du logement AGP, faites en sorte de libérer la languette de retenue.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 67 3 Sortez la carte à installer de son sachet antistatique en la tenant par les coins et en veillant à ne toucher ni le connecteur en or, ni aucun des composants. 4 Alignez le connecteur de la carte sur le logement d’extension, puis appuyez vers le bas jusqu’à ce que le connecteur soit enclenché. Si vous installez une carte de 30 mm (12 pouces), assurez-vous que la carte est engagée dans le guide approprié. Ouverture d’accès au port Logement PCI Remettez la vis afin de consolider l’installation de la carte. Si vous installez une carte PCI pleine longeur (12 pouces), veillez à ce qu’elle tienne dans l’un des guides de la carte.68 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur Appuyez sur la carte délicatement mais fermement jusqu’à ce que le connecteur soit complètement enclenché. • Ne balancez pas la carte d’un côté à l’autre. Enfoncez-la verticalement dans le logement. • Insérez la carte sans forcer. En cas de résistance, retirez la carte. Vérifiez si le connecteur et le logement sont endommagés ou obstrués, puis essayez à nouveau. • Tirez légèrement sur la carte pour voir si elle est correctement connectée. Si elle résiste, reste en place et que ses connecteurs en or sont à peine visibles, la carte est connectée. 5 Réinsérez la vis du capot d’accès aux ports, puis serrez-la afin de maintenir la carte en place. 6 Replacez le déflecteur d’air et le panneau latéral, en suivant les instructions la page 53. Avertissement : si vous retirez une carte sans en installer une autre, veillez à recouvrir le logement vide au moyen d’un capot d’accès aux ports. Les capots permettent d’empêcher l’entrée d’objets étrangers dans l’enceinte. Un logement non couvert peut affecter la circulation d’air qui refroidit les composants internes de l’ordinateur et causer des dommages.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 69 Installation d’une carte AirPort Extreme AirPort permet d’accéder sans fil à Internet en toute simplicité ; cela sans vous ruiner et n’importe où, que ce soit chez vous, au bureau ou dans un établissement scolaire. Vous pouvez installer une carte AirPort Extreme sur votre Power Mac G5. Important : vous devez installer une carte AirPort Extreme. Les anciennes cartes Airport ne fonctionnent pas dans le Power Mac G5. 1 Ouvrez votre ordinateur conformément aux instructions de la page 44. 2 Positionnez la carte Airport Extreme avec le logo Apple vers le haut, insérez la carte dans le logement et enfoncez-la fermement dans le connecteur. 3 Connectez avec soin le câble coaxial de l’antenne au port de l’extrémité de la carte AirPort Extreme. Insérez la carte AirPort Extreme (le logo Apple vers le haut) dans le logement prévu à cet effet. Enfoncez-la fermement dans le connecteur. Branchez le câble de l’antenne dans l’orifice situé à l’extrémité de la carte AirPort Extreme. Le logement de la carte AirPort Extreme se trouve sous la cloison métallique. Le câble de l’antenne de la carte AirPort Extreme est fixé sous la cloison métallique à l’aide d’une agraphe. Retirez-la avant de relier le câble à la carte.70 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 4 Replacez le ventilateur, le déflecteur d’air et le panneau latéral, en suivant les instructions la page 52. 5 Reliez l’antenne AirPort Extreme au port d’antenne Airport ( ) sur le panneau arrière. Pour régler la réception, faites pivoter l’antenne. Remplacement de la pile Votre ordinateur dispose d’une pile au lithium de 3,6 V placée sur la carte mère. Si vous constatez des problèmes intermittents de démarrage de l’ordinateur ou des changements aléatoires de date et d’heure, il est peut-être temps de changer cette pile. Achetez une pile de rechange chez un revendeur agréé Apple. Important : les piles contiennent des substances chimiques dont certaines sont néfastes pour l’environnement. Veillez à respecter les directives et la législation en vigueur dans votre pays en matière de protection de l’environnement lorsque vous vous débarrassez des piles usagées. Avertissement : les règlements FCC prévoient que l’opérateur ou toute autre personne soit à plus de 1 centimètre (0,4 pouce) de l’antenne AirPort Extreme pendant la transmission. De plus, l’antenne AirPort Extreme ne doit pas être située près d’un autre transmetteur ou d’une autre antenne, à l’exception du modèle d’antenne Apple Bluetooth A1067. Installez l’antenne AirPort dans le port prévu à cet effet. Vous pouvez la faire pivoter sur 360°.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 71 Pour remplacer la pile : 1 Ouvrez votre ordinateur conformément aux instructions de la page 44. 2 Si une carte PCI est installée à côté de la pile, retirez la carte. 3 Enlevez la pile de son réceptacle en notant le sens des pôles. (Un signe plus figure sur le réceptacle ou à côté de ce dernier.) Si nécessaire, écartez les languettes qui retiennent la pile afin de pouvoir la retirer. Écartez les languettes doucement pour ne pas les casser. 4 Introduisez la pile neuve dans le réceptacle en vous assurant que le signe plus de la pile coïncide avec le signe plus du réceptacle. 5 Replacez le déflecteur d’air et le panneau latéral, en suivant les instructions qui commencent à la page 53. Sortez la pile de son réceptacle en la tirant vers le haut. Il peut s’avérer nécessaire d’écarter légèrement ces languettes. Avertissement : une mise en place incorrecte de la pile peut provoquer une explosion. Assurez-vous de respecter la position des pôles. Utilisez uniquement une pile du même type ou une pile équivalente approuvée par le fabricant de la pile d’origine.4 73 4 Dépannage En cas de problèmes de fonctionnement de l’ordinateur, voici quelques suggestions susceptibles d’y remédier. Si l’ordinateur ne répond pas ou que le pointeur est bloqué. Assurez-vous tout d’abord que la souris et le clavier sont connectés. • Débranchez puis rebranchez les connecteurs et vérifiez qu’ils sont correctement insérés. Essayez ensuite d’annuler l’opération en cours. • Appuyez simultanément sur les touches Commande (x) et Q pour essayer de fermer l’application en cours d’exécution. • Appuyez simultanément sur les touches Commande (x) et point. Si une boîte de dialogue apparaît, cliquez sur Annuler. • Sous Mac OS X, sélectionnez menu Pomme (K) > “Forcer à quitter”, puis sélectionnez l’application que vous souhaitez fermer. Redémarrez l’ordinateur en allant dans le menu Pomme (K) > Redémarrer pour être sûr que le problème est complètement résolu. Il est aussi possible de forcer l’application à quitter en appuyant simultanément sur les touches Échap + Option + Commande (x). • Sous Classic, appuyez simultanément sur les touches Échap + Option + Commande (x) pour forcer une application à quitter. • Si cela ne fonctionne pas, maintenez appuyé durant 5 secondes le bouton d’alimentation de la face avant de l’ordinateur. Après la mise hors tension de l’ordinateur, appuyez à nouveau sur ce bouton pour redémarrer. • En dernier recours, débranchez le câble d’alimentation pour éteindre l’ordinateur, puis rebranchez-le à nouveau et utilisez le bouton d’alimentation de la face avant pour redémarrer l’ordinateur. • Si le problème ne survient que lorsque vous utilisez un programme en particulier, vérifiez auprès de son fabricant s’il est compatible avec votre ordinateur. • Si le problème survient fréquemment, sélectionnez Aide > Aide Mac. • Sous Mac OS X, recherchez “dépannage”. • Dans Classic, consultez la section expliquant comment éviter et résoudre les problèmes. Envisagez également le problème des conflits d’extension.74 Chapitre 4 Dépannage L’ordinateur ne démarre pas ou ne s’allume pas. Assurez-vous que le câble d’alimentation est branché sur une prise électrique en état de fonctionnement. La fiche du câble d’alimentation doit être totalement insérée dans la prise de l’ordinateur pour que celui-ci fonctionne correctement. Réinitialisez ensuite la mémoire vive des réglages de l’ordinateur (PRAM). Allumez l’ordinateur et maintenez immédiatement les touches Commande (x)+ Option + P + R enfoncées jusqu’à ce que vous entendiez une deuxième fois le signal sonore de démarrage. Définissez ensuite votre disque dur comme disque de démarrage de l’ordinateur. m Sélectionnez menu Pomme (K) > Préférences Système et cliquez sur Disque de démarrage, puis sélectionnez votre disque dur. Le voyant d’état clignote et l’ordinateur ne démarre pas. • Si vous avez récemment ajouté de la mémoire, une carte d’extension PCI ou tout autre composant interne, assurez-vous qu’il est correctement installé et compatible avec votre ordinateur. Essayez de l’enlever pour savoir si l’ordinateur peut démarrer. • Si le voyant d’état continue à clignoter, déterminez le nombre de clignotements pour identifier le problème : • 2 clignotements : RAM absente • 3 clignotements : RAM installée incompatible • 4 clignotements : banques DIMM incorrectes • 5 ou 6 clignotements : contactez un fournisseur de services agréé Apple. Impossible d’éjecter un disque. Un fichier est peut-être en cours d’utilisation sur ce disque. Quittez toutes les applications ouvertes, puis essayez à nouveau. Si cela ne fonctionne pas, sélectionnez menu Pomme (K) > Redémarrer et maintenez enfoncé soit le bouton de la souris soit la touche d’éjection ( ) de votre clavier Apple Keyboard. Si le problème persiste : 1 Éteignez l’ordinateur. 2 Appuyez doucement sur le panneau protégeant le plateau du lecteur et repérez le petit orifice situé sous le plateau. 3 Insérez avec précaution l’extrémité d’un grand trombone déplié dans cet orifice. 4 Poussez fermement jusqu’à ce que le plateau s’ouvre. 