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Mac OS X Server Administration du Serveur EnchaÓnement 5.0 QuickTime Pour la version 10.3 de Mac OS X Server ou ultÈrieureApple Computer Inc. © 2003 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Le propriétaire ou l’utilisateur autorisé d’une copie valide du logiciel Serveur Enchaînement QuickTime peut reproduire cette publication à des fins d’apprentissage de l’utilisation de ce logiciel. Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite ou transmise à des fins commerciales, telles que la vente de copies ou la fourniture de services d’assistance payants. Tous les efforts ont été déployés pour garantir la précision des informations contenues dans ce manuel. Apple Computer, Inc. n’est pas responsable des erreurs d’impression ou de frappe. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation de ce logo à des fins commerciales via le clavier (Option-1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Apple, le logo Apple, AirPort, AppleScript, FireWire, iMac, iMovie, iTunes, Mac, le logo Mac, Macintosh, Mac OS, PowerBook, Power Mac, QuickTime et Xserve sont des marques d’Apple Computer, Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder est une marque d’Apple Computer, Inc. Adobe et PostScript sont des marques d’Adobe Systems Incorporated. PowerPC est une marque d’International Business Machines Corporation, utilisée sous licence. Remarque : Apple améliore continuellement les performances et le design de ses produits. Il se peut que certaines illustrations de ce manuel soient légèrement différentes de votre version du logiciel. F022-1324 3 1 Table des matières Préface 7 Bienvenue dans le serveur Enchaînement QuickTime 8 Nouveautés du serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) pour Mac OS X Server version 10.3 10 La suite de produits QuickTime 11 Informations supplémentaires Chapitre 1 13 Vue d’ensemble de l’enchaînement QuickTime 13 Qu’est-ce que l’enchaînement ? 14 Comparaison entre diffusion en direct et diffusion à la demande 14 Comparaison entre le téléchargement progressif (HTTP) et le téléchargement par enchaînement (RTP/RTSP) 14 Enchaînement Lecture instantanée 15 Configuration simplifiée pour la vidéo en direct 16 Comment recevoir des flux de données multimédias 16 Comparaison entre multidiffusion et monodiffusion 18 Relais Chapitre 2 19 Configuration de votre serveur Enchaînement QuickTime 19 Configurations matérielle et logicielle requises pour l’enchaînement QuickTime 19 Configuration requise pour l’ordinateur de visualisation 20 Configuration requise pour la diffusion en direct 20 Considérations relatives à la bande passante 21 Configuration de votre serveur d’enchaînement 21 Test de votre configuration 22 Accès aux données multimédias diffusées par votre serveur Chapitre 3 23 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime 24 Utilisation de l’application basée sur le Web pour gérer l’enchaînement QuickTime 25 Utilisation d’Admin Serveur pour gérer l’enchaînement QuickTime 25 Démarrage ou arrêt du service d’enchaînement 25 Modification du nombre maximum de connexions d’enchaînement 25 Modification du débit d’enchaînement maximum 26 Changement du répertoire réservé aux flux de données multimédias4 Table des matières 26 Association de l’ordinateur d’administration du serveur d’enchaînement à une adresse IP 27 Hébergement de flux provenant de plusieurs répertoires multimédias d’utilisateur 27 Configuration de flux de relais 28 Modification des réglages d’historique d’Enchaînement QuickTime 28 Sécurité et accès 29 Diffusion de flux à travers des coupe-feu via le port 80 29 Enchaînement à travers des coupe-feu ou des réseaux avec traduction d’adresses 30 Changement du mot de passe requis pour envoyer un flux de diffusion MP3 30 Utilisation de la monodiffusion automatique (annonce) à l’aide de QTSS sur un ordinateur distinct Chapitre 4 31 Gestion de vos données multimédias 31 Vue d’ensemble de QTSS Publisher 32 À propos des listes de lecture et des indications 33 Connexion à Mac OS X Server 33 Téléchargement de données multimédias de QTSS Publisher vers un serveur Enchaînement QuickTime 33 Préparation du contenu pour sa distribution sur le Web 33 Préparation des données multimédias préenregistrées pour la diffusion 34 Amélioration des performances des films à indications exportés à partir de QuickTime Player 34 Création et gestion de listes de lecture 35 Création et modification des annotations de films 36 Changement de l’image fixe d’un film intégré à une page Web 36 Transmission de votre contenu 36 Mise en ligne du contenu pour l’enchaînement ou le téléchargement 36 Démarrage et arrêt de listes de lecture 37 Conversion du contenu en page Web Chapitre 5 39 Dépannage 39 Utilisation de fichiers d’historique pour surveiller la diffusion de listes de lecture 39 Les fichiers multimédias ne sont pas diffusés correctement 40 Les utilisateurs ne peuvent pas se connecter à votre diffusion 40 Les utilisateurs reçoivent des messages d’erreur lors de la diffusion de donnéesTable des matières 5 Chapitre 6 43 Exemple de configuration 43 Enchaînement de présentations, en direct et à la demande 45 Configuration 53 Création d’une page Web pour simplifier l’accès 53 Prise de vue de la présentation en direct 54 Archivage de la présentation en direct Glossaire 57 Index 65 7 Préface Bienvenue dans le serveur Enchaînement QuickTime Découvrez les nouveautés de cette version du serveur Enchaînement QuickTime, ainsi que la suite de produits QuickTime. La suite de services de Mac OS X Server version 10.3 (“Panther”) comprend Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) version 5.0. QTSS est préinstallé sur le matériel serveur Apple. En termes de conception et de configuration, QTSS est semblable à Apache, le logiciel serveur Web populaire également inclus avec Mac OS X Server. Si vous êtes expérimenté dans l’utilisation d’Apache, QTSS vous semblera familier. Si vous avez précédemment administré un serveur Enchaînement QuickTime à l’aide de l’application basée sur le Web, à savoir Admin Web, vous pouvez continuer ainsi. Admin Web est utile pour administrer un serveur d’enchaînement à distance ou à partir d’ordinateurs non Mac. Pour plus d’informations, consultez la section “Utilisation de l’application basée sur le Web pour gérer l’enchaînement QuickTime” à la page 24. Admin Serveur pour Mac OS X Server version 10.3 comporte une interface conviviale permettant d’effectuer les opérations que vous réalisiez avec Admin Web.8 Préface Bienvenue dans le serveur Enchaînement QuickTime Nouveautés du serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) pour Mac OS X Server version 10.3 Intégré à Mac OS X Server version 10.3, QTSS version 5 constitue la nouvelle génération du puissant serveur d’enchaînement Apple, conforme aux normes standard. Mettant l’accent sur la simplicité d’utilisation et l’intégration à Mac OS X Server, cette version de QTSS apporte un certain nombre d’améliorations : • Nouvelle administration serveur L’administration QTSS a été remaniée et est désormais intégrée à Admin Serveur Mac OS X. Vous pouvez personnaliser les réglages du serveur d’enchaînement, notamment la liaison de QTSS à une adresse IP spécifique, la surveillance de l’activité du serveur, la configuration de relais et l’affichage des fichiers d’historique, avec la même interface que les autres services Mac OS X Server. L’application basée sur le Web est toujours disponible pour l’administration de QTSS. Vous pouvez exécuter Admin Serveur sur Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure, ou sur n’importe quel ordinateur Mac qui exécute Mac OS X version 10.3 ou ultérieure. Pour plus d’informations sur l’installation de logiciels d’administration sur un poste de travail, consultez le guide de premiers contacts Mac OS X Server pour la version 10.3 ou ultérieure. Vous pouvez utiliser Mac OS X Server version 10.3 pour la surveillance d’ordinateurs qui exécutent Mac OS X version 10.2 ou ultérieure. • Enchaînement depuis le répertoire de départ QTSS gère désormais l’enchaînement de films à partir du répertoire de départ des utilisateurs. Les utilisateurs peuvent diffuser leurs propres films en plaçant des fichiers à indications dans le dossier Sites/ Enchaînement de leur répertoire de départ ; le public peut accéder aux films via une URL de la forme rtsp://monserveur/~utilisateur/film.mov. Les administrateurs système n’ont plus besoin de placer les fichiers d’utilisateur dans le répertoire de données principal ; les films sont prêts pour l’enchaînement dès qu’ils sont copiés. Avec la prise en charge du répertoire de départ, vous pouvez également implémenter l’enchaînement basé sur les comptes, afin de spécifier l’espace disque utilisé pour les dossiers d’enchaînement locaux (via le Gestionnaire de groupe de travail). • QuickTime Streaming Server Publisher Utilisez cette nouvelle application simple à utiliser pour gérer toutes vos données multimédias QuickTime, à la fois pour l’enchaînement et le téléchargement progressif, sur Mac OS X Server version 10.3. La possibilité d’exécuter l’application soit localement sur le serveur, soit à distance à partir de n’importe quel ordinateur Mac exécutant Mac OS X version 10.2 ou ultérieure, permet à QTSS Publisher de répondre aux besoins des webmasters et des créateurs de contenu. QTSS Publisher vous permet de : • Télécharger des données multimédias vers Mac OS X Server “Panther”. • Préparer du contenu en vue de sa diffusion par enchaînement. QTSS Publisher applique automatiquement des pistes d’indication aux films qui en sont dépourvus, afin de garantir la fiabilité de vos flux. • Intégrer des données multimédias à une page Web. QTSS Publisher génère du code HTML que vous pouvez copier et coller dans une page Web existante.Préface Bienvenue dans le serveur Enchaînement QuickTime 9 • Annoter des films. Ajouter le titre approprié, le générique et les informations de copyright à vos données. • Générer des pages Web. QTSS fournit des modèles que vous pouvez utiliser pour convertir votre contenu en pages Web. • Créer des listes de lecture. Créez des listes de lecture MP3, MP4 et de film côté serveur par simple glisser-déposer. L’interface, semblable à celle d’iTunes, vous permet de transformer facilement votre serveur d’enchaînement en station de radio sur Internet ou d’offrir au public une présentation en direct simulé à partir de films QuickTime préenregistrés. • Mettre à jour des listes de lecture en direct. Ajoutez des données multimédias ou réorganisez les éléments d’une liste de lecture sans interrompre la diffusion vers votre public. Les autres fonctionnalités de QTSS sont les suivantes : • Enchaînement MPEG-4 natif Diffusez des fichiers MPEG-4 à indications, compatibles aux normes ISO, vers n’importe quel lecteur MPEG-4 ISO, sans conversion préalable en fichiers .mov. • Enchaînement audio MP3 Créez votre propre station de radio sur Internet. Vous pouvez distribuer des fichiers MP3 standard à l’aide de protocoles compatibles Icecast via http. Créez une liste de lecture de fichiers MP3 et distribuez-les vers des clients MP3 tels qu’iTunes, SoundJam et WinAmp pour une expérience de direct simulé. • Protection contre les coupures La technologie Apple de protection contre les coupures, ensemble de fonctionnalités de qualité de service, tire parti de l’excès de bande passante disponible pour mettre les données en mémoire cache localement sur le client. • Lecture instantanée Les utilisateurs équipés d’une connexion haut débit, qui visualisent un flux de données vidéo à l’aide de QuickTime 6 ou ultérieur, bénéficient de la fonction de lecture instantanée. Cette fonction améliore la mise des données en mémoire tampon et réduit considérablement la durée de cette opération. La lecture instantanée permet également aux utilisateurs équipés d’une connexion haut débit d’utiliser le curseur de durée pour faire défiler un flux de données à la demande en avant ou en arrière, la lecture étant mise à jour instantanément. • Authentification Deux types d’authentification, à savoir Digest et Basic, vous permettent de contrôler l’accès aux données multimédias protégées. • Listes de lecture côté serveur Vous pouvez diffuser un ensemble de fichiers multimédias comme s’il s’agissait d’une diffusion en direct. Cela peut s’avérer idéal pour la création et la gestion d’une station de radio ou de télévision virtuelle. • Gestion des relais Vous pouvez facilement configurer plusieurs couches de serveurs afin de diffuser des flux de données vers un nombre quasi illimité de clients.10 Préface Bienvenue dans le serveur Enchaînement QuickTime La suite de produits QuickTime La suite de produits QuickTime est unique en ce sens qu’elle inclut tous les logiciels dont vous avez besoin pour produire, transmettre et recevoir des flux de données. Chaque produit est entièrement conçu pour une compatibilité maximale avec tous les autres composants de la suite. La suite QuickTime est constituée des produits suivants : • QuickTime Player L’application gratuite QuickTime Player est une application simple à utiliser destinée à lire, manipuler ou visualiser des fichiers vidéo, audio, de réalité virtuelle (VR) ou graphiques compatibles avec QuickTime. • QuickTime Pro La puissante version “pro” de QuickTime Player offre de nombreuses fonctions de création multimédia. Vous pouvez créer des diaporamas, coder des séquences vidéo et audio complexes, éditer des pistes de films, créer des pistes d’indication, créer des présentations et assembler des centaines de types de données multimédias différents en un seul fichier de film. • Serveur Enchaînement QuickTime Inclus avec Mac OS X Server, le logiciel Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) vous permet de diffuser des données multimédias en temps réel ou à la demande via Internet, sans avoir à payer de licence par flux. Les utilisateurs voient les données dès qu’elles parviennent à l’ordinateur ; ils n’ont pas à attendre le téléchargement des fichiers. • Darwin Streaming Server Cette version open-source gratuite de Serveur Enchaînement QuickTime gère des plates-formes d’entreprise populaires telles que Linux, Solaris, Windows NT/2000 et Windows Server 2003. Elle peut être téléchargée au format source ou binaire et peut être utilisée avec d’autres plates-formes en modifiant quelques fichiers source propres aux plates-formes. • QuickTime Broadcaster QuickTime Broadcaster vous permet de produire une émission en direct, à laquelle toute personne équipée d’une connexion à Internet pourra assister. Associant la puissance de QuickTime et la simplicité d’utilisation légendaire d’Apple, QuickTime Broadcaster est inclus avec Mac OS X Server (et peut également être téléchargé gratuitement à partir du site Web d’Apple). QuickTime Broadcaster gère la plupart des codecs gérés par QuickTime.Préface Bienvenue dans le serveur Enchaînement QuickTime 11 Informations supplémentaires Il existe d’autres ressources sur l’enchaînement QuickTime, notamment des cours, des listes de diffusion et des foires aux questions (FAQ). Pour plus d’informations, consultez le site Web QTSS, à l’adresse http://www.apple.com/quicktime/qtss • La page des produit QTSS contient les informations les plus récentes sur les principales fonctionnalités, les téléchargements récents et la configuration minimale requise, ainsi que des liens vers d’autres pages de support : http://www.apple.com/quicktime/products/qtss/ • La page de support AppleCare de Mac OS X Server propose des liens vers de nombreux articles utiles de la base de connaissances Knowledge Base, concernant tous les services fournis avec Mac OS X Server, y compris QTSS et Apache. Elle contient également des liens vers les fichiers PDF du guide de premiers contacts Mac OS X Server pour la version 10.3 ou ultérieure et du guide de l’administrateur de Mac OS X Server : http://www.info.apple.com/usen/macosxserver • Le cours d’enchaînement QuickTime examine en détail Serveur Enchaînement QuickTime en expliquant aux administrateurs système et aux auteurs QuickTime les détails de la diffusion en temps réel. Pour plus d’informations, consultez la section Ressources de la page Serveur Enchaînement QuickTime : http://www.apple.com/quicktime/products/qtss/ • Le best-seller “QuickTime for the Web” constitue un excellent guide pratique. Cet ouvrage de la série Apple QuickTime Developer Series explique comment intégrer à un site Web de la vidéo, du son enregistré, des animations Flash, des séquences de réalité virtuelle, des séquences MIDI, du texte, des images fixes, des flux en direct, des jeux et de l’interactivité utilisateur. Le CD-ROM d’accompagnement inclut QuickTime Pro et un ensemble complet d’outils de développement pour Windows et Macintosh. Publié par Morgan Kaufmann, ce best-seller est proposé avec d’autres ouvrages très utiles sur le site Web de formation QuickTime (en anglais) : http://www.apple.com/quicktime/tools_tips/books.html • La zone des forums de discussion Apple du site Web de support AppleCare permet la discussion sur les problèmes relatifs à Serveur Enchaînement QuickTime. Accédez à la section Mac OS X Server, puis à Serveur Enchaînement QuickTime. Vous pouvez publier des messages et consulter les messages des autres utilisateurs inscrits : http://discussions.info.apple.com/ (en anglais) • Apple héberge de nombreuses listes de diffusion, notamment à l’intention des utilisateurs et développeurs du serveur d’enchaînement. Très fréquentées par les ingénieurs Apple, ces listes constituent d’excellentes sources d’informations pour les utilisateurs débutants et confirmés. Pour vous abonner, cliquez sur “Lists hosted on this site”, puis sur “streaming-server users” ou “streaming-server developers” et inscrivez-vous. Vous pouvez également effectuer une recherche dans les archives de ces deux listes : http://lists.apple.com (en anglais) • Le site Web des services QuickTime répertorie les fournisseurs de services d’enchaînement : http://www.apple.com/quicktime/tools_tips/services/12 Préface Bienvenue dans le serveur Enchaînement QuickTime • Si vous êtes un utilisateur expérimenté, vous pouvez consulter les documents RFC (Request for Comments) concernant les normes RTP et RTSP en consultant le site Web IETF (Internet Engineering Task Force) : http://www.ietf.org/rfc/rfc1889.txt (RTP) http://www.ietf.org/rfc/rfc2326.txt (RTSP) • Le site Web de source publique permet l’accès au code source de DSS (Darwin Streaming Server) et aux informations destinées aux développeurs. Prenez soin de lire les FAQ proposées sur cette page : http://developer.apple.com/darwin/projects/streaming/ (en anglais)1 13 1 Vue d’ensemble de l’enchaînement QuickTime Pour pouvoir configurer votre serveur Enchaînement QuickTime, il est important de comprendre ce qu’est l’enchaînement. Qu’est-ce que l’enchaînement ? L’enchaînement est la distribution de contenu multimédia, tel que les films et les présentations vidéo, sur un réseau en direct. Un ordinateur (serveur d’enchaînement) envoie les données multimédias à un autre ordinateur (client), lequel lit les données au fur et à mesure de leur réception. Avec l’enchaînement, aucun fichier n’est téléchargé sur le disque dur de l’ordinateur destinataire. Vous pouvez enchaîner l’envoi des données selon différents débits, d’une simple connexion par modem à une connexion à haut débit. De la même façon que vous avez besoin d’un serveur Web pour héberger un site Web, l’envoi de flux de données via Internet ou un réseau local nécessite un serveur d’enchaînement qui transmet les flux audio et vidéo à la demande. Lorsque les destinataires sont peu nombreux, le même ordinateur peut exécuter le logiciel de serveur Web, le logiciel de serveur de courrier et le logiciel de serveur d’enchaînement. En revanche, si les destinataires sont plus nombreux, un ou plusieurs ordinateurs sont généralement dédiés aux serveurs d’enchaînement. Lorsqu’un utilisateur demande un flux (à l’aide d’un logiciel client tel que QuickTime Player), la demande est gérée à l’aide du protocole RTSP (Real-Time Streaming Protocol). Les flux sont envoyés à l’aide du protocole RTP (Real-Time Transport Protocol). Un serveur d’enchaînement peut soit créer des flux à partir de séquences QuickTime stockées sur disque dur, soit transmettre des flux en direct auxquels il a accès. Le logiciel QTSS (QuickTime Streaming Server) vous permet de diffuser : • des émissions en direct, • de la vidéo à la demande, • des listes de lecture de contenu préenregistré.14 Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’enchaînement QuickTime Comparaison entre diffusion en direct et diffusion à la demande Les flux en temps réel sont transmis de deux façons : en direct et à la demande. Le serveur Enchaînement QuickTime utilise les deux modes. Les événements en direct tels que les concerts, les discours et les présentations sont généralement diffusés via Internet au moment même où ils se déroulent, à l’aide de logiciels de diffusion tels que QuickTime Broadcaster. Ces logiciels de diffusion codent une source en direct, telle que la vidéo provenant d’une caméra, en temps réel et envoient le flux résultant vers le serveur. Le serveur envoie (ou “sert”) alors le flux en direct aux clients. Quel que soit l’instant où un utilisateur se connecte au flux, tout le monde voit la même portion de flux au même moment. Vous pouvez simuler une expérience en direct à l’aide de contenus enregistrés, en diffusant à partir d’une source archivée (telle qu’un magnétophone) ou en créant des listes de lecture sur le serveur. Avec la distribution à la demande, d’un film ou d’un discours archivé par exemple, chaque client lit le flux depuis le début, de sorte que personne “n’arrive en retard”. Aucun logiciel de diffusion n’est requis pour la distribution à la demande. Comparaison entre le téléchargement progressif (HTTP) et le téléchargement par enchaînement (RTP/RTSP) Le téléchargement progressif (parfois appelé “Démarrage rapide”) est une méthode qui consiste à distribuer un film via Internet de sorte que sa lecture puisse commencer avant que le fichier ne soit complètement téléchargé. Avec le téléchargement progressif, toutes les données requises pour lire un film se trouvent en début de fichier, de sorte que QuickTime peut commencer la lecture du film dès que la première partie du fichier a été transférée. Contrairement à l’enchaînement, qui permet de visualiser des films sans télécharger aucun fichier, les films à démarrage rapide sont réellement téléchargés sur l’ordinateur destinataire. Un tel film peut être autonome, auquel cas toutes les données sont stockées dans le film proprement dit, ou inclure des pointeurs faisant référence à des données situées sur Internet. Vous pouvez visualiser les films à téléchargement progressif dans un navigateur Web, à l’aide du plug-in QuickTime, ou dans QuickTime Player. Vous pouvez créer des films à téléchargement progressif pour des spectateurs ayant des vitesses de connexion variables (appelées “films de référence”) et un film par enchaînement pour les spectateurs utilisant les connexions les plus rapides. Enchaînement Lecture instantanée Les utilisateurs qui regardent un flux vidéo à l’aide de QuickTime 6 ou ultérieur peuvent bénéficier de la fonctionnalité Lecture instantanée. Cette dernière constitue un progrès dans la technologie Apple de protection contre les coupures, qui permet de réduire considérablement les temps de mise en mémoire tampon, procurant ainsi une expérience de visualisation instantanée. Les utilisateurs peuvent faire défiler la vidéo en cliquant, comme si elle se trouvait sur leur disque dur.Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’enchaînement QuickTime 15 Les utilisateurs doivent disposer d’une connexion à large bande pour bénéficier de l’enchaînement Lecture instantanée. La réactivité de l’enchaînement Lecture instantanée dépend du débit du contenu. Elle peut également être affectée par le codec utilisé. Configuration simplifiée pour la vidéo en direct La figure ci-dessous illustre une configuration d’enchaînement vidéo et audio en direct. (La plupart des caméras vidéo disposent d’un microphone intégré.) Vous pouvez diffuser les séquences audio en utilisant uniquement un microphone, une table de mixage et tout autre équipement audio approprié. Un ordinateur PowerBook G4 équipé du logiciel QuickTime Broadcaster capture et code des données vidéo et audio. Le signal codé est envoyé via un réseau IP (Internet Protocol) vers un serveur qui exécute le logiciel QTSS (QuickTime Streaming Server). QTSS sur l’ordinateur serveur envoie le signal, via Internet ou un réseau local, aux ordinateurs client qui demandent le flux à l’aide de QuickTime Player. Il est possible également d’exécuter QuickTime Broadcaster et QTSS sur le même ordinateur. En revanche, si vous diffusez auprès d’un public important (plus de 100 personnes), Apple recommande d’exécuter QuickTime Broadcaster et QTSS sur des ordinateurs distincts. Diffuseur Serveur d'enchaînement16 Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’enchaînement QuickTime Comment recevoir des flux de données multimédias Lorsque vous regardez et écoutez des transmissions aériennes ou par câble, à la télévision ou à la radio, les longueurs d’onde utilisées sont dédiées à cette transmission. Ces transmissions sont le plus souvent non compressées et consomment de grandes quantités de bande passante. Ce n’est pas un problème, car elles ne doivent pas partager la bande de fréquence utilisée. Lorsque vous envoyez ces mêmes données via Internet, la bande passante utilisée n’est plus dédiée uniquement à ce flux de transmission. Les données doivent alors partager une bande passante extrêmement limitée avec des milliers, voire des millions d’autres transmissions transitant via Internet. Par conséquent, les données multimédias sont codées et compressées avant d’être transmises via Internet. Les fichiers qui en résultent sont enregistrés dans un emplacement spécifique et le logiciel serveur d’enchaînement, tel que QTSS, envoie les données multimédias via Internet aux ordinateurs client. Les utilisateurs Macintosh et Windows peuvent visualiser les flux de données multimédias à l’aide de QuickTime Player (disponible gratuitement sur le site Web Apple) ou de toute autre application gérant les fichiers QuickTime ou MPEG-4. Vous pouvez également configurer des flux que les utilisateurs peuvent visualiser à partir d’un navigateur Web (le plug-in QuickTime doit être installé). Lorsqu’un utilisateur commence la lecture de flux de données multimédias dans une page Web, le plug-in QuickTime envoie une demande au serveur d’enchaînement et ce dernier répond en envoyant le contenu multimédia à l’ordinateur client. Vous devez spécifier dans la page Web le contenu à envoyer au client : un film QuickTime situé dans un répertoire spécifié, une diffusion en direct ou une liste de lecture stockée sur le serveur d’enchaînement. Comparaison entre multidiffusion et monodiffusion Le serveur Enchaînement QuickTime gère le transport réseau multidiffusion et monodiffusion pour la distribution des flux de données multimédias.Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’enchaînement QuickTime 17 Lors d’une multidiffusion, un seul flux est partagé par les clients (voir illustration cidessous). Chaque client “se branche” sur le flux comme une radio se branche sur une émission FM. Cette technique réduit l’encombrement sur le réseau, mais nécessite un réseau qui soit a accès à la dorsale de multidiffusion (“Mbone”) pour le contenu distribué via Internet, soit permet la multidiffusion de contenu distribué en réseau privé restreint. En monodiffusion, chaque client lance son propre flux, entraînant la génération de nombreuses connexions un à un entre le client et le serveur (voir illustration ci-dessous). Une multitude de clients connectés en monodiffusion à un flux au sein d’un réseau local peuvent entraîner un trafic réseau important. Cette technique est cependant la plus fiable pour la distribution via Internet, car aucune gestion de mode de transport particulier n’est nécessaire. Multidiffusion Diffusion individuelle18 Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’enchaînement QuickTime Relais Un relais reçoit un flux entrant puis le transfère à un ou plusieurs serveurs d’enchaînement. Les relais permettent de réduire la consommation de bande passante Internet et sont utiles diffuser vers de nombreux spectateurs situés dans des emplacements différents. Une entreprise peut par exemple diffuser la présentation d’un PDG en la relayant du siège social vers les succursales. La présentation du PDG est capturée en direct avec une caméra vidéo. Les données audio et vidéo de la caméra sont codées à l’aide de QuickTime Broadcaster sur un ordinateur Mac OS X. Un ordinateur Mac OS X Server équipé du logiciel QTSS relaye la diffusion via Internet vers les ordinateurs destinataires qui servent les succursales de l’entreprise. Les employés utilisent des ordinateurs client pour se brancher sur les ordinateurs destinataires afin de regarder la présentation du PDG. Avec QTSS, il n’est pas nécessaire de configurer les ordinateurs destinataires ; ces derniers reçoivent automatiquement la diffusion transférée par l’ordinateur relais. Pour des informations détaillées sur la configuration des relais, consultez la section “Configuration de flux de relais” à la page 27. Destination Source Destination Clients Clients Relais Siège de l'entreprise Succursales Internet2 19 2 Configuration de votre serveur Enchaînement QuickTime L’objectif de ce chapitre est de vous permettre de configurer et d’utiliser rapidement votre serveur Enchaînement QuickTime. Les instructions de ce chapitre supposent que vous avez déjà installé Mac OS X Server “Panther” et procédé à sa configuration élémentaire initiale. Pour savoir comment configurer Mac OS X Server, consultez le document intitulé “Premiers contacts Mac OS X Server pour la version 10.3 ou ultérieure” (inclus sur le CD-ROM d’installation de Mac OS X Server et téléchargeable à l’adresse www.apple.com/server/documentation). Configurations matérielle et logicielle requises pour l’enchaînement QuickTime La configuration requise pour le serveur Enchaînement QuickTime est indiquée dans le guide de premiers contacts Mac OS X Server pour la version 10.3 ou ultérieure. Configuration requise pour l’ordinateur de visualisation Tout ordinateur sur lequel est installé QuickTime 4 ou ultérieur peut afficher les données multimédias envoyées par le serveur d’enchaînement. Pour un résultat optimal, Apple recommande QuickTime 6 ou ultérieur. QuickTime 6 et une connexion Internet haut débit sont nécessaires pour bénéficier de la fonctionnalité Lecture instantanée avec QTSS 4.1 ou ultérieur. Tout lecteur MPEG-4 compatible ISO permet de visualiser des fichiers MPEG-4. Il est possible d’écouter des flux de listes de lecture MP3 à l’aide d’iTunes ou de tout autre lecteur compatible de flux MP3, tel que WinAmp. Vous pouvez télécharger le logiciel QuickTime Player à partir du site Web QuickTime à l’adresse http://www.apple.com/quicktime20 Chapitre 2 Configuration de votre serveur Enchaînement QuickTime Configuration requise pour la diffusion en direct Pour diffuser du contenu en direct, vous pouvez utiliser QuickTime Broadcaster, inclus et installé avec Mac OS X Server. Pour plus d’informations, notamment sur la configuration, consultez la page Web Apple QuickTime Broadcaster (http://www.apple.com/quicktime/products/broadcaster/) et l’aide en ligne de QuickTime Broadcaster. Vous avez besoin du matériel suivant pour diffuser des données audio ou vidéo en direct : • Matériel source pour les données audio, vidéo ou les deux, par exemple un magnétoscope, un caméscope et un microphone. • Un ordinateur équipé de QuickTime Broadcaster ou de tout autre logiciel de diffusion (PowerPC G4 recommandé pour la diffusion MPEG-4), ainsi qu’une carte de capture vidéo ou audio. Remarque : QuickTime Broadcaster gère la capture vidéo à partir de la plupart des sources à technologie FireWire (notamment les caméscopes numériques (DV), certaines webcams et les boîtiers de conversion DV) pour un processus de diffusion simple et rapide avec des résultats de qualité professionnelle. • 128 Mo de RAM (256 Mo recommandé pour une diffusion professionnelle) • QuickTime 6 ou ultérieur Considérations relatives à la bande passante Il n’est généralement pas souhaitable de connecter un serveur d’enchaînement à Internet ou à un réseau local via un modem DSL (Digital Subscriber Line) ou câble. Le serveur serait en effet très limité par la bande passante relativement faible de ces modems pour le téléchargement de données vers le serveur. Dans certains cas, l’utilisation d’un serveur sur une connexion DSL peut entraîner la rupture d’un contrat de service. Consultez votre fournisseur de services DSL ou câble avant de configurer le serveur. Lors de la création de flux RTSP (Real-Time Transport Protocol), vous obtiendrez les meilleures performances si les flux ne dépassent pas 75% de la bande passante client prévue. Par exemple, n’utilisez pas un débit supérieur à 21 kilobits par seconde (Kbps) pour une connexion par modem à 28 Kbps. Pour une connexion classique par modem 56 K, ne dépassez pas 40 Kbps. Pour une connexion client T1 (1500 Kbps), n’utilisez pas un débit supérieur à 1125 Kbps.Chapitre 2 Configuration de votre serveur Enchaînement QuickTime 21 Configuration de votre serveur d’enchaînement Cette section explique comment configurer le serveur d’enchaînement, tester votre configuration et accéder aux données multimédias diffusées par votre serveur. Pour configurer votre serveur d’enchaînement : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Dans la liste Ordinateurs et services, sélectionnez l’ordinateur que vous souhaitez configurer comme serveur Enchaînement QuickTime et assurez-vous que vous pouvez voir tous ses services (cliquez sur le triangle en regard de l’ordinateur si tel n’est pas le cas). 3 Dans la liste Ordinateurs et services, cliquez sur Enchaînement QuickTime. 4 Cliquez sur Démarrer le service. Test de votre configuration Des échantillons de films QuickTime sont fournis avec QTSS dans le dossier par défaut des films, ce qui vous permet de tester la configuration du serveur. Ces échantillons peuvent être visualisés à partir d’un ordinateur client, à l’aide de QuickTime Player. Remarque : l’échantillon de fichier .mp3 inclus est uniquement destiné à la diffusion d’une liste de lecture MP3. Il ne s’agit pas d’un film QuickTime à indications et il ne peut pas être diffusé à la demande via RTSP. Pour plus d’informations sur la préparation de données pré-enregistrées (MP3 ou autres) à diffuser en direct simulé, consultez la section “Préparation des données multimédias préenregistrées pour la diffusion” à la page 33. Pour tester la configuration de votre serveur en visualisant un échantillon de film : 1 Sur un autre ordinateur, ouvrez QuickTime Player. 2 Cliquez sur Fichier > Ouvrir l’URL dans le nouveau lecteur. 3 Tapez l’URL suivante : rtsp://nom_hôte/sample_300kbit.mov où nom_hôte est le nom d’hôte ou l’adresse IP du serveur Enchaînement QuickTime. Sélectionnez le film avec le débit approprié en fonction de votre bande passante. 4 Cliquez sur OK. QuickTime Player se connecte au serveur et lit le film dans une nouvelle fenêtre. Si vous voyez le message “Fichier introuvable” : Assurez-vous d’abord que l’URL a été saisie correctement, en tenant compte des restrictions en termes de majuscules et de minuscules.22 Chapitre 2 Configuration de votre serveur Enchaînement QuickTime Si votre serveur d’enchaînement est un serveur multi-adressage (s’il héberge également un serveur Web par exemple), il se peut que vous deviez spécifier une autre adresse IP pour l’enchaînement. Un serveur Web utilise automatiquement le port 80 ; avec certaines configurations de client QuickTime, QTSS utilise également le port 80. Vous pouvez choisir ou ajouter une adresse IP pour le serveur d’enchaînement dans le volet Enchaînement QuickTime d’Admin Serveur. Cliquez sur Réglages, sur Associations IP, puis cochez la case Association correspondant à l’adresse IP souhaitée. La configuration initiale de votre logiciel serveur d’enchaînement est terminée. Les réglages complémentaires dépendent de votre matériel et de vos logiciels, de vos connexions réseau, du nombre prévu de spectateurs, ainsi que du type de données que vous souhaitez diffuser. Pour plus d’informations sur la détermination de ces réglages et sur l’utilisation du serveur d’enchaînement, consultez le chapitre 3, “Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime”, le chapitre 6, “Exemple de configuration” et les ressources présentées la page 11. Accès aux données multimédias diffusées par votre serveur Pour lire les flux de données multimédias, les utilisateurs doivent être équipés de QuickTime 4 ou ultérieur (ou d’un lecteur MP4). Voici les instructions à fournir aux utilisateurs qui souhaitent visualiser les flux multimédias diffusés par votre serveur. Pour visualiser des flux de données multimédias : 1 Ouvrez QuickTime Player. 2 Cliquez sur Fichier > Ouvrir l’URL. 3 Tapez l’URL du fichier multimédia. Par exemple : rtsp://monserveur.com/monfichier où monserveur.com est le nom DNS de l’ordinateur QTSS et monfichier est le nom du film ou du fichier multimédia. Cette URL suppose que le film ou le fichier multimédia se trouve au niveau supérieur du répertoire multimédia. Pour les films qui se trouvent dans des sous-dossiers du répertoire, ajoutez le dossier concerné au nom de chemin. Par exemple : rtsp://monserveur.com/mondossier/monfichier.mov Si vous souhaitez que les utilisateurs visualisent les flux de données multimédias à l’aide d’un navigateur Web, vous devez configurer une page Web pour afficher les données multimédias (voir “Conversion du contenu en page Web” à la page 37) et fournir aux utilisateurs l’URL de cette page. Il n’est pas recommandé de taper une URL RTSP directement dans le champ d’adresse du navigateur Web, car certains navigateurs ne comprennent pas le terme “rtsp”).3 23 3 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime Ce chapitre contient des informations sur la diffusion de flux de données à travers des coupe-feu, la configuration de relais et l’administration à distance d’un serveur Enchaînement QuickTime. Pour configurer et gérer Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS), vous devez utiliser l’application Admin Serveur, installée avec Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure. Cette application offre une interface utilisateur graphique standard pour toutes les plates-formes compatibles et vous permet d’administrer le serveur d’enchaînement localement ou à distance. Admin Serveur vous permet de modifier les réglages généraux, de surveiller les utilisateurs connectés, de visualiser les fichiers d’historique, de gérer l’utilisation de la bande passante et de relayer des flux d’un serveur à un autre.24 Chapitre 3 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime Voici une brève description des cinq volets d’Enchaînement QuickTime : • Vue d’ensemble : fournit un aperçu de l’activité actuelle du serveur. • Historiques : affiche les historiques d’erreurs pour permettre le dépannage, ainsi que les historiques d’accès qui contiennent des informations telles que le nombre et les heures d’accès à un fichier multimédia. • Connexions : fournit des informations sur les utilisateurs connectés et les relais actifs. • Graphiques : affiche un graphique du nombre moyen d’utilisateurs connectés ou du débit en fonction du temps (heures ou jours). • Réglages : permet de spécifier les réglages du serveur, de lier QTSS à des adresses IP spécifiques (si l’ordinateur serveur est de type multi-adressage), d’activer des relais et de modifier les réglages d’historiques. L’application QuickTime Streaming Server Publisher est également fournie avec QTSS et permet d’automatiser le processus de préparation et de diffusion des flux de films. Son interface conviviale facilite la publication sur le Web de flux de contenu exempts d’erreurs. Vous pouvez utiliser QTSS Publisher pour créer des listes de lecture, insérer automatiquement des indications dans des séquences ou intégrer facilement des films dans un site Web. Pour plus d’informations sur QTSS Publisher, consultez le chapitre 4, “Gestion de vos données multimédias”, à la page 31. Utilisation de l’application basée sur le Web pour gérer l’enchaînement QuickTime Si vous avez précédemment administré un serveur Enchaînement QuickTime à l’aide de l’application basée sur le Web, à savoir Admin Web, vous pouvez poursuivre de cette manière. Admin Web est utile pour administrer un serveur d’enchaînement à distance ou à partir d’ordinateurs non Mac. Pour utiliser Admin Web : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez Enchaînement QuickTime sous le serveur dans la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Cliquez sur Accès. 4 Sélectionnez “Activer l’administration basée sur le Web”. 5 Cliquez sur Enregistrer. Pour plus d’informations sur l’utilisation d’Admin Web, consultez le guide de l’administration QTSS/Darwin Streaming Server, disponible à l’adresse http://developer.apple.com/fr/darwinChapitre 3 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime 25 Remarque : si vous avez utilisé l’application basée sur le Web, à savoir Admin Web, pour administrer un serveur Enchaînement QuickTime, vous trouverez les fonctionnalités d’administration dans l’application Admin Serveur de Mac OS X. Utilisez QTSS Publisher pour créer des listes de lecture et préparer et organiser les fichiers multimédias. Utilisation d’Admin Serveur pour gérer l’enchaînement QuickTime Cette section contient des instructions pour les tâches telles que le démarrage et l’arrêt de l’enchaînement, la configuration d’un serveur multi-adressage et la modification de réglages tels que le nombre maximum de connexions et le débit maximum autorisé. Démarrage ou arrêt du service d’enchaînement Vous pouvez démarrer ou arrêter le service d’enchaînement à partir du volet Enchaînement QuickTime d’Admin Serveur. Pour démarrer ou arrêter le service d’enchaînement : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Dans la liste Ordinateurs et services, cliquez sur Enchaînement QuickTime pour le serveur. 3 En haut de la fenêtre, cliquez sur Démarrer le service ou sur Arrêter le service. Modification du nombre maximum de connexions d’enchaînement Lorsque le nombre maximum de connexions spécifié est atteint, un message indiquant que le serveur est occupé ou que la bande passante est insuffisante (erreur 453) est affiché pour les utilisateurs qui tentent de se connecter. Pour modifier le nombre maximum de connexions : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime sous le serveur dans la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Tapez un nombre dans le champ Nombre de connexions max. 4 Cliquez sur Enregistrer. Modification du débit d’enchaînement maximum Si le débit maximal est atteint, personne d’autre ne peut se connecter. Les utilisateurs qui tentent de se connecter reçoivent un message indiquant que le serveur est occupé (erreur 453). Pour modifier le débit maximal : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime sous le serveur dans la liste Ordinateurs et services.26 Chapitre 3 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime 2 Cliquez sur Réglages. 3 Tapez un nombre dans le champ Débit maximal. 4 Cliquez sur Enregistrer. Vous pouvez spécifier des valeurs en mégabits par seconde (Mbps) ou kilobits par seconde (Kbps) dans le menu local. Changement du répertoire réservé aux flux de données multimédias Serveur Enchaînement QuickTime comporte un répertoire multimédia principal (/Bibliothèque/QuickTimeStreaming/Movies). Vous pouvez spécifier un autre répertoire pour vos flux de données multimédias (pour transférer le répertoire vers un autre disque dur par exemple). Pour spécifier un autre répertoire multimédia : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime sous le serveur dans la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Tapez un nom de chemin dans le champ Répertoire Média ou cliquez sur le bouton en regard du champ afin de choisir un dossier. 4 Cliquez sur Enregistrer. Association de l’ordinateur d’administration du serveur d’enchaînement à une adresse IP Si votre ordinateur d’administration du serveur d’enchaînement est multi-adressage (si vous hébergez également un serveur Web par exemple), vous pouvez indiquer l’adresse IP à associer à QTSS. Pour spécifier une adresse IP : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime. 2 Cliquez sur Réglages, puis sur Associations IP. 3 Cochez la case Association pour l’adresse IP souhaitée. 4 Cliquez sur Enregistrer. Vous pouvez choisir d’associer QTSS à toutes les adresses IP répertoriées ou uniquement aux adresses sélectionnées.Chapitre 3 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime 27 Hébergement de flux provenant de plusieurs répertoires multimédias d’utilisateur Serveur Enchaînement QuickTime ne peut comporter qu’un seul répertoire multimédia principal. Cependant, en activant la prise en charge des répertoires de départ, les utilisateurs peuvent diffuser des fichiers ou des listes de lecture à la demande, à partir de leur répertoire de départ. Pour configurer QTSS afin qu’il diffuse des films provenant des répertoires de départ des utilisateurs : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime. 2 Cliquez sur Réglages, puis sur Accès. 3 Sélectionnez “Activer la diffusion depuis le répertoire de départ”. 4 Cliquez sur Enregistrer. 5 Demandez aux utilisateurs de placer leurs films QuickTime dans le dossier créé dans leur répertoire de départ (//Sites/Streaming). Pour visualiser un film dans un répertoire privé, tapez l’URL suivante : rtsp://nom_hôte.com/~utilisateur1/exemple.mov Remarque : pour diffuser un flux en direct à partir d’un répertoire autre que le répertoire multimédia, vous devez créer un fichier qtaccess. Pour plus d’informations, consultez le guide d’administration du serveur d’enchaînement QuickTime, disponible à l’adresse http://developer.apple.com/fr/darwin Configuration de flux de relais Vous devez utiliser des relais pour accepter un flux provenant d’un serveur d’enchaînement et le transférer, ou le “relayer”, vers un autre serveur d’enchaînement. Chaque relais est constitué d’une source et d’une ou plusieurs destinations. Pour configurer un relais : 1 Dans le volet Réglages du service Enchaînement QuickTime, cliquez sur Relais. 2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) en regard de la liste Relais. 3 Tapez un nom pour le relais dans le champ Nom du relais. 4 Choisissez une option dans le menu local Type de relais. L’option Demander une diffusion entrante ordonne au serveur d’enchaînement d’envoyer à l’ordinateur source une demande pour le flux entrant avant qu’il ne soit relayé. Vous pouvez utiliser cette fonctionnalité pour relayer une diffusion en direct (à partir d’un autre serveur) ou pour demander un fichier stocké et le convertir en un flux sortant en direct. L’option UDP non annoncé ordonne au serveur d’envoyer le flux immédiatement.28 Chapitre 3 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime L’option UDP annoncé ordonne au serveur d’attendre le flux entrant, puis de le relayer. Les relais configurés pour attendre des flux annoncés ne peuvent accepter que les flux multimédias utilisant le protocole d’annonce RTSP. 5 Dans le champ IP source, tapez le nom d’hôte DNS ou l’adresse IP de l’ordinateur source. 6 Dans le champ Chemin, tapez le nom du chemin d’accès au flux. 7 Si l’ordinateur source requiert l’authentification des diffusions automatiques, tapez un nom d’utilisateur et un mot de passe. 8 Assurez-vous que l’option Activer le relais est sélectionnée et cliquez sur le bouton Précédent. 9 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) en regard de la liste Destinations. 10 Tapez les informations demandées et cliquez sur le bouton Précédent. 11 Répétez les étapes 9 et 10 pour chaque destination, puis cliquez sur Enregistrer. Pour activer ou désactiver un relais, cochez ou décochez la case Activer en regard du relais dans la liste. Pour supprimer un relais, sélectionnez-le, puis cliquez sur le bouton Supprimer (–). Modification des réglages d’historique d’Enchaînement QuickTime Vous pouvez spécifier que chaque historique soit réinitialisé après un certain nombre de jours. Pour modifier les réglages d’historique : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime sous le serveur dans la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Cliquez sur Consignation. L’historique des accès est mis à jour uniquement lorsque les connexions client sont interrompues. Un client connecté au moment d’une panne de courant ou d’une défaillance du serveur n’est pas consigné et n’apparaît pas dans l’historique des accès lorsque le serveur est relancé. Les fichiers d’historique sont stockés dans le répertoire /Bibliothèque/QuickTimeStreaming/Logs/. Sécurité et accès Il existe un certain niveau de sécurité inhérent à l’enchaînement en temps réel, dans la mesure où le contenu n’est transmis que si le client en a besoin et où aucun fichier n’est conservé, mais d’autres problèmes de sécurité peuvent néanmoins se présenter.Chapitre 3 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime 29 Pour plus d’informations sur la création de comptes d’utilisateur QTSS, consultez le guide de l’administrateur QTSS/Darwin Streaming Server (à l’adresse http://developer.apple.com/fr/darwin/) ou le guide d’administration des lignes de commande de Mac OS X Server version 10.3 (à l’adresse www.apple.com/server/ documentation). Diffusion de flux à travers des coupe-feu via le port 80 Si vous configurez un serveur d’enchaînement sur Internet et que vous supposez que certains de vos clients sont protégés par des coupe-feu autorisant uniquement le trafic Web, activez l’enchaînement sur le port 80. Avec cette option, le serveur d’enchaînement accepte les connexions sur le port 80 (port par défaut du trafic Web) et les clients QuickTime peuvent se connecter à votre serveur d’enchaînement même s’ils se trouvent derrière un coupe-feu n’autorisant que le trafic Web. Si vous activez l’enchaînement sur le port 80, veillez à désactiver tout serveur Web possédant la même adresse IP, afin d’éviter les conflits avec votre serveur d’enchaînement. Pour diffuser des flux QuickTime via le port HTTP 80 : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime sous le serveur dans la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Cliquez sur Associations IP. 4 Sélectionnez l’option “Activer la diffusion sur le port 80”. Important : si vous activez la diffusion sur le port 80, assurez-vous que votre serveur n’exécute pas également un serveur Web tel qu’Apache. L’exécution de QTSS et d’un serveur Web avec enchaînement sur le port 80 peut provoquer un conflit de port entraînant le comportement anormal de l’un ou des deux serveurs. Enchaînement à travers des coupe-feu ou des réseaux avec traduction d’adresses Le serveur d’enchaînement envoie les données à l’aide de paquets UDP (User Datagram Protocol). Les coupe-feu conçus pour protéger les informations d’un réseau bloquent souvent les paquets UDP. Les ordinateurs client situés derrière un coupe-feu qui bloque les paquets UDP ne peuvent recevoir les flux de données multimédias. Cependant, le serveur d’enchaînement autorise également la diffusion via des connexions HTTP, ce qui permet la visualisation des données multimédias, même à travers des coupe-feu configurés de manière très restrictive. Certains ordinateurs client situés sur des réseaux qui utilisent la traduction d’adresses peuvent également s’avérer incapables de recevoir des paquets UDP, mais ils peuvent recevoir les données multimédias qui ne sont pas diffusées via des connexions HTTP. 30 Chapitre 3 Gestion de votre serveur Enchaînement QuickTime Si les utilisateurs rencontrent des problèmes pour visualiser les données multimédias à travers un coupe-feu ou sur un réseau qui utilise la traduction d’adresses, ils doivent procéder à la mise à niveau de leur logiciel client avec QuickTime 5 ou une version ultérieure. Si les problèmes persistent, leur administrateur réseau doit leur fournir les réglages appropriés pour le serveur proxy d’enchaînement et le transport de diffusion sur leur ordinateur. Les administrateurs réseau peuvent également configurer leur logiciel coupe-feu afin d’autoriser les diffusions RTP et RTSP. Changement du mot de passe requis pour envoyer un flux de diffusion MP3 La diffusion de données MP3 vers un autre serveur nécessite une authentification. Pour changer le mot de passe de diffusion MP3 : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime sous le serveur dans la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages, puis sur Accès. 3 Tapez un nouveau mot de passe dans la zone Mot de passe de diffusion MP3. 4 Cliquez sur Enregistrer. Utilisation de la monodiffusion automatique (annonce) à l’aide de QTSS sur un ordinateur distinct Vous pouvez diffuser des données multimédias à partir de QuickTime Broadcaster vers QTSS (QuickTime Streaming Server), exécuté sur un ordinateur distinct, à l’aide de la méthode de transmission Monodiffusion automatique (Annonce). Pour cela, vous devez créer un nom d’utilisateur et un mot de passe de diffusion sur le serveur d’enchaînement. Pour créer un nom d’utilisateur et un mot de passe de diffusion sur le serveur d’enchaînement : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Enchaînement QuickTime sous le serveur dans la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages, puis sur Accès. 3 Cochez la case “Accepter les diffusions entrantes”. 4 Cliquez sur Définir le mot de passe et tapez le nom et le mot de passe. 5 Cliquez sur Enregistrer.4 31 4 Gestion de vos données multimédias Ce chapitre contient des informations sur l’utilisation de la nouvelle application QuickTime Streaming Server Publisher pour préparer, organiser et télécharger vers le serveur des données multimédias en vue de leur diffusion. L’application QuickTime Streaming Server Publisher, fournie avec Mac OS X Server version 10.3 (ou ultérieure), facilite la préparation et la diffusion de films sur Internet. Les utilisateurs qui ne sont pas administrateur du serveur peuvent soit installer QTSS Publisher à partir du CD des outils d’administration fourni avec Mac OS X Server, soit copier simplement l’application à partir d’un serveur. QTSS Publisher se trouve dans le répertoire /Applications/Server. Important : vous pouvez utiliser QTSS Publisher soit localement sur un ordinateur qui exécute Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure, soit à distance sur un ordinateur qui exécute Mac OS X version 10.2 ou ultérieure. Lorsque vous ouvrez QTSS Publisher, vous devez taper un nom d’utilisateur et un mot de passe pour un compte d’utilisateur Mac OS X Server (version 10.3 ou ultérieure). Vue d’ensemble de QTSS Publisher QTSS Publisher, nouvelle application à utiliser avec Serveur Enchaînement QuickTime, vous permet de gérer toutes vos données multimédias QuickTime sur Mac OS X Server, du téléchargement vers le serveur à la diffusion. Si vous utilisiez précédemment l’application basée sur le Web, à savoir Admin Web, pour créer des listes de lecture MP3 et de films, vous pouvez désormais utiliser l’interface de QTSS Publisher, plus semblable à une interface Mac, pour créer notamment des listes de lecture. QTSS Publisher permet de : • Télécharger des données multimédias vers le serveur. • Préparer les données multimédias pour l’enchaînement ou le téléchargement progressif. • Créer des listes de lecture MP3, MP4 et de films. • Créer des pages Web contenant des données multimédias QuickTime.32 Chapitre 4 Gestion de vos données multimédias À propos des listes de lecture et des indications QTSS Publisher contient une bibliothèque de données multimédias et une bibliothèque MP3. Vous pouvez ajouter des fichiers à ces bibliothèques, afin de les préparer pour l’enchaînement ou de les utiliser pour créer des listes de lecture. Une liste de lecture est un ensemble de fichiers multimédias (films QuickTime, fichiers MPEG-4 ou pistes audio MP3) que vous sélectionnez et organisez. Vous pouvez créer une “station de radio” virtuelle ou une diffusion vidéo en direct simulé, en créant une liste de lecture (ou une série de listes de lecture) à partir de données multimédias QuickTime, de fichiers MPEG-4 ou de fichiers MP3 préenregistrés. Les listes de lecture diffusent les données multimédias vers le serveur d’enchaînement, lequel envoie ces données aux spectateurs qui les demandent, dans l’ordre que vous avez défini (aléatoire ou séquentiel). Bien que les données soient préenregistrées, elles apparaissent aux spectateurs comme une émission en direct ; ils voient tous les mêmes données lorsqu’ils se se branchent sur l’émission. Pour qu’un film puisse être diffusé (fichier .mov ou .MP4), il doit contenir des indications. Les pistes d’indications contiennent les informations dont le serveur d’enchaînement a besoin pour diffuser correctement les données multimédias ; elles permettent au serveur de diffuser des films QuickTime sans devoir comprendre les types ou les codecs de données multimédias QuickTime. QTSS Publisher ajoute automatiquement des pistes d’indications aux éléments d’une liste de lecture, en fonction des besoins. Les listes de lecture MP3 ne nécessitent pas d’indications. La commande Présentation bascule entre le mode Liste et le mode Exploration. Cliquez sur Données afin d’afficher le contenu disponible. Glissez les fichiers multimédias dans la bibliothèque afin de les télécharger vers le serveur. Cliquez sur Réglages pour mettre le contenu à la disposition des utilisateurs et spécifier des options. Les bibliothèques contiennent tous les fichiers du serveur. Cliquez sur Liens afin de placer votre contenu dans des pages Web.Chapitre 4 Gestion de vos données multimédias 33 Remarque : lorsque vous utilisez QuickTime Player pour exporter un film comme film à indications, QuickTime ajoute automatiquement toutes les pistes d’indications nécessaires. Connexion à Mac OS X Server Lorsque vous ouvrez QTSS Publisher, vous devez fournir un nom d’utilisateur et un mot de passe pour un compte d’utilisateur Mac OS X Server (version 10.3 ou ultérieure). Les utilisateurs locaux peuvent se connecter si la diffusion depuis les répertoires de départ a été activée pour eux (voir “Hébergement de flux provenant de plusieurs répertoires multimédias d’utilisateur” à la page 27). Si la tentative de connexion échoue, assurez-vous que le serveur auquel vous tentez de vous connecter est en service. Assurez-vous également que le port 311 n’est pas désactivé par votre coupe-feu. Téléchargement de données multimédias de QTSS Publisher vers un serveur Enchaînement QuickTime Les fichiers que vous glissez dans la bibliothèque de données de QTSS Publisher sont automatiquement téléchargés vers le serveur auquel vous êtes connecté. Les données multimédias ne sont pas accessibles au public tant que vous ne les avez pas rendues disponibles (voir “Mise en ligne du contenu pour l’enchaînement ou le téléchargement” à la page 36). Vous pouvez utiliser QTSS Publisher comme zone de stockage temporaire pour préparer le contenu en vue de sa distribution sur le Web. Préparation du contenu pour sa distribution sur le Web Après avoir téléchargé le contenu vers le serveur (en le glissant dans la bibliothèque de données de QTSS Publisher) et avant de le mettre à la disposition du public, il peut s’avérer nécessaire de préparer vos fichiers en vue de leur distribution via Internet. Cette section décrit ce processus. Préparation des données multimédias préenregistrées pour la diffusion Lorsqu’elles sont préparées correctement, les données multimédias préenregistrées peuvent être lues sous forme de flux en direct simulé dans une liste de lecture. Vous pouvez lire les fichiers audio MP3 via une liste de lecture MP3 et les écouter à l’aide d’iTunes ou de tout autre lecteur MP3 compatible. Pour préparer les données multimédias préenregistrées en vue de leur diffusion dans une liste de lecture : 1 Assurez-vous que chaque film de la liste de lecture présente le même nombre et les mêmes types de pistes et que tous les fichiers multimédias contiennent des types de données compatibles.34 Chapitre 4 Gestion de vos données multimédias Toutes les pistes audio, par exemple, doivent utiliser le même codage, la même fréquence d’échantillonnage, le même taux de compression et le même débit. Toutes les pistes vidéo doivent également utiliser le même codage, le même taux de compression, le même débit et la même taille de trame. Les fichiers MP3 doivent utiliser la même fréquence d’échantillonnage. 2 Formatez les données multimédias de chaque fichier de la même manière. Pour une liste de lecture de films, assurez-vous que chaque fichier multimédia est un film QuickTime ou MPEG-4 à indications. (Si vous placez vos fichiers dans la bibliothèque de données de QTSS Publisher, les indications sont insérées automatiquement.) N’affectez pas d’indications aux fichiers MP3 lors de la préparation d’une liste de lecture MP3. 3 Ouvrez QTSS Publisher (dans le répertoire /Applications/Server), cliquez sur Données (si cette option n’est pas déjà sélectionnée), puis glissez les fichiers multimédias dans la bibliothèque de données QTSS. Important : la gestion des flux MP3 par QTSS est destinée aux flux en direct compatibles Shoutcast/Icecast (tels que ceux créés par une liste de lecture de diffusion) ou aux flux en direct d’autres diffuseurs MP3 en direct compatibles. Pour diffuser un fichier MP3 individuel à la demande (plutôt qu’en direct), sélectionnez l’option “Données disponibles pour le téléchargement” dans le volet Réglages URL de QTSS Publisher. Amélioration des performances des films à indications exportés à partir de QuickTime Player Lorsque vous exportez un film à indications à partir de QuickTime Player, vous pouvez compresser la vidéo et le son soit à l’aide du codeur de données utiles RTP natif, soit à l’aide du codeur de données utiles QuickTime générique. Pour sélectionner QuickTime, cliquez sur Options dans la zone de dialogue d’exportation de QuickTime Player, puis cliquez sur Réglages d’indic. de piste. En général, le codage natif des données utiles est préférable. Consultez le fabricant de votre codec pour des instructions de codage spécifiques. Réfléchissez bien avant de choisir entre les codeurs natif et QuickTime. Création et gestion de listes de lecture QTSS Publisher vous permet de créer et de gérer facilement des listes de lecture pour les diffusions vidéo ou audio. Création d’une liste de lecture de données multimédias pour l’enchaînement Vous pouvez créer une liste de lecture de films QuickTime, de fichiers MPEG-4 ou de pistes audio MP3. Pour créer une liste de lecture : 1 Assurez-vous que les fichiers multimédias que vous avez préparés se trouvent dans le dossier de bibliothèque approprié (MP3 ou Movie) de QTSS Publisher. Vous pouvez placer les fichiers dans QTSS Publisher en les glissant dedans.Chapitre 4 Gestion de vos données multimédias 35 2 Dans QTSS Publisher, cliquez sur Nouvelle liste de lecture. 3 Sélectionnez Liste de lecture MP3 ou Liste de lecture des données. 4 Tapez un nom pour la liste de lecture. Une fois que vous avez saisi le nom, QTSS Publisher crée un nom d’URL (que vous pouvez modifier si vous le souhaitez). La liste de lecture et les noms d’URL doivent être uniques ; deux diffusions ne peuvent pas utiliser le même nom. 5 Cliquez sur Créer une liste de lecture. 6 Glissez des éléments de la liste de la bibliothèque (en haut) dans Contenu de la liste de lecture. Modification d’une liste de lecture Pour modifier l’ordre des éléments d’une liste de lecture, faites-les glisser. Pour supprimer un élément d’une liste de lecture, sélectionnez-le, puis cliquez sur Supprimer. Pour ajouter des éléments à une liste de lecture, double-cliquez sur la liste, puis cliquez sur Ajouter des éléments. Vous pouvez également modifier des réglages tels que le nom, le genre et le mode de lecture de la liste. Pour modifier les réglages d’une liste de lecture : m Dans QTSS Publisher, sélectionnez une liste de lecture et cliquez sur Réglages (ou double-cliquez sur la liste de lecture). Remarque : vous pouvez modifier le contenu d’une liste de lecture sans devoir l’arrêter puis la redémarrer ; elle est mise à jour automatiquement. Vous pouvez modifier les réglages d’une liste de lecture (par exemple, le fait que la liste soit lue de façon aléatoire ou séquentielle) pendant sa diffusion, mais vous devez l’arrêter puis la redémarrer pour appliquer les nouveaux réglages. Modification de la pondération d’une piste dans une liste de lecture Vous pouvez “pondérer” une piste afin de régler la fréquence à laquelle elle est lue. Les pistes dotées d’une valeur de pondération plus élevée sont lues plus souvent que les pistes à valeur de pondération plus faible (lorsque l’option Aléatoire pondéré est sélectionnée dans le menu local Mode lecture du volet Liste de lecture). Pour modifier la pondération d’une piste : 1 Dans QTSS Publisher, sélectionnez la piste. 2 Réglez le curseur Pondération sur une position comprise entre 0 et 10. Création et modification des annotations de films Vous pouvez ajouter des annotations à un film afin d’indiquer le format d’origine, l’auteur et les acteurs. Si vous placez par exemple le nom complet d’un film dans les annotations, il apparaît en tant que titre dans la fenêtre QuickTime Player.36 Chapitre 4 Gestion de vos données multimédias Pour annoter un film : 1 Dans QTSS Publisher, sélectionnez un film et cliquez sur Réglages (ou double-cliquez sur le film). 2 Cochez la case correspondant à l’annotation que vous souhaitez inclure, puis tapez l’annotation dans le champ de texte. Changement de l’image fixe d’un film intégré à une page Web Lorsque vous utilisez QTSS Publisher pour intégrer un film à une page Web, vous pouvez choisir une image personnalisée qui sera affichée jusqu’à ce que la lecture du film commence. (Autrement dit, vous pouvez sélectionner une autre image en plus de l’affiche du film.) Pour sélectionner une image fixe destinée à représenter un film : 1 Dans QTSS Publisher, sélectionnez un film et cliquez sur Réglages du lien. 2 Faites glisser un fichier à partir du Finder ou cliquez sur Choisir. 3 Cliquez sur Appliquer. Vous pouvez également taper une légende qui apparaîtra sous l’image. Transmission de votre contenu Une fois que vous avez préparé et organisé vos données, QTSS Publisher facilite leur mise en ligne via Internet, par téléchargement progressif ou par enchaînement. Mise en ligne du contenu pour l’enchaînement ou le téléchargement Le contenu de la bibliothèque de données de QTSS Publisher est automatiquement téléchargé vers le serveur, mais il n’est pas disponible pour la diffusion à la demande tant que vous ne l’avez pas spécifié (sauf si vous lancez une liste de lecture). Pour rendre le contenu disponible publiquement : 1 Sélectionnez l’élément et cliquez sur Réglages (ou double-cliquez sur l’élément). 2 Cliquez sur URL (si cette option n’est pas déjà sélectionnée). 3 Cochez l’une des cases Accès utilisateur ou les deux. Démarrage et arrêt de listes de lecture Le volet Réglages de QTSS Publisher vous permet de démarrer ou d’arrêter la diffusion de listes de lecture. Pour démarrer ou arrêter la diffusion d’une liste de lecture : 1 Dans QTSS Publisher, sélectionnez la liste de lecture et cliquez sur Réglages (ou doublecliquez sur la liste de lecture). 2 Dans le volet Liste de lecture, cliquez sur le bouton Démarrer ou Arrêter.Chapitre 4 Gestion de vos données multimédias 37 Utilisez le menu local Mode lecture pour spécifier la façon dont la liste de lecture doit être lue. • Séquentiel diffuse les données multimédias dans l’ordre où elles apparaissent dans le fichier de la liste de lecture. • Séquentiel en boucle diffuse les données multimédias dans l’ordre où elles apparaissent dans le fichier de la liste de lecture. Une fois que le dernier fichier multimédia a été lu, la liste de lecture est répétée dans le même ordre. • Aléatoire pondéré diffuse les données multimédias de façon aléatoire, selon les valeur de pondération spécifiées pour déterminer la fréquence de lecture de chaque élément. Plus la pondération est élevée, plus la fréquence de lecture de l’élément est élevée. Vous pouvez spécifier le nombre d’éléments à diffuser avant la répétition d’un élément. Conversion du contenu en page Web Dans QTSS Publisher, vous pouvez facilement convertir une liste de lecture (ou n’importe quel fichier multimédia que vous proposez en diffusion ou en téléchargement) en une page Web, en la sélectionnant puis en cliquant sur Créer une page Web. Plusieurs modèles de page Web sont fournis (voir l’échantillon ci-après). Lorsque QTSS Publisher a terminé la création de la page Web, cette dernière s’ouvre dans Safari. Les utilisateurs peuvent accéder à la page Web en tapant l’URL dans leur navigateur. Vous pouvez modifier l’URL dans le volet Liens. QTSS Publisher génère également du code HTML que vous pouvez glisser dans votre éditeur de page Web afin de créer des liens vers des données multimédias. Pour accéder au code, sélectionnez les éléments et cliquez sur Liens, sélectionnez le lien, puis cliquez sur HTML. Vous pouvez également spécifier certains réglages pour choisir, par exemple, si le flux doit être lu dès le chargement de la page Web ou seulement lorsque l’utilisateur clique sur l’affiche, ou encore si le film doit s’ouvrir dans une fenêtre QuickTime Player.38 Chapitre 4 Gestion de vos données multimédias Pour modifier les réglages relatifs au contenu intégré à une page Web : 1 Dans QTSS Publisher, sélectionnez un film ou une liste de lecture et cliquez sur URL. 2 Cliquez sur Réglages du lien.5 39 5 Dépannage Ce chapitre contient des informations sur les opérations à effectuer si vous rencontrez des problèmes lors de la diffusion de données. Utilisation de fichiers d’historique pour surveiller la diffusion de listes de lecture Si vous activez la consignation, vous pouvez utiliser le fichier d’historique pour résoudre les problèmes qui se produisent au cours d’une diffusion. • Si les données de la liste de lecture ne sont pas diffusées, examinez Admin Serveur Enchaînement pour vous assurer que le serveur d’enchaînement est en cours d’exécution. • Si le serveur d’enchaînement est en cours d’exécution, assurez-vous qu’un processus nommé PlaylistBroadcaster est exécuté sur l’ordinateur serveur. Si tel est le cas, arrêtez la diffusion, supprimez du répertoire de données du serveur d’enchaînement le fichier SDP relatif à la diffusion, puis redémarrez cette dernière. Un nouveau fichier SDP est généré lorsque vous redémarrez la diffusion. Les fichiers multimédias ne sont pas diffusés correctement • Essayez de diffuser un échantillon de film afin de déterminer si le serveur y parvient. Des échantillons sont fournis avec le serveur. Si le serveur diffuse l’échantillon, le problème provient peut-être de la préparation de votre fichier de film. Recréez le film. Si l’échantillon n’est pas diffusé, le problème provient peut-être de l’ordinateur serveur ou du réseau. • Vérifiez l’activité du serveur d’enchaînement et, si nécessaire, réduisez le nombre maximal de connexions ou le débit. • Si le problème se produit sur un ordinateur client, assurez-vous que l’utilisateur dispose des réglages Proxy d’enchaînement et Transport d’enchaînement appropriés. L’administrateur du réseau de l’ordinateur client doit pouvoir fournir les réglages corrects.40 Chapitre 5 Dépannage • Assurez-vous que le logiciel client gère le format de fichier diffusé. • Vérifiez la structure de l’URL. • Vérifiez la liste de lecture. Si vous avez créé une liste de lecture en boucle contenant des fichiers MPEG-1 QuickTime à indications, les clients QuickTime risquent de rencontrer des problèmes pour visualiser le flux. Les utilisateurs ne peuvent pas se connecter à votre diffusion • Assurez-vous que QuickTime 4 (ou une version ultérieure) est installé sur l’ordinateur client. Si les utilisateurs se connectent via un navigateur Web, assurez-vous que le plug-in QuickTime 4 est installé correctement. • Assurez-vous que les utilisateurs disposent de l’URL correcte. • Si les utilisateurs tentent de se connecter à votre diffusion via HTTP, veillez à désactiver tout serveur Web susceptible de provoquer un conflit avec votre serveur d’enchaînement. Par ailleurs, assurez-vous que l’enchaînement sur le port 80 est activé dans le volet Réglages généraux d’Admin Serveur Enchaînement. Les utilisateurs reçoivent des messages d’erreur lors de la diffusion de données Voici la signification des messages : Code d’erreur 401 : l’utilisateur a tenté d’accéder à un fichier protégé. La mise à niveau vers QuickTime 5 ou une version ultérieure peut s’avérer nécessaire. Code d’erreur 404 : le serveur ne peut pas localiser l’URL saisie par l’utilisateur. Assurezvous que les utilisateurs saisissent l’URL appropriée pour la diffusion. Demandez aux utilisateurs de ne pas essayer de visualiser les données en tapant directement l’URL RTSP dans le champ d’adresse d’un navigateur Web. Les URL RTSP sont utilisées uniquement avec la commande Ouvrir l’URL de QuickTime Player. Code d’erreur 415 : le fichier de film ne comporte pas d’indications ou dispose d’une ressource compressée. Vous devez réaffecter des indications au film à l’aide de la version Pro de QuickTime Player. Vous pouvez également essayer de diffuser de façon native des fichiers MP3 à la demande (c’est-à-dire sous forme de téléchargement HTTP). La gestion QTSS des flux MP3 concerne les flux en direct compatibles shoutcast/icecast (tels que ceux créés par une liste de lecture MP3) ou les flux en direct d’autres diffuseurs compatibles de flux MP3 en direct. Pour diffuser des fichiers MP3 individuels à la demande (plutôt que sous forme de flux en direct), hébergez simplement ces fichiers sur un serveur Web.Chapitre 5 Dépannage 41 Code d’erreur 453 : le serveur est trop occupé pour que les utilisateurs puissent visualiser le flux. Les utilisateurs doivent réessayer plus tard. Vous pouvez augmenter le nombre maximal de connexions dans le volet Réglages généraux d’Admin Serveur Enchaînement. Code d’erreur 454 : la connexion au serveur a été interrompue. Les utilisateurs doivent relancer la visualisation du flux. Vérifiez si le serveur se trouve derrière un coupe-feu ou si le client utilise un logiciel de traduction d’adresses réseau (NAT). Consultez “Diffusion de flux à travers des coupe-feu via le port 80” à la page 29 et “Enchaînement à travers des coupe-feu ou des réseaux avec traduction d’adresses” à la page 29. Code d’erreur –5420 : le serveur n’est peut-être pas en cours d’exécution. Vérifiez-le puis redémarrez-le si nécessaire. Vérifiez si le serveur se trouve derrière un coupe-feu ou si le client utilise un logiciel de traduction d’adresses réseau (NAT). Consultez les sections “Diffusion de flux à travers des coupe-feu via le port 80” à la page 29 et “Enchaînement à travers des coupe-feu ou des réseaux avec traduction d’adresses” à la page 29.6 43 6 Exemple de configuration Ce chapitre décrit les principaux composants requis pour une configuration générique de diffusion sur le Web, ainsi que la façon dont ils sont interconnectés. Les instructions d’installation ci-après conviennent à un environnement d’enseignement tel qu’un campus universitaire. Cet exemple peut néanmoins être facilement adapté à de nombreuses utilisations, notamment : • L’enseignement à distance • Les communications d’entreprise à l’intention des employés, clients, fournisseurs ou actionnaires • Un concert ou une présentation ponctuels • La diffusion dans une crèche à l’intention des parents Enchaînement de présentations, en direct et à la demande Cet exemple illustre la façon dont l’administrateur réseau d’une université peut configurer un serveur d’enchaînement et d’autres composants pour diffuser des présentations, en direct et à la demande, à l’intention des étudiants qui utilisent des ordinateurs connectés au réseau du campus et à Internet.44 Chapitre 6 Exemple de configuration Une telle configuration permet aux étudiants qui n’ont pas pu assister à un cours de le suivre en ligne. Elle permet également aux étudiants de revoir ultérieurement une partie du cours en visualisant une version archivée sur leur ordinateur. La configuration de cet exemple, illustrée ci-dessus, présente les fonctionnalités suivantes : • Un réseau local existant doté de connexions Ethernet aux salles de cours et aux amphithéâtres à partir desquels les présentations en direct doivent être diffusées. • Un caméscope numérique (DV) et un microphone installés dans une salle de cours ou un amphithéâtre pour convertir la présentation en direct au format numérique. Le caméscope effectue un enregistrement DV haute qualité de la présentation et fournit le signal numérique qui sera codé pour la diffusion en direct. • Le caméscope numérique DV est connecté par l’intermédiaire d’un port FireWire à un ordinateur portable qui exécute QuickTime Broadcaster, lequel code la présentation en direct numérisée et transmet le signal via une connexion Ethernet au serveur d’enchaînement sur le réseau du campus. • Le serveur d’enchaînement est un serveur Xserve monté en rack fonctionnant en mode “headless” (c’est-à-dire sans moniteur ni clavier). Le serveur exécute Mac OS X Server avec QTSS (QuickTime Streaming Server) configuré pour transmettre la présentation codée en direct sous forme de flux monodiffusion vers chaque ordinateur client (sur le réseau du campus ou sur Internet) qui se connecte à la diffusion. Le serveur Xserve est livré avec Mac OS X Server et QTSS préinstallés. Diffuseur Serveur d'enchaînement Clients sur Internet Clients sur réseau local InternetChapitre 6 Exemple de configuration 45 • Tout type d’ordinateur sur lequel est installé QuickTime Player ou tout autre logiciel compatible MPEG-4, peut accéder au serveur d’enchaînement Xserve via le réseau du campus. D’autres ordinateurs client peuvent accéder au serveur d’enchaînement via Internet. • L’ordinateur portable de diffusion qui exécute iMovie est utilisé pour produire des versions à la demande haute qualité de la présentation en direct une fois cette dernière terminée. La présentation numérisée enregistrée est transférée, via la connexion FireWire, du caméscope DV vers l’ordinateur afin d’y être compressée. Remarque : QuickTime Broadcaster peut être configuré pour enregistrer sur disque le flux en direct codé en vue de son archivage. Pour un résultat optimal, il est cependant préférable que la séquence soit codée séparément. • L’ordinateur portable de diffusion est également utilisé pour contrôler le serveur Xserve à distance via l’application Admin Serveur (ou via Admin Web, l’application d’administration QTSS basée sur le Web). Remarque : l’ordinateur portable peut également être connecté sans fil au réseau local via une borne d’accès AirPort pour une portabilité accrue. La borne d’accès AirPort est compatible avec la norme 802.11 et fonctionne avec QTSS. Sa bande passante de 11 mégabits par seconde (Mbps) est largement suffisante pour notre exemple de configuration, tant que d’autres clients n’imposent pas de charge importante sur la même borne d’accès. Configuration Les étapes ci-après montrent comment configurer le serveur Enchaînement QuickTime et les autres composants requis pour la diffusion en direct et à la demande dans notre environnement universitaire hypothétique. Étape 1 : Préparation des lieux Une salle de cours standard n’offre pas un environnement de diffusion et d’enregistrement comparable à celui d’un studio professionnel de télévision ou d’enregistrement. Les mesures suivantes permettent d’obtenir des résultats satisfaisants : • Rendez-vous dans la salle ou l’amphithéâtre que vous souhaitez utiliser pour l’enchaînement en direct, fermez les portes et essayez de détecter tout bruit qui risque d’interférer avec une diffusion. Si vous remarquez du bruit provenant d’une pièce, d’une salle de jeu vidéo, du trafic dans la rue ou de toute autre source et que vous ne pouvez pas l’éliminer, trouvez une autre pièce. • S’il n’y a pas de problème de bruit, placez-vous au centre de la pièce, tapez dans vos mains ou criez, et déterminez la présence éventuelle d’un écho. La présence d’un écho risque de nuire à la qualité sonore de la diffusion en direct. Vous pouvez réduire ou supprimer l’écho en posant d’épais rideaux sur les murs nus ou en disposant des panneaux acoustiques en damier sur chaque mur.46 Chapitre 6 Exemple de configuration • Examinez ensuite les sols et les meubles. Les sols recouverts de tapis et les chaises rembourrées constituent un environnement idéal. Le pupitre doit être recouvert d’un tissu ou d’une surface rembourrée pour éviter tout bruit provoqué, par exemple, par un verre que l’orateur pose sur la surface. • Les fenêtres peuvent provoquer des problèmes d’éclairage. Pour un meilleur contrôle, vous devez pouvoir tirer les stores et compléter l’éclairage de la pièce par un kit d’éclairage portatif pouvant être rapidement installé. Étape 2 : Préparation du réseau Vérifiez que la pièce où doit avoir lieu la diffusion est équipée d’une connexion Ethernet. Si nécessaire, installez, réparez ou remplacez les câbles et les connecteurs à l’aide de composants de haute qualité. N’oubliez pas que l’enchaînement, surtout en direct, peut solliciter fortement les ressources réseau, en particulier la bande passante disponible. Pour vous assurer que le réseau peut gérer la charge supplémentaire, il peut être nécessaire d’effectuer l’une ou l’ensemble des opérations suivantes : • Déterminez la capacité du réseau existant et calculez le trafic supplémentaire prévisible qui sera généré par la diffusion en direct et à la demande. • Tracez la carte des segments de bande passante de votre réseau, en indiquant la capacité entre tous les points. • Déterminez les applications utilisées dans votre réseau, leur mode d’utilisation, l’emplacement où elles sont hébergées, ainsi que la bande passante qu’elles utilisent normalement pendant les périodes de forte utilisation et de faible utilisation. • En fonction de la configuration et de la capacité de votre réseau, sélectionnez l’emplacement approprié pour installer votre serveur d’enchaînement, en évitant les goulets d’étranglement potentiels. • Si nécessaire, augmentez la capacité du réseau (ajout de lignes T1, routeurs, commutateurs, etc.) afin de gérer le nombre maximum prévu de spectateurs simultanés en direct, en plus du trafic réseau maximal habituel. N’oubliez pas qu’un réseau local typique fournit en interne une bande passante de 10 à 100 Mbps. À l’inverse, une ligne T1, fréquemment utilisée pour la connexion à Internet, fournit seulement une bande passante d’environ 1,5 Mbps. Les lignes T1 fonctionnent correctement avec les protocoles HTTP et FTP, car les demandes sont alors brèves ou peu urgentes, tandis que l’enchaînement est beaucoup plus exigeant. Ce dernier ne souffre aucun ralentissement : pour garantir la diffusion, les données doivent être transférées au moins aussi rapidement que le débit original. Dans cet exemple, nous supposons un maximum de 10 spectateurs simultanés, pour moitié via le réseau local et pour moitié via Internet, et un débit d’environ 256 Kbps pour chaque flux de monodiffusion. La bande passante maximale complémentaire requise est alors d’environ 3,2 à 3,3 Mbps. Cette estimation inclut une marge complémentaire de 25 à 30 pour cent pour l’encombrement réseau non planifié et les pics de transmission de flux susceptibles de survenir pour diverses raisons.Chapitre 6 Exemple de configuration 47 Étape 3 : Configuration de votre serveur d’enchaînement Un ordinateur administrateur doit être configuré avant que vous puissiez configurer et gérer votre serveur d’enchaînement si, comme dans cet exemple, le serveur d’enchaînement est exécuté en mode “headless”. Pour plus d’informations sur la configuration d’un ordinateur administrateur, consultez le guide de premiers contacts Mac OS X Server pour la version 10.3 ou ultérieure (inclus sur le CD-ROM de Mac OS X Server). Pour configurer et gérer QTSS, vous devez utiliser l’application Admin Serveur, installée avec Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure. Après la configuration de Mac OS X Server, vous pouvez également utiliser l’application d’administration basée sur le Web, à savoir Admin Web, pour administrer QTSS à distance à partir de n’importe quel ordinateur connecté directement au réseau local ou à Internet. Dans cet exemple, nous supposons que l’ordinateur portable de diffusion du système d’enchaînement illustré est également utilisé à cet effet. Bien que le serveur Xserve soit livré avec Mac OS X Server et QTSS préinstallés, ces logiciels doivent être configurés pour le réseau particulier auquel ils sont ajoutés et pour les utilisations spécifiques pour lesquelles ils sont prévus. Pour plus d’informations sur la configuration de Mac OS X Server, consultez le guide de premiers contacts inclus sur le CD-ROM de Mac OS X Server. Voici quelques-unes des questions auxquelles il est nécessaire de répondre lors de la configuration d’un serveur d’enchaînement : L’ordinateur serveur peut-il être dédié uniquement à l’enchaînement ? Il est préférable que votre serveur d’enchaînement ne soit pas également chargé du service Web, du service de courrier ou de tout autre service. Notre exemple concerne un serveur d’enchaînement dédié. Quelle est la quantité de mémoire vive (RAM) nécessaire ? La quantité minimale de mémoire requise pour exécuter QTSS est de 128 mégaoctets (Mo). Prévoyez environ 256 Mo de RAM pour chaque tranche de 50 Mo de débit prévu. Cette configuration suppose 256 Mo de RAM. Quelle est la quantité d’espace disque requise ? Les fichiers vidéo peuvent être très volumineux. Une présentation d’une heure avec indications, codée à 300 Kbps (non optimisée pour un serveur), nécessite environ 135 Mo d’espace sur disque dur. Un disque dur de 60 Go peut ainsi stocker plus de 400 présentations à ce format. Remarque : voici une formule pour calculer la taille des fichiers d’enchaînement : débitEnBits / 8 bits * duréeEnSecondes = taille du fichier Exemple pour un flux d’une heure à 300 Kbps : 300 000 / 8 bits * 3 600 = 135 000 000 octets = 135 Mo48 Chapitre 6 Exemple de configuration De nombreux réseaux locaux incluent des systèmes de stockage RAID (Redundant Array of Independent Disks) qui procurent des quantités beaucoup plus importantes d’espace disque. Si vous stockez les fichiers d’enchaînement ailleurs que dans l’emplacement QTSS par défaut (à savoir /Bibliothèque/QuickTimeStreaming/Movies), vous devrez saisir le chemin dans le volet Réglages d’Enchaînement QuickTime, dans Admin Serveur (voir “Changement du répertoire réservé aux flux de données multimédias” à la page 26). Placez tout fichier SDP (Session Description Protocol) faisant référence à des diffusions Web en direct dans le même emplacement, afin qu’ils puissent être reconnus par QTSS. Dans cet exemple, tous les fichiers d’enchaînement archivés et les fichiers de référence SDP résident dans le dossier Movies par défaut sur le serveur d’enchaînement. Le serveur d’enchaînement est-il équipé d’une carte réseau appropriée ? La carte réseau est un composant essentiel de votre serveur d’enchaînement, dans la mesure où elle permet la connectivité Ethernet entre le serveur et votre public. Une carte Ethernet doit fournir un débit minimum de 100 mégaoctets (environ 0,9 gigabits) par seconde. Où sera placé le serveur d’enchaînement sur le réseau ? Un coupe-feu sera-t-il utilisé ? Le serveur d’enchaînement doit se trouver dans un emplacement accessible par les utilisateurs (les étudiants, dans notre exemple) qui se connectent à la fois via le réseau local et via Internet. Il doit également être protégé par un coupe-feu contre l’accès non autorisé au serveur et aux fichiers multimédias archivés. Mac OS X Server inclut le service Coupe-feu IP, qui analyse les paquets IP entrants et les rejette ou les accepte en fonction d’un ensemble de filtres que vous créez. Pour plus d’informations sur la configuration de ce service, consultez le guide d’administration des services réseau. Des ports spécifiques doivent être ouverts dans le coupe-feu pour autoriser les demandes RTSP (Real-Time Streaming Protocol) provenant des utilisateurs, les séquences vidéo et audio codées provenant du diffuseur, ainsi que les flux sortants transmis aux clients via le réseau local et Internet. Le tableau ci-après répertorie les ports utilisés par Serveur Enchaînement QuickTime pour les demandes entrantes et sortantes. Ports Demandes Ports utilisés pour communiquer avec le client 554, 7070 TCP ou 80 TCP Ports utilisés pour envoyer les données 6970-6999 UDP ou 80 TCP Ports utilisés pour recevoir la diffusion 10000-65635 UDP Ports utilisés par le serveur pour émettre la diffusion 554 RTSP 7070 TCP ou 80 TCPChapitre 6 Exemple de configuration 49 Dans cet exemple de configuration, nous supposons que les étudiants qui se connectent au serveur d’enchaînement via Internet ne se trouvent pas derrière leur propre coupe-feu. Dans ce cas, nous n’activons pas l’enchaînement sur le port 80, port généralement destiné au transport du trafic Internet HTTP et autorisé par la plupart des coupe-feu. Si certains clients se trouvent derrière des coupe-feu, il peut être préférable d’activer l’enchaînement sur le port 80 pour que ces clients puissent accéder aux flux. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Diffusion de flux à travers des coupe-feu via le port 80” à la page 29. Sera-t-il nécessaire de configurer un compte d’utilisateur broadcaster sur le serveur d’enchaînement ? Dans cet exemple de configuration, il est nécessaire de créer un nom d’utilisateur et un mot de passe de diffusion, car le logiciel de codage et QTSS résident sur des ordinateurs distincts. La création d’un utilisateur de diffusion permet la création sur le serveur d’un fichier SDP (Session Description Protocol) qui fournit des informations sur le format, l’heure et l’auteur d’un flux diffusé en direct. Une fois spécifiés, le nom d’utilisateur et le mot de passe sont saisis via QuickTime Broadcaster. Pour des instructions sur la création ou la modification du nom d’utilisateur et du mot de passe de diffusion, consultez la section “Utilisation de la monodiffusion automatique (annonce) à l’aide de QTSS sur un ordinateur distinct” à la page 30. Vous devrez utiliser le compte d’administrateur précédemment configuré. Les utilisateurs nécessiteront-ils une authentification pour accéder aux présentations en direct ou archivées ? Dans notre exemple de configuration, aucune authentification n’est nécessaire. Cependant, si vous souhaitez limiter l’accès à vos flux, vous devrez définir des noms d’utilisateur et des mots de passe d’enchaînement individuels ou de groupe. Pour plus d’informations sur la configuration et la gestion de ce type de compte, consultez les rubriques appropriées de la section “Sécurité et accès” à la page 28. Port par défaut généralement utilisé par les diffuseurs MP3 8000 TCP Port utilisé pour la gestion à distance de QTSS à l’aide d’Admin Serveur 687 TCP Port utilisé pour la gestion à distance de QTSS à l’aide d’Admin Web 1220 TCP Ports Demandes50 Chapitre 6 Exemple de configuration Étape 4 : Configuration pour une diffusion Web en direct Pour notre exemple de configuration, les éléments suivants sont requis : • Un caméscope numérique DV de bonne qualité • Un microphone placé près de l’orateur (sur un pied ou accroché à sa chemise) et connecté à l’entrée audio du caméscope via un câble audio de bonne qualité • Un trépied robuste sur lequel le caméscope sera monté. • Kit d’éclairage portatif Le caméscope est le premier maillon Le caméscope est un élément essentiel car il constitue le premier maillon de la chaîne du signal vidéo. Deux éléments principaux déterminent la qualité d’image d’un caméscope numérique DV : • La qualité de la lentille. Plus la qualité de la lentille est élevée, meilleure est l’image. • Le mécanisme de capture d’image. Les caméscopes numériques DV utilisent des capteurs CCD (Charge-Coupled Devices) pour convertir l’image en signaux électroniques. Le nombre et la taille des capteurs CCD affectent la qualité de l’image. Le zoom optique offre une qualité supérieure à celle du zoom numérique, mais l’utilisation du zoom doit être évitée ou réduite au minimum lors d’une présentation diffusée en direct afin d’éviter toute dégradation du flux. Les caméscopes numériques bas de gamme utilisent un capteur CCD unique pour capturer toute l’image, tandis que les caméscopes haut de gamme utilisent trois capteurs CCD distincts pour balayer le contenu rouge, bleu et vert de l’image, permettant ainsi une qualité supérieure. La taille des capteurs CCD varie de 1/4 à 2/3 de pouce ; les capteurs CCD de plus grande taille offrent une meilleure résolution. Voici d’autres fonctionnalités intéressantes : • Vous devez pouvoir modifier les réglages automatiques du caméscope. • Il est recommandé d’utiliser un microphone séparé pouvant être branché sur le caméscope afin d’obtenir une prise de son optimale. Le microphone intégré du caméscope est inadapté à la plupart des situations. • Le caméscope doit accepter les connecteurs XLR professionnels (plutôt que les connecteurs mini-jack 1/8 de pouce). Il doit également comporter une prise jack de casque d’écoute, permettant de contrôler l’entrée audio. • Enfin, une sortie FireWire permet le transfert numérique et la capture automatisée, ce qui permettra de gagner du temps par la suite. Parlez près du microphone Le microphone constitue le premier maillon de la chaîne du signal audio et est donc également très important. Les microphones dynamiques constituent un bon choix global et vous pouvez en trouver pour environ 100 $ (87 euros).Chapitre 6 Exemple de configuration 51 Le meilleur moyen d’améliorer la qualité audio lorsque l’acoustique de la pièce est de mauvaise qualité consiste à placer le microphone le plus près possible de la personne qui parle. Utilisez un petit micro-cravate attaché à la chemise de l’orateur, juste sous la bouche, ou un microphone à main. Dans le cas d’une conférence à plusieurs intervenants, utilisez plusieurs microphones, si possible fixés sur des pieds solides, ainsi qu’une petite table de mixage. Connectez la sortie stéréo mixée de la table de mixage à l’entrée ligne du caméscope. Si vous utilisez une table de mixage ou un microphone externe, assurez-vous que tous les connecteurs sont fermement branchés, afin de garantir la fiabilité du signal audio. Connectez un casque à la sortie casque du caméscope afin de vous assurer que vous pouvez entendre le signal audio et qu’il ne présente aucune distorsion. Un trépied est essentiel Il est important d’utiliser un caméscope sur trépied lors d’une présentation en direct et d’éviter les panoramiques, inclinaisons, zooms et autres mouvements de caméra. Tout déplacement du caméscope, ne serait-ce que d’un degré, entraîne le changement de chaque pixel de l’image, augmentant ainsi la difficulté de codage du flux. Une scène simple à coder devient soudainement beaucoup plus complexe. Le trépied doit être léger, tout en offrant un support stable pour le poids du caméscope. Procurez-vous un kit d’éclairage simple L’éclairage est un vaste sujet qui n’entre pas dans le cadre de ce guide, mais voici cependant quelques suggestions. Même un caméscope de haute qualité donnera des résultats médiocres si l’éclairage est inadapté. Il est peu probable que l’éclairage standard d’une salle de classe soit adapté à la prise de vue d’une présentation en direct. Il est recommandé d’ajouter au moins un éclairage d’arrière-plan afin de faire ressortir l’orateur. Un kit d’éclairage portatif à trois points, ainsi qu’un ou deux réflecteurs si vous prévoyez des prises de vue extérieures, peuvent améliorer considérablement les résultats. Étape 5 : Configuration du diffuseur Dans cet exemple, QuickTime Broadcaster est installé sur un ordinateur portable. Ce logiciel de codage est inclus sur le CD-ROM de Mac OS X Server et peut également être téléchargé gratuitement à partir du site Web QuickTime Broadcaster à l’adresse http://www.apple.com/quicktime/products/broadcaster/ Pour installer QuickTime Broadcaster, double-cliquez sur le fichier d’installation (QuickTimeBroadcaster.pkg) et suivez les instructions à l’écran. Une fois le logiciel de codage installé, connectez le caméscope au portable via le port FireWire, allumez le caméscope et voyez s’il est reconnu par QuickTime Broadcaster. 1 Ouvrez QuickTime Broadcaster et cliquez sur Afficher les détails.52 Chapitre 6 Exemple de configuration 2 Cliquez sur Vidéo et sélectionnez une source vidéo dans le menu local Source. Si le caméscope est reconnu, il apparaît dans le menu Source. Les réglages vidéo doivent être actifs également (non estompés). Si le caméscope n’apparaît pas dans le menu Source, quittez QuickTime Broadcaster, assurez-vous que le caméscope est connecté et sous tension, puis ouvrez de nouveau QuickTime Broadcaster. Si votre caméscope n’apparaît toujours pas, consultez le site Web de QuickTime ou le site Apple Knowledge Base pour en savoir plus sur la compatibilité et les autres problèmes. En cas de diffusion vers QTSS situé sur un autre ordinateur, comme dans notre exemple, il est recommandé d’utiliser la méthode de transmission Monodiffusion automatique (Annonce). Elle est simple à configurer. 1 Dans QuickTime Broadcaster, cliquez sur Afficher les détails, sur Réseau, puis choisissez Monodiffusion automatique (Annonce) dans le menu local Transmission. 2 Dans le volet Réseau, tapez l’adresse IP ou le nom d’hôte du serveur destinataire (Xserve dans cet exemple), un nom pour le fichier diffusé, le nom d’utilisateur et le mot de passe de l’utilisateur de diffusion créé à l’étape 3, ainsi que la durée de mise en mémoire tampon (ou acceptez la valeur par défaut). Remarque : la durée de mise en mémoire tampon fixe le nombre de secondes pendant lesquelles QuickTime place la diffusion en mémoire tampon avant la lecture. Pour les connexions haut débit, QuickTime Player 6 (ou ultérieur) remplit la mémoire tampon plus rapidement que le temps réel, ce qui permet la visualisation en mode “Lecture instantanée”. 3 Cliquez sur Diffusion et démarrez QTSS (s’il n’est pas déjà en cours d’exécution) en sélectionnant l’ordinateur dans Admin Serveur, en cliquant sur Enchaînement QuickTime, puis en cliquant sur Démarrer le service. Pour déterminer si le flux en direct peut être visualisé sur un client, ouvrez QuickTime Player sur l’un des ordinateurs client et effectuez les opérations suivantes : 1 Cliquez sur Fichier > Ouvrir l’URL dans le nouveau lecteur. 2 Tapez l’URL RTSP (Real-Time Streaming Protocol) affichée dans la section Emplacement de la fenêtre QuickTime Broadcaster (par exemple, rtsp://monserveur.com/monflux.sdp). Remarque : l’URL reconnaît les majuscules et minuscules et doit être saisie exactement comme dans la fenêtre QuickTime Broadcaster. La lecture du flux en direct doit alors commencer dans QuickTime Player.Chapitre 6 Exemple de configuration 53 Étape 6 : Test de votre configuration La dernière étape consiste à tester la configuration. Ce test doit être le plus réaliste possible. • Configurez votre équipement tel qu’il sera utilisé pour la présentation réelle, si possible dans le même lieu. • Demandez à un collègue de jouer le rôle du présentateur, ou mieux, demandez au présentateur de participer au test, afin d’en faire une “répétition”. • Vérifiez l’image vidéo et le son. • Vérifiez si les clients du réseau local et d’Internet peuvent se connecter au flux en direct. • Ajustez si nécessaire la position du caméscope et du microphone, ainsi que l’éclairage, et résolvez les autres problèmes éventuels. Création d’une page Web pour simplifier l’accès L’accès à partir d’une page Web permet d’éviter aux étudiants d’avoir à mémoriser l’URL RTSP ainsi que le nom du serveur d’enchaînement et des fichiers SDP. Dans notre exemple, la page Web peut être ajoutée au site Web de l’université, mais elle peut également résider sur n’importe quel serveur Web. Les étudiants peuvent accéder à la présentation en direct (ainsi qu’aux archives) en cliquant sur les liens dans leur navigateur. Pour savoir comment créer une page Web contenant des liens vers les données diffusées, consultez la section “Conversion du contenu en page Web” à la page 37. Prise de vue de la présentation en direct Si tout le travail préparatoire a été effectué selon la procédure décrite ci-dessus et que l’équipement et les connexions ont été testés, la prise de vue devrait être simple. Voici quelques conseils qui permettront d’éviter les problèmes survenant pendant l’événement : • Le jour de la diffusion en direct de l’événement, installez votre matériel suffisamment tôt, afin de pouvoir vérifier une nouvelle fois que tous les composants fonctionnent comme prévu. • Si un public est présent, faites-leur savoir à l’avance que vous allez diffuser la présentation en direct sur le Web et sollicitez leur coopération. • Fixez bien tous les câbles au sol de façon à limiter les risques de trébuchement. • Recherchez les sources potentielles de bruit et prenez si possible les mesures appropriées.54 Chapitre 6 Exemple de configuration Archivage de la présentation en direct Dans notre exemple, l’application iMovie, fournie avec Mac OS X, est installée sur l’ordinateur portable. Cette application permet d’importer les données numériques enregistrées depuis la bande, puis de coder et d’archiver les présentations. Pour archiver une présentation en direct, commencez par importer les données numériques enregistrées : 1 Connectez le caméscope numérique DV à l’ordinateur portable via le port FireWire et mettez-le sous tension. 2 Insérez la bande contenant la séquence vidéo à archiver et passez en mode VTR. 3 Sur l’ordinateur portable, ouvrez iMovie et réglez le commutateur de mode situé sous le moniteur iMovie sur le mode Caméra (faites glisser le curseur bleu vers l’icône représentant un caméscope). 4 Utilisez les commandes de lecture afin d’afficher une partie de la bande dans le moniteur iMovie. Si la lecture de la bande ne démarre pas, vérifiez les connexions et assurez-vous que le caméscope est sous tension. 5 Rembobinez la bande jusqu’à quelques secondes avant le point où vous souhaitez démarrer l’importation. 6 Cliquez sur Lire sous le moniteur iMovie. 7 Cliquez sur Importer dès que vous voyez le point de la présentation à partir duquel vous souhaitez commencer l’importation. 8 Cliquez de nouveau sur Importer lorsque vous souhaitez arrêter l’importation. 9 Pour éviter que certaines séquences soient incluses dans votre présentation archivée, vous pouvez éditer cette dernière plus tard à l’aide d’iMovie. Important : surveillez l’espace disponible sur disque dur pendant l’importation des données vidéo et la création de votre film iMovie. Une minute de vidéo numérique utilise environ 220 Mo d’espace disque, de sorte qu’une présentation d’une heure peut utiliser plus de 13 gigaoctets d’espace disque. La barre d’état Espace libre, située sous le clip, montre à tout moment la quantité d’espace disque disponible pendant le processus d’importation. Utilisez ensuite iMovie pour compresser et coder les données vidéo pour l’enchaînement : 1 Dans iMovie, choisissez Fichier > Exporter le film. 2 Sélectionnez Vers QuickTime dans le menu local Exporter le film. 3 Sélectionnez un format de film dans le menu local Formats. Vous pouvez soit choisir l’un des formats QuickTime optimisés pour différentes utilisations, soit choisir Expert, une option qui offre des réglages QuickTime personnalisés tels que Vidéo MPEG-4.Chapitre 6 Exemple de configuration 55 4 Cliquez sur Exporter. 5 Attribuez un nom à votre film, sélectionnez une destination pour le fichier, puis cliquez sur Enregistrer. Le temps nécessaire à l’enregistrement du film dépend de sa longueur et du format choisi. Remarque : il est recommandé d’enregistrer plusieurs fichiers d’enchaînement, chacun compressé pour une vitesse de connexion différente. Vous pouvez par exemple choisir des réglages de compression plus faibles pour les clients du réseau du campus et des réglages de compression plus élevés pour les clients qui se connectent via Internet. 6 Une fois que vous avez enregistré le ou les fichiers codés, assurez-vous que chaque fichier est diffusé correctement. 57 Glossaire Glossaire Ce glossaire définit les termes et abréviations que vous pouvez rencontrer en utilisant l’aide en ligne ou Administration QTSS. administrateur Utilisateur disposant d’autorisations d’administration de serveur ou de domaine de répertoires. Les administrateurs sont toujours membres du groupe “admin” prédéfini. Adresse IP Adresse numérique unique qui identifie un ordinateur sur Internet. adresse IP statique Adresse IP affectée de manière permanente à un ordinateur ou un périphérique. AppleScript Langage de pilotage par script dont la syntaxe est semblable à celle de l’anglais, utilisé pour écrire des fichiers de script permettant le contrôle de votre ordinateur. AppleScript fait partie du système d’exploitation Mac et est donc inclus sur chaque ordinateur Macintosh. autorisations Réglages qui définissent le type d’accès aux éléments partagés dont bénéficient les utilisateurs. Vous pouvez attribuer quatre types d’autorisations d’accès à un point de partage, un dossier ou un fichier :lecture/écriture, lecture seule, écriture seule et aucune (pas d’accès). AVI (Audio Visual Interleave) Format de fichier vidéo Windows. bande passante Capacité d’une connexion réseau, mesurée en bits ou octets par seconde, à transporter des données. bit Unité d’information, dont la valeur peut être 0 ou 1. client Logiciel ou ordinateur situé côté utilisateur, servant à afficher les données diffusées. codec Technologie de compression et de décompression de données. Les codecs peuvent être implémentés dans le logiciel, le matériel ou une combinaison des deux. 58 Glossaire compression temporelle Compression d’images effectuée entre les trames d’une séquence. Cette technique de compression tire parti de la redondance entre trames adjacentes d’une séquence, pour réduire la quantité de données requises pour représenter avec précision chaque trame de la séquence. Les séquences soumises à une compression temporelle contiennent généralement des images clé placées à intervalles réguliers. connecteur XLR Connecteur audio à trois broches, qui peut être utilisé avec des câbles équilibrés à trois fils, ce qui permet d’éliminer les interférences électromagnétiques. couche Mécanisme d’affectation de priorités aux pistes d’un film ou de chevauchement de sprites. Lorsque QuickTime lit un film, il affiche les images en fonction de leur couche ; les images dont le numéro de couche est inférieur sont affichées au-dessus, celles dont le numéro de couche est supérieur peuvent être masquées par les premières. coupe-feu Logiciel destiné à protéger les applications réseau exécutées sur votre serveur. Le service de coupe-feu IP, qui fait partie du logiciel Mac OS X Server, analyse les paquets IP entrants et rejette ou accepte ces paquets en fonction d’un ensemble de filtres que vous créez. débit Vitesse à laquelle les bits sont transmis sur un réseau, généralement exprimée en bits par seconde. débit de données Quantité d’informations transmises par seconde. diffusion Processus de transmission d’une copie de flux de données sur l’ensemble d’un réseau. diffusion annoncée Méthode, telle que Monodiffusion automatique (Annonce), permettant à un diffuseur de négocier avec un serveur l’acceptation d’une diffusion. diffusion Web Diffusion de séquences vidéo ou audio en direct sur Internet. DNS (Domain Name System) Base de données distribuée qui fait correspondre des adresses IP à des noms de domaines. Un serveur DNS, appelé également “serveur de noms”, conserve une liste des noms et des adresses IP associées à chaque nom. DSL (Digital Subscriber Line) Technologie de transmission de données à haut débit fonctionnant sur les lignes téléphoniques. DV (Digital Video) Format numérique d’enregistrement sur bandes, utilisant une compression d’environ 5:1 pour générer une qualité Betacam sur une cassette de très petite taille. enchaînement Distribution en temps réel de données vidéo ou audio via un réseau, sous forme d’un flux de paquets plutôt que par téléchargement d’un fichier unique. Glossaire 59 FAI (Fournisseur d’accès à Internet) Entreprise qui commercialise un accès à Internet et propose généralement l’hébergement Web d’applications de commerce électronique et de services de courrier. fichier d’accès Fichier texte nommé qtaccess et contenant des informations sur les utilisateurs et les groupes autorisés à visualiser les données multimédias du répertoire dans lequel le fichier d’accès est stocké. fichier M3U Métafichier audio créé à l’aide d’un éditeur de texte et enregistré sur un serveur Web. Le fichier dirige le navigateur Web de l’utilisateur vers une liste de lecture MP3 résidant sur le même serveur Web et ouvre le lecteur MP3 de l’utilisateur. film Structure de données temporelles gérée par QuickTime. Un film QuickTime peut contenir du son, de la vidéo, des animations ou une combinaison de ces différents types de données. Un film QuickTime contient une ou plusieurs pistes, chacune représentant un flux de données unique du film. film de référence Fichier .mov créé à l’aide d’un utilitaire tel que MakeRefMovie, disponible gratuitement auprès d’Apple pour les ordinateurs Macintosh et Windows. Le fichier contient l’emplacement d’un fichier multimédia d’enchaînement et peut également contenir l’emplacement de plusieurs fichiers d’enchaînement. Un fichier de référence inclus sous forme de lien dans une page Web, par exemple, peut diriger un lecteur client vers la présentation à la demande codée en fonction de sa vitesse de connexion particulière. FireWire Technologie matérielle pour l’échange de données avec des périphériques, définie par la norme IEEE 1394. flux réfléchi Diffusion en direct distribuée en tant que flux monodiffusion. Les listes de lecture de film et MP4 génèrent également des flux réfléchis. flux relayé Flux transmis d’un serveur à un ou plusieurs autres serveurs. Les relais peuvent également être utilisés pour générer un flux multidiffusion. QTSS ne gère pas le relais des flux MP3. fréquence d’échantillonnage Nombre d’échantillons par seconde utilisé pour les données audio. Plus la fréquence est élevée, meilleure est la qualité audio. fréquence d’images clé Fréquence à laquelle les images clé sont placées dans des séquences de données temporellement compressées. FTP (File Transfer Protocol) Protocole permettant aux ordinateurs de transférer des fichiers sur un réseau. Les clients FTP dont le système d’exploitation gère le protocole FTP peuvent se connecter à un serveur de fichiers et télécharger des fichiers, en fonction des autorisations d’accès dont ils bénéficient. La plupart des navigateurs Internet et bon nombre d’applications gratuites (“freeware”) peuvent être utilisés pour accéder à un serveur FTP.60 Glossaire HTML (Hypertext Markup Language) Ensemble de symboles ou de codes insérés dans un fichier à afficher par un navigateur Web. Le balisage indique au navigateur Web comment afficher les mots et images d’une page Web pour l’utilisateur. HTTP (Hypertext Transfer Protocol) Protocole client/serveur utilisé pour le World Wide Web. Le protocole HTTP permet à un navigateur Web d’accéder à un serveur Web et de demander des documents multimédias créés en code HTML. IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers, Inc.) Organisation dédiée à la promotion de normes dans le domaine de l’ingénierie informatique et électrique. image clé Échantillon provenant d’une séquence d’échantillons temporellement compressés, dont les informations sont indépendantes des autres échantillons de la séquence. Les images clé sont placées dans des séquences temporellement compressées, selon une fréquence déterminée par la fréquence d’images clé. indications Processus qui crée une piste pour chaque piste de données diffusable du fichier, afin d’indiquer au serveur Enchaînement QuickTime comment et quand diffuser chaque trame de données. Le processus d’insertion d’indications effectue à l’avance les calculs nécessaires, ce qui permet à QTSS de diffuser un plus grand nombre de flux. Il permet également l’utilisation de nouveaux codecs sans qu’il soit nécessaire de mettre le serveur à niveau. IP (Internet Protocol) Également appelé IPv4. Méthode utilisée conjointement avec le protocole TCP (Transmission Control Protocol) pour envoyer des données d’un ordinateur à un autre via un réseau local ou via Internet. Le protocole IP distribue les paquets de données, tandis que le protocole TCP effectue le suivi des paquets. JavaScript Langage de pilotage par script utilisé pour ajouter une certaine interactivité aux pages Web. LAN (réseau local) Réseau établi au sein d’un même bâtiment, par opposition à un réseau étendu (WAN) qui relie des installations géographiquement disséminées. Lecture instantanée Avancée dans la technologie Apple de protection contre les coupures, permettant de réduire considérablement les temps d’attente ou de mise en mémoire tampon, afin d’obtenir une expérience de visualisation instantanée pour la diffusion de flux vidéo à travers des connexions haut débit. liste de lecture Ensemble de fichiers multimédias du dossier de données QTSS, dont la lecture s’effectue de manière séquentielle ou aléatoire. Mac OS X Version la plus récente du système d’exploitation Apple. Mac OS X associe la fiabilité d’UNIX à la simplicité d’utilisation de Macintosh. Glossaire 61 Mac OS X Server Plate-forme de serveur puissante capable de gérer, sans préparation préalable, les clients Mac, Windows, UNIX et Linux et qui offre une suite de services réseau et de groupe de travail évolutifs, ainsi que des outils de gestion avancés. MBONE (dorsale de multidiffusion) Réseau virtuel gérant la multidiffusion IP. Un réseau MBONE utilise le même support physique qu’Internet, mais est conçu pour réassembler les paquets de données de multidiffusion afin qu’ils aient l’aspect de paquets de données de diffusion individuelle. MIDI (Musical Instrument Digital Interface) Format standard pour l’envoi d’instructions à un synthétiseur musical. monodiffusion Forme d’enchaînement de type 1 à 1. Si le protocole RTSP est utilisé, l’utilisateur peut se déplacer librement d’un point à un autre dans un film à la demande. Monodiffusion automatique (Annonce) Méthode de distribution d’une diffusion sur un serveur d’enchaînement, dans laquelle un fichier SDP est automatiquement copié et tenu à jour sur le serveur. Un mot de passe et un nom d’utilisateur de diffusion doivent être créés avant le démarrage d’une telle diffusion. Monodiffusion manuelle Méthode de transmission en direct d’un flux de données vers un client QuickTime Player unique ou vers un ordinateur qui exécute QTSS. Un fichier SDP est généralement créé par l’application de diffusion et doit ensuite être envoyé manuellement au spectateur ou au serveur d’enchaînement. mov Extension de fichier des films QuickTime d’Apple, utilisée pour nommer à la fois les fichiers de redirection de film et les fichiers multimédias QuickTime proprement dits. MP3 (MPEG layer 3) Format populaire de compression de musique. MPEG-4 Norme ISO basée sur le format de fichier QuickTime et qui définit des formats de compression et des fichiers multimédias. multi-adressage Capacité à gérer plusieurs connexions réseau. Lorsque plusieurs connexions sont disponibles, Mac OS X sélectionne la meilleure connexion en fonction de l’ordre indiqué dans les préférences réseau. multidiffusion Forme efficace d’enchaînement, de type 1 à n. Les utilisateurs peuvent se joindre à une multidiffusion ou la quitter, mais ils ne peuvent pas interagir avec elle. NAT (Network Address Translation) Méthode de connexion de plusieurs ordinateurs à Internet (ou à tout autre réseau IP) à l’aide d’une adresse IP unique. NAT convertit les adresses IP que vous attribuez aux ordinateurs de votre réseau privé interne en une adresse IP légitime unique pour les communications Internet. octet Huit bits.62 Glossaire open-source Terme désignant le développement coopératif de logiciels par la communauté Internet. Le principe de base consiste à impliquer le plus grand nombre possible de personnes dans l’écriture et le débogage du code, en publiant le code source et en encourageant la constitution d’une large communauté de développeurs qui peuvent proposer des modifications et des améliorations. ordinateur administrateur Ordinateur Mac OS X sur lequel vous avez installé les applications d’administration du serveur à partir du CD Admin de Mac OS X Server. paquet Unité d’informations constituée d’un en-tête, d’informations, d’un élément de détection d’erreurs et d’enregistrements complémentaires. QTSS utilise des paquets TCP, UDP et IP pour communiquer avec les clients. piste Structure de données QuickTime qui représente un flux de données unique dans un film QuickTime. Un film peut contenir une ou plusieurs pistes. Chaque piste est indépendante des autres pistes du film et représente son propre flux de données. piste de modification Piste d’un film qui modifie les données ou la présentation d’autres pistes. Par exemple, une piste “tween” est une piste de modification. piste tween Piste qui modifie l’affichage d’autres pistes. pixel Point unique d’une image, dotée d’une couleur et d’une valeur de luminosité données. plug-in de navigateur Logiciels que vous intégrez à un navigateur afin de permettre l’affichage de formats de données spécifiques. point de montage Chaîne utilisée pour identifier un flux en direct, lequel peut être un flux de film relayé, un flux de film non relayé ou un flux MP3. Les points de montage qui décrivent les flux de film en direct se terminent toujours par une extension .sdp. Port Sorte de fente virtuelle de boîte aux lettres. Un serveur utilise des numéros de port pour déterminer l’application qui doit recevoir les paquets de données. Les coupefeu utilisent les numéros de port pour déterminer si les paquets de données sont ou non autorisés à traverser un réseau local. Le terme “port” fait généralement référence à un port TCP ou UDP. protocole Ensemble de règles qui détermine la façon dont les données sont échangées entre deux applications. QTSS (serveur Enchaînement QuickTime) Technologie permettant de diffuser des données en temps réel sur Internet. QuickTime Ensemble d’extensions système Macintosh ou bibliothèque de liens dynamiques Windows gérant la composition et la lecture de films.Glossaire 63 QuickTime Player Application incluse dans le logiciel système QuickTime et permettant la lecture des films QuickTime. QuickTime Pro Version de QuickTime Player dotée de fonctionnalités avancées, de montage essentiellement. RAID (Redundant Array of Independent Disks) Batterie de disques durs permettant soit d’accélérer la vitesse des entrées/sorties disque, soit de mettre les données en miroir pour la redondance, soit d’obtenir ces deux avantages. Les utilisateurs peuvent accéder au système RAID comme s’il s’agissait d’un disque unique, bien que celui-ci puisse être divisé en plusieurs partitions. RTP (Real-Time Transport Protocol) Protocole de transport réseau “point à point” adapté aux applications qui transmettent des données en temps réel (audio, vidéo ou simulation) par l’intermédiaire de services de réseau en multi ou en monodiffusion. RTSP (Real Time Streaming Protocol) Protocole de couche applicative servant à contrôler la transmission des données ayant des propriétés de temps réel. Ce protocole RTSP propose une structure extensible qui permet de transmettre les données en temps réel sous contrôle et sur demande, des données audio ou vidéo par exemple. Les sources de données peuvent inclure aussi bien des données en temps réel que des clips enregistrés. SDP (Session Description Protocol) Fichier texte utilisé avec le serveur Enchaînement QuickTime, qui fournit des informations sur le format, l’heure et l’auteur d’une diffusion en direct et transmet à l’ordinateur de l’utilisateur les instructions de connexion. serveur proxy Serveur placé entre une application client, telle qu’un navigateur Web, et un serveur réel. Le serveur proxy intercepte toutes les requêtes destinées au serveur réel pour vérifier s’il ne peut y répondre lui-même. Si ce n’est pas le cas, il fait suivre la requête au serveur réel. SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) Protocole utilisé pour envoyer et transférer le courrier. Sa capacité à placer les messages entrants en file d’attente est limitée ; il n’est donc généralement utilisé que pour envoyer les messages, POP ou IMAP étant utilisés pour les recevoir. sous-réseau IP Partie d’un réseau IP, qui peut être un segment de réseau physiquement indépendant, partageant une adresse réseau avec d’autres parties du réseau et identifiée par un numéro de sous-réseau. sprite Image animée gérée par QuickTime. Une telle image est définie une seule fois, puis elle est animée par des commandes qui en modifient la position ou l’apparence. SSL (Secure Sockets Layer) Protocole Internet permettant d’envoyer sur Internet des informations cryptées et authentifiées.64 Glossaire TCP (Transmission Control Protocol) Méthode utilisée avec le protocole IP (Internet Protocol) pour envoyer, via Internet, des données sous forme d’unités de messages entre ordinateurs. Le protocole IP se charge de gérer le transfert des données, alors que le protocole TCP effectue le suivi individuel des unités de données (appelées “paquets”). Chaque message est fractionné en plusieurs unités afin d’assurer un routage efficace via Internet. téléchargement progressif Données d’un film “poussées” vers le client via le protocole HTTP. Le film peut être visualisé par l’utilisateur pendant le transfert. Il ne s’agit pas d’une forme de diffusion de flux de données. trame Image unique d’un film ou d’une séquence d’images. TTL (time-to-live) Durée spécifiée pendant laquelle les informations DNS sont stockées dans la mémoire cache. Lorsqu’une paire nom de domaine/adresse IP se trouve en mémoire cache depuis plus longtemps que la durée TTL spécifiée, l’entrée est supprimée du cache du serveur de noms (mais pas du serveur DNS principal). UDP (User Datagram Protocol) Méthode de communication utilisant le protocole IP pour envoyer une unité de données (appelée datagramme) d’un ordinateur à un autre sur un réseau. Les applications réseau qui ont de toutes petites unités de données à échanger peuvent utiliser le protocole UDP à la place du protocole TCP. URL (Uniform Resource Locator) Adresse d’un ordinateur, d’un fichier ou d’une ressource accessible sur un réseau local ou sur Internet. L’adresse URL se compose du nom du protocole utilisé pour accéder à la ressource, du nom de domaine qui identifie un ordinateur spécifique sur Internet et de la description hiérarchique de l’emplacement du fichier sur l’ordinateur. utilisateur de diffusion Utilisateur ayant l’autorisation de diffuser vers le serveur d’enchaînement. Le nom d’utilisateur et le mot de passe de diffusion sont définis dans le volet Réglages généraux d’Admin Serveur Enchaînement et sont utilisés conjointement avec les diffusions annoncées. Il n’est pas nécessaire de créer un utilisateur de diffusion pour les diffusions UDP. VBR (débit variable) Méthode de compression de données qui tire parti des changements de débit des données. vitesse de défilement Dans un film, il s’agit du nombre d’images par seconde. wav Format Windows de fichier audio. XML Langage de balisage extensible, semblable au HTML, mais plus formel et plus souple. 65 Index Index A administration des serveurs d'enchaînement. Voir application d'administration du serveur d'enchaînement Admin Web 7, 24 adresses IP association 26 ordinateur source 28 Annonce (monodiffusion automatique) 30, 52 archivage des présentations en direct 54–55 articles de la base de connaissances Knowledge Base 11 audio enchaînement 15 enchaînement audio MP3 9 en direct 15 audio en direct configuration pour l'enchaînement 15 configuration requise 20 authentification accès aux données diffusées 49 fonctionnalités 9 B bande passante considérations 20 enchaînement en direct 16, 46 réseaux 46 borne d'accès AirPort 45 Broadcaster. Voir QuickTime Broadcaster C caméras vidéo 18 caméras vidéo 18 caméscope numérique DV diffusions Web en direct 50–51 enchaînement de présentations 44 QuickTime Broadcaster 51 caméscopes DV. Voir caméscope numérique DV trépied 50, 51 capteurs CCD (Charge-Coupled Devices) 50 cartes Ethernet 48 cartes réseau 48 casque 51 CCD (Charge-Coupled Devices) 50 codecs 32 codes d'erreur 40 codeur de données utiles RTP 34 compte d'utilisateur Broadcaster 30, 49 comptes d'utilisateur Broadcaster 30 diffusion 49 configuration de la diffusion sur le Web 43–55 configuration matérielle requise 20, 47–48 connecteurs XLR 50 connexions débits 20 diffusion 40 DSL 20 Ethernet 46, 48 haut débit 19 HTTP 29, 40 interruption 41 large bande 15 modem câble 20 nombre maximum 25, 39, 41 sans fil 45 connexions Ethernet 46, 48 connexions haut débit 19 connexions HTTP 29, 40 connexions large bande 15 connexions sans fil 45 consignation, activation 39 conversations en direct 18 coupe-feu 29, 48 cours d'enchaînement QuickTime 11 D Darwin Streaming Server (DSS) QuickTime Broadcaster et 15 débits 20 dépannage 39–41 Voir aussi erreurs66 Index fichiers multimédias 39–40 listes de lecture 39 diffusion en direct 20 configuration réseau 46 spectateurs simultanés 46 diffusion MP3 40 diffusions configuration générique de la diffusion sur le Web 43–55 connexion impossible 40 connexion via HTTP 40 données multimédias préenregistrées 32, 33–34 en direct 20 listes de lecture 32, 36 relayées 18 diffusions MP3 30 diffusions relayées 18 diffusion sur le Web en direct 43–55 Digital Subscriber Line (DSL) 20 distribution, à la demande 14 distribution, en direct 14 distribution à la demande 14 distribution en direct 14 données enchaînement Lecture instantanée 14 données diffusées erreurs 40–41 données multimédias 16, 31–39 considérations relatives à la bande passante 20 diffusion. Voir données multimédias diffusées envoi via Internet 16 préenregistrées 32, 33–34 visualisation à partir d'un ordinateur client 22 données multimédias préenregistrées 33–34 DSL (Digital Subscriber Line) 20 DSS (Darwin Streaming Server) administration. Voir application d'administration du serveur d'enchaînement code source 12 configuration 20–22 description 10 disponibilité 7 support 12 version 4 9 version 4.1 9 E enchaînement codecs 32 en direct. Voir enchaînement en direct en temps réel 14 lecture instantanée 9, 14, 19 MP3 40 MPEG-4 9 processus pour 16–18 sur le port 80 29 vue d'ensemble 13–15 enchaînement de présentations 43–55 enchaînement en direct audio 15 choix de l'environnement 45–46 exemple 43–55 vidéo 15 enchaînement en temps réel 14 enchaînement Lecture instantanée 19 enchaînement MPEG-4 9 enchaînement QuickTime Voir enchaînement erreur 453 25 erreurs Voir aussi dépannage liste 40–41 pendant la diffusion de données 40–41 serveur occupé 25 espace disque 47, 48, 54 événements en direct 14 exportation d'éléments films QuickTime à indications 32 extension .mp3 21 F fichiers MP3 21, 40 MPEG-1 40 MPEG-4 9, 19 SDP. Voir fichiers SDP fichiers d'enchaînement 47 fichiers de film 40 fichiers MP3 21, 34, 40 fichiers MPEG-1 40 fichiers MPEG-1 à indications 40 fichiers MPEG-4 9, 19 fichiers multimédias diffusion incorrecte 39–40 types de données 33 URL 22 fichiers SDP listes de lecture 39 objectif 49 fichiers Session Description Protocol. Voir fichiers SDP fichiers vidéo 47 films QuickTime. Voir films QuickTime films à indications 32 erreurs 40 exportation de films QuickTime 32 performances 34 films QuickTime Voir aussi films67 Index échantillon 21 exportation comme films à indications 34 flux de données multimédias relais 18 visualisation à partir d'un ordinateur client 22 flux de listes de lecture MP3 19 flux RTP 20 fournisseurs de services d'enchaînement 11 H historique des accès 28 historique des listes de lecture 39 historiques accès 28 listes de lecture 39 réinitialisation 28 I IETF (Internet Engineering Task Force) 12 iMovie 54 compression/codage des séquences numériques 54 présentations en direct 45 indications fichiers MP3 34 Internet, envoi de données multimédias via 16 Internet Engineering Task Force (IETF) 12 iTunes 19 K kit d'éclairage 50, 51 L lecteur MPEG-4 19 lecteurs MPEG-4 19 QuickTime. Voir QuickTime Player lignes T1 46 listes de lecture 32, 35–39 arrêt 36 côté serveur 9 création 34 démarrage 36 description 32 diffusion de données multimédias préenregistrées 32 en boucle 40 film 34 MP3. Voir listes de lecture MP3 MPEG-4 34 noms 35 préparation de données multimédias préenregistrées 34 problèmes 39 listes de lecture côté serveur 9 listes de lecture de films 34 Voir aussi listes de lecture listes de lecture en boucle 40 listes de lecture MP3 Voir aussi listes de lecture création 34 écoute 19 listes de lecture MPEG-4 34 logiciel client QuickTime 19 logiciel de diffusion 14 logiciels requis 19–20, 47 M Mac OS X Server page de support AppleCare 11 ressources 11 Mbone (dorsale de multidiffusion) 17 mémoire 47 microphone 50 mode “Aléatoire pondéré” 37 modems câble 20 mode “Séquentiel” 37 mode “Séquentiel en boucle” 37 monodiffusion 16–17 Monodiffusion automatique (Annonce) 30, 52 mots de passe compte d'utilisateur broadcaster 30, 49 diffusions MP3 30 multi-adressage 22, 24, 26 multidiffusion 16–17 N navigateurs. Voir navigateurs Web navigateurs Web plug-in QuickTime 16 visualisation de flux de données multimédias 22 nom d'hôte DNS 28 norme RTP 12 norme RTSP 12 O ordinateurs adresse IP 28 client. Voir ordinateurs client source 28 ordinateurs client accès aux serveurs d'enchaînement 45 comparaison du transport multidiffusion et monodiffusion 16–17 configuration requise 19 données multimédias envoyées à 16 visualisation de flux de données multimédias 22 visualisation de flux en direct 5268 Index P page des produit QTSS 11 pages Web accès à la diffusion Web via 53 lecture de flux de données multimédias 16 paquets IP 48 paquets UDP 29 performances films à indications 34 pistes, indication 32 plug-in QuickTime 16, 40 port 80, enchaînement 29 ports Firewire 44 utilisés par QTSS/DSS 48 ports Firewire 44 présentations, enchaînement 43–55 prise jack de casque d'écoute 50 problèmes. Voir dépannage problèmes d'éclairage 46, 51 processus PlaylistBroadcaster 39 Q QTSS (QuickTime Streaming Server) administration. Voir application d'administration du serveur d'enchaînement configuration 20, 22, 49 configuration requise 47–48 QuickTime Broadcaster et 15 répertoires multimédias multiples 27 Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) Voir aussi serveurs d'enchaînement QuickTime Broadcaster capture vidéo 20 configuration 20, 51–52 configuration audio/vidéo en direct 15 configuration requise 20 description 10 disponibilité 20, 51 enchaînement de présentations 44 présentations en direct 45 QTSS/DSS et 15 site Web 20, 51 “QuickTime for the Web” 11 QuickTime Player affichage de flux de données multimédias 16 description 10 visualisation de données multimédias à partir des clients 22 visualisation de films 21 QuickTime Pro description 10 inclus avec “QuickTime for the Web” 11 R RAM 47 Real-Time Streaming Protocol. Voir RTSP Real-Time Transport Protocol. Voir RTP réglage Demander une diffusion entrante 27 réglage “Débit maximal” 25 réglage “Mode lecture” 37 réglage “Nom” 35 réglage “Nombre de connexions max.” 25 réglages du proxy d'enchaînement 39 réglages du transport d'enchaînement 39 relais flux de données multimédias 18 gestion 9 utilisations pour 18 répertoires multimédias liens symboliques 27 multiples 27 réseaux bande passante 46 capacité 46 préparation pour la diffusion en direct 46 traduction d'adresses 29 résolution 50 ressources 11–12 RTP (Real-Time Transport Protocol) 12, 13 RTSP (Real-Time Streaming Protocol) 12, 13 S Secure Sockets Layer. Voir SSL sécurité 28–30 coupe-feu 29 enchaînement sur le port 80 29 mots de passe. Voir mots de passe réseaux avec traduction d'adresses 29 segments de bande passante 46 Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) configuration 47 description 10 disponibilité 7 support 11 version 4 9 version 4.1 9 serveurs Apache 7 connexion interrompue 41 exécution interrompue 41 occupés 25, 41 Xserve 44 serveurs d'enchaînement Voir aussi DSS (Darwin Streaming Server); Serveur Enchaînement QuickTime; serveurs configuration 19–22, 47–49 configuration requise 47–48 considérations 47–4969 Index listes de diffusion 11 restriction de l'accès 49 test de la configuration 21 vue d'ensemble 13 serveurs Web 7 serveur Web Apache 7 serveur Xserve 44 service coupe-feu IP 48 sites Web Darwin Streaming Server 12 Internet Engineering Task Force 12 norme RTP 12 norme RTSP 12 page de support AppleCare de Mac OS X Server 11 QuickTime Broadcaster 20, 51 Serveur Enchaînement QuickTime 11 services QuickTime 11 site de formation QuickTime 11 support AppleCare 11 site Web de formation QuickTime 11 site Web des services QuickTime 11 sortie Firewire 50 suite de produits QuickTime 7 support AppleCare 11 systèmes de stockage RAID 48 systèmes Windows 16 T technologie Apple de protection contre les coupures 14 technologie de protection contre les coupures 9, 14 technologie Firewire 20 téléchargements HTTP 40 traduction d'adresses 29 trafic HTTP 49 trépied 50, 51 U URL fichiers multimédias 22 localisation impossible 40 RTSP 22 User Datagram Protocol. Voir UDP utilisateurs diffusion 30 impossible de se connecter à la diffusion 40 répertoires multimédias multiples 27 V vidéo capture 20 enchaînement 15 vidéo en direct archivage 54–55 configuration pour l'enchaînement 15 configuration requise 20 prise de vue 53 W WinAmp 19 Mac OS X Server Administration des technologies Web Pour la version 10.3 ou ultÈrieureApple Computer Inc. © 2003 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Le propriétaire ou l’utilisateur autorisé d’une copie valide du logiciel Mac OS X Server peut reproduire cette publication pour les besoins de l’apprentissage de l’utilisation de ce logiciel. Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite ou transmise à des fins commerciales, telles que la vente de copies de cette publication ou la fourniture de services de support payants. Tous les efforts ont été déployés afin de garantir la précision des informations de ce manuel. Apple Computer, Inc. n’est pas responsable des erreurs d’impression ou des erreurs typographiques. L’utilisation de ce logo à des fins commerciales via le clavier (Option-1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Apple, le logo Apple, Mac, Mac OS, Macintosh et Sherlock sont des marques d’Apple Computer, Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Adobe et PostScript sont des marques d’Adobe Systems Incorporated. Java et tous les logos et marques dérivés de Java sont des marques ou des marques déposées de Sun Microsystems, Inc., aux États-Unis et dans d’autres pays. Netscape Navigator est une marque de Netscape Communications Corporation. UNIX est une marque déposée aux États-Unis et dans d’autres pays, sous licence exclusive de X/Open Company Ltd. Remarque : Apple améliore continuellement les performances et le design de ses produits. Il se peut que certaines illustrations de ce manuel soient légèrement différentes de votre version du logiciel. F022-1327 3 1 Table des matières Chapitre 1 7 Vue d’ensemble des technologies Web 8 Principaux composants Web 8 Serveur Web Apache 8 WebDAV 8 Prise en charge CGI 9 Prise en charge SSL 9 Contenu dynamique avec SSI (Server-Side Includes) 9 Cache frontal 9 Avant de commencer 9 Configuration de votre serveur Web 9 Assurer la sécurité des transactions 10 Configuration de sites Web 10 Hébergement de plusieurs sites Web 10 À quoi sert WebDAV 12 Description de MIME (Multipurpose Internet Mail Extension) Chapitre 2 15 Gestion des technologies Web 15 Première configuration du serveur Web 17 Utilisation d’Admin Serveur pour la gestion de votre serveur Web 17 Démarrage et arrêt du service Web 18 Modification des mappages MIME et des gestionnaires de contenu 19 Gestion des connexions 19 Configuration des connexions simultanées pour le serveur Web 20 Configuration de connexions persistantes pour le serveur Web 20 Configuration d’un intervalle de délai de connexion 22 Configuration de la mise en cache proxy 23 Blocage du placement de certains sites Web dans la mémoire cache de votre serveur Web 23 Utilisation de SSL (Secure Sockets Layer) 23 À propos de SSL 24 Utilisation de WebDAV 24 Utilisation de Tomcat 25 Affichage de l’état d’un service Web4 Table des matières 25 Vue d’ensemble du service Web 25 Modules de service Web en cours d’utilisation 26 Affichage des historiques d’activité du service Web Chapitre 3 27 Gestion des sites Web 27 Utilisation d’Admin Serveur pour gérer les sites Web 27 Configuration du dossier Documents d’un site Web 28 Activation d’un site Web sur un serveur 29 Modification du dossier Web par défaut d’un site 29 Configuration de la page par défaut d’un site Web 30 Changement du port d’accès d’un site Web 30 Amélioration des performances des sites Web statiques (mémoire cache de performances) 30 Conséquences de l’utilisation de la mémoire cache de performances du service Web 31 Activation des historiques des accès et des erreurs d’un site Web 32 Configuration de listes de répertoires pour un site Web 33 Création d’index pour la recherche de contenu dans un site Web 34 Connexion à votre site Web 34 Activation de WebDAV sur des sites Web 35 Configuration de l’accès pour les sites utilisant WebDAV 36 Autorisations des fichiers et des dossiers de contenu Web et WebDAV 37 Activation de l’authentification Digest WebDAV intégrée 37 Conflit entre WebDAV et la mémoire cache de performances Web 37 Activation d’un script CGI (Common Gateway Interface) 38 Activation de SSI (Server Side Includes) 39 Affichage des réglages d’un site Web 39 Configuration des réponses du serveur aux types MIME et aux gestionnaires de contenu 40 Activation de SSL 41 Configuration de l’historique SSL pour un site Web 41 Activation de PHP 42 Contenu utilisateur sur les sites Web 42 Configuration du service Web 42 Contenu par défaut 43 Accès au contenu WebTable des matières 5 Chapitre 4 45 WebMail 45 Notions élémentaires de WebMail 45 Utilisateurs de WebMail 46 WebMail et votre serveur de courrier 46 Protocoles WebMail 47 Activation de WebMail 47 Configuration de WebMail Chapitre 5 51 SSL (Secure Sockets Layer) 51 Configuration de SSL 51 Génération d’une requête CSR (Certificate Signing Request) pour votre serveur. 52 Acquisition d’un certificat de site Web 53 Installation du certificat sur votre serveur 53 Activation de SSL pour le Site 54 Le mot de passe SSL du serveur Web n’est pas accepté lorsqu’il est saisi manuellement Chapitre 6 55 Utilisation d’applications open-source 55 Apache 56 Emplacement des principaux fichiers Apache 56 Modification des fichiers de configuration Apache 57 Démarrage et arrêt du service Web à l’aide du script apachectl 58 Activation de l’enregistrement Apache via Rendezvous 62 Expérimentation avec Apache 2 63 JBoss 64 Sauvegarde et restauration des configurations JBoss 65 Tomcat 66 MySQL 66 Installation de MySQL Chapitre 7 69 Installation et affichage des modules Web 69 Modules Apache 69 Modules spécifiques à Macintosh 70 mod_macbinary_apple 70 mod_sherlock_apple 70 mod_auth_apple 70 mod_hfs_apple 70 mod_digest_apple 70 mod_rendezvous_apple 71 Modules Open-Source 71 Tomcat 71 PHP : Hypertext Preprocessor 71 mod_perl6 Table des matières Chapitre 8 73 Résolution de problèmes 73 Les utilisateurs ne parviennent pas à se connecter à un site Web sur votre serveur 74 Un module Web ne fonctionne pas comme prévu 74 Un script CGI ne fonctionne pas Chapitre 9 75 Où trouver des informations supplémentaires Glossaire 77 Index 811 7 1 Vue d’ensemble des technologies Web Familiarisez-vous avec les technologies Web et leurs principaux composants avant de configurer vos services et sites. Les technologies Web de Mac OS X Server offrent une solution de serveur Internet intégrée. Également appelées service Web dans ce guide, elles sont faciles à configurer et à administrer ; il n’est pas nécessaire d’être un administrateur Web expérimenté pour installer plusieurs sites Web et pour configurer et surveiller un serveur Web. Les technologies Web de Mac OS X Server utilisent le serveur Apache. Ce serveur Web HTTP open-source répond aux requêtes concernant les pages Web HTML stockées sur votre site. Les logiciels libres ou open-source autorisent quiconque à consulter et éditer le code source afin d’y apporter modifications et améliorations. Cela a contribué à populariser Apache, qui est aujourd’hui le serveur Web le plus utilisé sur Internet. Les administrateurs Web peuvent utiliser Server Admin pour administrer les technologies Web sans connaissance préalable des réglages avancés ni des fichiers de configuration. Les administrateurs Web spécialistes d’Apache peuvent choisir d’administrer les technologies Web à l’aide des fonctions avancées d’Apache. En outre, les technologies Web de Mac OS X Server incluent un cache frontal qui améliore les performances des sites Web utilisant des pages HTML statiques. Grâce à ce cache, le serveur accède systématiquement aux donnés statiques chaque fois que cela est requis. Le service Web gère également le protocole WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning). Avec WebDAV, vos utilisateurs client peuvent consulter des pages Web, apporter des modifications, puis vérifier le résultat en temps réel. En outre, l’ensemble des commandes élaborées de WebDAV permet aux ordinateurs client fonctionnant sous Mac OS X d’utiliser un serveur Web compatible WebDAV de la même façon qu’un serveur de fichiers.8 Chapitre 1 Vue d’ensemble des technologies Web Dans la mesure où le service Web de Mac OS X Server utilise le serveur Apache, vous pouvez ajouter des fonctionnalités avancées à l’aide de modules Apache, dont la gestion du protocole SOAP (Simple Object Access Protocol), de Java et de langages CGI tels que Python. Principaux composants Web Les technologies Web de Mac OS X Server sont constituées de divers composants essentiels, qui offrent un environnement serveur souple et évolutif. Serveur Web Apache Apache est un serveur Web HTTP open-source que les administrateurs peuvent configurer avec l’application Server Admin. Apache présente une structure modulaire et le jeu de modules activé par défaut s’adapte à la plupart des utilisations. Server Admin peut contrôler quelques modules facultatifs. Les utilisateurs Apache expérimentés peuvent ajouter ou supprimer des modules, et modifier le code du serveur. Pour plus d’informations sur les modules, consultez “Modules Apache” à la page 69. Apache version 1.3 est installé dans Mac OS X Server. Apache version 2 est fourni avec le logiciel serveur à des fins d’évaluation ; il se trouve dans le répertoire /opt/apache2/. WebDAV WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) est particulièrement utile pour la mise à jour de contenu sur un site Web. Les utilisateurs qui disposent d’un accès WebDAV au serveur peuvent ouvrir les fichiers, apporter des modifications ou effectuer des ajouts, puis enregistrer ces modifications. Vous pouvez également utiliser la fonctionnalité de gestion des royaumes de WebDAV afin de contrôler l’accès à tout ou partie du contenu d’un site Web. Prise en charge CGI CGI (Common Gateway Interface) représente l’interface de communication entre le serveur et les clients. Par exemple, les scripts CGI permettent aux utilisateurs de commander un produit sur un site Web ou d’envoyer des réponses à des demandes d’informations. Vous pouvez écrire les scripts CGI dans n’importe quel langage, notamment Perl et Python. Le dossier /Library/WebServer/CGI-Executables est l’emplacement par défaut des scripts CGI.Chapitre 1 Vue d’ensemble des technologies Web 9 Prise en charge SSL Le service Web prend en charge le protocole SSL (Secure Sockets Layer), permettant le cryptage des informations échangées entre le client et le serveur. SSL utilise un certificat numérique qui permet de certifier l’identité de son propriétaire au serveur et d’établir un échange sécurisé et crypté des informations. Contenu dynamique avec SSI (Server-Side Includes) SSI (Server-Side Includes) permet d’utiliser le même contenu sur plusieurs pages d’un site. Il peut également indiquer au serveur d’exécuter un script ou d’insérer des données spécifiques dans une page. Cette fonctionnalité facilite énormément la mise à jour du contenu, car vous ne modifiez les informations qu’en un seul emplacement et la commande SSI met à jour ces informations sur plusieurs pages. Cache frontal Le serveur Web inclut un cache qui améliore les performances des sites Web affichant des pages statiques. Le contenu statique reste dans le cache après son utilisation, de sorte que le serveur peut rapidement extraire ce contenu lorsqu’il est demandé une nouvelle fois. Avant de commencer Cette section contient les informations nécessaires à une première installation de votre serveur Web. Il est conseillé de lire ce chapitre même si vous êtes un administrateur Web expérimenté, car certaines fonctionnalités et certains comportements peuvent être différents de ce à quoi vous vous attendez. Configuration de votre serveur Web Vous pouvez utiliser Server Admin pour installer et configurer la plupart des fonctionnalités de votre serveur Web. Si vous êtes un administrateur Apache expérimenté et que vous avez besoin de fonctionnalités du serveur Web Apache qui ne sont pas incluses dans Server Admin, vous pouvez modifier les fichiers de configuration appropriés. Sachez toutefois qu’Apple ne procure toutefois pas l’assistance technique en cas de modification des fichiers de configuration Apache. Si vous décidez de modifier un fichier, veillez à effectuer dans un premier temps une copie de sauvegarde. Utilisez cette copie en cas de problème. Pour plus d’informations sur les modules Apache, consultez le site Web Apache Software Foundation à l’adresse http://www.apache.org. Assurer la sécurité des transactions Pour assurer la sécurité des transactions sur votre serveur, configurez la protection SSL (Secure Sockets Layer). SSL permet d’envoyer sur Internet des informations cryptées et authentifiées. Si vous souhaitez autoriser l’utilisation de cartes de crédit sur votre site Web, vous pouvez utiliser SSL pour protéger les informations qui transitent par votre site.10 Chapitre 1 Vue d’ensemble des technologies Web Pour obtenir des instructions sur la manière de configurer des transactions sécurisées, consultez le chapitre 5, “SSL (Secure Sockets Layer)”, à la page 51. Configuration de sites Web Pour héberger un site Web, vous devez : • Enregistrer votre nom de domaine auprès d’une autorité compétente • Créer un dossier pour votre site Web sur le serveur • Créer une page par défaut dans le dossier, que les utilisateurs pourront visualiser une fois connectés à celle-ci • Vérifier que le service DNS est correctement configuré si vous souhaitez que les clients accèdent à votre site Web par l’intermédiaire de son nom Une fois prêt à publier ou à activer votre site, vous pouvez utiliser Server Admin. Le volet Sites de la fenêtre Réglages permet d’ajouter un site et de sélectionner un ensemble de réglages pour chacun des sites hébergés. Pour plus de détails, consultez le chapitre 3, “Gestion des sites Web”, à la page 27. Hébergement de plusieurs sites Web Vous pouvez héberger simultanément plusieurs sites Web sur votre serveur Web. Selon le mode de configuration de vos sites, il se peut qu’ils possèdent les mêmes nom de domaine, adresse IP ou port. En revanche, la combinaison d’un nom de domaine, d’une adresse IP et d’un port doit être unique pour chacun des sites. Vos noms de domaines doivent être enregistrés auprès d’une autorité compétente, telle que InterNIC. À défaut, le site Web associé au domaine ne sera pas visible sur Internet. Chaque nouvelle inscription est payante. Si vous configurez des sites Web avec plusieurs noms de domaine et une seule adresse IP, les anciens navigateurs ne prenant pas en charge HTTP 1.1 ou une version ultérieure (c’est-à-dire ceux n’incluant pas l’en-tête de requête “Host”) ne peuvent pas accéder à vos sites. Ce problème n’affecte que les logiciels antérieurs à 1997 et ne concerne pas les navigateurs modernes. Si vous pensez que vos utilisateurs utilisent d’anciens logiciels de navigateurs, configurez vos sites à l’aide d’un nom de domaine par adresse IP. À quoi sert WebDAV Si vous utilisez WebDAV pour la création dynamique de contenu sur votre site Web, vous devez créer des royaumes et définir des autorisations d’accès pour les utilisateurs. Chaque site que vous hébergez peut être divisé en plusieurs royaumes, disposant chacun de ses propres utilisateurs et groupes ayant soit des autorisations de navigation ou de création.Chapitre 1 Vue d’ensemble des technologies Web 11 Définition de royaumes Lorsque vous définissez un royaume, généralement sous forme de dossier (ou de répertoire), les autorisations d’accès définies pour le royaume s’appliquent à l’ensemble du contenu de ce répertoire. Si un nouveau royaume est défini pour l’un des dossiers du royaume existant, seules les autorisations du nouveau royaume s’appliqueront à ce dossier et à son contenu. Pour obtenir plus d’informations sur la création de royaumes et la définition d’autorisations d’accès, consultez la section “Configuration de l’accès pour les sites utilisant WebDAV” à la page 35. Définition d’autorisations WebDAV Le processus Apache qui s’exécute sur le serveur doit avoir accès aux fichiers et aux dossiers du site Web. Pour ce faire, Mac OS X Server installe un utilisateur nommé “www” et un groupe nommé “www” dans la liste Utilisateurs et groupes du serveur. Les processus Apache qui fournissent les pages Web fonctionnent comme utilisateur “www” et membres du groupe “www”. Vous devez attribuer au groupe “www” l’accès en lecture aux fichiers des sites Web afin que le serveur puisse envoyer ces fichiers aux navigateurs lorsque des utilisateurs se connectent aux sites. Si vous utilisez WebDAV, l’utilisateur “www” et le groupe “www” requièrent tous deux l’accès en écriture aux fichiers et dossiers des sites Web. L’utilisateur et le groupe “www” doivent en outre pouvoir écrire dans le répertoire /var/run/davlocks. Comprendre la sécurité WebDAV WebDAV autorise les utilisateurs à mettre à jour les fichiers d’un site Web en ligne. Lorsque le protocole WebDAV est activé, le serveur Web doit disposer d’un accès en écriture aux fichiers et dossiers du site que les utilisateurs sont en train de mettre à jour. Cette situation engendre des risques importants lorsque d’autres sites sont en cours d’exécution sur le serveur, car les responsables d’un site sont alors en mesure d’en modifier d’autres. Vous pouvez éviter ce problème en définissant avec soin les autorisations d’accès aux fichiers du site via le module Partage de l’application Gestionnaire de groupe de travail. Mac OS X Server utilise un groupe prédéfini nommé “www”, lequel contient les processus Apache. Vous devez accorder au groupe “www” l’accès en lecture et en écriture aux fichiers du site Web. Vous devez également attribuer l’autorisation Lecture et écriture à l’administrateur du site Web (propriétaire) et Aucun accès à Tous. Si vous êtes préoccupé par la sécurité de votre site Web, vous pouvez choisir de désactiver WebDAV et d’utiliser plutôt le service de fichiers Apple ou le service FTP pour modifier le contenu d’un site Web.12 Chapitre 1 Vue d’ensemble des technologies Web Description de MIME (Multipurpose Internet Mail Extension) MIME (Multipurpose Internet Mail Extension) est une norme Internet permettant de spécifier le logiciel nécessaire lorsqu’un navigateur Web demande un certain type de fichier. Vous pouvez définir la réponse du serveur Web en fonction de l’extension du fichier. Vos choix dépendent en partie des modules que vous avez installés sur votre serveur Web. Pour chaque association d’une extension de fichier et de la réponse correspondante, on parle de mappage MIME. Extensions MIME Une extension décrit le type de données d’un fichier. Vous trouverez ci-dessous quelques exemples : • txt pour les fichiers texte • cgi pour les fichiers Common Gateway Interface • gif pour les fichiers GIF (graphiques) • php pour les fichiers PHP : Hypertext Preprocessor (scripts HTML intégrés) utilisé pour WebMail, etc. • tiff pour les fichiers TIFF (graphiques) Mac OS X Server comprend un ensemble d’extensions MIME par défaut. Cet ensemble inclut toutes les extensions du fichier mime.types distribuées avec Apache, ainsi que quelques ajouts. Si une extension dont vous avez besoin n’est pas répertoriée ou ne présente pas le comportement souhaité, utilisez Server Admin pour ajouter l’extension à l’ensemble d’extensions ou pour modifier son comportement. Remarque : n’ajoutez ni ne modifiez d’extensions MIME en éditant les fichiers de configuration. Réponses du serveur Web (gestionnaires de contenu) Lorsqu’un fichier est demandé, le serveur Web traite celui-ci en fonction de la réponse spécifiée pour ce type de fichier . Les réponses, également appelées gestionnaires de contenu, peuvent être une action ou un mappage MIME. Voici quelques-unes des réponses possibles : • Renvoyer le fichier comme type MIME (saisissez le mappage que vous souhaitez renvoyer) • Send-as-is (envoyer le fichier tel quel) • Script cgi (exécuter un script CGI de votre choix) • Fichier imap (générer un message électronique IMAP) • Mac-binary (télécharger un fichier compressé au format MacBinary) Les mappages MIME sont divisés en deux sous-champs séparés par une barre oblique, par exemple text/plain. Mac OS X Server inclut une liste de mappages MIME par défaut. Vous pouvez les modifier et en ajouter d’autres.Chapitre 1 Vue d’ensemble des technologies Web 13 Lorsque vous spécifiez un type MIME comme réponse, le serveur identifie le type de données sollicitées et envoie la réponse spécifiée. Ainsi, si le navigateur demande un fichier avec l’extension “jpg” et que le mappage MIME correspondant est image/jpeg, le serveur sait qu’il doit envoyer un fichier image au format JPEG. La seule tâche du serveur consiste à servir les données sollicitées. Le traitement des opérations est différent. Si vous avez associé une opération à une extension, votre serveur exécute un programme ou un script, et le résultat est transféré sur le navigateur à l’origine de la requête. Par exemple, si un navigateur demande un fichier avec l’extension “cgi” et que la réponse associée est l’action cgi-script, le serveur exécute le script et envoie les données résultantes au navigateur. 2 15 2 Gestion des technologies Web Utilisez Admin Serveur pour la configuration initiale des technologies Web et pour gérer les réglages et les composants Web. Si vous êtes familiarisé avec les serveurs Web et leur contenu, vous pouvez utiliser cette procédure simplifiée pour démarrer le serveur Web. Si vous souhaitez des instructions plus détaillées, consultez les rubriques similaires dans “Utilisation d’Admin Serveur pour la gestion de votre serveur Web” à la page 17 et le chapitre 3, “Gestion des sites Web”, à la page 27. Première configuration du serveur Web Étape 1 : Configuration du dossier Documents Lors de l’installation du logiciel serveur, un dossier nommé Documents est configuré automatiquement dans le répertoire WebServer. Vous pouvez placer dans ce dossier tous les éléments que vous souhaitez rendre disponibles via un site Web. Vous pouvez créer des sous-dossiers dans le dossier Documents pour organiser les informations. Il se trouve dans le répertoire /Library/WebServer/Documents. En outre, chaque utilisateur référencé possède un dossier Sites dans son propre répertoire d’accueil. Tout graphique ou page HTML stocké(e) dans le dossier Sites de l’utilisateur peut être affiché via l’URL serveur.exemple.com/~nom_utilisateur/. Étape 2 : Création d’une page par défaut La page par défaut s’affiche chaque fois que des utilisateurs se connectent à votre site Web. Lors de la première installation du logiciel, le fichier index.html du dossier Documents constitue la page par défaut. Remplacez ce fichier par la page d’accueil de votre site Web et appelez-le index.html. Si vous souhaitez attribuer un autre nom à ce fichier, prenez soin d’ajouter ce nom à la liste des fichiers d’index par défaut et de le déplacer au début de la liste dans le volet Général de la fenêtre des réglages du site de Server Admin. Voir “Configuration de la page par défaut d’un site Web” à la page 29 pour les instructions relatives à la spécification des noms des fichiers d’index par défaut.16 Chapitre 2 Gestion des technologies Web Pour plus d’informations sur l’ensemble des réglages d’un site Web, consultez le chapitre 3, “Gestion des sites Web”, à la page 27. Étape 3 : Attribution d’autorisations pour un site Web Les processus Apache qui fournissent les pages Web doivent disposer d’un accès en lecture aux fichiers, ainsi que d’un accès en lecture/exécution aux dossiers. Dans le cas des dossiers, un accès en exécution signifie la possibilité de lire les noms des fichiers et des dossiers contenus dans ce dossier particulier. Ces processus Apache s’exécutent en tant qu’utilisateur www, un utilisateur spécial créé pour Apache lors de l’installation de Mac OS X Server. L’utilisateur www est membre du groupe www. Ainsi, pour que le processus Apache puisse accéder au contenu du site Web, les fichiers et les dossiers doivent être lisibles par l’utilisateur www. Vous devez donc attribuer au groupe “www” au moins l’accès en lecture seule aux fichiers de votre site Web, de sorte qu’il puisse envoyer ces fichiers aux navigateurs lorsque les utilisateurs se connectent au site. Voici comment procéder : • Rendez les fichiers et les dossiers lisibles par tous, indépendamment de leur appartenance à un utilisateur ou à un groupe. • Faites de l’utilisateur “www” le possesseur des fichiers et des dossiers et assurez-vous que ces derniers sont lisibles par le possesseur. • Faites du groupe “www” le possesseur des fichiers et des dossiers et assurez-vous que ces derniers sont lisibles par le groupe. Pour plus d’informations sur l’attribution d’autorisations, consultez le guide d’administration des services de fichiers. Étape 4 : Configuration de votre serveur Web La configuration par défaut fonctionne pour la plupart des serveurs Web qui hébergent un site Web unique, mais vous pouvez configurer l’ensemble des fonctionnalités élémentaires du service Web et des sites Web via Server Admin. Pour les options de configuration plus avancées, consultez le chapitre 6, “Utilisation d’applications opensource”, à la page 55. Pour héberger les sites Web des utilisateurs, vous devez configurer au moins un site Web. Pour configurer un site : 1 Ouvrez Server Admin. 2 Cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 3 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 4 Dans le volet Sites, cliquez sur le bouton Activé correspondant au site à activer. 5 Double-cliquez sur le nom du site et sélectionnez les options de configuration souhaitées pour le site.Chapitre 2 Gestion des technologies Web 17 Pour plus d’informations sur ces réglages, consultez “Utilisation d’Admin Serveur pour la gestion de votre serveur Web” à la page 17 et le chapitre 3, “Gestion des sites Web”, à la page 27. Étape 5 : Démarrage du service Web 1 Ouvrez Server Admin et cliquez sur Web dans la liste située sous le nom du serveur. 2 Cliquez sur Démarrer le service dans la barre d’outils. Important : utilisez toujours Server Admin pour démarrer et arrêter le serveur Web. Vous pouvez le démarrer à partir de la ligne de commande, mais Server Admin n’affichera pas le changement d’état pendant plusieurs secondes. Server Admin constitue la méthode préférée pour démarrer et arrêter le serveur Web, ainsi que pour modifier les réglages correspondants. Étape 6 : Connexion à votre site Web Pour vous assurer du bon fonctionnement du site Web, ouvrez votre navigateur et tentez de vous connecter au site Web via Internet. Si votre site ne fonctionne pas correctement, consultez le chapitre 8, “Résolution de problèmes”, à la page 73. Utilisation d’Admin Serveur pour la gestion de votre serveur Web L’application Server Admin permet de définir et de modifier la plupart des options de votre serveur Web. Pour accéder à la fenêtre des réglages Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. Remarque : cliquez sur l’un des cinq boutons du haut afin d’afficher les réglages dans ce volet. 3 Apportez les modifications souhaitées aux réglages. 4 Cliquez sur Enregistrer. Le serveur redémarre lorsque vous enregistrez vos modifications. Démarrage et arrêt du service Web Vous démarrez et arrêtez le service Web à partir de l’application Server Admin. Pour démarrer ou arrêter le service Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Démarrer le service ou Arrêter le service dans la barre d’outils. Si vous arrêtez le service Web, les utilisateurs connectés à un site Web hébergé sur votre serveur seront immédiatement déconnectés.18 Chapitre 2 Gestion des technologies Web Important : utilisez toujours Server Admin pour démarrer et arrêter le serveur Web. Vous pouvez le démarrer à partir de la ligne de commande, mais Server Admin n’affichera pas le changement d’état pendant plusieurs secondes. Server Admin constitue la méthode préférée pour démarrer et arrêter le serveur Web, ainsi que pour modifier les réglages correspondants. Démarrage automatique du service Web Le service Web est configuré pour démarrer automatiquement lorsque le serveur démarre (s’il était en cours d’exécution avant l’arrêt). Cela permet de garantir la disponibilité de vos sites Web en cas de panne de courant ou de défaillance quelconque du serveur. Lorsque vous démarrez le service Web dans la barre d’outils Server Admin, le service démarre automatiquement chaque fois que le serveur redémarre. Si vous désactivez le service Web et que vous redémarrez le serveur, vous devez réactiver le service Web. Modification des mappages MIME et des gestionnaires de contenu MIME (Multipurpose Internet Mail Extension) est une norme standard Internet servant à décrire le contenu d’un fichier. Le volet Types MIME permet de configurer le mode de réponse du serveur lorsqu’un navigateur demande certains types de fichier. Pour plus d’informations sur les types MIME et les mappages de types MIME, consultez la section “Description de MIME (Multipurpose Internet Mail Extension)” à la page 12. Les gestionnaires de contenu sont des programmes Java utilisés pour gérer les différentes combinaisons type/sous-type MIME, telles que text/plain et text/richtext. Le serveur inclut le type MIME dans sa réponse à un navigateur afin de décrire les informations envoyées. Le navigateur peut ensuite utiliser sa liste de préférences MIME afin de déterminer comment gérer les informations. Le type MIME par défaut du serveur est text/html et indique qu’un fichier contient du texte HTML. Le serveur Web est configuré pour gérer les types MIME et les gestionnaires de contenu les plus courants. Vous pouvez ajouter, modifier ou supprimer des mappages MIME et de gestionnaire de contenu. Dans l’application Server Admin, ces fichiers s’affichent dans deux listes : Types MIME et Gestionnaires de contenu. Vous pouvez modifier des éléments dans chaque liste et ajouter ou supprimer des éléments. Pour ajouter ou modifier un mappage de MIME ou de gestionnaire de contenu : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons.Chapitre 2 Gestion des technologies Web 19 3 Dans le volet Types MIME, cliquez sur le bouton Ajouter sous la liste appropriée afin d’ajouter un mappage, ou sélectionnez un mappage et cliquez sur le bouton Supprimer ou Modifier (si vous choisissez Supprimer, vous avez terminé). 4 Dans la nouvelle feuille qui apparaît, effectuez l’une des opérations suivantes : • Pour un nouveau type MIME, saisissez chaque partie du nom (en les séparant par des barres obliques), sélectionnez le suffixe et tapez son nom, utilisez le bouton Ajouter pour ajouter les suffixes souhaités, puis cliquez sur OK. • Pour un nouveau gestionnaire de contenu, tapez un nom pour le gestionnaire, sélectionnez l’extension et tapez son nom, utilisez le bouton Ajouter pour ajouter les extensions souhaitées, puis cliquez sur OK. • Pour modifier un type MIME ou un gestionnaire de contenu, modifiez son nom en fonction de vos besoins, sélectionnez l’extension et modifiez-la si nécessaire, ajoutez les suffixes souhaités à l’aide du bouton Ajouter, puis cliquez sur OK. 5 Cliquez sur Enregistrer. Si vous ajoutez ou modifiez un gestionnaire comportant un script CGI (Common Gateway Interface), prenez soin d’activer l’exécution CGI pour votre site dans le volet Options de la fenêtre Réglages/Sites. Gestion des connexions Vous pouvez limiter la période pendant laquelle les utilisateurs sont connectés au serveur. En outre, il est possible de spécifier le nombre de connexions simultanées aux sites Web sur le serveur. Configuration des connexions simultanées pour le serveur Web Vous pouvez spécifier le nombre de connexions simultanées à votre serveur Web. Lorsque le nombre maximal de connexions est atteint, les nouvelles requêtes reçoivent un message indiquant que le serveur est occupé. Les connexions simultanées sont des connexions du client HTTP se déroulant au cours d’un intervalle de temps commun. Les navigateurs demandent souvent simultanément plusieurs parties d’une page Web ; chacune de ces demandes représente une connexion. Un nombre élevé de connexions simultanées est donc possible si le site comporte des pages contenant de multiples éléments et si de nombreux utilisateurs tentent de se connecter au serveur simultanément. Pour définir le nombre maximal de connexions à votre serveur Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web pour sélectionner le serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Général, tapez un nombre dans le champ “Maximum de connexions simultanées”.20 Chapitre 2 Gestion des technologies Web Le nombre maximum de connexions simultanées est compris entre 1 et 2048. La valeur maximale par défaut est de 500, mais vous pouvez configurer une valeur différente, en tenant compte des performances souhaitées de votre serveur. 4 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Configuration de connexions persistantes pour le serveur Web Vous pouvez configurer votre serveur Web pour répondre à plusieurs demandes provenant d’un ordinateur client sans avoir à fermer chaque fois la connexion. L’ouverture et la fermeture répétées des connexions s’avèrent peu efficaces et diminuent les performances. La plupart des navigateurs demandent une connexion persistante au serveur et ce dernier maintient la connexion ouverte jusqu’à ce qu’elle soit fermée par le navigateur. Cela signifie que le navigateur utilise une connexion même lorsqu’aucune information n’est transférée. Vous pouvez autoriser davantage de connexions persistantes (et ainsi éviter l’envoi d’un message Serveur occupé aux autres utilisateurs) en augmentant le nombre de connexions persistantes autorisées. Pour définir le nombre de connexions persistantes : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Général, tapez un nombre dans le champ “Maximum de connexions persistantes”. Le nombre maximal de connexions persistantes est compris entre 1 et 2048. La valeur par défaut de 500 offre de meilleures performances. 4 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Configuration d’un intervalle de délai de connexion Vous pouvez spécifier une période au bout de laquelle le serveur supprimera une connexion inactive. Pour définir l’intervalle de délai de connexion : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Général, tapez un nombre dans le champ “Délai de connexion” afin de spécifier la durée pouvant s’écouler entre deux demandes avant déconnexion de la session par le serveur Web. Le délai de connexion est compris entre 0 et 9999 secondes.Chapitre 2 Gestion des technologies Web 21 4 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Configuration de la mise en cache proxy Un serveur proxy permet aux utilisateurs de rechercher des fichiers fréquemment utilisés sur un serveur local. Vous pouvez utiliser un serveur proxy pour accélérer les délais de réponse et réduire le trafic sur le réseau. Le proxy conserve les derniers fichiers ouverts en mémoire cache sur votre serveur Web. Les navigateurs de votre réseau vérifient la présence des fichiers en mémoire cache avant de les rechercher sur des serveurs distants. Pour tirer parti de cette fonctionnalité, les ordinateurs client doivent désigner votre serveur Web comme serveur proxy dans les préférences de leur navigateur. Si vous souhaitez configurer un proxy Web, prenez soin de créer et d’activer un site Web pour le proxy. Vous pouvez désactiver la consignation sur le site du proxy ou configurer le site pour qu’il enregistre son historique d’accès dans un fichier distinct des historiques d’accès de vos autres sites. Le site ne doit pas nécessairement utiliser le port 80, bien que préférable pour la configuration des clients Web, car les navigateurs utilisent ce port par défaut. Pour configurer un serveur proxy : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Proxy, cliquez sur Activer le proxy. 4 Configurez la taille maximale de la mémoire cache. Lorsque la taille de la mémoire cache atteint cette valeur, les fichiers les plus anciens sont supprimés du dossier cache. 5 Tapez le nom du chemin correspondant au dossier du cache dans le champ “Dossier cache”. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Parcourir afin de rechercher le dossier à utiliser. Si vous administrez un serveur distant, le service de fichiers doit s’exécuter sur le serveur distant pour permettre l’utilisation du bouton Parcourir. Si vous modifiez l’emplacement par défaut du dossier, vous devrez sélectionner le nouveau dossier dans le Finder, choisir Fichier > Lire les informations, puis nommer le possesseur et le groupe “www”. 6 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre.22 Chapitre 2 Gestion des technologies Web Remarque : si le proxy est activé, n’importe quel site du serveur peut être utilisé en tant que proxy. Blocage du placement de certains sites Web dans la mémoire cache de votre serveur Web Si votre serveur Web est configuré pour servir de proxy, vous pouvez interdire la mise en mémoire cache de certains sites Web inacceptables. Important : pour tirer parti de cette fonctionnalité, les ordinateurs client doivent désigner votre serveur Web comme serveur proxy dans les préférences de leur navigateur. Vous pouvez importer une liste de sites Web en les faisant glisser vers la liste des sites. Cette liste doit être un fichier texte avec les noms d’hôte séparés par des virgules ou des tabulations (également appelé chaînes csv et tsv). Assurez-vous que la dernière entrée du fichier se termine par un retour chariot/une nouvelle ligne ; à défaut, elle sera ignorée. Pour bloquer des sites Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web pour le serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Proxy, cliquez sur Activer le proxy. 4 Effectuez l’une des opérations suivantes : • Cliquez sur le bouton Ajouter, tapez l’URL du site Web que vous souhaitez bloquer dans le champ Ajouter, puis cliquez sur Ajouter. • Faites glisser une liste de sites Web (fichier texte au format séparé par des virgules ou des tabulations) vers le champ “Hôtes bloqués”. 5 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Utilisation de SSL (Secure Sockets Layer) SSL (Secure Sockets Layer) garantit la sécurité pour un site et pour ses utilisateurs via l’authentification du serveur, le cryptage des informations et la préservation de l’intégrité des messages. À propos de SSL Le protocole SSL a été développé par Netscape et utilise la technologie d’authentification et de cryptage de RAS Data Security, Inc. Pour plus d’informations sur le protocole SSL, consultez les sites suivants : • www.netscape.com/eng/ssl3/draft302.txt • http://developer.netscape.com/misc/developer/conference/proceedings/cs2/ index.htmlChapitre 2 Gestion des technologies Web 23 Le protocole SSL est placé entre les protocoles des applications (par exemple HTTP) et TCP/IP. Cela signifie que lorsque SSL fonctionne sur le serveur et dans le logiciel du client, toutes les informations sont cryptées avant leur envoi. Le serveur Web Apache de Mac OS X Server prend en charge SSLv2, SSLv3 et TLSv1. Vous trouverez davantage d’informations sur les versions de ces protocoles sur le site www.modssl.org. Le serveur Apache de Mac OS X Server utilise une combinaison clé publique/clé privée pour protéger les informations. Un navigateur crypte les informations à l’aide d’une clé publique fournie par le serveur. Seul le serveur possède une clé privée permettant de décrypter ces informations. Lorsque le protocole SSL est mis en œuvre sur un serveur, un navigateur s’y connecte à l’aide du préfixe https plutôt que http, dans l’URL. Le “s” indique que le serveur est sécurisé. Lorsqu’un navigateur engage une connexion avec un serveur protégé par le protocole SSL, il se connecte à un port spécifique (443) et envoie un message qui décrit le code de cryptage qu’il reconnaît. Le serveur répond avec son code le plus puissant, puis le navigateur et le serveur continuent d’échanger des messages jusqu’à ce que le serveur détermine le code de cryptage le plus puissant pouvant être interprété à la fois par le navigateur et par lui-même. Le serveur envoie ensuite son certificat (le serveur Web Apache utilise un certificat ISO X.509) au navigateur ; ce certificat identifie le serveur et l’utilise pour créer une clé de cryptage qui sera utilisée par le navigateur. À ce stade, une connexion sécurisée a été établie et le navigateur et le serveur peuvent échanger des informations cryptées. Utilisation de WebDAV WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) permet d’apporter des modifications aux sites Web alors qu’ils sont en cours d’exécution. WebDAV est activé pour des sites individuels et vous devez également attribuer des autorisations d’accès pour les sites et les dossiers Web. Pour plus de détails, consultez la section “Activation de WebDAV sur des sites Web” à la page 34 . Utilisation de Tomcat Tomcat ajoute les fonctionnalités de servlet Java et JSP (JavaServer Pages) à Mac OS X Server. Les servlets Java sont des applications de type Java qui s’exécutent sur votre serveur, contrairement aux applets Java qui s’exécutent sur l’ordinateur de l’utilisateur. JavaServer Pages permet d’incorporer des servlets Java dans vos pages HTML.24 Chapitre 2 Gestion des technologies Web Vous pouvez configurer le démarrage automatique de Tomcat à chaque démarrage du serveur. Cela permet d’assurer le démarrage du module Tomcat en cas de panne de courant ou de défaillance inopinée du serveur. Vous pouvez utiliser Admin Serveur ou l’outil de ligne de commande afin d’activer le module Tomcat. Voir “Tomcat” à la page 65 pour plus d’informations sur Tomcat et sur son utilisation avec votre serveur Web. Affichage de l’état d’un service Web Dans Server Admin, vous pouvez déterminer l’état actuel du serveur Apache ainsi que les modules serveur actifs. Vue d’ensemble du service Web La vue d’ensemble de Server Admin synthétise l’activité du serveur. Pour afficher la vue d’ensemble de l’état du service Web : 1 Ouvrez Server Admin. 2 Cliquez sur Vue d’ensemble dans la barre de boutons. Le champ Messages d’état Démarrage/Arrêt affiche une synthèse de l’activité du serveur, ainsi que la date et l’heure de démarrage du serveur. Vous pouvez également afficher les historiques d’activité pour chaque site de votre serveur. Pour plus de détails, consultez la rubrique “Affichage des réglages d’un site Web” à la page 39. Modules de service Web en cours d’utilisation Vous pouvez afficher la liste des modules en cours d’utilisation sur le serveur, ainsi que les modules disponibles mais non utilisés. Pour déterminer quels modules sont activés : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Modules, faites défiler l’affichage afin de voir l’ensemble des modules en cours d’utilisation ou disponibles dans le serveur. Chapitre 2 Gestion des technologies Web 25 Affichage des historiques d’activité du service Web Le service Web de Mac OS X Server utilise le format d’historique Apache standard, de sorte que vous pouvez également utiliser n’importe quel outil tiers d’analyse d’historique pour interpréter les données. Pour afficher les fichiers d’historique : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Historiques dans la barre de boutons. 3 Sélectionnez dans la liste l’historique que vous souhaitez afficher. Vous pouvez activer un historique d’accès et un historique des erreurs pour chaque site du serveur. Pour plus de détails, consultez la rubrique “Activation des historiques des accès et des erreurs d’un site Web” à la page 31.3 27 3 Gestion des sites Web Utilisez l’application Admin Serveur pour configurer et gérer les principaux composants du service Web. Vous pouvez administrer les sites Web de votre serveur via Server Admin, une application qui permet de définir les réglages, de spécifier les dossiers et les chemins, d’activer différentes options et d’afficher l’état des sites. Utilisation d’Admin Serveur pour gérer les sites Web Le volet Sites dans Server Admin répertorie les sites Web et fournit des informations générales sur chaque site. La sous-fenêtre Sites permet d’ajouter de nouveaux sites ou de modifier les réglages des sites présents. Pour accéder à la sous-fenêtre Sites : m Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité, cliquez sur Réglages dans la barre de boutons, puis cliquez sur Sites. Le volet affiche la liste des sites sur le serveur. m Pour modifier un site, double-cliquez sur son nom. Configuration du dossier Documents d’un site Web Pour rendre les fichiers disponibles via un site Web, placez les fichiers dans le dossier Documents du site. Pour organiser les informations, créez des dossiers à l’intérieur du dossier Documents. Le dossier se trouve dans le répertoire /Library/WebServer/Documents/. En outre, chaque utilisateur référencé possède un dossier Sites dans son propre répertoire d’accueil. Tous les graphiques ou pages HTML qui s’y trouvent seront affichés via l’URL suivante : http://serveur.exemple.com/~nom/.28 Chapitre 3 Gestion des sites Web Pour configurer le dossier Documents de votre site Web : 1 Ouvrez le dossier Documents sur votre serveur Web. Si vous n’avez pas modifié l’emplacement du dossier Documents, il se trouve dans le répertoire suivant : /Library/WebServer/Documents/. 2 Remplacez le fichier index.html par la page principale de votre site Web. Assurez-vous que le nom de votre page principale correspond au nom du document par défaut défini sous l’onglet Général de la fenêtre Réglages du site. Consultez “Configuration de la page par défaut d’un site Web” à la page 29 pour plus d’informations. 3 Copiez dans le dossier Documents les fichiers qui devront être disponibles sur votre site Web. Activation d’un site Web sur un serveur Pour pouvoir activer un site Web, vous devez créer le contenu du site et en configurer les dossiers. Pour activer un site Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter un nouveau site, ou sur le bouton Activé du site que vous souhaitez activer. Si le site est déjà répertorié, l’opération est terminée. 4 Dans le volet Général, tapez le nom DNS entièrement qualifié de votre site Web dans l e champ Nom. 5 Tapez l’adresse IP et le numéro de port (tout numéro jusqu’à 8 999) du site. Le numéro de port par défaut est 80. Vérifiez si ce numéro n’est pas utilisé par un autre service sur le serveur. Important : afin de mettre votre site Web en ligne sur le serveur, vous devez lui attribuer un nom, une adresse IP et un numéro de port uniques. Pour plus d’informations, consultez la section “Hébergement de plusieurs sites Web” à la page 10. 6 Tapez le chemin d’accès au dossier configuré pour ce site Web. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Parcourir afin de rechercher le dossier à utiliser. 7 Tapez le nom de fichier de votre document par défaut (il s’agit de la première page que les utilisateurs voient en accédant à votre site). 8 Appliquez d’autres réglages au site et cliquez sur Enregistrer. 9 Cliquez sur le bouton Précédent dans la partie supérieure droite de la fenêtre d’édition. 10 Cliquez sur la case Activé en regard du nom du site dans le volet Sites.Chapitre 3 Gestion des sites Web 29 11 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Modification du dossier Web par défaut d’un site Le dossier Web par défaut d’un site est utilisé en tant que racine du site. En d’autres termes, il constitue le premier niveau de la structure de répertoire du site. Pour modifier le dossier Web par défaut d’un site hébergé sur votre serveur : 1 Connectez-vous au serveur à administrer. 2 Faites glisser le contenu de votre dossier Web précédent vers le nouveau dossier Web. 3 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur où réside le site Web. 4 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 5 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 6 Tapez le chemin du dossier Web dans le champ Dossier Web ou cliquez sur le bouton Parcourir et recherchez l’emplacement du nouveau dossier Web (en cas d’accès à distance à ce serveur, le service de fichiers doit être activé ; consultez le guide d’administration des services de fichiers pour en savoir plus). 7 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Configuration de la page par défaut d’un site Web La page par défaut apparaît lorsqu’un utilisateur se connecte à votre site Web. Pour cela, spécifiez un répertoire ou un nom d’hôte plutôt qu’un nom de fichier. Il est possible d’utiliser plusieurs pages par défaut pour un site (appelées fichier d’index par défaut dans Admin Serveur). Si plusieurs fichiers d’index sont répertoriés pour un site, le serveur Web affiche le premier fichier de la liste présent dans le dossier du site. Pour définir la page Web par défaut : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Général, cliquez sur le bouton Ajouter et tapez un nom dans le champ “Fichiers d’index par défaut”. N’utilisez aucun espace dans le nom. Ce nom de fichier doit se trouver dans le dossier du site Web. 5 Pour que le serveur affiche un fichier en tant que page par défaut, faites-le en haut de la liste. 6 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre.30 Chapitre 3 Gestion des sites Web Remarque : si vous prévoyez d’utiliser une seule page d’index pour un site, vous pouvez conserver le fichier index.html comme fichier d’index par défaut et modifier le contenu du fichier existant dans /Library/WebServer/Documents. Changement du port d’accès d’un site Web Par défaut, le serveur utilise le port 80 pour les connexions aux sites Web sur votre serveur. Vous pouvez être amené à changer le port utilisé pour un site Web particulier, par exemple si vous souhaitez configurer un serveur de diffusion sur le port 80. Assurez-vous que le numéro choisi n’entre pas en conflit ceux utilisés sur le serveur (pour FTP, le service de fichiers Apple, SMTP, etc.). Si vous changez le numéro de port d’un site Web, vous devez modifier toutes les adresses URL qui renvoient au serveur Web afin d’y inclure le nouveau numéro de port. Pour configurer le port d’un site Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Général, tapez le numéro du port dans le champ Port. 5 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Amélioration des performances des sites Web statiques (mémoire cache de performances) Si vos sites Web contiennent des fichiers HTML statiques et que vous prévoyez de très nombreuses connexions à vos pages, vous pouvez activer la mémoire cache de performances pour améliorer les performances du serveur. Elle est activée par défaut. Vous devez désactiver la mémoire cache performances dans les cas suivants : • Vous ne prévoyez pas d’utilisation intensive de votre site Web. • La plupart des pages de votre site Web sont générées dynamiquement. Conséquences de l’utilisation de la mémoire cache de performances du service Web La mémoire cache de performances du service Web est activée par défaut et améliore de manière significative les performances de la plupart des sites Web. Les sites qui tirent le meilleur parti de le mémoire cache de performances contiennent essentiellement des informations statiques pouvant tenir entièrement dans la mémoire RAM. Le contenu du site Web est stocké dans la mémoire RAM du système et les clients peuvent y accéder très rapidement.Chapitre 3 Gestion des sites Web 31 L’activation de la mémoire cache de performances n’entraîne pas systématiquement une amélioration des performances. Par exemple, lorsque la quantité de contenu Web statique dépasse la quantité de mémoire RAM physique du serveur, l’utilisation d’une mémoire cache de performances augmente la permutation, entraînant une dégradation des performances. De plus, lorsque le serveur exécute d’autres services nécessitant de la mémoire physique, tels que AFP, la mémoire cache de performances peut s’avérer moins efficace, voire affecter de manière négative les performances de ces autres services. Pour activer ou désactiver la mémoire cache de performances pour votre serveur Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Options, cliquez sur Cache performances afin de modifier son état. 5 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Vous pouvez également améliorer les performances du serveur en désactivant l’historique des accès. Activation des historiques des accès et des erreurs d’un site Web Vous pouvez configurer des historiques des erreurs et des accès pour des sites Web individuels que vous hébergez sur votre serveur. Cependant, en activant les historiques, vous risquez de ralentir les performances du serveur. Pour activer les historiques des accès et des erreurs d’un site Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Consignation, cochez la case Activer l’historique des accès afin d’activer cet historique. 5 Définissez la fréquence selon laquelle les historiques doivent être archivés en cliquant sur la case à cocher et en tapant un nombre de jours. 6 Tapez le chemin du dossier dans lequel vous souhaitez enregistrer les historiques. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Parcourir afin de localiser le dossier à utiliser.32 Chapitre 3 Gestion des sites Web Si vous administrez un serveur distant, le service de fichiers doit s’exécuter sur ce serveur pour permettre l’utilisation du bouton Parcourir. 7 Sélectionnez un format d’historique dans le menu local Format. 8 Modifiez la chaîne de format, si nécessaire. 9 Tapez l’archive, l’emplacement et le niveau pour l’historique des erreurs. 10 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Description du nouveau format de l’historique des accès du service Web Dans la version 10.3 de Mac OS X Server, la mémoire cache de performances Web n’empêche pas l’enregistrement de l’adresse IP d’un client distant dans l’historique des accès. Le processus de la mémoire cache de performances Web ajoute désormais un en-tête HTTP nommé “PC-Remote-Addr”, contenant l’adresse IP du client, avant de transmettre une requête au serveur Web Apache. Lorsque la mémoire cache de performances est désactivée, la chaîne de format standard de l’historique dans la directive CustomLog du fichier httpd.conf reste identique à celle des versions antérieures : %h %l %u %t “%r” %>s %b Lorsque la mémoire cache de performances est activée (par défaut), l’élément “%h” extrait l’adresse IP de l’ordinateur local. Pour permettre l’extraction de l’adresse IP du client distant, la chaîne de format de l’historique doit être modifiée de la façon suivante : %{PC-Remote-Addr}i %l %u %t “%r” %>s %b Lorsque vous utilisez l’application Server Admin pour activer et désactiver la mémoire cache des performances Web de chaque site (hôte virtuel), la directive CustomLog du fichier httpd.conf de chaque site est ajustée automatiquement afin que les historiques des accès contiennent toujours l’adresse correcte du client distant. Configuration de listes de répertoires pour un site Web Lorsque des utilisateurs spécifient l’URL d’un répertoire, vous pouvez afficher une page Web par défaut (par exemple index.html) ou la liste du contenu du répertoire. Vous pouvez afficher une liste de dossiers. Pour configurer les listes de répertoires, vous devez activer l’indexation pour le site Web. Remarque : les listes de contenus de dossiers ne sont affichées que si les documents par défaut sont introuvables.Chapitre 3 Gestion des sites Web 33 Pour activer l’indexation d’un site Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Options, sélectionnez Liste des dossiers. 5 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Création d’index pour la recherche de contenu dans un site Web La version 10.3 de Mac OS X Server continue de prendre en charge le module Apache mod_sherlock_apple, lequel permet aux navigateurs Web de rechercher du contenu dans votre site Web. Comme dans les versions précédentes du serveur, vous devez générer un index avant toute recherche de contenu. Dans les versions antérieures du serveur, les index de contenu devaient être créés dans Sherlock. Vous pouvez désormais les créer à l’aide du Finder. Sélectionnez le dossier contenant les fichiers à indexer, puis cliquez sur Fichier > Lire les informations. Cliquez sur Content Index, puis sur Index Now. Vous pouvez supprimer un index en cliquant sur le bouton Delete Index dans la fenêtre Infos. En outre, de nouvelles contraintes limitent la création des fichiers d’index. Pour créer un index, vous devez être le possesseur du dossier et posséder tous les fichiers devant être indexés dans ce dossier. Dans le cas du contenu du dossier /Library/WebServer/ Documents, le dossier et tous les fichiers qu’il contient appartiennent à root. Même si le dossier et les fichiers peuvent être écrits par les membres du groupe admin, vous devez être connecté en tant que root pour créer un index de contenu. La création d’un index à distance ou sur un serveur Headless est effectuée par l’intermédiaire d’un outil de ligne de commande nommé indexfolder. Consultez les “pages man” pour plus d’informations sur l’utilisation de cet outil. Le fonctionnement de l’outil indexfolder varie en fonction de la fenêtre de connexion. Si personne ne s’est connecté dans la fenêtre de connexion, l’outil doit être exécuté en tant que root. Si un administrateur est connecté, l’outil doit être exécuté sous le nom de cet administrateur. Dans le cas contraire, l’outil échoue et affiche les messages d’avertissement ci-dessous : kCGErrorIllegalArgument : initCGDisplayState: cannot map display interlocks. kCGErrorIllegalArgument : CGSNewConnection cannot get connection port. Que l’indexation du contenu soit effectuée via le Finder ou l’outil indexfolder, un dossier nommé “.FBCIndex” est créé dans le dossier à indexer ou dans l’un de ses dossiers parent.34 Chapitre 3 Gestion des sites Web Connexion à votre site Web Une fois votre site Web configuré, il est judicieux de l’afficher dans un navigateur Web afin de vérifier que tout s’affiche comme prévu. Pour vous assurer qu’un site Web fonctionne correctement : 1 Ouvrez un navigateur Web et tapez l’adresse Web de votre serveur. Vous pouvez utiliser soit l’adresse IP, soit le nom du domaine du serveur. 2 Tapez le numéro du port si vous n’utilisez pas le port par défaut. 3 Si vous avez limité l’accès à des utilisateurs particuliers, tapez un nom d’utilisateur et un mot de passe valides. Activation de WebDAV sur des sites Web WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) permet d’apporter des modifications aux sites Web alors qu’ils sont en cours d’exécution. Si vous activez WebDAV, vous devez également affecter des autorisations d’accès aux sites et aux dossiers Web. Pour activer WebDAV pour un site : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Options, sélectionnez WebDAV et cliquez sur Enregistrer. 5 Cliquez sur Royaumes. Double-cliquez sur un royaume pour l’éditer ou cliquez sur le bouton Ajouter afin de créer un royaume. Le royaume est la partie du site Web accessible par l’utilisateur. 6 Tapez le nom qui s’affichera lorsque les utilisateurs se connectent. Le nom par défaut du royaume est “sans_titre”. 7 Si vous souhaitez activer l’authentification Digest pour le royaume, sélectionnez Digest dans le menu local Autorisation. L’autorisation élémentaire est activée par défaut. 8 Tapez le chemin vers l’emplacement dans le site Web auquel vous souhaitez limiter l’accès, puis cliquez sur OK. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Parcourir afin de localiser le dossier à utiliser. Si vous administrez un serveur distant, le service de fichiers doit s’exécuter sur le serveur distant pour permettre l’utilisation du bouton Parcourir. 9 Cliquez sur Enregistrer.Chapitre 3 Gestion des sites Web 35 Le service Web redémarre. Remarque : si vous avez désactivé le module WebDAV dans le volet Modules d’Admin Serveur, vous devez le réactiver pour que l’option WebDAV prenne effet pour un site. Cela est vrai même si l’option WebDAV est cochée dans le volet Options du site. Consultez “Modules Apache” à la page 69 pour plus d’informations sur l’activation de modules. Configuration de l’accès pour les sites utilisant WebDAV Vous pouvez créer des royaumes afin de sécuriser les sites Web. Les royaumes sont des emplacements, à l’intérieur d’un site, que les utilisateurs peuvent visualiser ou modifier lorsque WebDAV est activé. Quand vous définissez un royaume, vous pouvez attribuer aux utilisateurs des autorisations d’exploration et de création sur celui-ci. Pour ajouter des utilisateurs et des groupes à un royaume : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Royaumes, sélectionnez le royaume que vous souhaitez modifier. Si aucun nom de royaume n’est répertorié, créez-en un à l’aide des instructions de la section “Activation de WebDAV sur des sites Web” à la page 34. 5 Pour définir l’accès pour tous les utilisateurs, effectuez l’une des opérations suivantes : • Si vous souhaitez que tous les utilisateurs puissent explorer ou créer du contenu, sélectionnez Peut explorer ou Peut créer pour Tous. Lorsque vous sélectionnez des autorisations pour Tous, les options suivantes sont disponibles : Explorer permet à tous les utilisateurs ayant accès à ce royaume de le voir. Vous pouvez ajouter des utilisateurs et groupes à la liste Utilisateur ou Groupe pour qu’ils puissent accéder à la création. Explorer et Créer permet à tous les utilisateurs ayant accès à ce royaume de le voir et d’y apporter des modifications. • Si vous souhaitez autoriser l’accès à des utilisateurs spécifiques (et non à tous les utilisateurs), ne sélectionnez pas Peut explorer ou Peut créer pour Tous. 6 Pour spécifier l’accès pour les utilisateurs et groupes individuels, cliquez sur Utilisateurs et groupes afin d’ouvrir un tiroir qui répertorie les utilisateurs et les groupes. 7 Cliquez sur Utilisateurs ou Groupes dans la barre de boutons du tiroir afin d’afficher la liste souhaitée. 8 Faites glisser le nom des utilisateurs vers le champ Utilisateurs ou le nom des groupes vers le champ Groupes.36 Chapitre 3 Gestion des sites Web Remarque : vous pouvez également utiliser le bouton Ajouter (+) pour ouvrir une feuille, dans laquelle vous tapez un nom d’utilisateur ou de groupe et vous sélectionnez les options d’accès. 9 Sélectionnez Peut explorer et Peut créer pour chaque utilisateur et groupe souhaité. 10 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Utilisez le volet Royaumes pour supprimer un utilisateur ou un groupe en sélectionnant son nom et en cliquant sur le bouton Supprimer (–). Autorisations des fichiers et des dossiers de contenu Web et WebDAV Mac OS X Server impose les contraintes suivantes sur les fichiers et dossiers de contenu Web (lesquels se trouvent par défaut dans le répertoire /Library/WebServer/ Documents) : • Pour des raisons de sécurité, les fichiers et dossiers de contenu Web ne doivent pas autoriser d’accès en écriture par tout le monde. • Les fichiers et dossiers de contenu Web appartiennent par défaut à l’utilisateur root et au groupe admin ; ils peuvent donc être modifiés par n’importe quel administrateur, mais pas par l’utilisateur ou le groupe “www”. • Pour permettre l’utilisation de WebDAV, les fichiers de contenu Web doivent autoriser la lecture et l’écriture par l’utilisateur ou le groupe “www” et les dossiers doivent être accessibles en lecture, écriture et exécution par l’utilisateur ou le groupe “www”. • Si vous devez modifier des fichiers et dossiers de contenu Web alors que vous êtes connecté en tant qu’administrateur, il est nécessaire qu’ils puissent être modifiés par l’administrateur. Si vous souhaitez utiliser WebDAV, vous devez l’activer dans Server Admin et remplacer manuellement l’appartenance des fichiers ou dossiers de contenu Web par l’utilisateur et le groupe “www”. Si vous utilisez WebDAV et que vous souhaitez apporter des modifications aux fichiers ou dossiers de contenu Web en étant connecté en tant qu’administrateur, vous devez remplacer par “admin” les autorisations sur les fichiers et dossiers de contenu Web, apporter vos modifications, puis rétablir les autorisations sur “www”. Pour ajouter des sites à votre serveur Web lors de l’utilisation de WebDAV : 1 Remplacez par admin les autorisations de groupe du dossier contenant vos sites Web (l’emplacement par défaut du dossier est le suivant : /Library/Webserver/Documents). 2 Ajoutez le nouveau dossier au site. 3 Rétablissez sur “www” les autorisations de groupe du dossier contenant vos sites Web.Chapitre 3 Gestion des sites Web 37 Activation de l’authentification Digest WebDAV intégrée Vous pouvez activer l’authentification Digest pour les royaumes WebDAV dans le volet Royaumes d’Admin Serveur. Pour plus de détails, consultez la rubrique “Configuration de l’accès pour les sites utilisant WebDAV” à la page 35. Conflit entre WebDAV et la mémoire cache de performances Web Si vous activez à la fois WebDAV et la mémoire cache de performances Web sur un ou plusieurs hôtes virtuels (sites), les clients WebDAV risquent de rencontrer des problèmes s’ils tentent de télécharger plusieurs fichiers dans le Finder ; le téléchargement peut même échouer. Pour éviter ce problème, désactivez le cache de performances Web pour les hôtes virtuels avec WebDAV activé. Consultez la section “Amélioration des performances des sites Web statiques (mémoire cache de performances)” à la page 30 pour plus d’informations sur la mémoire cache de performances. Activation d’un script CGI (Common Gateway Interface) Les scripts (ou programmes) CGI (Common Gateway Interface) échangent des informations entre votre site Web et les applications qui fournissent différents services pour le site. • Si un script CGI est destiné à n’être utilisé que par un seul site, installez-le dans le dossier Documents du site. Le nom du script CGI doit se terminer par l’extension “.cgi.” • Si un script CGI doit être utilisé par tous les sites sur le serveur, installez-le dans le dossier /Library/WebServer/CGI-Executables. Dans ce cas, les clients doivent inclure /cgi-bin/ dans l’adresse URL du site. Par exemple, http://www.exemple.com/ cgi-bin/test-cgi. • Vérifiez que les autorisations d’accès du fichier CGI rendent possible son exécution par l’utilisateur “www”. Du fait que le fichier CGI n’appartient généralement pas au Web, le fichier peut être exécuté par quiconque. Pour activer un script CGI pour un site Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Options, sélectionnez Exécution CGI. 5 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre.38 Chapitre 3 Gestion des sites Web Activation de SSI (Server Side Includes) L’activation de SSI (Server Side Includes) permet le partage d’un morceau de code HTML ou d’autres informations par différentes pages Web de votre site. Les SSI peuvent également fonctionner comme des CGI et exécuter des commandes ou des scripts sur le serveur. Remarque : l’activation de SSI nécessite la modification des fichiers de configuration UNIX à l’aide de l’application Terminal. Pour activer SSI, vous devez être familiarisé avec la saisie de commandes UNIX et l’utilisation d’un éditeur de texte UNIX. Pour activer SSI : 1 Dans l’application Terminal, utilisez la commande sudo avec un éditeur de texte pour procéder à la modification en tant que superutilisateur (root) : 2 Ajoutez la ligne suivante à chaque hôte virtuel (“Virtual Host”) pour lequel vous souhaitez activer SSI : Options Includes Chaque site se trouve dans un fichier distinct du répertoire /etc/httpd/sites/. Pour activer SSI pour tous les hôtes virtuels, ajoutez la ligne en dehors de n’importe quel bloc “virtual host”. 3 Dans Server Admin pour le serveur souhaité, cliquez sur Réglages dans la barre de boutons. 4 Dans le volet Sites, double-cliquez sur l’un des sites d’hôte virtuel. 5 Dans le volet Général, ajoutez index.shtml à l’ensemble des fichiers d’index par défaut de ce site. Répétez cette procédure pour chaque site d’hôte virtuel utilisant SSI. Consultez la section “Configuration de la page par défaut d’un site Web” à la page 29 pour plus d’informations. Par défaut, le fichier /etc/httpd/httpd.conf géré par Server Admin contient les deux lignes suivantes : AddHandler server-parsed shtml AddType text/html shtml Vous pouvez ajouter des types MIME dans Server Admin à partir du volet Types MIME. Les modifications prennent effet lorsque vous redémarrez le service Web.Chapitre 3 Gestion des sites Web 39 Affichage des réglages d’un site Web Vous pouvez utiliser le volet Sites de Server Admin pour afficher la liste de vos sites Web. Le volet Site indique : • Si un site est activé • Le nom DNS et l’adresse IP du site • Le port en cours d’utilisation pour le site Double-cliquez dans le volet Sites pour ouvrir la fenêtre des détails du site, dans laquelle vous pouvez consulter ou modifier les réglages du site. Configuration des réponses du serveur aux types MIME et aux gestionnaires de contenu MIME (Multipurpose Internet Mail Extension) est une norme Internet permettant de spécifier le logiciel nécessaire au navigateur Web demande un fichier présentant des caractéristiques particulières. Les gestionnaires de contenu sont semblables et utilisent également des extensions pour déterminer la façon dont un fichier est géré. Une extension de fichier décrit le type de données contenues dans ce fichier. Chaque extension, avec la réponse associée, est appelé mappage MIME ou mappage de gestionnaire de contenu. Pour plus d’informations, consultez la section “Description de MIME (Multipurpose Internet Mail Extension)” à la page 12. Pour définir la réponse du serveur pour un type MIME ou un gestionnaire de contenu : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Types MIME ou Gestionnaires de contenu, cliquez sur le bouton Ajouter ou sélectionnez dans la liste l’élément à modifier, puis cliquez sur le bouton Modifier. 4 Si nécessaire, tapez un nom pour un nouveau type MIME ou gestionnaire de contenu, puis tapez l’extension de fichier associé à ce mappage dans le champ Suffixes. Si vous utilisez l’extension cgi, assurez-vous d’avoir activé l’exécution CGI pour le site Web. 5 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre.40 Chapitre 3 Gestion des sites Web Activation de SSL Pour activer la protection SSL (Secure Sockets Layer) pour un site Web, vous devez obtenir les certificats appropriés. Pour plus de détails, consultez la section “SSL (Secure Sockets Layer)” à la page 51. Une fois que vous avez obtenu un certificat, vous pouvez configurer SSL pour un site. Pour configurer SSL pour un site Web : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 4 Dans le volet Sécurité, sélectionnez Activer SSL (Secure Sockets Layer). 5 Tapez un mot de passe dans le champ Phrase code. 6 Tapez l’emplacement du fichier d’historique SSL dans le champ Fichier d’historique SSL. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Parcourir afin de localiser le dossier à utiliser. Si vous administrez un serveur distant, le service de fichiers doit s’exécuter sur le serveur distant pour permettre l’utilisation du bouton Parcourir. 7 Tapez l’emplacement de chaque fichier de certificat dans le champ approprié (si nécessaire) ou utilisez le bouton Parcourir pour sélectionner l’emplacement. 8 Cliquez sur le bouton Modifier pour les champs Fichier de certificat, Fichier de clé et Fichier CA, puis collez le contenu du certificat ou de la clé approprié(e) dans le champ de texte correspondant. Cliquez sur OK chaque fois que vous collez du texte. 9 Cliquez sur Enregistrer. 10 Cliquez sur Arrêter le service, patientez un moment, puis cliquez sur Démarrer le service.Chapitre 3 Gestion des sites Web 41 Configuration de l’historique SSL pour un site Web Si vous utilisez SSL (Secure Sockets Layer) sur votre serveur Web, vous pouvez configurer un fichier pour consigner les transactions et erreurs SSL. Pour configurer un historique SSL : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web pour le serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Sites, double-cliquez sur le site à modifier. 4 Dans le volet Sécurité, assurez-vous que la case Activer SSL (Secure Sockets Layer) est cochée, puis tapez dans le champ Fichier d’historique SSL le chemin du dossier dans lequel vous souhaitez conserver l’historique SSL. Vous pouvez également utiliser le bouton Parcourir pour accéder au dossier. 5 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Activation de PHP PHP (PHP : Hypertext Preprocessor) est un langage de script intégré au code HTML, utilisé pour créer des pages Web dynamiques. PHP apporte des fonctions similaires à celles des scripts CGI, mais gère toute une variété de formats de base de données et peut communiquer à travers des réseaux via de nombreux protocoles. Les bibliothèques PHP sont incluses dans Mac OS X Server, mais sont désactivées par défaut. Pour obtenir plus d’information sur le langage PHP, consultez la section “Installation et affichage des modules Web” à la page 69. Pour activer PHP : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web pour le serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Dans le volet Modules, faites défiler jusqu’à php4_module dans la liste des modules, puis cliquez sur Activé pour le module, si nécessaire. 4 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre.42 Chapitre 3 Gestion des sites Web Contenu utilisateur sur les sites Web Le client Mac OS X dispose d’une fonctionnalité de partage Web personnel, laquelle permet à un utilisateur de placer du contenu dans le dossier Sites de son répertoire de départ afin de le rendre visible sur le Web. Mac OS X Server offre des fonctionnalités de service Web beaucoup plus étendues, notamment une forme de partage Web personnel, mais il existe des différences importantes entre le client Mac OS X et Mac OS X Server. Configuration du service Web Par défaut, sur Mac OS X Server : • Le service Web ignore les fichiers contenus dans le dossier /etc/httpd/users/. • Le Gestionnaire de groupe de travail n’apporte aucune modification à la configuration du service Web. • L’affichage de la liste des dossiers n’est pas activé pour les utilisateurs. Toutes les listes de dossiers du service Web utilisent la directive Apache FancyIndexing, qui rend les listes de dossiers plus lisibles. Dans Server Admin, le volet Sites/Options de chaque site comporte une case à cocher nommée Liste des dossiers. Ce réglage permet l’affichage des listes des dossiers d’un hôte virtuel spécifique via l’ajout d’un indicateur “+Indexes” à la directive Apache Options pour cet hôte virtuel. Si les listes de dossiers ne sont pas activées explicitement pour chaque site (hôte virtuel), les index de fichiers ne sont pas affichés. Les réglages propres à un site ne s’appliquent pas à l’extérieur du site ; par conséquent, les réglages du site ne s’appliquent pas aux répertoires de départ des utilisateurs. Pour que les utilisateurs bénéficient de la fonctionnalité d’indexation des dossiers dans leur répertoire de départ, vous devez ajouter les directives appropriées aux fichiers de configuration Apache. Pour un utilisateur spécifique, ajoutez les directives suivantes dans le bloc du fichier httpd.conf : Options Indexes MultiViews AllowOverride None Order allow,deny Allow from all Contenu par défaut Le contenu par défaut du dossier Sites de l’utilisateur est un fichier index.html avec quelques images. Il est important de noter que ce fichier index.html comporte du texte qui décrit la fonctionnalité de partage Web personnel du client Mac OS X. L’utilisateur doit remplacer ce fichier index.html par un fichier adapté au contenu de son dossier Sites. Chapitre 3 Gestion des sites Web 43 Accès au contenu Web Une fois le répertoire de départ créé, le contenu du dossier Sites dans le répertoire de départ de l’utilisateur est visible chaque fois que le service Web s’exécute. Si votre serveur se nomme exemple.com et que le nom abrégé de l’utilisateur est “refuser”, le contenu du dossier Sites est accessible via l’URL http://exemple.com/~refuser. Si l’utilisateur possède plusieurs noms abrégés, chacun peut également être utilisé après le tilde pour accéder à ce même contenu. Si l’utilisateur a placé un fichier de contenu nommé foo.html dans son dossier Sites, ce fichier doit être disponible à l’adresse http://exemple.com/~refuser/foo.html. Si l’utilisateur a placé plusieurs fichiers de contenu dans son dossier Sites et qu’il ne peut pas modifier le fichier index.html pour inclure des liens vers ces fichiers, il peut tirer parti de la fonctionnalité d’indexation automatique des dossiers, décrite précédemment. Si le réglage “Activer les listes de dossier” est activé, une liste d’index des noms de fichiers est visible par les navigateurs via l’URL http://exemple.com/ ~refuser. Les réglages d’indexation s’appliquent également aux sous-dossiers du dossier Sites de l’utilisateur. Si l’utilisateur ajoute un sous-dossier de contenu nommé Exemple au dossier Sites et qu’un fichier nommé index.html est présent dans le dossier Exemple, ou que l’indexation des dossiers est activée pour le site de cet utilisateur, le dossier est disponible pour les navigateurs à l’adresse http://exemple.com/~refuser/Exemple. Le module mod_hfs_apple protège le contenu Web contre la prise en compte des différences entre majuscules et minuscules dans le système de fichiers HFS Mac OS X Server 10.3 présente une nouvelle fonctionnalité qui permet la distinction des majuscules et des minuscules pour les noms des fichiers HFS. Cette nouvelle fonctionnalité signifie que la protection complémentaire offerte par mod_hfs_apple (abordée plus haut) n’est pas nécessaire. Le format de volume étendu HFS couramment utilisé avec Mac OS X Server préserve la casse des noms de fichiers, mais ne distingue pas un fichier ou un dossier nommé “Exemple” d’un autre nommé “eXeMpLe”. Sans mod_hfs_apple, cela pourrait représenter un problème potentiel lorsque le contenu Web réside sur un tel volume et que vous tentez de limiter l’accès à tout ou partie du contenu Web à l’aide de royaumes de sécurité. Si vous configurez un royaume de sécurité nécessitant des navigateurs pour utiliser un nom et un mot de passe pour l’accès en lecture seule au contenu d’un dossier nommé “Protege”, les navigateurs doivent s’authentifier pour accéder aux URL suivantes : http://exemple.com/Protege http://exemple.com/Protege/secret44 Chapitre 3 Gestion des sites Web http://exemple.com/Protege/secret En revanche, l’authentification ne serait pas nécessaire avec les URL suivantes : http://exemple.com/Protege http://exemple.com/Protege/secret http://exemple.com/Protege/secret Fort heureusement, mod_hfs_apple empêche ces tentatives de contourner le royaume de sécurité et ce module est activé par défaut. Remarque : mod_hfs_apple opère sur les dossiers ; il N’est PAS destiné à empêcher l’accès à des fichiers individuels. Un fichier nommé “secret” est accessible via le nom “seCREt”. Il s’agit d’un comportement correct qui n’autorise pas le contournement des royaumes de sécurité. En raison du message d’avertissement qui s’affiche dans l’historique des erreurs du service Web pour le module mod_hfs_apple, des questions ont été posées sur la fonction de ce module. Les messages d’avertissement n’indiquent pas de problème relatif au fonctionnement de mod_hfs_apple. Vous pouvez vérifier que mod_hfs_apple fonctionne correctement en créant un royaume de sécurité et en tentant de le contourner avec une variante de l’URL réelle. L’accès vous sera refusé et votre tentative sera consignée dans l’historique des erreurs du service Web. Les messages de ce type peuvent s’afficher : [Wed Jul 31 10:29:16 2002] [error] [client 17.221.41.31] Mis-cased URI: /Library/WebServer/ Documents/PrOTecTED/secret, wants: /Library/WebServer/Documents/Protected/.4 45 4 WebMail Activez WebMail pour les sites Web de votre serveur afin de permettre l’accès aux opérations de messagerie élémentaires par l’intermédiaire d’une connexion Web. WebMail ajoute des fonctions de messagerie élémentaires à votre site Web. Si votre service Web héberge plusieurs sites Web, WebMail peut fournir l’accès au service de courrier sur l’un de ces sites ou sur tous les sites. Le service de courrier sera le même sur tous les sites. Notions élémentaires de WebMail Le logiciel WebMail est inclus dans Mac OS X Server, mais il est désactivé par défaut. Le logiciel WebMail repose sur SquirrelMail (version 1.4.1), un ensemble de scripts opensource exécutés par le serveur Apache. Pour plus d’informations sur SquirrelMail, consultez le site Web www.squirrelmail.org. Utilisateurs de WebMail Si vous activez WebMail, un utilisateur de navigateur Web peut : • Rédiger des messages et les envoyer • Recevoir des messages • Répondre aux messages reçus ou les faire suivre • Gérer une signature qui sera automatiquement ajoutée à la fin de chaque message envoyé • Créer, supprimer et renommer des dossiers, puis transférer les messages d’un dossier à l’autre • Joindre des fichiers aux messages sortants • Récupérer les fichiers joints aux messages entrants • Gérer un carnet d’adresses privé • Définir les préférences de WebMail, y compris les couleurs utilisées dans le navigateur Web46 Chapitre 4 WebMail Pour utiliser votre service WebMail, un utilisateur doit posséder un compte sur votre serveur de courrier. Pour proposer WebMail sur vos sites Web, vous devez avoir configuré un serveur de courrier. Les utilisateurs accèdent à la page WebMail de votre site Web en ajoutant /WebMail à l’adresse URL de votre site. Par exemple, http://monsite.exemple.com/WebMail/. Les utilisateurs accèdent à WebMail à l’aide des nom et mot de passe qu’ils utilisent pour la connexion au service de courrier normal. WebMail ne dispose pas de son propre système d’authentification. Pour plus d’informations sur les utilisateurs du service de courrier, consultez le guide d’administration de ce service. Lorsque les utilisateurs se connectent à WebMail, leur mot de passe est envoyé en clair (sans cryptage) sur Internet, sauf si le site Web a été configuré pour utiliser le protocole SSL. Pour obtenir des instructions sur la configuration de SSL, consultez la section “Activation de SSL” à la page 40. Les utilisateurs de WebMail peuvent consulter le manuel utilisateur de SquirrelMail à l’adresse www.squirrelmail.org/wiki/UserManual. WebMail et votre serveur de courrier Le service de courrier de WebMail est en fait fourni par votre serveur de courrier. WebMail ne fait que fournir l’accès au service de courrier via un navigateur Web. Il ne peut fournir le service de courrier sans la présence d’un serveur de courrier. WebMail utilise le service de courrier de Mac OS X Server par défaut. Si vous êtes familiarisé avec l’application Terminal et les outils de ligne de commandes UNIX, vous pouvez désigner un autre serveur de courrier. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Configuration de WebMail” à la page 47. Protocoles WebMail WebMail utilise les protocoles de courrier standard et nécessite que ces derniers soient gérés par votre serveur de courrier. Ces protocoles sont les suivants : • Protocole IMAP (Internet Message Access Protocol) pour la récupération du courrier entrant • Protocole SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) pour l’échange du courrier avec d’autres serveurs de courrier (envoi du courrier sortant et réception du courrier entrant) WebMail ne gère pas la récupération du courrier entrant via le protocole POP (Post Office Protocol), même si votre serveur de courrier gère ce protocole.Chapitre 4 WebMail 47 Activation de WebMail Vous pouvez activer WebMail pour le(s) site(s) Web hébergé(s) par votre serveur Web. Les modifications prennent effet au redémarrage du service Web. Pour activer WebMail pour un site : 1 Assurez-vous que votre service de courrier est activé et configuré pour fournir le service IMAP et SMTP. 2 Assurez-vous que le service de courrier IMAP est activé dans les comptes des utilisateurs auxquels vous souhaitez donner l’accès à WebMail. Pour plus d’informations sur les réglages du courrier dans les comptes d’utilisateur, consultez le guide de gestion des utilisateurs. 3 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 4 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 5 Dans le volet Sites, cliquez deux fois sur le site dans la liste. 6 Dans le volet Options, sélectionnez WebMail. 7 Cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre. Configuration de WebMail Après avoir activé WebMail pour offrir des fonctions élémentaires de courrier sur votre site Web, vous pouvez modifier certains réglages afin d’intégrer WebMail à votre site. Pour cela, modifiez le fichier de configuration /etc/squirrelmail/config/config.php ou utilisez l’application Terminal pour exécuter un script de configuration interactif avec des autorisations root. Dans les deux cas, vous modifiez en fait les réglages de SquirrelMail, logiciel open-source qui fournit le service WebMail au serveur Web Apache de Mac OS X Server. SquirrelMail, et donc WebMail, offre différentes options que vous pouvez configurer pour intégrer WebMail à votre site. Ces options et leurs réglages par défaut sont les suivants : • Organization Name (nom de l’organisation) s’affiche sur la page principale de WebMail lorsqu’un utilisateur se connecte. Le nom par défaut est “Mac OS X Server WebMail”. • Organization Logo (logo de l’organisation) spécifie le chemin d’accès relatif ou absolu d’un fichier image. 48 Chapitre 4 WebMail • Organization Title (titre de l’organisation) s’affiche comme titre de la fenêtre du navigateur Web lors de la consultation d’une page WebMail. Le nom par défaut est “Mac OS X Server WebMail”. • Trash Folder (dossier Corbeille) est le nom du dossier IMAP dans lequel le service de courrier place les messages supprimés par l’utilisateur. Le nom par défaut est “Deleted Messages”. • Sent Folder (dossier des éléments envoyés) est le nom du dossier IMAP dans lequel le service de courrier place les messages après les avoir envoyés. Le nom par défaut est “Sent Messages”. • Draft Folder (dossier Brouillon) est le nom du dossier IMAP dans lequel le service de courrier place les messages de brouillon de l’utilisateur. Le nom par défaut est “Drafts”. Vous pouvez configurer ces réglages et bien d’autres, tels que le serveur de courrier désigné pour fournir le service de courrier à WebMail, en exécutant un script Perl interactif dans le Terminal, à l’aide d’autorisations “root”. Le script lit les valeurs d’origine à partir du fichier config.php, puis il y écrit les nouvelles valeurs. Important : si vous utilisez le script de configuration interactif pour modifier les réglages de SquirrelMail, vous devez également utiliser le script pour saisir le nom de domaine de votre serveur. À défaut, WebMail ne pourra pas envoyer les messages. Les réglages de configuration de WebMail s’appliquent à tous les sites Web hébergés par votre service Web. Pour configurer les options élémentaires de WebMail : 1 Dans l’application Terminal, tapez la commande suivante et appuyez sur Entrée : sudo /etc/squirrelmail/config/conf.pl 2 Suivez les instructions qui s’affichent dans la fenêtre Terminal pour modifier les réglages de SquirrelMail en fonction de vos besoins. 3 Remplacez le nom de domaine par celui de votre serveur, tel que exemple.com. Le nom de domaine est le premier élément du menu Réglages du serveur du script SquirrelMail. Ce script lit les valeurs d’origine à partir du fichier config.php, puis il y écrit les nouvelles valeurs. Si vous ne saisissez pas correctement le nom de domaine réel du serveur, le script interactif remplace la valeur d’origine, à savoir getenv(SERVER_NAME), par la même valeur entre apostrophes. La valeur obtenue ne fonctionne plus en tant qu’appel de fonction pour extraire le nom de domaine ; par conséquent, WebMail ne peut pas envoyer de messages.Chapitre 4 WebMail 49 Les changements de configuration de WebMail ne nécessitent pas le redémarrage du service Web, sauf si les utilisateurs sont connectés à WebMail. Pour personnaliser davantage l’apparence (par exemple pour conférer une apparence particulière à chacun de vos sites Web), vous devez savoir écrire des scripts PHP. Vous devez en outre être familiarisé avec l’architecture des modules SquirrelMail et être capable d’écrire vos modules SquirrelMail.5 51 5 SSL (Secure Sockets Layer) Utilisez le protocole SSL (Secure Sockets Layer) pour sécuriser les transactions et crypter les communications des utilisateurs des sites Web de votre serveur. Pour garantir la sécurité des transactions sur votre serveur, par exemple pour autoriser les utilisateurs à acheter des articles sur un site Web, configurez la protection SSL (Secure Sockets Layer). SSL permet d’envoyer sur Internet des informations cryptées et authentifiées. Ainsi, si vous souhaitez autoriser l’utilisation de cartes bancaires via un site Web, utilisez le protocole SSL pour protéger les informations qui transitent par ce site. Configuration de SSL Lorsque vous générez une requête de signature de certificat (CSR), le fournisseur de certificats vous envoie un certificat à installer sur votre serveur. Il peut également vous envoyer un certificat CA (ca.crt). L’installation de ce fichier est facultative. Les certificats CA se trouvent habituellement dans les applications clientes comme Internet Explorer et permettent à ces applications de vérifier que le certificat du serveur a été délivré par le fournisseur autorisé. Les certificats CA peuvent toutefois faire l’objet de modification ou encore arriver à expiration, de sorte que certaines applications clientes risquent de ne pas être actualisées. Génération d’une requête CSR (Certificate Signing Request) pour votre serveur. La requête CSR est un fichier contenant des informations nécessaires à la configuration du certificat de votre serveur. Pour générer une requête CSR pour votre serveur : 1 Connectez-vous à votre serveur en utilisant le mot de passe root et ouvrez l’application Terminal. 2 À l’invite, tapez les commandes ci-dessous et appuyez sur la touche Entrée à la fin de chacune d’elles :52 Chapitre 5 SSL (Secure Sockets Layer) cd dd if=/dev/randon of=rand.dat bs=1m count=1 openssl genrsa -rand rand.dat -des 1024 > key.pem 3 À l’invite suivante, tapez une phrase d’accès, puis appuyez sur la touche Retour. La phrase d’accès que vous créez débloque la clé de certificat du serveur. Utilisez cette phrase d’accès pour activer le protocole SSL sur votre serveur Web. 4 S’il n’existe pas encore sur votre serveur, créez un répertoire à l’emplacement /etc/ httpd/ssl.key. Effectuez une copie du fichier key.pem (créé à l’étape 2) et renommez-le server.key. Copiez ensuite server.key sur le répertoire ssl.key. 5 À l’invite, tapez la commande ci-dessous et appuyez sur Entrée : openssl req -new -key key.pem -out csr.pem Un fichier nommé csr.pem est généré dans votre répertoire de départ. 6 À l’invite, tapez les informations suivantes : • Pays : le pays où se trouve votre organisation. • Province : le nom complet de votre province. • Localité : la ville dans laquelle se trouve votre organisation. • Nom de l’organisation : l’organisation pour laquelle votre nom de domaine est enregistré. • Section organisationnelle : il s’agit en général d’un nom de département ou d’une unité similaire. • Nom courant de votre serveur Web : le nom DNS, tel que serveur.apple.com. • Adresse électronique : l’adresse à laquelle vous souhaitez recevoir le certificat. Le fichier csr.pem est généré à partir des informations que vous avez saisies. 7 À l’invite, tapez ce qui suit, puis appuyez sur Entrée : cat csr.pem La commande cat permet de répertorier le contenu du fichier créé à l’étape 5 (csr.pem). Vous devriez alors visualiser la phrase “Begin Certificate Request” (Entamer la requête de certificat), suivie d’un message crypté. Le message se termine avec l’expression “End Certificate Request” (Mettre fin à la requête de certificat). Cela correspond à votre requête de signature de certificat (CSR). Acquisition d’un certificat de site Web Vous devez acquérir un certificat pour chaque site Web auprès d’une autorité compétente. Lors de l’acquisition de votre certificat, il est important de tenir compte des éléments suivants : • Vous devez fournir un nom de domaine InterNIC enregistré dans votre entreprise.Chapitre 5 SSL (Secure Sockets Layer) 53 • Si l’on vous demande de choisir un vendeur de logiciels, sélectionnez Apache Freeware avec SSLeay. • Comme vous avez déjà généré une requête CSR, ouvrez votre fichier CSR (à l’invite) à l’aide d’un éditeur de texte. Ensuite, copiez et collez le contenu du fichier CSR dans le champ approprié sur le site Web du fournisseur de certificats. • Vous disposez d’un certificat SSL pour chaque adresse IP de votre serveur. Dans la mesure où les certificats sont coûteux et doivent être renouvelés chaque année, vous pouvez acheter un certificat pour un nom d’hôte et utiliser l’URL avec le nom d’hôte suivi du nom de domaine, afin d’éviter de devoir acheter plusieurs certificats. Par exemple, si votre nom de domaine est mywidgets.com, vous pouvez acheter un certificat pour le nom d’hôte “buy” et les clients se connecteront via l’URL https:// buy.mywidgets.com. • Le format de certificat par défaut de SSLeay/OpenSSL est PEM, qui est en fait le format DER (Base64) avec une ligne d’en-tête et une ligne de pied de page. Pour plus d’informations sur le format de certificat, consultez le site www.modssl.org. Au terme de la procédure, vous recevez un message de courrier électronique contenant un identifiant sécurisé “Secure Server ID”. Il s’agit de votre certificat de serveur. Après réception du certificat, enregistrez-le sur le disque dur de votre serveur Web sous la forme d’un fichier nommé server.crt. Important : prenez soin de sauvegarder une copie du message ou du fichier de certificat. Installation du certificat sur votre serveur Vous pouvez utiliser Admin Serveur ou l’outil de ligne de commande pour attribuer les certificats à un site. Pour en savoir plus sur l’utilisation d’Admin Serveur dans ce cadre, consultez la section “Activation de SSL” à la page 40. Pour installer un certificat SSL à l’aide de l’outil de ligne de commande dans l’application Terminal : 1 Connectez-vous à votre serveur en tant qu’administrateur ou superutilisateur (également appelé “root”). 2 S’il n’existe pas sur votre serveur, créez un répertoire en utilisant ce nom : /etc/httpd/ssl.crt 3 Copiez server.crt (le fichier contenant votre identifiant de serveur sécurisé) sur le répertoire ssl.crt. Activation de SSL pour le Site 1 Dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons.54 Chapitre 5 SSL (Secure Sockets Layer) 3 Dans le volet Sites, double-cliquez sur le site sur lequel vous prévoyez d’utiliser le certificat. 4 Dans le volet Sécurité, sélectionnez Activer le protocole SSL. 5 Tapez le mot de passe de votre CSR dans le champ Phrase code. 6 Définissez l’emplacement du fichier d’historique dans lequel seront enregistrées les transactions SSL. 7 Cliquez sur le bouton Modifier et collez le texte de votre fichier de certificat (celui que vous avez obtenu auprès de l’autorité compétente) dans le champ Fichier de certificat. 8 Cliquez sur le bouton Modifier et collez le texte de votre fichier de clé (le fichier key.pem que vous avez configuré précédemment) dans le champ Fichier de clé. 9 Cliquez sur le bouton Modifier et collez le texte du fichier ca.crt dans le champ Fichier CA. Il s’agit d’un fichier facultatif que vous avez éventuellement reçu du fournisseur de certificat. 10 Cliquez sur Enregistrer. 11 Arrêtez, puis redémarrez le service Web. Le mot de passe SSL du serveur Web n’est pas accepté lorsqu’il est saisi manuellement Admin Serveur permet d’activer SSL avec ou sans enregistrement du mot de passe SSL. Si vous n’avez pas enregistré la phrase codée avec les données du certificat SSL, le serveur vous invite à saisir cette phrase lors du redémarrage, mais il n’accepte pas les phrases codée saisies manuellement. Utilisez le volet Sécurité du site dans Admin Serveur pour enregistrer la phrase codée avec les données du certificat SSL.6 55 6 Utilisation d’applications opensource Familiarisez-vous avec les applications open-source utilisées par Mac OS X Server pour administrer et fournir les services Web. Plusieurs applications open-source fournissent des fonctionnalités essentielles de service Web. Ces applications sont les suivantes : • Serveur Web Apache • Serveur d’applications JBoss • Conteneur de servlet Tomcat • Base de données MySQL Apache Apache est le serveur Web http fourni avec Mac OS X Server. Vous pouvez utiliser l’application Server Admin pour gérer la plupart des opérations du serveur, mais dans certains cas, vous pouvez être amené à ajouter ou à modifier des éléments du serveur Apache open-source. Dans ce cas, vous devez modifier les fichiers de configuration Apache ainsi que modifier ou ajouter des modules.56 Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source Emplacement des principaux fichiers Apache Les fichiers de configuration et emplacements Apache ont été simplifiés dans Mac OS X Server 10.3. Les emplacements des principaux fichiers sont les suivants : • Le fichier de configuration Apache du service Web se trouve dans le répertoire /etc/httpd/. • Les fichiers de configuration du site se trouvent dans le répertoire /etc/httpd/sites. • L’historique des erreurs Apache, très utile pour diagnostiquer les problèmes relatifs au fichier de configuration, se trouve dans le répertoire /var/log/httpd/ (avec un lien symbolique permettant d’afficher le répertoire en tant que /Library/Logs/WebServer/). • Les hôtes virtuels provisoirement désactivés se trouvent dans le répertoire /etc/ httpd/’sites_disabled/. Remarque : tous les fichiers du répertoire /etc/httpd/sites/ sont lus et traités par Apache lors d’un redémarrage matériel ou logiciel. Chaque fois que vous enregistrez des modifications, le serveur procède à un redémarrage logiciel. Si vous modifiez un fichier à l’aide d’un éditeur de texte qui crée une copie temporaire ou de sauvegarde, le redémarrage du serveur peut échouer en raison de la présence de deux fichiers portant des noms presque identiques. Pour éviter ce problème, supprimez les fichiers temporaires ou de sauvegarde créés par modification des fichiers dans ce dossier. Modification des fichiers de configuration Apache Vous pouvez modifier les fichiers de configuration Apache si vous devez travailler avec des fonctionnalités du serveur Web Apache qui ne sont pas intégrées à Server Admin. Pour modifier les fichiers de configuration, vous devez être un administrateur Apache expérimenté et être familiarisé avec les outils d’édition de texte. Prenez soin de créer une copie du fichier de configuration original avant de le modifier. Le fichier de configuration httpd.conf gère toutes les directives contrôlées par l’application Server Admin. Vous pouvez modifier ce fichier dès lors que vous suivez les conventions en place (ainsi que les commentaires de ce fichier). Celui-ci comporte également une directive pour inclure le répertoire sites/. Dans ce répertoire se trouvent tous les hôtes virtuels de ce serveur. Les fichiers sont nommés avec l’identificateur unique de l’hôte virtuel (par exemple, 10.201.42.7410_80_17.221.43.127_www.exemple.com.conf). Vous pouvez désactiver des sites spécifiques en les déplaçant vers le répertoire sites_disabled, puis en redémarrant le service Web. Vous pouvez également modifier les fichiers du site dès lors que vous respectez les conventions dans le fichier.Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source 57 Un fichier masqué présent dans le dossier sites_disabled se nomme “default_default.conf”. Ce fichier est utilisé en tant que modèle pour tous les nouveaux hôtes virtuels créés dans Server Admin. Un administrateur peut modifier le fichier de modèle pour le personnaliser, en prenant soin de suivre les conventions établies dans le fichier. Pour plus d’informations sur Apache et ses modules, consultez la section “Modules Apache” à la page 69. Démarrage et arrêt du service Web à l’aide du script apachectl Le moyen par défaut de démarrer et d’arrêter Apache sur Mac OS X Server consiste à utiliser le module Web de Server Admin. Si vous souhaitez utiliser le script apachectl pour démarrer et arrêter le service Web plutôt que d’utiliser Server Admin, tenez compte des éléments suivants : • La mémoire cache de performances Web est activée par défaut. Lorsque le service Web démarre, le processus principal du service Web (httpd) et un processus webperfcache démarrent. Ce dernier fournit du contenu statique à partir d’une mémoire cache et transmet les demandes à httpd si nécessaire. Le script apachectl fourni avec Mac OS X Server n’a pas connaissance de webperfcache. Par conséquent, si vous n’avez pas désactivé la mémoire cache de performances, vous devez également utiliser le script webperfcachectl pour démarrer et arrêter webperfcache. • Le script apachectl n’augmente pas la limite des processus logiciels au-delà de la valeur par défaut de 100. Server Admin augmente cette limite lorsqu’il démarre Apache. Si votre serveur Web reçoit beaucoup de trafic et repose sur des scripts CGI, l’exécution du service Web peut échouer une fois la limite du nombre de processus logiciels atteinte. • Le script apachectl ne démarre pas Apache automatiquement au redémarrage du serveur. Description du script apachectl et de la limite du nombre de processus logiciels pour le service Web Lorsque Apache est démarré avec le script apachectl, la limite du nombre de processus logiciels est de 100, soit la limite par défaut. Lorsque vous utilisez des scripts CGI, il se peut que cette limite ne soit pas suffisante. Dans ce cas, vous pouvez démarrer le service Web via Admin Serveur, ce qui a pour effet de définir sur 2048 la limite du nombre de processus logiciels. Vous pouvez également taper “ulimit -u 2048” avant d’utiliser apachectl.58 Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source Activation de l’enregistrement Apache via Rendezvous Depuis la version 10.2.4 de Mac OS X et Mac OS X Server, le service Web Apache 1.3 préinstallé peut enregistrer des sites via Rendezvous. Cette fonctionnalité, qui permet aux navigateurs compatibles avec Rendezvous (tels que Safari) de trouver les sites par leur nom, est mise en œuvre à l’aide d’un nouveau module Apache, à savoir mod_rendezvous_apple. Ce module est différent du module mod_rendezvous fourni par un tiers. Apache Rendezvous n’est pas pris en charge sur le service Web Apache 2 préinstallé. Le module mod-rendezvous_apple permet aux administrateurs de contrôler la façon dont les sites Web sont enregistrés avec Rendezvous. Le module mod_rendezvous_apple est désactivé par défaut sur Mac OS X Server. Pour activer mod_rendezvous_apple sur Mac OS X Server : m Pour activer le module, utilisez le volet Modules dans Server Admin. Pour configurer mod_rendezvous_apple sur Mac OS X Server : m Pour une consignation supplémentaire, laquelle peut s’avérer utile en cas de problème, recherchez la directive LogLevel dans le fichier httpd.conf et remplacez-la par un réglage plus détaillé, tel que “info.” Remarque : chaque fois que des utilisateurs sont ajoutés, redémarrez le service Web afin que leurs sites soient enregistrés. Comme toujours, suivez les règles ajoutées par Apple sous forme de commentaires dans les fichiers de configuration. Ces règles expliquent les procédures servant à modifier de façon sûre ces fichiers. Notez que le répertoire de départ d’un utilisateur, qui inclut un dossier Sites, peut être absent si l’administrateur a ajouté l’utilisateur sans créer de répertoire de départ pour cet utilisateur. Il existe différentes façons de créer un répertoire de départ, par exemple via l’ajout du répertoire de départ à l’application Gestionnaire de groupe de travail ou l’utilisation de la ligne de commande createhomedir pour créer le répertoire. Voici une description complète des directives de configuration Apache prises en charge par le module mod_rendezvous_apple. Directive RegisterDefaultSite • Syntaxe : RegisterMachine [port | main] • Par défaut : pas d’enregistrement si la directive est absente. Le port prend par défaut la valeur 80. • Contexte : server config • Compatibilité : Apache 1.3.x ; Mac OS X et Mac OS X Server uniquement • Module : mod_rendezvous_apple Cette directive contrôle la façon dont le nom de l’ordinateur est enregistré sur le site par défaut avec Rendezvous.Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source 59 La directive RegisterDefaultSite entraîne l’enregistrement du site Web par défaut sous le nom de l’ordinateur, comme indiqué dans le volet Partage de Préférences Système. Un numéro de port peut être spécifié, ou le mot-clé “main” ; dans le deuxième cas, le numéro de port du “serveur principal” est utilisé (en dehors de tout hôte virtuel). Sous Mac OS X Server, n’indiquez pas “main”, car tous les sites visibles depuis l’extérieur sont des hôtes virtuels et le serveur principal est utilisé exclusivement pour l’état. Si l’argument est omis, le port 80 est utilisé. Si la directive est absente, le nom de l’ordinateur n’est pas enregistré. Détails relatifs à Rendezvous : cette directive entraîne l’appel de la fonction d’enregistrement, avec une chaîne vide comme nom (Rendezvous utilise ainsi le nom de l’ordinateur), “_http._tcp” comme type de service (indiquant un serveur Web) et une chaîne vide en tant que paramètre TXT (indiquant le site Web par défaut). Directive RegisterUserSite • Syntaxe : RegisterUserSite nom_utilisateur | all-users | customized users [ formatNomEnregistrement [port | main] • Par défaut : pas d’enregistrement si la directive est absente ; le nom d’enregistrement est par défaut le nom long. Le port prend par défaut la valeur 80 et l’hôte la valeur “local” • Contexte : server config • Compatibilité : Apache 1.3.x ; Mac OS X et Mac OS X Server uniquement • Module : mod_rendezvous_apple Cette directive RegisterUserSite entraîne l’enregistrement du site Web par défaut des utilisateurs spécifiés. Le premier argument obligatoire est soit le nom d’un utilisateur, soit le mot-clé “allusers” ou “customized-users”. Le mot-clé “all-users” entraîne la prise en considération de tous les utilisateurs du répertoire hosts pour l’enregistrement. Celui-ci a lieu si l’utilisateur n’est pas un utilisateur système (ID utilisateur > 100), avec un répertoire de site Web activé comme spécifié dans la directive UserDir, et uniquement si ce répertoire est accessible par l’hôte local. Un montage peut s’avérer nécessaire si le répertoire de départ de l’utilisateur est distant ; si le répertoire de départ n’est pas disponible, le site utilisateur n’est pas enregistré. Le mot-clé “customized-users” limite l’enregistrement aux utilisateurs dont le fichier index.html présent dans le répertoire de leur site Web est différent de celui dans le modèle utilisateur standard. Autrement dit, il tente dans la mesure du possible de limiter l’enregistrement aux utilisateurs ayant personnalisé leurs sites Web.60 Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source Le deuxième argument facultatif détermine la forme du nom sous lequel le site utilisateur est enregistré. Celui-ci peut prendre la forme d’une chaîne de format, semblable à la directive LogFormat. Certaines directives de la chaîne de format sont remplacées par des valeurs : %l - nom long de l’utilisateur, tel que Joe User %n - nom abrégé de l’utilisateur, tel que juser %u - ID de l’utilisateur, tel que 1234 %t - titre HTML du fichier d’index de l’utilisateur (déterminé par la directive DirectoryIndex ; il s’agit par défaut de index.html) dans le dossier du site par défaut de l’utilisateur (déterminé par la directive UserDir ; il s’agit de Sites par défaut). Pour le partage Web personnel Mac OS X, le titre par défaut d’une page Web non personnalisée est “Mac OS X Personal Web Sharing”. %c - nom de l’ordinateur, tel qu’il est défini dans le panneau Sharing Preference La valeur par défaut est %l, c’est-à-dire le nom long. Le deuxième argument doit être indiqué si le troisième argument facultatif est souhaité. Le troisième argument facultatif peut être utilisé pour spécifier un numéro de port sous lequel le service HTTP doit être enregistré, ou le mot-clé “main” ; dans ce dernier cas, le numéro de port du “serveur principal” est utilisé (en dehors de tout hôte virtuel). Dans le cas de Mac OS X Server, ne spécifiez pas “main” pour le port, car tous les sites visibles depuis l’extérieur sont des hôtes virtuels et le serveur principal est utilisé exclusivement pour l’état. Si l’argument port est omis, le port 80 est utilisé. Si la directive est absente, aucun enregistrement de site utilisateur n’est effectué. Cette directive n’est pas traitée si le module mod_userdir n’est pas chargé. Les directives UserDir et DirectoryIndex doivent précéder la directive RegisterUserSite dans le fichier de configuration Apache. Détails relatifs à Rendezvous : cette directive entraîne l’appel de la fonction d’enregistrement, avec une chaîne telle que “Joe User” comme nom, “_http_tcp” comme type de service (indiquant un serveur Web), une valeur telle que “path=/~juser/ ” en tant que paramètre TXT (lequel, après expansion par mod_userdir, indique le site Web par défaut de l’utilisateur), ainsi que le port approprié. Directive RegisterResource • Syntaxe : RegisterResource chemin [port | main] • Par défaut : pas d’enregistrement si la directive est absente. Le port prend par défaut la valeur 80 • Contexte : server config • Compatibilité : Apache 1.3.x ; Mac OS X et Mac OS X Server uniquement • Module : mod_rendezvous_appleChapitre 6 Utilisation d’applications open-source 61 La directive RegisterResource entraîne l’enregistrement du chemin de ressource spécifié sous le nom indiqué. Le troisième argument facultatif peut être utilisé pour spécifier un numéro de port, ou le mot-clé “main” ; dans ce dernier cas, le numéro de port du “serveur principal” est utilisé (en dehors de tout hôte virtuel). Sous Mac OS X Server, n’indiquez pas “main”, car tous les sites visibles depuis l’extérieur sont des hôtes virtuels et le serveur principal est utilisé exclusivement pour l’état. Si le troisième argument est omis, le port 80 est utilisé. Détails relatifs à Rendezvous : cette directive entraîne l’appel de la fonction d’enregistrement, avec le nom spécifié, “_http._tcp” comme type de service (indiquant un serveur Web), “path=/specifiedpath” comme paramètre TXT, ainsi que le port approprié. Utilisation d’Apache Axis Vous pouvez utiliser Apache Axis en écrivant des applications Web qui utilisent les bibliothèques Axis, puis en déployant les applications dans Tomcat ou JBoss. Contrairement à JBoss et Tomcat, Axis n’est généralement pas utilisé en tant que serveur d’applications. Mac OS X Server version 10.3 inclut une version préinstallée d’Apache Axis (1.1), qui opère conjointement avec la version Tomcat 4.1.24-LE préinstallée. Apache Axis est une mise en œuvre du protocole SOAP (Simple Object Access Protocol). Vous en saurez plus sur SOAP à l’adresse http://www.w3.org/TR/SOAP/. Vous trouverez davantage d’informations sur Axis à l’adresse http://ws.apache.org/axis/. Les bibliothèques Axis se trouvent dans le répertoire /System/Library/Axis. Par défaut, Apple installe un exemple d’application Web Axis dans Tomcat. L’application Web connue sous le nom d’axis se trouve dans le répertoire /Library/Tomcat/webapps/axis. Une fois que vous avez activé Tomcat via la section Serveur d’applications d’Admin Serveur, vous pouvez valider la version préinstallée d’Apache Axis en explorant l’URL : http://exemple.com:9006/axis/ Remplacez “exemple.com” dans l’URL ci-dessus par votre nom d’hôte. Notez le port Tomcat non standard. La première fois que vous expérimentez la version préinstallée d’Axis en explorant l’URL http://exemple.com:9006/axis/ et en sélectionnant le lien “Validate the local installation’s configuration”, vous devez vous attendre à voir s’afficher les messages d’erreur suivants : • Avertissement : could not find class javax.mail.internet.MimeMessage from file mail.jar Attachments will not work Voir http://java.sun.com/products/javamail/62 Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source • Avertissement : could not find class org.apache.xml.security.Init from file xmlsec.jar XML Security is not supported Voir http://xml.apache.org/security/ Suivez les instructions des messages d’erreur si vous avez besoin de ces composants facultatifs. Consultez le guide de l’utilisateur Axis sur le site Web Apache Axis pour en savoir plus sur l’utilisation d’Axis dans vos applications Web. Expérimentation avec Apache 2 La version 10.3 de Mac OS X Server inclut Apache 2 à des fins d’évaluation, en plus de la version opérationnelle Apache 1.3. Par défaut, Apache 2 est désactivé et toutes les opérations Server Admin fonctionnent correctement avec Apache 1. Si vous souhaitez expérimenter Apache 2, tenez compte des éléments suivants : • Il est installé dans un emplacement distinct du système de fichiers : /opt/apache2. • Il n’est pas connecté à Server Admin. • Il fournit les pages Web à partir de /opt/apache2/htdocs. • Sa configuration se trouve dans le fichier /opt/apache2/conf/httpd.conf. Apple a modifié ce fichier en le configurant pour exécuter les processus httpd sous l’utilisateur et le groupe “www”. Si vous activez WebDAV avec Apache 2, bien que vos clients WebDAV utilisant la version 10.1 de Mac OS X ou Mac OS X Server peuvent monter les volumes WebDAV Apache2, ils ne peuvent pas y accéder en écriture, mais uniquement en lecture. Les clients WebDAV qui utilisent la version 10.2 ne rencontreront pas ce problème. • Il est contrôlé par sa propre version du script apachectl ; ainsi, pour le démarrer, tapez “sudo /opt/apache2/bin/apachectl start”. • Bien qu’il soit possible d’exécuter les deux versions d’Apache, vous devez être vigilant. Assurez-vous que les deux versions ne tentent pas d’écouter sur le même port. Les deux sont configurées pour écouter sur le port 80 ; par conséquent, vous pouvez soit éditer le fichier /opt/apache2/conf/httpd.conf afin de modifier la directive Listen, soit utiliser la section Web d’Admin Serveur pour affecter au port de tous vos hôtes virtuels une valeur différente de 80. Notez également que si la mémoire cache de performances Web est activée, il se peut que ce soit le processus qui écoute sur le port 80.Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source 63 JBoss JBoss est un serveur d’applications open-source conçu pour les applications J2EE ; il s’exécute sous Java 1.4.1. JBoss est un serveur d’applications Java complet et très répandu. Il offre une pile technologique J2EE (Java 2Platform Enterprise Edition) complète, avec des fonctionnalités telles que : • Un conteneur EJB (Enterprise JavaBean) • JMX (Java Management Extensions) • JCA (Java Connector Architecture) Par défaut, JBoss utilise Tomcat comme conteneur Web, mais vous pouvez utiliser d’autres conteneurs Web si vous le souhaitez, tels que Jetty. Vous pouvez utiliser la section Serveur d’applications d’Admin Server et les outils de ligne de commande de l’application Terminal pour administrer JBoss. Admin Serveur s’intègre au processus Watchdog afin de s’assurer de la disponibilité permanente de JBoss une fois ce dernier démarré. Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour démarrer l’une des configurations JBoss disponibles, arrêter JBoss, puis afficher les fichiers d’historique. Deux outils Web, destinés à être utilisés avec JBoss, sont également inclus avec Mac OS X Server, l’un pour la gestion et la configuration du serveur JBoss, l’autre pour le déploiement des applications existantes. Les deux outils se trouvent dans le répertoire /Library/JBoss/Application. Pour plus d’informations sur JBoss, J2EE et les outils, consultez les guides suivants : • Le guide d’administration du serveur d’applications Java, qui explique comment déployer et gérer les applications J2EE à l’aide de JBoss dans Mac OS X Server. • Le guide des applications d’entreprise Java, qui explique comment développer des applications J2EE. Ces deux guides sont disponibles dans les publications destinées aux développeurs Apple. Des informations complémentaires sur ces technologies Java sont disponibles en ligne. • Pour JBoss, consultez le site www.jboss.org/. • Pour J2EE, consultez le site java.sun.com/j2ee/. Pour ouvrir l’outil de gestion JBoss : m Dans Server Admin, cliquez sur Serveur d’applications dans la liste correspondant au serveur souhaité. Pour démarrer ou arrêter JBoss : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Serveur d’applications dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons.64 Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source 3 Sélectionnez l’une des options JBoss. Ne sélectionnez pas Tomcat uniquement. 4 Cliquez sur Démarrer le service ou sur Arrêter le service. JBoss est préconfiguré pour utiliser une configuration locale. JBoss étant activé, vous pouvez utiliser l’outil de gestion pour configurer votre serveur. Pour plus d’informations sur la configuration de JBoss et l’utilisation des outils de ligne de commande correspondants, consultez le guide d’administration du serveur d’applications Java, qui explique comment déployer et gérer les applications J2EE à l’aide de JBoss dans Mac OS X Server. Ce guide est disponible avec les publications Apple destinées aux développeurs. Pour modifier la configuration JBoss utilisée : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Serveur d’applications dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Effectuez l’une des opérations suivantes : • Cliquez sur Charger la configuration distante et tapez l’emplacement d’un serveur NetBoot JBoss. • Cliquez sur Utiliser la configuration locale et choisissez une configuration dans le menu contextuel. Pour administrer JBoss : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Serveur d’applications. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Cliquez sur Gérer JBoss. Remarque : l’outil de gestion de JBoss doit être en cours d’exécution. Vous pouvez utiliser l’application Terminal pour le définir en tant qu’élément de démarrage. 4 Apportez les modifications souhaitées dans la console de gestion. Sauvegarde et restauration des configurations JBoss Vous pouvez utiliser la section Serveur d’applications d’Admin Serveur pour sauvegarder et restaurer les configurations JBoss. Pour sauvegarder ou restaurer une configuration JBoss : 1 Dans Admin Serveur, cliquez sur Serveur d’applications dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre de boutons située au bas de la fenêtre. 3 Cliquez sur Sauvegarde en haut de la fenêtre. 4 Cliquez sur Sauvegarder ou sur Restaurer et accédez à l’emplacement dans lequel vous souhaitez stocker (ou avez stocké) les configurations. La configuration en cours est sauvegardée.Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source 65 Tomcat Tomcat est le conteneur de servlet open-source utilisé comme mise en œuvre de référence officielle des technologies Java Servlet et JavaServer Pages. Les spécifications Java Servlet et JavaServer Pages sont développées par Sun via le processus Java Community Process. La version de production actuelle est Tomcat 4.1.x et met en œuvre les spécifications Java Servlet 2.3 et JavaServer Pages 1.2. Vous trouverez davantage d’informations en consultant les sources suivantes : • Pour les spécifications Java Servlet, consultez java.sun.com/products/servlets • Pour les spécifications Java ServerPages, consultez java.sun.com/products/jsp Dans Mac OS X Server 10.3, vous pouvez administrer Tomcat via la section Serveur d’applications d’Admin Serveur. Une fois Tomcat démarré, son cycle de vie est géré par Admin Serveur, ce qui permet de garantir que Tomcat démarre automatiquement après une panne de courant ou après un arrêt du serveur pour une raison quelconque. Pour plus d’informations sur Tomcat et la documentation relative à ce logiciel, consultez le site http://jakarta.apache.org/tomcat/. Pour plus d’informations sur les servlets Java que vous pouvez utiliser sur votre serveur, consultez les sites suivants : • http://java.sun.com/products/servlet/ • http://java.sun.com/products/jsp/ Pour utiliser Tomcat, vous devez d’abord l’activer. Vous pouvez utiliser Admin Serveur ou l’outil de ligne de commande pour démarrer Tomcat. Pour démarrer Tomcat via Admin Serveur : 1 Dans Server Admin, cliquez sur Serveur d’applications dans la liste correspondant au serveur souhaité. 2 Cliquez sur Réglages dans la barre des boutons. 3 Cliquez sur Tomcat uniquement. 4 Cliquez sur Démarrer le service. Pour démarrer Tomcat dans le Terminal : 1 Ouvrez l’application Terminal. 2 Tapez les commandes suivantes : cd /Library/Tomcat/bin ./catalina.sh start Pour vérifier que Tomcat est en cours d’exécution, utilisez un navigateur pour accéder au port 9006 de votre site Web en tapant l’URL de votre site, suivie de :9006. Si Tomcat est en cours d’exécution, cette URL affiche la page d’accueil de Tomcat.66 Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source MySQL MySQL offre une solution de gestion de base de données relationnelle pour votre serveur Web. Grâce à ce logiciel open-source, vous pouvez lier les données provenant de bases de données ou de tables différentes et fournir les informations sur votre site Web. L’application Gestionnaire MySQL simplifie la configuration de la base de données MySQL sur Mac OS X Server. Vous pouvez utiliser Gestionnaire MySQL pour initialiser la base de données MySQL et pour démarrer et arrêter le service MySQL. MySQL est préinstallé sur Mac OS X Server, avec les différents fichiers aux emplacements appropriés. Il est recommandé, le moment venu, d’effectuer la mise à niveau de MySQL. Vous pouvez installer la nouvelle version dans /usr/local/mysql, mais le Gestionnaire MySQL n’aura pas connaissance de la nouvelle version de MySQL et continuera de contrôler la version préinstallée. Si vous installez une version plus récente de MySQL, utilisez le Gestionnaire MySQL pour arrêter la version préinstallée, puis démarrez la nouvelle version via le fichier de configuration. Installation de MySQL Mac OS X Server version 10.3 inclut la version la plus récente de MySQL, à savoir la version 4.0.14. Dans la mesure où il est préinstallé, vous ne le trouverez pas dans le répertoire /usr/local/mysql. En effet, ses différents composants sont répartis dans le système de fichiers, selon les conventions UNIX standard, avec les fichiers exécutables dans les répertoires /usr/sbin et /usr/bin, les pages “man” dans /usr/share/man et les autres éléments dans /usr/share/mysql. Lors de son installation, la base de données MySQL se trouve dans le répertoire /var/mysql. Une nouvelle version de MySQL sera publiée ultérieurement sur http:// www.mysql.com. Vous pourrez alors télécharger la source et la construire vous-même (si les paquets développeur sont installés), ou télécharger la distribution binaire appropriée et l’installer vous-même, en suivant les instructions fournies sur ce site Web. Par défaut, ces installations résident dans le répertoire /usr/local/mysql/. Par conséquent, si vous installez votre version de MySQL, vous disposerez de deux versions de MySQL sur votre système. Cela n’est pas un problème dès lors que vous ne tentez pas d’exécuter les deux versions. Prenez simplement soin de faire précéder du chemin complet les commandes destinées à la nouvelle version (commençant par /usr/local/ mysql), ou assurez-vous que la variable de chemin de votre shell est configurée pour rechercher d’abord dans votre répertoire local. L’application Gestionnaire MySQL fonctionne uniquement avec la version préinstallée de MySQL ; elle ne fonctionne pas si MySQL est installé ailleurs. Les chemins des différents composants préinstallés de MySQL sont stockés dans le fichier plist suivant : /Applications/Server/MySQL Manager.app/Contents/Resources/tool_strings.Chapitre 6 Utilisation d’applications open-source 67 Si vous procédez à une mise à jour à partir de Mac OS X Server 10.x et que vous utilisez MySQL Mac OS X Server version 10.3 contient une nouvelle version de MySQL. Les versions antérieures du serveur contiennent MySQL 3.23.x ; la version installée actuellement est la version 4.0.14, c’est-à-dire la version de production la plus récente. Cette version est celle qui est recommandée par mysql.com. Vos bases de données MySQL 3.23.x doivent fonctionner correctement avec la nouvelle version de MySQL, mais il est judicieux de les sauvegarder avant la mise à jour. Lors de l’utilisation de MySQL 4.0.14, vous pouvez utiliser plusieurs commandes avec vos anciennes bases de données pour supprimer la dépendance par rapport au format de table ISAM, lequel est devenu obsolète. • Utilisez mysql_fix_privilege_tables pour activer les nouvelles fonctionnalités d’autorisation de sécurité. • Utilisez mysql_convert_table_format (si toutes les tables existantes sont au format ISAM ou MyISAM) ou utilisez ALTER TABLE nom_table TYPE+MyISAM sur toutes les tables ISAM pour ne plus utiliser le format de table ISAM obsolète. Consultez les instructions fournies sur le site Web MySQL à l’adresse www.mysql.com/ doc/en/Upgrading-from-3.23.html avant d’utiliser ces commandes. Pour plus d’informations sur MySQL, consultez le site www.mysql.com.7 69 7 Installation et affichage des modules Web Familiarisez-vous avec les modules qui offrent les fonctionnalités et contrôles essentiels du service Web. Le serveur Web Apache inclut une série de modules qui contrôlent le fonctionnement du serveur. En outre, Mac OS X Server offre certains modules avec des fonctions spécialisées pour le Macintosh. Modules Apache Les modules s’intègrent au logiciel du serveur Web Apache et ajoutent des fonctionnalités à votre site Web. Apache est fourni avec certains modules standards. Vous pouvez également acquérir des modules chez des fournisseurs de logiciels ou encore les télécharger à partir d’Internet. Vous trouverez des informations sur les modules Apache disponibles sur le site Web www.apache.org/docs/mod. Pour utiliser les modules Apache : • Pour afficher la liste des modules Web installés sur votre serveur, dans Server Admin, cliquez sur Web dans la liste correspondant au serveur souhaité, cliquez sur Réglages dans la barre de boutons, puis cliquez sur Modules. • Pour activer un module, cochez la case Activé en regard de son nom, puis cliquez sur Enregistrer. Le service Web redémarre automatiquement. • Pour installer un module, suivez les instructions qui l’accompagnent. Le serveur Web charge les modules à partir du répertoire /usr/libexec/httpd/. Modules spécifiques à Macintosh Le service Web dans Mac OS X Server installe certains modules spécifiques à Macintosh. Ces modules sont décrits dans le chapitre présent.70 Chapitre 7 Installation et affichage des modules Web mod_macbinary_apple Ce module assemble sous forme de paquet les fichiers au format MacBinary, ce qui permet aux fichiers Macintosh d’être téléchargés directement à partir de votre site Web. Un utilisateur peut télécharger un fichier MacBinary à l’aide d’un navigateur Web standard en ajoutant “.bin” à l’URL utilisée pour accéder au fichier. mod_sherlock_apple Ce module permet à Apache d’effectuer des recherches par pertinence sur le site Web à l’aide de Sherlock. Une fois que vous avez indexé votre site à l’aide du Finder, vous pouvez proposer un champ de recherche pour permettre aux utilisateurs d’effectuer des recherches sur votre site Web. m Pour indexer le contenu d’un dossier, cliquez sur Lire les informations dans le menu Fichier. Remarque : vous devez être connecté en tant qu’utilisateur “root” pour que l’index soit copié dans le répertoire Web afin de pouvoir être consulté par un navigateur. Les clients doivent ajouter “.sherlock” à l’adresse URL de votre site Web pour accéder à une page leur permettant d’effectuer des recherches sur votre site. Par exemple, http:// www.exemple.com/.sherlock. mod_auth_apple Ce module permet à un site Web d’authentifier les utilisateurs en les recherchant dans les domaines du service de répertoire faisant partie de la stratégie de recherche du serveur. Lorsque l’authentification est activée, les visiteurs d’un site Web sont invités à fournir un nom d’utilisateur et un mot de passe pour accéder aux informations disponibles sur ce site. mod_hfs_apple Pour ce module, les utilisateurs doivent taper les URL des volumes HFS en respectant la casse (minuscules ou majuscules). Ce module procure davantage de sécurité aux volumes non sensibles à la casse. S’il existe une restriction pour un volume, les utilisateurs reçoivent un message les informant que l’URL est introuvable. mod_digest_apple Le nouveau module mod_digest_apple permet l’authentification Digest pour un royaume WebDAV. mod_rendezvous_apple Le nouveau module mod_rendezvous_apple permet aux administrateurs de contrôler la façon dont les sites Web sont enregistrés via Rendezvous. Pour plus d’informations, consultez la section “Activation de l’enregistrement Apache via Rendezvous” à la page 58.Chapitre 7 Installation et affichage des modules Web 71 Modules Open-Source Mac OS X Server comprennent les modules open-source suivants :Tomcat, PHP : Hypertext Preprocessor et mod_perl. Tomcat Le module Tomcat, qui utilise des scripts de type Java, constitue la mise en œuvre de référence officielle de deux technologies complémentaires développées dans le cadre du programme “Java Community Process”. Pour plus d’informations sur Tomcat, consultez la section “Tomcat” à la page 65. Pour utiliser Tomcat, vous devez d’abord l’activer. Pour démarrer Tomcat, utilisez la section Serveur d’applications d’Admin Serveur. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Tomcat” à la page 65. PHP : Hypertext Preprocessor PHP permet de gérer le contenu Web dynamique à l’aide d’un langage de script côté serveur intégré à HTML, semblable au langage C. Les développeurs Web intègrent du code PHP dans le code HTML, permettant aux programmeurs d’intégrer une logique dynamique directement dans un script en HTML plutôt que d’écrire un programme générant du langage HTML. PHP fournit la capacité CGI et gère un grand nombre de bases de données. Contrairement au script Java client, le code PHP est exécuté sur le serveur. PHP est également utilisé pour implanté WebMail sur Mac OS X Server. Pour plus d’informations sur ce module, consultez le site www.php.net. mod_perl Ce module intègre l’interpréteur Perl complet au serveur Web, ce qui permet aux scripts CGI Perl de s’exécuter sans modification. Grâce à cette intégration, les codes fonctionnent plus rapidement et consomment moins de ressources système. Pour plus d’informations sur ce module, consultez le site perl.apache.org.8 73 8 Résolution de problèmes Si vous rencontrez un problème avec le service Web ou l’un de ses composants, consultez les astuces et stratégies proposées dans ce chapitre. Il est possible que vous rencontriez de temps en temps un problème lors de la configuration ou de la gestion des services Web. Certaines situations pouvant entraîner des problèmes pour l’administration du service Web ou pour les connexions clientes sont décrites dans ce chapitre. Les utilisateurs ne parviennent pas à se connecter à un site Web sur votre serveur Essayez les stratégies suivantes pour découvrir le problème : • Assurez-vous que le service Web est activé et que le site est en ligne. • Examinez la fenêtre Vue d’ensemble du service Web pour vérifier que le serveur fonctionne. • Vérifiez l’accès à Apache et les historiques d’erreur. Si vous n’êtes pas certain de la signification des messages, vous trouverez des explications sur le site Web à l’adresse www.apache.org. • Assurez-vous que les utilisateurs saisissent l’URL appropriée pour se connecter au serveur Web. • Assurez-vous que le dossier correct est sélectionné comme dossier Web par défaut. Assurez-vous que le fichier HTML correct est sélectionné comme page par défaut. • Si votre site Web est limité à des utilisateurs spécifiques, assurez-vous que ces utilisateurs disposent d’autorisations d’accès pour votre site Web. • Assurez-vous que les ordinateurs des utilisateurs sont correctement configurés pour TCP/IP. Si les réglages TCP/IP sont corrects, utilisez un utilitaire de test “ping” pour vérifier vos connexions réseau. • Vérifiez s’il ne s’agit pas d’un problème DNS. Essayez d’utiliser l’adresse IP du serveur au lieu de son nom DNS pour vous connecter. • Assurez-vous que l’entrée de votre serveur DNS est correcte en ce qui concerne l’adresse IP et le nom de domaine du site Web.74 Chapitre 8 Résolution de problèmes Un module Web ne fonctionne pas comme prévu • Examinez l’historique des erreurs dans Server Admin afin de déterminer pourquoi le module ne fonctionne pas correctement. • Si ce module était fourni avec le serveur Web, consultez la documentation d’Apache sur ce module et assurez-vous que le fonctionnement de ce dernier est conforme à vos attentes. • Si vous avez installé ce module, consultez la documentation fournie avec le module Web afin de vous assurer qu’il est correctement installé et compatible avec votre logiciel de serveur. Pour plus d’informations sur les modules Apache pris en charge pour Mac OS X Server, consultez le chapitre 7, “Installation et affichage des modules Web”, à la page 69 et le site Web Apache à l’adresse www.apache.org/docs/mod/. Un script CGI ne fonctionne pas • Vérifiez les autorisations du fichier CGI pour vous assurer qu’il s’agit d’un script CGI exécutable par www. Si ce n’est pas le cas, le script CGI ne peut fonctionner sur votre serveur, même si vous avez activé l’exécution de scripts CGI dans Server Admin.9 75 9 Où trouver des informations supplémentaires Pour obtenir des informations sur les fichiers de configuration et d’autres aspects du service Web Apache, consultez les ouvrages suivants : • Apache : The Definitive Guide, 3ème édition, de Ben Laurie et Peter Laurie (édité par O’Reilly & Associates, 2002) • Programmation CGI avec Perl, 2ème édition, de Scott Guelick, Shishir Gundavaram et Gunther Birznieks (O’Reilly & Associates, 2000) • Java Enterprise in a Nutshell, 2ème edition, de William Crawfod, Jim Farley et David Flanagan (O’Reilly & Associates, 2002) • Gestion et utilisation de MySQL, 2ème édition, de George Reese, Randy Jay Yarger, Tim King et Hugh E. Williams (O’Reilly & Associates, 2002) • Web Performance Tuning, 2ème édition, de Patrick Killelea (O’Reilly & Associates, 2002) • Web Security, Privacy & Commerce, 2ème édition, de Simson Garfinkel et Gene Spafford (O’Reilly & Associates, 2001) • Writing Apache Modules with Perl and C, de Lincoln Stein et Doug MacEachern (édité par O’Reilly & Associates, 1999) • Pour plus d’informations sur Apache, consultez le site Web d’Apache : www.apache.org • Pour une liste complète des méthodes utilisées par les clients WebDAV, consultez les documents RFC 2518. Les documents RFC donnent un aperçu d’un protocole ou service qui peut s’avérer utile pour les administrateurs débutants ainsi que des informations techniques plus détaillées pour les experts. Vous pouvez rechercher les documents RFC par numéro sur le site Web : http://www.faqs.org/rfcs/ (en anglais) 77 Glossaire Glossaire adresse IP Adresse numérique unique qui identifie un ordinateur sur Internet. Apache Serveur HTTP open-source intégré à Mac OS X Server. Vous trouverez des informations détaillées sur Apache à l’adresse www.apache.org. CGI (Common Gateway Interface) Script ou programme permettant d’ajouter des fonctions dynamiques à un site Web. Un script CGI transmet les informations entre un site Web et une application offrant un service au site. Par exemple, si un utilisateur remplit un formulaire sur le site, un script CGI peut envoyer le message à une application qui traite les données et renvoie une réponse à l’utilisateur. HTML (Hypertext Markup Language) Ensemble de symboles ou de codes insérés dans un fichier à afficher par un navigateur Web. Le balisage indique au navigateur Web comment afficher les mots et images d’une page Web pour l’utilisateur. HTTP (Hypertext Transfer Protocol) Protocole client/serveur pour le Web. Le protocole HTTP offre un moyen pour un navigateur Web d’accéder à un serveur Web et de demander des documents multimédia créés en HTML. IP (Internet Protocol) Également appelé IPv4. Méthode utilisée conjointement avec le protocole TCP (Transmission Control Protocol) pour envoyer des données d’un ordinateur à un autre via un réseau local ou Internet. Le protocole IP envoie les paquets de données, tandis que le protocole TCP se charge du suivi de ces paquets. JavaScript Langage de script utilisé pour ajouter une certaine interactivité aux pages Web. JBoss Serveur d’applications Java complet offrant la prise en charge des applications J2EE (Java 2 Platform Enterprise Edition). Mac OS X Server Puissante plate-forme serveur prenant en charge les clients Mac, Windows, UNIX et Linux de façon native et offrant un ensemble de services réseau et de groupe de travail évolutifs, ainsi que des outils avancés de gestion à distance. MySQL Outil open-source de gestion de base de données relationnelle pour les serveurs Web.78 Glossaire nom abrégé Abréviation du nom d’un utilisateur. Le nom abrégé est utilisé par Mac OS X pour les répertoires de départ, l’authentification et les adresses électroniques. nom d’utilisateur Nom complet d’un utilisateur, appelé parfois nom “réel” de l’utilisateur. Voir aussi nom abrégé. open-source Terme pour le développement coopératif de logiciels par la communauté Internet. Le principe de base consiste à impliquer autant de personnes que possible dans l’écriture et le débogage du code, via la publication du code source, afin d’encourager la formation d’une large communauté de développeurs qui peuvent proposer des modifications et des améliorations. PHP (PHP : Hypertext Preprocessor) Langage de script intégré au code HTML et utilisé pour créer des pages Web dynamiques. port Sorte d’emplacement de messagerie virtuel. Un serveur utilise des numéros de port pour déterminer quelle application doit recevoir les paquets de données. Les coupe-feu utilisent des numéros de port pour déterminer si les paquets de données sont autorisés ou non à transiter par un réseau local. Le terme “port” fait généralement référence à un port TCP ou UDP. possesseur Personne qui a créé un fichier ou un dossier et qui, dès lors, peut attribuer aux autres utilisateurs des autorisations d’accès à ces éléments. Le possesseur d’un élément dispose automatiquement des autorisations de lecture et d’écriture pour cet élément. Le possesseur d’un élément peut également en transférer la propriété à un autre utilisateur. protocole Ensemble de règles qui déterminent la façon dont les données sont échangées entre deux applications. royaume Voir royaume WebDAV. royaume WebDAV Région d’un site Web, généralement un dossier ou un répertoire, réservé aux utilisateurs et groupes WebDAV. Secure Sockets Layer (SSl) Protocole Internet permettant d’envoyer sur Internet des informations cryptées et authentifiées. serveur d’applications Logiciel qui exécute et gère d’autres applications, généralement des applications Web, accessibles par l’intermédiaire d’un navigateur Web. Les applications gérées résident sur le même ordinateur que le serveur d’applications. serveur proxy Serveur placé entre une application cliente, telle qu’un navigateur Web, et un serveur réel. Le serveur proxy intercepte toutes les requêtes destinées au serveur réel pour vérifier s’il ne peut y répondre lui-même. Si ce n’est pas le cas, il fait suivre la requête au serveur réel.Glossaire 79 TCP (Transmission Control Protocol) Méthode utilisée avec le protocole IP (Internet Protocol) pour envoyer, via Internet, des données sous forme d’unités de messages entre ordinateurs. Le protocole IP se charge de gérer la distribution proprement dite des données, tandis que le protocole TCP effectue le suivi individuel des unités de données (appelées “paquets”). Chaque message est fractionné en plusieurs unités afin d’assurer un routage efficace via Internet. Tomcat Mise en œuvre de référence officielle de Java Servlet 2.2 et JavaServer Pages 1.1, deux technologies complémentaires développées dans le cadre du programme “Java Community Process”. tous Tout utilisateur pouvant se connecter à un serveur de fichiers : utilisateur enregistré ou invité, utilisateur FTP anonyme ou visiteur d’un site Web. URL (Uniform Resource Locator) Adresse d’un ordinateur, d’un fichier ou d’une ressource accessible sur un réseau local ou sur Internet. L’adresse URL se compose du nom du protocole utilisé pour accéder à la ressource, du nom de domaine qui identifie un ordinateur spécifique sur Internet et de la description hiérarchique de l’emplacement du fichier sur l’ordinateur. WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) Environnement de création en ligne permettant aux utilisateurs client d’extraire des pages Web d’un site, de les modifier, puis de les replacer sur le site sans que ce dernier ne cesse de fonctionner.81 Index Index A Admin Serveur 27 affichage de l'état du service Web 25 affichage des historiques du service Web 26 configuration du serveur Web 9 démarrage de Tomcat 25 démarrage ou arrêt du service Web 17 fichier mime_macosxserver.conf 38 modification des mappages MIME 18 SSL, activation 53 autorisations d'accès configuration pour WebDAV 10, 11 sites Web 11, 16 C cache. Voir cache de proxy cache proxy activation 22 certificat CA 51 CGI (Common Gateway Interface) 8 CSR (Certificate Signing Request) 51–52 D dépannage service Web 73–74 dossier Documents 15 dossiers dossier Documents 15 F fichier de certificat 51–53 G Gestionnaire MySQL 66 H historiques accès 31 erreurs 31 service Web 26 SSL 40 J Java JSP (JavaServer Pages) avec Tomcat 24 servlet (avec Tomcat) 24 Tomcat et 24 M MIME (Multipurpose Internet Mail Extension) 13 description 12 extensions 12 mappage 12 mappages 18 réponse du serveur, configuration 39 réponses du serveur Web 12 types 18 volet Types 18 module Apache 8, 9, 33, 58, 67, 69 module mod_auth_apple 70 module mod_hfs_apple 70 module mod_macbinary_apple 70 module mod_perl 71 module mod_sherlock_apple 70 module MySQL 66 modules libres 67, 71 modules spécifiques à Macintosh 69 modules Web 67, 69 open-source 71 spécifiques à Mac 69 module Tomcat 71 démarrage 24 Java et 24 JSP (JavaServer Pages) 24 servlet Java 24 Multipurpose Internet Mail Extension. Voir MIME N navigateurs Web 10 P pages Web par défaut 15 Perl82 Index mod_perl 71 PHP (PHP Hypertext Preprocessor) 71 activation 41 module Apache 71 PHP Hypertext Preprocessor (PHP) Voir PHP (PHP Hypertext Preprocessor) programmes CGI problèmes 74 proxy 22 blocage de sites Web 23 R réglages service Web 17 types MIME 18 ressources service Web 75 royaumes, WebDAV 10, 11 S scripts Voir scripts CGI scripts CGI activation 37 installation 37 résolution des problèmes 74 Secure Sockets Layer (SSL) Voir SSL (Secure Sockets Layer) sécurité sites Web 11 WebDAV 11 Server-Side Includes Voir SSI serveurs activation de SSL sur 53–54 serveurs proxy 22, 23, 41 serveur Web Apache 9 serveurs Internet. Voir les serveurs Web serveurs proxy 23 serveurs Web certificat 52–53 serveur Web Apache 9 serveur Web Apache 8, 69 configuration 9 service Web 7 arrêt 17 autorisations des sites Web 16 configuration 9, 15, 16, 17 configuration de sites Web 10 connexions persistantes 20 démarrage 17 description 7 dossier Documents 15 historiques, affichage 26 limitation des connexions simultanées 19 MySQL 66 page par défaut 15 plus d'informations 75 problèmes 74 réglages pour 17 résolution des problèmes 73 ressources 75 SSL, activation 23–41 surveillance 25, 26 Tomcat 24 transactions sécurisées 9, 51–54 WebDAV 24 WebMail, gestion 47–49 sites Web 27–42 activation 28 amélioration des performances 30 attribution d'autorisations 16 autorisations d'accès 11 configuration 10 configuration de SSL 40 configuration du port d'accès 30 connexion à 17 dossier Documents 27 dossier Web par défaut 29 hébergement 10, 16 historiques 31 informations sur 27 liste de répertoires 32 MIME, configuration 39 page par défaut 15, 29 problèmes de connexion 73 résolution des problèmes 73–74 sécurité 11 surveillance 39 SQL 66 SquirrelMail Voir WebMail SSI (Server-Side Includes) 9 activation 38 SSL (Secure Sockets Layer) 9 activation 53 certificat de site Web 52 configuration 40, 51 demande de signature de certificat (CSR) 51 description 9 T technologies Web à propos des 7 préparation de la configuration 7–13 W Web-based Distributed Authoring and Versioning (WebDAV)Voir WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) 883 Index activation 24, 34 configuration 24 configuration de l'accès 35–36 définition d'autorisations d'accès 10, 11 définition de royaumes 10 description 7, 10 sécurité 11 WebMail activation 47 à propos de 45 configuration 47–49 connexion 46 protocoles 46 restrictions relatives à la sécurité 46 serveur de courrier et 46 SquirrelMail 45 Congratulations, you and your Mac Pro were made for each other.finder Finder Browse your files like you browse your music with Cover Flow. Mac Help Mail Manage all your email accounts in one place. Mac Help mail iCal and Address Book Keep your schedule and your contacts in sync. Mac Help isync Say hello to your Mac Pro www.apple.com/macproMac OS X Leopard www.apple.com/macosx iLife ’09 www.apple.com/ilife Time Machine Automatically back up and restore your files. Mac Help Spotlight Find anything on your Mac. Mac Help time machine spotlight Safari Experience the web with the fastest browser in the world. Mac Help safari Quick Look Instantly preview your files. Mac Help quick look iPhoto Organize and search your photos by faces, places, or events. iPhoto Help photos iMovie Make a greatlooking movie in minutes or edit your masterpiece. iMovie Help movie GarageBand Learn to play. Start a jam session. Record and mix your own song. GarageBand Help record iWeb Create custom websites and publish them anywhere with a click. iWeb Help website iPhoto Organize and search your photos by faces, places, or events. iPhoto Help photos iMovie Make a greatlooking movie in minutes or edit your masterpiece. iMovie Help movie GarageBand Learn to play. Start a jam session. Record and mix your own song. GarageBand Help record iWeb Create custom websites and publish them anywhere with a click. iWeb Help websiteContents 5 Contents Chapter 1: Ready, Set Up, Go 11 Setting Up Your Mac Pro 19 Putting Your Mac Pro to Sleep or Shutting It Down Chapter 2: Life with Your Mac Pro 22 Basic Features on the Front of Your Mac Pro 24 Features of Your Apple Keyboard 26 Ports and Connectors on the Back of Your Mac Pro 28 More Ports and Connectors on the Back 30 Internal Expansion Options 32 Getting Answers Chapter 3: Making a Good Thing Better 37 Opening the Mac Pro 41 Installing Memory 59 Installing Internal Storage Devices 69 Adding PCI Express Cards 74 Replacing the Internal Backup Battery6 Contents Chapter 4: Problem, Meet Solution 78 Problems with Your Mac Pro 81 Problems with Software 82 Keeping Your Software Up to Date 82 Problems with AirPort Wireless Communication 83 Problems with Your Display 86 Problems with Your Internet Connection 89 Using Apple Hardware Test 90 Reinstalling the Software That Came with Your Mac Pro 91 Maximizing Ethernet Performance 92 Learning More, Service, and Support 94 Locating Your Serial Number Chapter 5: What’s Under the Hood 96 Specifications Chapter 6: Last, but Not Least 106 Important Safety Information 107 General Maintenance 109 Understanding Ergonomics 112 Apple and the Environment 113 Regulatory Compliance InformationContents 7 Looking for Something? 120 Index1 1 Ready, Set Up, Go www.apple.com/macpro Mac Help Migration Assistant10 Chapter 1 Ready, Set Up, Go Your Mac Pro features the latest computer technology, including advanced multicore processor technology, high-speed memory, PCI Express graphics and expansion slots, and internal storage, all in an anodized aluminum chassis with easy access to internal components. Make sure you look over the information in Chapter 2, “Life with Your Mac Pro,” to find out about the new features of this Mac Pro. Many answers to questions can be found on your Mac Pro in Mac Help. For information about Mac Help, see “Getting Answers” on page 32. WARNING: To avoid injury, read all the installation instructions (and the safety information starting on page 106) carefully before you first use your Mac Pro.Chapter 1 Ready, Set Up, Go 11 Setting Up Your Mac Pro Your Mac Pro is designed so that you can set it up quickly and start using it right away. Follow the steps on the next few pages to get started. Step 1: Position your Mac Pro and display. Pick up your Mac Pro by both of its handles using correct lifting techniques. Use correct lifting techniques when positioning your display as well. Position your Mac Pro and display so that:  They are each on a sturdy, flat surface  The power cable connectors don’t press against a wall or other object  The airflow in front of, behind, and below your Mac Pro and the display is not obstructed  The computer’s optical drive trays have space to open in front The only way to shut off power completely to your Mac Pro and display is to disconnect their power plugs from the power source. Make sure the power cords for your Mac Pro and display are within easy reach so that you can unplug them.12 Chapter 1 Ready, Set Up, Go Step 2: Plug in the power cord. Plug the power cord completely into the recessed power cord socket on the back of your Mac Pro and plug the other end into a grounded outlet or a grounded power strip. Power cord socket Power cord plugChapter 1 Ready, Set Up, Go 13 Step 3: Connect the display. Connect your display as shown in the illustration below. Depending on the display, you may have one or more cables to connect. Check the instructions that came with the display for additional setup information. Display cable Display ports USB port14 Chapter 1 Ready, Set Up, Go You can connect displays with Mini DisplayPort or Digital Visual Interface (DVI) connectors to the display ports on the back of your Mac Pro. The DVI port is a dual-link port, so you can connect a 30-inch Apple Cinema HD Display. You can also connect displays that have an Apple Display Connector (ADC) or a video graphics array (VGA) connector using one of the following adapters:  To connect a VGA display to the DVI port or the Mini DisplayPort, use the Apple DVI to VGA Display Adapter or the Apple Mini DisplayPort to VGA Adapter (both available separately).  To connect an ADC display to the DVI port, use an Apple DVI to ADC Display Adapter (available separately). Display adapters and other accessories for your Mac Pro are sold separately at www.apple.com/store. DVI display port Mini DisplayPortChapter 1 Ready, Set Up, Go 15 Step 4: Connect an Ethernet cable. To access the Internet or a network, connect one end of an Ethernet cable to either of the gigabit Ethernet ports on the back of your Mac Pro. Connect the other end to a cable modem, DSL modem, or Ethernet network. To use a dial-up connection, you need the external Apple USB Modem, available from the online Apple Store at www.apple.com/store or from an Apple Authorized Reseller. Plug the Apple USB Modem into a USB port on your Mac Pro, and then use a phone cord (not included) to connect the modem to a phone jack. Gigabit Ethernet ports16 Chapter 1 Ready, Set Up, Go Step 5: Connect the USB cable from your keyboard and mouse. Connect the keyboard cable to one of the USB (d) ports on your Mac Pro or on the display. Plug the mouse cable into a USB port on the keyboard. Keyboard Mouse Plug the mouse into a USB port on the keyboardChapter 1 Ready, Set Up, Go 17 If the keyboard cable isn’t long enough, use the keyboard extension cable that came with your Mac Pro. If you purchased an Apple Wireless Keyboard or Mouse, follow the instructions that came with the keyboard and mouse to set them up. Step 6: Turn on your Mac Pro. Press the power (®) button on the front of your Mac Pro to turn it on. If your display must be turned on separately, turn it on by pressing its power button. Step 7: Configure your Mac Pro with Setup Assistant. The first time you turn on your Mac Pro, Setup Assistant starts. Setup Assistant helps you enter your Internet and email information and set up a user account on your Mac Pro. If you already have a Mac, Setup Assistant can help you automatically transfer user accounts, files, applications, and other information from your previous Mac using a FireWire, Ethernet, or wireless connection. If you don’t intend to keep or use your other Mac, it’s best to deauthorize it from playing music, videos, or audiobooks that you’ve purchased from the iTunes Store. Deauthorizing a computer prevents any songs, videos, or audiobooks you’ve purchased from being played by someone else and frees up another authorization for use. For information about deauthorizing, choose iTunes Help from the Help menu in iTunes. Apple keyboard extension cable18 Chapter 1 Ready, Set Up, Go If you don’t use Setup Assistant to transfer information when you first start up, you can do it later using Migration Assistant. Go to the Applications folder, open Utilities, and double-click Migration Assistant. Step 8: Customize Your Desktop and Set Your Preferences. You can easily make your desktop look the way you want using System Preferences. Choose Apple () > System Preferences from the menu bar or click the System Preferences icon in the Dock. System Preferences is your command center for most settings on your Mac Pro. For more information, open Mac Help and search for “System Preferences” or for the specific preference you want to change. Need Help Setting Up? If you don’t see anything on your screen or you think your Mac Pro didn’t start up properly, check the following:  Is your Mac Pro plugged into a power source? If it’s plugged into a power strip, is the power strip turned on?  Is the power cord securely plugged into the back of your Mac Pro?  Are the keyboard and display cables connected correctly?  Are the brightness and contrast of the display adjusted correctly? If the display has brightness controls, adjust them. If the display has a power button, make sure the display is turned on.  If you still don’t see anything on your screen, restart your Mac Pro. Press and hold the power (®) button on your Mac Pro for 5 or 6 seconds, until it turns off. Press the power (®) button again to restart.Chapter 1 Ready, Set Up, Go 19  If you see a blinking question mark on the screen or a series of flashes from the status light, see Chapter 4, “Problem, Meet Solution,” on page 77. Putting Your Mac Pro to Sleep or Shutting It Down When you finish working, you can put your Mac Pro to sleep or shut it down. Putting Your Mac Pro to Sleep If you’ll be away from your Mac Pro for only a short time, put it to sleep. When your Mac Pro is in sleep, the display’s screen is dark. You can quickly wake your Mac Pro from sleep and bypass the startup process. To put your Mac Pro to sleep quickly, do one of the following:  Choose Apple () > Sleep from the menu bar.  Press the power (®) button on the front of your Mac Pro.  Press the Control and Eject keys, and then click Sleep in the dialogue box that appears.  Choose Apple () > System Preferences, click Energy Saver, and set a sleep timer. To wake your Mac Pro from sleep, do one of the following:  Press any key on the keyboard.  Click the mouse.  Press the power (®) button on the front of your Mac Pro. When your Mac Pro wakes from sleep, your applications, documents, and computer settings are exactly as you left them. 20 Chapter 1 Ready, Set Up, Go Shutting Down Your Mac Pro If you won’t be using your Mac Pro for an extended period, shut it down. To turn off your Mac Pro, do one of the following:  Choose Apple () > Shut Down.  Press the Control and Eject keys, and then click Shut Down in the dialogue box that appears. NOTICE: Do not turn off your Mac Pro by turning off the switch on a power strip or by unplugging your Mac Pro’s power plug (unless you can’t turn off your Mac Pro any other way). Your files or system software could be damaged if your Mac Pro is not shut down properly. NOTICE: Shut down your Mac Pro before moving it. Moving your computer while the hard disk is spinning can damage the hard disk, causing loss of data or the inability to start up from the hard disk.2 2 Life with Your Mac Pro www.apple.com/macpro Mac Help ports22 Chapter 2 Life with Your Mac Pro Basic Features on the Front of Your Mac Pro Optical drive Headphone jack Status light f ® Power button FireWire 800 ports (2) Second optical drive (optional) USB 2.0 ports (2)Chapter 2 Life with Your Mac Pro 23 Optical drive Your Mac Pro has a DVD±R DL/DVD±RW/CD-RW SuperDrive, which can read CD-ROM, photo CD, audio, and DVD discs. It can write music, documents, and other files to CD-R, CD-RW, DVD±R, DVD±RW, and DVD±R Double Layer (DL) discs. To open the drive, press the Media Eject (C) key on your Apple Keyboard. If your Mac Pro has a second optical drive, press the Option and Media Eject (C) keys to open it. ® Power button Press this button to turn on your Mac Pro, put it to sleep, or wake it from sleep. To restart, press and hold this button for 5 or 6 seconds until your Mac Pro turns off, and, then press it again to turn it on. H Two FireWire 800 ports Connect high-speed external devices, such as FireWire digital video (DV) cameras, scanners, and external hard disk drives. You can connect and disconnect FireWire devices without restarting. Each port supports data rates up to 800 Mbit/s. d Two USB 2.0 ports Connect an iPod, iPhone, mouse, keyboard, printer, disk drive, digital camera, joystick, external USB modem, and more. You can also connect USB 1.1 devices. Your display may also have USB ports. f Headphone jack Connect headphones, including Apple Earphones with Remote and Mic, through the headphone minijack. Status light A white light indicates your Mac Pro is on; a pulsing light indicates it’s in sleep.24 Chapter 2 Life with Your Mac Pro Features of Your Apple Keyboard Escape Decrease brightness Increase brightness Exposé Dashboard Caps Lock Fast Forward Mute Volume Down Volume Up Media Eject Function Play/Pause Rewind USB port (both sides)Chapter 2 Life with Your Mac Pro 25 Escape (esc) key Press the Escape (esc) and Command (x) keys simultaneously to open Front Row. Press the Escape (esc) key to exit Front Row. Brightness keys (F1, F2) Increase ( ) or decrease ( ) the brightness of your Apple display. Exposé key (F3) Open Exposé for quick access to all your open windows. Dashboard key (F4) Open Dashboard to access your widgets. — Mute key (F10) Mute the sound coming from the built-in speaker, headphone jack, or audio ports. - Volume keys (F11, F12) Increase (-) or decrease (–) the volume of sound coming from the built-in speaker, headphone jack, or audio ports. C Media Eject key Press and hold the Media Eject (C) key to remove a disc. Function (fn) key Hold down to activate customized actions assigned to the function keys (F1 to F19). To learn about customizing function keys, choose Help > Mac Help from the menu bar and search for “function keys.” ’ Media keys (F7, F8, F9) Rewind ( ), play or pause (’), or fast-forward ( ) a song, movie, or slideshow. Caps Lock key Press the Caps Lock key to engage caps lock so you can type capital letters. d Two USB 2.0 ports Connect a mouse and sync your iPhone, iPod, or digital camera. 26 Chapter 2 Life with Your Mac Pro Ports and Connectors on the Back of Your Mac Pro Power socket Locking latch USB 2.0 ports (3) FireWire 800 ports (2) G d ¥ H Gigabit Ethernet ports (2)Chapter 2 Life with Your Mac Pro 27 Power socket Connect the power cord that came with your Mac Pro. Don’t use ordinary power or extension cords. ¥ Locking latch Lift the latch to open the side panel and access the internal components in your Mac Pro. If you are working inside your Mac Pro and the latch is down, the optical and hard drives are locked in place. You can attach a security lock (available separately) to the latch to prevent access and secure the internal components. You can also attach a security cable to the latch or through the handles and feet to protect your Mac Pro. d Three USB 2.0 ports Connect an iPod, iPhone, mouse, keyboard, printer, disk drive, digital camera, joystick, external USB modem, and more. You can also connect USB 1.1 devices. Your display may also have USB ports. H Two FireWire 800 ports Connect high-speed external devices, such as FireWire digital video (DV) cameras, scanners, and external hard disk drives. You can connect and disconnect FireWire devices without restarting. Each port supports data rates up to 800 Mbit/s. G Dual Gigabit Ethernet ports with jumbo frame support Connect to a high-speed Ethernet network, a DSL or cable modem, or another computer. The Ethernet port automatically detects Ethernet devices and doesn’t require an Ethernet crossover cable. You can access the Internet or network resources such as printers and servers, and share information over the network using a CAT 5e cable.28 Chapter 2 Life with Your Mac Pro More Ports and Connectors on the Back PCI Express expansion slots Mini DisplayPort - , Optical digital audio out port Analog audio line-in port Analog audio line-out port Optical digital audio in port DVI display port £ £Chapter 2 Life with Your Mac Pro 29 PCI Express expansion slots (3) Expand your Mac Pro by installing up to three Peripheral Component Interconnect (PCI) Express cards in the covered slots labeled 2, 3, and 4. £ Mini DisplayPort Connect a display that uses a Mini DisplayPort connector, such as the Apple LED Cinema Display. Display adapters for your Mac Pro are available from the online Apple Store at www.apple.com/store. £ DVI display port (dual-link) Connect a display that uses a Digital Visual Interface (DVI) connector, such as the 20-, 23-, or 30-inch Apple Cinema Display, to the DVI display port. Display adapters for your Mac Pro are available from the online Apple Store at www.apple.com/store. Optical digital audio in and audio out ports Connect to decks, receivers, digital instruments, and surround-sound speaker systems using standard TOSLINK cables or fiber-optic cables with a 3.5 mm plastic or nylon optical plug. You can transfer stereo or encoded audio using the S/PDIF (Sony/Philips Digital Interface) protocol and TOSLINK cables. , Analog audio line-in port Connect self-powered microphones, MP3 and CD players, and other devices with analog capability. - Analog audio line-out port Connect self-powered analog speakers and other devices with analog capability. 30 Chapter 2 Life with Your Mac Pro Internal Expansion Options Hard disk drive carriers (4) Optical drive carrier Slot 1: Double-wide PCI Express graphics (graphics card installed) Memory slots (4 or 8 slots depending on model) Slots 2–4: PCI Express BatteryChapter 2 Life with Your Mac Pro 31 Optical drives Your Mac Pro comes with one or two DVD±R DL/DVD±RW/CD-RW SuperDrives in the optical drive carrier. To replace an optical drive, see “Replacing the Optical Drive” on page 63. Hard disk drive Your Mac Pro comes with up to four hard disk drives installed in the drive carriers. To install or replace the hard disk drives, see “Installing Internal Storage Devices” on page 59. PCI Express slots Your Mac Pro has three PCI Express expansion slots. To install PCI cards in slots 2 through 4 to expand the capabilities of your Mac Pro, see “Adding PCI Express Cards” on page 69. Battery Your Mac Pro uses an internal backup battery. If your Mac Pro has trouble starting up, or if the system date and time are frequently incorrect, you may need to replace the battery. See “Replacing the Internal Backup Battery” on page 74. Double-wide PCI Express graphics slot Connect up to two displays to the graphics card in the PCI Express graphics slot (slot 1). You can replace the card in this slot and install additional graphics cards in PCI slots 2 through 4. See “Adding PCI Express Cards” on page 69. Memory slots Your Mac Pro has four or eight memory expansion slots, depending on the model. To add more memory, install PC3-8500, 1066 MHz, DDR3 SDRAM UDIMMs in the memory slots. See “Installing Memory” on page 41 for information about the type of memory used in your Mac Pro.32 Chapter 2 Life with Your Mac Pro Getting Answers Much more information about using your Mac Pro is available in Mac Help and on the Internet at www.apple.com/support/macpro. To open Mac Help: 1 Click the Finder icon in the Dock (the bar of icons along the edge of the screen). 2 Click the Help menu in the menu bar and do one of the following: a Type a question or term in the Search field, and choose a topic from the list of results or choose Show All Results to see all topics. b Choose Mac Help to open the Mac Help window, where you can browse topics or type a search question. More Information For more information about using your Mac Pro, see the following: To learn about See Installing drives, memory, expansion cards, or a battery Chapter 3, “Making a Good Thing Better,” on page 35. Troubleshooting your Mac Pro if you have a problem Chapter 4, “Problem, Meet Solution,” on page 77. Finding service and support for your Mac Pro “Learning More, Service, and Support” on page 92. Or the Mac Pro Support website at www.apple.com/support/macpro. Using Mac OS X The Mac OS X website at www.apple.com/macosx. Or search for “Mac OS X” in Mac Help. Moving from a PC to a Mac “Why you’ll love a Mac” at www.apple.com/getamac/whymac.Chapter 2 Life with Your Mac Pro 33 Using iLife applications The iLife website at www.apple.com/ilife. Or open an iLife application, open Help, and then type a question. Changing System Preferences System Preferences by choosing Apple (K) > System Preferences. Or search for “system preferences” in Mac Help. Using your mouse or keyboard System Preferences and choose Keyboard & Mouse. Or open Mac Help and search for “mouse” or “keyboard.” Using AirPort Extreme wireless technology The AirPort Support page at www.apple.com/support/airport. Or open Mac Help and search for “AirPort.” Using Bluetooth® wireless technology The Bluetooth Support page at www.apple.com/support/ bluetooth. Or open Mac Help and search for “Bluetooth”. Connecting a printer Mac Help and search for “printing.” FireWire and USB connections Mac Help and search for “FireWire” or “USB.” Connecting to the Internet Mac Help and search for “Internet.” Using a display Mac Help and search for “display port.” Front Row Mac Help and search for “Front Row.” Burning a CD or DVD Mac Help and search for “burn disc.” Mac Pro specifications Chapter 5, “What’s Under the Hood,” on page 95. Or the Mac Pro specifications page at www.apple.com/macpro/specs.html. Or open System Profiler by choosing Apple (K) > About This Mac from the menu bar, and then click More Info. Apple news, free downloads, and online catalogs The Apple site at www.apple.com. Instructions, technical support, and product manuals The Apple Support site at www.apple.com/support. To learn about See3 3 Making a Good Thing Better www.apple.com/store Mac Help RAM36 Chapter 3 Making a Good Thing Better Use the information in this chapter to customize and expand your Mac Pro to fit your needs. You can find information about important procedures in the following sections:  “Opening the Mac Pro” on page 37  “Installing Memory” on page 41  “Installing Internal Storage Devices” on page 59  “Adding PCI Express Cards” on page 69  “Replacing the Internal Backup Battery” on page 74 NOTICE: Apple recommends that you have an Apple-certified technician install memory, PCI Express cards, and internal storage devices. To contact an Apple Authorized Service Provider or Apple for service, see “Learning More, Service, and Support” on page 92. If you install these items yourself, you risk damaging your equipment, and such damage is not covered by the limited warranty on your computer. See an Apple Authorized Reseller or Apple Authorized Service Provider for additional information about this or any other warranty question.Chapter 3 Making a Good Thing Better 37 Opening the Mac Pro 1 Before you open your Mac Pro, shut it down by choosing Apple () > Shut Down. 2 Wait 5 to 10 minutes to allow the internal components of your Mac Pro to cool. NOTICE: Always shut down your Mac Pro before opening it to avoid damaging its internal components or the components you want to install. Do not open your Mac Pro or attempt to install items inside it while it is on. WARNING: Let your Mac Pro cool down before you touch the internal components, which may be very hot.38 Chapter 3 Making a Good Thing Better 3 Touch the metal on the outside of your Mac Pro to discharge any static electricity. NOTICE: Always discharge static before you touch parts or install components inside your Mac Pro. To avoid generating static, don’t walk around the room until you finish installing the cards, memory, or internal storage device and replace the side panel. Touch the metal case to discharge static.Chapter 3 Making a Good Thing Better 39 4 Unplug all the cables and the power cord from your Mac Pro. 5 Hold the side panel and lift the latch on the back. NOTICE: To avoid damaging internal components or the components you want to install, always unplug your Mac Pro. Don’t attempt to install items while it’s plugged in.40 Chapter 3 Making a Good Thing Better 6 Remove the side panel by pulling the top away from your Mac Pro and lifting up. Important: When you remove the side panel, hold it securely.Chapter 3 Making a Good Thing Better 41 Installing Memory Your Mac Pro comes with 3 or 6 GB of memory, installed as 1 GB unbuffered dual inline memory modules (UDIMMs). All installed UDIMMs must meet these specifications:  PC3-8500, 1066 MHz, DDR3 SDRAM UDIMMs  Error-correcting code (ECC)  72-bit wide, 240-pin ECC modules  36 ICs maximum per ECC UDIMM When purchasing DIMMs for use in Mac computers, make sure that the memory vendor conforms to the Joint Electron Device Engineering Council (JEDEC) specification. Check with your memory vendor to ensure that the DIMMs support the correct timing modes and that the Serial Presence Detect (SPD) feature has been programmed properly, as described in the JEDEC specification. To check the compatibility of your DIMMs, see the Macintosh Products Guide on Apple’s website at www.apple.com/guide. NOTICE: Apple recommends that you use Apple-approved DIMMs. DIMMs from older Mac computers cannot be used in your Mac Pro. You can purchase Apple-branded memory online from the Apple Store at www.apple.com/store.42 Chapter 3 Making a Good Thing Better Before you install memory, determine whether you have a quad- or 8-core Mac Pro by removing the side panel following the instructions on page 37, and looking inside:  A quad-core Mac Pro has one processor and four memory slots. You can install 1 GB or 2 GB DIMMs for a total of up to 8 GB of memory. See “Installing Memory in a QuadCore Mac Pro” on page 43.  An 8-core Mac Pro has two processors and eight memory slots. You can install 1 GB, 2 GB, or 4 GB DIMMs for a total of up to 32 GB of memory. See “Installing Memory in an 8-Core Mac Pro” on page 52. Quad-core 8-coreChapter 3 Making a Good Thing Better 43 You can also determine which Mac Pro you have by choosing Apple () > About This Mac from the menu bar. Click More Info, choose Hardware from the Contents list, and then find Number Of CPUs in Hardware Overview. A quad-core Mac Pro has one CPU and an 8-core Mac Pro has two CPUs. Installing Memory in a Quad-Core Mac Pro The quad-core Mac Pro has four memory slots, and comes with at least three 1 GB DIMMs installed. You can replace or install additional 1 GB or 2 GB DIMMs for a total of up to 8 GB of memory. It’s important that DIMMs installed in your Mac Pro are of equal specification. Use the instructions that follow to install DIMMs in a quad-core Mac Pro. To install memory: 1 Shut down your Mac Pro, open it, and remove the side panel, following the instructions on page 37. WARNING: Let your Mac Pro cool down for 5 to 10 minutes before you remove the processor tray or touch the internal components. The processor tray and components may be very hot.44 Chapter 3 Making a Good Thing Better 2 Push the latches on the processor tray until they partially open. LatchesChapter 3 Making a Good Thing Better 45 3 Pull the latches until they open all the way and release the processor tray.46 Chapter 3 Making a Good Thing Better 4 Remove the processor tray and lay it on a soft, clean cloth on the desk or work surface, to protect the tray and avoid scratching the work surface. Processor trayChapter 3 Making a Good Thing Better 47 If you install equal-size DIMMs (all 1 GB or all 2 GB) in your Mac Pro, Apple recommends that you fill the slots in the order listed in the table. Note: If you install different-size DIMMs in your Mac Pro, follow the order in the table. If the DIMM configuration you install doesn’t provide optimized performance, the Memory Slot Utility appears onscreen and recommends an improved configuration. To use the utility again, go to /System/Library/CoreServices/Memory Slot Utility. If you have Fill these slots Two DIMMs 1 and 2 Three DIMMs 1, 2, and 3 Four DIMMs 1, 2, 3, and 4 (all) Slot 4 Slot 3 Slot 2 Slot 148 Chapter 3 Making a Good Thing Better 5 Open the ejectors on DIMM slots 1, 2, and 3 and push them out to the sides. Then remove the DIMMs from the slots. 6 Install the DIMMs by aligning them in the DIMM slots and pushing both ends of the DIMM down until the tabs are vertical and the ejectors snap into place. NOTICE: To avoid damaging the DIMM, hold it by the corners and don’t touch the gold connectors or other components. Connectors Notch EjectorsChapter 3 Making a Good Thing Better 49 7 Reinstall the processor tray, pushing it in until the latches are at a 45-degree angle. 8 Push the latches all the way in to close them and seat the processor tray. Processor tray Latch50 Chapter 3 Making a Good Thing Better 9 Replace the side panel. Important: When you replace the side panel, make sure the latch is up. Hold the side panel securely so it stays in place as you push the latch down. Place the side panel in the slot and then push to close. NOTICE: Always replace the side panel after installing components. Your Mac Pro doesn’t operate properly without the side panel in place.Chapter 3 Making a Good Thing Better 51 10 Hold the side panel against your Mac Pro and push the latch down to secure the side panel. 11 You can attach a lock or cable through the metal loop to secure your Mac Pro. Flip the lock tab down before you close the latch.52 Chapter 3 Making a Good Thing Better Installing Memory in an 8-Core Mac Pro The 8-core Mac Pro has eight memory slots, and, in most configurations, comes with at least six 1 GB DIMMs installed. You can install 1 GB, 2 GB, or 4 GB DIMMs, for a total of up to 32 GB of memory. It’s important that DIMMs installed in your Mac Pro are of equal specification. Use the instructions that follow to install DIMMs in an 8-core Mac Pro. To install memory in an 8-core Mac Pro: 1 Shut down your Mac Pro, open it, and remove the side panel, following the instructions on page 37. WARNING: Let your Mac Pro cool down for 5 to 10 minutes before you remove the processor tray or touch the internal components. The processor tray and components may be very hot.Chapter 3 Making a Good Thing Better 53 2 Push the latches on the processor tray until they partially open. Latches54 Chapter 3 Making a Good Thing Better 3 Pull the latches until they open all the way and release the processor tray.Chapter 3 Making a Good Thing Better 55 4 Remove the processor tray and lay it on a soft, clean cloth on the desk or work surface to protect the tray and avoid scratching the work surface. Processor tray56 Chapter 3 Making a Good Thing Better If you install equal-size DIMMs (all 1, 2, or 4 GB) in your Mac Pro, Apple recommends that you fill the slots in the order listed in the table. If you have Fill these slots Two DIMMs 1 and 2 Three DIMMs 1, 2, and 3 Four DIMMs 1, 2, and 5, 6 Six DIMMs 1, 2, 3, and 5, 6, 7 Eight DIMMs 1, 2, 3, 4, and 5, 6, 7, 8 (all) Slot 4 Slot 3 Slot 2 Slot 1 Slot 5 Slot 6 Slot 7 Slot 8Chapter 3 Making a Good Thing Better 57 Note: If you install different-size DIMMs in your Mac Pro, follow the order in the table. If the DIMM configuration you install doesn’t provide optimized performance, the Memory Slot Utility appears onscreen and recommends an improved configuration. To use the utility again, go to /System/Library/CoreServices/Memory Slot Utility. 5 Install the DIMMs by aligning them in the DIMM slots and pushing both ends of the DIMM down until the tabs are vertical and the ejectors snap into place. NOTICE: To avoid damaging the DIMM, hold it by the corners and don’t touch the gold connectors or other components. Connectors Notch Ejectors58 Chapter 3 Making a Good Thing Better 6 Reinstall the processor tray, pushing it in until the latches are at a 45-degree angle. 7 Push the latches all the way in to close them and seat the processor tray. 8 Replace the side panel following the instructions on page 50. NOTICE: Always replace the side panel after installing components. Your Mac Pro doesn’t operate properly without the side panel in place. Processor tray LatchChapter 3 Making a Good Thing Better 59 Installing Internal Storage Devices Your Mac Pro has room for six internal drives: two optical drives and four hard disk drives. In most configurations, a single hard disk drive occupies the first hard drive bay and an optical drive is located in the top optical drive bay. You can add up to three 3.5-inch cable-free Serial ATA (SATA) hard disk drives to the empty hard drive bays or up to four Serial Attached SCSI (SAS) drives. The drives must meet these specifications:  Type: SAS or SATA 3 Gb/s  Width: 3.9 inches (102 mm)  Depth: 5.7 inches (147 mm)  Height: 1.0 inch (25.4 mm) Note: To install SAS drives in your Mac Pro, you must also install the optional Mac Pro RAID Card. For more information about requirements or devices supported, visit an Apple Authorized Reseller, the Apple Store at www.apple.com/store, or the Mac Pro Support site at www.apple.com/support/macpro. Installing SAS or SATA 3 Gb/s Hard Disk Drives Your Mac Pro can accommodate up to four internal 1-inch-high SATA or SAS 3 Gb/s hard disk drives in the hard drive bays. If your Mac Pro comes with a single drive installed, it’s in the first bay. You can install drives in the second, third, and fourth hard drive bays.60 Chapter 3 Making a Good Thing Better To install a hard disk drive: 1 Open your Mac Pro and remove the side panel following the instructions that begin on page 37. 2 Lift the latch to unlock the hard drive carriers. Note: When the latch is down, the carriers are locked in the drive bays and can’t be removed. 3 Pull the hard drive carrier out of the drive bay. Hard drive carrierChapter 3 Making a Good Thing Better 61 4 Position the carrier over the hard disk drive with the connectors at the rear. 5 Use the four screws on the carrier to attach the hard disk drive to the carrier. NOTICE: Hold the drive by its sides. To avoid damaging the drive, don't touch the printed circuit board. Connectors62 Chapter 3 Making a Good Thing Better 6 Lift the latch and slide the carrier over the guides and into the drive bay until it’s touching the hard drive connectors and is seated in the bay. 7 Replace the side panel following the instructions on page 50. NOTICE: Always replace the side panel after installing components. Your Mac Pro doesn’t operate properly without the side panel in place. Hard drive connectorsChapter 3 Making a Good Thing Better 63 Replacing the Optical Drive Your Mac Pro comes with one or two SuperDrives installed in the optical drive bays. Follow these instructions to replace your optical drive. Important: Contact your drive manufacturer or consult the manufacturer’s website to determine if your drive is set to cable select mode. Before installation, set the drive to cable select mode if the manufacturer hasn’t already done so. To replace the optical drive: 1 Open your Mac Pro and remove the side panel following the instructions that begin on page 37. 2 Lift the latch to unlock the optical drive carriers. Note: When the latch is down, the drives and carriers are locked in the drive bays and can’t be removed.64 Chapter 3 Making a Good Thing Better 3 Pull the optical drive carrier halfway out of the optical drive bay.Chapter 3 Making a Good Thing Better 65 4 Disconnect the cable from the optical drive and remove the carrier from the optical drive bay. NOTICE: When you install or replace optical drives, use the original Apple cables that came with your Mac Pro.66 Chapter 3 Making a Good Thing Better 5 Remove the optical drive from the carrier by unscrewing the four attachment screws. 6 Use the four screws from the original optical drive to attach the replacement drive to the carrier. Chapter 3 Making a Good Thing Better 67 7 Slide the optical drive and carrier over the guides halfway into the drive bay. 8 Attach the cable to the back of the drive. Cable middle connector Cable end connector68 Chapter 3 Making a Good Thing Better 9 Lift the latch and then slide the optical drive carrier into the drive bay, pushing it into place. 10 Replace the side panel following the instructions on page 50. NOTICE: Always replace the side panel after installing components. Your Mac Pro doesn’t operate properly without the side panel in place.Chapter 3 Making a Good Thing Better 69 Adding PCI Express Cards You can expand the capabilities of your Mac Pro by installing cards in the Peripheral Component Interconnect (PCI) Express slots. Your Mac Pro has one double-wide PCI Express graphics slot and three PCI Express expansion slots, for a total of four slots. These slots accommodate PCI Express graphics cards and expansion cards. About PCI Express Cards Your Mac Pro comes with a high-performance PCI Express graphics card, which contains the graphics processor unit (GPU) and provides the computer’s display ports. The graphics card is installed in slot 1. You can install additional PCI Express graphics and expansion cards. Before installing a card, check its specifications to make sure it can operate in your Mac Pro:  Slots 1 and 2 are x16, PCI Express 2.0 slots  Slots 3 and 4 are x4, PCI Express 2.0 slots All four slots support 16-lane cards. Important: Combined maximum power consumption for all four PCI Express slots must not exceed 300 watts (W).70 Chapter 3 Making a Good Thing Better To install a PCI Express card: 1 Open your Mac Pro and remove the side panel following the instructions that begin on page 37. 2 Unscrew the captive screws in the PCI bracket and remove the bracket. 3 Remove the port access cover from the slot in which you plan to install the card. WARNING: To avoid damaging internal components or the components you want to install, always turn off and then unplug your Mac Pro. Do not attempt to install items while it is plugged in. Let your Mac Pro cool down for 5 to 10 minutes before you touch the internal components, which may be very hot. Port access cover PCI bracketChapter 3 Making a Good Thing Better 71 4 Press the button on the PCI slider and move the slider to the left, which moves the retention bar. 5 Remove your new card from its static-proof bag and hold it by its corners. Don’t touch the gold connector or the components on the card. Did You Know?—Installing a Full-Length PCI Card It may be easier to install a PCI card if you remove the hard disk drives and carriers (see page 59), and remove adjacent cards. Make sure the end of the card goes in the appropriate card guide before aligning the card with the PCI slot and completing the installation. PCI slider Button Retention bar72 Chapter 3 Making a Good Thing Better 6 Align the card’s connector with the expansion slot and press the card into the slot. 7 Press the card gently but firmly until the connector is fully inserted. Press only on the bare areas of the card to avoid damaging the components. Don’t rock the card from side to side or force it. If you meet resistance, check the connector and slot for damage or obstructions, and then try inserting the card again. 8 Pull the card gently to see if it is properly connected. If it stays in place and its gold connectors are barely visible, the card is connected. 9 Move the PCI slider to the right to secure the card. PCI slider Hook on card Retention bar PCI Express slotChapter 3 Making a Good Thing Better 73 10 Replace the PCI bracket under the brace and tighten the screws to secure the card. 11 Replace the side panel following the instructions on page 50. NOTICE: If you remove a card and don’t install a replacement, place a port access cover over the empty slot to keep foreign objects out of the enclosure. An uncovered slot affects the airflow that cools the internal components and may cause damage. NOTICE: Always replace the side panel after installing components. Your Mac Pro doesn’t operate properly without the side panel in place. Brace PCI bracket74 Chapter 3 Making a Good Thing Better Replacing the Internal Backup Battery Your Mac Pro uses a BR 2032 Lithium battery that preserves settings, such as the date and time, when your Mac Pro is off. If you notice intermittent problems when your Mac Pro starts up or changes in the date and time settings, replace the battery. Important: Dispose of the old battery according to your local environmental laws. To replace the battery: 1 Open your Mac Pro and remove the side panel, following the instructions on page 37. 2 Remove any PCI Express cards that block access to the battery. See “Adding PCI Express Cards” on page 69 for instructions. 3 Remove the old battery from the holder. WARNING: Installing the battery incorrectly may cause an explosion. Use only the same type of battery or an equivalent recommended by the manufacturer of the original.Chapter 3 Making a Good Thing Better 75 4 Insert the new battery in the holder with the positive (+) side facing up. 5 Replace the PCI Express cards that you removed (see page 69). 6 Replace the side panel and push the latch down to secure it.4 4 Problem, Meet Solution www.apple.com/support Mac Help help78 Chapter 4 Problem, Meet Solution Occasionally you may have problems while working with your Mac Pro. Read on for troubleshooting tips to try when you have a problem. You can also find more troubleshooting information in Mac Help or on the Mac Pro Service & Support website at www.apple.com/support/macpro. If you experience a problem working with your Mac Pro, there is usually a simple and quick solution. If you encounter a problem, try to make a note of what you did before the problem occurred. This can help you narrow down the possible causes of the problem and then find the answers you need. Things to note include:  The applications you were using when the problem occurred. Problems that occur only with a specific application may indicate that the application is not compatible with the Mac OS version installed on your computer.  Any software that you recently installed.  Any new hardware (such as memory, graphics or PCI Express cards, hard disk drives) you installed or peripheral that you connected Problems with Your Mac Pro If your Mac Pro won’t respond or turn on, you have trouble ejecting a disk, or the status light is flashing, try the steps in this section. If the computer won’t respond or the pointer won’t move First, make sure the mouse and keyboard are connected by unplugging and then plugging in the connectors, and make sure they are firmly seated.Chapter 4 Problem, Meet Solution 79 Then try to cancel what the computer is doing.  Press the Command (x) and Q keys at the same time to try to quit the current application.  Press the Command (x) and period keys at the same time. If a dialog appears, click Cancel.  Choose Apple () > Force Quit and select the application you want to quit. You can also force quit by pressing the Esc, Option, and Command (x) keys at the same time. Restart your Mac Pro by choosing Apple () > Restart to be sure the problem is entirely cleared up. You can also restart by pressing the power (®) button for about 5 or 6 seconds until your Mac Pro shuts down. Press the power (®) button again to start up your Mac Pro.  If the problem occurs only when you use a particular program, check with the program’s manufacturer to see if it is compatible with your computer.  If the problem occurs frequently, choose Help > Mac Help and search for “problems. “ If the computer won’t turn on or start up  Make sure the power cord is connected to a working power source. The plug on the power cord must be completely inserted into the computer’s power socket and firmly seated.  If your computer still does not start up, try resetting the parameter random access memory (PRAM). Turn on the computer and immediately hold down the Command (x), Option, P, and R keys until you hear the startup sound a second time. Release the keys. Set your hard disk as the computer’s startup disk, by doing the following: 1 Choose Apple () > System Preferences. 2 Click Startup Disk.80 Chapter 4 Problem, Meet Solution 3 Select your hard disk. The PRAM is reset to the default values and your clock settings may need to be reset.  If your computer does not start up after resetting the PRAM, restart your computer while holding down the Option key to select your startup disk.  If this doesn’t work, restart your computer while holding down the Shift key. If you are unable to eject a disc A file on the disc may be in use. Quit applications that are open, and then try again. If that doesn’t work, choose Apple () > Restart and hold down either the mouse button or the Media Eject (C) key on your Apple Keyboard. If that doesn’t work: 1 Shut down the computer and remove the side panel (see the instructions on page 37). 2 Pull the optical drive carrier out of the optical drive bay (see page 64). 3 Carefully insert the end of a straightened paper clip into the small hole on the front of the optical drive. 4 Push firmly until the tray opens, remove the disc, and push the tray to close it. 5 Replace the optical drive carrier and the side panel (see page 68). If the status light flashes and the computer won’t start up  If you recently installed memory, a PCI expansion card, or another internal component, make sure that it is correctly installed and that it is compatible with your computer. See if removing it allows the computer to start up.  If the status light still flashes, determine the number of flashes to identify the problem:Chapter 4 Problem, Meet Solution 81  One short flash followed by a longer off period: No valid memory.  Three short flashes followed by a longer off period: Failed memory. Problems with Software When an application freezes or does not respond, Mac OS X provides a way to quit the application without restarting your computer. Quitting a frozen application may allow you to save your work in other open applications. To force an application to quit: 1 Press Command (x)-Option-Esc or choose Apple () > Force Quit from the menu bar. 2 Select the name of the application you want to quit in the Force Quit Applications dialogue. 3 Click Force Quit. The application quits, leaving all other applications open. If you have a problem with a software program  Use Software Update to ensure that you have the latest drivers, bug fixes, and other updates.  For problems with software from a manufacturer other than Apple, contact the manufacturer. If you have a problem using your computer or working with Mac OS X  Look in Mac Help (in the Help menu) for instructions and troubleshooting information.  For the latest troubleshooting information and software updates, go to the Apple Support website at www.apple.com/support.82 Chapter 4 Problem, Meet Solution Keeping Your Software Up to Date You can connect to the Internet and automatically download and install the latest free software versions, drivers, and other enhancements from Apple. When you are connected to the Internet, Software Update checks to see if any updates are available for your computer. You can set your Mac Pro to check for updates periodically, and then you can download and install updated software. To check for updated software: 1 Choose Apple () > Software Update. 2 Follow the onscreen instructions.  For more information, search for “Software Update” in Mac Help.  For the latest information about Mac OS X, go to the Mac OS X website at www.apple.com/macosx. Problems with AirPort Wireless Communication If you have a problem using AirPort wireless communication:  Use System Profiler to make sure you have an AirPort card installed in your Mac Pro. To open System Profiler, choose Apple () > About This Mac from the menu bar, and then click More Info. Choose Network from the Contents list, and then choose AirPort Card. If your Mac Pro doesn’t have an AirPort card, you’ll see “No information found.” If you would like an AirPort card installed in your Mac Pro, see page 92.  Make sure you have properly configured the software according to the instructions that came with your base station.Chapter 4 Problem, Meet Solution 83  Make sure the computer or network you are trying to connect to is running and has a wireless access point.  Make sure you are within antenna range of the other computer or the network’s access point. Nearby electronic devices or metal structures can interfere with wireless communication and reduce this range. Repositioning or rotating the computer may improve reception.  Make sure the side panel is closed (see page 50) and the PCI port access covers are in place (see page 73). Antenna reception is reduced when your Mac Pro is not closed properly.  Check the AirPort signal level. You may have up to four bars in the AirPort status icon in the menu bar.  See AirPort Help (choose Help > Mac Help, and then choose Library > AirPort Help from the menu bar). Also see the instructions that came with the wireless device for more information. Problems with Your Display NOTICE: If you have a problem with your Apple display and nothing in this manual solves it, contact an Apple Authorized Service Provider or Apple for assistance. If you attempt to repair the display yourself, any damage you may cause to the display will not be covered by the limited warranty on your display. Contact an Apple Authorized Reseller or Apple Authorized Service Provider for additional information about this or any other warranty question.84 Chapter 4 Problem, Meet Solution If no image appears on the screen  Make sure the computer is turned on, and if the display has a power button, make sure it is turned on.  Make sure the cables are connected properly to your computer and the display.  If your graphics card has an internal power cable, make sure it’s connected to the card and the logic board.  Make sure your computer is not in sleep. Press the power button or any key to see if the computer wakes.  Make sure the display brightness and contrast are set properly. Use the brightness keys on the Apple Keyboard. Some displays also have brightness and contrast controls on or under their front edge or on the side.  Reset the PRAM by restarting the computer while holding down the Command (x), Option, P, and R keys until you hear the startup sound a second time. Then start up using the software installation disc that came with your computer. If the screen image appears dim or flickers  Adjust the display brightness and contrast settings. Use the brightness keys on the Apple Keyboard. Some displays also have brightness and contrast controls on or under their front edge. Or you may be able to adjust brightness or contrast using the Displays pane of System Preferences.  Calibrate the display by choosing Apple () > System Preferences. Click Displays, select Color, and click Calibrate. For more information on color and your display, see Mac Help.Chapter 4 Problem, Meet Solution 85  The flickering may be caused by interference from a nearby power line, a fluorescent light, or an electrical device—for example, a radio, a microwave oven, or another computer. Try relocating nearby electrical devices or moving your computer and display. If no colors appear on the screen or the colors don’t look right  Make sure the display is connected firmly to the computer.  Open the Displays pane of System Preferences and make sure the display is set to display millions of colors. For more information about color and your display, see Mac Help.  Calibrate the display, as described on page 84. If after you change the screen resolution, desktop icons move Changing the screen resolution affects the display of information on your screen. The operating system may reposition icons when you change the screen resolution. If the screen freezes  Force the frozen application to quit. Hold down the Command and Option keys and press Esc. Then select the application in the list and click Force Quit.  If that doesn’t work, force the computer to restart by pressing the power (®) button for 5 or 6 seconds until your Mac Pro shuts down. Press the power (®) button again to start up your Mac Pro.86 Chapter 4 Problem, Meet Solution If your display has a light on the front and it’s flashing On some Apple flat panel displays, the power light displays a series of short flashes when an error is detected.  If you see a repeating sequence of three short flashes, the display is detecting input in the wrong video format. Make sure your display is compatible with your graphics card and that you’ve installed the correct display software, if your display came with installation software.  If you see a sequence of two short flashes and a long flash, the display is detecting a problem with a backlighting lamp. Contact an Apple Authorized Reseller or Apple Authorized Service Provider. Problems with Your Internet Connection If you have trouble with your Internet connection, you can try the steps in this section starting with Network Diagnostics. To use Network Diagnostics: 1 Choose Apple () > System Preferences. 2 Click Network and then click “Assist me” at the bottom of the page. 3 Click Diagnostics to open Network Diagnostics. 4 Follow the onscreen instructions. If Network Diagnostics can’t resolve the problem, there may be a problem with the Internet service provider (ISP) you are trying to connect to, with an external device you are using to connect to your ISP, or with the server you are trying to access. You can also try the steps in the following section.Chapter 4 Problem, Meet Solution 87 Cable Modem, DSL, and LAN Internet Connections Make sure all modem cables are fully plugged in, including the modem power cord, the cable from the modem to the computer, and the cable from the modem to the wall jack. Check the cables and power supplies for Ethernet hubs and routers. Turn the modem off and on to reset the modem hardware. Turn off your DSL or cable modem for a few minutes, and then turn it back on. Some ISPs recommend that you unplug the modem’s power cord. If your modem has a reset button, you can press it either before or after you turn the power off and on. PPPoE Connections If you are unable to connect to your Internet service provider using PPPoE, make sure you have entered the correct information in Network preferences. To enter PPPoE settings: 1 Choose Apple () > System Preferences. 2 Click Network. 3 Click Add (+) at the bottom of the network connection services list, and choose PPPoE from the Interface pop-up menu. 4 Choose an interface for the PPPoE service from the Ethernet pop-up menu. Choose Ethernet if you are connecting to a wired network, or AirPort if you are connecting to a wireless network. 5 Enter the information you received from your service provider, such as the account name, password, and PPPoE service name (if your service provider requires it). 6 Click Apply to make the settings active.88 Chapter 4 Problem, Meet Solution Network Connections Make sure the Ethernet cable is plugged into your computer and into the network. Check the cables and power supplies to your Ethernet hubs and routers. If you have two or more computers sharing an Internet connection, be sure that your network is set up properly. You need to know if your ISP provides only one IP address or if it provides multiple IP addresses, one for each computer. If only one IP address is used, then you must have a router capable of sharing the connection, also known as network address translation (NAT) or “IP masquerading.” For setup information, check the documentation provided with your router or ask the person who set up your network. You can use an AirPort Base Station to share one IP address among multiple computers. For information about using an AirPort Base Station, search for “AirPort” Mac Help or visit the AirPort support website at www.apple.com/support/airport. If you cannot resolve the issue using these steps, contact your ISP or network administrator.Chapter 4 Problem, Meet Solution 89 Using Apple Hardware Test If you suspect a problem with your Mac Pro hardware, use the Apple Hardware Test application to help determine if there’s a problem with one of the computer’s components, such as the memory or processor. To use Apple Hardware Test: 1 Disconnect all external devices from your Mac Pro, except the keyboard and mouse. If you have an Ethernet cable connected, disconnect it. 2 Restart your Mac Pro while holding down the D key. 3 When the Apple Hardware Test chooser screen appears, select the language you want to use. 4 Press the Return key or click the right arrow button. 5 When the Apple Hardware Test main screen appears (after about 45 seconds), follow the onscreen instructions. 6 If Apple Hardware Test detects a problem, it displays an error code. Make a note of the error code before pursuing support options. If Apple Hardware Test doesn’t detect a hardware failure, the problem may be software-related. If this procedure doesn’t work, you can insert the Applications Install DVD that came with your Mac Pro to use Apple Hardware Test. For more information, see the Apple Hardware Test Read Me file on the Applications Install DVD.90 Chapter 4 Problem, Meet Solution Reinstalling the Software That Came with Your Mac Pro Use the software installation discs that came with your Mac Pro to reinstall Mac OS X and any applications that came with your computer. You can choose “Archive and Install,” which saves your existing files and settings, or “Erase and Install,” which erases all your data. Important: Apple recommends that you back up the data on your hard disk before restoring software. Because the “Erase and Install” option erases your hard disk, you should back up your essential files before installing Mac OS X and other applications. Apple is not responsible for any lost data. Installing Mac OS X To install Mac OS X: 1 Back up your important files. 2 Insert the Mac OS X Install DVD that came with your computer. 3 Double-click Install Mac OS X. 4 Follow the onscreen instructions. Note: To restore Mac OS X on your computer to the original factory settings, click Options in the “Select a Destination” pane of the Installer, and then select “Erase and Install.” If you choose “Erase and Install,” you’ll see a message reminding you to use the Applications Install DVD to reinstall the bundled applications that came with your computer. 5 When the installation is complete, click Restart to restart your computer. 6 Follow the prompts in the Setup Assistant to set up your user account.Chapter 4 Problem, Meet Solution 91 Installing Applications If you reinstall Mac OS X on your computer and select the “Erase and Install” option, you must reinstall the applications that came with your computer, such as the iLife applications. To install the applications that came with your computer: 1 Back up your important files. 2 Insert the Applications Install DVD that came with your computer. 3 Double-click Install Bundled Software. 4 Follow the onscreen instructions. 5 When the installation is complete, click Close. Maximizing Ethernet Performance Your computer performs best when the Ethernet port to which it is connected is set to autonegotiate. Ask your network administrator to verify this setting. Important: If you experience connection problems on your network, make sure your network switch is set to autonegotiate, if possible. If a switch’s port is not autonegotiating, your computer detects the appropriate speed but defaults to halfduplex mode. If the switch’s port at the other end of the link is configured for fullduplex mode, a large number of late events can occur on the link. If it isn’t possible to set the switch to autonegotiate, then set the switch’s port to half-duplex. For more information, see the documentation that came with the Ethernet switch.92 Chapter 4 Problem, Meet Solution Note: If you connect your computer directly to a configurable Ethernet switch, have your network administrator disable the spanning tree protocol on that port. Otherwise your computer may duplicate the AppleTalk address of another computer on the same network and both network connections may become unreliable. Learning More, Service, and Support If your Mac Pro needs service, take it to an Apple Authorized Service Provider or contact Apple for service. You can find more information about your Mac Pro through online resources, onscreen help, System Profiler, or Apple Hardware Test. If you didn’t order AirPort wireless technology with your Mac Pro, contact an Apple Authorized Service Provider or an Apple Store to purchase it and have it installed. Online Resources For online service and support information, go to www.apple.com/support. Choose your country from the pop-up menu. You can search the AppleCare Knowledge Base, check for software updates, or get help from Apple’s discussion boards. Onscreen Help You can often find answers to your questions, as well as instructions and troubleshooting information, in Mac Help. Choose Help > Mac Help.Chapter 4 Problem, Meet Solution 93 System Profiler To get information about your computer, use System Profiler. System Profiler shows you which hardware and software is installed, the serial number and operating system version, how much memory is installed, and more. To open System Profiler, choose Apple () > About This Mac from the menu bar and then click More Info. Apple Hardware Test You can use Apple Hardware Test to diagnose hardware problems on your Mac Pro. For more information, see “Using Apple Hardware Test” on page 89. AppleCare Service and Support Your Mac Pro comes with 90 days of technical support and one year of hardware repair warranty coverage at an Apple Store retail location or an Apple-authorized repair center, such as Apple Authorized Service Provider (AASP). You can extend your coverage by purchasing the AppleCare Protection Plan. For information, visit www.apple.com/support/products or visit the website address for your country listed in the table. If you need assistance, AppleCare telephone support representatives can help you with installing and opening applications, and basic troubleshooting. Call the support center number nearest you (the first 90 days are complimentary). Have the purchase date and your Mac Pro serial number ready when you call.94 Chapter 4 Problem, Meet Solution Note: Your 90 days of complimentary telephone support begins on the date of purchase. Telephone fees may apply. Telephone numbers are subject to change, and local and national telephone rates may apply. A complete list is available on the web: Locating Your Serial Number Use any of these methods to find your Mac Pro serial number:  Choose Apple () from the menu bar and then choose About This Mac. Click the version number beneath the words “Mac OS X” to cycle through the Mac OS X version number, the build version, and the serial number.  Open System Profiler (in /Applications/Utilities/) and click Hardware.  Look on the configuration label, which is located on the back of your Mac Pro near the video ports. Country Phone Website United States 1-800-275-2273 www.apple.com/support Australia (61) 1-300-321-456 www.apple.com/au/support Canada (English) (French) 1-800-263-3394 www.apple.com/ca/support www.apple.com/ca/fr/support Ireland (353) 1850 946 191 www.apple.com/ie/support New Zealand 00800-7666-7666 www.apple.com/nz/support United Kingdom (44) 0870 876 0753 www.apple.com/uk/support www.apple.com/contact/phone_contacts.html5 5 What’s Under the Hood www.apple.com/macpro Mac Help System Profiler96 Chapter 5 What’s Under the Hood The technical specifications of your Mac Pro are included in this section. Specifications Use System Profiler to find detailed information about your Mac Pro, including the amount of installed memory, hard disk size, connected devices, and product serial number. To open System Profiler, choose Apple () > About This Mac from the menu bar, and then click More Info. Processor and Memory Specifications Processor  One or two Quad-Core Intel Xeon series processors  8 MB of shared L3 cache per processor Random-access memory (RAM)  Unbuffered dual inline memory modules (UDIMMs)  PC3-8500, 1066 MHz, DDR3 SDRAM UDIMMs  DIMM slots  Eight slots available in an 8-core Mac Pro  Four slots available in a quad-core Mac Pro  Error-correcting code (ECC)  72-bit wide, 240-pin ECC modules  36 ICs maximum per ECC UDIMM  Must conform to JEDEC specification (see page 41)  NonparityChapter 5 What’s Under the Hood 97 Graphics Card PCI Express 2.0 graphics card with a dual-link Digital Visual Interface (DVI) connector and a Mini DisplayPort connector. Video Display Modes For technical specifications for your display:  Apple displays: Go to www.apple.com/displays  Non-Apple displays: Go to www.apple.com/guide Storage  Four independent 3 Gb/s Serial ATA (SATA), cable-free, direct-attach 3.5-inch hard drive bays  Type: SATA 3 Gb/s  Width: 3.9 inches (102 mm)  Depth: 5.7 inches (147 mm)  Height: 1.0 inch (25.4 mm)  Four internal hard drive carriers98 Chapter 5 What’s Under the Hood PCI Express Expansion  Four full-length PCI Express expansion slots (slot 1 contains the graphics card)  Slots 1 and 2 are x16, PCI Express 2.0 slots  Slots 3 and 4 are x4, PCI Express 2.0 slots  All four slots can support 16-lane cards  300 W combined maximum for all PCI Express slots SuperDrive (DVD±R DL/DVD±RW/CD-RW) Specifications  Disc diameters supported: 12 cm and 8 cm Data formats  CD-ROM  CD-Audio  CD-R  CD-RW  CD-I  CD-I Bridge  CD Extended  CD Mixed Mode  Photo CD  Video CD  Enhanced CD  DVD-Video  DVD±RChapter 5 What’s Under the Hood 99  DVD±RW  DVD±R DL USB Specifications  Support for Universal Serial Bus (USB) 2.0 and 1.1  Seven external USB Type A ports  Two USB 2.0 ports on the front  Three USB 2.0 ports on the back  Two USB 2.0 ports on the Apple Keyboard  Each USB port (front and rear) is on a separate 480 megabit-per-second (Mbit/s) USB channel  500 milliamperes (mA) available for a total of 1.5 A on the rear and 1.0 A on the front FireWire Specifications  Four external FireWire ports: Two FireWire 800 ports (9-pin) on the front and two on the back  Data transfer speed: 100, 200, 400, and 800 Mbit/s Power  Output voltage: Approximately 12 V  Output power: Up to a maximum of 28 W for all 4 ports or 12 W for any one port100 Chapter 5 What’s Under the Hood Ethernet Specifications  IEEE 802.3 compliant  Maximum cable length: 328 feet (100 meters)  Protocols: Open Transport, AppleShare, AppleTalk, NetWare for Macintosh, TCP/IP  Connector: RJ-45 for 10Base-T, 100Base-TX, and 1000Base-T  Media, 10Base-T: Category (CAT) 3 or higher UTP on 2 pairs up to 100 m  Media, 100Base-TX: CAT 5e UTP on 2 pairs up to 100 m  Media, 1000Base-T: CAT 5e UTP on 4 pairs up to 100 m  Channel speeds: IEEE Autonegotiation of 10Base-T, 100Base-TX, and 1000Base-T Bluetooth 2.1+EDR Specifications  Wireless data rate: Up to 3 Mbit/s  Range: Up to 33 feet or 10 meters (data rates may vary depending on environmental conditions)  Frequency band: 2.4 gigahertz (GHz) AirPort Extreme Specifications (Optional)  Frequency band: 2.4 and 5 gigahertz (GHz)  Radio output power: 20 dBm (nominal) Compatibility  802.11a, b, g, and nChapter 5 What’s Under the Hood 101 Optical Digital Audio Specifications  Data format: Sony/Phillips Digital Interface (S/PDIF) protocol (IEC60958-3)  Connector type: TOSLINK optical (IEC60874-17)  Bits per sample: 16-bit, 20-bit, or 24-bit Optical digital audio out Based on a typical situation with playback of a 1 kHz, 0dBFS 24-bit sine wave, 44.1 kHz output sample rate, unless otherwise specified below.  Output sample rate: 44.1 kHz, 48 kHz, or 96 kHz  Signal-to-noise ratio: Greater than130 dB  Total harmonic distortion + noise: Less than -130 dB (0.00003 percent) Optical digital audio in Based on a typical situation with playback of a 1 kHz, 0dBFS 24-bit sine wave, unless otherwise specified below.  Input sample rate: 44.1 kHz, 48 kHz, or 96 kHz  Signal-to-noise ratio: Greater than130 dB  Total harmonic distortion + noise: Less than -130 dB (0.00003 percent) Analog Audio Specifications  Sample rate: 44.1 kHz, 48 kHz, or 96 kHz  Jack type: 1/8” mini  Bits per sample: 16-bit, 20-bit, or 24-bit  Frequency response: 20 Hz to 20 kHz, +0.5 dB/-3 dB 102 Chapter 5 What’s Under the Hood Analog audio out using the headphone jack (typical values) Based on a typical situation with playback of a 1 kHz, -3dBFS 24-bit sine wave, 44.1 kHz output sample rate into 150 ohms, unless otherwise specified below.  Output voltage: 1.3 volts (root mean square) (Vrms ) (+4.5 dBu)  Output impedance: 55 ohms  Output power: 53 milliwatts (mW) into 32 ohms  Signal-to-noise ratio: Greater than 90 dB  Total harmonic distortion + noise: Less than -70 dB (.03 percent)  Channel separation: Greater than 50 dB Analog audio line in (typical values) Based on a typical situation with playback of a 1 kHz, -3dBFS 24-bit sine wave, 44.1 kHz output sample rate, unless otherwise specified below.  Maximum input voltage: 2 Vrms (+8.2 dBu)  Input impedance: Greater than 17 kilohms  Signal-to-noise ratio: Greater than 90 dB  Total harmonic distortion + noise: Less than -85 dB (.006 percent)  Channel separation: Greater than 85 dB Analog audio line out (typical values) Based on a typical situation with playback of a 1 kHz, -3dBFS 24-bit sine wave, 44.1 kHz output sample rate into 100 kilohms, unless otherwise specified below.  Output voltage: 2 Vrms (+8.2 dBu)  Output impedance: 33 ohmsChapter 5 What’s Under the Hood 103  Signal-to-noise ratio: Greater than 90 dB  Total harmonic distortion + noise: Less than -85 dB (.006 percent)  Channel separation: Greater than 85 dB External microphone input using the headphone jack (typical values) Based on a typical situation with playback of a 1 kHz, 28 mVrms sine wave, 44.1 kHz input sample rate, 24-bit sampling, unless otherwise specified below.  Maximum input voltage: 39 mVrms (-26 dBu)  Input impedance: Greater than 1 kilohm  Signal-to-noise ratio: Greater than 60 dB  Total harmonic distortion + noise: Less than -60 dB (0.1 percent)  Frequency response: 100 Hz to 8.2 kHz, +0.5 dB/-3 dB Power Supply AC line input  Voltage ranges: 100–240 V alternating current (AC)  Current: Maximum of 12 A (low voltage range) or 6 A (high voltage range)  Frequency: 50–60 Hz single phase Power Requirements for Expansion Cards and Peripherals Expansion cards Combined maximum power consumption for all four PCI Express slots should not exceed 300 watts (W). USB devices Each of the computer’s built-in USB ports is allotted 500 mA. 104 Chapter 5 What’s Under the Hood FireWire devices The computer can provide up to 28 W total to the FireWire ports. System Clock and Battery Your computer has CMOS custom circuitry with a long-life battery. Battery Use a 3-volt, BR 2032 Lithium coin cell replacement battery (see “Replacing the Internal Backup Battery” on page 74). Dimensions and Operating Environment Dimensions  Weight: 39.9 lbs. (18.1 kg) The weight depends on the configuration. The weight above is for a basic configuration and may be greater if optional devices are installed.  Height: 20.1 inches (51.1 cm)  Width: 8.1 inches (20.6 cm)  Depth: 18.7 inches (47.5 cm) Operating environment  Operating temperature: 50° to 95° F (10° to 35° C)  Storage temperature: –40° to 116° F (–40° to 47° C)  Relative humidity: 5% to 95% (noncondensing)  Maximum altitude: 10,000 feet (3048 meters)6 6 Last, but Not Least www.apple.com/environment Mac Help ergonomics106 Chapter 6 Last, but Not Least This chapter provides important information about safety procedures, routine maintenance, and ergonomic considerations for using your Mac Pro and display. For your safety and that of your equipment, follow these rules for handling and cleaning your Mac Pro and for working more comfortably. Keep these instructions handy for reference by you and others. Important Safety Information The only way to disconnect power completely from your Mac Pro is to unplug the power cord from the main power supply. To disconnect your display completely, you must also unplug its power cable from the computer or power outlet. Make sure that at least one end of the device’s power cord is within easy reach so that you can unplug the computer or display when necessary. Always take the following precautions. Disconnect the power plug (by pulling the plug, not the cord), from your computer or display and disconnect the phone cord if any of the following conditions exist:  The power cord or plug becomes frayed or otherwise damaged  You spill something into the case NOTICE: Incorrect storage or use of your computer may void the manufacturer’s warranty. WARNING: Failure to follow these safety instructions could result in fire, electric shock, or other injury or damage.Chapter 6 Last, but Not Least 107  Your computer or display is exposed to rain or any other excess moisture  Your computer or display has been dropped or the case has been otherwise damaged  You suspect that your computer or display needs service or repair  You want to clean the computer or the case or screen of the display If you plan to store your computer for an extended period of time, remove the battery. For service or questions about your warranty, contact an Apple Authorized Service Provider or Apple. See “Learning More, Service, and Support” on page 92. General Maintenance If you need to clean the computer or display by doing more than wiping it down with a clean cloth, follow these instructions: 1 Turn off your computer and display. 2 Disconnect the computer power cable from the electrical outlet or power strip. If your display is connected to an outlet, disconnect it as well. 3 Disconnect the display’s cables from the computer. 4 Clean the display screen with soft, lint-free paper or cloth dampened with mild soap and water. WARNING: Do not spray liquid directly onto the display screen. Liquid could drip inside the display and cause electrical shock.108 Chapter 6 Last, but Not Least 5 Wipe the computer or display case surfaces lightly with a clean, soft cloth dampened with water. Protecting Your Optical Drive To keep your optical drive working properly:  Position your computer so that the drive tray doesn’t bump into anything when it opens.  Close the drive when you’re not using it.  Do not put anything on the drive tray when it is open.  Do not touch the optical drive lens with your fingers. Do not wipe the lens with a paper towel or other abrasive surface. If you need to clean the lens, see an Apple Authorized Service Provider for a lens cleaner.  Keep your computer away from any source of moisture. Laser Information for Optical Disc Drive For your safety, have the optical drive serviced only by an Apple Authorized Service Provider. NOTICE: Don’t use alcohol, aerosol sprays, solvents, or abrasives that might damage the finish on the case. WARNING: Making adjustments or performing procedures other than those specified in your equipment’s manual may result in hazardous radiation exposure. The optical disc drive in your computer contains a laser that is safe in normal use but that may be harmful to your eyes if disassembled.Chapter 6 Last, but Not Least 109 Maintaining Your Display To maintain your display and ensure its long life:  Do not press on the surface of the display screen.  Do not write on the screen or touch the screen with a sharp object.  If you will not be using your computer for a day or more, turn off the computer and, if the display has a power button, turn off the display. You can also use Energy Saver. Cleaning Your Apple Mouse You may need to clean your mouse from time to time to remove dirt and dust that has accumulated in the scroll ball area. Hold the mouse upside-down and roll the scroll ball vigorously using a clean, soft, lint-free cloth to help dislodge any particles that may interfere with proper scrolling. Understanding Ergonomics Here are some tips for setting up a healthy work environment. Keyboard When you use the keyboard, your shoulders should be relaxed. Your upper arm and forearm should form an approximate right angle, with your wrist and hand in roughly a straight line. Change hand positions often to avoid fatigue. Some computer users might develop discomfort in their hands, wrists, or arms after intensive work without breaks. If you begin to develop chronic pain or discomfort in your hands, wrists, or arms, consult a qualified health specialist.110 Chapter 6 Last, but Not Least Mouse Position the mouse at the same height as the keyboard and within a comfortable reach. Chair An adjustable chair that provides firm, comfortable support is best. Adjust the height of the chair so your thighs are horizontal and your feet are flat on the floor. The back of the chair should support your lower back (lumbar region). Follow the manufacturer’s instructions for adjusting the backrest to fit your body properly. You might have to raise your chair so that your forearms and hands are at the proper angle to the keyboard. If this makes it impossible to rest your feet flat on the floor, use a footrest with adjustable height and tilt to make up for any gap between the floor and your feet. Or you can lower the desktop to eliminate the need for a footrest. Another option is to use a desk with a keyboard tray that’s lower than the regular work surface. Display Arrange the display so that the top of the screen is slightly below eye level when you’re sitting at the keyboard. The best distance from your eyes to the screen is up to you, although most people seem to prefer 18 to 28 inches (45 to 70 cm).Chapter 6 Last, but Not Least 111 Position the display to minimize glare and reflections on the screen from overhead lights and nearby windows. If possible, use a tiltable display stand. The stand lets you set the display at the best angle for viewing, helping to reduce or eliminate glare from lighting sources you can’t move. More information about ergonomics is available on the web: Thighs tilted slightly Shoulders relaxed Screen positioned to avoid reflected glare Forearms and hands in a straight line Forearms level or tilted slightly Lower back supported Feet flat on the floor or on a footrest Top of the screen at or slightly below eye level (You may need to adjust the height of your display by raising or lowering your work surface) Clearance under work surface 18–28 in. (45–70 cm) www.apple.com/about/ergonomics112 Chapter 6 Last, but Not Least Avoid Hearing Damage Apple and the Environment Apple Inc. recognizes its responsibility to minimize the environmental impacts of its operations and products. More information is available on the web: WARNING: Permanent hearing loss may occur if earbuds or headphones are used at high volume. You can adapt over time to a higher volume of sound that may sound normal but can be damaging to your hearing. If you experience ringing in your ears or muffled speech, then stop listening and have your hearing checked. The louder the volume, the less time required before your hearing can be affected. Hearing experts suggest that to protect your hearing:  Limit the amount of time you use earbuds or headphones at high volume  Avoid turning up the volume to block out noisy surroundings  Turn the volume down if you can’t hear people speaking to you www.apple.com/environment113 Regulatory Compliance Information Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. L‘utilisation de ce dispositif est autorisée seulement aux conditions suivantes : (1) il ne doit pas produire de brouillage et (2) l’utilisateur du dispositif doit étre prêt à accepter tout brouillage radioélectrique reçu, même si ce brouillage est susceptible de compromettre le fonctionnement du dispositif. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures:  Turn the television or radio antenna until the interference stops.  Move the computer to one side or the other of the television or radio.  Move the computer farther away from the television or radio.  Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product has demonstrated EMC compliance under conditions that included the use of compliant peripheral devices and shielded cables between system components. It is important that you use compliant peripheral devices and shielded cables (including Ethernet network cables) between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. 114 Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Inc. Corporate Compliance 1 Infinite Loop, MS 26-A Cupertino, CA 95014-2084 Wireless Radio Use This device is restricted to indoor use due to its operation in the 5.15 to 5.25 GHz frequency range to reduce the potential for harmful interference to cochannel Mobile Satellite systems. Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur. Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of the optional AirPort Card in this device is below the FCC and EU radio frequency exposure limits for uncontrolled equipment. This device should be operated with a minimum distance of at least 20 cm between the AirPort Card antennas and a person’s body and must not be co-located or operated with any other antenna or transmitter. FCC Bluetooth Wireless Compliance The antenna used with this transmitter must not be colocated or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant. Bluetooth Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la Class B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada. This device complies with RSS 210 of Industry Canada. Europe–EU Declaration of Conformity See www.apple.com/euro/compliance. Korea Warning Statements Singapore Wireless Certification Taiwan Wireless Statements Taiwan Class B Statement115 VCCI Class B Statement Mouse Class 1 LED Information The Apple Mouse is a Class 1 LED product in accordance with IEC 60825-1 A1 A2. It also complies with the Canadian ICES-003 Class B Specification. External USB Modem Information When connecting your Mac Pro to the phone line using an external USB modem, refer to the telecommunications agency information in the documentation that came with your modem.116 ENERGY STAR® Compliance As an ENERGY STAR® partner, Apple has determined that standard configurations of this product meet the ENERGY STAR® guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR® program is a partnership with electronic equipment manufacturers to promote energy-efficient products. Reducing energy consumption of products saves money and helps conserve valuable resources. This computer is shipped with power management enabled with the computer set to sleep after 10 minutes of user inactivity. To wake your computer, click the mouse or trackpad button or press any key on the keyboard. For more information about ENERGY STAR® , visit: www.energystar.gov Disposal and Recycling Information This symbol indicates that your product must be disposed of properly according to local laws and regulations. When your product reaches its end of life, contact Apple or your local authorities to learn about recycling options. For information about Apple’s recycling program, go to www.apple.com/environment/recycling. Battery Disposal Information Dispose of batteries according to your local environmental laws and guidelines. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Taiwan:117 European Union—Disposal Information The symbol above means that according to local laws and regulations your product should be disposed of separately from household waste. When this product reaches its end of life, take it to a collection point designated by local authorities. Some collection points accept products for free. The separate collection and recycling of your product at the time of disposal will help conserve natural resources and ensure that it is recycled in a manner that protects human health and the environment.Looking for Something?120 Looking for Something? Index A adapter Apple Mini DisplayPort to VGA Adapter 14 DVI to ADC 14 DVI to VGA 14 AirPort Extreme about 33 specifications 100 analog audio line in 29 line out 29 specifications 101 AppleCare Service and Support 93 Apple Hardware Test 93 Apple Keyboard 25 applications force quit 79 freezing 81 Front Row 33 iLife 91 installing 91 problems 81 assistants Migration Assistant 18 Setup Assistant 17 audio specifications 101 B battery disposal 116 internal backup battery 31 replacing 74 specifications 104 blinking question mark 19 Bluetooth about 33 specifications 100 brightness keys 25 C CD-RW 98 chair 110 changing the desktop 18 System Preferences 18 cleaning computer 107 display 107 mouse 109 computer disposal 116 computer won’t turn on 79 connecting a keyboard 16 a mouse 16 dial-up modem 15 controls brightness 25 eject CD or DVD 25 Front Row 25 media 25 mute 25 volume 25 D Dashboard key 25 deauthorizing iTunes account 17 desktop, customizing 18 dial-up connection 15 dimensions 104 DIMMs installing 41, 42, 43, 52 location 31 specifications 96 discharging static 38 disconnect power 106 display 29, 97, 110 disposal of batteries 116Looking for Something? 121 computer 116 Dock 32 downloading software 82 DVD 98 DVI display port 29 E environmental impact 112 ergonomics 109 mouse 110 Escape key 25 Ethernet maximizing performance 91 ports 27 specifications 100 expansion cards 103 Exposé key 25 external USB modem 15, 23, 27 F F1 to F19 function keys 25 factory settings 90 Finder 32 FireWire connections 33 devices 104 ports 27 specifications 99 Force Quit 81, 85 Front Row application 33 key 25 frozen application 81 function (fn) key 25 G general maintenance 107 graphics card 97 H hand positions 109 hard disk drive 31, 59 headphone jack 23, 102 I iLife applications 33, 91 installing applications 90, 91 hard disk drives 59 Mac OS X 90 memory 41 PCI Express cards 69 SuperDrive 63 Internet problems 87 iTunes Store 17 J JEDEC specification 41, 96 K keyboard connecting 16 ergonomics 109 extender cable 17 features 24 function keys 25 wireless 17 keys brightness 25 Dashboard 25 Escape 25 Exposé 25 Front Row 25 function 25 media 25 Media Eject 25 Mute 25 volume 25 L latch 27, 51 M Mac Help 18, 32, 78 Mac OS X information about 32 installing 90 keeping up to date 82 maintenance 107 Media Eject key 25 media keys 25 memory installing 41 location 31 specifications 96122 Looking for Something? Migration Assistant 18 modem cable 27 DSL 27 external USB 15, 23, 27 mouse cleaning 109 connecting 16 ergonomics 110 USB connection 23, 27 wireless 17 Mute key 25 N network connections 88 diagnostics 86 no image on screen 84 O online resources 92 opening your Mac Pro 37 operating environment 104 optical digital audio ports 29 specifications 101 optical drive about 23, 31 installing 59 specifications 98 P PCI Express expansion slots 29, 31 graphics card 31 installing cards 69 specifications 103 peripherals 103 ports audio 29 display 14, 29 Ethernet 15, 27 FireWire 23, 27, 99 power 99 USB 16, 23, 27, 99 power button 17, 23 power cord 12 power requirements 103 power socket 27 power supply 103 problems See troubleshooting processor 96 Q question mark, blinking 19 R RAM installing 41 location 31 specifications 96 reinstalling software 90 reset the PRAM 79 S safety information 106 SAS drive 59 screen, setting brightness 25 screen freezes 85 Serial ATA drive 59 Serial Attached SCSI drive 59 serial number 94 service and support information 93 setting up 11 Setup Assistant 17 shutting off power 11, 20, 37 sleep 19, 23 software installation discs 90 updating 82 specifications AirPort Extreme 100 analog audio 102 audio 101 battery 104 Bluetooth 100 Ethernet 100 expansion cards 103 FireWire 99 graphics card 97 headphone jack 102Looking for Something? 123 JEDEC 41, 96 memory 96 optical digital audio 101 optical drive 98 PCI Express cards 103 peripherals 103 power supply 103 processor 96 SuperDrive 98 system clock 104 System Profiler 33, 96 static, discharging 38 status light 23, 80 stopping an application 81 SuperDrive about 23, 31 replacing 63 specifications 98 system clock 104 System Preferences customizing the desktop 18 Software Update 82 System Profiler 33, 82, 96 T telephone support 94 transferring information 17 troubleshooting AppleCare 93 applications 81 connecting to Internet 87 DSL modem 87 Force Quit 79 Internet connection 86 network connection 88 PPPoE connection 87 reinstalling Mac OS X 90 service and support information 93 status light flashes 80 using Apple Hardware Test 89 typing position 109 U unable to eject a disc 80 updating software 82 USB connections 33 devices 103 keyboard and mouse, connecting 16 ports 23, 27 specifications 99 user account setting up 17 transferring information 17 V video display modes 97 Volume keys 25 W wireless AirPort technology 33 Bluetooth technology 33 keyboard 17 mouse 17K Apple Inc. © 2009 Apple Inc. All rights reserved. Under the copyright laws, this manual may not be copied, in whole or in part, without the written consent of Apple. The Apple logo is a trademark of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. Use of the “keyboard” Apple logo (Option-Shift-K) for commercial purposes without the prior written consent of Apple may constitute trademark infringement and unfair competition in violation of federal and state laws. Every effort has been made to ensure that the information in this manual is accurate. Apple is not responsible for printing or clerical errors. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, the Apple logo, Apple Cinema Display, AirPort, AirPort Extreme, AppleShare, AppleTalk, Cover Flow, Exposé, FireWire, GarageBand, iCal, iLife, iMovie, iPhoto, iPod, iTunes, Keynote, Mac, Mac OS, Macintosh, Macintosh Products Guide, Safari, and SuperDrive are trademarks of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. Finder, the FireWire logo, iPhone, iWeb, Spotlight, and Time Machine are trademarks of Apple Inc. AppleCare, Apple Store, and iTunes Store are service marks of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. Intel, Intel Core, and Xeon are trademarks of Intel Corp. in the U.S. and other countries. The Bluetooth word mark and logos are owned by the Bluetooth SIG, Inc. and any use of such marks by Apple Inc. is under license. This product includes software developed by the University of California, Berkeley, FreeBSD, Inc., The NetBSD Foundation, Inc., and their respective contributors. ENERGY STAR® is a U.S. registered trademark. Other company and product names mentioned herein are trademarks of their respective companies. Mention of third-party products is for informational purposes only and constitutes neither an endorsement nor a recommendation. Apple assumes no responsibility with regard to the performance or use of these products. Manufactured under license from Dolby Laboratories. “Dolby,” “Pro Logic,” and the double-D symbol are trademarks of Dolby Laboratories. Confidential Unpublished Works, © 1992–1997 Dolby Laboratories, Inc. All rights reserved. The product described in this manual incorporates copyright protection technology that is protected by method claims of certain U.S. patents and other intellectual property rights owned by Macrovision Corporation and other rights owners. Use of this copyright protection technology must be authorized by Macrovision Corporation and is intended for home and other limited viewing uses only unless otherwise authorized by Macrovision Corporation. Reverse engineering or disassembly is prohibited. Apparatus Claims of U.S. Patent Nos. 4,631,603, 4,577,216, 4,819,098 and 4,907,093 licensed for limited viewing uses only. Simultaneously published in the United States and Canada. Numbers ’08 Guide de l’utilisateurK Apple Inc. © 2008 Apple Inc. Tous droits réservés. Ce manuel est soumis aux lois sur le droit d’auteur et ne peut être copié, totalement ou partiellement, sans le consentement écrit d’Apple. Vos droits concernant le logiciel sont régis par le contrat de licence qui l’accompagne. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation du logo Apple via le clavier (Option + 1) pour des motifs commerciaux sans l’autorisation écrite préalable d’Apple peut constituer une violation du droit des marques et une concurrence déloyale en violation des lois fédérales et nationales. Tous les efforts ont été déployés afin de garantir l’exactitude des informations de ce manuel. Apple n’est pas responsable des erreurs d’impression ou de rédaction. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AppleWorks, ColorSync, iMovie, iPhoto, iTunes, Keynote, Numbers, Pages, Mac, Mac OS, Quartz et QuickTime sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, iWeb, iWork, Safari et Spotlight sont des marques d’Apple Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. Adobe et Acrobat sont des marques ou des marques déposées d’Adobe Systems Incorporated, aux États-Unis et/ou dans d’autres pays. Les autres noms de sociétés et produits mentionnés dans ce document sont des marques de leurs propriétaires respectifs. La mention de produits tiers est indiquée à titre informatif exclusivement et ne constitue ni une approbation, ni une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité quant aux performances ou à l’utilisation de ces produits. F019-1277 06/2008 3 1 Table des matières Préface 16 Bienvenue dans le Guide de l’utilisateur de Numbers Chapitre 1 18 Techniques et outils de Numbers 18 Modèles de feuilles de calcul 20 La fenêtre Numbers 21 Aides pour la visualisation de feuilles de calcul 21 Zoom avant et zoom arrière 22 La sous-fenêtre Feuilles 23 Vue avant impression 23 Guides d’alignement 24 Sous-fenêtre Styles 24 La barre d’outils 26 La barre Format 26 La fenêtre Inspecteur 27 Outils de formule 28 Le Navigateur de média 29 La fenêtre Couleurs 29 Le panneau Police 29 La fenêtre Avertissements 30 Raccourcis clavier et menus contextuels Chapitre 2 31 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers 31 Création, ouverture et importation de feuilles de calcul 31 Création d’une feuille de calcul 33 Importation d’un document 33 Ouverture d’une feuille de calcul 34 Enregistrement de feuilles de calcul 34 Enregistrement d’une feuille de calcul 35 Annulation de modifications 35 Enregistrement automatique d’une copie de sauvegarde d’une feuille de calcul 36 Enregistrement d’une feuille de calcul en tant que modèle 36 Enregistrement de termes de recherche applicables à une feuille de calcul4 Table des matières 37 Enregistrement d’une copie d’une feuille de calcul 37 Fermeture d’une feuille de calcul sans quitter Numbers 37 Utilisation de feuilles pour organiser une feuille de calcul 38 Visualisation de feuilles 39 Ajout et suppression de feuilles 39 Réorganisation de feuilles et de leur contenu 40 Renommer des feuilles 41 Division d’une feuille en pages 42 Définition du format de page d’une feuille de calcul 42 Utilisation d’en-têtes et de bas de page 43 Organisation d’objets sur la page 44 Réglage de l’orientation de la page 44 Réglage de l’ordre de pagination 44 Numérotation de pages 45 Réglage des marges de la page Chapitre 3 46 Utilisation de tableaux 46 À propos des tableaux 47 Utilisation de tableaux 47 Ajout d’un tableau 47 Utilisation des outils de tableau 50 Redimensionnement d’un tableau 51 Déplacement de tableaux 51 Attribution d’un nom à un tableau 52 Définition de tableaux réutilisables 53 Copie de tableaux entre des applications iWork 54 Sélection de tableaux et de leurs composants 54 Sélection d’un tableau 54 Sélection d’une cellule unique d’un tableau 56 Sélection d’un groupe de cellules de tableau 56 Sélection d’un rang ou d’une colonne 56 Sélection des bordures des cellules d’un tableau 58 Utilisation du contenu des cellules d’un tableau 58 Ajout et modification de valeurs de cellule 59 Utilisation de texte dans les cellules 60 Utilisation de nombres dans les cellules 61 Utilisation de dates dans les cellules 61 Affichage d’un contenu trop long pour la cellule 62 Mise en forme des valeurs de cellule 63 Utilisation du format numérique 64 Utilisation du format monétaire 65 Utilisation du format PourcentageTable des matières 5 67 Utilisation du format Date et heure 68 Utilisation du format Fraction 69 Utilisation du format Scientifique 69 Utilisation du format Texte 70 Utilisation d’une case et d’autres formats de contrôle 73 Contrôle des valeurs de cellule 74 Ajout d’images et de couleurs aux cellules 74 Remplissage automatique des cellules d’un tableau 75 Utilisation des rangs et des colonnes 75 Ajout de rangs 76 Ajout de colonnes 76 Redisposition des rangs et des colonnes 77 Suppression de rangs et de colonnes 77 Utilisation d’un rang ou d’une colonne d’en-tête de tableau 78 Utilisation d’un rang de pied de page 79 Options permettant de masquer des rangs et des colonnes 79 Redimensionnement de rangs et de colonnes 80 Alternance de couleurs des rangs 81 Utilisation des cellules d’un tableau 81 Fusion des cellules d’un tableau 81 Division des cellules d’un tableau 82 Mise en forme bords d’une cellule 83 Copie et déplacement de cellules 84 Ajout de commentaires 84 Réorganisation des tableaux 85 Tri des cellules d’un tableau 86 Filtrage des rangs Chapitre 4 87 Utilisation des styles de tableaux 87 Utilisation de styles applicables aux tableaux 88 Application de styles à des tableaux 88 Modification du style d’un tableau 88 Modification d’attributs d’un style de tableau 89 Copie et collage de styles de tableaux 89 Utilisation du style de tableau par défaut 90 Création de styles applicables aux tableaux 90 Renommer un style applicable aux tableaux 90 Suppression d’un style de tableau Chapitre 5 91 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 91 Utilisation des formules 92 Visite guidée de l’utilisation des formules6 Table des matières 94 Réalisation de calculs instantanés 95 Ajout d’une formule rapide 96 Calcul élémentaire avec des valeurs d’une même ligne 96 Calcul élémentaire avec des valeurs d’un même rang 96 Suppression d’une formule 97 Utilisation de l’Éditeur de formules 97 Ajout d’une nouvelle formule à l’aide de l’Éditeur de formules 98 Modification d’une formule à l’aide de l’Éditeur de formules 98 Utilisation de la barre des formules 99 Ajout d’une nouvelle formule à l’aide de la barre de formules 100 Modification d’une formule à l’aide de la barre de formules 100 Utilisation des références de cellules 100 Ajout de références de cellules à une formule 102 Copie ou déplacement des formules contenant des références de cellules 103 Application d’une formule aux cellules d’une colonne ou d’un rang en une seule fois 103 Gestion des erreurs et des avertissements 104 Utilisation des opérateurs 104 Calcul d’opérations arithmétiques 105 Explication des opérateurs arithmétiques 105 Explication des opérateurs de comparaison 106 Utilisation des fonctions Chapitre 6 108 Utilisation des graphiques 108 À propos des graphiques 111 Ajout d’un graphique 113 Modification d’un graphique 114 Modification de l’orientation du traçage 114 Modification des données tracées sur un graphique 114 Ajout de données à un graphique 115 Ajout de données à un graphique en provenance de plusieurs tableaux 115 Suppression de données d’un graphique 116 Remplacement d’une série de données 116 Suppression d’un graphique 116 Déplacement d’un graphique 117 Changement du type de graphique 118 Mise en forme des attributs généraux d’un graphique 118 Utilisation d’une légende 118 Utilisation d’un titre de graphique 119 Redimensionnement d’un graphique 119 Rotation de graphiques 120 Ajout d’étiquettes et de marques d’axe 120 Affichage des axes et des borduresTable des matières 7 121 Utilisation de titres des axes 121 Affichage des étiquettes de point de données 122 Mise en forme de l’axe des valeurs 123 Mise en place d’étiquettes, de quadrillage et de marques de graduation 124 Mise en forme des éléments d’une série de données 125 Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes 125 Ajout de texte descriptif à un graphique 126 Mise en forme de types de graphiques spécifiques 126 graphiques sectoriels 126 Sélection de portions individuelles dans un graphique sectoriel 126 Affichage du nom des séries dans un graphique sectoriel 127 Éloignement de portions individuelles du graphique 127 Ajout d’ombres aux graphiques sectoriels et aux portions 127 Réglage de l’opacité des graphiques sectoriels 128 Rotation de graphiques sectoriels 2D 128 Graphiques à barres et à colonnes 128 Réglage de l’espacement des graphiques à barres et à colonnes 129 Ajout d’ombres aux graphiques à barres et à colonnes 129 Réglage de l’opacité des graphiques à barres et à colonnes 130 Graphiques à couches et linéaires 131 Graphiques en nuage de points 132 graphiques 3D Chapitre 7 133 Utilisation de texte 133 Ajout de texte 133 Supprimer, copier et coller du texte 134 Sélection de texte 134 Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte 135 Utilisation de la barre des formats pour mettre en forme le texte 135 Utilisation du menu Format pour mettre en forme le texte 135 Application de l’attribut Gras ou Italique au texte à l’aide des menus 135 Encadrement de texte à l’aide des menus 136 Soulignement du texte à l’aide des menus 136 Modification de la taille du texte à l’aide des menus 136 Mise en indice ou en exposant du texte à l’aide des menus 137 Modification de la casse d’un texte à l’aide des menus 137 Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte 139 Simplification de l’utilisation du panneau Police 139 Changement de polices à l’aide du panneau Police 140 Modification du soulignement à l’aide du panneau Police 140 Ajout d’un attribut barré au texte à l’aide du panneau Police 140 Modification de la couleur du texte à l’aide du panneau Police8 Table des matières 141 Modification de la couleur d’arrière-plan d’un paragraphe à l’aide du panneau Police 141 Création d’ombres sur le texte à l’aide du panneau Police 141 Ajout d’accents et de caractères spéciaux 141 Ajout d’accents 142 Affichage des dispositions de clavier dans d’autres langues 143 Saisie des caractères spéciaux et des symboles 144 Utilisation de guillemets courbes 144 Utilisation des fonctionnalités typographiques avancées 145 Réglage du lissage des polices 145 Définition de l’alignement, de l’espacement et de la couleur du texte 146 Alignement horizontal du texte 147 Alignement vertical du texte 147 Réglage de l’interligne 149 Réglage de l’espacement avant et après un paragraphe 149 Réglage de l’espace entre les caractères 149 Modification de la couleur du texte 150 Définition de taquets de tabulation afin d’aligner le texte 151 Définition d’un nouveau taquet de tabulation 151 Modification d’un taquet de tabulation 152 Suppression d’un taquet de tabulation 152 Création de retraits 152 Définition de retraits pour les paragraphes 153 Modification de la marge intérieure du texte dans des objets 153 Définition de retraits pour les listes 153 Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées (Structures) 153 Génération automatique de listes 154 Utilisation des listes à puces 155 Utilisation des listes numérotées 156 Utilisation de listes ordonnées (Structures) 157 Utilisation de zones de texte et de figures pour faire ressortir le texte 157 Ajout de zones de texte 158 Présentation du texte en colonnes 159 Ajout de texte dans une forme 159 Mise en forme d’une zone de texte ou d’une figure 160 Utilisation de liens hypertexte 160 Lien vers une page Web 160 Lien vers un message électronique préadressé 161 Modification du texte d’un lien hypertexte 161 Insertion de numéros de page et d’autres valeurs variables 162 Substitution automatique de texteTable des matières 9 163 Insertion d’un espace insécable 163 Vérification de l’orthographe 163 Recherche des mots mal orthographiés 164 Utilisation des suggestions de correction orthographique 165 Recherche et remplacement de texte Chapitre 8 166 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 166 Sélection d’objets 167 Copie et duplication d’objets 167 Suppression d’objets 167 Déplacement d’objets 168 Déplacement d’un objet vers le premier plan ou vers l’arrière-plan 168 Alignementobjets 168 Alignement des objets les uns par rapport aux autres 169 Espacement uniforme des objets sur la page 169 Utilisation des guides d’alignement 170 Création de guides d’alignement 170 Définition de la position précise des objets 171 Modification des objets 171 Redimensionnement des objets 172 Retournement et rotation d’objets 172 Modification du style des bordures 173 Encadrement d’objets 174 Ajout d’ombres 176 Ajout d’un reflet 176 Ajustement de l’opacité 177 Regroupement et verrouillage d’objets 177 Regroupement et dissociation d’objets 178 Verrouillage et déverrouillage des objets 178 Remplissage des objets 178 Remplissage d’un objet en couleur 179 Utilisation de la fenêtre Couleurs 180 Remplissage d’un objet avec une image 182 Utilisation des figures 182 Ajout d’une figure prédessinée 182 Ajout d’une figure personnalisée 184 Figures modifiables 184 Manipulation des points d’une figure 185 Modification du tracé d’une courbe 185 Modification du tracé d’un segment droit 186 Conversion de points d’angle en points de courbe et vice-versa 186 Modification de figures prédessinées spécifiques10 Table des matières 186 Modification d’un rectangle aux coins arrondis 187 Modification de flèches simples et doubles 187 Modification d’une étoile 188 Modification d’un polygone 188 Utilisation des paramètres fictifs multimédias 189 Utilisation des images 189 Importation d’une image 189 Masquage (rognage) d’images 190 Rognage d’une image à l’aide du masque par défaut (de forme rectangulaire) 191 Masquer une image par une figure 191 Suppression du masque d’une image 191 Suppression de l’arrière-plan ou des éléments superflus d’une image 192 Modification de la luminosité, du contraste et des autres réglages d’une image 194 Utilisation de fichiers PDF en tant que graphismes 195 Utilisation du son et de séquences 195 Ajout d’un fichier son 196 Ajout d’un fichier de séquence 196 Réglage des options de lecture des fichiers multimédias Chapitre 9 198 Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un tableau 198 Utilisation des champs de Carnet d’adresses 199 Mappage des noms de colonne aux noms issus de champs du Carnet d’adresses 201 Ajout de données issues du Carnet d’adresses à un tableau existant 202 Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un nouveau tableau Chapitre 10 203 Partage de votre feuille de calcul Numbers 203 Impression d’une feuille 204 Choix d’options de disposition pour l’impression 205 Ajustement de la couleur d’impression avec ColorSync 206 Exportation vers d’autres formats de document 207 Envoi d’une feuille de calcul à iWeb Chapitre 11 208 Conception de vos modèles personnalisés de feuilles de calcul Numbers 208 Conception d’un modèle 208 Étape 1 : définissez des styles pour vos tableaux 209 Étape 2 : définissez des tableaux réutilisables 209 Étape 3 : définissez des tableaux par défaut, des zones de texte, des figures et des images 209 Définition d’attributs par défaut pour les graphiques 210 Définition d’attributs par défaut pour les zones de texte et les formes 210 Définition d’attributs par défaut pour les images importées 211 Étape 4 : créez le contenu de départ pour la feuille de calculTable des matières 11 211 Prédéfinition de tableaux et autres objets pour un modèle personnalisé 212 Création de paramètres fictifs multimédia dans un modèle personnalisé 212 Prédéfinition de feuilles destinées à un modèle personnalisé 213 Étape 5 : enregistrement d’un modèle personnalisé Chapitre 12 214 Dictionnaire des fonctions 214 À propos des fonctions 216 Fonctions date et heure 217 Fonctions financières 218 Fonctions logiques 219 Fonctions d’informations 219 Fonctions de référence 220 Fonctions numériques 221 Fonctions trigonométriques 222 Fonctions statistiques 224 Fonctions texte 225 Descriptions de fonctions 225 ABS 225 ACCRINT 226 ACCRINTM 227 ACOS 227 ACOSH 227 ADRESSE 228 ET 229 ZONES 229 ASIN 229 ASINH 230 ATAN 230 ATAN2 230 ATANH 231 ECART.MOYEN 231 MOYENNE 231 AVERAGEA 232 PLAFOND 233 CAR 233 CHOISIR 234 NETTOYER 234 CODE 235 COLONNE 235 COLONNES 235 COMBIN 236 CONCATENER12 Table des matières 236 INTERVALLE.CONFIANCE 237 COEFFICIENT.CORRELATION 238 COS 238 COSH 239 NB 239 NBVAL 240 NB.VIDE 241 NB.SI 241 COUPDAYBS 242 NB.JOURS.COUPON 243 NB.JOURS.COUPON.SUIV 244 NB.COUPONS 245 COVARIANCE 245 DATE 246 DATEDIF 247 JOUR 247 DB 248 AMORDEG 248 DEGRÉS 249 TAUX.ESCOMPTE 249 EURO 250 EDATE 250 PAIR 251 EXACT 251 EXP 251 FACT 252 FAUX 252 RECHERCHER 253 CTXT 253 PLANCHER 254 PRÉVISION 254 VALFUT 255 PGCD 255 RECHERCHEH 256 HEURE 257 LIEN_HYPERTEXTE 257 SI 258 INDEX 259 INDIRECT 259 ENT 259 ORDONNEE.ORIGINETable des matières 13 260 INTPER 261 TRI 261 ESTVIDE 262 ESTERREUR 262 ESTPAIR 263 ESTIMPAIR 263 ISPMT 264 GRANDE.VALEUR 264 PPCM 265 GAUCHE 265 NBCAR 265 LN 266 LOG 266 LOG10 266 RECHERCHE 267 MINUSCULE 267 CORRESPONDRE 268 MAX 269 MAXA 269 MÉDIANE 270 MILIEU 270 MIN 270 MINA 271 MINUTE 271 TRIM 271 MOD 272 MODE 273 MOIS 273 ARRONDI.AU.MULTIPLE 273 NON 274 MAINTENANT 274 NPM 275 VAN 275 IMPAIR 276 DÉCALAGE 276 OU 277 CENTILE 277 PI 278 REMBOUR 278 LOI.POISSON 279 PUISSANCE14 Table des matières 279 PRINCPER 280 PRIX 281 PRICEDISC 281 PRICEMAT 282 PROBABILITE 283 PRODUIT 283 NOM.PROPRE 284 VALACT 285 QUOTIENT 285 RADIANS 285 ALÉAT 286 ALÉAT.ENTRE 286 RANG 287 TAUX 288 REMPLACER 288 REPT 289 DROITE 289 ROMAIN 290 ARRONDI 290 ARRONDI.INF 291 ARRONDI.SUP 292 RENGÉE 292 RANGS 292 RRECHERCHER 293 SECONDE 293 SIGNE 293 SIN 294 SINH 294 AMORLIN 295 PENTE 295 PETIT 296 SQRT 296 STDEV 297 STDEVA 297 ECARTYPEP 298 STDEVPA 299 SUBSTITUE 299 SOMME 300 SOMME.SI 301 SOMMEPROD 301 SOMME.CARRÉSTable des matières 15 301 AMORANN 302 T 302 TAN 303 TANH 303 TEMPS 304 TEMPSVAL 304 AUJOURD’HUI 305 AJUSTER 305 VRAI 305 TRONQUE 306 SUPÉRIEUR 306 CNUM 306 VAR 307 VARA 308 VAR.P 308 VARPA 309 VDB 310 CONSV 311 LUNDI À VENDREDI 311 ANNÉE Index 312Préface 16 Bienvenue dans le Guide de l’utilisateur de Numbers Ce document PDF en couleur fournit des instructions complètes relatives à l’utilisation de Numbers. Avant de l’utiliser, vous pouvez consulter le guide d’initiation Numbers guide d’initiation dans le manuel Premiers contacts avec iWork ’08. Ce document vous permettra d’utiliser rapidement Numbers. Le manuel Premiers contacts avec iWork ’08 fournit également des ressources supplémentaires pour vous familiariser avec Numbers, comme par exemple une visite guidée des fonctions et des vidéos sur son utilisation. Si vous avez besoin d’instructions détaillées pour vous aider à effectuer certaines tâches particulières, vous les trouverez dans ce guide de l’utilisateur. La plupart des tâches décrites dans ce guide figurent également dans l’aide en ligne.Préface Bienvenue dans le Guide de l’utilisateur de Numbers 17 Le tableau ci-dessous vous indique où trouver les informations à l’intérieur de ce guide. L’Aide Numbers permet de trouver les informations requises en naviguant ou en effectuant une recherche. Pour obtenir des informations sur Reportez-vous au L’utilisation des outils et des fenêtres de Numbers pour créer et mettre en forme des feuilles de calcul chapitre 1, « Techniques et outils de Numbers » à la page 18 La création et l’enregistrement de feuilles de calcul Numbers, ainsi que la gestion des feuilles et des pages chapitre 2, « Utilisation d’une feuille de calcul Numbers » à la page 31 La création, l’organisation et la mise en forme des tableaux et des valeurs qu’ils contiennent chapitre 3, « Utilisation de tableaux » à la page 46 L’utilisation de styles pour modifier l’apparence de tableaux chapitre 4, « Utilisation des styles de tableaux » à la page 87 L’utilisation de formules et de fonctions pour effectuer des calculs dans les cellules chapitre 5, « Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux » à la page 91 La création de graphiques pour afficher graphiquement des données numériques dans un ou plusieurs tableaux chapitre 6, « Utilisation des graphiques » à la page 108 La mise en forme du texte dans une feuille de calcul Numbers chapitre 7, « Utilisation de texte » à la page 133 L’utilisation de graphiques, de figures, de son et d’autres élé- ments pour mettre en valeur une feuille de calcul chapitre 8, « Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets » à la page 166 L’affichage de données tirées du Carnet d’adresses dans des tableaux chapitre 9, « Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un tableau » à la page 198 L’impression et l’exportation de feuilles de calcul et de leur envoi à iWeb chapitre 10, « Partage de votre feuille de calcul Numbers » à la page 203 La création de modèles Numbers personnalisés chapitre 11, « Conception de vos modèles personnalisés de feuilles de calcul Numbers » à la page 208 L’utilisation de fonctions données dans les cellules d’un tableau chapitre 12, « Dictionnaire des fonctions » à la page 2141 18 1 Techniques et outils de Numbers Ce chapitre présente les fenêtres et outils qui permettent de manipuler des feuilles de calcul Numbers. Pour créer une feuille de calcul Numbers, vous devez tout d’abord sélectionner un modèle qui vous servira de point de départ. Modèles de feuilles de calcul Lorsque vous ouvrez l’application Numbers pour la première fois (en cliquant sur son icône dans le Dock ou en double-cliquant sur son icône dans le Finder), la fenêtre du sélecteur de modèles vous propose divers types de feuille de calcul.Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers 19 Sélectionnez le modèle qui correspond le mieux à vos besoins. Si vous souhaitez commencer avec une feuille de calcul vierge, sélectionnez le modèle Vierge. Après avoir sélectionné un modèle, cliquez sur Choisir pour travailler sur une nouvelle feuille de calcul s’appuyant sur ce modèle. Les modèles contiennent des feuilles et des tableaux prédéfinis, ainsi que d’autres éléments pour vous permettre de démarrer rapidement. Les feuilles servent à diviser des informations en groupes d’objets connexes. Par exemple, vous pouvez utiliser une feuille pour les données de 2006 et une autre pour celles de 2007. Les tableaux prédéfinis contiennent généralement du texte, des formules et des données exemple. Vous pouvez remplacer les données des tableaux prédéfinis par vos propres données et ajouter des colonnes et des rangées ou changer la mise en forme de ces tableaux. Vous pouvez également ajouter des feuilles et d’autres objets, tels que des graphiques, des images et du texte. Certains modèles comportent des commentaires explicatifs.20 Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers La fenêtre Numbers La fenêtre Numbers comporte des éléments qui permettent de développer et d’organiser votre feuille de calcul.  Ajoutez rapidement une nouvelle feuille en cliquant sur le bouton Feuille dans la barre d’outils. Après avoir ajouté des tableaux, des graphiques et divers objets à une feuille, y compris des graphiques importés, des séquences et du son, vous pouvez faire glisser des objets dans le canevas Numbers pour les repositionner.  Utilisez la sous-fenêtre Feuilles pour afficher la liste de tableaux et de graphiques de n’importe quelle feuille. Visualisez les résultats des calculs pour les valeurs dans les cellules sélectionnées et faites glisser les calculs dans les cellules. Le canevas de la feuille : créez et modifiez des tableaux, des graphiques et autres objets d’une feuille. La sous-fenêtre Feuilles : aperçu des tableaux et des graphiques placés sur les feuilles de votre feuille de calcul. La sous-fenêtre Styles : sélectionnez un style de tableau prédéfini pour mettre en forme rapidement un tableau. La barre Format : mettez rapidement en forme l’objet sélectionné. La barre d’outils : personnalisez-la de façon à y inclure les outils que vous utilisez le plus souvent. La barre Formule : créez et modifiez des formules dans les cellules.Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers 21  Appliquez des styles de tableau prédéfinis répertoriés dans la sous-fenêtre Styles pour modifier l’apparence d’un tableau sélectionné.  Utilisez la zone dans l’angle inférieur gauche pour effectuer des calculs instantanés sur des valeurs dans des cellules de tableau sélectionnées.  Utilisez les boutons de la barre d’outils pour ajouter rapidement tableaux, graphiques, zones de texte, fichiers mutimédia et autres objets. Par exemple, cliquez sur le bouton Tableaux dans la barre d’outils pour ajouter un nouveau tableau déjà mis en forme en fonction du modèle que vous utilisez. Tous les modèles contiennent plusieurs tableaux déjà mis en forme à votre disposition. Reportez-vous à la rubrique « La barre d’outils » à la page 24 pour en savoir plus sur la personnalisation de la barre d’outils par l’insertion des outils dont vous vous servez souvent.  Utilisez la barre Format pour mettre en forme rapidement un objet sélectionné.  Utilisez la barre Formule pour ajouter et modifier des formules dans des cellules d’un tableau. Aides pour la visualisation de feuilles de calcul Lorsque vous travaillez sur une feuille de calcul, il peut être utile d’effectuer un zoom avant ou arrière ou d’utiliser d’autres techniques d’affichage afin de mieux voir ce que vous faites. Zoom avant et zoom arrière Vous pouvez agrandir (zoom avant) ou réduire (zoom arrière) l’affichage d’une feuille de calcul. Il existe plusieurs façons d’effectuer un zoom avant ou un zoom arrière sur une feuille : m Sélectionnez Afficher > Zoom > niveau de zoom. m Choisissez un niveau d’agrandissement dans le menu local situé dans l’angle inférieur gauche du canevas. Lorsque vous affichez une feuille en vue avant impression, réduisez le zoom pour afficher simultanément plus de pages dans la fenêtre.22 Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers La sous-fenêtre Feuilles La sous-fenêtre Feuilles se trouve le long de l’angle supérieur gauche du canevas Numbers. Elle permet de visualiser et d’accéder rapidement aux tableaux et graphiques d’une feuille. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de feuilles pour organiser une feuille de calcul » à la page 37 pour plus d’informations. Cliquez ici pour afficher ou masquer les tableaux et les graphiques d’une feuille. Sélectionnez un tableau ou un graphique de la liste pour l’afficher dans la fenêtre. Cliquez ici pour ajouter une nouvelle feuille.Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers 23 Vue avant impression Lorsque vous souhaitez imprimer une feuille ou créer une version PDF de celle-ci, vous pouvez utiliser le mode Impression pour afficher sur plusieurs pages la disposition des objets d’une feuille. Voir « Division d’une feuille en pages » à la page 41 pour en savoir plus sur le mode Impression Guides d’alignement Lorsque vous déplacez des objets à l’intérieur d’une feuille de calcul, des guides d’alignement apparaissent automatiquement pour vous aider à positionner ces objets sur la page. Pour en savoir plus sur l’utilisation des guides d’alignement, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des guides d’alignement » à la page 169. Cliquez ici pour afficher ou masquer l’affichage Imprimer. Actionnez le curseur pour réduire ou agrandir tous les objets de la feuille. Zone de bas de page Zone d’en-tête Cliquez ici pour choisir un niveau de zoom sur les pages et afficher ainsi plus ou moins de pages à la fois. Cliquez ici pour afficher les pages en mode portrait (dans le sens de la hauteur). Cliquez ici pour afficher les pages en mode paysage (dans le sens de la longueur).24 Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers Sous-fenêtre Styles La sous-fenêtre Styles permet d’appliquer une mise en forme prédéfinie à des tableaux d’une feuille de calcul. Les styles de tableau définissent des attributs tels que la couleur, la taille du texte et la mise en forme de bordure applicables à des cellules d’un tableau. Pour appliquer un style de tableau, sélectionnez simplement le tableau et cliquez sur un style dans la sous-fenêtre Styles. Passez d’un tableau à un autre en un seul clic de souris. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de styles applicables aux tableaux » à la page 87 pour en savoir plus. La barre d’outils La barre d’outils Numbers permet d’effectuer en un seul clic un grand nombre de chacune des actions courantes lorsque vous travaillez dans Numbers. À mesure que vous découvrez quelles fonctionnalités vous utilisez le plus souvent, vous pouvez ajouter, supprimer et réorganiser les boutons de la barre d’outils afin de les adapter à votre façon de travailler. Pour savoir à quoi sert un bouton, placez le pointeur sur celui-ci.Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers 25 Le jeu par défaut de boutons de barre d’outils est illustré ci-dessous. Pour personnaliser la barre d’outils : 1 Choisissez Afficher > Personnaliser la barre d’outils. La feuille Personnaliser la barre d’outils apparaît. 2 Apportez les modifications souhaitées à la barre d’outils. Pour ajouter un élément à la barre d’outils, faites glisser son icône sur la barre d’outils qui se trouve en haut. Si vous reconfigurez fréquemment la barre d’outils, vous pouvez lui ajouter le bouton Personnaliser. Pour supprimer un élément de la barre d’outils, faites-le glisser hors de celle-ci. Pour restaurer le jeu de boutons par défaut, faites-le glisser sur la barre. Pour réduire la taille des icônes de la barre d’outils, sélectionnez Utiliser petites icônes. Pour afficher uniquement les icônes ou uniquement le texte, choisissez l’option correspondante dans le menu local Afficher. Pour réorganiser les éléments de la barre d’outils, faites-les glisser. 3 Cliquez sur Terminé lorsque vous avez fini. Il est possible d’effectuer certains types de personnalisation de la barre d’outils sans utiliser la feuille Personnaliser la barre d’outils :  Pour supprimer un élément de la barre d’outils, maintenez enfoncée la touche Commande tout en faisant glisser l’élément hors de la barre d’outils. Vous pouvez aussi cliquer sur l’élément tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisir Supprimer l’élément dans le menu contextuel.  Pour déplacer un élément, maintenez enfoncée la touche Commande tout en faisant glisser l’élément sur la barre d’outils. Pour afficher ou masquer la barre d’outils, choisissez Présentation > Afficher la barre d’outils, ou Présentation > Masquer la barre d’outils. Ajoutez une feuille. Ajoutez un tableau. Ajoutez une formule. Ajoutez un graphique, une zone de texte, une figure ou un commentaire. Triez et filtrez des rangées. Affichez ou masquez le mode Impression, des commentaires, Ouvrez la fenêtre de l’Inspecteur, le navigateur de média, la fenêtre Couleurs et le panneau Police.26 Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers La barre Format Utilisez la barre Format qui est affichée sous la barre d’outils pour modifier rapidement l’apparence des tableaux, des graphiques, du texte et autres éléments de votre feuille de calcul. Les commandes de la barre des formats changent en fonction de l’objet sélectionné. Pour savoir à quoi sert un contrôle de la barre Format, placez le pointeur sur celui-ci et une description de sa fonction apparaîtra. Voici à quoi ressemble la barre Format lorsque l’élément sélectionné est un tableau. Pour afficher et masquer la barre des formats : m Choisissez Présentation > Afficher la barre des formats, ou Présentation > Masquer la barre des formats. La fenêtre Inspecteur La plupart des éléments de votre feuille de calcul peuvent être mis en forme à l’aide des inspecteurs de Numbers. Chaque inspecteur concerne un aspect différent de la mise en forme. Par exemple, l’Inspecteur des cellules permet de mettre en forme des cellules et leurs valeurs. Placez le pointeur sur les boutons et autres contrôles des sous-fenêtres d’un inspecteur pour faire apparaître une description de leur fonction. Trier le texte à l’intérieur des cellules du tableau. Mettre en forme les bordures de cellule. Ajouter une couleur d’arrière-plan à une cellule. Mettre en forme les valeurs de cellule. Gérer les en-têtes et les bas de page. Afficher ou masquer le nom du tableau. Mettre en forme le texte à l’intérieur des cellules du tableau Les boutons en haut de la fenêtre Inspecteur ouvrent chacun des dix Inspecteurs : Document, Feuille, Tableau, Cellules, Graphismes, Mesures, Texte, Graphique, Lien et QuickTime.Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers 27 L’ouverture de plusieurs fenêtres d’inspecteurs simplifie la manipulation de votre feuille de calcul. Par exemple, si vous ouvrez l’Inspecteur des graphismes et l’Inspecteur des cellules, vous accédez ainsi à des options de mise en forme des images et de cellules. Voici différentes façons d’ouvrir une fenêtre Inspecteur : m Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur. m Choisissez Présentation > Afficher l’Inspecteur. m Pour ouvrir une autre fenêtre Inspecteur, appuyez sur la touche Option et maintenez-la enfoncée, puis cliquez sur un bouton Inspecteur. Après l’ouverture de la fenêtre Inspecteur, cliquez sur l’un des boutons en haut de la fenêtre pour afficher un autre inspecteur. Par exemple, si vous cliquez sur le deuxième bouton en partant de la gauche, l’Inspecteur des feuilles s’affiche. Outils de formule Ajoutez une formule à un tableau quand vous souhaitez afficher une valeur calculée dans une cellule. Numbers possède plusieurs outils pour la manipulation de formules insérées dans des cellules d’un tableau :  L’Éditeur de formules permet de créer et de modifier des formules. Ouvrez l’Éditeur de formules en sélectionnant une cellule d’un tableau et en tapant le signe égal (=). Vous pouvez également l’ouvrir en choisissant Éditeur de formules dans le menu local Fonction de la barre d’outils. Pour en savoir plus sur cet éditeur, consultez la rubrique « Utilisation de l’Éditeur de formules » à la page 97.  La barre des formules, toujours visible sous la barre des formats, permet également de créer et de modifier des formules. Pour déplacer l’Éditeur de formules, cliquez ici et faites-le glisser. Champ de texte Afficher ou modifier une formule. Bouton Annuler Annuler les modifications. Bouton Accepter Enregistrer les modifications. Champ de texte Afficher ou modifier une formule. Bouton Annuler Annuler les modifications. Bouton Accepter Enregistrer les modifications. Cliquer pour ouvrir le navigateur de fonctions.28 Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers Les instructions pour l’ajout et la modification de formules à l’aide de cet outil sont décrites dans la rubrique « Utilisation de la barre des formules » à la page 98.  L’utilisation du navigateur de fonctions est le moyen le plus rapide d’ajouter une fonction. Une fonction est une formule prédéfinie possédant un nom (comme SOMME et MOYENNE). Pour ouvrir le navigateur de fonctions, cliquez sur le bouton du navigateur de fonctions dans la barre des formules. La rubrique « Utilisation des fonctions » à la page 106 explique comment utiliser le navigateur de fonctions. Le Navigateur de média Le Navigateur de média permet d’accéder à tous les fichiers multimédias de votre photothèque iPhoto, de votre bibliothèque iTunes et de votre dossier Séquences. Vous pouvez faire glisser un élément du navigateur de média sur votre feuille de calcul ou dans le cadre d’image d’un inspecteur. Vous pouvez ouvrir le navigateur de média de plusieurs façons : m Cliquez sur Média dans la barre d’outils. m Choisissez Présentation > Afficher le navigateur de média. Cliquer pour ouvrir le navigateur de fonctions.Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers 29 La fenêtre Couleurs Le cadre Couleurs de Mac OS X permet de choisir la couleur du texte, des cellules d’un tableau, des bordures de cellules et d’autres objets. Bien que la barre des formats vous permette d’appliquer de nombreuses couleurs, la fenêtre Couleurs propose des options avancées de gestion des couleurs. Pour ouvrir la fenêtre Couleurs : m Dans la barre d’outils, cliquez sur Couleurs. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 179. Le panneau Police Vous pouvez modifier le style, la taille et d’autres options relatives aux polices à l’aide du panneau Police de Mac OS X, accessible depuis n’importe quelle application. Utilisez la barre des formats pour mettre rapidement en forme les polices, mais utilisez le panneau Police pour une mise en forme plus poussée. Pour ouvrir le panneau Police : m Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. Pour obtenir des informations plus détaillées sur l’utilisation du panneau Police et sur la modification de l’aspect du texte, reportez-vous à la rubrique « Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte » à la page 137. La fenêtre Avertissements Lorsque vous importez un document dans Numbers ou exportez une feuille de calcul Numbers dans un autre format, il se peut que certains éléments ne soient pas transfé- rés comme prévu. La fenêtre Avertissements du document répertorie tous les problè- mes rencontrés. Si des problèmes surviennent, un message s’affichera et vous permettra de passer en revue les avertissements. Si vous choisissez de ne pas passer en revue ces avertissements, vous avez la possibilité de consulter la fenêtre Avertissements à tout moment en sélectionnant Présentation > Afficher les avertissements du document. Si un message d’avertissement vous indique qu’une police est absente, vous pouvez cliquer dessus puis sur Remplacer la police pour choisir une police de remplacement. Vous pouvez copier plusieurs avertissements en les sélectionnant dans la fenêtre Avertissements du document et en choisissant Édition > Copier. Vous pouvez alors coller le texte copié dans un message électronique, dans un fichier texte ou dans une autre fenêtre.30 Chapitre 1 Techniques et outils de Numbers Raccourcis clavier et menus contextuels Vous pouvez utiliser le clavier pour exécuter nombre des commandes et tâches des menus de Numbers. Pour afficher la liste complète des raccourcis clavier, ouvrez Numbers et choisissez Aide > Raccourcis clavier. La plupart des objets possèdent également des menus contextuels comprenant des commandes utilisables sur ces objets. Les menus contextuels sont particulièrement utiles pour travailler sur les tableaux et les graphiques. Pour ouvrir un menu contextuel : m Appuyez sur la touche Contrôle en cliquant sur un objet.2 31 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers Ce chapitre décrit comment gérer les feuilles de calcul Numbers. Pour créer une feuille de calcul Numbers, vous pouvez ouvrir Numbers et choisir un modèle. Vous pouvez aussi importer un document créé dans une autre application telle que Microsoft Excel ou AppleWorks 6. Ce chapitre vous explique comment créer des feuilles de calcul Numbers et comment en ouvrir et en enregistrer. Ce chapitre reprend également les instructions pour l’utilisation des feuilles et la gestion de la disposition des versions imprimées ou PDF de feuilles Numbers. Création, ouverture et importation de feuilles de calcul Au moment de créer une feuille de calcul Numbers, choisissez un modèle pour lui donner sa mise en forme et son contenu de départ. Vous pouvez également créer une feuille de calcul Numbers en important un document créé dans une autre application, telle que Microsoft Excel ou AppleWorks. Création d’une feuille de calcul Pour créer une feuille de calcul Numbers, choisissez la mise en forme appropriée et les caractéristiques du contenu. Commencez à créer votre feuille de calcul à partir du modèle Vierge, ou bien sélectionnez un des nombreux modèles permettant entre autres de créer un plan financier, d’organiser une réunion, sans devoir faire tout le travail de conception. Parmi ces modèles, vous trouverez des tableaux, des graphiques prédéfinis, ainsi que des exemples de données qui vous permettront de commencer plus rapidement à travailler sur votre feuille de calcul.32 Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers Pour créer une feuille de calcul : 1 Ouvrez Numbers en cliquant sur son icône dans le Dock ou en double-cliquant sur son icône dans le Finder. Si Numbers est ouvert, sélectionnez Fichier > Nouveau dans le sélecteur de modèles. 2 Dans la fenêtre du sélecteur de modèles, sélectionnez une catégorie de modèles dans la colonne de gauche pour afficher les modèles correspondants, puis sélectionnez celui qui convient le mieux à la feuille de calcul que vous désirez créer. Si vous souhaitez commencer avec une feuille de calcul sans contenu prédéfini, sélectionnez Vierge. 3 Cliquez sur Choisir. Une nouvelle feuille de calcul s’ouvre à l’écran. Pour ouvrir un modèle vierge et ignorer la fenêtre du sélecteur de modèles lors de la création d’une feuille de calcul, sélectionnez « Ne plus afficher ce message ». Pour que le sélecteur de modèles réapparaisse lorsque vous créez une feuille de calcul, choisissez Numbers > Préférences, cliquez sur Général, puis sélectionnez « Pour les nouveaux documents : Afficher la zone de dialogue du sélecteur de modèles”. Vous pouvez également sélectionner Fichier > Nouveau dans le sélecteur de modèles. Vous pouvez également opter pour afficher un modèle particulier dans Numbers chaque fois que vous ouvrez Numbers ou créez une feuille de calcul. Choisissez Numbers > Préférences, cliquez sur Général, sélectionnez « Pour les nouveaux documents : utiliser le modèle : nom du modèle, puis cliquez sur Choisir. Sélectionnez le nom d’un modèle, puis cliquez sur Choisir.Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers 33 Importation d’un document Vous pouvez créer une feuille de calcul Numbers en important un document élaboré dans Microsoft Excel ou AppleWorks 6. Numbers peut également importer des fichiers au format CSV (délimité par des virgules), au format délimité par des tabulations et au format OFX (Open Financial Exchange). À partir d’AppleWorks, vous pouvez importer uniquement des feuilles de calcul. Voici différentes manières d’importer un document : m Faites glisser le document sur l’icône de l’application Numbers. Une nouvelle feuille de calcul Numbers s’ouvre alors, affichant le contenu du document importé. m Choisissez Fichier > Ouvrir, sélectionnez le document, puis cliquez sur Ouvrir. m Vous pouvez importer rapidement des données du Carnet d’adresses pour créer des tableaux contenant des noms, des numéros de téléphone, des adresses et d’autres informations sur vos contacts. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des champs de Carnet d’adresses » à la page 198 pour en connaître les instructions. Si vous ne parvenez pas à importer un document, essayez de l’ouvrir dans une autre application et de l’enregistrer dans un format susceptible d’être lu par Numbers ou copiez et collez son contenu dans une feuille de calcul Numbers existante. Vous pouvez également exporter des feuilles de calcul Numbers en fichiers Microsoft Excel, PDF et CSV. Reportez-vous à la rubrique « Exportation vers d’autres formats de document » à la page 206 pour en savoir plus. Ouverture d’une feuille de calcul Il existe plusieurs manières d’ouvrir une feuille de calcul créée à l’aide de Numbers. Voici différentes manières d’ouvrir une feuille de calcul : m Pour ouvrir une feuille de calcul lorsque vous travaillez dans Numbers, choisissez Fichier > Ouvrir, sélectionnez la feuille de calcul, puis cliquez sur Ouvrir. m Pour ouvrir une feuille de calcul sur laquelle vous avez travaillé récemment, choisissez Fichier > Ouvrir un document récent, puis sélectionnez la feuille de calcul dans le sous-menu. m Pour ouvrir une feuille de calcul Numbers à partir du Finder, double-cliquez sur l’icône de la feuille de calcul ou faites-la glisser sur l’icône de l’application Numbers. Si un message vous indique qu’il manque une police ou un fichier, vous pouvez néanmoins toujours utiliser la feuille de calcul. Numbers permet de choisir des polices de remplacement pour les polices manquantes. Pour ajouter ces polices manquantes, quittez Numbers et ajoutez les polices qui se trouvent dans le dossier Polices (pour en savoir plus, consultez l’Aide Mac). Pour faire réapparaître les fichiers de séquence ou de son manquants, rajoutezles à la feuille de calcul.34 Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers Enregistrement de feuilles de calcul Lorsque vous créez une feuille de calcul Numbers, toutes les images sont enregistrées dans celle-ci pour qu’elles s’affichent correctement si la feuille de calcul est ouverte sur un autre ordinateur. Les polices ne sont cependant pas incluses dans le document. Si vous transférez une feuille de calcul Numbers à un autre ordinateur, assurez-vous que les polices qu’elle utilise ont été installées dans le dossier Polices de l’ordinateur de destination. Vous pouvez opter pour l’enregistrement des fichiers audio et de séquence dans une feuille de calcul Numbers. Dans le cas contraire, vous devrez aussi les transférer pour que la feuille de calcul s’affiche correctement sur un autre ordinateur. Enregistrement d’une feuille de calcul Il est judicieux d’enregistrer régulièrement la feuille de calcul pendant votre travail. Après son premier enregistrement, vous pouvez appuyer sur les touches Commande + S pour la réenregistrer en conservant les mêmes réglages. Pour enregistrer une feuille de calcul pour la première fois : 1 Choisissez Fichier > Enregistrer, ou appuyez sur Commande + S. 2 Dans le champ Enregistrer sous, saisissez le nom de la feuille de calcul. 3 Si le répertoire contenant vos fichiers n’est pas visible dans le menu local Où, cliquez sur le triangle d’affichage à droite du champ Enregistrer sous. 4 Choisissez l’emplacement où enregistrer la feuille de calcul. 5 Si une feuille de calcul doit être ouverte sur un autre ordinateur, cliquez sur Options avancées et définissez les options qui détermineront ce qui sera copié dans votre feuille de calcul. Copier l’audio et la vidéo dans le document : si vous cochez cette case, les fichiers audio et vidéo sont enregistrés avec la feuille de calcul, pour permettre la lecture des fichiers en cas d’ouverture de la feuille de calcul. Vous pouvez désactiver cette case afin de réduire la taille du fichier, mais dans ce cas les fichiers multimédias ne fonctionneront pas sur un autre ordinateur à moins que vous ne les transfériez également. Copier les images du modèle dans le document : si vous ne sélectionnez pas cette option et si vous ouvrez la feuille de calcul sur un ordinateur où Numbers n’est pas installé, l’apparence de la feuille peut être différente. 6 Cliquez sur Enregistrer. En général, vous pouvez enregistrer des feuilles de calcul Numbers uniquement sur les ordinateurs et serveurs fonctionnant sous Mac OS X. Numbers n’est pas compatible avec les ordinateurs Mac OS 9 et les serveurs Windows exécutant des services pour Macintosh. Si vous devez travailler sur un ordinateur Windows, essayez pour cela d’utiliser un logiciel de serveur AFP disponible pour Windows.Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers 35 Si vous envisagez de partager la feuille de calcul avec des personnes dont l’ordinateur n’est pas équipé de Numbers, vous pouvez l’exporter afin de l’utiliser dans une autre application. Pour en savoir plus sur l’exportation de votre feuille de calcul dans d’autres formats de fichier, voir la rubrique « Exportation vers d’autres formats de document » à la page 206. Vous pouvez également envoyer une feuille de calcul à iWeb. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Envoi d’une feuille de calcul à iWeb » à la page 207. Annulation de modifications Si vous ne désirez pas enregistrer les modifications que vous avez effectuées dans la feuille de calcul depuis son ouverture ou depuis le dernier enregistrement, vous pouvez les annuler. Voici différentes manières d’annuler des modifications : m Pour annuler la toute dernière modification, choisissez Édition > Annuler. m Pour annuler plusieurs modifications, choisissez plusieurs fois de suite Édition > Annuler. Vous pouvez annuler toutes les modifications effectuées depuis l’ouverture de la feuille de calcul ou revenir à la dernière version enregistrée. m Pour réappliquer les modifications que vous avez annulées en utilisant Édition > Annuler, sélectionnez Édition > Rétablir autant de fois que vous le souhaitez. m Pour annuler toutes les modifications effectuées depuis le dernier enregistrement de votre feuille de calcul, choisissez Fichier > Revenir à la version enregistrée, puis cliquez sur Revenir. Enregistrement automatique d’une copie de sauvegarde d’une feuille de calcul Chaque fois que vous enregistrez une feuille de calcul, vous pouvez conserver une copie sans les modifications que vous avez effectuées depuis le dernier enregistrement du document. De cette façon, si vous changez d’avis, vous pouvez revenir à la copie de sauvegarde de la feuille de calcul. Voici différentes manières de créer et d’utiliser une version de sauvegarde : m Pour qu’une copie de sauvegarde s’effectue automatiquement pour une feuille de calcul, choisissez Numbers > Préférences, cliquez sur Général, puis sélectionnez « Créer une copie de sauvegarde de la version précédente à chaque enregistrement ». Lors de l’enregistrement suivant de votre feuille de calcul, une version de sauvegarde est alors créée au même emplacement, portant le préfixe de « copie de sauvegarde de » ajouté au nom du fichier d’origine. Une seule version (la dernière version enregistrée) est sauvegardée. Chaque fois que vous enregistrez la feuille de calcul, le fichier de sauvegarde est remplacé par un nouveau.36 Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers m Pour revenir à la dernière version enregistrée après avoir effectué des modifications sans les enregistrer, choisissez Fichier > Revenir à la version enregistrée. Les modifications de la feuille de calcul ouverte sont alors annulées. Enregistrement d’une feuille de calcul en tant que modèle Lorsque vous enregistrez une feuille de calcul en tant que modèle, il apparaît dans le sélecteur de modèles. Pour enregistrer une feuille de calcul en tant que modèle : m Choisissez Fichier > Enregistrer comme modèle. Reportez-vous à la rubrique « Conception d’un modèle » à la page 208 pour en savoir plus. Enregistrement de termes de recherche applicables à une feuille de calcul Vous pouvez stocker des informations telles que le nom de l’auteur et des mots-clés dans des feuilles Numbers, puis utiliser Spotlight pour localiser les feuilles de calcul contenant ces informations. Pour stocker des informations sur une feuille de calcul : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des documents. 2 Dans les champs de Spotlight , saisissez les informations (ou modifiez-les). Pour rechercher des feuilles de calcul contenant des informations Spotlight, cliquez sur l’icône de Spotlight dans l’angle supérieur droit de la barre des menus, puis saisissez les critères souhaités.Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers 37 Enregistrement d’une copie d’une feuille de calcul Si vous souhaitez réaliser une copie de votre feuille de calcul (pour créer une copie de sauvegarde ou plusieurs versions, par exemple) vous pouvez enregistrer celle-ci sous un autre nom ou à un emplacement différent. (Vous pouvez également enregistrer automatiquement une version de sauvegarde, tel qu’il est décrit dans la rubrique « Enregistrement automatique d’une copie de sauvegarde d’une feuille de calcul ».) Pour enregistrer une copie d’une feuille de calcul : m Choisissez Fichier > Enregistrer sous, puis indiquez un nom et un emplacement. La feuille de calcul portant le nouveau nom reste ouverte. Pour travailler avec la version précédente, choisissez Fichier > Ouvrir document récent et choisissez la version précédente dans le sous-menu. Fermeture d’une feuille de calcul sans quitter Numbers Lorsque vous avez fini de travailler sur une feuille de calcul, vous pouvez la fermer sans quitter Numbers. Pour fermer la feuille de calcul active sans fermer l’application : m Sélectionnez Fichier > Fermer ou cliquez sur le bouton de fermeture dans le coin supérieur gauche de la fenêtre Numbers. Si vous avez effectué des modifications depuis le dernier enregistrement de votre feuille de calcul, Numbers vous invite à les enregistrer. Utilisation de feuilles pour organiser une feuille de calcul Comme les chapitres d’un livre, les feuilles permettent de diviser des informations en groupes plus gérables. Par exemple, vous pourriez être amené à placer des graphiques dans la même feuille que les tableaux dont ils affichent les valeurs. Vous pouvez également placer tous les tableaux dans une feuille et tous les graphiques dans une autre. Une feuille peut enfin vous servir à conserver les contacts professionnels et une autre serait réservée aux proches. 38 Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers Les feuilles d’un classeur, les tableaux et les graphiques de chaque feuille sont repré- sentés dans la sous-fenêtre Feuilles qui se trouve à gauche du canevas au-dessus de la sous-fenêtre des styles. Seuls les tableaux et les graphiques sont répertoriés pour chaque page même si votre feuille de calcul contient du texte, des images et d’autres objets. Il se peut que l’ordre des tableaux et des graphiques figurant dans la sous-fenêtre Feuilles ne corresponde pas à celui de ces éléments dans la feuille de calcul, comme indiqué à la rubrique « Réorganisation de feuilles et de leur contenu » à la page 39. Visualisation de feuilles La sous-fenêtre Feuilles dans la partie gauche de la fenêtre Numbers dresse la liste des feuilles de la feuille de calcul et celle des tableaux et des graphiques de chaque feuille. Il existe plusieurs manières d’afficher les tableaux et les graphiques d’une feuille : m Pour afficher ou masquer tous les tableaux et graphiques d’une feuille dans la sousfenêtre Feuilles, cliquez sur le triangle en regard de la feuille dans la sous-fenêtre. m Pour afficher le contenu d’une feuille, cliquez sur cette feuille dans la sous-fenêtre Feuilles. Lorsque vous travaillez sur un tableau ou un graphique d’une feuille de calcul, le tableau ou le graphique apparaît en surbrillance dans la sous-fenêtre Feuilles. Cliquez sur cette icône pour afficher ou masquer les tableaux et les graphiques d’une feuille. Cliquez ici pour ajouter une nouvelle feuille.Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers 39 Ajout et suppression de feuilles Il existe plusieurs manières d’ajouter et de supprimer des feuilles. Il existe différentes manières de créer et de supprimer des feuilles : m Pour ajouter une nouvelle feuille, cliquez sur le bouton Feuille dans la barre d’outils. Vous pouvez également choisir Insérer > Feuille. Une nouvelle feuille contenant un tableau prédéfini est ajouté dans le bas de la sous-fenê- tre Feuilles. Vous pouvez déplacer la feuille en la faisant glisser sur son nouvel emplacement dans la sous-fenêtre Feuilles. m Pour ajouter une feuille correspondant à la copie d’une feuille du document, sélectionnez la feuille à copier, choisissez Édition > Copier, sélectionnez la feuille après laquelle vous souhaitez insérer la copie, puis choisissez Édition > Coller. m Pour supprimer une feuille et son contenu, sélectionnez-la dans la sous-fenêtre Feuilles et appuyez sur la touche Supprimer. Lorsque vous ajoutez une feuille, Numbers lui attribue un nom par défaut, mais vous pouvez modifier ce nom comme décrit à la rubrique « Renommer des feuilles » à la page 40. Réorganisation de feuilles et de leur contenu Dans la sous-fenêtre Feuilles, vous pouvez déplacer des feuilles et réorganiser leurs tableaux et graphiques. Vous pouvez également déplacer des tableaux et des graphiques d’une feuille à une autre. La réorganisation de tableaux et de graphiques dans la sous-fenêtre Feuilles n’affecte en rien leur emplacement dans une feuille. Dans une feuille de la sous-fenêtre Feuilles, par exemple, vous pouvez placer des graphiques en regard de tableaux dont ils sont dérivés ou ranger les tableaux dans l’ordre où vous souhaitez les traiter. À l’intérieur de la feuille même cependant, il peut s’avérer plus judicieux de présenter ces objets dans un ordre différent (par exemple, lorsque vous disposez votre feuille de calcul en vue de son impression).40 Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers Il existe plusieurs moyens de réorganiser des feuilles dans la sous-fenêtre Feuilles : m Pour déplacer une feuille, sélectionnez-la et faites-la glisser dans la sous-fenêtre. Les feuilles se déplacent alors afin de laisser de la place à votre insertion à mesure que vous faites glisser la souris. Vous pouvez également sélectionner plusieurs feuilles et les déplacer en tant que groupe. m Pour copier (ou couper) et coller des feuilles, sélectionnez-les, choisissez Édition > Couper ou Édition > Copier, sélectionnez la feuille après laquelle vous souhaitez placer les feuilles, puis choisissez Édition > Coller. m Pour déplacer des tableaux et des graphiques associés à une feuille, sélectionnez-les et faites-les glisser dans la feuille active ou vers une autre feuille. Vous pouvez également utiliser les actions couper/coller ou copier/coller pour déplacer des tableaux et des graphiques dans la sous-fenêtre. Pour déplacer un objet dans une feuille d’une feuille de calcul, sélectionnez-le et faitesle glisser ou effectuez un couper/coller ou un copier/coller. Pour placer des objets sur des pages spécifiques, suivez les instructions de la rubrique « Division d’une feuille en pages » à la page 41. Renommer des feuilles Les feuilles se distinguent les unes des autres par leur nom qui figurent dans la sousfenêtre Feuilles. Un nom est attribué par défaut à chaque feuille que vous ajoutez mais vous pouvez le remplacer par un nom plus évocateur. Il existe plusieurs façons de renommer une feuille : m Dans la sous-fenêtre Feuilles, double-cliquez sur le nom pour le modifier. m Dans l’inspecteur des feuilles, modifiez le nom au niveau du champ Nom. Vous pouvez également modifier les noms des tableaux et des graphiques d’une feuille. Pour obtenir des instructions, reportez-vous aux rubriques « Attribution d’un nom à un tableau » à la page 51 et « Utilisation d’un titre de graphique » à la page 118.Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers 41 Division d’une feuille en pages En vue avant impression, vous pouvez afficher une feuille sous forme de pages individuelles, déplacer et redimensionner des objets jusqu’à obtenir la disposition souhaitée pour la version imprimée ou au format PDF de la feuille. Vous pouvez également ajouter des en-têtes, des bas de page, des numéros de page, entre autres. Il existe différentes manières d’afficher ou de masquer le mode Impression : m Dans la barre d’outils, cliquez sur Présentation, puis choisissez d’afficher ou de masquer la vue avant impression. m Sélectionnez Fichier > Afficher la vue avant impression, Présentation > Afficher la vue avant impression ou Présentation > Masquer la vue avant impression.. m Cliquez sur l’icône représentant une page à côté de la commande de zoom sur les pages, dans l’angle inférieur gauche du canevas. Cliquez ici pour afficher ou masquer l’affichage Imprimer. Actionner le curseur pour réduire ou agrandir tous les objets de la feuille. Zone de bas de page Zone d’en-tête Cliquez ici pour choisir un niveau de zoom sur les pages et afficher ainsi plus ou moins de pages à la fois. Cliquez ici pour afficher les pages en mode portrait (dans le sens de la hauteur). Cliquez ici pour afficher les pages en mode paysage (dans le sens de la longueur).42 Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers En mode Impression, le niveau de zoom que vous choisissez dans le menu local de la partie inférieure gauche détermine le nombre de pages visibles simultanément dans la fenêtre. Vous devez configurer les attributs des pages, tels que l’orientation et les marges des pages, séparément pour chaque feuille, à l’aide de l’Inspecteur des feuilles. Définition du format de page d’une feuille de calcul Avant de travailler en mode Impression, définissez la taille des pages correspondant au format de papier utilisé. Pour définir le format de page : 1 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des documents. 2 Choisissez un format de page dans le menu local Taille du papier. Utilisation d’en-têtes et de bas de page Vous pouvez afficher le même texte sur plusieurs pages d’une feuille. Les informations récurrentes qui apparaissent en haut de la page sont appelées en-tête, et celles du bas, bas de page. Vous pouvez placer votre texte dans un en-tête ou un bas de page, et utiliser des champs de texte mis en forme. Les champs de texte formatés vous permettent d’insérer un texte qui sera automatiquement mis à jour. Par exemple, l’insertion du champ de la date affiche la date en cours chaque fois que vous ouvrez la feuille de calcul. De même, le champ des numéros de page s’actualise lorsque vous ajoutez ou supprimez des pages. Attribuer un nom à la feuille. Réduire ou agrandir tous les objets de la feuille. Définir l’orientation des pages et l’ordre de pagination. Définir les marges de la page. Indiquer le numéro de page de départ de la feuille.Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers 43 Pour définir le contenu d’un en-tête ou d’un bas de page : 1 Dans la barre d’outils, cliquez sur Présentation, puis choisissez Affichage impression. 2 Pour afficher les en-têtes et les bas de page, placez le pointeur en haut ou en bas de la page. Vous pouvez aussi cliquer sur Présentation dans la barre d’outils, puis sélectionner Afficher la disposition. 3 Pour ajouter du texte dans un en-tête ou un bas de page, placez le point d’insertion dans l’en-tête ou le bas de page et insérez le texte. 4 Pour ajouter des numéros de page ou autres valeurs modifiables, reportez-vous à la rubrique « Insertion de numéros de page et d’autres valeurs variables » à la page 161. Organisation d’objets sur la page Redimensionnez des objets, déplacez-les dans une page ou d’une page à une autre ou affichez les longs tableaux sur plusieurs pages en mode Impression. Pour passer en mode Impression, cliquez sur Présentation, puis sélectionnez Affichage impression. Il existe différentes manières de disposer des objets sur les pages d’une feuille sélectionnée : m Pour ajuster la taille des objets de la feuille de façon à modifier le nombre de pages occupé, utilisez les commandes Echelle du contenu de l’Inspecteur des feuilles. Vous pouvez également faire glisser le curseur Echelle du contenu en bas à gauche du canevas pour redimensionner tous les éléments d’une feuille. m Pour redimensionner des objets individuellement, sélectionnez-les et faites glisser leurs poignées de sélection ou modifiez les valeurs du champ Taille dans l’Inspecteur des mesures. Pour redimensionner un tableau, reportez-vous à la rubrique « Redimensionnement d’un tableau » à la page 50. Pour redimensionner un graphique, reportez-vous à la rubrique « Redimensionnement d’un graphique » à la page 119. Pour redimensionner d’autres objets, reportez-vous à la rubrique « Redimensionnement des objets » à la page 171. m Sélectionnez « Répéter les en-têtes sur chaque page » de l’Inspecteur des tableaux pour configurer les rangs et les colonnes d’en-tête de façon qu’elles apparaissent sur chaque page si un tableau occupe plusieurs pages. Vous pouvez également sélectionner Tableau > Répéter les rangées d’en-tête ou Tableau > Répéter les colonnes d’en-tête.44 Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers Pour ne pas afficher les rangs ou les colonnes d’en-tête lorsqu’un tableau s’étend sur plusieurs pages, désactivez « Répéter les en-têtes sur chaque page » dans l’Inspecteur des tableaux, ou bien sélectionnez soit Tableau > Ne pas répéter les rangées d’en-tête, soit Tableau > Ne pas répéter la colonne d’en-tête. m Déplacez les objets de page en page en les faisant glisser ou par action de couper/coller. Réglage de l’orientation de la page Vous pouvez disposer les pages d’une feuille dans le sens de la hauteur (orientation portrait) ou dans le sens de la largeur (orientation paysage). Pour régler l’orientation de page d’une feuille : 1 Dans la barre d’outils, cliquez sur Présentation, puis choisissez Affichage impression. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des feuilles, puis cliquez sur le bouton d’orientation de page approprié dans la zone « Disposition de la page » de la sous-fenêtre. Vous pouvez également cliquer sur le bouton d’orientation de page situé en bas et à gauche du canevas. Réglage de l’ordre de pagination Vous pouvez ordonner les pages affichées en mode Page de gauche à droite ou du haut en bas lors de leur impression ou de la création d’un PDF. Pour régler l’ordre de pagination : m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des feuilles, puis cliquez sur le bouton d’orientation de page approprié (du haut vers le bas ou de gauche à droite) dans la zone « Disposition de la page » de la sous-fenêtre. Numérotation de pages Vous pouvez afficher le numéro des pages dans l’en-tête ou le bas de page. Pour numéroter les pages d’une feuille : 1 Sélectionnez la feuille. 2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Présentation, puis choisissez Affichage impression. 3 Dans la barre d’outils, cliquez sur Présentation, puis choisissez Afficher la disposition pour afficher les en-têtes et les bas de page. Pour afficher les en-têtes et les bas de page, placez le pointeur en haut ou en bas de la page. 4 Cliquez sur le premier en-tête ou bas de page pour ajouter un numéro de page d’après les instructions fournies à la rubrique « Insertion de numéros de page et d’autres valeurs variables » à la page 161.Chapitre 2 Utilisation d’une feuille de calcul Numbers 45 5 Dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur, sur le bouton Inspecteur des feuilles, puis indiquez le numéro de départ de la page. Pour poursuivre la numérotation des pages à partir de la feuille sélectionnée précédemment, sélectionnez « Continuer à partir de la feuille précédente ». Pour lancer la numérotation des pages de la feuille à partir d’un numéro en particulier, utilisez le champ Démarrer à. Réglage des marges de la page En mode impression, chaque page de la feuille possède des marges (espace vierge entre le bord de la feuille et les bords du papier). Ces marges sont indiquées à l’écran par des lignes gris clair, visibles en présentation Disposition. Pour régler les marges de page d’une feuille : 1 Sélectionnez la feuille dans la sous-fenêtre Feuille. 2 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et sélectionnez « Afficher la vue avant impression » et Afficher la disposition. 3 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des feuilles. 4 Pour régler la distance entre les marges de disposition et les bordures gauche, droite, supérieure et inférieure d’une page, entrez des valeurs dans les champs Gauche, Droite, Haut et Bas. 5 Pour régler la distance entre un en-tête ou un bas de page et respectivement le bord supérieur ou le bord inférieur de la page, saisissez des valeurs dans les champs En-tête et Bas de page. Pour imprimer la feuille de calcul en utilisant la zone la plus grande possible, sélectionnez Utiliser les marges de l’imprimante. Tous les paramètres de marges spécifiés dans l’Inspecteur des feuilles seront ignorés lors de l’impression.3 46 3 Utilisation de tableaux Ce chapitre vous explique comment ajouter et mettre en forme des tableaux et des valeurs de cellule. D’autres chapitres contiennent des instructions qui se focalisent sur des aspects spécifiques des tableaux :  Pour savoir comment utiliser des styles pour mettre en forme des tableaux, reportez-vous au chapitre 4, « Utilisation des styles de tableaux » à la page 87.  Pour apprendre à utiliser des formules dans les cellules d’un tableau, reportez-vous au chapitre 5, « Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux » à la page 91.  Pour savoir comment afficher les valeurs d’un tableau dans un graphique, reportez-vous au chapitre 6, « Utilisation des graphiques » à la page 108. À propos des tableaux Les tableaux vous aident à organiser, analyser et présenter des données. Numbers offre un large éventail d’options permettant de créer et de mettre en forme des tableaux et de gérer des valeurs de différents types. Vous pouvez également utiliser des opérations spéciales telles que le tri ou le formatage conditionnel (technique permettant de contrôler automatiquement les valeurs d’une cellule).  La rubrique « Utilisation de tableaux » à la page 47 vous apprend à ajouter des tableaux, à les redimensionner, à les déplacer, à les nommer, etc.  La rubrique « Sélection de tableaux et de leurs composants » à la page 54 décrit comment sélectionner des tableaux, des colonnes et d’autres éléments de tableaux afin de travailler avec.  La rubrique « Utilisation du contenu des cellules d’un tableau » à la page 58 vous indique comment ajouter du texte, des chiffres, des dates, des images et tout autre contenu dans les cellules d’un tableau et vous explique comment contrôler automatiquement les valeurs d’une cellule.  La rubrique « Utilisation des rangs et des colonnes » à la page 75 traite de l’ajout de rangs et de colonnes, de leur redimensionnement, etc.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 47  La rubrique « Utilisation des cellules d’un tableau » à la page 81 contient des instructions relatives à la division, à la fusion, à la copie et au déplacement des cellules et vous indique comment mettre en forme les bordures des cellules.  La rubrique « Réorganisation des tableaux » à la page 84 décrit le tri et le filtrage des rangs. Utilisation de tableaux Vous disposez d’une grande variété de techniques permettant de créer des tableaux et d’en gérer les caractéristiques, la taille et l’emplacement. Ajout d’un tableau Même si la plupart des modèles contient un ou plusieurs tableaux prédéfinis, vous pouvez ajouter des tableaux à une feuille de calcul Numbers. Il existe plusieurs manières d’ajouter un tableau : m Cliquez sur Tableaux dans la barre d’outils et choisissez un tableau prédéfini dans le menu local. Vous pouvez ajouter vos propres tableaux prédéfinis au menu local. Reportez-vous à la rubrique « Définition de tableaux réutilisables » à la page 52 pour en connaître les instructions. m Sélectionnez Insérer > Tableau > tableau. m Pour créer un tableau à partir d’une ou de plusieurs cellules adjacentes d’un tableau, sélectionnez la ou les cellules, cliquez sur la sélection et, tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé, faites glisser la sélection vers la feuille. Pour conserver les valeurs dans les cellules sélectionnées du tableau d’origine, maintenez la touche Option enfoncée tout en faisant glisser la sélection. Consultez la rubrique « Sélection de tableaux et de leurs composants » à la page 54 pour en savoir plus sur les techniques de sélection des cellules. m Pour créer un tableau à partir d’une colonne ou d’un rang entier tiré d’un tableau, cliquez sur l’onglet de référence associé au rang ou à la colonne et, tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris, faites glisser le rang ou la colonne vers la feuille puis relâ- chez le bouton de la souris. Pour conserver les valeurs sélectionnées dans la colonne ou le rang du tableau d’origine, maintenez la touche Option enfoncée tout en faisant glisser la sélection. Utilisation des outils de tableau Vous pouvez mettre en forme un tableau et ses colonnes, rangées, cellules à l’aide de divers outils Numbers.48 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Il existe plusieurs manières de gérer les caractéristiques d’un tableau : m Sélectionnez un tableau et mettez-le rapidement en forme à l’aide de la barre des formats. m L’inspecteur des tableaux permet d’accéder à des contrôles propres aux tableaux, notamment les champs servant à définir avec précision la largeur des colonnes et la hauteur des rangs. Pour ouvrir l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils et cliquez ensuite sur le bouton Inspecteur des tableaux. m Servez-vous de l’inspecteur des cellules pour mettre en forme des valeurs. Par exemple, vous pouvez afficher un symbole de devise dans les cellules contenant des valeurs monétaires. Vous pouvez également définir des réglages de mise en forme conditionnelle. Par exemple, une cellule peut prendre la couleur rouge lorsque sa valeur excède un certain chiffre. Trier le texte à l’intérieur des cellules du tableau. Mettre en forme les bordures de cellule. Ajouter une couleur d’arrière-plan à une cellule Mettre en forme les valeurs de cellule. Gérer les en-têtes et les bas de page. Afficher ou masquer le nom du tableau. Mettre en forme le texte à l’intérieur des cellules du tableau Attribuer un nom au tableau. Ajouter un rang d’en-tête, une colonne d’en-tête et un rang de bas de page. Fusionner ou diviser des cellules sélectionnées. Ajuster la taille des rangs et des colonnes. Régler les attributs des étiquettes, des marques de graduation, etc. Ajouter une couleur ou une image à une cellule. Modifier le comportement des touches Retour et de tabulation. Reportez-vous à la rubrique « Sélection d’une cellule unique d’un tableau » à la page 54 pour en savoir plus. Contrôler la visibilité des cellules d’en-tête dans des tableaux à plusieurs pages.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 49 Pour ouvrir l’inspecteur des cellules, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils et sur le bouton Inspecteur des cellules. m Utilisez des styles de tableaux pour affiner rapidement l’apparence des tableaux et leur attribuer une cohérence visuelle. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de styles applicables aux tableaux » à la page 87 pour obtenir plus d’informations. m Utilisez les onglets de référence et les poignées qui s’affichent lorsque vous sélectionnez une cellule de tableau pour réorganiser rapidement un tableau, sélectionner toutes les cellules d’un rang ou d’une colonne, ajouter ou supprimer des rangs et des colonnes, etc. Des onglets de référence servent également à l’élaboration de formules (pour en savoir plus, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des références de cellules » à la page 100). m Utilisez l’inspecteur des graphismes pour créer des effets visuels, par exemple pour appliquer des ombres. Pour ouvrir l’Inspecteur des graphismes, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. Définir le format d’affichage de valeurs issues des cellules sélectionnées. Cocher la case pour renvoyer le texte à la ligne dans les cellules sélectionnées. Utiliser les couleurs pour faire ressortir les cellules contenant les valeurs qui dépendent de vos règles. Faire glisser la poignée Tableau pour déplacer Vous pouvez utiliser la lettre des onglets pour faire référence aux colonnes. Cliquer sur la poignée Colonne pour ajouter une colonne. La faire glisser pour ajouter plusieurs colonnes. Vous pouvez utiliser le numéro des onglets pour faire référence aux rangs. Faire glisser la poignée Colonne et Rang vers le bas pour ajouter des rangs. La faire glisser vers la droite pour ajouter des colonnes. Cliquer sur la poignée Rang pour ajouter un rang. La faire glisser pour en ajouter plusieurs.50 Chapitre 3 Utilisation de tableaux m Pour accéder au menu contextuel, sélectionnez un tableau ou une ou plusieurs cellule(s) puis cliquez à nouveau tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée. Vous pouvez également utiliser les menus locaux de la colonne et les onglets de référence des rangs. m Utilisez l’éditeur de formules et la barre de formules pour ajouter et modifier les formules. Pour en savoir plus, reportez-vous aux rubriques « Utilisation de l’Éditeur de formules » à la page 97 et « Utilisation de la barre des formules » à la page 98. m Utilisez le Navigateur de formules pour ajouter et modifier des fonctions. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des fonctions » à la page 106 pour en savoir plus. Redimensionnement d’un tableau Vous pouvez agrandir ou réduire la taille d’un tableau en faisant glisser l’une de ses poignées de sélection ou à l’aide de l’Inspecteur des mesures. Vous pouvez également modifier la taille d’un tableau en redimensionnant ses colonnes et ses rangs. Il existe plusieurs manières de redimensionner un tableau sélectionné : m Faites glisser l’une des poignées de sélection carrés qui s’affiche lorsque vous sélectionnez un tableau. Reportez-vous à la rubrique « Sélection d’un tableau » à la page 54 pour en connaître les instructions. Pour conserver les proportions du tableau, maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous redimensionnez le tableau. Pour redimensionner le tableau à partir de son centre, maintenez la touche Option enfoncée pendant que vous le faites glisser. Pour redimensionner un tableau dans une direction, faites-glisser une poignée latérale au lieu d’une poignée d’angle.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 51 m Pour redimensionner avec des dimensions exactes, sélectionnez un tableau ou une cellule, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des mesures. Cette sous-fenêtre vous permet de spécifier de nouvelles valeurs pour la largeur et la hauteur et de modifier l’espace entre le tableau et les marges à l’aide des champs Position. m Si le tableau s’étend sur plus d’une page, vous devez utiliser l’Inspecteur des mesures pour le redimensionner. Pour redimensionner un tableau en réglant les dimensions des rangs et des colonnes, reportez-vous à la rubrique « Redimensionnement de rangs et de colonnes » à la page 79. Déplacement de tableaux Vous pouvez déplacer un tableau en le faisant glisser, ou vous pouvez le changer d’emplacement à l’aide de l’Inspecteur des mesures. Il existe plusieurs manières de déplacer un tableau : m Si le tableau n’est pas sélectionné, cliquez sur le bord du tableau et maintenez enfoncée le bouton de la souris, puis faites glisser le tableau. Si le tableau est sélectionné, faites-le glisser en maintenant enfoncée la poignée dans la partie supérieure gauche. m Maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous faites glisser le tableau afin d’imposer un mouvement horizontal, vertical ou à 45 degrés. m Pour déplacer plus précisément un tableau, cliquez sur une cellule, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures, puis utilisez les champs Position pour déplacer le tableau. m Pour copier un tableau et déplacer la copie, maintenez la touche Option enfoncée, cliquez et maintenez le bouton de la souris enfoncé sur le bord du tableau non sélectionné et faites glisser. Attribution d’un nom à un tableau Le nom de chaque tableau dans Numbers s’affiche dans la sous-fenêtre Feuilles et peut également s’afficher au-dessus du tableau. Le nom du tableau par défaut (Tableau 1, Tableau 2, etc.) peut être modifié, masqué ou mis en forme. En revanche, vous ne pouvez pas le déplacer ou le redimensionner. Il existe plusieurs manières d’utiliser les noms de tableau : m Vous pouvez modifier le nom dans la sous-fenêtre Feuilles ou dans le champ Nom de l’inspecteur des tableaux. Deux tableaux sur une même feuille ne peuvent pas avoir le même nom. m Pour afficher le nom du tableau sur la feuille, sélectionnez Nom dans la barre des formats ou dans l’Inspecteur des tableaux. Pour masquer le nom du tableau sur la feuille, décochez Nom.52 Chapitre 3 Utilisation de tableaux m Pour mettre en forme le nom, vérifiez que le tableau n’est pas sélectionné, sélectionnez Nom dans la barre des formats ou dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur le nom du tableau pour sélectionner la zone du nom dans la feuille et utilisez la barre des formats, le panneau Police ou la sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur du texte. m Pour accroître l’espacement entre le nom du tableau et le corps du tableau, sélectionnez Nom dans l’inspecteur des tableaux, cliquez sur le nom et modifiez la valeur Après le paragraphe dans l’inspecteur du texte. Définition de tableaux réutilisables Vous pouvez ajouter vos propres tableaux au menu de tableaux prédéfinis qui s’affiche lorsque vous cliquez sur Tableaux dans la barre d’outils ou sur Insérer > Tableau. Les tableaux réutilisables présentent le style et la géométrie de votre choix et peuvent contenir du texte d’en-tête, des formules, etc.). Pour définir un tableau réutilisable : 1 Sélectionnez un tableau. 2 Définissez un style de tableau. Celui-ci détermine la mise en forme des bordures, de l’arrière-plan et du texte des cellules du tableau. Une façon de définir le style du tableau consiste à suivre les instructions de la rubrique « Modification du style d’un tableau » à la page 88. Vous pouvez également utiliser le style du tableau par défaut qui s’applique lorsque vous ajoutez un tableau à la feuille de calcul créée à partir du tableau réutilisable (pour en savoir plus sur le style du tableau par défaut, reportez-vous à la rubrique « Utilisation du style de tableau par défaut » à la page 89). L’étape 7 vous indique comment utiliser cette option. 3 Définissez la géométrie du tableau. Pour redimensionner le tableau, reportez-vous aux rubriques « Redimensionnement d’un tableau » à la page 50 et « Redimensionnement de rangs et de colonnes » à la page 79. Pour définir des colonnes et des rangs, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des rangs et des colonnes » à la page 75. Pour diviser, fusionner ou redimensionner des cellules du tableau, reportez-vous à la rubrique « Division des cellules d’un tableau » à la page 81 ou « Fusion des cellules d’un tableau » à la page 81. 4 Ajoutez et mettez en forme tout contenu que vous souhaitez réutiliser. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation du contenu des cellules d’un tableau » à la page 58 pour en connaître les instructions. Toute formule que vous ajoutez ne doit faire référence qu’aux cellules de tableau que vous définissez. 5 Sélectionnez Format > Avancé > Capturer le tableau. 6 Attribuez un nom au tableau.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 53 7 Sélectionnez « Utiliser le style par défaut de ce document » pour que le tableau utilise le style par défaut appliqué lorsque vous ajoutez le tableau à la feuille de calcul. Autrement, le style du tableau utilisé est celui défini à l’étape 2. 8 Cliquez sur OK. Une copie du tableau réutilisable peut être ajoutée à l’actuelle feuille de calcul en la sélectionnant dans le menu de tableaux prédéfinis qui s’affiche lorsque vous cliquez sur Tableaux dans la barre d’outils ou sur Insérer > Tableau. Pour réorganiser, renommer ou supprimer des tableaux sur le menu, cliquez sur Format > Avancé > Gérer les tableaux. Double-cliquez sur un nom de tableau prédéfini pour le modifier. Sélectionnez un tableau et cliquez sur les boutons fléchés haut ou bas pour le déplacer à l’intérieur de la liste de tableaux. Pour supprimer un tableau, cliquez sur le bouton Supprimer (-). Cliquez sur Terminé lorsque vous avez fini. Les modifications apportées au tableau et au menu ne s’appliquent qu’à la feuille de calcul actuelle. Pour appliquer ces modifications à d’autres feuilles de calcul, enregistrez la feuille de calcul comme modèle (reportez-vous aux instructions de la rubrique « Conception d’un modèle » à la page 208). Copie de tableaux entre des applications iWork Vous pouvez copier un tableau d’une application iWork à l’autre. Le tableau conserve son apparence, ses données et d’autres attributs, mais certaines fonctionnalités dans Numbers ne sont pas prises en charge dans les autres applications :  Les rangs ou les colonnes masqués dans Numbers ne sont pas visibles dans les autres applications sauf si vous sélectionnez le tableau et que vous cliquez sur Format > Tableau > « Afficher toutes les rangées » ou sur « Afficher toutes les colonnes».  Les commentaires ajoutés aux cellules de tableau dans Numbers ne sont pas copiés. Pour copier un tableau d’une application iWork à l’autre : 1 Sélectionnez le tableau à copier, comme le décrit la rubrique « Sélection d’un tableau » à la page 54. 2 Cliquez sur Édition > Copier. 3 Dans l’autre application, définissez un point d’insertion pour le tableau copié, puis choisissez Édition > Coller.54 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Sélection de tableaux et de leurs composants Vous devez sélectionner les tableaux, les rangs, les colonnes, les cellules de tableau et les bordures de cellule de tableau avant de les utiliser. Sélection d’un tableau Lorsque vous sélectionnez un tableau, des poignées de sélection apparaissent sur les bords de celui-ci. Il existe plusieurs manières de sélectionner un tableau : m Si la cellule de tableau n’est pas sélectionnée, déplacez le pointeur de la souris vers le bord du tableau. Lorsque le pointeur se transforme en croix noire, cliquez pour sélectionner le tableau. m Si une cellule ou un segment de bordure est sélectionné, cliquez sur la poignée Tableau dans la partie supérieure gauche pour sélectionner le tableau. Vous pouvez également appuyer sur Commande + Retour. Sélection d’une cellule unique d’un tableau Lorsque vous sélectionnez une cellule, la bordure de cette cellule est mise en surbrillance. La sélection d’une cellule affiche également des tabulations de référence sur le haut et sur les côtés du tableau. Pour sélectionner une cellule unique d’un tableau : 1 Déplacez le pointeur sur la cellule. Le pointeur se transforme en croix blanche. 2 Cliquez sur la cellule. Chapitre 3 Utilisation de tableaux 55 Lorsqu’une cellule est sélectionnée, utilisez les touches Tab, Retour et les touches fléchées pour déplacer la sélection vers une cellule adjacente. Si vous sélectionnez « La touche Retour déplace la sélection vers la cellule suivante » dans les Options de tableau de l’Inspecteur des tableaux, vous pouvez modifier l’effet des touches Retour ou de tabulation. Pour sélectionner Si l’option « Touche Retour » est sélectionnée Si l’option « Touche Retour » n’est pas sélectionnée La cellule suivante sur la droite Appuyez sur la touche de tabulation. Si vous appuyez sur la touche Tab lorsque la dernière cellule d’une colonne est sélectionnée, une nouvelle colonne est ajoutée. Si vous ajoutez ou modifiez les données de la dernière colonne, appuyez deux fois sur la touche de tabulation pour ajouter une colonne. Appuyez sur la touche de tabulation. Si vous appuyez sur la touche de tabulation dans la dernière colonne, la première cellule du rang suivant est sélectionnée. Si vous appuyez sur la touche de tabulation dans la dernière cellule du tableau, un nouveau rang est ajouté. La cellule précédente Appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de tabulation. Appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de tabulation. Si vous appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de tabulation dans la première cellule, la dernière cellule est sélectionnée. La cellule suivante du dessous Appuyez sur la touche Flèche vers le bas ou sur Retour. Si vous avez utilisé la touche de tabulation pour naviguer entre les cellules, vous pouvez utiliser la touche Retour pour sélectionner la cellule suivante vers le bas à partir de la cellule dans laquelle vous avez commencé à utiliser la touche de tabulation. Si vous appuyez sur la touche Retour lorsque la dernière cellule d’un rang est sélectionnée, un nouveau rang est ajouté. Si vous ajoutez ou modifiez les données de la dernière cellule, appuyez deux fois sur la touche Retour pour ajouter un rang. Appuyez sur la touche Flèche vers le bas. La cellule suivante au dessus Appuyez sur la flèche Haut ou sur la combinaison de touches Maj + Retour. Appuyez sur la touche Flèche vers le haut.56 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Sélection d’un groupe de cellules de tableau Vous pouvez sélectionner plusieurs cellules, qu’elles soient adjacentes ou non. Il existe plusieurs manières de sélectionner un groupe de cellules : m Pour sélectionner des cellules de tableau adjacentes, sélectionnez une cellule unique, puis maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous sélectionnez les cellules adjacentes. Vous pouvez également cliquer sur une cellule, puis faire glisser le curseur sur plusieurs cellules tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé. m Pour sélectionner des cellules non adjacentes d’un tableau, maintenez la touche Commande enfoncée pendant que vous sélectionnez les cellules. Utilisez la touche Commande tout en cliquant sur la cellule d’un groupe pour la désélectionner. Sélection d’un rang ou d’une colonne Sélectionnez les rangs et les colonnes à l’aide des onglets de référence correspondants. Pour sélectionner un rang ou une colonne en entier : 1 Sélectionnez une cellule pour afficher les onglets de référence. 2 Pour sélectionner une colonne, cliquez sur l’onglet de référence correspondant (au-dessus de la colonne). Pour sélectionner un rang, cliquez sur l’onglet de référence correspondant (à gauche du rang). Sélection des bordures des cellules d’un tableau Sélectionnez les segments de bordure de la cellule lorsque vous souhaitez les mettre en forme. Un seul segment de bordure correspond à un seul côté d’une cellule. Un long segment de bordure comprend tous les segments de bordure adjacents. Un seul segment (horizontal) de bordure Un long segment (vertical) de bordure Un long segment (horizontal) de bordure Un seul segment (vertical) de bordureChapitre 3 Utilisation de tableaux 57 Il existe plusieurs manières de sélectionner des segments de bordure : m Pour sélectionner les segments de bordure en une seule étape, sélectionnez un tableau, un rang, une colonne ou une cellule. Cliquez sur le bouton Bordures dans la barre des formats et sélectionnez une option dans le menu local. Vous pouvez également cliquer sur les boutons Bordures de cellule de l’Inspecteur des tableaux pour sélectionner un segment d’un contour. m Pour sélectionner et désélectionner des segments en cliquant dessus dans un tableau, utilisez le mode de sélection de bordure. Sélectionnez « Autoriser la sélection de bordure » dans le menu local Bordures de la barre des formats ou sélectionnez Tableau > Autoriser la sélection de bordure, puis le tableau sur lequel vous voulez travailler. Le pointeur de la souris change de forme lorsqu’il passe sur un segment horizontal ou vertical. Le pointeur semble « chevaucher » le segment. Pour sélectionner un long segment, cliquez sur une bordure horizontale ou verticale d’une cellule. Pour ne sélectionner qu’un seul segment, cliquez de nouveau dessus. Cliquez pour passer de la sélection d’un seul segment à un long segment ou d’un long segment à un seul. Pour ajouter un seul ou long segment à la sélection, cliquez tout en maintenant enfoncée la touche Maj ou Commande. Pour désélectionner un seul segment, cliquez dessus tout en maintenant enfoncée la touche Maj ou Commande. Bouton Contours Le pointeur ressemble à ceci lorsqu’il passe au-dessus d’un segment horizontal. Le pointeur ressemble à ceci lorsqu’il passe au-dessus d’un segment vertical.58 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Pour arrêter d’utiliser le mode de sélection des bordures, sélectionnez « Ne pas autoriser la sélection de bordure » dans le menu local Bordures de la barre des formats ou sélectionnez Tableau > Ne pas autoriser la sélection de bordure . Utilisation du contenu des cellules d’un tableau Vous pouvez ajouter du texte, des chiffres et des dates dans les cellules d’un tableau, et vous pouvez mettre en forme les valeurs de ces cellules. Vous pouvez également ajouter des images et une couleur d’arrière-plan, ainsi que des cases à cocher, des curseurs et d’autres contrôles. De plus, la fonction de remplissage automatique vous permet d’utiliser le contenu d’une cellule pour ajouter automatiquement des valeurs aux cellules adjacentes. Ajout et modification de valeurs de cellule Vous pouvez ajouter, modifier et supprimer le contenu des cellules. Il existe plusieurs manières d’ajouter et de modifier les valeurs : m Si la cellule est vide, sélectionnez-la puis tapez une valeur. Reportez-vous à la rubrique « Sélection d’une cellule unique d’un tableau » à la page 54 pour savoir comment sélectionner les cellules. m Pour remplacer un contenu spécifique existant dans une cellule, sélectionnez la cellule et sélectionnez le contenu que vous souhaitez remplacer en double-cliquant dessus tout en appuyant sur la touche Maj, et sélectionnez plus de contenu si vous souhaitez en remplacer plus. Tapez du texte pour remplacer le contenu sélectionné. m Pour tout remplacer dans la cellule, sélectionnez cette dernière et procédez à la saisie. Si l’option « La touche Retour déplace sur la cellule suivante » n’est pas sélectionnée dans l’Inspecteur des tableaux, vous pouvez sélectionner la cellule, appuyer sur la touche Retour ou Entrée pour tout sélectionner dans la cellule et commencer à taper. m Pour insérer du contenu dans du contenu existant, sélectionnez la cellule, cliquez pour définir le point d’insertion et procédez à la saisie. m Pour supprimer le contenu des cellules, des rangs ou des colonnes d’un tableau, sélectionnez les cellules, les rangs ou les colonnes, puis appuyez sur la touche Suppr ou choisissez Édition > Supprimer. Pour supprimer le contenu, le remplissage d’arrière-plan et tous les réglages de style, choisissez Édition > Tout effacer. Le style par défaut est alors appliqué à la sélection. m Pour copier, coller et déplacer les valeurs de cellules, suivez les instructions de la rubrique « Copie et déplacement de cellules » à la page 83. m Pour ajouter des formules et des fonctions aux cellules, consultez les instructions des rubriques « Utilisation des formules » à la page 91 et « Utilisation des fonctions » à la page 106.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 59 Utilisation de texte dans les cellules Vous pouvez contrôler la mise en forme et l’alignement du texte dans les cellules d’un tableau. Vous pouvez également utiliser les fonctions Rechercher/Remplacer et le correcteur orthographique. Lorsque vous tapez du texte dans une cellule, Numbers suggère automatiquement du texte présent dans le tableau dont les premières lettres sont identiques à celle du texte que vous tapez actuellement. Vous pouvez sélectionner le texte suggéré s’il convient ou continuer à saisir votre texte tout en écrasant le texte suggéré. Voici quelques techniques pour utiliser du texte dans les cellules d’un tableau : m Pour insérer un saut de ligne, appuyez simultanément sur les touches Contrôle + Retour. m Pour insérer un saut de paragraphe lorsque la case « La touche Retour déplace le curseur vers la cellule suivante » dans les Options de tableau de l’Inspecteur des tableaux n’est pas sélectionnée, appuyez uniquement sur la touche Retour. Sinon, appuyez sur les touches Option + Retour. m Pour insérer une tabulation dans un tableau, appuyez simultanément sur la touche Option et sur la touche de tabulation. m Pour ajuster l’alignement du texte, utilisez les boutons d’alignement de la barre des formats. L’inspecteur du texte contient d’autres options de mise en forme du texte. Pour cela, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils et sur le bouton Inspecteur du texte. m Pour définir les attributs de police, utilisez les boutons de mise en forme du texte présents sur la barre des formats. Vous pouvez également utiliser le panneau Police (accessible en cliquant sur Polices dans la barre d’outils). m Pour vérifier l’orthographe, suivez les instructions de la rubrique « Vérification de l’orthographe » à la page 163. Aligner le texte à gauche, au centre et à droite ; justifier du texte ou aligner le texte à gauche et les nombres à droite. Aligner le texte en haut, au centre ou en bas des cellules. Sélectionner une police. Sélectionner un type de caractère. Sélectionner la taille de la police. Sélectionner la couleur du texte.60 Chapitre 3 Utilisation de tableaux m Pour effectuer une recherche et un remplacement éventuel de texte dans les cellules, suivez les instructions de la rubrique « Recherche et remplacement de texte » à la page 165. m Pour que Numbers n’interprète pas ce que vous tapez comme un nombre, utilisez le format texte. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation du format Texte » à la page 69 pour en savoir plus. Utilisation de nombres dans les cellules Certaines opérations du tableau, telles que les formules et les fonctions qui effectuent des opérations mathématiques, dépendent des cellules qui contiennent des valeurs numériques. Voici quelques techniques pour utiliser les nombres dans les cellules d’un tableau : m Dans une cellule numérique, vous devez utiliser uniquement des chiffres compris entre 0 et 9 ou un des caractères suivants : +, –, (, ), /, $, %, un point, %, E ou e. m Vous pouvez taper certains caractères (tels que %) dans une cellule, ou utiliser un format de cellule, tel que décrit à la rubrique « Mise en forme des valeurs de cellule » à la page 62. m Pour spécifier un nombre négatif, faites-le précéder du signe moins (–). Lorsque vous saisissez dans une cellule de tableau un nombre qui est trop long pour s’afficher en entier, Numbers le convertit :  Lorsqu’un nombre décimal ne tient pas dans une cellule, le nombre est arrondi. Par exemple, 1,77777777777777777777 devient ainsi 1,77777777777778.  Lorsqu’un nombre entier ne tient pas dans une cellule, celui-ci est affiché en notation scientifique. Par exemple, 77777777777777777777 devient ainsi 7,777778E+19. La notation scientifique consiste à présenter les nombres sous la forme d’un nombre décimal affecté d’un facteur multiplicateur qui est une puissance de 10. La valeur de cette puissance figure à la suite du symbole E. Si le nombre ainsi converti ne tient toujours pas dans la cellule, il est tronqué. Pour obtenir des suggestions, consultez la rubrique « Affichage d’un contenu trop long pour la cellule » à la page 61. Les instructions d’utilisation des formules et des fonctions dans les cellules d’un tableau se trouvent dans les rubriques « Utilisation des formules » à la page 91 et « Utilisation des fonctions » à la page 106.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 61 Utilisation de dates dans les cellules Sauf si une cellule est déjà au format date et heure, lorsque vous saisissez une valeur qui peut être interprétée comme une date ou une heure, Numbers peut modifier sa mise en forme. Par exemple, si vous saisissez 22/1/45 ou 22-1-45 dans une cellule automatiquement mise en forme, la valeur se transforme en 22 janvier 2045 lorsque vous passez à une autre cellule. Si vous saisissez une valeur d’année à deux chiffres supérieure ou égale à 50, Numbers lui ajoute le préfixe « 19 », dans les autres cas Numbers ajoute le préfixe « 20 ». De plus, si vous tapez 12 pm, la valeur devient 12:00 PM. Vous pouvez cependant modifier la valeur en cas de besoin. Pour en savoir plus sur le format de date et d’heure, consultez la rubrique « Utilisation du format Date et heure » à la page 67. Affichage d’un contenu trop long pour la cellule Lorsqu’une cellule est trop petite pour afficher tout son contenu :  Si la cellule contient un nombre ou une date, un indicateur contenant un signe plus (+) apparaît.  Pour les autres types de valeurs, aucun indicateur n’apparaît. Vous pouvez voir uniquement le contenu visible dans les limites de la cellule. Vous pouvez agrandir une cellule de façon à afficher plus de contenu et vous pouvez laisser les nombres et les dates déborder sur les cellules vides adjacentes. Il existe plusieurs manières de régler les problèmes liés au contenu trop volumineux pour tenir dans une cellule : m Pour permettre à une valeur numérique ou de date d’une cellule de s’étendre sur des cellules adjacentes, décochez « Ajuster le texte de la cellule » dans l’inspecteur des cellules. Si les cellules adjacentes sont vides, elles affichent le contenu qui déborde. Par contre, si elles contiennent des données, le surplus de contenu n’est pas affiché et l’indicateur de découpage apparaît. Pour ajuster le contenu au lieu de le laisser s’étendre sur les autres cellules, sélectionnez Inspecteur d’ajustement dans la barre des formats ou « Ajuster le texte de la cellule » dans l’inspecteur des cellules. Indicateur62 Chapitre 3 Utilisation de tableaux m Si des valeurs de cellules ne sont pas visibles parce que les colonnes ne sont pas assez larges, sélectionnez le bouton Adapter en face des contrôles Largeur de colonne dans l’inspecteur des tableaux pour afficher les valeurs en entier. Sélectionnez une cellule, une ou plusieurs colonnes ou le tableau, puis cliquez sur le bouton Adapter. Vous pouvez également redimensionner une colonne en faisant glisser la bordure droite de son onglet de référence ou en utilisant les commandes Largeur de colonne de l’Inspecteur des tableaux. m Si des valeurs de cellules ne sont pas visibles parce que des lignes ne sont pas assez larges, sélectionnez le bouton Adapter en face des contrôles Hauteur du rang dans l’inspecteur des tableaux pour afficher les valeurs en entier. Sélectionnez une cellule, un ou plusieurs rangs ou le tableau, puis cliquez sur le bouton Adapter. Lorsque le contenu d’un rang est ajouté ou supprimé, sa hauteur est automatiquement modifiée pour s’adapter à la hauteur du contenu. Vous pouvez également redimensionner un rang en cliquant sur la bordure inférieure de l’onglet de référence correspondant et en le faisant glisser vers le bas ou en utilisant les contrôles Hauteur du rang de l’inspecteur des tableaux. m Vous pouvez également redimensionner des colonnes et des rangs en fonction du contenu à l’aide des onglets de référence. Pour adapter la hauteur d’un rang au contenu le plus haut, double-cliquez sur la bordure inférieure de l’onglet de référence du rang. La largeur d’une colonne ne s’ajuste pas automatiquement lorsque vous modifiez le contenu. Pour adapter la largeur d’une colonne au contenu le plus large, double-cliquez sur la bordure droite de l’onglet de référence de la colonne. Mise en forme des valeurs de cellule Vous pouvez appliquer une mise en forme à une cellule afin que sa valeur s’affiche d’une manière particulière. Par exemple, vous pouvez mettre en forme les cellules qui contiennent des valeurs monétaires afin qu’un symbole monétaire (tel que $, £ ou ¥) apparaisse avant les nombres qu’elles contiennent. Vous pouvez également mettre en forme des cellules de sorte qu’elles contiennent des contrôles, par exemple des cases et des curseurs qui servent à ajouter ou modifier des valeurs de cellule. Lorsque vous utilisez un format de cellule, vous définissez uniquement les caractéristiques d’affichage d’une valeur. Dans les formules, c’est la valeur réelle qui est utilisée et non la valeur mise en forme. La seule exception a lieu lorsqu’il y a trop de chiffres après un point décimal, auquel cas le nombre est arrondi. Vous pouvez définir des formats de cellule à l’aide de la barre des formats ou le menu local Format de cellule de l’inspecteur des cellules. Pour afficher les valeurs de cellule au fur et à mesure que vous les tapez, sélectionnez Automatique ; sinon, choisissez l’élément qui applique la mise en forme souhaitée.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 63 Il existe plusieurs manières d’utiliser les formats de cellule : m Pour ajouter une valeur dans une cellule vide associée à un format, sélectionnez la cellule et saisissez une valeur. Le format est appliqué lorsque vous quittez la cellule. m Pour appliquer un format de cellule à une valeur existante, sélectionnez une ou plusieurs cellules contenant des valeurs. Utilisez l’Inspecteur des cellules ou la barre des formats pour définir le format d’une cellule. Le format que vous définissez est alors appliqué aux valeurs des cellules sélectionnées. m Pour afficher une valeur identique à celle que vous saisissez, sélectionnez la cellule et sélectionnez Automatique dans la barre des formats ou le menu local Format de cellule de l’Inspecteur des cellules. La valeur reste, mais la mise en forme est supprimée. m Si vous supprimez une valeur d’une cellule associée à un format, celui-ci n’est pas supprimé. Pour supprimer la mise en forme, sélectionnez Automatique dans la barre des formats ou le menu local Format de cellule de l’Inspecteur des cellules. m Une fois le format d’une cellule défini, vous pouvez l’associer à plusieurs cellules grâce au remplissage automatique. Reportez-vous à la rubrique « Remplissage automatique des cellules d’un tableau » à la page 74 pour en connaître les instructions. Utilisation du format numérique Utilisez le format numérique pour mettre en forme l’affichage du nombre de chiffres après la virgule, des séparateurs de milliers et des valeurs négatives. Pour définir un format de nombre qui affiche deux chiffres après la virgule, mais pas de séparateur des milliers ni de signe moins devant les nombres négatifs, sélectionnez des cellules et cliquez sur le bouton Format des nombres dans la barre des formats. Cliquez sur les boutons « Diminuer le nombre de décimales » et « Augmenter le nombre de décimales » à droite du bouton Format des nombres pour changer le nombre de décimales. Utilisez l’inspecteur des cellules pour accéder à d’autres contrôles du format des nombres. Bouton Format des nombres Bouton « Augmenter le nombre de décimales » Bouton « Diminuer le nombre de décimales »64 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Pour définir un format de nombre à l’aide de l’inspecteur des cellules : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des cellules. 3 Choisissez Nombre dans le menu local Format de cellule. 4 Pour spécifier le nombre de chiffres après la virgule à afficher, utilisez le champ Décimales. Si une valeur contient plus de chiffres après la virgule que le nombre que vous avez spécifié, la valeur affichée est arrondie et non pas tronquée. Par exemple, si une cellule est mise en forme pour afficher deux chiffres après la virgule, la valeur 3.456 est affichée sous la forme 3.46 et non pas 3.45. 5 Pour spécifier l’affichage des valeurs négatives, choisissez une option du menu local adjacent au champ Décimales. 6 Pour spécifier s’il faut utiliser un séparateur de milliers, sélectionnez Séparateur de milliers. Utilisation du format monétaire Utilisez le format monétaire pour mettre en forme l’affichage des valeurs monétaires. Pour définir un format de devise qui affiche deux chiffres après la virgule, un séparateur des milliers et un signe moins devant les nombres négatifs, sélectionnez une ou plusieurs cellules et cliquez sur le bouton Format de devise dans la barre des formats. Cliquez sur les boutons « Diminuer le nombre de décimales » et « Augmenter le nombre de décimales » à droite du bouton Format des nombres pour changer le nombre de décimales. Utilisez l’inspecteur des cellules pour accéder à d’autres contrôles du format de devise. Bouton Format de devise Bouton « Augmenter le nombre de décimales » Bouton « Diminuer le nombre de décimales »Chapitre 3 Utilisation de tableaux 65 Pour définir un format de devise à l’aide de l’inspecteur des cellules : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des cellules. 3 Choisissez Monnaie dans le menu local Format de cellule. 4 Pour spécifier un symbole monétaire, choisissez une option dans le menu local Symbole. Vous pouvez afficher la liste complète des options à l’aide du menu local Symbole en cliquant sur Numbers > Préférences puis en sélectionnant « Afficher la liste complète des devises dans l’inspecteur des cellules » dans la sous-fenêtre Général. 5 Pour spécifier le nombre de chiffres après la virgule à afficher, utilisez le champ Décimales. Si une valeur contient plus de chiffres après la virgule que le nombre que vous avez spécifié, la valeur affichée est arrondie et non pas tronquée. Par exemple, si une cellule est mise en forme pour afficher deux chiffres après la virgule, la valeur 3.456 est affichée sous la forme 3.46 et non pas 3.45. 6 Pour spécifier l’affichage des valeurs négatives, choisissez une option du menu local adjacent au champ Décimales. 7 Pour spécifier s’il faut utiliser un séparateur de milliers, sélectionnez Séparateur de milliers. 8 Pour faire apparaître la devise au bord de la cellule, sélectionnez Style de comptabilité. Utilisation du format Pourcentage Utilisez le format Pourcentage pour afficher des valeurs numériques suivies du symbole %. Si la valeur est utilisée dans une formule, sa forme décimale est utilisée. Par exemple, une valeur qui affiche 3% est utilisée sous la forme 0.03 dans une formule. Si vous tapez 3% dans une cellule automatiquement mise en forme et appliquez ensuite la mise en forme Pourcentage à la cellule, la valeur affichée est 3%. Cependant, si vous tapez 3 dans une cellule automatiquement mise en forme et appliquez ensuite la mise en forme Pourcentage à la cellule, la valeur affichée est 300%.66 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Pour définir un format de pourcentage qui affiche deux chiffres après la virgule, un séparateur des milliers et un signe moins devant les nombres négatifs, sélectionnez une ou plusieurs cellules et cliquez sur le bouton Format de pourcentage dans la barre des formats. Cliquez sur les boutons « Diminuer le nombre de décimales » et « Augmenter le nombre de décimales » à droite du bouton Format des nombres pour changer le nombre de décimales. Utilisez l’inspecteur des cellules pour accéder à d’autres contrôles du format de pourcentage. Pour définir un format de pourcentage à l’aide de l’inspecteur des cellules : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des cellules. 3 Choisissez Pourcentage dans le menu local Format de cellule. 4 Pour spécifier le nombre de chiffres après la virgule à afficher, utilisez le champ Décimales. Si une valeur contient plus de chiffres après la virgule que le nombre que vous avez spécifié, la valeur affichée est arrondie et non pas tronquée. Par exemple, si une cellule est mise en forme pour afficher deux chiffres après la virgule, la valeur 3.456 est affichée sous la forme 3.46 et non pas 3.45. 5 Pour spécifier l’affichage des valeurs négatives, choisissez une option du menu local adjacent au champ Décimales. 6 Pour spécifier s’il faut utiliser un séparateur de milliers, sélectionnez Séparateur de milliers. Si la cellule que vous mettez en forme contient déjà une valeur, la valeur est considérée comme un nombre décimal et convertie en pourcentage. Par exemple, 3 devient 300%. Bouton Format de pourcentage Bouton « Augmenter le nombre de décimales » Bouton « Diminuer le nombre de décimales »Chapitre 3 Utilisation de tableaux 67 Utilisation du format Date et heure Utilisez le format Date et heure pour afficher des valeurs de date et/ou d’heure. Pour définir un format de date et d’heure, cliquez sur le bouton « Autres formats de cellule » de la barre des formats, sélectionnez des cellules, cliquez sur Date et heure dans le menu local et sélectionnez une option dans le sous-menu. Utilisez l’inspecteur des cellules pour accéder à d’autres contrôles du format de date et d’heure. Pour définir un format de date et d’heure à l’aide de l’inspecteur des cellules : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des cellules. 3 Sélectionnez Date et heure dans le menu local Format de cellule. 4 Pour spécifier la mise en forme de la date, choisissez un format dans le menu local Date. 5 Pour spécifier la mise en forme de l’heure, choisissez un format dans le menu local Heure. Bouton « Autres formats de cellule » Sélectionnez Plus pour appliquer le format de date et d’heure par défaut du modèle et ouvrir l’Inspecteur des cellules.68 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Utilisation du format Fraction Utilisez le format Fraction pour contrôler l’affichage de valeurs inférieures à 1. Par exemple, 27.5 s’affiche sous la forme 27 1/2 lorsque le format est défini sur Moitiés et sous la forme 27 4/8 lorsque le format est défini sur Huitièmes. Pour définir un format fractionnaire, sélectionnez une ou plusieurs cellules, sélectionnez Fractions dans le menu local « Autres formats de cellules » de la barre des formats. Sélectionnez ensuite un format dans le sous-menu. Vous pouvez également utiliser l’Inspecteur des cellules. Pour définir un format fractionnaire pour des cellules sélectionnées à l’aide de l’Inspecteur des cellules : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des cellules. 3 Choisissez Fraction dans le menu local Format de cellule. 4 Choisissez un format d’affichage dans le menu local Précision. Bouton « Autres formats de cellule »Chapitre 3 Utilisation de tableaux 69 Utilisation du format Scientifique Le format de notation scientifique permet de présenter les nombres sous la forme d’un nombre décimal affecté d’un facteur multiplicateur qui est une puissance de 10. La valeur de cette puissance figure à la suite du symbole E. Par exemple, la valeur 5,00 en format scientifique est affichée sous la forme 5,00E0. De même, la valeur 12345 s’affiche comme 1,2345E4. Pour définir un format scientifique qui affiche deux décimales, sélectionnez une ou plusieurs cellules, puis Scientifique dans le bouton « Autres formats de cellules » de la barre des formats. Utilisez l’inspecteur des cellules pour définir un autre nombre de décimales. Pour définir un format scientifique pour une ou plusieurs cellules à l’aide de l’Inspecteur des cellules : 1 Sélectionnez la ou les cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des cellules. 3 Choisissez Scientifique dans le menu local Format de cellule. 4 Pour spécifier le nombre de décimales à afficher, utilisez le champ Décimales. Utilisation du format Texte Utilisez le format Texte lorsque vous souhaitez que l’intégralité du contenu d’une cellule soit traitée comme du texte, même s’il s’agit d’un nombre. Bouton « Autres formats de cellule »70 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Voici quelques façons de définir un format de texte pour une ou plusieurs cellules sélectionnées : m Cliquez sur le bouton « Autres formats de cellules » de la barre des formats et sélectionnez Texte. m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des cellules et sélectionnez Texte sans le menu local Format de cellule. Utilisation d’une case et d’autres formats de contrôle Vous pouvez ajouter à une cellule une case, un curseur, une flèche de défilement ou un menu local :  Une case est destinée aux cellules dont la valeur indique deux états, par exemple activé ou désactivé ou encore oui ou non.  Un curseur permet de modifier rapidement dans une grande échelle les nombres et de voir les effets de tels changements dans d’autres cellules du tableau ou dans un graphique.  Une flèche de défilement permet d’augmenter ou de diminuer un nombre par incréments spécifiques.  Un menu local permet de prédéfinir les valeurs qu’une cellule peut contenir. Lorsqu’une cellule est mise en forme pour utiliser une case à cocher ou un menu local, vous pouvez ajouter ou modifier le contenu d’une cellule uniquement en utilisant le contrôle. Les cellules qui utilisent un curseur ou une flèche de défilement vous permettent de saisir une valeur ou d’utiliser le contrôle ; lorsque vous cliquez en dehors de la cellule, la valeur change en fonction des réglages effectués lorsque vous définissez le curseur et la flèche de défilement. Bouton « Autres formats de cellule »Chapitre 3 Utilisation de tableaux 71 Il existe plusieurs manières d’ajouter des contrôles à des cellules : m Pour ajouter une case, sélectionnez la ou les cellules. Cliquez sur le bouton Case dans la barre des formats. Des cases non cochées sont ajoutées aux cellules sélectionnées. Vous pouvez également cliquer sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des cellules. Sélectionnez Case dans le menu local Format de cellule et l’état initial (Coché ou Non coché). m Pour ajouter un curseur, cliquez sur le bouton « Autres formats de cellule » de la barre des formats, puis sélectionnez Curseur dans le menu local. Un curseur avec les réglages par défaut, et visible dans l’Inspecteur des cellules, est alors créé. Vous pouvez également ouvrir l’Inspecteur des cellules et sélectionner Curseur dans le menu local Format de cellule. Bouton Case Bouton « Autres formats de cellule »72 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Dans l’Inspecteur des cellules, vous pouvez modifier les réglages par défaut : Minimum et Maximum : indiquent la valeur de cellule la plus faible et la plus élevée. Incrément : indique de combien la valeur de la cellule augmente ou diminue lorsque vous déplacez le curseur (ou appuyez sur les touches fléchées) d’un incrément. Position : permet de positionner le curseur à droite ou en bas de la cellule. Afficher comme : applique un format de nombre, de devise, de pourcentage ou scientifique aux valeurs de cellule. Décimales : spécifie le nombre de décimales à afficher. m Pour ajouter un menu local, cliquez sur le bouton Autres formats de cellule de la barre des formats, puis sélectionnez Menu local dans le menu local pour créer un menu local avec les réglages par défaut. Vous pouvez également ouvrir l’Inspecteur des cellules et sélectionner Menu local dans le menu local Format de cellule. Dans l’Inspecteur des cellules, modifiez les entrées de paramètre fictif de la liste, sélectionnez-les et tapez une autre valeur. Pour ajouter un élément à la liste, cliquez sur le signe + et tapez l’élément. Si vous tapez un nombre, il est traité comme un nombre pas comme du texte. Cliquez sur le signe - pour supprimer un élément. m Pour ajouter une flèche de défilement, cliquez sur le bouton Autres formats de cellule de la barre des formats, puis sélectionnez Flèche de défilement dans le menu local pour créer une flèche de défilement avec les réglages par défaut. Vous pouvez également ouvrir l’Inspecteur des cellules et sélectionner Flèche de défilement dans le menu local Format de cellule. Dans l’Inspecteur des cellules, modifiez les réglages par défaut si vous le souhaitez : Minimum et Maximum : indiquent la valeur de cellule la plus faible et la plus élevée. Incrément : indique de combien la valeur de cellule augmente ou diminue lorsque vous cliquez sur la flèche de défilement (ou appuyez sur les touches fléchées) une seule fois. Afficher comme : applique un format de nombre, de devise, de pourcentage ou scientifique aux valeurs de cellule. Décimales : spécifie le nombre de décimales à afficher.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 73 Contrôle des valeurs de cellule Numbers peut modifier la couleur de remplissage ou celle du texte d’une cellule si son contenu présente des conditions particulières. Vous pouvez définir des règles simples qui testent la condition, puis modifient la couleur du remplissage et/ou du texte si la condition est remplie. Par exemple, vous pouvez définir une règle qui applique la couleur bleue à une cellule si celle-ci contient une valeur spécifique et une autre règle qui applique la couleur verte à la cellule si celle-ci contient une autre valeur. Vous pouvez appliquer ce type de règle à une cellule unique ou à une plage de cellules. Les règles appliquées à plusieurs cellules déclenchent le changement de couleur si au moins une des cellules remplit la condition de la règle. Pour définir des règles : 1 Sélectionnez une ou plusieurs cellules. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils et cliquez sur le bouton Inspecteur des cellules. 3 Sélectionnez Format conditionnel, puis cliquez sur Afficher les règles. 4 Sélectionnez « Mettre les cellules en surbrillance en suivant les règles suivantes ». 5 Choisissez une condition dans le menu local « Choisir une règle ». Les conditions qui figurent dans la rubrique supérieure du menu effectuent les tests sur des valeurs numériques. Les conditions applicables aux valeurs de texte s’affichent dans la rubrique au centre de la liste ; les conditions de date se trouvent en bas. À noter que la condition Entre nécessite la saisie de deux nombres. Cette condition est remplie si l’un des deux nombres ou n’importe quel nombre se trouvant entre ces deux nombres apparaît dans la ou les cellule(s). 6 Fournissez les informations supplémentaires nécessaires pour définir une condition particulière à tester. 7 Sélectionnez Couleur de remplissage et/ou Couleur du texte, puis cliquez sur les cadres de couleur (consultez la rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 179) pour définir les couleurs de l’arrière-plan et des valeurs à appliquer à la cellule si la condition est remplie. 8 Pour ajouter une règle, cliquez sur + et répétez les étapes 5 à 7. Si plusieurs règles sont définies pour une cellule et que le contenu de la cellule remplit les conditions de plusieurs règles, les couleurs associées à la règle la plus haute dans la liste des règles sont appliquées à la cellule. Pour cesser d’utiliser une règle, cliquez sur le bouton - pour supprimer la règle ou désé- lectionnez l’option Couleur de remplissage et Couleur du texte pour désactiver la règle. Pour ne plus utiliser une liste de règles, décochez « Mettre les cellules en surbrillance en suivant les règles suivantes ».74 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Ajout d’images et de couleurs aux cellules Vous pouvez ajouter des graphismes ou des couleurs à certaines cellules ou à l’ensemble du tableau. Pour ajouter une image ou une couleur à une cellule de tableau : 1 Sélectionnez la cellule. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’Inspecteur des tableaux. 3 Pour ajouter une image, choisissez Remplissage image dans le menu local Arrière-plan. Reportez-vous à la rubrique « Remplissage d’un objet avec une image » à la page 180 pour en connaître les instructions. 4 Pour ajouter une couleur d’arrière-plan, choisissez Remplissage couleur ou Remplissage dégradé dans le menu local Arrière-plan. Reportez-vous à la rubrique « Remplissage d’un objet en couleur » à la page 178 pour obtenir plus d’informations. Remplissage automatique des cellules d’un tableau Le remplissage automatique vous permet d’utiliser le contenu d’une ou de plusieurs cellules pour ajouter automatiquement des valeurs aux cellules adjacentes. Voici quelques moyens de remplir automatiquement des cellules : m Pour coller le contenu et le remplissage d’une cellule dans des cellules adjacentes, sélectionnez la cellule, puis faites glisser la poignée dans l’angle inférieur droit vers les cellules dans lesquelles vous souhaitez coller le contenu. Vous pouvez la faire glisser vers la droite pour ajouter des valeurs sur le même rang ou vers le bas pour ajouter des valeurs aux cellules adjacentes de la même colonne. Toutes les données ou formules ou tous les formats de cellule ou remplissages associés à la cellule sont collés, mais pas les commentaires. Si la cellule sélectionnée ne contient aucune donnée, le remplissage automatique efface toutes les données des cellules cible. m Vous pouvez également ajouter des valeurs aux cellules en fonction des modèles de valeurs. Par exemple, si une cellule contient le nom d’un jour de la semaine ou d’un mois, vous pouvez sélectionner la cellule puis la faire glisser vers la droite ou vers le bas pour ajouter le jour ou le mois suivant dans la cellule adjacente. Pour créer de nouvelles valeurs en fonction de caractéristiques numériques, sélectionnez deux cellules ou plus avant de les faire glisser. Par exemple, si les deux cellules sélectionnées contiennent les valeurs 1 et 2, les valeurs 3 et 4 sont ajoutées lorsque vous faites glisser le curseur sur les deux cellules adjacentes. De même, si les deux cellules sélectionnées contiennent les valeurs 1 et 4, les valeurs 7 et 10 sont ajoutées lorsque vous faites glisser le curseur sur les deux cellules adjacentes (les valeurs sont incrémentées de 3). Le remplissage automatique ne définit aucune relation entre les cellules du groupe. Une fois le remplissage automatique effectué, vous pouvez modifier les cellules individuellement. Chapitre 3 Utilisation de tableaux 75 Utilisation des rangs et des colonnes Vous pouvez rapidement ajouter et supprimer des rangs et des colonnes, créer un rang ou une colonne d’en-tête ou rang de pied de page, et bien plus encore. Lorsque vous insérez, supprimez, redimensionnez, cachez ou affichez des rangées ou colonnes d’un tableau, les autres objets de la feuille de calcul peuvent être déplacés pour éviter le chevauchement ou maintenir une position relative des objets. Pour éviter ces mouvements automatiques des objets, choisissez Numbers > Préférences et dans la sous-fenêtre Générales, décochez « Déplacer les objets automatiquement lors du redimensionnement des tableaux ». Ajout de rangs Vous pouvez ajouter des rangs dans un tableau ou à la fin d’un tableau. Si le tableau contient un rang de pied de page, les rangs ajoutés au bas du tableau sont placés audessus du rang de pied de page. Voici différentes manières d’ajouter des rangs : m Pour ajouter un rang, placez le pointeur sur l’onglet de référence d’un rang pour afficher la flèche du menu et cliquez dessus. Sélectionnez ensuite « Insérer un rang au-dessus » ou « Insérer un rang en dessous » dans le menu local. Ces commandes sont également disponibles dans le menu Tableau. m Pour ajouter un rang à la fin du tableau, appuyez sur la touche Retour lorsque la dernière cellule est sélectionnée. Appuyez deux fois sur la touche Retour si vous venez d’ajouter ou de modifier la valeur de la cellule. Si l’option « La touche Retour déplace sur la cellule suivante » des Options du tableau de l’Inspecteur des tableaux n’est pas sélectionnée, appuyez sur la touche Tab à partir de la dernière cellule du rang. m Pour ajouter un ou plusieurs rangs à la fin du tableau, vous pouvez utiliser la poignée Rang située dans la partie inférieure gauche, qui devient visible lorsque vous sélectionnez une cellule. Pour ajouter un rang à la fin du tableau, cliquez une fois sur la poignée Rang. Pour ajouter plusieurs rangs à la fin du tableau, faites glisser vers le bas la poignée Rang ou Colonne et Rang (située dans la partie inférieure droite). Pour ajouter simultanément des rangs et des colonnes, faites glisser la poignée Colonne et Rang en diagonale. m Vous pouvez diviser les cellules en deux rangs égaux. La rubrique « Division des cellules d’un tableau » à la page 81 vous indique la procédure à suivre.76 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Ajout de colonnes Vous pouvez ajouter des colonnes à un tableau. Voici différentes manières d’ajouter des colonnes : m Pour ajouter une colonne, placez le pointeur sur l’onglet de référence d’une colonne pour afficher la flèche de menu. Cliquez sur la flèche et sélectionnez « Insérer une colonne avant » ou « Insérer une colonne après » dans le menu local. Ces commandes sont également disponibles dans le menu Tableau. m Vous pouvez ajouter une colonne à droite du tableau en appuyant sur la touche de tabulation si l’option « La touche Retour déplace sur la cellule suivante » dans Options du tableau est sélectionnée dans l’inspecteur des tableaux. Appuyez une fois sur la touche Tab après avoir sélectionné la dernière cellule. Appuyez deux fois sur la touche de tabulation si vous venez d’ajouter ou de modifier la valeur de la cellule. m Pour ajouter une ou plusieurs colonnes à droite d’un tableau, vous pouvez utiliser la poignée Colonne dans la partie supérieure droite, qui devient visible lorsque vous sélectionnez une cellule. Pour ajouter une colonne à droite du tableau, cliquez une fois sur la poignée Colonne. Pour ajouter plusieurs colonnes à droite du tableau, faites glisser vers la droite la poignée Colonne ou Colonne et Rang (située dans la partie inférieure droite). Pour ajouter simultanément des rangs et des colonnes, faites glisser la poignée Colonne et Rang en diagonale. m Vous pouvez diviser les cellules en deux colonnes égales. La rubrique « Division des cellules d’un tableau » à la page 81 vous indique la procédure à suivre. Redisposition des rangs et des colonnes À l’aide d’un onglet de référence de rang ou de colonne, vous pouvez déplacer ou copier le rang ou la colonne ailleurs dans le même tableau ou dans un autre. Voici différentes manières de redisposer des rangs et des colonnes : m Pour déplacer une colonne ou un rang ailleurs dans le même tableau ou dans un autre, cliquez sur l’onglet de référence de la colonne ou du rang, puis cliquez et faites glisser l’onglet de référence. Relâchez le bouton gauche de la souris à l’endroit où vous souhaitez insérer la colonne ou le rang lorsque la ligne en gras est mise en surbrillance. m Pour insérer une copie d’un rang ou d’une colonne ailleurs dans le tableau ou dans un autre, cliquez sur l’onglet de référence, cliquez de nouveau et faites glisser la colonne ou le rang où vous le souhaitez tout en maintenant enfoncés la touche Option et l’onglet de référence.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 77 Vous pouvez également copier ou déplacer une seule cellule ou un groupe de cellules adjacentes dans un même tableau ou dans un autre. Reportez-vous à la rubrique « Copie et déplacement de cellules » pour en connaître les instructions. Suppression de rangs et de colonnes Il existe plusieurs techniques pour supprimer un ou plusieurs rangs ou colonnes d’un tableau. Voici différentes manières de supprimer des rangs ou des colonnes : m Sélectionnez les rangs ou les colonnes, ou encore une des cellules de la colonne ou du rang, puis choisissez Tableau > Supprimer le rang, ou Tableau > Supprimer la colonne. m Pour supprimer un rang ou une colonne, placez le pointeur sur l’onglet de référence du rang ou de la colonne pour afficher la flèche de menu et sélectionnez Supprimer le rang ou Supprimer la colonne dans le menu local. m Pour supprimer plusieurs rangs ou colonnes adjacentes, sélectionnez-les, et cliquez sur « Supprimer les rangées sélectionnées » ou sur « Supprimer les colonnes sélectionnées » dans le menu local d’un onglet de référence d’une colonne ou d’un rang sélectionné. m Faites glisser la poignée Rang située dans la partie inférieure gauche ou la poignée Colonne dans la partie inférieure droite pour supprimer des rangs vides. Pour supprimer des rangs non vides, faites-les glisser tout en maintenant enfoncée la touche Option. m Pour supprimer des colonnes vides, faites glisser vers l’intérieur la poignée Colonne située dans la partie supérieure droite. Pour supprimer des colonnes non vides, faites-les glisser tout en maintenant enfoncée la touche Option. Utilisation d’un rang ou d’une colonne d’en-tête de tableau Utilisez les rangs et les colonnes d’en-tête pour identifier les données des rangs et des colonnes. Les rangs et les colonnes d’en-tête sont mis en forme de telle sorte qu’ils se distinguent des autres rangs et colonnes. Un rang d’en-tête correspond à la cellule supé- rieure de chaque colonne. Une colonne d’en-tête correspond à la cellule la plus à gauche de chaque rang. Les rangs et les colonnes d’en-tête sont placés au début du tableau et sur chaque page si le tableau contient plusieurs pages. Si un tableau s’étend sur plusieurs pages, la modification du texte ou de l’aspect du rang ou de la colonne d’en-tête à un endroit entraîne la même modification dans l’ensemble du tableau. Vous ne pouvez pas fractionner un rang d’en-tête ou un bas de page en plusieurs rangs ou des colonnes d’en-tête en plusieurs colonnes.78 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Voici différentes manières d’ajouter ou de supprimer un rang ou une colonne d’en-tête : m Sélectionnez le tableau et cliquez sur le bouton En-tête dans la barre des formats. Si le tableau ne contient pas de rang ou de colonne d’en-tête, un est ajouté. Si le tableau contient un rang ou une colonne d’en-tête, il est supprimé. m Sélectionnez le tableau. Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, sur le bouton Inspecteur des tableaux, puis sur le bouton « En-têtes et bas de page » qui convient. m Sélectionnez le tableau et une des options suivantes dans le menu Tableau : Insérer un rang d’en-tête, Supprimer le rang d’en-tête, Insérer une colonne d’en-tête ou Supprimer la colonne d’en-tête. m Si un tableau s’étend sur plusieurs pages et que vous souhaitez répéter les en-têtes au début de chaque page, sélectionnez « Répéter les cellules d’en-tête sur chaque page » dans les Options de tableau de l’Inspecteur des tableaux. Les cellules se trouvant dans un rang ou un en-tête de colonne sont appelées cellules d’entête. Les cellules d’en-tête jouent un rôle important car elles facilitent la lecture et la création de formules dans des cellules de tableau. Pour en savoir plus, reportez-vous aux rubriques « Utilisation des références de cellules » à la page 100 et « Application d’une formule aux cellules d’une colonne ou d’un rang en une seule fois » à la page 103. Utilisation d’un rang de pied de page Utilisez un rang de pied de page pour attirer l’attention sur le dernier rang d’un tableau. Un rang de pied de page peut contenir les mêmes données que n’importe quel autre rang, mais sa mise en forme lui confère davantage d’impact visuel. Voici différentes manières d’ajouter ou de supprimer un rang de pied de page : m Sélectionnez le tableau et cliquez sur le bouton Pied de page dans la barre des formats. Si le tableau ne contient aucun rang de bas de page, un lui est ajouté. Si le tableau contient un rang de bas de page, il est supprimé. Ajouter un rang de colonne. Ajouter un rang d’en-tête. Ajouter un rang de bas de page.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 79 m Sélectionnez le tableau. Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, sur le bouton Inspecteur des tableaux, puis sur le bouton « En-têtes et bas de page » qui convient. Si le tableau ne contient aucun rang de bas de page, un lui est ajouté. Si le tableau contient un rang de bas de page, il est supprimé. m Sélectionnez le tableau et « Insérer une rangée de bas de page » ou « Supprimer la rangée de pied de page » dans le menu Tableau. Options permettant de masquer des rangs et des colonnes Vous pouvez masquer au lieu de supprimer certains rangs ou colonnes que vous ne souhaitez ni afficher ni utiliser. Une colonne ou un rang masqué ne peut être mis en forme, fusionné, divisé ou modifié. Cependant, cela n’a aucun effet sur les formules qui utilisent une cellule masquée. Pour masquer un rang ou une colonne : m Sélectionnez Masquer la rangée ou Masquer la colonne dans le menu local de l’onglet de référence. Pour afficher des rangs et des colonnes masquées, sélectionnez Tableau > « Afficher toutes les rangées » ou Tableau > « Afficher toutes les colonnes ». Les colonnes ou les rangs masqués dans les tableaux dans Numbers ne sont pas visibles lorsque vous copiez les tableaux dans d’autres applications d’iWork ’08. Pour afficher tous les rangs masqués, sélectionnez le tableau, puis choisissez Format > Tableau > Afficher tous les rangs ou Afficher toutes les colonnes. Redimensionnement de rangs et de colonnes Redimensionnez tous les rangs et les colonnes afin qu’ils aient la même taille, ou redimensionnez uniquement des rangs et des colonnes en particulier. Voici différentes manières de redimensionner des rangs et des colonnes : m Pour que tous les rangs soient de la même taille, sélectionnez le tableau, puis choisissez Tableau > « Répartir les rangs uniformément ». m Pour que toutes les colonnes soient de la même taille, choisissez Tableau > « Répartir les colonnes uniformément ». m Pour redimensionner un seul rang, faites glisser vers le haut ou le bas la bordure inférieure de l’onglet de référence du rang. Vous pouvez également sélectionner le rang et utiliser le champ Hauteur du rang de l’Inspecteur des tableaux. m Pour redimensionner une colonne, faites glisser vers la droite ou la gauche la bordure droite de l’onglet de référence de la colonne. Vous pouvez également sélectionner une cellule et utiliser le champ Largeur de colonne de l’Inspecteur des tableaux.80 Chapitre 3 Utilisation de tableaux m Pour que plusieurs rangs soient de la même taille, sélectionnez une ou plusieurs cellules dans les rangs et sélectionnez Tableau > « Répartir les rangs uniformément ». Les rangs peuvent ne pas être adjacents. Vous pouvez également faire glisser vers le haut ou le bas la bordure inférieure de l’onglet de référence d’un rang ou utiliser le champ Hauteur du rang dans l’inspecteur des tableaux. m Pour que plusieurs colonnes soient de la même taille, sélectionnez une ou plusieurs cellules dans les colonnes et sélectionnez Tableau > « Répartir les colonnes uniformé- ment ». Les colonnes peuvent ne pas être adjacentes. Vous pouvez également faire glisser vers la gauche ou la droite la bordure droite de l’onglet de référence d’une colonne, ou utiliser le champ Largeur de colonne dans l’inspecteur des tableaux. m Pour réduire un rang ou une colonne pour éliminer l’espace non utilisé par les valeurs de cellule, sélectionnez une cellule et cliquez sur les boutons Adapter de l’inspecteur des tableaux. Si le contenu de la cellule est tronqué après l’avoir redimensionnée, reportez-vous à la rubrique « Affichage d’un contenu trop long pour la cellule » à la page 61. Alternance de couleurs des rangs Alternez la couleur d’arrière-plan d’un rang sur deux afin de conférer au tableau un effet de bandes. Pour alterner les couleurs des rangs : 1 Sélectionnez le tableau. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils puis cliquez sur le bouton Inspecteur des tableaux. 3 Sélectionnez Alternance de la couleur de rang. 4 Cliquez sur le cadre de couleurs adjacent pour ouvrir la fenêtre Couleurs, puis sélectionnez une couleur pour les rangs alternés. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 179 pour en connaître les instructions. 5 Pour modifier les propriétés de remplissage des autres rangs, utilisez les contrôles Arrière-plan de l’Inspecteur des tableaux. Reportez-vous à la rubrique « Remplissage d’un objet en couleur » à la page 178 pour en connaître les instructions.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 81 Utilisation des cellules d’un tableau Vous pouvez diviser et fusionner des cellules d’un tableau, les redimensionner, leur appliquer une mise en forme, les masquer, ajouter des commentaires et plus encore. Fusion des cellules d’un tableau La fusion des cellules d’un tableau consiste à combiner des cellules adjacentes en une seule cellule, éliminant ainsi les bordures afin qu’elles se comportent comme une cellule unique. Pour fusionner les cellules d’un tableau : 1 Sélectionnez un groupe de deux cellules adjacentes ou plus. Le groupe de cellules sélectionné doit former un rectangle ; sélectionnez uniquement des cellules de corps ou d’en-tête. 2 Sélectionnez Tableau > Fusionner les cellules. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Fusionner de l’inspecteur des tableaux. La fusion horizontale de cellules adjacentes ne contenant que du texte ou un mélange de texte, de nombres, de valeurs mises en forme et de formules, revient à joindre le contenu de toutes les cellules d’origine en texte séparé par des tabulations. De même, la fusion verticale de cellules adjacentes ne contenant que du texte ou un mélange de texte, de nombres, des valeurs mises en forme et de formules, revient à joindre le contenu de toutes les cellules d’origine en texte séparé par un retour chariot. Lors de la fusion de cellules de colonne, l’arrière-plan des cellules reprend l’image ou la couleur de la cellule la plus en haut. Lors de la fusion de cellules de rang, l’arrière-plan des cellules reprend l’image ou la couleur de la cellule la plus à gauche. Lorsqu’une cellule contenant du texte, un nombre, une formule ou un format de cellule est fusionnée avec une cellule vide, la nouvelle cellule conserve le contenu de la cellule non vide. Lorsqu’une cellule contenant un format de nombre est fusionnée avec une cellule vide, la nouvelle cellule conserve également le format de nombre. Division des cellules d’un tableau La division de cellules scinde chaque cellule sélectionnée en deux parts égales, horizontalement (rangs) ou verticalement (colonnes). Les deux nouvelles cellules présentent des couleurs ou images d’arrière-plan identiques. Tout texte présent dans la cellule d’origine reste dans la cellule la plus en haut ou la plus à gauche.82 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Pour fusionner des cellules horizontalement ou verticalement : 1 Sélectionnez une ou plusieurs cellules du tableau. Pour diviser une colonne ou un rang entier, sélectionnez toutes les cellules de la colonne ou du rang. 2 Pour diviser des cellules en rangs, choisissez Tableau > Diviser en rangées. Pour diviser des cellules en colonnes, choisissez Tableau > Diviser en colonnes. Vous pouvez également cliquer sur le bouton Diviser de l’inspecteur des tableaux. 3 Pour créer des unités de plus en plus petites, répétez les étapes 1 et 2 pour diviser les cellules. Pour réunir les cellules divisées, fusionnez-les tel que décrit à la rubrique « Fusion des cellules d’un tableau » à la page 81. Mise en forme bords d’une cellule Vous pouvez modifier l’épaisseur et la couleur des bordures des cellules d’un tableau. Vous pouvez également masquer la bordure de n’importe quelle cellule. Pour mettre en forme les bordures de cellule de tableau : 1 Sélectionnez les segments de bordure de cellule à mettre en forme. Reportez-vous à la rubrique « Sélection des bordures des cellules d’un tableau » à la page 56 pour en connaître les instructions. 2 Utilisez les contrôles de la barre des formats ou de l’inspecteur des tableaux. Menu local Trait : permet de choisir un style de trait. Sélectionnez Aucun pour masquer les bordures. Épaisseur de ligne : permet de contrôler l’épaisseur du trait. Source de couleur : permet de choisir une couleur de trait. Cliquer pour choisir un style de trait. Cliquer pour choisir une épaisseur de ligne. Cliquer pour choisir une couleur de trait.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 83 Lorsque vous cliquez sur le cadre de couleurs dans la barre des formats, un tableau de couleurs s’affiche. Cliquez sur une couleur pour la sélectionner ou cliquez sur Afficher les couleurs pour ouvrir la fenêtre Couleurs qui contient d’autres couleurs. Lorsque vous cliquez sur le cadre de couleurs de l’Inspecteur des tableaux, la fenêtre Couleurs apparaît. La rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 179 contient les instructions d’utilisation de cet outil. Copie et déplacement de cellules Pour déplacer ou copier des cellules de tableau, vous pouvez utiliser les commandes ou les faire glisser. Voici différentes manières de copier et de déplacer des cellules : m Pour déplacer des cellules dans un tableau ou vers un autre tableau, sélectionnez une cellule ou des cellules adjacentes, puis cliquez et faites glisser la sélection par sa bordure jusqu’à ce que les cellules de destination soient sélectionnées. Toutes les valeurs des cellules de destination sont remplacées. m Pour copier des cellules dans un tableau ou dans un autre, faites glisser les cellules sélectionnées tout en maintenant la touche Option enfoncée. Toutes les valeurs des cellules de destination sont remplacées. Vous pouvez copier des cellules en les sélectionnant puis en choisissant Édition > Copier; il suffit alors de sélectionner les cellules de destination et de choisir Édition > Coller. m Pour insérer des cellules copiées sans écraser les cellules de destination, sélectionnez Insérer > Colonnes copiées ou Insérer > Rangs copiés après avoir sélectionné les cellules de destination. Colonnes copiées : ajoute de nouvelles colonnes pour recevoir les cellules copiées. Rangs copiés : ajoute de nouveaux rangs pour recevoir les cellules copiées. Lorsqu’une valeur de cellule est remplacée, tout commentaire associé à la cellule l’est également.84 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Pour savoir comment copier et déplacer des rangs et des colonnes à l’aide des onglets de référence, reportez-vous à la rubrique « Redisposition des rangs et des colonnes » à la page 76. Reportez-vous à la rubrique « Copie ou déplacement des formules contenant des réfé- rences de cellules » à la page 102 pour en savoir plus sur les techniques permettant de dupliquer ou de déplacer une cellule contenant une formule. Ajout de commentaires Utilisez des commentaires pour préciser des informations sur des cellules du tableau. Il existe différentes manières de travailler avec les commentaires : m Pour ajouter un commentaire à une cellule, sélectionnez-la et cliquez sur Commentaire dans la barre d’outils. Tapez le commentaire dans le champ correspondant. m Pour déplacer un commentaire, faites-le glisser. m Pour masquer tous les commentaires, sélectionnez Présentation > Masquer les commentaires. Un marqueur jaune s’affiche chaque fois qu’une cellule de tableau contient un commentaire. Pour masquer un commentaire, cliquez sur le signe - dans la partie supérieure droite du champ de commentaire. m Pour afficher un commentaire masqué, cliquez sur le marqueur correspondant. Pour afficher tous les commentaires, sélectionnez Présentation > Afficher les commentaires. m Pour supprimer un commentaire, cliquez sur la croix X dans la partie supérieure droite du champ de commentaire. m Pour afficher les commentaires à l’impression d’une feuille, affichez les commentaires à imprimer et sélectionnez Fichier > Imprimer la feuille. Réorganisation des tableaux Vous pouvez vous servir des options de tri et de filtrage pour réorganiser les données dans les tableaux.  Tri : permet de classer les valeurs de certaines ou toutes les cellules par ordre croissant ou décroissant. Les rangs contenant les cellules choisies pour le classement sont alors réorganisés.  Filtrage : permet de masquer des rangs d’un tableau qui ne contiennent pas les valeurs que vous spécifiez.Chapitre 3 Utilisation de tableaux 85 Tri des cellules d’un tableau Vous avez la possibilité de classer la totalité ou une partie des valeurs d’une colonne par ordre croissant ou décroissant. Les rangs contenant les cellules choisies pour le classement sont alors réorganisés. Les cellules d’en-tête sont exclues de ce classement. Voici différentes manières d’opérer un tri : m Pour trier toutes les cellules d’une colonne, sélectionnez « Trier en ordre croissant » ou « Trier en ordre décroissant » dans le menu local de l’onglet de référence de la colonne. Vous pouvez également cliquer sur Trier et filtrer dans la barre d’outils ou sélectionnez « Afficher le panneau Trier et filtrer » dans le menu local d’un onglet de référence. Utilisez les menus locaux sous Trier pour sélectionner une colonne et un ordre de tri. m Pour retrier les valeurs après les avoir modifiées, cliquez sur Rafraîchir dans le panneau Trier et filtrer. m Pour ne trier que certaines cellules d’une colonne, sélectionnez les cellules, ouvrez le panneau Trier et filtrer, sélectionnez un ordre de tri et cliquez sur Rafraîchir. m Pour trier toutes les cellules d’une colonne et retrier les résultats en tenant compte des valeurs d’une autre colonne, ouvrez le panneau Trier et filtrer, sélectionnez une colonne et un ordre de tri dans les menus locaux Trier, cliquez sur le signe +, sélectionnez une autre colonne et un ordre de tri puis cliquez sur Rafraîchir. Pour ajouter des critères de tri, cliquez sur le signe + pour définir chaque critère que vous souhaitez ajouter. Le tableau suivant décrit de quelle manière les différents types de données sont classés, par ordre croissant ou décroissant. Type de données Ordre croissant Ordre décroissant Texte aA–zZ Zz–Aa Dates Année (la moins récente en premier), puis Mois (Janvier en premier) et Jour (1-31) Année (la plus récente en premier), puis Mois (Décembre en premier) et Jour (3-11) Nombres –2, –1, 0, 1, etc. 1, 0, –1, –2, etc. Cellules ne contenant que du texte, combinées avec d’autres ne contenant que des nombres –2, –1, 0, 1, etc., puis aA–zZ Zz–Aa, puis 1, 0, –1, –2, etc. Cellules contenant un mélange de texte et de nombres Valeurs commençant par les nombres en premier (1z, 1Z, a1, A1) Valeurs commençant par du texte en premier (A1, a1, 1A, 1z) Cellules vides En bas de la liste En bas de la liste Booléen (VRAI/FAUX) Au-dessous du texte et au-dessus d’une cellule vide Au-dessus des valeurs texte86 Chapitre 3 Utilisation de tableaux Filtrage des rangs Vous pouvez masquer des rangs d’un tableau qui ne contiennent pas les valeurs spécifiées. Pour spécifier les critères des rangs que vous souhaitez afficher : 1 Sélectionnez le tableau. 2 Cliquez sur Trier et filtrer dans la barre d’outils ou sélectionnez « Afficher le panneau Trier et filtrer » dans le menu local d’un onglet de référence. 3 Sélectionnez « Afficher les rangées qui correspondent à ceci » puis la colonne dont vous souhaitez utiliser les valeurs pour créer les critères de filtre. 4 Utilisez les autres contrôles pour définir la valeur de colonne des rangs à afficher. 5 Pour ajouter des critères de filtre, cliquez sur le signe + pour définir chaque critère que vous souhaitez ajouter. Si vous sélectionnez « parmi les premières n valeurs » ou « parmi les dernières n valeurs », toutes les valeurs correspondant aux n valeurs supérieures ou inférieures s’affichent, ce qui peut ainsi donner plus de valeurs que n. Si les critères de filtre masquent un nouveau rang vide, vous ne pourrez pas ajouter de nouveaux rangs tant que vous n’aurez pas redéfini le filtre. Pour ne plus filtrer les rangs du tableau, décochez « Afficher les rangées qui correspondent à ceci ».4 87 4 Utilisation des styles de tableaux Ce chapitre explique comment utiliser des styles de tableaux pour gérer rapidement l’apparence des tableaux et leur attribuer une cohérence visuelle. Il peut s’avérer judicieux d’utiliser des caractéristiques visuelles distinctes pour les diffé- rents tableaux inclus dans votre feuille de calcul Numbers. Par exemple, vous pouvez utiliser un arrière-plan et une bordure bleus pour un tableau contenant des entrées et des hypothèses, et un arrière-plan et une bordure gris pour un tableau contenant des résultats de calcul. Le moyen le plus simple de modifier l’apparence d’un tableau est de lui appliquer un style applicable aux tableaux. Les styles de tableaux garantissent la cohérence de la mise en forme de ces éléments. Les modèles Numbers comportent un certain nombre de styles prêts à l’emploi. Vous pouvez aussi modifier les styles des modèles ou créer vos propres styles. Utilisation de styles applicables aux tableaux Un style de tableau correspond à une mise en forme prédéfinie applicable à un tableau d’un simple clic de souris. Un style de tableau prédéfinit les attributs suivants :  l’arrière-plan du tableau (sous forme de couleur ou d’image) et son opacité ;  les traits, la couleur et l’opacité des bordures des cellules de corps, ainsi que les bordures extérieures du rang et de la colonne d’en-tête et du rang de bas de page ;  l’arrière-plan (sous forme de couleur ou d’image, ainsi que l’opacité) et les attributs du texte des cellules constituant le tableau, y compris les cellules d’en-tête et de bas de page.88 Chapitre 4 Utilisation des styles de tableaux Application de styles à des tableaux Après avoir appliqué un style à un tableau, vous pouvez modifier la mise en forme définie par ce style. Cette modification est connue sous le nom de substitution. Si vous appliquez ensuite un autre style au tableau, vous pouvez conserver ou supprimer les substitutions que vous avez ainsi effectuées. Il existe plusieurs manières d’appliquer un style à un tableau : m Pour remplacer un style de tableau et supprimer les substitutions effectuées, sélectionnez le tableau, cliquez sur la flèche à droite du style à appliquer, puis sélectionnez Effacer et appliquer le style. Vous pouvez également sélectionner Format > Appliquer à nouveau le style de tableau. m Pour remplacer un style appliqué à un tableau mais conserver les substitutions effectuées, sélectionnez le tableau, puis cliquez sur le nom d’un style dans la sous-fenêtre Styles située à gauche de la fenêtre. Vous pouvez également sélectionner un tableau, cliquer sur la flè- che à droite du style à appliquer, puis sélectionner « Effacer et appliquer le style ». Vous pouvez également faire glisser le nom d’un style depuis la sous-fenêtre Styles sur un tableau. Il n’est pas nécessaire de sélectionner le tableau dans ce cas. m Pour remplacer le style de tous les tableaux d’une feuille mais conserver les substitutions, faites glisser le nom d’un style depuis la sous-fenêtre Styles sur l’icône représentant une feuille dans la sous-fenêtre Feuilles. Modification du style d’un tableau Dans la plupart des cas, vous pouvez changer l’apparence d’un tableau en y appliquant un autre style. Vous pouvez également redéfinir des attributs du style affecté au tableau ou copier/coller le style pour modifier le style d’un tableau. Modification d’attributs d’un style de tableau Vous pouvez modifier l’apparence d’un tableau en agissant sur les attributs de son style. Il existe plusieurs manières de modifier des attributs du style d’un tableau : m Pour modifier la couleur d’arrière-plan d’un tableau, des cellules d’en-tête ou des cellules de corps, sélectionnez le tableau ou les cellules et cliquez sur le cadre Remplir de la barre des formats. Vous pouvez utiliser les commandes « Arrière-plan de cellule » de l’Inspecteur des tableaux pour apporter d’autres modifications à la sélection. Reportez-vous aux rubriques « Remplissage d’un objet avec une image » à la page 180 et « Remplissage d’un objet en couleur » à la page 178 pour en savoir plus sur ces commandes. Pour modifier l’opacité de l’arrière-plan, utilisez les commandes Opacité de l’Inspecteur des graphismes. Reportez-vous à la rubrique « Ajustement de l’opacité » à la page 176 pour en connaître les instructions.Chapitre 4 Utilisation des styles de tableaux 89 m Pour modifier le trait et la couleur des bordures de cellules d’un tableau, suivez les instructions indiquées dans la rubrique « Mise en forme bords d’une cellule » à la page 82. m Pour mettre en forme le texte d’une ou plusieurs cellules, sélectionnez-les. Pour modifier la couleur, l’alignement et l’espacement du texte dans une cellule, utilisez la barre des formats de l’Inspecteur du texte (pour ouvrir ce dernier, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur du texte). Pour modifier des attributs applicables aux polices, utilisez le panneau Police (accessible en cliquant sur Polices dans la barre d’outils). Si vous souhaitez utiliser les modifications permettant de redéfinir le style de tableau et les appliquer à l’ensemble de la feuille de calcul, cliquez sur la flèche à droite du style, puis choisissez « Redéfinir le style à partir du tableau ». Tous les tableaux de la feuille de calcul qui utilisent le style sont alors actualisés pour refléter les modifications que vous avez apportées, mais les substitutions restent néanmoins intactes. Vous pouvez également créer un style utilisant les modifications que vous avez effectuées, en cliquant sur la flèche à droite du style, puis en choisissant « Créer un nouveau style ». Copie et collage de styles de tableaux Vous pouvez modifier l’apparence d’un tableau par copier/coller de styles de tableaux et de cellules. Voici différentes manières de copier et de coller des styles de tableaux : m Pour copier le style d’une cellule, sélectionnez-la et sélectionnez Format > Copier le style. m Pour appliquer un style de cellule copié à d’autres cellules, sélectionnez ces cellules et choisissez Format > Coller le style. m Pour coller un tableau copié utilisant le style de tableau par défaut de la feuille de calcul, choisissez Édition > Coller et appliquer le style actuel. Utilisation du style de tableau par défaut Chaque feuille de calcul possède un style, applicable aux tableaux, désigné sous le nom de style de tableau par défaut. Il s’agit du style appliqué par défaut aux nouveaux tableaux. Pour changer le style par défaut des tableaux : m Cliquez sur la flèche à droite du style que vous voulez utiliser comme style par défaut et sélectionnez « Définir comme style par défaut pour les nouveaux tableaux ». Pour exploiter le style de tableau par défaut applicable à un tableau réutilisable, suivez les instructions de la rubrique « Définition de tableaux réutilisables » à la page 52.90 Chapitre 4 Utilisation des styles de tableaux Création de styles applicables aux tableaux Vous pouvez créer un style de tableau en modifiant la mise en forme d’un tableau et en enregistrant celle-ci comme style de tableau. Pour créer un style applicable aux tableaux : 1 Suivez les instructions de la rubrique « Modification d’attributs d’un style de tableau » à la page 88 pour appliquer les effets visuels souhaités. 2 Sélectionnez le tableau, cliquez sur la flèche à droite du style souhaité dans la sous-fenêtre Styles, puis choisissez « Créer un nouveau style ». 3 Attribuez un nom unique à chaque nouveau style, puis cliquez sur OK. Le nouveau style de tableau, qui apparaît à présent dans la sous-fenêtre Styles, peut être appliqué à n’importe quel tableau de votre feuille de calcul. Pour que le nouveau style soit disponible dans d’autres feuilles de calcul, créez un modèle à partir de cette feuille. Voir « Conception d’un modèle » à la page 208 pour en savoir plus. Renommer un style applicable aux tableaux Vous pouvez changer le nom d’un style applicable à des tableaux. Pour renommer un style applicable aux tableaux : 1 Cliquez sur la flèche à droite du style dans la sous-fenêtre Styles. 2 Choisissez Renommer le style. 3 Modifiez le nom du style en vous assurant qu’il est unique dans la feuille de calcul. 4 Appuyez sur Retour. Suppression d’un style de tableau Si vous supprimez un style de tableau utilisé dans une feuille de calcul, vous devez en choisir un autre pour le remplacer. Pour supprimer un style : 1 Cliquez sur la flèche à droite du style dans la sous-fenêtre Styles. 2 Choisissez Supprimer le style. 3 Si le style que vous souhaitez supprimer est utilisé dans la feuille de calcul active, choisissez un style pour le remplacer, puis cliquez sur OK.5 91 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux Ce chapitre vous explique comment effectuer des calculs dans les cellules des tableaux à l’aide de formules et de fonctions. Pour obtenir des instructions sur l’ajout et la mise en forme des tableaux, ainsi que des données qu’ils contiennent, reportez-vous au chapitre 3, « Utilisation de tableaux » à la page 46. Pour obtenir des informations détaillées sur chaque fonction, reportez-vous au chapitre 12, « Dictionnaire des fonctions » à la page 214. Utilisation des formules Une formule est une expression mathématique utilisant des opérations pour déterminer une valeur. Vous pouvez ajouter une formule à la cellule d’un tableau afin d’afficher une valeur dérivée des valeurs d’autres cellules. Par exemple, vous pouvez ajouter une formule à la cellule située au bas d’une colonne ajoutant les nombres se trouvant dans les autres cellules de la colonne. Si une des valeurs de la colonne change, le total dans la cellule du bas change alors automatiquement. Les formules permettent d’obtenir des valeurs grâce à un calcul effectué à l’aide d’opé- rateurs et de fonctions.  Les opérateurs effectuent les opérations arithmétiques de base telles que l’addition (+) et la multiplication (*) Voici une formule qui additionne des valeurs : =A2 + 16. A2 est une référence à une cellule ; la deuxième de la première colonne. La valeur 16 est une constante car il s’agit d’une valeur particulière qui n’utilise aucun opérateur et aucune fonction. La valeur de la cellule A2 est ajoutée à la valeur 16. La somme apparaît dans la cellule qui contient la formule. Les formules commencent toujours par le signe égal (=). Pour simplifier, le signal égal est omis dans les exemples de l’ensemble de la documentation Numbers.  Tandis que les fonctions sont des opérations nommées et prédéfinies, telles que SOMME et MOYENNE.92 Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux Pour utiliser une fonction, vous devez lui attribuer un nom puis indiquer, entre parenthèses à la suite de ce nom, les arguments dont elle a besoin. Les arguments précisent les données que la fonction doit utiliser lorsqu’elle effectue les opérations qui lui sont prévues. Voici une formule qui additionne les valeurs de neuf cellules adjacentes de la première colonne : SOMME(A2:A10). Dans ce cas, nous rencontrons un seul argument, à savoir « A2:A10 ». Le symbole deux-points indique que la formule utilise les valeurs des cellules A2 à A10 incluses. Il n’est pas nécessaire d’en savoir plus pour être en mesure d’utiliser des formules dans des tableaux. Les modèles (tels que Comparateur de prêts et Calcul d’hypothèque) et les outils d’édition de formules (tels que l’éditeur de formules et la barre des formules) simplifient l’utilisation des formules de base. Visite guidée de l’utilisation des formules Passer en revue les formules intégrées au modèle Facture constitue une bonne introduction à l’utilisation de formules dans Numbers. 1 Créez une feuille de calcul Numbers en utilisant le modèle Facture. Ouvrez Numbers ; dans le sélecteur de modèles, cliquez sur Affaires, sélectionnez Facture et cliquez sur Choisir. Le tableau Facture dans ce modèle utilise des formules pour calculer les valeurs de la colonne Coût. 2 Double-cliquez sur la valeur en dollars située en haut de la colonne Coût. L’Éditeur de formules s’ouvre alors, mettant en évidence que cette valeur est le résultat d’une formule. Une formule dans chaque cellule de la colonne Coût actualise les valeurs Coût lorsque les valeurs d’autres cellules changent. La formule multiplie la valeur de la cellule Quantité et celle de la cellule Prix à l’unité du rang. L’astérisque (*) est l’opérateur de multiplication.Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 93 Les noms dans le rang d’en-tête (Quantité et Prix à l’unité) sont utilisés dans la formule pour faire référence à deux cellules. L’utilisation du texte de l’en-tête pour faire réfé- rence aux cellules rend les formules plus lisibles. Mais vous pouvez également utiliser les lettres et les nombres des onglets de référence comme nous le verrons à l’étape 4. 3 Si la valeur d’une des cellules de la colonne Quantité ou Prix à l’unité change, la formule associée à Prix met à jour la valeur qui y est affichée. Pour le constater, tapez une valeur dans les cellules Quantité et Prix à l’unité dans un rang au choix et observez l’actualisation de la valeur de la cellule Coût adjacente. 4 Double-cliquez sur la cellule de la colonne Coût dans le rang contenant Sous-total. Dans cette formule, deux cellules sont identifiées en utilisant les identificateurs des onglets de référence. Lorsque vous utilisez ces identificateurs pour identifier une cellule dans une formule, spécifiez d’abord la lettre de la colonne, puis le numéro du rang. La notation utilisée pour faire référence à une cellule est appelée une référence de cellule. Comme nous l’avons vu, vous pouvez créer une référence de cellule en utilisant un texte d’en-tête ou en utilisant un identificateur de l’onglet de référence. 5 La formule Sous-total utilise une fonction nommée SOMME. Une fonction est une opération prédéfinie. La fonction SOMME ajoute les valeurs spécifiées entre parenthèses. Dans cet exemple, la fonction SOMME ajoute les valeurs des cellules D2 à D9. Le signe deux points (:) est une manière raccourcie de faire référence à une plage de cellules. 6 Les valeurs de la colonne Coût sont mises en forme pour être affichées en utilisant un format de cellule (devise). Les colonnes sont référencées alphabétiquement. Les rangs, eux, sont référencés par des valeurs numériques. La cellule D2 se trouve à l’intersection de la colonne D et du rang 2.94 Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux Pour voir les réglages de format des cellules, fermez d’abord l’Éditeur de formules en clichant en dehors du tableau. Cliquez ensuite sur le tableau, puis sur n’importe quelle cellule de la colonne Coût. Cliquez ensuite sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des cellules. Pour en savoir plus sur les options d’affichage des valeurs dans les cellules d’un tableau, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des valeurs de cellule » à la page 62. Réalisation de calculs instantanés Les résultats des calculs les plus courants utilisant la valeur d’au moins deux cellules sélectionnées s’affichent dans la partie inférieure gauche de la fenêtre Numbers. Pour réaliser des calculs instantanés : 1 Sélectionnez au moins deux cellules du tableau. Elles peuvent ne pas être adjacentes. Le résultat des calculs des valeurs de ces cellules s’affiche instantanément dans la partie inférieure gauche de la fenêtre. Somme : somme des valeurs numériques se trouvant dans les cellules sélectionnées. Moy : moyenne des valeurs numériques se trouvant dans les cellules sélectionnées. Min : le plus petit nombre parmi les cellules sélectionnées. Max : plus grand nombre parmi les cellules sélectionnées. Compte : total des valeurs numériques et des valeurs de date et d’heure se trouvant dans les cellules sélectionnées. Dans cet exemple, un signe $ est affiché devant les nombres des cellules. Les nombres sont exprimés sur deux décimales. Les résultats dans la partie inférieure gauche sont calculés à partir des valeurs des deux cellules sélectionnées.Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 95 Les cellules vides et les cellules qui contiennent d’autres types de valeurs ne sont pas utilisées dans les calculs. 2 Pour réaliser une autre série de calculs instantanés, sélectionnez d’autres cellules. Si un calcul particulier s’avère très utile et que vous souhaitez l’intégrer dans un tableau, vous pouvez l’ajouter comme formule dans une cellule vide du tableau. Il suffit de faire glisser vers une cellule vide la somme, la moyenne ou tout autre élément se trouvant dans la partie inférieure gauche de la fenêtre. La cellule vide peut ne pas se trouver dans le même tableau que celui où se trouvent les cellules servant aux calculs. Ajout d’une formule rapide Un moyen simple de réaliser un calcul élémentaire à partir de valeurs se trouvant dans des cellules adjacentes consiste à ajouter une formule rapide via le menu local visible lorsque vous cliquez sur Fonction dans la barre d’outils. Voici des opérations que vous pouvez effectuer en utilisant le menu local : m Choisissez une des options suivantes pour effectuer des calculs utilisant les valeurs des cellules sélectionnées. Les cellules vides et les cellules qui contiennent des valeurs non mentionnées sont ignorées. Somme : calcule la somme des valeurs numériques des cellules. Moyenne : calcule la moyenne arithmétique des valeurs des cellules. Minimum : détermine la plus petite valeur des cellules. Maximum : détermine la plus grande valeur des cellules. Compte : détermine le total des nombres ou des valeurs de date ou d’heure dans les cellules. Produit : multiplie toutes les valeurs numériques des cellules. m Sélectionnez Autres fonctions pour ouvrir le navigateur de fonctions. Pour en savoir plus sur cet outil, consultez la rubrique « Utilisation des fonctions » à la page 106. m Sélectionnez Éditeur de formules pour ouvrir cet outil. Vous trouverez les instructions d’utilisation dans la rubrique « Utilisation de l’Éditeur de formules » à la page 97.96 Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux Calcul élémentaire avec des valeurs d’une même ligne À l’aide du menu local du bouton Fonction de la barre d’outils, il est facile de réaliser des calculs élémentaires à partir de valeurs adjacentes d’une même colonne et d’en afficher les résultats. Voici plusieurs façons d’effectuer des calculs élémentaires à partir de valeurs se trouvant dans une même colonne : m Pour utiliser les valeurs de cellules adjacentes, sélectionnez les cellules, cliquez sur Fonction dans la barre d’outils et sélectionnez une formule de calcul dans le menu local. Numbers place la formule et son résultat dans la première cellule vide rencontrée en dessous de celles sélectionnées. S’il n’existe aucune cellule vide, Numbers ajoute une ligne pour conserver le résultat. m Pour utiliser toutes les valeurs d’une colonne, cliquez sur la cellule d’en-tête de colonne ou sur l’onglet de référence, puis sur Fonction dans la barre d’outils, et sélectionnez enfin une formule de calcul dans le menu local. Numbers place cette formule et son résultat sur un rang de bas de page. Si ce rang n’existe pas, Numbers en ajoute un. Calcul élémentaire avec des valeurs d’un même rang À l’aide du menu local du bouton Fonction de la barre d’outils, il est facile de réaliser des calculs élémentaires à partir de valeurs adjacentes d’un même rang et d’en afficher les résultats. Voici plusieurs façons d’effectuer des calculs élémentaires à partir de valeurs se trouvant sur un même rang : m Pour utiliser les valeurs de cellules adjacentes, sélectionnez les cellules, cliquez sur Fonction dans la barre d’outils et sélectionnez une formule de calcul dans le menu local. Numbers place la formule et son résultat dans la première cellule vide rencontrée à droite de celles sélectionnées. S’il n’existe aucune cellule vide, Numbers ajoute une colonne pour conserver le résultat. m Pour utiliser toutes les valeurs d’un rang, cliquez sur la cellule d’en-tête de rang ou sur l’onglet de référence, puis sur Fonction dans la barre d’outils, et sélectionnez enfin une formule de calcul dans le menu local. Numbers place cette formule et son résultat dans une nouvelle colonne. Suppression d’une formule Si vous ne voulez plus utiliser une formule associée à une cellule, vous pouvez la supprimer rapidement. Pour supprimer une formule d’une cellule : 1 Sélectionnez la cellule. 2 Appuyez ensuite sur la touche Suppr.Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 97 Utilisation de l’Éditeur de formules L’Éditeur de formules vous permet de créer et de modifier des formules. Vous pouvez ouvrir l’Éditeur de formules de plusieurs façons : m Sélectionnez une cellule du tableau, puis saisissez le signe égal (=). m Double-cliquez sur une cellule du tableau contenant une formule. m Cliquez sur Fonction dans la barre d’outils et sélectionnez Éditeur de formules dans le menu local. Lorsqu’il s’ouvre, l’Éditeur de formules apparaît au-dessus de la cellule sélectionnée. Pour le déplacer, placez le curseur sur le côté gauche de l’Éditeur de formules jusqu’à ce qu’il prenne la forme d’une main, puis cliquez et faites glisser. Lorsque vous sélectionnez une cellule contenant une formule, ses arguments apparaissent en couleur et la formule s’affiche dans la barre des formules qui sert également à modifier des formules. Pour en savoir plus, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la barre des formules » à la page 98. Ajout d’une nouvelle formule à l’aide de l’Éditeur de formules Pour créer une formule, utilisez l’Éditeur de formules. Pour ajouter une nouvelle formule à l’aide de l’Éditeur de formules : 1 Sélectionnez la cellule dans laquelle vous voulez afficher le résultat de la formule. 2 Ouvrez l’Éditeur de formules. Par exemple, tapez le signe égal (=). 3 Utilisez le champ de texte pour spécifier la formule en veillant à ce que le signe égal soit le premier caractère utilisé. Pour connaître les techniques qui permettent d’inclure des références de cellules dans les formules, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des références de cellules » à la page 100. Pour en savoir plus sur l’utilisation des opérateurs dans les formules, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des opérateurs » à la page 104. Pour savoir comment insérer une fonction dans une formule, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des fonctions » à la page 106. Pour déplacer l’Éditeur de formules, cliquez ici et faites-le glisser. Champ de texte Afficher ou modifier une formule. Bouton Annuler Annuler les modifications. Bouton Accepter Enregistrer les modifications.98 Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 4 Pour enregistrer les modifications, appuyez sur Retour, appuyez sur Entrée ou cliquez sur le bouton Accepter de l’Éditeur de formules. Vous pouvez aussi cliquer à l’extérieur du tableau. Pour fermer l’Éditeur de formules et annuler les modifications, appuyez sur la touche Échap ou cliquez sur le bouton Annuler de l’Éditeur de formules. Modification d’une formule à l’aide de l’Éditeur de formules Pour modifier une formule, vous pouvez utiliser l’Éditeur de formules. Pour modifier une formule : 1 Double-cliquez sur une cellule du tableau contenant une formule. L’Éditeur de formules s’ouvre, la formule apparaît dans le champ de texte et ses arguments sont mis en surbrillance de couleur. 2 Effectuez les modifications nécessaires. Vous pouvez utiliser les touches fléchées pour déplacer le point d’insertion dans le champ de texte. 3 Pour enregistrer les modifications, appuyez sur Retour, appuyez sur Entrée ou cliquez sur le bouton Accepter de l’Éditeur de formules. Vous pouvez aussi cliquer à l’extérieur du tableau. Pour fermer l’Éditeur de formules et annuler les modifications, appuyez sur la touche Échap ou cliquez sur le bouton Annuler de l’Éditeur de formules. Utilisation de la barre des formules La barre des formules, située sous la barre des formats, permet de créer ou de modifier la formule de la cellule sélectionnée. Si vous cliquez sur une cellule de formule sélectionnée, l’éditeur de formules s’ouvre où vous pouvez modifier la formule au lieu d’utiliser la barre des formules. Reportez-vous à la rubrique « Modification d’une formule à l’aide de l’Éditeur de formules » à la page 98 pour en savoir plus. Champ de texte Afficher ou modifier une formule. Bouton Annuler Annuler les modifications. Bouton Accepter Enregistrer les modifications. Cliquer pour ouvrir le navigateur de fonctions.Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 99 Ajout d’une nouvelle formule à l’aide de la barre de formules Pour créer une formule, utilisez la barre de formules. Pour ajouter une nouvelle formule à l’aide de la barre de formules : 1 Sélectionnez la cellule dans laquelle vous voulez afficher le résultat de la formule. 2 Cliquez dans le champ de texte de la barre des formules pour y saisir la formule. Vérifiez que le signe égal (=) est le premier caractère de la formule. Pour connaître les techniques qui permettent d’inclure des références de cellules dans les formules, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des références de cellules » à la page 100. Pour en savoir plus sur l’utilisation des opérateurs dans les formules, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des opérateurs » à la page 104. Pour savoir comment insérer une fonction dans une formule, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des fonctions » à la page 106. 3 Pour enregistrer les modifications, appuyez sur Retour ou Entrée, ou cliquez sur le bouton Accepter de la barre de formules. Pour annuler les modifications, appuyez sur Échap ou cliquez sur le bouton Annuler de la barre des formules.100 Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux Modification d’une formule à l’aide de la barre de formules Pour modifier une formule, vous pouvez utiliser la barre de formules. Pour modifier une formule : 1 Sélectionnez une cellule du tableau contenant une formule. La formule s’affiche dans le champ de texte de la barre de formules et ses arguments s’affichent en couleur. 2 Cliquez dans la barre des formules et effectuez les modifications nécessaires. Vous pouvez utiliser les touches fléchées pour déplacer le point d’insertion dans le champ de texte. 3 Pour enregistrer les modifications, appuyez sur Retour ou Entrée, ou cliquez sur le bouton Accepter de la barre de formules. Pour annuler les modifications, appuyez sur Échap ou cliquez sur le bouton Annuler de la barre des formules. Utilisation des références de cellules Vous pouvez utiliser les références de cellules pour identifier des cellules particulières à l’intérieur des formules. Par exemple, si vous ajoutez une formule permettant de calculer la moyenne des valeurs de deux cellules, vous pouvez identifier ces cellules à l’aide de références de cellules. Les cellules peuvent se trouver dans n’importe quel tableau du document que celle avec la formule. Vous pouvez créer des références de cellules à l’aide des lettres et des numéros qui figurent sur les onglets de référence ou à l’aide du nom des cellules d’en-tête :  Si votre tableau comprend à la fois un rang d’en-tête et une colonne d’en-tête, vous pouvez identifier une cellule à l’aide du nom de la colonne suivi du nom du rang. Par exemple, si une colonne est intitulée 2006 et un rang a pour en-tête Nombre d’élè- ves inscrits, la cellule se trouvant à l’intersection de cette colonne et de ce rang peut être désignée comme Nombre d’élèves inscrits 2006.  Vous pouvez vous servir des lettres et des numéros des onglets de référence pour identifier une cellule particulière. Il vous suffit de spécifier la lettre de la colonne puis le numéro du rang. Par exemple, C55 fait référence au cinquante-cinquième rang de la troisième colonne. Ajout de références de cellules à une formule Pour insérer une référence à une cellule, vous pouvez cliquer sur une cellule ou sur un onglet de référence, ou sélectionner une plage de cellules lorsque le point d’insertion se trouve dans le champ de texte de l’éditeur de formules ou de la barre de formules. Vous pouvez également insérer une référence à une cellule en la saisissant à l’aide du clavier. Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 101 Lorsque vous insérez une référence de cellule en sélectionnant des cellules ou des onglets de référence, Numbers ajoute des références de cellules qui utilisent le nom des cellules d’en-tête si l’option « Utiliser le nom des cellules d’en-tête comme référence » est sélectionnée dans la sous-fenêtre Général des préférences de Numbers. Lorsque vous saisissez une référence de cellule comprenant le nom d’une cellule d’entête, d’un tableau ou d’une feuille, Numbers propose une liste de suggestions au fur et à mesure des caractères saisis. Vous pouvez sélectionner une suggestion de la liste ou continuer à taper au clavier. Voici plusieurs façons d’ajouter une référence de cellule au point d’insertion dans le champ de texte : m Pour créer une référence à une cellule particulière à l’aide de la souris, cliquez sur la cellule en question. Vous pouvez aussi saisir la référence à cette cellule particulière à l’aide du clavier. Pour ce faire, tapez la lettre de la colonne suivie du numéro du rang (A4) tels qu’ils apparaissent dans les onglets de référence ou tapez le nom de la colonne suivi du nom du rang (2006 Nombre d’élèves inscrits). Si l’autre tableau se trouve dans une autre feuille, cliquez sur celle-ci dans la sous-fenêtre Feuilles avant de sélectionner la cellule. Pour faire référence à une cellule d’un autre tableau, reprenez le nom du tableau suivi de deux-points répétés deux fois (::) et de l’identifiant de la cellule (Tableau 2::B5). Pour faire référence à une cellule d’une autre feuille, utilisez d’abord le nom de la feuille (Feuille 2::Tableau 2::Inscription au cours 2006) si le nom du tableau n’est pas unique dans la feuille de calcul. m Pour ajouter une référence à une liste de cellules précises, cliquez sur chacune d’entre elles. Si les références sont des arguments d’une fonction, Numbers insère automatiquement une virgule (,) entre les références, que vous pouvez remplacer par un autre caractère le cas échéant. Par exemple, si vous vous trouvez sur un emplacement dans lequel le séparateur décimal est une virgule, vous pouvez séparer les différentes réfé- rences de cellules avec un point-virgule au lieu d’une virgule. m Pour ajouter une référence à une plage de cellules adjacentes, faites glisser le curseur sur les cellules que vous souhaitez ajouter. Vous pouvez également taper ou cliquer sur la première cellule, taper le caractère deuxpoints, puis taper ou cliquer sur la dernière cellule. Par exemple, B2:B5 fait référence à quatre cellules de la deuxième colonne. B2:C3 fait référence à deux cellules de la deuxième colonne et à deux cellules de la troisième colonne.102 Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux m Pour faire référence à toutes les cellules d’une colonne, cliquez sur l’onglet de référence de la colonne ou sur sa cellule d’en-tête, le cas échéant. Vous pouvez saisir la référence en tapant la lettre de la colonne (C ou C:C) ou son nom si elle comprend une cellule d’en-tête. Par exemple, SOMME(B) ou SOMME(B:B) additionne toutes les valeurs des cellules de la deuxième colonne. m Pour faire référence à toutes les cellules d’un rang, cliquez sur l’onglet de référence du rang en question ou sur sa cellule d’en-tête, le cas échéant. Vous pouvez saisir la référence en tapant le numéro du rang (1:1) ou son nom si elle comprend une cellule d’en-tête. Par exemple, SOMME(1:1) additionne toutes les valeurs qui se trouvent dans les cellules du premier rang. Copie ou déplacement des formules contenant des références de cellules Vous pouvez copier ou déplacer une formule contenant des références de cellules sans que ces dernières ne deviennent non valides. Voici quelques techniques permettant de déplacer des formules : m Pour placer une formule dans une autre cellule, faites glisser la cellule dans laquelle elle se trouve jusque sur la cellule de destination souhaitée. Si le tableau est grand et que vous souhaitez déplacer la formule dans une cellule non visible à l’écran, sélectionnez la cellule d’origine, cliquez sur Édition > Signaler pour être déplacé, sélectionnez la cellule de destination et cliquez sur Édition > Déplacer. Par exemple, si la formule =A1 se trouve dans la cellule D1 et que vous souhaitez déplacer cette formule dans la cellule X1, sélectionnez D1, cliquez sur Édition > Signaler pour être déplacé, puis sélectionnez X1 et cliquez sur Édition > Déplacer. La formule =A1 s’affiche désormais dans la cellule X1. m Pour déplacer une cellule à laquelle une formule fait référence, déplacez la cellule en la faisant glisser ou cliquez sur Édition > Signaler pour être déplacé, puis sur Édition > Déplacer. Par exemple, si la formule =A1 se trouve dans la cellule D1 et que vous souhaitez déplacer la cellule A1 à la cellule D95, sélectionnez A1, cliquez sur Édition > Signaler pour être déplacé, puis sélectionnez D95 et cliquez sur Édition > Déplacer. La formule dans D1 devient =D95. m Pour coller une copie d’une formule dans une autre cellule et utiliser les mêmes réfé- rences de cellules dans les deux formules, ajoutez le symbole du dollar ($) devant les identifiants de colonne et de rang (=$A$1). Cette technique permet de créer ce que l’on appelle une référence de cellule absolue. Par exemple, si la formule =A1 apparaît dans la cellule D1 et que vous souhaitez en coller une copie dans la cellule E1, changez la formule en =$A$1, puis sélectionnez la cellule D1, copiez cette dernière et collez la copie dans la cellule E1. La formule $A$1 est copiée dans la cellule E1. Si vous ne modifiez pas la formule avant de la copier de telle sorte qu’elle utilise une référence de cellule absolue, elle apparaîtra dans la cellule E1 sous la forme =B1.Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 103 Application d’une formule aux cellules d’une colonne ou d’un rang en une seule fois Lorsqu’un tableau dispose de cellules d’en-tête, vous pouvez les utiliser pour appliquer rapidement une formule à toutes les cellules d’un rang ou d’une colonne. Les valeurs des cellules sont recalculées d’après la formule. Cette formule est appelée formule d’en-tête. Pour appliquer une formule d’en-tête aux cellules d’une colonne ou d’un rang : 1 Sélectionnez la cellule d’en-tête de la colonne ou du rang. 2 Ouvrez l’Éditeur de formules. Par exemple, tapez le signe égal (=). 3 Saisissez la formule que vous souhaitez appliquer à chacune des cellules de la colonne ou du rang. Par exemple, pour attribuer aux cellules de la colonne C des valeurs cinq fois plus grandes que celles des cellules correspondantes de la colonne B, la formule à utiliser serait B*5 ou B:B*5. La formule est dupliquée dans toutes les cellules de la colonne ou du rang. Dans cet exemple, la cellule C4 contiendrait la valeur calculée à l’aide de la formule B4*5. 4 Cliquez sur le bouton Accepter ou appuyez sur la touche Retour ou Entrée pour enregistrer la formule. Gestion des erreurs et des avertissements Si une formule figurant dans une cellule de tableau est incomplète, contient des références de cellules non valides ou est incorrecte, ou bien si une opération d’importation entraîne une erreur dans une cellule, Numbers affiche une icône dans la cellule concernée. Un triangle bleu dans la partie supérieure gauche d’une cellule affiche des alertes. Un triangle rouge au milieu d’une cellule indique une erreur provoquée par une formule. Pour afficher les messages des avertissements et des erreurs : m Cliquez sur l’icône. Un message récapitule chaque erreur et chaque avertissement associés à la cellule. Pour que Numbers affiche une alerte lorsqu’une cellule référencée dans une formule est vide, cliquez sur Numbers > Préférences et sélectionnez « Afficher les avertissements lorsque les formules référent à des cellules vides » dans la sous-fenêtre Général.104 Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux Utilisation des opérateurs L’utilisation d’opérateurs dans les formules permet d’effectuer des opérations arithmé- tiques et de comparer des valeurs :  Les opérateurs arithmétiques effectuent des opérations arithmétiques, telles que l’addition ou la soustraction, et donnent des résultats numériques.  Les opérateurs de comparaison comparent deux valeurs et donnent uniquement la valeur VRAI ou FAUX. Calcul d’opérations arithmétiques Pour créer une formule réalisant une opération arithmétique, vous devez utiliser des opérateurs arithmétiques. Par exemple, pour ajouter trois valeurs d’une colonne, vous pourriez créer une formule du type suivant : A2 + A3 + A5. Voici un récapitulatif des opérateurs arithmétiques. Pour obtenir plus d’informations sur les opérateurs arithmétiques que Numbers prend en charge, reportez-vous à la rubrique « Explication des opérateurs arithmétiques » à la page 105. Pour ajouter une formule arithmétique à une cellule : 1 Sélectionnez une cellule vide destinée à afficher les résultats de la formule. 2 Ouvrez l’Éditeur de formules. Par exemple, tapez le signe égal (=). 3 Saisissez la formule dans le champ de texte après le signe égal. Par exemple, pour saisir la formule A3 * B5 + B6, dans le champ texte après le signe égal, vous pouvez cliquer sur la cellule A3 ou taper « A3 », puis taper * (l’opérateur de multiplication), cliquer sur B5 ou taper « B5 », et enfin cliquer sur B6 (si vous ne saisissez pas d’opérateur avant de cliquer, Numbers ajoute automatiquement le signe plus (+)) lorsque vous ne spécifiez pas d’argument pour la fonction. 4 Cliquez sur le bouton Accepter ou appuyez sur la touche Retour ou Entrée pour enregistrer la formule. Pour effectuer cette opération Utilisez cet opérateur arithmétique Par exemple Somme de deux valeurs + A2 + B2 Soustraction de deux valeurs – A2 - B2 Multiplication de deux valeurs * A2 * B2 Division d’une valeur par une autre / A2 / B2Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 105 Explication des opérateurs arithmétiques Les opérateurs arithmétiques utilisés dans les formules des cellules d’un tableau permettent d’effectuer des opérations arithmétiques et d’obtenir des résultats numériques. Les opérateurs arithmétiques sont les suivants (les exemples supposent que la cellule A2 contient la valeur 20 et que la cellule B2 contient la valeur 2) : m L’opérateur + permet d’additionner deux valeurs. Par exemple, A2 + B2 donne 22. m L’opérateur – permet de calculer la différence entre deux valeurs. Par exemple, A2 – B2 donne 18. m L’opérateur * permet d’obtenir le produit de deux valeurs. Par exemple, A2 * B2 donne 40. m L’opérateur / permet d’obtenir le résultat de la division d’une valeur par une autre. Par exemple, A2/B2 donne 10. m L’opérateur ^ permet d’obtenir le résultat de l’élévation d’une valeur à la puissance d’une autre valeur. Par exemple, A2 ^ B2 donne 400. m L’opérateur % permet d’obtenir le résultat de la division d’une valeur par 100. Par exemple, A2% renvoie la valeur 0.2 affichée sous la forme 20%. Si la référence à une cellule pointe sur une cellule vide, 0 correspond à la valeur utilisée. Si la référence à une cellule pointe sur une cellule contenant la valeur FAUX, 0 est là aussi la valeur utilisée. Si la cellule contient VRAI, 1 est la valeur utilisée dans ce cas. Par exemple, VRAI + 1 renvoie 2. L’utilisation d’une chaîne de caractères contenant un opérateur arithmétique renvoie une erreur. Par exemple, 3 + « bonjour » n’est pas une opération arithmétique correcte. Explication des opérateurs de comparaison Les opérateurs de comparaison comparent deux valeurs et donnent la valeur VRAI ou FAUX. Les opérateurs de comparaison sont les suivants (les exemples supposent que la cellule A2 contient la valeur 20 et que la cellule B2 contient la valeur 2) : m L’opérateur = donne VRAI si deux valeurs sont égales. Par exemple, A2 = B2 donne FAUX. m L’opérateur <> donne VRAI si deux valeurs ne sont pas égales. Par exemple, A2<>B2 donne VRAI. m L’opérateur > donne VRAI si la première valeur est supérieure à la seconde. Par exemple, A2 > B2 donne VRAI.106 Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux m L’opérateur < donne VRAI si la première valeur est inférieure à la seconde. Par exemple, A2 < B2 donne FAUX. m L’opérateur >= donne VRAI si la première valeur est supérieure ou égale à la seconde. Par exemple, A2 >= B2 donne VRAI. m L’opérateur <= donne VRAI si la première valeur est inférieure ou égale à la seconde. Par exemple, A2 <= B2 donne FAUX. Les chaînes de caractères sont considérées comme supérieures aux nombres. Par exemple, « bonjour » > 5 donne VRAI. VRAI et FAUX peuvent être comparés mutuellement mais ne peuvent pas être comparés avec des nombres ou des chaînes de caractères. VRAI > FAUX et FAUX < VRAI car VRAI est interprété comme 1 et FAUX comme 0. VRAI = 1 renvoie FAUX et VRAI = « Texte » renvoie FAUX. Utilisation des fonctions Une fonction est une opération prédéfinie à laquelle on a attribué un nom (par exemple, SOMME ou MOYENNE) et dont on peut se servir pour effectuer un calcul dans une cellule de tableau. Il existe plusieurs familles de fonctions, qui vont des fonctions financières qui permettent de calculer des taux d’intérêt, des valeurs d’investissement, etc. aux fonctions statistiques qui permettent de calculer des moyennes, des probabilités, des écarts types, etc. Pour tout savoir sur l’intégralité des fonctions, y compris sur les arguments à spécifier pour indiquer aux fonctions les données à utiliser dans les calculs, reportez-vous à la rubrique « À propos des fonctions » à la page 214. Vous pouvez saisir une fonction dans le champ de texte de l’Editeur de formules ou la barre de formules, mais la méthode la plus rapide pour ajouter une fonction à une formule consiste à utiliser le navigateur de fonctions. Pour ajouter une fonction à l’aide du Navigateur de fonctions : 1 Sélectionnez la cellule dans laquelle vous souhaitez ajouter une fonction. 2 Ouvrez l’Éditeur de formules et cliquez dans le champ de texte à l’endroit où vous souhaitez insérer la fonction. Vous pouvez également cliquer dans le champ de texte de la barre des formules. Chapitre 5 Utilisation de formules et de fonctions dans des tableaux 107 3 Cliquez sur le bouton Navigateur de fonctions dans la barre de formules ou cliquez sur Insérer > Fonction. Le navigateur de fonctions s’ouvre alors. 4 Sélectionnez une fonction. Pour trouver une fonction, faites défiler la liste située sur la droite. Si vous le souhaitez, vous avez la possibilité de subdiviser cette liste en sélectionnant une catégorie de fonction sur la gauche. Vous pouvez aussi rechercher une fonction particulière dans la caté- gorie de fonction sélectionnée à l’aide du champ de recherche qui se trouve en haut à droite. 5 Cliquez sur Insérer. Numbers insère la fonction dans le champ texte, suivie d’un ou de plusieurs paramètres fictifs d’argument entre parenthèses. 6 À l’aide de l’éditeur de formules ou de la barre de formules, remplacez chacun des paramètres fictifs par une référence de cellule ou une autre valeur, ou apportez d’autres modifications à la formule si nécessaire. 6 108 6 Utilisation des graphiques Vous pouvez convertir les données du tableau en graphiques attrayants. Ce chapitre décrit le mode de création et de mise en forme des graphiques. Numbers fournit des outils permettant de créer des graphiques attrayants pour présenter une partie ou la totalité des données sous forme de tableaux. Par défaut, l’apparence des graphiques correspond au modèle que vous utilisez, mais vous pouvez ajuster les couleurs, textures, ombres, étiquettes et autres réglages pour souligner divers éléments du graphique. À propos des graphiques Vous pouvez convertir en graphiques les données de plusieurs tableaux. Les graphiques peuvent révéler des tendances ou des relations qui ne sont pas évidentes à voir lorsque les données sont affichées sous forme de rangs et de colonnes. Un graphique est associé aux données des tableaux sur lesquels il repose. Si vous modifiez les données d’un tableau, le graphique se met à jour automatiquement. Vous avez le choix entre de nombreux types de graphiques pour la présentation de vos données, notamment des graphiques sectoriels, linéaires, à barres, à colonnes, à couches et en nuage de points. Des versions 2D et 3D sont disponibles pour la plupart des graphiques. Par exemple, une entreprise peut utiliser un tableau pour calculer le nombre d’employés travaillant dans la Région 1 et la Région 2 chaque année. Ce type de tableau comporterait deux rangs (un pour la Région 1 et un autre pour la Région 2) et quatre colonnes (une pour chaque année de 2007 à 2010).Chapitre 6 Utilisation des graphiques 109 Il existe plusieurs façons de représenter sous forme de graphique les données dans ce tableau. Dans un graphique à barres, par exemple :  Vous pouvez représenter le nombre de salariés de 2007 travaillant dans la Région 1 et dans la Région 1 par des barres côte à côte, suivies de paires de barres représentant chacune des années 2008, 2009 et 2010. Si un tel graphique existait, il comporterait deux séries de données et quatre jeux de données. Les régions 1 et 2 sont appelées séries de données ; chaque région est représentée par une série de valeurs. La valeur des données (connues sous le nom de points de données) de chaque région sont représentées par des barres regroupées côte à côte sur le graphique ; chaque groupe est appelé jeu de données (2007 est un jeu de données, 2008 en est un autre, etc.).  Autre possibilité : vous pouvez modifier l’orientation du graphique de sorte que les points de données soient regroupés par région plutôt que par année. Dans ce cas, les années sont des séries de données et les régions des jeux de données. Le graphique à barres contiendrait alors deux groupes de barres, une pour la Région 1 et l’autre pour la Région 2. Les jeux de données contiennent un point de données (une barre) de chacune des séries de données. Ces quatre barres représentent une série de données. La légende du graphique désigne les deux séries de données. Ces deux barres représentent une série de données. Les jeux de données contiennent un point de données (une barre) de chacune des quatre séries de données.110 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Lorsque vous sélectionnez un graphique, les cellules qu’il contient sont mises en surbrillance dans le tableau associé. En outre, des carrés de couleur situés près des colonnes et des rangs du tableau indiquent quelle couleur représente chaque série de données dans le graphique. Un bouton dans la partie supérieure gauche du tableau permet de permuter les colonnes et les rangs comme séries de données. Vous pouvez également cliquer sur un élément de la série de données dans le graphique pour mettre en surbrillance les données correspondantes dans le graphique et le tableau sous-jacent. Cliquez sur ce bouton pour modifier l’orientation du graphique. Ces carrés indiquent la couleur qui représente chaque série de données. Lorsque le bouton ressemble à ceci, les séries de données s’affichent en colonnes. Cliquez sur ce bouton pour afficher les séries de données en rangs. Lorsque le bouton ressemble à ceci, les séries de données s’affichent en rangs. Cliquez sur ce bouton pour afficher les séries de données en colonnes. Sélectionnez barre pour afficher en surbrillance les barres du graphique de la même série de données, ainsi que les valeurs associées dans le tableau sousjacent.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 111 Les séries de données sont représentées différemment selon le type de graphique :  Dans les graphiques à colonnes et les graphiques à barres, une série de données est représentée par une série de barres dotée du même remplissage (couleur ou texture).  Dans un graphique linéaire (également appelé graphe), une série de données est représentée par une seule ligne.  Dans un graphique à couches, une série de données est représentée par une couche.  Dans un graphique sectoriel, un seul jeu de données (le premier point de données de chaque série) est représenté sur le graphique.  Dans un graphique en nuage de points, deux colonnes de données sont utilisées pour placer les points représentant les valeurs d’une seule série de données. Chaque paire de valeurs détermine ainsi la position de chaque point de données. Ajout d’un graphique Vous pouvez ajouter un graphique représentant toutes les données dans un tableau ou uniquement les données des cellules sélectionnées d’un ou plusieurs tableaux. Lorsque vous ajoutez un graphique, Numbers définit l’étiquette des axes et les séries de données par défaut. Vous pouvez néanmoins modifier les séries ou les étiquettes :  En général, si un tableau forme un carré ou que la largeur du tableau est plus grande que sa hauteur, les rangs représentent les séries de données par défaut. Si ce n’est pas le cas, les colonnes représentent les séries de données par défaut. Pour modifier l’orientation des séries de données, sélectionnez le graphique et cliquez sur le bouton de la série de données, situé dans la partie supérieure gauche du tableau correspondant.  Si un tableau contient des en-têtes de rang ou des cellules, Numbers crée des étiquettes par défaut pour les axes à partir de leur contenu. En l’absence de cellules pour les en-têtes, Numbers utilise le texte de la première colonne ou du premier rang pour créer les étiquettes destinées aux axes. Dans le cas contraire, le texte réservé au paramètre fictif sert à désigner les étiquettes. Les étiquettes de série identifient les éléments de séries de données (par exemple, les différentes barres) du graphique.112 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Les Étiquettes de catégorie identifient les jeux de données (par exemple, les groupes de barres) du graphique. Vous pouvez afficher ou masquer, modifier, déplacer, réorienter et mettre en forme l’étiquette des axes comme décrit dans la rubrique « Ajout d’étiquettes et de marques d’axe » à la page 120. Voici différentes manières d’ajouter un graphique : m Pour ajouter un graphique à partir d’un tableau, sélectionnez le tableau, cliquez sur Graphiques dans la barre d’outils et sélectionnez un type de graphique dans le menu local. Les valeurs du tableau sont tracées dans le graphique. Si le tableau est vide, le graphique reste vierge jusqu’à ce que vous ajoutiez des valeurs dans les cellules du tableau. Étiquettes de catégorie Étiquettes de série Dans le menu local, les graphiques 2D se trouvent à gauche et les graphiques 3D à droite.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 113 m Pour ajouter un graphique basé sur une plage de cellules adjacentes d’un tableau, cliquez sur une cellule et faites glisser le curseur sur d’autres cellules ; vous pouvez également sélectionnez une seule cellule puis maintenir enfoncée la touche Maj pour sélectionner des cellules. Cliquez ensuite sur Graphiques dans la barre d’outils et sélectionnez un type de graphique. m Pour ajouter un graphique à partir de cellules non adjacentes, sélectionnez les cellules du tableau tout en maintenant enfoncée la touche Commande. Cliquez ensuite sur Graphiques dans la barre d’outils et sélectionnez un type de graphique. m Pour ajouter un graphique à partir des données de plusieurs tableaux, créez un graphique en sélectionnant un tableau ou les cellules du tableau. Sélectionnez ensuite le graphique et cliquez sur ou faites glisser les cellules d’un autre tableau tout en maintenant la touche Commande enfoncée pour ajouter les données correspondantes au graphique. m Pour ajouter un graphique et un tableau associé contenant des valeurs de paramètre fictif, vérifiez que rien n’est sélectionné, cliquez sur Graphiques dans la barre d’outils et sélectionnez un type de graphique. m Pour ajouter un graphique en nuage de points, reportez-vous à la rubrique « Graphiques en nuage de points » à la page 131. m Pour tracer un graphique, cliquez sur Graphiques dans la barre d’outils tout en maintenant enfoncée la touche Option. Sélectionnez un type de graphique. Le pointeur de la souris se transforme en croix. Faites ensuite glisser le pointeur sur la surface de dessin pour obtenir la taille de graphique souhaitée. Pour conserver les proportions d’un graphique, maintenez la touche Maj enfoncée lors du redimensionnement. Modification d’un graphique Vous pouvez modifier les données tracées sur un graphique, l’orientation du traçage pour passer des séries de données aux jeux de données, le type de graphique, déplacer les séries de données, etc. 114 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Modification de l’orientation du traçage Le bouton dans la partie supérieure gauche du tableau permet de choisir entre l’affichage des données en colonnes ou en rangs. Pour modifier l’orientation du traçage : 1 Sélectionnez le graphique. 2 Cliquez sur le bouton de série de données. Modification des données tracées sur un graphique Lorsque vous modifiez les données des cellules d’un tableau associé à un graphique, ce dernier s’actualise automatiquement. Vous pouvez également ajouter ou supprimer des données d’un graphique sans modifier pour autant le tableau associé. Ajout de données à un graphique Vous pouvez ajouter les données de cellules adjacentes ou non adjacentes aux cellules déjà tracées. Vous pouvez également ajouter des données à une nouvelle colonne ou un nouveau rang. Il existe différentes manières d’ajouter des données à un graphique : m Pour ajouter des données de cellules non adjacentes aux cellules déjà tracées, sélectionnez le graphique et cliquez sur ou faites glisser les cellules du tableau tout en maintenant enfoncée la touche Commande. m Pour ajouter des données de cellules adjacentes aux cellules déjà tracées, sélectionnez le graphique et cliquez sur les cellules du tableau tout en maintenant enfoncée la touche Maj. Cliquez sur ce bouton pour modifier l’orientation du graphique. Le bouton ressemble à ceci lorsque les séries de données s’affichent en colonnes.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 115 m Pour ajouter des cellules adjacentes aux valeurs déjà tracées, sélectionnez le graphique. Dans le tableau, faites glisser vers la droite ou vers le bas la commande circulaire située dans la partie inférieure droite de la plage de données. Si le graphique est un graphique en nuage de points, l’opération qui consiste à faire glisser la commande circulaire ne permet d’ajouter qu’un nombre pair de rangs ou de colonnes. m Pour ajouter des cellules à partir d’un nouveau rang ou d’une nouvelle colonne, sélectionnez le tableau et insérez le rang ou la colonne entre les cellules déjà tracées. Lorsque vous ajoutez des données aux nouvelles cellules, les données sont tracées sur le graphique. Ajout de données à un graphique en provenance de plusieurs tableaux Vous pouvez ajouter à un graphique des données provenant de cellules de plusieurs tableaux. Pour ajouter des données de graphique dans plusieurs tableaux : 1 Créez un graphique à partir des données d’un tableau. 2 Sélectionnez des cellules dans un autre tableau. 3 Faites glisser les cellules sélectionnées dans le graphique. Elles sont ajoutées en tant que nouvelle série de données. Pour afficher ou modifier les données source du graphique, cliquez sur une série de données dans le graphique pour afficher le tableau et les cellules d’origine. Suppression de données d’un graphique Vous pouvez soit supprimer uniquement les valeurs d’un graphique sans toucher à celles du tableau associé, soit supprimer à la fois les valeurs d’un graphique et du tableau associé. Il existe différentes manières de supprimer des données d’un graphique : m Pour supprimer un point de données, sélectionnez le tableau puis la cellule contenant la valeur à supprimer et appuyez sur la touche Suppr. La valeur est supprimée du tableau et du graphique. Si vous supprimez une colonne ou une ligne faisant partie de deux colonnes ou de lignes d’un graphique en nuage de points, le point de données à deux valeurs associé est également supprimé du graphique. m Pour supprimer plusieurs cellules, sélectionnez le tableau puis, tout en maintenant enfoncée la touche Maj ou Commande, sélectionnez les cellules à supprimer et appuyez sur la touche Suppr. Les valeurs sont supprimées du tableau et du graphique. m Pour réduire la plage de cellules adjacentes dont les valeurs sont tracées, sélectionnez le graphique. Dans le tableau, faites glisser vers la gauche ou vers le haut la commande circulaire située dans la partie inférieure droite de la plage de données. Les cellules désélectionnées ne sont plus représentées dans le graphique mais les valeurs sont conservées dans le tableau.116 Chapitre 6 Utilisation des graphiques m Pour supprimer une série de données, cliquez sur le graphique et sélectionnez un élé- ment dans la série ou cliquez sur l’étiquette de la série dans le tableau, puis appuyez sur la touche Suppr. Les valeurs sont supprimées du graphique mais pas du tableau. m Pour supprimer un jeu de données, cliquez sur le graphique, sélectionnez l’étiquette de catégorie dans le tableau et appuyez sur la touche Suppr. Les valeurs sont supprimées du graphique mais pas du tableau. Si aucune étiquette n’est associée à la catégorie dans le tableau, cliquez sur le bouton de série de données dans le tableau pour convertir la catégorie en série, sélectionnez la série contenant les données à supprimer et appuyez sur la touche Suppr. Remplacement d’une série de données Vous pouvez remplacer le rang ou la colonne sur lequel ou laquelle repose la série de données par un autre rang ou une autre colonne. Pour remplacer une série de données : 1 Sélectionnez le graphique. 2 Sélectionnez la série à déplacer soit en cliquant sur la série de données dans le graphique, soit en cliquant sur l’étiquette de série de données dans le tableau. 3 Faites glisser la série de données dans le tableau vers le rang ou la colonne pour remplacer les données qu’il ou elle contient. Suppression d’un graphique Vous pouvez supprimer un graphique en supprimant le ou les tableaux associés, ou supprimer uniquement le graphique. Voici différentes manières de supprimer un graphique : m Pour supprimer le graphique et non le ou les tableaux associés, sélectionnez-le et appuyez sur la touche Suppr. m Pour supprimer le graphique mais aussi le ou les tableaux associés, sélectionnez les tableaux en question et appuyez sur la touche Suppr. Déplacement d’un graphique Vous pouvez déplacer un graphique à l’intérieur d’une feuille de calcul par glisser-déposer ou couper-coller. Ses liens avec les cellules associées sont conservés. Voici différentes manières de déplacer un graphique : m Pour déplacer un graphique à l’intérieur de la même feuille de calcul, sélectionnez-le et faites-le glisser. m Pour déplacer un graphique vers une autre feuille de calcul, sélectionnez-le dans la barre latérale et faites-le glisser vers la nouvelle feuille de calcul. Vous pouvez également sélectionner et couper le graphique (Commande + X), puis sélectionner l’autre feuille de calcul et le coller (Commande + V). Vous pouvez définir avec plus de précision la position du graphique sur la feuille en le faisant simplement glisser.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 117 Changement du type de graphique Vous pouvez changer de type de graphique à votre guise. Pour remplacer un graphique par un autre type : 1 Sélectionnez le graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis choisissez un autre type de graphique dans le menu local qui apparaît lorsque vous cliquez sur l’icône du graphique en haut à gauche. Si vous passez à un graphique sectoriel, le premier point de données de chaque série est représenté sous forme de portion. Reportez-vous à la rubrique « graphiques sectoriels » à la page 126. Si vous passez à un graphique en nuage de points, deux valeurs sont nécessaires pour chaque point. Si le graphique est basé sur un nombre impair de rangs ou de colonnes, le dernier rang (ou la dernière colonne) n’est pas traité. Reportez-vous à la rubrique « Graphiques en nuage de points » à la page 131. Si vous changez le graphique en un graphique à barres, à colonnes, à couches ou linéaire, chaque série du nouveau graphique correspond à un rang ou une colonne dans le tableau. Si vous passez à la version 3D d’un graphique, l’Inspecteur des graphiques fournit des commandes permettant de gérer la profondeur de l’objet, le style d’éclairage, etc. Reportez-vous à la rubrique « graphiques 3D » à la page 132. La mise en forme appliquée au graphique que vous modifiez peut ne pas s’appliquer au nouveau graphique. Par exemple, l’attribut de remplissage couleur des éléments de point de données (barres, portions, etc.) possède une valeur par défaut différente pour chaque type de graphique. Si vous avez modifié la couleur de remplissage d’une colonne puis changé le graphique en graphique à barres, la modification du remplissage n’est alors pas conservée.  Selon le type de graphique, les attributs enclins à changer si vous passez d’un type de graphique à un autre sont les étiquettes de valeurs affichées, la position de ces étiquettes, le style de texte, le trait, l’ombre et le remplissage des séries, le symbole des points de données ainsi que le remplissage de ces derniers.  Les graphiques en barres ou en colonnes simples ou empilées partagent leurs attributs à l’exception de la position des étiquettes de valeur. Les graphiques en barres ou en colonnes possèdent cependant des remplissages distincts.  Les ombres des graphiques 3D sont partagées entre les types de graphiques. Si vous changez le type d’un graphique par un autre partageant certains des attributs, ces derniers sont alors conservés. Les attributs partagés regroupent les axes, les quadrillages, les marques de graduation, les étiquettes des axes, l’affichage de la valeur minimale, le format des nombres, les bordures, les rotations d’objets, les ombres ainsi que le style d’éclairage 3D. Vous en saurez plus à propos de ces attributs tout au long du reste de ce chapitre.118 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Mise en forme des attributs généraux d’un graphique Vous pouvez redimensionner et repositionner des graphiques et des légendes. Vous pouvez ajouter un titre au graphique. Vous pouvez mettre en forme les éléments des graphiques (polices, textures, couleurs, étiquettes des axes et des points de données, ainsi que marques de graduation). Vous pouvez ajuster l’angle et le style d’éclairage des graphiques 3D. Utilisation d’une légende La légende du graphique décrit la signification des couleurs utilisées pour traiter les points de données dans chaque série de données. Vous pouvez afficher ou masquer la légende d’un graphique et la repositionner. Voici différentes manières d’utiliser une légende de graphique : m Pour afficher la légende, sélectionnez le graphique puis sélectionnez Afficher la légende dans l’Inspecteur des graphiques. m Pour modifier les étiquettes dans la légende, modifiez les étiquettes de série dans le tableau associé ou sélectionnez la légende et modifiez le texte directement dans la légende. m Pour mettre en forme le texte de la légende, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes » à la page 125. m Pour masquer la légende, sélectionnez le graphique puis désélectionnez Afficher la légende dans l’Inspecteur des graphiques. Vous pouvez également sélectionner la légende et appuyer sur la touche Suppr. m Pour déplacer la légende, sélectionnez-la et faites-la glisser. Utilisation d’un titre de graphique Vous pouvez ajouter un titre au graphique. Celui-ci peut être mis en forme. Voici différentes manières d’utiliser un titre de graphique : m Pour ajouter un titre, sélectionnez le graphique puis choisissez Afficher le titre dans l’Inspecteur des graphiques. Remplacez le texte du paramètre fictif par votre titre. m Pour mettre en forme le texte d’un titre, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes » à la page 125. m Pour masquer le titre, sélectionnez le graphique puis désactivez l’option Afficher le titre dans l’Inspecteur des graphiques.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 119 Redimensionnement d’un graphique Vous pouvez augmenter ou réduire la taille d’un graphique en faisant glisser l’une de ses poignées de sélection ou en utilisant l’inspecteur des mesures. Voici différentes manières de redimensionner un graphique : m Sélectionnez le graphique, puis faites glisser une poignée de sélection. m Pour préserver les proportions d’un graphique, maintenez la touche Maj enfoncée lorsque vous faites glisser le graphique pour le redimensionner. m Pour redimensionner un graphique dans un sens, faites glisser une poignée latérale au lieu d’une poignée d’angle. m Pour redimensionner en spécifiant des dimensions exactes, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures puis sur Mesures. Cette sousfenêtre vous permet de spécifier une nouvelle largeur, hauteur et un angle de rotation, et également de modifier la distance entre le graphique et les marges. Rotation de graphiques Il existe plusieurs techniques de rotation pour les graphiques 2D. Vous ne pouvez pas faire pivoter (ou retourner) les graphiques 3D. Si un graphique 3D est regroupé avec des graphiques 2D, vous pouvez faire pivoter le groupe mais sachez que seuls les graphiques 2D pivoteront. Voici différentes manières de faire pivoter des graphiques 2D : m Sélectionnez le graphique, maintenez enfoncée la touche Commande et déplacez le pointeur vers une poignée de sélection jusqu’à ce qu’elle se transforme en flèche double courbe, puis faites glisser la poignée. m Pour faire pivoter un graphique par incréments de 45 degrés, appuyez sur les touches Maj et Commande tout en faisant glisser une poignée de sélection. m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures puis faites glisser la molette de rotation ou utilisez les commandes d’angle pour définir l’angle du graphique. Les graphiques sectoriels peuvent également être pivotés par le biais de l’Inspecteur des graphiques (reportez-vous à la « Rotation de graphiques sectoriels 2D » à la page 128).120 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Ajout d’étiquettes et de marques d’axe Utilisez la sous-fenêtre Axes de l’Inspecteur des graphiques pour mettre en forme le quadrillage et l’aspect général des axes du graphique. La plupart des graphiques possèdent deux axes (X et Y). Selon le type de graphique, les points de données sont tracés sur l’un des axes et les jeux de données sont regroupés sur l’autre axe. L’axe des points de données est appelé axe des valeurs et celui des jeux de données axe des catégories. Affichage des axes et des bordures Vous pouvez afficher tous les éléments suivants d’un graphique : l’axe X, l’axe Y et les bordures du graphique. Pour afficher les axes et les bordures : 1 Sélectionnez un graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Axes. 3 Choisissez un ou plusieurs éléments dans le menu local Axes et bordures pour les sélectionner. Un élément sélectionné comporte en face une coche ; choisissez de nouveau l’élément afin de le désélectionner. Pour mettre en forme la couleur et le trait des bordures, sélectionnez le graphique et utilisez les commandes de style de trait de la barre de mise en forme. Régler les attributs des étiquettes, des marques de graduation, etc. Sélectionner des unités pour les valeurs du graphique. Afficher ou masquer les axes et les bordures des graphiques (pour les graphiques 2D uniquement). Définir la plage des valeurs qui apparaissent sur le quadrillage du graphique. Sélectionner le style du trait. Sélectionner la largeur du trait. Sélectionner la couleur du trait.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 121 Utilisation de titres des axes Vous pouvez ajouter un titre sur l’axe des X et sur l’axe des Y d’un graphique. Celui-ci peut être mis en forme. Voici différentes manières d’utiliser un titre d’axe : m Pour ajouter le titre d’un axe, sélectionnez le graphique, puis l’option « Afficher les titres de catégorie » dans le menu local Axe des X ou « Afficher les titres de valeur » dans le menu local Axe des Y de la sous-fenêtre Axes de l’inspecteur des graphiques. Remplacez le texte du paramètre fictif par votre titre. m Pour mettre en forme le texte d’un titre, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes » à la page 125. m Pour masquer le titre d’un axe, sélectionnez le graphique, puis décochez l’option « Afficher les titres de catégorie » dans le menu local Axe des X ou « Afficher les titres de valeur » dans le menu local Axe des Y de la sous-fenêtre Axes de l’inspecteur des graphiques. Affichage des étiquettes de point de données Vous pouvez afficher les valeurs de point de données sur des colonnes, barres, portions de graphique sectoriel et autres éléments de graphiques 2D et 3D. Pour mettre en forme des étiquettes de point de données : 1 Sélectionnez le graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries. 3 Choisissez Afficher la valeur dans le menu local Réglages de point de données. Pour afficher la valeur en pourcentage ou la valeur logarithmique au lieu d’une valeur absolue, choisissez Pourcentage ou Logarithmique dans le menu local Axe des X ou Axe des Y de la sous-fenêtre Axes. Pour les graphiques sectoriels, choisissez « Afficher les valeurs des portions en % » dans le menu local « Réglages de pt de données » afin d’afficher les valeurs en pourcentages. Pour afficher le nom des séries de données d’une portion, choisissez « Afficher le nom des séries » dans le menu local Réglages de pt de données. 4 Sélectionnez un emplacement pour l’étiquette dans le menu local Réglages de pt de données (par exemple, Au milieu ou En bas à droite). 5 Spécifiez le nombre de décimales à afficher en saisissant un nombre dans le champ Décimales. 6 Pour mettre en forme les étiquettes de point de données, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes » à la page 125.122 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Mise en forme de l’axe des valeurs Vous pouvez définir les valeurs et unités à afficher le long de l’axe des valeurs, c’est-à-dire l’axe le long duquel vous lisez les valeurs des points de données. Pour les graphiques à colonnes (barres verticales), les graphiques à lignes et les graphiques à couches, l’axe des Y est l’axe des valeurs. Pour les graphiques à barres horizontales, l’axe des X est l’axe des valeurs. Dans le cas des graphiques en nuage de points, les deux axes constituent des axes de valeurs. Les graphiques sectoriels ne comportent pas d’axe des valeurs. Pour en savoir plus sur la mise en forme de graphiques sectoriels, reportez-vous à la rubrique « graphiques sectoriels » à la page 126.) Pour mettre en forme l’axe des valeurs : 1 Sélectionnez un graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Axes. 3 Pour définir la valeur à l’origine du graphique, tapez un nombre dans le champ Minimum (sous Format de l’axe des valeurs). La valeur Minimum ne peut pas être supérieure à la valeur minimale de l’ensemble du jeu de données. 4 Pour définir le nombre le plus élevé qui s’affiche sur l’axe des valeurs, tapez un nombre dans le champ Maximum. La valeur Maximum ne peut pas être inférieure à la valeur maximale de l’ensemble du jeu de données. 5 Pour spécifier le nombre de marques sur l’axe entre les valeurs minimale et maximale, spécifiez un nombre dans le champ Intervalles. 6 Pour afficher la valeur de donnée minimale sur l’axe des valeurs, sélectionnez « Afficher les étiquettes de valeur » et « Afficher la valeur minimale » dans le menu local Axes des X, Axe des Y ou « Étiquettes, graduations, quadrillage » en fonction du graphique. 7 Pour spécifier des unités pour les valeurs de l’axe, saisissez-les sous Format des nombres dans le champ Préfixe ou Suffixe (ou choisissez un symbole dans les menus locaux). 8 Pour afficher des valeurs logarithmiques sur l’axe des valeurs, choisissez Logarithmique dans le menu local Axe des X ou Axe des Y, en fonction du graphique. Cette option est disponible uniquement pour les graphiques 2D à barres/colonnes qui ne sont pas empilés et pour les graphiques linéaires. Vous ne pouvez pas tracer de valeurs négatives sur l’axe logarithmique. 9 Pour afficher des valeurs en pourcentage sur l’axe des valeurs des graphiques empilés, sélectionnez Pourcentage dans le menu local Axe des X ou Axe des Y de la sous-fenêtre Axes. Pour les graphiques sectoriels, choisissez « Affi. val. des portions en % » dans le menu local Réglages de pt de données afin d’afficher les valeurs en pourcentages.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 123 Mise en place d’étiquettes, de quadrillage et de marques de graduation Les menus locaux Axe des X et Axe des Y (sous-fenêtre Axes de l’Inspecteur des graphiques) fournissent une série d’options permettant de placer des marques de graduation, des étiquettes et des quadrillages le long de l’axe des valeurs ou de l’axe des catégories. Les options de ces menus locaux varient selon le type de graphique que vous sélectionnez. Pour les graphiques à barres verticaux (graphiques à colonnes), les graphiques linéaires et les graphiques à couches, l’axe des Y correspond à l’axe des valeurs et celui des X à l’axe des catégories. Pour les graphiques à barres horizontales, l’axe des X est l’axe des valeurs. Dans le cas des graphiques en nuage de points, les deux axes constituent des axes de valeurs. En ce qui concerne les graphiques 3D, les axes des X et des Y sont les mêmes que pour leur version 2D. Pour mettre en forme les marques d’axe : 1 Sélectionnez le graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Axes. 3 Pour mettre en forme l’axe des X, choisissez une option dans le menu local Axe des X. Pour un graphique à colonnes, le menu se présente de la manière suivante : 4 Pour mettre en forme l’axe des Y, choisissez une option dans le menu local Axe des Y. Le menu se présente sous la forme suivante dans le cas d’un graphique à colonnes : Placer des marques de graduation sur l’axe des X. Afficher ou masquer le quadrillage de l’axe des X. Définir le sens du texte pour les étiquettes de l’axe des catégories. Afficher ou masquer les titres et les étiquettes de l’axe des catégories. Convertir les valeurs en valeurs logarithmiques. Placer des marques de graduation sur l’axe des Y. Afficher ou masquer le quadrillage de l’axe des Y. Afficher ou masquer les étiquettes de l’axe des valeurs. Convertir les valeurs en valeurs logarithmiques ou en pourcentages.124 Chapitre 6 Utilisation des graphiques 5 Pour modifier les étiquettes d’axe à partir des valeurs des rangs ou des colonnes d’en-tête, sélectionnez le tableau et modifiez les étiquettes. Pour que les étiquettes des axes ne soient pas les mêmes que les valeurs correspondant aux rangs ou aux colonnes d’en-tête, sélectionnez le graphique et modifiez les étiquettes. Modifier les cellules d’en-tête n’a plus d’effet sur les étiquettes d’axe une fois que vous avez modifié les étiquettes dans le graphique. Mise en forme des éléments d’une série de données Vous pouvez utiliser un ensemble complet d’effets visuels pour enrichir l’aspect des élé- ments composant les séries de données (par ex. barres, portions et formes de couches). Pour mettre en forme des éléments de séries de données : 1 Pour mettre en forme toutes les séries de données, sélectionnez le graphique. Pour mettre en forme les éléments d’une série de données individuelle, sélectionnez le graphique puis cliquez sur l’un des éléments de la série. Pour tous les types de graphiques, à l’exception des graphiques sectoriels, sélectionner un élément d’une série (une barre, par exemple) sélectionne automatiquement la série entière. Dans les graphiques sectoriels, vous sélectionnez des portions individuelles. 2 Pour remplir les éléments de série de données dans une couleur ou une texture choisie, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Couleurs des graphiques. Choisissez un type de remplissage (par exemple, parmi les texture de remplissage 3D) dans le premier menu local, puis une collection de remplissage (par exemple, Marbre ou Bois) dans le second. Pour remplir les éléments dans toutes les séries de données, cliquez sur Tout appliquer. Le premier remplissage est appliqué aux éléments de la première série, le deuxième remplissage à la deuxième série, ainsi de suite. Pour remplir des éléments dans une seule série de données, faites glisser le remplissage vers un élément (barre, colonne, etc.) de la série. 3 Pour régler l’opacité, le trait, l’ombre et autres attributs graphiques d’éléments de séries, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. Vous pouvez également utiliser la barre de mise en forme pour définir la couleur, l’opacité et l’ombre d’un graphique entier ou de certaines séries de données du graphique. 4 Pour régler les couleurs d’éléments de séries, reportez-vous à la rubrique « Remplissage d’un objet en couleur » à la page 178.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 125 5 Pour remplir des éléments de séries avec l’une de vos images, reportez-vous à la rubrique « Remplissage d’un objet avec une image » à la page 180. 6 Pour mettre en forme les étiquettes de point de données, reportez-vous à la rubrique « Affichage des étiquettes de point de données » à la page 121. Vous pourrez trouver des instructions relatives à la mise en forme de graphiques de types spécifiques dans la rubrique « Mise en forme de types de graphiques spécifiques » à la page 126. Mise en forme des titres, des étiquettes et des légendes Vous pouvez modifier la taille et l’apparence des titres de graphique et d’axe, des étiquettes d’axe, des étiquettes de point de données et des légendes. Pour mettre en forme le texte des étiquettes et des légendes : 1 Sélectionnez le texte à mettre en forme. Pour mettre en forme tous les titres et étiquettes de graphique, cliquez sur celui-ci pour le sélectionner. Si vous sélectionnez le texte pour une étiquette de point de données ou d’axe, tout le texte de ce type est également sélectionné. Vous devez modifier la police des légendes séparément. 2 Vous pouvez utiliser la barre des formats pour mettre rapidement en forme le style et le type de police. Utilisez le menu Format ou le panneau Police pour découvrir plus d’options de mise en forme. Pour obtenir des instructions, reportez-vous aux rubriques « Utilisation du menu Format pour mettre en forme le texte » à la page 135 et « Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte » à la page 137. Ajout de texte descriptif à un graphique Vous pouvez ajouter un texte descriptif à un graphique, comme lorsque vous souhaitez fournir des informations de référence pour un point de données en particulier. Pour ajouter du texte : 1 Créez une zone de texte. Reportez-vous à la rubrique « Ajout de zones de texte » à la page 157 pour en connaître les instructions. 2 Faites-la glisser vers l’endroit souhaité sur le graphique. 3 Saisissez votre texte dans la zone correspondante. Vous pouvez éventuellement regrouper le graphique et la zone de texte de manière à ce que le texte reste proche du graphique. Cliquez en appuyant sur la touche Maj pour sélectionner à la fois le graphique et la zone de texte, puis choisissez Disposition > Grouper.126 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Mise en forme de types de graphiques spécifiques Plusieurs styles de graphiques proposent des options uniques pour la mise en forme de leurs éléments. graphiques sectoriels Pour les graphiques sectoriels, Numbers trace uniquement le premier point de données pour chaque série de données. Si les séries de données sont organisées en rangs, seule la première colonne est représentée ; si elles sont organisées en colonnes, seul le premier rang est représenté. Par conséquent, un graphique sectoriel représente un seul jeu de données et chaque portion représente un élément de ce jeu. Vous pouvez représenter n’importe quel jeu de données en le déplaçant vers le premier rang ou la première colonne. Vous pouvez mettre en forme un graphique sectoriel complet ou bien des portions individuelles de celui-ci. Sélection de portions individuelles dans un graphique sectoriel Si vous désirez mettre en forme une ou plusieurs portions, vous devez d’abord les sélectionner. Voici différentes manières de sélectionner des portions sur un graphique sectoriel sélectionné : m Pour sélectionner une seule portion, cliquez dessus. m Pour sélectionner toutes les portions, sélectionnez-en une et appuyez simultanément sur les touches Commande et A. m Pour sélectionner des portions non adjacentes, maintenez enfoncée la touche Commande tout en sélectionnant chaque portion. m Pour sélectionner un ensemble de portions adjacentes, sélectionnez la première portion puis maintenez la touche Maj enfoncée tout en sélectionnant la dernière portion. Affichage du nom des séries dans un graphique sectoriel Dans le cas des graphiques sectoriels, vous pouvez afficher le nom des séries. Pour afficher le nom des séries dans un graphique sectoriel : 1 Sélectionnez le graphique ou les portions individuelles. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries. 3 Choisissez « Afficher le nom des séries » dans le menu local « Étiquette de point de données ». 4 Choisissez À l’intérieur ou À l’extérieur dans le menu local Étiquette de point-image.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 127 Éloignement de portions individuelles du graphique Pour augmenter l’impact visuel des portions, vous pouvez les séparer du graphique. Vous pouvez ajouter un nom de série aux portions éloignées pour les faire ressortir davantage, tel que décrit dans la rubrique « Affichage des étiquettes de point de données » à la page 121. Voici différentes manières d’éloigner des portions de graphique individuelles : m Pour éloigner une portion du centre d’un graphique sectoriel 2D ou 3D, sélectionnez-la et faites-la glisser ou utilisez le réglage Éloigner dans la sous-fenêtre Séries de l’Inspecteur des graphiques. m Pour éloigner toutes les portions en partant du centre d’un graphique sectoriel 3D, sélectionnez le graphique avant d’utiliser le réglage Éloigner. Ajout d’ombres aux graphiques sectoriels et aux portions Vous pouvez placer des ombres sur des portions individuelles ou sur le graphique entier. L’application d’ombres aux portions individuelles donne l’impression que les portions se trouvent sur différentes couches. Lorsque vous ajoutez une ombre à la portion d’un graphique, il est judicieux de la séparer tout d’abord. Reportez-vous à la rubrique « Éloignement de portions individuelles du graphique, » ci-dessus, pour obtenir des instructions. Pour ajouter des ombres : 1 Sélectionnez le graphique ou les portions individuelles. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries. 3 Pour ajouter des ombres aux portions, choisissez Individuelle dans le menu local Ombre. Pour ajouter des ombres à l’ensemble du graphique, choisissez Groupée dans le menu local Ombre. 4 Pour définir des attributs d’ombre, utilisez l’Inspecteur des graphismes. Reportez-vous à la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 174 pour en connaître les instructions. Réglage de l’opacité des graphiques sectoriels Vous pouvez modifier l’opacité du graphique et d’éléments de graphique individuels, comme la légende. Reportez-vous à la rubrique « Ajustement de l’opacité » à la page 176 pour plus d’informations. Éloignez une portion en utilisant le curseur Éloigner et en lui attribuant un nom de série.128 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Rotation de graphiques sectoriels 2D Vous pouvez utiliser plusieurs techniques pour faire pivoter un graphique sectoriel 2D. Voici différentes manières de faire pivoter un graphique sectoriel : m Sélectionnez le graphique, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries, et enfin utilisez la molette Angle de rotation ou le champ correspondant. m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures puis faites glisser la molette de rotation ou utilisez les commandes d’angle pour définir l’angle du graphique. m Sélectionnez le graphique, maintenez enfoncée la touche Commande et déplacez le pointeur vers une poignée de sélection jusqu’à ce qu’elle se transforme en flèche double courbe, puis faites glisser la poignée. m Pour faire pivoter le graphique par incréments de 45 degrés, appuyez sur les touches Maj et Commande tout en faisant glisser une poignée de sélection ou la molette de rotation. Graphiques à barres et à colonnes Il est possible d’appliquer des ombres à une série de données spécifique ou à l’ensemble du graphique. Vous pouvez ajuster l’opacité du graphique dans son ensemble ou pour des séries individuelles (mais pas des barres individuelles). Vous pouvez également ajuster l’espacement entre les jeux de données ou entre des barres individuelles. Réglage de l’espacement des graphiques à barres et à colonnes Vous pouvez ajuster l’espace entre les différentes barres ou les jeux de données. Pour régler l’espacement : 1 Sélectionnez le graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries. Séparez les barres individuelles du graphique. Séparez les jeux de données du graphique. Ajoutez des ombres aux barres ou aux jeux de données.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 129 3 Pour changer l’espacement entre les barres, tapez une valeur (ou cliquez sur les flèches) dans le champ Espace entre les barres. Pour changer l’espace entre les jeux de données, spécifiez une valeur dans le champ « Espace entre les séries ». La valeur est le pourcentage de l’épaisseur des barres. Le fait de réduire l’espace entre les barres les rend plus épaisses. Vous pouvez également déplacer le pointeur près du bord d’une barre jusqu’à ce qu’il devienne une double flèche, puis le faire glisser afin de rendre les barres plus épaisses ou plus fines. Ajout d’ombres aux graphiques à barres et à colonnes Vous pouvez ajouter des ombres à chacune des barres du graphique ou à chaque groupe de barres. Si vous souhaitez ajouter des ombres à des barres individuelles, il est judicieux de les séparer auparavant. Reportez-vous à la rubrique « Réglage de l’espacement des graphiques à barres et à colonnes » à la page 128 pour en connaître les instructions. Pour ajouter des ombres : 1 Sélectionnez le graphique. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur des graphiques, puis sur Séries. 3 Pour ajouter des ombres aux barres individuelles, choisissez Individuelle dans le menu local Ombre. Pour ajouter des ombres à chaque groupe de barres, choisissez Groupée dans le menu local Ombre. 4 Pour définir des attributs d’ombre, utilisez l’Inspecteur des graphismes. Reportez-vous à la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 174 pour en connaître les instructions. Réglage de l’opacité des graphiques à barres et à colonnes Vous pouvez modifier l’opacité du graphique et d’éléments de graphique individuels, comme la légende. Reportez-vous à la rubrique « Ajustement de l’opacité » à la page 176 pour plus d’informations.130 Chapitre 6 Utilisation des graphiques Graphiques à couches et linéaires Dans le cas des graphiques à couches et des graphiques linéaires, vous pouvez repré- senter des points de données par des symboles (cercles, triangles, carrés et losanges). Voici différentes manières de mettre en forme des graphiques à couches et des graphiques linéaires : m Pour mettre en forme des symboles, sélectionnez une série de données (forme ou ligne de couche), cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques, puis sur Séries. Choisissez un symbole dans le menu local Symbole de point de données. Utilisez les options du menu local Remplissage du symbole pour appliquer de la couleur ou des images aux symboles. Pour obtenir des instructions, reportez-vous aux rubriques « Remplissage d’un objet avec une image » à la page 180 et « Remplissage d’un objet en couleur » à la page 178. m Pour définir la couleur de ligne sur les graphiques linéaires, sélectionnez une ligne, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes, puis utilisez les réglages de trait. Reportez-vous à la rubrique « Modification du style des bordures » à la page 172 pour obtenir des instructions. m Pour ajouter des ombres sur des graphiques à couches ou linéaires, sélectionnez une série de données (forme ou ligne de couche), cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes, puis utilisez les réglages d’ombre. Reportez-vous à la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 174 pour obtenir des instructions. Les points de données de cette série sont représentés par des triangles. Les points de données de cette série sont représentés par des cercles. Choisissez un symbole à utiliser pour les points de données. Remplissez les symboles des points de données avec de la couleur ou des images.Chapitre 6 Utilisation des graphiques 131 Graphiques en nuage de points Sur les graphiques en nuage de points, les données s’affichent différemment des autres types de graphiques. Ils nécessitent au moins deux colonnes ou rangs de données pour tracer les points représentant les valeurs d’une série de données individuelle. Pour pouvoir afficher plusieurs séries de données, vous devez utiliser dans ce cas des paires de colonnes ou de rangs supplémentaires. Chaque paire de valeurs détermine ainsi la position de chaque point de données. La première valeur rencontrée dans la paire équivaut à l’axe des X du point. La seconde valeur rencontrée équivaut à l’axe des Y du point. Voici différentes manières d’utiliser un graphique en nuage de points : m Pour ajouter le graphique en nuage de points par défaut et un tableau associé contenant des données de paramètre fictif, vérifiez que rien n’est sélectionné, cliquez sur Graphiques dans la barre d’outils et sélectionnez le graphique en nuage de points. m Pour définir un tableau dont les données sont destinées à un graphique en nuage de points, utilisez deux colonnes ou deux rangs de données pour chaque série de données. Si les cellules sélectionnées lorsque vous ajoutez le graphique représentent un nombre impair de rangs ou de colonnes, la dernière colonne ou le dernier rang n’est pas tracée. m Pour mettre en forme un symbole pour une série de données, reportez-vous à la rubrique « Mise en forme des éléments d’une série de données » à la page 124. m Pour préciser les réglages s’appliquant aux axes, utilisez la sous-fenêtre Axes de l’Inspecteur des graphiques. Puisque les deux axes de graphiques en nuage de points possèdent des valeurs, les réglages de mise en forme des axes de valeurs s’appliquent aussi bien à l’axe des X qu’à celui des Y. Chaque axe peut néanmoins posséder son propre format de nombres. Reportez-vous à la rubrique « Mise en forme de l’axe des valeurs » à la page 122 pour obtenir des instructions.132 Chapitre 6 Utilisation des graphiques graphiques 3D Tous les types de graphiques, à l’exception des graphiques en nuage de points, peuvent être convertis en graphiques 3D. Voici les versions en 2D et 3D d’un graphique sectoriel. Et voici les versions en 2D et 3D d’un graphique linéaire. Pour définir les réglages de la scène 3D : 1 Sélectionnez un graphique 3D. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur l’Inspecteur des graphiques, puis sur Scène 3D. 3 Modifiez l’angle d’affichage du graphique, son style d’éclairage et sa profondeur à votre guise, à l’aide des commandes de Scène 3D. Flèches d’angle d’affichage : faites glisser une des flèches pour affiner l’angle. Cliquez sur la flèche verticale et faites-la glisser vers le haut ou vers le bas pour déplacer le graphique en conséquence. Cliquez sur la flèche horizontale et faites-la glisser vers la gauche ou vers la droite pour déplacer le graphique en conséquence. Pour déplacer le graphique dans les deux sens, cliquez à l’intersection des flèches et faites glisser. Style d’éclairage : sélectionnez un élément dans ce menu local afin d’ajuster l’effet d’éclairage. Profondeur de graphique : faites glisser ce réglage pour augmenter ou réduire la profondeur des éléments 3D.7 133 7 Utilisation de texte Ce chapitre vous permettra d’en savoir plus sur la définition et la modification de l’apparence du texte, y compris des listes. Dans les feuilles de calcul Numbers, vous pouvez placer du texte dans des zones de texte, des cellules et des figures. Ajout de texte Pour ajouter du texte, tapez-le dans une zone de texte, une figure ou une cellule d’un tableau.  À propos de l’ajout de texte dans une zone de texte ou une figure, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de zones de texte et de figures pour faire ressortir le texte » à la page 157.  Pour savoir comment ajouter du texte à des cellules de tableau, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de texte dans les cellules » à la page 59.  Pour ajouter du texte sous forme de liste, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées (Structures) » à la page 153. Supprimer, copier et coller du texte Le menu Édition contient des commandes qui vous aident à effectuer des opérations d’édition de texte. Voici différentes manières de modifier du texte : m Pour copier (ou couper) et coller du texte, sélectionnez le texte et choisissez Édition > Copier ou Édition > Couper. Cliquez à l’endroit où vous souhaitez coller le texte. Pour que le texte copié conserve la mise en forme du style, choisissez Édition > Coller. Cliquez sur Édition > Coller le style et l’appliquer afin de modifier la mise en forme du texte collé afin qu’elle corresponde à la mise en forme du texte situé autour. m Pour supprimer du texte, sélectionnez le texte et choisissez Édition > Supprimer ou appuyez sur la touche Suppr.134 Chapitre 7 Utilisation de texte Si vous supprimez du texte par accident, choisissez Édition > Annuler pour le restaurer. Lorsque vous utilisez la commande Copier ou Couper, le texte sélectionné est placé dans une zone d’attente nommée Presse-papiers, dans laquelle il reste jusqu’à ce que vous sélectionniez à nouveau la commande Copier ou Couper ou que vous éteigniez votre ordinateur. Le Presse-papiers ne conserve qu’une seule opération de copie ou de coupe à la fois. Sélection de texte Avant de mettre en forme ou d’effectuer toute autre opération sur du texte, vous devez sélectionner le texte que vous souhaitez utiliser. Il est possible de sélectionner du texte de différentes manières : m Pour sélectionner un ou plusieurs caractères, cliquez devant le premier caractère, et faites glisser le curseur sur les caractères que vous souhaitez sélectionner. m Pour sélectionner un mot, double-cliquez dessus. m Pour sélectionner un paragraphe, cliquez rapidement trois fois dessus. m Pour sélectionner des blocs de texte, cliquez au début du bloc de texte, puis cliquez à la fin d’un autre bloc de texte, tout en maintenant la touche Maj enfoncée. m Pour effectuer une sélection depuis le point d’insertion jusqu’au début du paragraphe, appuyez sur la touche Flèche vers le haut tout en maintenant les touches Maj et Option enfoncées. m Pour effectuer une sélection depuis le point d’insertion jusqu’à la fin du paragraphe, appuyez sur la touche Flèche vers le bas tout en maintenant les touches Maj et Option enfoncées. m Pour étendre la sélection d’un caractère à la fois, appuyez sur la touche Flèche gauche ou Flèche droite tout en maintenant la touche Maj enfoncée. m Pour étendre la sélection d’une ligne à la fois, appuyez sur la touche Flèche vers le haut ou Flèche vers le bas tout en maintenant la touche Maj enfoncée. m Pour sélectionner plusieurs mots ou blocs de texte qui ne sont pas adjacents, sélectionnez la première portion de texte souhaitée, puis sélectionnez d’autres portions de texte tout en maintenant la touche Commande enfoncée. Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte Vous pouvez notamment modifier la police, la couleur et le style du texte grâce au menu Format, le panneau Police et la barre des formats. Le menu Format et le panneau Police sont les premiers outils de mise en forme du texte des cellules. La barre des formats est pratique pour mettre en forme le texte contenu dans des zones de texte et des figures. Chapitre 7 Utilisation de texte 135 Utilisation de la barre des formats pour mettre en forme le texte Avec la barre des formats, vous pouvez modifier rapidement et facilement la taille et l’aspect du texte d’une zone de texte, d’une figure ou d’un commentaire. Lorsque vous avez sélectionné une zone de texte, une figure ou un commentaire, vous pouvez modifier le style et la taille de la police, la couleur du texte ou afficher le texte en caractères gras, italiques ou soulignés, aligner le texte, définir l’interligne et disposer le texte en colonnes. Utilisation du menu Format pour mettre en forme le texte Les options du sous-menu Police du menu Format vous offrent un contrôle de base de la taille et de l’apparence du texte. Application de l’attribut Gras ou Italique au texte à l’aide des menus Vous pouvez mettre les caractères en gras ou en italique. Pour mettre un texte en gras ou en italique : 1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez mettre en gras ou en italique, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte. 2 Choisissez Format > Police > Gras. Ou choisissez Format > Police > Italique. Certaines polices comportent plusieurs styles gras et italique. Pour choisir parmi plusieurs styles gras et italique, utilisez le panneau Police. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte » à la page 137. Encadrement de texte à l’aide des menus Vous pouvez modifier le texte afin qu’il apparaisse avec un contour bien défini. Pour créer du texte encadré : 1 Sélectionnez le texte auquel vous souhaitez appliquer un contour, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte. 2 Choisissez Format > Police > Structure. Il se peut que le texte présentant un contour dans Numbers n’ait pas le même aspect si vous ouvrez la feuille de calcul dans une autre application. Si vous envisagez de partager une feuille de calcul contenant du texte avec un contour avec des personnes qui ne disposent pas de Numbers, exportez la feuille de calcul au format PDF puis partagez le fichier obtenu. Changer de type de caractère, de style et de taille Définir la couleur du texte. Afficher le texte en caractères gras, italiques ou soulignés Aligner le texte Définir l’interligne Diviser le texte en colonnes.136 Chapitre 7 Utilisation de texte Soulignement du texte à l’aide des menus Vous pouvez souligner du texte, puis mettre en forme le soulignement afin d’en modifier le style ou la couleur. Pour souligner du texte : 1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez souligner, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte. 2 Choisissez Format > Police > Souligner. Pour modifier le style ou la couleur du soulignement, cliquez sur Polices dans la barre d’outils et utilisez le bouton Texte souligné dans le panneau Police. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte » à la page 137. Modification de la taille du texte à l’aide des menus Vous pouvez changer la taille du texte (en points) pour le rendre plus grand ou plus petit. Pour changer la taille du texte : 1 Sélectionnez le texte à redimensionner. 2 Pour changer la taille du texte par incréments de 1 point, choisissez Format > Police > Plus grand. Ou choisissez Format > Police > Plus petit. Vous pouvez également ajouter les icônes Plus grand et Plus petit à la barre d’outils. Pour ce faire, choisissez Présentation > Personnaliser la barre d’outils et faites glisser les icônes sur la barre d’outils, puis cliquez sur Fin. Pour spécifier une taille précise pour le texte sélectionné, cliquez sur Polices dans la barre d’outils et utilisez les contrôles Taille du panneau Police. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte » à la page 137. Mise en indice ou en exposant du texte à l’aide des menus Vous pouvez lever ou abaisser le texte par rapport à sa ligne de base. Pour mettre le texte en indice ou en exposant : 1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez lever ou abaisser, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte. 2 Pour créer un indice ou un exposant dont la taille de police est inférieure à celle du texte qu’il accompagne, choisissez Format > Police > Ligne de base > Indice. Ou choisissez Format > Police > Ligne de base > Exposant. 3 Pour élever ou abaisser le texte sans réduire la taille de la police, choisissez Élever ou Abaisser dans le sous-menu Ligne de base. 4 Pour restaurer le texte à la même ligne de base que celle du corps de texte, choisissez Valeur par défaut dans le sous-menu Ligne de base.Chapitre 7 Utilisation de texte 137 Vous pouvez également ajouter les icônes Indice et Exposant à la barre d’outils. Pour ce faire, choisissez Présentation > Personnaliser la barre d’outils et faites glisser les icônes sur la barre d’outils, puis cliquez sur Terminé. Modification de la casse d’un texte à l’aide des menus Vous pouvez rapidement faire passer des blocs de texte en majuscules ou en minuscules, ou transformer un texte en titre. Pour changer la casse d’un texte : 1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez modifier, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte. 2 Choisissez Format > Police > Majuscules puis sélectionnez une option dans le sous-menu. Choisissez Tout en majuscule pour que le texte passe en majuscules. Choisissez Petites majuscules pour que le texte passe en petites majuscules avec des lettres plus grandes pour les capitales. Choisissez Titre pour transformer un texte en titre, ce qui met la première lettre de chaque mot en majuscule. Choisissez Aucun pour revenir à la capitalisation d’origine. Les caractères en majuscules comme le premier mot de chaque phrase restent en majuscules mais toutes les autres lettres passent en minuscules. Utilisation du panneau Police pour mettre en forme le texte Le panneau Police de Mac OS X vous permet d’accéder à toutes les polices installées sur votre ordinateur. Il offre un aperçu des caractéristiques disponibles (telles que gras et italique) ainsi que de la taille de chaque police. Les boutons du panneau Police permettent de souligner ou de barrer le texte, d’ajouter de la couleur et des ombres au texte. Vous pouvez même modifier la couleur de la page d’arrière-plan dans le panneau Police. Pour en savoir plus sur l’installation des polices, la création et la gestion de collections de polices, ou la résolution de problèmes liés aux polices, consultez l’Aide Mac.138 Chapitre 7 Utilisation de texte Pour ouvrir le panneau Police : m Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. Vous pouvez modifier l’apparence de n’importe quel texte d’une feuille de calcul en le sélectionnant, puis en activant des options dans le panneau Police. Lorsque vous appliquez des changements de mise en forme dans le panneau Police, le texte sélectionné change immédiatement, ce qui vous permet de tester différentes options de mise en forme et de voir rapidement celui qui convient le mieux. Voici un récapitulatif des effets des menus locaux sur le texte, de gauche à droite :  Le menu local Texte souligné vous permet de choisir un style de soulignement (trait simple ou double, par exemple).  Le menu local Texte barré vous permet de sélectionner un style de barrage du texte (trait simple ou double, par exemple).  Le menu local Couleur du texte permet d’appliquer une couleur au texte.  Le menu local Couleur du document permet d’appliquer une couleur au fond d’un paragraphe.  Le bouton Ombre du texte applique une ombre au texte sélectionné.  Les commandes « Opacité de l’ombre », « Flou de l’ombre », « Décalage de l’ombre » et « Angle de l’ombre » contrôlent l’apparence de l’ombre. Si les boutons d’effets de texte n’apparaissent pas, choisissez Afficher les effets dans le menu local Action situé dans l’angle inférieur gauche du panneau Police. Prévisualiser le type de caractère sélectionné (pour cela, il peut être nécessaire de cliquer sur Afficher un aperçu dans le menu Action). Sélectionner un type de caractère à appliquer au texte sélectionné dans votre document. Sélectionner une taille de police à appliquer au texte sélectionné dans votre document. Menu Action Créer des effets intéressants à l’aide de ces menus locaux Rechercher une police en tapant un nom dans le champ de recherche. Appliquer une ombre au texte sélectionné Modifier l’ombre à l’aide des contrôles Opacité, Flou, Décalage et AngleChapitre 7 Utilisation de texte 139 Simplification de l’utilisation du panneau Police Si vous utilisez fréquemment le panneau Police, différentes techniques vous permettent de gagner du temps. Voici quelques conseils d’utilisation du panneau Police : m Pour localiser rapidement les polices que vous utilisez le plus souvent, placez-les dans des collections de polices. Cliquez sur le bouton Ajout (+) pour créer une collection de polices, puis faites glisser un type de caractère vers la nouvelle collection. m Pour faciliter le changement fréquent de police, il suffit de laisser le panneau Police ouvert. S’il occupe trop d’espace à l’écran, vous pouvez le réduire en faisant glisser le contrôle de redimensionnement (dans l’angle inférieur droit du panneau), de sorte que seuls les familles et styles de police de la collection sélectionnée soient visibles. Pour fermer le panneau, cliquez à nouveau sur le bouton Polices ou sur le bouton de fermeture situé dans l’angle supérieur gauche du panneau Police. Changement de polices à l’aide du panneau Police Le panneau Police vous permet de contrôler complètement les polices. Utilisez les contrô- les de taille et les réglages typographiques pour personnaliser l’apparence de votre texte. Pour modifier la police du texte sélectionné : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Dans le panneau Police, sélectionnez un style de police dans la colonne Famille, puis sélectionnez le style dans la colonne Style. Si vous ne voyez pas toutes les familles de police installées sur l’ordinateur, sélectionnez Toutes les polices dans la colonne Collections ou tapez le nom de la police recherchée dans le champ de recherche en bas du panneau Police. Un aperçu de la police sélectionnée apparaît dans la sous-fenêtre d’aperçu en haut du panneau Police. Si la sous-fenêtre d’aperçu ne s’affiche pas, choisissez Afficher l’aperçu dans le menu local Action dans le coin inférieur gauche du panneau Police. 3 Réglez la taille de la police à l’aide du curseur ou d’autres commandes contrôlant la taille. 4 Ajustez les réglages de typographie de la police sélectionnée en choisissant Typographie dans le menu local Action. Dans la fenêtre Typographie, cliquez sur les triangles d’affichage afin de visualiser et de sélectionner les différents effets typographiques disponibles pour la police sélectionnée. Les effets typographiques disponibles dépendent de la police. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des fonctionnalités typographiques avancées » à la page 144 pour obtenir plus d’informations.140 Chapitre 7 Utilisation de texte Modification du soulignement à l’aide du panneau Police Vous pouvez utiliser le panneau Police pour changer l’apparence des soulignements. Pour modifier le soulignement du texte sélectionné : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Cliquez sur le bouton Soulignement de texte dans le panneau Police (premier bouton à gauche) et choisissez Simple ou Double dans le menu local. 3 Pour changer la couleur de soulignement, choisissez Couleur dans le menu local Soulignement de texte, puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. Ajout d’un attribut barré au texte à l’aide du panneau Police Vous pouvez ajouter l’attribut barré au texte et utiliser une couleur de ligne différente de celle du texte. Pour ajouter un attribut barré au texte sélectionné : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Cliquez sur le bouton Texte barré dans le panneau Police (deuxième bouton à partir de la gauche), puis choisissez Aucun, Simple ou Double dans le menu local. Une ligne simple ou double barre le texte sélectionné de la même couleur que celui-ci. 3 Pour changer la couleur des lignes barrées, choisissez Couleur dans le menu local Texte barré, puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. La ligne barrée prend la couleur sélectionnée dans la fenêtre Couleurs, mais le texte conserve sa couleur d’origine. Modification de la couleur du texte à l’aide du panneau Police Les modifications apportées à la couleur du texte dans le panneau Police remplacent celles apportées dans l’Inspecteur du texte, et inversement. (Pour en savoir plus sur la modification de la couleur du texte à l’aide de l’Inspecteur du texte, reportez-vous à la rubrique « Modification de la couleur du texte » à la page 149.) Pour modifier la couleur du texte sélectionné : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Cliquez sur le bouton Couleur du texte dans le panneau Police (troisième bouton à partir de la gauche), puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 179 pour en connaître les instructions.Chapitre 7 Utilisation de texte 141 Modification de la couleur d’arrière-plan d’un paragraphe à l’aide du panneau Police Le panneau Police vous permet d’ajouter une couleur derrière un paragraphe. Pour modifier la couleur d’arrière-plan d’un paragraphe sélectionné : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Cliquez sur le bouton Couleur du document dans le panneau Police (quatrième bouton à partir de la gauche), puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 179 pour en connaître les instructions. Création d’ombres sur le texte à l’aide du panneau Police Le panneau Police vous permet de créer et de mettre en forme des ombres sur le texte. Pour ajouter des ombres au texte sélectionné : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Cliquez sur le bouton Ombre du texte dans le panneau Police (cinquième bouton à partir de la gauche). 3 Faites glisser le curseur Opacité de l’ombre (premier curseur à gauche) vers la droite afin de rendre l’ombre plus foncée. 4 Faites glisser le curseur Flou de l’ombre (curseur du milieu) vers la droite afin de rendre l’ombre plus floue. 5 Faites glisser le curseur Décalage de l’ombre (troisième curseur) vers la droite afin de séparer l’ombre du texte. 6 Faites tourner la molette Angle de l’ombre afin de définir la direction de l’ombre. Vous pouvez également définir les ombres du texte dans l’Inspecteur des graphismes, comme décrit dans la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 174. Ajout d’accents et de caractères spéciaux Si vous devez taper des caractères avec des accents, des symboles mathématiques, des flèches ou d’autres caractères spéciaux, vous pouvez utiliser la sous-fenêtre des préférences internationales ou la palette de caractères. Vous pouvez également voir où se trouvent les caractères sur les claviers utilisés dans d’autres langues en utilisant le Visualiseur de clavier (vous pouvez par exemple voir la disposition des touches d’un clavier italien). Tous ces outils sont intégrés à Mac OS X. Ajout d’accents Vous pouvez utiliser le Visualiseur de clavier des Préférences Système pour ajouter des accents aux caractères.142 Chapitre 7 Utilisation de texte Pour ajouter des accents : 1 Choisissez Pomme > Préférences Système et cliquez sur International. 2 Cliquez sur Menu Saisie, puis sélectionnez la case en regard de Visualiseur de clavier. 3 Choisissez Afficher le Visualiseur de clavier dans le menu Saisie à droite de la barre de menus (celle qui ressemble à un drapeau ou à un symbole alphabétique). Le Visualiseur de clavier affiche les caractères du clavier. (Si vous avez sélectionné une disposition du clavier différente ou une méthode de saisie différente pour le clavier dans le menu Saisie, les caractères de la disposition du clavier sélectionnée s’affichent.) Par exemple, si vous choisissez Américain dans le menu Saisie, vous voyez dans le Visualiseur de clavier les caractères qui s’affichent sur un clavier américain. 4 Pour mettre en surbrillance dans le Visualiseur de clavier les différents accents que vous pouvez taper, appuyez sur Option, ou sur les touches Option + Maj. Les touches accentuées sont entourées en blanc. En fonction du clavier, vous pouvez ne pas avoir à appuyer sur les touches de modification pour afficher les caractères accentués. 5 Placez le point d’insertion dans la feuille de calcul à l’endroit où vous souhaitez taper du texte. 6 Appuyez sur la touche de modification sur laquelle vous avez appuyé à l’étape 4 (Maj, Option, Option + Maj ou aucune) et appuyez sur la touche qui se trouve à la même position que l’accent affiché dans le Visualiseur de clavier. Relâchez ensuite la touche de modification et appuyez sur la touche correspondant au caractère que vous souhaitez accentuer. La touche accentuée modifie la touche que vous tapez ensuite. Par exemple, sur un clavier américain, pour afficher le caractère é, appuyez sur Option et sur E (la touche accentuée), puis appuyez sur E (la touche sur laquelle vous souhaitez que l’accent apparaisse). Affichage des dispositions de clavier dans d’autres langues Vous pouvez utiliser le Visualiseur de clavier des Préférences Système pour afficher l’emplacement des caractères sur des claviers utilisés pour d’autres langues. Des polices doivent être installées pour la langue que vous souhaitez voir dans le Visualiseur de clavier. Pour afficher les dispositions de clavier pour différentes langues : 1 Choisissez Pomme > Préférences Système et cliquez sur International. 2 Cliquez sur Menu Saisie, puis sélectionnez la case en regard de Visualiseur de clavier. 3 Pour afficher la disposition des caractères sur les claviers utilisés dans différents pays, sélectionnez la case Sur en regard de la disposition du clavier du pays ou de la méthode de saisieChapitre 7 Utilisation de texte 143 4 Choisissez Afficher le Visualiseur de clavier dans le menu Saisie à droite de la barre de menus (celle qui ressemble à un drapeau ou à un caractère alphabétique). Le Visualiseur de clavier affiche les caractères de la disposition du clavier ou de la méthode de saisie sélectionnée dans le menu Saisie. Par exemple, si vous choisissez Américain dans le menu Saisie, vous voyez dans le Visualiseur de clavier les caractères qui s’affichent sur un clavier américain. 5 Pour afficher la disposition du clavier d’un autre pays, choisissez-la dans le menu Saisie. Saisie des caractères spéciaux et des symboles À l’aide de la palette de caractères Mac OS X, vous pouvez insérer des caractères spé- ciaux, comme des symboles mathématiques, des lettres accentuées, des flèches et autres “dingbats,” et bien plus encore. Cette palette vous permet également de saisir des caractères japonais, de chinois traditionnel, de chinois simplifié, de coréen ainsi que d’autres langues. Pour insérer des caractères spéciaux ou des symboles : 1 Placez le point d’insertion à l’endroit où le caractère ou symbole spécial doit apparaître. 2 Choisissez Édition > Caractères spéciaux afin d’ouvrir la palette de caractères (ou choisissez Caractères dans le menu local Action dans le coin inférieur gauche du panneau Police). 3 Choisissez le type de caractère que vous souhaitez afficher dans le menu local Afficher, en haut de la palette de caractères. Si le menu local ne s’affiche pas, cliquez sur le bouton dans le coin supérieur droit de la fenêtre afin d’afficher la partie supérieure de la fenêtre. Cliquez de nouveau sur ce bouton afin de masquer la partie supérieure de la fenêtre. 4 Cliquez sur un élément de la liste de gauche afin de voir les caractères disponibles dans chaque catégorie. 5 Double-cliquez sur le caractère ou le symbole de droite que vous souhaitez insérer dans votre feuille de calcul, ou sélectionnez le caractère et cliquez sur Insérer. Si le caractère ou le symbole présente des variantes, celles-ci s’affichent en bas de la fenêtre lorsque vous cliquez sur le triangle Infos du caractère ou le triangle Variante de police en bas de la palette. Double-cliquez sur une variante pour l’insérer dans votre feuille de calcul. Si le caractère ne s’insère pas dans votre feuille de calcul, il se peut alors que Numbers ne le prenne pas en charge.144 Chapitre 7 Utilisation de texte Utilisation de guillemets courbes Les guillemets courbes sont des guillemets ouvrant et fermant incurvés ; le guillemet ouvrant est donc différent du guillemet fermant. Lorsque vous n’utilisez pas de guillemets courbes, les guillemets sont droits et identiques. Pour utiliser des guillemets courbes : m Choisissez Numbers > Préférences, cliquez sur Correction automatique, puis sélectionnez « Utiliser les guillemets courbes ». Utilisation des fonctionnalités typographiques avancées Certaines polices, telles que Zapfino et Hœfler, présentent des fonctions typographiques avancées, qui vous permettent de créer différents effets. Si vous utilisez une telle police, vous pouvez modifier de nombreux effets dans le sous-menu Police du menu Format. Par exemple, vous pouvez ajuster les éléments suivants :  Crénage : ajuste l’espacement entre les caractères.  Ligature : utilise ou évite les styles élaborés entre les lettres, au début ou à la fin des lignes combinant plusieurs caractères en un seul symbole graphique Dans le sous-menu Ligature, choisissez Valeur par défaut pour utiliser les réglages de ligature spécifiés dans la fenêtre Typographie pour la police que vous utilisez, choisissez Aucune pour désactiver les ligatures pour le texte sélectionné, ou choisissez Toutes pour activer des ligatures supplémentaires pour le texte sélectionné.  Interligne : relève ou abaisse le texte par rapport au texte qui l’entoure.  Majuscules : convertit tous les caractères en majuscules, en petites majuscules ou en lettres capitales initiales (style de titre). Des fonctions typographiques avancées sont disponibles dans la fenêtre Typographie. Pour ouvrir la fenêtre Typographie : 1 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils. 2 Dans le panneau Police, choisissez Typographie dans le menu local Action (dans le coin inférieur gauche). Guillemets courbes Guillemets droits Ligature non utilisée Ligature utiliséeChapitre 7 Utilisation de texte 145 Réglage du lissage des polices Si les polices apparaissent floues ou irrégulières à l’écran, vous pouvez modifier le style de lissage des polices ou changer la taille du texte à partir de laquelle Mac OS X commence à lisser les polices. Pour lisser les polices à l’écran : 1 Ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Apparence. 2 Choisissez un style de lissage de police dans le menu local en bas de la fenêtre. En fonction du type de votre écran, les différences entre les styles de lissage peuvent vous paraître très légères. 3 Si vous envisagez d’utiliser des polices de petite taille dans votre feuille de calcul, choisissez une taille de point dans le menu local « Désactiver le lissage du texte pour les polices de taille ». Lorsque le lissage de texte (ou « anticrénelage ») est activé, les polices les plus petites deviennent difficilement lisibles. Définition de l’alignement, de l’espacement et de la couleur du texte Les principaux outils de réglage de l’alignement, l’espacement et de la couleur sont l’inspecteur du texte et la barre des formats. Vous pouvez aligner horizontalement le texte (le centrer ou l’aligner à gauche, par exemple) grâce au menu Format. Les commandes de couleur, d’espacement et d’alignement sont également disponibles dans la barre des formats lorsque vous sélectionnez du texte dans un tableau. Lorsque le texte d’une zone de texte, d’un commentaire ou d’une figure est sélectionné, vous pouvez en définir la couleur, l’aligner et définir l’interligne. Lorsque vous travaillez sur le texte d’une cellule, vous pouvez utiliser la barre des formats pour aligner le texte horizontalement et verticalement dans la cellule. Changer de type de caractère, de style et de taille Définir la couleur du texte. Afficher le texte en caractères gras, italiques ou soulignés Aligner le texte Définir l’interligne Diviser le texte en colonnes. Aligner le texte horizontalement Aligner le texte verticalement146 Chapitre 7 Utilisation de texte La sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur du texte permet d’accéder à d’autres réglages d’alignement et d’interligne. Pour ouvrir la sous-fenêtre Texte de l’inspecteur du texte : m Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Texte. Alignement horizontal du texte Vous pouvez modifier l’alignement du texte dans une colonne, une cellule, une zone de texte ou une figure pour aligner le texte sur la bordure gauche ou droite, le centrer ou l’aligner à gauche et à droite (justifié). Pour aligner le texte à gauche, au centre, à droite ou pour le justifier : 1 Sélectionnez le texte à modifier. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Texte. 3 Cliquez sur l’un des cinq boutons d’alignement horizontal situés à droite du cadre de couleurs. De gauche à droite, ces boutons entraînent les effets suivants. Le bouton Aligner à gauche place chaque ligne du texte le long de la marge gauche de l’objet. Le bouton Au centre fait coïncider le centre de chaque ligne du texte sur le centre de l’objet. Le bouton Aligner à droite place chaque ligne du texte le long de la marge droite de l’objet. Le bouton Justifier espace les caractères de chaque ligne afin que le texte se répartisse entre les marges gauche et droite de l’objet. Cliquez sur ce bouton pour modifier la couleur du texte sélectionné. Boutons d’alignement horizontal : cliquez sur ces boutons pour aligner le texte sélectionné à gauche, à droite, réparti à gauche et à droite ou placé au centre ou pour utiliser un alignement de cellule spécial. Boutons d’alignement vertical : cliquez sur ces boutons pour aligner le texte en haut, au centre ou en bas d’une zone de texte, d’une figure ou d’une cellule. Espacement des caractères et interligne : réglez l’espacement des caractères, des paragraphes et l’interligne du texte sélectionné. Faites glisser ce curseur pour régler l’espace entre le texte et les bordures intérieures des zones de texte, des cellules et des figures. Le bouton Inspecteur du texteChapitre 7 Utilisation de texte 147 Le bouton « Aligner automatiquement la cellule du tableau » place le texte à gauche et les nombres à droite dans une cellule. Les cinq boutons d’alignement horizontal sont également disponibles dans la barre des formats lorsqu’une cellule est sélectionnée. Les quatre premiers sont disponibles dans la barre des formats lorsque le texte d’une zone de texte, d’une figure ou d’un commentaire est sélectionné. Vous pouvez également aligner le texte horizontalement en sélectionnant Format > Texte > Aligner à gauche, Centré, Aligner à droite, Justifier, Aligner automatiquement la cellule du tableau. Si vous souhaitez appliquer un retrait à la première ligne de texte d’un paragraphe, ou pour savoir comment annuler un retrait, reportez-vous à la rubrique « Création de retraits » à la page 152. Alignement vertical du texte Vous pouvez modifier l’alignement des paragraphes dans une cellule de tableau, une zone de texte ou une figure afin que le texte soit aligné le long de la bordure du haut ou du bas ou centré entre les deux bords. Pour aligner du texte en haut, au centre ou en bas d’une zone de texte, d’une cellule de tableau ou d’une figure : 1 Sélectionnez la zone de texte, la cellule de tableau ou la figure dont vous souhaitez modifier l’alignement. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Texte. 3 Cliquez sur un des trois boutons d’alignement vertical sous Couleur et alignement pour aligner le texte en haut, au milieu ou en bas de la cellule, de la zone de texte ou de la figure. Les boutons d’alignement vertical sont également disponibles dans la barre des formats lorsque vous travaillez dans une cellule. Réglage de l’interligne Vous pouvez augmenter ou diminuer la distance entre les lignes du texte. Pour régler l’espacement : 1 Sélectionnez le texte à modifier. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Texte. 3 Déplacez le curseur Ligne vers la gauche pour diminuer l’interligne et vers la droite pour l’augmenter. Pour spécifier une valeur d’interligne précise, saisissez une valeur de point dans le champ Ligne ou cliquez sur la Flèche vers le haut ou vers le bas en regard du champ.148 Chapitre 7 Utilisation de texte 4 Choisissez une option d’interligne dans le menu local Espacement lignes qui apparaît lorsque vous cliquez sur le texte situé en dessous du champ Ligne. Interligne standard (Simple, Double, Multiple): l’interligne est proportionnel à la taille de la police. Utilisez cette option lorsque la distance relative entre les hampes montantes (parties des lettres situées au-dessus du haut de la ligne) et les hampes descendantes (parties situées sous le bas de la ligne) doivent rester fixe. L’interligne simple définit un interligne simple et l’espacement double définit un interligne double. L’option Multiple permet de définir des valeurs d’interligne inférieures à simple, comprises entre simple et double ou supérieures à double. Au moins : la distance d’une ligne à la suivante ne sera jamais inférieure à la valeur définie, mais elle peut être supérieure pour les polices plus grandes, afin d’empêcher les lignes qui se chevauchent. Utilisez cette option lorsque la distance entre les lignes doit rester fixe, mais le chevauchement n’est pas souhaitable si le texte s’agrandit. Exactement : la distance entre les lignes de base. Entre : la valeur définie accroît l’espace entre les lignes, et non leur hauteur. À l’inverse, l’interligne double augmente donc la hauteur de chaque ligne de deux fois. Il est également possible de régler l’interligne en utilisant le menu local Interligne de la barre des formats lorsque le texte est sélectionné dans une zone de texte, une figure ou un commentaire. Menu local Interligne : cliquez sur le texte sous le champ Ligne et choisissez un interligne. Champ Ligne : pour spécifier l’interligne du texte d’un paragraphe, tapez une valeur (ou cliquez sur les flèches). Cliquer pour modifier l’espace entre les lignes du texte.Chapitre 7 Utilisation de texte 149 Réglage de l’espacement avant et après un paragraphe Vous pouvez augmenter ou diminuer l’espacement avant et après les paragraphes. Pour ajuster la quantité d’espace avant ou après un paragraphe : 1 Sélectionnez les paragraphes à modifier. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Texte. 3 Faites glisser le curseur Avant le paragraphe ou Après le paragraphe. Vous pouvez également saisir une valeur spécifique (par exemple, 5 pt) dans les zones de texte. Si les valeurs des curseurs Avant le paragraphe et Après le paragraphe sont différentes pour des paragraphes adjacents, la valeur d’espacement la plus élevée est utilisée. Par exemple, si la valeur du curseur Avant le paragraphe du paragraphe actuel est de 12 points et que la valeur Après le paragraphe du paragraphe précédent est de 14 points, l’espace entre ces deux paragraphes sera de 14 points. L’espace avant un paragraphe ne s’applique pas au premier paragraphe d’une zone de texte, d’une figure ou d’une cellule d’un tableau. Pour définir l’espacement autour du texte dans des zones, des figures et des cellules de tableau, utilisez la commande Marge intérieure, décrite dans la rubrique « Modification de la marge intérieure du texte dans des objets » à la page 153. Réglage de l’espace entre les caractères Vous pouvez augmenter ou diminuer l’espace entre les caractères. Pour ajuster l’écart entre des caractères : 1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez modifier, ou cliquez à l’endroit où vous souhaitez saisir un nouveau texte. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Texte. 3 Faites glisser le curseur Caractère ou spécifiez un nouveau pourcentage dans le champ Caractère. Vous pouvez également régler l’espace entre des caractères sélectionnés en choisissant Format > Police > Crénage et en sélectionnant une option dans le sous-menu. Modification de la couleur du texte Vous pouvez changer la couleur du texte à l’aide de la barre des formats, de l’Inspecteur du texte et du panneau Police. Les modifications que vous effectuez avec un de ces outils écrasent les changements de couleur effectués avec d’autres outils. Avant de changer la couleur du texte, sélectionnez le texte dont vous souhaitez modifier la couleur ou cliquez dans le texte pour placer le point d’insertion.150 Chapitre 7 Utilisation de texte Voici différentes façons de changer la couleur du texte : m Cliquez sur l’encrier Couleur du texte ou Couleur d’arrière-plan dans la barre des formats. Dans le tableau des couleurs qui apparaît, cliquez sur une couleur pour la sélectionner ou cliquez sur Afficher les couleurs pour ouvrir la fenêtre Couleurs qui contient d’autres couleurs. m Cliquez sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur du texte, puis sur le cadre des couleurs Document. La fenêtre Couleurs s’ouvre. La rubrique « Utilisation de la fenêtre Couleurs » à la page 179 fournit des instructions sur l’utilisation de la fenêtre Couleurs. Définition de taquets de tabulation afin d’aligner le texte Vous pouvez aligner le texte à des points spécifiques en définissant des taquets de tabulation dans une zone de texte, une cellule de tableau ou une figure. Lorsque vous appuyez sur la touche de tabulation (ou simultanément sur les touches Option et Tab si vous travaillez dans une cellule de tableau), le point d’insertion (et tout texte à sa droite) se déplace vers le taquet de tabulation suivant ; le texte que vous saisissez commence alors à ce point. Vous pouvez définir rapidement des taquets de tabulation à l’aide des symboles de la règle horizontale. Vous voyez les symboles des taquets de tabulation existants sur la règle horizontale en cliquant sur Affichage dans la barre d’outils, en choisissant Afficher les règles, puis en sélectionnant du texte dans la page. Pour définir des taquets de tabulation dans des listes, consultez la rubrique « Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées (Structures) » à la page 153 pour plus d’informations sur la mise en retrait des éléments d’une liste. Des taquets tabulations bleus apparaissent sur la règle horizontale lorsque vous sélectionnez du texte avec des tabulations. Tabulation décimale Tabulation à droite Tabulation centrale Tabulation à gaucheChapitre 7 Utilisation de texte 151 Il existe différentes façons d’utiliser les règles : m Pour afficher ou masquer les règles, cliquez sur Affichage dans la barre d’outils, et choisissez Afficher les règles ou Masquer les règles. m Pour changer les unités de mesure des règles, choisissez Numbers > Préférences, cliquez sur Règles et choisissez un élément dans le menu local « Unités de la règle ». Définition d’un nouveau taquet de tabulation Vous pouvez utiliser la règle horizontale pour ajouter un taquet de tabulation. Pour créer un nouveau taquet : 1 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Afficher les règles. 2 Cliquez sur la règle horizontale pour placer le symbole de tabulation à l’endroit où vous souhaitez insérer un taquet. 3 Cliquez sur le symbole de tabulation en appuyant sur la touche Contrôle et choisissez une option dans le menu local. Tabulation gauche : aligne le bord gauche du texte avec le taquet. Tabulation centrée : place le centre du texte sur le taquet. Tabulation droite : aligne le bord droit du texte avec le taquet. Tabulation décimale : dans le cas des nombres, aligne le séparateur décimal (comme la virgule ou le point) sur le taquet de tabulation. Vous pouvez également double-cliquer plusieurs fois sur le symbole de tabulation dans la règle jusqu’à ce que le type de tabulation souhaité apparaisse. Modification d’un taquet de tabulation Vous pouvez modifier l’emplacement et le type de taquet de tabulation à l’aide de la règle horizontale. Pour modifier les taquets de tabulation : 1 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Afficher les règles. 2 Pour déplacer un taquet de tabulation, faites glisser son symbole bleu le long de la règle horizontale. 3 Pour changer le type de tabulation, cliquez tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée sur le symbole de tabulation et choisissez une option dans le menu local. Vous pouvez également double-cliquer plusieurs fois sur le symbole de tabulation dans la règle jusqu’à ce que le type de tabulation souhaité apparaisse. Choisissez parmi ces types de tabulation.152 Chapitre 7 Utilisation de texte Suppression d’un taquet de tabulation Vous pouvez supprimer rapidement un taquet de tabulation à l’aide de la règle horizontale. Pour supprimer un taquet de tabulation : 1 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et choisissez Afficher les règles. 2 Faites glisser le symbole de tabulation en dehors de la règle horizontale. Création de retraits Vous pouvez modifier la quantité d’espace entre le texte et la bordure intérieure d’une zone de texte, d’une figure ou du commentaire d’une cellule. Définition de retraits pour les paragraphes Vous pouvez modifier le retrait d’un paragraphe en faisant glisser les contrôles de retrait sur la règle du texte. Pour définir des retraits à l’aide des règles : 1 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et sélectionnez Afficher les règles. 2 Pour changer le retrait de droite, faites glisser le symbole de retrait de droite (triangle bleu pointant vers le bas du côté droit de la règle horizontale) jusqu’à la position où vous souhaitez que le bord droit du paragraphe se termine. 3 Pour changer le retrait de gauche, faites glisser son symbole (triangle bleu pointant vers le bas du côté gauche de la règle) vers l’emplacement où le bord gauche du paragraphe doit commencer. Pour changer la marge gauche indépendamment du retrait gauche, maintenez enfoncée la touche Option lorsque vous faites glisser la souris. 4 Pour changer le retrait de la première ligne, faites glisser le retrait de première ligne (rectangle bleu) jusqu’à l’emplacement où la première ligne doit commencer. Si vous souhaitez que la première ligne reste alignée sur la marge de gauche, vérifiez que le rectangle est aligné avec le symbole de retrait de gauche. Si vous souhaitez créer un retrait suspendu, faites glisser le rectangle vers la gauche du symbole de retrait à gauche. Pour utiliser les réglages applicables aux règles à un autre endroit de votre feuille de calcul, sélectionnez Format > Texte > Copier la règle, puis Format > Texte > Coller la règle. Retrait de première ligne Retrait de droite Retrait de gaucheChapitre 7 Utilisation de texte 153 Modification de la marge intérieure du texte dans des objets Vous pouvez modifier l’espace entre le texte et la bordure intérieure d’une zone de texte, d’une figure ou d’une cellule de tableau. Cette mesure est appelée la marge intérieure. La quantité d’espace que vous indiquez est appliquée de manière uniforme autour du texte de chaque côté. Pour régler l’espacement entre le texte et la bordure intérieure de son objet : 1 Sélectionnez l’objet si celui-ci ne contient aucun point d’insertion. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Texte. 3 Faites glisser le curseur Marge intérieure vers la droite afin d’augmenter l’espace entre le texte et la bordure intérieure de l’objet, ou tapez un nombre dans la zone Marge intérieure et appuyez sur Retour. Vous pouvez aussi cliquer sur les flèches pour augmenter ou réduire l’espace. Définition de retraits pour les listes Utilisez l’inspecteur du texte pour définir le retrait des puces, des nombres et du texte qui les accompagne dans les listes à puce, les listes numérotées et les listes ordonnées. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées (Structures) » pour en savoir plus. Utilisation des listes à puces, numérotées et ordonnées (Structures) Numbers fournit des styles de puces et de numérotation prédéfinis permettant de créer des listes simples ou ordonnées). Les listes à puces et numérotées sont de simples listes sans imbrication hiérarchique d’informations comme on le voit dans des structures. Génération automatique de listes Lorsque vous utilisez la fonction de génération automatique de liste, Numbers met automatiquement en forme une liste en fonction de ce que vous tapez. Pour utiliser cette fonction, choisissez d’abord Numbers > Préférences, cliquez sur Correction automatique, et assurezvous que l’option « Détection automatique de listes » est activée. Spécifiez la quantité d’espace souhaitée autour du texte dans une zone de texte, une figure ou une cellule de tableau.154 Chapitre 7 Utilisation de texte Voici différentes façons de générer des listes automatiquement : m Pour créer une liste à puces, appuyez sur Option-8 pour taper tapez une puce (•), un espace, du texte, puis appuyez sur Retour. m Pour créer des listes dont les symboles sont des astérisques (*) ou des tirets (-), tapez le symbole, un espace, du texte, puis appuyez sur Retour. m Pour créer une liste dont les symboles sont des numéros ou des lettres, tapez le numéro ou la lettre, un point, un espace, du texte, puis appuyez sur Retour. Vous pouvez utiliser n’importe quel format de caractère du menu local Style de numérotation de l’Inspecteur du texte. Pour accéder à ce menu, cliquez sur Puces dans l’inspecteur du texte et sur Numéros dans le menu local Puces et numérotation. m Pour terminer la liste, appuyez deux fois sur la touche Retour. Utilisation des listes à puces Même si vous pouvez utiliser la génération automatique de liste pour créer une liste à puces simple, l’Inspecteur du texte vous offre de nombreuses options de mise en forme des listes à puces. Pour en savoir plus sur la génération automatique de liste, reportezvous à la rubrique « Génération automatique de listes » à la page 153. Pour ajouter et mettre en forme une liste à puces à l’aide de l’Inspecteur du texte : 1 Placez le point d’insertion où vous souhaitez que la liste commence. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Puces. 3 Choisissez un style de puces dans le menu local Puces et numérotation. Pour utiliser un caractère tapé comme puce, choisissez Puces de texte, puis sélectionnez le caractère dans la liste ou tapez un nouveau caractère dans le champ. Pour utiliser une des puces d’image intégrées à Numbers, choisissez Puces d’image puis choisissez une image dans la liste déroulante. Pour utiliser votre propre image comme puce, choisissez Image personnalisée dans la zone de dialogue Ouvrir qui s’affiche. 4 Pour modifier la taille d’une puce d’image, spécifiez un pourcentage de la taille de l’image d’origine dans le champ Taille. Ou, cochez la case « Adapter au texte » et spécifiez le pourcentage de la taille du texte ; cette option permet de conserver les proportions image-texte des puces même si vous modifiez la police du texte par la suite. 5 Pour régler l’espace entre les puces et la marge gauche, utilisez le champ Retrait des puces. Pour régler l’espace entre les puces et le texte, utilisez le champ Retrait du texte. 6 Pour placer les puces plus haut ou plus bas par rapport au texte dans une zone de texte ou une figure, utilisez le champ Aligner.Chapitre 7 Utilisation de texte 155 Vous pouvez utiliser ces techniques pour ajouter et mettre en retrait les éléments à puces de votre liste :  Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait actuel, appuyez sur Retour.  Pour créer un paragraphe dissocié de la liste dans une rubrique, appuyez sur Retour tout en maintenant la touche Maj enfoncée.  Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait inférieur suivant, appuyez sur la touche de tabulation. Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait supérieur suivant, appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de tabulation. Vous pouvez également cliquer sur une puce et maintenir le bouton de la souris enfoncé, puis la faire glisser à droite, à gauche, en bas à droite ou encore en bas à gauche.  Pour retrouver le texte normal à la fin de votre liste, appuyez sur Retour, puis choisissez Pas de puces dans le menu local Puces et numérotation. Vous pouvez également régler le niveau de retrait. Utilisation des listes numérotées Même si vous pouvez utiliser la génération automatique de liste pour créer une liste numérotée simple, l’Inspecteur du texte vous offre de nombreuses options de mise en forme des listes numérotées. Pour plus d’informations sur la génération automatique de liste, consultez la rubrique « Génération automatique de listes » à la page 153. Pour ajouter et mettre en forme une liste numérotée : 1 Placez le point d’insertion où vous souhaitez que la liste commence. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Puces. 3 Choisissez Numéros dans le menu local Puces et numérotation, puis choisissez le style de numérotation souhaité dans le menu local juste en dessous. 4 Pour régler l’espace entre les numéros et la marge gauche, utilisez le champ Retrait des numéros. Pour régler l’espace entre les numéros et le texte, utilisez le champ Retrait du texte. Vous pouvez utiliser ces techniques pour ajouter et mettre en retrait les éléments de votre liste :  Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait actuel, appuyez sur Retour.  Pour créer un paragraphe non numéroté dans une rubrique, appuyez sur Retour tout en maintenant la touche Maj enfoncée.  Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait inférieur suivant, appuyez sur la touche de tabulation. Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait supé- rieur suivant, appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de tabulation. Vous pouvez également cliquer et maintenir enfoncé un nombre, puis le faire glisser à droite, à gauche, en bas à droite ou encore en bas à gauche.156 Chapitre 7 Utilisation de texte  Pour retrouver le texte normal à la fin de votre liste, appuyez sur Retour, puis choisissez Pas de puces dans le menu local Puces et numérotation. Vous pouvez également régler le niveau de retrait.  Pour ajouter un paragraphe existant à une liste numérotée, cliquez sur le paragraphe, choisissez un style de numérotation, puis cliquez sur « Continuer à partir de la précédente ».  Pour démarrer une nouvelle séquence numérotée dans une liste, cliquez sur « Commencer à » puis spécifiez le numéro à partir duquel vous souhaitez que la séquence commence. Si vous souhaitez que les éléments de votre liste comportent des sous-rubriques avec des titres (comme dans une description), utilisez une liste ordonnée plutôt qu’une liste numérotée. Utilisation de listes ordonnées (Structures) Les listes ordonnées (ou structures) offrent des styles de numérotation différents pour chaque niveau de retrait de la liste, ce qui vous permet de hiérarchiser vos informations. Par exemple :  Vous pouvez créer une structure à l’aide d’une séquence numérotée comparable à celle qui suit en partant du niveau le plus élevé vers les niveaux inférieurs : I, A, 1, a), (1), (a), i), (1) et (a).  Vous pouvez créer une structure de style plus administratif et formel, qui ajoute un numéro ou une lettre supplémentaire à chaque niveau inférieur : 1, 1.1, 1.1.1, et ainsi de suite. Vous pouvez ajouter et mettre en forme des listes ordonnées à l’aide de l’Inspecteur du texte. Pour ajouter et mettre en forme une liste ordonnée : 1 Placez le point d’insertion où vous souhaitez que la liste commence. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Puces. 3 Pour créer une liste de style légal, choisissez Numérotation progressive dans le menu local Puces et numérotation. Sinon, choisissez Numéros à la place. 4 Choisissez un style de numérotation dans le menu local qui se situe juste en dessous. 5 Pour régler l’espace entre les numéros et la marge gauche, utilisez le champ Retrait des numéros. Pour régler l’espace entre les numéros et le texte, utilisez le champ Retrait du texte.Chapitre 7 Utilisation de texte 157 Vous pouvez utiliser ces techniques pour ajouter et mettre en retrait les éléments de votre liste :  Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait actuel, appuyez sur Retour.  Pour créer un paragraphe non numéroté dans une rubrique, appuyez sur Retour tout en maintenant la touche Maj enfoncée.  Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait inférieur suivant, appuyez sur la touche de tabulation. Pour ajouter une nouvelle rubrique au niveau de retrait supé- rieur suivant, appuyez simultanément sur la touche Maj et sur la touche de tabulation. Pour naviguer parmi les niveaux, vous pouvez également cliquer et maintenir enfoncé un numéro, puis le faire glisser à droite, à gauche, en bas à droite ou encore en bas à gauche.  Pour retrouver le texte normal à la fin de votre liste, appuyez sur Retour, puis choisissez Pas de puces dans le menu local Puces et numérotation. Vous pouvez également régler le niveau de retrait.  Pour ajouter un paragraphe existant à une liste numérotée, cliquez sur le paragraphe, choisissez un style de numérotation, puis cliquez sur « Continuer à partir de la précédente ».  Pour démarrer une nouvelle séquence numérotée dans une liste, cliquez sur « Commencer à » puis spécifiez le numéro à partir duquel vous souhaitez que la séquence commence. Utilisation de zones de texte et de figures pour faire ressortir le texte Utilisez des zones de texte et des figures pour faire ressortir du texte. Ajout de zones de texte Vous pouvez ajouter une zone de texte sur une feuille et la placer là où vous le souhaitez en la faisant glisser. Pour créer une zone de texte : 1 Cliquez sur Zone de texte dans la barre d’outils (ou choisissez Insérer > Zone de texte). 2 Dans la zone qui s’affiche, double-cliquez sur le texte et saisissez votre texte. Automatiquement, les zones de texte s’étendent ou se réduisent pour s’adapter à la longueur du texte. 3 Après avoir saisi votre texte, cliquez en dehors de la zone de texte. Vous pouvez également appuyer simultanément sur les touches Commande et Retour pour arrêter les modifications et sélectionner la zone de texte. 4 Faites glisser les poignées de sélection dans la zone de texte pour modifier sa largeur. 5 Positionnez la zone de texte sur la feuille en la faisant glisser.158 Chapitre 7 Utilisation de texte Il n’est pas possible d’agrandir une zone de texte en la faisant glisser vers le haut ou vers le bas. Vous pouvez cependant forcer l’allongement de la zone dans le sens vertical en faisant glisser les poignées de sélection vers l’intérieur pour qu’elle soit plus étroite. Vous pouvez également tracer une zone de texte. Cliquez sur Zone de texte dans la barre d’outils tout en maintenant la touche Option enfoncée, puis faites glisser le pointeur sur la fenêtre de la feuille de calcul pour créer une zone de texte de la taille souhaitée. Pour plus d’informations sur la modification des zones de texte, consultez la rubrique « Mise en forme d’une zone de texte ou d’une figure » à la page 159. Présentation du texte en colonnes Vous pouvez organiser le texte d’une zone de texte ou figure rectangulaire en colonnes. Lorsque le texte a rempli une colonne, il s’étend dans la colonne suivante. Utilisez le menu local Colonnes de la barre de format pour répartir rapidement le texte sur 1 à 4 colonnes dans la zone de texte ou figure rectangulaire sélectionnée. Pour bénéficier de d’avantage d’options, utilisez l’Inspecteur de texte. Pour créer et formater des colonnes à l’aide de l’Inspecteur de texte : 1 Sélectionnez la zone de texte ou la forme rectangulaire dont vous souhaitez diviser le texte en colonnes. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte et enfin sur Colonnes. 3 Pour indiquer le nombre de colonnes souhaité, utilisez le champ Colonnes. 4 Pour utiliser des colonnes de même largeur, sélectionnez « Largeur de colonne identique ». Pour configurer des colonnes de largeur différente, désactivez la case « Largeur de colonne identique », double-cliquez sur une valeur de colonne et saisissez une nouvelle largeur. 5 Pour modifier l’espace entre colonnes, double-cliquez sur une valeur de petit fond et modifiez-la.Chapitre 7 Utilisation de texte 159 Ajout de texte dans une forme Toutes les figures, à l’exception des lignes, peuvent contenir du texte. Pour ajouter du texte à une figure : 1 Placez une figure à l’emplacement souhaité sur la feuille. Pour en savoir plus sur l’ajout de figures, reportez-vous aux rubriques « Ajout d’une figure prédessinée » à la page 182 et « Ajout d’une figure personnalisée » à la page 182. 2 Double-cliquez sur la figure et tapez le texte souhaité. Si le texte s’étend au-delà de la bordure de la figure, un indicateur de découpage apparaît. 3 Pour redimensionner la figure, sélectionnez-la et faites glisser les poignées de sélection. Si le point d’insertion se trouve à l’intérieur de la figure, appuyez sur Commande + Retour afin de quitter le mode édition de texte et sélectionnez la figure. Vous pouvez mettre en forme du texte dans une figure. Vous avez également la possibilité de faire pivoter une figure tout en conservant le texte dans sa position horizontale. Après avoir fait pivoter la figure, sélectionnez Format > Figure > « Réinitialiser les poignées de l’objet et du texte ». 4 Pour ajouter du texte à une figure faisant partie d’un groupe, double-cliquez dans la zone de texte de n’importe quelle figure du groupe. Si vous redimensionnez le groupe, tout ce qui le compose est également redimensionné, à l’exception du texte. Bien évidemment, vous avez toujours la possibilité de sélectionner le texte et de changer sa taille de police. Reportez-vous à la rubrique « Regroupement et verrouillage d’objets » à la page 177pour obtenir des détails sur le regroupement d’objets. Mise en forme d’une zone de texte ou d’une figure Vous pouvez modifier l’espace entre le texte et la bordure intérieure d’une zone de texte, d’une figure ou d’une cellule de tableau. Reportez-vous à la rubrique « Modification de la marge intérieure du texte dans des objets » à la page 153 pour obtenir des instructions. Utilisez l’Inspecteur des graphismes et la barre de format pour mettre en forme les bordures, les ombres, l’opacité, le remplissage de couleur et autres options pour les zones de texte ou figures. Pour en savoir plus sur le réglage des propriétés d’un objet, reportez-vous aux rubriques « Modification des objets » à la page 171 et« Remplissage des objets » à la page 178. L’indicateur de découpage indique que le texte s’étend au-delà des bordures d’une figure.160 Chapitre 7 Utilisation de texte Utilisation de liens hypertexte Les liens hypertexte sont utilisés dans les feuilles de calcul affichées à l’écran, soit comme fichiers HTML, soit comme feuilles de calcul Numbers. Vous pouvez ajouter des liens hypertexte pour ouvrir un courrier électronique ou une page web sur Internet. Lien vers une page Web Vous pouvez ajouter un lien hypertexte qui ouvre une page web dans votre navigateur web par défaut. Pour ajouter un lien hypertexte qui ouvre une page web : 1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez convertir en lien. Si vous utilisez du texte qui commence par « www » ou « http », le texte se transforme automatiquement en lien hypertexte. Pour désactiver cette fonction, choisissez Numbers > Préférences, cliquez sur Correction automatique, puis désactivez la case « Détecter automatiquement les adresses électroniques et de page Web ». Ce réglage est propre à chaque ordinateur ; par conséquent, si la feuille de calcul est ouverte sur un ordinateur dont la configuration est différente, c’est le réglage de l’ordinateur qui est utilisé. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur de lien hypertexte, puis sélectionnez « Activer comme lien ». 3 Choisissez Page Web dans le menu local Relier à. 4 Tapez l’adresse de la page web dans le champ URL. Lien vers un message électronique préadressé Vous pouvez ajouter un lien hypertexte sur lequel vous pouvez cliquer pour créer un message électronique préadressé dans votre application de messagerie par défaut. Utilisez ce type de lien Pour accéder à Remarques Page Web Une page dans un navigateur Web Indiquez l’URL de la page que vous souhaitez ouvrir. Message électronique Un nouveau message électronique avec l’objet et le destinataire spécifiés Tapez l’adresse du destinataire et un objet. Taper l’URL vers laquelle le lien doit renvoyer. Le bouton Inspecteur de lien hypertexte Sélectionner pour désactiver tous les liens afin de les modifier facilement.Chapitre 7 Utilisation de texte 161 Pour ajouter un lien hypertexte vers un message électronique : 1 Sélectionnez le texte que vous souhaitez convertir en lien. Si vous ajoutez une adresse électronique dans une feuille de calcul, le texte se transforme automatiquement en lien hypertexte. Pour désactiver cette fonction, sélectionnez Numbers > Préférences, cliquez sur Correction automatique, puis décochez la case « Détecter automatiquement les adresses électroniques et de page web ». Ce réglage est propre à chaque ordinateur ; par conséquent, si la feuille de calcul est ouverte sur un ordinateur dont la configuration est différente, c’est le réglage de l’ordinateur qui est utilisé. 2 Cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteur de lien hypertexte, puis sélectionnez « Activer comme lien ». 3 Choisissez Message électronique dans le menu local Relier à. 4 Tapez l’adresse électronique du destinataire dans le champ À. 5 Vous pouvez également spécifier l’objet du message dans le champ Objet. Modification du texte d’un lien hypertexte Vous pouvez modifier le texte d’un lien hypertexte de différentes manières. Voici différentes façons de modifier le texte d’un lien hypertexte : m Désactivez les liens hypertextes, modifiez le texte du lien hypertexte, puis réactivez les liens hypertextes. Activez et désactivez les liens hypertexte en cliquant sur Inspecteur dans la barre d’outils, sur le bouton Inspecteur des liens et en cochant la case « Désactiver tous les liens ». m Cliquez à côté du texte du lien, puis utilisez les touches de direction pour déplacer le point d’insertion dans le texte Insertion de numéros de page et d’autres valeurs variables Vous pouvez insérer des valeurs telles que des numéros de page, le nombre de pages et la date et l’heure dans une feuille de calcul à l’aide de champs de textes mis en forme que Numbers met automatiquement à jour lorsqu’ils sont modifiés. Ces valeurs sont le plus souvent insérées dans les en-têtes et bas de page (reportez-vous à la rubrique « Utilisation d’en-têtes et de bas de page » à la page 42), mais vous pouvez aussi insérer des champs de texte mis en forme à n’importe quel endroit de votre feuille de calcul. Tapez l’objet du message. Tapez l’adresse électronique du destinataire du message.162 Chapitre 7 Utilisation de texte Voici différentes façons d’insérer des champs de texte mis en forme : m Pour ajouter des numéros de page, placez le point d’insertion à l’endroit où le numéro de page doit apparaître, puis cliquez sur Insertion > Numéro de page. Pour changer la mise en forme des numéros de page, cliquez sur un numéro de page tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez un nouveau format de numéro. m Pour ajouter le nombre total de pages, placez le point d’insertion à l’endroit où le nombre total de pages doit apparaître, puis cliquez sur Insertion > Nombre de pages. Pour inclure le nombre total de pages à chaque numéro de page (comme « 2 sur 10 », par exemple), ajoutez un numéro de page , tapez « sur », puis choisissez Insertion > Nombre de pages. Pour changer la mise en forme des numéros de page, cliquez sur un numéro de page tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez un autre format de numéro. m Pour ajouter et mettre en forme la date et/ou l’heure, placez le point d’insertion à l’endroit où la valeur doit apparaître, puis choisissez Insertion > Date et heure. Pour changer le format de date et d’heure, cliquez sur la valeur de date et d’heure tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, sélectionnez « Modifier la date et l’heure », puis choisissez un format de date et d’heure dans le menu local. Pour que la feuille de calcul affiche toujours l’heure et la date du jour, sélectionnez « Automatiquement actualiser à l’ouverture ». Substitution automatique de texte Numbers peut être configuré de manière à reconnaître et remplacer certains éléments de texte par d’autres. Par exemple, si vous tapez l’article mal orthographié « dse », Numbers peut le remplacer automatiquement par « des ». Pour configurer la fonction de substitution automatique de texte : 1 Choisissez Numbers > Préférences. 2 Cliquez sur Correction automatique et définissez les réglages comme vous le souhaitez. Pour convertir automatiquement les guillemets droits simples ou doubles en guillemets courbes afin que les guillemets ouvrants et fermants soient différents, sélectionnez « Utiliser les guillemets courbes ». Pour être sûr que le premier mot d’une phrase commence bien par une majuscule, cochez Corriger les majuscules. Pour convertir automatiquement les lettres dans les suffixes numériques (comme 1er, 2ème, 3ème, etc.) en exposants, cochez la case « Suffixes numériques en exposant ». Pour faire en sorte que Numbers détecte automatiquement les adresses électroniques ou URL que vous saisissez, cochez Détecter automatiquement les adresses électroniques et de page Web. . Les URL et les adresses électroniques saisies se changent alors automatiquement en liens pour Mail ou Safari.Chapitre 7 Utilisation de texte 163 Pour utiliser la génération automatique de liste, sélectionnez Détection automatique des listes. Pour remplacer un ou plusieurs caractères par d’autres, cochez « Substitution de texte et de symbole ».” Utilisez ensuite les rangs du tableau pour définir et activer les substitutions comme vous le souhaitez. Par exemple, si vous tapez le symbole du copyright sous la forme (c), vous pouvez ordonner à Numbers de le convertir automatiquement en © en plaçant une marque dans la colonne Activé. Pour ajouter un rang au tableau et définir votre propre substitution, cliquez sur le bouton Ajouter (+). Pour supprimer un élément sélectionné, cliquez sur le bouton Supprimer (-). Après avoir indiqué les réglages de substitution, ces derniers s’appliquent à tout texte que vous modifiez ou ajoutez dans une feuille de calcul Numbers. Insertion d’un espace insécable Vous pouvez insérer un espace insécable entre des mots pour vous assurer qu’ils apparaîtront toujours sur la même ligne de texte. Pour insérer un espace insécable : m Appuyez sur la barre d’espace tout en maintenant la touche Option enfoncée. Vérification de l’orthographe Numbers peut détecter les fautes d’orthographe dans votre feuille de calcul et vous aider à trouver l’orthographe exacte de certains mots. Recherche des mots mal orthographiés Vous pouvez configurer le correcteur orthographique afin qu’il indique les erreurs lors de la saisie, ou vous pouvez à tout moment vérifier l’ensemble de la feuille de calcul ou du texte sélectionné. Les mots mal orthographiés sont soulignés en pointillés rouges. Voici différentes manières de trouver les mots mal orthographiés : m Pour vérifier l’orthographe en cours de saisie, choisissez Édition > Orthographe > Vérifier l’orthographe lors de la frappe. Pour désactiver la vérification orthographique en cours de saisie, cliquez sur Édition> Orthographe > Vérifier l’orthographe lors de la frappe, puis désactivez cette option (assurez-vous que la coche n’apparaît plus en regard de la commande du menu). m Pour vérifier l’orthographe depuis le point d’insertion jusqu’à la fin de la feuille de calcul, cliquez là où vous désirez placer le point d’insertion, puis choisissez Édition > Orthographe > Vérifier l’orthographe. Pour limiter la vérification orthographique à une portion particulière de la feuille de calcul, sélectionnez le texte que vous souhaitez vérifier avant de sélectionner la commande.164 Chapitre 7 Utilisation de texte Le premier mot mal orthographié est mis en surbrillance. Vous pouvez le corriger ou sélectionner de nouveau la même commande de menu afin de continuer à vérifier la feuille de calcul. Pour parcourir le texte plus rapidement, appuyez sur Commande + point-virgule (;) afin de poursuivre la vérification de la feuille de calcul. m Pour vérifier l’orthographe et obtenir des suggestions de correction, choisissez Édition > Orthographe > Orthographe. La fenêtre Orthographe s’ouvre ; vous pouvez l’utiliser comme indiqué dans la rubrique « Utilisation des suggestions de correction orthographique ». Utilisation des suggestions de correction orthographique Utilisez la fenêtre Orthographe pour trouver des suggestions d’orthographe. Pour utiliser les suggestions de correction orthographique : 1 Choisissez Édition > Orthographe > Orthographe. La fenêtre Orthographe s’ouvre et le premier mot mal orthographié est mis en surbrillance. 2 Veillez à sélectionner la langue qui convient dans le menu local Dictionnaire. À chaque langue correspond un dictionnaire différent. 3 Pour remplacer le mot mal orthographié dans le texte, double-cliquez sur le mot ou l’orthographe correct dans la liste des propositions. 4 Si le mot correct ne figure pas dans la liste Propositions mais que vous en connaissez l’orthographe, sélectionnez le mot mal orthographié dans la fenêtre Orthographe, tapez le mot correct, puis cliquez sur Corriger. 5 Si le mot est bien orthographié et que vous souhaitez le laisser tel quel, cliquez sur Ignorer ou sur Mémoriser l’orthographe. Cliquez sur Mémoriser l’orthographe si vous utilisez souvent le terme et que vous souhaitez l’ajouter au dictionnaire. Si vous avez utilisé Mémoriser l’orthographe et que vous souhaitez ne pas laisser le mot dans le dictionnaire, tapez le mot dans la zone de texte en dessous de la liste Proposition, puis cliquez sur Effacer. 6 Si aucune autre suggestion n’apparaît dans la liste Propositions, sélectionnez le mot mal orthographié dans la fenêtre Orthographe, puis essayez une autre orthographe. Cliquez sur Propositions pour que de nouvelles suggestions apparaissent dans la liste Propositions. 7 Cliquez sur Rechercher le suivant et répétez les étapes 3 à 6 jusqu’à ce que vous ne trouviez plus aucune faute. Vous pouvez également maintenir la touche Contrôle enfoncée et cliquer sur un mot mal orthographié. Dans le menu local, vous pouvez choisir une autre orthographe, cliquer sur Mémoriser l’orthographe ou sur Ignorer.Chapitre 7 Utilisation de texte 165 Recherche et remplacement de texte Vous pouvez rechercher toutes les instances d’un mot ou d’une expression dans votre feuille de calcul et les remplacer éventuellement par un autre mot ou une autre expression. Voici différentes manières de rechercher et de remplacer du texte : m Choisissez Édition > Rechercher > Rechercher, cliquez sur Simple ou sur Avancé pour configurer les critères de recherche/remplacement, puis cliquez sur un bouton pour lancer les opérations de recherche/remplacement. Simple : dans le champ Rechercher, tapez le texte que vous souhaitez rechercher, puis tapez le texte par lequel vous souhaitez le remplacer dans le champ Remplacer. Avancé : en plus de saisir le texte dans les champs Rechercher et Remplacer, vous pouvez définir d’autres critères de recherche ou de remplacement. Utilisez les balises d’aide pour comprendre les champs qui apparaissent. Tout remplacer : effectue automatiquement les opérations de recherche/remplacement sans votre intervention. Remplacer : remplace la sélection en cours par le texte de remplacement. Remplacer et rechercher : remplace la sélection par le texte de remplacement et recherche immédiatement l’occurrence suivante du texte à rechercher. Suivant ou Précédent : recherche dans toute la feuille de calcul l’occurrence suivante ou précédente du texte saisi sans le remplacer en commençant par la feuille active ou la ou les cellules sélectionnées. m Utilisez les autres commandes dans Édition > Rechercher. Rechercher le suivant ou Rechercher le précédent : recherche dans toute la feuille de calcul l’occurrence suivante ou précédente du texte saisi sans le remplacer en commençant par la feuille active ou la ou les cellules sélectionnées. Rechercher la sélection : recherche l’occurrence suivante du texte sélectionné. Aller à la sélection : affiche le texte sélectionné lorsqu’il n’apparaît pas à l’écran.8 166 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Ce chapitre décrit les techniques permettant d’ajouter et de modifier des images, des figures, du son et autres objets. Un objet est un élément que vous pouvez ajouter à une feuille de calcul, puis manipuler. Les images, les figures, les séquences, les fichiers son, les tableaux, les graphiques et les zones de texte sont tous des objets. Les images comprennent les photographies ou les fichiers PDF. Les séquences vidéo et le son concernent les feuilles de calcul visionnées à l’écran. Les figures comprennent les figures simples prédessinées (telles que les triangles et les flèches) et les figures personnalisées que vous dessinez vous-même. Les zones de texte contiennent du texte. Sélection d’objets Avant de pouvoir déplacer, modifier ou effectuer d’autres opérations sur des objets, vous devez les sélectionner. Un objet sélectionné est muni de poignées qui vous permettent de le déplacer ou de le manipuler. Voici plusieurs façons de sélectionner et désélectionner des objets : m Pour sélectionner un objet, cliquez dessus (pour sélectionner un objet sans remplissage, cliquez sur le bord). m Pour sélectionner plusieurs objets, cliquez sur les objets tout en maintenant enfoncée la touche Maj. m Pour sélectionner tous les objets d’une feuille, sélectionnez la feuille et appuyez sur Commande + A ou sélectionnez Édition > Tout sélectionner. m Pour sélectionner un objet faisant partie d’un groupe, vous devez tout d’abord dissocier les objets. Sélectionnez le groupe, puis choisissez Disposition > Dissocier. m Pour désélectionner les objets d’un groupe d’objets sélectionnés, maintenez la touche Commande enfoncée, puis cliquez sur les objets que vous souhaitez désélectionner.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 167 Copie et duplication d’objets La technique à utiliser pour copier un objet dépend de l’endroit où vous souhaitez placer la copie. Lorsque la copie est destinée à un emplacement éloigné de l’original ou à une autre feuille de calcul, la méthode la plus facile consiste généralement à copier et à coller. Lorsque vous travaillez avec un objet qui est proche de l’original, il est généralement plus facile de le dupliquer. Voici plusieurs façons de copier des objets : m Pour copier et coller un objet, sélectionnez-le, puis choisissez Édition > Copier. Cliquez sur la feuille dans laquelle vous voulez que la copie apparaisse. Cliquez sur Édition > Coller. m Pour copier un objet à l’intérieur d’une même feuille, vous pouvez le faire glisser tout en maintenant enfoncée la touche Option. Vous pouvez également dupliquer l’objet. Sélectionnez l’objet et cliquez sur Édition > Dupliquer. La copie apparaît au-dessus de l’original et légèrement décalée par rapport à celui-ci. Faites glisser la copie jusqu’à l’emplacement souhaité. m Pour copier une image entre deux feuilles de calcul Numbers, sélectionnez l’image et faites glisser son icône depuis le champ Informations du fichier, de l’inspecteur des mesures, sur une feuille dans l’autre fichier Numbers. Vous pouvez également sélectionner Édition > Copier et Édition > Coller. Suppression d’objets La suppression d’objets est rapide et facile. Pour supprimer des objets : m Sélectionnez le ou les objets et appuyez sur la touche Suppr. Si vous supprimez un objet sans le vouloir, choisissez Édition > Annuler Supprimer. Déplacement d’objets Pour déplacer des objets, vous pouvez les faire glisser ou les copier/coller. Voici plusieurs façons de déplacer des objets : m Cliquez sur l’objet pour le sélectionner (les poignées de sélection apparaissent) puis faites-le glisser vers le nouvel emplacement. m Pour contraindre l’objet à se déplacer horizontalement, verticalement ou selon un angle de 45 degrés, appuyez sur la touche Maj et maintenez-la enfoncée avant de commencer à le faire glisser. m Pour déplacer l’objet par petits incréments, appuyez sur l’une des touches fléchées pour faire progresser l’objet d’un seul point à la fois. Pour déplacer l’objet par incréments de dix points, maintenez la touche Maj enfoncée tout en appuyant sur une touche fléchée.168 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets m Pour afficher la position de l’objet lorsque vous le déplacez, choisissez Numbers > Préférences, puis sélectionnez « Afficher la taille et la position des objets lors de leur déplacement » dans la sous-fenêtre Général. m Pour aligner précisément des objets par rapport à leurs bords ou à leur centre, vous pouvez utiliser les guides d’alignement. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des guides d’alignement » à la page 169 pour en savoir plus. m Sélectionnez l’objet et cliquez sur Édition > Couper. Placez le point d’insertion à l’endroit où vous souhaitez que l’objet apparaisse, puis cliquez sur Édition > Coller. Évitez de faire glisser un objet en le tenant par ses poignées de sélection, car vous risqueriez de le redimensionner sans le vouloir. Déplacement d’un objet vers le premier plan ou vers l’arrière-plan Lorsque des objets se chevauchent ou lorsque du texte ou des objets se chevauchent, vous pouvez modifier l’ordre des objets dans la pile. Pour déplacer un objet de sorte qu’il se trouve devant ou derrière du texte ou un autre objet : 1 Sélectionnez l’objet à déplacer. 2 Pour déplacer un objet d’un seul plan à la fois, choisissez Disposition > Avancer d’un plan ou Reculer d’un plan. 3 Pour ramener l’objet en bas ou en haut de la pile, choisissez Disposition > Mettre à l’arrière-plan ou Mettre au premier plan. Si vous superposez fréquemment des objets, vous pouvez ajouter les boutons Devant, Derrière, Plan sup. et Plan inf. à la barre d’outils afin de travailler plus efficacement. Pour en savoir plus sur la personnalisation de la barre d’outils, reportez-vous à la rubrique « La barre d’outils » à la page 24. Alignementobjets Il existe différentes façons d’aligner des objets. Alignement des objets les uns par rapport aux autres Vous pouvez rapidement aligner des objets les uns par rapport aux autres s’ils se trouvent sur la même page.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 169 Pour aligner des objets : 1 Sélectionnez les objets à aligner. 2 Choisissez Disposition > Aligner les objets, puis, dans le sous-menu, choisissez l’une des options d’alignement. À gauche : cette option positionne les objets de sorte que leur bord gauche soit aligné verticalement sur le premier objet que vous sélectionnez. Centrer : cette option positionne les objets de sorte que leur centre soit aligné verticalement sur le premier objet que vous sélectionnez. À droite : cette option positionne les objets de sorte que leur bord droit soit aligné verticalement sur le premier objet que vous sélectionnez. Supérieur : cette option positionne les objets de sorte que leur bord supérieur soit aligné horizontalement sur le premier objet que vous sélectionnez. Milieu : cette option déplace les objets verticalement de sorte que leur centre soit aligné horizontalement sur le premier objet que vous sélectionnez. Inférieur : cette option positionne les objets de sorte que leur bord inférieur soit aligné horizontalement sur le premier objet que vous sélectionnez. Vous pouvez aussi aligner des objets les uns par rapport aux autres en les faisant glisser et en vous servant des guides d’alignement qui vous permettent de déterminer s’ils sont correctement positionnés. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des guides d’alignement » pour obtenir plus d’informations. Espacement uniforme des objets sur la page Vous pouvez rapidement faire en sorte que l’espace entre les objets soit partout le même, quelle que soit leur taille. Pour espacer les objets de façon uniforme : 1 Sélectionnez les objets. 2 Choisissez Disposition > Répartir les objets, puis choisissez une option dans le sous-menu. Horizontalement : règle l’espacement horizontal entre les objets. Verticalement : règle l’espacement vertical entre les objets. Utilisation des guides d’alignement Vous pouvez activer des guides d’alignement qui vous aideront à aligner les objets d’une feuille. Les guides d’alignement s’affichent lorsque le centre ou le bord d’un objet est aligné sur le centre ou sur le bord d’un autre objet, selon vos préférences. Les guides d’alignement n’apparaissent pas sur la feuille de calcul imprimée ; ils ne sont visibles que lors de son édition.170 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Pour définir les guides d’alignement : 1 Sélectionnez Numbers > Préférences et cliquez sur Général. 2 Pour afficher ou masquer les guides lorsque le centre d’un objet est aligné sur un autre objet, sélectionnez ou désélectionnez « Afficher les guides au centre de l’objet ». 3 Pour afficher ou masquer les guides lorsque le bord d’un objet est aligné sur un autre objet, sélectionnez ou désélectionnez « Afficher les guides sur les bords de l’objet ». 4 Pour changer la couleur des guides d’alignement, cliquez sur le cadre de couleurs, puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. Les réglages des guides d’alignement s’appliquent à toutes les feuilles de calcul affichées dans Numbers tant que vous ne modifiez pas ceux-ci. Pour masquer provisoirement les guides d’alignement, appuyez sur la touche Commande et maintenez-la enfoncée, puis faites glisser un objet. Vous pouvez également créer vos propres guides d’alignement pour vous aider à positionner les objets. Création de guides d’alignement Vous pouvez créer vos propres guides d’alignement pour vous aider à positionner des objets. Pour créer un guide d’alignement : 1 Cliquez sur Présentation dans la barre d’outils et sélectionnez Afficher les règles. 2 Placez le pointeur sur une règle, cliquez et faites-la glisser jusque sur la page. Un guide d’alignement apparaît. 3 Faites-le glisser sur la page jusqu’à l’emplacement souhaité. Pour supprimer un guide d’alignement que vous avez créé, faites-le glisser à l’extérieur de la page. Définition de la position précise des objets Utilisez l’Inspecteur des mesures pour indiquer l’emplacement des objets de façon précise. Pour définir la position précise d’un objet : 1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez positionner. 2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures. 3 Saisissez les valeurs X et Y dans les champs Position.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 171 Les coordonnées spécifiées déterminent la position du coin supérieur gauche du conteneur de l’objet.  La valeur X est mesurée à partir du bord gauche de la présentation.  La valeur Y est mesurée à partir du bord supérieur de la présentation. Si vous faites pivoter un objet, les coordonnées X et Y spécifient le coin supérieur gauche du conteneur qui a pivoté. Si vous saisissez les coordonnées X et Y pour les positions des lignes dans l’Inspecteur des mesures, les coordonnées Début représentent le premier point de fin de ligne que vous avez créé. Si vous retournez ou faites pivoter la ligne par la suite, les coordonnées de départ correspondent toujours au même point de terminaison de la ligne. Modification des objets Vous pouvez redimensionner les objets, changer leur orientation, modifier le style de leur bordure, leur ajouter des ombres et des reflets et ajuster leur opacité. Redimensionnement des objets Vous pouvez redimensionner un objet en faisant glisser ses poignées ou en saisissant ses dimensions exactes. Voici plusieurs façons de redimensionner des objets : m Pour redimensionner un objet en le faisant glisser, sélectionnez-le, puis faites glisser l’une de ses poignées de sélection. Pour redimensionner un objet dans une direction, faites glisser une poignée latérale et non une poignée d’angle. Pour redimensionner l’objet à partir du centre, appuyez sur la touche Option tout en faisant glisser la souris. Pour conserver les proportions d’un objet, appuyez sur la touche Maj et maintenez-la enfoncée lorsque vous faites glisser. Vous pouvez aussi cliquer sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquer sur le bouton Inspecteur des mesures, puis sélectionner « Conserver les proportions » avant de faire glisser. Tracer une ligne fixe sur la page en indiquant les coordonnées X et Y de la deuxième extrémité. Tracer une ligne fixe sur la page en indiquant les coordonnées X et Y de la première extrémité.172 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Pour afficher la taille d’un objet lorsque vous faites glisser une poignée de sélection, choisissez Numbers > Préférences, puis sélectionnez « Afficher la taille et la position des objets lors de leur déplacement » dans la sous-fenêtre Général. m Pour redimensionner un objet avec des proportions exactes, sélectionnez-le, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des mesures et utilisez ensuite les contrôles Largeur et Hauteur. m Pour redimensionner plusieurs objets à la fois, sélectionnez-les, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des mesures, et saisissez ensuite les nouvelles valeurs dans les champs Largeur et Hauteur. m Sélectionnez l’objet, puis cliquez sur Dimensions d’origine dans l’Inspecteur des mesures. Retournement et rotation d’objets Vous pouvez retourner ou faire pivoter n’importe quel objet. Par exemple, si vous disposez de l’image d’une flèche que vous souhaitez utiliser dans une feuille de calcul, mais que la flèche doit être orientée dans l’autre sens, vous pouvez inverser sa direction verticalement ou horizontalement ou l’orienter vers n’importe quelle direction. Voici plusieurs façons de changer l’orientation d’un objet : m Pour retourner un objet horizontalement ou verticalement, sélectionnez-le, puis choisissez Disposition > Retournement horizontal ou Disposition > Retournement vertical. Vous pouvez aussi cliquer sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquer sur le bouton Inspecteur des mesures, puis vous servir des boutons Miroir. m Pour faire pivoter un objet, sélectionnez-le et, tout en maintenant enfoncée la touche Commande, déplacez le pointeur vers une poignée de sélection jusqu’à ce qu’il se transforme en flèche courbe à deux têtes, puis faites glisser la poignée de sélection. Pour faire pivoter un objet par incréments de 45 degrés, appuyez sur les touches Maj et Commande pendant que vous faites glisser la poignée de sélection. Vous pouvez aussi cliquer sur Inspecteur dans la barre d’outils, cliquer sur le bouton Inspecteur des mesures, puis faire glisser la molette de rotation ou utiliser les contrôles d’angle pour définir l’orientation de l’objet. m Pour faire pivoter une figure en maintenant son texte en position horizontale, une fois la rotation de la figure effectuée, choisissez Format > Figure > Réinitialiser les poignées de l’objet et du texte. Modification du style des bordures Pour les figures, les éléments de graphique et les zones de texte, vous pouvez soit choisir un style et une couleur de trait pour la bordure de l’objet, soit indiquer que vous ne souhaitez aucune bordure. Vous pouvez également placer une bordure autour des images importées. Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 173 Vous pouvez utiliser la barre des formats pour modifier le style, l’épaisseur et la couleur des lignes de la bordure d’un ou de plusieurs objets sélectionnés. Vous pouvez utiliser l’Inspecteur des graphismes pour faire d’autres ajustements. Pour modifier le style de la bordure à l’aide de l’Inspecteur des graphismes : 1 Sélectionnez le(les) objet(s) que vous souhaitez modifier. 2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. 3 Choisissez Ligne dans le menu local Trait. 4 Choisissez un style de ligne dans le menu local. 5 Pour changer l’épaisseur du trait, saisissez une valeur dans le champ Taille (ou cliquez sur les flèches). 6 Pour changer la couleur du trait, cliquez sur le cadre de couleur et sélectionnez une couleur. 7 Pour définir des extrémités de ligne, par exemple des pointes de flèche ou des cercles, choisissez des points de fin de ligne de gauche et de droite dans les menus locaux. Pour modifier les bordures d’un tableau et de cellules, suivez les instructions de la rubrique « Mise en forme bords d’une cellule » à la page 82. Encadrement d’objets Entourez les images, les figures, les zones de texte, les séquences vidéo, les fichiers audio et tout autre paramètre fictif multimédia d’un cadre d’image. Sélectionner le style du trait. Sélectionner la largeur du trait. Sélectionner la couleur du trait. Taper l’épaisseur du trait dans ce champ. Choisir les extrémités de la ligne dans ces menus locaux. Choisir un trait plein, une ligne pointillée, une ligne en pointillés ou tout autre style de ligne. Cliquer sur le cadre de couleurs afin de choisir une couleur de trait.174 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Il existe plusieurs manières d’utiliser des cadres d’image : m Pour ajouter un cadre d’image, sélectionnez l’objet, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. Choisissez Cadre d’image dans le menu local Trait, puis cliquez sur la vignette pour choisir un cadre. Cliquez sur le cadre de couleurs pour choisir la couleur du cadre. Il est possible d’ajuster certains cadres. Pour ajuster le cadre, utilisez le curseur Échelle ou saisissez un pourcentage spécifique dans le champ adjacent. m Pour changer de cadre d’image, sélectionnez une image ou un paramètre fictif multimédia encadré, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils et cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. Sélectionnez Cadre d’image dans le menu local Trait, cliquez sur la flèche qui se trouve à côté de la vignette pour choisir un autre cadre d’image. m Pour supprimer un cadre d’objet d’une image ou d’un paramètre fictif multimédia, sélectionnez l’image ou le paramètre fictif, puis choisissez un style de ligne (ou Aucun) dans le menu local Trait. Ajout d’ombres Les ombres ajoutées aux objets donnent une impression de profondeur. L’ombre d’un objet apparaît sur n’importe quel objet situé derrière. Vous pouvez créer une multitude d’effets d’ombre ou supprimer l’ombre d’un objet. Cliquez pour ouvrir le menu local permettant de choisir le style du cadre.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 175 Pour ajouter ou supprimer rapidement une ombre, vous pouvez sélectionner l’objet et activez ou désactivez l’option Ombre dans la barre des formats. L’inspecteur des graphismes permet de mieux contrôler la mise en forme de l’ombre. Pour appliquer une ombre à un objet via l’inspecteur des graphismes : 1 Sélectionnez l’objet. 2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. 3 Sélectionnez Ombre pour ajouter une ombre à l’objet. Désélectionnez Ombre pour supprimer une ombre existante. 4 Définissez l’orientation de l’ombre à l’aide des contrôles d’angle. 5 Pour définir la distance entre l’ombre et l’objet, utilisez les contrôles de décalage. Une valeur élevée de décalage de l’ombre fait apparaître l’ombre de l’objet plus longue et légèrement séparée de l’objet. 6 Pour adoucir le bord de l’ombre ou le rendre plus net, utilisez les contrôles de flou. Une valeur de flou plus élevée fait apparaître l’ombre de l’objet plus diffuse ; une valeur plus faible confère à l’ombre des bords mieux définis. 7 Pour modifier la transparence de l’ombre, utilisez les contrôles d’opacité. N’utilisez pas le curseur d’opacité qui se trouve en bas de l’Inspecteur des graphismes ; il sert à contrôler l’opacité de l’objet même. 8 Pour changer la couleur de l’ombre, cliquez sur le cadre des couleurs de l’ombre, puis sélectionnez une couleur. Changer la couleur de l’ombre dans le cadre des couleurs. Sélectionner la case afin d’ajouter une ombre à un objet sélectionné. Changer l’angle de l’ombre à l’aide de la molette Angle. Les valeurs dans Décalage, Flou et Opacité permettent de modifier l’aspect de l’ombre. Cet objet présente l’ombrage par défaut. L’ombre de cet objet est définie avec un angle différent. L’ombre de cet objet présente une valeur de décalage élevée. L’ombre de cet objet présente le facteur de flou le plus faible. Cet objet présente une couleur d’ombre différente. L’ombre de cet objet présente un facteur de flou élevé.176 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Vous pouvez aussi utiliser les contrôles d’ombre de l’Inspecteur des graphismes pour ajouter des ombres à du texte. Sélectionnez le texte auquel vous souhaitez ajouter des ombres, puis utilisez les contrôles comme indiqué ci-dessus. Ajout d’un reflet Vous pouvez ajouter un reflet à un objet qui se réfléchit verticalement vers le bas. Vous pouvez ajouter ou supprimer un reflet en sélectionnant un objet et en activant ou désactivant l’option Reflet dans la barre des formats. L’inspecteur des graphismes permet également de contrôler le niveau de reflet. Pour appliquer un reflet à un objet via l’inspecteur des graphismes : 1 Sélectionnez l’objet. 2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes. 3 Sélectionnez Reflet, puis faites glisser le curseur pour augmenter ou réduire l’intensité du reflet. Ajustement de l’opacité Vous pouvez créer des effets intéressants en rendant les objets plus ou moins opaques. Ainsi, lorsque vous placez un objet de faible opacité sur un autre objet, l’objet situé dessous transparaît via l’objet situé dessus. En fonction de la valeur définie pour l’opacité, les objets situés en dessous peuvent être facilement visibles, partiellement obscurcis ou totalement invisibles (opacité de 100 %). Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 177 Voici plusieurs manières de modifier l’opacité d’un objet : m Utilisez le menu local Opacité dans la barre des formats pour appliquer une opacité en pourcentage. m Pour un contrôle plus fin, cliquez sur Inspecteur dans la barre d’outils et sur le bouton Inspecteur des graphismes, puis faites glisser le curseur d’opacité ou saisissez un pourcentage dans le champ adjacent. Pour les figures, vous pouvez définir séparément l’opacité des couleurs de remplissage et de trait et celle de l’objet. Si vous déplacez le curseur Opacité dans la fenêtre Couleurs afin de modifier la couleur du remplissage ou du trait, cette valeur d’opacité devient l’opacité maximale de l’objet. Ensuite, lorsque vous modifiez l’opacité de l’objet dans l’Inspecteur des graphismes, vous la modifiez par rapport à l’opacité définie dans la fenêtre Couleurs. Si vous modifiez l’opacité d’un objet et ne parvenez pas à restaurer la couleur de remplissage de l’objet à 100 pour cent, c’est peut-être parce que l’opacité a été définie à moins de 100 pour cent dans la fenêtre Couleurs. Pour régler ce problème, sélectionnez l’objet, choisissez Afficher > Afficher les couleurs, puis, dans la fenêtre Couleurs, définissez l’opacité à 100 pour cent. Regroupement et verrouillage d’objets Regroupez les objets que vous souhaitez maintenir ensemble et verrouillez ceux que vous souhaitez éviter de déplacer par mégarde. Regroupement et dissociation d’objets Vous pouvez regrouper des objets (sauf des tableaux) afin de les déplacer, copier, redimensionner et orienter comme s’il s’agissait d’un seul objet. Vous pouvez aussi modifier le texte associé à un objet de type figure ou texte faisant partie d’un groupe mais il n’est pas possible de modifier d’autres attributs d’objets individuels au sein d’un groupe. L’opacité du cercle est définie à 100 pour cent dans l’Inspecteur des graphismes. La couleur de remplissage a été définie sur une opacité de 50 % dans la fenêtre Couleurs. Le contour du cercle a été défini sur une opacité de 100 % dans la fenêtre Couleurs. L’opacité du cercle est définie à 100 pour cent dans l’Inspecteur des graphismes. L’opacité du cercle est définie à 50 pour cent dans l’Inspecteur des graphismes.178 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Pour regrouper des objets : 1 Appuyez sur la touche Commande (ou Maj) et maintenez-la enfoncée, puis sélectionnez les objets que vous souhaitez regrouper. Ces objets ne doivent pas être verrouillés. 2 Choisissez Disposition > Grouper. Pour dissocier un objet faisant partie d’un groupe, sélectionnez le groupe, puis choisissez Disposition > Dissocier. Si le groupe est verrouillé, déverrouillez-le au préalable. Verrouillage et déverrouillage des objets Vous pouvez verrouiller des objets afin d’éviter de les déplacer involontairement lorsque vous travaillez sur le document. Une fois verrouillés, les objets individuels ou groupés ne peuvent pas être déplacés, ni supprimés, ni modifiés à moins de les déverrouiller au préalable. Vous pouvez toutefois sélectionner, copier ou dupliquer un objet verrouillé. Si vous copiez ou dupliquez un objet verrouillé, le nouvel objet est lui aussi verrouillé. Pour verrouiller des objets : 1 Maintenez enfoncée la touche Commande (ou Maj) en sélectionnant les objets à verrouiller. 2 Choisissez Disposition > Verrouiller. Pour déverrouiller un objet, sélectionnez-le, puis choisissez Disposition > Déverrouiller. Remplissage des objets Remplissez un objet avec une couleur pleine, un dégradé de couleur ou une image. Remplissage d’un objet en couleur Utilisez la barre des formats pour ajouter rapidement une couleur de remplissage à un objet sélectionné. Cliquez sur le cadre Remplissage, puis choisissez une couleur dans le tableau des couleurs ou cliquez sur Afficher les couleurs pour ouvrir la fenêtre Couleurs qui contient d’autres couleurs. Utilisez la commande Opacité pour régler la transparence de la couleur. Utilisez l’Inspecteur des graphismes pour remplir un objet avec une couleur unie ou avec un dégradé de couleurs dans lequel deux couleurs se mélangent progressivement l’une à l’autre. Pour modifier la couleur de remplissage d’un objet à l’aide de l’Inspecteur des graphismes : 1 Sélectionnez l’objet. 2 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur, puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 179 3 Pour appliquer une couleur unie de remplissage, choisissez Remplissage couleur dans le menu local Remplissage. Cliquez sur le cadre de couleurs qui se trouve au dessous du menu local Remplissage afin d’ouvrir la fenêtre Couleurs, puis sélectionnez une couleur dans cette fenêtre. 4 Pour remplir un objet avec un dégradé de couleurs, choisissez Remplissage dégradé dans le menu local Remplissage. Cliquez sur chaque cadre de couleur et choisissez chaque couleur dans la fenêtre Couleurs. Pour configurer une direction pour le dégradé, utilisez la molette ou le champ Angle. Pour le retourner horizontalement ou verticalement, cliquez sur les boutons fléchés Angle. Pour inverser le dégradé, cliquez sur la double flèche en regard des cadres de couleur. Vous trouverez ci-après des instructions relatives à l’utilisation de la fenêtre Couleurs. Utilisation de la fenêtre Couleurs La fenêtre Couleurs sert à sélectionner la couleur des objets. Cliquez sur chaque cadre de couleur pour sélectionner les couleurs. Inverser l’orientation du dégradé ou régler sa direction à l’aide des boutons fléchés, de la molette pour l’angle ou en saisissant une valeur. Cliquer sur la double flèche afin d’inverser le dégradé. La couleur sélectionnée dans la roue des couleurs s’affiche dans cette zone. (Le fait qu’il y ait deux couleurs dans cette zone indique que l’opacité est définie à moins de 100 pour cent.) Utiliser le curseur pour régler la couleur parmi des teintes plus claires ou plus sombres pour la couleur choisie dans le cercle de couleur. Faire glisser les couleurs à partir de la zone Couleurs afin de les stocker dans la palette de couleurs. Cliquez afin de sélectionner une couleur dans la roue des couleurs. Faire glisser le curseur Opacité vers la gauche afin de rendre la couleur plus transparente. Cliquez sur l’icône Rechercher, puis sur n’importe quel élément affiché afin de prélever sa couleur. Cliquez sur un des boutons pour afficher d’autres couleurs.180 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Vous pouvez utiliser la roue des couleurs dans la fenêtre Couleurs afin de sélectionner des couleurs. La couleur que vous sélectionnez apparaît dans la zone en haut de la fenê- tre Couleurs. Vous pouvez enregistrer cette couleur afin de l’utiliser ultérieurement, en la plaçant dans la palette de couleurs. Pour appliquer à un objet de la page les couleurs que vous avez sélectionnées dans la fenêtre Couleurs, vous devez placer la couleur dans le cadre de couleur approprié d’une sous-fenêtre de l’Inspecteur. Vous pouvez sélectionner un cadre de couleurs dans l’un des Inspecteurs, puis cliquer sur une couleur de la roue des couleurs. Ou bien, vous pouvez faire glisser une couleur de la palette ou de la zone des couleurs jusque dans le cadre de couleurs de l’un des Inspecteurs. Pour sélectionner une couleur : 1 Ouvrez la fenêtre Couleurs en cliquant sur Couleurs dans la barre d’outils ou sur un cadre de couleurs dans un des Inspecteurs. 2 Cliquez n’importe où dans la roue des couleurs. La couleur sélectionnée s’affiche dans la zone des couleurs en haut de la fenêtre Couleurs. 3 Pour rendre la couleur plus claire ou plus sombre, faites glisser le curseur du côté droit de la fenêtre Couleurs. 4 Pour rendre la couleur plus transparente, faites glisser le curseur Opacité vers la gauche ou tapez un pourcentage dans le champ Opacité. 5 Pour utiliser la palette de couleurs, ouvrez-la en faisant glisser la poignée située en bas de la fenêtre Couleurs. Pour enregistrer une couleur dans la palette, faites-la glisser de la zone des couleurs jusque dans la palette. Pour supprimer une couleur de la palette, faites-glisser un carré blanc dessus. 6 Pour reproduire la couleur d’un élément affiché à l’écran, cliquez sur la loupe à gauche de la zone des couleurs de la fenêtre Couleurs. Cliquez sur l’élément de l’écran dont vous souhaitez utiliser la couleur. La couleur apparaît dans la zone des couleurs. Sélectionnez l’élément dans la feuille de calcul, auquel vous souhaitez appliquer la couleur, puis faites glisser la couleur de la zone des couleurs à l’élément. Remplissage d’un objet avec une image Vous pouvez remplir une figure, une zone de texte, un tableau, une cellule, un graphique en arrière-plan ou une série graphique avec une image. Pour remplie un objet avec une image : 1 Sélectionnez l’objet que vous voulez remplir avec une image. 2 Si l’Inspecteur des graphismes n’est pas ouvert, cliquez sur le bouton Inspecteur de la barre d’outils, puis sur le bouton Inspecteur des graphismes. 3 Dans l’Inspecteur des graphismes, sélectionnez Remplissage par image ou Remplissage par image teintée, puis choisissez une image.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 181 Vous pouvez également faire glisser une image du Finder ou du navigateur multimédia vers le cadre d’image de l’Inspecteur des graphismes ou directement dans une cellule ou un ensemble de graphiques. 4 Choisissez une échelle d’image dans le menu local. Ajuster : redimensionne l’image afin qu’elle s’adapte au mieux aux dimensions de l’objet. Si la forme de l’objet est différente de celle de l’image d’origine, il se peut que des parties n’apparaissent pas ; un espace vide peut également apparaître autour de l’image. Remplir : fait paraître l’image plus grande ou plus petite en la dimensionnant de façon à ne laisser qu’un espace minimum autour d’elle, même si elle n’a pas la même forme que l’objet. Étirer : dimensionne l’image pour qu’elle s’adapte à la taille de l’objet mais la déforme si ce dernier a une forme différente de l’image d’origine. Dimensions d’origine : place l’image dans l’objet sans modifier ses dimensions d’origine. Si l’image est plus grande que l’objet, vous ne voyez qu’une partie de l’image dans l’objet. Si l’image est plus petite que l’objet, elle est entourée d’espace vide. Mosaïque : répète l’image à l’intérieur de l’objet si celle-ci est plus petite que l’objet. Si l’image est plus grande que l’objet, vous ne voyez qu’une partie de l’image dans l’objet. Définissez la taille de l’image dans l’objet via le menu local. Pour changer l’image, faites glisser une image vers le cadre d’image. Remplir Mosaïque (grande image) Dimensions d’origine Ajuster Étirer Mosaïque (petite image) Mosaïque (grande image)182 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 5 Pour placer une teinte transparente sur l’image, choisissez Remplissage image teintée dans le menu local Remplissage. Cliquez sur le cadre de couleur en regard du bouton Choisir, puis sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs. Faites glisser le curseur Opacité dans la fenêtre Couleurs afin de rendre la teinte plus foncée ou plus claire. Si vous faites glisser le curseur Opacité dans l’Inspecteur des graphismes, l’opacité de la teinte et de l’image change. Utilisation des figures Numbers comprend des figures prédessinées. Vous pouvez également créer vos propres figures personnalisées. Ajout d’une figure prédessinée Vous pouvez insérer des figures prédessinées, telles que des triangles, des flèches, des cercles et des rectangles, à utiliser comme graphismes simples. Voici plusieurs façons d’ajouter une figure prédessinée : m Cliquez sur Formes dans la barre d’outils, puis choisissez une forme dans le sous-menu Figures. Vous pouvez également choisir Insérer > Figure > type de figure. m Vous pouvez aussi dessiner vous-même la figure. Dans la barre d’outils, cliquez sur Figures tout en maintenant la touche Option enfoncée, relâchez la touche Option et choisissez une figure, puis faites glisser le pointeur en croix dans la feuille de calcul pour créer une figure de la taille souhaitée. Pour imposer la figure (par exemple, pour que les trois côtés d’un triangle soient égaux entre eux), maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous faites glisser. Ajout d’une figure personnalisée Vous pouvez utiliser l’outil de dessin pour créer vos propres figures. Pour créer une figure personnalisée : 1 Cliquez sur Figure dans la barre d’outils, choisissez Figures, puis sélectionnez l’icône de l’outil de dessin. Vous pouvez également sélectionner les menus Insertion > Figure > Dessiner une figure. Cliquez pour sélectionner une couleur de teinte pour l’image.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 183 Le pointeur, représentant au départ une flèche, se change alors en sorte de pointe de crayon. 2 Cliquez n’importe où sur la feuille pour créer le premier point de la figure personnalisée. 3 Pour créer un deuxième point et le connecter au premier via une ligne droite, cliquez simplement sur un autre endroit. Pour créer un segment courbe plutôt qu’un segment de ligne droite, cliquez sur le deuxième emplacement et faites-le glisser à l’aide de la souris pour modifier l’angle de la courbe ou agrandir cette dernière. Relâchez le bouton de la souris lorsque le tracé de la courbe vous convient. La ligne reliant les deux points suit le style de trait par défaut défini par le modèle que vous utilisez. Plus tard, vous pourrez changer le type de ligne utilisé grâce aux réglages du trait définis dans l’Inspecteur des graphismes. 4 Répétez l’étape 3 pour créer des points supplémentaires selon vos besoins. Chaque fois que vous ajoutez un nouveau point, Numbers le relie au point précédent par une ligne reprenant le style de trait défini ainsi qu’au premier point, mais sans ajouter de trait. Il remplit ensuite la figure de la couleur par défaut définie par le modèle que vous utilisez. Vous pouvez modifier la couleur de remplissage par la suite dans l’Inspecteur des graphismes à l’aide des réglages de Remplissage. Pour supprimer un segment que vous venez de créer, appuyez simplement sur la touche Suppr. Appuyez à nouveau sur la touche Suppr pour supprimer le segment précé- dent, et ainsi de suite. 5 Pour mettre fin au dessin et fermer la figure (c’est-à-dire ajouter une ligne pleine entre le dernier et le premier point), cliquez sur le premier point. Pour arrêter le traçage mais laisser la figure ouverte (c’est-à-dire qu’aucune ligne n’est dessinée entre le dernier et le premier point) afin de pouvoir continuer à la manipuler ultérieurement, appuyez sur la touche Échap ou double-cliquez sur le dernier point créé. Pour terminer et fermer une figure ouverte, cliquez une fois sur celle-ci pour la sélectionner, puis cliquez une deuxième fois pour afficher ses points. Double-cliquez sur l’un des points se trouvant à l’une des extrémités du segment ouvert. Le pointeur prend alors la forme d’une plume de stylo. Retrouvez ici le segment ouvert.184 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Si vous souhaitez ajouter des points supplémentaires, cliquez à d’autres endroits selon vos besoins. Lorsque le dessin est terminé, cliquez sur le point à l’extrémité du segment ouvert pour fermer la figure. Figures modifiables Avant de modifier les points d’une figure, vous devez faire en sorte que la figure soit modifiable. Voici plusieurs façons de rendre les figures modifiables : m Pour modifier les points d’une figure prédessinée, sélectionnez-la, puis choisissez Format > Figure > Rendre modifiable. Des points rouges apparaissent sur la figure. Faites glisser les points pour la modifier. Par la suite, pour modifier une figure prédessinée devenue modifiable, cliquez deux fois dessus lentement. m Pour rendre une figure personnalisée modifiable, cliquez une fois sur celle-ci pour la sélectionner, puis cliquez une deuxième fois pour afficher ses points. Manipulation des points d’une figure Vous pouvez modifier le contour d’une figure en ajoutant, en déplaçant ou supprimant des points. Vous devez d’abord rendre la figure modifiable, comme le décrit la rubrique « Figures modifiables » à la page 184. Voici plusieurs façons de manipuler les points d’une figure : m Pour ajouter un point, rendez la figure modifiable, puis appuyez sur la touche Option et placez le pointeur sur la bordure de la figure. Le pointeur change et prend la forme d’une plume de stylo accompagnée d’un signe plus (+). Cliquez sur la bordure à l’endroit où vous souhaitez ajouter un point, puis déplacez ce dernier si besoin. m Pour déplacer un point, rendez la figure modifiable, puis cliquez sur le point en question et faites-le glisser jusqu’à un nouvel emplacement. Vous pouvez déplacer plusieurs points en même temps en cliquant sur chacun d’entre eux tout en maintenant la touche Maj enfoncée, puis en les faisant glisser tous à la fois. m Pour supprimer un point, rendez la figure modifiable, puis cliquez sur le point à éliminer et appuyez sur la touche Suppr. Vous pouvez aussi supprimer plusieurs points en même temps en cliquant sur chacun d’entre eux tout en appuyant sur la touche Maj, puis en appuyant sur la touche Suppr. Cliquez sur un point et faites-le glisser pour modifier la figure.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 185 Modification du tracé d’une courbe Vous pouvez agrandir ou réduire une courbe ou modifier son angle. Pour redessiner une courbe : 1 Rendez la figure modifiable. 2 Cliquez sur une des commandes circulaires rouges de la courbe que vous voulez redessiner. Une poignée de commande apparaît des deux côtés de la commande circulaire. 3 Pour augmenter ou réduire la courbe, faites glisser la commande circulaire ou l’une des poignées de commande. 4 Pour modifier l’angle de la courbe, déplacez les poignées de commande dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans le sens contraire. Vous pouvez ainsi produire divers effets en déplaçant des poignées en même temps ou indépendamment l’une de l’autre. Prenez le temps de tester les options offertes jusqu’au résultat voulu. Pour déplacer toutes les poignées de commande à la fois, appuyez sur la touche Option et faites glisser l’une d’entre elles. Pour ne déplacer qu’une seule des poignées de commande, appuyez sur la touche Commande avant de faire glisser la poignée. Modification du tracé d’un segment droit Vous pouvez modifier l’angle que forment deux segments ou modifier la longueur d’un segment. Pour redessiner un segment droit : 1 Rendez la figure modifiable. 2 Cliquez sur un point d’angle. 3 Pour modifier l’angle formé par deux segments qui se rejoignent, faites glisser le point dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans l’autre sens. 4 Pour modifier la longueur de l’un des segments, faites glisser le point vers l’extérieur ou vers l’intérieur. Faites glisser ou faites pivoter une des poignées de commande afin de modifier la courbe. Vous pouvez également faire glisser un point pour modifier la courbe.186 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Conversion de points d’angle en points de courbe et vice-versa Vous pouvez transformer un ou plusieurs points en courbes ou courbes en points. Voici plusieurs façons de convertir des points d’angle en points courbes, et vice-versa : m Pour convertir un point d’angle en point de courbe, rendez la figure modifiable et double-cliquez sur le point d’angle. m Au contraire, pour convertir un point de courbe en point d’angle, rendez la figure pour modifiable et double-cliquez sur le point de courbe. m Pour convertir tous les points d’angle d’une ou de plusieurs figures en points de courbe, rendez les figures modifiables, sélectionnez la ou les figures concernées, puis sélectionnez Format > Figure > Arrondir le contour. m Pour convertir tous les points de courbe d’une ou de plusieurs figures en points d’angle, rendez les figures modifiables, sélectionnez la ou les figures concernées, puis sélectionnez Format > Figure > Affûter le contour. Après qu’une figure soit configurée pour être modifiable, vous pouvez utiliser les commandes Arrondir le contour et Affûter le contour sans avoir à la reconfigurer comme étant modifiable à nouveau. Modification de figures prédessinées spécifiques Certaines figures prédessinées disposent de contrôles d’édition intégrés spéciaux. Modification d’un rectangle aux coins arrondis Le rectangle aux coins arrondis comprend un contrôle circulaire qui vous permet de modifier ses angles. Pour modifier un rectangle aux coins arrondis : m Sélectionnez la figure, puis faites glisser son contrôle circulaire vers la gauche pour redresser les coins et vers la droite pour les arrondir. Faites glisser pour redresser ou arrondir le coin.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 187 Modification de flèches simples et doubles Les flèches disposent de trois contrôles spéciaux. Voici plusieurs façons de modifier les flèches simples et doubles après les avoir sélectionnées : m Faites glisser la poignée de sélection se trouvant sur la queue ou sur la tête de la flèche pour augmenter ou réduire la longueur et la largeur de la queue sans changer la forme de sa tête. m Faites glisser le contrôle circulaire vers le haut ou vers le bas pour modifier la largeur de la queue. m Faites glisser le contrôle circulaire vers la gauche ou vers la droite pour redimensionner la tête de la flèche. Modification d’une étoile La figure en forme d’étoile dispose d’un curseur permettant d’augmenter ou de réduire le nombre de ses branches et d’un contrôle circulaire permettant de modifier les angles entre celles-ci. Voici plusieurs façons de modifier une étoile : m Lorsque vous sélectionnez une figure en forme d’étoile, le curseur apparaît. Faites glisser le curseur pour augmenter ou réduire le nombre de points constituant l’étoile. m Faites glisser le contrôle circulaire pour modifier les angles formés par les branches de l’étoile. Faites glisser pour modifier la longueur de la queue de la flèche. Faites glisser vers le haut ou vers le bas pour modifier la largeur de la queue de la flèche. Faites glisser vers la gauche ou vers la droite pour redimensionner la tête de la flèche. Faites glisser pour changer les angles entre les points de l’étoile. Visualisez le nombre de points constituant actuellement l’étoile. Faites glisser pour augmenter ou réduire le nombre de points 188 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Modification d’un polygone Le polygone dispose d’un curseur permettant d’augmenter ou de réduire le nombre de ses côtés. Pour modifier un polygone : m Lorsque vous sélectionnez le polygone, le curseur apparaît. Faites glisser le curseur afin d’augmenter ou de réduire le nombre de côtés constituant le polygone. Utilisation des paramètres fictifs multimédias Certains modèles Numbers contiennent des paramètres fictifs multimédia. Vous pouvez faire glisser vos propres images, séquences vidéo et fichiers audio jusque sur ces paramè- tres fictifs. Votre fichier multimédia est alors automatiquement redimensionné et correctement positionné. Vous pouvez aisément remplacer un élément situé sur un paramètre fictif multimédia en y faisant glisser un nouveau fichier ; il est inutile de supprimer l’ancien fichier au préalable. Vous pouvez reconnaître un paramètre fictif multimédia si vous placez le pointeur de la souris dessus ; une balise d’aide apparaît et vous invite à y faire glisser votre image à cet emplacement. Voici plusieurs façons d’utiliser les paramètres fictifs multimédias : m Faites glisser un fichier du Navigateur de média, du Finder ou d’une autre application jusque sur le paramètre fictif multimédia. Pour ouvrir le Navigateur de média, cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils. Cliquez sur un des boutons en haut de la fenêtre pour rechercher des photos, des fichiers audio ou des séquences vidéo. m Pour modifier le contenu d’un paramètre fictif multimédia, faites glisser un nouveau fichier multimédia sur le contenu existant. m Pour convertir une image de paramètre fictif en image ordinaire, sélectionnez-la, choisissez Format > Avancé, puis désactivez « Définir comme paramètre fictif multimédia » dans le sous-menu. Pour remplacer une image ordinaire, vous devez tout d’abord la supprimer. Faites glisser afin d’augmenter ou de réduire le nombre de côtés constituant le polygone. Visualisez le nombre de côtés constituant actuellement le polygone.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 189 m Pour supprimer un paramètre fictif multimédia, sélectionnez-le et appuyez sur la touche Suppr. m Pour créer un paramètre fictif multimédia, suivez les instructions de la rubrique « Création de paramètres fictifs multimédia dans un modèle personnalisé » à la page 212. Utilisation des images Numbers accepte tous les formats pris en charge par QuickTime, y compris les types de fichiers image suivants :  TIFF  GIF  JPEG  PDF  PSD  EPS  PICT Une fois que vous avez importé une image dans une feuille de calcul, vous pouvez la masquer (ou la rogner) et en modifier la luminosité et d’autres réglages. Vous pouvez placer une image à l’intérieur d’une figure, d’une zone de texte, d’un élément de graphique ou d’une cellule de tableau. Numbers vous permet aussi de produire des graphismes avec transparence (graphismes avec canal alpha). Importation d’une image Importez une image directement à partir du Finder ou du Navigateur de média. Il existe différentes manières d’importer un fichier image : m Faites glisser un fichier image du Finder jusque sur la feuille de calcul et placez-le à l’endroit souhaité. m Cliquez sur Multimédia sur la barre d’outils, sur Photos dans la fenêtre du navigateur de média, sélectionnez l’album dans lequel se trouve la photo, puis faites glisser la vignette à l’endroit souhaité. m Choisissez Insertion > Choisir, sélectionnez le fichier image, puis cliquez sur Insérer. Faites glisser l’image pour la positionner à l’endroit souhaité. m Pour ajouter un fichier image à l’aide d’un paramètre fictif multimédia, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des paramètres fictifs multimédias » à la page 188. Masquage (rognage) d’images Vous pouvez rogner des images sans modifier réellement les fichiers en masquant des parties d’images.190 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Rognage d’une image à l’aide du masque par défaut (de forme rectangulaire) Vous pouvez utiliser un masque rectangulaire pour définir les limites d’une image. Pour rogner une image à l’aide du masque par défaut (de forme rectangulaire) : 1 Importez l’image que vous souhaitez masquer (pour en savoir plus, consultez la rubrique « Importation d’une image » à la page 189). 2 Sélectionnez l’image, puis choisissez Format > Masquer. Un masque redimensionnable se superpose à l’image et des contrôles s’affichent. 3 Pour redimensionner l’image, déplacez le curseur horizontal. 4 Affinez le masque. Faites glisser les poignées de sélection pour redimensionner le masque. Pour conserver les proportions du masque, appuyez sur la touche Maj et maintenez-la enfoncée lorsque vous faites glisser les poignées de sélection. Pour faire pivoter le masque, maintenez enfoncée la touche Commande tout en faisant glisser une poignée de sélection d’angle. Placez le masque sur la partie de l’image à afficher. Vous pouvez cliquer sur le bord du masque sélectionné et faire glisser le masque. Vous pouvez également cliquer sur l’image mais à l’extérieur du masque puis faire glisser l’image. 5 Pour rendre visible uniquement la partie située sous le masque, double-cliquez sur le masque, appuyez sur la touche Retour, ou cliquez en dehors de l’image, ou cliquez sur Modifier le masque. Les bordures de l’image masquée sont représentées par des pointillés. 6 Pour redimensionner ou faire pivoter l’image masquée, faites glisser (respectivement en maintenant ou pas la touche Commande enfoncée) les poignées de sélection. 7 Pour annuler la sélection de l’image et masquer les commandes de masque, cliquez en dehors de l’image. Pour afficher la totalité de l’image, double-cliquez dessus. Pour modifier le masque, cliquez sur Modifier le masque. Redimensionner le masque en faisant glisser les poignées de sélection. Centrer le masque en le faisant glisser sur la partie de l’image à afficher. Faire glisser le curseur pour redimensionner l’image. Cliquer sur ce bouton pour afficher ou masquer la zone à l’extérieur du masque.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 191 Masquer une image par une figure Vous pouvez utiliser une figure pour définir les limites d’une image. Pour masquer une image par une forme : 1 Sélectionnez l’image, puis Format > Masquer avec une figure > figure. Vous pouvez également cliquer en appuyant sur la touche Maj pour sélectionner une figure et une image, puis cliquer sur Masquer dans la barre d’outils (ou sélectionnez Format > Masquer avec la figure sélectionnée). 2 Faites glisser l’image pour positionner la partie que vous voulez afficher. Pour déplacer le masque, cliquez sur le bord en pointillés du masque et faites-le glisser. 3 Pour redimensionner l’image, faites glisser le curseur situé au-dessus du bouton Modifier le masque. 4 Faites glisser les poignées de sélection pour redimensionner le masque. 5 Pour rendre visible uniquement la partie située sous le masque, double-cliquez sur le masque ou sur l’image, appuyez sur la touche Retour, ou cliquez en dehors de l’image, ou cliquez sur Modifier le masque. 6 Pour redimensionner l’image masquée, cliquez sur Modifier le masque et faites glisser les poignées de sélection. 7 Pour annuler la sélection de l’image et masquer les commandes de masque, cliquez en dehors de l’image. Pour modifier une image masquée, double-cliquez dessus. Remarque : si vous utilisez une figure contenant du texte comme masque, le texte est supprimé. Pour restaurer le texte, sélectionnez Édition, puis « Annuler Masquer avec une figure ». Vous pouvez également faire glisser une image sur la figure pour la masquer. Suppression du masque d’une image Vous pouvez supprimer un masque et restaurer l’image d’origine. Pour ne plus masquer une image : m Sélectionnez l’image masquée, puis cliquez sur Format > Ne plus masquer. Suppression de l’arrière-plan ou des éléments superflus d’une image L’outil Alpha permet de convertir certaines couleurs d’une image en couleurs transparentes. Cette fonction est utile pour supprimer un arrière-plan ou d’autres couleurs superflus. Vous obtiendrez des résultats optimaux si vous supprimez des couleurs unies dont les limites sont bien définies. Pour supprimer des zones moins bien délimitées, sélectionnez une zone de taille plus réduite et répétez le processus.192 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Pour supprimer des éléments superflus : 1 Sélectionnez l’image. 2 Sélectionnez Format > Alpha instantané. 3 Cliquez sur la couleur que vous voulez rendre transparente, puis faites glisser le curseur lentement au-dessus. À mesure que vous faites glisser le pointeur, la sélection s’agrandit pour englober la zone qui est de la même couleur. Plus vous faites glisser, plus la taille de la zone sélectionnée de l’image est importante. 4 Répétez la troisième étape autant de fois que vous le souhaitez. 5 Lorsque vous avez terminé, cliquez à l’extérieur de l’image ou appuyez sur la touche Retour. À tout moment, vous pouvez restaurer les parties supprimées de l’image. Pour rétablir l’image d’origine, sélectionnez Format > Supprimer l’alpha instantané. Pour restaurer des parties d’image supprimées à l’aide de la commande Alpha instantané, sélectionnez Édition > Annuler jusqu’à ce que les parties soient restaurées. Modification de la luminosité, du contraste et des autres réglages d’une image Vous pouvez modifier la luminosité, le contraste et certains autres réglages des images pour améliorer leur qualité ou créer des effets intéressants. Les ajustements que vous effectuez ne modifient pas l’image d’origine, mais seulement son apparence dans Numbers. En faisant glisser le pointeur, vous sélectionnez la zone contiguë de même couleur. Faites glisser davantage ici.... ...pour sélectionner une plus grande partie de l’image.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 193 Pour ajuster une image : 1 Sélectionnez l’image. 2 Sélectionnez Présentation > Afficher « Ajuster l’image » pour ouvrir la fenêtre Ajuster l’image. 3 Utilisez les contrôles suivants pour réaliser les réglages. Améliorer : ce bouton ajuste automatiquement l’image. Luminosité : règle la luminosité de l’image. Contraste : règle le contraste et les tons clairs et foncés. Ainsi, vous pouvez rendre les ombres plus sombres, accentuer les bords d’objets ou faire ressortir les couleurs. Si vous augmentez considérablement le contraste d’une photo, celle-ci ressemblera plus à une illustration. Saturation : modifie l’intensité des couleurs. Température : permet de privilégier des tons plus chauds (plus orangés) ou plus froids (plus bleutés). Teinte : modifie la quantité de tons rouges ou verts dans l’image. Netteté : rend la mise au point de l’image plus ou moins précise. Exposition : permet de privilégier les zones d’ombre ou les zones de lumière. L’histogramme : vous aide à comprendre la répartition entre zones d’ombre (représentées à gauche de l’affichage) et zones de lumière (représentées sur la droite) de l’image. Niveaux : modifie les niveaux des tons clairs et foncés. Niveaux automatiques : fait en sorte que Numbers améliore les couleurs automatiquement. Réglez le contraste entre les tons clairs et foncés. Modifiez l’intensité de la couleur. Augmentez la chaleur de la couleur ou réduisez-la. Modifiez la proportion des tons rouges et verts. Affinez la mise au point. Ajustez l’ombre et la lumière. Appréciez la relation existant entre les ombres et l’éclairage. Modifiez le niveau des tons foncés et clairs. Rétablissez les réglages d’origine. Améliorez les couleurs automatiquement. Ajustez la lumière.194 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 4 Pour rétablir les réglages d’origine, cliquez sur Réinitialiser l’image. Pour enregistrer toutes les modifications que vous avez apportées, enregistrez la feuille de calcul. Les réglages au moment où vous enregistrez la feuille de calcul sont consultables à tout moment dans la fenêtre Ajuster l’image. Utilisation de fichiers PDF en tant que graphismes Si vous prévoyez d’augmenter ou de réduire fortement les dimensions d’un graphisme, envisagez de le convertir au format PDF avant de l’insérer dans Numbers. Les fichiers PDF ne perdent pas leur précision lorsqu’ils sont redimensionnés. Les autres types de fichier peuvent ne pas conserver toute leur netteté lorsqu’ils sont agrandis ou réduits. Les fichiers PDF offrent également un bon moyen de déplacer des données tabulaires de documents Excel ou AppleWorks dans Numbers. Si vous souhaitez incorporer des tableaux d’une feuille de calcul Excel ou AppleWorks, dont la mise en forme est complexe, à votre feuille de calcul, vous pouvez enregistrer la feuille au format PDF, puis placer ce fichier PDF sur une page comme vous le feriez avec n’importe quel autre fichier image externe. Pour convertir un fichier Excel ou AppleWorks en fichier PDF : 1 Dans votre feuille de calcul Excel ou AppleWorks, sélectionnez la plage du tableau que vous souhaitez afficher dans votre feuille de calcul. 2 Choisissez Fichier > Imprimer. 3 Dans la zone de dialogue Imprimer, choisissez « Enregistrer en format PDF » dans le menu local PDF. 4 Dans la zone de dialogue Enregistrer, saisissez un nom pour le fichier PDF, sélectionnez un emplacement, puis cliquez sur Enregistrer. Vous pouvez copier une plage de cellules d’un document Excel et les coller ainsi que leur contenu directement dans votre feuille de calcul. Numbers crée alors un nouveau tableau pour accueillir les données Excel. Vous pouvez aussi convertir une image en fichier PDF à l’aide de l’application Capture. Ouvrez Capture (qui se trouve dans le dossier Applications/Utilities). Choisissez Capturer > Sélection pour sélectionner la zone écran sur laquelle vous voulez créer une image. Sélectionnez Fichier > Imprimer pour enregistrer l’image en tant que PDF.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 195 Utilisation du son et de séquences Vous pouvez ajouter du son, des séquences vidéo et des fichiers Flash à votre feuille de calcul si vous envisagez de l’afficher sur un écran en tant que fichier Numbers. La lecture du fichier vidéo ou audio commence lorsque vous double-cliquez sur l’icône correspondante. Remarque : certains fichiers multimédia sont protégés par des droits d’auteur. Il se peut aussi que certaines musiques téléchargées ne puissent être lues que sur l’ordinateur ayant été utilisé pour leur téléchargement. Assurez-vous que vous disposez bien de l’autorisation nécessaire pour utiliser les fichiers que vous souhaitez inclure. Numbers accepte tout type de fichier QuickTime ou iTunes, y compris les suivants :  MOV  FLASH  MP3  MPEG-4  AIFF  AAC Important : pour vérifier que les séquences ou autres données multimédias pourront être lues et affichées si votre document est transmis à un autre ordinateur, vérifiez que l’option « Copier l’audio et la vidéo dans le document » est sélectionnée ; lorsque vous avez sélectionné Enregistrer ou Enregistrer sous, cliquez sur le triangle d’affichage à côté du champ, puis sur Options avancées. Ajout d’un fichier son Ajoutez un fichier son dont vous pouvez lancer la lecture en double-cliquant sur son icône. Voici plusieurs façons d’ajouter un fichier son : m Faites glisser un fichier son du Finder sur une feuille. m Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils, cliquez sur Audio, sélectionnez un fichier audio et faites glisser le fichier vers la feuille. m Pour ajouter un fichier audio à l’aide d’un paramètre fictif multimédia, reportez-vous à la rubrique « Utilisation des paramètres fictifs multimédias » à la page 188.196 Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets Ajout d’un fichier de séquence Ajoutez un fichier de séquence dont vous pouvez lancer la lecture en double-cliquant sur son icône. Voici plusieurs façons d’ajouter une séquence vidéo : m Faites glisser un fichier vidéo du Finder sur une feuille. m Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils, cliquez sur Séquences, sélectionnez un fichier, puis faites-le glisser sur la feuille. Pour afficher les séquences répertoriées dans la sous-fenêtre Séquences du navigateur de média, vous devez les placer dans le dossier Séquences du Finder, dans iTunes ou dans iPhoto. m Choisissez Insertion > Choisir, sélectionnez le fichier de séquence, puis cliquez sur Insérer. m Pour ajouter un fichier de séquence à l’aide d’un paramètre fictif multimédia, consultez la rubrique « Utilisation des paramètres fictifs multimédias » à la page 188. Réglage des options de lecture des fichiers multimédias Dans l’Inspecteur QuickTime, vous pouvez modifier des paramètres tels que le début ou la fin d’une séquence et le cadre à afficher jusqu’à ce que la séquence commence. Pour définir les préférences de lecture : 1 Dans la barre d’outils, cliquez sur Inspecteur puis sur le bouton Inspecteur QuickTime. 2 Cliquez sur la séquence ou sur l’objet sonore pour le sélectionner. 3 Pour démarrer ou arrêter la lecture de la séquence sur des images particulières ou à des moments donnés, faites glisser les curseurs de départ et de fin. 4 Pour spécifier l’image de séquence (appelée « affiche ») à afficher en attendant le début de la lecture, faites glisser le curseur Affiche jusqu’à ce que l’image souhaitée de la séquence s’affiche.Chapitre 8 Utilisation des figures, des graphismes et d’autres objets 197 5 Choisissez une option de répétition dans le menu local Répétition : Aucune : une seule lecture. Boucle : lecture en continu. Lecture en boucle dans les 2 sens : lecture en continu vers l’avant et vers l’arrière. 6 Pour augmenter ou diminuer le volume, faites glisser le curseur Volume vers la droite ou vers la gauche. Réglez le volume. Régler les options de répétition de lecture. Sélectionnez l’image à afficher en attendant le démarrage de la lecture de la séquence. Utiliser ces contrôles pour visionner la séquence vidéo ou écouter le fichier son tout en modifiant la feuille de calcul. Bouton Inspecteur QuickTime Commencer et arrêter une séquence vidéo à un instant spécifique.9 198 9 Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un tableau Ce chapitre explique comment ajouter des informations de contact stockées dans le Carnet d’adresses et des vCards à un tableau Numbers. Les champs du Carnet d’adresses sont une source abondante de noms, de numéros de téléphone, d’adresses et de données personnelles. Vous pouvez utiliser les données du Carnet d’adresses pour créer rapidement des tableaux qui réunissent les informations dont vous avez besoin sur vos contacts professionnels, vos proches, les points de contact pour vos vacances, etc. Utilisation des champs de Carnet d’adresses Vous pouvez insérer des données tirées des champs du Carnet d’adresses dans des tableaux Numbers. Vous pouvez également ajouter des données tirées d’une carte de visite virtuelle (appelée vCard) que l’on vous a envoyée. Si un tableau contient un rang d’en-tête contenant des noms qui correspondent à ceux que l’on retrouve dans le Carnet d’adresses ou dans des vCards, vous pouvez ajouter des données des contacts en faisant glisser les cartes voulues sur le tableau. Vous pouvez également créer un tableau en faisant glisser des cartes sur le canevas.Chapitre 9 Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un tableau 199 Mappage des noms de colonne aux noms issus de champs du Carnet d’adresses Le tableau suivant répertorie les champs de Carnet d’adresses que Numbers prend en charge. Les synonymes sont des noms de substitution que vous pouvez ajouter à la valeur d’un champ de Carnet d’adresses particulier. Noms de champs de Carnet d’adresses Synonymes de noms de champ Préfixe Titre, préfixe du nom Nom Nom de famille Prénom Suffixe Suffixe de nom, suffixe professionnel, suffixe académique Surnom Nom de jeune fille Profession Service Service d’emplois Entreprise Téléphone (premier numéro disponible) Téléphone (principal) Téléphone bureau Téléphone domicile Portable Téléphone portable, téléphone mobile, téléphone cellulaire, cellulaire Fax domicile Fax travail Messageur Bippeur Autre téléphone Adresse électronique (première adresse disponible) Adresse électronique Adresse électronique professionnelle Adresse électronique privée Autre adresse électronique Adresse URL (première adresse URL disponible) Adresse URL professionnelle Adresse URL privée Autre adresse URL Anniversaire200 Chapitre 9 Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un tableau AIM (première adresse disponible) Message instantané, pseudonyme de message instantané, nom de message instantané, adresse de message instantané, conversation, pseudonyme de conversation, nom de conversation, adresse de conversation Adresse AIM professionnelle AIM (bureau), message instantané (bureau), pseudonyme de message instantané (bureau), nom de message instantané (bureau), adresse de message instantané (bureau), conversation (bureau), pseudonyme de conversation (bureau), nom de conversation (bureau), adresse de conversation (bureau) Adresse AIM personnelle AIM (domicile), message instantané (domicile), pseudonyme de message instantané (domicile), nom de message instantané (domicile), adresse de message instantané (domicile), conversation (domicile), pseudonyme de conversation (domicile), nom de conversation (domicile), adresse de conversation (domicile) Autre adresse AIM AIM (autre), message instantané (autre), pseudonyme de message instantané (autre), nom de message instantané (autre), adresse de message instantané (autre), conversation (autre), pseudonyme de conversation (autre), nom de conversation (autre), adresse de conversation (autre) Yahoo Adresse Yahoo! Adresse Yahoo! personnelle Autre adresse Yahoo! Adresse Adresse (première adresse disponible) Rue Ville (première ville disponible) Municipalité Région/Province (première région/province disponible) Code postal Pays (premier pays disponible) Adresse professionnelle Adresse (bureau) Rue (bureau) Ville (bureau) Municipalité (bureau) État (bureau) Code postal (bureau) Pays (bureau) Adresse privée Adresse (domicile) Domicile Ville (domicile) Municipalité (domicile) Noms de champs de Carnet d’adresses Synonymes de noms de champChapitre 9 Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un tableau 201 Ajout de données issues du Carnet d’adresses à un tableau existant Vous pouvez ajouter des données issues du Carnet d’adresses ou d’une vCard à un tableau si le rang d’en-tête du tableau contient des noms qui correspondent au nom des champs répertoriés dans « Mappage des noms de colonne aux noms issus de champs du Carnet d’adresses » à la page 199. Pour ajouter des données tirées des contacts à un tableau existant : 1 Identifiez les champs issus du Carnet d’adresses ou de vCards dont vous souhaitez copier la valeur dans le tableau. 2 Assurez-vous que ce dernier possède un rang d’en-tête dont les cellules contiennent des noms de champs de Carnet d’adresses ou de vCard. Les données des champs qui ne peuvent être associées à une cellule de rang d’en-tête ne sont alors pas ajoutées au tableau. 3 Dans le Carnet d’adresses, sélectionnez les contacts ou groupes voulus, puis faites-les glisser sur le tableau. De même, vous pouvez également faire glisser des vCards sur le tableau. Des rangées s’ajoutent au besoin pour intégrer toutes les données. Si les données d’un contact figurent déjà dans le tableau, une autre rangée est ajoutée pour le contact en question. Vous pouvez retrouver les rangées en double en recourant au tri, comme le décrit la rubrique « Tri des cellules d’un tableau » à la page 85. État (domicile) Code postal (domicile) Pays (domicile) Autre adresse Adresse (autre) Rue (adresse) Ville (autre adresse) Municipalité (autre) État (autre adresse) Code postal (autre adresse) Code postal (autre) Pays (autre adresse) Remarque Remarques Noms de champs de Carnet d’adresses Synonymes de noms de champ202 Chapitre 9 Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un tableau Ajout de données tirées du Carnet d’adresses à un nouveau tableau Vous pouvez utiliser des données extraites du Carnet d’adresses ou d’une vCard afin de créer un tableau contenant une rangée pour chaque contact. Il existe plusieurs façons de créer un tableau contenant des données propres aux contacts : m Dans le Carnet d’adresses, sélectionnez les cartes voulues ou un groupe, puis faites glisser votre sélection sur le canevas. m Faites glisser les vCards choisies sur le canevas. Le tableau contient une colonne pour chaque champ nommé vCard ou du Carnet d’adresses, comme l’indique la rubrique « Mappage des noms de colonne aux noms issus de champs du Carnet d’adresses » à la page 199. Cependant, seuls les champs Nom, Prénom, Téléphone et Adresse électronique sont alors visibles, les autres colonnes étant masquées. Pour afficher ces colonnes masquées, choisissez Tableau > Afficher toutes les colonnes. Vous pouvez ensuite supprimer ou renommer des colonnes si nécessaire.10 203 10 Partage de votre feuille de calcul Numbers Ce chapitre décrit les différents moyens dont vous disposez pour diffuser votre feuille de calcul Numbers afin que d’autres utilisateurs la visualisent ou l’utilisent. En plus d’imprimer ou de faxer une feuille de calcul, vous pouvez la partager électroniquement. En l’exportant vers d’autres formats de document, vous pouvez collaborer avec d’autres personnes qui utilisent Excel ou d’autres applications. Vous pouvez également envoyer un document directement à iWeb pour l’attacher à une entrée de blog. Impression d’une feuille Vous pouvez utiliser le mode Impression pour présenter une feuille sur plusieurs pages avant de l’imprimer. Pour imprimer une feuille : 1 Pour mettre en forme une feuille sur plusieurs pages, reportez-vous à la rubrique « Division d’une feuille en pages » à la page 41. 2 Sélectionnez la feuille à imprimer. 3 Choisissez Fichier > Imprimer la feuille. 4 Pour obtenir un aperçu de la feuille avant de l’imprimer, cliquez sur le bouton Aperçu dans la zone de dialogue Imprimer. La feuille s’ouvre dans la fenêtre Aperçu, ce qui permet d’afficher chaque page telle qu’elle se présente à l’impression. Pour plus d’informations sur l’utilisation de l’aperçu, reportez-vous à l’aide. Choisissez Aide > Aide Aperçu lorsque la fenêtre Aperçu est active.204 Chapitre 10 Partage de votre feuille de calcul Numbers Sélectionnez Épreuve-écran dans le coin inférieur gauche de la fenêtre Aperçu afin de tenir compte des possibilités de votre imprimante. Par exemple, si vous imprimez un document couleur sur une imprimante noir et blanc, l’option Épreuve-écran affiche l’aperçu du document en noir et blanc. Cliquez sur Imprimer afin d’imprimer votre feuille directement à partir de la fenêtre Aperçu. Cliquez sur Annuler, cliquez quelque part sur votre feuille, puis choisissez Fichier > Imprimer la feuille, pour configurer des options d’impression supplémentaires. 5 Choisissez l’imprimante que vous souhaitez utiliser dans le menu local Imprimante. Tapez le nombre d’exemplaires que vous souhaitez imprimer dans le champ Copies, puis cochez la case Triées si vous souhaitez imprimer chaque groupe de pages dans l’ordre avant d’imprimer le groupe suivant. Si vous souhaitez imprimer un lot de pages 1, puis de pages 2, puis de pages 3, etc., désélectionnez la case. 6 À travers le menu local Copies et pages de la zone de dialogue Imprimer, vous pouvez sélectionner des options d’impression. Vous pouvez imprimer votre feuille en ordre inverse, n’imprimer que les pages impaires ou que les pages paires, imprimer une page de couverture (page séparatrice), etc. Pour savoir comment imprimer en recto verso, consultez « Choix d’options de disposition pour l’impression » ; pour savoir comment gérer les réglages des couleurs, reportez-vous à la rubrique « Ajustement de la couleur d’impression avec ColorSync » à la page 205. 7 Cliquez sur Imprimer. Choix d’options de disposition pour l’impression Imprimez en recto verso et réglez d’autres options qui contrôlent l’impression d’une chaque page d’une feuille. Pour sélectionner des options de disposition : 1 Choisissez Fichier > Imprimer la feuille. 2 Dans la zone de dialogue Imprimer, choisissez Disposition dans le menu local situé en dessous du menu local Préréglages.Chapitre 10 Partage de votre feuille de calcul Numbers 205 3 Pour imprimer plusieurs pages sur une seule feuille de papier, choisissez Mise en page dans le menu local situé sous le menu local Préréglages. Choisissez le nombre de pages à afficher sur chaque page, dans le menu local « Page(s) par feuille ». Sélectionnez une orientation, puis choisissez le style de ligne souhaité pour séparer chaque page imprimée à partir du menu local Bordure. 4 Pour imprimer recto-verso, choisissez Mise en page dans le menu local situé sous le menu local Préréglages, puis sélectionnez une option de reliure. Reliure côté long : imprime les pages à relier dans la longueur. Reliure côté court : imprime les pages à relier côté court du papier. Toutes les imprimantes ne peuvent pas être utilisées en recto verso. Reportez-vous à la documentation fournie avec l’imprimante. 5 Pour enregistrer vos options d’impression en tant que préréglage que vous pourrez réutiliser par la suite, choisissez Enregistrer sous dans le menu local Préréglages de la zone de dialogue Imprimer, puis attribuez un nom au préréglage. Pour utiliser les mêmes paramètres ultérieurement, choisissez le nom du préréglage dans le menu local Préréglages. Ajustement de la couleur d’impression avec ColorSync Vous pouvez éclaircir ou assombrir les feuilles imprimées, leur affecter une teinte sépia, ou encore ajouter d’autres effets en ajoutant un filtre Quartz à la sortie pour votre imprimante. Le filtre exploite la technologie ColorSync afin de modifier la feuille imprimée sans modifier la feuille proprement dite. Toutes les imprimantes ne peuvent pas imprimer en couleur. Reportez-vous à la documentation fournie avec l’imprimante. Imprimez d’abord de gauche à droite, puis vers le bas. Imprimez les pages d’abord de droite à gauche, puis vers le bas. Imprimez les pages d’abord de haut en bas, puis vers la droite. Imprimez les pages d’abord de haut en bas, puis vers la gauche. Consultez un aperçu de votre mise en page. Sélectionnez les options d’impression recto verso. Choisissez un style du trait afin de séparer les pages lors de l’impression d’une feuille sur plusieurs pages.206 Chapitre 10 Partage de votre feuille de calcul Numbers Pour ajuster la couleur imprimée : 1 Choisissez Fichier > Imprimer la feuille. 2 Choisissez ColorSync dans le menu local sous le menu local Préréglages dans la zone de dialogue Imprimer. 3 Choisissez une option dans le menu local Conversion des couleurs. Standard : utilise les réglages par défaut dans Numbers afin de contrôler la gestion des couleurs de la feuille imprimée. Par l’imprimante : permet à l’imprimante que vous utilisez de contrôler la gestion des couleurs de la feuille imprimée. 4 Choisissez une option dans le menu local Filtre Quartz. Pour obtenir un aperçu de la feuille imprimée avec le filtre Quartz que vous avez choisi, cliquez sur Aperçu. Après avoir sélectionné le filtre Quartz souhaité, vous pouvez enregistrer ce réglage dans votre préréglage. Pour plus d’informations sur ColorSync et les filtres Quartz, reportez-vous à l’Aide Utilitaire ColorSync en ouvrant l’application ColorSync (située dans Applications/Utilitaires), puis en choisissant Aide > Aide Utilitaire ColorSync. Exportation vers d’autres formats de document Vous pouvez partager vos feuilles de calcul Numbers entre différentes plates-formes en les exportant vers un fichier Excel, PDF ou CSV (« comma-separated values », dont les valeurs sont séparées par des virgules). Pour exporter une feuille de calcul vers un autre format de fichier : 1 Choisissez Fichier > Exporter. 2 Choisissez un format de document. PDF : les fichiers PDF peuvent être générés en utilisant une qualité d’image définie comme bonne, supérieure ou encore optimale. Ils peuvent être visualisés ou imprimés dans Aperçu, visualisés ou imprimés dans Safari, et modifiés avec une application PDF. Sélectionnez Toutes les feuilles dans le menu local Disposition pour créer un fichier PDF affichant chaque feuille sur une page différente. Sélectionnez Feuille active dans le menu local Disposition pour créer un fichier PDF de la feuille sélectionnée. L’icône de l’utilitaire ColorSyncChapitre 10 Partage de votre feuille de calcul Numbers 207 Excel : ces fichiers peuvent être ouverts et modifiés dans Microsoft Excel sur un ordinateur fonctionnant sous Mac OS X ou sous Windows. Chaque tableau est converti en feuille de calcul Excel et tous les autres objets sont placés sur des feuilles de calcul séparées si plusieurs tableaux sont disponibles. Certains calculs de formule peuvent être différents dans Excel. CSV : la plupart des tableurs prennent en charge le format de fichier CSV. Dans un fichier CSV, les valeurs des cellules sur chaque rangée sont séparées à l’aide d’une virgule, et chaque rangée est séparée à l’aide d’un caractère de fin de ligne. Chaque tableau est placé dans son propre fichier CSV et tous les fichiers sont placés dans un dossier. Les graphismes ne sont pas exportés. Les dernières valeurs calculées sont exportées. 3 Cliquez sur Suivant. 4 Attribuez un nouveau nom au document. 5 Choisissez l’emplacement où enregistrer le document. 6 Cliquez sur Exporter. Envoi d’une feuille de calcul à iWeb Si vous utilisez (ou prévoyez d’utiliser) iWeb pour créer un site web, vous pouvez envoyer une feuille de calcul Numbers directement à votre blog ou à votre podcast iWeb. La feuille de calcul apparaît sous la forme d’une pièce jointe que les visiteurs de votre site web peuvent télécharger. Pour envoyer une feuille de calcul à iWeb : 1 Vérifiez qu’iWeb 08, ou une version ultérieure, est installé sur votre ordinateur. 2 Ouvrez votre feuille de calcul Numbers et choisissez Fichier > Envoyer à iWeb > PDF, ou choisissez Fichier >Envoyer à iWeb > Document Numbers. PDF permet de créer une version PDF de votre feuille de calcul. Document Numbers crée une archive de votre feuille de calcul. 3 Si iWeb n’est pas ouvert, il s’ouvre et vous pouvez alors choisir un blog ou un podcast, nouveau ou existant, auquel vous pouvez joindre votre feuille de calcul. Si vous n’avez créé qu’un seul blog ou podcast, la feuille de calcul y est jointe. Lorsque vous publiez votre site web, les visiteurs s’abonnant à votre blog ou à votre podcast recevront automatiquement les dernières pièces jointes dans leur bibliothè- que iTunes (au format PDF uniquement). Pour en savoir plus sur l’utilisation d’iWeb pour concevoir et publier des pages web, ouvrez iWeb et choisissez Aide > Aide iWeb.11 208 11 Conception de vos modèles personnalisés de feuilles de calcul Numbers Ce chapitre est destiné aux personnes qui souhaitent créer leurs propres modèles de feuille de calcul. Il suppose que vous êtes déjà familiarisé avec les fonctionnalités de Numbers décrites dans les chapitres précédents. Conception d’un modèle Les modèles fournis avec Numbers présentent des idées pour l’élaboration de l’aspect visuel de graphiques, de tableaux et autres objets. La création de modèles personnalisés peut se limiter à l’ajout du logo de votre société à un modèle existant. Vous pouvez également modifier les attributs d’un modèle Numbers à l’aide :  de styles de tableaux ;  de tableaux réutilisables accessibles en cliquant sur Tableaux dans la barre d’outils ;  d’une mise en forme par défaut pour différents types de graphiques ;  d’attributs par défaut de zones de texte, de figures et d’images ;  de nombres et de noms des feuilles ;  de contenu prédéfini inséré dans les feuilles, tel que du texte, des tableaux et des paramètres fictifs multimédia. Vous pouvez également créer un modèle à partir d’une feuille de calcul vierge. Étape 1 : définissez des styles pour vos tableaux Un modèle possède un ou plusieurs styles de tableaux afin de mettre en forme un tableau sélectionné d’un simple clic. Les styles de tableaux sont utiles pour l’application d’une mise en forme homogène à des tableaux. Vous pouvez utiliser ou redéfinir les styles de tableaux dans un modèle Numbers ou encore créer vos propres styles. Pour en savoir plus, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de styles applicables aux tableaux » à la page 87.Chapitre 11 Conception de vos modèles personnalisés de feuilles de calcul Numbers 209 Étape 2 : définissez des tableaux réutilisables Un modèle possède des tableaux réutilisables permettant d’ajouter des tableaux déjà dimensionnés et auxquels des styles ont déjà été appliqués. Ils contiennent également du contenu prédéfini, tel que des formules et du texte. En utilisant un modèle, vous pouvez alors ajouter un tableau réutilisable en cliquant sur Tableaux sur la barre d’outils et en choisissant un tableau dans le menu local. Vous pouvez utiliser ou redéfinir les tableaux réutilisables dans un modèle Numbers ou vous pouvez créer les vôtres. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Définition de tableaux réutilisables » à la page 52. Étape 3 : définissez des tableaux par défaut, des zones de texte, des figures et des images Un modèle possède des valeurs par défaut, définies pour les objets suivants, qui prennent effet si l’utilisateur ajoute un de ces objets :  un graphique ;  une zone de texte ;  une figure ;  une image importée. Vous pouvez utiliser les réglages par défaut inclus dans le modèle de départ ou les modifier. Définition d’attributs par défaut pour les graphiques Vous pouvez régler l’apparence par défaut de chaque type de graphique. Les attributs par défaut doivent être définis séparément pour chaque type de graphique. Pour régler les attributs par défaut des graphiques : 1 Placez un graphique dans la page en cliquant sur Graphiques dans la barre d’outils et en choisissant un type de graphique. 2 Sélectionnez le graphique, puis définissez ses attributs. Pour redimensionner un graphique, le faire pivoter et définir d’autres attributs que les graphiques ont en commun, consultez la rubrique « Mise en forme des attributs géné- raux d’un graphique » à la page 118. Pour savoir comment mettre en forme des graphiques sectoriels, des graphiques à barres et autres types de graphiques, consultez la rubrique « Mise en forme de types de graphiques spécifiques » à la page 126.210 Chapitre 11 Conception de vos modèles personnalisés de feuilles de calcul Numbers 3 Répétez les étapes 1 et 2 pour chaque type de graphique auquel vous souhaitez associer des attributs par défaut. 4 Sélectionnez un graphique, puis sélectionnez Format > Avancé > Définir le style par défaut pour type de graphique. Répétez cette étape pour chaque graphique auquel vous attribuez des réglages par défaut. 5 Supprimez les graphiques de la feuille de calcul. Définition d’attributs par défaut pour les zones de texte et les formes Les attributs par défaut des zones de texte et des figures déterminent le remplissage, le soulignement et l’ombrage la première fois qu’ils sont insérés sur une page. Les attributs par défaut déterminent également l’apparence du texte que vous placez dans les boîtes ou les figures. Pour définir des zones de texte et des figures par défaut : 1 Ajoutez les objets dans une feuille. Cliquez sur Zone de texte sur la barre d’outils pour ajouter une zone de texte, et cliquez sur Figures dans la barre d’outils puis choisissez une figure. 2 Pour régler les attributs du texte inclus dans une zone de texte ou une figure, sélectionnez l’objet, ajoutez le texte à l’objet et mettez le texte en forme. Reportez-vous à la rubrique « Mise en forme de la taille et de l’apparence du texte » à la page 134 pour en connaître les instructions. 3 Pour régler les attributs de l’objet, sélectionnez la zone de texte ou la figure, puis suivez les instructions de la rubrique « Modification des objets » à la page 171 et de la rubrique « Remplissage d’un objet en couleur » à la page 178. 4 Enregistrez la zone de texte et la figure en tant qu’objets par défaut. Pour enregistrer la zone de texte, sélectionnez-la, puis choisissez Format > Avancé > Définir un style Zone de texte par défaut. Pour enregistrer la figure, sélectionnez-la, puis choisissez Format > Avancé > Définir un style Figure par défaut. 5 Supprimez la zone de texte et la figure de la feuille. Définition d’attributs par défaut pour les images importées Dans le cas de graphiques importés, vous pouvez définir les ombres, l’opacité, les bordures, etc.Chapitre 11 Conception de vos modèles personnalisés de feuilles de calcul Numbers 211 Pour définir les attributs par défaut des images : 1 Importez une image comme décrit à la rubrique « Importation d’une image » à la page 189. 2 Sélectionnez l’image, puis définissez ses attributs. Pour mettre en forme des bordures autour de l’image, reportez-vous aux rubriques « Modification du style des bordures » à la page 172 et « Encadrement d’objets » à la page 173. Pour savoir comment ajouter une ombre, consultez la rubrique « Ajout d’ombres » à la page 174. Pour ajouter un reflet, consultez la rubrique « Ajout d’un reflet » à la page 176. Pour ajuster la transparence de l’image, consultez la rubrique « Ajustement de l’opacité » à la page 176. 3 Choisissez Format > Avancé > Définir un style d’image par défaut. 4 Supprimez l’image de la page. Étape 4 : créez le contenu de départ pour la feuille de calcul Vous pouvez utiliser du contenu prédéfini pour modéliser l’apparence d’une feuille de calcul finie ou pour fournir des instructions et d’autres informations de productivité destinées aux utilisateurs du modèle. Prédéfinition de tableaux et autres objets pour un modèle personnalisé Ajoutez des tableaux, des graphiques, des zones de texte, des images, des figures et tout autre contenu de départ à vos modèles pour permettre aux utilisateurs d’être plus productifs et améliorer l’impact visuel de la feuille de calcul. Par exemple, vous pouvez :  ajouter des noms à des tableaux et des titres à des graphiques et leurs axes ;  ajouter des formules et autre contenu prédéfini à des cellules de tableau ;  configurer des cellules de sorte que leurs valeurs s’affichent d’une façon particulière, par exemple, en utilisant un format numérique ou de cases à cocher ;  créer des zones de texte ou des commentaires qui fournissent des instructions et des suggestions pour l’utilisation du modèle ;  utiliser de la couleur pour mettre en évidence l’importance de certains éléments dans des tableaux et des graphiques.212 Chapitre 11 Conception de vos modèles personnalisés de feuilles de calcul Numbers Création de paramètres fictifs multimédia dans un modèle personnalisé Lorsque vous faites glisser une image, une séquence ou un fichier audio de votre choix vers un paramètre fictif multimédia, vos données multimédia sont automatiquement dimensionnées et placées. Vous pouvez facilement remplacer des données dans le paramètre fictif multimédia en y faisant glisser un autre fichier ; il n’est pas nécessaire de supprimer d’abord l’ancien élément. Pour créer un paramètre fictif multimédia : 1 Ajoutez une image, un fichier audio ou une séquence à la feuille de calcul. Reportez-vous aux rubriques « Importation d’une image » à la page 189, « Ajout d’un fichier son » à la page 195 et « Ajout d’un fichier de séquence » à la page 196 pour obtenir des instructions. 2 Sélectionnez l’objet importé et placez-le à l’endroit souhaité dans la feuille de calcul, tel que décrit dans la rubrique « Déplacement d’objets » à la page 167. 3 Mettez en forme l’objet importé, tel que décrit dans la rubrique « Modification des objets » à la page 171. 4 Sélectionnez l’objet, puis choisissez Format > Avancé > Définir comme paramètre fictif multimédia. Pour supprimer un paramètre fictif multimédia, sélectionnez-le et appuyez ensuite sur la touche Suppr. Prédéfinition de feuilles destinées à un modèle personnalisé Ajoutez plusieurs feuilles à un modèle quand vous souhaitez diviser son contenu en groupes. Il existe plusieurs moyens de configurer des feuilles dans un modèle : m Vous pouvez ajouter des feuilles ou supprimer des feuilles d’un modèle Numbers. Reportez-vous à la rubrique « Ajout et suppression de feuilles » à la page 39 pour en savoir plus. m Pour déplacer des feuilles et réorganiser leur contenu, reportez-vous à la rubrique « Réorganisation de feuilles et de leur contenu » à la page 39.Chapitre 11 Conception de vos modèles personnalisés de feuilles de calcul Numbers 213 Étape 5 : enregistrement d’un modèle personnalisé Vous pouvez enregistrer votre nouveau modèle de sorte qu’il apparaisse dans le Sélecteur de modèles. Pour enregistrer un modèle personnalisé : 1 Choisissez Fichier > Enregistrer comme modèle. 2 Attribuez un nom au modèle. 3 Spécifiez un dossier pour l’enregistrement de votre modèle. Par défaut, il s’enregistre dans votre dossier de départ, dans le dossier Bibliothèque/ Application Support/iWork/Numbers/Templates/My Templates/, et apparaît dans la sous-fenêtre Mes modèles du sélecteur de modèles. Pour enregistrer le modèle à un autre endroit dans votre dossier de départ, allez dans Bibliothèque/Application Support/iWork/Numbers/Templates/ et créez un sous-dossier. Le nom du dossier est utilisé comme catégorie de modèle dans le sélecteur de modèles. 4 Cliquez sur Enregistrer. Pour supprimer un modèle personnalisé, localisez dans le Finder le dossier dans lequel vous l’avez enregistré et faites-le glisser vers la Corbeille. 12 214 12 Dictionnaire des fonctions Ce chapitre décrit les fonctions utilisables dans les formules de cellule. Ce chapitre décrit chacune des fonctions utilisables dans les formules insérées dans les cellules d’un tableau. Pour en savoir plus sur l’utilisation de formules dans les cellules d’un tableau, reportez-vous aux rubriques « Utilisation des formules » à la page 91 et « Utilisation des fonctions » à la page 106. À propos des fonctions Une fonction est une opération nommée que vous pouvez inclure dans une formule pour effectuer un calcul dans une cellule de tableau. Numbers propose 168 fonctions permettant d’effectuer des opérations mathématiques et financières, de récupérer la valeur de cellules en lançant une recherche, de manipuler des chaînes de texte ou d’obtenir la date et l’heure du jour. Chaque fonction possède un nom suivi d’arguments entre parenthèses. Les arguments permettent de fournir les valeurs dont a besoin la fonction pour effectuer le traitement. Par exemple, la formule suivante contient la fonction SOMME avec un argument unique (un intervalle de cellules) qui ajoute les valeurs de la colonne A, du rang 2 au rang 10 : =SOMME(A2:A10) Le nombre et le type des arguments varient d’une fonction à l’autre. Les arguments possibles sont les suivants :  Les constantes, telles que des nombres, des chaînes de texte ou les valeurs booléennes VRAI ou FAUX (par exemple, CONCATENER(“chat”; “s”))  Calcul, comprenant une valeur booléenne(par exemple, OU(4<1; 5<6)  Adresse d’une cellule ou d’un intervalle de cellules de tableau (par exemple, RECHERCHE(5; C2:C6; D2:D6)  Autre fonction (ex. LUNDI A VENDREDI())Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 215 Le tableau suivant définit les termes couramment utilisés dans les descriptions de fonction. Il existe plusieurs catégories de fonctions. Par exemple, certaines fonctions effectuent des calculs sur des valeurs de date et heure, les fonctions logiques entraînent un résultat booléen (VRAI ou FAUX) et d’autres fonctions assurent des calculs financiers. Voici un aperçu des catégories de fonctions, décrivant chaque fonction individuellement et par ordre alphabétique. Terme ou symbole Signification italique Argument que vous remplacez par une valeur réelle ou une référence à une cellule contenant une valeur. [ crochets ] Encadrent un argument facultatif. Si vous omettez un argument facultatif entre d’autres arguments, n’oubliez pas d’indiquer le point-virgule précédant l’argument manquant. Par exemple, pour omettre le deuxième argument, arg2, d’une liste de trois arguments, vous pourriez indiquer FONCTION(arg1; ; arg3). . . . (points de suspension) L’argument précédent peut être répété autant de fois que nécessaire. entier Nombre sans partie décimale. expression logique Expression possédant une valeur booléenne VRAI ou FAUX. expression numérique Expression qui produit un nombre. chaîne Séquence contiguë de caractères. expression texte Expression qui produit une chaîne. date-heure Toute valeur date/heure Numbers. Même si vous optez pour n’afficher que la date ou l’heure dans une cellule, une valeur Numbers de type Date/Heure peut contenir aussi bien la date que l’heure.216 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Fonctions date et heure Les fonctions pour date et heure effectuent des calculs sur des expressions de date, des expressions d’heure ou des expressions numériques. Numbers comprend ces fonctions date et heure. Fonction Description DATE (page 245) Combine les valeurs numériques correspondant chacune à l’année, le mois et le jour en une seule date. DATEDIF (page 246) Détermine la durée entre deux dates. JOUR (page 247) Extrait le numéro du jour d’une date. EDATE (page 250) Recherche la date un certain nombre de mois avant ou après une date donnée. HEURE (page 256) Extrait l’heure d’une date (comprise entre 0 et 23). MINUTE (page 271) Extrait les minutes d’une date. MOIS (page 273) Extrait le numéro du mois d’une date. MAINTENANT (page 274) Récupère la date et l’heure du jour auprès de l’horloge de l’ordinateur. SECONDE (page 293) Extrait les secondes d’une date. TEMPS (page 303) Convertit une heure en une fraction décimale de journée exprimée sur 24 heures. TEMPSVAL (page 304) Convertit une heure figurant dans une chaîne en une fraction décimale d’une journée de 24 heures. AUJOURD’HUI (page 304) Extrait la date du jour et applique un format à la cellule pour afficher uniquement la date (sans l’heure) LUNDI À VENDREDI (page 311) Convertit une date en un nombre représentant le jour de la semaine. ANNÉE (page 311) Extrait l’année d’une date.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 217 Fonctions financières Ces fonctions s’appliquent à des nombres et requièrent des expressions numériques comme arguments. Sauf indication contraire, elles renvoient des valeurs numériques. Numbers fournit ces fonctions financières. Fonction Description ACCRINT (page 225) Calcule le total des intérêts courus d’un titre à intérêts périodiques. ACCRINTM ()page 226 Calcule le total des intérêts courus d’un titre payable à échéance. COUPDAYBS (page 241) Compte le nombre de jours du début de la période de liquidation d’un titre jusqu’à sa date de liquidation. NB.JOURS.COUPON (page 242) Compte le nombre de jours de la période du coupon au cours de laquelle a lieu la liquidation d’un titre. NB.JOURS.COUPON.SUIV (page 243) Compte le nombre de jours de coupons entre la date de liquidation d’un titre et la fin de la période du coupon où la liquidation a lieu. NB.COUPONS (page 244) Compte le nombre de coupons à payer sur un titre entre la date de liquidation et la date d’échéance. DB (page 247) Calcule l’amortissement d’un actif sur une période donnée à l’aide de la méthode dégressive fixe. AMORDEG (page 248) Calcule l’amortissement d’un actif d’après un taux d’amortissement correspondant par défaut au taux dégressif double. TAUX.ESCOMPTE (page 249) Calcule le taux d’escompte d’un titre. VALFUT (page 254) Calcule la valeur capitalisée d’un investissement d’après une série de versements périodiques supplémentaires et fixes, le taux d’inté- rêt et le nombre de périodes. INTPER (page 260) Calcule la part d’intérêt du remboursement d’un prêt ou d’un investissement d’après un versement fixe et un taux d’intérêt fixes. TRI (page 261) Calcule le taux de rentabilité interne pour un investissement avec une série de mouvements périodiques. ISPMT (page 263) Calcule les intérêts dus sur une période de versement donnée pour un investissement. TRIM ()page 271 Calcule le taux de rentabilité interne modifié pour une série de mouvements périodiques. NPM (page 274) Calcule le nombre de périodes de remboursement pour un prêt ou de versements pour un investissement avec des versements et un taux d’intérêt fixes. VAN (page 275) Calcule la valeur actualisée nette d’un investissement d’après une série de mouvements à venir et un taux d’intérêt fixe.218 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Fonctions logiques Les fonctions logiques évaluent la vérité logique d’expressions, et renvoient VRAI, FAUX ou une valeur affectée par la fonction. Numbers fournit ces fonctions logiques. REMBOUR (page 278) Calcule le remboursement périodique fixe d’après un taux d’inté- rêt fixe, un nombre de périodes donné, la valeur actualisée, la valeur capitalisée et le type de remboursement. PRINCPER (page 279) Calcule la part du principal du remboursement d’un prêt ou du versement pour un investissement d’après un versement périodique et un taux d’intérêt fixes. PRIX (page 280) Calcule le prix actuel d’un titre. PRICEDISC (page 281) Calcule le prix d’un titre à intérêts précomptés. PRICEMAT (page 281) Calcule le prix d’un titre dont les intérêts sont versés à échéance. VALACT (page 284) Calcule la valeur actualisée d’un investissement d’après une série de versements périodiques et un taux d’intérêt fixes. TAUX (page 287) Calcule le taux d’intérêt nécessaire pour qu’une valeur actualisée atteigne un montant donné sur un délai précis. AMORLIN (page 294) Calcule l’amortissement linéaire d’un actif. AMORANN (page 301) Calcule l’amortissement d’un bien sur une période donnée d’après la méthode américaine Sum-of-Years Digits. VDB (page 309) Calcule l’amortissement d’un actif sur une durée choisie. Fonction Description Fonction Description ET (page 228) Donne VRAI si tous les arguments sont vrais, sinon FAUX. FAUX (page 252) Renvoie la valeur FAUX pour la compatibilité avec les applications de tableur plus anciennes. SI (page 257) Renvoie la valeur VRAI ou FAUX selon que l’expression spécifiée est vérifiée ou non. NON (page 273) Renvoie l’inverse de la valeur booléenne d’une expression. OU (page 276) Renvoie VRAI si un argument est vrai. VRAI (page 305) Renvoie la valeur VRAI pour la compatibilité avec les applications de tableur plus anciennes.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 219 Fonctions d’informations Les fonctions d’informations renvoient des renseignements sur le contenu d’une cellule ou d’un argument. Numbers fournit ces fonctions d’informations. Fonctions de référence Les fonctions de référence permettent de rechercher des données dans des tableaux et d’extraire des données de cellules. Numbers fournissent des fonctions de référence. Fonction Description ESTVIDE (page 261) Renvoie VRAI si la cellule spécifiée est vide, et FAUX dans le cas contraire. ESTERREUR (page 262) Renvoie VRAI si la formule de la cellule spécifiée (ou de l’argument de la fonction) fait état d’une erreur, FAUX dans le cas contraire. ESTPAIR (page 262) Renvoie VRAI si la valeur est paire, et FAUX dans le cas contraire. ESTIMPAIR (page 263) Renvoie VRAI si la valeur est impaire, et FAUX dans le cas contraire. Fonction Description ADRESSE (page 227) Construit une chaîne d’adresses de cellules en précisant l’identifiant des feuilles, des colonnes et des rangées. ZONES (page 229) Compte le nombre d’intervalles de cellules dans l’argument. CHOISIR (page 233) Utilise une valeur d’index pour extraire une valeur précise d’une série de valeurs. COLONNE (page 235) Renvoie le numéro de colonne d’une cellule ou le numéro de colonne de la cellule qui contient la fonction COLONNE si aucune cellule n’est précisée. COLONNES (page 235) Compte le nombre de colonnes présentes dans un intervalle de cellules. RECHERCHEH (page 255) Extrait une valeur d’une plage de rangées en utilisant les valeurs de la rangée supérieure comme référence pour déterminer la colonne, et le numéro de rangée indiqué dans la colonne. LIEN_HYPERTEXTE (page 257) Crée un lien qui ouvre une page web ou une fenêtre de messagerie électronique. INDEX (page 258) Extrait la valeur se trouvant dans (ou une référence à) la cellule d’après une rangée et une colonne données dans un intervalle de cellules. INDIRECT (page 259) Extrait la valeur d’une adresse donnée ou la référence à celle-ci. RECHERCHE (page 266) Extrait une valeur d’un intervalle de cellules selon une correspondance de recherche dans un second intervalle. CORRESPONDRE (page 267) Recherche la position d’une valeur de recherche dans un intervalle.220 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Fonctions numériques Les fonctions numériques permettent de calculer les valeurs mathématiques courantes. Numbers fournit ces fonctions numériques. DÉCALAGE (page 276) Extrait des valeurs d’un nombre de rangées et colonnes donné à partir d’une cellule de base. RENGÉE (page 292) Renvoie le numéro de rangée d’une cellule ou, si aucune cellule n’est spécifiée, la rangée contenant la fonction RENGÉE. RANGS (page 292) Compte le nombre de rangées présentes dans un intervalle de cellules. CONSV (page 310) Extrait une valeur d’une plage de colonnes en utilisant les valeurs de la colonne de gauche comme référence pour déterminer la rangée, et le numéro de colonne indiqué dans la rangée. Fonction Description Fonction Description ABS (page 225) Calcule la valeur absolue d’un nombre. PLAFOND (page 232) Arrondit un nombre au plus petit multiple supérieur d’un facteur donné. COMBIN (page 235) Recherche le nombre de combinaisons possibles d’un nombre d’éléments regroupés spécifique. PAIR (page 250) Arrondit un nombre au nombre pair supérieur. EXP (page 251) Calcule e à la puissance d’un nombre. FACT (page 251) Calcule la factorielle d’un nombre positif. PLANCHER (page 253) Arrondit un nombre au plus petit multiple inférieur d’un facteur donné. PGCD (page 255) Calcule le plus grand diviseur commun d’un groupe de nombres. ENT (page 259) Renvoie le nombre entier inférieur ou égal le plus proche d’un nombre. PPCM (page 264) Recherche le plus petit multiple commun d’une série de nombres. LN (page 265) Calcule le logarithme naturel d’un nombre. LOG (page 266) Calcule le logarithme népérien d’un nombre dans une base spécifiée. LOG10 (page 266) Calcule le logarithme népérien d’un nombre en base 10. MOD (page 271) Calcule le reste d’une division. ARRONDI.AU.MULTIPLE (page 273) Arrondit un nombre au multiple le plus proche d’un facteur donné. IMPAIR (page 275) Arrondit un nombre au nombre impair le plus proche. PI (page 277) Renvoie une approximation de pi exacte à 15 décimales. PUISSANCE (page 279) Élève un nombre à une puissance, tel que l’opérateur ^.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 221 Fonctions trigonométriques Les fonctions trigonométriques acceptent des radians comme arguments. Numbers fournit ces fonctions trigonométriques. PRODUIT (page 283) Calcule le produit d’une série de nombres. QUOTIENT (page 285) Calcule le quotient entier (sans reste) de deux nombres. ALÉAT (page 285) Génère un nombre aléatoire égal ou supérieur à 0 et inférieur à 1. ALÉAT.ENTRE (page 286) Génère un nombre entier aléatoire dans un intervalle inclusif. ROMAIN (page 289) Convertit un nombre en chiffres romains. ARRONDI (page 290) Arrondit un nombre à un nombre donné de décimales. ARRONDI.INF (page 290) Arrondit un nombre au nombre inférieur de décimales spécifiées. ARRONDI.SUP (page 291) Arrondit un nombre au nombre supérieur de décimales spécifiées. SIGNE (page 293) Renvoie 1 si l’argument est positif, –1 si l’argument est négatif et 0 s’il est égal à zéro. SQRT (page 296) Calcule la racine carrée d’un nombre. SOMME (page 299) Calcule la somme d’une série de nombres. SOMME.SI (page 300) Calcule la somme d’une série de nombres répondant à une condition précise. SOMMEPROD (page 301) Calcule la somme des produits de nombres correspondants dans deux intervalles ou plus. SOMME.CARRÉS (page 301) Calcule la somme des carrés d’une série de nombres. TRONQUE (page 305) Tronque un nombre décimal en un nombre donné de chiffres. Fonction Description Fonction Description ACOS (page 227) Calcule le cosinus inversé (arccosinus) entre 0 et pi, exprimé en radians. ACOSH (page 227) Calcule le cosinus hyperbolique inversé d’un nombre. ASIN (page 229) Calcule le sinus inversé (arcsinus) dans les radians de l’intervalle de – pi/2 à pi/2. ASINH (page 229) Calcule le sinus hyperbolique inversé d’un nombre. ATAN (page 230) Calcule la tangente inversée (arctangente) dans les radians de l’intervalle de – pi/2 à pi/2. ATAN2 (page 230) Recherche l’angle, relatif à l’axe des X positif, d’une ligne passant à l’origine d’un point spécifique. ATANH (page 230) Calcule la tangente hyperbolique inversée d’un nombre. COS (page 238) Calcule le cosinus d’un angle exprimé en radians. COSH (page 238) Calcule le cosinus hyperbolique d’un nombre. DEGRÉS (page 248) Convertit des radians en degrés.222 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Fonctions statistiques Les fonctions statistiques effectuent des calculs statistiques et requièrent des expressions numériques comme arguments. L’expression numérique peut être un nombre, une référence de cellule ou un intervalle. Sauf mention contraire, les fonctions statistiques renvoient une valeur numérique. Numbers fournit ces fonctions statistiques. RADIANS (page 285) Convertit des degrés en radians. SIN (page 293) Calcule le sinus d’un angle exprimé en radians. SINH (page 294) Calcule le sinus hyperbolique d’un nombre. TAN (page 302) Calcule la tangente d’un angle exprimé en radians. TANH (page 303) Calcule la tangente hyperbolique d’un nombre. Fonction Description Fonction Description ECART.MOYEN (page 231) Calcule la différence moyenne (écart) des points de données à partir de leur moyenne arithmétique. MOYENNE (page 231) Calcule la moyenne arithmétique d’un ensemble de nombres. AVERAGEA (page 231) Calcule la moyenne arithmétique d’un ensemble de valeurs comprenant des nombres, du texte et des valeurs booléennes. INTERVALLE.CONFIANCE (page 236) Calcule une valeur pour créer l’intervalle de confiance statistique d’un échantillon avec une taille donnée à partir d’une population à écart standard connu ; en partant du principe que les valeurs de l’échantillon sont réparties normalement. COEFFICIENT.CORRELATION (page 237) Calcule la corrélation entre deux séries de données d’après une analyse de régression linéaire. NB (page 239) Compte le nombre d’arguments et de cellules référencées contenant des nombres, des expressions numériques ou des dates. NBVAL (page 239) Compte le nombre de cellules non vides d’un intervalle de valeurs. NB.VIDE (page 240) Compte le nombre de cellules vides d’un intervalle de valeurs. NB.SI (page 241) Compte le nombre de cellules répondant à une condition dans un intervalle de valeurs. COVARIANCE (page 245) Calcule la covariance de deux séries de données. PRÉVISION (page 254) Calcule la valeur y (dépendante) correspondant à une valeur x (indépendante) choisie par une analyse de régression linéaire des paires de valeurs connues. ORDONNEE.ORIGINE (page 259) Calcule l’ordonnée d’origine y de la droite de régression d’une série de données par une analyse de régression linéaire. GRANDE.VALEUR (page 264) Extrait la n-ième plus grande valeur d’un intervalle de valeurs. MAX (page 268) Recherche le plus grand nombre d’une série.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 223 MAXA (page 269) Recherche la plus grande valeur dans une série comprenant des nombres, du texte et des valeurs booléennes. MÉDIANE (page 269) Recherche la valeur médiane d’une série de nombres. MIN (page 270) Recherche le plus petit nombre d’une série. MINA (page 270) Recherche la plus petite valeur dans une série comprenant des nombres, du texte et des valeurs booléennes. MODE (page 272) Recherche la valeur la plus récurrente dans une série de nombres. CENTILE (page 277) Recherche la valeur dans un intervalle correspondant à un centile particulier. LOI.POISSON (page 278) Calcule le taux de probabilité d’événements selon la loi de Poisson. PROBABILITE (page 282) Calcule la probabilité d’un intervalle de valeurs si vous connaissez la probabilité individuelle de chaque valeur. RANG (page 286) Recherche le rang d’un nombre dans un intervalle de nombres. PENTE (page 295) Calcule la pente de la droite de régression d’une série de données par une analyse de régression linéaire. PETIT (page 295) Extrait la n-ième plus petite valeur d’un intervalle de valeurs. STDEV (page 296) Calcule l’écart-type d’une série de valeurs en fonction de la variance de l’échantillon (non biaisé). STDEVA (page 297) Calcule l’écart-type d’une série de valeurs, notamment du texte et des valeurs booléennes, en fonction de la variance de l’échantillon (non biaisé). ECARTYPEP (page 297) Calcule l’écart-type d’une série de valeurs en fonction de la variance de la population (vraie). STDEVPA (page 298) Calcule l’écart-type d’une série de valeurs, notamment du texte et des valeurs booléennes, en fonction de la variance de la population (vraie). VAR (page 306) Calcule la variance de l’échantillon (non biaisé) d’un ensemble de nombres. VARA (page 307) Calcule la variance de l’échantillon (non biaisé) d’un ensemble de valeurs, notamment des nombres, du texte et des valeurs booléennes. VAR.P (page 308) Calcule la variance de la population (vraie) d’un ensemble de nombres. VARPA (page 308) Calcule la variance de la population (vraie) d’un ensemble de valeurs, notamment des nombres, du texte et des valeurs booléennes. Fonction Description224 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Fonctions texte Les fonctions texte permettent d’utiliser des chaînes de caractères. Numbers fournissent ces fonctions texte. Fonction Description CAR (page 233) Renvoie le caractère correspondant à un code de caractère Unicode numérique. NETTOYER (page 234) Supprime du texte la plupart des caractères non imprimables les plus courants (codes caractères 0 à 31 Unicode). CODE (page 234) Renvoie le numéro de code Unicode du premier caractère d’une chaîne donnée. CONCATENER (page 236) Concatène des chaînes. EURO (page 249) Convertit un nombre en chaîne sous forme de somme en Euros avec un nombre de décimales donné. EXACT (page 251) Renvoie VRAI si les chaînes d’arguments sont identiques, majuscules comprises. RECHERCHER (page 252) Recherche la position de début d’une chaîne dans une autre, en faisant correspondre les caractères et les majuscules mais en excluant les caractères de remplacement. CTXT (page 253) Arrondit un nombre à un nombre donné de décimales et convertit le résultat en chaîne. GAUCHE (page 265) Extrait le nombre de caractères précisés à partir du bord gauche de la chaîne. NBCAR (page 265) Recherche le nombre de caractères d’une chaîne. MINUSCULE (page 267) Convertit tous les caractères majuscules en minuscules. MILIEU (page 270) Extrait les caractères d’une chaîne en partant d’un point précis. NOM.PROPRE (page 283) Met le premier caractère de chaque mot d’une chaîne en majuscule et tous les autres caractères en minuscules. REMPLACER (page 288) Remplace la partie d’une chaîne par des caractères provenant d’une autre chaîne. REPT (page 288) Reproduit le texte un nombre de fois donné. DROITE (page 289) Extrait le nombre de caractères précisés à partir du bord droit de la chaîne. RRECHERCHER (page 292) Recherche la position de début d’une chaîne dans une autre, sans tenir compte des caractères majuscules mais en acceptant les caractères de remplacement. SUBSTITUE (page 299) Remplace une partie de chaîne par un nouveau texte. T (page 302) Récupère le texte d’une cellule. AJUSTER (page 305) Supprime les espaces dans le texte pour conserver seulement des espaces simples entre les mots. SUPÉRIEUR (page 306) Convertit du texte en majuscules. VALEUR (page 306) Convertit un nombre sous forme de texte en nombre standard.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 225 Descriptions de fonctions Dans cette rubrique, les fonctions sont classées par ordre alphabétique. ABS La fonction ABS calcule la valeur absolue d’un nombre. Le résultat est un nombre positif ou zéro. ABS(nombre)  nombre : nombre, expression numérique ou référence à une cellule contenant une expression numérique. ACCRINT La fonction ACCRINT calcule le total des intérêts courus d’un titre à intérêts périodiques. ACCRINT(émission; premier ordre; liquidation; taux; prix; périodicité; [calcul des jours])  émission : date d’émission du titre.  premier ordre : date du premier paiement des intérêts.  liquidation : date de liquidation, généralement la date de vente du titre.  taux : taux de coupon du titre, exprimé en tant que pourcentage de 0 à 1.  prix : valeur nominale du titre.  périodicité : nombre de règlements de coupons par an 1 signifie des paiements annuels. 2 signifie des paiements semestriels (deux fois par an). 4 signifie des paiements trimestriels (quatre fois par an). Exemples Si la cellule A1 contient 5, ABS(A1) renvoie 5. ABS(8-5) renvoie 3. ABS(5-8) renvoie 3. ABS(0) renvoie 0. Si la cellule A1 est vide, ABS(A1) renvoie 0.226 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). ACCRINTM La fonction ACCRINTM calcule le total des intérêts courus d’un titre payable à échéance. ACCRINTM(émission; liquidation; taux; prix; [calcul des jours])  émission : date d’émission du titre.  liquidation : date de liquidation, généralement la date de vente du titre.  taux : taux de coupon du titre, exprimé en tant que pourcentage de 0 à 1.  prix : valeur nominale du titre.  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). Exemples Si les cellules A1:A7 contiennent 1/1/2000, 1/3/2000, 1/7/2000, 0,10, 1000, 2, 0 : ACCRINT(A1; A2; A3; A4; A5; A6; A7) renvoie 50. Exemples Si les cellules A1:A5 contiennent 1/1/2000, 1/10/2000, 0.10, 1000, 0 : ACCRINTM(A1; A2; A3; A4; A5) renvoie 75.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 227 ACOS La fonction ACOS calcule le cosinus inversé (arccosinus) d’un nombre. À la différence de la fonction COS qui accepte un angle et renvoie son cosinus, la fonction ACOS accepte une valeur de cosinus et renvoie l’angle correspondant. L’angle résultant est une valeur comprise entre 0 et pi radians. ACOS(cos)  cos : valeur de cosinus comprise entre – 1 et 1. Remarques Pour exprimer l’angle résultant en degrés et non en radians, exécutez la fonction DEGRÉS. ACOSH La fonction ACOSH calcule le cosinus hyperbolique inversé d’un nombre. ACOSH(nombre)  nombre : nombre supérieur ou égal à 1. ADRESSE La fonction ADRESSE construit une chaîne d’adresses de cellules en précisant l’identifiant des feuilles, des colonnes et des rangées. ADRESSE(rangée; colonne; [type]; [style]; [feuille])  rangée : numéro de rangée où se trouve l’adresse.  colonne : numéro de colonne où se trouve l’adresse. Exemples ACOS(SQRT(2)/2) renvoie 0.785398163397448, soit approximativement pi/4. ACOS(0,54030230586814) renvoie 1. DEGRÉS(ACOS(,5)) renvoie 60, c’est-à-dire la mesure en degrés d’un angle ayant une valeur de cosinus de 0,5. Exemples ACOSH(10,0676619957778) renvoie 3. ACOSH(COSH(5)) renvoie 5.228 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions  type : facultatif ; valeur indiquant si les numéros de rangée et de colonne sont absolus ou relatifs : 1 ou l’absence de valeur signifie que les numéros de rangée et de colonne sont des références absolues. 2 traite le numéro de rangée comme une référence absolue et le numéro de colonne comme une référence relative. 3 traite le numéro de rangée comme une référence relative et le numéro de colonne comme une référence absolue. 4 traite les numéro de rangée et de colonne comme des références relatives.  style : facultatif ; style d’adresse : Pour les valeurs VRAI, 1 ou l’absence de valeur, l’adresse est mise en forme à l’aide du style A1, la lettre représentant la colonne, et le nombre, la rangée.  feuille : facultatif ; nom de la feuille si le tableau figure sur une autre feuille. ET La fonction ET donne VRAI si tous les arguments sont vrais, et FAUX dans le cas contraire (conjonction logique). ET(expression; [expression; . . .])  expression : expression logique ou numérique ou référence à une cellule contenant une telle expression. Remarques Si expression est numérique, une valeur égale à 0 est interprétée comme la valeur FAUX et toute valeur différente de 0 est interprétée comme la valeur VRAI. Exemples ADRESSE(3;5) crée l’adresse $E$3. ADRESSE(3;5;2) crée l’adresse E$3. ADRESSE(3;5;3) crée l’adresse $E3. ADRESSE(3;5;4) crée l’adresse E3. Exemples ET(VRAI; VRAI) renvoie VRAI car les deux arguments sont vrais. ET(1; 0; 1; 1) renvoie FAUX car l’un des arguments est le chiffre 0, interprété comme FAUX. ET(A5>50;A5<100) renvoie VRAI car la cellule A5 contient un nombre entre 50 et 100.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 229 ZONES La fonction ZONES compte le nombre d’intervalles référencés par la fonction. ZONES(intervalles)  intervalles : une ou plusieurs plages de cellules. Pour indiquer plusieurs intervalles, faites figurer les références dans un deuxième groupe de parenthèses. ASIN La fonction ASIN renvoie l’arccosinus (cosinus inversé) d’un nombre. Alors que la fonction SIN accepte un angle et renvoie le sinus, la fonction ASIN accepte un sinus et renvoie l’angle correspondant. Le résultat est exprimé en radians, dans l’intervalle de – pi/2 à pi/2 (de – 90 à 90 degrés). ASIN(sin)  sin : valeur de sinus comprise comprise entre – 1 et 1. Remarques Pour exprimer l’angle résultant en degrés et non en radians, exécutez la fonction DEGRÉS. ASINH La fonction ASINH calcule le sinus hyperbolique inversé d’un nombre. ASINH(nombre)  nombre : nombre quelconque. Exemples ZONES(A1:F8) renvoie 1. ZONES(C2:C8 B6:E6) renvoie 1. ZONES((A1:F8; A10:F18)) renvoie 2. ZONES((A1:C1; A3:C3; A5:C5)) renvoie 3. Exemples ASIN(0,8411470984807897) renvoie 1, c’est-à-dire la mesure en radians d’un angle (de 57,3 degrés environ) ayant une valeur de sinus de 0,841470985. DEGRÉS(ASIN(,5)) renvoie 30, c’est-à-dire la valeur en degrés d’un angle ayant une valeur de sinus de 0,5. Exemples ASINH(27,2899171971277) renvoie 4. ASINH(SINH(1)) renvoie 1.230 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions ATAN La fonction ATAN calcule la tangente inversée (arctangente) d’un nombre et renvoie la valeur correspondante en radians, dans l’intervalle de – pi/2 à pi/2 (de – 90 à 90 degrés). ATAN(nombre)  nombre : valeur tangente pour laquelle vous souhaitez trouver l’angle correspondant. Remarques Pour exprimer l’angle résultant en degrés et non en radians, exécutez la fonction DEGRÉS. ATAN2 La fonction ATAN2 calcule l’angle, relatif à l’axe des X positif, d’une ligne passant à l’origine d’un point spécifique. L’angle est une valeur comprise entre –pi et pi radians. ATAN(x; y)  x : coordonnée x du point passant par la ligne.  y : coordonnée y du point passant par la ligne. Remarques Pour exprimer l’angle résultant en degrés et non en radians, exécutez la fonction DEGRÉS. ATANH La fonction ATANH calcule la tangente hyperbolique inversée d’un nombre. ATANH(nombre)  nombre : nombre quelconque compris entre – 1 et 1. Exemples ATAN(1) renvoie la mesure d’angle de 0,785398163 radians (45 degrés), dont la tangente est égale à 1. DEGRÉS(ATAN(1)) renvoie 45. Exemples ATAN2(1; 1) renvoie 0,78539816 radians (45 degrés), c’est-à-dire l’angle d’un segment de ligne entre l’origine et le point (1;1). DEGRÉS(ATAN2(5;5)) renvoie 45. Exemples ATANH(0,995054753686731) renvoie 3. ATANH(TANH(2)) renvoie 2.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 231 ECART.MOYEN La fonction ECART.MOYEN calcule la différence moyenne (écart) des points de données à partir de leur moyenne arithmétique. ECART.MOYEN(point de données; [point de données; . . .])  point de données : nombres, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. MOYENNE La fonction MOYENNE calcule la moyenne arithmétique d’un ensemble de nombres. MOYENNE(nombre; [nombre; . . .])  nombre : nombres, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Remarques Pour calculer la moyenne, la fonction MOYENNE divise la somme des nombres par le nombre des nombres. Les cellules de tableau contenant des valeurs texte ou des valeurs booléennes (VRAI ou FAUX) sont ignorées. Les valeurs texte fournies en arguments génèrent une erreur. Le texte référencé est ignoré sans avertissement. AVERAGEA La fonction AVERAGEA calcule la moyenne arithmétique d’un ensemble de valeurs comprenant du texte et des valeurs booléennes. AVERAGEA(valeurs; [valeur; . . .])  valeur : valeurs numériques ou booléennes, ou références à des cellules contenant des valeurs numériques, texte ou booléennes. Exemples ECART.MOYEN(2;2;2;4;4;4) renvoie 1. ECART.MOYEN(2;2;2;2;3;3;3;3;4;4;4;4) renvoie 0,6666667. Exemples MOYENNE(4;4;4;6;6;6) renvoie 5. MOYENNE(2;2;2;2;3;3;3;3;4;4;4;4) renvoie 3.232 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Remarques À la différence de la fonction MOYENNE qui ignore les cellules qui ne contiennent pas de nombres, la fonction AVERAGEA affecte la valeur 0 aux valeurs textuelles, la valeur 0 à la valeur booléenne FAUX et 1 à la valeur booléenne VRAI, afin d’inclure ces valeurs dans le calcul. Pour un ensemble de données ne contenant que des nombres, la fonction AVERAGEA renvoie le même résultat que la fonction MOYENNE. PLAFOND La fonction PLAFOND arrondit un nombre au plus petit multiple supérieur du facteur donné. PLAFOND(nombre; facteur)  nombre : nombre, expression numérique ou références à une cellule contenant une expression numérique.  facteur : nombre auquel vous souhaitez arrondir les multiples. facteur doit présenter le même signe que nombre. Remarques Pour effectuer un arrondi au plus petit multiple inférieur, utilisez la fonction PLANCHER. Autres fonctions associées aux nombres d’arrondi : ENT, ARRONDI, ARRONDI.SUP, ARRONDI.INF, TRONQUE. Exemples AVERAGEA(A1:A4) renvoie 2,5 si les cellules A1 à A4 contiennent 4, a, 6, b. Les valeurs texte sont comptées en tant que zéro dans la somme de 10 et incluses dans le compte de valeurs (4). Comparez avec MOYENNE(A1:A4) qui ignore les valeurs texte de la somme de 10, d’un compte de 2 et d’une moyenne de 5. AVERAGEA(A1:A4) renvoie 4 si les cellules A1 à A4 contiennent 5, a, VRAI, 10. La valeur texte compte zéro et VRAI compte 1 pour une somme de 16 et un nombre de valeurs de 4. AVERAGEA(A1:A4) renvoie 0,25 si les cellules A1 à A4 contiennent FAUX, FAUX, FAUX et VRAI. Chaque FAUX compte zéro et VRAI compte 1 pour une somme de 1 et un compte de 4.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 233 CAR La fonction CAR renvoie le caractère correspondant à un code de caractère Unicode numérique. CAR(code numérique)  code numéro : nombre de 1 à 65 535 servant de code pour générer le caractère correspondant. Remarques Tous les numéros ne sont pas associés un caractère imprimable. Pour afficher les jeux de caractères et leurs codes, vous pouvez utiliser la palette de caractères activable dans les préférences International. Vous pouvez utiliser la fonction CODE pour trouver le code numérique d’un caractère spécifique. CHOISIR La fonction CHOISIR utilise une valeur d’index spécifiée pour extraire une valeur particulière d’une série de valeurs. CHOISIR(index; valeur; [valeur; . . .])  index : expression numérique.  valeur : valeurs pouvant être du texte, une expression numérique ou la référence à une cellule. Exemples PLAFOND(0,25;1) renvoie 1. PLAFOND(1,25;1) renvoie 2. PLAFOND(-1,25;-1) renvoie -2. PLAFOND(5;2) renvoie 6. PLAFOND(73;10) renvoie 80. PLAFOND(7;2,5) renvoie 7,5. Exemples CAR(98,6) renvoie « b », qui est représenté par le code 98. CODE("b") renvoie 98.234 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions NETTOYER La fonction NETTOYER supprime du texte la plupart des caractères non imprimables les plus courants (codes caractères Unicode allant de 0 à 31). Elle peut être utile si vous collez à partir d’une autre application contenant des points d’interrogation, espaces, carrés et autres caractères indésirables ou inattendus. NETTOYER(texte)  texte : texte duquel vous souhaitez supprimer des caractères qui ne s’impriment pas. Remarques Il existe certains caractères non imprimables moins courants qui ne peuvent être supprimés à l’aide de la fonction NETTOYER (il s’agit des codes caractère 127, 129, 141, 143, 144 et 157). Pour les supprimer, vous pour utiliser la fonction SUBSTITUE afin de les remplacer par un code compris entre 0 et 31 avant d’exécuter la fonction NETTOYER. Vous pouvez utiliser la fonction AJUSTER pour supprimer les espaces en trop dans du texte. CODE La fonction CODE renvoie le numéro de code Unicode du premier caractère d’une chaîne donnée. CODE(texte)  texte : expression textuelle ou référence à une cellule contenant une expression textuelle. Remarques Pour afficher le code d’un caractère particulier, vous pouvez utiliser la palette de caractères activable dans les préférences International. Vous pouvez utiliser la fonction CAR pour effectuer l’opération opposée de la fonction CODE : convertir un code numérique en caractère texte. Exemples Si les cellules A1:A7 contiennent lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche : CHOISIR(4; A1; A2; A3; A4; A5; A6; A7) renvoie jeudi. CHOISIR(3;"1er";"second";7;"dernier") renvoie 7, troisième valeur de la liste. Exemples Supposons que vous copiiez le texte « a b c d e f » à partir d’une autre application, mais que « a b c ? ?d e f » apparaisse lorsque vous le copiez dans la cellule A1. Vous pouvez tenter d’utiliser la fonction NETTOYER pour supprimer les caractères non voulus : NETTOYER(A1) renvoie « a b c d e f ».Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 235 COLONNE La fonction COLONNE renvoie le numéro de colonne de la cellule spécifiée ou, si aucune cellule n’est spécifiée, le numéro de colonne de la cellule qui contient la fonction. COLONNE([cellule])  cellule : facultatif ; référence à une cellule. En l’absence d’argument, COLONNE renvoie le numéro de colonne de la cellule qui contient la formule. COLONNES La fonction COLONNES compte le nombre de colonnes d’un intervalle de cellules. COLONNES(intervalle de cellules)  intervalle de cellules : plage de cellules d’un tableau. Remarques Si vous sélectionnez une rangée entière pour intervalle de cellules, Numbers renvoie le nombre total de cellules de la rangée, qui est modifié lorsque vous redimensionnez le tableau. COMBIN La fonction COMBIN recherche le nombre de différentes manières de combiner un certain nombre d’éléments dans des groupes de taille spécifique, quel que soit l’ordre interne des groupes. Exemples CODE("A") renvoie 65, code caractère de « A ». CODE("abc") renvoie 97, code caractère de « a ». CAR(97) renvoie « a ». CODE(A3) renvoie « 102 », code caractère de « f ». CODE(" ") renvoie 1488. Exemples COLONNE(B7) renvoie 2, numéro de colonne absolu de la colonne B. COLONNE() renvoie le numéro de colonne de la cellule qui contient la fonction. Exemples COLONNES(B3:D10) renvoie 3, nombre de colonnes de l’intervalle (colonnes B, C et D). COLONNES(5:5) renvoie le nombre total de colonnes de la rangée 5.236 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions COMBIN(éléments; taille)  éléments : nombre total d’éléments pouvant être combinés.  taille : nombre d’éléments combinés dans chaque groupe. Remarques Les combinaisons doivent être distinguées des permutations. L’ordre des éléments d’un groupe est ignoré pour les combinaisons mais est pris en compte pour les permutations. Par exemple, (1; 2; 3) et (3; 2; 1) constituent la même combinaison mais deux permutations uniques. CONCATENER La fonction CONCATENER joint (concatène) au moins deux chaînes de texte. CONCATENER(chaîne1; chaîne2; [chaîne3; . . .])  chaîne1 : chaîne qui devient le premier segment du résultat. Pour inclure une chaîne dans l’argument, enserrez-la dans des guillemets.  chaîne2 : chaîne qui devient le deuxième segment du résultat.  chaîne3 : chaînes supplémentaires à adjoindre aux deux premières. Remarques L’opérateur & permet de concaténer des chaînes. INTERVALLE.CONFIANCE La fonction INTERVALLE.CONFIANCE calcule une valeur pour créer l’intervalle de confiance statistique d’un échantillon avec une taille donnée à partir d’une population à écart standard connu. Elle suppose que les valeurs sont réparties normalement dans l’échantillon. Exemples COMBIN(3; 2) renvoie 3, nombre de groupes uniques que vous pouvez créer si vous commencez avec trois éléments et les regroupez par 2 à la fois. COMBIN(3,2; 2,3) renvoie 3. Les parties décimales ne sont pas prises en compte. COMBIN(5; 2) et COMBIN(5;3) renvoient 10. Exemples Si la cellule A1 contient Lorem et la cellule B1 contient Ipsum, CONCATENER(B1;", ";A1) renvoie « Ipsum, Lorem ». CONCATENER("a"; "b";"c") renvoie « abc ». "a"&"b"&"c" renvoie « abc ».Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 237 INTERVALLE.CONFIANCE(alpha; écart-type; taille)  alpha : probabilité que la valeur réelle de la population se trouve en dehors de l’intervalle. 1 moins alpha est donc le niveau de confiance pour la valeur réelle de population dans l’intervalle centré sur la valeur d’échantillon. Une valeur alpha de 0,05 correspond à un niveau de confiance de 0,95 (95 %).  écart-type : écart-type de la population.  taille : taille de l’échantillon. COEFFICIENT.CORRELATION La fonction COEFFICIENT.CORRELATION calcule la corrélation entre deux séries de données d’après une analyse de régression linéaire. COEFFICIENT.CORRELATION(intervalle-y; intervalle-x)  intervalle-y : plage de cellules contenant la variable dépendante (y).  intervalle-x : plage de cellules contenant la variable indépendante (x). Exemples INTERVALLE.CONFIANCE(0,05; 1; 10) renvoie 0,62. Si la moyenne des valeurs d’échantillon est 100, l’intervalle confiance pour que la moyenne de population se trouve dans l’intervalle de 99,38 à 100,62 est de 95 %. INTERVALLE.CONFIANCE(0,1; 1; 10) renvoie 0,52. Si la moyenne des valeurs d’échantillon est 100, l’intervalle confiance pour que la moyenne de population se trouve dans l’intervalle de 99,48 à 100,52 est de 90 %. INTERVALLE.CONFIANCE(0,05; 1; 20) renvoie 0,44. INTERVALLE.CONFIANCE(0,05; 1; 30) renvoie 0,36. INTERVALLE.CONFIANCE(0,05; 1; 40) renvoie 0,31. Exemples Prenons le tableau suivant : COEFFICIENT.CORRELATION(D2:D7; E2:E7) renvoie 1. COEFFICIENT.CORRELATION(B2:B7; A2:A7) renvoie 0,977265.238 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions COS La fonction COS calcule le cosinus d’un angle exprimé en radians. COS(radian-angle)  angle-radians : nombre représentant un angle exprimé en radians. Remarques Pour utiliser des angles en radians, convertissez les degrés en radians à l’aide de la fonction RADIANS. Voir le deuxième exemple ci-dessous. Pour exprimer des radians en un multiple de pi, utilisez la fonction PI. Consultez le troisième et le quatrième exemple ci-dessous. COSH La fonction COSH calcule le cosinus hyperbolique d’un nombre. COSH(nombre)  nombre : nombre réel quelconque. Exemples COS(1) renvoie 0,540302306, cosinus de 1 radian (57,3 degrés approximativement). COS(RADIANS(60)) renvoie 0,5, cosinus de 60 degrés. COS(PI()/3) renvoie 0,5, pi/3 radians (60 degrés). COS(PI()) renvoie -1, cosinus de pi radians (180 degrés). Exemples COSH(0) renvoie 1. COSH(1) renvoie 1,543. COSH(5) renvoie 74,21. COSH(10) renvoie 11 013,233.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 239 NB La fonction NB compte le nombre d’arguments et de cellules référencées contenant des nombres, des expressions numériques ou des dates. NB(valeur; [valeur; . . .])  valeur : un ou plusieurs nombres. Remarques Pour compter toute cellule contenant n’importe quel type de valeur (c’est-à-dire compter toute cellule non vide), utilisez la fonction NBVAL. NBVAL La fonction NBVAL compte le nombre de valeurs dans ses arguments. NBVAL(valeur; [valeur; . . .])  valeur : référence à des cellules ou argument contenant une valeur. Remarques Pour compter uniquement les cellules ou les arguments comportant des nombres ou des dates, utilisez la fonction NB. Exemples Prenons le tableau suivant : NB(A1:E1) renvoie 5. NB(A2:E2) renvoie 0. NB(A3:E3) renvoie 3. NB(A4:E4) renvoie 0. NB(A5:E5) renvoie 2. NB(1; SOMME(4; 5)) renvoie 2.240 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions NB.VIDE La fonction NB.VIDE compte le nombre de cellules vides dans un intervalle. NB.VIDE(intervalle)  intervalle : plage simple de cellules. Exemples Prenons le tableau suivant : NBVAL(A1:E1) renvoie 5. NBVAL(A2:E2) renvoie 5. NBVAL(A3:E3) renvoie 5. NBVAL(A4:E4) renvoie 5. NBVAL(A5:E5) renvoie 2. NBVAL(1; "a"; VRAI; FAUX) renvoie 4. NBVAL(1; SOMME(4; 5)) renvoie 2. Exemples Prenons le tableau suivant : NB.VIDE(A1:E1) renvoie 0. NB.VIDE(A2:E2) renvoie 1. NB.VIDE(A3:E3) renvoie 2. NB.VIDE(A4:E4) renvoie 1. NB.VIDE(A5:E5) renvoie 5.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 241 NB.SI La fonction NB.SI compte le nombre de cellules d’un intervalle répondant à une condition spécifiée. NB.SI(intervalle-test; condition)  intervalle : plage de cellules à tester.  condition : test conditionnel renvoyant la valeur logique VRAI ou FAUX. Remarques Pour en savoir plus sur les opérateurs de comparaison, reportez-vous à la rubrique « Explication des opérateurs de comparaison » à la page 105. COUPDAYBS La fonction COUPDAYBS compte le nombre de jours du début de la période de liquidation d’un titre jusqu’à sa date de liquidation. COUPDAYBS(liquidation; échéance; périodicité; [calcul des jours])  liquidation : date de liquidation, généralement la date de vente du titre.  échéance : date d’échéance du titre (date à laquelle il arrive à expiration).  périodicité : nombre de règlements de coupons par an 1 signifie des paiements annuels. 2 signifie des paiements semestriels (deux fois par an). 4 signifie des paiements trimestriels (quatre fois par an).  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). Exemples Si les cellules A1:A8 contiennent 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 : NB.SI(A1:A8; "<4") renvoie 3. NB.SI(A1:A8; ">4") renvoie 4. NB.SI(A1:A8; ">=4") renvoie 5.242 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions NB.JOURS.COUPON La fonction COUPDAYBS compte le nombre de jours de la période du coupon au cours de laquelle a lieu la liquidation d’un titre. NB.JOURS.COUPON(liquidation; échéance; périodicité; [calcul des jours])  liquidation : date de liquidation, généralement la date de vente du titre.  échéance : date d’échéance du titre (date à laquelle il arrive à expiration).  périodicité : nombre de règlements de coupons par an 1 signifie des paiements annuels. 2 signifie des paiements semestriels (deux fois par an). 4 signifie des paiements trimestriels (quatre fois par an).  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). Exemples Si les cellules A1:A4 contiennent 1/9/2000, 1/1/2001, 4, 1 : COUPDAYBS(A1; A2; A3; A4) renvoie 62 (nombre de jours depuis le 1er juillet, début de la période du coupon en cours, jusqu’au 1er septembre, sur la base de 31 jours en juillet et août). COUPDAYBS(A1; A2; A3; 0) renvoie 60 (nombre de jours de la même période que dans l’exemple pré- cédent mais sur la base de 30 jours par mois). COUPDAYBS(DATE(2000;7;4); A2; 2; 0) renvoie 3 (nombre de jours du 1er juillet au 4 juillet).Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 243 NB.JOURS.COUPON.SUIV La fonction NB.JOURS.COUPON.SUIV compte le nombre de jours à partir de la date de liquidation d’un titre jusqu’à la fin de la période de coupon durant laquelle se produit la liquidation. COUPDAYBS(liquidation; échéance; périodicité; [calcul des jours])  liquidation : date de liquidation, généralement la date de vente du titre.  échéance : date d’échéance du titre (date à laquelle il arrive à expiration).  périodicité : nombre de règlements de coupons par an 1 signifie des paiements annuels. 2 signifie des paiements semestriels (deux fois par an). 4 signifie des paiements trimestriels (quatre fois par an).  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). Exemples Si les cellules A1:A4 contiennent 1/9/2000, 1/1/2001, 4, 0 : NB.JOURS.COUPON(A1; A2; A3; A4) renvoie 90 (nombre de jours cumulés des mois de juillet, août et septembre sur la base de 30/360 jours). NB.JOURS.COUPON(A1; A2; A3; 1) renvoie 92 (nombre de jours cumulés des mois de juillet, août et septembre sur la base de compte de jours réels par mois et par an). NB.JOURS.COUPON(A1; A2; A3; 2) renvoie 90 (nombre de jours cumulés des mois de juillet, août et septembre sur la base de compte de jours réels par mois/360 jours par an). NB.JOURS.COUPON(A1; A2; A3; 3) renvoie 91.25 (nombre de jours cumulés des mois de juillet, août et septembre sur la base de compte de jours réels par mois/365 jours par an). NB.JOURS.COUPON(A1; A2; A3; 4) renvoie 90 (nombre de jours cumulés des mois de juillet, août et septembre sur la base de 30 jours par mois/360 jours par an).244 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions NB.COUPONS La fonction NB.COUPONS compte le nombre de coupons à payer sur un titre entre la date de liquidation et la date d’échéance. NB.COUPONS(liquidation; échéance; périodicité; [calcul des jours])  liquidation : date de liquidation, généralement la date de vente du titre.  échéance : date d’échéance du titre (date à laquelle il arrive à expiration).  périodicité : nombre de règlements de coupons par an 1 signifie des paiements annuels. 2 signifie des paiements semestriels (deux fois par an). 4 signifie des paiements trimestriels (quatre fois par an).  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). Exemples Si les cellules A1:A4 contiennent 1/9/2000, 1/1/2001, 4, 1 : NB.JOURS.COUPON.SUIV(A1; A2; A3; A4) renvoie 30 (nombre de jours entre le 1er septembre et la prochaine date de coupon, le 1er octobre, sur la base de 30 jours en septembre). NB.JOURS.COUPON.SUIV(DATE(2000;8;1); A2; A3; A4) renvoie 61 (nombre de jours entre le 1er août et la prochaine date de coupon, le 1er octobre, sur la base de 31 jours en août et de 30 jours en septembre). NB.JOURS.COUPON.SUIV(DATE(2000;8;1); A2; A3; 0) renvoie 60 (nombre de jours entre le 1er août et la prochaine date de coupon, le 1er octobre, sur la base de 30 jours en août et de 30 jours en septembre).Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 245 COVARIANCE La fonction COVARIANCE calcule la covariance de deux séries de données. COVARIANCE(intervalle1; intervalle2)  intervalle1 : référence aux cellules contenant le premier jeu de données.  intervalle2 : référence aux cellules contenant le deuxième jeu de données. Les dimensions d’intervalle1 et d’intervalle2 doivent être les mêmes. Remarques Si les deux ensembles de données sont identiques, la covariance est la même que la variance de population. DATE La fonction DATE combine les valeurs d’année, de mois et de jour séparées en une même date. DATE(année; mois; jour)  année : numéro de l’année.  mois : numéro du mois.  jour : numéro du jour. Remarques Les valeurs d’année ne sont pas converties. Si vous indiquez 10, l’année 10 (et non pas l’année 1910 ou 2010) est évaluée. Exemples Si les cellules A1:A4 contiennent 1/2/2000, 1/1/2001, 4, 0 : NB.COUPONS(A1; A2; A3; A4) renvoie 4. NB.COUPONS(DATE(2000;6;1); A2; A3; A4) renvoie 3. NB.COUPONS(DATE(2000;9;1); A2; A3; A4) renvoie 2. NB.COUPONS(DATE(2000;11;1); A2; A3; A4) renvoie 1. Exemples Si intervalle1 (C3:H3) contient 3,4; 3,7; 4; 4,4; 5,1; 5,4 et si intervalle2 (C2:H2) contient 2,1; 3,3; 4,5; 5,5; 6,4; 7,2: COVARIANCE(C3:H3; C2:H2) renvoie 1,234. Exemples DATE(1959,2,14) renvoie la date 14 février 1959 qui s’affichera selon le format de la cellule.246 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions DATEDIF La fonction DATEDIF recherche le nombre de jours, de mois et d’années entre deux dates. DATEDIF(date de début; date de fin; méthode)  date de début : date de début de la période à calculer.  date de fin : date de fin de la période à calculer.  méthode : indique si la différence s’exprime en années, mois ou jours et précise le mode de calcul pour les années ou les mois indiquées : « D » compte les jours entre les dates. « M » compte les mois entre les dates. « Y » compte les années entre les dates. « MD » compte les jours entre le jour de début et le jour de fin du mois, en ignorant les mois et les années. Si la date de début est postérieure à la date de fin, le compte commence à la date de fin comme si celle-ci appartenait au mois précédent. La fonction vérifie si l’année de la date de fin est bissextile. « YM » compte le nombre de mois entiers entre la date de début et la date de fin, sans tenir compte de l’année. Si le mois/jour de début est antérieur au mois/jour de fin, les dates sont traitées comme s’ils appartenaient à la même année. Si le mois/jour de début est postérieur au mois/jour de fin, les dates sont traitées comme s’ils appartenaient à des années consécutives. « YD » compte le nombre de jours entre le mois/jour de début et le mois/jour de fin, en ignorant les années. Exemples Si la cellule A1 contient « 6/4/88 » et A2 contient « 30/10/06 » : DATEDIF(A1;A2;"D") renvoie « 6 781 », c’est-à-dire le nombre de jours entre le 6 avril 1988 et le 30 octobre 2006. DATEDIF(A1;A2;"Y") renvoie 222, c’est-à-dire le nombre de mois entiers entre le 6 avril 1988 et le 30 octobre 2006. DATEDIF(A1;A2;"Y") renvoie 18, c’est-à-dire le nombre d’années entières entre le 6 avril 1988 et le 30 octobre 2006. DATEDIF(A1;A2;"MD") renvoie 24, le nombre de jours entre le sixième jour d’un mois et le trentième jour du même mois. DATEDIF(A1;A2;"YM") renvoie 6, c’est-à-dire le nombre de mois entre avril et octobre sans tenir compte de l’année. DATEDIF(A1;A2;"YM") renvoie 207, c’est-à-dire le nombre de jours entre le 6 avril et le 30 octobre sans tenir compte de l’année. DATEDIF(A1;MAINTENANT();"Y") & " années, " & DATEDIF(A1;MAINTENANT();"YM") & " mois et " & DATEDIF(A1;MAINTENANT();"MD") & " jours" donne l’âge d’une personne née le 6 avril 1988.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 247 JOUR La fonction JOUR extrait le numéro du jour d’une date. JOUR(date-heure)  date-heure : toute date valide acceptée par Numbers. DB La fonction DB calcule l’amortissement d’un actif sur une période donnée à l’aide de la méthode dégressive fixe. DB(coût; récupération; vie; nombre de périodes; [mois de la première année])  coût : coût initial de l’actif.  récupération : valeur de récupération de l’actif.  vie : nombre de périodes d’amortissement de l’actif.  période : période de calcul de l’amortissement.  mois de la première année : facultatif ; nombre de mois de la première année. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 12. Exemples JOUR("6/4/88 11:59:22") renvoie 6. Exemples Si les cellules de l’intervalle A2:E2 contiennent respectivement 1 000, 100, 4, 1 et 12 : DB(A2; B2; C2; D2; E2) renvoie 438 ı. DB(A2; B2; C2; 2; E2) renvoie 246,16 ı. DB(A2; B2; C2; 3; E2) renvoie 138,34 ı. DB(A2; B2; C2; 4; E2) renvoie 77,75 ı. DB(A2; B2; C2; D2; 9) renvoie 328,50 ı. DB(A2; B2; C2; D2; 6) renvoie 219 ı. DB(A2; B2; C2; D2; 3) renvoie 109,50 ı.248 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions AMORDEG La fonction AMORDEG calcule l’amortissement d’un actif selon un taux d’amortissement. Si vous n’indiquez pas de taux, l’amortissement se base sur la méthode à taux dégressif double. AMORDEG(coût; récupération; vie; nombre de périodes; [taux])  coût : coût initial de l’actif.  récupération : valeur de récupération de l’actif.  vie : nombre de périodes d’amortissement de l’actif.  période : période de calcul de l’amortissement. Doit être exprimé dans la même unité que vie.  taux : facultatif ; nombre déterminant le taux d’amortissement. Plus le nombre est élevé, plus l’amortissement est rapide. Si vous n’indiquez pas de taux, l’amortissement se base sur la méthode à taux dégressif double. DEGRÉS La fonction DEGRÉS convertit des radians en degrés. DEGRÉS(radians)  radians : nombre représentant un angle exprimé en radians. Exemples AMORDEG(1000; 100; 4; 1) renvoie 500 ı. AMORDEG(1000; 100; 4; 2) renvoie 250 ı. AMORDEG(1000; 100; 4; 3) renvoie 125 ı. AMORDEG(1000; 100; 4; 4) renvoie 25 ı. AMORDEG(1000; 100; 4; 1; 1) renvoie 250 ı. AMORDEG(1000; 100; 4; 1; 3) renvoie 750 ı. AMORDEG(1000; 100; 4; 2; 3) renvoie 150 ı. AMORDEG(1000; 100; 4; 3; 3) renvoie 0 ı. Exemples DEGRÉS(PI()) renvoie 180 (pi radians = 180 degrés). DEGRÉS(1) renvoie 57,2957795130823, ce qui correspond approximativement au nombre de degrés par radian.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 249 TAUX.ESCOMPTE La fonction TAUX.ESCOMPTE calcule le taux d’escompte d’un titre. TAUX.ESCOMPTE(liquidation; échéance; prix; valeur; [nombre de jours])  liquidation : date de liquidation, généralement la date de vente du titre.  échéance : date d’échéance du titre (date à laquelle il arrive à expiration).  prix : coût du titre pour une valeur nominale de 100 Euros.  valeur : prix de remboursement pour une valeur nominale de 100 Euros.  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). EURO La fonction EURO convertit un nombre en chaîne de caractères indiquant une somme en Euros avec un nombre de décimales donné. EURO(nombre; [décimales])  nombre : nombre à convertir. Il peut s’agir d’un nombre, d’une expression numérique ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique.  décimales : facultatif ; nombre positif représentant le nombre de décimales souhaitées après la virgule. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 2. Un nombre négatif indique le nombre de positions décimales à gauche du séparateur décimal auxquelles appliquer l’arrondi. Remarques La fonction EURO utilise l’arrondi arithmétique standard ; si la décimale la plus significative à supprimer est supérieure ou égale à 5, le résultat est arrondi par excès. Exemples Si les cellules A1:E1 contiennent 1/1/2000, 1/1/2001, 90, 100, 0 : TAUX.ESCOMPTE(A1; B1; C1; D1; E1) renvoie 10 %. TAUX.ESCOMPTE(A1; B1; 80; D1; E1) renvoie 20 %. TAUX.ESCOMPTE(A1; B1; C1; 110; E1) renvoie 18 %.250 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions EDATE La fonction EDATE recherche une autre date un certain nombre de mois avant ou après une date précise. EDATE(date; décalage-mois)  date : date de début de la période à calculer.  décalage-mois : nombre de mois avant ou après date. Le décalage-mois est négatif pour une date antérieure à date. PAIR La fonction PAIR arrondit un nombre au nombre pair supérieur. PAIR(nombre)  nombre : nombre à arrondir. Il peut s’agir d’un nombre, d’une expression numérique ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique. Remarques Pour arrondir à un nombre impair, utilisez la fonction IMPAIR. Exemples EURO(2323,124) renvoie 2 323,12 ı. EURO(2323,125) renvoie 2 323,13 ı. EURO(99,554; 0) renvoie 100 ı. EURO(12; 3) renvoie 12 000 ı. EURO(-12; 3) renvoie (12 000 ı), les parenthèses indiquant une valeur négative. EURO(123; -1) renvoie 120 ı. Exemples EDATE("15/1/2000"; 1) renvoie « 15/2/2000 », c’est-à-dire la date un mois avant. EDATE("15/1/2000"; -24) renvoie 15/1/1998, c’est à dire la date 24 mois plus tard. Exemples PAIR(1) renvoie 2. PAIR(2) renvoie 2. PAIR(2.5) renvoie 4. PAIR(-2.5) renvoie -4. PAIR(0) renvoie 0.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 251 EXACT La fonction EXACT renvoie VRAI si les chaînes d’argument sont identiques du point de vue de la casse et de l’orthographe. EXACT(chaîne1; chaîne2)  chaîne1 : expression textuelle. Pour inclure la chaîne en tant qu’argument, placez-la entre guillemets.  chaîne2 : seconde expression textuelle. EXP La fonction EXP calcule e à la puissance d’un nombre. EXP(nombre)  nombre : puissance à laquelle vous souhaitez élever e. Il peut s’agir d’un nombre, d’une expression numérique ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique. FACT La fonction FACT calcule la factorielle d’un nombre autre que négatif. FACT(nombre)  nombre : nombre non négatif. Remarques Si nombre contient une partie décimale, elle est tronquée avant le calcul. Exemples EXACT("toledo"; "toledo") renvoie VRAI. EXACT("Toledo"; "toledo") renvoie FAUX. EXACT(toledo"; "tol" & "edo") renvoie VRAI. Exemples EXP(1) renvoie 2,71828182845905, approximation de e. EXP(LN(5)) renvoie 5. EXP est la fonction inverse de LN. Exemples FACT(5) renvoie 120 ou 1 * 2 * 3 * 4 * 5. FACT(0) renvoie 1. FACT(4,5) renvoie 24. La partie décimale est supprimée et 4! est calculé. FACT(-1) renvoie une erreur, car le nombre ne doit pas être négatif.252 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions FAUX La fonction FAUX renvoie la valeur booléenne FAUX. Elle est incluse pour vous permettre d’utiliser des feuilles de calcul créées avec d’anciens tableurs. Pour indiquer la valeur booléenne FAUX, il suffit de taper le mot faux (sans guillemets) dans une cellule ou un argument de fonction. FAUX()  Sans argument (les parenthèses sont obligatoires). Remarques Au lieu d’utiliser la fonction FAUX(), vous pouvez taper le mot FAUX directement dans une cellule ou une formule. RECHERCHER La fonction RECHERCHER recherche la position de début d’une chaîne dans une autre. La casse est différenciée et les espaces sont comptés lors de la recherche. Les caractè- res génériques ne sont pas autorisés. RECHERCHER(cible; chaîne; [début])  cible : texte à trouver. Si vous incluez le texte comme argument, faites-le figurer entre guillemets.  chaîne : texte à rechercher. Si vous incluez le texte comme argument, faites-le figurer entre guillemets.  début : facultatif ; nombre indiquant la position du caractère dans la chaîne cible dans laquelle vous souhaitez lancer la recherche. Si l’argument est omis, la recherche commence avec le premier caractère de cible. Remarques Pour utiliser des caractères génériques dans votre recherche, optez pour la fonction RRECHERCHER. Exemples FAUX() renvoie la valeur booléenne FAUX. ET(1;FAUX()) renvoie la valeur booléenne FAUX. Exemples RECHERCHER("u";"sur la terre") renvoie 2 (« u » est le deuxième caractère de la chaîne « sur la terre »). RECHERCHER("e";"sur la terre"; 8) renvoie 11 (le second « e » de terre est le premier « e » trouvé à partir du caractère 8).Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 253 CTXT La fonction CTXT arrondit un nombre au nombre de décimales spécifiées, puis convertit le résultat en texte. CTXT(nombre; [décimales]; [virgules])  nombre : valeur numérique.  décimales : facultatif ; nombre de décimales souhaitées dans le résultat.  virgules : valeur booléenne facultative ; indique si des séparateurs de position sont utilisés dans la partie entière du nombre résultant. FAUX ou 0 n’affiche pas de séparateurs de position dans le nombre obtenu. VRAI, 1 ou l’absence de valeur inclut des séparateurs de position dans le nombre obtenu. PLANCHER La fonction PLANCHER arrondit un nombre au plus petit multiple inférieur du facteur donné. PLANCHER(nombre; facteur)  nombre : nombre, expression numérique ou référence à une cellule contenant une expression numérique.  facteur : nombre auquel vous souhaitez arrondir les multiples. facteur doit présenter le même signe que nombre. Remarques Pour arrondir un nombre au plus petit multiple supérieur et non pas au plus grand multiple inférieur, utilisez la fonction PLAFOND. Autres fonctions associées aux nombres d’arrondi : ENT, ARRONDI, ARRONDI.SUP, ARRONDI.INF, TRONQUE. Exemples CTXT(6789,123; 2) renvoie « 6 789,12 ». CTXT(6789,123; 1; 1) renvoie « 6 789,1 ». CTXT(6789,123; -2) renvoie « 6 800 ». CTXT(12,4; 0) renvoie « 12 ». CTXT(12,5; 0) renvoie « 13 ». CTXT(4; -1) renvoie « 0 ». CTXT(5; -1) renvoie « 10 ».254 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions PRÉVISION La fonction PRÉVISION utilise l’analyse de régression linéaire des paires de valeurs connues pour trouver la valeur y (dépendante) correspondant à une valeur x (indépendante). PRÉVISION(x; valeurs-y; valeurs-x)  x : valeur x pour laquelle vous souhaitez trouver une valeur y correspondante.  valeurs y : plage de cellules contenant les valeurs y connues. Doit être de même taille que valeurs x.  valeurs x : plage de cellules contenant les valeurs x connues. Remarques Les fonctions PENTE et ORDONNÉE.ORIGINE permettent de trouver l’équation utilisée pour le calcul des valeurs de prévision. VALFUT La fonction VALFUT calcule la valeur capitalisée d’un investissement d’après une série de versements périodiques supplémentaires et fixes, le taux d’intérêt et le nombre de périodes. VALFUT signifie Valeur Calculée. Exemples PLANCHER(0,25;1) renvoie 0. PLANCHER(1,25;1) renvoie 1. PLANCHER(5;2) renvoie 4. PLANCHER(73;10) renvoie 70. PLANCHER(-0,25;-1) renvoie 0. PLANCHER(9;2,5) renvoie 7,5. Exemples Prenons le tableau suivant : PRÉVISION(9; A3:F3; A2:F2) renvoie 19.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 255 VALFUT(taux; nombre de périodes; [versement]; [valeur actualisée]; [échéance])  taux : taux d’intérêt par période.  nombre de périodes : nombre de périodes.  versement : facultatif ; versement supplémentaire à effectuer par période et exprimé sous forme de nombre négatif. Si cet argument est omis, indiquezvaleur actualisée.  valeur actualisée : facultatif ; valeur actualisée de l’investissement, indiquée sous forme de nombre négatif.  échéance : facultatif ; indique si les règlements sont dus en début ou en fin de période : 0 (ou absence de valeur) signifie que les règlements ont lieu à la fin de chaque période. 1 signifie que les règlements ont lieu au début de chaque période. PGCD La fonction PGCD trouve le plus grand commun diviseur des nombres spécifiés. Parfois appelé plus grand facteur commun, le PGCD est l’entier le plus élevé qui divise chacun des nombres sans reste. PGCD(nombre; [nombre; . . .])  nombre : nombres positifs, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques positifs. Remarques Tous les arguments doivent être supérieurs ou égaux à zéro. RECHERCHEH La fonction RECHERCHEH extrait une valeur d’une plage de rangées en utilisant les valeurs de la rangée supérieure comme base pour déterminer une colonne, puis le numéro de la rangée où se trouve la valeur. Vous pouvez choisir de rechercher l’occurrence la plus proche ou une occurrence exacte. Exemples VALFUT(5%;10;-300;-3000,0) calcule la valeur d’un investissement initial de 3 000 Euros sur 10 ans avec un règlement ajouté de 300 Euros chaque fin d’année, à un taux annuel de 5 %. Dans cet exemple, la valeur capitalisée est « 8 660,05 ı » (pour un format numérique avec une précision à deux décimales). Exemples PGCD(8; 10) renvoie 2. PGCD(99; 102; 105) renvoie 3. PGCD(34; 51) renvoie 17.256 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions CONSH(valeur de recherche, intervalle de cellules, rang, [correspondance exacte])  valeur de recherche : valeur que vous souhaitez rechercher dans la rangée supérieure afin de choisir une colonne. Peut être numérique, texte ou logique.  intervalle de cellules : plage de cellules contenant les données. La rangée supérieure contient les données à rechercher ; les rangées restantes contiennent des valeurs à récupérer.  rangée : expression numérique qui indique la rangée contenant la valeur à extraire. La rangée supérieure de l’intervalle de cellules est la rangée 1.  correspondance exacte : valeur booléenne facultative ; détermine si une occurrence exacte est requise : VRAI, 1 ou l’absence de valeur sélectionne la colonne dont la valeur de rangée supérieure la plus élevée est inférieure à la valeur de recherche si aucune occurrence exacte n’est trouvée. FAUX ou 0 renvoie une erreur s’il n’existe aucune occurrence exacte. HEURE La fonction HEURE extrait l’heure à partir d’une valeur date/heure. L’heure est représentée par un nombre entre 0 et 23 dans un système de 24 heures. Exemples Prenons le tableau suivant : RECHERCHEH(20;A1:E4;2) renvoie « E ». RECHERCHEH(39;A1:E4;2) renvoie « E ». RECHERCHEH("M";A2:E4;2) renvoie « dolor ». RECHERCHEH("C";A2:E3;2) renvoie « lorem ». RECHERCHEH("blandit";A3:E4;2) renvoie « 5 ». RECHERCHEH("C";A2:E4;3; VRAI) renvoie « 1 ». RECHERCHEH("C";A2:E4;3; FAUX) indique que la valeur est introuvable (car il n’existe pas d’occurrence exacte).Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 257 HEURE(date-heure)  date-heure : toute date valide acceptée par Numbers. LIEN_HYPERTEXTE La fonction LIEN_HYPERTEXTE crée un lien qui ouvre une page web ou une fenêtre permettant d’élaborer un courrier électronique. LIEN_HYPERTEXTE(url; [texte-lien])  url : adresse URL standard.  texte-lien : facultatif ; texte s’affichant comme lien dans la cellule. Si vous omettez cet argument, l’URL est utilisé comme texte du lien. SI La fonction SI renvoie la valeur VRAI ou FAUX selon que l’expression spécifiée est vérifiée ou non. SI(expression; [si vrai]; [si faux])  expression : expression logique ou numérique ou référence à une cellule contenant une telle expression.  si vrai : facultatif ; valeur renvoyée si condition est vraie. Si cet argument est omis (pas de virgule), renvoie 1. Si l’argument est vide (virgule sans valeur), renvoie VRAI.  si faux : facultatif ; valeur renvoyée si condition est fausse. Si cet argument est omis (pas de virgule), l’expression si vrai est renvoyée. Si l’argument est vide (virgule sans valeur), renvoie FAUX. Remarques Si condition est une expression numérique, une valeur égale à 0 est interprétée comme fausse et toute valeur différente de 0 est interprétée comme vraie. Exemples HEURE(MAINTENANT()) renvoie l’heure actuelle du jour. HEURE("6/4/88 11:59:22") renvoie 11. Exemples LIEN_HYPERTEXTE("http://www.apple.com/fr";"Apple") crée un lien d’après le texte Apple qui ouvre le navigateur web par défaut sur la page principale d’Apple. LIEN_HYPERTEXTE("mailto:jeandurand@exemple.com?subject=Demande de devis"; "Obtenir un devis") crée un lien avec le texte Obtenir un devis qui s’affiche dans l’application de courrier électronique par défaut et adresse un nouveau message à jeandurand@exemple.com avec l’objet Obtenir un devis.258 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions INDEX La fonction INDEX extrait la valeur se trouvant dans la cellule à l’intersection d’une rangée et d’une colonne données parmi une plage de cellules. Vous indiquez l’emplacement en spécifiant le nombre de rangées vers le bas et le nombre de colonnes vers la droite par rapport à l’angle supérieur gauche de l’intervalle. INDEX(intervalle de cellules; [rangée]; [colonne]; [zone])  intervalle de cellules : intervalle ou liste d’intervalles contenant les valeurs à renvoyer. Si plusieurs intervalles sont indiqués (dans une liste entre parenthèses), l’argument zone indique l’intervalle duquel vous souhaitez extraire un résultat.  rangée : facultatif ; numéro de rangée de la cellule, de la cellule située le plus haut vers le bas, dans la plage de cellules numérotée 1. Si cet argument est omis, incluez colonne.  colonne : facultatif ; numéro de colonne de la cellule, à compter de la cellule la plus à gauche vers la droite, dans la plage de cellules numérotée 1. Si cet argument est omis, incluez rangée.  zone : facultatif ; numéro de la zone de intervalles de cellules s’il y en a plusieurs. Exemples SI(A5>=0; "Non négatif";"Négatif") renvoie le texte « Non négatif » si la cellule A5 contient un nombre supérieur ou égal à zéro. Autrement, le texte « Négatif » est renvoyé. SI(ET(A8;A9);1;0) fonctionne comme l’opération booléenne ET. La fonction renvoie la valeur numérique 1 car les cellules A8 et A9 contiennent 1 mais renvoie la valeur 0 si l’une ou l’autre cellule contient 0. Exemples Prenons le tableau suivant : INDEX(B2:E5;1;1) renvoie 2. INDEX(B2:E5;3;2) renvoie 1 024. INDEX(B2:E5;2;3) renvoie 128. INDEX(B2:E5;1;5) renvoie une erreur car l’intervalle ne contient que quatre colonnes.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 259 INDIRECT La fonction INDIRECT renvoie une référence à une adresse indiquée sous forme de chaîne. INDIRECT(adresse, [style])  adresse : chaîne représentant une adresse de cellule ou une référence à une cellule qui contient une adresse de cellule.  style : Facultatif ; style de l’adresse utilisée dans adresse. VRAI, 1 ou absent indique le style d’adresse A1 . FAUX ou 0 renvoie une erreur qui indique que le style R1C1 n’est pas pris en charge. ENT La fonction ENT renvoie le nombre entier inférieur ou égal le plus proche du nombre. ENT(nombre)  nombre : nombre à convertir en une valeur entière. Il peut s’agir d’un nombre, d’une expression numérique ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique. Remarques Autres fonctions associées aux nombres d’arrondi : PLAFOND, ARRONDI, ARRONDI.SUP, ARRONDI.INF, TRONQUE. ORDONNEE.ORIGINE La fonction ORDONNEE.ORIGINE calcule l’ordonnée d’origine y de la droite de régression d’une série de données par une analyse de régression linéaire. Exemples Si la cellule A1 contient 99 et si la cellule A20 contient A1 : INDIRECT(A20) renvoie 99, c’est-à-dire le contenu de la cellule A1. Exemples ENT(1,49) renvoie 1. ENT(1,50) renvoie 1. ENT(1,23456) renvoie 1. ENT(1111,222) renvoie 1111. ENT(-2,2) renvoie -3. ENT(-2,8) renvoie -3.260 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions ORDONNEE.ORIGINE(intervalle-y; intervalle-x)  intervalle-y : liste de valeurs de la variable y qui en dépend. Doit présenter les mêmes dimensions qu’intervalle-x.  intervalle-x : plage de cellules contenant les valeurs pour la variable indépendante x. Doit présenter les mêmes dimensions qu’intervalle-y. Remarques Pour trouver la pente de la droite de régression, utilisez la fonction PENTE. INTPER La fonction INTPER calcule la part d’intérêt du remboursement d’un prêt ou du versement pour un investissement pour une durée donnée basée sur versement périodique et un taux d’intérêt fixes. INTPER(taux; période; nombre de périodes; valeur actualisée; [valeur capitalisée]; [échéance])  taux : taux d’intérêt par période.  période : période de calcul de l’intérêt.  nombre de périodes : nombre de périodes pendant la durée de vie de l’investissement.  valeur actualisée : valeur actualisée de l’emprunt ou de l’investissement.  valeur capitalisée : facultatif ; valeur capitalisée cible s’il s’agit d’un investissement. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 0.  échéance : facultatif ; indique si les règlements sont effectués en début ou en fin de période : 0 (ou absence de valeur) signifie que les règlements ont lieu à la fin de chaque période. 1 signifie que les règlements ont lieu au début de chaque période. Exemples Prenons le tableau suivant : ORDONNEE.ORIGINE(A2:F2; A1:F1) renvoie 1. PENTE(A2:F2; A1:F1) renvoie 2. ORDONNEE.ORIGINE(A5:F5; A4:F4) renvoie 2,392.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 261 Remarques Vérifiez que le taux d’intérêt est exprimé par période. Par exemple, si le taux d’intérêt est de 10 % par an et que la périodicité de paiement est mensuelle, le taux utilisé dans la fonction doit être 0,1/12 (approximativement 0,00833 par mois). TRI La fonction TRI calcule le taux interne de retour d’un investissement basé sur une série de mouvements irréguliers et non sur un revenu à intérêt fixe. Le taux renvoyé est le taux donnant la valeur nette actuelle d’un ensemble de mouvements nuls. TRI(intervalle des mouvements; [estimation])  intervalle des mouvements : plage de cellules contenant la valeur des mouvements. Les valeurs positives représentent un revenu. Les valeurs négatives représentent des dépenses. Toutes les valeurs représentent des intervalles temporels égaux.  estimation : facultatif ; estimation initiale du taux de retour. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 10 %. Ajustez l’estimation si la fonction TRI ne renvoie pas de résultat. ESTVIDE La fonction ESTVIDE renvoie VRAI si la cellule spécifiée est vide, et FAUX dans le cas contraire. ESTVIDE(cellule)  cellule : référence à une cellule du tableau. Exemples Pour trouver la partie d’intérêt du premier paiement pour un emprunt de 1 000 Euros à 12 % l’an avec des règlements en fin de mois : INTPER(0,12/12; 1; 12; 1000) renvoie – 10 ı. Exemples Si les cellules A1:F1 contiennent -1000, 50, 50, 50, 50, 1050 : TRI(A1:F1) renvoie 5 %, taux de retour si vous investissez 1 000 Euros et recevez 50 Euros par an pendant quatre ans, avec un règlement final de 1 050 Euros la cinquième année. Pour trouver le taux de retour si vous achetez une machine 20 000 Euros, l’utilisez pendant cinq ans en générant 8 000 Euros par an et la vendez 2 000 Euros à la fin de la cinquième année, saisissez - 20 000; 8 000, 8 000, 8 000, 8 000 et 10 000 dans les cellules A1:A6 et utilisez la formule TRI(A1:A6). La valeur 30,06 % est renvoyée.262 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions ESTERREUR La fonction ESTERREUR renvoie VRAI si la formule de la cellule spécifiée (ou de l’argument de la fonction) fait état d’une erreur, FAUX dans le cas contraire. ESTERREUR(cellule)  cellule : référence à une cellule d’un tableau contenant une formule. ESTPAIR La fonction ESTPAIR renvoie VRAI si la valeur est paire (aucun reste quand la valeur est divisée par 2) et FAUX, dans le cas contraire. ESTPAIR(number)  nombre : nombre, expression numérique ou référence à une cellule contenant une expression numérique. Remarques La partie décimale du nombre est ignorée. Les dates ne sont ni paires ni impaires ; si valeur est une date, une erreur est renvoyée. Exemples Prenons le tableau suivant : ESTVIDE(A1) renvoie VRAI. ESTVIDE(B2) renvoie FAUX. Exemples Si la cellule A1 contient =QUOTIENT(3;0) : ESTERREUR(A1) renvoie VRAI. (la division par 0 est impossible.) Exemples ESTPAIR(2) renvoie VRAI. ESTPAIR(2,75) renvoie VRAI. ESTPAIR(3) renvoie FAUX.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 263 ESTIMPAIR La fonction ESTIMPAIR renvoie VRAI si la valeur est impaire (la division de cette valeur par 2 donne un reste) et FAUX, dans le cas contraire. ESTIMPAIR(number)  nombre : nombre, expression numérique ou référence à une cellule contenant une expression numérique. Remarques La partie décimale du nombre est ignorée. Les dates ne sont ni paires ni impaires ; si valeur est une date, une erreur est renvoyée. ISPMT La fonction ISPMT calcule les intérêts dus sur une période de versement donnée pour un investissement. ISPMT(taux; période; nombre de périodes; valeur actualisée)  taux : taux d’intérêt par période.  période : période de calcul de l’intérêt.  nombre de périodes : nombre de périodes pendant la durée de vie de l’investissement.  valeur actualisée : valeur actualisée de l’emprunt ou de l’investissement. Remarques Cette fonction, qui duplique la fonction INTPER, permet d’utiliser des feuilles de calcul d’anciens tableurs. Assurez-vous que le taux d’intérêt est exprimé en tant que taux par période. Par exemple, si le taux d’intérêt est de 10 % par an et que la périodicité de paiement est mensuelle, le taux utilisé dans la fonction doit être 0,1/12 (approximativement 0,00833 par mois). Exemples ESTIMPAIR(3) renvoie VRAI. ESTIMPAIR(3,75) renvoie VRAI. ESTIMPAIR(2) renvoie FAUX. Exemples Pour trouver la partie d’intérêt du premier paiement pour un emprunt de 1 000 Euros à 12 % l’an avec des règlements en fin de mois : INTPER(0,12/12; 1; 12; 1000) renvoie – 10 ı.264 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions GRANDE.VALEUR La fonction GRANDE.VALEUR récupère la nième plus grande valeur d’un intervalle. La plus grande valeur est classée en numéro 1. GRANDE.VALEUR(intervalle; n)  intervalle : plage de cellules contenant les valeurs.  n : numéro qui représente le classement de la valeur à récupérer (1 correspond à la plus grande valeur, 2 à la suivante, et ainsi de suite). Remarques Si n est omis, est inférieur ou égal à ou supérieur au nombre de valeur dans l’intervalle, une erreur est renvoyée. PPCM La fonction PPCM trouve le plus petit commun multiple des nombres spécifiés. Le plus petit commun multiple est le plus petit entier qui est multiple des nombres spécifiés. PPCM(nombre; [nombre; . . .])  nombre : zéro ou un ou plusieurs nombres positifs, expressions numériques ou réfé- rences à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques positifs. La partie décimale des nombres est ignorée. Les nombres négatifs ne sont pas admis. Exemples Prenons le tableau suivant : GRANDE.VALEUR(A2:E2; 1) renvoie 50, valeur la plus élevée de la plage. GRANDE.VALEUR(A2:E2; 2) renvoie 40, deuxième valeur la plus élevée de la plage. GRANDE.VALEUR(A2:E2; 5) renvoie 10, cinquième valeur la plus élevée de la plage. GRANDE.VALEUR(A2:E2) génère une erreur ; indiquez n. GRANDE.VALEUR(A2:E2; 0) génère une erreur ; n doit être supérieur à 0. GRANDE.VALEUR(A2:E2; 6) génère une erreur ; il n’est pas possible de trouver la sixième valeur d’après cinq valeurs.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 265 GAUCHE La fonction GAUCHE extrait le nombre de caractères précisés à partir de l’extrémité gauche de la chaîne. GAUCHE(texte; [longueur])  texte : expression textuelle.  longueur : facultatif ; nombre de caractères à récupérer. Si cet argument est omis, le caractère le plus à gauche est récupéré. NBCAR La fonction NBCAR compte le nombre de caractères dans une chaîne. L’opération inclut tous les espaces, nombres et caractères. NBCAR(texte)  texte : expression textuelle. LN La fonction LN calcule le logarithme népérien d’un nombre, puissance à laquelle e doit être élevé pour produire le nombre. LN(nombre)  nombre : nombre positif, expression numérique ou référence à une cellule contenant une expression numérique positive. Exemples PPCM(2; 3) renvoie 6. PPCM(34; 68) renvoie 68. PPCM(30; 40; 60) renvoie 120. PPCM(30,25; 40,333; 60,5) renvoie 120 (les parties décimales sont ignorées). PPCM(2; -3) fait état d’une erreur (les nombres négatifs n’étant pas autorisés). Exemples GAUCHE("un deux trois", 2) renvoie « un ». GAUCHE("abc") renvoie « a ». Exemples NBCAR("12345") renvoie 5. NBCAR(" abc def ") renvoie 15, somme des six caractères, des trois espaces de début, des trois espaces de fin et des trois espaces de séparation.266 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions LOG La fonction LOG calcule le logarithme d’un nombre dans une base. LOG(nombre; [base])  nombre : nombre positif.  base : facultatif ; nombre positif différent de 1. En l’absence de cet argument, la valeur par défaut est 10. LOG10 La fonction LOG10 calcule le logarithme d’un nombre en base 10. LOG10(nombre)  nombre : nombre positif. Remarques Pour trouver le logarithme dans une base autre que la base 10, utilisez la fonction LOG. RECHERCHE La fonction RECHERCHE recherche une occurrence par rapport à une valeur de recherche dans un intervalle, puis extrait la valeur dans la cellule avec la même position relative dans un second intervalle. Exemples LN(2,71828) renvoie approximativement 1, puissance à laquelle e doit être élevé pour produire 2,71828. LN(EXP(1)) renvoie 1. LN est la fonction inverse de EXP. Exemples LOG(8; 2) renvoie 3. LOG(100; 10) et LOG(100) renvoient 2. LOG(5,0625; 1,5) renvoie 4. Exemples LOG10(1) renvoie 0. LOG10(10) renvoie 1. LOG10(100) renvoie 2. LOG10(1000) renvoie 3.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 267 RECHERCHE(valeur de recherche; intervalle de recherche; intervalle de résultat)  valeur de recherche : expression textuelle ou numérique à rechercher dans l’intervalle de recherche.  intervalle de recherche : plage de cellules dans laquelle vous souhaitez rechercher la valeur.  intervalle de résultat : facultatif ; si cet argument n’est pas indiqué, le résultat est renvoyé à partir du dernier rang ou de la dernière colonne de l’intervalle de recherche et la plus grande dimension est adoptée. MINUSCULE La fonction MINUSCULE convertit les majuscules en minuscules. MINUSCULE(texte)  texte : expression textuelle ou référence à une cellule contenant une expression textuelle. CORRESPONDRE La fonction CORRESPONDRE trouve la position d’une valeur dans un intervalle de rangées ou de colonnes. La numérotation des cellules commence à 1 pour la cellule supé- rieure ou la cellule gauche dans l’intervalle vertical et l’intervalle horizontal, respectivement. Les recherches s’effectuent de haut en bas et de gauche à droite. CORRESPONDRE(valeur de recherche; intervalle de cellules; [méthode])  valeur de recherche : expression textuelle ou numérique recherchée.  intervalle de cellules : plage de cellules sur une rangée ou une colonne. Exemples Prenons le tableau suivant : RECHERCHE("C"; A1:F1; A2:F2) renvoie 30. RECHERCHE(40; A2:F2; A1:F1) renvoie D. RECHERCHE("B"; A1:C1; D2:F2) renvoie 50. Exemples MINUSCULE("MAJUSCULES") renvoie « majuscules ». MINUSCULE("Minuscules") renvoie « minuscules ». MINUSCULE("MiXtE") renvoie « mixte ».268 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions  méthode : facultatif ; indique le mode de mise en correspondance de la valeur : 1 (ou absence de valeur) correspond à la cellule contenant la valeur la plus élevée inférieure ou égale à valeur de recherche. 0 correspond à la première cellule dont la valeur correspond exactement à valeur de recherche. –1 correspond à la cellule contenant la valeur la plus faible supérieure ou égale à valeur de recherche. Remarques Lors de la recherche de texte, la casse n’est pas différenciée. CORRESPONDRE ne fonctionne que sur un intervalle appartenant à une rangée ou à une colonne ; vous pouvez l’utiliser pour effectuer une recherche dans un tableau à deux dimensions. MAX La fonction MAX recherche le plus grand nombre d’une série. MAX(nombre; [nombre; . . .])  nombre : série de nombres, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Exemples Prenons le tableau suivant : CORRESPONDRE(40; A1:A5) renvoie 4. CORRESPONDRE(40; E1:E5) renvoie 1. CORRESPONDRE(35; E1:E5; 1) renvoie 3 (30 est la valeur la plus grande inférieure ou égale à 35). CORRESPONDRE(35; E1:E5; -1) renvoie 1 (40 est la valeur la plus petite supérieure ou égale à 35). CORRESPONDRE(35; E1:E5; 0) fait état d’une erreur (aucune correspondance exacte ne peut être trouvée).Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 269 Remarques Les cellules contenant des valeurs non numériques sont ignorées. MAXA La fonction MAXA recherche le plus grand nombre d’une série de valeurs. En plus des valeurs numériques, les valeurs texte et la valeur logique FAUX comptent en tant que 0, et la valeur logique VRAI compte en tant que 1. MAXA(valeur; [valeur; . . .])  valeur : série de nombres ou d’expressions numériques ou références à des cellules contenant des expressions numériques ou textuelles ou des valeurs booléennes. Remarques Le texte saisi directement dans les arguments renvoie une erreur. MÉDIANE La fonction MÉDIANE trouve la valeur médiane dans une série de nombres. La valeur médiane est la valeur « centrale » dans le sens où la moitié des nombres de la série est inférieure à la valeur médiane et l’autre moitié des nombres est supérieure. MÉDIANE(nombre; [nombre; . . . ])  nombre : série de nombres, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Remarques Si la série comporte un nombre pair de valeurs, la fonction MÉDIANE renvoie la moyenne des deux valeurs du milieu. Exemples MAX(5; 5; 5; 5; 6) renvoie 6. MAX(1; 2; 3; 4; 5) renvoie 5. Exemples MAXA(1; 2; 3; 4) renvoie 4. MAXA(A1:C1), lorsque les cellules A1:C1 contiennent -1, -10, bonjour, renvoie 0. Exemples MÉDIANE(1; 2; 3; 4; 5) renvoie 3. MÉDIANE(1; 2; 3; 4; 5; 6) renvoie 3,5. MÉDIANE(5; 5; 5; 5; 6) renvoie 5.270 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions MILIEU La fonction MILIEU extrait le nombre de caractères précisés d’une chaîne commençant à la position indiquée. MILIEU(texte; début; longueur)  texte : expression textuelle.  début : position du premier caractère à extraire. Le chiffre 1 correspond au premier caractère de la chaîne.  longueur : nombre de caractères à extraire. MIN La fonction MIN recherche le nombre le plus faible dans la liste d’arguments. MIN(nombre; [nombre; . . .])  nombre : série de nombres, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Remarques Les cellules qui ne contiennent pas de nombres sont ignorées. MINA La fonction MINA recherche le plus petit nombre d’une série de valeurs. En plus des valeurs numériques, les valeurs texte et la valeur logique FAUX comptent en tant que 0, et la valeur logique VRAI compte en tant que 1. MINA(valeur; [valeur; . . .])  valeurs : série de nombres ou d’expressions numériques ou références à des cellules contenant des expressions numériques ou textuelles ou des valeurs booléennes. Les valeurs de texte sont considérées comme nulles. Exemples MILIEU("lorem ipsum dolor sit amet",7, 5) renvoie « ipsum ». MILIEU("1234567890",4,3) renvoie « 456 ». MILIEU("raccourcir", 5, 20) renvoie « ourcir ». Exemples MIN(5; 5; 5; 5; 6) renvoie 5. MIN(1; 2; 3; 4; 5) renvoie 1.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 271 Remarques Le texte saisi directement dans les arguments renvoie une erreur. MINUTE La fonction MINUTE extrait les minutes d’une date ou d’une heure. MINUTE(date-heure)  date-heure : valeur quelconque de date ou d’heure Numbers valide. TRIM La fonction TRIM calcule le taux de rentabilité interne modifié pour une série de mouvements périodiques. TRIM est l’acronyme de taux de rentabilité interne modifié. TRIM(mouvements- , taux de financement, taux de réinvestissement)  mouvements : mouvements de trésorerie prévus. Les valeurs sont des intervalles ou des tableaux.  taux de financement : taux d’intérêt des mouvements de trésorerie.  taux de réinvestissement : taux de réinvestissement des mouvements positifs. MOD La fonction MOD calcule le reste d’une division. MOD(nombre; diviseur)  nombre : dividende. Il s’agit d’un nombre, d’une référence de cellule ou du résultat d’une opération arithmétique.  diviseur : tout nombre sauf 0. Le signe du résultat correspond à celui du dividende, quel que soit le signe du diviseur. Exemples MINA(1; 2; 3; 4) renvoie 1. MINA(A1:C1), lorsque les cellules A1:C1 contiennent -1, -10, bonjour, renvoie -10. MINA(A1:C1), lorsque les cellules A1:C1 contiennent 1, 10, bonjour, renvoie 0. Exemples MINUTE("6/4/88 11:59:22") renvoie 59. Exemples TRIM({-5000; 2000; 4000; -2000; 5000}; 0,1; 0,15) renvoie 19,66 % (en cas d’utilisation du format numérique Pourcentage).272 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Remarques Quand il existe un reste positif et un reste négatif, MOD renvoie le reste qui correspond au signe du diviseur. Lors du calcul de MOD(a; b), la fonction renvoie un nombre r tel que a = bk + r, où r est compris entre 0 et b, et k est un entier. MOD(a;b) équivaut à a–b*ENT(a/b). MODE La fonction MODE recherche la valeur la plus récurrente dans une série de nombres. MODE(nombre; [nombre; . . .])  nombre : série de nombres, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Remarques Si plusieurs nombres apparaissent plusieurs fois dans les arguments, MODE renvoie le premier nombre qualifiant. Si aucune valeur n’apparaît plusieurs fois, MODE renvoie une erreur. Exemples MOD(6; 3) renvoie 0. MOD(7; 3) renvoie 1. MOD(8; 3) renvoie 2. MOD(-8; 3) renvoie 1. MOD(4,5; 2) renvoie 0,5. MOD(7; 0,75) renvoie 0,25. Exemples MODE(5; 5; 5; 5; 6) renvoie 5. MODE(1; 2; 3; 4; 5) renvoie une erreur. MODE(2; 2; 4; 6; 6) renvoie 2. MODE(6; 6; 4; 2; 2) renvoie 6.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 273 MOIS La fonction MOIS extrait le numéro du mois d’une date. MOIS(date)  date-heure : toute date valide acceptée par Numbers. ARRONDI.AU.MULTIPLE La fonction ARRONDI.AU.MULTIPLE arrondit un nombre au plus petit multiple supérieur d’un facteur donné. ARRONDI.AU.MULTIPLE(nombre; facteur)  nombre : nombre à arrondir. Il peut s’agir d’une expression numérique ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique.  facteur : Nombre dont vous souhaitez arrondir aux multiples. Remarques La taille de nombre relative est basée sur la magnitude (distance à partir de 0). Les deux arguments doivent posséder le même signe. NON La fonction NON évalue la valeur vrai d’une expression et renvoie l’inverse. Si l’expression est vraie, la fonction renvoie FAUX ; si l’expression est fausse, la fonction renvoie VRAI. NON(expression)  expression : expression logique ou numérique. Remarques Si expression est numérique, une valeur égale à 0 est interprétée comme la valeur FAUX et toute valeur différente de 0 est interprétée comme la valeur VRAI. Exemples MOIS("6 avril; 1988; 11:59:22") renvoie 4. Exemples ARRONDI.AU.MULTIPLE(2; 3) renvoie 3. ARRONDI.AU.MULTIPLE(4; 3) renvoie 3. ARRONDI.AU.MULTIPLE(4,4999; 3) renvoie 3. ARRONDI.AU.MULTIPLE(4,5; 3) renvoie 6. ARRONDI.AU.MULTIPLE(-4,5; 3) renvoie une erreur.274 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions MAINTENANT La fonction MAINTENANT récupère la date et l’heure du jour auprès de l’horloge de l’ordinateur. Les zones horaires ne sont pas prises en compte. MAINTENANT()  Sans argument (les parenthèses sont obligatoires). Remarques La date et l’heure affichées sont mises à jour chaque fois que vous ouvrez ou modifiez le document. La façon dont la date, l’heure voire les deux s’affichent dépend de la mise en forme de la cellule. Reportez-vous à la rubrique « Utilisation du format Date et heure » à la page 67 pour obtenir plus d’informations. Vous pouvez utiliser la fonction AUJOURD’HUI permet d’extraire la date en cours ; la valeur renvoyée est mise en forme de sorte que l’heure, toujours réglée sur 12 h 00, est masquée. NPM La fonction NPM calcule le nombre de périodes de remboursement pour un prêt ou de versement pour un investissement avec des versements et un taux d’intérêt fixes. NPM(taux; remboursement; valeur actualisée; [valeur capitalisée]; [échéance])  taux : taux d’intérêt par période.  versement : paiement à effectuer par période.  valeur actualisée : valeur actualisée de l’investissement.  valeur capitalisée : facultatif ; valeur capitalisée de l’investissement ou valeur de trésorerie restante, après le dernier versement. En l’absence de valeur, valeur capitalisée est égal à 0. Exemples NON(0) renvoie VRAI car 0 est interprété comme FAUX. OU(A9; NON(A9)) renvoie toujours VRAI car A9 et son opposé sont toujours vrais. NON(OU(FAUX;FAUX)) a le comportement d’un OU négatif. Dans ce cas, elle renvoie VRAI car aucun argument de la fonction OU logique n’est vrai. Exemples Si votre document est mis à jour le 4 octobre 2008, MAINTENANT() renvoie « 4 octobre 2008 10:47 » sauf si le format de la cellule comportant la valeur renvoyée est différent.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 275  échéance : facultatif ; indique si les règlements sont effectués en début ou en fin de période : 0 (ou absence de valeur) signifie que les règlements ont lieu à la fin de chaque période. 1 signifie que les règlements ont lieu au début de chaque période. Remarques Assurez-vous que le taux est exprimé par période. Par exemple, si le taux d’intérêt est de 10 % par an et que la périodicité de paiement est mensuelle, le taux utilisé dans la fonction doit être 0,1/12 (approximativement 0,00833 par mois). VAN La fonction VAN calcule la valeur actualisée nette d’un investissement d’après une série de mouvements à venir, en partant du principe que le taux d’intérêt est fixe. VAN(taux; mouvement; [mouvement; . . .])  taux : taux d’intérêt fixe.  mouvement : mouvements, tels que des paiements (valeurs négatives) ou des revenus (valeurs positives). Indiquez les valeurs par ordre chronologique. Les valeurs peuvent être exprimées sous forme d’intervalles. IMPAIR La fonction IMPAIR arrondit un nombre au nombre impair supérieur. IMPAIR(nombre)  nombre : nombre à arrondir. Il peut s’agir d’un nombre, d’une expression numérique ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique. Remarques Pour arrondir à un nombre pair, utilisez la fonction PAIR. Exemples NPM(0,1/12;-100,1000) renvoie 10,5 mois, pouvant être arrondi à 11, durée de remboursement d’un emprunt de 1 000 Euros à un taux d’intérêt de 10 % l’an si vous effectuez des paiements mensuels de 100 Euros. Exemples VAN(10%;-5000;0;10000;10000;10000) renvoie 16 007,04 ı (en cas d’utilisation du format Monétaire). La valeur renvoyée indique que la valeur actualisée nette d’un investissement de 5 000 Euros à un taux d’intérêt de 10 %, suivi d’encaissements de 0, 10 000, 10 000 puis 10 000 Euros, est de 16 007,04 ı au bout de quatre ans.276 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions DÉCALAGE La fonction DÉCALAGE récupère un intervalle de cellules qui est le nombre indiqué de rangées et de colonnes par rapport à la cellule de base indiquée. DÉCALAGE(base; décalage-rangée; décalage-colonne; [rangées]; [colonnes])  base : adresse de la cellule à partir de laquelle les décalages sont mesurés.  décalage-rangée : nombre de rangées à partir de la cellule de base jusqu’à la cellule cible. 0 signifie que la cellule cible se trouve sur la même rangée que la cellule de base. Un nombre négatif signifie que la cible se trouve à gauche de la base.  décalage-colonne : nombre de colonnes à partir de la cellule de base jusqu’à la cellule cible. 0 signifie que la cellule cible se trouve sur la même colonne que la cellule de base. Un nombre négatif signifie que la cible se trouve au-dessus de la base.  rangées : facultatif ; nombre de rangées à récupérer à partir de l’emplacement de décalage. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 1.  colonnes : facultatif ; nombre de colonnes à récupérer à partir de l’emplacement de décalage. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 1. OU La fonction OU renvoie VRAI si un argument est vrai, FAUX dans le cas contraire. OU(expression; [expression; . . .])  expression : une ou plusieurs expressions logiques ou numériques. Remarques Si expression est numérique, une valeur égale à 0 est interprétée comme la valeur FAUX et toute valeur différente de 0 est interprétée comme la valeur VRAI. Exemples IMPAIR(1) renvoie 1. IMPAIR(2) renvoie 3. IMPAIR(2,5) renvoie 3. IMPAIR(-2,5) renvoie -3. IMPAIR(0) renvoie 1. Exemples DÉCALAGE(A1;5;5) renvoie la valeur de la cellule F6 (cellule qui figure cinq colonnes à droite et cinq rangées en dessous de la cellule A1). DÉCALAGE(G33;0;-1) renvoie la valeur de la cellule à gauche de G33 (valeur de F33).Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 277 CENTILE La fonction CENTILE recherche la valeur dans un intervalle correspondant à un centile particulier. CENTILE(données; centile)  données : plage de cellules contenant les données.  centile : valeur de centile recherchée. PI La fonction PI renvoie la valeur approximative de pi, le rapport de la circonférence d’un cercle par rapport à son diamètre, avec une précision de 15 décimales. PI()  Sans argument (les parenthèses sont obligatoires). Exemples OU(A1+A2<100;B1+B2<100) renvoie FAUX si les sommes des cellules indiquées sont toutes deux supérieures ou égales à 100, et VRAI si au moins l’une des sommes est inférieure à 100. OU(5;0;6) renvoie VRAI si au moins un argument est non nul. Exemples Prenons le tableau suivant : CENTILE(A2:E2; 0,5) renvoie 80, le 50ème centile de l’intervalle. CENTILE(A4:E4; 0,5) renvoie 90, le 50ème centile de l’intervalle. Exemples PI() renvoie 3,14159265358979. SIN(PI()/2) renvoie 1, le sinus de PI/2 radians ou 90 degrés.278 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions REMBOUR La fonction REMBOUR calcule le remboursement périodique fixe d’après un taux d’inté- rêt, un nombre de périodes, la valeur actualisée, la valeur capitalisée et le type de remboursement. REMBOUR(taux; nombre de périodes; valeur actualisée; [valeur capitalisée]; [échéance])  taux : taux d’intérêt par période.  nombre de périodes : nombre de périodes.  valeur actualisée : valeur actualisée de l’investissement.  valeur capitalisée : facultatif ; valeur capitalisée de l’investissement ou valeur de trésorerie restante, après le dernier versement. En l’absence de valeur, valeur capitalisée est égal à 0.  échéance : facultatif ; indique si les règlements sont effectués en début ou en fin de période : 0 (ou absence de valeur) signifie que les règlements ont lieu à la fin de chaque période. 1 signifie que les règlements ont lieu au début de chaque période. Remarques Pour diviser un règlement en principal et en intérêts, vous pouvez utiliser les fonctions PRINCPER et INTPER. LOI.POISSON La fonction LOI.POISSON utilise la distribution de Poisson pour calculer la probabilité de survenues d’un nombre spécifique d’événements. LOI.POISSON(événements; moyenne; cumulé)  événements : nombre d’événements pour lequel vous souhaitez calculer la probabilité.  moyenne : taux moyen connu d’événements.  cumulé : détermine si la probabilité rapportée est cumulative : VRAI calcule la probabilité que doit se produire le nombre spécifié d’événements ou un nombre inférieur d’événements (également dénommée probabilité cumulative). FAUX calcule la probabilité qu’il se produira le nombre spécifié d’événements (également dénommée masse représentative d’une probabilité). Exemples REMBOUR(10%/12;36;10000;0) renvoie – 322,67 ı. La valeur renvoyée indique qu’un achat de 12 000 Euros moins un règlement de 2 000 Euros (soit un montant de 10 000 Euros) à un taux d’intérêt de 10 % sur 36 mois requiert un règlement mensuel de 322,67 ı.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 279 PUISSANCE La fonction PUISSANCE élève un nombre, la base, à une puissance, l’exposant. Produit le même résultat que l’opérateur ^. PUISSANCE(base; exposant)  base : nombre à élever à la puissance.  exposant : puissance à laquelle vous souhaiter élever le nombre de base. Remarques L’opérateur d’exponentiation ^ permet d’élever un nombre à une puissance : PUISSANCE(2; 3) donne le même résultat que 2^3. PRINCPER La fonction PRINCPER calcule le principal du remboursement d’un prêt ou du versement pour un investissement pour une durée donnée basée sur un versement périodique et un taux d’intérêt fixes. PRINCPER(taux; période; nombre de périodes; valeur actualisée; [valeur capitalisée]; [échéance])  taux : taux d’intérêt par période.  période : période de calcul du principal.  nombre de périodes : nombre de périodes pendant la durée de vie de l’investissement.  valeur actualisée : valeur actualisée de l’emprunt ou de l’investissement.  valeur capitalisée : facultatif ; valeur capitalisée cible s’il s’agit d’un investissement. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 0.  échéance : facultatif ; indique si les règlements sont effectués en début ou en fin de période : 0 (ou absence de valeur) signifie que les règlements ont lieu à la fin de chaque période. 1 signifie que les règlements ont lieu au début de chaque période. Exemples Pour une moyenne de 10 et un taux des arrivées de 8 : LOI.POISSON(8; 10; FAUX) renvoie 0,112599. Exemples PUISSANCE(2; 3) renvoie 8. PUISSANCE(2; 10) renvoie 1 024. PUISSANCE(0,5; 3) renvoie 0,125. PUISSANCE(100; 0,5) renvoie 10.280 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Remarques Vérifiez que le taux d’intérêt est exprimé par période. Par exemple, si le taux d’intérêt est de 10 % par an et que la périodicité de paiement est mensuelle, le taux utilisé dans la fonction doit être 0,1/12 (approximativement 0,00833 par mois). PRIX La fonction PRIX calcule le prix d’une caution pour 100 ı. PRIX(liquidation; échéance; taux; rendement; valeur; périodicité; [nombre de jours])  liquidation : date de liquidation.  échéance : date d’expiration du titre.  taux : taux annuel du coupon.  rendement : rendement annuel du titre.  valeur : valeur de remboursement à la date d’échéance. Exprimée en valeur nominale de 100 Euros.  périodicité : nombre de règlements de coupons par an 1 signifie des paiements annuels. 2 signifie des paiements semestriels (deux fois par an). 4 signifie des paiements trimestriels (quatre fois par an).  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). Exemples Pour trouver la partie du principal du premier versement pour un emprunt de 1 000 Euros à 12 % l’an avec des règlements en fin de mois : PRINCPER(0,12/12; 1; 12; 1000) renvoie -78,85 ı.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 281 PRICEDISC La fonction PRICEDISC calcule le prix d’un titre à intérêts précomptés. PRICEDISC(liquidation; échéance; escompte; valeur; [calcul des jours])  liquidation : date de liquidation.  échéance : date d’expiration du titre.  escompte : taux d’escompte.  valeur : valeur de remboursement à la date d’échéance. Exprimée en valeur nominale de 100 Euros.  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). PRICEMAT La fonction PRICEMAT calcule le prix d’un titre dont les intérêts sont versés à échéance. PRICEMAT(liquidation; échéance; émission; taux; rendement; [calcul des jours])  liquidation : date de liquidation.  échéance : date d’expiration du titre.  émission : date d’émission du titre.  taux : valeur de remboursement à la date d’échéance. Exprimée en valeur nominale de 100 Euros. Exemples Si les cellules A1:F1 contiennent 1/1/2000, 1/1/2001, 0,05, 0,1, 100, 2 : PRIX(A1; A2; A3; A4; A5; A6) renvoie 95,35157. Exemples Si les cellules A1:D1 contiennent 1/1/2000, 1/1/2001, 0,1, 100 : PRICEDISC(A1; B1; C1; D1) renvoie 90.282 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions  rendement : rendement annuel.  calcul des jours : facultatif ; indique le nombre de jours par mois et le nombre de jours par an utilisés dans les calculs (parfois appelé base de calcul des jours). 0 ou absence de valeur correspond à la base 30/360 (30 jours par mois, 360 jours par an). 1 correspond à la base de calcul de jours réels (nombre de jours du calendrier). 2 correspond à la base de calcul de jours réels/360 (nombre de jours pour chaque mois mais 360 jours par an). 3 correspond à la base de calcul de jours réels/365 (nombre de jours pour chaque mois mais 365 jours par an). 4 correspond à la base de calcul 30E/360 (système européen 30/360). PROBABILITE La fonction PROBABILITE calcule la probabilité d’un intervalle de valeurs si vous connaissez les probabilités des valeurs individuelles. PROBABILITE(valeurs; probabilités; inférieur; [supérieur])  valeurs : plage de cellules contenant les valeurs.  probabilités : plage de cellules contenant la probabilité de chaque valeur correspondante dans valeurs. La somme des probabilités doit donner 1 au maximum.  inférieur : limite inférieure de la plage pour laquelle vous souhaitez déterminer la probabilité.  supérieur : facultatif ; limite supérieure de la plage pour laquelle vous souhaitez déterminer la probabilité. Si cet argument est omis, PROBABILITE recherche la probabilité de la valeur représentée par inférieur. Exemples Si les cellules A1:E1 contiennent 1/1/2000, 1/1/2010, 1/1/1999, 0.1, 0.1 : PRICEMAT(A1; B1; C1; D1; E1) renvoie 95.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 283 PRODUIT La fonction PRODUIT calcule le produit des nombres fournis par les arguments. PRODUIT(nombre; [nombre; . . .])  nombre : nombres, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Remarques Les cellules vides de l’intervalle sont ignorées et n’affectent pas le résultat. NOM.PROPRE La fonction NOM.PROPRE remplace le premier caractère de chaque mot par une majuscule. Tous les autres caractères sont convertis en minuscules. NOM.PROPRE(texte)  texte : expression textuelle. Exemples Prenons le tableau suivant : PROBABILITE(A1:A10; C1:C10; 4; 6) renvoie 0,3, correspondant à la probabilité que la valeur soit 4, 5 ou 6. PROBABILITE(A1:A10; C1:C10; 5; 9) renvoie 0,5, correspondant à la probabilité que la valeur soit égale ou supérieure à 5. PROBABILITE(A1:A10; E1:E10; 4; 6) renvoie 0,59, correspondant à la probabilité que la valeur soit 4, 5 ou 6. PROBABILITE(A1:A10; E1:E10; 6) renvoie 0,21, correspondant à la probabilité que la valeur soit 6. Exemples PRODUIT(2; 4) renvoie 8. PRODUIT(0,5; 5; 4; 5) renvoie 50.284 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Remarques Tout caractère figurant après un caractère non alphabétique est considéré comme première lettre du mot. Par exemple, tout caractère figurant après un trait d’union est converti en majuscules. VALACT La fonction VALACT calcule la valeur actualisée d’un investissement, qui est la valeur présente d’une série de remboursements futurs, basée sur un taux d’intérêt périodique spécifique sur un nombre de périodes donnée pour un montant donné. VALACT est l’abréviation de valeur actualisée. VALACT(taux; nombre de périodes; [versement]; [valeur capitalisée]; [échéance])  taux : taux d’intérêt par période.  nombre de périodes : nombre de périodes.  versement : facultatif ; versement à effectuer par période. Si cet argument est omis, indiquezvaleur capitalisée.  valeur capitalisée : facultatif ; valeur capitalisée de l’investissement ou valeur de trésorerie restante, après le dernier versement. Si cet argument est omis, valeur capitalisée a pour une valeur implicite nulle et vous devez spécifier versement.  échéance : facultatif ; indique si les règlements sont effectués en début ou en fin de période : 0 (ou absence de valeur) signifie que les règlements ont lieu à la fin de chaque période. 1 signifie que les règlements ont lieu au début de chaque période. Exemples NOM.PROPRE("lorem ipsum") renvoie « Lorem Ipsum ». NOM.PROPRE("lorem’s ip-sum") renvoie « Lorem’S Ip-Sum ». NOM.PROPRE("1a23 b456") renvoie « 1A23 B456 ». Exemples VALACT(10%;5;-100,5000) renvoie – 2 725,53 ı, sauf si le format de la cellule contenant la valeur renvoyée se présente différemment. La valeur renvoyée indique que, pour accumuler 5 000 Euros en cinq ans avec des versements de 100 Euros à la fin de chaque année, il faudrait investir 2 725,53 Euros maintenant à un taux de 10 %.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 285 QUOTIENT La fonction QUOTIENT trouve le quotient entier de deux nombres, c’est-à-dire la partie entière du quotient sans le reste. QUOTIENT(dividende; diviseur)  dividende : nombre à diviser.  diviseur : nombre utilisé pour diviser le dividende. RADIANS La fonction RADIANS convertit des degrés en radians, mesure d’angle standard utilisée pour les fonctions trigonométrique. RADIANS(degrés)  degrés : expression numérique. ALÉAT La fonction ALÉAT génère un nombre aléatoire égal ou supérieur à 0 et inférieur à 1. ALÉAT()  Sans argument (les parenthèses sont obligatoires). Remarques Chaque fois que vous modifiez une valeur dans le tableau, un numéro aléatoire est généré. Exemples QUOTIENT(5; 2) renvoie 2. QUOTIENT(-5; 2) renvoie -2. QUOTIENT(5,99; 2) renvoie 2. QUOTIENT(6; 2) renvoie 3. QUOTIENT(5; 6) renvoie 0. Exemples RADIANS(90) renvoie 1,5708 (90 degrés est approximativement égal à 1,5708 radians). RADIANS(57,2957795130823) renvoie 1 (1 radian est approximativement égal à 57,296 degrés). Exemples ALÉAT() renvoie, par exemple, 0,67, 0,12, 0,8 et 0,9 après quatre nouveaux calculs.286 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions ALÉAT.ENTRE La fonction ALÉAT.ENTRE génère un entier aléatoire dans l’intervalle défini par les arguments mini et maxi. ALÉAT.ENTRE(mini; maxi)  mini : nombre inférieur.  maxi : nombre supérieur. Remarques Chaque fois que vous modifiez une valeur dans le tableau, un numéro aléatoire est généré. RANG La fonction RANG recherche le rang d’un nombre dans un intervalle de nombres. Vous pouvez ranger les nombres par ordre décroissant ou par ordre croissant. RANG(nombre; intervalle; [ordre])  nombre : nombre dont vous souhaitez trouver le rang.  intervalle : référence à la plage parmi laquelle vous cherchez à déterminer le classement de nombre.  ordre : facultatif : indique si la valeur la plus faible ou la plus forte porte le rang 1 dans l’intervalle. 0 (ou l’absence de valeur) range le nombre comme si la valeur la plus forte portait le rang 1 dans le tableau. Toute autre valeur range le nombre comme si la valeur la plus faible portait le rang 1 dans le tableau. Remarques Les nombres égaux sont rangés de la même façon, mais chacun compte comme une position dans le rang. La prochaine position de rang n’est donc pas attribuée au prochain nombre différent. Comme dans les compétitions sportives, en cas d’égalité pour la première place, le concurrent suivant est classé troisième et non deuxième. Voir les exemples. Exemples ALÉAT.ENTRE(1; 10) renvoie, par exemple, 7, 2, 9, 3 puis 9 à l’issue de chaque calcul.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 287 TAUX La fonction TAUX calcule le taux d’intérêt nécessaire pour qu’une valeur actualisée atteigne un montant capitalisé donné sur un délai précis. Si la valeur actualisée ou le terme est nul, la fonction renvoie une erreur. TAUX(nombre de périodes; [versement]; valeur actualisée; [valeur capitalisée]; [échéance]; [estimation])  nombre de périodes : nombre de périodes de versement.  versement : facultatif ; montant du versement périodique fixe. Si cet argument est omis, indiquezvaleur capitalisée.  valeur actualisée : valeur actualisée de l’investissement.  valeur capitalisée : valeur capitalisée de l’investissement. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 0.  échéance : facultatif ; indique si les règlements sont effectués en début ou en fin de période : 0 (ou absence de valeur) signifie que les règlements ont lieu à la fin de chaque période. 1 signifie que les règlements ont lieu au début de chaque période.  estimation : facultatif ; estimation brute initiale du taux d’intérêt. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 10 %. Essayez d’ajuster l’estimation si TAUX ne renvoie pas de résultat. Exemples Prenons le tableau suivant : RANG(20; A2:E8) renvoie 7. RANG(20; A2:E2) renvoie 4 (50 arrivant premier). RANG(20; A2:E2; 1) renvoie 2 (10 arrivant premier). RANG(10; A4:E4) renvoie 5 (10 est la valeur la plus faible de l’intervalle). RANG(4; A6:E7; 1) renvoie 4. RANG(5; A6:E7; 1) renvoie 6 (car il y a deux chiffres 4).288 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions REMPLACER La fonction REMPLACER remplace la partie d’une chaîne par des caractères provenant d’une autre chaîne. Le texte à remplacer est indiqué par sa longueur et sa position dans le texte. REMPLACER(texte actuel; début; longueur; nouveau texte)  texte actuel : expression textuelle.  début : nombre indiquant la position du premier caractère à remplacer.  longueur : nombre de caractères à remplacer.  nouveau texte : texte de remplacement. Remarques Il n’est pas nécessaire que le nouveau texte soit de la même taille que le texte supprimé. REPT La fonction REPT reproduit le texte un nombre de fois donné. REPT(texte; exemplaires)  texte : texte à répéter.  exemplaires : nombre de répétitions de texte. Exemples TAUX(10*12;;-5000,20000) renvoie 1,16 % (si vous utilisez un format numérique fixe avec une précision décimale de 4). La valeur renvoyée indique qu’un taux d’intérêt mensuel de 1,16 % (ou annuel de 13,9 %) est nécessaire pour que la somme de 5 000 Euros augmente à 20 000 Euros en 10 ans. Le nombre d’années est multiplié par 12 pour déterminer le nombre de paiements mensuels. Exemples REMPLACER("Bonjour Julie !";9; 5;"Frank") renvoie « Bonjour Frank ! ». Exemples REPT("*";5) renvoie « ***** ». REPT("ha";3) renvoie « hahaha ».Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 289 DROITE La fonction DROITE extrait le nombre de caractères précisés à partir de l’extrémité droite de la chaîne. DROITE(texte; [longueur])  texte : expression textuelle.  longueur : facultatif ; nombre de caractères à récupérer. En l’absence de valeur explicite, un caractère est extrait. ROMAIN La fonction ROMAIN convertit un nombre en chiffres romains. ROMAIN(nombre; [style])  nombre : chiffre arabe à convertir. Doit être positif et inférieur à 4000.  style : facultatif ; détermine le niveau de conformité d’application des règles classiques utilisées pour la formation des chiffres romains : 0 (ou VRAI ou absence de valeur) signifie que les règles les plus strictes sont employées. Quand un chiffre plus petit précède un chiffre plus grand pour indiquer qu’il y a soustraction, le plus petit doit être une puissance de 10 et peut précéder un nombre qui n’excède pas 10 fois sa taille. Par exemple, 999 est représenté par CMXCIX, et non par LMVLIV. 1 assouplit les règles classiques strictes d’un degré. Quand un nombre plus petit pré- cède un nombre plus grand, il n’est pas nécessaire que le nombre plus petit soit une puissance de 10 et la règle de taille relative est étendue d’un chiffre. Par exemple, 999 peut être représenté par LMVLIV, et non par XMIX. 2 assouplit les règles classiques strictes de deux degrés. Quand un nombre plus petit précède un plus grand, la règle de taille relative est étendue de deux chiffres. Par exemple, 999 peut être représenté par XMIX, et non par VMIV. 3 assouplit les règles classiques strictes de trois degrés. Quand un nombre plus petit précède un plus grand, la règle de taille relative est étendue de deux chiffres. Par exemple, 999 peut être représenté par VMIV, et non par IM. 4 ou FAUX assouplit les règles classiques strictes de quatre degrés. Quand un nombre plus petit précède un plus grand, la règle de taille relative est étendue de deux chiffres. Par exemple, 999 peut être représenté par IM. Exemples DROITE("un deux trois"; 2) renvoie « is ». DROITE("abc") renvoie « c ».290 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions ARRONDI La fonction ARRONDI arrondit un nombre au nombre de décimales spécifié. ARRONDI(nombre; décimales)  nombre : nombre à arrondir. Il peut s’agir d’une expression numérique dans la fonction ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique.  décimales : nombre de décimales après la virgule pour l’arrondi. Un nombre positif représente les chiffres décimaux à droite de la virgule. Un nombre négatif indique les chiffres à gauche du séparateur décimal (unités, dizaines, centaines, etc.). Remarques Autres fonctions associées aux nombres d’arrondi : PLAFOND, ENT, ARRONDI.SUP, ARRONDI.INF, TRONQUE. ARRONDI.INF La fonction ARRONDI.INF arrondit un nombre au nombre inférieur de décimales spécifiées. ARRONDI.INF(nombre; décimales)  nombre : nombre à arrondir. Il peut s’agir d’une expression numérique dans la fonction ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique.  décimales : nombre de décimales dans le résultat après la virgule. Un nombre positif représente les chiffres décimaux à droite de la virgule. Un nombre négatif indique les chiffres à gauche du séparateur décimal (unités, dizaines, centaines, etc.). Exemples ROMAIN(12) renvoie XII. ROMAIN(999) renvoie CMXCIX. ROMAIN(999;1) renvoie LMVLIV. ROMAIN(999;2) renvoie XMIX. ROMAIN(999;3) renvoie VMIV. ROMAIN(999;4) renvoie IM. Exemples ARRONDI(1,49;0) renvoie 1. ARRONDI(1,50;0) renvoie 2. ARRONDI(1,23456;3) renvoie 1,35. ARRONDI(1111,222;-2) renvoie 1100. ARRONDI(-2,2;0) renvoie -2. ARRONDI(-2,8;0) renvoie -3.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 291 Remarques Autres fonctions associées aux nombres d’arrondi : PLAFOND, ENT, ARRONDI, ARRONDI.SUP, TRONQUE. ARRONDI.SUP La fonction ARRONDI.SUP arrondit un nombre au nombre supérieur de décimales spécifiées. ARRONDI.SUP(nombre; décimales)  nombre : nombre à arrondir. Il peut s’agir d’un nombre, d’une expression numérique ou d’une référence à une cellule contenant une expression numérique.  décimales : nombre de décimales dans le résultat après la virgule. Un nombre positif représente les chiffres décimaux à droite de la virgule. Un nombre négatif indique les chiffres à gauche du séparateur décimal (unités, dizaines, centaines, etc.). Remarques Autres fonctions associées aux nombres d’arrondi : PLAFOND, ENT, ARRONDI, ARRONDI.INF, TRONQUE. Exemples ARRONDI.INF(1,49;0) renvoie 1. ARRONDI.INF(1,50;0) renvoie 1. ARRONDI.INF(1,23456;3) renvoie 1,234. ARRONDI.INF(1111,222;-2) renvoie 1100. ARRONDI.INF(-2,2;0) renvoie -2. ARRONDI.INF(-2,8;0) renvoie -2. Exemples ARRONDI.SUP(1,49;0) renvoie 2. ARRONDI.SUP(1,50;0) renvoie 2. ARRONDI.SUP(1,23456;3) renvoie 1,35. ARRONDI.SUP(1111,222;-2) renvoie 1200. ARRONDI.SUP(-2,2;0) renvoie -3. ARRONDI.SUP(-2,8;0) renvoie -3.292 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions RENGÉE La fonction RENGÉE renvoie le numéro de rangée de la cellule spécifiée. RENGÉE([cellule])  cellule : facultatif ; référence à une cellule. En l’absence de cet argument, la fonction RENGÉE renvoie le numéro de rangée de la cellule dans laquelle elle réside. RANGS La fonction RANGS compte le nombre de rangées de l’intervalle de cellules spécifié. RANGS(intervalle de cellules)  intervalle de cellules : référence à une plage de cellules. Remarques Si vous sélectionnez une colonne entière pour intervalle de cellules, Numbers renvoie le nombre total de cellules de la colonne, qui est modifié lorsque vous redimensionnez le tableau. RRECHERCHER La fonction RRECHERCHER recherche la position de début d’une chaîne dans une autre, sans tenir compte des caractères majuscules mais en acceptant les caractères de remplacement. RRECHERCHER(recherche; emplacement; [début])  recherche : chaîne de caractères à rechercher. Vous pouvez inclure un astérisque (*) pour rechercher n’importe quel nombre de caractères ou un point d’interrogation (?) pour rechercher un caractère quelconque.  emplacement : texte dans lequel vous souhaitez rechercher la chaîne.  début : facultatif ; nombre indiquant la position du texte d’où vous souhaitez lancer la recherche. Si l’argument est omis, la recherche commence au début du texte. Exemples RENGÉE(B7) renvoie 7, numéro de la rangée 7. RENGÉE() renvoie le numéro de rangée absolue de la cellule contenant la fonction. Exemples RANGS(A11:D20) renvoie 10, nombre de rangées de 11 à 20. RANGS(D:D) renvoie le nombre total de rangs de la colonne D.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 293 SECONDE La fonction SECONDE extrait les secondes d’une date. SECONDE(date-heure)  date-heure : valeur quelconque de date ou d’heure Numbers valide. SIGNE La fonction SIGNE renvoie 1 si le numéro d’argument est positif, – 1 s’il est négatif et 0 s’il est nul. SIGNE(nombre)  nombre : nombre dont vous souhaitez trouver le signe. Il peut s’agir d’une référence à une cellule contenant un nombre. SIN La fonction SIN calcule le sinus d’un angle exprimé en radians. SIN(radian-angle)  angle-radians : angle en radians. Remarques Si vous mesurez les angles en degrés et non en radians, utilisez la fonction RADIANS pour convertir les degrés en radians pour la fonction SIN. Si vous souhaitez exprimer des radians comme multiple de pi, vous pouvez utiliser la fonction PI() afin de fournir une valeur de pi. Exemples RRECHERCHER("ra"; "abracadabra") renvoie 3 ; la première occurrence de la chaîne « ra » commence au troisième caractère de « abracadabra ». RRECHERCHER("ra"; "abracadabra"; 5) renvoie 10, position de la première occurrence de la chaîne « ra » lorsque vous lancez la recherche de la position 5. Exemples SECONDE("6/4/88 11:59:22") renvoie 22. Exemples SIGNE(2) renvoie 1. SIGNE(0) renvoie 0. SIGNE(-2) renvoie -1. SIGNE(A4) renvoie -1 si la cellule A4 contient -2.294 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions SINH La fonction SINH calcule le sinus hyperbolique du nombre indiqué. SINH(nombre)  nombre : nombre quelconque. AMORLIN La fonction AMORLIN calcule l’amortissement linéaire d’un actif. SLN(coût; récupération; vie)  coût : coût ou valeur d’origine de l’actif.  récupération : valeur de récupération de l’actif.  vie : nombre de périodes de l’amortissement linéaire. Exemples SIN(1) renvoie 0,841470985, sinus de 1 radian (57,3 degrés approximativement). SIN(RADIANS(30)) renvoie 0,5, sinus de 30 degrés. SIN(PI()/2) renvoie 1, le sinus de PI/2 radians (90 degrés). Exemples SINH(0) renvoie 0. SINH(1) renvoie 1,175. SINH(5) renvoie 74,203. SINH(10) renvoie 11 013,233. Exemples AMORLIN(10000; 1000; 6) renvoie 1 500 ı, amortissement annuel en Euros d’un actif qui coûte initialement 10 000 Euros mais ne vaut que 1 000 Euros au bout de six ans.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 295 PENTE La fonction PENTE calcule la pente de la droite de régression d’une série de données par une analyse de régression linéaire. PENTE(intervalle-y; intervalle-x)  intervalle-y : plage de cellules contenant la variable dépendante y. Doit être de même taille que intervalle-x.  intervalle-x : plage de cellules contenant la variable indépendante x. Doit être de même taille que intervalle-y. Remarques Pour trouver l’ordonnée d’origine y de la droite de régression, utilisez la fonction ORDONNEE.ORIGINE. PETIT La fonction PETIT récupère la n-ième plus petite valeur d’un intervalle de valeurs. La plus faible valeur est classée en numéro 1. PETIT(intervalle; rang)  intervalle : plage de cellules contenant les valeurs.  rang : numéro représentant le classement de la valeur à renvoyer (1 correspond à la plus faible valeur, 2 à la suivante, et ainsi de suite). Remarques Si rang est omis, est inférieur ou égal à ou supérieur au nombre de valeurs dans le tableau, une erreur est renvoyée. Exemples Prenons le tableau suivant : PENTE(A2:F2; A1:F1) renvoie 2. ORDONNEE.ORIGINE(A2:F2; A1:F1) renvoie 1. PENTE(A5:F5; A4:F4) renvoie 0,402.296 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions SQRT La fonction SQRT calcule la racine carrée d’un nombre. SQRT(nombre)  nombre : expression numérique non négative. STDEV La fonction STDEV calcule l’écart-type d’une série de valeurs en fonction de la variance de l’échantillon (non biaisé). Elle est appropriée quand les valeurs spécifiées représentent uniquement un échantillon d’une population plus importante. STDEV(nombre; [nombre; . . .])  nombre : nombres ou références à des cellules. Remarques L’écart-type est la racine carrée de la variance renvoyée par la fonction VAR. Si les valeurs que vous analysez représentent l’ensemble de données ou la population entière, vous pouvez utiliser la fonction ECARTYPEP. Les cellules qui ne contiennent pas de nombres sont ignorées. Si vous souhaitez inclure des valeurs texte ou booléennes dans le calcul, utilisez la fonction STDEVA. Exemples Prenons le tableau suivant : PETIT(A2:E2; 1) renvoie 10, à savoir la plus faible valeur du tableau. PETIT(A2,E2; 2) renvoie 20 qui est la troisième plus faible valeur du tableau. PETIT(A2:E2; 5) renvoie 50, à savoir la plus forte valeur du tableau. PETIT(A1:A5; 0) fait état d’une erreur ; le rang doit être supérieur à 0. PETIT(A1:E5; 6) génère une erreur ; il n’est pas possible de trouver la sixième valeur d’après cinq valeurs. Exemples SQRT(16) renvoie 4. SQRT(12.25) renvoie 3,5, racine carrée de 12,25.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 297 STDEVA La fonction STDEVA calcule l’écart-type d’une série de valeurs, notamment du texte et des valeurs booléennes, en fonction de la variance de l’échantillon (non biaisé). STDEVA(valeur; [valeur; . . .])  valeur : valeurs numériques ou booléennes, ou références à des cellules contenant des valeurs numériques, texte ou booléennes. Remarques À la différence de la fonction STDEV qui ignore les cellules qui ne contiennent pas de nombres, la fonction STDEVA affecte la valeur 0 aux valeurs textuelles, la valeur 0 à la valeur booléenne FAUX et 1 à la valeur booléenne VRAI, afin d’inclure ces valeurs dans le calcul. La saisie directe de texte génère une erreur. La référence à une cellule contenant du texte est estimée comme nulle. Vous pouvez saisir des opérateurs booléens directement ou en tant que références de cellule. Pour un ensemble de données ne contenant que des nombres, la fonction STDEVA renvoie le même résultat que la fonction STDEV. ECARTYPEP La fonction ECARTYPEP calcule l’écart-type d’une série de valeurs en fonction de la variance de leur population (vraie). Elle est appropriée quand les valeurs spécifiées sont la population entière. ECARTYPEP(nombre; [nombre;. . .])  nombre : série de nombres ou de références à des cellules. Exemples STDEV(5; 5; 5; 5; 6) renvoie un écart-type de 0,447 d’après une moyenne de 5,2. STDEV(1; 2; 3; 4; 5) renvoie un écart-type de 1,58 d’après une moyenne de 3. STDEV(1; 1; 1; 1; 6) renvoie un écart-type de 2,24 d’après une moyenne de 2. STDEV(2; 2; 4; 6; 6) renvoie un écart-type de 2 d’après une moyenne de 4. Comparez avec ECARTYPEP(2; 2; 4; 6; 6) qui utilise la variance de population (véritable) pour renvoyer un écart-type de 1,79. Exemples STDEVA(VRAI; VRAI; VRAI; VRAI; 6) renvoie 2,24. Chaque valeur VRAI vaut 1. STDEVA("a"; 3; 6; 3; "b") renvoie une erreur. 298 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions Remarques L’écart-type est la racine carrée de la variance renvoyée par la fonction VAR.P. Si les valeurs que vous analysez représentent uniquement un échantillon d’une population plus large, vous pouvez utiliser la fonction STDEV. Les cellules qui ne contiennent pas de nombres sont ignorées. Si vous souhaitez inclure des valeurs texte ou booléennes dans le calcul, utilisez la fonction STDEVPA. STDEVPA La fonction STDEVPA calcule l’écart-type d’une série de valeurs, notamment du texte et des valeurs booléennes, en fonction de la variance de la population (vraie). STDEVPA(valeur; [valeur; . . .])  valeur : valeurs numériques ou booléennes, ou références à des cellules contenant des valeurs numériques, texte ou booléennes. Remarques À la différence de la fonction ECARTYPEP qui ignore les cellules qui ne contiennent pas de nombres, la fonction STDEVPA affecte la valeur 0 aux valeurs textuelles, la valeur 0 à la valeur booléenne FAUX et 1 à la valeur booléenne VRAI, afin d’inclure ces valeurs dans le calcul. La saisie directe de texte génère une erreur. La référence à une cellule contenant du texte est estimée comme nulle. Vous pouvez saisir des opérateurs booléens directement ou en tant que références de cellule. Si les valeurs que vous analysez représentent uniquement un échantillon d’une population plus large, vous pouvez utiliser la fonction STDEVPA. Exemples ECARTYPEP(5; 5; 5; 5; 6) renvoie un écart-type de 0,4 d’après une moyenne de 5,2. ECARTYPEP(1; 2; 3; 4; 5) renvoie un écart-type de 1,41 d’après une moyenne de 3. ECARTYPEP(1; 1; 1; 1; 6) renvoie un écart-type de 2 d’après une moyenne de 2. ECARTYPEP(2; 2; 4; 6; 6) renvoie un écart-type de 1,79 d’après une moyenne de 4. Comparez avec STDEV(2; 2; 4; 6; 6) qui utilise la variance d’échantillon (non biaisé) pour renvoyer un écart-type de 2. Exemples STDEVPA(VRAI; VRAI; VRAI; VRAI; 6) renvoie 2. La valeur VRAI compte pour 1. STDEVPA("a"; 3; 6; 3; "b") renvoie une erreur. Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 299 SUBSTITUE La fonction SUBSTITUE remplace une chaîne de caractères par du nouveau texte. Vous pouvez remplacer des caractères individuels, des mots entiers ou des chaînes de caractères à l’intérieur de mots. Si une chaîne se répète plusieurs fois dans le texte, vous pouvez indiquer quelles occurrences remplacer. SUBSTITUE(texte; ancien; nouveau; [occurrence])  texte : texte dans lequel vous souhaitez remplacer des caractères.  ancien : chaîne de caractères à remplacer.  nouveau : chaîne de caractères qui doit remplacer l’ancienne.  occurrence : facultatif ; indique quelle occurrence de l’ancienne chaîne est remplacée s’il en existe plusieurs. Si cet argument est omis, toutes les occurrences de la chaîne sont remplacées. SOMME La fonction SOMME calcule la somme d’une série de nombres. Les nombres peuvent résider dans des cellules individuelles, dans des intervalles de cellules ou inclus directement comme arguments de la fonction. SOMME(nombre; [nombre; . . .])  nombre : nombres, expressions numériques ou références à une cellule ou une plage de cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Exemples SUBSTITUE("a b c d e f"; "b"; "B") renvoie « a B c d e f ». SUBSTITUE("a a b b b c"; "a"; "A"; 2) renvoie « a A b b b c ». SUBSTITUE("a a b b b c"; "b"; "B") renvoie « a a B B B c ». SUBSTITUE("aaabbccc"; "bc"; "BC"; 2) renvoie « aaabbbccc ». Exemples SOMME(A1:A4) ajoute les nombres de quatre cellules. SOMME(A1:D4) ajoute les nombre d’un tableau carré de seize cellules. SOMME(A1:A4; 100) ajoute les nombres de quatre cellules à 100.300 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions SOMME.SI La fonction SOMME.SI calcule la somme d’une série de nombres mais n’inclut que les nombres répondant à des critères précis. La condition qui détermine si chaque nombre est inclus peut être effectuée sur le nombre lui-même ou sur une valeur correspondante dans un second intervalle de valeurs. SOMME.SI(intervalle; « critères »; [intervalle somme])  intervalle : référence à une plage de cellules contenant les valeurs à tester. Doit être de mêmes dimensions que intervalle somme.  « condition » : instruction quelconque de comparaison générant une valeur logique VRAI ou FAUX.  intervalle somme : facultatif ; référence à une plage de cellules contenant les nombres à ajouter. Doit présenter les mêmes dimensions que critères. En l’absence de cet argument, intervalle est utilisé. Remarques Pour en savoir plus sur les opérateurs de comparaison, reportez-vous à la rubrique « Explication des opérateurs de comparaison » à la page 105. Exemples Prenons le tableau suivant : SOMME.SI(A1:A8; "<5") renvoie 10. SOMME.SI(A1:A8; "<5"; B1:B8) renvoie 100. SOMME.SI(D1:F3; "=c"; D5:F7) renvoie 27. SOMME.SI(B1:D1; 1) ou SOMME.SI(B1:D1; SOMME(1)) totalisent tous les occurrences de 1 rencontrées dans l’intervalle.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 301 SOMMEPROD La fonction SOMMEPROD calcule la somme des produits de nombres correspondants dans deux intervalles ou plus. Les intervalles doivent être de mêmes dimensions. SOMMEPROD(intervalle; intervalle; [intervalle; . . .])  intervalle : référence à une plage de cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Remarques Si une cellule de l’un des intervalles contient une valeur non numérique, celle-ci n’est pas incluse dans le calcul. SOMME.CARRÉS La fonction SOMME.CARRÉS calcule la somme des carrés d’une série de nombres. Les nombres peuvent résider dans des cellules individuelles, dans des intervalles e cellules ou inclus directement comme arguments de la fonction. SOMME.CARRÉS(nombre; [nombre; . . .])  nombre : nombre, expression numérique ou référence à une cellule ou une plage de cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. AMORANN La fonction AMORANN calcule l’amortissement d’un bien sur une période donnée d’après la méthode américaine Sum-of-Years Digits. AMORANN(coût; récupération; vie; période)  coût : coût initial de l’actif.  récupération : valeur de récupération de l’actif. Exemples SOMMEPROD(3;4) renvoie 12. SOMMEPROD({1; 2}; {3; 4}) = 3 + 8 = 11. Exemples SOMME.CARRÉS(3;4) renvoie 25. SOMME.CARRÉS(A1:A4) ajoute les carrés de quatre nombres constituant une liste. SOMME.CARRÉS(A1:D4) ajoute les carrés des 16 nombres d’un tableau carré de cellules. SOMME.CARRÉS(A1:A4; 10) ajoute les carrés des nombres de quatre cellules à 100. SQRT(SOMME.CARRÉS(3;4)) renvoie 5, à l’aide du théorème de Pythagore pour trouver la longueur de l’hypoténuse d’un triangle d’après les côtés de longueur 3 et 4.302 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions  vie : nombre de périodes d’amortissement de l’actif.  période : période de calcul de l’amortissement. T La fonction T récupère du texte dans une cellule. Si la cellule ne contient pas de chaîne, T renvoie une chaîne vide. T(cellule)  cellule : référence à la cellule de laquelle vous souhaitez extraire le texte. Remarques Cette fonction est incluse pour vous permettre d’utiliser des feuilles de calcul créées avec d’anciens tableurs. TAN La fonction TAN calcule la tangente d’un angle, c’est-à-dire les proportions du sinus par rapport au cosinus. TAN(angle-radians)  angle-radians : angle en radians. Remarques Si vous mesurez les angles en degrés et non en radians, utilisez la fonction RADIANS pour convertir les degrés en radians pour la fonction TAN. Si vous souhaitez exprimer des radians comme multiple de pi, vous pouvez utiliser la fonction PI() afin de fournir une valeur de pi. Exemples AMORANN(10000; 1000; 9; 1) renvoie 1 800, déterminé d’après la valeur de dépréciation d’un actif de 10 000 Euros au bout d’un an si la valeur de récupération de l’actif est de 1 000 Euros au bout de neuf ans. Exemples Si la cellule A1 contient « texte » et que la cellule B1 est vide : T(A1) renvoie « texte » et T(B1) ne renvoie rien. Exemples TAN(1) renvoie 1,557407725, tangente de 1 radian (57,3 degrés approximativement). TAN(RADIANS(45)) renvoie 1, tangente d’un angle de 45 degrés.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 303 TANH La fonction TANH renvoie la tangente hyperbolique d’un nombre. TANH(nombre)  nombre : nombre quelconque. TEMPS La fonction TEMPS convertit l’heure indiquée en une fraction décimale de journée exprimée sur 24 heures. TEMPS(heures; minutes; secondes)  heures : nombre d’heures (système de 24 heures).  minutes : nombre de minutes.  secondes : nombre de secondes. Remarques Vous pouvez indiquer des valeurs respectives d’heure, de minute et de seconde supé- rieures à 23, 59 et 59. Si les heures, les minutes et les secondes dépassent 24 heures, Numbers soustrait 24 heures autant de fois que nécessaire jusqu’à ce que la somme soit inférieure à 24 heures. Vous pouvez également spécifier des valeurs de fraction pour les heures, les minutes ou les secondes. Pour convertir une heure exprimée sous forme de chaîne, utilisez la fonction TEMPSVAL. TAN(3*PI()/4) renvoie -1. Exemples Exemples TANH(0) renvoie 0. TANH(1) renvoie 0,762. TANH(5) renvoie 0,999909. TANH(10) renvoie 0,999999996. Exemples TEMPS(12; 0; 0) renvoie 12:00. TEMPS(16; 45; 30) renvoie 16:45. TEMPS(0; 900; 0) renvoie 15:00. TEMPS(60; 0; 0) renvoie 12:00.304 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions TEMPSVAL La fonction TEMPSVAL convertit une heure figurant dans une chaîne en une fraction décimale de journée exprimée sur 24 heures. TEMPSVAL(date-heure)  date-heure : date, heure ou chaîne de caractères exprimée dans quel format de date et heure accepté par Numbers. Remarques Pour convertir une heure au format Heure plutôt que sous forme de chaîne, utilisez la fonction TEMPS. AUJOURD’HUI La fonction AUJOURD’HUI extrait la date du jour et applique un format à la cellule pour afficher uniquement la date (sans l’heure) L’heure est toujours réglée sur 12 h 00. AUJOURD’HUI()  Sans argument (les parenthèses sont obligatoires). Remarques La date est mise à jour chaque fois que vous ouvrez ou modifiez le document. Vous pouvez utiliser la fonction MAINTENANT pour récupérer la date et l’heure en cours déjà mises en forme afin de les afficher toutes deux. TEMPS(4,25; 0; 0) renvoie 4:00. Exemples Exemples TEMPSVAL("6/4/88 12:00") renvoie 0,5 (midi représente la moitié d’une journée). TEMPSVAL("12:00:59") renvoie 0,5007 (valeur arrondie à quatre décimales). TEMPSVAL("18:00") renvoie 0,875 (21 h divisé par 24). Exemples Si elle est exécutée le 6 avril 1988, la fonction AUJOURD’HUI() renvoie 6 avril 1988.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 305 AJUSTER La fonction AJUSTER supprime les espaces en trop dans du texte. Elle supprime tous les espaces avant le premier caractère, tous les espaces après le dernier caractère et tous les espaces en double entre les caractères pour ne conserver que des espaces simples entre les mots. AJUSTER(texte)  texte : texte duquel vous souhaitez supprimer les espaces en trop. VRAI La fonction VRAI renvoie la valeur booléenne VRAI. Elle est incluse pour vous permettre d’utiliser des feuilles de calcul créées avec d’anciens tableurs. Pour indiquer la valeur booléenne VRAI, il suffit de taper le mot vrai (sans guillemets) dans une cellule ou un argument de fonction. VRAI()  Sans argument (les parenthèses sont obligatoires). Remarques Au lieu d’utiliser la fonction VRAI(), vous pouvez taper le mot VRAI directement dans une cellule ou une formule. TRONQUE La fonction TRONQUE tronque un nombre décimal au nombre de décimales spécifié. TRONQUE(nombre; [décimales])  nombre : expression numérique indiquant le nombre que vous voulez tronquer.  décimales : facultatif ; nombre de décimales dans le résultat après la virgule. Un nombre positif représente les chiffres décimaux à droite de la virgule. Un nombre négatif représente des positions décimales à gauche de la virgule, qui sont remplacées par des zéros. En l’absence de valeur explicite, la valeur par défaut est 0. Exemples AJUSTER(" espaces espaces espaces ") renvoie « espaces espaces espaces ». Exemples VRAI() renvoie la valeur booléenne VRAI. ET(1;VRAI()) renvoie la valeur booléenne VRAI. ET(1;VRAI) se comporte comme l’exemple précédent.306 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions SUPÉRIEUR La fonction SUPÉRIEUR convertit le texte en majuscules. SUPÉRIEUR(texte)  texte : texte à convertir en majuscules. CNUM La fonction CNUM convertit un nombre au format Texte en nombre normal. CNUM(texte)  texte : nombre au format Texte à convertir. Remarques Il n’est généralement pas nécessaire d’utiliser la fonction CNUM ; Numbers convertit les nombres en texte automatiquement. La fonction CNUM est incluse pour vous permettre d’utiliser des feuilles de calcul créées avec d’anciens tableurs. VAR La fonction VAR calcule la variance d’échantillon (non biaisé) d’un ensemble de valeurs. VAR(nombre; [nombre; . . .])  nombre : nombres, expressions numériques ou références à des nombres ou des expressions numériques. Exemples TRONQUE(1,49;0) renvoie 1. TRONQUE(1,50;0) renvoie 1. TRONQUE(1,23456;3) renvoie 1,234. TRONQUE(1111,222;-2) renvoie 1100. TRONQUE(-2,2;0) renvoie -2. TRONQUE(-2,8;0) renvoie -2. Exemples SUPÉRIEUR("a b c") renvoie « A B C ». SUPÉRIEUR("Premier") renvoie « PREMIER ». Exemples CNUM("22") renvoie le nombre 22. CNUM(DROITE("Année 1953"; 2)) renvoie le nombre 53.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 307 Remarques La fonction VAR divise la somme des carrés des écarts pour les points de donnés par un moins le nombre de valeurs afin de trouver la variance d’échantillon (non biaisé, par opposition à la variance de population ou variance vraie). Elle est appropriée si les points de données ne sont qu’un échantillon d’un ensemble de données plus large. Si les nombres indiqués constituent la totalité de l’ensemble de données, vous devez utiliser la fonction VAR.P pour trouver la variance de population (variance vraie). VARA La fonction VARA calcule la variance d’échantillon (non biaisé) d’un ensemble de valeurs comprenant du texte et des valeurs booléennes. Les valeurs texte et la valeur booléenne FAUX sont incluses comme si elles étaient le nombre 0, la valeur logique VRAI ou 1. VARA(valeur; [valeur; . . .])  valeur : valeurs numériques ou booléennes, ou références à des cellules contenant des valeurs numériques, texte ou booléennes. Remarques La fonction VARA divise la somme des carrés des écarts pour les points de donnés par un moins le nombre de valeurs afin de trouver la variance d’échantillon (non biaisé, par opposition à la variance de population ou variance vraie). Elle est appropriée si les points de données ne sont qu’un échantillon d’un ensemble de données plus large. Si les nombres indiqués constituent la totalité de l’ensemble de données, vous devez utiliser la fonction VAR.P pour trouver la variance de population (variance vraie). Pour un ensemble de données ne contenant que des nombres, la fonction VARA renvoie le même résultat que la fonction VAR. Exemples VAR(5; 5; 5; 5; 6) renvoie une variance de 0,2 d’après une moyenne de 5,2. VAR(1; 2; 3; 4; 5) renvoie une variance de 2,5 d’après une moyenne de 3. VAR(1; 1; 1; 1; 6) renvoie une variance de 5 d’après une moyenne de 2. VAR(2; 2; 4; 6; 6) renvoie une variance de 4 d’après une moyenne de 4. Exemples VARA(VRAI; VRAI; VRAI; VRAI; 6) renvoie 5. La valeur VRAI compte pour 1. VARA("a"; 3; 6; 3; "b") renvoie une erreur. 308 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions VAR.P La fonction VAR.P calcule la variance de population (vraie) d’un ensemble de nombres. VAR.P(nombre; [nombre; . . .])  nombre : nombres, expressions numériques ou références à des cellules contenant des nombres ou des expressions numériques. Remarques La fonction VAR.P divise la somme des carrés des écarts pour les points de donnés par le nombre de valeurs afin de trouver la variance de population (ou variance vraie), par opposition à la variance d’échantillon ou variance biaisée. Elle est appropriée si les points de données constituent la totalité de l’ensemble de données. Si les nombres indiqués ne sont qu’un échantillon d’un ensemble plus large de données, utilisez la fonction VAR pour trouver la variance d’échantillon (biaisée). VARPA La fonction VARPA calcule la variance de population (vraie) d’un ensemble de valeurs comprenant du texte et des valeurs booléennes. Les valeurs texte et la valeur booléenne FAUX sont incluses comme si elles étaient le nombre 0, la valeur logique VRAI ou 1. VARPA(valeur; [valeur; . . .])  valeur : valeurs numériques ou booléennes, ou références à des cellules contenant des valeurs numériques, texte ou booléennes. Remarques La fonction VARPA divise la somme des carrés des écarts pour les points de donnés par le nombre de valeurs afin de trouver la variance de population (ou variance vraie), par opposition à la variance d’échantillon ou variance biaisée. Elle est appropriée si les points de données constituent la totalité de l’ensemble de données. Si les nombres indiqués ne sont qu’un échantillon d’un ensemble plus large de données, utilisez la fonction VARA pour trouver la variance d’échantillon (biaisée). Pour un ensemble de données ne contenant que des nombres, la fonction VARPA renvoie le même résultat que la fonction VAR.P. Exemples VAR.P(5; 5; 5; 5; 6) renvoie une variance de 0,16 d’après une moyenne de 5,2. VAR.P(1; 2; 3; 4; 5) renvoie une variance de 2 d’après une moyenne de 3. VAR.P(1; 1; 1; 1; 6) renvoie une variance de 4 d’après une moyenne de 2. VAR.P(2; 2; 4; 6; 6) renvoie une variance de 3,2 d’après une moyenne de 4.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 309 VDB La fonction VDB (équilibre dégressif) calcule l’amortissement d’un actif sur un intervalle de temps choisi, à l’aide de la méthode de taux dégressif double ou d’un autre taux que vous indiquez. VDB(coût; récupération; vie; début; fin; [facteur]; [non-échange])  coût : coût initial de l’actif.  récupération : valeur de récupération de l’actif.  vie : nombre de périodes d’amortissement de l’actif.  début : première période de calcul de l’amortissement.  fin : dernière période entrant dans le calcul de l’amortissement.  facteur : facultatif ; nombre déterminant le taux d’amortissement. Plus le nombre est élevé, plus l’amortissement est rapide. Si vous n’indiquez pas de taux, l’amortissement se base sur la méthode à taux dégressif double.  non-échange : facultatif ; indique si la fonction bascule vers l’amortissement linéaire quand la valeur est supérieure au montant issu de la méthode dégressive variable. Exemples VARPA(VRAI; VRAI; VRAI; VRAI; 6) renvoie 4. La valeur VRAI compte pour 1. VARPA("a"; 3; 6; 3; "b") renvoie une erreur. Exemples Si les cellules A2:E2 contiennent 10 000, 1 000, 9, 0, 1 : VDB(A2; B2; C2; D2; E2) renvoie 2222,22 ı, amortissement de la première année pour un actif de 10,000 Euros avec une durée de vie de neuf ans à l’issue de laquelle la revente s’élève à 1 000 Euros. VDB(A2; B2; C2; 1; 2) renvoie 1 728,40 ı, amortissement de la deuxième année. VDB(A2; B2; C2; 8; 9; 2; FAUX) renvoie 339,20 ı, amortissement de la dernière année s’il est possible de basculer vers l’amortissement linéaire. VDB(A2; B2; C2; 8; 9; 2; VRAI) renvoie 297,60 ı, amortissement de la dernière année s’il n’est pas possible de basculer vers l’amortissement linéaire. VDB(1000; 100; 4; 0; 1) renvoie 500 ı.310 Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions CONSV La fonction CONSV extrait une valeur d’un intervalle de colonnes en prenant la colonne de valeurs de gauche puis une rangée et un numéro de colonne pour sélectionner une colonne dans cette rangée. CONSV(valeur de recherche, intervalle de cellules, colonne, [correspondance exacte])  valeur de recherche : valeur que vous souhaitez rechercher dans la colonne de gauche afin de déterminer une rangée.  intervalle de cellules : plage de cellules contenant les données. La colonne gauche contient les données à rechercher ; les rangées restantes contiennent des valeurs à récupérer.  