5 Tirez sur le plateau pour l’ouvrir, retirez le disque et repoussez le plateau pour le fermer.Chapitre 4 Dépannage 75 Problèmes de logiciels Important : pour utiliser les applications Mac OS 9 avec votre ordinateur, vous devez installer la gestion de Classic (voir “Installation de la gestion de Classic et d’autres applications” à la page 79). Pour démarrer l’environnement Classic, ouvrez une application Mac OS 9 ou double-cliquez sur un document qui en nécessite une. Classic fonctionne en arrière-plan pour permettre l’accès aux fonctionnalités et applications Mac OS 9. Vous rencontrez un problème avec une application. • Utilisez la mise à jour de logiciels afin de vous assurer que vous disposez des tous derniers pilotes, débogueurs et autres mises à jour. • Pour les problèmes liés aux logiciels provenant d’éditeurs tiers, contactez l’éditeur concerné. Vous rencontrez un problème de fonctionnement de votre ordinateur ou de Mac OS X. • Consultez l’Aide Mac OS (dans le menu d’Aide) pour obtenir des instructions et des informations de dépannage. • Pour obtenir les informations de dépannage et les mises à jour de logiciels les plus récentes, rendez-vous sur le site Web de l’assistance Apple à l’adresse suivante : www.apple.com/support. Vous éprouvez des difficultés à utiliser la communication sans fil AirPort. • Vérifiez que vous avez correctement configuré le logiciel en respectant les instructions fournies avec la carte AirPort Extreme ou la borne d’accès AirPort. • Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé et dispose d’un point d’accès sans fil. • Assurez-vous que l’autre ordinateur ou le point d’accès au réseau se trouve dans la zone de couverture de l’antenne de votre ordinateur. Des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre antenne. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en réorientant l’ordinateur. • Vérifiez la puissance du signal AirPort. Il est possible que l’icône d’état AirPort de la barre des menus indique quatre barres. • Pour plus d’informations, veuillez lire les instructions fournies avec votre périphérique sans fil ou effectuer une recherche “AirPort” dans l’Aide Mac OS.76 Chapitre 4 Dépannage Problèmes de moniteur Aucune image ne s’affiche à l’écran. • Assurez-vous que le moniteur et l’ordinateur sont sous tension. • Vérifiez que les câbles sont correctement connectés à l’ordinateur et au moniteur. • Assurez-vous que votre ordinateur n’est pas en veille. Appuyez sur le bouton d’alimentation ou sur n’importe quelle touche pour voir si cela réactive l’ordinateur. • Assurez-vous que la luminosité et le contraste du moniteur sont réglés correctement. Certains moniteurs disposent de commandes de luminosité et de contraste situées sur ou sous leur face avant. • Réinitialisez la mémoire des paramètres (PRAM) en redémarrant l’ordinateur tout en maintenant les touches Commande (x) + Option + P + R enfoncées, jusqu’à ce que vous entendiez une deuxième fois le signal de démarrage. Démarrez alors en utilisant le disque d’installation du logiciel fourni avec l’ordinateur. L’image à l’écran est sombre ou vacillante. • Réglez la luminosité et le contraste. Certains moniteurs disposent de commandes de luminosité et de contraste situées sur ou sous leur face avant. Si besoin est, vous pouvez ajuster la luminosité ou le contraste de votre moniteur dans la fenêtre Moniteurs des Préférences Système. • Calibrez le moniteur en sélectionnant menu Pomme (K) > Préférences Système. Cliquez sur Moniteurs, sélectionnez Couleur puis cliquez sur Calibrer. • Il se peut que le vacillement soit dû à des interférences provoquées par la proximité d’une ligne électrique, d’une lampe fluorescente ou d’un appareil électrique tel qu’une radio, un four à micro-ondes ou un autre ordinateur. Essayez de trouver un autre endroit pour les appareils électriques situés à proximité ou de déplacer le moniteur et l’ordinateur. Les couleurs n’apparaissent pas à l’écran ou présentent un aspect inhabituel. • Assurez-vous que le moniteur est correctement connecté à l’ordinateur. • Calibrez votre moniteur comme décrit précédemment. Consultez l’Aide Mac OS pour en savoir plus sur les couleurs et sur votre moniteur. • Ouvrez la fenêtre Moniteurs des Préférences Système et vérifiez que votre moniteur est réglé pour afficher les couleurs. Consultez l’Aide Mac OS pour en savoir plus sur les couleurs et sur votre moniteur. Avertissement : si vous rencontrez un problème avec votre moniteur Apple Display et que vous ne parvenez pas à le résoudre à l’aide de ce manuel, sollicitez l’assistance d’un fournisseur de services agréé Apple ou d’Apple. Si vous tentez de le réparer vous-même, les dommages éventuels ne seront pas couverts par la garantie limitée de votre moniteur. Adressez-vous à un revendeur ou à un centre de maintenance agréé Apple pour toute information complémentaire sur l’étendue de la garantie.Chapitre 4 Dépannage 77 Les icônes du bureau changent de place après la modification de la résolution d’écran. Toute modification de la résolution d’écran affecte l’affichage des informations à l’écran. Une fois la résolution d’écran modifiée, le système d’exploitation est susceptible de réorganiser les icônes. Écran figé. • Forcer l’application bloquée à quitter. Allez dans le menu Pomme (K), cliquez sur “Forcer à quitter” puis sélectionnez l’application à fermer. • Si cela ne fonctionne pas, forcez l’ordinateur à redémarrer en enfonçant environ 5 secondes le bouton d’alimentation de sa face avant. Le voyant situé sur la face avant du moniteur clignote. Sur certains moniteurs à écran plat Apple, le témoin d’alimentation clignote rapidement pendant quelques instants lorsqu’une erreur a été détectée. • Si vous voyez une séquence répétée de trois flashs courts, cela signifie que le moniteur détecte une entrée dont le format vidéo est incorrect. Assurez-vous que votre moniteur est compatible avec la carte graphique et que vous avez installé le bon pilote (si le moniteur a été livré avec un logiciel d’installation). • Si vous voyez une séquence répétée de deux flashs courts et un flash long, le moniteur détecte un problème de lampe de rétro-éclairage. Contactez un revendeur ou un centre de maintenance agréé Apple. Utilisation de Apple Hardware Test Apple Hardware Test vous aide à déterminer s’il existe un problème matériel sur votre ordinateur. Pour utiliser Apple Hardware Test : 1 Déconnectez tous les périphériques de votre ordinateur sauf le clavier et la souris. Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le. 2 Insérez le disque “Logiciels supplémentaires et Apple Hardware Test” fourni avec votre ordinateur. 3 Puis redémarrez votre ordinateur en maintenant la touche C enfoncée lors du démarrage. Une liste de volumes de démarrage disponibles apparaît alors. Cliquez sur Apple Hardware Test, puis sur la flèche droite. 4 Lorsque l’écran principal Apple Hardware Test apparaît environ 45 secondes plus tard, suivez les instructions affichées à l’écran. 5 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple Hardware Test ne détecte pas de panne de matériel, il est probable que le problème soit lié aux logiciels.78 Chapitre 4 Dépannage Pour en savoir plus sur Apple Hardware Test, consultez le fichier Ouvrez-moi À propos de Apple Hardware Test sur le disque “Logiciels supplémentaires et Apple Hardware Test”. Installation de logiciels sur votre ordinateur Les disques d’installation de logiciels fournis avec votre ordinateur permettent d’installer Mac OS X, les applications livrées avec votre ordinateur et Classic Support. Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données de votre disque dur avant de procéder à la restauration du logiciel. Apple décline toute responsabilité en cas de perte de données. Installation de Mac OS X et des applications Pour installer Mac OS X et les applications fournies avec votre ordinateur, veuillez procéder comme suit : 1 Sauvegardez vos fichiers essentiels si cela est possible. 2 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur. 3 Double-cliquez sur “Install Mac OS X and Bundled Software”. 4 Suivez les instructions à l’écran. 5 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions à l’écran. Il se peut que votre ordinateur redémarre et vous demande d’insérer le disque 2 d’installation de Mac OS X. Remarque : si vous souhaitez rétablir les réglages d’origine du logiciel sur votre ordinateur, cliquez sur Options dans la sous-fenêtre “Sélectionner une destination” du programme d’installation, puis choisissez “Effacer et installer”. Important : nous vous conseillons de sauvegarder vos fichiers essentiels avant d’installer Mac OS X et les autres applications car l’option “Effacer et installer” efface votre disque de destination.Chapitre 4 Dépannage 79 Installation des applications Pour installer uniquement les applications fournies avec votre ordinateur, veuilles procéder comme suit. Mac OS X doit déjà être installé sur votre ordinateur. 1 Sauvegardez vos fichiers essentiels si cela est possible. 2 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur. 3 Double-cliquez sur “Install Bundled Software Only.” 4 Suivez les instructions à l’écran. 5 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions à l’écran. Il se peut que votre ordinateur redémarre et vous demande d’insérer le disque 2 d’installation de Mac OS X. Remarque : pour installer iCal, iChat AV, iMovie, iPhoto, iSync, iTunes et Safari, suivez les instructions du paragraphe “Installation de Mac OS X et des applications” ci-dessus. Installation de la gestion de Classic et d’autres applications Utilisez le disque “Logiciels supplémentaires et Apple Hardware Test” pour installer la gestion de Classic ainsi que d’autres applications qui ne sont pas incluses sur le disque 1 d’installation de Mac OS X. Installez la gestion de Classic si vous souhaitez utiliser des applications de Mac OS 9 avec votre ordinateur. Procédez comme suit pour installer la gestion de Classic ou d’applications supplémentaires : 1 Sauvegardez vos fichiers essentiels si cela est possible. 