colonne : nombre indiquant le numéro relatif de colonne de la cellule d’où vous souhaitez extraire la valeur. La colonne de gauche dans l’intervalle est la colonne 1.  correspondance exacte : valeur booléenne facultative ; détermine si une valeur exacte est requise : VRAI, 1 ou l’absence de valeur sélectionne la colonne dont la valeur de rangée supérieure la plus élevée est inférieure à la valeur de recherche si aucune occurrence exacte n’est trouvée. FAUX ou 0 renvoie une erreur s’il n’existe aucune occurrence exacte. Exemples Prenons le tableau suivant : CONSV(20; B2:E6; 2) renvoie E. CONSV(21; B2:E6; 2) renvoie E. CONSV("M"; C2:E6; 2) renvoie dolor. CONSV("blandit"; D2:E6; 2) renvoie 5. CONSV(21; B2:E6; 2; FAUX) renvoie une erreur car aucune valeur ne correspond exactement à 21 dans la colonne de gauche.Chapitre 12 Dictionnaire des fonctions 311 LUNDI À VENDREDI La fonction LUNDI À VENDREDI convertit une date en nombre représentant le jour de la semaine, selon l’une des trois combinaisons de nombres. LUNDI À VENDREDI(date-heure; [nombre-combinaison])  date-heure : date dans l’un des formats Date acceptés ou référence à une cellule contenant la date en question.  nombre-combinaison : facultatif ; chiffre indiquant la méthode de numérotation des jours : 1 ou absence de valeur signifie que dimanche est le jour 1 et que samedi est le jour 7. 2 signifie que lundi est le jour 1 et que dimanche est le jour 7. 3 signifie que lundi est le jour 0 et que dimanche est le jour 6. ANNÉE La fonction ANNÉE extrait le numéro de l’année d’une date. ANNÉE(date-heure)  date-heure : date ou référence à une cellule contenant une date. Exemples LUNDI À VENDREDI("6 avril 1988"; 1) renvoie 4 (mercredi, le quatrième si dimanche est considéré comme le premier jour). LUNDI À VENDREDI("6 avril 1988") renvoie la même valeur que dans l’exemple précédent (le nombre de combinaison 1 est employé par défaut si cet argument n’est pas indiqué). LUNDI À VENDREDI("6 avril 1988”; 2) renvoie 3 (mercredi, le troisième jour si lundi est considéré comme le premier jour). LUNDI À VENDREDI("6 avril 1988”; 3) renvoie 2 (mercredi, le jour numéro 2 si lundi est considéré comme jour 0). Exemples ANNÉE("6 avril 1988") renvoie 1988. ANNÉE(MAINTENANT()) renvoie 2006 si la date du jour est le 4 juin 2006.Index 312 Index A ABS, fonction mathématique 225 ACCRINT, fonction financière 225 ACCRINTM, fonction financière 226 ACOS, fonction trigonométrique 227 ACOSH, fonction trigonométrique 227 ADRESSE, fonction de recherche 227 AJUSTER, fonction texte 305 Ajuster l’image, fenêtre 192 ALÉAT, fonction mathématique 285 ALÉAT.ENTRE, fonction mathématique 286 Alpha instantané 191 AMORANN, fonction financière 301 AMORDEG, fonction financière 248 AMORLIN, fonction financière 294 ANNÉE, fonction date/heure 311 annulation de modifications 35 ARRONDI, fonction mathématique 290 ARRONDI.AU.MULTIPLE, fonction mathématique 273 ARRONDI.INF, fonction mathématique 290 ARRONDI.SUP, fonction mathématique 291 ASIN, fonction trigonométrique 229 ASINH, fonction trigonométrique 229 ATAN, fonction trigonométrique 230 ATAN2, fonction trigonométrique 230 ATANH, fonction trigonométrique 230 AUJOURD’HUI, fonction date/heure 304 AVERAGEA, fonction statistique 231 Avertissements, fenêtre 29 B barre d’outils personnaliser 25 Barre Format 26 C CAR, fonction texte 233 caractères dans d’autres langues 142 caractères spéciaux et symboles insertion 143 Carnet d’adresses ajout de données de contact à un nouveau tableau 202 ajout de données des contacts à un tableau existant 201 champs pris en charge 199 cellules de tableau agrandissement pour contenir les données 61 ajout d’images 74 ajout de cases et d’autres contrôles 70 ajout de commentaires 84 ajout et modification de contenu 58 contrôle des valeurs de cellule avec des règles 73 définition de règles 73 division en parts égales 81 filtrage des rangs 86 fusion de cellules adjacentes en une seule 81 mise en forme de bordures 82 mise en forme des nombres 63 redimensionner 61 remplissage automatique 74 sélection 54 sélection d’un groupe de cellules 56 sélection de bordures 56 tri 85 utilisation de cases et d’autres contrôles 70 utilisation des chiffres 60 utilisation des dates 61 utilisation du texte 59 CENTILE, fonction statistique 277 CHOISIR, fonction de recherche 233 CNUM, fonction texte 306 CODE, fonction texte 234 COEFFICIENT.CORRELATION, fonction statistique 237 COLONNE, fonction de recherche 235 COLONNES, fonction de recherche 235 COMBIN, fonction mathématique 235 CONCATENER, fonction texte 236 CONSV, fonction de recherche 310 COS, fonction trigonométrique 238Index 313 COSH, fonction trigonométrique 238 COUPDAYBS, fonction financière 241 COVARIANCE, fonction statistique 245 CTXT, fonction mathématique 253 D DATE, fonction date/heure 245 DATEDIF, fonction date/heure 246 DB, fonction financière 247 DÉCALAGE, fonction de recherche 275, 276 DEGRÉS, fonction trigonométrique 248 DROITE, fonction texte 289 E ECART.MOYEN, fonction statistique 231 ECARTYPEP, fonction statistique 297 EDATE, fonction date/heure 250 Éditeur de formules 97 enregistrement annulation de modifications depuis le dernier enregistrement 35 avec des images modèles 34 copie d’une feuille de calcul 37 copie de sauvegarde automatique 35 en tant que modèle 36 feuille de calcul 34 Spotlight 36 ENT, fonction mathématique 259 en-têtes et bas de page 42 EPURAGE, fonction texte 234 EQUIV, fonction de recherche 267 ESTERREUR, fonction d’informations 262 ESTIMPAIR, fonction d’informations 263 ESTPAIR, fonction d’informations 262 ESTVIDE, fonction d’informations 261 ET, fonction logique 228 EURO, fonction financière 249 EXACT, fonction texte 251 EXP, fonction mathématique 251 exportation de fichier en tant que fichier CSV 206 en tant que fichier Excel 206 en tant que fichier PDF 206 F FACT, fonction mathématique 251 FAUX, fonction logique 252 fenêtre Couleurs 179 fenêtre Inspecteur 26 fenêtre Typographie 144 fermeture d’une feuille de calcul 37 feuille de calcul choix d’un modèle 31 création 31 définition du format de page 42 ouverture 33 réglage de l’orientation de page 44 réglage des marges 45 feuilles affichage et masquage de tableaux et de graphiques 38 ajout et suppression 39 d’affichage du contenu 38 impression 203 renommer 40 réorganisation 39 utilisation de feuilles pour organiser une feuille de calcul 37 visualisation 38 fichiers multimédias ajout d’une séquence vidéo 196 ajout de son 195 fichiers PDF création dans AppleWorks 194 création dans Excel 194 exportation vers 206 utilisation en tant qu’images 194 figure en forme d’étoile ajout 182 modification 187 figure en forme de polygone ajout 182 modification 188 figures ajout de figures personnalisées 182 ajout de figures prédessinées 182 conversion de points d’angle en points de courbe et vice versa 186 manipulation de points 184 mise en forme de texte dans 159 modifiables 184 modification du tracé d’une courbe 185 modification du tracé d’un segment droit 185 modifications de figures prédessinées 186 rognage d’une image à l’aide du masque par défaut (de forme rectangulaire) 190 utilisation de l’outil de dessin 182 utilisation en tant que masques 191 flèches prédessinées ajout 182 modification 187 fonctions d’informations 219 date et heure 216 de recherche 219 financières 217 logiques 218314 Index numériques 220 statistiques 222 texte 224 trigonométriques 221 utilisation 106 vue d’ensemble 214 fonctions d’informations 219 fonctions date et heure 216 fonctions de recherche 219 fonctions financières 217 fonctions logiques 218 fonctions numériques 220 fonctions statistiques 222 fonctions texte 224 fonctions trigonométriques 221 formatage conditionnel 73 formats d’image pris en charge 189 formats multimédias pris en charge 195 formules ajout d’une formule à plusieurs cellules 103 ajout d’une formule rapide 95 ajout de nouvelles formules 97, 99 calcul d’opérations arithmétiques 104 calcul élémentaire avec des valeurs d’une même colonne 96 calcul élémentaire avec des valeurs d’un même rang 96 enregistrement ou annulation des modifications 98, 99 fonctions 106 modification 98, 100 opérateurs 104 réalisation de calculs instantanés 94 suppression 96 utilisation de références de cellules 100 G GAUCHE, fonction texte 265 GRANDE.VALEUR, fonction statistique 264 graphiques affichage des axes et des bordures 120 afficher et masquer une légende 118 ajout d’étiquettes et de marques d’axe 120 ajout de données provenant de plusieurs tableaux 115 ajout de texte descriptif 125 ajouter 111 choix d’un type de graphique 112 copie de données dans 114 interprétation des séries de données 109 mise en forme 118, 126 mise en forme d’éléments d’une série de données 124 mise en forme de l’axe des valeurs 122 mise en forme de titres, d’étiquettes et de légendes 125 mise en place d’étiquettes de quadrillage et de marques de graduation 123 modification d’un type de graphique 117 modification de données 114 redimensionnement 119 remplacement d’une série de données 116 repositionnement d’une légende 118 rotation 119 graphiques 3 D définition de réglages de scène 132 modification de l’angle d’affichage 132 graphiques à barres et à colonnes ajout d’ombres 129 réglage de l’espacement 128 réglage de l’opacité 129 graphiques à couches et linéaires ajout d’ombres 130 graphiques en nuage de points définition des réglages d’axe 131 mise en forme de symboles 131 graphiques linéaires et à couches définition de la couleur de ligne 130 mise en forme de symboles 130 graphiques modification de l’orientation de la représentation 114 graphiques sectoriels affichage de noms de séries dans 126 ajout d’ombres 127 éloignement de portions individuelles 127 réglage de l’opacité 127 rotation 128 sélection de portions individuelles 126 guides d’alignement création de nouveaux guides 170 utilisation 169 guillemets courbes 144 H HEURE, fonction date/heure 256 I images ajustement automatique 193 histogramme 193 introduction à l’intérieur d’un objet 180 masquage (rognage) 189 mise à l’échelle 181 mosaïque 181 niveaux automatiques 193 réglage de l’exposition 193 réglage de la luminosité 193Index 315 réglage de la netteté 193 réglage de la saturation 193 réglage de la température 193 réglage du contraste 193 teinte 182 IMPAIR, fonction mathématique 275 importation d’un fichier à partir d’autres applications 33 en le faisant glisser 33 formats de fichier pris en charge 33 via le menu 33 impression choix d’options de disposition d’impression 204 définition du format de page 42 disposition d’objets sur des pages 43 numérotation des pages 44 pagination d’une feuille 41 réglage de l’ordre des pages 44 réglage de l’orientation de page 44 réglage de la couleur à l’aide de ColorSync 205 réglage des marges 45 utilisation d’en-têtes et de bas de page 42 utilisation de la zone de dialogue Imprimer 203 INDEX, fonction de recherche 258 INDIRECT, fonction de recherche 259 Inspecteur des documents 36, 42 Inspecteur des graphismes 124, 173, 174, 175, 176, 177, 178, 180, 181, 183 Inspecteur des liens 160, 161 Inspecteur des mesures 43, 50, 51, 119, 128 Inspecteur du texte 52, 59, 89, 140, 145, 146, 147, 149, 153, 158 Inspecteur QuickTime 196 Inspecteurs ouverture 27 ouverture multiple 27 utilisation pour la mise en forme 26 INTERVALLE.CONFIANCE, fonction statistique 236 INTPER, fonction financière 260 ISPMT, fonction financière 263 J JOUR, fonction date/heure 247 L LIEN_HYPERTEXTE, fonction de recherche 257 liens types de lien 160 vers une page web 160 vers un message électronique préadressé 160 liens hypertexte modification du texte des liens 161 lissage de police 145 listes à puces 154 génération automatique 153 numérotées 155 ordonnées (structures) 156 utilisation 153 LN, fonction mathématique 265 LOG, fonction mathématique 266 LOG10, fonction mathématique 266 LOI.POISSON, fonction statistique 278 LUNDI À VENDREDI, fonction date/heure 311 M MAINTENANT, fonction date/heure 274 MAX, fonction statistique 268 MAXA, fonction statistique 269 MEDIANE, fonction statistique 269 menus contextuels 25, 30 MILIEU, fonction texte 270 MIN, fonction statistique 270 MINA, fonction statistique 270 MINUSCULE, fonction texte 267 MINUTE, fonction date/heure 271 mise en forme du texte création d’ombres 141 modification de l’alignement horizontal du texte 146 modification de l’alignement vertical du texte 147 modification de la casse 137, 144 modification de la couleur 140 modification de la couleur d’arrière-plan du paragraphe 141 modification de la marge intérieure 153 modification de la taille et de l’apparence 134 réglage de l’écart des caractères 149 réglage de l’espacement entre les paragraphes 149 réglage de l’interligne 147 réglage du retrait des paragraphes 152 MOD, fonction mathématique 271 MODE, fonction statistique 272 modèles choix 18 conception de modèles personnalisés 208 enregistrement d’une feuille de calcul en tant que modèle 36 modèles personnalisés création 208 création de contenu de départ 211 définition d’attributs par défaut 209 définition de styles de tableaux 208 définition de tableaux réutilisables 209 enregistrement 213 MOIS, fonction date/heure 273316 Index MOYENNE, fonction statistique 231 N navigateur de média 28 NB, fonction statistique 239 NB.COUPONS, fonction financière 244 NB.JOURS.COUPON, fonction financière 242 NB.JOURS.COUPON.SUIV, fonction financière 243 NB.SI, fonction statistique 241 NB.VIDE, fonction statistique 240 NBCAR, fonction texte 265 NBVAL, fonction statistique 239 NOM.PROPRE, fonction texte 283 nombres format Date et heure 67 format de fraction 68 format monétaire 64 format pourcentage 65 format scientifique 69 mise en forme des nombres 63 NON, fonction logique 273 NPM, fonction financière 274 numéros de page ajout 42, 161 O objets ajout d’ombres 174 ajout d’une figure personnalisée 182 ajout d’une figure prédessinée 182 ajout d’une image 189 ajout d’un fichier de séquence vidéo 196 ajout d’un fichier son 195 ajout de couleurs et de dégradés de couleurs 178 ajout de reflets 176 alignement 168 copie 167 déplacement 167 duplication 167 faire pivoter 172 modification 171 modification de l’ordre d’empilement 168 modification du style des bordures 172 positionnement 168 positionnement précis 170 redimensionnement 171 réglage de l’opacité 176 regroupement et dissociation 177 retournement 172 sélection et désélection 166 suppression 167 verrouillage et déverrouillage 178 opérateurs arithmétiques 104, 105 comparaison 105 ORDONNEE.ORIGINE, fonction statistique 259 OU, fonction logique 276 outil de dessin 182 outils de formule 27 P PAIR, fonction mathématique 250 Palette de caractères 143 paramètres fictifs 188 paramètres fictifs multimédias 188, 212 PENTE, fonction statistique 295 PETIT, fonction statistique 295 PGCD, fonction mathématique 255 PI, fonction mathématique 277 PLAFOND, fonction mathématique 232 PLANCHER, fonction mathématique 253 PPCM, fonction mathématique 264 Préférences 32, 35, 65, 101, 141, 142, 144, 145, 151, 153, 160, 161, 162, 168, 170, 172 PREVISION, fonction statistique 254 PRICEDISC, fonction financière 281 PRICEMAT, fonction financière 281 PRINCPER, fonction financière 279 PRIX, fonction financière 280 PROBABILITE, fonction statistique 282 PRODUIT, fonction mathématique 283 PUISSANCE, fonction mathématique 279 Q QUOTIENT, fonction mathématique 285 R raccourcis clavier affichage d’une liste de raccourcis dans l’aide 30 utilisation 30 RADIANS, fonction trigonométrique 285 RANG, fonction statistique 286 RANGS, fonction de recherche 292 RECHERCHE, fonction de recherche 266 recherche de texte 165 RECHERCHEH, fonction de recherche 255 Rechercher et remplacer, zone de dialogue 165 rectangle aux coins arrondis ajout 182 modification 186 règle affichage et masquage 151 utilisation pour définir des retraits de paragraphe 152 utilisation pour définir un nouveau taquet de tabulation 151Index 317 utilisation pour modifier un taquet de tabulation 151 utilisation pour supprimer un taquet de tabulation 152 REMBOUR, fonction financière 278 REMPLACER, fonction texte 288 RENGÉE, fonction de recherche 292 REPT, fonction texte 288 ROMAIN, fonction mathématique 289 RRECHERCHE, fonction texte 292 S SECONDE, fonction date/heure 293 Sélecteur de modèles 18 sélecteur de modèles 32 SI, fonction logique 257 SIGNE, fonction mathématique 293 SIN, fonction trigonométrique 293 SINH, fonction trigonométrique 294 SOMME, fonction mathématique 299 SOMME.CARRÉS, fonction mathématique 301 SOMME.SI, fonction mathématique 300 SOMMEPROD, fonction mathématique 301 SQRT, fonction mathématique 296 STDEV, fonction statistique 296 STDEVA, fonction statistique 297 STDEVPA, fonction statistique 298 styles de tableaux application 88 copie et collage 89 création 90 modification 88 réattribution de nom 90 rétablissement du style par défaut 89 SUBSTITUE, fonction texte 299 SUPÉRIEUR, fonction texte 306 T T, fonction texte 302 tableaux ajout 47 ajout de bandes de couleur aux rangs 80 ajout de colonnes 76 ajout de rangs 75 à l’intérieur, utilisation de commentaires 84 attribution d’un nom 51 contrôles de mise en forme 70 copie de tableaux entre des applications iWork 53 création d’un rang de pied de page 78 création d’un rang ou d’une colonne d’en-tête 77 déplacement 51 filtrage (masquage) des rangs 86 formules 91 options permettant de masquer des rangs ou des colonnes 79 prédéfinis 52 redimensionnement 50 redimensionnement des rangs et des colonnes 79 redisposition des rangs et des colonnes 76 réutilisables, définition 52 sélection 54 sélection d’un rang ou d’une colonne 56 suppression de rangs et de colonnes 77 utilisation des rangs et des colonnes 75 TAN, fonction trigonométrique 302 TANH, fonction trigonométrique 303 taquets de tabulation création 151 modification 151 supprimer 152 utilisation de règles pour définir 150 TAUX, fonction financière 287 TAUX.ESCOMPTE, fonction financière 249 TEMPS, fonction date/heure 303 TEMPSVAL, fonction date/heure 304 texte ajout 133 ajout de zones de texte 157 dans les cellules d’un tableau 59 définition de l’alignement, de l’espacement et de la couleur 145 définition de retraits 152 définition de taquets de tabulation pour aligner le texte 150 espace insécable 163 mise en forme de la taille et de l’apparence 134 modification 133 présentation en colonnes 158 sélection 134 substitution automatique 162 utilisation de listes 153 texte à puces ajout de 154 réorganisation et modification 155 TRI, fonction financière 261 TRIM, fonction financière 271 TRONQUE, fonction mathématique 305 TROUVE, fonction texte 252 types de fichier son et vidéo pris en charge 195 types de fichier son pris en charge 195 typographie modification de la casse 144 modification de la ligne de base 144 modification du crénage 144 personnalisation de l’apparence du texte 139 utilisation des ligatures 144318 Index V VALACT, fonction financière 284 VAN, fonction financière 275 VAR, fonction statistique 306 VAR.P, fonction statistique 308 VARA, fonction statistique 307 VARPA, fonction statistique 308 VC, fonction financière 254 VDB, fonction financière 309 vérification orthographique recherche des mots mal orthographiés 163 utilisation des suggestions de correction orthographique 164 Visualiseur de clavier 141 VRAI, fonction logique 305 Z ZONES, fonction de recherche 229 zoom avant et zoom arrière 21 Découverte d’ApertureK Apple Inc. Copyright © 2008 Apple Inc. Tous droits réservés. Le propriétaire ou l’utilisateur autorisé d’un exemplaire valide d’Aperture est autorisé à reproduire cet ouvrage dans le but d’apprendre à utiliser le logiciel décrit. En revanche, il est interdit de reproduire ou de transférer tout ou partie de cet ouvrage à des fins commerciales, notamment pour en vendre des copies ou pour fournir un service d’assistance payant. Tout a été mis en œuvre pour que les informations pré- sentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des coquilles ou des erreurs d’impression. Étant donné qu’Apple publie régulièrement de nouvelles versions et des mises à jour de son logiciel système, de ses applications et de ses sites Internet, les copies d’écran reproduites dans cet ouvrage peuvent être légè- rement différentes de ce qui s’affiche réellement sur votre écran. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Apple, le logo Apple et iTunes sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Aperture et Safari sont des marques d’Apple Inc. MobileMe est une marque de service d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. Les autres noms d’entreprises et de produits mentionnés dans ce document sont des marques de leurs propriétaires respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés qu’à titre d’information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple ne se porte pas garant de ces produits et décline toute responsabilité quant à leur utilisation et à leur fonctionnement.3 Table des matières 7 Chapitre 1 : Découverte d’Aperture 8 Ouverture d’Aperture 11 À essayer : la fenêtre principale 16 À essayer : les procédures de base 18 À propos de l’inspecteur Projets 21 Concepts de base essentiels 25 Chapitre 2 : Notions élémentaires sur l’importation 26 À essayer : les options d’importation 32 À propos de l’emplacement des fichiers d’images 34 À essayer : la sélection des noms de versions pour des images importées 38 Concepts de base essentiels 41 Chapitre 3 : À propos du navigateur 42 À essayer : le navigateur 45 À essayer : l’empilement des images 48 À essayer : l’affichage des images à utiliser 51 À propos des originaux et des copies de travail 55 Concepts de base essentiels4 Table des matières 57 Chapitre 4 : À propos du visualiseur 58 À essayer : le visualiseur 61 À essayer : les outils d’ajustement 63 À essayer : l’affichage des métadonnées en plus des images 65 À propos de l’inspecteur Métadonnées 67 À propos des cartes d’identification 69 Concepts de base essentiels 73 Chapitre 5 : Ajustement d’images en présentation Plein écran 74 À essayer : la présentation Plein écran 80 À essayer : le réglage de l’exposition via la sous-fenêtre Ajustements de la palette Inspecteur 84 À essayer : l’amélioration d’une image 85 À essayer : l’ajustement de la balance des blancs 88 À propos des ajustements disponibles dans la palette Inspecteur et dans l’inspecteur Ajustements 91 Concepts de base essentiels 93 Chapitre 6 : Affectation de mots-clés aux images 94 À essayer : la palette Mots-clés 98 À essayer : les mots-clés dans la palette Mots-clés 101 À propos de la palette Prélever et appliquer 104 Concepts de base essentielsTable des matières 5 107 Chapitre 7 : Présentation de vos images 108 À essayer : les diaporamas 112 À essayer : les pages web d’Aperture 121 À essayer : les livres d’Aperture 126 À propos des livres 130 Concepts de base essentiels 133 Chapitre 8 : Impression d’images 134 À essayer : les options d’impression 138 Concepts de base essentiels 141 Chapitre 9 : Sauvegarde de vos images 141 À propos de la réalisation de sauvegardes 143 À essayer : la sous-fenêtre Banque 148 Concepts de base essentiels 151 Chapitre 10 : Réponses à vos questions 151 À essayer : l’Aide d’Aperture 152 Étape suivante1 7 1 Découverte d’Aperture Bienvenue dans Aperture. Si vous n’êtes pas encore familier avec Aperture et son flux de production d’images numériques, ce guide est fait pour vous. Vous allez y apprendre à ouvrir des exemples de projets pour y faire des essais et acquérir votre propre expérience pratique. Chaque chapitre de ce guide traite de fonctionnalités essentielles et vous décrit en détail les étapes à suivre pour faire différents essais. Prenez tout votre temps pour découvrir d’autres options par vous-même. Vous apprendrez ainsi les bases tout en vous amusant. Dès que vous vous sentirez à l’aise, vous pourrez utiliser vos propres photos et commencer à travailler sérieusement avec Aperture. Ce guide part du principe que vous avez déjà installé Aperture sur votre ordinateur et que le disque d’installation Aperture se trouve encore dans le lecteur.  Si vous n’avez pas encore installé Aperture : reportez-vous au fascicule Installation de votre logiciel.  Si vous n’avez pas inséré le disque d’installation Aperture dans votre lecteur : munissezvous du disque d’installation Aperture se trouvant dans votre coffret Aperture, puis insérez-le dans votre lecteur.8 Chapitre 1 Découverte d’Aperture  Si vous préférez commencer en lisant les explications détaillées sur les concepts et les procédures utilisés dans Aperture : lancez Aperture, puis choisissez Aide > Manuel de l’utilisateur d’Aperture. Ouverture d’Aperture Nous allons commencer par ouvrir Aperture et utiliser un exemple de projet. Pour lancer Aperture : 1 Double-cliquez sur l’icône Aperture dans votre dossier Applications.Chapitre 1 Découverte d’Aperture 9 Lors du premier lancement d’Aperture, plusieurs choix vous sont proposés. 2 Cliquez sur le bouton « Commencer à utiliser Aperture ». 3 Cliquez sur Continuer. 4 Lorsqu’une zone de dialogue vous invite à confirmer l’importation d’exemples de projets, cliquez sur Importer. 10 Chapitre 1 Découverte d’Aperture L’importation des exemples de projets par Aperture prend quelques instants. L’écran qui apparaît alors ressemble à l’illustration suivante : L’inspecteur Projets apparaît sur la gauche : il vous permet de créer et de travailler sur des projets contenant vos images. Désormais, vous êtes prêt à explorer la fenêtre principale. Navigateur Visualiseur Fournis à titre d’exemples, ces projets contiennent des images et des albums. Cliquez sur l’un de ces projets pour visualiser les images qu’il comporte, dans le navigateur. Inspecteur Projets Barre d’outils Bouton InspecteurChapitre 1 Découverte d’Aperture 11 À essayer : la fenêtre principale Vous allez tout d’abord afficher quelques images, puis vous vous lancerez à la découverte d’éléments essentiels de l’interface Aperture. N’oubliez pas que vous devez sélectionner un projet ou un album dans l’inspecteur Projets pour être en mesure d’afficher les images qu’il contient. Au préalable m Sélectionnez le projet Nature dans l’inspecteur Projets. Cliquez sur le projet Nature pour le sélectionner. Les images du projet apparaissent dans le navigateur. Toute image sélectionnée est encadrée par une bordure blanche.12 Chapitre 1 Découverte d’Aperture Accès direct Amusez-vous à essayer n’importe laquelle des procédures suivantes pour observer le résultat obtenu. Pour sélectionner des images : m Cliquez sur une image dans le navigateur. Appuyez sur les touches fléchées. m Cliquez sur plusieurs images dans le navigateur tout en maintenant la touche Maj enfoncée. m Appuyez sur les touches fléchées tout en maintenant la touche Maj enfoncée. Pour changer la présentation de la fenêtre principale : m Choisissez Présentation > Navigateur uniquement pour n’afficher que le navigateur. Appuyez sur les touches fléchées. m Choisissez Présentation > Visualiseur uniquement pour n’afficher que l’image sélectionnée dans le visualiseur. Appuyez sur les touches fléchées. m Appuyez plusieurs fois sur V (pour présentation) pour passer de la présentation Navigateur uniquement, Navigateur & visualiseur ou Visualiseur uniquement à la suivante. m Choisissez Présentation > Navigateur uniquement dans le menu local Présentation de la barre d’outils. m Il vous suffit de double-cliquer sur une image dans le navigateur pour l’afficher en pré- sentation Visualiseur uniquement. Double-cliquez alors sur cette image dans le visualiseur pour repasser en présentation Navigateur uniquement.Chapitre 1 Découverte d’Aperture 13 Pour changer la présentation du navigateur : m Choisissez Présentation > Navigateur & visualiseur. Cliquez sur le bouton Présentation par liste pour visualiser les images dans le navigateur sous forme de liste. m Cliquez sur le bouton Présentation en grille pour visualiser les images dans le navigateur sous forme de grille. m Cliquez sur le bouton Présentation par pellicule pour visualiser les images dans le navigateur sous forme de pellicule, à savoir une seule rangée d’images que vous pouvez utiliser pour parcourir toutes les images. m Appuyez sur I pour masquer la sous-fenêtre Inspecteur. Il vous suffit ensuite de rappuyer sur I pour l’afficher de nouveau. Bouton Présentation par liste Bouton Présentation par pellicule Bouton Présentation en grille14 Chapitre 1 Découverte d’Aperture Pour découvrir l’inspecteur Métadonnées : m Cliquez sur l’onglet Métadonnées en haut de la sous-fenêtre Inspecteur. Sélectionnez des images différentes pour consulter des informations à leur sujet. Saisissez une légende ou un mot-clé dans le champs de métadonnées. (Vous en apprendrez davantage sur ces champs dans la suite de ce guide.) Pour découvrir l’inspecteur Ajustements : m Cliquez sur l’onglet Ajustements en haut de la sous-fenêtre Inspecteur. Cliquez sur le triangle d’affichage de l’un des ajustements proposés pour afficher ses options. Cochez la case d’un ajustement, puis apportez des modifications. Désactivez cette case à cocher pour désactiver par la même occasion vos modifications. Appuyez sur I pour fermer la sous-fenêtre Inspecteur. Pour découvrir la palette Mots-clés : m Cliquez sur le bouton Mots-clés dans la barre d’outils. Utilisez la barre de défilement affichée par la palette pour parcourir tous les mots-clés présents. Cliquez sur les triangles d’affichage de la palette Mots-clés pour afficher les mots-clés associés aux diffé- rentes catégories. Faites glisser des mots-clés sur une image sélectionnée. Appuyez simultanément sur les touches Maj + H pour fermer la palette Mots-clés.Chapitre 1 Découverte d’Aperture 15 Pour passer en présentation Plein écran : m Cliquez sur le bouton Plein écran dans la barre d’outils (ou appuyez sur F pour plein écran). Placez le pointeur en bas de l’écran, au centre, pour afficher la pellicule. Sélectionnez des images sur la pellicule. Appuyez sur les touches fléchées. Pour découvrir la palette Inspecteur : m Appuyez sur H (pour palette). Faites glisser la palette sur l’écran à un emplacement pratique. Cliquez sur les boutons Projets, Métadonnées et Ajustements situés en haut de la palette pour afficher les sous-fenêtres correspondantes. Notez que cette palette mobile comporte les mêmes options que les inspecteurs. Appuyez sur H pour fermer la palette Inspecteur. Appuyez sur la touche F pour quitter la présentation Plein écran. (Vous en apprendrez davantage sur la présentation Plein écran dans la suite de ce guide.) Pour afficher le contenu des albums d’un projet : m Appuyez sur I pour afficher la sous-fenêtre Inspecteur. Cliquez ensuite sur l’onglet Projets pour afficher l’inspecteur Projets. Cliquez sur le triangle d’affichage situé à côté du nom du projet Nature pour visualiser tous les dossiers et les albums qu’il contient. Ouvrez les dossiers, puis cliquez sur les différents albums du projet pour les consulter. Pour créer un nouvel album en vue de contenir une sélection d’images : m Dans le navigateur, cliquez sur cinq ou six images tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour les sélectionner. Choisissez Fichier > Nouveau à partir de la sélection > Album. Attribuez un nom de votre choix à ce nouvel album. Vous en apprendrez davantage sur plusieurs de ces fonctions dans la suite de ce guide. Pour l’instant, contentez-vous de découvrir les diverses parties de la fenêtre principale et de vous familiariser avec.16 Chapitre 1 Découverte d’Aperture À essayer : les procédures de base Vous vous posez certainement des questions sur les procédures à suivre. Cette section vous guide pour réaliser certaines tâches de base. La liste suivante vous fournit des points de repère pour exécuter des procédures, sans pour autant vous les décrire dans le détail. Toutefois, si vous préférez vous faire une idée précise de chaque procédure avant de faire vos essais, consultez l’Aide d’Aperture. Accès direct m Création d’un nouveau projet vide : choisissez Fichier > Nouveau projet. Vous pouvez importer des images dans un projet grâce aux commandes d’importation ou les faire glisser depuis le navigateur Aperture après avoir sélectionné un autre projet ou album. Un projet est en fait un objet qui contient vos images et toutes leurs copies de travail. m Importation d’images depuis un appareil photo ou un lecteur de carte : raccordez votre appareil photo ou votre lecteur de carte à votre ordinateur. La zone de dialogue d’importation apparaît. Elle vous permet de sélectionner les images que vous souhaitez importer. Sélectionnez votre nouveau projet dans l’inspecteur Projets. Vos images vont maintenant être importées dans ce projet. Si vous le souhaitez, sélectionnez, puis importez quelques photos pour vous exercer ou cliquez sur Annuler pour fermer zone de dialogue d’importation. (Vous en apprendrez davantage sur l’importation d’images dans le chapitre suivant.)Chapitre 1 Découverte d’Aperture 17 m Classement d’images : dans le navigateur, sélectionnez l’image que vous souhaitez classer, puis appuyez sur une touche numérique comprise entre 1 et 5 pour lui appliquer un classement allant d’une à cinq étoiles. Appuyez sur 0 (zéro) pour supprimer un classement et sur 9 pour rejeter une image. Appuyez sur le signe plus (+) pour augmenter un classement d’une étoile et sur le signe moins (–) pour le diminuer de la même valeur. Appliquez à plusieurs images un classement cinq étoiles. (Vous en apprendrez davantage sur le classement dans la suite de ce guide.) m Affichage d’une sélection d’images basée sur leur classement : choisissez un niveau de classement dans le menu local du champ de recherche. Aperture n’affiche alors que les images correspondant au classement choisi. Choisissez Tout afficher pour visualiser de nouveau de toutes les images. m Suppression d’un projet : sélectionnez le projet que vous venez de créer. Choisissez Fichier > Supprimer le projet. (Ne supprimez pas les exemples de projets, car vous allez les utiliser dans la suite de ce guide. Si vous en avez déjà supprimé un, réimportez-le depuis le disque d’installation Aperture en choisissant Fichier > Importer > Projets.) Champ de recherche Menu local du champ de recherche18 Chapitre 1 Découverte d’Aperture À propos de l’inspecteur Projets À présent, observez l’inspecteur Projets où se trouvent votre photothèque d’images, vos projets et vos albums. L’icône Photothèque est affichée tout en haut de l’inspecteur Projets. La photothèque Aperture effectue le suivi de tous les projets, albums et images, peu importe que les images soient stockées dans la photothèque Aperture ou à un autre emplacement sur un disque dur ou un support de stockage. Lorsque vous avez importé les exemples de projets, toutes les informations sur ces projets, leurs images et leurs albums ont été placés dans la photothèque. Projets Photothèque Albums intelligents prédéfinis Projet sélectionné ouvert pour afficher ses dossiers et albumsChapitre 1 Découverte d’Aperture 19 Aperture crée une photothèque dans le dossier Images de votre disque dur lorsque vous lancez Aperture pour la première fois. Vous pouvez choisir d’importer des images dans la photothèque ou permettre à Aperture d’y accéder à partir d’autres emplacements sur des disques durs différents. Lorsque vous cliquez sur le triangle d’affichage situé à côté de l’icône Photothèque, les albums intelligents prédéfinis chargés de collecter automatiquement les images en fonction de critères spécifiques apparaissent. Par exemple, l’album intelligent nommé « 5 étoiles » affiche toutes les images avec un classement cinq étoiles. Quant à l’album intelligent nommé « Dans la semaine écoulée », il regroupe toutes les images prises au cours de la dernière semaine. Vous avez la possibilité de créer vos propres albums intelligents pour rassembler des images sur des critères de votre choix. Vous pouvez, par exemple, créer un album intelligent qui collecte automatiquement toutes les images dotées du mot-clé Portrait ou Très gros plan. Les projets vous servent à organiser vos images. Un projet contient les fichiers numériques d’origine, appelés originaux, et les différentes copies de travail de chaque image. Un original correspond donc à l’image d’origine importée depuis votre appareil photo ou toute autre source. Au fil du travail que vous effectuez sur les images et de leurs modifications, Aperture crée des copies de travail à partir de l’original. Un fichier de copie de travail est bien moins volumineux que l’original auquel il fait référence. En d’autres termes, la création de nouvelles copies de travail ne risque pas de saturer votre disque dur, car elle ne duplique pas toutes les données contenues dans l’original. Aperturen’utilise que des copies de travail et ne modifie jamais leur original. Vos prises de vue initiales sont donc préservées.20 Chapitre 1 Découverte d’Aperture Un projet peut contenir des dizaines de milliers d’originaux et encore bien plus de copies de travail. Par ailleurs, vous pouvez créer autant que projets que vous le souhaitez, votre seule limite étant liée à l’espace disponible sur votre disque. Vous pouvez, par exemple, créer un projet distinct pour chaque prise de vue. Les projets représentent le composant le plus fondamental d’Aperture, car ils contiennent vos originaux. Un album est un conteneur au sein d’un projet ou de l’inspecteur Projets, qui vous sert à organiser vos copies de travail de vos images. Vous créez des albums pour répondre à un objectif particulier. Vous pouvez, par exemple, créer un album de photos pour une espèce spécifique d’oiseaux. Utilisez ensuite les albums pour organiser les images, ce qui facilite la gestion de vos sélections de copies de travail. Pour placer une copie de travail dans un album, faites glisser l’image correspondante depuis le navigateur vers cet album dans l’inspecteur Projets. AlbumsChapitre 1 Découverte d’Aperture 21 Concepts de base essentiels  Originaux : ce sont les fichiers image d’origine importés depuis votre appareil photo numérique, une carte mémoire, un ordinateur ou d’autres supports de stockage externes. Aperture ne modifie jamais les originaux. L’image d’origine est ainsi préservée et peut être réutilisée.  Copies de travail : les images affichées et modifiées dans Aperture s’appellent des copies de travail. Ces copies de travail sont basées sur un original. Vous pouvez les modifier, les copier et les ajuster à votre guise.  Projets : conteneurs servant à conserver les fichiers numériques d’origine, les copies de travail et les albums. Si vous déplacez un fichier de projet, son contenu est également déplacé.  Albums : conteneurs servant à organiser les copies de travail dans un but spécifique. Vous pouvez créer des albums à l’intérieur ou à l’extérieur des projets. Parmi les diffé- rents types d’albums disponibles, vous avez le choix entre les albums intelligents, les albums de type table lumineuse, les albums de pages web, les albums de journaux web et les albums-livres.  Photothèque : base de données vous permettant de gérer vos fichiers, de l’importation jusqu’à la diffusion, en passant par les ajustements d’images. Une fois que vous avez importé vos images, la photothèque assure le stockage et le suivi de vos originaux et des copies de travail correspondantes. La photothèque gère aussi les projets et les albums que vous créez pour organiser vos images. Toutes les modifications apportées à vos images, y compris les ajustements et les métadonnées, sont stockées dans la photothèque, que les originaux soient situés dans la photothèque ou à un autre emplacement sur disque.22 Chapitre 1 Découverte d’Aperture  Palette : fenêtre flottante que vous pouvez déplacer à l’écran à des fins pratiques et qui vous sert à modifier les images. Nous allons à présent étudier davantage l’importation d’images dans Aperture.2 25 2 Notions élémentaires sur l’importation Aperture propose de nombreuses options d’importation conçues pour répondre aux besoins des photographes chevronnés. Ce chapitre vous permet d’apprendre à importer des images sélectionnées et vous offre un aperçu des fonctions d’importation de base. Vous allez créer un projet de test, puis y importer des images en recourant à diverses méthodes d’attribution de noms et de préparation des images pour l’importation. Dès que vous aurez acquis une certaine expérience de l’importation d’exemples d’images, vous pourrez envisager d’importer vos propres images. Important : assurez-vous d’avoir bien compris les modes d’importation utilisés dans Aperture et planifié la structure de votre photothèque Aperture avant de commencer à importer réellement vos images. En effet, vous allez constituer un système organisé permettant de garder la trace de milliers d’images. Une planification préalable peut donc considérablement simplifier la gestion de vos fichiers sur le long terme. Pour des explications détaillées sur la planification d’une stratégie d’importation et la configuration d’un système Aperture, consultez le Manuel de l’utilisateur d’Aperture accessible à travers le menu Aide d’Aperture.26 Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation À essayer : les options d’importation Aperture vous permet de sélectionner en toute simplicité les images à importer, nommer les fichiers, leur affecter des informations d’identification (appelées des métadonnées) et stocker des images. Lorsque vous connectez un appareil photo à votre ordinateur ou insérez une carte contenant des images dans un de ses lecteurs, la sous-fenêtre et la zone de dialogue d’importation apparaissent. Vous pouvez alors sélectionner les images que vous souhaitez importer et indiquer des options d’importation. Zone de dialogue d’importation Bouton Importer des images Sous-fenêtre d’importation Barre d’outilsChapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation 27 Au préalable Au lieu de commencer par importer des images depuis un appareil photo ou un lecteur de carte, vous allez tout d’abord importer des exemples d’images depuis un dossier situé votre disque dur. Si vous disposez de cinq ou six images personnelles avec lesquelles vous êtes suffisamment à l’aise pour procéder à des essais, placez-les dans un dossier sur votre bureau. Si vous préférez faire vos premiers pas avec les images issues des exemples de projets Aperture, exportez cinq ou six images vers un dossier sur votre bureau. Pour exporter des exemples d’images vers un dossier sur votre bureau : 1 Sélectionnez le projet Nature dans l’inspecteur Projets. 2 Sélectionnez cinq ou six images dans le navigateur. 3 Choisissez Fichier > Exporter > Originaux. Appuyez simultanément sur les touches Commande + D pour sélectionner le bureau en tant qu’emplacement de destination de vos images exportées. 4 Cliquez sur le bouton Nouveau dossier, saisissez « Exemples » comme nom de dossier, puis cliquez sur Créer. 5 Cliquez sur le bouton Exporter les originaux. Aperture exporte les images sélectionnées vers le dossier situé sur votre bureau. Vous pouvez alors importer ces images en procédant à des essais avec les options d’attribution de nom et les autres options d’importation d’Aperture.28 Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation Pour ouvrir la zone de dialogue d’importation et préparer l’importation des exemples d’images : 1 Choisissez Fichier > Nouveau projet pour créer un projet vide. Attribuez un nom à ce projet, comme Test d’importation, puis appuyez sur Retour. 2 Cliquez sur ce nouveau projet dans l’inspecteur Projets pour le sélectionner, le cas échéant. 3 Cliquez sur le bouton Importer dans la barre d’outils pour ouvrir la sous-fenêtre d’importation. 4 Cliquez sur Fichiers locaux dans la sous-fenêtre d’importation.Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation 29 La zone de dialogue d’importation apparaît. Informations sur les fichiers d’images. La flèche d’importation pointe vers le projet sélectionné, où les images vont être stockées. Sélectionnez un appareil photo, un lecteur de carte, un disque dur ou tout autre périphérique de stockage contenant vos images. Bouton Importer des images. Sélectionnez l’icône du disque et du dossier pour accéder aux images que vous souhaitez importer. Sélectionnez ici l’emplacement de destination de vos fichiers d’images. Vous pouvez les placer dans la photothèque ou les conserver à un autre emplacement du disque dur. Indiquez ici les types de métadonnées que vous souhaitez ajouter. Curseur Empiler automatiquement.30 Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation Accès direct Pour accéder à vos images : m Cliquez sur Bureau dans la sous-fenêtre d’importation, puis sélectionnez le dossier contenant les exemples d’images. Ces images apparaissent sous forme de vignettes. Pour sélectionner les images à importer : m Cliquez sur une vignette pour la sélectionner. Consultez la zone Données de l’image pour lire des informations au sujet de cette image. Appuyez sur la touche Flèche droite ou Flèche gauche pour sélectionner d’autres images. m Maintenez enfoncée la touche Maj tout en appuyant sur les touches fléchées pour sélectionner plusieurs images. Cliquez sur des images spécifiques tout en maintenant la touche Commande enfoncée pour les sélectionner/désélectionner. Pour sélectionner toutes les images, choisissez Édition > Tout sélectionner. En revanche, cliquez sur la zone grise située entre les images pour tout désélectionner. Pour sélectionner le projet où conserver vos images : m Cliquez sur le projet Football dans l’inspecteur Projets. Notez que la flèche d’importation se déplace pour indiquer que les images vont être importées vers ce projet. Dans l’inspecteur Projets, cliquez sur le projet vide que vous venez de créer pour le sélectionner. Pour sélectionner où les originaux sont stockés sur vos disques durs : m Sélectionnez cinq ou six images dans la zone de dialogue d’importation. Déroulez le menu local Stocker les fichiers pour afficher ses options. Choisissez « Dans la photothè- que Aperture » pour stocker les fichiers dans la photothèque Aperture située sur votre disque dur. Vous pouvez également choisir d’enregistrer les fichiers à un autre emplacement de votre disque dur ou les laisser à leur emplacement actuel, s’ils sont déjà présents sur un disque dur.Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation 31 Pour choisir une convention d’attribution de noms pour les images : m Choisissez « Nom personnalisé avec index » dans le menu local « Nom de la version ». Saisissez le nom à attribuer à toutes les images dans le champ Nom. Aperture attribue alors à chaque image importée le nom personnalisé reprenant la version que vous avez indiquée et en lui ajoutant un numéro d’index. Observez le champ « Nom ajusté du fichier » en rouge dans la zone Données de l’image pour savoir comment les noms des versions vont apparaître. L’utilisation de noms personnalisés pour les images importées est facultative. Vous pouvez tout simplement accepter de conserver les noms de fichiers que portent actuellement les images. Pour ajouter des métadonnées : m Choisissez Général dans le menu local « Ajouter les métadonnées de ». Des champs apparaissent pour vous permettre d’indiquer les métadonnées à enregistrer au sujet des images importées. m Saisissez « Test d’importation » dans le champ Légende. Cette légende est ajoutée à toutes les images importées. m Saisissez « Test, Exemple » (sans les guillemets, mais avec une virgule de séparation) dans le champ Mots-clés. Ces deux mots-clés sont automatiquement affectés à toutes les images importées. m Ajoutez toutes les métadonnées de votre choix dans les autres champs. 32 Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation Pour importer des images et les consulter dans le navigateur : m Cliquez sur le bouton Importer des images, en bas à droite de la zone de dialogue d’importation, pour importer les images sélectionnées. m Sélectionnez les images importées dans le navigateur. Appuyez simultanément sur les touches Contrôle + D pour afficher l’inspecteur Métadonnées et observez les métadonnées que vous avez affectées. Notez que vous pouvez les modifier si vous le souhaitez. À propos de l’emplacement des fichiers d’images Lorsque vous importez des images, vous pouvez choisir de stocker les originaux dans la photothèque Aperture ou à un autre emplacement de l’un de vos disques durs. Les images gérées sont placées physiquement dans le fichier de la photothèque Aperture sur votre disque dur. De ce fait, les fichiers et toutes les informations qui les concernent sont gérés et sauvegardés par Aperture. Bouton Importer des imagesChapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation 33 Les images référencées sont des images dont les originaux ne sont pas stockés dans la photothèque, mais à un autre emplacement d’un disque dur ou de tout autre support. Aperture fait seulement référence à ces originaux à leur emplacement actuel. L’utilisation des images référencées présente l’avantage de pouvoir importer un portfolio d’images stockées sur le disque dur sans avoir à les copier physiquement ou à les déplacer vers la photothèque Aperture. Vous pouvez également permettre à Aperture d’accéder à des images situées sur différents disques durs. Vous pouvez tout simplement autoriser Aperture à faire référence à des fichiers, en recourant à votre organisation de fichiers et au nom de vos fichiers en place pour vos images. Aperture ne sauvegarde et ne modifie en aucun cas les images référencées : c’est à vous de vous en charger. Il est important de réfléchir au préalable à la façon dont vous allez importer votre portfolio d’images numériques. La photothèque Aperture peut facilement effectuer le suivi de toute combinaison d’images gérées et référencées. Comme il peut arriver que vous ayez déjà plusieurs milliers d’images stockées sur disque, vous pouvez décider quelles images vous souhaitez importer dans la photothèque Aperture et lesquelles importer comme des images références en les laissant à leur emplacement actuel sur disque. Vous pouvez également copier ou déplacer des images vers un autre emplacement sur disque lors de leur importation.34 Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation Après l’importation d’images en tant qu’images référencées, vous avez la possibilité de travailler sur des copies de travail de ces images comme s’il s’agissait d’images gérées dans la photothèque Aperture. Le suivi de tous les ajustements effectués sur les images référencées et les métadonnées qui leur sont appliquées est effectué dans la photothèque Aperture, au même titre que pour des images gérées. Important : si vous retirez ou déconnectez un disque dur ou tout autre support contenant des originaux référencés, Aperture peut alors continuer à afficher et à effectuer le suivi des copies de travail des images que vous avez créées. Toutefois, si vous souhaitez effectuer des ajustements sur ces images, vous devez reconnecter le disque dur ou le support pour qu’Aperture puisse accéder aux originaux. Aperture retrouve automatiquement les fichiers et y accède dès que vous reconnectez le disque dur ou le support. À essayer : la sélection des noms de versions pour des images importées Il est maintenant temps d’approfondir vos connaissances sur la façon d’attribuer un nom à vos images. Lorsque vous importez des images, vous pouvez autoriser Aperture à utiliser les noms d’origine attribués par l’appareil photo ou recourir à une convention d’attribution de noms que vous choisissez ou créez. Aperture vous propose un certain nombre de pré- réglages pour les formats de noms, mais vous pouvez également créer vos propres conventions pour nommer vos images en fonction des divers types de prises réalisées. Vous avez la possibilité de choisir un préréglage pour le format des noms au moment de l’importation de nouvelles photos.Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation 35 Aperture vous propose les préréglages suivants pour les formats de noms. Vous avez la possibilité d’attribuer des noms à vos fichiers d’images au moment de leur importation et de leur exportation. Vous pouvez, par exemple, importer des images de votre appareil photo et indiquer le format des noms à appliquer à toutes les versions des images créées par Aperture. Vous pouvez également appliquer les mêmes noms à vos originaux, qu’ils soient stockés dans la photothèque ou sur un disque dur. Vous allez maintenant tenter d’importer plusieurs fois les mêmes images en appliquant des conventions d’attribution de noms différentes à chaque fois. Remarque : Aperture propose l’option « Ne pas importer de doublons » dans la zone de dialogue d’importation, que vous pouvez activer pour éviter d’importer des photos en double. Laissez cette option désactivée pour les tentatives d’importation d’images décrites ci-après. Préréglage de format de nom Exemple Nom de fichier de l’original IMG001 Date/heure de l’image 2005-10-14 09.03.25 PM Nom de la version IMG001 Date/heure et nom de la copie IMG001 - 2005-10-14 09.03.25 PM Nom de copie de travail avec séquence IMG001 (1 sur 2), IMG002 (2 sur 2), etc. Nom de copie avec index IMG001 1, IMG002 2, etc. Nom personnalisé avec index Thaïlande 1, Thaïlande 2, etc. Nom personnalisé avec compteur Thaïlande 001, Thaïlande 002, etc.36 Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation Accès direct m Attribution d’un nom de version et d’un numéro d’index : appuyez sur les touches Commande + I pour ouvrir la zone de dialogue d’importation. Cliquez sur les six premières images tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour les sélectionner en vue de les importer dans la zone de dialogue d’importation. Choisissez « Nom de copie avec index » dans le menu local « Nom de la version ». Cliquez sur le bouton Importer des images, en bas à droite de la zone de dialogue d’importation. Observez les noms des copies en sélectionnant des images dans le navigateur. (Appuyez sur les touches Contrôle + D pour afficher l’inspecteur Métadonnées, si nécessaire.) Après avoir observé les images, choisissez Édition > Tout sélectionner pour toutes les sélectionner, puis supprimez-les en choisissant Fichier > Supprimer les copies de travail. Dans la zone de dialogue « Supprimer les images patrons et toutes les versions », cliquez sur Supprimer. m Attribution d’un nom de version et d’un numéro de séquence : appuyez sur les touches Commande + I pour ouvrir la zone de dialogue d’importation. Cliquez sur les six premiè- res images tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour les sélectionner à nouveau. Choisissez « Nom de copie de travail avec séquence » dans le menu local « Nom de la version ». Cliquez sur le bouton Importer des images, en bas à droite de la zone de dialogue d’importation. Observez les noms des fichiers importés. Après avoir observé les images, choisissez Édition > Tout sélectionner pour toutes les sélectionner, puis supprimezles en choisissant Fichier > Supprimer les copies de travail. Dans la zone de dialogue « Supprimer les images patrons et toutes les versions », cliquez sur Supprimer.Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation 37 m Attribution de la date et de l’heure de l’image comme nom de version : appuyez sur les touches Commande + I pour ouvrir la zone de dialogue d’importation. Cliquez sur les six premières images tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour les sélectionner à nouveau. Choisissez « Date/heure de l’image » dans le menu local « Nom de la version ». Cliquez sur le bouton Importer des images, en bas à droite de la zone de dialogue d’importation. Observez les noms des fichiers importés. Après avoir observé les images, choisissez Édition > Tout sélectionner pour toutes les sélectionner, puis supprimez-les en choisissant Fichier > Supprimer les copies de travail. Dans la zone de dialogue « Supprimer les images patrons et toutes les versions », cliquez sur Supprimer. Vous pouvez créer vos propres formats personnalisés de noms, appelés formats de noms de préréglages. Une fois que vous avez créé un format personnalisé, il apparaît dans le menu local « Nom de la version » de la zone de dialogue d’importation. Séance de prise de vues en mode connecté Vous pouvez dorénavant connecter certains types d’appareils photo à votre ordinateur et importer automatiquement vos images dans Aperture, où elles apparaissent immédiatement à l’écran. Idéal pour les prises de vues en studio, les séances en mode connecté vous permettent de regarder sans délai vos images en pleine résolution dans Aperture. Pour en savoir plus sur les séances en mode connecté et les types d’appareils photo pris en charge, consultez le chapitre sur l’importation dans le Manuel de l’utilisateur d’Aperture, accessible à travers le menu Aide d’Aperture.38 Chapitre 2 Notions élémentaires sur l’importation Concepts de base essentiels  Image gérée : image dont l’original est stocké dans la photothèque Aperture.  Image référencée : image dont l’original n’est pas stocké dans la photothèque Aperture mais à un autre emplacement sur disque. Aperture fait simplement référence au fichier à son emplacement actuel. Le disque dur ou le support contenant ce fichier doit être accessible pour permettre à Aperture d’apporter des ajustements à l’image correspondante.  Format de nom de préréglage : format de nom que vous avez créé et enregistré. Vous pouvez ensuite l’utiliser pour attribuer des noms aux copies de travail et aux originaux des images que vous importez. Vous pouvez également utiliser ces formats de noms de préréglages pour attribuer des noms aux fichiers exportés.  Métadonnées : données descriptives à propos d’une image et sur la façon dont elle a été récupérée et formatée. Aperture est capable d’enregistrer et d’effectuer le suivi de nombreux types de métadonnées couramment utilisés par les photographes, y compris les métadonnées EXIF (Exchangeable Image File) et IPTC (International Press Telecommunications Council). Recourez à l’inspecteur Métadonnées pour afficher et modifier des métadonnées. Nous allons à présent en apprendre plus sur l’utilisation du navigateur et sur ses fonctionnalités.3 41 3 À propos du navigateur Le navigateur vous propose des moyens efficaces pour consulter et sélectionner des images dans vos projets. Dans ce chapitre, nous allons découvrir certaines des fonctionnalités du navigateur. Images présentées sous forme de grille dans le navigateur.42 Chapitre 3 À propos du navigateur À essayer : le navigateur Lorsque vous sélectionnez un projet ou un album dans l’inspecteur Projets, les vignettes des images qu’il contient s’affichent dans le navigateur. Sélectionnez alors ces vignettes pour travailler sur les images correspondantes. Vous pouvez ensuite déplacer et réorganiser les images, les faire pivoter, créer de nouvelles copies de travail ou supprimer des images du projet. Curseur de redimensionnement Bouton Type de tri Menu local Tri Commande de déplacementChapitre 3 À propos du navigateur 43 Au préalable 1 Sélectionnez le projet Nature dans l’inspecteur Projets. 2 Le cas échéant, choisissez Présentation > Navigateur uniquement pour activer la présentation n’affichant que le navigateur. Reportez-vous à l’illustration du navigateur ci-dessus pour localiser les éléments que vous souhaitez utiliser. Accès direct Pour sélectionner les images à afficher : m Cliquez sur des images non adjacentes tout en maintenant la touche Commande enfoncée pour les sélectionner. Faites de même pour désélectionner toutes les images précédemment sélectionnées. m Choisissez Édition > Tout sélectionner pour sélectionner toutes les images présentes dans le navigateur. Choisissez Édition > Tout désélectionner pour toutes les désélectionner. Pour changer l’ordre des images : m Dans le navigateur, faites glisser une image à un autre emplacement. Faites-la glisser jusqu’à ce qu’une barre verte apparaisse à l’endroit où vous souhaitez placer cette image. Vous remarquez que le menu local Tri indique désormais que vous avez créé un ordre personnalisé. m Utilisez le menu local Tri pour trier les images par date, classement ou mot-clé. Cliquez sur le bouton Types de tri pour trier les images par ordre croissant ou décroissant. Pour modifier l’affichage du navigateur : m Faites glisser le curseur de redimensionnement des vignettes pour modifier la taille des vignettes.44 Chapitre 3 À propos du navigateur m Choisissez Aperture > Préférences, puis cliquez sur Apparence. Faites glisser le curseur « Luminosité de l’arrière-plan (Navigateur) » pour régler à votre guise la luminosité de l’arrière-plan. Vous pouvez modifier ce réglage à tout moment. Fermez la fenêtre Préférences. Pour faire pivoter des images : m Sélectionnez une image dans le navigateur, puis cliquez sur « Faire pivoter vers la gauche » ou « Faire pivoter vers la droite » pour lui appliquer une rotation par incréments de 90 degrés. Sélectionnez plusieurs images, puis cliquez sur les boutons de rotation. Pour rechercher des images : m Cliquez sur le bouton Réinitialiser (avec un X) du champ de recherche, puis entrez un texte (un mot-clé, par exemple) pour afficher uniquement les images associées à ce texte. Entrez successivement les mots « chouette », « geai » et « épervier » pour rechercher des images dans le projet Nature. Supprimez le texte entré dans le champ pour afficher de nouveau le reste des images. Boutons de rotation Bouton Réinitialiser du champ de rechercheChapitre 3 À propos du navigateur 45 À essayer : l’empilement des images Aperture est capable de regrouper automatiquement des photos connexes, au moment où vous les importez et lorsque vous les utilisez dans le navigateur. Si, par exemple, vous avez pris une série de vues en cadence rapide (par exemple, à l’occasion d’un événement sportif) ou si vous faites des prises de vue en rafale afin d’utiliser différents réglages de lumière ou d’exposition, vous souhaiterez probablement examiner ces différents clichés ensemble. Aperture peut les empiler automatiquement en se basant sur l’intervalle de temps qui sépare leur capture par l’appareil photo. Cette pile affiche une série de photos prises successivement. Cliquez sur ce bouton pour ouvrir ou fermer la pile.46 Chapitre 3 À propos du navigateur Vous pouvez également sélectionner manuellement des images dans le navigateur pour les empiler. L’image qui représente la pile, appelée la meilleure image, est affichée à gauche de la pile ouverte. Vous pouvez faire glisser des images dans une pile sans faire attention à leur ordre et changer la meilleure image à tout moment. Le bouton Pile (situé dans le coin supérieur gauche de la meilleure image de la pile) indique le nombre d’images que contient la pile. Au préalable m Sélectionnez le projet Mariage dans l’inspecteur Projets. Le bouton Pile indique le nombre d’images dans la pile. La pile est ici développée ou ouverte.Chapitre 3 À propos du navigateur 47 Accès direct m Empilement automatique d’images : choisissez Piles > Empiler automatiquement. Dans la palette Empiler automatiquement les images, faites glisser le curseur pour définir l’intervalle de temps maximal d’un ensemble de prises de vue à empiler. Inspectez les différentes piles constituées pour vérifier si l’intervalle de temps défini est le bon ou s’il doit être rallongé ou raccourci. m Création manuelle d’une pile : dans le navigateur, sélectionnez les images que vous souhaitez empiler. Choisissez Piles > Empiler. m Sélection de la meilleure image : faites glisser l’image voulue en position de meilleure image (la plus à gauche) dans la pile. Lorsqu’une barre verte apparaît, relâchez le bouton de la souris. m Réorganisation des images dans une pile : faites glisser les images dans la pile afin de modifier leur ordre. Ajoutez ou supprimez des images de la pile en les faisant glisser à l’intérieur ou à l’extérieur de la pile. m Suppression de l’empilement d’une sélection d’images : sélectionnez une pile, puis choisissez Piles > Défaire la pile.48 Chapitre 3 À propos du navigateur À essayer : l’affichage des images à utiliser Vous pouvez régler le navigateur pour qu’il n’affiche que les images sur lesquelles vous avez envie de travailler. Par exemple, vous avez la possibilité d’afficher uniquement les images prises à une certaine date, avec un classement spécifique ou associées à des métadonnées particulières, comme des mots-clés. Pour régler le navigateur afin qu’il n’affiche que certaines images, cliquez sur le bouton Palette de requête, puis indiquez votre critère de recherche. Vous pouvez lancer une recherche en fonction d’un texte saisi, du classement, des mots-clés, de la date, des données IPTC et EXIF, des sessions d’exportation, d’autres métadonnées ou de l’état du fichier, voire combiner ces critères à volonté.Chapitre 3 À propos du navigateur 49 Au préalable 1 Sélectionnez le projet Nature dans l’inspecteur Projets. 2 Cliquez sur le bouton Palette de requête dont l’icône représente une loupe, en regard du champ de recherche dans le navigateur. La palette Requête apparaît. Bouton Palette de requête Menu local Champ de recherche Ajouter un filtre Bouton Nouvel album intelligent Bouton Nouvel album avec les images actuelles Menu local Action de la palette de requête Menu local Satisfaire50 Chapitre 3 À propos du navigateur Accès direct m Affichage des images du projet avec un classement spécifique : dans la palette Requête, cochez la case Classement, choisissez « est » dans le menu local Classement, puis faites glisser le curseur Classement sur la position « quatre étoiles ». Toutes les images dotées d’un classement quatre étoiles s’affichent alors dans le navigateur. m Affichage des images du projet non classées ou meilleures : choisissez maintenant « est supérieur ou égal à » dans le menu local Classement, puis faites glisser le curseur Classement sur la position « Non classé ». Désormais, seules les images non classées ou meilleures s’affichent dans le navigateur. Les images rejetées sont masquées. Désactivez la case à cocher Classement pour désactiver par la même occasion votre critère de recherche sur le classement. m Affichage des images prises à une date spécifique : dans la palette Requête, cochez la case Calendrier. Affichez le mois de décembre 2006, puis cliquez sur des dates différentes pour afficher les images prises ces jours précis. Par exemple, cliquez sur le 8 décembre, puis maintenez enfoncée la touche Maj et cliquez sur une autre date pour définir une plage de dates. Vous pouvez également cliquer sur des dates non adjacentes tout en maintenant la touche Commande enfoncée pour les sélectionner. Désactivez la case à cocher Calendrier pour désactiver par la même occasion votre critère de recherche sur la date. m Affichage des images dotées d’un mot-clé spécifique : dans la palette Requête, cochez la case Mots-clés. Une liste des mots-clés utilisés dans le projet apparaît. Cochez la case de l’un de ces mots-clés pour afficher uniquement les images comportant ce mot-clé. Désactivez la case à cocher Mots-clés pour désactiver par la même occasion votre critère de recherche sur le mot-clé. Fermez la palette Requête en cliquant sur sa case de fermeture (X), en haut à gauche.Chapitre 3 À propos du navigateur 51 Pour des explications détaillées sur la palette de requête et les critères de recherche, consultez le Manuel de l’utilisateur d’Aperture accessible à travers le menu Aide d’Aperture. À propos des originaux et des copies de travail Lorsque vous importez une photo dans Aperture, le fichier de départ représente l’original. Vous ne pouvez jamais ni utiliser ni modifier directement un original. Aperture vous affiche toujours une copie de travail de l’original à manipuler. Toute modification ou ajustement effectué par vos soins est appliqué à cette copie de travail. Une copie de travail n’est pas pour autant un double de l’original. Il s’agit d’un fichier plus petit dont la majeure partie des données provient de l’original sous-jacent. Ainsi, quand vous créez plusieurs copies de travail d’une photo, vous ne risquez pas de saturer votre disque dur en dupliquant un original volumineux. Même si vous ne travaillez jamais directement sur un original, il est associé au projet dans lequel vous l’avez importé au début. Vous déplacez un original en faisant glisser une copie de travail d’un projet à l’autre. L’original et toutes les copies de travail de l’image sont alors transférés à l’emplacement du nouveau projet. Parallèlement, Aperture conserve des copies de travail de l’image dès qu’elles apparaissent dans d’autres albums. De cette façon, aucune copie de travail ne disparaît des albums que vous avez créés.52 Chapitre 3 À propos du navigateur Création de plusieurs copies de travail Il peut arriver que vous soyez dans l’obligation de créer plusieurs copies de travail d’une même image. Vous pouvez, par exemple, être amené à créer une autre copie de travail d’une image pour lui appliquer un nouveau réglage d’exposition ou pour l’utiliser à des fins différentes, comme sa publication sur une page web ou dans un livre destiné à l’impression. Lorsque vous créez une nouvelle copie de travail d’une image, vous avez le choix entre repartir de l’original ou vous baser sur la copie de travail actuellement sélectionnée, avec tous les changements que vous lui avez déjà apportés. Dans le cas où vous avez appliqué une série d’ajustements à une image et souhaitez maintenant repartir de l’original pour essayer des ajustements différents, vous pouvez demander une copie de l’image d’origine et recommencer à partir d’une image non retouchée. Pour créer une nouvelle copie de travail à partir de l’original : 1 Sélectionnez l’image dont vous souhaitez copier l’original. 2 Choisissez Images > Nouvelle copie de travail à partir de l’original. Vous pouvez également dupliquer une copie de travail sélectionnée, puis lui apporter d’autres modifications. Pour dupliquer une copie de travail d’une image sélectionnée : 1 Sélectionnez l’image que vous souhaitez dupliquer. 2 Choisissez Images > Dupliquer la copie de travail. Si vous créez plusieurs copies de travail d’une image, Aperture les place dans une pile. Vous pouvez ainsi ouvrir une pile et voir toutes les copies de travail réalisées à partir d’une photo spécifique. Vous pouvez également extraire une image d’une pile, la supprimer ou la placer ailleurs.Chapitre 3 À propos du navigateur 53 À propos de la suppression d’images Vous avez la possibilité de supprimer des copies de travail particulières d’une image à partir d’un album ou d’un projet. Vous pouvez également supprimer son original, entraînant de même celle de toutes les copies de travail associées de la photothèque Aperture. Pour supprimer une copie de travail d’un album (et non d’un projet) : m Sélectionnez une copie de travail dans un album, puis appuyez sur la touche Suppr. Cette copie de travail est supprimée de l’album, mais toutes les autres copies de travail de l’image et l’original sont conservés sans autre modification dans la photothèque Aperture. Pour supprimer une copie de travail d’un projet : m Sélectionnez une copie de travail dans un projet, puis maintenez enfoncée la touche Commande et appuyez sur Suppr. Si l’image sélectionnée est l’une des nombreuses copies de travail d’un original, elle est supprimée immédiatement, sans affecter toutes les autres. En revanche, si l’image sélectionnée est la seule copie de travail d’un original, une zone de dialogue vous invite à indiquer si vous souhaitez également supprimer l’original. Cliquez alors sur Supprimer pour supprimer l’original et son unique copie de travail du système Aperture.54 Chapitre 3 À propos du navigateur Qu’advient-il des images supprimées ? Lorsque vous supprimez une copie de travail, cette copie et toutes les informations à son sujet, à savoir les métadonnées et les ajustements, sont supprimées de la photothèque. Vous pouvez choisir Édition > Annuler pour restaurer une copie de travail supprimée. Si vous avez copié la photothèque sur une banque, les données de la copie de travail restent présentes dans la banque jusqu’à la mise à jour suivante de ladite banque. Lorsque vous supprimez un original géré situé dans la photothèque, il est placé dans la Corbeille. Vous pouvez alors ouvrir la Corbeille pour récupérer le fichier, si nécessaire. Vous le trouverez dans un dossier portant le nom du projet qui contenait cette image. Lorsque vous supprimez un original référencé situé en dehors de la photothèque, vous pouvez choisir de conserver inchangé le fichier d’origine de l’image à son emplacement sur disque. Bien que le fichier ait été supprimé du système Aperture, il ne l’est pas pour autant de votre disque dur, sauf si vous avez indiqué à Aperture de le faire.Chapitre 3 À propos du navigateur 55 Concepts de base essentiels  Pile : groupe d’images dont vous pouvez réduire ou développer l’affichage dans le navigateur. Aperture peut créer des piles automatiquement en fonction de la durée séparant la prise des images d’un groupe. Par ailleurs, vous pouvez créer des piles manuellement en sélectionnant des images, puis en les empilant.  Palette de requête : palette disponible dans Aperture, qui vous permet d’indiquer des critères de recherche pour déterminer quelles images afficher dans le navigateur. Vous pouvez ainsi visualiser une sélection d’images au sein d’un projet basée sur les métadonnées associées à ces images, comme les classements, les mots-clés, les données IPTC et EXIF, voire en combinant ces métadonnées. Nous allons ensuite découvrir comment utiliser le visualiseur pour travailler vos images dans le détail.56 Chapitre 3 À propos du navigateur4 57 4 À propos du visualiseur Le visualiseur vous permet d’examiner une image avec un niveau de détail incroyable ou d’en visionner plusieurs à la fois. Nous allons utiliser le visualiseur pour étudier les détails de certaines images, puis comparer des images et les classer au fur et à mesure de leur affichage. Vous allez également apprendre à utiliser des outils très simples pour faire pivoter, rogner et redresser des images. Le visualiseur affiche l’image sélectionnée. Vous pouvez régler le visualiseur pour qu’il affiche des métadonnées, telles que le nom de la copie de travail, le classement et les mots-clés.58 Chapitre 4 À propos du visualiseur À essayer : le visualiseur Vous avez la possibilité de configurer Aperture de façon à afficher les images dans le navigateur et le visualiseur ou dans le visualiseur uniquement. Lorsque vous sélectionnez des images dans le navigateur, le visualiseur vous présente immédiatement une vue détaillée de votre sélection. Vous pouvez choisir d’afficher une seule image à la fois, trois images ou une sélection de plusieurs images. Vous pouvez également recourir à une loupe grossissante pour examiner des agrandissements partiels des images. Bouton Loupe Barre d’outils Barrette d’outilsChapitre 4 À propos du visualiseur 59 Au préalable 1 Sélectionnez le projet Nature dans l’inspecteur Projets. 2 Choisissez Présentation > Navigateur & visualiseur. Reportez-vous à l’illustration du visualiseur ci-dessus pour localiser les éléments que vous souhaitez utiliser. Accès direct Pour changer le nombre d’images affichées par le visualiseur : m Choisissez Présentation > Visualiseur principal > Par trois pour afficher jusqu’à trois images à la fois. Sélectionnez des images différentes. m Choisissez Présentation > Visualiseur principal > Afficher une seule image pour afficher uniquement des images précises, même si vous avez sélectionné plusieurs images dans le navigateur. m Choisissez Présentation > Visualiseur principal > Afficher plusieurs images pour afficher toutes les images sélectionnées. Sélectionnez plusieurs images. Cliquez sur des images tout en maintenant les touches Maj et Commande enfoncées pour les afficher et les comparer dans le visualiseur. Pour comparer deux images placées côte à côte : m Pour comparer des images, sélectionnez tout d’abord une image, puis appuyez sur Retour. Appuyez sur les touches fléchées pour afficher différentes images à côté de l’image de comparaison. Appuyez sur Retour pour sélectionner une autre image de comparaison. Appuyez simultanément sur les touches Commande + Retour pour mettre fin à la comparaison d’images.60 Chapitre 4 À propos du visualiseur Pour observer des images avec la loupe : m Cliquez sur le bouton Loupe dans la barre d’outils, puis faites glisser la loupe à divers endroits. Choisissez « Mise au point sur le curseur » dans le menu local situé dans le coin inférieur droit de la loupe. Déplacez le pointeur vers les sections de l’image que vous souhaitez examiner. Pour changer le grossissement de la loupe, choisissez d’autres pourcentages de zoom dans le menu local Loupe. Si vous avez besoin d’afficher les valeurs de couleur, choisissez Valeurs de couleur dans le menu local Loupe. Pour modifier la taille de la loupe, faites glisser son coin inférieur droit. Enfin, pour masquer la loupe, choisissez Présentation > Masquer la loupe. Pour afficher les images en pleine résolution : m Sélectionnez une image, puis appuyez sur la touche Z pour l’afficher en pleine résolution. Pour parcourir une image plus grande que l’écran, faites glisser le rectangle rouge situé à l’intérieur du cadre gris qui se superpose à l’image dans le visualiseur. Maintenez enfoncée la barre d’espace et faites ensuite glisser l’image dans le visualiseur pour la repositionner. Appuyez à nouveau sur la touche Z pour désactiver l’affichage en pleine résolution.Chapitre 4 À propos du visualiseur 61 Pour afficher des images en mode d’aperçu rapide : m Choisissez Présentation > Aperçu rapide. Appuyez alors sur les touches fléchées pour afficher rapidement des images dans le visualiseur. En mode d’aperçu rapide, Aperture affiche des prévisualisations JPEG au lieu de charger toutes les données des originaux et des copies de travail. Utilisez ce mode lorsque vous souhaitez naviguer rapidement au sein d’un grand nombre d’images. Vous pouvez, par exemple, activer le mode d’aperçu rapide pour sélectionner et comparer rapidement des images. Lorsque ce mode est sélectionné, certaines des fonctions proposées par Aperture et nécessitant l’accès aux originaux, comme les ajustements, ne sont pas disponibles. Vous devez donc vous assurer de désactiver le mode d’aperçu rapide si vous souhaitez utiliser ces fonctions. Pour ce faire, choisissez une nouvelle fois Présentation > Aperçu rapide. Vous pouvez également appuyer sur la touche P pour activer ou désactiver ce mode. À essayer : les outils d’ajustement Vous êtes maintenant prêt à apporter quelques modifications simples à des images, comme les redresser et les rogner. Pour procéder à ces modifications, vous allez utiliser les outils suivants de la barrette d’outils. Outil Redresser Outil Sélection Outil de rognage62 Chapitre 4 À propos du visualiseur Accès direct m Redressement d’une image cadrée selon un angle incorrect : sélectionnez l’outil Redresser. Positionnez cet outil sur l’image dans le visualiseur, puis faites-le glisser légèrement jusqu’à ce qu’une grille jaune apparaisse. En vous servant des lignes de la grille comme de repères, faites glisser lentement l’image pour la pivoter. Relâchez le bouton de la souris dès que vous obtenez l’orientation voulue. Appuyez sur les touches Contrôle + A pour afficher l’inspecteur Ajustements. Vous remarquez que la case de l’ajustement Redresser est cochée pour signaler que l’image a été redressée. Cliquez sur le triangle d’affichage de l’ajustement Redresser pour afficher les options et les réglages correspondants. Tentez d’utiliser ces options de redressement pour changer le degré de rotation appliqué à l’image. (Vous devez avoir sélectionné l’outil Redresser pour être autorisé à modifier les réglages.) Désactivez la case Redresser pour supprimer cet ajustement. m Rognage d’une image à une taille spécifique : sélectionnez l’outil Rogner. La palette Rogner apparaît. Elle vous permet de sélectionner une taille et une orientation précises pour l’image rognée finale. Faites glisser un rectangle sur l’image pour indiquer la zone que vous souhaitez inclure à l’image rognée. Choisissez diverses tailles et orientations dans le menu local « Contraindre l’outil de rognage à », afin de vous rendre compte de l’effet de ces options sur le rectangle de rognage. Une fois que le rectangle de rognage a la taille et la position recherchées, appuyez sur Retour ou fermez la palette Rogner. L’image rognée apparaît dans le visualiseur à la taille et aux proportions sélectionnées. Si besoin est, vous pouvez resélectionner l’outil Rogner pour ajuster le rognage. Chapitre 4 À propos du visualiseur 63 Pour afficher l’inspecteur Ajustements, appuyez sur Contrôle + A ou plusieurs fois sur la touche W jusqu’à ce que la sous-fenêtre Ajustements apparaisse. Vous remarquez que la case de l’ajustement Rogner est cochée pour signaler que l’image a été rognée. Cliquez sur le triangle d’affichage de l’ajustement Rogner pour afficher les options et les réglages correspondants. Tentez d’utiliser ces options pour changer la taille et la position du rognage appliqué à l’image. Désactivez la case Rogner pour supprimer ce rognage. À essayer : l’affichage des métadonnées en plus des images Vous pouvez très facilement afficher des types d’informations spécifiques avec vos images. Par exemple, Aperture vous offre la possibilité d’afficher les métadonnées EXIF ou IPTC associées à vos données. Dans la fenêtre Préférences, la sous-fenêtre Métadonnées vous permet d’indiquer les informations affichées avec les images dans le visualiseur et le navigateur. Réglages de l’affichage des métadonnées dans le navigateur Réglages de l’affichage des métadonnées dans le visualiseur64 Chapitre 4 À propos du visualiseur Accès direct Pour régler l’affichage des métadonnées dans le visualiseur et le navigateur : 1 Choisissez Aperture > Préférences ou appuyez sur les touches Commande + virgule (,). 2 Cliquez sur le bouton Métadonnées. 3 Cochez la case Visualiseur pour définir les réglages d’affichage dans le visualiseur. 4 Cliquez sur le bouton Ensemble 1, puis choisissez Général dans le menu local Ensemble 1. 5 Choisissez En dessous dans les menus locaux Placement. 6 Cochez la case Navigateur pour définir les réglages d’affichage dans le navigateur. 7 Cliquez sur le bouton Ensemble 1, puis choisissez Général dans le menu local Ensemble 1. 8 Choisissez En dessous dans les menus locaux Placement. 9 Fermez la fenêtre Préférences. Consultez des images dans le visualiseur et le navigateur pour vérifier l’association de métadonnées désormais affichées. Chapitre 4 À propos du visualiseur 65 À propos de l’inspecteur Métadonnées L’inspecteur Métadonnées vous permet de visualiser et de modifier des métadonnées spécifiques associées à une image sélectionnée. Pour afficher cet inspecteur, appuyez sur I pour ouvrir la sous-fenêtre Inspecteur, puis cliquez sur l’onglet Métadonnées. Choisissez une présentation pour l’inspecteur dans le menu local Présentation des métadonnées. Modifiez et organisez vos pré- sentations de métadonnées via ce menu local. Inspecteur Métadonnées66 Chapitre 4 À propos du visualiseur Vous avez la possibilité de changer la combinaison de métadonnées affichée dans l’inspecteur Métadonnées en choisissant une autre présentation dans le menu local Présentation des métadonnées. Vous pouvez également changer les éléments de métadonnées qu’il est possible de modifier. Par ailleurs, vous pouvez personnaliser les présentations des métadonnées, voire ajouter ou supprimer des champs de métadonnées en fonction de vos besoins. Cliquez sur les boutons situés en bas de l’inspecteur pour personnaliser les métadonnées utilisées dans une présentation de métadonnées particulière. Vous avez également la possibilité d’ajouter les métadonnées actuelles aux champs de la présentation que vous souhaitez appliquer à vos images. Vous pouvez, par exemple, ajouter votre nom au champ Crédit et le faire apparaître automatiquement sur toutes les images que vous importez. Pour ce faire, cliquez sur le bouton IPTC en bas de l’inspecteur Métadonnées, puis entrez votre nom dans le champ de métadonnées Crédit. Une fois que vous avez personnalisé les champs de métadonnées avec les informations que vous utilisez régulièrement, enregistrez leur présentation et les informations que vous avez saisies sous forme de préréglage de métadonnées. Vous pouvez alors utiliser ce préréglage à tout moment pour appliquer des combinaisons de métadonnées à vos images. Si vous êtes souvent en contact avec une banque d’images qui exige une combinaison de métadonnées spécifique, vous pouvez créer un préréglage de métadonnées à cet effet. Ainsi, à chaque fois que vous importez des images destinées à cette banque ou que vous préparez l’envoi d’images à cette banque, vous pouvez appliquer les métadonnées requises à l’aide du préréglage que vous avez créé.Chapitre 4 À propos du visualiseur 67 À propos des cartes d’identification Lorsque vous appliquez des ajustements, des mots-clés ou d’autres modifications à une image, Aperture marque cette image à l’aide d’une icône, appelée une carte d’identification, qui signale les modifications subies. Ces cartes d’identification indiquent que des mots-clés et des ajustements ont été appliqués à cette image. Classement68 Chapitre 4 À propos du visualiseur Voici quelques exemples de cartes d’identification susceptibles d’apparaître sur vos images. La visibilité des cartes d’identification dépend de la présentation des métadonnées choisie. Pour contrôler la présence de cartes d’identification, choisissez une présentation de métadonnées incluant ces cartes via la sous-fenêtre Métadonnées de la fenêtre Préférences. Important : les cartes d’identification ne sont affichées qu’au sein de l’application Aperture. Elles n’apparaissent pas sur les images exportées ou imprimées à partir d’Aperture. Carte d’identification Définition Un ou plusieurs ajustements ont été appliqués à cette image. Un ou plusieurs mots-clés ont été appliqués à cette image. Ces images sont contenues dans une pile. Le nombre affiché indique le nombre d’images dans la pile. Cette image a été modifiée à l’aide d’un éditeur externe. Nombre de fois où une image a été placée dans la Table lumineuse, sur les pages d’un livre ou sur des pages web. ouChapitre 4 À propos du visualiseur 69 Concepts de base essentiels  Ajustement : toute modification apportée à l’aspect d’une image.  Inspecteur Ajustements : sous-fenêtre (accessible via la sous-fenêtre Inspecteur) qui répertorie les ajustements et les options d’ajustement disponibles pour une image sélectionnée. Pour afficher l’inspecteur Ajustements, choisissez Fenêtre > Afficher l’Inspecteur, puis cliquez sur l’onglet Ajustements.  Image de comparaison : image sélectionnée à comparer à d’autres images dans le visualiseur. Pour sélectionner une image de comparaison, sélectionnez tout d’abord une image, puis appuyez sur Retour. Appuyez simultanément sur les touches Commande + Retour pour mettre fin à la comparaison d’images.  Inspecteur Métadonnées : sous-fenêtre (accessible via la sous-fenêtre Inspecteur) qui répertorie les métadonnées et les options de métadonnées disponibles pour une image sélectionnée. Pour afficher l’inspecteur Métadonnées, choisissez Fenêtre > Afficher l’Inspecteur, puis cliquez sur l’onglet Métadonnées.  Présentation des métadonnées : Aperture organise l’affichage de combinaisons spécifiques de métadonnées, appelées présentations des métadonnées. Si vous choisissez une présentation de métadonnées particulière, vous indiquez quelle combinaison de métadonnées doit apparaître avec vos images. Par exemple, une présentation peut afficher les données des champs IPTC, alors qu’une autre affiche le nom de la copie de travail, le classement et la légende. Aperture vous propose des dizaines de présentations des métadonnées. Qui plus est, vous pouvez créer vos propres présentations.70 Chapitre 4 À propos du visualiseur  Préréglage de métadonnées : présentation personnalisée des métadonnées qui enregistre également des métadonnées spécifiques. Par exemple, un préréglage de métadonnées peut inclure une combinaison particulière de champs IPTC ainsi que les données IPTC en cours, si vous souhaitez les voir apparaître avec vos images. Vous pouvez alors utiliser ces préréglages pour appliquer des combinaisons de métadonnées à vos images.  Cartes d’identification : petites icônes apparaissant sur les images pour indiquer que ces dernières ont été modifiées ou qu’elles comportent un certain état. Par exemple, si une image a subi un ajustement, la carte d’identification correspondante est affichée. Les cartes d’identification apparaissent uniquement si vous avez choisi dans Aperture une présentation des métadonnées qui prévoit l’affichage de telles cartes. Vous allez ensuite découvrir comment utiliser vos images en présentation Plein écran.72 Chapitre 4 À propos du visualiseur5 73 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran Vous avez la possibilité d’afficher et de travailler sur vos images en présentation Plein écran. Grâce à la présentation Plein écran, vous disposez d’un espace de travail plus grand et obtenez une vue détaillée de vos images, ce qui facilite d’autant votre travail. Présentation Plein écran74 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran À essayer : la présentation Plein écran La présentation Plein écran affiche vos images sur un simple arrière-plan noir. Elle peut être activée sur un seul ou sur deux moniteurs. La présentation Plein écran dispose d’une barre d’outils et d’une pellicule qui vous aident à visualiser, organiser et ajuster vos images. Dans ce chapitre, vous allez afficher des images en présentation Plein écran, puis utiliser la pellicule, la barre d’outils et la sous-fenêtre Ajustements de la palette Inspecteur. Pellicule disponible en présentation Plein écran Barre d’outils disponible en présentation Plein écranChapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 75 Au préalable 1 Sélectionnez le projet Nature dans l’inspecteur Projets, le cas échéant. 2 Appuyez sur la touche F pour basculer en présentation Plein écran. La touche F vous permet d’activer ou de désactiver la présentation Plein écran. Reportez-vous à l’illustration de la pellicule ci-dessus pour localiser les éléments que vous souhaitez utiliser. Bouton Palette de requête Images présentées dans la pellicule Barre de défilement Champ de recherche Commande de déplacement Curseur de redimensionnement des vignettes76 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran Accès direct Pour utiliser la pellicule en vue d’afficher des images : m Cliquez sur une image dans la pellicule. (Si nécessaire, placez le pointeur en bas de l’écran pour afficher la pellicule.) m Appuyez sur la touche Flèche gauche ou Flèche droite. m Maintenez enfoncée la touche Maj tout en appuyant plusieurs fois sur une touche fléchée. Cliquez sur des images non adjacentes sur la pellicule tout en maintenant la touche Commande enfoncée pour les sélectionner. m Faites glisser la commande de déplacement pour parcourir les images sur la pellicule. m Appuyez sur la touche L ou J pour vous déplacer au sein des images. Appuyez sur la touche K pour interrompre le déplacement. Vous pouvez appuyer plusieurs fois sur les touches L et J pour accélérer la vitesse de déplacement. m Faites glisser le curseur de redimensionnement des vignettes pour modifier la taille des images affichées sur la pellicule.Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 77 Pour utiliser la pellicule : m Choisissez Désactiver le masquage dans le menu local « Action de la pellicule » afin que la pellicule soit toujours affichée. m Choisissez l’une des positions proposées pour la pellicule dans le menu local « Action de la pellicule ». Vous pouvez opter pour un affichage de la pellicule à gauche, à droite ou en bas de l’écran. Pour comparer et classer des images : m Cliquez sur une image, puis appuyez sur Retour. Appuyez sur les touches fléchées pour comparer une image originale à une autre image. Appuyez sur Retour pour sélectionner une autre image de comparaison. Appuyez simultanément sur les touches Commande + Retour pour mettre fin à la comparaison d’images. Menu local Action de la pellicule78 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran m Sélectionnez une image. Cliquez sur les divers boutons de classement pour classer cette image. Vous pouvez également appuyer sur les touches numériques et sur le signe plus (+) ou moins (–) pour modifier les classements. Pour faire pivoter des images : m Sélectionnez une image, puis cliquez sur les boutons de rotation. Pour rechercher des images : m Cliquez sur le bouton Palette de requête, puis recherchez des images sur des mots-clés. Saisissez le mot-clé « héron » dans le champ de recherche de la palette de requête. Supprimez ensuite ce mot-clé. Cochez la case Mots-clés, puis cochez les diverses cases des mots-clés sur lesquels vous souhaitez effectuer votre recherche. Désactivez la case Mots-clés, puis fermez la palette de requête. Boutons de classement Champ de recherche Bouton Palette de requête Boutons de rotationChapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 79 Pour utiliser la barre d’outils et les outils de sélection : m Si nécessaire, placez le pointeur en haut de l’écran jusqu’à ce que la barre d’outils apparaisse. Choisissez Par trois dans le menu local Mode d’affichage. Choisissez ensuite Multi dans le menu local Mode d’affichage, puis sélectionnez un groupe d’images sur la pellicule. m Sélectionnez une seule image, puis cliquez sur le bouton « Réduire/agrandir le visualiseur » pour agrandir l’image à une vue à cent pour cent, pixel pour pixel. Parcourez l’image en faisant glisser le rectangle rouge affiché dans le cadre gris ou maintenez enfoncée la barre d’espace tout en faisant glisser l’image. Cliquez à nouveau sur le bouton « Réduire/agrandir le visualiseur » pour réduire l’image à sa taille d’origine. m Cliquez sur le bouton Loupe de la barre d’outils pour accéder à la Loupe. Faites des essais avec la Loupe. Cliquez à nouveau sur le bouton Loupe pour masquer la Loupe. Menu local Mode d’affichage Bouton Loupe Bouton Réduire/agrandir le visualiseur Bouton Palette de l’inspecteur80 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran À essayer : le réglage de l’exposition via la sous-fenêtre Ajustements de la palette Inspecteur La présentation Plein écran est idéale pour apporter des modifications et effectuer des ajustements à l’aide des palettes proposées par Aperture. L’une des principales palettes utilisées dans Aperture s’appelle la palette de l’inspecteur. Dans cette rubrique, vous allez utiliser la sous-fenêtre Ajustements de la palette de l’inspecteur pour modifier l’exposition. Les palettes sont disponibles en présentation Plein écran et peuvent faciliter la retouche d’images.Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 81 Les commandes d’ajustement Exposition vous servent à régler l’exposition, récupérer des détails en tons clairs et ajuster les noirs des images ombrées. Elles vous permettent également de corriger l’exposition des images prises dans des conditions d’éclairage difficiles. Laissez libre cours à votre créativité et appliquez autant d’ajustements que vous le souhaitez aux exemples d’images. Vous pourrez toujours les désactiver ou les supprimer ultérieurement. Ce guide succinct n’a pas pour objectif de détailler avec précision l’utilisation des divers ajustements proposés par Aperture. Pour l’instant, faites simplement quelques essais avec les options d’ajustement, tout en sachant que vous pourrez en apprendre davantage par la suite. Au préalable 1 Cliquez sur le bouton Palette de l’inspecteur pour afficher cette palette. Bouton Palette de l’inspecteur82 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 2 Cliquez sur le bouton Ajustements dans la palette Inspecteur. 3 Faites glisser la palette à un emplacement qui vous convient sur l’écran et qui vous permet de sélectionner et modifier des options tout en visualisant leur effet sur une image. Cliquez sur ce triangle d’affichage pour visualiser les commandes de cet ajustement. Curseur Exposition Boutons « Niveaux automatiques - combinés » et « Niveaux automatiques - séparés » Bouton Exposition automatique Utilisez la sous-fenêtre Ajustements en présentation Plein écran pour éliminer les défauts et effectuer des retouches sur vos images.Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 83 Accès direct m Ajustement automatique d’images : sélectionnez une image nécessitant un ajustement de son exposition. Cliquez sur les boutons « Niveaux automatiques - combinés » et « Niveaux automatiques - séparés » pour vérifier comment Aperture ajuste automatiquement l’image. m Modification manuelle de l’exposition : cliquez sur le triangle d’affichage de l’ajustement Exposition pour afficher les commandes correspondantes, puis cochez la case Exposition. Faites glisser le curseur Exposition. Vous pouvez également cliquer en tout point le long du curseur pour déplacer la case à cet emplacement. Cliquez sur la flèche vers la gauche ou la droite de la case de valeur Exposition pour modifier l’exposition de l’image par intervalles d’un dixième de f-stop ou placez le pointeur dans la zone de valeur. m Modification de la luminosité : faites glisser le curseur Luminosité. m Récupération des détails perdus dans les tons clairs : sélectionnez une image dont les tons clairs sont surexposés. Cliquez sur le triangle d’affichage de l’ajustement Exposition pour afficher les commandes correspondantes, puis cochez la case Exposition. Faites glisser le curseur Récupération vers la droite pour modifier les zones de tons clairs de l’image, puis vers la gauche pour réduire l’effet des tons clairs. Utilisez le curseur et la case de valeur Récupération pour récupérer les détails perdus dans les tons clairs de l’image.84 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran m Récupération des détails perdus dans les ombres : sélectionnez une image avec des zones ombrées. Cliquez sur le triangle d’affichage de l’ajustement Exposition pour afficher les commandes correspondantes, puis cochez la case Exposition. Faites glisser le curseur Point noir pour modifier l’aspect des détails dans les zones ombrées. Remarque : vous pouvez également combiner l’utilisation des commandes d’ajustement « Tons clairs et tons foncés » avec les commandes Récupération et Point noir pour corriger l’exposition des images prises dans des conditions d’éclairage difficiles. m Activation ou désactivation de vos ajustements d’exposition : cochez la case Exposition ou désactivez-la. À essayer : l’amélioration d’une image L’ajustement Amélioration vous permet de modifier le contraste, la clarté, la saturation, l’éclat et la teinte d’une image. Faites des essais avec ces divers ajustements pour vous familiariser avec leur fonctionnement. Utilisez le curseur et la case de valeur Point noir pour régler les valeurs de luminosité des zones ombrées de l’image.Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 85 Au préalable m Sélectionnez une image. Dans la sous-fenêtre Ajustements de la palette Inspecteur, cliquez sur le triangle d’affichage de l’ajustement Amélioration pour visualiser les commandes correspondantes, puis cochez la case Amélioration. Accès direct m Modification du contraste : faites glisser le curseur Contraste. m Modification de la définition : faites glisser le curseur Définition. m Modification de la saturation : faites glisser le curseur Saturation. m Modification de l’éclat : faites glisser le curseur Éclat. m Activation ou désactivation de vos ajustements d’amélioration : cochez la case Amélioration ou désactivez-la. À essayer : l’ajustement de la balance des blancs L’ajustement Balance des blancs vous permet de modifier la température de couleur et la teinte d’une image. Si vous disposez d’une image dont certains pixels sont supposés être d’un blanc pur, vous pouvez utiliser la pipette Balance des blancs pour régler automatiquement la température de couleur et la teinte ou procéder manuellement. Bien qu’Aperture soit en mesure de régler la balance des blancs d’une image avec une grande précision, vous serez parfois amené à utiliser une combinaison de ces deux méthodes pour qu’une image apparaisse avec la tonalité chaude ou froide que vous recherchez.86 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran Au préalable m Sélectionnez une image permettant de procéder à un ajustement de la balance des blancs. Dans la sous-fenêtre Ajustements de la palette Inspecteur, cliquez sur le triangle d’affichage de l’ajustement Balance des blancs pour visualiser les commandes correspondantes, puis cochez la case Balance des blancs. Accès direct m Utilisation de la pipette Balance des blancs pour modifier la balance des couleurs : sélectionnez la pipette Balance des blancs. La Loupe apparaît et une vue agrandie de la zone cible est affichée à l’emplacement du pointeur. Positionnez la pipette sur les pixels de l’image qui représentent un gris neutre, puis cliquez. Sélectionnez la pipette Balance des blancs pour activer la Loupe.Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 87 m Modification manuelle des réglages de température de couleur : faites glisser le curseur Température vers la gauche pour obtenir une tonalité plus froide ou vers la droite pour une tonalité plus chaude. m Modification manuelle du réglage de la teinte : faites glisser le curseur Teinte vers la gauche pour ajouter du vert à l’image ou vers la droite pour lui ajouter du magenta. Utilisez le curseur et la case de valeur Température pour régler la température de couleur de l’image. Utilisez le curseur et la case de valeur Teinte pour régler la teinte de l’image.88 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran À propos des ajustements disponibles dans la palette Inspecteur et dans l’inspecteur Ajustements Vous venez de vous familiariser avec l’utilisation des ajustements disponibles dans la sous-fenêtre Ajustements de la palette Inspecteur. Il vous faut savoir que la sous-fenê- tre Ajustements propose exactement les mêmes options que l’inspecteur Ajustements dans la fenêtre principale. Ajustements disponibles Histogramme (réglé pour afficher les canaux rouge, vert et bleu) Menu local Action d’ajustement Menu local Ajouter des ajustementsChapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 89 Chaque ajustement proposé dans la palette Inspecteur ou l’inspecteur Ajustements comporte des propriétés individuelles, appelées paramètres, pour lesquelles vous pouvez indiquer une plage de valeurs. Certains ajustements sont toujours affichés dans la sous-fenêtre Ajustements de la palette Inspecteur et l’inspecteur Ajustements, alors que d’autres n’apparaissent qu’en fonction des opérations que vous réalisez. Par exemple, si vous modifiez une image à l’aide de l’outil Redresser, les commandes de l’ajustement Redresser sont ajoutées à l’inspecteur Ajustements ou à la sous-fenêtre Ajustements de la palette Inspecteur. Vous pouvez également intégrer des ajustements à l’inspecteur ou à la palette en sélectionnant des ajustements dans le menu local Ajouter des ajustements. Le menu local Ajouter des ajustements d’Aperture vous propose les ajustements suivants. Ajustement Fonction Retoucher Retouche les imperfections d’une image en lui appliquant des effets brossés. S’utilise avec l’outil Retoucher. Correction de l’effet yeux rouges Réduit le rouge des yeux des personnes présentes sur vos images. S’utilise avec l’outil Yeux rouges. Retoucher et corriger Retouche les imperfections d’une image, dues par exemple à la présence de poussières sur l’objectif. S’utilise avec l’outil Retoucher et corriger. Corriger le vignettage Permet de corriger l’effet de vignette appliquée à une image. Redresser Redresse l’horizon de l’image. S’utilise avec l’outil Redresser. Rogner Recadre l’image. S’utilise avec l’outil Rogner. Balance des blancs Définit la balance des blancs d’une image en réglant sa tempé- rature de couleur et sa teinte.90 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran Retournement Inverse la composition de l’image horizontalement et verticalement. Exposition Règle l’exposition, la récupération des tons clairs, le réglage du point noir des ombres et la luminosité des images. Améliorer Règle le contraste, la définition, la saturation et l’éclat d’une image, ainsi que les teintes noires, grises et blanches. Niveaux Ajuste de façon sélective la palette tonale d’une image. Tons clairs et tons foncés Règle de façon différenciée l’exposition des tons clairs et des tons foncés d’une image. Couleur Règle la teinte, la saturation et la luminance couleur par couleur, ainsi que la plage chromatique. Mélangeur monochrome Permet de commander de façon sélective les canaux de couleur source rouge, vert et bleu lors de la conversion d’une image couleur en niveaux de gris. Couleur monochrome Désature l’image et applique une teinte de votre choix dans les tons intermédiaires. Teinte sépia Transforme une image couleur en image sépia, ce qui vous permet de désaturer l’image couleur et d’appliquer le niveau de coloration sépia recherché. Réduction du bruit Réduit les parasites numériques affectant une image. Renforcement de la netteté Renforce la netteté de l’image. Renforcement de la netteté des contours Renforce le netteté des contours de l’image en fonction de la luminance, en appliquant plusieurs passes. Vignette Applique à l’image un effet de vignette. Ajustement FonctionChapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran 91 Concepts de base essentiels  Ajustement : toute modification apportée à l’aspect d’une image.  Palette Inspecteur : palette offrant accès aux diverses options relatives aux projets, aux métadonnées et aux ajustements. Elle comporte les mêmes options et commandes que les inspecteurs.  Case de valeur : commandes couramment utilisées pour modifier les réglages des paramètres, soit en cliquant sur les flèches pour augmenter ou diminuer une valeur, soit en faisant glisser le curseur, soit en entrant une valeur précise dans le champ numérique. Nous allons ensuite découvrir les méthodes utilisées par Aperture pour appliquer des mots-clés.92 Chapitre 5 Ajustement d’images en présentation Plein écran6 93 6 Affectation de mots-clés aux images Aperture vous permet d’affecter des mots-clés à vos images avec une grande efficacité. En effet, cette tâche généralement fastidieuse est considérablement simplifiée dans Aperture grâce à la palette Mots-clés. Vous pouvez y sélectionner des mots-clés en toute simplicité, puis les affecter à des images et à des groupes d’images. Dans ce chapitre, vous allez découvrir les options relatives aux mots-clés proposés par Aperture. Palette Mots-clés94 Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images À essayer : la palette Mots-clés Cette palette vous permet d’ajouter rapidement des mots-clés à des images. La palette Mots-clés contient une bibliothèque de mots-clés prédéfinis que vous pouvez affecter à vos images. Vous avez la possibilité de parcourir très simplement l’ensemble des mots-clés proposés et d’en rechercher, mais vous pouvez également ajouter vos propres mots-clés ou en supprimer. La palette Mots-clés se met à jour automatiquement à chaque fois que vous saisissez un mot-clé. Lorsque vous entrez, par exemple, un nouveau mot-clé dans l’inspecteur Métadonnées, il apparaît dans la palette Mots-clés. Si vous en modifiez par la suite l’orthographe ou la casse, il est mis à jour pour toutes les images auxquelles il a été affecté. Bouton Fermer Champ de recherche Liste de mots-clés Bouton Ajouter un mot-clé Bouton Verrouiller Bouton Supprimer le mot-clé Groupe de mots-clés Triangle d’affichageChapitre 6 Affectation de mots-clés aux images 95 Au préalable 1 Le cas échéant, appuyez sur la touche F pour quitter la présentation Plein écran. 2 Sélectionnez le projet Nature dans l’inspecteur Projets, si nécessaire. 3 Fermez la palette Inspecteur. 4 Cliquez sur l’onglet Métadonnées dans la sous-fenêtre Inspecteur. 5 Sélectionnez une image, puis cliquez sur le bouton Palette des mots-clés dans la barre d’outils. Accès direct Pour découvrir la palette Mots-clés : m Faites glisser la palette sur l’écran à un emplacement pratique. m Appuyez deux fois sur les touches Maj + H pour masquer et afficher la palette Mots-clés. m Défilez pour consulter tous les mots-clés proposés dans la palette. Cliquez sur les triangles d’affichage pour visualiser les mots-clés regroupés par catégorie.96 Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images Pour sélectionner et affecter des mots-clés : m Faites glisser un mot-clé depuis la palette Mots-clés vers une image dans le visualiseur. Vous remarquez que ce mot-clé est désormais affiché dans l’inspecteur Métadonnées et sur l’image dans le visualiseur. m Faites glisser un mot-clé depuis la palette Mots-clés vers une image dans le navigateur. Sélectionnez ensuite cette image pour que le mot-clé apparaisse dans l’inspecteur Métadonnées et sur l’image dans le visualiseur. m Cliquez dans la palette Mots-clés, puis appuyez sur les touches Flèche vers le haut et vers le bas pour sélectionner d’autres mots-clés. Mots-clés Mots-clés affectés à l’image Faites glisser un motclé depuis la palette Mots-clés vers une image dans le visualiseur ou le navigateur.Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images 97 m Si vous maintenez la touche Maj enfoncée tout en appuyant sur les touches Flèche vers le haut et vers le bas, vous pouvez sélectionner plusieurs mots-clés. Faites ensuite glisser ces mots-clés sur l’image sélectionnée. Vous pouvez également cliquer sur des mots-clés tout en maintenant la touche Maj enfoncée. m Cliquez tout en maintenant la touche Commande enfoncée sur des mots-clés non adjacents. Faites ensuite glisser ces mots-clés sur l’image sélectionnée. m Dans le navigateur, cliquez sur plusieurs images tout en maintenant la touche Maj ou Commande enfoncée. Faites alors glisser un mot-clé depuis la palette Mots-clés vers l’une des images sélectionnées dans le navigateur. Vous noterez qu’Aperture affect e ce mot-clé à toutes les images sélectionnées. m Dans la palette Mots-clés, cliquez sur plusieurs mots-clés tout en maintenant la touche Commande enfoncée, puis faites glisser votre sélection vers l’une des images sélectionnées dans le visualiseur ou le navigateur. Pour rechercher des mots-clés : m Saisissez les lettres « épervier » dans le champ de recherche de la palette Mots-clés. Au fur et à mesure de votre saisie, vous remarquez que la palette affiche les mots-clés contenant ces lettres. Supprimez « épervier », entrez « fau », puis faites glisser le mot-clé Faune sauvage sur les images sélectionnées. Supprimez « fau » pour afficher de nouveau de tous les mots-clés.98 Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images Pour supprimer tous les mots-clés d’une image : m Sélectionnez une seule image dans le navigateur. Appuyez sur Maj + Option + 9 pour supprimer tous les mots-clés affectés à cette image. Choisissez Édition > Annuler pour restaurer les mots-clés supprimés. Pour ajouter des mots-clés à l’aide de l’inspecteur Métadonnées : m Dans l’inspecteur Métadonnées, entrez une nouveau mot-clé dans la zone Mots-clés, puis appuyez sur Entrée (si des mots-clés sont déjà affectés, séparez votre nouvelle entrée des précédentes en commençant votre saisie par une virgule). Saisissez par exemple votre nom. Vous remarquez que ce mot-clé est automatiquement ajouté à la palette Mots-clés. Vous pouvez faire glisser des mots-clés dans différentes catégories de la palette Mots-clés. À essayer : les mots-clés dans la palette Mots-clés Vous avez la possibilité d’ajouter de nouveaux mots-clés à la bibliothèque proposée, puis de les organiser par groupe. Maintenant que vous maîtrisez la palette Mots-clés, vous pouvez essayer d’ajouter des mots-clés à la bibliothèque et d’en supprimer.Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images 99 Accès direct m Ajout d’un nouveau mot-clé à la bibliothèque : cliquez sur le bouton Ajouter un mot-clé. Saisissez un nouveau mot-clé, puis appuyez sur la touche Retour. Un nouveau mot-clé sans titre apparaît dans la liste des mots-clés. Cliquez sur ce bouton pour ajouter un nouveau mot-clé.100 Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images m Suppression d’un mot-clé de la bibliothèque : dans la palette Mots-clés, sélectionnez le mot-clé que vous souhaitez supprimer, puis appuyez sur Suppr (ou cliquez sur le bouton Supprimer le mot-clé). Confirmez ensuite la suppression de ce mot-clé. Fermez la palette Mots-clés. Important : supprimer un mot-clé de la bibliothèque le supprime aussi de toutes les images auxquelles il est affecté. Remarque : vous pouvez également affecter des mots-clés en cliquant sur les boutons correspondants dans la barre des commandes. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la barre des commandes, consultez le Manuel de l’utilisateur d’Aperture accessible à travers le menu Aide d’Aperture. Cliquez sur ce bouton pour supprimer un mot-clé.Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images 101 À propos de la palette Prélever et appliquer Si vous disposez de plusieurs images auxquelles sont affectés les mêmes mots-clés, vous pouvez utiliser les outils Prélever et Appliquer pour affecter rapidement tout ou partie de ces mots-clés à d’autres images. Ces outils constituent une méthode efficace pour transférer rapidement des mots-clés à un grand nombre d’images. Si vous le souhaitez, vous pouvez tenter d’utiliser ces outils pour prélever des mots-clés d’une image, puis les appliquer à une autre image ou à un groupe d’images. Accès direct Pour prélever des mots-clés d’une image, puis les appliquer à d’autres images : 1 Sélectionnez l’image dont vous souhaitez prélever des métadonnées. 2 Sélectionnez l’outil Prélever dans la barrette d’outils. La palette Prélever et appliquer apparaît. Outil Prélever102 Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images Les informations au sujet de l’image sélectionnée, notamment ses métadonnées, ses ajustements et ses mots-clés, apparaissent dans la palette Prélever et appliquer. 3 Pour appliquer uniquement les mots-clés de cette image, désactivez toutes les cases relatives aux informations sur l’image, à l’exception de la case Mots-clés. Toutes les informations relatives à l’image sélectionnée apparaissent ici. Veillez à ce que seule la case Mots-clés reste cochée.Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images 103 4 Sélectionnez les images auxquelles vous souhaitez appliquer les métadonnées. 5 Cliquez sur le bouton « Appliquer sur les images sélectionnées ». Les mots-clés de la première image sont alors appliqués aux images sélectionnées. Vous pouvez continuer à sélectionner des images et à utiliser la palette Prélever et appliquer pour affecter des mots-clés prélevés à d’autres images. 6 Fermez la palette Prélever et appliquer. Dans bien des cas, vous n’aurez pas envie de copier tous les mots-clés d’une image pour les coller ensuite sur d’autres images. C’est la raison pour laquelle vous avez la possibilité de prélever un sous-ensemble de mots-clés d’une image, puis d’appliquer uniquement ces mots-clés à d’autres images. Pour prélever un sous-ensemble de mots-clés d’une image, supprimez tous les mots-clés dont vous n’avez pas besoin en les sélectionnant dans la liste affichée par la palette Prélever et appliquer, puis appuyez sur la touche Suppr.104 Chapitre 6 Affectation de mots-clés aux images Concepts de base essentiels  Palette Mots-clés : cette palette vous sert à affecter rapidement des mots-clés. Elle vous propose une liste de mots-clés prédéfinis. Par ailleurs, vous pouvez personnaliser la bibliothèque des mots-clés en y ajoutant tous les mots-clés souhaités. Vous avez ensuite la possibilité d’affecter des mots-clés à des images seules ou à des groupes d’images.  Outils Prélever et Appliquer : ces outils vous permettent de sélectionner très facilement des mots-clés et des classements à partir de l’image sélectionnée, puis de les appliquer à d’autres images. Vous pouvez, par exemple, appliquer de manière répé- tée le même ensemble de mots-clés à des images différentes grâce à ces outils.  Palette Prélever et appliquer : cette palette vous sert à sélectionner des métadonnées, des ajustements et des mots-clés, puis à les transférer vers d’autres images grâce aux outils Prélever et Appliquer. Nous allons ensuite découvrir comment utiliser les fonctionnalités spéciales d’Aperture pour créer des diaporamas, des pages web et des livres.7 107 7 Présentation de vos images Grâce à Aperture, vous avez la possibilité de présenter vos images sous forme de diaporamas, de concevoir des pages web pour les afficher sur Internet, ainsi que de créer des livres que vous pouvez par la suite faire imprimer et relier par des professionnels. Nous allons à présent afficher un diaporama, puis utiliser des pages web et un livre Aperture. Comme Aperture offre de nombreuses options s’adressant aux professionnels, ce chapitre se borne à présenter succinctement les fonctionnalités proposées. Reportez-vous au Manuel de l’utilisateur d’Aperture accessible à travers le menu Aide d’Aperture pour des informations détaillées sur l’utilisation des diaporamas, des pages web et des livres. 108 Chapitre 7 Présentation de vos images À essayer : les diaporamas Lorsque vous créez un diaporama Aperture, vous pouvez choisir le nombre d’images affichées à l’écran, leur disposition, leur durée d’affichage, ainsi que bien d’autres options. Au préalable 1 Cliquez sur l’onglet Projets de la sous-fenêtre Inspecteur. 2 Cliquez sur le triangle d’affichage situé en regard du projet Nature dans l’inspecteur Projets. Sélectionnez l’album « Diaporama (cinq étoiles) ». Accès direct Pour afficher un diaporama : m Cliquez sur le bouton Diaporama dans la barre d’outils, puis sur Démarrer. m Appuyez sur la barre d’espace pour interrompre la lecture du diaporama. Appuyez à nouveau sur la barre d’espace pour reprendre la lecture. m Appuyez sur la Flèche droite ou la Flèche gauche pour respectivement avancer ou reculer dans le diaporama. m Appuyez sur la touche Échap pour arrêter le diaporama. Vous avez également la possibilité de sélectionner des images dans le navigateur, puis de cliquer sur le bouton Diaporama pour qu’Aperture affiche ces images sous forme de diaporama. Pour modifier l’ordre des diapos, intervertissez les images dans le navigateur, sélectionnez-les, puis cliquez sur le bouton Diaporama.Chapitre 7 Présentation de vos images 109 Regardez plusieurs fois votre diaporama en modifiant ses préréglages via le menu local Préréglage du diaporama.  Fondu : affiche chaque image pendant 3 secondes, avec un fondu enchaîné de 2 secondes de l’une à l’autre.  Fondu noir : affiche chaque image sur fond noir pendant 3 secondes, avec un fondu enchaîné de 2 secondes de l’une à l’autre.  Manuel : vous commandez le passage d’une diapo à l’autre à l’aide des touches Flèche droite et Flèche gauche.  Dissolution lente : affiche chaque image pendant 5,1 secondes, avec un fondu enchaîné de 5 secondes de l’une à l’autre.  Par quatre - Lent : affiche successivement quatre images, pendant 3 secondes chacune et avec un fondu enchaîné de 2 secondes. Ensuite, la première image est remplacée par la cinquième, et ainsi de suite.  Par quatre - Rapide : affiche successivement quatre images, en les laissant affichées 1 seconde chacune. Ensuite, la première image est remplacée par la cinquième, et ainsi de suite.110 Chapitre 7 Présentation de vos images À propos des préréglages des diaporamas La zone de dialogue Préréglages du diaporama vous permet de créer et de modifier les préréglages d’un diaporama. Testez certaines des options de diaporama disponibles. Vous n’avez pas besoin de connaître toutes ces options. Pour l’instant, il vous suffit de savoir qu’elles sont disponibles pour les utiliser en cas de besoin. Pour ouvrir la zone de dialogue Préréglages du diaporama : m Choisissez Aperture > Préréglages > Diaporama.Chapitre 7 Présentation de vos images 111 La zone de dialogue Préréglages du diaporama apparaît. Vous pouvez maintenant sélectionner un préréglage pour le modifier ou en créer un nouveau en cliquant sur le bouton Ajouter (+). Indiquez les options de diaporama que vous souhaitez activer dans la partie droite de la zone de dialogue. Si vous avez créé un nouveau préréglage, il apparaît dans le menu local Préréglage du diaporama de la zone de dialogue Lancer le diaporama lors du prochain démarrage d’un diaporama. Cliquez sur ce bouton pour ajouter un nouveau préréglage. Sélectionnez le préré- glage que vous souhaitez modifier. Choisissez la méthode définissant la durée du diaporama. Faites glisser le curseur pour déterminer la durée d’affichage de chaque image. Sélectionnez une piste de votre bibliothèque iTunes pour accompagner votre diaporama. Réglez la durée du fondu entre les images en faisant glisser ce curseur. Faites glisser ces curseurs pour définir le nombre de rangs et de colonnes des images. Cliquez sur l’un de ces boutons pour indiquer la qualité des images.112 Chapitre 7 Présentation de vos images À essayer : les pages web d’Aperture Les photographes du monde entier publient leurs travaux sur Internet, permettant ainsi à leurs clients d’accéder en ligne à des galeries de leurs meilleures photos. Grâce à Aperture, vous pouvez créer des pages et des journaux web. Ces deux formats sont fondés sur des thèmes ou des pages prédéfinies que vous pouvez aisément personnaliser, puis publier sur Internet. Important : vous pouvez également utiliser Aperture pour publier des photos en toute simplicité dans une galerie web à l’aide de votre compte MobileMe. Veillez à consulter l’aide en ligne de MobileMe pour en savoir plus sur la création des galeries web.Chapitre 7 Présentation de vos images 113 Les pages web sont conçues pour afficher des images sans nécessiter la moindre opération de mise en page manuelle. Aperture crée automatiquement le nombre de pages web nécessaire et y place les images que vous avez sélectionnées. Vous pouvez ensuite peaufiner vos pages pour que les images y figurent tel que vous le souhaitez. Vous avez également la possibilité de choisir les métadonnées que vous souhaitez voir apparaître à côté de chaque image, comme des légendes, des noms et des classements.114 Chapitre 7 Présentation de vos images Au sein d’un journal web, vous pouvez associer manuellement des images et du texte au sein de chaque page. Les journaux web représentent la solution idéale pour les projets dans lesquels vous souhaitez montrer vos photos accompagnées d’un texte. Lorsque vous décidez d’utiliser des journaux web, vous ajoutez manuellement des pages, des images et du texte à chacun de vos journaux. Vous pouvez choisir d’appliquer un thème à toutes vos pages, puis modifier la présentation des images et du texte sur les pages de vos journaux web.Chapitre 7 Présentation de vos images 115 Pour créer une page ou un journal web, vous devez tout d’abord créer un album de page web ou de journal web. Lorsque vous sélectionnez cet album dans l’inspecteur Projets, l’Éditeur de pages web apparaît au-dessus du navigateur. Cet éditeur vous permet de concevoir vos pages web, y compris de modifier leur thème, de positionner vos images et d’ajouter du texte. Album de page web dans l’inspecteur Projets116 Chapitre 7 Présentation de vos images Une fois que vous avez terminé la présentation de votre page web ou des pages de votre journal web dans l’Éditeur de pages web, vous avez la possibilité de les exporter sur votre compte MobileMe ou de les enregistrer sous forme de pages HTML que vous pouvez ensuite publier sur votre serveur de pages web. Dès que les images sont mises en ligne, donnez à vos clients l’adresse Internet des pages, afin qu’ils puissent les consulter à distance. Au préalable 1 Cliquez, si nécessaire, sur le triangle d’affichage du projet Nature pour afficher tous les albums qu’il contient. 2 Sélectionnez l’album de page web « Portofolio en ligne ».Chapitre 7 Présentation de vos images 117 Reportez-vous à l’illustration ci-dessous pour observer l’effet des diverses options disponibles dans l’Éditeur de pages web. Sous-fenêtre Pages de la galerie Sous-fenêtre Images en détail Boutons Page suivante et Page précédente Bouton Thème118 Chapitre 7 Présentation de vos images Accès direct Pour sélectionner une page web en vue de l’afficher : m Cliquez dans la sous-fenêtre Pages de la galerie pour afficher une page web spécifique. m Cliquez sur le bouton Page suivante ou Page précédente pour accéder à une autre page web. Pour choisir un thème de page web différent : m Cliquez sur le bouton Thème, puis sélectionnez un thème. Faites des essais avec différents thèmes. Pour supprimer une image d’une page : m Sélectionnez une image dans le navigateur, puis appuyez sur la touche Suppr. Pour ajouter des images à une page web : m Sélectionnez un projet dans l’inspecteur Projets. Faites glisser une image depuis le navigateur vers l’album de page web « Portofolio en ligne » dans l’inspecteur Projets. Sélectionnez à nouveau l’album de page web « Portofolio en ligne ». La nouvelle image apparaît sur la dernière page web. Pour réorganiser les images sur la page : m Intervertissez les images dans le navigateur en les faisant glisser.Chapitre 7 Présentation de vos images 119 Pour modifier les informations affichées avec les images : m Choisissez le type de métadonnées à afficher sur la page web avec chaque image dans le menu local Présentation des métadonnées. Pour modifier le nombre de rangs et de colonnes d’images sur la page : m Utilisez les cases de valeur Colonnes et Rangs pour indiquer le nombre de colonnes et de rangs que vous souhaitez afficher par page. Cliquez sur les flèches pour augmenter ou diminuer le nombre de colonnes et de rangs ou double-cliquez dans la zone affichant un nombre et entrez une nouvelle valeur. Menu local Métadonnées Cases de valeur Colonnes et Rangs120 Chapitre 7 Présentation de vos images Pour choisir les proportions de base des images : m Choisissez une option dans le menu local « Faire tenir les images dans » afin de déterminer l’aspect des images sur la page web. Pour modifier la largeur ou la hauteur des colonnes : m Utilisez les cases de valeur Largeur et Hauteur pour augmenter ou diminuer la largeur et la hauteur des colonnes. Vous pouvez également double-cliquer sur la zone affichant un nombre, puis entrer une nouvelle valeur. Vous venez de découvrir l’Éditeur de pages web et son utilisation pour créer des pages web. Vous pouvez également créer des journaux web qui vous permettent de positionner plus librement vos images et votre texte sur des pages web prédéfinies. Veillez à consulter le Manuel de l’utilisateur d’Aperture accessible à travers le menu Aide d’Aperture pour retrouver des explications détaillées sur les pages web Aperture, leur publication sur un compte MobileMe ou leur exportation sur votre propre site. Cases de valeur Largeur et Hauteur Menu local « Faire tenir les images dans »Chapitre 7 Présentation de vos images 121 À essayer : les livres d’Aperture Aperture vous propose des options dédiées à la création d’une multitude de modèles de livres à imprimer. Lorsque vous créez ou sélectionnez un album-livre dans l’inspecteur Projets, l’Éditeur de modèles de livres apparaît au-dessus du navigateur. Cet éditeur vous permet de configurer la structure des pages de votre livre et de positionner vos images et vos textes sur les pages. Éditeur de modèles de livres Pour ajouter une image à une page, faites glisser cette image depuis le navigateur vers une zone de photo sur la page. Pour ajouter du texte à une page, cliquez sur une zone de texte, puis saisissez Utilisez ce menu local pour ou collez votre texte. ajouter des pages à votre livre. Cliquez sur ce bouton pour choisir un thème pour votre livre. Utilisez ces commandes pour modifier l’affichage des pages, avec des zooms avant ou arrière.122 Chapitre 7 Présentation de vos images Au préalable 1 Sélectionnez le projet Mariage dans l’inspecteur Projets. 2 Cliquez sur une image dans le navigateur, puis choisissez Édition > Tout sélectionner. 3 Choisissez Fichier > Nouveau à partir de la sélection > Livre. 4 Dans la zone de dialogue Thème, sélectionnez le thème Occasion spéciale, puis cliquez sur Choisir le thème. L’Éditeur de modèles de livres apparaît. 5 Choisissez « Formater automatiquement les images non placées » dans le menu local Action de livre. Choisissez « Formater automatiquement les images non placées » dans ce menu local.Chapitre 7 Présentation de vos images 123 Aperture positionne automatiquement les images dans votre livre. Vous pouvez également faire glisser chaque image à son emplacement, si vous le souhaitez. À gauche, la sous-fenêtre Pages affiche des vignettes des pages de votre livre. Vous pouvez parcourir ces diverses vignettes, puis cliquer sur l’une d’entre elles pour sélectionner la page que vous souhaitez modifier. La page sélectionnée apparaît alors en grand sur la droite. Zone de photo Bouton Thème Page sélectionnée dans la sous-fenêtre Pages Utilisez ce menu local pour ajouter des pages à votre livre. Zone de texte Curseur Taille de l’affichage Affichage en grand de la page sélectionnée Sous-fenêtre Pages124 Chapitre 7 Présentation de vos images Accès direct Pour sélectionner les pages à afficher : m Cliquez sur une page dans la sous-fenêtre Pages pour l’afficher. Faites glisser le curseur Taille de l’affichage pour effectuer un zoom avant ou arrière sur la page. Pour positionner des images : m Faites glisser une image depuis le navigateur vers une zone de photo sur la page affichée. Faites glisser une autre image sur la même zone de photo. Double-cliquez sur l’image, puis modifiez son échelle à l’aide de la palette Taille de l’image. Lorsque cette palette est ouverte, vous pouvez également faire glisser l’image pour la repositionner au sein de la zone de photo. Cliquez sur l’image dans la zone de photo tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez un alignement d’image. Pour ajouter du texte : m Cliquez sur une zone de texte sur la page. Alors que l’outil Texte est sélectionné, saisissez votre propre texte. Choisissez ensuite un style dans le menu local Style de texte. Curseur Taille de l’affichage Menu local Style de texteChapitre 7 Présentation de vos images 125 Pour ajouter une page : m Sélectionnez une page dans la sous-fenêtre Pages à l’emplacement où vous souhaitez insérer une nouvelle page, puis choisissez « Ajouter une nouvelle page » dans le menu local Ajouter des pages. Choisissez une présentation de page dans le menu local « Définir la page patron ». Sélectionnez une présentation dans le menu local « Définir la page patron ». Menu local Ajouter des pages126 Chapitre 7 Présentation de vos images À propos des livres Lorsque vous créez un nouvel album-livre, vous pouvez choisir un thème pour votre livre qui va déterminer son aspect général. Aperture vous propose une multitude de thèmes prédéfinis conçus par des professionnels. Cliquez sur le bouton Thème pour sélectionner le thème de votre choix. Sélectionnez ici le thème que vous souhaitez.Chapitre 7 Présentation de vos images 127 Une fois que vous avez choisi un thème, l’Éditeur de modèles de livres vous fournit un ensemble de pages patrons, lesquelles définissent la façon dont vous pouvez mélanger le texte et les images sur la page. Comme vous vous en rendrez compte, les pages patrons offrent un moyen rapide et pratique de mettre en page un livre. Sélectionnez une présentation dans le menu local « Définir la page patron ». Le nouveau format de page est affiché ici. Vous pouvez faire glisser des images vers les zones de photo qui apparaissent en gris sur les pages. Page sélectionnée128 Chapitre 7 Présentation de vos images Vous avez la possibilité d’appliquer la présentation d’une page patron à n’importe quelle page sélectionnée. Les pages apparaissent avec des zones de photo en gris et des zones de texte, respectivement conçues pour contenir des images et du texte. Pour ajouter des images, il vous suffit de les faire glisser depuis le navigateur vers les zones de photo. En revanche, pour ajouter du texte, sélectionnez une zone de texte, puis saisissez ou collez votre texte. Si vous le souhaitez, vous pouvez également créer votre livre page par page. Il vous suffit alors d’ajouter une nouvelle page à votre livre, de choisir une présentation de page patron, d’insérer des images et du texte, puis de créer la page suivante et de répéter ces étapes pour chaque page ajoutée. Zone de texte contenant du texte Zone de photo contenant une imageChapitre 7 Présentation de vos images 129 Vous avez également la possibilité de sélectionner un groupe d’images dans le navigateur, puis de laisser à Aperture le soin de les positionner automatiquement sur les pages de votre livre. Aperture crée alors autant de pages que nécessaire, puis y insère vos images. Par la suite, vous pouvez modifier la présentation de certaines pages en leur appliquant différentes présentations de pages patrons. Au fil de votre travail sur un livre, vous serez amené à ajuster la présentation de certaines pages. Vous pouvez, par exemple, vous rendre compte qu’une image au sein d’un groupe nécessite d’être légèrement agrandie. Vous pouvez alors déplacer et redimensionner des zones contenant des images sur des pages spécifiques, ce qui vous permet d’appliquer des modifications mineures à la mise en page lorsque la présentation d’une page patron ne correspond pas exactement à vos besoins. Vous avez également la possibilité de concevoir vos propres pages patrons pour créer des livres personnalisés. Une fois que votre livre est terminé, vous pouvez faire appel au service d’impression proposé par Apple (service payant) pour obtenir des versions imprimées. Si vous préfé- rez imprimer vos livres vous-même, vous pouvez utiliser votre propre imprimante ou exporter vos livres au format PDF et les envoyer à un imprimeur. Veillez à consulter le Manuel de l’utilisateur d’Aperture accessible à travers le menu Aide d’Aperture pour retrouver des explications détaillées sur les livres Aperture, ainsi que l’achat de versions imprimées et reliées à partir de notre système de commande de produits d’impression Apple intégré.130 Chapitre 7 Présentation de vos images Concepts de base essentiels  Préréglage du diaporama : combinaison de réglages de diaporama prédéfinis que vous pouvez utiliser pour créer un diaporama. Le préréglage du diaporama définit le nombre d’images affichées à l’écran, la durée de leur affichage, les transitions entre les diapos et bien d’autres options, notamment la lecture de musique pendant l’affichage de votre diaporama. Aperture vous est fourni avec un jeu de préréglages de diaporama, mais vous pouvez également créer vos propres préréglages.  Album de page web : album vous permettant de créer une galerie de pages web qui affichent automatiquement les images de l’album. Vous pouvez modifier l’aspect de ces pages web en choisissant des thèmes différents, en modifiant la taille des images et en indiquant de nombreuses autres options.  Album de journal web : album vous permettant de créer des pages web qui affichent aussi bien des images que du texte. Vous pouvez positionner et réorganiser vos images et vos textes manuellement sur les pages de votre journal web en choisissant des thèmes différents et en indiquant de nombreuses autres options.  Album-livre : album vous permettant de créer un livre conçu de manière professionnelle et d’y ajouter votre propre texte et vos images. Nous allons à présent découvrir certaines des fonctionnalités d’impression d’Aperture.132 Chapitre 7 Présentation de vos images8 133 8 Impression d’images Ce chapitre vous décrit quelques-unes des options simples dont vous disposez pour imprimer des images et des planches contact. Si vous n’êtes pas encore prêt à vous lancer dans l’impression d’images, contentez-vous de lire ces instructions et de faire des essais plus tard ou vous pouvez tenter d’imprimer les exemples d’images disponibles dans le projet Nature. Plutôt qu’imprimer les images sur papier, vous pouvez aussi observer les résultats de vos choix pour l’impression dans l’application Aperçu.134 Chapitre 8 Impression d’images À essayer : les options d’impression La zone de dialogue Imprimer vous permet d’indiquer les options d’impression de votre choix. Vous pouvez imprimer une seule image par page ou des planches contact de vos images. Lorsque vous imprimez des planches contact, Aperture se charge automatiquement de la mise en page. Indiquez ici votre imprimante, le format du papier ainsi que d’autres options. Sélectionnez ici les options de mise en page. Définissez ici la largeur des bordures blanches encadrant vos images. Zone d’aperçu Cliquez ici pour prévisualiser les images imprimées, telles qu’elles apparaîtront sur la page. Cliquez ici pour enregistrer vos réglages sous la forme d’un nouveau préréglage d’impression. Sélectionnez ici un préré- glage pour une seule image ou planche contact.Chapitre 8 Impression d’images 135 Il vous suffit de sélectionner le nombre de pages à imprimer ou le nombre de colonnes par feuille pour qu’Aperture ajuste automatiquement la taille des images, en tenant compte de vos réglages « Options de mise en page ». Accès direct Pour imprimer une seule image : 1 Sélectionnez une image. 2 Choisissez Fichier > Imprimer l’image. 3 Dans la zone de dialogue Imprimer, sélectionnez « Exemple de préréglage d’image seule » dans la liste Nom du préréglage. 4 Cliquez sur le bouton Réglages de l’imprimante dans la zone Sélection de l’imprimante, puis sélectionnez l’imprimante de votre choix. Important : le gestionnaire d’impression adapté à votre imprimante doit être installé sur votre ordinateur afin de pouvoir utiliser cette imprimante. Pour en savoir plus sur l’installation et la mise à jour du gestionnaire d’impression nécessaire, consultez la documentation fournie avec votre imprimante. 5 Observez l’impact des diverses options d’impression :  Taille du papier : choisissez un format de papier dans la liste des formats disponibles.  Orientation : choisissez l’orientation paysage ou portrait, ou bien Au mieux.136 Chapitre 8 Impression d’images  Menu local Ajustement : si vous sélectionnez un préréglage Images uniques, utilisez ce menu local pour indiquer si vous souhaitez adapter l’image à la taille de papier sélectionnée, imprimer l’image à une taille spécifique ou l’imprimer à une taille personnalisée. « Faire tenir toute l’image » ajuste l’image de façon à obtenir la plus grande taille possible sans rognage tout en tenant compte de la taille du papier. « Remplir toute la page » ajuste l’image pour qu’elle prenne toute la page, en la rognant si nécessaire. « Personnaliser » permet de spécifier les dimensions souhaitées pour l’image.  Largeur : faites glisser ce curseur ou saisissez une valeur dans la case pour réduire la taille de l’image et l’encadrer par une bordure blanche. 6 Si vous disposez d’une imprimante prête à fonctionner, cliquez sur Imprimer. Dans le cas contraire, cliquez sur Aperçu afin de visualiser le résultat obtenu avec vos réglages d’impression. Pour imprimer une série d’images, chacune sur sa propre feuille de papier : 1 Dans le navigateur, sélectionnez les images que vous souhaitez imprimer. 2 Choisissez Fichier > Imprimer les images. 3 Dans la zone de dialogue Imprimer, sélectionnez « Exemple de préréglage d’image seule » dans la liste Nom du préréglage. 4 Choisissez des options d’impression. 5 Si vous disposez d’une imprimante prête à fonctionner, cliquez sur Imprimer. Dans le cas contraire, cliquez sur Aperçu afin de visualiser le résultat obtenu avec vos réglages d’impression. Chacune de vos images apparaît sur une page.Chapitre 8 Impression d’images 137 Pour imprimer une planche contact d’images : 1 Dans le navigateur, sélectionnez les images que vous souhaitez imprimer. 2 Choisissez Fichier > Imprimer les images. 3 Sélectionnez « Exemple de préréglage de planche contact » dans la liste Nom du préréglage. 4 Observez l’impact des diverses options d’impression :  Boutons « Nombre de pages » et « Nombre de colonnes et rangées » : lorsque vous sélectionnez un préréglage Planche contact, sélectionnez une de ces options pour spécifier le nombre de pages nécessaires à l’impression des images ou le nombre de rangées et de colonnes constituées d’images sur la page. Aperture règle automatiquement la taille des images en fonction de vos options de mise en page. La taille des images sur la planche contact dépend ensuite de la limitation ou non du nombre de pages la composant. Moins vous sélectionnez de pages, plus les images sont petites. De même, si vous choisissez des colonnes, plus vous sélectionnez de colonnes et plus petites seront les images.  Menu local Métadonnées : lorsque vous sélectionnez un préréglage Planche contact, choisissez une présentation de métadonnées pour spécifier les métadonnées que vous souhaitez imprimer avec vos images.  Menu local Taille de la police : lorsque vous sélectionnez un préréglage Planche contact, choisissez la taille de la police des métadonnées à imprimer. Vérifiez la mise en page de votre planche contact dans la zone d’aperçu.138 Chapitre 8 Impression d’images 5 Si votre imprimante est déjà configurée sur votre ordinateur, cliquez sur Imprimer. Dans le cas contraire, cliquez sur Aperçu afin de visualiser le résultat obtenu avec vos réglages d’impression. Concepts de base essentiels  Préréglage d’impression : combinaison de réglages d’impression que vous pouvez sélectionner dès que vous en avez besoin pour une impression. Aperture vous est livré avec des préréglages d’impression pour des images et des planches contact voulues. Vous pouvez également créer et enregistrer vos propres combinaisons de réglages d’impression pour les types d’impressions que vous réalisez.  Préréglage Images uniques : préréglage réunissant des options adaptées à l’impression d’images données.  Préréglage Planche contact : préréglage réunissant des options adaptées à l’impression de plusieurs images sous forme de planche contact. Nous allons ensuite étudier davantage l’utilisation des fonctionnalités de sauvegarde de vos images proposées dans Aperture. Si Aperture ne reconnaît pas votre imprimante Si votre imprimante n’apparaît pas dans le menu local Imprimante lorsque vous cliquez sur le bouton Réglages de l’imprimante, visitez le site web du constructeur de cette imprimante et téléchargez la dernière version de son gestionnaire d’impression.140 Chapitre 8 Impression d’images9 141 9 Sauvegarde de vos images Pour protéger vos photographies, il est important de mettre en place un système de sauvegarde fiable et d’effectuer des sauvegardes régulièrement. Dans ce chapitre, vous allez découvrir comment Aperture sauvegarde la photothèque. Aperture sauvegarde la photothèque dans une zone de stockage dédiée, appelée banque. Pour vous exercer, vous allez d’ailleurs créer une banque, puis sauvegarder la photothèque en cours, avant de mettre en place votre propre système de sauvegarde de vos images. À propos de la réalisation de sauvegardes Lorsque vous sauvegardez vos images à l’aide d’Aperture, c’est une copie complète de la photothèque qui est réalisée. Les sauvegardes ne sont pas cumulatives. En d’autres termes, la dernière sauvegarde correspond à la dernière copie complète de votre photothèque. Si vous supprimez des fichiers de la photothèque, ces fichiers sont également supprimés de la banque lors de sa prochaine mise à jour. Prenez l’habitude d’effectuer des sauvegardes régulières pour limiter le risque de perdre définitivement une partie de votre travail.142 Chapitre 9 Sauvegarde de vos images Aperture vous permet de créer autant de banques que vous le souhaitez. Vous pouvez, par exemple, créer une banque sur un disque externe pour les sauvegardes quotidiennes de l’ensemble de votre système et une seconde banque sur un autre disque dur externe conservé ailleurs. À mesure que vous ajoutez des photos à votre photothèque et créez de nouveaux projets, Aperture conserve automatiquement la trace des diffé- rents fichiers sauvegardés sur vos diverses banques. Tous les originaux gérés dans la photothèque et toutes les copies de travail ainsi que les métadonnées, les aperçus et les données d’ajustement associés à vos images sont sauvegardés dans la banque. Il en va de même pour les copies de travail, les aperçus et les métadonnées associés aux originaux référencés. En revanche, les originaux réfé- rencés ne sont pas sauvegardés dans la banque avec la photothèque. Bureau Emplacement à distance Photothèque Aperture (disque interne) Banque (disque externe) Banque (gardée hors-site et régulièrement mise à jour)Chapitre 9 Sauvegarde de vos images 143 Important : comme les originaux des images référencées sont stockés hors de la photothèque. Il vous incombe d’organiser leur sauvegarde et leur archivage. Si vous conservez une sauvegarde de votre système sur un disque dur hors site, vous devez rapatrier de temps en temps ce disque pour mettre à jour la sauvegarde qu’il contient. Aperture mémorise les disques durs déconnectés de leur banque. Lorsque vous reconnectez un disque dur, Aperture le détecte automatiquement, reconnaît à quelle banque il est affecté et reconnecte la banque en question. Un message vous demande alors si vous souhaitez que le disque dur soit mis à jour en fonction du contenu le plus récent de la photothèque. À essayer : la sous-fenêtre Banque Utilisez la sous-fenêtre Banque située en dessous de l’Inspecteur pour définir l’emplacement de vos banques et connaître leur état. Ouvrez ensuite la sous-fenêtre Banque, puis créez une banque pour la photothèque. Bouton d’affichage Boutons État de la banque Menu local Action de la banque144 Chapitre 9 Sauvegarde de vos images Au préalable m Cliquez sur le bouton d’affichage de la sous-fenêtre Banque pour l’ouvrir. Accès direct Pour créer une banque : m Dans le menu local Action de la banque, choisissez Ajouter une banque. Cliquez sur Continuer dans la zone de dialogue « Contenu de la nouvelle banque ». La zone de dialogue Ajouter une banque apparaît. Attribuez un nom à la banque dans la zone Nom de la banque, puis choisissez un emplacement sur le disque dur où vous souhaitez stocker cette nouvelle banque. Cliquez sur Ajouter. Aperture crée votre première banque. Cliquez sur le bouton État de la banque pour la mettre à jour. Important : le support de stockage que vous avez sélectionné pour votre banque doit disposer de suffisamment d’espace disponible pour contenir l’ensemble de la photothèque. Chapitre 9 Sauvegarde de vos images 145 Pour afficher votre banque dans la sous-fenêtre Banque : m Dans la sous-fenêtre Banque, cliquez sur le triangle d’affichage situé à côté du nom de la banque. La couleur du bouton État de la banque vous informe sur l’état de la banque concernée : noir, il indique que la photothèque est à jour ; jaune, il signale que tous les originaux de la photothèque ont été sauvegardés, mais qu’une modification a été apportée à l’une des copies de travail ou plus et qu’elle n’a pas encore été sauvegardée ; rouge, il spécifie qu’un ou plusieurs des originaux dans la photothèque n’ont pas été sauvegardés et que la banque doit être mise à jour pour éviter la perte de tout original. Cliquez sur le triangle d’affichage pour savoir quel disque dur est affecté à la banque. Si le bouton État de la banque est jaune, il indique que tous les originaux situés dans la photothèque ont été sauvegardés, mais que les modifications apportées aux copies de travail ne l’ont pas encore été. Si le bouton État de la banque est rouge, il vous signale que les originaux situés dans la photothè- que n’ont pas été sauvegardés.146 Chapitre 9 Sauvegarde de vos images L’espace disponible pour votre banque est affiché à côté de son nom. Espace utilisé par des fichiers non gérés par Aperture Espace non utilisé dans la banque Barre colorée indiquant l’espace utilisé par la banqueChapitre 9 Sauvegarde de vos images 147 Pour mettre à jour une banque après avoir modifié la photothèque : m Sélectionnez une image, puis choisissez Images > Dupliquer la copie de travail. Comme vous disposez désormais d’une nouvelle copie de travail dans la photothèque, vous pouvez mettre à jour la banque. Dans la sous-fenêtre Banque, cliquez sur le bouton État de la banque, à droite de votre nouvelle banque. Cliquez sur Mettre à jour dans la zone de dialogue qui apparaît. Cliquez sur le bouton État de la banque pour mettre à jour une banque spécifique. Cliquez sur le bouton Mettre à jour toutes les banques pour actualiser simultanément toutes les banques que vous avez créées.148 Chapitre 9 Sauvegarde de vos images Concepts de base essentiels  Banque : zone de stockage de sauvegarde située sur un disque dur ou tout autre support de stockage et contenant une copie complète de la photothèque.  Sous-fenêtre Banque : sous-fenêtre qui vous permet de créer, inspecter et mettre à jour vos banques de sauvegarde. Vous pouvez également l’utiliser pour restaurer des informations perdues en cas de dysfonctionnement de l’équipement ayant endommagé la photothèque. Nous allons à présent étudier comment retrouver rapidement des informations sur Aperture en cas de besoin.10 151 10 Réponses à vos questions Maintenant que vous disposez d’une vue d’ensemble sur Aperture, vous vous posez certainement des questions quant à l’utilisation plus précise d’Aperture dans votre travail au quotidien. Accédez à l’Aide d’Aperture pour trouver les réponses à toutes vos questions. À essayer : l’Aide d’Aperture L’Aide d’Aperture vous fournit des explications et des instructions complètes sur les fonctionnalités proposées dans Aperture. Accès direct Pour ouvrir le Manuel de l’utilisateur d’Aperture : m Lancez Aperture, puis choisissez Aide > Manuel de l’utilisateur d’Aperture. Pour en savoir plus sur l’organisation de vos images dans Aperture : m Cliquez sur « Utilisation des projets Aperture dans la liste des signets du Manuel de l’utilisateur d’Aperture. 152 Chapitre 10 Réponses à vos questions Pour apprendre à importer des fichiers et à leur attribuer des noms : m Cliquez sur « Importation d’images » dans la liste des signets du Manuel de l’utilisateur d’Aperture. Pour en savoir plus sur l’ajustement d’images : m Cliquez sur « Vue d’ensemble des ajustements d’image » dans la liste des signets du Manuel de l’utilisateur d’Aperture. Pour consulter les dernières discussions techniques au sujet d’Aperture : m Lancez Aperture puis choisissez Aide > Assistance Aperture. Pour en savoir plus sur les problèmes liés à des logiciels de tierces parties et d’autres problèmes connus : m Lancez Aperture, puis choisissez Aide > Informations de dernière minute. Pour visualiser les guides d’initiation vidéo disponibles en ligne sur Aperture : m Ouvrez Safari et consultez la page http://www.apple.com/fr/aperture/resources/tutorial. Étape suivante Vous disposez désormais d’une vue d’ensemble sur Aperture et sur certaines de ses fonctionnalités. Vous pouvez continuer vos essais avec les fichiers de projet fournis à titre d’exemple ou les supprimer, puis commencer à travailler sur vos propres images. Référez-vous alors à l’Aide Aperture pour obtenir des informations détaillées. Xserve Guide de configuration Inclut les spécifications matérielles ainsi que les informations sur l’installation et l’extension du système Xserve F034-4891.indd 1 1/29/09 11:51:48 AMKApple Inc. © 2009 Apple Inc. Tous droits réservés. En application de la législation et des conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Vos droits d’exploitation du logiciel sont régis par la licence jointe. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation de ce logo à des fins commerciales via le clavier (Option-1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tous les efforts ont été mis en œuvre pour assurer l’exactitude du contenu de ce manuel. Apple n’est pas responsable des erreurs d’impression ni de reproduction. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com/fr Apple, le logo Apple, FireWire, Mac, Mac OS, Macintosh, Guide des produits Macintosh, SuperDrive et Xserve sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Apple Remote Desktop et le logo FireWire sont des marques d’Apple Inc. Apple Store est une marque de service d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d’Intel Corp. aux États-Unis et dans d’autres pays. Ce produit inclut des logiciels développés par l’Université de Californie, Berkeley, FreeBSD, Inc., The NetBSD Foundation, Inc. et leurs contributeurs respectifs. Les autres noms de produits et de sociétés mentionnés ici peuvent être des marques de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. F034-4891-B/2009-02 F034-4891.indd 2 1/29/09 11:51:48 AM3 Table des matières 5 Preface: À propos de ce guide 6 Une fois l’installation du système Xserve terminée 6 Pour en savoir plus 7 Chapitre 1: Installation du système Xserve 8 Outils et pièces nécessaires 9 Choix d’un emplacement approprié 11 Installation du système Xserve 20 Que vous reste-t-il à faire 23 Chapitre 2: Installation ou remplacement de composants 24 Vue d’ensemble du système Xserve : composants internes 26 Installation ou remplacement d’un module de disque 30 Installation ou remplacement d’un bloc d’alimentation 33 Ouverture et fermeture du système Xserve 36 Ajout de mémoire 41 Installation d’une carte PCI Express 47 Remplacement de la pile 49 L’annexe A: Caractéristiques F034-4891.indd 3 1/29/09 11:51:48 AM4 Table des matières 55 L’annexe B: Sécurité et maintenance 55 Importantes consignes de sécurité 56 Manipulation de l’unité Xserve 57 Protection du lecteur optique 58 Bloc d’alimentation 58 Nettoyage du système Xserve 59 Apple et l’environnement 59 Informations sur la santé 60 Regulatory Compliance Information F034-4891.indd 4 1/29/09 11:51:48 AM5 À propos de ce guide Ce guide d’installation explique comment mettre en place l’ordinateur Xserve dans un rack et c omment installer ou remplacer des composants dans le système Xserve. Ce guide décrit le système Xserve à processeur Intel de troisième génération (début 2009) :  Pour en savoir plus sur le déballage de l’Xserve et sur sa mise en place dans un rack, reportez-vous au Chapitre 1.  Pour en savoir plus sur l’installation ou le remplacement de modules de disque, de mémoire, de cartes PCI, de blocs d’alimentation ou encore de la pile système, consultez le Chapitre 2.  Pour un résumé des spécifications du système Xserve, reportez-vous à l’Annexe A.  Pour connaître les informations sur la sécurité, la maintenance et la réglementation en vigueur, consultez l’Annexe B. Preface F034-4891.indd 5 1/29/09 11:51:48 AM6 À propos de ce guide Une fois l’installation du système Xserve terminée Pour en savoir plus sur le tout premier démarrage du système Xserve, la configuration du logiciel serveur et l’utilisation du système Xserve, consultez le Guide de l’utilisateur Xserve se trouvant sur le disque Admin Tools fourni avec l’Xserve. Pour en savoir plus sur le logiciel Mac OS X Server installé sur l’Xserve, consultez Premiers pas avec Mac OS X Server également présent sur le disque Admin Tools fourni avec l’Xserve. Si une carte Xserve RAID est installée dans votre Xserve, reportezvous au Guide de l’utilisateur de l’Utilitaire RAID (disponible à l’adresse www.apple.com/fr/xserve/resources.html) pour des informations sur l’installation d’ensembles et de volumes RAID. Les guides Guide de configuration Xserve, Guide de l’utilisateur Xserve, Premiers pas avec Mac OS X Server et d’autres guides sur les serveurs sont également disponibles à l’adresse www.apple.com/fr/server/resources. Pour en savoir plus Le site web de service et d’assistance Apple offre des informations détaillées sur les produits et des ressources techniques, notamment des articles, des forums de discussion et des mises à jour de logiciels téléchargeables. Visitez le site à l’adresse www.apple.com/fr/support/xserve. F034-4891.indd 6 1/29/09 11:51:48 AM7 1 Installation du système Xserve Ce chapitre présente la démarche à suivre pour installer de l’Xserve dans le rack. Les informations de ce chapitre sont destinées à vous aider à rassembler les outils dont vous avez besoin, à choisir un emplacement approprié pour l’Xserve et à installer ce dernier dans un rack. Lorsque le système Xserve est mis en place, reportez-vous au Guide de l’utilisateur Xserve pour y retrouver les instructions sur le tout premier démarrage de l’Xserve. F034-4891.indd 7 1/29/09 11:51:49 AM8 Chapitre 1 Installation du système Xserve Outils et pièces nécessaires  Tournevis cruciforme de taille moyenne (nº 1)  Les rails coulissants, les extensions des rails et l’outil d’alignement fournis avec l’Xserve Extensions courtes pour racks d’une longueur de 61 à 73 cm (2) Rails pour racks de toutes dimensions (2) Guide d’alignement Extensions longues pour racks d’une longueur de 73 à 91 cm (2) Clé F034-4891.indd 8 1/29/09 11:51:49 AMChapitre 1 Installation du système Xserve 9 Choix d’un emplacement approprié Le système Xserve est conçu pour être monté en rack. Passez en revue les paragraphes suivants pour vous assurer que l’emplacement que vous avez choisi satisfait les conditions d’espace, d’alimentation électrique et environnementales applicables à l’Xserve. Compatibilité pour l’installation en rack Vous pouvez mettre en place le système Xserve dans tout rack ouvert ou fermé (de type armoire) à quatre montants de 48 cm, d’une profondeur de 61 à 91 cm environ, à l’aide des rails inclus avec l’appareil. L’Xserve occupe environ 4,5 cm (soit 1U) d’espace rack vertical. Important : votre rack doit satisfaire la norme ANSI/EIA-310-D-92 émise par l’American National Standards Institute (ANSI) et l’Electronic Industries Association (EIA), IEC-297 (par l’International Electrotechnical Commission) et la norme DIN-41494 (issue de la Deutsche Industrie Norm). Stabilité du rack Assurez-vous que le rack est stable et assez solide pour supporter le matériel installé. Lors de la manipulation des éléments dans le rack, ne faites jamais glisser plus d’une unité à la fois. Assurez-vous que tous les composants sont bien fixés dans le rack. AVERTISSEMENT : Ne posez pas d’écran ni aucun autre appareil sur l’Xserve. Le poids supplémentaire peut endommager des composants internes de l’Xserve, exercer une pression sur le rack et le rendre instable. Les appareils non sécurisés dans le rack peuvent vous tomber dessus. F034-4891.indd 9 1/29/09 11:51:49 AM10 Chapitre 1 Installation du système Xserve Espace nécessaire L’air, servant au refroidissement de l’Xserve, circule de l’avant vers l’arrière. Ne laissez rien obstruer les ouvertures situées sur les panneaux avant et arrière de l’Xserve. Une fois installé, le système Xserve s’introduit par l’avant et coulisse dans le rack. Assurezvous de bien laisser presque 1 mètre de libre devant l’Xserve pour pouvoir le retirer au besoin. N’empêchez pas l’air de circuler à travers l’Xserve. Besoins en alimentation secteur Assurez-vous que le câblage et les connexions électriques disponibles peuvent prendre en charge les besoins électriques de l’Xserve et de tous ses composants installés dans le rack. Pour des informations sur les besoins électriques de l’Xserve, reportez-vous aux L’annexe A, «Caractéristiques,» à la page 49. Vérifiez que les branchements au secteur de l’Xserve et de tous les autres éléments sont reliés à la terre, en conformité avec les normes officielles. F034-4891.indd 10 1/29/09 11:51:49 AMChapitre 1 Installation du système Xserve 11 Environnement de fonctionnement Assurez-vous que la température dans le rack se trouve dans les limites fixées pour l’Xserve et les autres composants. Pour des informations sur la température de fonctionnement de l’Xserve, reportez-vous aux L’annexe A, «Caractéristiques,» à la page 49. Vérifiez que le rack mais aussi la pièce où le rack se trouve sont suffisamment ventilés pour maintenir la température ambiante dans les limites prévues. Installation du système Xserve Suivez les instructions ci-après pour installer l’Xserve dans un rack. Résumé de l’installation  Étape 1 : Retirez l’emballage.  Étape 2 : Assemblez une paire de rails coulissants de longueur appropriée à votre rack.  Étape 3 : Placez les rails dans le rack sans les fixer.  Étape 4 : Alignez-les puis fixez-les.  Étape 5 : Faites glisser l’Xserve dans le rack.  Étape 6 : Branchez les câbles.  Étape 7 : Branchez un clavier, un moniteur et une souris (facultatif). Installation de composants facultatifs avant de commencer Pour manipuler l’intérieur de l’Xserve, vous devez le retirer du rack. Si vous envisagez d’installer de la mémoire supplémentaire, des cartes PCI ou tout autre composant interne avant d’utiliser l’Xserve, vous pouvez le faire dès maintenant. Pour obtenir de l’aide sur l’installation de composants, reportez-vous au Chapitre 2. F034-4891.indd 11 1/29/09 11:51:50 AM12 Chapitre 1 Installation du système Xserve Étape 1 : Retirez les matériaux de protection de l’emballage 1 Retirez l’Xserve de son emballage et posez-le sur une surface plane. 2 Retirez le cache protecteur en dévissant les vis moletées sur chaque côté et en le soulevant. Cache protecteur 3 Retirez tout film plastique situé à l’avant ou sur le dessus de l’Xserve. Important : Ne retirez pas le film protecteur du lecteur optique à chargement frontal. Laissez-le en place jusqu’à ce que l’Xserve soit bien fixé dans son rack. Conservez ce film protecteur et replacez-le sur le logement du lecteur chaque fois que vous devez déplacer l’Xserve ou l’emballer pour l’expédier. F034-4891.indd 12 1/29/09 11:51:50 AMChapitre 1 Installation du système Xserve 13 Étape 2 : Assemblez les rails de montage Le système Xserve est livré avec des extensions longues et courtes à assembler aux rails frontaux standard. Elles vous permettent de monter des paires de rails d’une longueur adaptée à votre rack. Extension longue Extension courte Ces chevilles enclenchent les logements dans l’extension. Rail m Faites glisser une extension arrière dans chacun des deux rails frontaux qui lui correspondent. Cette extension se place à l’extérieur du rail. Enclenchez les chevilles dans les deux logements. Ce cran se place en bas. Haut F034-4891.indd 13 1/29/09 11:51:51 AM14 Chapitre 1 Installation du système Xserve Étape 3 : Installez les rails sans les fixer dans le rack 1 Placez un rail ainsi assemblé dans le rack (il doit rester en place temporairement pendant que vous rassemblez les agrafes de fixation). La procédure à suivre pour fixer le rail dépend du rack.  Si vous disposez d’un rack à trous de fixation carrés, placez d’abord les patins des rails à l’intérieur des montants et déroulez le rail entre les montants avant et arrière jusqu’à ce que le petit guide rond de chaque patin glisse sur le rail. Déployez les rails pour qu’ils rentrent dans les montants du rack. Placez la pièce de fixation à l’extérieur du montant et sur le guide taraudé situé sur le rail. Placez la pièce de fixation pour que la petite cale arrière enclenche le trou de fixation carré dans le support du rack. Utilisez les vis fournies avec le rail pour attacher la pièce de fixation au rail. F034-4891.indd 14 1/29/09 11:51:51 AMChapitre 1 Installation du système Xserve 15  Si vous disposez d’un rack à trous de fixation taraudés, placez d’abord les patins des rails à l’extérieur des montants et repliez le rail dans sa position prévue. Placez la pièce de fixation sur le guide taraudé situé sur l’assemblage des rails. Haut Rentrez les rails pour les placer à l’extérieur des montants du rack. Utilisez 8 vis 10-32 ou 8 vis M5 (fournies) en fonction de votre rack. 2 Placez une pièce de fixation, avec la flèche vers le haut, dans le petit guide rond situé aux extrémités de chaque rail et vissez les vis de montage à la main. Ne serrez pas les vis de montage avant d’avoir aligné les rails, comme indiqué dans l’étape suivante. F034-4891.indd 15 1/29/09 11:51:52 AM16 Chapitre 1 Installation du système Xserve Étape 4 : Alignez et sécurisez les rails Pour vous assurer que l’Xserve glisse sans problème dans son rack, servez-vous du guide d’alignement pour positionner les rails dans le rack avant de serrer les vis de montage. 1 Insérez le guide d’alignement à l’avant des rails. Insérez le guide d’alignement dans les rails et serrez toutes les vis. 2 Serrez les vis de montage placées à l’avant. Important : si vous disposez d’un rack à trous de fixation carrés, assurez-vous que la cale surhaussée permettant l’alignement, située à l’arrière de chaque pièce de fixation, reste entièrement introduite dans le trou de fixation du montant pendant que vous serrez les vis. 3 Serrez les vis de montage placées à l’arrière. F034-4891.indd 16 1/29/09 11:51:52 AMChapitre 1 Installation du système Xserve 17 4 Retirez le guide d’alignement. Étape 5 : Faites glisser l’Xserve dans le rack 1 Guidez les parties coulissantes situées sur l’Xserve dans les voies de chaque rail. Important : assurez-vous que les parties coulissantes gauche et droite de l’Xserve s’insèrent bien dans la voie des deux rails. Si vous rencontrez des difficultés, laissez l’Xserve de côté et vérifiez l’espacement entre les rails à l’aide du guide d’alignement. Vis moletées Protection du lecteur optique 2 Faites glisser jusqu’au fond l’Xserve dans son rack. 3 Resserrez les vis moletées à chaque extrémité du panneau frontal pour fixer l’Xserve au rack. 4 Retirez la protection en plastique du lecteur optique. F034-4891.indd 17 1/29/09 11:51:53 AM18 Chapitre 1 Installation du système Xserve Important : conservez ce film protecteur et replacez-le sur le logement du lecteur chaque fois que vous devez déplacer l’Xserve ou l’emballer pour l’expédier. Étape 6 : Connectez les câbles 1 Branchez un câble sur le bloc d’alimentation et fixez-le à l’aide du bout de fil de fer. le ventilateur situé dans le bloc d’alimentation réagit et certains voyants d’état du système s’allument dès que vous branchez le câble d’alimentation, avant d’allumer le système Xserve. 2 Branchez les câbles réseau. Si vous n’utilisez qu’un seul câble Ethernet, connectez-le au port 1. Port console série Port Mini DisplayPort Port Ethernet 2 Port Ethernet 1 Bouton/voyant d’identification du système Ports FireWire 800 (2) Ports USB 2.0 (2) Baie de bloc d’alimentation 2 Baie de bloc d’alimentation 1 Étiquette d’informations sur le système (onglet de retrait) F034-4891.indd 18 1/29/09 11:51:53 AMChapitre 1 Installation du système Xserve 19 Étape 7 : Connectez un clavier, un écran et une souris (facultatif) Vous pouvez connecter un écran, un clavier et une souris directement au système Xserve. Vous pouvez également gérer l’Xserve, sans y brancher d’écran ou de clavier, à l’aide d’outils tels qu’Admin Serveur, Contrôle de serveur, Apple Remote Desktop ou encore la ligne de commande. Ports USB 2.0 (2) Adaptateur VGA Port Mini DisplayPort 1 Branchez le clavier sur un des ports USB situés sur le panneau arrière. 2 Branchez la souris sur le deuxième port USB ou sur le clavier. 3 Branchez le câble vidéo sur le port Mini DisplayPort situé sur le panneau arrière. Si nécessaire, utilisez un adaptateur VGA ou DVI, vendu séparément. F034-4891.indd 19 1/29/09 11:51:53 AM20 Chapitre 1 Installation du système Xserve Que vous reste-t-il à faire Une fois la mise en place du système Xserve terminée, recherchez des informations sur son démarrage, sa configuration et son utilisation dans les guides suivants : Démarrage du système Xserve Le Guide de l’utilisateur Xserve (fichier PDF présent sur le disque Admin Tools) inclut :  une vue d’ensemble des commandes et des composants de l’Xserve ;  des informations sur le démarrage et l’arrêt de l’Xserve ;  des astuces sur le contrôle de l’état du système Xserve et des services qu’il offre ;  des instructions sur la mise à jour ou la réinstallation du logiciel serveur ;  les solutions à certains problèmes courants. Configuration du logiciel serveur La première fois que vous allumez l’Xserve, l’Assistant du serveur demande des informations élémentaires dont Mac OS X Server a besoin pour pouvoir démarrer et se connecter au réseau. Pour de l’aide sur la procédure d’installation, reportez-vous au guide Premiers pas avec Mac OS X Server présent sur le disque Admin Tools fourni avec l’Xserve. F034-4891.indd 20 1/29/09 11:51:54 AMChapitre 1 Installation du système Xserve 21 Installation de volumes RAID Si votre Xserve inclut une carte Xserve RAID, reportez-vous au Guide de l’utilisateur de l’Utilitaire RAID (disponible à l’adresse www.apple.com/fr/xserve/resources.html) ou dans l’aide à l’écran de l’Utilitaire RAID pour des informations sur la configuration des ensembles et des volumes RAID à l’aide de modules de disque Xserve. F034-4891.indd 21 1/29/09 11:51:54 AMF034-4891.indd 22 1/29/09 11:51:54 AM23 2 L’annexe Installation ou remplacement de composants Ce chapitre vous explique comment installer ou remplacer des modules de disque et d’autres composants internes du système Xserve. Vous pouvez installer ou remplacer les composants suivants lorsque l’Xserve se trouve dans son rack :  Modules de disque dur (page 26)  Bloc d’alimentation (page 30) Pour installer ou remplacer les composants suivants, vous devez retirer l’Xserve de son rack et l’ouvrir :  Mémoire (page 36)  Carte PCI Express (page 41)  Pile (page 47) Pour une vue d’ensemble de l’intérieur de l’Xserve, reportez-vous à la page suivante. F034-4891.indd 23 1/29/09 11:51:54 AM24 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Vue d’ensemble du système Xserve : composants internes Logements DIMM Ensemble de ventilateurs Logement d’extension 1 Baie de bloc d’alimentation 2 Baie de bloc d’alimentation 1 Logement d’extension 2 Pile Loquet de dégagement du rack SSD (en option) Baie de disque 1 Baie de disque 2 Baie de disque 3 F034-4891.indd 24 1/29/09 11:51:55 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 25 Baies de bloc d’alimentation Vous pouvez mettre en place un ou deux blocs d’alimentation dans l’Xserve. Si deux blocs d’alimentation sont installés, ils se partagent alors la charge. En cas de panne d’un des blocs, l’autre bloc assure alors la charge complète. Consultez la rubrique «Installation ou remplacement d’un bloc d’alimentation» à la page 30. Logements d’extension Vous pouvez installer une carte PCI-E d’une demi-longueur (6,6 pouces) dans le logement 1 et une carte PCI-E standard (9 pouces) dans le logement 2. Reportez-vous à la section «Installation d’une carte PCI Express» à la page 41. Logements pour modules DIMM Vous pouvez installer jusqu’à douze modules DIMM avec correcteur d’erreurs dans ces logements. Consultez la rubrique «Ajout de mémoire» à la page 36. Ventilateurs L’ensemble de ventilateurs fait circuler l’air servant au refroidissement de l’Xserve, de l’avant vers l’arrière. Baies de disques Vous pouvez installer des modules de disque Apple SATA (Serial ATA) ou SAS (Serial Attached SCSI) tiers compatibles. Consultez la rubrique «Installation ou remplacement d’un module de disque» à la page 26. Disque SSD Si vous avez commandé votre système avec un disque SSD, l’Xserve est livré avec le disque SSD configuré comme disque de démarrage. Loquet de dégagement du rack Ce loquet bloque la sortie de l’Xserve jusqu’à mi-chemin du rack. Appuyez dessus pour dégager le système. Pile La pile placée sur la carte logique principale alimente l’horloge système et conserve les réglages système de base (dans la mémoire NVRAM) lorsque l’alimentation est coupée. Consultez la rubrique «Remplacement de la pile» à la page 47. F034-4891.indd 25 1/29/09 11:51:56 AM26 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Installation ou remplacement d’un module de disque Si vous n’utilisez pas de carte Xserve RAID, les modules de disque du système Xserve sont connectables à chaud, c’est-à-dire que vous pouvez ajouter, retirer ou remplacer un lecteur sans arrêter l’Xserve. Un voyant d’état placé sur la poignée du lecteur indique le moment le plus sûr pour le retirer sans mettre en péril l’intégrité des données qui y sont stockées. Si vous utilisez une carte Xserve RAID, vous pouvez remplacer un disque dur en panne sans arrêter l’Xserve. Toutefois, si vous voulez remplacer un ensemble RAID entier, éteignez l’Xserve avant de retirer les disques. À propos des modules de disque destinés au système Xserve L’Xserve accepte les modules de disque Apple SATA (Serial ATA) et SAS (Serial Attached SCSI) tiers compatibles. Pour des informations sur les modules de disque compatibles, reportez-vous à la page www.apple.com/fr/store. Si vous utilisez une carte Xserve RAID, vérifiez que vous utilisez des modules de disque qui sont tous de même type et de mêmes dimensions. Pour installer ou remplacer un module : 1 Si le boîtier de l’Xserve est verrouillé, utilisez la clé pour ouvrir le verrou de sécurité du panneau avant. 2 Retirez le module de disque vide (ou celui qui est actuellement installé). F034-4891.indd 26 1/29/09 11:51:56 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 27 Si le module de disque dans la baie est vide, appuyez sur la poignée située à l’avant pour dégager le module. Retirez le module et placez-le en lieu sûr. Appuyez sur le module de disque vide pour dégager la poignée. F034-4891.indd 27 1/29/09 11:51:56 AM28 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Important : conservez le module de disque vide. Laissez toujours un module de disque vide dans les baies libres pour assurer une ventilation adéquate de l’Xserve. Retirez le module de disque vide de la baie. Si la baie contient un module de disque : a Assurez-vous que ce disque n’est ni utilisé par aucune application, ni partagé par l’Xserve b Appuyez sur la poignée située à l’avant du module de disque afin de la libérer. c Attendez que le voyant d’état supérieur vert du disque s’éteigne, puis retirez le module de disque de la baie par la poignée. Si le voyant s’éteint après 20 secondes, une application a probablement un fichier ouvert sur le disque. F034-4891.indd 28 1/29/09 11:51:57 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 29 3 Prenez le module de remplacement, appuyez sur la poignée pour l’ouvrir, puis glissez le module dans la baie jusqu’à ce qu’il se fixe complètement. 4 Appuyez sur la poignée pour « l’aligner » sur la partie avant. Le voyant d’état du disque devient vert pour indiquer un fonctionnement normal. F034-4891.indd 29 1/29/09 11:51:57 AM30 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Installation ou remplacement d’un bloc d’alimentation Vous pouvez installer ou remplacer un bloc d’alimentation à partir du panneau arrière sans avoir à retirer l’Xserve de son rack. Si l’Xserve est doté de deux blocs d’alimentation, ceux-ci sont échangeables à chaud ; en d’autres termes, l’Xserve continue à fonctionner en n’utilisant qu’un seul bloc pendant l’intervention sur l’autre bloc. Important : Installez des blocs d’alimentation d’au moins 750 W. Les blocs d’alimentation fournis avec certains Xserve précédents sont calibrés à moins de 750 W. Pour retirer un bloc d’alimentation : 1 Débranchez le câble d’alimentation du bloc à retirer. 2 Tirez sur la poignée pour libérer le bloc et le faire glisser hors de la baie. F034-4891.indd 30 1/29/09 11:51:57 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 31 AVERTISSEMENT : le bloc d’alimentation extrait d’un Xserve en cours de fonctionnement peut être très chaud. Tirez sur la poignée pour libérer le bloc d’alimentation et le retirer. Pour ajouter un autre bloc, utilisez le cran de la baie de bloc d’alimentation pour faire pivoter le panneau vers l’extérieur. Retirez le panneau et mettez-le de côté. F034-4891.indd 31 1/29/09 11:51:58 AM32 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Pour mettre en place un bloc d’alimentation : 1 Appuyez sur la poignée du nouveau bloc d’alimentation pour l’ouvrir, appuyez sur la paroi du ventilateur (pas la poignée) pour faire glisser le bloc entièrement dans la baie, puis appuyez à nouveau sur la poignée pour fermer, fixer et immobiliser le bloc. Pour ajouter un autre bloc, utilisez le cran de la baie de bloc d’alimentation pour faire pivoter le panneau vers l’extérieur. Retirez le panneau et mettez-le de côté. Appuyez sur la grille et non pas sur la poignée du ventilateur lors de la mise en place de l’alimentation. Grille du ventilateur Poignée 2 Branchez le câble d’alimentation au bloc. Si l’Xserve fonctionne sur l’autre bloc d’alimentation, le voyant d’état du nouveau bloc passe au vert pour indiquer un fonctionnement normal lors de la phase de mise en partage de la charge. Si l’Xserve n’est pas sous tension, ce voyant d’état devient vert et clignote lorsque le câble d’alimentation est branché sur une prise de courant. F034-4891.indd 32 1/29/09 11:51:58 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 33 Ouverture et fermeture du système Xserve Avant d’installer ou de remplacer de la mémoire, des cartes PCI ou la pile système, vous devez au préalable éteindre l’Xserve, le retirer de son rack et l’ouvrir. Manipulations en toute sécurité à l’intérieur de l’Xserve Touchez toujours le châssis du système Xserve pour décharger votre corps de toute électricité statique avant de manipuler quelque composant que ce soit à l’intérieur de l’Xserve. Pour éviter de générer de l’électricité statique, ne vous déplacez pas avant d’avoir fini d’installer la carte d’extension, la mémoire ou tout autre composant interne à mettre en place et d’avoir refermé le boîtier de l’Xserve. Pour réduire le risque de détérioration de composants par électricité statique, portez un bracelet antistatique lorsque vous manipulez l’intérieur de l’Xserve. Pour ouvrir l’Xserve : 1 Éteignez l’Xserve (reportez-vous au Guide de l’utilisateur Xserve pour obtenir de l’aide) et attendez quelques minutes pour permettre aux composants internes de l’Xserve de refroidir. AVERTISSEMENT : éteignez toujours le système Xserve avant de l’ouvrir afin de n’endommager ni les composants internes, ni les composants à installer. N’ouvrez pas l’Xserve et n’essayez pas d’y installer des composants tant qu’il est allumé. Même après extinction de l’Xserve, ses composants internes peuvent être très chaud. Laissez-le refroidir dans ce cas avant de l’ouvrir. 2 Si le boîtier de l’Xserve est verrouillé, utilisez la clé pour ouvrir le verrou de sécurité du panneau avant. 3 Débranchez tous les câbles de l’Xserve. F034-4891.indd 33 1/29/09 11:51:59 AM34 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants si vous rencontrez des problèmes pour libérer un câble du panneau arrière, essayez d’utiliser un petit tournevis ou un autre outil plat pour débloquer l’attache de la prise du câble. 4 Desserrez les vis moletées aux deux extrémités du panneau avant. 5 Saisissez les vis moletées pour tirer l’Xserve vers l’avant jusqu’à ce que les loquets de sécurité s’enclenchent (vers la moitié du rack). Loquets Vis moletées 6 Lorsque les loquets de sécurité sont enclenchés, attrapez l’Xserve par la partie située hors du rack, puis appuyez sur les attaches des loquets à l’aide de vos pouces pour extraire complètement l’Xserve des rails du rack. Posez l’Xserve sur une surface plane. F034-4891.indd 34 1/29/09 11:51:59 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 35 7 Dévissez les vis moletées à l’arrière du panneau supérieur et faites glisser ce dernier vers l’arrière et le haut pour le retirer. Si vous rencontrez des difficultés à retirer le panneau, vérifiez le verrou sur le panneau frontal. Important : pour réduire le risque de détérioration de composants de l’Xserve par électricité statique, portez un bracelet antistatique lorsque vous manipulez l’intérieur de l’Xserve. Dévissez les deux vis moletées imperdables. Faites glisser le panneau vers l’arrìère et soulevez-le. 8 Lorsque vous avez terminé vos manipulations dans l’Xserve, replacez et vissez le cache, refaites glisser l’Xserve dans son rack, puis fixez-le à l’aide des vis moletées situées à l’avant. Si le boîtier su serveur était verrouillé, utilisez la clé pour serrer le verrou de sécurité du panneau avant. F034-4891.indd 35 1/29/09 11:52:00 AM36 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Ajout de mémoire L’Xserve est doté de 12 logements de mémoire. Les systèmes sont fournis avec au moins 3 Go de mémoire sur trois modules DIMM d’1 Go chacun. Pour améliorer les performances et la capacité, vous pouvez installer jusqu’à douze modules DIMM. Vous pouvez utiliser les types de mémoire suivants dans l’Xserve :  Modules DIMM DDR3 à 1 066 MHz ECC (code correcteur d’erreurs)  Modules DIMM 1 Go, 2 Go ou 4 Go (pour des performances optimales, 6 ou 12 modules DIMM identiques pour un Xserve à deux processeurs et 3 ou 6 modules DIMM identiques pour un Xserve à un processeur) Important : Apple recommande d’utiliser des modules DIMM agréés Apple. D’autres modules DIMM peuvent réduire les performances de l’Xserve. Les modules DIMM de systèmes Xserve plus anciens ne sont pas compatibles avec cet Xserve. Vous pouvez acheter de la mémoire agréée Apple sur l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/fr/store. avant d’acheter des modules DIMM autres que ceux recommandés par Apple, vérifiez que le fabricant de la mémoire satisfait les normes du JEDEC (Joint Electron Device Engineering Council). Assurez-vous que les modules DIMM prennent en charge les modes de synchronisation requis et que la fonction SPD (Serial Presence Detect) a été correctement implémentée, conforme aux normes JEDEC. Pour vérifier la compatibilité DIMM, reportez-vous au Guide des produits Macintosh sur le site web d’Apple à l’adresse www.apple.com/fr/guide. F034-4891.indd 36 1/29/09 11:52:00 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 37 Les 12 logements de mémoire sont étiquettés de A1 à A6 et de B1 à B6, de façon croisée. Les systèmes à un seul processeur ne disposent pas de logements B. (Arrière) (Avant) CPU B B3 B6 B2 B5 B1 B4 A4 A1 A5 A2 A6 A3 CPU A F034-4891.indd 37 1/29/09 11:52:00 AM38 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Instructions d’installation Pour bénéficier des meilleures performances de l’Xserve, installez des modules DIMM identiques comme indiqué dans le tableau suivant. Nombre de modules DIMM Installez dans ces logements : 3 (un ou deux processeurs) A1 A2 A3 B A 4 (deux processeurs) A1 A2 B1 B2 6 (un processeur) A1 A2 A3 A4 A5 A6 6 (deux processeurs) A1 A2 A3 B1 B2 B3 8 (deux processeurs) A1 A2 A3 A4 B1 B2 B3 B4 10 (deux processeurs) A1 A2 A3 A4 A5 B1 B2 B3 B4 B5 12 (deux processeurs) A1 A2 A3 A4 A5 A6 B1 B2 B3 B4 B5 B6 F034-4891.indd 38 1/29/09 11:52:01 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 39 Pour obtenir des performances optimales Pour les meilleures performances possibles d’un Xserve à deux processeurs, installez six ou douze modules DIMM identiques dans les logements indiqués dans le tableau ci-dessous. Pour un Xserve à un processeur, installez trois ou six modules DIMM identiques. L’Utilitaire d’emplacement de mémoire vous indiquera s’il est possible d’améliorer votre configuration DIMM. L’utilitaire s’exécute automatiquement au premier démarrage de l’Xserve après un changement de configuration de la mémoire. Vous pouvez également l’exécuter à tout moment depuis le dossier /Système/ Bibliothèque/CoreServices/Utilitaire d’emplacement de mémoire. Pour installer de la mémoire : 1 Passez en revue les normes d’installation de mémoire pour vous assurer de posséder le bon type de modules DIMM. 2 Éteignez l’Xserve et débranchez tous ses câbles. Important : assurez-vous que le système Xserve est bien éteint et que les câbles d’alimentation sont débranchés avant d’installer ou de retirer de la mémoire. 3 Retirez l’Xserve de son rack et ouvrez-le. Pour connaître les instructions à ce sujet, consultez la section «Ouverture et fermeture du système Xserve» à la page 33. AVERTISSEMENT : attendez toujours entre 5 et 10 minutes pour que l’Xserve refroidisse avant d’installer de la mémoire. Il se peut que les modules DIMM déjà présents et d’autres composants à proximité des logements DIMM soient très chauds. 4 Ouvrez les boutons d’éjection d’un des logements en les poussant vers l’extérieur. Important : Ne touchez pas les connecteurs dorés des modules DIMM. F034-4891.indd 39 1/29/09 11:52:01 AM40 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants 5 Sans toucher ses connecteurs dorés, alignez un module DIMM dans son logement et appuyez vers le bas sur les deux extrémités du module en le gardant droit jusqu’à ce que les boutons d’éjection se relèvent et s’enclenchent. 6 Répétez l’opération pour les autres modules DIMM. Cran Connecteurs Boutons d’éjection F034-4891.indd 40 1/29/09 11:52:03 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 41 7 Lorsque vous redémarrez l’Xserve, consultez l’Utilitaire d’emplacement de mémoire pour évaluer votre nouvelle configuration de mémoire. Installation d’une carte PCI Express Le système Xserve est doté de deux logements PCI Express (PCI-E) :  Le logement 1 accepte des cartes PCI-E de 6,6 pouces.  Le logement 2 accepte des cartes PCI-E de 9 pouces. Pour installer une carte, vous devez l’insérez au préalable dans le renvoi d’angle inclus, puis insérer le renvoi d’angle dans le logement. Les deux logements acceptent le renvoi d’angle PCI-E illustré ci-dessous. Connecteurs sur renvoi d’angle PCI Express x16 À propos des cartes PCI Express pour le système Xserve Le système Xserve accepte les cartes conformes aux normes suivantes :  Cartes PCI-E X16  Longueur maximale 6,6 pouces (logement 1), 9 pouces (logement 2)  Consommation électrique maximale par carte de 25 W Pour mettre en place une carte PCI-E : 1 Éteignez l’Xserve et débranchez tous ses câbles. F034-4891.indd 41 1/29/09 11:52:03 AM42 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Important : Assurez-vous que l’Xserve est bien éteint et que les câbles d’alimentation sont débranchés avant d’installer ou de retirer une carte PCI-E ou un renvoi d’angle. 2 Retirez l’Xserve de son rack et ouvrez-le. Pour connaître les instructions à ce sujet, consultez la section «Ouverture et fermeture du système Xserve» à la page 33. AVERTISSEMENT : Attendez toujours de 5 à 10 minutes pour que l’Xserve refroidisse avant de manipuler les logements PCI-E. Il se peut en effet que les composants situés près des logements soient très chauds. Logement d’extension 1 (PCI Express x16) Logement d’extension 2 (PCI Express x16) F034-4891.indd 42 1/29/09 11:52:04 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 43 3 Dévissez les deux vis imperdables fixant le support du renvoi d’angle sur le panneau arrière, puis retirez délicatement à la verticale le renvoi d’angle et son support du logement. Vis imperdables 4 Enlevez les vis du support du renvoi d’angle, puis retirez le cache d’accès au port. F034-4891.indd 43 1/29/09 11:52:06 AM44 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants 5 Emboîtez complètement la carte dans le logement du renvoi d’angle et replacez la vis pour fixer la carte dans le renvoi. Vis Carte PCI Renvoi d’angle PCI F034-4891.indd 44 1/29/09 11:52:07 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 45 6 Alignez le renvoi d’angle sur le logement de la carte logique principale et appuyez dessus pour l’emboîter. F034-4891.indd 45 1/29/09 11:52:08 AM46 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants 7 Serrez les vis imperdables qui maintiennent le support du renvoi d’angle sur le panneau arrière. 8 Replacez l’Xserve dans son rack et démarrez-le. 9 Configurez la carte. Pour configurer une carte Ethernet, ouvrez la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système. Pour configurer une carte Fibre Channel, ouvrez la sous-fenêtre Fibre Channel des Préférences Système. F034-4891.indd 46 1/29/09 11:52:08 AMChapitre 2 Installation ou remplacement de composants 47 Remplacement de la pile L’Xserve utilise une pile bouton au lithium BR 2032 pour conserver des réglages tels que la date et l’heure lorsque le système n’est pas branché sur une source d’alimentation. Si la date et l’heure ont changé de façon inattendue ou que d’autres réglages système ont été perdus, il est possible que la pile ait besoin d’être remplacée. Pour bénéficier des meilleurs résultats possibles, achetez une pile de rechange auprès d’un fournisseur de services agréé Apple. Vis imperdables (5) Ventilation Le signe plus (+) doit se trouver vers le haut. F034-4891.indd 47 1/29/09 11:52:10 AM48 Chapitre 2 Installation ou remplacement de composants Pour remplacer la pile : 1 Éteignez l’Xserve et débranchez tous ses câbles. Important : assurez-vous que l’Xserve est bien éteint et que les câbles d’alimentation sont débranchés avant de remplacer la pile. 2 Retirez l’Xserve de son rack et ouvrez-le. Pour connaître les instructions à ce sujet, consultez la section «Ouverture et fermeture du système Xserve» à la page 33. AVERTISSEMENT : Attendez toujours de 5 à 10 minutes pour que l’Xserve refroidisse avant de remplacer la pile. Il se peut en effet que les composants situés près de la pile soient très chauds. 3 Desserrez les vis imperdables du boîtier du ventilateur et retirez-le. 4 Retirez l’ancienne pile du support. AVERTISSEMENT : Pour éviter tout risque d’explosion, remplacez toujours la pile par une de type BR 2032. 5 Insérez la nouvelle pile dans le support, le signe plus (+) dirigé vers le haut. 6 Remettez en place le boîtier du ventilateur et serrez les vis avec précaution. 7 Refermez le système Xserve et replacez-le dans son rack. Important : Jetez la pile usagée selon les instructions de son fabricant et en accord avec les lois de votre pays en matière de respect de l’environnement. Reportez-vous aux informations sur la mise au rebut des piles et batteries dans la section « Regulatory Compliance Information » située à la fin de ce guide. F034-4891.indd 48 1/29/09 11:52:10 AM49 A L’annexe Dimensions  Hauteur : 4,4 cm (1U)  Largeur : 44,7 cm pour un montage en rack de 48,3 cm  Profondeur : 76,2 cm Poids  14,5 kg avec 3 modules DIMM, 1 module de disque et 1 bloc d’alimentation  17,5 kg avec 12 modules DIMM, 3 modules de disque et 2 blocs d’alimentation Environnement de fonctionnement  Température de fonctionnement : entre 10 et 35 °C  Température de stockage : entre –40 et 47 °C  Humidité relative : entre 5 et 95 % (sans condensation)  Altitude : entre 0 et 3 048 mètres Processeurs  Un ou deux processeurs Intel Xeon 5500 à quatre cœurs cadencés à 2,26, 2,66 ou 2,93 GHz  8 Mo de mémoire cache L3 partagée par processeur  Deux bus point à point Intel QuickPath Interconnect permettant des liaisons jusqu’à 6,4 Giga-transferts par seconde F034-4891.indd 49 1/29/09 11:52:10 AM50 L’annexe A Caractéristiques  Contrôleur mémoire intégré avec trois canaux de mémoire DDR3-1066 indépendants par processeur Mémoire RAM  Modules DIMM DDR3 ECC à 1066 MHz (modules de mémoire double incorporés prévoyant la protection des adresses et des données à l’aide d’un code correcteur d’erreurs)  12 logements DIMM acceptant des modules DIMM de 1, 2 ou 4 Go Lecteur optique  Lecteur SuperDrive double couche 24X (CD) / 8X (DVD) à chargement par fente  Types de disques pris en charge : CD–R, CD–RW, DVD–R, DVD–R DL, DVD–RW, DVD+R, DVD+R DL, DVD+RW  Dimensions de disque prises en charge : 12 cm Logement d’extension 1 PCI-E  Accepte une carte PCI-E (Express) x16 dans un renvoi d’angle approprié  Longueur de carte maximale : 16,7 cm  Consommation maximale : 25 W Logement d’extension 2 PCI-E  Accepte une carte PCI-E x16 dans un renvoi d’angle approprié  Longueur de carte maximale : 22,8 cm  Consommation maximale : 25 W Pile système  Pile bouton au lithium BR 2032 à durée de vie étendue F034-4891.indd 50 1/29/09 11:52:10 AML’annexe A Caractéristiques 51 Ethernet  Compatible IEEE 802.3  Longueur de câble maximale : 100 mètres (m)  Connecteurs : RJ-45 pour câbles 10Base-TX, 100Base-TX et 1000Base-TX  Support, 10Base-TX : câble UTP de catégorie 3 ou supérieure avec deux paires, jusqu’à 100 m  Support, 100Base-TX : câble UTP de catégorie 5 avec deux paires, jusqu’à 100 m  Support, 1000Base-TX : câble UTP de catégorie 5 et 6 avec 4 paires, jusqu’à 100 m  Vitesses des canaux : négociation automatique IEEE de 10Base-TX, 100Base-TX et 1000Base-TX FireWire  Vitesse de transfert de données : 100, 200, jusqu’à 400 et 800 mégabits par seconde  Deux ports FireWire 800 (panneau arrière) Muni du câble approprié, les ports FireWire 800 fonctionnent avec tous les périphériques FireWire. Ces câbles existent en versions 9 broches vers 4, 6 ou 9 broches.  Tension de sortie : environ 12 à 30 V  Puissance de sortie : jusqu’à 15 W F034-4891.indd 51 1/29/09 11:52:11 AM52 L’annexe A Caractéristiques USB  Compatible USB 2.0  Trois ports USB externes de type A  Canal USB dédié, d’un débit de 480 Mbps, pour chaque port  500 mA à 5 V disponibles par port, soit 2,5 A au total  Un port peut fournir 1,5 W (les deux autres ports fournissent alors 500 mW) Bloc d’alimentation  Un ou deux blocs d’alimentation de 750 W  Entrée de ligne CA : 100–240 V de courant alternatif (CA), monophasé, 50–60 hertz (Hz)  Courant de ligne CA maximum : 9,5 A (100–127 V) ou 5 A (200–240 V). Si deux blocs d’alimentation sont installés, ils se partagent alors la charge. Port série  Connecteur D à 9 broches 1 2 3 4 6 7 8 9 5 F034-4891.indd 52 1/29/09 11:52:11 AML’annexe A Caractéristiques 53  Signaux des broches 1 : RLSD (signal de détection de réception) 2 : RD (données reçues) 3 : TD (données transmises) 4 : DTE (DRT CD) 5 : SGND (terre de signalisation) 6 : DCE (DCR CC) 7 : RTS (demande d’envoi) 8 : CTS (autorisation d’envoi) 9 : RI (indicateur de sonnerie) F034-4891.indd 53 1/29/09 11:52:11 AMF034-4891.indd 54 1/29/09 11:52:11 AM55 B Sécurité et maintenance L’annexe Importantes consignes de sécurité Pour votre propre sécurité et celle de votre matériel, veillez à toujours respecter les précautions ci-après. Important : Le seul moyen de couper totalement l’alimentation électrique consiste à débrancher le cordon. Assurez-vous qu’au moins une extrémité du câble d’alimentation se trouve à portée de main afin de pouvoir débrancher le système Xserve si besoin. Débranchez la prise d’alimentation (en tirant sur la prise et non sur le cordon) si l’un des cas de figure suivants se présente :  Vous devez retirer des composants (laissez dans ce cas le cordon déconnecté tant que le cache est enlevé).  Le câble ou la prise d’alimentation sont usés ou endommagés.  Un liquide s’est renversé dans le boîtier.  Le système Xserve a été exposé à la pluie ou à une humidité excessive.  Le système Xserve est tombé ou son boîtier a été endommagé de quelque autre façon.  Vous pensez que le système Xserve doit être révisé ou réparé.  Vous voulez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez la procédure conseillée plus loin). F034-4891.indd 55 1/29/09 11:52:11 AM56 L’annexe B Sécurité et maintenance Observez toujours les consignes ci-dessous :  Évitez de placer le système Xserve à proximité de sources de liquides telles qu’un évier, un lavabo, une baignoire, etc.  Protégez l’Xserve de l’humidité et des intempéries (par exemple la neige et la pluie).  Lisez attentivement toutes les instructions d’installation avant de brancher le système Xserve sur une prise ou multiprise de courant électrique reliée à la terre.  Gardez ces consignes à portée de main pour tous les utilisateurs.  Suivez toutes les instructions et les mises en garde concernant l’Xserve. Les appareils électriques peuvent être dangereux s’ils ne sont pas utilisés correctement. Le modèle du serveur décrit dans ce manuel est uniquement certifié comme composant à utiliser avec un autre équipement ; un laboratoire officiel de tests a vérifié la conformité de l’ensemble. Manipulation de l’unité Xserve Observez les consignes ci-après pour manipuler l’Xserve et ses composants :  Lorsque l’Xserve est retiré du rack, placez-le sur une surface plane et stable. Important : Ne posez pas d’écran ni aucun autre appareil sur l’Xserve. La pression d’un poids sur le boîtier risque en effet d’endommager des composants essentiels internes de l’Xserve.  Lorsque vous branchez ou débranchez un câble, prenez-le toujours par son connecteur. F034-4891.indd 56 1/29/09 11:52:12 AML’annexe B Sécurité et maintenance 57  Certains composants et câbles (tels que les disques durs, les moniteurs VGA ou les périphériques FireWire, Ethernet et USB) sont conçus pour être mis en place ou retirés lors du fonctionnement de l’Xserve.  Ne forcez jamais un connecteur dans un port. Si le connecteur ne s’enfonce pas facilement, il ne s’agit certainement pas du port correspondant. Assurez-vous que le connecteur correspond au port et que vous l’avez bien positionné pour l’insérer.  Veillez à ne renverser ni aliments ni liquides sur le système Xserve ou ses composants. Si cela se produit, éteignez immédiatement l’Xserve et débranchez-le avant de le nettoyer. Demandez ensuite à un fournisseur de services agréé Apple de contrôler ou de réparer l’Xserve.  Protégez le système Xserve et ses composants de toute exposition directe au soleil, à la pluie et à l’humidité.  Veillez à ne pas obstruer ni gêner les ouvertures de ventilation. Si l’air circule mal, une surchauffe peut se produire et endommager les composants ou nuire au fonctionnement. Protection du lecteur optique Pour assurer le bon fonctionnement du lecteur optique :  En cas d’urgence, vous pouvez éjecter un disque en maintenant le bouton de la souris enfoncé au cours du démarrage du système. Si aucune souris n’est branchée, vous pouvez éjecter le disque à l’aide des commandes du panneau avant pour démarrer depuis le lecteur optique. Pour d’autres instructions, reportez-vous au Guide de l’utilisateur Xserve sur le disque Admin Tools livré avec l’Xserve. Dès que possible, éjectez le disque avant de l’éteindre. F034-4891.indd 57 1/29/09 11:52:12 AM58 L’annexe B Sécurité et maintenance Bloc d’alimentation Le bloc d’alimentation placé dans l’unité Xserve est un composant à haute tension qui ne doit en aucun cas être ouvert, même lorsque l’ordinateur est éteint. Si une intervention est nécessaire, contactez un fournisseur de services agréé Apple. Nettoyage du système Xserve Respectez ces recommandations lors du nettoyage du boîtier de l’Xserve :  Utilisez un chiffon doux, humide et non pelucheux. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit.  N’utilisez ni aérosols, ni dissolvants, ni abrasifs. Nettoyage du boîtier de l’Xserve Pour nettoyer le boîtier : 1 Éteignez l’ordinateur puis débranchez la prise d’alimentation (en tirant sur la prise et non sur le cordon). 2 Frottez légèrement la surface avec un tissu doux et humide. F034-4891.indd 58 1/29/09 11:52:12 AML’annexe B Sécurité et maintenance 59 Apple et l’environnement Apple reconnaît qu’il est de sa responsabilité de minimiser les conséquences écologiques de ses activités et produits. Pour en savoir plus, reportez-vous à la page www.apple.com/fr/about/environment. Informations sur la santé Dans la plupart des cas, vous serez amené à configurer et à administrer le système Xserve à distance, via un ordinateur administrateur placé sur le même réseau, par exemple. Si vous travaillez en revanche directement avec le rack du serveur pendant des périodes prolongées, veillez à observer les consignes qui suivent pour éviter des douleurs musculaires, une fatigue oculaire ou toute autre gêne liée à l’utilisation d’un ordinateur :  Si l’emplacement du serveur le permet, utilisez une chaise réglable pour une assise confortable. Le dossier doit être orienté de façon à soutenir la région lombaire. Suivez les instructions du fabricant pour effectuer correctement ce réglage.  Lors de l’utilisation d’un clavier, vos épaules doivent être détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former plus ou moins un angle droit, la main devant se trouver dans le prolongement du poignet. Réglez la hauteur de votre siège en fonction de l’emplacement de l’écran et du clavier pour adopter une position confortable. Vos pieds doivent être à plat sur le sol ou sur un repose-pieds. F034-4891.indd 59 1/29/09 11:52:12 AM60 Regulatory Compliance Information Certificat de conformité FCC Cet appareil a subi des essais et a été reconnu conforme aux limites des appareils numériques de classe A, selon le paragraphe 15 de la réglementation FCC. Ces restrictions sont conçues pour offrir une protection contre des interférences nuisibles lorsque l’équipement est utilisé dans un environnement commercial. Cet appareil génère, utilise et peut émettre une énergie de fréquence radio et, s’il n’est pas installé et utilisé conformément au manuel d’instructions du fabricant, il peut provoquer des interférences nuisibles avec les communications radio. Il est plus que probable que l’exploitation de cet équipement dans une zone résidentielle provoque des interférences nuisibles. Si le cas s’avérait, vous êtes tenu de corriger ce problème d’interférences à vos frais. Avis concernant les câbles blindés et modifications apportées au produit Ce produit a été testé pour déterminer sa compatibilité électromagnétique dans certaines conditions impliquant l’utilisation de périphériques, câbles blindés et connecteurs Apple pour les composants système. Il est important d’utiliser ces produits Apple pour réduire le risque d’interférences aux postes radio, de télévision et autres appareils électroniques. Vous pouvez vous procurer des périphériques Apple et les câbles et connecteurs appropriés auprès d’un revendeur agréé Apple. Pour le reste du matériel, contactez le fabricant concerné. Important : Les changements réalisés sur ce produit ne sont pas autorisés par Apple Inc. et pourraient annuler la compatibilité CEM ainsi que vos droits à utiliser ce produit. Label Canada Industry Complies with the Canadian ICES-003 Class A specifications. Cet appareil numérique de la classe A est conforme à la norme NMB-003 du Canada. Statement for Norway Dette utstyret har blitt evaluert og er egnet for bruk på et IT-Power-system. Statement for Germany Das Produkt ist nicht für den Einsatz an Bildschirmarbeitsplätzen im Sinne § 2 der Bildschirmarbeitsplatzverordnung geeignet. Die arbeitsplatzbezogene Geräuschemission des Gerätes beträgt <70 dB(A). Règle de classe A VCCI Déclaration de conformité Europe-UE Reportez-vous à la page www.apple.com/fr/euro/compliance Règles CISPR 22 et EN55022 AVERTISSEMENT : Il s’agit d’un produit de classe A. Dans un environnement domestique, il peut entraîner des interférences radio, obligeant l’utilisateur à prendre les mesures qui s’imposent. F034-4891.indd 60 1/29/09 11:52:13 AM61 Taiwan Class A Warning Korea Class A Warning China Class A Warning Laser AVERTISSEMENT : Les réglages ainsi que les procédures exécutées autres que celles spécifiées dans le manuel de votre matériel peuvent entraîner une irradiation potentiellement dangereuse. N’essayez pas de démonter le boîtier contenant le laser. Le rayon laser utilisé dans ce produit peut endommager la vue. L’utilisation d’instruments optiques, tels que les loupes, avec ce produit augmente le danger potentiel pour votre vue. Pour votre sécurité, ne faites entretenir ce matériel que par un fournisseur de services agréé Apple. Si votre ordinateur est doté d’un lecteur CD-ROM, DVDROM ou DVD-RAM interne, il appartient à la classe 1. Une étiquette Classe 1, apposée sur le lecteur, indique qu’il est conforme aux normes de sécurité minimales. Une étiquette de mise en garde contre le rayonnement laser est située dans un endroit accessible. Les étiquettes figurant sur votre produit peuvent différer légèrement des illustrations présentées dans le présent manuel. Activités à risque élevé Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien, ni aucune autre situation où une panne de fonctionnement pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques. F034-4891.indd 61 1/29/09 11:52:14 AM62 Informations sur la mise au rebut et le recyclage Ce symbole indique que, selon les lois et la réglementation en vigueur dans votre pays, votre produit doit être mis au rebut de façon adéquate. Lorsque votre produit atteint la fin de son cycle de vie, contactez Apple ou les autorités locales pour en savoir plus sur les options de recyclage. Pour plus d’informations sur le programme de recyclage d’Apple, reportez-vous à la page www.apple.com/environment/recycling. Battery Disposal Information Au moment de remplacer la pile interne, jetez-la en accord avec les lois et les consignes de votre pays en matière de respect de l’environnement. Nederlands:Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Deutschland:Das Gerät enthält Batterien. Diese gehören nicht in den Hausmüll. Sie können verbrauchte Batterien beim Handel oder bei den Kommunen unentgeltlich abgeben.Um Kurzschlüsse zu vermeiden, kleben Sie die Pole der Batterien vorsorglich mit einem Klebestreifen ab. Taiwan: F034-4891.indd 62 1/29/09 11:52:14 AM63 Union européenne — Informations sur la mise au rebut : Le symbole ci-dessus indique que, selon les lois et la réglementation en vigueur dans votre pays, votre produit doit être mis au rebut dans un container différent des ordures ménagères. Lorsque ce produit atteint la fin de son cycle de vie, déposez-le dans un point de rassemblement désigné par les autorités locales. Certains de ces points acceptent les articles gratuitement. L’enlèvement séparé et le recyclage de votre produit au moment de sa mise au rebut aident à conserver les ressources naturelles et à s’assurer qu’il est recyclé selon un procédé protégeant aussi bien la santé humaine que l’environnement. Union Européenne : informations sur l’élimination Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Europäische Union – Informationen zur Entsorgung Das Symbol oben bedeutet, dass dieses Produkt entsprechend den geltenden gesetzlichen Vorschriften und getrennt vom Hausmüll entsorgt werden muss. Geben Sie dieses Produkt zur Entsorgung bei einer offiziellen Sammelstelle ab. Bei einigen Sammelstellen können Produkte zur Entsorgung unentgeltlich abgegeben werden. Durch das separate Sammeln und Recycling werden die natürlichen Ressourcen geschont und es ist sichergestellt, dass beim Recycling des Produkts alle Bestimmungen zum Schutz von Gesundheit und Umwelt beachtet werden. Unione Europea: informazioni per lo smaltimento Il simbolo qui sopra significa che, in base alle leggi e alle norme locali, il prodotto dovrebbe essere smaltito separatamente dai rifi uti casalinghi. Quando il prodotto diventa inutilizzabile, portalo nel punto di raccolta stabilito dalle autorità locali. Alcuni punti di raccolta accettano i prodotti gratuitamente. La raccolta separata e il riciclaggio del prodotto al momento dello smaltimento aiutano a conservare le risorse naturali e assicurano che venga riciclato nel rispetto della salute umana e dell’ambiente. F034-4891.indd 63 1/29/09 11:52:15 AM64 Europeiska unionen – uttjänta produkter Symbolen ovan betyder att produkten enligt lokala lagar och bestämmelser inte får kastas tillsammans med hushållsavfallet. När produkten har tjänat ut måste den tas till en återvinningsstation som utsetts av lokala myndigheter. Vissa återvinningsstationer tar kostnadsfritt hand om uttjänta produkter. Genom att låta den uttjänta produkten tas om hand för återvinning hjälper du till att spara naturresurser och skydda hälsa och miljö. F034-4891.indd 64 1/29/09 11:52:15 AM PowerBook G4 17 pouces Guide de l’utilisateur Contient des informations de configuration, d’extension et de dépannage pour votre ordinateur PowerBook G4 F3140Q41b.book Page 1 Friday, February 18, 2005 5:48 PMK Apple Computer, Inc. © 2005 Apple Computer Inc. Tous droits réservés. En application des lois et conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer, Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AirPort, AppleTalk, Final Cut Pro, FireWire, iCal, iDVD, iLife, iMovie, iPod, iTunes, Mac, Macintosh, Mac OS et PowerBook sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Exposé, FileVault, Finder, iPhoto, iSight, Rendezvous, Safari, SuperDrive et Xcode sont des marques d’Apple Computer, Inc. AppleCare, Apple Store et iTunes Music Store sont des marques de service d’Apple Computer Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. .Mac est une marque de service d’Apple Computer, Inc. ENERGY STAR® est une marque déposée aux États-Unis. La marque et les logos Bluetooth® sont la propriété de Bluetooth SIG, Inc. et sont utilisés sous licence par Apple Computer, Inc. PowerPC est une marque d’International Business Machines Corporation, utilisée sous licence. Les autres noms de produits et de sociétés sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Le produit décrit dans le présent manuel intègre des technologies de protection de droits d’auteur ellesmêmes protégées par divers brevets américains ainsi que d’autres droits de propriété intellectuelle appartenant à Macrovision Corporation et à d’autres détenteurs. L’utilisation de ces technologies de protection des droits d’auteurs doit être autorisée par Macrovision Corporation et est destinée à un cadre privé ou de visualisation restreinte, sauf consentement de Macrovision Corporation. Tout démontage ou ingénierie inverse est interdit. Réclamations concernant l’appareillage aux États-Unis. Brevets n° 4,631,603, 4,577,216, 4,819,098 et 4,907,093 sous licence à des fins de visualisation limitée uniquement. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. F3140Q41b.book Page 2 Friday, February 18, 2005 5:48 PM 3 1 Table des matières Chapitre 1 5 Premiers contacts 6 Fonctionnalités de base de votre PowerBook 8 Autres fonctionnalités de votre PowerBook 10 Configuration 17 Comment éteindre mon PowerBook ? 19 Calibration de votre batterie 19 Et ensuite ? Chapitre 2 21 Notions élémentaires 21 À la découverte de votre nouveau PowerBook 22 Réglage de votre moniteur 23 Utilisation de votre adaptateur secteur 25 Utilisation du trackpad 26 Utilisation du clavier 27 Utilisation d’une souris 27 À propos de Mac OS X 28 Personnalisation du bureau et réglage des préférences 29 Utilisation des applications 29 Connexion à une imprimante 30 Lecture d’un CD et connexion d’écouteurs 31 Maintien à jour de votre logiciel 32 Connexion d’un appareil photo ou d’un autre périphérique FireWire ou USB 32 Connexion à un réseau 32 Utilisation d’Internet 32 Transfert de fichiers vers un autre ordinateur 34 Lorsqu’une application se fige Chapitre 3 35 Utilisation de votre ordinateur 36 USB (Universal Serial Bus) 39 FireWire 42 Cartes PC Card 43 Utilisation de appareils Bluetooth 45 Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme 47 Ethernet (10/100/1000Base-T) F3140Q41b.book Page 3 Friday, February 18, 2005 5:48 PM4 Table des matières 48 Utilisation de votre modem 48 Connexion de haut-parleurs et de périphériques audio 49 Sudden Motion Sensor 49 Gestion vidéo externe (DVI/VGA et S-Vidéo) 53 Utilisation de votre lecteur SuperDrive 57 Batterie 62 Rainure de sécurité Chapitre 4 63 Ajout de mémoire à votre ordinateur 63 Installation de mémoire supplémentaire 68 Vérification de la reconnaissance de la nouvelle mémoire par votre ordinateur Chapitre 5 69 Dépannage 70 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur 72 Autres problèmes 74 Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur 75 Utilisation de Apple Hardware Test 76 Installation des outils Xcode 76 Localisation du numéro de série de votre produit Annexe A 77 Caractéristiques Annexe B 79 Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 79 Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation de votre ordinateur 80 Utilisation de votre PowerBook 81 Consignes générales de sécurité 82 Batterie 82 Protégez votre système auditif 83 Apple et l’environnement 83 Ergonomie Annexe C 85 Connexion à Internet 87 Collecte des informations nécessaires 88 Saisie de vos informations 89 Modem commuté avec connexions PPP (Point-To-Point Protocol) 91 Connexions à Internet par ligne DSL, modem câble ou réseau LAN 96 Connexion sans fil AirPort Extreme 100 Dépannage de votre connexion Annexe D 103 Les dix questions principales 107 Communications Regulation Information F3140Q41b.book Page 4 Friday, February 18, 2005 5:48 PM1 5 1 Premiers contacts Votre PowerBook est un ordinateur portable des plus complets. Important : lisez attentivement toutes les instructions d’installation et consignes de sécurité (voir la page 79) avant de brancher votre ordinateur sur une prise de courant. Adaptateur secteur Câble CA Connecteur CA Câble téléphonique ® Adaptateur S-vidéo vers vidéo composite Adaptateur DVI vers VGA F3140Q41b.book Page 5 Friday, February 18, 2005 5:48 PM6 Chapitre 1 Premiers contacts Fonctionnalités de base de votre PowerBook ® Haut-parleur intégré ® Bouton d’alimentation Fenêtre d’antenne AirPort Extreme/ Bluetooth Fenêtre d’antenne AirPort Extreme/Bluetooth Microphone Haut-parleur intégré (sous la grille du haut-parleur) Touche de fonction (Fn) Voyant d’état de veille Bouton de Trackpad déverrouillage de l’écran Bouton du trackpad Lecteur optique à chargement frontal Touches de réglage du volume ¤ Touches de réglage de la luminosité Touche de verrouillage numérique Touches de fonction standard Contrôles d’éclairage du clavier - — Touche silence Touche d’éjection de disque Touche de changement du mode vidéo esc num F1 F2 F3 F4 F5 F6 F7 F8 F9 F10 F11 F12 lock F3140Q41b.book Page 6 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 1 Premiers contacts 7 Pour plus d’informations sur AirPort Extreme ou sur le lecteur de disque optique, consultez le chapitre 3, “Utilisation de votre ordinateur”, à la page 35. ¤ Boutons de réglage de la luminosité Permettent d’augmenter ou de réduire la luminosité de l’écran de votre PowerBook. - Boutons de réglage du volume Permettent d’augmenter ou de diminuer le volume du son provenant des haut-parleurs intégrés et du port de sortie casque. Touche de verrouillage numérique Permet d’activer et de désactiver le pavé numérique intégré au clavier du PowerBook. Lorsque le pavé numérique est activé, une lumière verte éclaire la touche. i Touche de bascule du mode vidéo Pour passer du mode recopie vidéo au mode bureau étendu et inversement. o Commandes d’éclairage du clavier Permettent d’augmenter ou de réduire l’éclairage de votre clavier. C Touche d’éjection de disques Maintenez cette touche enfoncée pour éjecter un disque. Il est également possible d’éjecter un disque en faisant glisser son icône dans la Corbeille. Microphone Ce microphone intégré (situé sous la protection du haut-parleur de gauche) permet d’enregistrer directement des sons sur le disque dur de votre PowerBook. Haut-parleurs intégrés (2) Écoutez de la musique, le son de vos films, jeux et fichiers multimédia. Touche de fonction (Fn) Maintenez cette touche enfoncée pour activer les touches de fonction (F1 à F12). Témoin lumineux de suspension d’activité Un voyant blanc clignote lorsque le PowerBook est en suspension d’activité. Bouton d’ouverture de l’écran Appuyez sur ce bouton pour ouvrir l’écran et votre PowerBook. Trackpad Utilisez un seul doigt sur le trackpad pour déplacer le pointeur et deux doigts pour faire défiler. (Activez le défilement dans la sous-fenêtre Clavier et souris des Préférences Système.) Consultez “Utilisation du trackpad” à la page 25 pour en savoir plus sur le déplacement du pointeur et le défilement avec le trackpad. Lecteur de disque optique à chargement frontal Votre lecteur Superdrive peut lire des disques CD-ROM, des Photo CD, des CD audio standard, des DVD-ROM et DVD-R, des films DVD et d’autres types de supports. Il peut aussi graver de la musique, des documents et d’autres fichiers numériques sur des CD-R, CD-RW, DVD-R, DVD+R, DVD-RW et DVD+RW. Consultez “Utilisation de votre lecteur SuperDrive” à la page 53 pour plus de détails. ® Bouton d’alimentation Permet d’allumer, d’éteindre ou de suspendre l’activité de votre PowerBook. Fenêtres de l’antenne AirPort Extreme/Bluetooth Grâce à la borne d’accès optionnelle Airport Extreme, AirPort Express ou un autre concentrateur sans fil, vous pouvez vous connecter sans fil à Internet. Vous pouvez aussi vous connecter sans fil à des périphériques dotés de la technologie sans fil Bluetooth® , notamment des souris, des claviers, des assistants numériques personnels et des téléphones cellulaires. F3140Q41b.book Page 7 Friday, February 18, 2005 5:48 PM8 Chapitre 1 Premiers contacts Autres fonctionnalités de votre PowerBook ® ® Port de l’adaptateur secteur Logement de cartes PC Card Logement de sécurité ¯ d Port USB 2.0 d Port USB 2.0 W Port du modem interne , Port d’entrée audio/ port d'entrée audio numérique optique f Port du casque d’écoute/port de sortie numérique optique HPort FireWire 800 HPort FireWire 400 GPort Ethernet Gigabit (10/100/1000Base-T) Æ Port de sortie S-Vidéo £ Port DVI F3140Q41b.book Page 8 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 1 Premiers contacts 9 Pour des informations supplémentaires sur ces caractéristiques, consultez le chapitre 3, “Utilisation de votre ordinateur”, à la page 35. Logement de sécurité Protégez votre Powerbook contre le vol en l’attachant à l’aide d’un câble de sécurité. ¯ Port d’adaptateur secteur Branchez l’adaptateur secteur portable Apple fourni pour recharger la batterie. W Port de modem interne Permet de relier une ligne téléphonique standard directement au modem interne. d Deux ports USB 2.0 (Universal Serial Bus) Grâce à la technologie USB, vous pouvez connecter des périphériques supplémentaires à votre ordinateur, tels qu’une imprimante, des unités de stockage externes, un appareil photo numérique, un modem, un clavier ou une manette de jeu. Logement de cartes PC Card Étendez les fonctionnalités de votre PowerBook grâce au logement de la carte PC, qui gère les formats Type I, Type II et CardBus. , Port d’entrée de ligne audio/entrée audio numérique optique Il permet de connecter un micro ou un appareil audio numérique à votre PowerBook. f Port de sortie casque/sortie audio numérique optique Il permet de connecter des haut-parleurs externes, des écouteurs ou des appareils audio numériques. H Deux ports FireWire Permettent de connecter des périphériques à haute vitesse tels que des caméras vidéo numériques et des périphériques de stockage externes. Vous pouvez connecter un périphérique FireWire standard 6 broches directement au port FireWire à 400 Mbps ou utiliser un câble FireWire 9 vers 6 broches pour connecter le périphérique au port FireWire à 800 Mbps. Vous pouvez également connecter directement un périphérique FireWire 9 broches au port FireWire à 800 Mbps. Pour en savoir plus, reportez-vous à la page 39. G Port Ethernet Gigabit (10/100/1000Base-T) Permet de se connecter soit à un réseau Ethernet 10/100/1000 Base-T haute vitesse, soit à un autre ordinateur et de transférer des fichiers. La fonction de détection automatique du port Ethernet détecte d’autres périphériques Ethernet sans avoir besoin de câble croisé Ethernet pour établir la connexion. Æ Port de sortie TV (sortie S-Vidéo) Permet de connecter votre PowerBook à un téléviseur, un magnétoscope ou tout autre appareil vidéo. Vous pouvez utiliser le port de sortie TV pour effectuer des présentations ou pour regarder un film DVD sur votre téléviseur. £ Port DVI (moniteur externe) Permet de connecter un moniteur externe ou un projecteur équipé d’un connecteur DVI ou de raccorder un moniteur VGA en utilisant l’adaptateur DVI-VGA inclus. Vous pouvez également utiliser un adaptateur DVI-ADC (vendu séparément) pour connecter un moniteur à écran plat Apple. F3140Q41b.book Page 9 Friday, February 18, 2005 5:48 PM10 Chapitre 1 Premiers contacts Configuration Votre ordinateur PowerBook est conçu pour être configuré rapidement et utilisé immédiatement. Étape 1 : Branchement de l’adaptateur secteur m Branchez la fiche CA de votre adaptateur secteur dans la prise de courant et branchez la fiche de l’adaptateur secteur dans la prise adaptateur secteur de votre PowerBook. Important : veillez à ce que les broches électriques de votre prise CA soient totalement sorties avant de brancher l’adaptateur à la prise murale. Pour étendre la portée de votre adaptateur secteur, vous pouvez joindre le câble CA si vous le souhaitez. Voir “Utilisation de votre adaptateur secteur” à la page 23. Étape 2 : Préparez-vous à vous connecter La première fois que vous démarrez votre ordinateur, un assistant réglages vous accueille et vous guide dans le processus d’enregistrement. Il vous aide aussi à configurer votre ordinateur et votre connexion Internet. Cet accès requiert généralement l’ouverture d’un compte auprès d’un fournisseur d’accès à Internet (payant dans certains cas). Connecteur CA ® Connecteur CA Câble CA Fiche de l’adaptateur secteur ¯ Port de l’adaptateur secteur F3140Q41b.book Page 10 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 1 Premiers contacts 11 La configuration de la connexion Internet requiert généralement que vous fournissiez des informations telles que le nom de compte donné par votre FAI. Si vous n’êtes pas prêt à configurer votre connexion tout de suite, vous pouvez ignorer cette étape et y revenir plus tard. Consultez l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 85 pour plus d’informations sur comment la configurer plus tard. Si vous êtes prêts, procurez-vous les informations ci-dessous selon le type de connexion que vous utiliserez. Vous pouvez écrire les informations de votre FAI ou de votre administrateur réseau sur ces pages pour ensuite les saisir dans l’Assistant réglages. Pour configurer une connexion téléphonique classique, procurez-vous les informations suivantes :  Nom du fournisseur d’accès  Nom de l’utilisateur ou du compte  Mot de passe  Numéro de téléphone du FAI  Autre numéro de téléphone  Préfixe pour obtenir une ligne extérieure Pour configurer une connexion DSL, modem câble, LAN ou sans fil AirPort Extreme : m Commencez par choisir votre méthode de connexion (contactez votre administrateur réseau ou votre FAI si vous ne la connaissez pas) :  Manuellement  Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle  Via DHCP  Via BootP  PPP Si vous ne savez pas quelle méthode utiliser, “Via DHCP” peut être un bon choix, car le réseau fournit automatiquement la plupart des informations requises. Si vous avez sélectionné “Manuellement” ou “Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle”, regroupez les informations suivantes :  Adresse IP  Masque de sous-réseau  Adresse du routeur Remarque : si vous avez sélectionné “Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle”, vous n’avez pas besoin d’un masque de sous-réseau ou d’une adresse de routeur. F3140Q41b.book Page 11 Friday, February 18, 2005 5:48 PM12 Chapitre 1 Premiers contacts Si vous avez sélectionné “Via DHCP”, regroupez les informations facultatives suivantes (consultez votre FAI si nécessaire) :  ID client DHCP  Serveurs DNS Si vous avez sélectionné “PPP”” (pour des connexions PPPoE), procurez-vous les informations suivantes :  Fournisseur de services  Nom du compte  Mot de passe  Nom du service PPPoE Les informations ci-dessous sont facultatives. Consultez votre FAI ou votre administrateur système si nécessaire.  Serveurs DNS  Nom de domaine  Serveur proxy Transfert de fichiers à partir d’un autre Mac ? Si vous possédez déjà un ordinateur Mac, l’Assistant réglages peut également vous aider à transférer automatiquement des comptes d’utilisateur, des configurations réseau, des applications et d’autres informations de votre ancien Mac vers votre nouveau Mac. Pour transférer les informations, vous devez disposer des éléments suivants :  Un câble FireWire standard 6 broches vers 6 broches.  Mac OS X v10.1 ou ultérieur doit être installé sur votre autre Mac.  L’autre Mac doit être équipé d’un port FireWire intégré et doit pouvoir prendre en charge le mode disque cible FireWire. Pour transférer des informations de votre ancien Mac vers votre nouveau Mac : m Allumez votre nouveau Mac et suivez les instructions à l’écran. L’Assistant réglages vous guide pendant le processus de transfert de vos informations. Le transfert d’informations sur votre nouveau Mac n’affecte pas les informations se trouvant sur votre ancien Mac. (Si vous avez configuré des partitions sur le nouveau Mac, toutes les informations de l’autre Mac seront transférées vers une partition.) Avec l’Assistant réglages, vous pouvez transférer :  les comptes d’utilisateur, y compris les préférences et le courrier électronique ;  les réglages de réseau et d’Internet, pour que votre nouvel ordinateur soit automatiquement configuré avec les mêmes réglages de réseau que votre autre Mac ; F3140Q41b.book Page 12 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 1 Premiers contacts 13  les applications1 pour que toutes celles que vous utilisiez sur votre autre Mac se retrouvent désormais sur votre nouveau Mac ;  les fichiers et dossiers qui se trouvent sur votre disque dur et les partitions. Cela vous permet d’accéder facilement aux fichiers et dossiers que vous utilisiez sur votre ancien Mac. Si vous n’avez pas l’intention de garder ou d’utiliser votre ancien Mac, vous pouvez lui retirer l’autorisation d’accès relative à la lecture de musiques achetées dans le magasin de musique en ligne iTunes Music Store. Si vous n’utilisez pas l’Assistant réglages pour transférer vos informations lors du premier démarrage de votre ordinateur, vous pouvez le faire ultérieurement. Allez dans le dossier Applications, ouvrez le dossier Utilitaires, puis double-cliquez sur Assistant réglages. Remarque : si vous avez utilisé l’Assistant réglages pour transférer vos informations à partir d’un ancien Macintosh et que vous souhaitez utiliser l’Assistant réglages pour transférer à nouveau des informations, assurez-vous que FileVault est désactivé sur l’ancien Macintosh. Pour désactiver FileVault, ouvrez la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système et cliquez sur Sécurité. Suivez les instructions à l’écran. Étape 3 : Connectez vos câbles Connectez ensuite votre PowerBook à une ligne téléphonique, un modem DSL, un modem câble ou à un réseau Ethernet. Si vous vous connectez à un réseau sans fil AirPort Extreme 802.11b ou 802.11g, vous n’avez pas besoin de câbles. Pour se connecter à une ligne téléphonique : m Connectez le câble téléphonique relié à la prise murale au port modem interne pour une connexion commutée. 1. Il se peut que vous ayez besoin de réinstaller certaines des applications transférées. ® Câble téléphonique W Port modem interne F3140Q41b.book Page 13 Friday, February 18, 2005 5:48 PM14 Chapitre 1 Premiers contacts Veillez à connecter le modem interne à une ligne téléphonique analogique (type le plus répandu chez les particuliers). Le modem ne fonctionne pas avec une ligne télé- phonique numérique. Pour plus d’informations sur votre modem, consultez “Utilisation de votre modem” à la page 48. Pour plus d’informations sur d’autres types de connexions, voir l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 85. Pour se connecter à un modem DSL ou câble ou à un réseau Ethernet : m Connectez le câble à votre modem DSL ou modem câble comme indiqué dans les instructions du modem, ou connectez le câble Ethernet à un concentrateur ou une prise Ethernet. Connectez ensuite l’autre extrémité du câble au port Ethernet de l’ordinateur. Avertissement : ne connectez jamais une ligne téléphonique numérique au modem, car un type de ligne inapproprié risque de l’endommager. Contactez votre opérateur téléphonique si vous n’êtes pas certain(e) de votre type de ligne téléphonique. ® G ® Port Ethernet Gigabit (10/100/1000Base-T) Câble Ethernet F3140Q41b.book Page 14 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 1 Premiers contacts 15 Étape 4 : Allumez votre PowerBook Maintenant que vous disposez de toutes les informations de configuration, vous êtes prêt à démarrer votre ordinateur. L’assistant réglages se lance automatiquement pour vous aider. 1 Pour allumer l’ordinateur, appuyez sur le bouton d’alimentation (®). Remarque : appuyez sur le bouton très brièvement, (pas plus d’une seconde). En effet, si vous appuyez trop longtemps sur le bouton d’alimentation, vous risquez d’éteindre votre ordinateur. Lorsque vous allumez l’ordinateur, il émet normalement un signal sonore. Sa mise en route prend quelques instants. ® ® Bouton d’alimentation F3140Q41b.book Page 15 Friday, February 18, 2005 5:48 PM16 Chapitre 1 Premiers contacts 2 Le trackpad de votre PowerBook vous permet de sélectionner et de déplacer des éléments à l’écran de la même façon que la souris d’un ordinateur de bureau.  Pour déplacer le pointeur à l’écran, glissez votre index sur le trackpad. Important : utilisez un seul doigt sur le trackpad pour déplacer le pointeur ; le pointeur ne se déplacera pas si vous utilisez plus d’un doigt. Le trackpad est conçu pour permettre le défilement lorsque vous utilisez deux doigts accolés. Reportez-vous à “Utilisation du trackpad” à la page 25 pour en savoir plus. Problèmes de mise sous tension de l’ordinateur Rien ne se produit lorsque vous appuyez sur le bouton d’alimentation.  La batterie est peut-être déchargée. Assurez-vous que l’adaptateur secteur est correctement connecté à l’ordinateur et relié à une prise électrique. La prise doit s’éclairer lorsque que vous la branchez à l’ordinateur.  Si l’ordinateur ne démarre toujours pas, consultez “Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur” à la page 70. Un point d’interrogation clignotant sur une icône de disque ou de dossier apparaît à l’écran.  Cette icône signifie généralement que l’ordinateur ne parvient pas à localiser le logiciel système sur le disque dur interne ou sur tout disque externe relié à l’ordinateur. Essayez de redémarrer. Appuyez sur le Bouton d’alimentation pendant 4 à 5 secondes jusqu’à l’arrêt de votre ordinateur. Appuyez ensuite de nouveau sur le bouton d’alimentation. Si le problème persiste, vous devrez peut-être réinstaller le logiciel système. Voir “Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur” à la page 74. F3140Q41b.book Page 16 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 1 Premiers contacts 17  Pour sélectionner un élément, cliquer ou faire un double-clic, utilisez le bouton du trackpad. Pour obtenir des conseils sur l’utilisation du trackpad, voir “Conseils d’utilisation du trackpad” à la page 25. Félicitations, vous maîtrisez votre PowerBook ! Comment éteindre mon PowerBook ? Lorsque vous avez fini de travailler avec votre PowerBook, vous pouvez suspendre son activité ou l’éteindre. Suspension de l’activité de votre PowerBook Si vous n’utilisez pas votre PowerBook pendant un court moment, suspendez son activité. Cette fonctionnalité sert à réactiver votre ordinateur sans avoir à le redémarrer. Pour suspendre l’activité de votre ordinateur, procédez de l’une des manières suivantes :  Rabattez l’écran.  Choisissez Pomme (K) > Suspendre l’activité, dans la barre des menus. ® Trackpad Bouton du trackpad F3140Q41b.book Page 17 Friday, February 18, 2005 5:48 PM18 Chapitre 1 Premiers contacts  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et cliquez sur Suspendre l’activité dans la zone de dialogue qui s’affiche. Pour réactiver l’ordinateur :  Si l’écran est rabattu, ouvrez-le. Votre PowerBook reprend automatiquement son activité lorsque vous ouvrez l’écran.  Si l’écran est déjà ouvert, appuyez sur le bouton d’alimentation (®) ou sur n’importe quelle touche du clavier. Extinction de votre PowerBook Si vous ne comptez pas utiliser votre PowerBook pendant un jour ou deux, éteignez-le. Pour éteindre votre ordinateur, procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez Pomme () > Éteindre dans la barre des menus.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®), puis cliquez sur Éteindre dans la zone de dialogue qui s’affiche. Si vous comptez ranger votre PowerBook pour une durée prolongée, consultez la section “Rangement de votre PowerBook” à la page 80 pour plus d’informations sur les moyens d’éviter que votre batterie se décharge complètement. Avertissement : patientez quelques secondes jusqu’à ce que le voyant blanc de suspension d’activité clignote sur le loquet de l’écran (signalant que l’activité de l’ordinateur est suspendue et que le disque dur a cessé de tourner) avant de déplacer votre PowerBook. Tout déplacement de votre ordinateur lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager ce dernier et d’entraîner une perte de données ou l’impossibilité de démarrer à partir du disque dur. F3140Q41b.book Page 18 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 1 Premiers contacts 19 Calibration de votre batterie Pour garantir à votre batterie une durée de vie optimale, respectez les étapes suivantes pendant la première semaine d’utilisation de votre PowerBook. Pour calibrer initialement votre batterie, suivez ces étapes : 1 Branchez votre adaptateur secteur et chargez complètement la batterie de votre PowerBook jusqu’à ce que l’éclairage de l’adaptateur passe au vert et que l’indicateur à l’écran dans la barre des menus indique que la batterie est complètement chargée. 2 Débranchez l’adaptateur secteur et utilisez votre PowerBook avec la seule batterie. Lorsque la batterie est presque déchargée, un premier message d’avertissement apparaît à l’écran. Continuez à faire fonctionner votre PowerBook sur sa batterie jusqu’à ce qu’il suspende son activité. La batterie sera alors suffisamment déchargée en vue de son étalonnage. 3 Connectez l’adaptateur secteur jusqu’à ce que la batterie soit complètement rechargée. Important : pour calibrer votre batterie, vous devez la vider complètement, puis la recharger en une seule fois. Après cela, vous pouvez connecter et déconnecter l’adaptateur secteur quel que soit le niveau de charge de la batterie. Si vous avez acheté des batteries supplémentaires, répétez la procédure de calibrage avec celles-ci. Pour plus d’informations sur votre adaptateur secteur et votre batterie, consultez “Utilisation de votre adaptateur secteur” à la page 23 et “Batterie” à la page 57. Et ensuite ?  Apprenez les bases principales concernant votre PowerBook. Consultez le chapitre 2, “Notions élémentaires”, à la page 21.  Amusez-vous en testant les applications et les fonctionnalités Internet offertes par votre ordinateur. Consultez le livret sur Mac OS X et ses applications fourni avec votre ordinateur.  Si vous ne connaissez pas Mac OS X, ouvrez l’aide Mac OS puis parcourez les informations.  Passage d’un autre ordinateur ? Ouvrez l’aide Mac OS et consultez la rubrique Nouveaux utilisateurs. Celle-ci vous aidera à exploiter vos connaissances en informatique pour découvrir un ordinateur Mac. F3140Q41b.book Page 19 Friday, February 18, 2005 5:48 PM20 Chapitre 1 Premiers contacts Davantage de questions ? Aide Mac OS La plupart des informations sur l’utilisation de votre Macintosh sont disponibles directement sur votre ordinateur. 1 Cliquez sur l’icône Finder dans le Dock (la barre des icônes au bas de l’écran). 2 Choisissez Aide > Aide Mac (cliquez sur le menu Aide dans la barre des menus et sélectionnez Aide Mac). 3 Cliquez dans le champ Rechercher , tapez votre question et appuyez sur la touche Retour du clavier. Autre assistance  Si un problème vous empêche d’utiliser votre ordinateur, consultez le chapitre 5, “Dépannage”, à la page 69.  Consultez les dix questions les plus fréquemment posées. Pour lire les instructions, consultez l’annexe D, “Les dix questions principales”, à la page 103.  Pour plus d’information sur l’assistance, les groupes de discussion et les dernières nouveautés logicielles Apple à télécharger, visitez le site www.apple.com/fr/support. Si vous ne trouvez pas de réponse à votre problème, consultez les documents AppleCare livrés avec votre ordinateur pour savoir comment contacter Apple. F3140Q41b.book Page 20 Friday, February 18, 2005 5:48 PM2 21 2 Notions élémentaires Ce chapitre présente les bases principales concernant votre PowerBook que vous souhaiterez connaître. À la découverte de votre nouveau PowerBook La légèreté et la finesse de votre PowerBook vous permettent de l’emporter partout, que ce soit au bureau, à la bibliothèque, en classe ou dans tout autre endroit pour travailler ou jouer. Chaque fois que vous cessez d’utiliser votre PowerBook, patientez quelques instants pour laisser le temps au disque dur ou à un disque optique dans votre lecteur d’arrêter de tourner avant de transporter l’ordinateur. Évitez de bousculer ou de heurter votre PowerBook pendant que des disques sont en train de tourner. Remarque : votre PowerBook utilise la technologie Sudden Motion Sensor qui permet de protéger le disque dur, en cas de chute de l’ordinateur ou si celui-ci subit des vibrations extrêmes. Pour toute information supplémentaire, consultez la section “Sudden Motion Sensor” à la page 49. Lorsque vous utilisez votre PowerBook ou que vous rechargez la batterie, il est normal que la température du dessous du boîtier s’élève. En cas d’utilisation prolongée, placez votre PowerBook sur une surface plane et stable. Le dessous du boîtier est légèrement surélevé pour permettre la circulation d’air et assurer ainsi à l’équipement une tempé- rature de fonctionnement normale. Au cours des premières utilisations de votre nouvel ordinateur, vous entendrez peut-être de petits bruits pendant son démarrage ou lors de l’utilisation du disque dur et des lecteurs optiques. En effet, vous pouvez entendre comme un vrombissement ou des petits bruits secs lorsque ces derniers ont accès aux informations ou lorsque vous chargez ou éjectez un disque. Après un certain temps de fonctionnement du PowerBook, un petit ventilateur peut se mettre en marche pour refroidir le système, produisant un léger bruit. Ces petits bruits font partie du fonctionnement normal du PowerBook. F3140Q41b.book Page 21 Friday, February 18, 2005 5:48 PM22 Chapitre 2 Notions élémentaires Pour plus de consignes sur la sécurité lorsque vous manipulez et utilisez votre PowerBook dans différents lieux, veuillez consulter l’annexe B, “Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien”, à la page 79. Réglage de votre moniteur Lorsque vous travaillez pour la première fois sur votre ordinateur PowerBook,réglez si nécessaire l’affichage de l’écran pour un meilleur confort visuel. Utilisez les touches portant le symbole € pour modifier la luminosité de l’écran. Pour désactiver la fonction luminosité d’affichage automatique : m Choisissez le menu Pomme (), puis Préférences Système dans la barre des menus. Ouvrez ensuite la sous-fenêtre Moniteurs et décochez la case luminosité automatique. Modification de la taille des images à l’écran Votre PowerBook est doté d’un écran large d’une résolution native de 1440 x 900. D’autres résolutions standard, comme 1024 x 768, sont également prises en charge. Utilisez une résolution standard lorsque vous mettez votre écran en miroir sur un moniteur externe ou utilisez des applications telles que des jeux ou des logiciels de présentations conçus pour cette résolution. Lorsque vous employez une résolution standard, deux bandes noires apparaissent des deux côtés de l’écran. Si vous souhaitez supprimer ces bandes, vous pouvez choisir une version “étirée” de la résolution avec laquelle l’image est étirée de manière à couvrir l’ensemble de l’écran, les bandes noires comprises. ¤ Touches de réglage de la luminosité ® Commandes d’éclairage du clavier Capteur ALS Capteur ALS F3140Q41b.book Page 22 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 2 Notions élémentaires 23 Vous pouvez choisir des résolutions calibrées de 1152 x 768 (ou inférieures) dans la sous-fenêtre Moniteurs des Préférences Système. Lorsque vous ajustez la résolution, les éléments apparaissent plus grands à l’écran et sont par conséquent plus faciles à visualiser. Ces résolutions peuvent ne pas être aussi nettes que la résolution native de l’écran. Pour régler la résolution de votre écran : m Choisissez le menu Pomme (), puis Préférences Système dans la barre des menus. Ouvrez la sous-fenêtre Moniteurs des Préférences système. Pour contrôler vos réglages d’écran via l’icône Moniteurs de la barre des menus, cliquez sur l’option Ouvrir Moniteurs dans la barre des menus. Utilisation de votre adaptateur secteur Le branchement de l’adaptateur secteur fournit à l’ordinateur du courant alternatif (CA) et recharge sa batterie. Important : pour des performances optimales, n’utilisez que l’adaptateur secteur livré avec votre ordinateur, ou procurez-vous un Adaptateur secteur portable Apple de 65W supplémentaire. Lorsque que vous connectez pour la première fois votre adaptateur secteur à votre ordinateur, une lumière verte s’allume pendant une seconde pour indiquer que l’énergie est disponible. Une lumière orange indique que la batterie est en cours de chargement. Une lumière verte indique que la batterie est complètement rechargée. Vous pouvez contrôler le niveau de la batterie soit à l’aide de l’icône de batterie de la barre des menus, soit en vérifiant les témoins lumineux de niveau de la batterie situés sur la partie inférieure de la batterie (voir la page 57). F3140Q41b.book Page 23 Friday, February 18, 2005 5:48 PM24 Chapitre 2 Notions élémentaires Pour étendre la portée de votre adaptateur secteur, retirez la fiche CA de votre adaptateur. Reliez le câble CA à l’adaptateur et insérez l’autre extrémité dans la prise de courant murale. Utilisez uniquement le câble pour courant alternatif fourni avec votre adaptateur secteur. Veillez à ce que le connecteur soit fermement engagé dans le port de l’adaptateur secteur de l’ordinateur afin de garantir l’arrivée du courant à l’ordinateur. Lorsque vous déconnectez l’adaptateur secteur d’une prise de courant ou de l’ordinateur, débranchez bien la prise et non le câble. Pour des consignes de sécurité sur l’utilisation de votre adaptateur secteur, consultez “Branchement de l’adaptateur secteur” à la page 79. Avertissement : assurez-vous que l’adaptateur secteur est correctement assemblé avant de le brancher dans une prise électrique. Si vous utilisez la fiche CA avec votre adaptateur secteur, vérifiez que les deux broches sont totalement sorties avant de brancher l’adaptateur. Câble CA Connecteur CA F3140Q41b.book Page 24 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 2 Notions élémentaires 25 Utilisation du trackpad La réactivité du trackpad pour le déplacement du pointeur dépend de la rapidité avec laquelle vous bougez votre doigt. Pour déplacer le pointeur sur une courte distance, faites glisser l’index lentement sur le trackpad. Plus le déplacement du doigt est rapide, plus la distance parcourue par le pointeur est grande. Plutôt que d’utiliser le bouton du trackpad, utilisez votre doigt pour cliquer ou doublecliquer directement sur le trackpad. Cette fonctionnalité et d’autres options du trackpad peuvent être activées via la fenêtre Clavier et souris des Préférences Système. Par ailleurs, dans une fenêtre contenant des barres de défilement, il vous est possible de faire défiler verticalement et horizontalement en déplaçant deux doigts accolés sur le trackpad. Cette option peut être sélectionnée dans la fenêtre Clavier et souris des Préférences Système. Remarque : lors de la frappe, le pointeur peut se déplacer accidentellement si vous effleurez le trackpad. Pour y remédier, assurez-vous que l’option Ignorer les utilisations accidentelles du trackpad est sélectionnée dans la rubrique Clavier et souris des Préfé- rences Système. Conseils d’utilisation du trackpad Pour une utilisation efficace du trackpad, tenez compte de ces conseils :  Utilisez un seul doigt pour déplacer le pointeur. Le trackpad est conçu pour détecter plus d’un point de contact et le pointeur ne bougera pas si vous avez placé plus d’un doigt sur le trackpad.  N’utilisez pas de stylo ou tout autre objet.  Veillez à ce que votre doigt et le trackpad soient secs. Si l’humidité ou la condensation provoque une accumulation de buée sur le trackpad, essuyez-le avec un chiffon propre avant de l’utiliser.  N’utilisez jamais de produit nettoyant sur le trackpad. Pour plus d’informations sur l’utilisation du trackpad, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus en haut de l’écran. F3140Q41b.book Page 25 Friday, February 18, 2005 5:48 PM26 Chapitre 2 Notions élémentaires Utilisation du clavier Votre PowerBook est équipé d’un pavé numérique auquel vous accédez via les touches normales du clavier. Les touches utilisées par le pavé numérique sont pourvues d’une mention secondaire plus petite. Pour utiliser le pavé numérique, appuyez sur la touche de verrouillage numérique. La touche de verrouillage numérique est éclairée d’un voyant vert indiquant que le clavier est activé. Une fois que vous avez terminé, appuyez à nouveau sur la touche de verrouillage numérique pour la désactiver. Important : si votre clavier ne semble pas fonctionner correctement, vérifiez la touche de verrouillage numérique. Lorsque le pavé numérique est activé, les autres touches et raccourcis clavier correspondant à des commandes de menu (comme x-Q pour quitter) sont désactivés. Votre PowerBook est équipé d’un clavier éclairé et d’un système ALS (ambient lightsensing) de détection de la lumière ambiante. Les capteurs ALS se situent sous les grilles des haut-parleurs et règlent automatiquement la luminosité de votre affichage et l’éclairage du clavier en fonction de la luminosité qui règne autour de vous. Vous pouvez également régler l’éclairage du clavier à l’aide des touches F8, F9 et F10. Important : même lorsque la fonction d’éclairage du clavier est activée, le clavier ne s’éclaire que lorsque la lumière ambiante est très faible. ® Pavé numérique Touche de vérrouillage numérique F3140Q41b.book Page 26 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 2 Notions élémentaires 27 Vous pouvez désactiver l’éclairage du clavier depuis la sous-fenêtre Clavier et souris des Préférences Système ou en appuyant sur la touche F8. Remarque : exposé est préréglé pour utiliser les touches F9 et F10, qui vous servent également à régler l’éclairage du clavier. Pour utiliser Exposé en vue de gérer les fenê- tres de votre bureau, maintenez enfoncée la touche Fn et appuyez sur F9 ou F10, ou ouvrez la sous-fenêtre Exposé dans les Préférences Système, puis choisissez d’autres touches de fonction pour gérer les fenêtres. Pour exploiter au mieux les raccourcis clavier, choisissez Aide puis Aide Mac dans la barre des menus et tapez “raccourcis” dans le champ de recherche. Vous trouverez une liste de raccourcis clavier pour un grand nombre de procédures et d’applications courantes. Utilisation d’une souris Si vous disposez d’une souris Apple dotée d’une connexion USB, insérez son connecteur dans le port USB 2.0 et utilisez-la immédiatement. Vous pouvez acheter une souris USB chez un revendeur Apple agrée ou à partir du site Web Apple Store : www.apple.com/francestore. À propos de Mac OS X Votre ordinateur est livré avec Mac OS X. Doté d’une interface utilisateur élégante et de capacités graphiques ultramodernes, ce système d’exploitation offre une plus grande stabilité et de meilleures performances du système. Il comporte également Classic, un environnement qui permet d’utiliser les applications Mac OS 9 lorsque l’ordinateur fonctionne sous Mac OS X. Pour en savoir plus sur Mac OS X et les applications iLife primées installées sur votre ordinateur, consultez le manuel Mac OS X inclus avec votre PowerBook. Vous pouvez également ouvrir l’Aide Mac OS et parcourir les informations qu’elle contient. Vous trouverez un grand volume d’informations pour les utilisateurs novices et expérimentés, et pour ceux qui passent au Mac. Pour obtenir des informations sur la compatibilité des applications avec Mac OS X ou pour en savoir plus sur Mac OS X en général, consultez le site Web d’Apple à l’adresse suivante : www.apple.com/fr/macosx. Remarque : si vous souhaitez utiliser les applications Mac OS 9 sur votre ordinateur, il vous faut installer Mac OS 9 à partir du disque d’installation Mac OS 9 livré avec votre ordinateur. Mac OS 9 ne peut pas être installé comme système d’exploitation principal de votre PowerBook et vous ne pouvez pas démarrer votre ordinateur sous Mac OS 9. F3140Q41b.book Page 27 Friday, February 18, 2005 5:48 PM28 Chapitre 2 Notions élémentaires Personnalisation du bureau et réglage des préférences Au moyen des Préférences Système, vous pouvez donner à votre bureau l’apparence souhaitée sans perdre de temps. Choisissez le menu Pomme (), puis Préférences Système dans la barre des menus. Remarque : Apple publiant régulièrement de nouvelles versions et mises à jour de son logiciel système, de ses applications et ses sites Internet, il se peut que les illustrations figurant dans ce manuel diffèrent légèrement de celles qui apparaissent sur votre écran. N’hésitez pas à changer et essayer ce qui suit :  Apparence : sélectionnez cette sous-fenêtre de préférences pour changer entre autres les couleurs des boutons, menus, fenêtres et la couleur de contraste.  Bureau et économiseur d’écran : sélectionnez cette sous-fenêtre de préférences pour changer la couleur et le motif du bureau ou pour le remplacer par la photo ou l’image de votre choix. Vous pouvez également choisir un effet d’écran accrocheur qui apparaîtra lorsque l’ordinateur reste inactif.  Dock : sélectionnez cette sous-fenêtre de préférence pour modifier l’apparence, la position et le comportement du Dock. À mesure que vous vous familiarisez avec votre ordinateur, explorez les autres rubriques des Préférences Système. Elles contiennent en effet la plupart des réglages de votre PowerBook. Pour plus d’informations, choisissez Aide puis Aide Mac dans la barre des menus et tapez “Préférences Système” ou directement l’intitulé de la rubrique à modifier. Remarque : Apple publiant régulièrement de nouvelles versions et mises à jour de son logiciel système, de ses applications et ses sites Internet, il se peut que les illustrations figurant dans ce manuel diffèrent légèrement de celles qui apparaissent sur votre écran. F3140Q41b.book Page 28 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 2 Notions élémentaires 29 Utilisation des applications Votre Powerbook est fourni avec des logiciels, incluant la suite d’applications iLife, qui vous permettront d’envoyer des messages électroniques, de naviguer sur Internet, de discuter en ligne, d’organiser vos morceaux de musique et vos photos numériques, de créer des vidéos et bien plus encore. Pour plus d’informations sur ces applications, consultez le manuel Mac OS X fourni avec votre ordinateur. Connexion à une imprimante Pour utiliser une imprimante avec votre PowerBook, suivez les instructions livrées avec pour installer les logiciels requis et connecter l’imprimante. Remarquez que les gestionnaires de la plupart des imprimantes sont intégrés à Mac OS X ; il est donc probable que vous n’ayez pas besoin d’installer de logiciel supplémentaire. De nombreuses imprimantes se connectent au moyen d’un câble USB ; d’autres sont accessibles avec une connexion en réseau comme Ethernet. Pour plus d’informations sur vos ports USB, consultez “USB (Universal Serial Bus)” à la page 36. Pour plus d’informations sur les connexions réseau et sans fil, consultez “Ethernet (10/100/1000Base-T)” à la page 47 et “Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme” à la page 45. Une fois votre imprimante connectée et réglée, ouvrez la sous-fenêtre Imprimantes et fax des Préférences Système pour sélectionner l’imprimante que vous voulez utiliser. Si vous vous connectez à une imprimante via un réseau, il vous faudra peut-être savoir le nom de réseau ou l’adresse de l’imprimante pour la sélectionner. Si une imprimante USB est reliée à une borne d’accès AirPort Extreme ou AirPort Express, vous pouvez vous connecter à l’imprimante et imprimer sans fil. Pour configurer une imprimante : 1 Ouvrez Préférences Système et cliquez sur l’icône Imprimantes et fax. 2 Cliquez sur le bouton Configurer les imprimantes. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter. F3140Q41b.book Page 29 Friday, February 18, 2005 5:48 PM30 Chapitre 2 Notions élémentaires 4 Sélectionnez le type de connexion de votre imprimante (par exemple, USB, AppleTalk, etc.) dans le menu local. Pour ajouter une imprimante USB connectée à une borne d’accès AirPort Extreme, sélectionnez Rendezvous dans le menu local. 5 Sélectionnez ou saisissez les informations de l’imprimante et cliquez sur Ajouter. Contrôle de l’impression Lorsque vous avez envoyé un document à l’impression, vous pouvez contrôler l’impression et l’arrêter ou la mettre en attente temporairement. Pour contrôle l’impression : m Cliquez sur l’icône de l’imprimante dans le Dock pour ouvrir la fenêtre Liste des imprimantes. Vous voyez alors la liste des travaux d’impression et la file d’attente sur lesquelles vous pouvez intervenir. Pour en savoir plus, choisissez Aide puis Aide Mac dans la barre des menus et tapez “impression”. Lecture d’un CD et connexion d’écouteurs Pour écouter de la musique tout en travaillant, insérez un CD de musique dans votre lecteur optique. iTunes, un lecteur de musique souple d’emploi, apparaîtra automatiquement à l’écran. Vous pouvez également connecter des écouteurs à l’aide d’une prise jack dans le port de sortie casque de votre PowerBook pour une écoute discrète. Pour en savoir plus sur iTunes : m Ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes et Music Store. Pour en savoir plus sur votre lecteur optique, consultez la section “Utilisation de votre lecteur SuperDrive” à la page 53. F3140Q41b.book Page 30 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 2 Notions élémentaires 31 Maintien à jour de votre logiciel Vous pouvez vous connecter à Internet et télécharger et installer automatiquement les dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple. Une fois connecté à Internet, l’application Mise à jour de logiciels recherche dans les serveurs Internet d’Apple les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. Vous pouvez configurer votre Mac afin qu’il recherche régulièrement dans le serveur Apple des mises à jour de logiciels, puis qu’il les télécharge et les installe sur votre ordinateur. Pour rechercher les logiciels mis à jour : 1 Ouvrez les Préférences Système. 2 Cliquez sur l’icône Mise à jour de logiciels et suivez les instructions sur l’écran.  Pour plus d’informations, tapez “Mise à jour de logiciels” dans l’Aide Mac OS.  Pour obtenir les dernières informations sur Mac OS X, visitez le site Web Mac OS à l’adresse www.apple.com/fr/macos. F3140Q41b.book Page 31 Friday, February 18, 2005 5:48 PM32 Chapitre 2 Notions élémentaires Connexion d’un appareil photo ou d’un autre périphérique FireWire ou USB Vous pouvez connecter un iPod, une caméra iSight, un appareil photo numérique, une caméra vidéo, un numériseur ou tout autre appareil doté d’un connecteur FireWire ou USB à votre Powerbook. Suivez les instructions d’installation fournies avec votre appareil. Pour plus d’informations sur FireWire, consultez “FireWire” à la page 39. Pour plus d’informations sur USB, consultez “USB (Universal Serial Bus)” à la page 36. Connexion à un réseau Si vous souhaitez connecter votre PowerBook à un réseau Ethernet ou à un réseau sans fil, voir “Ethernet (10/100/1000Base-T)” à la page 47 et “Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme” à la page 45 pour en savoir plus sur la configuration d’une connexion Ethernet ou AirPort Extreme. Choisissez également Aide > Aide Mac dans la barre des menus et tapez “Ethernet” ou ouvrez l’Utilitaire AirPort Admin et sélectionnez Aide > Aide AirPort. Utilisation d’Internet Au cours des étapes de configuration initiale, vous avez appris comment vous connecter à Internet. Si vous adoptez un nouveau type de connexion, tel que DSL, modem câble, réseau local Ethernet (LAN) ou réseau AirPort Extreme, vous trouverez des informations supplémentaires dans l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 85. Transfert de fichiers vers un autre ordinateur Si vous souhaitez transférer des fichiers ou des documents de ou vers votre PowerBook, il existe plusieurs manières de le faire.  Vous pouvez facilement transférer des fichiers à l’aide de l’Assistant réglages et d’un câble FireWire (vendu séparément). Vous pouvez également vous connecter à un autre ordinateur Macintosh à l’aide du câble FireWire et démarrer votre PowerBook en mode disque cible FireWire. Votre PowerBook apparaît comme un disque dur sur l’autre ordinateur et vous pouvez transférer des fichiers. Pour plus d’informations sur comment utiliser FireWire pour transférer des fichiers, consultez “Mode disque cible FireWire” à la page 41.  Si vous possédez un lecteur de disque dur externe, un lecteur de disque à mémorisation instantanée, un lecteur Zip ou tout autre périphérique de stockage de données qui se connecte via un câble USB ou FireWire, vous pouvez l’utiliser pour transférer des fichiers.  Si l’autre ordinateur dispose d’un lecteur optique inscriptible, vous pouvez tranférer des fichiers que vous avez enregistrés sur un CD ou DVD. F3140Q41b.book Page 32 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 2 Notions élémentaires 33  Vous pouvez transférer des fichiers via Internet en utilisant .Mac ou d’autres comptes Internet.  Vous pouvez transférer des fichiers à un autre ordinateur à travers d’un réseau. Vous pouvez accéder à un autre serveur ou ordinateur en cliquant sur Réseau dans la barre latérale du Finder, ou en choisissant Aller > Se connecter au serveur dans la barre des menus du Finder.  Vous pouvez créer un petit réseau Ethernet en connectant un câble Ethernet de votre PowerBook au port Ethernet d’un autre ordinateur. Pour en savoir plus, choisissez Aide puis Aide Mac dans la barre des menus et tapez “connexion de deux ordinateurs.”  Vous pouvez également vous connecter à un autre Mac au moyen d’un câble FireWire. Lorsque vous démarrez votre ordinateur en mode disque cible FireWire, votre PowerBook apparaît sous la forme d’un disque dur sur l’autre ordinateur et vous pouvez alors procéder au transfert de fichiers. Pour plus d’informations sur comment utiliser FireWire pour transférer des fichiers, consultez “Mode disque cible FireWire” à la page 41.  Vous pouvez vous connecter à un réseau sans fil AirPort Extreme 802.11g ou 802.11b pour transférer des fichiers. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section “Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme” à la page 45.  Si vous avez accès à des appareils qui communiquent à travers la technologie sans fil Bluetooth, vous pouvez transférer des fichiers par son intermédiaire. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section “Utilisation de appareils Bluetooth” à la page 43. Pour des informations générales sur le transfert de fichiers et de documents, ouvrez l’aide Mac OS et recherchez le type de connexion nécessaire. F3140Q41b.book Page 33 Friday, February 18, 2005 5:48 PM34 Chapitre 2 Notions élémentaires Lorsqu’une application se fige Il est possible que, quelques rares fois, une application se fige à l’écran. Mac OS X permet de quitter une application figée sans redémarrer votre ordinateur, ce qui permet d’enregistrer le travail effectué dans d’autres applications ouvertes. Pour forcer une application à se fermer : 1 Appuyez sur Commande (x) + Option + Échap ou choisissez Forcer à quitter dans le menu Pomme (K). La boîte de dialogue Forcer à quitter des applications apparaît avec l’application sélectionnée. 2 Cliquez sur Forcer à quitter. L’application quitte, en laissant toutes les autres applications ouvertes. Si nécessaire, vous pouvez aussi forcer la fermeture de l’environnement Classic, ce qui provoque la fermeture de toutes les applications Classic. Vous pouvez également redé- marrer le Finder à partir de cette boîte de dialogue. Si vous rencontrez d’autres problèmes, consultez le chapitre 5, “Dépannage”, à la page 69. F3140Q41b.book Page 34 Friday, February 18, 2005 5:48 PM3 35 3 Utilisation de votre ordinateur Votre PowerBook comporte de nombreuses fonctionnalités et capacités de connexion intégrées que vous pouvez personnaliser et faire évoluer selon vos besoins. En voici la liste :  Des ports USB 2.0 pour la connexion de matériel supplémentaire à votre PowerBook : imprimantes, numériseurs, etc. Voir la page 36.  Un port FireWire 400 et un port FireWire 800 pour connecter des périphériques à haute vitesse, tels que des caméras vidéo numériques et des disques durs externes. Voir la page 39.  Un logement pour carte PC ou CardBus. Voir la page 42.  Connectivité sans fil Bluetooth, fonctionnalité de réseau sans fil AirPort Extreme, fonctionnalité de réseau Ethernet et modem 56K pour la mise en réseau et les communications. Voir la page 43.  Un port d’entrée de ligne audio/entrée audio numérique optique et un port de sortie casque/sortie audio numérique optique pour connecter des écouteurs, des haut-parleurs, des micros et des appareils audio numériques. Voir la page 48.  Sortie vidéo DVI avec adaptateur DVI/VGA inclus vous permettant d’utiliser votre PowerBook avec un moniteur externe ou un écran plat numérique et incluant la prise en charge des modes Recopie vidéo et Bureau étendu (double affichage). Utilisez la gestion S-Vidéo intégrée pour afficher du contenu sur votre téléviseur. Voir la page 49.  La technologie Sudden Motion Sensor qui permet de protéger le disque dur interne si le PowerBook tombe ou s’il subit de fortes vibrations. Voir la page 49.  Un lecteur SuperDrive vous permettant d’écouter et de créer des CD et des DVD. Voir la page 53.  Rainure de sécurité grâce à laquelle votre PowerBook sera maintenu en place. Voir la section “Rainure de sécurité” à la page 62. F3140Q41b.book Page 35 Friday, February 18, 2005 5:48 PM36 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur USB (Universal Serial Bus) Votre PowerBook est livré avec deux ports USB 2.0 (d), ou ports USB haute vitesse, à utiliser pour connecter de nombreux périphériques externes : imprimantes, numé- riseurs, appareils photo numériques, manettes de jeu, claviers ou lecteurs de disquette. Ces ports USB 2.0 sont compatibles avec les anciens modèles de périphériques USB. Dans la plupart des cas, vous pouvez connecter et déconnecter un périphérique USB pendant que l’ordinateur fonctionne. Vous pouvez utiliser les périphériques dès leur branchement, Il n’est pas nécessaire de redémarrer ni de reconfigurer votre ordinateur. Utilisation de périphériques USB Pour utiliser un périphérique USB avec votre ordinateur, il suffit de connecter le périphérique à l’ordinateur. L’ordinateur charge le gestionnaire adéquat chaque fois que vous connectez un nouveau périphérique. Remarque : Apple fournit d’origine des logiciels compatibles avec de nombreux périphériques USB. Si vous avez connecté un périphérique USB et que votre PowerBook ne trouve pas le gestionnaire approprié, vous pouvez soit installer le gestionnaire fourni avec le périphérique, soit suivre les instructions affichées à l’écran pour utiliser Internet afin de trouver, télécharger et installer le gestionnaire approprié. ® F3140Q41b.book Page 36 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 37 Périphériques USB et alimentation par batterie Avec votre PowerBook, vous pouvez utiliser des périphériques USB, par exemple une manette de jeu ou un clavier, qui sont alimentés par la connexion USB au lieu d’un adaptateur secteur. Toutefois, ces types de périphériques USB peuvent provoquer un déchargement plus rapide de la batterie du PowerBook. Si vous utilisez ce périphérique pendant une durée prolongée, il est recommandé de connecter l’adaptateur secteur de votre PowerBook. Utilisation simultanée de plusieurs périphériques USB Vous pouvez vous procurer un concentrateur USB pour connecter plusieurs périphériques USB à votre ordinateur. Ce dernier se connecte à un port USB disponible de votre ordinateur et vous permet de disposer de ports USB supplémentaires (en général quatre ou sept). Les concentrateurs haute vitesse peuvent gérer les périphériques USB 2.0 haute vitesse, ainsi que les périphériques compatibles USB 1.1. Les concentrateurs USB 1.1 ne permettent pas aux périphériques USB haute vitesse de fonctionner à leur vitesse maximale. La plupart des concentrateurs USB disposent d’un adaptateur secteur et doivent être branchés sur une prise électrique. F3140Q41b.book Page 37 Friday, February 18, 2005 5:48 PM38 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Remarque : si vous utilisez une chaîne de périphériques et de concentrateurs USB, certains d’entre eux risquent de ne pas fonctionner s’ils sont connectés via une combinaison de concentrateurs USB 2.0 haute vitesse et de concentrateurs USB 1.1 à vitesse normale ou faible. Il se peut, par exemple, qu’aucun disque dur externe USB ne s’affiche sur votre bureau. Pour éviter ce problème, ne connectez pas ensemble des périphériques USB présentant des vitesses différentes. Connectez directement votre concentrateur haute vitesse à votre ordinateur, puis connectez-y les périphériques haute vitesse. Connectez les concentrateurs à vitesse normale ou faible directement à votre ordinateur, puis connectez-y les périphériques de vitesse similaire. Informations supplémentaires sur la technologie USB L’Aide Mac OS fournit des informations supplémentaires sur la technologie USB. Choisissez Aide puis Aide Mac dans la barre des menus et recherchez “USB.” Vous trouverez d’autres informations sur le site Web USB d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/usb. Pour obtenir des informations sur les périphériques USB disponibles pour votre ordinateur, consultez le Guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/guide. ® Concentrateur USB F3140Q41b.book Page 38 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 39 FireWire Votre ordinateur est équipé d’un port FireWire 400 et d’un port FireWire 800 (H). Avec FireWire, vous pouvez facilement connecter et déconnecter des périphériques externes à grande vitesse (tels que caméras numériques DV, imprimantes, numériseurs et disques durs) sans avoir à redémarrer votre ordinateur. Vous pouvez connecter un périphérique FireWire 6 broches directement au port FireWire à 400 Mbps. Vous pouvez utiliser un câble FireWire 9 broches vers 6 broches pour relier le périphérique au port FireWire à 800 Mbps. Vous pouvez également connecter des périphériques FireWire 9 broches directement au port FireWire à 800 Mbps, pour des connexions encore plus rapides. Les deux ports fournissent en alimentation les périphériques connectés (donc les périphériques n’ont pas besoin de prise d’alimentation supplémentaire). La liste ci-dessous répertorie certaines des opérations possibles avec FireWire :  Connecter une caméra vidéo numérique pour capturer, transférer et monter de la vidéo de haute qualité directement sur votre ordinateur à l’aide de logiciels de montage vidéo tels qu’iMovie ou Final Cut Pro.  Connecter une caméra iSight Apple et utiliser l’application iChat AV fournie pour participer à une vidéoconférence avec vos amis ou votre famille via une connexion Internet à haut débit.  Connecter un disque dur FireWire externe et l’utiliser pour sauvegarder des données ou transférer des fichiers. ® Port FireWire 400 (6 broches) Port FireWire 800 (9 broches) F3140Q41b.book Page 39 Friday, February 18, 2005 5:48 PM40 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur  Démarrer à partir d’un disque dur externe FireWire. Pour cela, connectez un disque dur FireWire externe (sur lequel un système d’exploitation valide est installé), ouvrez la sous-fenêtre Démarrage des Préférences Système, puis cliquez sur le disque dur FireWire. Redémarrez votre ordinateur. Utilisation de périphériques FireWire Pour utiliser un périphérique FireWire avec votre ordinateur, connectez-le à l’ordinateur et installez tout logiciel fourni avec le périphérique en question. Votre ordinateur détecte automatiquement les nouveaux périphériques connectés. Périphériques FireWire et alimentation par batterie Les périphériques FireWire, tels que certains disques durs externes, peuvent être alimentés par la connexion FireWire du PowerBook et non pas par un adaptateur secteur séparé. Toutefois, ce type de périphériques provoquera un déchargement plus rapide de la batterie du PowerBook. Si vous comptez connecter un périphérique pendant une longue période, il est recommandé de connecter le PowerBook sur son adaptateur secteur. Remarque : les ports FireWire sont conçus pour gérer l’alimentation des périphériques FireWire (jusqu’à 7 watts maximum). Il est possible de connecter plusieurs périphériques l’un à l’autre puis de connecter cette “chaîne” de périphériques à l’un des ports FireWire de l’ordinateur, à condition que seul l’un des périphériques soit alimenté directement par ce dernier. Les autres périphériques de la chaîne doivent alors être alimentés par des adaptateurs secteur distincts. La connexion de plusieurs périphériques FireWire alimentés par le port peut poser des problèmes. En cas de problème, éteignez l’ordinateur, déconnectez les périphériques FireWire, puis redémarrez l’ordinateur. F3140Q41b.book Page 40 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 41 Mode disque cible FireWire Si vous souhaitez transférer des fichiers de votre PowerBook vers un autre ordinateur équipé de la technologie FireWire ou que vous êtes confronté à un problème qui empêche le démarrage de votre ordinateur, utilisez le mode disque cible FireWire pour vous connecter à un autre ordinateur et accéder à vos fichiers. Lorsque vous démarrez votre ordinateur en mode disque cible FireWire, l’autre ordinateur peut accéder à votre PowerBook comme s’il s’agissait d’un disque dur. Remarque : lorsque vous utilisez le mode disque cible FireWire, il est conseillé de connecter l’adaptateur secteur à votre PowerBook. Pour connecter votre PowerBook à un autre ordinateur en mode disque cible FireWire : 1 Assurez-vous que votre PowerBook est éteint. 2 Utilisez un câble FireWire pour connecter votre PowerBook à un autre ordinateur équipé de FireWire. Vous pouvez utiliser un câble FireWire avec n’importe quelle combinaison de connecteurs à 6 et 9 broches. 3 Démarrez votre PowerBook, puis maintenez immédiatement la touche T enfoncée. L’écran de votre PowerBook affiche alors le logo FireWire. L’écran de l’autre ordinateur affiche l’icône du disque dur interne de votre PowerBook. Vous pouvez maintenant glisser-déposer des fichiers entre les deux ordinateurs. 4 Une fois que vous avez terminé de transférer les fichiers, glissez l’icône du disque dur du PowerBook sur la Corbeille. 5 Appuyez sur le bouton d’alimentation pour éteindre le PowerBook, puis déconnectez le câble FireWire. Informations supplémentaires sur la technologie FireWire L’aide Mac OS fournit des informations supplémentaires sur la technologie FireWire. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus du Finder et cherchez “FireWire”. Vous trouverez également d’autres informations sur le site Web FireWire d’Apple à l’adresse www.apple.com/fr/firewire. F3140Q41b.book Page 41 Friday, February 18, 2005 5:48 PM42 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Cartes PC Card Vous pouvez étendre les fonctionnalités de votre ordinateur à l’aide du logement pour carte PC Card. Ce logement peut servir à connecter des disques dur, des lecteurs de carte Compact Flash, etc. Votre PowerBook possède un logement PC Card destiné aux cartes PCMCIA Type I et Type II, y compris les cartes CardBus. Vous pouvez éjecter une carte PC Card que l’ordinateur soit sous tension, éteint ou en suspension d’activité. Important : la carte AirPort Extreme d’Apple est installée dans un logement à l’inté- rieur de l’ordinateur. Elle n’est pas destinée au logement PC Card, contrairement à de nombreuses cartes de réseau sans fil non Apple. N’installez pas la carte AirPort Extreme d’Apple dans le logement PC Card. Elle ne fonctionnera pas et vous risquez d’endommager votre ordinateur. ® Logement PC Card Bouton d'éjection F3140Q41b.book Page 42 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 43 Insertion et éjection d’une carte PC Card Lors de l’insertion d’une carte PC Card, veillez à ce que l’étiquette soit orientée vers le haut et la carte horizontale. Une légère résistance se fait sentir lors de l’insertion de la carte. Dès que la carte est fermement enclenchée dans le logement, un déclic se produit et une icône s’affiche (en général) sur le bureau. Vous pouvez éjecter une carte PC Card que l’ordinateur soit sous tension ou éteint, mais pas en suspension d’activité. Pour éjecter une carte PC Card : 1 Si l’ordinateur est allumé, glissez l’icône de la carte dans la Corbeille. 2 Appuyez une fois sur le bouton d’éjection de la carte pour le libérer. 3 Appuyez une seconde fois sur ce bouton pour éjecter la carte. 4 Retirez la carte du logement, puis appuyez à nouveau sur le bouton pour le ramener à sa position initiale. Informations supplémentaires sur les cartes PC Card Pour tout renseignement sur les modèles de cartes PC Card disponibles pour votre ordinateur, consultez le guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/guide. Utilisation de appareils Bluetooth Votre PowerBook peut se connecter à des périphériques utilisant la technologie sans fil Bluetooth® , notamment à des téléphones cellulaires ou à des assistants numériques personnels (PDA), et y transférer des informations sans fil. La technologie sans fil Bluetooth permet d’éliminer les câbles reliant normalement les périphériques. Les périphériques dotés de la technologie sans fil Bluetooth peuvent être interconnectés dans un rayon de 10 mètres. Les périphériques dotés de la technologie sans fil Bluetooth comprennent :  ordinateurs ;  téléphones portables ;  périphériques (clavier, souris, etc.) ;  PDA. Grâce à la technologie sans fil Bluetooth, vous pouvez :  Utiliser votre PowerBook pour communiquer avec un téléphone portable également équipé de la technologie sans fil Bluetooth. Votre téléphone peut servir de modem pour vous connecter à un fournisseur de services sans fil, à un débit de 56 kilobits par seconde ou plus (Kbps) suffisant pour vous connecter à Internet.  Communiquer avec votre assistant personnel (PDA). À l’aide d’iSync, vous pouvez exécuter une opération HotSync sans fil ou transmettre votre carte de visite ou encore des événements de calendrier directement sur le PDA d’un collègue. F3140Q41b.book Page 43 Friday, February 18, 2005 5:48 PM44 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur  Transférer des fichiers entre ordinateurs, même de Mac à PC, en utilisant l’utilitaire de transfert. Apple recommande l’utilisation du réseau sans fil AirPort Extreme pour le transfert de tous vos fichiers à l’exception des plus petits.  Utiliser un clavier ou une souris sans fil Bluetooth. Pour configurer un périphérique Bluetooth : m Utilisez l’Assistant réglages Bluetooth, situé dans le dossier Applications/Utilitaires sur votre disque dur. Vous pouvez également choisir “Configurer l’appareil Bluetooth” dans le menu d’état Bluetooth de la barre des menus. Configuration de l’échange de fichiers Bluetooth Vous pouvez contrôler la manière dont l’ordinateur gère les fichiers échangés avec d’autres appareils Bluetooth. Vous pouvez choisir un dossier pour les fichiers en provenance d’autres appareils, un dossier pour les fichiers destinés à d’autres appareils, et décider des applications à utiliser pour ouvrir les fichiers que vous acceptez. Pour configurer un échange de fichiers Bluetooth : m Ouvrez Préférences Système, cliquez sur Bluetooth, puis sur Échange de fichiers. Configuration des connexions Bluetooth Les appareils compatibles Bluetooth, tels que les ordinateurs, téléphones portables et périphériques de poche (PDA), peuvent se connecter entre eux sans fil à des distances allant jusqu’à 10 mètres. Pour configurer un appareil Bluetooth afin de le faire fonctionner avec votre ordinateur : 1 Assurez-vous qu’un module Bluetooth est installé dans votre ordinateur ou qu’un module USB Bluetooth y est connecté. 2 Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Bluetooth. 3 Cliquez sur Configurer nouvel appareil. 4 Choisissez le type d’appareil à configurer et suivez les instructions à l’écran. Envoi d’un fichier à un appareil compatible Bluetooth Votre ordinateur peut envoyer des fichiers sans fil à d’autres appareils Bluetooth à la portée de votre ordinateur. Si votre ordinateur n’est pas jumelé à l’appareil, vous devrez peut-être taper un mot de passe sur les deux appareils pour les jumeler. Si vous avez déjà jumelé l’ordinateur à l’appareil, vous n’aurez peut-être pas à retaper un mot de passe. F3140Q41b.book Page 44 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 45 Pour envoyer un fichier à un appareil compatible Bluetooth : 1 Ouvrez l’application Échange de fichiers Bluetooth, située dans le dossier Applications/ Utilitaires. 2 Choisissez Fichier > Envoyer un fichier, sélectionnez le fichier à envoyer, puis cliquez sur Envoyer. 3 Choisissez un appareil dans la liste Appareil, puis cliquez sur Envoyer. Si l’appareil ne se trouve pas dans la liste, cliquez sur Rechercher. Une fois que l’application Échange de fichiers Bluetooth a trouvé l’appareil, vous pouvez ajouter ce dernier à votre liste de favoris. Utilisez la sous-fenêtre Échange de fichiers des Préférences Bluetooth pour définir comment votre ordinateur doit traiter les fichiers échangés avec les autres appareils Bluetooth. Vous pouvez également envoyer un fichier en choisissant l’option Envoyer un fichier dans le menu d’état Bluetooth de la barre des menus. Pour plus d’informations sur la technologie sans fil Bluetooth Pour accéder à l’aide sur la technologie sans fil Bluetooth, ouvrez l’application Échange de fichiers Bluetooth (dans le dossier Utilitaires du dossier Applications) et choisissez Aide > Aide Bluetooth. Vous trouverez d’autres informations sur le site Web d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/bluetooth. Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort Extreme Une carte AirPort Extreme est installée sur votre PowerBook. AirPort Extreme permet d’accéder sans fil à Internet en toute simplicité et sans se ruiner n’importe où, que ce soit chez soi, au bureau ou dans un établissement scolaire par exemple. Au lieu de faire appel à des câbles classiques, AirPort Extreme utilise la technologie de réseau local (LAN) sans fil permettant une communication sans fil entre plusieurs ordinateurs. Utilisez un réseau sans fil pour configurer l’accès à Internet, transférer des fichiers, jouer à plusieurs en réseau et bien d’autres choses encore. La carte AirPort Extreme est compatible avec les bornes d’accès Apple AirPort Extreme et AirPort Express, la borne d’accès originale Apple, ainsi que tous les produits conformes aux normes 802.11b ou 802.11g. Remarque : l’accès sans fil à Internet requiert une carte AirPort Extreme, un point d’accès 802.11b ou 802.11g, tel qu’une borne d’accès AirPort Extreme, AirPort Express ou Airport, ainsi qu’une connexion à Internet (ce service peut être payant). Certains fournisseurs d’accès à Internet ne sont pas encore compatibles avec AirPort. La portée varie en fonction des conditions d’emplacement. F3140Q41b.book Page 45 Friday, February 18, 2005 5:48 PM46 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Mode d’accès sans fil à Internet via AirPort Extreme Le système AirPort Extreme vous permet d’établir une connexion sans fil à un périphérique appelé borne d’accès, qui dispose d’une connexion physique à Internet. La technologie AirPort Extreme fonctionne comme un téléphone sans fil. La carte AirPort Extreme installée sur l’ordinateur permet d’établir une connexion sans fil à la borne d’accès, elle-même connectée à Internet via une ligne téléphonique ou un modem DSL ou câble. Pour plus d’informations sur AirPort Extreme Pour acheter une borne d’accès AirPort Extreme ou AirPort Express, adressez-vous à votre vendeur agréé Apple ou rendez-vous sur le site Web Apple Store à l’adresse www.apple.com/francestore. D’autres informations sur AirPort Extreme ou AirPort Express sont disponibles dans l’Aide AirPort. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis choisissez Bibliothèque > Aide AirPort dans la barre des menus. Vous trouverez également des informations sur le site Web AirPort d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/airport, ou sur www.apple.com/fr/support. Connexion à Internet AirPort Express Prise CA Modem câble ou DSL ® F3140Q41b.book Page 46 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 47 Ethernet (10/100/1000Base-T) Votre ordinateur est équipé de fonctionnalités intégrées de réseau Ethernet à paires torsadées 10/100/1000 mégabits par seconde (Mbits/s) que vous pouvez utiliser pour vous connecter soit à un réseau, y compris à un réseau Gigabit Ethernet, soit à un modem par câble ou DSL. La connexion à un réseau permet d’accéder à d’autres ordinateurs. et vous permet de stocker et de récupérer des informations, d’utiliser les imprimantes d’un réseau, des modems et une messagerie électronique ou de vous connecter à Internet. Ethernet vous permet également de partager des fichiers entre deux ordinateurs ou d’établir un petit réseau. Le port Ethernet de votre PowerBook détecte automatiquement les autres périphériques Ethernet. Pour établir des connexions à d’autres périphériques Ethernet, il est inutile d’utiliser un câble croisé Ethernet.  Utilisez un câble Ethernet à deux paires de catégorie 3 (ou supérieure) pour vous connecter à un réseau Ethernet 10 Base-T.  Utilisez un câble Ethernet à deux paires de catégorie 5 (ou supérieure) pour vous connecter à un réseau Ethernet 100 Base-T.  Utilisez un câble Ethernet à quatre paires de catégorie 5 (ou supérieure) pour vous connecter à un réseau Ethernet 1000 Base-T. ® F3140Q41b.book Page 47 Friday, February 18, 2005 5:48 PM48 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Informations supplémentaires sur l’utilisation d’Ethernet Des informations supplémentaires, y compris sur la configuration d’un réseau Ethernet et le transfert des fichiers via Ethernet, sont disponibles dans l’aide Mac OS. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus et recherchez “Ethernet” ou “réseau”. Pour obtenir des informations sur les produits en réseau que vous pouvez utiliser avec votre PowerBook, consultez le Guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/guide. Utilisation de votre modem Votre ordinateur vous est fourni avec un modem Apple 56K v.92 déjà installé. Pour connecter le modem, branchez l’une des extrémités du câble téléphonique ou du câble RJ-11 au port du modem situé sur l’ordinateur et l’autre extrémité à une prise téléphonique murale standard. Veillez à le connecter à une ligne téléphonique analogique (type le plus répandu chez les particuliers). Le modem ne fonctionnera pas avec une ligne téléphonique numérique. Pour obtenir des informations sur la manière d’établir une connexion à Internet, consultez l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 85. Des informations supplé- mentaires à propos du modem interne sont également disponibles dans l’Aide Mac OS. Connexion de haut-parleurs et de périphériques audio Votre PowerBook est équipé de deux haut-parleurs intégrés, d’un micro intégré, d’un port d’entrée de ligne audio/entrée audio numérique optique et d’un port de sortie casque/sortie audio numérique optique. Remarque : les haut-parleurs intégrés n’émettent aucun son lorsque des périphériques sont branchés à l’ordinateur. Pour entendre le son de ces haut-parleurs, débranchez le casque ou les haut-parleurs externes pouvant être connectés à l’ordinateur. Vous pouvez connecter des haut-parleurs externes, un casque, des systèmes d’enceintes 5.1 et d’autres périphériques de sortie son au port de sortie casque/sortie audio numé- rique optique. Le port est constitué d’une prise mini-jack de 3,5 mm. Avertissement : pour éviter tout risque d’endommagement du modem, ne connectez jamais une ligne téléphonique numérique à ce dernier. Contactez votre opérateur téléphonique si vous n’êtes pas certain(e) de votre type de ligne téléphonique. F3140Q41b.book Page 48 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 49 Vous pouvez enregistrer des sons sur votre disque dur à l’aide du micro intégré situé sous la grille du haut-parleur de gauche. Vous avez également la possibilité de connecter des micros externes ou tout autre appareil audio sur le port d’entrée de ligne audio/ entrée audio numérique digital. Le port est une prise mini-jack 3,5 mm stéréo. Sa fonction n’étant pas d’alimenter en énergie les périphériques qui y sont connectés, vous devez utiliser des périphériques disposant d’un système d’auto-alimentation. Si vous disposez d’un adaptateur mini-jack Toslink, vous pouvez utiliser un câble Toslink pour connecter un lecteur Digital Audio Tape (DAT) ou des instruments numériques afin d’enregistrer et de mixer votre propre musique. Avec des applications permettant d’enregistrer des sons, iMovie par exemple, utilisez la sous-fenêtre Son des Préférences Système pour sélectionner le périphérique d’entrée audio (y compris des micros connectés via USB) que vous souhaitez utiliser. Les commandes de volume de votre clavier vous permettent de régler facilement le volume. Vous pouvez également accéder à ces commandes via la sous-fenêtre Son des Préférences Système. Pour plus d’informations sur l’utilisation ou la résolution de problèmes liés au son de votre ordinateur, ouvrez l’Aide Mac OS et recherchez “son”. Sudden Motion Sensor Votre PowerBook est doté de la technologie Sudden Motion Sensor, une protection intégrée pour le disque dur conçue pour éviter des pannes de disque en cas de chute de l’ordinateur ou de vibrations violentes. En principe, la protection Sudden Motion Sensor n’affecte pas les performances du disque dur lors du fonctionnement normal du PowerBook. La technologie Sudden Motion Sensor peut occasionnellement être activée sous l’effet de fortes vibrations lorsque votre PowerBook est en train d’écrire ou de lire des données de manière intense, par exemple lors de la lecture ou de l’enregistrement de documents audio ou vidéo. Il se peut dans ce cas-là que vous perdiez des images ou des éléments de son. Assurez-vous donc que votre PowerBook est placé dans un endroit stable ne comportant pas de vibrations ni de mouvements violents. Gestion vidéo externe (DVI/VGA et S-Vidéo) Votre ordinateur est équipé d’un port de moniteur externe (DVI) permettant une connexion directe à un écran ou à un projecteur muni d’un port DVI. L’adaptateur DVI-VGA permet de connecter votre PowerBook à des moniteurs ou projecteurs dotés de connecteurs VGA. F3140Q41b.book Page 49 Friday, February 18, 2005 5:48 PM50 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Le port de sortie TV de votre ordinateur (ou port de sortie S-vidéo) vous permet de connecter ce dernier à un téléviseur, un magnétoscope ou un système de projection vidéo à l’aide d’un câble S-vidéo. Ce port permet d’afficher des images sur un téléviseur, d’enregistrer des images numériques sur un magnétoscope ou de lire des DVD-Vidéo sur votre téléviseur. Si le périphérique à connecter est muni d’un port composite et non d’un port S-Vidéo, vous pouvez utiliser l’adaptateur S-Vidéo-composite fourni avec votre PowerBook. Lorsqu’un moniteur externe ou un téléviseur est connecté, vous pouvez soit faire en sorte que la même image s’affiche sur l’écran interne et le moniteur externe (c’est ce que l’on appelle la recopie vidéo), soit utiliser le moniteur externe pour étendre la taille du bureau Mas OS (on parle dans ce cas de mode double-écran). Par défaut, votre PowerBook démarre en mode double-écran. Appuyez sur la touche F7 ( i) pour alterner entre les modes double-écran et recopie vidéo. Pour que le son soit émis par l’écran externe (par un projecteur ou un téléviseur par exemple), vous devez relier le périphérique et le port de sortie casque de l’ordinateur par le biais d’un câble audio. Remarque : en raison des limites d’affichage de la plupart des téléviseurs, les images apparaissent avec une qualité inférieure à celle de l’écran intégré ou d’un moniteur externe. ® Port DVI Port de sortie S-Vidéo F3140Q41b.book Page 50 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 51 Connexion d’un écran externe ou d’un projecteur Pour connecter un écran externe ou un projecteur à votre ordinateur à l’aide d’une connexion DVI : 1 Allumez l’écran externe ou le projecteur. 2 Vérifiez que le câble de l’écran est bien relié au projecteur ou à l’écran externe. 3 Connectez le câble de l’écran à votre PowerBook. Votre PowerBook détecte automatiquement l’écran externe ou le projecteur. 4 Réglez la résolution de l’écran externe via la rubrique Moniteurs des Préférences Système ou l’icône Moniteurs de la barre de menus. Pour relier un écran externe ou un projecteur à votre ordinateur à l’aide d’une connexion VGA : 1 Allumez l’écran externe ou le projecteur. 2 Vérifiez que le câble de l’écran est bien relié au projecteur ou à l’écran externe. 3 Connectez l’adaptateur DVI-VGA fourni avec votre PowerBook au connecteur VGA du projecteur ou du moniteur externe. 4 Connectez l’adaptateur DVI-VGA à votre PowerBook. Votre PowerBook détecte automatiquement l’écran externe ou le projecteur. Important : pour vous assurer que votre PowerBook détecte automatiquement le moniteur externe ou le projecteur, branchez d’abord l’adaptateur DVI-VGA sur ces derniers. 5 Réglez la résolution de l’écran externe via la rubrique Moniteurs des Préférences Système ou l’icône Moniteurs de la barre de menus. F3140Q41b.book Page 51 Friday, February 18, 2005 5:48 PM52 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Utilisation de votre PowerBook écran rabattu Vous pouvez utiliser votre PowerBook écran rabattu s’il est connecté à un moniteur externe, un clavier et une souris, et qu’il est branché, via son adaptateur secteur, sur une prise électrique. Important : pour utiliser votre PowerBook avec l’écran rabattu, l’adaptateur secteur doit être branché dans le PowerBook et dans une prise électrique. Pour utiliser votre ordinateur écran rabattu avec un moniteur connecté : 1 Connectez un clavier et une souris USB à votre PowerBook. 2 Reliez l’adaptateur secteur à votre PowerBook et à une prise électrique. 3 Rabattez l’écran du PowerBook afin d’en suspendre l’activité. 4 Connectez votre PowerBook à un écran externe en suivant les étapes décrites dans la section précédente. 5 Attendez quelques secondes, puis appuyez sur n’importe quelle touche du clavier externe pour réactiver le PowerBook. Connexion d’un téléviseur, d’un magnétoscope ou de tout autre appareil vidéo Pour connecter un téléviseur, un magnétoscope ou tout autre périphérique vidéo à votre PowerBook : 1 Connectez l’extrémité d’un câble S-vidéo au port de sortie TV (Æ) de votre PowerBook (ou utilisez l’adaptateur S-vidéo/composite pour pouvoir connecter à ce dernier un câble vidéo composite), puis reliez l’autre extrémité au périphérique. 2 Pour envoyer le son de votre PowerBook au périphérique, connectez un câble minijack/RCA (non fourni) au port de sortie casque (f) de votre PowerBook et aux ports d’entrée audio du périphérique. 3 Allumez l’appareil. 4 Pour détecter le téléviseur ou tout autre périphérique externe, maintenez la touche Commande (x) enfoncée tout en appuyant sur la touche F2. 5 Pour régler l’apparence des images affichées à l’écran, ouvrez la sous-fenêtre Moniteurs des Préférences Système. Connexion d’un écran plat Apple Vous pouvez connecter votre PowerBook à un écran plat Apple. Selon l’écran que vous utilisez, un adaptateur DVI/ADC sera peut-être nécessaire pour effectuer la connection. Cet adaptateur est disponible auprès de votre revendeur agréé Apple, chez un détaillant Apple ou directement sur l’Apple Store, à l’adresse www.apple.com/francestore. F3140Q41b.book Page 52 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 53 Informations supplémentaires sur l’utilisation d’un moniteur externe ou d’un téléviseur Vous pourrez trouver des informations supplémentaires sur la configuration et l’utilisation d’un moniteur externe dans l’Aide Mac OS. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis recherchez “moniteur”. Utilisation de votre lecteur SuperDrive Grâce à votre SuperDrive, vous pouvez :  installer ou utiliser des logiciels à partir de CD ou DVD ;  lire des données multimédia sur des CD et de la musique sur des CD audio ;  écrire des fichiers musicaux, des documents et autres contenus numériques sur des CD-R et des CD-RW ;  lire des films DVD et utiliser la plupart des disques DVD ;  enregistrer des informations sur des disques DVD-R, DVD+R, DVD-RW et DVD+RW vierges. Important : le lecteur SuperDrive de votre PowerBook prend en charge les disques standard circulaires de 12 cm de diamètre. Les disques de forme irrégulière et les disques de moins de 12 cm ne peuvent pas être lus. Les disques non circulaires risquent de se bloquer dans le lecteur. F3140Q41b.book Page 53 Friday, February 18, 2005 5:48 PM54 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Insertion d’un CD ou d’un DVD Pour installer ou utiliser des programmes à partir d’un CD ou d’un DVD : 1 L’ordinateur étant allumé, introduisez le disque (étiquette vers le haut) dans la fente du lecteur jusqu’à ce le CD soit happé. Il se peut qu’il faille insérer le disque presque entièrement avant que le lecteur ne le prenne en charge. Cela est normal. Remarque : certains disques DVD sont double-face. Pour utiliser la seconde face, il faut retourner le disque. 2 Dès que son icône apparaît sur le bureau, le disque est prêt à être lu. Éjection d’un disque Pour éjecter un disque, procédez comme suit :  Glissez l’icône du disque dans la Corbeille.  Appuyez sur la touche d’éjection de disque (C) située sur le clavier et maintenez-la enfoncée jusqu’à l’éjection du disque. Attendez que le disque soit complètement éjecté avant de le retirer ou réinsérer. ® F3140Q41b.book Page 54 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 55 Si vous ne parvenez pas à éjecter le disque, fermez toutes les applications susceptibles d’utiliser le disque et réessayez. Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez l’ordinateur tout en maintenant le bouton du trackpad enfoncé. Lecture de DVD Pour lire un disque vidéo DVD sur votre PowerBook, insérez-le. Lecteur DVD s’ouvre automatiquement. Vous pouvez constater que Lecteur DVD offre des commandes simples d’utilisation pour lancer, interrompre et visionner des DVD. Si vous avez connecté votre PowerBook à un téléviseur afin de pouvoir regarder le DVD sur l’écran du téléviseur, sélectionnez 720 x 480 NTSC (aux États-Unis) ou 720 x 576 PAL (en Europe et dans d’autres régions) dans l’onglet Moniteur du tableau Moniteurs des Préférences Système. Il est très facile de connecter votre PowerBook à une chaîne stéréo. Pour connecter le port de sortie casque (f) de votre PowerBook aux ports d’entrée audio de votre chaîne stéréo, utilisez un câble mini-jack/RCA (non fourni). Enregistrement de disques CD-R et CD-RW Vous pouvez graver des données sur des disques CD-R et CD-RW. Pour graver des données sur un disque CD-R ou CD-RW : 1 Insérez un disque vierge dans le lecteur optique. 2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque. Une icône correspondant au disque apparaît sur le bureau. 3 Glissez des fichiers et dossiers sur l’icône du disque. 4 Cliquez sur l’icône Graver le disque située à côté du nom du disque dans la barre latérale du Finder. Vous pouvez également enregistrer des disques CD-R et CD-RW directement à partir de votre bibliothèque iTunes. Pour enregistrer de la musique issue de votre bibliothèque iTunes : 1 Cliquez sur l’icône d’iTunes dans le Dock. 2 Sélectionnez la liste de lecture à enregistrer. 3 Insérez un disque vierge CD-R ou CD-RW. 4 En haut de la fenêtre iTunes, cliquez sur l’option Graver le CD. F3140Q41b.book Page 55 Friday, February 18, 2005 5:48 PM56 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Pour plus d’informations  Pour des informations sur l’utilisation d’iTunes en vue d’enregistrer des fichiers musicaux sur CD-R ou CD-RW, ouvrez iTunes et consultez-en l’aide en ligne.  Pour obtenir des instructions sur l’utilisation de Lecteur DVD, ouvrez Lecteur DVD et consultez-en l’aide en ligne. Enregistrement d’informations sur un DVD Vous pouvez enregistrer vos films numériques sur un disque DVD vierge enregistrable. Ces derniers vous permettent d’enregistrer d’autres types de données numériques, comme des fichiers de sauvegarde. Grâce aux applications telles qu’iDVD, vous pouvez créer des projets de données numé- riques personnalisés, les graver sur des disques enregistrables vierges, puis les lire sur la plupart des lecteurs DVD standard. Pour graver un projet iDVD sur un disque DVD-R, DVD+R, DVD-RW ou DVD+RW vierge : 1 Ouvrez iDVD puis votre projet iDVD final. 2 Cliquez sur le bouton Graver le CD. 3 Insérez un disque DVD enregistrable vierge dans le graveur lorsqu’un message vous y invite. 4 Cliquez de nouveau sur le bouton Graver le CD. Pour enregistrer des données sur des disques DVD-R, DVD+R, DVD-RW ou DVD+RW : 1 Insérez un disque DVD enregistrable vierge dans le graveur. 2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque et sélectionnez le format souhaité. Une icône représentant le DVD apparaît sur le bureau. 3 Double-cliquez sur l’icône du DVD, puis glissez-y des fichiers et dossiers. 4 Cliquez sur l’icône Graver le disque située à côté du nom du disque dans la barre latérale du Finder. Pour plus d’informations sur la manière d’utiliser iDVD, consultez l’aide à l’écran correspondante. Important : si votre batterie vient à s’épuiser lors de la gravure d’un DVD, il se peut que cette dernière échoue et que le disque DVD devienne inutilisable. Pour éviter ce problème, veillez à toujours utiliser l’adaptateur secteur lorsque vous gravez un DVD. F3140Q41b.book Page 56 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 57 Batterie Lorsque l’adaptateur secteur externe n’est pas connecté, votre ordinateur est alimenté par sa batterie. Selon les applications que vous utilisez et les périphériques externes connectés à votre PowerBook, l’autonomie de la batterie l’alimentant peut varier. La désactivation de certaines fonctions telles qu’AirPort Extreme ou la technologie sans fil Bluetooth® peut vous permettre d’augmenter l’autonomie de la batterie. Pour plus d’informations sur l’utilisation de la batterie, consultez “Conseils d’économie de la batterie” à la page 60. Pour connaître le niveau de charge de votre batterie, vous pouvez observer les témoins de niveau de charge dont elle est dotée. Appuyez sur le bouton en regard de chaque témoin lumineux pour connaître le niveau de charge de la batterie. Les témoins restent allumés pendant quelques secondes après que vous avez appuyé sur les boutons correspondants. Vous pouvez vérifier le niveau de charge, que la batterie soit ou non insérée dans votre PowerBook. Si votre batterie tombe à plat pendant que vous travaillez, vous pouvez suspendre l’activité de votre PowerBook afin d’installer une batterie chargée. La batterie interne de secours fournit suffisamment d’énergie pour préserver le contenu de la mémoire vive (ou mémoire RAM) pendant trois minutes au maximum. Cela vous laisse le temps de changer la batterie. Remarque : si vous avez ajouté de la mémoire à votre PowerBook, il se peut que la batterie de secours fonctionne moins de trois minutes. De même, le changement répété des batteries peut réduire la durée pendant laquelle la batterie de secours est à même de conserver des données si celle-ci n’a pas eu le temps de se recharger complètement. F3140Q41b.book Page 57 Friday, February 18, 2005 5:48 PM58 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Important : si un seul témoin clignote, le niveau de charge est très faible. Si aucun témoin n’est allumé, c’est que la batterie est complètement vide, auquel cas l’ordinateur ne pourra démarrer sans l’adaptateur secteur. Branchez l’adaptateur secteur et laissez la batterie se recharger ou remplacez la batterie à plat par une batterie complè- tement rechargée (voir la page 59). Si l’icône de la batterie dans la barre des menus du Finder est définie pour afficher le pourcentage de charge, vous remarquerez parfois que la batterie ne maintient pas un niveau de charge égal à 100 pour cent quand l’adaptateur secteur est relié. Lorsque le niveau de charge de la batterie passe en dessous de 95 %, celle-ci se recharge automatiquement pour atteindre à nouveau 100 %. De cette manière, la durée de vie de la batterie est prolongée. Batterie Témoins LED de la batterie F3140Q41b.book Page 58 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 59 Retrait et remplacement de la batterie Pour retirer la batterie : m Éteignez votre PowerBook. Retournez-le et repérez l’emplacement des loquets de la batterie. Soulevez les deux loquets pour libérer la batterie, puis retirez avec précaution cette dernière. Pour remplacer la batterie : m Placez l’un des côtés de la batterie dans le compartiment. Appuyez doucement sur la batterie jusqu’à ce que les loquets soit bloqués. Remarque : débarrassez-vous de la batterie conformément aux directives d’environnement locales en vigueur. Pour en savoir plus, reportez-vous à la “Informations sur l’élimination des piles usagées” à la page 108. F3140Q41b.book Page 59 Friday, February 18, 2005 5:48 PM60 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Recharge d’une batterie Lorsque l’adaptateur secteur fourni avec votre ordinateur est connecté, la batterie se recharge, que l’ordinateur soit éteint, allumé ou en mode suspension d’activité. La recharge sera toutefois plus rapide si l’ordinateur est éteint ou en mode suspension d’activité. Vous pouvez vérifier le niveau de charge de la batterie en vous servant de l’icône d’état de la batterie dans la barre des menus. Le niveau affiché dépend de la quantité d’énergie restant dans la batterie mais aussi des applications et des périphériques en cours d’utilisation et des réglages de votre système (luminosité de l’écran, réglages de l’Économiseur d’énergie, etc.). Pour disposer de plus d’énergie, fermez des applications, déconnectez les périphériques non utilisés et réglez votre Économiseur d’énergie (consultez la section suivante). Conseils d’économie de la batterie L’autonomie assurée par la batterie de votre PowerBook avant qu’il soit nécessaire de la recharger dépend des applications et des périphériques utilisés, ainsi que des mesures prises pour économiser l’énergie. Pour économiser l’énergie de la batterie de façon optimale, procédez comme suit :  Déconnectez tout périphérique USB ou FireWire alimenté par bus dès qu’ils ne sont pas utilisés.  Désactivez AirPort quand il n’est pas utilisé (utilisez l’icône d’état d’AirPort dans la barre des menus).  Désactivez votre module sans fil Bluetooth quand il n’est pas utilisé.  Quittez les applications ouvertes non utilisées.  Retirez les CD et les DVD non utilisés.  Réduisez la luminosité de l’écran à l’aide des boutons de réglage de luminosité situés sur le clavier du PowerBook.  Configurez le disque dur afin qu’il réduise sa vitesse de rotation après un bref délai. Dans la sous-fenêtre Économiseur d’énergie des Préférences Système, sélectionnez l’option “Suspendre l’activité du/des disque(s) dur(s) chaque fois que possible”.  Configurez votre PowerBook afin qu’il suspende son activité après un maximum de cinq minutes. F3140Q41b.book Page 60 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 61 Pour économiser davantage encore l’énergie de la batterie, sélectionnez les options suivantes dans la sous-fenêtre Économiseur d’énergie des Préférences Système :  Configurez votre ordinateur de sorte qu’il modifie la vitesse de son processeur en fonction du niveau d’activité de traitement requis. Votre PowerBook est configuré pour réduire automatiquement sa vitesse de traitement durant les périodes de faible activité, lorsqu’il est alimenté via la batterie, afin d’économiser de l’énergie. Pendant les périodes d’activité élevée de traitement, votre ordinateur passera automatiquement à une vitesse de traitement plus élevée. Pour vérifier ce réglage, ouvrez la rubrique Économies d’énergie des Préférences Système et cliquez sur Afficher les détails. Pour modifier automatiquement la vitesse du processeur, choisissez “la batterie” dans le menu local “Réglages de”, cliquez sur Options et sélectionnez “automatique” dans le menu Performance du processeur (pour que votre ordinateur utilise en permanence la vitesse maximale du processeur, choisissez “Maximale” dans le menu local Performance du processeur).  Pour accroître au maximum la durée de vie de la batterie, choisissez “longévité maximale de la batterie” dans le menu local Optimisation des réglages. Informations supplémentaires sur la batterie de votre PowerBook Des informations supplémentaires sont disponibles dans l’Aide Mac OS. Choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis recherchez “batterie”. Vous trouverez également des informations pour rallonger la vie de votre batterie à l’adresse www.apple.com/fr/batteries/notebooks.html. F3140Q41b.book Page 61 Friday, February 18, 2005 5:48 PM62 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur Rainure de sécurité Afin de protéger votre PowerBook contre le vol, vous pouvez vous procurer un câble de sécurité pour attacher votre ordinateur à un bureau ou une table. Informations supplémentaires sur les options de sécurité Des informations supplémentaires sur les fonctionnalités logicielles de sécurité de votre PowerBook, y compris les mots de passe d’utilisateurs multiples et le cryptage de fichiers, sont disponibles dans l’Aide OS Mac. Choisissez Aide puis Aide Mac dans la barre des menus et tapez “sécurité” ou “utilisateurs multiples.” ® Dispositif de verrouillage avec câble de sécurité Logement de sécurité F3140Q41b.book Page 62 Friday, February 18, 2005 5:48 PM4 63 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur Ce chapitre fournit des informations et des instructions pour installer de la mémoire supplémentaire sur votre PowerBook. Installation de mémoire supplémentaire Votre ordinateur est équipé de deux logements de mémoire auxquels vous accédez en retirant la trappe d’accès de la baie de batterie. Votre PowerBook est équipé d’un module de mémoire de 512 Mo de SDRAM (Synchronous Dynamic Random-Access Memory) DDR (Double Data Rate) connecté à un des deux logements disponibles. Les deux logements peuvent accueillir n’importe quel module de mémoire répondant aux caractéristiques suivantes :  Format SO-DIMM (Small Outline-Dual Inline Memory Module)  Taille inférieure à 3,8 cm  512 Mo ou 1 Go (faible énergie)  200 broches  Mémoire RAM de type PC 2700 DDR 333 La quantité maximale de mémoire que vous pouvez installer sur votre PowerBook est de 2 Go en utilisant des modules DIMM de 1 Go dans chacun des logements de mémoire. Avertissement : Apple vous recommande de confier l’installation de mémoire à un technicien agréé Apple. Consultez les informations sur l’assistance technique fournies avec l’ordinateur pour savoir comment joindre la société Apple. Tout dommage causé à votre matériel en tentant d’installer vous-même de la mémoire n’est pas couvert par la garantie limitée de votre ordinateur. F3140Q41b.book Page 63 Friday, February 18, 2005 5:48 PM64 Chapitre 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur Pour installer de la mémoire supplémentaire : 1 Éteignez votre ordinateur. Débranchez l’adaptateur secteur, le câble téléphonique et tout autre câble connecté à l’ordinateur. 2 Retournez l’ordinateur et repérez les loquets de chaque côté de la batterie. Relevez les deux loquets de sorte que cette dernière se dégage légèrement. 3 À l’aide d’un tournevis à pointe cruciforme de taille 00, dévissez le couvercle du logement de mémoire, puis détachez-le de la baie de batterie de l’ordinateur. ª Avertissement : les composants internes de votre PowerBook risquent d’être chauds. Si vous venez d’utiliser votre PowerBook, attendez 10 minutes après l’extinction, afin de laisser aux composants internes le temps de se refroidir. F3140Q41b.book Page 64 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur 65 4 Touchez la surface métallique de l’intérieur de l’ordinateur afin de décharger toute électricité statique que vous pouvez avoir emmagasinée. 5 Si une carte mémoire est déjà installée dans le logement que vous souhaitez utiliser, retirez-la. Écartez les languettes du logement des encoches de la carte mémoire, de sorte que cette dernière se dégage légèrement. Inclinez la carte selon un angle de 30 degrés puis retirez-la doucement en la glissant du logement. F3140Q41b.book Page 65 Friday, February 18, 2005 5:48 PM66 Chapitre 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur 6 Insérez la carte mémoire, inclinée à 30º, dans le logement. Alignez l’encoche de la carte sur la petite languette du logement de mémoire puis glissez la carte dans ce dernier jusqu’à ce que sa partie dorée soit presque invisible. Enfoncez ensuite la carte légèrement vers le bas dans le logement. Il se peut qu’il y ait une certaine résistance. 7 Écartez doucement les petites languettes du logement de mémoire par rapport aux encoches et enfoncez la carte vers le bas jusqu’à ce que les deux agrafes des deux côtés de la carte s’enclenchent. 30 O F3140Q41b.book Page 66 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur 67 8 Replacez la porte d’accès et assurez-vous qu’elle est bien à plat avant de remettre les vis. 9 Remettez la batterie en place. 10 Reconnectez l’adaptateur secteur et tous les autres câbles. F3140Q41b.book Page 67 Friday, February 18, 2005 5:48 PM68 Chapitre 4 Ajout de mémoire à votre ordinateur Vérification de la reconnaissance de la nouvelle mémoire par votre ordinateur Après avoir ajouté de la mémoire dans votre PowerBook, vérifiez si ce dernier la reconnaît. Pour vérifier la mémoire de votre ordinateur : 1 Démarrez votre ordinateur. 2 Lorsque le bureau Mac OS s’affiche, choisissez le menu Pomme (K) > À propos de ce Mac dans la barre des menus. Une zone de dialogue s’affiche en indiquant la quantité de mémoire installée sur votre ordinateur, en tenant compte des éventuels modules ajoutés. Pour plus de détails sur la quantité de mémoire installée sur votre ordinateur, cliquez sur le bouton Plus d’infos. Si la mémoire n’est pas reconnue ou que votre ordinateur ne démarre pas correctement, éteignez-le et relisez les instructions afin d’être sûr que la mémoire est correctement installée et compatible avec ce PowerBook. Si les problèmes persistent, retirez la mémoire et consultez les informations d’assistance technique fournies avec la mémoire ou contactez le fournisseur de la mémoire. F3140Q41b.book Page 68 Friday, February 18, 2005 5:48 PM5 69 5 Dépannage Si vous rencontrez un problème avec votre PowerBook, commencez par chercher ici les solutions et conseils. Généralement, il existe toujours une solution simple et rapide pour le régler. Ayez en tête les conditions qui ont entraîné l’apparition de ce problème. Ce récapitulatif de la totalité des opérations effectuées avant que le problème ne survienne permet de restreindre ses possible causes et de trouver la solution. Les éléments à noter comprennent :  Les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu. Les problèmes qui n’apparaissent qu’avec une application spécifique peuvent indiquer que cette application n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur votre ordinateur.  Les logiciels que vous avez installés récemment, notamment ceux qui ont ajouté des éléments à votre dossier Système. (Certaines applications installent des extensions qui peuvent ne pas être compatibles avec l’environnement Classic).  Tout nouveau composant matériel installé, mémoire supplémentaire ou périphérique par exemple. Vous trouverez également d’autres informations de dépannage dans l’aide Mac OS, sur le site Web d’assistance Apple Support, à l’adresse www.apple.com/fr/support, et dans la base de connaissances AppleCare Knowledge Base à l’adresse kbase.info.apple.com. F3140Q41b.book Page 69 Friday, February 18, 2005 5:48 PM70 Chapitre 5 Dépannage Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur Si l’ordinateur ne répond pas ou que le pointeur se fige  Appuyez sur Commande (x) + Option + Échap pour forcer une application bloquée à quitter. Si une zone de dialogue apparaît, sélectionnez l’application que vous désirez quitter et cliquez sur Forcer à quitter. Si vous travaillez dans l’environnement Classic, maintenez les touches Option et Commande (x) enfoncées, puis appuyez sur la touche Échap. Enregistrez ensuite le travail de toute application ouverte, puis redémarrez l’ordinateur afin de vous assurer que le problème est entièrement réglé.  Si vous ne parvenez pas à forcer la fermeture d’une application, maintenez le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant quelques secondes pour éteindre l’ordinateur.  Si l’ordinateur ne répond toujours pas, essayez de le redémarrer en appuyant simultanément sur les touches Commande (x) et Contrôle de votre clavier et sur le bouton d’alimentation (®). Si le problème survient fréquemment, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus en haut de l’écran. Recherchez le mot “bloquer” pour obtenir de l’aide quand l’ordinateur se bloque ou ne répond pas. Si le problème ne survient qu’avec une application particulière, consultez l’éditeur de l’application concernée afin de vérifier si elle est compatible avec votre ordinateur. Si vous découvrez que l’application est compatible, vous devrez peut-être réinstaller le logiciel système de l’ordinateur ou, si vous utilisez Classic, vérifiez la compatibilité des extensions système. Consultez le sujet suivant pour les instructions. Si l’ordinateur se bloque au démarrage ou qu’un point d’interrogation clignotant apparaît  Patientez quelques secondes. Si l’ordinateur ne démarre pas après un certain temps, éteignez-le en maintenant le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant 5 secondes, jusqu’à ce qu’il s’éteigne complètement. Maintenez ensuite la touche Option enfoncée et appuyez de nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour démarrer votre ordinateur. Lorsque votre ordinateur démarre, cliquez sur l’icône du disque dur, puis sur la flèche droite. Une fois que l’ordinateur a démarré, ouvrez Préférences Système et cliquez sur Démarrage. Sélectionnez un dossier Système Mac OS X.  Si cela ne fonctionne pas, essayez d’utiliser l’Utilitaire de disque pour réparer le disque dur en insérant le disque d’installation “Mac OS X Install Disc 1” dans votre ordinateur. Redémarrez ensuite votre ordinateur en maintenant la touche C enfoncée lors du démarrage. Choisissez Installation > Ouvrir Utilitaire de disque. Lorsque Utilitaire de disque s’ouvre, suivez les instructions dans la sous-fenêtre S.O.S pour tenter de le réparer. F3140Q41b.book Page 70 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 5 Dépannage 71 Si l’utilisation de l’Utilitaire de disque ne résout rien, vous devrez peut-être réinstaller le logiciel système de votre ordinateur. Pour obtenir des instructions, consultez la page 74. Si l’ordinateur ne s’allume pas ou ne démarre pas  Assurez-vous que l’adaptateur secteur est connecté à l’ordinateur et branché sur une prise électrique en état de marche. Veillez à utiliser l’adaptateur secteur fourni avec votre ordinateur.  Vérifiez si votre batterie à besoin d’être rechargée. Appuyez sur le petit bouton situé sur la batterie. Vous devriez voir apparaître un à quatre voyants indiquant le niveau de charge de la batterie. Si un seul témoin lumineux du niveau de la batterie clignote, branchez l’adaptateur secteur pour charger la batterie jusqu’à ce qu’au moins un témoin lumineux reste allumé en permanence.  Si vous n’obtenez aucun résultat, revenez aux réglages initiaux de votre ordinateur en déconnectant l’adaptateur secteur, en retirant la batterie et en maintenant le bouton d’alimentation enfoncé pendant au moins 5 secondes.  Si vous avez récemment ajouté de la mémoire, assurez-vous qu’elle est correctement installée et compatible avec votre ordinateur. Vérifiez si son retrait permet à l’ordinateur de démarrer (voir la page 63).  Si vous ne réussissez toujours pas à démarrer, consultez les informations sur les options de services et d’assistance fournies avec votre PowerBook pour savoir comment contacter Apple. Si l’écran devient soudainement noir ou que votre système se bloque Essayez de redémarrer votre système. 1 Débranchez tout appareil connecté à votre PowerBook excepté de votre adaptateur secteur. 2 Maintenez les touches Commande (x) et Contrôle enfoncées, puis appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour redémarrer le système. 3 Le niveau de charge de la batterie nécessaire à la connexion d’un périphérique et la reprise du travail doit atteindre au moins 10 pour cent. Pour vérifier le niveau de charge de la batterie, regardez l’icône d’état de la batterie dans la barre des menus. F3140Q41b.book Page 71 Friday, February 18, 2005 5:48 PM72 Chapitre 5 Dépannage Autres problèmes Si vous avez oublié votre mot de passe Vous pouvez réinitialiser le mot de passe d’administrateur. 1 Insérez votre CD “Mac OS X Install Disc 1”. Puis redémarrez votre ordinateur et maintenez la touche C enfoncée pendant le démarrage. 2 Choisissez Installation > Réinitialiser le mot de passe dans la barre des menus. Suivez les instructions à l’écran. En cas de problème avec une application  Pour les problèmes liés aux logiciels provenant d’éditeurs tiers, contactez l’éditeur concerné. Les fabricants de logiciels fournissent souvent des mises à jour logicielles sur leurs sites Web.  Vous pouvez configurer votre PowerBook pour qu’il cherche et installe automatiquement les dernières mises à jour Apple via la fenêtre Mise à jour de logiciels des Préférences Système. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis recherchez “mise à jour de logiciels”. En cas de problèmes avec les communications sans fil AirPort Extreme  Vérifiez que vous avez correctement configuré le logiciel en respectant les instructions fournies avec la carte AirPort Extreme, la borne d’accès ou AirPort Express.  Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé et dispose d’un point d’accès sans fil.  Assurez-vous que vous êtes bien dans la zone de portée de l’antenne de l’autre ordinateur ou du point d’accès du réseau en vérifiant le niveau du signal AirPort Extreme ou Air Port Express. Vérifiez l’icône d’état AirPort dans la barre des menus. Jusqu’à quatre barres de mesure apparaissent pour afficher la puissance du signal. Des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre antenne. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en réorientant l’ordinateur.  Consultez l’Aide AirPort (choisissez Aide > Aide Mac, puis Bibliothèque > Aide AirPort dans la barre des menus) et suivez les instructions fournies avec votre périphérique sans fil pour plus d’informations. Si le disque dur de votre ordinateur n’enregistre pas correctement les informations m Dans de rares cas, lorsque le disque dur subit de fortes vibrations, le “Sudden Motion Sensor” peut être activé et causer la perte d’images, de morceaux de son ou de données non enregistrés, si le disque est en train d’effectuer un enregistrement intensif. Si cela se produit, assurez-vous que votre PowerBook est placé dans un environnement stable, ne comportant pas de vibrations ni de mouvements brusques. F3140Q41b.book Page 72 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 5 Dépannage 73 En cas de problèmes avec l’éjection d’un disque m Quittez toute application susceptible d’utiliser le disque et réessayez. Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez l’ordinateur tout en maintenant le bouton du trackpad enfoncé. Si vous suspectez un problème matériel m Vous pouvez utiliser l’application “Apple Hardware Test” pour déterminer s’il existe un problème dû à l’un des composants de votre ordinateur, tels que la mémoire ou le processeur. Pour en savoir plus sur Apple Hardware Test, reportez-vous à “Utilisation de Apple Hardware Test” à la page 75. En cas de problèmes de connexion à Internet  Assurez-vous que votre ligne téléphonique ou que votre câble de réseau est connecté et qu’il fonctionne correctement.  Si vous utilisez une connexion à Internet par ligne commutée, assurez-vous que le câble téléphonique est branché sur le port modem (signalé par le symbole W) et non sur le port Ethernet (signalé par le symbole G ) de l’ordinateur.  Ouvrez la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système et vérifiez les informations qui y sont saisies avec votre Fournisseur d’Accès Internet (FAI) ou votre administrateur réseau. En cas de problèmes de fonctionnement de votre ordinateur ou de Mac OS  Si les réponses à vos questions ne figurent pas dans ce manuel, recherchez des instructions et des informations de dépannage dans l’Aide Mac OS.  Pour obtenir les dernières informations de dépannage et des mises à jour de logiciels, consultez le site Web d’assistance Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/support. F3140Q41b.book Page 73 Friday, February 18, 2005 5:48 PM74 Chapitre 5 Dépannage Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur Utilisez les disques Software install discs fournis avec votre ordinateur pour réinstaller Mac OS X et les applications livrées avec votre ordinateur ainsi que pour installer Mac OS 9 (si vous souhaitez utiliser les applications Mac OS 9 sur votre ordinateur). Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données de votre disque dur avant de procéder à la réinstallation du logiciel. Apple décline toute responsabilité en cas de perte de données. Installation de Mac OS X et des applications Pour installer Mac OS X et les applications fournies avec votre ordinateur, procédez comme suit : 1 Sauvegardez vos fichiers essentiels si cela est possible. 2 Assurez-vous que votre adaptateur secteur est branché. 3 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur. 4 Double-cliquez sur “Install Mac OS X and Bundled Software”. 5 Suivez les instructions à l’écran. 6 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions à l’écran. Il se peut que votre ordinateur redémarre et vous demande d’insérer le prochain disque d’installation de Mac OS X. Remarque : si vous souhaitez rétablir les réglages d’origine de Mac OS X sur votre ordinateur, cliquez sur Options dans la sous-fenêtre “Sélectionner une destination” du programme d’installation, puis choisissez “Effacer et installer”. Important : nous vous conseillons de sauvegarder vos fichiers essentiels avant d’installer Mac OS X et les autres applications car l’option “Effacer et installer” efface votre disque de destination. Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, continuez de suivre les instructions à l’écran pour effectuer une installation de base de Mac OS X. Pour installer des applications personnalisées, cliquez sur Personnaliser, puis cliquez sur le triangle près de l’application et cochez la case correspondant à votre langue, en regard de l’application. F3140Q41b.book Page 74 Friday, February 18, 2005 5:48 PMChapitre 5 Dépannage 75 Installation des applications Pour n’installer que les applications fournies avec votre ordinateur, suivez les instructions ci-après. Mac OS X doit déjà être installé sur votre ordinateur. 1 Sauvegardez vos fichiers essentiels si cela est possible. 2 Assurez-vous que votre adaptateur secteur est branché. 3 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur. 4 Double-cliquez sur “Install Bundled Software Only.” 5 Suivez les instructions à l’écran. 6 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions à l’écran. Il se peut que votre ordinateur redémarre et vous demande d’insérer le prochain disque d’installation de Mac OS X. Remarque : pour installer iCal, iChat AV, iSync, iTunes et Safari, suivez les instructions “Installation de Mac OS X et des applications” ci-dessus. Installation de Mac OS 9 À la livraison de votre PowerBook, Mac OS 9 n’est pas installé. Pour utiliser les applications Mac OS 9 avec votre ordinateur, vous devez installer Mac OS 9 à l’aide de son disque d’installation. Pour installer Mac OS 9, procédez comme suit : 1 Sauvegardez vos fichiers essentiels si cela est possible. 2 Assurez-vous que votre adaptateur secteur est branché. 3 Insérez le disque d’installation de Mac OS 9, livré avec votre ordinateur. 4 Double-cliquez sur “Install Mac OS 9 System Support”. 5 Suivez les instructions à l’écran. 6 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions à l’écran. Utilisation de Apple Hardware Test Apple Hardware Test vous aide à déterminer s’il existe un problème matériel sur votre ordinateur. Pour utiliser Apple Hardware Test : 1 Déconnectez tous les périphériques de votre ordinateur sauf l’adaptateur secteur. Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le. 2 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur. F3140Q41b.book Page 75 Friday, February 18, 2005 5:48 PM76 Chapitre 5 Dépannage 3 Puis redémarrez votre ordinateur en maintenant la touche Option enfoncée lors du démarrage. Une liste de volumes de démarrage disponibles apparaît alors. Cliquez sur Apple Hardware Test, puis sur la flèche droite. 4 Lorsque l’écran principal Apple Hardware Test apparaît environ 45 secondes plus tard, suivez les instructions affichées à l’écran. 5 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple Hardware Test ne détecte pas de panne de matériel, il est probable que le problème soit lié aux logiciels. Pour en savoir plus sur Apple Hardware Test, consultez le fichier Ouvrez-moi d’Apple Hardware Test qui se trouve sur le disque d’installation “Mac OS X Install Disc 1” livré avec votre ordinateur. Installation des outils Xcode Pour installer uniquement les outils Xcode, destinés aux développeurs de logiciels, suivez les étapes suivantes : 1 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur. 2 Double-cliquez sur “Xcode Tools.” 3 Double-cliquez sur “XcodeTools.mpkg.” 4 Suivez les instructions à l’écran. Localisation du numéro de série de votre produit Pour connaître le numéro de série de votre ordinateur, choisissez “À propos de ce Mac” dans le menu Pomme (), puis cliquez sur le bouton Plus d’infos, ou bien, ouvrez Informations système (dans le dossier Applications/Utilitaires), puis cliquez sur Matériel. Le numéro de série de votre PowerBook est aussi situé dans la baie de la batterie. F3140Q41b.book Page 76 Friday, February 18, 2005 5:48 PM 77 A Annexe A Caractéristiques Vous pouvez utiliser Informations Système pour obtenir des informations détaillées sur votre PowerBook, telles que la quantité de mémoire vive, la taille du disque dur, les périphériques connectés et le numéro de série du produit. Pour accéder aux informations dans Informations Système, choisissez le menu Pomme () > À propos de ce Macdans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos ou ouvrez Informations Système, situé dans Applications/Utilitaires. Conditions ambiantes  Température de fonctionnement : 10° C à 35° C  Altitude : 3 048 m maximum  Humidité relative : de 0 % à 9 0 % sans condensation Adaptateur secteur  Entrée : 100-240 volts (V) CA, 50/60 hertz (Hz)  Sortie : 24,5 V CC et 2,65 A Dans la fenêtre apparaissant, cliquez sur les triangles pour afficher ou cacher le contenu des différentes catégories. F3140Q41b.book Page 77 Friday, February 18, 2005 5:48 PM78 Annexe A Caractéristiques Batterie  Sortie : 10,8 V CC  Capacité : 58 Wh Des informations supplémentaires sont disponibles sur les sites Internet www.apple.com/fr/powerbook et www.apple.com/fr/support. F3140Q41b.book Page 78 Friday, February 18, 2005 5:48 PM 79 B Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien Ces consignes de sécurité et de maintenance concernant votre PowerBook sont importantes. Lisez-les. Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation de votre ordinateur Branchement de l’adaptateur secteur Veillez à toujours laisser suffisamment d’espace autour de votre adaptateur secteur. N’utilisez pas ce matériel dans un endroit où l’air ne circule pas près de l’adaptateur secteur ou près de l’ordinateur. Veillez à toujours débrancher l’adaptateur secteur et à retirer la batterie avant d’ouvrir l’ordinateur en vue d’opérations telles que l’installation de mémoire ou le retrait du disque dur. Connexion du modem interne à la ligne téléphonique Veillez à toujours débrancher le câble téléphonique avant d’ouvrir l’ordinateur en vue d’opérations telles que l’installation de mémoire ou l’extraction du disque dur. Connecteurs et ports N’insérez jamais un connecteur en force dans un port. Si le connecteur ne se raccorde pas facilement au port, alors ils sont probablement incompatibles. Assurez-vous que le connecteur correspond bien au port et que vous l’avez correctement positionné par rapport à celui-ci. Avertissement: utilisez uniquement l’adaptateur secteur fourni avec votre ordinateur PowerBook. Les adaptateurs d’autres appareils électroniques (y compris d’autres modèles de PowerBook et d’ordinateurs portables) peuvent paraître similaires, mais risquent d’altérer les performances de votre ordinateur voire de l’endommager. Avertissement: ne branchez pas le modem à une ligne numérique car cela pourrait l’endommager. F3140Q41b.book Page 79 Friday, February 18, 2005 5:48 PM80 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien Utilisation de votre PowerBook Lorsque vous utilisez votre PowerBook ou que vous rechargez la batterie, il est normal que la température du dessous du boîtier s’élève. En cas d’utilisation prolongée, placez votre PowerBook sur une surface plane et stable. Cette partie du boîtier sert de surface de refroidissement et sert à évacuer la chaleur de l’ordinateur vers l’extérieur. Le dessous du boîtier est légèrement surélevé pour permettre la circulation d’air et assurer ainsi à l’équipement une température de fonctionnement normale. De plus, l’ordinateur dégage de l’air chaud à l’arrière du boîtier. Transport de votre PowerBook Si vous transportez votre PowerBook dans un sac ou dans un attaché-case, assurez-vous que ce dernier ne contient pas d’objets non attachés (tels que des trombones ou des pièces de monnaie) qui pourraient pénétrer accidentellement dans l’ordinateur par une ouverture telle que la fente du lecteur optique. Rangement de votre PowerBook Si vous comptez ranger votre PowerBook pendant une période prolongée, effectuez l’une des opérations suivantes afin d’empêcher la décharge complète de la batterie : • Laissez l’adaptateur secteur branché. • Chargez complètement la batterie avant de stocker l’ordinateur. • Rechargez complètement la batterie du PowerBook, puis retirez-la avant de stocker l’ordinateur (en particulier si la période de stockage est supérieure à 5 mois). Nettoyage de votre PowerBook Respectez les règles suivantes lors du nettoyage de votre ordinateur et de ses accessoires : • Éteignez votre PowerBook et retirez la batterie. • Pour nettoyer le boîtier de l’ordinateur, utilisez un chiffon doux, humide et non pelucheux. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’ordinateur. • N’utilisez ni aérosols, ni dissolvant, ni abrasifs. Avertissement: ne posez pas votre PowerBook allumé sur un oreiller ou tout autre surface dans laquelle il pourrait s’enfoncer, car cela risque de bloquer les conduits d’air, en particulier les conduits arrière, et d’entraîner une surchauffe de l’ordinateur. Évitez également de laisser des objets sur le clavier avant de rabattre l’écran. Cela risque de provoquer une succession d’arrêts et de mises en marche de votre ordinateur, entraînant une surchauffe et la décharge de la batterie. N’allumez jamais l’ordinateur tant que tous ses composants internes ou externes ne sont pas en place. L’utilisation de l’ordinateur lorsque son boîtier est ouvert ou que certains composants ont été démontés peut s’avérer dangereuse et risque de l’endommager. F3140Q41b.book Page 80 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 81 Nettoyage de l’écran de votre PowerBook Pour nettoyer l’écran, procédez comme suit : • Éteignez votre PowerBook et retirez la batterie. • Humidifiez, à l’eau seulement, un chiffon propre, doux et non pelucheux et essuyez l’écran. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’écran. Consignes générales de sécurité Pour votre propre sécurité et celle de votre matériel, veillez à toujours prendre les précautions ci-après. Débranchez le cordon d’alimentation (en tirant sur la prise plutôt que sur le cordon), retirez la batterie principale et débranchez le câble téléphonique si l’un des cas suivants se présente : • vous voulez retirer un ou plusieurs composants ; • le câble d’alimentation ou la prise est endommagé(e) ; • un liquide a été renversé dans le boîtier ; • votre ordinateur est exposé à la pluie ou à une humidité excessive ; • votre ordinateur a subi une chute ou le boîtier a été endommagé de quelque autre façon ; • vous pensez que votre ordinateur a besoin d’être inspecté ou réparé ; • vous voulez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez à la lettre les instructions exposées précédemment). Important: la seule manière de couper complètement l’alimentation de l’ordinateur consiste à débrancher le cordon d’alimentation et le câble téléphonique, et à retirer la batterie. Assurez-vous qu’au moins une extrémité du cordon d’alimentation se trouve à portée de main afin de pouvoir débrancher l’ordinateur si nécessaire. Observez toujours les consignes ci-dessous : • Évitez de placer votre ordinateur à proximité d’un évier, d’un lavabo, d’une baignoire, d’une douche, etc. • Protégez votre ordinateur de l’humidité et des intempéries (neige, pluie...). • Lisez soigneusement les instructions d’installation avant de brancher votre ordinateur sur une prise murale. Avertissement: votre cordon d’alimentation CA est livré avec une fiche de terre à trois broches (fiche équipée d’une troisième broche de mise à la terre). Cette fiche ne peut être branchée que sur une prise CA reliée à la terre. Si vous ne pouvez pas brancher la fiche car la prise n’est pas reliée à la terre, contactez un électricien agréé pour qu’il remplace cette prise par une prise reliée à la terre. Ne dérogez en aucun cas à cette consigne. F3140Q41b.book Page 81 Friday, February 18, 2005 5:48 PM82 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien • Gardez ces instructions dans un endroit facile d’accès pour vous et pour les utilisateurs éventuels. • Suivez toutes les instructions et mises en garde concernant votre système. Important: le matériel électrique peut s’avérer dangereux s’il n’est pas utilisé correctement. L’utilisation de ce produit ou de tout produit similaire doit toujours être supervisée par un adulte. Évitez que des enfants ne manipulent les composants internes ou les câbles de ces appareils. Batterie Protégez votre système auditif Avertissement: n’introduisez jamais d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures du boîtier. Cela peut être dangereux et provoquer un incendie ou un choc électrique. Avertissement: il y a un risque d’explosion si la batterie est remplacée par une autre de type incorrect. Disposez des batteries usagées conformément aux directives d’environnement locales en vigueur. Veillez à ne pas percer ni incinérer la batterie. Avertissement: vous risquez de devenir sourd si vous utilisez des écouteurs ou un casque à un volume trop élevé. Il est possible de supporter petit à petit des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent sembler normaux à la longue, mais qui risquent néanmoins d’endommager votre ouïe. Réglez le volume de votre PowerBook à un niveau raisonnable avant que le mal soit fait. Si vous souffrez de bourdonnements d’oreilles, baissez le volume ou cessez d’utiliser des écouteurs ou un casque avec votre PowerBook. F3140Q41b.book Page 82 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 83 Apple et l’environnement Apple Computer, Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact de ses produits et de ses activités sur l’environnement. Pour plus d’informations Rendez-vous sur www.apple.com/environment/summary.html (en anglais). Ergonomie Voici quelques conseils pour la mise en place d’un environnement de travail sain. Clavier et trackpad Lorsque vous tapez au clavier ou que vous vous servez du trackpad, vos épaules doivent être détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, la main étant placée dans le prolongement du poignet. Vous devez avoir les mains et les doigts détendus lorsque vous tapez au clavier ou que vous utilisez le trackpad. Évitez de replier les pouces à l’intérieur des paumes. Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un effort continu et intensif, certains utilisateurs ressentent des douleurs aux mains, aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste. Position recommandée Position à éviter Position recommandée Position à éviter F3140Q41b.book Page 83 Friday, February 18, 2005 5:48 PM84 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien Siège Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale et vos pieds à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire, c’est-à-dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie. Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Vous pouvez également abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau dont le poste de saisie est situé plus bas que le plan de travail. Souris externe Si vous utilisez une souris externe, veillez à ce qu’elle se trouve à hauteur du clavier. Ménagez un espace suffisant pour la manipuler avec aisance. Écran intégré Orientez l’écran de manière à réduire le plus possible les reflets de l’éclairage électrique et de la lumière du jour. Ne forcez pas l’écran si vous rencontrez une résistance. L’angle d’ouverture maximal de l’écran ne peut dépasser 140 degrés. Réglez la luminosité et le contraste de l’écran chaque fois que vous déplacez l’ordinateur ou que l’éclairage ambiant change. Pour plus d’informations Rendez-vous sur le site Web www.apple.com/about/ergonomics. F3140Q41b.book Page 84 Friday, February 18, 2005 5:48 PM 85 C Annexe C Connexion à Internet Votre ordinateur vous permet de naviguer sur le Web, d’échanger du courrier électronique avec vos amis et votre famille ou de dialoguer en temps réel via Internet. Suivez les instructions de ce guide détaillé pour vous connecter à Internet. Lors du premier démarrage de Mac OS X, l’Assistant réglages vous aide à saisir vos informations de configuration Internet. Si vous n’avez pas utilisé l’Assistant réglages pour configurer votre connexion à Internet, vous pouvez l’utiliser maintenant. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. Cliquez sur le bouton “Assistez-moi” pour ouvrir l’Assistant réglages de réseau. Si vous ne souhaitez pas utiliser l’Assistant réglages de réseau, vous pouvez utiliser les informations figurant dans cette annexe pour configurer votre connexion manuellement. Il existe quatre types de connexion à Internet : • Connexion par ligne téléphonique : l’ordinateur est relié à une prise téléphonique murale via un câble téléphonique (pour les ordinateurs comprenant un modem). • Connexion via un modem câble ou DSL à haut débit : l’ordinateur est relié via un câble Ethernet à un modem spécial fourni par un FAI. • Connexion sans fil AirPort Extreme : l’ordinateur est connecté sans fil à Internet via une borne d’accès Airport Extreme ou AirPort Express. • Réseau local (LAN) : l’ordinateur est connecté à un réseau local via un câble Ethernet. C’est le type de connexion habituellement utilisé dans les entreprises. F3140Q41b.book Page 85 Friday, February 18, 2005 5:48 PM86 Annexe C Connexion à Internet Avant de vous connecter à Internet Pour utiliser Internet, vous devez disposer d’un compte auprès d’un fournisseur d’accès à Internet  l’Assistant réglages peut vous configurer un compte. Dans certains pays, l’Assistant réglages ne peut pas configurer de compte auprès d’un fournisseur d’accès à Internet. Vous devez alors vous adresser vous-même à un FAI afin d’obtenir un compte, puis utiliser les informations de cette annexe pour configurer votre connexion. Remarque: si vous choisissez America Online, sautez l’étape Réglages Internet de l’Assistant réglages. Installez AOL pour Mac OS X et suivez les instructions d’installation. Procurez-vous les informations de connexion auprès de votre FAI ou de votre administrateur réseau. Consultez la section “Collecte des informations nécessaires” pour savoir quelles sont les informations dont vous avez besoin pour chaque type de connexion. Si un autre ordinateur se trouvant au même emplacement est déjà connecté à Internet, vous pouvez probablement utiliser ses réglages. Pour accéder aux réglages sur un ordinateur Mac OS X : • Ouvrez la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système. • Dans le menu local Afficher, sélectionnez votre mode de connexion. • Copiez les informations concernant votre connexion. Pour accéder aux réglages sur un ordinateur Mac OS 9 : • Ouvrez le tableau de bord TCP/IP. • Rechercher le mode de connexion dans le menu local “Connexion”. • Rechercher la configuration dans le menu local Configurer. • Notez l’adresse IP, le masque de sous-réseau et l’adresse du routeur figurant dans les champs correspondants. Pour accéder aux réglages sur un PC Windows : Les informations de connexion d’un PC Windows se trouvent à deux endroits. • Pour rechercher l’adresse IP et le masque de sous-réseau, ouvrez le tableau de bord “Connexions Réseau et Internet”. • Pour accéder aux informations relatives aux comptes d’utilisateurs, ouvrez le tableau de bord Comptes d’utilisateurs. Vous pouvez écrire ces informations directement sur les pages suivantes, puis les saisir dans l’Assistant réglages. Si vous utilisez un modem téléphonique, branchez le câble téléphonique (inclus avec la plupart des ordinateurs Macintosh) sur le port modem de votre ordinateur et sur une prise téléphonique murale. Si vous disposez d’un modem DSL ou câble, connectez-le à votre ordinateur en suivant les instructions incluses. F3140Q41b.book Page 86 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe C Connexion à Internet 87 Collecte des informations nécessaires Vous pouvez noter sur ces pages les informations obtenues auprès de votre Fournisseur d’Accès à Internet (FAI), de votre administrateur réseau ou de votre autre ordinateur, puis les saisir dans l’Assistant réglages de réseau. Pour configurer une connexion téléphonique classique, procurez-vous les informations suivantes : • Nom du fournisseur d’accès • Nom de l’utilisateur ou du compte • Mot de passe • Numéro de téléphone du FAI • Autre numéro de téléphone • Préfixe pour obtenir une ligne extérieure Pour configurer une connexion DSL, modem câble, LAN ou sans fil AirPort Extreme : m Commencez par choisir votre méthode de connexion (contactez votre administrateur réseau ou votre FAI si vous ne la connaissez pas) : • Manuellement • Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle • Via DHCP • Via BootP • PPP Si vous ne savez pas quelle méthode utiliser, “Via DHCP” peut être un bon choix, car le réseau fournit automatiquement la plupart des informations requises. Si vous avez sélectionné “Manuellement” ou “Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle”, regroupez les informations suivantes : • Adresse IP • Masque de sous-réseau • Adresse du routeur Remarque: si vous avez sélectionné “Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle”, vous n’avez pas besoin d’un masque de sous-réseau ou d’une adresse de routeur. Si vous avez sélectionné “Via DHCP”, regroupez les informations facultatives suivantes (consultez votre FAI si nécessaire) : • ID client DHCP • Serveurs DNS Si vous avez sélectionné “PPP”” (pour des connexions PPPoE), procurez-vous les informations suivantes : • Fournisseur de services • Nom du compte F3140Q41b.book Page 87 Friday, February 18, 2005 5:48 PM88 Annexe C Connexion à Internet • Mot de passe • Nom du service PPPoE Les informations ci-dessous sont facultatives. Consultez votre FAI ou votre administrateur système si nécessaire. • Serveurs DNS • Nom de domaine • Serveur proxy Saisie de vos informations Après vous être procuré les informations de configuration spécifiques auprès de votre FAI ou de votre administrateur réseau, vous pouvez cliquer sur le bouton Assistez-moi dans la sous-fenêtre des préférences Réseau pour ouvrir l’Assistant réglages de réseau ou bien saisir les informations manuellement. Pour saisir vos informations manuellement, suivez les étapes correspondant à votre mode de connexion. • Modem téléphonique avec connexion PPP (Point-to-Point Protocol) (voir la page 89) • Connexion par modem câble, DSL ou LAN en utilisant ces configurations : • Manuelle (voir la page 93) • DHCP (voir la page 94) • PPPoE (voir la page 95) • Connexion sans fil AirPort Extreme (voir la page 96) F3140Q41b.book Page 88 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe C Connexion à Internet 89 Modem commuté avec connexions PPP (Point-To-Point Protocol) Le modem commuté constitue la manière la plus courante de se connecter à Internet. Votre modem utilise une méthode appelée PPP (Point-to-Point Protocol) pour se connecter à un FAI. Assurez-vous que votre modem est branché sur une ligne téléphonique et que vous disposez des informations fournies par votre FAI (voir la page 87). Pour configurer les Préférences réseau pour vous connecter via le port de modem interne : 1 Choisissez le menu Pomme (), puis Préférences Système dans la barre des menus. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Choisissez Configuration des ports réseau dans le menu local Afficher, puis cochez la case Activé à côté de Modem interne. 4 Faites glisser Modem interne en haut de la liste Configurations de port pour en faire l’interface réseau préférée ou principale. 5 Choisissez Modem interne dans le menu local Afficher et cliquez sur PPP. F3140Q41b.book Page 89 Friday, February 18, 2005 5:48 PM90 Annexe C Connexion à Internet 6 Tapez les informations fournies par votre FAI, puis cliquez sur Appliquer. Pour tester votre configuration Internet : 1 Ouvrez l’application Connexion à Internet (dans le dossier Applications). 2 Cliquez sur l’icône Modem interne si nécessaire. 3 Tapez le numéro de téléphone de connexion de votre FAI, votre nom de compte et votre mot de passe, si nécessaire. 4 Cliquez sur Se connecter. L’application Connexion à Internet compose le numéro de votre FAI et établit une connexion. F3140Q41b.book Page 90 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe C Connexion à Internet 91 Pour vous connecter automatiquement dès que vous ouvrez une application TCP/IP, telle qu’un navigateur Web ou une messagerie électronique : 1 Cliquez sur Options PPP (dans la sous-fenêtre PPP des préférences Réseau). 2 Cochez la case “Se connecter automatiquement si nécessaire”. 3 Cliquez sur OK, puis sur Appliquer. Connexions à Internet par ligne DSL, modem câble ou réseau LAN Si vous vous connectez à Internet soit à l’aide d’un modem DSL ou câble, soit via un réseau LAN Ethernet, demandez à votre FAI ou à votre administrateur réseau comment vous devriez configurer votre connexion à Internet : • Manuellement : dans le cas d’une configuration manuelle, votre FAI ou administrateur réseau vous indique une adresse IP statique et d’autres informations que vous devez saisir dans les Préférences réseau. • Utilisation du protocole DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) : avec une configuration DHCP, le serveur DHCP saisit automatiquement les informations à votre place. • Utilisation du protocole PPPoE (Point-to-Point Protocol over Ethernet) : si vous utilisez un modem DSL et que vous avez besoin d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe pour vous connecter à Internet, vous devrez éventuellement configurer votre réseau pour qu’il utilise le protocole PPPoE. Lors de la configuration de votre réseau, veillez à garder les informations fournies par votre FAI à portée de main (voir la page 87). F3140Q41b.book Page 91 Friday, February 18, 2005 5:48 PM92 Annexe C Connexion à Internet Pour configurer les Préférences réseau pour le port Ethernet intégré : 1 Choisissez le menu Pomme (), puis Préférences Système dans la barre des menus. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau. 4 Cochez la case Activé à côté d’Ethernet intégré. 5 Faites glisser Ethernet intégré en haut de la liste Configurations de port pour en faire l’interface réseau préférée ou principale. Suivez ensuite les instructions de configuration manuelle de votre réseau, via DHCP ou PPPoE, selon les recommandations de votre FAI ou de votre administrateur réseau. F3140Q41b.book Page 92 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe C Connexion à Internet 93 Configuration manuelle Ayez à portée de main votre adresse IP statique, l’adresse du routeur et le masque de sous-réseau fournis par votre FAI(voir la page 87). Pour procéder à la configuration manuelle : 1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher. 2 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire. 3 Dans le menu local Configurer IPv4, choisissez Manuellement. 4 Remplissez le reste des champs. 5 Cliquez sur Appliquer. Votre connexion est prête dès que vous avez configuré votre réseau. Ouvrez votre navigateur Web (ou une autre application TCP/IP) afin de tester votre connexion à Internet. F3140Q41b.book Page 93 Friday, February 18, 2005 5:48 PM94 Annexe C Connexion à Internet Configuration DHCP Après avoir choisi une configuration DHCP, le serveur DHCP fournit automatiquement les informations de votre réseau. Pour effectuer une configuration DHCP : 1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher. 2 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire. 3 Choisissez Via DHCP dans le menu local Configurer IPv4. 4 Cliquez sur Appliquer. Ouvrez votre navigateur Web (ou une autre application TCP/IP) afin de tester votre connexion à Internet. Remarque: sauf instructions contraires de votre FAI, ignorez les champs Client DHCP et Domaines de recherche. F3140Q41b.book Page 94 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe C Connexion à Internet 95 Configuration PPPoE Certains FAI recourant à la technologie DSL utilisent le protocole PPPoE (Point-to-Point Protocol over Ethernet). Si vous utilisez un modem DSL et que vous avez besoin d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe pour vous connecter à Internet, contactez votre FAI pour savoir si vous devez vous connecter via PPPoE. Pour configurer une connexion PPPoE : Ayez à portée de main votre nom d’utilisateur, votre mot de passe et, le cas échéant, l’adresse du serveur de noms de domaine (DNS) fournis par votre FAI (voir la page 87). 1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher. 2 Cliquez sur PPPoE et sélectionnez “Se connecter via PPPoE”. 3 Remplissez le reste des champs. Si vous souhaitez que tous les utilisateurs de votre ordinateur utilisent la même méthode de connexion, sélectionnez “Enregistrer le mot de passe”. Remarque: pour vous connecter automatiquement au démarrage d’une application TCP/IP, telle qu’un navigateur Web ou une application de courrier électronique, cliquez sur Options PPPoE, puis sélectionnez “Se connecter automatiquement si nécessaire”. 4 Cliquez sur TCP/IP et sélectionnez Via PPP ou Manuellement dans le menu local Configurer IPv4, selon les instructions de votre FAI. Si votre FAI vous a communiqué une adresse IP statique, choisissez Manuellement et tapez l’adresse dans le champ Adresse IP. F3140Q41b.book Page 95 Friday, February 18, 2005 5:48 PM96 Annexe C Connexion à Internet 5 Saisissez les adresses des serveurs de noms de domaine (DNS) dans le champ Serveurs DNS. 6 Cliquez sur Appliquer. Votre connexion à Internet est prête dès que vous avez configuré votre réseau. Vous pouvez alors ouvrir votre navigateur Web ou une autre application TCP/IP afin de tester votre connexion. Important: si vous n’avez pas sélectionné l’option de connexion automatique, vous devez ouvrir l’application Connexion à Internet, choisir la configuration adéquate, puis cliquer sur Se connecter. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Connexion à Internet dans la barre des menus située en haut de l’écran. Connexion sans fil AirPort Extreme Vous pouvez configurer votre réseau AirPort Extreme et votre connexion Internet à l’aide de l’Assistant réglages AirPort, situé dans le dossier Utilitaires de votre dossier Applications. L’assistant vous aide à configurer votre borne d’accès AirPort Extreme ou Airport Express et à préparer votre ordinateur pour utiliser AirPort Extreme. Pour plus d’informations sur votre borne d’accès, consultez la documentation qui l’accompagne. Si votre borne d’accès AirPort Extreme ou Airport Express est déjà configurée, votre carte AirPort Extreme peut dans la plupart des cas y accéder immédiatement. F3140Q41b.book Page 96 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe C Connexion à Internet 97 Pour vérifier si vous avez accès à un réseau AirPort Extreme : m Cliquez sur l’icône d’état AirPort dans la barre des menus et choisissez un réseau AirPort dans la liste. Si aucun réseau AirPort n’y figure, vous pouvez utiliser l’Assistant réglages AirPort pour vérifier ou modifier vos réglages ou bien les changer via la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système. Configuration manuelle d’une connexion AirPort Extreme Pour configurer une connexion manuelle utilisant des adresses spécifiques affectées par avance pour vos serveurs et votre ordinateur, procurez-vous les informations suivantes auprès de votre administrateur de système. Si vous vous connectez via DHCP, la plupart de ces informations sont automatiquement transmises à votre ordinateur via le réseau. Consultez votre administrateur de système pour obtenir les renseignements nécessaires. • Adresses des serveurs de noms de domaine (DNS), si nécessaire • Configuration d’adresse IP manuelle ou via DHCP • Adresse IP • Adresse du routeur • Masque de sous-réseau • Mot de passe, si nécessaire Assurez-vous ensuite que les options de connexion AirPort sont activées dans les préférences Réseau. F3140Q41b.book Page 97 Friday, February 18, 2005 5:48 PM98 Annexe C Connexion à Internet Pour configurer les Préférences réseau pour une connexion AirPort Extreme : 1 Choisissez le menu Pomme (), puis Préférences Système dans la barre des menus. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau. 4 Cochez la case Activé à côté d’AirPort. Suivez ensuite les instructions fournies par votre FAI ou votre administrateur réseau pour configurer votre réseau manuellement ou via DHCP. Si vous configurez vousmême votre réseau, il est peut-être plus simple d’utiliser DHCP car le serveur attribue automatiquement les adresses IP. 5 Choisissez AirPort dans le menu local Afficher. 6 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire. F3140Q41b.book Page 98 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe C Connexion à Internet 99 7 Dans le menu local Configurer IPv4, choisissez Manuellement ou Via DHCP. • Si vous choisissez Manuellement, saisissez les autres informations dans les champs correspondants. • Si vous choisissez Via DHCP, il est inutile de saisir d’autres informations, sauf instructions contraires de votre administrateur de système. 8 Cliquez sur AirPort et sélectionnez les options requises pour vous connecter à un réseau AirPort Extreme après le redémarrage ou lors de la réactivation de l’ordinateur après une suspension d’activité. 9 Cliquez sur Appliquer. Une fois les réglages AirPort configurés, vous êtes prêt à vous connecter. Pour tester votre connexion AirPort Extreme : m Cliquez sur l’icône d’état AirPort dans la barre des menus et choisissez Activer AirPort. Tout réseau AirPort Extreme situé dans la zone de couverture doit apparaître dans le menu. F3140Q41b.book Page 99 Friday, February 18, 2005 5:48 PM100 Annexe C Connexion à Internet Dépannage de votre connexion Connexion à Internet par modem câble, ligne DSL et réseau LAN Si vous ne parvenez pas à vous connecter à Internet à l’aide de votre modem câble ou DSL ou via votre réseau local (LAN), suivez les étapes ci-après. Important: les instructions relatives aux modems ne concernent pas les utilisateurs de réseau LAN. Contrairement aux utilisateurs de modems câble et DSL, les utilisateurs de réseau LAN peuvent disposer de concentrateurs, de commutateurs, de routeurs et autres dispositifs de connexion. Ils doivent faire appel à leur administrateur réseau plutôt qu’à un FAI. Vérifiez les câbles et les sources d’alimentation Assurez-vous que tous les câbles du modem sont correctement branchés, y compris le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à l’ordinateur et le câble raccordant le modem à la prise murale. Vérifiez les câbles et l’alimentation des routeurs et des concentrateurs Ethernet. Éteignez puis rallumez le modem et réinitialisez le matériel modem Éteignez votre modem DSL ou votre modem câble pendant quelques minutes puis rallumez-le. Certains FAI conseillent de débrancher le câble d’alimentation du modem. Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez l’actionner avant ou après avoir éteint puis rallumé le modem. Connexions PPPoE Si vous n’arrivez pas à vous connecter à votre FAI via PPPoE, commencez par vérifier les câbles et l’alimentation, puis éteignez le modem et rallumez-le et réinitialisez le matériel modem. Vérifiez les réglages de Préférences Système 1 Choisissez le menu Pomme (), puis Préférences Système dans la barre des menus. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau. 4 Sélectionnez Ethernet intégré, puis faites glisser cette configuration en haut de la liste des configurations de ports. 5 Choisissez Ethernet intégré dans le menu local Afficher. 6 Cliquez sur PPPoE. 7 Sélectionnez Se connecter via PPPoE. 8 Vérifiez le champ Nom de compte pour vous assurer d’avoir tapé les informations correctes fournies par votre FAI. 9 Si vous avez choisi d’enregistrer votre mot de passe, saisissez-le à nouveau afin d’être sûr(e) qu’il est correct. F3140Q41b.book Page 100 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe C Connexion à Internet 101 10 Cliquez sur TCP/IP. Assurez-vous d’avoir saisi dans cette sous-fenêtre les informations correctes fournies par votre FAI. 11 Cliquez sur Appliquer. Connexions au réseau Si vous disposez de plusieurs ordinateurs tentant de partager une connexion à Internet, assurez-vous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre FAI fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque ordinateur. Si une seule adresse IP est utilisée, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion (on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage d’adresses IP). Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre réseau. La borne d’accès AirPort Extreme peut être utilisée pour que plusieurs ordinateurs partagent une adresse IP. Pour plus d’informations sur l’utilisation de la borne d’accès AirPort Extreme, consultez l’aide à l’écran ou rendez-vous sur le site Web AirPort, à l’adresse www.apple.com/fr/airport. Si ces instructions s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés, contactez votre fournisseur d’accès à Internet. F3140Q41b.book Page 101 Friday, February 18, 2005 5:48 PMF3140Q41b.book Page 102 Friday, February 18, 2005 5:48 PM 103 D Annexe D Les dix questions principales Une question ? Voici les dix questions les plus fréquemment posées par les nouveaux utilisateurs du PowerBook. Ma connexion Internet ne semble pas fonctionner. Comment la configurer ? Il y a différents types de connexions Internet. Vous pouvez, par exemple, vous connecter via un modem, une connexion DSL, une connexion sans fil AirPort ou via un réseau Ethernet. Vous devrez fournir à Mac OS X des informations spécifiques sur votre type de connexion, votre fournisseur d’accès Internet ou votre réseau. La première étape de configuration de votre connexion consiste à regrouper les informations requises pour votre type de connexion. Pour connaître les informations requise et savoir comment configurer votre type de connexion, consultez l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 85. Votre ordinateur dispose également d’une application Assistant réglages pour vous aider à configurer votre connexion Internet. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. Cliquez sur le bouton “Assistez-moi” pour ouvrir l’Assistant réglages de réseau. Comment configurer mon imprimante ? Est-elle compatible avec mon PowerBook ? Commencez par connecter votre imprimante et installer tous les logiciels en suivant les instructions fournies avec. Ensuite, ouvrez les Préférences Système puis cliquez sur l’icône Imprimantes et fax. Utilisez la sous-fenêtre Imprimantes et fax pour configurer votre PowerBook de sorte qu’il puisse utiliser l’imprimante. De nombreuses informations sur la configuration des imprimantes sont également disponibles dans l’Aide Mac OS (tapez “Imprimante” dans le champ de recherche). Consultez également “Connexion à une imprimante” à la page 29 de ce manuel. Si votre imprimante ne semble pas fonctionner comme prévu, consultez le site Web du fabricant pour obtenir les pilotes d’impression mis à jour. La dernière version du logiciel d’imprimante est souvent disponible en téléchargement. F3140Q41b.book Page 103 Friday, February 18, 2005 5:48 PM104 Annexe D Les dix questions principales Si vous envoyez une tâche à votre imprimante et que celle-ci n’imprime pas, cliquez sur l’icône de l’imprimante dans le Dock pour vérifier si l’impression est interrompue ou si la tâche est en pause (si aucune icône n’apparaît dans le Dock, ouvrez Configuration d’imprimante dans le dossier Applications/Utilitaires et double-cliquez sur le nom de l’imprimante). Si la fenêtre de l’imprimante annonce “Tâche suspendue”, cliquez sur le bouton Démarrer tâches. Si “Pause” apparaît à côté du nom de la tâche, reprenez l’impression en cliquant sur le nom de la tâche, puis sur Reprendre. Si l’impression d’une tâche a été interrompue à la suite d’une erreur technique, effacez la tâche défectueuse en la sélectionnant et en cliquant sur Effacer. Essayer ensuite d’imprimer la tâche à nouveau. Comment fonctionne l’interface Mac OS X ? Les nouveaux utilisateurs de Mac OS X se demandent souvent comment exécuter certaines tâches. L’aide Mac OS constitue l’outil de référence pour obtenir des informations sur Mac OS. S’y trouvent des explications préliminaires destinées aux nouveaux utilisateurs, aux utilisateurs Windows s’initiant à Mac OS X ainsi qu’aux utilisateurs ayant effectué une mise à niveau de Mac OS 9. Ouvrez l’Aide Mac OS en choisissant Aide > Aide Mac dans la barre de menus du Finder située en haut de l’écran et consultez les informations destinées aux nouveaux utilisateurs. Comme de nombreuses tâches élémentaires qui intéressent les utilisateurs nécessitent le Finder, recherchez aussi dans “Finder”. Comment prolonger la longévité de la batterie de mon PowerBook ? Vous pouvez économiser l’énergie de la batterie à l’aide de la fenêtre des préférences Économies d’énergie pour spécifier quand l’ordinateur doit suspendre son activité et quand l’écran doit s’éteindre. Ouvrez Préférences système et cliquez sur l’icône Économiseur d’énergie. Choisissez les réglages les mieux adaptés à votre mode d’utilisation. L’utilisation de périphériques, tels que les disques durs, qui tirent leur énergie de votre ordinateur, peut aussi contribuer à diminuer l’autonomie de votre batterie. Vous pouvez économiser l’énergie de la batterie en déconnectant ces appareils. Vous pouvez également vous procurer une batterie supplémentaire et la brancher à votre ordinateur lorsque la batterie est faible. Pour plus d’informations sur les moyens d’économiser l’énergie de la batterie, voir “Conseils d’économie de la batterie” à la page 60. F3140Q41b.book Page 104 Friday, February 18, 2005 5:48 PMAnnexe D Les dix questions principales 105 J’ai inséré un disque dans le lecteur optique, mais rien ne se passe. Comment savoir si le disque est compatible avec mon lecteur optique ? Appuyez sur la touche Éjecter disque (C) pour éjecter le disque. Les lecteurs optiques à chargement par fente Apple ne prennent en charge que des disques circulaires de 12 cm. Les disques non standard n’ayant pas une forme circulaire ne fonctionnent pas avec le lecteur optique. Pour plus d’informations sur les disques non standard, consultez la base de données AppleCare Knowledge Base à l’adresse www.apple.com/fr/support. Comment connecter un moniteur ou un téléviseur à mon PowerBook ? Votre PowerBook est équipé d’un port moniteur externe ainsi que d’adaptateurs destinés à la connexion de la plupart des moniteurs, téléviseurs et écrans vidéo existant sur le marché. Si votre périphérique possède un connecteur différent du port moniteur externe de votre PowerBook, vous devez relier un adaptateur pour le connecter au port. Pour savoir quels adaptateurs sont livrés avec votre PowerBook, voir la page 5. Pour plus d’informations sur la connexion d’écrans et autres périphériques, consultez “Gestion vidéo externe (DVI/VGA et S-Vidéo)” à la page 49. J’ai oublié mon mot de passe. Comment le réinitialiser ? Pour réinitialiser votre mot de passe, démarrez à partir du disque d’installation et de restauration de logiciels qui vous a été fourni avec votre ordinateur. Une fois le programme d’installation ouvert, sélectionnez Installation > Réinitialiser le mot de passe dans la barre des menus. Suivez les instructions à l’écran. J’entends un ventilateur se déclencher et mon PowerBook semble chauffer. Est-ce normal ? Votre PowerBook est conçu pour fonctionner dans le cadre de limites thermiques sûres. Le ventilateur se déclenche et fonctionne pour maintenir le PowerBook à températures normales lorsqu’il est en activité. La partie inférieure de votre PowerBook est susceptible de chauffer car elle sert à évacuer la chaleur par le boîtier. Cela est normal. Pour en savoir plus, reportez-vous à la sections “Utilisation de votre PowerBook” à la page 80. Avertissement: l’insertion d’un disque non standard risque d’endommager le lecteur. F3140Q41b.book Page 105 Friday, February 18, 2005 5:48 PMMon application ou Mac OS X ne semblent pas fonctionner correctement. Dois-je réinstaller Mac OS X ? Le processus de dépannage d’un problème exige que vous déterminiez un certain nombre de choses, comme savoir si un problème arrive toujours avec une application spécifique, s’il est lié au système d’exploitation ou s’il est dû à un matériel défectueux. Avant de réinstaller, consultez “Dépannage” à la page 69 pour vous aider à analyser le problème. Apple vous fournit également un grand nombre d’explications et de conseils techniques pour résoudre vos problèmes dans la base de données AppleCare Knowledge Base. Pour accéder à cette base de données en ligne, allez sur www.apple.com/fr/support. Si vous constatez qu’une réinstallation de Mac OS X s’impose, vous trouverez des instructions dans “Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur” à la page 74. J’ai installé une application sur mon PowerBook, mais elle ne semble pas fonctionner. Où trouver de l’aide ? Consultez la documentation livrée avec l’application ou le site Web du fabricant pour obtenir des instructions sur l’assistance. Les fabricants sont souvent conscients des problèmes courants susceptibles de survenir avec leurs applications et fournissent des solutions et des mises à jours à usage immédiat. Si votre programme n’est pas un produit Apple, contactez directement l’éditeur pour obtenir une meilleure assistance. F3140Q41b.book Page 106 Friday, February 18, 2005 5:48 PM 107 Communications Regulation Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures:  Turn the television or radio antenna until the interference stops.  Move the computer to one side or the other of the television or radio.  Move the computer farther away from the television or radio.  Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple-authorized service provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Changes or modifications to this product not authorized by Apple Computer, Inc., could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product This product has demonstrated EMC compliance under conditions that included the use of compliant peripheral devices and shielded cables between system components. It is important that you use compliant peripheral devices and shielded cables between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Computer, Inc. Product Compliance, 1 Infinite Loop M/S 26-A, Cupertino, CA 95014-2084, 408-974-2000. Bluetooth Information FCC Bluetooth Wireless Compliance The antenna used with this transmitter must not be colocated or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant. Bluetooth Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la Class B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. Bluetooth Europe–EU Declaration of Conformity This wireless device complies with the specifications EN 300 328, EN 301-489, and EN 60950 following the provisions of the R&TTE Directive. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada. VCCI Class B Statement Europe—UE Déclaration de conformité Conforme aux directives européennes 72/23/EEC, 89/336/EEC, 1999/5/EC Rendez-vous sur http://www.apple.com/euro/compliance/. F3140Q41b.book Page 107 Friday, February 18, 2005 5:48 PM108 Laser Information Do not attempt to disassemble the cabinet containing the laser. The laser beam used in this product is harmful to the eyes. The use of optical instruments, such as magnifying lenses, with this product increases the potential hazard to your eyes. For your safety, have this equipment serviced only by an Apple-authorized service provider. Because of the optical disc drive in your computer, your computer is a Class 1 laser product. The Class 1 label, located in a user-accessible area, indicates that the drive meets minimum safety requirements. A service warning label is located in a serviceaccessible area. The labels on your product may differ slightly from the ones shown here. Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of the optional AirPort Extreme Card is far below the FCC radio frequency exposure limits. Nevertheless, it is advised to use the wireless equipment in such a manner that the potential for human contact during normal operation is minimized. Informations sur la souris et la clavier La souris optique d’Apple est un appareil à diode électroluminescente de catégorie 1. Ce produit est conforme aux exigences des directives européennes 72/23/CEE et 89/336/CEE. It also complies with the Canadian ICES-003 Class B Specification. High-Risk Activities Warning Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien, ni dans aucune autre situation où une panne du système informatique pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques. ENERGY STAR® Compliance As an ENERGY STAR® partner, Apple has determined that standard configurations of this product meet the ENERGY STAR® guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR® program is a partnership with office product equipment manufacturers to promote energy-efficiency. Reducing energy consumption of office products saves money and reduces pollution by eliminating wasted energy. Display Disposal Information The backlight lamp in this product contains mercury. Dispose according to local, state, and federal laws. Informations sur l’élimination des piles usagées Débarrassez-vous de la batterie conformément aux directives d’environnement locales en vigueur. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Taïwan: Informations relatives au téléphone et au modem Apple 56K Notifiez votre opérateur téléphonique. Certains opérateurs téléphoniques exigent que vous informiez votre agence locale lorsque vous raccordez un modem à leur réseau. Information You Need in the United States The internal modem complies with Part 6B of the FCC rules. On the back of this equipment is a label that contains, among other information, the FCC registration number and ringer equivalence number (REN). If requested, provide this information to your telephone company.  Ringer equivalence number (REN) : 0.1B The REN is useful to determine the quantity of devices you may connect to your telephone lines and still have all those devices ring when your telephone number is called. In most, but not all areas, the sum of the RENs of all devices connected to one line should not exceed five (5.0). To be certain of the number of devices you may connect to your line, as determined by the REN, you should contact your local telephone company to determine the maximum REN for your calling area.  Telephone jack type: USOC, RJ-11 An FCC-compliant telephone cord and modular plug are provided with this equipment. This equipment is designed to be connected to the telephone network or premises wiring using a compatible modular jack that complies with Part 68 rules. See the installation instructions for details. Warning: Making adjustments or performing procedures other than those specified in your equipment’s manual may result in hazardous radiation exposure. Class 1 label Service warning label F3140Q41b.book Page 108 Friday, February 18, 2005 5:48 PM 109 Telephone Line Problems If your telephone doesn’t work, there may be a problem with your telephone line. Disconnect the modem to see if the problem goes away. If it doesn’t, report the problem either to your local telephone company or to your company’s telecommunications people. If disconnecting the modem eliminates the problem, the modem itself may need service. See the service and support information that came with your Apple product for instructions on how to contact Apple or an Apple-authorized service provider for assistance. If you do not disconnect your modem when it is adversely affecting the telephone line, the telephone company has the right to disconnect your service temporarily until you correct the problem. The telephone company will notify you as soon as possible. Also, you will be informed of your right to file a complaint with the FCC. The telephone company may make changes in its facilities, equipment, operations, or procedures that could affect the operation of your equipment. If this happens, the telephone company will provide advance notice in order for you to make the necessary modifications to maintain uninterrupted service. The internal modem will not work with party lines, cannot be connected to a coin-operated telephone, and may not work with a private branch exchange (PBX). Telephone Consumer Protection Act The Telephone Consumer Protection Act of 1991 makes it unlawful for any person to use a computer or other electronic device to send any message via a telephone fax machine unless such message clearly contains, in a margin at the top or bottom of each transmitted page or on the first page of the transmission, the date and time it was sent and an identification of the business or other entity, or individual sending the message and the telephone number of the sending machine of such business, entity, or individual. Information You Need in Canada The Industry Canada (IC) label identifies certified equipment. This certification means that the equipment meets certain telecommunications network protective, operational, and safety requirements. The Department does not guarantee the equipment will operate to a user’s satisfaction. Before installing this equipment, make sure that you are permitted to connect to the facilities of the local telecommunications company. Be sure you use an acceptable method of connection to install the equipment. In some cases, you may extend the company’s internal wiring for single-line individual service by means of a certified telephone extension cord. Be aware, however, that compliance with these conditions may not prevent degradation of service in some situations. Repairs to certified equipment should be made by an authorized Canadian maintenance facility designated by the supplier. Any equipment malfunctions or repairs or alterations that you make to this equipment may cause the telecommunications company to request that you disconnect the equipment. In Canada, contact Apple at: 7495 Birchmount Road, Markham, Ontario, L3R 5G2, 800-263-3394 Users should not attempt to make such connections themselves, but should contact the appropriate electric inspection authority or electrician.  Load number: 0.1 The load number (LN) assigned to each terminal device denotes the percentage of the total load to be connected to the telephone loop that is used by the device, to prevent overloading. The termination of a loop may consist of any combination of devices, subject only to the requirement that the sum of the load numbers of all devices does not exceed 100.  Telephone jack type: CA-11 Informations destinées aux utilisateurs canadiens L’étiquette d’Industrie Canada identifie un matériel homologué. Cette étiquette certifie que le matériel est conforme à certaines normes de protection, d’exploitation et de sécurité des réseaux de télécommunications. Le Ministère n’assure toutefois pas que le matériel fonctionnera à la satisfaction de l’utilisateur. Avant d’installer ce matériel, l’utilisateur doit s’assurer qu’il est permis de le raccorder au réseau de l’entreprise locale de télécommunication. Le matériel doit également être installé en suivant une méthode acceptée de raccordement. Dans certains cas, le câblage appartenant à l’entreprise utilisé pour un service individuel à ligne unique peut être prolongé au moyen d’un dispositif homologué de raccordement (cordon prolongateur téléphonique). Warning: Users should ensure for their own protection that the electrical ground connections of the power utility, telephone lines, and internal metallic water pipe system, if present, are connected together. This precaution may be particularly important in rural areas. F3140Q41b.book Page 109 Friday, February 18, 2005 5:48 PM110 L’abonné ne doit pas oublier qu’il est possible que la conformité aux conditions énoncées ci-dessus n’empêche pas la dégradation du service dans certaines situations. De fait, les entreprises de télécommunication ne permettent pas que l’on raccorde un matériel aux prises d’abonnés, sauf dans les cas précis prévus par les tarifs particuliers de ces entreprises. Les réparations de matériel homologué doivent être effectuées par un centre d’entretien canadien autorisé désigné par le fournisseur. La compagnie de télécommunications peut demander à l’utilisateur de débrancher un appareil suite à des réparations ou à des modifications effectuées par l’utilisateur ou en raison d’un mauvais fonctionnement. Veuillez contacter Apple pour des informations supplémentaires : Apple Canada, Inc. 7495 Birchmount Road Markham, Ontario Canada L3R 5G2 Service clientèle d’Apple Canada : 800-263-3394 L’utilisateur ne doit pas tenter de faire ces raccordements lui-même ; il doit avoir recours à un service d’inspection des installations électriques ou à un électricien, selon le cas.  Numéro de charge : 0,1 L’indice de charge (IC) assigné à chaque dispositif terminal indique, pour éviter toute surcharge, le pourcentage de la charge totale qui sera raccordée à un circuit téléphonique bouclé utilisé par ce dispositif. La terminaison du circuit bouclé peut être constituée de n’importe quelle combinaison de dispositifs pourvu que la somme des indices de charge de l’ensemble des dispositifs ne dépasse pas 100.  Type de prise téléphonique : CA-11 Information You Need in the United Kingdom This terminal equipment is intended for direct connection to the analogue Public Switched Telecommunications Network and is approved for use within the United Kingdom with the following features:  Modem facility  Autocalling facility  Autoanswer facility  DTMF signaling Operation in the absence of proceed indication or upon detection of proceed indication This product is in conformity with relevant regulatory standards following the provisions of European Council Directives 73/23/EEC (Low Voltage Directive) and 89/336/EEC amended by 92/31/EEC (EMC Directive). Informationen fur Deutschland Diese Modem-Karte ist als Endeinrichtung vorgesehen und muss an ein TAE mit F-Kodierung angeschlossen werden. Diese Endeinrichtung ist in Konformität gemäss Niederspannungsrichtlinie 73 / 23 / EWG sowie EMC-Richtlinien 89 / 336 / EWG und 92 / 31 / EWG. Informations pour la France Ce matériel est conforme aux normes applicables de sécurité électrique d’après la directive 73/23/CEE et aux normes applicables de comptabilité électromagnétique d’après la directive 89/336/CEE, modifiée par la directive 92/31/CEE. Information You Need in Australia All telecommunications devices are required to be labelled as complying to the Australian telecommunications standards, ensuring the health and safety of the operator and the integrity of the Australian telecommunications network. To provide compliance with the Australian Communications Authority’s technical standards, please ensure that the following AT commands are maintained:  ATB0 (ITU/CCITT operation)  AT&G0 (no guard tone)  AT&P1 (33/66 pulse dial make/break ratio)  ATS0 = 0 or ATS0 = 1 (no answer or answer greater than one ring)  ATS6 = 95 (DTMF period between 70–255 ms)  ATS11 = 95 (DTMF period between 70–255 ms) For calls that are automatically generated, a total of three call attempts are allowed to a telephone number, with a minimum period between calls of 2 seconds. If the call does not connect after three attempts, 30 minutes must expire before automatic redialing may be initiated. Failure to set the modem (and any associated communications software) to the above settings may result in the modem being non-compliant with Australian telecommunications standards. Under these circumstances a user could be subject to significant penalties under the Telecommunications Act 1997. This modem must be properly secured in order for you to use it. Telecommunications network voltages exist inside the computer and the telecommunications line connection must be removed before opening the computer. Avertissement : pour sa propre sécurité, l’utilisateur doit s’assurer que tout les fils de mise à la terre du secteur, des lignes téléphoniques et les canalisations d’eau métalliques, s’il y en a, soient raccordés ensemble. Cette précaution est particulièrement importante dans les régions rurales. F3140Q41b.book Page 110 Friday, February 18, 2005 5:48 PM 111 Information You Need in New Zealand This modem is fully approved to operate on the New Zealand telecommunications network under Telepermit number PTC 211/04/002. All telecommunications devices are required to hold a Telepermit and be labelled accordingly with the approved Telepermit number to comply with the New Zealand telecommunications standards, ensuring the health and safety of the operator and the integrity of the New Zealand telecommunications network. To ensure compliance, all calls that are automatically generated should not make more than 10 call attempts to the same number within any 30 minute period with a minimum period between calls of 30 seconds. Failure to adhere to these standards may result in the modem being non-compliant with New Zealand Telecom standards. Under these circumstances a user could be subject to significant penalties. Important: The grant of a Telepermit for any item of terminal equipment indicates that only Telecom has accepted that the item complies with minimum conditions for connection to its network. It indicates no endorsement of the product by Telecom, nor does it provide any sort of warranty. Above all, it provides no assurance that any item will work correctly in all respects with another item of Telepermitted equipment of a different make or model, nor does it imply that any product is compatible with all of Telecom’s network services. F3140Q41b.book Page 111 Friday, February 18, 2005 5:48 PMF3140Q41b.book Page 112 Friday, February 18, 2005 5:48 PM Félicitations, vous et votre iMac êtes faits l’un pour l’autre. F3954M38_51_60.book Page 1 Friday, August 11, 2006 3:46 PMCaméra iSight intégrée Réalisez des vidéoconférences avec 3 amis au maximum partout dans le monde et en temps réel. www.apple.com/fr/imac Front Row avec la télécommande Apple Remote Profitez de vos films, de votre musique et de vos photos depuis votre canapé. Spotlight Retrouvez n´importe quoi sur votre système à l’instant même où vous en saisissez le nom. Musique Aide Mac iSight www.apple.com/fr/macosx Aide Mac Spotlight www.apple.com/fr/imac Aide Mac Front Row F3954M38_51_60.book Page 2 Friday, August 11, 2006 3:46 PMAmusez-vous avec vos photos Importez, organisez et partagez jusqu’à 250 000 photos, puis faites-en d’élégants albums de photos. Widgets de Dashboard Obtenez les toutes dernières informations instantanément. Affichez l’état de la bourse, la météo, les prochains vols d’avions et autres. Podcasts Enregistrez des podcasts dotés d’un son professionnel grâce aux effets sonores et aux jingles. Des sites web en un clic Créez des sites web et des blogs en toute simplicité et agrémentez-les de vidéos, de podcasts et de photos. Publier www.apple.com/fr/macosx Aide Mac Dashboard Aide iPhoto photo www.apple.com/fr/ilife/garageband Aide GarageBand podcast www.apple.com/fr/ilife/iweb Aide iWeb site web www.apple.com/fr/ilife/iphoto F3954M38_51_60.book Page 3 Friday, August 11, 2006 3:46 PMF3954M38_51_60.book Page 4 Friday, August 11, 2006 3:46 PMTable des matières 5 Table des matières Chapitre 1 : Prêt, feu, configurez ! 9 Ce qu’il y a dans la boîte 10 Configuration de votre iMac 14 Extinction ou suspension d’activité de votre iMac Chapitre 2 : Votre iMac au quotidien 20 Caractéristiques de base de votre iMac 22 Autres caractéristiques de votre iMac 24 Ports installés sur votre iMac 27 Autres composants de votre iMac 29 Comment obtenir des réponses à vos doutes Chapitre 3 : Augmentez votre mémoire 35 Installation de mémoire supplémentaire 40 Vérification de la reconnaissance de la nouvelle mémoire par votre iMac Chapitre 4 : À tout problème sa solution 43 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre iMac 45 Utilisation de la fonction Apple Hardware Test 46 Problèmes de connexion à Internet F3954M38_51_60.book Page 5 Friday, August 11, 2006 3:46 PM6 Table des matières 48 Problèmes de communication sans fil avec AirPort Extreme 49 Maintien à jour de votre logiciel 50 Lorsqu’une application ne répond plus 51 Réinstallation des logiciels fournis avec votre iMac 53 Autres problèmes 54 Informations, services et assistance 56 Localisation du numéro de série de votre produit Chapitre 5 : Dernières recommandations 58 Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation de votre iMac 62 Prévention des dommages auditifs 63 Comprendre l’ergonomie 66 Entretien de votre iMac 67 Manipulation de votre iMac 67 À propos d’Apple et de l’environnement 68 Communications Regulation Information F3954M38_51_60.book Page 6 Friday, August 11, 2006 3:46 PM1 1 Prêt, feu, configurez ! www.apple.com/fr/imac Aide Mac Assistant Migration F3954M38_51_60.book Page 7 Friday, August 11, 2006 3:46 PM8 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Votre iMac est conçu pour pouvoir être configuré rapidement et utilisé immédiatement. Si vous n’avez jamais utilisé d’iMac ou si vous n’êtes pas familiarisé avec les ordinateurs Macintosh, vous trouverez dans ce chapitre des instructions qui vous aideront à débuter. Important : lisez toutes les instructions d’installation et les informations de sécurité (voir la page 57) avant de brancher votre ordinateur sur une prise murale. Si vous êtes un utilisateur expérimenté, peut-être êtes-vous déjà en mesure d’utiliser votre nouvel ordinateur. Veillez néanmoins à consulter les informations du chapitre 2, « Votre iMac au quotidien », pour découvrir les nouvelles fonctionnalités de cet iMac. Avant de configurer votre iMac, enlevez tout film protecteur placé sur l’extérieur de votre ordinateur. F3954M38_51_60.book Page 8 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 9 Ce qu’il y a dans la boîte Votre iMac est fourni avec un clavier Apple Keyboard, une souris Mighty Mouse, une télécommande Apple Remote et un câble d’alimentation secteur. Câble d’alimentation secteur Télécommande Apple Remote Clavier Souris Mighty Mouse MENU F3954M38_51_60.book Page 9 Friday, August 11, 2006 3:46 PM10 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Configuration de votre iMac Les étapes ci-après vous permettront de configurer votre iMac. Étape 1 : Faites passer le câble d’alimentation à travers le trou présent sur le socle et branchez-le sur le port secteur situé au dos de votre iMac. F3954M38_51_60.book Page 10 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 11 Étape 2 : Pour accéder à Internet ou à un réseau, branchez une extrémité du câble Ethernet sur l’iMac et l’autre extrémité sur un modem câble, un modem DSL ou un réseau. Remarque : votre iMac est également équipé de la technologie AirPort Extreme de mise en réseau sans fil. Pour en savoir plus sur la configuration d’une connexion sans fil, choisissez Aide > Aide Mac, puis Bibliothèque > Aide AirPort. Reportez-vous à la section « Comment obtenir des réponses à vos doutes » à la page 29. G F3954M38_51_60.book Page 11 Friday, August 11, 2006 3:46 PM12 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 3 : Branchez les câbles du clavier et de la souris. Utilisation d’un clavier et d’une souris sans fil Si vous avez fait l’acquisition d’un clavier Apple Wireless Keyboard et d’une souris sans fil Mighty Mouse avec votre iMac, suivez les instructions fournies avec ces périphériques pour les configurer. d d d F3954M38_51_60.book Page 12 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 13 Étape 4 : Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre iMac. Étape 5 : Utilisez Assistant réglages. La première fois que vous démarrez votre iMac, l’Assistant réglages se met en route. Il vous aide à saisir les informations de connexion à Internet et au courrier électronique ainsi qu’à configurer un compte d’utilisateur sur votre iMac. Si vous possédez déjà un ordinateur Macintosh, l’Assistant réglages peut également vous aider à transférer automatiquement les fichiers, les applications et d’autres informations de votre ancien ordinateur vers votre nouvel iMac. ® F3954M38_51_60.book Page 13 Friday, August 11, 2006 3:46 PM14 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 6 : Personnalisez votre bureau et réglez les préférences. Grâce aux Préférences Système, vous pouvez donner à votre bureau l’apparence souhaitée sans perdre de temps. Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système dans la barre des menus. À mesure que vous vous familiarisez avec votre ordinateur, explorez les Préférences Système, le centre de commandes de la plupart des réglages de votre iMac. Pour en savoir plus, ouvrez l’Aide Mac et recherchez « Préférences Système » ou la préférence que vous souhaitez modifier. Extinction ou suspension d’activité de votre iMac Lorsque vous avez terminé de travailler avec votre iMac, suspendez son activité ou éteignez-le. Suspendre l’activité de votre iMac Si vous envisagez de ne pas utiliser votre iMac pendant une période courte, suspendez-en l’activité. Lorsque l’activité de votre iMac est suspendue, son écran s’éteint et une petite lumière blanche située dans l’angle inférieur droit de l’écran clignote. Vous avez la possibilité de réactiver votre iMac rapidement sans passer par la procédure de démarrage. Pour suspendre l’activité de votre iMac, procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez le menu Pomme () > Suspendre l’activité.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière de l’iMac.  Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, cliquez sur Économiseur d’énergie et définissez un délai pour la minuterie de mise en veille.  Maintenez enfoncé le bouton Lecture/Pause (’) de la télécommande Apple Remote pendant 3 secondes. F3954M38_51_60.book Page 14 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 15 Pour réactiver votre iMac, appuyez sur une touche du clavier ou n’importe quel bouton de la télécommande. À la réactivation de votre iMac, vos applications, vos documents et vos réglages sont conservés tels que vous les aviez laissés. Éteindre votre iMac Si vous ne comptez pas utiliser votre iMac pendant plusieurs jours, éteignez-le. Choisissez le menu Pomme () > Éteindre. Avertissement : éteignez votre iMac avant de le déplacer. Tout déplacement de votre iMac lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager ce dernier et d’entraîner une perte de données ou l’impossibilité de démarrer à partir du disque dur. F3954M38_51_60.book Page 15 Friday, August 11, 2006 3:46 PMF3954M38_51_60.book Page 16 Friday, August 11, 2006 3:46 PM2 2 Votre iMac au quotidien www.apple.com/fr/macosx Aide Mac iLife F3954M38_51_60.book Page 17 Friday, August 11, 2006 3:46 PMF3954M38_51_60.book Page 18 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 2 Votre iMac au quotidien 19 Il vous offre un aperçu des différentes caractéristiques et des divers ports de l’iMac. Comme Apple publie fréquemment de nouvelles versions et mises à jour de ses logiciels système, il est possible que les images de ce manuel soient légèrement différentes de ce que vous voyez à l’écran. Le site web d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/, vous donne accès aux actualités Apple, à des téléchargements gratuits et des catalogues en ligne des logiciels et matériaux Apple destinés à votre iMac. Vous trouverez également les manuels de nombreux produits Apple, ainsi que l’assistance technique pour tous les produits Apple, sur le site web d’assistance Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support. F3954M38_51_60.book Page 19 Friday, August 11, 2006 3:46 PM20 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Caractéristiques de base de votre iMac Haut-parleur stéréo intégré (droit) Clavier Apple Keyboard Lecteur de disque optique à chargement par fente Souris Mighty Mouse Télécommande Apple Remote Micro intégré Caméra iSight intégrée Lampe témoin de la caméra F3954M38_51_60.book Page 20 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 2 Votre iMac au quotidien 21 Micro intégré Enregistrez des sons directement sur votre iMac ou conversez avec des amis en direct via une connexion à haut débit avec l’application iChat AV fournie. Caméra iSight intégrée et sa lampe témoin Participez à des vidéoconférences avec vos amis et votre famille via une connexion à haut débit grâce à l’application iChat AV, prenez des photos avec l’application Photo Booth ou capturez de la vidéo par le biais d’iMovie HD. La lampe témoin de la caméra s’allume lorsque la caméra vidéo lit des images ou lorsque Photo Booth est ouvert. Lecteur de disque optique à chargement par fente Votre lecteur SuperDrive est capable de lire les disques CD-ROM, les CD de photos, les disques audio et les DVD. Il vous permet également de graver de la musique, des documents et d’autres fichiers sur des disques CD-R, CD-RW, DVD±R, DVD±RW et DVD+R double couche. Haut-parleurs stéréo intégrés Écoutez de la musique, le son de vos films, jeux et fichiers multimédia. Clavier Apple Keyboard Utilisez les touches de fonction et le pavé numérique pour travailler de manière plus efficace. Souris Mighty Mouse Utilisez la souris multibouton programmable et sa boule de défilement innovatrice pour cliquer et naviguer dans vos documents, pages web et autres contenus. Télécommande Apple Remote Utilisez la télécommande Apple Remote conviviale et Front Row pour contrôler votre musique, vos photos et vos clips vidéo à distance. F3954M38_51_60.book Page 21 Friday, August 11, 2006 3:46 PM22 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Autres caractéristiques de votre iMac Ports USB Haut-parleur stéréo intégré (gauche) Capteur de lumière Portetélécommande Récepteur à infrarouge (IR) intégré Lampe témoin d’alimentation d Touche d’éjection de disque Boutons de réglage du volume C - F3954M38_51_60.book Page 22 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 2 Votre iMac au quotidien 23 Récepteur à infrarouge (IR) intégré Utilisez la télécommande Apple Remote et le récepteur à infrarouge intégré pour travailler encore plus facilement avec votre iMac. Capteur de lumière Détecte la lumière ambiante d’une pièce et règle automatiquement la luminosité de la lampe témoin d’alimentation, en fonction de la lumière disponible, lorsque votre iMac est en veille. Haut-parleurs stéréo intégrés Écoutez de la musique, le son de vos films, jeux et fichiers multimédia. d Deux ports USB 1.1 sur le clavier Apple Keyboard Branchez à votre clavier des périphériques USB 1.1 à faible consommation, tels que la souris. (trois ports USB 2.0 à haut débit se trouvent également à l’arrière de votre iMac). Lampe témoin d’alimentation Un voyant blanc indique que votre iMac est en veille. Lorsque votre iMac est allumé, ce voyant est éteint. Porte-télécommande Lorsque vous ne l’utilisez pas, accrochez la télécommande Apple Remote sur le côté droit de votre iMac. Le porte-télécommande possède en effet un aimant interne. Boutons de réglage du volume Ces boutons permettent d’augmenter (-) ou de baisser (–) le volume du son provenant des haut-parleurs intégrés et du port de sortie casque. C Touche d’éjection de disque Maintenez cette touche enfoncée pour éjecter un disque. Il est également possible de réaliser cette opération en faisant glisser son icône dans la Corbeille. F3954M38_51_60.book Page 23 Friday, August 11, 2006 3:46 PM24 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Ports installés sur votre iMac Port de sortie casque/ audio numérique optique Port d’entrée audio/ audio numérique optique , f £ Port Mini-DVI d Ports USB 2.0 (3) Port Ethernet (10/100/1000 Base-T) G H Ports FireWire F3954M38_51_60.book Page 24 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 2 Votre iMac au quotidien 25 £ Port de sortie vidéo mini-DVI Utilisez un adaptateur mini-DVI vers DVI pour connecter votre iMac à un écran plat Apple ou à un autre moniteur doté d’un connecteur DVI. Utilisez un adaptateur mini-DVI vers VGA pour le relier à un moniteur externe doté d’un connecteur VGA. Utilisez un adaptateur Mini-DVI vers vidéo pour brancher un téléviseur, un magnétoscope ou un autre appareil vidéo doté d’un connecteur S-vidéo ou composite. Ces adaptateurs sont disponibles à www.apple.com/francestore. G Port Ethernet (10/100/1000Base-T) Connectez-vous à un réseau Ethernet 10/100/1000 Base-T à grande vitesse ou à un modem câble ou DSL, ou bien connectez-vous à un autre ordinateur et transférez les fichiers. Le port Ethernet détecte automatiquement les autres périphériques Ethernet. d Trois ports USB (Universal Serial Bus) 2.0 Branchez-y un modem, un iPod, une imprimante, des disques durs, des appareils photos numériques, des manettes de jeux et bien plus. Vous pouvez également y brancher des périphériques USB 1.1. F3954M38_51_60.book Page 25 Friday, August 11, 2006 3:46 PM26 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien , Port d’entrée audio/entrée audio numérique optique Branchez-y un micro externe alimenté ou tout autre équipement audio numérique. Ce port peut également servir de mini-prise stéréo 3,5 S/PDIF. f Port de sortie casque/audio numérique optique Branchez-y des écouteurs, des haut-parleurs amplifiés externes ou tout autre équipement audio numérique. Ce port peut également servir de mini-prise stéréo 3,5 S/PDIF. H Port FireWire 400 Branchez-y des périphériques à haute vitesse tels que des caméras vidéo numériques ou des périphériques de stockage. Si votre iMac est doté de deux ports FireWire 400, ils assurent une alimentation électrique combinée de 8 watts. H Port FireWire 800 (sur certains modèles) Le port FireWire 800 prend en charge jusqu’à 800 Mbps en débit des données. Si votre iMac est doté d’un port FireWire 400 et d’un port FireWire 800, ils assurent une alimentation électrique combinée de 15 watts. F3954M38_51_60.book Page 26 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 2 Votre iMac au quotidien 27 Autres composants de votre iMac Bouton d’alimentation Port secteur ® Accès à la mémoire Logement de sécurité F3954M38_51_60.book Page 27 Friday, August 11, 2006 3:46 PM28 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Port secteur Branchez-y le câble d’alimentation de votre iMac. Logement de sécurité Fixez un verrou et un câble antivol (disponibles sur le site www.apple.com/francestore). ® Bouton d’alimentation Il permet d’allumer votre iMac ou de suspendre son activité. Maintenez ce bouton enfoncé pour redémarrer votre iMac lors des procédures de dépannage. Accès à la mémoire Votre iMac est fourni avec un minimum de 1 Go de mémoire. Vous pouvez ajouter de la mémoire à votre iMac jusqu’à un total de 3 Go (vous trouverez de la mémoire en vente sur le site www.apple.com/francestore). Reportez-vous à la section « Installation de mémoire supplémentaire » à la page 35. Z Technologie sans fil AirPort Extreme (interne) Connectez-vous à un réseau sans fil grâce à la technologie AirPort Extreme intégrée. ◊ Technologie sans fil Bluetooth® 2.0 EDR (interne) Connectez des périphériques sans fil tels que les téléphones portables, organiseurs et imprimantes Bluetooth, ainsi que le clavier sans fil Apple Wireless Keyboard et la souris sans fil Mighty Mouse (le clavier Apple Wireless Keyboard et la souris sans fil Mighty Mouse sont en vente sur le site www.apple.com/francestore). F3954M38_51_60.book Page 28 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 2 Votre iMac au quotidien 29 Comment obtenir des réponses à vos doutes De plus amples informations sur l’utilisation de votre iMac sont disponibles dans l’Aide Mac et sur Internet, à l’adresse www.apple.com/fr/support. Pour ouvrir l’Aide Mac : 1 Cliquez sur l’icône Finder dans le Dock (la barre des icônes située au bord de l’écran). 2 Choisissez Aide > Aide Mac (cliquez sur le menu Aide dans la barre des menus puis sélectionnez Aide Mac). 3 Cliquez dans le champ Rechercher, tapez votre question puis appuyez sur la touche Retour du clavier. Informations supplémentaires Pour en savoir plus sur l’utilisation de votre iMac, consultez le tableau suivant : Pour en savoir plus sur... Consultez... L’installation de mémoire le chapitre 3, « Augmentez votre mémoire », à la page 33. Le dépannage de votre iMac en cas de problème le chapitre 4, « À tout problème sa solution », à la page 41. L’obtention de services et d’une assistance pour votre iMac « Informations, services et assistance » à la page 54. Vous pouvez également vous rendre sur le site web d’assistance Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support. L’utilisation de Mac OS X Le site web de Mac OS X à www.apple.com/fr/macosx/overview. Vous pouvez également consulter le document intitulé « Bienvenue dans Tiger », disponible dans le dossier « Guides de l’utilisateur et informations » de votre disque dur, ou encore rechercher « Mac OS X » dans l’Aide Mac. F3954M38_51_60.book Page 29 Friday, August 11, 2006 3:46 PM30 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien La migration depuis un PC vers un Mac www.apple.com/macosx/switch et cliquez sur « Switch ». Vous pouvez également cliquer sur le lien « Passage de Windows à Mac », qui se trouve dans la section « Problèmes fréquemment rencontrés par les utilisateurs » de la page d’accueil de l’Aide Mac. L’utilisation des applications iLife Le site web d’iLife à l’adresse www.apple.com/fr/ilife/ et les guides d’initiation d’iLife à l’adresse www.apple.com/fr/ilife/tutorials. Vous pouvez aussi ouvrir une application iLife, puis accéder à l’Aide de l’application. La modification des Préférences Système Ouvrez Préférences Système en choisissant le menu Pomme () > Préférences Système. Vous pouvez également rechercher « préférences système » dans l’Aide Mac. L’utilisation de votre souris ou de votre clavier Recherchez « souris » ou « clavier » dans l’Aide Mac, ou bien ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Clavier et souris. L’utilisation de la technologie sans fil AirPort Extreme La page web d’assistance AirPort à l’adresse www.apple.com/fr/support/airport. Vous pouvez également ouvrir l’Aide AirPort en cliquant sur le bouton d’accueil (situé en haut de la page de l’Aide Mac) et en le maintenant enfoncé, puis en sélectionnant Aide AirPort dans la liste. L’utilisation de la technologie sans fil Bluetooth La page web d’assistance Bluetooth à l’adresse www.apple.com/fr/support/bluetooth. Vous pouvez aussi ouvrir l’utilitaire Échange de fichiers Bluetooth (dans le dossier Utilitaires du dossier Applications) et sélectionner Aide > Aide Bluetooth. La connexion d’une imprimante Recherchez « impression » dans l’Aide Mac. Les connexions FireWire et USB Recherchez « USB » ou « FireWire » dans l’Aide Mac, Pour en savoir plus sur... Consultez... F3954M38_51_60.book Page 30 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 2 Votre iMac au quotidien 31 La connexion à Internet Recherchez « Internet » dans l’Aide Mac. La connexion d’un moniteur externe Recherchez « port de moniteur » dans l’Aide Mac. La télécommande Apple Remote Recherchez « télécommande » dans l’Aide Mac. Front Row Recherchez « Front Row » dans l’Aide Mac. La gravure d’un CD ou DVD Recherchez « graver un disque » dans l’Aide Mac. Les caractéristiques La page web concernant les caractéristiques, à l’adresse www.apple.com/support/specs. Vous pouvez également ouvrir Informations Système en choisissant le menu Pomme () > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis en cliquant sur Plus d’infos. Pour en savoir plus sur... Consultez... F3954M38_51_60.book Page 31 Friday, August 11, 2006 3:46 PMF3954M38_51_60.book Page 32 Friday, August 11, 2006 3:46 PM3 3 Augmentez votre mémoire www.apple.com/francestore Aide Mac mémoire RAM F3954M38_51_60.book Page 33 Friday, August 11, 2006 3:46 PM34 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire Votre iMac est fourni avec un minimum de 512 Mo de mémoire DDR2 SDRAM (Double Data Rate, Synchronous Dynamic Random-Access Memory). Vous pouvez ajouter des modules de mémoire de 1 Go ou 2 Go, totalisant un maximum de 3 Go de mémoire. Les modules de mémoire doivent être conformes aux spécifications suivants :  format Small Outline Dual Inline Memory Module (SO-DIMM) ;  667 MHz, PC2-5300, compatible DDR2 (également appelé DDR2 667) ;  sans tampon et non enregistrée. Avertissement : Apple vous recommande de confier l’installation de mémoire à un technicien agréé Apple. Consultez les informations sur le dépannage et l’assistance qui accompagnent votre iMac pour savoir comment contacter Apple. Tout dommage causé à votre matériel en tentant d’installer vous-même de la mémoire n’est pas couvert par la garantie limitée de votre iMac. F3954M38_51_60.book Page 34 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 3 Augmentez votre mémoire 35 Installation de mémoire supplémentaire Votre iMac est doté d’un logement destiné à la mémoire situé dans la partie supérieure de l’ordinateur et d’un autre situé dans la partie inférieure. Vous pouvez ajouter un module de mémoire supplémentaire dans le logement inférieur et enlever le module de mémoire du logement supérieur pour remplacer la mémoire installée. Vous pouvez ajouter des modules de mémoire de 1 Go ou 2 Go, totalisant un maximum de 3 Go de mémoire. Vous pouvez acheter de la mémoire Apple supplémentaire chez un revendeur agréé Apple, dans un magasin Apple Store ou bien sur l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/francestore. Pour installer de la mémoire 1 Éteignez votre iMac en choisissant le menu Pomme () > Éteindre. 2 Débranchez tous les câbles de votre iMac, y compris le câble d’alimentation. 3 Placez un linge ou un chiffon propre et doux sur votre surface de travail. Tout en tenant votre iMac par les côtés, posez-le à plat de manière à faire reposer l’écran contre la surface de la table et à tourner la partie inférieure de l’ordinateur vers vous. Avertissement : éteignez toujours votre iMac et quittez le câble d’alimentation avant d’installer de la mémoire. N’essayez pas d’installer de la mémoire alors que votre iMac est branché. F3954M38_51_60.book Page 35 Friday, August 11, 2006 3:46 PM36 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire 4 Soulevez le socle et utilisez un tournevis cruciforme nº 2 pour desserrer les deux vis imperdables sur le cache d’accès à la mémoire en les faisant tourner dans le sens contraire des aiguilles d’une montre. 5 Retirez le cache d’accès à la mémoire et mettez-le de côté. Tournevis cruciforme Soulevez le socle Cache d’accès à la mémoire F3954M38_51_60.book Page 36 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 3 Augmentez votre mémoire 37 6 Tirez sur les deux leviers situés dans le compartiment de mémoire pour éjecter le module de mémoire installé que vous souhaitez remplacer. 7 Retirez les modules de mémoire de votre iMac. Leviers Module de mémoire en partie éjecté Retirez le module de mémoire F3954M38_51_60.book Page 37 Friday, August 11, 2006 3:46 PM38 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire 8 Insérez les nouveaux modules de mémoire dans les logements, avec les encoches tournées vers la gauche, comme indiqué sur l’illustration. 9 Appuyez fermement et uniformément sur chaque module de mémoire pour le verrouiller dans le compartiment. Vous entendrez un léger clic indiquant que les modules de mémoire sont correctement installés. Important : n’utilisez pas les leviers pour placer la mémoire dans le compartiment. 10 Poussez les leviers en direction du centre du compartiment jusqu’à ce qu’ils soient entièrement fermés. Les leviers se refermeront partiellement Modules de mémoire F3954M38_51_60.book Page 38 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 3 Augmentez votre mémoire 39 11 Remettez le cache d’accès à la mémoire en place en utilisant un tournevis cruciforme nº 2 pour resserrer les vis. 12 En maintenant votre iMac par les côtés, remettez l’ordinateur à l’endroit, puis rebranchez les câbles et le cordon d’alimentation. 13 Allumez votre iMac en appuyant sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière. Avertissement : n’oubliez pas de remettre le cache d’accès à la mémoire en place après avoir installé la mémoire. Votre iMac ne fonctionnera pas correctement sans le cache d’accès à la mémoire. Tournevis cruciforme Soulevez le socle Cache d’accès à la mémoire F3954M38_51_60.book Page 39 Friday, August 11, 2006 3:46 PM40 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire Vérification de la reconnaissance de la nouvelle mémoire par votre iMac Après avoir installé la mémoire, vérifiez si l’ordinateur reconnaît la nouvelle mémoire. Pour vérifier la mémoire installée sur votre iMac : 1 Démarrez votre iMac. 2 Lorsque le bureau Mac OS s’affiche, choisissez le menu Pomme () > À propos de ce Mac. La quantité totale de mémoire installée sur votre iMac s’affichera alors. Pour un aperçu plus détaillé de la quantité de mémoire installée, ouvrez Informations Système en cliquant sur Plus d’infos. Si votre iMac ne reconnaît pas la mémoire ou ne démarre pas correctement, éteignezle et vérifiez à nouveau les instructions d’installation afin de vous assurer que la mémoire est correctement installée et compatible avec cet iMac. Si les problèmes persistent, retirez la mémoire et consultez les informations d’assistance technique fournies avec la mémoire ou contactez le fournisseur de la mémoire. F3954M38_51_60.book Page 40 Friday, August 11, 2006 3:46 PM4 4 À tout problème sa solution www.apple.com/fr/support Aide Mac aide F3954M38_51_60.book Page 41 Friday, August 11, 2006 3:46 PM42 Chapitre 4 À tout problème sa solution Il se peut que vous rencontriez à titre exceptionnel des problèmes en utilisant votre iMac . Lisez ce chapitre pour trouver des idées de solution qui vous aideront à régler vos problèmes. Vous trouverez également d’autres informations de dépannage dans l’Aide Mac et sur le site web de service et d’assistance iMac, à l’adresse www.apple.com/fr/support/imac. Il existe généralement une solution simple et rapide aux problèmes qui peuvent survenir au cours de l’utilisation de votre iMac. Si vous rencontrez un problème, essayez de noter les opérations que vous avez effectuées avant que le problème ne survienne. Ce récapitulatif permet de restreindre les causes possibles du problème et de trouver la solution. Les éléments à noter comprennent :  Les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu. Les problèmes qui ne surgissent qu’avec une application spécifique peuvent indiquer que cette application n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur votre iMac.  Tout nouveau composant matériel connecté ou installé (mémoire supplémentaire ou périphérique, par exemple). Avertissement : n’essayez pas d’ouvrir votre iMac, sauf pour y installer de la mémoire. Si votre iMac a besoin d’être inspecté, consultez les informations sur le dépannage et l’assistance qui accompagnent votre ordinateur ; vous y trouverez les instructions pour contacter Apple ou un fournisseur de services agréé Apple. L’utilisateur ne peut remplacer aucune pièce de l’iMac excepté la mémoire. F3954M38_51_60.book Page 42 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 4 À tout problème sa solution 43 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre iMac Si votre iMac ne répond plus ou que le pointeur se fige :  Assurez-vous que la souris et le clavier sont connectés. Débranchez puis rebranchez les connecteurs et vérifiez qu’ils sont correctement mis en place. Si vous avez un clavier ou une souris sans fil, vérifiez que les piles sont en état de marche.  Essayez de forcer la fermeture des applications qui posent problème. Maintenez les touches Option et Commande (x) enfoncées puis appuyez sur Échap. Si une zone de dialogue apparaît, sélectionnez-y l’application et cliquez sur Forcer à quitter. Enregistrez alors le travail de toute application ouverte, puis redémarrez l’iMac afin de vous assurer que le problème est entièrement réglé.  Si vous ne parvenez pas à forcer la fermeture de l’application, maintenez pendant 5 ou 6 secondes le bouton d’alimentation (®) enfoncé (situé à l’arrière de l’iMac) pour l’éteindre. Débranchez le câble d’alimentation de l’iMac. Rebranchez ensuite le câble, puis appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour rallumer l’iMac. Si le problème survient fréquemment lorsque vous utilisez une application particulière, consultez le fabricant de cette application pour vérifier si elle est compatible avec votre iMac. Pour obtenir des informations de contact et une assistance relatifs aux logiciels fournis avec votre iMac, rendez-vous à l’adresse www.apple.com/fr/guide. Si le problème se reproduit fréquemment, il se peut que vous deviez réinstaller votre logiciel système. Consultez « Réinstallation des logiciels fournis avec votre iMac » à la page 51. F3954M38_51_60.book Page 43 Friday, August 11, 2006 3:46 PM44 Chapitre 4 À tout problème sa solution Si votre iMac se bloque au démarrage ou si un point d’interrogation clignotant apparaît :  Patientez quelques secondes. Si l’iMac ne démarre pas dans un bref délai, éteignez-le en maintenant le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant 5 à 6 secondes, jusqu’à ce que l’iMac s’éteigne complètement. Maintenez ensuite la touche Option enfoncée tout en appuyant à nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour démarrer votre iMac. Lorsque votre iMac démarre, cliquez sur l’icône de disque dur, puis sur la flèche droite.  Une fois que l’iMac a démarré, ouvrez Préférences Système et cliquez sur Démarrage. Sélectionnez un dossier Système local de Mac OS X.  Si le problème se reproduit fréquemment, il se peut que vous deviez utiliser Utilitaire de disque (qui se trouve sur le disque « Mac OS X Install Disc 1 » fourni avec votre iMac) ou réinstaller votre logiciel système (consultez la section « Réinstallation des logiciels fournis avec votre iMac » à la page 51). Si votre iMac ne s’allume ou ne démarre pas :  Assurez-vous que le câble d’alimentation est correctement connecté à l’iMac et branché sur une prise électrique en état de marche.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et maintenez immédiatement les touches Commande (x), Option, P et R enfoncées jusqu’à ce que vous entendiez une deuxième fois le signal sonore de démarrage.  Si vous avez récemment ajouté de la mémoire, assurez-vous qu’elle est correctement installée et compatible avec votre iMac. Vérifiez si le retrait de cette mémoire permet à l’iMac de démarrer (voir la page 35). F3954M38_51_60.book Page 44 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 4 À tout problème sa solution 45  Débranchez le câble d’alimentation et attendez au moins 30 secondes. Rebranchez le câble, puis appuyez à nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre iMac.  Si vous ne parvenez toujours pas à démarrer votre iMac, consultez la section « Informations, services et assistance » à la page 54 qui contient les informations nécessaires pour prendre contact avec Apple. Utilisation de la fonction Apple Hardware Test Apple Hardware Test vous aide à déterminer s’il existe un problème matériel sur votre iMac. Pour utiliser Apple Hardware Test : 1 Débranchez tous les périphériques de votre iMac à l’exception du clavier et de la souris. Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le. 2 Insérez le disque « Mac OS X Install Disc 1 » livré avec votre iMac. 3 Redémarrez votre iMac en maintenant la touche D enfoncée lors du démarrage. 4 Lorsque le sélectionneur de langues Apple Hardware Test apparaît à l’écran, choisissez la langue qui vous convient. 5 Appuyez sur la touche Retour ou sur le bouton Continuer. 6 Lorsque l’écran principal Apple Hardware Test apparaît (environ 45 secondes plus tard), suivez les instructions affichées à l’écran. 7 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple Hardware Test ne détecte pas de panne matérielle, il est probable que le problème soit lié aux logiciels. Pour en savoir plus, consultez le fichier « À propos d’AHT » sur le disque « Mac OS X Install Disc 1 ». F3954M38_51_60.book Page 45 Friday, August 11, 2006 3:46 PM46 Chapitre 4 À tout problème sa solution Problèmes de connexion à Internet En cas de problèmes avec votre connexion à Internet, vous pouvez essayer les méthodes proposées dans cette section en commençant par Diagnostic réseau. Pour utiliser Diagnostic réseau : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau puis cliquez sur « Assistant ». 3 Cliquez sur Diagnostic pour lancer Diagnostic réseau. 4 Suivez les instructions à l’écran. Si Diagnostic réseau n’est pas en mesure de résoudre le problème, celui-ci se situe peut-être au niveau du fournisseur d’accès à Internet auquel vous essayez de vous connecter, du périphérique externe utilisé pour la connexion au fournisseur d’accès à Internet ou du serveur auquel vous essayez d’accéder. Vous pouvez également tenter de suivre les étapes suivantes. Connexions à Internet par modem câble, ligne DSL et réseau local (LAN) Assurez-vous que tous les câbles du modem sont correctement branchés. Vérifiez le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à l’ordinateur et le câble reliant le modem à la prise murale. Vérifiez également les câbles et les sources d’alimentation de vos routeurs et concentrateurs Ethernet. Éteignez, puis rallumez le modem afin de réinitialiser le matériel du modem. Éteignez le modem câble ou DSL, puis rallumez-le après quelques minutes. Certains fournisseurs d’accès à Internet conseillent de débrancher le câble d’alimentation du modem. Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez l’actionner avant ou après avoir éteint puis rallumé le modem. F3954M38_51_60.book Page 46 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 4 À tout problème sa solution 47 Connexions PPPoE Si vous ne parvenez pas à vous connecter à votre fournisseur d’accès à Internet via PPPoE, assurez-vous que les informations que vous avez saisies dans les préférences Réseau sont correctes. Vérifiez les réglages des Préférences Système : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau. 4 Sélectionnez Ethernet intégré, puis faites glisser cette configuration en haut de la liste des configurations de ports. 5 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Ethernet intégré. 6 Cliquez sur PPPoE. 7 Sélectionnez « Se connecter via PPPoE ». 8 Vérifiez le champ Nom de compte pour vous assurer que vous avez correctement saisi les informations fournies par votre fournisseur d’accès à Internet. 9 Si vous avez choisi d’enregistrer votre mot de passe, tapez-le à nouveau afin d’être sûr qu’il est correct. 10 Cliquez sur TCP/IP. Assurez-vous d’avoir saisi dans cette sous-fenêtre les informations correctes fournies par votre fournisseur d’accès à Internet. 11 Cliquez sur Appliquer. Connexions au réseau Assurez-vous que le câble Ethernet est branché sur votre ordinateur et sur le réseau. Vérifiez les câbles et l’alimentation de vos routeurs et concentrateurs Ethernet. F3954M38_51_60.book Page 47 Friday, August 11, 2006 3:46 PM48 Chapitre 4 À tout problème sa solution Si vous disposez de plusieurs ordinateurs partageant une connexion à Internet, assurez-vous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre fournisseur d’accès à Internet fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque ordinateur. Si une seule adresse IP est utilisée, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion (on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage d’adresses IP). Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre réseau. Vous pouvez utiliser une borne d’accès AirPort pour partager une adresse IP unique entre plusieurs ordinateurs. Pour obtenir plus d’informations sur l’utilisation d’une borne d’accès AirPort, consultez l’Aide Mac ou rendez-vous sur le site web AirPort d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/support/airport. Si ces méthodes s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés, adressez-vous à votre fournisseur d’accès à Internet ou à votre administrateur réseau. Problèmes de communication sans fil avec AirPort Extreme En cas de problèmes avec les communications sans fil AirPort Extreme :  Vérifiez que vous avez correctement configuré le logiciel en respectant les instructions fournies avec votre borne d’accès.  Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est actif et dispose d’un point d’accès sans fil. F3954M38_51_60.book Page 48 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 4 À tout problème sa solution 49  Assurez-vous que l’autre ordinateur ou le point d’accès au réseau se trouve dans la zone de couverture de l’antenne de votre ordinateur. Des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre antenne. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en réorientant l’ordinateur.  Vérifiez la puissance du signal AirPort. L’icône d’état AirPort de la barre des menus affiche jusqu’à quatre barres.  Des problèmes de fonctionnement de réseau peuvent survenir si votre borne d’accès se trouve à proximité d’un four micro-ondes, d’un téléphone sans fil ou autres sources d’interférences. Pour minimiser les interférences, placez votre borne d’accès loin de ce genre d’appareil.  Pour en savoir plus, consultez les instructions incluses avec l’appareil sans fil ou recherchez « AirPort » dans l’Aide Mac. Maintien à jour de votre logiciel Vous pouvez vous connecter à Internet pour télécharger et installer automatiquement les dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple. Chaque fois que vous vous connectez à Internet, « Mise à jour de logiciels » consulte les serveurs Internet d’Apple pour rechercher les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. Votre iMac est réglé pour rechercher automatiquement les mises à jour une fois par semaine, mais vous pouvez le configurer pour qu’il effectue cette recherche une fois par jour ou une fois par mois. Vous pouvez également rechercher manuellement les mises à jour. F3954M38_51_60.book Page 49 Friday, August 11, 2006 3:46 PM50 Chapitre 4 À tout problème sa solution Pour rechercher des logiciels mis à jour : 1 Ouvrez les Préférences Système. 2 Cliquez sur l’icône « Mise à jour de logiciels » et suivez les instructions à l’écran.  Pour plus d’informations, recherchez « Mise à jour de logiciels » dans l’Aide Mac.  Pour obtenir les toutes dernières informations concernant Mac OS X, rendez-vous sur le site web Mac OS X à l’adresse www.apple.com/fr/macosx. Lorsqu’une application ne répond plus Il peut arriver, très rarement, qu’une application se « fige » à l’écran. Avec Mac OS X, il est possible de quitter une application qui ne répond plus sans redémarrer votre iMac, ce qui permet d’enregistrer le travail effectué dans d’autres applications ouvertes. Pour forcer une application à quitter : 1 Appuyez sur Commande (x) + Option + Échap ou bien choisissez le menu Pomme () > Forcer à quitter. La boîte de dialogue Forcer à quitter des applications apparaît avec l’application sélectionnée. 2 Cliquez sur Forcer à quitter. L’application quitte, en laissant toutes les autres applications ouvertes. F3954M38_51_60.book Page 50 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 4 À tout problème sa solution 51 Réinstallation des logiciels fournis avec votre iMac Les disques d’installation de logiciels fournis avec votre iMac permettent de réinstaller Mac OS X et les applications livrées avec votre iMac. Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données de votre disque dur avant de réinstaller le logiciel. Apple décline toute responsabilité en cas de perte de données. Installation de Mac OS X et des applications Pour installer Mac OS X : 1 Sauvegardez vos fichiers importants. Nous vous conseillons de sauvegarder vos fichiers importants avant d’installer Mac OS X et les autres applications, car l’option « Effacer et installer » efface le disque dur de destination. 2 Insérez le disque « Mac OS X Install Disc 1 » livré avec votre iMac. 3 Double-cliquez sur « Install Mac OS X and Bundled Software ». 4 Suivez les instructions à l’écran. 5 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions à l’écran. Il se peut que votre iMac redémarre et vous demande d’insérer le disque d’installation suivant de Mac OS X. F3954M38_51_60.book Page 51 Friday, August 11, 2006 3:46 PM52 Chapitre 4 À tout problème sa solution Installation des applications Pour n’installer que les applications fournies avec votre iMac, veuillez suivre les instructions ci-dessous. Mac OS X doit déjà être installé sur votre iMac. Pour installer les applications : 1 Sauvegardez vos fichiers importants. 2 Insérez le disque « Mac OS X Install Disc 1 » livré avec votre iMac. 3 Double-cliquez sur « Install Bundled Software Only ». 4 Suivez les instructions à l’écran. 5 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions à l’écran. Remarque : pour installer iCal, iChat AV, iSync, iTunes et Safari, suivez les instructions « Installation de Mac OS X » ci-dessus. F3954M38_51_60.book Page 52 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 4 À tout problème sa solution 53 Autres problèmes Pour les problèmes liés aux logiciels provenant d’éditeurs tiers, contactez l’éditeur concerné. Les fabricants de logiciels proposent souvent des mises à jour de leurs produits sur leurs sites web. Vous pouvez utiliser la fenêtre Mise à jour de logiciels des Préférences Système pour rechercher et installer les logiciels Apple les plus récents. Par défaut, votre iMac recherche automatiquement les mises à jour une fois par semaine, mais vous pouvez le configurer pour qu’il effectue cette recherche une fois par jour ou une fois par mois. Vous pouvez également rechercher manuellement les mises à jour. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez « mise à jour de logiciels ». Remarque : les applications Classic (ou Mac OS 9) ne sont pas compatibles avec votre ordinateur et ne s’ouvrent pas. En cas de problèmes avec l’éjection d’un disque  Quitter toutes les applications susceptibles d’utiliser le disque, puis appuyez sur la touche d’éjection de disque (C) de votre clavier.  Ouvrez une fenêtre du Finder et cliquez sur l’icône d’éjection (située à côté de celle du disque dans la barre latérale), ou bien faites glisser l’icône du disque dans la Corbeille.  Fermez la session de votre compte d’utilisateur en choisissant le menu Pomme > Fermer la session « utilisateur » (votre nom de compte apparaît dans le menu), puis appuyez sur la touche d’éjection de disque (C) de votre clavier.  Redémarrez votre iMac en maintenant le bouton de la souris enfoncé. F3954M38_51_60.book Page 53 Friday, August 11, 2006 3:46 PM54 Chapitre 4 À tout problème sa solution En cas de problème de fonctionnement de votre iMac ou de Mac OS  Si la réponse à votre question ne figure pas dans ce manuel, recherchez des instructions et des informations de dépannage dans l’Aide Mac. Dans le Finder, choisissez Aide > Aide Mac.  Pour obtenir les dernières informations de dépannage et des mises à jour de logiciels, consultez le site web d’assistance Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/support. Si vous perdez régulièrement vos réglages de date et d’heure La batterie de secours interne de votre ordinateur a peut-être besoin d’être remplacée. La batterie de l’iMac ne peut pas être remplacée par l’utilisateur même. Pour en savoir plus, contactez un fournisseur de services agréé Apple ou un magasin Apple Store. Informations, services et assistance Votre iMac ne contient aucune pièce susceptible d’être remplacée par l’utilisateur, à l’exception du clavier, de la souris et de la mémoire. Si vous avez besoin de services de réparation, adressez-vous à Apple ou portez votre iMac chez un fournisseur de services agréé Apple. Vous trouverez de plus amples informations sur votre iMac en ligne, dans l’aide à l’écran, dans Informations Système et via Apple Hardware Test. Informations en ligne Pour obtenir des informations en ligne sur le service et l’assistance, rendez-vous sur www.apple.com/fr/support. Choisissez votre pays dans le menu local. Vous pouvez faire des recherches dans la base de données AppleCare Knowledge Base, vérifiez si de nouvelles mises à jour de logiciels sont disponibles ou obtenir de l’aide dans les forums de discussion Apple. F3954M38_51_60.book Page 54 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 4 À tout problème sa solution 55 Aide à l’écran Vous trouverez bien souvent des réponses à vos questions ainsi que des instructions et des informations concernant le dépannage dans l’Aide Mac. Choisissez Aide > Aide Mac. Informations Système Pour obtenir des informations sur votre ordinateur, utilisez Informations Système. Cette application vous fournit la liste des composants matériels et des logiciels installés, le numéro de série et de version du système d’exploitation, la quantité de mémoire installée, etc. Pour ouvrir Informations Système, choisissez le menu Pomme () > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos. Service et assistance AppleCare Votre iMac est fourni avec 90 jours d’assistance technique et 1 an de couverture pour les réparations de matériel effectuées dans les magasins Apple Store ou les centres de réparations agréés Apple, tels que les fournisseurs de services agréés Apple. Vous avez la possibilité d’étendre la durée de cette couverture en adhérant à un programme AppleCare Protection Plan. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.apple.com/fr/support/products ou bien visitez le site web de votre pays (dans la liste ci-dessous). Si vous avez besoin d’assistance, le personnel d’assistance par téléphone AppleCare peut vous aider à installer et à ouvrir les applications et offre des services de dépannage élémentaires. Appelez le centre d’assistance le plus proche de chez vous (gratuit pendant les 90 premiers jours). Gardez la date d’achat et le numéro de série de votre iMac à portée de main lorsque vous appelez. F3954M38_51_60.book Page 55 Friday, August 11, 2006 3:46 PM56 Chapitre 4 À tout problème sa solution Remarque : la période de 90 jours d’assistance gratuite par téléphone débute à la date d’achat. Des frais téléphoniques peuvent éventuellement s’appliquer. Les numéros de téléphone sont susceptibles d’être modifiés. Les tarifs téléphoniques locaux et nationaux peuvent s’appliquer. Une liste complète est disponible sur Internet : Localisation du numéro de série de votre produit Le numéro de série de votre iMac est indiqué sur la partie postérieure du socle. Vous pouvez également utiliser l’application Informations Système pour l’obtenir. Choisissez le menu Pomme () > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos. Cliquez sur le triangle d’affichage Matériel pour afficher le numéro de série. Pays Téléphone Site web Allemagne (49) 01805 009 433 www.apple.com/de/support Autriche (43) 0810 300 427 www.apple.com/at/support Belgique (flamand) (français) (32) 070 700 772 (32) 070 700 773 www.apple.com/benl/support www.apple.com/befr/support France (33) 0825 888 024 www.apple.com/fr/support Luxembourg (352) 800 24550 www.apple.com/befr/support Suisse (français) (allemand) (41) 0848 000 132 (41) 0848 000 132 www.apple.com/chfr/support www.apple.com/chde/support www.apple.com/contact/phone_contacts.html F3954M38_51_60.book Page 56 Friday, August 11, 2006 3:46 PM5 5 Dernières recommandations www.apple.com/enviromment Aide Mac ergonomie F3954M38_51_60.book Page 57 Friday, August 11, 2006 3:46 PM58 Chapitre 5 Dernières recommandations Afin d’assurer votre sécurité et de préserver votre matériel, veillez à observer ces consignes de nettoyage et de manipulation de votre iMac, ainsi que d’aménagement d’un espace de travail confortable. Les produits Apple sont conçus et évalués selon les standards de sécurité les plus récents des technologies de l’information et de l’équipement d’audio-vidéo. Il est toutefois important de suivre les consignes de sécurité qui se trouvent sur le produit et dans la documentation. Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation de votre iMac Pour votre sécurité et celle de votre matériel, veuillez à toujours prendre les précautions ci-après. Gardez ces instructions dans un endroit facile d’accès pour vous et pour les utilisateurs éventuels.  Installez votre ordinateur sur un plan de travail stable.  Évitez de placer votre ordinateur à proximité d’un évier, d’un lavabo, d’une baignoire ou d’une douche, par exemple.  Protégez votre ordinateur de l’humidité et des intempéries (neige, pluie...).  La seule manière de couper complètement l’alimentation de l’ordinateur consiste à débrancher le câble d’alimentation. Débranchez toujours le câble d’alimentation avant d’ouvrir l’ordinateur pour installer de la mémoire. F3954M38_51_60.book Page 58 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 5 Dernières recommandations 59  Débranchez le câble d’alimentation (en tirant sur la fiche plutôt que sur le câble) et le cordon téléphonique si l’un des cas suivants se présente :  Vous souhaitez ajouter de la mémoire.  Le câble ou la fiche d’alimentation est usé(e) ou endommagé(e).  Vous avez renversé quelque chose dans le boîtier de l’ordinateur.  Votre iMac est exposé à la pluie ou à une humidité excessive.  Votre iMac a subi une chute ou le boîtier a été endommagé.  Vous pensez que votre iMac a besoin d’être inspecté ou réparé.  Vous souhaitez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez à la lettre les instructions fournies plus bas).  Votre iMac contient des aimants. Ne mettez pas des matériaux ou des appareils à sensibilité magnétique à 25 mm ou moins de l’ordinateur. Important : la seule manière de couper complètement l’alimentation de l’ordinateur consiste à débrancher le câble d’alimentation. Assurez-vous qu’au moins une extrémité du câble soit facilement accessible afin de pouvoir débrancher votre iMac si nécessaire. Avertissement : votre câble CA dispose d’une fiche de terre à trois broches (fiche équipée d’une troisième broche de mise à la terre). Cette fiche ne peut être branchée que sur une prise CA reliée à la terre. Si vous ne pouvez pas brancher la fiche car la prise n’est pas reliée à la terre, contactez un électricien agréé pour qu’il remplace cette prise par une prise correctement reliée à la terre. Ne dérogez en aucun cas à cette consigne. F3954M38_51_60.book Page 59 Friday, August 11, 2006 3:46 PM60 Chapitre 5 Dernières recommandations Important : le matériel électrique peut s’avérer dangereux s’il n’est pas utilisé correctement. L’utilisation de ce produit ou de tout produit similaire doit toujours être supervisée par un adulte. Évitez que des enfants ne manipulent les composants internes ou les câbles de ces appareils. Ne procédez à aucune réparation par vous-même Votre iMac ne contient aucune pièce susceptible d’être remplacée par l’utilisateur, à l’exception du clavier, de la souris et de la mémoire (voir « Installation de mémoire supplémentaire » à la page 35). N’essayez pas d’ouvrir votre iMac. Si votre iMac a besoin d’être inspecté, consultez les informations sur le dépannage et l’assistance qui accompagnent votre ordinateur ; vous y trouverez les instructions pour contacter Apple ou un fournisseur de services agréé Apple. Si vous ouvrez votre iMac ou que vous installez d’autres éléments que la mémoire, vous risquez d’endommager votre matériel. Les dommages de ce type ne sont pas couverts par la garantie limitée de votre iMac. Utilisation des connecteurs et des ports Ne forcez jamais l’insertion d’un connecteur dans un port. Si le connecteur ne se raccorde pas facilement au port, c’est qu’ils sont probablement incompatibles. Assurez-vous que le connecteur correspond bien au port et que vous l’avez correctement positionné par rapport à ce dernier. Avertissement : n’introduisez jamais d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures de ventilation du boîtier. Cela peut être dangereux et provoquer un incendie ou un choc électrique. F3954M38_51_60.book Page 60 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 5 Dernières recommandations 61 Informations se rapportant au laser Ne tentez pas de démonter le compartiment contenant le laser. Le faisceau laser de cet appareil est dangereux pour les yeux. L’utilisation d’instruments d’optique, telles que des lentilles grossissantes, peut aggraver la nocivité du faisceau. Afin d’assurer votre sécurité, cet équipement ne doit être réparé que par un fournisseur de services agréé Apple. Votre ordinateur est classé comme produit laser de Catégorie 1 dû à son lecteur optique. L’étiquette Catégorie 1, apposée sur l’ordinateur à un endroit accessible par l’utilisateur, indique que celui-ci est conforme aux normes de sécurité minimales. Une étiquette de mise en garde est située à un endroit accessible au service technique. Les étiquettes placées sur votre produit peuvent être légèrement différentes de celles qui sont affichées ici. Avertissement : l’exécution de réglages ou d’opérations qui ne sont pas spécifiés dans le manuel de votre équipement risque de vous exposer à des rayonnements dangereux. Étiquette Catégorie 1 Étiquette de mise en garde F3954M38_51_60.book Page 61 Friday, August 11, 2006 3:46 PM62 Chapitre 5 Dernières recommandations Avertissement relatif aux activités à haut risque Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien, ni dans aucune autre situation où une panne du système informatique pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques. Prévention des dommages auditifs Avertissement : l’utilisation d’écouteurs ou d’un casque d’écoute à un niveau de volume trop élevé peut provoquer une perte d’acuité auditive permanente. L’oreille peut s’adapter petit à petit à des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent sembler normaux, mais qui risquent à la longue d’endommager votre système auditif. En cas de sifflements ou de perte d’acuité auditive, arrêtez d’utiliser le casque ou les écouteurs et consultez un médecin. Plus le volume est élevé, plus votre audition risque d’être affectée rapidement. Les spécialistes de l’audition suggèrent les précautions suivantes pour protéger votre système auditif :  Limitez la durée d’utilisation à volume élevé de vos écouteurs ou de votre casque d’écoute.  Évitez d’augmenter le volume pour ne pas entendre les bruits environnants.  Baissez le volume si vous ne parvenez pas à entendre une personne qui vous parle. F3954M38_51_60.book Page 62 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 5 Dernières recommandations 63 Comprendre l’ergonomie Voici quelques conseils sur la mise en place d’un environnement de travail sain. Siège Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale et vos pieds à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire, c’est-à-dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie. F3954M38_51_60.book Page 63 Friday, August 11, 2006 3:46 PM64 Chapitre 5 Dernières recommandations Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Vous pouvez également abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau dont le poste de saisie est situé plus bas que le plan de travail. Cuisses légèrement inclinées Épaules détendues Écran positionné de façon à éviter tout reflet éblouissant Avant-bras et mains en ligne droite Avant-bras légèrement inclinés Bas du dos soutenu Pieds fixes au sol ou sur un repose-pied Haut de l'écran au niveau des yeux ou juste en dessous Côté inférieur au plan de travail dégagé 45–70 cm (18–28 in.) F3954M38_51_60.book Page 64 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 5 Dernières recommandations 65 Écran Placez le moniteur de manière à ce que le haut de l’écran se trouve légèrement en dessous du niveau de vos yeux lorsque vous êtes assis au clavier. Il vous appartient de juger de la meilleure distance entre vos yeux et l’écran. Elle se situe en général entre 45 et 70 cm. Orientez l’écran de manière à ce qu’il reflète le moins possible la lumière provenant de l’éclairage et des fenêtres. Souris Veillez à ce que la souris se trouve à hauteur du clavier. Ménagez un espace suffisant pour la manipuler avec aisance. Clavier Veillez à maintenir vos épaules relâchées lorsque vous utilisez le clavier. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, la main étant placée dans le prolongement du poignet. Adoptez une frappe légère avec les mains et les doigts détendus. Évitez de replier les pouces à l’intérieur des paumes. Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un effort continu et intensif, certains utilisateurs d’ordinateur ressentent des douleurs aux mains, aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste. Vous trouverez d’autres informations concernant l’ergonomie sur Internet : www.apple.com/about/ergonomics F3954M38_51_60.book Page 65 Friday, August 11, 2006 3:46 PM66 Chapitre 5 Dernières recommandations Entretien de votre iMac Respectez les règles suivantes lors du nettoyage de votre iMac et de ses accessoires :  Éteignez votre iMac et débranchez tous les câbles.  Pour nettoyer la partie extérieure de l’iMac, utilisez un chiffon doux, légèrement humide et non pelucheux. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’iMac.  N’utilisez ni aérosols, ni dissolvant, ni abrasifs. Entretien de l’écran de votre iMac Pour nettoyer l’écran de votre iMac, procédez comme suit :  Éteignez votre iMac et débranchez tous les câbles.  Humidifiez, à l’eau seulement, un chiffon propre, doux et non pelucheux et essuyez l’écran. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’écran. F3954M38_51_60.book Page 66 Friday, August 11, 2006 3:46 PMChapitre 5 Dernières recommandations 67 Manipulation de votre iMac Avant de soulever ou de repositionner votre iMac, débranchez tous les câbles et les prises qui y sont connectés. Pour soulever ou déplacer votre iMac, tenez-le par les côtés. À propos d’Apple et de l’environnement Apple Computer, Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact de ses produits et de ses activités sur l’environnement. Des informations supplémentaires sont disponibles sur Internet : www.apple.com/environment F3954M38_51_60.book Page 67 Friday, August 11, 2006 3:46 PM68 Communications Regulation Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. L‘utilisation de ce dispositif est autorisée seulement aux conditions suivantes : (1) il ne doit pas produire de brouillage et (2) l’utilisateur du dispositif doit être prêt à accepter tout brouillage radioélectrique reçu, même si ce brouillage est susceptible de compromettre le fonctionnement du dispositif. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures: Turn the television or radio antenna until the interference stops. Move the computer to one side or the other of the television or radio. Move the computer farther away from the television or radio. Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple-authorized service provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Changes or modifications to this product not authorized by Apple Computer, Inc., could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product has demonstrated EMC compliance under conditions that included the use of compliant peripheral devices and shielded cables between system components. It is important that you use compliant peripheral devices and shielded cables (including Ethernet network cables) between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. F3954M38_51_60.book Page 68 Friday, August 11, 2006 3:46 PM69 Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Computer, Inc. Product Compliance 1 Infinite Loop M/S 26-A Cupertino, CA 95014-2084 Utilisation de la radio sans fil Opérant dans une zone de fréquence située entre 5,15 et 5,25 GHz, l’usage de cet appareil est limité aux zones intérieures afin de réduire la possibilité d’interférences nuisibles en cas de coïncidence avec les systèmes de satellite mobile. Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur. Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of the AirPort Extreme Card in this device is far below the FCC radio frequency exposure limits for uncontrolled equipment. This device should be operated with a minimum distance of at least 20 cm between the AirPort Extreme Card antennas and a person’s body and must not be co-located or operated with any other antenna or transmitter. Communauté Européenne Ce produit est conforme aux directives européennes 72/23/CEE, 89/336/CEE et 99/5/CE. Europe–EU Declaration of Conformity The equipment complies with the RF Exposure Requirement 1999/519/EC, Council Recommendation of 12 July 1999 on the limitation of exposure of the general public to electromagnetic fields (0 Hz to 300 GHz. This equipment meets the following conformance standards: EN300 328, EN301 893, EN301 489-17, EN60950 Par la présente Apple Computer, Inc. déclare que l’appareil 802.11a/b/g Mini-PCIe card est conforme aux exigences essentielles et aux autres dispositions pertinentes de la directive 1999/5/CE. Korea Mouse Statement Korea Statements Singapore Wireless Certification Mighty Mouse Mighty Mouse F3954M38_51_60.book Page 69 Friday, August 11, 2006 3:46 PM70 Taiwan Wireless Statements Taiwan Statement Taiwan Class B Statement VCCI Class B Statement Souris à diode électroluminescente (DEL) de Catégorie 1 La souris Mighty Mouse d’Apple est un produit à DEL de Catégorie 1 répondant aux normes IEC 60825-1 A1 A2. It also complies with the Canadian ICES-003 Class B Specification. Utilisation d’un modem USB externe Si vous branchez votre iMac sur une ligne téléphonique à l’aide d’un modem USB, reportez-vous aux informations de l’entreprise de télécommunications présentes dans le guide qui accompagne votre modem. ENERGY STAR® Compliance As an ENERGY STAR® partner, Apple has determined that standard configurations of this product meet the ENERGY STAR guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR program is a partnership with office product equipment manufacturers to promote energyefficiency. Reducing energy consumption of office products saves money and reduces pollution by eliminating wasted energy. F3954M38_51_60.book Page 70 Friday, August 11, 2006 3:46 PM71 Informations sur l’élimination et le recyclage La lampe de rétro-éclairage contient du mercure. Respectez les loisnationales et régionales en matière de déchets toxiquess. Pour vous informer sur le programme de recyclage d’Apple, rendez-vous sur le site www.apple.com/ environment/summary.html (en anglais). Union européenne Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Élimination de la batterie La batterie de secours intégrée à votre iMac permet de conserver certains réglages, comme l’heure et la date, quand l’ordinateur est éteint. N’essayez pas de changer cette batterie. Seul un technicien certifié Apple peut le faire. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, veuillez vous en débarrasser selon les normes et la législation environnementales de votre pays. California: The coin cell battery in your product contains perchlorates. Special handling and disposal may apply. Refer to www.dtsc.ca.gov/hazardouswaste/perchlorate. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Taïwan: F3954M38_51_60.book Page 71 Friday, August 11, 2006 3:46 PMF3954M38_51_60.book Page 72 Friday, August 11, 2006 3:46 PMK Apple Computer, Inc. © 2006 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. En application des lois et conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer, Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AirPort, FireWire, iCal, iLife, iMac, iMovie, iPhoto, iPod, iTunes, Mac, le logo Mac, Mac OS et Macintosh sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. AirPort Express, Finder, le logo FireWire, GarageBand, iSight, iWeb, Safari, Spotlight et Tiger sont des marques d’Apple Computer Inc. AppleCare et Apple Store sont des marques de service d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Mighty Mouse © Viacom International Inc. Tous droits réservés. La marque Mighty Mouse est utilisée sous licence. ENERGY STAR® est une marque déposée aux États-Unis. Intel et Intel Core sont des marques d’Intel Corp. aux États-Unis et dans d’autres pays. La marque et les logos Bluetooth sont la propriété de Bluetooth SIG, Inc. et sont utilisés sous licence par Apple Computer, Inc. Les autres noms de produits et de sociétés peuvent être des marques de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Fabriqué sous licence de Dolby Laboratories. « Dolby », « Pro Logic » et le logo double-D sont des marques déposées de Dolby Laboratories. Travaux confidentiels inédits. © 1992–1997 Dolby Laboratories, Inc. Tous droits réservés. Le produit décrit dans le présent manuel intègre des technologies de protection de droits d’auteur ellesmêmes protégées par divers brevets américains ainsi que d’autres droits de propriété intellectuelle appartenant à Macrovision Corporation et à d’autres détenteurs. L’utilisation de ces technologies de protection des droits d’auteurs doit être autorisée par Macrovision Corporation et est destinée à un cadre privé ou de visualisation restreinte, sauf consentement de Macrovision Corporation. Tout démontage ou ingénierie inverse est interdit. Réclamations concernant l’appareillage aux États-Unis. Brevets n˚ 4,631,603, 4,577,216, 4,819,098 et 4,907,093 sous licence à des fins de visualisation limitée uniquement. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. F3954M38_51_60.book Page 73 Friday, August 11, 2006 3:46 PM Installation de votre logiciel Les informations suivantes, dont le but est de vous permettre d’utiliser le logiciel le plus rapidement possible, portent sur :  À propos des disques d’installation et de contenu de Final Cut Studio (p. 2)  Mise à niveau de Mac OS X et de QuickTime (p. 4)  Installation Final Cut Studio (p. 5)  Installation du contenu (p. 9)  Enregistrement Final Cut Studio (p. 12)  À propos de l’Aide à l’écran (p. 13)  Contacter l’assistance AppleCare (p. 14) Veillez également à consulter le document intitulé Avant d’installer Final Cut Studio, disponible sur le disque d’installation de Final Cut Studio. Pour obtenir les informations les plus récentes concernant Final Cut Studio, consultez le site Web de Final Cut Studio à l’adresse http://www.apple.com/fr/finalcutstudio.2 À propos des disques d’installation et de contenu de Final Cut Studio Final Cut Studio 5.1 comprend tous les disques d’installation et de contenu nécessaires à l’installation de Final Cut Pro 5.1, Soundtrack Pro 1.1, Motion 2.1, DVD Studio Pro 4.1, LiveType 2.1, Cinema Tools 3.1, Apple Qmaster 2.1 et Compressor 2.1. Sont également inclus dans Final Cut Studio des disques d’initiation à la formation sur les applications professionnelles Apple. Le contenu de chaque disque est décrit ci-après. Remarque :ces disques contiennent les fichiers nécessaires à l’installation de Final Cut Studio 5.1 sur ordinateurs Macintosh à processeur PowerPC ou à processeur Intel. Le processus d’installation est le même pour les deux architectures. Disque d’installation de Final Cut Studio Ce disque contient les fichiers nécessaires pour installer Final Cut Pro, LiveType, Cinema Tools et Compressor. Il s’agit du premier disque permettant d’installer Final Cut Studio. Il contient également les fichiers et les dossiers suivants :  Avant d’installer Final Cut Studio :ce document décrit la configuration requise et les étapes à suivre avant d’installer les applications. Veuillez lire ce document avant d’installer Final Cut Studio.  Icône “Install Final Cut Studio”:double-cliquez sur cette icône pour lancer le processus d’installation.  Dossier Documentation :documentation au format PDF de toutes les applications du coffret de Final Cut Studio. La plupart des documents PDF comportent une page d’accès contenant des liens vers des documents supplémentaires et des sites Web Apple connexes.  Dossier Compléments :ce dossier contient les programmes d’installation, les applications et les documents supplémentaires mentionnés ci-après.  Frame Rate Converter : dossier contenant le module Convertisseur de fréquence d’images DVCPRO HD et sa documentation.  LiveType Extras :dossier de documentation et d’échantillons de polices LiveFonts.  EDL Access :dossier contenant l’application et la documentation EDL Access.  Head Leaders for Cinema Tools :dossier contenant de la documentation, des films et un projet utilisant des amorces de début.  DVX-100 Audio Sync Tool :dossier contenant l’outil de synchronisation audio pour DVX-100 et sa documentation.  Apple Qmaster Nodes.mpkg :il s’agit d’un programme d’installation pour Apple Qmaster, une application que vous pouvez utiliser pour configurer un réseau d’encodage distribué. Consultez le lien sur la configuration du traitement distribué sur la page d’accès au Manuel de l’utilisateur de Compressor pour obtenir des informations sur l’installation et la configuration d’Apple Qmaster.3 Disque d’installation de Soundtrack Pro Ce disque contient les fichiers nécessaires pour installer Soundtrack Pro. Le programme d’installation de Final Cut Studio vous fera savoir au moment opportun qu’il est nécessaire d’insérer le disque. Disque des boucles Apple Loops pour Soundtrack Pro Ce disque comporte une vaste bibliothèque d’effets sonores et de boucles utilisant le format Apple Loops. Le programme d’installation de Final Cut Studio vous fera savoir au moment opportun qu’il est nécessaire d’insérer le disque. Disque d’installation de Motion Ce disque contient les fichiers nécessaires pour installer Motion. Le programme d’installation de Final Cut Studio vous fera savoir au moment opportun qu’il est nécessaire d’insérer le disque. Ce disque comprend également un dossier intitulé Compléments qui contient des modèles supplémentaires pour les projets HD. Disque d’installation de DVD Studio Pro Ce disque contient les fichiers nécessaires pour installer DVD Studio Pro. Le programme d’installation de Final Cut Studio vous fera savoir au moment opportun qu’il est nécessaire d’insérer le disque. Ce disque comprend également un dossier intitulé “Modèles de films d’introduction” qui contient de la documentation ainsi que plusieurs films en versions NTSC et PAL, à utiliser avec les modèles Apple fournis avec DVD Studio Pro. Disques de données LiveType Ces disques fournissent le contenu de données LiveType, comprenant notamment des polices LiveFonts, des modèles, des objets et des textures. Le programme d’installation de Final Cut Studio vous fera savoir au moment opportun qu’il est nécessaire d’insérer le disque. Disque d’initiation à la formation sur les applications professionnelles Apple incluses dans Final Cut Studio Ce disque fournit du contenu correspondant au manuel d’initiation à la formation sur les applications professionnelles Apple incluses dans Final Cut Studio, disponible sur ce disque sous forme de fichier PDF. Il n’est pas installé au travers du programme d’installation de Final Cut Studio. DVD d’initiation à la formation sur les applications professionnelles Apple incluses dans Final Cut Studio Ce disque fournit du contenu correspondant à une initiation vidéo sur DVD pour les applications de Final Cut Studio. Il n’est pas installé au travers du programme d’installation de Final Cut Studio.4 Mise à niveau de Mac OS X et de QuickTime Avant d’installer Final Cut Studio, mettez à jour votre logiciel système pour vous assurer de disposer de la dernière version de Mac OS X. Vous devez également effectuer une mise à niveau avec la version la plus récente de QuickTime. QuickTime constitue une norme standard de traitement vidéo numérique nécessaire au fonctionnement de Final Cut Studio. Remarque :pour connaître la configuration minimale requise, reportez-vous au document intitulé Avant d’installer Final Cut Studio, disponible sur le disque d’installation de Final Cut Studio. Important :vous devez acquérir Mac OS X 10.4 Tiger ou ultérieur si vous effectuez une mise à niveau à partir de Mac OS X 10.3 Panther ou antérieur. Pour mettre à jour vos logiciels système : 1 Choisissez le menu Pomme > Mise à jour de logiciels. Une zone de dialogue apparaît pour vous présenter les nouveaux logiciels ou les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. 2 Si nécessaire, suivez les instructions à l’écran afin de procéder à la mise à jour de Mac OS X et QuickTime avec les versions les plus récentes. Important :l’installation de Final Cut Studio et la saisie du numéro de série permettent de déverrouiller automatiquement les capacités multimédias étendues de QuickTime Pro 7.5 Installation Final Cut Studio Lorsque vous installez Final Cut Studio, ses applications sont placées dans le dossier Applications de votre disque de démarrage. Vous pouvez choisir de placer le contenu de chaque application (comme les modèles) dans l’emplacement par défaut ou dans un emplacement personnalisé. L’installation de Final Cut Studio requiert que vous insériez chacun des disques, en commençant par le disque d’installation de Final Cut Studio. Une fois l’installation de ce disque terminée, poursuivez l’installation de Final Cut Studio en insérant chacun des autres disques lorsque vous y êtes invité. Important :vous devez commencer par le disque d’installation de Final Cut Studio, même si vous n’envisagez pas d’installer les applications qu’il contient. En d’autres termes, même si vous ne souhaitez installer que DVD Studio Pro, par exemple, vous devez commencer par le disque d’installation de Final Cut Studio et sélectionner DVD Studio Pro dans la fenê- tre d’installation personnalisée qui s’affiche. Remarque :avant d’installer le logiciel, vous devez vous connecter à votre ordinateur via un compte d’administrateur et saisir le mot de passe d’administrateur. Pour en savoir plus, consultez l’Aide Mac. Avertissement :si votre système ne répond pas à la configuration minimale requise pour n’importe laquelle des applications de Final Cut Studio, l’application en question ne pourra pas être installée. Pour connaître la configuration minimale requise, référez-vous au document intitulé Avant d’installer Final Cut Studio qui se trouve sur le disque d’installation de Final Cut Studio.6 Pour saisir le numéro de série et installer Final Cut Studio : 1 Insérez le disque d’installation de Final Cut Studio dans le lecteur DVD de votre ordinateur. 