2 Insérez le disque “Logiciels supplémentaires et Apple Hardware Test” fourni avec votre ordinateur. 3 Double-cliquez sur “Installer les logiciels complémentaires Test”. 4 Suivez les instructions à l’écran. 5 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions à l’écran pour une installation standard, ou cliquez sur “Personnaliser” pour choisir les applications que vous désirez installer. 80 Chapitre 4 Dépannage Optimisation des performances Ethernet Votre ordinateur fonctionne de façon optimale lorsque le port Ethernet auquel il est connecté est réglé sur la négociation automatique. Demandez à votre administrateur de réseau de vérifier ce réglage. Important : si vous rencontrez des problèmes de connexion sur votre réseau, vérifiez, si possible, que le commutateur de réseau est réglé sur la négociation automatique. Si le port du commutateur ne fonctionne pas en négociation automatique, votre ordinateur détectera la vitesse appropriée, mais se réglera par défaut sur le mode semiduplex. Si le port du commutateur à l’autre extrémité de la liaison est configuré en mode bidirectionnel simultané (full duplex), un grand nombre d’événements retardés peuvent se produire sur la liaison. S’il n’est pas possible de régler le commutateur sur la négociation automatique, réglez alors le port du commutateur sur semi-duplex. Pour plus d’informations, reportez-vous à la documentation fournie avec le commutateur Ethernet. Remarque : si vous connectez votre ordinateur directement à un commutateur Ethernet configurable, demandez à votre administrateur de réseau de désactiver l’arborescence sur ce port. Dans le cas contraire, il se peut que votre ordinateur duplique l’adresse AppleTalk d’un autre ordinateur du même réseau, ce qui rendrait instables les deux connexions au réseau. Localisation du numéro de série de votre produit Le numéro de série de votre Power Mac G5 se trouve sur l’étiquette de configuration, à l’intérieur du panneau latéral, directement sous le déflecteur d’air. Vous le trouverez également dans les Informations Système. Ouvrez les Informations Système (dans Applications/Utilitaires) et cliquez sur l’onglet Informations Système. 81 A Annexe A Caractéristiques Caractéristiques techniques du processeur et de la mémoire Processeur • Processeur PowerPC avec 512 Ko de mémoire cache sur puce L2 par processeur Mémoire vive (RAM) • Mémoire dynamique synchrone (SDRAM) à double vitesse de transfert (DDR) • Toute la mémoire SDRAM DDR est fournie sous forme de modules DIMM (Dual Inline Memory Modules) • Modules DIMM installés par paires de capacité égale • Quatre ou huit logements DIMM sont disponibles pour la mémoire PC 3200 SDRAM DDR à 400 MHz, en fonction du modèle de votre ordinateur Les modules DIMM de 256 Mo doivent être conformes à la technologie 128 ou 256 mégabits (Mbits), les modules DIMM de 512 Mo à la technologie 256 Mbits et les modules DIMM de 1 Go à la technologie 512 Mbits. • 2,5 volts (V) sans tampon • 184 broches • Sans code de correction d’erreurs • Sans parité Les Informations Système, dans le répertoire Applications/Utilitaires, fournissent des informations sur votre ordinateur et notamment sur la quantité de mémoire. Contrôleur graphique • Carte graphique AGP 8X Pro munie d’un connecteur ADC (Apple Display Connector) et d’un connecteur DVI (Digital Visual Interface). Compatible AGP 3.0 ou AGP Pro. Modes d’affichage vidéo Pour les caractéristiques techniques de votre moniteur : • Moniteurs Apple : rendez-vous sur le site Internet Apple et vérifiez les caractéristiques de votre produit sur www.apple.com/displays. • Moniteurs de tierce partie : rendez-vous sur www.apple.com/guide.82 Annexe A Caractéristiques Caractéristiques techniques de l’unité Combo (DVD-ROM/CD-RW) • Diamètres de disque gérés : 12 cm et 8 cm Formats de données • CD-ROM • CD Audio • CD-R • CD-RW • CD-I • CD-I Bridge • CD Extended (CD étendu) • CD Mixed Mode (CD en mode mixte) • CD Photo • CD Vidéo • CD Extra • DVD vidéo • DVD-ROM • DVD-R (lecture seule) Caractéristiques techniques de l’unité SuperDrive (DVD-R/CD-RW) • Diamètres de disque gérés : 12 cm et 8 cm Formats de données • CD-ROM • CD Audio • CD-R • CD-RW • CD-I • CD-I Bridge • CD Extended (CD étendu) • CD Mixed Mode (CD en mode mixte) • CD Photo • CD Vidéo • CD Extra • DVD vidéo • DVD-ROM • DVD-R Annexe A Caractéristiques 83 Caractéristiques techniques des ports USB • Gestion d’Universal Serial Bus (USB) 2.0 et 1.1 • Cinq ports USB externes Type A • Un port USB 2.0 en façade • Deux ports USB 2.0 à l’arrière • Deux ports USB 1.1 intégrés au clavier Apple • Chaque port arrière se trouve sur un canal USB distinct de 480 mégabits par seconde (Mbps). • Intensité disponible pour chaque port USB de 500 milliampères (mA) à 5 V, pour un total de 1,5 ampère Caractéristiques techniques de FireWire • Gestion de FireWire 400 et FireWire 800 • Trois ports FireWire externes • Un port FireWire 400 en façade • Un port FireWire 400 et un port FireWire 800 à l’arrière • Vitesse de transfert de données : • FireWire 400 : 100, 200 et 400 Mbps • FireWire 800 : 100, 200, 400 et 800 Mbps Puissance • Plage de tension de sortie : environ 13 à 25 V • Plage de puissance de sortie : jusqu’à 15 W Caractéristiques techniques du réseau Ethernet • Conforme à la directive IEEE 802.3 • Longueur maximale du câble : 100 mètres (m) • Protocoles : Open Transport, AppleShare, AppleTalk, NetWare pour Macintosh, TCP/IP • Connecteur : RJ-45 pour 10Base-T, 100Base-TX et 1000Base-T • Support, 10Base-T : câble UTP de catégorie 3 ou supérieure sur 2 paires jusqu’à 100 m • Support, 100Base-TX : câble UTP de catégorie 5 sur 2 paires jusqu’à 100 m • Support, 1000Base-T : câble UTP de catégorie 5 et 6 sur 4 paires jusqu’à 100 m • Vitesses de canal : auto-négociation IEEE de 10Base-T, 100Base-TX et 1000Base-T Caractéristiques techniques du modem • Norme de transmission de données : K56Flex et V.92 • Vitesse : 53 kilobits par seconde (Kbps) • Norme de télécopie : ITU V.17 Caractéristiques Bluetooth (facultatif) • Vitesse de transfert de données sans fil : jusqu’à 1 Mbps • Portée : jusqu’à 10 mètres (le débit de transmission de données peut varier en fonction des conditions ambiantes) • Bande de fréquences : 2,4 gigahertz (GHz)84 Annexe A Caractéristiques Caractéristiques AirPort Extreme Card (facultatif) • Vitesse de transfert de données sans fil : jusqu’à 54 Mbps • Portée : jusqu’à 45,72 mètres (le débit de transmission de données peut varier en fonction des conditions ambiantes) • Bande de fréquences : 2,4 gigahertz (GHz) • Puissance de sortie radio : 15 dBm (nominal) Compatibilité • Norme 802.11 DSSS (Direct Sequence Spread Spectrum) 1 et 2 Mbps • standard 802.11b 11 Mbps • standard 802.11b 54 Mbps Caractéristiques Audio numérique optique • Format de données : Protocole Sony/Phillips Digital Interface (S/PDIF) (IEC60958-3) • Type de connecteur : Optique Toslink (IEC60874-17) • Bits par échantillon : 16 bits ou 24 bits Sortie audio numérique optique Basé sur situation typique, avec lecture d’une onde sinusoïdale 1 kHz, -1 dBFS 24 bits, fréquence d’échantillonnage en sortie de 44,1 kHz, sauf indications contraires cidessous. • Fréquence d’échantillonnage en sortie : 32 kHz, 44,1 kHz ou 48 kHz • Rapport signal-bruit : Supérieur à 130 dB • Total distorsion harmonique + bruit : Inférieur à -130 dB (0,00001 pour cent) Entrée audio numérique optique Basé sur situation typique, avec lecture d’une onde sinusoïdale 1 kHz, -1 dBFS 24 bits, sauf indications contraires ci-dessous. • Fsi–fréquence d’échantillonnage d’entrée (mode horloge externe) : 32 kHz, 44,1 kHz ou 48 kHz • Fsi–fréquence d’échantillonnage d’entrée (mode horloge interne) : 16 kHz à 96 kHz • Rapport signal sur bruit (mode horloge externe) : Supérieur à 130 dB • Rapport signal sur bruit (mode horloge interne, 16 kHz < Fsi < 96 kHz) : Inférieur à -112 dB • Total distorsion harmonique + bruit (mode horloge externe) : Inférieur à -130 dB (0,00001 %) • Total distorsion harmonique + bruit (mode horloge interne, 16 kHz < Fsi < 96 kHz) : Inférieur à -112 dB (0,0003 %)Annexe A Caractéristiques 85 Caractéristiques audio analogique • Fréquence d’échantillonnage : 32 kHz, 44,1 kHz ou 48 kHz • Type de jack : Mini-jack 3,5 mm • Bits par échantillon : 16 bits ou 24 bits • Réponse en fréquence : 20 Hz à -20 kHz, +0,5 dB/-3 dB Sortie audio via la prise d’écouteurs • Tension de sortie : 1,4 volts (valeur efficace) (Vrms ) (+4 dbu) • Impédance de sortie : 24 ohms • Puissance de sortie : 20 milliwatts (mW) • Rapport signal-bruit : supérieur à 90 dB • Distorsion harmonique totale : inférieure à -80 dB (0,01 pour cent) • Séparation des voies : supérieure à 65 dB Entrée audio analogique • Tension d’entrée maximale : 2 volts (valeur efficace) (Vrms ) (+8 dbu) • Impédance d’entrée : supérieure à 47 kilohms • Rapport signal-bruit : supérieur à 90 dB • Distorsion harmonique totale : inférieure à -85 dB (0,006 percent) • Séparation des voies : supérieure à 75 dB Sortie audio analogique • Tension de sortie : 1,4 volts (valeur efficace) (Vrms ) (+4 dbu) • Impédance de sortie : 24 ohms • Rapport signal-bruit : supérieur à 90 dB • Distorsion harmonique totale : inférieure à -80 dB (0,01 pour cent) • Séparation des voies : supérieure à 65 dB Alimentation Entrée de ligne CA • Gamme de tensions : Courant alternatif (AC) de 100 à 240 V • Intensité : 7,5 ampères (A) monoprocesseur ou 9,5 ampères (A) double processeur • Fréquence : 50-60 Hz Sortie du