2 Double-cliquez sur l’icône “Install Final Cut Studio”, puis suivez les instructions à l’écran. 3 Le programme d’installation procède à une vérification de la configuration du système afin de déterminer si les applications de Final Cut Studio peuvent être installées. Cliquez sur Continuer. 4 Lisez les informations de bienvenue, puis cliquez sur Continuer. 5 Lisez le contrat de licence du logiciel, cliquez sur Continuer puis sur Accepter (si vous êtes d’accord). 6 Sélectionnez le disque de démarrage, puis cliquez sur Continuer. Votre disque de démarrage doit disposer de la dernière version de Mac OS X. 7 Dans la sous-fenêtre des informations de l’utilisateur, tapez vos nom et prénom. La saisie du nom de l’entreprise est facultative. Saisissez votre nom (obligatoire). Saisissez le nom de votre entreprise (facultatif). Saisissez votre numéro de série, y compris les tirets (obligatoire).7 8 Dans le champ de numéro de série, tapez le numéro de série de Final Cut Studio figurant sur l’étiquette du numéro de série collée sur la couverture du présent document, puis cliquez sur Continuer. La fenêtre d’installation personnalisée apparaît. Voici quelques astuces qui vous permettront de saisir le numéro de série sans faire d’erreur :  Veillez à copier le numéro de série qui se trouve en couverture de ce document.  Veillez à saisir le numéro de série du logiciel et non le numéro d’identifiant d’assistance.  Veillez à ne pas confondre les caractères 0 (zéro) et O, 1 et L minuscule, le cas échéant.  Assurez-vous d’inclure les tirets dans le numéro de série.  Ne saisissez pas d’espace avant et après le numéro de série.  Vérifiez que vous avez saisi le numéro de série correctement. Remarque :si vous procédez à une mise à niveau à partir de Production Suite, le programme d’installation recherche alors les numéros de série de Final Cut Pro HD (version 4.5), Motion 1.0 et DVD Studio Pro 3.0. Si vous procédez à une mise à niveau à partir de Final Cut Pro, le programme d’installation recherche alors le numéro de série adéquat. Si le programme d’installation ne parvient pas à trouver ces numéros de série, un message vous invite à les saisir. Important :après trois essais infructueux, le programme d’installation se ferme. Pour recommencer le processus d’installation, revenez à l’étape 2. 9 Personnalisez votre installation en sélectionnant ou en désélectionnant des éléments dans la fenêtre d’installation personnalisée. De nombreux éléments comprennent un triangle d’affichage qui, lorsque l’on clique dessus, fait apparaître des éléments supplémentaires qu’il est possible de sélectionner ou de désélectionner. Tout élément à la fois désélectionné et estompé correspond à un composant qui ne peut être installé car votre système ne respecte pas la configuration minimale requise. Placez le pointeur sur l’un de ces éléments pour connaître les conditions requises mais qui ne sont pas satisfaites. Remarque :vous devrez peut-être agrandir la fenêtre et faire glisser le bord de l’en-tête Nom du paquet pour afficher la totalité du nom de certains éléments.8 10 Cliquez sur les icônes des dossiers répertoriés dans la colonne Emplacement puis sélectionnez Autre dans le menu local pour choisir un emplacement personnalisé pour le contenu. Consultez “Installation du contenu” à la page 9 pour obtenir des informations sur l’installation du contenu et le choix d’emplacements personnalisés pour les éléments qui le permettent. 11 Une fois que vous avez configuré les éléments de la fenêtre d’installation personnalisée, cliquez sur Installer ou sur Mettre à niveau. Important :il se peut qu’une option de mise à niveau soit proposée même sur des ordinateurs ne disposant pas de versions antérieures de Final Cut Studio. Ce comportement, qui est tout à fait normal, est dû au fait que le programme d’installation a détecté sur votre système au moins un fichier commun avec les fichiers qu’il est en train d’installer. 12 Un message apparaît pour présenter la liste des disques nécessaires pour effectuer l’installation. Cliquez sur Continuer l’installation. 13 Une zone de dialogue apparaît pour vous inviter à vous identifier en tapant votre nom et votre mot de passe. Cliquez sur OK une fois terminé. Le programme d’installation affiche une barre de progression indiquant le déroulement de l’opération et vous invite à insérer certains disques afin de poursuivre l’installation. Remarque :vous devrez insérer de nouveau le disque d’installation de Final Cut Studio pour terminer l’installation. Une fois l’installation complétée, vous êtes prêt à utiliser les applications de Final Cut Studio. Avertissement :les disques que vous insérez au cours de l’installation de Final Cut Studio ont leur propre programme d’installation, que le Finder affiche. Ne cliquez sur aucun élément de la fenêtre du Finder d’un disque ; contentez-vous plutôt de suivre les indications du programme d’installation de Final Cut Studio. Lancer le programme d’installation d’un disque individuel si celui de Final Cut Studio est toujours en cours d’exécution peut provoquer une installation incomplète de Final Cut Studio et, par conséquent, la nécessité de recommencer.9 Installation du contenu Un bon nombre des applications de Final Cut Studio comprennent un contenu supplé- mentaire, comme des modèles et des boucles Apple Loops, que vous pouvez installer si vous le souhaitez. À propos du contenu Vous trouverez ci-après une brève description du contenu inclus avec chacune des applications de Final Cut Studio, ainsi que leurs emplacements d’installation par défaut. Vous pouvez également choisir des emplacements personnalisés pour y placer la plupart de ce contenu, tels qu’un second disque dur ou un dossier personnalisé. Boucles Apple Loops pour Soundtrack Pro Le disque des boucles Apple Loops pour Soundtrack Pro comporte une vaste bibliothèque de boucles Apple Loops. En plus de nombreuses boucles Apple Loops inédites, ce disque contient l’ensemble des boucles Apple Loops des versions précédentes de Soundtrack. Si vous voulez vous assurer que le programme d’installation installe un ensemble complet de boucles Apple Loops non modifiées, vous devez soit supprimer les anciennes boucles Apple Loops,soit choisir un emplacement personnalisé où placer ces nouvelles boucles. L’emplacement par défaut du contenu de Soundtrack Pro est /Bibliothèque/Audio/ Apple Loops/. Contenu de Motion Le contenu de Motion est inclus sur le disque d’installation de Motion. Vous disposez de trois types de contenu :  Contenu de la bibliothèque :il comprend les éléments de la Bibliothèque nécessaires, tels que les émetteurs de particules, les préréglages de réplicateur, des formes, des dégradés, des styles de texte, etc.  Collections de modèles :ensemble de modèles professionnels que vous pouvez utiliser et personnaliser au gré de vos besoins.  Médias d’initiation : les médias d’initiation sont utilisés avec le document au format PDF Guide d’initiation de Motion, situé dans le dossier Documentation et également disponible dans le menu Aide de Motion. L’emplacement par défaut du contenu de Motion est /Utilisateurs/Partagé/.10 Contenu de DVD Studio Pro Le contenu de DVD Studio Pro est inclus sur le disque d’installation de DVD Studio Pro. Ce contenu comporte des éléments de thèmes d’iDVD, ainsi que des modèles et des transitions.  Éléments de thèmes d’iDVD :DVD Studio Pro 4 peut importer des projets à partir de iDVD 3 et iDVD 4 à condition que soient installés sur votre système les éléments de thèmes d’iDVD (en plus d’iDVD). Important :les projets d’autres versions d’iDVD, notamment iDVD 5, ne peuvent être importés dans DVD Studio Pro 4. L’installation des éléments de thèmes d’iDVD remplace les anciens fichiers d’élé- ments de thèmes d’iDVD. Ceci n’affecte pas le fonctionnement d’iDVD ; cela permet uniquement de l’améliorer en rendant possible l’ouverture de projets iDVD dans DVD Studio Pro.  Modèles et transitions :DVD Studio Pro fournit des modèles et des transitions pour les projets SD et HD, notamment tous les modèles et transitions fournis avec les versions précédentes de DVD Studio Pro. Vous pouvez choisir quels groupes de modèles et de transitions installer dans la fenêtre d’installation personnalisée. Remarque :la sélection de modèles de DVD Studio Pro 3 installe également les modèles de DVD Studio Pro 2. L’emplacement par défaut du contenu de DVD Studio Pro est /Bibliothèque/Application Support/DVD Studio Pro/Apple/. Medias de LiveType Les disques Médias de LiveType fournissent un contenu nouveau et substantiel de médias, comprenant des polices LiveFonts, des modèles, des objets et des textures. L’emplacement par défaut du contenu de LiveType est /Bibliothèque/Application Support/ LiveType/Apple/.11 Installation du contenu Le programme d’installation de Final Cut Studio comprend une fenêtre d’installation personnalisée dans laquelle vous pouvez préciser les applications et le contenu à installer. Vous pouvez également configurer cette fenêtre de façon à installer les éléments de contenu sélectionnés plus tard si vous décidez de ne pas les installer avec les applications. Si vous utilisez le programme d’installation de Final Cut Studio pour ultérieurement installer les éléments de contenu sélectionnés, le processus est celui qui est décrit à la section “Installation Final Cut Studio” à la page 5, mis à part qu’il n’est pas nécessaire de saisir le numéro de série à nouveau. Les éléments de contenu que vous pouvez placer à un emplacement de votre choix possèdent une icône de dossier dans la colonne Emplacement de la fenêtre d’installation personnalisée. Vous pouvez choisir l’emplacement où installer le contenu en cliquant sur ce dossier. Cliquez sur l’icône de dossier, puis choisissez Autre dans le menu local pour choisir un emplacement personnalisé où installer le contenu. Cliquez sur le triangle d’affichage pour afficher des éléments supplé- mentaires.12 Enregistrement Final Cut Studio Lorsque vous ouvrez l’une des applications Final Cut Studio pour la première fois, l’application vous invite à remplir le formulaire d’enregistrement. Par défaut, les données de votre fiche personnelle (provenant du Carnet d’adresse), sont automatiquement saisies dans les champs correspondants. Pour enregistrer Final Cut Studio au nom d’un autre utilisateur que celui qui apparaît sur votre fiche personnelle dans le Carnet d’adresses : 1 Remplissez les champs Nom, Adresse, Entreprise et Adresse électronique. 2 Si vous souhaitez recevoir des informations à propos des actualités Apple et des mises à jour de logiciels, cochez la case correspondante. 3 Si vous souhaitez consulter les mentions légales d’Apple en matière de confidentialité, cliquez sur Confidentialité. 4 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur Enregistrer. Final Cut Studio est désormais enregistré. Remarque :si vous décidez de cliquer sur le bouton Enregistrer plus tard, vous serez à nouveau invité à procéder à l’enregistrement après avoir ouvert cinq fois l’une des applications Final Cut Studio.13 À propos de l’Aide à l’écran L’aide à l’écran vous permet d’avoir directement accès à des informations à l’écran pendant que vous travaillez dans les applications de Final Cut Studio. Elle met à votre disposition plusieurs manuels d’utilisateur en ligne, ainsi que des liens vers d’autres documents et des sites Web Apple connexes. Manuels d’utilisateurs à l’écran Le manuel d’utilisateur à l’écran de chaque application Final Cut Studio est accessible à partir du menu Aide de l’application concernée. Pour accéder au manuel d’utilisateur à l’écran d’une application : m Choisissez le manuel d’utilisateur de l’application dans le menu Aide. Informations de dernière minute La plupart des applications Final Cut Studio possèdent un document“Informations de dernière minute” contenant des informations sur les problèmes connus et ceux plus spécifiques aux matériels et logiciels de tierce partie. Remarque :une connexion à Internet est nécessaire pour télécharger le document “Informations de dernière minute”. Pour accéder aux Informations de dernière minute d’une application : m Choisissez Aide > Informations de dernière minute, dans l’application concernée. Nouvelles fonctionnalités La plupart des applications Final Cut Studio possèdent un document intitulé Nouvelles fonctionnalités, qui décrit les fonctionnalités ajoutées ou améliorées depuis la dernière version. Pour accéder au document Nouvelles fonctionnalités d’une application : m Choisissez Aide > Nouvelles fonctionnalités, dans l’application concernée.14 Contacter l’assistance AppleCare Votre coffret Final Cut Studio comprend des informations sur les options d’assistance proposées par Apple. Plusieurs niveaux d’assistance sont disponibles. Quel que soit votre problème, nous vous recommandons d’avoir les informations suivantes sous les yeux lorsque vous entrez en contact avec le service d’assistance Apple. Plus les informations fournies à vos agents d’assistance Apple seront détaillées, plus le problème sera résolu rapidement.  Le numéro d’identifiant d’assistance de Final Cut Studio situé sur la couverture de ce document. Remarque :le numéro d’identification d’assistance composé de 11 chiffres n’est pas le même que le numéro de série utilisé pour installer Final Cut Studio.  Version de Mac OS X installée. Pour connaître la version de Mac OS X, choisissez le menu Pomme > À propos de ce Mac.  La version de l’application que vous avez installée et qui vous pose problème. Pour connaître la version de l’application installée sur votre ordinateur, choisissez Nom de l’application > À propos de Nom de l’application (“Nom de l’application” correspondant au nom de l’application concernée).  Le modèle d’ordinateur utilisé.  La quantité de mémoire RAM installée sur votre ordinateur. Pour le savoir, choisissez le menu Pomme > À propos de ce Mac.  Les autres composants matériels de tierce partie connectés à votre ordinateur ou installés sur ce dernier, ainsi que les noms de leurs fabricants. Cela inclut les disques durs, les cartes graphiques, etc. L’assistance AppleCare est accessible en ligne à l’adresse http://www.apple.com/fr/support/. Vous pouvez sélectionner l’application concernée pour afficher des informations spécifiques. Vous pouvez également accéder directement au site Web AppleCare depuis le menu Aide de chacune des applications. Pour accéder au site Web d’AppleCare à partir d’une application : m Choisissez Aide > Assistance Nom de l’application (où “Nom de l’application” correspond au nom de l’application concernée). © 2006 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, DVD Studio Pro, Final Cut, Final Cut Pro, iDVD, Mac, Macintosh, Mac OS, Panther, QuickTime et Soundtrack sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Cinema Tools, Finder, LiveType et Tiger sont des marques d’Apple Computer, Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Computer, Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. PowerPC et le logo de PowerPC sont des marques d’International Business Machines Corporation, utilisées sous licence. Intel et Intel Core sont des marques d’Intel Corp. aux États-Unis et dans d’autres pays. iPod nano Guide des fonctions2 2 Table des matières Chapitre 1 4 Notions élémentaires de l’iPod nano 5 Vue d’ensemble de l’iPod nano 5 Utilisation des commandes de l’iPod nano 7 Désactivation des commandes de l’iPod nano. 8 Utilisation des menus de l’iPod nano 9 Connexion et déconnexion de l’iPod nano Chapitre 2 14 Fonctionnalités musicales 14 À propos d’iTunes 15 Importation de musique sur votre ordinateur 19 Organisation de votre musique 20 Téléchargement de musique et de podcasts sur l’iPod nano 25 Lecture de musique 31 Écoute de podcasts 32 Écoute de livres audio 32 Écoute de la radio FM Chapitre 3 33 Fonctionnalités concernant les photos 33 Téléchargement de photos 36 Visionnage de photos Chapitre 4 38 Fonctions et accessoires supplémentaires 38 Utilisation de l’iPod nano en tant que disque externe 39 Utilisation des réglages supplémentaires 43 Synchronisation de contacts, de calendriers et de listes de tâches 45 Mémorisation et lecture de notes 46 À propos des accessoires de l’iPod nano Chapitre 5 47 Astuces et dépannage 47 Quelques suggestions 52 Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPodTable des matières 3 Chapitre 6 54 Sécurité et entretien 54 Instructions de sécurité à propos de la configuration 54 Conseils généraux de sécurité, de nettoyage et de manipulation de l’appareil Chapitre 7 57 En savoir plus, service et assistance1 4 1 Notions élémentaires de l’iPod nano Apple vous félicite pour l’acquisition de votre iPod nano. Lisez cette section pour en savoir plus sur les fonctionnalités de l’iPod nano, sur la manière d’utiliser ses commandes et plus encore. Pour utiliser l’iPod nano, déposez de la musique, des photos et d’autres fichiers sur votre ordinateur puis téléchargez ces fichiers sur l’iPod nano. L’iPod nano est un lecteur de musique et bien plus encore. L’iPod nano vous permet de :  stocker des morceaux et des photos numériques pour les écouter ou les regarder où que vous soyez ;  écouter des podcasts, des sortes d’émissions de radio téléchargeables sur Internet ;  regardez des photos sous forme de diaporama accompagné de musique sur l’iPod nano ;  écouter des livres audio achetés sur l’iTunes Music Store ou audible.com ;  stocker ou sauvegarder des fichiers et autres données en utilisant l’iPod nano comme disque externe ;  synchroniser des contacts, calendriers et listes de tâches avec votre ordinateur ;  jouer à des jeux, stocker des notes texte, régler une alarme et plus encore.Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano 5 Vue d’ensemble de l’iPod nano Familiarisez-vous avec toutes les commandes de votre iPod nano : Utilisation des commandes de l’iPod nano Les commandes de votre iPod nano sont faciles à trouver et à utiliser. Appuyez sur n’importe quel bouton pour mettre en marche l’iPod nano. Le menu principal apparaît. Servez-vous de la molette cliquable et du bouton central pour naviguer dans les menus à l’écran, lire des morceaux, modifier des réglages et afficher des informations. Déplacez légèrement votre pouce autour de la molette cliquable pour sélectionner un élément du menu. Pour sélectionner l’élément, appuyez sur le bouton central. Pour revenir au menu précédent, cliquez sur le bouton Menu de la molette cliquable. Bouton de verrouillage (Hold) Bouton Menu Bouton Précédent/Retour rapide Molette cliquable Bouton central Bouton Suivant/Avance rapide Bouton Lecture/Pause Numéro de série (derrière) Port de connexion Dock Port de sortie casque6 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano Le tableau suivant vous indique à quoi peuvent servir les commandes de l’iPod nano. Pour : procédez ainsi : réinitialiser l’iPod nano (si votre iPod nano ne répond plus) Placez le bouton Hold sur Hold puis replacez-le en position normale. Appuyez ensuite simultanément sur les boutons Menu et central pendant environ 6 secondes jusqu’à l’apparition du logo Apple. activer l’iPod nano Appuyez sur un bouton quelconque. éteindre l’iPod nano Maintenez enfoncé le bouton Lecture/Pause (’). activer le rétro-éclairage Appuyez sur un bouton quelconque ou utilisez la molette cliquable. désactiver les boutons de l’iPod nano (pour ne pas les activer par mégarde) Poussez le bouton Hold vers Hold (une barre orange apparaît). choisir un élément du menu Faites défiler jusqu’à l’élément puis appuyez sur le bouton central. revenir au menu précédent Appuyez sur Menu. revenir au menu principal Maintenez enfoncé le bouton Menu. rechercher un morceau Dans le menu principal, sélectionnez Musique. écouter un morceau Sélectionnez le morceau et appuyez sur le bouton central ou Lecture/Pause (’). Pour pouvoir lire des morceaux, l’iPod nano doit être éjecté de votre ordinateur. mettre en pause un morceau Appuyez sur Lecture/Pause (’) ou débranchez vos écouteurs. régler le volume Dans l’écran En lecture, servez-vous de la molette cliquable. lire tous les morceaux de la liste Sélectionnez le titre de la liste (par exemple un titre d’album ou le titre d’une liste de lecture) puis appuyez sur Lecture/Pause (’). lire tous les morceaux dans un ordre aléatoire Sélectionnez l’option Mix de morceaux dans le menu principal. passer à n’importe quel endroit d’un morceau Dans l’écran En lecture, appuyez sur le bouton central pour afficher le défileur, puis faites défiler jusqu’à un point dans le morceau. passer au morceau ou chapitre de livre audio ou de podcast suivant Appuyez sur Suivant/Avance rapide (‘). revenir au début d’un morceau Appuyez sur Précédent/Retour rapide (]). lire le morceau ou le chapitre de livre audio ou de podcast précédent Appuyez deux fois sur Précédent/Retour rapide (]). avancer ou revenir rapidement dans un morceau Maintenez enfoncé Suivant/Avance rapide (‘) ou Précédent/Retour rapide (]). ajouter un morceau à la liste de lecture On-The-Go Sélectionnez un morceau puis maintenez enfoncé le bouton central jusqu’à ce que le titre du morceau clignote.Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano 7 Choix du son de la molette cliquable Lorsque vous faites défiler les options de menu, vous entendez un son de clic sortir du haut-parleur interne de l’iPod nano qui signale que la molette cliquable fonctionne. Le son de cette molette peut à la place sortir des écouteurs ou être désactivé. Pour choisir le mode d’émission du son de la molette cliquable sur l’iPod nano : m Sélectionnez l’élément du menu Réglages dans le menu principal de l’iPod nano puis suivez les instructions ci-dessous : Désactivation des commandes de l’iPod nano. Si vous transportez l’iPod nano dans votre poche et ne souhaitez pas l’allumer ou activer les commandes involontairement, désactivez ces derniers à l’aide du bouton Hold. m Placez le bouton Hold sur Hold. Réglez le cliqueur sur : Pour : Écouteurs Faire que le son de la molette cliquable sorte des écouteurs. Non Désactiver le son de la molette cliquable. Haut-parleur Faire que le son de la molette cliquable sorte du haut-parleur interne de l’iPod nano. Les deux Faire que le son de la molette cliquable sorte à la fois du hautparleur interne de l’iPod nano et des écouteurs. Faites glisser le bouton vers le centre (de telle façon que la barre orange soit visible) pour désactiver les commandes.8 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano Utilisation des menus de l’iPod nano Lorsque vous allumez l’iPod nano, le menu principal apparaît. Sélectionnez des éléments du menu pour effectuer des actions ou accéder à d’autres menus. Les icônes d’état situées en haut de l’écran affichent les réglages de l’iPod nano. Le tableau suivant décrit les éléments du menu principal de l’iPod nano. Ajout ou suppression d’éléments depuis le menu principal Il est possible que vous souhaitiez ajouter des éléments fréquemment utilisés au menu principal de l’iPod nano. Par exemple, vous pouvez ajouter un élément “Morceaux” au menu principal pour ne plus devoir sélectionner Musique avant de choisir Morceaux. Pour ajouter ou supprimer des éléments du menu principal : m Sélectionnez Réglages > Menu Principal. Réglage de la minuterie du rétro-éclairage Vous pouvez configurer l’activation du rétro-éclairage et illuminer l’écran pendant une durée déterminée lorsque vous cliquez sur un bouton ou utilisez la molette cliquable. Cette durée est configurée par défaut sur 10 secondes. m Sélectionnez Réglages > Rétro-éclairage puis choisissez la durée de rétro-éclairage. État de lecture Éléments de menu État de la batterie Icône de verrouillage Intitulé du menu Élément d’affichage Fonction Icône de verrouillage L’icône de verrouillage apparaît lorsque le bouton Hold (sur le dessus de l’iPod nano) est réglé sur Hold. Les commandes de l’iPod nano sont alors désactivées. Intitulé du menu Affiche l’intitulé du menu actuel. État de lecture L’icône Lecture (“) apparaît si un morceau est en cours de lecture. L’icône Pause (1) apparaît si un morceau en mode pause. État de la batterie L’icône de la batterie indique la charge restante approximative. Si la batterie est en cours de recharge, l’icône est animée. Éléments de menu Utilisez la molette cliquable pour faire défiler les éléments de menu. Appuyez sur le bouton central pour sélectionner un élément. Une flèche placée en regard d’un élément de menu indique qu’en le sélectionnant vous accédez à un autre menu.Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano 9 Même si vous ne configurez pas la minuterie du rétro-éclairage, vous pouvez activer le rétro-éclairage à tout moment en appuyant sur un bouton quelconque ou en utilisant la molette cliquable. Après quelques secondes, le rétro-éclairage s’éteint. Réglage de la langue La langue de l’iPod nano peut être configurée. m Sélectionnez Réglages > Langue puis choisissez une langue dans la liste. Connexion et déconnexion de l’iPod nano Connectez l’iPod nano à votre ordinateur pour télécharger de la musique, des photos et des fichiers, ainsi que pour recharger sa batterie. Déconnectez l’iPod nano lorsque vous avez terminé. Connexion de l’iPod nano Pour connecter l’iPod nano à votre ordinateur : m Connectez le câble iPod Dock Connector vers USB 2.0 à un port USB à forte alimentation de votre ordinateur (un port USB 2.0 est recommandé), puis connectez l’autre extrémité à votre iPod nano. Si vous possédez un socle iPod nano, vous pouvez brancher le câble sur un port USB à forte alimentation de votre ordinateur et l’autre extrémité sur le socle, puis placer l’iPod nano sur le socle. Remarque : le port USB de votre clavier ne fournit pas une alimentation suffisante. Vous devez connecter l’iPod nano à un port USB de votre ordinateur. Par défaut, l’iPod nano importe automatiquement les morceaux quand vous le connectez à votre ordinateur. Une fois ce téléchargement automatique terminé, vous pouvez déconnecter l’iPod nano.10 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano Si vous connectez l’iPod nano configuré pour la mise à jour automatique des morceaux à un autre ordinateur, iTunes vous demande confirmation avant de procéder au téléchargement de la musique. Si vous cliquez sur Oui, les morceaux et autres fichiers audio déjà sur votre iPod sont supprimés et remplacés par ceux de l’ordinateur auquel l’iPod est connecté. Pour plus de renseignements sur le téléchargement de musique sur l’iPod nano et sur l’utilisation de l’iPod nano avec plusieurs ordinateurs, consultez le chapitre 2, “Fonctionnalités musicales”, à la page 14. Remarque : vous pouvez télécharger des morceaux lorsque votre batterie est en recharge. Déconnexion de l’iPod nano Il est important de ne pas déconnecter l’iPod nano lorsqu’un téléchargement de musique est en cours. Pour savoir si vous pouvez débrancher l’iPod nano en toute sécurité, consultez son écran. Important : ne déconnectez pas l’iPod nano si le message “Ne pas déconnecter” apparaît. Vous pourriez en effet endommager les fichiers de l’iPod nano. Si ce message s’affiche, vous devez éjecter l’iPod nano avant de le déconnecter. Si vous configurez la mise à jour manuelle des morceaux sur l’iPod nano (consultez “Mise à jour manuelle de l’iPod nano” à la page 23) ou bien si vous activez l’iPod nano en tant que disque (consultez “Utilisation de l’iPod nano en tant que disque externe” à la page 38), vous devez éjecter l’iPod nano avant de le déconnecter. Pour éjecter l’iPod nano : m Cliquez sur le bouton d’éjection (C) situé près de l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes. Si vous utilisez un Mac : pour éjecter l’iPod nano, vous pouvez également faire glisser l’icône iPod nano du bureau vers la Corbeille. Si vous utilisez un PC sous Windows, vous pouvez éjecter l’iPod nano en cliquant sur l’icône “Supprimer le périphérique en toute sécurité” située dans la zone de notification du PC et en sélectionnant votre iPod nano. Si le menu principal ou une grande icône de batterie s’affiche, vous pouvez déconnecter l’iPod nano de l’ordinateur. Important : si ce message s’affiche, vous devez éjecter l’iPod nano avant de le déconnecter de votre ordinateur.Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano 11 Pour déconnecter l’iPod nano : 1 Débranchez les écouteurs s’ils sont branchés. 2 Appuyez sur les deux côtés du connecteur Dock pour débrancher le câble relié à l’iPod nano. Si l’iPod nano se trouve sur le socle Dock, il vous suffit de le retirer. À propos de la batterie de l’iPod nano L’iPod nano dispose d’une batterie interne, que l’utilisateur ne peut remplacer lui-même. Pour obtenir de meilleurs résultats, la première fois que vous utilisez l’iPod nano, laissez-le recharger pendant environ trois heures ou jusqu’à ce que l’icône située dans le coin supérieur droit de l’écran de l’iPod nano indique que la batterie est entièrement rechargée. Si l’iPod nano n’est pas utilisé pendant un moment, il est possible qu’une recharge de sa batterie soit nécessaire. Il faut environ deux heures pour recharger la batterie de l’iPod nano à 80 pour cent et environ trois heures pour la recharger complètement. Si vous procédez à la recharge de l’iPod nano tout en téléchargeant des fichiers, en écoutant de la musique ou en visionnant un diaporama, le processus risque de prendre davantage de temps. Recharge de la batterie de l’iPod nano Il existe deux manières de recharger la batterie de l’iPod nano :  Connectez l’iPod nano à votre ordinateur.  Utilisez l’adaptateur secteur USB iPod, disponible séparément. Pour recharger la batterie via votre ordinateur : m Connectez l’iPod nano à un port USB à forte alimentation de votre ordinateur. Votre ordinateur doit être allumé et non pas en mode veille (certains modèles Macintosh permettent de recharger l’iPod nano même en mode veille). Pour retirer le connecteur de votre iPod nano, appuyez sur les boutons latéraux et tirez.12 Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano Si l’icône de la batterie sur l’écran de l’iPod nano affiche un éclair, la batterie est en cours de recharge. Si une icône de prise s’affiche, cela signifie que la batterie est entièrement rechargée. Si vous ne voyez aucune de ces deux icônes, l’iPod nano n’est peut-être pas connecté à un port USB 2.0 à forte alimentation. Essayez de le connecter à un autre port USB de votre ordinateur. Si vous souhaitez charger l’iPod nano lorsque vous êtes éloignés de votre ordinateur, vous pouvez acheter l’adaptateur secteur USB iPod. Pour charger la batterie via l’adaptateur iPod USB Power Adapter (disponible séparément) : 1 Connectez l’adaptateur CA à une prise électrique (si nécessaire). 2 Connectez une extrémité du câble iPod Dock Connector vers USB 2.0 à l’adaptateur secteur et l’autre à l’iPod nano. 3 Connectez l’adaptateur secteur à une prise de courant en état de fonctionnement. Remarque : si vous disposez d’un câble optionnel iPod Dock Connector vers FireWire, vous pouvez également connecter l’iPod nano à un port FireWire de votre ordinateur ou à un adaptateur secteur iPod Power Adapter (avec un port FireWire) branché sur une prise secteur. Vous ne pouvez utiliser un port FireWire que pour charger la batterie, et non pas pour télécharger des morceaux ou d’autres fichiers sur l’iPod nano. Avertissement : assurez-vous que l’adaptateur secteur est complètement assemblé avant de le brancher sur la prise. Fiche adaptatrice CA Adaptateur secteur USB iPod Câble iPod Dock Connector vers USB 2.0Chapitre 1 Notions élémentaires de l’iPod nano 13 États de la batterie Lorsque l’iPod nano n’est pas connecté à une source d’alimentation, une icône de batterie, située dans le coin supérieur droit de l’écran de l’iPod nano, indique le niveau de recharge approximatif de la batterie. Si l’iPod nano est connecté à une source d’alimentation, l’icône de la batterie se modifie pour indiquer que la batterie est en cours de recharge ou entièrement rechargée. Vous pouvez déconnecter et utiliser l’iPod nano avant qu’il ne soit complètement rechargé. Remarque : les batteries rechargeables ont un nombre de cycles de recharge limité et il peut s’avérer nécessaire de les remplacer. La durée de vie de la batterie et le nombre de cycles de recharge varient en fonction de l’utilisation et des réglages de l’iPod. Pour plus d’informations, rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/batteries. Batterie rechargée à moins de 20 % Batterie environ à moitié rechargée Batterie entièrement rechargée Batterie en cours de chargement (éclair) Batterie entièrement rechargée (prise)2 14 2 Fonctionnalités musicales Grâce à votre iPod nano, vous pouvez emporter avec vous toute votre musique et collection audio, où que vous alliez. Lisez cette section pour apprendre à télécharger de la musique et à écouter votre iPod nano. Vous utilisez l’iPod nano en important des morceaux, des livres audio et des podcasts (sortes d’émissions radio) sur votre ordinateur et en les téléchargeant ensuite sur l’iPod nano. Lisez ce qui suit pour en savoir plus sur les étapes de ce processus, notamment sur :  Le transfert de musique à partir de votre collection de CD, votre disque dur ou l’iTunes Music Store (qui fait partie d’iTunes et n’est disponible que dans certains pays) vers l’application iTunes sur votre ordinateur.  L’organisation de la musique et d’autres fichiers audio en liste de lectures, si vous le souhaitez.  Le téléchargement de listes de lectures, de morceaux, de livres audio et de podcasts sur votre iPod nano.  La lecture de musique ou l’écoute de tout autre fichier audio où que vous soyez. À propos d’iTunes iTunes est l’application musicale que vous utilisez avec l’iPod nano. Elle s’ouvre automatiquement dès que vous connectez l’iPod nano à votre ordinateur. Ce guide contient des informations sur l’utilisation d’iTunes pour télécharger des morceaux et d’autres fichiers audio sur votre ordinateur, les organiser en listes appelées listes de lecture, les télécharger sur l’iPod nano et configurer les réglages de l’iPod nano.Chapitre 2 Fonctionnalités musicales 15 iTunes possède également bien d’autres fonctionnalités. Vous pouvez créer vos propres CD lisibles sur des lecteurs CD standard (si votre ordinateur possède un lecteur-enregistreur de CD), écouter la radio diffusée sur Internet, créer des listes de lecture dynamiques ou “Mix de soirée”, publier vos listes de lecture (appelées “iMix”) sur l’iTunes Music Store, évaluer des morceaux selon vos préférences et bien plus encore. Pour obtenir plus d’informations sur l’utilisation de ces fonctionnalités d’iTunes, ouvrez iTunes puis choisissez Aide > “Aide iTunes et Music Store”. Importation de musique sur votre ordinateur Pour écouter de la musique sur votre iPod nano, vous devez sur la transférer dans iTunes sur votre ordinateur. Il existe trois façons d’importer de la musique dans iTunes :  En important de la musique à partir de CD audio.  En achetant de la musique et des livres audio ou en téléchargeant des podcasts en ligne à partir de l’iTunes Music Store.  En ajoutant de la musique déjà stockée sur votre ordinateur à la bibliothèque musicale d’iTunes.16 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Importation de musique dans iTunes à partir de CD audio Suivez ces instructions pour importer de la musique de vos CD sur votre ordinateur. Pour importer de la musique dans iTunes à partir d’un CD audio : 1 Insérez un CD dans votre ordinateur puis ouvrez iTunes. Si vous disposez d’une connexion à Internet, iTunes extrait le nom des morceaux du CD à partir d’Internet et les affiche dans la fenêtre. Si iTunes n’extrait pas les noms automatiquement alors que vous êtes connecté à Internet, choisissez Avancé > Obtenir le nom des pistes du CD. Si vous n’avez pas de connexion à Internet, vous pouvez saisir manuellement le nom des pistes du CD. Pour en savoir plus, consultez “Saisie du nom des morceaux et d’autres détails” à la page 17. Une fois les informations des morceaux saisies, vous pouvez parcourir les morceaux dans iTunes ou sur l’iPod nano par titre, artiste, album ou autre critère. 2 Cliquez pour supprimer la coche située en regard des morceaux que vous ne souhaitez pas importer depuis le CD. 3 Cliquez sur le bouton Importer un CD. La zone d’affichage située en haut de la fenêtre iTunes indique le temps nécessaire à l’importation des différents morceaux. Par défaut, iTunes lit les morceaux à mesure qu’ils sont importés. Si vous importez un grand nombre de morceaux, il est possible que vous souhaitiez arrêter la lecture des morceaux afin d’améliorer les performances. Bouton Importer un CDChapitre 2 Fonctionnalités musicales 17 4 Pour éjecter le CD, cliquez sur le bouton d’éjection. 5 Répétez ces opérations pour tout autre CD contenant des morceaux que vous souhaitez importer. Saisie du nom des morceaux et d’autres détails Pour saisir manuellement le titre des morceaux et d’autres informations du CD : 1 Sélectionnez le premier morceau du CD puis sélectionnez Fichier > Obtenir des informations. 2 Cliquez sur Infos. 3 Saisissez les informations concernant le morceau. 4 Cliquez sur Suivant pour saisir les informations concernant le morceau suivant. Ajout de paroles Vous avez la possibilité dans iTunes de saisir ou de copier-coller des paroles de chansons au format Texte. De cette manière, elles peuvent apparaître sur votre iPod nano lorsque le morceau est en cours de lecture. Pour taper ou coller des paroles dans iTunes : 1 Sélectionnez un morceau puis choisissez Fichier > Lire les informations. 2 Cliquez sur Paroles. 3 Dans la zone de texte, saisissez ou collez les paroles copiées au préalable. 4 Cliquez sur OK. Pour plus de renseignements sur l’affichage de paroles sur l’iPod nano, consultez “Affichage de paroles sur l’iPod nano” à la page 31. Achat de musique et téléchargement de podcasts via l’iTunes Music Store Si vous disposez d’une connexion à Internet, vous pouvez facilement acheter et télé- charger des morceaux, des albums et des livres audio en ligne via l’iTunes Music Store. Vous pouvez également vous abonner à des podcasts, des sortes d’émissions de radio, et les télécharger. Pour acheter de la musique en ligne via l’iTunes Music Store, vous devez configurer un compte Apple dans iTunes, rechercher les morceaux voulus, puis les acheter. Si vous disposez déjà d’un compte Apple ou d’un compte America Online (AOL, disponible uniquement dans certains pays), vous pouvez vous en servir pour vous inscrire au Music Store et acheter des morceaux. Bouton d’éjection18 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Remarque : un compte iTunes Music Store n’est pas nécessaire pour télécharger des podcasts ou s’y abonner. Pour s’inscrire à l’iTunes Music Store : 1 Ouvrez iTunes puis cliquez sur Music Store dans la liste Source. 2 Cliquez dans le champ Compte et suivez les instructions à l’écran pour configurer un Compte Apple ou saisissez les informations de votre compte Apple ou AOL existant. Pour rechercher des morceaux, des livres audio et des podcasts : Vous pouvez parcourir ou faire une recherche dans l’iTunes Music Store pour trouver un album, un morceau ou un artiste. Ouvrez iTunes puis cliquez sur Music Store dans la liste Source.  Pour explorer l’iTunes Music Store, choisissez un genre musical dans le menu local Choisir le genre en haut à gauche du Music Store, cliquez sur l’un des albums ou des morceaux au centre ou sur le côté droit du Music Store ou cliquez sur le bouton Explorer dans le coin supérieur droit de la fenêtre.  Pour rechercher des podcasts, cliquez sur le lien Podcasts dans la partie gauche de la page principale de l’iTunes Music Store.  Pour faire une recherche dans l’iTunes Music Store, tapez le nom d’un album, d’un morceau, d’un artiste ou d’un compositeur dans le champ de recherche.  Pour limiter votre recherche, tapez du texte dans la zone de recherche, appuyez sur la touche Retour ou Entrée de votre clavier, puis cliquez sur les boutons de la barre de recherche. Par exemple, pour limiter la recherche à des titres de morceaux, cliquez sur le bouton Morceau.  Pour rechercher une combinaison d’éléments, cliquez sur Recherche avancée dans la fenêtre de l’iTunes Music Store.  Pour revenir à la page principale de l’iTunes Music Store, cliquez sur le bouton Accueil dans l’angle supérieur gauche du Music Store. Pour acheter un morceau, un album ou un livre audio : 1 Cliquez sur Music Store dans la liste Source puis recherchez l’élément que vous souhaitez acheter. Vous pouvez double-cliquer sur un morceau ou un autre élément pour en écouter un extrait et vous assurer que c’est bien celui que vous voulez. Si la vitesse de votre connexion réseau est inférieure à 128 kbps, sélectionnez iTunes > Préférences puis cochez la case “Charger l’extrait complet avant lecture” dans l’onglet Store. 2 Cliquez sur Acheter le morceau, Acheter l’album ou Acheter le livre. L’élément est alors téléchargé sur votre ordinateur et le prix est débité de la carte de crédit indiquée sur votre compte Apple ou AOL.Chapitre 2 Fonctionnalités musicales 19 Pour vous abonner à un podcast ou le télécharger : 1 Cliquez sur Music Store dans la liste Source. 2 Cliquez sur le lien Podcasts sur la gauche de la page principale de l’iTunes Music Store. 3 Recherchez le podcast que vous souhaitez télécharger.  Pour télécharger un épisode de podcast uniquement, cliquez sur le bouton Obtenir le morceau, situé à côté de l’épisode.  Pour vous abonner à un podcast, cliquez sur le bouton S’abonner situé à côté de l’image du podcast. iTunes télécharge l’épisode le plus récent. Les nouveaux épisodes disponibles seront automatiquement téléchargés sur iTunes (lorsque vous êtes connecté à Internet). Pour voir vos podcasts, cliquez sur Podcasts dans la liste Source d’iTunes. Ajout de morceaux stockés sur votre ordinateur à la bibliothèque iTunes Si vous avez sur votre ordinateur des morceaux stockés dans un format géré par iTunes, vous pouvez les ajouter à iTunes. Pour ajouter des morceaux stockés sur votre ordinateur à la bibliothèque iTunes : m Faites glisser le dossier ou le disque contenant les fichiers audio vers l’élément Bibliothèque de la liste Source (ou choisissez Fichier > Ajouter à la bibliothèque puis sélectionnez le dossier ou le disque). Si iTunes prend en charge le format de fichier des morceaux, ceux-ci sont automatiquement ajoutés à la bibliothèque iTunes. Vous pouvez également faire glisser individuellement des fichiers audio dans iTunes. Remarque : si vous utilisez iTunes pour Windows, vous pouvez convertir les fichiers WMA non protégés au format AAC ou MP3. Cela peut être utile si vous disposez d’une bibliothèque de musique encodée au format WMA. Pour en savoir plus, ouvrez iTunes puis choisissez Aide > Aide iTunes et Music Store. Organisation de votre musique Grâce à iTunes, vous pouvez organiser à votre guise des morceaux et d’autres éléments dans des listes appelées listes de lecture. Vous pouvez par exemple créer des listes de lecture qui accompagnent votre séance d’exercice physique ou qui correspondent à une humeur particulière. Vous pouvez également créer des listes de lecture intelligentes qui se mettront automatiquement à jour selon les règles que vous aurez mises en place. Lorsque vous ajoutez à iTunes des morceaux qui correspondent à ces règles, ils seront automatiquement ajoutés à la liste de lecture intelligente. Vous pouvez créer autant de listes de lecture que vous le souhaitez avec n’importe quel des morceaux de la bibliothèque musicale de votre ordinateur. Le fait de placer un morceau dans une liste de lecture ne le supprime pas de la bibliothèque. 20 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Pour créer une liste de lecture dans iTunes : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter. 2 Tapez le nom de la liste de lecture dans la liste Source. Cliquez sur Bibliothèque, puis faites glisser un morceau ou un autre élément vers la liste de lecture de la liste Source. Pour sélectionner plusieurs morceaux, cliquez sur les diffé- rents morceaux en maintenant les touches Commande (x) ou Maj enfoncées. Pour créer une liste de lecture intelligente : m Sélectionnez Fichier > “Nouvelle liste de lecture intelligente” puis configurez les règles de votre liste de lecture. Remarque : vous pouvez également créer des listes de lecture sur l’iPod nano, appelées listes de lecture On-The-Go, lorsque l’iPod nano n’est pas connecté à votre ordinateur. Consultez “Création de listes de lecture On-The-Go sur l’iPod nano” à la page 27. Téléchargement de musique et de podcasts sur l’iPod nano Une fois votre musique importée et organisée dans iTunes, vous pouvez facilement la télécharger sur l’iPod nano. Pour configurer le téléchargement de musique de votre ordinateur sur l’iPod nano, vous devez connecter ce dernier à votre ordinateur puis utiliser les commandes d’iTunes pour modifier les réglages de l’iPod nano. Bouton AjouterChapitre 2 Fonctionnalités musicales 21 iTunes propose trois méthodes pour télécharger de la musique sur votre iPod nano :  Mettre à jour automatiquement tous les morceaux et listes de lecture : lorsque vous connectez l’iPod nano, il est automatiquement mis à jour avec les morceaux et autres éléments de la bibliothèque iTunes. Tous les autres morceaux se trouvant sur l’iPod nano sont supprimés.  Mettre à jour automatiquement les listes de lecture sélectionnées : lorsque vous connectez l’iPod nano, il est automatiquement mis à jour pour correspondre aux morceaux des listes de lecture sélectionnées dans iTunes.  Mettre à jour manuellement l’iPod nano : lorsque vous connectez l’iPod nano, vous pouvez faire glisser individuellement des morceaux et des listes de lecture vers l’iPod nano et supprimer individuellement les morceaux et les listes de lecture de l’iPod nano. Avec cette option, vous pouvez télécharger des morceaux à partir de plusieurs ordinateurs sans effacer ceux qui se trouvent sur l’iPod nano. Lorsque vous gérez les morceaux vousmême, vous devez éjecter l’iPod nano d’iTunes manuellement avant de le déconnecter. Mise à jour automatique de l’iPod nano L’iPod nano est configuré par défaut pour être automatiquement mis à jour avec tous les morceaux et toutes les listes de lecture dès que vous le connectez à votre ordinateur. C’est le moyen le plus simple de télécharger de la musique sur votre iPod nano. Pour cela, connectez l’iPod nano à votre ordinateur, laissez-le ajouter automatiquement des morceaux, des livres audio et d’autres éléments, puis déconnectez-le. Si vous avez ajouté des morceaux à iTunes depuis la dernière connexion de l’iPod nano, ils seront téléchargés sur l’iPod nano. Si vous avez supprimé des morceaux d’iTunes, ils seront également supprimés de l’iPod nano. Pour télécharger des morceaux sur l’iPod nano : m Il vous suffit de connecter l’iPod nano à votre ordinateur. Si l’iPod nano est configuré pour une mise à jour automatique, le téléchargement commence. Important : la première fois que vous connectez l’iPod nano à un ordinateur, un message vous demande si vous souhaitez transférer les morceaux automatiquement. Si vous acceptez, tous les morceaux, les livres audio et autres éléments sont supprimés de l’iPod nano et remplacés par ceux de l’ordinateur en question. Si vous refusez, il vous sera toujours possible de télécharger manuellement des morceaux sur l’iPod nanoiPod nano, sans supprimer ceux qui s’y trouvent déjà.22 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Pendant le téléchargement de musique de votre ordinateur sur l’iPod nano, la fenêtre d’état d’iTunes affiche la progression et l’icône de l’iPod nano clignote en rouge dans la liste Source. Une fois le téléchargement terminé, le message “L’iPod est à jour” apparaît dans iTunes. Si vous avez réglé iTunes pour le téléchargement manuel de la musique, vous pouvez réinitialiser l’application plus tard pour mettre à jour l’iPod nano automatiquement. Pour en savoir plus, consultez “Mise à jour manuelle de l’iPod nano” à la page 23. Pour réinitialiser iTunes pour la mise à jour automatique de l’iPod nano avec tous les morceaux et listes de lecture : 1 Ouvrez iTunes puis sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes. 2 Cliquez sur le bouton Options puis sur Musique. 3 Sélectionnez “Mettre à jour automatiquement tous les morceaux et listes de lecture”. Le téléchargement démarre automatiquement. Bouton OptionsChapitre 2 Fonctionnalités musicales 23 Mise à jour automatique de l’iPod nano avec les listes de lecture sélectionnées Configurer iTunes pour mettre à jour l’iPod nano avec les listes de lecture sélectionnées est particulièrement utile lorsque la quantité de musique stockée sur votre ordinateur est supérieure à la capacité de l’iPod nano. Seule la musique des listes de lecture que vous avez sélectionnées est téléchargée sur l’iPod nano. Pour configurer iTunes afin de mettre automatiquement l’iPod nano à jour avec les listes de lecture sélectionnées : 1 Ouvrez iTunes puis sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes. 2 Cliquez sur le bouton Options puis sur Musique. 3 Sélectionnez l’option “Ne mettre à jour automatiquement que les listes de lecture sélectionnées”. 4 Sélectionnez les listes de lecture voulues. Mise à jour manuelle de l’iPod nano Configurer iTunes pour pouvoir mettre à jour manuellement l’iPod nano vous offre une plus grande souplesse pour gérer la musique sur votre iPod nano. Vous pouvez ajouter et supprimer individuellement des morceaux ou d’autres éléments mais aussi d’ajouter des morceaux à l’iPod nano à partir de plusieurs ordinateurs sans effacer les morceaux déjà présents sur l’iPod nano Pour configurer iTunes afin de gérer manuellement les morceaux sur l’iPod nano : 1 Ouvrez iTunes puis sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes. 2 Cliquez sur le bouton Options puis sur Musique. 3 Sélectionnez l’option “Organiser les morceaux et listes de lecture manuellement”. Remarque : lorsque vous gérez les morceaux vous-même, vous devez éjecter votre iPod nano d’iTunes manuellement avant de le déconnecter. Pour ajouter un morceau ou un autre élément à l’iPod nano : m Dans iTunes, cliquez sur Bibliothèque et faites glisser le morceau ou autre élément vers l’icône de l’iPod nano dans la liste Source. Pour supprimer un morceau ou un autre élément de l’iPod nano : 1 Cliquez sur l’icône de l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes. 2 Sélectionnez un morceau ou autre élément sur l’iPod nano puis appuyez sur la touche Supprimer ou Arrière de votre clavier. Lorsque vous supprimez manuellement un morceau ou autre élément de l’iPod nano, il n’est pas supprimé de votre bibliothèque iTunes. Pour créer une nouvelle liste de lecture sur l’iPod nano : 1 Sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes puis cliquez sur le bouton Ajouter (+). 2 Faites glisser des morceaux vers la nouvelle liste de lecture.24 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Pour modifier une liste de lecture sur l’iPod nano : m Faites glisser un morceau vers une liste de lecture de l’iPod nano afin de l’y ajouter. Choisissez un morceau dans une liste de lecture et appuyez sur la touche Supprimer de votre clavier pour l’effacer. Téléchargement de podcasts sur l’iPod nano Les réglages de téléchargement de podcasts sur un iPod nano sont distincts de ceux du transfert de morceaux. Les réglages de transfert de podcasts n’influent pas sur ceux de transfert de morceaux et inversement. Vous pouvez manuellement télécharger des podcasts sur votre iPod nano ou configurer iTunes pour une mise à jour automatique de tous les podcasts ou seulement des podcasts sélectionnés. Pour configurer iTunes pour une mise à jour automatique des podcasts sur l’iPod nano : 1 Sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source iTunes puis cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Podcasts et sélectionnez l’une des options suivantes : Lorsque vous configurez iTunes pour une mise à jour automatique des podcasts de l’iPod nano, l’iPod nano est mis à jour chaque fois que vous le connectez à votre ordinateur. Pour configurer iTunes pour une gestion manuelle des podcasts : 1 Sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source iTunes puis cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Podcasts et sélectionnez “Organiser les morceaux manuellement”. Pour télécharger manuellement des podcasts sur l’iPod nano : m Dans iTunes, faites glisser les épisodes les plus récents des émissions depuis la liste de lecture Podcasts vers votre iPod nano. Pour régler iTunes pour procédez ainsi : Mettre à jour automatiquement tous les podcasts Sélectionnez “Actualiser automatiquement tous les podcasts”. Lorsque vous cliquez sur OK, iTunes met à jour les podcasts sur l’iPod nano de manière qu’ils soient identiques à ceux présents sur l’ordinateur. Mettre à jour automatiquement les podcasts sélectionnés Sélectionnez “N’actualiser automatiquement que les podcasts sélectionnés”, cochez les cases en regard des podcasts à mettre à jour, puis choisissez une option de mise à jour dans le menu local. Lorsque vous cliquez sur OK, iTunes met à jour les podcasts sélectionnés sur l’iPod nano de manière qu’ils soient identiques à ceux présents sur l’ordinateur. Limiter le nombre d’épisodes mis à jour automatiquement sur l’iPod nano Sélectionnez l’une des options de mise à jour automatique puis choisissez une option dans le menu local Mettre à jour :“tous les épisodes”, “seulement les épisodes cochés”, “seulement l’épisode le plus récent” ou “seulement les épisodes non lus”. Lorsque iTunes met à jour les podcasts de l’iPod nano, les épisodes autres que ceux que vous indiquez sont supprimés de l’iPod nano.Chapitre 2 Fonctionnalités musicales 25 Lecture de musique Après avoir téléchargé de la musique et d’autres fichiers audio sur votre iPod nano, vous pouvez les écouter. Servez-vous de la molette cliquable et du bouton central pour rechercher un morceau, un livre audio ou un podcast. Les éléments de menu Podcasts et Livres audio ne s’afficheront que si vous avez téléchargé ce type de fichier audio sur l’iPod nano. Pour rechercher et lire un morceau : m Sélectionnez Musique, recherchez un morceau, appuyez sur le bouton de lecture (’) et régalez-vous ! Lorsqu’un morceau est en cours de lecture, l’écran En lecture apparaît. Lorsque l’écran En lecture est affiché, vous pouvez utiliser la molette cliquable pour régler le volume. Le tableau suivant décrit les éléments de l’écran En Lecture de l’iPod nano. Écran En lecture Fonction Numéro du morceau Affiche le numéro du morceau en cours de lecture dans la séquence de morceaux actuelle. Pochette d’album Affiche les illustrations si elle sont intégrées au fichier audio du morceau. Icône Répéter (⁄) Apparaît si l’iPod nano est configuré pour répéter tous les morceaux. L’icône Répéter une fois (!) apparaît lorsque l’iPod nano est configuré pour répéter un seul morceau. Icône Aléatoire (¡) Apparaît si l’iPod nano est configuré pour lire de façon aléatoire des morceaux ou des albums. Informations du morceau Affiche le titre du morceau, le nom de l’artiste et le titre de l’album. Durée du morceau (barre de progression) Affiche le temps écoulé et le temps restant du morceau en cours de lecture. Appuyez sur le bouton central pour afficher le défileur, où un losange indique la position de lecture. Utilisez la molette cliquable pour écouter à un endroit différent du morceau, livre audio ou podcast. Icône Répéter Icône Aléatoire Durée du morceau Numéro du morceau Informations du morceau Pochette d’album26 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Selon le type de fichier audio que vous écoutez, vous pouvez appuyer sur le bouton central à plusieurs reprises dans l’écran En lecture pour afficher d’autres informations et options, telles que l’écran de classement pour les morceaux et livres audio, la pochette de l’album, les informations de podcast, la vitesse de lecture et plus encore. Cliquez sur le bouton Menu pour revenir à l’écran précédent. Configuration de l’iPod nano pour la lecture de morceaux dans un ordre aléatoire Vous pouvez configurer l’iPod nano pour la lecture de morceaux, d’albums ou de toute votre bibliothèque en ordre aléatoire. Pour configurer l’iPod nano de manière à ce qu’il mélange et commence la lecture de tous vos morceaux : m Sélectionnez l’option Mix de morceaux dans le menu principal de l’iPod nano. L’iPod nano entamera la lecture aléatoire de morceaux à partir de toute votre bibliothè- que musicale, en ignorant les livres audio et les podcasts. Pour configurer l’iPod nano de manière à ce qu’il lise toujours les morceaux ou les albums dans un ordre aléatoire : 1 Sélectionnez l’élément du menu Réglages dans le menu principal de l’iPod nano. 2 Réglez l’élément du menu Aléatoire sur Morceaux ou Albums. Lorsque vous configurez l’iPod nano pour lire les morceaux dans un ordre aléatoire en sélectionnant Réglages > Aléatoire, l’iPod nano lit de manière aléatoire les morceaux de la liste (album ou liste de lecture, par exemple) que vous avez choisi d’écouter. Lorsque vous configurez l’iPod nano de sorte qu’il lise des albums dans un ordre aléatoire, il lit tous les morceaux d’un album dans l’ordre, puis choisit aléatoirement un autre album dans la liste et le lit dans l’ordre. Configuration de l’iPod nano pour la répétition de morceaux Vous pouvez configurer l’iPod nano de sorte qu’il répète un morceau indéfiniment ou bien qu’il répète une suite de morceaux. L’iPod nano répète les morceaux de la liste que vous avez choisi d’écouter. Pour régler la répétition de morceaux sur l’iPod nano : m Sélectionnez l’élément du menu Réglages dans le menu principal de l’iPod nano.  Pour répéter tous les morceaux de la liste, réglez l’élément du menu Répéter sur Tous.  Pour lire un morceau en boucle, réglez l’élément du menu Répéter sur Un.Chapitre 2 Fonctionnalités musicales 27 Création de listes de lecture On-The-Go sur l’iPod nano Vous pouvez créer des listes de lecture sur l’iPod nano, appelées listes de lecture On-The-Go, lorsque l’iPod nano n’est pas connecté à votre ordinateur. Pour créer une liste de lecture On-The-Go : 1 Sélectionnez un morceau puis maintenez enfoncé le bouton central jusqu’à ce que le titre du morceau clignote. 2 Choisissez les autres morceaux que vous souhaitez ajouter. 3 Sélectionnez Musique > Listes de lecture > On-The-Go pour afficher votre liste de morceaux. Vous pouvez également ajouter des listes entières de morceaux en même temps. Par exemple, pour ajouter un album, sélectionnez le titre de l’album puis appuyez sur le bouton central. Maintenez-le enfoncé jusqu’à ce que le titre de l’album clignote. Pour lire les morceaux d’une liste de lecture On-The-Go : m Sélectionnez Musique > Listes de lecture > On-The-Go puis choisissez un morceau. Pour supprimer un morceau d’une liste de lecture On-The-Go : m Sélectionnez un morceau dans la liste de lecture et ne relâchez le bouton central que lorsque le titre clignote. Pour effacer tout le contenu de la liste de lecture On-The-Go : m Sélectionnez Musique > Listes de lecture > On-The-Go > Effacer liste. Pour enregistrer des listes de lecture On-The-Go sur votre iPod nano : m Sélectionnez Musique > Listes de lecture > On-The-Go > Enregistrer liste > Enregistrer liste. La première liste de lecture est enregistrée sous l’intitulé “Nouvelle liste 1” dans le menu Listes de lecture. La liste de lecture On-The-Go est effacée. Vous pouvez enregistrer autant de listes de lecture On-The-Go que vous le souhaitez. Après avoir enregistré une liste de lecture On-The-Go, vous ne pouvez plus en supprimer des morceaux. Pour copier des listes de lecture instantanées (On-The-Go) vers votre ordinateur : m Si l’iPod nano est réglé pour le transfert automatique des morceaux (voir “Mise à jour automatique de l’iPod nano” à la page 21) et que vous créez une liste de lecture On-The-Go, cette dernière sera automatiquement copiée vers iTunes lorsque vous connectez l’iPod nano. La nouvelle liste de lecture On-The-Go apparaîtra dans la liste des sources iTunes. Vous pouvez renommer ou supprimer la nouvelle liste de lecture, comme pour toute autre liste de lecture dans iTunes.28 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Évaluation des morceaux Vous pouvez attribuer à un morceau une note d’évaluation (de 1 à 5 étoiles) pour indiquer à quel point il vous plaît. Vous pouvez créer automatiquement des listes de lecture dans iTunes selon ces notes d’évaluation. Pour attribuer une note à un morceau : 1 Lancez la lecture du morceau. 2 Dans l’écran En lecture, appuyez sur le bouton central jusqu’à l’apparition de l’écran de classement (qui affiche soit des puces, soit des étoiles, soit les deux). 3 Servez-vous de la molette cliquable pour choisir une note. Remarque : il est impossible d’attribuer une note à un podcast. Mise en place du volume maximum Vous pouvez décider d’établir un volume maximum (c’est-à-dire une limite du niveau sonore) sur votre iPod nano, puis lui attribuer un code afin d’éviter que ce réglage soit modifié. Pour mettre en place un volume maximum sur votre iPod nano : 1 Sélectionnez Réglages > Volume maximum. La commande de volume affiche le volume actuel. 2 Utilisez la molette cliquable pour sélectionner le niveau sonore que vous souhaitez établir en tant que volume maximum. Vous pouvez appuyez sur Lire afin d’écouter le morceau en cours de sélection lorsque vous choisissez le niveau sonore. 3 Une fois le niveau sonore choisi, appuyez sur le bouton central pour définir ce niveau en tant que volume maximum. Dans la barre de volume, un triangle indique le volume maximum. 4 Lorsque l’écran Volume maximum est affiché, cliquez sur Définir le code pour mettre en place un code ; de cette manière, il faudra la saisir avant de pouvoir modifier le volume maximum. Cliquez sur Terminé pour valider le volume maximum établi sans mettre en place de code. 5 Si vous choisissez Définir le code, vous devez en saisir un :  Utilisez la molette cliquable pour sélectionner un chiffre à entrer dans la case du premier chiffre. Appuyez sur le bouton central pour confirmer votre choix et passer à la case suivante.  Utilisez la même méthode pour définir les autres chiffres du code. Vous pouvez utiliser le bouton Suivant/Avance rapide pour passer à la case suivante ou le bouton Précédent/ Retour rapide pour revenir à la case précédente. Lorsque vous vous trouvez dans la dernière case, appuyez sur le bouton central pour confirmer la totalité du code et revenir à l’écran précédent.Chapitre 2 Fonctionnalités musicales 29 Si vous montez le son au maximum après avoir mis en place un niveau sonore maximum, une icône de verrou apparaîtra à droite de la barre de volume de l’écran En lecture : cela vous indique que la limite établie a été atteinte. Remarque : le volume des morceaux et des autres fichiers audio peut varier selon leur mode d’enregistrement ou d’encodage. Consultez la section “Réglage de morceaux pour qu’ils soient lus au même volume” à la page 29 pour obtenir des informations sur la manière de mettre en place un niveau sonore relatif dans iTunes et sur l’iPod nano. Le niveau sonore peut également varier selon le type d’écouteurs ou de casque utilisés. À part l’accessoire iPod Radio Remote, les accessoires qui se branchent via le connecteur iPod Dock Connector ne prennent pas en charge l’établissement d’un volume maximum. Si vous avez défini un code, vous devez alors le saisir avant de modifier ou de supprimer le volume maximum. Pour modifier le volume maximum : 1 Sélectionnez Réglages > Volume maximum. 2 Si vous avez établi un code, saisissez-le en utilisant la molette cliquable pour sélectionner les chiffres et en appuyant sur le bouton central pour les valider. 3 Utilisez la molette cliquable pour modifier le niveau sonore établi en tant que volume maximum. 4 Appuyez sur le bouton central pour valider la modification. Pour supprimer le volume maximum : 1 Si vous écoutez de la musique sur votre iPod, appuyez sur Pause. 2 Sélectionnez Réglages > Volume maximum. 3 Si vous avez établi un code, saisissez-le en utilisant la molette cliquable pour sélectionner les chiffres et en appuyant sur le bouton central pour les valider. 4 Utilisez la molette cliquable pour déplacer la limite établie jusqu’au niveau le plus élevé sur la barre de volume. Cela annule toute restriction quant au volume. 5 Appuyez sur le bouton central pour valider la modification. Remarque : si vous avez oublié le code, vous avez la possibilité de restaurer l’iPod nano. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52 pour en savoir plus. Réglage de morceaux pour qu’ils soient lus au même volume iTunes peut régler automatiquement le volume des morceaux, de manière à ce qu’ils soient lus au même volume relatif. Vous pouvez configurer l’iPod nano de sorte qu’il utilise les réglages de volume d’iTunes.30 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Pour régler iTunes de sorte qu’il lise les morceaux au même niveau sonore : 1 Dans iTunes, sélectionnez iTunes > Préférences si vous utilisez un Mac ou sélectionnez Édition > Préférences si vous utilisez un PC sous Windows. 2 Cliquez sur Audio puis choisissez Égaliseur de volume. Pour régler l’iPod nano de manière à ce qu’il utilise les réglages de volume d’iTunes : m Sélectionnez Réglages > Égaliseur de volume. Si vous n’avez pas activé l’option Égaliseur de volume dans iTunes, la configurer sur l’iPod nano n’a aucun effet. Utilisation de l’égaliseur Vous pouvez utiliser les préréglages de l’égaliseur pour modifier le son de l’iPod nano et l’ajuster aux différents genres ou styles musicaux. Par exemple, pour améliorer l’acoustique d’un morceau rock, réglez l’égaliseur sur Rock. m Sélectionnez Réglages > Égaliseur puis choisissez un préréglage d’égaliseur. Si vous avez choisi un préréglage d’égaliseur pour un morceau dans iTunes et que l’égaliseur de l’iPod nano est désactivé (réglé sur Non), le morceau est lu selon le réglage d’iTunes. Voir l’Aide iTunes et Music Store pour en savoir plus. Configuration de l’iPod nano pour l’affichage des compilations Vous pouvez configurer l’iPod nano de telle sorte qu’il affiche un élément de menu nommé Compilations dans le menu Musique. Une compilation est un album constitué à partir de plusieurs sources, par exemple une musique de film ou un album de morceaux à succès. Vous pouvez choisir Musique > Compilations pour voir vos compilations. Pour configurer l’iPod nano pour un affichage de l’option Compilations dans le menu Musique : m Choisissez Réglages et réglez Compilations sur Oui. Affichage d’illustrations d’album sur l’iPod nano Vous pouvez configurer iTunes de manière à permettre à l’iPod nano d’afficher des illustrations d’album, puis ensuite les visionner sur l’iPod nano. Pour configurer iTunes de sorte que l’iPod nano affiche les illustrations d’album : 1 Ouvrez iTunes, sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 2 Sélectionnez l’option “Afficher les illustrations d’album sur votre iPod”. Bouton OptionsChapitre 2 Fonctionnalités musicales 31 Pour voir les illustrations d’album sur votre iPod nano : 1 Écoutez un morceau auquel est associé une illustration d’album. 2 Dans l’écran En lecture, appuyez deux fois sur le bouton central. Si vous ne voyez aucune illustration, soit ce morceau n’en possède pas, soit vous devez configurer iTunes pour permettre à l’iPod nano d’afficher une illustration. Pour en savoir plus sur les illustrations d’album, ouvrez iTunes puis choisissez Aide > Aide iTunes et Music Store. Affichage de paroles sur l’iPod nano Si vous saisissez les paroles d’un morceau dans iTunes, puis transférer ce morceau vers l’iPod nano, vous pouvez voir les paroles sur ce dernier. Pour obtenir plus d’informations sur la saisie de paroles, voir “Ajout de paroles” à la page 17. Pour afficher les paroles sur l’iPod nano lorsqu’un morceau est en cours de lecture : m Lorsque l’écran En lecture est affiché, cliquez sur le bouton central jusqu’à ce que les paroles apparaissent. Les paroles s’affichent à l’écran et vous pouvez les faire défiler pendant la lecture du morceau. Écoute de podcasts Les podcasts sont des sortes d’émissions de radio téléchargeables que vous pouvez vous procurer sur l’iTunes Music Store (voir “Téléchargement de podcasts sur l’iPod nano” à la page 24). Les podcasts s’organisent par émissions, épisodes (inclus dans les émissions) et chapitres (inclus dans les épisodes). Si vous interrompez l’écoute d’un podcast sur l’iPod, vous pourrez reprendre cette écoute à l’endroit où vous l’avez interrompue. Pour écouter un podcast : 1 Sélectionnez Musique > Podcasts, puis sélectionnez une émission. Les émissions s’affichent dans l’ordre chronologique inverse pour que vous puissiez commencer par écouter la plus récente. Un point bleu apparaît à côté des émissions et des épisodes que vous n’avez pas encore écoutés. 2 Choisissez un épisode à écouter. L’écran En lecture affiche l’émission, l’épisode, les informations sur la date mais aussi le temps écoulé et le temps restant. Appuyez sur le bouton central pour obtenir plus d’informations sur le podcast. Si le podcast inclut des illustrations, vous pourrez également les visualiser. Les illustrations du podcast peuvent être modifiées au cours d’un épisode : il est donc possible que vous visualisiez plusieurs images durant le podcast. Vous pouvez également télécharger des podcasts vidéo. Lorsque vous recherchez un podcast vidéo, vous pouvez seulement l’entendre ; vous ne pouvez pas le voir sur l’iPod nano.32 Chapitre 2 Fonctionnalités musicales Remarque : si le podcast que vous écoutez comporte des chapitres, vous pouvez appuyer sur le bouton Suivant/Avance rapide pour passer au chapitre suivant et Précédent/Retour rapide pour revenir au début du chapitre courant. Pour en savoir plus sur les podcasts, ouvrez iTunes puis sélectionnez Aide > Aide iTunes et Music Store. Recherchez alors “podcasts”. Écoute de livres audio Vous pouvez acheter et télécharger des livres audio sur l’iTunes Music Store ou sur audible.com et les écouter sur votre iPod nano. Vous pouvez utiliser iTunes pour télécharger des livres audio sur votre iPod nano de la même manière que vous téléchargez des morceaux. Si vous interrompez l’écoute d’un livre audio sur l’iPod nano, vous pourrez reprendre cette écoute à l’endroit où vous l’aviez interrompue. L’iPod nano ignore les livres audio lorsqu’il est en mode aléatoire, à moins que vous n’écoutiez des morceaux à partir de listes de lecture. Si le livre audio que vous écoutez comporte des chapitres, vous pouvez appuyer sur le bouton Suivant/Avance rapide pour passer au chapitre suivant et Précédent/Retour rapide pour revenir au début du chapitre courant. Vous pouvez lire des livres audio à des vitesses inférieures ou supérieures à la normale. Pour régler la vitesse de lecture d’un livre audio : m Sélectionnez Réglages > Livres audio puis choisissez une vitesse. Vous pouvez également régler la vitesse de lecture dans l’écran En lecture pendant que vous écoutez un livre audio. Appuyez sur le bouton central jusqu’à l’apparition de l’option Vitesse, puis utilisez la molette cliquable pour sélectionner Plus rapide ou Plus lent. Le choix d’une vitesse de lecture ne concerne que les livres audio achetés sur l’iTunes Music Store ou audible.com. Écoute de la radio FM Vous pouvez écouter la radio à l’aide de l’accessoire en option iPod Radio Remote pour l’iPod nano. Cet accessoire se fixe sur votre iPod nano à l’aide du câble de connecteur Dock. Pour en savoir plus sur l’utilisation des fonctions de radio avec l’iPod nano, consultez la documentation concernant l’accessoire iPod Radio Remote.3 33 3 Fonctionnalités concernant les photos Vous pouvez télécharger sur l’iPod nano des photos prises avec votre appareil photo numérique. Vous pouvez visionner vos photos sur l’iPod nano, aussi bien de façon individuelle que sous forme de diaporama. Consultez cette section pour en savoir plus sur l’importation et l’affichage de photos. Téléchargement de photos Vous pouvez importer des photos numériques depuis votre appareil photo numérique vers votre ordinateur, puis les télécharger pour les mémoriser et les visionner sur l’iPod nano. Importation de photos à partir d’un appareil photo vers votre ordinateur Vous pouvez importer des photos depuis un appareil photo numérique ou un lecteur de cartes photo. Pour importer des photos sur un Mac via iPhoto : 1 Connectez l’appareil photo ou le lecteur de cartes photo à votre ordinateur. Ouvrez l’application iPhoto (dans le dossier Applications) si elle ne s’ouvre pas automatiquement. 2 Cliquez sur Importer. Les images de l’appareil photo sont importées dans iPhoto. Vous pouvez importer d’autres images numériques dans iPhoto, comme des images téléchargées sur Internet. Pour en savoir plus sur l’importation et la manipulation de photos et d’autres images, ouvrez iPhoto puis choisissez Aide > Aide iPhoto.34 Chapitre 3 Fonctionnalités concernant les photos iPhoto fait partie d’une suite d’applications appelée iLife, en vente au site Web www.apple.com/fr/ilife. Il est possible qu’iPhoto soit déjà installé sur votre Mac, dans le dossier Applications. Si vous ne disposez pas d’iPhoto, vous pouvez importer des photos via l’application Transfert d’images. Pour importer des photos sur un Mac via l’application Transfert d’images : 1 Connectez l’appareil photo ou le lecteur de cartes photo à votre ordinateur. 2 Ouvrez l’application Transfert d’images (dans le dossier Applications) si celle-ci ne s’ouvre pas automatiquement. 3 Pour choisir des éléments spécifiques à télécharger, cliquez sur Télécharger certaines images. Ou, pour télécharger tous les éléments, cliquez sur Tout télécharger. Pour importer des photos sur un PC sous Windows : m Suivez les instructions fournies avec votre appareil photo numérique ou votre application de gestion de photos. Téléchargement de photos depuis votre ordinateur sur l’iPod nano Vous pouvez télécharger des photos à partir d’un dossier sur votre disque dur. Si vous utilisez un Mac et iPhoto 4.0.3 ou ultérieur, vous pouvez télécharger automatiquement des albums iPhoto. Si vous utilisez un PC sous Windows et Adobe Photoshop Album 1.0 ou ultérieur ou Adobe Photoshop Elements 3.0 ou ultérieur, vous pouvez télécharger automatiquement des collections de photos. La première fois que vous téléchargez des photos sur l’iPod nano, il se peut que l’opération prenne un certain temps selon le nombre de photos que contient votre photothèque.Chapitre 3 Fonctionnalités concernant les photos 35 Pour transférer des photos depuis un Mac ou PC sous Windows sur l’iPod nano en utilisant une application de gestion de photos : 1 Ouvrez iTunes, sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Photos puis sélectionnez “Synchronisez les photos depuis”.  Sur un Mac, choisissez iPhoto dans le menu local.  Sur un PC sous Windows, choisissez Photoshop Album ou Photoshop Elements dans le menu local. 3 Si vous souhaitez importer l’ensemble de vos photos, sélectionnez “Copier toutes les photos”. Si vous souhaiter importer des photos de certains albums ou collections uniquement, sélectionnez l’option “Copier uniquement les albums sélectionnés” puis sélectionnez les albums ou collections de votre choix. Remarque : certaines versions de Photoshop Album et Photoshop Elements ne prennent pas en charge les collections. Vous pouvez cependant les utiliser pour télécharger toutes vos photos. Chaque fois que vous connectez l’iPod nano à votre ordinateur, les photos sont téléchargées automatiquement. Pour télécharger des photos depuis un dossier de votre disque dur sur l’iPod nano : 1 Faites glisser les images de votre choix dans un dossier de votre ordinateur. Si vous souhaitez que les images apparaissent dans différents albums photo sur l’iPod nano, créez des dossiers à l’intérieur du dossier d’images principal et faites glisser les images dans les nouveaux dossiers. 2 Ouvrez iTunes, sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 3 Cliquez sur Photos puis sélectionnez “Synchronisez les photos depuis”. 4 Sélectionnez “Choisir un dossier” dans le menu local puis choisissez votre dossier d’images. Bouton Options Bouton Options36 Chapitre 3 Fonctionnalités concernant les photos Lorsque vous téléchargez des photos sur l’iPod nano, iTunes les optimise en vue de leur affichage à l’écran. Les fichiers d’images en pleine résolution ne sont pas transférés par défaut. Le téléchargement de fichiers d’images en pleine résolution est utile si vous souhaitez stocker vos images ou les déplacer d’un ordinateur à un autre, mais il n’est pas nécessaire pour afficher les images en pleine qualité sur l’iPod nano. Pour télécharger des fichiers d’images en pleine résolution sur l’iPod nano : 1 Ouvrez iTunes, sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Photos puis sélectionnez “Inclure les photos en pleine résolution”. iTunes copie les versions en pleine résolution des photos dans le dossier Photos de votre iPod nano. Importation de photos depuis l’iPod nano sur un ordinateur Si vous téléchargez des photos en pleine résolution depuis ordinateur sur l’iPod nano à l’aide des étapes précédentes, elles sont stockées dans un dossier Photos de l’iPod nano. Vous pouvez connecter l’iPod nano à un ordinateur puis importer ces photos sur l’ordinateur. L’iPod nano doit être configuré pour l’utilisation comme disque externe (consulter “Utilisation de l’iPod nano en tant que disque externe” à la page 38). Pour importer des photos depuis l’iPod nano sur un ordinateur : 1 Connectez l’iPod nano à l’ordinateur. 2 Faites glisser les fichiers images du dossier Photos de l’iPod nano vers le bureau ou vers une application de montage photo sur l’ordinateur. Remarque : vous pouvez également utiliser une application de montage photo, comme iPhoto, pour importer des photos stockées dans le dossier Photos. Visionnage de photos Vous pouvez visionner des photos manuellement ou sous forme de diaporama sur l’iPod nano. Affichage de photos sur l’iPod nano Pour afficher des photos sur l’iPod nano : 1 Sur l’iPod nano, sélectionnez Photos > Photothèque. Vous pouvez aussi sélectionner Photos puis un album photo pour afficher uniquement les photos de cet album. Les vignettes des photos apparaissent (cela peut prendre un moment). Bouton OptionsChapitre 3 Fonctionnalités concernant les photos 37 2 Sélectionnez la photo de votre choix puis appuyez sur le bouton central pour afficher une version en plein écran. À partir de n’importe quel écran d’affichage de photos, utilisez la molette cliquable pour faire défiler les photos. Utilisez les boutons Suivant/Avance rapide et Précédent/ Retour rapide pour passer à l’écran de photos suivant ou précédent. Visionnage de diaporamas Si vous le souhaitez, vous pouvez visionner un diaporama agrémenté de musique et de transitions sur l’iPod nano. Pour configurer les réglages d’un diaporama : m Sélectionnez Photos > Réglages de diaporama puis suivez les instructions ci-dessous : Pour visionner un diaporama sur l’iPod nano : m Choisissez une photo, un album ou un rouleau, puis appuyez sur le bouton Lecture/ Pause ou bien sélectionnez une photo en plein écran et appuyez sur le bouton central. Pour suspendre la musique et le diaporama, appuyez sur le bouton Lecture/Pause. Pour passer manuellement à l’écran de photos suivant ou précédent, appuyez sur le bouton Suivant/Avance rapide ou bouton Précédent/Retour rapide. Pour définir : Procédez ainsi : La durée d’affichage de chaque diapositive avant le passage à la suivante Sélectionnez Temps par diapo puis choisissez une durée. La musique qui agrémente les diaporamas Sélectionnez Musique puis choisissez une liste de lecture. Si vous utilisez iPhoto, vous pouvez choisir l’option D’iPhoto pour copier le réglage de musique d’iPhoto. Seuls les morceaux que vous avez téléchargés sur l’iPod nano sont lus. Les diapositives à répéter Réglez Répéter sur Oui. Les diapositives à afficher dans un ordre aléatoire Réglez Mix de photos sur Oui. Les diapositives à afficher avec des transitions Sélectionnez Transitions puis choisissez le type de transition.4 38 4 Fonctions et accessoires supplémentaires Votre iPod nano peut garder bien plus que des morceaux et avec lui, vous pouvez faire bien plus que d’écouter de la musique. Consultez cette section pour en savoir plus sur les fonctions supplémentaires de l’iPod nano, notamment son utilisation en tant que disque externe, son alarme, sa minuterie de mise en veille, ses horloges affichant l’heure dans d’autres régions du monde et sa fonction de synchronisation de contacts, de calendriers, de listes de tâches, de mémos vocaux et de notes. Apprenez à utiliser l’iPod nano comme chronomètre et à verrouiller l’écran. Renseignez-vous sur les accessoires disponibles pour l’iPod nano. Utilisation de l’iPod nano en tant que disque externe Vous pouvez utiliser l’iPod nano comme disque externe pour stocker et télécharger des fichiers de données. Remarque : pour télécharger sur l’iPod nano de la musique et d’autres fichiers audio, vous devez utiliser iTunes. Par exemple, les morceaux téléchargés via iTunes ne sont pas visibles dans le Finder Macintosh ou l’Explorateur Windows. De même, si vous copiez des fichiers de musique sur l’iPod nano dans le Finder Macintosh ou l’Explorateur Windows, vous ne pourrez pas les écouter sur l’iPod nano. Pour utiliser l’iPod nano comme disque externe : 1 Dans iTunes, sélectionnez iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Musique et sélectionnez “Activer l’utilisation comme disque dur”. Lorsque vous utilisez l’iPod nano comme disque externe, une icône de disque iPod nano apparaît sur le bureau si vous utilisez un Mac, tandis que si vous utilisez un PC sous Windows, la première lettre de disque disponible lui est attribuée dans l’Explorateur Windows. Bouton OptionsChapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires 39 Remarque : pour utiliser l’iPod nano en tant que disque externe, vous pouvez également cliquer sur Musique puis sélectionner “Organiser les morceaux et listes de lecture manuellement”. dans la fenêtre Options. Faites glisser des fichiers à partir de l’iPod nano ou vers lui afin de les copier. Si vous utilisez l’iPod nano principalement comme disque, il est recommandé d’empê- cher l’ouverture automatique d’iTunes à la connexion de l’iPod nano à votre ordinateur. Pour empêcher iTunes de s’ouvrir automatiquement quand vous connectez l’iPod nano à votre ordinateur : 1 Dans iTunes, sélectionnez iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 2 Cliquez sur Musique et désélectionnez l’option “Ouvrir iTunes à la connexion de cet iPod”. Utilisation des réglages supplémentaires Vous pouvez régler la date et l’heure, des horloges de fuseaux horaires différents et les fonctionnalités de l’alarme et de la mise en veille sur votre iPod nano. Vous pouvez utiliser l’iPod nano comme chronomètre ou pour jouer, et vous pouvez verrouiller l’écran de l’iPod nano. Réglage et affichage de la date et de l’heure La date et l’heure sont réglées automatiquement à partir de l’horloge de votre ordinateur lorsque vous connecté l’iPod nano mais vous pouvez modifier ces réglages. Pour régler les options de date et d’heure : 1 Choisissez Réglages > Date et Heure. 2 Choisissez une ou plusieurs des options suivantes : Bouton Options Pour : Procédez ainsi : Spécifier le fuseau horaire Sélectionnez Régler fuseau horaire puis choisissez un fuseau horaire dans la liste. Régler la date et l’heure Sélectionnez Régler date/heure. Utilisez la molette cliquable pour modifier la valeur sélectionnée. Appuyez sur le bouton central pour passer à la valeur suivante. Afficher l’heure dans un format différent Sélectionnez Heure puis appuyez sur le bouton central pour alterner l’horloge entre le format de 12 heures et celui de 24 heures. Afficher l’heure dans la barre de titre Sélectionnez Heure dans titre puis appuyez sur le bouton central pour choisir Oui ou Non. Vous pouvez lire l’heure dans chaque écran de menu de l’iPod nano.40 Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires Ajout d’horloges d’autres fuseaux horaires Pour ajouter des horloges d’autres fuseaux horaires à l’écran de votre iPod nano : 1 Sélectionnez Extras > Horloge. 2 Sélectionnez Nouv. horloge. 3 Choisissez une région puis une ville. Les horloges ajoutées s’affichent dans une liste. La dernière horloge ajoutée s’affiche à la fin. Pour supprimer une horloge : 1 Choisir l’horloge. 2 Sélectionnez Supprimer cette horloge puis confirmez en sélectionnant Supprimer sur l’écran suivant. Réglage de l’alarme Vous pouvez régler une alarme pour chacune des horloges de votre iPod nano. Pour utiliser l’iPod nano comme réveil : 1 Sélectionnez Extras > Horloge puis choisissez l’horloge dont vous souhaitez régler l’alarme. 2 Sélectionnez Alarme. 3 Activez l’alarme en la réglant sur Oui. 4 Sélectionnez Heure puis réglez l’heure à laquelle vous souhaitez que l’alarme se déclenche. 5 Choisissez un son. Si vous sélectionnez Bip, le haut-parleur interne diffusera l’alarme. Si vous choisissez une liste de lecture, vous devrez connecter l’iPod nano à des haut-parleurs ou à des écouteurs pour pouvoir entendre l’alarme. Une icône de cloche se trouve à côté des horloges dont l’alarme a été réglée. Réglage de la minuterie de mise en veille Vous pouvez configurer l’extinction automatique de l’iPod nano au bout d’un certaine période de lecture de musique ou d’un diaporama. Pour configurer la minuterie de mise en veille : 1 Sélectionnez Extras > Horloge puis choisissez une horloge. 2 Choisissez “Min. mise en veille” puis définissez la durée de lecture de l’iPod nano. Lorsque vous réglez la minuterie de mise en veille, une icône d’horloge et le nombre de minutes avant la mise en veille de l’iPod nano s’affichent sur l’écran En lecture de l’iPod nano.Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires 41 Utilisation du chronomètre Vous pouvez utiliser le chronomètre pendant que vous faites de l’exercice pour connaî- tre votre temps total et, si vous courrez sur une piste, vos temps de passage. Vous pouvez écouter de la musique tout en utilisant le chronomètre. Pour utiliser le chronomètre : 1 Choisissez Extras > Chronomètre > Minuterie. 2 Choisissez Démarrer pour lancer le chronomètre. 3 Choisissez Circuit après chaque tour pour enregistrer vos temps de passage. Le temps total de la session d’exercice et les temps de passage les plus récents s’affichent à l’écran. 4 Choisissez Pause pour interrompre la minuterie totale et la minuterie de circuit. Cliquez sur Reprendre pour lancer à nouveau les chronomètres. 5 Choisissez Terminé pour finir la session. L’iPod nano mémorise les dates, heures et statistiques de tours de circuit des sessions de chronomètre. Remarque : après le lancement du chronomètre, votre iPod reste actif tant que vous êtes dans l’écran Minuterie et le chronomètre continue à défiler. Si vous lancez le chronomètre, passez à un autre menu et que votre iPod n’est pas en train de lire de la musique, la minuterie du chronomètre s’arrête et votre iPod s’éteint automatiquement au bout de quelques minutes. Pour examiner ou supprimer une session de chronomètre : 1 Sélectionnez Extras > Chronomètre. Une liste de sessions enregistrées s’affiche à la suite de l’élément menu Minuterie. 2 Choisissez une session pour en consulter les données. Vous pouvez lire la date et l’heure du début de la session, la durée totale de la session, ainsi que le temps de passage le plus court, le plus long, moyen et le dernier. 3 Pour supprimer une session, appuyez sur le bouton central puis sélectionnez Supprimer. Jeux L’iPod nano vous propose quelques jeux. m Sélectionnez Extras > Jeux puis choisissez un jeu. Verrouillage de l’écran de votre iPod nano Vous pouvez définir une combinaison pour empêcher que votre iPod nano soit utilisé sans votre autorisation. Si vous verrouillez un iPod nano qui n’est pas connecté à un ordinateur, vous devez saisir la combinaison pour le déverrouiller et pouvoir l’utiliser.42 Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires Remarque : le verrouillage a une fonction différente de celle du bouton Hold, qui empêche d’allumer involontairement l’iPod nano. La combinaison empêche toute autre personne de visualiser l’écran de votre iPod nano. Pour définir une combinaison pour l’iPod nano : 1 Sélectionnez Extras > Verrouillage écran > Définir la combinaison. 2 Sur l’écran “Nouveau code :”, saisissez une combinaison :  Utilisez la molette cliquable pour sélectionner un chiffre à entrer dans la case du premier chiffre. Appuyez sur le bouton central pour confirmer votre choix et passer à la case suivante.  Utilisez la même méthode pour définir les autres chiffres de la combinaison. Vous pouvez utiliser le bouton Suivant/Avance rapide pour passer à la case suivante ou le bouton Précédent/Retour rapide pour revenir à la case précédente. Lorsque vous vous trouvez dans la dernière case, appuyez sur le bouton central pour confirmer la totalité de la combinaison et revenir à l’écran précédent. Pour verrouiller l’écran de l’iPod nano : m Sélectionnez Extras > Verrouillage écran > Activer le verrouillage > Verrouiller. Si vous venez de définir votre combinaison, l’élément Verrouiller sera déjà sélectionné à l’écran. Il suffit alors d’appuyer sur le bouton central pour verrouiller l’iPod nano. ∏ Astuce : en ajoutant l’élément de menu Verrouillage écran à votre menu principal, vous pourrez verrouiller rapidement l’écran de votre iPod nano. Consultez “Ajout ou suppression d’éléments depuis le menu principal” à la page 8. Il existe deux manière de déverrouiller votre iPod nano :  Saisissez la combinaison sur l’iPod nano en utilisant la molette cliquable pour sélectionner les chiffres et en appuyant sur le bouton central pour les valider. Si vous saisissez une combinaison incorrecte, elle clignote en rouge. Essayez à nouveau.  Connectez l’iPod nano à l’ordinateur principal avec lequel vous l’utilisez : l’iPod nano se déverrouille automatiquement. Remarque : si vous avez essayé ces solutions mais que l’iPod nano ne se déverrouille toujours pas, vous pouvez restaurer l’iPod nano. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52 pour en savoir plus. Pour modifier une combinaison déjà définie : 1 Sélectionnez Extras > Verrouillage écran > Modifier la combinaison. 2 Sur l’écran “Ancien code :”, saisissez la combinaison actuelle. 3 Sur l’écran “Nouveau code :”, saisissez une nouvelle combinaison. Remarque : si vous avez oublié la combinaison actuelle, la seule façon de l’effacer et d’en entrer une nouvelle est de restaurer le logiciel de l’iPod. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52 pour en savoir plus.Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires 43 Synchronisation de contacts, de calendriers et de listes de tâches Votre iPod nano peut mémoriser des contacts, des événements de votre calendrier et des listes de tâches qui vous accompagneront partout. Si vous utilisez Mac OS X v10.4 ou ultérieur, vous pouvez utiliser iTunes pour synchroniser les contacts de Carnet d’adresses et les calendriers iCal avec l’iPod nano. Si vous utilisez une version de Mac OS X antérieure à 10.4, vous pouvez utiliser iSync pour synchroniser vos informations. La synchronisation d’informations avec iSync requiert iSync 1.1 ou ulté- rieur et iCal 1.0.1 ou ultérieur. Si vous utilisez Windows 2000 ou Windows XP et que vous utilisez Outlook Express ou Microsoft Outlook 2003 ou ultérieur pour stocker vos contacts, vous pouvez utiliser iTunes pour synchroniser vos contacts avec l’iPod nano. Si vous utilisez Microsoft Outlook 2003 ou ultérieur pour tenir à jour un calendrier, vous pouvez également synchroniser ce dernier. Pour synchroniser les informations de contacts ou de calendriers (en utilisant Mac OS X version 10.4 ou ultérieure) : 1 Connectez l’iPod nano à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 3 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour synchroniser les contacts, cliquez sur Contacts puis sur “Synchroniser les contacts de Carnet d’adresses” et sélectionnez une option :  Pour synchroniser automatiquement tous les contacts, sélectionnez “Synchroniser tous les contacts”.  Pour synchroniser automatiquement des groupes de contacts, sélectionnez “Ne synchroniser que les groupes sélectionnés” et cochez les cases en regard des groupes à mettre à jour. Lorsque vous cliquez sur OK, iTunes met à jour l’iPod nano avec les informations de contacts indiquées de Carnet d’adresses. Si les contacts comprennent des photos, ces dernières sont copiées sur l’iPod nano. Lorsque vous affichez un contact sur l’iPod nano, la photo apparaît.  Pour synchroniser les calendriers, cliquez sur Calendriers puis sur “Synchroniser les calendriers iCal” et sélectionnez une option : Bouton Options44 Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires  Pour synchroniser automatiquement tous les calendriers, sélectionnez “Synchroniser tous les calendriers”.  Pour synchroniser automatiquement les calendriers sélectionnés, sélectionnez “Ne synchroniser que les calendriers sélectionnés” et cochez les cases en regard des calendriers à mettre à jour. Lorsque vous cliquez sur OK, iTunes met à jour l’iPod nano avec les calendriers indiqués. Pour synchroniser les contacts et les calendriers avec un ordinateur Mac et iSync (sous une version de Mac OS X antérieure à 10.4) : 1 Connectez l’iPod nano à votre ordinateur. 2 Ouvrez iSync puis choisissez Appareils> Ajouter un appareil. Cette opération n’est nécessaire que la première fois que vous utilisez iSync avec votre iPod nano. 3 Sélectionnez iPod nano puis cliquez sur Synchroniser. iSync télécharge les informations contenues dans iCal et Carnet d’adresses de Mac OS X sur votre iPod nano. La prochaine fois que vous voudrez synchroniser l’iPod nano, il vous suffira d’ouvrir iSync et de cliquer sur Synchroniser. Vous pouvez également choisir de synchroniser automatiquement l’iPod nano lors de sa connexion. Remarque : iSync télécharge les informations contenues dans votre ordinateur sur l’iPod nano. iSync ne vous permet pas de télécharger des informations de votre iPod nano vers votre ordinateur. Pour synchroniser vos contacts ou vos calendriers (à l’aide de Microsoft Outlook pour Windows ou d’Outlook Express pour Windows) : 1 Connectez l’iPod nano à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez iPod nano dans la liste Source et cliquez sur le bouton Options. 3 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour synchroniser vos contacts, cliquez sur Contacts, cochez la case “Synchroniser les contacts depuis”, et sélectionnez Microsoft Outlook (le cas échéant) ou Outlook Express dans le menu contextuel. Choisissez ensuite les informations de contact que vous souhaitez transférer.  Pour synchroniser des calendriers (si vous utilisez Microsoft Outlook), cliquez sur Calendriers et cochez la case “Synchroniser les calendriers à partir de Microsoft Outlook”. Bouton OptionsChapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires 45 Vous pouvez également télécharger manuellement contacts et calendriers sur votre iPod nano. Pour ce faire, l’iPod nano doit être activé pour une utilisation comme disque externe (voir “Utilisation de l’iPod nano en tant que disque externe” à la page 38). Pour télécharger manuellement des contacts : 1 Connectez l’iPod nano puis ouvrez votre application préférée de courrier électronique ou de contacts. Le téléchargement de contacts est notamment possible avec Palm Desktop, Microsoft Outlook, Microsoft Entourage et Eudora. 2 Faites glisser les contacts depuis le carnet d’adresses de l’application vers le dossier Contacts de l’iPod. Dans certains cas, il peut être nécessaire d’exporter des contacts puis de faire glisser le ou les fichiers exportés vers le dossier Contacts de l’iPod. Consultez la documentation de votre application de courrier électronique ou de contacts. Pour télécharger manuellement des rendez-vous et d’autres événements de calendrier : 1 Exportez les événements de calendrier depuis n’importe quelle application de calendrier utilisant le format standard iCalendar (extension de fichier .ics) ou le format vCal (extension de fichier .vcs). 2 Faites glisser les fichiers dans le dossier Calendriers de l’iPod nano. Remarque : il est impossible de télécharger manuellement des listes de tâches sur l’iPod nano. Pour afficher les contacts sur l’iPod nano : m Sélectionnez Extras > Contacts. Pour afficher les événements du calendrier : m Sélectionnez Extras > Calendrier. Pour afficher les listes de tâches : m Sélectionnez Extras > Calendrier > Tâches. Mémorisation et lecture de notes Vous pouvez mémoriser et lire des notes texte sur l’iPod nano s’il est configuré pour l’utilisation comme disque dur (consultez la page 38). 1 Enregistrez un document en tant que fichier texte (.txt) à l’aide de n’importe quel programme de traitement de texte. 2 Placez le fichier dans le dossier Notes de l’iPod nano. Pour afficher les notes : m Sélectionnez Extras > Notes.46 Chapitre 4 Fonctions et accessoires supplémentaires À propos des accessoires de l’iPod nano L’iPod nano vous est fourni avec un certain nombre d’accessoires mais bien d’autres sont disponibles à l’adresse www.apple.com/fr/ipodstore. Pour acheter des accessoires iPod nano, rendez-vous sur www.apple.com/fr/ipodstore. Parmi les accessoires disponibles, citons :  l’accessoire iPod Radio Remote ;  le socle iPod nano Dock ;  le socle iPod Universal Dock  le cordon avec écouteurs iPod nano Lanyard Headphones ;  le brassard iPod nano Armband ;  les écouteurs iPod In-Ear Headphones ;  l’adaptateur secteur USB iPod Power Adapter ;  le kit de voyage World Travel Adapter Kit (adaptateurs pour tous les pays) ;  des accessoires d’autres fabricants tels que haut-parleurs, casques, housses, microphones, batteries de rechange, adaptateurs stéréo pour voiture, adaptateurs secteur, etc. Pour utiliser ces écouteurs : m Connectez les écouteurs au port de sortie casque. Si vous le souhaitez, vous pouvez recouvrir les écouteurs de ces housses. Placez ensuite les écouteurs dans vos oreilles comme illustré. Avertissement : vous risquez une perte d’audition irréparable si vous utilisez un casque à volume sonore élevé. Vous pouvez vous habituer petit à petit à un volume de son plus élevé qui peut vous paraître normal mais entraîner une détérioration de votre audition. Si vos oreilles bourdonnent ou si les sons vous semblent sourds, arrêtez l’écoute et rendez-vous chez votre médecin pour vérifier votre audition. Plus le volume est élevé, plus vous risquez d’abîmer rapidement votre audition. Pour protéger votre audition, les experts donnent les conseils suivants :  Limiter la durée d’utilisation d’un casque à volume sonore élevé.  Éviter d’augmenter le volume pour bloquer le bruit ambiant.  Diminuer le volume si vous ne pouvez plus entendre les personnes voisines parler. Pour en savoir plus sur la mise en place d’un volume maximum sur l’iPod nano, consultez la section “Mise en place du volume maximum” à la page 28. Le cordon des écouteurs est réglable. Housses pour écouteurs5 47 5 Astuces et dépannage La plupart des problèmes de l’iPod nano peuvent être rapidement résolus si vous suivez les conseils de ce chapitre. Quelques suggestions La plupart des problèmes de l’iPod nano peuvent être résolus en le réinitialisant. Pour réinitialiser l’iPod nano : 1 Basculez le bouton Hold sur Hold puis désactivez-le à nouveau. 2 Maintenez enfoncés les boutons central et Menu pendant au moins 6 secondes jusqu’à l’apparition du logo Apple. Si votre iPod nano ne s’allume pas ou ne répond plus  Vérifiez que le bouton Hold est désactivé.  Si le problème persiste, connectez l’iPod nano à un port USB ou FireWire de votre ordinateur. La batterie de votre iPod nano peut avoir besoin d’être rechargée.  Si le problème persiste encore, il vous faudra peut-être réinitialiser votre iPod nano.  Si le problème persiste toujours, une restauration du logiciel de l’iPod nano est peut- être nécessaire. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52. Réinitialiser, réessayer, redémarrer, réinstaller, restaurer Souvenez-vous de ces suggestions de base si vous avez un problème avec votre iPod nano. Si les solutions suivantes ne suffisent pas, lisez plus loin pour apprendre à résoudre des problèmes spécifiques.  Réinitialisez votre iPod nano. Consultez “Quelques suggestions”, ci-dessous.  Réessayez avec un port USB différent si l’iPod nano n’apparaît pas dans iTunes.  Redémarrez votre ordinateur et assurez-vous que les mises à jour de logiciels les plus récentes sont installées.  Réinstallez les version les plus récentes sur le Web du logiciel de l’iPod et d’iTunes.  Restaurez votre iPod nano. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52.48 Chapitre 5 Astuces et dépannage Si vous souhaitez déconnecter l’iPod nano mais qu’un message à l’écran indique “Ne pas déconnecter”  Si l’iPod nano est en train de télécharger de la musique, attendez la fin du téléchargement.  Sélectionnez l’iPod nano dans la liste Source d’iTunes puis cliquez sur le bouton d’éjection.  Si l’iPod nano disparaît de la liste Source d’iTunes mais que le message “Ne pas déconnecter” est toujours affiché sur l’écran de l’iPod nano, déconnectez l’iPod nano.  Si l’iPod nano ne disparaît pas de la liste Source d’iTunes, glissez l’icône de l’iPod nano du bureau vers la Corbeille (si vous utilisez un Mac) ou cliquez sur l’icône “Retirer le périphérique en toute sécurité” située dans zone de notification système en bas à droite de l’écran, puis sélectionnez votre iPod nano (si vous utilisez un PC sous Windows). Si le message “Ne pas déconnecter” est toujours affiché, redémarrez votre ordinateur puis éjectez à nouveau l’iPod nano. Si votre iPod nano ne lit plus la musique  Vérifiez que le bouton Hold est désactivé.  Assurez-vous que la fiche du casque est complètement enfoncée dans la prise casque.  Assurez-vous que le volume est correctement réglé. Si une icône en forme de verrou s’affiche à droite de la barre de volume, cela signifie qu’un volume maximum a été établi sur l’iPod nano. Vous pouvez le modifier ou le supprimer en choisissant Réglages > Volume maximum. Consultez “Mise en place du volume maximum” à la page 28.  Essayez d’appuyer sur le bouton Lecture/Pause. Votre iPod nano est peut-être en mode pause.  Assurez-vous d’utiliser iTunes 6.0.2 ou ultérieur (inclus sur le CD de l’iPod nano ou disponible au site Web www.apple.com/fr/itunes). L’iPod nano ne lira pas les morceaux achetés sur l’iTunes Music Store avec des versions antérieures d’iTunes avant que vous ayez mis à niveau iTunes puis téléchargé les morceaux.  Si vous utilisez le socle de l’iPod nano, assurez-vous que l’iPod nano y est correctement fixé et que tous les câbles sont connectés de manière adéquate.  Si vous utilisez le port de sortie du socle Dock, assurez-vous que vos haut-parleurs externes ou votre installation stéréo sont allumés et fonctionnent correctement. Si rien ne se produit lorsque vous connectez l’iPod nano à votre ordinateur  Assurez-vous que vous avez installé le logiciel à partir du CD de l’iPod.  Essayez la connexion à un autre port USB de votre ordinateur. Remarque : il est recommandé d’utiliser un port USB 2.0 pour connecter l’iPod nano. USB 1.1 est beaucoup plus lent que USB 2.0. Si votre PC sous Windows n’est pas équipé d’un port USB 2.0, vous pouvez dans certains cas acheter une carte USB 2.0. Pour obtenir plus d’informations, rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/ipdostore.Chapitre 5 Astuces et dépannage 49 Pour charger la batterie, connectez l’iPod nano à un port USB à forte alimentation ou FireWire de votre ordinateur. La connexion de l’iPod nano à un port USB de votre clavier ne permet pas de charger la batterie. Vous pouvez connecter l’iPod nano à un port FireWire via le câble optionnel iPod Dock Connector vers FireWire, mais uniquement pour charger l’iPod nano. Le transfert de données sur l’iPod nano via FireWire n’est pas géré.  Une réinitialisation de votre iPod nano est peut-être nécessaire (consultez la page 47).  Si vous connectez l’iPod nano à un ordinateur portable à l’aide du câble iPod Dock Connector vers USB 2.0, branchez l’ordinateur sur une source d’alimentation avant de connecter l’iPod nano.  Assurez-vous que vous disposez de l’ordinateur et du logiciel requis. Consultez “Si vous souhaitez effectuer une double vérification de la configuration requise” à la page 51.  Vérifiez la connexion des câbles. Débranchez le câble aux deux extrémités et assurezvous que rien ne s’est glissé dans les ports USB. Rebranchez alors le câble avec pré- caution. Assurez-vous que les connecteurs des câbles sont correctement orientés. Ils ne peuvent être insérés que dans un sens.  Essayez de redémarrer votre ordinateur.  Si aucune de ces suggestions n’aide à résoudre le problème, vous devrez éventuellement restaurer le logiciel de l’iPod. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52. Remarque : le câble iPod Dock Connector vers FireWire peut être utilisé uniquement pour charger la batterie et ne peut pas servir au téléchargement de morceaux ou d’autres fichiers audio sur l’iPod nano. Si un dossier avec un point d’exclamation apparaît sur l’écran de l’iPod nano  Une réinitialisation de votre iPod nano est peut-être nécessaire (voir la page 47).  Si le problème persiste, une recharge de la batterie de votre iPod nano est peut-être nécessaire. Connectez l’iPod nano à votre ordinateur puis laissez la batterie de recharger. Si le dossier apparaît toujours, réinitialisez à nouveau l’iPod nano.  Si le problème persiste encore, une mise à jour ou une restauration de l’iPod nano au logiciel le plus récent est peut-être nécessaire. Assurez-vous d’avoir installé le logiciel à partir du CD de l’iPod ou bien rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/ipod pour obtenir la version la plus récente du logiciel. Suivez les instructions de la page 53 pour mettre à jour ou restaurer le logiciel de l’iPod.50 Chapitre 5 Astuces et dépannage Si vous ne parvenez pas à télécharger un morceau ou un autre élément sur l’iPod nano Le morceau peut être encodé dans un format que l’iPod nano ne prend pas en charge. Les formats de fichiers audio suivants sont pris en charge par l’iPod nano. Ils comprennent les formats des livres audio et des podcasts :  AAC (M4A, M4B, M4P) (jusqu’à 320 kb/s)  Apple Lossless (format de compression haute qualité)  MP3 (jusqu’à 320 kb/s)  MP3 Variable Bit Rate (VBR)  WAV  AA (texte lu audible.com, formats 2, 3 et 4)  AIFF Un morceau encodé au format Apple Lossless possède la même qualité sonore qu’un CD tout en occupant deux fois moins d’espace qu’un morceau encodé au format AIFF ou WAV. Le même morceau encodé au format AAC ou MP3 utilise encore moins de place. Quand vous importez de la musique depuis un CD à l’aide d’iTunes, elle est convertie par défaut au format AAC. Si vous utilisez iTunes pour Windows, vous pouvez convertir les fichiers WMA non protégés au format AAC ou MP3. Cela peut être utile si vous disposez d’une bibliothèque de musique encodée au format WMA. L’iPod nano ne prend pas en charge les fichiers audio WMA, MPEG Layer 1 et MPEG Layer 2 et le format 1 d’audible.com. Si vous possédez dans iTunes un morceau qui n’est pas pris en charge par l’iPod nano, vous pouvez le convertir en un format que l’iPod nano prend en charge. Consultez l’Aide iTunes et Music Store pour en savoir plus. Si vous avez choisi par mégarde une langue pour l’iPod nano qui vous est étrangère Vous pouvez réinitialiser le choix de la langue. 1 Maintenez enfoncé le bouton Menu jusqu’à ce que le menu principal apparaisse. 2 Choisissez le cinquième élément du menu (Réglages). 3 Choisissez le dernier élément du menu (Réinitialiser tous les réglages). 4 Choisissez le deuxième élément du menu (Réinitialiser) et sélectionnez une langue. Les autres réglages de l’iPod nano tels que la répétition de morceaux, seront également réinitialisés. Remarque : si vous avez ajouté ou supprimé des éléments du menu principal de l’iPod nano (voir “Ajout ou suppression d’éléments depuis le menu principal” à la page 8), l’élément du menu Réglages se trouve éventuellement à un autre endroit. Si vous ne parvenez pas à trouver l’élément de menu “Réinitialiser tous les réglages”, vous pouvez restaurer votre iPod nano à son état d’origine et choisir une langue que vous comprenez. Consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” à la page 52.Chapitre 5 Astuces et dépannage 51 Si rien ne se produit lorsque vous connectez l’iPod nano à un connecteur d’appareil photo Vous devez d’abord importer les photos de votre appareil photo vers votre ordinateur puis ensuite les télécharger sur l’iPod nano. Il n’est pas possible de connecter directement un appareil photo à l’iPod nano pour télécharger des photos. Certains autres accessoires de tierces parties ne peuvent pas être connectés directement à l’iPod nano. Rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/support/ipod pour en savoir plus. Si vous souhaitez effectuer une double vérification de la configuration requise Pour utiliser l’iPod nano, vous devez disposer des éléments suivants :  Une des configurations d’ordinateur suivantes :  Un ordinateur Macintosh doté d’un port USB (USB 2.0 recommandé).  Un PC sous Windows doté d’un port ou d’une carte USB (USB 2.0 recommandé).  Un des systèmes d’exploitation suivants : Mac OS X v10.3.9 ou ultérieur, Windows 2000 avec Service Pack 4 ou ultérieur ou Windows XP Édition Familiale ou Professionnel avec Service Pack 2 ou ultérieur.  iTunes 6.0.2 ou ultérieur (iTunes est inclus sur le CD de l’iPod).  Le logiciel de l’iPod (inclus sur le CD de l’iPod). Si votre PC Windows n’est pas doté d’un port USB à forte alimentation, vous pouvez acheter et installer une carte USB 2.0. Pour obtenir plus d’informations, rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/ipdostore. Remarque : vous pouvez connecter l’iPod nano à un port FireWire (IEEE1394) pour le recharger mais ce port ne peut pas être utilisé pour transférer de la musique ou d’autres fichiers audio. De plus, sur les ordinateurs Macintosh, iPhoto 4.0.3 ou ultérieur est recommandé pour le téléchargement de photos et d’albums sur l’iPod nano. Ce logiciel est facultatif. iPhoto est peut-être déjà installé sur votre Mac. Vérifiez dans le dossier Applications. Si vous disposez d’iPhoto 4, vous pouvez le mettre à jour en choisissant menu Pomme () > Mise à jour de logiciels. Port USB 2.0 à forte alimentation Port FireWire 400 à 6 broches (IEEE 1394)52 Chapitre 5 Astuces et dépannage Sur un PC sous Windows, l’iPod nano peut importer des collections de photos automatiquement à partir d’Adobe Photoshop Album 2.0 ou ultérieur ou d’Adobe Photoshop Elements 3.0 ou ultérieur, disponibles à l’adresse www.adobe.com. Ce logiciel est facultatif. L’iPod nano peut importer des photos numériques des dossiers du disque dur de votre ordinateur Macintosh ou de votre PC sous Windows. Si vous souhaitez utiliser votre iPod nano avec un Mac et un PC sous Windows Si vous utilisez votre iPod nano avec un Mac et que vous souhaitez l’utiliser avec un PC sous Windows (ou inversement), vous devez restaurer le logiciel de l’iPod pour l’utiliser avec l’autre ordinateur à l’aide du programme de mise à jour iPod Updater (consultez “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod” ci-dessous). La restauration du logiciel de l’iPod efface toutes les données de l’iPod nano, y compris tous les morceaux de musique. Il est impossible pour un iPod nano de passer d’un Mac à un PC sous Windows (ou inversement) sans perdre toutes les données sur l’iPod nano. Si vous verrouillez l’écran de votre iPod nano et que vous ne pouvez pas le déverrouiller Normalement, si vous connectez votre iPod nano à l’ordinateur avec lequel il est autorisé à fonctionner, votre iPod nano se déverrouille automatiquement. Si l’ordinateur autorisé à fonctionner avec votre iPod nano n’est pas disponible, vous pouvez connecter l’iPod nano à un autre ordinateur et utiliser le programme de mise à jour iPod Updater pour restaurer le logiciel de votre iPod. Consultez la section suivante pour en savoir plus. Si vous souhaitez modifier la combinaison de verrouillage de l’écran mais que vous ne vous souvenez pas de la combinaison actuelle, une restauration du logiciel de l’iPod sera nécessaire avant de pouvoir définir une nouvelle combinaison. Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod Vous pouvez utiliser le programme de mise à jour iPod Updater pour mettre à jour ou restaurer le logiciel de votre iPod. Apple met régulièrement à jour le logiciel de l’iPod pour améliorer ses performances ou lui ajouter des fonctionnalités. Il est recommandé de mettre à jour votre iPod nano et d’utiliser le logiciel le plus récent. Vous pouvez également restaurer le logiciel et rendre ainsi à l’iPod nano son état d’origine.  Si vous choisissez de mettre à jour, le logiciel sera mis à jour, mais vos réglages et morceaux seront conservés.  Si vous optez pour la restauration, toutes les données seront effacées de votre iPod nano, y compris les morceaux, fichiers, contacts, photos, informations de calendrier ou tout autre donnée. Tous les réglages d’origine de l’iPod nano seront rétablis.Chapitre 5 Astuces et dépannage 53 Pour mettre à jour ou restaurer l’iPod nano avec le logiciel le plus récent : 1 Allez au site Web www.apple.com/fr/support/ipod et téléchargez la dernière mise à jour de l’iPod. La mise à jour comprend le logiciel le plus récent pour tous les modèles d’iPod. 2 Double-cliquez sur le fichier d’installation du logiciel et suivez les instructions à l’écran pour installer la mise à jour de l’iPod. 3 Connectez l’iPod nano à votre ordinateur et ouvrez iTunes. Le programme de mise à jour iPod Updater s’ouvre. Si vous utilisez un PC sous Windows et que le programme de mise à jour iPod Updater ne s’ouvre pas automatiquement, vous pouvez le lancer en sélectionnant Démarrer > Programmes > iPod. 4 Suivez les instructions à l’écran pour mettre à jour ou restaurer le logiciel de l’iPod. Si vous utilisez le programme de mise à jour iPod Updater et qu’il ne détecte pas que l’iPod nano est connecté à votre ordinateur, réinitialisez l’iPod nano (consultez la page 47). Si vous souhaitez restaurer le logiciel de l’iPod et que vous ne disposez pas de connexion à Internet, vous pouvez utiliser l’application de mise à jour iPod Updater installée sur votre ordinateur en même temps que le logiciel du CD de l’iPod. Pour restaurer le logiciel de l’iPod à l’aide du programme de mise à jour iPod Updater fourni sur le CD de l’iPod :  Si vous possédez un Mac, vous pouvez trouver le programme de mise à jour iPod Updater dans Applications/Utilitaires/Programme de mise à jour du logiciel iPod.  Si vous possédez un PC sous Windows, vous pouvez trouver le programme en sélectionnant Démarrer > Programmes > iPod. Remarque : la date du programme de mise à jour fait partie de son nom et donc, si vous avez plusieurs versions, assurez-vous d’utiliser la plus récente.6 54 6 Sécurité et entretien Apprenez à nettoyer et à manipuler votre iPod nano en toute sécurité. Instructions de sécurité à propos de la configuration Lorsque vous installez et utilisez votre iPod nano, ne perdez pas de vue les points suivants :  Conservez ces instructions à portée de main pour que vous ou d’autres personnes puissiez vous y reporter.  Respectez toutes les instructions et les avertissements concernant votre iPod nano. Conseils généraux de sécurité, de nettoyage et de manipulation de l’appareil Avertissement : les appareils électriques peuvent s’avérer dangereux s’ils ne sont pas utilisés correctement. L’utilisation de ce produit ou de produits analogues doit toujours être supervisée par un adulte. Ne laissez jamais les enfants accéder à la partie interne de tout produit électrique ni manipuler aucun câble. Pour : procédez ainsi : Manipuler votre iPod nano avec précaution Veillez à ne pas le faire tomber votre iPod nano. Si vous craignez de le rayer, vous pouvez utiliser la housse incluse ou tout autre housse vendue séparément. Avertissement : les composants de votre iPod nano, y compris la batterie rechargeable, sont fragiles. Pour éviter d’endommager votre iPod nano, prenez garde à ne pas le faire tomber, le tordre ou l’écraser. Utiliser les écouteurs avec précaution L’utilisation des écouteurs n’est pas recommandée lorsque vous conduisez et constitue d’ailleurs une infraction au code de la route dans certains endroits. Soyez prudent et attentif au volant. Cessez d’utiliser votre iPod nano si vous vous rendez compte que cela vous distrait ou vous dérange lorsque vous conduisez un véhicule ou lorsque vous réalisez tout autre activité nécessitant votre attention. Chapitre 6 Sécurité et entretien 55 Éviter d’endommager votre audition Réglez le volume de votre iPod nano à un niveau raisonnable. Si vous entendez un sifflement dans les oreilles, diminuez le volume ou pensez à interrompre régulièrement l’utilisation de votre iPod nano. Pour en savoir plus sur la manière de mettre en place un volume maximum sur l’iPod nano, consultez la section “Mise en place du volume maximum” à la page 28. Avertissement : vous risquez une perte d’audition irréparable si vous utilisez un casque à un volume sonore élevé. Vous pouvez vous habituer petit à petit à un volume de son élevé qui peut vous paraître normal mais entraîner une détérioration de votre audition. Si vos oreilles bourdonnent ou si les sons vous semblent sourds, arrêtez l’écoute et rendez-vous chez votre médecin pour vérifier votre audition. Plus le volume est élevé, plus vous risquez d’abîmer rapidement votre audition. Pour protéger votre audition, les experts donnent les conseils suivants :  Limiter la durée d’utilisation d’un casque à volume sonore élevé.  Éviter d’augmenter le volume pour bloquer le bruit ambiant.  Diminuer le volume si vous ne pouvez plus entendre les personnes voisines parler. Utiliser les connecteurs et les ports convenablement N’essayez jamais de forcer l’entrée d’un connecteur dans un port. Si le connecteur et le port ne s’assemblent pas avec une relative facilité, c’est probablement parce qu’ils ne sont pas compatibles. Assurez-vous que le connecteur est compatible avec le port et que vous l’avez positionné correctement par rapport à ce dernier. Pour : procédez ainsi :56 Chapitre 6 Sécurité et entretien Réduire la possibilité d’abîmer l’appareil ou de blesser quelqu’un Évitez le contact avec des liquides (pluie, boissons, éclaboussures) et tenez votre iPod nano à l’écart d’éléments pouvant générer des infiltrations. Veillez à ne pas renverser d’aliments ou de liquides sur votre iPod nano. Si cela se produit, débranchez votre iPod nano avant de le nettoyer. Vous devrez éventuellement envoyer votre équipement à un fournisseur de services agréé. Avertissement : n’utilisez pas votre iPod nano dans ou près de l’eau ou dans tout autre lieu humide. Réparer votre iPod nano Pour toute réparation, reportez-vous à la section “En savoir plus, service et assistance” à la page 57. Avertissement : n’effectuez aucune réparation vous-même. N’essayez pas d’ouvrir votre iPod nano, de le démonter ou de retirer la batterie. Vous courez le risque de recevoir une décharge électrique et d’annuler la garantie limitée. L’appareil ne contient pas de pièces qui puissent être réparées par l’utilisateur. Nettoyer la partie externe de votre iPod nano Assurez-vous que votre iPod nano est débranché. Utilisez un chiffon doux, humide et non pelucheux. Évitez toute pénétration d’humidité dans les orifices de l’appareil. N’utilisez ni vaporisateur aérosol, ni dissolvant, ni alcool, ni abrasif. Conserver votre iPod nano à température normale Utilisez votre iPod nano dans un endroit où la température est toujours comprise entre 0 et 35 ºC. Dans des conditions de basses températures, l’autonomie de l’iPod nano peut diminuer temporairement. Rangez votre iPod nano dans un endroit où la température est toujours comprise entre -20º et 45 ºC. La température dans les voitures en stationnement pouvant dépasser cette fourchette, ne laissez pas l’iPod nano dans votre voiture. Remarque : lorsque vous utilisez votre iPod nano ou rechargez sa batterie, il est normal que la partie inférieure de son boîtier chauffe. Cette partie de l’iPod nano sert en effet de surface de refroidissement et transfère la chaleur de l’intérieur de l’appareil vers l’exté- rieur, où l’air est moins chaud. Pour : procédez ainsi :7 57 7 En savoir plus, service et assistance Vous trouverez plus d’informations sur l’utilisation de l’iPod nano dans l’aide à l’écran et sur le Web. Le tableau suivant décrit à quel endroit trouver de plus amples informations sur les services et les logiciels de l’iPod. Pour en savoir plus sur : Procédez ainsi : Le service et l’assistance, les forums et les téléchargements de logiciels Apple Rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/support/ipod. Les derniers guides d’initiation et astuces afin de tirer le meilleur parti de votre iPod nano Rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/support/ipod/howto. L’utilisation d’iTunes Ouvrez iTunes et sélectionnez Aide > Aide iTunes et Music Store. Pour obtenir un guide d’initiation iTunes en ligne (disponible uniquement dans certains pays), rendez-vous sur www.apple.com/fr/support/itunes. L’utilisation d’iPhoto (sous Mac OS X) Ouvrez iPhoto et sélectionnez Aide > Aide iPhoto. L’utilisation d’iSync (sous Mac OS X) Ouvrez iSync et sélectionnez Aide > Aide iSync. L’utilisation d’iCal (sous Mac OS X) Ouvrez iCal et sélectionnez Aide > Aide iCal. Les toutes dernières informations sur l’iPod nano Rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/ipod. L’enregistrement de l’iPod nano Si vous n’avez pas enregistré votre appareil en installant le logiciel à partir du CD de l’iPod, rendez-vous au site Web www.apple.com/fr/register. La recherche du numéro de série de l’iPod nano Regardez au dos de votre iPod nano ou bien sélectionnez Réglages > Informations. L’obtention du service assuré par la garantie Suivez tout d’abord les conseils de ce fascicule, de l’aide à l’écran et des ressources en ligne, puis rendez-vous alors au site Web www.apple.com/fr/support.58 Communications Regulation Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures:  Turn the television or radio antenna until the interference stops.  Move the computer to one side or the other of the television or radio.  Move the computer farther away from the television or radio.  Plug the computer in to an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple-authorized service provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. IMPORTANT Changes or modifications to this product not authorized by Apple Computer, Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product was tested for EMC compliance under conditions that included the use of Apple peripheral devices and Apple shielded cables and connectors between system components. It is important that you use Apple peripheral devices and shielded cables and connectors between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. You can obtain Apple peripheral devices and the proper shielded cables and connectors through an Apple Authorized Reseller. For non-Apple peripheral devices, contact the manufacturer or dealer for assistance. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Computer, Inc. Product Compliance, 1 Infinite Loop M/S 26-A, Cupertino, CA 95014-2084, 408-974-2000. Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la classe B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. VCCI Class B Statement Communauté Européenne Conforme aux directives européennes 72/23/EEC et 89/336/EEC. 59 Disposal and Recycling Information Your iPod contains a battery. Dispose of your iPod according to your local environmental laws and guidelines. For information about Apple’s recycling program, go to www.apple.com/environment/summary.html. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Taiwan: Union Européenne-informations sur l’élimination : ce symbole signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Apple et l’environnement Chez Apple, nous sommes conscients de la responsabilité qui nous incombe de réduire les impacts écologiques de nos activités et de nos produits. Pour plus d’informations, rendez-vous sur www.apple.com/environment/summary.html. © 2006 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, FireWire, iCal, iLife, iPhoto, iPod, iTunes, Mac, Macintosh et Mac OS sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, le logo FireWire et Shuffle sont des marques d’Apple Computer Inc. Apple Store et iTunes Music Store sont des marques de service d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Les autres noms de produits et de sociétés sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Tout arrangement, accord ou garantie, le cas échéant, s’applique directement entre le revendeuret les utilisateurs potentiels. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. F019-0691/3-2006 Mac OS X Server Administration de serveur Pour Leopard 10.5K Apple Inc. © 2007 Apple Inc. Tous droits réservés. En vertu de la législation en vigueur sur les droits d’auteur, ce manuel ne peut pas être copié, dans son intégralité ou partiellement, sans l’accord préalable écrit d’Apple. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tous les efforts nécessaires ont été mis en œuvre pour que les informations contenues dans ce manuel soient les plus exactes possibles. Apple n’est pas responsable des erreurs d’impression ou de reproduction. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AirPort, AppleTalk, Final Cut Pro, FireWire, iCal, iDVD, iMovie, iPhoto, iPod, iTunes, Mac, Macintosh, le logo Mac, Mac OS, PowerBook, QuickTime et SuperDrive sont des marques d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, le logo FireWire et Safari sont des marques d’Apple Inc. AppleCare et Apple Store sont des marques de service d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. .Mac est une marque de service d’Apple Inc. PowerPC est une marque d’International Business Machines Corporation, utilisée sous licence. Les autres noms de sociétés et de produits mentionnés ici sont des marques de leurs détenteurs respectifs. La mention de produits tiers n’est effectuée qu’à des fins informatives et ne constitue en aucun cas une approbation ni une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité vis-à-vis des performances ou de l’utilisation de ces produits. Le produit décrit dans ce manuel incorpore une technologie de protection des droits d’auteur protégée par des revendications de procédé incluses dans certains brevets et autres droits de propriété intellectuelle détenus aux États-Unis par Macrovision Corporation et d’autres propriétaires de droits. L’utilisation de cette technologie de protection des droits d’auteur doit être autorisée par Macrovision Corporation et est réservée à un cadre domestique et à d’autres circonstances limitées, à moins de disposer d’une autorisation spéciale de la part de Macrovision Corporation. Tout désassemblage ou ingé- nierie inverse est interdit. Revendications de produit des brevets nº 4.631.603, 4.577.216, 4.819.098 et 4.907.093 (États-Unis) sous licence pour un usage limité. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. F019-0932/2007-09-01 3 1 Table des matières Préface 11 À propos de ce guide 11 Nouveautés d’Admin Serveur 12 Contenu de ce guide 12 Utilisation de l’aide à l’écran 13 Guides d’administration de Mac OS X Server 14 Visualisation de guides PDF à l’écran 14 Impression des guides PDF 15 Obtenir des mises à jour de documentation 15 Pour obtenir des informations supplémentaires Chapitre 1 17 Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge 17 Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server 18 Description des configurations de serveur 19 Configuration avancée en action 20 Améliorations apportées à Mac OS X Server Leopard 21 Normes standard prises en charge 24 L’héritage UNIX de Mac OS X Server Chapitre 2 25 Planification 26 Planification 26 Planification pour la mise à niveau ou la migration vers Mac OS X Server 10.5 27 Mise en place d’une équipe de planification 27 Identification des serveurs à mettre en place 28 Choix des services à héberger sur chaque serveur 29 Définition d’une stratégie de migration 29 Mise à niveau et migration à partir d’une version antérieure de Mac OS X Server 30 Migration à partir de Windows NT 30 Définition d’une stratégie d’intégration 30 Définition de la configuration de l’infrastructure matérielle 31 Définition de l’infrastructure minimale pour la configuration du serveur 32 Vérification de la disponibilité du matériel nécessaire pour le serveur 33 Limitation de la nécessité de déplacer des serveurs après la configuration 34 Définition de politiques de sauvegarde et de restauration4 Table des matières 34 Description des politiques de sauvegarde et de restauration 35 Description des types de sauvegarde 36 Description de la planification de sauvegardes 37 Description des restaurations 38 Autres considérations en matière de politique de sauvegarde 39 Outils de ligne de commande de restauration et de sauvegarde Chapitre 3 41 Outils d’administration 42 Admin Serveur 42 Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification 43 Interface d’Admin Serveur 45 Personnalisation de l’environnement d’Admin Serveur 45 Assistant du serveur 46 Gestionnaire de groupe de travail 47 Interface de Gestionnaire de groupe de travail 48 Personnalisation de l’environnement du Gestionnaire de groupe de travail 49 Répertoire 50 Interface de Répertoire 51 Utilitaire d’annuaire 51 Contrôle de serveur 53 Gestion des images système 54 Gestion de l’enchaînement de données 54 Utilitaires de ligne de commande 55 Xgrid Admin 56 Apple Remote Desktop Chapitre 4 57 Sécurité 57 À propos de la sécurité physique 58 À propos de la sécurité du réseau 58 Coupe-feu et filtres de paquets 59 Zone démilitarisée réseau 59 Réseaux locaux virtuels 60 Filtrage MAC 60 Chiffrement du transport 61 Chiffrement de la charge utile 61 À propos de la sécurité des fichiers 61 Autorisations d’accès aux fichiers et aux dossiers 62 À propos du chiffrement des fichiers 62 Suppression sécurisée 63 À propos de l’authentification et de l’autorisation 64 Signature unique 65 À propos des certificats, de SSL et de l’infrastructure à clé publique 66 Clés publiques et privéesTable des matières 5 67 Certificats 67 Autorités de certificat 68 Identités 68 Certificats auto-signés 68 Gestionnaire de certificats dans Admin Serveur 69 Préparation des certificats 70 Demande de certificat auprès d’une autorité de certificat 71 Création d’un certificat auto-signé 71 Création d’une autorité de certificat 73 Utilisation d’une AC pour créer un certificat destiné à quelqu’un d’autre 74 Importation d’un certificat 75 Gestion des certificats 75 Modification d’un certificat 75 Distribution d’un certificat public d’AC à des clients 76 Suppression d’un certificat 76 Renouvellement d’un certificat arrivé à expiration 77 Utilisation de certificats 77 SSH et les clés SSH 77 Ouverture de session SSH à base de clés 77 Génération d’une paire de clés pour SSH 79 Sécurité au niveau de l’administration 80 Définition de privilèges au niveau de l’administration 80 Sécurité au niveau du service 81 Définition d’autorisations de liste SACL 81 Pratiques d’excellence en matière de sécurité 84 Directives en matière de mots de passe 84 Création de mots de passe complexes Chapitre 5 85 Installation et déploiement 85 Vue d’ensemble de l’installation 87 Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server 88 Instructions matérielles pour l’installation de Mac OS X Server 88 Collecte des informations nécessaires 88 Préparation d’un ordinateur administrateur 89 À propos du disque d’installation du serveur 89 Configuration de services réseau 89 Connexion au répertoire au cours de l’installation 90 Installation du logiciel serveur sur un ordinateur en réseau 90 À propos du démarrage pour l’installation 90 Avant de démarrer 91 Accès à distance au DVD d’installation 92 Démarrage à partir du DVD d’installation 93 Démarrage à partir d’une partition alternative6 Table des matières 97 Démarrage à partir d’un environnement NetBoot 98 Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server 106 Identification du serveur distant lors de l’installation de Mac OS X Server 107 Installation interactive du logiciel serveur 107 Installation locale à partir du disque d’installation 109 Installation à distance à l’aide d’Assistant du serveur 111 Installation à distance à l’aide de VNC 112 Installation du logiciel serveur à l’aide de l’outil de ligne de commande installer 114 Installation de plusieurs serveurs 115 Mise à niveau d’un ordinateur de Mac OS X à Mac OS X Server 115 Comment rester à jour Chapitre 6 117 Configuration initiale du serveur 117 Informations nécessaires 117 Report de la configuration de serveur après l’installation 118 Connexion au réseau lors de la configuration initiale du serveur 118 Configuration de serveurs avec plusieurs ports Ethernet 119 À propos des réglages établis au cours de la configuration initiale du serveur 120 Spécification de l’utilisation initiale d’Open Directory 121 Mise à jour sans changer l’utilisation de répertoire 122 Configuration d’un serveur comme serveur autonome 122 Configuration d’un serveur pour la connexion à un système de répertoire 123 Utilisation de la configuration interactive de serveur 124 Configuration interactive d’un serveur local 125 Configuration interactive d’un serveur distant 127 Configuration interactive d’un lot de serveurs distants 128 Utilisation de la configuration automatique de serveurs 130 Création et enregistrement de données de configuration 130 Données de configuration enregistrées dans un fichier 132 Données de configuration enregistrées dans un répertoire 133 Stockage de copies de sauvegarde des données de configuration enregistrées 134 Transmission des fichiers de données de configuration aux serveurs 136 Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées 137 Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier 140 Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire 143 Détermination de l’état des configurations 143 Utilisation de la sous-fenêtre Destination pour les informations d’état de configuration 143 Gestion des échecs de configuration 144 Gestion des avertissements de configuration 144 Obtention d’informations d’état sur l’installation de la mise à niveau 145 Configuration des services 145 Ajout de services à l’affichage ServeurTable des matières 7 145 Configuration d’Open Directory 146 Configuration de la gestion des utilisateurs 146 Configuration des services de fichiers 147 Configuration du service d’impression 148 Configuration de service web 149 Configuration du service de messagerie 149 Configuration de services réseau 149 Configuration de services d’image système et de services de mise à jour de logiciels 150 Configuration de la diffusion de données 150 Configuration de Podcast Producer 150 Configuration du service WebObjects 151 Configuration du service iChat 151 Configuration du service iCal Chapitre 7 153 Gestion 154 Ports utilisés pour l’administration 154 Ports ouverts par défaut 154 Ordinateurs permettant d’administrer un serveur 155 Configuration d’un ordinateur administrateur 155 Administration au moyen d’un ordinateur non Mac OS X 156 Utilisation des outils d’administration 157 Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification 157 Ajout et suppression de serveurs dans Admin Serveur 158 Regroupement manuel de serveurs 159 Regroupement de serveurs à l’aide de groupes intelligents 159 Utilisation des réglages d’un serveur spécifique 162 Modification de l’adresse IP d’un serveur 162 Modification du nom d’hôte du serveur après la configuration 163 Modification du type de configuration du serveur 164 Administration des services 164 Ajout et suppression de services dans Admin Serveur 165 Importation et exportation des réglages de service 165 Contrôle de l’accès aux services 166 Utilisation de SSL pour l’administration à distance des serveurs 167 Gestion du partage 168 Autorisations d’administration par niveaux 169 Définition des autorisations d’administration 170 Notions élémentaires sur Gestionnaire de groupe de travail 170 Ouverture de Gestionnaire de groupe de travail et authentification 171 Administration de comptes 171 Gestion des utilisateurs et des groupes 172 Définition des préférences gérées 174 Utilisation de données de répertoire8 Table des matières 174 Personnalisation de l’environnement de Gestionnaire de groupe de travail 175 Gestion d’ordinateurs de versions antérieures à la version 10.5 à partir de serveurs de version 10.5 175 Assistants de configuration des services 176 Fichiers de données et de configuration critiques 180 Amélioration de la disponibilité des services 180 Élimination des points de défaillance uniques 181 Utilisation de Xserve pour obtenir une haute disponibilité 181 Utilisation d’une alimentation de réserve 182 Configuration du redémarrage automatique de votre serveur 183 Pour assurer de bonnes conditions de fonctionnement 183 Fourniture de répliques Open Directory 184 Agrégation de liens 185 Le protocole d’agrégation de liens (LACP, Link Aggregation Control Protocol) 185 Scénarios d’agrégation de liens 187 Configuration de l’agrégation de liens dans Mac OS X Server 189 Contrôle de l’état de l’agrégation de liens 190 Équilibrage de la charge 191 Vue d’ensemble des démons 191 Visualisation des démons en cours d’exécution 191 Contrôle des démons Chapitre 8 193 Contrôle 193 Planification d’une politique de contrôle 194 Planification d’une réponse de contrôle 194 Widget d’état du serveur 195 Contrôle de serveur 195 RAID Admin 196 Console 196 Outils de contrôle de disque 197 Outils de contrôle de réseau 198 Notification dans Admin Serveur 199 Contrôle des aperçus de l’état du serveur à l’aide d’Admin Serveur 201 Protocole SNMP (Simple Network Management Protocol) 201 Activation des rapports SNMP 201 Configuration de snmpd 204 Démons de notification et de contrôle des événements 205 Journalisation 205 Syslog 207 Journalisation de débogage du service de répertoire 207 Journalisation Open Directory 208 Journalisation AFP 208 Outils de contrôle supplémentairesTable des matières 9 Chapitre 9 209 Exemple de configuration 209 Un seul Mac OS X Server dans une petite entreprise 210 Configuration du serveur Annexe 221 Feuille d’opérations avancées de Mac OS X Server Glossaire 235 Index 257 11 Préface À propos de ce guide Le présent guide constitue le point de départ pour toute personne souhaitant administrer Mac OS X Leopard Server en mode de configuration avancée. Il contient des informations sur l’utilisation d’Admin Serveur pour la planification, les pratiques, les outils, l’installation, le déploiement, etc. Administration du serveur n’est pas le seul guide nécessaire pour administrer un serveur en mode avancé, mais il offre une vue d’ensemble sur la planification, l’installation et la maintenance de Mac OS X Server à l’aide d’Admin Serveur. Nouveautés d’Admin Serveur Admin Serveur, outil d’administration de serveur Apple à la fois puissant, flexible et très complet, est inclus avec Mac OS X Server 10.5. Ses capacités ont été renforcées en ce qui concerne la fiabilité et la prise en charge des normes standard. Admin Serveur bénéficie également de plusieurs améliorations :  Nouvelle interface revue et rationalisée.  Gestion des points de partage (une fonctionnalité qui provient de Gestionnaire de groupe de travail).  Notification des événements.  Administration par niveaux (autorisations administratives déléguées).  Possibilité d’afficher ou de masquer les services selon les besoins.  Vues d’ensemble simples et détaillées de l’état d’un ou de plusieurs serveurs.  Groupes de serveurs.  Groupes de serveurs intelligents.  Possibilité d’enregistrer et de restaurer facilement des configurations de services.  Possibilité d’enregistrer et de restaurer facilement des préférences Admin Serveur.12 PréfaceÀ propos de ce guide Contenu de ce guide Ce guide comprend les chapitres suivants :  Chapitre 1, « Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge, » fournit une brève vue d’ensemble des systèmes et des normes standard Mac OS X Server.  Chapitre 2, « Planification, » vous aide à planifier l’utilisation de Mac OS X Server.  Chapitre 3, « Outils d’administration, » constitue une référence sur les outils utilisés pour administrer des serveurs.  Chapitre 4, « Sécurité, » est un bref guide sur les politiques et pratiques en matière de sécurité.  Chapitre 5, « Installation et déploiement, » est un guide d’installation de Mac OS X Server.  Chapitre 6, « Configuration initiale du serveur, » est un guide sur la configuration de votre serveur après l’installation.  Chapitre 7, « Gestion, » explique comment utiliser Mac OS X Server et les services.  Chapitre 8, « Contrôle, » montre comment surveiller Mac OS X Server et comment y ouvrir une session. Remarque :étant donné qu’Apple publie régulièrement de nouvelles versions et mises à jour de ses logiciels, les illustrations de ce document peuvent être différentes de celles qui s’affichent à l’écran. Utilisation de l’aide à l’écran Visualisation Aide permet d’obtenir des instructions à l’écran tout en gérant Leopard Server. L’aide peut être affichée sur un serveur ou sur un ordinateur administrateur (Un ordinateur administrateur est un ordinateur Mac OS X sur lequel est installé le logiciel d’administration de serveur Leopard Server.) Pour obtenir de l’aide dans le cas d’une configuration avancée de Mac OS X Leopard Server : m Ouvrez Admin Serveur ou Gestionnaire de groupe de travail, puis :  Utilisez le menu Aide pour rechercher une tâche à exécuter.  Choisissez Aide > Aide Admin Serveur ou Aide > Aide Gestionnaire de groupe de travail avant d’explorer les rubriques d’aide et d’effectuer des recherches. L’Aide l’écran contient des instructions issues de Administration du serveur et d’autres guides d’administration avancés décrits dans « Guides d’administration de Mac OS X Server ».Préface À propos de ce guide 13 Pour visualiser les rubriques d’aide les plus récentes concernant les serveurs : m Assurez-vous que le serveur ou l’ordinateur administrateur est connecté à Internet pendant que vous consultez l’Aide. Visualisation Aide extrait automatiquement les rubriques d’aide les plus récentes depuis Internet et les stocke en mémoire cache. Lorsque vous n’êtes pas connecté à Internet, Visualisation Aide affiche les rubriques d’aide mises en cache. Guides d’administration de Mac OS X Server Premiers contacts traite de l’installation et de la configuration des configurations standard et de groupe de travail de Mac OS X Server. Pour les configurations avancées, consultez Administration du serveur, qui regroupe la planification, l’installation, la configuration et l’administration du serveur en général. Une série de guides supplémentaires, énumérés ci-dessous, décrit la planification, la configuration, ainsi que la gestion avancée des services individuels. Vous pouvez obtenir ces guides au format PDF sur le site web de documentation de Mac OS X Server : www.apple.com/fr/server/documentation Ce guide... explique comment : Premiers contacts et Feuille d’opération d’installation et de configuration Installer Mac OS X Server et le configurer pour la première fois. Administration de ligne de commande Installer, configurer et gérer Mac OS X Server à l’aide de fichier s de configuration et d’outils de ligne de commande UNIX. Administration des services de fichier Partager certains volumes ou dossiers de serveur entre les clients du serveur, à l’aide des protocoles AFP, NFS, FTP et SMB. Administration du service iCal Configurer et gérer le service de calendrier partagé d’iCal. Administration du service iChat Configurer et gérer le service de messagerie instantanée d’iChat. Configuration de la sécurité de Mac OS X Renforcer la sécurité des ordinateurs (clients) Mac OS X, comme l’exigent les entreprises et les organismes publics. Configuration de la sécurité de Mac OS X Server Renforcer la sécurité de Mac OS X Server et de l’ordinateur sur lequel il est installé, comme l’exigent les entreprises et les organismes publics. Administration du service de messagerie Configurer et gérer les services de messagerie IMAP, POP et SMTP sur le serveur. Administration des services de réseau Installer, configurer et administrer les services DHCP, DNS, VPN, NTP, coupe-feu IP, NAT et RADIUS sur le serveur. Administration d’Open Directory Configurer et gérer les services de répertoire et d’authentification, ainsi que configurer les clients autorisés à accéder aux services de répertoire. Administration de Podcast Producer Configurer et gérer le service Podcast Producer destiné à enregistrer, traiter et distribuer des podcasts.14 PréfaceÀ propos de ce guide Visualisation de guides PDF à l’écran Lorsque vous lisez la version PDF d’un guide à l’écran, vous pouvez :  Afficher les signets pour visualiser le plan du guide et cliquer sur un signet pour accéder directement à la section correspondante.  Rechercher un mot ou une phrase pour afficher une liste des endroits où ce mot ou cette phrase apparaît dans le document. Cliquez sur un de ces endroits pour afficher la page correspondante.  Cliquer sur une référence croisée pour accéder directement à la rubrique référencée. Cliquez sur un lien pour visiter le site web dans votre navigateur. Impression des guides PDF Si vous devez imprimer un guide, procédez comme suit pour économiser du papier et de l’encre :  Économisez de l’encre ou du toner en évitant d’imprimer la couverture.  Si vous disposez d’une imprimante couleur, économisez de l’encre en choisissant une option d’impression en niveaux de gris ou en noir et blanc dans une des sections de la zone de dialogue Imprimer. Administration du service d’impression Héberger les imprimantes partagées et gérer les files d’attente et travaux d’impression associés. Administration de QuickTime Streaming et Broadcasting Capturer et encoder du contenu QuickTime. Configurer et gérer le service QuickTime Streaming en vue de diffuser des données multimédias en temps réel ou à la demande. Administration du serveur Mettre en place l’installation et la configuration avancées du logiciel serveur et gérer des options qui s’appliquent à plusieurs services ou à l’intégralité du serveur. Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système Utiliser NetBoot, NetInstall et Mise à jour de logiciels pour automatiser la gestion du système d’exploitation et des autres logiciels utilisés par les ordinateurs clients. Mise à niveau et migration Utiliser des réglages de données et de services correspondant à une version antérieure de Mac OS X Server ou de Windows NT. Gestion des utilisateurs Créer et gérer des comptes utilisateur, des groupes et des ordinateurs. Configurer les préférences gérées des clients Mac OS X. Administration des technologies web Configurer et gérer des technologies web telles que les blogs, WebMail, wiki, MySQL, PHP, Ruby on Rails (RoR) et WebDAV. Xgrid Administration et informatique à hautes performances Configurer et gérer des grappes de calcul de systèmes Xserve et d’ordinateurs Mac. Glossaire Mac OS X Server Savoir à quoi correspondent les termes utilisés pour les produits de serveur et les produits de stockage. Ce guide... explique comment :Préface À propos de ce guide 15  Réduisez le volume du document imprimé et économisez du papier en imprimant plusieurs pages par feuille. Dans la zone de dialogue Imprimer, réglez Échelle sur 115 % (155 % pour Premiers contacts). Choisissez ensuite Mise en page dans le menu local sans titre. Si votre imprimante prend en charge l’impression recto verso (duplex), sélectionnez l’une des options proposées. Sinon, choisissez 2 dans le menu local Pages par feuille et, si vous le souhaitez, Simple extra fine dans le menu Bordure. (Si vous utilisez Mac OS X 10.4 ou antérieur, le réglage Échelle se trouve dans la zone de dialogue Format d’impression et les réglages relatifs à la mise en page dans la zone de dialogue Imprimer.) Il peut s’avérer utile d’agrandir les pages imprimées même si vous n’imprimez pas en recto verso, car la taille des pages PDF est inférieure à celle du papier d’imprimante standard. Dans la zone de dialogue Imprimer ou dans la zone de dialogue Format d’impression, essayez de régler Échelle sur 115 % (155 % pour Premiers contacts qui possède des pages de la taille d’un CD). Obtenir des mises à jour de documentation Apple publie régulièrement des pages d’aide révisées ainsi que de nouvelles éditions de ses guides. Certaines pages d’aide révisées sont des mises à jour des dernières éditions de ces guides.  Pour afficher les nouvelles rubriques d’aide à l’écran d’une application de serveur, assurez-vous que votre serveur ou votre ordinateur administrateur est connecté à Internet et cliquez sur le lien des dernières rubriques d’aide ou de mise à jour dans la page d’aide principale de l’application.  Pour télécharger les guides les plus récents en format PDF, rendez-vous sur le site web de documentation de Mac OS X Server : www.apple.com/fr/server/documentation/ Pour obtenir des informations supplémentaires Pour plus d’informations, consultez les ressources suivantes :  Documents Ouvrez-moi : mises à jour importantes et informations spécifiques. Recherchez-les sur les disques du serveur.  Site web de Mac OS X Server (www.apple.com/fr/server/macosx) : passerelle vers des informations détaillées sur de nombreux produits et technologies.  Site web de service et d’assistance Mac OS X Server (www.apple.com/fr/support/macosxserver) : accès à des centaines d’articles du service d’assistance d’Apple.  Groupes de discussions Apple, en anglais, (discussions.apple.com) : un moyen de partager questions, connaissances et conseils avec d’autres administrateurs.  Site web des listes d’envoi Apple, en anglais, (www.lists.apple.com) : abonnez-vous à des listes d’envoi afin de pouvoir communiquer par courrier électronique avec d’autres administrateurs.1 17 1 Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge Mac OS X Server, qui contient tout ce dont vous avez besoin pour fournir des services de groupe de travail et Internet reposant sur des normes standard, constitue une solution serveur de pointe, basée sur UNIX, facile à déployer et à gérer. Le présent chapitre contient les informations nécessaires pour prendre des décisions quant au lieu et à la manière de déployer Mac OS X Server. Il comporte des informations générales sur les options de configuration, sur les protocoles standard utilisés, sur ses racines UNIX, ainsi que sur les configurations de réseau et de coupe-feu nécessaires pour l’administration de Mac OS X Server. Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server L’ordinateur de bureau ou le serveur Macintosh sur lequel vous installez Mac OS X Server 10.5 Leopard doit être doté des éléments suivants :  Un processeur Intel ou PowerPC G4 ou G5 cadencé à 867 MHz ou plus.  FireWire intégré.  Au moins 1 Go de mémoire vive (RAM).  Au moins 10 gigaoctets (Go) d’espace disque disponible.  Un nouveau numéro de série pour Mac OS X Server 10.5. Le numéro de série utilisé avec une version antérieure de Mac OS X Server ne permet pas de s’enregistrer pour la version 10.5. Un lecteur de DVD intégré est pratique mais pas obligatoire. Les moniteurs et claviers sont optionnels. Vous pouvez installer le logiciel serveur sur un ordinateur sans moniteur ni clavier à l’aide d’un ordinateur administrateur. Pour en savoir plus, consultez la section « Configuration d’un ordinateur administrateur » à la page 155.18 Chapitre 1Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge Description des configurations de serveur Mac OS X Server peut adopter trois configurations de fonctionnement distinctes : la configuration avancée, la configuration de groupe de travail et la configuration standard. Les serveurs en configuration avancée sont plus flexibles et nécessitent davantage de compétences d’administration. Ils peuvent être personnalisés pour toute une série d’usages et de besoins. Une configuration avancée de Mac OS X Server donne à l’administrateur système expé- rimenté un contrôle complet sur la configuration des services pour lui permettre de faire face à toutes sortes de besoins au sein d’une organisation. Après la configuration initiale à l’aide d’Assistant réglages, vous pouvez utiliser de puissantes applications d’administration, telles qu’Admin Serveur et Gestionnaire de groupe de travail, ou des outils de ligne de commande pour configurer les réglages avancés des services fournis par le serveur. Les deux autres configurations constituent des sous-ensembles des services et des fonctionnalités possibles dans une configuration avancée. Elles disposent d’une application d’administration simplifiée, nommée Préférences du serveur, et sont destinées à des rôles plus spécifiques au sein d’une organisation. La configuration de groupe de travail de Mac OS X Server est destinée aux groupes de travail créés au sein d’organisations possédant déjà un serveur de répertoire. Une configuration de groupe de travail se connecte à un serveur de répertoire existant au sein de votre organisation et intègre les utilisateurs et groupes du répertoire de l’organisation à un répertoire de serveur de groupe de travail. La configuration standard de Mac OS X Server offre une configuration automatisée et une administration simplifiée pour un serveur indépendant au sein d’une petite organisation. Le tableau qui suit résume les fonctionnalités et les possibilités de chacune des configurations. Fonctionnalité Avancée Groupe de travail Standard Modification des réglages des services à l’aide de... Admin Serveur Préférences serveur Préférences serveur Les réglages des services sont... Non configurés Préréglés sur quelques valeurs par défaut courantes Préréglés sur les valeurs par défaut courantes Les utilisateurs et les groupes sont gérés à l’aide de... Gestionnaire de groupe de travail Préférences serveur Préférences serveur Les réglages des services d’utilisateur sont définis automatiquement Non Oui OuiChapitre 1 Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge 19 Pour en savoir plus sur les configurations Standard et Groupe de travail, ainsi que sur les services activés par défaut pour ces configurations, consultez la section Premiers contacts. Configuration avancée en action L’illustration qui suit montre plusieurs configurations avancées de Mac OS X Server en service au sein d’une grande organisation. Utilisable comme serveur autonome Oui Non Oui Utilisable comme maî- tre Open Directory Oui Non Oui Utilisable comme réplique Open Directory Oui Oui Non Utilisable comme passerelle réseau dédiée Oui Non Oui Utilisable comme réplique Active Directory Oui Non Non Surveillé et sauvegardé à l’aide de... Toute méthode implé- mentée par l’administrateur système Préférences du serveur Préférences du serveur Dépend d’une infrastructure de services existante Non Oui Non Dépend d’un système DNS existant bien structuré Oui Oui Non Fonctionnalité Avancée Groupe de travail Standard Internet AirPort Extreme DCHP, DNS, RADIUS, VPN Réplique Open Directory Dossiers de départ de partage de fichiers Création d’image système et mise à jour de logiciels QuickTime Streaming iCal, iChat et messagerie Maître Open Directory Web avec wiki et blog20 Chapitre 1Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge Chaque serveur est configuré pour fournir certains des services. Par exemple, l’un des serveurs fournit les services iCal, iChat et de messagerie pour toute l’organisation. Un autre assure la diffusion en continu de données QuickTime et Podcast Producer. Pour garantir une haute disponibilité des dossiers de départ et des points de partage, un serveur de fichiers principal et un serveur de fichiers de réserve disposent d’options de basculement IP configurées de telle sorte qu’en cas de défaillance du serveur principal, le serveur de réserve prend le relais de façon transparente. Le serveur de fichiers principal et le serveur de réserve utilisent un réseau de stockage Xsan pour accéder au même système de stockage RAID sans l’endommager. Pour une haute disponibilité des services de répertoire, des répliques Open Directory fournissent le service de répertoire si le maître Open Directory est déconnecté. Le domaine Open Directory dispose de comptes d’utilisateur, de groupe d’utilisateurs, d’ordinateurs et de groupes d’ordinateurs. Cela permet de gérer les préférences d’utilisateur Mac OS X au niveau du groupe d’utilisateurs et du groupe d’ordinateurs. Le service web permet d’héberger un site web sur Internet pour l’organisation. Il fournit également des sites web wiki sur un intranet pour les groupes de l’organisation. Améliorations apportées à Mac OS X Server Leopard Mac OS X Server comporte plus de 250 nouvelles fonctionnalités, ce qui constitue le plus grand nombre d’améliorations apportées au système d’exploitation serveur depuis le lancement de Mac OS X Server. Voici quelques une de ces améliorations :  Service Xgrid 2 : le service Xgrid 2 permet d’obtenir des performances de super-ordinateur en répartissant les calculs sur des ensembles d’ordinateurs Mac OS X dédiés ou partagés. Xgrid 2 comprend GridAnywhere, qui permet aux logiciels compatibles Xgrid de tourner où vous voulez, même si vous n’avez pas configuré de contrôleur ni d’agents, et Scoreboard, utilisé pour classer par ordre de priorité les agents à utiliser pour différentes tâches. Le contrôleur de cluster fournit un accès centralisé au pool de calcul distribué, appelé cluster de calcul.  Services de fichiers : les services de fichiers améliorés offrent un meilleur niveau de performances et de sécurité pour chacun des services de fichiers réseau, une prise en charge du protocole SMB nettement plus perfectionnée et un système NFS version 3 sécurisé à l’aide de l’authentification Kerberos et d’AutoFS.  iChat Server 2 : iChat Server 2 peut fédérer sa communauté d’utilisateurs avec des communautés issues d’autres systèmes de messagerie XMPP (Extensible Messaging and Presence Protocol), tels que Google Talk, pour permettre aux membres de la communauté du serveur iChat de dialoguer en ligne avec les membres des communautés fédérées.Chapitre 1 Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge 21  Service de messagerie : le service de messagerie prend dorénavant en charge la mise en grappe de systèmes de stockage de courrier lorsqu’il est utilisé avec Xsan. Il comprend également une fonction de messages d’absence. Ses performances dans le cadre de services de messagerie à 64 bits avec SMTP, IMAP et POP ont été améliorées.  Open Directory 4 : cette nouvelle version d’Open Directory comporte de nouvelles possibilités en matière de proxy LDAP, des autorisations couvrant plusieurs domaines, la réplication en cascade et les ensembles de répliques.  Authentification RADIUS : RADIUS permet l’authentification des clients qui se connectent au réseau via des bornes d’accès AirPort.  QuickTime Streaming Server 6 : le serveur QuickTime Streaming Server amélioré prend en charge l’adaptation du taux de bits 3GPP version 6 pour une diffusion en continu fluide vers des téléphones portables quel que soit l’encombrement du réseau. Il s’intègre avec Open Directory sur votre serveur lors de l’authentification de la livraison de contenu et offre de meilleures performances avec le service 64 bits.  Services web : les administrateurs de serveur web disposent maintenant d’Apache 2.2 (pour les nouvelles installations et les installations de mise à niveau) ou 1.3 (pour les systèmes mis à niveau par un système). MySQL 5, PHP et Apache sont intégrés. Ruby on Rails with Mongrel a été inclus pour simplifier le développement d’applications web. Normes standard prises en charge Mac OS X Server fournit des services de groupe de travail et Internet basés sur des normes standard. Plutôt que de développer des technologies de serveur propriétaires, Apple a décidé de s’appuyer sur les meilleurs projets open-source : Samba 3, OpenLDAP, Kerberos, Postfix, Apache, Jabber, SpamAssassin, etc. Mac OS X Server intègre ces technologies robustes et les améliore grâce à une interface de gestion unifiée et cohérente. Comme il est construit sur des normes standard ouvertes, Mac OS X Server est compatible avec les infrastructures réseau et informatiques existantes. Il utilise des protocoles natifs pour fournir des services de répertoire, de fichiers, de partage d’imprimante et l’accès réseau sécurisé à des clients Mac,Windows et Linux. Une architecture de services de répertoire basée sur des normes standard permet la gestion centralisée des ressources du réseau à l’aide de n’importe quel serveur LDAP, même des serveurs propriétaires tels que Microsoft Active Directory. La fondation open-source basée sur UNIX rend le portage et le déploiement d’outils existants sur Mac OS X Server particulièrement faciles.22 Chapitre 1Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge Voici quelques-unes des technologies basées sur des normes standard qui donnent à Mac OS X Server toute sa puissance :  Kerberos : Mac OS X Server intègre une autorité d’authentification basée sur la technologie Kerberos du MIT (RFC 1964) pour fournir aux utilisateurs un accès à signature unique à des ressources réseau sécurisées. L’utilisation de l’authentification Kerberos forte et de la signature unique maximise la sécurité des ressources réseau tout en fournissant aux utilisateurs un accès plus facile à une grande variété de services réseau compatibles avec Kerberos. Pour les services qui n’ont pas encore été kerbérisés, le service SASL intégré négocie le protocole d’authentification le plus strict possible.  OpenLDAP : Mac OS X Server comprend un serveur de répertoire LDAP robuste et un serveur de mot de passe Kerberos sûr pour fournir des services de répertoire et d’authentification aux clients Mac, Windows et Linux. Apple a construit le serveur Open Directory à partir d’OpenLDAP, le serveur LDAP open-source le plus répandu, afin qu’il puisse fournir des services de répertoire tant dans les environnements constitués uniquement de Mac que dans les environnements contenant différents types de plateformes. LDAP fournit un langage commun pour l’accès aux répertoires, ce qui permet aux administrateurs de consolider les informations provenant de diffé- rente plateformes et de définir un espace de noms unique pour toutes les ressources réseau. Cela signifie un seul répertoire pour tous les systèmes Mac, Windows et Linux du réseau.  RADIUS : le protocole RADIUS (Remote Authentication Dial-In User Service) est un protocole d’authentification, d’autorisation et de gestion de comptes utilisé par la norme de sécurité 802.1x pour contrôler l’accès au réseau par des clients en configuration mobile ou fixe. Mac OS X Server utilise RADIUS pour s’intégrer avec les bornes d’accès AirPort et faire office de base de données de filtre d’adresses MAC centrale. En configurant RADIUS et Open Directory, vous pouvez contrôler l’accès à votre réseau sans fil. Mac OS X Server utilise le projet de serveur FreeRADIUS. FreeRADIUS prend en charge les éléments nécessaires pour créer un serveur RADIUS : LDAP, MySQL, PostgreSQL, les bases de données Oracle, EAP, EAP-MD5, EAP-SIM, EAP-TLS, EAP-TTLS, EAP-PEAP et les sous-types LEAP de Cisco. Mac OS X Server prend en charge les serveurs proxy avec basculement et répartition de la charge.  Service de messagerie : Mac OS X Server utilise des technologies robustes issues de la communité open-source pour fournir des solutions de serveur de messagerie complètes et faciles à utiliser. La prise en charge complète des protocoles de courrier électronique Internet (IMAP, POP et SMTP) assure la compatibilité avec les clients de messagerie électronique standard sur les systèmes Mac, Windows et Linux.Chapitre 1 Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge 23  Technologies web : les technologies web de Mac OS X Server reposent sur le serveur web open-source Apache, le serveur HTTP le plus utilisé sur Internet. Grâce à des performances optimisées pour Mac OS X Server, Apache fournit un hébergement web rapide et fiable, ainsi qu’une architecture extensible pour la fourniture de contenus dynamiques et de services web sophistiqués. Comme le service web de Mac OS X Server repose sur Apache, vous pouvez ajouter des fonctionnalités avancées à l’aide de simples modules d’extension. Mac OS X Server contient tout ce dont les webmestres professionnels ont besoin pour déployer des services web sophistiqués : outils intégrés pour la publication collaborative, scripts incorporés, modules Apache, scripts CGI personnalisés, pages JavaServer Pages et servlets Java. Les sites utilisant des bases de données peuvent être liés à la base de données MySQL fournie. La capacité de connexion ODBC et JDBC à d’autres solutions de base de données est également prise en charge. Le service web prend également en charge le protocole WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning).  Services de fichiers : vous pouvez configurer les services de fichiers de Mac OS X Server de façon à autoriser les clients à accéder aux fichiers, applications et autres ressources partagées sur un réseau. Mac OS X Server prend en charge la plupart des grands protocoles de service pour une compatibilité maximum, notamment les protocoles suivants :  Apple Filing Protocol (AFP) pour partager des ressources avec des clients qui utilisent des ordinateurs Macintosh.  Server Message Block (SMB) pour partager des ressources avec des clients qui utilisent des ordinateurs Windows. Ce protocole est fourni par le projet open-source Samba.  Network File System (NFS) pour partager des fichiers et des dossiers avec des clients UNIX.  File Transfer Protocol (FTP) pour partager des fichiers avec toute personne utilisant un logiciel client FTP.  IPv6 : IPv6 est l’acronyme de « Internet Protocol Version 6 » (RFC 2460). IPv6 est le protocole Internet de nouvelle génération conçu pour remplacer le protocole Internet actuel, IP Version 4 (IPv4 ou juste IP). IPv6 améliore le routage et l’autoconfiguration de réseau. Il augmente le nombre d’adresses réseau à 3 x 1038 et rend NAT superflu. IPv6 devrait remplacer graduellement IPv4 pendant une période de transition de plusieurs années au cours de laquelle les deux protocoles devraient coexister. Les services réseau de Mac OS X Server sont entièrement compatibles avec IPv6 et prêts pour la transition vers ce système d’adressage de nouvelle génération, tout en demeurant totalement compatibles avec IPv4.24 Chapitre 1Vue d’ensemble du système et normes standard prises en charge  SNMP : le protocole SNMP (Simple Network Management Protocol) est utilisé pour surveiller l’état de fonctionnement de périphériques reliés à un réseau. Il s’agit d’un ensemble de normes standard rédigées par l’Internet Engineering Task Force (IETF) pour la gestion de réseau et comprenant un protocole Application Layer, un schéma de base de données et un ensemble d’objets de données. Mac OS X Server utilise la suite opensource net-snmp pour fournir le service SNMPv3 (c’est-à-dire RFC 3411-3418). L’héritage UNIX de Mac OS X Server Mac OS X Server dispose de fondations UNIX construites à partir du micro-noyau Mach et des dernières évolutions de la communauté open-source BSD (Berkeley Software Distribution). Ces fondations fournissent à Mac OS X Server une plateforme informatique 64 bits stable et à hautes performances pour le déploiement d’applications et de services hébergés sur serveur. Mac OS X Server est construit sur un système d’exploitation open-source appelé Darwin qui appartient à la famille BSD de systèmes similaires à UNIX. BSD est une famille de variantes de UNIX issues de la version Berkeley de UNIX. Mac OS X Server comporte en outre plus de 100 projets open-source, en plus des améliorations et extensions propriétaires apportées par Apple. La portion BSD du noyau Mac OS X provient principalement de FreeBSD, une version de 4.4BSD qui offre des fonctionnalités de mise en réseau, des performances, une sécurité et une compatibilité avancées. Les variantes de BSD sont généralement dérivées (parfois indirectement) de 4.4BSD-Lite Release 2 du groupe Computer Systems Research Group (CSRG) de l’université de Californie, à Berkeley. Bien que la portion BSD de Mac OS X provienne principalement de FreeBSD, elle comporte certaines modifications. Pour en savoir plus sur les modifications de bas niveau, consultez la documentation développeur d’Apple relative à Darwin.2 25 2 Planification Avant d’installer et de configurer Mac OS X Server, faites un peu de planification et familiarisez-vous avec les différentes options qui sont à votre disposition. Les principaux objectifs de la phase de planification sont de s’assurer que :  les serveurs que vous déployez répondent aux besoins des utilisateurs et administrateurs,  les conditions préalables en matière de serveur et de services et qui affectent l’installation et la configuration initiale ont été identifiées. La planification de l’installation est particulièrement importante si vous intégrez Mac OS X Server dans un réseau existant, si vous migrez à partir de versions antérieures de Mac OS X Server ou si vous prévoyez de mettre en place plusieurs serveurs. Mais même dans un environnement à un serveur unique, il est préférable d’évaluer rapidement les besoins auxquels répondra le serveur. Ce chapitre pourra servir de base à votre réflexion. Il ne fournit pas de guide de planification rigoureux et ne contient pas les détails nécessaires pour déterminer si vous devez implémenter un service particulier et évaluer les ressource dont vous avez besoin. Considérez simplement ce chapitre comme une occasion de réfléchir au meilleur moyen de bénéficier au maximum des avantages que présente Mac OS X Server dans votre environnement. Comme la conception, la planification n’est pas non plus forcément un processus linéaire. Il n’est pas nécessaire de suivre les sections de ce chapitre dans l’ordre. Diffé- rentes sections offrent des suggestions qui peuvent être mises en œuvre de manière simultanée ou itérative.26 Chapitre 2Planification Planification Lors de la phase de planification, vous devez déterminer de quelle manière vous prévoyez d’utiliser Mac OS X Server et identifier les opérations nécessaires avant son installation. Il peut s’avérer nécessaire, par exemple, de mettre un serveur existant à niveau avec la version 10.5 tout en continuant à héberger des services de répertoires, de fichiers et de messagerie pour les clients de votre réseau. Avant d’installer votre logiciel de serveur, nous vous recommandons de préparer les données à faire migrer vers votre nouveau serveur et de vous demander si le moment est opportun pour mettre en œuvre une nouvelle solution de services de répertoires. Lors de la phase de planification, vous décidez également quelles options d’installation et de configuration du serveur sont les plus adaptées à vos besoins. Par exemple, Premiers contacts contient un exemple illustrant l’installation et la configuration initiale d’un serveur dans un scénario de petite entreprise où le serveur fonctionne en mode de configuration standard. Planification pour la mise à niveau ou la migration vers Mac OS X Server 10.5 Si vous utilisez une version antérieure de Mac OS X Server et que vous souhaitez réutiliser les données et réglages, vous pouvez procéder à une mise à niveau ou à une migration vers la version 10.5. Vous pouvez procéder à une mise à niveau avec Leopard Server si vous utilisez Mac OS X Server 10.4 Tiger ou 10.3 Panther et que vous n’avez pas besoin de remplacer le matériel du serveur. La mise à niveau est simple, car elle préserve les données et réglages existants. La mise à niveau peut être effectuée à l’aide de n’importe laquelle des méthodes d’installation décrites dans ce chapitre ou des méthodes avancées décrites dans ce guide. Si vous ne pouvez pas procéder à une mise à niveau parce que vous devez, par exemple, formater le disque de démarrage ou remplacer le matériel de votre serveur, vous pouvez faire migrer vos données et réglages vers un ordinateur sur lequel vous avez déjà installé Leopard Server. La migration est prise en charge à partir de la dernière version de Mac OS X Server 10.4 Tiger, Mac OS X Server 10.3.9 Panther, Mac OS X Server 10.2.8 Jaguar et Windows NT 4 ou ultérieur. Pour obtenir des informations complètes sur la migration de données et de réglages vers un autre Mac ou Xserve, consultez la section Mise à niveau et migration. Le guide de mise à niveau et de migration fournit des instructions complètes pour la réutilisation de données et de réglages dans ces deux scénarios.Chapitre 2 Planification 27 Mise en place d’une équipe de planification Impliquez dans le processus de planification de l’installation des personnes représentant des points de vue différents et capables de vous aider à répondre aux questions suivantes :  Quels besoins quotidiens un serveur doit-il satisfaire ? Quelles sont les activités pour lesquelles les utilisateurs et les groupes de travail dépendront du serveur ? Si le serveur doit être employé dans une salle de cours, veillez à consulter le formateur qui gérera ses services et qui l’administrera au quotidien.  Quels sont les besoins à satisfaire en matière de gestion des utilisateurs ? Les ordinateurs des utilisateurs seront-ils sans disque et devront-ils donc démarrer via NetBoot ? Sera-t-il nécessaire de mettre en place la gestion des clients Macintosh et des répertoires de départ sur le réseau ? Les personnes ayant de l’expérience dans le domaine de l’administration de serveur doivent discuter avec les utilisateurs du serveur n’ayant pas de compétences techniques particulières, afin que ces derniers comprennent mieux l’intérêt de certains services.  Quels services existants non Apple, tel qu’Active Directory, le serveur devra-t-il intégrer ? Si vous avez prévu de remplacer un ordinateur Windows NT, envisagez d’utiliser pour cela Mac OS X Server, qui gère de manière complète les clients Windows. Assurezvous que les administrateurs qui connaissent ces autres systèmes participent au processus de planification.  Quelles sont les caractéristiques du réseau dans lequel le serveur sera installé ? Devrez-vous mettre à jour les alimentations électriques, les commutateurs ou d’autres composants réseau ? Le moment est-il venu de réorganiser les infrastructures où sont hébergés vos serveurs ? Une personne ayant des connaissances en matière de systèmes et de réseaux pourra contribuer à la prise de décision et remplir la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server incluse en annexe. Identification des serveurs à mettre en place Effectuez un inventaire des serveurs :  De combien de serveurs disposez-vous actuellement ?  Comment sont-ils utilisés ?  Comment optimiser l’utilisation des serveurs que vous souhaitez garder ?  Y a-t-il des serveurs que vous souhaitez supprimer ? Lesquels peuvent être remplacés par Mac OS X Server?  Avec quels serveurs non Apple faudra-t-il intégrer Mac OS X Server ? Pourquoi ?  Y a-t-il des serveurs Mac OS X Server à mettre à niveau avec la version 10.5 ?  Combien de nouveaux ordinateurs Mac OS X devront être mis en place ?28 Chapitre 2Planification Choix des services à héberger sur chaque serveur Identifiez quels services vous voulez héberger sur chaque Mac OS X Server et sur chaque serveur non Apple que vous choisissez d’utiliser. Pour répartir des services entre serveurs, vous devez connaître à la fois les utilisateurs et les services. Voici quelques exemples d’influence des options de services et des configurations matérielles et logicielles requises sur ce qui est installé sur chacun des serveurs :  Les implémentations de services de répertoire peuvent aller de l’utilisation des répertoires existants et de l’authentification Kerberos hébergée sur des serveurs non Apple à des répertoires Open Directory sur des serveurs disséminés partout dans le monde. Les services de répertoire nécessitent une analyse et une planification approfondies. Administration d’Open Directory peut vous aider à mieux comprendre les options et les possibilités.  Les dossiers de départ des utilisateurs du réseau peuvent être regroupés sur un seul serveur ou répartis sur plusieurs. Bien que l’on puisse déplacer les dossiers de départ en cas de besoin, vous risquez de devoir modifier un grand nombre d’enregistrements d’utilisateur et de point de partage. Par conséquent, mettez au point une stratégie qui demeurera valable pendant une durée raisonnablement longue. Pour en savoir plus sur les dossiers de départ, consultez la section Gestion des utilisateurs.  Certains services permettent de limiter l’espace disque sollicité par chaque utilisateur. Vous pouvez, par exemple, définir des quotas pour les dossiers de départ et pour le courrier des utilisateurs. Pensez aux quotas comme un moyen de maximiser l’espace disque disponible sur un serveur qui stocke des dossiers de départ et des bases de données de messagerie. Gestion des utilisateurs décrit les quotas relatifs aux dossiers de départ et au courrier au niveau des utilisateurs, tandis que Administration du service de messagerie décrit les quotas relatifs au courrier au niveau des services.  Les besoins en matière d’espace disque dépendent également des types de fichiers hébergés par le serveur. Ainsi, un environnement créatif nécessite de très importantes capacités de stockage du fait du volume important des fichiers de données multimédias, alors qu’une école primaire a des besoins de stockage de fichiers plus modestes. Administration des services de fichier décrit le partage de fichiers.  Si vous installez un serveur de diffusion de données en continu, allouez un espace disque suffisant pour assurer la diffusion en continu d’un certain nombre d’heures de vidéo ou de son. Pour connaître les configurations matérielle et logicielle requises et voir un exemple de configuration, consultez la section Administration de QuickTime Streaming et Broadcasting.  Le nombre d’ordinateurs client NetBoot que vous pouvez connecter à un serveur dépend du nombre de connexions Ethernet du serveur, du nombre d’utilisateurs, de la quantité de RAM et d’espace disque disponible, ainsi que d’autres facteurs. Le service DHCP doit être disponible. Pour obtenir des instructions sur la planification des capacités NetBoot, consultez la section Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système.Chapitre 2 Planification 29  Mac OS X Server offre une gestion complète des utilisateurs Windows. Vous pouvez regrouper les tâches de gestion sur des serveurs fournissant des services de contrô- leur principal de domaine ou bien répartir les services sur différents serveurs. Administration d’Open Directory et Administration des services de fichier décrivent les options disponibles.  Si vous voulez utiliser un RAID logiciel pour segmenter des disques ou les mettre en miroir, vous aurez besoin de deux lecteurs non FireWire ou plus sur un serveur. Pour en savoir plus, consultez l’aide en ligne d’Utilitaire de disque. Avant de prendre des décisions définitives quant à la répartition des services hébergés par les différents serveurs, familiarisez-vous avec les guides d’administration de chacun des services à déployer. Définition d’une stratégie de migration Si vous utilisez une version de Mac OS X Server comprise entre 10.2 et 10.4 ou un serveur Windows NT, examinez les opportunités de déplacement des données et des réglages vers Mac OS X Server 10.5. Mise à niveau et migration à partir d’une version antérieure de Mac OS X Server Si vous utilisez des ordinateurs sous Mac OS X Server 10.2, 10.3 ou 10.4, envisagez leur mise à niveau ou leur migration vers une configuration avancée de Mac OS X Server 10.5 Leopard. Si vous utilisez Mac OS X Server 10.4 ou 10.3 et que vous n’avez pas besoin de changer d’ordinateur, vous pouvez procéder à une installation de mise à niveau. La mise à niveau est simple, car elle préserve les données et réglages existants. Lorsque cette approche est impossible, vous pouvez migrer les données et les réglages. Vous devrez procéder à une migration, et non à une mise à niveau, dans les cas suivants :  Le disque dur d’un serveur 10.3 ou 10.4 doit être reformaté ou le serveur ne satisfait pas à la configuration minimale requise pour Leopard. Pour en savoir plus, consultez la section « Description de la configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 66.  Vous souhaitez déplacer vers un autre serveur les données et les réglages que vous utilisiez sur un serveur de version 10.3 ou 10.4.  Vous souhaitez déplacer les données et les réglages utilisés sur un serveur 10.2. La migration est prise en charge à partir des dernières versions de Mac OS X Server 10.4, 10.3 et 10.2. Une migration consiste à installer et configurer une configuration avancée de Leopard Server, à y restaurer les fichiers à partir du serveur antérieur et à effectuer les ajustements manuels nécessaires.30 Chapitre 2Planification Pour des informations complètes, lisez la section Mise à niveau et migration. Migration à partir de Windows NT Une configuration avancée de Leopard Server est capable de fournir divers services à des utilisateurs d’ordinateur Microsoft Windows 95, 98, ME, XP, NT 4 et 2000. En fournissant ces services, Leopard Server peut remplacer les serveurs Windows NT dans les petits groupes de travail. Pour plus d’informations sur la migration d’utilisateurs, de groupes, de fichiers et d’autres éléments depuis un serveur Windows NT vers Mac OS X Server, consultez la section Mise à niveau et migration. Définition d’une stratégie d’intégration Il y a deux aspects à prendre en compte lorsque vous intégrez Mac OS X Server à un environnement hétérogène :  la configuration de Mac OS X Server de manière à exploiter les services existants,  la configuration d’ordinateurs non Apple pour l’utilisation de Mac OS X Server. Le premier aspect concerne principalement l’intégration des services de répertoire. Déterminez quels ordinateurs Mac OS X Server utiliseront des répertoires existants (tels qu’Active Directory, LDAPv3 et NIS) et des services d’authentification existants (tels que Kerberos). Pour les options et les instructions, consultez la section Administration d’Open Directory. L’intégration peut se résumer à l’activation d’une option dans Utilitaire d’annuaire ou nécessiter la reconfiguration des services existants et des réglages de Mac OS X Server. Le deuxième aspect consiste principalement à déterminer le niveau de prise en charge que Mac OS X Server doit fournir aux utilisateurs d’ordinateurs Windows. Administration des services de fichier et Administration d’Open Directory contiennent des informations sur les différentes possibilités. Définition de la configuration de l’infrastructure matérielle Déterminez s’il est nécessaire d’apporter des modifications au site ou à la topologie du réseau avant d’installer et de configurer les serveurs.  Qui administrera le serveur, et de quel type d’accès au serveur auront besoin les administrateurs ? Les serveurs de salle de classe doivent être facilement accessibles aux instructeurs, tandis que ceux qui hébergent des informations de répertoire pour tout un réseau doivent être sécurisés en contrôlant l’accès aux locaux dans lesquels ils sont installés.Chapitre 2 Planification 31 Les outils d’administration de Mac OS X Server offrant une solution complète d’administration du serveur à distance, il est rare qu’un administrateur ait besoin d’accéder physiquement au serveur.  Certaines conditions de climatisation ou d’alimentation électrique doivent-elles être remplies ? Pour plus d’informations à ce sujet, consultez la documentation livrée avec le matériel du serveur.  Comptez-vous effectuer la mise à niveau d’éléments tels que des câbles, des commutateurs et des boîtiers d’alimentation ? Le moment est peut-être adéquat pour le faire.  Votre réseau TCP/IP et ses sous-réseaux sont-ils configurés pour prendre en charge les services et les serveurs que vous souhaitez déployer ? Définition de l’infrastructure minimale pour la configuration du serveur L’infrastructure de configuration de serveur est constituée des services et des serveurs que vous devez configurer en premier parce que d’autres en dépendent. Par exemple, si vous souhaitez utiliser Mac OS X Server pour fournir des services DHCP, une horloge de réseau et BootP à d’autres serveurs, vous devez configurer et activer le ou les serveurs fournissant ces services et démarrer ces derniers avant de configurer les serveurs qui en dépendent. Par ailleurs, si vous voulez automatiser la configuration des serveurs en utilisant des données de configuration stockées dans un répertoire, vous devez d’abord configurer les serveurs DHCP et les serveurs de répertoires. Le travail d’infrastructure de configuration requis dépend de la complexité de votre site et de vos objectifs. En général, les services DHCP, DNS et de répertoires sont souhaitables ou obligatoires pour un réseau moyen ou de grande taille :  La couche d’infrastructure la plus essentielle comprend des services de réseau tels que DHCP et DNS. Tous les services fonctionnent mieux si un service DNS est disponible sur le réseau, et de nombreux services requièrent son bon fonctionnement. Si vous n’hébergez pas de service DNS, consultez l’administrateur responsable du serveur DNS lorsque vous configurez vos propres serveurs. Les conditions de DNS requises pour les services individuels sont indiquées dans les guides d’administration propres à chaque service. La configuration de DHCP doit se faire en fonction de la topologie physique de votre réseau.  Autre composant d’infrastructure essentiel : les services de répertoire, qui sont nécessaires pour le partage des données entre services, serveurs et ordinateurs. Le type de données le plus couramment partagé est celui employé par les utilisateurs et les groupes, même si les informations de configuration telles que les enregistrements de montage et les autres données de répertoires sont également partagées.32 Chapitre 2Planification Les infrastructures de services de répertoire sont nécessaires lorsque vous souhaitez héberger des services d’authentification multi-plateformes ou que plusieurs services doivent utiliser les mêmes noms et mots de passe. Voici un exemple de l’ordre dans lequel vous pouvez configurer une infrastructure de serveurs comprenant les services DNS, DHCP et de répertoire. Les services peuvent être configurés sur le même serveur ou sur différents serveurs : 1 Installez le serveur DNS. 2 Installez DHCP. 3 Configurez DHCP pour indiquer l’adresse du serveur DNS et que celui-ci offre ses services aux clients DHCP. 4 Installez un serveur de répertoires comprenant si besoin est un service de contrôleur principal de domaine Windows. 5 Remplissez le répertoire avec les données des utilisateurs, des groupes et des dossiers de départ. Ce processus peut impliquer l’importation des utilisateurs et des groupes, la configuration des points de partage, la configuration des préférences gérées, etc. 6 Configurez DHCP pour indiquer l’adresse du serveur de répertoires et que celui-ci offre ses services aux clients DHCP. Vos besoins particuliers peuvent modifier cette séquence. Ainsi, si vous souhaitez utiliser des services tels que VPN, NAT ou coupe-feu IP, leur installation devra être prise en compte lors de la configuration de DNS et de DHCP. Vérification de la disponibilité du matériel nécessaire pour le serveur Il est parfois préférable d’attendre que tout le matériel soit en place avant de commencer la configuration du serveur. Par exemple, évitez de configurer un serveur dont vous souhaitez stocker les données en miroir tant que tous les disques à configurer pour la mise en miroir ne sont pas disponibles. De même, il vaut mieux attendre que le sous-système RAID soit en place avant d’installer un serveur de dossiers de départ ou tout serveur qui l’utilisera.Chapitre 2 Planification 33 Limitation de la nécessité de déplacer des serveurs après la configuration Essayez de placer un serveur dans son emplacement réseau final (sous-réseau IP) avant de le configurer pour la première fois. Si vous souhaitez éviter tout accès non autorisé ou prématuré au cours du démarrage, vous pouvez configurer un coupe-feu afin de protéger le serveur lors de la finalisation de sa configuration. Si vous ne pouvez pas éviter de déplacer un serveur après la configuration initiale, vous devez commencer par modifier les réglages qui dépendent de l’emplacement réseau. Par exemple, l’adresse IP et le nom d’hôte du serveur, stockés dans les deux répertoires et fichiers de configuration du serveur, doivent être mis à jour. Lorsque vous déplacez un serveur, respectez les règles suivantes :  Limitez la durée pendant laquelle le serveur se trouve dans son emplacement temporaire, de façon à limiter la quantité d’informations à modifier.  Reportez la configuration des services qui dépendent des réglages réseau, jusqu’à ce que le serveur se trouve à son emplacement final. Ces services incluent la réplication Open Directory, les réglages Apache (tels que les domaines virtuels), DHCP et d’autres réglages d’infrastructure réseau dont dépendent d’autres ordinateurs.  Attendez avant d’importer les comptes d’utilisateur finaux. Limitez-vous aux comptes de test afin de minimiser les informations réseau propres à l’utilisateur (telles que l’emplacement du dossier de départ) devant être modifiées après le déplacement.  Une fois que vous avez déplacé le serveur, vous pouvez modifier son adresse IP dans la sous-fenêtre Réseau de Préférences Système (ou utiliser l’outil networksetup). Quelques minutes après avoir modifié l’adresse IP ou le nom du serveur, Mac OS X Server utilise automatiquement l’outil de ligne de commande changeip pour mettre à jour le nom, l’adresse, d’autres données stockées dans le domaine Open Directory, le domaine de répertoire local et les fichiers de configuration de service sur le serveur. Il est parfois nécessaire d’ajuster manuellement des configurations réseau comme les entrées DNS du serveur ou son mappage statique DHCP. Pour obtenir des informations sur l’outil changeip, consultez sa page man et la section Administration de ligne de commande.  Reconfigurez la politique de recherche des ordinateurs (tels que les ordinateurs des utilisateurs et les serveurs DHCP) qui ont été configurés pour utiliser le serveur dans son emplacement d’origine.34 Chapitre 2Planification Définition de politiques de sauvegarde et de restauration Tous les systèmes de stockage finissent par tomber en panne un jour. L’usure de l’équipement, un accident ou un sinistre informatique peuvent provoquer la perte de vos données et de vos réglages de configuration. Avant d’installer un système de données, vous devriez donc mettre en place un plan destiné à empêcher la perte de données ou à en réduire l’impact. Description des politiques de sauvegarde et de restauration De très nombreuses raisons expliquent l’existence d’une politique de sauvegarde et de restauration. Vos données sont sujettes à des pannes de matériel causées par l’usure, des catastrophes naturelles ou provoquées par l’homme ou simplement la corruption des données. Vous ne pouvez pas empêcher certaines pertes de données, mais un plan de sauvegarde et de restauration vous permettra au moins de récupérer vos données. Ces politiques de sauvegarde et de restauration doivent être adaptées à votre situation, vos besoins et votre propre détermination par rapport aux données à sauvegarder, à la fréquence des sauvegardes et au temps et aux efforts à investir pour les restaurer. Les sauvegardes constituent un investissement en temps, en argent, en efforts d’administration et, souvent, en performances. Cet investissement permet toutefois d’obtenir un bénéfice net en termes d’intégrité des données. Vous pouvez éviter d’importants coûts financiers, juridiques et organisationnels si vous disposez d’une politique de sauvegarde et de restauration bien planifiée et bien exécutée. Ces politiques spécifient les procédures et les pratiques adaptées à vos besoins en matière de restauration. Il existe en substance trois types de besoins en matière de restauration :  Restauration d’un fichier supprimé ou corrompu.  Reprise après une défaillance de disque (ou la suppression de fichiers due à une catastrophe).  Archivage de données à des fins organisationnelles (comptabilité, obligations juridiques, etc.). Chaque besoin de restauration détermine le type, la fréquence et la méthode à utiliser pour sauvegarder vos données. Il est recommandé de conserver des sauvegardes quotidiennes de tous les fichiers. Cela permet de restaurer rapidement les fichiers écrasés ou supprimés. Vous disposez ainsi pour chaque jour d’une granularité au niveau du fichier : tout fichier peut être restauré le lendemain.Chapitre 2 Planification 35 Il existe d’autres niveaux de granularité. Il se peut, par exemple, que vous deviez restaurer les données de toute une journée à la fois. Dans ce cas, il y a granularité au niveau de l’instantané quotidien : elle vous permet de restaurer l’ensemble des données de votre organisation telles qu’elles étaient un jour donné. La gestion de tels instantanés quotidiens n’est toutefois pas toujours pratique. Vous pouvez alors décider de conserver un ensemble d’instantanés mobiles donnant une granularité au niveau de l’instantané quotidien uniquement pour le mois écoulé. De même, il est possible de se contenter de niveaux de restauration trimestriels, semestriels, etc. Il est également parfois nécessaire de disposer d’un stockage à des fins d’archivage, c’est- à-dire de données stockées accessibles uniquement dans des circonstances exceptionnelles. Le stockage à des fins d’archivage peut être permanent, ce qui signifie que les données sont conservées pour une durée illimitée. Votre organisation doit répondre aux questions suivantes :  Que doit-on sauvegarder ?  Quelle est la granularité requise pour les besoins de restauration ?  À quelle fréquence faut-il sauvegarder les données ?  Quelle doit être l’accessibilité des données (combien de temps prendra leur restauration) ?  Quels sont les processus mis en place pour récupérer après un sinistre informatique durant une procédure de sauvegarde ou de restauration ? Les réponses à ces questions font partie intégrante de votre politique de sauvegarde et de restauration. Description des types de sauvegarde Il existe de nombreux types de fichiers de sauvegarde (ils sont décrits plus loin) et, au sein de chaque type, de nombreux formats et méthodes différents. Chaque type de sauvegarde est utilisé à des fins différentes et implique des considérations différentes.  Images complètes : les images complètes sont des copies de données effectuées avec une précision de l’ordre de l’octet. Elles capturent l’état complet du disque dur jusqu’à la plus petite unité de stockage. Ces sauvegardes permettent aussi de conserver des copies du système de fichiers d’un disque et des portions inutilisées ou effacées du disque en question. Elles peuvent être utilisées pour réaliser une analyse détaillée des données du disque source. Une telle fidélité rend souvent la restauration de fichiers individuels plus difficile. Ils sont souvent compressés et ne sont décompressés que pour restaurer l’ensemble des fichiers.36 Chapitre 2Planification  Copies complètes au niveau du fichier : ces copies sont des fichiers de sauvegarde conservés en tant que doubles. Elles ne capturent pas les détails les plus fins sur les portions inutilisées du disque source, mais elles fournissent un enregistrement complet des fichiers tels qu’ils étaient au moment de la sauvegarde. Si l’un des fichiers est modifié, la prochaine sauvegarde complète au niveau du fichier effectue une copie de l’ensemble des données en plus du fichier qui a été modifié.  Sauvegardes incrémentales : les sauvegardes incrémentales commencent par des copies au niveau du fichier, mais ne copient que les fichiers qui ont été modifiés depuis la dernière sauvegarde. Cela offre l’avantage d’économiser l’espace de stockage et de capturer toutes les modifications en vigueur au moment où elles sont apportées.  Instantanés : un instantané est une copie des données telles qu’elles étaient dans le passé. Les instantanés peuvent être réalisés à partir de collections de fichiers ou, plus souvent, à partir de liens vers d’autres fichiers au sein d’un ensemble de fichiers de sauvegarde. Ils s’avèrent pratiques pour réaliser des sauvegardes de données volatiles (données souvent modifiées, telles que les bases de données en cours d’utilisation ou les serveurs de messagerie qui envoient et reçoivent des messages électroniques). Ces types de sauvegarde ne s’excluent pas mutuellement ; ils ne représentent que des approches différentes de la copie de données à des fins de sauvegarde. Ainsi, Time Machine de Mac OS X utilise une copie complète au niveau du fichier comme sauvegarde de base, puis des sauvegardes incrémentales pour créer des instantanés des données d’un ordinateur un jour donné. Description de la planification de sauvegardes La sauvegarde de fichiers demande du temps et des ressources. Avant de décider d’un plan de sauvegarde, posez-vous les questions suivantes :  Quelle est la quantité de données à sauvegarder ?  Combien de temps la sauvegarde va-t-elle durer ?  Quand la sauvegarde doit-elle avoir lieu ?  Quelles seront les autres tâches exécutées par l’ordinateur pendant ce temps ?  Quel type d’allocation de ressources sera nécessaire ? Par exemple : quelle est la bande passante réseau nécessaire pour supporter la charge ? Quel est l’espace disque nécessaire sur les lecteurs de sauvegarde ou combien de bandes de sauvegarde seront-elles nécessaires ? Quelle sera la charge sur les ressources informatiques pendant la sauvegarde ? Quels sont les besoins en personnel pour la sauvegarde ? Vous verrez que les différents types de sauvegarde requièrent des réponses différentes à ces questions. Par exemple, une copie de fichiers incrémentale peut prendre moins de temps et copier moins de données qu’une copie de fichiers complète (parce que seule une partie de l’ensemble de données a été modifiée depuis la dernière sauvegarde).Chapitre 2 Planification 37 Une sauvegarde incrémentale peut, par conséquent, être planifiée pendant une période d’utilisation normale, car l’impact sur les utilisateurs et le système peut être très faible. Une sauvegarde image complète, par contre, peut avoir un impact très important sur les utilisateurs et le système si elle est réalisée en période d’utilisation normale. Choix d’un schéma de rotation de sauvegarde Les schémas de rotation de sauvegarde déterminent la méthode la plus efficace de sauvegarde de données sur une période donnée. Comme exemple de schéma de rotation, on pourrait citer le schéma de rotation grand-père, père, fils. Dans ce schéma, vous pouvez réaliser des sauvegardes incrémentales quotidiennes (fils), des sauvegardes complè- tes hebdomadaires (père) et des sauvegardes complètes mensuelles (grand-père). Dans le schéma de rotation grand-père - père - fils, le nombre d’ensembles de données que vous utilisez par sauvegarde détermine la quantité d’historique de sauvegarde dont vous disposez. Par exemple,si vous utilisez huit ensembles de sauvegarde pour les sauvegardes quotidiennes, vous avez huit jours d’historique de sauvegarde hebdomadaire étant donné que vous recyclez les ensembles de données tous les huit jours. Description des restaurations Une politique ou une solution de sauvegarde ne peut être complète sans un plan de restauration des données. Les pratiques et les procédures adoptées peuvent varier en fonction de ce que l’on restaure. Votre organisation peut, par exemple, avoir des tolé- rances spécifiques concernant la durée de non-fonctionnement des systèmes critiques pendant la restauration des données. Les questions suivantes doivent être posées :  Combien de temps la restauration des données va-t-elle durer à chaque niveau de granularité ? Par exemple, combien de temps prendra la restauration d’un fichier ou d’un message électronique supprimé ? Combien de temps prendra la restauration d’une image complète de disque dur ? Combien de temps faudrait-il pour rétablir l’état de l’ensemble du réseau il y a trois jours plus ?  Quel est le processus le plus efficace pour chaque type de restauration ? Par exemple, pourquoi restaurer un état antérieur de la totalité du serveur pour un seul fichier ?  Quelle est la quantité de travail demandée à l’administrateur pour chaque type de restauration ? Quel est le niveau d’automatisation à atteindre pour exploiter au mieux le temps de l’administrateur ?  Dans quelles circonstances les restaurations sont elles lancées ? Quels sont les critè- res d’exécution d’une restauration ? (Qui, quoi et pourquoi)38 Chapitre 2Planification Les pratiques et les procédures de restauration doivent être testées régulièrement. Un ensemble de données de sauvegarde qui n’a pas prouvé sa capacité de restauration correcte ne peut pas être considéré comme une sauvegarde fiable. L’intégrité d’une sauvegarde se mesure à sa fidélité de restauration. Définition d’un mécanisme de vérification de sauvegarde Une sauvegarde n’a pas d’intérêt si vous ne pouvez pas l’utiliser pour restaurer des données perdues. Nous vous conseillons d’avoir une stratégie de restaurations test régulières. Certains fournisseurs de logiciels de tierces parties gèrent cette fonctionnalité. Si vous utilisez toutefois vos propres solutions de sauvegarde, vous devez développer les procédures de test nécessaires. Autres considérations en matière de politique de sauvegarde Tenez compte des points supplémentaires suivants pour votre politique de sauvegarde :  Faut-il utiliser la compression de fichiers ? Si oui, de quel type ?  Y a-t-il des sauvegardes et des archives sur site et hors site ?  Existe-t-il des considérations particulières quant au type de données stockées ? En ce qui concerne les fichiers Mac OS X, par exemple : l’utilitaire de sauvegarde peut-il préserver les métadonnées des fichiers, les branches de ressources et les privilèges des listes de contrôle d’accès (ACL) ? Sélection du type de support de sauvegarde Plusieurs facteurs peuvent vous aider à déterminer le type de support à utiliser :  Coût. Utilisez le coût par giga-octet pour déterminer le support à utiliser. Ainsi, si vos besoins en matière de stockage sont limités, vous pouvez justifier un coût par gigaoctet plus élevé, mais s’il vous faut un espace de stockage important, le coût devient un facteur important dans votre décision. L’une des solutions de stockage les plus économiques est celle offerte par les réseaux redondants de disques indépendants (RAID). Cette solution vous garantit non seulement un faible coût par giga-octet, mais ne nécessite en outre aucune des manipulations spéciales requises par d’autres types de stockage économiques tels que les bandes magnétiques.  Capacité. Si vous ne sauvegardez qu’une petite quantité de données, un support de stockage de faible capacité fera l’affaire. Mais si vous avez besoin de sauvegarder de grandes quantités de données, utilisez des périphériques à haute capacité tels qu’un réseau RAID.  Vitesse. Lorsque votre objectif est de rendre votre serveur disponible la majorité du temps, la vitesse de restauration devient un facteur déterminant pour le choix du support. Les systèmes de sauvegarde sur bande magnétique peuvent être très économiques, mais ils sont nettement moins rapides que les réseaux RAID.Chapitre 2 Planification 39  Fiabilité. Une rotation réussie est l’objectif de toute bonne stratégie de sauvegarde. Si vous ne pouvez pas restaurer les données perdues, les efforts et l’argent que vous aurez investis dans la sauvegarde des données seront gâchés, et la disponibilité de vos services sera compromise. Pour éviter la perte de données, il est donc essentiel que vous choisissiez un support très fiable. Les bandes magnétiques sont en ce sens plus sûres que les disques durs car elles ne contiennent pas de pièces mobiles.  Durée de vie des archives. Vous ne pouvez jamais savoir quand vous aurez besoin des données sauvegardées. C’est pourquoi vous devez opter pour un support conçu pour durer longtemps. Certains facteurs, tels que la poussière et l’humidité, peuvent endommager les supports de stockage et entraîner la perte de données. Outils de ligne de commande de restauration et de sauvegarde Mac OS X Server fournit plusieurs outils de ligne de commande de sauvegarde et restauration de données :  rsync. Utilisez cette commande pour synchroniser les copies de sauvegarde de vos données avec les originaux. L’outil rsync ne copie que les fichiers modifiés.  ditto. Utilisez cette commande pour exécuter des sauvegardes totales.  asr. Utilisez cette commande pour sauvegarder et restaurer un volume entier. Pour en savoir plus sur ces commandes, consultez la section Administration de ligne de commande. La fonctionnalité Time Machine de Leopard n’est pas recommandée pour la sauvegarde de fichiers de serveur ni la sauvegarde système de serveurs en configuration avancée. Remarque :la commande launchdctl permet d’automatiser la sauvegarde des données à l’aide des commandes sus-mentionnées. Pour en savoir plus sur l’utilisation de launchd, consultez la section Administration de ligne de commande.3 41 3 Outils d’administration Administrez Mac OS X Server au moyen d’applications graphiques ou d’utilitaires de ligne de commande. Les outils de Mac OS X Server permettent différentes approches d’administration de serveur :  Vous pouvez administrer les serveurs en local (directement sur le serveur utilisé) ou à distance à partir d’un autre serveur, d’un ordinateur Mac OS X ou d’un poste de travail UNIX.  Les applications graphiques, comme Admin Serveur et Gestionnaire de groupe de travail, facilitent l’administration du serveur et sécurisent les communications pour l’administration du serveur à distance. Vous pouvez utiliser ces applications sur un ordinateur Mac OS X Server (elles se trouvent dans le répertoire /Applications/Server/) ou sur un ordinateur Mac OS X sur lequel vous les avez installées en suivant les instructions de la section « Configuration d’un ordinateur administrateur » à la page 155.  Des utilitaires de ligne de commande sont accessibles pour les administrateurs qui préfèrent administrer le serveur à l’aide de commandes. Pour l’administration du serveur à distance, vous pouvez soumettre les commandes dans une session SSH (Secure Shell). Vous pouvez taper les commandes sur les ordinateurs Mac OS X Server et Mac OS X au moyen de l’application Terminal, qui se trouve dans le dossier /Applications/Utilitaires/. Vous pouvez également les exécuter à partir d’un ordinateur non Macintosh, comme décrit dans la rubrique « Administration au moyen d’un ordinateur non Mac OS X » à la page 155.42 Chapitre 3Outils d’administration Admin Serveur L’application Admin Serveur vous permet d’administrer des services sur un ou plusieurs ordinateurs Mac OS X Server. Admin Serveur vous permet également de spécifier des réglages prenant en charge plusieurs services, tels que la création et la gestion de certificats SSL, la gestion du partage de fichiers, ainsi que la définition des utilisateurs et groupes autorisés à accéder aux services. Les informations sur l’utilisation d’Admin Serveur pour gérer les services apparaissent dans les guides d’administration individuels et dans les informations à l’écran, accessibles via le menu Aide d’Admin Serveur. Les informations sur l’utilisation d’Admin Serveur pour la gestion des services figurent dans les différents guides d’administration et dans les sections suivantes. Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification Admin Serveur est installé dans le dossier /Applications/Server/, à partir duquel vous pouvez l’ouvrir dans le Finder. Vous pouvez également ouvrir Admin Serveur en cliquant sur l’icône correspondante dans le Dock ou sur le bouton Admin Serveur dans la barre d’outils du Gestionnaire de groupe de travail. Pour sélectionner un serveur à utiliser, tapez son adresse IP ou son nom DNS dans la zone de dialogue d’ouverture de session ou cliquez sur Serveurs disponibles pour le choisir dans une liste de serveurs. Tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe d’un administrateur de serveur, puis cliquez sur Se connecter.Chapitre 3 Outils d’administration 43 Interface d’Admin Serveur L’interface d’Admin Serveur est décrite ci-après. Chaque élément est expliqué dans le tableau ci-dessous. A B C D O K L M N E G F H I J44 Chapitre 3Outils d’administration A Liste de serveurs : contient les serveurs, les groupes, les groupes intelligents et, si vous le souhaitez, les services administrés pour chaque serveur. Sélectionnez un groupe pour afficher un résumé de l’état de tous les ordinateurs qui le composent. Sélectionnez un ordinateur pour afficher une vue d’ensemble et les réglages de serveur. Sélectionnez le service d’un serveur pour contrôler et configurer ce service. B Boutons contextuels : affichent les informations et les sous-fenêtres de configuration disponibles. C Barre d’outils : affiche les boutons contextuels disponibles. Si un bouton est grisé ou inactif, cela signifie que vous ne possédez pas les autorisations administratives pour y accéder. D Zone de travail principale : affiche l’état et les options de configuration. Ces informations sont différentes en fonction du service et du bouton contextuel sélectionné. E Serveurs disponibles : affiche l’explorateur de réseau local que vous pouvez utiliser pour découvrir des serveurs à ajouter à votre liste de serveurs. F Tous les serveurs : affiche tous les ordinateurs qui ont été ajoutés à Admin Serveur, quel que soit leur état. G Serveur : affiche le nom d’hôte du serveur géré. Sélectionnez-le pour afficher un résumé de l’état du matériel, du système d’exploitation, des services actifs et du système. H Service : affiche le service administré pour un serveur donné. Sélectionnez-le pour afficher l’état du service, des historiques et des options de configuration. I Groupe : affiche un groupe de serveurs créés par un administrateur. Sélectionnez-le pour afficher un résumé de l’état de tous les ordinateurs du groupe. Pour en savoir plus, consultez la section « Regroupement manuel de serveurs » à la page 158. J Groupe intelligent : affiche un groupe automatique composés de serveurs répondant à des critères de sélection prédéterminés. Pour en savoir plus, consultez la section « Regroupement de serveurs à l’aide de groupes intelligents » à la page 159. K Bouton Ajouter : affiche un menu local contenant des éléments que vous pouvez ajouter à la liste de serveurs :serveurs, groupes et groupes intelligents. L Bouton Action : affiche un menu local contenant les actions possibles pour le service ou le serveur sélectionné, comme déconnecter un serveur, partager l’écran du serveur, etc. M Bouton Réactualiser : permet d’envoyer une demande d’état à tous les ordinateurs qui figurent dans la liste de serveurs. N Bouton de démarrage/d’arrêt de service : ce bouton permet de démarrer ou d’arrêter le service sélectionné. O Barre d’action : contient des boutons et des menus locaux comportant des commandes permettant d’agir sur les serveurs ou les services sélectionnés dans la liste de serveurs. Utilisez ces commandes pour enregistrer ou annuler des modifications de réglages. Contient le bouton Ajouter, le bouton Action, le bouton de démarrage/d’arrêt de service, ainsi que les boutons Revenir et Enregistrer.Chapitre 3 Outils d’administration 45 Personnalisation de l’environnement d’Admin Serveur Pour contrôler l’environnement d’Admin Serveur, vous avez le choix entre les options ci-après.  Pour contrôler la liste des services à administrer, consultez la section « Ajout et suppression de services dans Admin Serveur » à la page 164.  Pour contrôler l’apparence des listes d’Admin Serveur, la fréquence d’actualisation et d’autres comportements, choisissez Admin Serveur > Préférences. Assistant du serveur Assistant du serveur est utilisé pour les tâches suivantes :  Les installations du serveur à distance.  La configuration initiale d’un serveur local.  La configuration initiale de serveurs distants.  La préparation de données pour la configuration automatisée d’une configuration avancée. La page de démarrage d’Assistant du serveur est illustrée ci-dessous. L’Assistant du serveur se trouve dans /Applications/Server/. Pour obtenir des informations sur l’utilisation d’Assistant du serveur, utilisez ses boutons Aide ou consultez le chapitre 6, « Configuration initiale du serveur, » à la page 117.46 Chapitre 3Outils d’administration Gestionnaire de groupe de travail Mac OS X Server comprend Gestionnaire de groupe de travail, un outil de gestion des utilisateurs que vous pouvez utiliser pour créer et gérer des comptes d’utilisateur, de groupe d’utilisateurs, d’ordinateur et de groupe d’ordinateurs. Vous pouvez aussi l’utiliser pour accéder à l’inspecteur, une fonctionnalité avancée qui permet de modifier des entrées Open Directory. Le Gestionnaire de groupe de travail est installé dans le dossier /Applications/Server/, à partir duquel vous pouvez l’ouvrir dans le Finder. Il est également possible d’ouvrir Gestionnaire de groupe de travail en cliquant sur Présentation > Gestionnaire de groupe de travail, dans la barre des menus d’Admin Serveur. Gestionnaire de groupe de travail fonctionne en association étroite avec un domaine de répertoire. Les domaines de répertoire sont similaires à des bases de données et sont optimisées pour le stockage d’informations de compte et le traitement de l’authentification. Les informations relatives au Gestionnaire de groupe de travail sont disponibles dans de nombreux documents :  Gestion des utilisateurs explique comment utiliser Gestionnaire de groupe de travail pour la gestion des comptes et des préférences. Ce guide explique aussi comment importer et exporter des comptes.  Administration d’Open Directory décrit comment utiliser l’inspecteur. Une fois que vous avez ouvert Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez ouvrir une fenêtre Gestionnaire de groupe de travail en choisissant Serveur > Nouvelle fenê- tre Gestionnaire de groupe de travail. Important :lorsque vous vous connectez à un serveur ou que vous vous authentifiez dans Gestionnaire de groupe de travail, assurez-vous que l’emploi des majuscules dans le nom que vous tapez respecte l’emploi des majuscules dans le nom d’administrateur de serveur ou de compte d’administrateur de domaine utilisé.Chapitre 3 Outils d’administration 47 Interface de Gestionnaire de groupe de travail L’interface de Gestionnaire de groupe de travail est décrite ci-après. Chaque élément est expliqué dans le tableau qui suit. A B C E D F G H I J48 Chapitre 3Outils d’administration Personnalisation de l’environnement du Gestionnaire de groupe de travail Il existe plusieurs moyens d’adapter l’environnement du Gestionnaire de groupe de travail :  Pour accéder aux préférences de Gestionnaire de groupe de travail, choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences. Vous pouvez configurer des options telles que la résolution des noms DNS, l’activation de l’inspecteur, l’obligation de saisir une requête de recherche pour afficher la liste des enregistrements et le nombre maximum d’enregistrements à afficher.  Pour personnaliser la barre d’outils, choisissez Affichage > Personnaliser la barre d’outils.  Pour inclure des utilisateurs et groupes prédéfinis dans les listes d’utilisateurs et de groupes, choisissez Affichage > Afficher les utilisateurs et groupes du système.  Pour ouvrir Admin Serveur, cliquez sur le bouton de barre d’outils Admin Serveur. A Admin Serveur : cliquez sur ce bouton pour ouvrir l’application Admin Serveur. B Boutons de réglages : cliquez sur Comptes pour afficher ou modifier des réglages de compte ou sur Préférences pour afficher ou modifier des réglages de préférences. C Barre d’outils : cliquez sur les icônes pour exécuter les commandes en question. La barre d’outils est personnalisable. D Chemin d’accès au répertoire : utilisez ce chemin pour voir le répertoire que vous modifiez. Cliquez sur l’icône représentant un globe pour sélectionner un domaine de répertoire. Cliquez sur le cadenas pour vous authentifier. E Onglets de type d’enregistrement : utilisez ces onglets pour afficher les enregistrements des utilisateurs, des groupes, des ordinateurs ou tous les enregistrements. L’onglet Inspecteur apparaît également si l’inspecteur est activé. F Filtres de texte : utilisez-les pour filtrer les noms d’enregistrement. G Liste des enregistrements : utilisez cette liste pour afficher tous les noms d’enregistrement correspondant au type d’enregistrement sélectionné. H Barre de sélection : utilisez cette barre pour voir le nombre d’enregistrements trouvés et sélectionnés. I Zone de travail principale : utilisez-la pour travailler sur les options de compte, de préférences et de configuration. La zone de travail principale varie en fonction du type d’utilisateur, de groupe ou de préférences. J Zone d’action : utilisez cette zone pour enregistrer et annuler des modifications, ainsi que pour appliquer des configurations prédéfinies aux enregistrements sélectionnés.Chapitre 3 Outils d’administration 49 Répertoire Répertoire permet aux utilisateurs d’accéder à des informations partagées sur les personnes, les groupes, les emplacements et les ressources de l’organisation. Ils peuvent utiliser Répertoire pour partager des contacts, ajouter des groupes, configurer des services de groupe et gérer les coordonnées de leurs contacts. Lorsqu’un utilisateur consulte les informations d’une autre personne, il n’accède pas seulement à ses coordonnées. Si la personne a fourni une photo, l’utilisateur peut voir à quoi il ou elle ressemble. Il peut voir le superviseur et les supérieurs hiérarchiques directs de la personne. Il a accès aux groupes publics auxquels la personne appartient. Il peut également imprimer une carte sur laquelle est indiqué le lieu où se trouve cette personne. Répertoire exploite plusieurs applications Mac OS X. Les utilisateurs peuvent créer des contacts partagés à partir d’entrées de Carnet d’adresses, cliquer sur des adresses électroniques pour envoyer des messages à l’aide de Mail ou charger des services web de groupe dans Safari.50 Chapitre 3Outils d’administration Interface de Répertoire L’interface de Répertoire est décrite ci-après. Chaque élément est expliqué dans le tableau ci-dessous. A Champ Rechercher : utilisez ce champ pour faire des recherches parmi les différents types d’enregistrement. Les nombres qui apparaissent à gauche des boutons de type d’enregistrement indiquent le nombre d’enregistrements répondant aux critères de recherche. B Boutons de type d’enregistrement : cliquez sur ces boutons pour afficher les types d’enregistrement de répertoire correspondants. C Liste des résultats : utilisez cette liste pour afficher les résultats de la recherche d’enregistrements. D Enregistrement : affiche l’enregistrement sélectionné dans la liste de résultats. E Bouton Ajouter : utilisez ce bouton pour ajouter un enregistrement de personne, de groupe, d’emplacement ou de ressource. F Bouton Modifier : cliquez sur ce bouton pour modifier l’enregistrement sélectionné. A B C E D FChapitre 3 Outils d’administration 51 Utilitaire d’annuaire Utilitaire d’annuaire est la principale application permettant de configurer les connexions d’un ordinateur Mac OS X à Open Directory, Active Directory et à d’autres domaines de répertoire et de définir la politique de recherche et les protocoles de détection de services de l’ordinateur. L’interface d’Utilitaire d’annuaire est décrite ci-après avec des options de configuration avancée. Utilitaire d’annuaire est installé sur les ordinateurs Mac OS X Server et Mac OS X dans /Applications/Utilitaires/. Pour obtenir des informations sur la façon d’utiliser Utilitaire d’annuaire, consultez la section Administration d’Open Directory ou l’Aide Utilitaire d’annuaire. Contrôle de serveur Utilisez Contrôle de serveur pour surveiller le matériel Xserve local ou distant et pour déclencher des notifications par courrier électronique lorsque les circonstances l’imposent. Contrôle de serveur fournit des informations sur le système d’exploitation, les lecteurs de disque, l’alimentation, la température du boîtier et du processeur, les ventilateurs, la sécurité et le réseau.52 Chapitre 3Outils d’administration L’interface de Contrôle de serveur est illustrée ci-dessous. Contrôle de serveur est installé dans le répertoire /Applications/Server/ lorsque vous installez votre serveur ou configurez un ordinateur administrateur. Pour ouvrir Contrôle de serveur, cliquez sur l’icône de l’application dans le Dock ou double-cliquez sur son icône dans le répertoire /Applications/Server/. Dans Admin Serveur, choisissez Présentation > Contrôle de serveur. Pour identifier le serveur Xserve à surveiller, cliquez sur Ajouter un serveur, identifiez le serveur et tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe d’un administrateur du serveur. Pour spécifier la fréquence d’actualisation des données, utilisez le menu local « Mettre à jour tous les » de la sous-fenêtre Infos. Pour gérer différentes listes de serveurs Xserve à contrôler, choisissez Fichier > Exporter ou Fichier > Importer. Pour regrouper toutes les listes en une seule, choisissez Fichier > Fusionner. Les témoins LED du système figurant sur les parties avant et arrière d’un serveur Xserve s’allument lorsque le service est requis. Utilisez Contrôle de serveur pour savoir plus exactement pourquoi les témoins s’allument. Vous pouvez également allumer les témoins d’un serveur Xserve afin de l’identifier dans une baie de serveurs. Pour cela, sélectionnez le serveur et cliquez sur Témoin système dans la sous-fenêtre Infos. Pour configurer l’application Contrôle de serveur de sorte qu’elle vous avertisse par courrier électronique de tout changement de l’état du serveur Xserve, cliquez sur Modifier les notifications. Pour chaque serveur, configurez les conditions dont vous souhaitez être averti. Le message électronique peut provenir de Contrôle de serveur ou du serveur lui-même.Chapitre 3 Outils d’administration 53 Contrôle de serveur conserve des historiques de l’activité sur chaque serveur Xserve. Pour afficher un journal, cliquez sur Afficher l’historique. L’historique indique par exemple le nombre de fois où Contrôle de serveur a tenté de contacter le serveur et quelles connexions ont réussi. Les historiques indiquent également les modifications de l’état du serveur. Ces historiques n’incluent pas l’activité système sur le serveur. Pour plus d’informations, reportez-vous à l’aide de Contrôle de serveur. Gestion des images système Vous pouvez utiliser les applications Mac OS X Server suivantes pour configurer et gérer des images NetBoot et NetInstall :  L’Utilitaire d’images de système permet de créer des images disque Mac OS X. Il est installé avec le logiciel Mac OS X Server dans le dossier /Applications/Server/.  Admin Serveur permet d’activer et de configurer le service NetBoot et les services connexes. Il est installé avec le logiciel Mac OS X Server dans le dossier /Applications/Server/.  PackageMaker permet de créer des fichiers d’installation que vous pouvez utiliser pour ajouter des logiciels à des images disque. Utilisez Xcode Tools pour accéder à PackageMaker. Vous trouverez un programme d’installation d’Xcode Tools sur le DVD d’installation du serveur, dans le dossier Other Installs.  Property List Editor permet de modifier des listes de propriétés telles que NBImageInfo.plist. Vous pouvez accéder à Property List Editor à partir d’Xcode Tools. L’interface d’Utilitaire d’images de système est illustrée ci-dessous.54 Chapitre 3Outils d’administration Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système contient des instructions sur l’utilisation de toutes ces applications. Gestion de l’enchaînement de données Administration de QuickTime Streaming et Broadcasting contient des instructions sur l’administration de QuickTime Streaming Server (QTSS) à l’aide d’Admin Serveur. Administration de QuickTime Streaming et Broadcasting décrit aussi QTSS Publisher, une application facile à utiliser pour gérer des données et les préparer pour la diffusion en continu ou le téléchargement progressif. Utilitaires de ligne de commande Si vous êtes administrateur et préférez travailler dans un environnement de ligne de commande, Mac OS X Server s’y prête aisément. À partir de l’application Terminal dans Mac OS X, vous pouvez utiliser les shells UNIX intégrés (sh, csh, tsh, zsh, bash) afin d’utiliser les outils d’installation et de configuration du logiciel serveur, ainsi que configurer et contrôler des services. Vous pouvez également soumettre des commandes à partir d’un ordinateur non Mac OS X. Lorsque vous administrez des serveurs distants, vous travaillez de façon sécurisée dans une session SSH (Secure Shell). Administration de ligne de commande décrit Terminal, SSH, les commandes d’administration de serveur et les fichiers de configuration.Chapitre 3 Outils d’administration 55 Xgrid Admin Vous pouvez utiliser Xgrid Admin pour surveiller des contrôleurs, grilles et travaux Xgrid locaux ou distants. Vous pouvez ajouter des contrôleurs et des agents afin de surveiller et de spécifier les agents qui n’ont pas encore rejoint de grille. Vous pouvez également utiliser Xgrid Admin pour interrompre, arrêter ou redémarrer des travaux. L’interface d’Utilitaire d’images de système est illustrée ci-dessous. Xgrid Admin est installé dans /Applications/Server/ lors de l’installation du serveur ou de la configuration d’un ordinateur administrateur. Pour ouvrir Xgrid Admin, double-cliquez sur l’icône Xgrid Admin dans /Applications/Server/. Pour plus d’informations, reportez-vous à l’aide de Xgrid Admin.56 Chapitre 3Outils d’administration Apple Remote Desktop Apple Remote Desktop (ARD), que vous pouvez acheter séparément, est une application de gestion d’ordinateurs en réseau, facile à utiliser. Elle simplifie la configuration, la surveillance et la maintenance des ordinateurs distants et vous permet d’interagir avec les utilisateurs. L’interface d’Apple Remote Desktop est illustrée ci-dessous. ARD permet de contrôler et d’observer des écrans d’ordinateur, de configurer des ordinateurs et d’installer des logiciels. Vous pouvez entrer en communication avec un ou plusieurs utilisateurs à la fois pour leur fournir une aide ou une assistance. Vous pouvez effectuer des opérations élémentaires de dépannage des problèmes de réseau. Vous pouvez également générer des rapports d’audit des caractéristiques du matériel et des logiciels installés. Vous pouvez également utiliser ARD pour contrôler l’installation sur un ordinateur que vous démarrez à partir d’un disque d’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, car cette application inclut une fonctionnalité de visualiseur VNC. Pour en savoir plus sur Apple Remote Desktop, visitez www.apple.com/fr/remotedesktop/.4 57 4 Sécurité Des politiques et des pratiques de sécurité vigilantes peuvent réduire le risque en matière d’intégrité du système et de confidentialité des données. Mac OS X Server est bâti sur des fondations UNIX robustes qui intègrent à leur architecture de nombreuses fonctionnalités de sécurité. Des technologies de pointe basées sur des normes standard protègent votre serveur, votre réseau et vos données. Ces technologies comprennent notamment un coupe-feu intégré avec analyse de paquets à état, des services puissants de chiffrement et d’authentification, des architectures de sécurité des données et la prise en charge des listes de contrôle d’accès (ACL). La lecture de ce chapitre peut servir de base à votre réflexion. Il ne constitue pas un guide de planification rigoureux et ne contient pas les détails dont vous avez besoin pour déterminer s’il faut mettre en place une politique de sécurité particulière et en évaluer les besoins en ressources. Considérez plutôt ce chapitre comme une occasion de planifier et d’établir les politiques de sécurité nécessaires dans votre environnement. Vous trouverez plus d’informations dans Configuration de la sécurité de Mac OS X Server et Configuration de la sécurité de Mac OS X. À propos de la sécurité physique La sécurité physique d’un serveur est un aspect souvent négligé de la sécurité des ordinateurs. N’oubliez pas que toute personne qui a accès physiquement à un ordinateur (par exemple, qui peut en ouvrir le boîtier ou y connecter un clavier, etc.) a un contrôle presque total sur l’ordinateur et les données qui s’y trouvent. Une personne ayant accès physiquement à un ordinateur peut ainsi :  redémarrer l’ordinateur à partir d’un autre disque dur externe en contournant tous les mécanismes d’ouverture de session existants ;  retirer les disques durs et utiliser des techniques de récupération de données ;  installer des enregistreurs de frappe matériels sur le clavier d’administration local ;58 Chapitre 4Sécurité Vous devez déterminer, au sein de votre propre organisation et de votre environnement, quelles sont les précautions nécessaires, efficaces et rentables pour protéger la valeur de vos données et de votre réseau. Si vous faites partie d’une organisation où la salle des serveurs est protégée par des barrières allant du sol au plafond, par exemple, pensez à sécuriser également les conduites d’air qui mènent à la salle. D’autres organisations opteront pour un simple rack à serveurs ou un mot de passe Open Firmware. À propos de la sécurité du réseau La sécurité du réseau est aussi importante pour l’intégrité des données que la sécurité physique. Bien que la plupart des gens comprennent immédiatement la nécessité de mettre sous clé un serveur coûteux, ils ne voient pas toujours de manière évidente la nécessité de restreindre l’accès aux données qui se trouvent sur ce serveur. Les sections qui suivent contiennent des suggestions, des techniques et des technologies pour vous aider à sécuriser votre réseau. Coupe-feu et filtres de paquets De la même façon qu’une cloison pare-feu agit comme une barrière physique qui protège de la chaleur et des dommages provoqués par la chaleur au sein d’un bâtiment ou dans un véhicule, un coupe-feu réseau agit comme une barrière pour protéger vos ressources réseau en empêchant le piratage de données par des sources externes. Le service de coupe-feu de Mac OS X Server est un logiciel qui protège les applications réseau exécutées sur le serveur Mac OS X Server. L’activation du service de coupe-feu est similaire à l’érection d’un mur destiné à limiter l’accès. Le service de coupe-feu analyse les paquets IP entrants et les rejette ou les accepte sur la base d’un ensemble de règles que vous avez créé. Vous pouvez restreindre l’accès à tout service IP exécuté par le serveur ou personnaliser des règles pour tous les clients entrants ou pour une plage d’adresses IP clientes. Les services, tels que les services web et FTP, sont identifiés sur le serveur par un numéro de port TCP (Transmission Control Protocol) ou UDP (User Datagram Protocol). Lorsqu’un ordinateur tente de se connecter à un service, le service de coupe-feu analyse la liste des règles afin de retrouver le numéro de port correspondant. Lorsqu’une règle s’applique à la transmission de paquets de la connexion, l’action spécifiée dans la règle (par exemple, autoriser ou refuser) est exécutée. La nécessité d’appliquer des règles supplémentaires peut ensuite être évaluée en fonction de l’action.Chapitre 4 Sécurité 59 Zone démilitarisée réseau Dans le domaine de la sécurité de réseau informatique, une zone démilitarisée (ZD) est une zone du réseau (un sous-réseau) qui se trouve entre le réseau interne d’une organisation et un réseau externe comme Internet. Les connexions du réseau externe et du réseau interne vers la zone démilitarisée sont autorisées, tandis que les connexions de la zone démilitarisée sont limitées au réseau externe et ne sont pas autorisées vers le réseau interne. Cela permet à une organisation de fournir des services au réseau externe tout en protégeant le réseau interne contre d’éventuelles menaces provenant d’un hôte se trouvant dans la zone démilitarisée. Toute personne qui compromet un hôte de la zone démilitarisée ne pourra pas se connecter au réseau interne. La zone démilitarisée est souvent utilisée pour connecter des serveurs qui doivent être accessibles à partir du réseau externe ou d’Internet, comme les serveurs de courrier, les serveurs web et les serveurs DNS. Les connexions à partir du réseau externe vers la zone démilitarisée sont souvent contrôlées à l’aide de coupe-feu et de la conversion des adresses. Une zone démilitarisée peut être créée en configurant un coupe-feu : chaque réseau est connecté à un port différent du coupe-feu. C’est ce que l’on appelle une configuration de coupe-feu à trois jambes. Cette configuration a l’avantage de la simplicité, mais la faiblesse d’un point de défaillance unique. Une autre approche consiste à utiliser deux coupe-feu, une zone démilitarisée connectée au deux coupe-feu entre les deux, et à connecter l’un des coupe-feu au réseau interne et l’autre au réseau externe. Cela offre en outre l’avantage d’empêcher des erreurs de configuration accidentelles autorisant l’accès du réseau externe au réseau interne. On appelle ce type de configuration un coupe-feu avec sous-réseau protégé. Réseaux locaux virtuels Mac OS X Server permet la prise en charge des réseaux locaux virtuels (VLAN) 802.1q sur les ports Ethernet et les cartes PCI gigabit Ethernet disponibles ou intégrées dans les serveurs Xserve. Un réseau local virtuel permet à plusieurs ordinateurs se trouvant sur différents réseaux locaux physiques de communiquer entre eux comme s’ils se trouvaient sur le même réseau local. Cette solution présente comme avantages une utilisation plus efficace de la bande passante réseau et une meilleure sécurité, car le trafic de diffusion ou de multidiffusion n’est envoyé qu’aux ordinateurs situés sur le segment de réseau commun. La prise en charge des réseaux locaux virtuels par le Xserve G5 est conforme à la norme standard IEEE 802.1q.60 Chapitre 4Sécurité Filtrage MAC Le filtrage MAC (ou le filtrage d’adresses de couche 2) fait référence à un contrôle d’accès dans lequel l’adresse MAC d’une interface réseau, ou adresse Ethernet (adresse 42 bits assignée à chaque interface réseau), est utilisée pour déterminer l’accès au réseau. Les adresses MAC sont propres à chaque carte. L’utilisation du filtrage MAC sur un réseau autorise et refuse l’accès au réseau à certains périphériques, plutôt qu’à certains utilisateurs ou types de trafic réseau. Les utilisateurs individuels ne sont pas identifiés par une adresse MAC,seuls les périphériques le sont, de sorte qu’une personne autorisée doit disposer d’une liste de périphériques autorisés qu’elle utilise pour accéder au réseau. En théorie, le filtrage MAC permet à un administrateur réseau d’autoriser ou de refuser l’accès au réseau à des hôtes et des périphériques associés à l’adresse MAC, mais il existe en pratique des méthodes permettant d’éviter cette forme de contrôle d’accès par la modification de l’adresse (spoofing) ou l’échange physique de cartes réseau entre hôtes. Chiffrement du transport Le transfert sécurisé de données sur un réseau implique le chiffrement du contenu des paquets envoyés d’un ordinateur à l’autre. Mac OS X Server peut fournir les protocoles de chiffrement TLS (Transport Layer Security) et son prédécesseur, SSL (Secure Sockets Layer), qui sécurisent les communications sur Internet telles que la navigation web, le courrier électronique et d’autres transferts de données. Ces protocoles de chiffrement permettent aux applications clientes et serveur de communiquer d’une façon conçue pour empêcher l’écoute électronique, la falsification et la contrefaçon de messages. TLS utilise la cryptographie pour fournir l’authentification aux extrémités et la confidentialité des communications sur Internet. Ces connexions chiffrées authentifient le serveur (s’assurent de son identité), mais le client demeure non authentifié. Pour bénéficier d’une authentification mutuelle (dans laquelle chaque côté de la connexion est assurée de l’identité de l’autre), vous devez utiliser une infrastructure à clé publique (ICP) sur les clients qui se connectent. Mac OS X Server utilise OpenSSL et a intégré le chiffrement du transport dans les outils et services suivants :  SSH  VPN  Service web  Service de messagerie  Services de répertoire  Serveur iChatChapitre 4 Sécurité 61 Chiffrement de la charge utile Plutôt que de chiffrer le transfert d’un fichier sur le réseau, vous pouvez chiffrer le contenu du fichier. Les fichiers bénéficiant d’un chiffrement puissant peuvent être interceptés pendant le transit, mais ils demeurent illisibles. La plupart des systèmes de chiffrement du transport requièrent la participation des deux parties qui interviennent de la transaction. Certains services (comme le service de messagerie SMTP) ne peuvent pas utiliser ces techniques d’une façon fiable ; le chiffrement du fichier proprement dit demeure alors la seule méthode fiable de protection du contenu du fichier. Pour en savoir plus sur le chiffrement de fichiers, consultez la section « À propos du chiffrement des fichiers » à la page 62. À propos de la sécurité des fichiers Par défaut, les fichiers et les dossiers sont la propriété de l’utilisateur qui les a créés. Une fois créés, les éléments conservent leurs privilèges (combinaison entre propriété et autorisations), même lorsqu’on les déplace, à moins que ces privilèges ne soient modifiés explicitement par leur propriétaire ou un administrateur. C’est pourquoi les nouveaux fichiers et dossiers que vous créez ne sont pas accessibles par les utilisateurs clients s’ils ont été créés dans un dossier pour lequel ces utilisateurs ne possèdent pas de privilèges. Lorsque vous configurez des points de partage, assurez-vous que les éléments autorisent des privilèges d’accès appropriés pour les utilisateurs avec lesquels vous voulez les partager. Autorisations d’accès aux fichiers et aux dossiers Mac OS X Server prend en charge deux types d’autorisations d’accès aux fichiers et aux dossiers :  Autorisations standard POSIX (Portable Operating System Interface)  Listes de contrôle d’accès (ACL) Les autorisations POSIX vous permettent de contrôler l’accès aux fichiers et dossiers sur la base de trois catégories d’utilisateurs : Propriétaire, Groupe et Tout le monde. Bien que ces autorisations permettent un contrôle adéquat des personnes qui accè- dent à un fichier ou un dossier, elles n’ont pas la flexibilité et la granularité dont beaucoup d’organisations ont besoin pour gérer des environnements d’utilisateurs élaborés. Les autorisations des listes de contrôle d’accès fournissent un ensemble plus étendu d’autorisations pour un fichier ou un dossier et permettent de désigner plusieurs utilisateurs et groupes comme propriétaires. Les listes de contrôle d’accès sont de plus compatibles avec Windows Server 2003 et Windows XP, ce qui vous donne une plus grande flexibilité dans un environnement multiplateforme.62 Chapitre 4Sécurité Pour en savoir plus sur les autorisations de fichier, consultez les sections Administration des services de fichier et Configuration de la sécurité de Mac OS X Server. À propos du chiffrement des fichiers Mac OS X dispose d’un certain nombre de technologies de chiffrement de fichiers, à savoir :  FileVault : FileVault effectue un chiffrement à la volée sur le dossier de départ de chaque utilisateur. Il chiffre donc l’ensemble du répertoire dans un volume virtuel, qui est monté, et déchiffre les données selon les besoins.  Secure VM : Secure VM chiffre la mémoire virtuelle système (les données de mémoire écrites temporairement sur le disque dur). En tant que tel, il n’est pas utilisé pour chiffrer des fichiers d’utilisateur, mais confère plus de sécurité à votre système en empêchant la lecture et l’exploitation des fichiers de mémoire virtuelle.  Utilitaire de disque :Utilitaire de disque peut créer des images disque dont le contenu est chiffré et protégé par mot de passe. Les images disque fonctionnent comme un support amovible, tel qu’un disque dur ou une carte mémoire flash USB, mais n’existent que sous la forme d’un fichier stocké sur l’ordinateur. Une fois que vous avez créé l’image disque chiffrée, il suffit de double-cliquer dessus pour la monter sur votre système. Tous les fichiers que vous faites glisser sur l’image montée sont chiffrés et stockés dans l’image disque. Vous pouvez ensuite envoyer l’image disque à d’autres utilisateurs de Mac OS X. S’ils disposent du mot de passe de déverrouillage, ils peuvent extraire les fichiers que vous avez verrouillés dans l’image disque. Pour en savoir plus, sachez que les méthodes de chiffrement de fichiers suivantes sont décrites dans le Guide de configuration de la sécurité de Mac OS X Server :  Création d’une nouvelle image disque chiffrée.  Création d’une image disque chiffrée à partir de données existantes. Suppression sécurisée Lorsque vous placez un fichier dans la Corbeille et que vous videz cette dernière, ou lorsque vous supprimez un fichier à l’aide de l’outil UNIX « rm », les fichiers proprement dits ne sont pas supprimés du disque dur. Ils sont simplement déplacés de la liste des fichiers contrôlés et protégés par le système d’exploitation. Tous espace de votre disque dur considéré comme de l’espace libre (dans lequel le système d’exploitation peut placer un fichier) contient plus que probablement des fichiers qui ont été supprimés auparavant. Ces fichiers peuvent être récupérés à l’aide d’utilitaires d’analyse et d’annulation de suppression. Pour supprimer totalement des données, vous devez utiliser une méthode de suppression plus sûre. Les experts en sécurité recommandent d’écraser plusieurs fois les fichiers supprimés et l’espace libre à l’aide de données aléatoires.Chapitre 4 Sécurité 63 Mac OS X Server fournit les outils suivants pour supprimer des fichiers de façon sûre :  Vider la Corbeille en mode sécurisé (une commande du menu Finder que l’on peut utiliser à la place de la commande « Vider la Corbeille »).  srm (un utilitaire UNIX qui supprime les fichiers de façon sûre et que l’on peut utiliser à la place de « rm »). À propos de l’authentification et de l’autorisation L’authentification consiste à vérifier l’identité d’une personne, tandis que l’autorisation consiste à vérifier qu’une personne authentifiée dispose de l’autorité requise pour effectuer une certaine action. L’authentification est donc nécessaire pour l’autorisation. Dans le contexte informatique, lorsque vous saisissez un nom d’utilisateur et un mot de passe, vous êtes authentifié sur l’ordinateur parce qu’il part du principe qu’une seule personne (en l’occurrence, vous) connaît à la fois le nom d’utilisateur et le mot de passe. Une fois que vous êtes authentifié, le système d’exploitation vérifie si vous figurez dans des listes de personnes autorisées à accéder à certains fichiers et, si vous êtes autorisé à y accéder, vous autorise l’accès à ces fichiers. Comme l’autorisation ne peut pas se faire sans authentification, le terme autorisation est parfois utilisé pour la combinaison de l’authentification et de l’autorisation. Sous Mac OS X Server, les utilisateurs qui tentent d’utiliser différents services (comme ouvrir une session sur un poste de travail conscient des répertoires ou monter un volume distant) doivent s’authentifier en fournissant un nom d’utilisateur et un mot de passe pour que les privilèges d’utilisateur puissent être déterminés. Il y a plusieurs façons d’authentifier des utilisateurs :  Authentification Open Directory. Basée sur le protocole normalisé SASL (Simple Authentication and Security Layer), l’authentification Open Directory prend en charge de nombreuses méthodes d’authentification, notamment CRAM-MD5, APOP, WebDAV, SHA-1, LAN Manager, NTLMv1 et NTLMv2. C’est la façon la plus efficace d’authentifier des utilisateurs Windows. Les méthodes d’authentification peuvent être désactivées de façon sélective pour rendre le stockage des mots de passe sur le serveur plus sûr. Par exemple, si aucun client n’utilise les services Windows, vous pouvez désactiver les méthodes d’authentification NTLMv1 et LAN Manager pour empêcher le stockage de mots de passe sur le serveur à l’aide de ces méthodes. Toute personne parvenant, d’une façon ou d’une autre, à accéder à votre base de données de mots de passe ne pourrait pas exploiter les failles de ces méthodes d’authentification pour pirater des mots de passe.64 Chapitre 4Sécurité L’authentification Open Directory vous permet de configurer des politiques de mots de passe pour des utilisateurs individuels ou pour tous les utilisateurs dont les enregistrements sont stockés dans un répertoire particulier, avec des exceptions si nécessaire. L’authentification Open Directory permet aussi de spécifier des politiques de mots de passe pour des répliques de répertoire individuelles. Vous pouvez, par exemple, spécifier une longueur de mot de passe minimum ou exiger qu’un utilisateur change de mot de passe à sa prochaine ouverture de session. Vous pouvez aussi désactiver l’ouverture de session pour les comptes inactifs ou après un certain nombre de tentatives infructueuses d’ouverture de session.  Authentification Kerberos 5. L’authentification Kerberos permet l’intégration dans des environnements Kerberos existants. Le centre de distribution de clés (Key Distribution Center ou KDC) de Mac OS X Server prend entièrement en charge les politiques de mots de passe que vous configurez sur le serveur. L’utilisation de Kerberos permet également de bénéficier d’une fonctionnalité appelée la signature unique, décrite dans la section qui suit. Les services suivants de Mac OS X Server prennent en charge l’authentification Kerberos : AFP (Apple Filing Protocol), courrier électronique, FTP (File Transfer Protocol), SSH (Secure Shell), fenêtre d’ouverture de session, LDAPv3, VPN (Virtual Private Network), serveur iChat, économiseur d’écran et Apache (via le protocole SPNEGO).  Stockage de mots de passe dans des comptes utilisateur. Cette approche peut être utile lors de la migration de comptes utilisateur à partir de versions antérieures du serveur. Il se peut toutefois qu’elle ne prenne pas en charge les clients qui nécessitent certains protocoles d’authentification sûrs pour le réseau comme APOP.  Authentification LDAPv3 non Apple. Cette approche est disponible pour les environnements dans lesquels un serveur LDAPv3 est configuré pour authentifier les utilisateurs.  RADIUS (protocole d’authentification pour le contrôle de l’accès au réseau de clients à configurations mobiles ou fixes). Pour en savoir plus sur RADIUS dans Mac OS X Server, consultez la section Administration des services de réseau. Signature unique Mac OS X Server utilise Kerberos pour l’authentification par signature unique, ce qui évite aux utilisateurs de devoir saisir un nom d’utilisateur et un mot de passe pour chaque service séparément. Avec la signature unique, l’utilisateur saisit toujours un nom d’utilisateur et un mot de passe dans la fenêtre d’ouverture de session. Par contre, une fois la session ouverte, il ne doit plus saisir de nom d’utilisateur ni de mot de passe pour accéder au service de fichiers Apple, au service de messagerie ni aux autres services qui utilisent l’authentification Kerberos. Pour utiliser la signature unique, les utilisateurs et les services doivent être kerbérisés, c’est-à-dire configurés pour l’authentification Kerberos, et doivent utiliser le même centre de distribution de clés Kerberos.Chapitre 4 Sécurité 65 Les comptes utilisateur qui résident dans un répertoire LDAP de Mac OS X Server et qui possèdent le type de mot de passe Open Directory utilisent le centre de distribution de clés intégré du serveur. Ces comptes utilisateur sont configurés automatiquement pour Kerberos et la signature unique. Les services kerbérisés de ce serveur utilisent également le centre de distribution de clés intégré du serveur et sont configurés automatiquement pour la signature unique. Ce centre de distribution de clés Mac OS X Server peut aussi authentifier des utilisateurs pour des services fournis par d’autres serveurs. Une configuration minimale est suffisante pour que d’autres serveurs sous Mac OS X Server puissent utiliser le centre de distribution de clés de Mac OS X Server. Kerberos a été développé au MIT pour fournir une authentification et une communication sécurisées sur des réseaux ouverts tels qu’Internet. Kerberos fournit des preuves d’identité aux deux parties. Il vous permet de prouver qui vous êtes auprès des services réseau que vous voulez utiliser. Il prouve aussi à vos applications que les services réseau sont authentiques et n’ont pas fait l’objet d’une opération de spoofing (mystification). Comme d’autres systèmes d’authentification, Kerberos ne fournit toutefois pas d’autorisation. Chaque service réseau détermine lui-même ce qu’il vous autorise à faire en fonction de l’identité établie. Kerberos permet à un client et à un serveur de s’identifier mutuellement de façon nettement plus sûre que les méthodes d’authentification par mot de passe et par question-réponse traditionnelles. Kerberos fournit aussi un environnement à signature unique dans lequel les utilisateurs ne doivent s’authentifier qu’une fois par jour, par semaine ou par période, ce qui rend l’authentification moins lourde. Mac OS X Server et Mac OS X 10.3 à 10.5 prennent en charge la version 5 de Kerberos. À propos des certificats, de SSL et de l’infrastructure à clé publique Mac OS X Server prend en charge de nombreux services utilisant le protocole SSL (Secure Socket Layer) pour le transfert de données chiffrées. SSL utilise un système d’infrastructure à clé publique (ICP) pour générer et maintenir des certificats d’identité pour les services dans lesquels SSL a été activé. Les systèmes d’infrastructure à clé publique permettent aux deux parties d’une transaction de données de s’authentifier mutuellement et d’utiliser des clés de chiffrement et d’autres informations qui figurent dans les certificats d’identité, afin de chiffrer et de déchiffrer les messages qui transitent entre les deux parties. Une infrastructure à clé publique permet à toutes les parties qui communiquent de bénéficier de la confidentialité, de l’intégrité des messages et de l’authentification de la source des messages sans devoir échanger d’informations secrètes au préalable.66 Chapitre 4Sécurité La technologie SSL fait appel à un système d’ICP pour sécuriser la transmission de données et l’authentification des utilisateurs. Elle crée un canal de communication sécurisé initial permettant de négocier une transmission de clé secrète plus rapidement. Mac OS X Server utilise SSL pour fournir une transmission de données chiffrées pour le service de courrier électronique, le service web et le service de répertoire. Les sections qui suivent contiennent d’autres informations concernant certains aspects importants des infrastructures à clé publique :  « Clés publiques et privées » à la page 66.  « Certificats » à la page 67.  « Autorités de certificat » à la page 67.  « Identités » à la page 68. Clés publiques et privées Dans un ICP, deux clés numériques sont créées : la clé publique et la clé privée. La clé privée n’est pas distribuée à tout le monde et est souvent chiffrée par une phrase clé. La clé publique, par contre, est distribuée aux parties qui communiquent. Les fonctionnalités de base des clés peuvent être résumées comme suit : Les services web, de courrier électronique et de répertoire utilisent la clé publique avec SSL pour négocier une clé partagée pendant la durée de la connexion. Ainsi, un serveur de messagerie envoie sa clé publique à un client se connectant et entame la négociation pour l’établissement d’une connexion sécurisée. Le client se connectant utilise la clé publique pour chiffrer une réponse à la négociation. Comme le serveur de messagerie dispose de la clé privée, il peut déchiffrer la réponse. La négociation continue jusqu’à ce que le serveur de messagerie et le client disposent d’un secret partagé pour chiffrer le trafic entre les deux ordinateurs. Type de clé Fonctionnalités Publique  Permet de chiffrer des messages qui ne peuvent être déchiffrés que par une personne possédant la clé privée correspondante.  Permet de vérifier la signature qui figure sur un message provenant d’une clé privée. Privée  Permet de signer numériquement un message ou un certificat pour en établir l’authenticité.  Permet de déchiffrer des messages chiffrés avec la clé publique.  Permet de chiffrer des messages qui ne peuvent être déchiffrés que par la clé privée elle-même.Chapitre 4 Sécurité 67 Certificats Les clés publiques se trouvent souvent dans des certificats. Un utilisateur peut signer numériquement des messages à l’aide de sa clé privée et les autres utilisateurs peuvent vérifier la signature à l’aide de la clé publique qui se trouve dans le certificat du signataire émis par une autorité de certificat (AC) au sein de l’ICP. Un certificat de clé publique (on parle parfois aussi de certificat d’identité) est un fichier de format déterminé (Mac OS X Server utilise le format x.509) contenant les éléments suivants :  La moitié clé publique d’une paire clé privée-clé publique.  Des informations relatives à l’identité de l’utilisateur de la clé, telles que le nom et les coordonnées.  Une période de validité (durée pendant laquelle on peut être sûr de l’exactitude du certificat).  L’URL d’une personne possédant l’autorité nécessaire pour révoquer le certificat (son centre de révocation).  La signature numérique d’une autorité de certificat ou de l’utilisateur de la clé. Autorités de certificat Une autorité de certificat (AC) est une entité accompagnée d’un certificat associé qui signe et émet des certificats d’identité numériques établissant que la partie identifiée est digne de confiance. En ce sens, il s’agit d’une tierce partie de confiance entre deux transactions. Dans les systèmes x.509, les AC sont hiérarchiques par nature, chacune étant certifiée par d’autres AC jusqu’à une autorité racine suprême. Une autorité racine est une AC qui béné- ficie de la confiance de suffisamment de ou de toutes les parties intéressées de sorte qu’elle ne doive pas être authentifiée par une autre tierce partie. La hiérarchie des certificats va toujours du bas vers le haut, avec un certificat d’autorité racine au sommet. Une AC peut être une entreprise qui, en échange d’une commission, signe et émet un certificat de clé publique proclamant que l’AC atteste que la clé publique du certificat appartient bien à son propriétaire, comme indiqué dans le certificat. D’une certaine façon, l’AC est une sorte de notaire numérique. Pour effectuer une demande de certificat auprès d’une AC, il est nécessaire de fournir ses coordonnées et des informations sur son identité, ainsi que la clé publique. L’AC vérifie l’identité du demandeur afin que les utilisateurs puissent être sûrs que les certificats émis par cette AC appartiennent bien au demandeur identifié.68 Chapitre 4Sécurité Identités Les identité, dans le contexte du gestionnaire de certificats de Mac OS X Server, sont la combinaison d’un certificat signé pour les deux clés d’une paire de clés d’une ICP. Les identités sont utilisées par le trousseau système et sont disponibles pour les différents services qui prennent en charge SSL. Certificats auto-signés Les certificats auto-signés sont des certificats signés numériquement par la clé privée de la paire de clés incluse dans le certificat. Cette solution remplace la signature du certificat par une AC. En signant un certificat vous-même, vous attestez que vous êtes bien celui que vous prétendez être. Aucune tierce partie de confiance n’est impliquée. Gestionnaire de certificats dans Admin Serveur L’application Gestionnaire de certificats de Mac OS X Server est intégrée à Admin Serveur pour vous aider à créer, utiliser et maintenir des identités pour les services pour lesquels SSL est activé. L’interface d’Admin Serveur est illustrée ci-dessous (avec le Gestionnaire de certificats sélectionné). Gestionnaire de certificats fournit la gestion intégrée de certificats SSL dans Mac OS X Server pour tous les services qui permettent l’utilisation de certificats SSL.Chapitre 4 Sécurité 69 Gestionnaire de certificats permet de créer des certificats auto-signés et des demandes de signature de certificat (en anglais Certificate-Signing Requests ou CSR) pour obtenir un certificat signé par une AC. Les certificats, auto-signés ou signés par une AC, sont accessibles par les services qui prennent en charge SSL. Les identités, qui étaient auparavant créées et stockées dans des fichiers OpenSSL, peuvent également être importées dans Gestionnaire de certificats et sont alors accessibles à tous les services prenant en charge SSL. Gestionnaire de certificats dans Admin Serveur ne vous permet pas de signer et d’émettre des certificats en tant qu’AC ni de signer et d’émettre des certificats en tant qu’autorité racine. Si vous avez besoin de ces fonctions, vous pouvez utiliser l’application Assistant AC d’Apple qui se trouve dans /Applications/Utilitaires/. Elle permet d’obtenir ces fonctions, ainsi que d’autres. Les certificats auto-signés et émis par une AC créés dans Assistant AC d’Apple peuvent être utilisés dans Gestionnaire de certificats par simple importation. Gestionnaire de certificats affiche les informations suivantes pour chaque certificat :  Le nom du domaine pour lequel le certificat a été émis.  Les dates de validité.  L’autorité signataire (par exemple, l’entité de l’AC ou, si le certificat est auto-signé, la mention « Self-Signed »). Préparation des certificats Pour pouvoir utiliser SSL dans les services de Mac OS X Server, vous devez d’abord créer ou importer des certificats. Vous pouvez créer votre propre certificat auto-signé, générer une demande de signature de certificat (CSR) à envoyer à une AC ou importer un certificat préalablement créé avec OpenSSL. Sélectionnez une AC pour signer votre demande de certificat. Si vous n’avez pas d’AC pour signer votre demande, vous pouvez devenir votre propre AC, puis importer vos certificats d’AC dans la base de données de confiance racine de tous les ordinateurs que vous gérez. Si vous utilisez un certificat auto-signé, envisagez d’utiliser une AC auto-signée afin de signer une CSR à utiliser pour vos services, puis importez le certificat public de votre AC dans le trousseau système de tous les ordinateurs clients. Ces deux options partent du principe que vous avez le contrôle des ordinateurs clients.70 Chapitre 4Sécurité Demande de certificat auprès d’une autorité de certificat Gestionnaire de certificats vous aide à créer une demande de signature de certificat (CSR) à envoyer à votre AC désignée. Pour demander un certificat signé : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur qui possède des services prenant en charge SSL. 2 Cliquez sur Certificats. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste Certificats. 4 Saisissez les informations relatives à l’identité. Le nom usuel est le nom de domaine complet du serveur qui va utiliser les services pour lesquels SSL est activé. 5 Saisissez les dates de validité de début et de fin. 6 Sélectionnez une taille pour la clé privée (la taille par défaut est 1024 bits). 7 Saisissez une phrase clé pour la clé privée. Cette phrase clé devrait être plus sûre qu’un simple mot de passe. Il est recommandé d’utiliser au moins 20 caractères, de mélanger majuscules et minuscules, nombres et/ou signes de ponctuation, de ne pas répéter de caractères et de ne pas utiliser de termes figurant dans un dictionnaire. 8 Cliquez sur le bouton en forme d’engrenage et choisissez « Créer une demande de signature de certificats ». 9 Suivez les instructions à l’écran pour demander un certificat signé à l’AC que vous avez choisie. Vous pouvez, par exemple, le faire en ligne ou fournir l’adresse électronique. 10 Cliquez sur Envoyer la demande. 11 Cliquez sur Terminé pour enregistrer les informations d’identité. Lorsque l’AC répond au message électronique, elle l’inclut dans le texte d’un message électronique. 12 Assurez-vous à nouveau que le certificat est sélectionné dans le champ Certificats. 13 Cliquez sur le bouton en forme d’engrenage, puis choisissez « Ajouter un certificat signé ou renouvelé de l’autorité de certificat ». 14 Copiez les caractères entre « ==Begin CSR== » et « ==End CSR== » dans la zone de texte. 15 Cliquez sur OK. 16 Cliquez sur Enregistrer.Chapitre 4 Sécurité 71 Création d’un certificat auto-signé Lorsque vous créez une identité dans Gestionnaire de certificats, vous créez un certificat auto-signé. Gestionnaire de certificats crée une paire clé privée-clé publique possé- dant la taille de clé spécifiée (entre 512 et 2048 bits) dans le trousseau système. Il crée ensuite le certificat auto-signé correspondant dans le trousseau système. Une CSR est également générée pendant la création du certificat auto-signé. Elle n’est pas stockée dans le trousseau, mais écrite sur disque à l’emplacement /etc/certificates/ cert.nom.usuel.tld.csr, où « nom.usuel.tld » est le nom usuel du certificat émis. Pour créer un certificat auto-signé : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur qui possède les services prenant en charge SSL. 2 Cliquez sur Certificats. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). 4 Saisissez les informations relatives à l’identité. Le nom usuel est le nom de domaine complet du serveur qui va utiliser les services pour lesquels SSL est activé. 5 Saisissez les dates de validité de début et de fin. 6 Sélectionnez une taille pour la clé privée (la taille par défaut est 1024 bits). 7 Saisissez une phrase clé pour la clé privée. Cette phrase clé devrait être plus sûre qu’un simple mot de passe. Il est recommandé d’utiliser au moins 20 caractères, de mélanger majuscules et minuscules, nombres et signes de ponctuation, de ne pas répéter de caractères et de ne pas utiliser de termes figurant dans un dictionnaire. 8 Cliquez sur Terminé pour enregistrer les informations d’identité. 9 Cliquez sur Enregistrer. Création d’une autorité de certificat Si vous voulez pouvoir signer le certificat de quelqu’un d’autre, vous devez créer une autorité de certificat (AC). Les autorités de certificat sont parfois appelées certificats racine. En utilisant le certificat racine, vous deviendrez la tierce partie de confiance pour les transactions de ce certificat, vous portant ainsi garant de l’identité du détenteur du certificat. Si vous faite partie d’une organisation importante, vous pouvez décider d’émettre ou de signer des certificats pour des personnes de votre organisation, afin de bénéficier des avantages de sécurité offerts par les certificats avec vos propres services informatiques. Il se peut toutefois que certaines organisations externes ne reconnaissent pas ou ne fassent pas confiance à votre autorité en matière de signature.72 Chapitre 4Sécurité Pour créer une AC : 1 Démarrez Trousseau d’accès. Trousseau d’accès est un utilitaire qui se trouve dans le répertoire /Applications/Utilitaires/. 2 Dans le menu Trousseau d’accès, sélectionnez Assistant Certificat > Créer une autorité de certificat. L’Assistant Certificat démarre. Il va vous guider tout au long du processus de création de l’AC. 3 Choisissez de créer une Autorité de certification racine auto-signée. 4 Fournissez à Assistant Certificat les informations requises, puis cliquez sur Continuer. Pour créer une AC, vous allez devoir fournir les informations suivantes :  Une adresse électronique.  Le nom de l’autorité émettrice (vous ou votre organisation). Vous devez aussi spécifier s’il faut ignorer les valeurs par défaut et s’il faut faire de cette AC l’AC par défaut de l’organisation. Si vous n’avez pas d’AC par défaut pour votre organisation, autorisez Assistant Certificat à faire de la présente AC l’AC par défaut. Dans la plupart des cas, il n’est pas recommandé d’ignorer les valeurs par défaut. Si vous ne les ignorez pas, passez directement à l’étape 16. 5 Si vous préférez ignorer les valeurs par défaut, fournissez les informations suivantes dans les écrans qui suivent :  Un numéro de série unique pour le certificat racine.  Le nombre de jours de fonctionnement de l’autorité de certificat avant son expiration.  Le type de certificat utilisateur que cette AC signe.  Si vous voulez créer pour l’AC un site web auquel les utilisateurs peuvent accéder pour la distribution des certificats d’AC. 6 Cliquez sur Continuer. 7 Fournissez à Assistant Certificat les informations requises, puis cliquez sur Continuer. Pour créer une AC, vous allez devoir fournir les informations suivantes :  L’adresse électronique de la partie responsable des certificats.  Le nom de l’autorité de certificat (vous ou votre organisation).  Le nom de l’organisation.  Le nom d’unité de l’organisation.  L’emplacement de l’autorité émettrice. 8 Sélectionnez une taille de clé et un algorithme de chiffrement pour le certificat d’AC, puis cliquez sur Continuer.Chapitre 4 Sécurité 73 Une clé de grande taille demande plus de calculs de la part des ordinateurs, mais est nettement plus sûre. L’algorithme à sélectionner dépend plus de vos besoins en termes d’organisation que de considérations techniques. Les algorithmes DSA et RSA sont tous deux des algorithmes de chiffrement forts. L’algorithme DSA est une norme standard du gouvernement fédéral des États-Unis pour les signatures numériques. L’algorithme RSA constitue une avancée plus récente dans le domaine des algorithmes. 9 Sélectionnez une taille de clé et un algorithme de chiffrement pour les certificats à signer, puis cliquez sur Continuer. 10 Sélectionnez les extensions d’utilisation de clé dont vous avez besoin pour le certificat d’AC, puis cliquez sur Continuer. Vous devez sélectionner au minimum Signature et Signature de certificat. 11 Sélectionnez les extensions d’utilisation de clé dont vous avez besoin pour les certificats à signer, puis cliquez sur Continuer. Les sélections d’utilisation de clé par défaut sont basées sur le type de clé sélectionné auparavant dans l’assistant. 12 Spécifiez d’autres extensions à ajouter au certificat d’AC, puis cliquez sur Continuer. Vous devez sélectionner « Inclure l’ext. de contraintes élémentaires » et « Utiliser ce certificat comme autorité de certification ». 13 Spécifiez éventuellement d’autres extensions à ajouter au certificat d’AC, puis cliquez sur Continuer. Aucune n’est obligatoire. 14 Sélectionnez le trousseau « Système » pour stocker le certificat d’AC. 15 Choisissez de faire confiance aux certificats de cet ordinateur signés par l’AC que vous avez créée. 16 Cliquez sur Continuer et authentifiez-vous comme administrateur pour créer le certificat et la paire de clés. 17 Lisez et suivez les instructions qui figurent à la dernière page de l’Assistant Certificat. Vous pouvez maintenant émettre des certificats destinés à des parties de confiance et signer des demandes CSR. Utilisation d’une AC pour créer un certificat destiné à quelqu’un d’autre Vous pouvez utiliser votre certificat d’AC pour émettre un certificat pour quelqu’un d’autre. On appelle parfois cette opération signer une demande de signature de certificat (CSR). En le faisant, vous affirmez que vous êtes une partie de confiance et que vous pouvez vérifier l’identité du détenteur du certificat.74 Chapitre 4Sécurité Pour que vous puissiez créer un certificat destiné à une autre personne, cette dernière doit d’abord générer une demande de signature de certificat. Elle peut utiliser l’Assistant Certificat pour générer la demande de signature de certificat et vous envoyer la demande par message électronique. Vous devez ensuite utiliser le texte de la demande de signature de certificat pour créer le certificat. Pour créer un certificat destiné à quelqu’un d’autre : 1 Démarrez Trousseau d’accès. Trousseau d’accès est un utilitaire qui se trouve dans le répertoire /Applications/Utilitaires/. 2 Dans le menu de Trousseau d’accès, sélectionnez Assistant Certificat > Créer un certificat pour quelqu’un d’autre en tant qu’autorité de certificat. L’Assistant Certificat démarre et vous guide tout au long du processus de création de l’AC. 3 Faites glisser la demande de signature de certificat dans la zone cible. 4 Choisissez l’AC émettrice et signez la demande. Vous pouvez aussi ignorer les valeurs par défaut de la demande. 5 Cliquez sur Continuer. Si vous ignorez les valeurs par défaut de la demande, fournissez à l’Assistant Certificat les informations requises, puis cliquez sur Continuer. Le certificat est maintenant signé. L’application de courrier électronique par défaut s’ouvre avec le certificat signé comme pièce jointe. Importation d’un certificat Vous pouvez importer un certificat et une clé privée OpenSSL préalablement générés dans Gestionnaire de certificats. Les éléments sont stockés comme éléments disponibles dans la liste des identités et sont disponibles pour les services pour lesquels SSL a été activé. Pour importer un certificat de type OpenSSL existant : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur qui possède les services prenant en charge SSL. 2 Cliquez sur Certificats. 3 Cliquez sur le bouton Importer. 4 Saisissez le nom et le chemin du fichier du certificat existant. Vous pouvez aussi parcourir le disque et spécifier son emplacement. 5 Saisissez le nom et le chemin du fichier de clé privée existant. Vous pouvez aussi parcourir le disque et spécifier son emplacement. 6 Saisissez la phrase clé de la clé privée. 7 Cliquez sur Importer.Chapitre 4 Sécurité 75 Gestion des certificats Une fois qu’un certificat a été créé et signé, vous n’avez plus grand chose à faire. Les certificats ne peuvent être modifiés que dans Admin Serveur et ne peuvent plus être modifiés une fois qu’une AC les a signés. Les certificats auto-signés peuvent être modifiés. Vous devez supprimez les certificats si les informations qu’ils possèdent (informations de contact, etc.) ne sont plus exactes ou si vous pensez que la paire de clés a été compromise. Modification d’un certificat Une fois que la signature de certificat d’une AC a été ajoutée, le certificat ne peut plus être modifié. Il est toutefois possible de modifier des certificats auto-signés. Tous les champs du certificat (y compris le nom de domaine et la phrase clé de la clé privée, la taille de la clé privée, etc.) peuvent être modifiés. Si l’identité a été exportée sur disque à partir du trousseau système, elle doit être réexportée. Pour modifier un certificat : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur qui possède des services prenant en charge SSL. 2 Cliquez sur Certificats. 3 Sélectionnez l’identité certificat à modifier. Il doit s’agir d’un certificat auto-signé. 4 Cliquez sur le bouton Modifier (/). 5 Cliquez sur Modifier. Distribution d’un certificat public d’AC à des clients Si vous utilisez des certificats auto-signés, un avertissement est affiché dans la plupart des applications d’utilisateur pour vous avertir que l’autorité de certificat n’est pas reconnue. D’autres logiciels, tels que le client LDAP, refusent purement et simplement d’utiliser SSL si l’AC du serveur est inconnue. Mac OS X Server n’est livré qu’avec des certificats provenant d’AC commerciales connues. Pour empêcher cet avertissement, votre certificat d’AC doit être exporté vers chaque ordinateur client qui se connecte au serveur sécurisé. Pour distribuer le certificat d’AC auto-signé : 1 Copiez le certificat d’AC auto-signé (le fichier nommé ca.crt) sur chaque ordinateur client. Il est préférable de le distribuer à l’aide d’un support non réinscriptible tel qu’un CD-R. L’utilisation de supports non réinscriptibles empêche la corruption du certificat. 2 Ouvrez l’outil Trousseau d’accès en double-cliquant sur l’icône ca.crt à l’emplacement où le certificat a été copié sur l’ordinateur client.76 Chapitre 4Sécurité 3 Ajoutez le certificat au trousseau système à l’aide de Trousseau d’accès. Vous pouvez aussi utiliser la commande certtool dans Terminal : sudo certtool i ca.crt k=/System/Library/Keychains/Systems Désormais, toute application cliente qui procède à des vérifications par rapport au trousseau système (comme Safari et Mail) reconnaît tous les certificats signés par votre AC. Suppression d’un certificat Lorsqu’un certificat est arrivé à expiration ou a été compromis, vous devez le supprimer. Pour supprimer un certificat : 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur qui possède des services prenant en charge SSL. 2 Cliquez sur Certificats. 3 Sélectionnez l’identité certificat à supprimer. 4 Cliquez sur le bouton Suprimmer (-) et sélectionnez Supprimer. 5 Cliquez sur Enregistrer. Renouvellement d’un certificat arrivé à expiration Tous les certificats ont une date d’expiration. Vous devez donc mettre à jour les certificats lorsqu’ils expirent. Pour renouveler un certificat arrivé à expiration : 1 Demandez un nouveau certificat à l’AC. Si vous êtes votre propre AC, créez-en un nouveau à l’aide de votre propre certificat racine. 2 Dans Admin Serveur, sélectionnez dans la liste Serveurs le serveur possédant le certificat en cours d’expiration. 3 Cliquez sur Certificats. 4 Sélectionnez l’identité certificat à modifier. 5 Cliquez sur le bouton d’action, puis choisissez « Ajouter un certificat signé ou renouvelé de l’autorité de certificat ». 6 Collez le certificat renouvelé dans le champ de texte, puis cliquez sur OK. 7 Cliquez sur le bouton Modifier pour rendre le certificat modifiable. 8 Réglez les dates du certificat. 9 Cliquez sur Enregistrer.Chapitre 4 Sécurité 77 Utilisation de certificats Dans Admin Serveur, les différents services comme le service web, le service de courrier électronique, le service VPN, etc., affichent une liste déroulante reprenant les certificats sélectionnables par l’administrateur. Comme l’apparence des services varie, l’emplacement de la liste déroulante varie également. Consultez le guide d’administration relatif au service que vous tentez d’utiliser avec un certificat. SSH et les clés SSH SSH est un protocole réseau qui établit un canal sécurisé entre votre ordinateur et un ordinateur distant. Il utilise la cryptographie à clé publique pour authentifier l’ordinateur distant. Il assure également le chiffrement du trafic et l’intégrité des données échangées entre les deux ordinateurs. SSH est souvent utilisé pour ouvrir une session sur une machine distante afin d’y exécuter des commandes, mais il permet aussi de créer un tunnel de données sécurisé en réexpédiant ces données via un port TCP arbitraire. De plus, il peut transférer des fichiers à l’aide des protocoles SFTP et SCP associés. Par défaut, un serveur SSH écoute le trafic sur le port TCP 22 standard. Mac OS X Server utilise OpenSSH comme base pour ses outils SSH. Ouverture de session SSH à base de clés L’authentification à base de clés est utile pour des tâches telles que l’automatisation des transferts et des sauvegardes de fichiers et la création de scripts de basculement parce qu’il permet aux ordinateurs de communiquer sans exiger la saisie d’un mot de passe par un utilisateur. Il n’est pas sûr de copier la clé privée d’un ordinateur sur un autre ordinateur. Important :l’authentification à base de clés comporte des risques. Si la clé privée que vous générez est compromise, des utilisateurs non autorisés peuvent accéder à vos ordinateurs. Vous devez déterminer si les avantages de l’authentification à base de clés valent le risque. Génération d’une paire de clés pour SSH La présente section décrit brièvement le processus de configuration de l’ouverture de session SSH à base de clés sous Mac OS X et Mac OS X Server. Pour configurer SSH à base de clés, vous devez générer les clés que les deux ordinateurs vont utiliser pour établir et valider leurs identités mutuelles.78 Chapitre 4Sécurité Pour ce faire, exécutez les commandes suivantes dans Terminal : 1 Vérifiez s’il existe un dossier .ssh dans votre dossier de départ en saisissant la commande : ls -ld ~/.ssh. Si .ssh apparaît dans les résultats, passez à l’étape 2. Si .ssh n’apparaît pas dans les résultats, exécutez mkdir ~/.ssh et continuez à l’étape 2. 2 Dans le shell, allez dans le répertoire ssh masqué en saisissant la commande suivante : cd ~/.ssh 3 Générez les clés publique et privée en saisissant la commande suivante : ssh-keygen -b 1024 -t dsa -f id_dsa -P '' Le drapeau -b règle la longueur des clés sur 1024 bits, -t indique qu’il faut utiliser l’algorithme de hachage DSA, -f définit le nom de fichier comme id_dsa et -P suivi de deux apostrophes simples définit le mot de passe de la clé privée comme étant nul. Un mot de passe de clé privée nul permet d’automatiser les connexions SSH. 4 Créez un fichier de clé autorisée vierge en saisissant la commande suivante : touch authorized_keys2 5 Copiez la clé publique dans le fichier de clé autorisée en saisissant la commande suivante : cat id_dsa.pub >> authorized_keys2 6 Changez les autorisations de la clé privée en saisissant la commande suivante : chmod 400 id_dsa Les autorisations de la clé privée doivent être définies de façon à ce que le fichier ne puisse pas être lu par tout le monde. 7 Copiez la clé publique et les listes de clés autorisées dans le dossier de départ de l’utilisateur spécifié sur l’ordinateur distant en saisissant la commande suivante : scp authorized_keys2 username@remotemachine:~/.ssh/ Si vous devez établir une communication dans les deux sens entre des serveurs, répé- tez le processus ci-dessus sur le second ordinateur. Ce processus doit être répété pour tout utilisateur devant ouvrir une session SSH à base de clés. L’utilisateur root n’est pas une exception. Le dossier de départ de l’utilisateur root sur Mac OS X Server se trouve à l’emplacement /var/root/. SSH à base de clés avec exemple de script Une grappe de serveurs constitue un environnement idéal pour utiliser le SSH à base de clés. Le script Perl suivant est un exemple de trivial de création de script qui ne doit pas être implémenté. Il montre simplement comment se connecter via un tunnel SSH à tous les serveurs définis dans la variable serverList, exécuter softwareupdate, installer les mises à jour disponibles et redémarrer l’ordinateur si nécessaire. Le script part du principe que le SSH à base de clés a été configuré correctement pour l’utilisateur root sur tous les serveurs à mettre à jour.Chapitre 4 Sécurité 79 #!/usr/bin/perl # \@ est la séquence d’échappement pour le symbole « @ ». my @serverList = ('root\@serveurexemple1.exemple.com', 'root\@serveurexemple2.exemple.com'); foreach $server (@serverList) { open SBUFF, "ssh $server -x -o batchmode=yes 'softwareupdate -i -a' |"; while() { my $flag = 0; chop($_); #check for restart text in $_ my $match = "Veuillez redémarrer immédiatement"; $count = @{[$_ =~ /$match/g]}; if($count > 0) { $flag = 1; } } close SBUFF; if($flag == 1) { `ssh $server -x -o batchmode=yes shutdown -r now` } } Sécurité au niveau de l’administration Mac OS X Server peut utiliser un autre niveau de contrôle d’accès pour plus de sécurité. Il est possible d’affecter des administrateurs à des services qu’ils peuvent configurer. Ces limitations sont définies serveur par serveur. Cette méthode peut être utilisée par un administrateur sans restrictions pour assigner des droits administratifs à d’autres utilisateurs du groupe admin. Cela donne un modèle d’administration par niveaux dans lequel certains administrateurs ont plus deprivilèges que d’autres pour les services assignés. Cela permet d’obtenir une méthode de contrôle d’accès pour des fonctionnalités et des services de serveur individuels. Exemple : Alice (administratrice en chef) contrôle tous les services d’un serveur donné et peut limiter la capacité d’autres utilisateurs du groupe admin (comme Robert et Catherine) à modifier des réglages sur le serveur. Elle peut assigner l’administration des services DNS et de coupe-feu à Robert tout en laissant l’administration du service de messagerie à Catherine. Dans ce scénario, Catherine ne peut pas modifier le coupe-feu ni aucun autre service à l’exception du service de courrier électronique. De même, Robert ne peut pas modifier les services qui ne lui ont pas été assignés.80 Chapitre 4Sécurité Les contrôles d’administration par niveaux sont effectifs dans Admin Serveur et dans l’outil de ligne de commande serveradmin. Ils ne permettent pas d’empêcher la modification des différents fichiers de configuration UNIX à travers tout le système. Les fichiers de configuration UNIX doivent être protégés par des autorisations de type POSIX ou des listes de contrôle d’accès. Définition de privilèges au niveau de l’administration Vous pouvez désigner les services que d’autres utilisateurs du groupe admin peuvent modifier. Pour ce faire, l’administrateur qui procède à cette désignation doit disposer d’un accès total non modifié. Le processus de définition des privilèges au niveau de l’administration est décrit dans « Autorisations d’administration par niveaux » à la page 168. Sécurité au niveau du service Vous pouvez utiliser une liste de contrôle d’accès de service (SACL) pour désigner ceux qui sont autorisés à utiliser un service donné. Il ne s’agit pas d’un moyen d’authentification, mais d’une liste des personnes possédant les droits d’accès appropriés pour utiliser un service donné. Les listes SACL vous permettent d’ajouter un niveau de contrôle d’accès aux autorisations standard et par liste de contrôle d’accès normales. Seuls les utilisateurs et les groupes qui figurent dans une SACL ont accès au service en question. Par exemple, pour empêcher des utilisateurs d’accéder à des points de partage AFP sur un serveur, y compris à des dossiers de départ, supprimez-les de la liste SACL du service AFP. L’application Admin Serveur de Mac OS X Server vous permet de configurer des listes SACL. Open Directory authentifie les comptes utilisateur et les listes SACL autorisent l’utilisation des services. Si Open Directory vous authentifie, la liste SACL de la fenêtre d’ouverture de session détermine si vous pouvez ouvrir une session, la liste SACL du service AFP détermine si vous pouvez vous connecter au service de fichiers Apple, et ainsi de suite.Chapitre 4 Sécurité 81 Définition d’autorisations de liste SACL Les listes SACL vous permettent de désigner les utilisateurs et groupes qui ont accès aux services de Mac OS X Server, notamment aux services AFP, FTP et de fichiers Windows. Pour définir des autorisations de liste SACL pour un service : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez le serveur dans la listes Serveurs. 3 Cliquez sur Réglages. 4 Cliquez sur Accès. 5 Pour restreindre l’accès à tous les services ou désélectionner cette option afin de définir des autorisations d’accès par service, sélectionnez « Pour tous les services ». 6 Si vous avez désélectionné « Pour tous les services », sélectionnez un service dans la liste Service. 7 Pour accorder un accès sans restriction aux services, cliquez sur « Autoriser tous 8 les utilisateurs et groupes ». Pour restreindre l’accès à certains utilisateurs et groupes : a Sélectionnez « Autoriser les utilisateurs et groupes ci-dessous ». b Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ouvrir le volet Utilisateurs et groupes. c Faites glisser des utilisateurs et des groupes depuis le volet Utilisateurs et groupes jusque dans la liste. 9 Cliquez sur Enregistrer. Pratiques d’excellence en matière de sécurité Les administrateurs de serveur sont chargés de s’assurer que des mesures de sécurité raisonnables sont prises pour protéger un serveur contre d’éventuelles attaques. Un serveur compromis met en danger non seulement les ressources et les données qu’il contient, mais aussi les ressources et les données qui se trouvent sur les autres systè- mes connectés. Un système compromis peut être utilisé comme base pour lancer une attaque sur d’autres système à l’intérieur ou à l’extérieur de votre réseau. Assurer la sécurité de serveurs nécessite de trouver un équilibre entre le coût d’implé- mentation des mesures de sécurité d’une part et la probabilité d’une attaque réussie et l’impact de cette attaque d’autre part. Il n’est pas possible d’éliminer tous les risques de sécurité pour un serveur sur un réseau, mais il est possible de réduire les probabilités de brèche et de lutter plus efficacement contre les attaques réalisées.82 Chapitre 4Sécurité Les pratiques d’excellence pour l’administration d’un système de serveur comprennent notamment :  Effectuer la mise à jour de vos système avec les correctifs de sécurité et les mises à jour critiques.  Rechercher régulièrement de nouvelles mises à jour.  Installer les outils antivirus appropriés et les utiliser de manière régulière, ainsi que mettre régulièrement à jour les logiciels et les fichiers de définitions de virus. Bien que les ordinateurs Mac soient beaucoup moins menacés par les virus que les ordinateurs Windows, les risques de contamination ne sont pas nuls.  Restreindre l’accès physique au serveur. Comme l’accès local permet généralement à un intrus de contourner la plupart des systèmes de sécurité, protégez la salle des serveurs, les racks de serveurs et les jonctions du réseau. Utilisez des verrous de sécurité. Le verrouillage des systèmes est une mesure de sécurité à conseiller.  S’assurer qu’il existe une protection adéquate contre les dommages physiques aux serveurs et veiller au bon fonctionnement de la climatisation de la salle des serveurs.  Prendre toutes les précautions supplémentaires nécessaires pour sécuriser les serveurs. Par exemple, activer les mots de passe Open Firmware, chiffrer les mots de passe chaque fois que c’est possible et sécuriser les supports de sauvegarde.  Sécuriser l’accès logique au serveur. Par exemple, supprimer ou désactiver les comptes qui ne sont plus nécessaires. Les comptes des parties extérieures doivent être désactivés lorsqu’ils ne sont pas utilisés.  Configurer des listes SACL si nécessaire. Utilisez ces listes pour spécifier qui peut accéder aux services.  Configurer des listes ACL si nécessaire. Servez-vous de ces listes pour contrôler qui peut accéder aux points de partage et à leur contenu.  Protéger tout compte possédant des privilèges root ou d’administrateur système en adoptant les pratiques de mot de passe recommandées faisant appel à des mots de passe complexes. Pour obtenir des informations plus spécifiques sur les mots de passe, consultez la section « Directives en matière de mots de passe » à la page 84 .  Ne pas utiliser de comptes administrateur (du groupe « admin » UNIX) pour un usage quotidien. Restreindre l’utilisation des privilèges d’administration en n’utilisant jamais le nom d’utilisateur admin et le mot de passe correspondant pour un usage quotidien.  Sauvegarder régulièrement les données critiques du système et conserver les copies de sauvegarde dans un emplacement hors site sûr.Chapitre 4 Sécurité 83 Vos supports de sauvegarde ne vous serviraient à rien s’ils étaient détruits avec l’ordinateur pendant un incendie de la salle des ordinateurs. Les plans de sauvegarde/restauration doivent être testés pour s’assurer que la restauration fonctionne.  Analyser régulièrement les historiques d’audit système et enquêter sur tous les motifs de trafic inhabituel.  Désactiver les services qui ne sont pas nécessaires sur votre système. En effet, toute vulnérabilité qui se produit dans un service de votre système peut compromettre l’ensemble du système. Dans certains cas, la configuration par défaut d’un système peut conduire à des vulnérabilités exploitables dans les services qui ont été implicitement activés et dont les options par défaut sont peu fiables. L’activation d’un service ouvre un port à partir duquel les utilisateurs peuvent accé- der à votre système. Bien que l’activation d’un service de coupe-feu contribue à empêcher les accès non autorisés, un port de service inactif constitue un point faible susceptible d’être exploité par un attaquant.  Activer le service de coupe-feu sur les serveurs, en particulier à la frontière du réseau. Le coupe-feu de votre serveur est sa première ligne de défense contre les accès non autorisés. Pour en savoir plus, consultez le chapitre sur la configuration du service de coupe-feu dans Administration des services de réseau. Si votre serveur est particulièrement sujet aux attaques, envisagez l’achat d’un coupe-feu matériel de tierces parties comme ligne de défense supplémentaire.  Si nécessaire, installer un coupe-feu local sur les serveurs critiques ou sensibles. Implémenter un coupe-feu local protège le système contre les attaques qui pourraient venir de l’intérieur du réseau de l’organisation ou d’Internet.  Pour une protection supplémentaire, implémenter un réseau privé virtuel local (VPN) qui fournit un tunnel chiffré sécurisé pour toutes les communications entre un ordinateur client et une application serveur. Certains périphériques de réseau fournissent une combinaison de fonctions : coupe-feu, détection des intrusions et VPN.  Administrer les serveurs à distance. Assurez l’administration de vos serveurs à distance en vous servant d’applications telles que Admin Serveur, Contrôle de serveur, Admin RAID et Apple Remote Desktop. La réduction de l’accès physique aux systèmes limite les risques de mauvaises surprises.84 Chapitre 4Sécurité Directives en matière de mots de passe De nombreuses applications et de nombreux services exigent que l’on crée des mots de passe pour s’authentifier. Mac OS X contient des applications qui aident à créer des mots de passe complexes (à l’aide d’Assistant mot de passe) et à stocker vos mots de passe en toute sécurité (à l’aide de Trousseau d’accès). Création de mots de passe complexes Suivez les conseils ci-dessous pour créer des mots de passe complexes :  Utilisez un mélange de caractères alphabétiques (majuscules et minuscules), numériques et spéciaux (comme ! et @).  N’utilisez pas de mots ou de combinaisons de mots disponibles dans un dictionnaire, quelle qu’en soit la langue.  Ne vous contentez pas d’ajouter un nombre à un mot alphabétique (par exemple, « fou-fou2 ») si votre mot de passe doit contenir un nombre.  Ne remplacez pas des lettres par des chiffres ou des symboles qui leur ressemblent (par exemple, « V3RT » au lieu de « VERT »).  N’utilisez pas de noms propres.  N’utilisez pas de dates.  Créez des mots de passe d’au moins 12 caractères. Les mots de passe longs sont généralement plus sûrs que les mots de passe courts.  Utilisez des mots de passe impossibles à deviner, même par quelqu’un qui connaît bien vos centres d’intérêts.  Créez des mots de passe aussi aléatoires possibles. Vous pouvez utiliser Assistant mot de passe (qui se trouve dans /System/Bibliothèque/ CoreServices/ pour vérifier la complexité de vos mots de passe.5 85 5 Installation et déploiement Que vous installiez Mac OS X Server sur un seul serveur ou sur une grappe de serveurs, sachez qu’il existe des outils et des processus pour vous aider à réussir l’installation et le déploiement. Sur certains ordinateurs, Mac OS X Server est installé d’origine. Sur d’autres ordinateurs, le logiciel serveur doit être installé. Par exemple, si vous installez Leopard Server sur un ordinateur équipé de Mac OS X, vous transformez cet ordinateur en serveur sous Mac OS X Server. L’installation de Leopard Server sur un serveur existant équipé de Mac OS X Server 10.2 à 10.4 met à niveau le logiciel serveur avec la version 10.5. Si Leopard Server est déjà installé, une nouvelle installation actualise l’environnement du serveur. Le présent chapitre contient des instructions destinées à une nouvelle installation de Leopard Server à l’aide de diverses méthodes. Vue d’ensemble de l’installation Vous avez déjà planifié le nombre et le type de serveurs à installer. Étape 1 :Assurez-vous que vous disposez de la configuration requise Assurez-vous que le serveur cible est conforme à la configuration requise. Pour en savoir plus, consultez les sections :  « Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 87  « Instructions matérielles pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 88 Étape 2 :Rassemblez les informations Rassemblez toutes les informations dont vous avez besoin avant de commencer. Cela permet non seulement d’effectuer une installation sans problèmes, mais peut également vous aider à prendre certaines décisions en matière de planification. Pour en savoir plus, consultez les sections :  Chapitre 2, « Planification, » à la page 25.86 Chapitre 5Installation et déploiement  Annexe , « Feuille d’opérations avancées de Mac OS X Server, » à la page 221.  « À propos du disque d’installation du serveur » à la page 89. Étape 3 :Configurez l’environnement Si vous ne contrôlez pas l’ensemble de l’environnement réseau (serveurs DNS, serveur DHCP, coupe-feu, etc.), vous devez coordonner vos efforts avec l’administrateur réseau avant l’installation. Un système DNS opérationnel avec recherches inversées complètes, ainsi qu’un coupe-feu autorisant la configuration constituent le strict minimum pour l’environnement de configuration. Si vous prévoyez de connecter le serveur à un système de répertoire existant, vous devez aussi coordonner vos efforts avec ceux de l’administrateur de répertoire. Consultez les sections suivantes :  « Connexion au répertoire au cours de l’installation » à la page 89.  « Installation du logiciel serveur sur un ordinateur en réseau » à la page 90. Si vous administrez le serveur à partir d’un autre ordinateur, vous devez créer un ordinateur d’administration. Pour en savoir plus, consultez la section « Préparation d’un ordinateur administrateur » à la page 88. Étape 4 :Démarrez l’ordinateur à partir d’un disque d’installation Vous ne pouvez pas effectuer d’installation sur le disque à partir duquel l’ordinateur a démarré, mais vous pouvez procéder à une mise à niveau. Pour les installations spéciales et les mises à niveau, vous devez démarrer le serveur à partir d’un disque d’installation plutôt que du disque cible. Consultez les sections suivantes :  « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90.  « Accès à distance au DVD d’installation » à la page 91.  « Démarrage à partir du DVD d’installation » à la page 92.  « Démarrage à partir d’une partition alternative » à la page 93.  « Démarrage à partir d’un environnement NetBoot » à la page 97. Étape 5 :Préparez le disque cible Si vous procédez à une installation spéciale, vous devez préparer le disque cible en vous assurant qu’il possède le bon format et le bon schéma de partition. Consultez les sections suivantes :  « Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 98.  « Sélection d’un système de fichiers » à la page 99.  « Partitionnement d’un disque dur » à la page 100.  « Création d’un ensemble RAID » à la page 102.  « Effacement d’un disque ou d’une partition » à la page 105.Chapitre 5 Installation et déploiement 87 Étape 6 :Démarrez le programme d’installation Le programme d’installation prend des logiciels du disque de démarrage et des paquets du logiciel serveur et les installe sur le disque cible. Consultez les sections suivantes :  « Identification du serveur distant lors de l’installation de Mac OS X Server » à la page 106  « Installation interactive du logiciel serveur » à la page 107  « Installation locale à partir du disque d’installation » à la page 107  « Installation à distance à l’aide d’Assistant du serveur » à la page 109  « Installation à distance à l’aide de VNC » à la page 111  « Installation du logiciel serveur à l’aide de l’outil de ligne de commande installer » à la page 112 Étape 7 :Configurez les services Redémarrez depuis le disque cible pour passer à l’étape de configuration. Pour en savoir plus sur la configuration du serveur, consultez la section « Configuration initiale du serveur » à la page 117. Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server L’ordinateur de bureau ou le serveur Macintosh sur lequel vous installez Mac OS X Server 10.5 Leopard doit être doté des éléments suivants :  Un processeur Intel ou PowerPC G4 ou G5 cadencé à 867 MHz ou plus.  FireWire intégré.  Au moins 1 Go de mémoire vive (RAM).  10 Go minimum d’espace disque disponible.  Un nouveau numéro de série pour Mac OS X Server 10.5. Le numéro de série utilisé avec une version antérieure de Mac OS X Server ne permet pas de s’enregistrer pour la version 10.5. Un lecteur de DVD intégré est pratique mais pas obligatoire. Les moniteurs et claviers sont optionnels. Vous pouvez installer le logiciel serveur sur un ordinateur sans moniteur ni clavier à l’aide d’un ordinateur administrateur. Pour en savoir plus, consultez la section « Préparation d’un ordinateur administrateur » à la page 88. Si vous utilisez un disque d’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, vous pouvez contrôler l’installation depuis un autre ordinateur avec le visualiseur VNC. Un visualiseur VNC open-source est disponible. Apple Remote Desktop, décrit à la page 56, contient des fonctionnalités de visualiseur VNC.88 Chapitre 5Installation et déploiement Instructions matérielles pour l’installation de Mac OS X Server Lors de l’installation du logiciel serveur sur un système Xserve, la procédure à suivre pour démarrer l’ordinateur en vue de l’installation dépend du type de matériel Xserve.Les procédures sont décrites dans le Guide de l’utilisateur Xserve ou dans le guide Présentation fourni avec le système Xserve. Collecte des informations nécessaires Utilisez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server pour noter les informations relatives à chacun des serveurs que vous souhaitez installer. Les paragraphes suivants fournissent des explications complémentaires sur les éléments de la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server. La Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server se trouve dans l’Annexe, à la page 221. Préparation d’un ordinateur administrateur Vous pouvez utiliser un ordinateur administrateur pour installer, configurer et administrer Mac OS X Server à partir d’un autre ordinateur. Un ordinateur administrateur est un ordinateur équipé de Mac OS X 10.5 ou de Mac OS X Server Leopard que l’on utilise pour administrer des serveurs distants. En fait, si vous installez et configurez Mac OS X Server sur un ordinateur doté d’un moniteur et d’un clavier, cet ordinateur est déjà un ordinateur administrateur. Pour définir un ordinateur équipé de Mac OS X comme ordinateur administrateur, vous devez installer un autre logiciel. Important :si vous disposez d’applications et d’outils administratifs provenant de Mac OS X Server 10.4 Tiger ou antérieur, ne les utilisez pas avec Leopard Server. Pour activer l’administration à distance de Mac OS X Server à partir d’un ordinateur Mac OS X : 1 Assurez-vous que la version 10.5 Leopard de Mac OS X est installée sur l’ordinateur Mac OS X. 2 Assurez-vous que l’ordinateur dispose d’au moins 1 Go de RAM et 1 Go d’espace disque disponible. 3 Insérez le CD Administration Tools. 4 Ouvrez le dossier du programme d’installation. 5 Ouvrez ServerAdministrationSoftware.mpkg pour lancer le programme d’installation et suivez les instructions à l’écran.Chapitre 5 Installation et déploiement 89 À propos du disque d’installation du serveur Vous pouvez installer le logiciel serveur à l’aide du disque Mac OS X Server Install Disc. Ce disque d’installation contient tout ce dont vous avez besoin pour installer Mac OS X Server. Il contient également un dossier nommé Other Installs comprenant des programmes d’installation pour la mise à niveau d’un ordinateur Mac OS X avec Mac OS X Server et pour l’installation séparée de logiciels d’administration de serveur, l’application Répertoire, l’application Capture de podcast, le logiciel X11 et les outils de développement Xcode. Outre le disque d’installation, Mac OS X Server est livré avec le CD Administration Tools. Vous pouvez utiliser ce CD pour configurer un ordinateur administrateur. Ce disque contient également les programmes d’installation de l’application Répertoire, de l’application Capture de podcast et de l’application QTSS Publisher. Pour les administrateurs avancés, ce disque contient les programmes d’installation de PackageMaker et de Property List Editor. Configuration de services réseau Pour pouvoir procéder à l’installation, vous devez disposer des réglages suivants pour votre service réseau ou les configurer :  DNS : vous devez disposer d’un nom de domaine complet pour l’adresse IP de chaque serveur dans le système DNS. La zone DNS doit disposer de l’enregistrement de recherche inversée pour la paire nom et adresse. L’absence de système DNS stable et opérationnel avec recherche inversée provoque des pannes de service et des comportements inattendus.  DHCP : il est recommandé de ne pas assigner d’adresses IP dynamiques aux serveurs. Si votre serveur reçoit son adresse IP via DHCP, configurez un mappage statique sur le serveur DHCP afin qu’il reçoive chaque fois la même adresse IP (via son adresse Ethernet).  Coupe-feu ou routage : en plus du ou des coupe-feu exécutés sur votre serveur, le routeur de sous-réseau peut mettre en place certaines restrictions en matière de trafic réseau. Assurez-vous que l’adresse IP du serveur est disponible pour le trafic que vous prévoyez de gérer et les services que vous prévoyez d’exécuter. Connexion au répertoire au cours de l’installation Si vous souhaitez utiliser un serveur en tant que maître Open Directory, assurez-vous qu’il dispose d’une connexion Ethernet active à un réseau sécurisé avant de procéder à l’installation et la configuration initiale.90 Chapitre 5Installation et déploiement Installation du logiciel serveur sur un ordinateur en réseau Lorsque vous démarrez un ordinateur depuis un disque d’installation du serveur, le protocole SSH démarre automatiquement afin que les installations à distance puissent être réalisées. Important :avant d’installer ou de réinstaller Mac OS X Server, assurez-vous que le réseau est sécurisé. En effet, SSH donne à d’autres personnes l’accès à l’ordinateur par le réseau. Définissez, par exemple, la topologie du réseau de façon à ce que seuls les utilisateurs de confiance puissent accéder au sous-réseau de l’ordinateur serveur. À propos du démarrage pour l’installation L’ordinateur ne peut pas procéder à une installation sur son propre volume de démarrage. Vous devez donc démarrer d’une autre façon, par exemple :  Supports optiques, DVD.  Volumes alternatifs (autres partitions du disque dur ou disques FireWire externes).  Netboot. L’ordinateur doit effectuer l’installation à partir du disque ou de l’image ayant servi à son démarrage. Monter un autre point de partage avec un programme d’installation ne marchera pas. Le programme d’installation utilise certains fichiers actuellement actifs sur la partition du système ayant servi au démarrage pour la nouvelle installation. Avant de démarrer Si vous procédez à une installation spéciale plutôt qu’à la mise à jour d’un serveur existant, sauvegardez toutes les informations utilisateur qui se trouvent sur le disque ou la partition sur lequel vous installez le logiciel serveur. Si vous procédez à la mise à niveau d’un serveur existant, assurez-vous que d’éventuelles données de configuration enregistrées ne seront pas détectées et utilisées pour installer automatiquement une configuration avancée. Assistant du serveur recherche d’éventuelles données de configuration enregistrées sur tous les disques montés et dans tous les répertoires auxquels le serveur est configuré pour accéder. Les données de configuration enregistrées écraseront les réglages existants du serveur. Pour en savoir plus sur la configuration automatique d’un serveur, consultez la section « Utilisation de la configuration automatique de serveurs » à la page 128.Chapitre 5 Installation et déploiement 91 Accès à distance au DVD d’installation Lorsque vous l’utilisez comme disque de démarrage, le DVD d’installation fournit certains services pour l’accès à distance. Lorsque vous démarrez à partir du DVD, SSH et VNC sont disponibles. VNC vous permet d’utiliser un visualiseur VNC (tel qu’Apple Remote Desktop) pour afficher l’interface utilisateur comme si vous utilisiez le clavier, la souris et le moniteur de l’ordinateur distant. Tout ce que vous pouvez faire directement sur l’ordinateur à l’aide du clavier et de la souris est disponible à distance et localement. Les seules exceptions sont la réinitialisation forcée, d’autres manipulations matérielles et le maintien de touches enfoncées au démarrage. SSH vous permet l’accès par ligne de commande à l’ordinateur avec des privilèges d’administrateur. Pour accéder à l’ordinateur avec VNC : 1 Démarrez l’ordinateur cible à partir du DVD d’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur. La procédure à suivre dépend du type de matériel cible. Pour en savoir plus sur les options de disque de démarrage, consultez la section « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90. 2 Utilisez votre visualiseur VNC pour établir une connexion au serveur cible. 3 Identifiez le serveur cible. Si le serveur cible fait partie d’une liste de serveurs disponibles fournie par le visualiseur VNC, sélectionnez-le dans cette liste. Sinon, vous devrez saisir une adresse IP au format IPv4 (000.000.000.000). Si vous ignorez l’adresse IP et que le serveur distant réside sur le sous-réseau local, utilisez la commande sa_srchr pour identifier les ordinateurs du sous-réseau local sur lesquels vous pouvez installer le logiciel serveur :saisissez ce qui suit à partir d’un ordinateur sur lequel les outils Mac OS X Server sont installés : /system/library/serversetup/sa_srchr 224.0.0.1 Cette commande renvoie l’adresse IP et l’EthernetID (ainsi que d’autres informations) des serveurs du sous-réseau local qui ont démarré à partir du disque d’installation. 4 Lorsque vous êtes invité à fournir un mot de passe, saisissez les huit premiers chiffres du numéro de série matériel intégré au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si vous effectuez l’installation sur un vieil ordinateur qui ne dispose pas de numéro de série de matériel intégré, tapez le mot de passe 12345678. Si vous utilisez Apple Remote Desktop comme visualiseur VNC, saisissez le mot de passe sans préciser de nom d’utilisateur.92 Chapitre 5Installation et déploiement Pour accéder à l’ordinateur avec SSH : 1 Démarrez l’ordinateur cible à partir du DVD d’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur. La procédure à suivre dépend du type de matériel cible. Pour en savoir plus sur les options de disque de démarrage, consultez la section « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90. 2 Utilisez Terminal pour ouvrir une connexion shell sécurisée au serveur cible. Le nom d’utilisateur est root et le mot de passe est constitué des huit premiers chiffres du numéro de série matériel intégré du serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si vous effectuez l’installation sur un vieil ordinateur qui ne dispose pas de numéro de série de matériel intégré, tapez le mot de passe 12345678. Si vous ignorez l’adresse IP et que le serveur distant réside sur le sous-réseau local, utilisez la commande sa_srchr pour identifier les ordinateurs du sous-réseau local sur lesquels vous pouvez installer le logiciel serveur :saisissez ce qui suit à partir d’un ordinateur sur lequel les outils Mac OS X Server sont installés : /system/library/serversetup/sa_srchr 224.0.0.1 Cette commande renvoie l’adresse IP et l’EthernetID (ainsi que d’autres informations) des serveurs du sous-réseau local qui ont démarré à partir du disque d’installation. Démarrage à partir du DVD d’installation C’est la méthode la plus simple pour démarrer l’ordinateur si vous avez un accès physique au serveur et si ce dernier dispose d’un lecteur optique. Si le serveur cible est un Xserve équipé d’un lecteur de DVD intégré, démarrez le serveur à partir du DVD d’installation en suivant les instructions du Guide de l’utilisateur Xserve relatives au démarrage à partir d’un disque système. Si le serveur cible ne dispose pas de lecteur de DVD intégré, vous pouvez utiliser un lecteur de DVD FireWire externe. Vous pouvez également installer le logiciel serveur sur un système Xserve sans lecteur de DVD en déplaçant son module de disque vers un autre système Xserve doté, lui, d’un tel lecteur. Application d’installation ou outil d’installation dans l’application TerminalChapitre 5 Installation et déploiement 93 Pour démarrer l’ordinateur à partir du disque d’installation. 1 Allumez l’ordinateur et insérez le disque d’installation de Mac OS X Server dans le lecteur de DVD. 2 Si vous utilisez un lecteur de DVD intégré, redémarrez l’ordinateur en maintenant la touche C enfoncée. Vous pouvez relâcher la touche C lorsque le logo Apple s’affiche. Vous pouvez aussi redémarrer l’ordinateur en maintenant la touche Option enfoncée, en sélectionnant l’icône représentant le disque d’installation et en cliquant sur la flè- che vers la droite. Vous devez utiliser cette méthode si vous démarrez à partir d’un lecteur de DVD externe. 3 Si vous procédez à une installation sur un Xserve, la procédure de démarrage à partir d’un DVD peut être différente. Pour en savoir plus, consultez le Guide de l’utilisateur ou le guide Présentation inclus avec votre Xserve. 4 Après le redémarrage de l’ordinateur, choisissez la langue à utiliser pendant l’installation, puis cliquez sur le bouton représentant une flèche. Le programme d’installation est à présent en cours d’exécution. Démarrage à partir d’une partition alternative Pour une installation sur un seul serveur, il se peut que la préparation au démarrage à partir d’une partition alternative prenne plus de temps que la simple utilisation du DVD d’installation. La création de l’image, l’analyse et la restauration de l’image sur une partition de démarrage peut prendre plus de temps qu’une installation unique à partir d’un DVD. Par contre, si vous procédez régulièrement à des réinstallations, si vous créez une installation basée sur un lecteur FireWire externe pour plusieurs ordinateurs ou si vous avez besoin d’un autre type de distribution en masse (pour des serveurs Xserve en grappe sans lecteur de DVD par exemple), cette méthode peut s’avérer très efficace. Cette méthode convient bien à l’installation sur des ordinateurs auxquels vous n’avez pas un accès physique aisé. Avec suffisamment de préparation, cette méthode peut être modifiée pour déployer aisément en masse des copies de Mac OS X Server dont vous possédez les licences. Pour utiliser cette méthode, vous devez disposer d’une installation existante quelconque sur l’ordinateur. Elle est destinée aux environnements dans lesquels un certain niveau d’infrastructure existante de Mac OS X Server est présent, mais elle peut ne pas convenir pour une première installation de serveur. Pour démarrer à partir d’une partition alternative, il y a quatre étapes élémentaires.94 Chapitre 5Installation et déploiement Étape 1 :Préparez les disques et les partitions sur l’ordinateur cible Avant de commencer, vous devez disposer d’au moins deux partitions sur l’ordinateur cible. La première servira de partition de démarrage initiale et finale, la seconde de partition temporaire pour le programme d’installation. Vous pouvez utiliser un seul disque contenant plusieurs partitions ou plusieurs disques. Utilisez l’application Utilitaire de disque pour préparer les disques. Pour en savoir plus sur la préparation et le partitionnement d’un disque dur, consultez l’aide d’Utilitaire de disque. Étape 2 :Créez une image restaurable du DVD d’installation Cette étape ne doit pas nécessairement être réalisée sur l’ordinateur cible. Elle peut être effectuée sur un ordinateur administrateur, mais il doit y avoir assez d’espace disque pour créer une image de l’ensemble du DVD d’installation. Pour créer une image du DVD d’installation : 1 Insérez le DVD d’installation. 2 Lancez Utilitaire de disque. 3 Sélectionnez l’icône de la première session sous l’icône du lecteur optique. Elle se trouve dans la liste des périphériques, dans la partie gauche de la fenêtre. 4 Choisissez Fichier > Nouvelle > « image disque de ». 5 Donnez un nom à l’image, sélectionnez un type d’image (Lecture seule, Lire/écrire ou Comprimé), puis cliquez sur Enregistrer. 6 Une fois l’image créée, sélectionnez-la dans la liste de gauche. 7 Dans le menu, choisissez Images > Examiner une image pour la restaurer. 8 Saisissez un nom d’utilisateur et un mot de passe d’administrateur. L’image disque du programme d’installation peut maintenant être restaurée sur votre partition supplémentaire. ∏ Astuce :si vous préférez travailler avec la ligne de commande, vous pouvez utiliser hdiutil pour créer l’image disque et asr pour examiner l’image afin de la restaurer. Toutes les commandes doivent être exécutées avec des privilèges de super-utilisateur ou de root. La commande suivante, par exemple, crée une image disque nommée « Installer.dmg » à partir du périphérique disk1s1 : hdiutil create -srcdevice disk1s1 Installer.dmg La commande suivante examine l’image « Installer.dmg » et la prépare à la restauration : asr imagescan --source Installer.dmgChapitre 5 Installation et déploiement 95 Étape 3 :Restauration de l’image sur une partition alternative Vous pouvez restaurer l’image disque sur une partition de l’ordinateur ou sur un disque dur externe. Une fois que la restauration est terminée, la partition restaurée fonctionne comme le DVD d’installation. Assurez-vous que la partition alternative fait au moins la taille de l’image disque. La restauration de l’image disque sur la partition efface toutes les données qui figurent sur la partition. Pour restaurer l’image : 1 Démarrez l’ordinateur cible. 2 Assurez-vous que l’image ne réside pas sur la partition qui va être effacée. 3 Lancez Utilitaire de disque. 4 Dans la liste de périphériques qui se trouve dans la partie gauche de la fenêtre, sélectionnez l’image du DVD d’installation. 5 Cliquez sur Restaurer. 6 Faites glisser l’image d’installation de la partie gauche de la fenêtre vers le champ Source. 7 Faites glisser la partition alternative de la liste des périphériques qui se trouve dans la partie gauche de la fenêtre vers le champ Destination. 8 Sélectionnez Effacer la destination. 9 Cliquez sur Restaurer. Si vous préférez travailler avec la ligne de commande, utilisez l’outil asr pour restaurer l’image sur la partition. L’utilisation d’asr requiert des privilèges de super-utilisateur ou de root. La syntaxe de base est : sudo asr restore -s -t --erase Ainsi, pour restaurer une image nommée « Installer.dmg » sur la partition « ExtraHD », la syntaxe serait : asr restore -s Installer.dmg -t ExtraHD --erase Pour en savoir plus sur asr et ses possibilités, consultez la page man de l’outil. ∏ Astuce : vous pouvez utiliser asr pour restaurer un disque sur un réseau en multidiffusant les blocs vers les ordinateurs clients. La fonctionnalité de serveur de multidiffusion d’asr permet de placer une copie de l’image d’installation sur une partition de tous les ordinateurs capables de recevoir les paquets de multidiffusion. Pour configurer cette opération, vous aurez besoin des informations figurant dans la page man de l’outil. Comme l’outil asr peut aussi aller chercher l’image cible sur un serveur HTTP en utilisant des URL http ou https comme source, l’image ne doit pas nécessairement résider sur l’ordinateur cible.96 Chapitre 5Installation et déploiement Étape 4 :Sélectionnez la partition alternative en tant que disque de démarrage. Une fois que la partition est restaurée, elle peut servir de disque de démarrage et d’installation pour votre serveur. Vous devez maintenant démarrer l’ordinateur à partir de la partition. Une fois que l’ordinateur est en service, vous disposez d’un programme d’installation Mac OS X Server, comme si vous aviez démarré l’ordinateur à partir du DVD. Pour démarrer l’ordinateur à partir du disque d’installation : 1 Allumez l’ordinateur et maintenez la touche Option enfoncée. 2 Sélectionnez l’icône représentant la partition d’installation, puis cliquez sur la flèche vers la droite. Vous devez utiliser cette méthode si vous démarrez à partir d’un lecteur de DVD externe. Si vous procédez à une installation sur un Xserve, la procédure de démarrage à partir d’un DVD peut être différente. Pour en savoir plus, consultez le Guide de l’utilisateur de Xserve ou le guide Présentation qui accompagnait votre Xserve. 3 Après le redémarrage de l’ordinateur, choisissez la langue à utiliser pendant l’installation, puis cliquez sur le bouton représentant une flèche. Le programme d’installation est à présent en cours d’exécution. Si vous préférez travailler avec la ligne de commande, vous pouvez définir le volume de démarrage à l’aide de l’outil systemsetup. Sous Mac OS X Server 10.4 ou ultérieur, l’outil systemsetup se trouve dans /usr/sbin/systemsetup. Si vous utilisez le client Mac OS X pendant ce processus, l’outil se trouve dans /Système/Bibliothèque/CoreServices/RemoteManagement/ARDAgent.app/Contents/Support/systemsetup. Vous devrez utiliser les options de commande -liststartupdisks et -setstartupdisk pour rechercher le volume d’installation que vous venez de restaurer et le sélectionner comme disque de démarrage. Toutes les commandes émises avec systemsetup doivent être exécutées avec des privilèges de super-utilisateur ou de root. Voici un exemple de commande permettant de sélectionner le disque de démarrage : systemsetup -setstartupdisk “/Volumes/Mac OS X Server Install Disk” Exécutez ensuite la commande shutdown -r pour redémarrer. Pour en savoir plus sur systemsetup, consultez la section Administration de ligne de commande et la page man de l’outil.Chapitre 5 Installation et déploiement 97 Démarrage à partir d’un environnement NetBoot Si vous disposez d’une infrastructure NetBoot, elle constitue la façon la plus simple de réaliser des installations et des déploiements de masse. Cette méthode peut être utilisée pour des grappes de serveurs dépourvus de lecteur optique ou de logiciel système, comme vous pouvez le voir dans l’illustration ci-dessous : Elle peut aussi être utilisée dans des environnements où un grand nombre de serveurs doit être déployé de façon efficace. Cette section n’explique pas comment créer l’infrastructure NetBoot requise. Si vous voulez configurer des options NetBoot et NetInstall pour votre réseau, vos serveurs et vos ordinateurs clients, consultez la section Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système. Cette section contient des instructions permettant de créer une image NetInstall à partir du disque d’installation de Mac OS X Server et de démarrer un serveur à partir de cette image. Il n’est pas nécessaire de préparer le disque dur. Étape 1 :Créez une image NetInstall à partir du DVD d’installation Cette étape ne doit pas nécessairement être réalisée sur l’ordinateur cible. Elle peut être réalisée sur un ordinateur administrateur disposant de l’espace disque suffisant pour créer une image de l’ensemble du DVD d’installation. 1 Lancez Utilitaire d’images de système, dans /Applications/Server/. 2 Sélectionnez le DVD d’installation à gauche, puis l’image NetInstall à droite. 3 Cliquez sur Continuer. 4 Saisissez le nom et la description de l’image. Ces informations seront visibles par les clients qui sélectionneront l’image en tant que disque de démarrage. 5 Cliquez sur Créer, puis sélectionnez un emplacement pour l’enregistrement de l’image disque. Serveurs cible Serveurs cible NetBoot Mac OS X Server Commencer l’installation du serveur Ordinateur administrateur Destination98 Chapitre 5Installation et déploiement Une fois terminée, cette image peut être utilisée avec un serveur NetBoot pour démarrer un serveur en vue d’une installation. Pour en savoir plus sur les images NetInstall et Utilitaire d’images de système, y compris sur les options de personnalisation, consultez la section Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système. Étape 2 :Démarrez l’ordinateur à partir du serveur NetBoot Il existe quatre manières de procéder, selon votre environnement.  Dans l’interface utilisateur graphique de l’ordinateur cible, sélectionnez le disque NetInstall dans la sous-fenêtre Disque de démarrage de Préférences Système.  Redémarrez l’ordinateur tout en maintenant la touche « n » enfoncée. Le premier serveur NetBoot qui répondra à l’ordinateur démarrera ce dernier à l’aide de son image par défaut.  Redémarrez l’ordinateur tout en maintenant la touche Option enfoncée. L’ordinateur affiche les disques de démarrage disponibles soit localement sur l’ordinateur, soit à distance sur les serveurs NetBoot et NetInstall. Sélectionnez un disque et poursuivez le démarrage.  Utilisez la ligne de commande localement ou à distance pour spécifier le serveur NetBoot à partir duquel l’ordinateur doit démarrer : sudo bless --netboot --server bsdp://serveur.exemple.com Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server Avant de réaliser une installation spéciale de Mac OS X Server, vous pouvez partitionner le disque dur de l’ordinateur serveur en plusieurs volumes, créer un ensemble RAID ou bien effacer le disque ou la partition cible. Si vous utilisez un disque d’installation de Mac OS X Server 10.5ou ultérieur, vous pouvez réaliser ces tâches depuis un autre ordinateur en réseau en utilisant un visualiseur VNC, tel qu’Apple Remote Desktop, avant de lancer une installation spéciale. AVERTISSEMENT :avant de partitionner un disque, de créer un ensemble RAID ou d’effacer un disque ou une partition d’un serveur existant, conservez toutes les données de l’utilisateur que vous souhaitez sauvegarder en les copiant sur un autre disque ou une autre partition.Chapitre 5 Installation et déploiement 99 Sélection d’un système de fichiers Un système de fichiers est une méthode de stockage et d’organisation de fichiers informatiques et des données qu’ils contiennent sur un périphérique de stockage tel qu’un disque dur. Mac OS X Server prend en charge plusieurs types de système de fichiers pour le stockage sur disque dur. Chaque système de fichiers a ses propres avantages. À vous de choisir celui qui répond le mieux aux besoins de votre organisation. Pour en savoir plus, consultez ce qui suit : developer.apple.com/technotes/tn/tn1150.html Les systèmes suivants sont disponibles : Mac OS étendu (journalisé), ou HFS+J Le système de fichiers HFS+J est le système de fichiers par défaut de Mac OS X Server. Un volume HFS+J dispose d’un journal facultatif permettant d’accélérer la restauration lors du montage d’un volume démonté de façon incorrecte (après une coupure de courant ou un plantage par exemple). Le journal accélère et simplifie la restauration des structures du volume dans un état cohérent, sans qu’il soit nécessaire d’analyser l’ensemble des structures. Le journal n’est utilisé que pour les structures et les métadonnées des volumes ; il ne protège pas le contenu des branches de ressources. En d’autres mots, ce journal protège l’intégrité des structures de disque sous-jacentes, mais pas les données qui pourraient être endommagées en raison d’une erreur d’écriture ou d’une coupure de courant accidentelle. Pour plus d’informations sur HFS+J, consultez la documentation développeur Apple à l’adresse : developer.apple.com/documentation/MacOSX/Conceptual/BPFileSystem/Articles/Comparisons.html Mac OS X étendu (sensible à la casse, journalisé), ou HFSX HFSX est une extension de HFS Plus et permet aux volumes d’avoir des noms de fichier et de répertoire sensibles à la casse. La présence de noms sensibles à la casse signifie qu’il peut y avoir en même temps dans le même répertoire deux objets dont les noms ne diffèrent que par la casse des lettres. Vous pourriez par exemple avoir comme noms de fichier uniques Bob, BOB et bob au sein du même répertoire. Les volumes sensibles à la casse sont pris en charge comme volumes de démarrage. Un système de fichiers HFSX pour Mac OS X Server doit être sélectionné spécifiquement lors de l’effacement d’un volume et la préparation de l’installation initiale. HFSX est un format disponible pour l’option « Effacer et installer » pour les installations locales. HFSX n’est pas un format disponible pour les installations contrôlées à distance. Si vous prévoyez d’utiliser NFS, utilisez le format sensible à la casse HFSX.100 Chapitre 5Installation et déploiement Un volume HFSX peut être soit sensible à la casse, soit insensible à la casse. La sensibilité à la casse (ou l’insensibilité à la casse) est étendue à l’ensemble du volume ; ce réglage s’applique à tous les noms de fichier et de répertoire du volume. Pour déterminer si un volume HFSX est sensible à la casse, utilisez le champ keyCompareType de l’en-tête B-tree du fichier de catalogue. La valeur kHFSBinaryCompare indique que le volume est sensible à la casse. La valeur kHFSCaseFolding indique que le volume est insensible à la casse. Remarque :ne présupposez jamais qu’un volume HFSX est sensible à la casse. Utilisez toujours keyCompareType pour le vérifier. Sachez également que les logiciels de tierce partie ne fonctionnent pas toujours correctement avec la sensibilité à la casse. Important :les noms sensibles à la casse n’ignorent pas les caractères ignorables Unicode. Cela signifie qu’un même répertoire peut posséder plusieurs noms considérés comme équivalents selon les règles de comparaison Unicode, mais différents sur un volume HFSX sensible à la casse. Partitionnement d’un disque dur Partitionner le disque dur permet de créer un volume destiné au logiciel système du serveur et un ou plusieurs autres pour les données et les autres logiciels. Le partitionnement efface le contenu du disque. La taille minimale recommandée pour une partition d’installation est de 20 Go. Un volume plus important est recommandé pour les configurations standard ou les configurations de groupe de travail, car elles conservent les dossiers partagés et les sites web de groupe sur le volume de démarrage avec le logiciel serveur. Effacer un disque revient à créer une seule partition de volume sur un disque et à effacer ce volume. Pensez à consacrer un disque dur ou un volume de disque dur partitionné au logiciel serveur. Placez les logiciels supplémentaires, les points de partage, les sites web, etc. sur d’autres disques ou volumes. Avec cette approche, vous pouvez mettre à niveau ou réinstaller le logiciel serveur sans affecter les autres logiciels ni les données utilisateur. Si vous devez stocker des logiciels ou des données supplémentaires sur le volume système, la mise en miroir sur un autre disque constitue une solution intéressante. ∏ Astuce : une ou deux partitions supplémentaires vides sur le disque d’installation cible peut vous donner plus de flexibilité lors de l’installation et du déploiement. Cet espace supplémentaire peut, par exemple, vous permettre de placer temporairement en miroir votre installation courante avant de réaliser une mise à jour ou de bénéficier d’un disque d’installation rapide.Chapitre 5 Installation et déploiement 101 Partitionnement d’un disque à l’aide d’Utilitaire de disque Vous pouvez utiliser le programme d’installation pour ouvrir l’application Utilitaire de disque, puis utiliser cette dernière pour effacer le volume cible ou tout autre volume. Vous pouvez effacer le volume cible à l’aide du format Mac OS étendu, Mac OS étendu (journalisé), Mac OS étendu (sensible à la casse) ou Mac OS étendu (sensible à la casse, journalisé). Il n’est pas possible de partitionner le disque de démarrage ni d’effacer le volume de démarrage actif. 1 Lancez Utilitaire de disque. Si vous êtes dans le programme d’installation, Utilitaire de disque est accessible à partir du menu Utilitaires. Sinon, lancez l’application à partir de /Applications/Utilitaires/Utilitaire de disque. 2 Sélectionnez le disque à partitionner. Vous ne pouvez pas sélectionner votre disque de démarrage actuel. Sélectionner un volume sur le disque vous permettra d’effacer le volume, mais ne créera pas un autre schéma de partition. 3 Cliquez sur Partition. 4 Choisissez votre schéma de partition et suivez les instructions présentées dans la fenê- tre pour définir tous les paramètres nécessaires. 5 Cliquez sur Appliquer. Vous trouverez dans l’Aide Utilitaire de disque des instructions sur le partitionnement du disque dur en plusieurs volumes, sur la création d’un ensemble RAID et sur l’effacement du disque ou de la partition cible. Pour afficher cette aide, ouvrez Utilitaire de disque sur un autre ordinateur Macintosh doté de Mac OS X 10.5 et choisissez Aide > Aide Utilitaire de disque. Partitionnement d’un disque à l’aide de la ligne de commande Vous pouvez utiliser l’outil de ligne de commande diskutil pour partitionner et effacer un disque dur. Pour utiliser cette méthode, vous devez normalement utiliser un shell distant (SSH) pour ouvrir une session sur l’ordinateur qui vient de démarrer. L’outil de partition de disques est diskutil. Comme dans Utilitaire de disque, vous pouvez effacer le volume cible à l’aide du format Mac OS étendu, du format Mac OS étendu (journalisé), du format Mac OS étendu (sensible à la casse) et du format Mac OS étendu (sensible à la casse, journalisé).  Vous ne pouvez pas partitionner le disque de démarrage ni effacer le volume de démarrage actif.  Toutes les opérations diskutil potentiellement destructives doivent être réalisées avec des privilèges de super-utilisateur ou de root.102 Chapitre 5Installation et déploiement Pour en savoir plus sur diskutil et sur d’autres usages de cet outil, consultez la section Administration de ligne de commande. Pour obtenir la syntaxe complète de la commande diskutil, consultez la page man de l’outil. La commande à utiliser dépend du format de disque et du matériel utilisé. Veillez à utiliser des arguments de ligne de commande adaptés à vos propres besoins. En guise d’exemple, la commande suivante permet de partitionner un disque dur unique de 120 Go en deux volumes HFS+ de 60 Go journalisés (« Démarrage » et « Données ») permettant de démarrer un ordinateur Macintosh à processeur PowerPC. La syntaxe de base est : diskutil partitionDisk périphérique nombreDePartitions APMFormat La commande est donc : diskutil partitionDisk disk0 2 APMFormat JournaledHFS+ Démarrage 50% JournaledHFS+ Données 50% Création d’un ensemble RAID Si vous installez Mac OS X Server sur un ordinateur doté de plusieurs disques durs internes, vous pouvez créer une matrice redondante de disques indépendants (RAID) pour optimiser la capacité de stockage, améliorer les performances et augmenter la fiabilité en cas de défaillance de disque. Un ensemble RAID en miroir, par exemple, augmente la fiabilité en écrivant vos données simultanément sur deux disques ou plus. Si l’un des disques est défaillant, votre serveur utilise automatiquement l’un des autres disques de l’ensemble RAID. Utilitaire de disque permet de configurer un ensemble RAID. Il propose deux types d’ensembles RAID et une option de disque supplémentaire :  Un ensemble RAID entrelacé (RAID 0) répartit les fichiers sur les différents disques qui composent l’ensemble. Un ensemble RAID entrelacé améliore les performances de vos logiciels parce qu’il permet de lire et d’écrire sur tous les disques de l’ensemble en même temps. Vous pouvez utiliser un ensemble RAID entrelacé si vous travaillez avec des fichiers volumineux tels que les fichiers vidéonumériques.  Un ensemble RAID en miroir (RAID 1) duplique les fichiers sur les différents disques qui composent l’ensemble. Comme ce schéma maintient deux copies des fichiers ou plus, il fournit des copies de sauvegarde permanentes de ces derniers. Il peut en outre vous aider à garder des données disponibles en cas de défaillance de l’un des disques de l’ensemble. La mise en miroir est recommandée si vous disposez de fichiers ou d’applications partagés auxquels les utilisateurs accèdent fréquemment.Chapitre 5 Installation et déploiement 103 Vous pouvez configurer la mise en miroir RAID après avoir installé Mac OS X Server si le disque utilisé pour l’installation n’est pas partitionné. Afin d’éviter toute perte de données, vous devez configurer la mise en miroir RAID le plus tôt possible.  Un ensemble de disques concaténés vous permet d’utiliser plusieurs disques comme s’il s’agissait d’un volume unique. Il ne s’agit pas d’un véritable ensemble RAID et cette solution n’améliore ni la redondance ni les performances. Vous pouvez combiner différents ensembles RAID pour combiner leurs avantages. Vous pouvez, par exemple, créer un ensemble RAID qui combine l’accès rapide aux disques d’un ensemble RAID entrelacé et la protection des données d’un ensemble RAID en miroir. Pour ce faire, créez deux ensembles RAID d’un type, puis un ensemble RAID d’un autre type en utilisant les deux premiers ensembles RAID comme disques. Les ensembles RAID que vous combinez doivent tous être créés à l’aide d’Utilitaire de disque ou de diskutil dans Mac OS X 10.4 ou ultérieur. La méthode de partitionnement utilisée sur les disques ne peut pas être mixte (la plateforme PPC est au format APMFormat, la plateforme Intel est au format GPTFormat) au sein d’un même ensemble RAID. Les ordinateurs Mac Pro et les Xserve à processeur Intel peuvent démarrer à partir d’un volume RAID logiciel. Certains Mac à processeur Intel ne prennent pas en charge le démarrage à partir de volumes RAID logiciels. Si vous tentez de démarrer ces Mac à processeur Intel à partir d’un volume RAID logiciel, il se peut que l’ordinateur affiche un point d’interrogation clignotant lors du démarrage. Les ordinateurs suivants ne prennent pas en charge le démarrage à partir de volumes RAID logiciels :  iMac (début 2006)  Mac mini (début 2006) Aucun Mac à processeur PPC ne prend en charge le démarrage à partir de volumes RAID logiciels. Si vous avez besoin d’une prise en charge plus sophistiquée de RAID, pensez aux réseaux RAID matériels. Ils disposent d’un matériel RAID dédié et d’une capacité de stockage pouvant dépasser 5 téraoctets. Création d’un ensemble RAID à l’aide d’Utilitaire de disque Vous pouvez utiliser le programme d’installation pour ouvrir l’application Utilitaire de disque, puis utiliser cette dernière pour créer l’ensemble RAID à partir de disques disponibles. Il n’est pas nécessaire d’effacer les disques avant de créer l’ensemble. La création d’un ensemble RAID efface le contenu des disques concernés.104 Chapitre 5Installation et déploiement Les volumes de l’ensemble RAID peuvent être au format Mac OS étendu, Mac OS étendu (journalisé), Mac OS étendu (sensible à la casse), Mac OS étendu (sensible à la casse, journalisé) et MS-DOS FAT. Pour en savoir plus sur les formats de volume, consultez la section « Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 98. Vous ne pouvez pas créer un ensemble RAID à partir du disque de démarrage actif. 1 Lancez Utilitaire de disque. Si vous êtes dans le programme d’installation, Utilitaire de disque est accessible via le menu Utilitaires. Sinon, lancez l’application à partir de /Applications/Utilitaires/Utilitaire de disque. 2 Sélectionnez le disque à intégrer à l’ensemble RAID. Vous ne pouvez pas sélectionner le disque de démarrage actif. Lors de la création d’ensembles RAID ou de l’ajout de disques, il est recommandé de spécifier l’ensemble du disque plutôt qu’une partition du disque. 3 Cliquez sur RAID. 4 Sélectionnez le type d’ensemble RAID souhaité. 5 Faites glisser les disques vers la fenêtre. 6 Suivez les instructions présentées dans la fenêtre pour définir tous les paramètres nécessaires. 7 Cliquez sur Créer. Vous trouverez dans l’Aide Utilitaire de disque des instructions sur le partitionnement du disque dur en plusieurs volumes, sur la création d’un ensemble RAID et sur l’effacement du disque ou de la partition cible. Pour afficher cette aide, ouvrez Utilitaire de disque sur un autre ordinateur Macintosh doté de Mac OS X 10.5 et choisissez Aide > Aide Utilitaire de disque. Création d’un ensemble RAID à l’aide de la ligne de commande Vous pouvez utiliser l’outil de ligne de commande diskutil pour créer un ensemble RAID. Pour utiliser cette méthode, vous devez normalement utiliser un shell distant (SSH) pour ouvrir une session sur l’ordinateur qui vient de démarrer. L’outil de création d’ensembles RAID est diskutil. Tout comme Utilitaire de disque, diskutil permet de créer un volume RAID au format Mac OS étendu, Mac OS étendu (journalisé), Mac OS étendu (sensible à la casse), Mac OS étendu (sensible à la casse, journalisé) ou MS-DOS FAT. N’oubliez toutefois pas ce qui suit :  Vous ne pouvez pas créer un ensemble RAID à partir du disque de démarrage actif.  Lors de la création d’ensembles RAID ou de l’ajout de disques, spécifiez l’ensemble du disque plutôt qu’une partition du disque.Chapitre 5 Installation et déploiement 105  Toutes les opérations diskutil potentiellement destructives doivent être réalisées avec des privilèges de super-utilisateur ou de root. Pour en savoir plus sur diskutil et sur d’autres usages de cet outil, consultez la section Administration de ligne de commande. Pour la syntaxe complète de la commande diskutil, consultez la page man de l’outil. La commande à utiliser dépend de vos besoins en matière de réseau RAID. Utilisez des arguments de ligne de commande adaptés à vos propres besoins. En guise d’exemple, la commande suivante crée un ensemble RAID en miroir (RAID 1) à partir des deux premiers disques installés dans l’ordinateur (disk0 et disk1), le volume RAID résultant étant appelé DonnéesEnMirroir. La syntaxe de base est : diskutil createRAID mirror nomDeL’ensemble format périphérique périphérique ... La commande est donc : diskutil createRAID mirror DonnéesEnMirroir JournaledHFS+ disk0 disk1 Effacement d’un disque ou d’une partition Vous disposez, selon vos outils préférés et votre environnement informatique, de plusieurs options pour effacer un disque :  Effacement d’un disque à l’aide du programme d’installation : vous avez la possibilité d’effacer un disque ou une partition lorsque vous utilisez le programme d’installation de Mac OS X Server. Lorsque vous sélectionnez le volume cible dans le programme d’installation, vous pouvez aussi sélectionner une option permettant d’effacer le disque ou la partition cible lors de l’installation à l’aide du format Mac OS étendu (journalisé). Il s’agit du format recommandé pour un volume de démarrage Mac OS X Server.  Effacement d’un disque à l’aide d’Utilitaire de disque : vous pouvez utiliser le programme d’installation pour ouvrir l’application Utilitaire de disque, puis utiliser cette dernière pour effacer le volume cible ou tout autre volume. Vous pouvez effacer le volume cible à l’aide du format Mac OS étendu ou Mac OS étendu (journalisé). Vous pouvez effacer d’autres volumes à l’aide du format Mac OS étendu (sensible à la casse) ou du format Mac OS étendu (sensible à la casse, journalisé). Le programme d’installation de Mac OS X Server permet d’effacer, mais pas de partitionner un disque ou une partition. Lorsque vous sélectionnez le volume cible dans le programme d’installation, vous pouvez aussi sélectionner une option permettant d’effacer le disque ou la partition cible lors de l’installation à l’aide du format Mac OS étendu (journalisé). Il s’agit du format recommandé pour un volume de démarrage Mac OS X Server.106 Chapitre 5Installation et déploiement Vous trouverez dans l’Aide Utilitaire de disque des instructions sur le partitionnement du disque dur en plusieurs volumes, sur la création d’un ensemble RAID et sur l’effacement du disque ou de la partition cible. Pour afficher cette aide, ouvrez Utilitaire de disque sur un autre ordinateur Macintosh doté de Mac OS X 10.5 et choisissez Aide > Aide Utilitaire de disque.  Effacement d’un disque à l’aide de la ligne de commande : vous pouvez utiliser la ligne de commande pour effacer des disques à l’aide de l’outil diskutil. Effacer un disque à l’aide de diskutil provoque la perte de toutes les partitions du volume. La commande d’effacement d’un disque complet est : diskutil eraseDisk format nom [OS9Drivers | APMFormat | MBRFormat | GPTFormat] périphérique Par exemple : diskutil eraseDisk JournaledHFS+ MacProHD GPTFormat disk0 Il existe également une option permettant de supprimer les données de façon sécurisée en écrasant plusieurs fois le disque à l’aide de données aléatoires. Pour plus de détails, consultez la page man de diskutil. Pour effacer un volume particulier sur un disque, vous devez utiliser une commande légèrement différente : diskutil eraseVolume format nom périphérique Par exemple : diskutil eraseVolume JournaledHFS+ PartitionSansTitre /Volumes/PartitionOriginale Pour en savoir plus sur diskutil et sur d’autres usages de cet outil, consultez la section Administration de ligne de commande. Pour la syntaxe complète de la commande diskutil, consultez la page man de l’outil. Identification du serveur distant lors de l’installation de Mac OS X Server Pour les installations de serveurs distants, vous devez connaître les informations suivantes concernant le serveur cible :  L’identité du serveur cible : lorsque vous utilisez Assistant du serveur, vous devez soit reconnaître le serveur cible parmi une liste de serveurs sur votre sous-réseau local, soit saisir son adresse IP (au format IPv4 : 000.000.000.000) s’il réside sur un sous-réseau différent.Les informations relatives aux serveurs figurant dans la liste comprennent l’adresse IP, le nom d’hôte et l’adresse MAC (Media Access Control), également appelée adresse matérielle ou adresse Ethernet. Si vous utilisez un visualiseur VNC pour contrôler à distance l’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, il est possible qu’il vous permette de sélectionner le serveur cible parmi une liste de serveurs VNC disponibles. Si ce n’est pas le cas, vous devez saisir l’adresse IP du serveur (au format IPv4 :000.000.000.000).Chapitre 5 Installation et déploiement 107 L’adresse IP du serveur cible est assignée par un serveur DHCP sur le réseau. S’il n’existe pas de serveur DHCP, le serveur cible utilise une adresse de type 169.xxx.xxx unique parmi les serveurs du sous-réseau local. Vous pouvez modifier l’adresse IP ultérieurement, lors de la configuration du serveur. Si vous ignorez l’adresse IP et que le serveur distant se trouve sur le sous-réseau local, utilisez la commande sa_srchr pour identifier les ordinateurs du sous-réseau local sur lesquels vous pouvez installer le logiciel serveur :saisissez ce qui suit à partir d’un ordinateur existant sur lequel les outils Mac OS X Server sont installés : /system/library/serversetup/sa_srchr 224.0.0.1 Cette commande renvoie l’adresse IP et l’EthernetID (ainsi que d’autres informations) des serveurs du sous-réseau local qui ont démarré à partir du disque d’installation.  Le mot de passe prédéfini du serveur cible : ce mot de passe est constitué des huit premiers chiffres du numéro de série matériel incorporé au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Les ordinateurs plus anciens ne possèdent pas de numéro de série incorporé ; pour ces systèmes, utilisez la suite de chiffres 12345678. Installation interactive du logiciel serveur Vous pouvez utiliser le disque d’installation pour installer le logiciel serveur de manière interactive sur un serveur local ou un serveur distant, ou sur un ordinateur sur lequel Mac OS X est préinstallé. Installation locale à partir du disque d’installation Vous pouvez installer Mac OS X Server directement sur un ordinateur équipé d’un écran, d’un clavier et d’un lecteur optique, comme dans l’illustration ci-dessous : Si vous disposez d’un DVD d’installation, le lecteur optique doit être en mesure de lire les disques DVD. Vous pouvez aussi procéder à l’installation directement sur un ordinateur sans écran, clavier ni lecteur optique capable de lire votre disque d’installation. Dans ce cas, démarrez l’ordinateur cible en mode disque cible et reliez-le à un ordinateur administrateur à l’aide d’un câble FireWire. Application d’installation ou outil d’installation dans l’application Terminal108 Chapitre 5Installation et déploiement Utilisez l’ordinateur administrateur pour installer le logiciel serveur sur le disque ou sur une partition de l’ordinateur cible (qui apparaît sous la forme d’une icône de disque sur l’ordinateur administrateur). Ces instructions supposent que vous avez démarré l’ordinateur à l’aide du DVD d’installation, d’une partition d’installation ou d’un disque NetInstall. Si ce n’est pas le cas, consultez les instructions à ce sujet qui commencent à la section « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90. Pour installer le logiciel serveur localement : 1 Après le démarrage de l’ordinateur, choisissez la langue que le serveur doit utiliser, puis cliquez sur Continuer. 2 Lorsque le programme d’installation s’ouvre, si vous souhaitez effectuer une installation spéciale, vous pouvez si vous le souhaitez utiliser le menu Utilitaires pour ouvrir l’application Utilitaire de disque et préparer le disque ou la partition cible. Si vous n’avez pas préparé votre disque pour l’installation, vous pouvez le faire maintenant à l’aide d’Utilitaire de disque. Pour plus d’instructions sur la préparation de votre disque pour l’installation, consultez la section « Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 98. 3 Avancez dans les sous-fenêtres du programme d’installation en suivant les instructions affichées. 4 Lorsque la sous-fenêtre Sélectionner une destination apparaît, choisissez un disque ou un volume (partition) cible en vous assurant que celui-ci se trouve à l’état adéquat. Si vous procédez à une installation spéciale, vous pouvez cliquer sur Options pour formater le disque ou le volume de destination au format Mac OS étendu (journalisé). Sélectionnez Effacer pour formater le disque au format Mac OS étendu (journalisé), puis cliquez sur OK. Si le volume que vous avez sélectionné contient Mac OS X Server 10.3.9 ou 10.2.8 et que vous souhaitez procéder à une mise à niveau, cliquez sur Options, sélectionnez « Ne pas effacer », puis cliquez sur OK. Important :lorsque vous effectuez une mise à niveau, assurez-vous que les données de configuration enregistrées ne sont pas détectées par inadvertance et utilisées par le serveur. Si vous utilisez des données de configuration enregistrées, les réglages de serveur ne sont pas compatibles avec les réglages enregistrés et peuvent provoquer des comportements inattendus. Pour en savoir plus, consultez la section « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136. 5 Avancez dans les sous-fenêtres du programme d’installation en suivant les instructions affichées. Lorsque l’installation est terminée, l’ordinateur redémarre et vous pouvez procéder à la configuration initiale du serveur.Chapitre 5 Installation et déploiement 109 6 Si vous utilisez un ordinateur administrateur pour une installation sur un serveur en mode disque cible et connecté à l’aide d’un câble FireWire : a Quittez Assistant du serveur lorsqu’il démarre automatiquement sur l’ordinateur administrateur. b Éteignez l’ordinateur administrateur et le serveur. c Démarrez l’ordinateur administrateur et le serveur normalement (pas en mode disque cible). Vous pouvez maintenant utiliser Assistant du serveur à partir de l’ordinateur administrateur et configurer le serveur à distance. Le Chapitre 6, « Configuration initiale du serveur, » à la page 117 explique comment configurer un serveur localement ou à distance. Installation à distance à l’aide d’Assistant du serveur Pour installer Mac OS X Server sur un serveur distant à partir du DVD d’installation, d’une partition d’installation ou d’un disque NetInstall, vous avez besoin d’un ordinateur administrateur à partir duquel vous pouvez utiliser Assistant du serveur pour gérer l’installation, comme dans l’illustration ci-dessous : Une fois que l’ordinateur a démarré, vous pouvez contrôler et gérer autant de serveurs que vous le souhaitez à partir d’un ordinateur d’administration. Important :si vous disposez d’applications et d’outils administratifs provenant de Mac OS X Server 10.4 Tiger ou antérieur, ne les utilisez pas avec Leopard Server. Ordinateur administrateur Sous-réseau 1 Sous-réseau 2 Bienvenue >programme d’installation >programme d’installation110 Chapitre 5Installation et déploiement Si vous souhaitez utiliser l’interface utilisateur du programme d’installation, vous pouvez utiliser VNC pour afficher le programme d’installation distant et communiquer avec ce dernier. Pour en savoir plus, consultez la section « Installation à distance à l’aide de VNC » à la page 111. Ces instructions supposent que vous avez démarré l’ordinateur à l’aide du DVD d’installation, d’une partition d’installation ou d’un disque NetInstall. Si ce n’est pas le cas, consultez les instructions à ce sujet qui commencent à la section « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90. Pour installer le logiciel sur un serveur distant à l’aide d’Assistant du serveur : 1 Une fois que l’ordinateur cible a démarré à partir du DVD d’installation, d’une partition d’installation ou d’un disque NetInstall, lancez Assistant du serveur qui se trouve dans le dossier /Applications/Server/ de l’ordinateur administrateur. Vous n’avez pas besoin d’être administrateur sur l’ordinateur local pour utiliser Assistant du serveur. 2 Sélectionnez l’option Installer le logiciel sur un serveur distant. 3 Pour chaque serveur cible prévu, identifiez le serveur cible et ajoutez-le à la liste. S’il se trouve sur le sous-réseau local, sélectionnez-le dans la liste, sinon, cliquez sur le bouton Ajouter (+) et saisissez une adresse IP au format IPv4 (000.000.000.000). Si vous disposez déjà d’une liste de serveurs enregistrée, chargez-la maintenant en choisissant Fichier > Charger la liste de serveurs. 4 Lorsque vous êtes invité à fournir un mot de passe, saisissez les huit premiers chiffres du numéro de série matériel intégré au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si vous effectuez l’installation sur un vieil ordinateur qui ne dispose pas de numéro de série de matériel intégré, tapez le mot de passe 12345678. 5 Une fois que vous avez ajouté tous les serveurs à la liste, enregistrez cette dernière en vue d’un usage ultérieur en choisissant Fichier > Enregistrer la liste de serveurs. 6 Avancez dans les écrans d’installation en suivant les instructions affichées. 7 Lorsque la sous-fenêtre Volumes apparaît, sélectionnez un disque ou un volume (partition) cible, assurez-vous qu’il ou elle est dans l’état adéquat, puis cliquez sur Continuer.Chapitre 5 Installation et déploiement 111 Si le volume que vous avez sélectionné contient Mac OS X Server 10.4.10 ou 10.3.9 et que vous souhaitez procéder à une mise à niveau, sélectionnez « Ne pas effacer ». Sinon, sélectionnez Effacer pour formater le disque au format Mac OS étendu (journalisé). Cliquez sur OK. 8 Avancez dans les écrans d’installation en suivant les instructions affichées. Pendant l’installation, vous pouvez ouvrir une autre fenêtre Assistant du serveur pour installer le logiciel serveur sur d’autres ordinateurs.Pour cela, choisissez Fichier > Nouvelle fenêtre. Une fois l’installation terminée, le serveur cible redémarre et vous pouvez procéder à la configuration initiale du serveur. Le Chapitre 6, « Configuration initiale du serveur, » à la page 117 vous indique comment procéder. Installation à distance à l’aide de VNC Si vous utilisez un disque d’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, vous pouvez contrôler l’installation depuis un autre ordinateur en utilisant un visualiseur VNC open-source ou Apple Remote Desktop. Vous pouvez ainsi contrôler à distance la pré- paration du disque ou de la partition cible avant de procéder à l’installation. Vous pouvez partitionner le disque dur en plusieurs volumes, créer un ensemble RAID ou bien effacer le disque ou la partition cible. Le processus d’installation à distance à l’aide de VNC est identique au processus d’installation locale effectué avec un clavier et un moniteur, sauf que vous devez d’abord vous connecter au serveur VNC sur l’ordinateur cible à l’aide d’un client VNC tel qu’Apple Remote Desktop. Pour en savoir plus sur la connexion à un ordinateur ayant démarré à partir d’un DVD d’installation, consultez la section « Accès à distance au DVD d’installation » à la page 91. Pour en savoir plus sur l’exécution locale du programme d’installation, consultez la section « Installation locale à partir du disque d’installation » à la page 107. AVERTISSEMENT :lorsque vous procédez à une mise à niveau, assurez-vous que les données de configuration enregistrées ne sont pas détectées par inadvertance et utilisées par le serveur. Si vous utilisez des données de configuration enregistrées, les réglages de serveur ne sont pas compatibles avec les réglages enregistrés et peuvent provoquer des comportements inattendus. Pour en savoir plus, consultez la section « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136.112 Chapitre 5Installation et déploiement Installation du logiciel serveur à l’aide de l’outil de ligne de commande installer L’outil installer permet d’installer le logiciel serveur sur un ordinateur local ou distant à partir de la ligne de commande.Pour en savoir plus sur le programme d’installation :  Consultez la section Administration de ligne de commande.  Ouvrez l’application Terminal et tapez installer, installer -help ou man installer. Ces instructions supposent que vous avez démarré l’ordinateur à l’aide du DVD d’installation, d’une partition d’installation ou d’un disque NetInstall. Si ce n’est pas le cas, consultez les instructions à ce sujet qui commencent à la section « À propos du démarrage pour l’installation » à la page 90. Pour installer le logiciel serveur à l’aide de la commande installer : 1 Ouvrez une session de ligne de commande avec le serveur cible en choisissant l’une des options suivantes :  Installation d’un serveur local : lorsque le programme d’installation s’ouvre, ouvrez l’application Terminal en choisissant Utilitaires > Ouvrir Terminal.  Installation d’un serveur distant :à partir de Terminal sur un ordinateur administrateur ou à partir d’une station de travail UNIX, établissez comme utilisateur root une session SSH avec le serveur en remplaçant par l’adresse IP du serveur cible : ssh root@ ∏ Si vous ignorez l’adresse IP et que le serveur distant se trouve sur le sous-réseau local, utilisez la commande sa_srchr pour identifier les ordinateurs du sous-réseau local sur lesquels vous pouvez installer le logiciel serveur : /system/library/serversetup/sa_srchr 224.0.0.1 monordinateur.exemple.com#PowerMac4,4###Mac OS X Server 10.5#RDY4PkgInstall#2.0#512 Vous pouvez également utiliser Assistant du serveur pour générer les informations relatives aux ordinateurs sur le sous-réseau local. Ouvrez Assistant du serveur,sélectionnez « Installer le logiciel sur un ordinateur distant », puis cliquez sur Continuer pour accéder à la sous-fenêtre Destination et générer une liste de serveurs en attente d’installation. 2 Lorsque vous êtes invité à fournir un mot de passe, saisissez les huit premiers chiffres du numéro de série matériel intégré au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si l’ordinateur cible a été configuré en tant que serveur, vous trouverez également le numéro de série du matériel dans /Système/Bibliothèque/ServerSetup/SerialNumber. Si vous effectuez l’installation sur un vieil ordinateur qui ne dispose pas de numéro de série de matériel intégré, tapez le mot de passe 12345678.Chapitre 5 Installation et déploiement 113 3 Identifiez le volume du serveur cible sur lequel vous souhaitez installer le logiciel serveur. Pour répertorier les volumes disponibles pour l’installation du logiciel serveur à partir du disque d’installation, tapez la commande suivante : /usr/sbin/installer -volinfo -pkg /System/Installation/Packages/ OSInstall.mpkg Vous pouvez également identifier une image NetInstall que vous avez créée et montée: /usr/sbin/installer -volinfo -pkg /Volumes/ServerNetworkImage10.5/ System/Installation/Packages/OSInstall.mpkg La liste affichée dépend de votre environnement ; l’exemple ci-dessous présente trois volumes disponibles : /Volumes/Mount 01 /Volumes/Mount1 /Volumes/Mount02 4 Si vous ne l’avez pas encore fait, préparez les disques pour l’installation. Pour en savoir plus sur la préparation des disques pour l’installation, consultez la section « Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 98. Si Mac OS X Server 10.4.10 ou 10.3.9 est installé sur le volume cible, l’exécution de l’outil installer permet de mettre à niveau le serveur avec la version 10.5 en conservant les fichiers des utilisateurs. Si vous ne procédez pas à une mise à niveau mais à une installation spéciale, sauvegardez les fichiers d’utilisateur à conserver, puis utilisez la commande diskutil pour effacer le volume et le formater en autorisant la journalisation : /usr/sbin/diskutil eraseVolume HFS+ "Mount 01" "/Volumes/Mount 01" /usr/sbin/diskutil enableJournal "/Volumes/Mount 01" Vous pouvez également utiliser diskutil pour partitionner le volume et configurer la mise en miroir. Pour en savoir plus sur cette commande, consultez la page man diskutil. Important :ne stockez pas de données sur le disque dur ou la partition où est installé le système d’exploitation. Vous évitez de cette manière la perte de données dans l’éventualité d’une réinstallation ou d’une mise à niveau du logiciel système. Si vous devez stocker des logiciels ou données supplémentaires sur la partition système, envisagez une mise en miroir du disque. 5 Installez le système d’exploitation sur un volume figurant dans la liste générée à l’étape 3. Par exemple, pour utiliser Montage 01 dans l’exemple de l’étape 4 pour une installation à partir du disque d’installation de serveur, tapez : /usr/sbin/installer -verboseR -lang en -pkg /System/Installation/ Packages/OSInstall.mpkg -target "/Volumes/Mount 01" Si vous utilisez une image NetInstall, la commande l’identifie comme indiqué à l’étape 3.114 Chapitre 5Installation et déploiement Lorsque vous saisissez le paramètre -lang, utilisez l’une des valeurs suivantes :en (pour anglais), de (pour allemand), fr (pour français) ou ja (pour japonais). Au cours de l’installation, l’état d’avancement des opérations est affiché. Tandis que l’installation progresse, vous pouvez ouvrir une autre fenêtre Terminal pour installer le logiciel serveur sur un autre ordinateur. 6 Lorsque l’installation est terminée, redémarrez le serveur en saisissant : /sbin/reboot ou /sbin/shutdown -r Assistant du serveur s’ouvre automatiquement dès que l’installation est terminée. Vous pouvez maintenant configurer le serveur. Pour en savoir plus, consultez la section « Configuration initiale du serveur » à la page 117. Installation de plusieurs serveurs Vous pouvez utiliser Assistant du serveur, le visualiseur VNC ou l’outil installer pour lancer plusieurs installations du logiciel serveur. Après avoir utilisé Assistant du serveur pour lancer l’installation du logiciel serveur sur plusieurs ordinateurs distants, vous pouvez choisir Fichier > Nouvelle fenêtre pour installer le logiciel sur un autre lot d’ordinateurs. Lorsque vous exécutez Assistant du serveur à partir d’un ordinateur d’administration pour l’installation sur plusieurs ordinateurs, regroupez les configurations matérielles identiques. Par exemple, choisissez tous les ordinateurs Xserve Intel ou tous les Mac mini G4. Après avoir utilisé un visualiseur VNC pour contrôler l’installation de Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur sur un ordinateur distant, vous pouvez utiliser ce même visualiseur VNC pour établir une connexion à un autre ordinateur distant et contrôler l’installation réalisée sur ce dernier.Comme elle implique de communiquer séparément avec chaque serveur, cette méthode d’installation sur plusieurs serveurs est moins efficace. La méthode d’installation la plus efficace serait entièrement automatisée. Ouvrir l’application Terminal et utiliser l’outil installer pour lancer séparément l’installation de chaque logiciel serveur n’offre pas cet avantage. Vous pouvez toutefois procéder de manière efficace en créant un script pour l’outil de ligne de commande (en utilisant des valeurs connues pour les adresses IP des serveurs, par exemple) afin d’automatiser plusieurs installations simultanées. Pour automatiser entièrement l’installation de serveurs, vous devez créer un script pour l’outil installer et disposer d’un contrôle poussé sur l’infrastructure réseau.Chapitre 5 Installation et déploiement 115 Si vous souhaitez, par exemple, inclure des adresses IP connues et les numéros de série matériel appropriés dans votre script, vous ne pouvez pas vous fier à des adresses IP assignées de façon aléatoire. Vous pouvez utiliser des adresses statiques assignées par DHCP pour supprimer cette incertitude et faciliter la création du script. Les méthodes, les langages de script et les diverses possibilités sont trop nombreuses pour être énumérés dans ce guide. Mise à niveau d’un ordinateur de Mac OS X à Mac OS X Server Vous pouvez utiliser le DVD d’installation de Mac OS X Server 10.5 pour mettre à niveau un ordinateur de bureau possédant les caractéristiques suivantes :  Mac OS X 10.5 ou ultérieur déjà installé;  disposant d’un processeur Intel;  ayant été introduit pendant l’été 2006 ou plus tard;  disposant de la configuration requise décrite dans « Configuration requise pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 87. Pour mettre à niveau un ordinateur de Mac OS X à Mac OS X Server : 1 Démarrez l’ordinateur depuis le disque dur, selon la procédure habituelle. N’utilisez pas de disque d’installation. 2 Insérez le DVD d’installation, ouvrez le dossiers Other Installs, puis double-cliquez sur MacOSXServerInstall.mpkg pour exécuter le programme d’installation. Lorsque l’installation est terminée, votre ordinateur redémarre automatiquement et Assistant du serveur s’ouvre pour vous permettre de configurer le serveur. 3 Après le redémarrage du serveur, utilisez Mise à jour de logiciels pour installer les mises à jour du logiciel serveur. Comment rester à jour Une fois que vous avez configuré le serveur, il est recommandé de le mettre à jour chaque fois qu’Apple publie des mises à jour de logiciel serveur. Il existe différentes façons d’accéder aux mises à jour de Mac OS X Server :  Dans Admin Serveur, sélectionnez un serveur dans la liste Serveurs, puis cliquez sur le bouton Mises à jour du serveur.  Utilisez la sous-fenêtre Mise à jour de logiciels dans les Préférences Système.  Utilisez l’outil de ligne de commande softwareupdate.  Utilisez le service de mise à jour de logiciels de serveur.  Téléchargez une image disque de la mise à jour de logiciel sur : www.apple.com/fr/support/downloads6 117 6 Configuration initiale du serveur Les caractéristiques élémentaires de Mac OS X Server sont définies lors de la configuration du serveur. Le serveur peut fonctionner dans trois configurations différentes :avancée, standard et groupe de travail. Ces instructions s’appliquent à la configuration avancée. Après l’installation du logiciel serveur, l’étape suivante consiste à configurer le serveur. Il y a plusieurs manières de configurer un serveur :  En configurant un ou plusieurs serveurs de manière interactive.  En automatisant la configuration des serveurs par l’enregistrement des données de configuration dans un fichier ou dans un répertoire. Les serveurs à configurer sont ensuite paramétrés de manière à accéder à ces données. Informations nécessaires Pour comprendre et enregistrer des informations pour chaque serveur à configurer, consultez la section Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server dans l’annexe, page 221. Les paragraphes suivants fournissent des explications complémentaires sur certains éléments de la feuille d’opérations. Si vous effectuez une mise à niveau depuis Mac OS X Server version 10.4.10 ou 10.3.9, Assistant du serveur affiche les réglages de serveur existants, mais vous pouvez les modifier. Prenez note, dans la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server, des réglages à utiliser par le serveur version 10.5. Report de la configuration de serveur après l’installation Assistant du serveur s’ouvre automatiquement sur un serveur non configuré et attend que vous commenciez la procédure de configuration. Pour configurer le serveur ulté- rieurement, vous pouvez reporter le processus de configuration en utilisant le clavier, la souris et le moniteur du serveur.118 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Pour reporter la configuration de Mac OS X Server : m Dans Assistant du serveur, appuyez sur Commande + Q sur le clavier du serveur, puis cliquez sur Éteindre. Assistant du serveur réapparaît au redémarrage du serveur. Si vous configurez un serveur sans clavier ni moniteur, vous pouvez saisir des commandes dans l’application Terminal pour éteindre le serveur à distance. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la ligne de commande afin de se connecter à un ordinateur distant et de l’éteindre, consultez la section Administration de ligne de commande. Connexion au réseau lors de la configuration initiale du serveur Essayez de placer un serveur dans son emplacement réseau final (sous-réseau) avant de le configurer pour la première fois. Si vous souhaitez éviter tout accès non autorisé ou prématuré au cours du démarrage, vous pouvez configurer un coupe-feu afin de proté- ger le serveur lors de la finalisation de sa configuration. Si vous ne pouvez pas éviter de déplacer un serveur après la configuration initiale, vous devez commencer par modifier les réglages qui dépendent de l’emplacement réseau. Par exemple, l’adresse IP et le nom d’hôte du serveur, stockés dans les répertoires et fichiers de configuration du serveur, doivent être mis à jour. Pour plus d’informations, consultez la section « Modification du nom d’hôte du serveur après la configuration » à la page 162. Configuration de serveurs avec plusieurs ports Ethernet Votre serveur est équipé d’un port Ethernet intégré et éventuellement d’autres ports intégrés ou ajoutés. Lorsque vous utilisez l’Assistant du serveur pour configurer de manière interactive un ou plusieurs serveurs, tous les ports Ethernet disponibles d’un serveur sont répertoriés ; sélectionnez-en un ou plusieurs à activer et à configurer. Lorsque vous travaillez avec l’Assistant du serveur en mode hors connexion, cliquez sur un bouton Ajouter afin de créer manuellement une liste de ports à configurer. Si vous activez plusieurs ports, indiquez l’ordre dans lequel les ports doivent être utilisés par le serveur lors du routage du trafic vers le réseau. Bien que le serveur reçoive le trafic réseau sur un port actif quelconque, le trafic réseau initié par le serveur est acheminé via le premier port actif. Pour obtenir une description des attributs de configuration des ports, consultez la section Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server dans l’annexe.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 119 À propos des réglages établis au cours de la configuration initiale du serveur Au cours de la configuration du serveur, les réglages de base suivants sont établis :  Le choix de la langue utilisée pour l’administration du serveur et le clavier de l’ordinateur est défini.  Le numéro de série du logiciel serveur est défini.  Un utilisateur administrateur de serveur est défini et le dossier de départ de l’utilisateur est créé.  La définition des points de partage AFP et FTP par défaut, tels que Éléments partagés, Utilisateurs et Groupes.  La configuration de base des informations Open Directory. Au moins un domaine de répertoire local est créé. Vous pouvez également configurer un répertoire LDAP pouvant être utilisé par d’autres ordinateurs, ou configurer le serveur afin d’obtenir les informations de répertoire à partir d’autres serveurs.  Le nom d’hôte, le nom d’ordinateur et le nom d’hôte local sont définis. Vous pouvez spécifier le nom de l’ordinateur et le nom d’hôte local, mais Assistant du serveur règle le nom d’hôte sur AUTOMATIC dans /etc/hostconfig. Avec ce réglage, le nom d’hôte du serveur est le premier nom qui est vrai dans cette liste :  Le nom fourni par le serveur DHCP ou BootP pour l’adresse IP principale.  Le premier nom renvoyé par une requête DNS inversé (adresse-vers-nom) pour l’adresse IP principale.  Le nom d’hôte local.  Le nom « localhost ».  Les interfaces réseau (ports) sont configurées. Les réglages TCP/IP et Ethernet sont définis pour chaque port que vous souhaitez activer.  La configuration éventuelle du service d’horloge réseau. Si vous procédez à la mise à niveau, les réglages de base actuels s’affichent au cours du processus de configuration, mais vous pouvez les modifier. D’autres réglages, tels que les points de partage que vous avez définis et les services que vous avez configurés, sont préservés. Pour obtenir une description des actions et des éléments à mettre à niveau, reportez-vous à la section Mise à niveau et migration. Vous ne pouvez réaliser qu’une seule fois la configuration initiale du serveur sans réinstaller ce dernier. Il existe toutefois d’autres moyens permettant de modifier les réglages établis lors de la configuration. Vous pouvez par exemple utiliser Admin Serveur ou Utilitaire d’annuaire pour gérer les réglages Open Directory.120 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Spécification de l’utilisation initiale d’Open Directory Durant la procédure de création d’une configuration avancée, vous devez indiquer la façon dont le serveur stocke initialement les comptes utilisateur et d’autres informations de répertoire et comment il y accède. Vous devez choisir si le serveur se connecte à un système de répertoire ou fonctionne comme un serveur autonome. Après la configuration, vous pouvez soit créer ou modifier une connexion à un système de répertoire à l’aide d’Utilitaire d’annuaire, soit utiliser Admin Serveur pour transformer le serveur en maître ou en réplique Open Directory afin de modifier les réglages de service Open Directory du serveur. Pour plus d’informations sur la modification de services de répertoire, consultez la section Administration d’Open Directory. Lors de la configuration initiale d’un serveur, vous spécifiez sa configuration de services de répertoire. Les options sont les suivantes :  Aucune modification, option disponible uniquement lors de la mise à niveau à partir de Mac OS X Server 10.4.10 ou 10.3.9.  Serveur autonome, option utilisée pour configurer uniquement un domaine de répertoire local sur le serveur.  Connecté à un système de répertoire, option utilisée pour configurer le serveur pour obtenir les informations de répertoire d’un domaine de répertoire partagé déjà configuré sur un autre serveur. Dans toutes ces situations, l’authentification Open Directory est configurée sur le serveur et utilisée par défaut pour tout nouvel utilisateur ajouté aux domaines résidant sur le serveur. Si vous configurez plusieurs serveurs et qu’un ou plusieurs d’entre eux hébergent un répertoire partagé, configurez-les avant les serveurs qui utiliseront ces répertoires partagés. Remarque :si vous connectez Mac OS X Server 10. 5 à un domaine de répertoire Mac OS X Server 10.2 ou antérieur, les utilisateurs définis dans l’ancien domaine de répertoire ne peuvent pas être authentifiés avec la méthode MS-CHAPv2. Cette méthode peut s’avérer nécessaire pour authentifier de manière sécurisée les utilisateurs pour le service VPN de Mac OS X Server 10.5. Open Directory prend en charge l’authentification MS-CHAPv2 dans Mac OS X Server version 10.5, mais le serveur de mot de passe de Mac OS X Server version 10.2 ne prend pas en charge cette authentification.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 121 Après la configuration, utilisez si nécessaire les applications Utilitaire d’annuaire ou Admin Serveur pour parachever la configuration de répertoire du serveur. Utilitaire d’annuaire permet de configurer des connexions à plusieurs répertoires, y compris Active Directory et d’autres systèmes de répertoires non Apple, et de spécifier une stratégie de recherche (l’ordre dans lequel le serveur doit effectuer la recherche dans les domaines). Admin Serveur permet de configurer des répliques d’un maître Open Directory et de gérer les autres aspects de la configuration du service de répertoires d’un serveur. Administration d’Open Directory peut vous aider à choisir l’option de configuration d’utilisation de répertoire adaptée à vos besoins. Si vous effectuez une mise à niveau, le meilleur choix est « Aucune modification ». Si vous configurez un nouveau serveur, le plus simple est de choisir « Serveur autonome ». Après la configuration initiale du serveur, vous pouvez employer Utilitaire d’annuaire ou Admin Serveur pour ajuster et finaliser la configuration de répertoire. Mise à jour sans changer l’utilisation de répertoire Lorsque vous configurez un serveur en cours de mise à niveau de la version 10.2.8 ou 10.3.9 vers la version 10.5 et que vous souhaitez qu’il exploite la même configuration de répertoire qu’auparavant, choisissez Aucune modification dans la sous-fenêtre Utilisation du répertoire d’Assistant du serveur. Même lorsque vous souhaitez changer la configuration de répertoire du serveur, le choix le plus sûr reste Aucune modification, en particulier si vous envisagez de modifier la configuration de répertoire partagé d’un serveur. Vous pouvez, par exemple, passer de l’hébergement d’un répertoire à l’utilisation du répertoire partagé d’un autre serveur et vice versa ou effectuer la migration d’un domaine NetInfo partagé vers LDAP. Ces opérations de modification de l’utilisation du répertoire sont à réaliser après la configuration du serveur, de façon à préserver l’accès aux informations de répertoire relatives à votre réseau. Pour plus d’informations sur les options d’utilisation de répertoire et sur la façon d’employer Utilitaire d’annuaire et Admin serveur pour effectuer des modifications de répertoire, consultez la section Administration d’Open Directory. Pour plus d’informations sur la manière de continuer à utiliser les données de répertoire existantes lorsque vous modifiez les réglages de service de répertoire, consultez la section Mise à niveau et migration. Si vous choisissez l’option « Aucune modification » et que le serveur n’utilisait pas de serveur de mot de passe, l’authentification Open Directory est configurée. Lorsque vous ajoutez des utilisateurs à un domaine de répertoire Apple résidant sur le serveur, les mots de passe sont validés par défaut en utilisant l’authentification Open Directory.122 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Configuration d’un serveur comme serveur autonome Un serveur autonome stocke et lit les informations de compte dans son domaine de répertoire local. Le serveur autonome utilise son domaine de répertoire local pour authentifier les clients auprès de ses services de fichiers, de courrier électronique et autres. Les autres serveurs et ordinateurs clients ne peuvent accéder au domaine de répertoire local du serveur autonome. L’authentification Open Directory est également configurée sur le serveur. Par défaut, elle est utilisée lorsqu’un utilisateur est ajouté au domaine local. Lorsqu’un utilisateur tente de se connecter au serveur ou d’utiliser l’un des services réclamant une authentification, le serveur authentifie l’utilisateur en consultant la base de données locale. Si l’utilisateur a un compte sur le système et fournit le mot de passe correct, l’authentification aboutit. Configuration d’un serveur pour la connexion à un système de répertoire S’il est connecté à un autre système de répertoire, votre serveur stocke les informations de compte et y accède dans le répertoire partagé d’un autre serveur et peut utiliser l’autre système de répertoire pour authentifier les clients auprès des services de fichiers, de courrier électronique et autres. Votre serveur peut également utiliser son domaine de répertoire local pour les comptes et l’authentification. Vous pouvez intégrer votre serveur dans une multitude de systèmes de répertoire en choisissant l’une des options suivantes lors de la configuration :  Serveur Open Directory :votre serveur peut utiliser LDAP pour stocker des informations sur un serveur Open Directory et y accéder. Avec cette option, vous devez connaître le nom DNS ou l’adresse IP du serveur Open Directory.  Tel que spécifié par le serveur DHCP : votre serveur obtient les informations de connexion à un système de répertoire auprès d’un serveur DHCP. Le serveur DHCP doit être configuré pour fournir l’adresse et la base de recherche d’un serveur LDAP (DHCP option 95). Le service de répertoire et le service DHCP sont indépendants l’un par rapport à l’autre. Ils ne doivent pas forcément être fournis par le même serveur.  Autre serveur de répertoire :si vous devez intégrer le serveur à un autre type de système de répertoire ou à plusieurs systèmes de répertoire, choisissez cette option et configurez les connexions ultérieurement à l’aide de l’application Utilitaire d’annuaire. Cette option permet d’intégrer votre serveur à quasiment tous les services de répertoire actuels, tels que Microsoft Active Directory, Novell eDirectory, un autre répertoire non Apple ou un domaine NIS. Pour plus d’informations sur l’utilisation de l’Utilitaire d’annuaire, consultez la section Administration d’Open Directory ou ouvrez l’Utilitaire d’annuaire, puis utilisez le menu Aide.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 123 Si vous configurez votre serveur afin qu’il se connecte à un serveur Open Directory disposant de Mac OS X Server version 10.3 ou antérieure, il se peut que vous ne puissiez pas bénéficier de certaines fonctionnalités :  Le service VPN nécessite l’authentification MS-CHAP2 qui n’est pas disponible avec les versions 10.2 ou antérieures.  Les répliques ne sont pas prises en charge par les versions 10.2 et antérieures.  La configuration Kerberos est beaucoup plus complexe dans la version 10.2. En outre, la synchronisation automatique de Kerberos et du serveur de mot de passe requiert la version 10.3 ou ultérieure.  Dans la version 10.3 et les versions antérieures, la liaison à des répertoires de confiance, la prise en charge des sous-domaines LDAP et les commandes d’Utilitaire d’annuaire ne sont pas disponibles. Utilisation de la configuration interactive de serveur Le moyen le plus simple de configurer un petit nombre de serveurs est de faire appel au processus d’Assistant du serveur, après avoir établi une connexion avec chacun des serveurs tour à tour. Vous devez fournir les données de configuration des serveurs de manière interactive, puis lancer immédiatement la configuration.La solution interactive est intéressante si vous avez peu de serveurs à configurer. La méthode interactive permet de configurer un serveur local ou un ou plusieurs serveurs distants. Pour exploiter cette démarche, ouvrez Assistant du serveur, connectez-vous à un ou plusieurs serveurs cibles, fournissez les données de configuration, puis lancez immédiatement la configuration. Il s’agit de la technique utilisée pour configurer un serveur local, comme décrit à la section « Configuration interactive d’un serveur local » à la page 124. Vous pouvez également utiliser cette méthode interactive pour configurer un serveur distant à partir d’un ordinateur administrateur. Pour obtenir des instructions, consultez la section « Configuration interactive d’un serveur distant » à la page 125. Lorsque plusieurs serveurs distants peuvent utiliser les mêmes données de configuration, vous pouvez fournir ces données, puis lancer la configuration simultanée de tous les serveurs au moyen d’un processus de configuration par lot. Si vous exécutez Assistant du serveur à partir d’un ordinateur d’administration pour configurer plusieurs serveurs, regroupez les configurations matérielles identiques. Par exemple, choisissez tous les ordinateurs Intel Xserve ou tous les Mac mini G4.124 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Pour cette technique, représentée à gauche dans la figure ci-dessous, les identifiants réseau de tous les serveurs cibles doivent être définis via DHCP ou BootP. Pour obtenir des instructions, consultez la section « Configuration interactive d’un lot de serveurs distants » à la page 127. Pour personnaliser la configuration de serveurs individuels, vous pouvez gérer chacune d’elles séparément à partir d’une fenêtre distincte d’Assistant du serveur. Cette manière de procéder est représentée à droite dans l’illustration ci-dessus. Pour obtenir des instructions, consultez la section « Configuration interactive d’un serveur distant » à la page 125. Bien que l’illustration précédente montre des serveurs cibles se trouvant sur le même sousréseau que l’ordinateur administrateur dans un cas et sur un sous-réseau différent dans l’autre, les deux méthodes de configuration peuvent être employées indifféremment. Si le serveur cible est sur un autre sous-réseau, vous devez fournir son adresse IP. Assistant du serveur affiche une liste contenant les serveurs situés sur le même sous-réseau, afin que vous puissiez en sélectionner un ou plusieurs directement dans la liste. Configuration interactive d’un serveur local Après avoir installé le logiciel serveur sur un serveur, vous pouvez utilisez la méthode interactive pour le configurer localement si vous avez la possibilité d’accéder physiquement à l’ordinateur. Cette procédure s’applique à la configuration de serveur Avancée. Les instructions fournies ici ne sont pas compatibles avec les modes Standard et Groupe de travail. Sous-réseau 1 Bienvenue Bienvenue Bienvenue Sous-réseau 2Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 125 Pour configurer de manière interactive un serveur local : 1 Remplissez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server disponible dans l’annexe. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à la section « Informations nécessaires » à la page 117. Assistant du serveur réapparaît au redémarrage du serveur. 2 Tapez les données de configuration notées sur la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server au fur et à mesure de votre progression dans les sous-fenêtres de l’Assistant, en suivant les instructions à l’écran. Vérifiez que tout serveur DHCP ou DNS que doit employer le serveur que vous configurez est bien en cours d’exécution. Une fois les données de configuration saisies, Assistant du serveur en affiche le résumé. 3 Révisez les données de configuration que vous avez saisies et, si nécessaire, cliquez sur Revenir pour les modifier. 4 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format utilisable pour une configuration automatique du serveur (un fichier de configuration ou une fiche de répertoire enregistré), cliquez sur Enregistrer sous. Pour chiffrer un fichier de configuration ou un enregistrement de répertoire, sélectionnez « Enregistrer au format crypté », puis tapez et confirmez une phrase secrète. Vous devez fournir la phrase secrète avant qu’un fichier de configuration chiffré puisse être utilisé par un serveur cible. 5 Pour lancer la configuration du serveur local, cliquez sur Appliquer. 6 Au terme de la configuration du serveur, cliquez sur Redémarrer. Vous pouvez maintenant ouvrir une session sous l’identité de l’administrateur créé pendant la configuration, afin de configurer les services. Configuration interactive d’un serveur distant Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, vous pouvez utiliser la méthode interactive pour le configurer à distance à partir d’un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. Pour configurer de manière interactive un serveur distant : 1 Remplissez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server disponible dans l’annexe. Pour obtenir des informations supplémentaires, reportez-vous à la section « Informations nécessaires » à la page 117. 2 Assurez-vous que le serveur cible est en cours d’exécution. 3 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur qui se trouve dans /Applications/Server. Vous n’avez pas besoin d’être administrateur sur l’ordinateur administrateur pour utiliser l’Assistant du serveur.126 Chapitre 6Configuration initiale du serveur 4 Dans la sous-fenêtre Bienvenue, sélectionnez « Configurer un serveur distant » et cliquez sur Continuer. 5 Dans la sous-fenêtre Destination, placez une coche dans la colonne Appliquer du serveur distant à configurer, tapez son mot de passe prédéfini dans le champ Mot de passe, puis cliquez sur Continuer pour vous connecter au serveur. Si le serveur cible n’apparaît pas dans la liste, cliquez sur Ajouter pour l’ajouter ou Actualiser pour voir s’il est disponible. 6 Sélectionnez la configuration de serveur Avancée. 7 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez la langue à employer pour administrer le serveur cible. 8 Si vous utilisez des données de configuration enregistrées, procédez comme suit : Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées à employer. Si les données de configuration enregistrées sont chiffrées, tapez la phrase secrète lorsque vous y êtes invité. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Si vous saisissez manuellement les données de configuration, procédez comme suit : Cliquez sur Continuer et saisissez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les sous-fenêtres de l’assistant, en suivant les instructions affichées, puis cliquez sur Continuer. Vérifiez que tout serveur DHCP ou DNS que doit employer le serveur que vous configurez est bien en cours d’exécution. 10 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par Assistant du serveur et cliquez si nécessaire sur Revenir pour modifier vos données. 11 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format utilisable pour une configuration automatique du serveur (en tant qu’enregistrement de répertoire ou fichier de configuration enregistré), cliquez sur Enregistrer sous. Pour chiffrer un fichier de configuration ou un enregistrement de répertoire, sélectionnez « Enregistrer au format crypté », puis tapez une phrase secrète et confirmez-la. Vous devez fournir la phrase secrète avant qu’un fichier de configuration chiffré puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Pour lancer la configuration du serveur cible distant, cliquez sur Appliquer. 13 Au terme de la configuration du serveur, cliquez sur Continuer. Le serveur cible redémarre et vous pouvez ouvrir une session sous l’identité d’administrateur de serveur créée pendant la configuration, afin de configurer les services.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 127 Configuration interactive d’un lot de serveurs distants Vous pouvez employer la méthode interactive pour configurer un lot de serveurs si :  tous les serveurs sont accessibles à partir d’un ordinateur administrateur;  tous les serveurs utilisent le même type de processeur (Intel ou PowerPC, par exemple);  tous les serveurs utilisent les même données de configuration, à l’exception du numéro de série du logiciel serveur et des identités réseau (nom d’hôte, nom d’ordinateur et nom d’hôte local);  les identités réseau sont fournies par un serveur DHCP ou BootP. Si vous exécutez Assistant du serveur à partir d’un ordinateur d’administration pour configurer plusieurs serveurs, regroupez les configurations matérielles identiques. Choisissez par exemple tous les ordinateurs Intel Xserve ou tous les Mac mini G4. Si plusieurs serveurs possèdent des fichiers de configuration différents, vous pouvez ouvrir une nouvelle fenêtre Assistant du serveur pour chaque lot de serveurs. Cela permet de regrouper les serveurs par plateforme, par réglages, par sous-réseau ou par tout autre critère de votre choix. Pour configurer plusieurs serveurs distants de manière interactive, par lot : 1 Complétez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server avec les réglages à utiliser pour tous les serveurs que vous souhaitez configurer. La Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server se trouve sur le disque d’installation de Mac OS X Server, dans le dossier Documentation. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à la section « Informations nécessaires » à la page 117. Dans la Pré- face sont indiqués les autres emplacements de la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server. 2 Assurez-vous que les serveurs cibles et tous serveurs DHCP ou DNS qu’ils doivent employer sont en cours d’exécution. 3 Sur un ordinateur administrateur capable de se connecter à tous les serveurs cibles, ouvrez l’Assistant du serveur dans /Applications/Server/. Vous n’avez pas besoin d’être administrateur sur l’ordinateur administrateur pour utiliser l’Assistant du serveur. 4 Dans la sous-fenêtre Bienvenue, sélectionnez « Configurer un serveur distant » et cliquez sur Continuer. 5 Dans la sous-fenêtre Destination, placez une coche dans la colonne Appliquer de chaque serveur distant à configurer. Tapez ensuite le mot de passe prédéfini dans la case Mot de passe de chaque serveur et cliquez sur Continuer pour vous connecter aux serveurs. Si un serveur cible à configurer n’est pas dans la liste, cliquez sur Ajouter pour l’y ajouter. 6 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez la langue à employer pour administrer les serveurs cibles.128 Chapitre 6Configuration initiale du serveur 7 Si vous utilisez des données de configuration enregistrées, procédez comme suit : Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées à employer. Si les données de configuration enregistrées sont chiffrées, tapez la phrase secrète lorsque vous y êtes invité. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 8 Si vous saisissez manuellement les données de configuration, procédez comme suit : Cliquez sur Continuer et saisissez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les sous-fenêtres de l’assistant, en suivant les instructions affichées, puis cliquez sur Continuer. Vérifiez que tout serveur DHCP ou DNS que doit employer le serveur que vous configurez est bien en cours d’exécution. 9 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par Assistant du serveur et cliquez si nécessaire sur Revenir pour modifier vos données. 10 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format utilisable pour une configuration automatique du serveur (en tant qu’enregistrement de répertoire ou fichier de configuration enregistré), cliquez sur Enregistrer sous. Pour chiffrer un fichier de configuration ou un enregistrement de répertoire, sélectionnez « Enregistrer au format crypté », puis tapez une phrase secrète et confirmez-la. Vous devez fournir la phrase secrète avant qu’un fichier de configuration chiffré puisse être utilisé par un serveur cible. 11 Pour démarrer la configuration du serveur, cliquez sur Appliquer. 12 Pour lancer la configuration du serveur cible distant, cliquez sur Appliquer. 13 Au terme de la configuration du serveur, cliquez sur Continuer. Les serveurs cibles redémarrent et vous pouvez ouvrir une session sous l’identité de l’administrateur de serveur créé pendant la configuration, afin de configurer leurs services. Utilisation de la configuration automatique de serveurs Si vous devez configurer un nombre plus important de serveurs, pensez à utiliser la configuration automatique de serveurs. Cette méthode permet également d’enregistrer les données de configuration afin de les réutiliser si vous devez réinstaller par la suite le logiciel serveur. La méthode automatique est utile lorsque :  vous avez un nombre plus important de serveurs à configurer;  vous souhaitez préparer la configuration de serveurs pas encore disponibles;  vous souhaitez enregistrer des données de configuration à des fins de sauvegarde;  vous devez réinstaller fréquemment des serveurs.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 129 Pour utiliser la configuration automatique de serveurs, lancez Assistant du serveur afin de spécifier des données de configuration pour chaque ordinateur ou lot d’ordinateurs ; enregistrez ensuite les données dans un fichier ou un répertoire afin de créer des données de configuration, comme indiqué dans l’illustration suivante : Enfin, fournissez les données de configuration aux serveurs cibles. Pour fournir les données, vous pouvez recourir à des méthodes différentes, telles que le stockage des fichiers sur disque dur ou sur support amovible ou leur enregistrement dans des entrées de répertoire. Par défaut, les données de configuration enregistrées sont chiffrées pour plus de sécurité. Lors de son premier démarrage, le serveur recherche les données de configuration automatique pour effectuer sa propre configuration avant de lancer Assistant réglages. La configuration automatique du serveur implique deux étapes principales : Étape 1 :Création des fichiers de données de configuration Pour créer des fichiers de données de configuration, vous pouvez vous reporter aux sections suivantes.  « Données de configuration enregistrées dans un fichier » à la page 130.  « Données de configuration enregistrées dans un répertoire » à la page 132.  « Création et enregistrement de données de configuration » à la page 130.  « Stockage de copies de sauvegarde des données de configuration enregistrées » à la page 133. Étape 2 :Mise à disposition des fichiers de données de configuration pour un serveur nouvellement installé Les sections suivantes décrivent la mise à disposition des données pour les serveurs :  « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136.  « Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier » à la page 137.  « Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire » à la page 140. Ordinateur administrateur Données de configuration dans un répertoire Données de configuration dans un fichier130 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Création et enregistrement de données de configuration Pour travailler à partir de données de configuration enregistrées, établissez une straté- gie pour nommer, chiffrer, stocker et transférer les données. Une manière de créer des données de configuration consiste à utiliser le mode hors connexion d’Assistant du serveur et à utiliser les données de configuration sans se connecter à des serveurs particuliers. Spécifiez les données de configuration, puis enregistrez-les dans un fichier ou un répertoire accessible à partir des serveurs cibles, comme indiqué dans les deux sections qui suivent. Les serveurs cibles sur lesquels le logiciel Mac OS X Server 10.5 a été installé détectent automatiquement la présence des données de données de configuration enregistrées et les utilisent pour se configurer eux-mêmes. Vous pouvez définir des données de configuration génériques utilisables pour configurer n’importe quel serveur. Par exemple, vous pouvez définir des données de configuration génériques pour un serveur en commande, ou configurer 50 ordinateurs Xserve qui doivent être configurés de manière identique. Vous pouvez également enregistrer des données de configuration adaptées à un serveur en particulier. Important :lorsque vous effectuez une mise à niveau, assurez-vous que les données de configuration enregistrées ne sont pas détectées par inadvertance et utilisées par le serveur. Si les données de configuration enregistrées sont utilisées, les réglages existants du serveur seront remplacés par les réglages enregistrés. Pour plus d’informations, reportez-vous àla section « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136. Données de configuration enregistrées dans un fichier Lorsque vous enregistrez des données de configuration dans un fichier, un serveur cible détecte ce fichier et l’utilise si :  Les données de configuration détectées par le serveur cible ne se trouvent pas dans un répertoire que le serveur peut exploiter. Pour plus d’informations sur la détection et l’utilisation de données de répertoire par un serveur afin de se configurer luimême, reportez-vous à la section « Données de configuration enregistrées dans un répertoire » à la page 132.  Le fichier de configuration se trouve sur un volume monté localement dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. Un serveur cible recherche dans les volumes par ordre alphabétique des noms de périphériques. Le périphérique monté comme système de fichiers peut être le disque dur du serveur, un iPod, un DVD, un CD, un disque FireWire, un disque USB ou tout autre périphérique connecté physiquement au serveur (par exemple, /Volumes/AdminiPod/ Auto Server Setup/monserveur.exemple.com.plist).Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 131  Le nom du fichier de configuration est l’un de ceux qui suivent (lors de la recherche de fichiers de configuration, les serveurs cibles recherchent les noms dans l’ordre indiqué) : .plist (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.plist). .plist (par exemple, 10.0.0.4.plist). .plist (par exemple, monserveur.plist). .plist (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.plist). .plist (par exemple, monserveur.exemple.com.plist). .plist (par exemple, 10.0.plist correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.plist (fichier que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). Si le numéro de série spécifié dans le fichier n’est pas associé à une licence de site, vous devrez le définir manuellement après l’installation. Utilisez Admin Serveur ou la commande suivante dans l’application Terminal :serversetup -setServerSerialNumber.  La phrase secrète correcte est fournie au serveur quand les données de configuration sont chiffrées. Vous pouvez employer l’Assistant du serveur pour fournir une phrase secrète de manière interactive ou dans un fichier texte. Placez le fichier de phrase secrète sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/ . Le fichier de phrase secrète peut porter l’un de ces noms. Les serveurs cibles recherchent les noms dans l’ordre suivant : .pass (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.pass). .pass (par exemple, 10.0.0.4.pass). .pass (par exemple, monserveur.pass). .pass (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.pass). .pass (par exemple, monserveur.exemple.com.pass). .pass (par exemple, 10.0.pass correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Si le numéro de série du logiciel serveur n’est pas associé à une licence de site, vous devrez le définir manuellement après l’installation. Utilisez Admin Serveur ou la commande suivante dans Terminal :serversetup -setServerSerialNumber.132 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Si vous souhaitez réutiliser les données de configuration enregistrées après avoir réinstaller un serveur, vous pouvez stocker les fichiers de configuration du serveur dans une petite partition locale qui ne sera pas effacée lorsque vous réinstallerez le serveur. Les fichiers de configuration sont détectés et réutilisés après chaque réinstallation. Données de configuration enregistrées dans un répertoire Cette démarche requiert un minimum d’intervention pour configurer plusieurs serveurs, mais nécessite la présence d’une infrastructure DHCP et de répertoires. À l’aide d’Assistant du serveur, enregistrez les données de configuration dans un répertoire existant pour lequel l’ordinateur que vous utilisez est configuré et où les serveurs récemment installés doivent lire les données de configuration. Le système du répertoire doit accepter les données de configuration enregistrées. Open Directory offre une prise en charge intégrée des données de configuration stockées. Pour stocker des données de configuration dans un répertoire non Apple, vous devez d’abord étendre son système (voir Administration d’Open Directory). Lorsque vous enregistrez des données de configuration dans un répertoire, un serveur cible les détecte et les utilise si :  Le serveur cible obtient ses noms de réseau (nom d’hôte, nom d’ordinateur et nom d’hôte local) ainsi que sa configuration de port à partir d’un serveur DHCP.  Le serveur DHCP est configuré pour identifier l’adresse IP du serveur de répertoire où sont stockées les données de configuration. Pour obtenir des instructions de configuration de serveur DHCP, consultez la section Administration des services de réseau.  Les serveurs de répertoire et DHCP sont en cours d’exécution.  Les données de configuration sont stockées dans le répertoire, sur le chemin d’accès /AutoServerSetup/, et dans un enregistrement portant l’un des noms ci-dessous. Les serveurs cibles recherchent ces noms dans l’ordre suivant : (incluez les zéros au début, mais ignorez les deux-points ; par exemple, 0030654dbcef). (par exemple, 10.0.0.4). (par exemple, monserveur). (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234). (par exemple, monserveur.exemple.com). (par exemple, 10.0 correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2).Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 133 generic (enregistrement que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). Si le numéro de série spé- cifié dans le fichier n’est pas associé à une licence de site, vous devrez le définir manuellement après l’installation. Utilisez Admin Serveur ou la commande suivante dans l’application Terminal :serversetup -setServerSerialNumber.  La phrase secrète correcte est fournie au serveur (les données de configuration stockées dans un répertoire doivent toujours être chiffrées). Vous pouvez employer Assistant du serveur pour fournir une phrase secrète de manière interactive ou dans un fichier texte. Placez le fichier de phrase secrète sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/ , où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. Un serveur cible recherche dans les volumes par ordre alphabétique des noms de périphériques. Le fichier de phrase secrète peut porter l’un des noms suivants. Les serveurs cibles recherchent ces noms dans l’ordre suivant : .pass (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.pass). .pass (par exemple, 10.0.0.4.pass). .pass (par exemple, monserveur.pass). .pass (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.pass). .pass (par exemple, monserveur.exemple.com.pass). .pass (par exemple, 10.0.pass correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Si le numéro de série du logiciel serveur n’est pas associé à une licence de site, vous devrez le définir manuellement après l’installation. Utilisez Admin Serveur ou la commande suivante dans Terminal :serversetup -setServerSerialNumber. Stockage de copies de sauvegarde des données de configuration enregistrées Les données de configuration enregistrées ne servent pas uniquement à l’automatisation de la configuration de plusieurs serveurs. Elles permettent également de reconfigurer les serveurs si vous avez besoin de réinstaller le logiciel serveur. Il est possible de conserver des copies de sauvegarde des fichiers de données de configuration sur un serveur de fichiers du réseau. De la même façon, vous pouvez stocker les fichiers de données de configuration dans une partition locale qui ne sera pas effacée lorsque vous réinstallerez le logiciel serveur.134 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Utilisation du chiffrement avec des fichiers de données de configuration Les données de configuration enregistrées sont chiffrées par défaut pour plus de sécurité.Avant qu’un serveur puisse s’autoconfigurer en utilisant des données chiffrées, il doit pouvoir accéder à la phrase secrète employée lors du chiffrement des données. La phrase secrète peut être fournie soit de manière interactive (en utilisant l’Assistant du serveur), soit à partir d’un fichier sur un volume local du serveur cible. Vous pouvez par exemple stocker le fichier avec la phrase secrète sur un iPod, puis connecter ce dernier à chacun des serveurs ayant besoin de la phrase secrète. Un serveur dont l’adresse IP serait 10.0.0.4 utiliserait ainsi le fichier /Volumes/MyIPod/Auto Server Setup/ 10.0.0.4.pass. Transmission des fichiers de données de configuration aux serveurs Utilisation de fichiers dans le système de fichiers Lorsque vous placez un fichier de configuration sur un volume (CD, DVD, iPod, clé USB, partition de disque) monté localement sur un serveur installé mais pas configuré, ce dernier détecte le fichier et l’utilise pour se configurer. Vous pouvez, par exemple, stocker plusieurs fichiers de configuration sur un iPod, puis connecter l’iPod au premier serveur pour lequel existe un fichier de configuration, comme le montre l’illustration suivante : Vous pouvez ensuite connecter l’iPod au serveur suivant : iPod iPodChapitre 6 Configuration initiale du serveur 135 Chaque serveur reconnaît son propre fichier puisqu’il a été nommé en utilisant l’un de ses identifiants et que son emplacement est connu. Ainsi, un serveur dont les huit premiers caractères du numéro de série seraient WXYZ1234 utiliserait le fichier suivant pour s’autoconfigurer :/Volumes/MyIPod/Auto Server Setup/ WXYZ1234.plist. Une autre solution consiste à utiliser l’adresse IP d’un serveur comme identifiant. Un serveur dont l’adresse IP est 10.0.0.4 utiliserait le fichier suivant :/Volumes/MyIPod/Auto Server Setup/10.0.0.4.plist. Vous pouvez également utiliser un seul fichier nommé « generic.plist » par exemple, pour configurer plusieurs serveurs si les données de configuration n’ont pas besoin d’être individualisées et que les identités réseau des serveurs sont fournies via DHCP. Pour plus d’informations sur l’attribution d’un nom aux fichiers de configuration et sur leur utilisation, consultez la section « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136. Utilisation des réglages du répertoire Le serveur cible peut également se configurer à l’aide de données de configuration stockées dans un répertoire. Il doit alors être configuré pour accéder à ce dossier. Bien que le stockage de données de configuration dans un dossier soit la manière la plus automatisée de configurer plusieurs serveurs, cette approche suppose au préalable une infrastructure afin que les serveurs cibles puissent trouver les données de configuration stockées dans le répertoire. Les composants essentiels de l’infrastructure sont les services DHCP et Open Directory, comme le montre l’illustration ci-dessous : Le serveur Open Directory de cet exemple héberge un répertoire LDAP dans lequel ont été enregistrées des données de configuration. L’adresse du serveur Open Directory est abonnée au service DHCP, exécuté sur un autre serveur dans le cas présent. Le service DHCP fournit l’adresse du serveur Open Directory aux serveurs cibles lorsqu’il affecte des adresses IP à ces serveurs. Les serveurs cibles détectent les données de configuration qui ont été stockées à leur intention dans le répertoire LDAP et les utilisent pour s’autoconfigurer. Serveur Open Directory Serveur DHCP136 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Vous pouvez enregistrer les données de configuration dans un répertoire Apple OpenLDAP ou dans tout autre répertoire gérant le système d’extensions Apple pour les données de configuration enregistrées. Ce système d’extensions est présenté dans Administration d’Open Directory. Pour plus d’informations sur l’attribution d’un nom aux fichiers de configuration et sur leur utilisation, consultez la section « Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées » à la page 136. Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées Un serveur récemment installé se règle lui-même en se basant sur les données de configuration enregistrées via la séquence de recherche ci-après. Lorsque le serveur trouve des données de configuration correspondant aux critères décrits, il interrompt la recherche et utilise ces données pour se configurer. 1 Le serveur recherche des fichiers de configuration sur les volumes montés localement, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * est un nom de système de fichiers. Il effectue une recherche alphabétique dans les volumes par nom de périphérique, en recherchant un fichier portant l’extension « .plist » et nommé à l’aide de son adresse MAC, son adresse IP, son nom DNS partiel, son numéro de série de matériel intégré, son nom DNS complet, son adresse IP partielle ou generic.plist, dans cet ordre. 2 Le serveur recherche ensuite dans un répertoire, pour lequel il est configuré, un enregistrement de configuration, dans un chemin d’accès nommé « AutoServerSetup ». Il recherche les enregistrements nommés à l’aide de son adresse MAC, son adresse IP, son nom DNS partiel (monserveur), son numéro de série de matériel intégré, son nom DNS complet (monserveur.exemple.com), son adresse IP partielle ou « generic », dans cet ordre. Si les données de configuration sont chiffrées, le serveur a besoin de la phrase secrète correcte avant de pouvoir effectuer ses réglages. Vous pouvez employer l’Assistant du serveur pour fournir la phrase secrète de manière interactive ou bien vous pouvez la fournir dans un fichier texte stocké dans /Volumes/*/Auto Server Setup/. Le serveur cible effectue une recherche alphabétique dans les volumes par nom de système de fichiers, en recherchant un fichier portant l’extension « .pass » et nommé à l’aide de son adresse MAC, son adresse IP, son nom DNS partiel, son numéro de série de matériel intégré, son nom DNS complet, son adresse IP partielle ou generic.plist, dans cet ordre. Important :lorsque vous effectuez une mise à niveau, assurez-vous que les données de configuration enregistrées ne sont pas détectées par inadvertance et utilisées par le serveur que vous mettez à niveau. Si des données de configuration enregistrées sont utilisées, les réglages existants du serveur sont remplacés par les réglages enregistrés.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 137 Les deux sections suivantes fournissent plus de détails sur la manière d’utiliser des données de configuration enregistrées. Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, vous pouvez le configurer automatiquement en utilisant des données enregistrées dans un fichier. Pour enregistrer et appliquer les données de configuration à partir d’un fichier : 1 Complétez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server pour chaque serveur à configurer. La Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server est disponible dans l’annexe. 2 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur qui se trouve dans /Applications/Server. Vous n’avez pas besoin d’être administrateur sur l’ordinateur administrateur pour utiliser l’Assistant du serveur. 3 Dans la sous-fenêtre Bienvenue, sélectionnez « Enregistrer les infos de configuration avancées dans un fichier ou une fiche de répertoire » pour travailler en mode hors connexion (connexion serveur inutile). 4 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez la langue à employer pour administrer les serveurs cibles. 5 Si vous voulez créer un fichier de configuration, passez à l’étape 6. Pour utiliser un fichier de configuration existant, passez à l’étape 7. Si vous comptez créer un fichier de configuration générique pour configurer plusieurs serveurs, prenez soin de ne pas spécifier de noms de réseau (nom d’ordinateur et nom d’hôte local) et assurez-vous que chaque interface réseau (port) est réglée pour être configurée « Via DHCP » ou « Via BootP ». 6 Cliquez sur Continuer et saisissez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les sous-fenêtres de l’Assistant, en suivant les instructions affichées. 7 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées sur lesquelles vous voulez travailler. Si les données de configuration enregistrées sont chiffrées, tapez la phrase secrète lorsque vous y êtes invité. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 8 Dans la sous-fenêtre Interfaces de réseau, cliquez sur Ajouter pour spécifier les interfaces de réseau. 9 Une fois les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par Assistant du serveur et cliquez si nécessaire sur Revenir pour modifier les données. 10 Cliquez sur Enregistrer sous, puis sélectionnez Fichier de configuration.138 Chapitre 6Configuration initiale du serveur 11 Pour chiffrer le fichier, sélectionnez « Enregistrer au format crypté », puis tapez une phrase secrète et confirmez-la. Vous devez fournir la phrase secrète avant qu’un fichier de configuration chiffré puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Cliquez sur OK, accédez à l’emplacement de destination du fichier, attribuez un nom au fichier en utilisant l’une des options suivantes, puis cliquez sur Enregistrer. Lors de la recherche de fichiers de configuration, les serveurs cibles recherchent les noms dans l’ordre indiqué : .plist (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.plist). .plist (par exemple, 10.0.0.4.plist). .plist (par exemple, monserveur.plist). .plist (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.plist). .plist (par exemple, monserveur.exemple.com.plist). .plist (par exemple, 10.0.plist correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.plist (fichier que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). 13 Placez le fichier dans un emplacement où les serveurs cibles peuvent le détecter. Un serveur peut détecter un fichier de configuration s’il réside sur un volume monté localement dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. Il peut s’agir du disque dur du serveur ou d’un iPod, d’un DVD, d’un CD, d’un disque FireWire, d’un disque USB ou de tout autre périphérique connecté au serveur. Par exemple, si vous possédez un iPod nommé AdminiPod, le chemin d’accès utilisé sera /Volumes/AdminiPod/Auto Server Setup/. 14 Si les données de configuration sont chiffrées, rendez la phrase secrète accessible aux serveurs cibles. Vous pouvez fournir la phrase secrète de manière interactive, à l’aide de l’Assistant du serveur ou dans un fichier texte. Pour fournir la phrase secrète dans un fichier, suivez l’étape 15. Pour la fournir de manière interactive, passez à l’étape 16. 15 Pour fournir une phrase secrète dans un fichier, créez un fichier texte, tapez la phrase secrète du fichier de configuration enregistré sur la première ligne, puis enregistrez le fichier sous l’un des noms suivants (lors de la recherche de fichiers de configuration, les serveurs cibles recherchent ces noms dans l’ordre indiqué).Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 139 .pass (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.pass). .pass (par exemple, 10.0.0.4.pass). .pass (par exemple, monserveur.pass). .pass (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.pass). .pass (par exemple, monserveur.exemple.com.pass). .pass (par exemple, 10.0.pass correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Enregistrez le fichier de phrase secrète sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. 16 Pour fournir de manière interactive une phrase secrète, utilisez l’Assistant du serveur sur un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. a Dans la sous-fenêtre Bienvenue ou Destination, choisissez Fichier > Fournir la phrase secrète. b Dans la zone de dialogue, tapez l’adresse IP, le mot de passe et la phrase secrète du serveur cible. c Cliquez sur Envoyer. 17 Si vous utilisez un fichier de configuration générique et que le numéro de série ne correspond pas à une licence de site, vous devez, après la configuration, saisir le numéro de série du serveur à l’aide d’Admin Serveur ou de la ligne de commande. Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur, cliquez sur Réglages, puis sur Général. Vous pouvez également utiliser ssh dans l’application Terminal, afin de vous connecter au serveur et saisir la commande serversetup -setServerSerialNumber. Pour une description de la disposition d’un fichier de configuration enregistré et pour en savoir plus sur la commande serversetup, consultez la section Administration de ligne de commande.140 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, vous pouvez le configurer automatiquement en utilisant des données enregistrées dans un répertoire. Cette méthode nécessite un répertoire et une infrastructure DHCP en place, comme dans la procédure ci-dessous. Pour enregistrer et appliquer des données de configuration dans une fiche de répertoire : 1 Assurez-vous que le répertoire dans lequel vous souhaitez enregistrer les données de configuration existe, que son système accepte les données de configuration enregistrées et qu’il est accessible à partir de votre ordinateur administrateur. Administration d’Open Directory décrit la configuration et l’accès aux répertoires. Il pré- sente également le système pour les données de configuration enregistrées. La gestion des données de configuration enregistrées est intégrée aux répertoires Apple OpenLDAP mais le système des autres répertoires doit être étendu pour accepter ce type de données. 2 Complétez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server pour chaque serveur à configurer. La Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server est disponible dans l’annexe. 3 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/Server. Vous n’avez pas besoin d’être administrateur sur l’ordinateur administrateur pour utiliser l’Assistant du serveur. 4 Dans la sous-fenêtre Bienvenue, sélectionnez « Enregistrer les infos de configuration avancées dans un fichier ou une fiche de répertoire » pour travailler en mode hors connexion (connexion serveur inutile). 5 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez la langue à employer pour administrer les serveurs cibles. 6 Si vous voulez créer une nouvelle configuration, passez à l’étape 7. Pour travailler avec une configuration existante, passez à l’étape 8. Si vous créez des données de configuration génériques, prenez soin de ne pas spécifier de noms de réseau (nom d’ordinateur et nom d’hôte local) et assurez-vous que l’interface réseau (port) est définie pour être configurée « Via DHCP » ou « Via BootP ». 7 Cliquez sur Continuer et saisissez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les sous-fenêtres de l’Assistant, en suivant les instructions affichées.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 141 8 Dans la sous-fenêtre Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées sur lesquelles vous voulez travailler. Si les données de configuration enregistrées sont chiffrées, tapez la phrase secrète lorsque vous y êtes invité. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Dans la sous-fenêtre Interfaces de réseau, cliquez sur Ajouter pour spécifier les interfaces de réseau. 10 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par Assistant du serveur et cliquez si nécessaire sur Revenir pour modifier vos données. 11 Cliquez sur Enregistrer sous, puis sélectionnez Fiche de répertoire. 12 Pour chiffrer le fichier, sélectionnez « Enregistrer au format crypté », puis tapez une phrase secrète et confirmez-la. Avant qu’un enregistrement de répertoire chiffré soit utilisable par un serveur cible, vous devez fournir la phrase secrète. 13 Spécifiez le répertoire dans lequel vous souhaitez enregistrer la configuration, puis cliquez sur OK. À l’invite, saisissez les informations requises pour vous authentifier en tant qu’administrateur de domaine de répertoire. Les réglages sont enregistrés dans le répertoire dans AutoServerSetup. Les serveurs cibles recherchent les noms d’enregistrement dans l’ordre suivant : (incluez les zéros au début, mais ignorez les deux-points ; par exemple, 0030654dbcef). (par exemple, 10.0.0.4). (par exemple, monserveur). (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234). (par exemple, monserveur.exemple.com). (par exemple, 10.0 correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic (enregistrement que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). 14 Assurez-vous que l’infrastructure correcte est en place de façon à ce que les serveurs devant employer la fiche de configuration stockée puissent la retrouver. Le serveur de répertoire stockant la fiche de configuration doit être en cours d’exécution. Le protocole DHCP doit être configuré pour identifier le serveur de répertoire auprès des serveurs cibles via l’Option 95. De plus, il faudra éventuellement configurer le DNS si vos données de répertoire comportent des noms DNS.142 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Pour plus d’informations sur l’infrastructure, consultez la section « Définition de l’infrastructure minimale pour la configuration du serveur » à la page 31. Administration d’Open Directory etAdministration des services de réseau fournissent des instructions de configuration des répertoires et de DHCP. 15 Si les données de configuration sont chiffrées, rendez la phrase secrète accessible aux serveurs cibles. Vous pouvez fournir la phrase secrète de manière interactive, à l’aide de l’Assistant du serveur ou dans un fichier texte. Pour fournir la phrase secrète dans un fichier, suivez l’étape 16. Pour la fournir de manière interactive, passez à l’étape 17. 16 Pour fournir une phrase secrète dans un fichier, créez un fichier texte, tapez la phrase secrète du fichier de configuration enregistré sur la première ligne, puis enregistrez le fichier sous l’un des noms suivants : Les serveurs cibles recherchent ces noms dans l’ordre suivant : .pass (incluez les zéros au début, mais ignorez les deuxpoints ; par exemple, 0030654dbcef.pass). .pass (par exemple, 10.0.0.4.pass). .pass (par exemple, monserveur.pass). .pass (huit premiers caractères uniquement ; par exemple, ABCD1234.pass). .pass (par exemple, monserveur.exemple.com.pass). .pass (par exemple, 10.0.pass correspond à 10.0.0.4 et à 10.0.1.2). generic.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Placez le fichier de phrase secrète sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous le répertoire /Volumes. 17 Pour fournir de manière interactive une phrase secrète, utilisez l’Assistant du serveur sur un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. a Dans la sous-fenêtre Bienvenue ou Destination, choisissez Fichier > Fournir la phrase secrète. b Dans la zone de dialogue, tapez l’adresse IP, le mot de passe et la phrase secrète du serveur cible. c Cliquez sur Envoyer. 18 Si vous utilisez une fiche de configuration générique et que le numéro de série du serveur ne correspond pas à une licence de site, vous devez indiquer le numéro de série du serveur à l’aide d’Admin Serveur ou de la ligne de commande à l’issue de la configuration.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 143 Dans Admin Serveur, sélectionnez le serveur, cliquez sur Réglages, puis sur Général. Pour utiliser la ligne de commande, utilisez ssh dans l’application Terminal afin de vous connecter au serveur et saisissez la commande serversetup -setServerSerialNumber. Pour une description du système de données de configuration enregistrées dans un répertoire, consultez la section Administration d’Open Directory. Pour plus d’informations sur serversetup, consultez la section Administration de ligne de commande. Détermination de l’état des configurations Lorsque la configuration est terminée, le serveur redémarre et affiche la fenêtre d’ouverture de session. Si la configuration échoue, vous en serez informé de plusieurs façons. Utilisation de la sous-fenêtre Destination pour les informations d’état de configuration L’Assistant du serveur affiche les informations d’erreurs dans sa sous-fenêtre Destination. Pour y accéder, dans la sous-fenêtre Bienvenue, sélectionnez « Configurer un serveur distant » et cliquez sur Continuer. Si le serveur ne figure pas dans la liste, cliquez sur Ajouter. Sélectionnez le serveur et examinez les informations affichées. Vous pouvez enregistrer une liste de serveurs à contrôler dans la sous-fenêtre Destination, en choisissant Fichier > Enregistrer la liste de serveurs. Lorsque vous souhaitez surveiller l’état de ces serveurs, utilisez Fichier > Charger la liste de serveur. Gestion des échecs de configuration Lorsqu’une configuration de serveur échoue, un historique d’erreurs est créé dans /Système/Bibliothèque/ServerSetup/Configured/POR.err sur le serveur cible.Le contenu de cet historique peut être affiché et le fichier d’historique effacé sur un ordinateur administrateur distant. Double-cliquez sur l’icône d’erreur d’un serveur dans la sous-fenêtre Destination de l’Assistant du serveur. Si vous y êtes invité, fournissez le mot de passe prédéfini et cliquez sur Envoyer. Le contenu de l’historique est affiché et vous pouvez cliquer sur Supprimer pour effacer le fichier d’historique. La configuration ne peut pas être redémarrée tant que ce fichier n’a pas été effacé.144 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Si la configuration échoue parce qu’un fichier de phrase secrète est introuvable lors de l’utilisation de données de configuration enregistrées dans un fichier ou une fiche de répertoire, vous pouvez :  Utiliser l’Assistant du serveur pour indiquer de manière interactive une phrase secrète. Dans la sous-fenêtre Destination, choisissez Fichier > Fournir la phrase secrète.  Indiquer la phrase secrète dans un fichier texte. Placez le fichier de phrase secrète sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous / Volumes. Un serveur cible recherche dans les volumes par ordre alphabétique des noms de périphériques. Si la configuration d’un serveur distant échoue pour une raison ou une autre, réinstallez le logiciel serveur et recommencez la configuration initiale. Si la configuration d’un serveur local échoue, redémarrez l’ordinateur, exécutez de nouveau Assistant du serveur, puis redémarrez la configuration. Vous pouvez également réinstaller le logiciel serveur. Gestion des avertissements de configuration Lorsque la configuration est terminée, mais qu’il existe une condition nécessitant votre attention, un historique d’avertissement est créé dans /Bibliothèque/Logs/ServerAssistant.POR.status sur le serveur cible. Cliquez sur le lien ServerAssistant.status sur le bureau du serveur cible afin d’ouvrir ce fichier. Voici quelques-uns des messages que vous pouvez rencontrer dans l’historique :  Le numéro de série du logiciel serveur n’est pas valide. Ouvrez Admin Serveur, sélectionnez le serveur dans la liste Serveurs, cliquez sur Réglages, puis sur Général. Tapez le numéro de série correct, puis cliquez sur Enregistrer.  Étant donné que ce serveur a été configuré avec un fichier ou un enregistrement de répertoire générique et que le numéro de série ne correspond pas à une licence de site, vous devez saisir le numéro de série du logiciel serveur à l’aide d’Admin Serveur. Ouvrez Admin Serveur,sélectionnez le serveur dans la liste Serveurs, cliquez sur Réglages, puis sur Général. Tapez le numéro de série correct, puis cliquez sur Enregistrer.  L’administrateur de serveur défini dans les données de configuration existe déjà sur le serveur que vous avez mis à niveau. Obtention d’informations d’état sur l’installation de la mise à niveau Lorsque vous effectuez une mise à niveau, des fichiers d’historique peuvent être enregistrés sur le serveur cible. Pour plus d’informations sur les historiques de mise à niveau, reportez-vous aux informations de mise à niveau dans Mise à niveau et migration.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 145 Configuration des services Après avoir défini une configuration avancée, vous devez configurer les services à l’aide d’Admin serveur et ajouter des utilisateurs et des groupes à l’aide de Gestionnaire de groupe de travail. Les sections suivantes abordent la configuration initiale de services individuels et vous indiquent où trouver des instructions pour personnaliser les services en fonction de vos besoins. Ajout de services à l’affichage Serveur Pour pouvoir configurer un service, vous devez l’ajouter à l’affichage des serveurs dans Admin Serveur. Par défaut, aucun service n’est affiché pour votre serveur. Au fur et à mesure que vous sélectionnez des services à administrer, les sous-fenêtres de configuration adéquates deviennent disponibles dans une liste sous le nom de votre ordinateur. La première fois que vous lancez Admin serveur et que vous vous connectez à un serveur nouvellement installé, vous êtes invité à sélectionner les services à installer et à configurer sur ce serveur. Les services que vous sélectionnez dans la liste sont affichés au fur et à mesure sous le nom d’hôte du serveur dans la liste des serveurs. Pour pouvoir être activé ou configuré, un service doit être ajouté à la liste des services administrés. Pour changer de services à administrer : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case de chaque service à activer. Configuration d’Open Directory À moins que votre serveur ne doive être intégré au système de répertoire d’un autre fabricant ou que l’architecture de répertoire d’un serveur que vous mettez à niveau doive être immédiatement modifiée, vous pouvez commencer à utiliser immédiatement les répertoires que vous avez configurés pendant la configuration du serveur. Administration d’Open Directory fournit des instructions concernant tous les aspects de la configuration de l’authentification et des domaines Open Directory, y compris :  la configuration de l’accès d’un ordinateur client à des données de répertoire partagé ;  la réplique de répertoires LDAP et des informations d’authentification de maîtres Open Directory ;  l’intégration avec Active Directory et d’autres répertoires non Apple ;  la configuration de la signature unique ;  l’utilisation de Kerberos et d’autres techniques d’authentification.146 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Configuration de la gestion des utilisateurs À moins d’utiliser un serveur exclusivement pour héberger du contenu Internet (comme des pages web) ou pour créer une grappe de calcul, vous serez probablement amené à configurer des comptes d’utilisateur en plus du ou des comptes d’administrateur créés lors de la configuration du serveur. Gestion des utilisateurs vous explique comment utiliser Gestionnaire de groupe de travail pour établir une connexion au répertoire, définir les réglages d’utilisateur, configurer des comptes de groupe et des listes d’ordinateurs, définir des préférences gérées ou importer des comptes. Pour configurer un compte utilisateur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Authentifiez-vous en tant qu’administrateur de répertoire auprès du répertoire. 3 Dans la partie supérieure de la fenêtre de l’application, cliquez sur le bouton Comptes pour sélectionner le répertoire auquel ajouter des utilisateurs. 4 Cliquez sur le bouton Nouvel utilisateur. 5 Spécifiez les réglages d’utilisateur dans les différentes sous-fenêtres. Vous pouvez configurer des comptes d’utilisateur en utilisant le Gestionnaire de groupe de travail pour importer les réglages à partir d’un fichier. Configuration des services de fichiers Lorsque vous activez les services de partage de fichiers, les utilisateurs peuvent partager des éléments dans les dossiers sélectionnés. Activez et configurez les services de fichiers et les points de partage à l’aide d’Admin Serveur. Dans les versions de Mac OS X Server antérieures à Leopard Server, les points de partage étaient créés à l’aide de Gestionnaire de groupe de travail. Depuis lors, cette fonctionnalité a été dévolue à Admin Serveur. Administration des services de fichier fournit des instructions de gestion des points de partage et de configuration du partage de fichiers avec tous les protocoles. Pour configurer le partage de fichiers : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case appropriée pour chaque service de fichiers à activer. Pour partager des fichiers avec des ordinateurs Macintosh, activez le service de fichiers Apple (service AFP). Pour partager des fichiers avec des ordinateurs Windows, activez le service SMB. Pour fournir l’accès File Transfer Protocol (FTP), activez le service FTP.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 147 Pour un partage avec des ordinateurs UNIX, activez le service NFS. 4 Sélectionnez Partage de fichiers dans la barre d’outils. 5 Sélectionnez un volume ou un dossier à partager. 6 Sélectionnez « Partager cet élément » pour chaque dossier ou volume à partager. 7 Cliquez sur les autres onglets afin de spécifier des attributs pour le point de partage. Configuration du service d’impression Lorsque vous activez le service d’impression, les utilisateurs de serveurs peuvent partager des imprimantes réseau PostScript ou des imprimantes PostScript et non PostScript connectées directement au serveur. Une file d’attente est configurée automatiquement pour toute imprimante USB connectée au serveur. Aucune file d’imprimante n’est automatiquement configurée pour les imprimantes réseau, mais il est facile d’en ajouter. Pour configurer une file d’imprimante partagée : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case Service d’impression. 4 Dans la liste située sous le serveur, sélectionnez Service d’impression. Si le service n’est pas en cours d’exécution, cliquez sur le bouton de démarrage du service. 5 Cliquez sur Files d’attente. 6 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). 7 Choisissez un protocole de connexion, identifiez une imprimante, puis cliquez sur OK. Les utilisateurs d’ordinateurs Mac OS X peuvent à présent ajouter l’imprimante à l’aide de Configuration d’imprimante. Pour plus d’informations sur la configuration des services d’impression, consultez la section Administration du service d’impression.148 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Configuration de service web Vous pouvez utiliser le serveur HTTP Apache fourni avec Mac OS X Server pour héberger des sites web d’utilisateurs ou de serveur. Si vous avez activé le service web dans Assistant du serveur, votre serveur est prêt à fournir des pages HTML à partir de dossiers du serveur et de dossiers d’utilisateurs.  Pour visualiser le site de serveur principal, ouvrez un navigateur web sur un ordinateur ayant accès au serveur et tapez l’adresse IP ou le nom de domaine du serveur.  Pour visualiser le site d’un utilisateur, ajoutez une barre oblique (/), un tilde (~) et le diminutif de l’utilisateur après l’adresse du serveur. Par exemple, tapez http://192.268.2.1/~utilisateur Pour activer le service web s’il n’est pas en cours d’exécution : 1 Si vous disposez des fichiers HTML de votre site principal, copiez-les dans le dossier Documents du répertoire /Bibliothèque/WebServer. Si les fichiers de votre site sont organisés en dossiers, copiez la structure des dossiers entière dans le dossier Documents. Dans le cas d’un site d’utilisateur, les fichiers sont placés dans le dossier Sites du dossier de départ de l’utilisateur. Assurez-vous que les fichiers et les dossiers de contenu web possèdent les autorisations et les options de propriétaire requises. Pour un accès web normal ou un accès WebDAV en lecture seule, les fichiers doivent pouvoir être lus par l’utilisateur www, et les dossiers (y compris l’ensemble des dossiers existants) doivent pouvoir être lus et interrogés par celui-ci. En outre, pour un accès WebDAV en lecture/écriture, l’utilisateur www doit pouvoir écrire dans les fichiers et dans le dossier immédiatement supérieur. Si vous ne disposez pas encore de vos fichiers HTML, vous pouvez toujours activer le service web pour voir comment il fonctionne à l’aide des pages de démarrage par défaut fournies avec Mac OS X Server. 2 Ouvrez Admin Serveur. 3 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 4 Cochez la case du service web. 5 Dans la liste sous le serveur, cliquez sur le bouton du service web. 6 Si le service n’est pas en cours d’exécution, cliquez sur le bouton Démarrer le service dans la barre d’outils. Administration des technologies web décrit de nombreux aspects du service web et explique notamment comment configurer SSL sur un site, activer WebMail et utiliser WebDAV pour le partage de fichiers.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 149 Configuration du service de messagerie Pour que vos utilisateurs puissent bénéficier de la totalité du service de messagerie disponible, vous devez définir d’autres réglages dont la configuration dépasse le cadre de ce guide. Administration du service de messagerie fournit des instructions de configuration et de gestion d’un serveur de messagerie. Configuration de services réseau Si vous voulez qu’un serveur héberge l’un des services réseau suivants, recherchez les instructions de configuration correspondantes dans Administration des services de réseau :  service DHCP  DNS  Service de coupe-feu  NAT (Network Address Translation)  RADIUS  VPN  service d’horloge réseau Configuration de services d’image système et de services de mise à jour de logiciels Pour plus d’informations sur l’utilisation de NetBoot et de NetInstall afin de simplifier la gestion et l’installation de systèmes d’exploitation clients et d’autres logiciels, consultez la section Administration de Mise à jour de logiciels et d’Imagerie système. Il indique comment créer des images disque et configurer Mac OS X Server de façon que d’autres ordinateurs Macintosh puissent démarrer ou installer via le réseau, à partir de ces images. Le même guide décrit comment configurer le service de mise à jour de logiciels, lequel vous permet de personnaliser les mises à jour des logiciels Apple sur les ordinateurs clients. Pour activer NetBoot et NetInstall pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service NetBoot.150 Chapitre 6Configuration initiale du serveur Configuration de la diffusion de données Pour en savoir plus sur la manière d’administrer un serveur de diffusion en continu de flux de données en temps réel ou à la demande vers des ordinateurs clients, consultez la section Administration de QuickTime Streaming et Broadcasting. Pour activer le service QuickTime Streaming pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service QuickTime Streaming. Configuration de Podcast Producer Pour plus d’informations sur la gestion d’un serveur de production de podcasts fournissant des données de syndication à des ordinateurs clients, consultez la section Administration de Podcast Producer. Pour activer le service Podcast Producer pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service Podcast Producer. Configuration du service WebObjects Si vous souhaitez développer des applications WebObjects, reportez-vous à la bibliothèque de référence WebObjects, disponible sur le site developer.apple.com/referencelibrary/WebObjects/ (en anglais). Si vous souhaitez configurer un serveur d’applications WebObjects, reportez-vous à la section Déploiement de la bibliothèque de référence WebObjects. Administration des technologies web fournit des informations supplémentaires sur le service WebObject. Pour activer le service WebObject pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service WebObject.Chapitre 6 Configuration initiale du serveur 151 Configuration du service iChat Outre les services déjà décrits permettant aux utilisateurs de communiquer (par exemple, les services de messagerie et de fichiers, ou encore les comptes et préférences de groupe), vous pouvez configurer un serveur iChat. La configuration du service iChat à l’aide d’Admin Serveur est décrite dans Administration du service iChat. Pour activer le service iChat pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service iChat. Configuration du service iCal En activant le service iCal, vous pouvez partager et modifier des calendriers pour les utilisateurs et les groupes. Une application de calendrier compatible avec CalDAV permet de partager, de visualiser et de modifier des calendriers avec d’autres personnes. La configuration du service iCal à l’aide d’Admin Serveur est décrite dans Administration du service iCal. Pour activer le service iCal pour l’administration : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Services. 3 Cochez la case du service iCal.7 153 7 Gestion Ce chapitre explique comment effectuer la gestion continue de vos systèmes, notamment en configurant des ordinateurs administrateurs, en désignant des administrateurs et en maintenant la durée de fonctionnement des services. Il comprend les sections suivantes :  « Ports utilisés pour l’administration » à la page 154.  « Ports ouverts par défaut » à la page 154.  « Ordinateurs permettant d’administrer un serveur » à la page 154.  « Utilisation des outils d’administration » à la page 156.  « Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification » à la page 157.  « Ajout et suppression de serveurs dans Admin Serveur » à la page 157.  « Regroupement manuel de serveurs » à la page 158.  « Regroupement de serveurs à l’aide de groupes intelligents » à la page 159.  « Utilisation des réglages d’un serveur spécifique » à la page 159.  « Administration des services » à la page 164.  « Autorisations d’administration par niveaux » à la page 168.  « Notions élémentaires sur Gestionnaire de groupe de travail » à la page 170.  « Administration de comptes » à la page 171.  « Gestion d’ordinateurs de versions antérieures à la version 10.5 à partir de serveurs de version 10.5 » à la page 175.  « Assistants de configuration des services » à la page 175.  « Fichiers de données et de configuration critiques » à la page 176.  « Amélioration de la disponibilité des services » à la page 180.  « Configuration du redémarrage automatique de votre serveur » à la page 182.  « Équilibrage de la charge » à la page 190.  « Vue d’ensemble des démons » à la page 191.154 Chapitre 7Gestion Ports utilisés pour l’administration Les ports ci-dessous doivent être activés pour assurer le fonctionnement des applications d’administration Apple. En outre, d’autres ports doivent être activés pour chaque service à exécuter sur votre serveur. Pour un guide de référence sur les ports, consultez la section Administration des services de réseau et le manuel du service approprié. Ports ouverts par défaut Après l’installation, le coupe-feu est désactivé par défaut en mode de serveur avancé, ce qui signifie que tous les ports sont ouverts. Lorsque le coupe-feu est activé, tous les ports sont bloqués sauf ceux de la liste ci-dessous pour toutes les adresses IP d’origine : Ordinateurs permettant d’administrer un serveur Pour administrer un serveur localement au moyen des applications d’administration graphiques (dans /Applications/Server/), ouvrez une session sur le serveur en tant qu’administrateur, puis démarrez l’application. Pour administrer un serveur distant, ouvrez les applications sur un ordinateur administrateur. Un ordinateur administrateur est un ordinateur Mac OS X Server ou Mac OS X 10.5 ou ultérieur quelconque, sur lequel les outils d’administration ont été installés à partir du CD Mac OS X Server Admin Tools. Consultez la section « Configuration d’un ordinateur administrateur » à la page 155. Numéro et type de port Outil utilisé 22 TCP Shell de ligne de commande SSH 311 TCP Admin Serveur (avec SSL) 625 TCP Gestionnaire de groupe de travail 389, 686 TCP Répertoire 80 TCP Gestion de QuickTime Streaming 4111 TCP Xgrid Admin Numéro et type de port Service 22 TCP Shell de ligne de commande SSH 311 TCP Admin Serveur (avec SSL) 626 UDP Prise en charge du numéro de série 625 TCP Format de répertoire distant ICMP (entrée et sortie) ping standard 53 UDP Résolution de nom DNSChapitre 7 Gestion 155 Vous pouvez exécuter les outils de ligne de commande à partir de l’application Terminal (dans le répertoire /Applications/Utilitaires/) et sur n’importe quel ordinateur Mac OS X Server ou Mac OS X. Vous pouvez également exécuter les utilitaires de ligne de commande depuis un poste de travail UNIX. Configuration d’un ordinateur administrateur Un ordinateur administrateur est un ordinateur équipé de Mac OS X ou Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, qui vous permet d’administrer des serveurs distants. Dans l’illustration ci-dessous, les flèches vont des ordinateurs administrateurs vers les serveurs qu’ils permettent d’administrer. Une fois que vous avez installé et configuré un ordinateur Mac OS X Server doté d’un moniteur, d’un clavier et d’un lecteur optique, il constitue un ordinateur administrateur. Pour transformer un ordinateur équipé de Mac OS X en ordinateur administrateur, vous devez installer des logiciels supplémentaires. Pour activer l’administration à distance de Mac OS X Server à partir d’un ordinateur Mac OS X : 1 Assurez-vous que l’ordinateur Mac OS X est doté de Mac OS X version 10.5 ou ulté- rieure, et d’au moins 512 Mo de mémoire RAM et 1 Go d’espace disque inutilisé. 2 Insérez le CD Mac OS X Server Admin Tools. 3 Ouvrez le dossier du programme d’installation. 4 Démarrez le programme d’installation (ServerAdministrationSoftware.mpkg) et suivez les instructions à l’écran. Administration au moyen d’un ordinateur non Mac OS X Vous pouvez utiliser un ordinateur non Mac OS X prenant en charge SSH (comme un poste de travail UNIX) pour administrer Mac OS X Server à l’aide des utilitaires de ligne de commande. Pour plus d’informations, consultez la section Administration de ligne de commande. Serveurs Mac OS X Ordinateur administrateur Mac OS X156 Chapitre 7Gestion Vous pouvez également utiliser un ordinateur capable d’exécuter un visualiseur VNC pour administrer Mac OS X Server. L’utilisation de VNC pour administrer le serveur est similaire à l’utilisation locale du clavier, de la souris et du moniteur. Pour activer un serveur VNC sur l’ordinateur Mac OS X Server, exécutez le partage d’écran dans la sous-fenêtre Partage des Préférences Système. Utilisation des outils d’administration Les informations relatives à chaque outil d’administration sont disponibles aux pages indiquées dans le tableau ci-dessous. L’application Admin Serveur vous permet d’administrer des services sur un ou plusieurs ordinateurs Mac OS X Server. Admin Serveur vous permet également de spécifier des réglages qui prennent en charge plusieurs services, tels que la création et la gestion de certificats SSL, ainsi que la définition des utilisateurs et groupes autorisés à accéder aux services. Utilisez cette application ou cet outil Pour Consultez Programme d’installation Installer le logiciel serveur ou mettre à niveau la version 10.2 ou 10.3 page 85 Assistant du serveur Configurer un serveur en version 10.5 page 123 Gestionnaire de groupe de travail Administrer des comptes et leurs pré- férences gérées. page 170 Admin Serveur Configurer et surveiller des services et l’accès administrateur, configurer des points de partage. Configurer et administrer la diffusion en continu de données QuickTime page 159 page 42 Outils d’image système Gérer des images de disque NetBoot et NetInstall. page 53 Contrôle de serveur Contrôler l’équipement Xserve. page 195 QTSS Publisher Gérer les données et les préparer pour la diffusion en continu ou le téléchargement progressif. page 54 Apple Remote Desktop (facultatif) Surveiller et contrôler d’autres ordinateurs Macintosh. page 54 Utilitaires de ligne de commande Administrer un serveur au moyen d’un shell de commande UNIX. page 54 Xgrid Admin Surveiller des contrôleurs, des grilles et des tâches Xgrid localement ou à distance. page 55Chapitre 7 Gestion 157 Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification Admin Serveur est installé dans /Applications/Server/. Vous pouvez ouvrir Admin Serveur dans le Finder ou en cliquant sur l’icône correspondante dans le Dock ou sur le bouton Admin dans la barre d’outils de Gestionnaire de groupe de travail. Pour sélectionner un serveur à utiliser, tapez son adresse IP ou son nom DNS dans la zone de dialogue d’ouverture de session ou cliquez sur Parcourir pour le choisir dans une liste de serveurs. Tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe d’un administrateur de serveur, puis cliquez sur Se connecter. Ajout et suppression de serveurs dans Admin Serveur Les serveurs que vous pouvez administrer avec Admin Serveur apparaissent dans la liste Serveurs, sur le côté gauche de la fenêtre de l’application. Vous pouvez ajouter un serveur dans la liste Serveurs et ouvrir une session sur ce serveur en procédant de deux manières différentes :  Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans la barre d’action inférieure et choisissez Ajouter un serveur.  Choisissez Serveur > Ajouter un serveur dans la barre de menus. Lors de la prochaine ouverture d’Admin Serveur, tout ordinateur ajouté ici sera affiché dans la liste. Pour modifier l’ordre des serveurs dans la liste, glissez-les à la nouvelle position de votre choix.158 Chapitre 7Gestion Vous pouvez supprimer un serveur de la liste Serveurs de façon similaire. Sélectionnez tout d’abord le serveur à supprimer, puis effectuez l’une des actions suivantes :  Cliquez sur le bouton Effectuer l’action dans la barre d’action inférieure et choisissez Se déconnecter, puis Serveur distant.  Choisissez Serveur > Se déconnecter, puis Serveur > Serveur distant dans la barre des menus. Si un serveur de la liste Serveurs est affiché en gris, double-cliquez sur le serveur ou cliquez sur le bouton Se connecter dans la barre d’outils afin d’ouvrir une nouvelle session. Sélectionnez l’option « Mémoriser ce mot de passe dans mon trousseau » lorsque vous ouvrez une session pour activer la reconnexion automatique à la prochaine ouverture d’Admin Serveur. Regroupement manuel de serveurs Admin Serveur affiche les ordinateurs par groupes dans la section Liste des serveurs de la fenêtre de l’application. La liste par défaut des serveurs s’appelle Tous les serveurs. Il s’agit de la liste de tous les ordinateurs administrés possibles que vous avez ajoutés et auprès desquels vous êtes authentifiés. Vous pouvez créer d’autres groupes pour organiser à votre gré les ordinateurs du réseau. Les groupes de serveurs possèdent les caractéristiques suivantes :  Vous pouvez créer autant de listes que vous le souhaitez.  Les serveurs peuvent figurer dans plusieurs listes.  Les groupes peuvent être constitués selon n’importe quel schéma d’organisation imaginable :géographique, fonctionnel, matériel, voire esthétique.  Vous pouvez cliquer sur un nom de groupe pour afficher une vue d’ensemble de tous les serveurs du groupe. Vous pouvez partir de la liste Tous les serveurs pour définir des groupes de serveurs ciblés plus spécifiques. Pour ce faire, commencez par créer des listes vides, puis ajoutezy ultérieurement des serveurs figurant dans la liste Tous les serveurs. Pour créer un groupe de serveurs : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste Serveur dans le bas de la fenêtre Admin Serveur. 2 Sélectionnez Ajouter un groupe, puis donnez un nom au groupe. Pour renommer un groupe, cliquez sur son nom, puis immobilisez le pointeur de la souris quelques secondes au-dessus du nom. Ce dernier devrait alors devenir modifiable. 3 Faites glisser les serveurs du groupe Tous les serveurs vers le nouveau groupe.Chapitre 7 Gestion 159 Regroupement de serveurs à l’aide de groupes intelligents Admin Serveur affiche les ordinateurs par groupes dans la section Liste des serveurs de la fenêtre de l’application. La liste par défaut des serveurs s’appelle Tous les serveurs. Il s’agit d’une liste de tous les ordinateurs administrés possibles que vous avez ajoutés et auxquels vous êtes authentifiés. Il est possible de créer des listes de serveurs qui se remplissent automatiquement en fonction de critères personnalisés. Une fois que vous avez créé un groupe intelligent, tout serveur ajouté à la liste Tous les serveurs (ou à une autre liste spécifiée) correspondant aux critères est ajouté de façon dynamique au groupe intelligent. Vous pouvez vous baser sur certains ou sur tous les critères suivants :  Services visibles  Services en cours d’exécution  Débit réseau  Utilisation du CPU  Adresse IP  Version du système d’exploitation Pour créer un groupe de serveurs intelligent : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste Serveur dans le bas de la fenêtre Admin Serveur. 2 Sélectionnez « Ajouter un groupe intelligent ». 3 Attribuez un nom au groupe intelligent. 4 Définissez les critères d’affichage des serveurs dans la liste, puis cliquez sur OK. Le groupe s’affiche dans la liste Serveur. Utilisation des réglages d’un serveur spécifique Pour utiliser les réglages de serveur généraux, sélectionnez un serveur dans la liste Serveurs. La barre d’outils comporte alors un certain nombre de boutons qui affichent des options de configuration ou des onglets d’options de configuration.160 Chapitre 7Gestion L’illustration ci-dessous présente la sous-fenêtre Réglages d’un serveur : Le tableau suivant contient un descriptif résumé de chaque bouton : Un clic sur Réglages vous donne accès aux sous-fenêtres ci-dessous :  Sous-fenêtre Général :cliquez sur Général pour utiliser le numéro de série du serveur ou activer la prise en charge du protocole SNMP, NTP ou SSH, de la Gestion à distance et de la fonction de synchronisation des dossiers de départ mobiles côté serveur. Bouton de barre d’outils Affichage Aperçu Informations sur le matériel, les logiciels, les services et l’état du serveur. Historiques Historique système et historique des systèmes de sécurité. Graphiques Historique graphique de l’activité du serveur. Partage Options de configuration pour la définition des dossiers de partage de fichiers, des points de partage et du montage automatique. Màj du serveur Mise à jour de logiciels disponibles auprès d’Apple pour mettre à jour les logiciels du serveur. Certificats Certificats de sécurité du serveur. Réglages Réglages réseau du serveur, numéro de série du logiciel serveur, contrôles d’accès aux services et autres informations.Chapitre 7 Gestion 161 SNMP est l’abréviation de Simple Network Management Protocol, une norme qui facilite la surveillance et la gestion de l’ordinateur. Le serveur utilise le projet open source net-snmp pour son implémentation de SNMP. Bien qu’aucun des outils d’administration du serveur n’utilise ou ne nécessite SNMP, son activation permet la surveillance et la gestion du serveur à partir de logiciels SNMP tiers, tels que HP OpenView. Utilisez la case NTP (Network Time Protocol) pour activer le service NTP. Pour en savoir plus sur le protocole NTP, consultez la section Administration des services de réseau. SSH est l’abréviation de Secure Shell. Le serveur utilise le projet open-source OpenSSH pour son implémentation de SSH. Lorsque vous activez SSH, vous pouvez utiliser des outils de ligne de commande pour administrer le serveur à distance. SSH est également utilisé pour d’autres tâches d’administration à distance de serveurs, telles que la configuration initiale du serveur, la gestion du partage, ou encore l’affichage des chemins du système de fichiers et du contenu des dossiers dans les outils d’administration du serveur. SSH doit être activé lors de la création d’une réplique Open Directory, mais il peut ensuite être désactivé. Gestion à distance permet d’administrer le serveur à l’aide d’Apple Remote Desktop. Vous devez activer et désactiver l’administration d’Apple Remote Desktop dans cette sous-fenêtre plutôt que dans la sous-fenêtre Partage des Préférences Système. Le suivi des fichiers côté serveur pour la synchronisation des dossiers de départ mobiles est une fonction des dossiers de départ mobiles. Consultez la section Gestion des utilisateurs pour en savoir plus sur l’activation de cette fonction.  Sous-fenêtre Réseau :cliquez sur Réseau pour visualiser ou modifier le nom d’ordinateur ou le nom d’hôte local du serveur ou pour visualiser la liste des interfaces réseau de ce serveur et leurs informations d’adressage. Le nom d’ordinateur est le nom qu’un utilisateur voit lors de l’exploration du réseau (/Réseau). Le nom d’hôte local est généralement dérivé du nom d’ordinateur, mais il peut être modifié. Le tableau des interfaces réseau indique le nom de l’interface, le type d’adressage (IPv4 ou IPv6), l’adresse IP et le nom DNS trouvés par la recherche inversée de l’adresse.  Sous-fenêtre Date et heure :cliquez sur Date et heure pour régler la date et l’heure du serveur, la préférence de source NTP et le fuseau horaire. Administration des services de réseau fournit des informations supplémentaires sur le protocole NTP.  Sous-fenêtre Notifications :cliquez sur Notifications pour configurer les notifications automatiques d’événements Mac OS X Server. Vous devez indiquer l’adresse électronique et le déclencheur de notifications dans cette sous-fenêtre. « Notification dans Admin Serveur » à la page 198 fournit des informations plus détaillées sur les notifications.162 Chapitre 7Gestion  Sous-fenêtre Accès :cliquez sur Accès pour contrôler les accès utilisateur à certains services et pour attribuer des privilèges d’administration aux utilisateurs. Lorsque vous sélectionnez l’onglet Services, vous configurez l’accès aux services pour les utilisateurs et les groupes (listes ACL des services). Vous pouvez configurer le même accès à tous les services, ou bien sélectionner un service et personnaliser ses réglages d’accès. Les contrôles d’accès sont simples. Choisissez entre autoriser tous les utilisateurs et groupes à utiliser les services, ou autoriser uniquement certains utilisateurs et groupes à utiliser les services. L’onglet Administrateurs vous permet d’accorder aux utilisateurs des privilèges d’administration ou de contrôle des services du serveur. « Définition des autorisations d’administration » à la page 169 fournit des informations plus détaillées sur ces réglages.  Sous-fenêtre Services :cliquez sur Services pour afficher ou masquer des services de ce serveur dans Admin Serveur. Modification de l’adresse IP d’un serveur Vous pouvez modifier l’adresse IP d’un serveur à partir de la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système ou à l’aide de l’outil networksetup. changeip est invoqué dès qu’un changement d’adresse réseau est détecté, indépendamment des circonstances de la modification. L’outil changeip parcourt tous les fichiers de configuration et les emplacements de stockage de l’adresse IP du serveur pour effectuer les remplacements nécessaires. L’adresse IP du serveur peut être modifiée sans qu’il soit nécessaire d’invoquer changeip à partir de la ligne de commande. Modification du nom d’hôte du serveur après la configuration Lorsque vous procédez à la configuration initiale du serveur dans le cadre d’une nouvelle installation, Assistant du serveur définit la valeur du nom d’hôte en affectant la valeur AUTOMATIC au paramètre de nom d’hôte dans /etc/hostname. Avec ce réglage, le nom d’hôte du serveur est le premier nom qui est vrai dans cette liste :  Le nom fourni par le serveur DHCP ou BootP pour l’adresse IP principale  Le premier nom renvoyé par une requête DNS inversé (adresse-vers-nom) pour l’adresse IP principale  Le nom d’hôte local  Le nom « localhost » Si vous souhaitez modifier le nom d’hôte après la configuration initiale, n’utilisez pas la sous-fenêtre Partage des Préférences Système pour modifier le nom d’ordinateur du serveur ; utilisez l’outil de ligne de commande changeip. Pour plus de détails, consultez la section Administration de ligne de commande ou la page man de changeip.Chapitre 7 Gestion 163 Modification du type de configuration du serveur Après avoir installé un serveur en configuration Standard ou Groupe de travail, il est possible de transformer cette configuration en configuration Avancée. Tous les réglages précédemment définis dans les Préférences Système sont conservés dans la nouvelle configuration. Aucun approvisionnement automatique des services de l’utilisateur ne se produit à nouveau. Le coupe-feu Préférences du serveur, distinct du coupe-feu Admin Serveur, est désactivé par la conversion de la configuration du serveur en configuration Avancée. Vous devrez activer et configurer le coupe-feu via Admin Serveur. Une fois la conversion effectuée, l’administration du serveur se fait à l’aide d’Admin Serveur et d’autres outils associés. Préférences Système ne peut être utilisé ; la conversion est irréversible et n’a lieu qu’une fois. Pour modifier la configuration de votre serveur : 1 Configurez un ordinateur d’administration, doté d’Admin Serveur, de Gestionnaire de groupe de travail et d’autres outils d’administration. Pour obtenir des instructions spécifiques, consultez la section « Configuration d’un ordinateur administrateur » à la page 155. 2 Lancez Admin Serveur et ouvrez une session sur le serveur à convertir. Pour plus d’informations sur l’ouverture de session, consultez la section « Ouverture de l’application Admin Serveur et authentification » à la page 157. Une zone de dialogue apparaît pour vous demander si vous souhaitez convertir le mode de configuration du serveur en mode Avancé. 3 Cliquez sur « Convertir à Avancé ». Le serveur n’est plus en mode de configuration Standard ou Groupe de travail.164 Chapitre 7Gestion Administration des services Pour utiliser un service particulier sur un serveur sélectionné dans la liste Serveurs d’Admin Serveur, cliquez sur le service dans la liste affichée sous le serveur. Vous pouvez afficher les informations relatives à un service (historiques, graphiques, etc.) et gérer ses réglages. Voici un exemple de sous-fenêtre de configuration de service dans Admin Serveur. Pour démarrer ou arrêter un service, sélectionnez-le, puis cliquez sur Démarrer ou sur Arrêter dans la barre d’outils inférieure. Ajout et suppression de services dans Admin Serveur Admin Serveur n’affiche que les services que vous administrez et masque toutes les autres sous-fenêtres de configuration de service tant qu’elles ne sont pas nécessaires. Pour pouvoir administrer un service, vous devez l’activer pour un serveur spécifique. Il apparaît alors sous le nom du serveur dans la liste principale Serveur. Pour ajouter ou supprimer un service dans Admin Serveur : 1 Sélectionnez le serveur destiné à héberger le service souhaité. 2 Cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils. 3 Cliquez sur Services. 4 Sélectionnez le service souhaité, puis cliquez sur Enregistrer. Le service, prêt pour la configuration, est alors affiché dans la liste.Chapitre 7 Gestion 165 Importation et exportation des réglages de service Pour copier des réglages de service d’un serveur vers un autre ou pour les enregistrer dans un fichier de liste de propriétés en vue de leur réutilisation, exécutez la commande d’exportation des réglages de service dans Admin Serveur. Pour exporter des réglages : 1 Sélectionnez le serveur souhaité. 2 Choisissez Serveur > Exporter > Réglages de service dans la barre des menus. 3 Sélectionnez les services dont vous souhaitez copier les réglages. 4 Cliquez sur Enregistrer. Le fichier créé contient toutes les informations de configuration de service sous la forme d’un document XML plist. Pour importer des réglages : 1 Sélectionnez le serveur cible destiné à recevoir les réglages. 2 Choisissez Serveur > Importer > Réglages de service dans la barre des menus. 3 Recherchez le fichier de service enregistré et sélectionnez-le. Cette fonction ne reconnaît que les documents XML plist, comme celui qui a été généré lors de l’exportation des réglages. 4 Cliquez sur Ouvrir. Contrôle de l’accès aux services Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour configurer les utilisateurs et groupes qui peuvent utiliser les services hébergés par un serveur. Vous devez définir l’accès aux services pour les utilisateurs et les groupes (SACL). Vous pouvez configurer le même accès à tous les services, ou bien sélectionner un service et personnaliser ses réglages d’accès. Les contrôles d’accès sont simples. Choisissez entre autoriser tous les utilisateurs et groupes à utiliser les services, ou autoriser uniquement certains utilisateurs et groupes à utiliser les services.166 Chapitre 7Gestion L’illustration suivant représente la sous-fenêtre SACL dans Admin Serveur : Sélectionnez un serveur dans la liste Serveurs, cliquez sur Réglages, sur Accès, puis sur Services. Vous pouvez spécifier séparément les contrôles d’accès des services individuels, ou définir un ensemble de contrôles qui s’appliquent à tous les services hébergés par le serveur. Utilisation de SSL pour l’administration à distance des serveurs Vous pouvez définir le niveau de sécurité des communications entre Admin Serveur et les serveurs distants en choisissant Admin Serveur > Préférences. Par défaut, Admin Serveur considère que toutes les communications établies avec des serveurs distants sont chiffrées par SSL. Cette option utilise un certificat auto-signé de 128 bits installé dans le répertoire /etc/servermgrd/ssl.crt à l’installation du serveur. Les communications utilisent HTTPS (port 311). Si cette option n’est pas possible, le protocole HTTP (port 687) est utilisé et du texte clair est échangé entre Admin Serveur et le serveur distant. Pour renforcer la sécurité, cochez également la case « Exiger une signature numérique valide (SSL) ».L’option « Exiger une signature numérique valide (SSL) » est désactivée par défaut. Elle utilise un certificat SSL installé sur un serveur distant afin de garantir que le serveur distant est un serveur valide.Chapitre 7 Gestion 167 Avant d’activer cette option, suivez les instructions décrites dans « Demande de certificat auprès d’une autorité de certificat », relatives à la création d’une demande de signature de certificat (CSR, Certificate Signing Request), l’obtention d’un certificat SSL auprès d’une autorité de certification et l’installation de ce certificat sur chaque serveur distant. Au lieu de placer les fichiers dans le répertoire /etc/httpd/, stockez-les dans /etc/servermgrd/. Vous pouvez également générer un certificat avec signature automatique et l’installer sur le serveur distant. Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour configurer et gérer les certificats SSL, autosignés ou émis, utilisés par le service de messagerie, le service web, le service Open Directory et d’autres services qui les prennent en charge. « Gestionnaire de certificats dans Admin Serveur » à la page 68 fournit des instructions d’utilisation d’Admin Serveur pour créer, organiser et utiliser des certificats de sécurité pour les services compatibles SSL. Les guides d’administration des services individuels décrivent comment configurer des services spécifiques pour l’utilisation de SSL. Si vous souhaitez définir des niveaux d’authentification SSL supérieurs, consultez les informations disponibles sur le site www.modssl.org. Gestion du partage Pour utiliser des points de partage et des listes de contrôle d’accès, cliquez sur l’icône Partage dans la barre d’outils d’Admin Serveur. Pour en savoir plus, consultez la section Administration des services de fichier.168 Chapitre 7Gestion L’illustration ci-dessous représente la sous-fenêtre de configuration Partage de fichiers dans Admin Serveur. Autorisations d’administration par niveaux Les versions précédentes de Mac OS X Server comportaient deux classes d’utilisateurs : les administrateurs et tous les autres utilisateurs. Les administrateurs pouvaient modifier les réglages de n’importe quel service ou les données de répertoire ainsi que les mots de passe et les politiques de mots de passe. Dans Mac OS X Server 10.5, vous pouvez désormais accorder à des utilisateurs et à des groupes certaines autorisations administratives sans les ajouter au groupe « admin » UNIX (c’est-à-dire sans en faire des administrateurs). Il existe deux niveaux d’autorisation :  Administrer :ce niveau d’autorisation est analogue à celui qui est attribué aux membres du groupe admin UNIX. Vous êtes autorisé à apporter n’importe quelle modification à un serveur ou à un service désigné (et à lui seul).  Contrôler :ce niveau d’autorisation permet de visualiser les sous-fenêtres Aperçu, les sous-fenêtres Historique et d’autres sous-fenêtres d’informations dans Admin Serveur, ainsi que les données d’état général du serveur dans les listes d’état des serveurs. Vous n’avez accès à aucun réglage de service enregistré.Chapitre 7 Gestion 169 Tout utilisateur ou groupe peut recevoir ces autorisations pour tous les services ou pour certains services sélectionnés. Les autorisations sont stockées par serveur. Les seuls utilisateurs autorisés à modifier la liste d’accès d’administration par niveaux sont les utilisateurs appartenant réellement au groupe admin UNIX. L’application Admin Serveur procédera à l’actualisation nécessaire pour indiquer quelles sont les opérations possibles en fonction des autorisations d’un utilisateur. Ainsi, certains services sont masqués ou leur sous-fenêtre Réglages est estompée si vous ne disposez que d’une autorisation de contrôle pour ces services. Comme cette fonctionnalité est appliquée côté serveur, les autorisations ont également une incidence sur l’utilisation des outils de ligne de commande serveradmin, dscl, dsimport et pwpolicy, car tous ils sont tous limités aux autorisations configurées pour l’administrateur. Définition des autorisations d’administration Vous pouvez décider si un utilisateur ou un groupe peut contrôler ou administrer un serveur ou un service sans lui attribuer l’ensemble des privilèges d’un administrateur UNIX. L’affectation d’autorisations effectives à des utilisateurs crée une administration par niveaux dans laquelle le nombre de tâches d’administration affectées à certains utilisateurs est limité. Pour affecter des autorisations : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Accès. 3 Cliquez sur l’onglet Administrateurs. 4 Indiquez si les autorisations d’administration doivent s’appliquer à tous les services ou à certains services du serveur. 5 Si vous choisissez de définir des autorisations par service, sélectionnez la case appropriée pour chaque service à activer. Si vous définissez des autorisations par service, assurez-vous que les administrateurs possèdent un accès à tous les services actifs du serveur. 6 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter un utilisateur ou un groupe à partir de la fenêtre des utilisateurs et des groupes. Pour supprimer des autorisations d’administration, sélectionnez un utilisateur ou un groupe, puis cliquez sur le bouton Supprimer (-). 7 Pour chaque utilisateur ou groupe, sélectionnez un niveau d’autorisations en regard de son nom. Vous pouvez choisir Contrôler ou Administrer.170 Chapitre 7Gestion Les capacités d’administration du serveur par Admin Serveur sont limitées par ce réglage quand le serveur est ajouté à la liste Serveur. Notions élémentaires sur Gestionnaire de groupe de travail Utilisez Gestionnaire de groupe de travail pour administrer les comptes suivants : comptes utilisateur, comptes de groupe et listes d’ordinateurs. Vous pouvez également l’utiliser pour définir les préférences des comptes utilisateur, des comptes de groupe, des ordinateurs Mac OS X et accéder à l’Inspecteur, une fonctionnalité avancée qui permet la modification des entrées Open Directory. Les sections suivantes décrivent l’utilisation générale de Gestionnaire de groupe de travail. Des instructions relatives aux tâches d’administration spécifiques sont disponibles dans l’aide de Gestionnaire de groupe de travail et dans plusieurs guides :  Gestion des utilisateurs explique comment utiliser Gestionnaire de groupe de travail pour gérer des comptes utilisateur, des comptes de groupe, des listes d’ordinateurs, des préférences et pour importer et exporter des comptes.  Administration des services de fichier décrit l’administration des points de partage à l’aide de la fonction Partage de Gestionnaire de groupe de travail.  Administration d’Open Directory fournit des informations sur l’utilisation de l’Inspecteur. Ouverture de Gestionnaire de groupe de travail et authentification Gestionnaire de groupe de travail est installé dans /Applications/Server/, vous pouvez l’ouvrir dans le Finder, dans le Dock ou en sélectionnant Présentation > Gestionnaire de groupe de travail dans la barre des menus d’Admin Serveur :  Lorsque vous ouvrez Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur que vous utilisez sans vous authentifier, vous avez un accès en lecture seule aux informations affichées dans le domaine local. Pour apporter des modifications, cliquez sur l’icône représentant un cadenas afin de vous authentifier en tant qu’administrateur de serveur. Cette procédure est la plus indiquée lorsque vous administrez différents serveurs et que vous travaillez avec divers domaines de répertoire.  Pour vous authentifier en tant qu’administrateur d’un serveur particulier, qu’il soit local ou distant, tapez l’adresse IP du serveur ou son nom DNS dans la fenêtre d’ouverture de session ou cliquez sur la zone du chemin d’accès aux répertoires dans la fenêtre Gestionnaire de groupe de travail pour choisir un autre serveur de répertoire. Tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe d’un administrateur du serveur, puis cliquez sur Se connecter. Procédez de cette manière si vous travaillez la plupart du temps avec le même serveur. Après avoir ouvert Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez ouvrir l’une de ses fenêtres pour un autre ordinateur en cliquant sur Nouvelle fenêtre dans la barre d’outils ou en choisissant Serveur > Se connecter.Chapitre 7 Gestion 171 Important :lorsque vous vous connectez à un serveur dans Gestionnaire de groupe de travail, veillez à ce que l’utilisation des majuscules et minuscules pour le nom d’utilisateur complet ou abrégé soit la même que dans le compte d’utilisateur. Administration de comptes Admin Serveur ne permet pas de gérer les comptes utilisateur et l’appartenance aux groupes. Pour ajouter et supprimer des utilisateurs et des groupes, utilisez Gestionnaire de groupe de travail. Pour en savoir plus sur l’administration de comptes, consultez la section Gestion des utilisateurs. Ce qui suit constitue un bref aperçu de l’administration de comptes à l’aide de Gestionnaire de groupe de travail. Nous vous conseillons toutefois de consulter d’autres ressources documentaires, car l’administration de comptes ne se résume pas aux informations fournies ici. Gestion des utilisateurs et des groupes Une fois que vous avez ouvert une session dans Gestionnaire de groupe de travail, la fenêtre du compte apparaît, affichant une liste de comptes d’utilisateur. Il s’agit initialement des comptes stockés dans le dernier noeud de répertoire figurant dans le chemin de recherche du serveur. Lorsque vous utilisez d’autres fenêtres de Gestionnaire de groupe de travail, telles que Préférences, cliquez sur Comptes dans la barre d’outils pour revenir à la fenêtre des comptes. L’illustration ci-dessous montre un exemple de sous-fenêtre de configuration d’enregistrement d’utilisateur dans Gestionnaire de groupe de travail.172 Chapitre 7Gestion Pour spécifier les répertoires dans lesquels sont stockés les comptes que vous souhaitez utiliser, cliquez sur l’icône en forme de globe. Pour utiliser différents comptes dans différentes fenêtres de Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Nouvelle fenêtre dans la barre d’outils. Pour administrer les comptes répertoriés, cliquez sur le bouton Utilisateurs, Groupes, Ordinateurs ou Groupes d’ordinateurs sur le côté gauche de la fenêtre. Vous pouvez filtrer les comptes répertoriés en utilisant la liste de recherche au-dessus de la liste des comptes. Pour actualiser la liste des comptes, cliquez sur le bouton Actualiser dans la barre d’outils. Pour simplifier la définition des attributs initiaux d’un compte à sa création, utilisez des préréglages. Un compte prédéfini est un modèle de compte. Pour créer un préréglage, sélectionnez un compte, configurez toutes les valeurs à votre convenance, puis choisissez Enregistrer le préréglage dans le menu local Préréglages, au bas de la fenêtre. Pour travailler uniquement avec les comptes correspondant à des critères spécifiques, cliquez sur Rechercher dans la barre d’outils. Les fonctions Rechercher incluent l’option permettant la modification simultanée des comptes sélectionnés. Pour importer ou exporter des comptes, sélectionnez ceux qui vous intéressent, puis choisissez Serveur > Importer ou Serveur > Exporter. Définition des préférences gérées Pour utiliser des préférences gérées pour les comptes d’utilisateur, les comptes de groupe ou les listes d’ordinateurs, cliquez sur l’icône Préférences dans la barre d’outils de Gestionnaire de groupe de travail.Chapitre 7 Gestion 173 L’illustration ci-dessous représente la sous-fenêtre d’aperçu de la gestion des préférences d’utilisateur dans Gestionnaire de groupe de travail : Cliquez sur Détails pour utiliser l’éditeur de préférences afin de modifier des manifestes de préférences. L’illustration ci-dessous constitue un exemple de feuille d’éditeur de préférences dans Gestionnaire de groupe de travail.174 Chapitre 7Gestion Utilisation de données de répertoire Pour modifier des données de répertoire brutes, utilisez l’Inspecteur de Gestionnaire de groupe de travail. L’illustration ci-dessous représente la sous-fenêtre Inspecteur de l’enregistrement dans Gestionnaire de groupe de travail : Pour afficher l’inspecteur : 1 Choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences. 2 Activez « Afficher l’onglet « Toutes les fiches » et l’inspecteur », puis cliquez sur OK. 3 Ensuite, cliquez sur le bouton Tous les enregistrements (qui ressemble à un oeil de boeuf) pour accéder à l’Inspecteur. 4 Utilisez le menu local situé au-dessus de la liste Nom afin de sélectionner les fiches qui vous intéressent. Par exemple, vous pouvez utiliser les utilisateurs, les groupes, les ordinateurs, les points de partage et beaucoup d’autres objets de répertoire. Personnalisation de l’environnement de Gestionnaire de groupe de travail Il existe plusieurs moyens d’adapter l’environnement de Gestionnaire de groupe de travail :  Pour contrôler l’affichage des comptes dans Gestionnaire de groupe de travail, ainsi que d’autres comportements, choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences.Chapitre 7 Gestion 175  Pour personnaliser la barre d’outils, choisissez Affichage > Personnaliser la barre d’outils.  Pour inclure des utilisateurs et groupes prédéfinis dans les listes d’utilisateurs et de groupes, choisissez Affichage > Afficher les utilisateurs et groupes du système.  Pour ouvrir Admin Serveur afin de contrôler et de modifier des services sur des serveurs particuliers, cliquez sur l’icône Admin Serveur dans la barre d’outils. Gestion d’ordinateurs de versions antérieures à la version 10.5 à partir de serveurs de version 10.5 Les serveurs Mac OS X Server 10.4 peuvent être administrés à l’aide des outils d’administration de serveur de la version 10.5. Il est possible d’utiliser Gestionnaire de groupe de travail sur un serveur de version 10.5 pour gérer des clients Mac OS X dotés de Mac OS X 10.3 ou ultérieur. Une fois que vous avez modifié un enregistrement d’utilisateur à l’aide de Gestionnaire de groupe de travail en version 10.5, cet enregistrement n’est plus accessible que via Gestionnaire de groupe de travail en version 10.5. Les préférences de clients Mac OS 9 peuvent être gérées à l’aide de Gestionnaire Macintosh depuis un serveur 10.5 uniquement si vous effectuez une mise à niveau avec la version 10.5. Vous pouvez utiliser une mise à niveau pour installer la version 10.5 sur un serveur doté de la version 10.3.9 ou de la version 10.2.8. Assistants de configuration des services Admin Serveur possède des assistants destinés à vous guider durant la configuration des services lorsque la procédure n’est pas limitée à une seule sous-fenêtre de configuration. Ces assistants vous proposent toutes les sous-fenêtres de configuration nécessaires à l’activation complète d’un service. Les assistants sont disponibles pour les services suivants :  Configuration de la passerelle :cet assistant vous aide à configurer votre serveur en tant que passerelle réseau. Ouvrez l’assistant en cliquant sur un bouton dans la partie inférieure droite de la page d’aperçu du service NAT.  Courrier électronique :cet assistant vous aide à configurer le service de courrier électronique pour les messages entrants et les messages sortants. Ouvrez l’assistant en cliquant sur un bouton dans la partie inférieure droite de la page d’aperçu du service de courrier électronique.  RADIUS :cet assistant vous aide à configurer l’authentification RADIUS pour des points d’accès sans fil Apple AirPort. Ouvrez l’assistant en cliquant sur un bouton dans la partie inférieure droite de la page d’aperçu du service RADIUS.176 Chapitre 7Gestion  Xgrid :cet assistant vous aide à configurer des contrôleurs Xgrid. Ouvrez l’assistant en cliquant sur un bouton dans la partie inférieure droite de la page d’aperçu du service Xgrid. Fichiers de données et de configuration critiques Lors de la sauvegarde de données et de réglages système, veillez plus particulièrement à assurer la sauvegarde de tous vos fichiers de configuration critiques. La nature et la fréquence de vos sauvegardes dépend des politiques de sauvegarde, d’archivage et de restauration de votre organisation. Pour plus d’informations sur la création d’une politique de sauvegarde et de restauration, consultez la section « Définition de politiques de sauvegarde et de restauration » à la page 34. Le tableau ci-dessous présente la liste des fichiers et données de configuration de services disponibles sur Mac OS X Server. Général Service iCal Serveur iChat Notifications Type de fichiers Emplacement États de service /System/Bibliothèque/LaunchDaemons/* Fichiers de configuration SSH et clés publiques/privées de l’hôte /etc/ssh/* Trousseau système /Bibliothèque/Keychains/System.keychain Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/caldavd/caldavd.plist Données /Bibliothèque/CalendarServer/Documents/ Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/jabberd/* Données mysqldump jabberd2 > jabberd2.backup.sql Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/emond.d/ /etc/emond.d/rules/ /Bibliothèque/Keychains/System.keychainChapitre 7 Gestion 177 QuickTime Streaming Server Service de coupe-feu Service NAT Services de messagerie Le tableau ci-dessous présente les fichiers de configuration et les emplacements de stockage des données de service de messagerie. Messagerie—SMTP Server Postfix Messagerie—POP/IMAP Server Cyrus Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /Bibliothèque/QuickTimeStreamingServer/Config/* /Bibliothèque/QuickTimeStreamingServer/Playlists/* /Bibliothèque/Application Support/Apple/QTSS Publisher/* Données :(emplacements par défaut) /Bibliothèque/QuickTimeStreamingServer/Movies/* ~user/Sites/Streaming/* Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/ipfilter/* Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/nat/* Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/postfix/ Données :(emplacements par défaut) /var/spool/postfix/ Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/imapd.conf /etc/cyrus.conf Données :(emplacement par défaut de la base de données du courrier) /var/imap (stockage des données du courrier électronique) /var/spool/imap178 Chapitre 7Gestion Les emplacements personnalisés sont définis dans /etc/impad.conf à l’aide des clés suivantes avec des valeurs par défaut : Courrier—Amavisd Courrier—Clam AV Courrier—Mailman Courrier—SpamAssassin Emplacements personnalisés Clé : paire de valeurs Emplacement de la base de données de courrier configdirectory :/var/imap Emplacement de stockage des données de courrier partition-default : /var/spool/imap Partitions de stockage de données supplémentaires (sans valeur par défaut) partition-xxx : /var/spool/mail_xxx Il peut exister plusieurs partitions de stockage de données supplé- mentaires Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/amavisd.conf Données :(emplacements par défaut) /var/amavis/ Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/clamav.conf /etc/freshclam.conf Données :(emplacements par défaut) /var/clamav/ /var/virusmails/ Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /var/mailman/ Données :(emplacements par défaut) /var/mailman/ Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/mail/spamassassin/local.cf Données :(emplacements par défaut) /etc/mail/spamassassin/Chapitre 7 Gestion 179 Service MySQL PHP Service web L’emplacement par défaut du contenu web est configurable et généralement modifié et étendu pour inclure plusieurs répertoires WebDAV et de contenu hôte virtuels. Remarque :les fichiers d’historique de service web constituent une source importante de recettes pour certains sites et leur sauvegarde doit être envisagée. Leur emplacement (configurable) peut être défini à l’aide d’Admin Serveur. Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration Il n’existe pas de fichier de configuration pour MySQL, mais l’administrateur peut en créer un qui doit alors être sauvegardé : /etc/my.cnf Données :(emplacements par défaut) /var/mysql/ mysqldump --all-databases > all.sql Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration Il n’existe pas de fichier de configuration pour PHP, mais l’administrateur peut en créer un (en copiant /etc/php.ini.default dans /etc/ php.ini, puis en le modifiant). Dans ce cas, le fichier suivant doit être sauvegardé : /etc/php.ini Données :(emplacements par défaut) Emplacement désigné par l’administrateur Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/httpd/* (pour Apache 1.3) /etc/apache2/* (pour Apache 2.2) /etc/webperfcache/* /Bibliothèque/Keychains/System.keychain Données :(emplacements par défaut) /Bibliothèque/WebServer/Documents/ /Bibliothèque/Logs/WebServer/* /Bibliothèque/Logs/Migration/webconfigmigrator.log (outil de migration de configuration Apache)180 Chapitre 7Gestion Serveur wiki et blog Amélioration de la disponibilité des services L’élimination des points de défaillance uniques et l’utilisation de Xserve et d’un maté- riel RAID constituent certains des éléments pouvant contribuer à augmenter la disponibilité de votre serveur. Vous pouvez aussi recourir à des options aussi bien simples, comme le recours à une alimentation de réserve, le redémarrage automatique, la garantie de conditions de fonctionnement adéquates (niveaux de température et d’humidité adaptés par exemple), etc.), qu’avancées (agrégation de liens, équilibrage de charge, réplique Open Directory, sauvegarde de données, etc.). Élimination des points de défaillance uniques Pour améliorer la disponibilité de votre serveur, réduisez ou éliminez les points de défaillance uniques. On qualifie de point de défaillance unique tout composant d’un environnement de serveur qui provoque la panne de ce dernier s’il est lui-même défaillant. Voici quelques exemples de points de défaillance uniques :  le système informatique;  le disque dur;  l’alimentation. Bien qu’il soit pratiquement impossible d’éliminer tous les points de défaillance uniques, essayez au moins de les réduire autant que possible. Ainsi, l’utilisation d’un système de sauvegarde et du basculement IP dans Mac OS X Server permet d’éliminer l’ordinateur comme point de défaillance unique. Même s’il est possible qu’un ordinateur principal et son ordinateur de réserve tombent en panne en même temps ou l’un après l’autre, la probabilité d’un tel événement demeure négligeable. Une autre manière d’éviter la défaillance d’un ordinateur est d’utiliser une source d’alimentation de réserve et d’utiliser un système RAID matériel pour effectuer une copie miroir du disque dur. Avec le RAID matériel, si le disque principal est victime d’une défaillance, le système peut toujours accéder aux mêmes données sur le disque miroir, comme c’est le cas avec Xserve. Type de fichiers Emplacement Fichiers de configuration /etc/wikid/* /Bibliothèque/Application Support/Apple/WikiServer (thèmes wiki et fichiers modèles) Données :(emplacements par défaut) /Bibliothèque/Collaboration/ Fichiers d’historique :(emplacement par défaut) /Bibliothèque/Logs/wikid/*Chapitre 7 Gestion 181 Utilisation de Xserve pour obtenir une haute disponibilité Xserve est conçu pour garantir une fiabilité élevée et donc une haute disponibilité. Bien que des ordinateurs de bureau tels que le Power Mac G5 ou le Mac Pro permettent d’assurer des services Mac OS X Server de manière très fiable, Xserve possède les fonctionnalités supplémentaires suivantes qui en font la solution idéale dans les situations requérant une haute disponibilité.  Xserve comporte huit ventilateurs. En cas de panne de l’un de ces ventilateurs, les sept autres accélèrent pour compenser la défaillance et permettre à votre serveur de continuer à fonctionner.  Une architecture de disques indépendante isole électriquement les disques de façon à empêcher que la défaillance d’un seul des disques n’entraîne une indisponibilité ou une dégradation des performances des disques restants, un problème souvent rencontré avec lesimplémentations SCSI multidisque.  Xserve exploite la logique de code correcteur d’erreurs (ECC, Error Correction Code) pour protéger le système contre les données endommagées et les erreurs de transmission. Chaque DIMM possède un module de mémoire supplémentaire qui stocke les données de somme de contrôle de chaque transaction. Le contrôleur système se sert de ces données ECC pour identifier les erreurs portant sur un seul bit et les corrige à la volée, évitant ainsi des arrêts système inopinés. Dans le cas très rare d’une erreur portant sur plusieurs bits, le contrôleur système détecte l’erreur et déclenche une notification système afin d’empêcher les mauvaises données de corrompre d’autres opérations. Vous pouvez configurer le logiciel Contrôle de serveur de manière à ce qu’il vous avertisse si le taux d’erreurs dépasse le seuil défini.  Xserve intègre l’écriture en miroir RAID matérielle qui protège votre serveur contre toute défaillance en cas de panne de disque principal. Pour plus d’informations sur Xserve, consultez le site www.apple.com/fr/xserve/. Utilisation d’une alimentation de réserve Dans l’architecture d’une solution de serveur, l’alimentation constitue un point de défaillance unique. Si l’alimentation est interrompue, vos serveurs s’éteignent sans pré- venir. Pour éviter toute interruption soudaine des services, pensez à ajouter une source d’alimentation de réserve. En fonction de votre application, vous pouvez choisir entre un générateur électrique de réserve et un périphérique d’alimentation sans interruption (UPS), qui vous permettront de gagner assez de temps pour avertir les utilisateurs de l’interruption imminente des services.182 Chapitre 7Gestion Utilisation d’UPS avec Xserve Xserve n’assure pas la connectivité de port série aux périphériques UPS, mais peut contrôler l’alimentation UPS via le réseau si l’unité UPS est équipée d’une carte réseau. Pour en savoir plus, renseignez-vous auprès des fournisseurs de périphériques UPS. L’illustration suivante représente un Xserve connecté à un onduleur via un réseau : Configuration du redémarrage automatique de votre serveur Vous pouvez configurer les options Économiseur d’énergie de votre ordinateur Mac OS X Server afin que ce dernier redémarre automatiquement s’il s’éteint à cause d’une panne de courant ou en cas de blocage du système. L’illustration ci-dessous représente la sous-fenêtre Économiseur d’énergie des Préférences Système : Xserve Appareil UPS Source d’alimentation Alimentation de secours Réseau localChapitre 7 Gestion 183 Les options de redémarrageautomatique sont les suivantes :  Redémarrage automatique après une panne de courant. L’unité de gestion de l’alimentation démarre le serveur automatiquement après une panne de courant.  Redémarrage automatique après un blocage. L’unité de gestion de l’alimentation démarre automatiquement le serveur dès que le serveur ne répond plus, souffre d’une panique de noyau ou se bloque. Lorsque vous sélectionnez l’option de redémarrage automatique après un blocage, Mac OS X Server génère le démon wdticklerd qui commande toutes les 30 secondes à votre ordinateur de redémarrer au bout de cinq minutes. À chaque fois que la commande est envoyée, la minuterie de redémarrage est réinitialisée. Par conséquent, la minuterie n’atteint jamais cinq minutes tant que le serveur fonctionne. Si l’ordinateur se bloque, l’unité de gestion de l’alimentation le redémarre à l’issue des cinq minutes. Pour activer le redémarrage automatique : 1 Ouvrez une session sur le serveur en tant qu’administrateur. 2 Ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Économiseur d’énergie. 3 Cliquez sur Options. 4 Sélectionnez des options de redémarrage sous Autres options. 5 Fermez les Préférences Système Pour assurer de bonnes conditions de fonctionnement La surchauffe est l’un des facteurs capables de causer un dysfonctionnement de vos serveurs. Ce problème est particulièrement susceptible de survenir si vous regroupez des ordinateurs en grappe dans un espace réduit. D’autres facteurs, tels que l’humidité et les variations électriques importantes, peuvent être préjudiciables à votre serveur. Pour protéger vos serveurs, veillez à les placer dans un endroit où vous pouvez contrô- ler ces facteurs et leur garantir des conditions de fonctionnement idéales. Pour connaî- tre ces conditions, vérifiez quelles sont les consignes indiquées pour vos systèmes en matière d’électricité et d’environnement. Assurez-vous également que le local dans lequel vous déployez votre serveur est équipé d’une alarme incendie et établissez un plan de secours anti-incendie. Fourniture de répliques Open Directory Si vous prévoyez de fournir des services Open Directory, vous devez penser à créer des répliques de votre maître Open Directory. Si le serveur maître est défectueux, les ordinateurs client pourront accéder à la réplique. Pour en savoir plus, consultez la section consacrée à la configuration de répliques Open Directory dans Administration d’Open Directory.184 Chapitre 7Gestion Agrégation de liens Bien que peu fréquentes, les défaillances de commutateur, de câble ou de carte d’interface réseau peuvent entraîner l’indisponibilité de votre serveur. Pour éliminer ce type de points de défaillance unique, vous pouvez utiliser l’agrégation de liens. Également appelée IEEE 802.3ad, cette technologie est intégrée à Mac OS X et à Mac OS X Server. L’agrégation de liens consiste à agréger ou combiner dans un lien logique unique plusieurs liens physiques en connectant votre Mac à un périphérique d’agrégation de liens (un commutateur ou un autre Mac). Le résultat est un lien à tolérance de pannes doté d’une bande passante égale à la somme des bandes passantes des liens physiques. Par exemple, vous pouvez configurer un Xserve avec quatre ports 1 Gbit/s (en1, en2, en3 et en4) et utiliser la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système pour créer une configuration de port d’agrégation de liens (bond0) combinant en1, en2, en3 et en4 en un seul lien logique. Le lien logique en résultant aura une bande passante de 4 Gbit/s. Ce lien offrira également une tolérance de pannes. Toute défaillance d’un ou de plusieurs liens physiques a pour effet de réduire la bande passante de votre Xserve, mais ce dernier peut toujours gérer les requêtes dès lors que les liens physiques ne sont pas tous simultané- ment défaillants. L’illustration suivante représente quatre ports Ethernet réunis en une seule et même interface : server1.exemple.com 400 Mbit/s 4 x 100 Mbit/s bond0 en1 en2 en3 en4 AlternerChapitre 7 Gestion 185 L’agrégation de liens vous permet également de tirer parti de votre matériel existant ou de matériel peu onéreux pour élargir la bande passante de votre serveur. Par exemple, vous pouvez former un agrégat de liens à partir d’une combinaison de plusieurs liens de 100 Mbit/s ou de liens de 1 Gbit/s. Le protocole d’agrégation de liens (LACP, Link Aggregation Control Protocol) L’agrégation de liens IEEE 802.3ad définit un protocole dénommé Link Aggregation Control Protocol (LACP) et utilisé par Mac OS X Server pour agréger (combiner) plusieurs ports en un agrégat de liens (un port virtuel) destiné aux connexions TCP et UDP. Lorsque vous définissez un agrégat de liens, les nœuds de part et d’autre de l’agrégat (par exemple, un ordinateur et un commutateur) utilisent LACP sur chaque lien physique pour :  déterminer si le lien peut être agrégé,  maintenir et contrôler l’agrégation. Si un nœud ne reçoit pas régulièrement de paquets LACP de son homologue (l’autre nœud de l’agrégat), il considère que ce dernier n’est plus actif et supprime le port de l’agrégat. Outre LACP, Mac OS X Server utilise un algorithme de distribution de cadres pour mapper une conversation sur un port spécifique. Cet algorithme n’envoie de paquets au système situé à l’autre extrémité de l’agrégat que si la réception de paquets y est activée. En d’autres termes, l’algorithme n’envoie pas de paquets si l’autre système « n’est pas à l’écoute ». Mapper une conversation sur un port particulier permet de garantir qu’aucune réorganisation de paquets n’aura lieu. Scénarios d’agrégation de liens Voici trois scénarios courants d’agrégation qu’il est possible de configurer :  Ordinateur-ordinateur  Ordinateur-commutateur  Ordinateur-paire de commutateurs Ces scénarios sont décrits dans les sections suivantes.186 Chapitre 7Gestion Ordinateur-ordinateur Dans ce scénario, vous connectez directement les deux serveurs (voir illustration suivante) à l’aide des liens physiques de l’agrégat de liens. Cela permet aux deux serveurs de communiquer à une vitesse plus élevée sans l’aide d’un commutateur. Cette configuration est idéale pour assurer la redondance dorsale. Ordinateur-commutateur Dans ce scénario, représenté ci-dessous, vous connectez votre serveur à un commutateur configuré pour l’agrégation de liens 802.3ad. Le commutateur devra disposer d’une bande passante de traitement du trafic entrant égale ou plus importante que celle de l’agrégat de liens (lien logique) que vous définissez sur votre serveur. Par exemple, si vous créez un agrégat de quatre liens 1 Gbit/s, vous devrez utiliser un commutateur capable de traiter le trafic entrant (provenant de clients) à 4 Gbit/s ou plus. Faute de quoi, l’avantage que constitue une bande passante plus large dans l’agrégat de liens ne sera pas totalement accompli. Remarque :pour en savoir plus sur la configuration de votre commutateur pour l’agrégation de liens 802.3ad, consultez la documentation fournie par le fabricant du commutateur. 4 x 100 Mbit/s server1.exemple.com Clients 4 x 1 Gbit/s 10 Gbit/sChapitre 7 Gestion 187 Ordinateur-paire de commutateurs Ce scénario, représenté dans l’illustration suivante, constitue une version améliorée du scénario ordinateur-commutateur puisque deux commutateurs sont utilisés pour éviter que le commutateur ne constitue un point de défaillance unique. Par exemple, vous pouvez connecter deux liens de l’agrégat de liens sur le commutateur principal et le reste des liens sur le commutateur de réserve. Ce dernier demeure inactif tant que le commutateur principal est actif. Si ce dernier tombe en panne, le commutateur de réserve prend le relais de façon transparente pour l’utilisateur. Bien que ce scénario ajoute de la redondance, dont l’avantage est de protéger le serveur contre toute indisponibilité en cas de défaillance du commutateur, il réduit en revanche la bande passante. Configuration de l’agrégation de liens dans Mac OS X Server Pour configurer votre Mac OS X Server pour l’agrégation de liens, vous devez disposer d’un Mac équipé d’au moins deux ports Ethernet compatibles IEEE 802.3ad. Vous devez également vous munir d’au moins un commutateur compatible IEEE 802.3ad ou d’un autre ordinateur Mac OS X Server équipé du même nombre de ports. server1.exemple.com 3 x 1 Gbit/s 2 x 1 Gbit/s188 Chapitre 7Gestion La création d’un agrégat de liens s’effectue dans la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système(voir l’exemple suivant) : Pour créer un agrégat de liens : 1 Ouvrez une session sur le serveur en tant qu’utilisateur administrateur. 2 Ouvrez Préférences Système. 3 Cliquez sur Réseau. 4 Cliquez sur le bouton représentant un engrenage et choisissez « Gérer des interfaces virtuelles » dans le menu local. 5 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) et sélectionnez « Nouvel agrégat de liens » dans le menu local. Remarque :cette option n’apparaît que si vous disposez d’au moins deux interfaces Ethernet dans votre système. 6 Tapez le nom de l’agrégat de liens dans le champ Nom. 7 Sélectionnez les ports à agréger à partir de la liste. 8 Cliquez sur Créer. 9 Cliquez sur Terminé. Par défaut, le système donne à l’agrégat de liens le nom d’interface bond , où est un nombre indiquant la priorité. Par exemple, le premier agrégat de liens est appelé bond0, le deuxième bond1 et le troisième bond2.Chapitre 7 Gestion 189 Le nom d’interface bond attribué par le système diffère du nom que vous donnez à la configuration de port d’agrégat de liens. Le nom d’interface est utilisé dans la ligne de commande, mais le nom de la configuration de port est réservé à la sous-fenê- tre Réseau des Préférences Système. Ainsi, le résultat de la commande ifconfig -a fait référence à l’agrégat de liens en utilisant le nom d’interface, pas le nom de la configuration de port : … bond0: flags=8843 mtu 1500 inet6 fe80::2e0:edff:fe08:3ea6 prefixlen 64 scopeid 0xc inet 10.0.0.12 netmask 0xffffff00 broadcast 10.0.0.255 ether 00:e0:ed:08:3e:a6 media: autoselect (100baseTX ) status: active supported media: autoselect bond interfaces: en1 en2 en3 en4 Vous ne pouvez pas supprimer une connexion de lien à partir de la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système. Vous devez le supprimer via la feuille « Gérer des interfaces virtuelles » utilisée pour le créer. Contrôle de l’état de l’agrégation de liens Vous pouvez contrôler l’état d’un agrégat de liens dans Mac OS X et Mac OS X Server à l’aide de la sous-fenêtre État de la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système. Pour contrôler l’état d’un agrégat de liens : 1 Ouvrez Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans la liste d’interfaces réseau à gauche, choisissez l’interface virtuelle de port d’agré- gat de liens. 4 Cliquez sur Avancé dans la partie inférieure droite de la fenêtre. 5 Sélectionnez l’onglet État de la connexion. La sous-fenêtre État affiche une liste dans laquelle une rangée est attribuée à chaque lien physique de l’agrégat de liens. Pour chaque lien, vous pouvez voir le nom de l’interface réseau, sa vitesse, son réglage de duplex, les témoins d’état du trafic entrant et sortant et une évaluation d’ensemble de l’état. Remarque :les témoins d’état Envoi et Réception possèdent un code couleur. La couleur verte signifie que le lien est actif et connecté. La couleur jaune signifie que le lien est actif mais n’est pas connecté. La couleur rouge signifie que le lien ne peut ni envoyer ni recevoir de trafic. 6 Pour consulter davantage d’informations à propos d’un lien, cliquez sur l’entrée correspondante dans la liste.190 Chapitre 7Gestion Équilibrage de la charge La surcharge de serveur est l’un des facteurs pouvant entraîner l’indisponibilité de vos services. Un serveur a des ressources limitées et ne peut gérer qu’un nombre restreint de requêtes à la fois. Si le serveur est surchargé, il ralentit et risque même de se bloquer. L’une des manières de résoudre ce problème est de répartir la charge au sein d’un groupe de serveurs (grappe de serveurs) à l’aide d’un périphérique d’équilibrage de la charge de tierce partie. Les clients envoient leurs requêtes au périphérique qui les transmet au premier serveur disponible en fonction d’un algorithme prédéfini. Les clients ne voient qu’une adresse virtuelle unique, celle du périphérique d’équilibrage de la charge. De nombreux périphériques d’équilibrage de charge font également office de commutateurs (voir illustration suivante), offrant ainsi deux fonctions en une, ce qui réduit la quantité de matériel nécessaire. Remarque :un périphérique d’équilibrage de charge doit être capable de traiter le trafic agrégé (combiné) des serveurs qui y sont connectés. Il constituerait sinon un goulet d’étranglement réduisant la disponibilité de vos serveurs. Grappe de serveurs Clients Interrupteur d’équilibrage de charge du serveurChapitre 7 Gestion 191 L’équilibrage de la charge présente plusieurs avantages :  Haute disponibilité. La répartition de la charge entre plusieurs serveurs contribue à réduire les risques qu’un serveur puisse tomber en panne du fait d’une surcharge de serveur.  Tolérance aux pannes. Si un serveur tombe en panne, le trafic est redirigé de façon transparente vers d’autres serveurs. Une brève interruption du service peut survenir si, par exemple, un serveur tombe en panne alors qu’un utilisateur est en train de télécharger un fichier depuis l’emplacement de stockage partagé, mais l’utilisateur peut toujours se reconnecter et relancer le processus de téléchargement.  Extensibilité. Si la demande de services augmente, vous pouvez ajouter d’autres serveurs à votre grappe de façon transparente.  Performances accrues. Vous pouvez répondre plus rapidement aux requêtes des utilisateurs en les envoyant aux serveurs les moins occupés. Vue d’ensemble des démons Lorsqu’un utilisateur ouvre une session sur un système Mac OS X, un certain nombre de processus sont déjà en cours d’exécution. La plupart de ces processus sont appelés démons. Un démon est un processus d’arrière-plan qui fournit un service aux utilisateurs du système. Le démon cupsd, par exemple, coordonne les demandes d’impression, tandis que le démon httpd répond aux requêtes de consultation de pages web. Visualisation des démons en cours d’exécution Pour afficher les démons en cours d’exécution sur votre système, utilisez l’application Moniteur d’activité (dans /Applications/Utilitaires/). Cette application permet d’afficher des informations sur tous les processus, y compris l’utilisation des ressources. Les démons suivants sont affichés indépendamment des services activés :  launchd (processus de tâche programmée et de surveillance)  servermgrd (processus d’interface d’outils d’administration)  serialnumberd (processus de conformité de licence)  mDNSresponder (processus de découverte de services sur réseau local) Contrôle des démons Bien que certains systèmes de type UNIX utilisent d’autres outils, Mac OS X Server a recours au démon launchd pour contrôler les tâches programmées et l’initialisation des processus. launchd Le démon launchd est une alternative aux outils UNIX courants suivants :init, rc, scripts init.d et rc.d, SystemStarter, inetd et xinetd, atd, crond et watchdogd. Tous ces services doivent être considérés comme obsolètes et les administrateurs sont vivement encouragés à attribuer les tâches de gestion de processus à launchd.192 Chapitre 7Gestion Le système launchd comporte deux utilitaires :le démon launchd et l’utilitaire launchctl. Le démon launchd a également remplacé init comme premier processus généré dans Mac OS X et il est, par conséquent, responsable du lancement du système au démarrage. Le démon launchd gère les démons au niveau système et au niveau utilisateur. Il peut :  démarrer des démons sur demande;  contrôler des démons pour s’assurer qu’ils sont en cours d’exécution. launchd utilise des fichiers de configuration pour définir les paramètres d’exécution des services et des démons. Les fichiers de configuration sont des fichiers de listes de propriétés stockés dans les sous-répertoires LaunchAgents et LaunchDaemons des dossiers Bibliothèque. Pour plus d’informations sur la création des fichiers de configuration de launchd, consultez la page de documentation destinée aux développeurs : developer.apple.com/documentation/MacOSX/Conceptual/BPSystemStartup/Articles/ LaunchOnDemandDaemons.html L’utilitaire launchctl est un outil de ligne de commande utilisé pour :  charger et décharger des démons;  démarrer et arrêter des tâches contrôlées par launchd;  obtenir des statistiques d’utilisation de système pour launchd et ses processus enfants;  définir des réglages d’environnement.8 193 8 Contrôle Un contrôle efficace contribue à détecter les problèmes potentiels avant leur apparition et d’être averti suffisamment tôt lorsqu’ils se produisent. La détection des problèmes potentiels vous permet de prendre les mesures nécessaires pour les résoudre avant qu’ils n’influent sur la disponibilité de vos serveurs. Être averti suffisamment tôt de l’apparition d’un problème vous permet en outre de prendre rapidement les mesures qui s’imposent et de minimiser l’interruption des services. Ce chapitre décrit brièvement la planification d’une politique de contrôle, la façon d’utiliser les outils de contrôle et la façon de trouver des informations supplémentaires. Planification d’une politique de contrôle La collecte de données concernant vos systèmes est une fonction de base pour une administration efficace. Chaque type de collecte de données répond à un objectif précis.  Collecte de données historiques :les données historiques sont collectées à des fins d’analyse. Elles peuvent être utilisées dans le cadre de la planification et de la budgé- tisation informatiques et servir de ligne de base pour les conditions normales d’exploitation du serveur. Quels sont les types de données nécessaires pour y parvenir ? Combien de temps doivent-elles être conservées ? À quelle fréquence doiventelles être mises à jour ? Sur quelle période passée doivent-elles être collectées ?  Contrôle en temps réel :le contrôle en temps réel génère des alertes et détecte les problèmes à mesure qu’ils surviennent. Que contrôlez-vous ? À quelle fréquence ? Ces données révèlent-elles ce que vous voulez savoir ? Certaines de ces collectes en temps réel servent-elles réellement à des fins d’historique ?194 Chapitre 8Contrôle Planification d’une réponse de contrôle La réponse apportée au contrôle est aussi importante que la collecte de données. De la même façon qu’une politique de sauvegarde est inutile sans stratégie de restauration, une politique de contrôle n’a pas de sens sans politique de réponse. Pour une réponse de contrôle, il est nécessaire de considérer un certain nombre de facteurs :  Quelles sont les méthodes de réponse appropriées ? En d’autres termes, dans quel cadre la réponse interviendra-t-elle ?  Quel est le délai de réponse ? Que peut-on considérer comme intervalle acceptable entre l’incident et la réponse ?  Quels sont les points à prendre en compte en ce qui concerne le dimensionnement ? Le plan de réponse peut-il traiter toutes les fréquences d’incident, quelles soient attendues ou non ?  L’environnement est-il doté de systèmes de contrôle ? Comment déterminer si la politique de contrôle collecte les données requises et si les réponses sont pertinentes et fournies à temps ? Avez-vous testé le système de contrôle récemment ? Widget d’état du serveur Le widget Dashboard d’état du serveur procure un accès rapide et des informations dans le cadre d’un système individuel. Il permet de contrôler l’activité de Mac OS X Server version 10.5 à partir de n’importe quel ordinateur équipé de Leopard ou de Leopard Server. État du serveur affiche des graphiques actualisés toutes les heures, tous les jours ou toutes les semaines sur l’activité du processeur, la charge réseau et l’utilisation des disques. Vous pouvez également afficher jusqu’à six services actifs et leurs rapports d’état. En cliquant sur le service, vous pouvez ouvrir la sous-fenêtre d’aperçu du service approprié dans Admin Serveur. Pour configurer le widget d’état du serveur : 1 Ajoutez le widget au Dashboard comme vous le feriez pour un autre widget. 2 Saisissez l’adresse IP ou le nom de domaine du serveur. 3 Fournissez un nom et un mot de passe d’ouverture de session d’administration ou de contrôle. 4 Cliquez sur Terminé. Pour changer l’adresse du serveur, le nom ou le mot de passe d’ouverture de session, cliquez sur le bouton d’information (i) en haut du widget et modifiez les réglages appropriés.Chapitre 8 Contrôle 195 Contrôle de serveur L’application Contrôle de serveur peut, dès qu’elle détecte des problèmes critiques, émettre des avertissements via courrier électronique, téléphone portable ou notification par messageur. Des capteurs intégrés détectent les facteurs de fonctionnement essentiels, tels que l’alimentation, la température et l’état de fonctionnement de plusieurs composants clés, et en établissent le rapport. L’interface Contrôle de serveur vous donne la possibilité de détecter rapidement les problèmes. Dans la fenêtre principale, Contrôle de serveur affiche chaque serveur sur une ligne séparée, en indiquant les informations de température correspondantes et l’état de chacun de ses composants, notamment les ventilateurs, les disques, les modules de mémoire, les systèmes d’alimentation et les connexions Ethernet. Un témoin d’état vert indique que le composant est OK, un témoin jaune signale un avertissement et un témoin rouge est synonyme d’erreur. Contrôle de serveur fonctionne pour uniquement pour les systèmes Xserve. Pour en savoir plus sur Contrôle de serveur, choisissez Aide Contrôle de serveur dans le menu d’Aide de Contrôle de serveur. RAID Admin À l’instar de Contrôle de serveur, vous pouvez configurer Admin RAID de façon à ce qu’il envoie un message par courrier électronique ou par radiomessagerie dès qu’un composant montre des signes de défaillance. Admin RAID affiche l’état de chaque unité et de chacun de ses composants, disques, fibre channel et connexions réseau notamment. Admin RAID utilise des témoins d’état verts, jaunes et rouges. Vous pouvez également le configurer de façon à ce qu’il vous envoie un courrier électronique ou une page lorsqu’un composant est en difficulté. De plus, Admin RAID vous fournit une vue d’ensemble de l’état des unités Xserve RAID affichées dans la fenêtre principale. Pour en savoir plus sur Admin RAID, choisissez Aide Admin RAID dans le menu d’Aide d’Admin RAID.196 Chapitre 8Contrôle Console Utilisez Console pour contrôler les fichiers d’historique afin de détecter d’éventuels problèmes susceptibles de provoquer la défaillance de votre serveur. Par exemple, vous pouvez contrôler le fichier /var/log/httpd/access_log de votre serveur web à la recherche de signes de déni d’attaques de service. Si vous détectez ces signes, vous pouvez immédiatement mettre en œuvre une réponse planifiée afin d’empêcher l’indisponibilité de votre serveur web. Pour améliorer l’efficacité de votre contrôle des fichiers d’historique, envisagez de l’automatiser à l’aide des commandes AppleScript ou Terminal telles que grep et cron. Pour plus d’informations sur l’utilisation de grep et de cron, consultez la section Administration de ligne de commande. Outils de contrôle de disque Si votre espace disque est épuisé, votre serveur risque de ne plus être fiable et il tombera probablement en panne. Pour éviter cela, vous devez constamment contrôler l’utilisation de l’espace disque sur vos serveurs et supprimer ou sauvegarder des fichiers afin de libérer de l’espace. Mac OS X Server est fourni avec de nombreux outils de ligne de commande que vous pouvez utiliser pour contrôler l’espace disque sur votre ordinateur :  df. Cette commande vous indique la quantité d’espace utilisée et la quantité disponible sur chaque volume monté. Par exemple, la commande suivante dresse la liste des volumes locaux et affiche l’utilisation des disques : df -Hl Filesystem Size Used Avail Capacity Mounted on /dev/disk0s9 40G 38G 2.1G 95% / Dans cet exemple, le disque dur est presque rempli puisque seuls 2,1 Go sont encore disponibles. Dans ce cas, il est recommandé de réagir immédiatement pour libérer de l’espace sur votre disque dur avant que sa capacité ne soit dépassée et que cela n’entraîne des problèmes pour vos utilisateurs.  du. Cette commande vous indique la quantité utilisée par des répertoires ou fichiers donnés. Par exemple, la commande suivante vous indique la quantité d’espace occupée par le répertoire de départ de chaque utilisateur : sudo du -sh /Users/* 3.2M /Users/Shared 9.3M /Users/omar 8.8M /Users/jay 1.6M /Users/liliChapitre 8 Contrôle 197 Le fait de savoir qui emploie le plus d’espace sur le disque dur vous permet de contacter les utilisateurs concernés pour leur demander de supprimer les fichiers dont ils n’ont plus besoin. Remarque :avec Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez définir des quotas de disque pour les utilisateurs et générer des rapports d’utilisation des disques. Pour plus d’informations, consultez la section Gestion des utilisateurs.  diskspacemonitor. Cette commande vous permet d’automatiser le processus de contrôle de l’utilisation de l’espace disque. Dès que la quantité d’espace libre descend sous le niveau que vous avez spécifié, diskspacemonitor exécute des scripts de shell qui vous envoient une notification. Cette commande définit deux niveaux d’action :  Alerte — Vous envoie un message d’avertissement lorsque l’utilisation de l’espace disque atteint 75 %.  Récupération — Archive les fichiers rarement utilisés et supprime les fichiers superflus lorsque l’utilisation de l’espace disque atteint 85 %. Pour plus d’informations sur ces commandes, consultez la page man correspondante ou la section Administration de ligne de commande. Outils de contrôle de réseau Une dégradation des performances de réseau et d’autres problèmes de réseau peuvent avoir un impact négatif sur la disponibilité de vos services. Les outils de contrôle réseau ci-après peuvent vous avertir suffisamment tôt d’éventuels problèmes, afin que vous puissiez prendre les mesures nécessaires pour éviter ou minimiser toute période d’immobilisation.  Pour contrôler l’activité du réseau, exécutez l’utilitaire tcpdump de Mac OS X Server. Cet utilitaire imprime les en-têtes des paquets entrants et sortants sur une interface réseau qui concorde avec les paramètres spécifiés. L’utilisation de tcpdump pour contrôler le trafic sur le réseau est particulièrement judicieuse lorsque l’on tente de détecter des dénis d’attaque de service. Par exemple, la commande suivante contrôle l’ensemble du trafic entrant au niveau du port 80 de votre ordinateur : sudo tcpdump -i en0 dst port 80 Si vous détectez un nombre inhabituel de requêtes émanant d’une même source, vous pouvez utiliser le service de coupe-feu pour bloquer le trafic issu de cette source. Pour plus d’informations sur tcpdump, consultez la page man correspondante ou la section Administration de ligne de commande.198 Chapitre 8Contrôle  Pensez à utiliser des scripts Ruby ou Perl, des scripts de shell ou des AppleScripts pour automatiser le processus de contrôle. Par exemple, l’utilisation de tcpdump pour contrôler le trafic peut s’avérer longue et fastidieuse, ce qui signifie que l’automatisation est nécessaire.  Pensez à utiliser Ethereal, un outil open-source X11 renifleur de paquets qu’il est possible d’exécuter dans l’environnement X11 sous Mac OS X Server. À la différence de tcpdump, cet outil possède une interface utilisateur graphique et un ensemble d’outils performants d’analyse de réseau. Pour en savoir plus sur Ethereal, rendez-vous sur le site www.ethereal.com/.  Vous pouvez utiliser d’autres outils de tierce partie qui analysent automatiquement le trafic réseau et vous avertissent en cas de problème. Notification dans Admin Serveur Admin Serveur possède un système de notification facile à utiliser et capable de vous tenir informé de l’état du disque dur ou des logiciels de votre serveur. Admin Serveur envoie un message électronique à n’importe quelle adresse (locale ou non) si :  l’espace disponible est inférieur à un certain pourcentage sur n’importe quel disque dur du système ;  des paquets de mise à jour de logiciels sont disponibles sur le site Apple. Pour utiliser la fonction de courrier électronique, le serveur lance le processus SMTP (courrier sortant) sur le serveur. Assurez-vous que le coupe-feu autorise le trafic SMTP provenant du serveur. Pour définir une notification : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Notifications. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous le champ Adresses à avertir, puis ajoutez une adresse. 4 Répétez cette procédure autant de fois que nécessaire, puis cliquez sur Enregistrer.Chapitre 8 Contrôle 199 Contrôle des aperçus de l’état du serveur à l’aide d’Admin Serveur Admin Serveur possède plusieurs moyens d’afficher un aperçu d’état :sous la forme d’informations détaillées pour un serveur individuel ou sous la forme d’une vue d’ensemble simplifiée de plusieurs serveurs. Pour afficher un aperçu d’état concernant un seul serveur : m Sélectionnez un serveur dans la liste Serveur. L’illustration ci-dessous montre un exemple de sous-fenêtre Aperçu pour un serveur. Cet aperçu indique le matériel de base, les versions de système d’exploitation, les services actifs, des graphiques d’historique du CPU, l’historique du débit du réseau et l’espace disque.200 Chapitre 8Contrôle Pour afficher un aperçu d’état concernant plusieurs serveurs : m Sélectionnez un groupe de serveurs, un groupe intelligent, le groupe Tous les serveurs ou le groupe Serveurs disponibles. L’illustration ci-dessous montre un exemple de sous-fenêtre Aperçu pour un groupe de serveurs. Cet aperçu comporte les informations suivantes :  nom d’hôte,  version du système d’exploitation,  graphique d’utilisation actuelle du CPU (pour afficher des nombres plus spécifiques, survolez cet élément avec la souris),  débit réseau actuel,  espace disque utilisé (pour afficher des nombres plus spécifiques, survolez cet élé- ment avec la souris),  durée de fonctionnement,  nombre d’utilisateurs connectés aux services de fichiers. Vous pouvez trier la liste par colonne.Chapitre 8 Contrôle 201 Protocole SNMP (Simple Network Management Protocol) Le protocole SNMP est un protocole couramment utilisé pour contrôler l’état d’un équipement réseau (routeurs et commutateurs intelligents par exemple), d’ordinateurs et d’autres périphériques réseau tels que des onduleurs. Mac OS X Server utilise NetSNMP pour implémenter SNMP v1, SNMP v2c et SNMP v3 à l’aide d’IPv4 et d’IPv6. SNMPv2 est le protocole d’accès par défaut et la chaîne communautaire en lecture seule par défaut est « public ». Activation des rapports SNMP L’accès SNMP n’est pas activé par défaut sur Mac OS X Server. Pour utiliser les outils SNMP afin d’obtenir des données sur votre système Mac OS X Server, configurez le service, puis activez-le. Pour activer SNMP 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Général. 3 Sélectionnez « Serveur de gestion de réseau (SNMP) ». 4 Cliquez sur Enregistrer. Si SNMP est actif, quiconque ayant établi une route vers l’hôte SNMP peut collecter des données SNMP à partir de celui-ci. 5 Utilisez la ligne de commande pour configurer les paramètres SNMP de base. Le processus SNMP ne démarre pas tant que /etc/snmpd.conf n’a pas été configuré pour le site actuel. Pour plus d’informations sur la procédure de configuration, consultez la section « Configuration de snmpd » à la page 201. Remarque :la configuration par défaut de snmpd utilise le port privilégié 161. Pour cette raison, elle doit être exécutée par root ou à l’aide de setuid. Nous vous conseillons de n’utiliser setuid en tant que root que si vous êtes conscient des conséquences possibles. Dans le cas contraire, faites-vous aider ou procurez-vous des informations supplémentaires. Les options disponibles pour snmpd modifient l’UID et le GID du processus après son démarrage. Pour plus d’informations, consultez la page man de snmpd. Configuration de snmpd Le fichier de configuration (.conf) de snmpd réside généralement dans /etc/snmpd.conf. Si vous possédez une variable d’environnement SNMPCONF,snmpd lit les fichiers snmpd.conf et snmpd.local.conf dans ces répertoires. Pour indiquer d’autres fichiers de configuration, le processus snmpd peut être lancé avec l’option -c. Pour plus d’informations sur l’utilisation des fichiers conf, consultez la page man de snmpd.202 Chapitre 8Contrôle Les fichiers de configuration peuvent être créés et installés plus élégamment à l’aide du script intégré /usr/bin/snmpconf. En tant que root, exécutez ce script avec l’option -i pour installer le fichier dans /usr/share/snmp/. Autrement, l’emplacement par défaut du fichier est le dossier de départ de l’utilisateur (~/). Seul l’utilisateur root est autorisé à écrire dans /usr/share/snmp/. Comme snmpd lit ses fichiers de configuration au démarrage, les modifications apportées aux fichiers de configuration nécessitent que le processus soit arrêté puis relancé. Vous pouvez arrêter snmpd à l’aide de ProcessViewer ou à partir de la ligne de commande (kill -HUP ). Pour activer et configurer SNMP : m Utilisez la commande /usr/bin/snmpconf. Elle permet d’ouvrir un assistant de configuration basique sous forme de texte, afin de définir le nom communautaire et d’enregistrer les informations dans le fichier de configuration. Le fichier de configuration snmp se trouve dans /usr/share/snmp/snmpd.conf. Exemple de configuration SNMP Étape 1 :Personnalisez les données 1 Pour personnaliser les données fournies par snmpd, ajoutez un fichier snmpd.conf à l’aide de /usr/bin/snmpconf en tant que root ou à l’aide de sudo, en exécutant cette commande : /usr/bin/snmpconf -i S’il existe des fichiers de configuration, vous pouvez les lire dans l’assistant et incorporer leur contenu au résultat obtenu par l’assistant. 2 Choisissez de lire dans le fichier en indiquant son emplacement :/etc/snmp/snmpd.conf. Une série de menus texte est alors affichée. 3 Effectuez vos choix dans cet ordre : a Sélectionnez un fichier :1 (snmpd.conf) b Sélectionnez une section :5 (configuration des informations système) c Sélectionnez une section :1 (emplacement [généralement physique] du système) d Emplacement du système :tapez une chaîne de caractères ici — « salle_serveur », par exemple. e Sélectionnez une section :f (terminer) f Sélectionnez une section :f (terminer) g Sélectionnez un fichier :q (quitter) Vous venez de créer un fichier snmpd.conf avec la date du jour comme date de création. Assurez-vous que le fichier existe en saisissant ls -l /usr/share/snmpd.conf.Chapitre 8 Contrôle 203 Étape 2 :Redémarrez snmpd pour valider les modifications 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Sélectionnez un serveur, cliquez sur le bouton Réglages dans la barre d’outils, puis cliquez sur l’onglet Général. 3 Désélectionnez « Serveur de gestion de réseau (SNMP) ». 4 Cliquez sur Enregistrer. Vous pouvez également effectuer cette procédure en interrompant, en tant que root, le processus smnpd, puis en le redémarrant à partir de la ligne de commande : /usr/sbin/snmpd Étape 3 :Collectez des informations SNMP provenant de l’hôte m Pour accéder aux informations disponibles via SNMP que vous venez d’ajouter, exécutez cette commande à partir d’un hôte sur lequel les outils SNMP sont installés : /usr/bin/snmpget -c public system.sysLocation.0 Remplacez par le nom véritable de l’hôte cible. Vous devriez voir l’emplacement que vous venez d’indiquer. Dans cet exemple, vous verriez : SNMPv2_MIB::system.sysLocation.0 = STRING:\”salle_serveur\” Les autres options du menu sont : /usr/bin/snmpget -c public system.sysContact.0 /usr/bin/snmpget -c public system.sysServices.0 Le « .0 » final indique que vous recherchez l’objet index. Le mot « public » est le nom de la communauté snmp que vous n’avez pas modifié. Pour plus d’informations sur l’un de ces éléments ou sur la syntaxe snmp, reportez-vous aux didacticiels disponibles sur net-snmp.sourceforge.net. Outils à utiliser avec SNMP Outre snmpget, il existe d’autres outils snmp installés, ainsi que des suites de tierce partie, gratuites ou payantes, présentant différents niveaux de complexité et des fonctions de génération de rapports. Informations supplémentaires Des informations supplémentaires sur SNMP sont disponibles à partir des sources ci-dessous. Pages man La saisie de man -k snmp dans Terminal génère la liste des pages man connues. Sites web Projet Net SNMP :  www.net-snmp.org  net-snmp.sourceforge.net204 Chapitre 8Contrôle Ouvrages Essential SNMP, de Douglas Mauro et Kevin Schmidt Éditeur :O’Reilly (deuxième édition, septembre 2005) ISBN :0-596-00840-6, 460 pages Démons de notification et de contrôle des événements Pour contrôler et journaliser les événements système, le système d’exploitation exé- cute plusieurs démons qui interceptent les messages provenant des applications et les consignent dans un journal ou agissent sur ces événements. Il existe deux démons principaux de notification :syslogd et emond.  syslogd :le démon syslogd est une méthode UNIX standard de contrôle de systèmes. Il consigne les messages conformément aux réglages figurant dans /etc/syslog.conf. Vous pouvez examiner les fichiers de sortie spécifiés dans cette configuration à l’aide d’un utilitaire d’impression ou d’édition standard, car il s’agit de fichiers en texte clair. Les administrateurs peuvent modifier ces réglages pour définir avec précision les élé- ments à contrôler. La plupart des administrateurs analysent automatiquement les fichiers d’historique à l’aide de scripts qui effectuent une action prédéfinie dès qu’une information donnée est rencontrée. Ces notifications personnalisées, qui varient en qualité et en utilité, peuvent être personnalisées selon les besoins particuliers du créateur du script. Il est possible de configurer le démon syslogd pour qu’il échange des informations sur le fichier d’historique avec un serveur distant (pour ce faire, modifiez /System/ Bibliothèque/LaunchDaemons/com.apple.syslogd.plist). Cette opération n’est pas conseillée, car syslogd n’utilise pas de connexion sécurisée pour envoyer des messages d’historique sur Internet.  emond :le démon emond constitue le système de contrôle d’événements de Mac OS X Server v10.5. Il s’agit d’un processus unifié qui gère les événements transmis par d’autres processus, agit sur ces événements en fonction d’un ensemble de règles définies, puis envoie un message de notification à l’administrateur. Actuellement, emond est le moteur qu’utilise le système de notification par courrier électronique d’Admin Serveur. Il n’est pas utilisé pour les notifications de Contrôle de serveur. Le service de haut niveau reçoit des événements émanant du client enregistré, puis analyse si l’événement doit être traité conformément aux règles fournies par le service au moment de son enregistrement. Si une réponse est nécessaire, l’action associée à l’événement est effectuée. Pour ce faire, le démon emond se compose de trois parties principales :le moteur de règles, les événements auxquels il peut répondre et les actions qu’il peut entreprendre.Chapitre 8 Contrôle 205 Le moteur de règles d’emond fonctionne comme suit. Il :  lit les informations de configuration dans /etc/emond.d/emond.conf ;  lit les règles dans les fichiers plist figurant dans le répertoire /etc/emond.d/rules/ ;  traite l’événement de démarrage ;  accepte les événements jusqu’à la fin de l’exécution ;  applique les règles associées à l’événement, les déclenchant au gré des besoins ;  effectue les actions spécifiées par les règles qui ont été déclenchées ;  s’exécute au niveau le moins privilégié possible (aucun). Journalisation Mac OS X Server conserve des fichiers d’historique UNIX standard et des historiques de processus propres à Apple. Les historiques du système d’exploitation sont disponibles dans :  /var/log  /Bibliothèques/Historiques  ~/Bibliothèques/Historiques Chaque processus est responsable de ses propres historiques, du niveau d’historique et du niveau de détail. Chaque processus ou application peut écrire son propre fichier d’historique ou utiliser un historique système standard tel que syslog. L’application Console (dans /Applications/Utilitaires) vous permet de lire ces historiques et d’autres historiques en texte clair, quel que soit leur emplacement. La plupart des services de Mac OS X Server possèdent une sous-fenêtre de journalisation dans Admin Serveur. Vous pouvez y définir les niveaux journalisation et afficher les historiques d’un service particulier. Syslog L’historique système (system log, syslog) est un emplacement polyvalent consolidé, destiné aux messages d’historique des processus. syslog possède plusieurs niveaux de détail d’historique. Si la journalisation est réglée sur le niveau minimal, aucun message détaillé n’est enregistré ; en revanche, le niveau maximal a pour effet de conserver tous les détails, ce qui augmente la taille des historiques et peut les rendre inexploitables. AVERTISSEMENT :les formats de fichier et les réglages figurant dans emond.conf et dans les fichiers plist de règles ne font pas l’objet d’une documentation destinée aux utilisateurs. Leur modification n’est pas prise en charge et risque de rendre le système de notification inutilisable.206 Chapitre 8Contrôle Le niveau de journalisation que vous utilisez pour syslog peut être adapté en fonction du processus concerné et doit correspondre au niveau nécessaire pour une notification et un débogage efficaces. Niveaux de journalisation syslog (par ordre croissant) Fichier de configuration syslog Le fichier de configuration est disponible dans /etc/syslog.conf. Chaque ligne présente le format suivant : . « fonction » correspond au nom du processus qui écrit dans l’historique, tandis que « chemin du fichier d’historique » correspond au chemin d’accès POSIX standard au fichier d’historique. Il est possible d’utiliser des astérisques (*) comme caractères géné- riques. Par exemple, le réglage correspondant au noyau est le suivant : kern.* /var/log/system.log Dans cet exemple, le fichier /var/log/system.log recevra tous les messages d’historique émanant du noyau quel que soit leur niveau. De même, le réglage suivant active la journalisation de tous les messages de niveau Urgence provenant de tous les processus dans un fichier d’historique personnalisé nommé « emergencies » : *.emerg /var/log/emergencies.log Nom du niveau Indicateur de niveau dans syslog.conf Quantité de détails Aucun .none Aucun Urgence .emerg Minimal Alerte .alert Erreur .err Avertissement .warn Avis .notice Info .info Déboguer .debug MaximalChapitre 8 Contrôle 207 Journalisation de débogage du service de répertoire Si vous souhaitez recevoir les informations de débogage envoyées par les processus du service de répertoire alors que vous utilisez Open Directory, choisissez une méthode de journalisation différente de systemlog. Vous devez activer manuellement la journalisation de débogage sur le processus. Une fois activée, cette journalisation de débogage écrit des messages dans le fichier d’historique, à l’emplacement suivant : /Bibliothèque/Logs/DirectoryService/DirectoryService.debug.log Les commandes suivantes doivent être exécutées avec des autorisations de superutilisateur (sudo ou root) : Pour activer ou désactiver manuellement la journalisation de débogage des services de répertoire : killall -USR1 DirectoryService Pour lancer le débogage au démarrage : touch /Library/Preferences/DirectoryService/.DSLogAPIAtStart Remarque :l’historique de débogage ne possède pas sa propre documentation et n’est pas conçu pour une journalisation normale. Il contient de très nombreuses informations difficiles à comprendre. Il affiche les appels d’API, les requêtes de modules et les réponses correspondantes. Journalisation Open Directory Le fichier de configuration se trouve dans /etc/openldap, les historiques dans /var/log/slapd.log. Chaque transaction de répertoire génère un historique de transaction distinct dans la base de données OpenLDAP. Les historiques de base de données et de transaction sont disponibles dans /var/db/openldap/openldap-data. Le processus slapd, qui régit l’utilisation d’Open Directory, possède un paramètre de plus destiné à une journalisation supplémentaire. Pour activer cette dernière, lancez la commande suivante : slapconfig -enablesslapdlog Pour exécuter slapd en mode de débogage : 1 Arrêtez slapd et retirez-le de la liste de surveillance de launchd : launchctl unload /System/Library/LaunchDaemons/org.openldap.plist 2 Redémarrez slapd en mode débogage : sudo /usr/libexec/slapd -d 99208 Chapitre 8Contrôle Journalisation AFP La partie serveur du protocole AFP (Apple File Service Protocol) assure le suivi des accès et des erreurs, mais ne possède pas beaucoup d’informations de débogage. Vous pouvez cependant ajouter la journalisation coté client aux clients AFP, afin de contribuer à la surveillance et au dépannage des connexions AFP. Pour activer la journalisation côté client : Effectuez toutes ces actions sur l’ordinateur client AFP. 1 Réglez le niveau de débogage du client (niveaux 0 à 8) : defaults write com.apple.AppleShareClientCore -dict-add afp_debug_level 4 2 Désignez le destinataire des messages d’historique du client (dans le cas présent,syslog) : defaults write com.apple.AppleShareClientCore -dict-add afp_debug_syslog 1 3 Activez la réception des messages de débogage du client dans syslog : Pour ce faire, ajoutez *.debug /var/log/debug.log au fichier syslogd.conf. 4 Redémarrez le processus syslog. Outils de contrôle supplémentaires Vous pouvez utiliser d’autres outils pour effectuer le contrôle de Mac OS X Server. Il existe plusieurs logiciels de contrôle de serveur de tierce partie, ainsi qu’un outil de contrôle Apple supplémentaire. La présence d’outils de tierce partie dans la liste ci-dessous ne signifie pas qu’Apple en recommande l’utilisation ou fournit une assistance pour ces produits. Ils sont mentionnés ici à titre d’information.  Apple Remote Desktop :les nombreuses fonctionnalités de ce logiciel permettent d’interagir avec des ordinateurs sous Mac OS X et Mac OS X Server, d’obtenir des rapports sur ces ordinateurs et d’assurer leur suivi. Il possède d’excellente fonctions d’administration et de génération de rapports.  Nagios (outil de tierce partie) :cet outil est une application open-source de contrôle de système et de réseau informatique.  Growl (outil de tierce partie) :cet outil est un service de notification extensible et centralisé qui prend en charge la notification locale et distante.9 209 9 Exemple de configuration L’exemple de configuration figurant dans ce chapitre illustre une des manières de configurer les infrastructures de répertoire et de réseau Mac OS X Server pour une petite entreprise. Un seul Mac OS X Server dans une petite entreprise Dans cet exemple, Mac OS X Server fournit des services de répertoire, de réseau et de productivité aux employés d’une petite entreprise : L’entreprise utilise un réseau local dans ses bureaux pour partager des fichiers et une imprimante. L’acquisition de Mac OS X Server a rendu possible l’implémentation d’un intranet utilisant les services DNS et DSL d’un FAI (fournisseur d’accès à Internet). Mac OS X Server (exemple.com) DSL Internet Imprimante partagée Clients Windows Clients Mac OS X Alterner Serveur DNS du FAI Client Mac OS X 192.168.0.1 VPN 210 Chapitre 9Exemple de configuration Voici un résumé des caractéristiques de cette étude de cas :  Un répertoire LDAP maître Open Directory sur le serveur centralise la gestion des utilisateurs, y compris l’authentification des utilisateurs Mac OS X et Windows.  Le service DNS du FAI fournit un nom de domaine DNS à l’entreprise (« exemple.com »).  Un serveur DNS exécuté sous Mac OS X Server fournit les services d’attribution de noms au serveur, à l’imprimante et à tout autre périphérique intranet disposant d’une adresse IP statique.  Un coupe-feu entre le serveur et Internet protège l’intranet de tout accès non autorisé.  Le service NAT permet aux utilisateurs de l’intranet de partager l’adresse IP du FAI pour accéder à Internet. Le service VPN, pour sa part, permet aux employés d’accéder en toute sécurité à l’intranet via Internet s’ils sont amenés à travailler en déplacement.  Le service DHCP sur Mac OS X Server attribue une adresse IP dynamique à chacun des ordinateurs clients de l’intranet. Le serveur et l’imprimante possèdent une adresse statique, mais les ordinateurs clients disposent chacun d’une adresse dynamique. Configuration du serveur Les étapes suivantes résument la configuration de Mac OS X Server pour cette petite entreprise fictive. Pour obtenir des informations complètes relatives à la configuration des services de répertoire, reportez-vous au guide Administration d’Open Directory. Pour en savoir plus sur la configuration d’un service réseau (coupe-feu IP, DHCP, etc.), reportez-vous au guide Administration des services de réseau. Étape 1 :configurez le réseau 1 Assurez-vous que le serveur possède deux interfaces Ethernet (ports) :une pour la connexion de l’intranet (réseau local, LAN) et une pour la connexion du modem DSL. Utilisez l’interface la plus rapide pour la connexion au serveur. Une connexion à 10 Mbits est plus que suffisante pour la connexion DSL. 2 Connectez le serveur au réseau local par le biais de l’interface la plus rapide. Dans notre exemple, le serveur est branché sur un commutateur permettant de connecter des ordinateurs clients et une imprimante partagée. Nous ferons désormais référence à cette interface sous le nom d’interface interne. Les périphériques intranet doivent être connectés à un concentrateur ou un commutateur à l’aide de câbles Ethernet CAT-5 de bonne qualité. Un commutateur à haut débit de 10/100/1000 mégabits est capable de prendre en charge les fonctionnalités de serveur avancées, telles que NetBoot, dont le fonctionnement optimal est lié à la vitesse de connexion. 3 Connectez le serveur au modem DSL à l’aide de l’autre interface Ethernet. Nous ferons désormais référence à cette interface sous le nom d’interface externe.Chapitre 9 Exemple de configuration 211 Étape 2 :contactez le fournisseur d’accès à Internet pour configurer les serveurs DNS externes Les serveurs de noms du FAI doivent servir la zone de l’entreprise, exemple.com, contenant toutes les adresses IP publiques de tous les serveurs et services disponibles pour Internet (par exemple, le serveur web de l’entreprise et sa passerelle VPN). En d’autres termes, la zone gérée par le FAI contient uniquement les adresses IP publiques et le serveur de noms du FAI fournit la redondance nécessaire. Le FAI doit aussi fournir les recherches DNS bidirectionnelles relatives au domaine de la zone pour toute adresse IP externe utilisée. Étape 3 :configurez un ordinateur d’administration 1 Installez les outils d’administration de serveur qui se trouvent sur le DVD Server Tools. Choisissez un ordinateur doté de Mac OS X 10.5 sur lequel installer les outils. Assurezvous que la communication réseau entre l’ordinateur administrateur et le serveur cible fonctionne. Pour obtenir des instructions complémentaires, consultez la section « Préparation d’un ordinateur administrateur » à la page 88. 2 Remplissez la Feuille d’opérations avancée Mac OS X Server située en annexe à la page 221. Ces informations seront nécessaires pour les différentes sous-fenêtres de l’assistant. Étape 4 :configurez le serveur et le répertoire maître 1 Démarrez le serveur à partir du DVD d’installation. La procédure à suivre dépend du type de matériel installé sur le serveur. Pour notre exemple, partons du principe que l’ordinateur possède un clavier et un lecteur DVD. Allumez l’ordinateur, insérez le DVD d’installation dans le lecteur optique, puis redémarrez l’ordinateur tout en maintenant la touche C du clavier enfoncée. Le chapitre 5, « Installation et déploiement » à la page 85 contient des instructions relatives à d’autres méthodes d’installation, telles que l’installation sur un serveur sans lecteur optique ou l’installation depuis un environnement NetInstall. 2 Démarrez l’Assistant réglages sur l’ordinateur administrateur. 3 Une fois l’Assistant réglages ouvert, choisissez « Installer Mac OS X Server sur un ordinateur distant ». AVERTISSEMENT :cet exemple présuppose que le FAI fournit la résolution DNS dans les deux sens pour l’adresse IP publique et le nom d’ordinateur du serveur. Si ce n’est pas le cas (par exemple, si la configuration de votre FAI n’est pas encore effectuée ou si vous comptez exécuter votre propre serveur de noms sur le serveur même), choisissez Serveur autonome à l’étape 4, puis transformez-le en maître ou réplique Open Directory seulement après avoir configuré un serveur DNS.212 Chapitre 9Exemple de configuration 4 Avancez dans les écrans d’installation en suivant les instructions affichées. Si vous devez formater le disque cible, consultez la section « Préparation des disques pour l’installation de Mac OS X Server » à la page 98 pour suivre les instructions de préparation de disques en vue de l’installation de Mac OS X Server. Le serveur redémarre une fois l’installation terminée. 5 Après avoir redémarré, rouvrez Assistant du serveur, puis choisissez l’option « Configurer un ordinateur distant ». 6 Utilisez les sous-fenêtres Langue et Clavier pour refléter la langue d’administration du serveur. 7 Dans la sous-fenêtre Compte d’administrateur, saisissez les nom et mot de passe de l’administrateur du serveur, puis cliquez sur Continuer. 8 Si vous ne retrouvez pas le serveur récemment installé dans la sous-fenêtre Noms de réseau, cliquez sur le bouton Ajouter (+), tapez l’adresse IP, saisissez les nom et mot de passe par défaut de l’administrateur, puis cliquez sur Continuer. Pour en savoir plus, consultez la section « Connexion au réseau lors de la configuration initiale du serveur » à la page 118. 9 Avancez dans les écrans d’installation en suivant les instructions affichées. 10 Assurez-vous que la sous-fenêtre Interfaces réseau contient la liste des interfaces Ethernet internes et externes. 11 Assurez-vous que l’interface externe est la première mentionnée dans la sous-fenêtre Interfaces réseau. La première interface de la liste correspond à l’interface principale, ou interface par défaut. Le trafic réseau provenant du serveur est acheminé vers l’interface principale. VPN l’utilise comme réseau public et traite toutes les autres interfaces de la liste comme réseau privé. 12 Cliquez sur Continuer. La sous-fenêtre Connexion TCP/IP apparaît pour chaque interface Ethernet. 13 Pour l’interface externe, choisissez Manuellement dans la liste locale Configurer IPv4, puis saisissez l’adresse IP, le masque de sous-réseau et la ou les adresses IP de serveurs DNS que votre FAI vous a fournies. Pour une configuration à double interface telle que celle de notre exemple, toutes les requêtes DNS sont acheminées à l’interface principale. Par conséquent, si vous exécutez le service DNS sur votre serveur, saisissez également l’adresse IP publique de la passerelle dans le champ Serveurs de nom. Pour une configuration manuelle, placez l’interface en haut de la liste de façon à ce qu’elle soit consultée avant les serveurs de votre FAI, puis cliquez sur Continuer.Chapitre 9 Exemple de configuration 213 14 Si vous comptez utiliser l’Assistant réglages de passerelle (accessible à partir de la section Service NAT d’Admin Serveur) pour configurer les réglages du réseau, vous n’avez pas à configurer d’interface interne. Dans le cas contraire, saisissez les valeurs suivantes pour l’interface interne, puis cliquez sur Continuer :  Configurer IPv4 : Manuellement  Adresse IP :192.168.0.1 (les valeurs 192.168 sont réservées aux réseaux locaux internes)  Masque de sous-réseau :255.255.0.0  Routeur :192.168.0.1  Serveurs DNS :192.168.0.1 15 Dans la sous-fenêtre Utilisation du répertoire, choisissez Maître Open Directory pour configurer un répertoire LDAP partagé sur le serveur ;sélectionnez ensuite « Activer le contrôleur de domaine principal Windows », puis saisissez un nom de domaine/groupe de travail. Ces réglages permettent de configurer un PDC Windows afin que les employés utilisant une station de travail Windows NT, Windows 2000 ou Windows XP puissent ouvrir une session sur le PDC, changer de mot de passe durant leur session et disposer de profils d’utilisateur itinérant et de dossiers de départ réseau sur le serveur. Un seul compte utilisateur suffit à chaque utilisateur pour ouvrir une session à partir d’une station de travail Windows ou d’un ordinateur Mac OS X et accéder au même dossier de départ réseau. 16 Cliquez sur Continuer. 17 Suivez les dernières instructions de l’assistant, puis cliquez sur Appliquer pour lancer la configuration du serveur. Le serveur redémarre une fois la configuration terminée. 18 Ouvrez une session sur le serveur sous l’identité de l’administrateur que vous avez défini à l’aide de l’Assistant du serveur. 19 Configurez les réglages réseau du serveur. Pour ce faire, la méthode la plus simple consister à passer par l’Assistant réglages de passerelle (voir l’étape 4). Vous pouvez également configurer chaque service réseau à l’aide d’Admin Serveur (voir étapes 5 à 8). Étape 5 :utilisez l’Assistant réglages de passerelle pour automatiser la configuration réseau du serveur 1 Ouvrez Admin Serveur sur l’ordinateur administrateur. 2 Si vous ne l’avez pas encore fait, connectez-vous au serveur et authentifiez-vous sous l’identité de l’administrateur que vous avez défini à l’aide de l’Assistant du serveur. 3 Sélectionnez le serveur et ajoutez les services à utiliser. Pour cette étape, sélectionnez le service NAT et le service Coupe-feu.214 Chapitre 9Exemple de configuration 4 Dans la sous-fenêtre Vue d’ensemble du serveur que vous configurez, cliquez sur le service NAT. 5 Ouvrez l’Assistant réglages de passerelle en cliquant sur le bouton situé dans la sous-fenêtre de la vue d’ensemble du service NAT. 6 Suivez les instructions affichées dans les sous-fenêtres en fournissant les informations demandées. Dans la sous-fenêtre Port WAN, sélectionnez le port configuré comme interface externe lors de la configuration initiale. Dans la sous-fenêtre Réglages VPN, activez VPN, puis spécifiez un secret partagé à utiliser pour les connexions client. Dans la sous-fenêtre Ports LAN, sélectionnez le port destiné à servir d’interface interne. 7 Une fois que l’Assistant réglages de passerelle a terminé la configuration du réseau et que vous avez fermé l’application, passez à l’étape 9. Étape 6 :configurez le coupe-feu 1 Ouvrez Admin Serveur sur l’ordinateur administrateur. 2 Si ce n’est pas encore fait, connectez-vous au serveur et authentifiez-vous sous l’identité de l’administrateur que vous avez défini à l’aide de l’Assistant du serveur. 3 Dans la liste des services, cliquez sur Coupe-feu. 4 Cliquez sur « Démarrer le coupe-feu » dans la barre d’action inférieure. 5 Cliquez sur Réglages, puis sélectionnez Services. 6 Choisissez « Modifier les services pour » le groupe d’adresses intitulé « 192.168-net ». 7 Choisissez « Autorisé » pour les services que vous voulez mettre à la disposition des employés travaillant au bureau. Sélectionnez au moins Service DNS, DHCP et NetBoot. 8 Choisissez « Modifier les services pour » le groupe d’adresses intitulé « Quelconque ». 9 Cliquez sur Services et sélectionnez « Autorisé » pour les services que vous voulez mettre à la disposition des clients externes à travers le coupe-feu. Sélectionnez au moins L2TP VPN, IKE et DHCP. 10 Cliquez sur Enregistrer. Étape 7 :configurez le service DNS Le DNS de Leopard Server gère les informations de zone (par exemple, tous les noms d’hôte complets du site local, tels que « site1.exemple.com ») en mappant cette zone privée sur des adresses IP locales privées. Cela permet d’éviter d’avoir à ajouter des serveurs publics au DNS local.Chapitre 9 Exemple de configuration 215 De plus, une zone de réexpédition DNS est configurée pour rechercher dans les enregistrements DNS du FAI tout ce qui est introuvable dans la zone DNS locale (telles les adresses IP des serveurs web d’autres organisations, comme www.apple.com). Remarque :comme nous l’avons mentionné à l’étape 2, cet exemple part du principe que votre FAI assure les services de résolution DNS bidirectionnelle pour la zone de votre entreprise , notamment la résolution de l’adresse IP publique du serveur. Le serveur de noms interne utilise par conséquent une zone interne telle que qui conserve les adresses IP privées du serveur et de tous les autres périphériques du réseau local. 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez DNS dans la liste des services. 2 Cliquez sur Zones, sur le bouton Ajouter (+) sous la liste Zones, puis sélectionnez « Ajouter une zone principale ». 3 Sélectionnez la zone par défaut, puis adaptez-la à votre entreprise. Dans notre cas, les réglages sont les suivants :  Nom de la zone principale :exemple.com  Adresse du serveur de noms :192.168.0.1  Adresse de l’admin. :admin@exemple.com 4 Ajoutez un enregistrement de machine à la zone en sélectionnant cette dernière, en cliquant sur « Ajouter un enregistrement », puis en sélectionnant « Ajouter une machine (A) » via le bouton local. 5 Sélectionnez l’enregistrement de machine situé sous le nom de la zone, modifiez-le en adoptant les réglages ci-dessous, puis cliquez sur Enregistrer une fois terminé.  Nom de la machine : myserver  Adresse IP : 192.168.0.1 6 À l’aide des réglages suivants, ajoutez d’autres ordinateurs à la zone. Par exemple, pour ajouter une imprimante, cliquez sur le bouton Ajouter, indiquez des valeurs applicables à l’imprimante, puis cliquez sur OK :  Adresse IP : 192.168.100.2  Nom : laserprinter_2000 7 Cliquez sur Réglages pour régler le serveur de façon à ce qu’il recherche à l’extérieur tout nom de domaine qu’il ne contrôle pas. 8 Dans la liste « Adresses IP du réexpéditeur », cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter les adresses DNS fournies par le FAI. 9 Cliquez sur Enregistrer, puis cliquez sur Démarrer le DNS.216 Chapitre 9Exemple de configuration Étape 8 :configurez le service DHCP Cette étape permet de configurer un serveur DHCP fournissant des adresses IP dynamiques aux ordinateurs des employés, ainsi que l’identité des serveurs DNS, LDAP et WINS à utiliser. Si la politique de recherche d’un ordinateur client est réglée sur Automatique (à l’aide de l’application Utilitaire d’annuaire sur l’ordinateur client), l’identité des serveurs DNS, LDAP et WINS est fournie en même que temps que les adresses IP. 1 Dans Admin Serveur, assurez-vous que le service DNS est en cours d’exécution. 2 Sélectionnez DHCP dans la liste des services. 3 Cliquez sur Sous-réseaux. 4 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour définir la plage d’adresses à attribuer de manière dynamique. Cette plage doit être suffisamment étendue pour accueillir tous les ordinateurs clients, présents et futurs. Veillez à exclure quelques adresses (en début ou en fin de plage) de façon à les réserver aux périphériques nécessitant une adresse IP statique ou aux utilisateurs du VPN. Voici quelques exemples de valeurs :  Masque de sous-réseau : 255.255.0.0  Adresse IP de début de plage : 192.168.0.2  Adresse IP de fin de plage : 192.168.0.102  Interface réseau : en1  Routeur : 192.168.0.1 5 Assurez-vous que la sous-fenêtre DNS contient les valeurs suivantes :  Domaine par défaut : exemple.com  Serveurs de nom : 192.168.0.1 6 Cliquez sur LDAP pour configurer le service DHCP afin d’identifier le serveur que vous configurez comme source d’informations de répertoire pour les clients recevant des adresses IP dynamiques. Le serveur que vous configurez doit être identifié dans le champ Nom du serveur, car vous l’avez configuré comme maître Open Directory lorsque vous avez utilisé Assistant du serveur. Les autres réglages sont facultatifs pour cet exemple. 7 Cliquez sur WINS pour configurer DHCP afin de fournir des paramètres propres à Windows aux clients recevant des adresses IP dynamiques ; indiquez ensuite les valeurs suivantes :  Serveur primaire WINS/NBNS : 192.168.0.1  Type de nœud NBT : Diffusion (nœud-b)Chapitre 9 Exemple de configuration 217 8 Cliquez sur Enregistrer, activez l’interface Ethernet interne, puis cliquez sur Démarrer le DHCP. Étape 9 :configurez le service NAT 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez NAT dans la liste des services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Sélectionnez l’interface externe dans le menu local « Interface réseau externe ». 4 Cliquez sur Enregistrer, puis sur Démarrer le NAT. Étape 10 :configurez le service VPN 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez VPN dans la liste des services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Activez L2TP via IPSec pour les utilisateurs d’ordinateurs Mac OS X 10.5, les utilisateurs de stations de travail Linux ou UNIX et les utilisateurs de Windows XP. Bien qu’il soit également possible d’utiliser PPTP, L2TP procure plus de sécurité car il exploite le protocole IPSec. 4 Saisissez des adresses IP de début et de fin pour indiquer au serveur VPN la plage qu’il peut attribuer aux clients. Ne reprenez pas les adresses servies par le serveur DHCP. Évitez également celles que vous spécifiez si vous activez le protocole PPTP. 5 Saisissez un secret partagé suffisamment complexe dans le champ « Secret partagé ». Utilisez par exemple des chiffres, des symboles et des caractères en majuscules et en minuscules pour former des combinaisons inhabituelles. La longueur recommandée est de 8 à 12 caractères. 6 Activez le protocole PPTP si les employés nécessitent un accès à l’intranet soit à partir de postes de travail Windows autres que des ordinateurs Windows XP, soit à partir d’ordinateurs Mac OS X 10.2, lorsqu’ils travaillent en déplacement. Pour prendre en charge des clients Windows de versions plus anciennes et non compatibles avec PPTP 128 bits, sélectionnez « Autoriser les clés de cryptage 40 bits, outre celles de 128 bits ». 7 Saisissez des adresses IP de début et de fin pour indiquer au serveur VPN la plage qu’il peut attribuer aux clients. Ne reprenez pas les adresses servies par le serveur DHCP. Évitez également celles que vous avez spécifiées au moment de l’activation du protocole L2TP via IPSec. 8 Cliquez sur Enregistrer, puis cliquez sur Démarrer le VPN.218 Chapitre 9Exemple de configuration Étape 11 :configurez les services de productivité L’infrastructure nécessaire pour configurer les services de fichiers, les services d’impression et d’autres services de productivité est désormais disponible. Suivez les instructions fournies dans les guides d’administration appropriés (dont la liste est présentée à la page 13) pour configurer les services qui vous intéressent. De nombreux services, tels que le service de fichiers Apple, requièrent une configuration minimale. Démarrez-les simplement à l’aide d’Admin Serveur. Étape 12 :créez des comptes utilisateurs et leurs dossiers de départ 1 Ouvrez Gestionnaire de groupe de travail. 2 Si vous ne l’avez pas encore fait, connectez-vous au serveur et authentifiez-vous sous l’identité de l’administrateur que vous avez défini à l’aide de l’Assistant du serveur. Le répertoire LDAP maître Open Directory est modifiable. Vous pouvez ajouter un compte pour chaque employé à ce répertoire maître. 3 Cliquez sur le bouton Nouvel utilisateur. 4 Spécifiez les réglages d’utilisateur dans les différentes sous-fenêtres. Le guide Gestion des utilisateurs vous indique comment configurer tous les attributs des comptes utilisateur, notamment les dossiers de départ. Il explique également comment gérer des utilisateurs en configurant des comptes de groupe et des listes d’ordinateurs, et comment configurer les préférences permettant de personnaliser les environnements de travail des clients Macintosh. Les guides Gestion des utilisateurs et Administration d’Open Directory expliquent comment mettre en place la prise en charge spécifique des utilisateurs de postes de travail Windows. Étape 13 :configurez les ordinateurs clients Les informations suivantes s’appliquent aux ordinateurs Mac OS X 10.5. 1 Si nécessaire, configurez les clients Mac OS X afin qu’ils obtiennent des informations du serveur DHCP. Les ordinateurs Mac OS X 10.5 sont configurés pour obtenir des adresses IP via DHCP et récupérer les informations de répertoire LDAP à partir du serveur DHCP. Une fois que vous avez configuré le service DHCP à l’aide d’informations relatives à un répertoire LDAP, ces informations sont transmises aux clients Mac OS X lorsqu’ils reçoivent leur adresse IP du serveur DHCP. Les réglages suivants sont préconfigurés :  Les préférences Réseau sont définies de façon à exploiter le protocole DHCP. Pour accéder au réglage, ouvrez les Préférences Système, ouvrez les préférences Réseau, sélectionnez l’interface Ethernet interne, puis l’option « Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle » ou « Via DHCP » dans le menu local Configurer IPv4.Chapitre 9 Exemple de configuration 219  La politique de recherche de l’ordinateur est réglée pour être définie automatiquement. Pour accéder à ce réglage, ouvrez Utilitaire d’annuaire (dans /Applications/Utilitaires/), puis cliquez sur Authentification. Si le cadenas est fermé, cliquez dessus et authentifiez-vous en tant qu’administrateur. Sélectionnez Automatique dans le menu local Rechercher, puis cliquez sur Appliquer.  La fourniture d’informations LDAP par DHCP est activée. Pour accéder à ce réglage, ouvrez Utilitaire d’annuaire et cliquez sur Services. Si le cadenas est fermé, cliquez dessus et authentifiez-vous en tant qu’administrateur. Sélectionnez LDAPv3 dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. Cliquez sur « Utiliser le serveur LDAP fourni par DHCP », puis sur OK. 2 Configurez les clients Mac OS X afin qu’ils puissent utiliser le serveur VPN. 3 Ouvrez l’application Connexion à Internet (dans /Applications/), puis cliquez sur VPN dans la barre d’outils. 4 Sélectionnez L2TP via IPSec ou PPP, puis cliquez sur Continuer. 5 Dans le menu local Configurations, choisissez Modifier les configurations. 6 Saisissez l’adresse IP externe communiquée par le FAI, les nom et mot de passe de l’utilisateur de l’ordinateur et, si vous avez choisi l’option L2TP via IPSec, le secret partagé. 7 Cliquez sur OK. 221 Annexe Feuille d’opérations avancées de Mac OS X Server Saisissez les réglages du serveur dans les tableaux ci-dessous : Nom du serveur : Élément Description Vos informations Identité du serveur distant pour l’installation et la configuration Pour l’installation et la configuration interactives d’un serveur distant sur le sous-réseau local, l’une de ces valeurs du serveur : - Adresse IP au format IPv4 (000.000.000.000) - Nom d’hôte (serveur.exemple.com) - Adresse MAC (00:03:93:71:26:52) Pour les installations et configurations à partir de la ligne de commande ou d’un sous-réseau distant, l’adresse IP du serveur cible au format IPv4. Mot de passe prédé- fini (pour l’installation et la configuration à distance) Les huit premiers chiffres du numéro de série matériel du serveur cible, imprimé sur une étiquette collée sur l’ordinateur. Pour les anciens ordinateurs ne portant pas ce type de numéro, tapez 12345678. Type d’installation Mise à niveau à partir de la version 10.3.9 ou de la dernière version 10.4, installation complète sans formatage de disque ou installation spéciale. Le volume (partition) cible est effacé lorsque vous effectuez une nouvelle installation. Disque ou partition cible. Nom du disque ou de la partition (volume) cible. Format de disque (lorsque l’effacement du disque est validé) Format du disque cible. Dans la plupart des cas, utilisez Mac OS Étendu (journalisé). Vous pouvez aussi utiliser le format Mac OS étendu ou le format HFS+ sensible à la casse. Partitionnement de disque (lorsque l’effacement du disque est validé) Indiquez si vous souhaitez partitionner le disque cible. La taille minimum recommandée d’une partition de disque cible est de 4 Go.222 Annexe Feuille d’opérations avancées de Mac OS X Server Mise en miroir RAID (lorsque l’effacement du disque est validé et que vous disposez d’un deuxième disque physique sur le serveur cible) Indiquez si vous souhaitez configurer la mise en miroir RAID. Le deuxième disque est utilisé automatiquement si le disque principal n’est pas disponible. Si le disque cible comporte une partition unique et que le deuxième disque physique comporte une partition unique sans aucune donnée, vous pouvez configurer la mise en miroir RAID après l’installation. Cependant, afin d’éviter toute perte de données, configurez la mise en miroir RAID le plus tôt possible. Utilisation de données de configuration enregistrées Si vous voulez utiliser les données de configuration enregistrées pour configurer ce serveur, identifiez le fichier ou le répertoire dans lequel elles sont stockées . Si les données sont chiffrées, identifiez également la phrase secrète. Si vous souhaitez enregistrer des réglages dans un fichier ou un répertoire, utilisez l’une des deux lignes suivantes. Enregistrement des données de configuration dans un fichier Nommez le fichier à l’aide de l’une des options suivantes :  .plist (notez les zéros initiaux mais omettez les deux-points, par exemple, 0030654dbcef.plist) ;  .plist (par exemple, 10.0.0.4.plist) ;  .plist (par exemple, monserveur.plist) ;  .plist (huit premiers caractères, par exemple, ABCD1234.plist) ;  .plist (par exemple, monserveur.exemple.com.plist) ;  .plist (par exemple, 10.0.plist correspond à 10.0.0.4 et 10.0.1.2) ;  générique.plist (fichier que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). Si vous chiffrez le fichier, vous pouvez enregistrer la phrase secrète dans un fichier nommé selon les conventions ci-dessus, mais utilisez l’extension .pass plutôt que .plist. Placez les fichiers à un emplacement où ils pourront être détectés par le ou les serveurs cibles. Un serveur peut détecter les fichiers qui résident sur un volume monté localement dans/Volumes/*/ Auto Server Setup/, où * correspond à n’importe quel périphérique monté sous /Volumes. Élément Description Vos informationsAnnexe Feuille d’opérations avancées de Mac OS X Server 223 Enregistrement de données de configuration dans un répertoire Accédez au répertoire dans lequel vous souhaitez enregistrer la configuration, puis nommez l’enregistrement de configuration à l’aide d’une des options suivantes :  (par exemple, 10.0.0.4) ;  (par exemple, monserveur) ;  » (par exemple, « Ordinateur de Jean »), mais il peut être modifié à loisir. Le nom d’ordinateur est utilisé pour parcourir les serveurs de fichiers du réseau, les files d’attente d’impression, la détection Bluetooth®, les clients Apple Remote Desktop et toute autre ressource réseau identifiant des ordinateurs par leur nom d’ordinateur plutôt que par leur adresse réseau. Ce nom sert également de base pour le nom d’hôte local par défaut. nom de portIdentifiant unique attribué à un port Fibre Channel. nom DNSNom unique d’un ordinateur, utilisé dans le système DNS (Domain Name System) pour convertir les adresses IP et les noms. Également appelé nom de domaine. NTPInitiales de « Network Time Protocol » (protocole d’horloge réseau). Protocole réseau utilisé pour synchroniser les horloges d’ordinateurs connectés à un réseau avec une horloge de référence donnée. Ce protocole permet de s’assurer que tous les ordinateurs d’un réseau affichent tous la même heure. Open DirectoryArchitecture de services de répertoire Apple, capable d’accéder à des informations autorisées concernant des utilisateurs et des ressources réseau à partir de domaines de répertoire utilisant les protocoles LDAP ou Active Directory, ou des fichiers de configuration BSD et des services de réseau. Open SourceTerme désignant le développement coopératif de logiciels par la communauté Internet. Le principe de base consiste à impliquer le maximum de personnes dans l’écriture et la mise au point du code en publiant le code source et en encourageant la formation d’une large communauté de développeurs qui feront part de leurs modifications et améliorations. ordinateur administrateurOrdinateur Mac OS X sur lequel vous avez installé les applications d’administration du serveur à partir du CD Mac OS X Server Admin. ordinateur invitéOrdinateur ne disposant pas d’un compte d’ordinateur. ouvrir une sessionSignifie démarrer une session sur un ordinateur (généralement en s’authentifiant en tant qu’utilisateur disposant d’un compte sur l’ordinateur) afin d’obtenir des services ou d’accéder à des fichiers. Il est important de faire la distinction entre l’ouverture de session et la connexion, cette dernière impliquant simplement l’établissement d’un lien physique avec l’ordinateur.248 Glossaire paquet d’installationFichier portant l’extension .pkg. Un paquet d’installation contient des ressources pour l’installation d’une application, notamment l’archive, les documents Ouvrez-moi et la licence, ainsi que des scripts d’installation. par défautAction automatique exécutée par un programme à moins que l’utilisateur n’en décide autrement. partitionSous-division de la capacité d’un disque physique ou logique. Les partitions sont constituées de blocs contigus sur le disque. passerelleNœud réseau faisant l’interface entre deux réseaux. Le terme fait souvent référence à un ordinateur assurant le lien entre un réseau local privé et un réseau WAN public, que ce soit avec ou sans NAT (Network Address Translation). Un routeur est un type particulier de passerelle qui relie des segments de réseau associés. période de bailDurée limitée pendant laquelle des adresses IP sont attribuées. L’utilisation de périodes courtes permet au protocole DHCP de réattribuer des adresses IP sur les réseaux comportant plus d’ordinateurs que d’adresses IP disponibles. PHPInitiales de « PHP Hypertext Preprocessor » (à l’origine, acronyme de « Personal Home Page », page d’accueil personnelle). Langage de script incorporé à HTML et utilisé pour créer des pages web dynamiques. point à pointUne des trois topologies physiques que Fibre Channel utilise pour interconnecter des nœuds. La topologie point à point consiste en une seule connexion entre deux nœuds. Voir aussi boucle arbitrée, tissu. point de montageEn diffusion en continu, chaîne utilisée pour identifier un flux en direct tel qu’un flux de séquence vidéo relayé ou non ou un flux MP3. Les points de montage qui décrivent des flux de séquence vidéo en direct se terminent toujours par l’extension .sdp. Point to Point Tunneling ProtocolVoir PPTP. politique de mot de passeEnsemble de règles déterminant la composition et la validité du mot de passe d’un utilisateur. politique de rechercheListe des domaines de répertoire parmi lesquels un ordinateur Mac OS X nécessitant des informations de configuration effectue ses recherches. Également, ordre dans lequel les domaines sont interrogés. Parfois appelée chemin de recherche. portSorte d’emplacement de messagerie virtuel. Un serveur utilise des numéros de port pour déterminer quelle application doit recevoir les paquets de données. Les coupe-feu utilisent des numéros de port pour déterminer si les paquets de données sont autorisés à transiter par un réseau local. Le terme « port » fait généralement réfé- rence à un port TCP ou UDP.Glossaire 249 POSIXInitiales de « Portable Operating System Interface for UNIX ». Famille de normes standard de systèmes UNIX ouverts, permettant d’écrire des applications dans un seul environnement cible au sein duquel elles peuvent être exécutées de manière identique sur un grand nombre de systèmes. PPTPInitiales de « Point to Point Tunneling Protocol ». Protocole de transport réseau utilisé pour les connexions VPN. Il constitue le protocole VPN standard sous Windows et utilise le mot de passe de l’utilisateur pour produire une clé de chiffrement. préférences géréesPréférences du système ou d’application contrôlées par les administrateurs. Gestionnaire de groupe de travail permet aux administrateurs de contrôler les réglages de certaines préférences système pour les clients gérés Mac OS X. privilègesDroit d’accéder à des zones restreintes d’un système ou d’effectuer certaines tâches (telles que les tâches de gestion) du système. processusProgramme en cours d’exécution et qui monopolise une partie de la mémoire. protocoleEnsemble de règles qui déterminent la manière dont les données sont échangées entre deux applications. QTSS PublisherApplication Apple (incluse avec Mac OS X Server) destinée à la gestion de données multimédias et de listes de lecture QuickTime et à la préparation de données en vue de leur diffusion en continu et de leur téléchargement. QuickTime Streaming Server (QTSS)Voir QTSS. RADIUSInitiales de « Remote Authentication Dial-In User Service » (service d’authentification d’utilisateur par connexion à distance). RAIDRedundant Array of Independent (or Inexpensive) Disks. Regroupement de plusieurs disques durs physiques en une matrice de disques, dont le rôle est soit de fournir un accès à débit élevé aux données stockées, soit d’effectuer une copie en miroir des données de façon à ce qu’elles puissent être reconstruites en cas de défaillance de disque, soit les deux. La matrice RAID est présentée au système de stockage en tant qu’unité de stockage logique unique. Voir aussi matrice RAID et niveau RAID. RAID 0Schéma RAID dans lequel les données sont distribuées également sur les segments composant une matrice de disques. RAID 0 accélère le transfert de données, mais n’assure aucune protection des données. RAID 0+1Combinaison de RAID 0 et de RAID 1. Ce schéma RAID est créé en entrela- çant des données sur plusieurs paires de disques en miroir. RAID 1Schéma RAID qui crée une paire de disques en miroir avec des copies identiques des mêmes données. Il fournit un degré élevé de disponibilité des données.250 Glossaire RAID 5Schéma RAID répartissant des données et des informations de parité sur une matrice de disques, un bloc à la fois, chaque disque fonctionnant indépendamment. Cela permet d’obtenir des performances maximales en lecture lors de l’accès à des fichiers volumineux. récursivitéProcessus de conversion complète des noms de domaine en adresses IP. Une requête DNS non récursive permet la référence à d’autres serveurs DNS pour convertir l’adresse. En règle générale, les applications des utilisateurs dépendent du serveur DNS pour effectuer cette fonction, mais les autres serveurs DNS n’ont pas à effectuer de requête récursive. répertoireVoir dossier. répertoire de départVoir dossier de départ. répertoire de départ localVoir dossier de départ local. réseau géréÉléments que les clients gérés sont autorisés à voir quand ils cliquent sur l’icône Réseau d’une fenêtre du Finder. Les administrateurs contrôlent ce réglage à l’aide de Gestionnaire de groupe de travail. Également appelé présentation de réseau. réseau localVoir LAN. ROM de démarrageInstructions de bas niveau utilisées par un ordinateur dans les premières étapes du démarrage. rootCompte qui n’est limité par aucune protection ni restriction sur un système. Les administrateurs système utilisent ce compte pour apporter des modifications à la configuration du système. royaumeTerme général utilisé pour plusieurs applications. Voir royaume WebDAV, royaume Kerberos. royaume KerberosDomaine d’authentification comprenant les utilisateurs et les services enregistrés auprès du même serveur Kerberos. Les utilisateurs et services enregistrés délèguent au serveur Kerberos la vérification de l’identité de chacun. royaume WebDAVPartie d’un site web, généralement un dossier ou un répertoire, défini pour fournir l’accès à des utilisateurs et des groupes WebDAV. SACLInitiales de « Service Access Control List » (liste de contrôle d’accès aux services). Vous permet de spécifier les utilisateurs et les groupes qui ont accès à des services particuliers. Voir ACL. SambaLogiciel open-source fournissant à des clients Windows, via le protocole SMB, l’accès aux fichiers, à l’impression, à l’authentification, à l’autorisation, à la résolution de noms et aux services réseau.Glossaire 251 sauvegardeEnsemble de données stockées à des fins de récupération au cas où la copie originale des données serait perdue ou deviendrait inaccessible. sauvegarderAction consistant à créer une sauvegarde. schémaEnsemble d’attributs et de types d’enregistrements ou de classes servant de plan pour les informations d’un domaine de répertoire. secret partagéValeur définie à chaque nœud d’une connexion VPN L2TP et servant de base de clé de chiffrement pour négocier les connexions d’authentification et de transport des données. Secure Sockets LayerVoir SSL. segmentPartition d’un disque faisant partie d’une matrice RAID. segmenterÉcrire des données sur des segments successifs composant une matrice RAID ou un LUN. Server Message BlockVoir SMB. serveurOrdinateur fournissant des services (service de fichiers, service de courrier électronique ou service Web, par exemple) à d’autres ordinateurs ou périphériques de réseau. serveur autonomeServeur qui fournit des services sur un réseau, mais qui n’obtient pas de services de répertoire auprès d’un autre serveur, ni ne fournit des services de répertoire à d’autres ordinateurs. Serveur d’applicationsLogiciel qui exécute et gère d’autres applications, généralement des applications web accessibles à l’aide d’un navigateur web. Les applications gérées résident sur le même ordinateur que le serveur d’applications. serveur de fichiersOrdinateur chargé de servir des fichiers à des clients. Un serveur de fichiers peut être un ordinateur polyvalent capable d’héberger des applications supplé- mentaires ou un ordinateur capable uniquement de transférer des fichiers. serveur de mots de passeVoir serveur de mots de passe Open Directory. serveur de nomsServeur d’un réseau qui tient à jour une liste des noms de domaines et des adresses IP associées à chaque nom. Voir aussi DNS,WINS. serveur RADIUSOrdinateur du réseau fournissant une base de données centralisée d’informations d’authentification pour les ordinateurs sur le réseau.252 Glossaire service de journal webService Mac OS X Server permettant aux utilisateurs et aux groupes de créer et d’utiliser des blogs de façon sécurisée. Le service de journal web repose sur l’authentification Open Directory pour vérifier l’identité des auteurs et des lecteurs de blogs. En cas d’accès via un site web acceptant le protocole SSL, le service de journal web utilise le chiffrement SSL pour sécuriser davantage l’accès aux blogs. services de répertoireServices fournissant au logiciel système et aux applications un accès uniforme aux domaines de répertoire et à d’autres sources d’informations relatives aux utilisateurs et aux ressources. shellProgramme exécutant d’autres programmes. Vous pouvez utiliser un shell pour communiquer avec l’ordinateur en tapant des commandes à l’invite du shell. Voir aussi interface de ligne de commande. signature numériqueSignature électronique permettant de vérifier l’identité de l’expéditeur d’un message. SLP DAInitiales de « Service Location Protocol Directory Agent ». Protocole qui enregistre les services disponibles sur un réseau et permet aux utilisateurs d’y accéder aisé- ment. Lorsqu’un service est ajouté au réseau, il utilise le protocole SLP pour s’enregistrer. SLP DA utilise un point de dépôt centralisé pour les services réseau enregistrés. SMBProtocole SMB (Server Message Block). Protocole permettant à des ordinateurs clients d’accéder à des fichiers et à des services de réseau. Il peut être utilisé via TCP/IP, Internet ou d’autres protocoles. Les services SMB utilisent ce protocole pour fournir l’accès aux serveurs, aux imprimantes et à d’autres ressources réseau. SMTPInitiales de « Simple Mail Transfer Protocol » (protocole simple de transfert de courrier). Protocole servant à envoyer et à transférer du courrier électronique. Sa capacité à mettre les messages entrants en file d’attente est limitée. SMTP n’est donc géné- ralement utilisé que pour envoyer des messages, tandis que le protocole POP ou IMAP est utilisé pour recevoir des messages. SNMPInitiales de « Simple Network Management Protocol » (protocole simple de gestion de réseau). Ensemble de protocoles standard utilisés pour gérer et contrôler des périphériques réseau multiplateformes. sous-domaineParfois appelé nom d’hôte. Partie du nom de domaine d’un ordinateur sur Internet. N’inclut pas l’indicateur de domaine ou de domaine de premier niveau (par exemple .com, .net, .fr, .be). Le nom de domaine « www.exemple.com » est constitué du sous-domaine « www », du domaine « exemple » et du domaine de premier niveau « com ». sous-répertoireRépertoire appartenant à un autre répertoire.Glossaire 253 sous-réseauRegroupement, sur un même réseau, d’ordinateurs clients organisés par emplacement (par exemple, selon les différents étages d’un bâtiment) ou par emploi des ressources (par exemple, tous les étudiants en classe de seconde). L’utilisation des sous-réseaux simplifie l’administration du réseau global. Voir aussi sous-réseau IP. sous-réseau IPPartie d’un réseau IP, éventuellement un segment de réseau physiquement indépendant, partageant une adresse réseau avec d’autres parties du réseau et identifiée par un numéro de sous-réseau. SpotlightMoteur de recherche complet servant à effectuer des recherches parmi vos documents, vos images, vos séquences vidéo, vos documents PDF, vos messages électroniques, vos événements de calendrier et vos préférences système. Il permet de rechercher un élément d’après le texte qu’il contient, son nom de fichier ou des informations qui lui sont associées. SSLInitiales de « Secure Sockets Layer » (couche sécurisée pour sockets réseau). Protocole Internet permettant d’envoyer des informations authentifiées et chiffrées à travers Internet. Les versions les plus récentes de SSL sont connues sous le nom de TLS (Transport Level Security). système de fichiersSchéma de stockage de données sur des périphériques de stockage et qui permet aux applications de lire et d’écrire des fichiers sans s’occuper de détails de niveau inférieur. TCPInitiales de « Transmission Control Protocol » (protocole de contrôle des transmissions). Méthode utilisée conjointement avec le protocole IP (Internet Protocol) pour envoyer des données, sous la forme d’unités de message, d’un ordinateur à un autre à travers Internet. Le protocole IP gère la livraison effective des données, tandis que le protocole TCP assure le suivi des unités de données (chaque message est divisé en unités, appelées « paquets », qui permettent leur acheminement efficace sur Internet). téraoctetVoir To. texte clairTexte n’ayant pas été chiffré. texte en clairDonnées non chiffrées. ToTéraoctet. 1 099 511 627 776 (2 40 ) octets. tousTout utilisateur pouvant ouvrir une session sur un serveur de fichiers : un utilisateur enregistré ou un invité, un utilisateur FTP anonyme ou encore un visiteur de site web. transfert de zoneMéthode selon laquelle les données d’une zone sont répliquées (copiées) sur des serveurs DNS d’autorité. Les serveurs DNS esclaves demandent des transferts de zone à leurs serveurs maîtres afin d’en acquérir les données.254 Glossaire tunnelingTechnologie permettant à un protocole de réseau d’envoyer ses données en adoptant le format d’un autre protocole. type d’enregistrementCatégorie particulière d’enregistrements, faisant référence, par exemple, à des utilisateurs, des ordinateurs et des montages. Un domaine de répertoire peut contenir un nombre différent d’enregistrements pour chaque type d’enregistrements. URLInitiales de « Uniform Resource Locator » (localisateur uniforme de ressources). Adresse d’un ordinateur, d’un fichier ou d’une ressource, accessible à travers un réseau local ou Internet. L’URL se compose du nom du protocole nécessaire pour accéder à la ressource, d’un nom de domaine identifiant un ordinateur particulier sur Internet et d’une description hiérarchique de l’emplacement d’un fichier sur l’ordinateur. utilisateur invitéUtilisateur autorisé à ouvrir une session sur un serveur sans nom d’utilisateur et mot de passe. Utilitaire d’images de réseauUtilitaire fourni avec le logiciel Mac OS X Server, permettant de créer des images disque pour les services NetBoot et Installation en réseau. Les images disque peuvent contenir le système d’exploitation Mac OS X, des applications ou les deux. Virtual Private NetworkVoir VPN. volumeAllocation d’unité de stockage montable, qui se comporte, du point de vue du client, comme un disque dur local, une partition de disque dur ou un volume réseau. Dans Xsan, les volumes sont composés d’une ou de plusieurs réserves de stockage. Voir aussi disque logique. VPNvirtual private network. Réseau utilisant le chiffrement et d’autres technologies pour assurer des communications sécurisées à travers un réseau public, généralement Internet. Les VPN sont de façon générale moins chers que les réseaux privés réels à lignes privées, mais ils reposent sur l’utilisation du même système de chiffrement aux deux extrémités. Le chiffrement peut être assuré par un logiciel de coupe-feu ou par des routeurs. WANInitiales de « Wide area network » (réseau étendu). Réseau maintenu au sein d’établissements géographiquement distincts, contrairement à un réseau LAN (réseau local) qui est limité à un établissement. Votre interface WAN correspond généralement à celle qui est connectée à Internet. WebDAVWeb-based Distributed Authoring and Versioning. Environnement de création en direct permettant à des utilisateurs clients de prendre des pages web, de les modifier, puis de les rendre à leur site d’origine sans interruption de ce dernier. wide area networkVoir WAN.Glossaire 255 wikiSite web permettant à des utilisateurs de modifier des pages de façon collaborative et d’accéder aisément aux pages précédentes à l’aide d’un navigateur web. Windows Internet Naming ServiceVoir WINS. WINSInitiales de « Windows Internet Naming Service » (service de noms Internet pour Windows). Service de résolution de noms utilisé par les ordinateurs Windows pour faire correspondre le nom des clients aux adresses IP. Un serveur WINS peut se trouver sur un réseau local ou à l’extérieur sur Internet. zone de réexpéditionZone DNS ne conservant aucune donnée et chargée de réexpé- dier les requêtes DNS vers une autre zone. zone esclaveEnregistrements de la zone DNS conservés par un serveur DNS secondaire. Une zone esclave reçoit ses données par le biais de transferts de zone depuis la zone maîtresse du serveur DNS principal. zone maîtresseEnregistrements de la zone DNS conservés par un serveur DNS principal. Une zone maîtresse est répliquée par des transferts de zone à des zones esclaves sur des serveurs DNS secondaires. 257 Index Index A accès installation à distance91 LDAP22 listes de contrôle d’accès61 listes de contrôle d’accès (ACL)80 listes de contrôle d’accès à un service (SACL)80, 81 restrictions en matière d’adresses IP58 utilisateur162, 165 utilitaire Trousseau d’accès72 Voir aussi autorisations ACL (listes de contrôle d’accès)61 administrateur79, 80, 81, 168, 169 Admin RAID195 Admin Serveur authentification42, 43, 68, 157 certificats68, 166 contrôle de l’accès165 et la création d’images système53 état du serveur199 gestion des services164 outil d’administration157 ouverture42, 43, 68, 157 personnalisation45 système de notification198 vue d’ensemble11, 42, 43, 68 adressage IPv623 adresse IP modification de l’adresse IP du serveur162 adresses. Voir adresses IP adresses IP et coupe-feu<>coupe-feu89 changement de serveur33 installation d’un serveur distant91, 107 restriction d’accès58 serveurs sur des sous-réseaux différents124 vue d’ensemble23 agrégation de liens184, 185, 186, 187, 189 aide, utilisation12 Apple Remote Desktop (ARD)56, 161, 208 archivage des données d’un serveur35, 39 ARD. Voir Apple Remote Desktop asr outil39, 94 Assistant du serveur45, 109, 117, 123 Assistant réglages de passerelle175 authentification Admin Serveur42, 43, 68, 157 Gestionnaire de groupe de travail170 Kerberos22, 64, 123 mots de passe63, 84, 107 MS-CHAPv2120 Open Directory63 RADIUS21, 22, 64, 175 SASL63 serveur autonome122 services de trousseau176 signature unique64 SSH à base de clés77, 78 et TLS60 utilisateurs63, 65, 78, 120 vue d’ensemble63 Voir aussi certificats authentification à base de clés77, 78 authentification MS-CHAPv2120 authentification par signature unique64 autorisation63 Voir aussi authentification autorisations administrateur79, 80, 168, 169 dossiers61 fichiers61 liste de contrôle d’accès à un service (SACL)81 types61 autorité de certificat (AC)258 Index création71 création de certificats provenant d’une73 demande de certificats à une69, 70, 71, 73 distribution à des clients75 introduction67 vue d’ensemble67 Voir aussi ICP B Berkeley Software Distribution. Voir BSD BSD (Berkeley Software Distribution)24 C certificat racine71 certificats et Admin Serveur68, 166 auto-signés68, 71, 75 clés privées66 clés publiques66 création71, 73 demande69, 70 gestion75 identités68 importation74 modification75 préparation69 racine71 renouvellement76 et services77 suppression76 vue d’ensemble65, 67 certificats auto-signés68, 71, 75 certificats d’identité. Voir certificats certificats de clé publique. Voir certificats changeip outil33 chiffrement60, 61, 62, 66, 134 Voir aussi SSL clé privée66, 68 clients certificats75 comptes de groupe172 journalisation côté client208 et NetBoot28 Voir aussi utilisateurs collecte de données historiques193 comptes. Voir comptes utilisateur; Gestionnaire de groupe de travail comptes de groupe172 comptes mobiles161 comptes utilisateur authentification65 configuration146 gérés, préférences de172 gestion de171 groupe172 mobiles161 mots de passe63 Voir aussi utilisateurs configuration agrégation de liens187 authentification63 automatique128, 135, 136, 137, 140 avancée19, 20, 122 configuration par lots pour plusieurs serveurs127 connexion au répertoire121, 122 connexion au réseau118, 186, 187 contrôle de l’état143, 144 dépannage143, 144 DHCP89, 122 enregistrement des données de configuration130, 132, 133, 134, 136, 137, 140 Ethernet118 exemple209 feuille d’opérations221 historiques144 infrastructure de serveurs31 interactive123, 124, 125, 127 introduction18, 117 Open Directory119, 120, 121, 122, 135, 140, 145 report117 serveur autonome120 serveur distant123, 125, 127 services145, 146, 147, 148, 149, 150, 151, 175 SSL166 transmission des fichiers de données de configuration aux serveurs134, 135 types de117, 163 types de serveur18 vue d’ensemble des réglages119 configuration matérielle requise87, 88, 103 configuration requise environnement d’exploitation183 infrastructure30, 31 logiciels87, 89 matériel17, 32, 87, 88, 103 configuration requise en matière d’infrastructure30, 31 configuration requise en matière d’infrastructure matérielle30 configuration requise pour l’environnement d’exploitation183 Console196 Contrôle de serveur51, 195 contrôle en temps réel193 copies complètes au niveau du fichier36 copies de sauvegarde fichiers critiques176 courrier électronique. Voir service de messagerie cryptographie à clé publique77Index 259 CSR (demande de signature de certificat)69, 70, 71, 73 D Darwin (système d’exploitation principal)24 Demande de signature de certificat. Vo démon launchd39, 191 démons, vue d’ensemble191 démon slapd207 démon snmpd201 dépannage du serveur143, 144 df , outil196 diffusion, configuration150 diffusion de données en continu21, 28, 54, 150, 177 diskspacemonitor, outil197 diskutiloutil101, 104, 106 disques effacement de l’espace libre105 gestion à partir de la ligne de commande196 gestion via la ligne de commande101, 106 mise en miroir102 outils de contrôle196 partitions93, 100, 101, 103, 105 préparation de l’installation98, 99, 100, 101, 102, 103, 104, 105 quotas28 Voir aussi RAID dittooutil39 documentation13, 14, 15 domaine de répertoire local, serveur autonome122 domaine de répertoire partagé22, 120 domaines, répertoire21, 89 Voir aussi Open Directory Domain Name System. Voir DNS données, diffusion en continu. Voir diffusion de données en continu dossiers28, 61, 161 dossiers de départ28, 161 du , outil196 DVD, installation92 Dynamic Host Configuration Protocol. Voir DHCP E emond, démon204 ensemble RAID concaténé103 entrelacement102 équilibrage de la charge190 Ethernet60, 118, 187 exportation de réglages de service165 F fichiers configuration206 considérations en matière de stockage28 copies complètes au niveau du fichier36 de sauvegarde176 données de configuration130, 132, 136, 137 sauvegarde34, 38 secret partagé66 sécurité61, 62 fichiers de configuration php179 fichiers de secret partagé66 File Transfer Protocol. Voir FTP FileVault62 FTP (File Transfer Protocol)23 G Gestionnaire de certificats68, 74 Gestionnaire de groupe de travail administration de comptes171 authentification170 ouverture46, 170 personnalisation48, 174 vue d’ensemble46, 47 vue d’ensemble de l’administration170 groupe de travail, type de configuration18 Groupes158, 159, 165, 169, 171 Growl, application208 H HFS+J, volume99 HFSX, volume99 historiques contrôle196, 204, 205, 207, 208 dépannage de la configuration144 services web179 I ICP (infrastructure à clé publique)60, 65, 66 image complète, type de sauvegarde35 images. Voir images disque; NetBoot; NetInstall images disque chiffrement62 installation avec28 installation avec des53, 94, 97 importation certificats74 réglages de service165 infrastructure à clé publique. Voir ICP Inspecteur174 installation accès à distance88, 91, 106, 109 à partir de versions antérieures du système d’exploitation85, 88 à partir de versions de système d’exploitation antérieures26, 29 collecte des informations88 configuration des services réseau89 configuration requise87, 88 configuration requise en matière d’30260 Index configuration requise en matière d’infrastructure31 connexions aux répertoires89 démarrage pour90, 92, 93, 97 disque d’installation du serveur89 identification des serveurs106 avec images disque28, 53, 94, 97 interactive107, 109, 111 logiciel serveur90, 112 méthode de la ligne de commande112 mise à jour115 mise à niveau115 modification du nom d’hôte162 ordinateur administrateur88 planification25, 26, 27, 28, 29, 30 préparation du disque98, 99, 100, 101, 102, 103, 104, 105 report de la configuration117 stratégie d’intégration30 sur plusieurs serveurs114 vue d’ensemble85 instantanés, données36 Interfaces réseau161 J journalisation, système de fichiers99 K KDC (Kerberos Key Distribution Center). Voir Kerberos Kerberos22, 64, 123 L LACP (Link Aggregation Control Protocol)185 launchctl outil192 LDAP (Lightweight Directory Access Protocol)22 lecteurs. Voir disques Link Aggregation Control Protocol. Voir LACP liste de contrôle d’accès à un service (SACL)80, 81 listes d’ordinateurs171, 172 listes de contrôle d’accès (ACL)80 listes de contrôle d’accès à un service. Voir SACL M MAC (Media Access Control), adresses60, 106 Mac OS X administration depuis155, 175 considérations en matière d’installation88 mise à niveau à partir de115 Mac OS X Server configuration120 configuration requise17 introduction17, 18 normes standard prises en charge21 outils d’administration41 stratégie d’intégration30 et UNIX24 Voir aussi configuration; installation maître Open Directory89 matériel, configuration requise17, 32 migration26, 29, 30 Mise à jour de logiciels115 Mise à jour de logiciels, service149 mise à niveau à partir de Mac OS X115 à partir de versions de serveur antérieures26, 29 et données de configuration enregistrées130 comparaison avec la migration26, 30 mise en miroir, disque102 modules open source PHP179 modules open-source Kerberos22, 64, 123 OpenLDAP22 OpenSSL60 Voir aussi Open Directory mots de passe63, 84, 107 N Nagios, application208 NAT (Network Address Translation)177 NetInstall53, 97 Network Address Translation. Voir NAT Network File System. Voir Network Time Protocol. Voir NTP NFS (Network File System)23 niveau d’autorisation Contrôler168 nom d’hôte local119, 161 modification162 nom d’ordinateur161 nom de l’ordinateur119 NTP (network time protocol)161 numéro de série, serveur92 O Open Directory authentification63 configuration119, 120, 121, 122, 135, 140, 145 et les listes de cont80 historiques207 vue d’ensemble21 Open Directory, réplique123, 183 OpenLDAP22 OpenSSL60 ordinateur administrateur88, 154, 155, 156 ordinateurs, administrateur88, 154, 155, 156 ordinateurs client et NetBoot28 ordinateurs portables161 outil renifleur de paquets Ethereal198Index 261 outils de ligne de commande administration de serveur54 et autorisations169 contrôle de démon191 contrôle de l’espace disque196 effacement de disques106 installation du logiciel serveur112 outils de restauration39 outils de sauvegarde39 partitionnement de disques101 ouverture de session, authentification77, 78 P PackageMaker53 paquets de données, filtrage58 partage de fichiers146, 167 partitions, disque93, 100, 101, 103, 105 Podcast Producer150 points de défaillance uniques180 points de partage61, 167 Portable Operating System Interface. Voir POSIX ports état154 Ethernet118 liste de154 TCP77 POSIX (Portable Operating System Interface)61 préférences172 préférences Date et heure161 préférences gérées, définition172 préréglages172 privilège, administrateur80, 168, 169 privilèges, administrateur Voir aussi autorisations procédures de configuration. Voir configuration; installation programme d’installationoutil112, 114 Property List Editor53 protocoles service de fichiers23, 208 service réseau31, 89, 122, 161, 162 vue d’ensemble23 Voir aussi protocoles spécifiques Q QuickTime Streaming Server (QTSS)21, 54, 177 quotas, espace disque28 R RADIUS (Remote Authentication Dial-In User Service)21, 22, 64, 175 RAID (matrice redondante de disques indépendants)29, 102, 103, 104 redémarrage, automatique182 Remote Authentication Dial-In User Service. Voir RADIUS répertoire, domaines121, 122 répertoire, domaines de174 répertoire, vue d’ensemble49, 50 répertoires. Voir services de répertoire; domaines, répertoire; dossiers réplication64 réplique Open Directory64 répliques123, 183 réseau ordinateur-commutateur186 réseau ordinateur-ordinateur186 réseau ordinateur-paire de commutateurs187 réseaux , outils de contrôle197, 201, 202, 203 configurations de connexions118, 186, 187 connexion initiale à la configuration du serveur118 environnement pour l’installation86 Ethernet60, 118, 187 sécurité58, 59, 60, 61 restauration, données34, 37 rsync outil39 S SASL (Simple Authentication and Security Layer)63 sauvegardes considérations en matière de politique34, 38 données de configuration du serveur133, 134 outils de ligne de commande39 planification36 schéma de rotation37 types35 types de support38 validation38 sauvegardes incrémentales36 Secure SHell. Voir SSH Secure Sockets Layer. Voir SSL Secure VM62 sécurité administrateur79, 80, 168, 169 au niveau du service80, 81 autorisation63 fichier61, 62 installation90 physique57 pratiques d’excellence81 réglages166 réseau58, 59, 60, 61 SASL63 service de coupe-feu58, 59, 89, 177 SSH77, 78, 91, 92, 161, 176 SSL60, 65, 66, 68, 166 TLS60 vue d’ensemble57262 Index Voir aussi accès; authentification; certificats; SSL Server Message Block, protocole. Voir SMB serveur autonome120, 122 serveur d’horloge161 serveurs ajout157 autonomes120, 122 configuration requise en matière d’infrastructure30, 31 considérations en matière de déplacement33 démarrage90, 97 dépannage143, 144 équilibrage de la charge190 exemple209 feuille d’opérations de configuration221 groupes de158, 159 horloge161 numéros de série des92 outils d’administration41, 42, 54, 55, 153, 156 outils de fiabilité180, 181, 182, 183, 184, 185, 187, 189 réglages de base119, 159 suppression157 surveillance de l’état193, 194, 195, 196, 197, 198, 199 Voir aussi configuration; installation; serveurs distants serveurs de réserve configuration avancée20 serveurs distants accès91 Apple Remote Desktop56, 161, 208 configuration123, 125, 127 identification106 installation à partir de ou sur88, 91, 106, 109 serveurs LDAPv364 service AFP (Apple Filing Protocol)23, 208 service d’images système149 Service d’impression147 service de calendriers. Voir service iCal service de conversation. VoiriChat service de coupe-feu58, 59, 89, 177 service de journal web180 service de messagerie21, 22, 149, 175, 177 service DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol)31, 89, 122 service DNS (système de noms de domaine)31, 89 service iCal151, 176 Service iChat20, 151, 176 service MySQL179 service NetBoot28, 53, 97 services configuration145, 146, 147, 148, 149, 150, 151, 175 contrôle de l’accès162, 165 exportation de réglages165 gestion de175 importation de réglages165 planification pour la distribution28 sécurité77, 80, 81 visualisation162, 164 Voir aussi services spécifiques services de fichiers20, 23, 146, 208 services de répertoire et configuration automatique132, 135, 140 configuration avancée122 domaines de répertoire21, 89, 121, 122, 174 historiques207 planification28 Voir aussi Open Directory services de trousseau176 services réseau configuration149 DHCP31, 89, 122 DNS31, 89 installation89 NAT177 NTP161 planification31 réseau local virtuel59 VPN123 Voir aussi adresses IP services web20, 21, 148, 179 service Xgrid 220, 176 signature numérique166 Simple Network Management Protocol. Voir SNMP SMB (Server Message Block)23 SNMP (Simple Network Management Protocol) outil de contrôle201, 202, 203 définition24 réglages161 sous-réseaux118, 124 SSH (Secure Shell Host)77, 78, 91, 92 SSH (secure Shell host)161, 176 SSL (Secure Sockets Layer)60, 65, 66, 68, 166 standard, type de configuration18 syslog, fichier de configuration205 syslogd, démon204 système de notification51, 161, 176, 198, 204 Voir aussi historiques systèmes de fichiers données de configuration134 sauvegarde39 sélection99 Voir aussi volumes T TCP (Transmission Control Protocol)58, 77 tcpdump, outil197 technologies web23 Time Machine39Index 263 TLS (Transport Layer Security), protocole60 Transmission Control Protocol. Voir TCP Transport Layer Security, protocole. Voir TLS Trousseau d’accès, utilitaire72 U UDP (User Datagram Protocol)58 UNIX24 UPS (alimentation sans interruption)181, 182 User Datagram Protocol, protocole. Voir UDP utilisateurs accès administratif pour79, 80, 168, 169 authentification63, 65, 78, 120 autorisations169 certificats67 contrôle de l’accès162, 165 dossiers de départ28, 161 gestion171 groupes165, 169, 171 quotas relatifs à l’espace disque28 et répertoire49 Windows29, 63 Voir aussi clients; comptes utilisateur; Gestionnaire de groupe de travail utilisateurs Windows29 Utilitaire d’annuaire51 Utilitaire d’images de système53 utilitaire de disque62, 101, 103, 105 utilitaire UNIX srm63 V Vider la Corbeille en mode sécurisé63 virtual private network. Voir VPN VLAN (Virtual Local Area Network)59 VNC (Virtual Network Computing)87, 91, 111, 114 volumes démarrage90, 97 données de configuration134 effacement105, 106 et le partitionnement100, 101 pris en charge99 RAID102, 103 sauvegarde39 VPN (virtual private network)123 W WebObjects, serveur d’applications150 widget Dashboard d’état du serveur194 wikis180 Windows, utilisateurs63 Windows NT30 X Xgrid Admin55 Xsan20 Xserve et Contrôle de serveur51 et fiabilité du serveur181, 182 instructions d’installation du matériel88 prise en charge des réseaux locaux virtuels59 Z zone démilitarisée, réseau59 Mac OS X Server Premiers contacts Pour la version 10.3 ou ultérieureK Apple Computer, Inc. © 2003 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Le propriétaire ou l'utilisateur autorisé d'un exemplaire enregistré du logiciel Mac OS X Server peut reproduire cette publication aux fins d'apprentissage du logiciel. Toute reproduction ou diffusion d'un extrait de cette publication à des fins commerciales, telle que la vente de reproductions ou la fourniture de services à titre onéreux, est interdite. Tout a été mis en œuvre pour que les informations contenues dans ce manuel soient exactes. Apple Computer, Inc., n'est pas responsable des erreurs d'impression ou de typographie. Le logo Apple est une marque d'Apple Computer Inc. déposée aux États-Unis et dans d'autres pays. L'utilisation de ce logo à des fins commerciales via le clavier (Option-G) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Apple, le logo Apple, AirPort, AppleScript, AppleShare, AppleTalk, ColorSync, FireWire, iMac, Keychain, Mac, Macintosh, Power Mac, Power Macintosh, QuickTime, Sherlock, WebObjects et Xserve sont des marques d'Apple Computer, Inc., déposées aux États-Unis et dans d'autres pays. eMac, Extensions Manager, Finder et iPod sont des marques d'Apple Computer, Inc. Adobe et PostScript sont des marques d'Adobe Systems Incorporated. Java et tous les logos et marques Java sont des marques de Sun Microsystems, Inc. déposées aux États-Unis et dans d'autres pays. Netscape Navigator est une marque de Netscape Communications Corporation. RealAudio est une marque de Progressive Networks Inc. UNIX est une marque déposée aux États-Unis et dans d'autres pays, sous licence exclusive de X/Open Company Ltd. Remarque : Apple améliore continuellement les performances et le design de ses produits. Il se peut que certaines illustrations de ce manuel soient légèrement différentes de votre version du logiciel. F022-1318-A 3 1 Table des matières Préface 9 À propos de ce guide 9 Nouveautés de la version 10.3 9 Performance et évolutivité supérieures 10 Configuration, gestion et contrôle améliorés 11 Services de réseau et de répertoires enrichis 12 Intégration Windows perfectionnée 13 Nouvelles fonctions de gestion des groupes de travail et du bureau 13 Contenu du guide 13 Partie I : Introduction à Mac OS X Server 13 Partie II : Installation et configuration initiale 13 Glossaire 14 Informations complémentaires Partie I Introduction à Mac OS X Server Chapitre 1 19 Fonctionnement de Mac OS X Server 20 Entreprises 21 Établissements d'enseignement supérieur 22 Ateliers et classes K-12 24 PME/PMI 25 Clusters informatiques 26 Environnements créatifs 27 Fournisseurs de services Web Chapitre 2 29 Services de Mac OS X Server 29 Services du noyau 30 Open Directory 30 Utilisation de répertoires Apple 31 Utilisation d'autres répertoires 31 Politiques de recherche 31 Authentification 32 Signature unique4 Table des matières 32 Détection de services de réseau 33 Gestion des utilisateurs 33 Comptes d'utilisateur 33 Comptes de groupe 33 Répertoires de départ 33 Gestion des utilisateurs Macintosh 34 Gestion des utilisateurs Windows 35 Services d'images système 35 NetBoot 35 Installation en réseau 36 Services de fichiers 36 Partage 37 Service de fichiers Apple 37 Services Windows 38 Service NFS 38 FTP (File Transfer Protocol) 39 Service d'impression 39 Service Web 40 Service de courrier 40 Services de réseau 41 DHCP 41 DNS 42 Coupe-feu 42 NAT 43 VPN 43 IP failover 43 Diffusion de contenu multimédia 44 Gestion des serveurs d'applications 44 Apache Tomcat 45 JBoss 45 WebObjects 45 Intégration dans des environnements existants 46 Haute disponibilité 46 Administration de serveur Chapitre 3 47 Administration du serveur 47 Utilisation des outils d'administration 48 Ordinateurs permettant d'administrer un serveur 49 Configuration d'un ordinateur administrateur 49 Administration au moyen d'un ordinateur non Mac OS X 50 Programme d'installation 50 Assistant du serveur 50 Format de répertoireTable des matières 5 51 Gestionnaire de groupe de travail 51 Ouverture de Gestionnaire de groupe de travail et authentification 52 Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail 56 Admin Serveur 56 Ouverture de l'application Admin Serveur et authentification 57 Utilisation de l'application Admin Serveur 60 Administration des images système 60 Contrôle de serveur 61 Administration des diffusions multimédias 61 Apple Remote Desktop 62 Utilitaires de ligne de commande 62 Gestionnaire Macintosh 62 Utilisation de serveurs version 10.2 à partir de serveurs version 10.3 Partie II Installation et configuration initiale Chapitre 4 65 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration 65 Planification 66 Installation du logiciel serveur 66 Installation locale à partir des disques d'installation du serveur 67 Installation à distance à partir des disques d'installation du serveur 68 Automatisation de l'installation de serveurs avec une image disque 69 Configuration initiale du serveur 70 Configuration interactive des serveurs 71 Automatisation de la configuration du serveur 74 Configuration des services 74 Rester à jour Chapitre 5 75 Avant de commencer 75 Mise en place d'une équipe de planification 76 Identification des serveurs à mettre en place 76 Chois des services à héberger sur chaque serveur 78 Définition d'une stratégie de migration 78 Définition d'une stratégie d'intégration 79 Définition de la configuration de l'infrastructure matérielle 79 Infrastructures de configuration du serveur 80 Vérification de la disponibilité du matériel nécessaire 81 Définition de la stratégie d'installation et de configuration à utiliser 81 Recherche et organisation des informations Chapitre 6 83 Installation du logiciel serveur 83 Configuration système requise pour l'installation de Mac OS X Server6 Table des matières 84 Informations préalables 84 Mise à jour depuis la version 10.1 ou 10.2 85 Préparation des disques pour l'installation de Mac OS X Server 86 Instructions matérielles pour l'installation de Mac OS X Server 86 Identification du serveur distant lors de l'installation de Mac OS X Server 86 Installation interactive du logiciel serveur depuis les disques d'installation 87 Utilisation du programme d'installation pour une installation locale depuis les disques d'installation 88 Utilisation de l'application Assistant du serveur pour une installation à distance depuis les disques d'installation 89 Installation du logiciel serveur sur un ordinateur avec Mac OS X version 10.3 préinstallé 90 Automatisation de l'installation du logiciel serveur avec une image disque 90 Installation du logiciel serveur à l'aide de l'outil de ligne de commande installer 92 Installation de logiciels serveur en option Chapitre 7 93 Configuration initiale du serveur 94 Informations nécessaires 94 Enregistrement des données de configuration 98 Spécification de l'utilisation initiale d'Open Directory 101 Utilisation de la configuration interactive de serveur 101 Configuration interactive d'un serveur local 102 Report de la configuration de serveur local après l'installation 102 Configuration interactive d'un serveur distant 103 Configuration interactive d'un lot de serveurs distants 105 Configuration interactive de plusieurs serveurs distants tour à tour 106 Utilisation de la configuration automatique de serveur 106 Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier 109 Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire 112 Détermination de l'état des configurations 112 Configuration des services 113 Configuration d'Open Directory 113 Configuration de la gestion des utilisateurs 113 Configuration des services de fichiers 114 Configuration du service d'impression 115 Configuration de service Web 115 Configuration du service de courrier 116 Configuration de services réseau 116 Configuration des services d'image système 116 Configuration de l'enchaînement et de la diffusion de données 116 Configuration d'un serveur d'applicationsTable des matières 7 Annexe A 117 Feuille de travail de Mac OS X Server Annexe B 127 Exemple de configuration 127 Mac OS X Server dans une petite entreprise 128 Configuration du serveur Glossaire 135 Index 145 9 Préface À propos de ce guide Ce guide est un outil d'orientation parmi les fonctions de Mac OS X Server version 10.3 et les étapes de sa configuration initiale. Il a pour but de vous aider à préparer votre serveur à répondre aux besoins de vos utilisateurs et de votre entreprise. Nouveautés de la version 10.3 Mac OS X Server version 10.3 s'appuie sur les fonctions, qui ont fait le succès de la version 10.2, en les enrichissant de perfectionnements majeurs dans les domaines suivants : • Performance et évolutivité • Configuration, gestion et contrôle • Services de répertoires et de réseau • Intégration Windows • Gestion des groupes de travail et du bureau Performance et évolutivité supérieures Les perfectionnements apportés à Mac OS X Server dans sa version 10.3 en termes de performance et d'évolutivité permettent d'améliorer des services réseau clé. Ces perfectionnements comprennent : • Darwin 7. Mac OS X Server version 10.3 intègre Darwin 7, dernière version du système d'exploitation Apple en code libre basé sur UNIX. Darwin continue à exploiter et à capitaliser les dernières avancées en provenance de la communauté “open source”. S'inspirant largement du code très stable de FreeBSD 4.4, Darwin 7 inclut également certains des derniers perfectionnements de FreeBSD 5. • Performance accrue. Pour des services réseau et systèmes de fichiers améliorés, Mac OS X Server version 10.3 gère désormais les entrées/sorties (E/S) asynchrones, les systèmes de fichiers jusqu'à 16 To et les trames étendues (Jumbo Frames) pour les paquets Ethernet volumineux. Le système de fichiers par défaut est désormais HFS+ avec journalisation et une nouvelle option de respect des différences de casse pour HFS+ facilite la compatibilité avec les applications UNIX patrimoniales sur Mac OS X Server. 10 Préface À propos de ce guide • Optimisé pour le G5. Mac OS X Server version 10.3 gère les systèmes Apple G5. Bénéficiant des performances accrues et de la vitesse d'horloge du processeur 64 bits ultra-rapide, Mac OS X Server permet également aux utilisateurs de tirer parti des capacités avancées de l'architecture G5, telles que les calculs double précision en natif (64 bits) et la possibilité de gérer jusqu'à 4 Go de mémoire physique. Configuration, gestion et contrôle améliorés La facilité d'utilisation et la simplicité continuent de faire de Mac OS X l'outil de choix pour le déploiement et la maintenance de solutions serveur en code libre. La version 10.3 intègre les améliorations suivantes : • Configuration automatique. La configuration automatique permet de configurer des ensembles complets de serveurs aussi aisément que s'il s'agissait d'un seul serveur. Cette nouvelle fonction puissante permet de configurer les services réseau et services par défaut à partir de paramètres de configuration stockés sur un serveur de répertoires, une unité de sauvegarde externe FireWire, USB, ou même un iPod. Lors du premier démarrage des systèmes Mac OS X Server, ceux-ci recherchent automatiquement ces informations de configuration sur les disques durs disponibles et dans le serveur de répertoires. En l'espace de quelques secondes, le serveur localise les données de configuration sauvegardées et se configure automatiquement. • Nouvelle application Admin Serveur. Les outils d'administration de serveur distant de Mac OS X Server ont été fusionnés et enrichis dans la version 10.3. Admin Serveur offre une administration intégrée des services et gère désormais OpenLDAP, DNS, NAT, VPN, Serveur Enchaînement QuickTime, NTP et SNMP. La nouvelle application Admin Serveur est dotée d'une interface à fenêtre unique pour la gestion et le contrôle de l'intégralité de vos services réseau : • Vous pouvez activer et désactiver les services à l'aide d'un seul bouton, modifier les réglages, visualiser les historiques et graphiques d'activité en temps réel, contrôler l'espace disque et même surveiller l'activité du réseau et de l'unité centrale (UC). • La gestion multiple de serveurs depuis une fenêtre Serveur Admin unique est aisée et vous pouvez même reproduire les configurations de services par un simple glisser-déposer d'un serveur à l'autre. • Utilitaire d'images de réseau amélioré. Le nouvel Utilitaire d'images de réseau facilite la création, la modification et l'ajout de paquets aux images disque pour les services NetBoot et Installation en réseau. Utilitaire d'images de réseau propose également un plus grand nombre d'options d'administration, notamment un clônage de système plus aisé et une installation de logiciel plus rapide via Apple Software Restore. • Nouvel Inspecteur de répertoires. Un nouvel Inspecteur de répertoires, accessible depuis Gestionnaire de groupe de travail, permet de consulter et de modifier les données LDAP brutes pour un contrôle précis des enregistrements de répertoires. • Nouveaux outils Ligne de commandes. De nouveaux outils Ligne de commandes permettent une configuration et une gestion du serveur perfectionnées depuis le terminal. Préface À propos de ce guide 11 Services de réseau et de répertoires enrichis Les services de réseau et de répertoires de Mac OS X Server version 10.3 ont été considérablement enrichis pour offrir un plus grand nombre de possibilités en termes d'évolutivité, de performance et de puissance : • Open Directory 2. Solution LDAP puissante avec authentification Kerberos. Mac OS X Server version 10.3 intègre Open Directory 2, la dernière version de l'architecture Apple de services d'authentification et de répertoires basée sur les standards. Open Directory dote Mac OS X Server de services d'authentification et de répertoires à l'échelle du réseau, via LDAP, SASL et Kerberos. Open Directory 2 apporte à Mac OS X Server version 10.3 évolutivité, disponibilité et fonctions avancées. • Signature unique. Open Directory 2 inclut désormais le service Key Distribution Center (KDC) de Kerberos (développé par le MIT), offrant une authentification réseau sécurisée et la signature unique ; cette fonction permet aux utilisateurs de s'identifier une seule fois, à l'aide d'un mot de passe unique, pour accéder à l'ensemble des services du réseau gérés par Kerberos. La signature unique simplifie le déroulement de la session utilisateur et offre la sécurité d'une authentification fiable. • Nouveau serveur de courrier hautes-performances. Mac OS X Server version 10.3 comprend un tout nouveau serveur de courrier basé sur les programmes en code libre Postfix SMTP et Cyrus IMAP ainsi que sur les serveurs POP. Ce nouveau serveur de courrier, capable de gérer des dizaines de milliers d'utilisateurs, possède les caractéristiques suivantes : • Compatibilité avec les protocoles de courrier standard d'Internet, tels que SMTP, IMAP et POP • Base de données hautes-performances pour l'indexation des courriers stockés sur le serveur • Cryptage SSL (Secure Sockets Layer) sous SMTP, IMAP et POP pour le transport sécurisé et confidentiel de courrier entre le serveur et les ordinateurs clients • Architecture ouverte pour une intégration aisée des logiciels tiers de filtrage des messages non sollicités et des virus • Mailman pour la gestion des listes de diffusion. • Serveur d'applications Java hautes-performances. Mac OS X Server s'affirme comme l'outil le plus aisé de développement et de déploiement d'applications basées sur le standard Sun J2EE (Java 2 Enterprise Edition). Il comprend un serveur d'applications JBoss intégré pour l'exécution des applications J2EE, dont les composants Enterprise Java Bean (EJB). Mac OS X Server version 10.3 dispose également de nouveaux outils de déploiement d'applications bénéficiant d'une interface utilisateur graphique qui facilite la configuration des applications J2EE existantes pour leur hébergement sous Mac OS X Server. • Serveur Enchaînement QuickTime 5. Mac OS X Server version 10.3 intègre Serveur Enchaînement QuickTime 5, nouvelle version du serveur d'enchaînement Apple basé sur les standards. Pour une gestion plus aisée, la configuration et le contrôle de QTSS sont désormais intégrés à Admin Serveur. Les nouvelles fonctions et améliorations QTSS 5 incluent : 12 Préface À propos de ce guide • QTSS Publisher. Ce nouvel outil de gestion des données QuickTime facilite le chargement de contenus vers le serveur et le téléchargement depuis celui-ci, la création et la planification de listes de lecture, l'optimisation de séquences et la génération de séquences de référence. • Mises à jour des listes de lecture en temps réel. Il est possible d'effectuer des modifications instantanément et de manière transparente pour les utilisateurs. • Gestion à partir des répertoires de départ. Diffusion des séquences à partir des répertoires de départ du réseau des utilisateurs. • Déploiement et configuration du serveur Web Apache améliorés. Mac OS X Server version 10.3 bénéficie d'une interface utilisateur enrichie pour la configuration d'Apache, le serveur Web le plus utilisé au monde. Intégrée à Admin Serveur, la nouvelle interface du serveur Web facilite la configuration et la gestion de sites Web en nombre et le déploiement d'options de configuration avancées, telles que la redirection d'URL, les alias de sites Web et les réglages de gestion des royaumes. • Serveur VPN pour un accès réseau à distance sécurisé. Mac OS X Server version 10.3 inclut un nouveau serveur VPN (Virtual Private Network) permettant un accès à distance sécurisé des ordinateurs individuels à votre réseau local (LAN). La technologie VPN offre un trafic IP sécurisé sur un réseau public TCP/IP au moyen de la “tunnellisation” chiffrant toutes les données transitant entre le système client et le réseau hôte. Le serveur VPN Apple, offrant une capacité de gestion de centaines de clients VPN par serveur, constitue la solution idéale pour les petites et moyennes entreprises. Intégration Windows perfectionnée Mac OS X Server ayant pour vocation d'offrir une solution serveur complète dans les environnements réseau mixtes, la version 10.3 renforce cette vocation par une gestion améliorée des clients Windows et du serveur de répertoires Windows propriétaire. • Samba 3. Mac OS X Server version 10.3 est désormais livré avec Samba 3. Cette dernière version du projet vedette en code libre offre des services de fichiers et d'impression hautement fiables et performants aux clients Windows via le protocole de partage de fichiers natif SMB/CIFS. Il est conforme au standard Unicode de codage des noms de fichiers et d'utilisateurs multilingues sur 16 bits. Samba 3 est également compatible avec les services PDC (Primary Domain Controller), fonction intégrée à Open Directory 2 permettant la connexion et l'authentification des utilisateurs Windows directement depuis la fenêtre d'ouverture de session du PC. • Répertoires de départ du réseau pour les clients Windows. Open Directory 2 gère les profils itinérants, équivalent Windows des répertoires de départ du réseau. Mac OS X Server version 10.3 peut désormais héberger les répertoires de départ et de groupe auxquels peuvent accéder tant les clients Mac que Windows. • Services VPN pour Windows. Le serveur VPN intégré à Mac OS X Server version 10.3 gère les clients Windows via PPTP ou L2TP/IPSec. Préface À propos de ce guide 13 • Intégration simplifiée avec Active Directory. Mac OS X Server version 10.3 peut désormais accéder aux enregistrements d'utilisateurs, de groupes et d'ordinateurs stockés sur le serveur de répertoire Microsoft propriétaire sans devoir modifier le schéma Active Directory. Il reconnaît également l'implémentation Microsoft de Kerberos pour l'accès aux services authentifiés hébergés sous Mac OS X Server. Nouvelles fonctions de gestion des groupes de travail et du bureau Mac OS X Server version 10.3 améliore la gestion des bureaux des clients Macintosh : • Gestion d'image perfectionnée. Vous pouvez créer une image NetBoot ou Installation en réseau reproduisant un système existant. La source de l'image peut être un volume ou une partition. D'autres améliorations apportées à la gestion d'image ont trait au filtrage des clients, et NetBoot sans disque pour les clients Mac OS X. • Comptes mobiles. Gestionnaire de groupe de travail permet de configurer des comptes mobiles. Les comptes mobiles permettent à l'utilisateur de Mac OS X Version 10.3 de travailler hors connexion, en continuant de se connecter via le nom d'utilisateur et le mot de passe réseau et de conserver les mêmes réglages des préférences gérées. • Gestion améliorée des préférences. Gestionnaire de groupe de travail possède aussi de nouvelles commandes de système pour les parcs de machines en laboratoire, telles que le mode Économie d'énergie et la gestion de la déconnexion automatique. Contenu du guide Ce guide est organisé en deux parties et un glossaire. Partie I : Introduction à Mac OS X Server Lisez les chapitres de cette partie pour vous familiariser avec des scénarios type d'utilisation de Mac OS X S, ses services et son administration. Partie II : Installation et configuration initiale Les différents chapitres de cette partie vous expliquent comment installer le logiciel serveur et configurer un serveur pour la première fois. La Partie II comprend deux annexes. Annexe A : Feuille de travail Mac OS X Server Utilisez cette feuille de travail pour préparer les informations dont vous aurez besoin lors de l'installation et de la configuration de Mac OS X Server. Annexe B : Exemple de configuration Cette exemple illustre une installation et une configuration initiale type de Mac OS X Server selon un petit scénario d'utilisation professionnelle. Glossaire Reportez-vous au glossaire pour consulter une courte définition des termes utilisés dans ce guide.14 Préface À propos de ce guide Informations complémentaires Mac OS X Server est accompagné d'une série de guides présentant les services offerts ainsi que les instructions relatives à leur configuration, leur gestion et la résolution des problèmes qui leur sont rattachés. La plupart de ces documents sont inclus dans le disque Outils d'administration Mac OS X Server. Tous sont disponibles pour téléchargement au format PDF à l'adresse www.apple.com/server/documentation/ Ce guide Vous indique comment Migration Mac OS X Server vers la version 10.3 ou ultérieure Réutiliser sur Mac OS X Server version 10.3 les données et les réglages de services utilisés sous les versions précédentes du serveur. Gestion des utilisateurs Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Créer et gérer les comptes d'utilisateur, de groupe et d'ordinateur. Configurer les préférences gérées pour les clients Mac OS 9 et Mac OS X. Administration des services de fichiers Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Partager des volumes ou dossiers de serveur sélectionnés parmi les clients du serveur via les protocoles suivants : AFP, NFS, FTP, et SMB. Administration du service d'impression Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Héberger les imprimantes partagées et gérer les files d'attente et travaux d'impression associés. Administration de l'image système Mac OS X version 10.3 ou ultérieure Créer des images disque et configurer le serveur de sorte que d'autres ordinateurs Macintosh puissent démarrer à partir ces images sur le réseau. Ce guide traite de NetBoot et Installation en réseau. Administration du service de courrier Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Installer, configurer et administrer les services de courrier sur le serveur. Administration des technologies Web Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Configurer et gérer un serveur Web, dont WebDAV, WebMail, et les modules Web. Administration des services de réseau Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Installer, configurer et administrer DHCP, DNS, VPN, NTP, coupe-feu IP et services NAT sur le serveur. Administration Open Directory Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Gérer les services de répertoires et d'authentification. Administration du Serveur Enchaînement QuickTime Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Configurer et gérer les services d'enchaînement QuickTime. Administration des services Windows Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure Configurer Mac OS X Server pour la fourniture de services aux utilisateurs Windows. Préface À propos de ce guide 15 Pour plus d'informations, consultez les ressources suivantes : • Les fichiers Ouvrez-moi contiennent des mises à jour importantes et des informations spécifiques. Recherchez-les sur les disques du serveur. • L'aide en ligne, accessible depuis le menu Aide de toutes les applications serveur, fournit des instructions relatives à toutes les tâches d'administration ainsi que des informations de dernière minute et des mises à jour disponibles sur le Web. • Les pages Web Support et Base de connaissance (Knowledge Base) apportent des réponses aux questions courantes et des informations de dernière minute. Vous les trouverez sur le site www.apple.com/fr/support/ Administration du serveur d'applications Java Mac OS X Server Configurer et administrer un serveur d'applications JBoss sur Mac OS X Server. Administration de la ligne de commandes Mac OS X Server version 10.3 ou supérieure Utiliser les commandes et les fichiers de configuration pour exécuter les tâches d'administration du serveur via l'interpréteur de commandes UNIX. L'utilisation de la fonction IP failover est documentée dans ce guide. Ce guide Vous indique comment1 Partie 1 : Introduction à Mac OS X Server Les chapitres de cette partie du guide présentent Mac OS X Server ainsi que les applications et outils disponibles pour l'administration de ses services. Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Chapitre 3 Administration du serveur 1 19 1 Fonctionnement de Mac OS X Server Mac OS X Server répond aux besoins de nombreux environnements. Ce chapitre offre une brève visite guidée des services et configurations présentant un intérêt particulier dans certains scénarios courants : • Entreprises • Établissements d'enseignement supérieur • Ateliers et classes K-12 • PME/PMI • Clusters informatiques • Environnements créatifs • Fournisseurs de services Web20 Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server Entreprises Dans les grandes entreprises, Mac OS X Server permet de prendre en charge les besoins spéciaux des services et des groupes de travail tout en centralisant les services d'entreprise. • Open Directory vous permet de gérer les données de répertoire depuis un emplacement centralisé, tout en les répartissant de façon géographique au moyen de réplications. • La liste des autres services d'entreprise peut inclure DNS (Domain Name System), DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol), VPN (Virtual Private Network), les services de courrier, Web, de diffusion et JBoss. • JBoss est un serveur d'applications mettant en oeuvre les technologies Enterprise Edition (J2EE) et s'exécutant sur Java 1.4.1. L'implémentation de Mac OS X Server comprend des outils d'administration faciles à utiliser pour configurer et contrôler les serveurs d'applications. Grâce à ses fonctionnalités de cluster, JBoss peut s'exécuter sur plusieurs Xserve. Service de diffusion QuickTime et Web Services DHCP, VPN et DNS Service de courrier Mac OS X Server Mac OS X Server Mac OS X Server Mac OS X Server Mac OS X Servers Mac OS X Server Mac OS X Server Serveurs Back-office Répliques de répertoire Open Directory LDAP Service Web, d'impression locale et de fichiers Répertoires de départ AFP Windows PDC pour les répertoires de base Windows Serveurs de groupes de travail JBoss Open Directory Active Directory InternetChapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server 21 • Mac OS X Server s'intègre parfaitement aux services d'entreprise existants, des systèmes de répertoire aux implémentations SNMP (Simple Network Management Protocol). • Outre l'hébergement de domaines Open Directory répliqués pour l'authentification locale, les serveurs de chaque service peuvent être personnalisés selon les besoins des groupes de travail. Si un service utilise de nombreux ordinateurs Windows, vous pouvez configurer Mac OS X Server comme contrôleur de domaine principal (PDC) afin de pouvoir héberger les répertoires de départ Windows. Vous pouvez également offrir aux utilisateurs Windows la prise en charge VPN, le partage de fichiers et d'imprimantes et l'intégration d'Active Directory. Établissements d'enseignement supérieur Les collèges et les universités ont des environnements informatiques hétérogènes étant donné la diversité d'étudiants et de systèmes informatiques qu'ils utilisent. Mac OS X Server convient parfaitement à ce type d'environnement grâce à sa capacité d'intégration aux infrastructures variées de services, protocoles et répertoires existantes. Services Web et de courrier Serveur LDAP Services de fichiers, d'impression, de répertoires et de réseau Serveur de fichiers NFS UNIX Mac OS X Server Mac OS X Server Mac OS X Server Serveur Windows NT Clients Macintosh Clients Windows Clients UNIX KDC Internet22 Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server • La grande diversité d'ordinateurs clients ( Macintosh, Windows, UNIX, Linux) exige la prise en charge d'un accès flexible aux fichiers. Les services de fichiers IP hautement évolutifs dans Mac OS X Server permettent l'accès aux fichiers depuis tout point du réseau au moyen des protocoles AFP (Apple Filing Protocol), NFS (Network File System), FTP (File Transfer Protocol) et SMB (Server Message Block). • Mac OS X Server peut héberger les répertoires de départ des utilisateurs de tous les ordinateurs clients. • Les informations relatives aux utilisateurs et aux ressources réseau peuvent être récupérées par Mac OS X Server à partir des systèmes de répertoire existants, comme les serveurs LDAP (Lightweight Directory Access Protocol), Active Directory et NIS (Network Information Service). • Il est également possible d'authentifier les utilisateurs Mac OS X Server via un système LDAP ou KDC (Kerberos Key Distribution Center) existant. • La fonction d'installation réseau facilite la modification illimitée des configurations logicielles (à partir du réseau) de centaines d'ordinateurs clients Macintosh. Elle automatise la configuration des ordinateurs d'ateliers et de facultés, facilite la mise à niveau des logiciels et rétablit rapidement l'état préconfiguré d'origine des ordinateurs. • Mac OS X Server intègre un service de comptabilité de mise en attente des travaux d'impression compatible avec PostScript via le protocole LPR (Line Printer Remote), le protocole standard TCP (Transmission Control Protocol) et le protocole Windows SMB. • Étant donné la complexité des réseaux des établissements d'enseignement supérieur, les services réseau sont stratégiques. Les services DNS et DHCP peuvent être configurés sur Mac OS X Server pour aider les services et les ordinateurs clients à rechercher des ressources en réseau. Le filtrage IP permet de protéger les données sensibles à l'aide d'un coupe-feu de sécurité. Ateliers et classes K-12 Dans les scénarios pédagogiques K-12, les étudiants doivent pouvoir accéder à leurs propres fichiers et se plonger dans leurs devoirs par voie électronique ou sur papier. Ils doivent également avoir accès aux applications (comme iLife) qui facilitent l'apprentissage, sans pour autant pouvoir en utiliser d'autres non pédagogiques (telles qu'iChat).Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server 23 Les enseignants requièrent la prise en charge des services de fichiers pour pouvoir placer en ligne les plans de cours et les documents pédagogiques. Ils doivent également pouvoir récupérer et éventuellement mettre à jour les dossiers des étudiants et autres informations administratives, le tout centralisé sur un serveur distant. • Le service de gestion des clients Mac OS X Server permet de contrôler les environnements de travail Macintosh des étudiants. Par exemple, vous pouvez contrôler les applications auxquelles les étudiants ont accès. Vous pouvez aussi définir les préférences des applications, les modèles et autres réglages du bureau de sorte que tous travaillent dans le même environnement. • Tous les secteurs scolaires ont un serveur LDAP ou Active Directory configuré en tant que serveur de répertoire. Mac OS X Server peut utiliser ces référentiels centralisés pour accéder aux informations sur les étudiants et enseignants, mais l'hébergement des autres services, comme le partage de fichiers et d'imprimantes, se fait sur le serveur d'un atelier ou d'une classe. • Les étudiants utilisant des portables Macintosh, comme iBooks, ont la possibilité de faire leurs devoirs à domicile grâce aux comptes mobiles offrant accès à un environnement semblable à leur classe. Les préférences sont stockées dans le cache du portable afin d'être disponibles hors connexion. • Le service d'impression Mac OS X Server permet aux enseignants de gérer l'utilisation des imprimantes de la classe, y compris celles non PostScript (à jet d'encre). Service d’impression Services de gestion des clients Mac OS X Server Clients Mac OS X Clients Mac OS 9 Service de fichiers Serveur de répertoires 24 Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server PME/PMI Les petites (moins de 100 employés) et moyennes (de 100 à 500 employés) entreprises tirent parti des services de partage de fichiers et d'imprimantes, des services réseau et des applications de courrier, Web et de celles de base de données inter plates-formes. Les services de répertoire et réseau illustrés ci-dessous résident sur un serveur Mac OS X Server, tandis que ceux de courrier, Web et autres de productivité des employés sont hébergés sur un autre. Dans les petites entreprises toutefois, tous les services peuvent résider sur un seul et même serveur. • Le coupe-feu entre Mac OS X Server et Internet protège le réseau intranet de l'entreprise contre tout accès non autorisé. • Un serveur DNS d'autorisation hébergé par une autre entreprise assure la résolution des noms de domaine (exemple.com), tandis que les services DNS sur Mac OS X Server fournissent les noms des périphériques intranet (tels qu'imprimantes et ordinateurs clients) possédant des adresses IP statiques. • Les services DHCP fournissent des adresses IP dynamiques à certains clients Macintosh et Windows. • Le service VPN permet aux employés d'accéder hors du bureau au réseau intranet pour utiliser les services de courrier, de fichiers, etc. À l'instar des autres services décrits, VPN prend en charge les clients Macintosh et Windows. Services Web, de courrier de fichiers, d'impression et d'applications Internet Clients Windows Clients Mac OS X Services Open Directory, DNS, DHCP, VPN, NAT et de coupe-feu IP Coupe-feu Serveur DNS de référence Client Mac OS X Mac OS X Server Mac OS X server VPN DSL/câbleChapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server 25 • Le service NAT (Network Address Translation) permet aux employés de partager une connexion Internet unique. Ce protocole convertit toutes les adresses IP des clients en une adresse IP pour les communications sur Internet. Clusters informatiques Les clusters de Xserve offrent une méthode rentable et efficace de traitement informatique intensif nécessaire à la recherche génétique, la production vidéo et autres applications sollicitant énormément la bande passante. • Un serveur Xserve dans une baie de serveurs est généralement configuré comme un ordinateur maître, appelé noeud de tête. Le noeud de tête exécute NetBoot et le programme d'installation réseau, et héberge les services de répertoire et autres périphériques partagés pour le reste des ordinateurs dans la baie, servant au traitement des données et aux calculs numériques. • Le noeud de tête peut également être configuré en tant que serveur de fichiers AFP et NFS et implémenter un coupe-feu IP protégeant le cluster contre tout accès non autorisé. • Entre autres utilisateurs, les scientifiques et les vidéastes peuvent configurer et contrôler à distance, à partir d'ordinateurs Mac OS X, des applications et des bases de données résidant sur les Xserve. Applications Administration du serveur Bases de données des applications et moteurs informatiques NetBoot, installation en réseau, services de répertoires et de fichiers, service de coupe-feu26 Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server • Mac OS X Server offre aux scientifiques et aux chercheurs des shells, des langages de script, des compilateurs et des utilitaires UNIX courants pour développer des logiciels spécialisés. Le serveur comprend une suite complète d'outils de développement, notamment le compilateur de ligne de commande gcc et l'outil de développement Project Builder. Vous pouvez écrire, compiler et déboguer au moyen des langages C, C++, Objective-C ou Java. Project Builder permet de transférer des applications de ligne de commande vers Mac OS X et Mac OS X Server ou de les améliorer via une interface utilisateur Mac OS X. • Un ordinateur administrateur, tel qu'un iBook exécutant des applications d'administration Mac OS X Server, peut être utilisé pour gérer le réseau entier. Environnements créatifs Mac OS X Server prend en charge les besoins de workflow des esprits créatifs qui conçoivent et produisent des projets vidéo et audio. • Le célèbre serveur Web HTTP Apache en code libre est intégré à Mac OS X Server. • La technologie WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning), intégrée au service Web de Mac OS X Server, vous permet d'utiliser un serveur Web comme serveur de fichiers Internet. Les utilisateurs peuvent créer et accéder aux documents sur le Web à partir d'ordinateurs Mac OS X. WebDAV prend en charge la gestion des fichiers et les modifications en équipe, y compris pendant l'exécution du site Web. • Le service de diffusion QuickTime vous permet de diffuser en temps réel des données vidéo sur des ordinateurs clients au moyen d'un protocole de diffusion standard. Service d’impression Mac OS X Server Internet Clients Windows Clients Mac OS X Service de fichiers Services WebDAV Services de diffusion QuickTime et Web Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server 27 • AFP vous permet l'échange de fichiers volumineux entre les membres d'un groupe de travail. Sur un Xserve, vous pouvez augmenter la bande passante de votre infrastructure de transfert de fichiers à l'aide de paquets Ethernet Jumbo Frame ou les deux interfaces Ethernet intégrées. Fournisseurs de services Web Mac OS X Server offre la gamme de services complète pour héberger des sites de commerce électronique ou fournir d'autres services Internet exigeant disponibilité et évolutivité. Vous pouvez configurer des ordinateurs Mac OS X Server de sorte qu'ils soient accessibles à plusieurs utilisateurs et entreprises. Le terme batterie de serveurs est parfois employé pour désigner l'ensemble des serveurs Web accédant au contenu du même site et fournissant conjointement des services à un groupe d'utilisateurs particulier. De cette façon, si un serveur vient à tomber en panne, un autre prend aussitôt le relais. Vous pouvez aussi dédier des serveurs à l'usage exclusif d'entreprises ne souhaitant pas héberger leurs propres services. Internet Mac OS X Servers Mac OS X Server “batterie” Services de diffusion QuickTime, Web et FTP Mac OS X Servers Service WebDAV Mac OS X Server Mac OS X Server Ordinateur Mac OS X pour l’administration du serveur “batterie” Xserve RAID QuickTime Broadcaster JBoss Service de courrier Services Web et de courrier spécialisés28 Chapitre 1 Fonctionnement de Mac OS X Server • Un seul serveur peut héberger de nombreux sites Web. Vous pouvez héberger chaque site avec sa propre adresse IP (multi-hébergement) ou configurer plusieurs sites avec une adresse IP unique (hébergement virtuel). • Le service Web Mac OS X Server vous permet de configurer une protection SSL (Secure Sockets Layer) pour des connexions sécurisées à Internet. • Mac OS X Server intègre la prise en charge de Perl, Java Servlets, JavaServer Pages et PHP Hypertext Preprocessor (PHP). • Le serveur de diffusion QuickTime vous permet de diffuser des données multimédia en temps réel, dont les diffusions QuickTime Broadcaster en direct. • Xserve RAID offre des capacités de stockage étendues. • La prise en charge d'une disponibilité élevée comprend le redémarrage automatique après une panne de courant ou la défaillance d'un service et les services de secours IP. Ces derniers peuvent être configurés via IP sur FireWire, qui vous permet d'interconnecter des serveurs redondants sans utiliser les ports Ethernet (Go).2 29 2 Services de Mac OS X Server Mac OS X Server combine une base UNIX robuste avec des standards libres et la simplicité d'emploi du Macintosh. Ce chapitre présente les services offerts par Mac OS X et vous indique comment trouver plus d'informations à leur sujet. Services du noyau Mac OS X Server est basé sur Darwin, le noyau du système d'exploitation Mac OS X. Darwin intègre des services de système d'exploitation Mach 3.0 basés sur UNIX 4.4 BSD (Berkeley Software Distribution), des fonctions de réseau hautes performances et la prise en charge de plusieurs systèmes de fichiers intégrés. Le système avancé de protection et de gestion de la mémoire de Darwin est l'un des facteurs clés de la stabilité du système. Darwin assure une fiabilité en allouant à chaque application et processus un espace d'adressage propre. Le kernel Mach augmente la sémantique standard de la mémoire virtuelle par abstraction des objets de mémoire, ce qui permet à Mac OS X de gérer simultanément plusieurs environnements applicatifs tout en améliorant le confort et la productivité des utilisateurs. Mac OS X se distingue par sa simplicité d'emploi. Il offre des performances élevées en matière d'affichage grâce aux technologies OpenGL, Quartz et QuickTime. Mac OS X Server exploite ces possibilités en fournissant aux administrateurs des applications sécurisées de gestion de serveur puissantes mais qui restent simples d'emploi. Toutefois, les administrateurs peuvent aussi travailler à partir d'une ligne de commande. Un environnement shell complet comprenant de nombreux utilitaires UNIX courants offre une gamme complète de techniques d'administration à partir de la ligne de commande. Dans ce qui suit, vous apprendrez quels services sont fournis par Mac OS X Server pour étendre son noyau Mac OS X et prendre en charge des clients réseau Macintosh, Windows, UNIX et Linux. Pour plus d'informations sur les outils d'administration de serveur, voir le chapitre 3, “Administration du serveur”, à la page 47.30 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Open Directory Open Directory est l'architecture sur laquelle se base Mac OS X pour les services de répertoires. Les services de répertoires permettent au serveur et ses clients (utilisateurs et services) de trouver et de récupérer les informations nécessaires pour l'authentification, la découverte de ressources réseau, entre autres activités système essentielles. Les informations sur les utilisateurs et les groupes sont nécessaires pour authentifier les utilisateurs lorsqu'ils ouvrent une session et les autoriser à accéder aux services et fichiers. Les informations sur les ressources réseau permettent de rendre visibles les imprimantes et autres périphériques réseau. Les services de répertoires récupèrent ces informations à partir de répertoires, référentiels d'informations sur les utilisateurs et les ressources informatiques. Open Directory permet à votre serveur de récupérer des informations à partir : • de répertoires sur des ordinateurs Mac OS X Server, • de répertoires sur des serveurs non Apple, • de fichiers de configuration sur des serveurs Mac OS X Server ou autres. Open Directory est également compatible avec plusieurs autres protocoles pour la découverte de ressources réseau : • Rendezvous • Server Message Block (SMB) • AppleTalk • Service Location Protocol (SLP) Le guide d'administration Open Directory fournit des informations complètes sur la configuration et l'utilisation d'Open Directory. Vous trouverez plus de détails sur quelques-unes des nombreuses fonctions d'Open Directory. Utilisation de répertoires Apple Mac OS X Server peut héberger des répertoires LDAP et des domaines NetInfo existants : • NetInfo est le système de répertoires en vigueur de Mac OS X. Tout ordinateur Mac OS X dispose d'un répertoire local NetInfo qui stocke des informations uniquement visibles à partir de l'ordinateur où il se trouve. La version 10.3 de Mac OS X Server peut être configurée pour prendre en charge les répertoires NetInfo existants, mais le principal moyen de stocker des informations devant être partagées avec d'autres ordinateurs est Open Directory LDAP fondé sur OpenLDAP. • Les répertoires Open Directory LDAP sont des répertoires LDAPv3 qui stockent les données partagées, que d'autres ordinateurs doivent pouvoir utiliser. Les répertoires Open Directory LDAP sont faciles à gérer, peuvent être répliqués pour des besoins de sauvegarde ou d'amélioration des performances et acceptent un volume d'informations beaucoup plus élevé que les répertoires NetInfo. Les répertoires Apple permettent un contrôle de la lecture/écriture des données.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 31 Utilisation d'autres répertoires Open Directory vous permet d'exploiter les informations que vous avez définies dans des répertoires non Apple et dans des fichiers à plat : • Sur d'autres serveurs LDAPv3, • Sur des serveurs Active Directory, • Dans des fichiers de configuration Berkeley Software Distribution (BSD), • Dans des fichiers Network Information System (NIS) Sun Microsystems. Mac OS X Server offre une prise en charge complète des communications SSL (Secure Sockets Layer) et la lecture/écriture pour les répertoires LDAPv3. Politiques de recherche Avant qu'un utilisateur ne puisse se connecter à un client ou à un serveur Mac OS X (ouverture de session), il doit taper un nom et un mot de passe associés à un compte d'utilisateur connu de l'ordinateur. Les ordinateurs Mac OS X peuvent trouver les comptes d'utilisateur situés dans un répertoire de leur politique de recherche. Une politique de recherche se réduit à une liste de répertoires que l'ordinateur parcourt lorsqu'il a besoin de données de configuration. Vous pouvez configurer la politique de recherche des ordinateurs Mac OS X sur les ordinateurs eux-mêmes en utilisant l'application Directory Access. Automatisez la configuration des répertoires clients Mac OS X en utilisant l'Option 95 de DHCP, gérée par Mac OS X Server, qui permet au serveur DHCP d'indiquer au client Mac OS X à partir de quel serveur il doit obtenir les informations de répertoire et de lui fournir une adresse IP. Authentification Il existe plusieurs options pour authentifier les utilisateurs : • Authentification Open Directory. L'authentification Open Directory, qui se fonde sur le protocole standard Simple Authentication and Security Layer (SASL), gère de nombreuses méthodes d'authentification, parmi lesquelles CRAM-MD5, APOP, WebDAV, NT/LAN Manager 2 et SHA-1. Il s'agit de la méthode recommandée pour l'authentification d'utilisateurs Windows. L'authentification Open Directory vous permet de définir des politiques de mot de passe pour un ou tous les utilisateurs dont les fiches sont stockées dans un répertoire donné, avec des exceptions si nécessaire. L'authentification Open Directory vous permet aussi de définir des politiques de mot de passe pour chaque réplique de répertoire. Vous pouvez par exemple spécifier une longueur de mot de passe minimum ou obliger un utilisateur à changer de mot de passe lors de sa prochaine ouverture de session. Vous pouvez également désactiver l'ouverture de session pour les comptes inactifs ou après un nombre défini de tentatives de connexion infructueuses. 32 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server • Authentification Kerberos v5. L'utilisation de l'authentification Kerberos permet une intégration dans des environnements Kerberos existants. Vous pouvez aussi installer un centre de distribution de clés (Key Distribution Center ou KDC) sur Mac OS X Server, qui gère les politiques de mot de passe que vous définissez sur le serveur. L'utilisation de Kerberos offre également une fonction de signature unique décrite à la section suivante. Les services suivants de Mac OS X Server gèrent l'authentification Kerberos : AFP, courrier, FTP, SSH et fenêtre d'ouverture de session. • Stockage des mots de passe dans les comptes utilisateurs. Cette approche peut être utile lors de la migration de comptes utilisateurs depuis des versions antérieures de serveur. Toutefois, elle ne sera peut-être pas compatible avec des clients nécessitant des protocoles d'authentification sécurisés au niveau réseau, tels qu'APOP. • Authentification LDAPv3 non Apple. Cette approche est disponible pour les environnements dans lesquels un serveur LDAPv3 est déjà installé pour authentifier les utilisateurs. Signature unique Lorsqu'un utilisateur Mac OS X est authentifié avec Kerberos, il n'a pas besoin de saisir un nom d'utilisateur et un mot de passe chaque fois qu'il utilise un service gérant l'authentification Kerberos. L'utilisateur entre nom et mot de passe Kerberos à l'ouverture de la session, sans devoir les saisir à nouveau lorsqu'il fait appel aux services de fichiers ou de courrier Apple ou à un autre service gérant l'authentification Kerberos. Détection de services de réseau Les informations concernant les serveurs de fichiers et les autres services ont tendance à changer beaucoup plus souvent que les informations sur les utilisateurs ; de ce fait, elles ne sont généralement pas stockées dans des répertoires, mais découvertes en fonction des besoins. Open Directory peut détecter des services de réseau afin d'en révéler l'existence et l'emplacement. Pour leur part, les services s'identifient au moyen de protocoles standard. Open Directory accepte les protocoles de détection de services suivants : • Rendezvous, protocole Apple qui utilise le service DNS en multidiffusion, • SMB, protocole utilisé par Microsoft Windows, • AppleTalk, protocole en vigueur de Mac OS pour les services de fichiers, • SLP, standard libre pour la découverte de services de fichiers et d'impression.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 33 Gestion des utilisateurs Mac OS X Server facilite la gestion de l'accès des utilisateurs Macintosh, Windows, UNIX et Linux aux ressources réseau, aux fichiers et aux services. Le guide de gestion des utilisateurs comprend une description complète des fonctions de gestion des utilisateurs du serveur. Voici quelques-unes de ces fonctions. Comptes d'utilisateur Les comptes d'utilisateur contiennent les informations requises pour prouver l'identité d'un utilisateur : nom, mot de passe et identifiant. D'autres informations de compte d'utilisateur sont requises par plusieurs services afin de déterminer les droits de l'utilisateur et de personnaliser éventuellement son environnement. Comptes de groupe Les comptes de groupe permettent de gérer facilement un ensemble d'utilisateurs aux besoins similaires. Ils stockent les identités des utilisateurs qui leur appartiennent ainsi que des informations pour personnaliser l'environnement de travail des membres. Répertoires de départ Un répertoire de départ est un dossier servant à stocker les fichiers et préférences d'un utilisateur. Les autres utilisateurs peuvent voir ce répertoire et lire des fichiers dans le dossier Public, sans pouvoir toutefois (par défaut) accéder au reste du contenu. Mac OS X Server peut héberger des répertoires de départ pour des utilisateurs Macintosh, UNIX et Windows. Avec un répertoire de départ, ces utilisateurs ont accès à leurs applications, documents et réglages individuels, quel que soit l'ordinateur sur lequel ils ont ouvert une session. Vous pouvez imposer des quotas de disque sur les répertoires de départ afin de réguler l'utilisation du disque du serveur par les utilisateurs dotés de répertoires de départ. Gestion des utilisateurs Macintosh Mac OS X Server offre une personnalisation de l'environnement de travail pour les utilisateurs d'ordinateurs Mac OS 9 et Mac OS X : • Vous trouverez ci-après un résumé de la gestion des préférences et des comptes mobiles. • Pour plus d'informations sur l'automatisation des images du système d'exploitation sur les ordinateurs clients Macintosh, voir “Services d'images système” à la page 35. Gestion des préférences Vous pouvez utiliser Mac OS X Server pour gérer l'environnement de travail des clients Mac OS 9 et Mac OS X. Pour gérer les clients Mac OS 9, utilisez le Gestionnaire Macintosh. Pour gérer les clients Mac OS X, utilisez le Gestionnaire de groupe de travail. 34 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Les préférences que vous définissez pour chaque compte (d'utilisateur, de groupe et d'ordinateur) procurent à vos utilisateurs Macintosh une apparence uniforme de bureau, d'application et de réseau, quel que soit l'ordinateur Macintosh qu'ils utilisent. La gestion des clients Mac OS X présente plusieurs avantages : • Lorsque vous mettez à jour des comptes d'utilisateur, de groupe ou d'ordinateur, les utilisateurs Mac OS X gérés héritent automatiquement des modifications. Pour leur part, les comptes Mac OS 9 doivent être mis à jour séparément à l'aide de Macintosh Manager. • Vous disposez d'un contrôle direct accru sur les préférences système individuelles. • Les répertoires de départ réseau et les répertoires pouvant être configurés pour être utilisés par des groupes peuvent être montés automatiquement à l'ouverture de session. • Vous pouvez utiliser l'Option 95 de DHCP pour identifier un serveur à partir duquel un ordinateur client récupère des informations à l'ouverture de session. La configuration du service de répertoires est automatiquement téléchargée à partir du réseau. Elle définit les politiques d'accès au réseau, les préférences et la configuration du bureau sans qu'il soit nécessaire de configurer directement l'ordinateur client. • Vous pouvez définir des comptes mobiles pour gérer des utilisateurs se servant de leur ordinateur à la fois en et hors réseau. Comptes mobiles Les comptes mobiles permettent à l'utilisateur d'un ordinateur Mac OS X version 10.3 ou ultérieure de travailler hors ligne tout en pouvant : • ouvrir une session avec le nom et le mot de passe réseau, • travailler avec des réglages de préférences gérés comme sur un ordinateur en ligne. Gestion des utilisateurs Windows Vous pouvez offrir plus de fonctions aux utilisateurs Windows en installant un contrôleur de domaine principal (Primary Domain Controller ou PDC) sur Mac OS X Server et en définissant des réglages. Le serveur peut alors • fournir une authentification de domaine Open Directory pour les clients Windows NT 4.x, Windows 2000 et Windows XP, • héberger des répertoires de départ pour les utilisateurs Windows du domaine, • gérer les transferts de profils utilisateurs pour les répertoires de départ. Un compte utilisateur peut comprendre des attributs à la fois Macintosh et Windows. Les utilisateurs peuvent donc ouvrir des sessions à partir des deux types d'ordinateurs. Les utilisateurs Windows peuvent également utiliser les services de fichiers, d'impression et VPN de Mac OS X Server, comme décrit dans les sections ultérieures de ce chapitre. Le guide d'administration des services Windows explique comment configurer les nombreuses options spécifiques à Windows et gérées par Mac OS X Server.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 35 Services d'images système Vous pouvez créer des images disques et configurer Mac OS X Server pour les héberger afin que des ordinateurs Mac OS 9 ou Mac OS X puissent s'installer ou démarrer à partir de ces images via le réseau. Les images NetBoot sont utilisées pour le démarrage à distance et les images d'installation en réseau sont utilisées pour les installations à distance. La source de l'image peut être un CD, un DVD ou un DMG (image disque). Vous pouvez aussi créer l'image d'un système dont la configuration est celle souhaitée pour les ordinateurs clients. Dans ce cas, la source de l'image est un volume ou une partition. Le guide d'administration des images système fournit des informations complètes sur Netboot et l'installation en réseau. NetBoot NetBoot permet aux clients Macintosh, y compris ceux Mac OS X sans disque dur local, de démarrer à partir d'une image de disque système située sur un serveur Mac OS X plutôt que sur le disque de l'ordinateur client : • NetBoot simplifie l'administration de déploiements à grande échelle de systèmes Macintosh en réseau ou de baies de serveurs Xserve. Il est particulièrement utile pour les entreprises où un grand nombre d'ordinateurs doivent être configurés de manière identique ; il permettra par exemple à un fournisseur de services Web de configurer simultanément plusieurs serveurs Web. • NetBoot permet aussi d'installer plusieurs images disques afin de pouvoir démarrer les clients sous Mac OS 9 ou Mac OS X, voire de personnaliser l'environnement Macintosh pour différents groupes d'ordinateurs. • NetBoot permet aux administrateurs de configurer et de mettre à jour instantanément les ordinateurs clients en actualisant simplement une image de démarrage stockée sur le serveur. Toutes les modifications apportées au serveur sont automatiquement reportées sur les clients lorsqu'ils redémarrent. Les systèmes compromis ou altérés de quelque autre façon peuvent être instantanément restaurés par simple redémarrage. Installation en réseau L'installation en réseau est un service d'installation géré de façon centrale qui permet aux administrateurs d'installer, restaurer ou mettre à niveau des ordinateurs Macintosh de manière sélective. Inutile d'insérer une série de CD pour installer un système : toutes les données d'installation se trouvent sur le serveur. Voici quelques-uns des avantages de l'installation en réseau : • Il s'agit de la solution idéale pour la migration de systèmes d'exploitation, l'installation de logiciels avec licence de site ou personnalisés, la restauration de salles d'informatique ainsi que la création d'une nouvelle image d'ordinateurs de bureau ou portables.36 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server • Dans une structure, vous pouvez définir des images d'installation personnalisées pour divers services : marketing, ingénierie et ventes par exemple. • Vous pouvez établir des scripts post-installation qui lancent des actions après l'installation d'un logiciel ou d'une image système. • Vous pouvez créer une image à installation automatique. Ce type d'image comprend les réponses à toutes les questions habituelles du programme d'installation. Ainsi, lorsque l'utilisateur démarre à partir de l'image, celle-ci installe son contenu sur l'ordinateur client sans intervention de l'utilisateur. Services de fichiers Mac OS X Server facilite le partage de fichiers à l'aide de protocoles natifs de différents types d'ordinateurs clients. Les services de fichiers Mac OS X Server incluent : • Le service de fichiers Apple, qui utilise le protocole AFP (Apple Filing Protocol) et permet de partager des ressources avec des clients utilisant Mac OS 8, Mac OS 9 et Mac OS X. • Les services Windows, qui utilisent le protocole SMB (Server Message Block) pour permettre de partager des ressources avec les clients Windows et leur fournir le service de résolution de noms. Ces services gèrent les utilisateurs de Microsoft Windows 95, 98, ME (Millennium Edition), XP, NT 4.0 et 2000. • Le service FTP (File Transfer Protocol), qui permet de partager des fichiers avec quiconque via FTP. • Le service NFS (Network File System), qui permet de partager des fichiers et des dossiers avec les utilisateurs disposant du logiciel client NFS (utilisateurs UNIX). Le guide d'administration des services de fichiers décrit comment installer et gérer les services de fichiers Mac OS X Server. Le guide d'administration des services Windows fournit des informations sur le partage des fichiers avec les utilisateurs Windows. Partage Vous devez désigner des points de partage pour partager des fichiers. Un point de partage correspond à un dossier, un disque dur (ou partition) ou encore à un CD que vous rendez accessible sur le réseau. Il s'agit du point d'accès au niveau supérieur d'un groupe d'éléments partagés. Vous pouvez utiliser un point de partage avec plusieurs protocoles : AFP, Windows et FTP. Sur les ordinateurs clients Mac OS X, vous trouverez les points de partage dans le répertoire /Network et à l'aide de la commande Se connecter au serveur du Finder. Sur les ordinateurs Mac OS 9, l'accès se fait à l'aide du Sélecteur. Sur les ordinateurs Windows, les utilisateurs emploient le voisinage réseau.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 37 Service de fichiers Apple Le protocole AFP (Apple Filing Protocol) permet aux utilisateurs clients Macintosh de se connecter à leur serveur et d'accéder aux dossiers et aux fichiers comme si ces derniers se trouvaient sur leur propre ordinateur. Le protocole AFP offre : • le partage des fichiers via TCP/IP pour les clients Macintosh, • une reconnexion automatique lorsque la connexion au serveur de fichiers est interrompue, • le partage de fichiers cryptés (AFP via SSH), • la création automatique de répertoires de départ utilisateurs, • l'authentification Kerberos v5 pour les clients Mac OS X version 10.2 et ultérieures, • des contrôles d'accès méticuleux pour gérer les connexions client et l'accès en invité, • la déconnexion automatique des clients au bout d'une période d'inactivité, • la gestion d'IPv6 pour les clients et le serveur AFP. AFP vous permet également de partager à nouveau les montages NFS à l'aide de AFP. Cette fonction est une façon pour les clients hors réseau local d'accéder aux volumes NFS via une connexion AFP sûre et authentifiée. Le protocole permet également aux clients Mac OS 9 d'accéder aux services de fichiers NFS sur les réseaux UNIX traditionnels. Services Windows Le service de fichiers Windows dans Mac OS X Server permet aux clients Windows de se connecter à Mac OS X Server avec SMB via TCP/IP. Lorsque vous activez le service de fichiers Windows, vous pouvez également activer plusieurs autres services natifs Windows : • WINS (Windows Internet Naming Service), grâce auquel les clients de plusieurs sous-réseaux peuvent exécuter des résolutions nom/adresse, • la navigation, qui permet aux clients de naviguer afin de trouver des serveurs disponibles dans les sous-réseaux. Le service de fichiers Windows offre plusieurs moyens de gérer les verrouillages pour les points de partage Windows : • Il offre un moyen d'optimiser les performances des points de partage qui ne sont employés que par les clients Windows. Le verrouillage opportuniste est désactivé par défaut parce qu'il est incompatible avec NFS et AFP. Les verrouillages opportunistes, qui permettent aux clients une mise en cache client plus dynamique, ne sont pris en compte que par SMB. • Le verrouillage strict permet de vérifier le verrouillage à chaque accès à un fichier, que ce soit en lecture ou en écriture. Il est utile pour les applications ne gérant pas le verrouillage. Le verrouillage strict est activé par défaut.38 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Service NFS NFS (Network File System) est le protocole utilisé pour les services de fichiers sur les ordinateurs UNIX. Le terme NFS désignant le partage est exportation. Vous pouvez exporter un élément partagé soit vers un ensemble d'ordinateurs clients, soit vers “Monde”. L'exportation d'un volume NFS vers “Monde” permet à toute personne accédant à votre serveur d'accéder également à ce volume. NFS ne gère pas l'authentification nom/mot de passe. Il se base sur des adresses IP client pour authentifier les utilisateurs ainsi que des autorisations clients, ce qui n'est pas une méthode sécurisée sur la plupart des réseaux. Pour cette raison, n'utilisez NFS que si vous vous trouvez sur un réseau local (LAN), avec des ordinateurs clients de confiance ou dans un environnement qui ne peut pas utiliser le partage de fichiers Apple ou Windows. Si vous disposez d'un accès Internet et pensez effectuer des exportations vers Monde, il est préférable que votre serveur soit protégé par un coupe-feu. Vous pouvez partager à nouveau les montages NFS en utilisant AFP, Windows et FTP de manière à ce que les utilisateurs puissent accéder aux volumes NFS d'une manière plus restreinte. FTP (File Transfer Protocol) Le service FTP permet aux ordinateurs de transférer des fichiers via Internet. Les clients utilisant un système d'exploitation gérant FTP peuvent se connecter à votre serveur de fichiers FTP et télécharger des fichiers, en fonction des autorisations que vous avez définies. La plupart des navigateurs Internet et bon nombre d'applications gratuites peuvent être utilisés pour accéder à votre serveur FTP. Dans Mac OS X Server, le service FTP gère l'authentification Kerberos v5 et, pour la majorité des clients FTP, la reprise des transferts de fichiers interrompus. Mac OS X Server gère également la conversion de fichiers dynamiques, ce qui permet aux utilisateurs de demander des versions d'informations compressées ou décompressées sur le serveur. FTP est généralement considéré comme un protocole peu sûr, les noms et mots de passe d'utilisateur étant distribués en clair sur Internet. Etant donné les problèmes de sécurité posés par l'authentification FTP, la plupart des serveurs FTP sont utilisés en tant que serveurs de distribution de fichiers Internet pour des utilisateurs FTP anonymes. Mais à partir de Mac OS X Server version 10.3, FTP gère l'authentification Kerberos, mode d'authentification fiable sur un serveur FTP. Mac OS X Server gère le protocole FTP anonyme et empêche par défaut les utilisateurs FTP d'effacer, de renommer et d'écraser des fichiers, ainsi que de modifier des autorisations de fichiers. L'administrateur de serveur doit autoriser les téléchargements par les utilisateurs FTP anonymes de façon explicite, et ce dans un point de partage spécifique.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 39 Service d'impression Le service d'impression de Mac OS X Server permet le partage d'imprimantes en réseau et en connexion directe entre clients d'un réseau. Ce service permet également une gestion des files, le contrôle des tâches d'impression, une consignation complet et l'utilisation de quotas. Le service d'impression vous permet de : • partager des imprimantes réseau PostScript avec des clients Mac OS 9 (PAP, LaserWriter 8), Mac OS X (IPP, LPR/LPD), Windows (SMB/CIFS) et UNIX (LPR/LPD), • partager des imprimantes PostScript ou non directement connectées à un serveur Mac OS X à partir de clients Mac OS X version 10.2 et ultérieures, • partager des imprimantes USB directement connectées avec des clients Mac OS X version 10.2 et ultérieures, • vous connecter à des imprimantes réseau à l'aide d'AppleTalk, LPR et IPP, ainsi qu'à des imprimantes Direct-Connect (TWAIN) à l'aide d'USB, • faciliter la découverte d'imprimantes pour les utilisateurs via Open Directory, • imposer des quotas d'impression par utilisateur ou par imprimante pour limiter l'utilisation des imprimantes. Le guide d'administration du service d'impression fournit les informations nécessaires pour les tâches d'installation et d'administration. Service Web Le service Web de Mac OS X Server est basé sur Apache, un serveur Web HTTP libre. Le serveur est livré avec Apache 1.3 et Apache 2.0. Les logiciels libres autorisent quiconque à consulter et éditer le code source afin de le modifier et de l'améliorer. Cette caractéristique a contribué à populariser Apache qui est aujourd'hui le serveur Web le plus utilisé sur Internet. Le service Web comporte un cache frontal hautes performances qui améliore les performances des sites Web utilisant des pages HTML statiques. Ce cache évite au serveur d'avoir à accéder à chaque requête aux fichiers de données statiques. Le service Web gère également le protocole WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning). Avec WebDAV, vos utilisateurs clients peuvent prendre des pages Web, les modifier, puis les replacer sans devoir interrompre le fonctionnement du site. De plus, les utilisateurs Mac OS X peuvent utiliser un serveur Web WebDAV comme s'il s'agissait d'un serveur de fichiers. La gestion SSL (Secure Sockets Layer) du service Web permet un cryptage et une authentification sécurisés pour les sites Web de commerce électronique et les documents confidentiels. Un certificat numérique simple d'emploi fournit une preuve infalsifiable de l'identité de votre site Web.40 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Mac OS X Server offre une gestion complète des sites Web dynamiques : • Le service Web gère Java Servlets, JavaServer Pages, MySQL, PHP, Perl ainsi que les scripts UNIX et Mac CGI. • Mac OS X Server comprend un serveur JBoss ainsi que des outils d'administration de haut niveau pour sa gestion. Voir “Gestion des serveurs d'applications” à la page 44 pour plus d'informations sur JBoss. Le guide d'administration des technologies Web fournit des informations sur la configuration et la gestion des services Web. Service de courrier Mac OS X Server fournit un serveur de courrier robuste et complet gérant les protocoles SMTP, POP et IMAP et permettant de choisir une solution de stockage du courrier soit locale, soit basée sur un serveur. Les fonctions pour le courrier sortant (SMTP) sont les suivantes : • L'agent de transfert de courrier SMTP est basé sur Postfix. Pour des informations complètes sur cet agent libre, voir www.postfix.org • Pour l'authentification, les méthodes suivantes sont disponibles : PLAIN, LOGIN, CRAM-MD5 et Kerberos v5. Les principales caractéristiques pour le courrier entrant (POP et IMAP) sont les suivantes : • L'agent d'accès au courrier est un serveur Cyrus POP et IMAP. Voir asg.web.cmu.edu/ cyrus/ pour plus d'informations sur cet agent. • Pour IMAP, les types d'authentification disponibles sont texte en clair, PLAIN, LOGIN, CRAM-MD5 et Kerberos v5. Pour POP, il s'agit de texte en clair, APOP et Kerberos v5. • La base de données du courrier est extrêmement rapide. • Il est possible d'établir des règles d'absence et des quotas pour chaque utilisateur. • Mailman permet de créer et de gérer des listes de diffusion. Mac OS X Server gère aussi SquirrelMail pour la consultation du courrier sur le Web. Pour plus d'informations sur SquirrelMail, voir www.squirrelmail.org Le guide d'administration du service de courrier vous indique comment installer et configurer le service de courrier. Le guide d'administration des technologies Web décrit comment activer WebMail, l'implémentation Mac OS X Server de SquirrelMail. Services de réseau Mac OS X Server comporte les services de réseau ci-dessous pour mieux gérer les communications Internet sur votre réseau TCP/IP : • Dynamic Host Configuration Protocol (DHCP) • Domain Name System (DNS) • Coupe-feuChapitre 2 Services de Mac OS X Server 41 • Network Address Translation (NAT) • Virtual Private Network (VPN) • Service d'horloge réseau • Fonction de reprise IP Le guide d'administration des services réseau fournit des informations complètes sur tous ces services, sauf IP failover, qui est décrit dans le guide d'administration de la ligne de commande. DHCP Le protocole DHCP vous aide à gérer et à distribuer des adresses IP aux ordinateurs clients du serveur, et ce de façon dynamique. À partir d'un bloc d'adresses IP défini par vos soins, votre serveur localise une adresse non utilisée et la “loue” aux ordinateurs clients en fonction des besoins. Le protocole DHCP s'avère particulièrement utile lorsqu'une organisation dispose d'un nombre de clients supérieur à celui d'adresses IP. Celles-ci ne sont attribuées que dans la mesure où elles sont nécessaires. Celles qui ne trouvent pas preneur sont disponibles pour d'autres clients. Comme vous l'avez appris dans la section “Politiques de recherche” à la page 31, vous pouvez automatiser la configuration des services de répertoires des clients Mac OS X en utilisant l'Option 95 de votre serveur DHCP. Cette option recommandée permet aux ordinateurs clients de connaître leurs réglages de répertoires par l'intermédiaire d'un serveur DHCP. DNS Grâce au service DNS, les utilisateurs peuvent se connecter à une ressource de réseau, telle qu'un serveur Web ou de fichiers, en spécifiant un nom d'hôte (par exemple, serveur.apple.com) plutôt qu'une adresse IP (telle que “192.168.11.12”). DNS est une base de données distribuée qui affecte des adresses IP des noms de domaine. Un serveur fournissant le service DNS conserve une liste de noms ainsi que les adresses IP qui leur sont associées. Lorsqu'un ordinateur a besoin de l'adresse IP correspondant à un nom, il envoie un message au serveur DNS (également appelé serveur de noms). Le serveur de noms cherche l'adresse IP et la renvoie à l'ordinateur. S'il ne la trouve pas en local, il envoie des messages à d'autres serveurs de noms sur Internet pour l'obtenir. Vous aurez besoin du serveur DNS si vous utilisez les services de courrier SMTP ou si vous souhaitez créer des sous-domaines dans votre domaine principal. Vous utiliserez également le service DNS si vous hébergez plusieurs sites Web. Si vous ne disposez pas d'un fournisseur d'accès à Internet (FAI) gérant le service DNS pour votre réseau, vous pouvez configurer un serveur DNS pour Mac OS X Server. Mac OS X Server fournit des outils d'administration pour la gestion de la configuration des services, le contrôle des zones et le suivi des événements. Il offre une interface graphique pour42 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server • activer les transferts de zone et la récursion, • spécifier les interfaces sur lesquelles écouter les requêtes DNS, • gérer les listes d'hôtes bloqués, • travailler avec les fichiers d'historique, • gérer les zones et leurs fiches. Coupe-feu Le service de coupe-feu protège votre serveur et son contenu des intrus. Il assure un coupe-feu logiciel en analysant les paquets IP entrants et en les acceptant ou en les refusant en fonction des filtres que vous avez définis. Vous pouvez définir des restrictions sur l'ensemble du serveur pour les paquets provenant d'adresses IP spécifiques. Vous pouvez aussi limiter l'accès à chacun des services (Web, courrier, FTP…) en définissant des filtres pour les ports utilisés par ces derniers. Le coupe-feu IP peut être employé pour bloquer l'accès aux ports de certains services ou pour ne permettre l'accès qu'à certains ports. De plus, le coupe-feu IP est muni d'un mécanisme sophistiqué, l'inspection des paquets, permettant de s'assurer qu'un paquet entrant est bien une réponse légitime à une requête sortante ou qu'il fait partie d'une session en cours, ce qui permet d'accepter des paquets qui seraient refusés autrement. NAT La traduction d'adresses réseau (Network Address Translation ou NAT) est un moyen de connecter plusieurs ordinateurs à Internet (ou à tout autre réseau IP) à partir d'une seule adresse IP. Elle convertit les adresses IP que vous attribuez aux ordinateurs sur votre réseau interne en une adresse pouvant être utilisée pour les communications Internet. Ainsi, la borne d'accès AirPort utilise le service NAT. Par défaut, une borne affecte à l'aide du service DHCP des adresses IP aux ordinateurs du réseau Ethernet. Le service NAT convertit ensuite ces adresses lorsque l'un de ces ordinateurs cherche à accéder à Internet. Le service NAT est de plus en plus répandu parce qu'il permet de réduire le nombre d'adresses IP utilisées. Il augmente aussi la sécurité de l'accès Internet en n'acceptant que des connexions provenant du réseau interne. L'application Admin Serveur de Mac OS X Server vous permet d'administrer le service NAT. Vous pouvez aussi utiliser l'outil de ligne de commande ipfw ou le service Coupefeu pour configurer les traductions NAT spécifiques à votre réseau.Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 43 VPN Mac OS X Server vous permet de mettre en place un réseau privé virtuel (Virtual Private Network ou VPN). Le protocole VPN est un protocole de transmission réseau utilisant le cryptage ainsi que d'autres technologies pour fournir des communications sécurisées sur un réseau public. En général, ce réseau public est l'Internet, mais les VPN sont également employés pour les connexions entre plusieurs intranets d'une même entreprise ou pour relier les réseaux de deux entreprises et former un extranet. Les VPN transmettent des paquets IP cryptés de telle manière que seuls les destinataires légitimes puissent les interpréter, protégeant ainsi le contenu des messages en cas d'interception des paquets. Mac OS X Server vous permet de définir et de gérer des politiques VPN qui acceptent différentes options d'authentification et d'autorisation et divers paramètres de connexion réseau. Le service VPN de Mac OS X Server est compatible avec les clients Mac OS X, Windows et UNIX et gère l'authentification forte avec MS-CHAP et IPSec. IP failover Vous pouvez configurer la fonction IP failover pour augmenter la disponibilité du serveur. Il s'agit d'un système qui permet de configurer un serveur de secours destiné à remplacer le serveur principal en cas de panne. Le serveur de secours prend en charge l'adresse IP du serveur en panne, qui la récupère à son tour dès qu'il est de nouveau en ligne. Le système IP failover s'avère très utile pour les serveurs DNS, les serveurs Web hébergeant des sites Web, les serveurs de diffusion de données et d'autres serveurs demandant une faible duplication de données. Diffusion de contenu multimédia Le Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS), vous permet de diffuser du contenu multimédia en temps réel à l'aide des protocoles standard RTSP/RTP. QTSS gère les formats de fichier MPEG-4, MP3 et QuickTime. Vous pouvez envoyer via Internet des données, en direct ou préenregistrées, aux utilisateurs Macintosh et Windows ou en retransmettre à d'autres serveurs d'enchaînement. Vous pouvez choisir le flux monodiffusion, qui permet d'envoyer un flux à chaque client en particulier, ou une multidiffusion, qui envoie le flux à un groupe de clients. • Pour plus d'informations sur QTSS, consultez le site Web QuickTime (www.apple.com/fr/quicktime/products/qtss/). • Pour plus d'informations sur la gestion des services de diffusion en temps réel sur Mac OS X Server, reportez-vous au guide d'administration du Serveur Enchaînement QuickTime.44 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server Deux applications QuickTime livrées avec Mac OS X Server permettent de préparer les contenus à diffuser : • QTSS Publisher permet d'envoyer le contenu au serveur de diffusion et de le préparer pour sa diffusion. Ses fonctions principales sont les suivantes : création et gestion de listes de lecture, génération de sites Web basés sur des répertoires de contenu et modification des annotations de contenu. Le guide d'administration du Serveur Enchaînement QuickTime décrit comment utiliser QTSS Publisher. • Quicktime Broadcaster permet une diffusion en direct. Il permet de diffuser des données audio et vidéo sur Internet et est fourni avec des paramètres de diffusion prédéfinis, tout en autorisant la création de réglages personnalisés. Construit sur l'architecture QuickTime, QuickTime Broadcaster vous permet de diffuser des données en direct au moyen de la majorité des codecs gérés par QuickTime. Pour plus d'informations sur QuickTime Broadcaster, ouvrez la page www.apple.com/fr/quicktime/ et cliquez sur le lien Quicktime Broadcaster. Gestion des serveurs d'applications Un serveur d'application est un logiciel qui exécute et gère d'autres applications, généralement des applications Web, auxquelles les utilisateurs accèdent via un navigateur Web. Les applications gérées se trouvent sur le même ordinateur que le serveur d'applications. L'une des fonctions du serveur d'applications est de s'assurer que les applications qu'il gère sont toujours disponibles. Par exemple, si une application échoue ou ne répond plus, le serveur d'applications la redémarre. Certains serveurs d'applications offrent un équilibrage des charges, en les répartissant entre deux ou plusieurs ordinateurs. Cette section traite de trois technologies serveur intégrées proposées par Mac OS X Serveur : Apache Tomcat, JBoss et WebObjects. Toutes trois sont préinstallées avec le serveur et peuvent être employées avec Apache Axis, également préinstallé. Axis est une plate-forme en code libre Java permettant la mise en œuvre de services Web via SOAP (Simple Object Access Protocol), un protocole basé sur XML. Pour plus d'informations sur SOAP, voir www.w3.org/TR/SOAP/ Le guide d'administration des technologies Web fournit plus d'informations sur les applications libres et les modules livrés avec Mac OS X Server. Apache Tomcat Tomcat est un conteneur en code libre JavaServer Pages (JSP)/servlet qui est employé dans l'implémentation de référence officielle pour les technologies Java Servlet et JavaServer Pages. • Les spécifications de Java Servlet se trouvent à l'adresse java.sun.com/products/servlets/ • Les spécifications de JavaServer Pages se trouvent à l'adresse java.sun.com/products/jsp/Chapitre 2 Services de Mac OS X Server 45 JBoss JBoss est un serveur d'applications Java complet couramment employé. Il fournit une plate-forme J2EE complète (Java 2 Enterprise Edition, avec des fonctions telles que : • un conteneur Enterprise Java Bean (EJB), • Java Management Extensions (JMX), • Java Connector Architecture (JCA). Mac OS X Server fournit des outils visuels simples d'emploi pour configurer et contrôler JBoss et pour simplifier le déploiement d'applications JBoss. Le guide d'administration de JBoss décrit comment gérer le serveur JBoss de Mac OS X Server. Si vous vous intéressez à la programmation en J2EE, consultez le document "Java Enterprise Applications", disponible à l'adresse www.apple.com/server/documentation/ (en anglais). • Pour plus d'informations sur J2EE, voir java.sun.com/j2ee/ • Pour plus d'informations sur JBoss, voir www.jboss.org/ Par défaut, JBoss utilise Tomcat en tant que conteneur d'applications Web, même si vous pouvez en utiliser d'autres, tels que Jetty. WebObjects WebObjects est la solution Apple pour le développement et le déploiement rapide d'applications e-commerce et d'autres applications Internet. Les applications WebObjects peuvent se connecter à plusieurs bases de données et générer des codes HTML de manière dynamique. WebObjects offre un ensemble complet d'outils et de bibliothèques d'exécution qui facilitent le développement de services Web basés sur les standards et d'applications serveur Java. Mac OS X Server est fourni avec les bibliothèques d'exécution WebObjects et une licence de déploiement illimitée, ce qui en fait la plate-forme idéale pour vos applications WebObjects compatibles J2EE. En option, vous pouvez acquérir les outils de développement WebObjects sur l'Apple Store (www.apple.com/francestore/), ainsi que dans les boutiques et chez les revendeurs Apple. Pour plus d'informations et de documentation à ce sujet, consultez la page Web de WebObjects à l'adresse : www.apple.com/fr/webobjects/ Intégration dans des environnements existants Il existe de nombreux moyens d'intégrer Mac OS X Server à un environnement existant. Open Directory offre plusieurs options pour utiliser des informations de répertoires : • Vous pouvez utiliser un centre de distribution de clés Kerberos ou Active Directory pour authentifier les utilisateurs. • Vous pouvez partager les informations stockées dans un système de répertoires LDAPv3 accessible à partir de votre serveur.46 Chapitre 2 Services de Mac OS X Server • Vous pouvez récupérer des informations de configuration à partir de fichiers de configuration Berkeley Software Distribution (BSD) ou de fichiers Network Information System (NIS) Sun Microsystems. Votre serveur peut offrir un service de réseau privé virtuel, le partage de fichiers et d'imprimantes et l'authentification Open Directory aux utilisateurs Windows. Vous pouvez également héberger des répertoires de départ d'utilisateurs Windows si vous installez un contrôleur de domaine principal sur Mac OS X Server. Plusieurs guides vous fourniront des instructions pour paramétrer un serveur afin qu'il fonctionne avec les produits d'autres éditeurs : • Le guide d'administration Open Directory fournit des instructions pour l'intégration dans des systèmes de répertoires existants. • Le guide d'administration des services Windows décrit comment configurer les services d'impression et de fichiers, ainsi que la gestion des contrôleurs de domaine principal pour les utilisateurs Windows. • Le guide de gestion des utilisateurs décrit comment configurer les options Windows pour chacun des utilisateurs. Haute disponibilité Les fonctions de Mac OS X Server qui favorisent une haute disponibilité sont les suivantes : • Réplique LDAP Apple Open Directory (voir le guide d'administration Open Directory) • IP failover (voir le guide d'administration de la ligne de commande) • Redémarrage automatique après un échec matériel ou logiciel • Contrôle de l'espace disque (voir le guide d'administration de la ligne de commande pour des informations sur les scripts de défilement et l'outil diskspacemonitor) • RAID logiciel (voir l'aide en ligne de l'Utilitaire de disque) • Disques HFS journalisés (voir le guide d'administration de la ligne de commandes pour savoir comment utiliser la journalisation des disques) • Contrôle à distance du serveur (voir le chapitre 3, “Administration du serveur”, à la page 47) Administration de serveur Mac OS X Server fournit une gamme complète d'outils et d'applications pour la gestion de vos serveurs. Tant pour l'installation initiale du serveur que pour la configuration des services ou sa gestion quotidienne, les administrateurs peuvent utiliser des interfaces graphiques ou des outils de ligne de commande à partir du serveur ou d'un ordinateur Mac OS X sur lequel vous avez installé les applications livrées avec le serveur. Consultez le chapitre 3, “Administration du serveur”, pour plus d'informations sur les outils et les applications de Mac OS X Server.3 47 3 Administration du serveur Administrez Mac OS X Server au moyen d'applications graphiques ou d'utilitaires de ligne de commande. Ces outils offrent diverses approches d'administration de serveur : • Vous pouvez administrer les serveurs en local (directement sur le serveur utilisé) ou à distance à partir d'un autre serveur, d'un ordinateur Mac OS X ou d'un poste de travail UNIX. • Les applications graphiques, comme Admin Serveur et Gestionnaire de groupe de travail, facilitent l'administration du serveur et sécurisent les communications pour l'administration du serveur à distance. Vous pouvez utiliser ces applications sur un ordinateur Mac OS X Server (elles se trouvent dans le répertoire /Applications/Server/) ou sur un ordinateur Mac OS X où vous les avez installées comme décrit dans “Configuration d'un ordinateur administrateur” à la page 49. • Des utilitaires de ligne de commande sont accessibles pour les administrateurs qui préfèrent administrer le serveur à l'aide de commandes. Pour l'administration du serveur à distance, vous pouvez soumettre les commandes dans une session SSH (Secure Shell). Vous pouvez entrer les commandes sur les ordinateurs Mac OS X Server et Mac OS X au moyen de l'application Terminal, qui se trouve dans le dossier / Applications/Utilities/. Vous pouvez également les soumettre depuis un ordinateur non Macintosh, comme décrit dans “Administration au moyen d'un ordinateur non Mac OS X” à la page 49. Utilisation des outils d'administration Les informations relatives à chaque outil d'administration sont disponibles aux pages indiquées dans le tableau ci-dessous. Application ou outil Sert à Pour plus d'informations, voir Programme d'installation Installer le logiciel serveur ou mettre à niveau la version 10.1 ou 10.2 la page 50 Assistant du serveur Configurer la version 10.3 du serveur pour la première fois la page 5048 Chapitre 3 Administration du serveur La section suivante décrit comment configurer un ordinateur sur lequel utiliser ces applications et outils. Ordinateurs permettant d'administrer un serveur Pour administrer un serveur local au moyen d'une application graphique (disponible dans le répertoire /Applications/Server/), ouvrez une session sur le serveur en tant qu'administrateur, puis démarrez l'application. Pour administrer un serveur distant, lancez l'application sur un ordinateur administrateur (tout ordinateur Mac OS X Server, Mac OS X 10.3 ou version supérieure sur lequel est installée l'application). Vous pouvez exécuter les utilitaires de ligne de commande à partir de l'application Terminal (dans le répertoire/Applications/Utilities/) et sur n'importe quel ordinateur Mac OS X Server ou Mac OS X. Vous pouvez également exécuter les utilitaires de ligne de commande depuis un poste de travail UNIX. Format de répertoire Configurer l'accès aux données dans les répertoires, définir une politique de recherche et activer les protocoles de détection de services la page 50 Gestionnaire de groupe de travail Administrer les comptes d'utilisateurs, de groupes et d'ordinateurs ainsi que les points partagés et la gestion des clients pour les utilisateurs Mac OS X la page 51 Admin Serveur Configurer et contrôler des services Configurer et administrer la diffusion multimédia QuickTime la page 56 la page 61 Outils d'image système Gérer les images de disque NetBoot et d'installation en réseau la page 60 Contrôle de serveur Contrôler l'équipement Xserve la page 60 Apple Remote Desktop Surveiller et contrôler d'autres ordinateurs Macintosh la page 61 Utilitaires de ligne de commande Administrer un serveur au moyen d'un shell de commande UNIX la page 62 Gestionnaire Macintosh Administrer la gestion des clients pour les utilisateurs Mac OS 9 la page 62 Application ou outil Sert à Pour plus d'informations, voirChapitre 3 Administration du serveur 49 Configuration d'un ordinateur administrateur Un ordinateur administrateur est équipé de Mac OS X ou Mac OS X Server version 10.3 ou supérieure, qui vous permet d'administrer les serveurs distants. Dès que vous avez installé et configuré un ordinateur Mac OS X Server doté d'un moniteur, un clavier et un lecteur optique, celui-ci est un ordinateur administrateur. Pour définir un ordinateur équipé de Mac OS X comme ordinateur administrateur, vous devez installer un autre logiciel. Dans la figure ci-dessous, les flèches vont des ordinateurs administrateurs vers les serveurs qu'ils permettent d'administrer. Pour définir un ordinateur équipé de Mac OS X comme ordinateur administrateur : 1 Assurez-vous que l'ordinateur Mac OS X possède la version 10.3 ou supérieure. En outre, vérifiez que l'ordinateur a au moins 128 Mo de RAM et 1 Go d'espace disque disponible. 2 Insérez le CD des outils d'administration Mac OS X Server. 3 Démarrez le programme d'installation (ServerAdmin.pkg) et suivez les instructions à l'écran. Administration au moyen d'un ordinateur non Mac OS X Vous pouvez utiliser un ordinateur non Mac OS X prenant en charge SSH (comme un poste de travail UNIX) pour administrer Mac OS X Server à l'aide des utilitaires de ligne de commande. Pour plus d'informations, consultez le guide d'administration des lignes de commande. Ordinateur administrateur Mac OS X Mac OS X Servers50 Chapitre 3 Administration du serveur Programme d'installation Exécutez le programme d'installation pour installer le logiciel serveur sur un serveur local à partir des CD d'installation fournis. Ce programme permet d'effectuer les tâches suivantes : • nouvelle installation de Mac OS X Server, qui installe la version 10.3 après effacement et formatage du disque de destination, • mise à niveau des versions 10.1 ou 10.2 vers la version 10.3 sans effacer aucune donnée. Pour des informations sur l'utilisation du programme d'installation, voir le chapitre 6, “Installation du logiciel serveur”. Assistant du serveur L'Assistant du serveur, qui se trouve dans le répertoire /Applications/Server/, est utilisé pour la première configuration du serveur et les installations distantes. Cette application flexible prend en charge divers scénarios de configuration : • Configurations locales et distantes • Installations du serveur à distance • Configurations d'un ou plusieurs serveurs • Préparation des données pour la configuration automatique du serveur Pour des informations sur l'utilisation de l'Assistant du serveur, voir le chapitre 7, “Configuration initiale du serveur”. Format de répertoire Format de répertoire est la principale application permettant de configurer les connexions à un ordinateur Mac OS X local ou distant avec des répertoires Open Directory, ainsi que de définir la stratégie de recherche de l'ordinateur et les protocoles de détection de services. L'application Format de répertoire est installée sur les ordinateurs Mac OS X Server et Mac OS X dans le répertoire /Applications/Utilities/ L'application Format de répertoire fournie avec la version 10.3 peut être utilisée pour configurer des ordinateurs versions 10.2 et 10.3. Pour des informations sur l'utilisation de Format de répertoire, voir le guide d'administration Open Directory.Chapitre 3 Administration du serveur 51 Gestionnaire de groupe de travail Le Gestionnaire des groupe de travail permet d'administrer des comptes d'utilisateurs, de groupes et d'ordinateurs, d'utiliser les préférences clients gérées pour les utilisateurs Mac OS X, d'administrer les points partagés et d'accéder à l'Inspecteur, fonction avancée autorisant des modifications brutes aux entrées Open Directory. Les informations relatives au Gestionnaire de groupe de travail sont disponibles dans de nombreux documents : • Le guide de gestion des utilisateurs décrit l'utilisation du Gestionnaire de groupe de travail pour l'administration des comptes et des préférences. • Le guide d'administration des services de fichiers décrit l'administration des points partagés à l'aide de la fonction de partage du Gestionnaire de groupe de travail. • Le guide d'administration Open Directory décrit l'utilisation de l'Inspecteur. • Le guide d'administration des services Windows décrit l'administration des utilisateurs de postes de travail Windows à l'aide du Gestionnaire de groupe de travail. • Le guide d'administration du service d’impression décrit la définition des quotas d'impression de chaque utilisateur à l'aide du Gestionnaire de groupe de travail. Ouverture de Gestionnaire de groupe de travail et authentification Le Gestionnaire de groupe de travail est installé dans le répertoire /Applications/Server/ Pour l'ouvrir, cliquez sur son icône dans le Dock ou dans la barre d'outils de l'application Admin Serveur : • Pour ouvrir le Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur que vous utilisez sans authentification, choisissez Afficher les répertoires dans le menu du serveur lorsque la boîte de dialogue d'ouverture de session du Gestionnaire de groupe de travail s'affiche. Vous avez un accès en lecture seule aux informations qu'il contient. Pour apporter des modifications, cliquez sur l'icône symbolisant un verrou afin de vous authentifier en tant qu'administrateur. Cette procédure est la plus indiquée lorsque vous administrez différents serveurs et que vous travaillez avec divers domaines de répertoire. • Pour vous authentifier en tant qu'administrateur d'un serveur particulier, qu'il soit local ou distant, tapez l'adresse IP du serveur ou son nom DNS dans la fenêtre d'ouverture de session ou cliquez sur Parcourir pour effectuer votre sélection dans une liste de serveurs. Tapez le nom d'utilisateur et le mot de passe d'un administrateur du serveur, puis cliquez sur Se connecter. Procédez de cette manière si vous travaillez la plupart du temps avec le même serveur. Après avoir ouvert le Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez ouvrir l'une de ses fenêtres pour un autre ordinateur en cliquant sur Se connecter dans la barre d'outils ou en choisissant Serveur > Se connecter.52 Chapitre 3 Administration du serveur Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail Une fois la session ouverte, une fenêtre affiche la liste des comptes d'utilisateurs. Il s'agit initialement des comptes stockés dans le dernier noeud de répertoire figurant dans le chemin de recherche du serveur. Voici comment s'initier aux principales tâches possibles avec cette application : • Pour administrer des comptes d'utilisateurs, de groupes ou d'ordinateurs, cliquez sur l'icône Comptes dans la barre d'outils. Dans la partie gauche, cliquez sur le bouton d'utilisateur, de groupe ou d'ordinateur pour afficher la liste des comptes qui existent actuellement dans le ou les répertoires que vous utilisez. Pour spécifier les répertoires dans lesquels sont stockés les comptes que vous voulez utiliser, cliquez sur l'icône en forme de globe au-dessus de la liste des comptes. Vous pouvez afficher la liste des comptes dans des répertoires dans le chemin de recherche du serveur auquel vous êtes connecté. Pour utiliser simultanément des comptes stockés dans différents répertoires ou utiliser différentes vues des comptes dans un même répertoire, ouvrez plusieurs fenêtres du Gestionnaire de groupe de travail en cliquant sur l'icône Nouvelle fenêtre dans la barre d'outils. Pour filtrer la liste des comptes à l'écran, utilisez la liste de recherche déroulante qui se trouve au-dessus de la liste des comptes. Pour actualiser la liste des comptes, cliquez sur le bouton Actualiser dans la barre d'outils.Chapitre 3 Administration du serveur 53 Pour simplifier la définition des attributs initiaux d'un compte à sa création, vous pouvez utiliser des préréglages. Un compte préréglé est un modèle de compte. Pour créer un préréglage, sélectionnez un compte, configurez toutes les valeurs à votre convenance, puis choisissez Enregistrer le préréglage dans le menu local Préréglages, au bas de la fenêtre. • Pour appliquer les préférences clients gérées aux comptes d'utilisateurs, de groupes ou d'ordinateurs, cliquez sur l'icône Préférences dans la barre d'outils. 54 Chapitre 3 Administration du serveur • Pour travailler avec des points partagés, cliquez sur l'icône Partage dans la barre d'outils. Chapitre 3 Administration du serveur 55 • Pour afficher l'Inspecteur, choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences. Activez l'affichage de l'Inspecteur puis cliquez sur OK. Ensuite, cliquez sur le bouton Tous les enregistrements (qui ressemble à un oeil de boeuf) pour accéder à l'Inspecteur. • Pour contrôler l'environnement du Gestionnaire de groupe de travail, vous avez le choix entre plusieurs options. Pour contrôler l'affichage des utilisateurs et des groupes dans le Gestionnaire de groupe de travail, que ce soit au moyen de transactions SSL ou autres, choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences. Pour personnaliser la barre d'outils, choisissez Affichage > Personnaliser la barre d'outils. • Pour importer ou exporter des comptes d'utilisateurs et de groupes, choisissez Serveur > Importer ou Serveur > Exporter, respectivement. • Pour récupérer des informations en ligne, utilisez le menu Aide. Vous y obtiendrez de l'aide sur les tâches d'administration que le Gestionnaire de groupe de travail permet d'effectuer, ainsi que d'autres rubriques relatives à Mac OS X Server. • Pour ouvrir Admin Serveur afin de contrôler et utiliser des services sur des serveurs particuliers, cliquez sur l'icône Admin dans la barre d'outils. 56 Chapitre 3 Administration du serveur Admin Serveur L'application Admin Serveur vous permet d'administrer des services sur un ou plusieurs ordinateurs Mac OS X Server. Ouverture de l'application Admin Serveur et authentification L'application Admin Serveur est installée dans le répertoire /Applications/Server/ Pour l'ouvrir, cliquez sur l'icône Admin Serveur dans le Dock ou sur le bouton Admin dans la barre d'outils du Gestionnaire de groupe de travail. Pour sélectionner un serveur à utiliser, tapez son adresse IP ou son nom DNS dans la fenêtre d'ouverture de session ou cliquez sur Parcourir pour le choisir dans une liste de serveurs. Tapez le nom d'utilisateur et le mot de passe d'un administrateur, puis cliquez sur Se connecter. Pour administrer plusieurs serveurs à partir d'une fenêtre Admin Serveur, il vous suffit de cliquer sur Ajouter un serveur dans la barre d'outils après avoir ouvert Admin Serveur, puis ouvrez une session sur le serveur. La prochaine fois que vous ouvrirez Admin Serveur, tout serveur ajouté apparaîtra dans la liste. Vous pouvez vous connecter à un serveur version 10.2 à l'aide de l'application Admin Serveur. Dans ce cas, vous ne pouvez pas modifier ses services mais vous pouvez en contrôler l'état.Chapitre 3 Administration du serveur 57 Utilisation de l'application Admin Serveur Voici quelques conseils généraux relatifs à l'utilisation de l'application Admin Serveur. Des instructions détaillées relatives à son utilisation pour gérer des services individuels sont disponibles dans le guide d'administration spécifique au service. • Les serveurs que vous pouvez administrer après l'ouverture de l'application Admin Serveur figurent dans la liste Ordinateurs & services. Pour ajouter un serveur à la liste Ordinateurs & services, cliquez sur Ajouter un serveur dans la barre d'outils, puis ouvrez une session sur le serveur. La prochaine fois que vous ouvrirez Admin Serveur, tout serveur ajouté apparaîtra dans la liste. Pour restreindre les éléments affichés dans la liste Ordinateurs & services, sélectionnez ceux que vous voulez afficher dans le menu local au-dessus de la liste. Pour modifier l'ordre des serveurs dans la liste, glissez-les à la nouvelle position de votre choix. Si un serveur dans la liste est grisé, double-cliquez dessus ou cliquez sur le bouton Se connecter dans la barre d'outils pour ouvrir une nouvelle session. Cochez la case Ajouter au trousseau lorsque vous ouvrez la session afin d'activer la reconnexion automatique à la prochaine ouverture d'Admin Serveur. Pour supprimer un serveur de la liste Ordinateurs & services, sélectionnez-le, choisissez Serveur > Se déconnecter, puis Serveur > Supprimer Serveur. • Vous pouvez définir le niveau de sécurité des communications entre Admin Serveur et les serveurs distants en choisissant Admin Serveur > Préférences.58 Chapitre 3 Administration du serveur Par défaut, l'option Utiliser des connexions sécurisées (SSL) est activée et toutes les communications avec les serveurs distants sont cryptées à l'aide de SSL. Cette option utilise un certificat auto-signé de 128 bits dans le répertoire /etc/servermgrd/ssl.crt/ à l'installation du serveur. Les communications utilisent le protocole HTTPS (port 311). Si cette option n'est pas activée, le protocole HTTP (port 687) est utilisé et le texte clair est échangé entre Admin Serveur et le serveur distant. Pour renforcer la sécurité, cochez également la case Exiger une signature numérique valide. L'option utilise un certificat SSL installé sur n'importe quel serveur distant à administrer au moyen de l'application Admin Serveur afin de vous assurer que le serveur distant est valide. Avant d'activer cette option, suivez les instructions décrites dans le guide d'administration des technologies Web, relatives à la création d'une demande de signature de certificat (CSR, Certificate Signing Request), l'obtention d'un certificat SSL auprès d'une autorité de certification et l'installation de celui-ci sur chaque serveur distant. Au lieu de placer les fichiers dans le répertoire /etc/httpd/, stockez-les dans /etc/servermgrd/ Si vous voulez définir des niveaux d'authentification SSL supérieurs, visitez le site www.modssl.org. • Pour utiliser les réglages généraux du serveur, sélectionnez un serveur dans la liste Ordinateurs & services. Cliquez sur Vue d'ensemble pour afficher les informations relatives au serveur. Cliquez sur Historiques pour afficher les journaux système, les mises à jour logicielles, etc. Cliquez sur Système pour afficher les informations relatives aux ports et aux volumes utilisés par le serveur. Cliquez sur Graphiques pour afficher l'historique graphique des activités du serveur. Cliquez sur Mise à jour pour mettre à jour le logiciel du serveur à l'aide de Mise à jour de logiciels. Cliquez sur Réglages pour modifier des valeurs comme le nom d'ordinateur du serveur et son numéro de série et activer les services SNMP, NTP et Gestionnaire Macintosh. • Pour utiliser un service particulier sur un serveur, cliquez dessus dans la liste affichée sous le serveur (Ordinateurs & services). Vous pouvez afficher les informations relatives à un service (historiques, graphiques, etc.) et gérer ses réglages. Vous trouverez des instructions détaillées dans les guides d'administration de chaque service. Pour démarrer ou arrêter un service, sélectionnez-le dans la liste Ordinateurs & services, puis cliquez sur Démarrer le service ou Arrêter le service dans la barre d'outils. • Pour copier les réglages du service d'un serveur à un autre ou pour les enregistrer dans un fichier de liste des propriétés en vue de leur réutilisation ultérieure, cliquez sur l'icône glisser-déposer lorsqu'elle est visible dans l'angle inférieur droit. Chapitre 3 Administration du serveur 59 Sélectionnez le service dont vous voulez copier les réglages, puis cliquez sur Réglages pour les afficher. Cliquez ensuite sur l'icône glisser-déposer. L'icône prend alors la forme d'une version miniature de la fenêtre Réglages. Pour enregistrer les réglages dans un fichier de liste des propriétés, faites glisser la fenêtre miniature sur votre Bureau ou dans un dossier. Pour appliquer les réglages sur un autre serveur, ouvrez une autre fenêtre Admin Serveur, puis faites glisser la fenêtre miniature des réglages vers le service qui doit hériter de ses valeurs. • Pour désactiver les modifications apportées aux réglages d'un service au-delà d'un certain délai d'inactivité, choisissez Admin Serveur > Préférences. Sélectionnez Verrouiller auto la vue après et indiquez la durée, par défaut de 60 minutes. Pour désactiver les modifications à la demande, choisissez Affichage > Verrouiller la vue. Pour activer de nouveau les modifications, choisissez Afficher > Déverrouiller la vue et réauthentifiez-vous en tapant le nom d'utilisateur et le mot de passe utilisés pour ouvrir la session. • Pour récupérer des informations en ligne, utilisez le menu Aide. Vous y obtiendrez de l'aide sur les tâches d'administration que l'application Admin Serveur permet d'effectuer, ainsi que d'autres rubriques relatives à Mac OS X Server. • Pour contrôler l'environnement d'administration, vous avez le choix entre plusieurs options. Pour contrôler l'apparence des listes Admin Serveur, la fréquence d'actualisation automatique et d'autres comportements, choisissez Admin Serveur > Préférences. Pour personnaliser la barre d'outils, choisissez Affichage > Personnaliser la barre d'outils. Pour ajouter dans la barre d'outils un raccourci vers une vue particulière de d'Admin Serveur, allez au volet de votre choix, puis choisissez Affichage > Ajouter un raccourci vers la vue. • Pour accéder au Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur l'icône de l'application dans la barre d'outils.60 Chapitre 3 Administration du serveur Administration des images système Pour créer et administrer les images NetBoot et d'installation en réseau, vous pouvez utiliser plusieurs applications : • NetBoot Desktop Admin vous permet de modifier des images Mac OS 9. • L'Utilitaire d'images de réseau vous permet de créer et de modifier des images Mac OS X, y compris les images de l'installation réseau qui recréent une partition ou un volume existant. • Admin Serveur vous permet d'organiser les images NetBoot et d'utiliser des filtres contrôlant la visibilité des images à partir des ordinateurs clients. • PackageMaker permet de créer des progiciels d'installation réseau. Le guide d'administration des images système contient des instructions sur l'utilisation de toutes ces applications. Contrôle de serveur Utilisez Contrôle de serveur pour contrôler le matériel Xserve et envoyer des notifications par courrier électronique lorsque les circonstances le requièrent. Contrôle de serveur vous offre des informations sur le système d'exploitation installé, les lecteurs, l'alimentation, la température du processeur et du boîtier, les ventilateurs, la sécurité et le réseau. Contrôle de serveur est installé dans le répertoire /Applications/Server/ lorsque vous installez votre serveur ou configurez un ordinateur administrateur. Pour ouvrir Contrôleur de serveur, cliquez sur l'icône de l'application dans le Dock ou doublecliquez sur son icône dans le répertoire /Applications/Server/. Utilisez cette application pour contrôler des serveurs Xserve locaux ou distants : Chapitre 3 Administration du serveur 61 • Pour identifier le serveur Xserve à contrôler, cliquez sur Ajouter un serveur, identifiez le serveur qui vous intéresse et tapez le nom d'utilisateur et le mot de passe d'un administrateur du serveur. • Sélectionnez la fréquence d'actualisation des données dans le menu local Mettre à jour tous les, dans le volet Infos. • Choisissez Fichier > Exporter ou Fichier > Importer pour gérer les différentes listes de serveurs Xserve à contrôler. Choisissez Fichier > Fusionner pour regrouper toutes les listes en une. • Les témoins LED des faces avant et arrière des serveurs Xserve s'allument lorsqu'une réparation est requise. Utilisez Contrôle de serveur pour savoir exactement pourquoi les témoins s'allument. Vous pouvez également allumer les témoins d'un serveur Xserve afin de l'identifier dans une baie de serveurs. Pour cela, sélectionnez le serveur et cliquez sur Témoin système dans le volet Infos. • Cliquez sur Modifier les notifications pour configurer l'application Contrôle de serveur de sorte qu'elle vous avertisse par courrier électronique de tout changement de l'état du serveur Xserve. Pour chaque serveur, configurez les conditions dont vous souhaitez être averti. Le message électronique peut provenir de Contrôle de serveur ou du serveur lui-même. • Contrôle de serveur conserve des historiques de l'activité sur chaque serveur Xserve. Cliquez sur Afficher l'historique pour afficher un journal. Les historiques indiquent par exemple le nombre de fois où Contrôle de serveur a tenté de contacter le serveur et quelles connexions ont réussi. Ils indiquent également les modifications de l'état du serveur. Ces historiques n'incluent pas l'activité du système sur le serveur. Administration des diffusions multimédias Le guide d'administration des services de diffusion QuickTime contient des instructions utiles sur le sujet. Pour administrer les services de diffusion QuickTime, vous devez utiliser l'application Admin Serveur. Apple Remote Desktop Apple Remote Desktop, que vous pouvez acheter en option, simplifie la modification des réglages de plusieurs ordinateurs clients. Par exemple, à partir d'un seul ordinateur administrateur dans un atelier, vous pouvez facilement configurer tous les clients pour utiliser une image NetBoot au démarrage. Pour plus d'informations sur Apple Remote Desktop, visitez le site www.apple.com/remotedesktop/62 Chapitre 3 Administration du serveur Utilitaires de ligne de commande Si vous êtes administrateur et préférez travailler dans un environnement de ligne de commande, Mac OS X Server s'y prête aisément. À partir de l'application Terminal dans Mac OS X, vous pouvez utiliser les shells UNIX intégrés (sh, csh, tsh, zsh, bash) afin d'utiliser les outils d'installation et de configuration du logiciel du serveur, ainsi que configurer et contrôler des services. Vous pouvez également soumettre des commandes à partir d'un ordinateur non Mac OS X. Lorsque vous administrez des serveurs distants, vous travaillez de façon sécurisée dans une session SSH (Secure Shell). Le guide d'administration des lignes de commande décrit les commandes et les fichiers de configuration des applications Terminal, SSH et Admin Serveur. Gestionnaire Macintosh Utilisez Gestionnaire Macintosh pour administrer la gestion des clients pour des ordinateurs clients Mac OS 9. Vous pouvez l'utiliser localement (au niveau du serveur) ou à distance (à partir d'un ordinateur Mac OS 9 ou Mac OS X sur le même réseau que Mac OS X Server). Ouvrez Gestionnaire Macintosh en cliquant sur son icône dans le Dock. Connectez-vous à l'aide d'un nom et d'un mot de passe d'utilisateur administrateur de serveur, du Gestionnaire Macintosh ou de groupe de travail. En tant qu'administrateur de serveur, vous bénéficiez automatiquement des autorisations d'administrateur global pour le Gestionnaire Macintosh. Admin Serveur assure également la prise en charge du Gestionnaire Macintosh. Pour des informations sur l'utilisation du Gestionnaire Macintosh, consultez le guide de gestion des utilisateurs. Utilisation de serveurs version 10.2 à partir de serveurs version 10.3 Lorsque vous avez ouvert une session sur Mac OS X Server 10.3, vous pouvez administrer un serveur version 10.2 : • Admin Serveur, qui se trouve dans le répertoire /Applications/Server/, vous permet de contrôler l'état d'un serveur version 10.2. • Format de répertoire, qui se trouve dans le répertoire /Applications/Utilities/, vous permet de configurer des serveurs et des ordinateurs version 10.2. • Gestionnaire de groupe de travail, qui se trouve dans le répertoire /Applications/ Server/, vous permet de gérer les comptes, préférences et réglages de partage version 10.2.II Partie II : Installation et configuration initiale Les chapitres de cette partie du guide décrivent l'installation du logiciel serveur et la première configuration d'un serveur. Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Chapitre 5 Avant de commencer Chapitre 6 Installation du logiciel serveur Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Annexe B Exemple de configuration4 65 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Avant d'installer et de configurer Mac OS X Server, effectuez un minimum de planification et familiarisezvous avec les options possibles. Ce chapitre est une synthèse des informations contenues dans les chapitres suivants. Il passe en revue les étapes de l'installation et de la configuration initiale du serveur, ainsi que les options dont vous disposez à chaque étape. Planification Lors de la phase de planification, vous déterminez de quelle manière vous prévoyez d'utiliser Mac OS X Server et si des opérations s'avèrent nécessaires avant son installation. Il se peut par exemple que vous souhaitiez passer un serveur existant à la version 10.3 tout en continuant à héberger des services de répertoires, de fichiers et de courrier pour les clients de votre réseau. Avant d'installer votre logiciel serveur, vous devrez peut-être préparer les données à faire migrer vers votre nouveau serveur, et vous demander si le moment est opportun pour mettre en œuvre une nouvelle solution de services de répertoires. Le chapitre 5, “Avant de commencer”, à la page 75, vous aidera à comprendre ce que vous devez faire en premier lieu et ce que vous pouvez remettre à plus tard. Lors de la phase de planification, vous décidez aussi quelles options d'installation et de configuration du serveur sont les plus adaptées à vos besoins. L’annexe B, “Exemple de configuration”, à la page 127, présente un exemple illustrant l'installation et la configuration d'un serveur dans le contexte d'une petite entreprise. Plan Installer le logiciel serveur Configurer le serveur Configurer les services Se mettre à jour 66 Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Installation du logiciel serveur Sur certains ordinateurs, Mac OS X Server version 10.3 est installé d'office. Toutefois, vous serez parfois amené à installer le logiciel serveur, par exemple pour effectuer une mise à jour à partir d'un serveur 10.1 ou 10.2, pour transformer en serveur un ordinateur équipé de Mac OS X ou pour restaurer entièrement votre environnement de serveur. Vous pouvez installer le logiciel du serveur • à partir des disques d'installation du serveur, • à partir d'une image d'installation que vous configurez et stockez sur le disque (installation automatisée). Le chapitre 6, “Installation du logiciel serveur”, à la page 83, fournit des instructions détaillées sur toutes les options d'installation résumées dans les sections suivantes. Installation locale à partir des disques d'installation du serveur Si le serveur cible dispose d'un clavier et d'un écran ainsi que d'un lecteur optique, vous pouvez lancer l'installation de Mac OS X Server en initialisant le serveur à partir d'un disque d'installation. Le programme d'installation, automatiquement lancé après le démarrage, permet d'installer le logiciel du serveur en se laissant guider par une interface graphique. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Utilisation du programme d'installation pour une installation locale depuis les disques d'installation” à la page 87. Si vous préférez utiliser la ligne de commande, lancez l'application Terminal à partir du menu du programme d'installation et suivez les instructions dans “Installation du logiciel serveur à l'aide de l'outil de ligne de commande installer” à la page 90. >installer ouChapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration 67 Installation à distance à partir des disques d'installation du serveur Si le serveur cible ne dispose pas d'un clavier ou d'un écran ou s'il ne s'agit pas de l'ordinateur que vous utilisez, vous pouvez employer un ordinateur administrateur pour installer le logiciel du serveur à partir des disques d'installation du serveur. Un ordinateur administrateur est un ordinateur Mac OS X Server version 10.3 ou Mac OS version 10.3 sur lequel vous avez installé les logiciels de gestion de serveur. La section “Configuration d'un ordinateur administrateur” à la page 49 vous indique comment installer un ordinateur administrateur Mac OS X. Le serveur cible peut se trouver sur le même sous-réseau que l'ordinateur administrateur ou sur un autre. Si le serveur cible dispose d'un lecteur optique, initialisez-le en utilisant un disque d'installation du serveur puis utilisez l'Assistant du serveur de l'ordinateur administrateur pour démarrer l'installation. Si vous devez installer un logiciel serveur sur plusieurs ordinateurs, vous pouvez initialiser chacun d'eux à partir d'un disque d'installation, puis ouvrir une fenêtre d'Assistant du serveur pour chaque installation à effectuer. Voir “Utilisation de l'application Assistant du serveur pour une installation à distance depuis les disques d'installation” à la page 88 pour plus d'informations. Ordinateur administrateur Sous-réseau 1 Sous-réseau 2 Bienvenue >installer >installer68 Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Vous pouvez également utiliser la ligne de commande. Après avoir initialisé le serveur cible, connectez-vous à lui avec SSH à partir d'un ordinateur administrateur et suivez les instructions à la section “Installation du logiciel serveur à l'aide de l'outil de ligne de commande installer” à la page 90. Si vous souhaitez installer le logiciel serveur sur plusieurs ordinateurs, initialisez-les à partir d'un disque d'installation, puis ouvrez une fenêtre de Terminal pour chaque installation. Si le serveur cible est un système XServe sans lecteur optique intégré, vous pouvez utiliser celui d'un ordinateur administrateur connecté au système via un câble FireWire. Démarrez le Xserve en mode disque cible, ce qui permet au serveur cible d'apparaître comme un disque dur FireWire sur l'ordinateur de l'administrateur. (Lorsque vous utilisez ce mode, une icône de disque s'affiche sur le bureau de l'ordinateur administrateur pour chaque partition du disque dur de Xserve.) À partir de l'ordinateur administrateur, procé- dez à l'installation depuis un disque d'installation sur l'un des volumes Xserve montés. Dans ce cas, vous devez terminer une installation avant d'en commencer une autre. Il existe d'autres modes d'installation sur un système Xserve dépourvu de lecteur optique interne. Vous pouvez par exemple initialiser le serveur à partir d'un lecteur optique externe relié au système Xserve via un câble FireWire. Vous pouvez aussi initialiser le serveur à l'aide du lecteur optique d'un deuxième système Xserve équipé. Dans les deux cas, après le démarrage, utilisez un ordinateur administrateur pour lancer l'installation du logiciel serveur. Vous trouverez des instructions pour l'utilisation du mode disque cible et de lecteurs optiques externes dans les documents "Introduction à Xserve" et "Guide de l'utilisateur Xserve" fournis avec les systèmes Xserve. Automatisation de l'installation de serveurs avec une image disque Si vous avez besoin d'installer le logiciel serveur sur un nombre important d'ordinateurs ou avez fréquemment besoin de réinstaller ce logiciel, vous pouvez automatiser l'installation en utilisant une image d'installation stockée sur un disque à la place des disques d'installation. Ordinateur administrateurChapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration 69 Consultez le guide d'administration des images système pour plus d'informations sur la manière de créer et de déployer des images d'installation en réseau à partir d'un CD, d'un DVD ou d'un volume ou d'une partition existants. Configuration initiale du serveur Après avoir installé le logiciel serveur, l'étape suivante consiste à configurer le serveur. C'est lors de configuration du serveur que ses caractéristiques de base sont définies. Par exemple : • Le choix la langue utilisée pour l'administration du serveur et le clavier de l'ordinateur. • La définition d'un utilisateur administrateur et la création du répertoire de départ de l'utilisateur. • La définition des points de partage AFP et FTP par défaut, tels que Éléments partagés, Utilisateurs et Groupes. • La configuration de base des informations Open Directory. Au moins un domaine local NetInfo est créé. Vous pouvez aussi configurer un domaine LDAP Apple. • Le choix des noms d'hôte, d'ordinateur et Rendezvous du serveur. • La configuration des interfaces réseau (ports). • La configuration éventuelle du service d'horloge réseau. • L'activation éventuelle de services ne nécessitant pas de configuration supplémentaire. Par défaut, pour renforcer la sécurité, les seuls processus du serveur en service sont ceux indispensables aux fonctions de base du système. Les services accessibles depuis l'extérieur, tels que courrier, Web et services de fichiers, sont désactivés par défaut et les ports correspondants fermés. Vous ne pouvez réaliser qu'une seule fois la configuration initiale du serveur sans réinstaller celui-ci. Si vous avez besoin de modifier l'un des réglages établis lors de la configuration, il existe d'autres moyens de le faire. Vous pouvez par exemple utiliser Admin Serveur ou Format de répertoire pour gérer les réglages Open Directory. Il y a plusieurs manières de configurer un serveur : • en configurant un ou plusieurs serveurs de manière interactive, • en automatisant la configuration des serveurs en enregistrant les données de configuration dans un fichier ou dans un répertoire. Les serveurs à configurer sont ensuite paramétrés de manière à accéder à ces données. Consultez Le chapitre 7, “Configuration initiale du serveur”, à la page 93, pour des informations détaillées sur toutes les options de configuration du serveur, résumées ci-dessous.70 Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Configuration interactive des serveurs Le moyen le plus simple de configurer un petit nombre de serveurs est de faire appel au processus guidé d'Assistant du serveur, après avoir établi une connexion avec chacun des serveurs tour à tour. Vous fournissez alors les données de configuration des serveurs de manière interactive et démarrez ensuite immédiatement la configuration. Il s'agit de la technique utilisée pour configurer un serveur local, comme décrit à la section “Configuration interactive d'un serveur local” à la page 101. Vous pouvez également utiliser cette méthode interactive pour configurer un serveur distant à partir d'un ordinateur administrateur. Voir “Configuration interactive d'un serveur distant” à la page 102 pour plus de détails. Lorsque plusieurs serveurs distants peuvent utiliser les mêmes données de configuration, vous pouvez fournir celles-ci puis lancer la configuration simultanée de tous les serveurs : il est alors question d'une configuration par lot. Cette technique, représentée à gauche dans l'illustration ci-dessous, nécessite que les identifiants réseau de tous les serveurs cibles soient définis à l'aide de DHCP ou de BootP. Voir “Configuration interactive d'un lot de serveurs distants” à la page 103 pour plus d'instructions. Sous-réseau 1 Sous-réseau 2 Bienvenue Bienvenue BienvenueChapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration 71 Si vous souhaitez personnaliser la configuration des serveurs, vous pouvez gérer chacune d'elles séparément à partir d'une fenêtre distincte de l'Assistant du serveur. Cette manière de procéder est représentée à droite dans l'illustration ci-dessus. Voir “Configuration interactive de plusieurs serveurs distants tour à tour” à la page 105 pour plus de détails. Bien que l'illustration montre des serveurs cibles se trouvant sur le même sous-réseau que l'ordinateur administrateur dans un cas et sur un sous-réseau différent dans l'autre, les deux méthodes peuvent être employées indifféremment. Si le serveur cible est sur un sous-réseau différent, vous devez fournir son adresse IP. Les serveurs se trouvant sur le même sous-réseau sont indiqués par l'Assistant du serveur ; il suffit dans ce cas de sélectionner un ou plusieurs serveurs dans la liste. Automatisation de la configuration du serveur Si vous devez configurer un nombre plus important de serveurs, la configuration automatisée peut être la bonne solution. Cette méthode permet aussi d'enregistrer les données de configuration afin de les réutiliser pour réinstaller par la suite un logiciel serveur. Utilisez l'Assistant du serveur pour spécifier les données de configuration, puis enregistrez ces données dans un fichier ou un répertoire. Utilisation de données de configuration stockées dans un fichier Lorsque vous placez un fichier de configuration sur un volume (CD, iPod, "clé" USB, partition de disque) monté localement sur un serveur installé mais pas configuré, ce dernier détecte le fichier et l'utilise automatiquement pour se configurer. Ordinateur administrateur Données de configuration stockées dans un répertoire Données de configuration stockées dans un fichier72 Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration Vous pouvez par exemple stocker plusieurs fichiers de configuration sur un iPod, puis connecter l'iPod au premier serveur pour lequel existe un fichier de configuration, avant de le connecter au serveur suivant, et ainsi de suite. Chaque serveur reconnaît son propre fichier puisqu''il a été nommé en utilisant l'un de ses identifiants et que son emplacement est connu. Ainsi, un serveur dont les huit premiers caractères du numéro de série seraient WXYZ1234 utiliserait le fichier suivant pour s'autoconfigurer : /Volumes/MyIPod/Auto Server Setup/ WXYZ1234.plist. Une autre solution consiste à utiliser l'adresse IP d'un serveur comme identifiant. Un serveur dont l'adresse IP serait 10.0.0.4 utiliserait ainsi le fichier /Volumes/MyIPod/Auto Server Setup/10.0.0.4.plist. Vous pouvez aussi utiliser un seul fichier nommé “generique.plist” par exemple, pour configurer plusieurs serveurs si les données de configuration n'ont pas besoin d'être individualisées et que les identités réseau des serveurs sont fournies par DHCP. Voir “Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier” à la page 106 pour plus de détails. iPod iPodChapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration 73 Utilisation de données de configuration stockées dans un répertoire Le serveur cible peut également se configurer à l'aide de données de configuration stockées dans un répertoire. Il doit alors être paramétré pour accéder à ce dossier. En fait, le serveur cherche des données de configuration dans tout dossier pour lequel il est paramétré avant de consulter des systèmes de fichiers montés localement. Bien que le stockage de données de configuration dans un dossier soit la manière la plus automatisée de configurer plusieurs serveurs, cette approche suppose au préalable une infrastructure afin que les serveurs cibles puissent trouver les données de configuration stockées dans le répertoire. Les composants essentiels de l'infrastructure sont les services DHCP et Open Directory, comme le montre l'illustration ci-dessous. Le serveur Open Directory de cet exemple héberge un répertoire LDAP dans lequel ont été enregistrées des données de configuration. L'adresse du serveur Open Directory est abonnée au service DHCP, exécuté sur un autre serveur dans le cas présent. Le service DHCP fournit l'adresse du serveur Open Directory aux serveurs cibles lorsqu'il affecte des adresses IP à ces serveurs. Les serveurs cibles détectent automatiquement les données de configuration qui ont été stockées à leur intention dans le répertoire LDAP et les utilisent pour s'autoconfigurer. Vous pouvez enregistrer les données de configuration dans un répertoire Apple OpenLDAP ou dans tout autre répertoire gérant le système d'extensions Apple pour les données de configuration enregistrées. Ce système d'extensions est documenté dans le guide d'administration Open Directory. Voir “Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire” à la page 109 pour plus de détails. Utilisation du cryptage Par défaut, les données de configuration enregistrées sont cryptées pour plus de sécurité. Avant qu'un serveur puisse s'autoconfigurer en utilisant des données cryptées, il doit pouvoir accéder à la phrase codée employée lors du cryptage des données. Serveur DHCP Serveur Open Directory 74 Chapitre 4 Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration La phrase codée peut être fournie soit de manière interactive (en utilisant l'Assistant du serveur), soit à partir d'un fichier sur un volume local du serveur cible. Vous pouvez par exemple stocker le fichier avec la phrase codée dans un dongle, puis connecter celui-ci à chacun des serveurs ayant besoin de la phrase codée. Un serveur avec l'adresse IP 10.0.0.4 utilisera le fichier /Volumes/MyIPod/SA_Keys/10.0.0.4.pass. Configuration des services Au terme de la configuration initiale du serveur, vous pouvez : • terminer la migration des données à partir d'un ancien serveur, si c'est nécessaire, • configurer les services que vous souhaitez fournir en utilisant les outils d'administration de serveur décrits dans Le chapitre 3, “Administration du serveur”, à la page 47. Rester à jour Lorsque des mises à jour de Mac OS X Server sont disponibles, utilisez l'onglet Mise à jour de logiciels des Préférences Système, l'outil de ligne de commande softwareupdate ou le bouton Mise à jour d'Admin Serveur pour vous les procurer.5 75 5 Avant de commencer Avant d'installer et de configurer Mac OS X Server, prenez le temps d'effectuer un minimum de planification. Les principaux objectifs de la phase de planification sont de s'assurer que : • les serveurs que vous déployez répondent aux besoins des utilisateurs et administrateurs, • les conditions préalables en matière de serveur et de services et qui affectent l'installation et la configuration initiale ont été identifiées. La planification de l'installation est particulièrement importante si vous intégrez Mac OS X Server dans un réseau existant, si vous migrez à partir de versions antérieures de Mac OS X Server ou si vous prévoyez de mettre en place plusieurs serveurs. Mais même dans un environnement à un serveur unique, il est préférable d'évaluer rapidement les besoins auxquels répondra le serveur. Ce chapitre pourra servir de base à votre réflexion. Il ne présente pas un algorithme de planification rigoureux. Il ne fournit pas non plus les détails nécessaires pour déterminer s'il faut implémenter un service donné ou évaluer les ressources qu'il nécessite. Considérez simplement ce chapitre comme une occasion de faire une pause et de réfléchir à la manière d'optimiser les avantages que présente Mac OS X Server dans votre environnement. Pas plus que la conception, la planification n'est forcément un processus linéaire. Sachez que l'un ordre des sections de ce chapitre n'est en rien obligatoire. Différentes sections offrent des suggestions qui peuvent être mises en œuvre de manière simultanée ou itérative. Mise en place d'une équipe de planification Impliquez dans le processus de planification de l'installation des personnes représentant différents points de vue :76 Chapitre 5 Avant de commencer • Quels sont les besoins au jour le jour que doit satisfaire un serveur ? Pour quelles activités les utilisateurs et les groupes de travail dépendront-ils du serveur ? Si le serveur doit être employé dans une salle de cours, veillez à ce que le formateur qui gérera ses services et l'administrera au quotidien ait son mot à dire. • Quels besoins devront être satisfaits en matière de gestion des utilisateurs ? L'initialisation des ordinateurs doit-elle se faire à l'aide de NetBoot ? Sera-t-il nécessaire de mettre en place une gestion des clients Macintosh et des répertoires de départ du réseau ? Les personnes ayant de l'expérience dans le domaine de l'administration de serveurs doivent discuter avec des utilisateurs du serveur n'ayant pas de compétences techniques particulières afin que ces derniers comprennent mieux l'intérêt de certains services. • Quels services existants non Apple, tel qu'Active Directory, le serveur devra-t-il intégrer ? Si vous avez prévu de remplacer un ordinateur Windows NT, envisagez d'utiliser pour cela Mac OS X Server, qui gère de manière complète les clients Windows. Assurez-vous que les administrateurs qui connaissent ces autres systèmes participent au processus de planification. • Quelles sont les caractéristiques du réseau dans lequel le serveur sera installé ? Devrez-vous mettre à jour les alimentations électriques, les commutateurs ou d'autres composants réseau ? Le moment est-il venu de réorganiser les infrastructures où sont hébergés vos serveurs ? Une personne ayant des connaissances en matière de systèmes et de réseaux pourra contribuer à la prise de décision et remplir la feuille de travail de la page 117. Identification des serveurs à mettre en place Effectuez un inventaire des serveurs : • De combien de serveurs disposez-vous actuellement ? • Comment sont-ils utilisés ? • Comment optimiser l'utilisation des serveurs que vous souhaitez garder ? • Y a-t-il des serveurs que vous souhaitez supprimer ? Lesquels peuvent être remplacés par Mac OS X Server? • Avec quels serveurs non Apple faudra-t-il intégrer Mac OS X Server ? Pourquoi ? • Y a-t-il des serveurs Mac OS X Server devant être passés à la version 10.3 ? • Combien de nouveaux ordinateurs Mac OS X devront être mis en place ? Chois des services à héberger sur chaque serveur Identifiez quels services vous voulez héberger sur chaque Mac OS X Server et sur chaque serveur non Apple que vous choisissez d'utiliser. Pour distribuer des services entre serveurs, vous devez connaître à la fois les utilisateurs et les services. Voici quelques exemples d'influence des options de services et des configurations matérielles et logicielles requises sur ce qui est installé sur chacun des serveurs :Chapitre 5 Avant de commencer 77 • Les implémentations de services de répertoires peuvent aller de l'utilisation des répertoires existants et d'une authentification Kerberos hébergée sur des serveurs non Apple à des répertoires Apple LDAP répliqués sur des serveurs situés partout dans le monde. Les services de répertoires, plus sans doute que n'importe quel autre type de service, demandent une analyse et une planification approfondie. Le guide d'administration Open Directory peut vous aider à comprendre les options et les possibilités. • Les répertoires de départ pour les utilisateurs du réseau peuvent être regroupés sur un seul serveur ou distribués sur plusieurs. Ils peuvent être déplacés en cas de besoin, mais vous risquez alors de devoir modifier un grand nombre de fiches d'utilisateurs et de points de partage. Par conséquent, développez une stratégie valable pendant une durée raisonnablement longue. Consultez le guide de gestion des utilisateurs pour plus d'informations sur les répertoires de départ. • Certains services permettent de limiter l'espace disque sollicité par chaque utilisateur. Vous pouvez par exemple mettre en place des quotas à la fois pour les répertoires de départ et pour le courrier des utilisateurs. Pensez aux quotas en tant que moyen d'augmenter l'espace disque disponible sur un serveur qui stocke des répertoires de départ et des bases de données de courrier. Les guides de gestion des utilisateurs et d'administration du service de courrier décrivent les quotas de répertoires de départ et de courrier, respectivement. • Les besoins en matière d'espace disque dépendent également des types de fichiers hébergés par le serveur. Pour les environnements créatifs, il est nécessaire de prévoir de très importantes capacités de stockage du fait du volume important des fichiers d'images, vidéo etc., alors qu'une école primaire aura des besoins beaucoup plus modestes. Le guide d'administration des services de fichiers décrit le partage de fichiers. • Si vous prévoyez de mettre en place un serveur de diffusion de données multimédias, vous devrez allouer un espace disque suffisant pour un certain nombre d'heures de diffusion de vidéo ou de son. Reportez-vous au guide d'administration du Serveur Enchaînement QuickTime pour connaître les configurations matérielles requises et obtenir un exemple de configuration. • Le nombre d'ordinateurs clients NetBoot que vous pouvez connecter à un serveur dépend du nombre de connexions Ethernet du serveur, de celui d'utilisateurs et d'autres facteurs, en particulier l'existence de services DHCP. Consultez le guide d'administration des images système pour des instructions concernant la planification des capacités de NetBoot. • Mac OS X Server offre une gestion complète des utilisateurs Windows. Vous pouvez regrouper les tâches de gestion sur des serveurs fournissant des services de contrôleur principal de domaine ou bien répartir les services sur différents serveurs. Le guide d'administration des services Windows décrit les options disponibles. • Si vous voulez utiliser un RAID logiciel pour segmenter des disques ou les mettre en miroir, vous aurez besoin de deux lecteurs non Firewire ou plus sur un serveur. Consultez l'aide en ligne de l'Utilitaire de disque pour plus d'informations.78 Chapitre 5 Avant de commencer Avant de prendre des décisions définitives quant à l'hébergement des services par les différents serveurs, familiarisez-vous avec les guides d'administration de chacun des services que vous souhaitez déployer. Définition d'une stratégie de migration Si vous utilisez des ordinateurs avec des versions de Mac OS X Server antérieures à 10.3, il est intéressant de les passer à la version 10.3. Si vous utilisez Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2, vous pouvez souvent mettre à jour votre serveur pendant le processus d'installation. Cette approche s'avère simple car les données et les réglages que vous utilisiez auparavant sont automatiquement préservés. Lorsque cette approche est impossible, vous pouvez migrer les données et les réglages. Préférez la migration lorsque : • un disque dur d'un serveur version 10.1 ou 10.2 a besoin d'être reformaté ou ne satisfait à la configuration matérielle minimum de la version 10.3 (voir “Configuration système requise pour l'installation de Mac OS X Server” à la page 83) ; • vous souhaitez transférer sur un autre serveur les données et les réglages que vous utilisiez sur un serveur de version 10.1 ou 10.2 ; • vous utilisiez un serveur d'une version antérieure à 10.1. Lisez le guide de migration pour savoir quelles données et quels réglages de services peuvent être préservés et réutilisés dans la version 10.3. Le guide de migration fournit des instructions tant pour la réutilisation de matériel serveur existant (migration sur place) que pour la migration d'un ordinateur à un autre. Définition d'une stratégie d'intégration Il y a deux aspects à prendre en compte lorsque vous intégrez Mac OS X Server à un environnement hétérogène : • la configuration de Mac OS X Server de manière à exploiter les services existants, • la configuration d'ordinateurs non Apple pour l'utilisation de Mac OS X Server. Le premier aspect concerne principalement l'intégration des services de répertoires. Déterminez quels ordinateurs Mac OS X Server utiliseront des répertoires existants (Active Directory, LDAPv3, NIS) et des services d'authentification existants (tels que Kerberos). Reportez-vous au guide d'administration Open Directory pour les options disponibles et plus d'instructions. L'intégration peut simplement consister à activer une option dans Format de répertoire ou supposer la reconfiguration des services existants et des réglages de Mac OS X Server. Le deuxième aspect dépend largement du niveau de prise en charge que vous souhaitez offrir aux utilisateurs Windows de Mac OS Server. Le guide d’administration des services Windows vous dira quelles options sont disponibles. Chapitre 5 Avant de commencer 79 Définition de la configuration de l'infrastructure matérielle Déterminez s'il est nécessaire d'apporter des modifications au site ou à la topologie du réseau avant d'installer et de configurer les serveurs. • Qui administrera le serveur, et de quel type d'accès au serveur auront besoin les administrateurs ? Les serveurs de salles de classes doivent être facilement accessibles aux instructeurs alors que ceux qui hébergent des informations de répertoire pour tout le réseau doivent être sécurisés par un accès protégé dans des locaux. Les outils d'administration de Mac OS X Server offrant une solution complète d'administration du serveur à distance, il est très rare qu'un administrateur de serveur ait besoin d'accéder physiquement au serveur. • Certaines conditions de climatisation ou d'alimentation électriques doivent-elles être remplies ? Voyez la documentation livrée avec le serveur pour plus d'informations. • Avez-vous pensé à mettre à jour des éléments tels que câbles, commutateurs et alimentations électriques ? Le moment est peut-être adéquat pour le faire. • Votre réseau et vos sous-réseaux TCP/IP sont-ils configurés pour gérer les services et les serveurs que vous prévoyez de déployer ? Infrastructures de configuration du serveur Les infrastructures de configuration du serveur sont les services et les serveurs qui doivent être installés en premier car d'autres en dépendent. Par exemple, si vous souhaitez utiliser Mac OS Server pour fournir des services DHCP, une horloge réseau et BootP à d'autres serveurs que vous allez configurer par la suite, vous devez configurer et activer le ou les serveurs fournissant ces services avant de configurer ceux qui en dépendent. Par ailleurs, si vous voulez automatiser la configuration des serveurs en utilisant des données de configuration stockées dans un répertoire, les serveurs DHCP et de répertoires doivent être configurés au préalable. Le travail d'infrastructure de configuration requis dépend de la complexité de votre site et de vos objectifs. En général, les services DHCP, DNS et de répertoires sont souhaitables ou obligatoires pour un réseau moyen ou de grande taille : • La couche d'infrastructure la plus essentielle comprend des services de réseau tels que DHCP et DNS. Tous les services fonctionnent mieux si DNS se trouve sur le réseau. Si vous n'hébergez pas de service DNS, consultez l'administrateur responsable du serveur DNS lorsque vous configurez vos propres serveurs. La configuration de DHCP doit se faire en fonction de la topologie physique de votre réseau.80 Chapitre 5 Avant de commencer • Autre composant d'infrastructure essentiel : les services de répertoires, qui sont nécessaires pour le partage des données entre services, serveurs et ordinateurs. Le type de données le plus couramment partagé est celui employé par les utilisateurs et les groupes, même si les informations de configuration telles que les enregistrements de montage et les autres données de répertoires sont également partagées. Les infrastructures de services de répertoires sont nécessaires lorsque vous souhaitez héberger des services d'authentification multi-plateformes ou que plusieurs services doivent utiliser les mêmes noms et mots de passe. Voici un exemple d'ordre possible d'installation des infrastructures de serveur comprenant DNS, DHCP et services de répertoires ; ces services peuvent être installés sur un ou plusieurs serveurs : 1 Installez le serveur DNS. 2 Installez DHCP. 3 Configurez DHCP pour indiquer l'adresse du serveur DNS et que celui-ci offre ses services aux clients DHCP. 4 Installez un serveur de répertoires comprenant si besoin est un service de contrôleur principal de domaine Windows. 5 Ajoutez au répertoire des données sur les utilisateurs, groupes et répertoires de départ. Ce processus implique par exemple d'importer des utilisateurs et des groupes, de configurer des points de partage et des préférences gérées. 6 Configurez DHCP pour indiquer l'adresse du serveur de répertoires et que celui-ci offre ses services aux clients DHCP Vos besoins particuliers peuvent modifier cette séquence. Ainsi, si vous souhaitez utiliser des services tels que VPN, NAT ou coupe-feu IP, leur installation devra être prise en compte lors de la configuration de DNS et de DHCP. L’annexe B, “Exemple de configuration”, à la page 127 illustre les étapes possibles de configuration des infrastructures de répertoires et de réseau Mac OS X Server pour une petite entreprise. Vérification de la disponibilité du matériel nécessaire Il peut être préférable d'attendre que tout le matériel soit en place avant de commencer la configuration du serveur. Ainsi, évitez de configurer un serveur dont vous souhaitez stocker les données en miroir tant que tous les disques dont vous avez besoin ne sont pas disponibles. Il est également préférable d'attendre que le sous-système RAID soit en place avant d'installer un serveur de répertoires de départ ou tout serveur qui y fera appel.Chapitre 5 Avant de commencer 81 Définition de la stratégie d'installation et de configuration à utiliser Examinez les options d'installation et de configuration du serveur (voir le chapitre 4, “Vue d'ensemble de l'installation et de la configuration”, à la page 65). Choisissez la ou les options que vous souhaitez utiliser, puis reportez-vous à la page 84 pour les conditions préliminaires à l'installation et à la page 94 pour la configuration initiale du serveur. Recherche et organisation des informations Pour chaque serveur que vous configurez, remplissez la feuille de travail de la page 117. Celle-ci regroupe toutes les données dont vous avez besoin pour parcourir rapidement les options d'installation et de configuration à utiliser.6 83 6 Installation du logiciel serveur Vous pouvez installer Mac OS X Server version 10.3 en tant que mise à jour de la version 10.1 ou 10.2 ou sa version complète. Consultez plus bas la configuration système requise ainsi que la section “Informations préalables” à la page 84 avant de suivre les instructions d'installation du tableau cidessous. Configuration système requise pour l'installation de Mac OS X Server Mac OS X Server version 10.3 peut être installé sur les ordinateurs suivants : • Xserve • G5 • Power Mac G4 • Macintosh Server G4 • Macintosh Server G3 • Power Mac G3 • iMac • eMac Les instructions concernant le sujet suivant Se trouvent Utilisation du programme d'installation pour une installation locale depuis les disques d'installation la page 87 Utilisation de l'Assistant du serveur pour une installation à distance depuis les disques d'installation la page 88 Installation du logiciel serveur sur un ordinateur avec Mac OS X version 10.3 préinstallé la page 89 Automatisation de l'installation du logiciel serveur la page 90 Utilisation de l'outil ligne de commande installer la page 90 Installation des logiciels serveur en option la page 9284 Chapitre 6 Installation du logiciel serveur L'ordinateur doit être équipé des éléments suivants : • 128 Mo minimum de mémoire vive (RAM), 256 Mo pour les serveurs fortement sollicités et exécutant de nombreux services, • 4 Go minimum d'espace disque disponible, • Un port USB intégré. Les moniteurs et claviers sont optionnels. Vous pouvez installer le logiciel serveur sur un ordinateur sans moniteur ni clavier à l'aide d'un ordinateur administrateur. La section “Configuration d'un ordinateur administrateur” à la page 49 décrit l'installation de ce type d'ordinateur. Informations préalables Utilisez l’annexe A, “Feuille de travail de Mac OS X Server”, à la page 117 pour consigner les informations relatives à chacun des serveurs que vous souhaitez installer. Les paragraphes suivants fournissent des explications complémentaires sur les éléments de la feuille de travail. Mise à jour depuis la version 10.1 ou 10.2 La version 10.3 peut être installée sur un ordinateur équipé de Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2. Le processus de mise à jour installe et configure Mac OS X Server version 10.3 tout en préservant automatiquement les données et réglages de services existants. La mise à jour de la version 10.1 ou 10.2 vers la version 10.3 peut être réalisée dans les cas suivants : • Le disque dur du serveur actuel ne doit pas être reformaté. • La configuration matérielle du serveur actuel est conforme aux spécifications requises pour l'installation de la version 10.3. Pour plus de détails, consultez la section “Configuration système requise pour l'installation de Mac OS X Server” à la page 83. La mise à jour depuis la version 10.1 ou 10.2 porte automatiquement sur les éléments suivants : • Réglages DNS • Réglages coupe-feu • Réglages de la fonction IP failover • Réglages et base de données de courrier • Réglages et base de données MySQL • Réglages QTSS des listes de lecture, admin et serveur central • Réglages et fichiers de service Web • Réglages des services de répertoires, dont les services de mot de passe • Réglages de Format de répertoire, dont la politique de recherche et les configurations complémentaires • Répertoires de départ • Point de partageChapitre 6 Installation du logiciel serveur 85 • Réglages AFP • Réglages SMB • Réglages FTP • Données du Gestionnaire Macintosh • Réglages et images NetBoot • Réglages DHCP Préparation des disques pour l'installation de Mac OS X Server Lors de l'installation de la version complète, le contenu de la partition ou du disque de destination est écrasé et certaines tâches préparatoires sont nécessaires : • Sauvegardez toute information stockée sur le disque ou la partition de destination que vous souhaitez conserver. Pour plus d'informations sur la migration de données et réglages, reportez-vous au guide de migration. • Dans la plupart des cas, formatez l'unité de destination en utilisant le format Mac OS Étendu (journalisé). Vous pouvez également utiliser le format Mac OS Étendu ou le format HFS+ sensible aux différences de casse. Ce dernier est utile lorsque la casse des noms de fichiers est importante, notamment si Mac OS X Server doit être compatible avec des applications Unix existantes. Tous les disques formatés dans ce format sont également journalisés. • Une autre solution consiste à partitionner le disque de destination et configurer une des partitions en tant que destination du logiciel serveur. Le volume minimum recommandé pour une telle partition est de 4 Go. Important : ne stockez pas de données sur le disque dur ou la partition où est installé le système d'exploitation. De cette façon, vous évitez la perte de données dans l'éventualité d'une réinstallation ou d'une mise à niveau du système. • Vous pouvez éventuellement configurer le disque de destination pour une écriture miroir RAID, ce qui crée un disque de sauvegarde utilisé automatiquement en cas d'indisponibilité du disque principal. Vous pouvez formater un disque ou une partition au format Mac OS Étendu (journalisé) depuis le programme d'installation au format Mac OS Étendu depuis l'Utilitaire de disque. Pour formater un disque ou une partition au format HFS+ sensible à la casse, utilisez l'application Terminal. Par exemple : 1 Choisissez un volume Mac OS Étendu (par exemple /Volumes/MyHFSPlus) à convertir au format HFS sensible à la casse. 2 Ouvrez l'application Terminal. 3 Effacez puis reformatez le volume en tant qu'unité de démarrage ; dans l'exemple suivant MyCaseSensitive est le nouveau nom de volume : sudo diskutil eraseVolume "Case-sensitive HFS+" MyCaseSensitive bootable /Volumes/MyHFSPlus86 Chapitre 6 Installation du logiciel serveur Pour plus d'informations sur la création d'un volume HFS+ sensible à la casse, reportezvous à la page d'aide de diskutil et au guide d'administration de la ligne de commande. Les instructions fournies plus loin dans ce chapitre indiquent quand effectuer les tâches de préparation des disques. Instructions matérielles pour l'installation de Mac OS X Server Lors de l'installation du logiciel serveur sur un système Xserve, la procédure à suivre pour démarrer l'ordinateur en vue de l'installation dépend du type de matériel Xserve. Les procédures sont documentées dans le “Guide de l'utilisateur Xserve” et dans le “Introduction à Xserve” accompagnant le système Xserve. Identification du serveur distant lors de l'installation de Mac OS X Server Pour les installations de serveurs distants, vous devez connaître les informations suivantes concernant le serveur cible : • Son identité du serveur cible. Lors de l'utilisation de l'Assistant du serveur, vous devez pouvoir reconnaître le serveur cible parmi une liste de serveurs sur votre sous-réseau local, ou saisir son adresse IP (au format IPv4—000.000.000.000) s'il réside dans un autre sous-réseau. Les informations relatives aux serveurs répertoriés incluent l'adresse IP, le nom DNS et l'adresse MAC (Media Access Control), également appelée adresse matérielle ou adresse Ethernet. L'adresse IP est attribuée par un serveur DHCP sur le réseau ; s'il n'existe pas de serveur DHCP, le serveur cible utilise une adresse 169.xxx.xxx.xxx unique parmi les serveurs sur le sous-réseau local. Vous pouvez modifier l'adresse IP ultérieurement, lors de la configuration du serveur. • Le mot de passe prédéfini. Le mot de passe est constitué des huit premiers chiffres du numéro de série de matériel incorporé au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Les ordinateurs plus anciens ne possèdent pas de numéro de série incorporé ; pour ces systèmes, utilisez la suite de chiffres 12345678. Installation interactive du logiciel serveur depuis les disques d'installation Vous pouvez installer le logiciel serveur de manière interactive via les disques d'installation : • Sur un serveur local • Sur un serveur distant • Sur un ordinateur avec Mac OS X préinstalléChapitre 6 Installation du logiciel serveur 87 Utilisation du programme d'installation pour une installation locale depuis les disques d'installation Mac OS X Server peut être installé directement sur un ordinateur muni d'un moniteur, d'un clavier et d'un lecteur de disque optique. Pour installer le logiciel serveur localement : 1 Si vous installez la version complète du logiciel plutôt que la mise à jour, sauvegardez au préalable toute information stockée sur le disque ou la partition de destination que vous souhaitez conserver. 2 Allumez l'ordinateur et insérez le premier disque d'installation de Mac OS X Server dans le lecteur de disque optique. 3 Redémarrez l'ordinateur en maintenant appuyée la touche C de votre clavier. L'initialisation de l'ordinateur s'effectue depuis le disque d'installation. Vous pouvez relâcher la touche C lorsque le logo Apple s'affiche. 4 Lorsque le programme d'installation s'ouvre, vous pouvez éventuellement, dans le cas d'une installation de la version complète, préparer le disque de destination à l'aide de l'application Utilitaire de disque ou Terminal du menu Installation. L'Utilitaire de disque permet de formater le disque au format Mac OS Étendu. La commande diskutil de Terminal formate le disque au format HFS+ sensible à la casse. Important : ne stockez pas de données sur le disque dur ou la partition où est installé le système d'exploitation. De cette façon, vous évitez la perte de données dans l'éventualité d'une réinstallation ou d'une mise à niveau du système. 5 Avancez dans les écrans d'installation en suivant les instructions affichées. 6 Lorsque l'écran Sélectionner une destination apparaît, choisissez un disque ou un volume (partition) de destination en vous assurant que celui-ci se trouve à l'état adéquat. En cas d'installation de la version complète, vous pouvez choisir Installation > Ouvrir Utilitaire de disque ou Installation > Ouvrir Terminal pour suivre une dernière fois les étapes préparatoires sur le disque avant de sélectionner le volume de destination et de cliquer sur Continuer. Vous pouvez également cliquer sur Options pour formater le disque ou volume de destination au format Mac OS Étendu (journalisé) ; sélectionnez alors Effacer et formater puis cliquez sur OK. En cas d'installation de la mise à jour sur un ordinateur équipé de Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2, cliquez sur Options puis sélectionnez Ne pas effacer. Cliquez ensuite sur OK. 7 Au cours de l'installation, l'état d'avancement des opérations est affiché. Insérez le disque d'installation suivant lorsque le système vous y invite. Lorsque l'installation est terminée, le serveur redémarre automatiquement et vous pouvez procéder à la configuration initiale du serveur. Le chapitre 7, “Configuration initiale du serveur”, à la page 93 vous indique comment procéder.88 Chapitre 6 Installation du logiciel serveur Utilisation de l'application Assistant du serveur pour une installation à distance depuis les disques d'installation L'installation de Mac OS X Server sur un serveur distant depuis les disques d'installation requiert l'accès à l'ordinateur cible, ainsi qu'un ordinateur administrateur depuis lequel gérer l'installation. Pour installer le logiciel sur un serveur distant à l'aide des disques d'installation : 1 Si vous installez la version complète du logiciel plutôt que la mise à jour sur un ordinateur équipé de Mac OS X version 10.2, sauvegardez toute information stockée sur le disque ou la partition de destination que vous souhaitez conserver. Utilisez éventuellement l'application Utilitaire de disque ou Terminal localement (menu Applications/Utilitaires) pour préparer l'unité de destination. L'Utilitaire de disque permet de formater le disque au format Mac OS Étendu. La commande diskutil de Terminal formate le disque au format HFS+ sensible à la casse. Important : ne stockez pas de données sur le disque dur ou la partition où est installé le système d'exploitation. De cette façon, vous évitez la perte de données dans l'éventualité d'une réinstallation ou d'une mise à niveau du système. 2 Démarrez l'ordinateur cible depuis le premier disque d'installation. La procédure à suivre dépend du type de matériel cible. Si le serveur cible est muni d'un clavier et d'un lecteur de disque optique, insérez le premier disque d'installation dans le lecteur. Redémarrez ensuite l'ordinateur en maintenant appuyée la touche C de votre clavier. Si le serveur cible est un système Xserve équipé d'un lecteur de disque optique interne, démarrez le serveur depuis le premier disque d'installation en suivant les instructions du Guide de l'utilisateur Xserve relatives au démarrage depuis un disque système. Si le serveur cible est un système Xserve sans lecteur de disque optique interne, vous pouvez démarrer celui-ci en mode disque cible et insérer le disque d'installation dans le lecteur optique de votre ordinateur administrateur. Vous pouvez également utiliser un lecteur optique FireWire externe ou un autre système Xserve pour démarrer le serveur depuis le disque d'installation. Les instructions relatives à l'utilisation du mode disque cible et des lecteurs optiques externes sont fournies dans les documents Introduction à Xserve ou Guide de l'utilisateur Xserve accompagnant le serveur Xserve. 3 Sur un ordinateur administrateur, choisissez Applications/Server puis ouvrez Assistant du serveur. Sélectionnez l'option Installer le logiciel sur un serveur distant. 4 Identifiez le serveur cible. Si celui-ci se trouve sur le sous-réseau local, sélectionnez-le dans la liste. Sinon, cliquez sur Serveur à l'adresse IP puis saisissez une adresse IP au format IPv4 (000.000.000.000).Chapitre 6 Installation du logiciel serveur 89 5 Lorsque vous êtes invité à fournir un mot de passe, saisissez les huit premiers chiffres du numéro de série de matériel intégré au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si vous effectuez l'installation sur un ordinateur plus ancien ne disposant pas de numéro de série matériel intégré, tapez 12345678. 6 Avancez dans les écrans d'installation en suivant les instructions affichées. 7 Lorsque l'écran Sélectionner une destination apparaît, choisissez un disque ou un volume (partition) cible en vous assurant que celui-ci se trouve à l'état adéquat. Puis sélectionnez-le et cliquez sur Continuer. Si le volume sélectionné comporte Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2 à mettre à jour, cliquez sur Options puis sélectionnez Ne pas effacer. Sinon, sélectionnez Effacer et formater pour formater le disque au format Mac OS X Étendu (journalisé). Cliquez ensuite sur OK. Au cours de l'installation, l'état d'avancement des opérations est affiché. Insérez le disque d'installation suivant lorsque le système vous y invite. Tandis que l'installation progresse, vous pouvez ouvrir une autre fenêtre Assistant du serveur pour installer le logiciel serveur sur un autre ordinateur ; choisissez pour cela Fichier > Nouvelle fenêtre. Lorsque l'installation est terminée, le serveur redémarre automatiquement et vous pouvez procéder à la configuration initiale du serveur. Le chapitre 7, “Configuration initiale du serveur”, à la page 93 vous indique comment procéder. Installation du logiciel serveur sur un ordinateur avec Mac OS X version 10.3 préinstallé Suivez les instructions ci-dessous pour installer le logiciel serveur sur un ordinateur livré équipé de Mac OS X version 10.3. Pour installer le logiciel serveur sur l'ordinateur : 1 Démarrez l'ordinateur depuis le disque dur, selon la procédure habituelle. N'utilisez pas le premier disque d'installation. 2 Insérez le deuxième disque d'installation, puis double-cliquez sur MacOSXServerInstall.mpkg pour lancer le programme d'installation. 3 Lorsque l'installation est terminée, votre ordinateur redémarre automatiquement et l'Assistant du serveur s'ouvre pour vous permettre de configurer le serveur. 4 Après redémarrage du serveur, installez, le cas échéant, toute mise à jour du logiciel serveur à l'aide de Mise à jour de logiciels dans les Préférences Système.90 Chapitre 6 Installation du logiciel serveur Automatisation de l'installation du logiciel serveur avec une image disque Si vous devez installer le logiciel serveur sur un grand nombre de serveurs ou le réinstaller fréquemment, vous pouvez automatiser l'installation via une image d'installation résidant sur le disque dur plutôt que sur les disques d'installation. Reportez-vous au guide d'administration des images système pour des instructions relatives à la création et au déploiement d'images d'Installation réseau créées depuis un CD, DVD, volume ou partition. Après initialisation d'un ordinateur Xserve depuis une image d'installation NetBoot, vous pouvez utiliser l'Assistant du serveur pour configurer le serveur à distance. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Configuration interactive d'un serveur distant” à la page 102. Installation du logiciel serveur à l'aide de l'outil de ligne de commande installer L'outil installer permet d'installer le logiciel serveur sur un ordinateur local ou distant à partir de la ligne de commande. Pour plus d'informations sur installer : • Reportez-vous au guide d'administration de la ligne de commande. • Ouvrez l'application Terminal et saisissez installer, installer -help, ou man installer. Pour installer le logiciel serveur à l'aide de la commande installer : 1 Démarrez l'ordinateur cible depuis le premier disque d'installation. La procédure à suivre dépend du type de matériel cible. Si le serveur cible est muni d'un clavier et d'un lecteur de disque optique, insérez le premier disque d'installation dans le lecteur. Redémarrez ensuite l'ordinateur en maintenant appuyée la touche C de votre clavier. Si le serveur cible est un système Xserve équipé d'un lecteur de disque optique interne, démarrez le serveur depuis le premier disque d'installation en suivant les instructions du Guide de l'utilisateur Xserve relatives au démarrage depuis un disque système. Si le serveur cible est un système Xserve sans lecteur de disque optique interne, vous pouvez démarrer celui-ci en mode disque cible et insérer le disque d'installation dans le lecteur optique de votre ordinateur administrateur. Vous pouvez également utiliser un lecteur optique FireWire externe ou d'un autre système Xserve pour démarrer le serveur depuis le disque d'installation. Les instructions relatives à l'utilisation du mode disque cible et des lecteurs optiques externes sont fournies dans les documents Introduction à Xserve ou Guide de l'utilisateur Xserve accompagnant le serveur Xserve. 2 Avant de débuter l'installation, identifiez le volume du serveur cible où vous souhaitez installer le logiciel serveur.Chapitre 6 Installation du logiciel serveur 91 Pour afficher la liste des volumes disponibles pour l'installation du logiciel serveur, saisissez : /usr/sbin/installer -volinfo -pkg /Volumes/Mac\ OS\ X\ Server\ Install\ Disk\ 1/ System/Installation/Packages/OSInstall.mpkg La liste affichée dépend de votre environnement ; l'exemple ci-dessous présente trois volumes disponibles : /Volumes/Mount 01 /Volumes/Mount1 /Volumes/Mount02 3 Si le volume cible comporte Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2, l'exécution de la commande installer met automatiquement le serveur à jour avec la version 10.3 tout en préservant les fichiers utilisateur. Si vous n'effectuez pas de mise à jour mais installez la version complète, sauvegardez les fichiers utilisateur à conserver, puis saisissez les commandes diskutil suivantes pour effacer le volume, le formater et autoriser la journalisation : /usr/sbin/diskutil eraseVolume HFS+ "Mount 01" "/Volumes/Mount 01" /usr/sbin/diskutil enableJournal "/Volumes/Mount 01" Par ailleurs, Diskutil permet de partitionner le volume et de configurer l'écriture miroir. Pour plus d'informations sur diskutil, consultez sa page d'aide. Important: ne stockez pas de données sur le disque dur ou la partition où est installé le système d'exploitation. De cette façon, vous évitez la perte de données dans l'éventualité d'une réinstallation ou d'une mise à niveau du système. 4 Si vous réalisez l'installation sur un serveur local, choisissez Installation > Ouvrir Terminal à l'ouverture de l'Assistant du serveur afin de lancer l'application Terminal. Si vous réalisez l'installation sur un serveur distant, depuis l'application Terminal sur un ordinateur administrateur ou depuis une station de travail Unix, établissez une session SSH avec le serveur comme utilisateur racine, en spécifiant pour le paramètre l'adresse IP du serveur cible : ssh root@ Si vous ignorez l'adresse IP et que le serveur distant réside dans le sous-réseau local, utilisez la commande sa_srchr pour identifier tous les ordinateurs du sous-réseau local : cd / /system/library/serversetup/sa_srchr 224.0.0.1 monordinateur.exemple.com#PowerMac4,4## #Mac OS X Server 10.3#RDY4PkgInstall#2.0#51292 Chapitre 6 Installation du logiciel serveur Vous pouvez également utiliser l'Assistant du serveur pour générer les informations relatives aux ordinateurs sur le sous-réseau local. Ouvrez Assistant du serveur, sélectionnez Installer le logiciel sur un ordinateur distant puis cliquez sur Continuer pour accéder à l'écran Destination et générer les informations. 5 Lorsque vous êtes invité à fournir un mot de passe, saisissez les huit premiers chiffres du numéro de série de matériel intégré au serveur. Pour rechercher le numéro de série, cherchez une étiquette sur le serveur. Si vous effectuez l'installation sur un ordinateur plus ancien ne disposant pas de numéro de série de matériel intégré, tapez 12345678. 6 Installez le système d'exploitation sur un volume de la liste obtenue à l'étape 2. Par exemple, pour utiliser Mount 01, saisissez : /usr/sbin/installer -verboseR -lang English -pkg /Volumes/Mac\ OS\ X\ Server\ Install\ Disk\ 1/ System/Installation/Packages/OSInstall.mpkg -target "/Volumes/Mount 01" 7 Au cours de l'installation, l'état d'avancement des opérations est affiché. Tandis que l'installation progresse, vous pouvez ouvrir une autre fenêtre Terminal pour installer le logiciel serveur sur un autre ordinateur. 8 Lorsque l'installation est terminée, redémarrez le serveur. Saisissez pour cela : /sbin/reboot ou /sbin/shutdown -r 9 Pour terminer l'installation à l'aide d'un disque d'installation complémentaire, utilisez la commande sa_srchr afin de localiser le serveur en attente. Spécifiez pour le paramètre l'adresse utilisée à l'étape 4 : /system/library/serversetup/sa_srchr 10 Lorsque la réponse sa_srchr inclut la chaîne “#InstallInProgress”, insérez le disque d'installation suivant pour terminer automatiquement l'installation : monordinateur.exemple.com#PowerMac4,4## #Mac OS X Server 10.3#InstallInProgress#2.0#2080 11 Lorsque l'installation est terminée, l'Assistant du serveur s'ouvre automatiquement. Installation de logiciels serveur en option Pour installer le Gestionnaire Macintosh, insérez le disque Outils d'administration Mac OS X Server et conformez-vous aux instructions d'installation fournies. Pour installer NetBoot pour Mac OS 9, téléchargez une copie de l'image du CD “NetBoot pour Mac OS 9” depuis le site www.info.apple.fr7 93 7 Configuration initiale du serveur Les caractéristiques élémentaires de Mac OS X Server sont définies lors de la configuration initiale du serveur. Reportez-vous à la section “Informations nécessaires” à la page 94 avant de suivre les instructions détaillées d'installation auxquelles renvoie le tableau suivant. Pour plus d'informations sur Voir ces instructions À Configuration interactive de serveurs Utilisation de la configuration interactive de serveur Configuration interactive d'un serveur local Report de la configuration de serveur local après l'installation Configuration interactive d'un serveur distant Configuration interactive d'un lot de serveurs distants Configuration interactive de plusieurs serveurs distants tour à tour la page 101 la page 101 la page 102 la page 102 la page 103 la page 105 Configuration automatique de serveurs Utilisation de la configuration automatique de serveur Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire la page 106 la page 106 la page 109 Contrôle et dépannage Détermination de l'état des configurations la page 112 Que faire après la configuration initiale Configuration des services la page 11294 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Informations nécessaires Reportez-vous à l’annexe A, “Feuille de travail de Mac OS X Server”, à la page 117 pour comprendre et consigner les informations pour chaque serveur à configurer. Les informations ci-dessous fournissent des explications supplémentaires sur certains éléments de la feuille de travail. Si vous effectuez une mise à jour de Mac OS X Serveur version 10.1 ou 10.2, l'Assistant du serveur affiche les réglages du serveur de la version 10.1 ou 10.2, qui restent modifiables. Consignez dans la feuille de travail les réglages à utiliser par le serveur version 10.3. Enregistrement des données de configuration Pour travailler à partir de données de configuration enregistrées, établissez une stratégie pour nommer, crypter et stocker les données. Procédure de recherche par un serveur de données de configuration enregistrées Un serveur récemment installé se règle lui-même en se basant sur les données de configuration enregistrées via la séquence de recherche ci-après. Lorsque le serveur trouve des données de configuration correspondant aux critères décrits, il interrompt la recherche et utilise ces données pour opérer ses réglages. 1 Un serveur cherche d'abord dans un répertoire pour lequel il est configuré un enregistrement de configuration, dans un chemin d'accès nommé “AutoServerSetup”. Il recherche des enregistrements nommés à partir de son adresse MAC, son adresse IP, son numéro de série matériel interne, son nom d'hôte ou “generique”. 2 Le serveur recherche ensuite des fichiers de configuration sur les volumes montés localement, dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * est un nom de système de fichiers. Il recherche dans les volumes, par ordre alphabétique des noms de périphé- riques, un fichier d'extension “.plist” et nommé à partir de son adresse MAC, son adresse IP, son numéro de série matériel interne, son nom d'hôte ou generique.plist. Si les données de configuration sont cryptées, le serveur a besoin de la phrase codée correcte avant de pouvoir effectuer ses réglages. Vous pouvez employer l'Assistant du serveur pour fournir la phrase codée interactivement ou dans un fichier texte stocké dans /Volumes/*/SA_Keys/. Le serveur cible recherche dans les volumes, par ordre alphabétique des noms de système de fichiers, un fichier d'extension “.pass” et nommé à partir de son adresse MAC, son adresse IP, son numéro de série matériel interne, son nom d'hôte ou generique.pass, dans cet ordre. Les deux sections suivantes fournissent plus de détails sur l'emploi des données de configuration enregistrées.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 95 Utilisation de données de configuration enregistrées dans un fichier Lorsque vous enregistrez des données de configuration dans un fichier, un serveur cible détecte automatiquement celui-ci et l'utilise si : • Les données de configuration détectées par le serveur cible ne se trouvent pas dans un répertoire que le serveur peut exploiter. Reportez-vous à “Utilisation de données de configuration enregistrées dans un répertoire” à la page 96 pour plus d'informations sur la détection et l'utilisation de données de répertoire par un serveur pour se régler lui-même. • Le fichier de configuration se trouve sur un volume monté localement dans / Volumes/*/Auto Server Setup/, où * est tout périphérique monté sous /Volumes. Un serveur cible parcourt les volumes par ordre alphabétique des noms de périphériques. Le périphérique monté comme système de fichiers peut être le disque dur du serveur ou un iPod, un CD, un disque FireWire, un disque USB ou tout autre périphérique connecté au serveur. Par exemple, /Volumes/AdminiPod/Auto Server Setup/monserveur.exemple.com.plist. • Le nom du fichier de configuration est l'un de ceux qui suivent (lors de la recherche de fichiers de configuration, les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) : .plist (insérez les zéros à gauche mais omettez les deuxpoints). Par exemple, 0030654dbcef.plist. .plist. Par exemple, 10.0.0.4.plist. .plist. Par exemple, monserveur.plist. .plist (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.plist. .plist. Par exemple, monserveur.exemple.com.plist. .plist. Par exemple, 10.0.plist (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.plist (fichier que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). • La phrase codée correcte est fournie au serveur si les données de configuration sont cryptées. Vous pouvez employer l'Assistant du serveur pour fournir une phrase codée interactivement ou dans un fichier texte. Placez le fichier de phrase codée sur un volume monté localement du serveur cible, dans /Volumes/*/SA_Keys/. Le fichier de phrase codée peut porter l'un des noms ci-après (les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) :96 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur .pass (insérez les zéros à gauche mais omettez les deux-points). Par exemple, 0030654dbcef.pass. .pass. Par exemple, 10.0.0.4.pass. .pass. Par exemple, monserveur.pass. .pass (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.pass. .pass. Par exemple, monserveur.exemple.com.pass. .pass. Par exemple, 10.0.pass (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Si vous voulez réutiliser les données de configuration enregistrées après réinstallation d'un serveur, vous pouvez stocker le ou les fichiers de configuration du serveur dans une petite partition locale qui ne sera pas effacée lorsque vous réinstallerez le serveur. Les fichiers de configuration sont automatiquement détectés et réutilisés après chaque réinstallation. Utilisation de données de configuration enregistrées dans un répertoire Cette démarche permet le moins d'intervention possible pour configurer plusieurs serveurs mais requiert une infrastructure DHCP et de répertoires. À l'aide de l'Assistant du serveur, vous enregistrez les données de configuration dans un répertoire existant, pour lequel l'ordinateur que vous utilisez est configuré et où les serveurs récemment installés doivent lire les données de configuration. Le système du répertoire doit accepter les données de configuration enregistrées. Les répertoires Apple OpenLDAP gèrent d'emblée les données de configuration enregistrées. Pour stocker des données de configuration dans un autre répertoire, vous devez d'abord étendre son système, comme décrit dans le guide d'administration Open Directory. Lorsque vous enregistrez des données de configuration dans un répertoire, un serveur cible les détecte automatiquement et les utilise si : • Le serveur cible obtient ses noms de réseau (nom d'hôte, nom d'ordinateur et nom Rendezvous) ainsi que sa configuration de port à partir d'un serveur DHCP. • Le serveur DHCP est configuré pour identifier l'adresse IP du serveur de répertoire où sont stockées les données de configuration. Reportez-vous au guide d'administration des services réseau pour des instructions de configuration de serveur DHCP. • Les serveurs de répertoire et DHCP sont en cours d'exécution. • Les données de configuration sont stockées dans le répertoire, dans le chemin d'accès /AutoServerSetup/ et un enregistrement portant l'un de ces noms (les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) :Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 97 (insérez les zéros à gauche mais omettez les deux-points). Par exemple, 0030654dbcef. . Par exemple, 10.0.0.4. . Par exemple, monserveur. (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234. . Par exemple, monserveur.exemple.com. . Par exemple, 10.0 (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique (enregistrement que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). • La phrase codée correcte est fournie au serveur (les données de configuration stockées dans un répertoire doivent toujours être cryptées). Vous pouvez employer l'Assistant du serveur pour fournir une phrase codée interactivement ou dans un fichier texte. Placez le fichier de phrase codée sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/SA_Keys/, où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. Un serveur cible recherche dans les volumes par ordre alphabétique des noms de périphériques. Le fichier de phrase codée peut porter l'un des noms ci-après (les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) : .pass (insérez les zéros à gauche mais omettez les deuxpoints). Par exemple, 0030654dbcef.pass. .pass. Par exemple, 10.0.0.4.pass. .pass. Par exemple, monserveur.pass. .pass (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.pass. .pass. Par exemple, monserveur.exemple.com.pass. .pass. Par exemple, 10.0.pass (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Stockage de copies de sauvegarde des données de configuration enregistrées Les données de configuration enregistrées ne servent pas uniquement à l'automatisation de la configuration de plusieurs serveurs. Elles permettent également de reconfigurer les serveurs si vous avez besoin d'y réinstaller le logiciel serveur.98 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Il est possible de conserver des copies de sauvegarde des fichiers de données de configuration sur un serveur de fichiers du réseau. De la même façon, vous pouvez stocker les fichiers de données de configuration dans une partition locale qui ne sera pas effacée lorsque vous réinstallerez le logiciel serveur. Spécification de l'utilisation initiale d'Open Directory Lors de la configuration initiale d'un serveur, vous spécifiez sa configuration de services de répertoire. Voici les possibilités : • Aucune modification, disponible uniquement lors de la mise à jour de Mac OS X Server version 10.1 ou 10.2, • Serveur autonome, servant uniquement à configurer un domaine de répertoire NetInfo local sur le serveur, • Maître Open Directory, servant à configurer un domaine Apple LDAP sur le serveur pour un partage par les autres ordinateurs, • Connecté à un système de répertoire, servant à configurer le serveur pour obtenir les informations de répertoire d'un domaine de répertoire partagé déjà configuré sur un autre serveur. Dans toutes ces situations, l'authentification Open Directory est configurée sur le serveur et utilisée par défaut pour tout nouvel utilisateur ajouté aux domaines résidant sur le serveur. Si vous configurez plusieurs serveurs et qu'un ou plusieurs d'entre eux hébergent un répertoire partagé, configurez-les avant les serveurs qui utiliseront ces répertoires partagés. Après configuration, utilisez si nécessaire les applications Format de répertoire ou Admin Serveur pour affiner la configuration de répertoire du serveur. Format de répertoire permet de configurer les connexions avec plusieurs domaines de répertoire et de spécifier une politique de recherche (ordre dans lequel le serveur doit rechercher dans les domaines). Admin Serveur permet de configurer la réplique et de gérer d'autres aspects de la configuration de service de répertoire d'un serveur. Le guide d'administration Open Directory vous aidera à choisir les options adéquates de configuration d'utilisation de répertoire. S'il s'agit d'une mise à jour, le meilleur choix est habituellement Aucune modification. Si vous configurez un nouveau serveur, le choix le plus simple est Serveur autonome. Après la configuration initiale du serveur, vous pouvez employer Format de répertoire ou Admin Serveur pour ajuster et finaliser la configuration de répertoire. Mise à jour sans changer l'utilisation de répertoire Lorsque vous configurez un serveur passé de la version 10.1 ou 10.2 à la version 10.3 et désirez qu'il exploite la même configuration de répertoire qu'auparavant, choisissez Aucune modification dans le panneau Utilisation de répertoire de l'Assistant du serveur.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 99 Même lorsque vous voulez changer la configuration de répertoire du serveur, le choix le plus sûr reste Aucune modification, particulièrement si vous envisagez de modifier la configuration de répertoire partagé d'un serveur. Par exemple, vous pouvez passer de l'hébergement d'un répertoire à l'utilisation d'un répertoire partagé d'un autre serveur et vice versa ou migrez d'un domaine NetInfo partagé vers LDAP. Ces opérations sont à réaliser après la configuration serveur, de façon à préserver l'accès aux informations sur les répertoires en réseau. Reportez-vous au guide d'administration Open Directory pour en savoir plus sur les options d'utilisation de répertoire et l'emploi de Format de répertoire et d'Admin Serveur afin de modifier des répertoires. Reportez-vous à Migration vers Mac OS X Server Version 10.3 pour plus d'informations sur l'emploi de données de répertoire existantes lorsque vous changez les réglages de service de répertoire. Si vous choisissez Aucune modification, l'authentification Open Directory est configurée si l'option Serveur de mot de passe n'était pas utilisée sur le serveur. Lorsque vous ajoutez des utilisateurs à un domaine de répertoire Apple résidant sur le serveur, les mots de passe sont validés par défaut en utilisant l'authentification Open Directory. Configuration d'un serveur comme serveur autonome Lorsque vous ne désirez pas que le serveur que vous configurez héberge ou utilise des informations de répertoire partagé, choisissez l'option d'utilisation de répertoire Serveur autonome dans Assistant du serveur. Cette option concerne uniquement un domaine NetInfo local. S'agissant d'un domaine local, les données qui y sont stockées ne sont accessibles que par le serveur que vous configurez. L'authentification Open Directory est également configurée sur le serveur. Par défaut, elle est utilisée lorsqu'un utilisateur est ajouté au domaine local. Lorsqu'un utilisateur tente de se connecter au serveur ou d'utiliser l'un des services réclamant une authentification, le serveur authentifie l'utilisateur en consultant la base de données locale. Si l'utilisateur a un compte sur le système et fournit le mot de passe correct, l'authentification aboutit. Configuration d'un serveur pour héberger un maître Open Directory Si vous voulez que le serveur que vous configurez héberge un répertoire LDAP Apple pour son propre usage et celui d'autres ordinateurs, choisissez l'option d'utilisation de répertoire Maître Open Directory dans Assistant du serveur. Cette option : • configure le domaine LDAP Apple sur le serveur, • active l'authentification Open Directory pour la validation de tous les utilisateurs définis dans le domaine NetInfo local et le domaine LDAP Apple partagé, • configure un KDC Kerberos sur le serveur, • active éventuellement un contrôleur de domaine principal Windows sur le serveur, ce qui permet à votre serveur d'authentifier et fournir des répertoires de départ aux utilisateurs d'ordinateurs sous Windows NT4.x, Windows 9x et Windows XP.100 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Pour configurer la réplique pour le répertoire LDAP Apple, utilisez Admin Serveur une fois la configuration achevée. Pour définir des connexions de répertoire supplémentaires, utilisez Format de répertoire. Reportez-vous au guide d'administration Open Directory pour plus d'informations sur la configuration de répertoire. L'authentification Open Directory est configurée sur le serveur et utilisée par défaut pour tous les utilisateurs ajoutés aux domaines qui résident sur le serveur. Configuration d'un serveur pour la connexion à un système de répertoire Si vous voulez que le serveur que vous configurez emploie un répertoire partagé sur un autre ordinateur, choisissez l'option d'utilisation de répertoire Connecté à un système de répertoire dans Assistant du serveur. Choisissez ensuite l'une des options suivantes : • Tel que spécifié par le serveur DHCP, configurant un serveur pour recevoir l'identité d'un serveur de répertoire LDAP ou NetInfo partagé du serveur DHCP qui lui fournit son adresse IP. Le répertoire LDAP peut être un répertoire LDAP Apple ou un répertoire LDAP d'un autre éditeur. • Répertoire LDAP Apple, qui vous permet d'indiquer que l'adresse de Mac OS X Server hébergeant le répertoire LDAP doit être obtenue en utilisant DHCP, ou de spécifier l'adresse IP ou nom de domaine du serveur. • Répertoire NetInfo, qui vous permet d'indiquer comment le serveur en cours de configuration devra localiser le serveur hébergeant un domaine partagé. Choisissez l'une de ces options : Broadcast, DHCP, Adresse IP statique. Cette dernière suppose que vous fournissiez l'adresse IP du serveur NetInfo et la balise NetInfo du domaine de répertoire, habituellement “network”. • Autre système de répertoire, qui est l'option à choisir lorsque vous désirez employer une option de répertoire différente des trois ci-dessus. Après configuration du serveur, utilisez Format de répertoire pour spécifier la configuration de répertoire du serveur. Reportez-vous au guide d'administration Open Directory pour plus d'informations.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 101 Vous pouvez configurer un serveur pour qu'il utilise un répertoire NetInfo sur Mac OS X Server version 10.0 et ultérieure ou un répertoire LDAP sur la version 10.2. Cependant, il est possible que vous ne bénéficiez pas de certaines fonctions de la version 10.3 : • Le service PDC Windows nécessite un répertoire maître LDAP version 10.3. • VPN a besoin de la version 10.3 si vous voulez employer l'authentification MS-CHAP2. • La réplique de serveur de mot de passe est impossible sur la version 10.2. • La configuration Kerberos est beaucoup plus complexe dans la version 10.2. Utilisation de la configuration interactive de serveur La solution interactive est intéressante lorsque vous avez peu de serveurs à configurer. Pour exploiter cette démarche, ouvrez l'Assistant du serveur, connectez-vous à un ou plusieurs serveurs cibles, fournissez les données de configuration, puis démarrez immédiatement la configuration. La méthode interactive permet de configurer un serveur local ou un ou plusieurs serveurs distants. Configuration interactive d'un serveur local Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, la méthode interactive permet de le configurer en local si vous avez possibilité d'accéder physiquement à l'ordinateur. Pour configurer interactivement un serveur local : 1 Remplissez la feuille de travail Mac OS X Server qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 2 Au redémarrage du serveur, l'Assistant du serveur est automatiquement ouvert. 3 Entrez les données de configuration consignées sur la feuille de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. Vérifiez que tout serveur DHCP ou DNS que doit employer le serveur que vous configurez est bien en cours d'exécution. 4 Une fois entrées les données de configuration, l'Assistant du serveur affiche un résumé des données. 5 Vérifiez les données de configuration que vous avez entrées. Cliquez éventuellement sur Revenir pour les modifier. 6 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format réutilisable (un fichier de configuration ou une fiche de répertoire enregistré), cliquez sur Enregistrer sous. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Lorsque vous utilisez des données de configuration enregistrées dans un fichier ou répertoire pour configurer un serveur, vous devez employer Admin Serveur pour entrer le numéro de série une fois la configuration du serveur achevée.102 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Vous devez fournir la phrase codée pour qu'un fichier de configuration crypté puisse être utilisé par un serveur cible. 7 Pour démarrer la configuration du serveur, cliquez sur Appliquer. Au terme de la configuration du serveur, cliquez sur Redémarrer. Vous pouvez maintenant ouvrir une session sous l'identité de l'administrateur créé pendant la configuration afin de configurer les services. Report de la configuration de serveur local après l'installation Une fois terminée l'installation du logiciel serveur sur un ordinateur local, l'ordinateur redémarre et l'Assistant du serveur s'ouvre automatiquement. Si vous désirez reporter la configuration du serveur à plus tard, appuyez sur les touches Commande-Q. L'ordinateur s'éteint. À son prochain démarrage, l'Assistant du serveur s'ouvrira automatiquement. Configuration interactive d'un serveur distant Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, la méthode interactive permet de le configurer à distance à partir d'un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. Pour configurer interactivement un serveur distant : 1 Remplissez la feuille de travail de Mac OS X Server qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 2 Assurez-vous que le serveur cible est en cours d'exécution. 3 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/ Server/ 4 Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Configurer un serveur distant et cliquez sur Continuer. 5 Dans le panneau Destination, placez une marque de cochage dans la colonne Appliquer du serveur distant à configurer, puis tapez son mot de passe de préréglage dans la case Mot de passe et cliquez sur Continuer pour vous connecter au serveur. Si le serveur cible n'apparaît pas dans la liste, cliquez sur Ajouter pour l'ajouter ou Actualiser pour voir s'il est disponible. 6 Dans le panneau Langue, choisissez la langue à employer pour administrer le serveur cible, puis cliquez sur Continuer. 7 Suivez l'étape 8 si vous voulez utiliser des données de configuration enregistrées. Sinon, passez à l'étape 9.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 103 8 Dans le panneau Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées à employer. Si les données de configuration enregistrées sont cryptées, tapez la phrase codée lorsque nécessaire. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Entrez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. Vérifiez que tout serveur DHCP ou DNS que doit employer le serveur que vous configurez est bien en cours d'exécution. 10 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par l'Assistant du serveur et cliquez éventuellement sur Revenir pour modifier les données. 11 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format réutilisable (fichier de configuration ou fiche de répertoire), cliquez sur Enregistrer sous. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Lorsque vous utilisez des données de configuration enregistrées dans un fichier ou répertoire pour configurer un serveur, vous devez employer Admin Serveur pour entrer le numéro de série une fois la configuration du serveur achevée. Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Vous devez fournir la phrase codée avant qu'un fichier de configuration crypté puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Pour démarrer la configuration du serveur, cliquez sur Appliquer. Au terme de la configuration du serveur, cliquez sur Continuer. Le serveur cible redémarre automatiquement et vous pouvez ouvrir une session sous l'identité de l'administrateur créé pendant la configuration afin de configurer les services. Configuration interactive d'un lot de serveurs distants Vous pouvez employer la méthode interactive pour configurer un lot de serveurs si : • tous les serveurs sont accessibles à partir d'un ordinateur administrateur, • tous les serveurs utilisent les même données de configuration à l'exception des identités réseau (nom d'hôte, nom d'ordinateur et nom Rendezvous) et du numéro de série du logiciel serveur, • les identités réseau sont fournies par un serveur DHCP ou BootP. Pour configurer plusieurs serveurs distants interactivement, par lot : 1 Remplissez la feuille de travail Mac OS X Server avec les réglages à employer pour tous les serveurs à configurer qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 2 Assurez-vous que les serveurs cibles et tous serveurs DHCP ou DNS qu'ils doivent employer sont en cours d'exécution.104 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 3 Sur un ordinateur administrateur capable de se connecter à tous les serveurs cibles, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/Server/ 4 Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Configurer un serveur distant et cliquez sur Continuer. 5 Dans le panneau Destination, placez une marque de cochage dans la colonne Appliquer des serveurs distants à configurer. Tapez ensuite le mot de passe de préréglage dans la case Mot de passe de chaque serveur et cliquez sur Continuer pour vous connecter aux serveurs. Si un serveur cible à configurer n'est pas dans la liste, cliquez sur Ajouter pour l'y ajouter. 6 Dans le panneau Langue, indiquez la langue à employer pour administrer les serveurs cibles, puis cliquez sur Continuer. 7 Suivez l'étape 8 si vous voulez utiliser des données de configuration enregistrées. Sinon, passez à l'étape 9. 8 Dans le panneau Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées à employer. Si les données de configuration enregistrées sont cryptées, tapez la phrase codée lorsque nécessaire. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Entrez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. Lorsque vous y êtes invité, entrez le numéro de série de chaque serveur cible. 10 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par l'Assistant du serveur et cliquez éventuellement sur Revenir pour modifier les données. 11 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format réutilisable (fichier de configuration ou fiche de répertoire), cliquez sur Enregistrer sous. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Lorsque vous utilisez des données de configuration enregistrées dans un fichier ou répertoire pour configurer un serveur, vous devez employer Admin Serveur pour entrer le numéro de série une fois la configuration du serveur achevée. Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Vous devez fournir la phrase codée avant qu'un fichier de configuration crypté ne puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Pour démarrer la configuration du serveur, cliquez sur Appliquer. Lorsque la configuration du serveur est achevée, cliquez sur Continuer. Les serveurs cibles redémarrent automatiquement et vous pouvez ouvrir une session sous l'identité de l'administrateur créé pendant la configuration afin de configurer leurs services.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 105 Configuration interactive de plusieurs serveurs distants tour à tour Vous pouvez employer la méthode interactive pour configurer plusieurs serveurs en utilisant plusieurs fenêtres Assistant du serveur sur un ordinateur administrateur. Pour configurer interactivement plusieurs serveurs distants tour à tour : 1 Remplissez la feuille de travail Mac OS X Server pour chaque serveur à configurer qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 2 Assurez-vous que les serveurs cibles et tous serveurs DHCP ou DNS qu'ils doivent employer sont en cours d'exécution. 3 Sur un ordinateur administrateur capable de se connecter à tous les serveurs cibles, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/Server/ 4 Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Configurer un serveur distant et cliquez sur Continuer. 5 Dans le panneau Destination, cochez l'un des serveurs distants à configurer. Tapez ensuite le mot de passe de préréglage dans la case Mot de passe du serveur et cliquez sur Continuer pour vous connecter au serveur. Si le serveur à configurer n'est pas dans la liste, cliquez sur Ajouter pour l'y ajouter. 6 Dans le panneau Langue, choisissez la langue à employer pour administrer le serveur cible, puis cliquez sur Continuer. 7 Suivez l'étape 8 si vous voulez utiliser des données de configuration enregistrées. Sinon, passez à l'étape 9. 8 Dans le panneau Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées à employer. Si les données de configuration enregistrées sont cryptées, tapez la phrase codée lorsque nécessaire. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Entrez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. 10 Une fois toutes les données de configuration spécifiées, vérifiez le résumé affiché par l'Assistant du serveur et cliquez éventuellement sur Revenir pour modifier les données. 11 Pour enregistrer les données de configuration sous forme de fichier texte ou dans un format réutilisable (fichier de configuration ou fiche de répertoire), cliquez sur Enregistrer sous. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Lorsque vous utilisez des données de configuration enregistrées dans un fichier ou répertoire pour configurer un serveur, vous devez employer Admin Serveur pour entrer le numéro de série une fois la configuration du serveur achevée.106 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Vous devez fournir la phrase codée avant qu'un fichier de configuration crypté puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Pour démarrer la configuration du serveur, cliquez sur Appliquer. 13 Pour travailler sur la configuration d'un autre serveur avant la fin de celle en cours, choisissez Fichier > Nouvelle fenêtre et répétez les étapes 4 à 12. Lorsque sa configuration est achevée, le serveur cible redémarre automatiquement et vous pouvez ouvrir une session sous l'identité de l'administrateur créé pendant la configuration afin de configurer ses services. Utilisation de la configuration automatique de serveur La méthode automatique est utile lorsque vous : • avez un nombre plus important de serveurs à configurer, • voulez préparer la configuration de serveurs pas encore disponibles, • voulez enregistrer des données de configuration à titre de sauvegarde, • devez réinstaller fréquemment des serveurs. Une manière d'employer cette méthode est d'utiliser le mode hors connexion de l'Assistant du serveur et travailler sur les données de configuration sans vous connecter à des serveurs particuliers. Vous spécifiez les données de configuration, puis les enregistrez dans un fichier ou dans un répertoire accessible depuis les serveurs cibles. Ceux sur lesquels le logiciel Mac OS X Server version 10.3 a été installé détectent automatiquement la présence des données de configuration enregistrées et les utilisent pour se configurer eux-mêmes. Il est possible de créer une configuration enregistrée générique pour configurer n'importe quel serveur, tel qu'un serveur en commande ou cinquante Xserve configurables à l'identique, initialement du moins. Vous pouvez aussi enregistrer des données de configuration adaptées à un serveur particulier. Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un fichier Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, vous pouvez le configurer automatiquement en utilisant des données enregistrées dans un fichier. Pour enregistrer et appliquer les données de configuration d'un fichier : 1 Remplissez la feuille de travail Mac OS X Server pour chaque serveur à configurer qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 2 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/Server/Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 107 3 Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Enregistrer la configuration dans une fiche de répertoires ou fichiers pour travailler en mode hors connexion (connexion serveur inutile). 4 Dans le panneau Langue, spécifiez la langue à employer pour administrer le ou les serveurs cibles, puis cliquez sur Continuer. 5 Si vous voulez créer un nouveau fichier de configuration, suivez l'étape 6. Pour travailler avec un fichier de configuration existant, passez à l'étape 7. Si vous prévoyez de créer un fichier de configuration générique pour configurer plusieurs serveurs, vérifiez que vous ne spécifiez pas de noms de réseau (nom d'hôte, nom d'ordinateur et nom Rendezvous) et que l'interface réseau (port) est réglée pour être configurée via Utilisation de DHCP ou Utilisation de BootP. 6 Entrez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. 7 Dans le panneau Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées sur lesquelles vous voulez travailler. Si les données de configuration enregistrées sont cryptées, tapez la phrase codée lorsque nécessaire. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 8 Dans le panneau Interfaces de réseau, cliquez sur Ajouter pour spécifier les interfaces de réseau. 9 Une fois spécifiées toutes les données de configuration, vérifiez le résumé affiché par l'Assistant du serveur et cliquez éventuellement sur Revenir pour modifier les données. 10 Cliquez sur Enregistrer sous, puis sélectionnez Fichier de configuration. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Ultérieurement dans ce processus, vous utiliserez Admin Serveur pour entrer le numéro de série après configuration d'un serveur cible. 11 Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Vous devez fournir la phrase codée avant qu'un fichier de configuration crypté puisse être utilisé par un serveur cible. 12 Cliquez sur OK, accédez à l'emplacement où vous voulez enregistrer le fichier, nommez celui-ci en utilisant l'une des options suivantes et cliquez sur Enregistrer (lors de la recherche de fichiers de configuration, les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) : .plist (insérez les zéros à gauche mais omettez les deuxpoints). Par exemple, 0030654dbcef.plist. .plist. Par exemple, 10.0.0.4.plist. .plist. Par exemple, monserveur.plist.108 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur .plist (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.plist. .plist. Par exemple, monserveur.exemple.com.plist. .plist. Par exemple, 10.0.plist (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.plist (fichier que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). 13 Placez le fichier à un emplacement où le ou les serveurs cibles peuvent le détecter. Un serveur peut détecter un fichier de configuration s'il réside sur un volume monté localement dans /Volumes/*/Auto Server Setup/, où * correspond à tout périphérique monté sous /Volumes. Il peut s'agir du disque dur du serveur ou un iPod, CD, disque FireWire, disque USB ou autre périphérique connecté au serveur. Par exemple, si vous avez un iPod nommé AdminiPod, le chemin d'accès consulté sera /Volumes/AdminiPod/Auto Server Setup/. 14 Si les données de configuration sont cryptées, rendez accessible la phrase codée au(x) serveur(s) cible(s). Vous pouvez fournir la phrase codée interactivement, à l'aide de l'Assistant du serveur ou dans un fichier texte. Pour fournir la phrase codée dans un fichier, suivez l'étape 15. Pour la fournir interactivement, passez à l'étape 16. 15 Pour fournir une phrase codée dans un fichier, créez un fichier texte et tapez à la première ligne la phrase codée du fichier de configuration enregistré. Sauvegardez le fichier en utilisant l'un des noms suivants (les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) : .pass (insérez les zéros à gauche mais omettez les deuxpoints). Par exemple, 0030654dbcef.pass. .pass. Par exemple, 10.0.0.4.pass. .pass. Par exemple, monserveur.pass. .pass (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.pass. .pass. Par exemple, monserveur.exemple.com.pass. .pass. Par exemple, 10.0.pass (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Placez le fichier de phrase codée sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/SA_Keys/, où * est tout périphérique monté sous /Volumes.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 109 16 Pour fournir interactivement une phrase codée, utilisez l'Assistant du serveur sur un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. Dans le panneau Bienvenue, choisissez Fichier > Fournir la phrase codée. Dans le zone de dialogue, entrez l'adresse IP, le mot de passe et la phrase codée du serveur cible. Cliquez sur Envoyer. 17 Utilisez l'Assistant du serveur pour entrer le numéro de série du logiciel serveur du serveur cible. Reportez-vous au guide d'administration de la ligne de commande pour une description de l'organisation d'un fichier de configuration enregistré. Configuration automatique de serveurs avec des données enregistrées dans un répertoire Une fois le logiciel serveur installé sur un serveur, vous pouvez le configurer automatiquement en utilisant des données enregistrées dans un répertoire. Cette méthode nécessite un répertoire et une infrastructure DHCP préexistants, comme décrit ci-dessous. Pour enregistrer et appliquer des données de configuration dans une fiche de répertoire : 1 Vérifiez que le répertoire dans lequel vous voulez enregistrer les données de configuration existe, que son système accepte les données de configuration enregistrées et qu'il est accessible depuis votre ordinateur administrateur. Le guide d'administration Open Directory décrit comment configurer et accéder aux répertoires. Il présente également le système pour les données de configuration enregistrées. La gestion des données de configuration enregistrées est intégrée aux répertoires Apple OpenLDAP mais le système des autres répertoires doit être étendu pour accepter ce type de données. 2 Remplissez la feuille de travail de Mac OS X Server pour chaque serveur à configurer qui se trouve à la page 117. Pour des informations supplémentaires, reportez-vous à “Informations nécessaires” à la page 94. 3 Sur un ordinateur administrateur, ouvrez Assistant du serveur dans /Applications/ Server/ 4 Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Enregistrer la configuration dans une fiche de répertoires ou fichiers pour travailler en mode hors connexion (connexion serveur inutile). 5 Dans le panneau Langue, spécifiez la langue à employer pour administrer le ou les serveurs cibles, puis cliquez sur Continuer. 6 Si vous voulez créer une nouvelle configuration, suivez l'étape 7. Pour travailler avec une configuration existante, passez à l'étape 8.110 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Si vous créez des données de configuration générique, vérifiez que vous ne spécifiez pas de noms de réseau (nom d'hôte, nom d'ordinateur et nom Rendezvous) et que l'interface de réseau (port) est réglée pour être configurée via Utilisation de DHCP ou Utilisation de BootP. 7 Entrez les données de configuration au fur et à mesure de votre progression dans les panneaux de l'Assistant, en suivant les instructions affichées. 8 Dans le panneau Langue, choisissez Fichier > Ouvrir le fichier de configuration ou Fichier > Ouvrir la fiche de répertoire pour charger les données de configuration enregistrées sur lesquelles vous voulez travailler. Si les données de configuration enregistrées sont cryptées, tapez la phrase codée lorsque nécessaire. Choisissez éventuellement Présentation > Aller à Revoir pour vérifier les données de configuration, puis Revenir pour les modifier. 9 Dans le panneau Interfaces de réseau, cliquez sur Ajouter pour spécifier les interfaces de réseau. 10 Une fois spécifiées toutes les données de configuration, vérifiez le résumé affiché par l'Assistant du serveur et cliquez éventuellement sur Revenir pour modifier les données. 11 Cliquez sur Enregistrer sous, puis sélectionnez Fiche de répertoire. Tous les réglages spécifiés sont enregistrés, hormis le numéro de série du serveur. Ultérieurement dans ce processus, vous utiliserez Admin Serveur pour entrer le numéro de série après configuration d'un serveur cible. 12 Pour crypter le fichier, sélectionnez Enregistrer au format crypté, puis entrez et vérifiez une phrase codée. Avant qu'un enregistrement de répertoire crypté soit utilisable par un serveur cible, vous devez fournir la phrase codée. 13 Accédez à /AutoServerSetup/ dans le répertoire où vous voulez enregistrer la configuration, nommez l'enregistrement de configuration et cliquez sur OK. Lorsque vous y êtes invité, entrez les informations requises pour vous authentifier comme administrateur de domaine. Les serveurs cibles recherchent les noms d'enregistrement dans l'ordre suivant : (insérez les zéros à gauche mais omettez les deux-points). Par exemple, 0030654dbcef. . Par exemple, 10.0.0.4. . Par exemple, monserveur. (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234. . Par exemple, monserveur.exemple.com. . Par exemple, 10.0 (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2).Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 111 generique (enregistrement que tout serveur reconnaîtra, utilisé pour configurer les serveurs qui nécessitent les mêmes valeurs de configuration). 14 Assurez-vous que l'infrastructure correcte est en place de façon à ce que les serveurs devant employer l'enregistrement de configuration stockée puissent le trouver. Le serveur de répertoire stockant l'enregistrement de configuration doit être en cours d'exécution. DHCP doit être configuré pour identifier le serveur de répertoire aux serveurs cibles en utilisant l'Option 95. De plus, il faudra éventuellement configurer DNS si vos données de répertoire comportent des noms d'hôtes. Reportez-vous à la section “Infrastructures de configuration du serveur” à la page 79 pour des informations supplémentaires sur l'infrastructure. Les guides d'administration Open Directory et des services de réseau fournissent des instructions pour configurer les répertoires et DHCP. 15 Si les données de configuration sont cryptées, rendez accessible la phrase codée au(x) serveur(s) cible(s). Vous pouvez fournir la phrase codée interactivement, à l'aide de l'assistant du serveur ou dans un fichier texte. Pour fournir la phrase codée dans un fichier, suivez l'étape 16. Pour la fournir interactivement, passez à l'étape 17. 16 Pour fournir une phrase codée dans un fichier, créez un fichier texte et tapez à la première ligne la phrase codée du fichier de configuration enregistré. Sauvegardez le fichier en utilisant l'un des noms suivants (les serveurs cibles recherchent les noms dans l'ordre indiqué) : .pass (insérez les zéros à gauche mais omettez les deuxpoints). Par exemple, 0030654dbcef.pass. .pass. Par exemple, 10.0.0.4.pass. .pass. Par exemple, monserveur.pass. .pass (8 premiers caractères seulement). Par exemple, ABCD1234.pass. .pass. Par exemple, monserveur.exemple.com.pass. .pass. Par exemple, 10.0.pass (trouve 10.0.0.4 et 10.0.1.2). generique.pass (un fichier que tout serveur reconnaîtra). Placez le fichier de phrase codée sur un volume monté localement sur le serveur cible, dans /Volumes/*/SA_Keys/, où * correspond tout périphérique monté sous /Volumes. 17 Pour fournir interactivement une phrase codée, utilisez l'Assistant du serveur sur un ordinateur administrateur capable de se connecter au serveur cible. Dans le panneau Bienvenue, choisissez Fichier > Fournir la phrase codée. Dans le zone de dialogue, entrez l'adresse IP, le mot de passe et la phrase codée du serveur cible.112 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Cliquez sur Envoyer. 18 Utilisez l'Assistant du serveur pour entrer le numéro de série du logiciel serveur du serveur cible. Reportez-vous au guide d'administration Open Directory pour une description du système de données de configuration enregistrées dans un répertoire. Détermination de l'état des configurations Il existe plusieurs manières d'afficher les informations d'état de configuration dans Assistant du serveur : • Après avoir démarré interactivement la configuration d'un ou plusieurs serveurs, des informations de progression sont affichées. Si la configuration aboutit, un serveur cible redémarre à la fin de la configuration. Si la configuration échoue, l'Assistant du serveur affiche des informations d'erreur. • Vous pouvez employer le panneau Destination disponible pendant les configurations interactives de serveur distant pour estimer si une configuration en cours nécessite votre attention. Si un serveur présente une icône d'erreur, cliquez dessus et lisez les informations. Par exemple, vous pouvez déterminez si un fichier de configuration enregistré n'a pas pu être utilisé par un serveur particulier du fait que les données de configuration sont cryptées et qu'une phrase codée n'a pas pu être trouvée. Vous pouvez enregistrer une liste de serveurs à contrôler dans le panneau Destination, en choisissant Fichier > Enregistrer la liste de serveurs. Lorsque vous voulez surveiller l'état de ces serveurs, utilisez Fichier > Charger la liste de serveurs. • Lorsqu'une configuration de serveur échoue, un historique d'erreurs est créé dans / System/Library/ServerSetup/Configured/POR.err sur le serveur cible. La configuration ne peut être redémarrée tant que ce fichier n'a pas été effacé. Le contenu de cet historique peut être affiché et le fichier d'historique effacé à l'aide de l'Assistant du serveur. Dans le panneau Bienvenue, sélectionnez Configurer un serveur distant et cliquez sur Continuer. Dans le panneau Destination, affichez la liste des serveurs en question. Si un historique d'erreurs existe pour un serveur, la ligne du serveur dans la liste contient une icône d'erreur. Sélectionnez la ligne et doublecliquez sur l'icône d'erreur. Si vous y êtes invité, fournissez le mot de passe de préréglage et cliquez sur Envoyer. Le contenu de l'historique est affiché et vous pouvez cliquer sur Supprimer pour effacer le fichier d'historique. Configuration des services Les sections suivantes abordent la configuration initiale de services individuels et vous indiquent où trouver des instructions complètes pour personnaliser les services en fonction des besoins.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 113 Configuration d'Open Directory À moins que votre serveur ne doive être intégré au système de répertoire d'un autre fabricant ou que l'architecture de répertoire d'un serveur que vous mettez à jour doive être immédiatement modifiée, vous pouvez tout de suite commencer à utiliser les répertoires que vous avez configurés pendant la configuration du serveur. Le guide d'administration Open Directory contient des instructions sur tous les aspects de la configuration de domaine Open Directory et de l'authentification : • configuration de l'accès d'un ordinateur client à des données de répertoire partagé, • réplique de répertoires LDAP et des informations d'authentification de maîtres Open Directory, • intégration avec Active Directory et autres répertoires non Apple, • configuration d'ouverture de session unique, • utilisation de Kerberos et autres techniques d'authentification. Configuration de la gestion des utilisateurs À moins d'utiliser un serveur exclusivement pour héberger du contenu Internet (comme des pages Web) ou de réaliser de la mise en grappe informatique, vous serez probablement amené à configurer des comptes utilisateurs en plus du compte administrateur créé pendant la configuration du serveur. Pour configurer un compte utilisateur : 1 Ouvrez Gestionnaire de groupe de travail. 2 Cliquez sur le petit globe en haut de la fenêtre d'application pour sélectionner le répertoire auquel ajouter des utilisateurs. 3 Cliquez sur le bouton Nouvel utilisateur. 4 Spécifiez les réglages d'utilisateur dans les différents panneaux. Le guide de gestion des utilisateurs indique comment gérer les utilisateurs en configurant les comptes de groupe et d'ordinateur. Il décrit également comment configurer les réglages pour les préférences, de façon à personnaliser les environnements de travail des utilisateurs Mac OS X et Mac OS 9.1. Configuration des services de fichiers Lorsque vous activez les services de partage de fichiers, les utilisateurs peuvent partager des éléments dans les dossiers sélectionnés. Si vous activez le service de fichiers Apple pendant la configuration du serveur, les utilisateurs en possession de comptes peuvent partager des éléments en les plaçant dans le dossier Public de leur répertoire de départ ou en copiant ces éléments dans le dossier Boîte de dépôt d'un dossier Public d'un autre utilisateur. Si vous n'avez pas encore activé le service de fichiers Apple ou d'autres services de fichiers disponibles, vous pouvez le faire à présent.114 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Pour configurer le partage de fichiers : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Dans la liste sous le serveur concerné, cliquez sur chaque service de fichiers à activer, puis sur le bouton Démarrer le service dans la barre d'outils. Pour un partage avec des ordinateurs Macintosh, activez le service de fichiers Apple. Pour un partage avec des ordinateurs Windows, activez les services Windows. Pour fournir l'accès File Transfer Protocol (FTP), activez le service FTP. Pour un partage avec des ordinateurs UNIX, activez le service NFS. 3 Ouvrez Gestionnaire de groupe de travail et cliquez sur Partage pour configurer un point de partage. 4 Sélectionnez un volume ou un dossier à partager dans l'onglet Tous. 5 Cliquez sur Général, puis sélectionnez Partager cet élément et son contenu. 6 Cliquez sur Protocoles, puis sélectionnez les protocoles à employer pour le partage. Le guide d'administration des services de fichiers contient des instructions pour la gestion des points de partage et la configuration du partage de fichiers avec tous les protocoles. Configuration du service d'impression Lorsque vous activez le service d'impression, les utilisateurs de serveurs peuvent partager des imprimantes réseau PostScript ou des imprimantes PostScript et non PostScript connectées directement au serveur. Lorsque vous activez le service d'impression dans Admin Serveur, une file d'attente est configurée pour toute imprimante USB connectée au serveur. Aucune file d'imprimante n'est automatiquement configurée pour les imprimantes réseau, mais il est facile d'en ajouter. Pour configurer une file d'imprimante partagée : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Dans la liste sous le serveur en question, cliquez sur le bouton du service d'impression. 3 S'il est pas en cours d'exécution, cliquez sur le bouton Démarrer le service dans la barre d'outils. 4 Cliquez sur le bouton Réglages en bas de la fenêtre d'application, puis sur l'onglet Files d'attente. 5 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). 6 Choisissez un protocole de connexion, identifiez une imprimante, puis cliquez sur OK. Les utilisateurs d'ordinateurs Mac OS X peuvent désormais ajouter l'imprimante à l'aide du Centre d'impression. Les utilisateurs de Mac OS 9 le feront à l'aide du Sélecteur.Chapitre 7 Configuration initiale du serveur 115 Pour plus d'informations sur la configuration des services d'impression, reportez-vous au guide d'administration du service d'impression. Configuration de service Web Vous pouvez utiliser le serveur HTTP Apache fourni avec Mac OS X Server pour héberger des sites Web d'utilisateurs individuels ou de serveur. Si vous avez activé le service Web dans l'Assistant du serveur, votre serveur est prêt à fournir des pages HTML à partir des dossiers des sites du serveur et des utilisateurs individuels. • Pour visualiser le site de serveur principal, ouvrez un navigateur Web sur un ordinateur ayant accès au serveur et tapez l'adresse IP ou le nom de domaine du serveur. • Pour visualiser le site d'un utilisateur, ajoutez une barre oblique (/), un tilde (~) et le diminutif de l'utilisateur après l'adresse du serveur. Par exemple, tapez http://192.268.2.1/~utilisateur Pour activer le service Web s'il n'est pas en cours d'exécution : 1 Si vous disposez des fichiers HTML de votre site principal, copiez-les dans le dossier Documents du répertoire /Bibliothèque/WebServer. Si les fichiers de votre site sont organisés en dossiers, copiez la structure des dossiers entière dans le dossier Documents. Dans le cas d'un site utilisateur, les fichiers se placent dans le dossier Sites du répertoire de départ de l'utilisateur. Si vous ne disposez pas encore de vos fichiers HTML, vous pouvez toujours activer le service Web pour voir comment il fonctionne à l'aide des pages de démarrage par défaut fournies avec Mac OS X Server. 2 Ouvrez Admin Serveur. 3 Dans la liste sous le serveur en question, cliquez sur le bouton du service Web. 4 S'il est pas en cours d'exécution, cliquez sur le bouton Démarrer le service dans la barre d'outils. Le guide d'administration des technologies Web décrit les nombreuses fonctions de service Web, notamment comment configurer SSL sur un site, activer WebMail et utiliser WebDAV pour le partage de fichiers. Configuration du service de courrier Si vous n'avez pas activé le service de courrier dans l'Assistant du serveur, vous pouvez le démarrer à l'aide d'Admin Serveur, comme décrit ci-dessus pour les autres services. Pour que vos utilisateurs puissent utiliser la totalité des services de courrier disponibles, vous devez définir d'autres réglages. Le guide d'administration du service de courrier fournit des instructions détaillées pour configurer et gérer un serveur de courrier.116 Chapitre 7 Configuration initiale du serveur Configuration de services réseau Si vous voulez qu'un serveur héberge l'un des services réseau suivants, recherchez les instructions de configuration dans le guide d'administration des services réseau : • service DHCP • DNS • service de coupe-feu • NAT (Network Address Translation) • VPN • service d'horloge réseau Configuration des services d'image système Pour en savoir plus sur l'utilisation de NetBoot et d'installation en réseau afin de simplifier la gestion et l'installation de systèmes d'exploitation clients et autres logiciels, reportez-vous au guide d'administration des images système. Il indique comment créer des images disque et configurer Mac OS X Server de façon que d'autres ordinateurs Macintosh puissent démarrer ou installer via le réseau, à partir de ces images. Configuration de l'enchaînement et de la diffusion de données Pour en savoir plus sur le mode d'administration d'un serveur d'enchaînement diffusant des flux de données en temps réel ou à la demande vers des ordinateurs clients, reportez-vous au guide d'administration du Serveur Enchaînement QuickTime. Configuration d'un serveur d'applications Pour configurer un serveur d'applications Java, reportez-vous au guide d'administration JBoss. Il indique comment développer et déployer des servlets, des beans et des applications d'entreprise, mais aussi comment configurer et administrer un serveur d'applications Java. Utilisez Admin Serveur pour administrer JBoss et Tomcat. Pour activer JBoss s'il n'est pas en cours d'exécution : 1 Ouvrez Admin Serveur. 2 Dans la liste sous le serveur en question, cliquez sur Serveur d'applications. 3 Cliquez sur Démarrer le service. 117 A Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Identifiez le serveur dont les informations figurent dans le tableau ci-dessous : Élément Description Vos informations Identité du serveur en vue de son installation et sa configuration Pour l'installation et la configuration interactives d'un serveur sur le sous-réseau local, l'une de ces valeurs du serveur : - Adresse IP au format IPv4 (000.000.000.000) - Nom DNS (serveur.exemple.com) - Adresse MAC (00:03:93:71:26:52). Pour les installations et configurations à partir de la ligne de commande ou d'un sous-réseau distant, l'adresse IP du serveur cible au format IPv4. Mot de passe prédéfini (pour l'installation et la configuration à distance) Les 8 premiers chiffres du numéro de série du serveur cible, imprimé sur l'étiquette collée sur l'ordinateur. Pour les anciens ordinateurs ne portant pas ce type de numéro, entrez 12345678. Type d'installation Mise à niveau de la version 10.1 ou 10.2 ou nouvelle installation. Le volume (partition) cible est effacé lorsque vous effectuez une nouvelle installation. Disque ou partition cible Nom du disque ou de la partition (volume) cible118 Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Format de disque (pour les nouvelles installations seulement) Dans la plupart des cas, utilisez Mac OS Étendu (journalisé). Vous pouvez également utiliser Mac OS Étendu ou HFS+ (sensible à la casse). Partitionnement de disque (pour les nouvelles installations seulement) La taille minimum recommandée d'une partition de disque cible est de 4 Go. Mise en miroir de disque (pour les nouvelles installations seulement) Si vous possédez un deuxième disque sur le serveur cible, vous pouvez mettre en miroir le disque de démarrage sur celuici. Ainsi, si le disque principal n'est pas disponible, le deuxième disque est utilisé. Enregistrement des données de configuration Si vous voulez utiliser les données de configuration enregistrées pour configurer ce serveur, identifiez le fichier ou le répertoire dans lequel elles sont stockées. Si les données sont cryptées, identifiez également la phrase codée. Si vous voulez enregistrer les données de configuration de ce serveur dans un fichier, identifiez le fichier de configuration et éventuellement le fichier des clés. Indiquez également l'emplacement de sauvegarde des fichiers. Si vous voulez enregistrer les données de configuration de ce serveur dans un répertoire, identifiez un répertoire, ainsi que le nom et l'emplacement du fichier des clés. Langue Langue à utiliser pour l'administration du serveur (anglais, japonais, français ou allemand). Configuration de clavier Clavier de l'ad ministration du serveur. Élément Description Vos informationsAnnexe A Feuille de travail de Mac OS X Server 119 Numéro de série Numéro de série de votre copie de Mac OS X Server. Consultez l'enveloppe de votre disque d'installation ou l'étiquette sur votre serveur, comme décrit dans la documentation. Nom complet de l'administrateur (parfois appelé nom complet ou nom réel) Le nom complet ne peut être composé de plus de 255 octets. Le nombre de caractères va de 255 caractères romains à 85 caractères de 3 octets. Ce nom peut comporter des espaces et respecte la casse dans la fenêtre d'ouverture de session, mais pas lors de l'accès aux serveurs de fichiers. Nom abrégé de l'administrateur Le nom abrégé peut contenir jusqu'à 255 caractères romains, même s'il se limite généralement à huit ou moins. Ce nom ne peut être composé que des caractères a à z, A à Z, 0 à 9 ou _ (trait de soulignement). Mot de passe de l'administrateur Si vous enregistrez cette valeur, veillez à conserver cette feuille de travail en lieu sûr. Cette valeur respecte la casse. Il s'agit également du mot de passe de l'utilisateur root. Élément Description Vos informations120 Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Nom d'hôte Nom que DNS doit utiliser pour votre serveur. Vous indiquez la partie du nom DNS qui apparaît avant le nom de domaine (MonOrdinateur. ou MonOrdinateur.exemple.com). Le nom d'hôte doit commencer par une lettre et ne doit contenir que des caractères alphanumériques, un tiret (-) ou un point (.). Les clients Windows utilisent des noms d'hôte ne contenant pas plus de 15 caractères ASCII ; ces noms acceptent les caractères a-z, A-Z, 0-9, -, mais pas de point (.) ni d'espace. En outre, ils ne peuvent pas être composés de chiffres exclusivement. Nom de l'ordinateur Nom AppleTalk. Nom Rendezvous Nom apparaissant aux utilisateurs Mac OS X lorsqu'ils affichent les ordinateurs figurant sous /Network/Local/ Données d'interface réseau Votre serveur est équipé d'un port Ethernet intégré et de plusieurs autres installés sur une carte Ethernet. Enregistrez les informations de chaque port à activer. Enregistrez les données relatives à chaque port dans le tableau fourni plus loin dans cette feuille de travail. Élément Description Vos informationsAnnexe A Feuille de travail de Mac OS X Server 121 Utilisation d'Open Directory Sélectionnez l'un des éléments suivants : Serveur autonome (utilisez uniquement le domaine local). Connecté à un système de répertoires (obtenez les informations à partir d'un répertoire existant). Si vous sélectionnez cette option, utilisez l'une des quatre lignes suivantes dans ce tableau pour indiquer le mode de recherche du répertoire par le serveur. Maître Open Directory (fournissez les informations de répertoire aux autres ordinateurs). Si vous choisissez cette option, utilisez la ligne Utilisation du maître Open Directory. Aucune modification (pour les mises à niveau seulement). Utilisation de Tel que spécifié par le serveur DHCP Le répertoire à utiliser est identifié par un serveur DHCP. Utilisation de Répertoire LDAP Apple Le répertoire à utiliser sera LDAP Apple identifié par un serveur DHCP ou par la spécification d'une adresse IP ou d'un nom de domaine pour le serveur LDAP. Utilisation de Répertoire NetInfo Le répertoire ire à utiliser sera NetInfo. Choisissez une ou plusieurs des méthodes cidessous pour rechercher ce répertoire : - Diffusion - DHCP - Adresse IP statique (indiquez l'adresse IP et la balise NetInfo) Utilisation de Autre système de répertoire Le répertoire à utiliser sera configuré à l'aide de l'application Format de répertoire une fois que vous aurez configuré le serveur. Élément Description Vos informations122 Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Utilisation de maître Open Directory Vous pouvez éventuellement indiquer que vous voulez activer un contrôleur de domaine principal Windows sur le serveur. Entrez le nom d'ordinateur et le nom de domaine du contrôleur. Le nom d'ordinateur peut être composé des caractères a-z, A-Z, 0-9, - mais n'accepte pas les points (.), ni les espaces et ne peut pas être composé de chiffres exclusivement. Terminez la configuration du répertoire à héberger à l'aide d'Admin Serveur une fois la configuration du serveur achevée. Automatisation du démarrage du service Indiquez si vous voulez lancer automatiquement l'un des services ci-après au démarrage du serveur. Ces services ne réclament aucune autre configuration : Service de fichiers Apple Service FTP Service de fichiers Windows Service de courrier Service Web WebDAV Service d'horloge réseau Service NetBoot Service de diffusion QuickTime Fuseau horaire Choisissez le fuseau horaire que le serveur doit utiliser. Horloge réseau Vous pouvez éventuellement indiquer un serveur d'horloge réseau à utiliser. Élément Description Vos informationsAnnexe A Feuille de travail de Mac OS X Server 123 Les données d'interface réseau de ce serveur figurent dans le tableau ci-dessous : Port Caractéristique Vos informations Ethernet intégré (en0) Utiliser ou non le port pour les connexions TCP/IP Utiliser ou non le port pour les connexions AppleTalk. Les clients Mac OS 9 utilisent AppleTalk pour la consultation du Sélecteur et parce que certaines imprimantes le requièrent. N'activez pas plus d'un port AppleTalk par réseau AppleTalk. Si l'adresse IP est configurée manuellement : Adresse IP Masque de sous-réseau Routeur (utilisez l'adresse IP du serveur en cas de doute ou laissez ce champ vide) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si l'adresse IP est configurée à l'aide de DHCP avec une adresse IP manuelle : Adresse IP Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si l'adresse IP est configurée à l'aide de DHCP: ID client DHCP (facultatif) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si l'adresse IP est configurée à l'aide de BootP : Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Nom du port : Utiliser ou non pour TCP/IP Utiliser ou non pour AppleTalk 124 Annexe A Feuille de travail de Mac OS X Server Si la connexion TCP/IP est configurée manuellement : Adresse IP Masque de sous-réseau Routeur (utiliser l'adresse IP du serveur en cas de doute) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP avec une adresse IP manuelle : Adresse IP Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP : ID client DHCP (facultatif) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de BootP : Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Nom du port : Utiliser ou non pour TCP/IP Utiliser ou non pour AppleTalk Si la connexion TCP/IP est configurée manuellement : Adresse IP Masque de sous-réseau Routeur (utiliser l'adresse IP du serveur en cas de doute) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP avec une adresse IP manuelle : Adresse IP Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Port Caractéristique Vos informationsAnnexe A Feuille de travail de Mac OS X Server 125 Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP : ID client DHCP (facultatif) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de BootP : Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Nom du port : Utiliser ou non pour TCP/IP Utiliser ou non pour AppleTalk Si la connexion TCP/IP est configurée manuellement: Adresse IP Masque de sous-réseau Routeur (utiliser l'adresse IP du serveur en cas de doute) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP avec une adresse IP manuelle : Adresse IP Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de DHCP : ID client DHCP (facultatif) Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Si la connexion TCP/IP est configurée à l'aide de BootP : Serveurs DNS Domaines de recherche (facultatif) Port Caractéristique Vos informations 127 B Annexe B Exemple de configuration L'exemple de configuration présenté dans cette annexe illustre une méthode de configuration de l'infrastructure réseau et de répertoires de Mac OS X Server dans le cas d'une petite entreprise. Mac OS X Server dans une petite entreprise Dans cet exemple, Mac OS X Server fournit des services de répertoire, réseau et de productivité aux employés d'une petite entreprise. Cette organisation utilisait jusqu'à présent un réseau local pour le partage des fichiers et d'une imprimante. L'acquisition de Mac OS X Server a permis d'implémenter un réseau intranet utilisant les services DSL et DNS d'un FAI. Voici le résumé des caractéristiques de ce scénario : Internet Coupe-feu Serveur DNS du FAI Client Mac OS X Commutateur Mac OS X Server (exemple.com) VPN DSL 192.168.0.1 Clients Windows Clients Mac OS X Imprimante partagée128 Annexe B Exemple de configuration • Un domaine LDAP Open Directory principal sur le serveur centralise la gestion des utilisateurs, y compris l'authentification des utilisateurs Mac OS X et Windows. • Le service DNS du FAI fournit le nom de domaine de l'entreprise (exemple.com). • Un serveur DNS exécutant Mac OS X Server fournit les services de nom pour le serveur, l'imprimante et tout autre périphérique intranet possédant une adresse IP statique. • Un coupe-feu entre le serveur et Internet protège le réseau intranet contre tout accès non autorisé. • Le service NAT permet aux utilisateurs du réseau intranet de partager l'adresse IP du FAI pour accéder à Internet, tandis que le service VPN permet aux employés d'accéder depuis Internet au réseau intranet en toute sécurité lorsqu'ils sont en déplacement. • Le service DHCP sur Mac OS X Server fournit les adresses IP dynamiques aux ordinateurs clients sur le réseau intranet. Le serveur et l'imprimante ont des adresses statiques, les ordinateurs clients des adresses dynamiques. Configuration du serveur Les instructions suivantes permettent de configurer Mac OS X Server dans cette petite entreprise hypothétique. Pour des informations complètes sur la configuration des services de répertoire, consultez le guide d'administration Open Directory. Pour en savoir plus sur la configuration des services réseau (coupe-feu IP, DHCP, etc.), consultez le guide d'administration des services réseau. Étape 1 : Configurer le réseau 1 Assurez-vous que le serveur a deux interfaces Ethernet (ports), l'une pour la connexion intranet (LAN) et l'autre pour la connexion du modem DSL. Utilisez l'interface la plus rapide pour la connexion du serveur. Une connexion à 10 Mbits suffit amplement pour la connexion DSL. 2 Connectez le serveur au réseau local (LAN) à l'aide de l'interface la plus rapide. Dans cet exemple, le serveur est connecté à un commutateur permettant de connecter les ordinateurs clients existants à l'imprimante partagée. Cette interface est qualifiée d'interne. Il est recommandé de connecter les périphériques à un concentrateur ou à un commutateur utilisant des câbles Ethernet CAT-5 de bonne qualité. Un commutateur grande vitesse de 10/100/1000 Mbits doit pouvoir prendre en charge les fonctions avancées du serveur, comme NetBoot, idéal sur les connexions rapides. 3 Connectez le serveur au modem DSL à l'aide de l'autre interface Ethernet. Celle-ci est qualifiée d'externe.Annexe B Exemple de configuration 129 Étape 2 : Configurez le serveur et le répertoire maître 1 Démarrez le serveur à partir du premier disque d'installation. La procédure utilisée varie selon le serveur. Dans cet exemple, imaginez que l'ordinateur est connecté à un moniteur, à un clavier et à un lecteur optique. Mettez l'ordinateur sous tension, insérez le premier disque d'installation dans le lecteur optique, puis redémarrez l'ordinateur tout en maintenant la touche C du clavier enfoncée. La section “Utilisation de l'application Assistant du serveur pour une installation à distance depuis les disques d'installation” à la page 88 décrit le démarrage d'autres types d'ordinateurs pour installer le logiciel serveur. 2 Lorsque le programme d'installation est lancé, suivez les instructions à l'écran. Si vous devez formater le disque de destination, consultez la section “Préparation des disques pour l'installation de Mac OS X Server” à la page 85 pour obtenir les instructions. Insérez le deuxième disque d'installation lorsque vous y êtes invité. Une fois l'installation terminée, le serveur redémarre et l'Assistant du serveur s'ouvre. 3 Complétez la feuille de travail qui se trouve à la page 117. Vous aurez besoin de ces informations à mesure que vous naviguerez dans les volets de l'Assistant. 4 Utilisez les volets Langue et Clavier pour sélectionner la langue d'administration du serveur. 5 Dans le volet Compte administrateur, entrez le nom et le mot de passe de l'administrateur du serveur. Cliquez sur Continuer. 6 Dans le volet Noms réseau, entrez le nom d'hôte, d'ordinateur et Rendezvous de votre serveur. Cliquez sur Continuer. Dans cet exemple, le nom d'hôte est censé être monserveur. 7 Assurez-vous que le volet Interfaces réseau affiche toutes vos interfaces Ethernet externes et internes. Si vous devez ajouter une interface, cliquez sur Ajouter. Assurez-vous aussi que l'interface externe est la première affichée dans le volet Interfaces réseau. L'interface en tête de liste est l'interface principale ou par défaut. Le service VPN l'utilise comme réseau public et traite ainsi toutes les autres comme des réseaux privés. Cliquez sur Continuer lorsque les deux interfaces s'affichent. 8 Un volet Connexion TCP/IP apparaît pour chaque interface Ethernet. Pour l'interface externe, choisissez Manuellement dans la liste déroulante Configurer, puis entrez l'adresse IP, le masque de sous-réseau et l'adresse ou les adresses DNS que votre FAI vous a communiquées. Cliquez sur Continuer. Pour l'interface interne, tapez les valeurs suivantes et cliquez sur Continuer : Configurer : Manuellement Adresse IP :192.168.0.1 (les valeurs 192.168 sont réservées aux LAN internes) Masque de sous-réseau : 255.255.0.0130 Annexe B Exemple de configuration Routeur : 192.168.0.1 Serveurs DNS : 192.168.0.1 9 Dans le volet Utilisation du répertoire, choisissez Maître Open Directory pour configurer un répertoire LDAP maître sur le serveur. Sélectionnez Activer le contrôleur de domaine Windows principal, puis tapez le nom d'un domaine/groupe de travail. Ces paramètres définiront un PDC Windows permettant aux utilisateurs de postes de travail Windows NT, Windows 2000 et Windows XP de s'y connecter, de modifier les mots de passe pendant une session et d'avoir des profils utilisateur itinérants et des répertoires de départ réseau sur le serveur. Un compte d'utilisateur unique suffit pour ouvrir une session sur un poste de travail Windows ou un ordinateur Mac OS X et accéder au même répertoire de départ réseau. Cliquez sur Continuer. 10 Complétez les autres volets de l'Assistant, puis cliquez sur Appliquer pour lancer la configuration du serveur. Une fois la configuration terminée, le serveur redémarre automatiquement. 11 Ouvrez une session sur le serveur avec le nom d'administrateur défini dans l'Assistant du serveur. Étape 3 : Configurer le coupe-feu 1 Ouvrez l'Admin Serveur en cliquant sur son icône dans le Dock. 2 Authentifiez-vous en tant qu'administrateur du serveur. 3 Dans la liste Ordinateurs & services, cliquez sur Coupe-feu. 4 Cliquez sur Démarrer le service dans la barre d'outils. 5 Sélectionnez le groupe d'adresses IP 192.168.0.0/16, puis cochez la case Autoriser en regard des services auxquels pourront accéder les employés au bureau. Vous devez au moins sélectionner les services DNS, DHCP et NetBoot. Le groupe comprend 255 adresses IP. La notation /16 est le raccourci du masque de sous-réseau 255.255.255.0. 6 Sélectionnez le groupe d'adresses IP Quelconque, puis cochez la case Autoriser en regard des services auxquels pourront accéder les clients externes derrière le coupe-feu. 7 Cliquez sur Enregistrer. Étape 4 : Configurer le service DNS 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez DNS dans la liste Ordinateurs & services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Assurez-vous que l'option Transferts de zones n'est pas activée et que celle Récursion l'est.Annexe B Exemple de configuration 131 4 Cliquez sur Zones, puis sur le bouton Ajouter (+) sous la liste des zones afin de configurer une zone pour le réseau intranet. Tapez les valeurs suivantes, puis cliquez sur OK : Nom de zone : exemple.com. (Le point final est obligatoire.) Type : Principal SAO : monserveur.exemple.com. (Le point final est obligatoire.) E-mail admin : admin.exemple.com. (Le point final est obligatoire.) 5 Pour définir les enregistrements de la zone principale, sélectionnez-la dans la liste des zones. Vous observerez que l'enregistrement NS (serveur de noms) existe déjà. Il a été créé en même temps que la zone. Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous les enregistrements de la liste des zones afin d'ajouter un enregistrement d'adresse (A) pour votre serveur. Tapez les valeurs suivantes, puis cliquez sur OK : Mapper de : monserveur.exemple.com. (Le point final est obligatoire.) Mapper vers : 192.168.0.1 Créer un enregistrement de mappage inverse : activez cette option Ajoutez d'autres enregistrements d'adresse pour chaque périphérique intranet (autres serveurs, imprimantes, etc.) possédant une adresse IP statique. Veillez à activer l'option Créer un enregistrement de mappage inverse pour chaque enregistrement d'adresse supplémentaire. 6 Cliquez sur Enregistrer, puis sur Démarrer le service. Étape 5 : Configurer le service DHCP Ces instructions permettent de configurer un serveur DHCP fournissant aux ordinateurs des employés des adresses IP dynamiques ainsi que l'identité des serveurs DNS, LDAP et WINS à utiliser. Lorsque la stratégie de recherche d'un ordinateur client est réglée sur Automatique (à l'aide de l'application Format de répertoire sur l'ordinateur client), l'identité des serveurs DNS, LDAP et WINS est automatiquement fournie en même temps que l'adresse IP. 1 Dans Admin Serveur, assurez-vous que le service DNS est en cours d'exécution. 2 Sélectionnez DHCP dans la liste Ordinateurs & services. 3 Cliquez sur Réglages. 4 Activez l'interface Ethernet interne et sélectionnez-la. 5 Cliquez sur le bouton Modifier pour définir la plage d'adresses à affecter dynamiquement. Cette plage doit être suffisamment étendue pour prendre en charge les ordinateurs clients existants et futurs. Veillez toutefois à exclure certaines adresses (au début ou à la fin de la plage) de façon à les réserver pour les périphériques nécessitant des adresses IP statiques ou pour les utilisateurs VPN. La plupart des données sont déjà indiquées par le système. En voici quelques exemples :132 Annexe B Exemple de configuration Adresse IP de début : 198.168.0.2 Adresse IP de fin : 98.168.0.102 Masque de sous-réseau : 255.255.0.0 Routeur : 192.168.0.1 6 Cliquez sur DNS et assurez-vous que les valeurs suivantes sont affichées : Domaine par défaut : exemple.com Serveurs de noms : 198.168.0.1 7 Cliquez sur LDAP afin de configurer DHCP et identifier le serveur que vous configurez comme source des informations de répertoire pour les clients auxquels sont affectées des adresses IP dynamiques. Le serveur que vous configurez est automatiquement identifié dans le champ Nom du serveur car vous avez défini un domaine LDAP principal sur ce serveur dans l'Assistant du serveur. Les autres paramètres sont facultatifs dans cet exemple. 8 Cliquez sur WINS afin de configurer DHCP et affecter des paramètres spécifiques à Windows aux clients auxquels sont affectées les adresses IP dynamiques. Entrez les valeurs suivantes : Serveur principal WINS/NBNS : 198.168.0.1 Type de noeud NBDD : Diffusion (noeud b) 9 Cliquez sur Enregistrer, puis sur Démarrer le service. Étape 6 : Configurer le service NAT 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez NAT dans la liste Ordinateurs & services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Sélectionnez l'interface externe dans le menu contextuel Partager votre connexion depuis. 4 Cliquez sur Enregistrer, puis sur Démarrer le service. Étape 7 : Configurer le service VPN 1 Dans Admin Serveur, sélectionnez VPN dans la liste Ordinateurs & services. 2 Cliquez sur Réglages. 3 Activez le protocole L2TP sur IPSec (Layer Two Tunneling Protocol, Secure Internet Protocol) pour les utilisateurs d'ordinateurs Mac OS X version 10.3, de postes de travail Linux ou UNIX et Windows XP. Bien qu'il soit également possible d'utiliser le protocole PPTP décrit à l'étape suivante, L2TP assure une meilleure sécurité car il s'exécute sur IPSec. Spécifiez le secret partagé en tapant une chaîne dans le champ Secret partagé IPsec. Entrez une chaîne non intuitive. Par exemple, tapez des combinaisons inhabituelles de chiffres, de symboles et de caractères majuscules et minuscules. Il est recommandé de taper une chaîne de 8 à 12 caractères.Annexe B Exemple de configuration 133 Pour limiter les connexions VPN aux membres d'un groupe, sélectionnez Restreindre l'accès au groupe, puis sélectionnez le groupe. Cliquez sur le bouton Utilisateurs & groupes pour ouvrir un tiroir à partir duquel vous pouvez faire glisser un nom de groupe vers le champ. Entrez une adresse IP de début et de fin pour indiquer les adresses que le serveur VPN peut attribuer aux clients. Évitez celles que le serveur DHCP peut affecter. Évitez également celles indiquées lorsque vous avez activé le protocole PPTP. 4 Activez le protocole PPTP (Point to Point Tunneling Protocol) si les employés doivent accéder au réseau intranet à partir de postes de travail Windows, autres que Windows XP, ou Mac OS X version 10.2 hors du bureau. Si vous devez prendre en charge les anciens clients Windows ne gérant pas le protocole PPTP 128 bits, sélectionnez Autorise les clés de cryptage 40 bits, outre celles de 128 bits. Pour limiter les connexions VPN aux membres d'un groupe, sélectionnez Restreindre l'accès au groupe, puis sélectionnez le groupe. Cliquez sur le bouton Utilisateurs & groupes pour ouvrir un tiroir à partir duquel vous pouvez faire glisser un nom de groupe vers le champ. Tapez une adresse IP de début et de fin pour indiquer les adresses que le serveur VPN peut attribuer aux clients. Évitez les adresses que le serveur DHCP est configuré pour affecter. Évitez également les adresses que vous avez spécifiées lorsque vous avez activé le protocole L2TP sur IPSec. 5 Cliquez sur Enregistrer, puis sur Démarrer le service. Étape 8 : Configurer les services de productivité L'infrastructure requise pour configurer les services de fichiers, d'imprimantes et autres services de productivité est désormais disponible. Suivez les instructions des guides d'administration respectifs indiqués à la page 9 pour configurer les services de votre choix. De nombreux services, comme celui de fichiers Apple, nécessitent une configuration minimale. Il vous suffit de les démarrer à l'aide du logiciel d'Admin Serveur. Étape 9 : Créer les comptes d'utilisateurs et les répertoires de départ 1 Ouvrez Gestionnaire de groupe de travail. Le répertoire LDAP Open Directory principal est automatiquement disponible pour modification. Vous ajouterez un compte pour chaque employé dans ce répertoire maître. 2 Cliquez sur le bouton Nouvel utilisateur. 3 Spécifiez les réglages de l'utilisateur dans les différents volets. Le guide de gestion des utilisateurs décrit la configuration de tous les attributs des comptes d'utilisateurs, y compris les répertoires de départ. Il décrit également la gestion des utilisateurs en configurant des comptes de groupes et d'ordinateurs et le réglage des préférences pour personnaliser les environnements de travail des clients Macintosh.134 Annexe B Exemple de configuration Le guide d'administration Windows s'intéresse principalement à l'implémentation de la prise en charge des utilisateurs Windows. Utilisez ce document en complément du guide de gestion des utilisateurs et du guide d'administration Open Directory si votre serveur doit prendre en charge les utilisateurs Windows. Étape 10 : Configurer les ordinateurs clients Les informations qui suivent s'appliquent aux ordinateurs Mac OS X version 10.3. Pour plus d'informations sur la prise en charge des ordinateurs clients Windows, consultez le guide d'administration Windows. 1 Si nécessaire, configurez les clients Mac OS X pour extraire les informations du serveur DHCP. Les ordinateurs Mac OS X version 10.3 sont préconfigurés pour obtenir des adresses au moyen du protocole DHCP et récupérer les informations relatives à un répertoire LDAP depuis le serveur DHCP. Après avoir configuré le service DHCP avec les données d'un répertoire LDAP, ces données sont automatiquement transmises aux clients Mac OS X lorsqu'ils reçoivent leurs adresses IP du serveur DHCP. Voici les réglages préconfigurés : Les préférences réseau sont configurées pour utiliser DHCP. Pour accéder à ce paramètre, sélectionnez Préférences Système, ouvrez les préférences Réseau, choisissez l'interface Ethernet interne, puis Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle ou Via DHCP dans le menu local Configurer IPv4. La politique de recherche de l'ordinateur est configurée pour être définie automatiquement. Pour accéder à ce paramètre, ouvrez Format de répertoire (dans / Applications/Utilities/), puis cliquez sur Authentification. Si l'icône de verrouillage est verrouillée, cliquez dessus et authentifiez-vous en tant qu'administrateur. Dans le menu local Rechercher, choisissez Automatique, puis cliquez sur Appliquer. L'utilisation des informations LDAP fournies par le serveur DHCP est activée. Pour accéder à ce paramètre, ouvrez Format de répertoire puis cliquez sur Services. Si l'icône de verrouillage est verrouillée, cliquez dessus et authentifiez-vous en tant qu'administrateur. Sélectionnez LDAPv3 dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. Cliquez sur Utiliser le serveur LDAP fourni par DHCP, puis sur OK. 2 Configurer les clients Mac OS X de façon à utiliser le serveur VPN. Ouvrez l'application Connexion à Internet (dans /Applications/), puis cliquez sur VPN dans la barre d'outils. Sélectionnez le protocole L2TP sur IPSec ou PPP, puis cliquez sur Continuer. Choisissez Modifier les configurations dans le menu local Configurations. Tapez l'adresse IP externe fournie par le FAI, le nom et le mot de passe de l'utilisateur de l'ordinateur et (pour le protocole L2TP sur IPSec) le secret partagé. Cliquez sur OK. 135 Glossaire Glossaire administrateur Utilisateur disposant d'autorisations d'administration de serveur ou de domaine de répertoires. Les administrateurs sont toujours membres du groupe “admin” prédéfini. adresse IP Adresse numérique unique identifiant un ordinateur sur Internet. adresse IP statique Adresse IP affectée de manière permanente à un ordinateur ou un périphérique. Apache Serveur HTTP en code libre intégré à Mac OS X Server. Vous trouverez des informations détaillées sur Apache à l'adresse www.apache.org. authentification Processus de certification de l'identité d'un utilisateur, typiquement basé sur la validation d'un nom et d'un mot de passe utilisateur. L'authentification précède généralement le processus d'autorisation déterminant le niveau d'accès de l'utilisateur à une ressource. Par exemple, le service de fichiers autorise l'accès total aux dossiers et fichiers que possède un utilisateur authentifié. autorisation Processus par lequel un service détermine s'il doit permettre à un utilisateur l'accès à une ressource et quel degré d'accès il doit lui accorder. L'autorisation suit généralement le processus d'authentification prouvant l'identité de l'utilisateur. Par exemple, le service de fichiers autorise l'accès total aux dossiers et fichiers que possède un utilisateur authentifié. autorisations Réglages qui définissent le type d'accès aux éléments partagés dont bénéficient les utilisateurs. Vous pouvez attribuer quatre types d'autorisations d'accès à un point de partage, un dossier ou un fichier : lecture et écriture, lecture seule, écriture seule et aucune (pas d'accès). BIND (Berkeley Internet Name Domain) Programme livré avec Mac OS X Server et permettant l'implémentation du service DNS. Ce programme est également appelé démon lorsqu'il est en cours d'exécution. BSD (Berkeley System Distribution) Version d'UNIX sur laquelle repose le logiciel Mac OS X.136 Glossaire cache des préférences Emplacement de stockage servant à héberger les préférences de l'ordinateur et celles des groupes associés à cet ordinateur. Les préférences mises en cache vous aident à gérer des comptes d'utilisateurs locaux sur des ordinateurs portables. CGI (Common Gateway Interface) Script ou programme permettant d'ajouter des fonctions dynamiques à un site Web. Un script CGI transmet les informations entre un site Web et une application au service du site. Par exemple, si un utilisateur remplit un formulaire sur le site, un script CGI enverra le message à une application qui traitera les données et renverra une réponse à l'utilisateur. chemin de recherche Voir politique de recherche. client géré Utilisateur, groupe ou ordinateur dont les autorisations d'accès et/ou les préférences sont sous le contrôle d'un administrateur. clients sans système Ordinateurs ne disposant d'aucun système d'exploitation sur leurs disques durs locaux. Les ordinateurs sans système peuvent démarrer à partir d'une image disque installée sur un serveur NetBoot. compte d'ordinateurs Liste d'ordinateurs partageant les mêmes réglages de préférences et accessibles par les mêmes utilisateurs et groupes. comptes prédéfinis Comptes d'utilisateurs créés automatiquement lorsque vous installez Mac OS X. Certains comptes de groupes sont également prédéfinis. coupe-feu Logiciel destiné à protéger les applications réseau exécutées sur votre serveur. Le service de coupe-feu IP, intégré au logiciel Mac OS X Server, examine les paquets IP entrants et les refuse ou les accepte en fonction des filtres établis. délai de bail Période limitée durant laquelle les adresses IP sont affectées. Avec des baux courts, DHCP peut réaffecter des adresses IP sur des réseaux comptant plus d'ordinateurs que d'adresses disponibles. DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) Protocole utilisé pour la répartition d'adresses IP entre les ordinateurs clients. Chaque fois qu'un ordinateur client démarre, le protocole recherche un serveur DHCP et demande une adresse IP au serveur DHCP rencontré. Ce serveur cherche une adresse IP disponible et l'envoie à l'ordinateur client accompagnée d'un délai de bail: période pendant laquelle l'ordinateur client est autorisé à utiliser l'adresse. DNS (Domain Name System) Base de données distribuée qui fait correspondre des adresses IP à des noms de domaines. Un serveur DNS, appelé également serveur de noms, conserve la liste des noms et des adresses IP associées à chaque nom. Glossaire 137 domaine de répertoire Base de données spécialisée qui stocke des informations de référence sur les utilisateurs et les ressources réseau nécessaires au logiciel système et aux applications. La base de données est optimisée pour gérer de nombreuses requêtes d'informations et trouver et obtenir rapidement ces informations. Le domaine de répertoires peut également être appelé nœud de répertoire ou simplement répertoire. domaine local Domaine de répertoires accessible uniquement à partir de l'ordinateur sur lequel il réside. DSL (digital subscriber line) Technologie de transmission de données à large bande via le réseau téléphonique. exportation Terme NFS (Network File System) désignant le partage. FAI (Fournisseur d'accès à Internet) Entreprise qui commercialise l'accès à Internet et fournit généralement un service d'hébergement de sites web pour le commerce électronique, ainsi que des services de courrier. filtre Méthode de filtrage utilisée pour contrôler l'accès à votre serveur. Un filtre est constitué d'une adresse IP, d'un masque de sous-réseau et parfois d'un numéro de port et d'un type d'accès. L'adresse IP et le masque de sous-réseau déterminent la plage d'adresses IP à laquelle s'applique le filtre. Finder simplifié Environnement utilisateur comportant tableaux et grandes icônes et qui offre aux débutants une interface conviviale et simple. Les volumes ou disques montés auxquels les utilisateurs ont accès apparaissent dans des tableaux plutôt que sur le bureau standard. FireWire Technologie matérielle pour l'échange de données avec des périphériques, définie par le standard IEEE 1394. FTP (File Transfer Protocol) Protocole permettant aux ordinateurs de transférer des fichiers sur un réseau. Les clients FTP dont le système d'exploitation gère le protocole FTP peuvent se connecter à un serveur de fichiers et télécharger des fichiers, en fonction des autorisations d'accès dont ils bénéficient. La plupart des navigateurs Internet et bon nombre d'applications gratuites peuvent être utilisés pour accéder à un serveur FTP. groupe Ensemble d'utilisateurs ayant les mêmes besoins. Les groupes simplifient l'administration des ressources partagées. groupe de travail Ensemble d'utilisateurs pour lesquels vous définissez des préférences et des autorisations de groupe. Toutes les préférences que vous définissez pour un groupe sont stockées dans le compte de groupe. groupe principal Groupe par défaut d'un utilisateur. Le système de fichiers utilise l'identifiant du groupe principal lorsqu'un utilisateur accède à un fichier dont il n'est pas le possesseur. 138 Glossaire hôte de courrier Ordinateur qui fournit le service de courrier. HTML (Hypertext Markup Language) Ensemble de symboles ou de codes insérés dans un fichier à afficher par un navigateur Web. Le balisage indique au navigateur Web comment afficher les mots et images d'une page Web pour l'utilisateur. HTTP (Hypertext Transfer Protocol) Protocole client/serveur pour le Web. Le protocole HTTP constitue pour un navigateur Web un moyen d'accès à un serveur Web et de requête de documents hypermedia HTML. IANA (Internet Assigned Numbers Authority) Organisation chargée d'attribuer des adresses IP et des paramètres de protocole, ainsi que de gérer des noms de domaines. ID utilisateur Numéro permettant d'identifier un utilisateur de manière unique. Les ordinateurs Mac OS X utilisent les identifiants d'utilisateurs pour contrôler l'appartenance de répertoires et de fichiers à un utilisateur. identifiant de groupe principal Numéro unique identifiant un groupe principal. IGMP (Internet Group Management Protocol) Protocole Internet utilisé par les hôtes et les routeurs pour envoyer des paquets à des listes d'hôtes volontaires, dans le cadre d'un processus appelé multidiffusion. Le Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) utilise l'adressage multidiffusion, de même que le protocole SLP (Service Location Protocol). image disque Une fois ouvert (à l'aide de l'utilitaire Images disques), fichier qui crée sur un bureau Mac OS une icône comparable à un véritable disque ou volume. Les ordinateurs clients peuvent, à l'aide de NetBoot, démarrer via le réseau à partir d'une image disque basée sur un serveur et contenant un logiciel système. image fantôme Fichier invisible pour les applications et le logiciel système standard et utilisé par NetBoot pour écrire des informations sur le système lorsqu'un ordinateur client fonctionne à partir d'une image disque système située sur un serveur. IMAP (Internet Message Access Protocol) Protocole client/serveur de courrier permettant aux utilisateurs de stocker leur courrier sur le serveur de courrier plutôt que de le télécharger sur l'ordinateur local. Le courrier demeure sur le serveur jusqu'à ce que l'utilisateur décide de l'effacer. installation en réseau Procédure d'installation de systèmes et de logiciels sur des ordinateurs clients Mac OS X via un réseau. L'installation de logiciels peut être effectuée sous la supervision d'un administrateur ou sans aucune surveillance. IP (Internet Protocol) Également désigné par IPv4. Méthode utilisée conjointement avec le protocole TCP (Transmission Control Protocol) pour envoyer des données d'un ordinateur à un autre via un réseau local ou via Internet. Le protocole IP envoie les paquets de données, alors que le protocole TCP se charge de leur suivi.Glossaire 139 JBoss Serveur d'applications Java gérant les applications Java 2 Platform, Enterprise Edition (J2EE). Kerberos Système d'authentification réseau sécurisé. Kerberos utilise des tickets, délivrés pour un utilisateur, un service et une période déterminés. Une fois l'utilisateur authentifié, celui-ci peut accéder à des services supplémentaires sans devoir resaisir de mot de passe (signature unique) pourvu que ces services aient été configurés pour accepter les tickets Kerberos. Mac OS X Server utilise Kerberos v5. LAN (local area network) Réseau installé au sein d'un même bâtiment, par opposition au réseau étendu (WAN, Wide Area Network), reliant des locaux géographiquement dispersés,. LDAP (Lightweight Directory Access Protocol) Protocole client/serveur standard pour accéder à un domaine de répertoires. LPR (Line Printer Remote) Protocole standard d'impression via TCP/IP. module de connexion Voir module de connexion WebDAV. module de connexion WebDAV Région d'un site Web, généralement un dossier ou un répertoire, destinée à offrir l'accès aux utilisateurs et groupes WebDAV. MTA (Mail Transfer Agent) Service de courrier qui envoie le courrier sortant, reçoit le courrier entrant à l'attention des destinataires locaux et fait suivre le courrier entrant des destinataires non locaux vers d'autres MTA. multi-adressage Capacité à gérer plusieurs connexions réseau. Lorsque plusieurs connexions sont disponibles, Mac OS X sélectionne celle adéquate en fonction de l'ordre spécifié dans les préférences réseau. MySQL Outil de gestion de bases de données relationnelles en code libre, pour les serveurs Web. NAT (Network Address Translation) Méthode de connexion de plusieurs ordinateurs à Internet (ou tout autre réseau IP) en utilisant une seule adresse IP. NAT convertit les différentes adresses IP attribuées aux ordinateurs sur le réseau privé interne en une adresse IP commune pour les communications Internet. NetInfo L'un des protocoles Apple d'accès à un domaine de répertoires. Network File System (NFS) Protocole client/serveur utilisant TCP/IP pour permettre aux utilisateurs distants d'accéder à des fichiers comme s'ils se trouvaient sur leur disque. Le service NFS exporte les volumes partagés vers les ordinateurs en fonction de l'adresse IP, plutôt que du nom et mot de passe utilisateur. nœud de répertoire Voir domaine de répertoire.140 Glossaire nom abrégé Abréviation du nom d'un utilisateur. Le nom abrégé est utilisé par Mac OS X pour les répertoires de départ, l'authentification et les adresses électroniques. nom complet Voir nom d'utilisateur. nom d'utilisateur Nom complet d'un utilisateur, parfois qualifié de réel. Voir également nom abrégé. Open Directory Architecture des services de répertoires Apple qui peut accéder à des informations de référence sur les utilisateurs et les ressources réseau à partir de domaines de répertoires utilisant les protocoles LDAP, NetInfo, ou Active Directory, les fichiers de configuration BSD et les services de réseau. ordinateur administrateur Ordinateur Mac OS X sur lequel vous avez installé les applications de serveur situées sur le CD Admin Serveur Mac OS X. ordinateur invité Ordinateur inconnu ne figurant sur aucun compte d'ordinateurs de votre serveur. PHP (PHP Hypertext Preprocessor) Langage de script incorporé au langage HTML et utilisé pour créer des pages Web dynamiques. point de partage Dossier, disque dur (ou partition de disque dur) ou CD accessible via le réseau. Un point de partage constitue le point d'accès situé au premier niveau d'un groupe d'éléments partagés. Les points de partage peuvent être partagés à l'aide des protocoles AFP, Windows SMB, NFS (exportation) ou FTP. politique de recherche Liste des domaines de répertoires parmi lesquels un ordinateur Mac OS X effectue ses recherches lorsqu'il a besoin d'informations de configuration. Désigne également l'ordre dans lequel les domaines sont pris en compte lors de la recherche. Parfois appelé “chemin de recherche”. POP (Post Office Protocol) Protocole destiné à récupérer le courrier entrant. Après récupération, le courrier est stocké sur l'ordinateur de l'utilisateur et généralement supprimé automatiquement du serveur de courrier. possesseur Personne qui a créé un fichier ou un dossier et qui, dès lors, peut attribuer aux autres utilisateurs des autorisations d'accès à ces éléments. Le possesseur d'un élément dispose automatiquement des autorisations de lecture et d'écriture pour cet élément. Il peut également en transférer la propriété à un autre utilisateur. préférences gérées Préférences système ou d'applications sous le contrôle d'un administrateur. Le Gestionnaire de groupe de travail permet aux administrateurs de contrôler les réglages de certaines préférences système pour les clients gérés Mac OS X. Le Gestionnaire Macintosh permet aux administrateurs de contrôler à la fois les préférences système et les préférences d'applications pour les clients gérés Mac OS 9 et Mac OS 8.Glossaire 141 préréglages Attributs d'origine par défaut que vous spécifiez pour les nouveaux comptes créés à l'aide du Gestionnaire de groupe de travail. Vous ne pouvez utiliser les préréglages que lors de la création d'un compte. protocole AFP (Apple Filing Protocol) Protocole client/serveur utilisé par le service de fichiers Apple sur les ordinateurs compatibles Macintosh pour partager des services de fichiers et de réseau. AFP utilise TCP/IP et d'autres protocoles pour les communications entre ordinateurs d'un réseau. QTSS (Serveur Enchaînement QuickTime) Technologie permettant de diffuser des données en temps réel sur Internet. RAID (Redundant Array of Independent Disks) Unité de disque dur qui augmente la vitesse de lecture/écriture sur disque et/ou double les données par écriture miroir. Les utilisateurs accèdent au disque RAID comme s'il s'agissait d'une seule unité, bien que celui-ci puisse être divisé en de nombreuses partitions. Rendezvous Protocole développé par Apple pour la détection automatique d'ordinateurs, de périphériques et de services sur les réseaux IP. Ce protocole Internet est parfois désigné par Configuration zéro ou Multidiffusion DNS. Pour plus d'informations, consultez le site www.apple ou www.zeroconf.org répartition de la charge Procédure de répartition entre plusieurs serveurs des demandes de services réseau provenant d'ordinateurs clients, ce qui permet d'optimiser les performances en utilisant la capacité globale de tous les serveurs disponibles. répertoire de départ Dossier destiné à l'usage personnel d'un utilisateur. Entre autres, Mac OS X utilise également le répertoire de départ pour stocker des préférences système et des réglages d'utilisateur gérés pour les utilisateurs Mac OS X. répertoire de départ local Répertoire de départ résidant sur le disque dur de l'ordinateur auquel est connecté un utilisateur. Il n'est accessible qu'en se connectant directement à l'ordinateur où il réside ou via une connexion SSH. répertoire de groupe Répertoire servant à organiser les documents et les applications d'un intérêt particulier pour les membres d'un groupe et leur permettant de s'échanger des informations. ROM de démarrage Instructions sur les exigences matérielles utilisées par un ordinateur au cours des premières étapes du démarrage. Secure Sockets Layer (SSL) Protocole permettant d'envoyer sur Internet des informations cryptées et authentifiées.142 Glossaire serveur d'applications Logiciel exécutant et gérant d'autres applications, généralement des applications Web, auxquelles vous accédez via un navigateur Web. Les applications gérées par le serveur résident sur le même ordinateur que celui-ci. serveur de noms Voir DNS (Domain Name System). serveur NetBoot Serveur Mac OS X sur lequel le logiciel NetBoot est installé et configuré pour autoriser les clients à démarrer à partir d'images disques situées sur le serveur. services de répertoire Services fournissant au logiciel système et aux applications un accès uniforme aux domaines de répertoire et autres sources d'informations sur les utilisateurs et les ressources. SMB (Server Message Block) Protocole permettant à des ordinateurs clients d'accéder à des fichiers et à des services de réseau. Il peut être utilisé via TCP/IP, Internet ou d'autres protocoles. Les services Windows utilisent le protocole SMB pour fournir l'accès aux serveurs, imprimantes et autres ressources en réseau. SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) Protocole utilisé pour envoyer et transférer du courrier. Sa capacité à placer les messages entrants en file d'attente étant limitée, il n'est généralement utilisé que pour envoyer des messages, POP ou IMAP étant utilisés pour les recevoir. SNMP (Simple Network Management Protocol) Ensemble de protocoles standard utilisés pour gérer et contrôler des périphériques réseau sur plusieurs plates-formes. sous-réseau Regroupement d'ordinateurs clients faisant partie du même réseau, structuré en fonction de l'emplacement physique (les différents étages d'un bâtiment, par exemple) ou de l'utilisation (tous les élèves d'une même classe par exemple). L'utilisation de sous-réseaux permet de simplifier les tâches d'administration. sous-réseau IP Partie d'un réseau IP, pouvant être un segment de réseau physiquement indépendant, partageant une adresse réseau avec d'autres parties du réseau et identifiée par un numéro de sous-réseau. spam Courrier non sollicité, indésirable. TCP (Transmission Control Protocol) Méthode utilisée avec le protocole IP (Internet Protocol) pour envoyer, via Internet, des données sous forme d'unités de messages entre ordinateurs. Le protocole IP se charge de gérer le transfert des données, alors que le protocole TCP effectue le suivi individuel des unités de données (paquets). Chaque message est fractionné en plusieurs unités afin d'assurer un routage efficace via Internet. Tomcat Implémentation de référence officielle de Java Servlet 2.2 et JavaServer Pages 1.1, deux technologies complémentaires développées dans le cadre de Java Community Process.Glossaire 143 tous Tout utilisateur pouvant se connecter à un serveur de fichiers : utilisateur référencé ou invité, utilisateur FTP anonyme ou visiteur d'un site Web. URL (Uniform Resource Locator) Adresse d'un ordinateur, d'un fichier ou d'une ressource accessible sur un réseau local ou sur Internet. L'adresse URL se compose du nom du protocole utilisé pour accéder à la ressource, du nom de domaine qui identifie un ordinateur spécifique sur Internet et de la description hiérarchique de l'emplacement du fichier sur l'ordinateur. USB (Universal Serial Bus) Standard de communication entre un ordinateur et des périphériques externes utilisant un câble de connexion directe bon marché. utilisateur invité Utilisateur pouvant se connecter à votre serveur sans fournir de nom ni de mot de passe. utilisateur virtuel Autre adresse électronique (nom abrégé) d'un utilisateur. Similaire à un alias, mais impliquant la création d'un nouveau compte d'utilisateur. VPN (Virtual Private Network) Réseau privé virtuel utilisant le cryptage ainsi que d'autres technologies pour fournir des communications sécurisées sur un réseau public, en général Internet. Ces réseaux sont généralement moins onéreux que des réseaux privés réels qui recourent à des lignes privées, mais s'appuient sur le même système de cryptage aux deux extrémités de la ligne. Le cryptage peut être réalisé par des logiciels de coupe-feu ou par des routeurs. WAN, Wide Area Network Réseau reliant des sites géographiquement dispersés, par opposition au réseau local (LAN, Local Area Network), installé au sein d'un même groupe de bâtiments. L'interface WAN est généralement celle connectée à Internet. WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) Environnement de création en direct permettant aux utilisateurs clients d'extraire des pages Web d'un site, de les modifier, puis de les replacer sur le site sans que ce dernier ne cesse de fonctionner. WINS (Windows Internet Naming Service) Service de résolution de noms utilisé par les ordinateurs Windows pour faire correspondre les noms des clients avec des adresses IP. Un serveur WINS peut se trouver soit sur le réseau local, soit sur Internet.145 Index Index A Active Directory 31 Admin de bureau NetBoot 60 administration d'un serveur version 10.2 62 Admin Serveur 56 ouverture et authentification 56 utilisation 57 AirPort 42 Apache 39 Apple File Service (AFP) 37 Apple LDAP 30 Apple Remote Desktop (ARD) 61 AppleTalk 32 Assistant serveur 50 automatisation de l'installation du logiciel serveur 90 automatisation de la configuration de serveur 106 B Berkeley Software Distribution (BSD) 29, 31 C cache Web 39 comptes de groupes 33 configuration de service 112 configuration serveur 65 configuration automatique utilisant des données d'un fichier 106 configuration automatisée avec des données de répertoire 109 configuration interactive de plusieurs serveurs distants 105 configuration interactive locale 101, 102 configuration interactive locale par lot 103 contrôle de l'état 112 enregistrement des données de configuration dans un fichier 95 enregistrement des données de configuration dans un répertoire 96 informations nécessaires 94 mode hors connexion 106 stockage de copies de sauvegarde des données de configuration enregistrées 97 utilisation Open Directory 98 configurer l'ordinateur administrateur 49 configurer un poste de travail non Mac OS X 49 contrôle de l'espace disque 46 contrôle de serveur 60 D Darwin 29 défilement 46 détection de services 30 diskspacemonitor (outil) 46 disques HFS journalisés 46 documentation 14 Domain Name System (DNS) 41 Dynamic Host Configuration Protocol (DHCP) 41 E exportation d'utilisateurs et de groupes 55 exporter des volumes NFS 38 F feuille de travail 117 fichiers partagés 36 fonction de reprise IP 46 format de répertoire 50 FTP (File Transfer Protocol) 38 G gestion des utilisateurs comptes de groupe 33 comptes utilisateurs 33 gestion des utilisateurs Macintosh 33 gestion des utilisateurs Windows 34 répertoires de départ 33 gestion des utilisateurs Macintosh comptes mobiles 34 gestion des préférences 33 Gestionnaire des groupes de travail utilisation 51, 52146 Index Gestionnaire Macintosh 62 guides d'administration du serveur 14 H haute disponibilité 46 I importation d'utilisateurs et de groupes 55 Inspecteur 55 installation 65 installation du logiciel serveur automatisation de l'installation 90 configuration système requise 83 informations préalables 84 installation des logiciels serveur en option 92 installation interactive à distance 88 instructions matérielles 86 mot de passe prédéfini 86 préparation des disques 85 sur un ordinateur équipé de Mac OS X version 10.3 89 utilisation de l'application Installation pour une installation locale 87 utilisation de l'outil de ligne de commande 90 installation en réseau 35 installation et configuration de la feuille de travail 117 intégration dans des réseaux existants 45 J J2EE 45 Java 40 JBoss 45 K Kerberos 32 L LDAP 30, 31 M migration 78 MySQL 40 N NAT (Network Address Translation) 42 NetBoot 35 NetInfo 30 Network Information System (NIS) 31 nouveau partage des montages NFS 38 nouveautés de la version 10.3 9 O Open Directory authentification Kerberos 32 découverte des services de réseau 32 définition 30 politiques de recherche 31 réplique LDAP 46 utilisation de répertoires Apple 30 utilisation des répertoires non Apple 31 validation de mots de passe 31 OpenLDAP 30 ouverture du Gestionnaire de groupe de travail et authentification 51 P PackageMaker 60 partage de fichiers 36 Perl 40 PHP 40 planification de l'installation définir une stratégie 81 définition d'une stratégie d'intégration 78 définition d'une stratégie de migration 78 définition de l'infrastructure matérielle 79 déterminer les services à héberger 76 disponibilité du matériel 80 identification des serveurs à mettre en place 76 infrastructures de configuration du serveur 79 mise en place d'une équipe 75 objectifs 75 recherche et organisation des informations 81 points de partage 36 points partagés 54 politiques de recherche 31 préparation des disques pour l'installation du logiciel serveur 85 préréglage 53 programme d'installation 50 Q QTSS Publisher 44 QuickTime Broadcaster 44 R RAID logiciel 46 redémarrage automatique 46 Rendezvous 32 répertoires d'accueil 33 S scenarios entreprises créatives 26 scénarios ateliers et classes K-12 22 cluster informatique 25 entreprises 20 établissements d'enseignement supérieur 21 fournisseurs de services Web 27Index 147 pme/pmi 24 scripts CGI 40 Serveur Enchaînement QuickTime (QTSS) 43 serveurs d'applications 44 AXIS 44 JBoss 45 SOAP 44 Tomcat 44 WebObjects 45 service d'impression 39 service de courrier authentification 40 Cyrus 40 filtres antispam et antivirus 40 Postfix 40 SquirrelMail 40 service Location Protocol (SLP) 32 service NFS (Network File System) 38 services d'images du système d'exploitation 35 services de fichier 36 services de fichiers Apple File Service (AFP) 37 File Transfer Protocol (FTP) 38 Network File System (NFS) 38 partage 36 Windows 37 services de répertoires 30 services de réseau 40 coupe-feu IP 42 DHCP 41 DNS 41 IP failover 43 NAT 42 VPN 43 services du noyau du système 29 service Web 39 service WINS (Windows Internet Naming Service) 37 shells UNIX 62 signature unique 32 sites Web dynamiques 40 SMB (Server Message Block) 32 SquirrelMail 40 SSH 62 T Terminal 62 Tomcat 44 U utilitaire d'images de réseau 60 utilitaire de disque 46 utilitaires de ligne de commande 62 V validation de mots de passe 31 validation de mots de passe "Basic" 31 validation de mots de passe Simple Authentication and Security Layer (SASL) 31 verrouillage opportuniste 37 verrouillage strict 37 Virtual Private Network (VPN) 43 W WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) 39 Windows gestion des utilisateurs 34 intégration 46 navigation 37 services de fichiers 37 Boot Camp Installation & Setup Guide2 1 Contents 3 Boot Camp 3 Introduction 4 What You Need 4 If You’ve Already Used a Beta Version of Boot Camp 5 Upgrading Windows XP to Windows Vista 5 Installation Overview 6 Step 1: Run Boot Camp Assistant 6 Creating a Partition for Windows 8 Step 2: Install Windows 9 Selecting the Windows Partition 10 Formatting the Windows Partition 11 Setting Up Windows 12 Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows 13 Starting Up Using Mac OS X or Windows 13 Setting the Default Operating System 14 Selecting an Operating System During Startup 15 Using Windows on Your Mac 15 Using an Apple Keyboard with Windows 16 Using the Function Keys on an Apple Keyboard 16 Right-Clicking 16 Scrolling with a Trackpad 17 Using an Apple Remote 18 Using Bluetooth Devices with Windows 19 Ejecting Discs 19 Setting Your Computer to Restart Automatically After a Power Failure 19 Using Third-Party Utilities 20 Removing Windows from Your Computer 21 Troubleshooting 25 Learning More, Support, and Feedback 3 1 Boot Camp Run Microsoft Windows on an Intel-based Mac computer. Introduction Boot Camp enables you to install Windows on your Intel-based Mac computer, using a Microsoft Windows install disc that you provide. Windows is installed on its own partition. After installation, you can use either Windows or Mac OS X on your Mac computer. The Boot Camp Assistant application helps you create the Windows partition and restart your Mac using your Windows installation disc. Then you can follow these instructions to install Windows and install software drivers that enable Windows to work with your Mac hardware. Important: Before you use Boot Camp Assistant, print this document. It contains information you’ll need while installing Windows. NOTICE: Make sure to back up all of your data before using Boot Camp, and regularly back up data while using the software.4 What You Need Here’s what you need to install and set up Windows on your Mac:  An Intel-based Mac computer, with:  a USB keyboard and mouse, or a built-in keyboard and trackpad  Mac OS X version 10.5 or later (the latest version of Mac OS X is strongly recommended)  a built-in optical disc drive, or, if your computer doesn’t have a built-in optical drive, a compatible external optical drive For information on using your computer with an external optical drive, see the documentation that came with your computer.  all firmware updates for your computer For information about updating your computer’s system software and firmware, see page 21.  A Mac OS X Leopard installation disc, which can be either of the following:  a Mac OS X Leopard disc (included with all purchased copies of Leopard)  a Mac OS X Install Disc 1 (included with all Macs that have Leopard preinstalled)  At least 10 GB of free space on the disk you’re installing on  Boot Camp Assistant (located in /Applications/Utilities/)  Windows XP Home Edition or Professional with Service Pack 2 or later, or Windows Vista Home Basic, Home Premium, Business, or Ultimate Important: You must use a single full-install Windows installation disc (Service Pack 2 is required for Windows XP installations). Do not use an upgrade version of Windows and do not install an earlier version of Windows XP and attempt to update it later to SP2 or later. Use only 32-bit versions of Windows. If you have a Mac Pro or a MacBook Pro introduced in early 2008 or later, you can use a 64-bit version of Windows Vista. If You’ve Already Used a Beta Version of Boot Camp If this is your first time using Boot Camp, skip this section and go to “Installation Overview” on page 5. If you’ve already installed Boot Camp Beta on your computer and used it to create a Windows partition and install Windows, you don’t need to repartition your hard disk or reinstall Windows. Follow the instructions below to install new and updated Mac drivers for Windows. Important: If you’ve customized your Windows environment, write down your settings before updating the drivers. To install new and updated Mac drivers for Windows: 1 Restart your Mac using Windows. 2 Insert your Mac OS X Leopard installation disc.5 If the installer doesn’t start automatically, browse the disc using Windows Explorer and double-click the setup.exe file in the Boot Camp directory. 3 Click Repair. Note: If you use MediaFour’s MacDrive application, you may not see the Boot Camp directory. To see it, right-click the CD drive in Windows Explorer and choose MacDrive > Show Windows Files. Upgrading Windows XP to Windows Vista You can upgrade Windows XP to Windows Vista using a licensed copy of Windows Vista Home Basic, Home Premium, Business, or Ultimate. After upgrading to Windows Vista, you must reinstall the Boot Camp drivers. To upgrade Windows XP to Windows Vista: 1 Restart your Mac using Windows. 2 Insert your Windows Vista installation or upgrade disc. 3 Follow the instructions that came with Windows Vista. 4 After completing the Windows Vista upgrade, insert your Mac OS X Leopard installation disc. If the installer doesn’t start automatically, browse the disc using Windows Explorer and double-click the setup.exe file in the Boot Camp directory. Installation Overview Installing Windows on your Mac computer involves the following steps: Step 1: Run Boot Camp Assistant. Boot Camp Assistant helps you with these tasks:  Creating a partition for Windows Boot Camp Assistant creates a partition for Windows on your computer’s startup or other internal disk.  Starting the Windows installation Boot Camp Assistant gets you started with the Windows installation. Step 2: Install Windows. Step 3: Install the Boot Camp drivers on your Windows volume. Important: Before you begin, make sure you have a backup of the important information on your computer.6 Step 1: Run Boot Camp Assistant Boot Camp Assistant helps you create a new partition for Windows and gets you started with the Windows installation. Important: If you are using a portable computer, connect the power adapter before continuing. To use Boot Camp Assistant: 1 Log in to an administrator account on your computer, quit all open applications, and log out any other users on your computer. 2 Open Boot Camp Assistant (located in /Applications/Utilities/) and follow the onscreen instructions. Refer to the following sections for more information. Creating a Partition for Windows Boot Camp Assistant helps you create a new partition for Windows on an internal disk. The assistant dynamically partitions your startup disk, creating a new partition for Windows without erasing your existing Mac OS X system. If you have a computer with multiple internal disks, you can create a second partition on any of those disks or use an entire disk for Windows. See “Creating a Partition on a Computer with Multiple Internal Disks” on page 7. When you create the Windows partition, you can choose to use 32 GB, use half of the disk for Windows, or set a custom size. The Windows partition must be at least 5 GB and leave at least 5 GB of free space on the Mac OS X partition.7 To create a partition for Windows: 1 Set the size of your Windows partition. Refer to your Windows installer documentation to help you determine the best partition size for your system. Windows Vista requires more disk space than Windows XP. Note: A partition larger than 32 GB cannot be formatted as a FAT volume. See “Formatting the Windows Partition” on page 10. 2 Click Partition. Boot Camp Assistant creates the new Windows partition. Your original Mac OS partition, with all your software and information, remains intact. You can use Boot Camp Assistant later to remove the partition if you want to restore the disk to a single-partition Mac OS X volume (see page 20). Creating a Partition on a Computer with Multiple Internal Disks If you are installing Windows on a computer with more than one internal disk, select which disk to partition for Windows. You can:  create a second partition for Windows on any internal disk  erase a non-startup disk and create a single partition for Windows If you have already partitioned a disk, you can restore it to a single Mac OS X partition. In the “Create or Remove a Windows Partition” window, select a disk to see the options available for that disk.8 Step 2: Install Windows Read and follow these instructions for installing Windows on your Mac computer. Refer to your Windows documentation for general information about installing and setting up Windows. Important: Unless you’re using a portable computer, you’ll need a USB keyboard and mouse during installation. Important: If your computer doesn’t have a built-in optical disc drive, you must install Windows and Windows drivers using a compatible external optical drive. You can install any of the following versions of Windows:  Windows XP Home Edition or Professional  Windows Vista Home Basic, Home Premium, Business, or Ultimate Important: You must use a single full-install Windows installation disc (Service Pack 2 or later is required for Windows XP installations). Do not install an earlier version of Windows XP and attempt to update it later to SP2. To install Windows on your Mac computer: 1 If you already quit Boot Camp Assistant without installing Windows: a Open Boot Camp Assistant. b Select “Start the Windows installer.” c Click Continue. 2 If you are using a computer with more than one internal disk, select the disk on which you want to install Windows, and then click Continue. 3 Insert your Windows installation disc. 4 In Boot Camp Assistant, click Start Installation.9 5 Your computer starts up from the Windows installation disc. Follow the onscreen instructions. Refer to the following sections for more information. Selecting the Windows Partition It is very important to select the correct partition when installing Windows so that you don’t overwrite Mac OS X on your computer. To select the correct partition for Windows XP: m Select “C: Partition3 [FAT32].” To select the correct partition for Windows Vista: m Select “Disk 0 Partition 3 BOOTCAMP.” NOTICE: Do not create or delete a partition, or select any partition other than as noted below. Doing so may delete the entire contents of your Mac OS X partition.10 Formatting the Windows Partition Even though Boot Camp pre-formats the Windows partition, this partition can’t be used to boot the computer. You must reformat the new Windows partition using the Windows installer. To format the partition for Windows XP: m Select an NTFS or FAT format:  NTFS—Provides better reliability and security, but you will not be able to save files to the Windows volume from Mac OS X.  FAT—Provides better compatibility, allowing you to read and write files on the Windows volume from Mac OS X. This option is available only if the Windows partition you created in Step 2 is 32 GB or smaller. Important: Do not select “Leave the current file system intact.” To successfully install Windows XP, you must select one of the other options.11 To format the partition for Windows Vista: 1 Click “Drive options (advanced).” 2 Click Format, and then click OK. 3 Click Next. The Windows Vista partition is formatted using the NTFS file system. Setting Up Windows After you install the Windows software, your computer automatically restarts using Windows. Use the Windows setup screens to configure Windows.12 Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows After installing Windows, install Mac-specific drivers and other software for Windows using your Mac OS X Leopard installation disc. The Mac OS X disc installs drivers to support Mac components, such as:  graphics  networking  audio  AirPort wireless connectivity  Bluetooth®  Built-in iSight camera (external iSight cameras aren’t supported)  Apple keyboards  Apple Remote  brightness control for built-in displays The Mac OS X disc also installs the Boot Camp control panel for Windows and the Apple Boot Camp system tray item. To install the Boot Camp drivers: 1 Eject the Windows installation disc. a Go to My Computer. b Select the optical drive (D:). c Click “Eject this disk” in the System Tasks list. 2 Insert the Mac OS X disc. If the installer doesn’t start automatically, browse the disc using Windows Explorer and double-click the setup.exe file in the Boot Camp directory. 3 Follow the onscreen instructions. If a message appears that says the software you are installing has not passed Windows Logo testing, click Continue Anyway. Windows that appear only briefly during the installation don’t require your input. If nothing appears to be happening, there may be a hidden window that you must respond to. Check the taskbar and look behind open windows. Important: Do not click the Cancel button in any of the installer dialogs. 4 After your computer restarts, follow the instructions in the Found New Hardware Wizard to update your software drivers (Windows XP only). 5 Follow the instructions for any other wizards that appear.13 Note: Periodically, Apple may provide updated Boot Camp drivers, which you can download and install using Apple Software Update. To check for updated drivers manually, go to www.apple.com/support/bootcamp. Starting Up Using Mac OS X or Windows Once you’ve installed Windows and the Boot Camp drivers, you can start using Windows on your Mac. Boot Camp makes it easy to start up your computer using either Mac OS X or Windows. You can set the default operating system for your computer using Startup Disk preferences (Mac OS X) or the Boot Camp control panel (Windows). You can also select an operating system as your computer is starting up. Setting the Default Operating System You can use the Startup Disk pane of System Preferences in Mac OS X to set the default operating system for starting up your computer. Boot Camp also installs a Boot Camp control panel that lets you set the default operating system when you’re running Windows. To set the default operating system in Mac OS X: 1 In Mac OS X, choose Apple () > System Preferences. 2 Click Startup Disk. 3 Select the startup disk with the operating system you want to use by default. 4 If you want to start up that operating system now, click Restart.14 To set the default operating system in Windows: 1 In Windows, click the Boot Camp system tray item and choose Boot Camp Control Panel. Note: Your screen may look different, depending on which computer you’re using. 2 Select the startup disk with the operating system you want to use by default. 3 If you want to start up that operating system now, click Restart. To restart in Mac OS X using the Boot Camp system tray item: m In Windows, choose “Restart in Mac OS X” from the Boot Camp system tray item. Restarting in Mac OS X using the Boot Camp system tray item also sets the default operating system to Mac OS X. Selecting an Operating System During Startup You can select which operating system to use during startup by holding down the Option key. This displays icons for all available startup disks, and lets you override the default setting for the startup disk in Startup Disk preferences (Mac OS X) or the Boot Camp control panel (Windows) without changing that setting.15 To select an operating system during startup: 1 Restart your computer and hold down the Option key until disk icons appear onscreen. 2 Select the startup disk with the operating system you want to use, and then click the arrow beneath the icon. Using Windows on Your Mac The following sections provide information about running Windows on a Macintosh computer. If you’re not already familiar with how to use Windows, refer to the documentation that came with your Windows software. Using an Apple Keyboard with Windows Boot Camp sets the keys on your Apple keyboard to emulate a standard PC keyboard. This enables Control-Alt-Delete, Print Screen, and other common key commands to work with Windows. The following table tells you how to type PC key commands on an external Apple Keyboard, Apple Wireless Keyboard, and Mac portable computer built-in keyboards. For details, see: docs.info.apple.com/article.html?artnum=304270 PC key command Apple Keyboard Portable Mac built-in keyboard/ Apple Wireless Keyboard Control-Alt-Delete Control-Option-Delete ;1 Control-Option-Delete Alt Option Option AltGr Control-Option Control-Option Backspace Delete Delete Delete Delete ;1 Fn-Delete Enter Return Return Enter (numeric keypad) Enter Enter (with some built-in keyboards only)2 Insert Fn-Enter or Help Fn-Enter Num lock Clear Fn-F6 (with some built-in keyboards only) Pause/Break F16 Fn-Esc Print Screen F14 Fn-Shift-F11 Print active window Option-F14 Fn-Shift-Option-F11 Scroll/Lock F15 Fn-F12 Windows Command (x) Command (x) 1 Use the Delete key above the navigation keys. 2 Some Mac portable computers have a group of keys with small numbers on them that can be used as a numeric keypad. To use these keys as a keypad, press the F6 key to engage Num Lock, or hold down the Fn key while you press the keys in the keypad.16 Using the Function Keys on an Apple Keyboard Pressing function keys (F1–F12) on Mac portable built-in keyboards and on newer external Apple keyboards controls hardware features, such as volume, display brightness, and, on some keyboards, media playback. By holding down the Fn key as you press function keys, you can also use them to trigger application-specific software features. For example, if you open iTunes and press Fn-F1, iTunes Help opens. You can set the keyboard so that the function keys control application-specific features without pressing Fn. You then hold down Fn to use the function keys to control hardware features. To set whether the function keys control hardware or software features: 1 In Windows, click the Boot Camp system tray item and choose Boot Camp Control Panel. 2 Click the Keyboard tab. 3 Select or deselect “Use the F1–F12 keys to control software features.” Right-Clicking You can right-click when running Windows on your Mac using an Apple Mighty Mouse. If you are using a Mac portable computer, you can also right-click using the trackpad. To right-click using a Mighty Mouse: m Click the upper-right side of the mouse. To right-click using a trackpad: m Place two fingers on the trackpad and click the trackpad button. Scrolling with a Trackpad If you are using a Mac portable computer, you can use two fingers to scroll with the trackpad. To scroll using a trackpad: m Move two fingers on the trackpad simultaneously, vertically or horizontally. 17 Using an Apple Remote If your computer is equipped with a built-in infrared receiver, you can use an Apple Remote to control iTunes and Windows Media Player (not included with Boot Camp). The remote lets you change the sound volume, start or pause playback, and skip to the next or previous item. You can also use the remote to open iTunes in Windows. To open iTunes using an Apple Remote: m Press the Menu button. If iTunes is already open, you can press the Menu button to bring iTunes to the front. The Apple Remote uses an infrared transmitter, and works with Mac computers that have an infrared receiver. If the remote has an unobstructed line of sight to the receiver, it can work at a distance of up to 30 feet. Pairing Your Computer with an Apple Remote If you have more than one infrared-equipped computer at the same location, you can “pair” each computer with a specific Apple Remote. Otherwise, the computer takes commands from any remote within range. Pairing sets the computer to take commands only from the specified remote. You can pair your computer with only one remote at a time. To pair your computer with a remote: 1 Hold the remote close to the computer (3 to 4 inches) and point the remote at the front of the computer. 2 Press and hold both » and ‘ on the remote for about 5 seconds, until a chain link ( ) symbol appears onscreen. Unpairing Your Computer from an Apple Remote Pairing your computer with a remote tells the computer to take commands only from the specified Apple Remote. You can pair your computer with only one remote at a time. If you’ve paired your computer with an Apple Remote, you must unpair the computer before you can use the computer with a different remote. To unpair your computer from an Apple Remote: 1 In Windows, open the Boot Camp control panel and click the Remote tab. 2 Click Unpair.18 Disabling Remote Control You can use the Boot Camp control panel to disable the infrared receiver and prevent remote control of your computer. To disable the infrared receiver: 1 In Windows, open the Boot Camp control panel and click the Remote tab. 2 Select the “Disable remote control infrared receiver” checkbox. To turn infrared reception back on, deselect the option. Using Bluetooth Devices with Windows Before you can use a Bluetooth wireless device with Windows on your Mac, you must pair the device with your computer while running Windows. To pair a wireless Mighty Mouse or Apple keyboard with your Mac: 1 In Windows, open the Bluetooth Devices control panel. 2 In the Devices pane, click Add. 3 Follow the Bluetooth Device Wizard to set up your device. a To make your Apple wireless device discoverable, turn the device off and then on again. b In the passkey pane, select “Let me choose my own passkey” and enter a numeric code. Wireless Mighty Mouse: Enter four zeros (“0000”). Apple Wireless Keyboard: Enter six to sixteen digits. Passkeys for wireless devices are used to encrypt the information transmitted from the devices to your computer. You don’t need to remember the passkey.19 Ejecting Discs You can eject a CD or DVD using the Eject (C) key on an Apple keyboard. If your computer has an optical drive with a tray, use the Eject key to open or close the tray. You can also eject a disc by using Windows Explorer. To eject a disc, do one of the following: m Press and hold the Eject key on your Apple keyboard until the eject (C) symbol appears onscreen. m Right-click the disc icon in Windows Explorer and choose Eject from the menu that appears. m Select the disc icon in Windows Explorer and click Eject. m Hold down the primary mouse button as you start up your computer, until the disc ejects. If you have a Mac Pro computer, you can press Option-Eject to open or close the tray of an optional second optical drive. Setting Your Computer to Restart Automatically After a Power Failure Setting your computer to restart automatically after a power failure might be useful if you need to access your computer remotely. To set your computer to restart automatically after a power failure: 1 Click the Boot Camp system tray item and choose Boot Camp Control Panel. 2 Click the Power tab. 3 Select “Restart automatically after a power failure.” Using Third-Party Utilities Before installing and using a third-party disk utility for Windows, check with the vendor to make sure the utility is compatible with Boot Camp. NOTICE: Data loss can occur when using a disk utility that is not compatible with Boot Camp.20 Removing Windows from Your Computer How you remove Windows from your computer depends on whether you installed Windows on a single-volume disk or on a second disk partition. If you installed Windows on a second disk partition: Using Boot Camp Assistant as described below, remove Windows by deleting the Windows partition and restoring the disk to a single-partition Mac OS X volume. If your computer has multiple disks and you installed Windows on a disk that has only one partition: Start up in Mac OS X and use Disk Utility, in /Applications/Utilities, to erase the disk and reformat it as a Mac OS X volume. To delete Windows and the Windows partition: 1 Start up in Mac OS X. 2 Quit all open applications and log out any other users on your computer. 3 Open Boot Camp Assistant. 4 Select “Create or remove a Windows partition” and click Continue. 5 Do one of the following:  If your computer has a single internal disk, click Restore.  If your computer has multiple internal disks, select the disk with Windows on it, and then select “Restore to a single Mac OS partition” and click Continue. NOTICE: Make a backup of the important information on your computer before removing Windows. Windows software and all other information on the Windows partition will be erased.21 Troubleshooting If you’re having trouble partitioning a disk, using Boot Camp Assistant, or installing or running Windows on your Mac, check this section for possible solutions. For more troubleshooting information Go to www.apple.com/support/bootcamp. If Boot Camp Assistant won’t open because you haven’t updated your firmware or system software Boot Camp requires that you have Mac OS X v10.5 or later, and the latest firmware, installed on your computer. Some computers may require more than one firmware update. To update your computer’s system software: 1 From the Apple menu, choose Software Update. 2 If an update for Mac OS X appears in the list, select it. 3 Click Install. To update your computer’s firmware: 1 Go to www.apple.com/support/downloads. 2 Search for the firmware updates for your computer. For example, search for “Mac mini firmware update.” Important: Some computers may require more than one firmware update. See docs.info.apple.com/article.html?artnum=303880 for the current updates available for your computer. 3 Download all applicable firmware update packages. 4 Open each package and follow the onscreen instructions. If you can’t partition your disk In order to partition your disk and install Windows using Boot Camp Assistant, the disk must be a single partition, formatted as a Mac OS X Extended (Journaled) volume. If you have already partitioned your disk using Disk Utility or some other utility, you cannot use Boot Camp Assistant until you restore your disk to a single-partition Mac OS X volume. Boot Camp Assistant works only with internal disks. You cannot use Boot Camp Assistant to partition and install Windows on an external disk. 22 If a dialog appears saying “The disk cannot be partitioned because verification failed,” try repairing the disk using Disk Utility and running Boot Camp Assistant again. If that doesn’t work, back up all the information on your computer, start up from your Mac OS X Leopard installation disc, and erase the disk using Disk Utility. Restore the information to your computer from the backup and try running Boot Camp Assistant again. If you made the Windows partition too small First, back up all the information on your Windows partition. Then run Boot Camp Assistant to restore your disk to a single volume. Restart your computer and use Boot Camp Assistant to partition the disk again and reinstall Windows. Don’t forget to install the Boot Camp drivers after installing Windows. If you get a message saying “Installer Disc Not Found” when you try to install Windows Make sure you’re logged in to Mac OS X as an administrator. If the Windows installer isn’t responding If you’re using an Apple Mighty Mouse, the Windows installer may not respond if the mouse is connected directly to your computer. Connect the Mighty Mouse to the USB port on your keyboard. If Windows didn’t install properly Verify that you are using an original, full version of Windows XP Home Edition or Professional with Service Pack 2 or later, or Windows Vista Home Basic, Home Premium, Business, or Ultimate. Media Center, OEM, and upgrade versions of Windows XP are not recommended. Restart your computer and hold down the Option key until one or more disk icons appear on your screen. Insert the Windows installation disc. Select the Windows installation disc icon and then click the arrow beneath it. Quickly press any key on your keyboard to start the installer. Follow the onscreen instructions to repair or reinstall Windows. If you installed MediaFour MacDrive and you can’t find the Boot Camp drivers on the Mac OS X Leopard installation disc In Windows Explorer, right-click the CD drive and choose MacDrive > Show Windows Files. If the Boot Camp drivers weren’t successfully installed If it appears that the Boot Camp drivers weren’t successfully installed, try repairing them.23 To repair Boot Camp drivers: 1 Start up your computer in Windows. 2 Insert your Mac OS X Leopard installation disc. 3 If the installer doesn’t start automatically, browse the disc using Windows Explorer and double-click the setup.exe file in the Boot Camp directory. 4 Click Repair and follow the onscreen instructions. If a message appears that says the software you are installing has not passed Windows Logo testing, click Continue Anyway. If you need to reinstall specific drivers, you can install one driver at a time. For example, if your built-in iSight camera isn’t working, you can reinstall just the iSight driver. Individual drivers are in the Drivers folder on the Mac OS X Leopard installation disc. To reinstall a specific driver: 1 Insert your Mac OS X Leopard installation disc. 2 Quit AutoRun if it opens. 3 Using Windows Explorer, locate the driver that you want to reinstall. 4 Open the driver to start the installation. If you can’t eject a CD or DVD Most Apple keyboards have an Eject (C) key that ejects optical discs. To eject a CD or DVD: m Press and hold the Eject key until the eject (C) symbol appears onscreen. The Eject key on Apple keyboards works in Windows only after you have installed the Boot Camp drivers. See “Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows” on page 12. You must be logged in to a user account to use the Eject key. The Eject key does not work when the Welcome Screen is displayed. If your keyboard doesn’t have an Eject key, you can eject a disc using Windows Explorer. Select the disc and click Eject. If you’re still having trouble ejecting the disc, click and hold down the primary mouse button as you restart your computer, until the disc ejects. If your computer doesn’t always show the correct date and time You must have an active Internet connection in order to maintain the correct date and time when going between Mac OS X and Windows. If you are not connected to the Internet, you need to set the date and time manually when you change operating systems.24 If you can’t adjust the brightness of your display You can adjust the brightness of Mac portable computer displays using function keys on the keyboard. Press the F1 key to dim the display, or the F2 key to brighten it. Or, if you have an Apple keyboard with brightness symbols on the F1 and F2 keys, you can use them. If the brightness keys don’t appear to work, try pressing and holding the Fn key while pressing the F1 or F2 key. If that doesn’t work, make sure you’ve installed the Boot Camp drivers. See “Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows” on page 12. If you can’t adjust the sound volume You can adjust the sound volume in Windows by using the volume keys on your Apple keyboard. Press Volume Down (–) to lower the volume or Volume Up (-) to increase it. To mute the volume, press Mute (—). If the volume keys don’t appear to work, make sure you’ve installed the Boot Camp drivers. See “Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows” on page 12. If the Windows desktop doesn’t fill the entire screen If the Windows desktop doesn’t fill the entire screen, make sure you’ve installed the Boot Camp drivers. See “Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows” on page 12. If you installed the drivers and the desktop still doesn’t fill the entire screen, increase the desktop resolution setting in the Display control panel. If the screen is blank or distorted Some graphics cards may not work with both Mac OS X and Windows on a Mac computer. If you’re having trouble with your screen display when using Windows, try the following:  Use the graphics card that came with your Mac.  Make sure you’ve installed the Boot Camp drivers. See “Step 3: Install the Boot Camp Drivers for Windows” on page 12.  Adjust the screen resolution setting in the Display control panel. If you can’t rename the Windows partition If you installed Windows XP on an NTFS partition, or you installed Windows Vista, you can only rename the Windows partition in Windows. Start up in Windows and rightclick the C: drive in Windows Explorer. Then type a name. If you have a RAID configuration RAID configurations using Boot Camp are not supported. For more information, go to www.apple.com/support/bootcamp and search for “RAID.”Learning More, Support, and Feedback For more information about Boot Camp, go to www.apple.com/bootcamp. For Boot Camp support, go to www.apple.com/support/bootcamp. Apple welcomes your feedback on Boot Camp. To submit feedback, go to www.apple.com/macosx/feedback. Apple does not provide support for installing or running Microsoft Windows software. To find help for Windows issues, go to www.microsoft.com/windows. © 2008 Apple Inc. All rights reserved. Apple, the Apple logo, AirPort, FireWire, iSight, Mac, MacBook, and Mac OS are trademarks of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. Leopard is a trademark of Apple Inc. The Bluetooth® word mark and logos are registered trademarks owned by Bluetooth SIG, Inc. and any use of such marks by Apple Inc. is under license. Intel, Intel Core, and Xeon are trademarks of Intel Corp. in the U.S. and other countries. Mighty Mouse™ & © 2007 CBS Operations Inc. All rights reserved. Other company and product names mentioned herein may be trademarks of their respective companies. 