moniteur DC • 4,0 A maximum pour un courant continu (CC) de tension nominale 25 V provenant du connecteur ADC (Apple Display Connector)86 Annexe A Caractéristiques Alimentation requise pour les périphériques que vous pouvez connecter Cartes d’extension • La quantité maximale et totale d’énergie consommée par les cartes AGP et PCI est de 90 W. Périphériques USB • Chacun des ports USB intégrés dispose de 500 mA. Périphériques FireWire • L’ordinateur peut fournir un total de 15 W aux ports FireWire. Horloge et pile du système • Circuit CMOS personnalisé avec pile longue durée au lithium. Vous pourrez remplacer la pile de l’ordinateur (voir “Remplacement de la pile” à la page 70) par une nouvelle pile que vous pouvez acheter auprès d’un distributeur agréé Apple. Dimensions et conditions de fonctionnement Dimensions • Poids : 17,84 kg (39.32 lb) Le poids dépend du modèle. Le poids indiqué ci-dessus correspond au modèle de base : monoprocesseur, un lecteur optique et un disque dur. Le poids peut être plus élevé si des périphériques optionnels sont installés. • Hauteur : 511 mm (20,12 pouces) • Largeur : 206 mm (8,11 pouces) • Profondeur : 475 mm (18,70 pouces) Conditions de fonctionnement • Température de fonctionnement : 10 °C à 35 °C (50 °F à 95 °F) • Température de stockage : 40 °C à 47 °C (40 °F à 116 °F) • Humidité relative : 5 % à 95 % (sans condensation) • Altitude : 0 à 3 048 mètres (0 à 10,000 pieds) 87 B Annexe B Environnement de travail, sécurité et entretien Cette annexe contient des informations importantes concernant les consignes de sécurité et l'entretien ainsi que des remarques sur l'organisation de l'espace de travail pour l'utilisation de votre ordinateur et de votre moniteur. Consignes de sécurité importantes Le seul moyen de couper totalement l'alimentation de votre ordinateur consiste à débrancher le câble d'alimentation de la source d'alimentation principale. Pour déconnecter complètement votre moniteur, vous devez également débrancher le câble d'alimentation qui le raccorde à l'ordinateur ou à la source d'alimentation. Assurez-vous qu'au moins une des extrémités du câble d'alimentation du périphérique peut être atteinte facilement de manière à pouvoir débrancher l'ordinateur ou le moniteur quand cela est nécessaire. Pour votre propre sécurité et celle de votre matériel, respectez toujours les consignes suivantes. Si l'un des cas suivants se présente, débranchez la fiche d'alimentation (en tirant sur la fiche et non sur le câble) de l'ordinateur ou du moniteur et débranchez le câble du téléphone : • Le câble ou la fiche d'alimentation est usé(e) ou endommagé(e). • Vous avez renversé quelque chose dans le boîtier de l'ordinateur. • L'ordinateur ou le moniteur a été exposé à la pluie ou à tout autre type d'humidité excessive. • L'ordinateur ou le moniteur est tombé ou son boîtier a été endommagé. • Vous pensez que l’ordinateur ou le moniteur doit faire l’objet d’une révision ou d’une réparation. • Vous voulez nettoyer l’écran ou le boîtier de l’ordinateur ou du moniteur. • Vous remarquez une fuite du liquide de refroidissement à l’intérieur ou à l’extérieur de votre ordinateur (pour les modèles de Power Mac G5 équipés d’un système de refroidissement liquide)88 Annexe B Environnement de travail, sécurité et entretien Si vous avez l’intention de ranger votre ordinateur pour une période prolongée, retirez la batterie. Pour prévenir les accidents et éviter d’endommager votre ordinateur ou votre moniteur, veillez à toujours observer les consignes suivantes : • Maintenez votre ordinateur éloigné de toute source de liquide et d’humidité. • Ne placez aucun objet sur le dessus de l’ordinateur ou du moniteur. • Veillez à ce que les grilles d’aération de l’ordinateur et du moniteur ne soient pas obstruées. • N’enlevez jamais le boîtier du moniteur et n’ouvrez pas l’ordinateur quand il est allumé. Vous risquez de recevoir une décharge électrique. • Lorsque le temps est orageux, déconnectez votre modem de la prise téléphonique afin d’éviter qu’une surcharge de tension n’endommage ce dernier. Déplacez avec soin votre ordinateur et votre moniteur. Pour soulever l’appareil, veillez à suivre la procédure recommandée qui consiste à fléchir les jambes. Quand vous transportez le moniteur, assurez-vous que vous faites face à l’écran. Ne le transportez pas en le saisissant par le socle. Système de refroidissement liquide Certains modèles de Power Mac G5 utilisent un système de refroidissement liquide pour contrôler la température à l’intérieur de l’ordinateur. Le système de refroidissement liquide est scellé et conçu pour être ouvert uniquement par un fournisseur de services agréé Apple (Apple Authorized Service Provider ou AASP). Avertissement : votre Macintosh est équipé d’une prise de mise à la terre à trois fils, c’est-à-dire une prise munie d’une troisième broche reliée à la terre. Il s’agit d’une mesure de sécurité. Ne modifiez pas la fiche pour pouvoir l’insérer dans une prise non reliée à la terre. Faites appel à un électricien agréé pour installer une prise correctement reliée à la terre. Ne dérogez en aucun cas à cette consigne. Avertissement : le matériel électrique peut s’avérer dangereux s’il n’est pas utilisé correctement. L’utilisation de ce produit par un enfant doit toujours être supervisée par un adulte. Ne permettez pas aux enfants de toucher les composants internes de tout appareil électrique, ni de manipuler des câbles électriques. Avertissement : n’essayez pas d’ouvrir ou de réparer le système de refroidissement liquide. L’ouverture du système de refroidissement liquide peut endommager votre matériel, et de tels dommages ne sont pas forcément couverts par la garantie limitée de votre ordinateur.Annexe B Environnement de travail, sécurité et entretien 89 Pour des réparations ou des questions liées à votre garantie, contactez un fournisseur de services agréé Apple (Apple Authorized Service Provider) ou Apple. La documentation fournie avec votre ordinateur contient des informations relatives à l’assistance et à la maintenance. Apple et l’environnement Apple reconnaît sa responsabilité en matière de minimisation de l’impact de ses opérations et de ses produits sur l’environnement. Pour plus d’informations Rendez-vous sur le site Web www.apple.com/about/environment. Avertissement : utilisez toujours votre ordinateur en position verticale. Au cas improbable où le liquide fuirait à l’intérieur ou à l’extérieur de votre ordinateur, déconnectez toute alimentation électrique de votre ordinateur et ne le redémarrez pas. Contactez un fournisseur de services agréé Apple (Apple Authorized Service Provider) ou contactez Apple pour obtenir des informations sur la réparation de votre ordinateur. Après avoir déconnecté l’alimentation électrique, vous pouvez nettoyer le liquide de refroidissement avec un tissu absorbant. Évitez toute inhalation ou tout contact direct avec la peau : le liquide peut entraîner une légère irritation de la peau. En cas de contact avec la peau, laver abondamment au savon et à l’eau. En cas de contact avec les yeux, rincer abondamment à l’eau. Les matériaux ayant servi au nettoyage doivent être recyclés ou traités conformément aux lois, normes et directives locales. Le liquide de refroidissement peut être nocif s’il est avalé. Des fiches toxicologiques (Material Safety Data Sheets ou MSDS) sont disponibles sur le site www.apple.com/about/environment/use/lcs.html.90 Annexe B Environnement de travail, sécurité et entretien Entretien général Pour nettoyer votre ordinateur ou le moniteur de manière plus complète, procédez comme suit : 1 Éteignez l’ordinateur et le moniteur. 2 Déconnectez le câble d’alimentation de l’ordinateur au niveau de la prise ou multiprise électrique. Si votre moniteur est branché sur une prise, débranchez-le également. 3 Débranchez les câbles du moniteur au niveau de l’ordinateur. 4 Nettoyez l’écran du moniteur à l’aide d’un papier absorbant ou d’un tissu doux et non pelucheux imbibé d’eau légèrement savonneuse. 5 Nettoyez délicatement le boîtier de l’ordinateur ou du moniteur à l’aide d’un chiffon propre, doux et humide. Important : n’utilisez pas d’alcool, d’aérosols ni de produits solvants ou abrasifs susceptibles d’endommager la finition du boîtier. Protection de votre lecteur optique Pour garantir le bon fonctionnement de votre lecteur optique : • Placez votre ordinateur de sorte que le plateau du lecteur ne heurte aucun obstacle lors de son ouverture. • Laissez le lecteur fermé lorsque vous ne l’utilisez pas. • Ne placez aucun objet sur le plateau du lecteur lorsqu’il est ouvert. • Ne touchez pas la lentille du lecteur optique avec vos doigts. N’essuyez pas la lentille du lecteur avec un mouchoir en papier ni aucune autre matière abrasive. Si vous devez la nettoyer, procurez-vous les produits adéquats auprès d’un fournisseur de services agréé Apple. • Maintenez votre ordinateur éloigné de toute source d’humidité. Entretien de votre moniteur Pour entretenir votre moniteur et en garantir la longévité : • N’appuyez pas sur la surface de l’écran. • N’écrivez pas sur l’écran et ne le touchez pas avec un objet tranchant. • Si vous comptez ne pas utiliser le moniteur ni l’ordinateur pendant au moins une journée, éteignez-les ou utilisez les réglages Économiseur d’énergie. • En cas d’inactivité prolongée de votre ordinateur, éteignez l’écran, baissez la luminosité ou utilisez un programme d’économie d’écran qui assombrit ou modifie l’image affichée. Avertissement : ne vaporisez pas de liquide directement sur l’écran du moniteur. Une partie de ce liquide pourrait s’infiltrer à l’intérieur et provoquer une décharge électrique.Annexe B Environnement de travail, sécurité et entretien 91 Informations importantes sur l’organisation de l’espace de travail et la santé Voici quelques conseils permettant d’adapter votre environnement de travail à votre morphologie et prévenir la fatigue oculaire. • Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de manière à ce que vos cuisses soient légèrement inclinées et que vos pieds soient posés à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire, c’est-à-dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie. • Lorsque vous utilisez le clavier de l’ordinateur, vos épaules doivent être détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, ou presque, et votre main doit être dans le prolongement du poignet. Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Si vous disposez d’un bureau modulaire, vous pouvez abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau dont le poste de saisie est situé plus bas que le plan de travail. • Veillez à ce que la souris se trouve à hauteur du clavier. Prévoyez également un espace suffisant pour pouvoir la manipuler commodément. • Placez le moniteur de manière à ce que le haut de l’écran soit légèrement en dessous du niveau de vos yeux quand vous êtes assis au clavier. Il vous appartient de juger de la meilleure distance entre vos yeux et l’écran. Elle se situe en général entre 45 et 70 cm. 92 Annexe B Environnement de travail, sécurité et entretien • Positionnez le moniteur de façon à éviter d’être ébloui par la réflexion sur ce dernier de l’éclairage au plafond ou de la lumière des fenêtres de la pièce. Si possible, utilisez un pied de moniteur inclinable. Le pied vous permet de régler le meilleur angle de vision et de réduire ou d’éliminer l’éblouissement causé par les sources lumineuses impossibles à déplacer. Pour plus d’information sur l’hygiène, la sécurité et la maintenance, consultez la page Internet d’Apple sur l’ergonomie à l’adresse www.apple.com/about/ergonomics. Cuisses légèrement inclinées Épaules détendues Écran orienté de manière à réduire les reflets Mains dans le prolongement des avant-bras Avant-bras à l’horizontale ou légèrement relevés Dossier soutenant la région lombaire Pieds à plat sur le sol ou sur un repose-pied Haut de l’écran au niveau des yeux ou légèrement en dessous. (Vous devrez peut-être ajuster la hauteur du moniteur en surélevant votre plan de travail ou le moniteur lui-même.) Espace dégagé sous le plan de travail 45–70 cm 93 C Annexe C Connexion à Internet Votre ordinateur vous permet de naviguer sur le Web, d’échanger du courrier électronique avec vos amis et votre famille ou de dialoguer en temps réel via Internet. Suivez les instructions de ce guide détaillé pour vous connecter à Internet. Pour utiliser Internet, vous avez besoin d’un compte auprès d’un FAI. L’Assistant réglages peut en configurer un pour vous. Dans certains pays, l’Assistant réglages ne peut pas vous configurer un compte auprès d’un FAI. Vous devez donc contacter un FAI pour obtenir un compte. Utilisez ensuite les informations contenues dans cette annexe pour configurer votre connexion Si vous n’avez pas utilisé l’Assistant réglages pour configurer votre connexion à Internet, vous pouvez l’utiliser maintenant. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. Cliquez sur le bouton “Assistez-moi” pour ouvrir l’Assistant réglages de réseau. Si vous ne souhaitez pas utiliser cet Assistant, vous pouvez réaliser votre connexion manuellement à l’aide des informations données dans cet annexe. Il existe quatre types de connexion à Internet : • Connexion par ligne téléphonique : l’ordinateur est relié à une prise téléphonique murale via un câble téléphonique (pour les ordinateurs comprenant un modem). • Connexion via un modem câble ou DSL à haut débit : l’ordinateur est relié via un câble Ethernet à un modem spécial fourni par un FAI. • Connexion sans fil AirPort Extreme : votre ordinateur est connecté sans fil à Internet via une borne d’accès AirPort Extreme. • Réseau local (LAN) : l’ordinateur est connecté à un réseau local via un câble Ethernet. C’est le type de connexion habituellement utilisé dans les entreprises.94 Annexe C Connexion à Internet Avant de vous connecter à Internet : 1 Procurez-vous les informations de connexion auprès de votre FAI ou de votre administrateur réseau. Consultez la section suivante, “Collecte des informations nécessaires”, pour savoir quelles sont les informations dont vous avez besoin pour chaque type de connexion. Si un autre ordinateur se trouvant au même emplacement est déjà connecté à Internet, vous pouvez probablement utiliser ses réglages. Pour accéder aux réglages sur un ordinateur Mac OS X : • Ouvrez la fenêtre Réseau des Préférences Système. • Dans le menu local Afficher, sélectionnez votre mode de connexion. • Copiez les informations concernant votre connexion. Pour accéder aux réglages sur un ordinateur Mac OS 9 : • Ouvrez le tableau de bord TCP/IP. • Rechercher le mode de connexion dans le menu local “Connexion”. • Recherchez la configuration dans le menu local Configurer. • Notez l’adresse IP, le masque de sous-réseau et l’adresse du routeur figurant dans les champs correspondants. Pour accéder aux réglages sur un PC Windows : Les informations de connexion d’un PC Windows se trouvent à deux endroits. • Pour trouver l’adresse IP et le masque de sous-réseau, ouvrez le tableau de bord “Connexions réseau et Internet”. • Pour accéder aux informations relatives aux comptes d’utilisateurs, ouvrez le tableau de bord Comptes d’utilisateurs. Vous pouvez écrire ces informations directement sur les pages suivantes, puis les saisir dans l’Assistant réglages. 2 Si vous utilisez un modem téléphonique, branchez un câble téléphonique (inclus avec la plupart des ordinateurs Macintosh) sur le port modem de votre ordinateur et sur une prise téléphonique murale. Si vous disposez d’un modem DSL ou câble, connectez-le à votre ordinateur en suivant les instructions incluses.Annexe C Connexion à Internet 95 Collecte des informations nécessaires Vous pouvez noter sur ces pages les informations obtenues auprès de votre Fournisseur d’Accès à Internet (FAI), de votre administrateur réseau ou de votre autre ordinateur, puis les saisir dans l’Assistant réglages de réseau. Pour configurer une connexion téléphonique classique, procurez-vous les informations suivantes : • Nom du fournisseur d’accès • Nom d’utilisateur ou de compte • Mot de passe • Numéro de téléphone du FAI • Numéro de téléphone de remplacement • Préfixe pour obtenir une ligne extérieure Pour configurer une connexion DSL, modem câble, LAN ou sans fil AirPort Extreme : m Choisissez d’abord votre méthode de connexion (en cas de doute, consultez votre administrateur système ou votre FAI) : • Manuellement • Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle • Via DHCP • Via BootP • PPP Si vous ne savez pas quelle méthode utiliser, il est recommandé d’activer l’option “Via DHCP”, car le réseau fournit alors la plupart des informations requises automatiquement. Si vous avez sélectionné “Manuellement” ou “Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle” procurez-vous les informations suivantes : • Adresse IP • Masque de sous-réseau • Adresse du routeur Remarque : si vous avez sélectionné “Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle”, vous n’avez pas besoin d’un masque de sous-réseau ni d’adresse de routeur.96 Annexe C Connexion à Internet Si vous avez sélectionné “Via DHCP”, procurez-vous les informations suivantes facultatives (le cas échéant, consultez votre FAI) : • ID client DHCP • serveurs DNS Si vous avez sélectionné “PPP” (pour des connexions PPPoE), procurez-vous les informations suivantes : • Fournisseur d’accès • Nom du compte • Mot de passe • Nom du service PPPoE Les informations ci-dessous sont facultatives. Consultez votre FAI ou votre administrateur système si nécessaire. • serveurs DNS • Nom de domaine • Serveur proxy Saisie de vos informations Après vous être procuré les informations de configuration spécifiques auprès de votre FAI ou de votre administrateur réseau, vous pouvez soit cliquer sur le bouton “Assistezmoi” dans la fenêtre des préférences Réseau pour ouvrir l’Assistant réglages de réseau, soit saisir les informations manuellement. Pour saisir vos informations manuellement, suivez les étapes correspondant à votre mode de connexion. • Modem téléphonique avec connexion PPP (Point-to-Point Protocol) (voir la page 97) • Connexion via modem câble, DSL ou réseau LAN (la page 100) avec les configurations suivantes : • Manuelle • DHCP • PPPoE • Connexion sans fil AirPort Extreme (voir la page 105)Annexe C Connexion à Internet 97 Modem téléphonique avec connexions PPP (Point-To-Point Protocol) Le modem téléphonique constitue la manière la plus courante de se connecter à Internet. Votre modem utilise une méthode appelée PPP (Point-to-Point Protocol) pour se connecter à un FAI. Assurez-vous que votre modem est branché sur une ligne téléphonique et que vous disposez des informations fournies par votre FAI (voir la page 95). Pour configurer l’utilisation du port de modem interne dans les préférences Réseau : 1 Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Choisissez Configuration des ports réseau dans le menu local Afficher, puis cochez la case Activé à côté de Modem interne. 4 Faites glisser Modem interne en haut de la liste Configurations de port pour en faire l’interface réseau préférée ou principale. 5 Choisissez Modem interne dans le menu local Afficher et cliquez sur PPP. 98 Annexe C Connexion à Internet 6 Saisissez les informations fournies par votre FAI, puis cliquez sur Appliquer. Pour tester votre configuration Internet : 1 Ouvrez l’application Connexion à Internet (dans le dossier Applications). 2 Cliquez sur l’icône Modem interne si nécessaire. 