019-1178 2008-01 Installation de votre logiciel Les informations ci-après vous permettent d’utiliser rapidement DVD Studio Pro et abordent les rubriques suivantes :  À propos du contenu du coffret DVD Studio Pro (p. 2)  À propos de l’aide à l’écran (p. 3)  Mise à niveau de Mac OS X et de QuickTime (p. 4)  Installation de DVD Studio Pro sur système Mac OS X 10.3 (Panther) (p. 5)  Installation de DVD Studio Pro sur système Mac OS X 10.4 (Tiger) (p. 8)  Enregistrement de DVD Studio Pro (p. 10)  Comment entrer en contact avec l’assistance AppleCare (p. 11) Veillez également à examiner le document À lire avant d’installer DVD Studio Pro 4 qui se trouve sur le disque d’installation de DVD Studio Pro 4. Pour connaître les toutes dernières informations sur DVD Studio Pro, rendez-vous sur le site Web de DVD Studio Pro à l’adresse http://www.apple.com/fr/dvdstudiopro. F42938INS Page 1 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM2 À propos du contenu du coffret DVD Studio Pro Votre coffret DVD Studio Pro contient le logiciel et la documentation permettant d’enrichir votre production audio et vidéo. DVD Studio Pro 4 Installation Disc Ce disque contient l’ensemble des fichiers nécessaires à l’installation de DVD Studio Pro 4 et Compressor 2. Il comprend également les fichiers et répertoires suivants :  À lire avant d’installer DVD Studio Pro 4 : ce document contient des informations sur la configuration requise et les actions à prendre avant d’installer les applications et utilitaires qui l’accompagnent. Assurez-vous de l’avoir bien lu avant d’installer DVD Studio Pro 4.  Icône d’installation de DVD Studio Pro 4 : double-cliquez sur cette icône pour lancer le processus d’installation.  Icône d’installation du contenu de DVD Studio Pro : vous pouvez double-cliquer dessus pour commencer le processus d’installation des modèles et transitions de DVD Studio Pro si vous n’aviez pas souhaité les installer lors de l’installation initiale de DVD Studio Pro.  Dossier Documentation : il contient le document PDF Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro ainsi qu’un dossier Compressor dans lequel vous trouverez les documents PDF Manuel de l’utilisateur de Compressor et Manuel de l’utilisateur de Apple Qmaster. Chacun de ces documents comprend une page d’accueil avec des liens vers des fichiers PDF supplémentaires, comme Nouvelles fonctionnalités et des liens vers des sites Web connexes d’Apple. Vous trouverez également dans ce dossier Documentation une version PDF du présent document Installation de votre logiciel.  Dossier Extras : il contient les programmes d’installation du système de traitement distribué Apple Qmaster que vous utilisez lors de la configuration d’un réseau d’encodage distribué. Suivez le lien de Configuration de traitement distribué sur la page d’accueil de Manuel de l’utilisateur de Compressor pour obtenir des informations sur l’installation et la configuration de Apple Qmaster. Le dossier Extras contient également une icône d’installation du contenu de DVD Studio Pro. Vous pouvez double-cliquer dessus pour commencer le processus d’installation des modèles et transitions DVD Studio Pro si vous n’aviez pas souhaité les installer lors de l’installation initiale de DVD Studio Pro.  Dossier Modèles de films d’introduction : il comprend de la documentation ainsi que les versions NTSC et PAL de différents films que vous pouvez utiliser avec les modèles Apple proposés dans DVD Studio Pro. Version imprimée de la documentation Ce coffret contient le Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro 4. Ce document fournit des informations sur le processus de création de DVD, la planification de votre projet, la préparation des ressources et l’utilisation de DVD Studio Pro. F42938INS Page 2 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM3 À propos de l’aide à l’écran L’aide à l’écran (accessible à partir du menu Aide) permet d’accéder directement aux informations à l’écran, lorsque vous utilisez DVD Studio Pro et Compressor. Vous pouvez également y consulter les manuels de l’utilisateur à l’écran ainsi que des liens vers d’autres documents et sites Web connexes d’Apple. Manuels à l’écran de l’utilisateur Vous pouvez accéder aux manuels à l’écran de l’utilisateur de DVD Studio Pro et Compressor à partir du menu d’Aide de chaque application. Pour accéder au manuel à l’écran de l’utilisateur d’une application : m Dans l’application concernée, choisissez Manuel de l’utilisateur dans le menu d’Aide. Informations de dernière minute Vous retrouverez aussi bien dans DVD Studio Pro que dans Compressor un document Informations de dernière minute contenant des indications sur les problèmes rencontrés avec les matériels et logiciels tierce partie ainsi que sur d’autres problèmes connus. Vous pouvez y accéder à partit du menu d’Aide. Remarque : pour pouvoir télécharger un document d’Informations de dernière minute, vous devez être connecté à Internet. Pour accéder au document Informations de dernière minute d’une application : m Dans l’application, sélectionnez Aide > Informations de dernière minute. Un fichier PDF de la version actuelle des Informations de dernière minute de l’application se télécharge alors sur votre disque dur puis s’ouvre dans l’application Aperçu. Nouvelles fonctionnalités Vous retrouverez aussi bien pour DVD Studio Pro que pour Compressor un document intitulé Nouvelles fonctionnalités reprenant toutes les fonctionnalités ajoutées et améliorées par rapport à la version précédente. Ces informations sont également disponibles dans la section Nouvelles fonctionnalités de l’aide à l’écran. Pour accéder au document Nouvelles fonctionnalités d’une application : m Dans l’application, sélectionnez Aide > Nouvelles fonctionnalités. F42938INS Page 3 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM4 Mise à niveau de Mac OS X et de QuickTime Vous pouvez installer DVD Studio Pro 4 sur un ordinateur utilisant Mac OS X 10.3 (Panther) ou Mac OS X 10.4 (Tiger). Avant d’installer DVD Studio Pro, mettez à jour votre logiciel système pour vous assurer que vous bénéficiez bien de la dernière version de Panther ou Tiger. Vous devez également mettre á niveau QuickTime vers la dernière version. QuickTime est un produit de référence dans la manipulation de vidéo numérique et est requis par DVD Studio Pro. Remarque : pour connaître la configuration logicielle minimale requise, consultez le document À lire avant d’installer DVD Studio Pro 4 se trouvant sur le disque d’installation de DVD Studio Pro. Pour mettre à jour votre logiciel système : 1 Sélectionnez le menu Pomme > Mise à jour de logiciels. Une zone de dialogue affiche alors les nouveaux logiciels ou les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. 2 Si nécessaire, suivez les instructions à l’écran pour mettre à jour Mac OS X et QuickTime et obtenir ainsi les dernières versions. Remarque : si vous n’avez pas mis à jour votre logiciel système ou QuickTime depuis un certain temps, il sera peut-être nécessaire de répéter cette opération plusieurs fois pour installer les dernières versions de Mac OS X et QuickTime. Important : l’installation de DVD Studio Pro 4 et la saisie du numéro de série débloquent automatiquement les capacités multimédia étendues de QuickTime Pro 7. F42938INS Page 4 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM5 Installation de DVD Studio Pro sur système Mac OS X 10.3 (Panther) Lorsque vous installez DVD Studio Pro, ses composants sont placés dans le dossier Applications sur votre disque dur de démarrage. Remarque : avant d’installer le logiciel, vous devez vous connecter à votre ordinateur en tant qu’administrateur. Pour cela, vous devez taper le mot de passe administrateur. Pour plus d’informations, consultez la section “À propos de l’installation du logiciel et de l’enregistrement des fichiers” à la page 10. Important : l’installation de DVD Studio Pro doit se faire en deux étapes : la première est celle de l’installation de DVD Studio Pro et la seconde celle de l’installation du contenu complémentaire qui comprend notamment les modèles et transitions. Pour installer DVD Studio Pro et saisir le numéro de série : 1 Insérez le disque d’installation DVD Studio Pro 4 dans le lecteur DVD de votre ordinateur. 2 Double-cliquez sur l’icône d’installation DVD Studio Pro 4, puis suivez les instructions à l’écran. 3 Le programme d’installation exécute alors un programme pour déterminer si DVD Studio Pro peut être installé. Cliquez sur Continuer. 4 Lisez les informations de bienvenue, puis cliquez sur Continuer. 5 Lisez le Contrat de licence de logiciel, cliquez sur Continuer, puis sur Accepter. 6 Dans la zone de dialogue de licence, saisissez vos nom et prénom. Il n’est pas obligatoire de remplir le champ Entreprise. 7 Dans le champ de numéro de série, tapez le numéro de série de DVD Studio Pro figurant en couverture de ce document, puis cliquez sur OK. Prenez soin de recopier le numéro de série d’origine se trouvant sur l’étiquette apposée en couverture du présent document. Assurez-vous qu’il n’y a pas d’erreurs dans le champ de numéro de série. Veillez à ne pas confondre les caractères 0 (zéro) et O, 1 et L minuscule, le cas échéant. Vous devez également saisir les tirets figurant sur le numéro de série. Vérifiez qu’il n’y a pas d’espaces avant ou après le numéro de série. Remarque : si vous évoluez depuis une version antérieure de DVD Studio Pro, le programme d’installation recherche un numéro de série de DVD Studio Pro. S’il n’en trouve pas, vous êtes alors invité à le saisir. Important : veillez à saisir le numéro de série du logiciel et non l’identifiant d’assistance. Avertissement : si votre système ne répond pas à la configuration minimale requise, vous ne pourrez pas installer DVD Studio Pro. Consultez le document À lire avant d’installer DVD Studio Pro 4 se trouvant sur le disque d’installation de DVD Studio Pro 4 pour obtenir les détails de la configuration minimale requise. F42938INS Page 5 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM6 8 Sélectionnez le disque de démarrage, puis cliquez sur Continuer. Votre disque de démarrage doit disposer de la dernière version de Panther. 9 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour effectuer une installation simple, cliquez sur Installer ou sur Mettre à niveau.  Pour procéder à une installation personnalisée, cliquez sur le bouton Personnaliser et sélectionnez les éléments facultatifs que vous souhaitez installer, puis cliquez sur Installer ou sur Mettre à niveau. Important : si vous envisagez d’importer des fichiers de projet iDVD (à partir de iDVD 3 ou iDVD 4), iDVD doit être installé sur votre système ainsi que les correctifs d’iDVD. Remarque : l’installation de correctifs iDVD remplace les fichiers de correctif iDVD existants. Ces correctifs ne visent pas améliorer le fonctionnement d’iDVD ; ils servent uniquement à en augmenter les fonctionnalités pour pouvoir ouvrir des projets iDVD dans DVD Studio Pro. Important : il se peut d’ailleurs que vous constatiez la présence de l’option de mise à niveau sur des ordinateurs où aucune version de DVD Studio Pro n’a été installée auparavant. C’est parce que le programme d’installation a pu détecter sur votre ordinateur au moins un fichier commun aux fichiers à installer, ce qui est normal. 10 Une zone de dialogue vous invite alors à vous identifier en saisissant un nom et un mot de passe. Cliquez sur OK lorsque vous avez terminé. Le programme d’installation indique son état sur une barre de progression. Une zone de dialogue vous informe ensuite lorsque l’installation est terminée. Une fois DVD Studio Pro et Compressor installés, le programme d’installation du contenu se lance. Le contenu comprend notamment les modèles et transitions de DVD Studio Pro 3 et DVD Studio Pro 4. Remarque : les modèles et transitions de DVD Studio Pro 3 comprennent également ceux de DVD Studio Pro 2. F42938INS Page 6 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM7 Si vous ne souhaitez pas installer le contenu de DVD Studio Pro, sélectionnez Programme d’installation > Quitter l’installation (ou appuyez sur Commande + Q) pour quitter le programme d’installation. Cela vous permet de fermer le programme d’installation sans installer les fichiers de contenu, vous pouvez dès lors commencer à utiliser DVD Studio Pro et Compressor. Consultez le document intitulé Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro 4 et Manuel de l’utilisateur de Compressor 2 pour plus d’informations. Remarque : vous pouvez installer les fichiers de contenu ultérieurement à l’aide de l’icône d’installation de contenu DVD Studio Pro 4 se trouvant sur le disque d’installation de DVD Studio Pro 4. Pour installer le contenu de DVD Studio Pro : 1 Le programme d’installation exécute un programme pour déterminer si DVD Studio Pro peut être installé. Cliquez sur Continuer. 2 Lisez les informations de bienvenue, puis cliquez sur Continuer. 3 Lisez le Contrat de licence de logiciel, cliquez sur Continuer, puis sur Accepter. 4 Sélectionnez le disque sur lequel vous souhaitez installer le contenu. Contrairement à l’application, vous n’êtes pas obligé de choisir votre disque de démarrage. 5 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour effectuer l’installation sur l’emplacement par défaut, cliquez sur Continuer. L’emplacement par défaut étant /[Disque de démarrage]/Bibliothèque/Application Support/DVD Studio Pro/Apple.  Pour procéder à une installation sur un emplacement personnalisé, cliquez sur le bouton Choisir, sélectionnez le dossier de destination de votre choix, cliquez sur Ouvrir puis sur Continuer. 6 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Pour effectuer une installation simple, cliquez sur Installer ou sur Mettre à niveau.  Pour procéder à une installation personnalisée, cliquez sur le bouton Personnaliser et sélectionnez les éléments facultatifs que vous souhaitez installer, puis cliquez sur Installer ou sur Mettre à niveau. 7 Une zone de dialogue vous invite alors à vous identifier en saisissant un nom et un mot de passe. Cliquez sur OK lorsque vous avez terminé. Le programme d’installation indique son état sur une barre de progression. Une zone de dialogue vous informe ensuite lorsque l’installation est terminée. DVD Studio Pro et Compressor sont maintenant installés. Consultez le document intitulé Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro 4 et Manuel de l’utilisateur de Compressor 2 pour plus d’informations. F42938INS Page 7 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM8 Installation de DVD Studio Pro sur système Mac OS X 10.4 (Tiger) Lorsque vous installez DVD Studio Pro, ses applications sont placées dans le dossier Applications de votre disque dur de démarrage.Vous pouvez également choisir d’installer ou non le contenu de DVD Studio Pro 4 que vous pouvez installer sur l’emplacement par défaut, ou le dossier de destination de votre choix. Remarque : avant d’installer le logiciel, vous devez vous connecter à votre ordinateur en tant qu’administrateur. Pour cela, vous devez taper le mot de passe administrateur. Pour plus d’informations, consultez la section “À propos de l’installation du logiciel et de l’enregistrement des fichiers” à la page 10. Pour installer DVD Studio Pro et saisir le numéro de série : 1 Insérez le disque d’installation de DVD Studio Pro 4 dans le lecteur DVD de votre ordinateur. 2 Double-cliquez sur l’icône d’installation DVD Studio Pro 4, puis suivez les instructions à l’écran. 3 Le programme d’installation exécute alors un programme pour déterminer si DVD Studio Pro peut être installé. Cliquez sur Continuer. 4 Lisez les informations de bienvenue, puis cliquez sur Continuer. 5 Lisez le Contrat de licence de logiciel, cliquez sur Continuer, puis sur Accepter. 6 Sélectionnez le disque de démarrage, puis cliquez sur Continuer. Votre disque de démarrage doit disposer de la dernière version de Tiger. 7 Dans la zone de dialogue de licence, saisissez vos nom et prénom. Il n’est pas obligatoire de remplir le champ Entreprise. 8 Dans le champ de numéro de série, saisissez le numéro de série de DVD Studio Pro figurant en couverture de ce document, puis cliquez sur Continuer. Prenez soin de recopier le numéro de série d’origine se trouvant sur l’étiquette apposée en couverture du présent document. Assurez-vous qu’il n’y a pas d’erreurs dans le champ de numéro de série. Veillez à ne pas confondre les caractères 0 (zéro) et O, 1 et L minuscule, le cas échéant. Vous devez également saisir les tirets figurant sur le numéro de série. Vérifiez qu’il n’y a pas d’espaces avant ou après le numéro de série. Remarque : si vous évoluez depuis une version antérieure de DVD Studio Pro, le programme d’installation recherche un numéro de série de DVD Studio Pro. S’il n’en trouve pas, vous êtes alors invité à le saisir. Important : veillez à saisir le numéro de série du logiciel et non l’identifiant d’assistance. La fenêtre d’Installation standard s’affiche. Avertissement : si votre système ne répond pas à la configuration minimale requise, vous ne pourrez pas installer DVD Studio Pro. Consultez le document À lire avant d’installer DVD Studio Pro 4 se trouvant sur le disque d’installation de DVD Studio Pro 4 pour obtenir les détails de la configuration minimale requise. F42938INS Page 8 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM9 9 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Cliquez sur Installer ou Mettre à niveau pour effectuer une installation simple comprenant les applications et le contenu de DVD Studio Pro (installé à l’emplacement /[Disque de démarrage]/Bibliothèque/Application Support/DVD Studio Pro/Apple).  Cliquez sur Personnaliser pour n’installer que les éléments sélectionnés. Dans la fenêtre d’Installation personnalisée, sélectionnez les applications et le contenu à installer. Si vous choisissez d’installer le contenu multimédia de DVD Studio Pro, vous pouvez personnaliser l’emplacement dans lequel stocker les fichiers. Lorsque vous avez configuré la fenêtre d’Installation personnalisée, cliquez sur Installer ou Mettre à niveau. Remarque : il se peut que vous deviez agrandir la fenêtre et la colonne de Nom du paquet pour voir le nom complet de certains éléments dans leur intégralité. Le contenu de DVD Studio Pro comprend une icône de dossier dans la colonne Emplacement. Cliquez sur le dossier et choisissez Autre dans le menu local pour choisir un emplacement personnalisé pour le contenu de DVD Studio Pro. Important : il se peut que vous constatiez la présence de l’option de mise à jour sur des ordinateurs où aucune version de DVD Studio Pro n’a jamais été installée. C’est parce que le programme d’installation a pu détecter sur votre ordinateur au moins un fichier commun aux fichiers à installer, ce qui est normal. 10 Une zone de dialogue vous invite alors à vous identifier en saisissant un nom et un mot de passe. Cliquez sur OK lorsque vous avez terminé. Le programme d’installation indique son état sur une barre de progression. Une fois le disque installé, vous pouvez commencer à utiliser les applications de DVD Studio Pro et Compressor. F42938INS Page 9 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM10 Enregistrement de DVD Studio Pro Lorsque vous ouvrez l’une des applications de DVD Studio Pro pour la première fois, l’application vous invite à renseigner les informations d’enregistrement. Par défaut, les informations de la fiche personnelle de votre Carnet d’adresses sont automatiquement insérées dans les champs correspondants. Pour enregistrer DVD Studio Pro pour un utilisateur autre que celui indiqué dans la fiche personnelle de votre Carnet d’adresses : 1 Remplissez les champs Nom, Adresse, Entreprise et Adresse électronique. 2 Si vous souhaitez recevoir des informations sur les nouveautés Apple et les mises à jour de logiciels sur votre messagerie électronique, sélectionnez la case appropriée. 3 Pour afficher la politique de confidentialité d’Apple, cliquez sur Confidentialité. 4 Une fois terminé, cliquez sur S’enregistrer. DVD Studio Pro est désormais enregistré. À propos de l’installation du logiciel et de l’enregistrement des fichiers Mac OS X offre un environnement multi utilisateurs. Cela signifie que plusieurs utilisateurs peuvent utiliser le même ordinateur mais que chacun dispose de son propre répertoire d’accueil où il peut enregistrer ses fichiers sans que les autres utilisateurs puissent y accéder. Si des utilisateurs travaillent sur certains projets communs, ils doivent enregistrer ou placer leurs fichiers dans un emplacement accessible par les autres utilisateurs. Lors de l’installation ou de l’enregistrement de fichiers, y compris les fichiers de projet et les configurations personnalisées, pensez aux personnes qui doivent avoir accès à ces éléments. Servez-vous des informations suivantes pour vous aider à choisir l’emplacement des fichiers :  Dossier Partagé du répertoire Utilisateurs : tous les utilisateurs pouvant accéder à ce dossier, il constitue un bon emplacement pour enregistrer et stocker les fichiers que vous souhaitez partager : /[Disque de démarrage]/Utilisateurs/Partagé  Dossier Public du répertoire de départ d’un utilisateur : l’utilisateur doit activer le partage de fichier dans la fenêtre Partage des Préférences Système pour permettre aux autres utilisateurs d’accéder au dossier : /[Disque de démarrage]/Utilisateurs/[Nom d’utilisateur]/Public (par ex. /[Départ]/Public)  Racines de volume : en règle générale, tous les utilisateurs ont accès aux niveaux racine de volume, celles-ci constituant tous les volumes ou disques durs connectés. Si tous les utilisateurs doivent pouvoir accéder à certains fichiers, assurez-vous de les placer dans un dossier accessible, au niveau de la racine du volume. F42938INS Page 10 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM11 Remarque : si vous décidez de cliquer sur le bouton S’enregistrer plus tard, vous êtes alors invité à vous enregistrer à nouveau après cinq ouvertures de n’importe quelle application de DVD Studio Pro. Comment entrer en contact avec l’assistance AppleCare Dans votre coffret DVD Studio Pro vous trouverez de la documentation sur les options d’assistance disponibles auprès d’Apple. Divers niveaux d’assistance sont disponibles. Quel que soit votre problème, il est conseillé d’avoir les informations suivantes à portée de main lorsque vous contactez Apple pour obtenir de l’assistance. Plus vous pourrez fournir de renseignements aux techniciens d’assistance, plus rapide sera la gestion de votre problème.  L’identifiant d’assistance de DVD Studio Pro se trouvant à l’avant de ce document. Remarque : l’identifiant d’assistance à 11 chiffres est différent du numéro de série utilisé pour l’installation de DVD Studio Pro.  Version de Mac OS X installée. Pour connaître la version de Mac OS X, choisissez le menu Pomme > À propos de ce Mac.  La version de l’application installée à propos de laquelle vous avez une question. Vous pouvez voir le numéro de version de l’application en choisissant le menu Pomme > À propos de “Nom de l’application” (“Nom de l’application” représentant le nom de l’application).  Modèle d’ordinateur utilisé.  La quantité de RAM installée sur votre ordinateur. Pour la déterminer, choisissez le menu Pomme > À propos de ce Mac.  Tout matériel tiers connecté ou installé sur l’ordinateur, ainsi que le nom de son fabricant un disque dur, une carte vidéo, etc. L’assistance AppleCare est accessible en ligne à l’adresse suivante : http://www.apple.com/fr/support. Vous pouvez alors sélectionner l’application pour laquelle vous recherchez des informations. Vous pouvez également accéder directement au site Web AppleCare depuis le menu Aide de chacune des applications. Pour accéder au site Web AppleCare depuis une application : m Choisissez Aide > Assistance “Nom de l’application” (“Nom de l’application” représentant le nom de l’application). F42938INS Page 11 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM© 2005 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, DVD Studio Pro, Mac, Mac OS, Panther et QuickTime sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, iDVD et Tiger sont des marques d’Apple Computer, Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Computer, Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. F42938INS Page 12 Thursday, April 14, 2005 1:41 PM Motion 3 Documentation supplémentaireK Apple Inc. Copyright © 2007 Apple Inc. Tous droits réservés. Vos droits sur le logiciel sont régis par le contrat de licence du logiciel annexé. Tout propriétaire ou utilisateur habilité d’une copie légale du logiciel Final Cut Studio est autorisé à reproduire cette publication, dans le but d’apprendre à l’utiliser. Toutefois, il est interdit de reproduire ou de transmettre à des fins commerciales tout ou partie de cette publication, ainsi que d’en vendre des exemplaires ou de la mettre à disposition dans le cadre de services d’assistance payants. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc. déposée aux Etats-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation du logo Apple « clavier » (Maj + Option + K) à des fins commerciales sans l’autorisation écrite préalable d’Apple peut constituer une contrefaçon de marque et une concurrence déloyale en violation des lois fédérales et nationales. Tous les efforts ont été mis en œuvre pour garantir l’exactitude des informations contenues dans le présent manuel. Apple Computer, Inc. ne saurait être tenu pour responsable des coquilles, ni des erreurs d’écriture. Remarque : Apple mettant fréquemment à disposition de nouvelles versions et des mises à jour de son logiciel système, de ses applications et de ses sites Internet, les illustrations présentes dans ce manuel peuvent présenter de légères différences avec ce qui apparaît sur votre écran. Apple Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014–2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, Final Cut, Final Cut Pro, Final Cut Studio, Mac et Mac OS sont des marques d’Apple Inc. déposées aux Etats-Unis et dans d’autres pays. Finder est une marque d’Apple Inc. Les autres noms de sociétés et de produits mentionnés dans le présent manuel sont des marques de leurs socié- tés respectives. La mention de produits tiers n’est proposée que dans un souci d’information et ne constitue en rien un cautionnement ou une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité en ce qui concerne les performances ou l’utilisation de ces produits. 3 1 Table des matières Chapitre 1 5 Compositing 3D 5 Coordonnées dans le monde réel 7 Outils de transformation 3D 17 Espace de travail et présentations 3D 26 Caméras 35 Interaction des groupes 2D et 3D 41 Éclairage Chapitre 2 49 Suivi de l’animation 49 À propos du suivi de l’animation 51 Fonctionnement d’un suiveur 52 Comportements Suivi de l’animation 54 Comportement Suivre les points d’une forme 55 Comportement Suivre le paramètre 55 Flux de travaux du suivi d’animation 82 Ajustement des suiveurs à l’écran 85 Stratégies pour un suivi amélioré 103 Paramètres des comportements de suivi d’animation1 5 1 Compositing 3D Créez des images 3D animées sophistiquées, intenses et plus réalistes dans un environnement de compositing multiplan. Déplacez des objets dans un espace en trois dimensions et ajoutez des caméras pour modifier l’endroit depuis lequel vous observez votre scène. Le compositing 3D introduit un certain nombre de nouveaux concepts dans l’art de l’animation. À première vue, ceux-ci peuvent paraître compliqués. Mais vous bénéficiez déjà d’un avantage : le monde réel dans lequel vous évoluez est un univers en trois dimensions, si bien qu’intuitivement, l’univers virtuel en 3D du Canevas de Motion vous semblera probablement familier. Coordonnées dans le monde réel Il est possible de décrire la position de n’importe quel objet du monde réel à l’aide d’un système simple de coordonnées . Par exemple, pour décrire la position de votre ordinateur, vous pourriez dire qu’il se trouve à 1,20 mètre de la porte, à 90 centimètres au-dessus du sol et à 1,50 mètre devant la fenêtre. Dans un système de coordonnées, chacune des trois valeurs utilisées pour décrire la position d’un objet correspond à un axe de coordonnées. Le point où les valeurs zéro de chaque axe se rencontrent s’appelle l’origine. Dans cet exemple, la valeur de X est égale à 1,2, celle de Y à 0,9 et celle de Z à 1,5.6 Chapitre 1 Compositing 3D Coordonnées et position des objet dans l’espace L’emplacement d’un objet dans Motion peut lui aussi être décrit de cette façon. Dans le système de coordonnées utilisé par Motion, les coordonnées du centre du Canevas sont 0, 0, 0. Le déplacement d’un objet vers la gauche entraîne une diminution de la valeur X, alors que le déplacement vers la droite correspond à une augmentation de cette valeur X. De la même façon, le déplacement d’un objet vers le haut a pour effet d’augmenter la valeur Y, alors que son déplacement vers le bas la diminue. Enfin, rapprocher un objet augmente la valeur Z, alors que l’éloigner la diminue. La principale différence entre une scène 2D et une scène 3D est que dans une scène 3D, vous avez la possibilité de changer de point de vue, de sorte que le déplacement d’un objet vers le haut ne se traduit pas toujours par une augmentation de sa valeur Y. Remarque : dans un nouveau projet, le Canevas est orienté de telle sorte que l’axe Z soit pointé directement vers vous. Cette orientation préserve l’orientation traditionnelle en deux dimensions des axes X et Y, qui s’étendent de gauche à droite (X) et de haut en bas (Y) sur le Canevas par défaut. Conventions 3D Quelques conventions sont couramment utilisées pour évoquer et afficher les environnements en trois dimensions.  Le mouvement d’un objet s’effectue le long d’un axe.  La rotation d’un objet s’effectue autour d’un axe.  Un code couleur est utilisé pour chaque axe : X en rouge, Y en vert et Z en bleu.  La rotation positive s’effectue autour d’un axe dans le sens contraire des aiguilles d’une montre.Chapitre 1 Compositing 3D 7 Outils de transformation 3D Il n’y a pas de différence inhérente entre les fichiers de projet 2D et 3D dans Motion. Vous pouvez à tout moment décider de commencer à travailler avec des groupes ou des couches en 3D, sans planification préalable. De fait, il est même possible de passer de la manipulation d’objets dans un espace 2D à la manipulation d’objets dans un espace 3D, et inversement. Cette section présente les outils que vous pouvez utiliser pour déplacer les objets sur le Canevas. L’image de la capture d’écran ci-dessus vient d’être importée dans la scène et est positionnée à l’origine de cette dernière. Pour déplacer l’image, utilisez l’outil de transformation 3D qui se trouve à droite de l’outil Sélectionner/Transformer dans la barre d’outils. Pou utiliser l’outil de transformation 3D : m Sélectionnez l’outil de transformation 3D dans la barre d’outils (appuyez sur Q). Deux choses se passent immédiatement lorsque vous sélectionnez l’outil de transformation 3D. Les contrôles à l’écran changent et la palette de l’objet change. Outil de transformation 3D8 Chapitre 1 Compositing 3D Contrôles à l’écran Lorsque vous sélectionnez l’outil de transformation 3D, trois flèches de couleur apparaissent dans le Canevas près du centre de l’image. Chaque flèche correspond à l’un des trois axes de coordonnées. Dans l’affichage par défaut, l’axe Z pointe directement vers vous, ce qui fait que seule la pointe de la flèche Z bleue est visible. Faites glisser l’une des flèches à l’écran pour déplacer l’image le long d’un axe particulier. Pour déplacer un objet à l’aide des contrôles à l’écran : 1 Sélectionnez l’objet à déplacer. 2 Faites glisser l’une des flèches de couleur représentant l’axe de déplacement souhaité. Pendant le glissement, la flèche active devient jaune et une fenêtre d’information affiche les coordonnées actuelles de l’objet ainsi que la distance de son déplacement. Comme toujours, les coordonnées sont données sous la forme X, Y et Z. Trois petits cercles apparaissent près des trois flèches de couleur. Il s’agit des poignées de rotation. Le fait de placer le pointeur sur l’un de ces cercles appelle un cercle de rotation pour un axe particulier. Pour faire pivoter un objet autour d’un seul axe à l’aide des contrôles à l’écran : 1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez faire pivoter. 2 Placez le pointeur sur la poignée de rotation (petit cercle) correspondant à l’axe de rotation souhaité. Le cercle de rotation apparaît. 3 Faites glisser le cercle pour appliquer une rotation à l’objet. Outil de transformation 3D actif Déplacement d’un objet le long de l’axe XChapitre 1 Compositing 3D 9 Une fenêtre d’informations affiche les valeurs de rotation actuelles ainsi que la distance sur laquelle l’objet a pivoté. Pour faire pivoter librement un objet autour de tous les axes à l’aide des contrôles à l’écran : 1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez faire pivoter. 2 Appuyez sur la touche Commande. Les trois cercles de rotation apparaissent. 3 Cliquez n’importe où à l’intérieur des cercles de rotation et faites glisser pour faire pivoter l’objet comme bon vous semble. Une fenêtre d’informations affiche les valeurs de rotation actuelles ainsi que la distance sur laquelle l’objet a pivoté. Important : la rotation effectuée avec l’outil 2D Sélectionner/Transformer ne concerne que l’axe Z. Poignée de rotation de l’axe X active Rotation de l’objet autour de l’axe X Rotation avec l’outil 3D autour de l’axe Z Rotation avec l’outil 2D Sélectionner/Transformer10 Chapitre 1 Compositing 3D Remarque : lorsque l’outil de transformation 3D est actif, un troisième ensemble de contrôles est disponible à l’écran : lespoignées d’échelle, qui apparaissent sur les bords du cadre de sélection entourant l’image sélectionnée. Contrôles de la palette de transformation 3D Outre les contrôles à l’écran, la palette fournit une autre méthode de transformation des objets dans un espace 3D. Déplacer Trois contrôles de la section Déplacer de la palette permettent de faire glisser l’objet sélectionné sur un axe ou sur plusieurs axes à la fois. Faites glisser à l’intérieur de l’un des contrôles Déplacer pour modifier les valeurs des paramètres d’objet concernés dans le Canevas : Affichage des contrôles à l’écran de l’outil de transformation 3D Il est possible d’activer ou de désactiver un sous-ensemble de contrôles de transformation 3D.  Appuyez sur la touche virgule (,) pour afficher les flèches des axes (mais pas les poignées de rotation, ni les poignées d’échelle).  Appuyez sur la touche point (.) pour afficher les poignées de rotation (mais pas les flèches des axes, ni les poignées d’échelle).  Appuyez sur la touche de barre oblique (\) pour afficher les poignées d’échelle (mais pas les flèches des axes, ni les poignées de rotation). Lorsque vous appuyez une seconde fois sur l’une des touches ci-dessus, l’affichage revient à la présentation par défaut, c’est-à-dire à celle dans laquelle les trois contrô- les à l’écran sont visibles. Choisissez un type d’axe. Faites glisser pour déplacer l’objet le long de l’axe Z. Faites glisser pour déplacer l’objet le long de l’axe X et de l’axe Y. Faites glisser pour déplacer l’objet le long de l’axe X et de l’axe Z.Chapitre 1 Compositing 3D 11  Déplacement Z : faites glisser ici pour déplacer l’objet sélectionné dans le Canevas le long de l’axe Z. Le glissement vers la droite augmente la valeur Z alors que le glissement vers la gauche la diminue. Maintenez la touche Commande enfoncée pendant le glissement afin d’augmenter ou de réduire simultanément l’échelle de l’objet lors de sa translation (c’est-à-dire, lors de son déplacement) pour conserver sa taille par rapport à la caméra.  Déplacement XY : faites glisser ici pour déplacer l’objet sélectionné dans le Canevas le long des axes X et Y. Le déplacement vers la droite ou vers la gauche augmente ou diminue la valeur X. Le déplacement vers le haut ou vers le bas augmente ou diminue la valeur Y. Ce contrôle produit le même résultat que lorsque vous déplacez un objet 2D directement dans le Canevas. Maintenez la touche Commande enfoncée pendant le glissement pour limiter le mouvement à l’axe qui correspond au sens initial du glissement.  Déplacement XZ : faites glisser ici pour déplacer l’objet sélectionné dans le Canevas le long des axes X et Z. Le glissement vers la droite ou vers la gauche augmente ou diminue la valeur X. Le glissement vers le haut ou vers le bas augmente ou diminue la valeur Z. Maintenez la touche Commande enfoncée pendant le glissement pour limiter le mouvement à l’axe qui correspond au sens initial du glissement. ∏ Astuce : tout comme dans l’Inspecteur, le fait de maintenir la touche Maj enfoncée pendant le glissement dans la palette donne lieu à des modifications plus importantes. À l’inverse, le fait de maintenir la touche Option enfoncée pendant le glissement entraîne des modifications de moindre importance. Rotation et Échelle La palette est munie de deux contrôles de glissement supplémentaires qui permettent de faire pivoter l’objet sélectionné et de le mettre à l’échelle dans le Canevas :  Rotation XYZ : faites glisser ici pour faire pivoter l’objet sélectionné dans le Canevas autour des trois axes. En partant de l’origine, le glissement vers le haut et vers le bas fait pivoter l’objet autour de l’axe X. Le glissement vers la gauche et vers la droite fait pivoter l’objet autour de l’axe Y. Maintenez la touche Commande enfoncée pendant le glissement pour limiter la rotation à l’axe Z.  Échelle : faites glisser ici pour mettre l’objet sélectionné dans le Canevas à l’échelle en respectant ses proportions. Le glissement vers la droite ou vers le haut, ou dans les deux directions à la fois, augmente la valeur d’échelle. Le glissement vers la gauche ou vers le bas, ou dans les deux directions à la fois, entraîne une diminution de la valeur d’échelle. Maintenez la touche Commande enfoncée pendant le glissement pour limiter la mise à l’échelle à l’axe qui correspond au sens initial du glissement.12 Chapitre 1 Compositing 3D Ajuster sur Le menu local Ajuster sur, situé sous les contrôles Déplacer, Rotation et Échelle de la palette, permet de sélectionner l’espace de coordonnées relatives utilisé pour les transformations. Il comporte trois options :  Axe local : il s’agit de l’option par défaut. Elle oriente les contrôles de transformation à l’écran en fonction des axes locaux de l’objet.  Axe mondial : cette option oriente les contrôles de transformation à l’écran en fonction des axes de la grille 3D du Canevas.  Axe de vue : cette option oriente les contrôles de transformation à l’écran en fonction de l’espace visuel de l’affichage actuel. L’axe Z est aligné sur la ligne de vision. Pour plus d’informations sur les présentations, reportez-vous à la section « Présentations » à la page 17. Coordonnées relatives Pour mieux comprendre le concept des coordonnées relatives, pensez à un système de satellites, tel que celui formé par la terre, la lune et le soleil. Le parent de la lune est la terre et le parent de la terre est le soleil. Généralement, lorsqu’on considère ces trois corps célestes, on définit la position de la lune par rapport à la terre (parent de la lune) et celle de la terre par rapport au soleil (parent de la terre). De même, dans Motion, la position et l’orientation d’un objet sont toujours déterminées par rapport au parent de ce dernier. Lorsque vous ajoutez un nouveau groupe à un projet Motion, ce groupe est créé aux coordonnées d’origine de son parent. Dans le cas d’un groupe de niveau racine (c’est-à-dire, un groupe qui n’est imbriqué dans aucun des autres groupes de la liste de couches), le parent est le projet lui-même. La position d’un objet placé à l’intérieur d’un groupe est décrite par rapport à son parent, c’est-à-dire le groupe. Groupe à X=50, Y=50, Z=50 Inspecteur des groupesChapitre 1 Compositing 3D 13 Dans l’exemple précédent, un groupe a été positionné aux coordonnées X, Y et Z de valeur 50, 50 et 50. Le groupe est situé à 50 unités de l’origine de son parent sur tous les axes (le parent étant le projet lui-même dans ce cas de figure). L’image à l’intérieur du groupe est positionnée aux coordonnées 0, 0, 0. Sa position étant relative à son parent (le groupe), l’image partage l’origine de son parent et a une position apparente de 50, 50, 50 dans le monde. Le fait de déplacer l’image vers la position 25, 25, 25 implique une translation de 25 unités par rapport à l’origine du groupe sur tous les axes. Bien que la position apparente de l’image par rapport au monde soit 75, 75, 75, ses valeurs de position dans l’Inspecteur sont 25, 25, 25, car sa position est toujours relative à son parent. Les valeurs de rotation sont également définies par rapport au parent d’un objet. Important : les transformations mondiales et de vue sont limitées à la palette et aux contrôles à l’écran ; toutes les transformations effectuées dans l’Inspecteur se font par rapport à l’espace du parent d’un objet. Image à l’intérieur d’un groupe à 25, 25, 25 Inspecteur d’images Groupe avec rotation Z définie à 45 degrés Image avec rotation Z définie à 90 degrés à l’intérieur d’un groupe dont la rotation Z est définie à 45 degrés14 Chapitre 1 Compositing 3D Ordre de couche et ordre de profondeur Pour le compositing en 2D, la Liste de couches montre l’ordre des couches, laquelle détermine les objets qui apparaissent au dessus d’autres objets. Les objets situés vers le haut de la liste apparaissent au dessus des objets qui se trouvent plus bas qu’eux dans la liste de couches. Important : le compositing des enfants des groupes 2D s’effectue toujours dans l’ordre de couche. Si vous déplacez le Groupe A au-dessous du Groupe B dans la Liste de couches, le Groupe B sera rendu au dessus du Groupe A. Groupe A en haut de la Liste de couches Résultat du compositing 2D dans le Canevas Groupe B en haut de la Liste de couches Résultat dans le CanevasChapitre 1 Compositing 3D 15 La Liste de couches montre également les relations parent-enfant des objets. à l’aide de retraits et de triangles d’affichage. La Liste de couches n’est pas le seul indicateur d’ordre utilisé pour les objets en 3D. En cas de tri par profondeur, un objet peut se trouver en bas de la liste de couches et néanmoins donner l’impression de se trouver au-dessus de tout le reste dans le Canevas parce que sa position est définie par rapport à la caméra actuelle. La méthode la plus courante d’ajustement de l’ordre de profondeur consiste à modifier la position Z d’une couche ou d’un groupe. Important : par défaut, le compositing des enfants des groupes 3D se fait dans l’ordre de profondeur. Dans le cas des groupes 3D ci-dessus, les objets sont composés dans l’ordre de profondeur ; leur position dans la liste de couches n’est pas en corrélation avec leur position dans l’espace 3D relatif à la caméra. Dans l’exemple ci-dessus, le groupe A bleu se trouve au-dessus du groupe A rouge dans la liste de couches, mais il apparaît derrière le groupe A rouge dans le Canevas parce qu’il est trié par ordre de profondeur. Le même principe s’applique aux groupes bleu B et rouge B. Enfant de Groupe éléphant Enfant de Groupe Parent de tous les objets situés au dessous Parent d’Éléphant Liste de couches Objets triés en fonction de l’ordre de profondeur dans le Canevas16 Chapitre 1 Compositing 3D Transformations 3D dans des groupes 2D Il est possible d’appliquer des transformations 3D à tous les objets, même lorsqu’ils se trouvent dans des groupes 2D. Vous pouvez tous les faire pivoter autour de n’importe quel axe et les déplacer le long de l’axe souhaité. N’oubliez pas que les objets qui se trouvent à l’intérieur des groupes 2D ne sont pas triés par profondeur et qu’ils ne peuvent pas se couper, quelle que soit leur position dans l’espace 3D. Ces deux groupes sont positionnés au même point dans l’espace 3D, mais du fait qu’ils sont triés par couche, le groupe A ne peut pas couper le groupe B. Si vous convertissez le groupe parent en 3D, les deux groupes auront une intersection. Remarque : si deux groupes sont coplanaires (occupent le même plan), leur compositing s’effectue dans l’ordre de couche, indépendamment du fait que le parent de l’objet soit un groupe 2D ou 3D. Dans un composite 2D, tous les objets sont coplanaires. Groupe parent 2D dans la Liste de couches Groupes triés en fonction de l’ordre de couche dans le Canevas Groupe parent 3D dans la Liste de couches Groupes triés en fonction de l’ordre de profondeur dans le CanevasChapitre 1 Compositing 3D 17 Espace de travail et présentations 3D Dans un espace de travail 3D, tout est observé du point de vue d’une caméra. Les présentations par défaut affichées dans l’espace de travail 3D sont des caméras de référence qui peuvent être utilisées et manipulées pour faciliter le placement et l’animation des objets, mais qui ne servent pas à rendre la sortie. Si vous souhaitez obtenir un rendu à partir d’une vue de caméra particulière, vous devez créer une caméra de scène. Pour plus d’informations sur les caméras, reportez-vous à la section « Caméras » à la page 26. Présentations Il existe plusieurs présentations d’affichage, chacune consistant en un agencement de fenêtres d’affichage(. Toutefois, toutes les présentations fonctionnent exactement de la même façon et toutes les présentations sont manipulées de manière absolument identique, quel que soit leur nombre. Chaque fenêtre d’affichage affiche la scène du point de vue d’une caméra. Les présentations des caméras de référence ont une position et une orientation par défaut particulières. Il existe deux types de caméras de référence par défaut :  les caméras orthogonales ;  les caméras de perspective. La caméra orthogonale permet de voir la scène en regardant directement le long de l’un des axes mondiaux : X, Y ou Z. Les « caméras » orthogonales par défaut n’apparaissent pas dans la Liste de couches, la Timeline ou le Canevas. Les caméras avant (frontale) et arrière regardent directement le long de l’axe Z. Les caméras du haut et du bas regardent directement le long de l’axe Y. Les caméras gauche et droite regardent directement le long de l’axe X. Aucune rotation18 Chapitre 1 Compositing 3D Les caméras orthogonales ne montrent aucune perspective. Les caméras de perspective (et les caméras de scène que vous ajoutez à un projet) déforment l’affichage de la même façon qu’une caméra réelle. Pour avoir accès aux vues des caméras de référence et aux commandes de caméra, vous devez tout d’abord ajouter une caméra à la scène. Pour ajouter une caméra de scène à un projet Motion : m Choisissez Objet > Nouvelle caméra (ou appuyez sur Commande + Option + C). Un objet caméra est ajouté dans la Liste de couches, la Timeline et le Canevas (dans ce dernier, la caméra apparaît sous la forme d’une icône fil de fer). L’outil de transformation 3D situé dans la barre d’outils devient actif, la palette de la caméra apparaît (si ce n’est pas le cas, appuyez sur F7) et l’onglet Caméra de l’Inspecteur devient disponible. Si vous ajoutez une caméra à un projet ne contenant aucun groupe 3D, la zone de dialogue suivante apparaît : Rotation dans une vue de caméra orthogonale Rotation dans une vue de caméra de perspectiveChapitre 1 Compositing 3D 19 Dès lors que vous ajoutez une caméra à un projet, le menu Caméra devient disponible dans le coin supérieur gauche du Canevas. Incrustations 3D Cinq types d’incrustations 3D peuvent apparaître dans le Canevas: les Outils de présentation 3D, la Boussole 3D, la Présentation cadre, la Grille 3D et les Icônes scène 3D. Vous pouvez passer d’une apparence à l’autre pour chaque incrustation dans le Canevas. Menu Caméra Boussole 3D Présentation cadre Outils Présentation 3D Menu Caméra Grille 3D affichée dans le Canevas20 Chapitre 1 Compositing 3D Pour changer l’apparence des incrustations 3D, effectuez l’une des opérations suivantes : m Choisissez Affichage > Incrustations 3D, puis choisissez le type d’incrustation 3D à afficher ou à masquer. m Dans le menu local Affichage de la barre d’outils, choisissez le type d’incrustation 3D à afficher ou à masquer. Outils de présentation 3D Menu Caméra Le menu Caméra, situé dans le coin supérieur gauche du Canevas, contient la liste des pré- sentations de caméra actives. Effectuez un choix dans une liste de caméras de référence et de caméras de scène et sélectionnez plusieurs commandes relatives aux présentations. Le menu Caméra se compose de trois sections :  La section supérieure permet de sélectionner la caméra active ainsi que toute autre caméra de scène que vous avez pu ajouter au projet. Si une scène contient plusieurs caméras, la caméra figurant le plus haut dans la Liste de couches et dans la Timeline sur l’image actuelle est la caméra active. Pour plus d’informations sur les caméras de scène, reportez-vous à la section « Caméras » à la page 26.  La partie du milieu permet de sélectionner une des caméras de référence par défaut : Perspective, Avant, Arrière, Gauche, Droite, En haut, En bas.  La partie du bas met deux commandes à votre disposition : Réinitialiser la présentation, qui réinitialise une caméra à sa présentation par défaut, et Encadrer les objets, qui encadre les objets sélectionnés dans la présentation active. Si aucun objet n’est sélectionné, Encadrer les objets réinitialise la caméra de référence pour afficher tous les objets de la scène. Menu CaméraChapitre 1 Compositing 3D 21 Outils de présentation 3D Les outils de présentation 3D peuvent servir à contrôler les caméras de référence et de scène. L’indicateur de caméra de scène apparaît à gauche des Outils de présentation 3D uniquement lorsqu’une caméra de scène est la caméra active. Il existe trois outils de pré- sentation 3D :  Balance : faites glisser cette zone pour déplacer la caméra le long des axes X et Y par rapport à la présentation actuelle.  Orbite : faites glisser cette zone pour que la caméra décrive une orbite autour de l’objet actuellement sélectionné dans la scène. Si aucun objet n’est sélectionné, la caméra tourne autour de son plan focal. Pour en savoir plus sur le plan focal d’une caméra, reportez-vous à la section « Commandes de caméra » à la page 27. L’orbite peut modifier les valeurs de position X, Y et Z, ainsi que les valeurs de rotation X et Y. Remarque : si vous utilisez l’outil Orbite pour modifier l’une des caméras orthogonales de référence, un astérisque apparaît en regard du nom de la présentation dans le menu Caméra. Il indique que la présentation n’est plus une véritable présentation orthogonale.  Travelling : faites glisser cette zone pour que la caméra effectue un travelling, c’est-à- dire, pour qu’elle se déplace le long de l’axe Z par rapport à la présentation actuelle. Outil Travelling Indicateur de caméra de scène Outil de panoramique Outil Orbite22 Chapitre 1 Compositing 3D Important : le fait de double-cliquer sur un outil de présentation 3D réinitialise tous les paramètres pouvant être modifiés par l’outil. Boussole 3D La Boussole 3D, qui apparaît dans le coin inférieur gauche du Canevas, sert de dispositif d’orientation et de raccourci. Elle peut être à l’état actif ou passif, selon que le pointeur se trouve dessus ou non. À l’état passif, elle indique l’orientation des trois axes mondiaux (X, Y et Z). À l’état actif, elle présente des raccourcis à code de couleurs pour les caméras (orthogonale et de perspective) de référence. Pour sélectionner une présentation de caméra de référence à l’aide de la Boussole 3D : 1 Placez le pointeur sur la boussole. La boussole passe à l’état actif, ce qui fait apparaître une icône avec libellé pour chaque présentation de caméra de référence. 2 Cliquez sur l’icône qui correspond à la caméra que vous souhaitez activer. La présentation qui est affichée dans le Canevas est mise à jour avec la présentation de la caméra de référence sélectionnée. Raccourcis des outils de présentation 3D Il est possible de se servir des outils Balance, Orbite et Travelling par l’intermédiaire des commandes du clavier et d’une souris à trois boutons :  Balance : faites glisser l’outil dans le Canevas tout en maintenant la touche Option et le bouton droit de la souris enfoncés.  Orbite: faites glisser l’outil dans le Canevas tout en maintenant la touche Commande et le bouton droit de la souris enfoncés.  Travelling : faites glisser l’outil dans le Canevas tout en maintenant la touche Commande, la touche Option et le bouton droit de la souris enfoncés. Boussole 3D à l’état passif Boussole 3D à l’état actifChapitre 1 Compositing 3D 23 Pour sélectionner une présentation de caméra de scène à l’aide de la Boussole 3D : 1 Placez le pointeur sur la Boussole 3D. La boussole passe à l’état actif. 2 Cliquez sur la Boussole 3D tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez une caméra de scène dans le menu contextuel. La présentation qui est affichée dans le Canevas change et laisse la place à la présentation de la caméra de scène sélectionnée. Remarque : vous pouvez aussi choisir une présentation de caméra de référence dans le menu contextuel Boussole 3D. Présentation cadre Lorsque vous déplacez un objet, une Présentation cadre apparaît dans le coin inférieur droit du Canevas. Elle montre la scène telle qu’elle peut être observée par une autre caméra. Si vous voyez actuellement la scène par l’intermédiaire de la caméra active, la Présentation cadre affiche le point de vue de la caméra de perspective. Si vous voyez la scène à l’aide de l’une des autres caméras, la Présentation cadre affiche la caméra active. Utilisez la Présentation cadre pour voir les résultats des modifications que vous effectuez dans les présentations orthogonales. Utilisez les préférences de Motion pour spécifier la taille de la Présentation cadre et le moment de son apparition dans le Canevas. Pour en savoir plus sur les propriétés de la présentation cadre, reportez-vous au chapitre 1, intitulé « Présentation de Motion », du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Présentation cadre24 Chapitre 1 Compositing 3D Grille 3D La Grille 3D montre le plan au sol du monde 3D. Le plan au sol est, comme son nom l’indique, un plan qui correspond au « sol » de la scène, dans lequel Y est égal à 0. Le plan au sol représente la ligne de division entre le « haut » et le « bas », entre les valeurs Y positives et les valeurs Y négatives. Son centre est le point de coordonnées 0, 0, 0. Icônes de scène 3D Les icônes de scène 3D sont les représentations à l’écran des caméras, des lumières et des lignes de bordure. Une ligne de bordure est dessinée lorsque le bord d’un objet fait face à la caméra, ce qui, en général, rend l’objet invisible. La ligne de bordure vous permet de sélectionner des objets qui, sans elle, ne seraient pas visibles. Aucune des icônes de scène 3D n’apparaît dans les images et les plans exportés. ∏ Astuce : double-cliquez sur une icône de caméra de scène pour la sélectionner et remplacer la présentation actuelle par celle de cette caméra. Grille 3D activée Caméra Indicateur de ligne de bordure Angle de vue de la caméra LumièreChapitre 1 Compositing 3D 25 Présentations d’affichage Motion permet de disposer de plusieurs présentations actives en même temps dans le Canevas pour faciliter l’animation et le positionnement des objets dans l’espace 3D. Le menu local View Layouts, situé dans la barre d’état, juste au-dessus des outils de présentation 3D, permet de choisir entre sept présentations d’affichage différentes. Chaque pré- sentation d’affichage est représentée par une icône dans le menu local :  Une seule fenêtre : sélection par défaut. Affiche une seule fenêtre dans le Canevas.  Deux fenêtres juxtaposées : affiche deux fenêtres dans le Canevas, l’une à côté de l’autre.  Deux fenêtres superposées : affiche deux fenêtres dans le Canevas, l’une au-dessus de l’autre.  Trois fenêtres, dont une grande en bas : affiche trois fenêtres, dont deux côte à côte en haut et une plus grande en bas.  Trois fenêtres, dont une grande à droite : affiche trois fenêtres, dont deux l’une sur l’autre du côté gauche et une plus grande occupant tout le côté droit.  Quatre fenêtres, dont une grande à droite : affiche quatre fenêtres, dont trois l’une sur l’autre du côté gauche et une plus grande occupant tout le côté droit.  Quatre fenêtres : affiche quatre fenêtres de même taille. Pour ouvrir plusieurs fenêtres dans le Canevas : m Choisissez une présentation dans le menu local View Layouts. Le Canevas affiche le layout (c’est-à-dire, la présentation) de votre choix. Menu local View Layouts 26 Chapitre 1 Compositing 3D Présentation active Lorsque vous travaillez avec plusieurs présentations, la présentation active est la dernière sur laquelle vous avez cliqué. La présentation active est indiquée par une bordure jaune. Seule la présentation active peut contenir des contrôles à l’écran. Caméras En mode 3D, tout ce que vous voyez dans le Canevas représente le point de vue d’une caméra, cette dernière pouvant être une caméra de référence par défaut ou une caméra de scène que vous créez. Vous pouvez créer des caméras pouvant être utilisées pour regarder la scène depuis différents points de vue. Vous pouvez placer, animer et appliquer des comportements aux caméras de la scène. Le fait de créer plusieurs caméras vous donne ensuite la possibilité d’activer des caméras différentes à des moments différents et donc de faire des coupes et passer à d’autres présentations au cours du projet. La présentation située dans le quart supérieur gauche est active.Chapitre 1 Compositing 3D 27 Création d’une caméra de scène Les caméras de scène que vous créez sont utilisées pour le rendu de la sortie. Les caméras de scène apparaissent dans le Canevas sous la forme d’icônes de caméra fil de fer et d’objets dans la Liste de couches et la Timeline. Pour ajouter une caméra de scène à un projet Motion : m Choisissez Objet > Nouvelle caméra (ou appuyez sur Commande + Option + C). Un objet caméra est ajouté dans la Liste de couches, la Timeline et le Canevas (dans ce dernier, l’objet est représenté par une icône fil de fer). L’outil de transformation 3D situé dans la barre d’outils devient actif, la palette de caméra apparaît (si elle n’est pas visible, appuyez sur la touche F7) et l’onglet Caméra de l’Inspecteur devient disponible. Commandes de caméra Vous pouvez modifier les propriétés d’une caméra de scène par le biais de la palette de caméra ou des onglets Caméra et Propriétés de l’Inspecteur. Paramètres dans l’Inspecteur L’onglet Caméra de l’Inspecteur propose six paramètres : Type de caméra : menu local qui définit le type de caméra utilisé. Deux options sont possibles : Cadrage (valeur par défaut) et Point de vue. L’origine de la caméra de type Cadrage se situe au plan focal. Le plan focal d’une caméra est un plan situé à une distance égale à la distance focale de la caméra le long de son axe Z local (ou ligne de vision) et orienté perpendiculairement à l’axe Z local de la caméra. L’origine de la caméra de type Point de vue se situe à son centre de projection. ∏ Astuce : la position de l’origine d’une caméra de type Cadrage est utile pour les mouvements orbitaux. La rotation de la caméra lui fait décrire une orbite, alors que la rotation d’une caméra de type Point de vue la fait pivoter. Caméra de type Cadrage Plan focal de caméra Angle de vue de la caméra Origine et centre de projection de la caméra de type Point de vue Origine de caméra de type Cadrage Angle de vue de la caméra28 Chapitre 1 Compositing 3D Angle de vue : curseur et curseur de valeur qui définissent l’angle de vue de la caméra, c’est-à-dire le nombre de degrés sur lesquels la caméra a une vue. La valeur d’angle peut être comprise entre 0 et 180 degrés. Remarque : lorsque vous animez le paramètre Angle de vue sur une caméra Cadrage, le résultat est un effet de travelling inverse. Le travelling inverse effectue un zoom avant dans la direction opposée au déplacement de la caméra. Lorsque vous animez le paramè- tre Angle de vue sur une caméra de type Cadrage, vous obtenez un zoom de caméra classique. Plan avant : curseur et curseur de valeur qui définissent la distance à laquelle la caméra commence à voir les objets. Les objets situés à une distance inférieure ne sont pas rendus par le point de vue de cette caméra. Plan arrière : curseur et curseur de valeur qui définissent la distance à laquelle la caméra cesse de voir des objets. Les objets situés à une distance supérieure ne sont pas rendus par le point de vue de cette caméra. Fondu avant : curseur et curseur de valeur qui définissent le facteur d’adoucissement pour le plan avant. Le facteur d’adoucissement définit une étendue limite sur laquelle un fondu entrant est effectué sur les objets proches. Angle de vue = 45˚ Angle de vue = 80˚ Angle de vue = 45˚ Angle de vue = 80˚ Caméra de type Cadrage Caméra de type Point de vueChapitre 1 Compositing 3D 29 Fondu arrière : curseur et curseur de valeur qui définissent le facteur d’adoucissement pour le plan arrière. Le facteur d’adoucissement définit une étendue limite sur laquelle un fondu sortant est effectué sur les objets éloignés. Positionnement des caméras Les caméras partagent les mêmes propriétés de transformation que tout autre objet dans Motion et peuvent être positionnées de la même façon, c’est-à-dire, à l’aide des contrôles à l’écran et par la modification des paramètres dans la palette ou l’Inspecteur. Pour en savoir plus sur les contrôles à l’écran, reportez-vous à la section « Outils de présentation 3D » à la page 21. En outre, les caméras peuvent être positionnées à l’aide de l’outil Orientation caméra. Remarque : pour plus de commodité, il est possible de déplacer une présentation de caméra orthogonale de manière à afficher la scène depuis une position et selon une orientation autres que celles par défaut. Outil Orientation caméra L’outil Orientation caméra permet de positionner la caméra dans l’espace 3D de la même façon que dans un jeu vidéo, en naviguant à l’aide du clavier et de la souris. Mise à l’échelle de caméra Vous pouvez utiliser le paramètre Échelle situé dans l’onglet Propriétés de l’Inspecteur pour mettre à l’échelle ce que voit la caméra. Le fait de changer la valeur d’échelle ne modifie pas le paramètre Angle de vue de la caméra. La modification de l’échelle n’a d’incidence que sur les caméras de type Cadrage. Imaginons que vous rapetissez pour ne plus mesurer que quelques centimètres de haut. Bien que votre environnement n’ait pas changé de taille, il vous paraîtra beaucoup plus grand. De même, si vous grandissez soudain jusqu’à mesurer 15 mètres de haut, le monde vous semblera beaucoup plus petit alors qu’il n’a subi aucune modification. L’augmentation ou la réduction de l’échelle d’une caméra produit le même effet. Outil Orientation caméra30 Chapitre 1 Compositing 3D Pour utiliser l’outil Orientation caméra : 1 Sélectionnez l’outil Orientation caméra dans la barre d’outils. Le pointeur change de forme pour indiquer que l’outil Orientation caméra est actif. 2 Utilisez les touches Flèche vers le haut, Flèche vers le bas, Flèche vers la gauche et Flèche vers la droite pour déplacer la caméra dans l’espace 3D. Pour un déplacement plus lent, faites de même en maintenant la touche Option enfoncée. 3 Faites glisser dans le Canevas pour orienter la caméra. Important : il n’est pas possible d’imbriquer une caméra dans un groupe 2D. Si vous essayez de créer ou d’ajouter une caméra à un groupe 2D, la zone de dialogue suivante apparaît : Les caméras ajoutées dans les groupes 2D sont automatiquement désactivées. Animation des caméras Les caméras peuvent être animées directement dans le Canevas de la même façon que tout autre objet d’un projet. Elles peuvent aussi être animées au moyen de comportements, notamment à l’aide des comportements de caméra spéciaux. Pour en savoir plus sur les comportements de caméra, reportez-vous à la section « Comportements de caméra » à la page 32. Caméra active Si une scène contient plusieurs caméras, celle qui apparaît le plus haut dans la Liste de couches et dans la Timeline correspondant à l’image actuelle est la caméra active. Bien que la caméra active soit la caméra par défaut utilisée pour l’exportation, vous pouvez sélectionner n’importe quelle caméra de scène pour l’exportation. La caméra 2 est la caméra active là où se trouve la tête de lecture.Chapitre 1 Compositing 3D 31 Isoler La commande Isoler (et le bouton Isoler) aligne provisoirement la présentation actuelle sur l’objet sélectionné et masque tous les autres objets de la scène. Cela permet d’accé- der plus facilement aux objets éloignés ou à ceux qui ne se distinguent pas bien. Pour isoler un objet : 1 Sélectionnez l’objet à isoler dans le Canevas, la Liste de couches ou la Timeline. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez Objet > Isoler (ou appuyez sur Contrôle + I).  Dans l’onglet Couches ou dans la Timeline, cliquez sur le bouton Isoler. La présentation actuelle change pour s’aligner sur l’objet sélectionné, et tous les autres objets de la scène sont masqués. Lorsqu’un objet est isolé, une caméra temporaire est créée et apparaît dans le menu Caméra. La caméra porte le même nom que l’objet isolé. Pour quitter la présentation isolée, effectuez l’une des opérations suivantes : m Choisissez Objet > Isoler (ou appuyez sur Contrôle + I). m Dans l’onglet Couches ou dans la Timeline, cliquez sur le bouton Isoler. Bouton Isoler Objet dans le Canevas Objet après isolation32 Chapitre 1 Compositing 3D m Choisissez une autre caméra dans le menu Caméra. Comportements de caméra Bien que la plupart des types de comportements puissent être appliqués aux caméras dans Motion, il existe un ensemble supplémentaire de comportements de caméra spéciaux. Pour ajouter un comportement de caméra : 1 Sélectionnez une caméra de scène dans la Liste de couches, la Timeline ou le Canevas. 2 Cliquez sur l’icône Ajouter comportement dans la barre d’outils et maintenez le bouton de la souris enfoncée, choisissez Caméra dans le menu local, puis sélectionnez un élément du sous-menu. Quatre comportements spécifiques aux caméras sont proposés : Travelling, Balayage, Zoom avant/arrière et Couche de zoom. Travelling Déplace la caméra à une distance spécifiée le long de l’axe Z de la caméra. Paramètres dans l’Inspecteur Distance : curseur et curseur de valeur qui définissent la distance du mouvement de travelling. Vitesse : menu local qui définit le type d’interpolation utilisé pour le mouvement. Les options possibles sont Constante, Atténuation en entrée, Atténuation en sortie, Atténuation en entrée/sortie, Accélérer et Ralentir. Commandes disponibles dans la palette La palette et l’Inspecteur proposent exactement les mêmes commandes. Balayage Fait pivoter la caméra selon un arc spécifié. Paramètres dans l’Inspecteur Début : cadran et curseur de valeur qui définissent l’angle de départ de l’orientation de la caméra par rapport à l’orientation actuelle de la caméra. Si la valeur de début est diffé- rente de zéro, la caméra passe directement à cette valeur au début du comportement. Utilisation de plusieurs présentations avec la commande Isoler Vous pouvez isoler autant d’objets que vous disposez de présentations. Il est possible de modifier un objet dans une présentation isolée tout en observant les résultats au moyen d’une caméra de scène dans une autre présentation. Une fois qu’un objet est isolé dans une vue, vous pouvez activer une autre fenêtre d’affichage et isoler un autre objet.Chapitre 1 Compositing 3D 33 Fin : cadran et curseur de valeur qui définissent l’angle final de l’orientation de la caméra par rapport à la valeur du paramètre Début de la caméra. Vitesse : menu local qui définit le type d’interpolation utilisé pour la rotation. Les options possibles sont Constante, Atténuation en entrée, Atténuation en sortie, Atténuation en entrée/sortie, Accélérer ou Ralentir. Axe : menu local qui définit l’axe autour duquel le balayage est effectué. Les options possibles sont Inclinaison X, Pivotement Y et Roulement Z. Contrôles disponibles dans la palette La palette et l’Inspecteur proposent exactement les mêmes contrôles. Zoom avant/arrière Anime le paramètre Angle de vue de la caméra. Paramètres dans l’Inspecteur Zoom : curseur et curseur de valeur qui définissent une valeur proportionnelle utilisée pour modifier le paramètre Angle de vue de la caméra. Vitesse : menu local qui définit le type d’interpolation utilisé pour le mouvement. Les options possibles sont Constante, Atténuation en entrée, Atténuation en sortie, Atténuation en entrée/sortie, Accélérer et Ralentir. Commandes disponibles dans la palette La palette et l’Inspecteur proposent exactement les mêmes commandes. Couche de zoom Déplace la caméra vers la position du point d’ancrage d’un objet cible. Lorsque la caméra atteint le point d’ancrage de l’objet, l’angle de vue change tout en décalant la position de la caméra. Ce comportement vous permet d’animer l’angle de vue de la caméra pendant le mouvement de la caméra, en fonction de la valeur Transition du comportement. Il convient en particulier aux caméras de type Cadrage. Paramètres dans l’Inspecteur Objet : cadre d’image servant à définir la cible du mouvement de la caméra. Faites glisser un objet de la Liste de couches dans le cadre. Transition : curseur et curseur de valeur qui déterminent le point du comportement où la caméra cesse de se déplacer et où le paramètre Angle de vue de la caméra commence à s’animer.34 Chapitre 1 Compositing 3D Si la transition définie est de 50 % dans un comportement Couche de zoom d’une longueur de 300 images, la caméra se déplace sur 150 images avant d’arriver à la position de l’objet cible, puis elle reste immobile pendant le reste du comportement ; le paramè- tre Angle de vue de la caméra s’anime pendant la durée restante. Si la valeur de Transition est définie à 100 %, le déplacement de caméra s’effectue sur les 300 images jusqu’à parvenir à la position de l’objet cible et l’angle de vue de la caméra ne s’anime pas. Si la durée du comportement Couche de zoom est de 100 images et si la Transition est réglée sur 50 %, le déplacement de la caméra prend 50 images pour arriver à la position de l’objet cible. Vitesse : menu local qui définit le type d’interpolation utilisé pour la rotation. Les options possibles sont Constante, Atténuation en entrée, Atténuation en sortie, Atténuation en entrée/sortie, Accélérer et Ralentir. Zoom : curseur et curseur de valeur qui définissent une valeur proportionnelle utilisée pour modifier le paramètre Angle de vue de la caméra. Une valeur autre que zéro détermine l’ampleur de la modification de l’angle de vue (et donc de la perspective) par rapport à l’angle de vue initial de la caméra. La valeur zéro laisse le paramètre Angle de vue inchangé. Commandes disponibles dans la palette La palette et l’Inspecteur proposent exactement les mêmes commandes. Glisser-déposer dans le Canevas Le fait de faire glisser et déposer un objet dans le Canevas l’ajoute à la scène au plan focal de la caméra actuelle. Faire glisser un objet dans la Liste de couches ou cliquer sur le bouton Appliquer situé dans la zone de Preview du navigateur a pour effet de placer cet objet aux coordonnées 0,0,0. Utilisation de caméras pour la configuration de présentations de travail utiles Lorsque vous créez un projet 3D, il peut être utile de placer les caméras de façon à pouvoir examiner la présentation de votre projet depuis différents points de vue. Au lieu de déplacer la caméra Perspective à maintes reprises, vous pouvez ajouter des caméras de scène servant de « signets spatiaux ». Comme vous n’aurez pas besoin d’utiliser ces camé- ras pendant l’exportation, assurez-vous de les désactiver avant le rendu.Chapitre 1 Compositing 3D 35 Interaction des groupes 2D et 3D Le type de groupe 3D donne plus de souplesse à vos projets, mais crée aussi des interactions complexes entre les types de groupe. Les groupes peuvent être de type 2D ou 3D, et il est possible de changer le type d’un groupe à tout moment. Pour changer le type 2D/3D d’un groupe : m Dans l’onglet Couches ou dans la Timeline, sélectionnez le groupe à modifier, puis effectuez l’une des opérations suivantes :  Choisissez Objet > Groupe 3D (ou appuyez sur Contrôle + D).  Cliquez sur l’icône 2D/3D dans la colonne État de la Liste de couches. Comportement au niveau racine Au niveau racine du projet, les groupes 2D n’ont pas le même comportement que lorsqu’ils sont imbriqués dans des groupes 3D. (Pour en savoir plus sur les groupes au niveau racine, reportez-vous à la section « Coordonnées relatives » à la page 12.) Les groupes 2D au niveau racine sont verrouillés sur la caméra, même si celle-ci est animée. Les groupes 2D en haut de la Liste de couches sont toujours rendus au premier plan et les groupes 2D au bas de la Liste de couches sont toujours rendus à l’arrière-plan. Les groupes 3D du niveau racine adjacents peuvent se croiser en fonction de l’ordre de profondeur. Icône 2D Icône 3D Liste de couches Résultat dans le Canevas36 Chapitre 1 Compositing 3D Dans l’exemple ci-dessus, le compositing des deux balles grises de la couche de premier plan 2D s’effectue toujours au-dessus du reste de la scène. La couche d’arrière-plan 2D est toujours composée au-dessous du reste de la scène. Le Groupe A et le Groupe B se coupent parce que ce sont des groupes 3D, mais aucun des deux ne peut couper les groupes 2D du niveau racine. Comportement des groupes 2D et 3D Bien que les groupes 2D et 3D aient beaucoup de propriétés en commun, la façon dont eux et leurs enfants se comportent et interagissent avec les autres objets d’un projet n’est pas la même. Les groupes 2D et 3D peuvent être des parents ou des enfants les uns des autres ; il n’y a pas de restriction au mélange des types de groupe. Onglet Groupe de l’Inspecteur L’onglet Groupe apparaît dans l’Inspecteur lorsque l’objet sélectionné est un groupe. Cet onglet contient le paramètre Type qui permet de faire basculer un groupe entre le mode 2D et le mode 3D. Les groupes 2D et 3D mettent à disposition des paramètres différents. Lorsque le paramètre Type est défini à 3D, les paramètres Aplatir et Ordre de couche deviennent disponibles. Lorsque la case Aplatir est cochée, tous les éléments du groupe 3D sont aplatis comme une « carte » ou un « panneau d’affichage ». Lorsque la case Ordre de couche est cochée, les enfants du groupe sont triés en fonction de l’ordre dans lequel ils apparaissent dans la Liste de couches et non en fonction de l’ordre de profondeur (c’est-à-dire, de leur position sur l’axe Z). Pour en savoir plus, voir « Ordre de couche et ordre de profondeur » à la page 14. Lorsque le paramètre Type est défini à 2D, le paramètre Résolution fixe devient disponible et vous permet de définir manuellement la taille d’un groupe. Par défaut, l’option Résolution fixe est désactivée et la taille du groupe dépend des couches qu’il contient. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section « Définition de la taille d’un groupe » dans le chapitre 2 du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Remarque : lorsqu’il est activé, le paramètre Résolution fixe rogne le groupe autour de son point d’ancrage afin de lui donner la taille spécifiée dans les paramètres Largeur fixe et Hauteur fixe.Chapitre 1 Compositing 3D 37 Propriétés des groupes 2D Un groupe 2D possède les propriétés suivantes :  Le compositing de ses enfants s’effectue dans l’ordre de couche.  Les filtres sont appliqués au groupe dans l’espace local, c’est-à-dire « à plat » sur l’image.  Le groupe est éclairé comme s’il s’agissait d’un seul objet ; ses enfants ne sont pas éclairés individuellement. Remarque : les groupes 2D au niveau racine ne sont pas éclairés.  Étant donné qu’il est toujours plat, un groupe 2D dispose des paramètres Rognage, Ombre portée et Quatre angles.  Sa résolution peut être fixe. Propriétés des groupes 3D Un groupe 3D possède les propriétés suivantes :  Le compositing de ses enfants s’effectue dans l’ordre de profondeur (conformément à leur position sur l’axe Z).  Les filtres sont appliqués au groupe dans l’espace de présentation. En d’autres termes, le filtre agit sur le groupe comme s’il était appliqué à l’objectif de la caméra qui observe le groupe. Damier d’un groupe 2D auquel le filtre Déformation en tourbillon est appliqué Damier d’un groupe 3D auquel le filtre Déformation en tourbillon est appliqué selon trois angles différents38 Chapitre 1 Compositing 3D  Ses enfants sont éclairés individuellement.  Seuls les groupes 3D pour lesquels le paramètre Aplatir est activé disposent des paramètres Rognage, Ombre portée et Quatre angles. Tramage Certaines opérations, tout comme l’application de divers filtres ou d’un masque, provoquent le tramage du groupe concerné. Lorsqu’il est tramé, un groupe est converti en image bitmap. Le tramage affecte les groupes 2D et 3D différemment. Lorsqu’un groupe 2D est tramé, les modes de fusion appliqués aux objets au sein du groupe n’ont plus aucune interaction avec les objets situés en dehors du groupe. Par ailleurs, si un groupe 3D est tramé, l’intégralité du groupe ne peut plus avoir aucune interaction avec les objets situés en dehors. Le groupe 3D tramé est traité comme s’il s’agissait d’un seul objet et utilise l’ordre de couche (dans l’onglet Couches) plutôt que l’ordre de profondeur (le long de l’axe Z) lors de son compositing avec le reste des éléments du projet. Remarque : même si un groupe 3D est tramé, les caméras et les lumières utilisées dans le projet ont toujours une interaction avec les objets situés au sein de ce groupe. Utilisation des objets à l’intérieur des groupes plats Lorsqu’un objet est déplacé le long de son axe Z à l’intérieur d’un groupe plat, ce qui inclut les groupes 2D et les groupes 3D aplatis, il semble plutôt grandir ou rapetisser que s’approcher ou s’éloigner de la caméra. Si vous ne parvenez pas à trouver un objet dans votre projet, vous pouvez le rechercher en redéfinissant son paramètre Position à 0, 0, 0. Cela a pour effet de centrer l’objet dans le groupe plat. Vous pouvez utiliser la commande Isoler pour aligner la présentation active sur l’axe du groupe plat. Elle facilite en effet l’ajustement des objets à l’intérieur du groupe. Pour en savoir plus sur la commande Isoler, reportez-vous à la section « Isoler » à la page 31.Chapitre 1 Compositing 3D 39 La modification des paramètres suivants déclenche le tramage d’un groupe : Groupes 2D  Modification des paramètres de fusion (Opacité, Mode de fusion, Conserver l’opacité)  Activation de l’option Ombre portée  Activation de l’option Quatre angles  Activation de l’option Rognage  Application de n’importe quel filtre  Ajout d’un masque  Ajout d’une lumière hors d’un groupe Groupes 3D  Modification des paramètres de fusion  Application de certains filtres  Ajout d’un masque  Ajout d’une lumière hors d’un groupe 3D avec le paramètre Aplatir activé Une fois le tramage déclenché par l’une de ces opérations, les événements suivants surviennent :  Un indicateur de tramage (semblable à un voyant) apparaît en regard du paramètre dans l’onglet Propriétés.  Un contour léger apparaît autour de l’icône représentant le groupe 2D ou 3D (à gauche de son nom) dans l’onglet Couches et la liste de couches de la Timeline. Important : les émetteurs de particules 3D, les réplicateurs 3D et les objets texte en relief sont traités comme des groupes 3D pour les besoins du tramage. Pas de tramage ; pas de voyant DEL Le mode de fusion normal produit un tramage ; voyant DEL allumé Pas de tramage Indicateur de tramage autour de l’icône de groupe40 Chapitre 1 Compositing 3D Exemples de tramage de groupe 2D et de groupe 3D L’exemple ci-dessus comprend deux groupes : le premier (le plus haut dans la Liste de couches) contient l’image d’un éléphant seul. Le second groupe contient l’image d’une famille d’éléphants. Dans l’exemple de gauche ci-dessus, le mode de fusion défini pour l’image représentant un éléphant seul (qui fait partie du groupe le plus haut dans la liste) est Lumière vive. Comme le groupe n’est pas tramé, le mode de fusion passe à travers le groupe et agit sur l’arrière-plan. Dans l’exemple de droite ci-dessus, le groupe le plus haut est tramé, de sorte que le mode de fusion de l’image de l’éléphant ne passe plus à travers. Dans l’exemple de gauche ci-dessus, le Groupe A et le Groupe B se coupent parce qu’ils ne sont pas tramés. Dans l’exemple de droite ci-dessus, le Groupe A a été tramé, de sorte que le Groupe A et le Groupe B ne se coupent plus. Important : si le mode de fusion défini pour un groupe est Pass Through et si un mode de fusion différent a été appliqué à l’un des enfants du groupe, les enfants ne sont pas tramés. Aucun groupe tramé Groupe du dessus tramé Aucun groupe tramé Groupe A traméChapitre 1 Compositing 3D 41 Éclairage L’éclairage peut être appliqué à un projet d’animation pour améliorer la profondeur et l’étendue du compositing. Il peut aussi contribuer à la création d’environnements réalistes pour les composites. Le système d’éclairage de Motion fonctionne uniquement sur les groupes 3D et leurs enfants. Pour ajouter une lumière à un projet : m Choisissez Objet > Nouvelle lumière (ou appuyez sur Commande + Maj + L). Un objet lumière est ajouté dans la Liste de couches, dans la Timeline et dans le Canevas (il est représenté dans ce dernier par une icône fil de fer) et l’outil de transformation 3D de la barre d’outils devient actif. Si vous ajoutez une lumière à un projet ne contenant aucun groupe 3D, la zone de dialogue suivante apparaît : Si vous sélectionnez Conserver en 2D, une lumière au niveau racine n’a aucun effet tant qu’il n’y a pas au moins un groupe 3D de niveau racine. Par défaut, les groupes et les objets affichent l’ombre résultant des lumières dès que ces dernières sont ajoutées. Processus d’activation des lumières Une lumière s’active lorsqu’elle est un enfant des objets suivants :  le projet (par exemple, une lumière se trouve au niveau racine du projet) ;  un groupe 3D aplati. Important : si vous déplacez un groupe 3D contenant une lumière dans un groupe 2D, la zone de dialogue suivante apparaît, sauf si le paramètre Aplatir du groupe est activé.42 Chapitre 1 Compositing 3D Propriétés modifiant l’apparence des lumières Lorsque vous ajoutez des lumières à une scène, deux groupes de propriétés contribuent à l’apparence des lumières : les propriétés de lumière et les propriétés d’éclairage des objets. Vous pouvez régler les propriétés de lumière en sélectionnant un objet lumière dans votre projet, puis en modifiant les valeurs de paramètre dans l’onglet Lumière de l’Inspecteur. Vous pouvez manipuler les propriétés d’éclairage des objets en sélectionnant un objet autre qu’un objet lumière dans le projet (une image, un plan vidéo, une forme, etc.), puis en ajustant les paramètres d’éclairage dans l’onglet Propriétés de cet objet. Les propriétés de lumière (c’est-à-dire, la qualité de la source lumineuse elle-même) sont réparties en plusieurs catégories : le type de lumière, son intensité et sa couleur. Par exemple, une ampoule électrique, le soleil et l’éclairage d’une discothèque ont chacun une apparence différente. Les propriétés d’éclairage peuvent être utilisées pour simuler ces différences. Paramètres de lumière Lorsque vous créez une lumière ou sélectionnez un objet lumière dans l’onglet Couches, l’onglet Lumière devient disponible dans l’Inspecteur. L’onglet Lumière contient les paramètres suivants : Type de lumière : menu local permettant de choisir entre quatre catégories de lumière.  Ambiance : une lumière ambiante émet de la lumière dans toutes les directions. Ce type de lumière n’a pas de position, ni de représentation dans le Canevas. La lumière ambiante éclaire tous les objets de la scène avec la même intensité de tous les côtés. Par ailleurs, les lumières ambiantes sont les seules à n’avoir aucune incidence sur les hautes lumières. Les lumières ambiantes sont le plus souvent utilisées pour ajouter un effet de remplissage global ou une dominante de couleur. Remarque : étant donné qu’il n’y a pas de propriété d’ambiance globale dans Motion, il se peut que vous deviez ajouter une lumière ambiante pour éviter l’obscurité totale. Combinaison de plusieurs types de lumière Chaque type de lumière possède ses propres attributs qui sont uniques. Il peut être nécessaire de combiner plusieurs types de lumière pour obtenir l’effet désiré. La plupart des scènes comportant des lumières doivent inclure une lumière ambiante pour ajouter de la profondeur ou éviter une obscurité totale. Comme pour les lumières du monde réel, vous pouvez utiliser plusieurs lumières pour mélanger des couleurs. Par exemple, un projecteur rouge et un projecteur bleu dirigés sur un objet blanc se mélangent pour produire du magenta.Chapitre 1 Compositing 3D 43  Directionnel : une lumière directionnelle émet des rayons de lumière parallèles dans une direction donnée à partir d’une source située à une distance infinie. Seule la rotation de cette lumière influe sur son effet. Une icône de lumière directionnelle peut être utilisée conjointement avec les contrôles de transformation pour mieux visualiser l’orientation de la lumière dans une scène. La lumière directionnelle apparaît sous la forme d’un cylindre dont l’une des extrémités a été retirée. Le cercle représente l’origine de la lumière et les lignes indiquent le sens dans lequel la lumière se propage.  Point : une lumière ponctuelle émet de la lumière dans toutes les directions à partir d’un seul point de l’espace 3D. Si vous le souhaitez, vous pouvez ajouter une atténuation en fonction de la proximité d’un objet par rapport à la lumière. La lumière ponctuelle est la lumière utilisée par défaut dans Motion. Elle produit un résultat semblable à celui obtenu avec une ampoule incandescente. Lumière directionnelle Exemple de lumière directionnelle Lumière ponctuelle Exemple de lumière ponctuelle44 Chapitre 1 Compositing 3D  Spot : un spot émet de la lumière depuis une source lumineuse de forme conique et projette une forme elliptique sur les objets frappés par cette lumière. L’utilisation d’un spot offre une grande précision lorsque vous souhaitez limiter la zone éclairée par la lumière. Couleur : ensemble standard de contrôles qui permettent de sélectionner la couleur de la lumière. Intensité : équivaut au « variateur d’ambiance » de l’éclairage. Si vous utilisez une lumière directionnelle avec une intensité de 100 % et que vous la dirigez directement sur un objet de couleur rouge, celui-ci paraît rouge. Si vous baissez l’intensité, l’objet et la scène deviennent plus foncés. En revanche, si vous augmentez l’intensité au-dessus de 100 %, la scène commence à être surexposée, et l’objet peut finalement paraître blanc. Le curseur de valeur d’intensité peut être utilisé pour définir une valeur comprise entre 0 et 400, mais il n’y a pas de limite maximale d’intensité (utilisez le curseur de valeur pour définir une valeur supérieure à 400). Remarque : plusieurs lumières en interaction avec un objet se combinent pour augmenter la luminosité apparente de cet objet. Si deux lumières de spot dont l’intensité est définie à 100 % se chevauchent dans l’espace et sont orientées dans le même sens, le résultat obtenu est identique à celui que produirait une seule lumière de spot d’une intensité de 200 %. Début d’atténuation : curseur et curseur de valeur permettant de définir le point où commence l’atténuation d’une lumière. Dans le monde réel, la lumière s’atténue, c’est-à-dire que son effet diminue, à mesure que la distance par rapport à cette lumière augmente. En général, l’atténuation commence au centre de la lumière. Si vous définissez Début d’atté- nuation, vous avez un plus grand contrôle sur l’éclairage du projet. Ce paramètre s’applique uniquement aux types de lumière qui utilisent un paramètre Position (Point et Spot). Lumière de spot Exemple de lumière de spotChapitre 1 Compositing 3D 45 Dans l’exemple ci-dessous, une lumière est placée légèrement au dessus de l’origine de la scène. Trois cercles de cartes sont disposés respectivement à une distance de 200, 500 et 1 000 unités de la lumière. (Dans cet exemple, une source de lumière visible, à savoir l’ampoule placée au centre des cercles de cartes, est simulée à des fins d’illustration.) L’intensité de la lumière est définie à 100 % et l’atténuation à 10 %. Lorsque Début d’atténuation est défini à 0 (à gauche, ci-dessous), la lumière a déjà commencer à s’atté- nuer lorsqu’elle frappe le cercle le plus proche du centre. Lorsque Début d’atténuation est défini à 200 (à droite, ci-dessous), le cercle le plus proche du centre est éclairé avec une intensité de 100 % et les cercles extérieurs sont légèrement plus lumineux. Lorsqu’on augmente la valeur de Début d’atténuation à 500 (à gauche, ci-dessous), le cercle intérieur et celui du milieu sont éclairés avec une intensité de 100 % et le cercle extérieur est plus lumineux qu’avant. Enfin, lorsque Début d’atténuation est défini à 1 000 (à droite, ci-dessous), tous les cercles sont éclairés avec une intensité de 100 %. Début d’atténuation défini sur 0 Début d’atténuation défini sur 200 Début d’atténuation défini sur 500 Début d’atténuation défini sur 100046 Chapitre 1 Compositing 3D Dans l’exemple suivant, l’image de gauche contient une lumière dont l’intensité est définie à 100 % et celle de droite une lumière dont l’intensité est de 500 %. Dans l’image de droite, les cercles extérieurs sont légèrement plus lumineux, mais le cercle le plus au centre est surexposé. Si le début d’atténuation de la lumière de l’image de droite était augmenté à 1 000, tous les cercles seraient surexposés. Atténuation : curseur et curseur de valeur permettant de contrôler le taux d’atténuation d’une lumière ponctuelle ou d’une lumière de spot en fonction du paramètre Début d’atténuation. Lorsque la valeur de l’atténuation est faible, la lumière s’atténue sur une longue distance à partir de la source de lumière, ce qui signifie qu’elle se propage plus loin dans l’image. Plus cette valeur est élevée, plus l’atténuation se produit rapidement. Angle du cône de spot : cadran et curseur de valeur devenant disponibles uniquement lorsque le Type de lumière est Spot. L’angle du cône est mesuré à partir du centre de la lumière vers l’extérieur. Sa valeur peut être comprise entre 0 et 90°. La distance entre la lumière et sa cible a une incidence sur le résultat de ce paramètre. Si la lumière est proche, un angle de cône plus large peut être nécessaire pour éclairer une plus grande partie de l’objet. Si la lumière est éloignée, un angle de cône plus réduit peut être nécessaire pour isoler les objets. Adoucissement du cône : cadran et curseur de valeur qui deviennent disponibles uniquement lorsque le Type de lumière est Spot. Tout comme pour le paramètre Angle du cône, la valeur peut être comprise entre 0 et 90°. Elle est mesurée à partir du bord extérieur de l’angle du cône de spot. Si cette valeur est définie à 0, les lumières de spot ont un bord dur. Les valeurs faibles produisent un léger effet d’adoucissement à la limite de la zone éclairée. Les valeurs plus élevées produisent un fondu plus large et plus naturel. Étant donné que l’ajout d’un adoucissement accroît la surface éclairée par la lumière, il se peut que vous deviez ajuster l’angle pour obtenir l’effet désiré. Intensité définie à 100 ; Début d’atténuation défini à 0 Intensité définie à 500 ; Début d’atténuation défini à 0Chapitre 1 Compositing 3D 47 Propriétés d’éclairage des objets Tous les objets « éclairables » disposent de propriétés qui permettent de contrôler la façon dont ils réagissent aux lumières d’une scène. Vous pouvez ajuster ces propriétés pour un objet donné dans la section Éclairage de l’onglet Propriétés. L’onglet Propriétés de l’Inspecteur contient les contrôles d’éclairage suivants : Ombres : menu local qui permet de définir la manière dont un objet réagit aux lumières de la scène. Si cette option est activée, l’objet peut être éclairé. Si elle est désactivée, l’objet ignore les lumières de la scène. Si elle est définie à Hérité (valeur par défaut), l’objet utilise la valeur Ombres de son parent. Remarque : il est possible de sélectionner Activé pour le paramètre Ombres de l’enfant d’un groupe (quel que soit son niveau d’imbrication). Ce réglage annule tous les réglages de groupe qui ont été appliqués à l’objet enfant auparavant. Hautes lumières : case permettant d’activer ou de désactiver l’affichage des hautes lumiè- res sur les objets éclairés. Ce paramètre est sans effet si Ombres est défini à Désactivé. Brillance : curseur et curseur de valeur qui définissent l’intensité des hautes lumières sur un objet. Les valeurs élevées donnent à l’objet un aspect plus brillant. Il se peut que vous deviez régler avec beaucoup de précision les propriétés de surface d’objet et les paramètres d’éclairage pour obtenir le résultat souhaité. Amélioration des effets d’éclairage Les lumières ne projettent pas d’ombres dans Motion. Dans certains cas, le paramètre Ombre portée d’un objet peut être un substitut efficace si la caméra est immobile. Simulation d’ombre créée à l’aide du paramètre Ombre portée48 Chapitre 1 Compositing 3D Il existe une autre méthode pour simuler les ombres qui consiste à modifier un double de l’objet éclairé. Les sources lumineuses ne sont pas visibles. Vous pouvez simuler une source lumineuse visible en combinant une lumière ponctuelle avec une image ou une forme. Remarque : utilisez le comportement Suivre le mouvement pour déplacer une source lumineuse simulée avec une lumière dans un plan vidéo. Pour en savoir plus sur le comportement Suivre le mouvement, reportez-vous à la section « Flux de travaux du comportement Suivre le mouvement » à la page 59. Ombre simulée créée avec un double modifié de l’objet texte Source lumineuse visible simulée créée par combinaison d’une lumière avec une forme2 49 2 Suivi de l’animation Les comportements de suivi permettent de suivre le mouvement des objets, de stabiliser les plans ou de suivre les effets des filtres. À propos du suivi de l’animation Le suivi de l’animation est une méthode consistant à enregistrer le mouvement d’un élé- ment (une forme ou un point de référence au sein d’un plan) dans le Canevas, puis à appliquer les données de mouvement enregistrées à un autre élément du Canevas. Vous pouvez, par exemple, utiliser les techniques du suivi de l’animation pour « épingler » un graphisme réalisé en postproduction sur le côté d’un bus en mouvement, pour « accrocher » un cercle flou au visage d’une personne afin de préserver son anonymat ou pour « remplacer » le visage d’un cascadeur intrépide par celui d’un acteur connu mais prudent. Motion comprend un ensemble de comportements de suivi automatisés qui permettent de réaliser toutes ces opérations et bien d’autres :  Suivi du mouvement d’éléments dans les plans : vous pouvez appliquer les données de suivi d’un élément à l’arrière-plan (tel qu’un panneau publicitaire) à un élément superposé au premier plan (tel qu’un graphisme de logo) de sorte que ces deux éléments semblent emboîtés. Cette technique est appelée suivre le mouvement.  Suivi du mouvement d’objets animés dans le Canevas : vous pouvez appliquer les données d’animation d’un objet animé à un autre objet du projet. Vous pouvez, par exemple, accrocher un émetteur de particules de fumée à un vaisseau spatial animé, de sorte qu’un panache de fumée d’échappement « suive » le vaisseau spatial dans tous ses déplacements.  Stabilisation du mouvement de la caméra dans les plans : vous pouvez appliquer des données de suivi pour supprimer des mouvements de caméra ou un tremblement indésirables dans un film ou une séquence d’images. Cela permet, par exemple, de corriger les prises de vue effectuées avec la caméra à l’épaule. 50 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Déstabilisation des plans : vous pouvez restaurer les mouvements d’un plan stabilisé au préalable. Cette technique s’avère utile lorsque vous avez stabilisé un plan pour y ajouter un effet au premier plan, mais que vous souhaitez restaurer les mouvements originaux de la caméra dans le composite final.  Suivi du paramètre de position d’un filtre : vous pouvez appliquer des données de suivi au paramètre de position d’un filtre. Vous pouvez, par exemple, forcer le point central d’un filtre Rayons de lumière à suivre le faisceau d’une lampe de poche en mouvement dans un plan. Les données de suivi du faisceau de la lampe de poche sont appliquées à un seul paramètre du filtre (le paramètre Centre) plutôt qu’à l’ensemble du filtre.  Suivi des points de contrôle d’une forme ou d’un masque : vous pouvez appliquer les données de suivi de points de référence d’un plan aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque. Cette technique permet, par exemple, d’attacher un masque à un élément en mouvement dans un plan afin d’isoler cet élément pour lui appliquer des effets supplémentaires. Motion permet de suivre une ou plusieurs caractéristiques de référence au sein d’un plan :  Suivi à un seul point : effectuez le suivi d’un seul motif de référence (une petite zone de pixels) au sein d’un plan afin d’enregistrer des données de position.  Suivi à deux points : effectuez le suivi de deux motifs de référence au sein d’un plan et utilisez la relation entre les deux points suivis pour enregistrer des données de position, d’échelle et de rotation.  Suivi à quatre points : également appelé déformation par les quatre angles. Effectuez le suivi de quatre motifs de référence au sein d’un plan afin d’enregistrer des données de position, d’échelle et de rotation. Les quatre suiveurs analysent la relation entre les quatre motifs de référence, par exemple les angles du cadre d’une image ou d’un écran de télévision. Ces données sont appliquées à chaque coin d’une image ou d’un plan pour « accrocher » le plan de telle sorte qu’il donne l’impression d’être fixé au cadre de l’image ou à l’écran du téléviseur.  Suivi à plusieurs points : effectuez le suivi d’autant de motifs de référence que vous le souhaitez au sein d’un plan. Il est possible d’ajouter manuellement des suiveurs aux comportements Analyser animation et Stabiliser. Si vous appliquez un comportement Suivre les points, tiré de la sous-catégorie de comportement Forme, à une forme ou à un masque, un suiveur est automatiquement affecté à chaque point de contrôle de la forme. Remarque : bien que Motion dispose d’un espace de travail en 3D, le suivi effectué dans Motion est planaire. En d’autres termes, le suivi ne se produit pas dans l’espace Z. Ainsi, si vous analysez deux caractéristiques au sein d’un plan, et que ce plan est en mouvement dans l’espace 3D, vous enregistrez les modifications de position, d’échelle ou de rotation au fil du temps dans le plan, mais pas la transformation 3D elle-même. L’objet suivi est appelé élément d’arrière-plan ou source. L’objet auquel les données de suivi sont appliquées est appelé élément de premier plan ou de destination.Chapitre 2 Suivi de l’animation 51 Fonctionnement d’un suiveur Chaque suiveur analyse une zone de pixels tout au long d’une série d’images au sein d’un plan pour « accrocher » un motif lors de son déplacement dans le Canevas. Vous spécifiez la zone de pixels concernée sur une ou plusieurs images de référence et Motion se charge de suivre cette zone pendant une période donnée. La durée de cette période dépend de la longueur du comportement de suivi, de la longueur de la plage de lecture définie ou de la longueur du plan. Dans Motion, cette zone de pixels est appelée motif de référence et elle est automatiquement définie autour du suiveur à l’écran. L’idéal est que le motif de référence soit un détail constant, facilement identifiable et présentant un contraste élevé, ce qui le rend plus facile à suivre. Le suiveur passe d’une image à l’autre en échantillonnant de nombreuses positions à l’intérieur de la zone de recherche autour de son point central. Certaines de ces positions « correspondent » de manière plus précise que d’autres au motif de référence désigné au préalable. Le suiveur trouve la position à laquelle la zone de recherche correspond le mieux au motif de référence, avec un degré de précision de l’ordre du sous-pixel. Le suiveur attribue une valeur de corrélation pour chaque image analysée en mesurant le degré de ressemblance de la meilleure correspondance. Le suiveur recherche non seulement la position du motif de référence, mais identifie aussi la manière dont le motif se transforme (par changement d’échelle, rotation ou déformation) d’une image à l’autre. Imaginez, par exemple, que vous effectuez le suivi d’un logo placé sur la manche de chemise d’une personne qui passe devant la caméra. Si cette personne se retourne légèrement au moment de passer devant la caméra, le motif de référence subit une rotation. Le suiveur détecte non seulement la position du motif de référence, mais aussi toute modification de l’échelle ou de la rotation de ce motif. Une fois que la position et les valeurs de corrélation ont été déterminées par le suiveur pour une image donnée, Motion enregistre ces informations dans des images clés. Ce processus est ensuite répété pour chaque image jusqu’à ce que la fin de la plage de suivi soit atteinte. Suiveur52 Chapitre 2 Suivi de l’animation Les données enregistrées sont stockées sous forme d’images clés dans le comportement de suivi. Elles vous permettent d’appliquer rapidement les suivis à de nombreux autres éléments du projet. Remarque : le comportement Stabiliser utilise une technologie avancée qui analyse l’animation de la totalité de l’image d’un plan sans avoir recours à des suiveurs. Motion compte six comportements de suivi répartis comme suit: quatre dans la sous-caté- gorie de comportement Suivi de l’animation, un dans la sous-catégorie de comportement Formes et un dans la sous-catégorie de comportement Paramètre. Comportements Suivi de l’animation Motion utilise des comportements pour collecter, stocker et appliquer des données d’animation. Comme les données sont stockées dans le comportement (sous forme d’images clés), elles peuvent facilement être appliquées à d’autres objets au sein d’un projet. Le comportement Suivi de l’animation peut également être utilisé pour partager des données d’animation créées par des comportements ou des images clés entre des objets. Les comportements Suivi de l’animation sont appliqués de la même manière que tous les autres comportements. Lorsqu’un comportement de suivi effectue son analyse, des points de suivi apparaissent dans le Canevas et des images clés de suivi sont créées dans le comportement. Ces images clés résident dans le comportement qui est appliqué à un objet, elles ne sont pas appliquées à l’objet lui-même. Remarque : les points de suivi à l’écran et les images clés de suivi ne sont pas créés lorsque vous utilisez l’analyse d’animation par défaut du comportement Stabiliser. Le cas échéant, vous pouvez convertir les données d’animation enregistrées ou référencées par le comportement Suivre le mouvement, Stabiliser ou Déstabiliser en images clés d’objets. Une fois converti, le comportement de suivi est supprimé et les images clés de transformation sont incorporées à l’objet. Pour en savoir plus sur la conversion des comportements, reportez-vous à la section « Conversion de suivis en images clés » à la page 87. Il existe quatre comportements Suivi de l’animation :  Analyser animation : ce comportement n’est utilisé que pour générer et contenir des informations de suivi provenant d’un plan. Contrairement aux comportements Suivre le mouvement et Stabiliser, Analyser animation est dépourvu de la capacité de modifier l’objet suivi. Les suivis collectés par le comportement Analyser animation peuvent être appliquées à d’autres éléments du projet à l’aide du comportement Suivre le mouvement.Chapitre 2 Suivi de l’animation 53 Remarque : le comportement Analyser animation ne peut être appliqué qu’à une séquence (séquence QuickTime ou séquence d’images). Le comportement Analyser animation peut générer autant de suiveurs que vous le souhaitez.  Comportement Suivre le mouvement : ce comportement est utilisé pour « relier » un élément du premier plan à un élément à l’arrière-plan de sorte qu’ils semblent ne faire qu’un seul bloc. Cet effet peut être obtenu de trois manières différentes :  Vous pouvez relier un élément du premier plan à un élément d’arrière-plan au moyen du suivi à un point (position), à deux points (position, échelle ou rotation) ou à quatre points (déformation par les angles). Contrairement aux autres comportements de suivi, Suivre le mouvement peut effectuer le compositing ou vous laisser apporter des modifications supplémentaires (flou, étalonnage, etc.) avant la création du composite final.  Vous pouvez faire référence à un suivi enregistré dans un autre comportement de suivi. Il est possible de sélectionner les suivis auxquels il est fait référence dans le menu local des comportements de suivi qui se trouve dans l’Inspecteur ou dans la palette du comportement.  Vous pouvez rapidement appliquer les données d’animation d’un objet, par exemple l’animation créée par des comportements ou des images clés, à un autre élément du projet sans analyser l’objet source. Faites glisser l’objet source animé et déposez-le dans le cadre Source situé dans l’Inspecteur ou dans la palette du comportement afin d’appliquer son mouvement à l’objet de destination. Remarque : le comportement Suivre le mouvement peut être appliqué à pratiquement tous les types d’objets.  Comportement Stabiliser : ce comportement permet de supprimer tout mouvement non souhaité dans un plan, tel que le tremblement de la caméra. La stabilisation peut être appliquée aux mouvement horizontaux ou verticaux du plan ou à une combinaison de mouvements horizontaux et verticaux. Il existe trois manières d’obtenir cet effet :  Motion peut analyser et stabiliser automatiquement un plan sans utiliser de suiveurs. Dans ce cas, le comportement Stabiliser évalue la totalité de l’image d’un plan en effectuant une analyse de l’animation visant à enregistrer le mouvement de la caméra. Il permet deux utilisations différentes des données enregistrées : le lissage du plan, qui élimine tout tremblement indésirable tout en conservant le mouvement général de la caméra, et le verrouillage du plan, qui stabilise un sujet. Ce comportement permet d’analyser et de modifier la position, l’échelle et la rotation.54 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Outre l’analyse de l’animation sur toute l’image, vous avez la possibilité d’ajouter manuellement des suiveurs pour le suivi à un point (position) ou à deux points (position, échelle ou rotation). Par ailleurs, vous pouvez ajouter autant de suiveurs que vous le souhaitez. Lorsque vous ajoutez des suiveurs manuels au comportement Stabiliser, Motion stabilise le plan à l’aide de données qui proviennent des suiveurs plutôt que d’une analyse automatique de l’animation. Si cette méthode est utilisée, le suiveur déplace la totalité de l’image afin que le point de suivi se trouve exactement au même endroit dans chaque image successive.  Vous pouvez charger des suivis enregistrés dans un autre comportement Stabiliser. Pour charger un autre suivi, choisissez-le dans le menu local des comportements de suivi qui se trouve dans l’Inspecteur ou dans la palette de comportements de suivi. Remarque : le comportement Stabiliser ne peut être appliqué qu’à une séquence (séquence QuickTime ou séquence d’images).  Comportement Déstabiliser : ce comportement n’effectue aucun suivi. Il applique le mouvement enregistré par un autre comportement de suivi, tel que Stabiliser, à un plan ou à un objet. Cela vous permet de faire correspondre le tremblement de la caméra au sein d’un plan à des éléments du premier plan qui ont été ajoutés lors de la postproduction. Pour charger des données de suivi, choisissez un suivi dans le menu local des comportements de suivi qui se trouve dans l’Inspecteur ou dans la palette de comportements de suivi. Remarque : le comportement Déstabiliser peut être appliqué à pratiquement tous les types d’objets. Comportement Suivre les points d’une forme Le comportement Suivre les points, qui fait partie de la sous-catégorie de comportement Forme, permet de réaliser l’une des opérations suivantes :  relier les points de contrôle d’une forme ou d’un masque (y compris des traits de peinture) à des caractéristiques de référence situées dans un plan source. Vous pouvez, par exemple, dessiner un masque dans un plan autour d’une voiture, puis relier les points de contrôle du masque à la voiture en mouvement pour détacher cette dernière de l’arrière-plan. Vous pouvez ensuite appliquer des effets uniquement à la voiture sans toucher la zone de l’image qui se trouve autour ;  appliquer aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque des données de suivi existantes enregistrées par le comportement de suivi Analyser animation, Suivre le mouvement ou Stabiliser. Remarque : le comportement Suivre les points ne peut être appliqué qu’aux formes (y compris les traits de peinture) et aux masques.Chapitre 2 Suivi de l’animation 55 Comportement Suivre le paramètre Le comportement Suivre le paramètre, qui fait partie de la sous-catégorie de comportement Paramètre, permet de relier un paramètre de filtre, tel que le paramètre Centre d’un filtre Flou circulaire, à une caractéristique de référence à l’intérieur d’un plan. Les données de suivi peuvent être obtenues de deux manières :  Une fois que le comportement Suivre le paramètre a été ajouté au paramètre de position d’un filtre, un plan peut être analysé depuis l’intérieur du comportement et les données enregistrées peuvent être appliquées au paramètre de position.  Les données de suivi obtenues à partir d’un autre comportement de suivi peuvent être référencées par le comportement Suivre le paramètre. Les données enregistrées provenant du comportement référencé sont appliquées au paramètre de position. Remarque : le comportement Suivre le paramètre est conçu pour une utilisation avec le paramètre de position d’un filtre. Flux de travaux du suivi d’animation Les sections ci-après donnent un aperçu général des étapes nécessaires à la création d’un suivi à l’aide des comportements Suivi de l’animation. Elles comprennent également une description détaillée de tous les paramètres. Il est rare d’obtenir des résultats parfaits avec le suivi dès le premier essai et des réglages de précision sont généralement nécessaires. Pour en savoir plus sur les diverses méthodes de suivi, reportez-vous à la section « Stratégies pour un suivi amélioré » à la page 85. Important : sauf dans le cas du mode d’analyse automatique du comportement Stabiliser, l’analyse de suivi commence à la position actuelle de la tête de lecture pour tous les flux de travaux. Pour définir une zone de suivi, définissez un point de sortie pour le plan faisant l’objet du suivi. Pour définir un point de sortie, placez la tête de lecture sur l’image adé- quate, sélectionnez le plan, puis choisissez Marquer > « Marquer le point de sortie de la plage de lecture » (ou appuyez sur Commande + Option + O). Flux de travaux général du suivi d’animation (avec Analyser animation) Cette section fournit une vue d’ensemble du flux de travaux commun à la plupart des comportements de suivi d’animation. Le comportement Analyser animation est utilisé dans cet exemple. Le comportement Analyser animation analyse et stocke les informations de suivi provenant d’un plan. Ce comportement ne transforme pas l’objet suivi. Les données peuvent servir de référence à d’autres comportements de suivi. Pour obtenir une description complète des paramètres Analyser animation, reportezvous à la section « Contrôles du comportement Analyser animation » à la page 103.56 Chapitre 2 Suivi de l’animation Pour générer un suivi pour un plan à l’aide du comportement Analyser animation : 1 Sélectionnez la séquence à utiliser dans la liste de couches, dans la Timeline ou dans le Canevas, cliquez sur l’icône Ajouter comportement dans la barre d’outils, puis choisissez Suivi de l’animation > Analyser animation dans le menu local. Remarque : vous pouvez aussi sélectionner la séquence, sélectionner le comportement dans la Bibliothèque, puis cliquer sur le bouton Appliquer dans la zone d’aperçu de la Bibliothèque ou faire glisser le comportement depuis la Bibliothèque jusque dans la séquence. Le suiveur est ajouté à la séquence. Par défaut, un seul suiveur apparaît au centre du Canevas. 2 Lisez votre plan d’arrière-plan plusieurs fois pour déterminer un bon point de suivi, puis placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi. 3 Dans le Canevas, faites glisser le suiveur jusque sur le point de référence à utiliser. Remarque : pour en savoir plus sur l’utilisation du suiveur à l’écran, reportez-vous à la section « Ajustement des suiveurs à l’écran » à la page 82. Pour en savoir plus sur la sélection d’un bon point de référence pour le suivi, reportez-vous à la section « Stratégies pour un suivi amélioré » à la page 85. 4 Pour ajouter des suiveurs, cliquez sur le bouton Ajouter situé dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Chaque nouveau suiveur est ajouté au centre du Canevas.Chapitre 2 Suivi de l’animation 57 5 Faites glisser les suiveurs supplémentaires et déposez-les sur les points de référence à utiliser. 6 Pour effectuer le suivi d’une plage d’images donnée, ajustez les points de début et de fin du comportement de suivi dans la Timeline ou dans la mini-Timeline. 7 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Lorsque l’analyse de suivi commence, une fenêtre de progression s’ouvre et des points de suivi sont affichés sur la trajectoire d’animation dans le Canevas. Le point de suivi pour l’emplacement actuel de la tête de lecture est mis en évidence. Les images clés de suivi que contient le comportement apparaissent dans l’Éditeur d’images clés. Bouton Analyser Point de suivi pour l’emplacement actuel de la tête de lecture58 Chapitre 2 Suivi de l’animation Étant donné que le comportement Analyser animation ne transforme pas l’objet source, seules les images clés de suivi apparaissent dans l’Éditeur d’images clés. Si vous utilisez un comportement Suivre le mouvement ou Stabiliser, vous pouvez voir les images clés de suivi et les courbes de transformation de l’objet source (pour le comportement Stabiliser) ou de l’objet de destination (pour le comportement Suivre le mouvement). Une courbe de « confiance » est également affichée dans l’Éditeur d’images clés. Cette courbe fournit une indication visuelle de la précision du suiveur par rapport aux réglages de ses paramètres dans l’Inspecteur. Elle n’a pas vocation à servir pour l’édition. 8 Pour arrêter une opération de suivi, cliquez sur le bouton Stop dans la fenêtre de progression ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). ∏ Astuce : s’il vous semble que le suiveur est en train de perdre son motif de référence, ne cliquez pas tout de suite sur le bouton Stop. Laissez l’analyse se poursuivre encore pendant quelques secondes. En cas d’échec du suiveur, la tête de lecture viendra se placer directement sur l’image exacte où le suiveur a été perdu. Le suivi analysé, qui est inclus dans le comportement Analyser animation, peut à présent être chargé dans d’autres comportements de suivi (par l’intermédiaire d’un menu local situé dans la palette ou l’Inspecteur des autres comportements de suivi). Courbe de position X Courbe de position Y Menu local de comportements de suivi de la palette Suivre le mouvementChapitre 2 Suivi de l’animation 59 Remarque : le comportement Stabiliser ne peut charger que les suivis issus d’autres comportements Stabiliser. Flux de travaux du comportement Suivre le mouvement Cette section fournit une vue d’ensemble de plusieurs flux de travaux de comportement Suivre le mouvement comprenant notamment la déformation par les quatre angles. Pour obtenir une description complète des paramètres Suivre le mouvement, reportez-vous à la section « Contrôles du comportement Suivre le mouvement » à la page 104. Pour utiliser un comportement Suivre le mouvement, il vous faut au minimum deux objets dans votre projet : un élément à l’arrière-plan (ou source) et un objet au premier plan (ou destination). L’objet source fournit le mouvement en tant qu’objet animé ou suivi enregistré. Le mouvement de l’objet source est appliqué à l’objet de destination. Chargement de données dans un comportement Si le projet contient une séquence ou des objets animés lorsqu’un comportement Suivre le mouvement, Stabiliser ou Déstabiliser est appliqué, la séquence ou l’objet animé le plus proche au-dessous du comportement dans la Liste de couches est automatiquement appliqué à ce comportement et apparaît dans le cadre Source de ce dernier. Les données sont normalement écrasées une fois l’analyse de suivi effectuée, mais vous pouvez choisir un autre suivi dans le menu local des comportements de suivi. Il existe quatre méthodes pour affecter un objet animé ou des données de suivi à un comportement de suivi :  Choisissez un autre comportement de suivi dans le menu local de comportements de suivi.  Faites glisser un comportement de suivi ou un objet séquence dans le cadre Source de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur.  Faites glisser un objet animé dans le cadre Source de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’objet animé référencé est appliqué en tant que source au comportement actuel. Cette option ne concerne que les comportements Suivre le mouvement et Suivre les points.  Faites glisser un comportement de suivi ou un objet séquence directement sur le comportement de suivi actuel dans la Liste de couches. Le comportement de suivi ou l’objet séquence référencé est affecté en tant que source au comportement actuel. Remarque : pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâchez le bouton de la souris.60 Chapitre 2 Suivi de l’animation Utilisation du comportement Suivre le mouvement pour effectuer le suivi d’un élément d’arrière-plan Le comportement Suivre le mouvement est appliqué à l’élément au premier plan et suit une caractéristique de l’élément à l’arrière-plan. Les donnée du suivi sont appliquées à l’élément du premier plan pour que ce dernier « suive » le mouvement de la caractéristique du plan d’arrière-plan qui fait l’objet du suivi. Pour faire « suivre le mouvement » à un objet du premier plan à l’aide du comportement Suivre le mouvement : 1 Lisez plusieurs fois votre plan d’arrière-plan afin de déterminer un bon point de suivi. 2 Appliquez un comportement Suivre le mouvement à un élément du premier plan. Un seul suiveur (la case à cocher Ancrage qui se trouve dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur) est activé. Le suiveur Ancrage enregistre les données de position. 3 Décidez s’il faut activer des suiveurs supplémentaires pour le suivi à deux ou à quatre points.  Pour le suivi à deux points, cochez la case Échelle de rotation qui se trouve dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur (sous la case à cocher Ancrage).  Pour le suivi à quatre points, choisissez Quatre angles dans le menu local Type de l’onglet Comportements de l’Inspecteur, puis reportez-vous à la section « Déformation par les quatre angles à l’aide du comportement Suivre le mouvement » à la page 64. 4 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous souhaitez commencer le suivi. 5 Dans le Canevas, faites glisser le ou les suiveurs et déposez-le(s) sur le ou les points à suivre. Lorsque vous faites glisser le suiveur dans le Canevas, la zone autour du suiveur est agrandie pour vous aider à trouver un motif de référence approprié. L’émetteur de particules (qui émet des fleurs rouges) constitue l’élément au premier plan. La zone située autour du suiveur est agrandie lorsque vous faites glisser le point de suivi dans le Canevas.Chapitre 2 Suivi de l’animation 61 6 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’élément au premier plan est aligné sur l’élément à l’arrière-plan. 7 Si vous utilisez le suivi à deux points, activez (ou désactivez) les boutons Position, Échelle ou Rotation (sur la ligne Ajuster) pour ajouter (ou supprimer) des paramètres de suivi. Dans l’exemple ci-dessous, seule l’option Position est activée sur la ligne Ajuster de l’onglet Comportements. Par conséquent, la forme elliptique blanche ne subit aucune modification d’échelle ou de rotation due à la position des deux suiveurs. Dans l’exemple suivant, les options Position, Échelle et Rotation sont activées sur la ligne Ajuster de l’onglet Comportements. Par conséquent, la forme elliptique blanche change de position, d’échelle et de rotation en fonction de la position des deux suiveurs, mais elle donne toujours l’impression d’être physiquement attachée au cadre de l’image. Remarque : si vous utilisez le suivi à quatre points, l’échelle et la rotation sont automatiquement appliquées à l’objet déformé par les angles. Utilisation du comportement Suivre le mouvement pour appliquer des données d’animation à un élément du projet Le comportement Suivre le mouvement permet d’appliquer instantanément l’animation d’un objet source à un objet de destination, sans analyse de suivi. L’objet source peut être animé à l’aide de comportements ou d’images clés. Dans l’exemple ci-après, une « baguette magique » (constituée de formes rectangulaires) est animée le long d’une trajectoire d’animation. L’animation de la baguette est ensuite reliée à un émetteur de particules pour donner l’illusion que des étincelles s’échappent de l’extrémité de la baguette.62 Chapitre 2 Suivi de l’animation Pour appliquer la transformation d’un objet source à un objet de destination : 1 Appliquez un comportement Suivre le mouvement à un élément du projet. Dans notre exemple, un comportement Suivre le mouvement est appliqué à un émetteur de particules qui n’est pas animé. Les données d’animation (telles que les changements de position ou de rotation provoqués par des images clés ou des comportements) les plus proches au-dessous du comportement Suivre le mouvement dans la Liste de couches sont automatiquement appliquées en tant que sources et apparaissent dans le cadre Source. Dans cet exemple, la baguette animée constitue l’animation source. Important : les objets animés, les comportements et les séquences peuvent être déposés dans les cadres Source. 2 Assurez-vous que le paramètre Type est défini à Transformation dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. 3 Positionnez l’objet auquel le comportement Suivre le mouvement est appliqué à l’endroit souhaité dans le Canevas. Comportement Suivre le mouvement Cadre SourceChapitre 2 Suivi de l’animation 63 Dans cet exemple, l’émetteur de particules est placé à l’extrémité de la baguette. L’émetteur de particules et la baguette partagent à présent la même trajectoire d’animation. 4 Lancez la lecture du projet. Les particules suivent le mouvement de la baguette.64 Chapitre 2 Suivi de l’animation Déformation par les quatre angles à l’aide du comportement Suivre le mouvement Le comportement Suivre le mouvement permet de suivre quatre points d’un plan d’arrièreplan et d’appliquer le mouvement aux quatre angles d’un élément au premier plan. Il existe deux flux de travaux possibles pour la déformation par les quatre angles. Dans le premier exemple, un élément au premier plan est accroché à un élément d’arrière-plan à l’aide des suiveurs de quatre angles. Dans le deuxième exemple, l’élément au premier plan est accrochée par les angles avant que les suiveurs de quatre angles ne soient utilisés. Remarque : vous pouvez également utiliser le comportement Analyser animation ou Stabiliser pour effectuer un suivi à quatre points. Pour en savoir plus, voir « Utilisation du suivi à quatre points sans suivre le mouvement pour effectuer une déformation par les angles » à la page 72. La déformation de groupes par les angles nécessite la prise en compte de considérations particulières. Pour en savoir plus, voir « Suivi et groupes » à la page 101. Option 1 : verrouillage de l’image déformée sur les points de référence Ce flux de travaux est idéal pour une déformation par les quatre angles dans laquelle l’image transformée ou « déformée » a la même taille que l’« image » (ou les motifs de référence) de l’arrière-plan à laquelle elle est reliée. Dans l’exemple qui suit, une image au premier plan est accrochée au plan d’arrière-plan d’un cadre d’image. À propos de l’animation des objets de destination Il est possible d’utiliser le comportement Suivre le mouvement pour appliquer instantanément l’animation d’un objet (appelé objet source) à un autre objet (appelé objet de destination). L’objet source peut être animé à l’aide de comportements ou d’images clés. L’objet de destination peut également être animé. Vous pouvez indiquer si l’animation de l’objet de destination doit être ignorée par le comportement Suivre le mouvement ou ajoutée au comportement Suivre le mouvement. Pour ce faire, choisissez une option dans le menu local Transformer qui se trouve dans l’onglet Comportements de l’objet de destination. Si vous choisissez « Attacher à la source » dans le menu local Transformer, toute animation de l’objet de destination est ignorée et l’objet est verrouillé sur l’animation de l’objet source. Si vous choisissez « Imiter la source », toute animation de l’objet de destination est ajoutée à l’animation de l’objet source (à partir de l’image 0). Pour en savoir plus sur les options « Attacher à la source » et « Imiter la source », reportez-vous à la section « Contrôles du comportement Suivre le mouvement » à la page 104.Chapitre 2 Suivi de l’animation 65 Pour suivre une image à l’aide de quatre suiveurs : 1 Faites glisser la tête de lecture jusque sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi et appliquez un comportement Suivre le mouvement à l’élément au premier plan. 2 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, choisissez Quatre angles dans le menu local Type. Remarque : l’option Quatre angles n’est pas disponible si le comportement Suivre le mouvement est appliqué à un groupe 3D. Pour déformer un groupe 3D par les angles, cochez la case Aplatir située dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur. Dans le Canevas, un suiveur apparaît à chaque angle de l’objet au premier plan. Dans l’Inspecteur, la liste de suivis par défaut (Ancrage et Échelle de rotation) est remplacée par les suiveurs En haut à gauche, En haut à droite, En bas à droite et En bas à gauche. 3 Dans le Canevas, faites glisser chaque suiveur sur un « angle » de l’élément d’arrière-plan (dans cet exemple, les angles du cadre de l’image constituent les quatre points de suivi). Comme pour les suiveurs Analyser animation, un agrandissement apparaît dans le Canevas lorsque vous faites glisser les suiveurs. 4 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur.66 Chapitre 2 Suivi de l’animation L’élément au premier plan est « accroché » sur l’élément à l’arrière-plan. Remarque : dans cet exemple, un reflet est créé sur le tableau à l’aide d’une copie dupliquée et transformée de l’image suivie. Pour un réglage plus précis du suivi, il vous faudra peut-être effectuer de petits ajustements sur l’élément au premier plan, par exemple modifier son échelle ou sa rotation. Si vous choisissez l’option par défaut « Attacher à la source » dans le menu local Transformer de l’onglet Comportements de l’Inspecteur, l’objet suivi ne peut pas être transformé. Pour transformer l’objet suivi, choisissez Imiter la source dans le menu local Transformer. 5 Pour transformer l’élément au premier plan après avoir appliqué les données de suivi, choisissez Imiter la source dans le menu local Transformer de l’onglet Comportements de l’Inspecteur, puis effectuez vos ajustements dans l’onglet Propriétés de l’Inspecteur. Pour en savoir plus sur les options de transformation « Imiter la source » et « Attacher à la source », voir « Contrôles du comportement Suivre le mouvement » à la page 104. Option 2 : accrochage de l’objet par les angles avant le suivi Dans ce flux de travaux, un objet au premier plan est accroché au cadre d’une image d’arrière-plan à l’aide du paramètre Quatre angles de l’onglet Propriétés avant l’application du comportement Suivre le mouvement. Pour ajuster les quatre angles d’un élément, puis déformer cet élément par les angles : 1 Sélectionnez l’élément de premier plan que vous souhaitez déformer par les angles.Chapitre 2 Suivi de l’animation 67 2 Dans la barre d’outils, choisissez l’outil Quatre angles parmi les outils Sélectionner/Transformer. 3 Faites glisser chaque angle de l’élément au premier plan dans la position adéquate. Une fois que vous avez fait glisser un angle dans le Canevas, la case à cocher Quatre angles est activée dans l’onglet Propriétés. ∏ Astuce : il est recommandé de réduire l’opacité de l’objet au premier plan pour mieux distinguer les points de référence sur le plan à l’arrière-plan. Nous vous conseillons également de désactiver le magnétisme pour que l’image que vous êtes en train d’ajuster ne soit pas automatiquement alignée sur les guides du Canevas. 4 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi et appliquez le comportement Suivre le mouvement à l’élément au premier plan. 5 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, choisissez Quatre angles dans le menu local Type. Outil Quatre angles68 Chapitre 2 Suivi de l’animation Dans le Canevas, un suiveur apparaît sur chaque angle de l’objet au premier plan. Dans l’Inspecteur, la liste de suivis par défaut (Ancrage et Échelle de rotation) est remplacée par les suiveurs En haut à gauche, En haut à droite, En bas à droite et En bas à gauche. 6 Si nécessaire, faites glisser chaque suiveur dans le Canevas et réglez sa position avec précision dans la fenêtre Aperçu du suivi de l’Inspecteur. Important : pour régler les suiveurs avec précision ou les décaler sans modifier la forme de l’image au premier plan, choisissez Imiter la source dans le menu local Transformer. 7 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’élément au premier plan est « accroché » sur l’élément à l’arrière-plan. Option 3 : transformation de l’objet avant la déformation par les angles Dans ce flux de travaux, un objet au premier plan est transformé à l’aide des paramètres Échelle, Rotation et Position de l’onglet Propriétés pour l’adapter au cadre d’une image d’arrière-plan avant l’application du comportement Suivre le mouvement. Pour transformer une image et la déformer par les angles : 1 Sélectionnez l’élément de premier plan que vous souhaitez déformer par les angles.Chapitre 2 Suivi de l’animation 69 2 À l’aide des contrôles de transformation à l’écran ou de l’onglet Propriétés de l’Inspecteur, ajustez l’échelle, la position ou la rotation de l’élément au premier plan en fonction de son « cadre ». 3 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi et appliquez le comportement Suivre le mouvement à l’élément transformé. 4 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, choisissez Quatre angles dans le menu local Type. 5 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour ajuster les suiveurs sans modifier l’image au premier plan, choisissez Imiter la source dans le menu local Transformer, puis positionnez les suiveurs sur les motifs de référence (dans cet exemple, il s’agit des quatre angles intérieurs du cadre de l’image).  Pour ajuster les suiveurs en modifiant l’image au premier plan, choisissez « Attacher à la source » dans le menu local Transformer, puis positionnez les suiveurs sur les motifs de référence. 6 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’élément au premier plan est « accroché » sur l’élément à l’arrière-plan. Étant donné qu’il est possible que ce flux de travaux ne donne pas des résultats parfaits (par exemple, il se peut que l’élément au premier plan ne soit pas mis à l’échelle correcte ou ne se déplace pas avec l’image d’arrière-plan comme il le devrait), vous devrez peut-être appliquer un masque à l’image au premier plan ou la rogner.70 Chapitre 2 Suivi de l’animation Masquage et suivi Lorsqu’un masque est ajouté à un objet auquel des données de suivi ont été appliquées, ces données sont automatiquement appliquées au masque. Dans les images ci-dessous, l’image au premier plan est reliée à quatre points du plan d’arrière-plan, mais il faut encore lui appliquer un masque pour l’adapter au cadre de l’image (sans modifier irrégulièrement son échelle). Bien que le masque soit attaché à l’image au premier plan, il peut s’avérer nécessaire d’animer les modifications de la position et de l’échelle du masque pour tenir compte des modifications du plan d’arrière-plan au fil du temps. Remarque : une autre possibilité, si vous ne souhaitez pas utiliser un masque, consiste à rogner un objet auquel des données de suivi ont été appliquées en se servant des contrôles de rognage qui se trouvent dans l’onglet Propriétés de l’Inspecteur. Vous pouvez relier les points de contrôle d’un masque à un plan ou appliquer des données de suivi existantes aux points de contrôle d’un masque. Pour en savoir plus, voir « Flux de travaux du comportement Suivre les points » à la page 77. Élément de premier plan transformé et suivi Élément de premier plan transformé et suivi avec application d’un masqueChapitre 2 Suivi de l’animation 71 Déformation par quatre angles avec décalage En fonction de votre séquence source, il se peut que vous deviez déformer un élément par les angles en utilisant des points de référence décalés par rapport à la taille « déformée » finale de l’élément au premier plan. Pour ce faire, vous devez décaler les suiveurs à l’aide de l’option Imiter la source. Dans l’exemple simple ci-dessous, les motifs de référence à suivre sont situés à l’intérieur d’un cadre plutôt que sur ses angles. Étant donné que les points de référence de suivi ne se trouvent pas dans l’alignement du bord intérieur du cadre, vous devez décaler l’image par rapport aux quatre suiveurs. Sinon, l’image finale déformée par les angles semblera trop petite. L’exemple suivant montre comment décaler les suiveurs sans modifier l’image au premier plan. L’indicateur visuel de couleur orange (le contour orange) représente la taille finale de l’image déformée par les angles. Les indicateurs visuels orange encerclent les points de référence de suivi.72 Chapitre 2 Suivi de l’animation Pour suivre des points de référence décalés par rapport à l’image au premier plan : 1 Utilisez l’un des flux de travaux décrits ci-dessus pour préparer une déformation par les quatre angles à l’aide du comportement Suivre le mouvement. 2 Choisissez Imiter la source dans le menu local Transformer de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. 3 Dans le Canevas, faites glisser les suiveurs jusque sur les points de référence décalés. L’image n’est pas modifiée et demeure verrouillée sur son emplacement original. 4 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’élément au premier plan est « accroché » sur l’élément à l’arrière-plan. Utilisation du suivi à quatre points sans suivre le mouvement pour effectuer une déformation par les angles Cette section décrit un flux de travaux supplémentaire de déformation par les quatre angles faisant référence au suivi à quatre points provenant d’un comportement Analyser animation. Remarque : vous pouvez également effectuer ce flux de travaux avec le comportement Stabiliser.Chapitre 2 Suivi de l’animation 73 Pour enregistrer un suivi à quatre points à l’aide du comportement Analyser animation : 1 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi et appliquez un comportement Analyser animation à l’élément d’arrière-plan. Par défaut, un seul suiveur apparaît dans le Canevas. Pour les opérations Analyser animation et Stabiliser à quatre points, les suiveurs doivent être positionnés dans le sens des aiguilles d’une montre en partant de l’angle supérieur gauche. Cette façon de procéder permet de s’assurer que l’élément est correctement aligné lorsque la transformation est appliquée. 2 Faites glisser le suiveur (Suivi 1) sur le motif de référence souhaité dans l’angle supérieur gauche de l’élément d’arrière-plan. 3 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, cliquez sur Ajouter pour ajouter un deuxième suiveur, puis faites glisser ce deuxième suiveur (Suivi 2) sur le motif de référence souhaité dans l’angle supérieur droit de l’élément d’arrière-plan. 4 Ajoutez un autre suiveur (Suivi 3) et faites-le glisser sur le motif de référence souhaité dans l’angle inférieur droit de l’élément d’arrière-plan. 5 Ajoutez un autre suiveur (Suivi 4) et faites-le glisser sur le motif de référence souhaité dans l’angle inférieur gauche de l’élément d’arrière-plan. 6 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Le suivi est généré et ses données sont enregistrées dans le comportement. Remarque : vous pouvez enregistrer des comportements de suivi dans la Bibliothèque pour les utiliser ultérieurement. Pour appliquer le suivi à quatre points enregistré à un élément de premier plan : 1 Appliquez un comportement Suivre le mouvement à l’élément de premier plan que vous voulez déformer par les angles. 2 Si les données Analyser animation ne sont pas automatiquement appliquées, choisissez le suivi Analyser animation à quatre points existant dans le menu local des comportements de suivi. Suivi 1 Suivi 2 Suivi 4 Suivi 374 Chapitre 2 Suivi de l’animation 3 Choisissez Quatre angles dans le menu local Type de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. 4 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Les données de suivi à quatre points du comportement Analyser animation sont appliquées à l’élément au premier plan. Remarque : lorsque vous utilisez le comportement Suivre le mouvement pour effectuer un suivi à quatre points, les suiveurs sont automatiquement placés selon l’ordre approprié dans le Canevas une fois l’option Quatre angles sélectionnée dans le menu local Type de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Flux de travaux du comportement Stabiliser Cette section fournit une vue d’ensemble de l’utilisation du comportement de suivi Stabiliser pour stabiliser un film ou une séquence d’images. Pour obtenir une description complète des paramètres Stabiliser, reportez-vous à la section « Contrôles du comportement Stabiliser » à la page 109. Avec le comportement Stabiliser, trois méthodes sont possibles pour analyser un plan :  Utilisez la technique par défaut d’analyse avancée de l’animation qui évalue immé- diatement la totalité de l’image d’un plan pour en extraire les données d’animation sans utiliser de suiveurs à l’écran.  Utilisez des suiveurs à l’écran qui analysent un motif de référence (petit groupe de pixels) dans le Canevas. Ces suiveurs sont les mêmes que ceux utilisés par les comportements Suivre le mouvement et Analyser animation.  Utilisez une méthode combinant la technique d’analyse avancée de l’animation et les suiveurs à l’écran. Important : pour en savoir plus sur l’utilisation des suiveurs à l’écran avec le comportement Stabiliser, reportez-vous à la section « Ajout de suiveurs à la stabilisation » à la page 97. Lorsque vous disposez des résultats de l’analyse, vous pouvez les appliquer de deux maniè- res différentes. Le plan peut être soit lissé, pour éliminer tout tremblement indésirable mais en conservant le mouvement général de la caméra, soit verrouillé pour stabiliser le sujet. Le lissage peut avoir une incidence sur la translation, la rotation ou l’échelle, ce qui en fait un outil plus souple que les autres comportements de suivi pour certaines opérations. Le comportement Stabiliser est surtout utile pour supprimer le tremblement indésirable provoqué par un support de caméra instable, pour éliminer le vacillement de l’image dû aux prises de vue effectuées avec la caméra à l’épaule ou pour réduire les vibrations dans les scènes tournées depuis l’intérieur d’un véhicule.Chapitre 2 Suivi de l’animation 75 Remarque : aussi utile que soit le comportement Stabiliser, sachez que le flou d’animation présent dans l’image ne peut pas être éliminé, même si vous parvenez à lisser ou verrouiller correctement le sujet filmé. Ceci peut éventuellement avoir une incidence sur votre façon d’envisager la réalisation du composite. Pour stabiliser un plan à l’aide du comportement Stabiliser : 1 Appliquez un comportement Stabiliser au plan que vous souhaitez stabiliser. Remarque : contrairement aux flux de travaux des autres comportements, le mode automatique du comportement Stabiliser analyse la totalité du plan plutôt que la seule partie qui commence à l’emplacement actuel de la tête de lecture. 2 Définissez les options à utiliser pour l’analyse : a Choisissez une option dans le menu local Méthode de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur.  Choisissez Stabiliser pour verrouiller une image afin de supprimer les problèmes tels que le tremblement de la caméra.  Choisissez Lisser pour lisser le mouvement de la caméra dans le plan. b Choisissez une option dans le menu local Contours :  Choisissez Normale pour conserver la taille de la séquence stabilisée. Les transformations résultantes effectuées sur l’image stabilisée peuvent entraîner l’apparition de contours noirs mobiles autour du plan. Remarque : pour obtenir des suggestions concernant la correction des contours noirs, reportez-vous à la section « Suppression des contours noirs produits par la stabilisation » à la page 98. Les contours normaux conservent la taille du plan stabilisé, mais entraînent l’apparition de contours noirs autour du plan.76 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Choisissez Zoom pour agrandir le plan afin qu’il remplisse le Canevas. Cela empêche l’apparition de contours noirs autour du plan stabilisé. c Choisissez une option dans le menu local Direction :  Choisissez Horizontal et Vertical pour appliquer la transformation de stabilisation aux dimensions X et Y.  Choisissez Horizontal pour appliquer la transformation de stabilisation à la dimension X.  Choisissez Vertical pour appliquer la transformation de stabilisation à la dimension Y. d Activez ou désactivez les options Ajuster :  Activez l’option Position pour appliquer les données de position analysées au plan.  Activez l’option Échelle pour appliquer toutes les données d’échelle analysées au plan. Remarque : l’option Échelle n’a aucun rapport avec l’option Zoom du menu local Contours. Remarque : vous pouvez modifier les paramètres Méthode, Contours, Direction et Ajuster avant ou après l’analyse du plan. 3 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Remarque : le plan est stabilisé en fonction des paramètres définis. Contrairement aux suiveurs de Motion, l’analyse Stabiliser par défaut ne crée pas d’images clés dans l’Éditeur d’image clés. La transformation de l’objet stabilisé peut toutefois être convertie en images clés. Pour en savoir plus, voir « Conversion de suivis en images clés » à la page 87. Pour en savoir plus sur la correction des problèmes liés à la stabilisation, reportez-vous à la section « Dépannage des effets de stabilisation » à la page 96. L’option Zoom de Contours permet de redimensionner le plan stabilisé afin qu’il ne s’écarte pas des contours du Canevas.Chapitre 2 Suivi de l’animation 77 Remarque : comme dans le cas de la plupart des objets auxquels des comportements ont été appliqués, la trajectoire d’animation créée par la transformation est affichée dans le Canevas lorsque l’objet stabilisé est sélectionné. Flux de travaux du comportement Déstabiliser Cette section fournit une vue d’ensemble de l’utilisation du comportement de suivi Déstabiliser pour rétablir le tremblement ou le mouvement de la caméra dans un plan terminé. La seule fonction de ce comportement est d’appliquer un mouvement enregistré par un autre comportement de suivi (tel que Stabiliser) à un plan ou à un objet. Ceci vous permet soit de reproduire le mouvement de la caméra dans un plan d’arrière-plan sur les éléments situés au premier plan, soit de déstabiliser un plan stabilisé. Remarque : seul un projet comprenant un comportement de suivi avec des données d’animation enregistrées peut utiliser le comportement Déstabiliser. Pour utiliser le comportement Déstabiliser : 1 Sélectionnez l’objet à déstabiliser, cliquez sur l’icône Ajouter comportement dans la barre d’outils, puis choisissez Suivi de l’animation > Déstabiliser dans le menu local. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez un comportement de suivi dans le menu local de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur.  Faites glisser un comportement de suivi analysé dans le cadre Source de la palette ou de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’animation est appliquée à l’objet de destination. Flux de travaux du comportement Suivre les points Le comportement Suivre les points est prévu pour une utilisation avec des formes et des masques. Il peut être utilisé de différentes manières, en :  reliant les points de contrôle d’une forme ou d’un masque à un plan ;  appliquant des données de suivi provenant d’une autre analyse de suivi aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque ;  appliquant l’animation d’un objet aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque. Remarque : pour appliquer le mouvement analysé d’un objet à une forme ou à un masque dans son ensemble (et non aux points de contrôle de la forme ou du masque), utilisez le comportement Suivre le mouvement. Pour obtenir une description complète des paramètres Suivre les points, reportez-vous à la section « Contrôles du comportement Suivre les points » à la page 114. Établissement d’un lien entre les points de contrôle et un plan Cette section fournit un bref aperçu de l’utilisation du comportement Suivre les points pour relier les sommets d’une forme ou d’un masque à un plan.78 Chapitre 2 Suivi de l’animation Pour effectuer le suivi d’une forme ou d’un masque à l’aide du comportement Suivre les points : 1 Sélectionnez la forme ou le masque dont vous souhaitez effectuer le suivi, cliquez sur l’icône Ajouter comportement dans la barre d’outils, puis choisissez Formes > Suivre les points dans le menu local. Le comportement est ajouté à la forme et des suiveurs apparaissent pour chaque point de contrôle situé sur la forme. L’ordre des suiveurs correspond à l’ordre dans lequel la forme a été dessinée : le point de contrôle 1 correspond au Suivi 1, le point de contrôle 2 au Suivi 2, etc. Remarque : aucun suiveur n’est ajouté pour les points de contrôle de la forme qui sont désactivés. Vous conservez la possibilité d’activer et de désactiver les points de contrôle après l’application du comportement Suivre les points à une forme. Pour en savoir plus sur l’utilisation des points de contrôle des formes, reportez-vous au Chapitre 12, « Utilisation des formes et des masques », du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Dans cet exemple, le comportement Suivre les points est appliqué à un masque approximatif constitué de sept points de contrôle qui isolent une voiture dans un plan. Remarque : n’oubliez pas que les traits de peinture comprennent généralement un très grand nombre de points de contrôle. Nous vous conseillons de simplifier votre trait de peinture en supprimant ou en désactivant des points de contrôle avant de lui appliquer un comportement Suivre les points. Pour effectuer le suivi du trait dans son ensemble, plutôt que par ses points de contrôle, utilisez le comportement Suivre le mouvement. 2 Faites glisser les suiveurs et déposez-les sur leurs motifs de référence. Lorsque vous faites glisser un suiveur, une agrandissement de la zone située autour de celui-ci apparaît.Chapitre 2 Suivi de l’animation 79 3 Pour désactiver un suiveur, désélectionnez sa case dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Remarque : les points de contrôle auxquels aucun suiveur n’est associé ne sont pas modifiés. 4 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Les points de contrôle du masque sont reliés aux motifs de référence. Dans cet exemple, le masque permet d’isoler la voiture en mouvement, ce qui permet ensuite d’appliquer des effets de flou et de désaturation à l’arrière-plan sans toucher à la voiture. Remarque : comme pour tous les comportements, vous pouvez faire glisser ou copier (Option + glisser) un comportement Suivre les points sur une nouvelle forme dans la Liste de couches. Le comportement est réinitialisé lorsque vous l’appliquez à une nouvelle forme. Utilisation d’un objet comme source d’animation Cette section fournit un bref aperçu de l’utilisation du comportement Suivre les points pour appliquer l’animation d’un objet aux sommets d’une forme ou d’un masque. Pour ce flux de travaux, votre projet doit contenir un objet animé à l’aide d’images clés ou de comportements. Pour appliquer l’animation d’un objet aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque : 1 Appliquez le comportement Suivre les points à l’objet que vous voulez animer. S’il y a un objet animé au-dessous de l’objet auquel le comportement Suivre les points a été appliqué dans la Liste de couches, son animation est automatiquement appliquée au comportement Suivre les points, comme le montre le cadre Source de la palette et de l’Inspecteur. Plan original non modifié Un masque relié aux points de référence isole la voiture dans le plan et permet d’appliquer des effets distincts à celle-ci et à son arrière-plan.80 Chapitre 2 Suivi de l’animation Dans cet exemple, le comportement Suivre les points est appliqué à la forme de Bézier et une ligne utilisée comme animation source est animée à l’aide du comportement Rotation. Remarque : pour faire référence à un autre objet animé, faites glisser ce dernier dans cadre Source du comportement Suivre les points ou directement sur le comportement dans La liste de couches. L’animation de rotation de la ligne est appliquée à la forme de Bézier. Les tangentes conservent l’alignement déterminé par leurs angles originaux le long de la forme. 2 Pour aligner les tangentes en fonction de la transformation de l’objet source, cochez la case Aligner les tangentes dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. La forme de Bézier change de forme, car les tangentes au sommet correspondent à la transformation de l’animation source. Forme de Bézier à laquelle le comportement Suivre les points a été appliqué Objet source Le cadre Source de la palette affiche l’objet source référencé.Chapitre 2 Suivi de l’animation 81 Remarque : l’option « Attacher à la source » est sélectionnée par défaut dans le menu local Transformer. Pour en savoir plus sur l’utilisation du menu Transformer, reportez-vous à la section « Contrôles du comportement Suivre les points » à la page 114. Flux de travaux du comportement Suivre le paramètre Le comportement Suivre le paramètre permet de relier un paramètre de position d’un filtre à une caractéristique de référence dans un plan ou de lui appliquer des données de suivi existantes. Vous pouvez, par exemple, relier le centre d’un filtre Rayons de lumière à une lumière en mouvement dans un plan. Remarque : ce comportement n’est applicable qu’aux filtres dotés de paramètres de position, tels qu’Étalement, Anneaux concentriques, Rayons de lumière, Tunnel, etc. Pour obtenir une description complète du comportement Suivre le paramètre, reportezvous à la section « Contrôles du comportement Suivre le paramètre » à la page 115. Pour utiliser le comportement Suivre le paramètre : 1 Dans le Canevas, placez le point central du filtre sur le motif de référence. Dans cet exemple simple, le point central d’un flou est placé sur la plaque d’immatriculation d’une voiture. Remarque : pour utiliser les contrôles à l’écran d’un filtre, sélectionnez celui-ci dans la Liste de couches, puis choisissez l’outil Ajuster l’élément parmi les outils Sélectionner/ Transformer de la barre d’outils. Pour en savoir plus sur l’utilisation des filtres, reportezvous au Chapitre 10, « Utilisation des filtres », dans le Manuel de l’utilisateur de Motion 3. 2 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, cliquez sur le paramètre Centre tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Suivre dans le menu contextuel. Dans le Canevas, le contrôle à l’écran du filtre est remplacé par un suiveur. L’onglet Comportements devient actif et les paramètres de comportement Suivre sont affichés. Remarque : une icône de comportement apparaît à côté du paramètre Centre dans l’onglet Filtres. Elle indique que ce paramètre subi l’influence d’un comportement. Utilisez les contrôles à l’écran pour placer le point central d’un filtre sur le motif de référence du suivi.82 Chapitre 2 Suivi de l’animation Au besoin, vous pouvez ajuster le suiveur dans le Canevas. Si le motif de référence dont vous souhaitez effectuer le suivi est décalé par rapport au centre du filtre, servez-vous de la case Décaler la piste. Pour en savoir plus sur l’utilisation du paramètre Décaler la piste, reportez-vous à la section « Suivi de points cachés ou hors-cadre » à la page 94. 3 Cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Le centre du filtre est relié au plan. Remarque : vous pouvez modifier les paramètres du filtre une fois l’analyse effectuée. Ajustement des suiveurs à l’écran Certains contrôles à l’écran et commandes de l’interface sont communs aux comportements Analyser animation, Stabiliser et Suivre le mouvement. Un suiveur consiste en une seule commande à l’écran : le suiveur. La couleur par défaut des suiveurs à l’écran est le jaune. Selon la couleur de votre sujet, vous serez parfois amené à changer la couleur des suiveurs afin de pouvoir les distinguer dans le Canevas. Lorsque l’analyse de suivi commence, une fenêtre de progression s’ouvre et des points de suivi apparaissent dans le Canevas. Ces points de suivi forment la trajectoire d’animation (trajectoire ayant l’apparence d’une chaîne de perles) qui apparaît dans le Canevas après l’analyse. Le point de suivi pour l’emplacement actuel de la tête de lecture est mis en évidence.Chapitre 2 Suivi de l’animation 83 Pour positionner le suiveur, procédez de l’une des manières suivantes : m Faites glisser le suiveur dans le Canevas. Lorsque vous faites glisser le suiveur, la zone qui se trouve autour dans le Canevas est agrandie et sa position est affichée dans une fenêtre d’informations. Cette zone est un indicateur visuel destiné à vous aider à positionner le suiveur, ce n’est pas une zone de recherche. Remarque : contrairement à de nombreux suiveurs de corrélation, il n’est pas nécessaire de spécifier manuellement une zone de recherche lorsque vous configurez un suiveur dans Motion. Motion effectue automatiquement des recherches (avec une précision de l’ordre du sous-pixel) dans une zone par défaut située autour du point de suivi. L’onglet Comportements de l’Inspecteur comprend une zone Aperçu du suivi qui est actualisée à mesure que vous faites glisser le suiveur dans le Canevas. m Faites glisser le pointeur dans la zone Aperçu du suivi pour régler avec plus de précision la position du suiveur. À mesure que vous faites glisser le pointeur dans la zone d’aperçu, le suiveur est également actualisé dans le Canevas. Faites glisser le pointeur où bon vous semble à l’intérieur de la zone Aperçu du suivi pour ajuster la position du suiveur. Vous n’êtes pas obligé de faire glisser le signe plus (+) rouge.84 Chapitre 2 Suivi de l’animation m Cliquez sur le triangle d’affichage du suiveur dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, puis utilisez les contrôles de Position ajuster numériquement la position du suiveur. Pour déplacer plusieurs suiveurs à la fois : m Dans le Canevas, sélectionnez les suiveurs souhaités en les englobant dans un rectangle de sélection ou en cliquant sur le premier et sur le dernier tout en maintenant la touche Maj enfoncée, puis faites-les glisser jusqu’à une autre position. Les suiveurs sélectionnés apparaissent en blanc. Remarque : étant donné que vous risquez de déplacer les suiveurs à l’écran sans le vouloir si vous les sélectionnez à l’aide de la touche Maj, il est peut-être préférable de les sélectionner en traçant un rectangle de sélection autour. Pour désactiver des suiveurs à l’écran, procédez de l’une des manières suivantes : m Cliquez sur un suiveur dans le Canevas tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez « Masquer le comportement Suivre sélectionné » dans le menu contextuel. m Désélectionnez la case Suivre appropriée dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Une fois qu’un suiveur a été désactivé, il n’est plus utilisé lors de l’analyse. Pour activer des suiveurs à l’écran : m Cochez la case Suivre appropriée dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Pour changer la couleur du suiveur à l’écran : 1 Sélectionnez le suiveur, puis cliquez sur l’onglet Comportements dans l’Inspecteur. 2 Cliquez sur le triangle d’affichage du suiveur et utilisez les contrôles de Couleur pour modifier la couleur du suiveur. Contrôle Couleur du suiveurChapitre 2 Suivi de l’animation 85 Stratégies pour un suivi amélioré La sélection d’une bonne caractéristique de référence pour le suivi, dans un film ou dans une séquence d’images, est cruciale pour l’obtention d’un suivi précis. Le suivi est souvent une affaire de tâtonnement et, lorsqu’il concerne un seul motif de référence avec une seule analyse, il produit rarement un résultat parfait. Un processus réussi implique géné- ralement de combiner un suivi automatique et un suivi manuel, de faire des essais avec différents réglages de paramètres et de redéfinir certains points de référence à différents endroits du plan. Recherche d’un bon motif de référence La première étape du processus de sélection d’un bon motif de référence consiste à lire la séquence plusieurs fois. Lors du visionnage du plan, essayez de trouver un motif de référence qui respecte le plus grand nombre possible des règles indiquées ci-dessous :  Le motif contient des bords perpendiculaires, tels que des points, des intersections et des angles (il vaut mieux éviter les lignes et les bordures rectilignes comme motifs de référence de suivi).  Il s’agit d’un motif à contraste élevé.  Le motif contient des changements graduels de luminosité ou de couleur (exemple de changement brusques de luminosité ou de couleur : une ombre aux limites très marquées traversant votre motif de référence).  Le motif est présent dans toutes les images du plan (il ne sort pas de l’écran ou n’est pas caché par d’autres objets).  Le motif se distingue des autres motifs environnants dans le plan. Préparation manuelle de votre suivi Une autre technique possible est celle qui consiste à insérer manuellement des images clés de suivi. Ainsi, si vous disposez de 100 images à suivre, vous pouvez créer manuellement une image clé toutes les 10 images. Pour créer manuellement des images clés de suivi à l’aide du bouton Enregistrer : 1 Activez l’enregistrement (appuyez sur la touche A). 2 Dans le Canevas, placez le suiveur sur le point de référence à suivre. Une image clé de suivi est créée dans le comportement. Remarque : vous pouvez appuyer sur les touches Maj + Point pour faire un saut de 10 images en avant ou sur les touches Maj + Virgule pour faire un saut de 10 images en arrière. 3 Répétez l’étape 2 jusqu’à ce que vous ayez terminé le suivi.86 Chapitre 2 Suivi de l’animation Pour créer manuellement des images clés sans activer l’enregistrement : 1 Dans le Canevas, placez le suiveur sur le point de référence à suivre. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour Analyser animation, Suivre le mouvement ou Stabiliser (avec suiveurs manuels), choisissez Objet > « Ajouter une image clé Position » ou Objet > « Ajouter une image clé Résultat » (ou appuyez sur Contrôle + K).  Pour Stabiliser (mode automatique), choisissez Objet > « Ajouter une image clé Vecteur d’animation ». Modification manuelle des suivis Vous pouvez modifier manuellement les points de suivi. Pour régler manuellement un point de suivi à l’écran : 1 Placez la tête de lecture sur l’image que vous souhaitez modifier. Le point de suivi situé à l’emplacement actuel de la tête de lecture est mis en surbrillance. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Faites glisser le point de suivi mis en surbrillance dans le Canevas afin d’ajuster sa position.  Faites glisser le pointeur dans la zone Aperçu du suivi de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Remarque : le paramètre Position du suiveur permet uniquement d’ajuster le suiveur à l’écran, il ne concerne pas les points de suivi à l’écran. Pour obtenir un réglage plus précis, vous pouvez utiliser l’outil Zoom pour effectuer un zoom avant ou arrière sur le plan. Comme le zoom suit le pointeur, placez ce dernier sur le point de suivi dans le Canevas, puis faites-le glisser vers la droite pour effectuer un zoom avant. Faites-le glisser vers la gauche pour effectuer un zoom arrière sur le plan. Pour revenir à l’affichage normal, choisissez 100 % dans le menu local Niveau de zoom (situé dans la section inférieure droite de la barre d’outils). Vous pouvez également ajuster une courbe de suivi dans l’Éditeur d’images clés. Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’Éditeur d’images clés, reportez-vous au Chapitre 6, « Courbes et animation à l’aide d’images clés », du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Outil ZoomChapitre 2 Suivi de l’animation 87 Conversion de suivis en images clés Les données de suivi enregistrées ou référencées par les comportements Suivre le mouvement, Stabiliser ou Déstabiliser peuvent être « incorporées » aux images clés de l’objet transformé. Les images clés de suivi sont appliquées à l’objet suivi et le comportement est supprimé du projet. Vous pouvez ensuite modifier les courbes d’animation dans l’Éditeur d’images clés. Étant donné qu’ils ne transforment pas l’image, les suivis enregistrés par le comportement Analyser animation ne peuvent pas être convertis en images clés. Un comportement Suivre le mouvement ou Stabiliser faisant référence aux données d’un comportement Analyser animation peut toutefois être converti en images clés. Pour convertir un comportement de suivi en images clés : 1 Sélectionnez le comportement Suivre le mouvement, Stabiliser ou Déstabiliser à convertir. 2 Choisissez Objet > « Convertir en images clés » (ou appuyez sur Commande + K). Une zone de dialogue apparaît pour confirmer la conversion. 3 Cliquez sur OK. Le comportement est converti en images clés modifiables et le comportement de suivi est supprimé. Pour en savoir plus sur la conversion des comportements en images clés, reportez-vous au Chapitre 5, « Utilisation des comportements », dans le Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’Éditeur d’images clés, reportez-vous au Chapitre 6, « Courbes et animation à l’aide d’images clés », du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Détérioration des suivis Une fois qu’une analyse a été effectuée, il est parfois nécessaire de recommencer le suivi d’une partie du plan. Plutôt que d’utiliser à nouveau de mauvaises images clés, il est conseillé de supprimer celles-ci avant de recommencer le suivi. Si les « mauvaises » images clés ne sont pas supprimées, le suiveur risque de continuer à utiliser l’ancien point de référence. Pour supprimer de mauvaise images clés de suivi : 1 Positionnez la tête de lecture sur l’image dans laquelle vous voulez redéfinir le motif de référence.88 Chapitre 2 Suivi de l’animation 2 Dans l’Éditeur d’images clés, faites glisser le pointeur pour sélectionner les images clés à supprimer. 3 Cliquez dans l’Éditeur d’images clés en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Couper dans le menu contextuel (ou appuyez sur la touche Suppr). 4 Dans le Canevas, faites glisser le suiveur sur le point de référence, puis cliquez sur Analyser. De nouvelles images clés de suivi sont créées. ∏ Astuce : si vous êtes confronté à plusieurs suiveurs problématiques, il peut s’avérer utile de désactiver les suiveurs que vous n’êtes pas en train de corriger afin de simplifier l’Éditeur d’images clés. De même, lorsque vous effectuez un réglage précis de suivis dans l’Éditeur d’images clés, il peut être pratique de simplifier ce qui est affiché dans le graphique. L’image ci-dessous montre les courbes d’une opération simple de déformation par quatre angles.Chapitre 2 Suivi de l’animation 89 Pour isoler rapidement une courbe, cliquez sur la case du paramètre dans la liste de paramètres de l’Éditeur d’images clés tout en maintenant la touche Option enfoncée. Lissage des courbes d’images clés de suivi Il est possible de lisser un suivi à l’aide de la fonction « Suppression d’images clés », disponible dans le menu Animation de la liste de paramètres de l’Éditeur d’images clés. Avant de lisser la courbe, il est conseillé de sauvegarder le comportement en le copiant dans la Bibliothèque ou en le dupliquant dans le projet. Pour lisser une courbe de suivi : 1 Dans l’Éditeur d’images clés, cliquez sur le menu Animation correspondant au suivi que vous souhaitez lisser, puis choisissez « Réduire les images clés » dans le menu local. Avant la simplification de la courbe, une image clé est affichée pour chaque image.90 Chapitre 2 Suivi de l’animation La zone de dialogue « Réduire les images clés » apparaît. L’option « Réduire les images clés » applique un algorithme de dilution aux images clés du paramètre choisi, ce qui réduit le nombre d’images clés dans ce paramètre tout en essayant de conserver une forme similaire pour la courbe. L’algorithme de dilution se règle de deux façons : l’augmentation de la tolérance maximale d’erreurs permet d’obtenir quelques images clés et l’augmentation du facteur de lissage rend les courbes plus lisses entre les valeurs d’images clés. Cet exemple utilise la valeur 5, ce qui signifie que 5 points de suivi concentrés sur le point actuellement évalué sont utilisés pour calculer la nouvelle valeur lissée du point actuel. Il s’agit d’un filtre gaussien (courbe en forme de cloche) standard. En d’autres termes, si vous conservez la valeur 5, les images 10, 11, 12, 13 et 14 sont prises en compte pour calculer la valeur de l’image 12. Si vous choisissez 3, les images 11, 12 et 13 sont utilisées. Plus le facteur de lissage est élevé, plus le nombre de points pris en compte pour chaque point de la courbe est important (et par conséquent, plus les calculs effectués sont nombreux). 2 Définissez les valeurs dans la zone de dialogue « Réduire les images clés ». La courbe est modifiée dans l’Éditeur d’images clés au fur et à mesure que vous ajustez les curseurs ou les curseurs de valeur dans la zone de dialogue. 3 Cliquez sur OK. Une fois simplifiée, la courbe est lissée et contient moins d’images clés.Chapitre 2 Suivi de l’animation 91 Calcul de la moyenne d’une courbe de suivi Une autre option de lissage possible consiste à appliquer le comportement de paramètre Moyenne à une courbe de suivi dans l’Éditeur d’images clés. Ce comportement a pour effet de lisser la transition d’une valeur d’image clé à l’autre. Les animations traitées à l’aide du comportement Moyenne sont plus fluides. Pour appliquer un comportement de paramètre Moyenne à une courbe de suivi : m Dans l’Éditeur d’images clés, cliquez sur la courbe de suivi en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Moyenne dans le menu contextuel. La moyenne du suivi est calculée et le résultat apparaît sous la forme d’une courbe simplifiée affichée derrière les images clés dans l’Éditeur d’images clés. Pour en savoir plus sur l’utilisation des comportements de paramètre Moyenne, reportezvous au Chapitre 5, « Utilisation des comportements », dans le Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Maintien de la qualité d’image Idéalement, le suivi d’une image doit être effectué en utilisant un maximum de données brutes. Plus la qualité de la séquence est élevée, plus la qualité du suivi le sera également. Demande d’un indice à Motion Motion est capable de vous « suggérer » de bons motifs de référence. Pour afficher les points de suivi suggérés : m Maintenez la touche Option enfoncée, cliquez sur un point de suivi dans le Canevas, puis maintenez le bouton de la souris enfoncé. Les points de suivi suggérés sont affichés sous forme de petits signes plus (+) jaunes. Tout suiveur que vous faites glisser vers l’un de ces points suggérés se place automatiquement sur ce point.92 Chapitre 2 Suivi de l’animation Les points suggérés ne constituent pas nécessairement des points de référence de suivi idéaux pour la caractéristique à suivre dans le plan. Il s’agit uniquement de zones de l’image actuelle choisies parce qu’elles correspondent aux critères indiqués pour les points de suivi, par exemple une zone à contraste élevé. Communication d’un indice à Motion Lorsque vous utilisez le comportement Analyser animation, vous pouvez indiquer à un suiveur la zone d’une image ultérieure dans laquelle il doit rechercher son motif de réfé- rence. Cet outil est idéal pour les types de plans suivants :  les plans contenant des caractéristiques qui se déplacent rapidement ;  les plans contenant des sujets se déplaçant le long d’un vecteur relativement droit (avec ou sans obstruction) ;  les plans contenant des panoramiques très rapides (il se peut que vous deviez redéfinir le suiveur « vers l’avant » à chaque changement de panoramique). Important : si votre opération de suivi échoue et que vous repositionnez votre suiveur, vous devez également redéfinir le suiveur vers l’avant dans le Canevas afin d’indiquer un nouveau vecteur d’animation à partir du nouveau point de référence. Pour définir des images vers l’avant : 1 Dans le Canevas, positionnez le suiveur sur le motif de référence souhaité. Dans l’image ci-dessous, le suiveur est positionné sur un motif de référence situé sur le pare-chocs avant de la voiture. SuiveurChapitre 2 Suivi de l’animation 93 2 Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, utilisez le curseur ou le curseur de valeur « Rechercher des images vers l’avant » pour spécifier le nombre d’images que votre suiveur doit anticiper. Remarque : le nombre maximum d’images pour le curseur « Rechercher des images vers l’avant » est 10. Vous pouvez toutefois saisir un nombre d’images plus important à l’aide du curseur de valeur adjacent. 3 Maintenez la touche Commande enfoncée, cliquez sur le suiveur dans le Canevas, puis faites glisser le pointeur dans le sens du déplacement du motif de référence dans le plan. Lorsque vous faites glisser le point de suivi en maintenant la touche Commande enfoncée, un cadre apparaît et montre un agrandissement de l’image spécifiée dans le paramètre « Rechercher des images vers l’avant ». 4 Relâchez le bouton de la souris une fois que le suiveur vers l’avant est positionné sur le motif de référence. Remarque : vous pouvez utiliser des images vers l’avant lorsque vous effectuez un suivi à l’envers, c’est-à-dire en regardant vers les images précédentes plutôt que vers les images suivantes. Suivi d’images avec modifications de la perspective, de l’échelle ou de la rotation Vous pouvez essayer plusieurs stratégies différentes pour les images contenant des modifications importantes de taille et d’angle. Essayez tout d’abord d’utiliser une zone de recherche plus importante. Bien que Motion ne vous permette pas d’ajuster une zone de recherche de suivi à l’écran, vous pouvez modifier sa taille de recherche par défaut à l’aide du paramètre Rechercher la taille dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Cliquez sur le triangle d’affichage du suivi (Suivi 1, par exemple) pour afficher le paramètre Rechercher la taille.94 Chapitre 2 Suivi de l’animation Une deuxième stratégie consiste à diminuer la valeur Tolérance d’échec. Une valeur Tolé- rance d’échec plus faible augmente la probabilité pour le suiveur de trouver une correspondance approximative. Avec une valeur plus élevée, le suiveur utilise des critères de concordance plus stricts. Cliquez sur le triangle d’affichage du suivi pour afficher le paramètre Tolérance d’échec. Une autre stratégie consiste à accéder directement à l’image située au milieu du plan et à effectuer un suivi vers l’avant jusqu’à la dernière image du plan. Vous pouvez ensuite revenir à l’image du milieu et effectuer un suivi à l’envers jusqu’au début du plan. Suivi de points cachés ou hors-cadre Outre l’expérimentation avec différents réglages de paramètres de suivi, il existe une technique élémentaire permettant de corriger les points de suivi qui sont cachés parce qu’ils sortent du cadre ou parce qu’un autre objet passe devant eux. La séquence ci-dessous est un exemple simple de plan nécessitant un suivi décalé. Une voiture en mouvement passe derrière un arbre qui cache temporairement le motif de référence. Lorsque le motif de référence est caché, la case Décaler la piste permet de déplacer le suiveur et de choisir un nouveau motif de référence situé dans une zone autre que celle du motif de référence initial. Le décalage entre le motif de référence initial et le nouveau motif est calculé de sorte que la continuité de la trajectoire de suivi obtenue soit maintenue. Dans l’exemple suivant, le suivi est caché par un arbre ; le suiveur est donc déplacé sur un motif de référence voisin et le suivi continue jusqu’à ce que le motif d’origine réapparaisse. Bien qu’une seule zone soit examinée, les points sont enregistrés dans une autre zone. Le deuxième motif de suivi doit se déplacer dans le même sens que le motif initial. Pour décaler (déplacer) le suiveur à l’écran et le placer sur une zone visible de l’image : 1 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi décalé.Chapitre 2 Suivi de l’animation 95 Lorsqu’un suivi est perdu au cours d’une analyse, Motion revient automatiquement à l’image sur laquelle le suivi a échoué. Le « mauvais » point de suivi est signalé par un « x » dans le Canevas. Vous pouvez utiliser le mauvais point de suivi, ou tout point antérieur à l’image sur laquelle le suivi a échoué, pour placer le suiveur et sélectionner une nouvelle caracté- ristique de référence. Dans le Canevas, le point de suivi à l’emplacement actuel de la tête de lecture est mis en évidence. Le point de suivi correspondant à l’emplacement actuel de la tête de lecture est mis en surbrillance.96 Chapitre 2 Suivi de l’animation 2 Activez le bouton Décaler la piste dans la palette ou dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. 3 Faites glisser le suiveur pour le placer à un autre endroit du Canevas. 4 Cliquez sur Analyser pour recommencer l’analyse de l’animation. Motion continue d’ajouter des images clés sur la trajectoire du point de suivi initial en fonction du mouvement du nouveau motif de référence décalé. Remarque : lorsque vous utilisez l’option Décaler la piste, veillez à ce que le nouveau motif de référence soit placé aussi près que possible de la caractéristique de suivi initiale. Idéalement, la caractéristique décalée devrait partager la même animation que la caractéristique suivie à l’origine et apparaître sur le même sujet. Suivi d’une séquence resynchronisée Lorsque vous travaillez sur un projet qui comprend des tâches de suivi et de resynchronisation, suivez les indications ci-dessous pour obtenir de meilleurs résultats :  Étant donné que le suiveur Motion effectue son analyse à la fréquence d’images du projet, assurez-vous que la fréquence d’images de la séquence à traiter correspond à celle du projet. Par exemple, si vous voulez effectuer le suivi d’une séquence dont la fréquence d’images est de 24 images par seconde (ips), la fréquence d’images de votre projet doit également être de 24 ips. Une fois l’analyse de suivi terminée, resynchronisez le plan à l’aide des paramètres Resynchronisation de l’onglet Média de l’Inspecteur ou à l’aide des comportements Resynchronisation.  Ne resynchronisez pas la séquence avant l’analyse de suivi.  Ne resynchronisez pas la séquence. Effectuez une analyse de suivi, puis resynchronisez la séquence. Cela pourrait avoir un effet négatif sur votre suivi. Remarque : si vous voulez vraiment effectuer le suivi d’un plan après l’avoir resynchronisé, il est recommandé de le resynchroniser, de l’exporter, puis de l’importer et d’effectuer l’analyse de suivi. Bouton Décaler la pisteChapitre 2 Suivi de l’animation 97 Dépannage des effets de stabilisation Si le résultat d’une opération de stabilisation ne vous satisfait pas, il existe plusieurs moyens possibles d’améliorer le résultat. La stabilisation fonctionne mieux avec des images réelles L’analyse automatique d’animation (analyse sans suiveurs) utilisée par le comportement Stabiliser fonctionne mieux avec des images réelles. Les images artificielles, telles que celles qui sont dépourvues de texture, ne conviennent pas au mode automatique du comportement Stabiliser. Les scènes qui contiennent des mouvements de panoramique très importants ne sont pas recommandées non plus. Les images contenant des données de caméra redondantes donnent de très bons résultats. Ajout de suiveurs à la stabilisation Si un plan stabilisé présente une section particulièrement saccadée que vous ne parvenez pas à lisser, vous pouvez ajouter des suiveurs à des sections non contiguës du plan. Les données d’animation provenant de l’analyse automatique d’animation sont remplacées par les sections du plan analysées à l’aide des suiveurs à l’écran. Pour utiliser un suiveur sur une section d’opération de stabilisation : 1 Une fois l’analyse d’animation Stabiliser terminée, lisez le plan pour déterminer la section à suivre. Important : analysez toujours la totalité du plan avant d’ajouter des suiveurs. Pour obtenir un résultat optimal, le comportement Stabiliser requiert des données « significatives », c’est-à-dire, une plage d’images importante. 2 Définissez un point de sortie pour l’analyse des suiveurs : placez la tête de lecture sur l’image à laquelle vous voulez arrêter l’analyse, puis choisissez Marquer > « Marquer le point de sortie de la plage de lecture » (ou appuyez sur Commande + Option + O). 3 Placez la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer le suivi, puis cliquez sur le bouton Ajouter dans l’Inspecteur. 4 Placez le suiveur sur le motif de référence à suivre dans le Canevas, puis cliquez sur le bouton Analyser dans la palette ou dans l’Inspecteur. La plage de lecture spécifiée est suivie, ce qui crée des points de suivi dans le Canevas et des images clés de suivi dans l’Éditeur d’images clés. Remarque : lorsque vous utilisez cette stratégie pour effectuer le suivi de plusieurs sections non contiguës du plan, utilisez autant que possible le même suiveur pour simplifier le suivi et éviter d’encombrer l’Éditeur d’images clés. Cette stratégie n’est pas recommandée pour de petites sections du plan. Par exemple, il vaut mieux ne pas y recourir pour la stabilisation par défaut de 25 images, une analyse de suivi sur 10 images, la stabilisation par défaut de 10 images, etc.98 Chapitre 2 Suivi de l’animation Modification des paramètres de lissage Si vous souhaitez lisser l’animation d’un plan, vous devriez tout d’abord essayer d’ajuster les paramètres de lissage. Ces paramètres sont Lissage de la conversion, Lissage de la rotation et Lissage de l’échelle. Le réglage des paramètres peut être effectué sans qu’il soit nécessaire d’analyser à nouveau le plan. Nouvelle analyse avec une qualité plus élevée Avant l’analyse, choisissez Mieux dans le menu local Qualité à l’intérieur de l’onglet Comportements de l’Inspecteur. L’analyse prendra plus de temps, mais sera de meilleure qualité. Modification des données d’analyse Si aucune des solutions ci-dessus ne donne des résultats satisfaisants, examinez le paramè- tre Confiance dans l’Éditeur d’images clés, puis recherchez les images pour lesquelles le paramètre Confiance présente des valeurs très faibles. Si la transformation de l’image est particulièrement visible au niveau de ces images, vous pouvez convertir le comportement Stabiliser en images clés. Cela permet de créer des images clés de transformation sur l’objet stabilisé qu’il sera ensuite possible de modifier dans l’Éditeur d’images clés. Essayez de supprimer les images clés qui provoquent des pics inhabituels au niveau des images pour lesquelles vous avez constaté une valeur faible de la courbe Confiance. Pour en savoir plus sur la transformation de comportements en images clés, consultez la section « Conversion de suivis en images clés » à la page 87. Suppression des contours noirs produits par la stabilisation Lorsque vous utilisez le comportement Stabiliser, les transformations obtenues, qui servent à lisser ou à stabiliser le plan, provoquent l’apparition de contours noirs mobiles sur les bords de l’image. Bien que ce phénomène soit nécessaire pour obtenir l’effet désiré, il n’est généralement pas souhaitable de conserver ces contours noirs dans le plan final. Vous disposez de plusieurs moyens pour traiter ces contours. Zoom sur le plan Vous pouvez utiliser le menu local Contours dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur pour effectuer un zoom sur le plan. Pour effectuer un zoom sur le plan : m Dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur, choisissez Zoom dans le menu local Contours. Le plan est agrandi pour occuper la totalité de l’espace du Canevas, ce qui empêche l’apparition de contours noirs sur les bords du plan stabilisé.Chapitre 2 Suivi de l’animation 99 Redimensionnement de l’image de sortie pour l’adapter à la taille de l’image originale Si l’image obtenue doit avoir la même taille que l’image originale, la solution la plus rapide consiste à redimensionner l’image après l’analyse Stabiliser. Vous devrez agrandir l’image jusqu’à ce que les contours noirs se trouvent hors de son cadre. Cette méthode a pour inconvénient d’adoucir l’image en fonction du facteur d’agrandissement nécessaire. Pour redimensionner l’image stabilisée : 1 Sélectionnez le plan, puis cliquez sur l’onglet Propriétés de l’Inspecteur. 2 Réglez le paramètre Échelle de sorte que les contours ne soient plus visibles sur les bords du plan. Distorsion des bords Une dernière suggestion consiste à essayer différents filtres pour étirer les bords de l’image afin de remplir les vides éventuels. Vous pouvez, par exemple, essayer d’utiliser le filtre Étalement pour étirer les bords de l’image. Cette solution dépend en grande partie du type d’image et peut introduire d’autres défauts dans l’image qui peuvent ou non être acceptables. Dans l’image ci-dessous, un contour important est créé lorsque le plan est stabilisé.100 Chapitre 2 Suivi de l’animation Un filtre Étalement est ensuite appliqué au groupe dans lequel se trouve le plan stabilisé. L’image de gauche montre le plan après la première application du filtre au groupe. À première vue, le filtre semble peu efficace. Dans l’image de droite, le centre et la rotation du filtre ont été ajustés et le contour noir a été supprimé en étirant le bord droit de l’image. Important : pour que cette technique produise des effets, vous devez appliquer le filtre au groupe du plan plutôt qu’au plan lui-même. Remarque : vous devrez peut-être cocher la case Résolution fixe dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur pour éviter que l’effet du filtre Étalement ne soit rogné. Quelques indications générales Le suiveur Motion se sert de l’image source pour effectuer son analyse de suivi. Cela signifie qu’il utilise automatiquement la meilleure zone de recherche, la meilleure couleur, le meilleur contraste, une précision de l’ordre du sous-pixel, etc. dans le plan afin de générer des données de suivi optimales. Les stratégies de suivi habituelles, telles que l’utilisation d’astuces impliquant des filtres, le redimensionnement manuel d’une boîte de suivi ou de la zone de recherche ou la spécification d’une quantité d’échantillonnage de l’ordre du sous-pixel ne sont pas nécessaires. Toutefois, cela ne signifie pas que vous n’avez aucun effort à faire pour obtenir un suivi parfait. Les indications ci-dessous vous aideront à choisir ce qui est utile ou ce qui ne l’est pas pour votre analyse de suivi. Ce qui ne sera pas utile  Appliquer un filtre quelconque à un plan ou à un objet avant d’effectuer le suivi.  Isoler un plan suivi. Cela ne permet pas d’accélérer l’analyse de suivi.  Ajouter plusieurs comportements Stabiliser. Cela ne contribue pas à mieux stabiliser un plan analysé, car le suivi analyse la séquence source originale et non pas le résultat d’un plan analysé (ou d’un plan filtré).  Convertir un suivi en images clés et effectuer à nouveau la stabilisation.Chapitre 2 Suivi de l’animation 101  Sélectionner une caractéristique de référence de suivi qui ne change pas de perspective, d’échelle ou de rotation. Le suiveur Motion est conçu pour gérer de manière efficace les changements de perspective, d’échelle et de rotation. Ce qui sera utile  Supprimer l’entrelacement (les trames) de la séquence avant d’effectuer le suivi. Pour supprimer les trames de votre séquence, sélectionnez cette dernière dans l’onglet Média de la sous-fenêtre du projet, cliquez sur l’onglet Média dans l’Inspecteur, puis choisissez une option dans le menu local Ordre de trame. Remarque : l’entrelacement peut être présent dans les plans stabilisés à l’aide du mode d’analyse automatique du comportement Stabiliser.  Stabiliser un plan, l’exporter, l’importer, puis le stabiliser à nouveau.  Augmenter ou diminuer la netteté d’un plan ou d’un objet à l’aide d’un filtre, exporter le plan, importer le plan dans le même groupe que la séquence originale, effectuer le suivi du plan filtré, puis utiliser ces données de suivi comme source pour d’autres comportements de suivi. Remarque : d’autres astuces liées aux filtres peuvent également s’avérer utiles, telles que l’utilisation d’un filtre pour isoler un canal de couleur moins bruyant dans un plan ou un objet.  Régler la résolution d’affichage sur une valeur plus basse pour tenter d’accélérer l’analyse de suivi. Suivi et groupes Certains aspects particuliers doivent être pris en compte pour le suivi des groupes. Déformation de groupes par les angles Vous pouvez utiliser le comportement Suivre le mouvement pour déformer des groupes par les angles. Les indications ci-dessous vous permettront d’obtenir un résultat optimal :  Pour déformer un groupe 2D par les angles, il est recommandé de cocher la case Résolution fixe dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur.  Pour déformer un groupe 3D par les angles, vous devez cocher la case Aplatir dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur. Si l’option Aplatir n’est pas activée pour le groupe, l’option Quatre angles ne sera pas disponible dans le menu local Type des paramè- tres Suivre le mouvement. Une fois que vous avez choisi Quatre angles dans le menu local Type, l’option Quatre angles est activée dans l’onglet Propriétés de l’Inspecteur, ce qui entraîne le tramage du groupe. Pour en savoir plus sur le tramage, voir « Tramage » à la page 38. L’utilisation de l’une ou l’autre des techniques décrites ci-dessus peut toujours provoquer un redimensionnement dynamique. En cas de résultats non souhaités, exportez le groupe, importez-le, puis déformez l’objet par les angles.102 Chapitre 2 Suivi de l’animation Parallaxe dans les groupes 3D Lorsque vous suivez le mouvement de groupes 3D contenant des objets décalés dans l’espace Z, la parallaxe est simulée. La parallaxe désigne le déplacement apparent d’un objet par rapport à un arrière-plan distant, provoqué par une modification de la perspective, due par exemple à un changement de position de la caméra. Pour supprimer un effet de parallaxe, cochez la case Aplatir pour le groupe suivi dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur. Enregistrement des suivis Comme c’est le cas pour tous les comportements dans Motion, vous pouvez enregistrer les comportements de suivi dans la Bibliothèque. Toutefois, n’oubliez pas qu’un comportement de suivi doit faire référence à l’objet source suivi. Il est par conséquent peut-être plus logique d’enregistrer la totalité du groupe contenant le comportement de suivi, avec la séquence source, dans la Bibliothèque. Pour enregistrer un groupe dans la Bibliothèque : 1 Ouvrez la Bibliothèque et sélectionnez la catégorie dans laquelle vous voulez enregistrer le groupe, telle que la catégorie Favoris, par exemple. 2 Faites glisser le groupe contenant le comportement de suivi et sa séquence source (suivie) depuis l’onglet Couches, la Timeline ou l’Inspecteur et déposez-le dans le bas de la Bibliothèque. Le groupe est ajouté à la catégorie Bibliothèque. Pour enregistrer un comportement dans la Bibliothèque : 1 Ouvrez la Bibliothèque, puis sélectionnez la catégorie Favoris, Menu Favoris ou Comportements. 2 Faites glisser le comportement personnalisé à enregistrer de l’onglet Couches, de la Timeline ou de l’Inspecteur dans la pile au bas de la Bibliothèque. Les éléments personnalisés que vous enregistrez dans la Bibliothèque sont stockés dans le dossier /Utilisateurs/nomd’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/Final Cut Studio/ Motion/Library. Pour en savoir plus sur l’enregistrement des comportements dans la Bibliothèque, reportezvous au Chapitre 5, « Utilisation des comportements », du Manuel de l’utilisateur de Motion 3. Pour ajouter un groupe à un projet à partir de la Bibliothèque : 1 Ouvrez la Bibliothèque et sélectionnez la catégorie contenant le groupe. 2 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour imbriquer le groupe dans un groupe existant, faites-le glisser sur le groupe existant dans l’onglet Couches.  Pour créer un nouveau groupe, faites-le glisser sur une zone vide dans la partie inférieure de l’onglet Couches.Chapitre 2 Suivi de l’animation 103 Le groupe est ajouté au projet. Pour appliquer un comportement à un plan à partir de la Bibliothèque : 1 Ouvrez la Bibliothèque, puis sélectionnez la catégorie Favoris, Menu Favoris ou Comportements. 2 Faites glisser le comportement sur le plan dans la liste de couches, la Timeline ou le Canevas. Pour faire référence à un autre comportement de suivi au sein d’un projet : 1 Ajoutez un comportement Analyser animation, Suivre le mouvement, Stabiliser ou Déstabiliser. 2 Dans l’Inspecteur ou dans la palette du comportement de suivi, choisissez un suivi dans le menu local des comportements de suivi. Le suivi est appliqué au comportement de suivi. Paramètres des comportements de suivi d’animation La section suivante contient une description détaillée des paramètres disponibles dans les différents comportements de suivi. Remarque : il est impossible d’effectuer le suivi d’objets clonés. Contrôles du comportement Analyser animation Le comportement Analyser animation est conçu pour être utilisé avec des séquences (films ou séquences d’images). Ce comportement peut être considéré comme un suiveur de corrélation traditionnel : vous placez un suiveur à l’écran sur un motif de référence dans un plan. Le mouvement du plan au niveau du point de référence spécifié est analysé et les données analysées sont enregistrées dans le comportement. Les données enregistrées peuvent ensuite être appliquées à d’autres objets du projet. Le comportement Analyser animation ne transforme pas l’image de départ. Il sert uniquement à générer des suivis qui seront utilisées comme références par les comportements Suivre le mouvement et Stabiliser. Remarque : analyser animation ne peut pas faire référence à d’autres comportements de suivi. Important : le comportement Analyser animation ne peut être appliqué qu’à des objets séquence (séquence QuickTime ou séquence d’images).104 Chapitre 2 Suivi de l’animation Paramètres disponibles dans la palette La palette Analyser animation contient des contrôles permettant de lancer l’analyse de suivi d’animation (bouton Analyser), d’inverser le sens du suivi (case Inverser) et de spé- cifier un suivi décalé (case Décaler la piste). Le suivi décalé permet de repositionner le suiveur sur un nouveau motif de référence. Les paramètres de la palette, qui apparaissent également dans l’Inspecteur, sont décrits ci-dessous. Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Mouvement : le paramètre Mouvement est muni de contrôles qui permettent de démarrer l’analyse de suivi et de spécifier la direction de l’analyse.  Analyser : cliquez sur le bouton Analyser pour lancer l’analyse de suivi d’animation. Une fois que vous avez cliqué sur le bouton Analyser, une fenêtre d’état apparaît pour indiquer la progression du suivi. Pour arrêter l’analyse, cliquez sur le bouton Stop de la fenêtre d’état ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). Le début du suivi correspond à la position actuelle de la tête de lecture et non au début du comportement dans la Timeline.  Inverser : si la case Inverser est sélectionnée, le plan est analysé à partir de la position actuelle de la tête de lecture jusqu’à la première image du plan (ou jusqu’à la première image du comportement de suivi). Remarque : vous devez placer la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer l’analyse inversée. Suivre : cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter des suiveurs au comportement Analyser animation. Un seul suiveur est disponible par défaut. Les nouveaux suiveurs sont ajoutés au centre du Canevas. Pour obtenir une description des paramètres Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, Rechercher des images vers l’avant, de ceux de la liste des suivis et des sous-paramètres de suiveur, reportez-vous à la section « Contrôles des suiveurs » à la page 117. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Analyser animation, voir « Flux de travaux général du suivi d’animation (avec Analyser animation) » à la page 55. Contrôles du comportement Suivre le mouvement Le comportement Suivre le mouvement peut être appliqué à différents types d’objets, tels que des groupes, des caméras, des formes, des émetteurs de particules, etc. Important : lorsque vous appliquez le comportement Suivre le mouvement à un groupe, assurez-vous que la séquence source faisant l’objet du suivi ne se trouve pas à l’intérieur de ce groupe.Chapitre 2 Suivi de l’animation 105 Paramètres disponibles dans la palette La palette Suivre le mouvement contient des contrôles permettant de charger dans le comportement un objet animé ou des données de suivi provenant d’un autre comportement de suivi (via le cadre Source ou le menu local des comportements de suivi), de lancer l’analyse d’animation (bouton Analyser), d’inverser le sens du suivi (case Inverser), de décaler le suivi (case Décaler la piste), de spécifier si l’objet de destination est déformé par les quatre angles (menu local Type) et de choisir la transformation appliquée à l’objet de destination (paramètre Ajuster). Les paramètres de la palette, qui apparaissent également dans l’Inspecteur, sont décrits ci-dessous. Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Source : faites glisser l’objet source destiné au comportement Suivre le mouvement dans ce cadre. L’objet source peut-être un autre comportement de suivi, un objet animé ou un objet séquence. Lorsqu’un comportement Suivre le mouvement est ajouté à un objet, l’objet animé, le suivi enregistré ou l’objet séquence le plus proche du comportement dans la Liste de couches apparaît dans ce cadre. Pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâchez le bouton de la souris. Si un objet n’appartenant pas à une séquence (tel qu’une forme ou un masque) est déposé dans le cadre Source, les suiveurs ne sont plus disponibles dans le comportement Suivre le mouvement. Remarque : si le comportement Suivre le mouvement est appliqué à un masque, l’objet masqué est automatiquement sélectionné en tant que source.  Menu local des comportements de suivi : faites un choix dans une liste de données de suivi (provenant d’autres comportements de suivi) à l’intérieur du projet. Mouvement : le paramètre Mouvement est muni de contrôles permettant de démarrer l’analyse de suivi et de spécifier la direction de l’analyse.  Analyser : cliquez sur le bouton Analyser pour lancer l’analyse de suivi d’animation. Une fois que vous avez cliqué sur le bouton Analyser, une fenêtre d’état apparaît pour indiquer la progression du suivi. Pour arrêter l’analyse, cliquez sur le bouton Stop de la fenêtre d’état ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). Le début du suivi correspond à la position actuelle de la tête de lecture et non au début du comportement dans la Timeline.  Inverser : si la case Inverser est sélectionnée, le plan est analysé depuis la position actuelle de la tête de lecture jusqu’à la première image du plan (ou jusqu’à la première image du comportement de suivi). Remarque : vous devez placer la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer l’analyse inversée. Type : ce menu local permet de choisir entre le suivi à un point, le suivi à deux points et le suivi à quatre points.106 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Transformation : cette option autorise le suivi à un ou deux points qui transforme l’objet de destination.  Quatre angles : cette option permet d’activer le suivi à quatre points qui déforme l’objet de destination par les angles. Les paramètres Direction et Ajuster ne sont plus disponibles lorsque cette option est sélectionnée. Remarque : l’option Quatre angles n’est pas disponible si le comportement Suivre le mouvement est appliqué à un groupe 3D. Pour déformer un groupe 3D par les angles, cochez la case Aplatir dans l’onglet Groupe de l’Inspecteur. Direction : ce menu local permet de spécifier la dimension sur laquelle le mouvement enregistré est appliqué à l’objet de destination : X et Y, seulement X ou seulement Y. Transformer : ce menu local permet de choisir la manière dont l’objet de destination (c’est-à-dire, l’objet auquel le comportement Suivre le mouvement est appliqué) se déplace.  Attacher à la source : cette option « colle » l’objet de premier plan au suivi enregistré ou à la source d’animation. Utilisez l’option « Attacher à la source » lorsque l’objet source change d’échelle ou subit une rotation et que vous voulez que l’objet de destination reste « collé » à un endroit particulier de l’objet source. Toute animation qui existait sur l’objet de destination avant l’application du suivi est effacée. Remarque : bien que l’objet de destination soit attaché au mouvement de l’objet source, il est possible de modifier la position de l’objet de destination (c’est-à-dire, de le décaler par rapport à l’objet source). Il est impossible de mettre l’objet de destination à l’échelle ou de le faire pivoter. Dans l’exemple ci-dessous, le comportement Suivre le mouvement est appliqué à la forme de « gélule » de couleur rouge et utilise la flèche blanche animée comme objet source. Un comportement Rotation a été appliqué à la flèche blanche qui tourne dans le sens des aiguilles d’une montre.Chapitre 2 Suivi de l’animation 107 Lorsque l’option « Attacher à la source » est sélectionnée dans le menu local Transformer, la forme rouge est verrouillée sur un endroit particulier de la flèche (dans cet exemple, il s’agit de sa pointe) lorsqu’elle suit le mouvement de cette dernière. Remarque : vous ne pouvez pas transformer un objet suivi si l’option « Attacher à la source » est sélectionnée. Il est, par exemple, impossible de modifier l’échelle, la position ou la rotation d’un objet déformé par les angles.  Imiter la source : cette option permet à l’objet de destination « d’imiter » le suivi enregistré ou la source d’animation. Toute animation qui existait sur l’objet au premier plan avant l’application du suivi est ajoutée à ce dernier. Remarque : comme pour l’option « Attacher à la source », vous pouvez modifier la position de l’objet de destination (c’est-à-dire, le décaler par rapport à l’objet source). Vous pouvez en outre redimensionner l’objet de destination ou le faire pivoter. Dans les images ci-dessous, l’option Imiter la source est sélectionnée dans le menu local Transformer. La forme rouge n’est verrouillée sur aucun point de la flèche blanche, mais elle imite l’animation de cette dernière. L’option Imiter la source permet de transformer un objet suivi dans l’onglet Propriétés de l’Inspecteur. Vous pouvez, par exemple, modifier l’échelle, la position ou la rotation d’un objet déformé par les angles. Si vous utilisez l’option Quatre angles, l’option Imiter la source permet en outre d’ajuster les suiveurs sans ajuster l’image au premier plan. Ajuster : ce paramètre permet de choisir le type de transformation appliqué à l’objet de destination.  Position : lorsque cette option est activée, la position de l’objet source (à l’arrière-plan) est appliquée à l’objet de destination (au premier plan). Lorsque l’option Position est sélectionnée, le suiveur Ancrage (position) est activé.108 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Échelle : lorsque cette option est activée, l’échelle de l’objet source (à l’arrière-plan) est appliquée à l’objet de destination (au premier plan). La source du suivi doit contenir des données d’échelle pour que ce paramètre ait un effet. Lorsque l’option Échelle est sélectionnée, le suiveur Échelle de rotation est activé.  Rotation : lorsque cette option est activée, la rotation de l’objet source (arrière-plan) est appliquée à l’objet de destination (premier plan). La source du suivi doit contenir des données de rotation pour que ce paramètre ait un effet. Lorsque l’option Rotation est sélectionnée, le suiveur Échelle de rotation est activé. Ancrage : disponible si le suivi à un point ou à deux points est activé (lorsque Transformation est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur Ancrage. Le suiveur Ancrage enregistre les données de position. Lorsque l’option Position est sélectionnée dans les paramètres Ajuster, le suiveur Ancrage est activé. Si le comportement Suivre le mouvement fait référence à un autre comportement, tel qu’Analyser animation, le suiveur Ancrage devient le suiveur Début. Les sous-paramètres du suiveur sont remplacés par un menu local qui permet de sélectionner le suiveur du comportement référencé que vous voulez appliquer comme suiveur Début. Par défaut, le Suivi 1 du comportement référencé est appliqué comme suiveur Début et le Suivi 2 est appliqué comme suiveur Échelle de rotation. S’il n’existe qu’un seul suiveur dans le comportement référencé, le Suivi 1 est appliqué aux deux suiveurs Suivre le mouvement. Échelle de rotation : disponible si le suivi à un point ou à deux points est activé (lorsque Transformation est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur Échelle de rotation. Les données de rotation et d’échelle sont enregistrées en utilisant la relation entre les suiveurs Ancrage et Échelle de rotation. Lorsque l’option Échelle ou Rotation est sélectionnée dans les paramètres Ajuster, le suiveur Échelle de rotation est activé. Lorsque le comportement Suivre le mouvement fait référence à un autre comportement, les suiveurs du comportement référencé sont appliqués aux suiveurs Suivre le mouvement.Chapitre 2 Suivi de l’animation 109 Lorsque le comportement Suivre le mouvement fait référence à un autre comportement, tel qu’Analyser animation, les sous-paramètres du suiveur Échelle de rotation sont remplacés par un menu local qui permet de sélectionner le suiveur du comportement réfé- rencé que vous voulez appliquer comme suiveur Échelle de rotation. En haut à gauche : disponible si le suivi à quatre points est activé (lorsque Quatre angles est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur supérieur gauche. En haut à droite : disponible si le suivi à quatre points est activé (lorsque Quatre angles est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur supérieur droit. En bas à droite : disponible si le suivi à quatre points est activé (lorsque Quatre angles est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur inférieur droit. En bas à gauche : disponible si le suivi à quatre points est activé (lorsque Quatre angles est sélectionné dans le menu local Type), cette case permet d’activer ou de désactiver le suiveur inférieur gauche. Lorsque le comportement Suivre le mouvement fait référence à un autre comportement, tel qu’Analyser animation, les sous-paramètres des suiveurs En haut à gauche, En haut à droite, En bas à droite et En bas à gauche sont remplacés par un menu local qui permet de sélectionner le suiveur du comportement référencé que vous voulez appliquer à chaque suiveur Suivre le mouvement. Pour obtenir une description des paramètres Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, « Rechercher des images vers l’avant », de ceux de la liste de suivis et des sous-paramètres de suiveur, reportez-vous à la section « Contrôles des suiveurs » à la page 117. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Suivre le mouvement, voir « Flux de travaux du comportement Suivre le mouvement » à la page 59. Contrôles du comportement Stabiliser Le comportement Stabiliser a recours à une méthode différente de celle utilisée par les comportements Suivre le mouvement et Analyser animation pour analyser le mouvement dans un plan. Il n’est généralement pas nécessaire d’utiliser des suiveurs pour stabiliser un plan. La méthode sophistiquée qu’utilise ce comportement pour évaluer l’animation consiste à effectuer automatiquement le suivi de chaque pixel d’une image à la suivante. Un vecteur d’animation est ensuite calculé à partir de cette analyse. L’analyse peut être effectuée sur la totalité du plan ou sur une zone d’intérêt. Une zone d’intérêt est une zone du plan définie par l’utilisateur en vue de son analyse.110 Chapitre 2 Suivi de l’animation Si le résultat de l’analyse automatique requiert une correction supplémentaire, vous pouvez effectuer un suivi manuel sur des zones temporelles non contiguës du plan. Si vous constatez, par exemple, la présence d’un saut de caméra supplémentaire sur les images 350 à 380, vous pouvez ajouter un suiveur pour analyser uniquement cette portion du plan. Les données enregistrées à partir de l’analyse supplémentaire sont ajoutées aux données enregistrées par le suivi automatique et pour mieux lisser le plan. Outre la prise en compte du mouvement horizontal, vertical ou horizontal et vertical dans le plan, le comportement Stabiliser examine également la position, l’échelle et la rotation. Important : le comportement Stabiliser ne peut être appliqué qu’aux objets séquence (séquence QuickTime ou séquence d’images). Paramètres disponibles dans la palette La palette Stabiliser contient des contrôles permettant de charger un autre suivi de stabilisation dans le comportement (via le cadre Source ou le menu local des comportements de suivi), de lancer l’analyse d’animation (bouton Analyser), de spécifier si le plan doit être stabilisé ou lissé (menu local Méthode), de définir comment le plan stabilisé doit être « dimensionner » (menu local Contours) et de choisir le type de transformation à appliquer au plan analysé (paramètre Ajuster). Les paramètres de la palette, qui apparaissent également dans l’Inspecteur, sont décrits ci-dessous. Remarque : lorsque l’option Lissage est sélectionnée dans le menu local Méthode, des paramètres supplémentaires deviennent disponibles dans la palette et dans l’Inspecteur. Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Source : faites glisser un objet source destiné au comportement dans ce cadre. L’objet source peut-être un autre comportement Stabiliser ou un objet séquence. Pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâ- chez le bouton de la souris.  Menu local des comportements de suivi : faites un choix dans une liste de données de suivi (provenant d’autres comportements de suivi) au sein du projet. Remarque : lorsque vous sélectionnez une option dans le menu local des comportements de suivi, le bouton Ajouter, qui permet d’ajouter des suiveurs, n’est plus disponible. Mouvement : ce paramètre contient le bouton Analyser qui permet de lancer l’analyse de suivi. Filtre SmoothCam de Final Cut Pro Lorsqu’un plan ou une séquence Final Cut Pro contenant un filtre SmoothCam est exporté vers Motion, le filtre est converti en comportement Stabiliser dans Motion. L’option Lissage, plutôt que l’option par défaut Stabiliser, est sélectionnée dans le menu local Méthode.Chapitre 2 Suivi de l’animation 111  Analyser : cliquez sur le bouton Analyser pour lancer l’analyse de suivi d’animation. Une fois que vous avez cliqué sur le bouton Analyser, une fenêtre d’état apparaît pour indiquer la progression du suivi. Pour arrêter l’analyse, cliquez sur le bouton Stop de la fenêtre d’état ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). Si vous utilisez le comportement Stabiliser (sans suiveurs), le suivi commence au début du plan et non à l’emplacement actuel de la tête de lecture. Qualité : ce menu local permet de définir le niveau de précision de l’analyse d’animation. Il propose deux niveaux de qualité : Plus rapide et Mieux.  Plus rapide : cette option permet un fonctionnement plus rapide, mais l’analyse d’animation est moins détaillée.  Mieux : cette option est plus lente, mais donne lieu à une analyse plus détaillée. Il s’agit de l’option recommandée lorsque le plan contient des mouvements de rotation. Remarque : elle équivaut au réglage par défaut du filtre SmoothCam dans Final Cut Pro. Zone de détection : lorsque cette case est activée, une zone rouge apparaît dans le Canevas pour vous permettre de définir un sujet ou une zone à analyser. La partie du plan située en dehors de la zone de détection est ignorée. Les contrôles à l’écran de la zone de détection sont semblables à ceux utilisés pour les formes. Pour ajuster la zone de détection dans le Canevas, procédez de l’une des manières suivantes : m Faites glisser la zone pour modifier sa position. m Faites glisser une poignée pour redimensionner la zone. Les poignées situées sur les coins de la zone permettent de redimensionner simultanément la largeur et la hauteur. Celles situées au milieu des côtés en haut et en bas permettent de redimensionner la hauteur. Les poignées situées au milieu des côtés gauche et droit permettent de redimensionner la largeur. m Maintenez la touche option enfoncée lorsque vous faites glisser une poignée pour redimensionner la zone à partir de son centre. m Pour modifier l’angle de la zone, faites glisser la poignée de rotation qui se trouve au milieu de la zone. Poignée de rotation de la zone de détection112 Chapitre 2 Suivi de l’animation Méthode : ce menu local définit la manière dont la stabilisation est appliquée au plan.  Stabiliser : cette méthode tente de verrouiller l’animation du sujet principal du plan afin d’éliminer l’animation. L’arrière-plan donne alors l’impression de bouger autour du sujet faisant l’objet du suivi.  Lissage : cette méthode permet de lisser le mouvement apparent de la caméra en respectant le mouvement général de l’image. Elle est utile pour éliminer le tremblement qui accompagne parfois le mouvement de la caméra. Lorsqu’il est activé, ce mode propose trois curseurs correspondant à chacune des dimensions susceptibles d’être lissées.  Lissage de la conversion : permet de lisser le mouvement dans les dimensions X et Y.  Lissage de la rotation : permet de lisser la rotation de l’image.  Lissage de l’échelle : permet de lisser un zoom irrégulier. Remarque : ne définissez Lissage de l’échelle à plus de 0 que si vous êtes sûr qu’un zoom est effectué sur l’image. Contours : lorsqu’un plan est stabilisé, les transformations effectuées sur l’image stabilisée peuvent entraîner l’apparition de contours noirs mobiles autour du plan. Ce menu local définit la manière dont les bords sont traités.  Normale : conserve la taille de la séquence stabilisée. Les contours noirs mobiles sont maintenus sur les bords du plan.  Zoom : agrandit le plan de sorte qu’il occupe tout le Canevas. Cela empêche l’apparition des contours noirs sur les bords, mais l’échelle du plan stabilisé est augmentée. Direction : ce menu local permet de spécifier la dimension sur laquelle le mouvement enregistré est appliqué à l’image analysée : X et Y, seulement X ou seulement Y. Ajuster : ce paramètre permet de choisir la transformation à laquelle la stabilisation est appliquée.  Position : lorsque cette option est activée, la stabilisation est appliquée à la position de l’image analysée.Chapitre 2 Suivi de l’animation 113  Échelle : lorsque cette option est activée, la stabilisation est appliquée à l’échelle de l’image analysée.  Rotation : lorsque cette option est activée, la stabilisation est appliquée à la rotation de l’image analysée. Suivre : cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter des suiveurs au comportement Stabiliser. Par défaut, les nouveaux suiveurs sont ajoutés au centre du Canevas. Une fois qu’un suiveur a été ajouté à un comportement Stabiliser :  le paramètre Zone de détection n’est plus disponible ;  la case Inverser devient disponible pour vous permettre d’effectuer le suivi d’un plan à l’envers ;  les contrôles Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, « Rechercher des images vers l’avant » et ceux de la liste de suivis deviennent disponibles. Remarque : vous ne pouvez pas ajouter de suiveurs au comportement Stabiliser si un autre comportement est utilisé comme source pour la stabilisation. Pour obtenir une description des paramètres Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, « Rechercher des images vers l’avant », de ceux de la liste de suivis et des sous-paramètres de suiveur, reportez-vous à la section « Contrôles des suiveurs » à la page 117. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Stabiliser, voir « Flux de travaux du comportement Stabiliser » à la page 74. Contrôles du comportement Déstabiliser Le comportement Déstabiliser est utilisé pour appliquer à un objet un mouvement suivi dans un autre comportement de suivi. Ce comportement n’effectue aucune analyse de suivi. Le comportement Déstabiliser peut être appliqué à différents types d’objets, tels que des groupes, des caméras, des formes, des émetteurs de particules, etc. Paramètres disponibles dans la palette La palette Déstabiliser contient deux contrôles permettant de charger un autre suivi de stabilisation dans le comportement : le cadre Source ou le menu local des comportements de suivi. Ces contrôles sont identiques à ceux de l’Inspecteur, tels que décrits ci-dessous. Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Source : faites glisser un comportement Stabiliser dans ce cadre pour charger les données dans le comportement Déstabiliser. Pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâchez le bouton de la souris.  Menu local des comportements de suivi : faites un choix dans une liste de données de suivi (provenant d’autres comportements de suivi) au sein du projet.114 Chapitre 2 Suivi de l’animation Remarque : le comportement Déstabiliser peut être converti en images clés. Pour en savoir plus, voir « Conversion de suivis en images clés » à la page 87. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Déstabiliser, reportez-vous à la section « Flux de travaux du comportement Déstabiliser » à la page 77. Contrôles du comportement Suivre les points Le comportement Suivre les points permet d’associer les points de contrôle d’une forme ou d’un masque (y compris des traits de peinture) à des caractéristiques de réfé- rence situées dans un plan source. Il permet également d’appliquer aux points de contrôle d’une forme ou d’un masque des données de suivi existantes enregistrées par les comportements de suivi Analyser animation, Suivre le mouvement ou Stabiliser. Paramètres disponibles dans la palette La palette Suivre les points contient des contrôles permettant de charger un objet animé ou un comportement de suivi dans le comportement (via le cadre Source ou le menu local des comportements de suivi), de spécifier la manière dont l’objet de destination se déplace, de lancer l’analyse d’animation (bouton Analyser), d’inverser le sens du suivi (case Inverser) et de décaler le suivi (case Décaler la piste). Les paramètres de la palette, qui apparaissent également dans l’Inspecteur, sont décrits ci-dessous. Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Source : faites glisser un objet source destiné au comportement Suivre les points dans ce cadre. L’objet source peut-être un autre comportement de suivi, un objet animé ou un objet séquence. Pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâchez le bouton de la souris.  Menu local des comportements de suivi : faites un choix dans une liste de données de suivi (provenant d’autres comportements de suivi) au sein du projet. Transformer : ce menu local permet de choisir la manière dont l’objet de destination se déplace.  Attacher à la source : cette option « colle » l’objet de destination au suivi enregistré ou à la source d’animation. Utilisez l’option « Attacher à la source » lorsque l’objet source change d’échelle ou subit une rotation et que vous voulez que l’objet de destination reste « collé » à un endroit particulier de cet objet source. Toute animation qui existait sur l’objet de destination avant l’application du suivi est effacée. Remarque : bien que l’objet de destination soit attaché au mouvement de l’objet source, il est possible de décaler l’objet de destination par rapport à l’objet source.  Imiter la source : cette option permet à l’objet de destination « d’imiter » le suivi enregistré ou la source d’animation. Toute animation qui existait sur l’objet au premier plan avant l’application du suivi est ajoutée à ce dernier. Remarque : comme pour l’option « Attacher à la source », vous pouvez décaler l’objet de destination par rapport à l’objet source. Chapitre 2 Suivi de l’animation 115 Aligner les tangentes : si cette case est désactivée, les tangentes restent alignées en fonction de leurs angles d’origine. Si elle est activée, les tangentes sont adaptées à la transformation de l’animation source et la forme est modifiée. Mouvement : le paramètre Mouvement comporte des contrôles permettant de démarrer l’analyse de suivi et de spécifier la direction de l’analyse.  Analyser : cliquez sur le bouton Analyser pour lancer l’analyse de suivi d’animation. Une fois que vous avez cliqué sur le bouton Analyser, une fenêtre d’état s’affiche pour indiquer la progression du suivi. Pour arrêter l’analyse, cliquez sur le bouton Stop de la fenêtre d’état ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). Le début du suivi correspond à la position actuelle de la tête de lecture et non au début du comportement dans la Timeline.  Inverser : si la case Inverser est sélectionnée, le plan est analysé à partir de la position actuelle de la tête de lecture jusqu’à la première image du plan (ou jusqu’à la première image du comportement de suivi). Remarque : vous devez placer la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer l’analyse inversée. Pour obtenir une description des paramètres Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, « Rechercher des images vers l’avant », de ceux de la liste de suivis et des sous-paramètres de suiveur, reportez-vous à la section « Contrôles des suiveurs » à la page 117. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Suivre les points, voir « Flux de travaux du comportement Suivre les points » à la page 77. Contrôles du comportement Suivre le paramètre Le comportement Suivre le paramètre permet de relier un paramètre de position d’un filtre à une caractéristique de référence au sein d’un plan ou de lui appliquer des données de suivi existantes. Paramètres disponibles dans la palette La palette Suivre le paramètre contient des contrôles permettant de charger un comportement de suivi dans le comportement (via le cadre Comportement source ou le menu local des comportements de suivi), de spécifier la manière dont le paramètre de position se déplace, de lancer l’analyse d’animation (bouton Analyser), d’inverser le sens du suivi (case Inverser) et de décaler le suivi (case Décaler la piste). Les paramètres de la palette, qui apparaissent également dans l’Inspecteur, sont décrits ci-dessous.116 Chapitre 2 Suivi de l’animation Paramètres disponibles dans l’Inspecteur Source : faites glisser l’objet source du suivi dans ce cadre. L’objet source peut-être un autre comportement de suivi ou un objet séquence. Faites glisser un comportement dans le cadre Source pour charger ce suivi dans le comportement Suivre le paramètre. Pour effacer le contenu d’un cadre Source, faites glisser l’élément hors du cadre et relâ- chez le bouton de la souris. Remarque : les objets animés ne peuvent pas être utilisés comme sources pour le comportement Suivre le paramètre.  Menu local des comportements de suivi : faites un choix dans une liste de données de suivi (provenant d’autres comportements de suivi) au sein du projet. Transformer : ce menu local permet de choisir la manière dont le paramètre de position du filtre se déplace.  Attacher à la source : cette option « colle » le centre du filtre au suivi enregistré ou à la source d’animation. Utilisez l’option « Attacher à la source » lorsque l’objet source change d’échelle ou subit une rotation et que vous voulez que le centre du filtre reste « collé » à un endroit particulier de cet objet source. Toute animation qui existait sur le centre du filtre avant l’application du suivi est effacée. Remarque : bien que le centre du filtre soit attaché au mouvement de l’objet source, il est possible de le décaler par rapport à l’objet source.  Imiter la source : cette option permet au centre du filtre « d’imiter » le suivi enregistré ou la source d’animation. Toute animation qui existait sur le centre du filtre avant l’application du suivi est ajoutée à ce dernier. Remarque : comme pour l’option « Attacher à la source », vous pouvez décaler le centre du filtre par rapport à l’objet source. Mouvement : le paramètre Mouvement comporte des contrôles permettant de démarrer l’analyse de suivi et de spécifier la direction de l’analyse.  Analyser : cliquez sur le bouton Analyser pour lancer l’analyse de suivi d’animation. Une fois que vous avez cliqué sur le bouton Analyser, une fenêtre d’état s’affiche pour indiquer la progression du suivi. Pour arrêter l’analyse, cliquez sur le bouton Stop de la fenêtre d’état ou appuyez sur la touche d’échappement (Échap). Le début du suivi correspond à la position actuelle de la tête de lecture et non au début du comportement dans la Timeline.  Inverser : si la case Inverser est sélectionnée, le plan est analysé depuis la position actuelle de la tête de lecture jusqu’à la première image du plan (ou jusqu’à la première image du comportement de suivi). Remarque : vous devez placer la tête de lecture sur l’image à partir de laquelle vous voulez commencer l’analyse inversée.Chapitre 2 Suivi de l’animation 117 Pour obtenir une description des paramètres Aperçu du suivi, Décaler la piste, Zoom auto, Mode zoom auto, « Rechercher des images vers l’avant », de ceux de la liste de suivis et des sous-paramètres de suiveur, reportez-vous à la section « Contrôles des suiveurs » à la page 117. Pour en savoir plus sur l’utilisation du comportement Suivre le paramètre, voir « Flux de travaux du comportement Suivre le paramètre » à la page 81. Contrôles des suiveurs Tous les suiveurs à l’écran, quel que soit le comportement de suivi d’animation, ont en commun les paramètres suivants : Aperçu du suivi : cette zone d’aperçu offre un agrandissement du point de référence de suivi pour le suiveur sélectionné. L’aperçu est actualisé au fur et à mesure que vous ajustez la position du suiveur dans le Canevas. Vous pouvez également faire glisser le pointeur dans la zone d’aperçu pour ajuster la position du suiveur. Lorsque vous faites glisser le pointeur dans la zone d’aperçu, l’image bouge autour du viseur rouge dans l’aperçu et le suiveur se déplace dans le Canevas. Décaler la piste : si le point de référence d’un suiveur est temporairement masqué ou sort de l’écran, ce paramètre vous permet de sélectionner un autre point de référence qui poursuit la même trajectoire de suivi que le point de référence initial. Pour en savoir plus sur le suivi décalé, reportez-vous à la section « Suivi de points cachés ou horscadre » à la page 94. Zoom auto : choisissez une option de ce menu local pour régler le niveau d’agrandissement lorsque vous positionnez un suiveur dans le Canevas. Ce menu permet de faire un zoom avant sur le Canevas lorsque vous recherchez un motif de référence de suivi idéal. Vous disposez de quatre options :  Aucun : aucun agrandissement n’est effectué lorsque vous déplacez le suiveur dans le Canevas (seul le suiveur apparaît).  2x : lorsque vous déplacez le suiveur dans le Canevas, la zone autour du suiveur est agrandie selon un facteur d’agrandissement deux fois supérieur au niveau de zoom normal.  4x : lorsque vous déplacez le suiveur dans le Canevas, la zone autour du suiveur est agrandie selon un facteur d’agrandissement quatre fois supérieur au niveau de zoom normal.  8x : lorsque vous déplacez le suiveur dans le Canevas, la zone autour du suiveur est agrandie selon un facteur d’agrandissement huit fois supérieur au niveau de zoom normal. Mode zoom auto : choisissez une option de ce menu local pour régler l’affichage du suiveur automatiquement agrandi dans le Canevas. Trois possibilités s’offrent à vous :  Normal : affiche un motif normal.118 Chapitre 2 Suivi de l’animation  Contraste : affiche le motif du suiveur avec détection du contraste.  Bord : affiche le motif du suiveur avec détection des bords. Le mode Zoom auto ne concerne que les suiveurs dans le Canevas. Il n’apparaît pas dans l’Aperçu du suivi dans l’onglet Comportements de l’Inspecteur. Remarque : le réglage Mode zoom auto n’a aucun effet si vous choisissez Aucun dans le menu local Zoom auto. Rechercher des images vers l’avant : ce curseur et ce curseur de valeur permettent de spé- cifier le nombre d’images « futures » que le suiveur devra analyser. En d’autres termes, vous pouvez indiquer au suiveur de rechercher son point de référence dans une zone particulière. Ce réglage est particulièrement utile pour les séquences contenant des objets qui se déplacent rapidement, car le point de référence peut rapidement s’éloigner du suiveur. Pour en savoir plus sur l’utilisation de « Rechercher des images vers l’avant », reportez-vous à la section « Communication d’un indice à Motion » à la page 92. Liste de suivis : affiche les suiveurs du comportement. Dans les comportements Analyser animation et Stabiliser, les suiveurs qui figurent dans cette liste sont appelés « Suivi 1 », « Suivi 2 », etc. Dans le comportement Suivre le mouvement, les suiveurs sont appelés « Ancrage » et « Échelle de rotation ». Si le suivi à quatre points est activé, les suiveurs sont appelés « En haut à gauche », « En haut à droite », « En bas à droite » et « En bas à gauche ». Pour désactiver un suiveur, désélectionnez la case correspondante. Pour supprimer un suiveur, cliquez sur le bouton Supprimer. Les suiveurs désactivés ne sont pas analysés avec le suivi. Remarque : il n’est pas possible de supprimer les suiveurs du comportement Suivre le mouvement. Cliquez sur le triangle d’affichage en regard du nom du suivi pour faire apparaître des paramètres supplémentaires :  Position : affiche les positions X et Y du suiveur. Les curseurs de valeur de gauche et de droite représentent respectivement les positions X et Y. Cliquez sur le triangle d’affichage pour afficher des curseurs de valeur de position avec libellé.  Rechercher la taille : utilisez ce curseur ou ce curseur de valeur pour augmenter ou réduire la taille de la zone de recherche du suiveur. Dans Motion, vous ne spécifier pas la taille d’une zone de recherche lorsque vous configurez vos suiveurs dans le Canevas. Utilisez le curseur ou le curseur de valeur pour modifier la taille de recherche par défaut. Si la taille de recherche est réglée sur 200 pour cent, la zone de recherche du suiveur est deux fois plus grande que la zone de recherche par défaut.Chapitre 2 Suivi de l’animation 119  Tolérance d’échec : ce paramètre définit le niveau de tolérance d’erreur, ou valeur de confiance, du suivi. En d’autres termes, il définit un « score » qui sera utilisé par le suiveur pour déterminer s’il est capable ou non de trouver une caractéristique de réfé- rence concordante. Si le résultat est supérieur à ce score, la concordance est acceptée par le suiveur. Si le résultat est inférieur à ce score, le suiveur rejette la concordance. Une fois qu’un résultat a été refusé, le Comportement d’échec est activé.  Comportement d’échec : ce menu local spécifie l’action à entreprendre si la valeur de confiance du suivi est inférieure à la valeur définie pour la Tolérance d’échec. Les options suivantes sont proposées :  Retentative intelligente : le suiveur essaye de trouver le motif de référence dans une zone de recherche plus étendue. Si le motif est introuvable, le suiveur passe à l’option Prédire. Retentative intelligente est le comportement d’échec par défaut.  Stop : arrête l’analyse dès que le suiveur perd le motif de référence. Vous pouvez également interrompre une analyse en cliquant sur ce bouton dans la zone de dialogue qui indique la progression du suivi ou en appuyant sur la touche Échappement (Échap).  Prédire : le suiveur prédit une nouvelle zone de recherche sans créer d’images clés jusqu’à ce qu’il trouve un élément correspondant au motif de référence. Cette option est particulièrement bien adaptée aux objets suivis qui passent derrière des objets au premier plan.  Prédire et tonalité : lorsqu’un échec est détecté, le suiveur prédit l’emplacement de l’image clé en fonction d’un vecteur déterminé à l’aide des deux dernières images clés, puis il continue le suivi dans la nouvelle zone.  Ne pas prédire : le suiveur reste à sa place et recherche les éléments concordants suivants à mesure que les images du plan défilent. Le suiveur ne crée pas d’images clés pendant sa recherche d’un élément concordant.  Utiliser les images clés existantes : cette option vous permet de créer manuellement des images clés sur la trajectoire de votre suivi. Vous pouvez ensuite revenir à l’image de départ et commencer le suivi. La logique de recherche cherche la trajectoire d’animation créée par les images clés existantes.  Couleur : cliquez (ou cliquez en maintenant la touche Contrôle enfoncée) sur le cadre de couleur pour définir une nouvelle couleur pour le suiveur à l’écran. Vous pouvez aussi cliquer sur la pipette et sélectionner une couleur dans le Canevas. Par défaut, les suiveurs sont affichés en jaune. Lorsqu’un suiveur est sélectionné, son point central est blanc et la couleur du cadre de la zone de recherche est celle qui est définie dans le cadre de couleur. Pour ajuster individuellement les canaux de couleur, y compris le canal alpha, cliquez sur le triangle d’affichage. Félicitations. Vous et votre iMac êtes faits l’un pour l’autre.Bienvenue sur votre iMac. www.apple.com/fr/imac Gestes Magic Mouse Utilisez ces gestes pour contrôler votre Mac. Centre d’aide gestes facetime Caméra FaceTime HD intégrée Passez des appels vidéos vers les derniers iPad, iPhone, iPod touch ou Mac. Centre d’aide Défilement Balayage à deux doigts Clic à deux Zoom d’écran boutons Clic à un bouton E/S à haut débit Thunderbolt Connectez des appareils et écrans hautes performances. Centre d’aide thunderboltMission Control Une vue d’ensemble de tout ce qui tourne sur votre Mac. Centre d’aide mission control OS X Lion www.apple.com/fr/macosx Plein écran Affichez les apps en plein écran d’un simple clic. Centre d’aide plein écran Mac App Store Le meilleur moyen de découvrir et télécharger des apps Mac. Centre d’aide launchpad mac app store Launchpad Bénéficiez d’un accès instantané et simplifié à toutes vos apps. Centre d’aide iPhoto Organisez, modifiez et partagez vos photos. Aide iPhoto photos iMovie Transformez vos vidéos perso en films cultes. Aide iMovie movie GarageBand Créez des morceaux sensationnels en toute simplicité. Aide GarageBand record Mail Regroupez vos messages par conversations. Centre d’aide mail HELLO FROM CUPERTINO, CATable des matières 5 Table des matières Chapitre 1 : Prêt, feu, configurez ! 9 Contenu du coffret 10 Configuration de l’iMac 16 Extinction ou suspension d’activité de votre iMac Chapitre 2 : Votre iMac au quotidien 20 Caractéristiques de base de votre iMac 22 Ports de votre iMac 24 Autres composants de votre iMac 26 Fonctionnalités du clavier Apple Wireless Keyboard et de la souris Apple Magic Mouse 28 Utilisation du clavier Apple Wireless Keyboard 30 Utilisation de la souris Apple Magic Mouse 32 Utilisation de la télécommande Apple Remote 34 Comment obtenir des réponses à vos doutes Chapitre 3 : Augmentez votre mémoire 39 Installation de mémoire 44 Reconnaissance de la nouvelle mémoire par l’iMac6 Table des matières Chapitre 4 : À tout problème sa solution 47 Une once de prévention 47 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre iMac 50 Réparer, restaurer ou réinstaller des logiciels Mac OS X 56 Vérification d’un problème matériel 57 Remplacement des piles 60 Problèmes de connexion à Internet 62 Problèmes de communication sans fil 63 Maintien à jour de vos logiciels 64 Informations, services et assistance 66 Localisation du numéro de série de votre produit Chapitre 5 : Dernières recommandations 68 Informations importantes en matière de sécurité 72 Informations importantes sur la manipulation 74 Nettoyage de votre iMac 75 Ergonomie 77 Apple et l’environnementCentre d’aide Assistant migration www.apple.com/fr/imac Prêt, feu, configurez ! 18 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Votre iMac est conçu pour que vous puissiez le configurer facilement et commencer à travailler immédiatement. Si vous n’avez jamais utilisé d’iMac ou que vous n’êtes pas familiarisé avec les ordinateurs Mac, vous trouverez dans ce chapitre des informations qui vous aideront à débuter. Important : Lisez toutes les instructions d’installation, ainsi que les informations concernant la sécurité à la page 68 avant de brancher votre iMac sur une prise de courant. Si vous êtes un utilisateur expérimenté, peut-être êtes-vous déjà en mesure d’utiliser votre nouvel ordinateur.Veillez néanmoins à consulter les informations du chapitre 2, « Votre iMac au quotidien » à la page 19 pour découvrir les nouvelles fonctionnalités de cet iMac. Le Centre d’aide contient de nombreuses réponses aux questions concernant votre iMac. Pour en savoir plus sur le Centre d’aide, consultez la rubrique « Comment obtenir des réponses à vos doutes » à la page 34. Retirez tout film protecteur présent sur l’extérieur de votre iMac avant de configurer ce dernier.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 9 Contenu du coffret Votre iMac est fourni avec un clavier Apple Wireless Keyboard, une souris sans fil Apple Magic Mouse et un câble d’alimentation secteur CA. Si vous avez commandé une télécommande Apple Remote, elle est également présente dans le coffret. Câble d’alimentation secteur CA Clavier Apple Wireless Keyboard Souris Apple Magic Mouse10 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Configuration de l’iMac Suivez les étapes suivantes pour configurer votre iMac. Attendez l’étape 4 pour allumer votre iMac. Étape 1 : Faites passer le câble d’alimentation à travers le trou présent sur le socle, branchez-le sur le port d’alimentation au dos de votre iMac, puis insérez-le dans une prise de courant.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 11 Étape 2 : Pour accéder à Internet ou à un réseau, connectez l’une des extrémités d’un câble Ethernet au port Ethernet de votre iMac. Connectez l’autre extrémité à un modem câble, un modem DSL ou un réseau. Votre iMac est équipé de la technologie Wi-Fi 802.11n de mise en réseau sans fil. Pour en savoir plus sur la configuration d’une connexion sans fil, choisissez Aide dans la barre des menus, puis recherchez le terme « wi-fi ». Pour utiliser une connexion commutée, vous avez besoin d’un modem USB externe. Branchez le modem sur un port USB de votre iMac, puis utilisez un câble téléphonique pour connecter le modem à une prise de téléphone.12 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 3 : Allumez votre clavier et votre souris sans fil. Appuyez sur le bouton de mise sous tension situé sur le côté droit du clavier Apple Wireless Keyboard et faites glisser le commutateur se trouvant sur la partie inférieure de la souris Apple Magic Mouse pour les activer. Votre clavier et votre souris sans fil, fournis avec des piles AA, sont déjà jumelés avec votre iMac. Le jumelage leur permet de communiquer sans fil avec votre iMac. Bouton Marche/Arrêt Lampe témoin Lampe témoin Interrupteur Marche/Arrêt Lorsque vous allumez votre clavier ou votre souris pour la première fois, le voyant reste allumé pendant 5 secondes, pour indiquer que les piles sont en bon état. Si votre clavier ou souris ne s’allume pas, vérifiez que les piles sont bien mises en place (voir « Remplacement des piles » à la page 57). Le voyant clignote ensuite jusqu’à ce que vous allumiez votre iMac et qu’une connexion soit établie. Remarque : Si vous avez acheté un clavier ou une souris USB, connectez le câble à un port USB (d) situé sur la partie arrière de votre iMac.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 13 Étape 4 : Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) situé au dos pour allumer votre iMac. Un signal sonore retentit lorsque vous allumez l’iMac. Cliquez avec votre souris pour établir une connexion avec votre iMac. ® ® ® Important : Si votre clavier ou votre souris n’est pas jumelé,suivez les instructions à l’écran pour les jumeler. Vous devrez peut-être cliquer une fois avec la souris pour établir une connexion. Pour en savoir plus sur le jumelage, consultez la section « Jumelage de votre clavier sans fil avec votre iMac » à la page 29.14 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 5 : Configurez votre iMac. La première fois que vous démarrez votre iMac, l’Assistant réglages se met en route. Il vous aide à spécifier votre réseau Wi-Fi, à configurer un compte utilisateur ainsi qu’à transférer des informations depuis un autre Mac ou PC. Vous pouvez également transférer des informations à partir d’une copie de sauvegarde de Time Machine ou d’un d’autre disque. Si vous migrez depuis un autre Mac, vous devrez sans doute mettre à jour des logiciels si l’autre Mac ne possède pas Mac OS X 10.5.3 ou ultérieur. Pour migrer depuis un PC, téléchargez l’Assistant migration sur www.apple.com/fr/migrate-to-mac et installez-le sur le PC depuis lequel vous voulez migrer. Une fois l’Assistant réglages ouvert sur votre iMac, vous pouvez le laisser en milieu de processus sans le fermer, aller sur un autre ordinateur si vous avez besoin de mettre à jour les logiciels, puis retourner sur votre iMac pour terminer la configuration. Remarque : Si vous n’utilisez pas l’Assistant réglages pour transférer vos informations lors du premier démarrage de votre iMac, vous pouvez le faire ultérieurement à l’aide de l’Assistant migration. Ouvrez l’Assistant migration, situé dans le dossier Utilitaires du Launchpad. Pour obtenir de l’aide sur l’Assistant migration, ouvrez le Centre d’aide et rechercher le terme « Assistant migration ».Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 15 Pour configurer votre iMac : 1 Dans l’Assistant réglages, suivez les instructions jusqu’à arriver à l’écran « Transférer des données vers ce Mac ». 2 Effectuez une configuration de base, une configuration avec migration ou transférez des informations à partir d’une copie de sauvegarde de Time Machine ou d’un d’autre disque :  Pour effectuer une configuration de base, sélectionnez « Ne pas transférer maintenant », puis cliquez sur Continuer. Suivez les invites restantes pour sélectionner votre réseau câblé ou sans fil, configurer un compte puis quittez l’Assistant réglages.  Pour effectuer une configuration avec migration, sélectionnez « À partir d’un autre Mac ou d‘un PC » et cliquez sur Continuer. Suivez les instructions à l’écran pour sélectionner le Mac ou le PC depuis lequel effectuer la migration. Votre Mac ou PC doit se trouver sur le même réseau câblé ou sans fil. Suivez les instructions à l’écran.  Pour transférer des informations à partir d’une copie de sauvegarde de Time Machine ou d’un d’autre disque, sélectionnez « À partir d’une sauvegarde Time Machine ou d’un autre disque », puis cliquez sur Continuer. Sélectionnez la copie de sauvegarde ou l’autre disque à partir duquel vous souhaitez migrer. Suivez les instructions à l’écran. Si vous ne comptez pas conserver ou utiliser votre autre ordinateur, il est préférable de lui retirer son autorisation à lire la musique, les vidéos ou les livres audio achetés dans l’iTunes Store. Le retrait d’autorisation d’accès d’un ordinateur empêche qu’un autre utilisateur lise les morceaux, vidéos et livres audio que vous avez achetés et libère une autre autorisation pour en permettre l’utilisation. Pour en savoir plus sur le retrait de l’autorisation d’accès, choisissez Aide iTunes dans le menu Aide de l’application iTunes.16 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 6 : Personnalisez votre bureau et réglez les préférences. Vous pouvez rapidement personnaliser le bureau en utilisant les Préférences Système, véritable centre de commande permettant de paramétrer la plupart des réglages sur votre iMac. Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système dans la barre des menus ou cliquez sur l’icône Préférences Système dans le Dock. Important : Vous pouvez configurer une option pour réinitialiser votre mot de passe dans les préférences Utilisateurs et groupes, au cas où vous oublieriez votre mot de passe d’ouverture de session. Pour obtenir de l’aide sur les Préférences Système, recherchez « Préférences Système » ou la préférence pour laquelle vous souhaitez de l’aide dans le Centre d’aide. Extinction ou suspension d’activité de votre iMac Lorsque vous avez terminé d’utiliser votre iMac, suspendez son activité ou éteignez-le. Suspension de l’activité de votre iMac Si vous envisagez de ne pas utiliser votre iMac pendant quelques jours, suspendezen l’activité. Lorsque l’activité de votre iMac est suspendue, son écran est noir. Vous avez la possibilité de réactiver votre iMac rapidement sans passer par la procédure de démarrage.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 17 Pour suspendre l’activité de votre iMac, procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez le menu Pomme () > Suspendre l’activité dans la barre des menus.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière de l’iMac.  Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, cliquez sur Économiseur d’énergie, puis définissez un délai pour la suspension d’activité.  Maintenez enfoncé pendant 3 secondes le bouton Lecture/Pause (’) de la télécommande Apple Remote facultative. Pour réactiver votre iMac, procédez de l’une des manières suivantes :  Appuyez sur n’importe quelle touche du clavier.  Cliquez avec la souris.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière de l’iMac.  Appuyez sur un des boutons de la télécommande Apple Remote facultative. À la réactivation de votre iMac, vos applications, vos documents et vos réglages sont conservés tels que vous les aviez laissés. Extinction de votre iMac Si vous ne comptez pas utiliser votre iMac pendant plus que quelques jours, éteignezle. Choisissez le menu Pomme () > Éteindre. Pour rallumer votre iMac, appuyez sur le bouton (®) d’alimentation. AVIS : Éteignez votre iMac avant de le déplacer. Tout déplacement de votre iMac lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager ce dernier et d’entraîner une perte de données ou l’impossibilité de démarrer à partir du disque dur.www.apple.com/fr/macosx Centre d’aide Mac OS X Votre iMac au quotidien 220 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Caractéristiques de base de votre iMac Lecteur SuperDrive à chargement par fente Caméra FaceTime HD Capteur de lumière ambiante intégré Micro intégré Lampe témoin de la caméra Logement de la carte SD Haut-parleurs stéréo intégrés Récepteur à infrarouge (IR) intégréChapitre 2 Votre iMac au quotidien 21 Micro intégré Enregistrez des sons directement sur votre iMac ou utilisez l’application iChat incluse pour converser avec vos amis sur Internet. Caméra FaceTime HD intégrée et lampe témoin de la caméra Utilisez l’application FaceTime pour passer des appels vidéo vers d’autres utilisateurs de FaceTime (sur n’importe quel iPhone 4, iPad 2, nouvel iPod touch ou Mac dotés de FaceTime), prendre des photos avec Photo Booth ou capturer de la vidéo avec iMovie. La lampe témoin brille lorsque la caméra FaceTime HD fonctionne. Capteur de lumière ambiante intégré Ajustez automatiquement la luminosité de votre écran en fonction de la lumière ambiante. SuperDrive à chargement par fente Le lecteur SuperDrive à chargement par fente lit et écrit sur des CD et des DVD de taille standard. Logement de carte SD Transférez facilement vos photos, vidéos et données vers et à partir de votre iMac avec une carte SD. Haut-parleurs stéréo intégrés Permettent d’écouter de la musique, des films, des jeux et d’autres types de données multimédias. Récepteur à infrarouge (IR) intégré Associé à une télécommande Apple Remote (vendue séparément), le récepteur à infrarouge vous permet de contrôler, jusqu’à une distance de 9,1 mètres, l’application Keynote sur votre iMac.22 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Ports de votre iMac ® Port de sortie casque/audio numérique optique Port d’entrée audio/ audio numérique optique , f Port Thunderbolt (1 ou 2) d Ports USB 2.0 (4) Port Ethernet (10/100/1000 Base-T) G H Port FireWire 800Chapitre 2 Votre iMac au quotidien 23 G Port Ethernet (10/100/1000Base-T) Connectez-vous à un réseau Ethernet 10/100/1000 Base-T à haut débit ou à un modem câble ou DSL, ou bien connectez-vous à un autre ordinateur et transférez les fichiers. Le port Ethernet détecte automatiquement les autres périphériques Ethernet. Un ou deux ports Thunderbolt (données, vidéo et audio haut débit) Connectez-y des périphériques compatibles Thunderbolt pour des transferts de données haut débit, ou un moniteur externe utilisant un port Mini DisplayPort. Vous pouvez acheter des adaptateurs pour connecter des moniteurs DVI, HDMI ou VGA. L’iMac 21,5 pouces est doté d’un port Thunderbolt et l’iMac 27 pouces de deux. d Quatre ports USB (Universal Serial Bus) 2.0 à haut débit. Utilisez ces ports pour connecter un iPod, un iPhone, un iPad, une souris, un clavier, une imprimante, un lecteur de disque, une caméra numérique, une manette de jeu, un modem USB externe et bien plus encore. Vous pouvez également y brancher des périphériques USB 1.1. , Port d’entrée audio/entrée audio numérique optique Branchez-y un micro externe alimenté ou tout autre équipement audio numérique. Ce port peut également servir de mini-prise stéréo 3,5 mm S/PDIF. f Port de sortie casque/sortie audio numérique optique Branchez-y des écouteurs, des haut-parleurs amplifiés externes ou tout autre équipement audio numérique. Ce port peut également servir de mini-prise stéréo 3,5 mm S/PDIF. H Port FireWire 800 Connectez-y des périphériques externes tels que des caméras vidéo numériques et des périphériques de stockage. Ce port offre une puissance maximale de 7 watts.24 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Autres composants de votre iMac ® Bouton d’alimentation Port secteur ® Accès à la mémoire (par-dessous) Logement de sécuritéChapitre 2 Votre iMac au quotidien 25 Port secteur Utilisez-le pour brancher le câble d’alimentation à votre iMac. Logement de sécurité Attachez votre ordinateur à l’aide d’un câble et d’un cadenas pour décourager les tentatives de vol (disponibles séparément). ® Bouton d’alimentation Il permet d’allumer votre iMac ou de suspendre son activité. Maintenez ce bouton enfoncé pour redémarrer votre iMac lors des procédures de dépannage. Accès à la mémoire Installez de la mémoire supplémentaire. Votre iMac est équipé d’au moins 4 Go de mémoire installée sous la forme de deux modules de mémoire de 2 Go chacun. Z Wi-Fi 802.11n (à l’intérieur) Connectez-vous à un réseau sans fil grâce à la technologie Wi-Fi 802.11n intégrée. ◊ Technologie sans fil Bluetooth® (à l’intérieur) Connectez-y des appareils sans fil, tels que le clavier Apple Wireless Keyboard, la souris Apple Magic Mouse, les téléphones portables Bluetooth, les assistants numériques personnels et les imprimantes.26 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Fonctionnalités du clavier Apple Wireless Keyboard et de la souris Apple Magic Mouse Touches de réglage de luminosité Clavier Apple Wireless Keyboard Touches de réglage du volume - Souris Apple Magic Mouse Touches multimédias Touche Launchpad Touche Mission Control Touche d’éjection de disque CChapitre 2 Votre iMac au quotidien 27 Souris Apple Magic Mouse Intègre un moteur de suivi laser, la technologie sans fil Bluetooth, un interpréteur transparent qui utilise la technologie Multi-Touch pour prendre en charge plusieurs boutons, le défilement 360°, l’agrandissement écran et le contrôle du curseur de votre iMac. Utilisez les préférences Souris pour ajuster le suivi, les clics et la vitesse de défilement ou pour ajouter la prise en charge d’un bouton secondaire (voir page 31). Clavier Apple Wireless Keyboard Combinez la liberté du sans fil avec les fonctions clés préprogrammées pour fonctionner avec vos applications. C Touche d’éjection de disques Maintenez cette touche enfoncée pour éjecter un disque. Vous pouvez également éjecter un disque en faisant glisser son icône vers la Corbeille. Touches de réglage de luminosité (F1, F2) Permettent d’augmenter ( ) ou de réduire ( ) la luminosité de l’écran. Touche Mission Control (F3) Ouvrez Mission Control pour obtenir une vue globale des éléments en cours d’exécution sur votre iMac, tels que Dashboard, tous vos espaces et toutes vos fenêtres ouvertes. Touche Launchpad (F4) Ouvrez Launchpad pour afficher instantanément toutes les applications de votre iMac. Cliquez sur une application pour l’ouvrir. ’ Touches multimédias (F7, F8, F9) Retour rapide ( ), lecture ou pause (’) ou avance rapide ( ) d’un morceau de musique, d’un film ou d’un diaporama. - Touches de réglage du volume (F10, F11, F12) Coupez le son (—), baissez (–) ou augmentez (-) le volume du son diffusé par les hautparleurs ou par le port de sortie casque de votre iMac.28 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Utilisation du clavier Apple Wireless Keyboard Votre clavier Apple Wireless Keyboard, fourni avec deux piles AA, est déjà jumelé avec votre iMac. Le jumelage signifie que votre clavier et votre iMac sont connectés sans fil et peuvent communiquer entre eux. À propos du voyant lumineux Le voyant DEL de votre clavier sans fil fonctionne comme indicateur de piles et comme voyant d’état. Lorsque vous allumez votre clavier pour la première fois, le voyant reste allumé pendant 5 secondes, pour indiquer que les piles sont en bon état, puis il s’éteint. Si vous appuyez sur le bouton d’alimentation (®) de votre clavier sans fil et que le voyant lumineux ne s’allume pas, vous devez changer les piles. Consultez la section « Remplacement des piles » à la page 57. Lampe témoin Bouton Marche/ArrêtChapitre 2 Votre iMac au quotidien 29 Jumelage de votre clavier sans fil avec votre iMac Si votre clavier sans fil n’est pas jumelé avec votre , le voyant lumineux se met à clignoter. Cela indique que votre clavier est en mode découverte et qu’il est prêt pour le jumelage avec votre iMac. Pour jumeler votre clavier sans fil : 1 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre clavier sans fil. 2 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, puis cliquez sur Clavier. 3 Cliquez sur « Configurer le clavier Bluetooth… », dans l’angle inférieur droit. 4 Sélectionnez votre clavier sans fil, puis suivez les instructions à l’écran. Si vous ne jumelez pas votre clavier avec votre iMac en moins de 3 minutes, le voyant lumineux et le clavier s’éteignent pour économiser les piles. Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer à nouveau votre clavier et le jumeler avec votre iMac. Une fois le jumelage entre votre clavier et votre iMac terminé, le voyant lumineux reste allumé pendant 3 secondes puis s’éteint. Utilisation du clavier Apple Wireless Keyboard Personnalisez votre clavier Apple Wireless Keyboard en utilisant les préférences Clavier. Vous pouvez notamment changer les touches de modification et assigner les raccourcis clavier aux commandes du menu liées à une application Mac OS X ou au Finder. Pour personnaliser votre clavier : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Clavier, puis sur Clavier ou Raccourcis clavier.30 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Utilisation de la souris Apple Magic Mouse Votre souris sans fil Apple Magic Mouse, fournie avec deux piles AA, est déjà jumelée avec votre iMac. Le jumelage signifie que votre Apple Magic Mouse et votre iMac peuvent communiquer grâce à une connexion sans fil établie entre eux. À propos du voyant lumineux Lorsque vous allumez votre souris Apple Magic Mouse pour la première fois, le voyant reste allumé pendant 5 secondes, indiquant que les piles sont en bon état. Lorsque vous allumez votre souris et que le voyant ne s’allume pas, vous devez changer les piles. Consultez la rubrique « Remplacement des piles » à la page 57. Lampe témoin Interrupteur Marche/ArrêtChapitre 2 Votre iMac au quotidien 31 Jumelage de votre souris Apple Magic Mouse avec votre iMac Si votre souris Apple Magic Mouse n’est pas jumelée avec votre iMac, le voyant lumineux se met à clignoter. Cela indique que votre souris est en mode découverte et qu’elle est prête pour le jumelage. Pour jumeler votre souris : 1 Allumez la souris en faisant glisser l’interrupteur Marche/Arrêt situé sur sa partie inférieure. 2 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, puis cliquez sur Souris. 3 Cliquez sur « Configurer la souris Bluetooth… », dans l’angle inférieur droit. 4 Sélectionnez votre souris sans fil, puis suivez les instructions à l’écran. Si vous ne jumelez pas votre souris avec votre iMac en moins de 3 minutes, le voyant lumineux et la souris s’éteignent pour économiser les piles. Faites glisser l’interrupteur Marche/Arrêt pour allumer à nouveau votre souris et la jumeler avec votre iMac. Une fois le jumelage entre votre souris et votre iMac terminé, le voyant reste allumé. Utilisation de la souris Apple Magic Mouse Pour en savoir plus sur les gestes Multi-Touch que vous pouvez faire avec votre souris Apple Magic Mouse ou pour modifier son fonctionnement, utilisez les Préférences Souris. Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, puis cliquez sur Souris.32 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Utilisation de la télécommande Apple Remote Si votre iMac a été livré avec une télécommande Apple Remote, vous pouvez l’utiliser avec les produits Apple équipés d’un récepteur infrarouge (IR). Contrôlez et lisez un film DVD ou de la musique à partir de votre bibliothèque iTunes, regardez des diaporamas et des bandes-annonces de film, et plus encore. Haut Bas Menu Lecture/Pause Gauche Droite Sélection Pour utiliser votre télécommande : 1 Appuyez sur Lecture/Pause pour lire ou mettre en pause un morceau, un diaporama ou un film. 2 Appuyez sur Droite ou Gauche pour passer au morceau suivant ou précédent de votre bibliothèque iTunes ou au chapitre suivant ou précédent sur un DVD. 3 Maintenez le bouton Droite ou Gauche enfoncé pour effectuer une avance ou un retour rapide sur un morceau ou un film. 4 Appuyez sur Haut ou Bas pour régler le volume.Chapitre 2 Votre iMac au quotidien 33 Jumelage de votre télécommande Apple Remote Jumelez votre télécommande Apple Remote avec votre iMac ou tout autre produit Apple. Après le jumelage de votre iMac ou produit Apple, ce dernier est seulement commandé par la télécommande jumelée. Pour jumeler votre télécommande : 1 Rapprochez-vous jusqu’à 8 ou 10 cm de votre iMac ou produit Apple. 2 Pointez la télécommande en direction du récepteur infrarouge situé sur le devant de votre iMac ou produit Apple. 3 Maintenez les touches Droite et Menu enfoncées pendant 5 secondes. Une fois votre télécommande jumelée, un symbole de maillon apparaît à l’écran. Pour supprimer le jumelage de votre télécommande sur un iMac : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système dans la barre des menus. 2 Cliquez sur Sécurité puis sur Supprimer le jumelage. Pour l’Apple TV et d’autres produits Apple, maintenez Menu et Gauche enfoncés pour supprimer le jumelage.34 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Remplacement de la pile Pour remplacer la pile : 1 Utilisez une pièce pour retirer le couvercle du compartiment de la pile. Compartiment de la pile 2 Insérez une pile CR2032, face positive (+) vers le haut. 3 Replacez le couvercle et utilisez une pièce pour le visser. Comment obtenir des réponses à vos doutes De plus amples informations concernant votre iMac sont disponibles dans le Centre d’aide et sur Internet, à l’adresse www.apple.com/fr/support/imac. Pour obtenir de l’aide du Centre d’aide : 1 Cliquez sur l’icône du Finder dans le Dock (la barre des icônes située au bord de l’écran). 2 Cliquez sur le menu Aide dans la barre des menus et procédez de l’une des manières suivantes :  Saisissez une question ou un terme dans le champ de recherche, puis sélectionnez une rubrique dans la liste des résultats ou sélectionnez « Afficher toutes les rubriques d’aide » pour afficher toutes les rubriques.  Sélectionnez « Centre d’aide » pour ouvrir la fenêtre Centre d’aide et consulter ou rechercher des rubriques.Chapitre 2 Votre iMac au quotidien 35 Informations supplémentaires Pour en savoir plus sur l’utilisation de votre iMac, consultez le tableau suivant : Pour obtenir des informations sur : Reportez-vous aux sources suivantes : L’installation de mémoire « Augmentez votre mémoire » à la page 37. Le dépannage de votre iMac en cas de problème « À tout problème sa solution » à la page 45. L’obtention de services et d’une assistance pour votre iMac « Informations, services et assistance » à la page 64. Vous pouvez également consulter le site web d’assistance Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support. L’utilisation de Mac OS X Site web de Mac OS X à l’adresse www.apple.com/fr/macosx. Vous pouvez également rechercher « Mac OS X » dans le Centre d’aide. La migration depuis un PC vers un Mac « Pourquoi vous adorerez le Mac » à l’adresse www.apple.com/fr/ getamac/whymac. L’utilisation des applications iLife Site web d’iLife à l’adresse www.apple.com/fr/ilife. Vous pouvez également ouvrir une application iLife, ouvrir l’Aide de cette application, puis saisir une question dans le champ de recherche. La modification des Préférences Système Préférences Système, accessibles en choisissant le menu Pomme (K) > Préférences Système. Vous pouvez également rechercher « préférences système » dans le Centre d’aide. L’utilisation de la caméra FaceTime HD Recherchez « FaceTime » dans le Centre d’aide. L’utilisation de votre clavier ou de votre souris Ouvrez les Préférences Système et choisissez Clavier ou Souris. Vous pouvez également ouvrir le Centre d’aide et rechercher le terme « clavier » ou « souris ». L’utilisation du Wi-Fi Recherchez le terme « wi-fi » dans le Centre d’aide.36 Chapitre 2 Votre iMac au quotidien Pour obtenir des informations sur : Reportez-vous aux sources suivantes : L’utilisation de la technologie sans fil Bluetooth Recherchez « Bluetooth » dans le Centre d’aide. Vous pouvez également consulter la page web d’assistance Bluetooth à l’adresse www.apple.com/fr/support/bluetooth. La connexion d’une imprimante Recherchez « impression » dans le Centre d’aide. Les connexions FireWire et USB Recherchez « FireWire » ou « USB » dans le Centre d’aide. Connexion à Internet Recherchez « Internet » dans le Centre d’aide. Moniteurs externes Recherchez les termes « port de sortie vidéo » ou « mode moniteur externe » dans le Centre d’aide. L’utilisation du port Thunderbolt Recherchez « Thunderbolt » dans le Centre d’aide. La télécommande Apple Remote Recherchez « remote » dans le Centre d’aide. L’utilisation du lecteur SuperDrive Recherchez « lecteur optique » dans le Centre d’aide. Les caractéristiques La page des Caractéristiques à l’adresse support.apple.com/ fr_FR/specs pour les caractéristiques techniques standard. Vous pouvez également ouvrir Informations Système en choisissant le menu Pomme (K) > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis en cliquant sur Plus d’infos. Le téléchargement de mises à jour logicielles pour Mac Mises à jour logicielles en choisissant le menu Pomme (K) > Mise à jour de logiciels. La recherche et le téléchargement d’apps Mac Mac App Store, accessible en choisissant le menu Pomme (K) > App Store. Vous pouvez également cliquer sur l’icône dans le Dock. Les instructions, l’assistance technique et les manuels des produits Apple Site web d’assistance Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support.Centre d’aide RAM www.apple.com/fr/store Augmentez votre mémoire 338 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire Votre iMac est équipé d’au moins 4 gigaoctets (Go) de mémoire DRAM (Dynamic Random Access) DDR 3 (Double Data Rate 3) installés sous la forme de deux modules de mémoire de 2 Go chacun. Vous pouvez augmenter la mémoire jusqu’à 16 Go en remplaçant ou en installant de la mémoire supplémentaire par des modules de mémoire de 2 ou 4 Go. Les modules de mémoire doivent être conformes aux spécifications suivantes :  format Small Outline Dual Inline Memory Module (SO-DIMM) ;  1 333 MHz, PC3-8500, compatible DDR3 (également appelé DDR3 1333) ;  sans tampon et non enregistrée. AVERTISSEMENT : Apple vous recommande de confier l’installation de mémoire à un technicien agréé Apple. Consultez la section « Service et assistance AppleCare » à la page 65 pour plus de renseignements sur la manière de contacter Apple pour toute demande de service. Les éventuels dommages causés à votre matériel en tentant d’installer vous-même de la mémoire ne sont pas couverts par la garantie limitée de votre iMac.Chapitre 3 Augmentez votre mémoire 39 Installation de mémoire Votre iMac possède quatre logements mémoire. Deux sont occupés respectivement par un module de mémoire d’au moins 2 Go. Vous pouvez installer de la mémoire supplémentaire dans les logements libres ou remplacer la mémoire des logements occupés par des modules de mémoire de 2 ou 4 Go, avec 16 Go au maximum. Vous pouvez acheter de la mémoire Apple supplémentaire chez un revendeur agréé Apple, dans un magasin Apple Store ou sur l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/fr/store. AVERTISSEMENT : Éteignez toujours votre iMac et retirez le câble d’alimentation avant d’installer de la mémoire. N’essayez pas d’installer de la mémoire alors que votre iMac est branché. Pour installer de la mémoire : 1 Éteignez votre iMac en choisissant le menu Pomme () > Éteindre. 2 Débranchez tous les câbles de votre iMac, y compris le câble d’alimentation. 3 Placez un linge ou un chiffon propre et doux sur votre surface de travail. Tout en tenant votre iMac par les côtés, posez-le à plat de manière à faire reposer l’écran contre la surface de la table et à tourner la partie inférieure de l’ordinateur vers vous.40 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire 4 Soulevez le socle et utilisez un tournevis cruciforme nº 2 pour desserrer les trois vis imperdables sur le cache d’accès à la mémoire. Faites-les tourner dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Tournevis cruciforme Soulevez le socle ® Cache d’accès à la mémoire 5 Retirez le cache d’accès à la mémoire et mettez-le de côté.Chapitre 3 Augmentez votre mémoire 41 6 Sortez les languettes du compartiment de mémoire. 7 Pour remplacer un module de mémoire, vous devez tirer sur la languette afin d’éjecter le module de mémoire installé. Retirez les modules de mémoire que vous souhaitez remplacer. ® Sortez la languette Sortez la languette42 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire 8 Insérez les nouveaux modules de mémoire dans les logements, avec l’encoche tournée vers la droite, comme indiqué sur l’illustration.  Si vous installez des modules de mémoires supplémentaires, insérez-les dans les logements vides.  Si vous remplacez des modules de mémoires existants, insérez un nouveau module dans chacun des logements avants se trouvant le plus près du moniteur. 9 Enfoncez fortement chaque module de mémoire dans son logement. Vous entendrez un léger clic indiquant que le module de mémoire est correctement installé. 10 Remettez les languettes dans le compartiment de mémoire. ® Modules de mémoire Remettez la languetteChapitre 3 Augmentez votre mémoire 43 11 Remettez le cache d’accès à la mémoire en place et resserrez les trois vis imperdables à l’aide d’un tournevis cruciforme nº 2. AVERTISSEMENT : N’oubliez pas de remettre le cache d’accès à la mémoire en place après avoir installé la mémoire. Votre iMac ne fonctionnera pas correctement sans le cache d’accès à la mémoire. Tournevis cruciforme Soulevez le socle ® Cache d’accès à la mémoire 12 Tenez votre iMac par les côtés pour le remettre en position de marche. Reconnectez ensuite les câbles et le cordon d’alimentation. 13 Allumez votre iMac en appuyant sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière.44 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire Reconnaissance de la nouvelle mémoire par l’iMac Après avoir installé la mémoire, assurez-vous que l’iMac la reconnaît. Pour vérifier la mémoire installée sur votre iMac : 1 Démarrez votre iMac. 2 Lorsque le bureau Mac OS X s’affiche, choisissez le menu Pomme () > À propos de ce Mac. La quantité totale de mémoire installée sur votre iMac s’affiche alors. Pour un aperçu plus détaillé de la quantité de mémoire installée, ouvrez Informations Système en cliquant sur Plus d’infos. Si la mémoire que vous avez installée n’atteint pas le niveau de la configuration requise (voir page 38), votre iMac sonnera trois fois toutes les cinq secondes. Si tel est le cas, éteignez votre iMac et vérifiez à nouveau les instructions d’installation pour vous assurer que la mémoire est compatible avec votre iMac et qu’elle est correctement installée. Si les problèmes persistent, retirez la mémoire et consultez les informations d’assistance technique fournies avec la mémoire ou contactez le fournisseur de la mémoire.www.apple.com/fr/macosx Centre d’aide aide www.apple.com/fr/support À tout problème sa solution 446 Chapitre 4 À tout problème sa solution Vous pouvez rencontrer, à titre exceptionnel, des problèmes en utilisant votre iMac. Lisez la suite pour obtenir des conseils de dépannage utiles en cas de problème. Vous trouverez également d’autres informations de dépannage dans le Centre d’aide et sur le site web d’assistance iMac à l’adresse www.apple.com/fr/support/imac. Il existe généralement une solution simple et rapide aux problèmes qui peuvent survenir au cours de l’utilisation de votre iMac. Si vous rencontrez un problème, essayez de noter les opérations que vous avez effectuées avant que le problème ne survienne. Ce récapitulatif permet de restreindre les causes possibles du problème et de trouver la solution. Les éléments à noter comprennent :  les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu ; les problèmes qui ne surgissent qu’avec une application particulière peuvent indiquer que cette application n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur votre iMac ;  tout logiciel que vous avez récemment installé ;  tout nouveau composant matériel connecté ou installé (mémoire supplémentaire ou périphérique, par exemple). AVERTISSEMENT : N’essayez pas d’ouvrir votre iMac,sauf pour y installer de la mémoire. Si votre iMac a besoin d’être inspecté, consultez la section « Informations,services et assistance » à la page 64 pour savoir comment contacter Apple ou un Centre de Services Agréé Apple. L’utilisateur ne peut remplacer aucune pièce de l’iMac excepté la mémoire.Chapitre 4 À tout problème sa solution 47 Une once de prévention Si vous rencontrez un problème avec votre ordinateur ou un logiciel, des copies de sauvegarde Time Machine à jour vous permettront d’éviter de perdre des données. Si vous effectuez fréquemment des copies de sauvegarde de Time Machine, vous pouvez restaurer votre logiciel et toutes vos données dans l’état lors de la copie de sauvegarde. Même les graves problèmes perdent de leur importance quand vous sauvegardez vos données avec Time Machine. Problèmes vous empêchant d’utiliser votre iMac Si votre iMac ne répond plus ou que le pointeur se fige  Vérifiez que votre clavier Apple Wireless Keyboard ou votre souris Apple Magic Mouse est activé et que les piles sont en état de marche. Consultez la section « Remplacement des piles » à la page 57. Si vous utilisez un clavier ou une souris USB, assurez-vous qu’ils sont connectés. Débranchez puis rebranchez les connecteurs et vérifiez qu’ils sont correctement mis en place.  Essayez de forcer la fermeture des applications qui posent problème. Maintenez les touches Option et Commande (x) enfoncées, puis appuyez sur esc. Si une zone de dialogue apparaît, sélectionnez-y l’application et cliquez sur Forcer à quitter. Enregistrez alors le travail de toute application ouverte, puis redémarrez l’iMac afin de vous assurer que le problème est entièrement réglé.  Si vous ne parvenez pas à forcer la fermeture de l’application, éteignez votre ordinateur en maintenant enfoncé le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière de votre iMac pendant cinq secondes. Débranchez le câble d’alimentation de l’iMac. Rebranchez ensuite le câble, puis appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour rallumer l’iMac.48 Chapitre 4 À tout problème sa solution Si le problème survient chaque fois que vous utilisez une application particulière, consultez le fabricant de cette application pour vérifier si elle est compatible avec votre ordinateur. Pour obtenir des informations concernant les logiciels fournis avec votre iMac, consultez la page www.apple.com/fr/downloads. Si vous rencontrez ce problème fréquemment, essayez de réparer votre disque, de restaurer votre logiciel depuis une copie de sauvegarde ou de réinstaller votre logiciel système à l’aide de la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X (voir la section « Réparer, restaurer ou réinstaller des logiciels Mac OS X » à la page 50). Si votre iMac se bloque au démarrage ou si un point d’interrogation clignotant apparaît  Patientez quelques secondes. Si votre iMac ne démarre pas dans un bref délai, éteignez l’iMac en maintenant le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant 5 secondes. Maintenez ensuite la touche Option enfoncée tout en appuyant à nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour démarrer votre iMac. Maintenez la touche Option enfoncée jusqu’au démarrage de votre iMac, puis cliquez sur la flèche située sous l’icône du disque dur que vous voulez utiliser. Une fois que l’iMac démarre, ouvrez Préférences Système et cliquez sur Disque de démarrage. Sélectionnez un dossier Système local de Mac OS X.  Si le problème se produit fréquemment, vous devrez peut-être réinstaller le logiciel système (consultez la rubrique « Réparer, restaurer ou réinstaller des logiciels Mac OS X » à la page 50). Si votre iMac ne s’allume ou ne démarre pas  Assurez-vous que le câble d’alimentation est correctement connecté à l’iMac et branché sur une prise électrique en état de marche.Chapitre 4 À tout problème sa solution 49  Redémarrez votre ordinateur tout en maintenant la touche Commande (x) et la touche R enfoncées, jusqu’au redémarrage de l’ordinateur. Lorsque la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X apparaît, sélectionnez une option pour réparer votre disque, restaurer votre logiciel ou réinstaller les applications Mac OS X et Apple. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réparer, restaurer ou réinstaller des logiciels Mac OS X » à la page 50.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et maintenez immédiatement les touches Commande (x), Option, P et R enfoncées jusqu’à entendre à nouveau le son de démarrage. Cette action réinitialise la RAM des paramètres (PRAM).  Si vous avez récemment installé de la mémoire et que votre iMac fait retentir une sonnerie toutes les cinq secondes, assurez-vous que la mémoire est correctement installée et qu’elle est compatible avec votre iMac. Vérifiez si le retrait de cette mémoire permet à l’iMac de démarrer (voir page 42).  Débranchez le câble d’alimentation et attendez au moins 30 secondes. Rebranchez le câble, puis appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre iMac.  Si vous ne parvenez toujours pas à redémarrer votre iMac, consultez la rubrique « Informations, services et assistance » à la page 64 pour obtenir les coordonnées du service de réparation Apple. En cas de problèmes avec l’insertion d’un disque  En effectuant un mouvement continu, enfoncez le disque dans le lecteur jusqu’à ce que vos doigts touchent le bord de votre iMac  Utilisez uniquement un disque de taille standard.50 Chapitre 4 À tout problème sa solution En cas de problème à l’éjection d’un disque  Quittez toutes les applications susceptibles d’utiliser le disque, puis appuyez sur la touche d’éjection de disque (C) de votre clavier.  Ouvrez une fenêtre du Finder et cliquez sur l’icône d’éjection (située à côté de celle du disque dans la barre latérale), ou bien faites glisser l’icône du disque du bureau vers la Corbeille.  Fermez la session de votre compte utilisateur en choisissant le menu Pomme () > Fermer la session « Utilisateur » (le nom de votre compte apparaît dans le menu), puis appuyez sur la touche d’éjection de disque (C) de votre clavier.  Redémarrez votre iMac en maintenant le bouton de la souris enfoncé. En cas de problème de défilement avec votre souris  Si votre souris est dotée d’une bille de défilement et que celle-ci ne défile pas vers le haut, vers le bas, ou latéralement, retournez la souris et faites rouler la bille énergiquement tout en la nettoyant.  Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Entretien de votre souris » à la page 74. Si vous perdez fréquemment vos réglages de date et d’heure  La batterie de secours interne de votre ordinateur a peut-être besoin d’être remplacée. Consultez la section « Informations, services et assistance » à la page 64 pour contacter Apple à propos du service après-vente. Réparer, restaurer ou réinstaller des logiciels Mac OS X Mac OS X permet de réparer et de restaurer les utilitaires afin d’éliminer les problèmes avec les logiciels ou le matériel iMac. Mac OS X peut également restaurer vos logiciels avec les réglages d’origine (sortie d’usine). Vous pouvez accéder à ces utilitaires à l’aide de l’application Utilitaires Mac OS X, même si votre ordinateur ne démarre pas correctement.Chapitre 4 À tout problème sa solution 51 Utilisez les Utilitaires Mac OS X pour :  restaurer vos logiciels et vos données à partir d’une copie de sauvegarde Time Machine ;  réinstaller Mac OS X et des applications Apple ;  restaurer les réglages d’origine de votre ordinateur en effaçant son disque et en réinstallant Mac OS X et vos applications Apple ;  réparer le disque de votre ordinateur à l’aide d’Utilitaire de disque. Si votre ordinateur détecte un problème, l’application Utilitaires Mac OS X s’ouvre automatiquement. Vous pouvez également ouvrir l’application manuellement en redémarrant l’ordinateur.52 Chapitre 4 À tout problème sa solution Pour ouvrir l’application Utilitaires Mac OS X : m Redémarrez votre ordinateur en maintenant les touches Commande (x) et R enfoncées. Certains utilitaires de l’application Utilitaires Mac OS X nécessitent un accès à Internet et au Mac App Store. Vous pouvez vous assurer que votre ordinateur est connecté à Internet à l’aide de votre réseau Ethernet ou Wi-Fi. Se connecter à l’aide d’un réseau Wi-Fi : 1 Choisissez un réseau dans le menu d’état Wi-Fi situé dans le coin supérieur droit de l’écran. 2 Si nécessaire, saisissez le mot de passe du réseau. Pour vous connecter à un réseau fermé, choisissez Se connecter à un autre réseau. Saisissez le nom et le mot de passe du réseau. Réparation d’un disque avec Utilitaire de disque Si vous avez un problème avec votre ordinateur ou si, au démarrage, celui-ci affiche la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, une réparation du disque de votre ordinateur peut être nécessaire. 1 Sélectionnez Utilitaire de disque dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X et cliquez sur Continuer. 2 Sélectionnez le disque ou la partition dans la liste de gauche, puis cliquez sur l’onglet S.O.S. 3 Cliquez sur Réparer le disque. Si Utilitaire de disque ne peut pas réparer le disque, sauvegardez autant d’informations que possible, puis suivez les instructions de la section « Réinstallation de Mac OS X et des applications Apple » à la page 54.Chapitre 4 À tout problème sa solution 53 Pour obtenir des informations sur Utilitaire de disque et ses options, consultez le Centre d’aide, ou ouvrez Utilitaire de disque (dans le dossier Utilitaires du Launchpad) et choisissez Aide > Aide Utilitaire de disque. Restauration d’informations depuis une copie de sauvegarde Time Machine Vous pouvez utiliser l’utilitaire Restauration pour tout restaurer sur votre ordinateur à l’état antérieur si vous possédez une copie de sauvegarde Time Machine. Utilisez la copie de sauvegarde Time Machine pour restaurer vos données uniquement sur l’ordinateur qui est à la source de la sauvegarde. Si vous voulez transférer des informations vers un nouvel ordinateur, utilisez l’Assistant migration (situé dans le dossier Utilitaires du Launchpad). 1 Si votre copie de sauvegarde se trouve sur une Time Capsule, assurez-vous que votre ordinateur est connecté à un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions présentées à la page 52.) 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, sélectionnez Restaurer à partir d’une sauvegarde Time Machine, puis cliquez sur Continuer. 3 Sélectionnez le disque qui contient la copie de sauvegarde Time Machine, puis suivez les instructions à l’écran.54 Chapitre 4 À tout problème sa solution Réinstallation de Mac OS X et des applications Apple La réinstallation de Mac OS X et des applications Apple peut parfois s’avérer nécessaire. Vous pouvez procéder à cette réinstallation tout en conservant vos fichiers et vos réglages utilisateur. 1 Assurez-vous que vous êtes connecté à Internet via un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions présentées à la page 52.) 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, sélectionnez Réinstaller Mac OS X, puis cliquez sur Continuer. 3 Dans la sous-fenêtre dans laquelle vous êtes invité à sélectionner un disque, sélectionnez votre disque Mac OS X actuel (il s’agit bien souvent du seul disque disponible). 4 Pour sélectionner ou désélectionner des logiciels facultatifs, cliquez sur Personnaliser. 5 Cliquez sur Installer. Vous pouvez soit installer Mac OS X sans effacer le disque, afin de conserver vos fichiers et réglages existants,soit effacer d’abord le disque pour supprimer toutes vos données et préparer l’ordinateur en vue de la réinstallation de Mac OS X et des applications Apple. Une fois Mac OS X réinstallé, vous pouvez télécharger à nouveau les applications Apple fournies avec votre iMac et les applications que vous avez achetées sur le Mac App Store. Vous pouvez restaurer vos autres données et applications depuis une copie de sauvegarde Time Machine ou autre. Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données du disque avant de procéder à la restauration des logiciels. Apple décline toute responsabilité en cas de perte de données.Chapitre 4 À tout problème sa solution 55 Restauration des réglages d’origine de votre ordinateur Lorsque vous restaurez les réglages d’origine de votre ordinateur, tous les éléments présents sur ce dernier (vos comptes utilisateur, vos réglages réseau, ainsi que tous vos fichiers et dossiers) sont supprimés. Avant de procéder à une restauration, sauvegardez tous les fichiers que vous souhaitez conserver en les copiant sur un autre disque. Notez les réglages réseau enregistrés dans les préférences Réseau pour pouvoir vous reconnecter plus aisément après la réinstallation de Mac OS X. 1 Assurez-vous que vous êtes connecté à Internet via un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions présentées à la page 52). 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, sélectionnez Utilitaire de disque, puis cliquez sur Continuer. 3 Sélectionnez le disque dans la liste de gauche, puis cliquez sur l’onglet Effacer. 4 Sélectionnez « Mac OS étendu (journalisé) » dans le menu local Format, saisissez le nom du disque, puis cliquez sur Effacer. 5 Une fois le disque effacé, choisissez Utilitaire de disque > Quitter Utilitaire de disque. 6 Dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, sélectionnez « Réinstaller Mac OS X », puis cliquez sur Continuer. 7 Pour réinstaller Mac OS X et vos applications, suivez les instructions du programme d’installation de Mac OS X. Une fois Mac OS X réinstallé, vous pouvez télécharger à nouveau les applications Apple fournies avec votre iMac et les applications que vous avez achetées sur le Mac App Store. Vous pouvez restaurer vos autres données et applications depuis une copie de sauvegarde Time Machine ou autre.56 Chapitre 4 À tout problème sa solution Vérification d’un problème matériel Si vous suspectez un problème matériel, utilisez l’application Apple Hardware Test pour vérifier si l’un des composants de l’iMac pose problème. Pour utiliser Apple Hardware Test : 1 Déconnectez tous les périphériques de votre iMac, excepté le clavier et la souris. Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le. 2 Redémarrez votre iMac en maintenant la touche D enfoncée. 3 Lorsque l’écran de sélection de l’application Apple Hardware Test apparaît, sélectionnez la langue à utiliser. 4 Appuyez sur la touche Retour ou cliquez sur la flèche droite. 5 Lorsque l’écran principal d’Apple Hardware Test s’affiche (après 45 secondes environ), suivez les instructions à l’écran. 6 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple Hardware Test ne détecte aucune erreur matérielle, le problème est sans doute de type logiciel. Important : Si la fenêtre Apple Hardware Test n’apparaît pas après le redémarrage, maintenez les touches Commande (x), Option, et D enfoncées et redémarrez l’ordinateur pour accéder au logiciel Apple Hardware Test depuis Internet. Votre ordinateur doit être connecté à un réseau ayant accès à Internet.Chapitre 4 À tout problème sa solution 57 Remplacement des piles Votre clavier Apple Wireless Keyboard et votre souris Apple Magic Mouse sont fournis avec deux piles AA déjà installées. Il vous est possible de les remplacer par des piles AA alcalines, au lithium ou rechargeables. Gardez le cache du compartiment à piles et les piles hors de portée des enfants. AVERTISSEMENT : En cas de changement des piles, remplacez-les toutes. Ne mélangez pas des piles anciennes avec des nouvelles ou différents types de piles (par exemple, ne placez pas des piles alcalines et des piles au lithium). N’ouvrez pas et ne percez pas les piles, ne les insérez pas dans le sens contraire de la polarité et ne les exposez pas au feu, à des températures élevées ou à l’eau. Gardez les piles hors de portée des enfants.58 Chapitre 4 À tout problème sa solution Pour changer les piles de votre clavier sans fil Apple Wireless Keyboard : 1 Appuyez sur bouton d’alimentation (®) pour éteindre votre clavier. 2 Utilisez une pièce pour retirer le couvercle du compartiment des piles. Couvercle du compartiment des piles 3 Placez deux piles AA dans le compartiment des piles comme illustré ci-dessous. Insérez les piles 4 Replacez le couvercle du compartiment des piles. Pour contrôler l’état des piles, appuyez sur le bouton d’alimentation (®). Si le voyant lumineux ne s’allume pas, vous devez changer les piles. Vous pouvez contrôler l’état des piles dans les préférences Clavier. Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système puis cliquez sur Clavier. L’état des piles est indiqué dans le coin inférieur gauche.Chapitre 4 À tout problème sa solution 59 Pour remplacer les piles de la souris Apple Magic Mouse : 1 Éteignez votre souris en faisant glisser l’interrupteur marche/arrêt situé en bas de dernière. 2 Faites glisser le loquet vers le bas et retirez le cache du compartiment à piles. Loquet Piles 3 Insérez les piles, côté positif (+) vers le haut, comme illustré ci-dessus. 4 Replacez le cache et allumez votre souris. Vous devez cliquer une fois avec votre souris Apple Magic Mouse pour la reconnecter à votre iMac. Faites glisser l’interrupteur Marche/Arrêt situé sur la partie inférieure de la souris pour vérifier l’état des piles. Si le voyant lumineux ne s’allume pas, vous devez changer les piles. Vous pouvez contrôler l’état des piles dans les préférences Souris. Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, puis cliquez sur Souris. Le niveau de charge des piles s’affiche dans le coin inférieur gauche.60 Chapitre 4 À tout problème sa solution Problèmes de connexion à Internet L’application Assistant réglages réseau de votre iMac peut vous guider tout au long de la configuration d’une connexion Internet. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. Cliquez sur le bouton « Assistant » pour ouvrir Assistant réglages de réseau. En cas de problème avec votre connexion à Internet, vous pouvez essayer les méthodes exposées dans cette rubrique pour votre type de connexion ou vous pouvez utiliser Diagnostic réseau. Pour utiliser Diagnostic réseau : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau puis cliquez sur « Assistant ». 3 Cliquez sur Diagnostic pour lancer Diagnostic réseau. 4 Suivez les instructions à l’écran. Si Diagnostic réseau n’est pas en mesure de résoudre le problème, celui-ci se situe peut-être au niveau du fournisseur d’accès à Internet auquel vous essayez de vous connecter, du périphérique externe utilisé pour la connexion au fournisseur d’accès à Internet ou du serveur auquel vous essayez d’accéder. Vous pouvez essayer les instructions décrites dans les rubriques suivantes. Connexions à Internet par modem câble, modem DSL ou réseau local (LAN) Assurez-vous que tous les câbles du modem sont correctement branchés, y compris le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à l’ordinateur et le câble raccordant le modem à la prise murale. Vérifiez également les câbles et l’alimentation de vos éventuels routeurs et concentrateurs Ethernet.Chapitre 4 À tout problème sa solution 61 Éteignez le modem-câble ou DSL, puis rallumez-le après quelques minutes. Certains fournisseurs d’accès à Internet (FAI) conseillent de débrancher le câble d’alimentation du modem. Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez l’actionner avant ou après avoir éteint puis rallumé le modem. Important : les instructions relatives aux modems ne concernent pas les utilisateurs de réseau LAN. Ces derniers peuvent disposer de concentrateurs, de commutateurs, de routeurs ou de blocs de connexion que les utilisateurs de modem DSL ne possèdent pas. Ils doivent prendre contact avec leur administrateur réseau plutôt qu’avec un FAI. Connexions PPPoE Si vous ne parvenez pas à vous connecter à votre fournisseur d’accès à Internet via PPPoE (Point to Point Protocol over Ethernet), assurez-vous que les données saisies dans les préférences Réseau sont correctes. Pour saisir les réglages PPPoE : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Cliquez sur Ajouter (+) en bas de la liste des services de connexion réseau et choisissez PPPoE dans le menu local Interface. 4 Choisissez une interface pour le service PPPoE dans le menu local Ethernet. Choisissez Ethernet si vous vous connectez à un réseau câblé ou Wi-Fi si vous vous connectez à un réseau sans fil. 5 Cliquez sur Créer. 6 Saisissez les informations transmises par votre fournisseur d’accès, telles que le nom de compte, le mot de passe et le nom du service PPPoE (si votre fournisseur d’accès le demande). 7 Cliquez sur Appliquer pour activer les réglages.62 Chapitre 4 À tout problème sa solution Connexions réseau Assurez-vous que le câble Ethernet est branché sur l’iMac et sur le réseau. Vérifiez les câbles et l’alimentation de vos routeurs et concentrateurs Ethernet. Si vous disposez de plusieurs ordinateurs partageant une connexion à Internet, assurezvous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre FAI fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque ordinateur. Si une seule adresse IP est fournie, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion ; on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage d’adresses IP. Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre réseau. La borne d’accès AirPort peut être utilisée pour que plusieurs ordinateurs partagent une adresse IP. Pour en savoir plus sur l’utilisation d’une borne d’accès AirPort, consultez le Centre d’aide (cliquez sur Aide dans la barre des menus et recherchez le terme « airport ») ou le site web AirPort d’Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support/airport. Si ces méthodes s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés, adressez-vous à votre fournisseur d’accès à Internet ou à votre administrateur réseau. Problèmes de communication sans fil En cas de problèmes avec les communications sans fil :  Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé et dispose d’un point d’accès sans fil.Chapitre 4 À tout problème sa solution 63  Assurez-vous que le logiciel est correctement configuré conformément aux instructions incluses avec votre borne d’accès ou point d‘accès.  Assurez-vous que l’autre ordinateur ou le point d’accès au réseau se trouve dans la zone de couverture de l’antenne de votre iMac. Des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre antenne. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en tournant et en réorientant votre iMac.  Vérifiez le menu d’état Wi-Fi (Z) dans la barre des menus. Jusqu’à quatre barres de mesure apparaissent pour afficher la puissance du signal. Si l’intensité du signal est faible, essayez de changer de place.  Consultez le Centre d’aide (cliquez sur Aide dans la barre des menus puis recherchez le terme « wi-fi ») ainsi que les instructions fournies avec votre appareil sans fil. Maintien à jour de vos logiciels Une fois connecté à Internet, « Mise à jour de logiciels » consulte régulièrement les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. Vous pouvez télécharger et installer automatiquement les dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple. Il est possible de régler la fréquence de vérification des mises à jour dans les préférences « Mise à jour de logiciels ». Pour rechercher manuellement des mises à jour, choisissez le menu Pomme () > Mise à jour de logiciels. Pour plus d’informations sur la Mise à jour de logiciels, consultez le Centre d’aide (cliquez sur Aide dans la barre des menus puis recherchez le terme « Mise à jour de logiciels »).64 Chapitre 4 À tout problème sa solution Pour obtenir les toutes dernières informations sur Mac OS X, consultez la page www.apple.com/fr/macosx. Pour les problèmes liés aux logiciels provenant d’éditeurs tiers, contactez l’éditeur concerné. Les fabricants de logiciels proposent souvent des mises à jour de leurs produits sur leurs sites web. Informations, services et assistance Votre iMac ne contient aucune pièce susceptible d’être remplacée par l’utilisateur, à l’exception du clavier, de la souris et de la mémoire. Si vous avez besoin de services de réparation, adressez-vous à Apple ou portez votre iMac dans un Centre de Services Agréé Apple. Vous trouverez de plus amples informations sur votre iMac en ligne, dans l’aide à l’écran, dans Informations Système et via Apple Hardware Test. Iessources en ligne Pour obtenir des informations en ligne sur le service et l’assistance, consultez la page www.apple.com/fr/support. Vous pouvez faire des recherches dans la base de connaissances AppleCare, vérifier si de nouvelles mises à jour de logiciels sont disponibles ou obtenir de l’aide dans les forums de discussion Apple. Aide à l’écran Vous pouvez trouver des réponses à vos questions ainsi que des instructions et des informations concernant le dépannage dans le Centre d’aide. Choisissez Aide > Centre d’aide.Chapitre 4 À tout problème sa solution 65 Informations système Pour obtenir des informations sur votre iMac, utilisez Informations système. Cette application vous fournit la liste des composants matériels et des logiciels installés, le numéro de série et de version du système d’exploitation, la quantité de mémoire installée, etc. Pour ouvrir les Informations Système, choisissez le menu Pomme () > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos. Service et assistance AppleCare Votre iMac s’accompagne d’une assistance technique de 90 jours et d’un an de couverture pour les réparations de matériel effectuées dans un Apple Store ou les centres de réparations agréés Apple, tel qu’un fournisseur de services agréé Apple (AASP). Vous avez la possibilité d’étendre la durée de cette couverture en adhérant à un programme AppleCare Protection Plan. Pour en savoir plus, consultez le site www.apple.com/fr/support/products ou bien visitez le site web de votre pays (dans la liste ci-dessous). Si vous avez besoin d’assistance, le personnel d’assistance par téléphone AppleCare peut vous aider à installer et à ouvrir les applications, et propose des services de dépannage élémentaires. Appelez le centre d’assistance le plus proche de chez vous (gratuit pendant les 90 premiers jours). Gardez la date d’achat et le numéro de série de votre iMac à portée de main lorsque vous appelez. Remarque : La période de 90 ours d’assistance gratuite par téléphone débute à la date d’achat. Des frais téléphoniques peuvent éventuellement s’appliquer.66 Chapitre 4 À tout problème sa solution Pays Téléphone Site web Allemagne (49) 01805 009 433 www.apple.com/de/support Autriche (43) 0810 300 427 www.apple.com/at/support Belgique (flamand) (français) (32) 070 700 772 (32) 070 700 773 www.apple.com/benl/support www.apple.com/befr/support France (Métropolitaine) (DOM-TOM) (33) 0805 540 003 (33) 0825 77 00 35 www.apple.com/fr/support Luxembourg (352) 800 24550 www.apple.com/lu/support Suisse (français) (allemand) (41) 0848 000 132 (41) 0848 000 132 www.apple.com/chfr/support www.apple.com/chde/support Les numéros de téléphone sont susceptibles d’être modifiés. Les tarifs téléphoniques locaux et nationaux peuvent s’appliquer. Une liste complète est disponible sur Internet : www.apple.com/support/contact/phone_contacts.html (en anglais) Localisation du numéro de série de votre produit Utilisez l’une des méthodes suivantes pour trouver le numéro de série de votre iMac :  Choisissez le menu Pomme () > À propos de ce Mac. Cliquez sur le numéro de version sous « Mac OS X » pour passer du numéro de version de Mac OS X au numéro de révision, puis au numéro de série.  Choisissez le menu Pomme () > « À propos de ce Mac », et cliquez sur Plus d’infos.  Regardez sous le socle de l’iMac.Centre d’aide ergonomie www.apple.com/fr/environment Dernières recommandations 568 Chapitre 5 Dernières recommandations Afin d’assurer votre sécurité et de préserver votre matériel, veillez à observer ces consignes concernant le nettoyage et la manipulation de votre iMac ainsi que l’aménagement d’un espace de travail confortable. Gardez ces instructions dans un endroit facile d’accès pour vous et pour les utilisateurs éventuels. AVIS : La garantie du fabricant pourra être annulée si votre ordinateur a été utilisé ou stocké de manière impropre. Informations importantes en matière de sécurité AVERTISSEMENT : Ne pas suivre ces consignes pourrait déclencher un feu, occasionner des décharges électriques ou entraîner tout type de blessure ou dommage. Manipulation correcte Installez votre iMac sur une surface de travail stable. N’introduisez jamais d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures servant à la ventilation. Eau et endroits humides Évitez de placer votre iMac à proximité de sources de liquide telles que des boissons, un évier, un lavabo, une baignoire ou une douche, par exemple. Protégez votre iMac de l’humidité et des intempéries (neige, pluie et brouillard, par exemple). Alimentation La seule manière de couper complètement l’alimentation de l’ordinateur consiste à débrancher le câble d’alimentation. Veillez à tirer sur la fiche plutôt que sur le câble. Débranchez toujours le câble d’alimentation avant d’ouvrir l’iMac pour installer de la mémoire.Chapitre 5 Dernières recommandations 69 Débranchez le câble d’alimentation (en tirant sur la fiche plutôt que sur le câble) et déconnectez le câble Ethernet ou le cordon téléphonique si l’un des cas suivants se présente :  Vous souhaitez ajouter de la mémoire.  La prise ou le câble d’alimentation est endommagé.  Vous avez renversé quelque chose dans le boîtier de l’ordinateur.  Votre iMac est exposé à la pluie ou à une humidité excessive.  Votre iMac a subi une chute ou le boîtier a été endommagé.  Vous pensez que votre iMac a besoin d’être inspecté ou réparé.  Vous souhaitez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez à la lettre les instructions fournies à la page 74). Important : La seule manière de couper complètement l’alimentation de l’ordinateur consiste à débrancher le câble d’alimentation. Assurez-vous qu’au moins une extrémité du cordon d’alimentation est à portée de main afin de pouvoir débrancher votre iMac lorsque vous en avez besoin. AVERTISSEMENT : Votre câble secteur dispose d’une fiche de terre à trois broches (fiche équipée d’une troisième broche de mise à la terre). Cette fiche ne peut être branchée que sur une prise secteur reliée à la terre. Si vous ne pouvez pas brancher la fiche car la prise n’est pas reliée à la terre, contactez un électricien agréé pour qu’il remplace cette prise par une prise correctement reliée à la terre. Ne dérogez en aucun cas à cette consigne.70 Chapitre 5 Dernières recommandations Spécifications de l’alimentation :  Tension : 100 à 240 V CA  Courant : 4 A, maximum  Fréquence : de 50 à 60 Hz Diminution de l’acuité auditive Vous risquez une perte d’audition irréparable si vous utilisez un casque ou des écouteurs à un volume sonore élevé. Réglez le volume à un niveau sans danger. L’oreille peut s’adapter petit à petit à des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent sembler normaux, mais qui risquent à la longue d’endommager votre système auditif. En cas de sifflements ou de perte d’acuité auditive, arrêtez d’utiliser le casque ou les écouteurs et consultez un médecin. Plus le volume est élevé, plus votre audition risque d’être affectée rapidement. Pour protéger votre système auditif, les spécialistes conseillent de prendre les mesures suivantes :  Limitez la durée d’utilisation à volume élevé de vos écouteurs ou de votre casque d’écoute.  Évitez d’augmenter le volume afin de bloquer les bruits environnants.  Baissez le volume si vous ne parvenez pas à entendre une personne qui parle à côté de vous. Activités à haut risque Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien, ni dans aucune autre situation où une panne du système informatique pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques.Chapitre 5 Dernières recommandations 71 Informations sur le laser classe 1 de la souris La souris Apple Magic Mouse est un produit laser de classe 1 conformément aux directives IEC60825-1 A1 A2 et 21 CFR 1040.10 et 1040.11, sauf pour les déviations conformes à l’avis sur le laser No. 5, daté du 26 juillet 2001. Attention : Toute modification de cet appareil peut conduire à une exposition dangereuse à des radiations. Afin d’assurer votre sécurité, ce dispositif ne doit être réparé que par un Centre de Services Agréé Apple. Un laser de classe 1 ne présente pas de danger dans des conditions raisonnablement prévisibles, d’après les exigences des directives IEC 60825-1 et 21 CFR 1040. Il est cependant recommandé de ne pas diriger votre faisceau laser vers les yeux de quiconque. Informations concernant le laser pour lecteurs optiques AVERTISSEMENT : La mise en place de réglages ou la réalisation d’opérations qui ne sont pas spécifiées dans le manuel de votre appareil risque de vous exposer à des rayonnements dangereux. Le lecteur optique de votre iMac contient un laser qui est entièrement sans danger si l’on en fait un usage normal, mais qui peut s’avérer dangereux pour les yeux s’il est démonté. Afin d’assurer votre sécurité, ce dispositif ne doit être réparé que par un Centre de Services Agréé Apple. Important : Le matériel électrique peut s’avérer dangereux s’il n’est pas utilisé correctement. L’utilisation de ce produit ou de tout produit similaire doit toujours être supervisée par un adulte. Évitez que des enfants ne manipulent les composants internes ou les câbles de ces appareils.72 Chapitre 5 Dernières recommandations AVERTISSEMENT : N’introduisez jamais d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures de ventilation du boîtier. Cela peut s’avérer dangereux et endommager votre ordinateur. Ne procédez à aucune réparation par vous-même Votre iMac ne contient aucune pièce susceptible d’être remplacée par l’utilisateur, à l’exception du clavier, de la souris et de la mémoire (voir « Installation de mémoire » à la page 39). N’essayez pas d’ouvrir votre iMac. Si votre iMac a besoin d’être réparé, contactez un Centre de Services Agréé Apple ou Apple. Consultez la rubrique « Informations, services et assistance » à la page 64. Si vous ouvrez votre iMac ou que vous installez d’autres éléments que la mémoire, vous risquez d’endommager votre matériel. Les dommages de ce type ne sont pas couverts par la garantie limitée de votre iMac. Informations importantes sur la manipulation AVIS : Ne pas suivre les présentes instructions sur la manipulation peut provoquer des dommages à votre iMac ou à d’autres objets. Environnement de fonctionnement L’utilisation de votre iMac en dehors des limites suivantes risque d’influer sur ses performances :  Température de fonctionnement : de 10 à 35 °C  Température de stockage : de -20 à 47 °C  Humidité relative : de 5 % à 95% (sans condensation)  Altitude maximale de fonctionnement : 3 048 mètresChapitre 5 Dernières recommandations 73 N’utilisez pas votre iMac à des endroits présentant des quantités importantes de poussière dans l’air ou de la fumée de cigarettes, cigares, cendriers, cuisinières ou cheminées, ni à proximité d’un humidificateur ultrasonique employant de l’eau du robinet non filtrée. Les minuscules particules en suspension dans l’air produites par la fumée, la cuisine, la combustion ou l’utilisation d’un humidificateur ultrasonique avec de l’eau non filtrée sont susceptibles, en de rares occasions, de pénétrer dans les orifices de ventilation de votre iMac et, dans certaines circonstances, provoquer une légère « brume » sur la surface interne du panneau de verre recouvrant l’écran de l’iMac. Mise sous tension de votre iMac N’allumez jamais votre iMac tant que tous ses composants internes et externes ne sont pas en place. L’utilisation de l’ordinateur alors que certains composants manquent peut s’avérer dangereuse et risque de l’endommager. Transport de votre iMac Veillez à éteindre votre iMac et à déconnecter tous les câbles et cordons qui y sont rattachés avant de le soulever ou de le changer de place. Pour soulever ou déplacer votre iMac, tenez-le par ses côtés. Utilisation des connecteurs et des ports Ne forcez jamais un connecteur à entrer dans un port. Lorsque vous branchez un appareil, assurez-vous que le port ne contient aucun résidu quelconque, que le connecteur correspond bien au port et qu’il est placé de manière à entrer correctement dans le port. Utilisation du lecteur optique Le lecteur SuperDrive de votre iMac prend en charge les disques standard de 12 cm. Les disques de forme irrégulière et de moins de 12 cm ne peuvent pas être lus. Rangement de votre iMac Si vous comptez ranger votre iMac pendant une longue période de temps, veillez à le conserver dans un endroit frais (idéalement, 22 °C).74 Chapitre 5 Dernières recommandations Nettoyage de votre iMac Respectez les règles suivantes lors du nettoyage de votre iMac et de ses composants :  Éteignez votre iMac et débranchez tous les câbles.  Pour nettoyer la partie extérieure de l’iMac, utilisez un chiffon doux, légèrement humide et non pelucheux. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’iMac.  N’utilisez ni aérosol, ni dissolvant, ni abrasif. Nettoyage de l’écran de votre iMac Utilisez un chiffon doux, légèrement humide et non pelucheux. Pour nettoyer l’écran de votre iMac, procédez comme suit :  Éteignez votre iMac et débranchez tous les câbles.  Humidifiez un chiffon doux et non pelucheux, uniquement avec de l’eau, puis essuyez l’écran. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’écran. Entretien de votre souris Vous devez nettoyer votre souris de temps en temps pour éliminer la saleté et la poussière qui se sont accumulées. Utilisez un chiffon non pelucheux légèrement humidifié avec de l’eau. Évitez que la moindre humidité ne pénètre dans une ouverture et n’utilisez pas d’aérosols, de dissolvants ou d’abrasifs. Si vous utilisez une souris Apple câblée avec votre iMac, tenez celle-ci à l’envers et faites rouler vigoureusement la boule de défilement avec un chiffon propre, doux et non pelucheux, pour déloger les particules qui pourraient gêner le défilement.Chapitre 5 Dernières recommandations 75 Ergonomie Voici quelques conseils pour la mise en place d’un environnement de travail sain. Clavier Lorsque vous utilisez le clavier, vous devez avoir les épaules détendues. Votre bras et votre avant-bras doivent former un angle plus ou moins droit, tandis que votre poignet et votre main doivent se trouver sur une ligne à peu près droite. Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un travail continu et intensif sur ordinateur, certains utilisateurs peuvent ressentir des douleurs aux mains, aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste. Souris Placez la souris à la même hauteur que le clavier et à une distance confortable. Écran Placez le moniteur de manière que le haut de l’écran se trouve légèrement en dessous du niveau de vos yeux lorsque vous êtes assis au clavier. La distance idéale entre vos yeux et l’écran est une question d’appréciation personnelle, mais la plupart des utilisateurs semblent adopter une distance comprise entre 45 et 70 cm. Orientez l’écran de manière qu’il reflète le moins possible la lumière provenant de l’éclairage et des fenêtres proches. Le pied vous permet d’orienter l’écran de façon à obtenir un angle de vision idéal et de réduire ou d’éliminer ainsi les reflets provoqués par des sources lumineuses que vous ne pouvez pas déplacer.76 Chapitre 5 Dernières recommandations Cuisses légèrement inclinées Épaules détendues Écran positionné de façon à éviter tout reflet éblouissant Avant-bras et mains en ligne droite Avant-bras légèrement inclinés Bas du dos soutenu Pieds fixes au sol ou sur un repose-pied Haut de l'écran au niveau des yeux ou juste en dessous Côté inférieur du plan de travail dégagé 45–70 cm Siège Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de telle sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale et vos pieds à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire, c’est-à- dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie.Chapitre 5 Dernières recommandations 77 Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, vous pouvez utiliser un repose-pieds inclinable et réglable en hauteur. Si vous disposez d’un bureau modulaire, vous pouvez abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau dont le poste de saisie est situé plus bas que le plan de travail. Vous trouverez d’autres informations concernant l’ergonomie sur Internet : www.apple.com/about/ergonomics (en anglais) Apple et l’environnement Apple Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact de ses produits et de ses activités sur l’environnement. Des informations supplémentaires sont disponibles sur Internet : www.apple.com/fr/environment78 Regulatory Compliance Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radiofrequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures: • Turn the television or radio antenna until the interference stops. • Move the computer to one side or the other of the television or radio. • Move the computer farther away from the television or radio. • Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product has demonstrated EMC compliance under conditions that included the use of compliant peripheral devices and shielded cables between system components. It is important that you use compliant peripheral devices and shielded cables (including Ethernet network cables) between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Inc. Corporate Compliance 1 Infinite Loop, MS 26-A Cupertino, CA 95014 Utilisation de la radio sans fil Cet appareil est restreint à un usage intérieur lorsqu’il fonctionne à des bandes de fréquence de 5,15 à 5,25 GHz. Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur. この製品は、周波数帯域 5.18 ~ 5.32 GHz で動作しているときは、 屋内においてのみ使用可能です。 Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of this device is well below the FCC and EU radio frequency exposure limits. However, this device should be operated with a minimum distance of at least 20 cm between its antennas and a person’s body and the antennas used with this transmitter must not be co-located or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant. FCC Bluetooth Wireless Compliance The antenna used with this transmitter must not be colocated or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant.79 Canadian Compliance Statement This device complies with Industry Canada license-exempt RSS standard(s). Operation is subject to the following two conditions: (1) this device may not cause interference, and (2) this device must accept any interference, including interference that may cause undesired operation of the device. Cet appareil est conforme aux normes CNR exemptes de licence d’Industrie Canada. Le fonctionnement est soumis aux deux conditions suivantes : (1) cet appareil ne doit pas provoquer d’interférences et (2) cet appareil doit accepter toute interférence, y compris celles susceptibles de provoquer un fonctionnement non souhaité de l’appareil. Bluetooth Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la Classe B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada. This device complies with RSS 210 of Industry Canada. Bluetooth Europe - Déclaration de conformité UE Cet appareil sans fil est conforme à la directive R&TTE. Europe : déclaration de conformité EU Consultez www.apple.com/euro/compliance (en anglais). Български Apple Inc. декларира, че това iMac е в съответствие със съществените изисквания и другите приложими правила на Директива 1999/5/ЕС. Česky Společnost Apple Inc. tímto prohlašuje, že tento iMac je ve shodě se základními požadavky a dalšími příslušnými ustanoveními směrnice 1999/5/ES. Dansk Undertegnede Apple Inc. erklærer herved, at følgende udstyr iMac overholder de væsentlige krav og øvrige relevante krav i direktiv 1999/5/EF. Deutsch Hiermit erklärt Apple Inc., dass sich das iMac in Übereinstimmung mit den grundlegenden Anforderungen und den übrigen einschlägigen Bestimmungen der Richtlinie 1999/5/EG befinden. Eesti Käesolevaga kinnitab Apple Inc., et see iMac vastab direktiivi 1999/5/EÜ põhinõuetele ja nimetatud direktiivist tulenevatele teistele asjakohastele sätetele. English Hereby, Apple Inc. declares that this iMac is in compliance with the essential requirements and other relevant provisions of Directive 1999/5/EC. Español Por medio de la presente Apple Inc. declara que este iMac cumple con los requisitos esenciales y cualesquiera otras disposiciones aplicables o exigibles de la Directiva 1999/5/CE. Ελληνικά Mε την παρούσα, η Apple Inc. δηλώνει ότι αυτή η συσκευή iMac συμμορφώνεται προς τις βασικές απαιτήσεις και τις λοιπές σχετικές διατάξεις της Οδηγίας 1999/5/ΕΚ. Français Par la présente Apple Inc. déclare que l’appareil iMac est conforme aux exigences essentielles et aux autres dispositions pertinentes de la directive 1999/5/CE. Islenska Apple Inc. lýsir því hér með yfir að þetta tæki iMac fullnægir lágmarkskröfum og öðrum viðeigandi ákvæðum Evróputilskipunar 1999/5/EC. Italiano Con la presente Apple Inc. dichiara che questo dispositivo iMac è conforme ai requisiti essenziali ed alle altre disposizioni pertinenti stabilite dalla direttiva 1999/5/CE. Latviski Ar šo Apple Inc. deklarē, ka iMac ierīce atbilst Direktīvas 1999/5/EK būtiskajām prasībām un citiem ar to saistītajiem noteikumiem. Lietuvių Šiuo „Apple Inc.“ deklaruoja, kad šis iMac atitinka esminius reikalavimus ir kitas 1999/5/EB Direktyvos nuostatas. Magyar Alulírott, Apple Inc. nyilatkozom, hogy a iMac megfelel a vonatkozó alapvetõ követelményeknek és az 1999/5/EC irányelv egyéb elõírásainak. Malti Hawnhekk, Apple Inc., jiddikjara li dan iMac jikkonforma mal-ħtiġijiet essenzjali u ma provvedimenti oħrajn relevanti li hemm fid-Dirrettiva 1999/5/EC.80 Nederlands Hierbij verklaart Apple Inc. dat het toestel iMac in overeenstemming is met de essentiële eisen en de andere bepalingen van richtlijn 1999/5/EG. Norsk Apple Inc. erklærer herved at dette iMac-apparatet er i samsvar med de grunnleggende kravene og øvrige relevante krav i EU-direktivet 1999/5/EF. Polski Niniejszym Apple Inc. oświadcza, że ten iMac są zgodne z zasadniczymi wymogami oraz pozostałymi stosownymi postanowieniami Dyrektywy 1999/5/EC. Português Apple Inc. declara que este dispositivo iMac está em conformidade com os requisitos essenciais e outras disposições da Directiva 1999/5/CE. Română Prin prezenta, Apple Inc. declară că acest aparat iMac este în conformitate cu cerinţele esenţiale şi cu celelalte prevederi relevante ale Directivei 1999/5/CE. Slovensko Apple Inc. izjavlja, da je ta iMac skladne z bistvenimi zahtevami in ostalimi ustreznimi določili direktive 1999/5/ES. Slovensky Apple Inc. týmto vyhlasuje, že toto iMac spĺňa základné požiadavky a všetky príslušné ustanovenia Smernice 1999/5/ES. Suomi Apple Inc. vakuuttaa täten, että tämä iMac tyyppinen laite on direktiivin 1999/5/EY oleellisten vaatimusten ja sitä koskevien direktiivin muiden ehtojen mukainen. Svenska Härmed intygar Apple Inc. att denna iMac står i överensstämmelse med de väsentliga egenskapskrav och övriga relevanta bestämmelser som framgår av direktiv 1999/5/EG. A copy of the EU Declaration of Conformity is available at: www.apple.com/euro/compliance This equipment can be used in the following countries: Korea Warning Statements B૶ૺૺ(ਜ਼ႜဧ෮໽ቛཅૺၴႁ) ၦૺૺ௴ਜ਼ႜဧ(B૶) ႖ၴኒ႕ጁૺૺച໏჎ച ਜ਼ႜ࿝໏ຫဧዻ௴ઇၕඛ႕ၒചዻඑ, ක౷ხ ࿦࿝໏ຫဧዾ༘ၰཀఁఋ. ෮ቛ၁ધགྷ࿝ಋ൏ધხຫጃ ጄఙඳ໓໕๗௴ဪဧთ႖ኒጯཅਜ਼௻ໜၦၰၗ ၦૺૺ௴ၨ඗ྦ႖઴શഏౘ໏๗༺࿝ຫဧዾ༘࿖ཀఁఋ ఝዽූ૑ ૬ႜ ෟ ა༘ Singapore Wireless Certification Taiwan Wireless Statements Taiwan Class B Statement81 Japan VCCI Class B Statement Russia Informations sur les modems USB externes Si vous connectez votre iMac à une ligne téléphonique par le biais d’un modem USB externe, veuillez vous reporter aux informations fournies par l’agence de télécommunications mentionnées dans la documentation livrée avec votre modem. ENERGY STAR ® Compliance As an ENERGY STAR ® partner, Apple has determined that standard configurations of this product meet the ENERGY STAR ® guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR ® program is a partnership with electronic equipment manufacturers to promote energyefficient products. Reducing energy consumption of products saves money and helps conserve valuable resources. This computer is shipped with power management enabled with the computer set to sleep after 10 minutes of user inactivity. To wake your computer, click the mouse or press any key on the keyboard. For more information about ENERGY STAR ® , visit: www.energystar.gov Informations sur l’élimination et le recyclage Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque votre produit n’est plus utilisable, contactez Apple ou les autorités locales afin de connaître les possibilités de recyclage. Pour en savoir plus sur le programme de recyclage Apple, consultez le site www.apple.com/fr/recycling. Union européenne : Informations sur l’élimination Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Türkiye EEE yönetmeliğine (Elektrikli ve Elektronik Eşyalarda Bazı Zararlı Maddelerin Kullanımının Sınırlandırılmasına Dair Yönetmelik) uygundur. Brasil: Informações sobre eliminação e reciclagem O símbolo acima indica que este produto e/ou sua bateria não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando decidir descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o de acordo com as leis e diretrizes ambientais locais. Para informações sobre o programa de reciclagem da Apple, pontos de coleta e telefone de informações, visite www.apple.com/br/environment.82 Informations sur l’enlèvement de la batterie Jetez vos batteries usagées en respectant les lois et les consignes environnementales de votre pays. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. California: The coin cell battery in the optional Apple Remote contains perchlorates. Special handling and disposal may apply. Refer to: www.dtsc.ca.gov/hazardouswaste/perchlorate Taiwan Battery Statement Chinese Battery StatementK Apple Inc. © 2011 Apple Inc. Tous droits réservés. En application des lois et conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014 408-996-1010 www.apple.com Le logo Apple est une marque d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + Maj + K) peut constituer un acte de contrefaçon et de concurrence déloyale. Apple, le logo Apple, Apple TV, AirPort, FaceTime, Finder, FireWire, GarageBand, iChat, iLife, iMac, iMovie, iPhone, iPhoto, iPod, iPod touch, iTunes, Keynote, Mac, Mac OS, Photo Booth, QuickTime, Safari, SuperDrive, Time Capsule et Time Machine sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Le logo FireWire, iPad et Multi-Touch sont des marques d’Apple Inc. Apple, AppleCare, Apple Store et iTunes Store sont des marques de service d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. App Store est une marque de service d’Apple Inc. ENERGY STAR ® est une marque déposée aux États-Unis. La marque et les logos Bluetooth ® sont des marques déposées appartenant à Bluetooth SIG, Inc., utilisées sous licence par Apple Inc. Thunderbolt et le logo Thunderbolt sont des marques d’Intel Corporation aux États-Unis et dans d’autres pays. Les autres noms de produits et de sociétés peuvent être des marques de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Fabriqué sous licence de Dolby Laboratories. « Dolby », « Pro Logic » et le symbole double-D sont des marques déposées de Dolby Laboratories. Ouvrages confidentiels inédits. © 1992–1997 Dolby Laboratories, Inc. Tous droits réservés. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. iPhone Guide de l’utilisateur Pour le logiciel iOS 6Table des matières 7 Chapitre 1 : Vue d’ensemble de l’iPhone 7 Présentation de l’iPhone 5 7 Accessoires 8 Boutons 11 Icônes d’état 13 Chapitre 2 : Démarrage 13 Éléments nécessaires 13 Installation de la carte SIM 14 Configuration et activation de l’iPhone 14 Connexion de l’iPhone à votre ordinateur 15 Connexion à Internet 15 Configuration de Mail et d’autres comptes 15 Identifiant Apple 16 Gestion du contenu sur vos appareils iOS 16 iCloud 17 Synchronisation avec iTunes 18 Visualisation de ce guide de l’utilisateur sur l’iPhone 19 Chapitre 3 : Notions élémentaires 19 Utilisation des apps 22 Personnalisation de l’iPhone 24 Saisie de texte 27 Dictée 28 Contrôle vocal 29 Recherche 30 Notifications 31 Partage 33 Connexion de l’iPhone à un téléviseur ou un autre appareil 33 Impression à l’aide d’AirPrint 34 Casque d’écoute Apple 35 Appareils Bluetooth 36 Partage de fichiers 36 Fonctionnalités de sécurité 37 Batterie 39 Chapitre 4 : Siri 39 Qu’est-ce que Siri ? 39 Utilisation de Siri 43 Restaurants 44 Films 44 Sports 244 Dictée 45 Correction de Siri 46 Chapitre 5 : Téléphone 46 Appels téléphoniques 50 FaceTime 50 Messagerie vocale visuelle 51 Contacts 52 Renvoi d’appel, signal d’appel et identifiant de l’appelant 52 Sonneries, commutateur Sonnerie/Silence et vibration 52 Appels internationaux 53 Configuration d’options de Téléphone 54 Chapitre 6 : Mail 54 Lecture de courriers électroniques 55 Envoi de courrier électronique 56 Organisation du courrier électronique 57 Impression de messages et de pièces jointes 57 Comptes de messagerie et réglages 59 Chapitre 7 : Safari 62 Chapitre 8 : Musique 62 Obtenir de la musique 62 Lire de la musique 64 Cover Flow 64 Podcasts et livres audio 65 Listes de lecture 66 Genius 66 Siri et Contrôle vocal 67 iTunes Match 67 Partage à domicile. 68 Réglages de Musique 69 Chapitre 9 : Messages 69 Envoi et réception de messages 70 Gestion des conversations 70 Partage de photos, de vidéos et d’autres informations 71 Réglages de Messages 72 Chapitre 10 : Calendrier 72 En un coup d’œil 73 Utilisation de plusieurs calendriers 74 Partage des calendriers iCloud 74 Réglages des calendriers 75 Chapitre 11 : Photos 75 Visionnage de photos et de vidéos 76 Organisation de photos et de vidéos 76 Flux de photos 78 Partage de photos et de vidéos 78 Impression de photos Table des matières 379 Chapitre 12 : Appareil photo 79 En un coup d’œil 80 Photos HDR 81 Visionnage, partage et impression 81 Modification de photos et ajustement de vidéos 83 Chapitre 13 : Vidéos 86 Chapitre 14 : Plans 86 Recherche de lieux 87 Itinéraires 88 3D et Flyover 89 Réglages de Plans 90 Chapitre 15 : Météo 92 Chapitre 16 : Passbook 94 Chapitre 17 : Notes 96 Chapitre 18 : Rappels 98 Chapitre 19 : Horloge 99 Chapitre 20 : Bourse 101 Chapitre 21 : Kiosque 102 Chapitre 22 : iTunes Store 102 En un coup d’œil 103 Modification des boutons de navigation 104 Chapitre 23 : App Store 104 En un coup d’œil 105 Suppression d’apps 106 Chapitre 24 : Game Center 106 En un coup d’œil 107 Jeu avec des amis 107 Réglages Game Center 108 Chapitre 25 : Contacts 108 En un coup d’œil 109 Ajout de contacts 110 Réglages de Contacts 111 Chapitre 26 : Calculette 112 Chapitre 27 : Boussole 113 Chapitre 28 : Dictaphone 113 En un coup d’œil 114 Partage de mémos vocaux avec votre ordinateur Table des matières 4115 Chapitre 29 : Nike + iPod 117 Chapitre 30 : iBooks 117 En un coup d’œil 118 Lecture de livres 119 Organisation de l’étagère 119 Synchronisation de livres et de documents PDF 120 Impression ou envoi par courrier d’un document PDF 120 Réglages d’iBooks 121 Chapitre 31 : Podcasts 123 Chapitre 32 : Accessibilité 123 Fonctionnalités d’accessibilité 123 VoiceOver 133 Acheminement de l’audio des appels entrants 133 Siri 134 Triple clic sur le bouton principal 134 Zoom 135 Grande police 135 Inverser les couleurs 135 Énoncer la sélection 135 Énonciation auto 135 Audio mono 136 Appareils auditifs 137 Sonneries assignables et vibreur 137 Flash LED pour alertes 137 Accès guidé 138 AssistiveTouch 138 Accessibilité sous OS X 138 Assistance TTY 139 Taille minimale de police pour les messages Mail 139 Sonneries assignables 139 Messagerie vocale visuelle 139 Larges claviers à l’écran 139 Grand clavier téléphonique 139 Contrôle vocal 139 Sous-titres codés 140 Chapitre 33 : Réglages 140 Mode Avion 140 Wi-Fi 141 Bluetooth 141 VPN 142 Partage de connexion 142 Ne pas déranger et Notifications 144 Opérateur 144 Général 150 Sons 151 Luminosité et fond d’écran. 151 Confidentialité Table des matières 5152 Annexe A: L’iPhone au travail 152 Utilisation des profils de configuration 153 Configuration de comptes Microsoft Exchange 153 Accès par VPN 153 Comptes LDAP et CardDAV 154 Annexe B: Claviers internationaux 154 Utilisation de claviers internationaux 155 Méthodes de saisie spéciales 157 Annexe C: Sécurité, manipulation et assistance 157 Informations importantes concernant la sécurité 159 Informations importantes sur la manipulation 160 Site d’assistance iPhone 161 Redémarrage ou réinitialisation de l’iPhone 161 « Code incorrect » ou « iPhone désactivé » apparaît 161 « Cet accessoire n’est pas pris en charge par l’iPhone » apparaît 161 Impossible d’afficher les pièces jointes 162 Sauvegarde de l’iPhone 164 Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPhone 164 Informations relatives au logiciel et au service après-vente 165 Utilisation de l’iPhone dans un environnement d’entreprise 165 Utilisation de l’iPhone avec d’autres opérateurs 165 Informations concernant l’élimination et le recyclage 167 Apple et l’environnement Table des matières 61 7 Présentation de l’iPhone 5 Tiroir de carte SIM Tiroir de carte SIM Micro récepteur/ frontal Micro récepteur/ frontal Prise d’écouteurs Prise d’écouteurs Commutateur Sonnerie/ Silence Commutateur Sonnerie/ Silence Caméra FaceTime Caméra FaceTime Boutons de volume Boutons de volume Écran Multi-Touch Écran Multi-Touch Bouton principal Bouton principal Micro du bas Micro du bas Bouton Marche/Veille Bouton Marche/Veille Appareil photo iSight Appareil photo iSight Flash à diode Flash à diode Micro arrière Micro arrière Icônes d’app Icônes d’app Barre d’état Barre d’état Haut-parleur Haut-parleur Connecteur Lightning Connecteur Lightning Remarque : Les apps et fonctionnalités peuvent varier en fonction de votre région, de votre langue, de votre opérateur et du modèle de votre iPhone. Les apps qui envoient ou reçoivent des données sur un réseau cellulaire peuvent induire des frais supplémentaires. Contactez votre opé- rateur pour obtenir des informations sur votre plan de service et vos frais iPhone. Accessoires Les accessoires suivants sont fournis avec l’iPhone : Casque d’écoute Apple : Utilisez les écouteurs Apple EarPods avec télécommande et micro (iPhone 5, illustré ci-dessus) ou les écouteurs Apple avec télécommande et micro (iPhone 4S ou modèles antérieurs) pour écouter de la musique, lire des vidéos et passer des appels téléphoniques. Consultez la section Casque d’écoute Apple à la page 34. Vue d’ensemble de l’iPhoneChapitre 1 Vue d’ensemble de l’iPhone 8 Câble de connexion : Utilisez le câble Lightning vers USB (iPhone 5, illustré ci-dessus) ou le câble Dock Connector vers USB (iPhone 4S ou modèles antérieurs) pour connecter l’iPhone à votre ordinateur afin de le recharger et de le synchroniser. Vous pouvez également l’utiliser avec la station d’accueil iPhone Dock (vendue séparément). Adaptateur secteur USB Apple : Utilisez-le avec le câble Lightning vers USB ou avec le câble Dock Connector vers USB pour recharger la batterie de l’iPhone. Outil d’éjection de la carte SIM : Utilisez cet outil pour éjecter le plateau de la carte SIM. (Cette fonction n’est pas disponible dans toutes les régions.) Boutons Bouton Marche/Veille Lorsque vous n’utilisez pas l’iPhone, vous pouvez le verrouiller pour éteindre l’écran et économiser la batterie. Pour verrouiller l’iPhone : Appuyez sur le bouton Marche/Veille. Lorsque l’iPhone est verrouillé, il ne répond pas lorsque vous touchez l’écran. L’iPhone peut toujours recevoir des appels, des messages texte et d’autres mises à jour. Vous pouvez également : • écouter de la musique ; • ajuster le volume ; • utiliser le bouton central de vos écouteurs pour prendre des appels ou écouter de la musique. Bouton Marche/Veille Bouton Marche/Veille Pour déverrouiller l’iPhone : Appuyez sur le bouton Marche/Veille ou le bouton principal , puis faites glisser le curseur. Pour éteindre l’iPhone : Maintenez le bouton Marche/Veille enfoncé pendant quelques secondes jusqu’à ce qu’un curseur rouge apparaisse, puis faites glisser ce dernier. Pour allumer l’iPhone : Maintenez le bouton Marche/Veille enfoncé jusqu’à ce que le logo Apple apparaisse. Pour ouvrir l’appareil photo lorsque l’iPhone est verrouillé : Appuyez sur le bouton Marche/ Veille ou le bouton principal , puis faites glisser vers le haut. Pour accéder aux commandes audio lorsque l’iPhone est verrouillé : Touchez deux fois le bouton principal .Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’iPhone 9 L’iPhone se verrouille si vous ne touchez pas l’écran pendant environ une minute. Vous pouvez ajuster la durée Verrouillage auto. (ou la désactiver) et exiger la saisie d’un code pour déverrouiller l’iPhone. Pour ajuster la durée Verrouillage auto. ou la désactiver : Consultez la section Verrouillage automatique à la page 147. Pour exiger la saisie d’un code pour déverrouiller l’iPhone : Consultez la section Verrouillage par code à la page 147. Bouton principal Appuyez sur le bouton principal pour revenir à l’écran d’accueil, peu importe l’action en cours. Il fournit également d’autres raccourcis pratiques. Pour atteindre l’écran d’accueil : Appuyer sur le bouton principal . Sur l’écran d’accueil, touchez une app pour l’ouvrir. Consultez la section Ouverture d’apps et basculement entre apps à la page 19. Pour afficher les apps utilisées récemment : Lorsque l’iPhone est verrouillé, touchez deux fois l’écran principal . La barre multitâche apparaît au bas de l’écran, avec les apps les plus récemment utilisées. Balayez la barre vers la gauche pour afficher d’autres apps. Pour afficher les commandes de lecture audio : • Lorsque l’iPhone est verrouillé : Touchez deux fois le bouton principal . Consultez la section Lire de la musique à la page 62. • Lorsque vous utilisez une autre app : Appuyez deux fois sur le bouton principal , puis balayez la barre multitâche de gauche à droite. Pour utiliser Siri (iPhone 4S ou ultérieur) ou Contrôle vocal : Maintenez le bouton principal enfoncé . Consultez les sections Chapitre 4, Siri, à la page 39 et Contrôle vocal à la page 28. Commandes de volume Pendant que vous téléphonez ou lisez des morceaux, des films ou tout autre contenu multimé- dia, les boutons situés sur le côté de l’iPhone permettent de régler le volume audio. À tout autre moment, ces boutons contrôlent le volume des sonneries, alarmes et autres effets sonores. AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la perte d’audition, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Augmenter le volume Augmenter le volume Baisser le volume Baisser le volume Pour verrouiller le volume de la sonnerie et des alertes : Accédez à Réglages > Sons, puis désactivez l’option « Utiliser les boutons ». Pour limiter le volume de la musique et des vidéos : Accédez à Réglages > Musique > Volume maximum.Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’iPhone 10 Remarque : Dans certains pays, l’iPhone peut vous avertir lorsque vous dépassez le volume maximum établi par les directives de sécurité auditive de l’Union européenne. Pour augmenter le volume au-delà de cette limite, vous devrez peut-être relâcher brièvement la commande du volume. Vous pouvez également utiliser n’importe quel bouton du volume pour prendre une photo ou enregistrer une vidéo. Consultez la section Chapitre 12, Appareil photo, à la page 79. Commutateur Sonnerie/Silence Utilisez le commutateur Sonnerie/Silence pour placer l’iPhone en mode Sonnerie ou Silence . Sonnerie Sonnerie Silence Silence En mode Sonnerie, l’iPhone joue tous les sons. En mode Silence, l’iPhone ne sonne pas, et les alertes et effets sonores sont désactivés. Important : Les alarmes d’Horloge, les apps audio telles que Musique, mais aussi de nombreux jeux reproduisent néanmoins les sons via le haut-parleur intégré même si l’iPhone est en mode Silence. Dans certaines régions, les effets sonores d’Appareil photo et de Dictaphone sont émis, même si le commutateur Sonnerie/Silence est réglé sur Silence. Pour en savoir plus sur la modification des réglages de volume et de vibration, consultez la section Sons à la page 150. Vous pouvez utiliser le réglage Ne pas déranger pour ignorer les appels, les alertes et les notifications. Pour régler l’iPhone sur Ne pas déranger ( ) : Accédez à Réglages et activez Ne pas déranger. Le réglage Ne pas déranger empêche les appels, les alertes et les notifications de produire des sons ou de déclencher l’allumage du l’écran lorsque celui-ci est verrouillé. En revanche, les alarmes continuent à sonner et si l’écran est déverrouillé, le réglage Ne pas déranger n’a aucun effet. Pour planifier des périodes calmes, autoriser certaines personnes à appeler ou permettre aux appels répétés de sonner, accédez à Réglages > Notifications > Ne pas déranger. Consultez la section Ne pas déranger et Notifications à la page 142.Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’iPhone 11 Icônes d’état Les icônes de la barre d’état située en haut de l’écran proposent des informations concernant l’iPhone : Icône d’état Signification Signal de cellule* Indique si vous êtes à portée du réseau de téléphonie mobile et passer et recevoir des appels. Le nombre de barres est proportionnel à la qualité du signal. S’il n’y a pas de signal, les barres sont remplacées par « Réseau indisp. ». Mode Avion Indique que le mode avion est activé et que vous ne pouvez pas utiliser le téléphone, accéder à Internet ou utiliser les appareils Bluetooth®. Les fonctionnalités qui ne sont pas liées au réseau sans fil sont disponibles. Consultez la section Mode Avion à la page 140. LTE Indique que le réseau LTE de votre opérateur est disponible et que l’iPhone peut se connecter à Internet via ce réseau. (iPhone 5. Cette fonction n’est pas disponible dans toutes les régions.) Consultez la section Cellulaire à la page 145. UMTS Indique que le réseau 4G UMTS (GSM) de votre opérateur est disponible et que l’iPhone peut se connecter à Internet via ce réseau. (iPhone 4S ou modèles ultérieurs. Cette fonction n’est pas disponible dans toutes les régions.) Consultez la section Cellulaire à la page 145. UMTS/EV-DO Indique que le réseau 3G UMTS (GSM) ou EV-DO (CDMA) de votre opérateur est disponible et que l’iPhone peut se connecter à Internet via ce réseau. Consultez la section Cellulaire à la page 145. EDGE Indique que le réseau EDGE (GSM) de votre opérateur est disponible et que l’iPhone peut se connecter à Internet via ce réseau. Consultez la section Cellulaire à la page 145. GPRS/1xRTT Indique que le réseau GPRS (GSM) ou 1xRTT (CDMA) de votre opérateur est disponible et que l’iPhone peut se connecter à Internet via ce réseau. Consultez la section Cellulaire à la page 145. Wi-Fi* Indique que l’iPhone est connecté à Internet par un réseau Wi-Fi. Le nombre de barres est proportionnel à la qualité de la connexion. Consultez la section Wi-Fi à la page 140. Ne pas déranger Indique que le réglage « Ne pas déranger » est activé. Consultez la section Sons à la page 150. Partage de connexion Indique que l’iPhone est connecté à un autre iPhone offrant un partage de connexion. Consultez la section Partage de connexion à la page 142. Synchronisation Indique que l’iPhone est en cours de synchronisation avec iTunes. Activité réseau Affiche l’activité réseau. Certaines apps tierces peuvent également utiliser cette icône pour indiquer un processus actif. Renvoi d’appel Indique que le renvoi d’appel est configuré sur l’iPhone. Consultez la section Renvoi d’appel, signal d’appel et identifiant de l’appelant à la page 52. VPN Indique que vous êtes connecté à un réseau en utilisant un VPN (réseau privé virtuel). Consultez la section Cellulaire à la page 145. Cadenas Indique que l’iPhone est verrouillé. Consultez la section Bouton Marche/Veille à la page 8. TTY Indique que l’iPhone est prêt à fonctionner avec une machine TTY. Consultez la section Assistance TTY à la page 138.Chapitre 1 Vue d’ensemble de l’iPhone 12 Icône d’état Signification Lecture Indique qu’un morceau, un livre audio ou un podcast est à l’écoute. Consultez la section Lire de la musique à la page 62. Verrouillage en orientation portrait Indique que l’écran de l’iPhone est verrouillé en orientation portrait. Consultez la section Orientations portrait et paysage à la page 21. Alarme Indique qu’une alarme est réglée. Consultez la section Chapitre 19, Horloge, à la page 98. Service de localisation Indique qu’un élément utilise le Service de localisation. Consultez la section Confidentialité à la page 151. Bluetooth* Icône bleue ou blanche : Bluetooth est activé et jumelé avec un appareil. Icône grise : Bluetooth est activé et jumelé avec un appareil, mais ce dernier est hors de portée ou éteint. Pas d’icône : Bluetooth n’est pas jumelé avec un appareil. Consultez la section Appareils Bluetooth à la page 35. Batterie Bluetooth Indique le niveau de batterie d’un appareil Bluetooth jumelé pris en charge. Batterie Indique le niveau de la batterie ou l’état de la charge. Consultez la section Batterie à la page 37. * Accessoires et performances sans fil : L’utilisation de certains accessoires avec l’iPhone peut altérer les performances sans fil. Tous les accessoires pour iPod ne sont pas totalement compatibles avec l’iPhone. Le fait d’activer le mode Avion sur l’iPhone peut permettre d’éliminer les interférences audio entre l’iPhone et un accessoire. Lorsque le mode Avion est activé, vous ne pouvez pas recevoir ou passer des appels ou utiliser les fonctions qui nécessitent une communication sans fil. Le fait de réorienter ou de déplacer l’iPhone et l’accessoire connecté peut améliorer les performances sans fil.2 13 · AVERTISSEMENT : Pour éviter les blessures, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157 avant d’utiliser l’iPhone. Éléments nécessaires Pour utiliser l’iPhone, vous avez besoin des éléments suivants : • un forfait de service sans fil auprès d’un opérateur offrant un service iPhone dans votre région ; • une connexion à Internet pour votre ordinateur (haut débit recommandé) ; • un identifiant Apple pour certaines fonctionnalités telles qu’iCloud, l’App Store et l’iTunes Store, et les achats en ligne. Un identifiant Apple peut être créé durant la configuration. Pour utiliser l’iPhone avec votre ordinateur, vous avez besoin des éléments suivants : • un Mac équipé d’un port USB 2.0 ou 3.0 ou un PC équipé d’un port USB 2.0 et de l’un des systèmes d’exploitation suivants : • Mac OS X version 10.6.8 ou ultérieur ; • Windows 7, Windows Vista, Windows XP Édition Familiale ou Windows XP Professionnel avec Service Pack 3 ou ultérieur; • iTunes 10.7 ou ultérieur (pour certaines fonctionnalités), disponible à la page www.itunes.com/fr/download. Installation de la carte SIM Si une carte SIM à installer vous a été remise, installez-la avant de configurer l’iPhone. Important : Une carte SIM est requise pour utiliser les services cellulaires lors des connexions aux réseaux GSM et à certains réseaux CDMA. Un iPhone 4S ou modèle ultérieur qui a été activé sur un réseau sans fil CDMA peut également utiliser une carte SIM pour se connecter à un réseau GSM, principalement pour les services d’itinérance. Votre iPhone est soumis aux politiques de votre fournisseur de service sans fil, qui peuvent inclure des restrictions quant au basculement entre fournisseurs de service et à l’itinérance, même après la conclusion de tout contrat de service minimum requis. Contactez votre fournisseur de service sans fil pour en savoir plus. La disponibilité des capacités cellulaires dépend du réseau sans fil. DémarrageChapitre 2 Démarrage 14 Installation de la carte SIM dans l’iPhone 5 Carte nano SIM Carte nano SIM Tiroir de carte nano SIM Tiroir de carte nano SIM Trombone ou outil d’éjection de la carte SIM Trombone ou outil d’éjection de la carte SIM Pour installer la carte SIM : Insérez l’extrémité d’un petit trombone ou l’outil d’éjection de carte SIM dans l’orifice du tiroir de carte SIM. Retirez le tiroir de carte SIM et placez-y la carte SIM comme illustré. Alignez le tiroir, la carte SIM sur le dessus, puis replacez-le soigneusement. Configuration et activation de l’iPhone Pour configurer et activer l’iPhone, allumez-le puis suivez l’Assistant réglages. Celui-ci vous guide lors de la configuration, notamment pour la connexion à un réseau Wi-Fi, la connexion avec un identifiant Apple ou la création d’un identifiant Apple gratuit, la configuration d’iCloud, l’activation de fonctionnalités recommandées telles que Service de localisation et Localiser mon iPhone, et l’activation de l’iPhone auprès de votre opérateur. Lors de la configuration, vous pouvez également restaurer à partir d’une sauvegarde iCloud ou iTunes. L’activation s’opère sur un réseau Wi-Fi ou, avec l’iPhone 4S ou ultérieur, sur le réseau cellulaire de votre opérateur (non disponible dans toutes les régions). Si aucun des réseaux n’est disponible, vous devez connecter l’iPhone à votre ordinateur en exécutant iTunes pour l’activation. Connexion de l’iPhone à votre ordinateur Vous pouvez être amené à connecter l’iPhone à votre ordinateur pour réaliser l’activation. La connexion de l’iPhone à votre ordinateur vous permet également de synchroniser des données, de la musique et d’autres contenus avec iTunes. Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17. Pour connecter l’iPhone à votre ordinateur : Utilisez le câble Lightning vers USB (iPhone 5) ou le câble Dock Connector vers USB (modèles d’iPhone antérieurs) fourni avec l’iPhone.Chapitre 2 Démarrage 15 Connexion à Internet L’iPhone se connecte à Internet lorsque c’est nécessaire, à l’aide d’une connexion Wi-Fi (le cas échéant) ou le réseau cellulaire de votre opérateur. Pour en savoir plus sur la connexion à un réseau Wi-Fi, consultez la section Wi-Fi à la page 140. Remarque : Si aucune connexion Wi-Fi à Internet n’est disponible, certaines apps et certains services de l’iPhone peuvent transférer des données sur le réseau cellulaire de votre opérateur, ce qui peut entraîner des frais supplémentaires. Contactez votre opérateur pour obtenir des informations sur les tarifs de vos forfaits de données cellulaires. Pour gérer l’utilisation des données cellulaires, consultez la section Cellulaire à la page 145. Configuration de Mail et d’autres comptes L’iPhone fonctionne avec iCloud, Microsoft Exchange et de nombreux fournisseurs de services de messagerie, de contacts et de calendriers populaires. Si vous ne possédez pas encore de compte de messagerie, vous pouvez configurer un compte iCloud gratuit lors de la première configuration de votre iPhone, ou ultérieurement dans Réglages > iCloud. Consultez la section iCloud à la page 16. Pour configurer un compte iCloud : Accédez à Réglages > iCloud. Pour configurer un autre compte : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Vous pouvez ajouter des contacts à l’aide d’un compte LDAP ou CardDAV, si votre entreprise ou organisation le prend en charge. Consultez la section Ajout de contacts à la page 109. Vous pouvez ajouter des calendriers à l’aide d’un compte de calendrier CalDAV et vous abonner à des calendriers iCalendar (.ics) ou les importer à partir de Mail. Consultez la section Utilisation de plusieurs calendriers à la page 73. Identifiant Apple Un identifiant Apple est le nom d’utilisateur d’un compte gratuit qui vous permet d’accéder à des services Apple, notamment l’iTunes Store, l’App Store et iCloud. Un seul identifiant Apple est nécessaire pour toutes vos opérations avec Apple. Les services et produits qu’il vous permet d’utiliser, d’acheter ou de louer peuvent être payants. Si vous possédez un identifiant Apple, utilisez lors de la configuration initiale de l’iPhone, et à chaque fois que vous devez ouvrir une session pour utiliser un service Apple. Si vous n’avez pas encore d’identifiant Apple, vous pouvez en créer un lorsqu’une ouverture de session est nécessaire. Pour en savoir plus, consultez la page support.apple.com/kb/he37?viewlocale=fr_FR.Chapitre 2 Démarrage 16 Gestion du contenu sur vos appareils iOS Vous pouvez transférer des données et des fichiers entre vos appareils iOS et vos ordinateurs à l’aide d’iCloud ou d’iTunes. • iCloud stocke votre contenu, par exemple votre musique, vos photos, vos calendriers, vos contacts, vos documents et plus encore, et le transfère vers d’autres appareils iOS et ordinateurs, maintenant ainsi toutes vos données à jour. Consultez la section iCloud ci-après. • iTunes permet de synchroniser de la musique, des vidéos, des photos et bien plus entre votre ordinateur et votre iPhone. Les modifications apportées à un appareil s’appliquent à l’autre appareil lors de la synchronisation. Vous pouvez aussi utiliser iTunes pour copier un fichier sur l’iPhone et l’utiliser dans une app ou copier un document crée sur l’iPhone sur votre ordinateur. Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17. Vous pouvez utiliser iCloud, iTunes ou les deux selon vos besoins. Par exemple, vous pouvez utiliser Flux de photos iCloud pour automatiquement disposer des photos que vous prenez avec l’iPhone sur vos autres appareils, et utiliser iTunes pour synchroniser vos albums photo de votre ordinateur vers l’iPhone. Important : Ne synchronisez pas des éléments de la sous-fenêtre Infos d’iTunes (tels que des contacts, des calendriers et des notes) tout en utilisant iCloud pour maintenir ces données à jour sur vos appareils. Autrement, vous risquez d’obtenir des données en double. iCloud iCloud stocke votre contenu, notamment la musique, les photos, les contacts, les calendriers ou les documents gérés. Le contenu stocké dans iCloud est transféré sans fil vers vos autres appareils iOS et ordinateurs configurés avec le même compte iCloud. iCloud est disponible sur les appareils iOS 5 ou une version ultérieure, sur les Mac avec OS X Lion 10.7.2 ou une version ultérieure, et sur les PC équipés du panneau de configuration iCloud pour Windows (Windows Vista Service Pack 2 ou Windows 7 sont requis). Parmi les fonctionnalités d’iCloud figurent : • iTunes dans le nuage : téléchargez des achats de séries TV et de musique effectués antérieurement sur iTunes vers l’iPhone gratuitement et à tout moment. • Apps et livres : téléchargez des achats effectués antérieurement dans l’App Store et l’iBookstore vers l’iPhone gratuitement et à tout moment. • Flux de photos : les photos que vous prenez sont affichées sur tous vos autres appareils. Vous pouvez aussi créer des flux de photos à partager. Consultez la section Flux de photos à la page 76. • Documents dans le nuage : pour les apps iCloud, maintenez à jour les documents et les données d’app sur tous vos appareils. • Mail, Contacts, Calendrier : maintenez à jour l’ensemble de vos contacts, calendriers, notes et rappels sur tous vos appareils. • Sauvegarde : sauvegardez l’iPhone vers iCloud automatiquement lorsqu’il est connecté à une source d’alimentation et à une connexion Wi-Fi. Consultez la section Sauvegarde de l’iPhone à la page 162. • Localiser mon iPhone : localisez votre iPhone sur un plan, affichez un message, faites sonner l’appareil, verrouillez l’écran ou effacez les données à distance. Consultez la section Localiser mon iPhone à la page 37.Chapitre 2 Démarrage 17 • Localiser mes amis : partagez votre emplacement avec les personnes que vous considérez importantes. Téléchargez l’app gratuite dans l’App Store. • iTunes Match : avec un abonnement à iTunes Match, toute votre musique, y compris celle que vous avez importée à partir de CD ou achetée ailleurs que sur iTunes, s’affiche sur tous vos appareils et peut être téléchargée et lue à la demande. Consultez la section iTunes Match à la page 67. • Onglets iCloud : affichez les pages web que vous avez ouvertes sur vos autres appareils iOS et ordinateurs OS X. Consultez la section Chapitre 7, Safari, à la page 59. iCloud vous donne accès à un compte de courrier électronique gratuit et à 5 Go de stockage pour le courrier électronique, les documents et les sauvegardes. Vos achats de musique, d’apps, de séries TV et de livres, ainsi que vos flux de photos, n’utilisent pas votre espace gratuit. Pour se connecter ou créer un compte iCloud, et régler les options iCloud : Accédez à Réglages > iCloud. Pour acheter davantage de capacité de stockage iCloud : Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis touchez Gérer le stockage. Pour en savoir plus sur l’achat d’espace de stockage iCloud, visitez la page help.apple.com/fr/icloud. Pour consulter et télécharger des achats antérieurs : • Achats sur l’iTunes Store : Accédez à iTunes, touchez Autre, puis touchez Achats. • Achats sur l’App Store : Accédez à l’App Store, touchez Mises à jour, puis touchez Achats. • Achats sur l’iBookstore : Accédez à iBooks, touchez Store, puis touchez Achats. Pour activer Téléchargements automatiques pour de la musique, des apps ou des livres : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores . Pour en savoir plus sur iCloud, accédez à la page www.apple.com/fr/icloud. Pour obtenir des informations d’assistance, consultez la page www.apple.com/fr/support/icloud. Synchronisation avec iTunes La synchronisation avec iTunes copie des données à partir de votre ordinateur vers l’iPhone, et vice versa. Pour synchroniser, connectez l’iPhone à votre ordinateur ou configurez une synchronisation automatique d’iTunes avec le Wi-Fi. Vous pouvez régler iTunes de manière à synchroniser votre musique, vos photos, vos vidéos, vos podcasts, vos apps, etc. Pour en savoir plus sur la synchronisation de l’iPhone avec votre ordinateur, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide iTunes dans le menu Aide. Pour configurer la synchronisation iTunes sans fil : Connectez l’iPhone à votre ordinateur. Sur votre ordinateur, sélectionnez l’iPhone dans iTunes (sous Appareils), cliquez sur Résumé, puis activez « Synchroniser par connexion Wi-Fi ». Lorsque la synchronisation Wi-Fi est activée, l’iPhone se synchronise chaque jour. L’iPhone doit être connecté à une source d’alimentation. L’iPhone et votre ordinateur doivent être connectés au même réseau sans fil, et iTunes doit être ouvert sur l’ordinateur. Pour en savoir plus, consultez la section Synchronisation Wi-Fi d’iTunes à la page 147. Astuces pour la synchronisation avec iTunes • Si vous utilisez iCloud pour stocker vos contacts, calendriers, signets et notes, ne les synchronisez pas à nouveau sur votre appareil à l’aide d’iTunes.Chapitre 2 Démarrage 18 • Les achats effectués dans l’iTunes Store ou l’App Store sur l’iPhone sont synchronisés vers votre bibliothèque iTunes. Vous pouvez également acheter ou télécharger du contenu et des apps depuis l’iTunes Store sur votre ordinateur, puis les synchroniser sur votre iPhone. • Dans la sous-fenêtre Résumé de l’appareil, vous pouvez configurer iTunes pour que la synchronisation s’effectue automatiquement lorsque votre appareil est connecté à votre ordinateur. Pour outrepasser temporairement ce réglage, maintenez enfoncées les touches Commande et Option (sur un Mac) ou Maj et Contrôle (sur un PC) jusqu’à ce que l’iPhone apparaisse dans la barre latérale. • Dans la sous-fenêtre Résumé de l’appareil, sélectionnez « Chiffrer la sauvegarde de l’iPhone » pour chiffrer les informations stockées sur votre ordinateur au moment où iTunes crée une sauvegarde. Les sauvegardes chiffrées sont identifiées par une icône de cadenas et un mot de passe à part est nécessaire pour restaurer les sauvegardes. Si vous ne sélectionnez pas cette option, les autres mots de passe (tels que ceux pour les comptes de messagerie) ne sont pas inclus dans la sauvegarde et devront être saisis à nouveau si vous utilisez la sauvegarde pour restaurer l’appareil. • Dans la sous-fenêtre Infos de l’appareil, lorsque vous synchronisez des comptes de messagerie, seuls les réglages sont transférés à partir de votre ordinateur vers l’iPhone. Les modifications apportées à un compte de messagerie sur l’iPhone n’ont aucun effet sur le compte de votre ordinateur. • Dans la sous-fenêtre Infos de l’appareil, cliquez sur Avancé pour sélectionner les options vous permettant de remplacer, lors de la prochaine synchronisation, les informations qui se trouvent sur l’iPhone par celles qui se trouvent sur votre ordinateur. • Si vous écoutez une partie d’un podcast ou d’un livre audio, l’endroit où vous vous êtes arrêté est inclus lors de la synchronisation du contenu avec iTunes. Si vous avez commencé l’écoute sur l’iPhone, vous pouvez reprendre où vous vous êtes arrêté dans iTunes sur votre ordinateur, et inversement. • Dans la sous-fenêtre Photos de l’appareil, vous pouvez synchroniser des photos et des vidéos à partir d’un dossier sur votre ordinateur. Visualisation de ce guide de l’utilisateur sur l’iPhone Le Guide de l’utilisateur de l’iPhone peut être affiché sur l’iPhone dans Safari et dans l’app iBooks gratuite. Pour consulter le guide de l’utilisateur dans Safari : Touchez , puis le signet Guide de l’utilisateur de l’iPhone. • Pour ajouter l’icône du guide à l’écran d’accueil : Touchez , puis touchez « Ajouter à l’écran d’accueil ». • Pour consulter le guide dans une autre langue : Touchez « Changer de langue » sur la page de contenu principale. Pour consulter le guide de l’utilisateur dans iBooks : Si vous n’avez pas installé iBooks, ouvrez l’App Store, recherchez « iBooks » puis installez-le. Ouvrez iBooks et touchez Store. Recherchez « Utilisateur de l’iPhone », puis sélectionnez et téléchargez le guide. Pour en savoir plus sur iBooks, consultez la section Chapitre 30, iBooks, à la page 117.3 19 Utilisation des apps Utilisez vos doigts pour toucher, toucher deux fois, balayer et pincer des objets sur l’écran tactile afin d’interagir avec l’iPhone. Ouverture d’apps et basculement entre apps Pour accéder à l’écran d’accueil, appuyez sur le bouton principal . Pour ouvrir une app : Touchez-la. Pour revenir à l’écran d’accueil, appuyez à nouveau sur le bouton principal . Pour afficher un autre écran d’accueil : Balayez vers la gauche ou la droite. Balayez vers la gauche ou la droite pour afficher un autre écran d’accueil. Balayez vers la gauche ou la droite pour afficher un autre écran d’accueil. Pour atteindre le premier écran d’accueil : Appuyer sur le bouton principal . Pour afficher les apps utilisées récemment : Appuyez deux fois sur le bouton principal pour afficher la barre multitâche. Notions élémentairesChapitre 3 Notions élémentaires 20 Touchez une app pour la réutiliser. Balayez vers la gauche pour afficher d’autres apps. Apps récemment utilisées Apps récemment utilisées Si vous disposez de nombreuses apps, il est préférable d’utiliser Spotlight pour les rechercher et les ouvrir. Consultez la section Recherche à la page 29. Défilement Faites glisser votre doigt vers le haut ou le bas pour faire défiler verticalement. Sur certains écrans, notamment les pages web, vous pouvez également faire défiler l’écran latéralement. Lorsque vous faites glisser votre doigt, vous ne choisissez ou n’activez aucune fonction sur l’écran. Feuilletez pour faire défiler l’affichage rapidement. Vous pouvez attendre que le défilement s’arrête ou toucher l’écran pour l’arrêter immédiatement. Pour défiler rapidement vers le haut de la page, touchez la barre d’état située en haut de l’écran.Chapitre 3 Notions élémentaires 21 Listes Selon la liste, la sélection d’un élément peut entraîner différentes actions, par exemple l’ouverture d’une autre liste, la lecture d’un morceau, l’ouverture d’un message électronique ou l’affichage des coordonnées d’une personne. Pour choisir un élément dans une liste : Touchez-le. Certaines listes comportent un index sur le côté pour vous aider à naviguer rapidement. Faites glisser votre doigt le long de l’index pour faire défiler rapidement. Touchez une lettre pour passer directement à la section. Faites glisser votre doigt le long de l’index pour faire défiler rapidement. Touchez une lettre pour passer directement à la section. Pour revenir à une liste précédente : Touchez le bouton Précédent en haut à gauche. Zoom avant ou arrière Selon l’app, il se peut que vous puissiez effectuer un zoom avant ou arrière pour agrandir ou réduire l’image à l’écran. Pendant la consultation de photos, de pages web, de messages électroniques ou de plans, par exemple, pincez avec deux doigts pour effectuer un zoom arrière ou écartez-les pour effectuer un zoom avant. Pour les photos et les pages web, vous pouvez également toucher deux fois (rapidement) pour effectuer un zoom avant, puis toucher à nouveau deux fois pour effectuer un zoom arrière. Sur les plans, touchez deux fois pour effectuer un zoom avant et touchez une fois avec deux doigts pour effectuer un zoom arrière. La fonction Zoom est également une fonction d’accessibilité spéciale avec laquelle vous pouvez agrandir l’écran de chaque app pour mieux voir ce qui est affiché. Consultez la section Zoom à la page 134. Orientations portrait et paysage Vous pouvez afficher la plupart des apps de l’iPhone en mode portrait ou paysage. Faites pivoter l’iPhone et l’affichage pivote également pour s’adapter à la nouvelle orientation.Chapitre 3 Notions élémentaires 22 Pour verrouiller l’écran en orientation portrait : Appuyez deux fois sur le bouton principal , balayez la barre multitâche de gauche à droite, puis touchez . L’icône de verrouillage de l’orientation apparaît dans la barre d’état lorsque l’orientation de l’écran est verrouillée. Réglage de la luminosité Vous pouvez régler manuellement la luminosité de l’écran ou activer l’option Réglage automatique pour que l’iPhone règle automatiquement la luminosité à l’aide du capteur de lumière ambiante intégré. Pour régler la luminosité de l’écran : Accédez à Réglages > Luminosité et fond d’écran, puis faites glisser le curseur. Pour activer ou désactiver l’option Réglage automatique : Accédez à Réglages > Luminosité et fond d’écran. Consultez la section Luminosité et fond d’écran. à la page 151. Personnalisation de l’iPhone Vous pouvez personnaliser la disposition de vos apps sur l’écran d’accueil, les organiser dans des dossiers et changer de fond d’écran. Réorganisation des apps Personnalisez votre écran d’accueil en réorganisant les apps, en plaçant des apps dans le Dock situé au bas de l’écran et en créant des écrans d’accueil supplémentaires. Pour réorganiser les apps : Touchez n’importe quelle app de l’écran d’accueil et maintenez le doigt dessus jusqu’à ce qu’elle bouge, puis déplacez-la en la faisant glisser. Appuyez sur le bouton principal pour enregistrer votre disposition. Pour créer un nouvel écran d’accueil : Pendant que vous disposez vos apps, faites-en glisser une vers le bord droit de l’écran le plus à droite jusqu’à ce qu’un nouvel écran apparaisse. Il est possible de créer jusqu’à 11 écrans d’accueil. Les points qui apparaissent au-dessus du Dock indiquent le nombre d’écrans disponibles et celui qui est actuellement affiché. Balayez vers la gauche ou la droite pour passer d’un écran à un autre. Pour accéder au premier écran d’accueil, appuyez sur le bouton principal .Chapitre 3 Notions élémentaires 23 Pour déplacer une app vers un autre écran : Pendant qu’elle bouge, faites glisser l’app vers le bord de l’écran. Pour personnaliser l’écran d’accueil à l’aide d’iTunes : Connectez l’iPhone à votre ordinateur. Sur votre ordinateur, sur iTunes, sélectionnez iPhone, puis cliquez sur le bouton Apps pour afficher l’image de l’écran d’accueil de l’iPhone. Pour rétablir la disposition d’origine de l’écran d’accueil : Dans Réglages, accédez à Général > Réinitialiser, puis touchez Réinitialiser l’écran d’accueil. La réinitialisation de l’écran d’accueil supprime les dossiers que vous avez créés et lui applique le fond d’écran par défaut. Organisation à l’aide de dossiers Utilisez des dossiers pour organiser les apps sur vos écrans d’accueil. À l’instar des apps, il est possible de réorganiser les dossiers en les faisant glisser sur les écrans d’accueil ou vers le Dock. Pour créer un dossier : Touchez une app jusqu’à ce que les icônes de l’écran d’accueil se mettent à bouger, puis faites glisser l’app sur une autre. L’iPhone crée un dossier contenant les deux apps et lui attribue un nom en fonction du type de celles-ci. Pour saisir un autre nom, touchez le champ de nom. Pour ouvrir un dossier : Touchez le dossier. Pour fermer un dossier, touchez à l’extérieur du dossier ou appuyez sur le bouton principal . Pour organiser les apps à l’aide de dossiers : Pendant que vous disposez vos apps (les icônes bougent) : • Pour ajouter une app à un dossier : Faites glisser l’app sur le dossier. • Pour supprimer une app d’un dossier : Si nécessaire, ouvrez le dossier, puis faites glisser l’app hors de celui-ci. • Pour supprimer un dossier : Déplacez toutes les apps hors du dossier. Ce dernier est automatiquement supprimé. • Pour renommer un dossier : Touchez le dossier pour l’ouvrir, puis touchez le nom et saisissez-en un nouveau. Lorsque vous avez terminé, appuyez sur le bouton principal .Chapitre 3 Notions élémentaires 24 Changement de fond d’écran Vous pouvez personnaliser l’écran verrouillé et l’écran d’accueil en utilisant une image ou une photo comme fond d’écran. Choisissez l’une des images fournies ou une photo de votre album Pellicule ou d’un autre album présent sur votre iPhone. Pour changer de fond d’écran : Accédez à Réglages > Luminosité et fond d’écran. Saisie de texte Le clavier à l’écran vous permet de saisir du texte quand vous en avez besoin. Saisie de texte Utilisez le clavier à l’écran pour saisir du texte, tel que des coordonnées, des messages électroniques et des adresses web. Selon l’app et la langue que vous utilisez, le clavier peut corriger les fautes d’orthographe, prédire ce que vous saisissez et même apprendre à mesure que vous l’utilisez. Vous pouvez également taper du texte sur un clavier sans fil Apple. Consultez la section Clavier sans fil Apple à la page 27. Pour utiliser la dictée au lieu de la saisie, consultez la section Dictée à la page 27. Pour saisir du texte : Touchez un champ de texte pour faire apparaître le clavier, puis touchez les touches de celui-ci. Lors de votre saisie, chaque lettre apparaît au-dessus de votre doigt. Si vous touchez la mauvaise touche, vous pouvez faire glisser votre doigt jusqu’à la bonne. La lettre n’est pas validée tant que vous n’éloignez pas votre doigt de la touche. • Pour écrire en majuscules : Touchez la touche Maj avant de toucher une lettre. Vous pouvez également maintenir la touche Maj enfoncée, puis faire glisser votre doigt sur une lettre. • Pour saisir rapidement un point et une espace : Touchez deux fois la barre d’espace. • Pour activer le verrouillage des majuscules : Touchez deux fois la touche Maj . Pour désactiver le verrouillage des majuscules, touchez la touche Maj. • Pour saisir des chiffres, des signes de ponctuation ou des symboles : Touchez la touche des chiffres . Pour afficher d’autres signes de ponctuation et symboles, touchez la touche des symboles .Chapitre 3 Notions élémentaires 25 • Pour saisir des lettres accentuées ou d’autres caractères secondaires : Maintenez le doigt sur une touche, puis faites glisser pour choisir l’une des options. Pour saisir un autre caractère, touchez une touche, maintenez le doigt dessus et faites glisser pour choisir l’une des options. Pour saisir un autre caractère, touchez une touche, maintenez le doigt dessus et faites glisser pour choisir l’une des options. Pour définir les options de saisie : Accédez à Réglages > Général > Clavier. Modification de texte Si vous devez modifier du texte, une loupe à l’écran vous aide à positionner le point d’insertion à l’endroit voulu. Vous pouvez sélectionner, couper, copier et coller du texte. Dans certaines apps, vous pouvez également couper, copier et coller des photos et des vidéos. Pour positionner le point d’insertion : Touchez l’écran et gardez le doigt dessus pour afficher la loupe, puis faites glisser le doigt pour positionner le point d’insertion. Pour sélectionner du texte : Touchez le point d’insertion pour afficher les boutons de sélection. Touchez Sélectionner pour sélectionner le mot attenant ou Tout sélectionner pour sélectionner tout le texte. Vous pouvez également toucher deux fois un mot pour le sélectionner. Faites glisser les poignées pour sélectionner plus ou moins de texte. Dans les documents en lecture seule, tels que les pages web, maintenez le doigt sur un mot pour le sélectionner. Pour couper ou copier du texte : Sélectionnez du texte, puis touchez Couper ou Copier. Pour coller du texte : Touchez le point d’insertion, puis touchez Coller pour insérer le dernier texte que vous avez coupé ou copié. Pour remplacer du texte, sélectionnez-le avant de toucher Coller. Pour annuler la dernière modification : Secouez l’iPhone, puis touchez Annuler. Pour mettre du texte en gras ou en italique, ou le souligner : Sélectionnez le texte, touchez , puis B/I/U (si disponible). Pour obtenir la définition d’un mot : Sélectionnez le mot, puis touchez Définition (si disponible). Pour obtenir des mots alternatifs : Sélectionnez un mot, puis touchez Suggérer (si disponible).Chapitre 3 Notions élémentaires 26 Correction automatique et vérification de l’orthographe Pour de nombreuses langues, l’iPhone utilise le dictionnaire actif pour corriger les fautes d’orthographe ou faire des suggestions pendant la saisie. Lorsque l’iPhone suggère un mot, vous pouvez accepter la suggestion sans interrompre la saisie. Pour obtenir la liste des langues prises en charge, consultez la page web www.apple.com/fr/iphone/specs.html. Mot suggéré Mot suggéré Pour accepter la suggestion : Saisissez une espace, un signe de ponctuation ou le caractère de retour. Pour refuser une suggestion : Touchez le « X » en regard de la suggestion. Chaque fois que vous rejetez une suggestion pour un même mot, il devient plus probable que l’iPhone accepte votre mot. L’iPhone peut également souligner des mots que vous avez déjà saisis et qui pourraient être mal orthographiés. Pour remplacer un mot mal orthographié : Touchez le mot souligné, puis touchez la bonne orthographe. Si le mot que vous souhaitez saisir n’apparaît pas, saisissez-le de nouveau. Pour activer ou désactiver la correction automatique ou la vérification orthographique : Accédez à Réglages > Général > Clavier. Raccourcis et votre dictionnaire personnel Les raccourcis vous permettent de ne saisir que quelques caractères à la place d’un mot ou d’une expression plus longs. Le texte complet apparaît dès que vous saisissez le raccourci. Par exemple, le raccourci « bjr » saisit le texte complet « bonjour ». Pour créer un raccourci : Accédez à Réglages > Général > Clavier, puis touchez Ajouter un raccourci. Pour empêcher l’iPhone de tenter de corriger un mot ou une expression : Créez un raccourci, mais laissez le champ Raccourci vide. Pour modifier un raccourci : Accédez à Réglages > Général > Clavier, puis touchez le raccourci. Pour utiliser iCloud pour maintenir votre dictionnaire personnel à jour sur vos autres appareils iOS : Accédez à Réglages > iCloud, puis activez « Documents et données ». Dispositions de clavier Vous pouvez utiliser Réglages pour définir les dispositions du clavier à l’écran ou d’un clavier sans fil Apple que vous utilisez avec l’iPhone. Les dispositions disponibles dépendent de la langue choisie. Consultez la section Clavier sans fil Apple ci-dessous et la section L’annexe B, Claviers internationaux, à la page 154. Pour sélectionner les dispositions des claviers : Accédez à Réglages > Général > International > Claviers, sélectionnez une langue, puis choisissez les dispositions.Chapitre 3 Notions élémentaires 27 Clavier sans fil Apple Vous pouvez utiliser un clavier sans fil Apple (vendu séparément) pour la saisie sur votre iPhone. Le clavier sans fil Apple se connecte via Bluetooth. Vous devez donc commencer par le jumeler avec l’iPhone. Consultez la section Jumelage d’appareils Bluetooth à la page 35. Une fois le clavier jumelé, il se connecte chaque fois qu’il est à portée de l’iPhone (jusqu’à 10 m). Lorsqu’un clavier sans fil est connecté, le clavier à l’écran n’apparaît pas quand vous touchez un champ de texte. Pour économiser la batterie, éteignez le clavier lorsque vous ne l’utilisez pas. Pour changer de langue lors de l’utilisation d’un clavier sans fil : Appuyez sur Commande + Barre d’espace pour afficher la liste des langues disponibles. Appuyez à nouveau sur la barre d’espace tout en maintenant enfoncée la touche Commande pour changer de langue. Pour éteindre un clavier sans fil : Maintenez enfoncé le bouton d’alimentation du clavier jusqu’à l’extinction du voyant vert. L’iPhone déconnecte le clavier lorsque celui-ci est éteint ou hors de portée. Pour annuler le jumelage d’un clavier sans fil : Accédez à Réglages > Bluetooth, touchez en regard du nom du clavier, puis touchez « Oublier cet appareil ». Dictée Sur l’iPhone 4S ou ultérieur, vous pouvez dicter du texte au lieu de le saisir. Pour pouvoir utiliser la dictée, l’option Siri doit être activée et l’iPhone doit être connecté à Internet. Vous pouvez insé- rer des signes de ponctuation et utiliser des commandes pour mettre en forme votre texte. Remarque : Des frais de données cellulaires peuvent s’appliquer. Pour activer la dictée : Accédez à Réglages > Général > Siri et activez Siri. Pour dicter du texte : Sur le clavier à l’écran, touchez , puis parlez. Lorsque vous avez fini, touchez Terminé. Touchez pour commencer la dictée. Touchez pour commencer la dictée. Ceci apparaît pendant que Siri rédige le texte que vous lui dictez. Ceci apparaît pendant que Siri rédige le texte que vous lui dictez. Pour ajouter du texte, touchez une nouvelle fois et continuez la dictée. Pour insérer du texte, commencez par toucher l’endroit où vous voulez placer le point d’insertion. Vous pouvez également remplacer le texte sélectionné en dictant. Vous pouvez placer l’iPhone sur votre oreille pour commencer la dictée, au lieu de saisir le texte sur le clavier. Pour terminer, replacez l’iPhone devant vous. Pour ajouter un signe de ponctuation ou mettre en forme du texte : Énoncez la commande de ponctuation ou de mise en forme. Par exemple, « Chère Caroline virgule le code se trouve dans le courrier électronique point » donne le texte suivant « Chère Caroline, le code se trouve dans le courrier électronique. »Chapitre 3 Notions élémentaires 28 Les commandes de ponctuation et de mise en forme incluent : • ouvrir les guillemets... fermer les guillemets ; • nouveau paragraphe ; • en maj, pour mettre en majuscule le premier caractère du mot suivant ; • activer maj... annuler maj, pour mettre en majuscule le premier caractère de chaque mot ; • toutes maj, pour mettre en majuscule tous les caractères du mot suivant ; • activer toutes maj... annuler toutes maj, pour mettre en majuscule tous les caractères des mots compris entre les deux commandes ; • activer min... annuler min, pour mettre en minuscule tous les caractères des mots compris entre les deux commandes ; • activer pas d’espace... annuler pas d’espace, pour coller une série de mots sans espaces ; • souriant, pour insérer :-) ; • renfrogné, pour insérer :-( ; • clin d’œil, pour insérer ;-). Contrôle vocal Contrôle vocal vous permet de téléphoner et de contrôler la lecture de musique à l’aide de commandes vocales. Sur l’iPhone 4S ou ultérieur, vous pouvez également utiliser Siri pour contrôler vocalement l’iPhone. Consultez la section Chapitre 4, Siri, à la page 39. Remarque : Contrôle vocal et les réglages de Contrôle vocal ne sont pas disponibles lorsque Siri est activé. Pour utiliser Contrôle vocal : Maintenez enfoncé le bouton principal jusqu’à l’ouverture de l’écran Contrôle vocal, signalée par un bip sonore. Vous pouvez également maintenir enfoncé le bouton central de vos écouteurs. Consultez la section Casque d’écoute Apple à la page 34. Pour obtenir les meilleurs résultats : • Parlez clairement et de manière naturelle. • Ne prononcez que des commandes iPhone, des noms et des chiffres. Faites de petites pauses entre les différentes commandes. • Utilisez les noms complets.Chapitre 3 Notions élémentaires 29 Contrôle vocal est configuré pour reconnaître les commandes vocales dans la langue définie pour l’iPhone (dans Réglages > Général > International > Langue). Les réglages de Contrôle vocal permettent de définir la langue dans laquelle doivent être dites les commandes vocales. Certaines langues sont disponibles dans différents dialectes ou accents. Pour changer de langue ou de pays : Accédez à Réglages > Général > International > Contrôle vocal, puis touchez la langue ou le pays. La fonction Contrôle vocal est toujours activée pour l’app Musique, mais vous pouvez désactiver la composition vocale lorsque l’iPhone est verrouillé. Pour désactiver la composition vocale lorsque l’iPhone est verrouillé : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, puis désactivez Composition vocale (disponible uniquement lorsque Siri est désactivé dans Réglages > Général > Siri.) Pour utiliser la composition vocale, vous devez d’abord déverrouiller l’iPhone. Si vous recherchez des commandes spécifiques, consultez les sections Émission d’appels à la page 46 et Siri et Contrôle vocal à la page 66. Pour en savoir plus sur l’utilisation de Commande vocale, notamment sur la manière de l’utiliser en différentes langues, consultez la page http://support.apple.com/kb/HT3597?viewlocale=fr_FR. Recherche Vous pouvez effectuer des recherches dans la plupart des apps installées sur l’iPhone, ainsi que sur Wikipédia et le Web. Effectuez une recherche dans une app particulière ou dans toutes les apps à la fois à l’aide de Spotlight. Spotlight recherche aussi les noms des apps installées sur l’iPhone. Si vous disposez d’un grand nombre d’apps, vous pouvez donc utiliser Spotlight pour les localiser et les ouvrir. Pour effectuer une recherche dans une app : Saisissez du texte dans le champ de recherche. Pour effectuer une recherche sur l’iPhone à l’aide de Spotlight : Balayez vers la droite depuis votre premier écran d’accueil, ou appuyez sur le bouton principal depuis n’importe quel écran d’accueil. Saisissez du texte dans le champ de recherche. Les résultats de la recherche apparaissent à mesure que vous tapez. Pour masquer le clavier et afficher plus de résultats, touchez Rechercher. Touchez un élément dans la liste pour l’ouvrir. Les icônes indiquent les apps dont proviennent les résultats. Chapitre 3 Notions élémentaires 30 L’iPhone peut afficher un meilleur résultat, en fonction des recherches précédentes. Spotlight recherche les éléments suivants : • Contacts : tout le contenu • Apps : titres • Musique : noms des morceaux, artistes et albums, ainsi que les titres des podcasts et des vidéos • Podcasts : titres • Vidéos : titres • Livres audio : titres • Notes : texte des notes • Calendrier (événements) : nom des événements, invités, lieux et notes • Mail : champs À, De et Objet de tous les comptes (le texte des messages est ignoré) • Rappels : titres • Messages : titre et texte des messages Pour effectuer une recherche sur le Web ou Wikipédia depuis Spotlight : Faites défiler jusqu’en bas de l’écran, puis touchez Rechercher sur le Web ou Rechercher dans Wikipedia. Pour ouvrir une app à partir de Recherche : Saisissez une partie ou la totalité du nom de l’app, puis touchez-la. Pour choisir les éléments à rechercher et l’ordre dans lequel ils doivent l’être : Accédez à Réglages > Général > Recherche Spotlight. Notifications Pour vous aider à vous souvenir des événements importants, de nombreuses apps iPhone peuvent vous fournir des alertes. Une alerte peut apparaître brièvement sous forme de bannière en haut de votre écran, qui disparaît si vous n’y répondez pas, ou sous forme de mention au centre de l’écran qui restera jusqu’à ce que vous ayez confirmé sa lecture. Certaines apps peuvent également afficher des pastilles sur les icônes correspondantes dans l’écran d’accueil pour vous informer du nombre d’éléments en attente (par exemple, le nombre de nouveaux courriers électroniques que vous avez reçus). En cas de problème (par exemple, un message qui ne peut pas être envoyé), un point d’exclamation apparaît sur la pastille. Une pastille numé- rotée sur un dossier indique le nombre total d’alertes pour l’ensemble des apps que contient ce dossier. Les alertes peuvent également apparaître sur l’écran verrouillé. Pour répondre à une alerte lorsque l’iPhone est verrouillé : Balayez l’alerte de gauche à droite. Le Centre de notifications affiche vos alertes dans un seul emplacement. Ainsi, si vous n’avez pas pu répondre à une alerte lorsque vous l’avez reçue, vous pouvez y répondre via le Centre de notifications lorsque vous êtes prêt. Parmi les alertes figurent : • Appels manqués et messages vocaux • Nouveaux courriers électroniquesChapitre 3 Notions élémentaires 31 • Nouveaux messages texte • Rappels • Événements de calendrier • Demandes d’amis (Game Center) Vous pouvez également accéder à la météo locale et afficher une version personnalisée des cotes de la bourse. Si vous êtes connecté sur vos comptes Twitter ou Facebook, vous pouvez tweeter et publier sur ces comptes à partir du Centre de notifications. Pour afficher le centre de notifications : Balayez vers le bas depuis le haut de l’écran. Faites défiler la liste pour afficher des alertes supplémentaires. • Pour répondre à une alerte : Touchez-la. • Pour supprimer une alerte : Touchez , puis touchez Effacer. Pour gérer les alertes pour les apps : Accédez à Réglages > Notifications. Consultez la section Ne pas déranger et Notifications à la page 142. Pour choisir les sons des alertes, régler le volume de l’alerte ou activer ou désactiver le mode vibration : Accédez à Réglages > Sons. Partage L’iPhone vous offre de nombreuses occasions de partager avec d’autres personnes.Chapitre 3 Notions élémentaires 32 Partage dans les apps De nombreuses apps affichent des options de partage ainsi que d’autres actions telles que l’impression ou la copie lorsque vous touchez . Les options varient en fonction de l’app utilisée. Facebook Connectez-vous à votre compte Facebook (ou créez un compte) dans Réglages pour pouvoir publier directement à partir de nombreuses apps sur l’iPhone. Pour se connecter à un compte Facebook ou en créer un : Accédez à Réglages > Facebook. Pour publier à partir du Centre de notifications : Touchez « Toucher pour publier ». Pour publier en utilisant Siri : Dites « Publier sur Facebook... ». Pour publier un élément d’une app : Dans la plupart des apps, touchez . Dans Plans, touchez , Envoyer ce lieu, puis Facebook. Pour régler les options de Facebook : Accédez à Réglages > Facebook pour : • mettre à jour les contacts de l’iPhone avec les noms et les photos Facebook ; • autoriser l’App Store, le Calendrier, les Contacts ou iTunes à utiliser votre compte. Pour installer l’app Facebook : Accédez à Réglages > Facebook, puis touchez Installer. Twitter Connectez-vous à votre compte Twitter (ou créez un compte) dans Réglages pour activer les Tweets avec des pièces jointes à partir de nombreuses apps sur l’iPhone. Pour se connecter à un compte Twitter ou en créer un : Accédez à Réglages > Twitter. Pour tweeter à partir du Centre de notifications : Touchez « Toucher pour tweeter ». Pour tweeter en utilisant Siri : Dites « Tweeter... ». Pour tweeter un élément d’une app : Affichez l’élément, touchez , puis touchez Twitter. Si n’apparaît pas, touchez l’écran. Pour ajouter votre localisation, touchez Ajouter le lieu. Pour envoyer une localisation dans Plans par Twitter : Touchez le repère, , Envoyer ce lieu, puis Twitter. Lorsque vous rédigez un Tweet, le chiffre présent dans l’angle inférieur droit de l’écran Tweet indique le nombre de caractères restants à saisir. Les pièces jointes utilisent une partie des 140 caractères d’un Tweet. Pour ajouter des noms d’utilisateur Twitter et des photos à vos contacts : Accédez à Réglages > Twitter, puis touchez Actualiser les contacts. Pour installer l’app Twitter : Accédez à Réglages > Twitter, puis touchez Installer. Pour apprendre comment utiliser l’app Twitter, ouvrez l’app, touchez Moi, puis Aide.Chapitre 3 Notions élémentaires 33 Connexion de l’iPhone à un téléviseur ou un autre appareil Vous pouvez utiliser AirPlay avec l’Apple TV pour diffuser du contenu sur un téléviseur HD ou connecter l’iPhone à votre téléviseur à l’aide de câbles. AirPlay AirPlay permet de diffuser de la musique, des photos et des vidéos sans fil sur l’Apple TV et d’autres appareils compatibles AirPlay. Les commandes AirPlay apparaissent lorsqu’un appareil compatible AirPlay est disponible sur le même réseau Wi-Fi que l’iPhone. Vous pouvez également effectuer une recopie vidéo de l’écran de l’iPhone sur un téléviseur. Pour diffuser un contenu vers un appareil compatible AirPlay : Touchez et choisissez l’appareil. Pour accéder à AirPlay et aux commandes de volume lors de l’utilisation d’une app : Lorsque l’écran est activé, appuyez deux fois sur le bouton principal et faites défiler vers l’extrémité gauche de la barre multitâche. Pour poursuivre la lecture sur l’iPhone : Touchez et choisissez iPhone. Pour effectuer une recopie vidéo de l’écran de l’iPhone sur un téléviseur : Touchez à l’extrémité gauche de la barre multitâche, choisissez une Apple TV, puis touchez Recopie vidéo. Une barre bleue apparaît dans la partie supérieure de l’écran de l’iPhone lorsque la recopie vidéo AirPlay est activée. Tout ce qui se trouve sur l’écran de l’iPhone apparaît sur le téléviseur. Connexion de l’iPhone à un téléviseur à l’aide d’un câble Les câbles et adaptateurs Apple (disponibles séparément) peuvent être utilisés pour connecter l’iPhone à un téléviseur, un projecteur ou tout autre moniteur externe. Pour en savoir plus, consultez la page http://support.apple.com/kb/TS2621?viewlocale=fr_FR. Impression à l’aide d’AirPrint AirPrint vous permet d’imprimer sans fil sur les imprimantes compatibles AirPrint depuis les apps iOS suivantes : • Mail : messages électroniques et pièces jointes qui s’ouvrent dans Coup d’œil ; • Photos et Appareil photo : photos ; • Safari : pages web, documents PDF et autres pièces jointes qui s’ouvrent dans Coup d’œil ; • iBooks : documents PDF ; • Plans : partie du plan affichée à l’écran ; • Notes : note actuellement affichée. D’autres apps disponibles sur l’App Store prennent également en charge AirPrint. L’iPhone et l’imprimante doivent se trouver sur le même réseau Wi-Fi. Pour en savoir plus sur AirPrint, consultez la page support.apple.com/kb/HT4356?viewlocale=fr_FR. Pour imprimer un document : Touchez ou (suivant l’app que vous utilisez), puis touchez Imprimer.Chapitre 3 Notions élémentaires 34 Pour consulter l’état d’une tâche d’impression : Appuyez deux fois sur le bouton principal , puis touchez Impression dans la barre multitâche. La pastille affichée sur l’icône indique combien de documents, y compris celui en cours, sont prêts à être imprimés. Pour annuler une tâche d’impression : Dans Impression, sélectionnez la tâche d’impression (si nécessaire), puis touchez Annuler l’impression. Casque d’écoute Apple Les écouteurs Apple EarPods avec télécommande et microphone (iPhone 5) et les écouteurs Apple avec télécommande et microphone (iPhone 4S ou modèles antérieurs) comprennent un microphone, des boutons de volume et un bouton intégré permettant de répondre aux appels et d’y mettre fin, et de contrôler la lecture audio et vidéo. Bouton central Bouton central Branchez le casque d’écoute pour écouter de la musique ou passer un appel. Appuyez sur le bouton central pour contrôler la lecture de la musique et répondre ou mettre fin à des appels, même lorsque l’iPhone est verrouillé. Pour régler le volume : Appuyez sur le bouton ou . Utilisez le bouton central pour contrôler la lecture de la musique : • Pour interrompre temporairement la lecture d’un morceau ou d’une vidéo : Appuyez sur le bouton central. Appuyez à nouveau pour reprendre la lecture. • Pour passer au morceau suivant : Appuyez deux fois rapidement sur le bouton central. • Pour revenir au morceau précédent : Appuyez trois fois rapidement sur le bouton central. • Pour avancer rapidement : Appuyez deux fois rapidement sur le bouton central et maintenezle enfoncé. • Pour effectuer un retour rapide : Appuyez trois fois rapidement sur le bouton central puis maintenez-le enfoncé. Utilisez le bouton central pour répondre à des appels téléphoniques ou en passer : • Pour répondre à un appel entrant : Appuyez sur le bouton central. • Pour mettre fin à l’appel en cours : Appuyez sur le bouton central. • Pour refuser un appel entrant : Maintenez le bouton central enfoncé durant deux secondes environ, puis relâchez-le. Deux bips de faible intensité confirment que vous avez refusé l’appel. • Pour répondre à un appel entrant ou en attente et mettre l’appel en cours en attente : Appuyez sur le bouton central. Appuyez à nouveau pour revenir au premier appel. • Pour répondre à un appel entrant ou en attente et mettre fin à l’appel en cours : Maintenez le bouton central enfoncé durant deux secondes environ, puis relâchez-le. Deux bips de faible intensité confirment que vous avez mis fin au premier appel.Chapitre 3 Notions élémentaires 35 Pour utiliser Siri ou Contrôle vocal : Maintenez enfoncé le bouton central. Consultez les sections Chapitre 4, Siri, à la page 39 ou Contrôle vocal à la page 28. Si vous recevez un appel pendant que le casque d’écoute est branché, vous pouvez entendre la sonnerie via le haut-parleur de l’iPhone et le casque. Appareils Bluetooth Vous pouvez utiliser l’iPhone avec le clavier sans fil Apple et d’autres appareils Bluetooth, notamment des casques, kits de voiture et oreillettes stéréo Bluetooth. Pour connaître les profils Bluetooth pris en charge, consultez la page support.apple.com/kb/HT3647?viewlocale=fr_FR. Jumelage d’appareils Bluetooth AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la perte d’audition et sur la concentration en voiture, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Avant de pouvoir utiliser un appareil Bluetooth avec l’iPhone, vous devez les jumeler. Jumeler un appareil Bluetooth avec l’iPhone : 1 Assurez-vous que l’appareil peut être détecté. Consultez la documentation fournie avec l’appareil. Pour un clavier sans fil Apple, appuyez sur le bouton d’alimentation. 2 Accédez à Réglages > Bluetooth et activez Bluetooth. 3 Sélectionnez l’appareil et tapez le code d’accès ou le code PIN qui vous est demandé, le cas échéant. Consultez les instructions relatives au mot de passe ou au code personnel fournies avec l’appareil. Pour en savoir plus sur l’utilisation d’un clavier sans fil Apple, consultez la section Clavier sans fil Apple à la page 27. Pour utiliser un casque d’écoute Bluetooth avec l’iPhone, reportez-vous à la documentation fournie avec l’appareil. Pour réactiver la sortie audio de l’iPhone lorsqu’un casque d’écoute Bluetooth est connecté : Éteignez l’appareil ou annulez son jumelage, ou désactivez le Bluetooth dans Réglages > Bluetooth. La sortie audio de l’iPhone est réactivée quand l’appareil est hors de portée. Vous pouvez également utiliser AirPlay pour réactiver la sortie audio de l’iPhone. Consultez la section AirPlay à la page 33. État Bluetooth Lorsqu’un appareil est jumelé avec l’iPhone, l’icône Bluetooth apparaît dans la barre d’état en haut de l’écran : • ou : Bluetooth est activé et jumelé avec un appareil. (La couleur dépend de la couleur actuelle de la barre d’état.) • : Bluetooth est activé et jumelé avec un appareil, mais ce dernier est hors de portée ou éteint. • Pas d’icône Bluetooth : Bluetooth n’est pas jumelé avec un appareil.Chapitre 3 Notions élémentaires 36 Suppression du jumelage d’un appareil Bluetooth avec l’iPhone Vous pouvez annuler le jumelage d’un appareil Bluetooth si vous ne souhaitez plus l’utiliser avec l’iPhone. Pour annuler le jumelage d’un appareil Bluetooth : Accédez à Réglages > Bluetooth et activez Bluetooth. Touchez situé à côté du nom de l’appareil et touchez « Oublier cet appareil ». Partage de fichiers Vous pouvez utiliser iTunes pour transférer des documents entre l’iPhone et votre ordinateur. Vous pouvez également afficher les fichiers reçus sous forme de pièces jointes sur l’iPhone. Consultez la section Lecture de courriers électroniques à la page 54. Si les mêmes apps sont compatibles avec iCloud sur plus d’un appareil, vous pouvez utiliser iCloud pour qu’il maintienne automatiquement vos documents à jour sur tous vos appareils. Consultez la section iCloud à la page 16. Pour transférer des fichiers à l’aide d’iTunes : Connectez l’iPhone à votre ordinateur à l’aide du câble fourni. Sur votre ordinateur, sélectionnez l’iPhone dans iTunes, puis cliquez sur le bouton Apps. Utilisez la section Partage de fichiers pour transférer des documents entre l’iPhone et votre ordinateur. Les apps qui prennent en charge le partage de fichiers figurent sur iTunes parmi la liste des apps compatibles avec le partage de fichiers. Pour supprimer un fichier, sélectionnez-le dans la liste Fichiers, puis appuyez sur la touche Supprimer. Fonctionnalités de sécurité Diverses fonctionnalités de sécurité protègent les informations qui se trouvent sur l’iPhone contre l’accès par des personnes non autorisées. Codes secrets et protection des données Par mesure de sécurité, vous pouvez définir un code à saisir chaque fois que vous allumez ou réactivez l’iPhone ou quand vous accédez aux réglages de verrouillage par code. La configuration d’un code active la protection des données, qui utilise votre code comme clé de chiffrement des messages électroniques et des pièces jointes stockés sur l’iPhone. (Certaines apps disponibles dans l’App Store utilisent également la protection des données.) Une mention située au bas de l’écran Verrouillage par code dans Réglages indique que la protection des données est activée. Important : Sur un iPhone 3GS non fourni avec iOS 4 ou une version ultérieure, vous devez également restaurer le logiciel iOS pour activer la protection des données. Consultez la section Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPhone à la page 164. Pour définir un code : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, touchez Activer le code, puis saisissez un code à 4 chiffres. Pour utiliser un code plus sécurisé : Pour augmenter la sécurité, désactivez Code simple et utilisez un code plus long combinant chiffres, lettres, signes de ponctuation et caractères spéciaux. Pour déverrouiller l’iPhone lorsqu’il est protégé par un code à combinaison, vous devez saisir ce dernier à l’aide du clavier. Si vous préférez déverrouiller l’iPhone à l’aide du clavier numérique, vous pouvez configurer un code plus long ne comportant que des chiffres. Pour empêcher l’accès à Siri lorsque l’iPhone est verrouillé : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, puis désactivez Siri.Chapitre 3 Notions élémentaires 37 Pour désactiver la composition vocale lorsque l’iPhone est verrouillé : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, puis désactivez Composition vocale. (Disponible uniquement lorsque Siri est désactivé dans Réglages > Général > Siri.) Consultez la section Verrouillage par code à la page 147. Localiser mon iPhone Localiser mon iPhone peut vous aider à situer et à protéger votre iPhone en utilisant un autre iPhone, iPad ou iPod touch avec l’app gratuite Localiser mon iPhone, ou un Mac ou PC avec un navigateur web connecté à www.icloud.com. Localiser mon iPhone inclut : • Faire sonner : Émet un son pendant deux minutes. • Mode Perdu : Vous pouvez immédiatement verrouiller l’iPhone perdu à l’aide d’un code et lui envoyer un message affichant un numéro de contact. L’iPhone suit et signale également son emplacement, ce qui vous permet de voir son parcours dans l’app Localiser mon iPhone. • Effacer l’iPhone : Préserve votre confidentialité en effaçant toutes les informations et données de votre iPhone et en rétablissant ses réglages d’origine. Important : Pour pouvoir utiliser ces fonctionnalités, Localiser mon iPhone doit avoir été activé dans les réglages iCloud de votre iPhone avant que celui-ci n’ait été perdu. De plus, il doit être connecté à Internet. Pour activer Localiser mon iPhone : Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Localiser mon iPhone. Batterie L’iPhone est doté d’une batterie interne rechargeable au lithium-ion. Pour en savoir plus sur la batterie et découvrir des conseils pour prolonger sa durée de vie, consultez la page www.apple.com/fr/batteries. AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes de sécurité sur la batterie et la recharge de l’iPhone, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Pour recharger la batterie : Branchez l’iPhone sur une prise secteur à l’aide du câble et de l’adaptateur secteur USB inclus. Remarque : Le branchement de l’iPhone sur une prise secteur peut lancer une sauvegarde iCloud ou une synchronisation iTunes sans fil. Consultez les sections Sauvegarde de l’iPhone à la page 162 et Synchronisation avec iTunes à la page 17.Chapitre 3 Notions élémentaires 38 Pour recharger la batterie et synchroniser l’iPhone à l’aide d’un ordinateur : Connectez l’iPhone à votre ordinateur à l’aide du câble fourni. Vous pouvez également connecter l’iPhone à votre ordinateur à l’aide du câble fourni et de la station d’accueil vendue séparément. À moins que votre clavier ne dispose d’un port USB 2.0 ou 3.0 à forte alimentation, vous devez connecter votre iPhone à un port USB 2.0 ou 3.0 de votre ordinateur. Important : Il est possible que la batterie de l’iPhone se décharge si l’iPhone est connecté à un ordinateur éteint, en mode de veille ou en suspension d’activité. L’icône représentant une batterie située dans le coin supérieur droit de l’écran indique le niveau de charge ou la progression de l’opération de recharge de la batterie. Charge en cours Charge en cours Chargé Chargé Pour afficher le pourcentage de charge de la batterie : Accédez à Réglages > Général > Utilisation, et activez le réglage sous Niveau de la batterie. Si vous chargez la batterie pendant qu’une synchronisation est en cours ou que vous utilisez l’iPhone, l’opération peut prendre plus de temps. Important : Si le niveau de la batterie de l’iPhone est très faible, l’une des images suivantes peut s’afficher pour indiquer que l’iPhone ne pourra être utilisé qu’après dix minutes de recharge. Si le niveau de la batterie de l’iPhone est extrêmement faible, il se peut que l’écran reste éteint. Jusqu’à deux minutes peuvent s’écouler avant qu’apparaisse l’une des images de faible charge. ouou Le nombre de cycles de recharge des batteries rechargeables reste limité et il peut s’avérer nécessaire de les remplacer. Pour remplacer la batterie : La batterie de l’iPhone ne peut pas être remplacée par l’utilisateur ; elle ne peut l’être que par un centre de service agréé. Consultez http://www.apple.com/fr/batteries/replacements.html.4 39 Qu’est-ce que Siri ? Siri est l’assistant personnel intelligent qui vous aide à accomplir des tâches ; il vous suffit de parler. Siri comprend la parole naturelle, ce qui vous évite d’apprendre des commandes spécifiques ou de retenir des mots-clés. Vous pouvez demander l’exécution de tâches de plusieurs manières. Par exemple, vous pouvez dire « Définir l’alarme pour 6 h 30 » ou « Me réveiller à 6 h 30 du matin ». Dans tous les cas, Siri comprend l’instruction. AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la concentration en voiture, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Remarque : Siri est disponible sur l’iPhone 4S et les modèles ultérieurs, et nécessite un accès à Internet. Des frais de données cellulaires peuvent s’appliquer. Siri vous permet d’écrire et d’envoyer un message, planifier une réunion, effectuer un appel téléphonique, obtenir une direction, définir un rappel, effectuer des recherches sur le Web, et beaucoup plus encore, simplement en parlant naturellement. Siri pose une question si une clarification ou plus d’informations sont requises. Siri utilise également des informations provenant de vos contacts, votre bibliothèque de musique, vos calendriers, vos rappels, etc. pour comprendre ce que vous dites. Siri fonctionne en toute facilité avec la plupart des apps intégrées sur l’iPhone. Par ailleurs, il utilise les Services de localisation et de Recherche lorsque nécessaire. Vous pouvez également demander à Siri d’ouvrir une app pour vous. Ce que vous pouvez demander à Siri est infini ! En voici quelques exemples, pour les débutants : • Appeler Jean • Définir le minuteur pour se déclencher dans 30 minutes • Itinéraire jusqu’à l’Apple Store le plus proche • Pleuvra-t-il demain ? • Ouvrir Passbook • Publier sur Facebook • Tweet Utilisation de Siri Démarrage de Siri Siri s’active grâce à un bouton. Pour démarrer Siri : Appuyez sur le bouton principal jusqu’à l’apparition de Siri. Si vous n’avez pas activé Siri lorsque vous avez configuré l’iPhone, accédez à Réglages > Général > Siri. SiriChapitre 4 Siri 40 Deux signaux sonores retentissent et le message « Que puis-je faire pour vous ? » s’affiche à l’écran. Commencez à parler. L’icône du microphone s’allume pour indiquer que Siri entend ce que vous dites. Après avoir commencé un dialogue avec Siri, touchez l’icône du microphone pour échanger un nouveau dialogue. Siri attend la fin de votre énoncé, mais vous pouvez également toucher l’icône du microphone pour indiquer à Siri que vous avez terminé. Cette fonction est utile lorsqu’il y a de nombreux bruits de fond. Elle permet également d’accélérer votre conversation avec Siri, puisque Siri n’est pas obligé d’attendre que vous arrêtiez de parler. Lorsque vous arrêtez de parler, Siri affiche ce qu’il a entendu et fournit une réponse. Le plus souvent, Siri inclut des informations associées qui peuvent être utiles. Si les informations concernent une app, par exemple, un message texte que vous avez rédigé ou un emplacement que vous avez demandé, il suffit de toucher l’écran pour ouvrir l’app afin d’avoir les détails et d’autres actions. Ce que Siri vous a entendu énoncer Ce que Siri vous a entendu énoncer Touchez pour parler à Siri. Touchez pour parler à Siri. Réponse de Siri Réponse de Siri Infos associées : touchez pour ouvrir l’app. Infos associées : touchez pour ouvrir l’app. Siri peut vous demander une clarification pour pouvoir fournir une réponse. Par exemple, dites à Siri « Me rappeler d’appeler ma mère » et Siri peut vous demander « À quelle heure voulez-vous que je déclenche le rappel ? » Pour annuler une requête : Dites « Annuler », touchez , ou appuyez sur le bouton principal . Pour mettre fin à un appel téléphonique que vous avez passé avec Siri : Avant l’ouverture de l’app Téléphone, appuyez sur le bouton principal . Si l’app Téléphone est déjà ouverte, touchez Terminer.Chapitre 4 Siri 41 Informations personnelles données à Siri Plus Siri vous connaît, plus il peut utiliser les informations vous concernant pour vous aider. Siri récupère les informations vous concernant à partir de votre fiche d’informations personnelles (« Mes infos ») dans Contacts. Pour indiquer à Siri qui vous êtes : Accédez à Réglages > Général > Siri > Mes infos, puis touchez votre nom. Indiquez votre adresse personnelle et votre adresse professionnelle sur la fiche, afin de pouvoir dire des phrases telles que « Comment rentrer à la maison ? » ou « Me rappeler d’appeler Boris lorsque j’arrive au travail ». Siri s’intéresse également aux personnes importantes dans votre vie. Indiquez donc ces relations sur votre fiche d’informations personnelle et Siri pourra vous aider. Par exemple, la première fois que vous demandez à Siri d’appeler votre sœur, Siri vous demande son identité (si cette information ne figure pas encore sur votre carte). Siri ajoute cette relation sur votre carte d’informations personnelle afin de ne plus demander cette information la prochaine fois. Créez des fiches dans Contacts pour toutes vos relations importantes et fournissez des informations telles que les numéros de téléphone, les adresses électroniques, les adresses personnelles et professionnelles ou les surnoms qui vous sont familiers. Guide à l’écran Siri vous donne des exemples de demandes, directement à l’écran. Dites « Que peux-tu faire ? » ou touchez lorsque Siri s’affiche la première fois. Siri affiche une liste des apps prises en charge, avec un exemple de demande. Touchez un élément dans la liste pour obtenir plus d’exemples. Élever pour parler Commencez à discuter avec Siri en collant l’iPhone contre votre oreille, comme si vous alliez effectuer un appel. Si l’écran n’est pas allumé, appuyez d’abord sur le bouton Marche/Veille ou sur le bouton principal. Deux signaux sonores retentissent pour indiquer que Siri écoute. Commencez alors à parler. Pour activer Élever pour parler : Accédez à Réglages > Général > Siri.Chapitre 4 Siri 42 Si Siri ne répond pas lorsque vous collez l’iPhone contre votre oreille, commencez par placer l’écran en face de vous, de manière à orienter votre main vers le haut. Siri en mains libres Vous pouvez utiliser Siri avec les écouteurs fournis avec l’iPhone et avec d’autres écouteurs Bluetooth ou à fil compatibles. Pour parler à Siri à l’aide d’écouteurs : Appuyez et maintenez le doigt sur le bouton central (ou le bouton appel sur un casque Bluetooth). Pour continuer une conversation avec Siri, maintenez le bouton enfoncé chaque fois que vous souhaitez parler. Lorsque vous utilisez des écouteurs, Siri vous énonce les réponses. Siri répète à haute voix les messages textes et les courriers électroniques que vous avez dictés avant de les envoyer. Cela vous permet de modifier le message si vous le souhaitez. Siri répète également les objets de rappels avant de les créer. Service de localisation Étant donné que Siri connaît les emplacements (iPhone 4S ou ultérieur) sous les termes « actuel », « domicile » et « bureau », il peut vous rappeler d’effectuer certaines tâches lorsque vous quittez un emplacement ou que vous y arrivez. Dites « Me rappeler d’appeler ma fille lorsque je quitte le bureau » et Siri exécute cette demande. Les informations de localisation ne sont pas suivies ni stockées en dehors de l’iPhone. Vous pouvez toujours utiliser Siri si vous désactivez le Service de localisation, mais Siri n’exécute aucune tâche qui nécessite des informations liées à la localisation. Pour désactiver le Service de localisation pour Siri : Accédez à Réglages > Confidentialité > Service de localisation. Accessibilité Siri est accessible pour les aveugles et les malvoyants grâce à VoiceOver, le lecteur d’écran inté- gré dans iOS. VoiceOver décrit à haute voix les informations présentées à l’écran, notamment les textes constituant les réponses de Siri, ce qui vous permet d’utiliser l’iPhone sans le regarder. Pour activer VoiceOver : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité. L’activation de VoiceOver permet la lecture à haute voix, même de vos notifications. Pour en savoir plus, consultez la section VoiceOver à la page 123.Chapitre 4 Siri 43 Configuration des options de Siri Pour activer ou désactiver Siri : Accédez à Réglages > Général > Siri. Remarque : La désactivation de Siri implique sa réinitialisation ; Siri oublie les informations acquises concernant votre voix. Pour régler les options de Siri : Accédez à Réglages > Général > Siri. • Langue : Sélectionnez la langue que vous souhaitez utiliser avec Siri. • Retour vocal : Par défaut, Siri énonce ses réponses uniquement lorsque vous maintenez l’iPhone contre votre oreille ou utilisez l’app avec des écouteurs. Si vous souhaitez programmer Siri de manière à toujours énoncer ses réponses, définissez cette option sur Toujours. • Mes infos : Indiquez à Siri la fiche dans Contacts qui contient vos informations personnelles. Consultez la section Informations personnelles données à Siri à la page 41. • Élever pour parler : Parlez avec Siri en collant votre iPhone à votre oreille lorsque l’écran est activé. Pour activer ou désactiver cette fonctionnalité, accédez à Réglages > Général > Siri. Pour autoriser ou empêcher l’accès à Siri lorsque l’iPhone est verrouillé à l’aide d’un code : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code. Vous pouvez également désactiver Siri en activant les restrictions. Consultez la section Restrictions à la page 148. Restaurants Siri collabore avec Yelp, OpenTable et d’autres apps pour vous offrir des informations sur les restaurants et vous aider à faire une réservation. Demandez à trouver des restaurants en les classant par type de cuisine, prix, lieu, disponibilité de tables en extérieur ou en combinant ces options. Siri peut vous montrer les photos disponibles, les étoiles Yelp, la fourchette de prix et les avis. Accédez à plus d’informations en utilisant les apps Yelp et OpenTable. L’iPhone vous invite à les télécharger si vous ne les avez pas encore installées. Pour afficher des informations détaillées sur un restaurant : Touchez un restaurant suggéré par Siri. Trouvez l’emplacement dans Plans. Trouvez l’emplacement dans Plans. Consultez les avis Yelp. Consultez les avis Yelp. Appelez le restaurant. Appelez le restaurant. Consultez le site web. Consultez le site web. Effectuez une réservation avec OpenTable. Effectuez une réservation avec OpenTable.Chapitre 4 Siri 44 Films Demandez à Siri quels films sont actuellement sur les écrans, ou demandez-lui de trouver un cinéma pour voir un film en particulier. Découvrez quand a eu lieu la première d’un film, qui en est le directeur et quelles sont les récompenses obtenues. Siri fournit des adresses de cinémas, des horaires et des avis de Rotten Tomato. Pour afficher des informations détaillées sur un film : Touchez un film suggéré par Siri. Obtenez des informations sur les cinémas et les horaires des séances. Obtenez des informations sur les cinémas et les horaires des séances. Regardez la bande-annonce. Regardez la bande-annonce. Lisez les avis de Rotten Tomatoes. Lisez les avis de Rotten Tomatoes. Sports Siri en connait un rayon sur de nombreux sports, comme le baseball, le football, le soccer et le hockey. Demandez à Siri les horaires de matchs, les résultats des matchs de la saison en cours ou les résultats en temps réel des matchs en direct. Dites à Siri de vous montrer les statistiques des joueurs et de les comparer entre elles. Siri suit également les records des équipes. Voici quelques exemples de ce que vous pouvez demander à Siri : • Quel était le résultat du dernier match des Giants ? • Quel est le rang de la National League ? • Quand se déroule le premier match des Chicago Cubs de la saison ? Dictée Lorsque la fonctionnalité Siri est activée, vous pouvez également dicter du texte. Consultez la section Dictée à la page 27. Même si vous pouvez rédiger des courriers électroniques, des messages textes et d’autres textes en parlant directement avec Siri, vous préférez peut-être la dictée. La dictée vous permet d’éditer un message au lieu de remplacer l’ensemble du texte. La dictée vous donne également plus de temps pour réfléchir lors de la rédaction. Siri comprend les pauses comme une finalisation de l’énoncé et profite de cette opportunité pour répondre. Même si cela vous permet d’avoir une conversation naturelle avec Siri, il peut vous interrompre avant que vous n’ayez réellement terminé si la pause est trop longue. Avec la dictée, vous pouvez effectuer autant de pauses que vous le souhaitez et reprendre la parole lorsque vous êtes prêt.Chapitre 4 Siri 45 Vous pouvez également commencer à rédiger un texte à l’aide de Siri, puis continuer à l’aide de la dictée. Par exemple, vous pouvez créer un courrier électronique avec Siri, puis toucher le brouillon pour ouvrir le message dans Mail. Dans Mail, vous pouvez terminer ou éditer le message ou apporter d’autres modifications, par exemple l’ajout ou le retrait de destinataires, la révision de l’objet ou la modification du compte à partir duquel vous envoyez le courrier électronique. Correction de Siri Si Siri rencontre des problèmes Il arrive parfois que Siri ne parvienne pas à vous comprendre, par exemple dans un environnement bruyant. Si vous avez un accent, cela peut prendre du temps à Siri pour se familiariser avec votre voix. Si Siri ne vous entend pas parfaitement, vous pouvez apporter des corrections. Siri affiche ce qu’il a entendu et fournit une réponse. Pour corriger ce que Siri entend : Touchez la bulle indiquant ce que Siri a entendu. Modifiez votre requête par la saisie ou touchez sur le clavier pour dicter. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la dictée, consultez la section Dictée à la page 44. Si une partie du texte est surlignée en bleu, touchez-la et Siri propose des alternatives. Touchez une des suggestions ou remplacez le texte par la saisie ou la dictée. Pour corriger Siri par la voix : Touchez , puis répétez ou clarifiez votre demande. Par exemple « Je voulais dire Boston ». Lorsque vous corrigez Siri, ne dites pas ce que vous ne souhaitez pas, dites simplement ce que vous souhaitez vraiment. Pour corriger un courrier électronique ou un message texte : Si Siri vous demande si vous souhaitez envoyer le message, vous pouvez dire par exemple : • Remplacer par : Appelle-moi demain. • Ajouter : On se voit là-bas point d’interrogation. • Non, l’envoyer à Bob. • Non. (pour conserver le message sans l’envoyer) • Annuler. Pour demander à Siri de vous lire le message, dites « Relire le message » ou « Me lire le message ». Si le message est correct, dites une phrase telle que « Oui, l’envoyer ». Environnements bruyants Dans un environnement bruyant, maintenez l’iPhone contre votre bouche, mais ne parlez pas directement sur le bord inférieur. Continuez à parler clairement et de manière naturelle. Touchez lorsque vous avez fini de parler. Vous pouvez également essayer de coller l’iPhone contre votre oreille pour parler à Siri. Connexion réseau Siri peut vous indiquer qu’il rencontre des problèmes de connexion réseau. En raison de la dépendance de Siri aux serveurs Apple pour la reconnaissance de voix et d’autres services, vous devez disposer d’une connexion cellulaire 3G, 4G ou LTE de bonne qualité ou une connexion Wi-Fi à Internet. 5 46 Appels téléphoniques Émission d’appels Pour émettre un appel sur l’iPhone, il suffit de toucher un nom ou un numéro dans vos contacts, d’utiliser Siri en disant « Appeler Bob » (iPhone 4S ou ultérieur), de toucher l’un de vos favoris ou de toucher un appel récent pour rappeler. Appelez l’un de vos favoris d’un seul toucher. Appelez l’un de vos favoris d’un seul toucher. Affichez vos appels entrants et sortants récents pour rappeler quelqu’un ou obtenir plus d’informations. La pastille rouge indique le nombre d’appels manqués. Affichez vos appels entrants et sortants récents pour rappeler quelqu’un ou obtenir plus d’informations. La pastille rouge indique le nombre d’appels manqués. Appelez, envoyez des courriers électroniques ou des messages texte à un contact dans votre liste. Appelez, envoyez des courriers électroniques ou des messages texte à un contact dans votre liste. Composez manuellement un numéro. Composez manuellement un numéro. Affichez une liste de vos messages vocaux. Affichez une liste de vos messages vocaux. AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la concentration, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Les boutons situés au bas de l’écran de Téléphone permettent un accès rapide à vos favoris, aux appels récents, à vos contacts et à un clavier numérique permettant de composer manuellement. TéléphoneChapitre 5 Téléphone 47 Pour composer un numéro manuellement : Touchez Clavier et saisissez le numéro, puis touchez Appel. • Pour coller un numéro dans le clavier : Touchez l’écran situé au-dessus du clavier, puis touchez Coller. • Pour entrer une pause logicielle (2 secondes) : Touchez « * » jusqu’à l’apparition d’une virgule. • Pour entrer une pause matérielle (afin de suspendre la composition jusqu’à ce que vous touchiez le bouton Composer) : Touchez « # » jusqu’à l’apparition d’un point-virgule. • Pour composer à nouveau le dernier numéro : Touchez Clavier, touchez Appeler pour afficher le numéro, puis touchez à nouveau Appeler. Pour ajouter un contact aux favoris : Dans Contacts, touchez « Ajouter aux favoris » au bas de la fiche d’un contact. Pour supprimer ou réorganiser votre liste de favoris, touchez Modifier. Pour utiliser Siri ou Contrôle vocal : Maintenez enfoncé le bouton principal , dites appeler ou composer, puis énoncez le nom ou le numéro. Vous pouvez ajouter à la maison, au bureau ou mobile. Consultez les sections Chapitre 4, Siri, à la page 39 et Contrôle vocal à la page 28. Pour de meilleurs résultats, dites le nom complet de la personne que vous voulez appeler. Lorsque vous composez un numéro vocalement, dites chaque chiffre séparément, par exemple, quatre un cinq, cinq cinq cinq, un deux un deux. Pour l’indicatif régional « 800 » des États-Unis, vous pouvez dire huit cents. Réception d’appels Pour répondre à un appel : Touchez Répondre. Si l’iPhone est verrouillé, faites glisser le curseur. Vous pouvez également appuyer sur le bouton central de vos écouteurs. Pour ignorer un appel : Appuyez sur le bouton Marche/Veille ou sur l’un des boutons de volume. Vous pouvez toujours répondre à l’appel après l’avoir ignoré, jusqu’à ce qu’il bascule sur la messagerie vocale. Pour répondre à un appel entrant avec un message texte : Balayez vers le haut, touchez « Répondre avec message », puis choisissez une réponse ou touchez Personnalisé. Pour créer vos propres réponses par défaut, accédez à Réglages > Téléphone > « Répondre avec message » et remplacez un des messages par défaut. Pour vous souvenir de rappeler quelqu’un : Balayez vers le haut, touchez Me rappeler plus tard, puis choisissez le moment du rappel. Pour refuser un appel et l’envoyer directement vers la messagerie vocale : Effectuez l’une des opérations suivantes : • Appuyez deux fois rapidement sur le bouton Marche/Veille. • Appuyez sur le bouton central des écouteurs et maintenez-le enfoncé pendant environ deux secondes. Deux bips de faible intensité confirment que l’appel a été refusé. • Touchez Refuser (si l’iPhone est en mode veille à l’arrivée de l’appel).Chapitre 5 Téléphone 48 Pour bloquer les appels et conserver un accès Wi-Fi à Internet : Accédez à Réglages et activez Mode Avion, puis touchez Wi-Fi pour l’activer. Pour régler l’iPhone sur Ne pas déranger ( ) : Accédez à Réglages et activez Ne pas déranger. Consultez la section Ne pas déranger et Notifications à la page 142. Lorsque l’iPhone est éteint, en mode Avion ou réglé sur Ne pas déranger, les appels entrants sont directement dirigés vers la messagerie vocale. En cours d’appel Lorsqu’un appel est en cours, l’écran affiche les options d’appel. Mettez votre ligne en mode Silence. iPhone 4 ou ultérieur : Touchez et maintenez enfoncé pour mettre votre appel en attente. Mettez votre ligne en mode Silence. iPhone 4 ou ultérieur : Touchez et maintenez enfoncé pour mettre votre appel en attente. Composez un numéro. Composez un numéro. Utilisez le haut-parleur ou un appareil Bluetooth. Utilisez le haut-parleur ou un appareil Bluetooth. Obtenez des informations de contact. Obtenez des informations de contact. Passez un appel FaceTime. Passez un appel FaceTime. Passez un autre appel. Passez un autre appel. Pour utiliser une autre app au cours d’un appel : Appuyez sur le bouton principal , puis ouvrez l’app. Pour revenir à l’appel, touchez la barre verte située en haut de l’écran. Pour mettre fin à un appel : Touchez Fin. Sinon, appuyez sur le bouton central des écouteurs. Pour répondre à un second appel entrant : • Pour ignorer l’appel et le transférer vers la messagerie vocale : touchez Ignorer. • Pour mettre le premier appel en attente et répondre au nouvel appel : touchez Suspendre et répondre. • Pour mettre fin au premier appel et répondre au nouvel appel : Sur un réseau GSM, touchez Raccr. et répondre. Sur un réseau CDMA, touchez Raccrocher et, lorsque le second appel recommence à sonner, touchez Répondre ou faites glisser le curseur si le téléphone est verrouillé. Pendant un appel vidéo FaceTime, vous pouvez mettre fin à l’appel vidéo pour répondre à un appel entrant, ou refuser ce dernier. Pour passer d’un appel à un autre : Touchez Permuter. L’appel actif est mis en attente. Avec le CDMA, vous ne pouvez pas basculer entre appels si le second appel était sortant, mais vous pouvez fusionner les appels. Si vous mettez fin au deuxième appel ou à l’appel fusionné, les deux appels sont terminés. Pour fusionner des appels : Touchez Conférence. Avec le CDMA, vous ne pouvez pas fusionner les appels si le second appel était entrant.Chapitre 5 Téléphone 49 Conférences téléphoniques Avec le GSM, vous pouvez organiser une conférence avec un maximum de cinq personnes à la fois, suivant votre opérateur. Pour créer une conférence téléphonique : Pendant un appel, touchez Nouvel appel, passez un autre appel, puis touchez Conférence. Répétez l’opération pour ajouter d’autres personnes à la conférence. • Pour retirer une personne : Touchez Conférence, en regard d’une personne, puis Raccrocher. • Pour parler en privé à une personne : Touchez Conférence, puis Privé en regard de la personne. Touchez Conférence pour reprendre la conférence. • Pour ajouter un appelant : Touchez Suspendre et Répondre, puis Conférence. Remarque : Il est impossible de passer un appel vidéo FaceTime pendant une conférence. Utilisation d’un appareil Bluetooth Pour en savoir plus sur l’utilisation d’un appareil Bluetooth, reportez-vous à la documentation fournie avec l’appareil. Consultez la section Jumelage d’appareils Bluetooth à la page 35. Pour ignorer l’appareil Bluetooth : • Répondez à un appel en touchant l’écran de l’iPhone. • Au cours d’un appel, touchez Audio puis choisissez iPhone ou Haut-parleur. • Désactivez Bluetooth dans Réglages > Bluetooth. • Éteignez l’appareil Bluetooth ou déplacez-vous hors de portée. Vous devez vous situer à moins d’une dizaine de mètres d’un appareil Bluetooth pour qu’il puisse être connecté à l’iPhone. Appels d’urgence Pour passer un appel d’urgence lorsque l’iPhone est verrouillé : Sur l’écran Saisissez le code, touchez Appel d’urgence. Important : L’iPhone peut être utilisé pour passer un appel d’urgence dans de nombreux endroits, si toutefois le service cellulaire est disponible, mais il ne saurait être perçu comme un moyen de communication sûr en cas d’urgence. Certains réseaux cellulaires peuvent ne pas accepter un appel d’urgence provenant de l’iPhone si l’iPhone n’est pas activé, si l’iPhone n’est pas compatible avec un réseau cellulaire particulier ou n’est pas configuré pour fonctionner sur celui-ci, ou (le cas échéant) si l’iPhone ne dispose pas d’une carte SIM ou si celle-ci est verrouillée par un code PIN. Aux États-Unis, des informations de localisation (le cas échéant) sont transmises aux fournisseurs des services d’urgence si vous composez le 911. Avec le CDMA, à la fin d’un appel d’urgence, l’iPhone passe en mode d’appel d’urgence pendant quelques minutes pour permettre aux services d’urgence de vous rappeler. Pendant ce temps, les transmissions de données et les messages texte sont bloqués. Pour sortir du mode d’appel d’urgence (CDMA) : Effectuez l’une des opérations suivantes : • Touchez le bouton de retour. • Appuyez sur le bouton Marche/Veille ou sur le bouton principal . • Utilisez le clavier numérique pour composer un numéro autre qu’un numéro d’urgence.Chapitre 5 Téléphone 50 FaceTime Avec l’iPhone 4 ou ultérieur, vous pouvez passer un appel vidéo à n’importe quel utilisateur doté d’un Mac ou d’un autre appareil iOS compatible FaceTime. La caméra FaceTime vous permet de parler en face à face. Sinon, passez à la caméra iSight située derrière pour partager ce que vous voyez autour de vous. Remarque : Vous devez disposer d’une connexion Wi-Fi à Internet avec un iPhone 3GS ou un iPhone 4. Sur l’iPhone 4S ou ultérieur, vous pouvez également passer des appels FaceTime par le biais d’une connexion de données cellulaires. Des frais de données cellulaires peuvent s’appliquer. Pour désactiver FaceTime s’utilisant avec des données cellulaires, accédez à Réglages > Général > Cellulaire. Pour passer un appel FaceTime : Dans Contacts, choisissez un nom, touchez FaceTime, puis touchez le numéro de téléphone ou l’adresse électronique que la personne utilise pour FaceTime. Pour appeler une personne qui dispose d’un iPhone 4 ou ultérieur, vous pouvez commencer par passer un appel vocal puis toucher FaceTime. Basculez entre les caméras. Basculez entre les caméras. Faites glisser votre image vers n’importe quel coin. Faites glisser votre image vers n’importe quel coin. Silence (vous pouvez entendre et voir ; l’interlocuteur peut voir, mais pas entendre). Silence (vous pouvez entendre et voir ; l’interlocuteur peut voir, mais pas entendre). Remarque : Avec FaceTime, votre numéro de téléphone est affiché même si vous avez bloqué ou désactivé la fonction d’identification de l’appelant. Pour utiliser Siri ou Contrôle vocal : Maintenez enfoncé le bouton principal , dites « FaceTime », puis le nom de la personne à appeler. Pour définir les options FaceTime : Accédez à Réglages > FaceTime pour : • activer ou désactiver FaceTime ; • préciser votre identifiant Apple ou une adresse électronique pour recevoir des appels FaceTime. Messagerie vocale visuelle La messagerie vocale visuelle vous permet d’afficher la liste de vos messages et de choisir lesquels écouter ou supprimer sans avoir à écouter les instructions ou les messages précédents. La pastille affichée sur l’icône de la messagerie vocale indique le nombre de messages que vous n’avez pas écoutés. Pour configurer la messagerie vocale visuelle : La première fois que vous touchez Messagerie, vous êtes invité à créer un mot de passe pour votre messagerie et à enregistrer votre annonce d’accueil.Chapitre 5 Téléphone 51 Pour consulter la messagerie vocale : Touchez Messagerie, puis touchez un message. Pour réé- couter un message, sélectionnez-le, puis touchez . Si votre service ne propose pas la messagerie vocale visuelle, touchez Messagerie et suivez les instructions vocales. Pour consulter la messagerie vocale à partir d’un autre téléphone : Composez votre propre numéro ou le numéro d’accès distant de votre opérateur. Faites glisser la tête de lecture pour passer directement à n’importe quel endroit d’un message. Faites glisser la tête de lecture pour passer directement à n’importe quel endroit d’un message. Messages non écoutés Messages non écoutés Lecture/pause Lecture/pause Informations de contact Informations de contact Haut-parleur (Audio, lorsqu’un appareil Bluetooth est connecté. Touchez pour choisir la sortie audio.) Haut-parleur (Audio, lorsqu’un appareil Bluetooth est connecté. Touchez pour choisir la sortie audio.) Rappelez. Rappelez. Les messages sont conservés jusqu’à ce que vous les supprimiez ou que votre opérateur les efface. Pour supprimer des messages : Balayez ou touchez le message, puis touchez Supprimer. Remarque : Dans certaines régions, les messages supprimés peuvent être définitivement effacés par votre opérateur. Pour gérer les messages supprimés : Touchez Messages supprimés (à la fin de la liste des messages), puis : • Pour écouter un message supprimé : Touchez le message. • Pour restaurer un message : Touchez le message, puis Restaurer. • Pour supprimer définitivement des messages : Touchez Tout effacer. Pour modifier votre annonce d’accueil : Touchez Messagerie, Annonce, Personnalisé, Enregistrer, puis dites votre annonce d’accueil. Pour utiliser l’annonce d’accueil générique de votre opérateur, vous pouvez également toucher Par défaut. Pour définir un son d’alerte pour les nouveaux messages vocaux : Accédez à Réglages > Sons, puis touchez Nouv. message vocal. Remarque : Si le commutateur Sonnerie/Silence est désactivé, l’iPhone ne produira aucun son d’alerte. Pour modifier le mot de passe de votre messagerie vocale : Accédez à Réglages > Téléphone > Code secret de messagerie. Contacts Depuis l’écran d’informations d’un contact, vous pouvez rapidement passer un appel, créer un message électronique, localiser l’adresse du contact, etc. Consultez la section Chapitre 25, Contacts, à la page 108.Chapitre 5 Téléphone 52 Renvoi d’appel, signal d’appel et identifiant de l’appelant Les informations suivantes s’appliquent seulement aux réseaux GSM. Dans le cas des réseaux CDMA, contactez votre opérateur pour obtenir des informations sur l’activation et l’utilisation de ces fonctionnalités. Consultez la page support.apple.com/kb/HT4486?viewlocale=fr_FR. Pour activer ou désactiver le renvoi d’appel : Accédez à Réglages > Téléphone > Renvoi d’appel. L’icône Renvoi d’appel ( ) apparaît dans la barre d’état lorsque le renvoi d’appel est activé. Vous devez être à portée du réseau cellulaire lorsque vous réglez l’iPhone pour le transfert d’appel, sinon les appels ne seront pas transférés. Les appels FaceTime ne sont pas transférés. Pour activer ou désactiver le signal d’appel : Accédez à Réglages > Téléphone > Signal d’appel. Si vous êtes au téléphone et que Signal d’appel est désactivé, les appels entrants sont dirigés vers la messagerie vocale. Pour activer ou désactiver l’identification de l’appelant : Accédez à Réglages > Téléphone > Afficher mon numéro. Remarque : Pour les appels FaceTime, votre numéro de téléphone est affiché même si vous avez désactivé la fonction d’identification de l’appelant. Sonneries, commutateur Sonnerie/Silence et vibration L’iPhone est livré avec des sonneries pour les appels entrants, les alarmes d’Horloge et le minuteur d’Horloge. Vous pouvez également acheter des sonneries à partir de morceaux sur iTunes. Consultez la section Chapitre 22, iTunes Store, à la page 102. Pour régler la sonnerie par défaut : Accédez à Réglages > Sons > Sonnerie. Pour activer et désactiver la sonnerie : Poussez le commutateur situé sur le côté de l’iPhone. Important : Les alarmes d’Horloge continuent à sonner même si vous réglez le commutateur Sonnerie/Silence sur Silence. Pour activer ou désactiver le mode vibration : Accédez à Réglages > Sons. Pour attribuer une sonnerie différente à un contact : Dans Contacts, choisissez un contact, touchez Modifier, puis touchez Sonnerie et choisissez une sonnerie. Pour en savoir plus, consultez la section Sons à la page 150. Appels internationaux Pour en savoir plus sur les appels internationaux à partir de votre zone d’origine, y compris les tarifs et autres frais applicables, contactez votre opérateur ou consultez son site web. À l’étranger, vous pouvez être en mesure d’utiliser l’iPhone pour passer des appels, envoyer et recevoir des messages texte et utiliser des apps requérant un accès à Internet, en fonction des réseaux disponibles. Pour activer l’itinérance : Contactez votre opérateur pour obtenir des informations sur la disponibilité du service et les tarifs appliqués. Important : Des frais d’itinérance voix, message texte et données peuvent s’appliquer. Pour éviter les frais pendant vos déplacements, désactivez Voix à l’étranger et Données à l’étranger.Chapitre 5 Téléphone 53 Si vous possédez un iPhone 4S ou ultérieur activé pour fonctionner sur un réseau CDMA, il est possible que vous puissiez utiliser des services à l’étranger sur des réseaux GSM si une carte SIM est installée dans le téléphone. Lors de l’utilisation des services à l’étranger sur un réseau GSM, l’iPhone a accès aux fonctionnalités du réseau GSM. Des frais peuvent s’appliquer. Contactez votre opérateur pour en savoir plus. Pour définir les options de réseau : Accédez à Réglages > Général > Cellulaire pour : • activer ou désactiver Données à l’étranger ; • activer ou désactiver Données cellulaires ; • activer ou désactiver Voix à l’étranger (CDMA) ; • utiliser des réseaux GSM à l’étranger (CDMA). Pour désactiver les services cellulaires : Accédez à Réglages, activez Mode Avion, touchez Wi-Fi, puis activez le Wi-Fi. Les appels entrants sont redirigés vers la messagerie vocale. Pour réactiver le service cellulaire, désactivez le mode Avion. Pour ajouter automatiquement le préfixe ou le code du pays pour les appels vers les ÉtatsUnis : (GSM) Accédez à Réglages > Téléphone, puis activez Dial Assist. Celle-ci vous permet d’utiliser vos contacts et vos favoris pour passer des appels lorsque vous êtes à l’étranger. Pour sélectionner un opérateur : Accédez à Réglages > Opérateur. Cette option n’est disponible que lorsque vous êtes en déplacement hors du réseau de votre fournisseur de services et pour les opérateurs disposant de contrats d’itinérance avec votre fournisseur. Consultez la section Opérateur à la page 144. Pour consulter la messagerie vocale lorsque la messagerie vocale visuelle n’est pas disponible : Composez votre propre numéro de téléphone (avec le CDMA, ajoutez # après votre numéro) ou maintenez le doigt sur la touche « 1 » du clavier numérique. Configuration d’options de Téléphone Accédez à Réglages > Téléphone pour : • afficher le numéro de téléphone de votre iPhone ; • modifier les réponses sous forme de messages texte par défaut pour les appels entrants ; • activer ou désactiver le renvoi d’appel, le signal d’appel et l’identification de l’appelant (GSM) ; • activer ou désactiver TTY ; • modifier votre mot de passe de messagerie vocale (GSM) ; • demander un code PIN pour déverrouiller votre carte SIM quand vous allumez l’iPhone (requis par certains opérateurs). Accédez à Réglages > FaceTime pour : • activer ou désactiver FaceTime ; • utiliser votre identifiant Apple pour FaceTime ; • ajouter une adresse électronique pour FaceTime ; • activer ou désactiver Données cellulaires. Accédez à Réglages > Sons pour : • régler les sonneries et le volume ; • définir des options de vibration ; • définir le son à émettre pour les nouveaux messages vocaux.6 54 Lecture de courriers électroniques Modifiez les boîtes aux lettres ou les comptes. Modifiez les boîtes aux lettres ou les comptes. Recherchez dans cette boîte aux lettres. Recherchez dans cette boîte aux lettres. VIP VIP Rédigez un message. Rédigez un message. Modifiez la taille de l’aperçu dans Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Modifiez la taille de l’aperçu dans Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Supprimez, déplacez ou marquez plusieurs messages. Supprimez, déplacez ou marquez plusieurs messages. Pour signaler un message ou le marquer comme non lu : Touchez . Pour marquer plusieurs messages à la fois, touchez Modifier dans la liste des messages. Pour identifier les messages qui vous sont spécifiquement adressés : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis activez ou désactivez l’option Vignettes À / Cc. Les messages avec votre adresse dans le champ À ou Cc sont signalés avec une icône dans la liste de messages. Pour afficher tous les destinataires d’un message : Touchez le mot Détails dans le champ De. Touchez un nom de destinataire ou une adresse électronique pour afficher les coordonnées du destinataire, ou ajoutez-les à Contacts ou à votre liste VIP. Pour empêcher le téléchargement des images : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis activez ou désactivez l’option Charger les images. Pour ouvrir un lien : Touchez le lien pour utiliser l’action par défaut, ou maintenez votre doigt dessus pour voir d’autres actions. Par exemple, dans le cas d’une adresse, vous pouvez afficher le lieu dans Plans ou l’ajouter à Contacts. Dans le cas d’un lien web, vous pouvez l’ajouter à la liste de lecture. Pour ouvrir une invitation à une réunion ou une pièce jointe : Touchez l’élément. Si la pièce jointe peut être ouverte par plusieurs apps, maintenez le doigt dessus pour choisir une app compatible avec le fichier. MailChapitre 6 Mail 55 Pour enregistrer une photo ou vidéo jointe : Touchez la photo ou la vidéo et maintenez votre doigt dessus, puis sélectionnez Enregistrer l’image ou la vidéo. Elle est alors enregistrée dans l’album Pellicule de l’app Photos. Pour charger de nouveaux messages : Tirez sur la liste de messages ou sur la boîte aux lettres pour rafraîchir la liste. • Pour définir le nombre de messages récupérés : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Afficher. Pour désactiver les notifications de nouveau message pour un compte : Accédez à Réglages > Notifications > Mail > nom du compte, puis désactivez le Centre de notifications. Pour modifier les sons joués par Mail : Accédez à Réglages > Son. • Pour modifier les sons joués pour un nouveau message dans chaque compte : Accédez à Réglages > Notifications > Mail > nom de compte > Son de nouveau courrier. • Pour modifier les sons joués pour un nouveau message dans le compte VIP : Accédez à Réglages > Notifications > Mail > VIP > Son de nouveau courrier. Envoi de courrier électronique Touchez pour modifier les champs De, Cc ou Cci. Touchez pour modifier les champs De, Cc ou Cci. Modifiez votre signature dans Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Modifiez votre signature dans Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Touchez pour joindre une photo ou une vidéo. Touchez pour joindre une photo ou une vidéo. Pour rédiger un message : Touchez , puis saisissez un nom ou une adresse électronique. Après avoir saisi des destinataires, vous pouvez les faire glisser d’un champ à un autre, par exemple du champ À au champ Cc. Si vous possédez plusieurs comptes de courrier, touchez le champ De pour sélectionner le compte à partir duquel envoyer le message. Pour vous ajouter automatiquement en Cci dans les messages envoyés : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > M’ajouter en Cci. Pour enregistrer un brouillon d’un message : Touchez Annuler, puis Enregistrer. Le message est enregistré dans la boîte aux lettres Brouillons du compte. Touchez et maintenez le doigt dessus pour voir vos brouillons enregistrés. Pour répondre à un message : Touchez , puis touchez Répondre. Les fichiers ou images joints au message initial ne sont pas renvoyés. Pour inclure les pièces jointes, transférez le message plutôt que d’y répondre. Pour transférer un message : Ouvrez un message et touchez , puis touchez Transférer. Les pièces jointes du message sont également transférées. Pour citer une partie du message auquel vous répondez ou que vous transférez : Touchez le texte et maintenez le doigt dessus pour le sélectionner. Faites glisser les points d’accroche pour sélectionner le texte que vous souhaitez inclure dans votre réponse, puis touchez . • Pour modifier l’indentation : Sélectionnez le texte pour l’indentation, touchez au moins deux fois, puis touchez Indentation. • Pour augmenter automatiquement l’indentation : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier et activez Augmenter l’indentation.Chapitre 6 Mail 56 Pour envoyer une photo ou une vidéo dans un message : Touchez le point d’insertion pour afficher les boutons de sélection. Touchez , Insérer photo ou vidéo, puis choisissez une photo ou une vidéo dans un album. Vous pouvez également envoyer plusieurs photos par courrier électronique à l’aide de Photos : consultez la section Partage de photos et de vidéos à la page 78. Pour modifier votre signature de courrier électronique : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Signature. Si vous avez plusieurs comptes de messagerie, touchez Par compte pour spécifier une signature différente pour chaque compte. Organisation du courrier électronique Pour afficher les messages des contacts VIP : Accédez à la liste de la boîte aux lettres, (touchez Boîtes aux lettres pour y accéder), puis touchez VIP. • Pour ajouter un contact à votre liste de VIP : Touchez le nom ou l’adresse de la personne dans le champ De, À ou Cc/Cci, puis touchez « Ajouter aux VIP ». Pour regrouper des messages associés : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis activez ou désactivez l’option Organiser par sujet. Pour rechercher des messages : Ouvrez une boîte aux lettres, faites-en défiler le contenu jusqu’au début, puis saisissez du texte dans le champ de recherche. Vous pouvez rechercher le champ De, À ou Objet dans la boîte aux lettres actuellement ouverte. Pour les comptes de messagerie qui prennent en charge la recherche de messages sur le serveur, touchez Tous pour rechercher De, À, Objet et le corps du message. Pour supprimer des messages : Si le message est ouvert, touchez . • Pour supprimer un message sans l’ouvrir : Balayez le titre du message, puis touchez Supprimer. • Pour supprimer plusieurs messages : Pendant la consultation de la liste de messages, touchez Modifier. • Pour désactiver la confirmation de suppression : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Confirmer suppression. Pour récupérer un message : Accédez à la corbeille du compte, ouvrez le message, touchez , puis déplacez le message dans la boîte de réception du compte ou dans un autre dossier. • Pour définir la durée pendant laquelle les messages sont conservés dans la corbeille avant leur suppression définitive : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > nom de compte > Compte > Avancé. Pour activer ou désactiver l’archivage : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > nom de compte > Compte > Avancé. Lorsque vous archivez un message, il est déplacé vers la boîte aux lettres Tous les messages. Tous les comptes de messagerie ne gèrent pas l’archivage. Pour déplacer un message vers une autre boîte aux lettres : Pendant la consultation d’un message, touchez , puis choisissez une destination. Pour ajouter, renommer ou supprimer une boîte aux lettres : Dans la liste de la boîte aux lettres, touchez Modifier. Certaines boîtes aux lettres ne peuvent pas être renommées ou supprimées.Chapitre 6 Mail 57 Impression de messages et de pièces jointes Pour imprimer un message : Touchez , puis Imprimer. Pour imprimer une image dans le corps du texte : Touchez l’image et maintenez votre doigt dessus, puis touchez Enregistrer l’image. Ouvrez Photos et imprimez l’image à partir de votre album Pellicule. Pour imprimer une pièce jointe : Touchez la pièce jointe pour l’ouvrir dans Coup d’œil, puis touchez et touchez Imprimer. Pour en savoir plus sur l’impression, consultez la section Impression à l’aide d’AirPrint à la page 33. Comptes de messagerie et réglages Pour modifier les réglages de Mail et des comptes de courrier : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Vous pouvez configurer : • iCloud ; • Microsoft Exchange et Outlook ; • Google ; • Yahoo! ; • AOL ; • Microsoft Hotmail ; • d’autres comptes POP et IMAP. Les réglages varient en fonction du type de compte que vous configurez. Votre prestataire de service Internet ou administrateur système peut vous fournir les informations nécessaires. Pour cesser provisoirement d’utiliser un compte : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte, puis désactivez le service de messagerie pour le compte. Lorsqu’un service est désactivé, l’iPhone n’affiche et ne synchronise pas les informations correspondantes tant que vous ne le réactivez pas. Il s’agit d’un bon moyen d’arrêter de recevoir des messages professionnels en vacances, par exemple. Pour supprimer un compte : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, choisissez un compte, puis faites défiler vers le bas et touchez Supprimer le compte. Toutes les informations synchronisées avec ce compte, telles que les signets, le courrier électronique et les notes, sont supprimées. Pour configurer les réglages Push : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Nouvelles Données. Push envoie les nouvelles informations dès qu’elles apparaissent sur le serveur et qu’une connexion Internet est établie (il peut y avoir un certain décalage). Lorsque le mode Push est désactivé, utilisez le réglage Nouvelles données pour indiquer la fréquence à laquelle demander les données. Le réglage que vous choisissez ici l’emporte sur les réglages des diffé- rents comptes. Pour optimiser l’autonomie de la batterie, privilégiez une fréquence basse. Tous les comptes ne gèrent pas le mode Push. Pour envoyer des messages signés et chiffrés : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > nom de compte > Compte > Avancé. Activez S/MIME puis sélectionnez les certificats pour signer et chiffrer les messages envoyés. Pour installer des certificats, vous pouvez obtenir un profil de configuration de votre administrateur système, téléchargez les certificats à partir du site web de l’émetteur à l’aide de Safari ou recevez-les en pièces jointes.Chapitre 6 Mail 58 Pour définir des options avancées : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > nom de compte > Compte > Avancé. Les options varient en fonction du compte utilisé, et peuvent inclure : • Stocker les brouillons et les messages envoyés et supprimés sur l’iPhone • Définir la durée pendant laquelle les messages supprimés sont conservés avant leur suppression définitive • Ajuster les réglages de serveur Mail • Ajuster les réglages SSL et les réglages de mot de passe Contactez votre fournisseur de services Internet ou administrateur système si vous ne savez pas quels réglages utiliser pour votre compte.7 59 Parmi les fonctionnalités de Safari figurent : • Lecteur : consultez des articles sans publicités ni encombrement ; • Liste de lecture : rassemblez des articles à lire ultérieurement ; • Mode plein écran : lorsque vous affichez des pages web en orientation paysage. Utilisez iCloud pour consulter les pages que vous avez ouvertes sur d’autres appareils, et garder à jour vos signets et votre liste de lecture sur vos autres appareils. Effectuez des recherches sur le Web et dans la page actuelle. Effectuez des recherches sur le Web et dans la page actuelle. Feuilletez des pages web ouvertes ou ouvrez une nouvelle page. Feuilletez des pages web ouvertes ou ouvrez une nouvelle page. Touchez deux fois un élément ou pincez pour agrandir ou réduire. Touchez deux fois un élément ou pincez pour agrandir ou réduire. Saisissez une adresse web (URL). Saisissez une adresse web (URL). Ajoutez un signet, un élément de la liste de lecture ou une icône à la page d’accueil, ou bien partagez ou imprimez la page. Ajoutez un signet, un élément de la liste de lecture ou une icône à la page d’accueil, ou bien partagez ou imprimez la page. Pour faire défiler rapidement vers le haut de l’écran, touchez la barre d’état. Pour faire défiler rapidement vers le haut de l’écran, touchez la barre d’état. Affichez votre liste de lecture, votre historique et vos signets. Affichez votre liste de lecture, votre historique et vos signets. Pour afficher une page web : Touchez le champ d’adresse (dans la barre de titre), saisissez l’URL, puis touchez Aller. • Pour faire défiler une page web : Faites glisser la page vers le haut, le bas ou le côté. • Pour faire défiler le contenu d’un cadre : Faites glisser deux doigts à l’intérieur du cadre. • Pour afficher l’orientation paysage en plein écran : Faites pivoter l’iPhone, puis touchez . • Pour actualiser une page web : Touchez dans le champ d’adresse. Pour fermer une page web : Touchez , puis touchez à côté de la page. SafariChapitre 7 Safari 60 Pour afficher les pages web que vous avez ouvertes sur vos autres appareils : Touchez , puis touchez Onglets iCloud. Pour partager les pages web que vous avez ouvertes sur l’iPhone avec vos autres appareils à l’aide d’iCloud, accédez à Réglages > iCloud et activez Safari. Pour suivre un lien sur une page web : Touchez le lien. • Pour afficher la destination d’un lien : Touchez le lien et maintenez votre doigt dessus. • Pour ouvrir un lien dans un nouvel onglet : Maintenez le doigt sur le lien, puis touchez « Nouvelle fenêtre ». Les données détectées, telles que les numéros de téléphone et les adresses électroniques, peuvent également apparaître sous forme de liens dans les pages web. Maintenez le doigt sur un lien pour afficher les options disponibles. Pour afficher un article dans Lecteur : Touchez le bouton Lecteur s’il apparaît dans le champ d’adresse. • Pour ajuster la taille des caractères : Touchez . • Pour partager l’article : Touchez . Remarque : Lorsque vous envoyez un article par courrier électronique à partir du Lecteur, le texte de l’article entier est envoyé en plus du lien. • Pour revenir à la présentation normale : Touchez OK. Pour uiliser la liste de lecture pour rassembler des pages web et les lire ultérieurement : • Pour ajouter la page web en cours : Touchez , puis « Ajouter à la liste de lecture ». Avec l’iPhone 4 ou ultérieur, la page web est enregistrée ainsi que le lien, afin que vous puissiez la lire même lorsque vous ne pouvez pas vous connecter à Internet. • Pour ajouter la destination d’un lien : Maintenez le doigt sur le lien, puis touchez « Ajouter à la liste de lecture ». • Pour afficher votre liste de lecture : Touchez , puis touchez Liste de lecture. • Pour supprimer un élément de votre liste de lecture : Balayez l’élément, puis touchez Supprimer. Pour renseigner un formulaire : Touchez un champ de texte pour activer le clavier. • Pour passer à un autre champ de texte : Touchez le champ de texte, ou touchez Suivant ou Précédent. • Pour envoyer un formulaire : Touchez Aller, Rechercher ou le lien sur la page web pour envoyer le formulaire. • Pour activer le remplissage automatique : Accédez à Réglages > Safari > Remplissage. Pour effectuer une recherche sur le Web, dans la page web actuelle ou dans un document PDF interrogeable : Saisissez du texte dans le champ de recherche. • Poru effectuer des recherches sur le Web : Touchez l’une des suggestions qui apparaissent, ou touchez Rechercher. • Pour trouver le texte recherché sur la page web ou dans le document PDF en cours : Faites défiler vers le bas de l’écran, puis touchez l’entrée située sous Sur cette page. La première occurrence est surlignée. Pour trouver les occurrences suivantes, touchez . Pour placer un signet sur la page web en cours : Touchez , puis Signet. Lorsque vous enregistrez un signet, vous pouvez modifier son titre. Par défaut, les signets sont enregistrés dans le dossier de plus haut niveau de Signets. Pour choisir un autre dossier, touchez Signets dans l’écran Nouveaux signets.Chapitre 7 Safari 61 Pour créer une icône sur l’écran d’accueil : Touchez , puis touchez « Ajouter à l’écran d’accueil ». Safari ajoute à votre écran d’accueil une icône pour la page web actuelle. À moins que la page web dispose d’une icône personnalisée, cette image est également utilisée pour l’icône du clip web sur l’écran d’accueil. Les clips web sont sauvegardés par iCloud et iTunes, mais ils ne sont pas envoyés aux autres appareils par iCloud ni synchronisés par iTunes. Pour partager ou copier un lien pour la page web actuelle : Touchez , puis touchez Mail, Message, Twitter, Facebook ou Copier. Pour imprimer la page web en cours : Touchez , puis Imprimer. Consultez la section Impression à l’aide d’AirPrint à la page 33. Pour garder à jour vos signets et votre liste de lecture sur vos autres appareils à l’aide d’iCloud : Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Safari. Consultez la section iCloud à la page 16. Pour régler les options de Safari : Accédez à Réglages > Safari. Les options incluent notamment : • un moteur de recherche ; • le remplissage automatique de formulaires ; • l’ouverture des liens dans une nouvelle page ou en arrière-plan ; • la navigation privée pour protéger vos informations privées et bloquer le suivi de vos actions pour certains sites web ; • la suppression de l’historique, des cookies et des données ; • des données cellulaires pour la liste de lecture ; • la prévention des fraudes.8 62 Obtenir de la musique Pour obtenir de la musique et d’autres contenus audio sur votre iPhone : • Achetez et téléchargez du contenu sur l’iTunes Store : Dans Musique, touchez Store. Consultez la section Chapitre 22, iTunes Store, à la page 102. • Téléchargez automatiquement la musique achetée sur vos autres appareils iOS et ordinateurs : Consultez la section iCloud à la page 16. • Effectuez une synchronisation avec iTunes sur votre ordinateur : Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17. • Utilisez iTunes Match pour stocker votre bibliothèque musicale dans iCloud : Consultez la section iTunes Match à la page 67. Lire de la musique AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la perte d’audition, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Vous pouvez écouter de l’audio via le haut-parleur intégré, des écouteurs connectés à la prise d’écouteurs ou des oreillettes stéréo Bluetooth sans fil jumelées avec l’iPhone. Lorsque des écouteurs sont connectés ou jumelés, aucun son ne provient du haut-parleur. Ouvrez l’iTunes Store. Ouvrez l’iTunes Store. Choisissez un mode de navigation. Choisissez un mode de navigation. Affichez des boutons de navigation supplémentaires. Affichez des boutons de navigation supplémentaires. Touchez pour écouter. Touchez pour écouter. MusiqueChapitre 8 Musique 63 Pour lire une piste : Parcourez votre bibliothèque par liste de lecture, artiste, morceau ou une autre catégorie, puis touchez la piste. • Pour afficher des boutons de navigation supplémentaires : Touchez Autre. • Pour changer les boutons de navigation affichés en bas : Touchez Autre puis Modifier, puis faites glisser une icône par-dessus celui que vous souhaitez remplacer. L’écran À l’écoute indique ce que vous écoutez et comporte des commandes de lecture. Suivant/Avance rapide Suivant/Avance rapide Lecture/Pause Lecture/Pause Liste de pistes Liste de pistes Retour Retour Précédent/ Volume Volume Retour rapide Précédent/ Retour rapide AirPlay AirPlay Les paroles apparaissent dans l’écran À l’écoute si vous les avez ajoutées au morceau à l’aide de la fenêtre d’informations du morceau dans iTunes et que vous avez synchronisé l’iPhone avec iTunes. Pour afficher des commandes supplémentaires (iPhone 4S ou antérieur) : Touchez l’illustration de l’album dans l’écran À l’écoute pour afficher la barre de défilement et la tête de lecture ainsi que les boutons Répéter, Genius et Aléatoire. Pour passer à n’importe quel point d’un morceau : Faites glisser la tête de lecture le long du défileur. Faites glisser votre doigt vers le bas pour ralentir la vitesse de défilement. Pour secouer et mélanger : Secouez l’iPhone pour activer la lecture aléatoire et changer de morceau. Pour activer ou désactiver Secouer et mélanger, accédez à Réglages > Musique. Pour afficher toutes les pistes de l’album dont est extrait le morceau à l’écoute : Touchez . Pour lire une piste, touchez-la. Touchez une étoile pour noter ce morceau et ainsi créer des listes de lecture intelligentes sur iTunes. Touchez une étoile pour noter ce morceau et ainsi créer des listes de lecture intelligentes sur iTunes. Revenez sur l’écran À l’écoute. Revenez sur l’écran À l’écoute. Pistes d’un album Pistes d’un albumChapitre 8 Musique 64 Pour rechercher de la musique (titres, artistes, albums et compositeurs) : Pendant la navigation, touchez la barre d’état pour faire apparaître le champ de recherche en haut de l’écran, puis saisissez le texte recherché. Vous pouvez aussi chercher du contenu audio dans l’écran d’accueil. Consultez la section Recherche à la page 29. Pour afficher les commandes audio depuis une autre app : Appuyez deux fois sur le bouton principal , puis balayez la barre multitâche vers la droite. Balayez à nouveau vers la droite pour afficher une commande de volume et le bouton AirPlay (lorsque vous êtes à portée d’une Apple TV ou de haut-parleurs AirPlay). App audio en cours ; touchez pour l’ouvrir. App audio en cours ; touchez pour l’ouvrir. Morceau en cours de lecture. Morceau en cours de lecture. Pour afficher les commandes audio lorsque l’écran est verrouillé : Touchez deux fois le bouton principal . Pour écouter de la musique sur des haut-parleurs AirPlay ou une Apple TV : Touchez . Consultez la section AirPlay à la page 33. Cover Flow Lorsque vous faites pivoter l’iPhone, le contenu de votre bibliothèque musicale s’affiche en mode Cover Flow. Pour parcourir les albums en mode Cover Flow : Feuilletez vers la gauche ou la droite. • Pour afficher les pistes d’un album : Touchez une illustration d’album ou . Faites glisser vers le haut ou le bas pour faire défiler, touchez une piste pour la lire. • Pour revenir à l’illustration : Touchez la barre de titre, ou touchez à nouveau . Podcasts et livres audio Sur l’iPhone 5, des commandes pour les podcasts et les livres audio, et des informations apparaissent dans l’écran À l’écoute lorsque vous commencez la lecture. Remarque : L’app Podcasts est disponible sur l’App Store. Consultez la section Chapitre 31, Podcasts, à la page 121. Si vous décidez d’installer l’app Podcasts, le contenu et les commandes du podcast sont supprimés de Musique.Chapitre 8 Musique 65 Pour afficher ou masquer les commandes et les informations (iPhone 4S ou antérieur) : Touchez le centre de l’écran. Tête de lecture Tête de lecture Barre de défilement Barre de défilement Vitesse de lecture Vitesse de lecture Avancez de 15 secondes. Avancez de 15 secondes. Répétez les 15  dernières secondes. Répétez les 15  dernières secondes. Courrier électronique Courrier électronique Pour obtenir d’autres épisodes d’un podcast : Touchez Podcasts (touchez d’abord Autre si l’option Podcasts n’est pas visible), puis touchez un podcast pour afficher les épisodes disponibles. Pour télécharger plus d’épisodes, touchez Obtenir plus d’épisodes. Pour masquer les paroles et les informations d’un podcast : Accédez à Réglages > Musique, puis désactivez Paroles et informations de podcast. Listes de lecture Pour créer une liste de lecture : Affichez Listes, touchez Nouvelle liste en haut de la liste, puis saisissez un titre. Touchez pour ajouter des morceaux et des vidéos, puis touchez OK. Pour modifier une liste de lecture : Sélectionnez la liste de lecture à modifier, puis touchez Modifier. • Pour ajouter d’autres morceaux : Touchez . • Pour supprimer un morceau : Touchez . Lorsque vous supprimez un morceau d’une liste de lecture, il n’est pas supprimé de l’iPhone. • Pour modifier l’ordre des morceaux : Faites glisser . Les nouvelles listes de lecture et les listes de lecture modifiées seront copiées dans votre bibliothèque iTunes lors de la prochaine synchronisation entre votre iPhone et votre ordinateur ou via iCloud si vous êtes abonné à iTunes Match. Pour effacer ou supprimer une liste de lecture : Sélectionnez la liste de lecture, puis touchez Effacer ou Supprimer. Pour supprimer un morceau de l’iPhone : Dans Morceaux, balayez le morceau, puis touchez Supprimer. Le morceau est supprimé de l’iPhone, mais pas de votre bibliothèque iTunes sur votre Mac ou PC ni d’iCloud. Lorsqu’iTunes Match est activé, vous ne pouvez pas supprimer de musique. Si vous manquez de place, iTunes Match supprime de la musique pour vous, en commençant par les morceaux les plus anciens et les moins joués.Chapitre 8 Musique 66 Genius Une liste Genius est une sélection de morceaux de votre bibliothèque qui s’accordent bien. Genius est un service gratuit, mais il requiert un identifiant Apple. Un mix Genius est une sélection de morceaux du même type de musique, recréée à partir de votre bibliothèque chaque fois que vous écoutez le mix. Pour utiliser Genius sur l’iPhone : Activez Genius dans iTunes sur votre ordinateur, puis synchronisez l’iPhone avec iTunes. Les mix Genius sont synchronisés automatiquement, sauf si vous gérez manuellement votre musique. Vous pouvez également synchroniser les listes Genius. Pour parcourir et lire les mix Genius : Touchez Genius (touchez d’abord Autre si l’option Genius n’est pas visible). Balayez vers la gauche ou la droite pour accéder à d’autres mix. Pour lire un mix, touchez . Pour créer une liste Genius : Affichez Listes, puis touchez Liste Genius et choisissez un morceau. Vous pouvez également créer une liste depuis l’écran À l’écoute en touchant celui-ci pour afficher les commandes, puis en touchant . • Pour remplacer la liste de lecture en utilisant un autre morceau : Touchez Nouveau, puis choisissez un morceau. • Pour actualiser la liste : Touchez Actualiser. • Pour enregistrer la liste : Touchez Enregistrer. La liste de lecture est enregistrée avec le titre du morceau que vous avez choisi et signalée par . Pour modifier une liste Genius enregistrée : Touchez la liste, puis Modifier. • Pour supprimer un morceau : Touchez . • Pour modifier l’ordre des morceaux : Faites glisser . Pour supprimer une liste Genius enregistrée : Touchez la liste Genius, puis touchez Supprimer. Les listes Genius créées sur l’iPhone sont copiées sur votre ordinateur lorsque vous effectuez une synchronisation avec iTunes. Remarque : Lorsqu’une liste Genius est synchronisée avec iTunes, vous ne pouvez pas la supprimer directement de l’iPhone. Utilisez iTunes pour modifier le nom de la liste de lecture, arrêter la synchronisation ou supprimer la liste de lecture. Siri et Contrôle vocal Vous pouvez utiliser Siri (iPhone 4S ou ultérieur) ou Contrôle vocal pour contrôler la lecture de la musique. Consultez les sections Chapitre 4, Siri, à la page 39 et Contrôle vocal à la page 28. Pour utiliser Siri ou Contrôle vocal : Maintenez le bouton principal enfoncé . • Pour lancer ou mettre en pause la lecture de la musique : Dites « écouter » ou « écouter la musique ». Pour mettre en pause la lecture, dites « mettre en pause », « mettre en pause la musique » ou « arrêter ». Vous pouvez également dire « morceau suivant » ou « morceau précédent ». • Pour lire les morceaux d’un album, d’un artiste ou d’une liste de lecture : Dites « lire », puis « album », « artiste » ou « liste de lecture » et le nom. • Pour lire la liste de lecture en cours dans un ordre aléatoire : Dites « ordre aléatoire ».Chapitre 8 Musique 67 • Pour en savoir plus sur le morceau en cours de lecture : Dites « quel est ce morceau », « qui chante » ou « de qui est ce morceau ». • Pour utiliser Genius pour lire des morceaux similaires : Dites « Genius » ou « écouter d’autres morceaux comme celui-ci ». iTunes Match iTunes Match stocke votre bibliothèque musicale dans iCloud, y compris les morceaux importés depuis des CD, et vous permet de profiter de votre collection sur votre iPhone et vos autres appareils iOS et ordinateurs. iTunes Match est disponible sous forme d’abonnement payant. Pour s’abonner à iTunes Match : Sur iTunes sur votre ordinateur, choisissez Store > Activer iTunes Match, puis cliquez sur le bouton S’abonner. Lorsque vous êtes abonné, iTunes ajoute votre musique, vos listes de lecture et vos mix Genius dans iCloud. Vos morceaux qui correspondent à de la musique déjà dans l’iTunes Store sont automatiquement disponibles dans votre bibliothèque iCloud. Les autres morceaux sont téléchargés. Vous pouvez télécharger et lire les morceaux disposant de correspondances jusqu’à une qualité iTunes Plus (AAC sans DRM à 256 kbit/s), même si votre original était de qualité inférieure. Pour en savoir plus, consultez la page www.apple.com/fr/icloud/features. Pour activer iTunes Match : Accédez à Réglages > Musique. L’activation d’iTunes Match supprime la musique synchronisée de l’iPhone et désactive les mix et les listes Genius. Remarque : Si l’option Données cellulaires est activée, des frais dus aux données cellulaires peuvent s’appliquer. Les morceaux sont téléchargés sur l’iPhone lorsque vous les écoutez. Vous pouvez également télécharger manuellement les morceaux. Pour télécharger un album sur l’iPhone : Pendant la navigation, touchez Album, puis touchez . Pour n’afficher que la musique téléchargée à partir d’iCloud : Accédez à Réglages > Musique, puis désactivez Afficher toute la musique (disponible uniquement lorsqu’iTunes est activé). Pour gérer vos appareils à l’aide d’iTunes Match ou de Téléchargements automatiques : Sur iTunes sur votre ordinateur, accédez à Store > Visualiser mon compte. Connectez-vous, puis cliquez sur Gérer les dispositifs dans la section « iTunes dans le nuage ». Partage à domicile. La fonction Partage à domicile vous permet de lire de la musique, des films et des séries TV depuis la bibliothèque iTunes de votre Mac ou PC. L’iPhone et votre ordinateur doivent se trouver sur le même réseau Wi-Fi. Remarque : Partage à domicile requiert iTunes 10.2 ou ultérieur, disponible à l’adresse www.itunes.com/fr/download. Il est impossible de partager le contenu en prime, notamment les livrets numériques et iTunes Extras. Pour lire de la musique sur votre iPhone à partir de votre bibliothèque iTunes : 1 Sur iTunes sur votre ordinateur, choisissez Avancé > Activer le partage à domicile. Connectezvous, puis cliquez sur Créer un partage à domicile.Chapitre 8 Musique 68 2 Sur l’iPhone, accédez à Réglages > Musique, puis ouvrez une session dans Partage à domicile à l’aide des mêmes identifiant Apple et mot de passe. 3 Dans Musique, touchez Plus, puis touchez Partagé et choisissez la bibliothèque de votre ordinateur. Pour revenir au contenu de l’iPhone : Touchez Partagé et choisissez Mon iPhone. Réglages de Musique Accédez à Réglages > Musique pour définir les options de Musique, notamment : • Secouer et mélanger ; • Égaliseur de volume (pour normaliser le volume de votre contenu audio) ; • l’égalisation ; Remarque : L’égaliseur influe sur toutes les sorties audio, y compris sur la prise d’écouteurs et AirPlay. Les réglages de l’égaliseur s’appliquent généralement seulement à la musique jouée à partir de l’app Musique. Le réglage Late Night s’applique à toutes les sorties audio, aux vidéos comme à la musique. Late Night compresse la plage dynamique de la sortie audio, en réduisant le volume pendant les passages forts et en l’augmentant pendant les passages plus bas. Vous pouvez utiliser ce réglage par exemple lorsque vous écoutez de la musique en avion ou dans tout autre environnement bruyant. • les paroles et les informations de podcast ; • le regroupement par artiste d’album ; • iTunes Match ; • Partage à domicile. Pour régler un volume maximal : Accédez à Réglages > Musique > Volume maximal, puis ajustez le curseur de volume. Remarque : Dans les pays de l’Union européenne, vous pouvez limiter le volume maximal des écouteurs au niveau recommandé par l’Union européenne. Accédez à Réglages > Musique > Volume maximal, puis activez le volume maximal pour l’UE. Pour restreindre les modifications au volume maximal : Accédez à Réglages > Général > Restrictions > Volume maximal, puis touchez N’autoriser aucun changement.9 69 Envoi et réception de messages AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la concentration en voiture, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Messages vous permet d’échanger des messages texte avec d’autres appareils SMS et MMS via votre connexion cellulaire, ainsi qu’avec d’autres appareils iOS utilisant iMessage. iMessage est un service Apple qui vous permet d’envoyer des messages en illimité à d’autres utilisateurs d’iOS et OS X Mountain Lion par le biais d’une connexion Wi-Fi (ou cellulaire). Avec iMessage, vous pouvez voir quand d’autres personnes saisissent du texte et informer les autres utilisateurs que vous avez lu leurs messages. Les messages iMessage étant affichés sur tous vos appareils iOS connectés au même compte, vous pouvez commencer une conversation sur l’un d’eux et la poursuivre sur un autre. Ces messages sont également chiffrés par sécurité. Touchez le bouton Joindre un fichier pour inclure une photo ou une vidéo. Touchez le bouton Joindre un fichier pour inclure une photo ou une vidéo. Touchez pour saisir du texte. Touchez pour saisir du texte. Une conversation iMessage est indiquée par la couleur bleue. Une conversation iMessage est indiquée par la couleur bleue. Pour commencer une conversation texte : Touchez , puis , et choisissez un contact, effectuez une recherche par nom dans vos contacts, ou saisissez un numéro de téléphone ou une adresse électronique manuellement. Saisissez un message, puis touchez Envoyer. MessagesChapitre 9 Messages 70 Une pastille d’alerte s’affiche si un message ne peut pas être envoyé. Touchez l’alerte dans une conversation pour essayer de renvoyer le message. Touchez deux fois pour envoyer le message en tant que message texte de type SMS. Pour reprendre une conversation : Touchez la conversation dans la liste Messages. Pour utiliser des caractères picturaux : Accédez à Réglages > Général > Clavier > Claviers > Ajouter un clavier, puis touchez Emoji pour rendre ce clavier disponible. Ensuite, lors de la rédaction d’un message, touchez pour faire apparaître le clavier Emoji. Consultez la section Méthodes de saisie spéciales à la page 155. Pour afficher les coordonnées d’une personne : Faites défiler l’écran jusqu’en haut (touchez la barre d’état) pour voir les actions que vous pouvez accomplir, comme passer un appel FaceTime par exemple. Pour afficher les messages précédents de la conversation : Faites défiler l’écran jusqu’en haut (touchez la barre d’état). Si nécessaire, touchez Charger les messages plus anciens. Pour envoyer des messages à un groupe (iMessage et MMS) : Touchez , puis saisissez plusieurs destinataires. Avec MMS, les messages collectifs doivent être activés dans Réglages > Messages . Les réponses ne sont envoyées qu’à vous, les autres personnes du groupe ne sont pas en copie. Gestion des conversations Les conversations sont enregistrées dans la liste Messages. Un point bleu indique vos messages non lus. Touchez une conversation pour la consulter ou la poursuivre. Pour transférer une conversation : Touchez Modifier, sélectionnez les parties à inclure, puis touchez Transférer. Pour modifier une conversation : Touchez Modifier, sélectionnez les parties à supprimer, puis touchez Supprimer. Pour effacer l’ensemble du texte et des pièces jointes sans supprimer la conversation, touchez Tout effacer. Pour supprimer une conversation : Dans la liste Messages, balayez la conversation, puis touchez Supprimer. Pour rechercher une conversation : Touchez le haut de l’écran pour afficher le champ de recherche, puis saisissez le texte à rechercher. Vous pouvez également chercher des conversations à partir de l’écran d’accueil. Consultez la section Recherche à la page 29. Pour ajouter quelqu’un à votre liste de contacts : Touchez un numéro de téléphone dans la liste Messages, puis touchez « Ajouter aux contacts ». Partage de photos, de vidéos et d’autres informations Avec iMessage ou MMS, vous pouvez envoyer et recevoir des photos et des vidéos, et envoyer des lieux, des coordonnées et des mémos vocaux. La taille maximale des pièces jointes dépend de votre fournisseur de services. Si nécessaire, l’iPhone peut compresser les photos et les vidéos en pièces jointes. Pour envoyer une photo ou une vidéo : Touchez . Pour envoyer un lieu : Dans Plans, touchez pour un lieu, touchez Envoyer ce lieu, puis touchez Message.Chapitre 9 Messages 71 Pour envoyer des coordonnées : Dans Contacts, sélectionnez un contact, touchez Envoyer cette fiche, puis touchez Message. Pour envoyer un mémo vocal : Dans Dictaphone, touchez , le mémo, Partager, puis Message. Pour enregistrer une photo ou une vidéo reçue dans votre album Pellicule : Touchez la photo ou la vidéo, puis . Pour copier une photo ou une vidéo : Touchez la pièce jointe et maintenez votre doigt dessus, puis sélectionnez Copier. Pour ajouter quelqu’un à vos contacts depuis la liste Messages : Touchez le numéro de télé- phone ou l’adresse électronique, touchez la barre d’état pour faire défiler vers le haut de l’écran, puis touchez « Ajouter contact ». Pour enregistrer des coordonnées que vous avez reçues : Touchez la bulle du contact, puis « Créer un nouveau contact » ou « Ajouter à un contact ». Réglages de Messages Accédez à Réglages > Messages pour définir les options de Messages, notamment : • activer ou désactiver iMessage ; • notifier les autres personnes lorsque vous avez lu leurs messages ; • spécifier un identifiant Apple ou une adresse électronique à utiliser avec Messages ; • les options SMS et MMS ; • afficher le champ Objet ; • afficher le comptage des caractères. Pour gérer les notifications pour les messages : Consultez la section Ne pas déranger et Notifications à la page 142. Pour définir le son d’alerte des messages texte entrants : Consultez la section Sons à la page 150.10 72 En un coup d’œil L’iPhone vous permet de facilement respecter votre planning. Vous pouvez afficher vos calendriers individuellement ou simultanément. Des événements sont associés aux jours dotés de points. Des événements sont associés aux jours dotés de points. Modifiez les calendriers ou les comptes. Modifiez les calendriers ou les comptes. Affichez les invitations. Affichez les invitations. Pour afficher ou modifier un événement : Touchez l’événement. Vous pouvez : • définir des alertes principale et secondaire ; • modifier la date, l’heure ou la durée de l’événement ; • déplacer l’événement vers un autre calendrier ; • inviter d’autres personnes à participer à l’événement via des calendriers iCloud, Microsoft Exchange et CalDAV ; • supprimer l’événement. Vous pouvez également déplacer un événement en maintenant le doigt dessus et en le faisant glisser vers un autre créneau, ou en ajustant les poignées. Pour ajouter un événement : Touchez et saisissez les informations sur l’événement, puis touchez OK. • Pour définir le calendrier par défaut pour les nouveaux événements : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Calendrier par défaut. • Pour définir les notifications par défaut pour les anniversaires et les événements : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Notifications par défaut. CalendrierChapitre 10 Calendrier 73 Pour rechercher des événements : Touchez Liste, puis saisissez le texte recherché dans le champ de recherche. La recherche porte sur les titres, les invités, les lieux et les notes des calendriers actuellement affichés. Vous pouvez également rechercher des événements Calendrier depuis l’écran d’accueil. Consultez la section Recherche à la page 29. Pour définir le son des alertes de calendrier : Accédez à Réglages > Sons > Alertes de calendrier. Pour afficher les événements par semaine : Faites pivoter l'iPhone sur le côté. Pour importer des événements à partir d’un fichier de calendrier : Si vous recevez un fichier de calendrier .ics dans Mail, ouvrez le message et touchez le fichier de calendrier pour importer tous les événements qu’il contient. Vous pouvez également importer un fichier .ics publié sur le Web en touchant un lien vers celui-ci. Certains fichiers .ics vous abonnent à un calendrier au lieu d’ajouter des événements à votre calendrier. Consultez la section Utilisation de plusieurs calendriers à la page 73. Si vous disposez d’un compte iCloud, Microsoft Exchange ou d’un compte CalDAV pris en charge, vous pouvez recevoir des invitations à des réunions envoyées par d’autres personnes de votre société, et y répondre. Pour inviter d’autres personnes à un événement : Touchez un événement, Modifier, puis Invités pour sélectionner des personnes dans Contacts. Pour répondre à une invitation : Touchez une invitation dans le calendrier. Vous pouvez également toucher pour afficher l’écran Événement, puis toucher une invitation. Vous pouvez afficher des informations concernant l’organisateur et les autres invités. Si vous ajoutez des commentaires, ce qui n’est pas forcément possible pour tous les types de calendriers, ils peuvent être consultés par l’organisateur, mais pas par les autres invités. Pour accepter un événement sans signaler le créneau comme réservé : Touchez l’événement, puis touchez Disponibilité et sélectionnez « disponible ». L’événement reste dans votre calendrier, mais le créneau n’est pas signalé comme occupé aux autres personnes qui vous envoient des invitations. Utilisation de plusieurs calendriers Vous pouvez afficher vos calendriers individuellement ou simultanément. Vous pouvez vous abonner à des calendriers iCloud, Google, Yahoo! ou iCalendar, ainsi qu’à vos événements et anniversaires Facebook. Pour activer les calendriers iCloud, Google, Exchange ou Yahoo! : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, touchez un compte, puis activez Calendrier. Pour ajouter un compte CalDAV : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, touchez Ajouter un compte, puis Autre. Sous Calendriers, touchez Ajouter un compte CalDAV. Pour afficher les événements Facebook : Accédez à Réglages > Facebook, puis connectez-vous à votre compte Facebook et activez l’accès au calendrier. Pour sélectionner les calendriers à afficher : Touchez Calendriers, puis touchez les calendriers que vous souhaitez afficher. Les événements de tous les calendriers sélectionnés apparaissent dans une même présentation. Pour afficher le calendrier des anniversaires : Touchez Calendriers, puis touchez Anniversaires pour inclure les anniversaires de vos contacts à vos événements. Si vous disposez d’un compte Facebook, vous pouvez inclure les anniversaires de vos amis Facebook.Chapitre 10 Calendrier 74 Vous pouvez vous abonner à des calendriers au format iCalendar (.ics). De nombreux services de calendrier, notamment iCloud, Yahoo!, Google et l’application Calendrier sous OS X, prennent en charge les abonnements aux calendriers. Les calendriers auxquels vous êtes abonné sont en lecture seule. Vous pouvez afficher les événements des calendriers auxquels vous êtes abonné sur l’iPhone, mais vous ne pouvez pas les modifier, ni en créer de nouveaux. Pour s’abonner à un calendrier : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis touchez Ajouter un compte. Touchez Autre, puis S’abonner à un calendrier. Saisissez le serveur et le nom du fichier .ics auquel vous souhaitez vous abonner. Vous pouvez également vous abonner à un calendrier iCalendar (.ics) publié sur le Web en touchant un lien vers celui-ci. Partage des calendriers iCloud Vous pouvez partager un calendrier iCloud avec d’autres utilisateurs iCloud. Lorsque vous partagez un calendrier, les autres utilisateurs peuvent le voir et vous pouvez aussi les autoriser à ajouter ou modifier des événements. Vous pouvez également partager une version en lecture seule que tout le monde peut voir. Pour créer un calendrier iCloud : Touchez Calendriers, Modifier, puis Ajouter calendrier. Pour partager un calendrier iCloud : Touchez Calendriers, Modifier, puis touchez le calendrier iCloud que vous souhaitez partager. Touchez Ajouter une personne, puis choisissez quelqu’un parmi vos contacts. La personne recevra une invitation par courrier électronique à rejoindre le calendrier, mais elle doit posséder un identifiant Apple et un compte iCloud pour pouvoir accepter l’invitation. Pour désactiver les notifications pour les calendriers partagés : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier et désactivez Alertes de calendrier partagé. Pour modifier l’accès d’une personne à un calendrier partagé : Touchez Calendriers, Modifier, puis touchez la personne avec qui vous partagez. Vous pouvez désactiver sa capacité à modifier le calendrier, lui envoyer à nouveau une invitation à rejoindre le calendrier ou cesser de partager avec cette personne. Pour partager un calendrier en lecture seule avec d’autres personnes : Touchez Calendriers, Modifier, puis touchez le calendrier iCloud que vous souhaitez partager. Activez Calendrier public, puis touchez Envoyer le lien pour copier ou envoyer l’URL du calendrier. Tout le monde peut utiliser l’URL pour s’abonner à votre calendrier en utilisant une app compatible telle que Calendrier pour iOS ou OS X. Réglages des calendriers Plusieurs réglages dans Réglages > Mail, Contacts, Calendrier ont un impact sur Calendrier et vos comptes de calendrier, notamment : • la synchronisation des événements passés (les événements futurs le sont toujours) ; • le son d’alerte pour les nouvelles invitations ; • les fuseaux horaires locaux des calendriers, pour afficher les dates et heures dans un fuseau horaire autre que le vôtre.11 75 Visionnage de photos et de vidéos Photos vous permet de visionner les photos et vidéos présentes sur votre iPhone dans : • votre album Pellicule : les photos et vidéos que vous avec prises avec l’iPhone, ou enregistrées à partir d’un courrier électronique, d’un message texte, d’une page web ou d’une capture d’écran ; • vos albums Flux de photos : les photos de Mon flux de photos et vos flux de photos partagés (consultez la section Flux de photos à la page 76) ; • votre photothèque et d’autres albums synchronisés à partir de votre ordinateur (consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17) Modifiez la photo. Modifiez la photo. Supprimez la photo. Supprimez la photo. Touchez l’écran pour afficher les commandes. Touchez l’écran pour afficher les commandes. Partagez la photo, assignez-la à un contact, utilisez-la en fond d’écran ou imprimez-la. Partagez la photo, assignez-la à un contact, utilisez-la en fond d’écran ou imprimez-la. Visionnez un diaporama. Visionnez un diaporama. Diffusez des photos à l’aide d’AirPlay. Diffusez des photos à l’aide d’AirPlay. Pour visionner des photos et des vidéos : Touchez un album, puis une vignette. • Pour visionner la photo ou la vidéo précédente ou suivante : Balayez vers la gauche ou la droite. • Pour effectuer un zoom avant ou arrière : Pincez ou touchez deux fois. • Pour effectuer un panoramique d’une photo : Faites glisser celle-ci. • Pour visionner une vidéo : Touchez au centre de l’écran. Pour passer de la présentation plein écran à la présentation adaptée à la taille de l’écran, et inversement, touchez deux fois l’écran. PhotosChapitre 11 Photos 76 Les albums que vous synchronisez avec iPhoto 8.0 (iLife ’09) ou une version ultérieure, ou Aperture v3.0.2 ou une version ultérieure, peuvent être visionnés par événement ou par visage. Vous pouvez également visionner les photos par lieu si elles ont été prises avec un appareil photo prenant en charge la géolocalisation. Pour afficher un diaporama : Touchez une vignette, puis . Sélectionnez des options, puis touchez Démarrer le diaporama. Pour arrêter le diaporama, touchez l’écran. Pour définir d’autres options, accédez à Réglages > Photos et Appareil photo. Pour diffuser une vidéo ou un diaporama sur un téléviseur : Consultez la section AirPlay à la page 33. Organisation de photos et de vidéos Pour créer un album : Touchez Albums, touchez , saisissez un nom, puis touchez Enregistrer. Sélectionnez les éléments à ajouter à l’album, puis touchez OK. Remarque : Les albums créés sur l’iPhone ne sont pas synchronisés vers votre ordinateur. Pour ajouter des éléments à un album : Pendant la consultation des vignettes, touchez Modifier, sélectionnez des éléments, puis touchez Ajouter à. Pour gérer les albums : Touchez Modifier : • Pour renommer un album : Sélectionnez l’album, puis saisissez un nouveau nom. • Pour réorganiser les albums : Faites glisser . • Pour supprimer un album : Touchez . Seuls les albums créés sur l’iPhone peuvent être renommés ou supprimés. Flux de photos Avec Flux de photos, une fonctionnalité d’iCloud (consultez la section iCloud à la page 16), les photos que vous prenez sur l’iPhone apparaissent automatiquement sur vos autres appareils configurés avec Flux de photos, y compris votre Mac ou PC. Le Flux de photos vous permet aussi de partager des photos sélectionnées avec vos amis et votre famille, directement sur leurs appareils ou sur le Web. À propos de Flux de photos Lorsque le Flux de photos est activé, les photos que vous prenez sur l’iPhone (ainsi que toutes les autres photos ajoutées à votre Pellicule) apparaissent dans votre flux de photos lorsque vous quittez l’app Appareil photo et que l’iPhone est connecté à Internet via Wi-Fi. Ces photos apparaissent dans l’album Mon flux de photos sur l’iPhone et sur vos autres appareils configurés avec le Flux de photos. Pour activer Flux de photos : Accédez à Réglages > iCloud > Flux de photos. Les photos ajoutées à votre flux de photos à partir de vos autres appareils iCloud apparaissent également dans Mon flux de photos. L’iPhone et les autres appareils iOS peuvent conserver jusqu’à 1 000 de vos photos les plus récentes dans Mon flux de photos. Vos ordinateurs peuvent conserver toutes vos photos Flux de photos de manière définitive. Remarque : Les photos du Flux de photos n’utilisent pas votre espace iCloud.Chapitre 11 Photos 77 Pour gérer le contenu de Flux de photos : Dans un album Flux de photos, touchez Modifier. • Pour enregistrer des photos sur l’iPhone : Sélectionnez les photos, puis touchez Enregistrer. • Pour partager, imprimer, copier ou enregistrer des photos dans votre album Pellicule : Sélectionnez les photos, puis touchez Envoyer. • Pour supprimer des photos : Sélectionnez les photos, puis touchez Supprimer. Remarque : Même si les photos supprimées sont retirées des Flux de photos sur vos appareils, les originaux sont conservés dans l’album Pellicule sur l’appareil depuis lequel ils ont été transférés. Les photos enregistrées sur un appareil ou un ordinateur à partir d’un flux de photos ne sont pas non plus supprimées. Pour pouvoir supprimer des photos de Flux de photos, iOS 5.1 ou ultérieur doit être installé sur l’iPhone et vos autres appareils iOS. Consultez la page support.apple.com/kb/HT4486?viewlocale=fr_FR. Flux de photos partagés Les flux de photos partagés vous permettent de partager des photos sélectionnées avec les personnes que vous voulez. Les utilisateurs d’iOS 6 et OS X Mountain Lion peuvent s’abonner à vos flux de photos partagés, voir les dernières photos ajoutées, « aimer » des photos et laisser des commentaires, directement depuis leur appareil. Vous pouvez aussi créer un site web public dédié à un flux de photos partagé afin de partager vos photos avec d’autres personnes sur le Web. Remarque : Les flux de photos partagés fonctionnent avec les réseaux cellulaires et Wi-Fi. Des frais de données cellulaires peuvent s’appliquer. Pour activer Flux de photos partagés : Accédez à Réglages > iCloud > Flux de photos. Pour créer un flux de photos partagé : Touchez Flux de photos, puis touchez . Pour inviter d’autres utilisateurs d’iOS 6 ou d’OS X Mountain Lion à se connecter à votre flux de photo partagé, saisissez leurs adresses électroniques. Pour publier le flux de photos sur icloud.com, activez SIte web public. Nommez l’album, puis touchez Créer. Pour ajouter des photos à un flux de photos partagé : Sélectionnez une photo, touchez , touchez Flux de photos, puis sélectionnez un flux de photo partagé. Pour ajouter plusieurs photos d’un album, touchez Modifier, sélectionnez les photos, puis touchez Envoyer. Pour supprimer des photos d’un flux de photos partagé : Touchez le flux de photos partagé, touchez Modifier, sélectionnez les photos, puis touchez Supprimer. Pour modifier un flux de photos partagé : Touchez Flux de photos, puis touchez . Vous pouvez : • renommer le Flux de photos ; • ajouter ou supprimer des abonnés et envoyer à nouveau une invitation ; • créer un site web public et partager le lien ; • supprimer le flux de photos.Chapitre 11 Photos 78 Partage de photos et de vidéos Vous pouvez partager des photos par le biais de courriers électroniques, de messages texte (MMS ou iMessage), de flux de photos et de publications Twitter et Facebook. Les vidéos peuvent être partagées par courrier électronique, message texte (MMS ou iMessage) et sur YouTube. Pour partager ou copier une photo ou une vidéo : Choisissez une photo ou une vidéo, puis touchez . Si vous ne voyez pas , touchez l’écran pour afficher les commandes. La taille maximale des pièces jointes dépend de votre fournisseur de services. Si nécessaire, l’iPhone peut compresser les photos et les vidéos en pièces jointes. Vous pouvez également copier des photos et des vidéos, et les coller dans un courrier électronique ou un message texte (MMS ou iMessage). Pour envoyer ou copier plusieurs photos ou vidéos : Alors que les vignettes sont affichées, touchez Modifier, sélectionnez les photos ou les vidéos, puis touchez Partager. Pour enregistrer une photo ou une vidéo depuis : • Un message électronique : Touchez-le pour le télécharger si nécessaire, touchez la photo ou maintenez le doigt sur la vidéo, puis touchez Enregistrer. • Un message texte : Touchez l’élément dans la conversation, touchez , puis Enregistrer dans la pellicule. • Une page web (photo uniquement) : Touchez la photo et maintenez votre doigt dessus, puis sélectionnez Enregistrer l’image. Les photos et les vidéos que vous recevez ou que vous enregistrez à partir d’une page web sont enregistrées dans votre album Pellicule. Impression de photos Pour imprimer sur des imprimantes compatibles AirPrint : • Pour imprimer une seule photo : Touchez , puis Imprimer. • Pour imprimer plusieurs photos : Pendant la consultation d’un album photo, touchez Modifier, sélectionnez les photos, touchez Envoyer, puis Imprimer. Consultez la section Impression à l’aide d’AirPrint à la page 33.12 79 En un coup d’œil Pour ouvrir rapidement l’appareil photo lorsque l’iPhone est verrouillé, balayez vers le haut. L’iPhone vous permet à la fois de prendre des photos et de filmer des vidéos. Un appareil photo frontal pour les appels FaceTime et les autoportraits s’ajoute à l’appareil photo iSight situé à l’arrière. Un flash LED situé à l’arrière vous apporte un éclairage supplémentaire quand vous en avez besoin. Touchez la personne ou l’objet pour effectuer la mise au point et régler l’exposition. Touchez la personne ou l’objet pour effectuer la mise au point et régler l’exposition. Passez d’un appareil photo à l’autre. Passez d’un appareil photo à l’autre. Prenez une photo. Prenez une photo. Commutateur Appareil photo/ Vidéo Commutateur Appareil photo/ Vidéo Visionnez les photos et vidéos que vous venez d’enregistrer. Visionnez les photos et vidéos que vous venez d’enregistrer. Configurez le mode flash à diode. Configurez le mode flash à diode. Activez la grille ou le mode HDR ou bien prenez une photo panoramique. Activez la grille ou le mode HDR ou bien prenez une photo panoramique. Appareil photoChapitre 12 Appareil photo 80 Un rectangle apparaît brièvement sur la zone sur laquelle l’appareil photo fait la mise au point et règle l’exposition. Lorsque vous photographiez des personnes avec un iPhone 4S ou ultérieur, celui-ci utilise la détection des visages pour faire automatiquement la mise au point et équilibrer l’exposition sur 10 visages au maximum. Un rectangle apparaît sur chaque visage détecté. Pour prendre une photo : Touchez ou appuyez sur un des boutons du volume. • Pour effectuer un zoom avant ou arrière : Pincez l’écran (appareil photo iSight uniquement). Pour prendre une photo panoramique (iPhone 4S ou ultérieur) : Touchez Options, puis Panorama. Pointez l’iPhone dans la direction souhaitée pour commencer, puis touchez . Faites défiler lentement en direction de la flèche, en maintenant l’iPhone bien droit. Essayez de garder la flèche en haut de la ligne horizontale. Lorsque vous avez fini, touchez Terminé. • Pour inverser la direction du défilement : Touchez la flèche. Pour enregistrer une vidéo : Activez , puis touchez ou appuyez sur un des boutons du volume pour lancer ou arrêter l’enregistrement. • Pour prendre une photo pendant un enregistrement : Touchez . Lorsque vous prenez une photo ou lancez l’enregistrement d’une vidéo, l’iPhone émet un bruit d’obturateur. Vous pouvez contrôler le volume avec les boutons de volume ou désactiver le son à l’aide du commutateur Sonnerie/Silence. Remarque : Dans certains pays, le fait de désactiver le son n’empêche pas l’obturateur d’émettre un son. Si Service de localisation est activé, des données de localisation sont associées aux photos et vidéos, et elles peuvent être utilisées par d’autres apps et certains sites web de partage de photos. Consultez la section Confidentialité à la page 151. Pour régler la mise au point et l’exposition : • Pour régler la mise au point et l’exposition pour la prochaine prise de vue : Touchez l’objet sur l’écran. La détection des visages est temporairement désactivée. • Pour verrouiller la mise au point et l’exposition : Touchez l’écran et maintenez votre doigt jusqu’à ce que le rectangle clignote. Verrouillage AE/AF apparaît au bas de l’écran, et la mise au point et l’exposition restent verrouillées jusqu’à ce que vous touchiez à nouveau l’écran. Pour prendre une copie d’écran : Appuyez simultanément sur le bouton Marche/Veille et le bouton principal , puis relâchez-les. La copie d’écran est ajoutée à votre album Pellicule. Photos HDR Le mode HDR (iPhone 4 ou ultérieur) fusionne trois expositions différentes en une seule photo à « plage dynamique étendue ». Vous obtiendrez de meilleurs résultats si l’iPhone et l’objet sont immobiles. Pour activer le mode HDR : Touchez Option, puis configurez HDR. Lorsque le mode HDR est activé, le flash est désactivé. Pour conserver les photos normales en plus de la version HDR : Accédez à Réglages > Photos et Appareil photo Si vous conservez les deux versions, apparaît dans le coin supérieur gauche de la photo HDR lorsque vous la visionnez dans votre album Pellicule et que les commandes sont visibles.Chapitre 12 Appareil photo 81 Visionnage, partage et impression Les photos et vidéos que vous réalisez avec Appareil photo sont enregistrées dans votre album Pellicule. Si Flux de photos est activé, les nouvelles photos apparaissent également dans votre album Flux de photos et sont envoyées à vos autres appareils iOS et ordinateurs. Consultez la section Flux de photos à la page 76. Pour consulter votre album Pellicule : Balayez vers la droite ou touchez la vignette. Vous pouvez également afficher votre album Pellicule dans l’app Photos. • Pour afficher ou masquer les commandes lorsque vous regardez une photo ou une vidéo : Touchez l’écran. • Pour partager une photo ou une vidéo : Touchez . Pour envoyer plusieurs photos ou vidéos, touchez lorsque les vignettes sont affichées, sélectionnez les éléments, puis touchez Envoyer. • Pour imprimer une photo : Touchez . Consultez la section Impression à l’aide d’AirPrint à la page 33. • Pour supprimer une photo ou vidéo : Touchez . Pour revenir à l’appareil photo : Touchez . Pour télécharger des photos et des vidéos sur votre ordinateur : Connectez l’iPhone à votre ordinateur. • Mac : sélectionnez les photos et vidéos souhaitées, puis cliquez sur le bouton Importer ou Télécharger dans iPhoto ou toute autre application photo prise en charge sur votre ordinateur. • PC : suivez les instructions fournies avec votre application photo. Si vous supprimez des photos ou des vidéos de l’iPhone lors du téléchargement sur l’ordinateur, celles-ci sont supprimées de votre album Pellicule. Vous pouvez utiliser la sous-fenêtre de réglages Photos d’iTunes pour synchroniser des photos et vidéos avec l’app Photos de l’iPhone (les vidéos ne peuvent être synchronisées qu’avec un Mac). Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17. Modification de photos et ajustement de vidéos Pivoter Pivoter Améliorer automatiquement Améliorer automatiquement Supprimer les yeux rouges Supprimer les yeux rouges Rogner Rogner Modifier une photo : Lorsque la photo est affichée en plein écran, touchez Modifier, puis choisissez un outil. • Amélioration automatique : L’amélioration améliore la luminosité générale, la saturation des couleurs et d’autres qualités d’une photo. Si vous souhaitez annuler l’amélioration, touchez à nouveau l’outil (même si vous avez enregistré les modifications). • Supprimer les yeux rouges : Touchez chaque œil à corriger.Chapitre 12 Appareil photo 82 • Rogner : Faites glisser les angles de la grille, faites glisser la photo pour la repositionner, puis touchez Rogner. Pour définir un rapport précis, touchez Imposer un format. Raccourcir une vidéo : Lors de la lecture d’une vidéo, touchez l’écran pour afficher les commandes. Faites glisser l’une des deux extrémités du visualiseur d’image en haut, puis touchez Ajuster. Important : Si vous avez choisi Raccourcir l’original, les images supprimées de la vidéo d’origine le sont de manière permanente. Si vous avez choisi « Nouvel extrait », un nouveau clip vidéo raccourci est enregistré dans votre album Pellicule. La vidéo d’origine n’est pas modifiée.13 83 Utilisez l’app Vidéos pour regarder des films, des séries TV et des clips vidéo. Pour regarder des podcasts vidéo, installez l’app Podcasts gratuite dans l’App Store. Consultez la section Chapitre 31, Podcasts, à la page 121. Pour regarder des vidéos enregistrées avec l’Appareil photo sur l’iPhone, ouvrez l’app Photos. Balayez vers le bas pour rechercher. Balayez vers le bas pour rechercher. Affichez les épisodes supplémentaires d’une série. Affichez les épisodes supplémentaires d’une série. Touchez une vidéo pour la lire. Touchez une vidéo pour la lire. AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la perte d’audition, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Pour obtenir des vidéos : • Achetez ou louez des vidéos sur l’iTunes Store (non disponible dans toutes les régions) : Ouvrez l’app iTunes sur l’iPhone, puis touchez Vidéos. Consultez la section Chapitre 22, iTunes Store, à la page 102. • Transférez des vidéos de votre ordinateur : Connectez l’iPhone, puis synchronisez les vidéos avec iTunes sur votre ordinateur. Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17. • Diffusez des vidéos de votre ordinateur : Activez le Partage à domicile dans iTunes sur votre ordinateur. Puis, sur l’iPhone, accédez à Réglages > Vidéos et saisissez l’identifiant Apple et le mot de passe que vous avez utilisés pour configurer le Partage à domicile sur votre ordinateur. Ouvrez ensuite Vidéos sur l’iPhone, puis touchez Partagé en haut de la liste des vidéos. VidéosChapitre 13 Vidéos 84 Pour convertir une vidéo afin de pouvoir la lire sur l’iPhone : Si vous essayez d’ajouter une vidéo sur l’iPhone à partir d’iTunes et qu’un message indique qu’elle ne peut pas être lue sur l’iPhone, vous pouvez la convertir. Sélectionnez la vidéo dans votre bibliothèque iTunes et choisissez Avancé > « Créer une version iPod ou iPhone ». Ajoutez ensuite la vidéo convertie à l’iPhone. Touchez la vidéo pour afficher ou masquer les commandes. Touchez la vidéo pour afficher ou masquer les commandes. Regardez la vidéo sur un téléviseur avec une Apple TV. Regardez la vidéo sur un téléviseur avec une Apple TV. Faites glisser pour avancer ou reculer. Faites glisser pour avancer ou reculer. Choisissez un chapitre. Choisissez un chapitre. Faites glisser pour ajuster le volume. Faites glisser pour ajuster le volume. Pour regarder une vidéo : Touchez la vidéo dans la liste des vidéos. • Pour afficher la vidéo en plein l’écran ou l’adapter à la taille de l’écran : Touchez ou . Vous pouvez également toucher deux fois la vidéo pour la mettre à l’échelle sans afficher les commandes. • Pour reprendre depuis le début : Si la vidéo contient des chapitres, faites glisser la tête de lecture tout à fait vers la gauche sur la barre de défilement. Si la vidéo ne contient pas de chapitres, touchez . • Pour passer au chapitre suivant ou précédent (le cas échéant) : Touchez ou Vous pouvez aussi appuyer sur le bouton central (ou le bouton équivalent) d’une oreillette compatible deux fois (passer au suivant) ou trois fois (passer au précédent). • Pour effectuer un retour ou une avance rapide : Maintenez le doigt sur ou . • Pour sélectionner une autre langue audio (le cas échéant) : Touchez , puis choisissez une langue dans la liste Audio. • Pour afficher ou masquer les sous-titres (le cas échéant) : Touchez , puis choisissez une langue ou désactivez l’option dans la liste Sous-titres. • Pour afficher ou masquer les sous-titres codés (le cas échéant) : Accédez à Réglages > Vidéos. • Pour visionner la vidéo sur un téléviseur : Consultez la section Connexion de l’iPhone à un téléviseur ou un autre appareil à la page 33. Pour régler un minuteur de veille : Ouvrez l’app Horloge et touchez Minuteur, puis balayez pour régler le nombre d’heures et de minutes. Touchez Sonnerie et choisissez Arrêter la lecture ; touchez ensuite Choisir puis Démarrer pour lancer le minuteur. À l’expiration du délai choisi, l’iPhone interrompt la lecture de la musique ou de la vidéo, ferme les éventuelles apps ouvertes et se verrouille. Pour supprimer des vidéos : Balayez la vidéo dans la liste vers la gauche ou la droite. La suppression d’une vidéo (autre qu’un film en location) de l’iPhone ne la supprime pas de votre bibliothèque iTunes. Important : Si vous supprimez un film en location de l’iPhone, il est supprimé définitivement et ne peut pas être transféré à nouveau vers votre ordinateur.Chapitre 13 Vidéos 85 Lorsque vous supprimez une vidéo (autre qu’un film loué) de l’iPhone, elle n’est pas supprimée de votre bibliothèque iTunes sur votre ordinateur et vous pouvez synchroniser à nouveau la vidéo sur l’iPhone ultérieurement. Si vous ne voulez pas synchroniser à nouveau la vidéo sur l’iPhone, configurez iTunes pour ne pas synchroniser la vidéo. Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17.14 86 Recherche de lieux AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur la navigation en toute sécurité et sur la concentration en voiture, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Imprimez, affichez la circulation, listez les résultats ou choisissez l’affichage. Imprimez, affichez la circulation, listez les résultats ou choisissez l’affichage. Touchez un repère pour afficher la bannière d’information. Touchez un repère pour afficher la bannière d’information. Itinéraires rapides par la route Itinéraires rapides par la route Obtenez plus d’informations. Obtenez plus d’informations. Touchez deux fois pour effectuer un zoom avant et touchez avec deux doigts pour effectuer un zoom arrière. Ou pincez. Touchez deux fois pour effectuer un zoom avant et touchez avec deux doigts pour effectuer un zoom arrière. Ou pincez. Emplacement actuel Emplacement actuel Saisissez le terme à rechercher. Saisissez le terme à rechercher. Affichez votre emplacement actuel. Affichez votre emplacement actuel. Survol (3D en affichage standard) Survol (3D en affichage standard) Obtenez des itinéraires. Obtenez des itinéraires. Important : Les apps cartographiques, géodépendantes, 3D, Flyover ou proposant des itinéraires reposent sur des services de données. Ces services de données sont susceptibles de changer et ne sont pas disponibles dans toutes les zones, ce qui rend indisponibles, inexacts ou incomplets les plans, itinéraires et informations 3D, Flyover ou dépendant de la position géographique. Comparez les renseignements fournis sur l’iPhone avec votre environnement et reportez-vous aux panneaux indicateurs pour résoudre toute différence existante. Certaines fonctionnalités de Plans requièrent le Service de localisation. Consultez la section Confidentialité à la page 151. PlansChapitre 14 Plans 87 Pour trouver un lieu : Touchez le champ de recherche, puis saisissez une adresse ou une autre information, par exemple : • une intersection (« 8th et market ») ; • un quartier (« greenwich village ») ; • un repère (« guggenheim ») ; • un code postal ; • une entreprise ou un commerce (« cinémas », « restaurants san francisco ca », « apple inc new york »). Sinon, touchez une des suggestions dans la liste située sous le champ de recherche. Pour naviguer sur les cartes : • Pour défiler vers le haut, le bas, la gauche ou la droite : Faites glisser l’écran. • Pour faire pivoter la carte : Faites pivoter deux doigts sur l’écran. Une boussole apparaît dans le coin supérieur droit de l’écran servant à indiquer l’orientation de la carte. • Pour retourner à l’orientation vers le nord : Touchez . Pour trouver la position d’un contact, ou une recherche récente ou enregistrée dans les signets : Touchez . Pour obtenir et partager des informations sur un lieu : Touchez le repère pour afficher la bannière d’information, puis touchez . Vous pouvez obtenir des avis et des photos avec Yelp, lorsque cette option est disponible. Vous pouvez également obtenir l’itinéraire, contacter le commerce (par téléphone, courrier électronique, SMS ou Twitter), visiter le site web, ajouter le commerce à vos contacts, partager le lieu ou l’enregistrer dans vos signets. • Pour lire des avis : Touchez Avis. Pour utiliser d’autres fonctionnalités Yelp, touchez les boutons situés sous les avis. • Pour voir les photos : Touchez Photos. • Pour envoyer un lieu par courrier électronique, message texte, Twitter ou Facebook : Touchez Envoyer ce lieu. Pour publier un Tweet ou une publication sur Facebook, vous devez être connecté à vos comptes. Consultez la section Partage à la page 31. Pour utiliser le repère pour marquer un lieu : Maintenez le doigt sur le plan jusqu’à l’apparition du repère. Pour choisir une vue standard, satellite ou mixte : Touchez le coin inférieur droit. Pour signaler un problème : Touchez le coin inférieur droit. Itinéraires Pour obtenir des itinéraires : Touchez , , saisissez les lieux de départ et d’arrivée, puis touchez Itinéraire. Sinon, choisissez un lieu ou un itinéraire dans la liste, lorsque cette option est disponible. Si plusieurs itinéraires apparaissent, touchez celui que vous souhaitez emprunter. Touchez Démarrer pour commencer. • Pour écouter les itinéraires étape par étape (iPhone 4S ou ultérieur) : Touchez Démarrer. L’app Plans suit votre avancée et énonce les itinéraires étape par étape jusqu’à votre destination. Pour afficher ou masquer les commandes, touchez l’écran. Si l’iPhone se verrouille automatiquement, Plans reste affiché à l’écran et continue à énoncer les instructions. Vous pouvez également ouvrir une autre app et continuer à obtenir les itiné- raires étape par étape. Pour revenir à Plans, touchez la bannière située en haut de l’écran.Chapitre 14 Plans 88 • Pour afficher les itinéraires étape par étape (iPhone 4 ou antérieur) : Touchez Démarrer, puis balayez vers la gauche pour afficher l’instruction suivante. • Pour retourner à l’aperçu du trajet : Touchez Aperçu. • Pour afficher l’itinéraire sous la forme d’une liste : Touchez sur l’écran Aperçu. • Pour arrêter les itinéraires étape par étape : Touchez Fin. Pour obtenir des itinéraires rapides à partir de votre lieu actuel : Touchez sur la bannière de votre destination, puis touchez Itinéraire vers ce lieu. Pour obtenir des itinéraires pour accès piéton : Touchez , , saisissez les lieux de départ et d’arrivée, puis touchez Itinéraire. Sinon, choisissez un lieu ou un itinéraire dans la liste, lorsque cette option est disponible. Touchez Démarrer, puis balayez vers la gauche pour afficher l’instruction suivante. Pour obtenir des itinéraires pour transport public : Touchez , , saisissez les lieux de départ et d’arrivée, puis touchez Itinéraire. Sinon, choisissez un lieu ou un itinéraire dans la liste, lorsque cette option est disponible. Téléchargez et ouvrez les apps de trajet pour les transports publics que vous souhaitez utiliser. Pour afficher l’état de la circulation : Touchez le coin inférieur droit de l’écran, puis touchez Afficher la circulation. Les points orange signalent les ralentissements et les points rouges, les embouteillages. Pour voir un rapport d’accident, touchez un marqueur. 3D et Flyover Sur l’iPhone 4S ou ultérieur, utilisez la 3D (vue standard) ou Flyover (vue satellite ou mixte) pour des vues en trois dimensions de nombreuses villes du monde entier. Vous pouvez naviguer comme d’habitude et effectuer un zoom avant pour voir les bâtiments. Vous pouvez également modifier l’orientation de la caméra. Transamerica Pyramid Building est une marque de service déposée de Transamerica Corporation. Transamerica Pyramid Building est une marque de service déposée de Transamerica Corporation. Pour utiliser la 3D et Flyover : Effectuez un zoom avant jusqu’à ce que ou soit activé, puis touchez le bouton. Sinon, faites glisser deux doigts vers le haut. Vous pouvez basculer entre la 3D et Flyover en touchant le coin inférieur droit et en modifiant les vues. Pour modifier l’angle de la caméra : Faites glisser deux doigts vers le haut ou vers le bas.Chapitre 14 Plans 89 Réglages de Plans Pour régler les options de Plans : Accédez à Réglages > Plans. Les réglages incluent notamment : • le volume de la voix de navigation (iPhone 4S ou ultérieur) ; • la distance en miles ou en kilomètres ; • la langue et la taille des vignettes.15 90 Accédez aux températures actuelles et aux prévisions à 6 jours pour une ou plusieurs villes du monde entier, avec des prévisions heure par heure pour les 12 prochaines heures. Météo utilise également les Services de localisation pour accéder aux prévisions de votre emplacement actuel. Conditions actuelles Conditions actuelles Ajoutez ou supprimez des villes. Ajoutez ou supprimez des villes. Température actuelle Température actuelle Prévisions météo horaires actualisées Prévisions météo horaires actualisées Nombre de villes enregistrées Nombre de villes enregistrées Si le tableau météo est bleu clair, il fait jour dans cette ville. S’il est violet foncé, il y fait nuit. Pour gérer votre liste de villes : Touchez , puis ajoutez une ville ou apportez d’autres modifications. Touchez OK lorsque vous avez fini. • Pour ajouter une ville : Touchez . Saisissez une ville ou un code postal, puis touchez Rechercher. • Pour modifier l’ordre des villes : Faites glisser vers le haut ou le bas. • Pour supprimer une ville : Touchez , puis touchez Supprimer. • Pour choisir entre degrés Fahrenheit ou Celsius : Touchez °F ou °C. Pour afficher la météo d’une autre ville : Balayez vers la gauche ou la droite. L’écran le plus à gauche affiche la météo locale. Pour afficher les prévisions horaires actuelles : • iPhone 5 : Balayez l’affichage heure par heure à gauche ou à droite. • iPhone 4S ou modèles antérieurs : Touchez Heure par heure. Pour activer ou désactiver Météo locale : Accédez à Réglages > Confidentialité > Service de localisation. Consultez la section Confidentialité à la page 151. MétéoChapitre 15 Météo 91 Pour consulter les informations à propos d’une ville sur yahoo.com : Touchez . Pour envoyer votre liste de villes à vos autres appareils iOS à l’aide d’iCloud : Accédez à Réglages > iCloud > Documents et données, puis activez Documents et données (activé par défaut). Consultez la section iCloud à la page 16.16 92 Passbook vous permet d’organiser tous vos coupons tels que vos cartes d’embarquement ou vos tickets de cinéma, en un seul endroit. Touchez un billet, une carte ou un coupon pour le consulter. Touchez un billet, une carte ou un coupon pour le consulter. Conservez vos cartes-cadeaux, coupons, tickets et autres sur Passbook. Lorsque vous avez besoin de consulter ou d’utiliser l’un d’entre eux, affichez-le dans Passbook ou sur l’écran verrouillé. Pour ajouter un coupon sur Passbook : Touchez Ajouter sur Passbook lorsque vous êtes sur un site web commercial ou que vous consultez un courrier électronique de confirmation. Vous pouvez aussi ajouter un coupon à partir d’une app compatible avec Passbook. Vous devez être connecté à votre compte iCloud pour ajouter des coupons à Passbook. Pour utiliser un coupon : Sélectionnez le coupon, puis pointez le code à barres vers le lecteur ou le scanner. PassbookChapitre 16 Passbook 93 Si le Service de localisation est activé et que le vendeur le prend en charge, un coupon apparaît sur votre écran verrouillé lorsque vous en avez besoin. Par exemple, lors de votre arrivée à l’aéroport, à votre hôtel ou au cinéma. Touchez pour afficher les détails. Touchez pour afficher les détails. Pour obtenir plus d’informations : Touchez . Pour supprimer un coupon : Touchez , puis . Pour empêcher les coupons d’apparaître sur votre écran verrouillé : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, touchez Activer code, puis accédez à Autoriser l’accès en mode verrouillage, et Désactiver Passbook. Pour transférer un coupon vers votre autre iPhone ou iPod touch : Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Passbook. 17 94 Saisissez des notes sur l’iPhone, et elles sont disponibles sur tous vos autres appareils iOS et ordinateurs Mac grâce à iCloud. Vous pouvez également lire et créer des notes dans d’autres comptes, tels que Gmail ou Yahoo!. Touchez la note pour la modifier. Touchez la note pour la modifier. Supprimez la note. Supprimez la note. Envoyez la note par courrier électronique ou imprimez-la. Envoyez la note par courrier électronique ou imprimez-la. Ajoutez une note. Ajoutez une note. Affichez la liste de notes. Affichez la liste de notes. Affichez la note précédente ou suivante. Affichez la note précédente ou suivante. Pour maintenir vos notes à jour sur vos appareils iOS et vos ordinateurs Mac à l’aide d’iCloud : • Si vous utilisez une adresse électronique me.com ou mac.com pour iCloud : Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Notes. • Si vous utilisez un compte Gmail ou un autre compte IMAP pour iCloud : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis activez Notes pour le compte. Pour sélectionner le compte par défaut pour les nouvelles notes : Accédez à Réglages > Notes. Pour créer une note dans un compte précis : Touchez Comptes et sélectionnez le compte, puis touchez pour créer la note. Si vous ne voyez pas le bouton Comptes, touchez d’abord le bouton Notes. Pour n’afficher que les notes d’un compte précis : Touchez Comptes et choisissez le compte. Si vous ne voyez pas le bouton Comptes, touchez d’abord Notes. Pour supprimer une note pendant la consultation de la liste des notes : Balayez la note dans la liste vers la gauche ou la droite. NotesChapitre 17 Notes 95 Pour rechercher des notes : Pendant la consultation de la liste des notes, faites défiler la liste jusqu’en haut pour faire apparaître le champ de recherche. Touchez le champ, puis saisissez le texte à rechercher. Vous pouvez également rechercher des notes depuis l’écran d’accueil. Consultez la section Recherche à la page 29. Pour imprimer ou envoyer une note par courrier électronique : Lorsque vous lisez la note, touchez . Pour pouvoir envoyer la note par courrier électronique, l’iPhone doit être configuré pour le courrier électronique. Consultez la section Configuration de Mail et d’autres comptes à la page 15. Pour changer de police : Accédez à Réglages > Notes.18 96 Rappels vous permet de garder la trace de toutes les choses que vous devez faire. Élément accompli Élément accompli Ajoutez un élément. Ajoutez un élément. Affichez les listes. Affichez les listes. Pour consulter les détails d’un rappel : Touchez un rappel. Vous pouvez : • le modifier ou le supprimer ; • définir une échéance ; • définir une priorité ; • ajouter des notes ; • le déplacer vers une autre liste. Rappels peut vous envoyer une alerte lorsque vous arrivez à un lieu ou que vous en partez. Pour ajouter une alerte de lieu : Lorsque vous entrez un rappel, touchez , puis activez « M’avertir à un lieu ». Pour utiliser un autre lieu, touchez votre lieu actuel. Les lieux proposés dans la liste incluent les adresses figurant dans votre fiche d’informations personnelle dans Contacts, par exemple les adresses de domicile et de bureau que vous avez ajoutées. Pour utiliser une autre adresse, touchez Saisir une adresse. Remarque : Les rappels de lieux ne sont pas disponibles sur l’iPhone 3GS. Vous ne pouvez pas régler des lieux pour les rappels dans les comptes Microsoft Exchange et Outlook. RappelsChapitre 18 Rappels 97 Pour effectuer une recherche dans vos rappels : Touchez pour afficher le champ de recherche, ou effectuez une recherche depuis l’écran d’accueil. La recherche dans les rappels est effectuée par nom. Vous pouvez également utiliser Siri pour ajouter ou rechercher des rappels. Pour désactiver les notifications de rappel : Accédez à Réglages > Notifications. Pour en savoir plus, consultez la section Ne pas déranger et Notifications à la page 142. Pour définir le son émis pour les notifications : Accédez à Réglages > Sons. Pour mettre à jour vos rappels sur d’autres appareils : Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Rappels. Pour continuer à mettre à jour vos rappels sous OS X Mountain Lion, activez également iCloud sur votre Mac. D’autres types de comptes, comme Exchange, prennent également en charge Rappels. Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis activez Rappels pour les comptes à utiliser. Pour configurer une liste par défaut pour les nouveaux rappels : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis touchez Liste par défaut sous Rappels.19 98 Ajoutez une horloge. Ajoutez une horloge. Affichez les horloges, réglez une alarme, chronométrez un événement ou réglez un minuteur. Affichez les horloges, réglez une alarme, chronométrez un événement ou réglez un minuteur. Supprimez ou déplacez les horloges. Supprimez ou déplacez les horloges. Pour ajouter une horloge : Touchez , puis tapez le nom d’une ville ou choisissez une ville dans la liste. Si vous ne voyez pas la ville que vous recherchez, essayez une autre grande ville située dans le même fuseau horaire. Pour organiser les horloges : Touchez Modifier, puis faites glisser pour déplacer les horloges ou touchez pour les supprimer. Pour régler une alarme : Touchez Alarme, puis touchez . Pour modifier une alarme : Touchez Modifier, puis touchez pour modifier les réglages de l’alarme ou pour la supprimer. Pour définir un minuteur de veille pour l’iPhone : Définissez un minuteur, touchez Sonnerie, puis choisissez Arrêter la lecture. Horloge20 99 Suivez vos actions, consultez l’évolution du cours dans le temps et obtenez l’actualité de vos investissements. Touchez pour voir la variation en pourcentage. Touchez à nouveau pour afficher la capitalisation boursière. Touchez pour voir la variation en pourcentage. Touchez à nouveau pour afficher la capitalisation boursière. Personnalisez votre liste d’actions. Personnalisez votre liste d’actions. Consultez la page yahoo.fr pour plus d’informations. Consultez la page yahoo.fr pour plus d’informations. Balayez vers la gauche ou la droite pour afficher des statistiques ou des articles d’actualité. Balayez vers la gauche ou la droite pour afficher des statistiques ou des articles d’actualité. Pour gérer votre liste d’actions : Touchez , puis ajoutez des actions ou apportez d’autres modifications. Lorsque vous avez fini, touchez Terminé. • Pour ajouter un élément : Touchez . Saisissez un symbole boursier, le nom d’une société, le nom d’un fonds ou d’un indice, puis touchez Rechercher. • Pour supprimer un élément : Touchez . • Pour modifier l’ordre des éléments : Faites glisser vers le haut ou le bas. Pour afficher les informations boursières : • Pour afficher le pourcentage d’évolution, l’évolution du prix ou la capitalisation boursière : Touchez une valeur le long du bord droit de l’écran. • Pour afficher le récapitulatif, le graphique ou les actualités : Balayez les informations sous la liste des actions. Touchez le titre d’un article pour l’afficher dans Safari. Pour changer la période du graphique, touchez 1j, 1s, 1m, 3m, 6m, 1a ou 2a. • Pour ajouter un article d’actualité à votre liste de lecture : Touchez et maintenez votre doigt sur le titre de l’article, puis touchez « Ajouter à la liste de lecture ». • Pour afficher plus d’informations sur les actions sur yahoo.com : Touchez . BourseChapitre 20 Bourse 100 Les cours peuvent être décalés de 20 minutes ou plus, selon le service de publication. Pour afficher le cours de vos actions sous la forme d’un téléscripteur dans le Centre de notifications, consultez la section Notifications à la page 30. Pour afficher un graphique en plein écran : Faites pivoter l’iPhone en orientation paysage. • Pour afficher la valeur à une date ou une heure précise : Touchez le graphique avec un doigt. • Pour afficher l’évolution de la valeur dans le temps : Touchez le graphique avec deux doigts. Pour maintenir votre liste d’actions à jour sur vos appareils iOS à l’aide d’iCloud : Accédez à Réglages > iCloud > Documents et données, puis activez Documents et données (activé par défaut). Consultez la section iCloud à la page 16.21 101 Kiosque organise vos apps de magazines et journaux et vous prévient lorsque de nouveaux numéros sont disponibles. Touchez une publication et maintenez le doigt dessus pour réorganiser. Touchez une publication et maintenez le doigt dessus pour réorganiser. Trouvez des apps Kiosque. Trouvez des apps Kiosque. Kiosque dispose les apps de magazines et journaux sur une étagère pour vous permettre d’y accéder facilement. Pour trouver des apps Kiosque : Touchez Kiosque pour afficher l’étagère, puis touchez Store. Lorsque vous achetez une app de kiosque, elle est ajoutée à votre étagère. Après le téléchargement de l’app, ouvrez-la pour consulter ses publications et les options d’abonnement. Les abonnements sont des achats intégrés qui sont facturés à votre compte du Store. Pour désactiver les téléchargements automatiques de nouveaux numéros : Accédez à Réglages > Kiosque. Kiosque télécharge les nouveaux numéros lorsque vous êtes connectés au Wi-Fi, si cette option est prise en charge par l’app. Kiosque22 102 En un coup d’œil Utilisez l’iTunes Store pour ajouter de la musique, des séries TV et des podcasts. Navigation Navigation Consultez les achats, les téléchargements et plus encore. Consultez les achats, les téléchargements et plus encore. Utilisez l’iTunes Store pour : • trouver de la musique, des séries TV, des films, des sonneries et plus encore en naviguant ou en effectuant une recherche ; • consulter vos recommandations Genius personnelles ; • télécharger des achats antérieurs ; Remarque : Vous devez disposer d’une connexion Internet et d’un identifiant Apple pour utiliser l’iTunes Store. Pour parcourir du contenu : Touchez l’une des catégories. Touchez Genres pour affiner les listes. Pour afficher plus d’informations concernant un élément, touchez-le. Pour rechercher du contenu : Touchez Recherche puis le champ de recherche, saisissez un ou plusieurs mots, puis touchez Rechercher. Pour écouter un extrait : Touchez un morceau ou une vidéo pour lire un extrait. Pour acheter un article : Touchez le prix de l’élément (ou touchez Gratuit), puis touchez à nouveau pour l’acheter. Si vous avez déjà acheté l’élément, le mot « Télécharger » s’affiche à la place du prix et vous n’êtes pas facturé à nouveau. Pendant le téléchargement d’éléments, touchez Autre, puis Téléchargements pour afficher leur progression. iTunes StoreChapitre 22 iTunes Store 103 Pour louer un film : Dans certaines régions, des films sont disponibles à la location. Vous disposez de 30 jours pour commencer à visionner un film que vous avez loué. Une fois la lecture commencée, vous pouvez le regarder autant de fois que vous le souhaitez pendant 24 heures. Au-delà de ces limites, le film est supprimé. Pour télécharger un achat antérieur : Touchez Autre, puis Achats. Pour télécharger automatiquement les nouveaux achats effectués sur d’autres appareils, accédez à Réglages > iTunes et App Stores. Pour utiliser une carte-cadeau ou un code : Touchez n’importe quelle catégorie (par exemple, Musique), faites défiler l’écran jusqu’en bas, puis touchez Télécharger. Pour consulter ou modifier votre compte : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores, touchez votre identifiant Apple, puis touchez Afficher l’identifiant Apple. Touchez un élément pour le modifier. Pour modifier votre mot de passe, touchez le champ Identifiant Apple. Pour activer ou désactiver iTunes Match : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores. iTunes Match est un service sur abonnement qui stocke toute votre musique dans iCloud afin que vous puissiez y accéder de n’importe où. Pour ouvrir une session avec un autre identifiant Apple : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores, touchez votre nom de compte, puis Déconnexion. La prochaine fois que vous téléchargerez une app, vous pourrez saisir un autre identifiant Apple. Pour télécharger les achats à l’aide du réseau cellulaire : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores > Données cellulaires. Le téléchargement des achats et l’utilisation d’iTunes Match sur le réseau cellulaire peut induire des frais facturés par votre opérateur. Modification des boutons de navigation Vous pouvez remplacer et réorganiser les boutons au bas de l’écran. Supposons, par exemple, que vous téléchargiez souvent des sonneries, mais ne regardiez pas beaucoup de séries TV. Vous pouvez alors remplacer Séries TV par Sonneries. Pour modifier les boutons de navigation : Touchez Autre puis Modifier, puis faites glisser un bouton vers le bas de l’écran, par-dessus celui que vous souhaitez remplacer. Lorsque vous avez fini, touchez Terminé.23 104 En un coup d’œil L’App Store vous permet d’explorer, d’acheter et de télécharger des apps sur l’iPhone. Affichez une catégorie. Affichez une catégorie. Consultez les mises à jour et les achats antérieurs. Consultez les mises à jour et les achats antérieurs. Boutons de navigation Boutons de navigation Utilisez l’App Store pour : • trouver des apps gratuites ou payantes en naviguant ou en effectuant une recherche ; • télécharger des achats antérieurs et des mises à jour ; • utiliser une carte-cadeau ou un code de téléchargement ; • recommander une app à un ami ; • gérer votre compte App Store. Remarque : Vous devez disposer d’une connexion Internet et d’un identifiant Apple pour utiliser l’App Store. Pour acheter une app : Touchez le prix de l’app (ou touchez Gratuit), puis touchez Acheter. Si vous avez déjà acheté l’app, le mot « Installer » s’affiche à la place du prix. Vous n’êtes pas facturé si vous la téléchargez à nouveau. Pendant le téléchargement d’une app, l’icône de celle-ci s’affiche sur l’écran d’accueil avec une barre de progression. Pour télécharger un achat antérieur : Touchez Mises à jour, puis Achats. Pour télécharger automatiquement les nouveaux achats effectués sur d’autres appareils, accédez à Réglages > iTunes et App Stores. App StoreChapitre 23 App Store 105 Pour télécharger des apps mises à jour : Touchez Mises à jour. Touchez une app pour en savoir plus sur la nouvelle version, puis touchez Mettre à jour pour la télécharger. Vous pouvez également toucher Tout mettre à jour pour télécharger toutes les apps de la liste. Pour utiliser une carte-cadeau ou un code de téléchargement : Touchez Sélection, faites défiler l’écran jusqu’en bas, puis touchez Télécharger. Pour recommander une app à un ami : Trouvez l’app, puis touchez et sélectionnez la façon dont vous voulez la partager. Pour consulter et modifier votre compte : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores, touchez votre identifiant Apple, puis touchez Afficher l’identifiant Apple. Vous pouvez vous inscrire aux newsletters iTunes et voir la politique de confidentialité Apple. Pour modifier votre mot de passe, touchez le champ Identifiant Apple. Pour ouvrir une session avec un autre identifiant Apple : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores, touchez votre nom de compte, puis Déconnexion. La prochaine fois que vous téléchargerez une app, vous pourrez saisir un autre identifiant Apple. Pour créer un nouvel identifiant Apple : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores, touchez Créer un nouvel identifiant Apple, puis suivez les instructions à l’écran. Pour télécharger les achats à l’aide du réseau cellulaire : Accédez à Réglages > iTunes et App Stores > Données cellulaires. Le téléchargement des achats sur le réseau cellulaire peut induire des frais facturés par votre opérateur. Les apps Kiosque ne peuvent être mises à jour que via Wi-Fi. Suppression d’apps Pour supprimer une app de l’App Store : Touchez son icône sur l’écran d’accueil et maintenez le doigt dessus jusqu’à ce qu’elle se mette à bouger, puis touchez . Vous ne pouvez pas supprimer les apps intégrées. Lorsque vous avez terminé, appuyez sur le bouton principal . La suppression d’une app entraîne également celle de toutes ses données. Vous pouvez télécharger à nouveau gratuitement chaque app achetée sur l’App Store. Pour en savoir plus sur la manière d’effacer l’ensemble de vos apps, données et réglages, consultez la section Réinitialisation à la page 150.24 106 En un coup d’œil Game Center vous permet de profiter de vos jeux préférés avec vos amis possédant eux aussi un iPhone, iPad, iPod touch ou un Mac avec OS X Mountain Lion. AVERTISSEMENT : Pour obtenir des informations importantes sur les troubles liés aux mouvements répétitifs, consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Découvrez qui est le meilleur. Découvrez qui est le meilleur. Répondez à une demande d’amitié. Répondez à une demande d’amitié. Consultez une liste des objectifs du jeu. Consultez une liste des objectifs du jeu. Jouez. Jouez. Trouvez un adversaire. Trouvez un adversaire. Choisissez un jeu. Choisissez un jeu. Vérifiez les défis lancés par vos amis. Vérifiez les défis lancés par vos amis. Invitez des amis à jouer à un jeu. Invitez des amis à jouer à un jeu. Indiquez votre statut, modifiez votre photo ou déconnectez-vous. Indiquez votre statut, modifiez votre photo ou déconnectez-vous. Pour vous connecter : Ouvrez Game Center. Si vous voyez votre surnom et votre photo en haut de l’écran, vous êtes déjà connecté. Sinon, saisissez votre identifiant Apple et votre mot de passe, puis touchez Connexion. Vous pouvez vous servir de l’identifiant Apple que vous utilisez avec iCloud ou pour effectuer vos achats dans les Stores, ou toucher Créer un compte si vous souhaitez disposer d’un identifiant Apple différent pour les jeux. Pour acheter un jeu : Touchez Jeux, puis touchez un jeu recommandé, ou touchez Rechercher des jeux de Game Center. Pour jouer à un jeu : Touchez Jeux, puis touchez un jeu et touchez Jouer. Game CenterChapitre 24 Game Center 107 Pour revenir à Game Center après une partie : Appuyez sur le bouton principal , puis touchez Game Center sur l’écran d’accueil. Pour vous déconnecter : Touchez Moi, la bannière du compte, puis Déconnexion. Vous n’avez pas besoin de vous déconnecter chaque fois que vous utilisez Game Center. Jeu avec des amis Pour inviter des amis à jouer à un jeu multijoueur : Touchez Amis, choisissez un ami, choisissez un jeu et touchez Jouer. Si le jeu autorise ou nécessite des joueurs supplémentaires, choisissez d’autres joueurs, puis touchez Suivant. Envoyez votre invitation, puis attendez que les autres acceptent. Lorsque tout le monde est prêt, commencez le jeu. Si un ami n’est pas disponible ou qu’il ne répond pas à votre invitation, vous pouvez toucher Sélection auto. pour que Game Center trouve un autre joueur pour vous ou toucher Inviter un ami pour inviter quelqu’un d’autre. Pour envoyer une demande d’amitié : Touchez Amis ou Demandes, touchez et saisissez l’adresse électronique ou le surnom Game Center de votre ami. Pour parcourir vos contacts, touchez . Pour ajouter plusieurs amis dans une demande, touchez Retour après chaque adresse. Pour inviter quelqu’un à vous défier : Touchez un de vos scores ou réalisations, puis touchez Défier des amis. Pour voir les jeux auxquels un ami joue et consulter ses scores : Touchez Amis, le nom de l’ami, puis Jeux ou Points. Pour acheter un jeu que possède votre ami : Touchez Amis, puis le nom de votre ami. Touchez le jeu dans la liste des jeux de votre ami, puis touchez le prix en haut de l’écran. Pour afficher la liste des amis d’un ami : Touchez Amis, touchez le nom de l’ami et touchez Amis juste sous sa photo. Pour supprimer un ami : Touchez Amis, touchez un nom, puis touchez Supprimer. Pour maintenir la confidentialité de votre adresse électronique : Désactivez Profil public dans vos réglages de compte Game Center. Reportez-vous aux « Réglages Game Center » ci-dessous. Pour désactiver les activités multijoueurs ou les demandes d’amitié : Accédez à Réglages > Général > Restrictions > et désactivez Jeux multijoueurs ou Ajout d’amis. Si les sélecteurs sont désactivés, touchez d’abord Activer les restrictions (en haut). Pour signaler un comportement offensant ou inapproprié : Touchez Amis, touchez le nom de la personne, puis touchez Signaler un problème. Réglages Game Center Certains réglages de Game Center sont associés à l’identifiant Apple que vous utilisez pour vous connecter. D’autres se trouvent dans l’app Réglages de l’iPhone. Pour modifier les réglages de Game Center pour votre identifiant Apple : Connectez-vous avec votre identifiant Apple, touchez Moi, touchez la bannière du compte, puis choisissez Compte. Pour indiquer quelles notifications vous souhaitez pour Game Center : Accédez à Réglages > Notifications > Game Center. Si Game Center n’apparaît pas, activez Notifications. Pour modifier les restrictions concernant Game Center : Accédez à Réglages > Général > Restrictions.25 108 En un coup d’œil L’iPhone vous permet d’accéder aisément à vos listes de contacts, et de les modifier, depuis vos comptes personnels, professionnels et d’entreprise. Ouvrez dans Mail. Ouvrez dans Mail. Envoyez un Tweet. Envoyez un Tweet. Composez un numéro. Composez un numéro. Pour définir votre fiche Mes infos : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, touchez Mes infos, puis sélectionnez la fiche de contact portant votre nom et contenant vos informations. La fiche Mes infos est utilisées par Siri et d’autres apps. Utilisez les champs des personnes liées pour définir les relations dont vous souhaitez informer Siri, pour pouvoir utiliser des phrases telles que « appeler ma sœur ». Pour rechercher des contacts : Touchez le champ de recherche situé en haut de la liste des contacts, puis saisissez ce que vous recherchez. Vous pouvez également rechercher des contacts depuis l’écran d’accueil. Consultez la section Recherche à la page 29. Pour partager un contact : Touchez un contact, puis touchez Envoyer cette fiche. Vous pouvez envoyer les coordonnées par message électronique ou SMS. Pour ajouter un contact : Touchez . Vous ne pouvez pas ajouter de contacts à un répertoire en lecture seule, telle qu’une liste d’adresses globale Microsoft Exchange. Pour ajouter un contact à votre liste de favoris : Choisissez un contact, puis faites défiler vers le bas et touchez le bouton Ajouter aux favoris. La liste des favoris est utilisée par Ne pas Déranger. Consultez la section Ne pas déranger et Notifications à la page 142. ContactsChapitre 25 Contacts 109 Pour ajouter un numéro de téléphone à Contacts lors de la composition : Dans Téléphone, touchez Clavier, saisissez un numéro, puis touchez . Touchez « Créer un nouveau contact », ou « Ajouter à un contact » et choisissez un contact. Pour ajouter un appelant récent à Contacts : Dans Téléphone, touchez Récents, puis en regard du numéro. Touchez alors « Créer un nouveau contact », ou touchez « Ajouter à un contact » et choisissez un contact. Pour supprimer un contact : Choisissez un contact, puis touchez Modifier. Faites défiler vers le bas et touchez Supprimer le contact. Pour modifier un contact : Choisissez un contact, puis touchez Modifier. Vous pouvez : • Ajouter un nouveau champ : Touchez , puis choisissez ou saisissez un libellé pour le champ. • Modifier le libellé d’un champ : Touchez le libellé et choisissez-en un autre. Pour ajouter un nouveau champ, touchez Ajouter un libellé personnalisé. • Modifier la sonnerie ou le son SMS pour le contact : Touchez le champ de sonnerie ou de son SMS, puis touchez un nouveau son. Pour changer le son par défaut des contacts, accédez à Réglages > Sons. • Modifier la vibration de l’iPhone pour les appels et messages d’un contact : Touchez le champ de vibration de sonnerie ou de son SMS, puis sélectionnez un modèle de vibration. Si vous ne voyez pas le champ de vibration, touchez Modifier et ajoutez-le. Pour en savoir plus sur la création de modèles de vibration personnalisés, consultez la section Sons à la page 150. • Attribuer une photo au contact : Touchez Ajouter une photo. Vous pouvez prendre une photo avec l’appareil photo ou utiliser une photo existante. • Mettre à jour des coordonnées à l’aide de Twitter : Accédez à Réglages > Twitter > Actualiser les contacts. Les contacts sont triés à l’aide des adresses électroniques. La fiche de contact des amis que vous suivez est mise à jour avec leur nom d’utilisateur et leur photo Twitter. • Mettre à jour des coordonnées à l’aide de Facebook : Accédez à Réglages > Facebook > Actualiser les contacts. Les contacts sont triés à l’aide des adresses électroniques. La fiche de contact de chaque personne correspondante dans votre liste d’amis est mise à jour avec son nom d’utilisateur et sa photo Facebook. • Insérer une pause dans un numéro de téléphone : Touchez , puis touchez Pause ou Patienter. Chaque pause dure deux secondes. Chaque attente interrompt la composition jusqu’à ce que vous touchiez à nouveau Composer. Utilisez une pause ou une attente pour automatiser la composition d’un numéro de poste ou d’un code, par exemple. Ajout de contacts En plus d’ajouter des contacts sur l’iPhone, vous pouvez : • Utilisez vos contacts iCloud : Accédez à Réglages > iCloud, puis activez Contacts. • Importer vos amis Facebook : Accédez à Réglages > Facebook, puis activez Contacts dans la liste « Autoriser ces apps à utiliser vos comptes ». Un groupe Facebook dans Contacts est alors créé. • Accéder à une liste d’adresses globale Microsoft Exchange : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, touchez votre compte Exchange, puis activez Contacts. • Configurer un compte LDAP ou CardDAV pour accéder à des répertoires d’entreprise ou d’école : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Ajouter un compte > Autre. Touchez ensuite « Ajouter un compte LDAP » ou « Ajouter un compte CardDAV » et saisissez les informations du compte.Chapitre 25 Contacts 110 • Synchroniser les contacts de votre ordinateur ou vos contacts Yahoo! ou Google : Sur votre ordinateur, activez la synchronisation des contacts dans la sous-fenêtre Infos de l’appareil d’iTunes. Pour en savoir plus, consultez l’Aide iTunes. • Importer des contacts à partir d’une carte SIM (GSM) : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Importer les contacts SIM. • Importer des contacts à partir d’une vCard : Touchez une pièce jointe .vcf dans un courrier électronique ou un SMS, ou sur une page web. Effectuer une recherche sur un serveur GAL, CardDAV ou LDAP : Touchez Groupes, touchez le répertoire dans lequel vous voulez effectuer la recherche, puis saisissez ce que vous recherchez. Enregistrer des coordonnées depuis un serveur GAL, LDAP ou CardDAV : Recherchez les contacts que vous souhaitez ajouter, puis touchez Ajouter un contact. Afficher ou masquer un groupe : Touchez Groupes puis sélectionnez les groupes que vous voulez voir. Ce bouton apparaît seulement si vous avez plus d’une source de contacts. Lorsque vous avez des contacts provenant de plusieurs sources, vous risquez d’avoir plusieurs entrées pour la même personne. Pour éviter l’apparition de contacts redondants dans la liste Tous les contacts, les contacts de sources différentes dont le nom est identique sont associés et affichés sous forme de contacts unifiés. Lorsque vous consultez un contact unifié, le titre Infos unifiées apparaît en haut de l’écran. Associer un contact : Modifiez un contact, touchez Modifier, puis touchez et choisissez un nom de contact à associer. Les contacts associés ne sont pas combinés. Si vous modifiez les informations d’un contact unifié ou en ajoutez, les modifications sont appliquées à chaque compte source dans lequel les informations figurent déjà. Si vous associez des contacts dont les prénoms ou les noms sont différents, les noms des diffé- rentes fiches ne sont pas modifiés, mais un seul nom apparaît sur la fiche unifiée. Pour choisir quel nom apparaît lorsque vous consultez la fiche unifiée, touchez la fiche associée dont vous préférez le nom, puis touchez Utiliser ce nom pour la fiche unifiée Afficher les informations d’un compte source : Touchez l’un des comptes source. Dissocier un contact : Touchez Modifier, , puis Dissocier. Réglages de Contacts Pour modifier les réglages de Contacts, accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Les options disponibles vous permettent de : • modifier le mode de tri des contacts ; • trier les contacts selon leur prénom ou leur nom de famille ; • définir un compte par défaut pour les nouveaux contacts ; • définir votre fiche Mes infos.26 111 Touchez les chiffres et fonctions de la Calculette comme vous le feriez avec une véritable calculatrice. Mettez un numéro en mémoire. Mettez un numéro en mémoire. Effacez la mémoire. Effacez la mémoire. Effacez l’écran. Effacez l’écran. Retirez un numéro de la mémoire. Retirez un numéro de la mémoire. Obtenez un numéro à partir de la mémoire (un anneau blanc indique un numéro conservé en mémoire). Obtenez un numéro à partir de la mémoire (un anneau blanc indique un numéro conservé en mémoire). Pour utiliser la calculette scientifique : Faites pivoter l’iPhone en orientation paysage. Calculette27 112 Choisissez entre nord magnétique et nord géographique. Choisissez entre nord magnétique et nord géographique. Emplacement actuel Emplacement actuel Trouvez la direction dans laquelle votre iPhone est orienté. Trouvez la direction dans laquelle votre iPhone est orienté. Affichez l’endroit où vous vous trouvez dans Plans. Affichez l’endroit où vous vous trouvez dans Plans. Pour trouver la direction dans laquelle votre iPhone est orienté : Tenez l’iPhone à plat dans votre main, parallèlement au sol. Si Service de localisation est désactivé lorsque vous ouvrez Boussole, il peut vous être demandé de l’activer. Vous pouvez utiliser Boussole sans avoir activé Service de localisation. Consultez la section Confidentialité à la page 151. Important : La précision de la boussole peut être diminuée par des interférences magnétiques ou d’autres interférences environnementales. Même les aimants dont sont pourvus les écouteurs de l’iPhone peuvent entraîner une déviation. Utilisez la boussole numérique uniquement comme une aide élémentaire à la navigation, et ne vous fiez pas à elle pour déterminer avec précision une position, la proximité par rapport à un lieu, la distance ou la direction. Boussole28 113 En un coup d’œil Dictaphone vous permet d’utiliser l’iPhone comme un appareil d’enregistrement audio portable en utilisant le micro intégré, le micro externe des écouteurs de l’iPhone ou de votre oreillette Bluetooth, ou un micro externe pris en charge. Lancez, mettez en pause ou arrêtez l’enregistrement. Lancez, mettez en pause ou arrêtez l’enregistrement. Niveau d’enregistrement Niveau d’enregistrement Affichez votre liste d’enregistrements. Affichez votre liste d’enregistrements. Pour eEffectuer un enregistrement : Touchez ou appuyez sur le bouton central des écouteurs. Touchez pour mettre en pause ou pour arrêter l’enregistrement, ou appuyez sur le bouton central des écouteurs. Les enregistrements réalisés à l’aide du micro intégré sont en mono, mais vous pouvez enregistrer en stéréo à l’aide d’un micro stéréo externe compatible avec la prise d’écouteurs de l’iPhone ou le connecteur Lightning (iPhone 5) ou le connecteur Dock (modèles d’iPhone antérieurs). Recherchez les accessoires portant le logo Apple « Works with iPhone » ou « Made for iPhone ». Pour ajuster le niveau d’enregistrement : Rapprochez ou éloignez le micro de la source audio. Pour une meilleure qualité d’enregistrement, le niveau le plus élevé sur le VU-mètre doit être compris entre –3 dB et 0 dB. Pour lire ou couper le son de début/fin : Utilisez les boutons de volume de l’iPhone pour baisser entièrement le volume. Pour utiliser une autre app pendant l’enregistrement : Appuyez sur le bouton principal et ouvrez une app. Pour revenir à Dictaphone, touchez la barre rouge située en haut de l’écran. DictaphoneChapitre 28 Dictaphone 114 Pour lire un enregistrement : Touchez , un enregistrement, puis . Touchez pour mettre en pause. Raccourcissez ou renommez l’enregistrement. Raccourcissez ou renommez l’enregistrement. Écoutez l’enregistrement. Écoutez l’enregistrement. Joignez l’enregistrement à un courrier électronique ou à un message texte. Joignez l’enregistrement à un courrier électronique ou à un message texte. Faites glisser pour passer à un endroit quelconque. Faites glisser pour passer à un endroit quelconque. Passez du haut-parleur au récepteur. Passez du haut-parleur au récepteur. Pour raccourcir un enregistrement : Touchez situé à côté de l’enregistrement, puis touchez Raccourcir. Faites glisser les bords de la séquence audio, puis touchez pour obtenir un aperçu. Ajustez si nécessaire, puis touchez Raccourcir l’enregistrement pour l’enregistrer. Les parties que vous supprimez ne peuvent pas être récupérées. Partage de mémos vocaux avec votre ordinateur iTunes peut synchroniser les mémos vocaux avec votre bibliothèque iTunes lorsque vous connectez l’iPhone à votre ordinateur. Lorsque vous synchronisez des mémos vocaux vers iTunes, ils restent dans l’app Dictaphone jusqu’à ce que vous les supprimiez. Si vous supprimez un mémo vocal sur l’iPhone, il n’est pas supprimé de la liste de lecture Mémos vocaux dans iTunes. Par contre, si vous supprimez un mémo vocal dans iTunes, il sera supprimé de l’iPhone lors de la prochaine synchronisation avec iTunes. Pour synchroniser des mémos vocaux avec iTunes : Connectez votre iPhone à votre ordinateur et sélectionnez l’iPhone dans la liste des appareils d’iTunes. Sélectionnez Musique en haut de l’écran (entre Apps et Films), sélectionnez Synchroniser la musique, puis « Inclure les mémos vocaux », puis cliquez sur Appliquer. Les mémos vocaux de votre iPhone apparaissent dans la liste de lecture Mémos vocaux d’iTunes.29 115 Avec un capteur Nike + iPod (vendu séparément), l’app Nike + iPod fournit des informations vocales sur votre vitesse, la distance, le temps écoulé et les calories brûlées lorsque vous marchez ou courez. Visionnez l’historique de vos entraînements. Visionnez l’historique de vos entraînements. Personnalisez-le en fonction de votre dernier entraînement. Personnalisez-le en fonction de votre dernier entraînement. Choisissez un entraînement standard. Choisissez un entraînement standard. Choisissez un entraînement ou créez un entraînement personnalisé. Choisissez un entraînement ou créez un entraînement personnalisé. Choisissez un type d’entraînement. Choisissez un type d’entraînement. L’app Nike + iPod n’apparaît pas sur l’écran d’accueil tant que vous ne l’avez pas activée. Pour activer Nike + iPod : Accédez à Réglages > Nike + iPod. Nike + iPod recueille les données d’entraînement émises par un capteur sans fil (vendu séparé- ment) fixé sur votre chaussure. Avant la première utilisation, vous devez associer votre capteur à l’iPhone. Pour associer votre capteur à l’iPhone : Fixez le capteur à votre chaussure, puis accédez à Réglages > Nike + iPod > Capteur. Pour commencer un entraînement : Touchez Entraînements et choisissez un entraînement. • Pour suspendre un entraînement : Réactivez l’iPhone et touchez sur l’écran verrouillé. Touchez lorsque vous êtes prêt à continuer. • Pour terminer un entraînement : Réactivez l’iPhone, touchez , puis touchez Terminer. Pour modifier les réglages d’entraînement : Accédez à Réglages > Nike + iPod. Pour étalonner Nike + iPod : Enregistrez un entraînement sur une distance connue d’au moins 400 mètres. Ensuite, lorsque vous avez touché Terminer, touchez Étalonner sur l’écran de résumé de votre entraînement et saisissez la distance réelle parcourue. Nike + iPodChapitre 29 Nike + iPod 116 Pour réinitialiser l’étalonnage par défaut : Accédez à Réglages > Nike + iPod. Pour envoyer des données d’entraînement à nikeplus.com : Alors que l’iPhone est connecté à Internet, ouvrez Nike + iPod, touchez Historique, puis « Envoyer à Nike+ ». Pour consulter vos entraînements sur nikeplus.com : Dans Safari, accédez à nikeplus.com, connectez-vous à votre compte et suivez les instructions à l’écran.30 117 En un coup d’œil L’app iBooks est un excellent moyen de lire et d’acheter des livres. Téléchargez l’app iBooks gratuite sur l’App Store puis profitez des livres de tous les genres, des grands classiques aux best-sellers. Allez sur une autre page. Allez sur une autre page. Signet Signet Contenu, signets et notes Contenu, signets et notes L’app iBooks est un excellent moyen de se distraire avec des livres. Elle permet également de consulter des documents PDF. Téléchargez l’app iBooks gratuite sur l’App Store puis obtenez sur l’iBookstore intégré des livres de tous les genres, des grands classiques aux best-sellers. Pour télé- charger l’app iBooks et utiliser l’iBookstore, vous devez disposer d’une connexion Internet et d’un identifiant Apple. Pour visiter l’iBookstore : Dans iBooks, touchez Store pour : • trouver des livres en naviguant ou en effectuant une recherche ; • obtenir un extrait d’un livre pour savoir s’il vous plaît ; • lire et rédiger des avis, et voir quels sont les best-sellers du moment ; • recommander un livre à un ami par courrier électronique. Pour acheter un livre : Trouvez un livre qui vous intéresse, touchez le prix, puis touchez à nouveau pour obtenir le livre. Pour obtenir des informations sur un livre : Vous pouvez lire un résumé du livre, consulter un avis et lire un extrait du livre avant de l’acheter. Après avoir acheté un livre, vous pouvez donner votre propre avis. iBooksChapitre 30 iBooks 118 Pour télécharger un achat antérieur : Touchez Achats. Pour télécharger pendant que vous naviguez, touchez Télécharger là où apparaît normalement le prix. Vous n’êtes pas facturé à nouveau. Pour télécharger automatiquement les achats effectués sur d’autres appareils, accédez à Réglages > iTunes et App Stores. Lecture de livres Il est facile de lire un livre. Accédez à l’étagère et touchez le livre que vous souhaitez lire. Chaque livre propose un ensemble particulier de fonctionnalités, selon le contenu et le format. Certaines des fonctionnalités décrites ci-après peuvent ne pas être disponibles dans le livre que vous lisez. Pour ouvrir un livre : Touchez le livre que vous voulez lire. S’il ne figure pas sur l’étagère, balayez vers la gauche ou la droite pour afficher d’autres collections. • Pour afficher les commandes : Touchez à proximité du centre de la page. • Pour agrandir une image : Touchez deux fois l’image. Pour certains livres, touchez et maintenez appuyé pour afficher une loupe que vous pouvez utiliser pour regarder une image. • Pour ouvrir une page spécifique : Utilisez les commandes de navigation de page en bas de l’écran. Autrement, touchez et saisissez un numéro de page, puis touchez le numéro de la page dans les résultats de la recherche. • Pour rechercher un mot : Touchez deux fois un mot et réglez les points d’accroche pour ajuster la sélection puis touchez Définir dans le menu qui s’affiche. Les définitions ne sont pas disponibles dans toutes les langues. • Pour afficher la table des matières : Touchez . Dans certains livres, vous pouvez également pincer les doigts pour afficher la table des matières. • Pour ajouter ou supprimer un signet : Touchez . Touchez à nouveau pour supprimer le signet. Vous n’avez pas besoin d’ajouter un signet lorsque vous fermez le livre, car iBooks enregistre automatiquement votre avancement. Vous pouvez définir plusieurs signets ; pour les afficher tous, touchez , puis Signets. Pour annoter un livre : Vous pouvez ajouter des notes et des surlignages à un livre. • Pour ajouter un surlignage : Touchez deux fois un mot, ajustez la sélection à l’aide des poignées, puis touchez Surlignage et choisissez une couleur ou un souligné. • Pour supprimer un surlignage : Touchez le texte surligné, puis . • Pour ajouter une note : Touchez deux fois un mot, touchez Surligner, puis choisissez dans le menu qui s’affiche. • Pour supprimer une note : Supprimez son texte. Pour supprimer la note et le surlignage associé, touchez le texte surligné, puis touchez . • Pour voir toutes vos notes : Touchez , puis Notes. Touchez pour imprimer vos notes ou les envoyer par courrier électronique. Pour modifier l’apparence d’un livre : Certains livres permettent la modification de la taille des caractères, la police et la couleur de la page. • Pour modifier la police ou la taille des caractères : Touchez le centre d’une page pour afficher les commandes, puis touchez . Touchez Polices pour sélectionner un type de caractère. Certains livres vous permettent de modifier la taille des caractères uniquement lorsque l’iPhone est en orientation portrait. • Pour changer la couleur de la page et du texte : Touchez à proximité du centre de la page pour afficher les commandes, touchez , puis Thème. Ce réglage s’applique à tous les livres qui le prennent en charge.Chapitre 30 iBooks 119 • Pour modifier la luminosité : Touchez le centre d’une page pour afficher les commandes, puis touchez . Si vous ne voyez pas , touchez d’abord . • Pour activer ou désactiver la justification et la césure : Accédez à Réglages > iBooks. Il est impossible d’appliquer la justification ou la césure aux documents PDF et à certains livres. Organisation de l’étagère Utilisez l’étagère pour explorer vos livres et documents PDF. Vous pouvez également organiser les éléments en collections. Touchez un livre et maintenez le doigt dessus pour réorganiser. Touchez un livre et maintenez le doigt dessus pour réorganiser. Affichez les collections. Affichez les collections. Pour déplacer un livre ou un document PDF vers une collection : Touchez Modifier. Sélectionnez les éléments que vous souhaitez déplacer, puis touchez Déplacer et sélectionnez une collection. Pour afficher et gérer les collections : Touchez le nom de la collection en cours en haut de l’écran, par exemple Livres ou Documents PDF, afin d’afficher la liste des collections. Vous ne pouvez modifier ou supprimer les collections de livres et de documents PDF intégrées. Pour trier la bibliothèque : Touchez la barre d’état pour faire défiler jusqu’en haut de l’écran, puis touchez et sélectionnez un mode de tri au bas de l’écran. Pour supprimer un élément de l’étagère : Touchez Modifier, puis touchez chaque élément que vous souhaitez supprimer de manière qu’une coche apparaisse. Touchez Supprimer. Lorsque vous avez fini, touchez Terminé. Si vous supprimez un élément acheté, vous pouvez le télécharger à nouveau depuis l’onglet Achats de l’iBookstore. Pour rechercher un livre : Accédez à l’étagère. Touchez la barre d’état pour faire défiler jusqu’en haut de l’écran, puis touchez . La recherche concerne le titre et le nom de l’auteur. Synchronisation de livres et de documents PDF Utilisez iTunes pour synchroniser vos livres et documents PDF entre l’iPhone et votre ordinateur et pour acheter des livres dans l’iTunes Store. Lorsque l’iPhone est connecté à votre ordinateur, la sous-fenêtre Livres vous permet de choisir quels éléments synchroniser. Vous pouvez également trouver des livres ePub sans DRM et des documents PDF sur le Web et les ajouter à votre bibliothèque iTunes.Chapitre 30 iBooks 120 Pour synchroniser un livre ou un document PDF avec l’iPhone : Sur iTunes sur votre ordinateur, choisissez Fichier > Ajouter à la bibliothèque et sélectionnez le fichier. Lancez ensuite la synchronisation. Pour ajouter un livre ou un document PDF à iBooks sans effectuer de synchronisation : Si le livre ou le document PDF n’est pas trop volumineux, envoyez-vous le fichier par courrier électronique depuis votre ordinateur. Ouvrez le courrier électronique sur l’iPhone, puis maintenez le doigt sur la pièce jointe et choisissez Ouvrir dans iBooks à partir du menu qui apparaît. Impression ou envoi par courrier d’un document PDF Vous pouvez utiliser iBooks pour envoyer une copie d’un document PDF par courrier électronique ou pour l’imprimer en totalité ou en partie sur une imprimante AirPrint. Pour envoyer un document PDF par courrier électronique : Ouvrez le document PDF, touchez et choisissez Envoyer par courrier. Pour imprimer un document PDF : Ouvrez le document PDF, touchez et choisissez Imprimer. Pour en savoir plus, consultez la section Impression à l’aide d’AirPrint à la page 33. Réglages d’iBooks iBooks stocke vos collections, signets, notes et informations sur la page actuelle à l’aide de votre identifiant Apple, ce qui vous permet de lire des livres de manière continue sur tous vos appareils iOS. iBooks enregistre les informations concernant tous vos livres lorsque vous ouvrez ou quittez l’app. Les informations concernant les livres individuels sont également enregistrées lorsque vous ouvrez ou fermez ces derniers. Poiur activer ou désactiver la synchronisation : Accédez à Réglages > iBooks. Vous pouvez aussi synchroniser les collections et les signets. Certains livres peuvent accéder à du contenu vidéo ou audio stocké sur le web. Si l’iPhone dispose d’une connexion de données cellulaires, la lecture de ces fichiers peut engendrer l’application de frais par votre opérateur. Pour activer ou désactiver l’accès à du contenu vidéo ou audio en ligne : Accédez à Réglages > iBooks > Audio et vidéo en ligne. Pour modifier la direction dans laquelle la page se tourne lorsque vous touchez la marge gauche : Accédez à Réglages > iBooks > Toucher marge de gauche.31 121 Téléchargez l’app Podcasts gratuite sur l’App Store, explorez, abonnez-vous et lisez vos podcasts audio et vidéo préférés. Affichez les podcasts dans votre bibliothèque. Affichez les podcasts dans votre bibliothèque. Parcourez tous les podcasts disponibles. Parcourez tous les podcasts disponibles. Touchez un podcast pour afficher les épisodes disponibles. Touchez un podcast pour afficher les épisodes disponibles. Naviguez et écoutez un extrait des podcasts les plus populaires. Naviguez et écoutez un extrait des podcasts les plus populaires. Faites défiler pour afficher toute votre bibliothèque. Faites défiler pour afficher toute votre bibliothèque. Affichez les commandes de lecture. Affichez les commandes de lecture. Pour obtenir des podcasts : • Explorer le catalogue entier : Touchez Catalogue, puis un podcast qui vous intéresse. • Explorer les podcasts les plus populaires : Touchez Stations les mieux classées (si vous ne les voyez pas , touchez d’abord Bibliothèque). Balayez vers la gauche ou la droite pour changer de catégorie, ou balayez vers le haut ou vers le bas pour explorer la catégorie actuelle. Touchez un podcast pour afficher un aperçu du dernier épisode ou touchez pour afficher une liste d’épisodes. • Pour diffuser un épisode : Touchez un épisode. • Pour télécharger un épisode que vous pouvez écouter lorsque vous n’êtes pas connecté au Wi-Fi : Touchez en regard d’un épisode. • Pour vous abonner à un podcast afin de toujours obtenir le dernier épisode : Lorsque vous explorez le catalogue, touchez un podcast pour afficher la liste des épisodes, puis touchez S’abonner. Si vous avez déjà téléchargé un épisode, touchez le podcast dans votre bibliothèque, puis touchez-le à nouveau en haut de la liste des épisodes et activez Abonnement. • Pour obtenir automatiquement le dernier épisode d’un podcast auquel vous êtes abonné : Touchez le podcast dans votre bibliothèque, touchez-le à nouveau en haut de la liste des épisodes, puis activez Télécharger automatiquement. PodcastsChapitre 31 Podcasts 122 Pour contrôler la lecture audio : Balayez vers le haut l’illustration du podcast en cours de lecture pour afficher toutes les commandes de lecture. Visionnez l’épisode précédent. Visionnez l’épisode précédent. Partagez ce podcast. Partagez ce podcast. Passez à l’épisode suivant. Passez à l’épisode suivant. Avancez de 30  secondes. Avancez de 30  secondes. Réglez le minuteur de veille. Réglez le minuteur de veille. Faites glisser la tête de lecture pour écouter un autre passage du podcast. Faites glisser la tête de lecture pour écouter un autre passage du podcast. Balayez vers le haut ou vers le bas pour afficher ou masquer les commandes. Balayez vers le haut ou vers le bas pour afficher ou masquer les commandes. Ajustez la vitesse de lecture. Ajustez la vitesse de lecture. Pour contrôler la lecture vidéo : Touchez l’écran lorsque vous regardez un podcast vidéo.32 123 Fonctionnalités d’accessibilité L’iPhone intègre les fonctionnalités d’accessibilité suivantes : • VoiceOver • Acheminement de l’audio des appels • Assistant vocal Siri • Augmentation de l’agrandissement • Grande police • Inverser les couleurs • Énoncer la sélection • Énonciation auto • Audio mono et balance • Appareils auditifs et Mode appareil auditif • Sonneries assignables et vibreur • Flash LED pour alertes • Accès guidé • AssistiveTouch • Prise en charge des affichages Braille • Lecture de contenu avec sous-titres codés Activer les fonctions d’Accessibilité sur l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité. Activer les fonctions d’Accessibilité à l’aide d’iTunes : Connectez votre iPhone à votre ordinateur et sélectionnez l’iPhone dans la liste des appareils d’iTunes. Cliquez sur Résumé, puis sur Configurer Accès universel au bas de l’écran Résumé. Pour en savoir plus sur les fonctionnalités d’accessibilité de l’iPhone, consultez la page www.apple.com/fr/accessibility. Vous ne pouvez activer ou désactiver la fonctionnalité Grande police que dans les réglages de l’iPhone. Consultez la section Grande police à la page 135. VoiceOver VoiceOver décrit vocalement le contenu de l’écran, ce qui permet d’utiliser l’iPhone sans le voir. VoiceOver décrit chaque élément que vous sélectionnez à l’écran. Lorsque vous sélectionnez un élément, le curseur VoiceOver (un rectangle noir) l’entoure et VoiceOver énonce le nom de l’élé- ment ou le décrit. AccessibilitéChapitre 32 Accessibilité 124 Touchez l’écran ou faites glisser vos doigts pour énoncer les différents éléments à l’écran. Lorsque du texte est sélectionné, VoiceOver lit le texte. Si l’option Énoncer les conseils est activée, VoiceOver peut vous renseigner sur le nom de l’élément ou vous fournir des instructions, par exemple « toucher deux fois pour ouvrir ». Pour interagir avec des éléments de l’écran, tels que des boutons et des liens, utilisez les gestes décrits dans la section À propos des gestes de VoiceOver à la page 126. Lorsque vous accédez à un nouvel écran, VoiceOver émet un son, puis sélectionne et lit automatiquement le premier élément de l’écran (généralement celui situé dans le coin supérieur gauche). VoiceOver vous avertit également lorsque l’orientation de l’écran passe en orientation paysage ou portrait, ou lorsque l’écran se verrouille ou se déverrouille. Remarque : VoiceOver parle dans la langue définie dans les réglages International, qui peut dépendre du réglage Format régional dans Réglages > Général > International. VoiceOver est disponible dans de nombreuses langues, mais pas toutes. Notions élémentaires sur VoiceOver Important : VoiceOver change les gestes utilisés pour contrôler l’iPhone. Lorsque VoiceOver est activé, vous devez utiliser les gestes de VoiceOver pour contrôler l’iPhone, même pour désactiver à nouveau VoiceOver et revenir au mode de fonctionnement standard. Pour activer ou désactiver VoiceOver : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver. Vous pouvez également régler la fonction Triple clic sur le bouton principal de manière à activer ou désactiver VoiceOver. Consultez la section Triple clic sur le bouton principal à la page 134. Pour parcourir l’écran : Faites glisser votre doigt sur l’écran. VoiceOver énonce chaque élément que vous touchez. Levez le doigt pour laisser un élément sélectionné. • Pour sélectionner un élément : Touchez-le ou levez le doigt pendant que vous le faites glisser. • Pour sélectionner l’élément suivant ou précédent : Balayez vers la droite ou la gauche avec un doigt. Les éléments sont ordonnés de la gauche vers la droite et de haut en bas. • Pour sélectionner l’élément situé au-dessus ou au-dessous : Utilisez le rotor pour activer la navigation verticale, puis balayez vers le haut ou le bas avec un doigt. • Pour sélectionner le premier ou le dernier élément à l’écran : Balayez l’écran vers le haut ou le bas avec quatre doigts. • Pour sélectionner un élément par son nom : Touchez trois fois avec deux doigts n’importe où sur l’écran pour ouvrir le Sélecteur d’élément. Saisissez ensuite un nom dans le champ de recherche ou balayez vers la gauche ou vers la droite pour vous déplacer dans la liste par ordre alphabétique, ou touchez l’index du tableau à droite de la liste et balayez vers le haut ou le bas pour rapidement vous déplacer dans la liste des éléments. • Pour renommer l’élément sélectionné afin de le retrouver plus facilement : Touchez et maintenez appuyés deux doigts sur l’écran. • Pour lire le texte de l’élément sélectionné : Réglez le rotor de contrôle sur les caractères ou les mots, puis feuilletez vers le bas ou le haut avec un doigt. • Pour activer ou désactiver l’énonciation des conseils : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver. • Pour inclure la lecture phonétique : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Alphabet radio. • Pour énoncer tout le contenu de l’écran en partant du début : Balayez l’écran vers le haut avec deux doigts.Chapitre 32 Accessibilité 125 • Pour énoncer le contenu de l’élément actuel jusqu’au bas de l’écran : Balayez l’écran vers le bas avec deux doigts. • Pour arrêter l’énonciation : Touchez une fois avec deux doigts. Vous pouvez toucher à nouveau avec deux doigts pour reprendre l’énonciation. La lecture reprend lorsque vous sélectionnez un autre élément. • Pour désactiver le son VoiceOver : Touchez trois fois de suite avec trois doigts. Répétez l’action pour réactiver la fonction de lecture. Pour couper uniquement les sons VoiceOver, réglez le commutateur Sonnerie/Silence sur Silence. Si un clavier externe est connecté, vous pouvez également appuyer sur la touche Contrôle du clavier pour activer ou désactiver le son de VoiceOver. Pour régler la voix d’énonciation : Vous pouvez modifier les caractéristiques de la voix d’énonciation de VoiceOver pour la comprendre plus facilement : • Pour modifier le volume de l’énonciation : Utilisez les boutons de volume de l’iPhone. Vous pouvez également ajouter la fonctionnalité de réglage du volume au rotor, puis balayer vers le haut et le bas pour régler le volume ; consultez la section Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver à la page 128. • Pour modifier le débit de l’énonciation : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver, et déplacez le curseur Débit vocal. Vous pouvez également ajouter la fonction Débit vocal au rotor, puis balayer vers le haut ou le bas pour ajuster le réglage. • Pour utiliser le changement de ton : VoiceOver utilise une voix plus aiguë lorsqu’il énonce le premier élément d’un groupe (par exemple, une liste ou un tableau), et plus grave lorsqu’il en énonce le dernier. Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Changement de ton. • Pour changer la langue de l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > International > Langue. Le réglage Réglages > Général > International > Format régional a un impact sur la prononciation de VoiceOver dans certaines langues. • Pour modifier la prononciation : Réglez le rotor sur Langue, puis balayez vers le haut ou le bas. Langue n’est disponible dans le rotor que si vous sélectionnez plusieurs prononciations. • Pour sélectionner les prononciations disponibles dans le rotor de langue : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Rotor de langue. Pour changer la position d’une langue dans la liste, faites glisser vers le haut ou le bas. • Pour modifier la voix d’énonciation de base : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Utiliser la voix compacte. Utilisation de l’iPhone avec VoiceOver Pour déverrouiller l’iPhone : Sélectionnez le curseur Déverrouiller, puis touchez deux fois l’écran. Pour « Toucher » pour activer l’élément sélectionné : Touchez deux fois n’importe quel endroit de l’écran. Pour « Toucher deux fois » l’élément sélectionné : Touchez trois fois n’importe quel endroit de l’écran. Pour régler un curseur : Sélectionnez le curseur, puis balayez vers le haut ou le bas avec un doigt. Pour utiliser un geste standard lorsque VoiceOver est activé : Touchez deux fois l’écran et maintenez votre doigt dessus. Une série de sons indique que les gestes normaux sont activés. Ils demeurent activés jusqu’à ce que vous leviez votre doigt ; les gestes VoiceOver sont alors réactivés.Chapitre 32 Accessibilité 126 Pour faire défiler une liste ou une zone de l’écran : Balayez l’écran vers le haut ou le bas avec trois doigts. Si vous faites défiler les pages d’une liste, VoiceOver énonce la plage d’éléments affichée (par exemple, « affichage des lignes 5 à 10 »). • Pour faire défiler une liste en continu : Touchez deux fois et maintenez votre doigt sur l’écran. Lorsque vous entendez une série de sons, déplacez votre doigt vers le bas ou le haut pour faire défiler la liste. Le défilement continu s’arrête lorsque vous retirez le doigt. • Pour utiliser un index de liste : Certaines listes présentent un index alphabétique sur le côté droit. Vous ne pouvez pas sélectionner l’index en balayant votre doigt entre les éléments ; vous devez toucher l’index directement pour cela. Lorsque l’index est sélectionné, balayez vers le haut ou le bas pour faire défiler. Vous pouvez également toucher deux fois, puis faire glisser votre doigt vers le haut ou le bas. • Pour réorganiser une liste : Vous pouvez modifier l’ordre des éléments dans certaines listes, tels que les réglages des listes Rotor et Rotor de langue dans les réglages Accessibilité. Sélectionnez à droite d’un élément, touchez deux fois et maintenez votre doigt dessus jusqu’à entendre un son, puis faites glisser vers le haut ou le bas. VoiceOver énonce l’élément déplacé vers le haut ou le bas en fonction de la direction de votre glissement. Pour réorganiser l’écran d’accueil : Sur l’écran d’accueil, sélectionnez l’icône que vous souhaitez déplacer. Touchez deux fois l’icône et maintenez votre doigt dessus, puis faites-la glisser. VoiceOver énonce la position (ligne et colonne) à mesure que vous faites glisser l’icône. Relâchez l’icône lorsqu’elle est placée où vous le souhaitez. Vous pouvez faire glisser d’autres icônes. Faites glisser un élément vers le bord gauche ou droit de l’écran pour le déplacer vers une autre page de l’écran d’accueil. Lorsque vous avez terminé, appuyez sur le bouton principal . Pour énoncer les informations sur l’état de l’iPhone : Touchez le haut de l’écran pour connaître l’heure, le niveau de charge de la batterie, la puissance du signal Wi-Fi, etc. Pour énoncer les notifications : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver et activez Lire les notifications. Les notifications, y compris le texte des messages texte entrants, sont énoncées au fur et à mesure qu’elles apparaissent, même si l’iPhone est verrouillé. Les notifications ignorées sont répétées lorsque vous déverrouillez l’iPhone. Pour activer ou désactiver le rideau d’écran : Touchez quatre fois avec trois doigts. Lorsque le rideau d’écran est activé, le contenu de l’écran est actif même si rien ne s’affiche. À propos des gestes de VoiceOver Lorsque le mode VoiceOver est activé, les gestes standard effectués sur l’écran tactile donnent des résultats différents. Ces gestes et d’autres permettent de se déplacer à l’écran et de contrôler les éléments sélectionnés. VoiceOver comprend des gestes de toucher ou de balayage à deux ou trois doigts. Pour de meilleurs résultats lors de l’utilisation de ces derniers, gardez les doigts détendus et écartez-les un peu lorsqu’ils touchent l’écran. Il existe plusieurs techniques pour utiliser des gestes dans VoiceOver. Vous pouvez par exemple utiliser deux doigts d’une main ou un doigt de chaque main pour toucher l’écran. Vous pouvez également utiliser vos pouces. « Toucher en deux temps » est souvent considéré comme très efficace : au lieu de sélectionner un élément puis de le toucher deux fois, vous pouvez toucher l’élément d’un doigt et maintenir le doigt dessus, puis toucher l’écran d’un autre doigt. Essayez différentes techniques pour découvrir celle qui vous convient le mieux. Si vos gestes ne fonctionnent pas, essayez des mouvements plus rapides, notamment pour toucher deux fois et balayer l’écran. Pour ce dernier geste, essayez de feuilleter rapidement l’écran d’un ou plusieurs doigts. Lorsque le mode VoiceOver est activé, le bouton Entraînement VoiceOver apparaît pour vous permettre de vous entraîner aux gestes VoiceOver avant de continuer.Chapitre 32 Accessibilité 127 Pour vous exercer aux gestes de VoiceOver : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver, puis touchez Entraînement VoiceOver. Lorsque vous avez fini de vous exercer, touchez Terminé. Si le bouton Entraînement VoiceOver n’est pas visible, assurez-vous que le mode VoiceOver est activé. Les principaux gestes VoiceOver sont : Naviguer et lire • Toucher : énonce l’élément. • Balayer vers la gauche ou la droite : sélectionne l’élément précédent ou suivant. • Balayer vers le haut ou le bas : varie selon le réglage du rotor de contrôle. Consultez la section Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver à la page 128. • Toucher avec deux doigts : arrête d’énoncer l’élément en cours. • Feuilleter vers le haut avec deux doigts : lit tout depuis le haut de l’écran. • Feuilleter vers le bas avec deux doigts : lit tout depuis la position actuelle. • Gratter avec deux doigts : déplacer deux doigts rapidement en dessinant un « z » fait disparaître une alerte ou revient à l’écran précédent. • Balayer vers le haut ou le bas avec trois doigts : fait défiler page par page. • Balayer vers la gauche ou la droite avec trois doigts : affiche la page précédente ou suivante (par exemple l’écran d’accueil, Bourse ou Safari). • Toucher avec trois doigts : énonce des informations supplémentaires, telles que la position dans une liste ou si le texte est sélectionné. • Toucher le haut de l’écran avec quatre doigts : sélectionne le premier élément de la page. • Toucher le bas de l’écran avec quatre doigts : sélectionne le dernier élément de la page. Activer • Toucher deux fois : active l’élément sélectionné. • Toucher trois fois : touche deux fois l’élément. • Toucher en deux temps : Au lieu de sélectionner un élément puis de le toucher deux fois pour l’activer, vous pouvez toucher l’élément d’un doigt et maintenir le doigt dessus, puis toucher l’écran d’un autre doigt. • Toucher deux fois et maintenir la position pendant 1 seconde + geste standard : utilise un geste standard. Lorsque vous touchez deux fois l’écran et maintenez la position, cela indique à l’iPhone que le prochain geste doit être interprété comme un geste standard. Par exemple, touchez deux fois l’écran et maintenez la position puis, sans soulever le doigt, faites-le glisser pour activer/désactiver un commutateur. • Toucher deux fois avec deux doigts : Permet de passer ou interrompre un appel. Lance la lecture ou la suspend dans Musique, Vidéos, Dictaphone ou Photos. Prend une photo dans Appareil photo. Démarre ou suspend l’enregistrement dans Appareil photo ou Dictaphone. Lance ou arrête le chronomètre. • Toucher deux fois avec deux doigts et maintenir la position : Modifie le libellé d’un élément afin de le retrouver plus facilement. • Toucher trois fois avec deux doigts : ouvre le Sélecteur d’élément. • Toucher trois fois avec trois doigts : active ou désactive le son VoiceOver. • Toucher quatre fois avec trois doigts : active ou désactive le rideau d’écran.Chapitre 32 Accessibilité 128 Utilisation du rotor de contrôle de VoiceOver Utilisez le rotor pour définir l’effet du balayage vers le haut ou le bas avec VoiceOver activé. Utiliser le rotor : Effectuez un mouvement circulaire avec deux doigts sur l’écran de l’iPhone autour d’un point entre vos doigts. Modifier les options incluses dans le rotor : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Rotor et sélectionnez les options dont vous souhaitez disposer dans le rotor. L’effet du réglage du rotor varie selon l’application ouverte. Par exemple, si vous lisez un message électronique, vous pouvez utiliser le rotor pour passer de la lecture mot à mot à la lecture caractère par caractère en balayant vers le haut ou le bas. Lorsque vous parcourez une page web, vous pouvez régler le rotor pour qu’il énonce tout le texte (mot à mot ou caractère par caractère) ou écouter seulement le texte d’un certain type, par exemple les titres ou les liens. Saisie et édition de texte avec VoiceOver Lorsque vous modifiez un champ de texte éditable, vous pouvez utiliser le clavier à l’écran ou un clavier externe connecté à l’iPhone pour saisir du texte. Saisir du texte : Sélectionnez un champ de texte éditable, touchez deux fois pour afficher le point d’insertion sur le clavier à l’écran, puis saisissez des caractères. • Saisie standard : sélectionnez une touche du clavier en balayant vers la gauche ou la droite, puis touchez deux fois pour saisir le caractère. Une autre solution consiste à faire glisser le doigt sur le clavier pour sélectionner une touche, puis à maintenir le doigt dessus et à toucher l’écran avec un autre doigt. VoiceOver énonce la touche lorsque vous la sélectionnez et de nouveau lorsque le caractère est saisi. • Saisie dactylographique : touchez une touche du clavier pour la sélectionner, puis levez votre doigt pour saisir le caractère. Si vous touchez une touche incorrecte, déplacez votre doigt jusqu’à sélectionner celle que vous souhaitez. VoiceOver énonce le caractère correspondant à la touche que vous touchez, mais ne le saisit que lorsque vous levez le doigt. La saisie dactylographique ne fonctionne que pour les touches qui saisissent du texte ; utilisez la saisie standard pour les autres touches, notamment Maj, Supprimer et Retour. • Pour choisir entre saisie standard et dactylographique : Activez VoiceOver et sélectionnez une touche du clavier, puis utilisez le rotor pour sélectionner Mode de saisie et balayez vers le haut ou le bas. Déplacer le point d’insertion : Balayez vers le haut ou le bas pour déplacer le point d’insertion vers l’avant ou l’arrière dans le corps du texte. Utilisez le rotor pour choisir si vous voulez déplacer le point d’insertion d’un caractère, d’un mot ou d’une ligne à l’autre. VoiceOver émet un son lorsque le point d’insertion se déplace et énonce le caractère, le mot ou la ligne sur lesquels il passe. Lorsque le déplacement est vers l’avant par mot, le point d’insertion est placé à la fin du mot traversé, avant l’espace ou le signe de ponctuation qui suit. Lorsque le déplacement est vers l’arrière, le point d’insertion est placé à la fin du mot précédent, avant l’espace ou le signe de ponctuation qui suit.Chapitre 32 Accessibilité 129 Pour placer le point d’insertion après le signe de ponctuation suivant un mot ou une phrase : utilisez le rotor pour basculer en mode caractère. Lorsque le point d’insertion est déplacé ligne par ligne, VoiceOver énonce chaque ligne sur laquelle il passe. Lorsque le déplacement est vers l’avant, le point d’insertion est placé au début de la ligne suivante (sauf lorsque vous avez atteint la dernière ligne d’un paragraphe, auquel cas le point d’insertion est placé à la fin de la ligne énoncée). Lorsque le déplacement est vers l’arrière, le point d’insertion est placé au début de la ligne énoncée. Pour changer le mode de lecture du texte saisi : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Énoncer la saisie. Pour utiliser l’alphabet radio dans la lecture du texte saisi : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Alphabet radio. Le texte est lu caractère par caractère. VoiceOver commence par énoncer le caractère, puis son équivalent phonétique (par exemple, « f » puis « foxtrot »). Pour supprimer un caractère : Sélectionnez et touchez deux fois ou touchez en deux temps. Vous devez effectuer cette opération même en saisie dactylographique. Pour supprimer plusieurs caractères, touchez la touche Supprimer, maintenez le doigt dessus puis touchez une fois l’écran d’un autre doigt pour chaque caractère à supprimer. VoiceOver énonce le caractère supprimé. Si vous avez activé la fonction Changement de ton, VoiceOver énonce les caractères supprimés d’une voix plus grave. Pour sélectionner du texte : Sélectionnez le rotor pour Modifier, puis balayez vers le haut ou le bas pour choisir Sélectionner ou Tout sélectionner, puis touchez deux fois l’écran. Si vous choisissez Sélectionner, le mot le plus proche du point d’insertion est sélectionné lorsque vous touchez deux fois. Si vous choisissez Tout sélectionner, le texte entier est sélectionné. Pincez les doigts pour augmenter ou réduire la sélection. Pour couper, copier ou coller : Assurez-vous que le rotor est réglé sur Modification. Sélectionnez du texte puis balayez vers le haut ou le bas pour choisir Couper, Copier ou Coller, puis touchez deux fois. Pour annuler : Secouez l’iPhone, balayez vers la gauche ou vers la droite pour choisir l’action à annuler, puis touchez deux fois. Pour saisir un caractère accentué : En mode de saisie standard, sélectionnez le caractère puis touchez-le deux fois et maintenez le doigt dessus jusqu’à entendre un son indiquant l’apparition d’autres caractères. Faites glisser vers la gauche ou vers la droite pour sélectionner et entendre les possibilités. Relâchez le doigt pour saisir la sélection en cours. Pour changer la langue du clavier : Réglez le rotor sur Langue, puis balayez vers le haut ou le bas. Choisissez « langue par défaut » pour utiliser la langue précisée dans les réglages International. Le rotor de langue apparaît seulement lorsque vous sélectionnez plusieurs langues dans Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Rotor de langue. Appels téléphoniques avec VoiceOver Pour passer ou interrompre un appel : Touchez l’écran deux fois de suite avec deux doigts. Lorsque le mode VoiceOver est activé et qu’un appel téléphonique est établi, l’écran affiche le clavier numérique par défaut et non les options d’appel. Pour afficher les options d’appel : Sélectionnez le bouton Menu en bas à droite et touchez deux fois. Pour afficher à nouveau le clavier numérique : Sélectionnez le bouton Clavier au centre de l’écran et touchez deux fois.Chapitre 32 Accessibilité 130 Utilisation de VoiceOver avec Safari Lorsque vous effectuez des recherches sur Internet dans Safari avec le mode VoiceOver activé, les éléments du rotor Résultats de recherche vous permettent d’entendre la liste des phrases de recherche suggérées. Pour effectuer des recherches sur le Web : Sélectionnez le champ de recherche, saisissez votre recherche, puis balayez vers la droite ou la gauche pour avancer ou reculer dans la liste des phrases de recherche suggérées. Touchez deux fois l’écran pour rechercher sur Internet en utilisant la phrase sélectionnée. Pour définir les options du rotor pour la navigation web : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Rotor. Touchez pour sélectionner ou désélectionner des options, ou faites glisser vers le haut pour repositionner un élément. Pour passer des images pendant la navigation : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Parcourir les images. Vous pouvez choisir de passer toutes les images ou seulement celles qui ne possèdent pas de descriptions. Pour réduire l’encombrement de la page et faciliter ainsi la lecture et la navigation : Sélectionnez Lecteur dans le champ d’adresse de Safari (cette fonctionnalité n’est pas disponible pour toutes les pages). Utilisation de VoiceOver avec Plan Vous pouvez utiliser VoiceOver pour explorer une région, parcourir des points d’intérêt, suivre des routes, effectuer un zoom avant ou arrière, sélectionner un repère ou obtenir des informations sur un lieu. Pour parcourir la carte : Faites glisser votre doigt sur l’écran ou balayez vers la gauche ou la droite pour passer à un autre élément. Pour effectuer un zoom avant ou arrière : Sélectionnez la carte, réglez le rotor sur Zoom, puis balayez vers le haut ou le bas avec un doigt. Pour effectuer un panoramique de la carte : Balayez l’écran avec trois doigts. Pour parcourir les points d’intérêt visibles : Réglez le rotor sur Points d’intérêt, puis balayez vers le haut ou le bas avec un doigt. Pour suivre une route : Maintenez votre doigt sur la route, attendez jusqu’à entendre « mettre en pause pour suivre », puis déplacez votre doigt le long de la route tout en écoutant le guide vocal. Le ton devient plus aigu lorsque vous vous écartez de la route. Pour sélectionner un repère : Touchez un repère ou balayez vers la gauche ou vers la droite pour sélectionner le repère. Pour obtenir des informations sur une position géographique : Lorsqu’un repère est sélectionné, touchez-le deux fois rapidement pour afficher l’écran d’informations. Balayez vers la gauche ou vers la droite pour sélectionner le bouton d’expansion, puis touchez deux fois l’écran pour afficher la page d’informations. Pour entendre les signaux de location lorsque vous vous déplacez : Activez le suivi avec direction pour entendre les noms de rue et les points d’intérêt lorsque vous vous en approchez.Chapitre 32 Accessibilité 131 Modification des vidéos et des mémos vocaux avec VoiceOver Vous pouvez utiliser des gestes VoiceOver pour raccourcir des vidéos d’Appareil photo et des enregistrements de Dictaphone. Pour raccourcir un mémo vocal : Sur l’écran Mémos vocaux, sélectionnez le bouton à droite du mémo que vous voulez raccourcir, puis touchez-le deux fois rapidement. Sélectionnez ensuite Raccourcir, puis touchez deux fois l’écran. Sélectionnez le début ou la fin de l’outil de raccourcissement. Balayez l’écran vers le haut pour faire défiler vers la droite ou balayez vers le bas pour le faire glisser vers la gauche. VoiceOver annonce la durée qui sera supprimée de l’enregistrement à partir de la position actuelle. Pour terminer le raccourcissement, sélectionnez Raccourcir l’enregistrement et touchez deux fois l’option. Pour raccourcir une vidéo : Lors de la lecture d’une vidéo dans Photos, touchez deux fois l’écran pour afficher les commandes vidéo puis sélectionnez le début ou la fin de l’outil de raccourcissement. Ensuite, balayez l’écran vers le haut pour faire défiler vers la droite ou balayez vers le bas pour le faire glisser vers la gauche. VoiceOver annonce la durée qui sera supprimée de l’enregistrement à partir de la position actuelle. Pour terminer le raccourcissement, sélectionnez Raccourcir et touchez deux fois. Contrôle de VoiceOver à l’aide d’un clavier sans fil Apple Vous pouvez contrôler VoiceOver en utilisant un clavier sans fil Apple jumelé à l’iPhone. Consultez la section Clavier sans fil Apple à la page 27. Les commandes VoiceOver au clavier vous permettent d’explorer l’écran, sélectionner des élé- ments, lire le contenu de l’écran, ajuster le rotor et effectuer d’autres actions VoiceOver. Toutes ces commandes (sauf une) comprennent les touches Contrôle + Option, représentées par « VO » dans le tableau ci-dessous. L’Aide VoiceOver énonce les touches ou commandes du clavier lorsque vous les tapez. Vous pouvez utiliser l’Aide VoiceOver pour apprendre la disposition du clavier et les actions associées aux combinaisons de touches. Commandes VoiceOver au clavier VO = Contrôle + Option • Pour tout lire depuis la position actuelle : VO + A • Pour lire à partir du haut : VO + B • Pour passer à la barre d’état : VO + M • Pour appuyer sur le bouton principal : VO + H • Pour sélectionner l’élément suivant ou précédent : VO + Flèche droite ou VO + Flèche gauche • Pour toucher un élément : VO + Barre d’espace • Pour toucher deux fois avec deux doigts : VO + Signe - • Pour choisir l’élément précédent ou suivant du rotor : VO + Flèche haut ou VO + Flèche bas • Pour choisir l’élément précédent ou suivant du rotor vocal : VO + Commande + Flèche gauche ou VO + Commande + Flèche droite • Pour ajuster l’élément du rotor vocal : VO + Commande + Flèche haut ou VO + Commande + Flèche bas • Pour activer ou désactiver le son VoiceOver : VO + S • Pour activer ou désactiver le rideau d’écran : VO + Maj-S • Pour activer l’Aide VoiceOver : VO + K • Pour revenir à l’écran précédent ou désactiver l’Aide VoiceOver : ÉchapChapitre 32 Accessibilité 132 Navigation rapide Activez Navigation rapide pour contrôler VoiceOver à l’aide des touches fléchées. • Pour activer ou désactiver Navigation rapide : Flèche gauche + Flèche droite • Pour sélectionner l’élément suivant ou précédent : Flèche droite ou Flèche gauche • Pour sélectionner l’élément précédent ou suivant indiqué par le réglage du rotor : Flèche haut ou Flèche bas • Pour sélectionner le premier ou dernier élément : Contrôle + Flèche haut ou Contrôle + Flèche bas • Pour « Toucher » un élément : Flèche haut + Flèche bas • Pour faire défiler vers le haut, le bas, la gauche ou la droite : Option + Flèche haut, Option + Flèche bas, Option + Flèche gauche, Option + Flèche droite • Pour modifier le rotor : Flèche haut + Flèche gauche ou Flèche haut + Flèche droite Vous pouvez également utiliser les touches numériques d’un clavier sans fil Apple pour composer un numéro dans Téléphone ou saisir des nombres dans Calculette. Navigation rapide à une lettre pour le Web Lorsque vous consultez une page web avec la fonctionnalité Navigation rapide activée, vous pouvez utiliser les touchez suivantes du clavier pour naviguer rapidement sur la page. Lorsque vous appuyez sur la touche, vous passez à l’élément suivant du type indiqué. Pour passer à l’élé- ment précédent, maintenez la touche Maj enfoncée lorsque vous appuyez sur la lettre. • En-tête : H • Lien : L • Champ de texte : R • Bouton : B • Contrôle de formulaire : C • Image : I • Tableau : T • Texte statique : S • Repère ARIA : W • Liste : X • Élément du même type : M • En-tête de niveau 1 : 1 • En-tête de niveau 2 : 2 • En-tête de niveau 3 : 3 • En-tête de niveau 4 : 4 • En-tête de niveau 5 : 5 • En-tête de niveau 6 : 6 Utilisation d’un afficheur Braille avec VoiceOver Un afficheur Braille Bluetooth actualisable vous permet de lire une sortie VoiceOver en mode braille. Vous pouvez également utiliser un afficheur Braille avec des touches d’entrée et d’autres commandes pour contrôler l’iPhone lorsque VoiceOver est activé. L’iPhone fonctionne avec de nombreux afficheurs Braille sans fil. Pour obtenir la liste des afficheurs Braille gérés, consultez la page web www.apple.com/fr/accessibility/iphone/braille-display.html.Chapitre 32 Accessibilité 133 Pour configurer un afficheur Braille : Activez l’afficheur, puis accédez à Réglages > Bluetooth et activez Bluetooth. Ensuite, accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Braille et choisissez l’afficheur. Pour activer ou désactiver le braille contracté ou à huit points : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Braille. Pour en savoir plus sur les commandes Braille courantes pour la navigation VoiceOver et obtenir des informations spécifiques à certains afficheurs, consultez la page support.apple.com/kb/HT4400?viewlocale=fr_FR. L’afficheur Braille utilise la langue définie pour Contrôle vocal. Il s’agit normalement de la langue définie pour l’iPhone dans Réglages > International > Langue. Vous pouvez utiliser le réglage de langue VoiceOver pour définir une langue différente pour VoiceOver et les afficheurs Braille. Pour régler la langue de VoiceOver : Accédez à Réglages > Général > International > Contrôle vocal, puis sélectionnez la langue. Si vous modifiez la langue de l’iPhone, vous devrez peut-être réinitialiser celle de VoiceOver et de votre afficheur Braille. Vous pouvez configurer la cellule la plus à gauche ou la plus à droite de votre afficheur Braille de manière à indiquer l’état du système et d’autres informations : • L’historique des annonces contient un message non lu • Le message actuel de l’historique des annonces n’a pas été lu • VoiceOver est inaudible • La charge de la batterie de l’iPhone est faible (inférieure à 20 %) • L’iPhone est en orientation paysage • L’écran est éteint • La ligne actuelle contient du texte supplémentaire sur la gauche • La ligne actuelle contient du texte supplémentaire sur la droite Pour configurer la cellule la plus à gauche ou la plus à droite de manière à indiquer des informations sur l’état : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Braille > Cellule d’état, puis touchez Gauche ou Droite. Pour voir une description étendue de la cellule d’état : Sur votre afficheur Braille, appuyez sur le bouton du routeur de la cellule d’état. Acheminement de l’audio des appels entrants Vous pouvez acheminer automatiquement l’audio des appels entrants vers l’oreillette ou le hautparleur, plutôt que le récepteur de l’iPhone. Pour réacheminer l’audio des appels entrants : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Appels reçus et choisissez où vous souhaitez entendre vos appels. Siri Avec Siri, vous n’avez qu’à demander pour effectuer une action avec votre iPhone, comme ouvrir des apps par exemple, et VoiceOver peut lire les réponses de Siri pour vous. Pour en savoir plus, consultez la section Chapitre 4, Siri, à la page 39.Chapitre 32 Accessibilité 134 Triple clic sur le bouton principal La fonctionnalité Triple clic sur le bouton principal offre un moyen simple d’activer ou de désactiver certaines fonctionnalités d’Accessibilité lorsque vous appuyez rapidement sur le bouton principal à trois reprises. Vous pouvez utiliser le Triple clic sur le bouton principal pour : • VoiceOver • Inverser les couleurs • Zoom • AssistiveTouch • Contrôle Appareil auditif • Accès guidé (le triple clic sur le bouton principal permet de démarrer l’Accès guidé si ce dernier est déjà activé) Consultez la section Accès guidé à la page 137). Pour régler la fonction Triple clic sur le bouton principal : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Triple clic sur le bouton principal. Si vous sélectionnez plus d’une fonctionnalité, vous devez choisir celle que vous voulez contrôler à chaque fois que vous utilisez le triple clic sur le bouton principal. Pour réduire la vitesse de clic : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Vitesse de clic du bouton principal. Zoom De nombreuses apps vous permettent d’effectuer un zoom avant ou arrière sur des éléments spécifiques. Par exemple, vous pouvez toucher deux fois ou pincer pour développer les colonnes d’une page web dans Safari. La fonction Zoom est également une fonction d’accessibilité spé- ciale avec laquelle vous pouvez agrandir la fenêtre de chaque app que vous utilisez. De plus, vous pouvez utiliser Zoom et VoiceOver en même temps. Pour activer ou désactiver le zoom : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Zoom. Vous pouvez également utiliser le Triple clic sur le bouton principal. Consultez la section Triple clic sur le bouton principal à la page 134. Pour effectuer un zoom avant ou arrière : Touchez l’écran deux fois de suite avec trois doigts. Pour modifier l’agrandissement : Avec trois doigts, touchez et faites glisser vers le haut ou le bas. Le geste du toucher-glisser est semblable au double toucher, sauf que vous ne relevez pas vos doigts au second toucher, mais les faites glisser sur l’écran. Lorsque vous commencez à faire défiler l’écran, vous pouvez utiliser un seul doigt pour voir le reste. L’iPhone revient à l’agrandissement ajusté lorsque vous effectuez à nouveau un zoom avant ou arrière en touchant deux fois avec trois doigts. Pour effectuer un panoramique sur l’écran : Lorsque vous avez fait un zoom avant, faites glisser l’écran avec trois doigts. Lorsque vous commencez à faire défiler l’écran, vous pouvez utiliser un seul doigt pour voir le reste. Vous pouvez aussi bien maintenir un seul doigt près du bord de l’écran pour faire défiler l’écran dans cette direction. Rapprochez le doigt du bord pour augmenter la vitesse du panoramique. Chaque fois que vous ouvrez un nouvel écran, la fonction Zoom affiche la partie supérieure du milieu de l’écran. Lorsque vous utilisez la fonction Zoom avec un clavier sans fil Apple (voir la section Clavier sans fil Apple à la page 27), l’image de l’écran suit le point d’insertion en le conservant au centre de l’affichage.Chapitre 32 Accessibilité 135 Grande police L’option Grande police vous permet d’agrandir le texte des alarmes, Calendrier, Contacts, Mail, Messages et Notes. Pour sélectionner la taille du texte : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Grande police. Inverser les couleurs Parfois, le fait d’inverser les couleurs de l’écran de l’iPhone peut permettre d’en faciliter la lecture. Lorsque la fonctionnalité Inverser les couleurs est activée, l’écran ressemble à un négatif photographique. Pour inverser les couleurs de l’écran : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Inverser les couleurs. Énoncer la sélection Même lorsque VoiceOver est désactivé, l’iPhone peut énoncer tout le texte que vous sélectionnez. L’iPhone analyse le texte pour déterminer la langue, puis le lit à voix haute en utilisant la prononciation appropriée. Pour activer Énoncer la sélection : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Énoncer la sélection. Vous pouvez également : • régler le débit d’énonciation ; • choisir de faire apparaître en surbrillance les mots pendant qu’ils sont lus. Pour vous faire énoncer du texte : Sélectionnez le texte, puis touchez Énoncer. Énonciation auto Avec la fonction Énonciation, les corrections apportées au texte et les suggestions proposées par l’iPhone lors de la saisie sont lues à haute voix. Pour activer ou désactiver Énonciation auto : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Énonciation auto. La fonction Énonciation auto est également compatible avec les applications VoiceOver et Zoom. Audio mono La fonctionnalité Audio mono combine les canaux stéréo gauche et droit en un seul signal mono émis sur les deux canaux. Vous pouvez ajuster la balance du signal mono pour augmenter le volume à gauche ou à droite. Pour activer ou désactiver Audio mono et régler la balance : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > VoiceOver > Audio mono.Chapitre 32 Accessibilité 136 Appareils auditifs Appareils auditifs Made for iPhone Si vous possédez un appareil auditif Made for iPhone (disponible pour l’iPhone 4S et les modèles ultérieurs), vous pouvez modifier ses réglages sur l’iPhone pour qu’ils correspondent à vos besoins en matière d’écoute. Pour modifier les réglages d’appareil auditif : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Appareils auditifs, ou paramétrez le Triple clic sur le bouton principal pour qu’il puisse ouvrir le contrôle Appareil auditif. Consultez la section Triple clic sur le bouton principal à la page 134. Compatibilité avec les appareils auditifs La FCC a adopté des règles concernant la compatibilité des appareils auditifs (HAC) pour les téléphones numériques sans fil. Ces règles forcent le test et l’évaluation de certains téléphones conformément aux normes ANSI (American National Standard Institute) C63.19-2007 de compatibilité des appareils auditifs. La norme ANSI de compatibilité des appareils auditifs comporte deux types de classement : • un « M » pour la réduction d’interférence de fréquence radio pour permettre un couplage acoustique avec les appareils auditifs qui ne fonctionnent pas en mode télébobine, • un « T » pour le couplage inductif avec les appareils auditifs fonctionnant en mode télébobine. Ces évaluations sont effectuées sur une échelle d’un à quatre, quatre représentant la meilleure compatibilité. Un téléphone est considéré comme compatible avec les appareils auditifs conformément aux normes FCC s’il est évalué M3 ou M4 pour le couplage acoustique et T3 ou T4 pour le couplage inductif. Pour connaître les évaluations de compatibilité avec les appareils auditifs, consultez la page www.apple.com/fr/support/hac. Les évaluations de compatibilité des appareils auditifs ne garantissent pas qu’un appareil auditif donné fonctionne avec un téléphone donné. Certains appareils auditifs peuvent bien fonctionner avec des téléphones qui n’atteignent pas une évaluation donnée. Pour garantir l’interopérabilité entre un appareil auditif et un téléphone, essayez de les utiliser ensemble avant l’achat. L’utilisation d’appareils auditifs a été testée et évaluée pour une partie des technologies sans fil utilisées par ce téléphone. En revanche, il est possible que certaines technologies sans fil utilisées par ce téléphone, notamment les plus récentes, n’aient pas encore été testées pour une utilisation avec les appareils auditifs. Il est primordial d’essayer plusieurs fois et en différents lieux les différentes fonctionnalités du téléphone, en utilisant votre appareil auditif ou votre implant cochléaire, afin de détecter toute interférence sonore éventuelle. Veuillez consulter votre prestataire de service ou Apple pour en savoir plus sur la compatibilité des appareils auditifs. Si vous avez des questions sur les politiques d’échange et de retour, veuillez consulter votre prestataire de service ou votre revendeur. Mode Appareil auditif L’iPhone possède un mode appareil auditif qui peut réduire les interférences avec certains appareils auditifs lorsqu’il est activé. Le mode appareil auditif réduit la puissance de transmission du téléphone portable dans la bande GSM 1900 MHz et peut aboutir à une perte de couverture réseau du téléphone portable 2G. Pour activer le Mode Appareil auditif : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Appareils auditifs.Chapitre 32 Accessibilité 137 Sonneries assignables et vibreur Vous pouvez assigner des sonneries distinctives à des membres de votre liste de contact pour bénéficier d’une identification audible de l’appelant. Vous pouvez aussi assigner des modèles de vibration à des notifications d’apps spécifiques, aux appels téléphoniques, aux appels FaceTime ou à des messages de contacts spéciaux, et pour vous alerter sur un grand nombre d’autres évé- nements, tels qu’un nouveau message, un nouveau courrier électronique, un Tweet, une publication Facebook et des rappels. Choisissez parmi des modèles existants ou créez-en des nouveaux. Consultez la section Sons à la page 150. Vous pouvez acheter des sonneries à partir de l’iTunes Store sur l’iPhone. Consultez la section Chapitre 22, iTunes Store, à la page 102. Flash LED pour alertes Si vous ne pouvez pas entendre les sons annonçant des appels entrants ou d’autres alertes, la DEL de l’iPhone (à côté de l’objectif à l’arrière de l’appareil) peut clignoter. Cela fonctionne uniquement lorsque l’iPhone est verrouillé ou en veille. Disponible pour l’iPhone 4 ou les modèles ultérieurs. Pour activer la DEL clignotante pour les alertes : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Flash LED pour alertes. Accès guidé L’Accès guidé permet à l’utilisateur de l’iPhone de rester concentré sur une tâche particulière. L’Accès guidé limite l’iPhone à une seule app, et vous permet de contrôler quelles fonctionnalités des apps sont disponibles. Utilisez l’Accès guidé pour : • restreindre temporairement l’iPhone à une app particulière ; • désactiver les zones de l’écran qui ne sont pas utiles pour une tâche ou les zones qui pourraient être perturbées par un geste accidentel ; • désactiver les boutons présents sur l’iPhone. Pour utiliser l’Accès guidé : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Accès guidé, où vous pouvez : • activer ou désactiver Accès guidé ; • déterminer un mot de passe pour contrôler l’utilisation de l’Accès guidé et empêcher quiconque de laisser une session active ; • indiquer si l’iPhone peut passer en mode de veille pendant une session. Pour démarrer une session Accès guidé : Ouvrez les apps à exécuter, puis effectuez un triple clic sur le bouton principal. Ajustez les réglages pour la session, puis cliquez sur Démarrer. • Pour désactiver les commandes des apps et des zones de l’écran de l’app : Faites un cercle autour de la partie de l’écran que vous voulez désactiver. Vous pouvez utiliser les poignées pour ajuster la zone. • Pour ignorer tous les touchers d’écran : Désactivez Toucher. • Pour empêcher l’iPhone de basculer du mode portrait au mode paysage ou de réagir à tout autre mouvement : Désactivez Mouvement. Pour terminer une session Accès guidé : Effectuez un triple clic sur le bouton principal et saisissez le code de l’Accès guidé.Chapitre 32 Accessibilité 138 AssistiveTouch AssistiveTouch vous aide dans votre utilisation de l’iPhone si vous avez des difficultés à toucher l’écran ou à appuyer sur les boutons. Vous pouvez utiliser un accessoire adaptatif compatible (tel qu’une manette), ainsi que AssistiveTouch pour commander l’iPhone. Vous pouvez également utiliser AssistiveTouch sans accessoire pour effectuer des gestes qui vous sont compliqués. Pour activer AssistiveTouch : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > AssistiveTouch. Pour régler la fonction Triple clic sur le bouton principal de manière à activer ou désactiver AssistiveTouch : accédez à Réglages > Général > Accessibilité > Triple clic sur le bouton principal. Pour ajuster la vitesse de déplacement (avec utilisation d’accessoire) : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > AssistiveTouch > Vitesse de touche. Pour afficher ou masquer le menu AssistiveTouch : Cliquez sur le bouton secondaire de votre accessoire. Pour déplacer le bouton de menu : Faites-le glisser vers n’importe quel bord de l’écran. Pour masquer le bouton de menu (avec accessoire inclus) : Accédez à Réglages > Général > Accessibilité > AssistiveTouch > Toujours afficher le menu. Pour balayer ou faire glisser avec 2, 3, 4, ou 5 doigts : Touchez le bouton de menu, touchez Gestes, puis touchez avec le nombre de doigts requis pour l’action. Lorsque le cercle correspondant apparaît à l’écran, balayez ou faites glisser dans la direction requise par le geste. Lorsque vous terminez, touchez le bouton de menu. Pour pincer : Touchez le bouton de menu, touchez Favoris, puis touchez Pincer. Lorsque les cercles de pincement apparaissent, touchez l’écran pour les déplacer, puis faites-les glisser vers l’intérieur ou l’extérieur pour effectuer un geste de pincement. Lorsque vous terminez, touchez le bouton de menu. Pour créer votre propre geste : Touchez le bouton de menu, touchez Favoris, puis touchez un geste fictif vide. Vous pouvez également accéder à Réglages > Général > Accessibilité > AssistiveTouch > Créer un geste. Pour verrouiller ou faire pivoter l’écran, ajuster le volume de l’iPhone ou simuler la secousse de l’iPhone : Touchez le bouton de menu, puis touchez Appareil. Pour simuler l’appui sur le bouton principal : Touchez le bouton de menu, puis touchez Principal. Pour quitter un menu sans effectuer de geste : Touchez en dehors du menu. Accessibilité sous OS X Tirez parti des fonctionnalités d’accessibilité sous OS X lorsque vous utilisez iTunes pour synchroniser des informations et des contenus de votre bibliothèque iTunes vers votre iPhone. Dans le Finder, choisissez Aide > Centre d’aide, puis recherchez « accessibilité ». Pour en savoir plus sur les fonctionnalités d’accessibilité de l’iPhone et sous OS X, consultez la page www.apple.com/fr/accessibility. Assistance TTY Utilisez le câble d’adaptateur TTY pour l’iPhone (vendu séparément dans de nombreuses régions) pour connecter votre iPhone à un téléscripteur. Accédez à la page www.apple.com/fr/store (non disponible dans toutes les régions) ou consultez votre revendeur Apple local.Chapitre 32 Accessibilité 139 Pour connecter l’iPhone à un téléscripteur : Accédez à Réglages > Téléphone puis activez TTY. Connectez ensuite votre iPhone au téléscripteur à l’aide de l’adaptateur TTY pour l’iPhone. Lorsque TTY est activé sur l’iPhone, l’icône TTY apparaît dans la barre d’état en haut de l’écran. Pour en savoir plus sur l’utilisation d’un téléscripteur particulier (compatible TTY), reportez-vous à la documentation fournie avec l’appareil. Taille minimale de police pour les messages Mail Pour augmenter la lisibilité, vous pouvez choisir pour le texte des messages électroniques la taille de caractères minimum équivalente à Grande, Très grande ou Géante. Pour régler la taille de police minimale pour les messages : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier > Taille des caractères. Le réglage Très grande outrepasse cette taille de caractères minimale. Sonneries assignables Vous pouvez assigner des sonneries distinctives à des membres de votre liste de contact pour bénéficier d’une identification audible de l’appelant. Vous pouvez acheter des sonneries à partir de l’iTunes Store sur l’iPhone. Consultez la section Chapitre 22, iTunes Store, à la page 102. Messagerie vocale visuelle Les commandes de lecture et de pause de la messagerie vocale visuelle permettent de contrôler la lecture des messages. Faites glisser la tête de lecture sur le défileur pour répéter une partie du message difficile à comprendre, par exemple. Consultez la section Messagerie vocale visuelle à la page 50. Larges claviers à l’écran De nombreuses apps dont Mail, Safari, Messages, Notes et Contacts vous permettent de faire pivoter l’iPhone lorsque vous tapez pour bénéficier d’un clavier plus grand. Grand clavier téléphonique Passez des appels simplement en touchant les entrées de vos listes de vos contacts et de favoris. Le grand clavier numérique de l’iPhone facilite la composition de numéros. Consultez la section Appels téléphoniques à la page 46. Contrôle vocal Contrôle vocal vous permet de téléphoner et de contrôler la lecture de la musique à l’aide de commandes vocales. Consultez les sections Émission d’appels à la page 46 et Siri et Contrôle vocal à la page 66. Sous-titres codés Pour activer le sous-titrage codé pour les vidéos : Accédez à Réglages > Vidéos > Accessibilité > Sous-titres codés. Tout le contenu vidéo ne contient pas des sous-titres codés.33 140 Réglages vous permet de configurer l’iPhone et les options des apps, d’ajouter des comptes et de régler d’autres préférences. Consultez les autres chapitres pour en savoir plus sur les réglages des apps intégrées. Par exemple, pour les réglages de Safari, consultez Chapitre 7, Safari, à la page 59. Mode Avion Le mode Avion désactive les fonctions sans fil pour réduire toute interférence potentielle avec le fonctionnement de l’appareil et d’autres équipements électriques. Pour activer le mode Avion : Accédez à Réglages et activez le mode Avion. Lorsque le mode Avion est activé, apparaît dans la barre d’état en haut de l’écran. Aucun signal téléphonique, Wi-Fi ou Bluetooth n’est émis à partir de l’iPhone et la réception GPS est désactivée. Vous ne pouvez pas utiliser des apps ou des fonctionnalités qui nécessitent ces signaux, telles que la connexion à Internet, l’appel, l’envoi de messages, la réception d’appels ou de messages, la messagerie vocale visuelle, etc. Si cela est permis par l’opérateur de l’avion et les lois et réglementations en vigueur, vous pouvez utiliser l’iPhone et les apps qui ne nécessitent pas ces signaux. Si le Wi-Fi est disponible et permis par l’opérateur de l’avion et les lois et réglementations en vigueur, accédez à Réglages > Wi-Fi pour l’activer. Vous pouvez aussi activer Bluetooth dans Réglages > Bluetooth. Wi-Fi Accès à des réseaux Wi-Fi Les réglages Wi-Fi déterminent si l’iPhone utilise des réseaux locaux Wi-Fi pour se connecter à Internet. Lorsque l’iPhone est connecté à un réseau Wi-Fi, l’icône Wi-Fi située dans la barre d’état en haut de l’écran indique la puissance du signal. Le nombre de barres affichées est proportionnel à la qualité du signal. Si aucun réseau Wi-Fi n’est disponible ou que vous avez désactivé le mode Wi-Fi, alors l’iPhone se connecte à Internet via votre réseau de données cellulaire, lorsque celui-ci est disponible. Lorsque vous avez rejoint un réseau Wi-Fi, l’iPhone s’y connecte chaque fois que le réseau est à portée. Si plusieurs réseaux déjà utilisés se trouvent à portée, l’iPhone se connecte au dernier réseau utilisé. Vous pouvez également utiliser l’iPhone pour configurer une borne d’accès AirPort qui fournit des services Wi-Fi chez vous ou au bureau. Consultez la section Configuration d’une borne d’accès AirPort à la page 141. RéglagesChapitre 33 Réglages 141 Pour activer et désactiver le mode Wi-Fi : Accédez à Réglages > Wi-Fi. Vous pouvez : • Pour configurer l’iPhone afin qu’il vous demande de confirmer l’accès à un nouveau réseau : Activez ou désactivez l’option « Confirmer l’accès ». Si l’option « Confirmer l’accès » est désactivée, vous devez rejoindre manuellement un réseau pour vous connecter à Internet lorsqu’aucun réseau déjà utilisé n’est disponible. • Pour oublier un réseau de sorte que l’iPhone ne s’y connecte plus : Touchez en regard d’un réseau auquel vous vous êtes connecté auparavant. Touchez ensuite « Oublier ce réseau ». • Pour rejoindre un réseau Wi-Fi fermé : Dans la liste des noms de réseau, touchez Autre, puis saisissez le nom du réseau fermé. Vous devez connaître le nom du réseau, le mot de passe et le type de sécurité afin de vous connecter à un réseau fermé. • Pour modifier les réglages de connexion à un réseau Wi-Fi : Touchez en regard d’un réseau. Vous pouvez configurer un proxy HTTP, définir des réglages réseau, activer BootP ou renouveler les réglages fournis par un serveur DHCP. Configuration d’une borne d’accès AirPort Une borne d’accès AirPort fournit une connexion Wi-Fi pour votre maison, votre école ou le réseau d’une petite entreprise. Configurez de nouvelles bornes d’accès AirPort Express, AirPort Extreme ou Time Capsule avec l’iPhone. Pour utiliser l’Assistant réglages AirPort : Accédez à Réglages > Wi-Fi. Sous « Configurer une borne d’accès AirPort », touchez le nom de la borne d’accès à configurer. Suivez ensuite les instructions à l’écran. Si la borne d’accès que vous souhaitez configurer ne figure pas dans la liste, assurez-vous qu’elle est alimentée, que vous êtes à portée et qu’elle n’a pas déjà été configurée. Vous ne pouvez configurer que de nouvelles bornes d’accès ou qui ont été réinitialisées. Certaines bornes d’accès AirPort plus anciennes ne peuvent pas être configurées à l’aide d’un appareil iOS. Pour obtenir les instructions de configuration, consultez la documentation fournie avec la borne d’accès. Pour gérer un réseau AirPort : Si l’iPhone est connecté à une borne d’accès AirPort, touchez en regard du nom du réseau. Si vous n’avez pas encore téléchargé Utilitaire AirPort, l’App Store s’ouvre pour que vous puissiez effectuer le téléchargement. Bluetooth L’iPhone peut se connecter sans fil à des appareils Bluetooth comme des oreillettes, des écouteurs et des kits de voiture pour écouter de la musique et dialoguer les mains libres. Vous pouvez également connecter le clavier sans fil Apple via Bluetooth. Consultez la section Clavier sans fil Apple à la page 27. Pour activer et désactiver le mode Bluetooth : Accédez à Réglages > Bluetooth. Pour vous connecter à un appareil Bluetooth : Touchez l’appareil dans la liste des appareils, puis suivez les instructions à l’écran pour vous y connecter. Consultez la documentation fournie avec l’appareil pour obtenir des informations sur le jumelage Bluetooth. VPN Votre organisation utilise peut-être un réseau VPN pour communiquer des informations privées de manière sécurisée sur un réseau non privé. Vous pouvez être amené à configurer un réseau VPN, notamment pour accéder à votre compte de courrier électronique professionnel. Ce réglage apparaît lorsque vous avez configuré un réseau virtuel (VPN) sur l’iPhone, ce qui vous permet d’activer ou désactiver le mode VPN. Consultez la section Cellulaire à la page 145.Chapitre 33 Réglages 142 Partage de connexion Vous pouvez utiliser le partage de connexion (iPhone 4 ou ultérieur) pour partager une connexion Internet avec un ordinateur ou un autre appareil, tel qu’un iPod touch, un iPad ou un autre iPhone, connecté à votre iPhone via Wi-Fi. Vous pouvez également utiliser le partage de connexion pour partager une connexion Internet avec un ordinateur connecté à l’iPhone via Bluetooth ou USB. Le partage de connexion fonctionne uniquement si l’iPhone est connecté à Internet par le biais du réseau de données cellulaire. Remarque : Cette fonctionnalité peut ne pas être disponible partout. Des frais supplémentaires peuvent s’appliquer. Contactez votre opérateur pour en savoir plus. Pour partager une connexion Internet : Accédez à Réglages > Général > Celulaire, et touchez Configurer Partage de connexion (si l’option apparaît) pour configurer le service avec votre opérateur. Après avoir activé Partage de connexion, d’autres appareils peuvent se connecter d’une des manières suivantes : • Via W-Fi : Sur l’appareil, choisissez votre iPhone dans la liste des réseaux Wi-Fi. • Via USB : Connectez votre iPhone à votre ordinateur à l’aide du câble fourni. Dans les préfé- rences Réseau de votre ordinateur, choisissez l’iPhone et configurez les réglages réseau. • Via Bluetooth : Sur l’iPhone, accédez à Réglages > Bluetooth et activez Bluetooth. Pour jumeler et connecter votre iPhone avec votre appareil, reportez-vous à la documentation fournie avec votre ordinateur. Une fois la connexion établie, une bande bleue apparaît en haut de l’écran de l’iPhone. Le partage de connexion demeure activé lorsque vous vous connectez via le port USB, même si vous n’utilisez pas activement la connexion à Internet. Remarque : L’icône Partage de connexion apparaît dans la barre d’état des appareils iOS qui utilisent Partage de connexion. Pour modifier le mot de passe Wi-Fi d’un iPhone : Accédez à Réglages > Partage de connexion > Mot de passe Wi-Fi, puis saisissez un mot de passer d’au moins 8 caractères. Pour contrôler l’utilisation du réseau de données cellulaires : Accédez à Réglages > Général > Utilisation > Utilisation cellulaire. Ne pas déranger et Notifications Les notifications Push apparaissent dans le Centre de notifications et vous préviennent de l’existence de nouvelles informations, même si l’app associée n’est pas ouverte. Les notifications varient d’une app à l’autre, mais il peut s’agir d’alertes texte ou sonores, et d’une pastille numérotée sur l’icône de l’app, sur l’écran d’accueil. Pour désactiver toutes les notifications : Accédez à Réglages et activez Ne pas déranger. Lorsque cette option est activée et que l’iPhone est verrouillé, l’ensemble des notifications et des appels sont silencieux, mais les alarmes continueront à sonner. Vous pouvez définir les options suivantes dans Réglages > Notifications > Ne pas déranger. • Pour activer automatiquement Ne pas déranger : Réglez les heures de début et de fin de la période durant laquelle vous ne voulez pas être dérangé. L’iPhone active Ne pas déranger pendant cette période chaque jour.Chapitre 33 Réglages 143 • Pour autoriser certains appels téléphoniques quand Ne pas déranger est activé : Lorsque Ne pas déranger est activé, les appels sont transférés en silence à la messagerie vocale. Pour autoriser quand même certains appelants à téléphoner, touchez Autoriser les appels de. Vous pouvez autoriser les appels de votre liste de Favoris ou de tout autre groupe que vous avez défini dans Contacts. Pour en savoir plus sur Favoris, consultez la section Chapitre 25, Contacts, à la page 108. • Pour autoriser les appels répétés à sonner : Activez Appels répétés. Si le même appelant (basé sur l’identification de l’appelant) vous appelle deux fois en moins de trois minutes, l’iPhone se met à sonner. Pour activer ou désactiver les notifications des apps : Accédez à Réglages > Notifications. Touchez un élément de la liste, puis activez ou désactivez les notifications pour cet élément. Les apps pour lesquelles les notifications sont désactivées apparaissent dans la liste Hors du Centre de notifications. Pour modifier la façon dont les notifications apparaissent : Accédez à Réglages > Notifications. Vous pouvez : • Modifier le nombre de notifications : Choisissez un élément dans la liste Dans le Centre de notifications. Pour définir le nombre de notifications du type devant apparaître dans le Centre de notifications, touchez Afficher. • Pour modifier les styles d’alerte : Choisissez un élément dans la liste Dans le Centre de notifications. Choisissez un type d’alerte ou sélectionnez Aucune pour désactiver les alertes et les bannières. Les notifications apparaissent toujours dans le Centre de notifications. • Pour modifier l’ordre des notifications : Touchez Modifier. Faites glisser les notifications pour les placer dans l’ordre souhaité. Pour désactiver une notification, faites-la glisser dans la liste Hors du Centre de notifications. • Pour afficher des pastilles numérotées sur les apps pour lesquelles des notifications sont disponibles : Choisissez un élément dans la liste Dans le Centre de notifications, puis activez Pastille sur icône d’app. • Pour masquer les alertes d’une app lorsque l’iPhone est verrouillé : Choisissez l’app dans la liste du Centre de notifications, puis désactivez « Sur l’écran verrouillé ». Certaines apps possèdent des options supplémentaires. Par exemple, Messages vous permet de préciser le nombre de répétitions de la sonnerie de l’alerte et si des aperçus des messages apparaissent dans la notification. Pour supprimer une publication ou un tweet du Centre de notifications : Ces options de partage apparaissent seulement si vous avez configuré vos comptes Facebook et Twitter. Pour supprimer ces boutons, accédez à Réglages > Notifications, puis désactivez l’option Widget Partager. Pour afficher les alertes gouvernementales dans le Centre de notifications : Choisissez les alertes que vous voulez voir dans la liste des alertes gouvernementales. Les alertes gouvernementales ne sont pas disponibles partout, varient en fonction de l’opérateur et du modèle de l’iPhone et ne fonctionnent pas sous toutes conditions. Par exemple, aux États-Unis, l’iPhone 4S ou modèle ultérieur peut recevoir des alertes présidentielles, et vous pouvez activer ou désactiver AMBER et les alertes d’urgence (comprenant les alertes de menaces imminentes extrêmes et de menaces sérieuses). Au Japon, l’iPhone 4S ou modèle ultérieur peut recevoir des alertes d’urgence pour les tremblements de terre envoyés par l’Agence météorologique du Japon.Chapitre 33 Réglages 144 Opérateur Ce réglage apparaît sur les réseaux GSM lorsque vous êtes hors du réseau de votre opérateur et que des réseaux de données d’autres opérateurs sont à votre disposition pour les appels télé- phoniques, les messages vocaux visuels et les connexions Internet à un réseau cellulaire. Vous ne pouvez passer des appels qu’avec les opérateurs disposant de contrats d’itinérance avec votre opérateur. Des frais supplémentaires peuvent s’appliquer. L’autre opérateur peut vous facturer des frais d’itinérance par le biais de votre opérateur. Pour sélectionner un opérateur : Accédez à Réglages > Opérateur et sélectionnez le réseau que vous souhaitez utiliser. Une fois que vous avez sélectionné un réseau, l’iPhone n’utilise que celui-ci. Si le réseau n’est pas disponible, Absence de service apparaît sur l’iPhone. Général Les réglages Général comprennent les réglages de réseau, de partage, de sécurité et d’autres réglages. Ils permettent également d’obtenir des informations concernant l’iPhone et de réinitialiser différents réglages de l’iPhone. Informations Pour afficher les Informations sur l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Informations. Les éléments que vous pouvez voir incluent : • l’espace de stockage disponible ; • le numéro de série ; • la version iOS ; • les adresses réseau ; • le code IMEI (International Mobile Equipment Identity) ; • le code ICCID (Integrated Circuit Card Identifier, ou Smart Card) pour les réseaux GSM ; • le code MEID (Mobile Equipment Identifier) pour les réseaux CDMA ; • les mentions légales, la licence et les marques réglementation. Pour copier le numéro de série et d’autres identifiants, touchez et maintenez le doigt sur l’identifiant jusqu’à ce que Copier apparaisse. Pour renommer l’appareil : Accédez à Réglages > Général > Informations, puis touchez Nom. Le nom de l’appareil apparaît dans la barre latérale lorsqu’il est connecté à iTunes. Ce nom est utilisé par iCloud. Afin d’aider Apple à améliorer ses produits et services, l’iPhone envoie des données d’utilisation et de diagnostic. Ces données ne vous identifient pas personnellement, mais peuvent inclure des informations de localisation. Pour afficher ou désactiver les informations de diagnostic : Accédez à Réglages > Général > Informations > Diagnostic et utilisation.Chapitre 33 Réglages 145 Mise à jour de logiciels Mises à jour de logiciels vous permet de télécharger et installer les mises à jour d’iOS provenant d’Apple. Pour mettre à jour avec la dernière version du logiciel : Accédez à Réglages > Général > Mise à jour de logiciels. Si une nouvelle version d’iOS est disponible, suivez les instructions à l’écran pour la télécharger et l’installer. Utilisation Pour afficher les informations d’utilisation : Accédez à Réglages > Général > Utilisation. Vous pouvez : • consulter l’utilisation cellulaire et réinitialiser les statistiques ; • afficher et supprimer les sauvegardes iCloud, désactiver la sauvegarde de l’album Pellicule et acheter de l’espace de stockage supplémentaire ; • afficher l’espace de stockage de chaque app ; • afficher le niveau de la batterie sous forme de pourcentage ; • consulter le temps écoulé depuis le dernier chargement de l’iPhone. Siri Pour activer Siri : Accédez à Réglages > Général > Siri. Pour en savoir plus sur l’utilisation et la modification des réglages de Siri, consultez la section Configuration des options de Siri à la page 43. Cellulaire Utilisez les réglages de l’option Cellulaire pour activer ou désactiver les données cellulaires et les services d’itinérance, pour régler le partage de connexion et pour régler les options de données cellulaires. Lorsqu’une app doit faire appel à Internet, l’iPhone effectue les opérations suivantes, dans cet ordre, jusqu’à établir la connexion : • se connecte au réseau Wi-Fi le plus récent ; • affiche une liste des réseaux Wi-Fi à portée et se connecte à celui que vous voulez ; • se connecte au réseau de données cellulaire, le cas échéant. Si l’iPhone est connecté à Internet par le biais du réseau de données cellulaires, l’icône , ou s’affiche dans la barre d’état.icône GPRS Les réseaux cellulaires GSM LTE, 4G et 3G prennent en charge les communications simultanées vocales et de données. Pour toutes les autres connexions cellulaires, vous ne pouvez pas utiliser les services Internet lorsque vous êtes au téléphone, sauf si l’iPhone est également connecté en Wi-Fi à Internet. Suivant le modèle de votre connexion réseau, vous risquez de ne pas pouvoir recevoir d’appels lorsque l’iPhone transfère des données sur le réseau cellulaire, par exemple lors du téléchargement d’une page web. Réseaux GSM : sur une connexion EDGE ou GPRS, les appels entrants peuvent être dirigés sur la messagerie vocale pendant les transferts de données. Pour les appels entrants auxquels vous répondez, les transferts de données sont mis en pause.Chapitre 33 Réglages 146 Réseaux CDMA : sur les connexions EV-DO, les transferts de données sont mis en pause pendant que vous répondez aux appels entrants. Sur les connexions 1xRTT, les appels entrants peuvent être dirigés sur la messagerie automatique pendant les transferts de données. Pour les appels entrants auxquels vous répondez, les transferts de données sont mis en pause. Le transfert de données reprend lorsque vous terminez l’appel. Si l’option Données cellulaires est désactivée, tous les services de données utilisent uniquement le Wi-Fi, y compris le courrier électronique, la navigation web, les notifications push et les autres services. Si l’option Données cellulaires est activée, votre opérateur peut vous facturer des frais. Par exemple, certaines fonctionnalités et certains services, tels que les données de transfert de Messages et Siri, et votre utilisation de ces fonctionnalités et services peuvent avoir un impact sur le coût de votre forfait de données. Pour activer ou désactiver l’option Données cellulaires : Accédez à Réglages > Général > Cellulaire, puis activez ou désactivez Données cellulaires. Les options suivantes peuvent également être disponibles : • Activer ou désactiver Voix à l’étranger (CDMA) : Désactivez Voix à l’étranger pour éviter les frais d’utilisation de réseaux différents de celui de votre opérateur. Lorsque le réseau de votre opé- rateur n’est pas disponible, l’iPhone ne dispose pas d’un service cellulaire (données ou voix). • Activer et désactiver l’option Données à l’étranger : Données à l’étranger permet d’accéder à Internet sur un réseau de données cellulaires lorsque vous vous trouvez dans une zone non couverte par le réseau de votre opérateur. Lorsque vous voyagez, vous pouvez désactiver le service Données à l’étranger pour éviter des frais liés à l’itinérance. Consultez la section Opérateur à la page 144. • Activer ou désactiver 3G : L’utilisation du mode 3G permet de charger les données Internet plus rapidement dans certains cas, mais elle risque de diminuer les performances de la batterie. Si vous effectuez beaucoup d’appels, il peut être utile de désactiver le mode 3G pour prolonger l’autonomie de la batterie. Cette option n’est pas disponible partout. Pour configurer le partage de connexion : Accédez à Réglages > Général > Cellulaire > Configurer le partage de connexion. Le partage de connexion partage la connexion Internet de l’iPhone avec votre ordinateur et vos autres appareils iOS. Consultez la section Partage de connexion à la page 142. Pour régler le moment d’utilisation des données cellulaires : Accédez à Réglages > Général > Cellulaire, puis activez ou désactivez les données cellulaires pour les documents iCloud, iTunes, FaceTime, les mises à jour Passbook ou la Liste de lecture. Lorsque ces réglages sont désactivés, l’iPhone utilise seulement le Wi-Fi. iTunes comprend iTunes Match et les téléchargements automatiques d’iTunes et de l’App Store. VPN Les connexions VPN utilisées au sein d’organisations vous permettent de communiquer des informations privées de manière sécurisée sur un réseau non privé. Vous pouvez être amené à configurer un réseau VPN, notamment pour accéder à votre compte de courrier électronique professionnel. Demandez à votre administrateur de réseau plus d’informations concernant les réglages nécessaires à la configuration des connexions VPN pour votre réseau. Une fois un ou plusieurs réglages des connexions VPN définis, vous pouvez : • Activer et désactiver l’option VPN : Accédez à Réglages > VPN. • Passer d’une connexion VPN à une autre : Accédez à Réglages > Général > VPN, puis choisissez une configuration. Consultez également la section L’annexe A, L’iPhone au travail, à la page 152.Chapitre 33 Réglages 147 Synchronisation Wi-Fi d’iTunes Synchronisez l’iPhone avec iTunes sur un ordinateur connecté au même réseau Wi-Fi. Pour activer la synchronisation Wi-Fi d’iTunes : Pour configurer une synchronisation Wi-Fi pour la première fois, connectez l’iPhone à l’ordinateur avec lequel effectuer la synchronisation. Pour obtenir des instructions, consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17. Après la configuration de la synchronisation Wi-Fi, l’iPhone se synchronise automatiquement avec iTunes, une fois par jour, lorsque : • l’iPhone est connecté à une source d’alimentation ; • l’iPhone et votre ordinateur sont connectés au même réseau Wi-Fi ; • iTunes est ouvert sur votre ordinateur. Recherche Spotlight Le réglage Recherche Spotlight vous permet de déterminer les zones de contenu recherchées par Recherche et de réordonner les résultats. Pour définir le contenu sur lequel porte la recherche de Recherche : Accédez à Réglages > Général > Recherche Spotlight, puis sélectionnez les éléments à rechercher. Vous pouvez également modifier l’ordre des catégories de résultats. Verrouillage automatique Le verrouillage de l’iPhone désactive l’affichage de manière à économiser la batterie et à empê- cher toute utilisation de l’iPhone par inadvertance. Vous pouvez toujours recevoir des appels et des messages texte, régler le volume et utiliser le bouton du micro sur vos écouteurs lorsque vous écoutez de la musique ou au cours d’un appel. Pour régler la durée de déclenchement du verrouillage de l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage auto., puis choisissez une durée. Verrouillage par code Par défaut, l’iPhone ne vous oblige pas à saisir un code pour le déverrouiller. Pour définir un code : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, puis définissez un code à 4 chiffres. Pour plus de sécurité, désactivez Code simple et utilisez un code plus long. Si vous oubliez votre code, vous devez restaurer le logiciel de l’iPhone. Consultez la section Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPhone à la page 164. Pour autoriser l’accès lorsque l’iPhone est verrouillé : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code. Vous pouvez utiliser les options suivantes sans déverrouiller l’iPhone : • Siri (consultez la section Configuration des options de Siri à la page 43) ; • Composition vocale (ce réglage est disponible uniquement lorsque Siri est désactivé) ; • Répondre avec message (consultez la section Réception d’appels à la page 47) ; • Passbook (consultez la section Chapitre 16, Passbook, à la page 92). Pour effacer les données après dix tentatives de saisie infructueuses : Accédez à Réglages > Général > Verrouillage par code, puis touchez Effacer les données. Après dix tentatives de saisie infructueuses, vos réglages sont réinitialisés, et toutes les informations et tout le contenu sont effacés par la suppression de la clé de chiffrement des données (chiffrement AES 256 bits).Chapitre 33 Réglages 148 Restrictions Vous pouvez définir des restrictions pour certaines apps et pour le contenu acheté. Les parents peuvent ainsi restreindre dans les listes de lecture l’accès à la musique dont le contenu est explicite ou empêchez l’installation d’apps. Pour activer des restrictions : Accédez à Réglages > Général > Restrictions, puis touchez Activer les restrictions. Il vous sera demandé de définir un code de restriction, nécessaire à la modification des réglages que vous avez effectués. Ce code est différent de celui utilisé pour le déverrouillage de l’iPhone. Important : Si vous oubliez votre code de restriction, vous devez restaurer le logiciel de l’iPhone. Consultez la section Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPhone à la page 164. Vous pouvez définir des restrictions pour les apps suivantes : • Safari ; • Appareil photo (et les apps qui utilisent l’appareil photo) ; • FaceTime ; • iTunes Store ; • iBookstore ; • Siri (y compris la commande vocale et la dictée). Vous pouvez également définir les restrictions suivantes : • Ajout d’apps : L’App Store est désactivé et son icône est supprimée de l’écran d’accueil. Vous ne pouvez pas installer d’apps sur l’iPhone. • Suppr. d’apps : Vous ne pouvez pas supprimer d’apps de l’iPhone. n’apparaît pas sur les icônes d’app lorsque vous personnalisez l’écran d’accueil. • Langage explicite : Siri essaye de remplacer les mots explicites que vous prononcez par des astérisques et des bips. • Confidentialité : Les réglages de confidentialité actuels pour les Services de localisation, les Contacts, les Calendriers, les Rappels, les Photos, le Partage Bluetooth, Twitter et Facebook peuvent tous être verrouillés. • Comptes : Les réglages Mail, Contacts, Calendrier actuels sont verrouillés. Vous ne pouvez pas ajouter, modifier ou supprimer des comptes. De plus, vous ne pouvez pas modifier les réglages iCloud. • Localiser mes amis : Les réglages actuels de Localiser mes amis sont verrouillés. Cette option est disponible lorsque l’app Localiser mes amis est installée. • Volume maximum : Les réglages de Volume maximum actuels sont verrouillés. • Achats intégrés : Lorsque Achats intégrés est désactivé, vous ne pouvez pas acheter de contenu ni de fonctionnalités supplémentaires pour les apps que vous téléchargez de l’App Store. • Exiger des mots de passe : Exige que vous saisissiez un identifiant Apple pour les achats inté- grés après une durée spécifique. • Restrictions relatives au contenu : Touchez Classification, puis sélectionnez un pays dans la liste. Ensuite, définissez des restrictions pour la musique, les podcasts, les films, les séries TV et les apps. Le contenu n’atteignant pas vos critères de sélection n’apparaît pas sur l’iPhone. • Jeux multijoueurs : Lorsque l’option Jeux multijoueurs est désactivée, vous ne pouvez pas demander de match, envoyer ou recevoir des invitations à jouer ou ajouter des amis dans Game Center.Chapitre 33 Réglages 149 • Ajout d’amis : Lorsque la fonctionnalité Ajout d’amis est désactivée, vous ne pouvez ni envoyer ni recevoir de demande d’amitié dans Game Center. Si fonctionnalité Jeux multijoueurs est activée, vous pouvez continuer à jouer avec des amis existants. Date et heure Ces réglages ont un impact sur l’heure indiquée dans la barre d’état en haut de l’écran, et dans les horloges mondiales et calendriers. Définir le format 24 heures ou 12 heures de l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Date et heure, puis activez ou désactivez Affichage 24h. (L’option Affichage 24 h peut ne pas être disponible dans toutes les régions.) Pour définir la mise à jour automatique de la date et de l’heure sur l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Date et heure, puis activez ou désactivez Réglage automatique. Si vous réglez l’iPhone pour mettre automatiquement l’heure à jour, il recherche la bonne heure sur le réseau cellulaire et la met à jour pour la faire correspondre au fuseau horaire dans lequel vous vous trouvez. Certains opérateurs ne prenant pas en charge l’heure réseau, il se peut que l’iPhone ne parvienne pas à déterminer automatiquement l’heure locale. Pour régler manuellement la date et de l’heure : Accédez à Réglages > Général > Date et heure, puis désactivez Réglage automatique. Touchez Fuseau horaire pour définir votre fuseau horaire. Touchez le bouton Date et heure, puis touchez Régler la date et l’heure. Clavier Vous pouvez activer des claviers pour écrire dans différentes langues et activer ou désactiver des fonctionnalités de saisie telles que la correction orthographique. Pour en savoir plus sur le clavier, consultez la section Saisie de texte à la page 24. Pour en savoir plus sur les claviers internationaux, consultez la section L’annexe B, Claviers internationaux, à la page 154. International Accédez à Réglages > Général > International pour régler les fonctionnalités suivantes : • la langue de l’iPhone ; • le format du calendrier ; • la langue du Contrôle vocal ; • les claviers que vous utilisez ; • les formats de date, d’heure et de numéro de téléphone. Accessibilité Accédez à Réglages > Général > Accessibilité et activez les fonctionnalités souhaitées. Consultez la section Chapitre 32, Accessibilité, à la page 123. Profils Ce réglage apparaît lorsque vous installez un ou plusieurs profils sur l’iPhone. Touchez Profils pour afficher des informations au sujet des profils installés. Pour en savoir plus, consultez la section Utilisation des profils de configuration à la page 152.Chapitre 33 Réglages 150 Réinitialisation Vous pouvez réinitialiser le dictionnaire, les réglages réseau, la disposition de l’écran d’accueil et les alertes de localisation. Vous pouvez également effacer la totalité de vos contenus et réglages. Réinitialiser l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Réinitialiser, puis choisissez une option : • Réinitialiser tous les réglages : Vos préférences et réglages sont tous réinitialisés. • Effacer tout le contenu et les réglages : Vos données et réglages sont supprimés. Vous devez alors reconfigurer l’iPhone pour pouvoir le réutiliser. • Réinitialiser les réglages réseau : Lorsque vous réinitialisez les réglages réseau, la liste des réseaux utilisés précédemment et les réglages VPN qui ne sont pas installés par un profil de configuration sont supprimés. Wi-Fi est désactivé puis réactivé : vous êtes alors déconnecté de tout réseau, le cas échéant. Les réglages Wi-Fi et « Confirmer l’accès » restent activés. Pour supprimer les réglages VPN installés par un profil de configuration, accédez à Réglages > Général > Profil, puis sélectionnez le profil et touchez Supprimer. Cela supprime également tous les réglages ou comptes du profil. • Réinitialiser le dictionnaire clavier : Vous ajoutez des mots au dictionnaire clavier en refusant les mots que l’iPhone suggère lors de la frappe. La réinitialisation du dictionnaire clavier efface tous les mots que vous avez ajoutés. • Réinitialiser l’écran d’accueil : Rétablit la disposition d’origine des applications intégrées sur l’écran d’accueil. • Réinitialiser la localisation et la confidentialité : Réinitialise les services de localisation et les réglages de confidentialité à leurs paramètres par défaut d’origine. Sons Vous pouvez configurer l’iPhone de manière à émettre un son lorsque vous recevez un nouveau message, courrier électronique, appel, Tweet, publication Facebook, message vocal ou des rappels. Vous pouvez également configurer des sons pour les rendez-vous, l’envoi de message électronique, les touches sur le clavier et le verrouillage de l’iPhone. Pour en savoir plus sur les modes silencieux de l’iPhone, consultez la section Commutateur Sonnerie/Silence à la page 10. Pour modifier les réglages de son : Accédez à Réglages > Sons. Les options disponibles permettent notamment de : • définir si l’iPhone doit vibrer lorsque vous recevez un appel ; • définir si l’iPhone doit vibrer lorsque vous le passez en mode silencieux ; • régler le volume de la sonnerie et des alertes ; • empêcher les boutons latéraux de modifier le volume de la sonnerie ; • définir la sonnerie (pour définir une sonnerie pour une personne, accédez à sa fiche dans Contacts.) ; • régler le son des alertes et d’autres sons ; • activer les sons des touches sur le clavier et un son pour le verrouillage de l’iPhone. Pour définir des modèles de vibration : Accédez à Réglages > Sons, puis choisissez un élément dans la liste Modèles de sons et de vibration. Touchez Vibration pour choisir un modèle. • Pour définir un modèle de vibration personnalisé : Touchez un élément dans la liste Sons et vibrations, puis touchez Vibration. Touchez Créer nouvelle vibration, puis définissez le modèle en touchant l’écran. Chapitre 33 Réglages 151 Luminosité et fond d’écran. La luminosité de l’écran influe sur l’autonomie de la batterie. Baissez la luminosité de l’écran pour prolonger la période avant qu’une recharge de l’iPhone devienne nécessaire ou utilisez le mode Réglage automatique. Pour régler la luminosité de l’écran : Accédez à Réglages > Luminosité et fond d’écran, puis faites glisser le curseur. Si Réglage automatique est activé, l’iPhone ajuste la luminosité de l’écran en fonction des conditions d’éclairage actuelles à l’aide du capteur de lumière ambiante intégré. Les réglages Fond d’écran permettent de définir une image ou une photo comme fond d’écran de l’écran de verrouillage ou de l’écran d’accueil. Consultez la section Changement de fond d’écran à la page 24. Confidentialité Les réglages de confidentialité vous permettent de voir et de contrôler quels services de système et d’apps peuvent avoir accès aux Services de localisation, aux contacts, calendriers, rappels et photos. Service de localisation permet aux apps dépendantes de la localisation telles que Rappels, Plans et Appareil photo de recueillir et d’utiliser des données indiquant votre position. Votre position approximative est déterminée à l’aide des données disponibles transmises par le réseau de téléphonie mobile, les réseaux Wi-Fi locaux (si vous avez activé le Wi-Fi) et le système GPS (non disponible dans toutes les régions). Les données de localisation collectées par Apple le sont dans un format anonyme. Lorsqu’une app utilise Service de localisation, apparaît dans la barre de menus. Pour activer ou désactiver Service de localisation : Accédez à Réglages > Confidentialité > Service de localisation. Vous pouvez le désactiver pour l’ensemble ou la plupart des apps et services. Si vous désactivez Service de localisation, vous êtes invité à le réactiver la prochaine fois qu’une app ou un service tente de l’utiliser. Pour désactiver le service de localisation pour les services de système : Plusieurs services de système, comme l’étalonnage de la boussole et les iAds dépendantes de la localisation, utilisent les Services de localisation. Pour afficher leur statut, les activer ou les désactiver ou indiquer dans la barre des menus lorsque ces services utilisent votre localisation, accédez à Réglages > Confidentialité > Services de localisation > Services de système. Pour désactiver l’accès aux informations privées : Accédez à Réglages > Confidentialité. Vous pouvez voir quelles apps ont demandé et obtenu l’accès aux informations suivantes : • Contacts • Calendrier • Rappels • Photos • Partage Bluetooth • Twitter • Facebook Vous pouvez désactiver l’accès de chaque app à chaque catégorie d’informations. Passez en revue les conditions générales et la politique de confidentialité de chaque app tierce pour comprendre comment elles utilisent les données demandées.A 152 Avec la prise en charge d’un accès sécurisé aux réseaux d’entreprise, aux répertoires et à Microsoft Exchange, l’iPhone est prêt à se mettre au travail. Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’iPhone au travail, consultez la page www.apple.com/fr/accessibility. Utilisation des profils de configuration Si vous évoluez dans un environnement d’entreprise, il se peut que vous puissiez paramétrer des comptes et d’autres éléments sur l’iPhone en installant un profil de configuration. Les profils de configuration permettent à votre administrateur de paramétrer votre iPhone afin d’utiliser les systèmes d’information dans votre entreprise, école ou organisation. Par exemple, un profil de configuration peut régler votre iPhone pour qu’il accède aux serveurs Microsoft Exchange au travail, et puisse ainsi atteindre ainsi les courriers électroniques, les calendriers et les contacts Exchange, tout en activant éventuellement un verrouillage par code afin de vous aider à assurer la sécurité des informations. Votre administrateur peut distribuer des configurations de profil par courrier électronique, les placer sur une page web sécurisée ou les installer directement sur l’iPhone pour vous. Votre administrateur peut vous faire installer un profil qui relie votre iPhone à un serveur de gestion de dispositifs mobiles, ce qui lui permet de configurer vos réglages à distance. Pour installer des profils de configuration : Sur l’iPhone, ouvrez le message électronique ou téléchargez les profils de configuration sur le site web que votre administrateur vous a fourni. Lorsque vous ouvrez un profil de configuration, l’installation commence. Important : Il vous sera peut-être demandé si vous faites confiance à tel ou tel profil de configuration. En cas de doute, demandez à votre administrateur avant d’installer le profil de configuration. Vous ne pouvez pas modifier les réglages définis par un profil de configuration. Si vous voulez modifier les réglages, vous devez d’abord supprimer le profil de configuration ou installer un nouveau profil de configuration avec de nouveaux réglages. Pour supprimer un profil de configuration : Accédez à Réglages > Général > Profil, puis sélectionnez le profil de configuration et touchez Supprimer. La suppression d’un profil de configuration supprime les réglages et toutes les autres informations installées par le profil. L’iPhone au travail AnnexeAnnexe A L’iPhone au travail 153 Configuration de comptes Microsoft Exchange Microsoft Exchange fournit des informations de courriers électroniques, de contacts, de tâches et de calendriers que vous pouvez synchroniser automatiquement sans fil vers l’iPhone. Vous pouvez configurer un compte Exchange directement sur l’iPhone. Pour configurer un compte Exchange sur l’iPhone : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier. Touchez Ajouter un compte puis Microsoft Exchange. Demandez à votre prestataire de services ou à votre administrateur quels réglages utiliser. Accès par VPN La norme VPN (réseau privé virtuel, en anglais « Virtual Private Network ») permet un accès sécurisé via Internet à des réseaux privés, comme le réseau de votre entreprise ou école. Utilisez les réglages Réseau sur l’iPhone pour configurer et activer une connexion VPN. Demandez à votre administrateur quels réglages utiliser. La connexion VPN peut aussi être configurée automatiquement à l’aide d’un profil de configuration. Lorsque la connexion VPN est configurée à l’aide d’un profil de configuration, l’iPhone peut activer la connexion VPN automatiquement lorsque nécessaire. Pour en savoir plus, contactez votre administrateur. Comptes LDAP et CardDAV Lorsque vous configurez un compte LDAP, vous pouvez voir et chercher des contacts sur le serveur LDAP de votre organisation. Le serveur apparaît comme un nouveau groupe dans les contacts. Les contacts LDAP ne sont pas téléchargés sur l’iPhone, c’est pour cela que vous devez disposer d’une connexion à Internet pour les consulter. Vérifiez auprès de votre administrateur les réglages de compte et autres paramètres (comme la connexion VPN). Lorsque vous configurez un compte CardDAV, vos contacts de compte sont synchronisés sans fil avec l’iPhone. Vous pouvez aussi rechercher des contacts sur le serveur CardDAV de votre organisation. Pour configurer un compte LDAP ou CardDAV : Accédez à Réglages > Mail, Contacts, Calendrier, puis touchez Ajouter un compte. Touchez Autre. Demandez à votre prestataire de services ou à votre administrateur quels réglages utiliser.B 154 Les claviers internationaux vous permettent de saisir du texte dans de nombreuses langues, y compris les langues asiatiques et celles qui se lisent de la droite vers la gauche. Utilisation de claviers internationaux Les claviers internationaux vous permettent de saisir du texte dans de nombreuses langues, y compris les langues asiatiques et celles qui se lisent de la droite vers la gauche. Pour obtenir la liste complète des claviers pris en charge, consultez la page web www.apple.com/fr/iphone/specs.html. Pour gérer les claviers : Accédez à Réglages > Général > International > Claviers. • Pour ajouter un clavier : Touchez Ajouter un clavier, puis choisissez un clavier dans la liste. Répétez l’opération pour ajouter d’autres claviers. • Pour supprimer un clavier : Touchez Modifier, touchez en regard du clavier que vous souhaitez supprimer, puis touchez Supprimer. • Pour modifier votre liste de claviers : Touchez Modifier, puis faites glisser à côté d’un clavier vers une nouvelle position dans la liste. Pour saisir du texte dans une autre langue, changez de clavier. Pour changer de clavier en cours de saisie : Maintenez le doigt sur la touche de globe pour afficher tous vos claviers activés. Pour choisir un clavier, faites glisser votre doigt sur le nom du clavier, puis levez votre doigt. La touche de globe apparaît seulement si vous activez plusieurs claviers. Vous pouvez aussi toucher simplement . Lorsque vous touchez , le nom du clavier que vous venez d’activer apparaît brièvement. Continuez à toucher cette touche pour accéder à d’autres claviers activés. De nombreux claviers proposent des lettres, chiffres et symboles non visibles sur le clavier lui-même. Pour saisir des lettres accentuées ou d’autres caractères : Touchez la lettre, le chiffre ou le symbole le plus proche et maintenez le doigt dessus, puis faites glisser pour choisir une variante. Par exemple : • Sur un clavier thaïlandais : Pour choisir des chiffres natifs, vous pouvez toucher le chiffre arabe correspondant et maintenir le doigt dessus. • Sur un clavier chinois, japonais ou arabe : Des suggestions de caractères ou candidats apparaissent en haut du clavier. Touchez un candidat pour le saisir ou feuilletez vers la gauche pour afficher davantage de candidats. Pour utiliser la liste étendue des candidats : Touchez la flèche vers le haut située à droite pour afficher la liste complète des candidats. • Pour faire défiler la liste : Feuilletez vers le haut ou le bas. • Pour retourner à la liste abrégée : Touchez la flèche vers le bas. Claviers internationaux AnnexeAnnexe B Claviers internationaux 155 Lors de l’utilisation de certains claviers chinois ou japonais, vous pouvez créer un raccourci pour des mots et des paires d’entrées. Le raccourci est ajouté à votre dictionnaire personnel. Lorsque vous tapez un raccourci en utilisant un clavier pris en charge, l’entrée ou le mot associé est substitué au raccourci. Pour activer ou désactiver les raccourcis : Accédez à Réglages > Général > Clavier > Raccourcis. Les raccourcis sont disponibles pour : • Chinois simplifié : Pinyin • Chinois traditionnel : Pinyin et Zhuyin • Japonais : Romaji et 50 touches Méthodes de saisie spéciales Vous pouvez utiliser les claviers pour saisir certaines langues de différentes manières. Quelques exemples parmi d’autres sont le chinois Kanji et Wubihua, le japonais Kana et les smileys. Vous pouvez également utiliser votre doigt ou un stylet pour écrire des caractères chinois à l’écran. Pour construire des caractères chinois à partir des touches Kanji de composants : Au fur et à mesure que vous tapez, des suggestions de caractères apparaissent. Touchez un caractère pour le choisir ou continuez à saisir jusqu’à cinq composants pour afficher davantage d’options. Pour construire des caractères chinois Wubihua (traits) : Utilisez le clavier numérique pour construire des caractères chinois en utilisant jusqu’à cinq traits dans la séquence d’écriture correcte : horizontal, vertical, gauche vers le bas, droit vers le bas et crochet. Par exemple, le caractère chinois 圈 (cercle) doit commencer par le trait vertical 丨. • Au fur et à mesure que vous tapez, les caractères chinois suggérés apparaissent (en commen- çant par les plus communs). Touchez un caractère pour le choisir. • Si vous n’êtes pas sûr du trait, tapez un astérisque (*). Pour afficher davantage d’options de caractères, tapez un autre trait ou faites défiler la liste de caractères. • Touchez la touche correspondante (匹配) pour n’afficher que les caractères correspondant exactement à ce que vous avez tapé. Pour écrire des caractères chinois : Écrivez des caractères chinois directement sur l’écran avec votre doigt lorsque les formats manuscrits de chinois simplifié ou traditionnel sont activés. Tandis que vous tracez des traits, l’iPhone les reconnaît et propose une liste de caractères correspondants classés par ordre de similarité. Lorsque vous choisissez un caractère, ceux qui sont susceptibles de suivre apparaissent dans la liste en tant que choix supplémentaires. Pavé tactile Pavé tactileAnnexe B Claviers internationaux 156 Certains caractères complexes, comme 鱲 (une partie du nom de l’aéroport international de Hong Kong), 𨋢 (ascenseur) et 㗎 (particule utilisée en cantonnais), peuvent être saisis en écrivant à la suite deux caractères composants ou plus. Touchez le caractère pour remplacer les caractères que vous avez saisis. Les caractères romains sont également reconnus. Pour saisir du texte japonais avec le clavier Kana : Utilisez le clavier Kana pour sélectionner des syllabes. Pour obtenir plus d’options de syllabes, touchez la flèche et sélectionnez une autre syllabe ou un autre mot dans la fenêtre. Pour saisir du texte japonais avec le clavier Romaji : Utilisez le clavier Romaji pour saisir des syllabes. D’autres choix apparaissent en haut du clavier, touchez-en un pour le saisir. Pour obtenir plus d’options de syllabes, touchez la flèche et sélectionnez une autre syllabe ou un autre mot dans la fenêtre. Pour saisir des smileys ou des émoticônes : Sur le clavier japonais Kana, touchez la touche ^_^. Vous pouvez également : • utiliser le clavier japonais Romaji (disposition japonaise QWERTY) : touchez la touche des chiffres , puis la touche ^_^ ; • utiliser les claviers chinois Pinyin (simplifié ou traditionnel) ou Zhuyin (traditionnel) : touchez la touche des symboles , puis la touche ^_^.C 157 Informations importantes concernant la sécurité AVERTISSEMENT : Le fait de ne pas suivre les présentes instructions de sécurité peut provoquer un incendie, une électrocution ou d’autres blessures, ainsi que des dégâts à l’iPhone et d’autres propriétés. Consultez toutes les informations relatives à la sécurité ci-dessous avant d’utiliser l’iPhone. Manipulation Manipulez l’iPhone avec soin. Fabriqué en métal, en verre et en plastique, il contient des composants électroniques sensibles. L’iPhone peut s’abîmer s’il tombe, est brûlé, percé, écrasé ou s’il entre en contact avec un liquide. N’utilisez pas un iPhone endommagé, par exemple s’il présente un écran brisé, car cela pourrait causer des blessures. Si vous êtes soucieux de ne pas abîmer votre téléphone, pensez à utiliser une protection. Réparation N’ouvrez pas l’iPhone et n’essayez pas de réparer vous même l’iPhone. Le fait de démonter votre iPhone peut vous causer des blessures ou endommager l’iPhone. Si l’iPhone est endommagé, ne fonctionne pas correctement, ou entre en contact avec un liquide, contactez Apple ou un Centre de Services Agréé Apple. Vous pouvez obtenir plus d’informations sur nos services à l’adresse www.apple.com/fr/support/iphone/service/faq. Batterie N’essayez pas de remplacer la batterie de l’iPhone vous-même, vous pouvez endommager la batterie et provoquer ainsi une surchauffe et des blessures. La batterie lithium-ion de l’iPhone ne doit être remplacée que par Apple ou un Centre de Services Agréé Apple. Elle doit être recyclée ou mise au rebut séparément des ordures ménagères. N’incinérez pas la batterie. Pour en savoir plus sur le recyclage ou le remplacement de la batterie, consultez la page www.apple.com/fr/batteries. Distraction L’utilisation de l’iPhone dans certaines situations peut vous distraire et provoquer ainsi une situation dangereuse. Observez les règles qui interdisent ou limitent l’utilisation des téléphones portables ou des écouteurs (par exemple, évitez de rédiger des messages texte lorsque vous conduisez ou d’utiliser des écouteurs lorsque vous êtes à vélo). Navigation Les apps cartographiques, géodépendantes ou proposant des itinéraires reposent sur des services de données. Ces services de données sont susceptibles de changer et ne sont pas disponibles dans toutes les zones, ce qui rend indisponibles, inexacts ou incomplets les plans, itinéraires et informations Flyover ou dépendant de la position géographique. Comparez les renseignements fournis sur l’iPhone avec votre environnement et reportez-vous aux panneaux indicateurs pour résoudre toute différence existante. Certaines fonctionnalités de Plans requièrent le Service de localisation. Consultez la section Confidentialité à la page 151. Faites appel à votre bon sens lors de la navigation. Sécurité, manipulation et assistance AnnexeAnnexe C Sécurité, manipulation et assistance 158 Charge Chargez l’iPhone avec le câble USB et l’adaptateur secteur fournis, ou d’autres câbles et adaptateurs secteur tiers « Made for iPhone » compatibles avec USB 2.0, ou des adaptateurs secteur compatibles avec une ou plusieurs des normes suivantes : EN 301489-34, IEC 62684, YD/T 1591-2009, CNS 15285, ITU L.1000 ou une autre norme applicable relative à l’interopérabilité des adaptateurs secteurs pour téléphones portables. Un adaptateur micro USB iPhone (disponible séparément dans certaines régions) ou un autre adaptateur peuvent être nécessaires pour connecter l’iPhone à certains adaptateurs secteur compatibles. L’utilisation de câbles ou de chargeurs endommagés ou la recharge en présence d’humidité peut provoquer une électrocution. Lorsque vous utilisez l’adaptateur secteur Apple USB Power Adapter pour recharger votre iPhone, assurez-vous que la fiche ou le câble d’alimentation secteur CA soit totalement enclenché dans l’adaptateur avant de le brancher dans une prise de courant. Les adaptateurs secteur peuvent chauffer lors de leur usage normal ; un contact prolongé peut provoquer des blessures. Veillez à toujours prévoir une ventilation adéquate autour des adaptateurs secteur lorsque vous les utilisez. Remarque : Seuls les adaptateurs secteur micro USB de certaines régions, conformes aux normes applicables d’interopérabilité des adaptateurs secteur pour téléphones portables, sont compatibles. Veuillez contacter le fabricant de l’adaptateur secteur pour savoir si votre adaptateur secteur micro USB est conforme à ces normes. Perte d’audition L’écoute de musique à volume élevé peut endommager votre système auditif. Les bruits de fond et une exposition continue à des volumes élevés peuvent vous induire en erreur sur le volume réel qui semble moins élevé. Allumez votre appareil et vérifiez le volume avant de porter tout dispositif à vos oreilles. Pour plus de renseignements sur la perte d’audition accédez à la page www.apple.com/fr/icloud. Pour plus de renseignements sur la manière de régler un volume maximum sur l’iPhone, consultez Réglages de Musique à la page 68. AVERTISSEMENT : Pour éviter les pertes auditives, baissez le volume et utilisez vos écouteurs avec modération. Écouteurs Apple Les écouteurs vendus avec l’iPhone 4S ou ultérieur en Chine (identifiable par les anneaux isolants de couleur sombre sur la prise) sont fabriqués pour satisfaire aux normes chinoises et sont compatibles avec l’iPhone 4S ou ultérieur, l’iPad 2 ou ultérieur, et l’iPod touch de 5e génération. Utilisez uniquement des écouteurs compatibles avec votre appareil. Signaux radio L’iPhone utilise des signaux radio pour se connecter aux réseaux sans fil. Pour obtenir des informations sur la puissance nécessaire pour transmettre ces signaux et sur les actions que vous pouvez entreprendre pour minimiser l’exposition, accédez à Réglages > Général > Informations > Mentions légales > Exposition RF. Interférences de radiofréquences Respectez les pancartes et les instructions qui interdisent ou limitent l’utilisation des téléphones portables (par exemple, dans les établissements de santé ou les zones à explosion). L’iPhone a été créé, testé et fabriqué pour satisfaire aux règlementations en vigueur en matière d’émissions de radiofréquences. Toutefois, de telles émissions peuvent perturber le fonctionnement d’autres appareils électroniques et engendrer des dysfonctionnements. Éteignez l’iPhone ou utilisez le mode Avion qui permet de désactiver les émetteurs sans fil de l’iPhone en cas d’interdiction d’utilisation, par exemple lorsque vous voyagez en avion ou lorsque les autorités vous le demandent.Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 159 Dispositifs médicaux L’iPhone contient des radios qui émettent des champs électromagné- tiques. Ces champs électromagnétiques peuvent interférer avec les stimulateurs cardiaques ou autres dispositifs médicaux. Si vous portez un stimulateur cardiaque, maintenez une distance d’au moins 15 cm entre le stimulateur cardiaque et l’iPhone. Si vous pensez que l’iPhone interfère avec votre stimulateur cardiaque ou autre dispositif médical, arrêtez d’utiliser l’iPhone et consultez votre médecin pour obtenir des informations spécifiques à votre dispositif médical. Le bas de l’iPhone ainsi que les oreillettes des écouteurs fournis contiennent des aimants qui peuvent interférer avec les stimulateurs cardiaques, les défibrillateurs ou d’autres dispositifs médicaux. Maintenez une distance d’au moins 15 cm entre votre stimulateur cardiaque ou défibrillateur et l’iPhone ou les écouteurs. Troubles médicaux Si vous pensez que l’utilisation de l’iPhone pourrait avoir une incidence sur un trouble médical dont vous souffrez (par exemple, crises d’épilepsie, malaises, fatigues oculaires ou maux de tête), consultez votre médecin avant d’utiliser l’iPhone. Atmosphères potentiellement explosives Ne chargez pas et n’utilisez pas l’iPhone dans les zones présentant une atmosphère potentiellement explosive, comme les zones de remplissage de combustible, ou d’autres zones où l’air contient des produits chimiques ou des particules (telles que grains, poussières ou poudres métalliques). Respectez toutes les pancartes et toutes les consignes. Mouvements répétitifs Lorsque vous effectuez des tâches répétitives telles que taper du texte ou jouer sur votre iPhone, vous êtes susceptible d’éprouver une gêne occasionnelle dans les mains, les bras, les poignets, les épaules, le cou ou d’autres parties du corps. Si vous éprouvez une gêne, cessez d’utiliser l’iPhone et consultez un médecin. Activités à haut risque Cet appareil n’est pas conçu pour être utilisé dans des situations où une panne de celui-ci pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques. Risques d’étouffement Certains accessoires de l’iPhone peuvent représenter un risque d’étouffement pour les enfants en bas âge. Gardez ces accessoires à l’écart des jeunes enfants. Informations importantes sur la manipulation Nettoyage Nettoyez immédiatement l’iPhone s’il entre en contact avec une substance susceptible de faire des taches, notamment de la poussière, de l’encre, du maquillage ou encore une lotion. Pour procéder au nettoyage : • Déconnectez tous les câbles et éteignez l’iPhone (appuyez sur le bouton Marche/Veille, maintenez-le enfoncé, puis faites glisser le curseur à l’écran). • Utilisez un chiffon doux non pelucheux. • Évitez toute pénétration d’humidité dans les orifices de l’appareil. • N’utilisez pas de produits de nettoyage ni d’air comprimé. La partie avant ou arrière de l’iPhone peut être composée de verre et dotée d’un revêtement résistant aux empreintes de doigts et oléophobe (contre les taches d’huile). Ce revêtement s’use avec le temps dans le cadre d’une utilisation normale. Les produits de nettoyage et les matériaux abrasifs affaiblissent encore plus le revêtement et peuvent rayer le verre. Les matériaux abrasifs peuvent aussi rayer l’iPhone.Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 160 Utilisation des connecteurs, ports et boutons Ne forcez jamais un connecteur dans un port et n’exercez pas de pression excessive sur un bouton, car cela pourrait entraîner des dommages non couverts par la garantie. Si le connecteur et le port ne se connectent pas facilement, c’est qu’ils ne coïncident probablement pas. Vérifiez l’absence de toute obturation et assurez-vous que le connecteur correspond au port et que vous avez correctement placé le connecteur par rapport au port. Lightning La décoloration de la prise Lightning suite à une utilisation classique est normale. La poussière, les résidus et l’exposition à des liquides peuvent causer une décoloration. Pour retirer la décoloration, ou si le câble se met à chauffer pendant l’utilisation, ne charge pas ou ne synchronise pas votre iPhone, déconnectez le câble Lightning de votre ordinateur ou de votre adaptateur secteur et nettoyez-le avec un chiffon doux, sec et sans peluche. N’utilisez ni liquides ni produits de nettoyage lorsque vous nettoyez le connecteur Lightning. Température de fonctionnement L’iPhone a été conçu pour fonctionner à des températures ambiantes comprises entre 0 et 35 °C et stocké à des températures comprises entre -20 et 45 °C. L’iPhone peut s’endommager et la durée de vie de la batterie peut être raccourcie s’ils sont rangés ou utilisés en dehors de ces fourchettes de températures. Évitez d’exposer l’iPhone à des changements brusques de température ou d’humidité. Lorsque vous utilisez l’iPhone ou rechargez sa batterie, il est normal que l’iPhone chauffe. Si la température intérieure de votre iPhone dépasse sa température normale de fonctionnement (par exemple dans un véhicule chaud ou sous les rayons directs du soleil pendant de longues périodes), vous risquez d’observer les comportements suivants tandis qu’il tente de réguler sa température : • La charge de l’iPhone est interrompue. • L’écran devient plus sombre. • Une fenêtre de mise en garde sur la température s’affiche. • Certaines applications peuvent quitter. Important : Il est possible que vous ne puissiez pas utiliser l’iPhone lorsque l’écran d’alerte de température est affiché. Si l’iPhone ne parvient pas à réguler sa température interne, il passe automatiquement en mode de sommeil profond jusqu’à ce qu’il refroidisse. Déplacez l’iPhone vers un endroit plus frais, à l’abri des rayons directs du soleil, et attendez quelques minutes avant d’essayer à nouveau d’utiliser votre iPhone. Pour en savoir plus, consultez la page support.apple.com/kb/HT2101?viewlocale=fr_FR. Site d’assistance iPhone Des informations d’assistance complètes sont disponibles en ligne à l’adresse www.apple.com/fr/support/iphone. Pour contacter Apple afin d’obtenir une assistance personnalisée (non disponible dans toutes les régions), consultez la page www.apple.com/fr/support/itunes.Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 161 Redémarrage ou réinitialisation de l’iPhone En cas de mauvais fonctionnement, essayez de redémarrer l’iPhone, de forcer la fermeture d’une app ou de réinitialiser l’iPhone. Redémarrer l’iPhone : Maintenez le bouton Marche/Veille enfoncé jusqu’à ce que le curseur rouge apparaisse. Faites glisser votre doigt sur le curseur pour éteindre l’iPhone. Pour rallumer l’iPhone, appuyez sur le bouton Marche/Veille jusqu’à l’apparition du logo Apple. Forcer une app à quitter : Maintenez le bouton Marche/Veille enfoncé pendant quelques secondes jusqu’à l’apparition d’un curseur rouge, puis maintenez le bouton principal enfoncé jusqu’à la fermeture de l’app. Vous pouvez également supprimer une app de la liste des applications récentes pour en forcer la fermeture. Consultez la section Ouverture d’apps et basculement entre apps à la page 19. Si vous ne parvenez pas à éteindre l’iPhone ou que le problème persiste, il est peut-être nécessaire de réinitialiser l’iPhone. Ne réinitialisez l’iPhone que si son redémarrage ne permet pas de résoudre le problème. Réinitialiser l’iPhone : Maintenez simultanément enfoncés le bouton Marche/Veille et le bouton principal pendant au moins dix secondes jusqu’à l’apparition du logo Apple. « Code incorrect » ou « iPhone désactivé » apparaît Si vous oubliez votre code ou que l’iPhone affiche une alerte de désactivation, consultez la section « iOS : code incorrect et écran désactivé rouge » à l’adresse http://support.apple.com/kb/HT1212?viewlocale=fr_FR. « Cet accessoire n’est pas pris en charge par l’iPhone » apparaît L’accessoire que vous utilisez peut ne pas fonctionner avec l’iPhone. Assurez-vous que le câble USB et les connecteurs ne portent pas de résidus et reportez-vous à la documentation fournie avec l’accessoire. Impossible d’afficher les pièces jointes Si l’iPhone ne parvient pas à afficher les pièces jointes, essayez ce qui suit : • Pour afficher un fichier joint : Touchez la pièce jointe pour l’ouvrir dans Coup d’œil. Vous devez attendre qu’elle soit téléchargée pour l’afficher. • Pour enregistrer une photo ou vidéo jointe : Touchez la pièce jointe pour l’ouvrir dans Coup d’œil. Vous devez attendre qu’elle soit téléchargée pour l’afficher. Coup d’œil prend en charge les types de documents suivants : • .doc, .docx—Microsoft Word ; • .htm, .html—page web ; • .key—Keynote ; • .numbers—Numbers ; • .pages—Pages ; • .pdf—Aperçu, Adobe Acrobat ; • .ppt, .pptx—Microsoft PowerPoint ; • .rtf—Rich Text Format ;Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 162 • .txt—texte ; • .vcf—coordonnées ; • .xls, .xlsx—Microsoft Excel. Pour obtenir plus d’informations de dépannage, consultez la page www.apple.com/fr/support/iphone. Sauvegarde de l’iPhone Vous pouvez également utiliser iCloud ou iTunes pour sauvegarder automatiquement l'iPhone. Si vous choisissez la sauvegarde à l’aide d’iCloud, vous ne pouvez pas également utiliser iTunes pour sauvegarder automatiquement votre ordinateur, mais plutôt manuellement. Copie de sauvegarde avec iCloud iCloud effectue une sauvegarde vers l'iPhone chaque jour via Wi-Fi lorsqu'il est connecté à une source d'alimentation et est verrouillé. La date et l’heure de la dernière sauvegarde apparaissent en bas de l’écran Stockage et sauvegarde. iCloud sauvegarde les éléments suivants : • vos achats de musique, de séries TV, d’apps et de livres ; • les photos et vidéos dans votre Pellicule ; • les réglages de l’iPhone ; • les données d’app ; • l’organisation de l’écran d’accueil et des apps ; • vos messages (iMessage, SMS et MMS) ; • vos sonneries. Remarque : La musique achetée n’est pas sauvegardée dans toutes les régions et les séries TV ne sont pas disponibles dans toutes les régions. Si vous n’avez pas activé la sauvegarde iCloud lors de la première configuration de votre iPhone, vous pouvez l’activer dans les réglages iCloud. Activer les sauvegardes iCloud : Accédez à Réglages > iCloud, puis connectez-vous avec votre identifiant Apple et votre mot de passe, si ceux-ci vous sont demandés. Accédez à Stockage et sauvegarde, puis activez Sauvegarde iCloud. Effectuer immédiatement une copie de sauvegarde : Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis touchez Sauvegarder. Gérer les copies de sauvegarde : Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis touchez Gérer le stockage. Touchez le nom de votre iPhone. Activer ou désactiver la sauvegarde de la Pellicule : Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde, puis touchez Gérer le stockage. Touchez le nom de votre iPhone, puis activez ou désactivez la sauvegarde de la Pellicule. Consulter les appareils sauvegardés : Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde > Gérer le stockage. Arrêter les sauvegardes iCloud : Accédez à Réglages > iCloud > Stockage et sauvegarde > Sauvegarde, puis désactivez Sauvegarde iCloud. La musique qui n’a pas été achetée sur iTunes n’est pas sauvegardée dans iCloud. Vous devez utiliser iTunes pour sauvegarder et restaurer le contenu. Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17.Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 163 Important : La sauvegarde de la musique et des séries TV n’est pas disponible dans toutes les régions. Les achats antérieurs peuvent ne pas être disponibles s’ils ne sont plus présents dans l’iTunes store, l’App Store ou l’iBookstore. Le contenu acheté, ainsi que le contenu de Flux de photos, n’utilisent pas votre espace de stockage iCloud gratuit de 5 Go. Copie de sauvegarde avec iTunes iTunes crée une sauvegarde des photos de vos albums Pellicule ou Photos enregistrées, et des sauvegardes des messages texte, des notes, de l’historique d’appel, de votre liste de favoris, des réglages de son, etc. Les fichiers multimédias, tels que les morceaux, et certaines photos, ne sont pas sauvegardés, mais peuvent être restaurés par une synchronisation avec iTunes. Lorsque vous connectez l’iPhone à l’ordinateur que vous utilisez habituellement pour la synchronisation, iTunes créer une sauvegarde chaque fois que vous effectuez l’une des actions suivantes : • Synchroniser avec iTunes : iTunes synchronise l'iPhone chaque fois que vous connectez l'iPhone à votre ordinateur. iTunes ne sauvegarde pas automatiquement un iPhone qui n'est pas configuré pour être synchronisé avec cet ordinateur. Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17. • Mettre à jour ou restaurer l'iPhone : iTunes sauvegarde toujours l’iPhone avant la mise à jour et la restauration. iTunes peut également chiffrer les sauvegardes de l'iPhone pour protéger vos données. Chiffrer les sauvegardes de l'iPhone : Sélectionnez « Chiffrer la sauvegarde de l’iPhone » dans la sous-fenêtre Résumé d’iTunes. Restaurer les fichiers et les réglages de l’iPhone : Connectez l’iPhone à l’ordinateur que vous utilisez habituellement pour la synchronisation, sélectionnez l’iPhone dans la fenêtre iTunes et cliquez sur Restaurer dans la sous-fenêtre Résumé. Pour en savoir plus sur les sauvegardes, consultez la page support.apple.com/kb/HT4356?viewlocale=fr_FR. Suppression d’une copie de sauvegarde iTunes Vous pouvez supprimer une sauvegarde de l’iPhone de la liste des sauvegardes sur iTunes. Utilisez par exemple cette fonction si une sauvegarde a été créée sur un autre ordinateur que le vôtre. Supprimer une sauvegarde : 1 Sur iTunes, ouvrez les Préférences iTunes. • Mac : choisissez iTunes > Préférences. • Windows : choisissez Édition > Préférences. 2 Cliquez sur Appareils (il n’est pas nécessaire que l’iPhone soit connecté). 3 Sélectionnez la sauvegarde que vous souhaitez supprimer, puis cliquez sur Supprimer la sauvegarde. 4 Cliquez sur Supprimer, pour confirmer que vous souhaitez supprimer la sauvegarde sélectionnée, puis cliquez sur OK.Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 164 Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPhone Vous pouvez mettre à jour le logiciel de l'iPhone dans Réglages ou à l'aide d'iTunes. Vous pouvez également supprimer ou restaurer l’iPhone et utiliser ensuite iCloud ou iTunes pour effectuer une restauration à partir d’une sauvegarde. Les données supprimées ne sont plus accessibles par le biais de l’interface utilisateur de l’iPhone, mais elles ne sont pas effacées de votre iPhone. Pour en savoir plus sur la manière d’effacer tout le contenu et les réglages, consultez la section Réinitialisation à la page 150. Mise à jour de l’iPhone Vous pouvez mettre à jour le logiciel dans les Réglages de l’iPhone ou à l’aide d’iTunes. Mettre à jour sans fil sur l’iPhone : Accédez à Réglages > Général > Mise à jour de logiciels. L’iPhone recherche les mises à jour de logiciels disponibles. Mettre à jour le logiciel sur iTunes : iTunes recherche les mises à jour de logiciels disponibles chaque fois que vous synchronisez l'iPhone à l'aide d'iTunes. Consultez la section Synchronisation avec iTunes à la page 17. Pour en savoir plus sur la mise à jour du logiciel de l’iPhone, consultez la page support.apple.com/kb/HT4623?viewlocale=fr_FR. Restauration de l’iPhone Vous pouvez utiliser iCloud ou iTunes pour restaurer l'iPhone à partir d'une sauvegarde. Restaurer à partir d’une sauvegarde iCloud : Réinitialisez l’iPhone pour effacer tout le contenu et les réglages. Connectez-vous à iCloud et choisissez Restaurer à partir d’une sauvegarde dans Assistant réglages. Consultez la section Réinitialisation à la page 150. Restaurer à partir d’une sauvegarde iTunes : Connectez l’iPhone à l’ordinateur que vous utilisez habituellement pour la synchronisation, sélectionnez l’iPhone dans la fenêtre iTunes et cliquez sur Restaurer dans la sous-fenêtre Résumé. Lorsque le logiciel de l’iPhone a été restauré, vous pouvez choisir de configurer votre appareil comme un nouvel iPhone, ou d’y restaurer votre musique, vos vidéos, les données de vos apps et le reste de votre contenu à partir d’une sauvegarde. Pour en savoir plus sur la restauration du logiciel de l’iPhone, consultez la page support.apple.com/kb/HT1414?viewlocale=fr_FR. Informations relatives au logiciel et au service après-vente Le tableau suivant indique où obtenir des informations sur l’iPhone en matière de sécurité, de logiciel et de réparations. Pour en savoir plus sur Procédez ainsi Utilisation de l’iPhone en toute sécurité Consultez la section Informations importantes concernant la sécurité à la page 157. Les réparations et l’assistance, les conseils, les forums de discussion et les téléchargements de logiciels Apple pour l’iPhone Consultez la page www.apple.com/fr/support/iphone. Service après-vente et assistance de votre opérateur Contactez votre fournisseur ou visitez son site web. Les toutes dernières informations sur l’iPhone Consultez la page www.apple.com/fr/iphone.Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 165 Pour en savoir plus sur Procédez ainsi Gestion de votre compte à identifiant Apple Consultez la page appleid.apple.com/fr. Utilisation d’iCloud Consultez la page www.apple.com/fr/support/icloud. Utilisation d’iTunes Ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Pour accéder à un didacticiel iTunes en ligne (non disponible dans certaines régions), consultez la page www.apple.com/fr/support/itunes. Utilisation d’autres apps iOS Apple Consultez la page www.apple.com/fr/support/icloud. Recherche du numéro de série, du numéro IMEI, du numéro ICCID ou du numéro MEID de votre iPhone Vous pouvez trouver le numéro de série, le numéro IMEI (International Mobile Equipment Identity), le numéro ICCID ou le numéro MEID (Mobile Equipment Identifier) de votre iPhone sur l’emballage de votre iPhone. Sur l’iPhone, vous pouvez également choisir Réglages > Général > Informations. Pour en savoir plus, consultez la page http://support.apple.com/kb/TS2621?viewlocale=fr_FR. Obtention de réparations sous garantie Commencez par suivre les conseils prodigués dans ce guide. Puis, consultez la page www.apple.com/fr/support/iphone. Affichage des informations règlementaires sur l’iPhone. Sur l’iPhone, accédez à Réglages > Général > Informations > Mentions légales > Certification. Service de remplacement des batteries Consultez la page http://www.apple.com/fr/batteries/replacements.html. Utilisation de l’iPhone dans un environnement d’entreprise Consultez la page www.apple.com/fr/iphone/business pour en savoir plus sur les fonctions entreprise de l’iPhone, notamment : Microsoft Exchange, IMAP, CalDAV, CardDAV, VPN et bien plus. Utilisation de l’iPhone dans un environnement d’entreprise Consultez la page www.apple.com/fr/iphone/business pour en savoir plus sur les fonctions entreprise de l’iPhone, notamment : Microsoft Exchange, IMAP, CalDAV, CardDAV, VPN et bien plus. Utilisation de l’iPhone avec d’autres opérateurs Certains opérateurs vous autorisent à débloquer l’iPhone pour l’utiliser sur leur réseau. Pour déterminer si votre opérateur propose cette option, consultez la page support.apple.com/kb/HT1937?viewlocale=fr_FR. Contactez votre opérateur pour obtenir son autorisation et des informations de configuration. Vous devez connecter l’iPhone à iTunes pour terminer la procédure. Des frais supplémentaires peuvent s’appliquer. Pour obtenir plus d’informations de dépannage, consultez la page support.apple.com/kb/TS3198?locale=fr_FR&viewlocale=fr_FR. Informations concernant l’élimination et le recyclage Programme de recyclage Apple (disponible selon le lieu) : Pour recycler gratuitement votre télé- phone mobile usagé, et obtenir une étiquette d’expédition prépayée et des instructions, consultez la page www.apple.com/fr/recycling.Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 166 Élimination et recyclage de l’iPhone : Vous devez éliminer votre iPhone conformément aux lois et réglementations en vigueur. Comme l’iPhone contient des composants électroniques et une batterie, l’iPhone ne peut pas être mis au rebut avec les déchets ménagers. Lorsque l’iPhone arrive en fin de vie, prenez contact avec les autorités locales pour découvrir les possibilités en matière de mise au rebut et de recyclage, déposez-le simplement dans le magasin Apple le plus proche ou renvoyez-le à Apple. La batterie sera retirée et recyclée de manière à ne pas nuire à l’environnement. Pour en savoir plus, consultez la page www.apple.com/fr/recycling. Remplacement des batteries : La batterie lithium-ion de l’iPhone ne doit être remplacée que par Apple ou un Centre de Services Agréé Apple. Elle doit être recyclée ou mise au rebut séparément des ordures ménagères. Pour en savoir plus sur les services de remplacement de la batterie, consultez la page www.apple.com/fr/batteries/replacements.html. Efficacité du chargeur de la batterie Türkiye Türkiye Cumhuriyeti : EEE Yönetmeliğine Uygundur. Union européenne : Information sur l’élimination du matériel électronique et des batteries : Le symbole ci-dessus signifie que, conformément aux lois et réglementations locales, vous devez mettre au rebut votre produit et/ou sa batterie séparément des ordures ménagères. Lorsque ce produit est arrivé en fin de cycle de vie, déposez-le dans un point de collecte désigné par les autorités locales. La collecte et le recyclage de votre produit et/ou de sa batterie lors de la mise au rebut aideront à préserver les ressources naturelles et à s’assurer qu’il est recyclé de manière à protéger la santé humaine et l’environnement. Union européenne—informations sur l’élimination : Le symbole ci-dessus signifie que, conformé- ment aux lois et réglementations locales, vous devez jeter votre produit et/ou sa batterie séparément des ordures ménagères. Lorsque ce produit arrive en fin de vie, apportez-le à un point de collecte désigné par les autorités locales. La collecte séparée et le recyclage de votre produit et/ou de sa batterie lors de sa mise au rebut aideront à préserver les ressources naturelles et à s’assurer qu’il est recyclé de manière à protéger la santé humaine et l’environnement. Europäische Union—Informationen zur Entsorgung: Das oben aufgeführte Symbol weist darauf hin, dass dieses Produkt und/oder die damit verwendete Batterie den geltenden gesetzlichen Vorschriften entsprechend und vom Hausmüll getrennt entsorgt werden muss. Geben Sie dieses Produkt zur Entsorgung bei einer offiziellen Sammelstelle ab. Durch getrenntes Sammeln und Recycling werden die Rohstoffreserven geschont und es ist sichergestellt, dass beim Recycling des Produkts und/oder der Batterie alle Bestimmungen zum Schutz von Gesundheit und Umwelt eingehalten werden.Annexe C Sécurité, manipulation et assistance 167 Unione Europea—informazioni per lo smaltimento: Il simbolo qui sopra significa che, in base alle leggi e alle normative locali, il prodotto e/o la sua batteria dovrebbero essere riciclati separatamente dai rifiuti domestici. Quando il prodotto diventa inutilizzabile, portalo nel punto di raccolta stabilito dalle autorità locali. La raccolta separata e il riciclaggio del prodotto e/o della sua batteria al momento dello smaltimento aiutano a conservare le risorse naturali e assicurano che il riciclaggio avvenga nel rispetto della salute umana e dell’ambiente. Europeiska unionen—information om kassering: Symbolen ovan betyder att produkten och/ eller dess batteri enligt lokala lagar och bestämmelser inte får kastas tillsammans med hushållsavfallet. När produkten har tjänat ut måste den tas till en återvinningsstation som utsetts av lokala myndigheter. Genom att låta den uttjänta produkten och/eller dess batteri tas om hand för återvinning hjälper du till att spara naturresurser och skydda hälsa och miljö. Brasil: Brasil—Informações sobre descarte e reciclagem: O símbolo acima indica que este produto e/ou sua bateria não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando decidir descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o de acordo com as leis e diretrizes ambientais locais. Para informações sobre o programa de reciclagem da Apple, pontos de coleta e telefone de informações, visite www.apple.com/br/environment. Apple et l’environnement Apple est conscient de la responsabilité qui est la sienne de limiter l’impact écologique de ses produits et de son activité sur l’environnement. Pour en savoir plus, consultez la page www.apple.com/fr/environnement.KApple Inc. © 2012 Apple Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, AirPlay, AirPort, AirPort Express, AirPort Extreme, Aperture, Apple TV, Cover Flow, FaceTime, Finder, iBooks, iCal, iLife, iMovie, iPad, iPhone, iPhoto, iPod, iPod touch, iSight, iTunes, Keynote, Mac, Mac OS, Numbers, OS X, Pages, Passbook, Safari, Siri, Spotlight, Time Capsule et le logo Works with iPhone sont des marques d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. AirPrint, EarPods, Flyover, Guided Access, iMessage, le logo Made for iPhone et Multi-Touch sont des marques d’Apple Inc. Apple Store, Genius, iAd, iCloud, iTunes Extras, iTunes Plus et iTunes Store sont des marques de service d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. App Store, iBookstore et iTunes Match sont des marques de service d’Apple Inc. IOS est une marque ou une marque déposée de Cisco aux États-Unis et dans d’autres pays, utilisée ici sous licence. NIKE et le logo Swoosh sont des marques de NIKE, Inc.et ses sociétés affiliées, utilisées ici sous licence. La marque et les logos Bluetooth® sont des marques déposées de Bluetooth SIG, Inc. dont l’utilisation par Apple Inc. est soumise à un accord de licence. Adobe et Photoshop sont des marques ou des marques déposées d’Adobe Systems Incorporated aux États-Unis et/ou dans d’autres pays. Les autres noms de sociétés et de produits mentionnés ici peuvent être des marques de leurs détenteurs respectifs. La mention de produits tiers n’est effectuée qu’à des fins informatives et ne constitue en aucun cas une approbation ni une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité vis- à-vis des performances ou de l’utilisation de ces produits. Tout arrangement, tout contrat ou toute garantie, le cas échéant, est réalisé directement entre les fournisseurs et les futurs utilisateurs. Tous les efforts nécessaires ont été mis en œuvre pour que les informations contenues dans ce manuel soient les plus exactes possible. Apple ne peut être tenu responsable des erreurs d’impression et d’écriture. F019-2344/2012-09-21 Félicitations. Vous et votre MacBook Air êtes faits l’un pour l’autre.Pincer pour zoomer Pivoter les images Faire défiler vers le haut ou vers le bas Afficher Mission Control Naviguer par balayage entre les applications plein écran Cliquez n’importe où Bienvenue sur votre MacBook Air. www.apple.com/fr/macbookair Trackpad multi-touch Utilisez ce type de gestes pour contrôler votre Mac. Centre d’aide gestes facetime Caméra FaceTime intégrée Passez des appels vidéos vers les derniers iPad, iPhone, iPod touch ou Mac. Centre d’aide E/S à haut débit Thunderbolt Connectez des appareil et écrans hautes performances. Centre d’aide thunderbolt MacBook Air Mission Control Une vue d’ensemble sur tout ce qui tourne sur votre Mac. Centre d’aide mission control OS X Lion www.apple.com/fr/macosx Plein écran Affichez les apps en plein écran d’un simple clic. Centre d’aide plein écran Mac App Store Le meilleur moyen de découvrir et télécharger des apps Mac. Centre d’aide launchpad mac app store Launchpad Bénéficiez d’un accès instantané et simplifié à toutes vos apps. Centre d’aide iPhoto Organisez, modifiez et partagez vos photos. Aide iPhoto photos iMovie Transformez vos vidéos perso en films cultes. Aide iMovie film GarageBand Créez des morceaux fabuleux en toute simplicité. Aide GarageBand enregistrement Mail Regroupez vos messages par conversations. Centre d’aide mail HELLO FROM CUPERTINO, CAMission Control Une vue d’ensemble sur tout ce qui tourne sur votre Mac. Centre d’aide mission control OS X Lion www.apple.com/fr/macosx Plein écran Affichez les apps en plein écran d’un simple clic. Centre d’aide plein écran Mac App Store Le meilleur moyen de découvrir et télécharger des apps Mac. Centre d’aide launchpad mac app store Launchpad Bénéficiez d’un accès instantané et simplifié à toutes vos apps. Centre d’aide iPhoto Organisez, modifiez et partagez vos photos. Aide iPhoto photos iMovie Transformez vos vidéos perso en films cultes. Aide iMovie film GarageBand Créez des morceaux fabuleux en toute simplicité. Aide GarageBand enregistrement Mail Regroupez vos messages par conversations. Centre d’aide mail HELLO FROM CUPERTINO, CATable des matières 5 Table des matières Chapitre 1 : Prêt, feu, configurez ! 8 Bienvenue 9 Contenu de la boîte 10 Configuration du MacBook Air 16 Pour obtenir des informations supplémentaires sur votre MacBook Air 20 Extinction ou suspension d’activité de votre MacBook Air Chapitre 2 : Votre MacBook Air au quotidien 24 Caractéristiques de base de votre MacBook Air 26 Fonctionnalités du clavier de votre MacBook Air 28 Ports présents sur votre MacBook Air 30 Utilisation du trackpad multi-touch 34 Fonctionnement de votre MacBook Air sur batterie 35 Comment obtenir des réponses à vos questions6 Table des matières Chapitre 3 : À tout problème sa solution 40 Quelque peu de prévention 41 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre MacBook Air 44 Réparation, restauration et réinstallation du logiciel Mac OS X 50 Problèmes relatifs aux composants matériels 51 Problèmes de connexion à Internet 52 Problèmes avec la communication Wi-Fi 53 Maintien à jour de vos logiciels 54 Informations, services et assistance 57 Localisation du numéro de série de votre produit Chapitre 4 : Dernières recommandations 60 Informations importantes concernant la sécurité 65 Informations importantes sur la manipulation 67 Ergonomie 69 Apple et l’environnement 70 Regulatory Compliance InformationMac Help Migration Assistant www.apple.com/macosx Centre d’aide Assistant migration www.apple.com/fr/macbookair Prêt, feu, configurez ! 18 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Bienvenue Nous vous félicitons pour votre achat d’un MacBook Air. Votre MacBook Air est optimisé pour la portabilité et pour une expérience complètement sans fil. Lisez ce chapitre pour obtenir des conseils sur la configuration et l’utilisation de votre MacBook Air.  Si vous savez que vous n’effectuerez pas de migration d’informations à partir d’un autre Mac ou d’ordinateur Windows (PC) et que vous voulez commencer à utiliser votre MacBook Air tout de suite, vous pouvez suivre les instructions de l’Assistant réglages pour configurer rapidement votre MacBook Air. Pour plus de renseignements, consultez la page 13.  Si vous souhaitez migrer des informations à partir d’un autre Mac ou PC vers votre MacBook Air, vous pouvez utiliser l’Assistant réglages pour définir l’ordinateur à partir duquel vous souhaitez transférer des informations. Pour plus de renseignements, consultez la page 13.  Une fois votre MacBook Air configuré, si vous souhaitez passer du contenu de vos DVD ou CD sur votre MacBook Air, vous pouvez définir un ou plusieurs ordinateurs Mac ou Windows qui fonctionnent en partenariat avec votre MacBook Air. Pour plus de renseignements, consultez la page 16. Vous pouvez parcourir et télécharger des applications gratuites ou achetées dans le Mac App Store et les ouvrir depuis le Launchpad ou le Dock. Important : lisez attentivement toutes les instructions d’installation (et les consignes de sécurité débutant à la page 60) avant d’utiliser votre MacBook Air pour la première fois.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 9 Vous trouverez la plupart des réponses à vos questions concernant votre MacBook Air dans le Centre d’aide. Pour en savoir plus sur l’utilisation du Centre d’aide, consultez la rubrique « Comment obtenir des réponses à vos questions » à la page 35. Apple est susceptible de publier de nouvelles versions et mises à jour de ses logiciels système, il est possible que les images de ce manuel soient légèrement différentes de ce que vous voyez à l’écran. Contenu de la boîte Câble secteur Fiche CA Adaptateur secteur MagSafe de 45 W Important : retirez le film protecteur qui entoure l’adaptateur secteur MagSafe 45 W avant de configurer le MacBook Air.10 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Configuration du MacBook Air Votre MacBook Air est conçu pour pouvoir être configuré rapidement et utilisé immédiatement. Les pages suivantes contiennent des informations qui vous guideront tout au long du processus de configuration, notamment des opérations suivantes :  Le branchement de l’adaptateur secteur MagSafe 45 W.  Activation de votre MacBook Air.  L’utilisation d’Assistant réglages pour accéder à un réseau et configurer un compte utilisateur et d’autres réglages.  La configuration des préférences et du bureau Mac OS X. Étape 1 : Branchez l’adaptateur secteur MagSafe 45 W pour alimenter le MacBook Air et recharger sa batterie. Assurez-vous que la fiche CA est complètement insérée dans l’adaptateur et que les broches de la fiche sont complètement déployées. Branchez la fiche CA de votre adaptateur sur une prise secteur, puis branchez le connecteur MagSafe sur le port secteur MagSafe. En approchant le connecteur MagSafe du port, vous ressentirez la force d’un aimant l’attirant.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 11 ¯ Câble secteur Fiche CA Connecteur MagSafe Port secteur MagSafe Pour augmenter la portée de votre adaptateur secteur, remplacez la fiche CA par le câble d’alimentation secteur fourni. Tirez d’abord sur la fiche CA pour la retirer de l’adaptateur, puis branchez le câble d’alimentation secteur sur l’adaptateur, en vous assurant que tout est branché correctement. Branchez l’autre extrémité sur une prise de courant. Lorsque vous déconnectez l’adaptateur secteur d’une prise de courant ou de l’ordinateur, débranchez la prise et non le câble. Lorsque vous connectez l’adaptateur secteur à votre MacBook Air, un indicateur lumineux sur le connecteur MagSafe s’allume. Une lumière orange indique que la batterie est en charge. Une lumière verte indique que la batterie est complètement chargée. Si aucune lumière n’apparaît, assurez-vous que le connecteur est fermement branché et que l’adaptateur secteur est branché à une prise secteur en fonctionnement.12 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 2 : Appuyez brièvement sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre MacBook Air. Le bouton d’alimentation est situé dans le coin supérieur droit de votre clavier. Votre MacBook Air émet un son lorsqu’il démarre. ® Bouton d’alimentation Le démarrage du MacBook Air prend quelques instants. Après le démarrage, Assistant réglages s’ouvre automatiquement. Si le MacBook Air ne s’allume pas, consultez la page 42.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 13 Étape 3 : Configurez votre MacBook Air à l’aide d’Assistant réglages. La première fois que vous démarrez votre MacBook Air, Assistant réglages se met en route L’Assistant réglages vous aide à définir votre réseau Wi-Fi, configurer un compte utilisateur et transférer des données depuis un autre Mac ou PC. Vous avez également la possibilité transférer des données depuis une sauvegarde Time Machine ou un autre disque. Si vous procédez à une migration depuis un autre Mac, une mise à jour de logiciels peut être nécessaire si l’autre Mac ne dispose pas de Mac OS X version 10.5.3 ou ultérieure. Pour migrer depuis un PC, téléchargez l’Assistant de migration sur la page web www.apple.com/migrate-to-mac et installez-le sur le PC en question. Après avoir démarré Assistant réglages sur votre MacBook Air, vous pouvez l’abandonner en cours d’exécution sans quitter l’application, passer à l’autre ordinateur pour y mettre à jour les logiciels, puis revenir à votre MacBook Air pour terminer la configuration. Remarque : si vous n’utilisez pas Assistant réglages pour transférer des données lors du premier démarrage de votre MacBook Air, vous pourrez le faire ultérieurement. Ouvrez l’Assistant de migration dans le dossier Utilitaires du Launchpad. Pour obtenir de l’aide concernant l’utilisation de l’Assistant de migration, ouvrez le Centre d’aide et recherchez « Assistant de migration ». Pour configurer votre MacBook Air : 1 Dans Assistant réglages, suivez les instructions à l’écran jusqu’à ce que s’affiche « Transférer des données vers ce Mac ». 2 Effectuez une configuration de base, une configuration avec migration ou un transfert de données à partir d’une sauvegarde Time Machine ou d'un autre disque.14 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !  Pour effectuer une configuration de base, sélectionnez « Ne pas transférer maintenant » et cliquez sur Continuer. Suivez le reste des indications à l’écran pour sélectionner votre réseau, configurer un compte puis quitter Assistant réglages.  Pour procéder à une configuration avec migration, sélectionnez « À partir d’un autre Mac ou d’un PC », puis cliquez sur Continuer. Suivez les instructions à l’écran pour sélectionner le Mac ou le PC depuis lequel vous souhaitez migrer des données. Votre Mac ou votre PC doit être connecté au même réseau que votre autre ordinateur. Suivez les instructions à l’écran pour effectuer la migration.  Pour transférer des données depuis une sauvegarde Time Machine ou un autre disque, sélectionnez « À partir d’une sauvegarde Time Machine ou d’un autre disque », puis cliquez sur Continuer. Sélectionnez la copie de sauvegarde ou le disque en question. Suivez les instructions à l’écran. Si vous ne comptez pas conserver ou utiliser votre autre ordinateur, il est préférable de lui retirer son autorisation à lire la musique, les clips vidéo ou les livres audio achetés sur l’iTunes Store. Le retrait de l’autorisation d’accès d’un ordinateur empêche la lecture par un tiers de tout morceau, vidéo ou livre audio acheté et permet de libérer l’autorisation afin qu’elle puisse être utilisée. Pour en savoir plus sur le retrait de l’autorisation d’accès, choisissez Aide iTunes dans le menu Aide de l’application iTunes.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 15 Étape 4 : Personnalisez le bureau Mac OS X et réglez les préférences. Vous pouvez personnaliser l’apparence du bureau en quelques clics à l’aide des Préférences Système, le centre de commandes où se trouvent la plupart des réglages de votre MacBook Air. Choisissez Pomme () > Préférences Système à partir de la barre des menus ou cliquez sur l’icône Préférences Système dans le Dock. Barre des menus Menu Aide Icône de recherche de Spotlight Icône du Finder Icône des Préférences Système Dock16 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Important : vous pouvez configurer une option permettant de réinitialiser votre mot de passe dans les préférences Utilisateurs et groupes au cas où vous oubliez votre mot de passe de connexion. Pour obtenir de l’aide concernant les Préférences Système, ouvrez le Centre d’aide et recherchez « Préférences Système » ou la préférence pour laquelle vous souhaitez obtenir des informations. Pour obtenir des informations supplémentaires sur votre MacBook Air Votre MacBook Air est fourni avec plusieurs applications préinstallées, notamment la suite iLife. De nombreuses autres applications peuvent être téléchargées depuis le Mac App Store ou Internet. Si vous souhaitez installer des applications tierces à partir de CD ou de DVD, vous pouvez :  Installer des applications sur votre MacBook Air ou partager des données à l’aide du lecteur de disque optique d’un autre ordinateur Mac ou PC (si le partage de DVD ou de CD est configuré et activé). Pour plus de renseignements, consultez la rubrique suivante.  Connectez un lecteur MacBook Air SuperDrive (lecteur de disque optique USB externe disponible séparément à la page www.apple.com/fr/store) au port USB de votre MacBook Air et insérez-y votre disque d’installation. Configuration du partage de CD ou DVD Vous pouvez créer un « partenariat » entre votre MacBook Air et un autre ordinateur Mac ou PC équipé d’un lecteur de disque optique et situé sur le même réseau câblé ou sans fil. Utilisez cet autre ordinateur pour :Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 17  Migrez des données vers votre MacBook Air une fois la configuration effectuée à l’aide de l’Assistant de migration (pour en savoir plus sur l’utilisation de l’Assistant de migration, ouvrez le Centre d’aide et recherchez « Assistant de migration »).  Partagez le contenu de DVD ou de CD ou installer des applications (voir la section suivante). L’ordinateur équipé du lecteur optique peut être un Mac disposant de Mac OS X 10.4.11 ou ultérieur ou un ordinateur exécutant Windows 7, Windows XP ou Windows Vista. Si le Mac dispose de Mac OS X 10.5.3 ou d’une version ultérieure, Partage de CD ou DVD est déjà installé. Vous pouvez créer des « partenariats » avec plusieurs ordinateurs, mais vous pouvez utiliser seulement un ordinateur partenaire à la fois. Ordinateur Mac ou Windows MacBook Air Si l’autre ordinateur est un PC ou un Mac avec une version Mac OS X antérieure à 10.5.3, téléchargez le logiciel de configuration du partage de DVD ou de CD pour votre ordinateur partenaire.18 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !  Si l’autre ordinateur est un PC, allez à la page web support.apple.com/kb/DL112_?viewlocale=fr_FR et téléchargez le logiciel de configuration du partage de DVD ou de CD pour l’installation sous Windows. Si l’autre ordinateur est un Mac exécutant Mac OS X 10.4.11-10.5.2, allez à la page web support.apple.com/kb/DL113_?viewlocale=fr_FR et téléchargez le logiciel de configuration du partage de DVD ou de CD pour l’installation sous Mac OS X. Une fois le logiciel téléchargé, suivez les instructions des étapes présentées dans la section suivante pour activer le partage de DVD ou de CD ou consultez les instructions détaillées sur la page web support.apple.com/kb/HT1777?viewlocale=fr_FR. Important : après avoir installé le paquet Configuration du partage de CD ou DVD sur votre autre Mac, assurez-vous que vous disposez de la dernière version disponible du logiciel, en choisissant Apple () > Mise à jour de logiciels. Installez toutes les mises à jour de logiciels Mac OS X disponibles. Partage de disque grâce au partage de CD ou de DVD Vous pouvez activer le partage de CD ou de DVD sur un Mac ou un PC pour utiliser la fonctionnalité Disque distant de votre MacBook Air. Le disque distant vous permet de partager les disques que vous insérez dans le lecteur de disque optique de l’autre ordinateur. Certains disques, notamment les DVD ou les disques de jeu, peuvent être protégés en copie et donc inutilisables par le biais du partage de CD ou DVD. Assurez-vous d’avoir configuré le partage de CD ou de DVD sur tout ordinateur Mac ou Windows avec lequel vous souhaitez créer un partenariat. Pour plus de renseignements, consultez la page 16.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 19 Pour activer le partage de CD ou DVD, si l’autre ordinateur est un Mac : 1 Assurez-vous que votre MacBook Air et l’autre Mac sont sur le même réseau sans fil. Sur l’autre Mac, choisissez Pomme () > Préférences Système puis ouvrez Partage. 2 Dans le panneau Partage, sélectionnez « Partage DVD ou CD » dans la liste des services. Si vous souhaitez que les autres utilisateurs doivent demander la permission d’utiliser un DVD ou CD que vous partagez, cochez la case « Me demander avant d’autoriser l’utilisation de mon lecteur DVD ». Pour activer le partage de CD ou de DVD, si l’autre ordinateur est un PC : 1 Assurez-vous que votre MacBook Air et l’ordinateur Windows sont connectés au même réseau sans fil. 2 Sur l’ordinateur Windows, ouvrez le panneau de configuration Partage DVD ou CD. 3 Sélectionnez « Activer le DVD ou le CD à distance » Si vous souhaitez que les autres utilisateurs doivent demander la permission d’utiliser un DVD ou CD que vous partagez, cochez la case « Me demander avant d’autoriser l’utilisation de mon lecteur DVD ».20 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Pour utiliser un DVD ou CD partagé : 1 Sur l’autre ordinateur, insérez un DVD ou un CD dans le lecteur de disque optique. 2 Sur votre MacBook Air, sélectionnez le disque distant lorsqu’il apparaît dans Appareils dans la barre latérale du Finder. Si le bouton « Demander à utiliser » apparaît, cliquez dessus. 3 Sur l’autre ordinateur, lorsque vous y êtes invité, cliquez sur Accepter pour autoriser votre MacBook Air à utiliser le DVD ou CD. 4 Sur votre MacBook Air, utilisez le disque de la manière habituelle lorsqu’il devient disponible. Si vous essayez d’éteindre l’autre ordinateur ou d’éjecter le DVD ou le CD partagé pendant que votre MacBook Air l’utilise, un message vous indique que le disque est en cours d’utilisation. Pour continuer, cliquez sur Continuer. Extinction ou suspension d’activité de votre MacBook Air Lorsque vous avez terminé de travailler avec le MacBook Air, suspendez son activité ou éteignez-le. Suspension de l’activité de votre MacBook Air Suspendez l’activité de votre MacBook Air si vous ne comptez vous en éloigner que quelques instants. Vous pourrez ensuite le réactiver rapidement sans avoir à le redémarrer. Pour suspendre l’activité de votre MacBook Air, procédez de l’une des manières suivantes :  Rabattez l’écran.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 21  Choisissez Pomme () > Suspendre l’activité, dans la barre des menus.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et cliquez sur Suspendre l’activité dans la zone de dialogue qui s’affiche.  Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, cliquez sur Économiseur d’énergie et définissez un délai pour la minuterie de mise en veille. Pour réactiver le MacBook Air :  Si l’écran est fermé, il suffit de l’ouvrir pour réactiver votre MacBook Air.  Si l’écran est déjà ouvert, appuyez sur le bouton d’alimentation (®) ou sur l’une des touches du clavier. À la réactivation de votre MacBook Air, vos applications, documents et réglages sont conservés tels que vous les aviez laissés. Extinction de votre MacBook Air Si vous prévoyez de ne pas utiliser votre MacBook Air pendant une période prolongée, il est préférable de l’éteindre. Pour éteindre le MacBook Air, procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez Pomme () > Éteindre dans la barre des menus.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et cliquez sur Éteindre dans la zone de dialogue qui apparaît. Si vous comptez ranger votre MacBook Air pour une durée prolongée, consultez la rubrique « Informations importantes sur la manipulation » à la page 65 afin d’obtenir des informations sur les mesures à prendre pour éviter que votre batterie ne se décharge complètement.www.apple.com/macosx Centre d’aide Mac OS X www.apple.com/fr/macosx Votre MacBook Air au quotidien 224 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien Caractéristiques de base de votre MacBook Air Batterie (intégrée) Lampe témoin de la caméra Caméra FaceTime Haut-parleurs stéréo (sous le clavier) TrackpadChapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 25 Caméra FaceTime intégrée et lampe témoin de la caméra Utilisez l’application FaceTime comprise pour effectuer des appels vidéo avec d’autres utilisateurs FaceTime (sur n’importe quel iPhone 4, iPad 2, iPod de nouvelle génération ou Mac disposant de FaceTime), prenez des photos avec Photo Booth ou enregistrez des vidéos avec iMovie. La lampe témoin s’illumine lorsque la caméra FaceTime est en cours de fonctionnement. Haut-parleurs stéréo intégrés Permettent d’écouter de la musique, des films, des jeux et d’autres types de données multimédias. Batterie rechargeable intégrée Utilisez la batterie lorsque vous n’êtes pas à proximité d’une prise de courant. Trackpad Vous pouvez cliquer ou double-cliquer n’importe où sur le trackpad. Touchez le trackpad avec un ou plusieurs doigts pour déplacer le pointeur ou utiliser les gestes Multi-Touch (voir la page 30).26 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien Fonctionnalités du clavier de votre MacBook Air Touche de fonction (Fn) Touche Silence Touches multimédias Bouton d’alimentation Touche Mission Control Touche Launchpad Touches de réglage du volume Touches de réglage de la luminosité Touches d’illumination du clavierChapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 27 Touche de fonction (Fn) Appuyez sur cette touche et maintenez-la enfoncée pour activer les actions personnalisées attribuées aux touches de fonction (F1 à F12). Pour découvrir comment personnaliser les touches de fonction, recherchez « touches de fonction » dans le Centre d’aide. Touches de réglage de la luminosité (F1, F2) Permettent d’augmenter ( ) ou de réduire ( ) la luminosité de l’écran. Touche Mission Control Ouvrez Mission Control pour obtenir une vue détaillée des applications exécutées sur votre MacBook Air, y compris le Dashboard, tous vos Spaces et toutes les fenêtre ouvertes. Touche Launchpad (F4) Ouvrez Launchpad pour voir instantanément toutes les applications sur votre MacBook Air. Cliquez sur une application pour l’ouvrir. o Touches d’illumination du clavier (F5, F6) Permettent d’augmenter (o) ou de diminuer (ø) la luminosité de l’éclairage du clavier. ’ Touches multimédias (F7, F8, F9) Vous permettent de rembobiner ( ), de lire ou de mettre en pause (’), ou encore d’effectuer une avance rapide ( ) dans un morceau, une vidéo ou un diaporama. — Touche Silence (F10) Permet de désactiver le son provenant des haut-parleurs intégrés et du port de sortie casque. - Touches de réglage du volume (F11, F12) Permettent d’augmenter (-) ou de baisser (–) le volume du son provenant des haut-parleurs intégrés ou du port de sortie casque. ® Bouton d’alimentation Permet d’allumer ou d’éteindre votre MacBook Air ou d’en suspendre l’activité.28 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien Ports présents sur votre MacBook Air d Port USB 2.0 d Port USB 2.0 Microphone ¯Port d’adaptateur secteur MagSafe f Port casque Port ThunderboltChapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 29 ¯ Port d’adaptateur secteur MagSafe Branchez l’adaptateur secteur MagSafe 45 W (inclus) pour recharger la batterie du MacBook Air. d Ports USB (Universal Serial Bus) 2.0 Connectez un MacBook Air SuperDrive, un adaptateur USB-Ethernet, un iPod, un iPhone, une souris, un clavier, une imprimante, une lecteur de disques, un appareil photo numérique, une manette de jeux, un modem et bien plus à votre MacBook Air. f Port casque Branchez des haut-parleurs externes ou un casque audio. Microphone intégré Capturez des sons avec le micro (situé sur le côté gauche, à côté du port casque) ou discutez avec des amis au moyen de l’application FaceTime fournie. Port Thunderbolt (données haute-vitesse, vidéo et audio) Connectez des appareils prenant en charge la technologie Thunderbolt pour bénéficier d’un transfert de données à haute-vitesse ou connectez un écran externe au moyen d’un port Mini Display. Vous pouvez acheter des adaptateur pour brancher des écrans à l’aide de connecteurs DVI, HDMI ou VGA. Remarque : les adaptateurs et autres accessoires sont vendus séparément sur www.apple.com/fr/store et dans votre magasin Apple Store.30 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien Utilisation du trackpad multi-touch Le trackpad vous permet de déplacer le pointeur et de réaliser divers gestes multitouch. Contrairement aux trackpads habituels, celui du MacBook Air fonctionne comme un bouton en vous permettant de cliquer n’importe où sur sa surface. Pour activer les gestes multi-touch, visionnez les vidéos d’instruction à propos des gestes et définissez d’autres options pour le trackpad, choisissez Apple () > Préférences Système, puis cliquez sur Trackpad. Voici différentes manières d’utiliser le trackpad de votre MacBook Air.  Le défilement à deux doigts vous permet de faire défiler rapidement vers le haut, vers le bas ou vers les côtés dans la fenêtre active.Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 31  Un clic secondaire ou « clic droit » vous permet d’accéder aux commandes du menu local. • Pour configurer le clic secondaire à deux doigts n’importe où sur le trackpad, sélectionnez Clic secondaire dans la sous-fenêtre Pointer et cliquer des Préférences Trackpad. • Pour configurer une zone de clic secondaire à un doigt dans le coin inférieur gauche ou droit du trackpad, sélectionnez Clic secondaire dans la sous-fenêtre Pointer et cliquer des Préférences Trackpad. Zone de clic secondaire Remarque : vous pouvez également effectuer un clic secondaire en maintenant enfoncée la touche Contrôle tout en cliquant.32 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien Les commandes tactiles suivantes fonctionnent dans certaines applications. Lorsque vous les exécutez, faites glisser vos doigts doucement sur la surface du trackpad. Pour plus de renseignements, consultez les Préférences Trackpad ou choisissez Aide > Centre d’aide et recherchez le terme « trackpad ».  Le pincement à deux doigts vous permet d’effectuer un zoom avant ou arrière sur des fichiers PDF, des images, des photos, etc.  La rotation à deux doigts vous permet de faire pivoter photos, pages et autres éléments.Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 33  Le balayage à trois doigts fonctionne dans le Finder et dans toutes les applications. En balayant trois doigts vers la droite ou la gauche, vous pouvez naviguer parmi les applications plein-écran. Le balayage à trois doigts vers le haut ouvre Mission Control. Vous avez la possibilité de configurer ces options pour les utiliser avec quatre doigts.  Le pincement à quatre doigts affiche le Launchpad lorsque vous rapprochez votre pouce et trois doigts. Écarter les mêmes doigts pour revenir au bureau.34 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien Remarque : vous avez la possibilité de configurer d’autres fonctionnalités pour plusieurs gestes. Pour en savoir plus sur les gestes disponibles, sélectionnez Apple () > Préférences Système, puis cliquez sur Trackpad. Cochez les cases pour activer les gestes et parcourez les menus locaux pour découvrir les options existantes pour chaque geste. Fonctionnement de votre MacBook Air sur batterie Lorsque l’adaptateur secteur MagSafe n’est pas branché, le MacBook Air est alimenté par sa batterie intégrée. L’autonomie du MacBook Air varie en fonction des applications utilisées et des périphériques externes qui sont connectés à votre MacBook Air. La désactivation de fonctions comme le Wi-Fi ou la technologie sans fil Bluetooth® et la réduction de la luminosité de l’écran peuvent contribuer à économiser la batterie. De nombreuses Préférences Système sont automatiquement réglées pour optimiser l’autonomie de la batterie. Recharge de la batterie Pour déterminer si la batterie a besoin d’être rechargée, observez le témoin lumineux du connecteur MagSafe. Si le témoin est orange, la batterie a besoin d’être rechargée. Si le témoin est vert, la batterie est complètement chargée.Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 35 Vous pouvez également vérifier la charge actuelle de la batterie en observant l’icône d’état de la batterie ( ) située dans la barre des menus. Le niveau affiché dépend de la quantité d’énergie restant dans la batterie, mais aussi des applications et des périphériques en cours d’utilisation, ainsi que des réglages actuels de votre système. Pour disposer de plus d’énergie, fermez des applications, déconnectez les périphériques non utilisés et réglez la fonction d’Économiseur d’énergie. Pour en savoir plus sur l’économie de la batterie et obtenir des astuces pour améliorer ses performances, consultez la page www.apple.com/fr/batteries/notebooks.html. Lorsque l’adaptateur secteur fourni avec le MacBook Air est branché, la batterie se recharge, que l’ordinateur soit éteint, allumé ou en suspension d’activité. La recharge sera toutefois plus rapide si l’ordinateur est éteint ou en veille. La batterie de votre MacBook Air peut être remplacée uniquement par un fournisseur de services agréé d’Apple ou dans un Apple Store. Comment obtenir des réponses à vos questions De plus amples informations sur l’utilisation de votre MacBook Air sont disponibles dans le Centre d’aide et sur Internet, à l’adresse www.apple.com/fr/support/macbookair. Pour obtenir de l’aide du Centre d’aide : 1 Cliquez sur l’icône du Finder dans le Dock (la barre d’icônes située au bord de l’écran).36 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 2 Cliquez sur le menu Aide dans la barre de menus et effectuez une des actions suivantes :  Tapez une question ou un terme dans le champ de recherche puis sélectionnez un sujet dans la liste de résultats ou sélectionnez « Afficher tous les résultats » pour voir toutes les rubriques.  Choisissez Centre d’aide pour ouvrir la fenêtre Centre d’aide dans laquelle vous pouvez parcourir les sujets ou effectuer des recherches. Informations supplémentaires Pour en savoir plus sur l’utilisation de votre MacBook Air, consultez le tableau suivant : Pour obtenir des informations sur : Voir Le dépannage de votre MacBook Air en cas de problème Le chapitre 3, « À tout problème sa solution » à la page 39. L’obtention de services et d’assistance pour votre MacBook Air « Informations, services et assistance » à la page 54. Vous pouvez également consulter le site web d’assistance Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support/macbookair. Utilisation de Mac OS X Le site web de Mac OS X à l’adresse www.apple.com/fr/macosx. ou recherchez « Mac OS X » dans le Centre d’aide. Migration depuis un PC vers un Mac « Pourquoi vous adorerez le Mac » à l’adresse www.apple.com/fr/getamac/whyamac. Assistant de migration Dans le Centre d’aide, recherchez « Assistant de migration ».Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 37 Pour obtenir des informations sur : Voir Utilisation des applications iLife Le site web d’iLife à la page www.apple.com/fr/ilife. Vous pouvez aussi ouvrir une application iLife, puis ouvrir l’Aide de l’application et saisir une question ou un terme dans le champ de recherche. La modification des Préférences Système Préférences Système en choisissant Apple (K) > Préférences Système. Vous pouvez également rechercher « préférences système » dans l’Aide Mac. Utilisation du trackpad Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Trackpad. Utilisation du clavier Dans le Centre d’aide, recherchez « clavier ». Utilisation de la caméra FaceTime Dans le Centre d’aide, recherchez « caméra ». Utilisation de la technologie Wi-Fi Dans le Centre d’aide, recherchez « wi-fi ». Utilisation de la technologie sans fil Bluetooth Le site web d’assistance Bluetooth à l’adresse www.apple.com/fr/support/bluetooth. Vous pouvez également ouvrir l’application « Échange de fichiers Bluetooth » (qui se trouve dans le dossier Utilitaires du dossier Applications), puis choisir Aide > Aide Bluetooth. L’entretien de la batterie Dans le Centre d’aide, recherchez « batterie ». Connexion d’une imprimante Dans le Centre d’aide, recherchez « impression ». Connexions USB Dans le Centre d’aide, recherchez « USB ». Connexion à Internet Dans le Centre d’aide, recherchez « Internet ». Utilisation du port Thunderbolt Dans le Centre d’aide, recherchez « Thunderbolt ».38 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien Pour obtenir des informations sur : Voir Connexion d’un moniteur externe Dans le Centre d’aide, recherchez « port affichage ». Caractéristiques Le site web des spécifications, à l’adresse support.apple.com/ specs (en anglais). Vous pouvez également ouvrir Informations Système en choisissant le menu Pomme (K) > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis en cliquant sur Plus d’infos. Actualités Apple Le site web d’Apple à l’adresse www.apple.com/fr. Téléchargements de logiciel Le Mac App Store (choisissez Apple (K) > App Store ou cliquez sur l’icône de l’App Store dans le Dock). Instructions, l’assistance technique et les manuels des produits Apple Le site web d’assistance Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support.www.apple.com/macosx Centre d’aide aide www.apple.com/fr/support À tout problème sa solution 340 Chapitre 3 À tout problème sa solution Vous pouvez rencontrer, à titre exceptionnel, des problèmes en utilisant le MacBook Air. Lisez la suite pour obtenir des conseils de dépannage utiles en cas de problème. Vous trouverez aussi des informations supplémentaires concernant le dépannage dans le Centre d’aide et sur le site web d’assistance consacré au MacBook Air, à l’adresse www.apple.com/fr/support/macbookair. Il existe généralement une solution simple et rapide aux problèmes qui peuvent survenir au cours de l’utilisation de votre MacBook Air. Réfléchissez aux conditions qui ont entraîné l’apparition de ce problème. Ce récapitulatif de la totalité des opérations effectuées avant que le problème ne survienne permet de restreindre les causes possibles et de trouver la solution. Les éléments à noter comprennent :  les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu (les problèmes qui n’apparaissent qu’avec une application spécifique peuvent indiquer que cette application n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur votre MacBook Air) ;  les nouveaux logiciels installés, notamment ceux qui ont ajouté des éléments à votre dossier Système. Quelque peu de prévention Si vous rencontrez un problème avec votre ordinateur ou votre logiciel, posséder des copies de sauvegarde Time Machine à jour est la garantie de ne perdre aucune donnée. Si vous réalisez des sauvegardes Time Machine régulières, vous avez la possibilité de restaurer votre logiciel et toutes vos données pour les récupérer exactement au même état que lors de la sauvegarde. Même des problèmes importants ne sont plus une source de préoccupation si vous sauvegardez vos données au moyen de Time Machine.Chapitre 3 À tout problème sa solution 41 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre MacBook Air Si votre MacBook Air ne répond plus ou que le pointeur se fige Il peut arriver, très rarement, qu’une application se « fige » à l’écran. Mac OS X permet de quitter une application figée sans redémarrer votre ordinateur. Pour forcer une application à se fermer : 1 Appuyez sur les touches Commande (x) + Option + Échap ou choisissez le menu Pomme () > Forcer à quitter dans la barre des menus. La boîte de dialogue « Forcer à quitter des applications » apparaît. L’application est sélectionnée. 2 Cliquez sur Forcer à quitter. L’application se ferme, en laissant toutes les autres applications ouvertes. Si nécessaire, vous pouvez également redémarrer le Finder à partir de cette zone de dialogue. Puis, redémarrez votre MacBook Air pour vous assurer que le problème est tout à fait résolu. Si le problème survient fréquemment, choisissez Aide > Centre d’aide dans la barre des menus en haut de l’écran. Recherchez le mot « bloquer » pour obtenir de l’aide en cas de blocage ou d’absence de réponse de l’ordinateur. Si le problème ne survient que lorsque vous utilisez une application particulière, vérifiez auprès de son éditeur qu’elle soit compatible avec votre MacBook Air. Pour obtenir des informations relatives aux logiciels fournis avec votre MacBook Air, consultez la page www.apple.com/guide.42 Chapitre 3 À tout problème sa solution Si vous savez qu’une application est compatible, vous devrez peut-être réinstaller l’application. Si le MacBook Air se bloque au démarrage, si un point d’interrogation clignotant apparaît ou si l’écran est éteint. Le point d’interrogation clignotant signifie généralement que votre MacBook Air ne parvient pas à localiser le logiciel système dans la mémoire flash interne ou sur tout disque externe relié à l’ordinateur. Patientez quelques secondes. Si votre MacBook Air ne démarre toujours pas, éteignezle en appuyant sur le bouton d’alimentation (®) et en le maintenant enfoncé pendant 8 à 10 secondes. Débranchez tous les périphériques externes puis tentez de redémarrer l’ordinateur en appuyant sur le bouton d’alimentation (®) tout en maintenant la touche Option enfoncée. Lorsque votre MacBook Air démarre, cliquez sur l’icône du disque dur, puis sur la flèche droite. Une fois que l’ordinateur a démarré, ouvrez Préférences Système et cliquez sur Démarrage. Sélectionnez un dossier système local de Mac OS X. Si votre MacBook Air ne s’allume ou ne démarre pas Tentez les opérations suivantes dans l’ordre jusqu’à ce que votre MacBook Air s’allume :  Assurez-vous que l’adaptateur secteur est connecté à votre MacBook Air et branché sur une prise de courant en état de marche. Veillez à utiliser l’adaptateur secteur MagSafe 45 W fourni avec le MacBook Pro. Si l’adaptateur secteur ne recharge plus l’ordinateur et que la lampe témoin de l’adaptateur secteur ne s’allume pas lorsque vous branchez le câble d’alimentation, essayez de le débrancher puis de le brancher à nouveau afin de le positionner correctement.Chapitre 3 À tout problème sa solution 43  Vérifiez si votre batterie a besoin d’être rechargée. Si le témoin de l’adaptateur secteur est orange, la batterie se recharge. Voir la rubrique « Recharge de la batterie » à la page 34.  Si le problème persiste, réinitialisez les réglages d’alimentation de votre MacBook Air (tout en conservant vos fichiers) en appuyant sur les touches Maj, Option gauche et Contrôle gauche tout en maintenant simultanément le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant cinq secondes jusqu’au redémarrage de l’ordinateur.  Appuyez puis relâchez le bouton d’alimentation (®) et maintenez immédiatement enfoncé les touches Commande (x), Option, P et R simultanément jusqu’à ce que vous entendiez à nouveau le son de démarrage de l’ordinateur. Cette action réinitialise la mémoire PRAM (RAM des paramètres).  Si vous ne parvenez toujours pas à démarrer le MacBook Air, consultez la rubrique « Informations, services et assistance » à la page 54 qui contient les informations nécessaires pour prendre contact avec Apple. Si l’écran devient subitement noir ou que votre MacBook Air se bloque Essayez de redémarrer votre MacBook Air. 1 Débranchez tout périphérique connecté à votre MacBook Air excepté l’adaptateur secteur. 2 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour redémarrer le système. 3 Le niveau de charge de la batterie doit atteindre au moins 10 pour cent avant la connexion d’un périphérique et la reprise du travail. Pour vérifier le niveau de charge de la batterie, observez l’icône d’état de la batterie ( ) située dans la barre des menus.44 Chapitre 3 À tout problème sa solution L’écran pourrait également s’assombrir si les fonctions d’économie d’énergie de la batterie sont en place. Si votre MacBook Air ne parvient pas à se connecter au lecteur de disque optique d’un autre ordinateur Pour utiliser des services tels que l’Assistant Migration, le Partage de CD ou DVD et le partage de musique dans iTunes, votre MacBook Air et l’autre ordinateur doivent être connectés au même réseau. Si votre MacBook Air est connecté sans fil et que l’autre ordinateur est connecté à un routeur tiers par Ethernet, vérifiez la documentation de votre routeur pour vérifier qu’il peut gérer le pontage entre connexions avec et sans fil. Réparation, restauration et réinstallation du logiciel Mac OS X Si vous rencontrez un problème avec le logiciel ou le matériel Mac, Mac OS X possède des utilitaires de réparation et de restauration qui permettent d’éliminer les problèmes et de restaurer votre logiciel aux réglages d’origine. Vous pouvez accéder à ces utilitaires dans l’application Utilitaires de Mac OS X, même si votre ordinateur ne démarre pas correctement.Chapitre 3 À tout problème sa solution 45 Vous pouvez utiliser cette application Mac OS X pour :  réparer le disque de votre ordinateur à l’aide d’Utilitaire de disque ;  restaurer votre logiciel et vos données à partir d’une sauvegarde Time Machine ;46 Chapitre 3 À tout problème sa solution  réinstaller Mac OS X et les applications Apple ;  restaurer votre ordinateur aux réglages d’origine en effaçant le disque et en réinstallant Mac OS X et vos applications Apple. Si votre ordinateur détecte un problème, l’application Utilitaires de Mac OS X s’ouvre automatiquement. Vous pouvez également l’ouvrir manuellement en redémarrant votre ordinateur. Pour ouvrir l’application Utilitaires de Mac OS X : m redémarrez votre ordinateur en maintenant les touches Commande (x) et R enfoncées ; la sous-fenêtre Mac OS X s’affiche. Important : si l’application Utilitaires de Mac OS X ne s’ouvre pas après le redémarrage, maintenez les touches Commande (x) +Option + R enfoncées et redémarrez l’ordinateur pour accéder à Utilitaires depuis Internet. Votre ordinateur doit être connecté à un réseau possédant un accès à Internet. Certains utilitaires de l’application Utilitaires de Mac OS X requièrent un accès à Internet et au Mac App Store. Il peut être nécessaire de vérifier que votre ordinateur est connecté à Internet en utilisant un réseau Ethernet ou Wi-Fi. Pour vous connecter via un réseau Wi-Fi : 1 choisissez un réseau dans le menu d’état Wi-Fi situé dans le coin supérieur droit de l’écran. 2 Si nécessaire, saisissez le mot de passe du réseau. Pour vous connecter à un réseau privé, choisissez « Se connecter à un autre réseau… ». Saisissez le nom et le mot de passe du réseau.Chapitre 3 À tout problème sa solution 47 Réparation d’un disque avec Utilitaire de disque Si vous rencontrez un problème avec votre ordinateur ou si vous démarrez votre ordinateur et que l’application Utilitaires de Mac OS X s’affiche, il se peut que vous deviez réparer le disque de votre ordinateur. 1 Sélectionnez Utilitaire de disque dans la sous-fenêtre Utilitaires de Mac OS X et cliquez sur Continuer. 2 Sélectionnez le disque ou la partition dans liste sur la gauche, puis cliquez sur l’onglet S.O.S. 3 Cliquez sur Réparer le disque. Si Utilitaire de disque ne parvient pas à réparer le disque, sauvegardez toutes les données possibles, puis suivez les instructions fournies dans « Réinstallation de Mac OS X et des applications Apple » à la page 48. Pour plus d’informations à propos d‘Utilitaire de disque et de ses options, consultez le Centre d’aide ou ouvrez Utilitaire de disque (dans le dossier Utilitaires du Launchpad) et choisissez Aide > Aide Utilitaire de disque. Restauration des données à l’aide d’une sauvegarde Time Machine Si vous possédez une sauvegarde Time Machine, utilisez l’utilitaire Restaurer pour ramener tout le contenu de votre ordinateur à son état précédent. Utilisez votre sauvegarde Time Machine pour restaurer des données sur l’ordinateur depuis lequel la sauvegarde a été effectuée. Si vous souhaitez transférer des données vers un autre ordinateur, faites-le au moyen de l’Assistant de migration (dans le sousdossier Utilitaires du Launchpad).48 Chapitre 3 À tout problème sa solution 1 Si votre copie de sauvegarde est conservée sur une Time Capsule, assurez-vous d’être connecté à un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions de la page 46.) 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires de Mac OS X, sélectionnez « Restaurer à partir d’une sauvegarde Time Machine » et cliquez sur Continuer. 3 Sélectionnez le disque contenant la sauvegarde Time Machine, puis suivez les instructions à l’écran. Réinstallation de Mac OS X et des applications Apple Il est possible, dans certains cas, que vous deviez réinstaller Mac OS X et les applications Apple. Vous pouvez le faire tout en conservant vos fichiers et réglages intacts. 1 Assurez-vous que votre MacBook Air est connecté à Internet en utilisant un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions de la page 46.) 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires de Mac OS X, sélectionnez « Réinstaller Mac OS X » et cliquez sur Continuer. 3 Dans la sous-fenêtre où vous êtes invité à sélectionner un disque, choisissez votre disque Mac OS X (dans la plupart des cas, il s’agit du seul disque disponible). 4 Pour sélectionner ou annuler la sélection de logiciels facultatifs, cliquez sur Personnaliser. 5 Cliquez sur Installer. Vous avez la possibilité d’installer Mac OS X sans effacer le disque, en conservant vos fichiers et vos réglages, ou d’effacer le disque avant l’installation, ce qui supprime toutes vos données.Chapitre 3 À tout problème sa solution 49 Une fois Mac OS X installé, vous pouvez vous rendre dans le Mac App Store et retélécharger vos applications Apple. Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données du disque avant de procéder à la restauration des logiciels. Apple décline toute en cas de perte de données. Rétablissement des réglages d’origine de l’ordinateur Lorsque vous rétablissez les réglages d’origine de l’ordinateur, toutes les données que celui-ci contient (comptes, réglages réseau, fichiers et dossiers) sont supprimées. Avant de rétablir les réglages d’origine, faites une copie de sauvegarde de tous les fichiers que vous souhaitez conserver sur un autre disque. Notez quels sont vos réglages réseau dans Préférences Réseau pour vous connecter plus facilement après avoir réinstallé Mac OS X. 1 Assurez-vous que votre MacBook Air est connecté à Internet en utilisant un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions de la page 46.) 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires de Mac OS X, sélectionnez Utilitaire de disque et cliquez sur Continuer. 3 Sélectionnez le disque ou la partition dans liste sur la gauche, puis cliquez sur l’onglet Effacer. 4 Sélectionnez « Mac OS étendu (journalisé) » dans le menu local Format, puis saisissez un nom pour le disque et cliquez sur Effacer. 5 Une fois le disque effacé, choisissez Utilitaire de disque > « Quitter Utilitaire de disque ». 6 Dans la sous-fenêtre Utilitaires de Mac OS X, sélectionnez « Réinstaller Mac OS X » et cliquez sur Continuer.50 Chapitre 3 À tout problème sa solution 7 Pour réinstaller Mac OS X et vos applications, suivez les instructions du programme d’installation de Mac OS X. Après avoir restauré Mac OS X et vos applications Apple, vous pouvez choisir de restaurer vos autres données et applications depuis une sauvegarde Time Machine. Problèmes relatifs aux composants matériels Si vous pensez être en présence d’un problème lié aux composants matériels du MacBook Air, tels que la mémoire ou le processeur, vous pouvez utiliser l’application Apple Hardware Test pour savoir si c’est le cas. Pour utiliser Apple Hardware Test, procédez comme indiqué à continuation. 1 Débranchez tout périphérique connecté à votre MacBook Air excepté l’adaptateur secteur. 2 Redémarrez votre MacBook Air tout en maintenant enfoncée la touche D. 3 Lorsque l’écran principal d’Apple Hardware Test s’affiche, sélectionnez la langue que vous voulez utiliser. 4 Appuyez sur la touche Retour ou cliquez sur le bouton Flèche droite. 5 Lorsque l’écran principal Apple Hardware Test apparaît (environ 45 secondes plus tard), suivez les instructions affichées à l’écran. 6 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple Hardware Test ne détecte pas de panne matérielle, il est probable que le problème soit lié aux logiciels.Chapitre 3 À tout problème sa solution 51 Important : si l’application Apple Hardware Test ne s’ouvre pas après le redémarrage, maintenez les touches Option + D enfoncées et redémarrez l’ordinateur pour accéder à Apple Hardware Test depuis Internet. Votre ordinateur doit être connecté à un réseau possédant un accès à Internet. Problèmes de connexion à Internet Le MacBook Air est équipé de l’application Assistant réglages réseau, destinée à vous aider à configurer une connexion à Internet. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. Cliquez sur le bouton « Assistant » pour ouvrir Assistant réglages réseau. Si vous rencontrez des problèmes avec votre connexion Internet, essayez d’utiliser Diagnostics réseau. Pour utiliser Diagnostic réseau : 1 choisissez le menu Pomme () > Préférences Système ; 2 cliquez sur Réseau puis cliquez sur « Assistant » ; 3 cliquez sur Diagnostic pour lancer Diagnostic réseau ; 4 suivez les instructions à l’écran. Si Diagnostic réseau n’est pas en mesure de résoudre le problème, celui-ci se situe peut-être au niveau du fournisseur d’accès à Internet auquel vous essayez de vous connecter, du périphérique externe utilisé pour la connexion au fournisseur d’accès à Internet ou du serveur auquel vous essayez d’accéder.52 Chapitre 3 À tout problème sa solution Si vous disposez de plusieurs ordinateurs partageant une connexion à Internet, assurezvous que votre réseau sans fil est correctement configuré. Vous devez savoir si votre FAI fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque ordinateur. Si une seule adresse IP est fournie, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion ; on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage d’adresses IP. Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre réseau. Vous pouvez utiliser une borne d’accès AirPort pour partager une adresse IP unique entre plusieurs ordinateurs. Pour obtenir plus d’informations sur l’utilisation d’une borne d’accès AirPort, consultez le Centre d’aide ou rendez-vous sur le site web AirPort d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/support/airport. Si ces méthodes s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés, adressez-vous à votre fournisseur d’accès à Internet ou à votre administrateur réseau. Problèmes avec la communication Wi-Fi En cas de problèmes avec les communications Wi-FI (sans fil) :  vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé et dispose d’un point d’accès sans fil ;  assurez-vous que le logiciel est correctement configuré conformément aux instructions fournies avec votre borne d’accès ou point d‘accès ;Chapitre 3 À tout problème sa solution 53  assurez-vous que l’autre ordinateur ou le point d’accès au réseau se trouve dans la zone de couverture de votre ordinateur ; des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre antenne ; vous pouvez éventuellement améliorer la réception en tournant et en réorientant l’ordinateur ;  vérifiez l’icône d’état AirPort (Z) dans la barre des menus ; jusqu’à quatre barres de mesure apparaissent pour afficher la puissance du signal ;si l’intensité du signal est faible, essayez de changer de place ;  obtenez de l’aide en ligne en choisissant Aide > Centre d’aide, et en cherchant « wi-fi » ; reportez-vous aux instructions fournies avec votre appareil sans fil pour plus d’information. Maintien à jour de vos logiciels Vous pouvez vous connecter à Internet pour télécharger et installer automatiquement les dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple. Chaque fois que vous vous connectez à Internet, « Mise à jour de logiciels » consulte les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. Vous pouvez configurer votre MacBook Air afin qu’il recherche régulièrement des mises à jour, puis télécharger et installer les logiciels mis à jour. Pour rechercher des logiciels mis à jour : 1 choisissez le menu Pomme () > Préférences Système ; 2 cliquez sur l’icône « Mise à jour de logiciels » et suivez les instructions à l’écran.  Pour plus d’informations, recherchez « Mise à jour de logiciels » dans le Centre d’aide.54 Chapitre 3 À tout problème sa solution  Pour obtenir les toutes dernières informations sur Mac OS X, consultez la page www.apple.com/fr/macosx. Vous recevez aussi des notifications du Mac App Store lorsque des mises à jour des applications sont disponibles. Un petit numéro indiquant le nombre de mises à jour s’affiche dans le bord droit de l’icône de l’App Store. Vous pouvez mettre à jour une ou plusieurs applications à la fois. Informations, services et assistance L’utilisateur ne peut remplacer ni réparer aucune pièce du MacBook Air. Si vous avez besoin de services de réparation, adressez-vous à Apple ou portez votre MacBook Air chez un fournisseur de services agréé Apple. Vous trouverez de plus amples informations sur votre MacBook Air en ligne, dans l’aide à l’écran, dans Informations Système et via Apple Hardware Test. Informations en ligne Pour obtenir des informations en ligne sur le service et l’assistance, rendez-vous sur www.apple.com/fr/support et sélectionnez votre pays dans le menu local. Vous pouvez faire des recherches dans la base de données AppleCare Knowledge Base, vérifiez si de nouvelles mises à jour de logiciels sont disponibles ou obtenir de l’aide dans les forums de discussion Apple. Aide à l’écran Vous pouvez souvent trouver des réponses à vos questions ainsi que des instructions et des informations de dépannage dans le Centre d’aide. Choisissez Aide > Centre d’aide.Chapitre 3 À tout problème sa solution 55 Informations Système Pour obtenir des informations sur votre MacBook Air, servez-vous d’Informations Système. Cette application vous fournit la liste des composants matériels et des logiciels installés, le numéro de série et de version du système d’exploitation, la quantité de mémoire installée, etc. Pour ouvrir Informations Système, choisissez le menu Pomme () > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos. Service et assistance AppleCare Le MacBook Air est fourni avec 90 jours d’assistance technique et un an de garantie sur les réparations de matériel effectuées dans les magasins Apple Store ou dans des centres agréés Apple. Vous avez la possibilité d’étendre la durée de cette couverture en adhérant à un programme AppleCare Protection Plan. Pour en savoir plus, rendezvous sur www.apple.com/fr/support/products ou consultez le site web de votre pays (indiqués plus loin dans cette section). Si vous avez besoin d’assistance, le personnel AppleCare d’assistance par téléphone peut vous aider à installer et à ouvrir les applications et offre des services de dépannage élémentaires. Appelez le centre d’assistance le plus proche de chez vous (gratuit pendant les 90 premiers jours). Gardez la date d’achat et le numéro de série de votre MacBook Air à portée de main lorsque vous appelez.56 Chapitre 3 À tout problème sa solution La période de 90 jours d’assistance gratuite par téléphone débute à la date d’achat. Pays Téléphone Site web Allemagne (49) 01805 009 433 www.apple.com/de/support Autriche (43) 0810 300 427 www.apple.com/at/support Belgique (flamand) (français) (32) 070 700 772 (32) 070 700 773 www.apple.com/benl/support www.apple.com/befr/support France (Metropolitain) (DOM-TOM) (33) 0805 540 003 www.apple.com/fr/support Luxembourg (352) 800 24550 www.apple.com/befr/support Suisse (français) (allemand) (41) 0848 000 132 (41) 0848 000 132 www.apple.com/chfr/support www.apple.com/chde/support Les numéros de téléphone sont susceptibles d’être modifiés. Des tarifs téléphoniques locaux et nationaux peuvent s’appliquer. Une liste complète est disponible sur Internet : www.apple.com/support/contact/phone_contacts.htmlChapitre 3 À tout problème sa solution 57 Localisation du numéro de série de votre produit Utilisez l’une des méthodes suivantes pour trouver le numéro de série de votre MacBook Air :  Retournez votre MacBook Air. Le numéro de série est gravé sur le boîtier, près de la charnière. Numéro de série  Choisissez Aide () > À propos de ce Mac. Cliquez sur le numéro de version sous les mots « Mac OS X » pour passer du numéro de version de Mac OS X à la version, puis au numéro de série.  Ouvrez Informations Système, dans le dossier Utilitaires du Launchpad. Dans la sous-fenêtre Contenu, cliquez sur Matériel.4 Dernières recommandations Centre d’aide ergonomie www.apple.com/fr/environment60 Chapitre 4 Dernières recommandations Afin d’assurer votre sécurité et de préserver votre matériel, veillez à observer les consignes suivantes concernant le nettoyage et la manipulation de votre MacBook Air ainsi que l’aménagement d’un espace de travail confortable. Gardez ces instructions dans un endroit facile d’accès pour vous et pour les utilisateurs éventuels. AVIS : la garantie du fabricant pourra être annulée si votre Mac Book Air a été utilisé ou stocké de manière impropre. Informations importantes concernant la sécurité AVERTISSEMENT : le non-respect de ces consignes pourrait déclencher un incendie, occasionner des décharges électriques ou entraîner des blessures ou dommages. Batterie intégrée Ne retirez pas la batterie de votre MacBook Air. La batterie ne peut être remplacé que par un fournisseur de services agréé Apple. Interrompez l’utilisation de votre MacBook Air s’il tombe ou semble cassé, tordu, déformé ou abîmé. N’exposez pas votre MacBook Air à des sources de forte chaleur, telles que des radiateurs ou des cheminées, où la température excéderait 100°C. Manipulation correcte La partie inférieure du MacBook Air peut chauffer au cours d’une utilisation normale de l’appareil. Le MacBook Air respecte les limites relatives à la température de la surface accessible à l’utilisateur définies par les normes de sécurité des matériels de traitement de l’information (IEC 60950-1) établies par la Commission électrotechnique internationale.Chapitre 4 Dernières recommandations 61 Pour utiliser votre ordinateur en toute sécurité et réduire le risque de brûlures, suivez les conseils à continuation.  Installez votre MacBook Air sur une surface de travail stable permettant une circulation d’air adéquate sous et autour de l’ordinateur.  N’utilisez pas le MacBook Air en le posant sur un coussin, une couverture ou tout autre objet de structure non solide car cela pourrait empêcher les conduits d’aération de fonctionner correctement.  Évitez également de placer des objets sur le clavier lorsque vous utilisez votre MacBook Air.  N’introduisez jamais d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures servant à la ventilation.  Si votre MacBook Air est posé sur vos genoux et que la chaleur qu’il produit vous gêne, posez-le plutôt sur un plan de travail stable. Eau et endroits humides Évitez de placer votre MacBook Air à proximité de sources de liquide telles que des boissons, un évier, un lavabo, une baignoire ou une douche, par exemple. Protégez votre MacBook Air de l’humidité et des intempéries (neige, pluie et brouillard par exemple). Adaptateur secteur MagSafe 45W N’utilisez que l’adaptateur secteur qui accompagne le MacBook Air ou, au besoin, un adaptateur secteur agréé Apple compatible avec ce produit. Veillez à ce que la fiche ou le câble d’alimentation secteur CA soit totalement enclenché dans l’adaptateur secteur avant de brancher ce dernier sur une prise de courant.62 Chapitre 4 Dernières recommandations L’adaptateur secteur peut chauffer au cours d’une utilisation normale de l’appareil. L’adaptateur secteur MagSage respecte les limites relatives à la température de la surface accessible à l’utilisateur définies par les normes de sécurité des matériels de traitement de l’information (IEC 60950-1) établies par la Commission électrotechnique internationale. Pour réduire les risques de surchauffe de l’adaptateur secteur et de brûlures, effectuez l’une des opérations suivantes :  branchez l’adaptateur secteur directement sur une prise de courant ; Fiche CA Connecteur MagSafe Adaptateur secteur MagSafeChapitre 4 Dernières recommandations 63  si vous utilisez le câble d’alimentation CA, placez l’adaptateur secteur sur un bureau, sur une table ou sur le sol à un endroit bien ventilé. Connecteur MagSafe Adaptateur secteur MagSafe Câble d’alimentation CA Débranchez l’adaptateur secteur et tous les autres câbles si l’un des cas à continuation se présente.  Vous souhaitez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez à la lettre les instructions fournies à la page 66).  La prise ou le câble d’alimentation est endommagé.  Le MacBook Air ou l’adaptateur secteur est exposé à la pluie ou à une humidité excessive, ou du liquide a été versé dans le boîtier.  Le MacBook Air ou l’adaptateur secteur a subi une chute, le boîtier a été endommagé ou vous pensez qu’une réparation est nécessaire. Le port secteur MagSafe contient un aimant qui peut effacer les données d’une carte de crédit, d’un iPod ou d’autres appareils. Pour protéger vos données, ne placez aucun de ces objets ou aucun matériau ou appareil à sensibilité magnétique à moins de 25 mm de ce port.64 Chapitre 4 Dernières recommandations Si des résidus quelconques se trouvent dans le port secteur MagSafe, enlevez-les doucement à l’aide d’un bâtonnet de coton. Spécifications de l’alimentation MagSafe :  Fréquence : phase unique de 50 à 60 Hz  Tension de secteur : de 100 à 240 V  Tension de sortie : 14,5 V CC, 3,1 A Diminution de l’acuité auditive Vous risquez une perte d’audition irréparable si vous utilisez un casque ou des écouteurs à volume sonore élevé. L’oreille peut s’adapter petit à petit à des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent sembler normaux mais qui risquent à la longue d’endommager votre système auditif. En cas de sifflements ou de perte d’acuité auditive, arrêtez d’utiliser le casque ou les écouteurs et consultez un médecin. Plus le volume est élevé, plus votre audition risque d’être affectée rapidement. Pour protéger votre système auditif, les spécialistes conseillent de prendre les mesures suivantes :  Limitez la durée d’utilisation à volume élevé de vos écouteurs ou de votre casque d’écoute.  Évitez d’augmenter le volume afin de bloquer les bruits environnants.  Baissez le volume si vous ne parvenez pas à entendre une personne qui parle à côté de vous. Activités à haut risque Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien ni dans aucune autre situation où une panne du système informatique pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques.Chapitre 4 Dernières recommandations 65 Informations importantes sur la manipulation AVIS : le non-respect des présentes instructions sur la manipulation peut provoquer des dommages à votre MacBook Air ou à d’autres objets. Environnement d’utilisation L’utilisation de votre MacBook Air en dehors de ces plages peut gêner son bon fonctionnement.  Température de fonctionnement : de 10 à 35 C  Température de stockage : de -20 à 45 C  Humidité relative : de 5 % à 90 % (sans condensation)  Altitude de fonctionnement : de 0 à 3 048 mètres Transport du MacBook Air Si vous transportez le MacBook Air dans un sac ou dans un attaché-case, assurez-vous que ce dernier ne contient pas d’objets non attachés (des trombones ou des pièces de monnaie, par exemple) qui pourraient pénétrer accidentellement dans l’ordinateur par la fente du lecteur optique ou se coincer à l’intérieur d’un port. Maintenez également à l’écart du port secteur MagSafe tout objet à sensibilité magnétique. Utilisation des connecteurs et des ports Ne forcez jamais un connecteur à entrer dans un port. Lorsque vous branchez un appareil, assurez-vous que le port ne contient aucun résidu quelconque, que le connecteur correspond bien au port et qu’il est placé de manière à entrer correctement dans le port. Manipulation des parties en verre Votre MacBook Air contient des composants en verre, notamment l’écran et le trackpad. Si elles sont abîmées, n’utilisez pas votre MacBook Air tant qu’il na pas été réparé par un fournisseur de services agréé Apple.66 Chapitre 4 Dernières recommandations Stockage du MacBook Air Si vous décidez de ranger le MacBook Air pendant une longue période, placez-le dans un endroit frais (idéalement, à 22 C) et déchargez la batterie jusqu’à 50 pour cent. Avant de ranger votre ordinateur pour une période de temps supérieure à cinq mois, déchargez la batterie jusqu’à environ 50 pour cent. Pour conserver les capacités de la batterie, rechargez la batterie jusqu’à 50 pour cent tous les six mois environ. Nettoyage du MacBook Air Lorsque vous nettoyez le boîtier de votre MacBook Air et ses composants, éteignez d’abord l’ordinateur, puis débranchez l’adaptateur secteur. Utilisez ensuite un chiffon doux, humide et non pelucheux pour nettoyer le boîtier de l’ordinateur. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’ordinateur. N’utilisez ni aérosols, ni dissolvants, ni abrasifs qui pourraient endommager les finitions de l’appareil. Nettoyage de l’écran de votre MacBook Air Pour nettoyer l’écran de votre , commencez par éteindre votre ordinateur, puis débranchez l’adaptateur secteur. Utilisez ensuite un chiffon doux et non pelucheux humidifié d’eau uniquement pour nettoyer l’écran. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’écran.Chapitre 4 Dernières recommandations 67 Ergonomie Voici quelques conseils pour la mise en place d’un environnement de travail sain. Clavier et trackpad Lorsque vous tapez au clavier ou que vous vous servez du trackpad, vos épaules doivent être détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, la main étant placée dans le prolongement du poignet. Position à éviter Position recommandée Vous devez avoir les mains et les doigts détendus lorsque vous tapez au clavier ou que vous utilisez le trackpad. Évitez de replier les pouces à l’intérieur des paumes.68 Chapitre 4 Dernières recommandations Position à éviter Position recommandée Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un travail continu et intensif sur ordinateur, certains utilisateurs peuvent ressentir des douleurs aux mains, aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste. Souris externe Si vous utilisez une souris externe, veillez à ce qu’elle se trouve à hauteur du clavier. Ménagez un espace suffisant pour la manipuler avec aisance. Siège Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de telle sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale et que vos pieds soient à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire, c’est-à-dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie.Chapitre 4 Dernières recommandations 69 Au besoin, relevez le siège de manière que vos avant-bras et vos mains soient placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Si vous disposez d’un bureau modulaire, vous pouvez abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau dont le poste de saisie est situé plus bas que le plan de travail. Écran intégré Orientez l’écran de manière à réduire le plus possible les reflets de l’éclairage électrique et de la lumière du jour. Ne forcez pas l’écran si vous rencontrez une résistance. L’angle d’ouverture maximal de l’écran ne peut dépasser 135 degrés. Réglez la luminosité et le contraste de l’écran chaque fois que vous déplacez l’ordinateur ou que l’éclairage ambiant change. Vous trouverez d’autres informations concernant l’ergonomie sur Internet : www.apple.com/fr/about/ergonomics Apple et l’environnement Apple Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact de ses produits et de ses activités sur l’environnement. Des informations supplémentaires sont disponibles sur Internet : www.apple.com/fr/environment70 Regulatory Compliance Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. L‘utilisation de ce dispositif est autorisée seulement aux conditions suivantes: (1) il ne doit pas produire de brouillage et (2) l’utilisateur du dispositif doit étre prêt à accepter tout brouillage radioélectrique reçu, même si ce brouillage est susceptible de compromettre le fonctionnement du dispositif. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radiofrequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures: • Turn the television or radio antenna until the interference stops. • Move the computer to one side or the other of the television or radio. • Move the computer farther away from the television or radio. • Plug the computer in to an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product has demonstrated EMC compliance under conditions that included the use of compliant peripheral devices and shielded cables (including Ethernet network cables) between system components. It is important that you use compliant peripheral devices and shielded cables between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Inc. Corporate Compliance 1 Infinite Loop, MS 26-A Cupertino, CA 95014 Wireless Radio Use This device is restricted to indoor use when operating in the 5.15 to 5.25 GHz frequency band. Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur. Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of the AirPort Extreme technology is below the FCC and EU radio frequency exposure limits. Nevertheless, it is advised to use the wireless equipment in such a manner that the potential for human contact during normal operation is minimized. FCC Bluetooth Wireless Compliance The antenna used with this transmitter must not be colocated or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant.71 Bluetooth Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la Class B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada. This device complies with RSS 210 of Industry Canada. Bluetooth Europe—EU Declaration of Conformity This wireless device complies with the R&TTE Directive. Europe - Déclaration de conformité UE Български Apple Inc. декларира, че това MacBook Air е в съответствие със съществените изисквания и другите приложими правила на Директива 1999/5/ЕС. Česky Společnost Apple Inc. tímto prohlašuje, že tento MacBook Air je ve shodě se základními požadavky a dalšími příslušnými ustanoveními směrnice 1999/5/ES. Dansk Undertegnede Apple Inc. erklærer herved, at følgende udstyr MacBook Air overholder de væsentlige krav og øvrige relevante krav i direktiv 1999/5/EF. Deutsch Hiermit erklärt Apple Inc., dass sich das MacBook Air in Übereinstimmung mit den grundlegenden Anforderungen und den übrigen einschlägigen Bestimmungen der Richtlinie 1999/5/EG befinden. Eesti Käesolevaga kinnitab Apple Inc., et see MacBook Air vastab direktiivi 1999/5/EÜ põhinõuetele ja nimetatud direktiivist tulenevatele teistele asjakohastele sätetele. English Hereby, Apple Inc. declares that this MacBook Air is in compliance with the essential requirements and other relevant provisions of Directive 1999/5/EC. Español Por medio de la presente Apple Inc. declara que este MacBook Air cumple con los requisitos esenciales y cualesquiera otras disposiciones aplicables o exigibles de la Directiva 1999/5/CE. Ελληνικά Mε την παρούσα, η Apple Inc. δηλώνει ότι αυτή η συσκευή MacBook Air συμμορφώνεται προς τις βασικές απαιτήσεις και τις λοιπές σχετικές διατάξεις της Οδηγίας 1999/5/ΕΚ. Français Par la présente Apple Inc. déclare que l’appareil MacBook Air est conforme aux exigences essentielles et aux autres dispositions pertinentes de la directive 1999/5/CE. Islenska Apple Inc. lýsir því hér með yfir að þetta tæki MacBook Air fullnægir lágmarkskröfum og öðrum viðeigandi ákvæðum Evróputilskipunar 1999/5/EC. Italiano Con la presente Apple Inc. dichiara che questo dispositivo MacBook Air è conforme ai requisiti essenziali ed alle altre disposizioni pertinenti stabilite dalla direttiva 1999/5/CE. Latviski Ar šo Apple Inc. deklarē, ka MacBook Air ierīce atbilst Direktīvas 1999/5/EK būtiskajām prasībām un citiem ar to saistītajiem noteikumiem. Lietuvių Šiuo „Apple Inc.“ deklaruoja, kad šis MacBook Air atitinka esminius reikalavimus ir kitas 1999/5/EB Direktyvos nuostatas. Magyar Alulírott, Apple Inc. nyilatkozom, hogy a MacBook Air megfelel a vonatkozó alapvetõ követelményeknek és az 1999/5/EC irányelv egyéb elõírásainak. Malti Hawnhekk, Apple Inc., jiddikjara li dan MacBook Air jikkonforma mal-ħtiġijiet essenzjali u ma provvedimenti oħrajn relevanti li hemm fid-Dirrettiva 1999/5/EC. Nederlands Hierbij verklaart Apple Inc. dat het toestel MacBook Air in overeenstemming is met de essentiële eisen en de andere bepalingen van richtlijn 1999/5/EG. Norsk Apple Inc. erklærer herved at dette MacBook Air -apparatet er i samsvar med de grunnleggende kravene og øvrige relevante krav i EU-direktivet 1999/5/EF. Polski Niniejszym Apple Inc. oświadcza, że ten MacBook Air są zgodne z zasadniczymi wymogami oraz pozostałymi stosownymi postanowieniami Dyrektywy 1999/5/EC. 72 Português Apple Inc. declara que este dispositivo MacBook Air está em conformidade com os requisitos essenciais e outras disposições da Directiva 1999/5/CE. Română Prin prezenta, Apple Inc. declară că acest aparat MacBook Air este în conformitate cu cerinţele esenţiale şi cu celelalte prevederi relevante ale Directivei 1999/5/CE. Slovensko Apple Inc. izjavlja, da je ta MacBook Air skladne z bistvenimi zahtevami in ostalimi ustreznimi določili direktive 1999/5/ES. Slovensky Apple Inc. týmto vyhlasuje, že toto MacBook Air spĺňa základné požiadavky a všetky príslušné ustanovenia Smernice 1999/5/ES. Suomi Apple Inc. vakuuttaa täten, että tämä MacBook Air tyyppinen laite on direktiivin 1999/5/EY oleellisten vaatimusten ja sitä koskevien direktiivin muiden ehtojen mukainen. Svenska Härmed intygar Apple Inc. att denna MacBook Air står i överensstämmelse med de väsentliga egenskapskrav och övriga relevanta bestämmelser som framgår av direktiv 1999/5/EG. Une copie de la Déclaration de conformité UE est disponible sur la page web www.apple.com/euro/compliance (en anglais). Cet équipement peut être utilisé dans les pays suivants : Korea Warning Statements B૶ૺૺ(ਜ਼ႜဧ෮໽ቛཅૺၴႁ) ၦૺૺ௴ਜ਼ႜဧ(B૶) ႖ၴኒ႕ጁૺૺച໏჎ച ਜ਼ႜ࿝໏ຫဧዻ௴ઇၕඛ႕ၒചዻඑ, ක౷ხ ࿦࿝໏ຫဧዾ༘ၰཀఁఋ. ෮ቛ၁ધགྷ࿝ಋ൏ધხຫጃ ጄఙඳ໓໕๗௴ဪဧთ႖ኒጯཅਜ਼௻ໜၦၰၗ ၦૺૺ௴ၨ඗ྦ႖઴શഏౘ໏๗༺࿝ຫဧዾ༘࿖ཀఁఋ ఝዽූ૑ ૬ႜ ෟ ა༘ Singapore Wireless Certification Taiwan Wireless Statements Taiwan Class B Statement 警告 本電池如果更換不正確會有爆炸的危險 請依製造商說明書處理用過之電池 Japan VCCI Class B Statement73 Russia Informations sur les modems USB Si vous connectez votre MacBook Air à une ligne téléphonique par le biais d’un modem USB externe, veuillez vous reporter aux informations fournies par l’agence de télécommunications mentionnées dans la documentation livrée avec votre modem. ENERGY STAR ® Compliance As an ENERGY STAR ® partner, Apple has determined that standard configurations of this product meet the ENERGY STAR ® guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR ® program is a partnership with electronic equipment manufacturers to promote energyefficient products. Reducing energy consumption of products saves money and helps conserve valuable resources. This computer is shipped with power management enabled with the computer set to sleep after 10 minutes of user inactivity. To wake your computer, click the mouse or trackpad button or press any key on the keyboard. For more information about ENERGY STAR ® , visit: www.energystar.gov Informations sur l’élimination et le recyclage Ce symbole indique que vous devez suivre les normes et la législation de votre pays pour jeter ce produit. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, contactez Apple ou les autorités locales pour en savoir plus sur les possibilités de recyclage. Pour en savoir plus sur le programme de recyclage d’Apple, consultez le site www.apple.com/fr/recycling. Union européenne—instructions concernant l’élimination des déchets : Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit séparément des ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Türkiye EEE yönetmeliğine (Elektrikli ve Elektronik Eşyalarda Bazı Zararlı Maddelerin Kullanımının Sınırlandırılmasına Dair Yönetmelik) uygundur. Brasil—Informações sobre descarte e reciclagem O símbolo acima indica que este produto e/ou sua bateria não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando decidir descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o de acordo com as leis e diretrizes ambientais locais. Para informações sobre o programa de reciclagem da Apple, pontos de coleta e telefone de informações, visite www.apple.com/br/environment. Informations sur le retrait de la batterie Jetez vos batteries usagées en respectant les lois et les consignes environnementales de votre pays. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerät am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd.74 China Battery Statement Taiwan Battery Statement 020-5563-A EFUP15chinaK Apple Inc. © 2011 Apple Inc.Tous droits réservés. En application des lois et conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014 408-996-1010 www.apple.com Le logo Apple est une marque d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation du logo Apple disponible par raccourci clavier (Option + 1) à des fins commerciales sans accord écrit préalable d’Apple peut constituer une violation de marque déposée et un délit de concurrence déloyale, enfreignant les lois fédérales et des États. Apple, le logo Apple, AirPort, AirPort Extreme, FaceTime, Finder, GarageBand, iChat, iLife, iMovie, iPhone, iPhoto, iPod, iTunes, Keynote, Mac, Mac OS, MacBook, MacBook Air, MagSafe, Photo Booth, Safari, SuperDrive, Time Capsule et Time Machine sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. iPad et Multi-Touch sont des marques d’Apple Inc. Apple, AppleCare, Apple Store et iTunes Store sont des marques de service d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. App Store est une marque de service d’Apple Inc. ENERGY STAR® est une marque déposée aux États-Unis. Thunderbolt et le logo Thunderbolt sont des marques d’Intel Corp. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. La marque et les logos Bluetooth® sont des marques appartenant Bluetooth SIG, Inc. et sont utilisées sous licence par Apple Inc. Les autres noms de produit ou de société sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits de tierce partie ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Fabriqué sous licence de Dolby Laboratories. « Dolby », « Pro Logic » et le logo double-D sont des marques déposées de Dolby Laboratories. Ouvrages confidentiels inédits, © 1992–1997 Dolby Laboratories, Inc. Tous droits réservés. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. Félicitations pour l’achat d’un Mac Pro exécutant Mac OS X Lion ServerTable des matières 3 Chapitre 1 : Prêt, feu, configurez ! 8 Travailler avec Mac OS X Lion Server 9 Configuration de votre Mac Pro 16 Personnalisez votre bureau et réglez vos préférences 17 Vous avez besoin d’aide pour configurer votre ordinateur ? 18 Extinction de votre Mac Pro Chapitre 2 : Votre Mac Pro au quotidien 22 Éléments principaux se trouvant à l’avant de votre Mac Pro 24 Ports et connecteurs situés à l’arrière de votre Mac Pro 26 Autres ports et connecteurs à l’arrière 28 Options d’extension interne 30 Comment obtenir des réponses Chapitre 3 : Améliorations possibles 35 Ouverture de votre Mac Pro 39 Installation de la mémoire 58 Installation d’unités de stockage internes 72 Ajout de cartes PCI Express 77 Remplacement de la pile de secours interne Table des matières4 Table des matières Chapitre 4 : À tout problème sa solution 80 Une once de prévention 81 Problèmes du Mac Pro 84 Problèmes liés au logiciel 85 Réparation, restauration ou réinstallation de logiciels Mac OS X 90 Vérification d’un problème matériel 91 Problèmes de communication Wi-Fi 92 Problèmes de moniteur 94 Problèmes de connexion à Internet 97 Optimisation des performances Ethernet 98 Maintien à jour de vos logiciels 98 En savoir plus, service et assistance technique 101 Localisation du numéro de série Chapitre 5 : Sous le capot 104 SpécificationsTable des matières 5 Chapitre 6 : Dernières recommandations 116 Informations importantes en matière de sécurité 117 Entretien général 119 Ergonomie 122 Apple et l’environnement 123 Regulatory Compliance InformationAide application Serveur Assistant Serveur www.apple.com/fr/macpro Prêt, feu, configurez ! 18 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Votre Mac Pro est à la pointe de la technologie informatique, grâce notamment à la technologie sophistiquée de processeur multicœur, à la mémoire à haut débit, à sa carte graphique et ses ports d’extension PCI Express, et au stockage interne, le tout dans un châssis en aluminium anodisé permettant d’accéder facilement aux composants. AVERTISSEMENT : Afin d’éviter toute blessure, lisez attentivement les instructions d’installation dans leur intégralité (ainsi que les informations sur la sécurité à partir de la page 116) avant d’utiliser votre Mac Pro pour la première fois. Veillez à consulter les informations du chapitre 2, « Votre Mac Pro au quotidien, » pour découvrir les nouvelles fonctionnalités de ce Mac Pro. Vous trouverez la plupart des réponses à vos questions dans le Centre d’aide pour votre Mac Pro. Pour obtenir des informations sur le Centre d’aide, consultez la section « Comment obtenir des réponses » à la page 30. Travailler avec Mac OS X Lion Server Une fois votre Mac Pro configuré, il est prêt à héberger tous les services fournis par Mac OS X Lion Server. Vous pouvez utiliser l’Assistant Serveur pour configurer votre serveur et faire migrer des informations à partir d’un autre serveur Mac. Pour en savoir plus sur l’utilisation de votre serveur Mac ou de Lion Server, ouvrez l’application Serveur, puis choisissez Aide Serveur dans le menu Aide. Pour en savoir plus sur le logiciel Mac OS X Lion Server, consultez le site web de Lion Server à l’adresse www.apple.com/fr/ macosx/server.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 9 Configuration de votre Mac Pro Votre Mac Pro est conçu pour être configuré rapidement et utilisé immédiatement. Suivez les instructions présentées aux pages suivantes en guise d’introduction. Étape 1 : Positionnez votre Mac Pro. Soulevez le Mac Pro par ses deux poignées en utilisant des techniques de levage adaptées. Positionnez votre Mac Pro de sorte que :  il repose sur une surface plane et robuste ;  les fiches des câbles d’alimentation ne soient coincées ni contre un mur ni contre tout autre objet ;  l’air puisse circuler devant, derrière et sous votre Mac Pro (aucun obstacle) ;  les plateaux des lecteurs optiques aient suffisamment d’espace pour s’ouvrir. La seule façon de couper tout à fait le courant de votre Mac Pro consiste à débrancher les prises de courant. Assurez-vous que le câble d’alimentation de votre Mac Pro est facile d’accès afin que vous puissiez le débrancher facilement.10 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 2 : Branchez le cordon d’alimentation. Enfoncez complètement le câble d’alimentation dans la prise encastrée au dos du Mac Pro et branchez l’autre extrémité sur une prise secteur avec mise à la terre ou une multiprise avec mise à la terre. Prise du câble d’alimentation Fiche du câble d’alimentationChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 11 Étape 3 : Connectez le moniteur. Si vous connectez un moniteur à votre Mac Pro, procédez comme suit : En fonction de votre moniteur, vous devrez connecter un seul ou plusieurs câbles. Vérifiez les instructions fournies avec le moniteur pour d’autres informations sur sa configuration. Câble de l’écran Ports d’écran Port USB12 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Vous pouvez connecter jusqu’à trois moniteurs à l’aide de connecteurs Mini DisplayPort ou de connecteurs DVI (Digital Visual Interface) aux ports d’affichage à l’arrière de votre Mac Pro. Le port DVI constitue un port à double liaison ; vous pouvez ainsi y connecter un moniteur Apple Cinema HD Display de 30 pouces. Port de moniteur DVI Port Mini DisplayPort (2) Vous pouvez également connecter des moniteurs équipés d’un connecteur ADC (Apple Display Connector) ou VGA (Video Graphics Array) à l’aide d’un des adaptateurs suivants :  Pour connecter un moniteur VGA au port DVI ou à un port Mini DisplayPort, utilisez l’adaptateur moniteur DVI vers VGA ou l’adaptateur port Mini DisplayPort vers VGA (vendus séparément).  Pour brancher un moniteur ADC sur le port DVI, utilisez un adaptateur écran DVI vers ADC Apple (vendu séparément). Les sorties Mini DisplayPort assurent aussi bien la sortie vidéo que la sortie audio. Vous devez passer par le panneau Son situé dans les Préférences Système pour sélectionner l’appareil de sortie audio branché. Pour en savoir plus sur le branchement d’un équipement HDMI, recherchez le terme « HDMI » dans la page d’assistance Mac Pro à l’adresse www.apple.com/fr/support/macpro. Les adaptateurs écran et autres accessoires pour votre Mac Pro sont vendus séparément à l’adresse www.apple.com/fr/store.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 13 Étape 4 : Connectez un câble Ethernet. Pour accéder à Internet ou à un réseau par le biais d’un câble Ethernet, connectez l’extrémité du câble à l’un des ports Gigabit Ethernet situés à l’arrière de votre Mac Pro. Connectez l’autre extrémité à un modem câble, un modem DSL ou un réseau Ethernet. Ports Gigabit Ethernet14 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Étape 5 : Connectez le clavier et la souris. Si vous connectez un clavier ou une souris USB, connectez les câbles USB aux ports USB (d) situés sur votre Mac Pro ou votre écran. Clavier Souris Remarque : Vous pouvez configurer Mac OS X Lion Server à distance à partir d’un autre ordinateur. Pour en savoir plus, ouvrez l’application Serveur sur un autre ordinateur, puis choisissez Aide Serveur dans le menu Aide.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 15 Étape 6 : Allumez votre Mac Pro. Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’avant de votre Mac Pro pour l’allumer. Si votre moniteur doit être allumé séparément, appuyez sur son bouton d’alimentation. Si vous avec connecté une souris, cliquez à l’aide de votre souris pour établir une connexion avec votre Mac Pro. Étape 7 : Configurez votre serveur Mac Pro à l’aide d’Assistant Serveur. La première fois que vous allumez votre Mac Pro avec Mac OS X Lion Server installé, l’Assistant Serveur vous demande des informations élémentaires dont Lion Server a besoin pour démarrer et se connecter au réseau. Soyez prêt à fournir les informations suivantes la première fois que vous allumez votre Mac Pro :  un nom de compte et un mot de passe ;  un nom d’organisation unique dans votre entreprise ;  un nom d’hôte pour le réseau local uniquement ou pour le réseau local et l’accès VPN à Internet, ou un nom d’hôte Internet acheté chez un revendeur de noms de domaine.  des réglages réseau détaillés dont une adresse IP, un masque de sous-réseau et des serveurs DNS. Les réglages réseau sont parfois fournis par votre routeur Internet ou par un serveur sur votre réseau. Si tel est le cas, il doit être configuré de façon à toujours fournir la même adresse IP à votre serveur (mappage statique ou réservation DHCP). Pour obtenir l’aide de l’Assistant Serveur, cliquez sur le bouton Aide dans une sous-fenêtre. Vous pouvez configurer Mac OS X Lion Server à distance à partir d’un autre ordinateur. Pour en savoir plus, ouvrez l’application Serveur sur un autre ordinateur, puis choisissez Aide Serveur dans le menu Aide. Pour en savoir plus sur le logiciel Mac OS X Lion Server, consultez le site web de Lion Server à l’adresse www.apple.com/fr/macosx/server.16 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Si vous avez déjà un Mac exécutant Mac OS X Server 10.5 ou ultérieur, l’Assistant Serveur peut vous aider à transférer automatiquement des réglages système, des réglages service, des comptes utilisateur, des fichiers, des applications et d’autres informations de votre ancien serveur Mac (tous les modèles) à votre Mac Pro. Utilisez une connexion Ethernet, FireWire ou sans fil pour transférer des informations. Pour en savoir plus sur l’utilisation de services avec Mac OS X Lion Server, ouvrez l’application Serveur, puis choisissez Aide Serveur dans le menu Aide. Personnalisez votre bureau et réglez vos préférences Vous pouvez facilement personnaliser l’aspect de votre bureau à l’aide des Préférences Système. Choisissez dans la barre des menus le menu Pomme () > Préférences Système, ou cliquez sur l’icône Préférences Système située dans le Dock. Préférences Système est le centre de commande de la plupart des réglages de votre Mac Pro. Pour en savoir plus, ouvrez le Centre d’aide et recherchez « Préférences Système » ou la préférence que vous souhaitez modifier. Remarque : Dans ce manuel, des instructions nécessitent un moniteur pour voir les commandes et les zones de dialogue. Si aucun moniteur ou clavier n’est connecté à votre Mac Pro, vous pouvez configurer Mac OS X Lion Server à distance à partir d’un autre ordinateur. Pour en savoir plus, ouvrez l’application Serveur sur un autre ordinateur, puis choisissez Aide Serveur dans le menu Aide.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 17 Vous avez besoin d’aide pour configurer votre ordinateur ? Si vous pensez que votre Mac Pro n’a pas démarré correctement, vérifiez les points suivants :  Votre Mac Pro est-il bien branché à une prise de courant ? S’il est connecté à une multiprise munie d’un interrupteur, est-elle allumée ?  Est-ce que le câble d’alimentation est bien branché à l’arrière de votre Mac Pro ?  Si vous avez connecté un clavier et un moniteur, les câbles sont-ils correctement connectés ?  Si vous avez connecté un moniteur, la luminosité et le contraste sont-ils correctement réglés ? Si l’écran dispose de commandes de luminosité, réglez-les. Si le moniteur dispose d’un bouton d’alimentation, vérifiez qu’il est allumé.  Si vous avez connecté un moniteur et ne voyez toujours rien à l’écran, redémarrez votre Mac Pro. Maintenez appuyé le bouton d’alimentation (®) de votre Mac Pro pendant 5 ou 6 secondes, jusqu’à ce qu’il s’éteigne. Rappuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour redémarrer.  Si un point d’interrogation clignote à l’écran ou si le voyant d’état clignote plusieurs fois, reportez-vous au chapitre chapitre 4, « À tout problème sa solution » à la page 79.18 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! Extinction de votre Mac Pro Si vous savez que vous n’allez pas utiliser votre Mac Pro pendant un certain temps, éteignez-le. Pour éteindre votre Mac Pro, procédez de l’une des façons suivantes :  Choisissez le menu Pomme () > Éteindre.  Appuyez sur les touches Contrôle et Éjecter, puis cliquez sur Éteindre dans la zone de dialogue qui apparaît. AVIS : N’éteignez pas votre Mac Pro en vous contentant d’appuyer sur son interrupteur ou en débranchant la fiche d’alimentation du Mac Pro (à moins que vous n’ayez plus d’autres moyens d’éteindre votre Mac Pro). Toute extinction incorrecte de votre Mac Pro risque d’endommager vos fichiers ou le logiciel système. AVIS : Éteignez votre Mac Pro avant de le déplacer. Tout déplacement de votre Mac Pro lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager ce dernier et d’entraîner une perte de données ou l’impossibilité de démarrer à partir du disque dur. Suspension de l’activité de votre Mac Pro Mac OS X Lion Server est normalement configuré pour empêcher votre Mac Pro de suspendre son activité, car sinon les utilisateurs ne peuvent pas se connecter aux services. Si cela est compatible avec les services fournis par votre Mac Pro, vous pouvez toutefois suspendre l’activité de votre Mac Pro à la demande, selon des réglages de temps.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 19 Pour suspendre l’activité de votre Mac Pro, procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez le menu Pomme () > « Suspendre l’activité » dans la barre des menus.  Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, cliquez sur « Économiseur d’énergie », puis définissez un délai pour la suspension d’activité ou réglez les heures de suspension/d’activation. Pour réactiver le Mac Pro :  Appuyez sur n’importe quelle touche du clavier. À la réactivation de votre Mac Pro, vos applications, documents et réglages sont tels que vous les aviez laissés.Centre d’aide ports www.apple.com/fr/macpro Votre Mac Pro au quotidien 222 Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien Éléments principaux se trouvant à l’avant de votre Mac Pro Lecteur optique Prise pour casque d’écoute Voyant d’état f ® Bouton d’alimentation Ports FireWire 800 (2) Deuxième lecteur optique (facultatif) Ports USB 2.0 (2)Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien 23 Lecteur optique Votre Mac Pro est équipé d’un lecteur SuperDrive DVD±R DL/DVD±RW/CD-RW capable de lire les disques CD-ROM, CD de photos, disques audio et DVD. Le lecteur vous permet également de graver de la musique, des documents et d’autres fichiers sur des disques CD-R, CD-RW, DVD±R, DVD±RW et DVD±R double couche (DL). Pour ouvrir le lecteur, appuyez sur la touche d’éjection (C) située sur votre clavier Apple. Si votre Mac Pro est équipé d’un deuxième lecteur optique, appuyez sur les touches Option et Éjection (C) pour l’ouvrir. ® Bouton d’alimentation Appuyez sur ce bouton pour allumer votre Mac Pro. Pour redémarrer, maintenez ce bouton enfoncé pendant 5 ou 6 secondes jusqu’à l’extinction du Mac Pro, puis appuyez dessus une nouvelle fois pour le rallumer. H Deux ports FireWire 800 Connectez des périphériques externes à haute vitesse, comme des caméras vidéo numériques (DV), des scanners et des disques durs externes FireWire. Vous pouvez connecter et déconnecter les périphériques FireWire sans redémarrer. Chaque port prend en charge un débit de données pouvant atteindre 800 Mbit/s. d Deux ports USB 2.0 Connectez un iPod, un iPhone, un iPad, une souris, un clavier, une imprimante, un disque dur, un appareil photo numérique, un joystick, un modem USB externe ou autre dispositif. Vous pouvez aussi connecter des périphériques USB 1.1. Il est également possible que votre moniteur soit doté de ports USB. f Prise pour casque d’écoute Branchez un casque ou des écouteurs dotés d’un connecteur 3,5 mm standard. Voyant d’état Un témoin lumineux blanc indique que votre Mac Pro est allumé ; un témoin clignotant indique que son activité est suspendue. Pour obtenir des informations sur un voyant d’état clignotant, consultez la rubrique « Si le voyant d’état clignote et que l’ordinateur ne démarre pas » à la page 83.24 Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien Ports et connecteurs situés à l’arrière de votre Mac Pro Prise d’alimentation Loquet de verrouillage Ports USB 2.0 (3) Ports FireWire 800 (2) G d ¥ H Ports Gigabit Ethernet (2)Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien 25 Prise d’alimentation Connectez le câble d’alimentation fourni avec votre Mac Pro. N’utilisez pas de cordon d’alimentation ou de cordon d’extension normal. ¥ Loquet de verrouillage Soulevez le loquet pour ouvrir le panneau latéral et accéder aux éléments internes du Mac Pro. Si vous manipulez des éléments à l’intérieur de votre Mac Pro et que le loquet est abaissé, les disques durs sont verrouillés dans leur emplacement. Il est possible de placer un verrou (non fourni) sur ce loquet pour empêcher l’accès aux éléments internes et les sécuriser. Il est également possible de fixer un câble de sûreté au loquet ou de le passer à travers les poignées afin de protéger votre Mac Pro. d Trois ports USB 2.0 Connectez un iPod, un iPhone, un iPad, une souris, un clavier, une imprimante, un disque dur, un appareil photo numérique, un joystick, un modem USB externe ou autre dispositif. Vous pouvez aussi connecter des périphériques USB 1.1. Il est également possible que votre moniteur soit doté de ports USB. H Deux ports FireWire 800 Connectez des périphériques externes à haute vitesse, comme des caméras vidéo numériques (DV), des scanners et des disques durs externes FireWire. Vous pouvez connecter et déconnecter les périphériques FireWire sans redémarrer. Chaque port prend en charge un débit de données pouvant atteindre 800 Mbit/s. G Deux ports Gigabit Ethernet avec prise en charge de cadre de grande taille Connectez un réseau Ethernet haut débit, un modem câble ou DSL ou encore un autre ordinateur. Le port Ethernet détecte automatiquement les périphériques Ethernet sans avoir besoin de câble croisé Ethernet. Vous pouvez accéder à Internet ou des ressources réseau comme des imprimantes et serveurs et partager des informations sur le réseau en utilisant un câble catégorie 5.26 Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien Autres ports et connecteurs à l’arrière Logements d’extension PCI Express Port Mini DisplayPort (2) - , Port optique de sortie audio numérique Port d’entrée audio analogique Port de sortie audio analogique Port optique d’entrée audio numérique Port de moniteur DVI £ £Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien 27 Logements d’extension PCI Express (3) Étendez les capacités de votre Mac Pro en installant jusqu’à 3 cartes PCI (Peripheral Component Interconnect) Express dans les logements couverts numérotés 2, 3 et 4. £ Ports de sortie Mini DisplayPort Connectez un ou deux écrans qui utilisent un connecteur Mini DisplayPort, comme un moniteur Apple LED Cinema Display. Les sorties Mini DisplayPort assurent aussi bien la sortie vidéo que la sortie audio. Vous pouvez utiliser des adaptateurs pour relier votre ordinateur par ses ports de sortie Mini DisplayPort à des appareils tels que des HDTV et des récepteurs AV, pour la sortie audio. Vous trouverez des adaptateurs de moniteur pour votre Mac Pro sur l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/fr/store. £ Port moniteur DVI (à double liaison) Connectez un écran utilisant un connecteur DVI (Digital Visual Interface), comme un moniteur Apple LED Cinema Display, sur le port de moniteur DVI. Vous trouverez des adaptateurs de moniteur pour votre Mac Pro sur l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/fr/store. Ports d’entrée et de sortie audio numériques optiques Connectez platines, récepteurs, instruments numériques et chaînes Surround à l’aide de câbles TOSLINK standard ou fibre optique avec des prises optiques en plastique ou nylon de 3,5 mm. Vous pouvez transférer de l’audio stéréo ou encodée en Surround avec le protocole S/PDIF (Sony/Philips Digital Interface) et des câbles TOSLINK. , Port d’entrée audio analogique Connectez microphones auto-alimentés, lecteurs MP3 et CD et autres périphériques à capacité analogique. - Port de sortie audio analogique Connectez des haut-parleurs auto-alimentés et d’autres périphériques analogiques.28 Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien Options d’extension interne Supports de disque dur (4) Support de lecteur optique Logement 1 : carte graphique PCI Express à double largeur (installée) Logements de mémoire (4 ou 8 logements selon le modèle) Logements 2 à 4 : PCI Express Pile (derrière la carte graphique)Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien 29 Lecteurs optiques Votre Mac Pro est fourni avec un ou deux lecteurs SuperDrive DVD±R DL/DVD±RW/CDRW. Pour remplacer un lecteur optique, consultez la rubrique « Remplacement du lecteur optique » à la page 66. Disques durs ou lecteurs SSD Votre Mac Pro renferme au maximum quatre lecteurs. Pour installer ou remplacer des lecteurs, consultez la rubrique « Installation d’unités de stockage internes » à la page 58. Logements PCI Express Votre Mac Pro est doté de trois logements d’extension PCI Express. Pour installer des cartes PCI dans les logements 2 à 4, consultez la rubrique « À propos des cartes PCI Express » à la page 72. Pile Votre Mac Pro utilise une pile interne de secours. Si votre Mac Pro a des problèmes au démarrage ou que la date et l’heure du système sont souvent incorrectes, vous devrez peut-être remplacer la pile. Consultez la section « Remplacement de la pile de secours interne » à la page 77. Logement graphique PCI Express à double largeur Connectez jusqu’à deux moniteurs à la carte graphique insérée dans le logement graphique PCI Express (logement 1). Vous pouvez remplacer la carte qui se trouve dans ce logement et installer des cartes graphiques supplémentaires dans les logements PCI 2 à 4. Consultez la section « À propos des cartes PCI Express » à la page 72. Logements mémoire Votre Mac Pro comprend quatre ou huit ports d’extension mémoire, suivant le modèle. Pour rajouter de la mémoire, installez des modules UDIMM SRDRAM ECC de type PC3- 10600E cadencés à 1 333 MHz dans les logements prévus à cet effet. Pour en savoir plus sur le type de mémoire utilisé dans votre Mac Pro, consultez la rubrique « Installation de la mémoire » à la page 39.30 Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien Comment obtenir des réponses Vous trouverez de plus amples informations sur l’utilisation de votre Mac Pro dans le Centre d’aide et sur Internet à l’adresse www.apple.com/fr/support/macpro. Pour ouvrir le Centre d’aide : 1 Cliquez sur l’icône du Finder dans le Dock (la barre des icônes située au bord de l’écran). 2 Cliquez sur le menu Aide dans la barre des menus et procédez de l’une des manières suivantes :  Saisissez une question ou un terme dans le champ de recherche et choisissez une rubrique dans la liste des résultats ou choisissez Afficher tous les résultats pour voir tous les articles.  Choisissez Centre d’aide pour ouvrir la fenêtre du Centre d’aide, dans laquelle vous pouvez naviguer ou chercher des rubriques. Informations supplémentaires Pour plus de renseignements sur l’utilisation de votre Mac Pro, consultez les sections suivantes :. Pour obtenir des informations sur : Reportez-vous aux sources suivantes : Installation de disques, mémoire, cartes d’extension ou d’une pile Chapitre 3, « Améliorations possibles » à la page 33. Dépannage de votre Mac Pro si vous rencontrez un problème Chapitre 4, « À tout problème sa solution » à la page 79.Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien 31 Pour obtenir des informations sur : Reportez-vous aux sources suivantes : Service et l’assistance technique pour votre Mac Pro « En savoir plus,service et assistance technique » à la page 98. Site web d’assistance Mac Pro à l’adresse www.apple.com/fr/support/ macpro. Utilisation de Mac OS X Lion Server Site web de Lion Server à l’adresse www.apple.com/fr/macosx/ server. Ou bien, ouvrez l’application Serveur, puis choisissez Aide Serveur dans le menu Aide. Migration depuis un PC vers un Mac « Pourquoi un Mac » à l’adresse www.apple.com/fr/getamac/ whymac. Modification des Préférences Système Préférences Système, accessibles en choisissant le menu Pomme (K) > Préférences Système. Vous pouvez également rechercher « préférences système » dans le Centre d’aide. Utilisation de la souris ou du clavier Préférences Système et choisissez Clavier et souris. Vous pouvez également ouvrir le Centre d’aide et effectuer une recherche sur « souris » ou « clavier ». Utilisation de la technologie sans fil AirPort Extreme Page web d’assistance AirPort à l’adresse www.apple.com/fr/ support/airport. Vous pouvez également ouvrir le Centre d’aide et rechercher le terme « AirPort ». Utilisation de la technologie sans fil Bluetooth® Page web d’assistance Bluetooth à l’adresse www.apple.com/ fr/support/bluetooth. Vous pouvez également ouvrir le Centre d’aide et rechercher le terme « Bluetooth ». Connexion d’une imprimante Recherchez « impression » dans le Centre d’aide. Connexions FireWire et USB Recherchez « FireWire » ou « USB » dans le Centre d’aide Connexion à Internet Recherchez « Internet » dans le Centre d’aide. Utilisation d’un moniteur Recherchez « port affichage » dans le Centre d’aide. Gravure d’un CD ou DVD Recherchez « graver disque » dans le Centre d’aide.32 Chapitre 2 Votre Mac Pro au quotidien Pour obtenir des informations sur : Reportez-vous aux sources suivantes : Mac ProSpécifications Chapitre 5, « Sousle capot » à la page 103. La page web concernant les caractéristiques Mac Pro, à l’adresse www.apple.com/fr/ macpro/specs.html. Vous pouvez également ouvrir Informations Système (dans le dossier Utilitaires de Launchpad), puis cliquer sur Plus d’infos. Actualités Apple, téléchargements gratuits et catalogues en ligne Site web d’Apple à l’adresse www.apple.com/fr. Instructions, assistance technique et manuels des produits Site web d’assistance Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support.Centre d’aide RAM www.apple.com/fr/store Améliorations possibles 334 Chapitre 3 Améliorations possibles Utilisez les informations de ce chapitre pour personnaliser et étendre votre Mac Pro afin qu’il réponde parfaitement à vos besoins. Vous trouverez des informations sur des procédures importantes dans les sections suivantes :  « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35  « Installation de la mémoire » à la page 39  « Installation d’unités de stockage internes » à la page 58  « Ajout de cartes PCI Express » à la page 72  « Remplacement de la pile de secours interne » à la page 77 AVERTISSEMENT : Apple recommande de faire appel à un technicien agréé Apple pour l’installation de barrettes de mémoire, de cartes d’extension PCI Express et d’unités de stockage internes. Pour contacter un Centre de maintenance agréé Apple ou Apple pour obtenir un service, consultez la section « En savoir plus, service et assistance technique » à la page 98. Tout dommage causé à votre matériel en installant vous-même ces éléments n’est pas couvert par la garantie limitée de votre ordinateur. Adressez-vous à un revendeur agréé Apple ou à un Centre de Maintenance Agréé Apple pour toute information complémentaire relative à la garantie.Chapitre 3 Améliorations possibles 35 Ouverture de votre Mac Pro 1 Avant d’ouvrir votre Mac Pro, éteignez-le en choisissant le menu Pomme () > Éteindre. AVIS : Veillez à toujours éteindre votre Mac Pro avant de l’ouvrir pour éviter d’endommager ses composants internes ou les composants à installer. N’ouvrez pas votre Mac Pro et n’essayez pas d’installer quoi que ce soit à l’intérieur lorsqu’il est branché. 2 Attendez 5 à 10 minutes pour permettre aux composants internes de votre Mac Pro de refroidir. AVERTISSEMENT : Laissez votre Mac Pro refroidir avant de toucher aux composants internes, car ces derniers pourraient être très chauds.36 Chapitre 3 Améliorations possibles 3 Touchez le châssis extérieur en métal de votre Mac Pro pour vous décharger de toute électricité statique. AVIS : Déchargez-vous toujours de votre électricité statique avant de toucher des pièces ou d’installer des composants dans votre Mac Pro. Pour éviter de générer de l’électricité statique, ne vous déplacez pas dans la pièce avant d’avoir achevé l’installation de la carte, de la mémoire ou du dispositif de stockage interne et d’avoir remis en place le panneau latéral. Touchez la paroi métallique pour ôter la charge électrostatique.Chapitre 3 Améliorations possibles 37 4 Débranchez tous les câbles et le câble d’alimentation de votre Mac Pro. AVERTISSEMENT : Débranchez toujours votre Mac Pro pour éviter d’endommager ses composants internes ou ceux que vous souhaitez installer. N’essayez pas d’y installer des composants lorsqu’il est branché. 5 Tenez le panneau latéral et soulevez le loquet situé à l’arrière.38 Chapitre 3 Améliorations possibles 6 Retirez le panneau latéral en retirant le haut de votre Mac Pro et en soulevant le panneau latéral. Important : Lorsque vous ôtez le panneau latéral, tenez-le fermement.Chapitre 3 Améliorations possibles 39 Installation de la mémoire Votre Mac Pro est livré avec au moins 8 Go de mémoire dans le cas du modèle simple processeur répartie en modules UDIMM ECC de 2 Go chacun. Toutes les barrettes UDIMM doivent être conformes aux spécifications suivantes :  Mémoire UDIMM SDRAM DDR3 PC3-10600E cadencée à 1 333 MHz  Code de correction d’erreur (ECC)  Modules ECC 240 broches 72 bits  36 IC maximum par mémoire UDIMM ECC AVIS : Apple recommande d’utiliser des barrettes DIMM approuvées par Apple. Les modules DIMM provenant d’anciens ordinateurs Mac ne peuvent pas être utilisés dans votre Mac Pro. Vous pouvez acheter de la mémoire de marque Apple dans l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/fr/store. Lorsque vous achetez des DIMM destinés à un ordinateur Mac, assurez-vous que le fournisseur respecte bien la spécification JEDEC (Joint Electron Device Engineering Council). Vérifiez avec le fournisseur que les DIMM prennent bien en charge les bons modes de minutage et que la fonctionnalité Serial Presence Detect (SPD) a été programmée correctement comme décrit dans la spécification JEDEC. Remarque : Bien que le débit de données des modèles UDIMM soit de 1 333 MHz, celles-ci fonctionnent à 1 066 MHz ou à 1 333 MHz selon le processeur de l’ordinateur.40 Chapitre 3 Améliorations possibles Avant de mettre en place de la mémoire, informez-vous pour savoir si vous possédez un Mac Pro uniprocesseur ou biprocesseur. Retirez le panneau latéral en suivant les instructions de la rubrique « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35 pour avoir accès à l’intérieur :  Un Mac Pro quadruple cœur ou sextuple cœur possède un processeur et quatre logements de mémoire. Il est possible d’installer jusqu’à 16 Go de mémoire. Consultez la section « Installation de mémoire sur un Mac Pro quadruple ou sextuple cœur » à la page 42.  Un Mac Pro octuple ou duodécuple cœur possède deux processeurs et huit logements de mémoire. Il vous est possible d’installer jusqu’à 32 Go de mémoire. Consultez la section « Installation de mémoire sur un Mac Pro octuple ou duodécuple cœur » à la page 51.Chapitre 3 Améliorations possibles 41 Un processeur Deux processeurs Vous pouvez également déterminer le modèle de votre Mac Pro en choisissant, dans la barre des menus, le menu Pomme () > À propos de ce Mac. Cliquez sur Plus d’infos, choisissez dans la liste Contenu la rubrique Matériel, puis à droite dans Informations matériel, retrouvez le Nombre de processeurs. Les Mac Pro à quatre et six cœurs possèdent un processeur tandis que les Mac Pro à huit et douze cœurs disposent de deux processeurs.42 Chapitre 3 Améliorations possibles Installation de mémoire sur un Mac Pro quadruple ou sextuple cœur Le Mac Pro quadruple et sextuple cœur possède quatre logements de mémoire avec un minimum de quatre modules DIMM de 2 Go chacun. Vous avez la possibilité de changer ou d’installer des modules DIMM supplémentaires de 1 Go, de 2 Go ou 4 Go, pouvant totaliser jusqu’à 16 Go de mémoire. Il est primordial que tous les modules DIMM installés sur votre Mac Pro répondent aux spécifications. Suivez les instructions ci-après pour mettre en place des modules DIMM dans un Mac Pro quadruple ou sextuple cœur. Pour installer de la mémoire : 1 Éteignez votre Mac Pro, ouvrez-le et retirez le panneau latéral en suivant les instructions de la rubrique « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35. AVERTISSEMENT : Laissez refroidir votre Mac Pro pendant 5 à 10 minutes avant de toucher les composants internes ou de retirer le bloc processeur. Les éléments risquent effectivement d’être très chauds.Chapitre 3 Améliorations possibles 43 2 Poussez les loquets sur le processeur pour les ouvrir partiellement. Loquets44 Chapitre 3 Améliorations possibles 3 Tirez dessus pour les ouvrir complètement afin de libérer le bloc processeur.Chapitre 3 Améliorations possibles 45 4 Retirez le bloc processeur et posez-le sur un tissu doux et propre sur votre bureau ou plan de travail pour le protéger et évitez de gratter la surface de travail. Bloc processeur46 Chapitre 3 Améliorations possibles Si vous mettez en place des modules DIMM de taille égale (par exemple, tous les modules DIMM sont chacun de 1 Go ou de 2 Go) dans votre Mac Pro quadruple ou sextuple cœur, Apple vous conseille de remplir les logements dans l’ordre indiqué dans le tableau. Logement 4 Logement 3 Logement 2 Logement 1 Si vous avez Utilisez ces logements Deux modules DIMM 1 et 2 Trois modules DIMM 1, 2 et 3 Quatre modules DIMM 1, 2, 3 et 4 (tous) Remarque : Si vous installez des modules DIMM de tailles différentes sur votre Mac Pro, suivez l’ordre indiqué dans le tableau. Si la configuration des modules DIMM installés ne vous procure pas des performances optimales, l’utilitaire Logement mémoire apparaît à l’écran pour vous recommander une meilleure configuration. Pour réutiliser l’utilitaire, allez à l’emplacement /Système/Bibliothèque/CoreServices/ Utilitaire d’emplacement de mémoire.Chapitre 3 Améliorations possibles 47 5 Utilisez les boutons d’éjection des logements de module DIMM 1, 2 et 3 et poussez-les vers l’extérieur, sur les côtés. Retirez ensuite les modules DIMM des logements. 6 Installez les modules DIMM en les alignant dans les logements et en appuyant dessus, vers le bas jusqu’à ce que les pattes soient à la verticale et que les boutons d’éjection prennent leur place. AVIS : Pour ne pas endommager les modules DIMM, maintenez-les par les coins et ne touchez pas les connecteurs dorés ou d’autres composants. Connecteurs Encoche Boutons d’éjection48 Chapitre 3 Améliorations possibles 7 Réinstallez le bloc processeur en le poussant vers l’intérieur jusqu’à ce que les loquets soient à 90 degrés. Bloc processeur Loquet 8 Appuyez sur les loquets jusqu’au bout pour les fermer et mettre en place le bloc processeur.Chapitre 3 Améliorations possibles 49 9 Remettez le panneau latéral en place. Lorsque vous remettez en place le panneau latéral, vérifiez que le loquet est bien relevé. Tenez le panneau latéral fermement pour qu’il ne bouge pas lorsque vous abaisserez le loquet. Mettez le panneau latéral dans le logement puis appuyez pour fermer. AVIS : Remettez toujours en place le panneau latéral après avoir installé les composants. Dans le cas contraire, votre Mac Pro ne peut pas fonctionner correctement.50 Chapitre 3 Améliorations possibles 10 Maintenez le panneau latéral contre votre Mac Pro et poussez le loquet vers le bas pour fixer le panneau latéral. Vous pouvez attacher un cadenas ou faire passer un câble au travers de la boucle métallique (située sous le loquet) pour sécuriser votre Mac Pro. Renvoyez la boucle en métal vers le bas avant de refermer le loquet, fermez ce dernier, puis attachez-y le cadenas ou le câble à travers la boucle étendue.Chapitre 3 Améliorations possibles 51 Installation de mémoire sur un Mac Pro octuple ou duodécuple cœur Le Mac Pro octuple et duodecuple cœur est doté de huit logements pour la mémoire et en général d’au moins quatre modules DIMM de 2 Go. Il vous est possible d’installer jusqu’à 32 Go de mémoire. Il est primordial que tous les modules DIMM installés sur votre Mac Pro répondent aux spécifications. Suivez les instructions ci-après pour mettre en place des modules DIMM dans un Mac Pro octuple ou duodécuple cœur. Pour installer de la mémoire dans un Mac Pro biprocesseur : 1 Éteignez votre Mac Pro, ouvrez-le et retirez le panneau latéral en suivant les instructions de la rubrique « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35. AVERTISSEMENT : Laissez refroidir votre Mac Pro pendant 5 à 10 minutes avant de toucher les composants internes ou de retirer le bloc processeur. Les éléments risquent effectivement d’être très chauds.52 Chapitre 3 Améliorations possibles 2 Poussez les loquets sur l’assise du processeur pour les ouvrir légèrement. LoquetsChapitre 3 Améliorations possibles 53 3 Tirez dessus pour les ouvrir complètement afin de libérer le bloc processeur.54 Chapitre 3 Améliorations possibles 4 Retirez le bloc processeur et posez-le sur un tissu doux et propre sur votre bureau ou plan de travail pour le protéger et évitez de gratter la surface de travail. Bloc processeurChapitre 3 Améliorations possibles 55 Si vous mettez en place des modules DIMM de taille égale (par exemple, tous les modules DIMM étant de 1 Go ou de 2 Go, uniformément) dans votre Mac Pro octuple ou duodécuple cœur, Apple vous conseille de remplir les logements dans l’ordre indiqué dans le tableau. Logement 4 Logement 3 Logement 2 Logement 1 Logement 5 Logement 6 Logement 7 Logement 8 Si vous avez Utilisez ces logements Deux modules DIMM 1 et 2 Trois modules DIMM 1, 2 et 3 Quatre modules DIMM 1, 2 et 5, 6 Six modules DIMM 1, 2, 3 et 5, 6, 7 Huit modules DIMM 1, 2, 3, 4 et 5, 6, 7, 8 (tous)56 Chapitre 3 Améliorations possibles Remarque : Si vous installez des modules DIMM de tailles différentes sur votre Mac Pro, suivez l’ordre indiqué dans le tableau. Si la configuration des modules DIMM installés ne vous procure pas des performances optimales, Utilitaire d’emplacement de mémoire apparaît à l’écran pour vous recommander une meilleure configuration. Pour réutiliser l’utilitaire, allez à l’emplacement /Système/Bibliothèque/CoreServices/ Utilitaire d’emplacement de mémoire. 5 Installez les modules DIMM en les alignant dans les logements et en appuyant dessus, vers le bas jusqu’à ce que les pattes soient à la verticale et que les boutons d’éjection prennent leur place. AVIS : Pour ne pas endommager les modules DIMM, maintenez-les par les coins et ne touchez pas les connecteurs dorés ou d’autres composants. Connecteurs Encoche Boutons d’éjectionChapitre 3 Améliorations possibles 57 6 Réinstallez le bloc processeur en le poussant vers l’intérieur jusqu’à ce que les loquets soient à 90 degrés. 7 Appuyez sur les loquets jusqu’au bout pour les fermer et mettre en place le bloc processeur. Bloc processeur Loquet 8 Replacez le panneau latéral en suivant les instructions indiquées à la page 49. AVIS : Remettez toujours en place le panneau latéral après avoir installé les composants. Dans le cas contraire, votre Mac Pro ne peut pas fonctionner correctement.58 Chapitre 3 Améliorations possibles Installation d’unités de stockage internes Votre Mac Pro dispose d’emplacements pour six lecteurs internes : deux lecteurs optiques et quatre disques durs ou disques SSD. Dans la plupart des configurations, un seul lecteur occupe la première baie et un lecteur optique est installé dans la baie supérieure de lecteur optique. Vous pouvez ajouter jusqu’à trois disques durs Serial ATA (SATA) de 3,5 pouces sans câble dans les baies à lecteurs vides. Les disques durs doivent respecter les spécifications suivantes :  Type : SATA 3 Gb/s  Largeur : 102 mm  Profondeur : 147 mm  Hauteur : 25,4 mm Vous pouvez ajouter jusqu’à trois lecteurs SSD de 2,5 pouces dans les baies à lecteurs vides. Les disques durs doivent respecter les spécifications suivantes :  Type : SATA 3 Gb/s  Largeur : 63,5 mm Les lecteurs SSD sont livrés avec un adaptateur s’insérant parfaitement dans les baies à lecteurs de 3,5 pouces. Pour en savoir plus sur la configuration requise ou les périphériques pris en charge, rendez-vous chez un revendeur agréé Apple, sur l’Apple Store à l’adresse www.apple.com/ fr/store ou sur le site d’assistance Mac Pro à l’adresse www.apple.com/fr/support/macpro.Chapitre 3 Améliorations possibles 59 Installation de disques durs SATA Votre Mac Pro peut héberger jusqu’à quatre disques durs internes SATA de 1 po dans les baies à lecteurs. Si votre Mac Pro est fourni avec un seul disque dur installé, lequel se trouve dans la première baie à lecteur. Vous pouvez installer des disques durs dans la deuxième, la troisième et la quatrième baie. Pour installer un disque dur : 1 Ouvrez votre Mac Pro et retirez le panneau latéral en suivant les instructions de la rubrique « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35. 2 Levez le loquet pour déverrouiller les supports de lecteur. Remarque : Une fois le loquet abaissé, les supports sont verrouillés dans les baies à lecteurs et ne peuvent pas être retirés. 3 Sortez le support de la baie à lecteur. Support de disque dur60 Chapitre 3 Améliorations possibles 4 Placez le support au-dessus du disque dur avec les connecteurs placés à l’arrière. 5 Utilisez les quatre vis du support pour fixer le disque dur au support. AVIS : Prenez le disque dur par les côtés. Ne touchez pas la carte à circuit imprimé, car cela pourrait endommager le disque. ConnecteursChapitre 3 Améliorations possibles 61 6 Soulevez le loquet et faites glisser le support sur les guides dans la baie jusqu’à ce qu’il entre en contact avec les connecteurs du disque et qu’il adopte son assise dans la baie. Connecteurs de disque dur 7 Replacez le panneau latéral en suivant les instructions indiquées à la page 49. AVIS : Remettez toujours en place le panneau latéral après avoir installé les composants. Dans le cas contraire, votre Mac Pro ne peut pas fonctionner correctement.62 Chapitre 3 Améliorations possibles Installation d’un lecteur SSD Votre Mac Pro peut héberger jusqu’à quatre lecteurs SSD internes de 2,5 po dans les baies à lecteurs. Si votre Mac Pro est fourni avec un seul disque dur installé, celui-ci se trouve dans la première baie de disque dur. Vous pouvez installer des disques durs dans la deuxième, la troisième et la quatrième baie. Pour installer un lecteur SSD : 1 Ouvrez votre Mac Pro et retirez le panneau latéral en suivant les instructions de la rubrique « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35. 2 Levez le loquet pour déverrouiller les supports de lecteur. Remarque : Une fois le loquet abaissé, les supports sont verrouillés dans les baies à lecteurs et ne peuvent pas être retirés. 3 Sortez le support de la baie à lecteur.Chapitre 3 Améliorations possibles 63 Support de disque dur 4 Retirez les deux vis du support du lecteur comme indiqué. Fixez l’adaptateur SSD au support à l’aide des deux vis restantes. Serrez les deux vis que vous avez conservées après les avoir retirées.64 Chapitre 3 Améliorations possibles Connecteurs Crochets Vis non utilisées (2) Vis 5 Alignez le support du lecteur sur l’adaptateur SSD avec les connecteurs de lecteur à l’arrière, tel qu’illustré. Insérez les deux crochets situés sur la partie supérieure de l’adaptateur dans les orifices du support. Serrez les deux vis au-dessus du support pour fixer la fermeture SSD sur le support.Chapitre 3 Améliorations possibles 65 6 Soulevez le loquet et faites glisser le support sur les guides dans la baie jusqu’à ce qu’il entre en contact avec les connecteurs du disque et qu’il adopte son assise dans la baie. Connecteurs de disque dur 7 Replacez le panneau latéral en suivant les instructions indiquées à la page 49. AVIS : Remettez toujours en place le panneau latéral après avoir installé les composants. Dans le cas contraire, votre Mac Pro ne peut pas fonctionner correctement.66 Chapitre 3 Améliorations possibles Remplacement du lecteur optique Votre Mac Pro est fourni avec un ou deux lecteurs SuperDrive installés dans les baies de lecteur optique. Suivez ces instructions pour remplacer un lecteur optique. Remarque : Contactez le fabricant du lecteur ou consultez le site web du fabricant pour déterminer si votre lecteur est réglé sur le mode de sélection de câble. Avant d’installer un lecteur, réglez celui-ci sur le mode de sélection par câble si cela n’a pas été fait par le fabricant. Pour remplacer le lecteur optique : 1 Ouvrez votre Mac Pro et retirez le panneau latéral en suivant les instructions de la rubrique « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35. 2 Levez le loquet pour déverrouiller les supports de lecteur optique. Une fois le loquet abaissé, les lecteurs et supports sont verrouillés dans les baies à lecteurs optiques et ne peuvent pas être retirés.Chapitre 3 Améliorations possibles 67 3 Sortez le support hors de la baie à lecteur optique jusqu’à sa moitié.68 Chapitre 3 Améliorations possibles 4 Déconnectez le câble du lecteur optique et retirez le support de la baie pour disque. AVIS : Lorsque vous installez ou remplacez des lecteurs optiques, utilisez les câbles Apple d’origine fournis avec votre Mac Pro.Chapitre 3 Améliorations possibles 69 5 Retirez le lecteur optique du support en dévissant les quatre vis de fixation. 6 Utilisez les quatre vis imperdables du lecteur optique d’origine pour fixer le lecteur de remplacement au support.70 Chapitre 3 Améliorations possibles 7 Faites glisser le lecteur optique et le support sur les guides et insérez-les partiellement dans la baie à lecteur optique. 8 Attachez le câble à l’arrière du lecteur optique. Connecteur intermédiaire du câble d'alimentation Connecteur de l'extrémité du câble platChapitre 3 Améliorations possibles 71 9 Soulevez le loquet et faites glisser le support dans la baie à lecteur optique en le poussant jusqu’à sa position finale. 10 Replacez le panneau latéral en suivant les instructions indiquées à la page 49. AVIS : Remettez toujours en place le panneau latéral après avoir installé les composants. Dans le cas contraire, votre Mac Pro ne peut pas fonctionner correctement.72 Chapitre 3 Améliorations possibles Ajout de cartes PCI Express Vous pouvez augmenter les capacités de votre Mac Pro en installant des cartes dans les logements PCI (Peripheral Component Interconnect) Express. Votre Mac Pro dispose d’un logement graphique PCI Express à double largeur et de trois logements d’extension PCI Express, soit quatre logements au total. Ces logements acceptent des cartes graphiques PCI Express et des cartes d’extension. À propos des cartes PCI Express Votre Mac Pro est fourni avec une carte graphique PCI Express hautes performances, qui contient le processeur graphique et fournit les ports destinés à connecter l’écran de l’ordinateur. La carte graphique est installée dans le logement 1. Vous pouvez installer des cartes graphiques et d’extension PCI Express supplémentaires. Avant d’installer une carte, vérifiez-en les spécifications pour vous assurer qu’elle puisse fonctionner sur votre Mac Pro :  Les logements 1 et 2 sont des logements PCI Express 2.0 x16  Les logements 3 et 4 sont des logements PCI Express 2.0 x4 Les quatre logements sont compatibles avec les cartes 16 voies AVIS : La consommation de courant combinée des quatre logements PCI Express ne doit pas dépasser 300 watts (W).Chapitre 3 Améliorations possibles 73 Pour installer une carte PCI Express : 1 Ouvrez votre Mac Pro et retirez le panneau latéral en suivant les instructions de la rubrique « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35. AVERTISSEMENT : Veillez à toujours éteindre puis débrancher votre Mac Pro pour éviter d’endommager ses composants internes ou ceux que vous souhaitez installer. N’essayez pas d’y installer des composants lorsqu’il est branché. Laissez refroidir votre Mac Pro pendant 5 à 10 minutes avant de toucher les composants internes qui pourraient être très chauds. 2 Dévissez les vis imperdables du support PCI puis enlevez le support. Cache d’accès aux ports Support PCI 3 Enlevez le cache d’accès aux ports du logement où vous souhaitez installer la carte.74 Chapitre 3 Améliorations possibles 4 Appuyez sur le bouton du curseur PCI et déplacez le curseur vers la gauche pour déplacer la barre de rétention. Curseur PCI Bouton Barre de rétention 5 Enlevez la nouvelle carte de son sachet antistatique et tenez-la par les coins. Ne touchez pas les connecteurs dorés ou les composants de la carte. Si vous procédez à l’installation d’une carte PCI complète Il peut s’avérer plus simple d’installer une carte PCI si vous retirez les disques durs et supports (voir page 59), ainsi que les cartes adjacentes. Assurez-vous que l’extrémité de la carte pénètre bien dans les bons guides de carte avant d’aligner la carte avec le logement PCI et de terminer l’installation.Chapitre 3 Améliorations possibles 75 6 Alignez le connecteur de la carte sur le logement d’extension, puis enfoncez la carte dans le logement. Curseur PCI Crochet d’arrimage Barre de rétention Logement PCI Express 7 Appuyez délicatement, mais fermement sur la carte jusqu’à ce que le connecteur soit complètement enclenché. Appuyez seulement sur les parties vides de la carte pour éviter d’endommager les composants. N’enfoncez pas la carte dans le logement en exerçant des pressions successives sur ses côtés ou en forçant. Si vous rencontrez une résistance, vérifiez si le connecteur et le logement sont endommagés ou obstrués, puis essayez à nouveau. 8 Tirez légèrement sur la carte pour vous assurer qu’elle est correctement connectée. Si elle reste en place et que ses connecteurs dorés sont à peine visibles, la carte est connectée. 9 Déplacez le curseur PCI vers la droite pour enclencher.76 Chapitre 3 Améliorations possibles 10 Remettez en place le support PCI sous l’attache puis serrez les vis pour maintenir la carte en place. AVIS : Si vous retirez une carte sans en installer une autre, recouvrez le logement vide au moyen d’un cache d’accès aux ports pour éviter que des corps étrangers ne pénètrent dans le boîtier. Un logement non couvert peut modifier la circulation d’air qui refroidit les composants internes de l’ordinateur et causer des dommages. Attache Support PCI 11 Replacez le panneau latéral en suivant les instructions indiquées à la page 49. AVIS : Remettez toujours en place le panneau latéral après avoir installé les composants. Dans le cas contraire, votre Mac Pro ne peut pas fonctionner correctement.Chapitre 3 Améliorations possibles 77 Remplacement de la pile de secours interne Le Mac Pro utilise une pile au lithium BR 2032 qui permet de stocker certains réglages, comme l’heure et la date, quand le Mac Pro est éteint. Si vous remarquez des problèmes intermittents au démarrage de votre Mac Pro ou des modifications dans les réglages de date et heure, changez la pile. Important : Jetez la pile usagée en respectant les lois environnementales locales. Pour remettre la pile en place : 1 Ouvrez votre Mac Pro et retirez le panneau latéral en suivant les instructions de la rubrique « Ouverture de votre Mac Pro » à la page 35. 2 Retirez toute carte PCI Express qui bloquerait l’accès à la pile. Consultez la rubrique « Ajout de cartes PCI Express » à la page 72 pour obtenir des instructions. 3 Retirez l’ancienne pile de son compartiment. AVERTISSEMENT : L’installation incorrecte de la pile peut provoquer une explosion. Utilisez uniquement une pile de type identique ou une pile équivalente recommandée par le fabricant de la pile d’origine.78 Chapitre 3 Améliorations possibles 4 Insérez la nouvelle pile dans son compartiment, son côté positif (+) tourné vers l’extérieur. 5 Replacez les cartes PCI Express que vous avez retirées (reportez-vous à la rubrique « Ajout de cartes PCI Express » à la page 72). 6 Replacez le panneau latéral et poussez le loquet vers le bas pour le verrouiller.Centre d’aide aide www.apple.com/fr/support À tout problème sa solution 480 Chapitre 4 À tout problème sa solution Vous pouvez parfois rencontrer des problèmes en travaillant sur votre Mac Pro. Lisez la suite pour obtenir des conseils de dépannage utiles en cas de problème. Vous pouvez également trouver plus d’informations de dépannage dans le Centre d’aide ou sur le site web d’assistance Mac Pro à l’adresse www.apple.com/fr/support/macpro. Il existe généralement une solution simple et rapide aux problèmes que vous pouvez rencontrer lors de l’utilisation de votre Mac Pro. Réfléchissez aux conditions qui ont entraîné l’apparition de ce problème. Faire un récapitulatif de la totalité des opérations effectuées avant que le problème ne survienne permet de restreindre les causes possibles et de trouver la solution. Les éléments à noter comprennent :  Tout logiciel récemment installé.  Tout nouveau matériel installé (par exemple de la mémoire, une carte graphique, une carte PCI Express, un disque dur) ou tout périphérique connecté. Une once de prévention Si vous rencontrez un problème avec votre ordinateur ou un logiciel, des copies de sauvegarde à jour permettront d’éviter de perdre des données. Si vous effectuez des copies de sauvegarde Time Machine régulières, vous pouvez restaurer vos logiciels ainsi que l’ensemble de vos données tels qu’ils se trouvaient au moment de la sauvegarde. Même les problèmes les plus graves sont moins sérieux lorsque vous sauvegardez vos informations avec Time Machine. Pour en savoir plus sur la sauvegarde des données du serveur, consultez le site web de Lion Server à l’adresse www.apple.com/fr/macosx/server.Chapitre 4 À tout problème sa solution 81 Problèmes du Mac Pro Si votre Mac Pro ne répond ou ne s’allume pas, un disque ne s’éjecte pas ou le voyant d’état clignote, essayez les procédures de cette section. Si l’ordinateur ne répond pas ou si le pointeur ne bouge pas  Assurez-vous que le clavier est connecté. Pour cela, débranchez puis rebranchez-le sur son connecteur en vous assurant que le câble est bien enfoncé.  Appuyez simultanément sur les touches Commande (x) et Q pour essayer de fermer l’application en cours d’exécution.  Appuyez simultanément sur les touches Commande (x) et point. Si une zone de dialogue apparaît, cliquez sur Annuler.  Choisissez Pomme () > Forcer à quitter, puis sélectionnez l’application à fermer. Vous pouvez aussi forcer l’application à quitter en appuyant simultanément sur les touches Esc, Option et Commande (x). Redémarrez votre Mac Pro en sélectionnant le menu Pomme () > Redémarrer, pour être certain que le problème est entièrement résolu. Vous pouvez également redémarrer l’ordinateur en appuyant sur le bouton d’alimentation (®) pendant 5 à 6 secondes jusqu’à ce que le Mac Pro s’éteigne. Appuyez à nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre Mac Pro.  Si le problème ne survient qu’avec une application particulière, consultez l’éditeur de l’application concernée afin de vérifier si elle est compatible avec votre ordinateur.  Si le problème survient fréquemment, sélectionnez Aide > Centre d’aide et recherchez « problèmes ».82 Chapitre 4 À tout problème sa solution Si l’ordinateur ne s’allume pas ou ne démarre pas  Assurez-vous que le câble d’alimentation est branché sur une prise électrique en état de fonctionnement. La fiche du câble d’alimentation doit être totalement insérée dans la prise de l’ordinateur.  Redémarrez votre ordinateur en maintenant les touches Commande (x) et R enfoncées, jusqu’à ce qu’il redémarre. Lorsque l’application Utilitaires Mac OS X apparaît, sélectionnez une option pour réparer votre disque, restaurer vos logiciels, ou réinstaller Mac OS X et les applications Apple à partir de la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réparation, restauration ou réinstallation de logiciels Mac OS X » à la page 85.  Si votre ordinateur ne démarre toujours pas, essayez de réinitialiser la mémoire à accès aléatoire des paramètres (PRAM). Allumez l’ordinateur et maintenez immédiatement les touches Commande (x), Option, P, et R enfoncées jusqu’à entendre une deuxième fois le son du démarrage. Relâchez les touches. La mémoire PRAM est réinitialisée à ses valeurs par défaut et vos réglages d’horloges auront peut- être besoin d’être refaits. • Si votre ordinateur ne redémarre pas après réinitialisation de la PRAM, redémarrezle en maintenant la touche Option enfoncée afin de choisir le disque de démarrage. • Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez l’ordinateur tout en maintenant la touche Majuscule enfoncée. Si vous ne parvenez pas à éjecter un disque Un fichier est peut-être en cours d’utilisation sur ce disque. Quittez toutes les applications ouvertes, puis essayez à nouveau.Chapitre 4 À tout problème sa solution 83 Si cela ne fonctionne pas, sélectionnez le menu Pomme () > Redémarrer, puis maintenez enfoncé soit le bouton de la souris, soit la touche d’éjection (C) du clavier Apple. Si le problème persiste : 1 Éteignez l’ordinateur et retirez le panneau latéral (consultez les instructions à la page 35). 2 Retirez le support du lecteur optique de sa baie (consultez la rubrique « Remplacement du lecteur optique » à la page 66). 3 Insérez doucement le bout d’un trombone aplati dans le petit trou à l’avant du lecteur optique. 4 Appuyez fermement jusqu’à ce que la porte s’ouvre, enlevez le disque et refermez le lecteur en poussant. 5 Remettez en place le support du lecteur optique et le panneau latéral (consultez la rubrique « Remplacement du lecteur optique » à la page 66). Si le voyant d’état clignote et que l’ordinateur ne démarre pas  Si vous avez récemment ajouté de la mémoire, une carte d’extension PCI ou tout autre composant interne, assurez-vous qu’il est correctement installé et compatible avec votre ordinateur. Essayez de l’enlever pour savoir si l’ordinateur peut démarrer.  Si le voyant d’état continue à clignoter, déterminez le nombre de clignotements pour identifier le problème : • Une lumière courte suivie d’une extinction plus longue du voyant :  pas de mémoire valide. • Trois lumières courtes suivies d’une extinction plus longue du voyant : défaillance de la mémoire.84 Chapitre 4 À tout problème sa solution Problèmes liés au logiciel Lorsqu’une application se fige ou ne répond pas, Mac OS X offre une façon de quitter l’application sans redémarrer l’ordinateur. Pour forcer la fermeture d’une application : 1 Appuyez sur les touches Commande (x) + Option + Esc ou choisissez le menu Pomme () > Forcer à quitter dans la barre des menus. 2 Sélectionnez le nom de l’application que vous souhaitez quitter dans la zone de dialogue « Forcer des applications à quitter ». 3 Cliquez sur Forcer à quitter. L’application se ferme, en laissant toutes les autres applications ouvertes. En cas de problème avec un logiciel  Utilisez Mise à jour de logiciels afin de vous assurer que vous disposez des tout derniers gestionnaires, résolutions de problèmes et autres mises à jour.  Pour les problèmes liés aux logiciels provenant d’éditeurs tiers, contactez l’éditeur concerné. Si vous rencontrez des problèmes avec votre ordinateur ou Mac OS X Lion Server  Consultez le Centre d’aide (dans le menu Aide) pour obtenir des instructions et des renseignements de dépannage.  Pour obtenir les derniers renseignements de dépannage et des mises à jour de logiciels, consultez le site web d’assistance de Lion Server à l’adresse www.apple.com/ fr/support/server.Chapitre 4 À tout problème sa solution 85 Réparation, restauration ou réinstallation de logiciels Mac OS X Si vous avez un problème avec vos logiciels ou votre matériel Mac, Mac OS X fournit des utilitaires de réparation et de restauration qui peuvent supprimer les problèmes et même restaurer les réglages d’origine de vos logiciels. Vous pouvez accéder à ces utilitaires depuis l’application Utilitaires Mac OS X, même si votre ordinateur ne démarre pas correctement. Utilisez l’application Utilitaires Mac OS X pour :  réparer le disque de votre ordinateur au moyen d’Utilitaire de disque ;  restaurer vos logiciels et vos données depuis une copie de sauvegarde Time Machine ;  réinstaller Mac OS X Lion, Lion Server et les applications Apple ;86 Chapitre 4 À tout problème sa solution  restaurer les réglages d’origine de votre ordinateur en effaçant son disque et en réinstallant Mac OS X Lion, Lion Server et vos applications Apple. Votre ordinateur ouvre automatiquement l’application Utilitaires Mac OS X s’il détecte un problème. Vous pouvez également ouvrir la sous-fenêtre manuellement en redémarrant l’ordinateur. Pour ouvrir l’application Utilitaires Mac OS X : m Redémarrez votre ordinateur en maintenant les touches Commande (x) et R enfoncées. Certains des utilitaires de la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X nécessitent un accès à Internet et au Mac Apple Store. Vous devrez peut-être vérifier que votre ordinateur est connecté à Internet par votre réseau Ethernet ou Wi-Fi. Pour vous connecter via un réseau Wi-Fi : 1 Choisissez un réseau dans le menu d’état Wi-Fi situé dans le coin supérieur droit de l’écran. 2 Si nécessaire, saisissez le mot de passe du réseau. Pour vous connecter à un réseau fermé, choisissez Se connecter à un autre réseau. Saisissez le nom et le mot de passe du réseau. Réparation d’un disque avec Utilitaire de disque Si vous avez un problème avec votre ordinateur ou si, au démarrage, celui-ci affiche la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, une réparation du disque de votre ordinateur peut être nécessaire. 1 Sélectionnez Utilitaire de disque dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X et cliquez sur Continuer.Chapitre 4 À tout problème sa solution 87 2 Sélectionnez le disque ou la partition dans la liste de gauche, puis cliquez sur l’onglet S.O.S. 3 Cliquez sur Réparer le disque. Si Utilitaire de disque ne peut pas réparer le disque, sauvegardez autant d’informations que possible, puis suivez les instructions de la section « Réinstallation de Mac OS X Lion Server et des applications Apple » à la page 88. Pour obtenir des informations sur Utilitaire de disque et ses options, consultez le Centre d’aide, ou ouvrez Utilitaire de disque (dans le dossier Utilitaires du Launchpad) et choisissez Aide > Aide Utilitaire de disque. Restauration d’informations depuis une copie de sauvegarde Time Machine Si vous avez précédemment créé une copie de sauvegarde Time Machine, utilisez l’utilitaire Restaurer pour restaurer tous les éléments de votre ordinateur à leur état précédent. N’utilisez votre sauvegarde Time Machine que pour restaurer des informations sur l’ordinateur sur lequel la sauvegarde a été effectuée. Si vous souhaitez transférer des informations sur un nouvel ordinateur, utilisez Assistant migration. 1 Si votre copie de sauvegarde se trouve sur une Time Capsule, assurez-vous que votre Mac Pro est connecté à un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions présentées à la page 86.) 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, sélectionnez Restaurer à partir d’une sauvegarde Time Machine, puis cliquez sur Continuer. 3 Sélectionnez le disque qui contient la copie de sauvegarde Time Machine, puis suivez les instructions à l’écran.88 Chapitre 4 À tout problème sa solution Réinstallation de Mac OS X Lion Server et des applications Apple La réinstallation de Mac OS X Lion Server et des applications Apple peut parfois s’avérer nécessaire. Vous pouvez procéder à cette réinstallation tout en conservant vos fichiers et vos réglages utilisateur. Important : L’application Utilitaires Mac OS X réinstalle et restaure les logiciels Mac OS X et Mac OS X Lion Server. 1 Vérifiez que votre Mac Pro est connecté à Internet via un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions présentées à la page 86.) 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, sélectionnez Réinstaller Mac OS X, puis cliquez sur Continuer. 3 Lorsque vous êtes invité à sélectionner un disque, sélectionnez votre disque Mac OS X actuel (il s’agit bien souvent du seul disque disponible). 4 Pour installer des logiciels facultatifs, cliquez sur Personnaliser. 5 Cliquez sur Installer. Vous pouvez soit installer Mac OS X et Lion Server sans effacer le disque, afin de conserver vos fichiers et réglages existants, soit effacer d’abord le disque pour supprimer toutes vos données et préparer l’ordinateur en vue de la réinstallation de Mac OS X, Lion Server et des applications Apple. Lorsque Mac OS X est réinstallé, vous pouvez accéder au Mac App Store pour télécharger à nouveau les applications livrées avec votre Mac et les autres applications que vous avez achetées dans le Mac App Store. Chapitre 4 À tout problème sa solution 89 Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données du disque avant de procéder à la restauration des logiciels. Apple décline toute responsabilité en cas de perte de données. Restaurer les réglages d’origine de votre ordinateur Lorsque vous restaurez les réglages d’origine de votre ordinateur, tous les éléments présents sur ce dernier (vos comptes utilisateur, vos réglages réseau, ainsi que tous vos fichiers et dossiers) sont supprimés. Avant de procéder à une restauration, sauvegardez tous les fichiers que vous souhaitez conserver en les copiant sur un autre disque. Notez les réglages réseau enregistrés dans les préférences Réseau pour pouvoir vous reconnecter plus aisément après la réinstallation de Mac OS X Lion Server. 1 Vérifiez que votre Mac Pro est connecté à Internet via un réseau Ethernet ou Wi-Fi. (Pour vous connecter à un réseau Wi-Fi, suivez les instructions présentées à la page 86.) 2 Dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, sélectionnez Utilitaire de disque, puis cliquez sur Continuer. 3 Sélectionnez le disque dans la liste de gauche, puis cliquez sur l’onglet Effacer. 4 Choisissez « Mac OS étendu (journalisé) » à partir du menu local Format, saisissez le nom du disque, puis cliquez sur Effacer. 5 Une fois le disque effacé, choisissez Utilitaire de disque > Quitter Utilitaire de disque. 6 Dans la sous-fenêtre Utilitaires Mac OS X, sélectionnez Réinstaller Mac OS X, puis cliquez sur Continuer. 7 Pour réinstaller Mac OS X et les applications Apple, suivez les instructions du programme d’installation de Mac OS X.90 Chapitre 4 À tout problème sa solution Lorsque Mac OS X Lion Server et les applications Apple sont restaurés, vous pouvez restaurer de façon sélective vos autres données et applications depuis une sauvegarde Time Machine. Vérification d’un problème matériel Si vous pensez que le problème est d’origine matérielle, utilisez l’application Apple Hardware Test pour vous aider à déterminer si l’un des composants du Mac Pro présente un problème. Pour utiliser Apple Hardware Test : 1 Déconnectez tous les périphériques externes de votre Mac Pro, à l’exception de l’écran, du clavier et de la souris. Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le. 2 Redémarrez votre Mac Pro tout en maintenant la touche D enfoncée. 3 Lorsque la fenêtre de sélection de l’utilitaire Apple Hardware Test apparaît, sélectionnez la langue que vous voulez utiliser. 4 Appuyez sur la touche Retour ou cliquez sur la flèche droite. 5 Lorsque l’écran principal d’Apple Hardware Test s’affiche (après 45 secondes environ), suivez les instructions à l’écran. 6 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple Hardware Test ne détecte pas de panne matérielle, il est probable que le problème soit lié aux logiciels.Chapitre 4 À tout problème sa solution 91 Problèmes de communication Wi-Fi En cas de problème avec les communications Wi-Fi :  Assurez-vous que le logiciel est correctement configuré conformément aux instructions incluses avec votre borne d’accès.  Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé et dispose d’un point d’accès sans fil.  Assurez-vous que votre Mac Pro se trouve dans le champ de détection de l’autre ordinateur ou du point d’accès au réseau. Des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre antenne. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en réorientant l’ordinateur.  Assurez-vous que le panneau latéral est fermé (suivez les instructions commençant à la page 49) et que les caches d’accès aux ports PCI sont en place (consultez la rubrique « Ajout de cartes PCI Express » à la page 72). La réception de l’antenne se trouve réduite lorsque votre Mac Pro n’est pas fermé correctement.  Vérifiez la puissance du signal Wi-Fi. Il est possible que l’icône d’état Wi-Fi (Z) de la barre des menus indique quatre barres.  Pour en savoir plus sur le Wi-Fi, choisissez Aide > Centre d’aide, puis effectuez une recherche sur le mot « Wi-Fi ». Consultez également les instructions fournies avec votre appareil sans fil.92 Chapitre 4 À tout problème sa solution Problèmes de moniteur AVIS : Si vous rencontrez un problème avec un moniteur Apple Display et que vous ne parvenez pas à le résoudre à l’aide de ce manuel, contactez un fournisseur de services agréé Apple ou Apple. Si vous tentez de le réparer vous-même, les dommages éventuels ne seront pas couverts par la garantie limitée de votre moniteur. Adressezvous à un revendeur agréé Apple ou à un Centre de Maintenance Agréé Apple pour tout renseignement complémentaire relatif à la garantie. Si aucune image n’apparaît à l’écran  Assurez-vous que l’ordinateur est allumé. Si l’écran est doté d’un voyant de mise sous tension, vérifiez qu’il est bien allumé.  Vérifiez que les câbles sont correctement connectés à l’ordinateur et au moniteur.  Si votre carte graphique dispose d’un câble d’alimentation interne, assurez-vous qu’il est connecté à la carte et à la carte logique.  Assurez-vous que votre ordinateur n’est pas en veille. Appuyez sur le bouton d’alimentation ou sur n’importe quelle touche pour voir si cela réactive l’ordinateur.  Assurez-vous que la luminosité et le contraste du moniteur sont réglés correctement. Utilisez les touches de luminosité de votre clavier Apple Keyboard. Sur certains moniteurs, les commandes de luminosité et de contraste se trouvent sur la face avant ou sur le côté.  Réinitialisez la mémoire des paramètres (PRAM) en redémarrant l’ordinateur tout en maintenant les touches Commande (x) + Option + P + R enfoncées, jusqu’à entendre une deuxième fois le signal de démarrage.Chapitre 4 À tout problème sa solution 93 Si l’image du moniteur est faible ou scintille  Réglez la luminosité et le contraste. Utilisez les touches de luminosité de votre clavier Apple Keyboard. Certains écrans présentent également des commandes de luminosité et de contraste à l’avant. Vous pouvez peut-être également ajuster la luminosité ou le contraste de votre moniteur dans la fenêtre Moniteurs de Préférences Système.  Calibrez le moniteur en sélectionnant le menu Pomme () > Préférences Système. Cliquez sur Moniteurs, sélectionnez Couleur puis cliquez sur Calibrer. Consultez le Centre d’aide pour en savoir plus sur les couleurs et sur votre moniteur.  Il se peut que le vacillement soit dû à des interférences provoquées par la proximité d’une ligne électrique, d’une lampe fluorescente ou d’un appareil électrique tel qu’une radio, un four à micro-ondes ou un autre ordinateur. Essayez de trouver un autre endroit pour les appareils électriques situés à proximité ou de déplacer le moniteur et l’ordinateur. Si aucune couleur n’apparaît ou si les couleurs ne sont pas correctes  Assurez-vous que le moniteur est correctement connecté à l’ordinateur.  Calibrez votre moniteur comme indiqué dans la rubrique « Si l’image du moniteur est faible ou scintille » à la page 93. Si les icônes du bureau bougent après avoir modifié la résolution Toute modification de la résolution d’écran a une influence sur l’affichage des informations à l’écran. Une fois la résolution d’écran modifiée, le système d’exploitation est susceptible de réorganiser les icônes.94 Chapitre 4 À tout problème sa solution Si l’écran se bloque  Forcer l’application bloquée à quitter. Maintenez les touches Commande (x) et Option enfoncées et appuyez sur la touche Esc. Sélectionnez ensuite l’application dans la liste et cliquez sur Forcer à quitter.  Si cela ne fonctionne pas, forcez l’ordinateur à redémarrer en appuyant sur son bouton d’alimentation (®) pendant 5 ou 6 secondes jusqu’à l’extinction de votre Mac Pro. Appuyez à nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre Mac Pro. S’il y a une lumière à l’avant du moniteur et qu’elle clignote Sur certains moniteurs à écran plat d’Apple, le témoin d’alimentation clignote rapidement pendant quelques instants lorsqu’une erreur est détectée.  Si vous voyez une séquence répétée de trois clignotements courts, cela signifie que le moniteur détecte un signal en entrée dont le format vidéo est incorrect. Assurez-vous que votre moniteur est compatible avec la carte graphique et que vous avez installé le bon pilote (si le moniteur a été fourni avec un logiciel d’installation).  Si vous voyez une séquence répétée de deux clignotements courts et un clignotement long, le moniteur détecte un problème de lampe de rétro-éclairage. Contactez un revendeur agréé Apple ou un Centre de Maintenance Agréé Apple. Problèmes de connexion à Internet En cas de problèmes avec votre connexion à Internet, vous pouvez suivre les recommandations de cette section, en commençant par Diagnostic réseau. Pour utiliser Diagnostic réseau : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau et sur Assistant en bas de la page.Chapitre 4 À tout problème sa solution 95 3 Cliquez sur Diagnostic pour lancer Diagnostic réseau. 4 Suivez les instructions à l’écran. Si Diagnostic réseau n’est pas en mesure de résoudre le problème, celui-ci se situe peut-être au niveau du fournisseur d’accès à Internet auquel vous essayez de vous connecter, du périphérique externe utilisé pour la connexion au fournisseur d’accès à Internet ou du serveur auquel vous essayez d’accéder. Vous pouvez également essayer les méthodes suivantes. Connexions à Internet par modem câble, DSL et réseau local (LAN) Assurez-vous que tous les câbles du modem sont complètement branchés, y compris le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à l’ordinateur et le câble raccordant le modem à la prise murale. Vérifiez les câbles et l’alimentation des routeurs et des concentrateurs Ethernet. Éteignez le modem câble ou DSL, puis rallumez-le après quelques minutes. Certains fournisseurs d’accès à Internet conseillent de débrancher le câble d’alimentation du modem. Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez l’actionner avant ou après avoir éteint puis rallumé le modem. Connexions PPPoE Si vous ne parvenez pas à vous connecter à votre fournisseur d’accès à Internet via PPPoE, assurez-vous que les informations correctes ont été saisies dans les préférences Réseau. Pour définir des réglages PPPoE : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau.96 Chapitre 4 À tout problème sa solution 3 Cliquez sur Ajouter (+) en bas de la liste des services de connexion réseau et choisissez PPPoE dans le menu local Interface. 4 Choisissez une interface pour le service PPPoE dans le menu local Ethernet. Choisissez Ethernet si vous vous connectez à un réseau câblé ou Wi-Fi si vous vous connectez à un réseau sans fil. 5 Cliquez sur Créer. 6 Saisissez les informations que vous avez reçues de votre fournisseur d’accès, telles que le nom du compte, le mot de passe et le nom du service PPPoE (si votre fournisseur d’accès le demande). 7 Cliquez sur Appliquer pour activer les réglages. Connexions au réseau Assurez-vous que le câble Ethernet est branché dans votre ordinateur et au réseau. Vérifiez les câbles et l’alimentation de vos routeurs et concentrateurs Ethernet. Si vous disposez de plusieurs ordinateurs partageant une connexion Internet, assurez-vous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre fournisseur d’accès à Internet fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque ordinateur. Si une seule adresse IP est utilisée, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion ; on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage d’adresses IP. Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre réseau. La borne d’accès AirPort peut servir à partager une adresse IP entre plusieurs ordinateurs.Chapitre 4 À tout problème sa solution 97 Pour en savoir plus sur l’utilisation d’une borne d’accès AirPort, recherchez « AirPort » dans le Centre d’aide ou rendez-vous sur le site web d’assistance AirPort, à l’adresse www.apple.com/fr/support/airport. Si ces méthodes s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés, contactez votre fournisseur d’accès à Internet ou votre administrateur réseau. Optimisation des performances Ethernet Les performances de votre ordinateur sont optimales lorsque le port Ethernet auquel il est connecté est réglé sur la négociation automatique. Demandez à votre administrateur de réseau de vérifier ce réglage. Remarque : Si vous rencontrez des problèmes de connexion sur votre réseau, vérifiez si possible que le commutateur de réseau est réglé sur la négociation automatique. Si le port du commutateur ne fonctionne pas en négociation automatique, votre ordinateur détecte la vitesse appropriée, mais se règle par défaut sur le mode semiduplex. Si le port du commutateur à l’autre extrémité de la liaison est configuré en mode bidirectionnel simultané (full duplex), un grand nombre d’événements retardés peuvent se produire sur la liaison. S’il n’est pas possible de régler le commutateur sur la négociation automatique, réglez alors le port du commutateur sur semi-duplex. Pour plus de renseignements, reportez-vous à la documentation fournie avec le commutateur Ethernet.98 Chapitre 4 À tout problème sa solution Maintien à jour de vos logiciels Vous pouvez vous connecter à Internet pour télécharger et installer automatiquement les dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple. Chaque fois que vous vous connectez à Internet, « Mise à jour de logiciels » consulte les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. Vous pouvez régler votre Mac Pro de façon à ce qu’il recherche régulièrement des mises à jour pour pouvoir télécharger et installer des logiciels toujours à jour. Pour rechercher des logiciels mis à jour : 1 Choisissez le menu Pomme () > Mise à jour de logiciels. 2 Suivez les instructions à l’écran.  Pour en savoir plus, recherchez « Mise à jour de logiciels » dans le Centre d’aide.  Pour obtenir les dernières informations sur Mac OS X Lion Server, consultez le site web de Lion Server à l’adresse www.apple.com/fr/macosx/server.  Pour obtenir les toutes dernières informations sur Mac OS X, consultez la page www.apple.com/fr/macosx. En savoir plus, service et assistance technique Si votre Mac Pro a besoin d’un service, apportez-le à un Centre de Services Agréé Apple (CSAA) ou contactez Apple. Pour en savoir plus sur votre Mac Pro, consultez les ressources en ligne, l’aide à l’écran ou Informations Système.Chapitre 4 À tout problème sa solution 99 Ressources en ligne Pour obtenir des informations en ligne sur le service et l’assistance, consultez la page www.apple.com/fr/support. Choisissez votre pays dans le menu local. Vous pouvez effectuer des recherches dans la base de connaissances AppleCare, rechercher des mises à jour de logiciels ou obtenir de l’aide par le biais des forums de discussion Apple. Aide à l’écran Vous pouvez trouver des réponses à vos questions ainsi que des instructions et des informations concernant le dépannage dans le Centre d’aide. Dans le Finder, choisissez Aide > Centre d’aide. Informations système Pour obtenir des informations sur votre ordinateur, utilisez Informations système. Informations système vous indique par exemple le matériel et les logiciels installés, le numéro de série et la version du système d’exploitation et la quantité de mémoire installée. Ouvrez Informations système (dans le dossier Utilitaires du Launchpad). Vous pouvez accéder aux Informations Système en choisissant le menu Pomme > À propos de ce Mac. Service et assistance AppleCare Votre Mac Pro comprend une assistance technique de 90 jours et une garantie d’un an couvrant les réparations matérielles dans un magasin Apple Store ou un centre de réparation agréé Apple, par exemple un Centre de Services Agréé Apple. Vous avez la possibilité d’étendre la durée de cette couverture en souscrivant à l’AppleCare Protection Plan. Pour en savoir plus, consultez la page www.apple.com/fr/support/products ou visitez le site web de votre pays indiqué dans le tableau.100 Chapitre 4 À tout problème sa solution Si vous avez besoin d’aide, les représentants de l’assistance téléphonique AppleCare peuvent vous aider à installer et ouvrir des applications, et à exécuter des dépannages simples. Appelez le centre d’assistance le plus proche de chez vous (gratuit pendant les 90 premiers jours). Gardez à portée de main la date d’achat et le numéro de série de votre Mac Pro lorsque vous appelez. Remarque : La période de 90 jours d’assistance téléphonique gratuite débute à la date d’achat. Des frais téléphoniques peuvent éventuellement s’appliquer. Apple offre également l’aide d’experts pour Mac OS X Lion Server. Une fois les 90 jours d’assistance gratuite écoulés, ces produits disposent d’une garantie problème technique d’un an. L’assistance AppleCare OS Support fournit une assistance téléphonique et par courrier électronique pour les problèmes de réseau et de flux de travail avec Mac OS X Lion Server. Le service d’assistance (Help Desk Support) d’AppleCare fournit de l’aide pour les problèmes d’interface graphique de l’utilisateur pour les configurations réseau Mac OS X Server et l’administration du serveur. L’assistance AppleCare OS Support fournit également une assistance pour les outils de ligne de commande et les plateformes d’intégration mixtes. Choisissez parmi les trois niveaux d’assistance OS AppleCare : Select, Preferred ou Alliance. Pour en savoir plus, consultez la page www.apple.com/fr/support/products/enterprise ou visitez le site web de votre pays indiqué dans le tableau.Chapitre 4 À tout problème sa solution 101 Pays Téléphone Site web Allemagne (49) 01805 009 433 www.apple.com/de/support Autriche (43) 0810 300 427 www.apple.com/at/support Belgique (flamand) (français) (32) 070 700 772 (32) 070 700 773 www.apple.com/benl/support www.apple.com/befr/support France (Metropolitain) (33) 0805 540 003 www.apple.com/fr/support Luxembourg (352) 800 24550 www.apple.com/lu/support Suisse (français) (allemand) (41) 0848 000 132 (41) 0848 000 132 www.apple.com/chfr/support www.apple.com/chde/support Les numéros de téléphone sont susceptibles d’être modifiés. Les tarifs téléphoniques locaux et nationaux peuvent s’appliquer. Une liste complète est disponible sur Internet : www.apple.com/support/contact/phone_contacts.html (en anglais) Localisation du numéro de série Pour trouver le numéro de série de votre Mac Pro choisissez l’une des méthodes suivantes :  Dans la barre des menus, choisissez le menu Pomme (), puis choisissez « À propos de ce Mac ». Cliquez sur le numéro de version en dessous des mots Mac OS X pour voir le numéro de version de Mac OS X, la version d’installation et le numéro de série.  Ouvrez Informations Système (dans le dossier Utilitaires du Launchpad), puis cliquez sur Matériel.  Regardez l’étiquette de configuration située à l’arrière du Mac Pro à côté des ports vidéo.Centre d’aide Informations Système www.apple.com/fr/macpro Sous le capot 5104 Chapitre 5 Sous le capot Les spécifications techniques de votre Mac Pro sont reprises dans cette rubrique. Spécifications Utilisez Informations système pour obtenir des informations détaillées sur votre Mac Pro, par exemple, la quantité de mémoire mise en place, la taille du disque dur, les périphériques connectés et le numéro de série du produit. Pour ouvrir Informations Système, choisissez le menu Pomme () > À propos de ce Mac dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos. Spécifications des processeurs et de la mémoire Mac Pro quadruple cœur  Un processeur de la série Intel Xeon quadruple cœur  8 Mo de mémoire cache partagée niveau 3 par processeur  Mémoire vive SDRAM DDR3 ECC 1066 MHz Mac Pro sextuple cœur  Un processeur de la série Intel Xeon sextuple cœur  12 Mo de mémoire cache partagée niveau 3 par processeur  Mémoire vive SDRAM DDR3 ECC 1 333 MHz Mac Pro octuple cœur  Deux processeurs quadruple cœur de la série Intel Xeon  12 Mo de mémoire cache partagée niveau 3 par processeur  Mémoire vive SDRAM DDR3 ECC 1 066 MHzChapitre 5 Sous le capot 105 Mac Pro duodécuple cœur  Deux processeurs sextuple cœur de la série Intel Xeon  12 Mo de mémoire cache partagée niveau 3 par processeur  Mémoire vive SDRAM DDR3 ECC 1 333 MHz Mémoire vive (RAM)  Mémoire UDIMM  PC3-10600E, 1 333 MHz, modules UDIMM SDRAM DDR3 (mémoire fonctionnant à 1 066 MHz ou à 1 333 MHz, en fonction du processeur)  Logements pour module DIMM • Quatre logements disponibles sur un Mac Pro monoprocesseur • Huit logements disponibles sur un Mac Pro double-processeur  Code de correction d’erreur (ECC)  Modules ECC 240 broches 72 bits  36 IC maximum par mémoire UDIMM ECC  Doit satisfaire aux spécifications JEDEC (reportez-vous à la rubrique « Installation de la mémoire » à la page 39)  Sans parité Carte graphique Carte graphique PCI Express 2.0 avec connecteur DVI (Digital Visual Interface) à double liaison, dotée de deux connecteurs Mini DisplayPort. Sortie audio par port Mini DisplayPort :  jusqu’à 8 canaux (7.1), audio 24 bits, fréquence d’échantillonnage maximale de 192,0 kHz106 Chapitre 5 Sous le capot Modes d’affichage Pour obtenir des spécifications techniques sur votre écran :  Moniteurs Apple :  accéder à www.apple.com/fr/displays Stockage  4 baies à attachement direct sans câble pour disques durs Serial ATA (SATA) 3,5 pouces à 3 Gb/s • Type :  SATA 3 Gb/s • Largeur de baie :  102 mm • Profondeur de baie :  147 mm • Hauteur de baie :  25,4 mm  Quatre boîtiers de lecteur internes (des lecteurs SSD (Solid State Drive) de 2,5 pouces sont livrés en option avec des adaptateurs conçus pour pouvoir y monter des boîtiers 3,5 pouces) Extension PCI Express  Quatre logements d’extension PCI Express (le logement 1 contenant la carte graphique) • Les logements 1 et 2 sont des logements PCI Express 2.0 x16 • Les logements 3 et 4 sont des logements PCI Express 2.0 x4  Les quatre logements sont compatibles avec les cartes 16 voies.  Maximum 300 W combinés pour tous les logements PCI ExpressChapitre 5 Sous le capot 107 Spécifications SuperDrive (DVD±R DL/DVD±RW/CD-RW)  Diamètres de disque pris en charge :  12 cm et 8 cm  Formats de données : • CD-ROM • CD Audio • CD-R • CD-RW • CD-I • CD-I Bridge • CD Extended (CD étendu) • CD Mixed Mode (CD en mode mixte) • CD Photo • CD Vidéo • CD Extra • DVD Vidéo • DVD±R • DVD±RW • DVD±R DL108 Chapitre 5 Sous le capot Spécifications USB  Gestion des normes USB (Universal Serial Bus) 2.0 et 1.1  Cinq ports USB externes de type A • Deux ports USB 2.0 sur la face avant • Trois ports USB 2.0 à l’arrière  Chaque port USB (avant et arrière) correspond à un canal USB à 480 Mbit/s distinct  500 milliampères (mA) disponibles pour un total de 1,5 A à l’arrière et 1,0 A à l’avant Spécifications FireWire  Quatre ports FireWire externes :  deux ports FireWire 800 (9 broches) à l’avant et deux à l’arrière  Débit de transfert de données :  100, 200, 400 et 800 Mbit/s Puissance  Tension de sortie :  12 V environ  Puissance en sortie :  jusqu’à 28 W entre les 4 ports ou 12 W pour chaque port Spécifications Ethernet  Conforme à la directive IEEE 802.3  Longueur de câble maximale :  100 mètres  Connecteur :  RJ-45 pour 10Base-T, 100Base-TX et 1000Base-T  Données, 10Base-T :  câble UTP de catégorie (CAT) 3 ou supérieure, sur 2 paires et jusqu’à 100 m  Données, 100Base-TX :  câble UTP de CAT 5e, sur 2 paires et jusqu’à 100 m  Données, 1000Base-T :  câble UTP de CAT 5e, sur 4 paires et jusqu’à 100 m  Débits des canaux :  auto-négociation IEEE de 10Base-T, 100Base-TX et 1000Base-TChapitre 5 Sous le capot 109 Spécifications Bluetooth 2.1+EDR  Débit des données sans fil :  jusqu’à 3 Mbit/s  Portée :  jusqu’à 10 mètres (le débit peut varier en fonction de l’environnement)  Bande de fréquence :  2,4 gigahertz (GHz) Spécifications de l’AirPort Extreme  Bande de fréquence :  2,4 et 5 gigahertz (GHz)  Puissance radio en sortie :  20 dBm (nominal) Compatibilité  802.11a, b, g et n Spécifications audio numérique optique  Format de données :  protocole S/PDIF (Sony/Phillips Digital Interface, IEC60958-3)  Type de connecteur :  TOSLINK optique (IEC60874-17)  Bits par échantillon :  16 bits, 20 bits ou 24 bits Sortie audio numérique optique Sauf mention contraire ci-dessous, d’après une situation de type lecture d’une onde sinusoïdale 1 kHz, 0 dBFS 24 bits, à une fréquence d’échantillonnage de sortie de 44,1 kHz.  Fréquence d’échantillonnage en sortie :  44,1 kHz, 48 kHz ou 96 kHz  Rapport signal/bruit :  supérieur à 130 dB  Distorsion harmonique totale + bruit :  inférieure à -130 dB (0,00003 pour cent)110 Chapitre 5 Sous le capot Entrée audio numérique optique Sauf mention contraire ci-dessous, d’après une situation de type lecture d’une onde sinusoïdale 1 kHz, 0 dBFS 24 bits.  Fréquence d’échantillonnage en entrée :  44,1 kHz, 48 kHz ou 96 kHz  Rapport signal/bruit :  supérieur à 130 dB  Distorsion harmonique totale + bruit :  inférieure à -130 dB (0,00003 pour cent) Spécifications audio analogique  Fréquence d’échantillonnage :  44,1 kHz, 48 kHz ou 96 kHz  Type de prise :  mini-jack 1/8 po  Bits par échantillon :  16 bits, 20 bits ou 24 bits  Réponse en fréquence :  20 Hz à 20 kHz, + 0,5 dB/-3 dB Sortie audio analogique par la prise casque (valeurs types) Sauf mention contraire ci-dessous, d’après une situation de type lecture d’une onde sinusoïdale 1 kHz, -3 dBFS 24 bits, à une fréquence d’échantillonnage de sortie de 44,1 kHz en 150 ohms.  Tension de sortie :  1,3 volts (valeur efficace) (Vrms ) (+4,5 dBu)  Impédance en sortie :  55 ohms  Puissance en sortie :  53 milliwatts (mW) en 32 ohms  Rapport signal/bruit :  supérieur à 90 dB  Distorsion harmonique totale + bruit :  inférieure à -70 dB (0,03 pour cent)  Séparation des canaux :  supérieure à 50 dBChapitre 5 Sous le capot 111 Ligne d’entrée audio analogique (valeurs types) Sauf mention contraire ci-dessous, d’après une situation de type lecture d’une onde sinusoïdale 1 kHz, -3 dBFS 24 bits, à une fréquence d’échantillonnage de sortie de 44,1 kHz.  Tension en entrée maximale :  2 Vrms (+ 8,2 dBu)  Impédance en entrée :  supérieure à 17 kilohms  Rapport signal/bruit :  supérieur à 90 dB  Distorsion harmonique totale + bruit :  inférieure à -85 dB (0,006 pour cent)  Séparation des canaux :  supérieure à 85 dB Sortie audio analogique (valeurs typiques) Sauf mention contraire ci-dessous, d’après une situation de type lecture d’une onde sinusoïdale 1 kHz, -3 dBFS 24 bits, à une fréquence d’échantillonnage de sortie de 44,1 kHz en 100 kilohms.  Tension de sortie :  2 Vrms (+ 8,2 dBu)  Impédance en sortie :  33 ohms  Rapport signal/bruit :  supérieur à 90 dB  Distorsion harmonique totale + bruit :  inférieure à -85 dB (0,006 pour cent)  Séparation des canaux :  supérieure à 85 dB Entrée microphone externe par la prise casque (valeurs types) Sauf mention contraire ci-dessous, les données présentées s’appuient sur un cas type de lecture d’une onde sinusoïdale de 1 kHz, 28 mVrms , avec un échantillonnage de 24 bits et une fréquence d’échantillonnage de sortie de 44,1 kHz.  Tension en entrée maximale :  39 mVrms (-26 dBu)112 Chapitre 5 Sous le capot  Impédance en entrée :  supérieure à 1 kilohm  Rapport signal/bruit :  supérieur à 60 dB  Distorsion harmonique totale + bruit :  inférieure à -60 dB (0,1 pour cent)  Réponse en fréquence :  100 Hz à 8,2 kHz, + 0,5 dB/-3 dB Alimentation Entrée de ligne, courant alternatif  Plages de tension :  courant alternatif (CA) de 100 à 240 V  Courant :   maximum de 12 A (plage basse tension) ou de 5 A (plage haute tension)  Fréquence :  phase unique de 50 à 60 Hz Alimentation requise pour les cartes d’extension et les périphériques Cartes d’extension La consommation de courant combinée des quatre logements PCI Express ne doit pas dépasser 300 watts (W). Périphériques USB Chacun des ports USB intégrés à l’ordinateur dispose de 500 mA. Périphériques FireWire L’ordinateur peut fournir un total de 28 W aux ports FireWire. Horloge système et batterie Votre ordinateur est équipé d’un circuit CMOS personnalisé avec une pile longue durée. Pile Utiliser une pile de remplacement au lithium BR 2032 de 3 V (reportez-vous à la rubrique « Remplacement de la pile de secours interne » à la page 77).Chapitre 5 Sous le capot 113 Dimensions et environnement d’utilisation Dimensions  Poids :   18,1 kg Le poids est fonction de la configuration. Le poids indiqué ci-dessus correspond à la configuration de base et peut être supérieur si des périphériques facultatifs sont installés.  Hauteur :  51,1 cm  Largeur :  20,6 cm  Profondeur :  47,5 cm Environnement d’utilisation  Température de fonctionnement :  de 10 à 35 °C  Température de stockage :  de -40 à 47 °C  Humidité relative :  de 5 % à 95 % (sans condensation)  Altitude maximale :  3 048 mètresCentre d’aide ergonomie www.apple.com/fr/environment Dernières recommandations 6116 Chapitre 6 Dernières recommandations Ce chapitre contient des informations importantes sur les procédures de sécurité, la maintenance de routine et des considérations ergonomiques pour l’utilisation de votre Mac Pro et de l’écran. Pour votre sécurité et celle de votre équipement, respectez ces règles lorsque vous manipulez et nettoyez votre Mac Pro et pour travailler de façon plus confortable. Gardez ces instructions dans un endroit facile d’accès pour vous et pour les utilisateurs éventuels. AVIS : La garantie du fabricant pourra être annulée si votre ordinateur a été utilisé ou stocké de manière impropre. Informations importantes en matière de sécurité AVERTISSEMENT : Ne pas suivre ces consignes pourrait déclencher un feu, occasionner des décharges électriques ou entraîner tout type de blessure ou dommage. Le seul moyen de couper totalement l’alimentation de votre Mac Pro consiste à débrancher le câble d’alimentation de la source d’alimentation principale. Pour déconnecter complètement un moniteur, vous devez également débrancher le câble d’alimentation qui le raccorde à l’ordinateur ou à la source d’alimentation. Pour pouvoir débrancher l’ordinateur ou le moniteur en cas de besoin, veillez à pouvoir accéder facilement à l’une des extrémités du câble d’alimentation de l’appareil.Chapitre 6 Dernières recommandations 117 Prenez toujours les précautions suivantes. Déconnectez l’alimentation (en tirant sur la fiche et non sur le cordon) de votre ordinateur ou moniteur, et débranchez le cordon téléphonique si l’une des affirmations suivantes s’avère :  Le câble ou la fiche d’alimentation est usé ou endommagé.  Vous avez renversé quelque chose dans le boîtier de l’ordinateur.  L’ordinateur a été exposé à la pluie ou à une humidité excessive.  L’ordinateur est tombé ou son boîtier a été endommagé.  Vous pensez que votre ordinateur a besoin d’être inspecté ou réparé.  Vous voulez nettoyer l’ordinateur ou le boîtier. Si vous ne pensez pas utiliser votre ordinateur durant une période prolongée, retirez la pile. Pour des réparations ou des questions liées à votre garantie, contactez un CMAA (Centre de maintenance agréé Apple) ou Apple. Consultez la section « En savoir plus, service et assistance technique » à la page 98. Entretien général Pour nettoyer votre ordinateur de manière plus complète, procédez comme suit : 1 Éteignez l’ordinateur et le moniteur si ce dernier est connecté. 2 Déconnectez le câble d’alimentation de l’ordinateur du côté de la prise ou multiprise électrique. Si votre moniteur est branché sur une prise, débranchez-le également. 3 Débranchez les câbles du moniteur du côté de l’ordinateur.118 Chapitre 6 Dernières recommandations 4 Nettoyez délicatement le boîtier de l’ordinateur à l’aide d’un chiffon propre, doux et humide. AVIS : N’utilisez pas d’alcool, d’aérosol ni de produit solvant ou abrasif susceptible d’endommager la finition du boîtier. Protection de votre lecteur optique Pour garantir le bon fonctionnement de votre lecteur optique :  Placez votre ordinateur de telle sorte que le plateau du lecteur ne heurte aucun obstacle lors de son ouverture.  Laissez le lecteur fermé lorsque vous ne l’utilisez pas.  Ne placez aucun objet sur le plateau du lecteur lorsqu’il est ouvert.  Ne touchez pas la lentille du lecteur optique avec vos doigts. N’essuyez pas la lentille du lecteur avec un mouchoir en papier ni aucune autre matière abrasive. Si vous devez la nettoyer, procurez-vous les produits adéquats auprès d’un Centre de maintenance agréé Apple.  Maintenez votre ordinateur à l’écart de toute source d’humidité. Informations relatives au laser du lecteur de disque optique Pour votre sécurité, ne tentez pas de réparer le lecteur optique vous-même ; demandez à un fournisseur de services agréé Apple.Chapitre 6 Dernières recommandations 119 AVERTISSEMENT : La mise en place de réglages ou la réalisation d’opérations qui ne sont pas spécifiées dans le manuel de votre appareil risque de vous exposer à des rayonnements dangereux. Le lecteur optique de votre ordinateur contient un laser qui est entièrement sans danger si l’on en fait un usage normal, mais qui peut s’avérer dangereux pour les yeux s’il est démonté. Ergonomie Voici quelques conseils pour la mise en place d’un environnement de travail sain. Clavier Lorsque vous utilisez le clavier, vous devez avoir les épaules détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, ou presque, et votre main doit être dans le prolongement du poignet. Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un travail continu et intensif sur ordinateur, certains utilisateurs peuvent ressentir des douleurs aux mains, aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste. Souris Placez la souris à la même hauteur que le clavier et à une distance confortable.120 Chapitre 6 Dernières recommandations Siège Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de telle sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale et vos pieds à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire, c’est-à- dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie. Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, vous pouvez utiliser un repose-pieds inclinable et réglable en hauteur. Si vous disposez d’un bureau modulaire, vous pouvez abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau dont le poste de saisie est situé plus bas que le plan de travail. Écran Placez le moniteur de manière à ce que le haut de l’écran se trouve légèrement en dessous du niveau des yeux lorsque vous êtes assis à votre poste de travail. Il vous appartient de juger de la meilleure distance entre vos yeux et l’écran. Elle se situe en général entre 45 et 70 cm. Positionnez le moniteur de façon à éviter que la réflexion sur sa surface de l’éclairage au plafond ou de la lumière des fenêtres de la pièce ne vous éblouisse. Si possible, utilisez un support d’écran réglable. Cela vous permet d’orienter l’écran dans la meilleure position pour le regarder, vous aidant ainsi à réduire ou éliminer les reflets des sources lumineuses que vous ne pouvez pas régler.Chapitre 6 Dernières recommandations 121 Cuisses légèrement inclinées Épaules détendues Écran orienté de manière à réduire les reflets Mains dans le prolongement des avant-bras Avant-bras à l’horizontale ou légèrement relevés Dossier soutenant la région lombaire Pieds à plat sur le sol ou sur un repose-pied Haut de l’écran au niveau des yeux ou légèrement en dessous. (Vous devrez peut-être ajuster la hauteur du moniteur en surélevant votre plan de travail ou le moniteur lui-même) Espace dégagé sous le plan de travail 45–70 cm Vous trouverez d’autres informations concernant l’ergonomie sur Internet : www.apple.com/about/ergonomics (en anglais)122 Chapitre 6 Dernières recommandations Prévention des dommages auditifs AVERTISSEMENT : l’utilisation d’écouteurs ou d’un casque d’écoute à un niveau de volume trop élevé peut provoquer une perte permanente d’acuité auditive. L’oreille peut s’adapter petit à petit à des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent sembler normaux, mais qui risquent à la longue d’endommager votre système auditif. En cas de sifflements ou de perte d’acuité auditive, arrêtez d’utiliser le casque ou les écouteurs et consultez un médecin. Plus le volume est élevé, plus votre audition risque d’être affectée rapidement. Pour protéger votre système auditif, les spécialistes conseillent de prendre les mesures suivantes :  Limitez la durée d’utilisation à volume élevé de vos écouteurs ou de votre casque d’écoute.  Évitez d’augmenter le volume pour ne pas entendre les bruits environnants.  Baissez le volume si vous ne parvenez pas à entendre une personne qui vous parle. Apple et l’environnement Apple Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact de ses produits et de ses activités sur l’environnement. Des informations supplémentaires sont disponibles sur Internet : www.apple.com/fr/environment123 Regulatory Compliance Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radiofrequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures: • Turn the television or radio antenna until the interference stops. • Move the computer to one side or the other of the television or radio. • Move the computer farther away from the television or radio. • Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product has demonstrated EMC compliance under conditions that included the use of compliant peripheral devices and shielded cables between system components. It is important that you use compliant peripheral devices and shielded cables (including Ethernet network cables) between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Inc. Corporate Compliance 1 Infinite Loop, MS 26-A Cupertino, CA 95014 Utilisation de la radio sans fil This device is restricted to indoor use due to its operation in the 5.15 to 5.25 GHz frequency range to reduce the potential for harmful interference to co-channel Mobile Satellite systems. Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur. Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of the AirPort Card in this device is below the FCC and EU radio frequency exposure limits for uncontrolled equipment. This device should be operated with a minimum distance of at least 20 cm between the AirPort Card antennas and a person’s body and must not be co-located or operated with any other antenna or transmitter. FCC Bluetooth Wireless Compliance The antenna used with this transmitter must not be colocated or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant.124 Canadian Compliance Statement This device complies with Industry Canada license-exempt RSS standard(s). Operation is subject to the following two conditions: (1) this device may not cause interference, and (2) this device must accept any interference, including interference that may cause undesired operation of the device. Cet appareil est conforme aux normes CNR exemptes de licence d’Industrie Canada. Le fonctionnement est soumis aux deux conditions suivantes : (1) cet appareil ne doit pas provoquer d’interférences et (2) cet appareil doit accepter toute interférence, y compris celles susceptibles de provoquer un fonctionnement non souhaité de l’appareil. Bluetooth Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la Classe B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada. This device complies with RSS 210 of Industry Canada. Bluetooth Europe - Déclaration de conformité UE Cet appareil sans fil est conforme à la directive R&TTE. Europe : déclaration de conformité EU Voir www.apple.com/euro/compliance. Български Apple Inc. декларира, че това Mac Pro е в съответствие със съществените изисквания и другите приложими правила на Директива 1999/5/ЕС. Česky Společnost Apple Inc. tímto prohlašuje, že tento Mac Pro je ve shodě se základními požadavky a dalšími příslušnými ustanoveními směrnice 1999/5/ES. Dansk Undertegnede Apple Inc. erklærer herved, at følgende udstyr Mac Pro overholder de væsentlige krav og øvrige relevante krav i direktiv 1999/5/EF. Deutsch Hiermit erklärt Apple Inc., dass sich das Mac Pro in Übereinstimmung mit den grundlegenden Anforderungen und den übrigen einschlägigen Bestimmungen der Richtlinie 1999/5/EG befinden. Eesti Käesolevaga kinnitab Apple Inc., et see Mac Pro vastab direktiivi 1999/5/EÜ põhinõuetele ja nimetatud direktiivist tulenevatele teistele asjakohastele sätetele. English Hereby, Apple Inc. declares that this Mac Pro is in compliance with the essential requirements and other relevant provisions of Directive 1999/5/EC. Español Por medio de la presente Apple Inc. declara que este Mac Pro cumple con los requisitos esenciales y cualesquiera otras disposiciones aplicables o exigibles de la Directiva 1999/5/CE. Ελληνικά Mε την παρούσα, η Apple Inc. δηλώνει ότι αυτή η συσκευή Mac Pro συμμορφώνεται προς τις βασικές απαιτήσεις και τις λοιπές σχετικές διατάξεις της Οδηγίας 1999/5/ΕΚ. Français Par la présente Apple Inc. déclare que l’appareil Mac Pro est conforme aux exigences essentielles et aux autres dispositions pertinentes de la directive 1999/5/CE. Islenska Apple Inc. lýsir því hér með yfir að þetta tæki Mac Pro fullnægir lágmarkskröfum og öðrum viðeigandi ákvæðum Evróputilskipunar 1999/5/EC. Italiano Con la presente Apple Inc. dichiara che questo dispositivo Mac Pro è conforme ai requisiti essenziali ed alle altre disposizioni pertinenti stabilite dalla direttiva 1999/5/CE. Latviski Ar šo Apple Inc. deklarē, ka Mac Pro ierīce atbilst Direktīvas 1999/5/EK būtiskajām prasībām un citiem ar to saistītajiem noteikumiem. Lietuvių Šiuo „Apple Inc.“ deklaruoja, kad šis Mac Pro atitinka esminius reikalavimus ir kitas 1999/5/EB Direktyvos nuostatas. Magyar Alulírott, Apple Inc. nyilatkozom, hogy a Mac Pro megfelel a vonatkozó alapvetõ követelményeknek és az 1999/5/EC irányelv egyéb elõírásainak. Malti Hawnhekk, Apple Inc., jiddikjara li dan Mac Pro jikkonforma mal-ħtiġijiet essenzjali u ma provvedimenti oħrajn relevanti li hemm fid-Dirrettiva 1999/5/EC.125 Nederlands Hierbij verklaart Apple Inc. dat het toestel Mac Pro in overeenstemming is met de essentiële eisen en de andere bepalingen van richtlijn 1999/5/EG. Norsk Apple Inc. erklærer herved at dette Mac Pro-apparatet er i samsvar med de grunnleggende kravene og øvrige relevante krav i EU-direktivet 1999/5/EF. Polski Niniejszym Apple Inc. oświadcza, że ten Mac Pro są zgodne z zasadniczymi wymogami oraz pozostałymi stosownymi postanowieniami Dyrektywy 1999/5/EC. Português Apple Inc. declara que este dispositivo Mac Pro está em conformidade com os requisitos essenciais e outras disposições da Directiva 1999/5/CE. Română Prin prezenta, Apple Inc. declară că acest aparat Mac Pro este în conformitate cu cerinţele esenţiale şi cu celelalte prevederi relevante ale Directivei 1999/5/CE. Slovensko Apple Inc. izjavlja, da je ta Mac Pro skladne z bistvenimi zahtevami in ostalimi ustreznimi določili direktive 1999/5/ES. Slovensky Apple Inc. týmto vyhlasuje, že toto Mac Pro spĺňa základné požiadavky a všetky príslušné ustanovenia Smernice 1999/5/ES. Suomi Apple Inc. vakuuttaa täten, että tämä Mac Pro tyyppinen laite on direktiivin 1999/5/EY oleellisten vaatimusten ja sitä koskevien direktiivin muiden ehtojen mukainen. Svenska Härmed intygar Apple Inc. att denna Mac Pro står i överensstämmelse med de väsentliga egenskapskrav och övriga relevanta bestämmelser som framgår av direktiv 1999/5/EG. A copy of the EU Declaration of Conformity is available at: www.apple.com/euro/compliance This equipment can be used in the following countries: Korea Warning Statements B૶ૺૺ(ਜ਼ႜဧ෮໽ቛཅૺၴႁ) ၦૺૺ௴ਜ਼ႜဧ(B૶) ႖ၴኒ႕ጁૺૺച໏჎ച ਜ਼ႜ࿝໏ຫဧዻ௴ઇၕඛ႕ၒചዻඑ, ක౷ხ ࿦࿝໏ຫဧዾ༘ၰཀఁఋ. ෮ቛ၁ધགྷ࿝ಋ൏ધხຫጃ ጄఙඳ໓໕๗௴ဪဧთ႖ኒጯཅਜ਼௻ໜၦၰၗ ၦૺૺ௴ၨ඗ྦ႖઴શഏౘ໏๗༺࿝ຫဧዾ༘࿖ཀఁఋ ఝዽූ૑ ૬ႜ ෟ ა༘ Singapore Wireless Certification Taiwan Wireless Statements Taiwan Class B Statement 警告 本電池如果更換不正確會有爆炸的危險 請依製造商說明書處理用過之電池126 Japan VCCI Class B Statement Russia Informations sur les modems USB externes Lors de la connexion de votre Mac Pro sur une ligne téléphonique par le biais d’un modem USB externe, reportez-vous aux informations communiquées par l’agence de télécommunications fournies dans la documentation accompagnant votre modem. Informations sur l’élimination et le recyclage Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque votre produit n’est plus utilisable, contactez Apple ou les autorités locales afin de connaître les possibilités de recyclage. Pour en savoir plus sur le programme de recyclage Apple, consultez le site www.apple.com/fr/recycling/. Union européenne : Informations sur l’élimination Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Türkiye EEE yönetmeliğine (Elektrikli ve Elektronik Eşyalarda Bazı Zararlı Maddelerin Kullanımının Sınırlandırılmasına Dair Yönetmelik) uygundur. Brasil: Informações sobre descarte e reciclagem. O símbolo acima indica que este produto e/ou sua bateria não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando decidir descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o de acordo com as leis e diretrizes ambientais locais. Para informações sobre o programa de reciclagem da Apple, pontos de coleta e telefone de informações, visite www.apple.com/br/environment. Informations sur l’enlèvement de la batterie Jetez vos batteries usagées en respectant les lois et les consignes environnementales de votre pays. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd.127 Taiwan Battery Statement Chinese Battery StatementK Apple Inc. © 2011 Apple Inc. Tous droits réservés. En application des lois et conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + Maj + K) peut constituer un acte de contrefaçon et de concurrence déloyale. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, Apple Cinema Display, AirPort, AirPort Extreme, Finder, FireWire, iPhone, iPod, Mac, Mac OS, SuperDrive, Time Capsule et Time Machine sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Le logo FireWire et iPad sont des marques d’Apple Inc. AppleCare et Apple Store sont des marques de service d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. App Store est une marque de service d’Apple Inc. Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d’Intel Corp. aux ÉtatsUnis et dans d’autres pays. La marque et les logos Bluetooth sont la propriété de Bluetooth SIG, Inc. et sont concédés sous licence par Apple Inc. Ce produit comprend des logiciels développés par l’université de Californie, Berkeley, FreeBSD, Inc., The NetBSD Foundation, Inc. et leurs collaborateurs respectifs. Les autres noms de produits et de sociétés sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Fabriqué sous licence de Dolby Laboratories. « Dolby », « Pro Logic » et le logo double-D sont des marques déposées de Dolby Laboratories. Ouvrages confidentiels inédits, © 1992–1997 Dolby Laboratories, Inc. Tous droits réservés. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. Fondamentaux de l'intégration Mac 10.6 Ajouter un Mac à un environnement Windows ou tout autre environnement normalisé© 2010 Apple Inc. Tous droits réservés. Conformément aux lois sur les droits d'auteur, vous n'êtes pas autorisé à copier tout ou partie de ce manuel sans le consentement préalable et écrit d'Apple. Le logo Apple est une marque d'Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d'autres pays. L'utilisation du caractère logo Apple au clavier (Option + Maj + K) à des fins commerciales sans le consentement préalable et par écrit d'Apple peut constituer une violation des lois applicables en matière de propriété intellectuelle et de concurrence déloyale. Une attention particulière a été portée à la rédaction de ce manuel et à l'exactitude de son contenu. Apple ne peut être tenue pour responsable des erreurs typographiques ou de saisie. Apple publie régulièrement de nouvelles versions et des mises à jour de ses logiciels, et les images reproduites dans ce manuel peuvent donc présenter des différences avec ce que vous voyez sur votre écran. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com/fr Apple, le logo Apple, AirPort, Bonjour, FireWire, iCal, iPod, Keychain, Keynote, Mac, Mac OS, Macintosh, QuickTime et Snow Leopard sont des marques d'Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d'autres pays. Finder, Safari et Spotlight sont des marques d'Apple Inc. Adobe et PostScript sont des marques d'Adobe Systems Incorporated. Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d'Intel Corp. aux États-Unis et dans d'autres pays. UNIX est une marque déposée de The Open Group aux États-Unis et dans d'autres pays. Les autres noms de produits et de sociétés mentionnés dans ces pages sont des marques de leurs sociétés respectives. Les mentions de produits tiers sont indiquées à titre purement indicatif et ne constituent en aucun cas une recommandation ou une approbation de la part d'Apple. Apple n'assume aucune responsabilité quant aux performances et à l'utilisation de ces produits.5 Chapitre 1 : Introduction 5 Présentation 5 Connaissances requises 6 Chapitre 2 : Intégration d'un Mac 6 Connexion à un serveur de comptes réseau 6 Présentation 6 Configuration d'un Mac pour la connexion à un serveur de comptes réseau 11 Utilisation d'un compte réseau 12 Récapitulatif 12 Informations complémentaires 12 Partage de fichiers entre ordinateurs Mac OS X et Windows 12 Présentation 12 Connexion aux serveurs de fichiers 15 Partage de fichiers 19 Récapitulatif 19 Informations complémentaires 19 Courrier électronique, calendriers et contacts 19 Présentation 19 Courrier électronique 22 Contacts 24 Calendriers 27 Récapitulatif 27 Informations complémentaires 28 Sécurité 28 Présentation 28 Sécurité du compte utilisateur 34 Sécurité de l'ordinateur 35 Sécurité réseau 41 Récapitulatif 42 Informations complémentaires 3 Table des matières4 Table des matières 42 Impression 42 Présentation 42 Connexion à une imprimante USB 45 Impression vers une imprimante réseau 49 Utilisation des documents PPD 50 Récapitulatif 50 Informations complémentaires 51 Messagerie instantanée 51 Présentation 51 Configuration d'iChat 54 Autres services de messagerie instantanée 60 Récapitulatif 60 Informations complémentaires 60 Gestion et sauvegarde de données 60 Présentation 60 Migration de données de Windows vers un Mac 61 Sauvegarde de données 65 Récapitulatif 65 Informations complémentaires 66 Compatibilité multiplate-forme 66 Présentation 66 Compatibilité multiplate-forme 67 Exécution de Windows sur Mac 71 Récapitulatif 71 Informations complémentaires 72 Chapitre 3 : Ressources complémentaires 72 Examen Fondamentaux de l'intégration Mac 72 Formation et certification Mac OS X 73 Manuels 74 Assistance 5 Présentation Ce cours s'adresse aux personnes qui souhaitent intégrer un ordinateur Mac au sein d'une PME/PMI utilisant principalement Windows. Ces entreprises sont généralement équipées du serveur Windows Small Business. Ce cours s'adresse également aux utilisateurs qui remplacent un ordinateur Windows par un Mac, et peut servir de référence aux administrateurs système de leur entreprise. Au fil de ce cours, vous découvrirez les différentes manières d'intégrer un Mac au sein de l'environnement réseau de votre organisation, et notamment comment configurer votre Mac pour exploiter Active Directory, ainsi que les services réseau comme le partage de fichiers, l'impression, la messagerie instantanée, le courrier électronique, les calendriers et les contacts. Ce cours décrit également la sécurité au niveau de l'utilisateur, du réseau local et des réseaux distants. Il présente la gestion des données, dont la migration de vos données depuis un ordinateur Windows, ainsi que la sauvegarde de vos données importantes. Enfin, vous apprendrez comment exécuter des programmes Windows directement sur votre Mac, pour profiter d'une compatibilité et d'une interopérabilité parfaites avec vos collègues utilisateurs de Windows. Connaissances requises Ce cours nécessite une connaissance élémentaire de Mac OS X et de la terminologie associée. Si vous découvrez le Mac, consultez l'une des deux ressources d'assistance Apple en ligne présentant l'utilisation du Mac : Passage à Mac 1 2 3 Conçu pour l'utilisateur PC qui vient de passer au Mac et qui souhaite adapter ses anciennes habitudes de travail à Mac OS. Passage à Mac 1 2 3 est disponible en ligne à l'adresse http://www.apple.com/fr/support/switch101/. Mac 1 2 3 Conçu pour ceux qui achètent leur premier ordinateur ou qui ont simplement besoin d’un cours de remise à niveau pour tirer le meilleur parti d'un Mac. Mac 1 2 3 est disponible en ligne à l'adresse http://www.apple.com/fr/support/mac101/. Introduction 16 Connexion à un serveur de comptes réseau Présentation Microsoft Small Business Server et Windows Server s'appuient sur Active Directory pour fournir des comptes, des services d'authentification et d'autres services réseau aux utilisateurs. Open Directory est un autre serveur d'annuaire qui permet l'exploitation des services d'annuaire LDAP. Quel que soit le protocole de service d'annuaire utilisé par votre structure, les utilisateurs Mac peuvent rejoindre les réseaux existants sans effort, tout en respectant les règles de l'entreprise en matière d'authentification forte et d'accès protégé par mot de passe aux ressources réseau. L'ajout d'un Mac à un réseau qui exploite un service d'annuaire est une procédure très simple, grâce à la prise en charge des comptes réseau intégrée à Mac OS X Snow Leopard. Configuration d'un Mac pour la connexion à un serveur de comptes réseau Pour autoriser votre Mac à utiliser un compte réseau, vous devez d'abord configurer son accès à un serveur d'annuaire. Cette procédure de configuration est appelée liaison. La liaison est effectuée dans le volet Comptes des Préférences Système. Vous devez vous authentifier en tant qu'administrateur pour lancer la procédure. Les étapes suivantes décrivent comment créer une liaison à un serveur Active Directory ou Open Directory/LDAP. Pour relier un Mac à un serveur Active Directory : Pour relier un Mac à un serveur Active Directory, vous devez obtenir les informations suivantes auprès de l'administrateur du serveur : • Le nom de domaine, généralement au format : example.com. • Un nom d'utilisateur administrateur Active Directory. • Le mot de passe de cet utilisateur. Remarque : votre administrateur serveur peut également spécifier l'identifiant que doit utiliser votre ordinateur. Pour lier un Mac à un serveur Active Directory, procédez de la manière suivante : Intégration d'un Mac 2Chapitre 2 Intégration d'un Mac 7 1 Ouvrez Préférences Système, soit en cliquant sur son icône dans le Dock, soit en sélectionnant Préférences Système dans le menu Pomme. 2 Cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur Options. 4 Cliquez sur le bouton Joindre.Si vous êtes déjà lié à un serveur d'annuaire, cliquez sur le bouton Modifier au lieu du bouton Joindre. Dans la zone de dialogue qui apparaît, cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste des serveurs déjà connus. 5 Entrez le nom de domaine Active Directory fourni par l'administrateur du serveur. La zone de dialogue révèle alors les réglages Active Directory. 6 Entrez le nom d'utilisateur et mot de passe Active Directory fournis par l'administrateur du serveur. 8 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 9 7 Si besoin, modifiez l'identifiant qui sera utilisé par Active Directory pour votre ordinateur. Par défaut, l'identifiant de l'ordinateur client correspond au nom de l'ordinateur (il s'agit du nom utilisé par le Mac dans le volet Partage des préférences). Vous pouvez le modifier pour suivre les règles établies par votre organisation pour la dénomination des ordinateurs qui appartiennent au domaine Active Directory. En cas de doute, consultez l'administrateur du serveur. 8 Cliquez sur OK. Votre Mac est alors enregistré sur le domaine Active Directory. Pour relier un Mac à un serveur Open Directory/LDAP : Lorsque vous ajoutez un serveur Open Directory, vous devez connaître le nom ou l'adresse IP du serveur, et savoir si le serveur exige l'utilisation du protocole SSL (Secure Sockets Layer). Pour ajouter un serveur LDAP, procédez de la manière suivante : : 1 Ouvrez Préférences Système et cliquez sur Comptes. 2 Si l'icône de cadenas est verrouillée, cliquez sur celui-ci et entrez le nom et le mot de passe d'un compte administrateur local.3 Cliquez sur Options. 4 Cliquez sur le bouton Joindre. Si vous êtes déjà lié à un serveur d'annuaire, cliquez sur le bouton Modifier au lieu du bouton Joindre. Dans la zone de dialogue qui apparaît, cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste des serveurs déjà connus. 5 Vous pouvez choisir un serveur dans le menu déroulant, ou saisir manuellement le nom de domaine (ou l'adresse IP) du serveur. 1010 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 11 6 Si votre administrateur serveur vous a informé qu'une connexion SSL est requise, cochez la case « Requiert une connexion sécurisée (SSL) ». 7 Cliquez sur OK pour revenir au volet Comptes. Votre Mac est alors lié à un serveur LDAP. Utilisation d'un compte réseau Maintenant que vous avez configuré le Mac pour une connexion à un serveur d'annuaire, vous pouvez ouvrir une session sur votre Mac avec votre compte utilisateur réseau. Pour vous connecter, vous devez d'abord obtenir un nom d'utilisateur et mot de passe réseau auprès de l'administrateur du serveur. Pour les comptes Active Directory, le nom d'utilisateur utilise l'un des trois formats suivants : • nomcourt • nomcourt@domaine.com • DOMAINE\nomcourt Pour ouvrir une session avec un compte réseau : 1 Si vous avez ouvert une session sur votre Mac, sélectionnez Fermer la session dans le menu Pomme. Mac OS X ferme la session et affiche la fenêtre d'ouverture de session qui présente la liste des comptes utilisateur locaux, suivis par l'option « Autre ». 2 Cliquez sur Autre et saisissez le nom d'utilisateur et le mot de passe réseau fournis par l'administrateur du serveur. 3 Cliquez sur le bouton Ouvrir une session. Vous avez alors ouvert une session sur votre Mac en utilisant le compte fourni par le serveur d'annuaire. Votre Mac est désormais entièrement intégré au réseau.Récapitulatif Dans cette section, vous avez appris à configurer un Mac pour une connexion à un serveur d'annuaire. À l'issue de cette section, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes : • Obtenir les informations nécessaires auprès de l'administrateur du serveur pour relier un Mac à un serveur d'annuaire. • Relier un Mac à un serveur d'annuaire. • Ouvrir une session sur un Mac avec un compte utilisateur réseau. Une fois ces tâches effectuées, votre Mac peut exploiter l'authentification utilisateur et les ressources réseau fournies par le serveur d'annuaire de votre organisation. Grâce à la prise en charge intégrée à Mac OS X, le processus est on ne peut plus simple. Informations complémentaires Consultez les ressources suivantes pour en savoir plus sur la configuration de Mac OS X pour la connexion à un serveur d'annuaire : • “Managing Directory Clients Using Accounts Preferences” (Gestion des clients d'annuaires avec les préférences de comptes), dans Mac OS X Server : Open Directory Administration (Administration Open Directory) sur http://www.apple.com/fr/server/ macosx/resources/documentation.html • “Network Services” (Services réseau) dans Mac OS X Support Essentials v10.6, Peachpit Press, 2010 Partage de fichiers entre ordinateurs Mac OS X et Windows Présentation Les ordinateurs reliés au réseau d'une entreprise partagent constamment des fichiers et des ressources. Mac OS X Snow Leopard prend en charge un vaste éventail de protocoles de partage de fichiers. Dans cette section, vous allez d'abord apprendre à connecter votre Mac aux serveurs de fichiers de différents réseaux. Ensuite, vous apprendrez à configurer le partage de fichiers pour autoriser d'autres utilisateurs du réseau à accéder aux fichiers stockés sur votre Mac. Connexion aux serveurs de fichiers Vous pouvez vous connecter aux ordinateurs Mac et Windows qui ont activé le partage de fichiers, ainsi qu'aux serveurs de fichiers utilisant les protocoles AFP, SMB/ CIFS, NFS, WebDAV et FTP. Pour accéder aux fichiers partagés stockés sur les serveurs de fichiers sur votre réseau, vous pouvez parcourir les serveurs par nom dans une fenêtre du Finder, ou directement saisir leur adresse IP. Dans certains cas, vous devez également savoir à quel groupe de travail ou zone réseau le serveur appartient. Pour vous connecter directement à un serveur de fichiers, vous devez aussi connaître son adresse IP. Enfin, vous devez obtenir un nom d'utilisateur et mot de passe auprès de l'administrateur du serveur pour accéder aux serveurs de fichiers du réseau. Pour rechercher les serveurs de fichiers : Pour parcourir les serveurs de fichiers et vous connecter à un serveur, procédez comme suit : 1212 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 13 1 Dans le Finder, sélectionnez Aller > « Se connecter au serveur », puis cliquez sur Parcourir. 2 Recherchez le nom du serveur. 3 Une fois que vous avez repéré l'ordinateur partagé ou le serveur, sélectionnez-le et cliquez sur « Se connecter comme... ». 4 Sélectionnez « Se connecter » comme Utilisateur référencé, et saisissez le nom et le mot de passe fournis par l'administrateur du serveur.Remarque : pour simplifier les connexions suivantes, cochez « Garder ce mot de passe dans mon trousseau » pour ajouter le nom d'utilisateur et le mot de passe de l'ordinateur à votre trousseau d'accès. Le nom d'utilisateur et le mot de passe autorisés pour accéder au serveur de fichiers sont alors enregistrés dans votre trousseau d'accès sur votre Mac. Lors de la prochaine connexion à ce serveur de fichiers, vos identifiants mémorisés seront utilisés pour vous y connecter automatiquement. Pour se connecter directement à un serveur de fichiers Windows : Pour se connecter directement à un serveur de fichiers en indiquant son adresse réseau, de la manière suivante : : 1 Dans le Finder, sélectionnez Aller > « Se connecter au serveur ». 2 Entrez l'adresse réseau de l'ordinateur ou du serveur dans le champ Adresse du serveur en respectant les formats suivants : smb://nomDNS/nompartage smb://adresseIP/nompartage où nomDNS correspond au nom de domaine du serveur, adresseIP à l'adresse IP du serveur et nompartage au nom du dossier partagé à monter. Remarque : SMB (Server Message Block) est un protocole utilisé principalement par les ordinateurs sous Windows pour partager un accès réseau. SMB est également connu sous l'appellation CIFS (Common Internet File System). Si vous vous êtes récemment connecté au serveur de fichiers, vous pouvez également le sélectionner dans le menu déroulant « Serveurs récents ». Pour ajouter un ordinateur ou un serveur à votre liste de Serveurs favoris, cliquez sur le bouton Ajouter (+) une fois que vous avez saisi l'adresse. Si vous avez ajouté un serveur à la liste Serveurs favoris, vous pouvez cliquer deux fois sur son adresse dans la liste. 3 Cliquez sur « Se connecter ». 1414 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 15 4 Sélectionnez « Se connecter » comme Utilisateur référencé, et saisissez le nom et le mot de passe fournis par l'administrateur du serveur. Vous avez maintenant configuré votre Mac pour accéder aux fichiers stockés sur des serveurs de fichiers du réseau. Vous pouvez également configurer votre Mac pour autoriser l'accès à vos fichiers par d'autres utilisateurs du réseau en activant le partage de fichiers. La section suivante décrit comment activer le partage de fichiers sur votre Mac. Partage de fichiers Pour autoriser d'autres utilisateurs du réseau à se connecter à votre Mac, vous devez activer le partage de fichiers dans les Préférences Système. Songez à créer un compte dédié au partage de fichiers sur votre Mac, afin d'assurer la sécurité des fichiers que vous ne souhaitez pas partager. Vous devrez alors fournir les informations suivantes aux utilisateurs avec qui vous souhaitez partager vos fichiers : • L'adresse IP ou Bonjour (la fonctionnalité de découverte réseau automatique du Mac) de votre Mac • Le nom de compte utilisateur sur votre Mac pour lequel vous avez activé le partage de fichiers • Le mot de passe du compte de partage de fichiers sur votre Mac Remarque : si vous souhaitez utiliser un compte utilisateur créé avant l'installation de la dernière version de Mac OS X, vous devez parfois réinitialiser le mot de passe du compte concerné dans les préférences de Comptes. Avant de configurer le partage, commencez par choisir les dossiers à partager avec les utilisateurs du réseau, et les autorisations dont ils disposeront. Par défaut, le compte administrateur du Mac dispose d'un accès complet en lecture et en écriture, tandis que tous les autres utilisateurs n'ont qu'un accès en lecture. Pour choisir les dossiers à partager : Pour définir le partage de certains dossiers et les autorisations correspondantes, procédez de la manière suivante : :1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Partage. 2 Sélectionnez « Partage de fichiers » dans la liste. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous « Dossiers partagés » pour sélectionner les dossiers que vous souhaitez partager avec d'autres utilisateurs du réseau. Commencez par exemple par partager votre dossier Public. 4 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous Utilisateurs pour choisir les utilisateurs à qui vous souhaitez accorder des droits d'accès particuliers aux dossiers partagés. 5 Cliquez sur « Lecture seule » de chaque utilisateur pour afficher les autres options d'autorisation. Vous pouvez leur accorder les droits « Écriture seulement » ou « Lecture et écriture ». 6 Donnez aux utilisateurs autorisés l'adresse IP ou Bonjour de votre ordinateur, l'adresse de nom d'utilisateur et le nom d'utilisateur et mot de passe qu'ils devront utiliser pour accéder aux fichiers de votre ordinateur. L'adresse Bonjour de votre ordinateur est affichée dans le volet Partage des préférences. 1616 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 17 Maintenant que vous avez accordé un accès aux utilisateurs et configuré les autorisations des dossiers, vous pouvez activer le partage de fichiers par FTP (File Transfer Protocol) ou SMB. Mac OS X utilise SMB pour partager les fichiers avec les utilisateurs Windows, et FTP pour les utilisateurs qui n'utilisent pas Windows. La section suivante explique comment activer le partage SMB sur votre Mac. Vous apprendrez ensuite à activer le partage par FTP. Pour activer le partage de fichiers avec les utilisateurs Windows : Pour configurer le partage de fichiers avec Windows, procédez comme suit : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Partage. 2 Sélectionnez « Partage de fichiers » dans la liste, puis cliquez sur Options. 3 Sélectionnez « Partager les fichiers et dossiers via SMB ». 4 Cochez la case devant le compte utilisateur utilisé pour partager les fichiers avec les utilisateurs Windows, entrez le mot de passe pour cet utilisateur, puis cliquez sur OK. Pour assurer la sécurité de votre ordinateur, songez à créer un compte dédié pour les utilisateurs Windows dans les préférences de Comptes. Remarque : les mots de passe des comptes utilisés pour le partage Windows sont parfois stockés de manière moins sécurisée. Désactivez donc le compte lorsqu'il n'est pas utilisé. Avant de désactiver le partage Windows, désactivez tous les comptes que vous avez activés. Sinon les mots de passe seront toujours stockés de manière moins sécurisée. 5 Cliquez sur Fermer. Vous avez activé l'accès à vos fichiers pour les utilisateurs Windows par le biais du protocole SMB. Vous souhaitez peut-être partager des fichiers avec des ordinateurs qui ne fonctionnent pas sous Windows. Dans ce cas, vous pouvez utiliser le serveur FTP intégré à votre ordinateur pour fournir un accès à ces utilisateurs. Pour activer l'accès par FTP à votre ordinateur : Pour activer l'accès par FTP, procédez de la manière suivante : :1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Partage. 2 Sélectionnez « Partage de fichiers » dans la liste, puis cliquez sur Options. 3 Cochez la case « Partager les fichiers et les dossiers via FTP ». Lorsque l'accès par FTP est activé, les utilisateurs qui disposent d'un compte sur votre Mac peuvent accéder aux fichiers et dossiers à l'aide d'un navigateur web ou d'un logiciel client FTP. 1818 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 19 Remarque : lorsqu'un utilisateur se connecte ou transfère des fichiers par FTP, la connexion n'est pas chiffrée, et elle est donc moins sécurisée. Félicitations ! Vous avez activé le partage de fichiers sur votre Mac pour les ordinateurs sous Windows et autres systèmes d'exploitation. Les utilisateurs autorisés peuvent désormais accéder aux fichiers et volumes que vous avez choisi de partager. Récapitulatif Dans cette section, vous avez découvert comment partager des fichiers entre un Mac et un serveur de fichiers. À l'issue de cette section, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes : • Accéder aux fichiers partagés sur un réseau avec un Mac en parcourant les serveurs et par connexion directe. • Configurer les autorisations d'accès au niveau des dossiers et des utilisateurs pour le partage de fichiers. • Activer le partage de fichiers par SMB et FTP sur un Mac. • Fournir aux utilisateurs du réseau un nom d'utilisateur et mot de passe afin qu'ils puissent accéder aux fichiers stockés sur votre Mac. Informations complémentaires Consultez les ressources suivantes pour en savoir plus sur la configuration de Mac OS X pour la connexion à un serveur de fichiers et le partage de fichiers : • “Network Services” (Services réseau) dans Mac OS X Support Essentials v10.6, Peachpit Press, 2010 Courrier électronique, calendriers et contacts Présentation Mac OS X prend directement en charge le courrier électronique, les contacts et les calendriers par le biais de serveurs normalisés, comme Microsoft Exchange Server 2007, POP, IMAP et SMTP entre autres. Mac OS X Snow Leopard vous permet de vous connecter facilement aux services partagés, comme le courrier électronique, les invitations de calendriers et les listes d'adresses globales. Il suffit d'utiliser Mail, iCal et Carnet d'adresses pour profiter de fonctionnalités performantes du Mac, comme Spotlight, Coup d'œil, les détecteurs de données, et bien plus. Dans cette section, vous allez apprendre à configurer l'application Mail de Mac OS X pour envoyer et recevoir du courrier électronique en exploitant différents types de serveurs courants. Vous apprendrez ensuite à configurer Carnet d'adresses pour accéder aux contacts partagés. Enfin, vous découvrirez comment configurer iCal pour accéder aux services de calendriers partagés. Courrier électronique Dans cette section, vous allez apprendre à configurer Mac OS X Mail pour accéder directement à un serveur Exchange, puis vous verrez comment accéder à des serveurs de messagerie courants qui n'utilisent pas Windows.Connexion à un serveur Exchange 2007 Pour connecter un Mac à un serveur Exchange, vous devez obtenir les informations suivantes auprès de l'administrateur du serveur : • Le nom de domaine complet du serveur CAS (Client Access Server) de votre organisation, généralement au format suivant : exchange01.exemple.com. • Le nom d'utilisateur Exchange, créé pour chaque utilisateur par l'administrateur. • Le mot de passe Exchange, également créé pour chaque utilisateur. Une fois que vous avez obtenu les informations requises auprès de l'administrateur du serveur, vous pouvez passer à l'étape suivante et configurer votre Mac pour une utilisation avec Exchange. Cette tâche peut être effectuée manuellement ou à l'aide du service Autodiscover s'il a été activé. Pour se connecter à un serveur Exchange lorsque le service Autodiscover est activé : Le moyen le plus simple de configurer l'accès à Exchange depuis Mail, Carnet d'adresses et iCal consiste à utiliser le service Autodiscover. Lorsque cette fonction est activée, il suffit d'ouvrir le volet Ajouter un compte dans Mail, puis de saisir votre adresse e-mail et mot de passe Exchange. Mail utilise le service Autodiscover d'Exchange pour obtenir les informations pertinentes, et vous permet d'utiliser les services Exchange immédiatement. Pour configurer Mail manuellement afin d'accéder à un compte Exchange : Pour configurer Mail manuellement afin d'accéder à un serveur Exchange 2007, procédez de la manière suivante : : 1 Dans Mail, sélectionnez Mail > Préférences, puis cliquez sur Comptes. 2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans le coin inférieur gauche pour ajouter un compte. 3 Sélectionnez Exchange 2007 dans le menu déroulant « Type de compte ». 4 Saisissez une description du compte (comme Bureau, ou Exchange). 2020 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 21 5 Entrez le nom de domaine complet du Client Access Server Exchange de votre organisation. 6 Entrez le nom d'utilisateur et le mot de passe Exchange fournis par l'administrateur du serveur. 7 Veillez à cocher les cases Carnet d'adresses et iCal pour configurer automatiquement ces applications. Si vous n'avez pas pu configurer Carnet d'adresses et iCal automatiquement à ce niveau, reportez-vous aux étapes de configuration manuelle supplémentaires présentées dans les sections suivantes. Remarque : pour accéder à un serveur Exchange 2007 avec un Mac en dehors du réseau de l'entreprise, vérifiez auprès de l'administrateur que le port 443 est ouvert et que l'option EWS (Exchange Web Services) est activée. Vous avez configuré Mail pour accéder à Exchange 2007. Pour confirmer que tout fonctionne, relevez vos messages et envoyez un e-mail à un collègue depuis votre nouveau compte Exchange. Courrier électronique avec serveurs POP et IMAP Si votre organisation n'utilise pas un serveur Windows pour la gestion des services de messagerie, vous pouvez tout aussi facilement configurer l'accès depuis Mail. Les protocoles de serveur de messagerie les plus courants sont POP (Post Office Protocol) et IMAP (Internet Message Access Protocol) qui permettent aux ordinateurs client d'accéder aux messages sur le serveur de messagerie, et SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) pour l'envoi de messages. Mac OS X Snow Leopard propose l'option « Configurer le compte automatiquement ». Cette option configure les réglages pour différents fournisseurs de services de messagerie courants. Remarque :si cette option n'est pas disponible, cela signifie que le fournisseur de service que vous avez indiqué n'est pas reconnu. Vérifiez que le nom de domaine (la partie après le symbole "@") est correctement orthographié. Si l'orthographe est exacte, il vous faudra configurer le compte manuellement dans Mail. Pour configurer la connexion automatique dans Mail : Pour configurer Mac OS X Mail pour une connexion automatique aux services de messagerie, procédez de la manière suivante : : 1 Ouvrez Mail. 2 Si l'assistant "Bienvenue dans Mail" n'apparaît pas, sélectionnez Ajouter un compte dans le menu Fichier. 3 Saisissez le nom complet, l'adresse électronique et le mot de passe que vous avez dû recevoir de votre fournisseur de service de messagerie. 4 Sélectionnez "Configurer le compte automatiquement". 5 Cliquez sur "Créer" pour terminer la procédure. Pour configurer Mail manuellement : Avant de configurer manuellement votre compte, vous devez disposer de votre nom d'utilisateur, mot de passe, type de compte, des réglages de sécurité et des serveurs de réception et d'envoi, disponibles auprès de votre fournisseur de service de courrier électronique..Pour configurer manuellement Mac OS X Mail pour une connexion à un service de messagerie courant, procédez comme suit : 1 Ouvrez Mail. 2 Si l'assistant "Bienvenue dans Mail" n'apparaît pas, sélectionnez Fichier > Ajouter un compte. 3 Entrez le nom complet, l'adresse électronique et le mot de passe fournis par votre fournisseur d'accès. 4 Décochez l'option "Configurer le compte automatiquement" si elle est cochée. Cliquez sur Continuer. 5 Sélectionnez le type de compte adéquat. Il s'agit du protocole utilisé par le service de messagerie, comme IMAP, POP, etc. 6 Donnez une description pertinente pour ce compte.. 7 Saisissez le serveur de réception, le nom d'utilisateur et le mot de passe. Cliquez sur Continuer. 8 Si vous y êtes invité, entrez les réglages de sécurité du courrier reçu. Cliquez sur Continuer. 9 Saisissez une description du serveur d'envoi. 10 Saisissez les paramètres du serveur d'envoi. 11 Si besoin, sélectionnez « Activer l'authentification » et entrez votre nom d'utilisateur et votre mot de passe. Cliquez sur Continuer. 12 Si vous y êtes invité, entrez les réglages de sécurité du courrier expédié. Cliquez sur Continuer. 13 Vérifiez les réglages dans le résumé du compte. Cochez « Se connecter à ce compte ». 14 Cliquez sur "Créer" pour terminer la procédure. Félicitations ! Vous avez configuré Mail pour exploiter différents protocoles de messagerie courants. Vous pouvez vérifier que tout fonctionne en relevant votre courrier et en envoyant un message de test à vous-même ou à un collègue. Contacts Les contacts de Carnet d'adresses peuvent être configurés automatiquement pour accéder à Exchange lors des étapes de configuration de Mail décrites dans la section Courrier électronique, mais il se peut que vous souhaitiez les configurer manuellement. Ce sera le cas si vous n'utilisez pas l'application Mail de Mac OS X avec Exchange, mais que vous souhaitez malgré tout synchroniser vos contacts avec Exchange. Pour configurer un compte Exchange dans Carnet d'adresses : Pour configurer Carnet d'adresses pour accéder à Exchange 2007, procédez de la manière suivante : : 2222 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 23 1 Ouvrez Carnet d'adresses, allez dans Carnet d'adresses > Préférences, puis cliquez sur l'onglet Comptes. 2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) en bas à gauche pour ajouter un compte. 3 Sélectionnez Exchange 2007 dans le menu déroulant « Type de compte », et entrez le nom d'utilisateur et le mot de passe Exchange fournis par l'administrateur du serveur. 4 Cliquez sur le bouton Créer pour créer le compte et revenir à la fenêtre Comptes. Vous avez configuré Carnet d'adresses pour accéder à Exchange. L'accès à vos contacts existants peut améliorer considérablement votre productivité et simplifier votre transition vers le Mac. La section suivante décrit comment configurer iCal pour exploiter les services de calendriers partagés. Calendriers iCal sur votre Mac permet d'afficher en temps réel la disponibilité de vos collègues et salles de réunions depuis une liste d'adresses globale, et de compléter les noms lorsque vous les invitez à des réunions. Vous pouvez aussi recevoir des invitations à des réunions par e-mail et les gérer, de même que vous pouvez envoyer des invitations à des personnes extérieures à votre entreprise. Dans cette section, vous allez apprendre à configurer un compte Exchange dans iCal. Vous découvrirez ensuite comment configurer iCal pour accéder à d'autres services de calendrier, dont ceux de Google et Yahoo. Pour configurer un compte Exchange dans iCal : iCal peut être configuré automatiquement pour accéder à Exchange 2007 lors des étapes de configuration de Mail décrites dans la section Courrier électronique, mais vous pouvez aussi être amené à le faire manuellement. 1 Ouvrez iCal. 2 Sélectionnez iCal > Préférences et cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans le coin inférieur gauche pour ajouter un compte. 2424 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 25 4 Sélectionnez Exchange 2007 dans le menu déroulant « Type de compte », et entrez le nom d'utilisateur et le mot de passe Exchange fournis par votre administrateur. Pour configurer iCal pour Google Calendar : Pour utiliser iCal avec Google Calendar, vous devez d'abord créer un compte Google gratuit. Une fois que vous avez créé un compte et un calendrier Google, vérifiez que le partage est activé dans les réglages de calendrier en ligne avant de continuer. Pour configurer iCal afin d'accéder à Google Calendar, procédez de la manière suivante 1 Ouvrez iCal. 2 Sélectionnez iCal > Préférences et cliquez sur Comptes.3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans le coin inférieur gauche pour ajouter un compte. 4 Sélectionnez le type de compte Google, puis entrez l'adresse électronique et le mot de passe d'accès à votre compte Google. 5 Cliquez sur le bouton Créer pour créer le compte et revenir à la fenêtre Comptes. 6 Cliquez sur l'onglet Délégation et sélectionnez d'autres calendriers de votre compte Google, si nécessaire. Pour configurer iCal pour Yahoo! Calendar : Pour utiliser iCal avec Yahoo! Calendar, vous devez d'abord créer un compte Yahoo! gratuit. Une fois que vous avez créé un compte et un calendrier Yahoo!, vérifiez que le partage est activé dans les réglages en ligne avant de continuer. Pour configurer iCal afin d'accéder à Yahoo! Calendar, procédez de la manière suivante : 1 Ouvrez iCal. 2 Sélectionnez iCal > Préférences et cliquez sur l'onglet Comptes. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans le coin inférieur gauche. 2626 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 27 4 Sélectionnez le type de compte Yahoo!, puis entrez l'adresse électronique et le mot de passe d'accès à votre compte Yahoo! Calendar. Félicitations ! Vous avez configuré iCal pour exploiter différents services de calendrier normalisés. Testez votre configuration en sélectionnant Calendrier > Tout actualiser, pour télécharger la dernière version de tous vos calendriers partagés. Récapitulatif Dans cette section, vous avez appris à configurer le Mac pour accéder à des services normalisés de messagerie, de calendrier et de contacts. À l'issue de cette section, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes : • Configurer l'application Mail de Mac OS X pour envoyer et recevoir des messages électroniques avec différents types de serveurs de messagerie. • Configurer l'application Carnet d'adresses pour accéder aux contacts partagés sur un serveur Exchange 2007. • Configurer l'application iCal pour accéder à des services de calendriers partagés, dont Exchange, Google Calendar et Yahoo. Informations complémentaires Consultez les ressources suivantes pour en savoir plus sur la configuration de Mac OS X pour accéder à un serveur réseau afin d'exploiter des services de messagerie, de calendrier et de contacts : • Informations complémentaires sur la configuration de comptes de messagerie Yahoo, http://support.apple.com/kb/HT3376?viewlocale=fr_FR.Sécurité Présentation Mac OS X Snow Leopard fournit des outils robustes et conviviaux dédiés à toutes les facettes de la sécurité réseau et informatique. Il est essentiel d'assurer une sécurité élevée à tous les niveaux, qu'il s'agisse de protéger vos données, de protéger le système Mac dans son ensemble ou de la sécurité du réseau. La sécurité est un vaste sujet et ce manuel n'est pas exhaustif en la matière. Veuillez donc consulter les ressources complémentaires proposées en fin de section pour en savoir plus. Dans cette section, vous allez sécuriser vos données en choisissant un mot de passe fiable, en configurant les autorisations de votre dossier de départ, et en activant FileVault. Ensuite, vous protégerez votre Mac en activant un mot de passe de programme interne, et en installant un logiciel antivirus. Enfin, vous renforcerez la sécurité réseau en configurant le coupe-feu de Mac OS X et les services d'accès par VPN (réseau privé virtuel). Sécurité du compte utilisateur Choisir un mot de passe Il est essentiel que tous les employés d'une organisation créent un mot de passe fiable. Un mot de passe faible peut être menacé et permettre un accès illicite à votre Mac, à vos fichiers, à votre compte de messagerie personnel, ainsi qu'aux données confidentielles de l'entreprise. Le mot de passe que vous choisissez est très important pour assurer la sécurité de votre ordinateur, car il sert à installer les logiciels, créer les comptes, accéder à l'utilitaire « Trousseau d'accès » et ouvrir une session sur votre ordinateur. Les mots de passe les plus résistants utilisent une combinaison de lettres majuscules, lettres minuscules, de caractères spéciaux (comme $@!#) et de chiffres. Par exemple, p0$teL1quide est un bon mot de passe car il s'agit d'une phrase inhabituelle qui est longue mais facile à mémoriser, et dans laquelle certaines lettres sont remplacées par des caractères spéciaux et des chiffres. Snow Leopard inclut l'Assistant mot de passe, une application qui analyse la complexité d'un mot de passe et qui peut générer un mot de passe complexe. Vous pouvez spécifier la longueur et le type de mot de passe à créer. Les méthodes suivantes sont disponibles pour définir un mot de passe : Manuel Vous entrez un mot de passe, puis l'Assistant mot de passe indique sa fiabilité sous forme de jauge. Si le mot de passe est faible, l'Assistant mot de passe suggère des manières d'améliorer sa fiabilité. Mémorisable Vous indiquez la longueur souhaitée, puis l'Assistant mot de passe génère une liste de mots de passe mémorisables dans le menu Suggestion. Lettres et chiffres Vous indiquez la longueur souhaitée, puis l'Assistant mot de passe génère une liste de mots de passe composés de chiffres et de lettres. Chiffres seulement Vous indiquez la longueur souhaitée, puis l'Assistant mot de passe génère une liste de mots de passe composés uniquement de chiffres. 2828 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 29 Aléatoire Vous indiquez la longueur souhaitée, puis l'Assistant mot de passe génère une liste de mots de passe composés de caractères aléatoires. Conforme à FIPS-181 Vous indiquez la longueur souhaitée, puis l'Assistant mot de passe crée un mot de passe conforme à la norme FIPS-181 (qui mélange lettres majuscules et minuscules, ponctuation et chiffres). Vous pouvez, par exemple, créer un mot de passe aléatoire ou conforme à la norme FIPS-181 d'une longueur de 12 caractères. Pour utiliser l'Assistant mot de passe lors du changement d'un mot de passe : Pour utiliser l'Assistant mot de passe, procédez de la manière suivante :: 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, cliquez sur Comptes, puis sur le bouton « Modifier le mot de passe ». 2 Ouvrez l'Assistant mot de passe en cliquant sur l'icône clé à droite du champ «Nouveau mot de passe». 3 Dans le menu déroulant Type, sélectionnez Mémorisable, Manuel ou le type de mot de passe le plus conforme aux règles de sécurité de votre entreprise. Vous pouvez également choisir le nombre de caractères souhaité pour les mots de passe créés automatiquement en déplaçant le curseur Longueur vers la droite ou vers la gauche. 4 Cliquez sur le bouton « Modifier le mot de passe ». En définissant un mot de passe fiable, vous avez protégé vos données personnelles contre des accès non autorisés.Verrouiller l'écran de l'ordinateur Si vous souhaitez conserver la session ouverte lorsque vous vous éloignez de votre ordinateur, tout en empêchant son utilisation par d'autres, vous pouvez verrouiller l'écran. Lorsque vous revenez à votre poste, il suffit de saisir votre nom et mot de passe d'ouverture de session pour reprendre le travail. Pour exiger une authentification pour sortir votre ordinateur de veille : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, cliquez sur Sécurité, puis sur Général. 2 Cochez la case « Exiger le mot de passe... après la suspension d'activité ou le lancement de l'économiseur d'écran ». Utilisez le menu déroulant pour régler le délai avant l'entrée en vigueur de la demande de mot de passe. Les utilisateurs qui disposent de comptes administrateur peuvent utiliser leur nom et leur mot de passe pour déverrouiller l'écran. Le verrouillage de l'écran n'empêche pas qu'un autre utilisateur éteigne l'ordinateur et le redémarre, puis ouvre une session avec son propre compte. Si ce scénario est envisageable, veillez à enregistrer votre travail avant de vous éloigner de votre ordinateur. Pour verrouiller rapidement votre écran lorsque la permutation rapide d'utilisateur est activée, sélectionnez Fenêtre d'ouverture de session dans le menu qui porte votre nom. Vos applications restent ouvertes, mais votre ordinateur est verrouillé. Désactiver l'ouverture de session automatique Si votre ordinateur démarre sans afficher la fenêtre d'ouverture de session, c'est qu'il est configuré pour ouvrir automatiquement une session pour un compte utilisateur particulier. Lorsqu'un ordinateur est partagé par plusieurs utilisateurs, il est conseillé de créer un compte pour chaque utilisateur et de désactiver l'ouverture de session automatique. L'utilisation de comptes distincts protège les données de chaque utilisateur et renforce la sécurité de l'ordinateur. Important : l'ouverture de session automatique permet à n'importe qui d'accéder à votre Mac en le redémarrant. Il convient donc de la désactiver pour sécuriser votre ordinateur. Si l'ouverture de session automatique est activée, vérifiez que votre ordinateur n'ouvre pas une session d'un compte doté de droits d'administrateur. Pour désactiver l'ouverture de session automatique : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Comptes. 3030 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 31 2 Cliquez sur le cadenas pour le déverrouiller, puis entrez un nom et mot de passe d'administrateur. 3 Cliquez sur Options. 4 Sélectionnez Désactivé dans le menu local « Ouverture de session automatique ». Lors du prochain démarrage de votre ordinateur, la fenêtre d'ouverture de session sera affichée, et un nom et un mot de passe seront exigés pour ouvrir une session. FileVault FileVault stocke votre dossier de départ dans une image disque chiffrée. Le chiffrement brouille les données dans votre dossier de départ, afin que les utilisateurs, applications ou utilitaires non autorisés ne puissent pas accéder à vos données sans votre mot de passe ou le mot de passe principal. Dans cette section, vous allez configurer FileVault et définir un mot de passe principal, qui permet de réinitialiser le mot de passe d'ouverture de session de n'importe quel compte. Pour configurer FileVault, vous devez ouvrir une session avec un compte administrateur. Avant de commencer, vérifiez que vous disposez de suffisamment d'espace sur le disque dur qui contient votre dossier de départ. Vous devez disposer d'au moins autant d'espace que celui actuellement occupé par votre dossier de départ. Par exemple, si votre dossier de départ occupe 20 Mo, vérifiez que vous disposez d'au moins 20 Mo d'espace disque disponible. Cet espace est utilisé à titre temporaire durant le processus de chiffrement. Pour configurer FileVault : Pour configurer FileVault et renforcer la sécurité, procédez de la manière suivante : : 1 Ouvrez une session avec le compte que vous souhaitez protéger avec FileVault. Remarque : FileVault peut chiffrer le dossier de départ d'un compte administrateur ou standard.2 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Sécurité. 3 Ouvrez le volet FileVault des préférences de sécurité. 4 Si le volet de préférences Sécurité est verrouillé, cliquez sur l'icône de cadenas, et authentifiez-vous en tant qu'administrateur. 3232 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 33 5 Si les préférences de sécurité indiquent qu'aucun mot de passe principal n'est défini, cliquez sur le bouton Définir, puis tapez un mot de passe dans le champ « Mot de passe principal ». Le mot de passe principal sert à réinitialiser le mot de passe d'ouverture de session de n'importe quel compte, y compris des comptes protégés par FileVault. 6 Entrez le mot de passe à nouveau dans le champ Confirmer. 7 Tapez un indice dans la zone Indice pour vous aider à vous souvenir du mot de passe. AVERTISSEMENT : n'oubliez pas votre mot de passe principal. Si vous activez FileVault et que vous oubliez votre mot de passe d'ouverture de session et votre mot de passe principal, vous ne pourrez pas vous connecter à votre compte, et vos fichiers et réglages seront perdus à jamais. 8 Cliquez sur OK. 9 Cliquez sur « Activer FileVault ».Vous avez activé FileVault et sécurisé le contenu de votre dossier de départ. Grâce au chiffrement FileVault et à un mot de passe principal fiable, les données de votre dossier de départ sont inaccessibles, même si une personne non autorisée dispose d'un accès physique à votre ordinateur ou disque dur. Sécurité de l'ordinateur La sécurité ne se limite pas aux mots de passe et au chiffrement des données. Mac OS X prend en charge des méthodes supplémentaires conçues pour sécuriser l'ordinateur lui-même. La définition d'un mot de passe au niveau du micrologiciel ou programme interne empêche le contournement de la sécurité au niveau du système d'exploitation en démarrant sur un périphérique non autorisé. La protection antivirus quant à elle empêche les virus provenant d'autres systèmes d'exploitation utilisés sur le réseau de menacer vos données. Mot de passe de programme interne Vous pouvez configurer un mot de passe de programme interne pour activer une protection au niveau matériel de votre Mac. Le mot de passe de programme interne empêche un utilisateur non autorisé de démarrer votre Mac à partir d'un disque externe, d'un disque optique ou d'une clé USB. Pour effectuer cette tâche, vous devez disposer du DVD d'installation de Snow Leopard. Pour définir un mot de passe de programme interne : Pour définir un mot de passe de programme interne, procédez de la manière suivante. : 1 Ouvrez une session avec un compte administrateur et lancez « Utilitaire de mot de passe du programme interne » (situé dans le menu Utilitaires lorsque vous démarrez sur le disque d'installation de Mac OS X). 