3 Tapez le numéro de téléphone de connexion de votre FAI, votre nom de compte et votre mot de passe, si nécessaire. 4 Cliquez sur Se connecter. L’application Connexion à Internet compose le numéro de votre FAI et établit une connexion.Annexe C Connexion à Internet 99 Pour vous connecter automatiquement dès que vous ouvrez une application TCP/IP, telle qu’un navigateur Web ou une messagerie électronique, procédez de la manière suivante : 1 Cliquez sur Options PPP (dans la fenêtre PPP des préférences Réseau). 2 Cochez la case “Se connecter automatiquement si nécessaire”. 3 Cliquez sur OK, puis sur Appliquer. Connexions à Internet par ligne DSL, modem câble ou réseau LAN Si vous vous connectez à Internet soit à l’aide d’un modem DSL ou câble, soit via un réseau LAN Ethernet, demandez à votre FAI ou à votre administrateur réseau comment vous devriez configurer votre connexion à Internet : • Manuellement : dans le cas d’une configuration manuelle, votre FAI ou administrateur réseau vous indique une adresse IP statique et d’autres informations que vous devez saisir dans les préférences Réseau. • Via le protocole DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol). avec une configuration DHCP, le serveur DHCP saisit automatiquement les informations à votre place. • Via le protocole PPPoE (Point-to-Point Protocol over Ethernet). si vous utilisez un modem DSL et que vous avez besoin d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe pour vous connecter à Internet, vous devrez éventuellement configurer votre réseau pour qu’il utilise le protocole PPPoE. Lors de la configuration de votre réseau, veillez à garder les informations fournies par votre FAI à portée de main (voir la page 95).100 Annexe C Connexion à Internet Pour configurer les Préférences réseau pour le port Ethernet intégré : 1 Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau. 4 Sélectionnez Ethernet intégré. 5 Faites glisser Ethernet intégré en haut de la liste Configurations de port pour en faire l’interface réseau préférée ou principale. Suivez ensuite les instructions de configuration manuelle de votre réseau, via DHCP ou PPPoE, selon les recommandations de votre FAI ou de votre administrateur réseau.Annexe C Connexion à Internet 101 Configuration manuelle Ayez à portée de main votre adresse IP statique, l’adresse du routeur et le masque de sous-réseau fournis par votre FAI (voir la page 95). Pour effectuer une configuration manuelle : 1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher. 2 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire. 3 Dans le menu local Configurer IPv4, choisissez Manuellement. 4 Remplissez le reste des champs. 5 Cliquez sur Appliquer. Votre connexion est prête dès que vous avez configuré votre réseau. Ouvrez votre navigateur Web (ou une autre application TCP/IP) afin de tester votre connexion à Internet.102 Annexe C Connexion à Internet Configuration DHCP Après avoir choisi une configuration DHCP, le serveur DHCP fournit automatiquement vos informations de réseau. Pour configurer DHCP : 1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher. 2 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire. 3 Choisissez Via DHCP dans le menu local Configurer IPv4. 4 Cliquez sur Appliquer. Ouvrez votre navigateur Web (ou une autre application TCP/IP) afin de tester votre connexion à Internet. Remarque : sauf instructions contraires de votre FAI, ignorez les champs Client DHCP et Domaines de recherche.Annexe C Connexion à Internet 103 Configuration PPPoE Certains FAI recourant à la technologie DSL utilisent le protocole PPPoE (Point-to-Point Protocol over Ethernet)). Si vous utilisez un modem DSL et que vous avez besoin d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe pour vous connecter à Internet, contactez votre FAI pour savoir si vous devez vous connecter via PPPoE. Pour configurer une connexion PPPoE : Ayez à portée de main le nom d’utilisateur, le mot de passe et, si cela est nécessaire, l’adresse du serveur DNS fournis par votre FAI (voir la page 95). 1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher. 2 Cliquez sur PPPoE et sélectionnez “Se connecter via PPPoE”. 3 Remplissez le reste des champs. Si vous souhaitez que tous les utilisateurs de votre ordinateur utilisent la même méthode de connexion, sélectionnez “Enregistrer le mot de passe”. Remarque : pour vous connecter automatiquement au démarrage d’une application TCP/IP, telle qu’un navigateur Web ou une application de courrier électronique, cliquez sur Options PPPoE, puis sélectionnez “Se connecter automatiquement si nécessaire”.104 Annexe C Connexion à Internet 4 Cliquez sur TCP/IP et sélectionnez Via PPP ou Manuellement dans le menu local Configurer IPv4, selon les instructions de votre FAI. Si votre FAI vous a communiqué une adresse IP statique, choisissez Manuellement et tapez l’adresse dans le champ Adresse IP. 5 Saisissez les adresses des serveurs de noms de domaine (DNS) dans le champ Serveurs DNS. 6 Cliquez sur Appliquer. Votre connexion à Internet est prête dès que vous avez configuré votre réseau. Vous pouvez alors ouvrir votre navigateur Web ou une autre application TCP/IP afin de tester votre connexion. Important : si vous n’avez pas sélectionné l’option de connexion automatique, vous devez ouvrir l’application Connexion à Internet, choisir la configuration adéquate, puis cliquer sur Se connecter. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Connexion à Internet dans la barre des menus située en haut de l’écran. Annexe C Connexion à Internet 105 Connexion sans fil AirPort Extreme Vous pouvez configurer votre réseau AirPort Extreme et votre connexion Internet à l’aide de l’Assistant réglages AirPort, situé dans le dossier Utilitaires de votre dossier Applications. L’assistant vous aide à configurer votre borne d’accès AirPort Extreme et à régler votre ordinateur pour qu’il utilise AirPort Extreme. Pour en savoir plus sur votre borne d’accès AirPort Extreme, consultez le Guide de configuration de la borne d’accès AirPort Extreme livré avec votre borne d’accès. Si votre borne d’accès AirPort Extreme est déjà configurée, votre carte AirPort Extreme peut dans la plupart des cas y accéder immédiatement. Pour vérifier l’accès au réseau AirPort Extreme : m Cliquez sur l’icône d’état AirPort dans la barre des menus et choisissez un réseau AirPort dans la liste. Si aucun réseau AirPort n’y figure, vous pouvez utiliser l’Assistant réglages AirPort pour vérifier ou modifier vos réglages ou bien les changer via la fenêtre Réseau des Préférences Système. 106 Annexe C Connexion à Internet Configuration manuelle d’une connexion AirPort Extreme Pour configurer une connexion manuelle utilisant des adresses spécifiques affectées par avance pour vos serveurs et votre ordinateur, procurez-vous les informations suivantes auprès de votre administrateur de système. Si vous vous connectez via DHCP, la plupart de ces informations sont automatiquement transmises à votre ordinateur via le réseau. Consultez votre administrateur de système pour obtenir les renseignements nécessaires. • Adresses des serveurs de noms de domaine (DNS), si nécessaire • Configuration d’adresse IP manuelle ou via DHCP • Adresse IP • Adresse du routeur • Masque de sous-réseau • Mot de passe, si nécessaire Assurez-vous ensuite que les options de connexion AirPort sont activées dans les préférences Réseau. Pour régler vos Préférences réseau pour un port AirPort Extreme : 1 Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau. 4 Cochez la case Activé à côté d’AirPort.Annexe C Connexion à Internet 107 Suivez ensuite les instructions fournies par votre FAI ou votre administrateur réseau pour configurer votre réseau manuellement ou via DHCP. Si vous configurez vousmême votre réseau, il est peut-être plus simple d’utiliser DHCP car le serveur attribue automatiquement les adresses IP. 5 Choisissez AirPort dans le menu local Afficher. 6 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire. 7 Dans le menu local Configurer IPv4, choisissez Manuellement ou Via DHCP. • Si vous choisissez Manuellement, saisissez les autres informations dans les champs correspondants. • Si vous choisissez Via DHCP, il est inutile de saisir d’autres informations, sauf instructions contraires de votre administrateur de système. 8 Cliquez sur AirPort et sélectionnez les options requises pour vous connecter à un réseau AirPort Extreme après le redémarrage ou lors de la réactivation de l’ordinateur après une suspension d’activité. 9 Cliquez sur Appliquer. Une fois les réglages AirPort configurés, vous êtes prêt à vous connecter. Pour tester votre connexion AirPort Extreme : m Cliquez sur l’icône d’état AirPort dans la barre des menus et choisissez Activer AirPort. Tout réseau AirPort Extreme situé dans la zone de couverture doit apparaître dans le menu.108 Annexe C Connexion à Internet Dépannage de votre connexion Connexion à Internet par modem câble, ligne DSL et réseau LAN Si vous ne parvenez pas à vous connecter à Internet à l’aide de votre modem câble ou DSL ou via votre réseau local (LAN), suivez les étapes ci-après. Important : les instructions relatives aux modems ne concernent pas les utilisateurs de réseau LAN. Contrairement aux utilisateurs de modems câble et DSL, les utilisateurs de réseau LAN peuvent disposer de concentrateurs, de commutateurs, de routeurs et autres dispositifs de connexion. Ils doivent faire appel à leur administrateur réseau plutôt qu’à un FAI. Vérifiez les câbles et les sources d’alimentation Assurez-vous que tous les câbles du modem sont correctement branchés, y compris le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à l’ordinateur et le câble raccordant le modem à la prise murale. Vérifiez les câbles et l’alimentation des routeurs et des concentrateurs Ethernet. Éteignez puis rallumez le modem et réinitialisez les composants matériels du modem. Éteignez votre modem DSL ou votre modem câble pendant quelques minutes puis rallumez-le. Certains FAI conseillent de débrancher le câble d’alimentation du modem. Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez l’actionner avant ou après avoir éteint puis rallumé le modem.Annexe C Connexion à Internet 109 Connexions PPPoE Si vous n’arrivez pas à vous connecter à votre FAI via PPPoE, commencez par vérifier les câbles et l’alimentation, puis éteignez le modem et rallumez-le et réinitialisez le matériel modem. Vérifiez les réglages de Préférences Système 1 Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau. 4 Sélectionnez Ethernet intégré, puis faites glisser cette configuration en haut de la liste des configurations de ports. 5 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Ethernet intégré. 6 Cliquez sur PPPoE. 7 Sélectionnez Se connecter via PPPoE. 8 Vérifiez le champ Nom de compte pour vous assurer d’avoir tapé les informations correctes fournies par votre FAI. 9 Si vous avez choisi d’enregistrer votre mot de passe, saisissez-le à nouveau afin d’être sûr(e) qu’il est correct. 10 Cliquez sur TCP/IP. Assurez-vous d’avoir saisi dans cette fenêtre les informations correctes fournies par votre FAI. 11 Cliquez sur Appliquer.110 Annexe C Connexion à Internet Connexions au réseau Si vous disposez de plusieurs ordinateurs tentant de partager une connexion à Internet, assurez-vous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre FAI fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque ordinateur. Si une seule adresse IP est utilisée, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion (on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de “masquage d’adresse IP”). Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre réseau. La borne d’accès AirPort Extreme peut être utilisée pour que plusieurs ordinateurs partagent une adresse IP. Pour plus d’informations sur l’utilisation de la borne d’accès AirPort Extreme, consultez l’aide à l’écran ou rendez-vous sur le site Web AirPort, à l’adresse www.apple.com/airport. Si ces instructions s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés, contactez votre FAI. 111 Communications Regulation Information FCC Compliance Statement This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device, pursuant to part 15 of the FCC Rules. These limits are designed to provide reasonable protection against harmful interference in a residential installation. This equipment generates, uses, and can radiate radio frequency energy and, if not installed and used in accordance with the instructions, may cause harmful interference to radio communications. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. If this equipment does cause harmful interference to radio or television reception, which can be determined by turning the equipment off and on, the user is encouraged to try to correct the interference by one or more of the following measures: • Reorient or relocate the receiving antenna. • Increase the separation between the equipment and receiver. • Connect the equipment into an outlet on a circuit different from that to which the receiver is connected. • Consult the dealer or an experienced radio/TV technician for help. If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Computer, Inc., could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product was tested for EMC compliance under conditions that included the use of Apple peripheral devices and Apple shielded cables and connectors between system components. It is important that you use Apple peripheral devices and shielded cables and connectors between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. You can obtain Apple peripheral devices and the proper shielded cables and connectors through an Apple Authorized Reseller. For non-Apple peripheral devices, contact the manufacturer or dealer for assistance. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Computer, Inc. Product Compliance, 1 Infinite Loop M/S 26-A, Cupertino, CA 95014-2084, 408-974-2000. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada. VCCI Class B Statement Communauté Européenne Conforme aux directives européennes 72/23/CEE, 89/336/CEE et 99/5/CEE. Laser Information Do not attempt to disassemble the cabinet containing the laser. The laser beam used in this product is harmful to the eyes. The use of optical instruments, such as magnifying lenses, with this product increases the potential hazard to your eyes. For your safety, have this equipment serviced only by an Apple Authorized Service Provider. If you have an internal Apple CD-ROM, DVD-ROM, or DVD-RAM drive in your computer, your computer is a Class 1 laser product. The Class 1 label, located in a user-accessible area, indicates that the drive meets minimum safety requirements. A service warning label is located in a service-accessible area. The labels on your product may differ slightly from the ones shown here. Warning: Making adjustments or performing procedures other than those specified in your equipment’s manual may result in hazardous radiation exposure. Class 1 label Service warning label112 Laser Specifications Laser on pickup unit (when reading a CD): • Type: Semiconductor GaAlAs laser • Wavelength: 790 nm • Power out of objective lens: 3.3 mW • Beam divergence: horizontal 12º vertical 35º Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of the optional AirPort Extreme Card is far below the FCC radio frequency exposure limits. Nevertheless, it is advised to use the wireless equipment in such a manner that the potential for human contact during normal operation is minimized. Informations sur la souris et le clavier La souris optique d’Apple est un appareil à diode électroluminescente de catégorie 1. Ce produit est conforme aux exigences des directives européennes 72/23/CEE et 89/336/CEE. It also complies with the Canadian ICES-003 Class B Specification. Avertissement relatif aux activités à haut risque Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien, ni dans aucune autre situation où une panne du système informatique pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques. Conformité ENERGY STAR® En tant que partenaire ENERGY STAR® Apple a configuré ce produit de telle sorte qu’il respecte les recommandations d’économie d’énergie d’ENERGY STAR® . Le programme ENERGY STAR® est un partenariat avec les fabricants de matériel de bureau visant à promouvoir une consommation efficace de l’énergie. La réduction de la consommation d’énergie des appareils de bureau permet de réaliser des économies et contribue à réduire la pollution en éliminant le gaspillage d’énergie. Informations sur l’élimination des piles usagées Les batteries usagées doivent être recyclées ou traitées conformément aux normes d’environnement locales. Nederlands Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Informations sur l’élimination de l’ordinateur usagé Votre Power Mac G5 doit être recyclé ou éliminé conformément aux lois, normes et directives locales pour les matériels électriques et électroniques. Informations relatives au téléphone et au modem Apple 56K Informez votre opérateur téléphonique Certains opérateurs téléphoniques exigent que vous informiez votre agence locale lorsque vous raccordez un modem à leur réseau. Information You Need in the United States The internal modem complies with Part 68 of the FCC rules. On the back of this equipment is a label that contains, among other information, the FCC registration number and ringer equivalence number (REN). If requested, provide this information to your telephone company. • Ringer equivalence number (REN) : 0.1B (part numbers M9455 and M9457) and 0.6B (part number M9454). The REN is useful for determining the quantity of devices you may connect to your telephone lines and still have all those devices ring when your telephone number is called. In most, but not all areas, the sum of the RENs of all devices connected to one line should not exceed five (5.0). To be certain of the number of devices you may connect to your line, as determined by the REN, you should contact your local telephone company to determine the maximum REN for your calling area. • Telephone jack type: USOC, RJ-11 An FCC-compliant telephone cord and modular plug are provided with this equipment. This equipment is designed to be connected to the telephone network or premises wiring using a compatible modular jack that complies with Part 68 rules. See the installation instructions for details. 113 Telephone Line Problems If your telephone doesn’t work, there may be a problem with your telephone line. Disconnect the modem to see if the problem goes away. If it doesn’t, report the problem either to your local telephone company or to your company’s telecommunications department. If disconnecting the modem eliminates the problem, the modem itself may need service. Pour obtenir de l’assistance, reportez-vous aux informations relatives à l’assistance et à la maintenance fournies avec votre produit Apple pour vous entrer en contact avec Apple ou un fournisseur de services agréé Apple. If you do not disconnect your modem when it is adversely affecting the telephone line, the telephone company has the right to disconnect your service temporarily until you correct the problem. The telephone company will notify you as soon as possible. Also, you will be informed of your right to file a complaint with the FCC. The telephone company may make changes in its facilities, equipment, operations, or procedures that could affect the operation of your equipment. If this happens, the telephone company will provide advance notice in order for you to make the necessary modifications to maintain uninterrupted service. The internal modem will not work with party lines, cannot be connected to a coin-operated telephone, and may not work with a private branch exchange (PBX). Telephone Consumer Protection Act The Telephone Consumer Protection Act of 1991 makes it unlawful for any person to use a computer or other electronic device to send any message via a telephone fax machine unless such message clearly contains, in a margin at the top or bottom of each transmitted page or on the first page of the transmission, the date and time it was sent and an identification of the business, other entity, or individual sending the message and the telephone number of the sending machine of such business, entity, or individual. Information You Need in Canada The Industry Canada (IC) label identifies certified equipment. This certification means that the equipment meets certain telecommunications network protective, operational, and safety requirements. The Department does not guarantee the equipment will operate to a user’s satisfaction. Before installing this equipment, make sure that you are permitted to connect to the facilities of the local telecommunications company. Be sure you use an acceptable method of connection to install the equipment. In some cases, you may extend the company’s internal wiring for single-line individual service by means of a certified telephone extension cord. Be aware, however, that compliance with these conditions may not prevent degradation of service in some situations. Repairs to certified equipment should be made by an authorized Canadian maintenance facility designated by the supplier. Any equipment malfunctions or repairs or alterations that you make to this equipment may cause the telecommunications company to request that you disconnect the equipment. In Canada, contact Apple at: 7495 Birchmount Road, Markham, Ontario, L3R 5G2, 800-263-3394 Users should not attempt to make such connections themselves, but should contact the appropriate electric inspection authority or electrician. • Load number: 0.1 (part numbers M9455 and M9457) and 0.2 (part number M9454). The load number (LN) assigned to each terminal device denotes the percentage of the total load to be connected to the telephone loop that is used by the device, to prevent overloading. The termination of a loop may consist of any combination of devices, subject only to the requirement that the sum of the load numbers of all devices does not exceed 100. • Telephone jack type: CA-11 Informations destinées aux utilisateurs canadiens L’étiquette d’Industrie Canada identifie un matériel homologué. Cette étiquette certifie que le matériel est conforme à certaines normes de protection, d’exploitation et de sécurité des réseaux de télécommunications. Le Ministère n’assure toutefois pas que le matériel fonctionnera à la satisfaction de l’utilisateur. Avant d’installer ce matériel, l’utilisateur doit s’assurer qu’il est permis de le raccorder au réseau de l’entreprise locale de télécommunication. Le matériel doit également être installé en suivant une méthode acceptée de raccordement. Dans certains cas, le câblage appartenant à l’entreprise utilisé pour un service individuel à ligne unique peut être prolongé au moyen d’un dispositif homologué de raccordement (cordon prolongateur téléphonique). Warning: Users should ensure for their own protection that the electrical ground connections of the power utility, telephone lines, and internal metallic water pipe system, if present, are connected together. This precaution may be particularly important in rural areas. 114 L’abonné ne doit pas oublier qu’il est possible que la conformité aux conditions énoncées ci-dessus n’empêche pas la dégradation du service dans certaines situations. De fait, les entreprises de télécommunication ne permettent pas que l’on raccorde un matériel aux prises d’abonnés, sauf dans les cas précis prévus par les tarifs particuliers de ces entreprises. Les réparations de matériel homologué doivent être effectuées par un centre d’entretien canadien autorisé désigné par le fournisseur. La compagnie de télécommunications peut demander à l’utilisateur de débrancher un appareil suite à des réparations ou à des modifications effectuées par l’utilisateur ou en raison d’un mauvais fonctionnement. Veuillez contacter Apple pour des informations supplémentaires : Apple Canada, Inc. 7495 Birchmount Road Markham, Ontario Canada L3R 5G2 Service clientèle d’Apple Canada : 800-263-3394 L’utilisateur ne doit pas tenter de faire ces raccordements lui-même ; il doit avoir recours à un service d’inspection des installations électriques ou à un électricien, selon le cas. • Numéro de charge : 0,2 L’indice de charge (IC) assigné à chaque dispositif terminal indique, pour éviter toute surcharge, le pourcentage de la charge totale qui sera raccordée à un circuit téléphonique bouclé utilisé par ce dispositif. La terminaison du circuit bouclé peut être constituée de n’importe quelle combinaison de dispositifs pourvu que la somme des indices de charge de l’ensemble des dispositifs ne dépasse pas 100. • Type de prise téléphonique : CA-11 Information You Need in the United Kingdom This terminal equipment is intended for direct connection to the analogue Public Switched Telecommunications Network and is approved for use within the United Kingdom with the following features: • Modem facility • Autocalling facility • Autoanswer facility • DTMF signaling Operation in the absence of proceed indication or upon detection of proceed indication This product is in conformity with relevant regulatory standards following the provisions of European Council Directives 73/23/EEC (Low Voltage Directive) and 89/336/EEC amended by 92/31/EEC (EMC Directive). Informationen für Deutschland Diese Modem-Karte ist als Endeinrichtung vorgesehen und muss an ein TAE mit F-Kodierung angeschlossen werden. Diese Endeinrichtung ist in Konformität gemäss Niederspannungsrichtlinie 73 / 23 / EWG sowie EMC-Richtlinien 89 / 336 / EWG und 92 / 31 / EWG. Informations pour la France Ce matériel est conforme aux normes applicables de sécurité électrique d’après la directive 73/23/CEE et aux normes applicables de comptabilité électromagnétique d’après la directive 89/336/CEE, modifiée par la directive 92/31/CEE. Information You Need in Australia All telecommunications devices are required to be labelled as complying to the Australian telecommunications standards, ensuring the health and safety of the operator and the integrity of the Australian telecommunications network. To provide compliance with the Australian Communications Authority’s technical standards, please ensure that the following AT commands are maintained: • ATB0 (ITU/CCITT operation) • AT&G0 (no guard tone) • AT&P1 (33/66 pulse dial make/break ratio) • ATS0 = 0 or ATS0 = 1 (no answer or answer greater than one ring) • ATS6 = 95 (DTMF period between 70–255 ms) • ATS11 = 95 (DTMF period between 70–255 ms) For calls that are automatically generated, a total of three call attempts are allowed to a telephone number, with a minimum period between calls of 2 seconds. If the call does not connect after three attempts, 30 minutes must expire before automatic redialing may be initiated. Failure to set the modem (and any associated communications software) to the above settings may result in the modem being non-compliant with Australian telecommunications standards. Under these circumstances a user could be subject to significant penalties under the Telecommunications Act 1997. Avertissement : Pour sa propre sécurité, l’utilisateur doit s’assurer que tout les fils de mise à la terre du secteur, des lignes téléphoniques et les canalisations d’eau métalliques, s’il y en a, soient raccordés ensemble. Cette précaution est particulièrement importante dans les régions rurales. 115 This modem must be properly secured in order for you to use it. Telecommunications network voltages exist inside the computer and the telecommunications line connection must be removed before opening the computer. Information You Need in New Zealand This modem is fully approved to operate on the New Zealand telecommunications network under Telepermit number PTC 211/04/002 (part numbers M9455 and M9457) and PTC 211/01/062 (part number M9454). All telecommunications devices are required to hold a Telepermit and be labelled accordingly with the approved Telepermit number to comply with the New Zealand telecommunications standards, ensuring the health and safety of the operator and the integrity of the New Zealand telecommunications network. To ensure compliance, all calls that are automatically generated should not make more than 10 call attempts to the same number within any 30 minute period with a minimum period between calls of 30 seconds. Failure to adhere to these standards may result in the modem being non-compliant with New Zealand Telecom standards. Under these circumstances a user could be subject to significant penalties. Important: The grant of a Telepermit for any item of terminal equipment indicates that only Telecom has accepted that the item complies with minimum conditions for connection to its network. It indicates no endorsement of the product by Telecom, nor does it provide any sort of warranty. Above all, it provides no assurance that any item will work correctly in all respects with another item of Telepermitted equipment of a different make or model, nor does it imply that any product is compatible with all of Telecom’s network services.