2 Cochez « Mot de passe exigé pour démarrer cet ordinateur depuis une autre source ». 3 Entrez un mot de passe dans les champs « Mot de passe » et Confirmer. 4 Cliquez sur OK. Une confirmation apparaît. 5 Cliquez sur l'icône de cadenas pour empêcher toute modification ultérieure. Vous pouvez tester vos réglages en tentant de démarrer en mode "single-user" (utilisateur individuel). Redémarrez le Mac en maintenant les touches Commande et S enfoncées. Si le Mac affiche la fenêtre d'ouverture de session au démarrage, cela signifie que les modifications effectuées avec « Utilitaire de mot de passe du programme interne » ont été prises en compte. Pour réinitialiser le mot de passe du programme interne : Pour réinitialiser le mot de passe du programme interne si vous l'avez perdu ou oublié, vous devez accéder à l'intérieur du Mac (comme sur un PC où vous devez retirer la pile de la carte mère pour réinitialiser le mot de passe du BIOS). Pour réinitialiser le mot de passe de programme interne, procédez de la manière suivante : : 1 Éteignez le Mac. 2 Modifiez la configuration de la mémoire en ajoutant ou retirant de la RAM. 3 Démarrez le Mac. Le mot de passe de programme interne est alors effacé. 3434 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 35 4 Éteignez à nouveau le Mac. 5 Rétablissez la configuration mémoire d'origine. 6 Démarrez le Mac. Remarque : Pour plus d'informations sur la réinitialiser d'unmot de passe de programme interne sur un MacBook Air (fin 2010), se référer à http://support.apple. com/kb/TS3554?viewlocale=fr_FR. Protection antivirus Sans que vous n'ayez à intervenir, Mac OS X vous offre un système de défense multicouche contre les virus et autres logiciels malveillants. Ainsi, il empêche le piratage de vos logiciels au moyen d'un « bac à sable », un mécanisme qui restreint les actions que les programmes peuvent effectuer sur votre Mac, les fichiers auxquels ils peuvent accéder et les autres programmes qu'ils peuvent lancer. Parmi les autres fonctions de sécurité automatiques, citons aussi la fonction «Library Randomization», qui empêche les logiciels malveillants d'atteindre leur cible, et «Execute Disable» qui protège la mémoire de votre Mac des attaques les plus diverses. Les virus sont rares sous Mac OS X, mais il convient de rester vigilant, surtout lorsque vous échangez des fichiers avec des ordinateurs qui utilisent d'autres systèmes d'exploitation. L'utilisation de logiciels antivirus du commerce comme Norton Antivirus ou Intego VirusBarrier peut contribuer à freiner la propagation des virus. Sécurité réseau En complément de la sécurité des comptes utilisateurs et des ordinateurs, la sécurité réseau est essentielle en entreprise. Le coupe-feu de Mac OS X protège votre Mac des accès entrants non autorisés provenant d'autres ordinateurs situés sur un réseau local ou sur Internet. Par ailleurs, un service de réseau privé virtuel (VPN) permet à votre ordinateur d'accéder à des réseaux distants de manière sécurisée. Coupe-feu de Mac OS X Le coupe-feu personnel de Mac OS X peut servir à bloquer les connexions entrantes indésirables. Un coupe-feu protège les services exécutés sur votre ordinateur depuis d'autres ordinateurs du réseau ou d'Internet. Les services activés dans les préférences de partage apparaissent dans la liste des services accessibles par d'autres ordinateurs. Pour empêcher les connexions entrantes pour l'un de ces services, vous devez désactiver les services concernés dans les préférences de partage. Pour activer le coupe-feu de Mac OS X : Pour activer le coupe-feu de Mac OS X, procédez de la manière suivante : :1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Sécurité. 2 Cliquez sur l'onglet Coupe-feu. 3636 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 37 3 Cliquez sur le cadenas dans le coin inférieur gauche, puis entrez le nom et le mot de passe d'un administrateur local.. 4 Cliquez sur Démarrer pour activer le coupe-feu. Pour configurer les options avancées de coupe-feu : Pour activer les options avancées de coupe-feu, procédez de la manière suivante dans l'onglet Coupe-feu : 1 Cliquez sur Avancé.2 Trois options de coupe-feu avancées sont disponibles : • Cochez la case « Bloquer toutes les connexions entrantes » pour n'autoriser les connexions entrantes que pour les fonctions Internet de base. Vous pourrez toujours relever votre courrier électronique et naviguer sur le Web, mais ce mode empêche tous les services de partage, comme le partage de fichiers ou d'écran disponibles dans le volet Partage des Préférences Système, d'accepter des connexions entrantes. Si vous souhaitez utiliser ces services, désactivez cette option. • Cochez la case « Autoriser automatiquement les logiciels signés à recevoir des connexions entrantes » pour autoriser l'ajout automatique des applications déjà signées par une autorité de certification reconnue à la liste des applications autorisées, et éviter que vous soyez invité à les autoriser. Par exemple, l'application iTunes est déjà signée par Apple, et sera automatiquement autorisée à recevoir les connexions entrantes via le coupe-feu. • Cochez la case « Activer le mode furtif » pour empêcher votre Mac de répondre aux sondes non autorisées ou inattendues. Votre ordinateur continuera à répondre aux requêtes émises par les applications autorisées, mais les requêtes imprévues, comme les ping réseau provenant d'ordinateurs tiers tentant de découvrir votre Mac, ne recevront pas de réponse. 3 Cliquez sur OK lorsque vous avez terminé de paramétrer les réglages avancés. Vous avez configuré le service de coupe-feu intégré à votre Mac et renforcé la sécurité des connexions réseau entrantes. Réseau privé virtuel L'accès par réseau privé virtuel (VPN) vous permet de profiter de services réseau de votre entreprise lorsque vous êtes en déplacement, tout en empêchant son accès aux personnes non autorisées. Mac OS X prend en charge les protocoles normalisés L2TP sur IPSec, PPTP et iPSec de Cisco pour créer des connexions VPN chiffrées grâce au client VPN intégré. Pour vous connecter à un VPN, vous devez obtenir l'adresse du serveur VPN, le type de VPN, le nom de compte VPN, et les données d'authentification utilisateur auprès de votre administrateur réseau. 3838 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 39 Pour configurer une connexion VPN : Pour configurer une connexion VPN, procédez de la manière suivante : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. 2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) au bas de la liste des services de connexion réseau, puis sélectionnez VPN dans le menu local Interface. 3 Sélectionnez le type de connexion VPN que vous souhaitez configurer dans le menu déroulant « Type de VPN », puis nommez le service.4 Entrez l'adresse du serveur et le nom du compte de la connexion VPN. 5 Cliquez sur « Réglages d'authentification » et entrez les informations demandées. 4040 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 41 6 Cliquez sur OK, puis sur « Se connecter ». 7 Cochez « Afficher l'état VPN dans la barre des menus » afin d'utiliser l'icône d'état VPN pour vous connecter au réseau et basculer entre différents services VPN. Vous avez configuré votre Mac pour accéder à un VPN, qui vous permet de vous connecter à distance à votre réseau professionnel, tout en assurant une sécurité renforcée. Récapitulatif Dans cette section, vous avez appris comment sécuriser un Mac au niveau des données utilisateur, de l'ordinateur et du réseau. À l'issue de cette section, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes : • Activer la sécurité d'un compte utilisateur sur votre Mac en utilisant un mot de passe fiable. • Configurer FileVault et définir un mot de passe principal pour empêcher les accès non autorisés aux données stockées dans votre dossier de départ. • Définir le mot de passe de programme interne de votre Mac pour une protection au niveau matériel de votre ordinateur. • Configurer le coupe-feu de Mac OS X pour limiter les accès réseau entrants aux services et données par d'autres ordinateurs. • Configurer un Mac pour accéder à un réseau distant de manière sécurisée à l'aide d'un service de VPN.Informations complémentaires Consultez les ressources suivantes pour en savoir plus sur la sécurité sur Mac : • Configuration de la protection par mot de passe du programme interne sous Mac OS X, http://support.apple.com/kb/HT1352?viewlocale=fr_FR • “User Accounts” (Comptes utilisateur) dans Mac OS X Support Essentials v10.6, Peachpit Press, 2010 • “Virtual Private Networks” (Réseaux privés virtuels) dans Mac OS X Security and Mobility v10.6, Peachpit Press, 2010 • Mac OS X Security Guide for Mac OS X Version 10.6 Snow Leopard, Apple Inc., 2010 sur http://www.apple.com/support/security/guides/ Impression Présentation Mac OS X Snow Leopard vous permet de vous connecter rapidement à une imprimante locale et de la partager, ainsi que d'utiliser des imprimantes distantes sur le réseau. Les ordinateurs Mac peuvent partager les ressources d'impression avec les ordinateurs Windows de manière relativement simple, afin d'assurer un accès aux imprimantes depuis différentes plates-formes. Dans cette section, vous allez apprendre à configurer votre Mac pour imprimer sur une imprimante connectée en local. Ensuite, vous apprendrez à partager l'imprimante avec les utilisateurs Windows et autres sur le réseau. Enfin, vous verrez comment configurer votre Mac pour accéder aux imprimantes réseau par le biais de différents protocoles d'impression courants, et comment optimiser les imprimantes réseau. Connexion à une imprimante USB Par défaut, Mac OS X Snow Leopard installe le logiciel nécessaire pour la prise en charge des imprimantes déjà connectées à votre Mac, des imprimantes à proximité sur le réseau, et les modèles d'imprimantes et de scanner les plus courants. Pour imprimer sur une imprimante en local, vous devez d'abord vérifier qu'elle soit bien connectée à votre ordinateur, puis l'ajouter à la liste des imprimantes disponibles. La plupart des imprimantes USB sont automatiquement ajoutées à la liste lorsque vous les connectez. Pour ajouter une imprimante USB à votre liste d'imprimantes : Pour imprimer sur une imprimante USB, vérifiez d'abord qu'elle soit connectée à votre ordinateur, puis ajoutez-la à la liste des imprimantes disponibles. La plupart des imprimantes USB sont automatiquement ajoutées à la liste lorsque vous les connectez. 1 Suivez les instructions livrées avec l'imprimante pour la configurer et la connecter à votre ordinateur. 2 Ouvrez un document à imprimer, puis sélectionnez Fichier > Imprimer. 3 Sélectionnez votre imprimante dans le menu local Imprimante. 4242 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 43 4 Si vous n'y voyez pas votre imprimante, sélectionnez « Ajouter une imprimante », puis cliquez le bouton « Plus d'imprimantes ». Si vous ne voyez pas le bouton « Plus d'imprimantes », consultez le fabricant de votre imprimante pour la marche à suivre. 5 Sélectionnez le type de l'imprimante dans le menu déroulant. Par exemple, si vous utilisez une imprimante USB Epson, essayez l'option Epson USB. 6 Dans la colonne « Nom de l'imprimante », sélectionnez l'imprimante et cliquez sur Ajouter. Pour partager votre imprimante avec des utilisateurs Windows par SMB : Vous pouvez partager votre imprimante USB avec les utilisateurs Windows du réseau par le biais du même protocole SMB/CIFS qui sert à partager les fichiers. Pour partager une imprimante connectée à votre Mac, procédez dde la manière suivante : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Partage. 2 Cochez la case « Partage d'imprimantes ». 3 Sélectionnez les imprimantes que vous souhaitez partager.4 Cochez la case « Partage de fichiers ». 5 Si vous ne souhaitez pas partager un dossier, sélectionnez-le dans la liste des dossiers partagés, puis cliquez sur le bouton Supprimer (-) en dessous de la liste. Vous pouvez supprimer tous les dossiers si vous ne souhaitez partager que votre imprimante. 6 Cliquez sur Options. 7 Sélectionnez « Partager les fichiers et dossiers via SMB ». 8 Sélectionnez le nom du compte qui partagera l'imprimante, puis entrez le mot de passe de ce compte. 9 Cliquez sur le bouton Fermer. Vous avez partagé votre imprimante locale avec les utilisateurs Windows et autres. 4444 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 45 Pour imprimer sur votre imprimante par SMB/CIFS, un utilisateur doit ouvrir une session en tant qu'administrateur sur un ordinateur Windows, puis configurer une imprimante réseau SMB/CIFS utilisant le pilote d'impression PostScript, même si l'imprimante concernée n'est pas une imprimante PostScript. Votre Mac convertira les données PostScript en données compatibles avec l'imprimante. L'utilisateur Windows peut se reporter à la documentation Windows pour en savoir plus sur l'ajout d'une imprimante réseau. Impression vers une imprimante réseau Mac OS X peut non seulement se connecter aux imprimantes locales, mais également à différentes imprimantes réseau courantes. De nombreuses imprimantes réseau prennent en charge le protocole Bonjour (la fonction de découverte réseau automatique du Mac), et vous permettent ainsi d'ajouter automatiquement une imprimante réseau en suivant les mêmes étapes que pour une imprimante locale (voir la section précédente). Pour ajouter une imprimante IP à votre liste d'imprimantes, vous devez connaître l'adresse IP ou le nom DNS de votre imprimante réseau. Vous pouvez également saisir d'autres informations utiles sur l'imprimante, comme son emplacement et le nom de sa file d'attente. Dans cette section, vous allez d'abord apprendre à accéder à une imprimante partagée en réseau. Ensuite, vous apprendrez à utiliser les fichiers PPD (PostScript Printer Description) pour tirer le meilleur parti des fonctionnalités des imprimantes partagées en réseau. Pour connecter une imprimante réseau par LPR : Dans un environnement multiplate-forme, le protocole d'impression en réseau LPR (Line Printer Remote) est couramment utilisé. Vous pouvez utiliser les préférences « Imprimantes et fax » pour ajouter une imprimante LPR à la liste des imprimantes de votre ordinateur. Vérifiez que vous disposez de l'adresse IP ou du nom DNS de l'imprimante avant de continuer. Pour accéder à une imprimante IP par LPR, procédez de la manière suivante : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur « Imprimantes et fax ».2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter une imprimante. 3 Cliquez sur l'onglet IP et sélectionnez « Line Printer Daemon - LPD » dans le menu déroulant Protocole. 4646 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 47 4 Entrez le nom DNS ou l'adresse IP de l'imprimante dans le champ Adresse. 5 Entrez le nom de l'imprimante. Si vous le souhaitez, indiquez l'emplacement de l'imprimante dans le champ Emplacement. 6 Cliquez sur le bouton Ajouter. 7 Ouvrez n'importe quel document et sélectionnez Fichier > Imprimer.Votre nouvelle imprimante doit normalement figurer dans le menu déroulant Imprimante. Pour imprimer vers une imprimante partagée par un ordinateur Windows : Vous pouvez également imprimer sur une imprimante compatible SMB/CIFS connectée à un ordinateur Windows. Le propriétaire de l'imprimante doit la configurer pour le partage, et n'utiliser que les caractères suivants dans le nom de l'imprimante et de l'ordinateur : A-Z, a-z, 0-9, !, $, *, (, ), _, +, -, ‘, et . (point). Veillez à obtenir le nom d'utilisateur et le mot de passe de l'imprimante avant de continuer. Pour accéder à une imprimante Windows par SMB/CIFS, procédez de la manière suivante : : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur « Imprimantes et fax ». 2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter une imprimante. 3 Cliquez sur l'onglet Windows. 4848 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 49 4 Sélectionnez l'imprimante dans le navigateur. 5 Si vous y êtes invité, entrez le nom d'utilisateur et mot de passe de l'imprimante. 6 Entrez le nom et l'emplacement de l'imprimante. 7 Cliquez sur le bouton Ajouter. 8 Ouvrez n'importe quel document et sélectionnez Fichier > Imprimer. Votre nouvelle imprimante Windows partagée doit normalement figurer dans le menu déroulant Imprimante. Utilisation des documents PPD Les fichiers PPD ou PostScript Printer Description contiennent des données techniques sur un modèle d'imprimante particulier. Vous devez disposer du fichier PPD adapté pour profiter de toutes les fonctionnalités d'une imprimante donnée. Par exemple, en l'absence du bon fichier PPD, vous ne pourrez pas accéder aux différents bacs, utiliser différents formats de papier, ou imprimer en recto verso. Mac OS X est livré avec des fichiers PPD préinstallés pour les imprimantes les plus courantes. Lorsque vous ajoutez une imprimante, Mac OS X sélectionne automatiquement un fichier PPD pour celle-ci. Vous pouvez changer de fichier PPD pour en utiliser un qui vous semble mieux correspondre à votre imprimante. Utilisez alors un fichier PPD livré avec Mac OS X, ou téléchargez-en un sur Internet. Pour choisir un fichier PPD : Pour changer de fichier PPD pour une imprimante que vous avez déjà ajoutée, procédez de la manière suivante : : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur « Imprimantes et fax ».2 Sélectionnez l'imprimante dans la liste de gauche, cliquez sur « Options et fournitures », puis cliquez sur Pilote. 3 Dans le menu déroulant « Imprimer via », sélectionnez l'une des options suivantes : • Pour choisir un fichier PPD que vous avez téléchargé, sélectionnez « Autre ». • Pour choisir un fichier PPD livré avec Mac OS X, sélectionnez « Sélectionnez le logiciel de l'imprimante ». 4 Sélectionnez le fichier PPD et cliquez sur OK ou Ouvrir. 5 Vérifiez que les options du menudéroulant « Imprimer via » correspondent aux fonctionnalités de votre imprimante, puis cliquez sur OK. Récapitulatif Dans cette section, vous avez découvert les différentes manières d'utiliser les imprimantes locales et distantes avec un Mac. Mac OS X prend intégralement en charge la majorité des imprimantes les plus courantes. Il suffit généralement de connecter une imprimante USB à votre Mac pour pouvoir l'utiliser. L'accès aux imprimantes partagées en réseau, dont les imprimantes Windows, est également simple et intuitif. Enfin, les utilisateurs Windows peuvent imprimer sur une imprimante USB partagée en réseau par un Mac en exploitant les fonctions de partage d'imprimantes de Mac OS X. À l'issue de cette section, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes : • Configurer un Mac pour imprimer sur une imprimante USB. • Partager une imprimante locale avec les utilisateurs du réseau et Windows. • Configurer un Mac pour imprimer sur une imprimante réseau ou Windows. • Configurer un fichier PPD pour une imprimante réseau. Informations complémentaires Consultez les ressources suivantes pour en savoir plus sur l'impression de documents sur Mac : • “Peripherals and Printing” (Périphériques et impression) dans Mac OS X Support Essentials v10.6, Peachpit Press, 2010 • Enterprise Printing with Mac OS X (Impression en entreprise avec Mac OS X) sur http:// images.apple.com/business/solutions/it/docs/ L418078A-US_Enterprise_Printing_with_Mac_OS_X_Technical_White_Paper-1.pdf • Print Server Administration Version 10.6 Snow Leopard, Apple Inc., 2010 sur http://images.apple.com/server/macosx/docs/Print_Server_Admin_v10.6.pdf 5050 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 51 Messagerie instantanée Présentation En entreprise, la messagerie instantanée permet aux membres dispersés d'une équipe de garder le contact. iChat est l'application de messagerie instantanée de Mac OS X qui prend en charge les comptes MobileMe, .Mac, AIM, Jabber et Google Talk. Votre message instantané apparaît dans une fenêtre sur l'écran de votre collègue dès que vous l'envoyez, et celui-ci peut vous répondre instantanément. Vous pouvez utiliser iChat pour envoyer des fichiers à vos interlocuteurs sur Internet ou votre réseau local. Vous pouvez aussi mener des conférences audio ou vidéo pour communiquer avec vos collègues aux quatre coins de la planète. iChat prend en charge le protocole XMPP (Extensible Messaging and Presence Protocol) également connu sous le nom de Jabber, ce qui lui permet de communiquer directement avec divers services de messagerie courants. Il prend également en charge le protocole Bonjour pour découvrir automatiquement les utilisateurs iChat sur votre réseau d'entreprise. iChat prend en charge le codec vidéo haute qualité H.264/ AVC pour la visioconférence. Dans cette section, vous découvrirez comment configurer le Mac pour la messagerie instantanée avec iChat et MobileMe. Vous apprendrez ensuite à utiliser iChat avec d'autres services de messagerie instantanée comme AIM, Jabber et Google Talk. Configuration d'iChat Le service MobileMe vous permet d'échanger des messages instantanés à l'aide d'iChat avec d'autres utilisateurs MobileMe et .Mac. Vous pouvez également communiquer avec les utilisateurs d'AIM (America Online Instant Messenger). Pour configurer iChat : Pour configurer la messagerie instantanée MobileMe dans iChat, procédez de la manière suivante : : 1 Ouvrez iChat depuis le Dock ou le dossier Applications.2 Sélectionnez iChat > Préférences et cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). 5252 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 53 4 Sélectionnez MobileMe dans le menu « Type de compte ». 5 Si vous ne disposez pas d'un compte MobileMe, cliquez sur « Ouvrir un compte iChat » pour vous inscrire. 6 Entrez votre nom et votre mot de passe MobileMe. 7 Cliquez sur Terminé. iChat se connecte alors au service iChat et affiche la liste des contacts de votre Carnet d'adresses qui ont des comptes AIM ou iChat. Si vous n'avez pas de contacts qui disposent de comptes AIM ou iChat, votre liste de contacts reste vide. Vous avez configuré iChat pour la messagerie instantanée avec MobileMe, ce qui vous permet de garder le contact avec vos collègues, qu'ils soient dans le même immeuble ou à l'autre bout du monde. Autres services de messagerie instantanée Dans cette section, vous allez configurer iChat pour d'autres services de messagerie instantanée, comme AIM, Jabber et Google Talk. Pour configurer un compte AIM dans iChat : Pour configurer la messagerie instantanée AIM dans iChat, procédez de la manière suivante : 1 Ouvrez iChat depuis le Dock ou le dossier Applications. 2 Sélectionnez Préférences > Comptes et cliquez sur le bouton Ajouter (+). 5454 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 55 3 Sélectionnez AIM dans le menu « Type de compte ». 4 Si vous ne disposez pas déjà d'un compte AIM, cliquez sur « Ouvrir un compte iChat » pour vous inscrire. Vous êtes alors redirigé sur le site web d'AOL. 5 Entrez votre pseudonyme et votre mot de passe AIM et cliquez sur Terminé. iChat se connecte alors au service iChat et affiche la liste des contacts de votre Carnet d'adresses qui disposent de comptes AIM ou iChat.Pour configurer un compte Jabber dans iChat : Un compte Jabber peut être configuré pour communiquer avec des membres d'autres services de messagerie instantanée, comme Yahoo! Messenger, MSN et ICQ. Pour en savoir plus sur la configuration de votre compte Jabber pour utiliser ces systèmes de messagerie, consultez le site www.jabber.com. Votre organisation peut également disposer de son propre serveur Jabber. Pour configurer l'utilisation de Jabber dans iChat, de la manière suivante : 1 Ouvrez iChat depuis le Dock ou le dossier Applications. 2 Sélectionnez Préférences > Comptes et cliquez sur le bouton Ajouter (+). 5656 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 57 3 Sélectionnez Jabber dans le menu « Type de compte ». 4 Si vous ne disposez pas déjà d'un compte Jabber, allez sur www.jabber.com pour en créer un. 5 Entrez le nom du compte et le mot de passe Jabber. 6 Le cas échéant, cliquez sur le triangle d'affichage situé devant « Options du serveur » et entrez le nom du serveur et le port obtenus lors de votre inscription à Jabber. 7 Cliquez sur Terminé. Pour confirmer le bon fonctionnement du compte, essayez d'ajouter d'autres contacts Jabber à votre liste de contacts en sélectionnant Contacts > Ajouter un contact. Pour configurer un compte Google Talk dans iChat : Pour configurer la messagerie instantanée Google Talk dans iChat, procédez de la manière suivante :1 Ouvrez iChat depuis le Dock ou le dossier Applications. 2 Sélectionnez Préférences > Comptes et cliquez sur le bouton Ajouter (+). 5858 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 59 3 Sélectionnez Google Talk dans le menu « Type de compte ». 4 Si vous ne disposez pas déjà d'un compte Google Talk, allez sur www.google.com pour en créer un. 5 Entrez le nom et le mot de passe de votre compte Google et cliquez sur Terminé. Pour confirmer le bon fonctionnement du compte, essayez d'ajouter des contacts Google Talk à votre liste de contacts en sélectionnant Contacts > Ajouter un contact.Récapitulatif Dans cette section, vous avez appris à utiliser la messagerie instantanée sur votre Mac pour collaborer en temps réel avec vos collègues. iChat prend en charge les principaux services de messagerie instantanée, comme MobileMe et AIM. Il permet également d'accéder à différents services courants comme Jabber et Google Talk. La prise en charge complète de ces messageries par Mac OS X vous permet ainsi de communiquer en temps réel avec vos collègues, indépendamment du système d'exploitation et du service de messagerie qu'ils utilisent. À l'issue de cette section, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes : • Configurer la messagerie instantanée MobileMe dans iChat. • Configurer iChat pour d'autres services de messagerie comme AIM, Jabber et Google Talk. Informations complémentaires Consultez les ressources suivantes pour en savoir plus sur la messagerie instantanée sur Mac : • Articles et informations utiles relatifs à iChat, http://support.apple.com/kb/ ht2008?viewlocale=fr_FR Gestion et sauvegarde de données Présentation Lorsque vous passez d'un ordinateur Windows à un Mac, vous pouvez transférer la plupart de vos fichiers PC et continuer à les utiliser comme avant. Les formats de fichiers Windows courants, dont les documents au format texte et PDF, les images et les fichiers audio et vidéo, peuvent être facilement ouverts sous Mac OS X. La première étape consiste à faire migrer vos fichiers de l'ordinateur Windows vers votre Mac. En plus de la migration de vos données, il est important de protéger celles-ci. Il est conseillé de procéder à des sauvegardes régulières de votre système et de conserver plusieurs sauvegardes de vos fichiers importants. Votre organisation vous oblige peut- être à suivre des règles de sauvegarde particulières, mais même si ce n'est pas le cas, rien ne vous empêche d'adopter une stratégie de sauvegarde personnelle. Dans cette section, vous allez apprendre à migrer vos données Windows vers un Mac à l'aide de différentes méthodes de transfert. Vous verrez ensuite comment mettre en œuvre une stratégie de sauvegarde pour protéger vos données importantes contre les risques de perte. Migration de données de Windows vers un Mac Vous pouvez copier les fichiers de votre PC sur un disque ou support de stockage externe, puis l'utiliser sur votre Mac. Vous pouvez également envoyer vos fichiers Windows vers votre Mac par e-mail, ou relier le Mac et le PC en réseau et recourir au partage de fichiers. 6060 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 61 Copie de fichiers sur un support de stockage externe Un disque dur ou support de stockage externe constitue un moyen pratique de faire migrer des quantités importantes de données d'un ordinateur Windows vers un Mac. Si votre ordinateur Windows est équipé d'un lecteur de CD ou DVD ou d'un port USB, sélectionnez l'une des options suivantes : • Copiez les fichiers du PC vers un disque dur ou dispositif de stockage externe, puis connectez le lecteur en question à votre Mac et transférez les fichiers sur le disque dur de votre Mac. Vérifiez que le disque est formaté sur le PC. En effet, si votre Mac peut lire les disques formatés nativement sur un ordinateur Windows, l'inverse n'est pas supporté par défaut. • Gravez les fichiers sur un CD ou un DVD sur votre PC, puis utilisez ces mêmes disques sur votre Mac pour transférer les fichiers sur le disque dur de votre ordinateur. Migration des fichiers par e-mail Si vous avez moins de 5 Mo de données à transférer depuis votre ordinateur Windows, vous pouvez les envoyer par e-mail. Pour transférer des fichiers par e-mail : Procédez de la manière suivante pour faire migrer les fichiers d'un ordinateur Windows vers votre Mac par e-mail : 1 Créez des fichiers zip sur le PC pour regrouper vos fichiers. 2 Envoyez ces fichiers à vous-même par e-mail sous Windows. 3 Récupérez les fichiers envoyés à l'aide de Mail sur le Mac. Sauvegarde de données Les sauvegardes fréquentes constituent le meilleur moyen de prévenir le risque de perte de données suite à une défaillance matérielle, une erreur de manipulation, la corruption des données ou même un vol de matériel. Mac OS X Snow Leopard inclut Time Machine, une application qui peut automatiquement sauvegarder votre ordinateur et vos fichiers importants et irremplaçables sur un disque dur externe ou un volume réseau. Sauvegarde de données avec Time Machine Time Machine est doté d'une interface intuitive pour restaurer vos fichiers ou votre ordinateur tout entier. Par défaut, Time Machine conserve une copie à jour des données importantes stockées sur votre Mac : applications, photos numériques, musique, films, documents, etc. Vous pouvez facilement « remonter le temps » pour restaurer des fichiers en cas de besoin. À noter que certains types de fichiers sont ignorés par Time Machine, comme les caches Safari et certains fichiers système. La configuration de Time Machine revient tout simplement à relier un disque dur externe USB, FireWire ou eSata à votre Mac. Vous pouvez également utiliser un deuxième disque interne dans un Mac de bureau (un disque que votre ordinateur Mac n'utilise pas en tant que disque de démarrage).Pour configurer Time Machine : Pour effectuer la configuration initiale de Time Machine, procédez de la manière suivante : : 1 Reliez un disque dur FireWire ou USB à l'ordinateur. Si vous n'avez pas encore spécifié de disque de sauvegarde, Time Machine vous demande si vous souhaitez utiliser le disque que vous venez de connecter en tant que disque de sauvegarde. 2 Cliquez sur « Utiliser comme disque de sauvegarde » pour confirmer que vous souhaitez utiliser le disque pour les sauvegardes Time Machine. Les préférences de Time Machine sont alors affichées, et le disque concerné est sélectionné en tant que périphérique de sauvegarde. Vous n'avez rien d'autre à faire pour que Time Machine sauvegarde automatiquement votre Mac. La première sauvegarde peut durer longtemps. Pensez à configurer Time Machine en fin de journée, afin d'effectuer la sauvegarde initiale pendant la nuit. Par défaut, Time Machine conserve une sauvegarde horaire des 24 dernières heures, une sauvegarde quotidienne pour le mois écoulé, et des sauvegardes hebdomadaires de tout ce qui est antérieur à un mois, jusqu'à ce que le disque de sauvegarde soit saturé. 6262 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 63 Pour sélectionner manuellement un disque de sauvegarde Time Machine : Vous pouvez sélectionner manuellement un disque de sauvegarde Time Machine en procédant de la manière suivante : : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Time Machine. 2 Cliquez sur « Choisir un disque de sauvegarde ». Tous les volumes compatibles, à l'exception de votre disque de démarrage, sont affichés. 3 Choisissez le disque sur lequel vous souhaitez stocker vos sauvegardes, puis cliquez sur Sélectionner.Autres méthodes de sauvegarde En plus des disques durs, d'autres méthodes sont disponibles pour sauvegarder vos données, dont les sauvegardes sur un serveur réseau ou sur un service dans le nuage comme MobileMe. Pour sauvegarder sur un serveur : Pour sauvegarder sur un disque en réseau, le serveur réseau doit utiliser le partage de fichiers AFP (Apple File Protocol) et votre ordinateur ainsi que le disque de sauvegarde en réseau doivent être équipés de Mac OS X 10.5.6 ou une version ultérieure. Pour que le serveur réseau soit disponible dans Time Machine, vérifiez que vous l'avez monté en tant que volume partagé sur votre Mac à l'aide de la commande du Finder Aller > Se connecter au serveur. Pour sauvegarder sur un serveur réseau, procédez de la manière suivante : 1 Choisissez le menu Pomme > Préférences Système, puis cliquez sur Time Machine. 2 Cliquez sur « Choisir un disque de sauvegarde ». 3 Choisissez le serveur réseau sur lequel vous souhaitez stocker vos sauvegardes, puis cliquez sur Sélectionner. 6464 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 65 Une autre méthode est disponible si vous utilisez un dossier de départ en réseau dans votre organisation. Tous les fichiers que vous stockez dans votre dossier de départ en réseau seront sauvegardés, puisque votre dossier de départ est stocké sur un serveur, et que tous les fichiers du serveur sont sauvegardés. Pour sauvegarder sur MobileMe : Si vous êtes abonné à MobileMe, vous pouvez utiliser l'application « Backup » pour sauvegarder les fichiers importants de votre dossier de départ, comme les fichiers et dossiers sur votre Bureau, ou stockés dans les dossiers Documents, Vidéos, Musique et Images. Si vous n'avez pas installé Backup sur votre Mac, vous pouvez le télécharger depuis le dossier Software de votre iDisk. Remarque : MobileMe Backup n'est pas conçu pour sauvegarder l'intégralité de votre disque dur ou les fichiers qui ne résident pas dans votre dossier de départ. Généralement, le dossier de départ sert à stocker vos fichiers les plus importants. Mac OS X et les applications tierces peuvent être réinstallés à partir des disques ou images disque d'origine en cas de besoin. Récapitulatif Dans cette section, vous avez découvert la gestion des données et différentes manières de transférer vos fichiers d'un ordinateur Windows sur votre Mac. Vous avez également appris à sauvegarder vos données avec votre Mac afin de vous protéger des pertes de données et des coûts associés. Avec Time Machine, la procédure est on ne peut plus simple. À l'issue de cette section, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes : • Faire migrer des données d'un ordinateur Windows vers votre Mac en utilisant un disque externe, par e-mail ou par partage de fichiers. • Faire migrer vos données d'un ordinateur Windows vers votre Mac à l'aide d'autres méthodes. • Configurer Time Machine pour une utilisation avec un disque dur externe. • Sauvegarder vos données à intervalles réguliers avec Time Machine. • Sauvegarder vos données sur un serveur ou sur un service dans le nuage comme MobileMe. Informations complémentaires Consultez les ressources suivantes pour en savoir plus sur la gestion et les sauvegardes de données sur Mac : • Mac 1-2-3 : Time Machine, http://support.apple.com/kb/HT1427?viewlocale=fr_FR • Passage à Mac 1-2-3 : faire migrer vos fichiers ou votre système Windows, http:// support.apple.com/kb/HT2518?viewlocale=fr_FR • MobileMe : conseils de dépannage pour Backup, http://support.apple.com/kb/ TS1716?viewlocale=fr_FRCompatibilité multiplate-forme Présentation Mac OS X vous permet d'intégrer de manière transparente votre Mac au sein d'environnements Windows ou multiplates-formes en réseau. Vous pouvez utiliser Microsoft Office, connecter la plupart des imprimantes et appareils photo, rejoindre des réseaux PC et même exécuter Windows sur votre Mac. Avec Snow Leopard, le Mac est le seul ordinateur avec prise en charge intégrée de la dernière version de Microsoft Exchange Server. Ainsi, vous pouvez utiliser votre Mac (et toutes les fonctionnalités et applications que vous aimez) chez vous et au bureau et centraliser tous vos messages, rendez-vous et contacts dans un seul emplacement. Une version native de Microsoft Office est disponible pour Mac OS X. Elle intègre une interface Mac conviviale qui vous permet de créer des documents dans Word, des présentations dans PowerPoint et des feuilles de calcul dans Excel exactement comme sur un PC Windows. Votre Mac est également compatible avec Microsoft Office pour Windows, pour vous permettre d'échanger facilement des documents avec vos amis et collègues. Même si Microsoft Office n'est pas installé sur votre Mac, vous pouvez utiliser la fonctionnalité « Coup d'oeil » pour consulter des documents Office sans ouvrir d'application. Mac OS X prend également en charge les fichiers de type PDF, TXT, JPEG, PNG et même PSD au niveau du système d'exploitation. Tout nouveau Mac vous permet d'installer un système d'exploitation Windows comme Vista et Windows 7 et de les exécuter à pleine vitesse, grâce à Boot Camp, un utilitaire intégré. L'installation est simple et sûre pour vos fichiers Mac. Une fois l'installation effectuée, vous pouvez démarrer votre Mac sous Mac OS X ou sous Windows. Si vous souhaitez exécuter des applications Windows et Mac en même temps sans redémarrer, vous pouvez installer Windows au sein de Mac OS X au moyen des logiciels VMware ou Parallels. Dans cette section, vous découvrirez les applications disponibles à la fois sous Mac et Windows. Vous découvrirez également des applications Mac qui prennent en charge les fichiers Windows. Ensuite, vous apprendrez à configurer votre Mac pour exécuter les systèmes d'exploitation Windows en mode natif avec Boot Camp, ou en mode virtuel avec VMware Fusion et Parallels Desktop. Compatibilité multiplate-forme Vous pouvez utiliser les fichiers Windows sous Mac OS X à l'aide d'applications disponibles sur les deux plates-formes. Par ailleurs, de nombreuses applications Mac permettent d'importer des fichiers créés aux formats Windows. Applications multiplates-formes Certains éditeurs offrent des versions de leurs applications à la fois pour Windows et Mac OS X, pour prendre en compte les environnements multiplates-formes déployés dans de nombreuses organisations. 6666 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 67 Voici quelques exemples d'applications bureautiques multiplates-formes : • Microsoft Office, avec Word, Excel, Outlook, Communicator, Messenger et PowerPoint • Adobe Acrobat, Photoshop, Illustrator, InDesign, After Effects, Premiere Pro • QuickBooks d'Intuit • FileMaker Types de fichiers multiplates-formes De nombreuses applications Mac natives permettent d'importer des fichiers créés sous Windows. Elles vous permettent également d'afficher les types de fichier les plus courants, comme les documents Office, PDF, les images, fichiers texte, MP3, vidéos, fichiers ZIP, etc. Exemples d'applications Mac qui prennent en charge les fichiers Windows : • Pages peut importer les fichiers Microsoft Word et la plupart des formats texte Windows. • Numbers peut importer les fichiers Excel, les fichiers Open Financial Exchange créés par Quicken, ainsi que les fichiers au format texte séparé par des virgules ou des tabulations. • Keynote peut importer les présentations PowerPoint. • Toutes les applications compatibles QuickTime peuvent importer les fichiers vidéo .AVI et les fichiers audio .WAV. Exécution de Windows sur Mac Les Mac équipés de processeurs Intel utilisent les mêmes processeurs que les ordinateurs sous Windows, et peuvent ainsi exécuter directement les logiciels Windows de différentes manières. Vous pouvez démarrer sous un système d'exploitation Windows en mode natif sur un Mac en installant le logiciel Boot Camp d'Apple, inclus avec Mac OS X. Ou exécutez Windows directement sur Mac OS X grâce à une application de virtualisation comme VMware Fusion ou Parallels Desktop, qui créent des machines virtuelles Windows exécutées au sein de l'environnement Mac. Dans cette section, vous allez apprendre à configurer Boot Camp, puis découvrir la virtualisation. Boot Camp Boot Camp vous permet d'exécuter un système d'exploitation Windows sur votre Mac à pleine vitesse. Les applications Windows accèdent directement aux processeurs et aux cœurs multiples, aux cartes graphiques 3D accélérées, aux ports haut débit et aux connexions USB, FireWire, Wi-Fi, AirPort et Ethernet Gigabit, etc. Les pilotes Boot Camp pour Windows qui permettent d'exploiter ces fonctionnalités sont disponibles sur le DVD d'installation de Mac OS X, tout comme les pilotes audio et Bluetooth. Ces pilotes sont automatiquement installés lorsque vous insérez le disque dans votre Mac, une fois que vous avez installé Windows. En plus de votre DVD d'installation, vous devez disposer d'un disque d'installation de la version de Windows de votre choix.Pour configurer Boot Camp : Pour configurer Windows avec Boot Camp, procédez de la manière suivante : : 1 Ouvrez une session administrateur sur votre ordinateur, quittez toutes les applications ouvertes, et fermez la session de tout autre utilisateur. 2 Lancez l'Assistant Boot Camp (situé dans /Applications/Utilitaires/) et suivez les instructions à l'écran. Vous devez ensuite créer une partition pour Windows. 3 Réglez la taille de votre partition Windows. Reportez-vous à la documentation d'installation Windows pour déterminer la taille de partition adaptée. 6868 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 69 4 Cliquez sur Partitionner. L'Assistant Boot Camp crée la partition Windows. La partition Mac OS d'origine, ainsi que toutes vos applications et données, ne sont pas affectées. Utilisez à nouveau l'Assistant Boot Camp si vous souhaitez plus tard supprimer la partition et rétablir un volume Mac OS X à une seule partition. 5 Sélectionnez « Lancer l'installation ». 6 Si vous utilisez un ordinateur équipé de plusieurs disques internes, sélectionnez le disque sur lequel vous souhaitez installer Windows, puis cliquez sur Continuer. 7 Insérez votre disque d'installation Windows, et cliquez sur Lancer l'installation. Votre Mac redémarre alors sur le disque d'installation Windows. Suivez les instructions à l'écran. 8 Sélectionnez une partition Windows. Pour Windows XP, sélectionnez « C: Partition3 [FAT32] ». Pour Windows Vista, sélectionnez « Disk 0 Partition 3 BOOTCAMP ». 9 Formatez la partition Windows. • Pour Windows XP, sélectionnez NTFS pour plus de fiabilité et de sécurité, même si vous ne pourrez alors pas enregistrer de fichiers sur la partition Windows depuis Mac OS X. Sélectionnez FAT pour une partition accessible par Mac OS X, mais limitée à 32 Go. • Pour Windows Vista/7, cliquez sur « Options de lecteurs (avancées) ». Cliquez sur Formater, puis sur OK, puis sur Suivant (Windows Vista et Windows 7 exigent le format NTFS). Remarque : Mac OS X peut accéder aux partitions FAT en lecture et en écriture, mais ne peut accéder aux partitions NTFS qu'en lecture seule. Vous devez ensuite installer des pilotes propres au Mac et d'autres logiciels pour Windows à partir de votre disque d'installation Mac OS X Snow Leopard. 10 Éjectez le disque d'installation Windows et insérez votre DVD d'installation Mac OS X.11 Suivez les instructions à l'écran. Votre Mac redémarre et Windows lance alors son Assistant Ajout de nouveau matériel détecté. Suivez les instructions à l'écran de tout autre assistant qui apparaît. Une fois que vous avez installé Windows et les pilotes Boot Camp, vous pouvez commencer à utiliser Windows sur votre Mac. Boot Camp simplifie le choix de Mac OS X ou de Windows au démarrage de votre ordinateur. Vous pouvez définir le système d'exploitation par défaut pour votre ordinateur avec le volet de préférences Disque de démarrage (Mac OS X) ou le panneau de configuration Boot Camp (Windows). Ou sélectionnez un système d'exploitation au démarrage de votre ordinateur. Virtualisation Si vous n'utilisez les applications Windows qu'occasionnellement, ou si vous n'avez pas besoin des performances optimales de Boot Camp, la virtualisation offre un accès immédiat à Windows sans quitter Mac OS X. VMware Fusion et Parallels Desktop sont deux solutions de virtualisation Windows tierces très prisées. Mware Fusion Pour acheter et télécharger VMware Fusion, rendez-vous sur le site http://www. vmware.com/fr/products/fusion/. En plus de l'application Fusion et d'un numéro de série valable, vous devrez disposer d'un disque d'installation de la version complète de Windows que vous souhaitez utiliser. VMware Fusion installe Windows, ce qui peut prendre jusqu'à 45 minutes. Une fois Windows installé, VMware Fusion installe les pilotes VMware Tools et démarre la machine virtuelle. Vous pouvez dès lors installer et exécuter des applications Windows natives sans quitter Mac OS X. Parallels Desktop Pour acheter et télécharger Parallels Desktop, rendez-vous sur le site http://www. parallels.com/fr/products/desktop/. En plus de l'application Desktop et d'un numéro de série valable, vous devrez disposer d'un disque d'installation de la version complète de Windows que vous souhaitez utiliser. 7070 Chapitre 2 Intégration d'un MacChapitre 2 Intégration d'un Mac 71 Récapitulatif Dans cette section, vous avez découvert les options de compatibilité multiplateforme de votre Mac, vous permettant de travailler de manière transparente avec les utilisateurs Windows. De nombreux programmes Windows comme Microsoft Word et Adobe Photoshop sont également disponibles pour Mac. Les applications Mac OS X comme iWork sont compatibles avec des formats de fichiers Windows courants. Vous pouvez exécuter Windows en mode natif sur un Mac avec Boot Camp, ou dans une fenêtre Mac OS X grâce à une application de virtualisation comme VMware Fusion ou Parallels Desktop. À l'issue de cette section, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes : • Indiquer les applications disponibles à la fois sous Windows et Mac OS X. • Indiquer les applications Mac natives compatibles avec les formats de fichiers Windows. • Configurer un Mac pour exécuter Windows en mode natif avec Boot Camp. • Indiquer les options de virtualisation tierces pour exécuter Windows. Informations complémentaires Consultez les ressources suivantes pour en savoir plus sur l'utilisation des fichiers et applications Windows sur Mac : • Boot Camp Guide d'installation et de configuration, Apple Inc., 2010 sur http://manuals.info.apple.com/fr_FR/Boot_Camp_Guide_d_installation_10.6.pdf • Mac 1-2-3 : utiliser Windows sur votre Mac à l'aide de Boot Camp, http://support.apple. com/kb/HT1461?viewlocale=fr_FR • “Applications and Boot Camp,” Mac OS X Support Essentials v10.6, Peachpit Press, 2010Examen Fondamentaux de l'intégration Mac Optez pour la certification Apple Certified Associate - Mac Integration 10.6. La marche à suivre pour passer l'examen en ligne est disponible sur : http://training.apple.com/ itpro/fr/macinteg/exam. Formation et certification Mac OS X Apple propose des programmes de certification complets pour les professionnels de l'informatique travaillant en entreprise, dans l'éducation ou d'autres secteurs. Consultez les options de formation et de certification Apple ci-dessous pour identifier celles qui correspondent à vos aspirations. Cours sur Mac OS X Les cours sont dispensés par des formateurs certifiés Apple dans un réseau mondial de centres de formation agréés Apple (AATC). Mac OS X Support Essentials 10.6 : formation intensive et approfondie sur le dépannage de l'ensemble des fonctionnalités et systèmes Mac OS X. Mac OS X Server Essentials 10.6 : apporte aux coordinateurs techniques et administrateurs système débutants les connaissances requises pour mettre en œuvre un système sous Mac OS X Server. Mac OS X Directory Services 10.6 : enseigne les techniques de configuration des ordinateurs Mac OS X pour accéder aux services d'annuaire, et de configuration de Mac OS X Server pour fournir des services d'annuaires dans un environnement multiplate-forme. Mac OS X Deployment 10.6 : s'intéresse aux solutions de déploiement et de maintenance de logiciels, de l'installation de fichiers individuels au déploiement d'images système sur plusieurs ordinateurs. Mac OS X Security and Mobility 10.6 : enseigne les techniques de configuration de Mac OS X Server pour fournir des services réseau afin que les ordinateurs et appareils mobiles comme l'iPhone puissent accéder aux réseaux et services privés en toute sécurité. 3 Ressources complémentaires 7272 Chapitre 2 Intégration d'un Mac 7373 Certifications Mac OS X Les certifications Mac OS X d'Apple sont conçues pour les professionnels de l'informatique qui : • Fournissent une assistance aux utilisateurs Mac OS X en entreprise ou dans le secteur de l'enseignement • Gèrent des réseaux d'ordinateurs Mac OS X au sein d'une organisation, comme un professeur ou responsable technique qui gère un réseau dans une classe ou une salle informatique • Gèrent des réseaux multiplates-formes complexes, qui intègrent des systèmes Mac OS X La certification Apple Certified Associate - Mac Integration 10.6 valide la maîtrise des différentes manières d'intégrer un Mac au sein d'un réseau Windows ou autre réseau normalisé. La certification ACSP (Apple Certified Support Professional) constitue l'étape de certification suivante, et valide les compétences d'assistance et de dépannage de base de Mac OS X. La certification ACTC (Apple Certified Technical Coordinator) complète la certification ACSP en validant des compétences essentielles en matière d'assistance et de dépannage de Mac OS X Server. Certification suprême sur Mac OS X, la certification ACSA (Apple Certified System Administrator) répond aux besoins des administrateurs système et des ingénieurs professionnels chargés de gérer des réseaux de systèmes dans des environnements multiplates-formes complexes. Les professionnels techniques spécialisés dans certains aspects de l'administration système peuvent obtenir des certifications Apple Certified Specialist en matière de services d'annuaire, de déploiement et de sécurité et mobilité. Pour en savoir plus sur les certifications Apple disponibles, rendez-vous sur le site http://training.apple.com. Manuels Les manuels de la série Apple Training Series constituent un élément clé du programme officiel d'Apple concernant Mac OS X et Mac OS X Server. Ces manuels proposent une approche indépendante à la formation et la certification, en guidant les étudiants pas à pas lors de projets concrets. Ils sont également une excellente référence pour fournir de l'assistance, effectuer certaines tâches ou utiliser des technologies particulières. Cinq manuels sont disponibles dans la collection Apple Training Series. Ils s'adressent aux professionnels de l'assistance et de l'administration système : • Mac OS X Support Essentials 10.6 • Mac OS X Server Essentials 10.6 • Mac OS X Directory Services 10.6• Mac OS X Deployment 10.6 • Mac OS X Security and Mobility 10.6 Pour en savoir plus sur ces manuels, consultez le site de Peachpit Press à l'adresse http:// www.peachpit.com. Assistance En plus des offres AppleCare pour les produits, Apple offre une assistance en ligne sur http://www.apple.com/fr/support où vous pouvez consulter des articles techniques, télécharger des manuels et participer aux forums de discussion. Le site d'assistance d'Apple propose également des ressources de formation en ligne pour les utilisateurs qui découvrent Mac OS X : Passage à Mac 1 2 3 : Trouvez vos repères et accédez à tout ce qui figure sur votre Mac ; découvrez comment transférer les fichiers de votre ancien PC vers l'environnement Mac OS ; découvrez comment connecter votre imprimante, iPod, appareil photo numérique ou autre appareil ; découvrez comment accomplir les tâches que vous réalisiez sur votre PC sur le Mac ; découvrez comment utiliser les logiciels livrés avec votre Mac ; et découvrez même comment réagir si les choses ne se passent pas comme prévu. Passage à Mac 1 2 3 est disponible en ligne sur http://www.apple.com/fr/support/switch101/. Mac 1-2-3 : Découvrez comment explorer le bureau de votre Mac (ou découvrez ce qu'est le Bureau) ; découvrez comment connecter votre imprimante, iPod, appareil photo numérique ou autre appareil ; découvrez l'e-mail et Internet ; apprenez à réaliser différentes tâches ; apprenez à utiliser les logiciels livrés avec votre Mac ; et découvrez même comment réagir si les choses ne se passent pas comme prévu. Mac 1-2-3 est disponible en ligne sur http://www.apple.com/fr/support/mac101/. 7474 Chapitre 3 Ressources complémentaires Final Cut Server Guide de configuration et d’administration K Apple Inc. Copyright © 2008 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Vos droits sur ce logiciel sont régis par la licence d’utilisation qui l’accompagne. Le propriétaire ou l’utilisateur autorisé d’une copie valide du logiciel Final Cut Server peut reproduire cet exemplaire pour en apprendre le fonctionnement. En revanche, il est interdit de reproduire ou de transmettre cette publication, même partiellement, à des fins commerciales telles que la vente de copies ou la prestation de services d’assistance payants. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option-1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tous les efforts nécessaires ont été mis en œuvre pour que les informations contenues dans ce manuel soient les plus exactes possibles. Apple n’est pas responsable des erreurs survenues lors de l’impression ou de la copie. Remarque : comme Apple met régulièrement sur le marché de nouvelles versions et des mises à jour de son logiciel système, de ses applications et de ses sites Internet, les images qui illustrent le présent ouvrage peuvent différer légèrement de ce que vous voyez à l’écran. Apple Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014–2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, Final Cut, Final Cut Pro, Final Cut Studio, FireWire, Mac, Macintosh, Mac OS, QuickTime, Tiger, Xsan et Xserve sont des marques d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, Leopard et Spotlight sont des marques d’Apple Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d’Intel Corp. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. PowerPC est une marque d’International Business Machines Corporation, utilisée sous licence. Java et toutes les marques Java ainsi que les logos sont des marques ou des marques déposées de Sun Microsystems, Inc. aux États-Unis et dans d’autres pays. UNIX est une marque déposée de The Open Group. Les autres noms de produits et de sociétés mentionnés dans ce document sont des marques appartenant à leurs détenteurs respectifs. Toute mention de produits de tierce partie n’est qu’à titre informatif et ne constitue ni une approbation, ni une recommandation. Apple se dégage de toute responsabilité en ce qui concerne les performances ou l’usage de ces produits. Ducati et le logo Ducati sont des marques déposées de Ducati Motor Holding S.p.A. Utilisés avec leur aimable autorisation. Photos de production du film « Koffee House Mayhem » utilisées avec l’aimable autorisation de Jean-Paul Bonjour. « Koffee House Mayhem » © 2004 Jean-Paul Bonjour. Tous droits réservés. http://www.jbonjour.com Photos de production du film « Les Poupets » utilisées avec l’aimable autorisation de Jean-Paul Bonjour. « Les Poupets » © 2006 Jean-Paul Bonjour. Tous droits réservés. http://www.jbonjour.com 3 1 Table des matières Préface 7 Bienvenue dans l’administration de Final Cut Server 7 Bienvenue dans Final Cut Server 8 Ressources sur l’apprentissage de Final Cut Server 10 Contact de l’assistance AppleCare Partie I Installation et configuration Chapitre 1 13 Vue d’ensemble de Final Cut Server 13 À propos des serveurs et des clients 15 Mise en place d’un système Final Cut Server 16 Stratégie en matière de périphériques de stockage 18 Tâches élémentaires d’administration de Final Cut Server Chapitre 2 21 Utilisation du programme d’installation 21 À propos de l’installation et de la configuration de Final Cut Server 23 Utilisation du programme d’installation de Final Cut Server 32 À propos des profils personnalisés 34 À propos de Final Cut Server et Compressor 38 Mise à jour de votre licence 39 Enregistrement de Final Cut Server Chapitre 3 41 Configuration des Préférences Système 41 Introduction aux Préférences Système de Final Cut Server 42 Réglages de la sous-fenêtre General 44 Réglages de la sous-fenêtre Group Permissions 45 Réglages de la sous-fenêtre Devices 46 Réglages de la sous-fenêtre Automations 47 Réglages de la sous-fenêtre Backup Chapitre 4 49 Ajout d’utilisateurs et de groupes 49 À propos des utilisateurs et des groupes 51 Utilisation de la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système 55 Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server4 Table des matières 58 Ajout de groupes à Final Cut Server 60 À propos des ensembles d’autorisations Chapitre 5 63 Utilisation de Device Setup Assistant 63 Introduction aux périphériques 64 À propos de la création de périphériques 65 À propos des périphériques par défaut 66 Ajout d’un périphérique 72 Configuration des types de périphériques 77 Modification d’un périphérique 78 Suppression d’un périphérique Chapitre 6 81 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation 81 À propos de la création d’automatisations 82 À propos des automatisations par défaut 83 Création d’automatisations 93 Modification d’une automatisation 94 Suppression d’une automatisation Chapitre 7 95 Sauvegarde de Final Cut Server 95 Introduction à la sauvegarde de votre système 96 Stratégies de sauvegarde 98 Sauvegarde du catalogue Final Cut Server 99 À propos des fichiers de sauvegarde 100 Restauration du catalogue Final Cut Server Chapitre 8 103 Installation de clients Final Cut Server 103 Introduction au client Final Cut Server 104 Utilisation de Java Web Start 107 À propos des fichiers du client Java Web StartTable des matières 5 Partie II Administration générale Chapitre 9 111 Réglages généraux et préférences 111 Vue d’ensemble de l’administration de Final Cut Server 117 Utilisation de la fenêtre Administration 119 Réglages de préférences dans la fenêtre Administration du client Final Cut Server 125 Réglages des préférences personnalisables 127 Fonctions client uniquement accessibles par l’administrateur 128 À propos de la prise en charge Unicode Chapitre 10 129 Groupes et autorisations 129 À propos des groupes et autorisations 130 Ajout de groupes à Final Cut Server 132 Ajout et gestion d’ensembles d’autorisations Chapitre 11 141 Gestion des métadonnées 141 Introduction aux métadonnées 144 Champs de métadonnées 149 Groupes de métadonnées 155 Mappage de métadonnées 157 Références aux métadonnées 161 Gestion des ensembles de métadonnées 163 Règles de synchronisation des métadonnées 165 Utilisation de métadonnées pour la configuration de l’interface utilisateur 168 À propos des métadonnées QuickTime Chapitre 12 171 Gestion des périphériques 171 À propos des périphériques 173 Ajout d’un périphérique à partir de la fenêtre Administration 176 Modification d’un périphérique à partir de la fenêtre Administration 176 Suppression d’un périphérique par le biais de la fenêtre Administration 177 À propos des périphériques spécialisés 182 Informations détaillées sur le type de périphérique 191 Recherche de périphériques Chapitre 13 197 Gestion des réglages de transcodage 197 À propos des réglages de transcodage 198 Ajout de réglages de transcodage 200 Affectation de réglages de transcodage aux périphériques Chapitre 14 203 Gestion des automatisations 203 À propos de l’automatisation dans Final Cut Server 205 Astuces générales en matière d’automatisation 207 Sous-fenêtre et fenêtre Response6 Table des matières 223 Sous-fenêtre et fenêtre Watcher 226 Sous-fenêtre et fenêtre Subscription 228 Sous-fenêtre et fenêtre Schedule Chapitre 15 231 À propos des tâches et des historiques 231 Visualisation de l’état de Final Cut Server 232 À propos des tâches et de la fenêtre Search All Jobs 237 À propos de la sous-fenêtre Log 238 À propos de la fenêtre Log Glossaire 239 Index 245 7 Préface Bienvenue dans l’administration de Final Cut Server Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Bienvenue dans Final Cut Server (p. 7)  Ressources sur l’apprentissage de Final Cut Server (p. 8)  Contact de l’assistance AppleCare (p. 10) Bienvenue dans Final Cut Server Final Cut Server est un logiciel performant en matière de gestion de ressources multimédia et pour l’automatisation des flux de production. Final Cut Server permet de gérer facilement de groupes conséquents de fichiers de données. Ses capacités s’étendent également au suivi de l’état des tâches, à l’organisation des passages en revue et des approbations, et à l’automatisation de séquences de tâches complexes, le tout regroupé en un même produit conçu pour utiliser Final Cut Pro de façon transparente. Final Cut Server installe également Compressor. Cette application de transcodage puissante apporte à Final Cut Server un grand nombre de réglages de transcodage préconfigurés, utilisables lors du téléchargement ou de la copie de fichiers de données sur des périphériques Final Cut Server. Vous pouvez également créer des réglages personnalisés dans Compressor et les ajouter à la liste de réglages de transcodage de Final Cut Server.8 Préface Bienvenue dans l’administration de Final Cut Server Ressources sur l’apprentissage de Final Cut Server Un grand nombre de ressources dans le cadre de la prise en main de votre système Final Cut Server vous est proposé. Documentation imprimée de Final Cut Server Ce guide est l’un des deux documents imprimés fournis avec Final Cut Server.  Guide de configuration et d’administration de Final Cut Server : ce guide décrit les tâches d’installation, de configuration et d’administration de la plupart des composants du système Final Cut Server. Il ne décrit pas l’utilisation quotidienne du système, telle que l’exploration des ressources et la gestion des tâches, ou encore les productions et les commandes décrites dans le Manuel de l’utilisateur de Final Cut Server. Important : vous devez comprendre parfaitement les sujets abordés dans le Guide de l’utilisateur de Final Cut Server avant d’aborder le Guide de configuration et d’administration de Final Cut Server.  Manuel de l’utilisateur de Final Cut Server : ce document décrit l’utilisation du client Final Cut Server dans le cadre des opérations quotidiennes du système, telles que l’exploration des ressources, la gestion des tâches et la gestion des productions. Manuels Final Cut Server consultables à l’écran Chaque document imprimé possède une version consultable à l’écran, accessible pendant l’utilisation et l’administration de Final Cut Server.  À partir du client Final Cut Server : le Manuel de l’utilisateur de Final Cut Server est disponible pour tous les utilisateurs dans le menu Aide du client. Le Guide de configuration et d’administration de Final Cut Server est également accessible à partir du menu Aide du client si vous avez ouvert une session avec des autorisations d’administration.  À partir des Préférences Système du serveur Final Cut Server : le Guide de configuration et d’administration de Final Cut Server est consultable à partir des Préférences Système du serveur Final Cut Server, d’un simple clic sur le point d’interrogation situé en bas à droite. Le contenu de ces documentions est identique pour les deux versions, qu’elles soient à l’écran ou imprimées. Cependant, les versions à l’écran comportent de nombreux liens hypertexte et certaines fonctionnalités qui permettent un accès simple et rapide aux informations :  la page d’accès fournit un accès rapide à des fonctionnalités variées, comprenant l’index et d’autres documents et sites web pertinents ;  une liste de signets complète vous permet d’accéder rapidement aux pages à l’aide d’un simple lien. Préface Bienvenue dans l’administration de Final Cut Server 9 En plus de ces outils de navigation, les documents à l’écran proposent d’autres moyens d’accéder rapidement aux informations :  Toutes les références croisées sont reliées. Vous pouvez cliquer sur n’importe quelle référence croisée pour l’atteindre instantanément. Vous pouvez ensuite revenir à l’emplacement initial en cliquant sur le bouton Preview Back.  La table des matières et l’index possèdent également des liens. Si vous cliquez sur l’entrée d’une de ces rubriques, vous accédez directement à la rubrique en question dans le document.  La zone de dialogue Rechercher permet de rechercher des expressions ou de mots particuliers. Sites web Apple Apple vous propose de nombreux sites web afin d’accéder à des informations complémentaires. Site web de Final Cut Server Accédez à ce site pour obtenir des informations générales, des mises à jour et l’actualité de Final Cut Server. Pour accéder au site web de Final Cut Server, rendez-vous à l’adresse suivante :  http://www.apple.com/fr/finalcutserver Il existe également divers forums de discussion et des ressources à but pédagogique sur le web, relatifs à Final Cut Server. Site web de service et d’assistance d’Apple Accédez à ce site pour obtenir des mises à jour de logiciels et retrouver les réponses aux questions les plus fréquemment posées concernant tous les produits Apple, notamment Final Cut Server. Vous y trouverez également les spécifications des produits, de la documentation de référence et des articles techniques sur les produits Apple et de tierce partie. Pour accéder à la page web de service et d’assistance d’Apple, rendez-vous à l’adresse suivante :  http://www.apple.com/fr/support Pour accéder à la page d’assistance de Final Cut Server, rendez-vous à l’adresse suivante :  http://www.apple.com/fr/support/finalcutserver Pour accéder aux pages de discussion d’Apple, rendez-vous à l’adresse :  http://discussions.info.apple.com10 Préface Bienvenue dans l’administration de Final Cut Server Contact de l’assistance AppleCare Des informations sur les options d’assistance proposées par Apple sont disponibles dans le coffret de Final Cut Server. Plusieurs niveaux d’assistance sont proposés. Quelle que soit la nature de votre problème, il est conseillé de disposer des informations ci-dessous lorsque vous contactez l’assistance d’Apple. Plus vous disposez d’informations, plus les agents de l’assistance Apple sera en mesure de résoudre rapidement votre problème.  L’identifiant d’assistance de Final Cut Server figure sur la feuille du numéro de série incluse dans le coffret de Final Cut Server. Remarque : l’identifiant d’assistance à 11 chiffres est différent du numéro de série de produit utilisé pendant l’installation de Final Cut Server.  La version de Mac OS X 10.5 ou Mac OS X Server 10.5 installée (pour la retrouver, sélectionnez le menu Pomme > À propos de ce Mac).  La version de Final Cut Server installée pour laquelle vous avez une question (pour connaître la version de Final Cut Server sur votre ordinateur, choisissez Final Cut Server > À propos de Final Cut Server.  Le modèle d’ordinateur utilisé.  La capacité de RAM installée sur votre ordinateur (pour obtenir cette information, sélectionnez le menu Pomme > À propos de ce Mac).  Quels autres matériels tiers sont installés sur votre ordinateur ou branchés sur celui-ci, et qui est leur fabricant (cela comprend les disques durs, les cartes vidéo, etc.). Pour accéder à la page d’assistance AppleCare de Final Cut Server, rendez-vous à l’adresse suivante :  http://www.apple.com/fr/support/finalcutserver Dans chaque menu Aide du client Final Cut Server, un élément se trouve également pour vous diriger directement sur le site web d’AppleCare. Pour accéder au site web d’AppleCare à partir d’un client Final Cut Server : m Choisissez Help > Final Cut Server Support.I Partie I : Installation et configuration Cette partie du manuel contient les instructions nécessaires à l’installation et la configuration de Final Cut Server sur un système standard. Chapitre 1 Vue d’ensemble de Final Cut Server Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation Chapitre 3 Configuration des Préférences Système Chapitre 4 Ajout d’utilisateurs et de groupes Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant Chapitre 6 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation Chapitre 7 Sauvegarde de Final Cut Server Chapitre 8 Installation de clients Final Cut Server 1 13 1 Vue d’ensemble de Final Cut Server Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos des serveurs et des clients (p. 13)  Mise en place d’un système Final Cut Server (p. 15)  Stratégie en matière de périphériques de stockage (p. 16)  Tâches élémentaires d’administration de Final Cut Server (p. 18) Ce chapitre fournit une vue d’ensemble de Final Cut Server, y compris des renseignements sur les stratégies de stockage et sur les tâches d’administration élémentaires. À propos des serveurs et des clients Final Cut Server s’appuie sur un modèle client-serveur. Cela permet à plusieurs clients Final Cut Server d’accéder simultanément au catalogue de Final Cut Server qui contient tous les fichiers de données et toutes les informations sur les ressources et les productions que Final Cut Server gère. Les clients peuvent verrouiller et réserver les ressources utilisées dans les productions, regroupées en collections de ressources et de projets Final Cut Pro, empêchant ainsi les autres utilisateurs d’y apporter des modifications non prévues.14 Partie I Installation et configuration L’ordinateur serveur Final Cut Server doit fonctionner sous Mac OS X v10.5 ou Mac OS X Server v10.5 ou ultérieur. Cet ordinateur peut être utilisé pour stocker vos ressources et vos productions ou être branchés sur divers périphériques externes qui hébergent les ressources, comme des serveurs de données ou un volume Apple Xsan. Les clients Final Cut Server constituant une application Java, ces ordinateurs peuvent correspondre à de nombreux types. De plus, selon ce que l’utilisateur doit faire avec le client (par exemple, utiliser Final Cut Studio avec une connexion directe à un serveur Xsan, ou utiliser uniquement le client pour passer en revue des ressources), les ordinateurs clients ne doivent pas nécessairement être aussi puissants que l’ordinateur serveur. Vous pouvez installer les clients sous un système d’exploitation autre que Mac OS X ; les clients Final Cut Server sont en outre compatibles avec les systèmes d’exploitation Windows XP et Windows Vista. Il existe deux versions de Final Cut Server : l’une prend en charge jusqu’à dix clients connectés simultanément, l’autre prend en charge un nombre illimité de connexions clients simultanées. Pour le reste, ces deux versions de Final Cut Server restent identiques. Le présent manuel s’applique d’ailleurs aux deux versions. Périphérique FireWire Client 1 Client 2 Client 3 Client 4 Client 5 Périphérique du serveur multimédia Volume Xsan Système Final Cut Server Ordinateur Final Cut Server Les clients 1, 2 et 3 n’ont pas accès directement au volume Xsan et doivent y accéder de manière indirecte via Final Cut Server. Les clients 4 et 5 bénéficient d’un accès direct et peuvent profiter des améliorations des performances de la modification sur place.Chapitre 1 Vue d’ensemble de Final Cut Server 15 I Mise en place d’un système Final Cut Server Un système Final Cut Server requiert un ordinateur Macintosh, comme un Xserve à processeur Intel ou un ordinateur Mac Pro, sous Mac OS X v10.5 ou Mac OS X Server v10.5 ou ultérieur. En général, bien que Mac OS X 10.5 propose suffisamment d’outils d’administration pour les petits systèmes Final Cut Server, Mac OS X 10.5 Server est recommandé pour la plupart des configurations. Ce dernier possède en effet plus d’outils d’administration et répond mieux aux besoins généraux en matière de serveur. Pour optimiser les performances, l’ordinateur utilisé comme serveur ne doit pas servir à d’autres fins. La gestion de ressources, en particulier le transcodage de ressources et la création des fichiers proxy (copies en faible résolution des ressources d’origine), peut accaparer vos ressources informatiques. Vous pouvez toutefois utiliser l’ordinateur serveur pour d’autres tâches, comme les applications Final Cut Studio, le cas échéant. Gardez simplement à l’esprit que les performances de l’ordinateur sont affectées par toute activité liée à Final Cut Server. De plus, il peut s’avérer utile de configurer Spotlight pour lui laisser le soin des recherches dans les dossiers que vous utilisez comme périphériques : cela peut avoir un impact positif sur les performances. edit ProxiesC’est particulièrement vrai pour les périphériques Proxies et Modifier les proxys, qui peuvent être soumis à une utilisation intense, ce qui oblige Spotlight à consacrer beaucoup de temps à gérer toutes ces modifications. Vous pouvez utiliser la sous-fenêtre Spotlight des Préférences Système pour identifier les dossiers et les volumes destinés à un usage privé. Prévoyez l’accès à un espace de stockage conséquent pour les données que Final Cut Server gèrent. Vous pouvez utiliser les lecteurs internes et externes de l’ordinateur mais aussi opter pour des périphériques réseau et de formats de fichier parmi les nombreux pris en charge. Les studios plus importants peuvent faire appel à une zone de stockage réseau Apple Xsan (SAN) pour le stockage des ressources et des productions. Consultez la rubrique « Stratégie en matière de périphériques de stockage, » qui suit pour en savoir plus. Vous pouvez exploiter des clients Final Cut Server sur les ordinateurs et systèmes d’exploitation suivants :  Tout ordinateur sous Mac OS X 10.4 ou ultérieur.  Tout ordinateur sous Microsoft Windows XP ou Windows Vista. Consultez la première partie du présent manuel, « Installation et configuration, », pour en savoir plus sur l’installation et la configuration de votre système Final Cut Server. Consultez aussi le document Avant d’installer Final Cut Server, qui se trouve sur le disque d’installation de Final Cut Server, pour en savoir plus sur les ordinateurs et les systèmes d’exploitation pris en charge.16 Partie I Installation et configuration Stratégie en matière de périphériques de stockage Avant d’installer Final Cut Server, vous devez songer au mode de stockage de vos données. À propos des périphériques Final Cut Server utilise le terme de périphérique pour faire référence à des emplacements de stockage de données configurés pour l’utilisation par Final Cut Server. Il peut s’agir de dossiers sur le disque dur de démarrage de l’ordinateur, d’un second disque dur, d’un lecteur ou d’un volume connecté au réseau. En installant Final Cut Server, plusieurs périphériques par défaut sont créés. Une fois le programme d’installation terminé, vous pouvez aussi configurer d’autres périphériques. Il peut, par exemple, s’agir de dossiers existants sur des volumes qui contiennent déjà des données à inclure dans le catalogue de Final Cut Server. À l’aide de l’Assistant Réglages d’un périphérique, vous pouvez configurer l’analyse automatique permettant d’ajouter les données existantes d’un périphérique au catalogue de Final Cut Server. Il est bon de noter toutefois qu’utiliser des disques durs peut s’avérer plus efficace pour certains périphériques. Par exemple, lorsque vous téléchargez des ressources dans le catalogue, une série de fichiers proxy sont créés et placés dans le périphérique Proxies que le programme d’installation a créé. Si le périphérique Proxies se trouve sur un autre disque dur physique du périphérique sur lequel la ressource est stockée (et pas seulement sur une autre partition du même disque dur), le processus de transcodage des proxys est généralement plus efficace car un des disques durs peut se consacrer à la lecture de la ressource pendant qu’un autre à l’écriture du proxy (un même disque dur doit en fait alterner entre l’écriture et la lecture). À propos des systèmes RAID et des SAN Tandis que Final Cut Server peut utiliser une grande variété de volumes locaux et réseau, comme les périphériques pour le stockage et l’utilisation de vos données, quelques solutions de stockage fonctionnent particulièrement bien avec Final Cut Server. Un réseau redondant de disques indépendants, ou système RAID (de l’anglais « Redundant Array of Independent Disks »), peut présenter certains avantages :  Performances accrues : l’un des principaux facteurs limitatifs du transfert de fichiers de données en masse est la vitesse d’entrée/sortie du disque dur. En répartissant les données sur plusieurs disques durs, vous pouvez réduire l’impact de cette limitation.  Meilleure fiabilité : Les disques durs peuvent tomber en panne à tout moment. Les systèmes RAID peuvent être configurés de façon à assurer une certaine protection contre les pannes de disque dur rendant possible la récupération des données perdues en cas de panne.Chapitre 1 Vue d’ensemble de Final Cut Server 17 I Disposer d’un système RAID rapide et fiable branché directement sur le serveur Final Cut Server lui permet de bénéficier des performances du système RAID ; les clients Final Cut Server, pour leur part, continuent cependant à recevoir les données vidéo à travers un simple câble Ethernet. C’est dans un tel cas qu’un SAN peut s’avérer utile. Un réseau de stockage SAN (de l’anglais « Storage Area Network ») permet à plusieurs ordinateurs d’accéder à un périphérique de stockage comme s’il s’agissait d’un périphérique branché localement. Cela vous permet d’exploiter les données qui se trouvent sur le périphérique de stockage (généralement un système RAID) exactement comme si elles se trouvaient sur un disque dur local. Final Cut Server permet de configurer un périphérique de stockage faisant partie d’un réseau de stockage SAN comme un périphérique de montage à la volée. Les clients branchés sur les périphériques de montage à la volée peuvent accéder directement aux données du périphérique. Ils n’ont pas besoin de mettre en cache une copie locale d’une ressource pour pouvoir l’utiliser dans un projet Final Cut Pro. Cela peut s’avérer énormément avantageux lorsque l’on utilise des fichiers vidéo volumineux. Remarque : les périphériques connectés à un réseau de stockage SAN ne sont pas les seuls qui peuvent être configurés comme périphériques de montage à la volée. Ils correspondent cependant au type de périphériques le plus courant, répondant aux besoins en performances élevées. Apple dispose d’un ensemble de produits pouvant être configurés facilement pour offrir ces fonctionnalités. Parmi ceux-ci, l’on retrouve Xserve, Xserve RAID et Xsan. Consultez http://www.apple.com/fr/xserve/ pour en savoir plus. Consultez « Utilisation du programme d’installation de Final Cut Server » à la page 23 pour en savoir plus sur la création des périphériques par défaut à l’aide du programme d’installation de Final Cut Server, le chapitre 5, « Utilisation de Device Setup Assistant », à la page 63 pour obtenir des informations sur la création de périphériques à l’aide des Préférences Système de Final Cut Server et le chapitre 12, « Gestion des périphériques », à la page 171 pour effectuer cette création à travers la fenêtre Administration du client Final Cut Server.18 Partie I Installation et configuration Tâches élémentaires d’administration de Final Cut Server Un administrateur doit configurer une série de réglages dans Final Cut Server avant que le système ne puisse être utilisé. De plus, d’autres réglages sont à modifier si des utilisateurs, des ressources et des productions sont ajoutés à votre flux de production. Citons, par exemple, les réglages relatifs aux tâches suivantes :  Installation et configuration de Final Cut Server : consultez la première partie du pré- sent manuel, « Installation et configuration, », pour en savoir plus sur l’installation et la configuration de Final Cut Server.  Gestion des utilisateurs et des groupes : Final Cut Server peut gérer soit des utilisateurs et des groupes locaux, soit des groupes Open Directory Mac OS X pour valider les utilisateurs. La fenêtre Comptes de Préférences Système ou le Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server vous permettent indifféremment d’ajouter des utilisateurs et des groupes à l’ordinateur. Importez ensuite les groupes dans Final Cut Server en leur appliquant un ensemble d’autorisations qui convient à chacun d’eux pour définir leur niveau d’accès au catalogue Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 4, « Ajout d’utilisateurs et de groupes », à la page 49 et le chapitre 10, « Groupes et autorisations », à la page 129.  Gestion des périphériques : Final Cut Server s’appuie sur des périphériques pour stocker toutes les ressources et productions de son catalogue. Les périphériques peuvent correspondre à de simples dossiers se trouvant sur le disque dur interne de l’ordinateur ou provenir d’une série d’ordinateurs en réseau. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 12, « Gestion des périphériques », à la page 171.  Gestion des métadonnées et des ensembles de métadonnées : la possibilité d’utiliser des métadonnées pour vous aider à gérer une grande collection de ressources et de productions est une fonctionnalité très puissante de Final Cut Server. Vous avez la possibilité d’utiliser des formats de métadonnées par défaut, d’ajouter des champs personnalisés et de créer des groupes personnalisés de champs de métadonnées. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 11, « Gestion des métadonnées », à la page 141.  Gestion des comportements en matière de surveillance et de réponse : Final Cut Server comporte une série de fonctionnalités destinées à vous aider à automatiser vos flux de production. Parmi celles-ci, la configuration des dossiers surveillés vous permet de d’ajouter le contenu automatiquement au catalogue. Final Cut Server dispose aussi de fonctionnalités de programmation, d’abonnement et de réponse. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 14, « Gestion des automatisations », à la page 203.Chapitre 1 Vue d’ensemble de Final Cut Server 19 I L’on utilise quatre zones principales pour assurer l’administration d’un système Final Cut Server. Celle que vous devez utiliser dépend de ce qui est à modifier. Dans certains cas, vous pouvez effectuer la même tâche d’administration à travers plusieurs zones.  Sous-fenêtre Comptes des Préférences Système : si vous utilisez Final Cut Server sous Mac OS X 10.5 ou Mac OS X Server 10.5, vous pouvez utiliser les réglages utilisateur et de groupe que vous avez configurés.  Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server : si vous utilisez Final Cut Server sous Mac OS X Server 10.5, vous pouvez utiliser les réglages utilisateur et de groupe que vous avez configurés.  Préférences Système de Final Cut Server : ces fenêtres vous permettent de configurer les réglages de Final Cut Server les plus courants. Elles comportent aussi plusieurs Assistants réglages destinés à faciliter l’ajout de périphériques et leur automatisation.  Fenêtre Administration de Final Cut Server : cette fenêtre, accessible à partir d’un client Final Cut Server lorsque vous avez ouvert une session en tant qu’administrateur, comporte des réglages et des configurations très détaillés couvrant tous les aspects de Final Cut Server. Vous ne devez toutefois accéder à cette fenêtre que pour vos configurations les plus complexes. Consultez le chapitre 9, « Réglages généraux et préférences », à la page 111 pour en savoir plus sur l’utilisation de ces zones.2 21 2 Utilisation du programme d’installation Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos de l’installation et de la configuration de Final Cut Server (p. 21)  Utilisation du programme d’installation de Final Cut Server (p. 23)  À propos des profils personnalisés (p. 32)  À propos de Final Cut Server et Compressor (p. 34)  Mise à jour de votre licence (p. 38)  Enregistrement de Final Cut Server (p. 39) À propos de l’installation et de la configuration de Final Cut Server La première étape de l’implémentation complète de Final Cut Server consiste à utiliser le programme d’installation de Final Cut Server. Avant d’utiliser le programme d’installation de Final Cut Server, assurez-vous de vous être familiarisé avec la configuration requise de l’application. À ce propos, lisez la documentation Avant d’installer Final Cut Server qui figure sur le disque d’installation de Final Cut Server. Important : Final Cut Server ne peut s’installer que sur un système Mac OS X Server v10.5 ou Mac OS X v10.5. Remarque : le disque d’installation contient tous les fichiers nécessaires à l’installation de Final Cut Server sur un ordinateur Macintosh à processeur PowerPC ou à processeur Intel fonctionnant sous Mac OS X 10.5 ou sous Mac OS X Server 10.5. Le processus d’installation est le même sur les deux systèmes. Vous devez également vous être familiarisé avec tous les chapitres figurant dans cette partie (Partie I) du Guide de configuration et d’administration de Final Cut Server. De manière générale, vous devez installer et configurer Final Cut Server dans l’ordre suivant :22 Partie I Installation et configuration Étape 1 : Exécutez le programme d’installation Celui-ci installe Final Cut Server sur votre système. Il configure également Final Cut Server et l’adapte au profil sélectionné. Ces profils personnalisent l’installation de sorte que Final Cut Server inclut automatiquement les éléments les mieux adaptés aux besoins de votre flux de production et omet ceux qui ne sont pas nécessaires. Pour en savoir plus sur les profils personnalisés parmi lesquels choisir, consultez la rubrique « À propos des profils personnalisés » à la page 32. Important : assurez-vous du profil à utiliser avant de lancer le programme d’installation de Final Cut Server. Il est en effet impossible de modifier ce choix ultérieurement. Vous pouvez cependant effectuer des modifications et des ajouts manuellement dans l’application Final Cut Server une fois le programme d’installation terminé, ce qui vous permet de combiner des attributs issus des divers profils. Étape 2 : Configurez les Préférences Système Une fois le programme d’installation de Final Cut Server terminé, vous pouvez configurer les sous-fenêtres des Préférences Système de Final Cut Server. Celles-ci comprennent :  General : cette sous-fenêtre comporte plusieurs réglages généraux de Final Cut Server ;  Permissions : cette sous-fenêtre vous permet d’ajouter des groupes Mac OS X à Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 4, « Ajout d’utilisateurs et de groupes », à la page 49.  Devices : cette sous-fenêtre comporte un assistant automatisé pour vous aider tout au long du processus d’ajout de périphériques à votre système Final Cut Server. Ces périphériques comptent plusieurs systèmes de stockage de fichiers courants. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 12, « Gestion des périphériques », à la page 171.  Automations : cette sous-fenêtre comporte un assistant automatisé pour vous aider tout au long de configuration des dossiers de surveillance et des comportements de réponse. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 14, « Gestion des automatisations », à la page 203. Pour en savoir plus sur les réglages des Préférences Système de Final Cut Server, consultez le chapitre 3, « Configuration des Préférences Système », à la page 41. Étape 3 : Ajoutez des utilisateurs et des groupes Final Cut Server emploie des comptes d’utilisateur et de groupe à configurer dans la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système ou dans le Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server 10.5. Vous pouvez également affecter un ensemble d’autorisations à chaque groupe. La création de groupes d’utilisateur et l’application de divers ensembles d’autorisations permet de contrôler le niveau d’accès des utilisateurs. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 4, « Ajout d’utilisateurs et de groupes », à la page 49.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 23 I Étape 4 : Installez les clients Final Cut Server sur d’autres ordinateurs Une fois configuré les Préférences Système de Final Cut Server et ajouté des utilisateurs et des groupes, vous pouvez installer le logiciel client de Final Cut Server sur l’ordinateur des utilisateurs. Installez le client à travers une connexion réseau. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 8, « Installation de clients Final Cut Server », à la page 103. Utilisation du programme d’installation de Final Cut Server Pour installer Final Cut Server, insérez le disque d’installation de Final Cut Server dans l’ordinateur assurant le rôle de serveur Final Cut Server. Remarque : vous devez installer Final Cut Server directement sur l’ordinateur destiné à assurer les fonctions de serveur. Il est impossible d’installer l’application à distance sur un autre ordinateur. Important : le programme d’installation de Final Cut Server active les services web de l’ordinateur (lors de l’installation sous Mac OS X Server v10.5) ainsi que le partage web (dans le cas d’une installation sous Mac OS X v10.5), si ceux-ci ne sont pas encore activés. À propos du disque d’installation de Final Cut Server Le disque d’installation de Final Cut Server contient :  Avant d’installer Final Cut Server : ce document fournit la configuration requise et les opérations à effectuer avant d’installer Final Cut Server et le contenu l’accompagnant. Important : lisez ce document avant de lancer le processus d’installation pour vous assurer que votre système satisfait à la configuration minimale requise.  Programme d’installation de Final Cut Server : double-cliquez sur l’icône du programme d’installation de Final Cut Server pour lancer le processus d’installation.  Dossier Documentation : le dossier contient le Guide de configuration et d’administration de Final Cut Server (document au format PDF) et le Manuel de l’utilisateur Final Cut Server.24 Partie I Installation et configuration Avant d’installer Final Cut Server Avant d’installer Final Cut Server, vous devez vous assurer que vous disposez bien des dernières versions de Mac OS X 10.5 ou de Mac OS X Server 10.5 et de QuickTime installées. Important : même si vous achetez et installez Mac OS X 10.5 ou Mac OS X Server 10.5 pour utiliser Final Cut Server, lancez l’utilitaire Mise à jour de logiciels pour vous assurer que votre ordinateur possède bien la dernière version. Pour mettre à jour Mac OS X 10.5 ou Mac OS X Server 10.5 et QuickTime : 1 Choisissez le menu Pomme > Mise à jour de logiciels. Une zone de dialogue apparaît affichant les nouveaux logiciels ou ceux mis à jour disponibles pour votre ordinateur. 2 Suivez les instructions à l’écran pour installer les dernières mises à jour de Mac OS X 10.5 ou Mac OS X Server 10.5 et de QuickTime. Il est également conseillé d’installer et de mettre à jour Final Cut Studio et les autres applications si vous avez l’intention de les utiliser sur l’ordinateur faisant office de serveur Final Cut Server. Avez-vous mis à niveau votre ordinateur de Mac OS X Server 10.4 à Mac OS X Server 10.5 ? Lorsque vous mettez à niveau un ordinateur de Mac OS X Server 10.4 à Mac OS X Server 10.5, Apache ne l’est pas automatiquement. Vous pouvez vérifier sa version et le mettre à niveau manuellement, le cas échéant. Important : Apache 2.2 doit être installé sur un ordinateur sous Mac OS X Server 10.5 avant l’installation de Final Cut Server. Dans le cas contraire, vous ne serez pas en mesure d’installer de client Final Cut Server. Remarque : si vous installez Final Cut Server sous une version non-serveur de Mac OS X 10.5, vous pouvez passer cette rubrique.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 25 I Pour vérifier et mettre à niveau Apache sur un ordinateur Mac OS X Server 10.5 : 1 Ouvrez l’application Admin Serveur. 2 Cliquez sur le triangle d’affichage en regard du nom de l’ordinateur, examinez à gauche de la fenêtre si un élément intitulé Web est mentionné, puis effectuez l’une des opérations suivantes :  Si Web y est repris, passez à l’étape 4.  Si Web n’est pas répertorié, passez à l’étape suivante. 3 Pour que l’élément Web apparaisse, cliquez sur l’icône Réglages, ouvrez la sous-fenêtre Services, puis sélectionnez l’élément Web. Cliquez sur l’icône Réglages. Cliquez sur Services pour accéder à la sous-fenêtre du même nom. Sélectionnez Web pour configurer les services web.26 Partie I Installation et configuration L’élément Web apparaît sur le côté gauche de la fenêtre. 4 Sélectionnez l’élément Web, puis cliquez sur l’icône Vue d’ensemble. La version d’Apache apparaît dans la liste. S’il s’agit de la version 1.3, vous devez dans ce cas la mettre à niveau en cliquant sur le bouton « Mettre à niveau la version d’Apache ». S’il s’agit de la version 2.2, vous pouvez procéder à l’installation de Final Cut Server. Démarrage du programme d’installation de Final Cut Server En installant Final Cut Server, le système se configure en fonction du profil personnalisé choisi. Important : reportez-vous au document Avant d’installer Final Cut Server accessible depuis le disque d’installation de Final Cut Server pour obtenir une liste reprenant la configuration minimale requise pour Final Cut Server. Remarque : avant de pouvoir installer le logiciel, vous devez ouvrir une session sur votre ordinateur sous un compte administrateur de l’ordinateur, en utilisant son mot de passe. Pour en savoir plus, consultez l’Aide Mac. Important : ne supprimez pas le compte de l’administrateur permettant d’installer Final Cut Server depuis le serveur. Final Cut Server a besoin de ce compte pour fonctionner sur l’ordinateur. Pour limiter les risques que ce compte soit supprimé (par exemple, en cas de changement parmi le personnel), vous pouvez créer un compte utilisateur local dédié possédant des privilèges d’administration pour installer Final Cut Server. Cliquez sur Web pour configurer les réglages du service web. Vérifiez la version Apache. Il doit s’agir de la version 2.2. Cliquez sur « Mettre à niveau la version d’Apache » si vous utilisez actuellement la version 1.3. Cliquez sur l’icône Vue d’ensemble.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 27 I Pour saisir le numéro de série et installer Final Cut Server : 1 Insérez le disque d’installation de Final Cut Server dans le lecteur DVD de votre ordinateur. 2 Double-cliquez sur l’icône « Install Final Cut Server », puis suivez les instructions à l’écran. 3 Le programme d’installation effectue une vérification de la configuration requise pour déterminer si Final Cut Server peut être installé. Cliquez sur Continue. 4 Lisez le texte de bienvenue, puis cliquez sur Continue. 5 Lisez le Contrat de licence de logiciel, cliquez sur Continue, puis, si vous acceptez, cliquez sur Agree. 6 Sélectionnez le disque de démarrage, puis cliquez sur Continue. 7 Dans la sous-fenêtre User Information, saisissez vos prénom et nom. La saisie du nom de l’entreprise est facultative. 8 Dans le champ Serial number, saisissez le numéro de série de Final Cut Server imprimé sur l’étiquette du numéro de série du logiciel, collée sur la feuille de numéro de série incluse dans le coffret de Final Cut Server, puis cliquez sur Continue. Les astuces pour saisir correctement votre numéro de série sont les suivantes :  assurez-vous d’avoir copié le numéro de série d’origine qui se situe sur la feuille de numéro de série ;  vérifiez que vous avez effectivement saisi le numéro de série logiciel et non l’identifiant d’assistance ;  contrôlez la saisie des caractères, par exemple, un zéro et non pas la lettre « O » ou un 1 et non pas la lettre « L » minuscule ;  n’oubliez pas les traits d’union dans le numéro de série ;  n’ajoutez pas d’espaces avant et après le numéro de série ;  vérifiez que vous avez saisi le numéro de série correctement.28 Partie I Installation et configuration Important : après trois tentatives de saisie infructueuses, le programme quitte l’installation. Pour recommencer le processus d’installation, retournez à l’étape 2. La sous-fenêtre Customer Profile Selection s’ouvre. 9 Sélectionnez l’un des profils personnalisés, puis cliquez sur Continue. Pour en savoir plus sur les profils personnalisés, consultez la rubrique « À propos des profils personnalisés » à la page 32. La sous-fenêtre Settings for Profile s’ouvre.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 29 I 10 Saisissez les informations suivantes, puis cliquez sur Continue.  Proxy Media Location : emplacement de stockage des fichiers proxy créés pour les ressources de données. Les fichiers proxy étant moins volumineux que les fichiers de données d’origine, cet emplacement contient les fichiers proxy de tous les périphériques. Assurez-vous que l’emplacement choisi dispose d’un espace disque suffisant. Important : il est fortement recommandé de ne pas choisir un emplacement sur le disque de démarrage du serveur. Les périphériques générés par ce réglage et l’emplacement des données de production contiennent des fichiers multimédia volumineux et peuvent occuper tout l’espace disponible sur leur disque dur, ce qui peut présenter de sérieux problèmes si le disque dur fait également office de disque de démarrage. Pour en savoir plus sur le choix des emplacements pour ces réglages, consultez la rubrique « Stratégie en matière de périphériques de stockage » à la page 16.  Production Media Location : emplacement de stockage de vos données de production. Il peut s’agir d’un dossier sur cet ordinateur ou un périphérique en réseau, tel qu’un Xsan ou un Xserve RAID. Le programme d’installation crée les périphériques suivants d’après cet emplacement : Library, Watchers, Media, Edit Proxies et Version. Remarque : vous pouvez créer les emplacements de proxy et de données de production au même endroit, si cela vous semble plus adapté à votre cas. N’oubliez pas que l’emplacement des données de production peut nécessiter un espace disque consé- quent. Vous pouvez dans ce cas ajouter des emplacements pour le stockage des données, une fois le programme d’installation terminé. Important : il est difficile de modifier les emplacements de proxy et de données de production ultérieurement.  Outgoing Mail Server (SMTP) : adresse du serveur de messagerie électronique sortante. Vous pouvez la modifier dans les Préférences Système de Final Cut Server ultérieurement. Remarque : si aucune adresse n’est saisie, le réglage par défaut « localhost » s’applique, lequel peut être précisé également si l’ordinateur fonctionne sous Mac OS X Server v10.5. Il est alors configuré en tant que serveur de messagerie électronique SMTP.  Enable Version Control : case indiquant à Final Cut Server d’activer automatiquement le suivi des versions de ressources et de projets Final Cut Pro téléchargés dans le catalogue Final Cut Server. Important : ce réglage ne s’applique pas aux ressources et aux projets Final Cut Pro ajoutés au catalogue par une réponse par analyse créée à l’aide des Préférences Système de Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des réponses par analyse » à la page 210. Pour en savoir plus sur la configuration d’un périphérique Version, consultez la rubrique « Configuration du périphérique Version » à la page 178.30 Partie I Installation et configuration  Enable Edit Proxies : indique à Final Cut Server de générer automatiquement des fichiers proxy Apple ProRes 422 (en plus des fichiers proxy habituels stockés à l’emplacement des données de proxy), chaque fois qu’un projet Final Cut Pro est ajouté en tant que ressource. En raison de la taille potentiellement importante de ces fichiers, les fichiers du codec Apple ProRes 422 sont stockés sur un périphérique particulier intitulé Edit Proxies à l’emplacement des données de production. Le codec Apple ProRes 422 permettant d’atteindre des fichiers de taille fortement réduite tout en gardant une qualité proche de celle des données d’origine, cette option s’avère très pratique lorsque vous manipulez des projets Final Cut Pro comportant du contenu HD ou SD non compressé. Vous pouvez modifier ce réglage dans la sous-fenêtre Préférences de la fenêtre Administration du client Final Cut Pro. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réglages des préférences Proxys » à la page 121.  Catalog Media device automatically : case permettant à Final Cut Server de configurer et d’activer automatiquement une programmation prévoyant une analyse complète et différentielle du périphérique Media. Dans le cas contraire, la programmation et les réponses ne sont pas créées. Vous pouvez cependant passer par l’Assistant réglages de périphérique dans les Préférences Système de Final Cut Server ou la fenêtre Administration du client Final Cut Pro pour créer ces automatisations. Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’Assistant réglages de périphérique, reportez-vous à la rubrique « Modification d’un périphérique » à la page 77. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la fenêtre Administration, consultez le chapitre 14, « Gestion des automatisations », à la page 203. Important : assurez-vous de ne pas cocher cette case si vous installez Final Cut Server dans le cadre d’un processus de récupération où vous rétablirez le système à partir d’une copie de sauvegarde. Cela empêche en effet l’automatisation de tenter l’analyse d’un périphérique Media vide, ce qui peut entraîner des erreurs avec les proxys et le catalogue de Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 7, « Sauvegarde de Final Cut Server », à la page 95. La sous-fenêtre Standard Install apparaît.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 31 I 11 Effectuez l’une des opérations ci-dessous.  Cliquez sur Install ou Upgrade. Cette opération installe automatiquement Final Cut Server sur le disque de démarrage de l’ordinateur. Important : l’option de mise à niveau reste visible sur les ordinateurs qui n’ont pas installé une version précédente de Final Cut Server. Cela est normal et se produit lorsque le programme d’installation détecte sur votre système au moins un fichier commun à l’un de ceux qu’il installe.  Cliquez sur Change Install Location. Une sous-fenêtre vous permet alors de choisir le volume sur lequel installer Final Cut Server. Ce volume doit correspondre au disque de démarrage de l’ordinateur. 12 La zone de dialogue qui apparaît vous demande ensuite de vous authentifier en saisissant vos nom et mot de passe. Une fois terminé, cliquez sur OK. Le programme d’installation affiche une barre de progression du processus. Un fois l’installation terminée, une sous-fenêtre confirme la fin du processus. 32 Partie I Installation et configuration 13 Cliquez sur Close pour quitter le programme d’installation. Vous pouvez alors passer à la configuration des Préférences Système de Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 3, « Configuration des Préférences Système », à la page 41. À propos des profils personnalisés Pendant le processus d’installation, vous devez sélectionner un profil personnalisé qui répond au mieux à l’utilisation que vous comptez faire de Final Cut Server. Ces profils personnalisés sont destinés a personnaliser votre installation de Final Cut Server en ajoutant des éléments qui vous seront probablement nécessaires (ensembles de métadonnées, ensembles d’autorisations et automatisations) et en éliminant ceux dont vous n’aurez pas besoin. Important : il est impossible de sélectionner un autre profil ultérieurement. Cependant, une fois l’installation terminée, vous pouvez personnaliser Final Cut Server manuellement afin qu’il comporte d’autres réglages dont vous avez spécifiquement besoin. Vous trouverez ci-dessous une liste des cinq profils personnalisés parmi lesquels choisir, ainsi qu’une liste des ensembles de métadonnées de production utilisés par chacun d’eux (pour en savoir plus sur les ensembles de métadonnées de production, consultez la rubrique « À propos des ensembles de métadonnées de production, ») :  Television Station : ce profil concerne la vidéo et les images. Il fournit des outils pour le transcodage de format, le passage en revue et l’approbation, la livraison et le catalogage de contenu. Le profil Television Station utilise les ensembles de métadonnées de production Show, Promotion, Commercial, et Package.  Video Production : ce profil concerne la vidéo. Il propose la création de ressources, le passage en revue et l’approbation, l’intégration d’applications, le catalogage de contenu et l’archivage. Le profil personnalisé Video Production exploite les ensembles de métadonnées de production Show et Package.  Film Post Production : ce profil concerne les séquences d’images et vidéo. Il apporte des moyens pour la création de ressources, la création de productions, l’intégration d’applications, le passage en revue et l’approbation, la conversion de séquences d’images et le catalogage de contenu. Le profil personnalisé Film Post Production utilise les ensembles de métadonnées de production Trailer et Package.  Education : ce profil concerne la vidéo. Il apporte des moyens pour la création de ressources, la création de productions, l’intégration d’applications, le passage en revue et l’approbation (c’est-à-dire l’évaluation), la conversion de séquences d’images, l’archivage, la déconnexion de fichiers et le catalogage de contenu. Le profil personnalisé Education exploite les ensembles de métadonnées de production Commercial et Package.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 33 I  Autre : ce profil concerne le catalogage général. Il propose des outils pour la création de ressources, la création de productions et l’intégration d’applications. Le profil personnalisé Other exploite les ensembles de métadonnées de production Article, Commercial et Package. À propos des ensembles de métadonnées de production La principale différence entre les profils personnalisés réside dans les ensembles de métadonnées de production qu’ils proposent. Tous les autres aspects, tels que les périphériques, les automatisations, les ensembles d’autorisations et les ensembles de métadonnées des ressources sont identiques. Le programme d’installation peut créer six ensembles de métadonnées de production. Chaque ensemble de métadonnées de production se compose d’un ou de plusieurs groupes de métadonnées. Tous les groupes de métadonnées sont installés sur tous les systèmes Final Cut Server, quel que soit le profil personnalisé choisi. Cela signifie que vous pouvez créer facilement l’un de ces ensembles de production et leur ajouter des groupes de métadonnées appropriés. En outre, vous pouvez créer le cas échéant vos propres groupes et ensembles de métadonnées de production personnalisés. Pour en savoir plus sur la création d’ensembles de métadonnées, consultez la rubrique « Gestion des ensembles de métadonnées » à la page 161. Remarque : le nom des groupes de métadonnées est souvent repris. Assurez-vous de reprendre correctement l’identifiant du groupe de métadonnées (par exemple, PA_GRP_CUST_PRODUCTION_RIGHTS) pour pouvoir utiliser le bon nom du groupe de métadonnées et faire correspondre correctement l’un de ces ensembles de métadonnées. Ensemble de métadonnées de production Package Cet ensemble de métadonnées de production est proposé dans les cinq profils personnalisés. Il comporte deux groupes de métadonnées :  Production (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_PACKAGE)  Rights (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_RIGHTS) Ensemble de métadonnées de production Show Cet ensemble est proposé dans les profils personnalisés Television Station et Video Production. Il comporte deux groupes de métadonnées :  Show (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_SHOW)  Rights (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_RIGHTS) Ensemble de métadonnées de production Promotion L’ensemble de métadonnées de production Promotion est proposé uniquement par le profil personnalisé Television Station. Il comporte deux groupes de métadonnées :  Promotion (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_PROMOTION)  Rights (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_RIGHTS)34 Partie I Installation et configuration Ensemble de métadonnées de production Commercial Cet ensemble est utilisé par les profils personnalisés Television Station, Education et Other. Il comprend un seul groupe de métadonnées, à savoir :  Commercial (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_COMMERCIAL) Ensemble de métadonnées de production Trailer L’ensemble de métadonnées de production Trailer est proposé uniquement par le profil personnalisé Film Post Production. Il comporte deux groupes de métadonnées :  Trailer (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_TRAILER)  Rights (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_RIGHTS) Ensemble de métadonnées de production Article L’ensemble de métadonnées de production Article est proposé uniquement par le profil personnalisé Other. Il comprend un seul groupe de métadonnées, à savoir :  Article (PA_GRP_CUST_PRODUCTION_ARTICLE) À propos de Final Cut Server et Compressor Final Cut Server dépend de Compressor pour la plupart de ses besoins de transcodage. Ceux-ci comprennent des tâches évidentes comme la conversion d’un fichier de données dans un format de taille réduite plus facile à passer en revue. Cependant, l’on retrouve également un ensemble de tâches qui se déroulent en arrière-plan, telles que la création de fichiers proxy de plans utilisés pour prévisualiser une ressource. Pour cette raison, il est essentiel de vérifier que Final Cut Server et Compressor sont configurés pour fonctionner de concert de manière efficace et fiable. Le programme d’installation de Final Cut Server se charge d’installer Final Cut Server, Compressor et Apple Qmaster sur l’ordinateur. Une fois l’installation terminée, vous pouvez envisager l’utilisation de Final Cut Server avec Compressor de deux manières :  Utiliser la grappe de serveurs This Computer : Compressor crée une grappe de serveurs intitulée This Computer, lors de son installation, qui devient la grappe de serveurs par défaut que Final Cut Server utilise. Celle-ci s’avère suffisante pour certaines installations mais elle présente plusieurs inconvénients. Pour en savoir plus, consultez la rubrique suivante intitulée « À propos de la grappe de serveurs This Computer, ».  Créer un QuickCluster propre à Final Cut Server : cette méthode requiert l’utilisation de la sous-fenêtre Préférences Système d’Apple Qmaster afin de créer un QuickCluster personnalisé. Employée au cours de la configuration initiale de votre système Final Cut Server, cette méthode réduit ensuite les risques ultérieurs de problèmes inattendus. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos de la création d’un QuickCluster personnalisé » à la page 36.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 35 I À propos de la grappe de serveurs This Computer Final Cut Server utilise par défaut la grappe de serveurs This Computer créée lors de l’installation de Compressor. Vous devez connaître les problèmes inhérents à l’utilisation de cette grappe de serveurs.  Problèmes d’autorisation : Final Cut Server mémorise et utilise le nom de l’utilisateur dont la session est ouverte, au moment de son installation. Pour cette raison, il est vivement recommandé de créer un compte utilisateur local dédié qui possède des autorisations d’administration afin d’utiliser ce compte lorsque vous installez Final Cut Server. Cela réduit les risques que ce compte soit supprimé lors d’un changement de personnel ultérieurement. Cette grappe de serveurs fonctionne sous l’identité de l’utilisateur dont la session est ouverte sur l’ordinateur. Il se peut par conséquent que Final Cut Server et Compressor n’aient pas les mêmes autorisations d’accès à un dossier ou à un fichier, ce qui peut entraîner des problèmes, tels que l’impossibilité pour Compressor d’accéder à un fichier nécessaire à Final Cut Server pour le transcodage. Si vous comptez utiliser la grappe de serveurs This Computer avec Final Cut Server, il est conseillé de toujours ouvrir une session sur l’ordinateur serveur sous le compte utilisé lors de l’installation de Final Cut Server.  La grappe de serveurs This Computer requiert que vous ouvriez une session : la grappe de serveurs This Computer fonctionnant sous l’identité de l’utilisateur dont la session est ouverte, l’application ne peut pas s’exécuter tant qu’un utilisateur n’ouvre pas une session. En d’autres termes, si votre serveur est redémarré, par exemple après une coupure de courant, Final Cut Server ne peut pas exploiter Compressor. Si vous créez un QuickCluster personnalisé, comme il est décrit plus loin dans cette rubrique, cette grappe de serveurs reprend le nom de l’utilisateur qui l’a créée. Cela signifie que la grappe reste exploitable même si aucun utilisateur n’a ouvert de session sur l’ordinateur.  Le nom This Computer peut prêter à confusion : vous devez en fait choisir la grappe de serveurs à utiliser avec Final Cut Server dans la sous-fenêtre Préférences Compressor de la fenêtre Administration du client. Le nom de cette grappe de serveurs est toujours This Computer, quel que soit l’ordinateur utilisé pour sélectionner la grappe de serveurs. Elle fait donc toujours référence à l’ordinateur sur lequel est installé Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réglages des préférences de Compressor » à la page 121.36 Partie I Installation et configuration À propos de la création d’un QuickCluster personnalisé La création d’un QuickCluster personnalisé dans Apple Qmaster évite les problèmes rencontrés avec la grappe de serveurs This Computer. Pour créer un QuickCluster, ouvrez la sous-fenêtre Apple Qmaster des Préférences Système, une fois l’installation de Final Cut Server terminée. Important : installez Final Cut Server avant de poursuivre cette procédure. Remarque : les étapes suivantes décrivent une procédure simple permettant la configuration d’une grappe de serveurs à utiliser avec Final Cut Server. Vous pouvez créer des grappes de serveurs bien plus complexes, prévoyant la protection par mot de passe ou faisant appel à d’autres fonctionnalités. Pour en savoir plus, consultez le document Configuration du traitement distribué, accessible depuis le menu Aide de Compressor. Pour créer un QuickCluster personnalisé : 1 Ouvrez une session sur le serveur à travers le compte utilisateur ayant servi à installer Final Cut Server. Important : pour la création de ce QuickCluster, vous devez posséder les mêmes autorisations que celles attribuées à Final Cut Server. Il est par conséquent essentiel d’ouvrir une session à l’aide du compte utilisateur ayant servi à installer Final Cut Server. 2 Ouvrez les Préférences Système, puis cliquez sur l’icône Apple Qmaster dans la section Autre située en bas de la fenêtre. La sous-fenêtre Préférences Système de Apple Qmaster s’ouvre alors. Cochez les cases souhaitées de la colonne Géré. Saisissez un nom pour ce QuickCluster le cas échéant. Cliquez sur Démarrer le partage afin de mettre à disposition de Final Cut Server ce QuickCluster.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 37 I 3 Pour vous assurer que les services de la grappe de serveurs seront utilisés uniquement par cet ordinateur, cochez les cases de la colonne Managed correspondant à Compressor et à Rendering. 4 Saisissez le nom à utiliser par cette grappe de serveurs dans le champ « Identify this QuickCluster as ». Il s’agit du nom qui apparaît dans la sous-fenêtre Préférences Compressor de la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Le nom par défaut correspond au nom de votre ordinateur indiqué dans la sous-fenêtre Partage des Préférences Système. 5 Cliquez sur Start Sharing. Le QuickCluster personnalisé est désormais disponible dans la sous-fenêtre Préférences Compressor de la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Vous pouvez maintenant indiquer à Final Cut Server que ce QuickCluster est celui à utiliser. Important : ce QuickCluster utilisant par défaut les autorisations de l’utilisateur qui l’a configuré, il reconfigure les autorisations de tout utilisateur qui démarre manuellement le QuickCluster ultérieurement pour adopter celles-ci. Si vous êtes amené à redé- marrer ce QuickCluster, vous devez ouvrir une session sous le compte utilisateur ayant servi à installer Final Cut Server. Pour sélectionnez le QuickCluster personnalisé dans Final Cut Server : 1 Sur un client Final Cut Server, sélectionnez Administration dans le menu local Server (le menu local de la fenêtre principale de Final Cut Server qui apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Server) pour ouvrir la fenêtre Administration. Important : vous devez ouvrir au préalable une session en tant qu’utilisateur possé- dant des autorisations administrateur pour que l’élément Administration apparaisse dans le menu local Server. 2 Cliquez sur Preferences dans la colonne de gauche pour ouvrir la sous-fenêtre du même nom. 3 Cliquez sur Compressor pour ouvrir la sous-fenêtre Compressor. 4 Sélectionnez le nouveau QuickCluster dans le menu local Compressor Cluster Name. 5 Cliquez sur le bouton Save pour enregistrer les modifications. Pour en savoir plus sur le réglage des préférences de Final Cut Server, consultez la rubrique « Réglages de préférences dans la fenêtre Administration du client Final Cut Server » à la page 119. Sélectionnez le nouveau QuickCluster dans le menu local.38 Partie I Installation et configuration Mise à jour de votre licence Il existe deux versions de Final Cut Server : l’une prenant en charge jusqu’à 10 clients, l’autre, un nombre illimité de clients. Il se peut que vous soyez amené à passer d’une version à l’autre pour modifier votre système, si votre cas a connu des changements. Par exemple, si vous avez tout d’abord installé la version autorisant jusqu’à 10 clients, vous pouvez effectuer ultérieurement la mise à jour à la version de licence illimitée en achetant la mise à niveau appropriée et en saisissant le nouveau numéro de série fourni avec celle-ci. La mise à jour de votre licence Final Cut Server s’effectue à travers les Préférences Système de Final Cut Server sans passer par le disque d’installation de Final Cut Server ou le programme d’installation. Pour mettre à jour votre licence Final Cut Server : 1 Ouvrez les Préférences Système sur l’ordinateur où Final Cut Server est installé. 2 Cliquez sur l’élément Final Cut Server dans la section Autre. La sous-fenêtre Préférences Système de Final Cut Server s’ouvre alors. 3 Sélectionnez la sous-fenêtre General (le cas échéant). 4 Cliquez sur le cadenas dans le coin inférieur gauche et authentifiez-vous. 5 Cliquez sur le bouton Update License. La sous-fenêtre qui apparaît vous permet de saisir votre nom, la désignation de votre entreprise et le nouveau numéro de série. 6 Saisissez ces renseignements, puis cliquez sur OK. Vous devez cliquer sur le cadenas et vous authentifier pour effectuer des modifications dans l’une ou l’autre de ces sous-fenêtres. Cliquez sur Update License pour saisir le nouveau numéro de série.Chapitre 2 Utilisation du programme d’installation 39 I Enregistrement de Final Cut Server Après avoir installé Final Cut Server, vous devez l’enregistrer. L’opération d’enregistrement de Final Cut Server s’effectue à l’aide des Préférences Système de Final Cut Server. Pour enregistrer votre installation Final Cut Server : 1 Ouvrez les Préférences Système sur l’ordinateur où Final Cut Server est installé. 2 Cliquez sur Final Cut Server dans la section Autre. La sous-fenêtre Préférences Système de Final Cut Server s’ouvre alors. 3 Sélectionnez la sous-fenêtre General (le cas échéant). 4 Cliquez sur le cadenas dans le coin inférieur gauche et authentifiez-vous. 5 Cliquer sur le bouton Registrer. La zone de dialogue d’enregistrement s’ouvre. 6 Saisissez votre nom, la dénomination de votre entreprise, son adresse et vos données de messagerie électronique. Par défaut, les renseignements de votre fiche personnelle figurant dans votre carnet d’adresses sont saisis automatiquement dans les champs appropriés. 7 Cochez la case si vous désirez recevoir les nouveautés Apple et que les mises à jour de logiciels soient envoyées à votre compte de messagerie. 8 Si vous souhaitez revoir le contrat de confidentialité Apple, cliquez sur Privacy Policy. 9 Une fois terminé, cliquez sur Register now. Final Cut Server est désormais enregistré. Vous devez cliquer sur le cadenas et vous authentifier pour effectuer des modifications dans l’une ou l’autre de ces sous-fenêtres. Cliquez sur Register pour ouvrir la zone de dialogue d’enregistrement.3 41 3 Configuration des Préférences Système Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Introduction aux Préférences Système de Final Cut Server (p. 41)  Réglages de la sous-fenêtre General (p. 42)  Réglages de la sous-fenêtre Group Permissions (p. 44)  Réglages de la sous-fenêtre Devices (p. 45)  Réglages de la sous-fenêtre Automations (p. 46)  Réglages de la sous-fenêtre Backup (p. 47) Après avoir installé Final Cut Server, vous pouvez configurer les Préférences Système de Final Cut Server. Introduction aux Préférences Système de Final Cut Server Après avoir installé Final Cut Server, un élément Final Cut Server est ajouté à la section Other des Préférences Système. En cliquant sur l’élément, la sous-fenêtre General (ou la sous-fenêtre que vous avez sélectionnée la dernière fois) des Préférences Système Final Cut Server s’ouvre. Cliquez sur le cadenas pour vous authentifier et effectuer des modifications dans l’une ou l’autre de ces sous-fenêtres. Cliquez sur le point d’interrogation pour afficher la version PDF de ce manuel. Cliquez sur l’un de ces boutons pour sélectionner la sousfenêtre à configurer.42 Partie I Installation et configuration La partie supérieure de la sous-fenêtre comprend des boutons pour sélectionner la sous-fenêtre à configurer de Final Cut Server. Le point d’interrogation dans l’angle inférieur droit de la fenêtre permet d’ouvrir le manuel au format PDF. Le cadenas dans l’angle inférieur gauche permet de vous authentifier. Vous devez vous identifier pour pouvoir modifier les réglages de Final Cut Server. Le programme d’installation de Final Cut Server applique à ces sous-fenêtres les réglages par défaut. Vérifiez ces réglages avant d’ouvrir tout client Final Cut Server. Réglages de la sous-fenêtre General La sous-fenêtre General comporte des réglages élémentaires de Final Cut Server. Remarque : la plupart de ces réglages se retrouvent dans la fenêtre Administration du client. La seule différence concerne les boutons Stop/Start, Update License et Register.Chapitre 3 Configuration des Préférences Système 43 I Les réglages de la sous-fenêtre General sont les suivants :  Bouton Stop/Start : le bouton Stop permet d’interrompre les services de Final Cut Server. Son intitulé se transforme en Start pour que vous puissiez lancer les services de Final Cut Server. Remarque : vous ne pouvez apporter aucune modification à Final Cut Server quand ces services sont interrompus.  Image Sequence Video Frame Rate : fréquence d’images à employer avec des séquences d’images fixes.  Outgoing Mail Server (SMTP) : nom du serveur SMTP sortant utilisé pour envoyer les courriers électroniques. Ce réglage est également configuré au cours du processus d’installation de Final Cut Server. si vous n’avez rempli ce champ lors de l’installation, le réglage par défaut « localhost » s’applique, lequel peut être précisé également si l’ordinateur fonctionne sous Mac OS X Server v10.5. Il est alors configuré en tant que serveur de messagerie électronique SMTP. Final Cut Server peut être configuré de façon à envoyer des notifications sous forme de courrier électronique pour diverses raisons, telles que la disponibilité d’un ensemble de ressources pour leur passage en revue. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des réponses par courrier électronique » à la page 220.  Maximum Running Jobs : nombre maximal de tâches pouvant s’exécuter simultanément sur Final Cut Server. La plupart des équipements limiteront ce réglage à 20 tâches.  Retry Count : nombre de tentatives de relance d’une tâche échouée.  Retry Timeout : durée, exprimée en secondes, avant un nouvel essai.  Create Support Profile : en cas de besoin d’assistance, AppleCare peut vous demander des informations sur votre ordinateur et sur la configuration spécifique de cette application. Cliquez sur le bouton Create Support Profile pour créer un fichier contenant les informations nécessaires, que vous pouvez envoyer par courrier électronique à AppleCare. Remarque : cette fonction n’est en général pas nécessaire, sauf en cas de demande expresse de la part d’un représentant AppleCare.  Update License : permet de mettre à jour les informations de la licence Final Cut Server, saisies lors de l’installation de départ. Par exemple, si vous faites l’acquisition d’une licence client illimitée, cliquez sur ce bouton pour taper le nouveau numéro de série.  Register : permet de saisir les informations d’enregistrement.44 Partie I Installation et configuration Réglages de la sous-fenêtre Group Permissions La sous-fenêtre Group Permissions permet de sélectionner les groupes Mac OS X pouvant accéder à Final Cut Server. En outre, vous pouvez affecter des ensembles d’autorisations à chaque groupe pour contrôler leur accès aux différents modules de Final Cut Server. Par défaut, le groupe « admin » est ajouté avec l’ensemble d’autorisations « admin » associé par défaut. Si vous avez déjà configuré des groupes locaux depuis la sous-fenê- tre Comptes des Préférences Système ou depuis le Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server 10.5, ou encore si ce serveur se trouve sur un réseau Open Directory, vous pouvez ajouter des groupes et affecter des ensembles d’autorisations. Consultez le chapitre 4, « Ajout d’utilisateurs et de groupes », à la page 49 pour en savoir plus sur la gestion des utilisateurs et des groupes Final Cut Server. Pour ajouter un groupe et lui affecter un ensemble d’autorisations : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). Remarque : le cas échéant, cliquez sur le cadenas, puis authentifiez-vous au préalable. Une liste de groupes s’affiche. 2 Sélectionnez le groupe à ajouter. Le nouveau groupe apparaît dans la liste de la sous-fenêtre Group Permissions.Chapitre 3 Configuration des Préférences Système 45 I 3 Cliquez sur la zone Permission Set en regard du nom du groupe, puis sélectionnez un ensemble d’autorisations à affecter au groupe. Pour en savoir plus sur les ensembles d’autorisations créés par le programme d’installation pour le profil personnalisé sélectionné, consultez la rubrique « À propos des profils personnalisés » à la page 32. Pour en savoir plus sur l’utilisation du Gestionnaire de groupe de travail et sur la création d’ensembles d’autorisations, consultez le chapitre 4, « Ajout d’utilisateurs et de groupes », à la page 49. Réglages de la sous-fenêtre Devices Les périphériques sont des emplacements de stockage où Final Cut Server peut interagir avec les ressources et les productions. Au moment de l’installation de Final Cut Server, vous avez saisi l’emplacement des données de production. Par défaut, Final Cut Server crée trois périphériques à cet emplacement : Library, Watchers et Media. La sous-fenêtre Devices des Préférences Système comprend un Assistant réglages de périphérique permettant de modifier ces périphériques par défaut ou d’en ajouter. Pour en savoir plus sur l’ajout et la gestion d’autres périphériques, consultez le chapitre 5, « Utilisation de Device Setup Assistant », à la page 63.46 Partie I Installation et configuration Réglages de la sous-fenêtre Automations La sous-fenêtre Automations permet de créer, de modifier et d’activer des dispositifs de surveillance et des abonnements.  Les dispositifs de surveillance (Watchers) sont des éléments de Final Cut Server que vous pouvez configurer de façon à contrôler un périphérique. Lorsqu’un événement contrôlé par le dispositif de surveillance se produit, par exemple l’ajout d’un fichier multimédia au périphérique ou sa suppression de ce dernier, le dispositif exécute une réponse, telle que la copie du fichier multimédia à un autre endroit ou l’envoi d’un courrier électronique.  Les abonnements (Subscriptions) sont des éléments de Final Cut Server que vous pouvez configurer pour contrôler les modifications apportées aux métadonnées. Lorsqu’un événement surveillé par l’abonnement se produit, par exemple le passage de l’état actif d’une ressource à Ready for Review, l’abonnement exécute une réponse, telle que l’envoi d’un courrier électronique au réviseur. Vous pouvez configurer deux types d’automatisations à l’aide de la sous-fenêtre Automation de l’Assistant réglages d’automatisation : un dispositif de surveillance de système de fichiers qui réagit à tout changement de fichier à un emplacement spécifié et un abonnement de métadonnées qui réagit à tout changement de métadonnées spécifique. Dans chaque cas, la réponse du dispositif de surveillance ou de l’abonnement peut être la copie d’un fichier, l’envoi d’un courrier électronique à une adresse spécifiée ou l’archivage d’un fichier.Chapitre 3 Configuration des Préférences Système 47 I Le programme d’installation crée des dispositifs de surveillance et des abonnements par défaut en fonction du profil personnalisé sélectionné. En voici deux exemples :  Dispositif de surveillance Watcher Media to Library [Copy] : ce dispositif de surveillance de système de fichiers surveille le dossier Media (créé par le programme d’installation) du périphérique Watchers et copie automatiquement toute nouvelle ressource qu’il contient dans le périphérique Library, sans conversion.  Abonnement Assets Ready for Review [Email] : cet abonnement de métadonnées surveille toutes les ressources du catalogue et envoie un courrier électronique dès que l’état des métadonnées d’une ressource quelconque passe à Ready for Review. Cet abonnement (et tout autre utilisant une réponse par courrier électronique) utilise les adresses électroniques que vous avez saisies ou celles enregistrées sous forme de réviseurs requis pour une ressource. L’Assistant réglages d’automatisation permet de modifier ou supprimer les nouvelles automatisations ou celles créées par défaut. Vous pouvez activer ou désactiver ces automatisations en cochant ou en décochant les cases On correspondantes. Pour en savoir plus sur la modification de ces automatisations ou la création de nouvelles, consultez le chapitre 6, « Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation », à la page 81. Réglages de la sous-fenêtre Backup La sous-fenêtre Backup permet de créer des fichiers de sauvegarde contenant toutes les données du catalogue Final Cut Server, notamment les préférences et les données de configuration du système. Pour en savoir plus sur la fenêtre Backup, consultez le chapitre 7, « Sauvegarde de Final Cut Server », à la page 95.4 49 4 Ajout d’utilisateurs et de groupes Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos des utilisateurs et des groupes (p. 49)  Utilisation de la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système (p. 51)  Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server (p. 55)  Ajout de groupes à Final Cut Server (p. 58)  À propos des ensembles d’autorisations (p. 60) À propos des utilisateurs et des groupes Pour utiliser Final Cut Server, vous devez généralement ajouter au moins un groupe contenant au moins un utilisateur. Dans la plupart des cas, vous serez toutefois amené à créer plusieurs groupes, chacun configuré avec des autorisations différentes, puis ajouterez les utilisateurs appropriés aux différents groupes. Le programme d’installation Final Cut Server ajoute automatiquement le groupe Administrateurs de l’ordinateur, intitulé « admin », et applique l’autorisation « admin » par défaut associée à celui-ci. La création à proprement dit des groupes et des utilisateurs peut se faire sur un autre ordinateur faisant office de serveur par le biais d’Open Directory, ou sur l’ordinateur sur lequel vous avez installé Final Cut Server par le biais de la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système ou le Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server (si l’utilitaire est installé sur un système Mac OS X Server 10.5). Dans Final Cut Server, vous pouvez sélectionner les groupes à utiliser, créer des ensembles d’autorisations et affecter ces ensembles à chaque groupe.50 Partie I Installation et configuration Final Cut Server prend en charge aussi bien les groupes et utilisateurs Open Directory que ceux créés en local. Si vous disposez d’un équipement réduit, vous pouvez créer des groupes et des utilisateurs locaux. Si vous bénéficiez d’une plus grande configuration exploitant déjà l’architecture Open Directory de Mac OS X Server, Final Cut Server peut facilement l’utiliser comme base de configuration des utilisateurs et des groupes. Important : si vous utilisez un autre ordinateur en tant que serveur Open Directory, il doit être équipé de Mac OS X Server v10.5 et non de Mac OS X Server v10.4. Les groupes permettent d’assurer la sécurité des ressources de plusieurs manières. Vous pouvez ainsi :  définir des filtres limitant l’affichage des ressources et des productions par un groupe ;  contrôler l’accès aux données multimédia se trouvant sur des périphériques connectés à Final Cut Server ;  contrôler l’accès à des fonctions de l’interface utilisateur. Remarque : un utilisateur peut appartenir à plusieurs groupes, chacun ayant un niveau d’autorisation spécifique. Lorsque ces autorisations sont définies sur le niveau de priorité le plus élevé, l’utilisateur peut alors accéder aux éléments dans Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des ensembles d’autorisations » à la page 60. Les étapes de création de groupes et d’utilisateurs dans Final Cut Server sont les suivantes : Étape 1 : Créez des utilisateurs à partir de la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système ou du Gestionnaire de groupe de travail Vous pouvez créer des utilisateurs locaux ou passer cette étape si vous avez déjà créé des comptes utilisateur par le biais d’Open Directory. Étape 2 : Créez des groupes à partir de la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système ou du Gestionnaire de groupe de travail Vous devez créer des groupes à partir de la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système ou du Gestionnaire de groupe de travail. Vous pouvez passer cette étape si vous avez déjà créé les groupes qui conviennent par le biais d’Open Directory. Étape 3 : Ajoutez des utilisateurs aux groupes dans la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système ou du Gestionnaire de groupe de travail Après avoir créé les groupes, vous pouvez leur ajouter des utilisateurs. Il est possible de mélanger des utilisateurs locaux et Open Directory. Étape 4 : Ajoutez les groupes à Final Cut Server Après avoir créé les groupes et leur avoir ajouté des utilisateurs, vous devez ajouter les groupes à Final Cut Server. Chapitre 4 Ajout d’utilisateurs et de groupes 51 I Étape 5 : Créez des ensembles d’autorisations personnalisés pour les groupes (le cas échéant) En fonction du profil sélectionné lors de l’installation de Final Cut Server, votre système peut déjà disposer de plusieurs ensembles d’autorisations. Ces derniers proposent un large éventail de réglages relatifs aux autorisations, à travers lesquels vous pouvez contrôler l’accès au catalogue de Final Cut Server. Vous pouvez créer d’autres ensembles d’autorisations, le cas échéant. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Ajout et gestion d’ensembles d’autorisations » à la page 132. Étape 6 : Affectez des ensembles d’autorisations à des groupes L’affectation d’ensembles d’autorisations aux groupes est la dernière étape permettant à vos utilisateurs d’accéder à Final Cut Server. Ce chapitre aborde les tâches d’ajout et de configuration de groupes les plus courantes. consultez le chapitre 10, « Groupes et autorisations », à la page 129 pour en savoir plus sur la création d’ensembles d’autorisations et sur l’utilisation de la fenêtre Administration du client pour gérer les autorisations. Utilisation de la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système La sous-fenêtre Comptes des Préférences Système contient tout ce dont vous avez de besoin pour créer et gérer des groupes et des utilisateurs locaux. Cette méthode s’applique aux utilisateurs de Mac OS X 10.5 et de Mac OS X Server 10.5. Pour ouvrir la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système : 1 Effectuez l’une des opérations ci-dessous.  Sélectionnez le menu Pomme > Préférences Système.  Cliquez sur Préférences Système dans le Dock. La fenêtre Préférences Système s’ouvre alors. Cliquez sur Comptes pour ouvrir la sous-fenê- tre du même nom.52 Partie I Installation et configuration 2 Cliquez sur le bouton Comptes dans la catégorie Système. La sous-fenêtre Comptes s’ouvre. Remarque : pour apporter des modifications à la sous-fenêtre Comptes, vous devez d’abord vous authentifier en cliquant sur le cadenas puis en tapant les nom et mot de passe d’un utilisateur bénéficiant d’autorisations d’administration. Comptes d’utilisateur local Compte sous lequel l’utilisateur a ouvert une session Groupes locaux Cliquez sur ce bouton pour ajouter des utilisateurs et des groupes locaux. Cliquez sur le cadenas pour vous authentifier. Liste des comptesChapitre 4 Ajout d’utilisateurs et de groupes 53 I Création d’utilisateurs La création d’utilisateurs locaux dans la sous-fenêtre Comptes requiert la saisie d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe et la sélection de certaines options s’appliquant à l’utilisateur en question. Pour créer un compte utilisateur local : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). 2 Sélectionnez le type de compte à créer dans le menu local Nouveau compte, accessible depuis la zone de dialogue qui s’affiche.  Administrateur : un administrateur peut créer et supprimer des comptes, installer des logiciels, modifier les réglages du système et ceux d’autres utilisateurs.  Standard : il s’agit d’un compte utilisateur courant. Un utilisateur standard ne peut installer de logiciels que pour le compte utilisateur en question. En revanche, il ne peut ni apporter de modifications aux Préférences Système verrouillées, ni créer de comptes.  Géré avec Contrôles parentaux : compte disposant d’autorisations limitées gérées par les Contrôles parentaux.  Partage uniquement : compte utilisateur ne pouvant accéder qu’aux fichiers se trouvant à un emplacement spécifié. Ce compte utilisateur ne permet ni de modifier les fichiers de l’ordinateur, ni de se connecter par le biais de la fenêtre d’ouverture de session.  Groupe : compte constitué d’utilisateurs sélectionnés. Pour en savoir plus sur cette option, consultez la rubrique suivante « Création de groupes et configuration de leur adhésion, ». La création d’un compte Standard convient dans la plupart des cas.54 Partie I Installation et configuration 3 Tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe. Le nom abrégé se crée automatiquement, mais vous pouvez le modifier dans cette zone de dialogue, le cas échéant. Remarque : vous ne pouvez pas modifier le nom abrégé une fois le compte créé. 4 Définissez les autres attributs selon vos besoins. 5 Cliquez sur Créer le compte. Le nouvel utilisateur s’affiche dans la liste des comptes. Vous pouvez modifier un compte utilisateur en le sélectionnant dans la liste des comptes. Création de groupes et configuration de leur adhésion La création de groupes locaux dans la sous-fenêtre Comptes requiert la saisie d’un nom de groupe. Pour créer un compte de groupe local : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). 2 Sélectionnez Groupe dans le menu local Nouveau, à partir de la zone de dialogue qui s’affiche. Remarque : le menu local Nouveau peut s’intituler Nouveau compte selon le type du dernier compte créé. 3 Tapez le nom du compte. 4 Cliquez sur Créer un groupe. Le nouveau groupe s’affiche dans la liste des comptes. Vous pouvez modifier un groupe en le sélectionnant dans la liste des comptes.Chapitre 4 Ajout d’utilisateurs et de groupes 55 I Pour définir les membres d’un groupe : 1 Cliquez sur le nom du groupe dans la liste des comptes. 2 Cochez la case de tous les comptes utilisateur et groupes que vous souhaitez associer à ce groupe. Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server Le Gestionnaire de groupe de travail sous Mac OS X Server se trouve dans le dossier Applications/Server/. Le gestionnaire de groupe de travail contient tout ce dont vous avez de besoin pour créer et gérer des groupes et des utilisateurs locaux et Open Directory. Sélectionnez les comptes et les groupes que vous souhaitez convertir en membres de ce groupe. Modifiez le nom de ce groupe (le cas échéant). Liste des comptes Cliquez sur le globe pour sélectionner un domaine d’annuaire. Bouton Utilisateurs Bouton Groupes56 Partie I Installation et configuration Important : ce manuel n’aborde que les processus de base du Gestionnaire de groupe de travail et s’adresse aux personnes ayant déjà utilisé le Gestionnaire de groupe de travail. En outre, il part du principe que vous bénéficiez d’autorisations d’accès administrateur. Pour connaître les procédures détaillées pour vous préparer à ces étapes, consultez la documentation de Mac OS X Server. Création d’utilisateurs La création d’utilisateurs locaux dans le Gestionnaire de groupe de travail requiert la saisie d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe et la sélection de certaines options s’appliquant à l’utilisateur en question. Pour créer un compte utilisateur local : 1 Cliquez sur le bouton Comptes dans la barre d’outils. 2 Cliquez sur le globe, situé sous le bouton Admin dans la barre d’outils, pour sélectionner le domaine d’annuaire local. 3 Cliquez sur le bouton Utilisateurs situé au-dessus de la liste des comptes. La liste des comptes répertorie tous les utilisateurs locaux déjà sur le serveur. 4 Cliquez sur le bouton Nouvel utilisateur dans la barre d’outils. 5 Tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe. 6 Définissez les autres attributs selon vos besoins. 7 Cliquez sur Enregistrer. Le nouvel utilisateur s’affiche dans la liste des comptes. Vous pouvez modifier un compte utilisateur en le sélectionnant dans la liste des comptes. Remarque : vous pouvez aussi créer des comptes utilisateur locaux à partir de la sousfenêtre Comptes des Préférences Système. Création de groupes La création de groupes locaux dans le Gestionnaire de groupe de travail requiert la saisie d’un nom de groupe. Pour créer un compte de groupe local : 1 Cliquez sur le bouton Comptes dans la barre d’outils. 2 Cliquez sur le globe pour sélectionner le domaine d’annuaire local. 3 Cliquez sur le bouton Groupes situé au-dessus de la liste des comptes. La liste des comptes répertorie tous les groupes locaux déjà sur le serveur. 4 Cliquez sur le bouton Nouveau groupe dans la barre d’outils. 5 Tapez le nom du compte. 6 Définissez les autres attributs selon vos besoins.Chapitre 4 Ajout d’utilisateurs et de groupes 57 I 7 Cliquez sur Enregistrer. Le nouveau groupe s’affiche dans la liste des comptes. Vous pouvez modifier un groupe en le sélectionnant dans la liste des comptes. Ajout d’utilisateurs à un groupe Après avoir créé des comptes utilisateur et de groupe, vous pouvez ajouter des utilisateurs aux groupes. Pour ajouter des utilisateurs à un groupe : 1 Sélectionnez le groupe dans la liste des comptes. 2 Cliquez sur le bouton Membres. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). Un volet s’ouvre contenant une liste de comptes utilisateur. Vous pouvez cliquer sur le globe se trouvant dans le volet pour sélectionner un autre domaine d’annuaire. Vous pouvez ainsi ajouter aussi bien des utilisateurs locaux que d’autres utilisateurs à un groupe. Sélectionnez un groupe. Cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter des membres au groupe. Cliquez sur le bouton Groupes. Cliquez sur Membres. Cliquez sur le globe pour sélectionner un domaine d’annuaire.58 Partie I Installation et configuration 4 Sélectionnez une des méthodes ci-dessous pour ajouter des utilisateurs depuis le volet à la liste des membres du groupe :  en faisant glisser le nom d’un utilisateur depuis le volet vers la liste des membres du groupe ;  en double-cliquant directement sur le nom mentionné dans le volet. 5 Cliquez sur Enregistrer. Ajout de groupes à Final Cut Server Une fois terminé la configuration de vos groupes, vous pouvez enfin les ajouter à Final Cut Server. Vous pouvez ajouter les groupes à l’aide des Préférences Système de Final Cut Server sur le serveur ou passer par la fenêtre Administration du client. Remarque : pour en savoir plus sur l’utilisation de la fenêtre Administration du client pour gérer les autorisations, consultez la rubrique « Ajout de groupes à Final Cut Server » à la page 130. Pour en savoir plus sur les ensembles d’autorisations, consultez la rubrique « Ajout et gestion d’ensembles d’autorisations » à la page 132. Pour ajouter un groupe à Final Cut Server par le biais des Préférences Système : 1 Ouvrez les Préférences Système sur l’ordinateur équipé de Final Cut Server. 2 Cliquez sur l’icône Final Cut Server dans la section Other. La sous-fenêtre Final Cut Server s’ouvre. 3 Cliquez sur Group Permissions pour afficher les réglages du groupe. Cliquez sur le bouton Ajouter pour ajouter un groupe.Chapitre 4 Ajout d’utilisateurs et de groupes 59 I La partie gauche compile la liste des groupes actifs de Final Cut Server. La partie droite indique l’ensemble d’autorisations affecté à chaque groupe. 4 Si le cadenas (situé dans l’angle inférieur gauche) est verrouillé, cliquez dessus et authentifiez-vous. 5 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). La liste de tous les groupes, qu’ils soient Open Directory ou locaux, s’affiche. 6 Sélectionnez le groupe à ajouter à partir du menu local qui s’affiche. Remarque : si la liste est longue, vous pouvez taper les premières lettres pour afficher uniquement les groupes commençant par ces lettres. Le groupe s’ajoute alors à la liste Groupe. 7 Cliquez dans la zone Permission Set du nouveau groupe et sélectionnez un ensemble d’autorisations dans le menu local. Groupe ajouté Cliquez sur l’ensemble d’autorisations par défaut du groupe (admin) pour sélectionner un nouvel ensemble d’autorisations.60 Partie I Installation et configuration À propos des ensembles d’autorisations Le programme d’installation de Final Cut Server crée automatiquement six ensembles d’autorisations.  admin : seul ensemble d’autorisations permettant d’ouvrir la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Il donne accès à tous les aspects du système Final Cut Server. Il est recommandé de ne l’affecter qu’à des groupes d’utilisateurs capables d’administrer l’intégralité du système Final Cut Server.  artist, manager et editor : ensembles d’autorisations tous identiques et permettant l’accès à tous les aspects du système Final Cut Server à l’exception de ceux dédiés à l’ensemble d’autorisations admin. Ces trois ensembles d’autorisations sont destinés à vous donner un point de départ pour la création d’ensembles d’autorisations spécifiques à différents groupes d’utilisateurs. Par exemple, il peut s’avérer judicieux de modifier l’ensemble d’autorisations Artist de façon à ce que ses utilisateurs ne puissent accéder qu’aux périphériques qui contiennent les images sur lesquelles ils travaillent.  reviewer : ensemble d’autorisations ne permettant pas la création, la suppression, le catalogage ou la modification des ressources du catalogue Final Cut Server. L’ensemble d’autorisations reviewer ne peut afficher que des ressources dont l’état est Approved, Ready for Review, Rejected ou Completed.  browser : ensemble d’autorisations ne permettant pas la création, la suppression, le catalogage, la modification ou la copie des ressources du catalogue Final Cut Server, ainsi que la modification de leurs détails. L’ensemble d’autorisations autorise uniquement l’affichage des ressources dont l’état est Approved. Vous pouvez créer d’autres ensembles d’autorisations par le biais de la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Ajout et gestion d’ensembles d’autorisations » à la page 132. Du fait qu’un utilisateur peut appartenir à plusieurs groupes et que chaque groupe peut avoir un ensemble d’autorisations différent, Final Cut Server vous permet de définir le niveau de priorité de chaque ensemble d’autorisations. Celui dont le niveau de priorité est le plus élevé est celui qui s’applique lorsque l’utilisateur appartient à plusieurs groupes. Important : même s’il est normal d’attribuer le niveau de priorité le plus élevé aux ensembles d’autorisations bénéficiant des autorisations les plus larges, cela n’est pas requis. Chapitre 4 Ajout d’utilisateurs et de groupes 61 I Pour définir la priorité des ensembles d’autorisations : 1 Cliquez sur Set Priorities dans la sous-fenêtre Permissions des Préférences Système de Final Cut Server. Une sous-fenêtre reprend les ensembles d’autorisations triés par ordre de priorité, les ensembles d’autorisations de priorité maximale (généralement « admin ») se situant en premier. 2 Modifiez l’ordre des ensembles d’autorisations en les faisant glisser. 3 Cliquez sur OK pour fermer la sous-fenêtre. Vous pouvez également définir le niveau de priorité des ensembles d’autorisations depuis la sous-fenêtre Permission de la fenêtre Administration. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Modify » à la page 135. Faites glisser un ensemble d’autorisations verticalement pour définir sa priorité par rapport aux autres ensembles d’autorisations. Cliquez sur le bouton Set Priorities pour définir le niveau de priorité des ensembles d’autorisations.5 63 5 Utilisation de Device Setup Assistant Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Introduction aux périphériques (p. 63)  À propos de la création de périphériques (p. 64)  À propos des périphériques par défaut (p. 65)  Ajout d’un périphérique (p. 66)  Configuration des types de périphériques (p. 72)  Modification d’un périphérique (p. 77)  Suppression d’un périphérique (p. 78) Introduction aux périphériques Les périphériques sont simplement des emplacements de stockage de fichiers que Final Cut Server utilise pour stocker et gérer vos ressources et vos productions. Le programme d’installation de Final Cut Server crée différents périphériques dont certains sont spécialisés dans des fonctions telles que le stockage de proxys et le suivi de versions des ressources. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des périphériques par défaut » à la page 65. Outre ces périphériques par défaut, vous serez normalement amené à créer d’autres périphériques selon votre configuration système. Par exemple, si vous possédez un volume hébergeant vos ressources, vous pouvez créer un périphérique qui l’analyse et ajoute automatiquement ses ressources au catalogue Final Cut Server. (Notez que ce processus ne modifie en rien le contenu d’un volume que vous introduisez dans un périphérique : les ressources du volume et la structure demeurent inchangés. Le catalogue de Final Cut Server ajoute des entrées pour chacune des ressources, puis des fichiers proxy appropriés sont créés et stockés dans le périphérique Proxy.) Device Setup Assistant (l’Assistant réglages de périphérique) permet d’ajouter, de supprimer et de configurer des périphériques que Final Cut Server peut exploiter. Ces périphériques peuvent aller du simple dossier sur un ordinateur équipé de Final Cut Server, au serveur FTP ou au volume Apple Xsan.64 Partie I Installation et configuration À propos de la création de périphériques Vous pouvez ajouter et modifier des périphériques dans Final Cut Server de deux façons : l’Assistant réglages de périphérique dans les Préférences Système de Final Cut Server et la sous-fenêtre Devices dans la fenêtre Administration du client. À propos de la création de périphériques par le biais de l’Assistant réglages de périphérique L’Assistant réglages de périphérique, accessible depuis les Préférences Système de Final Cut Server est simple d’utilisation et contient des fonctionnalités complémentaires, notamment la configuration des réglages d’analyse et de transcodage. La configuration manuelle de fonctionnalités semblables supposerait l’utilisation de plusieurs sous-fenêtres Administration. L’Assistant réglages de périphérique facilite également l’installation de certains types de périphériques, notamment les périphériques réseau et les volumes Xsan, en limitant le nombre de réglages. En outre, il vérifie tous les réglages que vous établissez avant de passer à l’étape suivante (les périphériques créés par le biais de la fenêtre Administration ne sont pas vérifiés tant que vous ne les utilisez pas). L’Assistant réglages de périphérique présente quelques inconvénients : vous ne pouvez pas accéder aux réglages les plus inhabituels ou configurer plusieurs types de périphérique, par exemple un périphérique exploitant un système de fichiers Contentbase ou un périphérique de montage à la volée n’utilisant pas un volume Xsan. Vous pouvez cependant modifier un périphérique créé à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique, configurant ainsi les réglages les moins courants de la fenêtre Administration. Important : les périphériques Contentbase ne figurent pas dans la fenêtre Devices des Préférences Système de Final Cut Server. Tous les autres périphériques, y compris ceux créés par le programme d’installation et utilisant la fenêtre Administration du client, apparaissent dans la fenêtre Devices des Préférences Système de Final Cut Server. À propos de la création de périphériques à l’aide de la fenêtre Administration La sous-fenêtre Devices de la fenêtre Administration permet d’accéder à plus de réglages de périphérique que l’Assistant réglages de périphérique. La plupart des utilisateurs n’ont pas à modifier ces réglages, mais cela peut s’avérer utile dans certains cas. La fenêtre Administration est la seule zone où vous pouvez configurer des périphériques en utilisant le système de fichiers Contentbase ou des périphériques de montage à la volée non-Xsan. Bien que vous puissiez configurer des périphériques réseau par le biais de la fenêtre Administration, cela s’avère plus difficile en raison de ses nombreux réglages. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la fenêtre Administration pour la gestion de vos périphériques, consultez le chapitre 12, « Gestion des périphériques », à la page 171. Pour en savoir plus sur les périphériques de montage à la volée, consultez la rubrique « À propos des périphériques de montage à la volée » à la page 180.Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant 65 I À propos des périphériques par défaut Au moment de l’installation de Final Cut Server, vous avez saisi l’emplacement des données de production. Par défaut, Final Cut Server crée trois périphériques à cet emplacement : Library, Watchers et Media. Les périphériques par défaut Library, Watchers et Media ne sont en fait que des sousdossiers de Final Cut Server créés à l’emplacement des données de production. Les utilisateurs peuvent exploiter ces périphériques pour y ajouter des ressources et des productions, par exemple. Le périphérique Watchers est destiné aux automatisations créées par le programme d’installation. Par exemple, vous pouvez ajouter des données à ce dossier ou à l’un de ses sous-dossiers, puis charger une automatisation de les répertorier pour les copier vers un autre périphérique, les transcoder et les ajouter le cas échéant au catalogue de Final Cut Server. Les automatisations par défaut sont toutes configurées pour assurer le contrôle des dossiers de ce périphérique. Les périphériques Library et Media sont destinés à servir d’emplacements génériques de stockage de données. Les automatisations par défaut sont toutes configurées pour copier des données sur le périphérique Library. Chacun de ces périphériques possède les configurations suivantes :  Les réglages d’analyse (Scan settings) permettent à Final Cut Server de vérifier le périphérique automatiquement à intervalles réguliers afin de détecter si des ressources ont été créées, modifiées ou supprimées. Seul le périphérique Media peut posséder des réglages d’analyse configurés par le programme d’installation à l’aide du réglage « Catalog Media device automatically ». Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Démarrage du programme d’installation de Final Cut Server » à la page 26.66 Partie I Installation et configuration  Les réglages de transcodage (Transcode settings) servent à sélectionner un format pour convertir une ressource lorsque celle-ci est téléchargée ou copiée dans un périphérique. Aucun réglage de transcodage n’est affecté au périphérique Watchers car ce dernier ne s’illustre pas lors du téléchargement ou de la copie de ressources dans Final Cut Server ; son but est d’être le périphérique source des opérations de télé- chargement. Les périphériques Library et Media se voient affectés tous les réglages de transcodage, ce qui facilite et rendent plus souples la copie et le téléchargement de ressources dans ces périphériques. À l’aide de l’Assistant réglages de périphérique, vous pouvez modifier ces périphériques afin d’inclure les réglages de transcodage et d’analyse. Vous pouvez également l’utiliser pour modifier les réglages de transcodage et d’analyse de ces périphériques ou d’autres que vous pouvez ajouter à Final Cut Server à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique ou de la fenêtre Administration du client. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Modification d’un périphérique » à la page 77. Ajout d’un périphérique Final Cut Server prend en charge six types de périphérique lors de l’utilisation de l’Assistant réglages de périphérique dans les Préférences Système de Final Cut Server :  Local : les périphériques locaux comptent parmi eux les disques branchés directement sur l’ordinateur Final Cut Server. Ils peuvent être des disques durs internes supplémentaires ainsi que des lecteurs FireWire ou USB branchés.  Network AFP : il s’agit de partages réseau connectés par le biais du protocole AFP (Apple Filing Protocol).  Network SMB/CIFS : il s’agit de partages réseau connectés par le biais des protocoles SMB (Server Message Block) et CIFS (Common Internet File System). Ce sont généralement des serveurs Windows.  Network NFS : il s’agit de partages réseau connectés par le biais du protocole NFS (Network File System).  Network FTP : il s’agit de partages réseau connectés par le biais du protocole FTP (File Transfer Protocol).  Xsan : ce sont des périphériques situés sur un réseau de stockage Xsan Apple. Tout périphérique peut être configuré avec des réglages de transcodage et d’analyse.Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant 67 I Les réglages d’analyse (Scan settings) définissent la fréquence selon laquelle Final Cut Server examine le périphérique afin de détecter d’éventuelles modifications. Ce réglage est facultatif. Remarque : les réglages d’analyse configurés à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique créent les programmations et les réponses par analyse qui s’imposent. Ces programmations et ces réponses figurent respectivement dans les sous-fenêtres Schedule et Response de la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Important : les réglages d’analyse configurés à l’aide de l’Assistant réglages de périphé- rique s’appliquent de façon générale au périphérique : vous ne pouvez pas vous limiter à l’analyse de dossiers en particulier. Vous pouvez créer des programmations et des réponses par analyse qui s’appliquent à des dossiers spécifiques d’un périphérique à l’aide de la fenêtre Administration, ou créer des périphériques à partir de ces dossiers à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique. Les réglages de transcodage définissent les différents formats vidéo et audio que le périphérique peut utiliser lors du transcodage d’une ressource. Bien que l’un des réglages soit No conversion, vous devez choisir au moins un réglage de transcodage. Ces réglages sont accessibles lorsque vous téléchargez une ressource dans le périphérique. Pour ajouter un périphérique à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique : 1 Dans les Préférences Système de Final Cut Server, cliquez sur Devices. Cette sous-fenêtre répertorie les périphériques actifs.68 Partie I Installation et configuration Important : si vous créez des périphériques à l’aide de la fenêtre Administration du client, ceux-ci apparaissent alors dans cette liste (hormis les périphériques Contentbase). Si certains ne s’affichent pas, quittez la fenêtre des Préférences Système, puis rouvrez-la afin d’actualiser la liste. 2 Cliquez sur le cadenas, puis authentifiez-vous en tant qu’administrateur. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). L’Assistant réglages de périphérique se lance. 4 Sélectionnez un des trois choix proposés, puis cliquez sur Continue :  Local : sélectionnez cette option lorsque vous créez un périphérique stocké sur un disque local.  Network : sélectionnez cette option si vous créez un périphérique stocké sur un périphérique en réseau.  Xsan : sélectionnez cette option lorsque vous créez un périphérique placé sur un réseau de stockage Xsan. Selon le choix effectué ci-dessus, une sous-fenêtre apparaît pour vous permettre de configurer le périphérique. Pour retrouver des détails spécifiques à chaque type de périphérique, consultez la rubrique « Configuration des types de périphériques » à la page 72.Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant 69 I 5 Configurez la sous-fenêtre Device Type, puis cliquez sur Continue. La sous-fenêtre Archive Device s’ouvre. 6 Cochez la case « Enable as an Archive Drive » si vous souhaitez que ce périphérique soit utilisé comme périphérique d’archivage. Les périphériques d’archivage servent au stockage à long terme de ressources et de productions. Ce sont généralement des lecteurs de disques externes lents ou volumineux, ou des connexions réseau ouvertes à un ordinateur uniquement lorsque cela s’avère nécessaire. Lorsque vous archivez une ressource ou une production, son fichier de données est copié sur le périphérique d’archivage, puis supprimé de son périphérique actuel, libérant ainsi de l’espace disque sur celui-ci. La ressource ou la production, qui demeure dans le catalogue de Final Cut Server, peut être restaurée ultérieurement le cas échéant.70 Partie I Installation et configuration 7 Cliquez sur Continue.  Si vous cochez la case « Enable as an Archive Device », la sous-fenêtre Conclusion apparaît, tel qu’il est décrit dans l’étape 11.  Dans le cas contraire, c’est la sous-fenêtre Scan Settings qui apparaît. 8 Configurez les réglages d’analyse. Vous pouvez configurer deux types d’analyse : l’analyse complète ou l’analyse différentielle.  Les analyses complètes (Full scan) examinent toute modification survenue sur le périphérique, que ce soit l’ajout de fichiers, la modification ou la suppression de fichiers. Toutes ces modifications sont ensuite répercutées dans le catalogue de Final Cut Server. Les analyses complètes sollicitent intensivement le processeur et requièrent des ressources informatiques importantes. Pour cette raison, leur exécution n’est prévue qu’une fois par jour ou hebdomadairement, généralement à une heure de faible activité telle que 24 h 00 (minuit), correspondant à l’heure par défaut.  Les analyses différentielles (Add Only Scan) ne sont pas aussi approfondies que les analyses complètes. En effet, l’analyse différentielle localise uniquement les fichiers ayant une date de création ou de modification comprise entre l’heure à laquelle la dernière analyse a été effectuée et l’heure actuelle (les fichiers ayant une date de création ou de modification antérieure à la dernière analyse ne sont pas pris en compte, par exemple, des fichiers que vous faites glisser du Finder vers le périphérique). Ces modifications sont ensuite répercutées dans le catalogue de Final Cut Server. À la différence des analyses complètes, les analyses différentielles ne sollicitent pas intensivement le processeur, c’est pourquoi elles sont configurées pour s’exécuter souvent : toutes les 15 minutes est la fréquence par défaut.Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant 71 I Remarque : l’Assistant réglages de périphérique implique que vous configuriez une analyse complète avant de pouvoir configurer une analyse différentielle. Pour en savoir plus sur la configuration des réponses par analyse, consultez la rubrique « Astuces générales en matière d’automatisation » à la page 205. Important : la gestion des versions des réponses par analyse créées pour un périphé- rique à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique est désactivée indépendamment de l’activation ou non du contrôle de versions au moment de l’installation de Final Cut Server. Vous pouvez modifier la réponse à l’aide de la fenêtre Administration du client Final Cut Server. 9 À partir du menu local Metadata Set, choisissez un ensemble de métadonnées à affecter aux ressources ajoutées au catalogue de Final Cut Server par ces analyses. Les ensembles de métadonnées, qui sont composés de champs et de groupes de métadonnées, définissent les types de métadonnées que vous pouvez ajouter à une ressource. Vous pouvez créer des ensembles de métadonnées, des groupes et des champs personnalisés à l’aide de la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 11, « Gestion des métadonnées », à la page 141. Important : il est impossible d’affecter un autre ensemble de métadonnées à une ressource ultérieurement. 10 Cliquez sur Continue. La sous-fenêtre Transcode Settings s’ouvre.72 Partie I Installation et configuration 11 Sélectionnez les réglages de transcodage pour ce périphérique afin de l’utiliser chaque fois qu’une ressource est à transcoder, puis cliquez sur Continue. L’élément No Conversion est sélectionné par défaut. Remarque : vous pouvez gérer la liste des réglages de transcodage à l’aide de la sousfenêtre Transcode Settings dans la fenêtre Administration du client. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 13, « Gestion des réglages de transcodage », à la page 197. La sous-fenêtre Conclusion apparaît. 12 Vérifiez les réglages de configuration pour le périphérique, puis cliquez sur Done pour le créer. L’Assistant réglages de périphérique se ferme, et le nouveau périphérique s’ajoute dans la sous-fenêtre Devices des Préférences Système de Final Cut Server. Configuration des types de périphériques L’Assistant réglages de périphérique affiche différentes sous-fenêtres selon le type de périphérique choisi. Pour obtenir la définition de ces types de périphérique, consultez la rubrique « Ajout d’un périphérique » à la page 66. Périphériques locaux Les périphériques locaux comptent parmi eux les disques branchés directement sur l’ordinateur Final Cut Server. Ils peuvent être des disques durs internes supplémentaires ainsi que des lecteurs FireWire ou USB branchés. Les grappes Xserve RAID directement branchées sont particulièrement utiles. Important : il est fortement recommandé de ne pas créer de périphérique sur le disque de démarrage du serveur. Les périphériques contiennent des fichiers multimédia volumineux et peuvent utiliser tout l’espace disque disponible sur leur disque dur, ce qui peut présenter de sérieux problèmes si le disque dur fait également office de disque de démarrage.Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant 73 I La sous-fenêtre dédiée aux périphériques locaux contient les réglages suivants :  Device Name : nom pour le périphérique.  Location : emplacement pour le périphérique. Il peut s’agir d’un dossier, de tout lecteur de disque interne ou de tout lecteur externe branché par un port FireWire ou USB. Cliquez sur Parcourir pour localiser le lecteur et le dossier à utiliser comme périphérique. Périphériques réseau Vous pouvez ajouter quatre types de périphérique réseau. La sous-fenêtre Network Device Type contient un menu local Network Protocol dans lequel vous pouvez choisir le type de lecteur réseau à utiliser. Important : tous les périphériques réseau AFP, SMB et FTP créés à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique requièrent un mot de passe. Cependant, vous pouvez les créer sans mot de passe à travers la fenêtre Administration du client Final Cut Server afin qu’ils ne demandent pas de mot de passe. Réseaux AFP et SMB La sous-fenêtre ci-dessous apparaît avec les protocoles de partages réseau connectés AFP (Apple Filing Protocol), SMB (Server Message Block) et CIFS (Common Interface File System). Les périphériques AFP et SMB/CIFS possèdent les réglages suivants :  Device Name : nom pour le périphérique.  Network Protocol : type de connexion réseau requise pour ce périphérique. Dans ce cas, choisissez entre AFP ou SMB/CIFS, correspondant à votre connexion réseau.  File Server : nom d’hôte du serveur.  Path : chemin d’accès du serveur correspondant au chemin d’accès racine. Choisissez AFP ou SMB/CIFS.74 Partie I Installation et configuration  User Name : nom d’utilisateur à saisir dans ce champ pour vous connecter automatiquement au serveur chaque fois, par exemple lorsque vous effectuez une recherche et une copie.  Password : mot de passe associé au champ User Name. Laissez ce champ vide si le champ User Name l’est également. Les périphériques SMB/CIFS possèdent un réglage supplémentaire :  Workgroup : nom du groupe de travail. Réseaux NFS La sous-fenêtre ci-dessous apparaît avec les partages réseau NFS (Network File System). Le champ Workgroup apparaît lorsque vous sélectionnez le protocole réseau SMB/CIFS. Sélectionnez NFS.Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant 75 I Les périphériques réseau NFS possèdent les réglages suivants :  Device Name : nom pour le périphérique.  Network Protocol : type de connexion réseau requise pour ce périphérique. Dans ce cas, choisissez NFS pour indiquer le type de votre connexion réseau.  File Server : nom d’hôte du serveur.  Mount Point : chemin d’accès où le serveur procède à l’exportation, servant de chemin d’accès racine.  Subpath : chemin vers le dossier que le périphérique doit utiliser comme chemin racine. Réseaux FTP La sous-fenêtre ci-dessous apparaît avec les partages réseau FTP (File Transfer Protocol). Les périphériques réseau FTP possèdent les réglages décrits dans la sous-fenêtre suivante :  Device Name : nom pour le périphérique.  Network Protocol : type de connexion réseau requise pour ce périphérique. Dans ce cas, choisissez FTP pour indiquer le type de votre connexion réseau.  File Server : nom d’hôte du serveur.  Absolute Path : chemin d’accès du serveur correspondant au chemin d’accès racine. Si ce chemin d’accès commence par une barre oblique (/), cela signifie qu’il fait réfé- rence au dossier racine du serveur. Dans le cas contraire, il se rapporte au dossier par défaut du serveur auquel se connecte l’utilisateur (il s’agit généralement du dossier de départ de l’utilisateur).  Use Passive FTP Mode : case permettant d’activer les transferts FTP en mode passif. Sélectionnez FTP.76 Partie I Installation et configuration  User Name : nom d’utilisateur à saisir dans ce champ pour vous connecter automatiquement au serveur FTP chaque fois, par exemple lorsque vous effectuez une recherche et une copie. Laissez ce champ vide pour afficher la page d’ouverture de session à chaque tentative d’accès au serveur FTP.  Password : mot de passe associé au champ User Name. Laissez ce champ vide si le champ User Name l’est également. Périphériques Xsan Les périphériques réseau Apple Xsan pour le stockage fournissent un accès rapide aux fichiers de données. Les périphériques Xsan sont automatiquement configurés avec un chemin de montage à la volée. Cela permet aux clients Final Cut Server ayant accès au même volume Xsan de bénéficier de transferts de fichiers très performants. En revanche, ceux qui n’ont pas accès au volume Xsan se limitent aux performances réseau habituelles pour de tels transferts. Important : les volumes Xsan doivent être montés localement sur le serveur à l’aide de l’application d’administration Xsan avant de pouvoir les configurer en tant que périphériques Final Cut Server. La sous-fenêtre Xsan Device Directory contient les réglages suivants :  Device Name : nom pour le périphérique.  Location : emplacement pour le périphérique. Cliquez sur Parcourir pour localiser le volume Xsan et le dossier à utiliser comme racine du périphérique.Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant 77 I Modification d’un périphérique Vous pouvez modifier l’emplacement ainsi que les réglages de transcodage et d’analyse de tout périphérique créé à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique. Vous avez également la possibilité de modifier l’emplacement et les réglages de transcodage, et ajouter des réglages pour l’analyse aux périphériques créés à l’aide de la fenêtre Administration du client. Important : les réglages de périphérique qui ne sont pas accessibles dans la fenêtre Administration du client sont modifiables à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique. De ce fait, ces réglages uniques sont laissés tels quels par l’assistant. Pour modifier un périphérique à l’aide des Préférences Système : 1 Cliquez sur Devices dans la sous-fenêtre Final Cut Server des Préférences Système. 2 Dans la sous-fenêtre Devices, effectuez l’une des opérations suivantes :  Double-cliquez sur le périphérique à modifier.  Sélectionnez le périphérique, puis cliquez sur le bouton Edit. Remarque : vous devez déverrouiller les Préférences Système pour activer le bouton Edit. Important : si vous avez créé des périphériques à l’aide de la fenêtre Administration du client, ils apparaissent dans la liste de la sous-fenêtre Devices (hormis les périphériques Contentbase). Si certains ne s’affichent pas, verrouillez la sous-fenêtre, puis déverrouillezla afin d’actualiser la liste. L’Assistant réglages de périphérique qui apparaît affiche la sous-fenêtre Directory. 3 Configurez la sous-fenêtre Directory, puis cliquez sur Continue. La sous-fenêtre Scan Settings s’ouvre. 4 Configurez la sous-fenêtre Scan Settings, puis cliquez sur Continue. La sous-fenêtre Transcode Settings s’ouvre. 5 Sélectionnez tous les réglages de transcodage que ce périphérique doit prendre en charge, puis cliquez sur Continue. La sous-fenêtre Summary qui apparaît reprend les modifications que vous avez effectuées. 6 Cliquez sur Done pour appliquer les modifications au périphérique.78 Partie I Installation et configuration Suppression d’un périphérique Vous pouvez supprimer tout périphérique existant en accédant aux Préférences Système de Final Cut Server, à la sous-fenêtre Devices, puis en cliquant sur le bouton Supprimer (-). Important : si vous avez créé des périphériques à l’aide de la fenêtre Administration du client, ils apparaissent dans la liste de la sous-fenêtre Devices (hormis les périphériques Contentbase). Si certains ne s’affichent pas, verrouillez la sous-fenêtre, puis déverrouillezla afin d’actualiser la liste. Pour supprimer un périphérique à l’aide des Préférences Système : 1 Sélectionnez le périphérique dans la sous-fenêtre Devices. 2 Effectuez l’une des opérations ci-dessous.  Appuyez sur la touche Supprimer.  Cliquez sur le bouton Supprimer (-). Une zone de dialogue vous avertit que toutes les tâches en cours sont sur le point d’être annulées et que cette suppression est irréversible. En outre, elle répertorie le nombre de réponses et de dispositifs de surveillance sur le point d’être supprimés avec le périphérique. 3 Cliquez sur OK. Le périphérique est supprimé de la liste des périphériques. Vous devez tenir compte des points suivants lors de la suppression d’un périphérique :  La suppression d’un périphérique entraîne également celle de toutes les ressources correspondantes dans le catalogue Final Cut Server. Cela comprend la suppression de tous les fichiers proxy du périphérique Proxy et de toutes les versions du périphé- rique Version. Remarque : si le périphérique supprimé reprend de nombreuses ressources figurant dans le catalogue de Final Cut Server, il est possible que la suppression prenne du temps. Vous ne pouvez pas utiliser les Préférences Système tant que la suppression n’est pas terminée.  La suppression d’un périphérique n’a aucun effet sur le contenu en cours du volume du périphérique.  Si une tâche relative au périphérique est en cours lorsque vous supprimez ce dernier, vous devez attendre qu’elle se termine avant de pouvoir supprimer le périphérique (toutes les autres tâches en attente sont annulées). Si vous ne souhaitez pas attendre, vous pouvez annuler la tâche dans la fenêtre Search All Jobs du client.  Si vous utilisez l’Assistant réglages de périphérique pour ajouter des analyses au périphérique, les programmations et les réponses créées pour ces analyses sont supprimées en même temps que le périphérique.Chapitre 5 Utilisation de Device Setup Assistant 79 I  Si vous utilisez la fenêtre Administration du client pour configurer toute programmation ou réponse pour un périphérique, seules les réponses par copie et par analyse y faisant référence sont supprimées en même temps que le périphérique. La fenêtre Administration du client vous permet de supprimer manuellement toute programmation prévue pour le périphérique supprimé.  Tout dispositif de surveillance faisant référence au périphérique en cours de suppression est également supprimé. Les réponses qui prennent en charge les dispositifs de surveillance supprimés ne le sont pas mais doivent l’être manuellement par le biais de la fenêtre Administration du client. ∏ Conseil : pour identifier aisément les relations entre réponses, dispositifs de surveillance et périphériques, assurez-vous de leur donner un nom suffisamment explicite.6 81 6 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos de la création d’automatisations (p. 81)  À propos des automatisations par défaut (p. 82)  Création d’automatisations (p. 83)  Modification d’une automatisation (p. 93)  Suppression d’une automatisation (p. 94) À propos de la création d’automatisations La sous-fenêtre Automations permet de créer, de modifier et d’activer des dispositifs de surveillance et des abonnements automatisés.  Les Watchers sont des éléments de Final Cut Server que vous pouvez configurer de façon à contrôler un périphérique. Lorsqu’un événement contrôlé par le dispositif de surveillance se produit, par exemple l’ajout d’un fichier multimédia au périphérique ou sa suppression de ce dernier, le dispositif exécute une réponse, telle que la copie du fichier multimédia à un autre endroit ou l’envoi d’un courrier électronique.  Les Subscriptions sont des éléments de Final Cut Server que vous pouvez configurer pour contrôler les modifications apportées aux métadonnées. Lorsqu’un événement surveillé par l’abonnement se produit, par exemple le passage de l’état actif d’une ressource à Ready for Review, l’abonnement exécute une réponse, telle que l’envoi d’un courrier électronique au réviseur. Final Cut Server propose deux méthodes de création d’automatisations : Automation Setup Assistant (l’Assistant réglages d’automatisation, décrit dans ce chapitre) et la fenêtre Administration du client. À propos de la création d’automatisations par le biais de l’Assistant réglages d’automatisation L’Assistant réglages d’automatisation simplifie la création des automatisations les plus courantes. En outre, vous pouvez modifier toute automatisation, y compris celles créées par défaut par le programme d’installation de Final Cut Server.82 Partie I Installation et configuration À propos de la création d’automatisations à l’aide de la fenêtre Administration La fenêtre Administration du client Final Cut Server contient des sous-fenêtres qui rendent possible la création d’automatisations extrêmement complexes. L’inconvénient réside dans le fait que la configuration d’automatisations simples reste quelque peu compliquée. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 14, « Gestion des automatisations », à la page 203. À propos des automatisations par défaut Le programme d’installation crée des dispositifs de surveillance par défaut en fonction du profil personnalisé sélectionné. En voici deux exemples :  Dispositif de surveillance Media to Library [Copy] : ce dispositif de surveillance de système de fichiers surveille le dossier Media (créé par le programme d’installation) du périphérique Watchers et copie automatiquement toute nouvelle ressource qu’il contient dans le périphérique Library, sans conversion. En outre, il supprime les ressources du dossier Media du périphérique Watchers. Ces dispositifs de surveillance scruptent tous les sous-dossiers du périphérique Watchers. Le nom du dispositif est répertorié au préalable dans le nom du dossier. En fonction du profil personnalisé sélectionné au cours de l’installation, les dossiers Graphic et Media peuvent apparaître. En outre, ces dispositifs de surveillance appliquent les ensembles de métadonnées qui conviennent à chaque ressource de dossier. Toutes ces automatisations sont configurées de façon à copier sans transcodage tout fichier multimédia ajouté à ces dossiers dans le périphérique Library.  Abonnement Assets Ready for Review [Email] : cet abonnement de métadonnées surveille toutes les ressources du catalogue et envoie un courrier électronique dès que l’état des métadonnées d’une ressource quelconque passe à Ready for Review. Cet abonnement (et tout autre utilisant une réponse par courrier électronique créé par le programme d’installation) utilise les adresses électroniques que vous avez saisies ou celles enregistrées sous forme de réviseurs requis pour une ressource. La sous-fenêtre Automations permet de créer des automatisations ou modifier celles créées par défaut. Vous pouvez activer ou désactiver ces automatisations en cochant ou en décochant les cases On (décochées par défaut). Pour en savoir plus sur la modification d’une automatisation, consultez la rubrique « Modification d’une automatisation » à la page 93.Chapitre 6 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation 83 I Création d’automatisations Vous pouvez configurer deux types d’automatisations à l’aide de l’Assistant réglages d’automatisation : un dispositif de surveillance de système de fichiers qui réagit à tout changement de fichier à un emplacement spécifié et un abonnement de métadonnées qui réagit à tout changement de métadonnées spécifique. Dans chaque cas, la réponse de l’automatisation peut être la copie d’un fichier, l’envoi d’un courrier électronique à une adresse spécifiée ou l’archivage d’un fichier. Pour créer une automatisation : 1 Déverrouillez la sous-fenêtre Final Cut Server dans les Préférences Système. 2 Cliquez sur Automations pour afficher la sous-fenêtre du même nom. Celle-ci dresse la liste des dispositifs de surveillance et des abonnements actifs. Important : si vous avez créé des dispositifs de surveillance et des abonnements par le biais de la fenêtre Administration du client, ceux-ci doivent figurer dans la liste. Si certains ne s’affichent pas, verrouillez la sous-fenêtre, puis déverrouillez-la afin d’actualiser la liste. 84 Partie I Installation et configuration 3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ouvrir l’Assistant réglages d’automatisation. 4 Sélectionnez File System Watcher de système de fichiers ou Metadata Subscription, puis cliquez sur Continue. Une sous-fenêtre s’affiche où vous pouvez définir le type d’automatisation sélectionné. Pour en savoir plus sur ces deux méthodes, consultez les rubriques « Informations détaillées sur le dispositif de surveillance de système de fichiers » à la page 86 et « Informations détaillées sur l’abonnement de métadonnées » à la page 87. 5 Configurez le type d’automatisation choisi et cliquez sur Continue. La sous-fenêtre Responses s’ouvre. Cette sous-fenêtre est identique pour les deux types d’automatisation. Vous pouvez ainsi ajouter des réponses à l’automatisation. Cliquez sur le bouton Ajouter, puis sélectionnez le type de réponse à utiliser. Chapitre 6 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation 85 I 6 Cliquez sur le bouton Ajouter (+), puis sélectionnez un type de réponse à ajouter à l’automatisation :  Copy Response : permet de copier des éléments vers l’emplacement spécifié dans cette réponse. En outre, vous pouvez transcoder les éléments lors de la copie. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Informations détaillées sur la réponse par copie » à la page 89.  Email Response : permet d’envoyer un courrier électronique aux adresses saisies. Vous devez pour cela ajouter les adresses électroniques, l’objet et le texte du message. Il existe différents codes utiles que vous pouvez saisir pour inclure automatiquement le nom des ressources et d’autres informations. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Informations détaillées sur la réponse par courrier électronique » à la page 90.  Archive Response : archive les éléments. L’archivage copie le fichier principal de la ressource sur le périphérique d’archivage sélectionné (si un périphérique de ce type a été configuré) et le supprime de son emplacement d’origine. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Informations détaillées sur la réponse par archivage » à la page 92.  Delete Response : réponse généralement utilisée avec les dispositifs de surveillance qui utilisent également une réponse par copie. Une fois que la réponse copie les ressources du dossier que le dispositif de surveillance a en charge de contrôler, la réponse par suppression les supprime du dossier surveillé. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Informations détaillées sur la réponse par suppression » à la page 93. Remarque : si vous utilisez des réponses par suppression, elles doivent correspondre aux derniers éléments de la sous-fenêtre Responses. 7 Cliquez sur Continue après avoir ajouté et configuré toutes les réponses dont vous avez besoin. La sous-fenêtre Summary s’affiche. 86 Partie I Installation et configuration 8 Vérifiez que les réglages sont correctement définis, cliquez sur Done pour fermer l’Assistant réglages d’automatisation et ajouter la nouvelle automatisation à la liste dans la sous-fenêtre Automations. Informations détaillées sur le dispositif de surveillance de système de fichiers La configuration des réglages d’un dispositif de surveillance de système de fichiers suppose que vous sélectionniez le périphérique à surveiller, saisissiez un emplacement spécifique sur ce périphérique et que vous ajoutiez éventuellement les extensions des formats multimédia à surveiller. Pour en savoir plus sur l’ouverture de l’Assistant réglages d’automatisation et sur la manière d’accéder à cette sous-fenêtre en sélectionnant File System Watcher, consultez la rubrique « Création d’automatisations » à la page 83. Pour configurer les informations détaillées d’un dispositif de surveillance de système de fichiers : 1 Attribuez un nom à l’automatisation. Il s’agit du nom qui apparaît dans la sous-fenêtre Watcher de la fenêtre Administration du client. 2 Choisissez un périphérique dans le menu local Device. 3 Cochez la case Watch Subfolder pour indiquer le sous-dossier à surveiller. Ne cochez pas cette case si vous ne souhaitez analyser que le dossier racine du périphérique. 4 Saisissez l’emplacement du sous-dossier du périphérique à surveiller (le cas échéant). 5 Vous pouvez éventuellement cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour spécifier les types de fichier à surveiller d’après leur extension.Chapitre 6 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation 87 I 6 Cliquez sur Continue pour accéder à la sous-fenêtre Responses. Pour en savoir plus sur la sous-fenêtre Responses, consultez la rubrique « Création d’automatisations » à la page 83. Informations détaillées sur l’abonnement de métadonnées La configuration des réglages pour une automatisation d’abonnement de métadonnées suppose que vous effectuiez le suivi des ressources ou des productions et que vous définissiez des règles spécifiques à rechercher. Pour en savoir plus sur l’ouverture de l’Assistant réglages d’automatisation et sur la manière d’accéder à cette sous-fenêtre en sélectionnant Metadata Subscription, consultez la rubrique « Création d’automatisations » à la page 83. Pour configurer une automatisation d’abonnement de métadonnées : 1 Attribuez un nom à l’automatisation. Il s’agit du nom qui apparaît dans la sous-fenêtre Subscription de la fenêtre Administration du client. 2 Indiquez si vous voulez que le contrôle des ressources ou des productions se fasse. 3 Configurez la zone Metadata pour indiquer les métadonnées à surveiller. Vous pouvez ajouter plusieurs lignes dans la zone Métadonnées pour préciser l’abonnement. Cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter une ligne, ou sur Supprimer (-) pour en supprimer une (possible à partir de deux lignes). 4 Cliquez sur Continue. La sous-fenêtre Responses s’ouvre. Pour en savoir plus sur la sous-fenêtre Responses, consultez la rubrique « Création d’automatisations » à la page 83.88 Partie I Installation et configuration Chaque ligne de la zone Metadata comporte au moins deux menus locaux :  Le premier menu local de la ligne indique le champ de métadonnées à surveiller. En général, vous ne pouvez pas ajouter plusieurs lignes dont le même champ de métadonnées est sélectionné. Une exception à cela : lorsque l’opérateur (correspondant au second menu local) d’une des lignes est défini sur Changes.  Le second menu local permet de définir l’opérateur à utiliser lors de la surveillance du champ de métadonnées du premier menu local. Cela permet de savoir si un troisième élément apparaît dans la ligne ; il peut s’agir d’un champ de texte ou un troisième menu local. Par exemple, si vous souhaitez que l’automatisation surveille une ressource dont l’état passe à Approved, vous pouvez utiliser deux lignes.  Choisissez Status dans la première ligne du premier menu local, puis sélectionnez Changes dans le second menu local. Cela permet de configurer cette automatisation pour qu’elle ne s’active que si le champ de métadonnées Status d’une ressource change.  Ajoutez une deuxième ligne, puis sélectionnez Status dans le premier menu local correspondant, Matches dans le deuxième et Approved dans le troisième. Cela permet de configurer cette automatisation pour qu’elle ne prenne en compte que les ressources dont l’état passe à Approved et qu’elle ignore les ressources précédemment définies sur Approved.Chapitre 6 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation 89 I Informations détaillées sur la réponse par copie Utilisez une réponse par copie lorsque vous souhaitez copier les éléments identifiés par l’automatisation. Les réglages d’une réponse par copie sont les suivants :  Name : nom de la réponse. C’est le nom qui s’affiche dans la sous-fenêtre Responses de la fenêtre Administration.  Destination Device : périphérique où vous souhaitez copier les éléments.  Destination Subfolder : permet d’activer le bouton Parcourir pour sélectionner un sous-dossier sur le périphérique de destination indiqué dans le champ Destination Device.  Transcode source to : réglage du transcodage à utiliser lors de la copie. Les éléments de cette liste varient en fonction des réglages de transcodage affectés au périphérique sélectionné.  Metadata Set : ensemble de métadonnées à appliquer aux ressources copiées. Sélectionnez None pour que le fichier multimédia soit copié mais pas ajouté en tant que ressource au catalogue Final Cut Server. Les ensembles de métadonnées, qui sont composés de champs et de groupes de métadonnées, définissent les types de métadonnées que vous pouvez ajouter à une ressource. Vous pouvez créer des ensembles de métadonnées, des groupes et des champs personnalisés à l’aide de la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 11, « Gestion des métadonnées », à la page 141.90 Partie I Installation et configuration Important : si le périphérique de destination contient déjà un fichier portant le même nom que celui en cours de copie, les réponses par copie n’écrasent alors pas par défaut le fichier existant mais lui affectent une extension numérotée. Les réponses par copie créées par le biais de la fenêtre Administration du client Final Cut Server peuvent être éventuellement configurées de façon à écraser un fichier portant le même nom qu’un fichier existant. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des réponses par copie » à la page 218. Informations détaillées sur la réponse par courrier électronique Utilisez une réponse par courrier électronique lorsque vous souhaitez envoyer un courrier électronique chaque fois que l’automatisation a détecté un élément qu’elle est censée détecter. Les réglages d’une réponse par courrier électronique sont les suivants :  Name : nom de la réponse. C’est le nom qui s’affiche dans la sous-fenêtre Responses de la fenêtre Administration.  To : adresses électroniques auxquelles le courrier électronique doit être envoyé. Utilisez une virgule pour séparer les adresses, par exemple, rev1@apple.com,rev2@apple.com.  From : adresse électronique de laquelle le courrier électronique doit être envoyé. Il s’agit de l’adresse de réponse à laquelle le destinataire du courrier électronique peut envoyer un courrier électronique, le cas échéant.  Subject : objet du courrier électronique. Vous pouvez saisir des codes pour ajouter automatiquement certaines informations au sujet du courrier électronique.  Body : texte du corps du courrier électronique. Vous pouvez saisir des codes pour ajouter automatiquement certaines informations au courrier électronique.Chapitre 6 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation 91 I  Insert Metadata Field : nom de champ de métadonnées dont les données sont à ajouter au courrier électronique. Ces champs sont indiqués sous forme de texte entre crochets au point d’insertion dans cette sous-fenêtre. Les données d’origine du champ sont remplacées lorsque le courrier électronique est créé et envoyé. Par exemple, vous pouvez ajouter le champ de métadonnées Required reviewers au champ To (il s’affiche alors sous la forme [Required reviewers]) ; lorsque le courrier électronique est envoyé, toutes les adresses électroniques ajoutées au champ Required reviewers de la ressource sont insérées automatiquement dans le champ To. Vous devez prendre en compte les points suivants lorsque vous utilisez la fonction Insert Metadata Field :  Vous pouvez ajouter des champs de métadonnées aux champs To, Subject et Body du courrier électronique.  Si un champ de métadonnées d’une ressource, ajouté au courrier électronique, ne contient aucune donnée, le nom du champ s’affiche entre crochets dans le courrier électronique à la place des données.  Vous pouvez créer des champs de métadonnées personnalisés qui s’affichent dans le menu local Insert Metadata Field. Pour cela, il suffit de les ajouter à un groupe de métadonnées par le biais de la fenêtre Administration. Les champs de métadonnées qui figurent dans cette liste sont les mêmes que ceux se trouvant dans les groupes de métadonnées de la catégorie Custom Metadata (c’est-à-dire, tout groupe pouvant être ajouté à un ensemble de métadonnées). Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Champs de métadonnées » à la page 144.  Outre la possibilité d’ajouter un champ de métadonnées depuis ce menu local, vous pouvez taper manuellement le nom du champ de métadonnées (entre crochets). Pensez à respecter les majuscules lors de la saisie du nom du champ de métadonnées.92 Partie I Installation et configuration Informations détaillées sur la réponse par archivage Utilisez une réponse pour archiver des éléments précis. Les réglages d’une réponse par archivage sont les suivants :  Name : nom de la réponse. C’est le nom qui s’affiche dans la sous-fenêtre Responses de la fenêtre Administration.  Destination Archive Device : périphérique d’archivage à sélectionner dans ce menu local.  Destination Subfolder : permet d’activer le bouton Browse pour sélectionner un sous-dossier sur le périphérique d’archivage de destination indiqué dans le champ Destination Archive Device.Chapitre 6 Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation 93 I Informations détaillées sur la réponse par suppression Utilisez une réponse par suppression pour supprimer des ressources du dossier de surveillance après qu’ils aient été copiés par une réponse par copie. Il n’existe aucun réglage en ce qui concerne la réponse par suppression. Remarque : si vous utilisez des réponses par suppression, elles doivent correspondre aux derniers éléments de la sous-fenêtre Responses. Modification d’une automatisation Vous pouvez modifier un dispositif de surveillance ou une automatisation d’abonnement en utilisant l’Assistant réglages d’automatisation. Cela comprend ceux créés par le biais de l’Assistant réglages d’automatisation et ceux créés par le biais de la fenêtre Administration du client. Par exemple, il peut s’avérer nécessaire de modifier une adresse électronique. Important : si vous avez créé des dispositifs de surveillance et des abonnements par le biais de la fenêtre Administration du client, ceux-ci doivent figurer dans la liste de la sous-fenêtre Automations. Si certains ne s’affichent pas, quittez la fenêtre des Préférences Système, puis rouvrez-la afin d’actualiser la liste. 94 Partie I Installation et configuration Pour modifier une automatisation : 1 Identifiez-vous le cas échéant. 2 Effectuez l’une des opérations ci-dessous.  Double-cliquez sur une automatisation.  Sélectionnez une automatisation, puis cliquez sur le bouton Modifier. L’automatisation s’ouvre dans l’Assistant réglages d’automatisation où vous pouvez apporter les modifications nécessaires. Remarque : vous ne pouvez pas modifier le type d’automatisation (dispositif de surveillance de système de fichiers ou abonnement de métadonnées). Important : en cas de modification d’une automatisation créée par le biais de la fenê- tre Administration du client, vous ne pouvez modifier que les réponses affectées à l’automatisation, limitées à celles par courrier électronique, celles par copie et celles par archivage. Vous pouvez cependant supprimer n’importe quelle réponse (modifiable ou non) depuis l’automatisation. Suppression d’une automatisation Vous pouvez supprimer toute automatisation existante en accédant aux Préférences Système de Final Cut Server, à la sous-fenêtre Automations, puis en cliquant sur le bouton Supprimer (-). Pour supprimer une automatisation à l’aide des Préférences Système : 1 Sélectionnez l’automatisation dans la sous-fenêtre Automations. 2 Effectuez l’une des opérations ci-dessous.  Appuyez sur la touche Supprimer.  Cliquez sur le bouton Supprimer (-). Une zone de dialogue vous avertit que la suppression est irréversible. En outre, elle indique le nombre d’éléments sur le point d’être supprimés. 3 Cliquez sur OK. L’automatisation est supprimée de la liste des périphériques. Vous devez tenir compte des points suivants lors de la suppression d’une automatisation :  Lorsque vous supprimez une automatisation créée à l’aide de l’Assistant réglages d’automatisation, toute réponse créée pour cette automatisation, par l’Assistant réglages d’automatisation, est également supprimée. En revanche, toute réponse que vous créez et ajoutez manuellement à l’automatisation par le biais de la fenêtre Administration du client n’est pas supprimée.  Si vous supprimez une automatisation créée par le biais de la fenêtre Administration du client, aucune réponse s’y rapportant n’est alors supprimée pour autant. 7 95 7 Sauvegarde de Final Cut Server Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Introduction à la sauvegarde de votre système (p. 95)  Stratégies de sauvegarde (p. 96)  Sauvegarde du catalogue Final Cut Server (p. 98)  À propos des fichiers de sauvegarde (p. 99)  Restauration du catalogue Final Cut Server (p. 100) Introduction à la sauvegarde de votre système Final Cut Server comprend une fonction de sauvegarde du catalogue Final Cut Server. La possibilité de restaurer le catalogue à partir de la copie de sauvegarde peut vous aider à refaire fonctionner votre système si vous deviez réinstaller Final Cut Server. La sous-fenêtre Backup permet de créer facilement, manuellement ou automatiquement, des copies de sauvegarde de votre catalogue Final Cut Server. Important : la fonction de sauvegarde se limite au catalogue Final Cut Server ; elle ne sauvegarde pas les ressources ou les projets stockés sur vos périphériques.96 Partie I Installation et configuration Stratégies de sauvegarde Un système Final Cut Server se compose de nombreux fichiers stockés sur divers ordinateurs et périphériques. La sauvegarde de tout le système Final Cut Server peut parfois être difficile, en raison plus particulièrement des fichiers volumineux qu’il peut gérer. Sauvegarde des périphériques La sauvegarde des ressources de vos périphériques n’a rien de compliqué. Vous pouvez utiliser n’importe quel système de sauvegarde pour créer des copies de vos ressources. Si vous sauvegardez vos périphériques et le catalogue Final Cut Server, il est conseillé de les sauvegarder en même temps. De cette manière, vous êtes sûr que les données de la copie de sauvegarde du catalogue correspondent aux ressources des sauvegardes des périphériques. Il est particulièrement important de sauvegarder les périphériques Proxies et Version lors de la sauvegarde du catalogue Final Cut Server. En effet, ces deux périphériques contiennent des ressources particulières exploitées par Final Cut Server et les deux utilisent le système de fichiers Contentbase. Lors de la sauvegarde, il est conseillé de sauvegarder au préalable le catalogue Final Cut Server et de placer le fichier de sauvegarde obtenu sur le même volume que les périphériques Proxies et Version. Une fois le catalogue sauvegardé, vous pouvez le sauvegarder en même temps que les deux périphériques, en suivant les procédures de sauvegarde habituelles. Sauvegarde du catalogue Final Cut Server La sauvegarde du catalogue Final Cut Server ne se limite pas à un ou deux fichiers. C’est pourquoi, Final Cut Server prévoit une fonction de sauvegarde pour automatiser le processus. À la fin de la sauvegarde du catalogue Final Cut Server, vous obtenez un fichier .zip contenant un instantané de tous les paramètres du catalogue Final Cut Server. Cet instantané contient :  tous les groupes et toutes les autorisations associées ;  toutes les métadonnées de toutes les ressources et de tous les projets ;  toutes les automatisations, qu’elles soient créées avec l’Assistant réglages d’automatisation ou par le biais de la fenêtre Administration du client ;  la liste de tous les périphériques et les réglages correspondants, qu’ils soient créés avec l’Assistant réglages de périphérique ou par le biais de la fenêtre Administration du client ;  tous les historiques et toutes leurs entrées relatives aux tâches ;  tous les réglages des préférences. L’objectif de la sauvegarde du catalogue Final Cut Server est de pouvoir restaurer un état antérieur opérationnel en cas de panne sérieuse, telle que la défaillance d’un disque dur. Voici un exemple des étapes à suivre pour récupérer le serveur suite à une panne de disque dur.Chapitre 7 Sauvegarde de Final Cut Server 97 I Étape 1 : Réinstallez Mac OS X sur l’ordinateur La première étape à suivre pour récupérer le système suite à une panne du disque consiste à réinstaller le système d’exploitation Mac OS X v10.5 ou Mac OS X Server v10.5. Étape 2 : Configurez vos groupes tels qu’ils étaient auparavant Une fois restauré, Final Cut Server compte sur les mêmes groupes que ceux disponibles avant la panne. Étape 3 : Restaurez les fichiers Proxy et Version Si vous avez sauvegardé les fichiers Proxy et Version au même moment que vous avez sauvegardé le catalogue Final Cut Server pour la dernière fois (comme cela est recommandé plus haut dans ce manuel), vous devez restaurer ces fichiers. Ils doivent être exactement dans le même état que celui dans lequel ils se trouvaient la dernière fois que vous avez sauvegardé Final Cut Server et dans le même dossier par rapport au dossier racine du disque dur. Final Cut Server se reconnecte automatiquement à ces fichiers lorsque le catalogue est restauré. Étape 4 : Installez Final Cut Server Vous devez réinstaller Final Cut Server en utilisant le disque d’installation original. Tout réglage défini lors du processus d’installation, notamment l’emplacement du serveur proxy, est remplacé par la dernière version enregistrée des réglages lorsque vous restaurez le catalogue Final Cut Server. Important : les fichiers de sauvegarde sont spécifiques à la version de Final Cut Server utilisée lorsque les fichiers sont enregistrés. Avant de restaurer un fichier de sauvegarde, vous devez vérifier que la version de Final Cut Server est exactement identique à celle utilisée lors de la création du fichier de sauvegarde. Cela signifie qu’il peut être nécessaire d’utiliser Mise à jour de logiciels après avoir installé Final Cut Server depuis le disque d’installation original. Veillez à décocher l’élément « Catalog Media device automatically » dans la sous-fenê- tre Profile des réglages du programme d’installation de Final Cut Server pour s’assurer qu’aucune automatisation ne s’exécute pendant le processus de restauration du catalogue. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Démarrage du programme d’installation de Final Cut Server » à la page 26. Étape 5 : Restaurez le catalogue Final Cut Server Une fois l’installation de Final Cut Server terminée, vous pouvez cliquer sur le bouton Restore de la sous-fenêtre Backup des Préférences Système de Final Cut Server. Cela rétablit l’état dans lequel Final Cut Server se trouvait lors du processus de sauvegarde. Remarque : il peut s’avérer nécessaire de réinitialiser les mots de passe réseau des périphériques pour lesquels ils sont requis.98 Partie I Installation et configuration Sauvegarde du catalogue Final Cut Server La fonction de sauvegarde est accessible depuis les Préférences Système de Final Cut Server. Vous pouvez sauvegarder le catalogue Final Cut Server de deux façons : immédiatement ou automatiquement à intervalle régulier. Pour sauvegarder immédiatement le catalogue Final Cut Server : 1 Sélectionnez la sous-fenêtre Backup des Préférences Système de Final Cut Server. 2 Cliquez sur le bouton Back Up Now. Une zone de dialogue s’affiche pour saisir le nom et l’emplacement du fichier de sauvegarde. Important : il est fortement recommandé de ne pas sélectionner un emplacement du fichier de sauvegarde situé sur le même lecteur où Final Cut Server est installé. 3 Cliquez sur le bouton Back Up. Un fichier comprimé portant l’extension « .zip » est créé à l’emplacement spécifié. Chapitre 7 Sauvegarde de Final Cut Server 99 I Pour planifier la sauvegarde du catalogue Final Cut Server : 1 Sélectionnez la sous-fenêtre Backup des Préférences Système de Final Cut Server. 2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+). Cela ajoute une sauvegarde programmée d’après les réglages par défaut. 3 Sélectionnez la sauvegarde programmée dans la liste Scheduled Backups et configurez les réglages de la manière suivante :  Cliquez sur Browse pour ouvrir une zone de dialogue où vous pouvez sélectionner l’emplacement du fichier de sauvegarde. Important : il est fortement recommandé de ne pas sélectionner un emplacement des fichiers de sauvegarde, situé sur le même lecteur où Final Cut Server est installé.  Sélectionnez Day (le catalogue est sauvegardé tous les jours) ou Week (le catalogue est sauvegardé une fois par semaine) dans le menu local Every.  Tapez une heure dans le champ At.  Si vous voulez sauvegarder le catalogue une fois par semaine, sélectionnez le jour de la sauvegarde dans le menu local On. Un fichier comprimé intitulé « Final Cut Server DB Backup on [dossier sélectionné] at [date et heure].zip » est créé à l’emplacement spécifié, à la date et à l’heure spécifiées. Une fois une sauvegarde programmée terminée, le bouton View Log de la sous-fenêtre Backup s’active. Cliquez dessus pour consulter l’historique des sauvegardes programmées ayant eu lieu. À propos des fichiers de sauvegarde Les fichiers de sauvegarde de Final Cut Server n’étant pas des fichiers multimédia, ceux-ci sont relativement peu encombrants. Il est fortement recommandé de sauvegarder les périphériques Proxies et Versions ainsi que le fichier de sauvegarde du catalogue Final Cut Server, peu après avoir sauvegardé le catalogue Final Cut Server. Ces périphériques utilisent le format de système de fichiers Contentbase et comptent sur le fait que le catalogue Final Cut Server reflète exactement leur contenu. La restauration des périphériques et du catalogue à partir de fichiers créés au même moment permet aux données du catalogue Final Cut Server et à celles de ces périphériques de correspondre exactement. Remarque : il est également recommandé de sauvegarder les ressources et les projets de vos autres périphériques.100 Partie I Installation et configuration Restauration du catalogue Final Cut Server La restauration du catalogue Final Cut Server n’est pas compliquée ; cependant, vous devez prendre en compte certains points. À propos de la restauration du catalogue La restauration du catalogue peut entraîner la perte de données.  Si vous restaurez le catalogue sur une nouvelle installation de Final Cut Server, il n’existe pour ainsi dire pas de catalogue et la restauration peut se faire sans risque.  En revanche, si vous restaurez le catalogue sur une installation existante, le catalogue présent est entièrement supprimé avant le début de la restauration. Si les fichiers de restauration ne contiennent pas les données prévues ou ne fonctionnent pas correctement, vous risquez d’aggraver encore votre situation. Pour cette raison, il est fortement recommandé de sauvegarder le Final Cut Server en cours avant de restaurer un fichier de sauvegarde antérieur. Avant de restaurer le catalogue La remise en état du système peut ne pas se limiter à la simple restauration du catalogue. Si vous effectuez une restauration suite à la défaillance d’un disque dur, vous serez amené à reconfigurer certains réglages pour que Final Cut Server fonctionne correctement à nouveau. Utilisateurs et groupes Vous devez configurer les utilisateurs et groupes de votre ordinateur. Si les utilisateurs et les groupes sont configurés sur un autre ordinateur, vous devez simplement vérifier que cet ordinateur a accès à ces informations. La fonction de restauration tente d’affecter les ensembles d’autorisations aux mêmes groupes pour respecter la configuration en place au moment où le fichier de sauvegarde a été créé. Si les utilisateurs et les groupes sont configurés localement sur l’ordinateur, vous devez les reconfigurer de la même manière qu’ils étaient configurés au moment où le fichier de sauvegarde a été créé. Les groupes indisponibles lors du processus de restauration ne sont pas en mesure d’utiliser Final Cut Server tant que vous ne les ajoutez pas manuellement dans les Préférences Système de Final Cut Server. Périphériques Vous devez configurer l’ordinateur de sorte qu’il prenne en charge tout disque dur interne, système Xsan, configuration RAID, volume réseau et lecteur externe que Final Cut Server exploite pour ses périphériques. Si le moindre périphérique se trouve sur un volume protégé par mot de passe, vous devez configurer manuellement ces mots de passe en utilisant l’Assistant réglages de périphérique après avoir restauré le fichier de sauvegarde de Final Cut Server.Chapitre 7 Sauvegarde de Final Cut Server 101 I Remarque : n’oubliez pas qu’une fois la restauration terminée, les périphériques, pour lesquels les automatisations d’analyse complète sont configurées, effectueront cette analyse à la date et à l’heure programmées. Si le périphérique n’est ni disponible, ni configuré correctement, l’analyse risque de vider les ressources du catalogue. Restauration du catalogue La restauration du catalogue Final Cut Server se fait simplement en sélectionnant le fichier de sauvegarde. Pour restaurer le catalogue : 1 Sélectionnez la sous-fenêtre Backup des Préférences Système de Final Cut Server. 2 Cliquez sur le bouton Restore. Une zone de dialogue de sélection de fichier s’affiche. 3 Sélectionnez le fichier de sauvegarde servant à la restauration, puis cliquez sur le bouton Restore. Important : une fois que vous avez cliqué sur le bouton Restore, vous ne pouvez plus annuler le processus. Le catalogue Final Cut Server actuel est supprimé et le catalogue issu du fichier de sauvegarde est ajouté. 8 103 8 Installation de clients Final Cut Server Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Introduction au client Final Cut Server (p. 103)  Utilisation de Java Web Start (p. 104)  À propos des fichiers du client Java Web Start (p. 107) Introduction au client Final Cut Server Le client Final Cut Server est ce qui permet aux utilisateurs d’interagir avec le catalogue Final Cut Server. En outre, il comprend une fenêtre Administration contenant d’autres commandes de configuration du système Final Cut Server (présentées dans la seconde partie de ce manuel, « Administration générale »). Le client Final Cut Server est une application Java compatible avec les systèmes d’exploitation Mac OS X, Windows XP et Windows Vista. Vous pouvez installer le client par le biais d’un processus Java Web Start en saisissant l’emplacement réseau de l’ordinateur Final Cut Server dans un navigateur web. Le navigateur télécharge et installe automatiquement le client. Important : même si le client Final Cut Server peut s’utiliser aussi bien sur des ordinateurs Mac OS X que Windows, certains codecs QuickTime peuvent poser problème. Plusieurs codecs QuickTime sont compatibles avec Mac OS X ou Windows, mais pas avec les deux systèmes d’exploitation. Si ce cas se présente, le fichier multimédia peut ne pas être reconnu ou lu par l’ordinateur du client. Pour obtenir des résultats optimaux, enregistrez et encodez les fichiers multimédia à l’aide de codecs pris en charge par tous les systèmes d’exploitation sur lesquels vous comptez exécuter le client Final Cut Server.104 Partie I Installation et configuration Utilisation de Java Web Start Les clients Final Cut Server s’installent par le biais de Java Web Start. Important : si plusieurs utilisateurs doivent se servir de l’ordinateur sur lequel vous installez le client Final Cut Server, chacun doit installer sa propre copie du client. Installation du client à l’aide de Java Web Start La méthode Java Web Start consiste à saisir une adresse URL dans le navigateur de l’ordinateur. Le format de l’URL est http://nomhôte/FinalCutServer, où nomhôte correspond à l’adresse IP ou au nom de l’ordinateur sur lequel vous avez installé Final Cut Server. Pour installer le client Final Cut Server à l’aide de Java Web Start : 1 Tapez l’adresse URL de l’ordinateur Final Cut Server dans le navigateur de l’ordinateur. Le navigateur affiche une page dotée de boutons et permettant de démarrer le télé- chargement du client Final Cut Server ou d’obtenir des informations complémentaires sur l’installation du client. 2 Cliquez sur le bouton Download pour télécharger le client. Remarque : si vous ne parvenez pas à installer le client Final Cut Server, cliquez sur le bouton Help pour que le navigateur affiche une page contenant d’autres informations d’installation. Un fichier intitulé finalcutserver.jnlp est copié dans le dossier de téléchargement ou dans le dossier temporaire du navigateur, selon la configuration du navigateur. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des fichiers du client Java Web Start » à la page 107. En outre, le navigateur accède à une page illustrant le processus d’installation du client. Une fois le téléchargement terminé, une zone de dialogue vous demande si l’application téléchargée provient d’une source fiable.Chapitre 8 Installation de clients Final Cut Server 105 I Remarque : double-cliquez sur le fichier finalcutserver.jnlp pour ouvrir manuellement Java Web Start si l’application ne s’ouvre pas automatiquement. 3 Cliquez sur Se fier pour poursuivre l’installation du client. ∏ Conseil : vous pouvez configurer cet ordinateur pour qu’il fasse automatiquement confiance à ce certificat en cliquant sur le bouton Afficher le certificat, sur le triangle d’affichage Réglages de confiance et en sélectionnant Toujours approuver dans le menu local When using this certificate. Une zone de dialogue vous demande si souhaitez créer un raccourci sur le bureau pour le client Final Cut Server. Important : l’installation du client Final Cut Server ne peut se faire que par l’utilisateur dont la session est actuellement ouverte sur cet ordinateur. Il n’est pas recommandé d’ajouter un raccourci d’accès au dossier Applications de l’ordinateur car le raccourci ne peut pas fonctionner pour les autres utilisateurs qui ouvrent une session sur cet ordinateur.106 Partie I Installation et configuration 4 Effectuez l’une des opérations ci-dessous.  Pour créer un raccourci : cliquez sur Yes. Une nouvelle zone de dialogue s’ouvre où vous devez saisir un nom et un emplacement pour le raccourci. Vous pouvez faire glisser ce raccourci sur le Dock pour pouvoir ouvrir le client Final Cut Server plus facilement.  Pour poursuivre l’installation sans créer de raccourci : cliquez sur No. Dans ce cas, vous devez utiliser le navigateur ou double-cliquer sur le fichier finalcutserver.jnlp pour lancer le client Final Cut Server. Pour en savoir plus sur le fichier finalcutserver.jnlp, consultez la rubrique « À propos des fichiers du client Java Web Start » à la page 107.  Pour configurer la fenêtre des préférences Java : cliquez sur Configure. Remarque : il n’est en général pas nécessaire de modifier les préférences Java ; cela est réservé aux utilisateurs expérimentés. La fenêtre d’ouverture de session du client Final Cut Server s’ouvre. Remarque : si le client est lancé pour la première fois sur cet ordinateur, une zone de dialogue de contrat de licence s’affiche. Cliquez sur Agree pour accéder à la fenêtre d’ouverture de session du client. 5 Le cas échéant, tapez le nom de l’ordinateur équipé de Final Cut Server dans le champ Server. Le nom s’affiche généralement automatiquement dans ce champ. 6 Tapez votre nom d’utilisateur dans le champ Username. 7 Tapez votre mot de passe dans le champ Password. 8 Cliquez sur Log In. Le client Final Cut Server s’ouvre. Pour en savoir plus sur l’utilisation du client, consultez le Manuel de l’utilisateur de Final Cut Server.Chapitre 8 Installation de clients Final Cut Server 107 I À propos des fichiers du client Java Web Start Lors de l’installation du client Final Cut Server par la méthode Java Web Start, un ou deux fichiers sont installés sur votre système :  finalcutserver.jnlp : ce fichier est automatiquement copié dans le dossier de téléchargement ou dans le dossier temporaire du navigateur. Ce fichier permet de créer le fichier Final Cut Server.app. Vous pouvez double-cliquer sur le fichier finalcutserver.jnlp pour ouvrir le client Final Cut Server si vous ne souhaitez pas créer de raccourci vers Final Cut Server. Si vous avez créé des raccourcis Final Cut Server, vous pouvez supprimer ces éléments. Remarque : ce fichier est téléchargé chaque fois que vous utilisez votre navigateur pour installer le client ; un tiret et un chiffre sont ajoutés au nom du fichier s’il est déjà emprunté. Important : si le réglage du navigateur qui désactive l’exécution des fichiers de source fiable après leur téléchargement est activé, vous devez double-cliquer sur le fichier finalcutserver.jnlp pour installer le client.  Final Cut Server.app : il s’agit du fichier du raccourci créé par le programme d’installation du client si vous avez indiqué de créer le raccourci, par exemple, dans le but de renommer le fichier. Vous pouvez double-cliquer sur ce fichier pour ouvrir le client Final Cut Server. Vous pouvez également faire glisser ce raccourci sur le Dock pour pouvoir ouvrir le client plus facilement. Chaque fois que vous ouvrez le client Final Cut Server, il vérifie auprès du serveur s’il existe une version plus récente du client. Dans le cas contraire, le client téléchargé s’ouvre. Si une version plus récente est disponible, elle est automatiquement téléchargée et ouverte.II Partie II : Administration générale Cette partie du manuel traite en détail la personnalisation de Final Cut Server afin de l’adapter à vos besoins. Chapitre 9 Réglages généraux et préférences Chapitre 10 Groupes et autorisations Chapitre 11 Gestion des métadonnées Chapitre 12 Gestion des périphériques Chapitre 13 Gestion des réglages de transcodage Chapitre 14 Gestion des automatisations Chapitre 15 À propos des tâches et des historiques Glossaire Index9 111 9 Réglages généraux et préférences Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Vue d’ensemble de l’administration de Final Cut Server (p. 111)  Utilisation de la fenêtre Administration (p. 117)  Réglages de préférences dans la fenêtre Administration du client Final Cut Server (p. 119)  Réglages des préférences personnalisables (p. 125)  Fonctions client uniquement accessibles par l’administrateur (p. 127)  À propos de la prise en charge Unicode (p. 128) Vue d’ensemble de l’administration de Final Cut Server La configuration et l’administration de Final Cut Server s’exercent dans trois domaines principaux. Important : ce manuel suppose que vous êtes familiarisé avec les opérations Final Cut Server. Pour connaître tous les détails sur l’utilisation de Final Cut Server, consultez le Manuel de l’utilisateur de Final Cut Server.112 Partie II Administration générale Sous-fenêtre Comptes des Préférences Système La sous-fenêtre Comptes des Préférences Système sur l’ordinateur hébergeant Final Cut Server permet de gérer les groupes et les comptes utilisateurs locaux. Après avoir ajouté des utilisateurs et formé des groupes dans la sous-fenêtre Comptes, vous pouvez les ajouter à Final Cut Server, puis affecter leurs autorisations soit à l’aide des Préférences Système de Final Cut Server, soit à l’aide de la fenêtre Administration du client. Réglages de Mac OS X Server Dans Mac OS X Server, le Gestionnaire de groupe de travail permet de gérer les groupes et les comptes utilisateurs de Final Cut Server. Après avoir ajouté des utilisateurs et formé des groupes à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez les ajouter à Final Cut Server, puis affecter leurs autorisations soit à l’aide des Préférences Système de Final Cut Server, soit à l’aide de la fenêtre Administration du client.Chapitre 9 Réglages généraux et préférences 113 II Pour en savoir plus, consultez le chapitre 4, « Ajout d’utilisateurs et de groupes », à la page 49. Préférences Système de Final Cut Server Les Préférences Système de Final Cut Server vous permettent de configurer les réglages Final Cut Server les plus courants. Plusieurs sous-fenêtres comportent des assistants réglages qui vous aident à ajouter des périphériques et des dispositifs de surveillance. Important : pour vos tâches d’administration, il est fortement recommandé d’utiliser autant que possible les réglages issus des Préférences Système de Final Cut Server. Les Préférences Système de Final Cut Server comportent les groupes de réglages suivants :  General : les réglages généraux comportent le bouton Final Cut Server Start/Stop et d’autres réglages de base dont la plupart se retrouvent dans la fenêtre Administration du client. Pour en savoir plus sur les réglages généraux, consultez « Réglages de la sous-fenêtre General » à la page 42.114 Partie II Administration générale  Group Permissions : les réglages Autorisations de groupe permettent de choisir les groupes Mac OS X qui utiliseront Final Cut Server. Pour en savoir plus sur la configuration des groupes, consultez le chapitre 4, « Ajout d’utilisateurs et de groupes », à la page 49.  Devices : les réglages Devices permettent d’ajouter et de configurer des périphériques à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique. Pour en savoir plus sur la gestion de périphériques, consultez le chapitre 5, « Utilisation de Device Setup Assistant », à la page 63 et le chapitre 12, « Gestion des périphériques », à la page 171.Chapitre 9 Réglages généraux et préférences 115 II  Automations : les réglages Automations permettent d’ajouter et de configurer les actions des dispositifs de surveillance et des réponses à l’aide de l’Assistant réglages d’automatisation. Pour en savoir plus sur l’automatisation de Final Cut Server, consultez le chapitre 6, « Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation », à la page 81 et le chapitre 14, « Gestion des automatisations », à la page 203.  Backup : les réglages Backup permettent d’ajouter et de configurer des opérations de sauvegarde automatique du catalogue de Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 7, « Sauvegarde de Final Cut Server », à la page 95.116 Partie II Administration générale Fenêtre Administration du client Final Cut Server La fenêtre Administration du client Final Cut Server contient des réglages extrêmement détaillés ainsi que des configurations couvrant tous les aspects de Final Cut Server. Vous ne devez toutefois accéder à cette fenêtre que dans les cas de configurations avancées. Lorsque vous ouvrez une session sur un client Final Cut Server par le biais de privilèges administrateur, un élément Administration apparaît dans le menu local Server (il s’agit du menu local de la fenêtre principale de Final Cut Server qui apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Server). L’élément Administration ouvre la fenêtre du même nom. Un avertissement vous demande de confirmer l’accès à la fenêtre. Cliquez sur Continue pour l’ouvrir. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Utilisation de la fenêtre Administration, ». Cliquez sur le bouton Server et choisissez Administration dans le menu local.Chapitre 9 Réglages généraux et préférences 117 II Utilisation de la fenêtre Administration La fenêtre Administration comprend plusieurs sous-fenêtres permettant de configurer votre système Final Cut Server. La colonne située à gauche contient une liste de sous-fenêtres auxquelles vous pouvez accéder et dans lesquelles vous pouvez configurer ce qui suit :  Group Permissions : permet de définir des groupes d’utilisateurs et des autorisations de sécurité.  Permission Set : configure les réglages d’autorisation.  Metadata Field : définit le champ des métadonnées utilisées partout dans Final Cut Server.  Metadata Group : définit des groupes de champs de métadonnées connexes.  Metadata Map : permet de maintenir à jour les associations entre les champs de métadonnées standard et les champs personnalisés.  Lookup : définit la valeur des références permettant de valider les champs de métadonnées.  Devices : définit les périphériques de création, de montage, de stockage ou de lecture et sortie, connectés à Final Cut Server.  Metadata Sets : définit les différents ensembles de métadonnées à appliquer aux ressources et aux productions.  Transcode Settings : permet de définir des réglages de transcodage de copie de données et les affecter aux périphériques.  Log : entraîne l’affichage des historiques de Final Cut Server.  Watcher : définit des dossiers de surveillance utilisés pour automatiser le transfert de données. Employez ces commandes de présentation de page lorsque vous utilisez des listes longues. Sélectionnez dans cette liste une sous-fenêtre à configurer. La plupart des sous-fenêtres possèdent le bouton Créer pour vous permettre d’ajouter des éléments à la sous-fenêtre. Vous pouvez utiliser le champ de recherche et diverses commandes pour répertorier des éléments particuliers.118 Partie II Administration générale  Subscription : définit des règles d’abonnement utilisées pour personnaliser le flux de production dans Final Cut Server.  Schedule : définit des événements programmés.  Response : définit des réponses Final Cut Server aux événements programmés, aux abonnements et aux dispositifs de surveillance.  Preferences : permet de définir des réglages de préférences d’administration Final Cut Server. Si certaines sous-fenêtres comportent peu d’éléments, d’autres en incluent beaucoup. Dans le cas de ces dernières, la fenêtre Administration répartit les éléments sur plusieurs pages et prévoit des boutons supplémentaires pour la navigation entre les pages. La plupart des sous-fenêtres comportent un bouton Créer qui vous permet d’ajouter des éléments. La fenêtre Administration comporte également une fonction de recherche. La recherche vous permet de trouver rapidement des éléments spécifiques dans la liste. Vous pouvez cliquer sur le triangle d’affichage pour visualiser les options de recherche avancée. Ces options varient selon la sous-fenêtre utilisée. Utilisez ce menu local pour choisir la page à atteindre répertoriant les éléments. La plupart des sous-fenê- tres possèdent le bouton Créer pour vous permettre d’ajouter des élé- ments à la sous-fenêtre. Utilisez ces flèches pour afficher la page suivante ou la page précédente de la liste. Options de recherche avancée Cliquez sur cette croix pour effacer le champ de recherche. Saisissez le texte à rechercher dans ce champ. Cliquez sur le triangle d’affichage pour visualiser les options de recherche avancée.Chapitre 9 Réglages généraux et préférences 119 II Remarque : les réglages de préférences utilisateur définissent le nombre d’éléments trouvés lorsque vous effectuez une recherche, ainsi que le nombre d’éléments qui apparaissent dans chaque page. Il est possible d’augmenter ces réglages pour afficher un plus grand nombre d’éléments, ce qui s’avère pratique lorsque vous utilisez des champs de métadonnées et des groupes. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réglages des préférences personnalisables » à la page 125. Important : certaines modifications effectuées dans la fenêtre Administration n’apparaissent pas immédiatement dans le client Final Cut Server. Pour qu’elles prennent effet, vous devez fermer la session puis la rouvrir pour entraîner l’ouverture d’un nouveau client Final Cut Server. Remarque : les éléments signalés d’un astérisque (*) demandent à être configurés. Réglages de préférences dans la fenêtre Administration du client Final Cut Server La sous-fenêtre des préférences de la fenêtre Administration du client Final Cut Server reprend la plupart des réglages de la sous-fenêtre General des Préférences Système de Final Cut Server. Elle comporte également un grand nombre de réglages supplémentaires. Sélectionnez Preferences pour visualiser la sousfenêtre du même nom. Choisissez un ensemble de préférences à afficher dans la sous-fenêtre.120 Partie II Administration générale Réglages des préférences globales La sous-fenêtre Global Preferences contient les réglages les plus courants. Nombre de ces réglages sont ceux de la sous-fenêtre General des Préférences Système de Final Cut Server. Les réglages de la sous-fenêtre Global Preferences sont les suivants :  SMTP Server : nom du serveur SMTP sortant utilisé pour envoyer les courriers électroniques. Ce réglage est également configuré au cours du processus d’installation de Final Cut Server. si vous n’avez rempli ce champ lors de l’installation, le réglage par défaut « localhost » s’applique, lequel peut être précisé également si l’ordinateur fonctionne sous Mac OS X Server v10.5. Il est alors configuré en tant que serveur de messagerie électronique SMTP. Final Cut Server peut être configuré de façon à envoyer des notifications sous forme de courrier électronique pour diverses raisons, telles que la disponibilité d’un ensemble de ressources pour leur passage en revue. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des réponses par courrier électronique » à la page 220.  Max Running Jobs : nombre maximal de tâches pouvant s’exécuter simultanément sur Final Cut Server. La plupart des équipements limiteront ce réglage à 20 tâches.  Retry Count : nombre de tentatives de relance d’une tâche échouée.  Retry Timeout : durée, exprimée en secondes, avant un nouvel essai.  Image Sequence Video Frame Rate : fréquence d’images à employer avec des séquences d’images fixes.  Default Media Metadata Set : sélectionnez l’ensemble de métadonnées par défaut à appliquer aux données du projet Final Cut Pro.Chapitre 9 Réglages généraux et préférences 121 II Réglages des préférences de Compressor La sous-fenêtre Compressor comporte un menu local qui permet de choisir la grappe de serveurs à utiliser pour toute opération de transcodage. Les choix disponibles dépendent de votre configuration Compressor. Pour en savoir plus sur la configuration de grappes de serveurs, consultez la documentation de Compressor accessible depuis le menu Aide de Compressor. Pour en savoir plus sur la création d’un QuickCluster personnalisé à utiliser avec Final Cut Server, consultez également la rubrique « À propos de Final Cut Server et Compressor » à la page 34. Remarque : le champ Compressor Cluster Password s’active uniquement si vous choisissez une grappe de serveurs protégée par mot de passe. Important : dans le menu local Compressor Cluster Name, l’élément This Computer ne se réfère pas en fait à l’ordinateur utilisé par le client Final Cut Server mais à l’ordinateur installé sur Final Cut Server. Réglages des préférences Proxys La sous-fenêtre Proxys comporte des menus locaux permettant de choisir les périphériques qui stockent vos proxys habituels et éventuellement les proxys de codec Apple ProRes 422. Chacun de ces périphériques est en fait créé au cours du processus d’installation. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Démarrage du programme d’installation de Final Cut Server » à la page 26.122 Partie II Administration générale Les réglages de la sous-fenêtre Proxies sont les suivants :  Proxy Device : périphérique à sélectionner dans le menu local pour le stockage des fichiers proxy habituels (périphériques Contentbase uniquement).  Enable Edit Proxies : case indiquant à Final Cut Server de créer automatiquement des fichiers proxy Apple ProRes 422 (en plus des fichiers proxy normaux), chaque fois que vous téléchargez un projet Final Cut Pro dans le catalogue Final Cut Server. Le codec Apple ProRes 422 permettant d’atteindre des fichiers de taille fortement réduite tout en gardant une qualité proche de celle des données d’origine, cette option s’avère très pratique lorsque vous manipulez des projets Final Cut Pro comportant du contenu HD ou SD non compressé. Remarque : ce réglage est issu du processus d’installation de Final Cut Server.  Edit Proxy Device : sélectionnez un périphérique dans le menu local pour le stockage des fichiers proxy Apple ProRes 422 (périphériques Contentbase uniquement). Important : si vous modifiez l’un des réglages de périphérique, assurez-vous que les périphériques d’origine restent accessibles. Dans le cas contraire, vous devez recréer les fichiers proxy qui y sont stockés à l’aide de la fonction d’analyse, ce qui peut prendre du temps. Il est recommandé de ne modifier ces périphériques qu’en cas de nécessité absolue. Une autre méthode consiste à déplacer le périphérique Proxies ou Edit Proxies vers un autre emplacement, sur un disque dur plus grand par exemple, puis à modifier le réglage Local Directory du périphérique, accessible depuis la fenêtre Administration du client Final Cut Server, dans la sous-fenêtre Devices. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Modification d’un périphérique à partir de la fenêtre Administration » à la page 176. Remarque : la fenêtre Administration du client permet de créer, dans votre système de fichiers, des périphériques qui conviennent à l’utilisation d’Edit Proxy. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Contentbase » à la page 182. À propos du périphérique Proxy Le périphérique Proxy par défaut s’intitule Proxies et se situe à l’emplacement spécifié par l’entrée Proxy Media Location dans le programme d’installation. Chaque fois que vous téléchargez une ressource dans le catalogue Final Cut Server, un ensemble de fichiers en faible résolution est créé. Les vignettes, les affiches et les proxy des plans sont stockés dans le périphérique Proxies. Ils sont utilisés à la place des ressources normales en pleine résolution lorsque leur version en faible résolution est suffisante. Pour en savoir plus sur la configuration des formats de proxy, consultez la rubrique « Réglages des préférences Analyze » à la page 124.Chapitre 9 Réglages généraux et préférences 123 II À propos du périphérique Edit Proxy Le périphérique Edit Proxy par défaut s’intitule Edit Proxies et se situe à l’emplacement spécifié par l’entrée Production Media Location dans le programme d’installation. Chaque fois que vous téléchargez un projet Final Cut Pro, Final Cut Server peut créer des proxys à l’aide du format vidéo Apple ProRes 422 (selon que la case Edit Proxies est cochée ou non). Ces fichiers proxy sont stockés sur le périphérique Edit Proxies. Lorsque vous exportez ou réservez l’usage d’un projet Final Cut Pro du catalogue Final Cut Server qui possède des fichiers codec Apple ProRes 422, vous pouvez indiquer de télécharger les fichiers de données d’origine ou les fichiers proxy Apple ProRes 422. Réglages des préférences du contrôle des versions La sous-fenêtre Version Control comporte des réglages pour la configuration de Final Cut Server, permettant de gérer les versions des ressources et des productions. Les réglages de la sous-fenêtre Version Control sont les suivants :  Control Device : périphérique à choisir dans le menu local pour le stockage des copies de sauvegarde des ressources (périphériques Contentbase uniquement). Le programme d’installation de Final Cut Server crée automatiquement un périphérique Version qui est sélectionné d’office ici. Pour en savoir plus, consultez « Configuration du périphérique Version » à la page 178.  Control Limit : nombre maximal de versions associables à une ressource. Une fois la limite atteinte, les copies les plus anciennes sont supprimées au fur et à mesure que vous en ajoutez des nouvelles. Important : n’oubliez pas que chaque version requiert un espace disque égal à celui de la version d’origine. Des versions en grand nombre peuvent nécessiter un espace disque non négligeable, particulièrement lorsque vous manipulez des fichiers vidéo volumineux.124 Partie II Administration générale Réglages des préférences Analyze La sous-fenêtre Analyze permet de configurer les différents types de format de proxy lorsqu’une ressource est ajoutée au catalogue. Pour chaque élément de la liste, vous pouvez choisir un format à utiliser pour la repré- sentation de cette ressource. Il existe deux types de données : image et plan vidéo. Les réglages de la sous-fenêtre Analyze sont les suivants :  Thumbnails : petites images qui apparaissent dans la présentation en vignette de la fenêtre principale du client.  Poster Frame : images en pleine résolution qu’un utilisateur peut exporter à partir de la fenêtre principale. Une affiche sert de version générique, par exemple une version JPEG. Vous pouvez l’utiliser à la place de la ressource d’origine. Celles-ci sont particulièrement utiles lorsque la ressource d’origine est encodée dans un format proprié- taire et que vous souhaitez la visualiser sur un ordinateur ne prenant pas en charge ce format.  Key-channel Poster Frame : pour des images uniquement. Celles-ci sont identiques aux affiches normales, sauf qu’elles contiennent un canal alpha.  Clip Proxy : pour les plans vidéo uniquement. Les proxys de plan sont des représentations en faible résolution des ressources, utilisées chaque fois qu’il n’est pas nécessaire de recourir à la copie en pleine résolution de la ressource. Ces proxys de plans sont copiés sur votre système lorsque vous prévisualisez une ressource dans la fenê- tre principale. Final Cut Server détecte automatiquement les proportions de la vidéo et ajuste celles du plan vidéo proxy en conséquence. Remarque : les options disponibles pour le transcodage du plans vidéo sont déterminées par les réglages mis en place dans Compressor. Vous pouvez créer des réglages supplémentaires dans Compressor afin de personnaliser vos options de transcodage. Pour en savoir plus, consultez la documentation de Compressor accessible depuis le menu Aide de Compressor.Chapitre 9 Réglages généraux et préférences 125 II  Clip Edit Proxy : pour les plans vidéo téléchargés à l’aide d’un projet Final Cut Pro uniquement. Ce réglage fournit un format de proxy à utiliser lors de l’exportation ou du retrait d’un projet Final Cut Pro. Le réglage par défaut est Apple ProRes 422 Clip Edit Proxy ; ce codec de qualité moyenne prend en charge des formats de haute définition. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réglages des préférences Proxys » à la page 121. Réglages des préférences personnalisables Outre les Préférences Système de Final Cut Server et les sous-fenêtres Preferences de la fenêtre Administration du client, il existe un troisième ensemble de préférences destinées aux utilisateurs pour les aider à personnaliser leur utilisation de Final Cut Server. Ces préférences s’appliquent uniquement à un seul utilisateur, pour un client spécifique sur un ordinateur précis (si l’utilisateur ouvre une session client sur un autre ordinateur, les réglages des préférences utilisateur ne sont pas répercutés). Pour configurer les réglages des préférences utilisateur, procédez de l’une des manières suivantes : m Sélectionnez Final Cut Server > Preferences. m Choisissez Preferences dans le menu local Server (celui qui apparaît dans la fenêtre principale de Final Cut Server lorsque vous cliquez sur le bouton Server). La fenêtre Preferences se compose de deux sections : Searching et Local Media Storage. Après avoir configuré les réglages, cliquez sur le bouton Apply Changes pour les enregistrer.126 Partie II Administration générale Réglages de Searching Les réglages de Searching permettent à l’utilisateur de personnaliser l’affichage des résultats. Cela peut s’avérer utile selon la taille de votre écran. Les réglages de la section Searching sont les suivants :  Maximum # of Search Results : valeur représentant le nombre maximal d’éléments qui apparaissent après une recherche.  Items Per Page : résultats de la recherche répartis sur plusieurs pages afin de rendre l’affichage plus efficace. Vous pouvez saisir une valeur qui définit le nombre d’élé- ments présentés sur chaque page.  Remember the last search : case indiquant à Final Cut Server de mémoriser la dernière recherche effectuée pour l’exécuter à l’ouverture de session suivante. Réglages de Local Media Storage Les réglages Local Cache permettent à un utilisateur de choisir un emplacement de disque pour les opérations relatives au cache :  Save cached files to : le bouton Choose permet de sélectionner un emplacement pour le stockage de vos caches. Les emplacements par défaut sont /nom d’utilisateur/ Bibliothèque/Caches/ lorsque le client s’exécute sur un ordinateur Macintosh et le répertoire \nom d’utilisateur\AppData\Roaming/com.apple.FinalCutServer/cache sur un ordinateur Windows. Dans les deux cas, les fichiers cache figurent à cet emplacement dans un dossier portant le nom de l’ordinateur serveur. Important : le changement de l’emplacement du cache conduit à l’indisponibilité de tous les caches actifs.  Maximum Cache Size : valeur définissant la taille maximale de cache.  Current Cache Size : taille actuelle du cache.  Clear Cache : cette option permet de supprimer tous les caches de l’emplacement.  Saved aliases for prepared media files : le bouton Choose permet de sélectionner un emplacement pour le stockage d’alias dans les fichiers cache. Cet emplacement est utilisé lorsque vous choisissez l’option « Prepare for Disconnected Use » pour des ressources. Remarque : les ressources de l’ordinateur client gérées par Final Cut Server sont stockées à l’emplacement spécifié en tant qu’emplacement de cache. Cet emplacement sert à Final Cut Server uniquement. Ainsi, il peut s’avérer difficile d’y retrouver des ressources. L’option « Prepare for Disconnected Use » crée des alias pointant vers les ressources dans le cache, il est ainsi beaucoup plus facile de les ajouter aux projets Final Cut Pro lorsque vous n’êtes pas connecté à Final Cut Server.  Clear Aliases : cette option permet de supprimer tous les alias de l’emplacement.Chapitre 9 Réglages généraux et préférences 127 II Fonctions client uniquement accessibles par l’administrateur La fenêtre Administration comporte d’autres fonctions client Final Cut Server que seul un utilisateur connecté avec des privilèges d’administration peut effectuer. Analyse manuelle des ressources Lorsque des ressources sont ajoutées au catalogue Final Cut Server, elles sont automatiquement analysées. Ce processus extrait différentes métadonnées de la ressource et crée les fichiers proxy de la ressource (copies en faible résolution). Il peut être parfois nécessaire d’analyser à nouveau une ressource. Par exemple, vous pouvez modifier les réglages dans la sous-fenêtre Analyze des préférences de la fenê- tre Administrator. Si l’utilisateur, dont la session est ouverte, possède des privilèges d’administration, il peut analyser une ressource à partir de la fenêtre principale du client. Pour analyser manuellement une ressource : 1 Dans la fenêtre principale du client, sélectionnez la ressource à analyser. 2 Cliquez sur la ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Analyze dans le menu contextuel. Lors de l’analyse, des fichiers proxy sont créés pour la ressource. Pour en savoir plus sur la sous-fenêtre Analyze Preferences, consultez la rubrique « Réglages des préférences Analyze » à la page 124. Annulation de la réservation ou du verrouillage d’une ressource De manière générale, l’utilisateur qui réserve l’usage d’une ressource est le seul qui puisse la libérer ou annuler la réservation de son usage exclusif. De même, si un utilisateur verrouille une ressource, il est le seul à pouvoir la déverrouiller. Il existe cependant une exception à cela : lorsque l’utilisateur bénéficie de privilèges d’administration. En effet, l’utilisateur peut dans ce cas passer outre la réservation ou le verrou le cas échéant. Pour passer outre la réservation ou le verrou appliqué à une ressource : 1 Double-cliquez sur la ressource pour ouvrir la fenêtre de ses détails. 2 Cliquez sur le bouton Locks pour accéder à la sous-fenêtre du même nom. 3 Cliquez sur le bouton Cancel. Les administrateurs peuvent cliquer sur ce bouton pour annuler ce verrou. Cliquez sur Locks pour visualiser l’état de verrouillage d’une ressource.128 Partie II Administration générale À propos de la prise en charge Unicode Final Cut Server peut stocker des métadonnées texte sous forme de caractères Unicode encodés en UTF-8. Cela signifie qu’il peut prendre en charge un grand nombre de jeux de caractères multi-octets, notamment les jeux de caractères chinois, japonais et coréens. Les métadonnées Unicode peuvent être stockées, modifiées et faire l’objet de recherches par le biais de l’interface utilisateur de Final Cut Server. De plus, le client Final Cut Server peut utiliser les réglages locaux du système d’exploitation sur lequel il est installé. En plus de l’affichage des caractères chinois, japonais et coréens, le client Final Cut Server utilise des réglages régionaux tels que des formats de dates et de nombres lors de l’affichage des données. Lors de l’écriture de données sur des périphériques de stockage, Final Cut Server se limite aux capacités et à ce que propose l’API (Application Programming Interface) de chaque périphérique. À l’heure actuelle, Final Cut Server prend en charge les caractè- res Unicode sur les périphériques Filesystem et Contentbase. Pour en savoir plus sur ces types de périphériques, consultez la rubrique « Informations détaillées sur le type de périphérique » à la page 182. D’un point de vue technique, le serveur Final Cut Server utilise l’encodage UTF-32 en interne pour représenter toutes ses métadonnées, puis les convertit en UTF-8 pour l’écriture dans le catalogue, pour la transmission des métadonnées à l’interface utilisateur du client ou pour l’interaction des agents avec les périphériques (si ces derniers prennent en charge l’encodage Unicode). Lors des échanges avec les périphériques, le serveur Final Cut Server transcode les fichiers dans le format d’encodage spécifié à chaque fois que ceux-ci sont déplacés. La prise en charge de l’encodage pour les périphériques comprend tous les types Unicode, les encodages Windows et les encodages courants chinois, japonais et coréens. Remarque : il est essentiel d’installer la version native du langage Java sur tout ordinateur qui requiert la prise en charge d’Unicode dans l’interface utilisateur. Il est également important que le système d’exploitation prenne en charge la langue et le jeu de caractères. Pour en savoir plus, consultez l’Aide Mac et les sites web Sun relatifs à Java.10 129 10 Groupes et autorisations Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos des groupes et autorisations (p. 129)  Ajout de groupes à Final Cut Server (p. 130)  Ajout et gestion d’ensembles d’autorisations (p. 132) À propos des groupes et autorisations Pour être en mesure d’utiliser Final Cut Server, vous devez ajouter au moins un groupe contenant au moins un utilisateur. Dans la plupart des cas, vous serez toutefois amené à créer plusieurs groupes, chacun configuré avec des autorisations différentes, puis ajouterez les utilisateurs appropriés aux différents groupes. La création des groupes et des utilisateurs se fait soit dans la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système de Mac OS X Server, soit dans le Gestionnaire de groupe de travail. Dans Final Cut Server, vous pouvez choisir les groupes à utiliser et affecter un ensemble d’autorisations à chacun des groupes. Consultez le chapitre 4, « Ajout d’utilisateurs et de groupes », à la page 49 pour en savoir plus sur l’utilisation de la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système, le Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server et sur l’utilisation des Préférences Système de Final Cut Server pour ajouter des groupes et leur affecter des ensembles d’autorisations. Le présent chapitre couvre l’ajout de groupes et l’affectation d’ensembles d’autorisations à l’aide de la fenêtre Administration du client de Final Cut Server. Il couvre aussi la création d’ensembles d’autorisations personnalisés, ce qui vous permet de définir exactement l’accès de chaque groupe au catalogue Final Cut Server. 130 Partie II Administration générale Ajout de groupes à Final Cut Server Une fois terminé la configuration de vos groupes dans le Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez enfin les ajouter à Final Cut Server. Vous pouvez ajouter les groupes à l’aide des Préférences Système de Final Cut Server sur le serveur ou passer par la fenêtre Administration du client. Consultez la rubrique « Ajout de groupes à Final Cut Server » à la page 58 pour en savoir plus sur l’utilisation des Préférences Système de Final Cut Server pour l’ajout de groupes à Final Cut Server et l’affectation d’ensembles d’autorisations à ces groupes. Pour ajouter un groupe à Final Cut Server par le biais de la fenêtre Administration : 1 Ouvrez un client Final Cut Server et ouvrez une session en tant qu’utilisateur possédant des autorisations administrateur. 2 Choisissez Administration dans le menu local Server (celui qui apparaît dans la fenêtre principale de Final Cut Server lorsque vous cliquez sur le bouton Server). La fenêtre Administration apparaît. Cliquez sur le bouton Server et choisissez Administration dans le menu local.Chapitre 10 Groupes et autorisations 131 II 3 Cliquez sur Group Permissions dans la colonne de gauche pour ouvrir la sous-fenêtre Group Permissions. La sous-fenêtre Group Permissions répertorie les groupes Final Cut Server existants et le numéro de l’ensemble d’autorisations qui leur a été affecté. 4 Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouveau groupe. La fenêtre Group Permissions apparaît. 5 Choisissez le groupe à ajouter à l’aide du menu local Name. 6 Choisissez un ensemble d’autorisations dans le menu local Permission Set. 7 Cliquez sur Save Changes. La fenêtre Group Permissions se ferme. Pour afficher le nouveau groupe dans la sousfenêtre Group Permissions, cliquez sur le bouton Search. Cliquez sur Group Permissions pour afficher la sous-fenêtre du même nom. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouveau groupe et définir ses autorisations.132 Partie II Administration générale Ajout et gestion d’ensembles d’autorisations Un ensemble d’autorisations est affecté à chaque groupe. Un ensemble d’autorisations définit une grande variété de réglages en matière d’autorisations, notamment pour le filtrage des ressources et des productions. Important : l’ensemble d’autorisations « admin » est le seul qui donne accès à la fenê- tre Administration du client. Même si vous dupliquez l’ensemble d’autorisations « admin », cette copie n’a pas non plus accès à la fenêtre Administration. À propos des ensembles d’autorisations par défaut Le programme d’installation de Final Cut Server crée automatiquement six ensembles d’autorisations.  admin : seul ensemble d’autorisations permettant d’ouvrir la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Il donne accès à tous les aspects du système Final Cut Server. Il est recommandé de ne l’affecter qu’à des groupes d’utilisateurs capables d’administrer l’intégralité du système Final Cut Server.  artist, manager et editor : ensembles d’autorisations tous identiques et permettant l’accès à tous les aspects du système Final Cut Server à l’exception de ceux dédiés à l’ensemble d’autorisations admin. Ces trois ensembles d’autorisations sont destinés à vous donner un point de départ pour la création d’ensembles d’autorisations spécifiques à différents groupes d’utilisateurs. Par exemple, il peut s’avérer judicieux de modifier l’ensemble d’autorisations Artist de façon à ce que ses utilisateurs ne puissent accéder qu’aux périphériques qui contiennent les images sur lesquelles ils travaillent.  reviewer : ensemble d’autorisations ne permettant pas la création, la suppression, le catalogage ou la modification des ressources du catalogue Final Cut Server. L’ensemble d’autorisations reviewer ne peut afficher que des ressources dont l’état est Approved, Ready for Review, Rejected ou Completed.  browser : ensemble d’autorisations ne permettant pas la création, la suppression, le catalogage, la modification ou la copie des ressources du catalogue Final Cut Server, ainsi que la modification de leurs détails. L’ensemble d’autorisations autorise uniquement l’affichage des ressources dont l’état est Approved.Chapitre 10 Groupes et autorisations 133 II Utilisation d’ensembles d’autorisations Les ensembles d’autorisations sont créés et configurés dans la fenêtre Administration d’un client Final Cut Server. Pour afficher les ensembles d’autorisations existants : 1 Sur un client Final Cut Server, choisissez Administration dans le menu local Server pour ouvrir la fenêtre Administration. Important : vous devez ouvrir au préalable une session en tant qu’utilisateur possé- dant des autorisations administrateur pour que l’élément Administration apparaisse dans le menu local Server. 2 Cliquez sur Permission Set dans la colonne de gauche pour ouvrir la sous-fenêtre Permission Set. La liste des ensembles d’autorisations existants apparaît. Par défaut, l’un d’entre eux s’intitule « admin » et est complété de ceux que le programme d’installation crée en fonction du profil de client sélectionné. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des profils personnalisés » à la page 32. Trois colonnes apparaissent :  Name : nom de l’ensemble d’autorisations. C’est aussi le nom qui apparaît lorsque vous gérez des groupes.  Perm ID : numéro que Final Cut Server affecte aux ensembles d’autorisations selon l’ordre de leur création. Cliquez sur le bouton Duplicate pour ajouter une copie de l’ensemble d’autorisations sélectionné. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouvel ensemble d’autorisations. Cliquez sur Permission Set pour afficher la sousfenêtre du même nom.134 Partie II Administration générale  Priority : numéro qui détermine le niveau de priorité de l’ensemble d’autorisations. Les numéros supérieurs sont consultés en premier pour définir les autorisations des utilisateurs affectés à plusieurs groupes. Par exemple, si un utilisateur appartient à un groupe possédant un ensemble d’autorisations présentant une priorité de niveau 3 ainsi qu’à un second groupe ayant la priorité 4, c’est l’ensemble d’autorisations du second groupe (celui qui a la priorité 4) qui est alors utilisée. Pour ajouter un ensemble d’autorisations : 1 Cliquez sur le bouton Create. La fenêtre Permission Set apparaît. 2 Dans la colonne de gauche, cliquez sur Create, Asset Filter et Production Filter pour ouvrir et configurer les sous-fenêtres correspondantes. Consultez « Réglages relatifs aux ensembles d’autorisations » à la page 135 pour en savoir plus sur les réglages de ces sous-fenêtres. 3 Cochez la case All Permissions pour que cet ensemble d’autorisations ait les mêmes autorisations qu’« admin », sans accès cependant à la fenêtre Administration. C’est souvent la meilleure façon de créer un ensemble d’autorisations. Il est plus facile de commencer avec tous les réglages activés et de désactiver quelques réglages spécifiques que de commencer avec un ensemble d’autorisations dans lequel rien n’est activé et de devoir activer de nombreux réglages. Important : l’ensemble d’autorisations « admin » est le seul qui donne accès à la fenêtre Administration du client. 4 Cliquez sur Save Changes. 5 Cliquez sur le bouton Search de la fenêtre Administration pour afficher le nouvel ensemble d’autorisations dans la sous-fenêtre Permission Set. Dans de nombreux cas, il est plus facile de dupliquer un ensemble d’autorisations puis d’y apporter les modifications souhaitées. Pour dupliquer un ensemble d’autorisations : 1 Sélectionnez l’ensemble d’autorisations à dupliquer. 2 Cliquez sur le bouton Duplicate. 3 Cliquez sur le bouton Search de la fenêtre Administration. Un nouvel ensemble d’autorisations nommé Clone of [ensemble d’autorisations dupliqué] s’ajoute à la liste. Chapitre 10 Groupes et autorisations 135 II Pour modifier un ensemble d’autorisations : 1 Double-cliquez sur un ensemble d’autorisations dans la sous-fenêtre Permission Set. La fenêtre Permission Set apparaît. 2 Cliquez sur Metadata, Trait Permissions et Device Permissions pour configurer chaque groupe de réglages. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux ensembles d’autorisations, » qui suit pour en savoir plus sur les réglages de ces sous-fenêtres. 3 Cliquez sur Save Changes. La fenêtre se fermant, l’ensemble d’autorisations apparaît dans la sous-fenêtre Permission Set en prenant en compte vos modifications. Réglages relatifs aux ensembles d’autorisations Trois sous-fenêtres principales permettent la configuration d’un ensemble d’autorisations :  Sous-fenêtre Metadata  Sous-fenêtre Trait Permissions  Sous-fenêtre Device Permissions Remarque : les sous-fenêtres Trait Permissions et Device Permissions ne sont proposées que si vous modifiez un ensemble d’autorisations. Réglages relatifs aux métadonnées La colonne de gauche vous permet de sélectionner le type de métadonnées pour configurer leurs autorisations. Modify Contient des réglages pour l’attribution de nom et de priorité. Le réglage de priorité détermine l’ordre dans lequel les ensembles d’autorisations sont consultés lorsqu’un utilisateur appartient à plusieurs groupes possédant des ensembles d’autorisations différents. Les valeurs supérieures sont consultées en premier. Par exemple, si un utilisateur appartient à un groupe possédant un ensemble d’autorisations présentant une priorité de niveau 3 ainsi qu’à un second groupe ayant la priorité 4, c’est l’ensemble d’autorisations du second groupe (celui qui a la priorité 4) qui est alors utilisée.136 Partie II Administration générale Asset Filter Sélectionnez Asset Filter pour définir le filtre de métadonnées à appliquer à toutes les recherches de ressources effectuées par les membres du groupe. Vous pouvez, par exemple, créer un filtre pour le groupe Newsroom afin que les membres de ce groupe ne voient que les ressources dont l’état est Completed. Production Filter Sélectionnez Production Filter pour définir le filtre de métadonnées à appliquer à toutes les recherches de productions effectuées par les membres du groupe. Cliquez sur Asset Filter pour configurer des réglages relatifs aux recherches de ressources pour cet ensemble d’autorisations. Cliquez sur Production Filter pour configurer des réglages relatifs aux recherches de productions pour cet ensemble d’autorisations.Chapitre 10 Groupes et autorisations 137 II Réglages relatifs aux autorisations de trait Cliquez sur le bouton Trait Permissions pour configurer l’accès à une série de domaines de Final Cut Server, notamment aux ressources, aux productions, aux tâches, aux utilisateurs, etc. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Définition d’autorisations de trait et de périphérique » à la page 138. Important : la plupart des réglages de la sous-fenêtre Trait Permissions sont très spécialisés et ne sont à modifier que si vous avez des besoins particuliers et êtes disposé à passer du temps à tester les modifications pour vous assurer qu’elles ne provoquent pas d’effets secondaires indésirables. La plupart des éléments qui apparaissent dans la colonne Name sont réservés à un usage interne par Final Cut Server. Modifier ces réglages n’a pas d’incidence sur la façon dont l’ensemble d’autorisations fonctionne. Il s’agit de tous les éléments dont le nom contient « Tab ». Les éléments le plus souvent configurés sont les ensembles de métadonnées de ressources de données et de production. Le nom de tous ces éléments se termine par « (Media Asset) » ou « (Production) ». Par exemple, vous pourriez être amené à interdire l’accès à des ressources qui utilisent l’ensemble de métadonnées Graphic à un groupe d’utilisateurs.138 Partie II Administration générale Réglages relatifs aux autorisations de périphérique Cliquez sur le bouton Device Permissions pour configurer la capacité d’un groupe à effectuer une opération sur le périphérique sélectionné. Les autorisations attribuées au groupe s’appliquent à tous les membres du groupe. Consultez la rubrique « Définition d’autorisations de trait et de périphérique, » qui suit pour en savoir plus. Définition d’autorisations de trait et de périphérique Les sous-fenêtres Trait Permissions et Device Permissions affichent respectivement les traits ou les périphériques en lignes et les opérations en colonnes. Pour chaque trait ou périphérique, cliquez sur la cellule et choisissez une option dans la liste pour définir l’autorisation en matière de sécurité :  Permit : permet d’autoriser les opérations.  Forbid : entraîne le refus des opérations.  Inherit : dans le cadre d’autorisations de périphérique, permet d’hériter les autorisations de trait pour ce périphérique. Dans le cas d’autorisations de trait, fonctions d’héritage identiques à Forbid. (Inherit n’est pas conçu pour servir avec les réglages d’autorisation de trait.) Chapitre 10 Groupes et autorisations 139 II Le tableau qui suit décrit toutes les colonnes d’opération ainsi que leurs relations avec des autorisations de trait et de périphérique. Colonne Autorisations de trait Autorisations de périphérique Visible Affichent des onglets dans l’interface utilisateur ou contrô- lent l’accès à certains types de ressources ou de productions. Sélectionnent un périphérique lors de la recherche. View details Affichent des détails sur l’élément sélectionné. Affichent des détails sur le périphérique. Create Créent des éléments avec ce trait, par exemple, des utilisateurs, des ressources de type Commercial ou des productions de type Promotion. Créent ou copient des éléments sur le périphérique. Edit details Modifient des détails sur l’élément sélectionné. n/d Search Recherchent des éléments dans les traits, par exemple, All Assets et All Productions. Recherchent sur le périphérique. Delete Suppriment des éléments. Suppriment des éléments du périphérique. Copy from Copient des éléments d’un périphérique vers un autre endroit. Copient des éléments d’un périphérique vers un autre endroit. Catalogue n/d Cataloguent des éléments du périphérique, par exemple des ressources Final Cut Server. Edit hints Modifient les conseils sur les champs. n/d Start n/d n/d Arrêt n/d n/d Edit media Autorisent la réservation et le verrouillage de ressources. Modifient directement les élé- ments de données d’un périphé- rique Contentbase. 11 141 11 Gestion des métadonnées Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Introduction aux métadonnées (p. 141)  Champs de métadonnées (p. 144)  Groupes de métadonnées (p. 149)  Mappage de métadonnées (p. 155)  Références aux métadonnées (p. 157)  Gestion des ensembles de métadonnées (p. 161)  Règles de synchronisation des métadonnées (p. 163)  Utilisation de métadonnées pour la configuration de l’interface utilisateur (p. 165)  À propos des métadonnées QuickTime (p. 168) Introduction aux métadonnées Les métadonnées correspondent au cœur de Final Cut Server. Final Cut Server utilise les métadonnées pour pratiquement tous les aspects de la gestion des ressources ainsi que pour la configuration de nombreux aspects du client. Final Cut Server configure automatiquement les réglages relatifs aux métadonnées en fonction du profil sélectionné au cours de l’installation de Final Cut Server. Vous pouvez toutefois personnaliser les réglages pour les métadonnées afin d’améliorer vos flux de production.142 Partie II Administration générale Les métadonnées servent à décrire, à rechercher, à utiliser et à réorienter du contenu. Parmi les principales difficultés inhérentes à la gestion des métadonnées, l’on retrouve :  l’exploitation d’un groupe de métadonnées adapté à votre environnement ;  la réduction du nombre de saisie des métadonnées :  l’interopérabilité entre les différentes normes en matière de métadonnées. Final Cut Server relève ses défis par les points suivants :  Personnalisation des métadonnées : vous pouvez définir, regrouper et stocker des métadonnées pour différents types de ressources et de productions de la façon la plus adaptée.  Utilisation des métadonnées disponibles sur les périphériques connectés ou dans un format pris en charge : Final Cut Server vous permet de faire correspondre des métadonnées et des formats, par exemple le format IPTC et les métadonnées personnalisées que vous avez définies, et ce, dans les deux sens. (Le mappage vous permet de copier l’entrée d’un champ de métadonnées pour la coller dans un autre champ de métadonnées.) Final Cut Server contient un ensemble de champs, de groupes, d’ensembles et de mappages de métadonnées standard facilement personnalisables pour répondre à des besoins particuliers, des façons suivantes :  Définition des types de ressources stockées, par exemple, les nouvelles images, les séquences de promotion, les nouveaux éléments, les intercalaires, les premiers tiers, etc.  La configuration des métadonnées stockées pour chaque type de ressource en regroupant les métadonnées en onglets, en spécifiant l’ordre d’affichage, en définissant les champs obligatoires et en indiquant des menus locaux pour assurer une qualité optimale des données et en faciliter la saisie.  La définition de différents types de productions, par exemple, les séquences de promotions et les films publicitaires.  Configuration des métadonnées de chaque type de production à l’aide d’un même cadre flexible d’applications que les ressources.  Le mappage des métadonnées aux formats (certains formats de fichier et certains périphériques prennent en charge leurs propres métadonnées, par exemple, les métadonnées IPTC) ; Final Cut Server vous permet d’utiliser toutes les métadonnées disponibles en les mappant à des champs de métadonnées Final Cut Server que vous aurez définis.  La personnalisation de présentations (Vous pouvez changer la façon dont les champs de métadonnées sont affichés, changer l’ordre d’affichage et même fournir des indications sur l’aspect des champs. Par exemple, vous pouvez spécifier qu’un champ de notes doit avoir une hauteur de 5 lignes.) Chapitre 11 Gestion des métadonnées 143 II Les relations entre les différents éléments de métadonnées pour les ressources et les productions sont les suivantes : Chacun des éléments de métadonnées suivants est configuré dans sa propre sous-fenêtre :  Sous-fenêtre Metadata Field : c’est là que vous créez les champs de métadonnées ou modifiez ceux existants. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Champs de métadonnées » à la page 144.  Sous-fenêtre Lookup : c’est là que vous créez des menus locaux servants dans les champs de métadonnées. L’utilisation de menus locaux plutôt que des champs de texte ou de nombres simplifie la saisie de métadonnées et la rend plus précise. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Références aux métadonnées » à la page 157.  Sous-fenêtre Metadata Group : elle vous permet de créer des groupes de champs de métadonnées. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Groupes de métadonnées » à la page 149.  Sous-fenêtre Metadata Map : c’est là que vous pouvez relier les champs de métadonnées entre eux afin de simplifier l’extraction d’informations de métadonnées sous un grand nombre de formats. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Mappage de métadonnées » à la page 155. Ressources Productions Mappes de métadonnées Un ensemble de métadonnées est attribué à chaque ressource ou production. Des groupes de métadonnées sont ajoutés à chaque ensemble de métadonnées. Des champs de métadonnées sont ajoutés à chaque groupe de métadonnées. Chaque champ de métadonnées peut utiliser un menu local contenant des éléments du même type de données. Les données d’un champ de métadonnées peuvent être mappées sur un champ de métadonnées différent. Ensemble de métadonnées de production Ensembles de métadonnées multimédia Ressources multimédia Ressources de production Recherches de métadonnées (menus locaux) Champs de métadonnées Ensembles de métadonnées Groupes de métadonnées144 Partie II Administration générale  Sous-fenêtre Metadata Set : la sous-fenêtre est prévue pour affecter les groupes de métadonnées aux ensembles de métadonnées. Ajouter des ressources ou des productions à Final Cut Server revient à sélectionner l’ensemble de métadonnées à leur affecter. Cet ensemble applique à son tour le groupe de métadonnées et ses champs. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Gestion des ensembles de métadonnées » à la page 161. Remarque : consultez « Réglages relatifs aux ensembles d’autorisations » à la page 135 pour en savoir plus sur la configuration des réglages de métadonnées pour un ensemble d’autorisations. Important : dans les différentes sous-fenêtres servant à gérer vos métadonnées, de nombreux réglages, options et listes destinés à une utilisation interne uniquement dans Final Cut Server sont à votre disposition. La plupart d’entre eux sont décrits ci-après. Si les métadonnées vous permettent d’ajouter des informations à vos ressources et à vos productions, vous pouvez aussi les utiliser pour modifier d’autres zones dans Final Cut Server. Par exemple, vous pouvez ajouter des champs de métadonnées au groupe de métadonnées Thumbnails pour contrôler l’affichage des champs à reprendre dans la présentation du même nom. Consultez « Utilisation de métadonnées pour la configuration de l’interface utilisateur » à la page 165 pour en savoir plus. Champs de métadonnées Les champs de métadonnées sont les différents éléments de métadonnées stockés avec les éléments de données gérés par Final Cut Server. Il existe deux types de champs de métadonnées :  Required metadata : champs obligatoires servant à décrire les périphériques pris en charge par Final Cut Server ainsi que les métadonnées relatives au format de fichier, telles que les métadonnées IPTC.  Custom metadata : elles peuvent être définies par un administrateur sur une valeur libre requise par le site ou l’installation. Remarque : un même champ de métadonnées est utilisable dans plusieurs groupes de métadonnées. Chapitre 11 Gestion des métadonnées 145 II La sous-fenêtre Metadata Field de la fenêtre Administration du client Final Cut Server affiche la liste des champs de métadonnées existants. La sous-fenêtre Metadata Field reprend les colonnes suivantes :  Name : nom du champ de métadonnées saisi à sa création.  Field ID : nom de champ généré automatiquement. Ce champ n’a qu’un usage interne.  Category : famille de champ de métadonnées affectée automatiquement. Tous les champs de métadonnées que vous créez appartiennent à la famille Custom Metadata. Remarque : cette colonne n’est pas liée au réglage Category du champ de métadonnées.  Description : description du champ de métadonnées saisie à sa création.  Data Type : type de données sélectionné lors de la création du champ de métadonnées. Le type de données définit ce qui peut être saisi dans le champ de métadonnées (par exemple, une date, un numéro de timecode ou une chaîne de texte). Remarque : vous ne pouvez plus modifier le type de données une fois qu’il a été défini. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouveau champ. Cliquez sur Metadata Field pour accéder à la sous-fenêtre du même nom.146 Partie II Administration générale Ajout ou modification de champs de métadonnées Vous pouvez ajouter ou modifier des champs de métadonnées personnalisés. Pour ajouter un champ de métadonnées personnalisé : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible par le biais de la fenêtre Administration du client, dans la sous-fenêtre Metadata Field. La fenêtre Metadata Field apparaît. 2 Configurez les réglages relatifs au champ de métadonnées. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux champs de métadonnées » à la page 147 pour en savoir plus sur ces réglages. 3 Cliquez sur Save Changes pour enregistrer le champ de métadonnées personnalisé. Le nouveau champ apparaît dans la sous-fenêtre Metadata Field. Vous pouvez aussi ouvrir la fenêtre Metadata Field et modifier ainsi les champs. Remarque : vous ne pouvez pas modifier les champs de métadonnées obligatoires. En général, vous ne pouvez modifier que les champs de la catégorie Custom Metadata dans la sous-fenêtre Metadata Field (mais il est à noter que certains d’entre eux ne sont pas modifiables). Pour modifier un champ de métadonnées : 1 Double-cliquez sur le champ de métadonnées dans la sous-fenêtre Metadata Field. La fenêtre Metadata Field apparaît, reprenant les réglages relatifs à ce champ. 2 Apportez toutes les modifications souhaitées puis cliquez sur Save Changes. La fenêtre Metadata Field se ferme. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux champs de métadonnées, » qui suit pour en savoir plus sur ces réglages.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 147 II Réglages relatifs aux champs de métadonnées Chaque champ de métadonnées dispose d’un certain nombre de réglages. Les réglages disponibles pour un champ dépendent du réglage Data Type. Les réglages ci-après reprennent les réglages communs (ceux qui sont disponibles dans tous les champs de métadonnées) et les réglages spécialisés (ceux qui ne sont disponibles que pour certains types de données). La fenêtre Metadata Field comporte les réglages suivants. Réglages communs Les réglages suivants s’appliquent à tous les champs de métadonnées :  Name : saisissez le nom du champ de métadonnées.  Data Type : sélectionnez le type de champ dans le menu local. La liste des réglages configurables pour un champ de métadonnées donné dépend du type de données sélectionné. Consultez la rubrique « Types de données des champs de métadonnées » à la page 149 pour en savoir plus sur les types de données. Remarque : vous ne pouvez définir le type de données que lors de la création d’un champ de métadonnées. De plus, si vous comptez utiliser un élément de référence (un menu local) sur le champ, vous devez reprendre le même type de données dans la référence que celui du champ de métadonnées.  Description : description plus détaillée du champ de métadonnées. 148 Partie II Administration générale  Category : catégorie du champ dans le menu local. Les valeurs possibles comptent parmi les suivantes :  Aucune  Name  Date  Number  Filename  Filesize  TypeSelect  Order Attach  Restriction Le réglage None sert pour pratiquement toutes les métadonnées personnalisées, les autres réglages étant réservés à un usage interne.  Suffix : suffixe à afficher après le champ. Vous pouvez, par exemple, saisir « par heure ».  Display hints : largeur de ce champ, exprimé en pixels. Réglages spécialisés Les réglages suivants ne s’appliquent qu’à certains types de données.  Default Value : valeur facultative par défaut pour le champ. Selon le type de données, il peut s’agir d’une case à cocher ou d’une entrée de valeur spécialisée, par exemple, une date, une valeur de timecode ou même deux valeurs.  Lookup Values : référence à sélectionner dans la liste pour afficher le champ de métadonnées sous la forme d’un menu local avec un ensemble de valeurs. Seules les réfé- rences du même type de données sont reprises. Consultez « Références aux métadonnées » à la page 157 pour en savoir plus sur la création de références.  Date Only : permet de limiter la saisie aux dates.  Scale Numbers : case permettant d’exprimer les nombres sur trois chiffres (999 maximum) avec le suffixe approprié. Par exemple, 1000 devient 1K.  Don’t Format Numbers : permet de forcer le champ de métadonnées à utiliser des nombres bruts sans format, par exemple, sans espace séparant les groupes de milliers.  Multiline : permet la saisie de plusieurs lignes de texte dans le champ de métadonnées.  Hide Field Lookup in Filter : case pour omettre la valeur de référence lorsqu’elle est reprise dans une liste. Elle est généralement cochée lors de la définition de proprié- tés de champ au sein d’un groupe de métadonnées, son activation n’étant pas désirable pour toutes les utilisations. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Propriétés des champs » à la page 154.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 149 II Types de données des champs de métadonnées Voici la liste des types de données disponibles. Le type de données détermine celui des métadonnées (par exemple, le type texte, nombres uniquement ou date) que les utilisateurs peuvent saisir dans un champ de métadonnées. Pour pratiquement tous les champs de métadonnées que vous créez, vous devez utiliser le type de données Unicode String offrant une certaine flexibilité et compatibilité avec un grand nombre de langues encodées sur plusieurs octets.  Boolean : valeur Vrai ou Faux  Date : champ de date et d’heure  Floating Point Number : nombre à virgule flottante  Integer : champ pour nombres entiers prenant en charge les nombres jusqu’à 32 bits  Large Integer : champ pour nombres entiers prenant en charge les nombres jusqu’à 64 bits (généralement non requis pour les métadonnées personnalisées)  Timecode : valeur de timecode vidéo de la forme hh:mm:ss:ii  Unicode String : chaîne Unicode alphanumérique Groupes de métadonnées Les groupes de métadonnées constituent un moyen d’organiser des champs de métadonnées en relation les uns aux autres. La plupart des informations affichées dans Final Cut Server s’appuient sur un groupe de métadonnées, par exemple :  Les champs de métadonnées repris dans une ressource ou une production doivent faire partie d’un groupe, ce dernier devant faire partie d’un ensemble de métadonnées appliqué à cette ressource ou production.  Toutes les informations affichées dans les résultats de recherche de la présentation Thumbnails ou List sont définies par des groupes de métadonnées. Les groupes de métadonnées définissent aussi toutes les options de recherche avancée. Le contenu de nombreux groupes peut être configuré. Par exemple, pour afficher le type Mime de chaque ressource dans la présentation Thumbnails, ajoutez le champ Mime Type au groupe de métadonnées Thumbnails qui s’applique aux ressources. Certains groupes sont indispensables aux fonctions Final Cut Server internes et ne sont pas modifiables. La plupart des réglages au sein d’un groupe le sont toutefois, afin que vous puissiez définir l’apparence du groupe. 150 Partie II Administration générale La capture d’écran suivante illustre la sous-fenêtre Metadata Group. La sous-fenêtre Metadata Group reprend les colonnes suivantes :  Name : nom du groupe de métadonnées.  Metadata Group ID : nom du groupe généré automatiquement. Ce champ n’a qu’un usage interne.  Category : famille de groupes de métadonnées affectée automatiquement. Tous les groupes de métadonnées que vous créez appartiennent à la famille Custom Metadata. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouveau groupe. Cliquez sur Metadata Group pour accéder à la sous-fenêtre du même nom.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 151 II Ajout ou modification de groupes de métadonnées Vous pouvez ajouter ou modifier des groupes de métadonnées personnalisés. Pour ajouter un groupe de métadonnées personnalisé : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la fenêtre Administration du client, dans la sous-fenêtre Metadata Group. La fenêtre Metadata Group apparaît. 2 Configurez les réglages relatifs au groupe de métadonnées. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux groupes de métadonnées » à la page 152 pour en savoir plus sur ces réglages. 3 Cliquez sur Save Changes pour enregistrer le groupe de métadonnées personnalisé. Le nouveau groupe apparaît dans la sous-fenêtre Metadata Group. Vous pouvez aussi ouvrir la fenêtre Metadata Group et modifier ainsi les groupes. Remarque : vous ne pouvez pas modifier les groupes de métadonnées obligatoires. Pour modifier un groupe de métadonnées : 1 Double-cliquez sur le groupe de métadonnées dans la sous-fenêtre Metadata Group. La fenêtre Metadata Group apparaît, reprenant les réglages relatifs à ce groupe. 2 Apportez toutes les modifications souhaitées puis cliquez sur Save Changes. La fenêtre Metadata Group se ferme. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux groupes de métadonnées, » qui suit pour en savoir plus sur ces réglages.152 Partie II Administration générale Réglages relatifs aux groupes de métadonnées Chaque groupe de métadonnées dispose d’une panoplie complète de réglages en plus des champs de métadonnées que vous affectez au groupe. La fenêtre Metadata Group comporte les réglages suivants.  Category : catégorie générée automatiquement pour le groupe. Elle n’apparaît que si vous modifiez un groupe de métadonnées.  Metadata Group ID : nom du groupe généré automatiquement. Il n’apparaît que si vous modifiez un groupe de métadonnées et ne sert qu’à un usage interne.  Name : nom du groupe. Ce nom correspond au titre du bouton sur lequel s’affichent les métadonnées.  Fields : sélectionnez les champs de métadonnées que ce groupe contient.  Selected : compile la liste des champs de métadonnées du groupe.  Available : reprend la liste des champs de métadonnées disponibles pour le groupe. Les champs disponibles dépendent de la catégorie du groupe. Dans la plupart des cas, il s’agit de champs de métadonnées personnalisés. Utilisez les boutons Add et Remove pour modifier les champs du groupe. Utilisez les boutons Up et Down pour modifier l’ordre dans lequel les champs s’affichent dans le groupe. Si vous cliquez sur un champ dans la liste Selected, des options supplémentaires apparaissent. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Propriétés des champs » à la page 154.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 153 II  Actions : répertorie les opérations pour lesquelles le groupe de métadonnées doit servir. Par exemple, ajoutez l’opération Create à ce groupe de métadonnées si vous voulez que les champs de métadonnées de ce groupe soient proposés lors de la création d’une ressource. (Pour ce faire, il faut que ce groupe de métadonnées fasse partie de l’ensemble de métadonnées que vous affectez à la ressource que vous êtes en train de créer.)  Selected : répertorie les opérations pour lesquelles ce groupe doit servir.  Available : reprend toutes les opérations proposées. Utilisez les boutons Add et Remove pour changer les opérations. Les nouveaux groupes utilisent en général les opérations View Details, Edit Details et Create. Ces dernières permettent de s’assurer que les champs du groupe de métadonnées sont proposés lors de la création et de l’affichage des détails d’une ressource. Important : apportez des modifications à des opérations d’autres groupes de métadonnées avec soin. De nombreux groupes sont exploités en interne par Final Cut Server et peuvent provoquer de graves problèmes en cas de modification.  Metadata Sets : affecte ce groupe de métadonnées à un ensemble de métadonnées. Vous devez affecter un groupe de métadonnées à un ensemble de métadonnées pour pouvoir accéder aux champs de métadonnées du groupe lors de la création ou de l’affichage des détails d’une ressource à laquelle l’ensemble de métadonnées est affecté.  Selected : reprend les ensembles de métadonnées auxquels ce groupe est affecté.  Available : répertorie tous les ensembles de métadonnées proposés. Utilisez les boutons Add et Remove pour modifier les affectations des ensembles de métadonnées. Remarque : vous pouvez aussi affecter un groupe à un ensemble de métadonnées dans la fenêtre Metadata Set. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réglages relatifs aux ensembles de métadonnées » à la page 163.  Display Priority : ordre dans lequel les groupes doivent s’afficher lorsqu’ils font partie d’un ensemble de métadonnées. Les nombres inférieurs s’affichent en priorité. La plage s’étend en général de 1 à 5, 1 apparaissant en premier.  Display hints : les réglages suivants contrôlent l’affichage de ce groupe dans Final Cut Server. Il est aussi possible de saisir des conseils d’affichage pour les champs de métadonnées.  Show Thumbnail : case permettant d’afficher les vignettes du groupe. Les vignettes sont utilisées dans les présentations par liste et les présentations de modification (par exemple, lors de l’affichage des détails d’une ressource).  Table View : case permettant d’afficher les champs du groupe sous forme de tableau. la plupart des groupes utilisés lors de l’affichage du contenu dans la fenêtre Administration de Final Cut Server sont agencés en tableau. 154 Partie II Administration générale  Hide Field Labels : case permettant de masquer l’étiquette des champs en cas d’affichage d’un groupe, par exemple, dans les présentations sous forme de vignettes.  Arrange Vertically : case pour organiser les champs du groupe verticalement plutôt que pour utiliser un algorithme de positionnement automatique, par exemple dans les présentations sous forme de vignettes. Propriétés des champs Pour chaque champ de métadonnées du groupe, vous pouvez redéfinir les propriétés des types de données du champ. Cliquez sur un champ de métadonnées dans la liste Selected pour retrouver ses propriétés. Remarque : vous ne pouvez pas changer le type de données affecté au champ de métadonnées, mais uniquement ses réglages. Les propriétés affichées dépendent du type de données du champ de métadonnées. Les deux réglages suivant apparaissent toujours :  Mandatory : case pour indiquer que ce champ doit être complété lorsqu’il est utilisé avec ce groupe.  Editable : case permettant la modification des réglages affichés sous la case pour les types de données de ce champ, utilisés avec ce groupe. Consultez la rubrique « Réglages spécialisés » à la page 148 pour en savoir plus sur les autres réglages répertoriés. Cliquez sur un champ relatif aux métadonnées pour ouvrir la section Field Properties.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 155 II Mappage de métadonnées Le mappage de métadonnées simplifie votre flux de production en copiant les métadonnées d’un champ de métadonnées à l’autre. Par exemple, si vous importez un ensemble d’images fixes comportant des champs de métadonnées IPTC, vous pouvez mettre en correspondance les données de certains de ces champs avec des champs de métadonnées personnalisés. Le mappage de métadonnées permet de traduire les métadonnées entre Final Cut Server et des périphériques, des formats de fichier et des métadonnées intégrées. De nombreux mappages de métadonnées standard sont fournis avec Final Cut Server. Il est possible de créer des mappages supplémentaires ou d’apporter des modifications aux mappages proposés à l’aide de la sous-fenêtre Metadata Map. La sous-fenêtre Metadata Map comporte les colonnes suivantes :  From Field : affiche le champ de métadonnées à l’origine du mappage.  To Field : affiche le champ de métadonnées auquel le mappage pointe.  Priority : affiche la priorité de mappage, dont la valeur est généralement comprise entre 1 et 3. La priorité de mappage sert à résoudre des conflits là où plusieurs champs sont mappés à la même cible. Le cas échéant, c’est le nombre supérieur qui a la priorité, 1 correspondant à la plus priorité la plus faible. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouveau mappage de métadonnées.156 Partie II Administration générale Ajout ou modification de mappages de métadonnées Vous pouvez ajouter ou modifier des mappages de métadonnées personnalisés. Pour ajouter un mappage de métadonnées personnalisé : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la fenêtre Administration du client, dans la sous-fenêtre Metadata Map. La fenêtre Metadata Map apparaît. 2 Configurez les réglages relatifs au mappage de métadonnées. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux mappages de métadonnées, » qui suit pour en savoir plus sur ces réglages. 3 Cliquez sur Save Changes pour enregistrer le mappage de métadonnées personnalisé. Le nouveau mappage apparaît dans la sous-fenêtre Metadata Map. Vous pouvez aussi ouvrir la fenêtre Metadata Map et modifier ainsi les mappages. Remarque : vous ne pouvez pas modifier les mappages de métadonnées obligatoires. Pour modifier un mappage de métadonnées : 1 Double-cliquez sur le mappage de métadonnées dans la sous-fenêtre Metadata Map. La fenêtre Metadata Map apparaît, reprenant les réglages relatifs à ce mappage. 2 Apportez toutes les modifications souhaitées puis cliquez sur Save Changes. La fenêtre Metadata Map se ferme. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux mappages de métadonnées, » qui suit pour en savoir plus sur ces réglages.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 157 II Réglages relatifs aux mappages de métadonnées La fenêtre Metadata Map comprend les contrôles permettant de créer ou de modifier un mappage de métadonnées. La fenêtre Metadata Map comporte les réglages suivants.  From Field : dans la liste des champs de métadonnées, sélectionnez le champ d’origine du mappage.  To Field : dans la liste des champs de métadonnées, sélectionnez le champ cible du mappage.  Priority : priorité du mappage. la valeur est généralement comprise entre 1 et 3. La priorité de mappage sert à résoudre des conflits là où plusieurs champs sont mappés à la même cible. Le cas échéant, c’est le nombre supérieur qui a la priorité, 1 correspondant à la plus priorité la plus faible.  Two-way map : cochez la case pour créer deux mappages miroirs. Cela a pour effet de créer un second mappage de métadonnées dans lequel les champs de métadonnées d’origine et cible sont inversés. Références aux métadonnées Les références sont des menus locaux compilant des listes de valeurs servant aux utilisateurs pour saisir les données d’un champ de métadonnées. Voici quelques exemples :  une liste de catégories,  une liste de productions,  une liste de priorités. Les valeurs dépendent du type de données et peuvent correspondre à du texte, des dates, des nombres ou des valeurs de timecode. Le tableau qui suit reprend quelques exemples de références : Nom de la référence Type de données Saisie du nom Saisie de la valeur Fréquence d’échantillonnage audio Entier 32 kHz 44,1 kHz 32 000 44100 Commande ouverte Booléen Ouverte Fermée Vrai Faux Année calendaire Date Début d’année Fin d’année 1/1/2008 00:00 31/12/2008 23:59 158 Partie II Administration générale De nombreuses références à des métadonnées standard sont fournies avec Final Cut Server. Des références supplémentaires peuvent être définies à l’aide de la sous-fenêtre Lookup. La sous-fenêtre Lookup comporte les colonnes suivantes :  Name : nom de la référence saisie à sa création.  Lookup ID : nom généré automatiquement pour la référence à usage interne uniquement  Data Type : type de données sélectionné pour la référence Remarque : le type de données de la référence doit correspondre à celui du champ de métadonnées à utiliser avec la référence. Clap Timecode Clap de début Clap de fin 00:00:25.00 00:00:26.10 Liste d’adresses électroniques Chaîne Unicode Monteur 1 Groupe de révision monteur1@entreprise.com grouprev@entreprise.com Nom de la référence Type de données Saisie du nom Saisie de la valeur Cliquez sur le bouton Create pour ajouter une nouvelle référence.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 159 II Ajout ou modification de références Vous pouvez ajouter ou modifier des références personnalisées. Pour ajouter une référencepersonnalisée : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la fenêtre Administration du client, dans la sous-fenêtre Lookup. La fenêtre Lookup apparaît. 2 Configurez les réglages relatifs à la référence. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux références, » qui suit pour en savoir plus sur ces réglages. 3 Cliquez sur Save Changes pour enregistrer la référence personnalisée. La nouvelle référence apparaît dans la sous-fenêtre Lookup. Vous pouvez aussi ouvrir la fenêtre Lookup et modifier ainsi les références. Remarque : de nombreuses références proposées ne sont pas modifiables. Pour modifier une référence : 1 Double-cliquez sur la référence de métadonnées dans la sous-fenêtre Lookup. La fenêtre Lookup apparaît, reprenant les réglages relatifs à cette référence. 2 Apportez toutes les modifications souhaitées puis cliquez sur Save Changes. La fenêtre Lookup se ferme. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux références, » qui suit pour en savoir plus sur ces réglages.160 Partie II Administration générale Réglages relatifs aux références La fenêtre Lookup prévoit des contrôles permettant de créer ou de modifier une référence. La fenêtre Lookup comporte les réglages suivants :  Name : nom de la référence.  Data Type : type de référence à choisir dans le menu local. Le type de valeurs que vous pouvez ajouter à une référence dépend du type de données que vous sélectionnez. Consultez la rubrique « Types de données pour les références, » qui suit pour en savoir plus sur les types de données.  Options : nom et valeur correspondante de chaque valeur de référence.  Name : nom de l’élément, par exemple, 32 kHz. Ce nom est celui que l’utilisateur retrouve dans le menu local lors de la saisie de métadonnées.  Value : valeur de l’élément, par exemple, 32 000. C’est la valeur de métadonnées stockée servant aux recherches. Pour les champs texte (c’est-à-dire de type Unicode String), la valeur est généralement identique au nom. Cliquez sur le bouton Add pour ajouter la paire nom/valeur aux références, ou sur une paire nom/valeur puis sur le bouton Remove pour supprimer la paire. Types de données pour les références Le type de données que vous sélectionnez détermine celui des valeurs saisissables dans une liste de références. Cette dernière correspond à celle utilisée lors de la création d’un champ de métadonnées. Voici la liste des types de données disponibles.  Boolean : valeur vrai ou faux Ce type de données n’a généralement que deux éléments dans sa liste : vrai (lorsque la case Value est cochée) et faux (lorsque la case Value n’est pas cochée). Par exemple, vous pouvez entrer « État de la commande ouvert » comme nom avec la case Value cochée et « État de la commande fermé » comme nom avec la case Value décochée.  Date : champ de date et d’heure  Floating Point Number : nombre à virgule flottante  Integer : champ pour nombres entiers prenant en charge les nombres jusqu’à 32 bits  Large Integer : champ pour nombres entiers prenant en charge les nombres jusqu’à 64 bits (généralement non requis pour les métadonnées personnalisées) Chapitre 11 Gestion des métadonnées 161 II  Timecode : valeur de timecode vidéo de la forme hh:mm:ss:ii  Unicode String : chaîne Unicode alphanumérique Gestion des ensembles de métadonnées Il existe différents types de ressources et de productions dans Final Cut Server. Les ensembles de métadonnées (qui contiennent les groupes de métadonnées possédant chacun leurs propres champs de métadonnées) vous permettent d’affecter différents groupes de métadonnées à chaque type de ressource ou de production. Par exemple, vous pouvez stocker des métadonnées différentes pour les images fixes et pour les fichiers vidéo HD, ou pour les séquences de promotion et les films publicitaires. Important : lors de l’ajout de ressources au catalogue Final Cut Server, que ce soit par le téléchargement manuel ou à l’aide d’une automatisation (telle qu’une analyse), un ensemble de métadonnées doit leur être affecté. Par la suite, vous ne pourrez plus changer l’ensemble de métadonnées affecté à une ressource. Vous pouvez cependant modifier un ensemble de métadonnées pour lui adjoindre de nouveaux champs et groupes de métadonnées. Vous pouvez aussi copier une ressource dans le catalogue Final Cut Server et affecter un autre ensemble de métadonnées à la copie. Le profil du client que vous avez sélectionné lors de l’installation de Final Cut Server régit les ensembles de métadonnées par défaut de votre système. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des profils personnalisés » à la page 32. Un administrateur peut obliger à l’indication des nouveaux ensembles de métadonnées et préciser quels groupes de métadonnées s’appliquent à chacun des ensembles. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouvel ensemble de métadonnées.162 Partie II Administration générale La sous-fenêtre Metadata Set comporte les colonnes suivantes :  Name : nom de l’ensemble de métadonnées saisi à sa création  Trait ID : nom généré automatiquement pour l’ensemble de métadonnées à usage interne uniquement  Class : type d’éléments auquel l’ensemble de métadonnées peut s’appliquer, qu’il s’agisse de ressources de données ou de productions Ajout ou modification d’ensembles de métadonnées Vous pouvez ajouter ou modifier des ensembles de métadonnées personnalisés. Pour ajouter un ensemble de métadonnées personnalisé : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la fenêtre Administration du client, dans la sous-fenêtre Metadata Set. La fenêtre Metadata Set apparaît. 2 Configurez les réglages relatifs à l’ensemble de métadonnées. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux ensembles de métadonnées, » qui suit pour en savoir plus sur ces réglages. 3 Cliquez sur Save Changes pour enregistrer l’ensemble de métadonnées personnalisé. Le nouvel ensemble apparaît dans la sous-fenêtre Metadata Set. Vous pouvez aussi ouvrir la fenêtre Metadata Set et modifier ainsi les ensembles. Pour modifier un ensemble de métadonnées : 1 Double-cliquez sur l’ensemble de métadonnées dans la sous-fenêtre Metadata Set. La fenêtre Metadata Set apparaît, reprenant les réglages relatifs à ce champ. 2 Apportez toutes les modifications souhaitées puis cliquez sur Save Changes. La fenêtre Metadata Set se ferme. Consultez la rubrique « Réglages relatifs aux ensembles de métadonnées, » qui suit pour en savoir plus sur ces réglages.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 163 II Réglages relatifs aux ensembles de métadonnées La fenêtre Metadata Set comporte les réglages suivants.  Name : saisissez le nom de l’ensemble de métadonnées.  Trait ID : nom généré automatiquement pour l’ensemble de métadonnées à usage interne uniquement  Class : choisissez Media Asset ou Production dans ce menu local. Remarque : vous ne pouvez pas modifier ce réglage lors de la modification d’un ensemble de métadonnées.  Md Groups : sélectionnez les groupes de métadonnées que cet ensemble contient.  Selected : compile la liste des groupes de métadonnées de l’ensemble.  Available : reprend la liste des groupes de métadonnées disponibles pour l’ensemble. Les groupes proposés dépendent de la classe de l’ensemble. Utilisez les boutons Add et Remove pour modifier les groupes de l’ensemble. Remarque : l’ordre des groupes de métadonnées dans la liste Selected n’affecte pas l’ordre dans lequel ils apparaissent lors de l’application de l’ensemble de métadonnées à une ressource ou production. C’est le réglage Display Priority de chaque groupe de métadonnées influe sur cet ordre. Consultez « Réglages relatifs aux groupes de métadonnées » à la page 152 pour en savoir plus. Règles de synchronisation des métadonnées Les métadonnées sont synchronisées entre Final Cut Server et le périphérique selon les règles choisies dans le menu local Metadata Sync Policy lors de la création d’un périphérique, dans la fenêtre Devices. Choisissez les règles de synchronisation des métadonnées lors de la création d’un périphérique dans la fenêtre Devices.164 Partie II Administration générale Le choix des règles de synchronisation en vigueur dépend de ce que l’on considère généralement comme propriétaire ou responsable du périphérique :  Si Final Cut Server est le propriétaire du périphérique, il est recommandé d’utiliser les règles de synchronisation « Final Cut Server is master » ou « Two way ».  Si un autre domaine est propriétaire du périphérique et Final Cut Server bénéficie uniquement de l’accès à son contenu, il est recommandé d’utiliser les règles de synchronisation « Device is master ». Device is master Ces règles de synchronisation partent du principe que le périphérique est l’autorité contrôlant les métadonnées. Les métadonnées du périphérique sont mappées à des métadonnées personnalisées. Les modifications ultérieures apportées aux métadonnées qui se trouvent sur le périphérique sont mappées aux métadonnées personnalisées lorsqu’elles sont détectées. Les champs de métadonnées personnalisés mappés à des métadonnées du périphérique peuvent être modifiées mais ces modifications ne sont alors pas mappées au périphérique. Remarque : cette valeur est celle par défaut. Elle est utilisée pour tous les périphériques créés par le programme d’installation de Final Cut Server et par l’Assistant réglages du périphérique dans les Préférences Système de Final Cut Server. Final Cut Server is master Ces règles de synchronisation partent du principe que Final Cut Server est l’autorité contrôlant les métadonnées. Lors du premier catalogage de la ressource, les métadonnées du périphérique sont mappées à des métadonnées personnalisées. À chaque modification apportée ultérieurement aux métadonnées personnalisées, ces dernières sont mappées et enregistrées dans les métadonnées du périphérique en écrasant toutes les autres modifications du périphérique. Toute modification apportée aux métadonnées du périphérique n’est cependant pas mappée aux métadonnées personnalisées. No sync Lors du premier catalogage de la ressource, les métadonnées du périphérique sont mappées à des métadonnées personnalisées. Toutes les modifications apportées ulté- rieurement aux métadonnées personnalisées ou à celles du périphérique ne sont pas mappées et diffèrent par conséquent entre Final Cut Server et le périphérique. Chapitre 11 Gestion des métadonnées 165 II Two way Lors du premier catalogage de la ressource, les métadonnées du périphérique sont mappées à des métadonnées personnalisées. Toutes les modifications apportées ultérieurement aux métadonnées personnalisées ou à celles du périphérique sont mappées et synchronisées entre Final Cut Server et le périphérique. Consultez la rubrique « Ajout d’un périphérique à partir de la fenêtre Administration » à la page 173 pour en savoir plus sur l’utilisation de la fenêtre Devices. Utilisation de métadonnées pour la configuration de l’interface utilisateur Final Cut Server utilise une série de groupes de métadonnées pour définir de nombreux aspects de l’interface utilisateur du client Final Cut Server. Par exemple, vous pouvez ajouter des champs de métadonnées au groupe de métadonnées Thumbnails pour contrôler l’affichage des champs à reprendre dans la présentation du même nom. Voici des détails sur les zones les plus souvent personnalisées. Important : toute modification que vous apportez peut avoir une incidence sur tous les clients connectés au serveur. Dans de nombreux cas toutefois, vous devez fermer le client et ouvrir une nouvelle session pour activer les modifications. Remarque : soyez prudent lorsque vous modifiez des groupes de métadonnées. De nombreux groupes ou champs de métadonnées portent le même nom ou des noms similaires. Vérifiez que vous avez sélectionné les bons éléments avant de les modifier. Modifier un groupe de métadonnées peut aussi avoir une incidence sur plus d’une zone de l’interface utilisateur. Modification d’un groupe de métadonnées La modification de l’un de ces groupes de métadonnées est identique à la procédure décrite dans la rubrique « Groupes de métadonnées » à la page 149. La rubrique qui suit détaille le processus pour chaque groupe ayant une incidence sur l’interface utilisateur. Pour modifier un groupe de métadonnées : 1 Double-cliquez sur le nom du groupe de métadonnées, accessible depuis de la fenêtre Administration, dans la sous-fenêtre Metadata Group. Le groupe de métadonnées s’ouvre dans une fenêtre à part. Remarque : il est plus facile de retrouver le groupe de métadonnées par le biais d’une recherche. 2 Dans la section Fields de la fenêtre, notez les éléments de la liste Selected et leur ordre, et comparez-les avec la zone de l’interface utilisateur à modifier. Ceux-ci doivent correspondre. Si ce n’est pas le cas, cela signifie que vous n’avez pas sélectionné le bon groupe de métadonnées.166 Partie II Administration générale 3 Dans ce cas, effectuez l’une des opérations suivantes :  Supprimez un élément de la liste Selected en le sélectionnant puis en cliquant sur Remove.  Ajoutez un élément à la liste Selected en le sélectionnant dans la liste Available puis en cliquant sur Add.  Changez l’emplacement d’un élément de la liste Selected en le sélectionnant puis en cliquant sur les boutons Up et Down. 4 Cliquez sur Save Changes. La fenêtre se ferme. Vos modifications sont alors enregistrées. Dans de nombreux cas toutefois, vous devez fermer le client et ouvrir une nouvelle session pour que les modifications prennent effet. Personnalisation de recherches avancées Plusieurs emplacements dans le client Final Cut Server sont prévus pour vous permettre de configurer des options de recherche avancée afin d’affiner les résultas de vos recherches. En modifiant des groupes de métadonnées sélectionnés, vous pouvez ajouter et supprimer des champs de métadonnées et changer l’ordre dans lequel ils apparaissent. Par exemple, vous pouvez ajouter un champ de métadonnées Réviseurs obligatoires à vos recherches portant sur les ressources. Les groupes de métadonnées de recherche avancée, généralement modifiés, sont les suivants :  Groupe de métadonnées Asset Filter : ce groupe de métadonnées détermine les options de recherche avancée proposées dans la sous-fenêtre Assets de la fenêtre principale. Il influe également sur les champs qui apparaissent dans la sous-fenêtre Asset Filter lorsque vous configurez un abonnement à une ressource et dans la sousfenêtre Asset Filter lorsque vous configurez un ensemble d’autorisations.  Groupe de métadonnées Production Filter : ce groupe de métadonnées détermine les options de recherche avancée proposées dans la sous-fenêtre Productions de la fenê- tre principale. Il influe également sur les champs qui apparaissent dans la sous-fenê- tre Production Filter lorsque vous configurez une production à une ressource et dans la sous-fenêtre Production Filter lorsque vous configurez un ensemble d’autorisations.  Groupe de métadonnées Job Filter : ce groupe de métadonnées détermine les options de recherche avancée proposées dans la fenêtre Search All Jobs qui apparaît lorsque vous sélectionnez Search All Jobs dans le menu du serveur. Il influe également sur les champs qui apparaissent dans la sous-fenêtre Job Filter lorsque vous configurez un abonnement à une tâche.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 167 II Personnalisation des présentations Les groupes de métadonnées déterminent les informations qui apparaissent dans la fenêtre principale lorsque vous choisissez les présentations Thumbnail, Tile ou List. Il peut s’avérer utile de personnaliser ces présentations pour qu’elles affichent les informations qui vous sont importantes. Par exemple, il peut s’avérer judicieux de retrouver le type Mime des ressources dans la présentation Thumbnail. Il peut s’avérer difficile d’identifier les bons groupes de métadonnées à modifier car de nombreux groupes portent le même nom. Vous devez par conséquent vous assurer que vous avez bien sélectionné le groupe portant le bon identifiant de groupe de métadonnées (voir ci-après). Les groupes de métadonnées de présentation, généralement modifiés, sont les suivants :  Groupe de métadonnées Thumbnails, identifiant de groupe ASSET_THUMBNAILS_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la présentation Thumbnails de la sous-fenêtre Assets de la fenêtre principale.  Groupe de métadonnées Thumbnails, identifiant de groupe PROJECT_THUMBNAILS_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la présentation Thumbnails de la sous-fenêtre Productions de la fenêtre principale.  Groupe de métadonnées Thumbnails, identifiant de groupe ELEMENT_THUMBNAILS_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la présentation Thumbnails de la fenêtre d’information accessible en double-cliquant sur un projet Final Cut Pro dans la fenêtre principale.  Groupe de métadonnées Tiles, identifiant de groupe ASSET_INFO_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la sous-fenêtre Information de la fenêtre principale, lorsque vous consultez les ressources.  Groupe de métadonnées Tiles, identifiant de groupe PROJECT_INFO_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la sous-fenêtre Information de la fenêtre principale, lorsque vous consultez les productions.  Groupe de métadonnées Tiles, identifiant de groupe ASSET_TILES_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la fenêtre Information accessible en double-cliquant sur une ressource ou un projet Final Cut Pro dans la fenêtre principale.  Groupe de métadonnées Tiles, identifiant de groupe PROJECT_TILES_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la fenêtre Information accessible en double-cliquant sur une production.  Groupe de métadonnées Tiles, identifiant de groupe ELEMENT_TILES_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la fenêtre Element Details, accessible en double-cliquant sur un élément dans la fenêtre Information (celle qui s’affiche en double-cliquant sur un projet Final Cut Pro dans la fenêtre principale).168 Partie II Administration générale  Groupe de métadonnées List, identifiant de groupe ASSET_LIST_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la présentation List de la sous-fenêtre Assets de la fenêtre principale.  Groupe de métadonnées List, identifiant de groupe PROJECT_LIST_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la présentation List de la sous-fenêtre Productions de la fenêtre principale.  Groupe de métadonnées List, identifiant de groupe ELEMENT_LIST_VIEW : ce groupe de métadonnées détermine quels champs apparaissent dans la présentation List de la fenêtre d’information accessible en double-cliquant sur un projet Final Cut Pro dans la fenêtre principale. À propos des métadonnées QuickTime Il est possible d’ajouter une grande variété de métadonnées aux fichiers de données QuickTime. Vous pouvez, par exemple, ajouter des notes (par exemple, un titre, l’auteur et des mots-clés) à un fichier de données QuickTime à l’aide de la sous-fenêtre Notes de la fenêtre Player Movie Properties de QuickTime. Un fichier de données QuickTime pouvant contenir des champs de métadonnées personnalisés, Final Cut Server est incapable de mapper tous les champs de métadonnées à des champs de métadonnées utilisés dans ses groupes par défaut. Cela signifie que si vous utilisez des champs de métadonnées personnalisés dans vos séquences QuickTime, vous devez dans ce cas mapper ces champs manuellement à des champs utilisés dans des groupes de métadonnées existants ou ajouter ces champs à des groupes de métadonnées personnalisés. Pour accéder aux métadonnées d’une séquence QuickTime : 1 Choisissez Search Devices dans le menu local Server du client. La fenêtre Search Devices s’ouvre. Cliquez ici pour ouvrir le menu local Server.Chapitre 11 Gestion des métadonnées 169 II 2 Choisissez le périphérique qui contient la séquence souhaitée dans le menu local Device puis cliquez sur le bouton Search. 3 Double-cliquez sur le fichier de données QuickTime qui contient les métadonnées à consulter. Une fenêtre reprenant les détails relatifs au fichier s’ouvre. 4 Cliquez sur Dynamic Metadata dans la colonne de gauche. Les détails des métadonnées du fichier sont affichés. Remarque : il se peut que certains champs de métadonnées contiennent des réglages en double. Final Cut Server affiche les anciennes entrées d’identification FOURCC (dont le nom des champs est limité à quatre caractères) et les nouvelles entrées d’identification.12 171 12 Gestion des périphériques Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos des périphériques (p. 171)  Ajout d’un périphérique à partir de la fenêtre Administration (p. 173)  Modification d’un périphérique à partir de la fenêtre Administration (p. 176)  Suppression d’un périphérique par le biais de la fenêtre Administration (p. 176)  À propos des périphériques spécialisés (p. 177)  Informations détaillées sur le type de périphérique (p. 182)  Recherche de périphériques (p. 191) À propos des périphériques Final Cut Server s’appuie sur des périphériques pour stocker et gérer vos ressources et vos productions. Il existe également des périphériques permettant des fonctions spécialisées, par exemple le stockage de proxy, l’archivage et le suivi des versions des ressources. Vous pouvez ajouter, supprimer et configurer des périphériques que Final Cut Server peut exploiter tout en gérant votre système. Ces périphériques peuvent aller du simple dossier sur un ordinateur équipé de Final Cut Server, au serveur FTP ou au volume Apple Xsan. Vous pouvez ajouter et modifier des périphériques dans Final Cut Server de deux façons : l’Assistant réglages de périphérique dans les Préférences Système de Final Cut Server et la sous-fenêtre Devices dans la fenêtre Administration du client. 172 Partie II Administration générale À propos de la création de périphériques par le biais de l’Assistant réglages de périphérique L’Assistant réglages de périphérique, accessible depuis les Préférences Système de Final Cut Server est simple d’utilisation et contient des fonctionnalités complémentaires, notamment la configuration des réglages d’analyse et de transcodage. La configuration manuelle de fonctionnalités semblables supposerait l’utilisation de plusieurs sous-fenêtres de la fenêtre Administration. L’Assistant réglages de périphérique facilite également l’installation de certains types de périphériques, notamment les périphériques réseau et les volumes Xsan, en limitant le nombre de réglages. En outre, il vérifie tous les réglages que vous établissez avant de passer à l’étape suivante (les périphériques créés par le biais de la fenêtre Administration ne sont pas vérifiés tant que vous ne les utilisez pas). L’Assistant réglages de périphérique présente quelques inconvénients : vous ne pouvez pas accéder aux réglages les plus inhabituels ou configurer plusieurs types de périphérique, par exemple un système de fichiers Contentbase ou un périphérique de montage à la volée n’utilisant pas un volume Xsan. Pour en savoir plus sur l’Assistant réglages de périphérique, consultez le chapitre 5, « Utilisation de Device Setup Assistant », à la page 63. À propos de la création de périphériques à l’aide de la fenêtre Administration La sous-fenêtre Devices de la fenêtre Administration permet d’accéder à bien plus de réglages de périphérique que l’Assistant réglages de périphérique. La plupart des utilisateurs n’ont pas à modifier ces réglages, mais cela peut s’avérer utile dans certains cas. La fenêtre Administration est la seule zone où vous pouvez configurer des périphériques en utilisant le système de fichiers Contentbase ou un périphérique de montage à la volée n’utilisant pas de volume Xsan. Bien que vous puissiez configurer des périphériques réseau par le biais de la fenêtre Administration, cela s’avère plus difficile en raison de ses nombreux réglages. Chapitre 12 Gestion des périphériques 173 II Ajout d’un périphérique à partir de la fenêtre Administration Vous pouvez ajouter un périphérique par le biais de l’Assistant réglages de périphérique accessible depuis les Préférences Système de Final Cut Server, ou manuellement par le biais de la fenêtre Administration du client. Pour en savoir plus sur l’Assistant réglages de périphérique, consultez la rubrique « Ajout d’un périphérique » à la page 66. L’ajout d’un périphérique par le biais de la fenêtre Administration diffère un peu de l’ajout par les Préférences Système:  Vous devez configurer manuellement le périphérique car aucun Assistant réglages de périphérique n’est proposé comme dans les Préférences Système.  Vous ne pouvez pas ajouter directement des réglages de transcodage au périphérique à partir de la sous-fenêtre Devices. Vous devez en fait affecter des périphériques aux réglages de transcodage depuis la sous-fenêtre Transcode Settings de la fenêtre Administration. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 13, « Gestion des réglages de transcodage », à la page 197.  Vous ne pouvez pas ajouter directement des réglages d’analyse au périphérique à partir de la sous-fenêtre Devices. Vous devez en fait créer les réglages d’analyse depuis les sous-fenêtres Response et Schedule. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 14, « Gestion des automatisations », à la page 203.  Vous disposez de bien plus d’options et de réglages. La configuration manuelle d’un périphérique offre plus de souplesse.  Vous n’êtes pas en mesure d’ajouter facilement certains types de périphériques, notamment Xsan, NFS ou SMB/CIFS. Vous pouvez les ajouter beaucoup plus facilement par le biais de l’Assistant réglages de périphérique. Important : lorsque vous ajoutez un périphérique par le biais de la fenêtre Administration, Final Cut Server ne les vérifie qu’au moment où vous les utilisez pour la première fois. Pensez à tester le bon fonctionnement de tout nouveau périphérique. Un bon moyen de procéder est de passer par l’option Search Devices. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Recherche de périphériques » à la page 191. Remarque : il est fortement recommandé de ne pas créer de périphérique sur le disque de démarrage du serveur. Les périphériques contiennent des fichiers multimédia volumineux et peuvent utiliser tout l’espace disque disponible de leur disque dur, ce qui peut présenter de sérieux problèmes si le disque dur fait également office de disque de démarrage.174 Partie II Administration générale Pour ajouter un périphérique par le biais de la fenêtre Administration : 1 Ouvrez un client Final Cut Server et ouvrez une session en tant qu’utilisateur possédant des autorisations administrateur. 2 Choisissez Administration dans le menu local Server (celui qui apparaît dans la fenêtre principale de Final Cut Server lorsque vous cliquez sur le bouton Server). La fenêtre Administration apparaît. 3 Cliquez sur Devices dans la colonne de gauche pour ouvrir la sous-fenêtre du même nom. 4 Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouveau périphérique. La fenêtre Devices s’ouvre. Cliquez sur le bouton Server et choisissez Administration dans le menu local. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouveau périphérique.Chapitre 12 Gestion des périphériques 175 II 5 Sélectionnez le type de périphérique à ajouter depuis le menu local Device Type :  Contentbase : système de fichiers propre à Final Cut Server servant à renommer chaque ressource et à la placer dans un dossier contenant également un fichier portant le nom d’origine. L’avantage de Contentbase est que vous pouvez y ajouter des fichiers sans créer de conflit de nom de fichier (ce qui peut s’avérer utile lorsque de nombreux fichiers d’images partagent le même nom). L’inconvénient réside dans le fait que vous ne pouvez pas créer de structure de dossiers ; il se peut en outre que les fichiers renommés soient difficiles à manipuler en dehors de Final Cut Server. Important : les périphériques Proxies, Edit Proxies et Version doivent utiliser le système de fichiers Contentbase. En outre, les périphériques Contentbase ne peuvent pas faire l’objet d’un contrôle de la part d’un dispositif de surveillance automatisé.  FTP Server : type de périphérique exploitant le protocole FTP pour transférer des fichiers multimédia vers ou depuis le périphérique.  Filesystem : il s’agit d’un système de fichiers traditionnel utilisé par la plupart des ordinateurs. Il prend en charge les noms standard de sous-dossiers et de fichier. La fenêtre Devices s’adapte en fonction du type de périphérique sélectionné. Vous pouvez sélectionner un autre type de périphérique, le cas échéant. 6 Configurez les réglages du type de périphérique, puis cliquez sur Save Changes. Vous pouvez sélectionner d’autres types de périphérique pour afficher les réglages correspondants.176 Partie II Administration générale Modification d’un périphérique à partir de la fenêtre Administration La fenêtre Administration ne peut modifier que les périphériques qu’elle crée ou ceux générés par l’Assistant réglages de périphérique. Pour en savoir plus sur la modification des périphériques en utilisant l’Assistant réglages de périphérique, consultez la rubrique « Modification d’un périphérique » à la page 77. Pour modifier les réglages d’un périphérique par le biais de la fenêtre Administration : 1 Double-cliquez sur le périphérique dans la sous-fenêtre Devices. La fenêtre Devices qui s’ouvre affiche les réglages actuels du périphérique en question. 2 Modifiez les réglages le cas échéant, puis cliquez sur Save Changes. The fenêtre Devices se ferme et les nouveaux réglages du périphérique sont pris en compte. Pour en savoir plus sur les réglages relatifs aux périphériques, consultez la rubrique « Informations détaillées sur le type de périphérique » à la page 182. Suppression d’un périphérique par le biais de la fenêtre Administration Il est absolument impossible de supprimer un périphérique à travers la sous-fenêtre Devices. Pour supprimer un périphérique par le biais de la fenêtre Administration : 1 Sélectionnez le périphérique dans la sous-fenêtre Devices. 2 Cliquez sur le périphérique tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Delete dans le menu contextuel. Une zone de dialogue de confirmation s’affiche. 3 Cliquez sur Delete. Le périphérique est supprimé de la liste des périphériques. Prenez en compte les points suivants lors de la suppression d’un périphérique :  Vous ne pouvez pas annuler la suppression d’un périphérique.  La suppression d’un périphérique entraîne également celle de toutes les ressources correspondantes dans le catalogue Final Cut Server. Cela comprend la suppression de tous les fichiers proxy du périphérique Proxy et de toutes les versions du périphé- rique Version.  La suppression d’un périphérique n’a aucun effet sur le contenu en cours du volume du périphérique. La seule exception concerne les périphériques Contentbase : la suppression d’un tel périphérique a pour effet de supprimer également tous les données correspondantes.Chapitre 12 Gestion des périphériques 177 II  Si une tâche est en cours lorsque vous supprimez le périphérique, vous devez attendre qu’elle se termine avant de pouvoir supprimer le périphérique (toutes les autres tâches en attente sont annulées). Si vous ne souhaitez pas attendre, vous pouvez annuler la tâche dans la fenêtre Search All Jobs du client.  Toute réponse ou tout dispositif de surveillance qui dépend du périphérique supprimé l’est également. Toute programmation ou automatisation utilisée par ces réponses n’est pas supprimée. Vous devez donc les supprimer manuellement. À propos des périphériques spécialisés Il existe un certain nombre de périphériques spécialisés utilisables par Final Cut Server. Certains d’entre eux, notamment les périphériques Proxies et Version, sont configurés lors de l’installation de Final Cut Server. D’autres, par exemple les périphériques d’archivage, doivent être configurés manuellement. Configuration du périphérique Proxies Chaque configuration Final Cut Server dispose d’un périphérique Proxies. Chaque fois que vous téléchargez une ressource dans le catalogue Final Cut Server, un ensemble de fichiers en faible résolution est créé. Les vignettes, les affiches et les proxy des plans sont stockés dans le périphérique Proxies. Ils sont utilisés à la place des ressources normales en pleine résolution lorsque leur contrepartie en faible résolution est suffisante. Pour en savoir plus sur la configuration des formats de proxy, consultez la rubrique « Réglages des préférences Analyze » à la page 124. Le périphérique Proxies est créé à l’endroit spécifié lors de l’installation de Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Utilisation du programme d’installation de Final Cut Server » à la page 23. Pour en savoir plus sur la sélection d’un périphérique proxy, consultez la rubrique « Réglages des préférences Proxys » à la page 121. Le périphérique Proxies est un périphérique de type Contentbase. Configuration du périphérique Edit Proxies Chaque configuration Final Cut Server dispose d’un périphérique Edit Proxies. Chaque fois que vous téléchargez un projet Final Cut Pro dans le catalogue Final Cut Server, vous pouvez créer un ensemble de fichiers au format Apple ProRes 422 ainsi qu’un ensemble de fichiers en faible résolution stockés sur le périphérique Proxies. Vous pouvez utiliser ces fichiers à place des ressources d’origine lorsque vous exportez ou vérifiez un projet Final Cut Pro. Le périphérique Edit Proxies est créé à l’endroit spécifié lors de l’installation de Final Cut Server. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Utilisation du programme d’installation de Final Cut Server » à la page 23. Pour en savoir plus sur la sélection d’un périphérique Edit Proxies, consultez la rubrique « Réglages des préférences Proxys » à la page 121. Le périphérique Edit Proxies est un périphérique de type Contentbase.178 Partie II Administration générale Configuration du périphérique Version Lors de l’utilisation des ressources Final Cut Server, vous pouvez être amené à contrô- ler plusieurs versions d’une même ressource. En effet, il se peut que vous ayez par exemple plusieurs versions d’une même image, utilisant des réglages de police diffé- rents. Final Cut Server contient une fonction de suivi de versions simplifiant l’utilisation de plusieurs copies d’une ressource. Le programme d’installation de Final Cut Server crée automatiquement un périphérique Version à l’emplacement spécifié pour le fichier multimédia de production. Dans la plupart des configurations, ce périphérique est particulièrement adapté au stockage des versions de vos ressources et de vos productions. Vous pouvez cependant être amené à créer un périphérique avec plus d’espace pour stocker vos versions. C’est particulièrement le cas si vous comptez conserver plus de trois ou quatre copies de vos ressources et qu’il s’agit de fichiers vidéo volumineux. Si vous cherchez à créer manuellement un périphérique Version, le périphérique doit être de type Contentbase. Il ne doit alors pas être utilisé pour autre chose. Pour indiquer le périphérique à utiliser pour le stockage des versions des ressources et des productions, utilisez la sous-fenêtre Préférences de la fenêtre Administration. Pour sélectionner le périphérique Version : 1 Dans la sous-fenêtre Preferences de la fenêtre Administration, cliquez sur Version Control pour accéder aux préférences applicables aux versions. 2 Sélectionnez un périphérique dans le menu local Version Control Device. Remarque : le périphérique utilisé pour stocker les versions étant de type Contentbase, le bouton Choose n’est par conséquent pas accessible. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Contentbase » à la page 182. 3 Tapez le nombre maximal de versions à associer à une ressource dans le champ Version Control Limit. Une fois la limite atteinte, les copies les plus anciennes sont supprimées au fur et à mesure que vous en ajoutez des nouvelles. 4 Cliquez sur Save Changes. Pour en savoir plus sur les réglages des préférences dans les autres parties de la sousfenêtre Préférences, consultez la rubrique « Réglages de préférences dans la fenêtre Administration du client Final Cut Server » à la page 119.Chapitre 12 Gestion des périphériques 179 II Configuration d’un périphérique Archive En archivant une ressource, vous pouvez la mettre hors ligne tout en conservant un lien vers celle-ci pour pouvoir y accéder à tout moment. Cela s’avère particulièrement utile pour les fichiers vidéo volumineux que vous n’utilisez pas actuellement et qui occupe beaucoup d’espace disque sur un périphérique. L’archivage de la ressource permet de la copier sur un autre périphérique, par exemple, un lecteur FireWire ou un disque dur lent mais de grande capacité que vous pouvez déconnecter. Final Cut Server conserve un lien vers la ressource ce qui facilite toute restauration ultérieure. Important : l’archivage ne s’applique pas aux éventuelles versions d’une ressource. Seule la version active est archivée. Final Cut Server prend en charge plusieurs périphériques d’archivage. La plupart des périphériques peuvent en outre être définis comme périphérique d’archivage. Les périphériques Archive peuvent utiliser le type de périphérique Final Cut Server Contentbase ou Filesystem. Important : les ressources d’un périphérique de type Contentbase ne peuvent être archivées que si le périphérique est également de ce type. Si vous créez au moins un périphérique de type Contentbase pour stocker des ressources, pensez à créer un périphérique Archive utilisant également un périphérique Contentbase. Remarque : en outre, vous pouvez créer des périphériques à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Ajout d’un périphérique » à la page 66. Pour convertir un périphérique en périphérique Archive : 1 Double-cliquez sur le périphérique dans la sous-fenêtre Devices de la fenêtre Administration. Le périphérique s’ouvre dans une fenêtre indépendante. 2 Cochez la case Archive Device. 3 Cliquez sur Save Changes. Ce périphérique s’affiche alors dans la liste des périphériques Archive dans le menu contextuel de la fenêtre principale. Pour en savoir plus, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Final Cut Server.180 Partie II Administration générale À propos du périphérique Export Un utilisateur peut exporter une ressource depuis le catalogue Final Cut Server vers son ordinateur local. Lorsque l’utilisateur, sur un client Final Cut Server, clique sur une ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, l’option Export s’affiche dans le menu contextuel. La sélection de l’option Export ouvre une zone de dialogue où l’utilisateur définit le nom du fichier, son chemin de destination et éventuellement le type de transcodage, pour permettre la conversion de la ressource sous un autre codec au fur et à mesure que celle-ci se télécharge. Final Cut Server crée un périphérique masqué, intitulé Export, pour stocker les réglages de transcodage qu’un utilisateur peut sélectionner à l’aide de l’option Export. Par défaut, le périphérique Export se limite à certains réglages de transcodage les plus courants. Vous pouvez ajouter des réglages de transcodage au périphérique Export depuis la sousfenêtre Transcode Settings de la fenêtre Administration. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Affectation de réglages de transcodage aux périphériques » à la page 200. Aucun autre réglage n’existe pour le périphérique Export. À propos des périphériques de montage à la volée En fonction de la configuration de votre système, il se peut que vous puissiez bénéficier de la fonction de montage à la volée de Final Cut Server, laquelle simplifie et accélère l’utilisation des ressources du catalogue. Rôle du montage à la volée Généralement, lorsque vous utilisez un client Final Cut Server, vous devez disposer d’une copie locale de toutes les ressources que vous souhaitez utiliser sur l’ordinateur client. Par exemple, pour ajouter une des ressources Final Cut Server à un projet Final Cut Pro située sur l’ordinateur du client, vous devez créer une copie de la ressource à partir du périphérique correspondant à placer sur votre ordinateur avant de pouvoir l’ajouter au projet. Cliquer sur « Add to Local Cache » dans la fenêtre principale entraîne la création d’une copie de la ressource et la place dans le fichier cache de l’ordinateur (d’après ce qui est précisé dans la fenêtre Préférences ; pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réglages des préférences personnalisables » à la page 125). L’image vignette de la ressource adopte une couleur plus claire une fois que la ressource a été copiée sur l’ordinateur du client. Vous pouvez ensuite déposer la ressource sur votre projet Final Cut Pro, le bureau ou tout autre emplacement où vous souhaitez l’utiliser, en la faisant glisser depuis la fenêtre principale. Il se peut cependant que l’ordinateur client de Final Cut Server bénéficie d’un accès direct au périphérique contenant la ressource requise. Dans ce cas, vous pouvez configurer le périphérique de sorte à exploiter directement les ressources qu’il contient sans avoir à en créer une copie locale au préalable. Un périphérique accessible directement par un client Final Cut Server est un périphérique de montage à la volée.Chapitre 12 Gestion des périphériques 181 II Votre système prend-il en charge le montage à la volée ? Les périphériques de montage à la volée s’adaptent particulièrement bien à deux configurations système courantes : lorsque l’ordinateur client est connecté à volume Xsan à travers un réseau Fibre Channel, ou lorsque le périphérique correspond en fait à un disque dur directement branché sur l’ordinateur client. Dans les deux cas, vous devez disposer d’une bande passante suffisamment élevée pour pouvoir travailler en temps réel sur les ressources afin d’éviter les pertes d’images et les problèmes inhérents à l’utilisation d’une faible bande passante. Important : en général, les périphériques connectés à l’ordinateur du client par le biais d’une connexion sans fil ou Ethernet standard ne sont pas adaptés à l’usage de périphériques de montage à la volée du fait d’une bande passante relativement faible pour permettre de travailler directement sur les fichiers vidéo. En outre, vous ne devez jamais configurer le disque de démarrage de l’ordinateur sur lequel Final Cut Server est installé, comme périphérique de montage à la volée. Création de périphériques de montage à la volée Vous pouvez ajouter et modifier des périphériques à votre système Final Cut Server de deux façons : l’Assistant réglages de périphérique et la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Les réglages de montage à la volée de la plupart des périphériques créés avec l’Assistant réglages de périphérique, ne sont pas configurés. Une exception à cela concerne le périphérique Xsan, qui configure automatiquement les réglages de montage à la volée correspondants. La seule manière de créer manuellement un périphérique de montage à la volée consiste à créer le périphérique dans la fenêtre Administration. Lorsque vous créez ainsi un périphérique, vous pouvez configurer plusieurs réglages relatifs au montage à la volée.  Macintosh edit-in-place URI : URI (Uniform Resource Identifier) permettant l’édition de données depuis un client Macintosh directement sur le périphérique, plutôt que de les télécharger et de les éditer sur le client. Le périphérique doit également être accessible en tant que système de fichiers monté depuis le client. Le format est le suivant :  file:///Volumes/NomVolume/Sous-dossierFacultatif/ Par exemple :  file:///Volumes/ServeurDonnées/Images/  Windows edit-in-place URI : URI permettant l’édition de données depuis un client Windows directement sur le périphérique, plutôt que de les télécharger et de les éditer sur le client. Le périphérique doit également être accessible en tant que partage réseau depuis le client. Le format est le suivant :  file:////NomHôte/Chemin/ Par exemple :  file:////ServeurDonnées/Images/ 182 Partie II Administration générale Pour en savoir plus sur les volumes Xsan, consultez la rubrique « Stratégie en matière de périphériques de stockage » à la page 16. Informations détaillées sur le type de périphérique Les périphériques pris en charge par Final Cut Server sont répertoriés et décrits ci-dessous :  Contentbase : consultez la rubrique « Contentbase, » ci-dessous.  FTP Server : consultez la rubrique « FTP Server » à la page 184.  Filesystem (notamment local, Xsan, NFS, AFP et SMB/CIFS) : consultez la rubrique « Filesystem » à la page 188. Contentbase Contentbase est un système de stockage de fichiers géré par Final Cut Server sur ou connecté au serveur Final Cut Server. Les fichiers multimédia sont stockés sur un système de fichiers, notamment un espace de stockage NAS (Network-Attached Storage) ou SAN (Storage Area Network). Contentbase est un système de fichiers propre à Final Cut Server qui place chaque ressource dans un dossier unique. L’avantage de Contentbase est que vous pouvez y ajouter des fichiers sans créer de conflit de nom de fichier (ce qui peut s’avérer utile lorsque de nombreux fichiers d’images partagent le même nom). L’inconvénient réside dans le fait que vous ne pouvez pas créer de structure de dossiers ; il se peut en outre que les fichiers soient difficiles à manipuler en dehors de Final Cut Server. Remarque : les périphériques Proxies, Edit Proxies et Version doivent utiliser le système de fichiers Contentbase. Important : les périphériques de type Contentbase ne sont pas utilisables par un dispositif de surveillance de système de fichiers. Pour accéder aux réglages de périphérique Contentbase : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Devices, pour créer un périphérique.Chapitre 12 Gestion des périphériques 183 II 2 Sélectionnez Contentbase dans le menu local Device Type. La sous-fenêtre Configuration, correspondant au type de périphérique Contentbase, reprend les éléments suivants :  Device Name : tapez un nom de périphérique descriptif.  Local Directory : chemin d’accès racine du périphérique tel qu’il apparaît sur le serveur Final Cut Server. Par exemple : /Volumes/Macintosh HD/Final Cut Server/ Contentbase Device/.  Macintosh edit-in-place URI : URI (Uniform Resource Identifier) permettant l’édition de données depuis un client Macintosh directement sur le périphérique, plutôt que de les télécharger et de les éditer sur le client. Le périphérique doit également être accessible en tant que système de fichiers monté depuis le client. Le format est le suivant :  file:///Volumes/NomVolume/Sous-dossierFacultatif/ Par exemple :  file:///Volumes/ServeurDonnées/Images/ Remarque : pour en savoir plus sur les périphériques de montage à la volée, consultez la rubrique « À propos des périphériques de montage à la volée » à la page 180.  Windows edit-in-place URI : URI permettant l’édition de données depuis un client Windows directement sur le périphérique, plutôt que de les télécharger et de les éditer sur le client. Le périphérique doit également être accessible en tant que partage réseau depuis le client. Le format est le suivant :  file:////NomHôte/Chemin/ Par exemple :  file:////ServeurDonnées/Images/  Archive Device : case permettant d’ajouter le périphérique à la liste des emplacements d’archivage proposés à l’utilisateur. Sélectionnez Contentbase.184 Partie II Administration générale FTP Server Final Cut Server prend en charge l’accès à tout serveur FTP (File Transfer Protocol) standard, par exemple un hôte Microsoft Windows, Macintosh ou UNIX. D’autres périphériques peuvent être configurés en suivant cette procédure, par exemple les serveurs de fichiers Macintosh, Windows NT/2000 et UNIX. Pour accéder aux réglages de périphérique FTP Server : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Devices, pour créer un périphérique. 2 Sélectionnez FTP Server dans le menu local Device Type. La sous-fenêtre Configuration, correspondant au type de périphérique de serveur FTP, reprend les éléments suivants :  Device Name : tapez un nom de périphérique descriptif.  Hostname / IP Address : nom d’hôte DNS (par exemple, ftp.tv1.com) ou l’adresse IP du serveur (par exemple, 10.1.101.7).  FTP Root Path : chemin d’accès par défaut des fichiers sur le serveur (par exemple, /public/images/). Si ce chemin d’accès commence par une barre oblique (/), cela signifie qu’il fait référence au dossier racine du serveur. Dans le cas contraire, il se rapporte au dossier par défaut du serveur auquel se connecte l’utilisateur (il s’agit généralement du dossier de départ de l’utilisateur).  User : nom d’utilisateur à saisir dans ce champ pour vous connecter automatiquement au serveur FTP chaque fois, par exemple lorsque vous effectuez une recherche et une copie.  Password : mot de passe associé au champ User. Laissez ce champ vide si le serveur FTP ne requiert aucun mot de passe.  Verify : confirmation du mot de passe.  Passive Mode : case permettant d’activer les transferts FTP en mode passif. Sélectionnez FTP Server.Chapitre 12 Gestion des périphériques 185 II  Port : numéro du port (laissez ce champ vide pour utiliser le numéro de port par défaut).  Show Dot-files : case permettant d’afficher tous les fichiers commençant par un point (.) dans les listes de répertoires et les recherches. Dans le cas contraire, ces fichiers n’apparaissent pas. Important : ne cochez cette option que si cela est absolument nécessaire.  ls -a : case permettant d’afficher dans la liste des fichiers du serveur ceux dont le nom commence par un point. Important : ne cochez cette option que si cela est absolument nécessaire.  Search Cache Time : durée en minutes pour le maintien des résultats de recherche en mémoire cache dans Final Cut Server. La valeur saisie varie entre 0 (les résultats ne sont mis en mémoire cache) et 7 (les résultats sont mis en mémoire cache pendant 7 minutes). La mémoire cache de Final Cut Server est interrogée pendant la période spécifiée. Au-delà, le périphérique est de nouveau interrogé. Cela améliore les performances mais les résultats de la recherche risquent d’être anciens, de la période spécifiée. La mise en mémoire cache des résultats de la recherche pendant plusieurs minutes s’illustre pleinement en cas de connexion à un serveur lent ou d’une connexion réseau lente.  Text encoding : sélectionnez dans le menu local le type d’encodage texte utilisé sur le périphérique. Final Cut Server prend en charge une large gamme d’encodages texte, notamment la plupart des encodages chinois, coréens et japonais. L’encodage Unicode UTF-8 est celui utilisé par défaut dans Mac OS X. Si vous ne savez pas quel encodage texte utiliser, vous pouvez sélectionner un réglage et utiliser la fenêtre Search Devices (expliquée dans la rubrique « Recherche de périphériques » à la page 191) pour vérifier si le nom des fichiers s’affiche correctement. Dans le cas contraire, essayez avec un autre réglage. Important : si, après avoir ajouté au catalogue Final Cut Server les ressources d’un périphérique, vous modifiez le réglage en question, le nouvel encodage n’est alors pas appliqué aux ressources. Veillez à vérifier l’encodage avant d’analyser le périphérique.186 Partie II Administration générale Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos de la prise en charge Unicode » à la page 128.  Metadata Sync Policy : règles de synchronisation des métadonnées entre Final Cut Server et le périphérique, à sélectionner dans ce menu local. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Règles de synchronisation des métadonnées » à la page 163.  Generate Thumbnails : case permettant d’afficher des vignettes lorsque vous sélectionnez Search Devices dans le menu local Server (celui de la fenêtre principale de Final Cut Server qui s’affiche lorsque vous cliquez sur le bouton Server). Les images s’affichent sous forme de vignettes lorsque vous accédez aux détails de celle-ci, en double-cliquant sur le nom de son fichier ou en cliquant sur celui-ci tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée puis en sélectionnant View Details dans le menu contextuel. Cela vous permet de visualiser l’image sans avoir à créer de ressource dans le catalogue Final Cut Server. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la fonction Search Devices, consultez la rubrique « Recherche de périphériques » à la page 191.  Max Connections : nombre maximal de connexions entre Final Cut Server et le périphérique. Laissez ce champ vide ou défini par défaut sur zéro (0) (les connexions sont alors illimitées) sauf si, pour une raison particulière, vous souhaitez limiter le nombre de connexions.  Macintosh edit-in-place URI : URI (Uniform Resource Identifier) permettant l’édition de données depuis un client Macintosh directement sur le périphérique, plutôt que de les télécharger et de les éditer sur le client. Le périphérique doit également être accessible en tant que système de fichiers monté depuis le client. Le format est le suivant :  file:///Volumes/NomVolume/Sous-dossierFacultatif/ Par exemple :  file:///Volumes/ServeurDonnées/Images/ Remarque : pour en savoir plus sur les périphériques de montage à la volée, consultez la rubrique « À propos des périphériques de montage à la volée » à la page 180.Chapitre 12 Gestion des périphériques 187 II  Windows edit-in-place URI : URI permettant l’édition de données depuis un client Windows directement sur le périphérique, plutôt que de les télécharger et de les éditer sur le client. Le périphérique doit également être accessible en tant que partage réseau depuis le client. Le format est le suivant :  file:////NomHôte/Chemin/ Par exemple :  file:////ServeurDonnées/Images/  Analyze Mode : l’analyse crée des proxy distincts pour le fichier des plans et des images. Sélectionnez une option dans le menu local pour déterminer le mode de gestion par Final Cut Server des fichiers identifiées comme étant des images ou des plans vidéo, par exemple, pour les fichiers sans extension.  [None] : permet de ne pas analyser les fichiers ou ne pas créer de proxy pour les fichiers sans extension ou sans extension connue. Déduit le type de fichier d’après l’extension (valeur par défaut).  Assume Stills : permet d’indiquer que les fichiers sans extension ou sans extension connue sont en fait des images.  Ignore : permet de ne pas analyser les fichiers ou ne pas créer de proxy pour les fichiers sans extension ou sans extension connue. Devine le type de fichier d’après son extension.  Case insensitive filesystem : permet d’indiquer si les périphériques FTP ne suivent pas les majuscules (par exemple, FICHIER.mov et fichier.mov correspondent au même fichier).  Archive Device : case permettant d’ajouter le périphérique à la liste des emplacements d’archivage proposés à l’utilisateur.188 Partie II Administration générale Filesystem Ce type de périphérique est destiné au stockage de tout élément sur le serveur de Final Cut Server ou qui peut être monté depuis celui-ci. Ce type de périphérique est utilisé pour les systèmes de fichiers AFP, Xsan, NFS et SMB/CIFS. Remarque : même si tous les champs sont visibles, le système de fichiers détermine ceux réellement utilisés. Pour accéder aux réglages de périphérique Filesystem : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Devices, pour créer un périphérique. 2 Sélectionnez Filesystem dans le menu local Device Type. La sous-fenêtre Filesystem Configuration, correspondant au type de périphérique Filesystem, reprend les éléments suivants :  Device Name : tapez un nom de périphérique descriptif.  Local Directory : chemin d’accès racine du périphérique tel qu’il apparaît sur le serveur Final Cut Server. Ce chemin d’accès est considéré comme étant la racine relative (/) lors de la copie de fichiers sur le périphérique. Tous les fichiers placés sous sa hiérarchie sont alors accessibles (par exemple : /Volumes/Macintosh HD/ Final Cut Server/shared/).  Server URL : tapez l’URL du serveur. Cela ne s’applique qu’aux périphériques non locaux. Concernant les périphériques Windows SMB/CIFS, tapez le chemin d’accès racine UNC (Uniform Naming Convention) qui comprend le groupe de travail et l’utilisateur. Il s’exprime de la forme suivante : smb://groupetravail;utilisateur@nomserveur/shared. Vous devez également saisir le nom d’utilisateur dans le champ User. Remarque : l’Assistant réglages de périphérique de la sous-fenêtre Préférences Système de Final Cut Server comprend une entrée de groupe de travail. Il peut s’avé- rer plus simple de passer par l’Assistant réglages de périphérique pour configurer les périphériques SMB/CIFS. Sélectionnez Filesystem.Chapitre 12 Gestion des périphériques 189 II Important : effectuez votre saisie dans le champ Local Directory ou dans le champ Server URL, jamais dans les deux à la fois.  Server Path : chemin d’accès où le serveur procède à l’exportation, servant de chemin d’accès racine. Cela ne s’applique qu’aux périphériques non locaux.  User : nom d’utilisateur à saisir dans ce champ pour vous connecter automatiquement au serveur chaque fois, par exemple lorsque vous effectuez une recherche et une copie.  Password : mot de passe associé au champ User. Laissez ce champ vide si le champ User l’est également.  Verify : confirmation du mot de passe.  Show Dot-files : case permettant d’afficher tous les fichiers commençant par un point (.) dans les listes de répertoires et les recherches. Dans le cas contraire, ces fichiers n’apparaissent pas. Important : ne cochez cette option que si cela est absolument nécessaire.  Text encoding : sélectionnez dans le menu local le type d’encodage texte utilisé sur le périphérique. Final Cut Server prend en charge une large gamme d’encodages texte, notamment la plupart des encodages chinois, coréens et japonais. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos de la prise en charge Unicode » à la page 128.  Metadata Sync Policy : règles de synchronisation des métadonnées entre Final Cut Server et le périphérique, à sélectionner dans ce menu local. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Règles de synchronisation des métadonnées » à la page 163.  Generate Thumbnails : cochez cette case pour afficher les images sous forme de vignette lorsque vous sélectionnez Search Devices dans le menu local Server (celui de la fenêtre principale de Final Cut Server qui s’affiche lorsque vous cliquez sur le bouton Server). Les images s’affichent sous forme de vignettes lorsque vous accédez aux détails de celleci, en double-cliquant sur le nom de son fichier ou en cliquant sur celui-ci tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée puis en sélectionnant View Details dans le menu contextuel. Cela vous permet de visualiser l’image sans avoir à créer de ressource dans le catalogue Final Cut Server. Pour en savoir plus sur l’utilisation de la fonction Search Devices, consultez la rubrique « Recherche de périphériques » à la page 191.  Macintosh edit-in-place URI : URI (Uniform Resource Identifier) permettant l’édition de données depuis un client Macintosh directement sur le périphérique, plutôt que de les télécharger et de les éditer sur le client. Le périphérique doit également être accessible en tant que système de fichiers monté depuis le client. Le format est le suivant :  file:///Volumes/NomVolume/Sous-dossierFacultatif/ Par exemple :  file:///Volumes/ServeurDonnées/Images/ 190 Partie II Administration générale Remarque : pour en savoir plus sur les périphériques de montage à la volée, consultez la rubrique « À propos des périphériques de montage à la volée » à la page 180.  Windows edit-in-place URI : URI permettant l’édition de données depuis un client Windows directement sur le périphérique, plutôt que de les télécharger et de les éditer sur le client. Le périphérique doit également être accessible en tant que partage réseau depuis le client. Le format est le suivant :  file:////NomHôte/Chemin/ Par exemple :  file:////ServeurDonnées/Images/  Analyze Mode : l’analyse crée des proxy distincts pour le fichier des plans et des images. Sélectionnez une option dans le menu local pour déterminer le mode de gestion par Final Cut Server des fichiers identifiées comme étant des images ou des plans vidéo, par exemple, pour les fichiers sans extension.  [None] : permet de ne pas analyser les fichiers ou ne pas créer de proxy pour les fichiers sans extension ou sans extension connue. Déduit le type de fichier d’après l’extension (valeur par défaut).  Assume Stills : permet d’indiquer que les fichiers sans extension ou sans extension connue sont en fait des images.  Ignore : permet de ne pas analyser les fichiers ou ne pas créer de proxy pour les fichiers sans extension ou sans extension connue. Devine le type de fichier d’après son extension.  Archive Device : case permettant d’ajouter le périphérique à la liste des emplacements d’archivage proposés à l’utilisateur.  Post-archive Command : ne s’applique que si la case Archive Device est cochée. Tapez le chemin d’accès et le nom du script ou de tout autre fichier exécutable à exécuter après l’archivage d’une ressource. Cela permet d’activer l’intégration à d’autres systè- mes d’archivage externes. Le fichier d’accès complet apparaît comme premier argument du script sur la ligne de commande.Chapitre 12 Gestion des périphériques 191 II  Pre-restore Command : ne s’applique que si la case Archive Device est cochée. Tapez le chemin d’accès et le nom du script ou de tout autre fichier exécutable à exécuter avant la restauration d’une ressource. Cela permet d’activer l’intégration à d’autres systèmes d’archivage externes. Le fichier d’accès complet apparaît comme premier argument du script sur la ligne de commande. Recherche de périphériques Final Cut Server comprend une fonction de recherche de n’importe quel périphérique connecté. Cela permet d’examiner le contenu d’un périphérique, notamment les élé- ments qui n’ont pas été ajoutés au catalogue Final Cut Server. Ouverture de la fenêtre Search Devices La fenêtre Search Devices s’ouvre depuis le menu local Server du client Final Cut Server. Pour ouvrir la fenêtre Search Devices : 1 Choisissez Search Devices dans le menu local Server (celui qui apparaît dans la fenêtre principale de Final Cut Server lorsque vous cliquez sur le bouton Server). Cliquez sur le bouton Server et choisissez Search Devices dans le menu local.192 Partie II Administration générale La fenêtre s’ouvre alors. Recherche d’un périphérique Vous pouvez rechercher n’importe quel périphérique Final Cut Server. Pour rechercher parmi le contenu d’un périphérique : 1 Sélectionnez le périphérique à rechercher, à partir du menu local Device. 2 Cliquez sur Search. Par défaut, le bouton Search entraîne une recherche à partir du niveau racine du périphérique. Vous pouvez saisir le texte à rechercher dans le champ de recherche. Vous pouvez cliquer sur le bouton Catalog une fois sélectionné des fichiers. Cela a pour effet d’ajouter les ressources au catalogue de Final Cut Server. Cliquez sur Choose pour sélectionner un dossier spécifique à partir duquel vous souhaitez effectuer la recherche. Cliquez sur le triangle pour afficher les options de recherche avancée. Indiquez si vous souhaitez rechercher tous les fichiers, les plans composites ou les séquences d’images. Cliquez sur l’en-tête de la colonne servant de critère au tri. Sélectionnez le périphérique à rechercher.Chapitre 12 Gestion des périphériques 193 II Important : veillez à taper des mots complets dans le champ de recherche. À la diffé- rence du champ de recherche de la fenêtre principale de Final Cut Server, le champ de recherche Search Devices recherche exactement des mots entiers correspondant à votre saisie. Par exemple, si vous recherchez toutes les ressources contenant le mot « image », vous devez taper le mot complet. Si vous recherchez « ima », seules les ressources contenant le mot « ima » s’affichent mais pas celles contenant le mot « image ». Vous pouvez également cliquer sur Choose pour ouvrir une zone de dialogue de sélection du dossier où vous souhaitez effectuer la recherche. Cette zone de dialogue affiche les dossiers du périphérique situés à la racine. Vous pouvez double-cliquer sur un dossier pour en afficher le contenu. Après avoir sélectionné le dossier où vous souhaitez effectuer la recherche, cliquez sur Open pour fermer la zone de dialogue et revenir à la fenêtre Search Devices. Vous pouvez également cliquer sur les boutons de la partie supérieure pour gérer la zone de dialogue. Ce bouton permet de revenir au dossier immé- diatement supérieur. Cliquez ici pour sélectionner l’affichage de dossier List ou Details. Cliquez ici pour accéder au niveau racine du périphérique. Cliquez pour ajouter un dossier à l’endroit sélectionné.194 Partie II Administration générale Gestion des éléments de périphérique La fenêtre Search Devices permet de manipuler les éléments qu’elle contient de plusieurs façons. Notamment, le bouton Catalog et le menu contextuel s’affichent lorsque vous cliquez sur un élément tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée. À propos du bouton Catalog Dès que vous sélectionnez des éléments dans la fenêtre Search Devices, le bouton Catalog s’active. Cliquer sur ce bouton vous permet d’ajouter la ressource au catalogue Final Cut Server. Remarque : il est possible que l’élément sélectionné ait déjà été ajouté en tant que ressource dans le catalogue Final Cut Server. Vous pouvez déterminer si l’élément se trouve dans le catalogue, soit en le recherchant dans la sous-fenêtre Assets, soit en sélectionnant le menu contextuel (décrit ci-après) pour le supprimer. Lorsque vous sélectionnez Delete dans le menu contextuel, une zone de dialogue affiche l’élément que vous êtes sur le point de supprimer, et notamment si cet élément se trouve dans le catalogue. À propos du menu contextuel Vous pouvez cliquer sur un élément tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée pour afficher un menu contextuel proposant plusieurs options. Même si de nombreuses options ressemblent à celles qui s’affichent lorsque vous cliquez sur une ressource tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée dans la sous-fenêtre Assets, leur comportement peut s’avérer différent. Cliquez sur le bouton Catalog pour ajouter l’élément sélectionné comme ressource au catalogue de Final Cut Server.Chapitre 12 Gestion des périphériques 195 II  Catalog asset : ajoute l’élément au catalogue de Final Cut Server, tout comme le bouton Catalogue.  Get Info : ouvre une fenêtre affichant des informations sur l’élément sélectionné. Elles comprennent certaines métadonnées qui ne s’affichent pas lorsque vous consultez la ressource depuis la sous-fenêtre Assets. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos des métadonnées QuickTime » à la page 168.  View Image : ouvre une fenêtre dans l’application par défaut de l’élément pour afficher l’image. Contrairement à l’élément View du menu contextuel de la sous-fenêtre Assets, vous ne pouvez afficher que les images d’origine mais pas les fichiers proxy. Dans le cas de fichiers vidéo volumineux, le processus peut prendre du temps car vous devez d’abord copier les fichiers multimédia d’origine depuis le périphérique vers la zone cache pour pouvoir les visualiser.  Export : permet d’exporter une copie locale de l’élément sélectionné. Vous pouvez sélectionner l’emplacement et le réglage de transcodage à utiliser (le cas échéant) lors de l’exportation.  Duplicate : permet de créer une copie de l’élément sélectionné sur n’importe quel périphérique Final Cut Server. La copie de l’élément n’est pas ajoutée au catalogue Final Cut Server, que l’élément d’origine se situe ou non dans le catalogue.  Delete : permet de supprimer l’élément sélectionné depuis le périphérique. Cette option supprime définitivement le fichier. Lorsque vous sélectionnez Delete, une zone de dialogue affiche la liste des éléments à supprimer, y compris les ressources du catalogue Final Cut Server si un des éléments à supprimer en fait partie. Remarque : il peut s’avérer utile de sélectionner l’option Delete pour déterminer si un élément se trouve ou non dans le catalogue Final Cut Server. Veillez cependant à ne pas supprimer d’élément par erreur.13 197 13 Gestion des réglages de transcodage Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos des réglages de transcodage (p. 197)  Ajout de réglages de transcodage (p. 198)  Affectation de réglages de transcodage aux périphériques (p. 200) À propos des réglages de transcodage Les réglages de transcodage simplifient la copie de fichiers multimédia entre différents systèmes en masquant les informations complexes de codec audio et vidéo à la plupart des utilisateurs. Par exemple, si vous utilisez un périphérique pour passer en revue des ressources ou des productions, vous pouvez affecter des réglages de transcodage au périphérique. En outre, ces réglages peuvent servir à convertir la vidéo en un format plus adapté à la lecture. Les réglages de transcodage sont affectés à des périphériques de sorte que lorsque vous téléchargez ou copiez des fichiers multimédia dans un périphérique, vous pouvez sélectionner un réglage de transcodage à partir d’un menu local. Remarque : si aucun réglage de transcodage n’est affecté à un périphérique, vous ne pouvez pas effectuer de conversion lorsque vous téléchargez ou copiez des ressources dans le périphérique. Final Cut Server est proposé avec un certain nombre de réglages de transcodage préconfigurés, établis à partir des réglages de Compressor et des réglages internes de Final Cut Server. Vous pouvez également créer des réglages personnalisés dans Compressor et les intégrer aux réglages de transcodage de Final Cut Server. Toute personne configurant les réglages doit avoir les connaissances suffisantes des problè- mes de format vidéo et audio spécifiques. Pour en savoir plus, consultez la documentation relative à Compressor, accessible puis le menu Aide de Compressor.198 Partie II Administration générale La sous-fenêtre Transcode Settings de la fenêtre Administration du client Final Cut Server reprend la liste des réglages de transcodage. Ajout de réglages de transcodage Final Cut Server inclut une large gamme de réglages de transcodage. Tous les réglages de transcodage de plans sont inspirés des réglages de Compressor et la plupart des réglages de transcodage d’images sont établis à partir des réglages internes de Final Cut Server. Pour ajouter des réglages personnalisés, vous devez d’abord créer des réglages personnalisés dans Compressor. Pour en savoir plus sur la création de réglages personnalisés, consultez la documentation de Compressor accessible depuis le menu Aide de Compressor. Une fois créé un réglage personnalisé dans Compressor, vous pouvez l’ajouter à Final Cut Server. Pour ajouter un nouveau réglage de transcodage : 1 Cliquez sur le bouton Create dans la sous-fenêtre Transcode Settings. La fenêtre Transcode Settings s’ouvre alors. 2 Attribuez un nom au réglage de transcodage dans le champ Name. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un nouveau réglage de transcodage.Chapitre 13 Gestion des réglages de transcodage 199 II 3 Cliquez sur Parameters dans la colonne de gauche. 4 Sélectionnez le type de réglage de transcodage à créer, à partir du menu local Media Type. Ce réglage contrôle les éléments proposés dans le menu local Compressor Settings.  Si vous sélectionnez Video Clip : seuls les éléments vidéo s’affichent dans le menu local Compressor Settings.  Si vous sélectionnez Audio Clip : seuls les éléments audio s’affichent dans le menu localCompressor Settings.  Si vous sélectionnez Image : la fenêtre répertorie une série de formats d’image. 5 Sélectionnez votre réglage personnalisé dans le menu local Compressor Settings ou, s’il s’agit d’images, cliquez sur les éléments repris dans la liste Available et cliquez sur le bouton Add pour les déplacer vers la liste Selected. 6 Cliquez sur Save Changes. Le nouveau réglage de transcodage est ajouté à la sous-fenêtre Transcode Settings.200 Partie II Administration générale Affectation de réglages de transcodage aux périphériques Vous pouvez affecter des réglages de transcodage à un périphérique de deux façons : à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique des Préférences Système de Final Cut Server, ou par le biais de la fenêtre Transcode Settings. Vous disposez de deux méthodes ; cependant, la plus appropriée dépend de ce que comptez faire :  Si vous cherchez à ajouter plusieurs réglages de transcodage à un seul périphérique, il est plus rapide de modifier le périphérique à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique. Celui-ci contient la liste de tous les réglages de transcodage en regard desquels correspond une case. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Modification d’un périphérique » à la page 77. Remarque : vous ne pouvez pas modifier les périphériques Contentbase à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique.  Si vous cherchez à ajouter un seul réglage de transcodage à plusieurs périphériques, il est plus rapide de passer par la sous-fenêtre Transcode Settings de la fenêtre Administration du client, en suivant la méthode décrite ci-après. En outre, vous pouvez vous servir de la sous-fenêtre Transcode Settings pour gérer les réglages de transcodage du périphérique Export. Ce périphérique fournit la liste des réglages de transcodage parmi lesquels choisir pour l’option Export du menu contextuel qui s’affiche quand vous cliquez sur une ressource, tout en maintenant la touche Contrôle à partir du client. Le périphérique Export qui figure en premier dans la liste des périphériques proposés (décrits ci-après) est celui utilisé lors des opérations de téléchargement. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « À propos du périphérique Export » à la page 180.Chapitre 13 Gestion des réglages de transcodage 201 II Pour affecter un réglage de transcodage à un périphérique : 1 Dans la sous-fenêtre Transcode Settings de la fenêtre Administration, double-cliquez sur le réglage de transcodage à affecter aux périphériques voulus. La fenêtre Transcode Settings s’ouvre alors. 2 Cliquez sur Modify dans la colonne de gauche. La colonne Available compile la liste de tous les périphériques proposés. La colonne Selected répertorie les périphériques auxquels ce réglage de transcodage est affecté. 3 Sélectionnez des périphériques dans la liste Available et cliquez sur le bouton Add pour les ajouter à la liste Selected. 4 Tapez un chiffre dans le champ Priority pour définir l’ordre d’affichage des réglages de transcodage dans le menu local servant lorsque vous affectez ces réglages à une ressource de périphérique. Les nombres inférieurs s’affichent en priorité. La plage s’étend en général de 1 à 5, 1 apparaissant en premier. 5 Cliquez sur Parameters dans la colonne de gauche pour modifier le réglage Compressor affecté à ce réglage de transcodage. 6 Cliquez sur Save Changes pour enregistrer les affectations des réglages de transcodage.14 203 14 Gestion des automatisations Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  À propos de l’automatisation dans Final Cut Server (p. 203)  Astuces générales en matière d’automatisation (p. 205)  Sous-fenêtre et fenêtre Response (p. 207)  Sous-fenêtre et fenêtre Watcher (p. 223)  Sous-fenêtre et fenêtre Subscription (p. 226)  Sous-fenêtre et fenêtre Schedule (p. 228) À propos de l’automatisation dans Final Cut Server Configurer les fonctionnalités d’automatisation de Final Cut Server peut vous aider à optimiser votre flux de production de plusieurs façons. Deux d’entre elles sont importantes : l’envoi de messages électroniques lorsque des événements précis se produisent, comme la modification de l’état d’une ressource ou l’échec d’une tâche, et la copie automatique de ressources vers des périphériques spécifiés. Final Cut Server fournit deux méthodes de configuration de l’automatisation de votre système : l’Assistant réglages d’automatisation dans les Préférences Système de Final Cut Server et un groupe de sous-fenêtres dans la fenêtre Administration du client Final Cut Server. Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation L’Assistant réglages d’automatisation accessible depuis les Préférences Système de Final Cut Server constitue la méthode la plus simple pour configurer rapidement les fonctions d’automatisation les plus fréquemment utilisées. Selon le profil sélectionné lors de l’installation de Final Cut Server, des automatisations sont créées automatiquement. Il vous suffit de les personnaliser (le cas échéant) et de les activer en fonction de vos besoins. Consultez la rubrique « À propos des profils personnalisés » à la page 32 pour en savoir plus sur les profils personnalisés du programme d’installation. Consultez le chapitre 6, « Utilisation de l’Assistant réglages d’automatisation », à la page 81 pour en savoir plus sur l’usage de ces profils pour configurer vos automatisations.204 Partie II Administration générale Création d’automatisations à l’aide des sous-fenêtres de la fenêtre Administration L’utilisation des sous-fenêtres d’automatisation de la fenêtre Administration vous offre une flexibilité et une puissance maximales pour la configuration de vos automatisations. Cela rend toutefois le processus un peu plus complexe. Remarque : dans la plupart des cas, vous constaterez qu’il est plus facile d’utiliser l’Assistant réglages d’automatisation, ce dernier proposant les types d’automatisation dont vous avez besoin. Toutes les automatisations que vous configurez s’appuient sur l’une des trois opérations suivantes, dont l’objectif est de fournir des réponses au bon moment :  Dispositifs de surveillance : les dispositifs de surveillance de système de fichiers surveillent un périphérique à la recherche de changements spécifiques selon un intervalle à configurer. Quand le changement spécifié se produit, par exemple, l’ajout d’un ensemble d’images à un dossier du périphérique en question, le dispositif de surveillance produit une ou plusieurs réponses. Les réponses peuvent exécuter toute une série de fonctions. Dans notre exemple d’ajout d’un ensemble d’images fixes, les réponses peuvent transcoder les images dans un autre format, les copier sur un second périphérique et envoyer un courrier électronique à l’éditeur qui répertorie les images.  Programmations : les programmations produisent des réponses à intervalle prédé- fini. Elles servent généralement à analyser un périphérique et à y détecter des changements nécessitant une réponse. Par exemple, imaginons une programmation qui efface les entrées de la fenêtre Log tous les jours à 2 heures du matin pour recommencer à zéro tous les jours.  Abonnements : les abonnements à des métadonnées produisent des réponses d’après des opérations déterminées. Contrairement aux dispositifs de surveillance et aux programmations, les abonnements ne sont pas exécutés à intervalle prédéfini, mais réagissent directement à des événements Final Cut Server. Un abonnement peut, par exemple, surveiller la fenêtre Search All Jobs et envoyer comme réponse un courrier électronique si la tâche échoue. Chacun des types d’automatisation cités dispose d’une sous-fenêtre propre dans la fenê- tre Administration. Une sous-fenêtre Response pour la configuration des réponses utilisées par ces types d’automatisation est également prévue. Les réponses ne peuvent pas s’exécuter comme automatisation autonome ; elles sont en effet exploitées par les dispositifs de surveillance, par les programmations et par les abonnements pour que ces derniers réalisent leurs tâches en matière d’automatisation. Il existe un grand nombre de types de réponses, allant de la copie, du transcodage et de la suppression de ressources à l’envoi de courriers électroniques et à l’analyse de périphériques donnés.Chapitre 14 Gestion des automatisations 205 II Astuces générales en matière d’automatisation Les automatisations configurables pour Final Cut Server peuvent indifféremment être très simples ou très complexes. Dans les deux cas, il existe des situations à connaître car elles peuvent donner des résultats inattendus. À propos des fichiers QuickTime de référence Les fichiers QuickTime de référence sont des fichiers de données qui ne contiennent pas toutes les données mais des références aux fichiers de données proprement dits. Si vous téléchargez manuellement un fichier QuickTime de référence, une zone de dialogue vous demandant si vous voulez que Final Cut Server aplatisse le fichier (le convertisse en un fichier QuickTime autonome) avant de le télécharger dans le catalogue apparaît. Les réponses par analyse et par copie ne présentent pas cette option mais téléchargent simplement le fichier de référence sans les fichiers externes référencés. C’est la raison pour laquelle vous devez aplatir manuellement les fichiers QuickTime de référence avant d’utiliser l’automatisation pour les ajouter au catalogue Final Cut Server. Il existe toutefois une exception à ce principe : lorsque toutes les personnes susceptibles d’accéder à un fichier QuickTime de référence se connectent à un réseau de stockage SAN, comme un système Xsan. Dans ce cas, lorsqu’un utilisateur réserve ou exporte un fichier de données de référence, le fichier a accès aux fichiers de données dont le fichier de référence a besoin. À propos des projets Final Cut Pro Les fichiers de projet Final Cut Pro contiennent les chemins aux données du projet dans les fichiers. Final Cut Server localise les données du projet à l’aide des chemins de fichier stockés dans le fichier de projet Final Cut Pro. Un problème peut toutefois se présenter lorsque le projet Final Cut Pro et ses données sont déplacés de leur emplacement d’origine vers un périphérique pour lequel une réponse par analyse ou par copie est configurée de façon à télécharger automatiquement les nouveaux fichiers dans le catalogue Final Cut Server. Dans ce cas, les chemins aux fichiers, stockés dans le projet Final Cut Pro, ne pointent plus vers l’endroit où les données se trouvent. Vous pouvez corriger cela en ouvrant le projet dans Final Cut Pro après qu’il ait été déplacé et en reconnectant les fichiers de données (il se peut que cela reste facultatif car, dans certains cas, Final Cut Pro peut corriger les chemins de fichier tout seul), puis en enregistrant le projet avant d’utiliser une automatisation pour ajouter les fichiers au catalogue Final Cut Server.206 Partie II Administration générale À propos des dossiers de téléchargement Lorsque vous téléchargez manuellement un dossier contenant des fichiers de données vers le catalogue Final Cut Server, Final Cut Server traite le dossier de deux façons :  Upload the folder as a bundle : traite le dossier et son contenu comme une seule et même ressource. Vous n’avez pas accès aux différentes ressources au sein du dossier.  Upload the folder’s contents as individual assets : télécharge tous les fichiers de données qui se trouvent dans le dossier comme des ressources distinctes. Il n’est pas contrôlé s’ils se trouvaient dans un même dossier lors du téléchargement. Si vous optez pour le téléchargement du dossier et de son contenu sous la forme d’un lot, dans le périphérique qui dispose d’une automatisation (par exemple, une réponse par analyse) configurée pour surveiller l’ajout de fichiers de données, les fichiers de données du dossier risquent de s’ajouter au catalogue Final Cut Server sous la forme de ressources distinctes. Il peut se présenter ainsi, intentionnellement ou non, le risque de télécharger un dossier sous la forme d’un lot mais être toujours en mesure de manipuler les différentes ressources du lot. Si vous ne voulez pas que les différents fichiers de données soient ajoutés au catalogue, téléchargez le lot dans un périphérique sur lequel l’ajout de nouvelles ressources n’est pas analysé automatiquement. À propos des fichiers de données sans extension Dans certains cas, les automatisations deFinal Cut Server peuvent identifier, télécharger et traiter correctement les fichiers de données qui ne possèdent pas d’extension. Pour être sûr que tous les fichiers sont téléchargés et traités correctement, assurez-vous qu’ils portent une extension. Cela se justifie particulièrement si les fichiers sont téléchargés sur un périphérique FTP. Les fichiers sans extension non reconnus correctement sont téléchargés et ajoutés au catalogue Final Cut Server sous forme de ressources, mais aucune vignette ou fichier proxy dépendant n’est généré.Chapitre 14 Gestion des automatisations 207 II Sous-fenêtre et fenêtre Response La sous-fenêtre Response contient les réglages permettant de créer une grande variété d’opérations préconfigurées. Ces réponses servent aux dispositifs de surveillance, aux abonnements et aux programmations lorsque ces derniers détectent qu’une opération doit s’exécuter. Les réponses sont configurées séparément des dispositifs de surveillance, des abonnements et des programmations parce qu’une même réponse peut s’avérer nécessaire dans plusieurs situations. La sous-fenêtre Response répertorie les réponses existantes. La sous-fenêtre Response comporte les colonnes suivantes :  Name : nom de la réponse saisie à sa création.  Response Action : opération élémentaire que la réponse exécute.  Description : description saisie à la création de la réponse. La fenêtre Response apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Create. Les réglages repris dans la fenêtre, tout comme les éléments qui apparaissent dans la zone de gauche, dépendent de l’opération sélectionnée dans le menu local Response Action. Remarque : si vous modifiez une réponse en double-cliquant dessus dans la sous-fenêtre Response, vous ne pouvez pas modifier son réglage Response Action. Cliquez sur le bouton Duplicate pour ajouter une copie de la réponse sélectionnée. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter une réponse. Cliquez sur Response pour afficher la sousfenêtre du même nom.208 Partie II Administration générale Opérations en réponse Ce que vous sélectionnez dans le menu local Response Action définit l’objectif principal de la réponse. Certaines opérations par réponse disposent de réglages supplémentaires pouvant être configurés dans une seconde sous-fenêtre ajoutée à la colonne de gauche. Opération en réponse Déclenchée par Description Check the disk space of the database volume Programmation Détermine l’espace disque minimal avant qu’un avertissement ne soit émis pour signaler que l’espace dédié à la base de données arrive à saturation. Clean Jobs Programmation Détermine les périodes pendant lesquelles des tâches sont archivées puis supprimées. Clean Logs Programmation Détermine les périodes pendant lesquelles des historiques sont archivés puis supprimés. Copy Dispositif de recensement ou abonnement à une ressource Copie des données vers tout périphérique Final Cut Server connecté, avec ou sans transcodage. Crée éventuellement une ressource dans Final Cut Server et vous permet de définir les métadonnées de celle-ci. Delete Dispositif de recensement ou abonnement à une ressource Supprime l’élément. Vous pouvez exécuter cette réponse même si d’autres réponses de la liste échouent. Email Dispositif de recensement ou abonnement à une ressource, à une production ou à une tâche Envoie un courrier électronique. Vous devez dans ce cas configurer les réglages des courriers électroniques (destinataire, expéditeur, sujet et message). Log Abonnement à une ressource, à une production ou à une tâche Aucune option supplémentaire. Ajoute une entrée dans l’historique. Measure database size Programmation Aucune option supplémentaire. Vous pouvez l’utiliser pour déterminer l’espace disque occupé par la base de données du catalogue (les résultats s’affichent dans la sous-fenêtre Log). Cette opération évalue uniquement l’espace de la base de données et non celui des ressources auxquelles le catalogue fait référence. Monitor Scan Dispositif de recensement Recherche certains réglages de métadonnées. Move to Archive Abonnement à une ressource Aucune option supplémentaire. Déplace les données vers le périphérique d’archivage sélectionné. Purge Subscriptions Programmation Supprime les abonnements inactifs depuis un certain nombre de jours. Read XML Dispositif de recensement Aucune option supplémentaire. Lit les données XML à partir d’un système externe. Est utilisé avec l’opération en réponse Write XML.Chapitre 14 Gestion des automatisations 209 II Restore from Archive Abonnement à une ressource Aucune option supplémentaire. Restaure les élé- ments à partir d’un périphérique d’archivage. Run an external script or command Dispositif de recensement ou abonnement à une ressource, à une production ou à une tâche Exécute un script ou une commande externe. Vous pouvez aussi définir des paramètres particuliers à appliquer au script ou à la commande. Scan Programmation Analyse le périphérique Final Cut Server spécifié. Une analyse sert à synchroniser le contenu du catalogue Final Cut Server avec les données qui se trouvent sur un périphérique. Cela s’avère nécessaire si vous comptez modifier les données du périphérique directement sans passer par Final Cut Server. Vous pouvez sélectionner le périphérique et le dossier de ce périphérique à analyser et spécifier des réglages de métadonnées. Vous pouvez aussi préciser d’autres détails relatifs à l’analyse, par exemple, s’il faut purger (c’est-à-dire supprimer) les éléments du catalogue qui sont supprimés du périphérique. Scan Productions Programmation Recherche d’éventuelles productions sur un périphérique Final Cut Server. Similaire à l’opération Scan en réponse, mais avec en outre des réglages de métadonnées de production entraînant la création d’une production avec ses ressources. Search Expired Programmation Recherche des éléments arrivés à expiration. Crée des événements d’après un champ d’horodatage (par exemple, le champ Last Accessed) et d’après une valeur précisant le nombre de jours passés qu’il faut rechercher. Peut être utilisé pour identifier les éléments à archiver. Set Asset Metadata Abonnement à une ressource Saisit des données dans les champs de métadonnées spécifiés. Vous devez sélectionner l’ensemble de métadonnées de la ressource avec les champs à modifier. Set Production Metadata Abonnement à une production Saisit des données dans les champs de métadonnées spécifiés. Vous devez sélectionner l’ensemble de métadonnées de la production avec les champs à modifier. Write XML Abonnement à une ressource ou à une production Crée un fichier XML à partir des métadonnées de la ressource. Cela permet à une personne qui utilise un système externe de modifier les métadonnées, par exemple, pour ajouter des commentaires de révision qui peuvent ensuite être réimportés dans la ressource et appliqués à cette dernière à l’aide de l’opération Read XML en réponse. Opération en réponse Déclenchée par Description210 Partie II Administration générale À propos des réponses par analyse Les réponses par analyse constituent l’un des types de réponse personnalisée les plus utilisés. Pour accéder aux réglages relatifs aux réponses par analyse : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Responses, pour créer une réponse. 2 Choisissez Scan dans le menu local Response Action. Cette sous-fenêtre, accessible depuis la fenêtre Réponse, comporte des réglages qui déterminent ce qu’il faut analyser, les métadonnées à appliquer aux éléments trouvés lors de l’analyse, ainsi que le mode d’analyse et les réglages qui s’y rapportent. Section Scan Source Cette section vous permet de sélectionner le périphérique à analyser et d’indiquer le dossier de ce périphérique à analyser. Sélectionnez Scan. Cliquez sur Scan pour afficher la sous-fenêtre du même nom.Chapitre 14 Gestion des automatisations 211 II Section Metadata Set Cette section vous permet de sélectionner l’ensemble de métadonnées à appliquer à toute nouvelle ressource trouvée lors de l’analyse. Les réglages sous le menu local Metadata Set vous permettent de saisir, entre autres, les descriptions et des mots-clés par défaut, à appliquer aux nouvelles ressources. Remarque : le contrôle de versions des réponses par analyse, créées à l’aide de la fenê- tre Administration du client, se définit d’après la configuration du programme d’installation de Final Cut Server. Toutefois, le contrôle de versions, pour toutes les réponses par analyse créées à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique, est désactivé, et ce quelle que soit la configuration du programme d’installation de Final Cut Server. Cela signifie que toutes les ressources et tous les projets Final Cut Pro ajoutés au catalogue Final Cut Server suite à une réponse par analyse n’effectueront pas par défaut de suivi des versions. Vous pouvez vérifier et modifier le contrôle de versions pour une réponse par analyse en sélectionnant le groupe de métadonnées Versioning (dans le menu local qui se trouve juste sous le menu local Metadata Set) et en cochant la case Version. Consultez la rubrique « Utilisation du programme d’installation de Final Cut Server » à la page 23 pour en savoir plus sur le réglage relatif au contrôle de versions du programme d’installation. Section Scan Metadata Cette section vous permet de configurer les opérations d’analyse. 212 Partie II Administration générale Cette section contient les réglages suivants :  Scan Mode : type d’opération d’analyse à effectuer.  Add Only : effectue une analyse ne localisant que les fichiers nouveaux et modifiés dont la date de création ou de modification se situe entre la date et l’heure à laquelle cette analyse fut effectuée pour la dernière fois et la date et l’heure actuelle (passe outre les nouveaux fichiers dont les date et heure de création ou de modification sont antérieures à celles de dernière analyse : par exemple, les fichiers que vous avez fait glisser vers le périphérique à partir du Finder). Le mode différentiel sert généralement dans les analyses programmées à exécuter souvent, par exemple, toutes les 5 ou 15 minutes.  Full : effectue une analyse complète qui, en plus d’ajouter les nouvelles ressources au catalogue, supprime les ressources du catalogue si elles ne se trouvent plus sur le périphérique. Le mode Full ne s’utilise généralement que sur les analyses programmées destinées à s’exécuter au plus une fois par jour ; elles sont en effet les plus détaillées et nécessitent plus de temps.  Purge Only : effectue une analyse complète se contentant de supprimer les ressources du catalogue si elles ne se trouvent plus sur le périphérique. N’ajoute pas de nouvelles ressources au catalogue. Important : il est recommandé de ne programmer de réponses par analyse différentielle que sur les périphériques pour lesquels une réponse par analyse complète est aussi programmée. De plus, vérifiez que tous les réglages des réponses par analyse différentielle et par analyse complète sont identiques.  Recursion Limit : nombre de niveaux de dossiers sur lequel l’analyse doit porter. La valeur 0 signifie qu’un nombre illimité de niveaux de sous-dossiers fait l’objet de l’analyse. La valeur 1 signifie que seul le dossier spécifié dans le menu local Scan Source est à analyser.  Background Analyze : crée les éléments de proxy de la ressource dans une tâche d’arrière-plan. Normalement, les ressources sont analysées dans des tâches d’avantplan, une à la fois. L’analyse en tâche d’arrière-plan permet d’exécuter plusieurs tâches en même temps, ce qui peut s’avérer utile mais peut aussi limiter les ressources de l’ordinateur. En général, il est recommandé de ne pas sélectionner cette option si vous ne savez pas bien comment surveiller les ressources de votre ordinateur.  Always Update : définit l’analyse de façon à ce qu’elle tente continuellement de créer des fichiers proxy pour les ressources qui n’en disposent pas encore. Ne sélectionnez pas cette option sauf si un problème est connu à l’avance avec un périphérique et si vous comptez générer des fichiers proxy à partir de ses ressources.  Purge Unfiltered Assets : définit l’analyse de façon à ce qu’elle purge les ressources qui ne répondent pas aux réglages Wildcard Include Filter et Wildcard Exclude Filter. Chapitre 14 Gestion des automatisations 213 II  Wildcard Include Filter : option permettant de définir les types de fichiers que l’analyse doit traiter. Le filtre par défaut est l’astérisque (*), correspondant au caractère de remplacement. Un seul astérisque indique que tous les fichiers doivent être traités. Si vous voulez que l’analyse ne traite que les fichiers JPEG et les fichiers de séquence QuickTime, vous pouvez remplacer l’astérisque par deux éléments : *.jpg et *.mov (ce qui signifie que tous les fichiers portant l’extension .jpg et .mov doivent être traités).  Wildcard Exclude Filter : option permettant de définir les types de fichiers que l’analyse ne doit pas traiter. Par exemple, si le dossier à analyser contient des documents PDF que vous ne voulez pas traiter ou ajouter en tant que ressources, vous pouvez saisir *.pdf (ce qui signifie que tous les fichiers portant l’extension .pdf sont exclus du traitement). Réponses par analyse créées par l’Assistant réglages de périphérique Une ou deux réponses par analyse sont créées lorsque vous configurez les réglages d’analyse d’un périphérique à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique dans les Préférences Système de Final Cut Server :  Device Scan [Full Scan] : créé lorsque vous configurez une analyse complète dans l’Assistant réglages de périphérique. Cette réponse utilise le réglage Purge du menu local Scan Mode avec un réglage Recursion Limit égal à 0 (accès aux sous-dossiers illimité).  Device Scan [Add Only] : créé lorsque vous configurez une analyse différentielle dans l’Assistant réglages de périphérique. Cette réponse utilise le réglage Add Only du menu local Scan Mode avec un réglage Recursion Limit égal à 0. À propos des productions d’analyse La réponse par analyse de production vous permet d’automatiser une grande partie de votre processus de flux de production pour l’ajout de ressources et de productions au catalogue Final Cut Server. La plupart des réglages relatifs aux réponses par analyse de production sont les mêmes que ceux des réponses par analyse. La différence réside en une section qui vous permet de spécifier des réglages de production.214 Partie II Administration générale Pour accéder aux réglages relatifs aux réponses par analyse de production : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Responses, pour créer une réponse. 2 Choisissez Scan Productions dans le menu local Response Action. Cette sous-fenêtre, accessible depuis la fenêtre Réponse, comporte des réglages qui déterminent ce qu’il faut analyser, les métadonnées à appliquer aux éléments trouvés lors de l’analyse, des réglages de métadonnées de production, ainsi que le mode d’analyse et les réglages qui s’y rapportent. Section Scan Source Cette section vous permet de sélectionner le périphérique à analyser et d’indiquer le dossier de ce périphérique à analyser. Cliquez sur Production Scan pour afficher la sous-fenêtre du même nom. Sélectionnez Scan Productions.Chapitre 14 Gestion des automatisations 215 II Section Metadata Set Cette section vous permet de sélectionner l’ensemble de métadonnées à appliquer à toute nouvelle ressource trouvée lors de l’analyse. Les réglages sous le menu local Metadata Set vous permettent de saisir, entre autres, les descriptions et des mots-clés par défaut, à appliquer aux nouvelles ressources. Remarque : par défaut, le contrôle de versions est activé pour toutes les réponses par analyse de production en fonction de la configuration du programme d’installation de Final Cut Server. Vous pouvez vérifier et modifier le contrôle de versions pour une réponse par analyse de production en sélectionnant le groupe de métadonnées Versioning (dans le menu local qui se trouve juste sous le menu local Metadata Set) et en cochant la case Version. Consultez la rubrique « Utilisation du programme d’installation de Final Cut Server » à la page 23 pour en savoir plus sur le réglage relatif au contrôle de versions du programme d’installation. Section Production Metadata Cette section vous permet de sélectionner l’ensemble de métadonnées à appliquer à la production. Les réglages sous le menu local Metadata Set vous permettent de saisir, entre autres, les descriptions et des mots-clés par défaut, à appliquer aux productions.216 Partie II Administration générale Le réglage de métadonnées Title, faisant partie de l’ensemble de métadonnées sélectionné, peut être utilisé de deux façons :  Pour saisir un nom spécifique à la production à utiliser. Si la production existe déjà, les nouvelles ressources y sont ajoutées. Dans le cas contraire, elle est créée avant que les ressources y soient ajoutées.  Pour utiliser le nom du dossier analysé comme nom de production. En saisissant [0] dans le champ Title, une production se crée chaque fois qu’un nouveau sous-dossier est trouvé dans le dossier analysé. Cette nouvelle production reprend alors le nom du dossier. Par exemple, imaginons que vous créez un dossier nommé Productions dans un périphérique et que vous utilisiez une automatisation programmée pour surveiller ce dossier par le biais d’une réponse par analyse de production. Chaque fois qu’une production Final Cut Server doit être créée et que des ressources doivent y être ajoutées, un utilisateur n’a alors qu’à ajouter un sous-dossier portant le nom de la nouvelle production au dossier surveillé et à copier toutes les ressources destinées à cette production dans ce nouveau sous-dossier. La réponse par analyse de production crée alors une production Final Cut Server reprenant le nom du dossier, et ajoute toutes les ressources qui se trouvent dans ce sous-dossier à la nouvelle production. Section Scan Metadata Cette section vous permet de configurer les opérations d’analyse. Chapitre 14 Gestion des automatisations 217 II Cette section contient les réglages suivants :  Scan Mode : type d’opération d’analyse à effectuer.  Add Only : effectue une analyse qui ajoute de nouvelles ressources au catalogue et qui met à jour le catalogue si des ressources ont été modifiées. Le mode différentiel sert généralement dans les analyses programmées à exécuter souvent, par exemple, toutes les 15 minutes.  Full : effectue une analyse complète qui, en plus d’ajouter les nouvelles ressources au catalogue, supprime les ressources du catalogue si elles ne se trouvent plus sur le périphérique. Le mode Full ne s’utilise généralement que sur les analyses programmées destinées à s’exécuter au plus une fois par jour ; elles sont en effet les plus détaillées et nécessitent plus de temps.  Purge Only : effectue une analyse complète se contentant de supprimer les ressources du catalogue si elles ne se trouvent plus sur le périphérique. N’ajoute pas de nouvelles ressources au catalogue.  Production Depth : profondeur des sous-dossiers ajoutés aux productions. La valeur 0 correspond au premier niveau de sous-dossiers. La valeur 1 correspond pour sa part au second niveau de sous-dossiers.  Reset Production Metadata : case permettant de remplacer les métadonnées d’une production par les nouvelles métadonnées générées à partir de cette réponse par analyse de production.  Recursion Limit : nombre de niveaux de dossiers sur lequel l’analyse doit porter lors de la recherche de ressources. La valeur 0 signifie qu’un nombre illimité de niveaux de sous-dossiers fait l’objet de l’analyse. La valeur 1 signifie que seul le dossier spécifié dans le menu local Scan Source est à analyser.  Background Analyze : crée les éléments de proxy de la ressource dans une tâche d’arrière-plan. Normalement, les ressources sont analysées dans des tâches d’avantplan, une à la fois. L’analyse en tâche d’arrière-plan permet d’exécuter plusieurs tâches en même temps, ce qui peut s’avérer utile mais peut aussi limiter les ressources de l’ordinateur. En général, il est recommandé de ne pas sélectionner cette option si vous ne savez pas bien comment surveiller les ressources de votre ordinateur.  Always Update : définit l’analyse de façon à ce qu’elle tente continuellement de créer des fichiers proxy pour les ressources qui n’en disposent pas encore. Ne sélectionnez pas cette option sauf si un problème est connu à l’avance avec un périphérique et si vous comptez générer des fichiers proxy à partir de ses ressources.  Purge Unfiltered Assets : définit l’analyse de façon à ce qu’elle purge les ressources qui ne répondent pas aux réglages Wildcard Include Filter et Wildcard Exclude Filter. 218 Partie II Administration générale  Wildcard Include Filter : option permettant de définir les types de fichiers que l’analyse doit traiter. Le filtre par défaut est l’astérisque (*), correspondant au caractère de remplacement. Un seul astérisque indique que tous les fichiers doivent être traités. Si vous voulez que l’analyse ne traite que les fichiers JPEG et les fichiers de séquence QuickTime, vous pouvez remplacer l’astérisque par deux éléments : *.jpg et *.mov (ce qui signifie que tous les fichiers portant l’extension .jpg et .mov doivent être traités).  Wildcard Exclude Filter : option permettant de définir les types de fichiers que l’analyse ne doit pas traiter. Par exemple, si le dossier à analyser contient des documents PDF que vous ne voulez pas traiter ou ajouter en tant que ressources, vous pouvez saisir *.pdf (ce qui signifie que tous les fichiers portant l’extension .pdf sont exclus du traitement). À propos des réponses par copie Les réponses par copie constituent l’un des types de réponse personnalisée les plus utilisés. Important : si le périphérique de destination contient déjà un fichier portant le même nom que celui en cours de copie, les réponses par copie n’écrasent alors pas par défaut le fichier existant mais lui attribuent une extension numérotée. Il est possible d’utiliser éventuellement le réglage Overwrite pour écraser un fichier portant le même nom. La copie vers des périphériques ContentBase dans lesquelles chaque fichier est placé dans un dossier distinct constitue toutefois une exception à ce principe. Pour accéder aux réglages relatifs aux réponses par copie : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Responses, pour créer une réponse. 2 Choisissez Copy dans le menu local Response Action. Cette sous-fenêtre reprend les réglages de métadonnées relatifs à la destination, au transcodage et à la destination. Réglages relatifs à la destination Choisissez le périphérique, vers lequel vous voulez copier des ressources, dans le menu local Destination. Vous pouvez aussi saisir ou sélectionner le sous-dossier dans lequel vous voulez copier la ressource. Sélectionnez Copy. Cliquez sur Copy pour afficher la sous-fenêtre du même nom.Chapitre 14 Gestion des automatisations 219 II Réglage relatif au transcodage Vous pouvez choisir n’importe lequel des réglages de transcodage affectés au périphé- rique que vous avez sélectionné comme destination. Cela s’avère pratique si vous cherchez à vous assurer que toutes les ressources qui se trouvent sur ce périphérique exploitent le même codec. Réglages de métadonnées relatifs à la destination Ces réglages définissent les métadonnées à appliquer à la ressource copiée :  Job Priority : choisissez dans le menu local la priorité de la tâche copiée.  Copy Metadata : la case « Run in parallel » permet à cette réponse de s’exécuter en même temps que d’autres réponses par copie dans un dispositif ou un abonnement. Lorsque cette case n’est pas cochée, la réponse s’exécute séquentiellement, en fonction de l’ordre établit dans le dispositif ou l’abonnement. Cochez la case Overwrite pour écraser un fichier de destination si ce dernier porte le même nom que le fichier en cours de copie. Remarque : les réponses par suppression s’exécutent toujours séquentiellement, après les réponses par copie.  Create Asset : case permettant à la ressource copiée d’être ajoutée au catalogue Final Cut Server. Cette case active les réglages de sélection Metadata Set et Production.  Metadata Set : section permettant de sélectionner l’ensemble de métadonnées à appliquer à toute nouvelle ressource trouvée lors de l’analyse. Les réglages sous le menu local Metadata Set vous permettent de saisir, entre autres, les descriptions et des mots-clés par défaut, à appliquer aux nouvelles ressources.  Production : nom de production à laquelle ajouter les ressources. Vous pouvez aussi cliquer sur Select pour rechercher la production à laquelle vous voulez ajouter les ressources.  Overwrite : option pour indiquer si vous voulez que la ressource copiée remplace un fichier existant si ce dernier porte le même nom.220 Partie II Administration générale À propos des réponses par courrier électronique Les réponses par courrier électronique sont généralement utilisées avec des dispositifs de surveillance de métadonnées qui observent le changement d’état particulier d’une ressource, par exemple, Ready for Review. Pour accéder aux réglages relatifs aux réponses par courrier électronique : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Responses, pour créer une réponse. 2 Choisissez Email dans le menu local Response Action. Cette sous-fenêtre comporte les réglages relatifs à la configuration du courrier électronique. Consultez « Informations détaillées sur la réponse par courrier électronique » à la page 90 pour en savoir plus sur les codes que vous pouvez saisir pour ajouter des données automatisées au courrier électronique, illustrées ci avant par le texte entre crochets ([ ]). La sous-fenêtre Email contient les réglages suivants :  To : adresse électronique à laquelle le courrier électronique est destiné. Utilisez une virgule (sans espace après) pour séparer les adresses, par exemple, rev1@apple.com,rev2@apple.com.  Sender : adresse électronique de laquelle le courrier électronique doit être envoyé. Il s’agit de l’adresse de réponse à laquelle le destinataire du courrier électronique peut envoyer un courrier électronique, le cas échéant. Si vous laissez ce champ vide, l’adresse par défaut « finalcutserver@nom_serveur » est alors utilisée.  Subject : objet du courrier électronique. Vous pouvez saisir des codes pour ajouter automatiquement certaines informations au sujet du courrier électronique.  Message : texte du corps du courrier électronique. Vous pouvez saisir des codes pour ajouter automatiquement certaines informations au courrier électronique. Cliquez sur Email pour afficher la sous-fenêtre du même nom. Sélectionnez Email.Chapitre 14 Gestion des automatisations 221 II À propos de l’exécution de scripts externes et de réponses par commandes Les scripts externes et les réponses par commandes sont pratiques lorsque vous devez exécuter des opérations d’une réponse au-delà de celles que Final Cut Server propose. Par exemple, vous pouvez créer un script qui ajoute un nouveau dossier à un périphérique chaque fois qu’une nouvelle production est créée. Vous pouvez même spécifier des paramètres pour donner au dossier le même nom que le titre de la production. Vous pouvez utiliser cette réponse pour exécuter des programmes plus élaborés que de simples scripts, à savoir pratiquement tout fichier exécutable. Pour accéder aux réglages relatifs à l’exécution d’un script externe ou d’une réponse par commandes : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Responses, pour créer une réponse. 2 Choisissez « Run an external script or command » dans le menu local Response Action. Cette sous-fenêtre comporte les réglages relatifs à la configuration du script à exécuter. La sous-fenêtre Run Script contient les réglages suivants :  Command Path : chemin et nom du script ou de tout autre fichier exécutable que cette réponse doit exécuter.  Command Parameters : paramètres particuliers permettant de personnaliser le script à exécuter. Par exemple, vous pouvez indiquer des codes, par exemple [Title], que le script peut utiliser. L’on retrouve un tel comportement avec les réponses par courrier électronique. Cliquez sur Run Script pour afficher la sousfenêtre du même nom. Choisissez « Run an external script or command ».222 Partie II Administration générale À propos des réponses par vérification de l’espace disque pour le volume de la base de données Les réponses par vérification de l’espace disque pour le volume de la base de données s’avèrent pratiques pour s’assurer d’être informé si la base de données du catalogue Final Cut Server manque d’espace disque. Important : cela ne s’applique qu’à la base de données du catalogue et non aux ressources stockées sur les différents périphériques. L’usage typique de cette réponse consiste à créer une programmation quotidienne pour exploiter cette réponse et vérifier ainsi l’espace disque disponible pour la base de données. La réponse écrit dans l’historique une valeur indiquant l’espace disque libre. Si cette valeur est inférieure au niveau défini dans la réponse, un avertissement est émis. Vous pouvez en outre disposer d’un abonnement qui vous prévient par courrier électronique lorsque cet avertissement se produit. Pour accéder aux réglages relatifs à la réponse par vérification de l’espace disque pour le volume de la base de données (option « Check the disk space of the database volume ») : 1 Cliquez sur le bouton Create, accessible depuis la Administration, dans la sous-fenêtre Responses, pour créer une réponse. 2 Choisissez « Check the disk space of the database volume » dans le menu local Response Action. Cette sous-fenêtre comprend les réglages suivants :  Disk space warning level : saisissez une valeur (en octets) qui définit le seuil minimal d’espace disque disponible pour la base de données du catalogue Final Cut Server. Si vous n’entrez pas de valeur, la valeur par défaut est de 500 Mo (si la valeur 0 est indiquée). Par exemple, pour définir un seuil minimal de 50 Mo, saisissez la valeur 50000000. Cliquez sur « Check Database Disk Space » pour accéder à la sous-fenêtre du même nom. Sélectionnez « Check the disk space of the database volume ».Chapitre 14 Gestion des automatisations 223 II Sous-fenêtre et fenêtre Watcher Final Cut Server propose une infrastructure de dossiers de surveillance qui détecte et traite le nouveau contenu selon des règles configurées. Les types de réponse utilisés le plus couramment avec les dispositifs de surveillance sont les copies, les suppressions, les envois de courriers électroniques et les lectures XML. La sous-fenêtre Watcher répertorie les dispositifs de surveillance existants. La sous-fenêtre Watcher comporte les colonnes suivantes :  Name : nom du dispositif saisi à sa création.  Enabled : affiche soit vrai (si le dispositif s’exécute), soit faux (s’il est arrêté).  Description : description saisie à la création du dispositif.  Monitor Address : le cas échéant, affiche le périphérique surveillé. Cliquez sur Watcher pour afficher la sous-fenêtre du même nom. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un dispositif.224 Partie II Administration générale La fenêtre Watcher apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Create. Les éléments de gauche dépendent du type de dispositif sélectionné. Vous avez le choix entre le recensement et l’abonnement.  Un dispositif de recensement vérifie le périphérique à intervalles réguliers. C’est le type de dispositif le plus fréquent.  Un dispositif de surveillance d’abonnement n’a qu’un usage interne. Remarque : si vous modifiez un dispositif de surveillance en double-cliquant dessus dans la sous-fenêtre Watcher, vous ne pouvez pas modifier son réglage Watcher Type.Chapitre 14 Gestion des automatisations 225 II Réglages relatifs aux dispositifs de surveillance de recensement Lorsque vous sélectionnez le type de dispositif de recensement, un élément Poll Watcher apparaît dans la colonne dans la partie gauche de la fenêtre. Cliquez sur Poll Watcher pour accéder aux réglages relatifs au recensement. Les réglages suivants sont proposés :  Listing frequency : fréquence de surveillance du dossier (exprimé en secondes).  Listing multiple : nombre de fois qu’un fichier doit être détecté avec le même horodatage et la même taille avant d’être considéré comme étant un nouveau fichier prêt à être traité. Cela permet d’éviter qu’un fichier en cours de copie soit traité prématurément.  Wildcard Include Filter : définit les types de fichiers que le dispositif de surveillance doit contrôler. Le filtre par défaut est l’astérisque (*), correspondant au caractère de remplacement. Un seul astérisque indique que tous les fichiers doivent être contrôlés. Si vous voulez que le dispositif de surveillance ne contrôle que les fichiers JPEG et les fichiers de séquence QuickTime, vous pouvez remplacer l’astérisque par deux éléments : *.jpg et *.mov (ce qui signifie que tous les fichiers portant l’extension .jpg et .mov doivent être contrôlés).  Wildcard Exclude Filter : option permettant de définir les types de fichiers que le dispositif de surveillance ne doit pas contrôler. Par exemple, si le dossier à traiter par le dispositif de surveillance contient des documents PDF que vous ne voulez pas contrôler, vous pouvez saisir *.pdf (ce qui signifie que tous les fichiers portant l’extension .pdf sont exclus du contrôle).226 Partie II Administration générale Sous-fenêtre et fenêtre Subscription Final Cut Server dispose d’un moteur puissant pour adapter son comportement aux besoins de chaque client. Les administrateurs peuvent créer et modifier des règles d’abonnement. Une règle d’abonnement se compose d’un événement, par exemple, le changement d’état d’une ressource, et de réponses à exécuter suite à l’événement. Les types de réponse les plus fréquemment utilisés avec les abonnements sont les copies, les suppressions, les envois de courriers électroniques, les historiques, les déplacements vers une archive, les restaurations à partir d’archives, les définitions de métadonnées et les écritures XML. La sous-fenêtre Subscription répertorie les abonnements existants. La sous-fenêtre Subscription comporte les colonnes suivantes :  Name : nom de l’abonnement saisi à sa création.  Enabled : affiche soit vrai (si l’abonnement est activé), soit faux (si l’abonnement est désactivé).  Description : description saisie à la création de l’abonnement. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter un abonnement. Cliquez sur Subscription pour afficher la sousfenêtre du même nom.Chapitre 14 Gestion des automatisations 227 II La fenêtre Subscription apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Create. Les éléments de gauche dépendent du réglage « Subscribe to ». Ces options comptent parmi les suivantes :  Asset : permet de définir un abonnement qui détecte les champs de métadonnées associés à une ressource. Par exemple, vous pouvez configurer la sous-fenêtre Asset Filter (qui apparaît si vous choisissez Asset dans le menu local « Subscribe to ») pour activer cet abonnement si l’état passe à Ready for Review pour une ressource quelconque sur un périphérique donné.  Job : permet de définir un abonnement qui détecte les champs de métadonnées associés à une tâche. Par exemple, vous pouvez configurer la sous-fenêtre Job Filter (qui apparaît si vous choisissez Job dans le menu local « Subscribe to ») pour activer cet abonnement si l’état passe à FAIL pour une tâche quelconque.  Production : permet de définir un abonnement qui détecte les champs de métadonnées associés à une production. Par exemple, vous pouvez configurer la sous-fenêtre Production Filter (qui apparaît si vous choisissez Production dans le menu local « Subscribe to ») pour activer cet abonnement si l’état passe à Approved pour une production quelconque. Remarque : si vous modifiez un abonnement en double-cliquant dessus dans la sousfenêtre Subscription, vous ne pouvez pas modifier son réglage Subscribe to.228 Partie II Administration générale Sous-fenêtre et fenêtre Schedule Des événements sont programmables, par exemple, analyser la zone de stockage d’images dans une zone de contrôle toutes les 5 minutes pour s’assurer que le catalogue Final Cut Server est à jour. Une programmation sert généralement à analyser ou à répertorier un périphérique. Les réponses les plus fréquemment utilisées de façon programmées sont les réponses aux tâches d’optimisation, aux historiques d’optimisation, à la mesure de la taille des catalogues, aux abonnements de purge, à l’analyse (de tout type) et à la recherche d’éléments arrivés à expiration. La sous-fenêtre Schedule répertorie les programmations existantes. La sous-fenêtre Schedule comporte les colonnes suivantes :  Name : nom de la programmation saisie à sa création.  Enabled : affiche soit vrai (si la programmation s’exécute), soit faux (si la programmation est arrêtée).  Schedule : unité de temps élémentaire sur laquelle la programmation est basée. Quatre options sont disponibles :  weekly : vous permet de définir quand la programmation doit s’exécuter en indiquant le jour de la semaine et l’heure d’exécution dans la journée.  daily : vous permet de définir quand la programmation doit s’exécuter en indiquant l’heure d’exécution (exprimée sur 24 heures) dans la journée.  hourly : vous permet de définir quand la programmation doit s’exécuter en spécifiant les minutes de chaque heure d’exécution.  periodically : vous permet de définir quand la programmation doit s’exécuter en précisant le nombre de minutes entre deux exécutions de la programmation. Cliquez sur Schedule pour afficher la sousfenêtre du même nom. Cliquez sur le bouton Create pour ajouter une programmation.Chapitre 14 Gestion des automatisations 229 II  Day : jour de la semaine auquel la programmation s’exécute en cas de périodicité hebdomadaire (weekly). Par exemple, Monday dans la colonne Day signifie que la réponse s’exécute tous les lundis.  Hour : heure de la journée (exprimée sur 24 heures) à laquelle la programmation doit s’exécuter en cas de périodicité horaire ou journalière (respectivement, hourly ou daily). Par exemple, 15 dans la colonne Hour signifie que la réponse s’exécute à 3 h de l’après-midi.  Minute : la signification de ce nombre dépend de la périodicité sélectionnée pour la programmation :  Pour les périodicités hebdomadaire, journalière ou horaire (respectivement, weekly, daily et hourly), il s’agit des minutes de l’heure d’exécution de la programmation. Par exemple, 30 dans la colonne Minute signifie que la réponse se lance à la 30e minute de l’heure.  Pour la période periodically (programmation régulière), il s’agit du nombre de minutes entre deux exécutions de la programmation. Par exemple, 30 dans la colonne Minute signifie que la réponse s’exécute toutes les 30 minutes.  Description : description saisie à la création de la programmation. La fenêtre Schedule apparaît lorsque vous cliquez sur le bouton Create. Les éléments de la colonne de gauche dépendent de l’élément sélectionné dans le menu local Period. Les choix possibles sont Weekly, Daily, Hourly et Periodically. Remarque : si vous modifiez une programmation en double-cliquant dessus dans la sous-fenêtre Schedule, vous ne pouvez pas modifier son réglage Period.15 231 15 À propos des tâches et des historiques Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :  Visualisation de l’état de Final Cut Server (p. 231)  À propos des tâches et de la fenêtre Search All Jobs (p. 232)  À propos de la sous-fenêtre Log (p. 237)  À propos de la fenêtre Log (p. 238) Visualisation de l’état de Final Cut Server Final Cut Server dispose de deux moyens pour informer de son état lorsqu’il effectue ses tâches : la fenêtre Search All Jobs et la sous-fenêtre Log. La fenêtre Search All Jobs est accessible à tous les utilisateurs à partir du menu local Server dans la fenêtre principale de Final Cut Server. Elle compile la liste des tâches que Final Cut Server propose ou en cours d’exécution. Elle permet également de relancer des tâches échouées et de visualiser les détails d’une tâche. La sous-fenêtre Log est accessible aux administrateurs uniquement, à partir de la fenê- tre Administration. La sous-fenêtre Log répertorie toutes les tâches de la fenêtre Search All Jobs, accompagnées d’autres éléments, tels que l’heure d’ouverture de la session d’un utilisateur. Ces deux fenêtres s’avèrent très utiles lors du test de nouvelles automatisations ou lorsqu’il est nécessaire de vérifier l’état général du système.232 Partie II Administration générale À propos des tâches et de la fenêtre Search All Jobs Final Cut Server exécute des tâches pour chaque sous-tâche qu’il effectue. Le nombre de tâches qui s’exécutent dépend du type d’opération lancée. Voici quelques exemples de tâches :  la copie d’un fichier d’un emplacement vers un autre lance une tâche ;  la création d’une ressource exécute des tâches pour effectuer la copie initiale, créer la ressource et ses métadonnées, puis créer une vignette, une affiche et les proxys du plan ;  l’analyse lance plusieurs tâches pour créer la vignette et l’affiche, puis parcourir les proxys. Chaque tâche crée également dans des historiques plusieurs entrées pour chaque étape de l’opération. Si vous souhaitez contrôler ce que Final Cut Server manipule, ouvrez simplement la fenêtre Search All Jobs. Vous pouvez alors y rechercher des tâches spécifiques, puis consulter les détails d’une tâche en particulier. Vous pouvez configurer un abonnement afin que celui-ci vous envoie un courrier électronique chaque fois qu’une de vos tâches échoue. Important : Final Cut Server comporte une programmation intitulée Scheduled Maintenance qui efface le contenu de la fenêtre Search All Jobs une fois par jour. Vous pouvez modifier cette programmation pour répondre au mieux à vos besoins. Ouverture de la fenêtre Search All Jobs La fenêtre Search All Jobs contient un historique détaillé des tâches effectuées par Final Cut Server. Pour accéder à l’historique des tâches exécutées (jusqu’à présent) : m Choisissez Search All Jobs dans le menu local Server (celui qui apparaît dans la fenêtre principale de Final Cut Server lorsque vous cliquez sur le bouton Server). Cliquez sur le bouton Server et choisissez Search All Jobs dans le menu local.Chapitre 15 À propos des tâches et des historiques 233 II La fenêtre Search All Jobs apparaît. Les définitions de progression et d’état possibles sont les suivantes : La fenêtre Search All Jobs comporte d’autres champs :  Title : détails de la tâche.  Owner : nom de l’utilisateur chargé d’effectuer la tâche.  From Device : périphérique source, dans le cas d’une copie.  To Device : périphérique de destination, dans le cas d’une copie.  Updated : date et heure de la dernière actualisation de l’état.  Job Type : Copy correspond au seul type de tâche affiché dans la fenêtre Search All Jobs. Progression État Description Barre verte sur toute la largeur DONE La tâche s’est correctement effectuée (remarque : certaines tâches se décomposent en étapes, par exemple, le téléchargement simultané de plusieurs fichiers se décompose en fichiers). Barre verte progressive RUN Tâche en cours d’exécution. Champ vide ou texte RUN Tâche en cours d’exécution. Champ vide WAIT La tâche est en attente d’une entrée utilisateur ou d’une place dans la file d’attente. Barre rouge sur toute la largeur FAIL La tâche a échoué suite à une erreur.234 Partie II Administration générale Recherche de tâches La fonction de recherche de la fenêtre Search All Jobs opère de la même manière que les autres fonctions de recherche dans Final Cut Server : vous pouvez rechercher par nom ou ouvrir le triangle d’affichage et lancer une recherche à l’aide des paramètres de recherche avancée. Voici des exemples de recherche les plus fréquentes :  Your own jobs : il s’agit d’une simple recherche de votre nom d’utilisateur ou d’une recherche avancée de votre nom d’utilisateur à l’aide du champ et du menu local Owner.  Failed jobs : il s’agit d’une recherche simple d’échecs (« fail ») ou d’une recherche avancée de la valeur « fail » à l’aide du champ et du menu local Status.  Jobs to or from particular device : il s’agit d’une recherche avancée à l’aide des champs et des menus locaux From Device et To Device.Chapitre 15 À propos des tâches et des historiques 235 II Diagnostic de problème à l’aide de la fenêtre Search All Jobs En plus de suivre les tâches que Final Cut Server exécute, cette fenêtre vous offre la possibilité de visualiser les détails de chaque étape d’une tâche et de diagnostiquer les problèmes. Pour diagnostiquer un problème à l’aide de la fenêtre Search All Jobs : 1 Double-cliquez sur la tâche en échec ou inactive que vous souhaitez diagnostiquer à partir de la fenêtre Search All Jobs. Dans la fenêtre qui apparaît, vous pouvez afficher les métadonnées de la tâche (dans deux sous-fenêtres : Job Details et Job Copy Params) ou de visualiser la tâche telle qu’elle se présente dans la sous-fenêtre Log de la fenêtre Administration. 2 Cliquez sur Metadata (dans la partie supérieure de la fenêtre), puis sur Job Details dans la colonne de gauche pour afficher la sous-fenêtre Job Details. La sous-fenêtre Job Details affiche tous les détails de la tâche, incluant un identifiant de tâche unique, le type de tâche et des instructions de tâche spécifiques. Le dernier élément affiche un message d’erreur associé à cette tâche.236 Partie II Administration générale 3 Cliquez sur Job Copy Params dans la colonne de gauche. La sous-fenêtre Job Copy Params affiche des paramètres spécifiques à la copie. Remarque : si la tâche est une copie sans transcodage, aucun paramètre ne s’affiche. 4 Cliquez sur Logs dans la partie supérieure de la fenêtre. La sous-fenêtre Logs affiche des détails pour chaque étape de la tâche, tout comme les détails de l’étape s’affichent dans la sous-fenêtre Log de la fenêtre Administration. Le message ERROR dans la colonne Detail explique les raisons de l’échec de la tâche. À l’aide de ces informations, vous pouvez corriger le problème, puis réexécuter la tâche. Vous avez la possibilité de double-cliquer sur une entrée pour l’ouvrir dans une fenêtre distincte, ce qui peut faciliter la visualisation des détails. Les tâches peuvent échouer pour diverses raisons telles qu’un fichier source endommagé, des problèmes réseau ou un périphérique indisponible. Il peut s’agir aussi de problèmes sur le périphérique source ou cible, tels que les limitations de ressources ou un codec non pris en charge.Chapitre 15 À propos des tâches et des historiques 237 II Nouvelle tentative d’exécution de tâches échouées Lorsqu’une tâche échoue temporairement, elle est réexécutée automatiquement. Vous pouvez définir le nombre de nouvelles tentatives pour une tâche échouée, ainsi que la durée entre les essais dans la sous-fenêtre General des Préférences Système de Final Cut Server et dans la sous-fenêtre Preferences de la fenêtre Administration. Pour en savoir plus, consultez les rubriques « Réglages de la sous-fenêtre General » à la page 42 et « Réglages de préférences dans la fenêtre Administration du client Final Cut Server » à la page 119. Vous pouvez aussi réexécuter la tâche manuellement. Pour réexécuter une tâche échouée : m Cliquez sur la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Retry dans le menu contextuel. Important : seule la personne à l’origine d’une tâche ou l’administrateur peut réexécuter la tâche en question. En outre, il est impossible de réexécuter des tâches en échec permanent. À propos de la sous-fenêtre Log La sous-fenêtre Log de la fenêtre Administration répertorie les événements Final Cut Server, ce qui peut être utile lorsque vous tentez de vérifier quelles automatisations s’exécutent correctement ou quels utilisateurs ont ouvert une session. L’historique contient généralement un grand nombre d’entrées ; c’est pourquoi il est très utile d’employer la fonction de recherche pour retrouver les informations dont vous avez besoin. Par exemple, vous pouvez saisir un nom d’utilisateur afin de répertorier toutes les tâches achevées par cette personne. Vous pouvez cliquer tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée sur une tâche en échec, puis sélectionner Retry dans le menu contextuel pour réexécuter la tâche.238 Partie II Administration générale Important : Final Cut Server comporte une programmation intitulée Scheduled Maintenance qui efface le contenu de la fenêtre Log une fois par jour. Vous pouvez modifier cette programmation pour répondre au mieux à vos besoins. La sous-fenêtre Log comporte les colonnes suivantes :  Timestamp : date et heure auxquelles l’entrée a été enregistrée dans l’historique ;  Summary : résumé de l’entrée dans l’historique ;  Detail : détails de l’entrée dans l’historique ;  Username : utilisateur dont la session est ouverte au moment où l’entrée est créée ;  Job : si l’entrée dans l’historique est produite à la suite d’une tâche, l’identifiant de la tâche s’affiche. Vous pouvez trouver davantage d’informations sur le problème en recherchant les détails de la tâche ;  Status : état de l’entrée dans l’historique, généralement l’état de la tâche associée à l’heure de l’entrée ;  Log Type : type d’opération consignée ;  Log Asset ID : identifiant global unique (GUID) ou identifiant de toute ressource associée à l’événement. À propos de la fenêtre Log Vous pouvez double-cliquer sur tout élément répertorié dans la sous-fenêtre Log pour visualiser de plus amples détails dans la fenêtre Log. Cliquez sur Log pour ouvrir la sous-fenêtre du même nom. 239 Glossaire Glossaire Abonnement Un abonnement est un type d’automatisation de Final Cut Server qui s’exécute en cas de modification particulière de métadonnées. Par exemple, un abonnement génère une réponse par courrier électronique lorsqu’une ressource passe à l’état Ready ou Review. Voir aussi Automatisation ; Réponse ; Abonnement ; Dispositif de surveillance. Administration, fenêtre La fenêtre Administration, accessible depuis le client Final Cut Server par les utilisateurs bénéficiant d’autorisations d’accès administrateur, permet de contrôler de nombreux aspects de votre système Final Cut Server. Elle comporte des sous-fenêtres pour configurer les réglages des préférences, pour l’automatisation, les périphériques et les métadonnées. Vous pouvez également utiliser les réglages relatifs aux métadonnées dans la fenêtre Administration afin de personnaliser les options et les informations affichées aux utilisateurs de Final Cut Server. AFP AFP (Apple Filing Protocol) est un protocole réseau pris en charge par les ordinateurs Macintosh. Analyser Final Cut Server analyse les ressources dans le but de créer des proxys et en extraire des métadonnées. Voir aussi proxy ; Edit proxy. Archiver Une fois qu’une production ou un projet est terminé, vous pouvez utiliser la fonction d’archivage pour déplacer les ressources de leur périphérique vers un périphé- rique d’archivage, tel qu’un lecteur FireWire, un lecteur plus lent mais de grande capacité ou tout autre volume pour lequel l’espace disque ne présente pas un problème. Les ressources restent à l’état inactif dans le catalogue Final Cut Server. Elles peuvent être restaurées ultérieurement si nécessaire. Assistant réglages d’automatisation Les Préférences Système de Final Cut Server comportent une sous-fenêtre Automation pour la gestion des automatisations les plus fréquentes. Cette sous-fenêtre fait appel à l’Assistant réglages d’automatisation pour créer et modifier des automatisations. En général, il est plus facile de créer des automatisations à l’aide de l’Assistant réglages d’automatisation que d’utiliser la fenêtre Administration du client. Toutefois, cette dernière permet de créer des automatisations extrêmement personnalisées à travers des réglages qui ne sont pas proposés dans l’Assistant réglages d’automatisation. Voir aussi Administration, fenêtre ; Automatisation.240 Glossaire Assistant réglages de périphérique Les Préférences Système de Final Cut Server comporte une sous-fenêtre Devices pour la gestion des types de périphériques les plus courants. Cette sous-fenêtre fait appel à l’Assistant réglages de périphérique pour créer et modifier des périphériques. En général, il est plus facile de créer des périphériques à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique que d’utiliser la fenêtre Administration du client, d’autant que vous pouvez configurer des réponses par analyse en même temps. Toutefois, cette dernières permet de créer des périphériques plus personnalisés, avec des réglages qui ne sont pas proposés dans l’Assistant réglages de périphérique. Voir aussi Administration, fenêtre ; Périphérique. Automatisation Final Cut Server prend en charge un grand nombre de fonctionnalités d’automatisation, ce qui permet de configurer Final Cut Server pour l’automatisation de nombreuses sous-tâches. Il existe trois types d’automatisation : les dispositifs de surveillance, les abonnements et les programmations. Chacune de ces automatisations génère des réponses lorsqu’un événement se produit. Voir aussi Dispositif de surveillance ; Abonnement ; Programmation ; Réponse. Cache Pour utiliser une ressource du catalogue Final Cut Server, l’ordinateur client doit posséder une copie locale de la ressource. Final Cut Server conserve une zone de cache sur l’ordinateur client pour stocker les copies locales des ressources. Vous pouvez définir l’emplacement et la taille du cache dans la fenêtre Préférences du client. Client Un utilisateur communique avec le catalogue Final Cut Server par le biais d’un client Final Cut Server. Les clients Final Cut Server sont des applications Java qui peuvent s’exécuter sur des ordinateurs fonctionnant sous le système d’exploitation Mac OS X, Windows XP ou Windows Vista. Un système Final Cut Server peut prendre en charge plusieurs clients qui s’exécutent simultanément. Pour cela, deux licences sont proposées : l’une prenant en charge jusqu’à 10 clients, l’autre acceptant un nombre illimité de clients. Codec Apple ProRes 422 Lorsque vous téléchargez un projet Final Cut Pro, Final Cut Server peut, le cas échéant, créer une version Edit Proxy des données vidéo du projet par le biais du codec Apple ProRes 422. Ce codec fonctionne avec les normes vidéo HD (haute définition) et SD (définition standard), ce qui réduit significativement la taille des fichiers et la bande passante requise. Il est particulièrement utile lorsque votre support d’origine correspond à une vidéo sans compression. Lorsque vous exportez ou réservez l’usage d’un projet Final Cut Pro, vous pouvez utiliser le support vidéo d’origine ou les copies Edit Proxy les plus efficaces qui exploitent le codec Apple ProRes 422. Voir aussi Edit proxy. Contentbase Contentbase est un système de fichiers propre à Final Cut Server, qui place chaque ressource dans un dossier unique. L’avantage de ce système est qu’il n’y a aucun risque d’écraser des fichiers portant le même nom. Pour utiliser le stockage de fichiers Contentbase, Final Cut Server requiert les périphériques Proxies et Version. Glossaire 241 Dispositif de surveillance Un dispositif de surveillance est un type d’automatisation de Final Cut Server qui contrôle continuellement un périphérique spécifique et génère une réponse chaque fois qu’une ressource apparaît. Un exemple de cette opération consiste à surveiller un dossier dans lequel le service graphisme ajoute de nouvelles images. Lorsqu’une nouvelle image apparaît, le dispositif de surveillance la copie sur un périphérique, l’ajoute au catalogue Final Cut Server, puis envoie un courrier électronique à l’éditeur. Voir aussi Automatisation ; Réponse ; Programmation ; Abonnement. Edit proxy Les ressources liées à un projet Final Cut Pro téléchargé peuvent éventuellement (en s’appuyant sur un réglage issue des préférences) entraîner la création de fichiers proxy particuliers au cours de leur analyse. Ces fichiers proxy exploitent le codec Apple ProRes 422. Lorsque vous réservez l’usage du projet ou l’exportez, vous pouvez indiquer si vous souhaitez l’exporter avec ces fichiers Edit proxy ou avec ses données d’origine. Voir Analyser ; Codec Apple ProRes 422 ; Proxy. Éléments Les projets Final Cut Pro contiennent une liste d’éléments. La liste d’éléments affiche les connexions que le fichier de projet gère avec ses ressources de données liées. Les éléments Final Cut Pro peuvent comporter des fichiers de données et des séquences Final Cut Pro. Ensembles d’autorisations Les ensembles d’autorisations servent à définir la façon dont un groupe d’utilisateurs peut communiquer avec le catalogue Final Cut Server. Par exemple, vous pouvez créer un groupe d’utilisateurs qui passe en revue des ressources, puis appliquer un ensemble d’autorisations qui empêche ces utilisateurs de supprimer les ressources. Filesystem Système de fichiers le plus courant, utilisé pour tout périphérique installé en local sur l’ordinateur serveur de Final Cut Server ou monté par celui-ci. Le système de fichiers peut être de type AFP, Xsan, NFS ou SMB. Voir aussi AFP ; NFS ; SMB ; Xsan. FTP FTP (File Transfer Protocol) est un protocole d’échange de fichiers sur des réseaux qui prennent en charge le protocole TCP/IP. Groupes Pour accéder au catalogue Final Cut Server, les utilisateurs doivent appartenir à un groupe possédant un ensemble d’autorisations Final Cut Server qui lui est affecté. Les groupes peuvent être créés localement sur le serveur ou provenir d’une liste Open Directory. Voir Ensembles d’autorisations ; Utilisateurs.242 Glossaire Métadonnées Chaque fichier contient un minimum de métadonnées, telles que son type, sa taille, son nom et sa date de création. En ajoutant des fichiers au catalogue Final Cut Server, il s’avère pratique d’ajouter des champs de métadonnées pour le tri ou la localisation de ressources particulières. Le pilier de Final Cut Server est sa capacité à manipuler des métadonnées. L’application propose de nombreux modules pour ajouter des métadonnées à vos ressources, soit à l’aide des champs de métadonnées qu’il fournit, soit à l’aide des champs personnalisés créés pour des besoins particuliers. Ceux-ci comprennent des éléments tels que des mots-clés, des réglages d’état et des descriptions. Chaque ressource ou production se voit attribuée un ensemble de métadonnées, lequel se compose de groupes de métadonnées, chacun d’eux contenant des champs de métadonnées. Voir aussi Ressource ; Production. Montage à la volée Pour utiliser une ressource du catalogue Final Cut Server, l’ordinateur client doit habituellement posséder une copie locale de la ressource. Une exception à cette règle : cela ne s’applique pas si le périphérique qui contient la ressource est configuré en tant que périphérique de montage à la volée et que l’ordinateur client l’a monté en tant que volume. L’exemple le plus courant s’illustre dans un système Xsan puisqu’il prend en charge une bande passante de données suffisamment élevée pour transférer des données vidéo en temps réel. Voir aussi SAN ; Xsan. NFS NFS (Network File System) est un système de fichiers servant généralement utilisé par un client pour accéder à des fichiers à travers un réseau. Périphérique Dans Final Cut Server, les périphériques sont des emplacements de stockage que vous définissez et configurez. Il peut s’agir de dossiers dans un volume local sur l’ordinateur serveur, de volumes réseau ou de dossiers d’un volume Xsan. Production Pour faciliter l’organisation des ressources dans votre catalogue Final Cut Server, vous pouvez créer des productions. Chaque production peut contenir des ressources. En outre, une ressource peut appartenir à plusieurs productions. Vous pouvez posséder une production qui contient tous les fichiers de l’un de vos clients et une autre qui comporte uniquement les fichiers que ce client utilise dans un épisode ou une publicité spécifique. Voir aussi Ressource ; Métadonnées. Programmation Une programmation est un type d’automatisation de Final Cut Server qui s’exécute à des heures prédéfinies et génère des réponses. Par exemple, une programmation peut analyser un périphérique une fois par jour afin de mettre à jour ses entrées dans le catalogue. Voir aussi Automatisation ; Réponse ; Abonnement ; Dispositif de surveillance.Glossaire 243 Proxy En raison de leur volume important, les fichiers d’images et de vidéo peuvent être très difficiles à manipuler. Final Cut Server crée automatiquement des fichiers proxy en faible résolution au cours du processus d’analyse lorsque vous ajoutez des ressources à son catalogue. Ces fichiers proxy sont de taille réduite, ce qui facilite leur utilisation. Ils peuvent substituer les fichiers d’origine lors des opérations de passage en revue et de montage. Voir Analyser ; Edit proxy. Référence Les champs de métadonnées peuvent s’appuyer sur un ensemble complet de méthodes d’entrée de données. Une référence correspond à un menu local limitant l’utilisateur à sélectionner les données dans une liste d’éléments fournie. Réglages de transcodage Final Cut Server utilise les réglages de transcodage pour convertir une ressource de son codec actuel vers un autre. Le plus souvent, les réglages de transcodage permettent de convertir une ressource dans un format plus maniable ou plus facile à lire. Les réglages de transcodage pour les ressources vidéo et audio proviennent de Compressor (installé sur le serveur). Les réglages de transcodage pour les images sont internes à Final Cut Server. Réponse Toutes les automatisations Final Cut Server génèrent des réponses qui satisfont à leurs critères. Il existe un grand nombre de réponses configurables, telles que l’analyse d’un périphérique, l’envoi d’un courrier électronique à un utilisateur ou la copie d’une ressource sur un périphérique. Voir Automatisation. Représentation principale Il s’agit du fichier de données d’origine téléchargé dans Final Cut Server. Ressource Chaque élément d’un catalogue Final Cut Server est une ressource, que ce soit un fichier de données, un document PDF ou un dossier enregistré en tant que lot. Toutes les ressources sont stockées sur des périphériques Final Cut Server et peuvent s’intégrer dans des productions de Final Cut Server. Final Cut Server permet d’ajouter une grande variété de métadonnées à chaque ressource. Voir aussi Périphérique ; Métadonnées ; Production. SAN Un SAN (Storage Area Network, réseau de stockage) permet à plusieurs ordinateurs de se connecter à un périphérique de stockage comme s’il s’agissait d’un périphérique branché en local. Vous pouvez ainsi utiliser les données du périphérique de stockage comme si elles résidaient sur un disque dur local. Voir aussi Montage à la volée ; Xsan. SMB SMB (server message block) est un protocole réseau principalement utilisé par les ordinateurs Windows. Il est souvent appelé Réseau Microsoft Windows. Tâches Toute opération effectuée par Final Cut Server sur une ressource est une tâche. Ces opérations peuvent comprendre l’envoi par téléchargement, la réception par télé- chargement, la copie et le transcodage d’une ressource.244 Glossaire Utilisateurs Une personne qui cherche à se connecter au catalogue Final Cut Server doit posséder un compte utilisateur sur le serveur. Ce compte utilisateur doit faire partie d’un groupe détenant un ensemble d’autorisations Final Cut Server qui lui est affecté. Voir Groupes ; Ensemble d’autorisations. version Final Cut Server peut conserver des versions des ressources sélectionnées. Il est ainsi possible de restaurer une copie antérieure au besoin. Si vous réservez une ressource du catalogue Final Cut Server, la modifiez puis la réintégrez au catalogue, Final Cut Server copie tout d’abord la version actuelle sur le périphérique Version, puis la nouvelle version à l’emplacement de l’actuelle. Xsan Un réseau de stockage (SAN) Apple Xsan correspond à un périphérique fournissant un accès rapide aux fichiers de données. Les périphériques Xsan prennent en charge la fonction de montage à la volée lorsque vous êtes connecté à travers un réseau Fibre Channel. Voir Montage à la volée. 245 Index Index A abonnements à propos 81, 204 créés par le programme d’installation 82 administration fonctions client accessibles uniquement par l’administrateur 127 introduction 18 vue d’ensemble 111–116 Administration, fenêtre ajout de groupes 130 astérisques 119 ouverture 116 Permission Set, sous-fenêtre 132–139 Préférences, sous-fenêtre 119–125 recherche 118 redémarrage du client 119 utilisation 117–119 affiches 124 aide, utilisation à l’écran 8 alias 126 alias de fichier 126 analyse manuelle de ressources 127 analyses complètes 70 analyses différentielles 70 Analyze, réglages de la sous-fenêtre des préférences 124 annulation de réservation ou de verrouillage 127 Apple Qmaster, création d’un QuickCluster 36 assistance AppleCare 10 Assistant réglages d’automatisation informations détaillées sur la réponse par archivage 92 informations détaillées sur la réponse par copie 89 informations détaillées sur la réponse par courrier électronique 90 informations détaillées sur la réponse par suppression 93 informations détaillées sur le dispositif de surveillance d’abonnement aux métadonnées 87 informations détaillées sur le dispositif de surveillance de système de fichiers 86 introduction 81 modification d’une automatisation 93 suppression d’une automatisation 94 Assistant réglages de périphérique AFP, réglages 73 ajout de périphériques à l’aide de 66–72 avantages et inconvénients 64, 172 modification des réglages de périphérique 77 NFS, réglages 74 réglages d’analyse 70 réglages de périphérique local 72 réglages de périphérique réseau 73 réglages de périphérique Xsan 76 réglages de transcodage 72 réglages FTP 75 réponses par analyse créées 213 SMB/CIFS, réglages 73 suppression de périphériques 78 astérisques 119 Automations, sous-fenêtre actualisation 83 présentation 46 utilisation 81–94 automatisations à propos 203–204 à propos des sous-fenêtres Administration 204 astuces générales 205–206 extensions de fichier 206 fichiers QuickTime de référence 205 par défaut, créées par le programme d’installation 82 projets Final Cut Pro 205 téléchargement de lots et de dossiers 206 autorisations de périphérique à propos 138 réglage 138 autorisations de trait à propos 137 réglage 138 B Backup, sous-fenêtre configuration 98246 Index présentation 47 C cache à propos 240 emplacements par défaut 126 préférences 126 catalogue à propos de la sauvegarde 96 restauration 101 sauvegarde 98 vérification de l’espace disque disponible 222 champs de métadonnées ajout ou modification 146 réglages 147–149 types de données 149 clients à propos 13 codecs 103 fichiers créés 107 installation 103–107 introduction 103 Java Web Start 104 ordinateurs Windows 103 codec Apple ProRes 422 240 Compressor ajout de réglages de transcodage à Final Cut Server 198 configuration de grappe de serveurs 34–37 création d’un QuickCluster 36 grappe de serveurs This Computer 35, 121 installation avec Final Cut Server 7, 34–37 mots de passe de grappe de serveurs 121 Préférences, réglages de la sous-fenêtre 121 Comptes, sous-fenêtre création d’utilisateurs 53 création d’utilisateurs et de groupes, à propos de l’utilisation 51–55 création de groupes 54 Contentbase, périphériques 182 contrôle des versions 29 D Devices, sous-fenêtre actualisation de la liste de périphériques 68 présentation 45 utilisation 63–79 dispositifs de surveillance à propos 81, 204 créés par le programme d’installation 82 dossiers, téléchargement par le biais d’automatisations 206 E edit proxies activation dans la fenêtre Administration 122 activation dans le programme d’installation 30 modalités d’utilisation 30 emplacement des données de production 29 emplacement des données de proxy 29 ensembles d’autorisations affichage 133 à propos d’admin 134 autorisations de périphérique 138 autorisations de trait 137 création 134 par défaut 60, 132 priorité 60, 134 réglages 135 réglages relatifs aux métadonnées 135 ensembles de métadonnées ajout ou modification 162 réglages 163 exécution de scripts externes et réponses par commandes 221 Export, périphérique 180 extensions de fichier et automatisations 206 F fichier finalcutserver.jnlp 107 fichiers QuickTime de référence 205 Filesystem, périphériques 188 Final Cut Server aide 8 arrêt et démarrage 43 configuration de l’interface utilisateur 165–168 configuration requise 15 documentation imprimée 8 enregistrement 39, 43 groupes, ajout 58, 130–131 installation de clients 103–107 introduction aux clients 103 introduction aux Préférences Système 41 introduction aux tâches d’administration 18 manuels consultables à l’écran 8 mise à niveau de la licence 38, 43 numéro de série 27 profils personnalisés 32–34 programme d’installation, démarrage 23–32 sauvegarde 95 sites web 9 stratégie en matière de stockage 16–17 visualisation de l’état 231 vue d’ensemble de l’installation 21 G General, réglages de la sous-fenêtre 42 Gestionnaire de groupe de travail 55–58 ajout d’utilisateurs aux groupes 57 création d’utilisateurs 56Index 247 création de groupes 56 Global Preferences, réglages de la sous-fenêtre 120 groupes de métadonnées ajout ou modification 151 modification 165 priorité sur les propriétés des champs 154 réglages 152 utilisation pour la configuration de présentations 167 utilisation pour la configuration de recherches 166 groupes et utilisateurs ajout de groupes à Final Cut Server 58, 130–131 à propos 49–51 Comptes, création d’utilisateurs à partir de la sous-fenêtre 53 Comptes, création de groupes dans la sousfenêtre 54 Comptes, utilisation de la sous-fenêtre 51–55 création d’utilisateurs par le biais du Gestionnaire de groupe de travail 56 création de groupes par le biais du Gestionnaire de groupe de travail 56 Gestionnaire de groupe de travail 55–58 Group Permissions, sous-fenêtre 58 Administration, fenêtre 130 présentation 44 I installation activer les Edit Proxies 30 catalogue du périphérique Media 30 clients 104 contrôle des versions 29 démarrage du programme d’installation 23–32 emplacements des données de production et de proxy 29 mise à jour de Mac OS X et QuickTime 24 mise à niveau de Mac OS X 10.4 24 numéro de série 27 profils personnalisés 32–34 serveur de messagerie 29 vue d’ensemble 21 interface utilisateur, configuration à l’aide de métadonnées 165–168 J Java Web Start 104 confiance 105 fichiers créés 107 L Log, fenêtre 238 Log, sous-fenêtre 237–238 Lookup, sous-fenêtre 158 lots, téléchargement par le biais d’automatisations 206 M mappages de métadonnées ajout ou modification 156 réglages 157 Metadata Field, sous-fenêtre 145 Metadata Group, sous-fenêtre 150 Metadata Map, sous-fenêtre 155 Metadata Sets, sous-fenêtre 162 métadonnées à propos 242 autres utilisations 144 champs, ajout ou modification 146 champs, à propos 144–149 configuration de l’interface utilisateur 165–168 ensembles, ajout ou modification 162 ensembles, à propos 161–163 groupes, ajout ou modification 151 groupes, à propos 149–154 insertion de champs dans les réponses par courrier électronique 91 introduction 141–144 mappage, à propos 155–157 mappages, ajout ou modification 156 QuickTime 168 références, ajout ou modification 159 références, à propos 157–161 règles de synchronisation 163 relations entre les sous-fenêtres 143 métadonnées dynamiques 168 métadonnées QuickTime 168 montage à la volée 17, 180–182 P périphérique AFP à propos 66 Assistant réglages de périphérique, réglages 73 périphérique Archive configuration 179 et périphériques Contentbase 179 et versions 179 périphérique archive configuration à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique 69 périphérique Edit Proxies à propos 123 configuration 177 modification 122 périphérique FTP 66 Assistant réglages de périphérique, réglages 75 lots et dossiers 76 périphérique Library 65 périphérique local248 Index à propos 66 Assistant réglages de périphérique, réglages 72 périphérique Media à propos 65 configuration du programme d’installation 30 périphérique NFS à propos 66 Assistant réglages de périphérique, réglages 74 périphérique Proxies à propos 122 configuration 177 modification 122 périphérique réseau, Assistant réglages de périphérique, réglages 73 périphériques affectation de réglages de transcodage 200 ajout à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique 66–72 ajout par le biais de la fenêtre Administration 173–175 à propos de l’exportation 180 à propos de la création 64 Archive, configuration 179 archive, configuration à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique 69 Contentbase, à propos 182 créés par défaut par le programme d’installation 65 Edit Proxies, configuration 177 et disque de démarrage 173 Filesystem, à propos 188 introduction 16, 171 Library 65 Media 65 modification par le biais de la fenêtre Administration 176 montage à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique 77 montage à la volée 17, 180–182 Proxies, configuration 177 recherche 191 sauvegarde 96 serveur FTP, à propos 184 suppression à l’aide de l’Assistant réglages de périphérique 78 suppression par le biais de la fenêtre Administration 176 types 182–191 vérifcation des réglages 173 Version, configuration 178 Watchers 65 périphériques Contentbase et proxys 122 Préférences Système, et 64 périphériques de serveur FTP 184 périphérique SMB/CIFS Assistant réglages de périphérique, réglages 73 périphérique Version, configuration 178 périphérique Watchers 65 périphérique Xsan à propos 66 Assistant réglages de périphérique, réglages 76 Permission Set, sous-fenêtre 132–139 Préférences, sous-fenêtre 119–125 Analyze, réglages 124 Global Preferences, réglages 120 réglages de Compressor 121 réglages de proxy 121 Version Control, réglages 123 préférences d’alias 126 préférences de recherche 126 Préférences Système ajout de groupes 58 Assistant réglages de périphérique 66–72 Automations, sous-fenêtre 81–94 Backup, sous-fenêtre 98 bouton illustré par un point d’interrogation 42 Devices, sous-fenêtre 63–79 General, réglages de la sous-fenêtre 42 Group Permissions, sous-fenêtre 58 introduction 41 serveur de messagerie 43 verrouillage et déverrouillage 42 vue d’ensemble 113–115 prise en charge Unicode 128 profils à propos 32–34 ensembles de métadonnées de production 33 profils personnalisés à propos 32–34 ensembles de métadonnées de production 33 programmations 204 programme d’installation automatisations créées 82 périphériques créés 65 projets Final Cut Pro et automatisations 205 proxys configuration 124 Préférences, réglages de la sous-fenêtre 121 R recherche de périphériques 191 références 157–161 ajout ou modification 159 réglages 160 types de données 160 réglages d’analyse analyses complètes 70 analyses différentielles 70 à propos 67 Assistant réglages de périphérique 70Index 249 réglages des préférences Administration, fenêtre 119–125 personnalisables 125 recherche 126 réglages de cache et d’alias 126 réglages de transcodage affectation aux périphériques 200 ajout depuis Compressor 198 à propos 67, 197 Assistant réglages de périphérique 72 proxys 124 Réponse, sous-fenêtre et fenêtre 207–222 réponse par analyse à propos 210 fichiers QuickTime de référence 205 types (modes) 212 réponse par analyse de production 213 réponse par archivage, Assistant réglages d’automatisation, informations détaillées 92 réponse par copie à propos 218 Assistant réglages d’automatisation, informations détaillées 89 écrasement de fichiers 90 fichiers QuickTime de référence 205 réponse par courrier électronique à propos 220 Assistant réglages d’automatisation, informations détaillées 90 insertion de champs de métadonnées 91 réponse par suppression, Assistant réglages d’automatisation, informations détaillées 93 réponses analyse, à propos 210 à propos 204 copie, à propos 218 courrier électronique, à propos 220 exécution de scripts externes et réponses par commandes 221 opérations 208 productions d’analyse, à propos 213 réponses par analyse créées par l’Assistant réglages de périphérique 213 vérification de l’espace disque attribué à la base de données 222 réseau redondant de disques indépendants (RAID) 16 S SAN 17 sauvegarde de Final Cut Server 95 à propos des fichiers de sauvegarde 99 Backup, sous-fenêtre 98 catalogue 96 périphériques 96 restauration 100 Schedule, sous-fenêtre et fenêtre 228 scripts, exécution d’après une réponse 221 Search All Jobs, fenêtre 232–237 à propos 232 diagnostic de problèmes 235 ouverture 232 recherche 234 Search Devices, fenêtre accès aux métadonnées QuickTime 168 à propos de la recherche 193 catalogage d’éléments 194 menu contextuel 194 ouverture et utilisation 191 Server, menu local 116 serveur de messagerie 43 serveurs 13 Sites Web Apple 9 SMTP Server, réglage 120 Spotlight 15 stratégie en matière de périphériques de stockage 16–17 Subscription, sous-fenêtre et fenêtre 226 T tâches définitions de progression et d’état 233 nouvelle tentative après échec 237 Transcode Settings, sous-fenêtre 198 types de périphérique 182–191 U utilisateurs et groupes ajout d’utilisateurs aux groupes par le biais du Gestionn 57 ajout d’utilisateurs aux groupes par le biais du Gestionnaire de groupe de travail 57 ajout de groupes à Final Cut Server 58, 130–131 à propos 49–51 Comptes, création d’utilisateurs à partir de la sous-fenêtre 53 Comptes, création de groupes dans la sousfenêtre 54 Comptes, utilisation de la sous-fenêtre 51–55 création d’utilisateurs par le biais du Gestionnaire de groupe de travail 56 création de groupes par le biais du Gestionnaire de groupe de travail 56 Gestionnaire de groupe de travail 55–58 V verrou, annulation 127 Version Control, réglages de la sous-fenêtre 123 versions d’Apache 24 vignettes250 Index à propos du contrôle des métadonnées 144 configuration 124 W Watcher, sous-fenêtre et fenêtre à propos 223 réglages relatifs aux dispositifs de surveillance de recensement 225 websites 9 iPod shuffle Guide de l’utilisateur5 Chapitre 1 :  À propos de l’iPod shuffle 6 Nouveautés de l’iPod shuffle 7 Chapitre 2 :  Notions élémentaires de l’iPod shuffle 7 Vue d’ensemble de l’iPod shuffle 8 Utilisation des commandes de l’iPod shuffle 9 Connexion et déconnexion de l’iPod shuffle 11 À propos de la batterie de l’iPod shuffle 14 Chapitre 3 :  Configuration de l’iPod shuffle 14 À propos d’iTunes 15 Configuration de votre bibliothèque iTunes 16 Organisation de votre musique 18 Première connexion de l’iPod shuffle à un ordinateur 18 Ajout de musique à l’iPod shuffle 26 Chapitre 4 :  Écouter de la musique 26 Lecture de musique 28 Utilisation de VoiceOver 30 Lecture des pistes au même volume 31 Activation du volume maximum 32 Verrouillage et déverrouillage des boutons de l’iPod shuffle 33 Chapitre 5 :  Stockage de fichiers sur l’iPod shuffle 33 Utilisation de l’iPod shuffle en tant que disque externe 35 Chapitre 6 :  Astuces et dépannage 38 Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle 40 Chapitre 7 :  Sécurité et manipulation 40 Informations importantes relatives à la sécurité 42 Informations importantes sur le maniement 2 Table des matières44 Chapitre 8 :  En savoir plus, service et assistance 45 Regulatory Compliance Information     3 5 Apple vous félicite pour l’acquisition de votre iPod shuffle. ± ATTENTION: afin d’éviter toute blessure, consultez avant d’utiliser l’iPod shuffle toutes les consignes d’utilisation de ce guide et les informations relatives à la sécurité du chapitre 7, « Sécurité et manipulation ». Pour utiliser l’iPod shuffle, vous devez au préalable charger des morceaux et autres fichiers audio de votre ordinateur sur l’iPod shuffle. Vous pouvez utiliser l’iPod shuffle pour :  synchroniser des morceaux et des listes de lecture en vue de les écouter lorsque vous êtes en déplacement ;  écouter des podcasts, sorte d’émissions téléchargeables de type radiophoniques, proposés sur Internet ;  écouter des livres audio achetés sur l’iTunes Store ou audible.com ;  stocker ou sauvegarder des fichiers et autres données en utilisant l’iPod shuffle comme disque externe. 1 À propos de l’iPod shuffleNouveautés de l’iPod shuffle  Un bouton VoiceOver qui annonce le titre des morceaux et le nom des artistes, vous permet de basculer entre listes de lecture et indique l’état de la batterie.  Commandes faciles et intuitives  Synchronisation de mix Genius.  Synchronisation de collections iTunes U 6 Chapitre 1    À propos de l’iPod shuffle 7 Lisez ce chapitre pour en savoir plus sur les fonctionnalités de l’iPod shuffle, sur la manière d’utiliser ses commandes et plus encore. Le coffret de votre iPod shuffle comprend l’iPod shuffle lui-même, les écouteurs Apple Earphones et un câble USB 2.0 pour connecter l’iPod shuffle à votre ordinateur. Vue d’ensemble de l’iPod shuffle Voyant d’état Port d’écouteurs Précédent/Retour rapide Lecture/Pause Diminuer le volume Bouton VoiceOver Commutateur à trois positions Augmenter le volume Attache Suivant/Avance rapide Pour utiliser les écouteurs Apple Earphones : m Connectez les écouteurs sur le port écouteurs de l’iPod shuffle. Placez ensuite les écouteurs dans vos oreilles comme illustré. Le cordon des écouteurs est réglable. 2 Notions élémentaires de l’iPod shuffleWARNING: avant d’utiliser l’iPod shuffle, lisez toutes les consignes de sécurité de la rubrique “Informations importantes relatives à la sécurité” à la page 40 pour savoir comment éviter toute perte d’audition. Vous avez la possibilité d’acheter d’autres accessoires, tels que les écouteurs Apple Earphones avec télécommande et micro, et les écouteurs intraauriculaires Apple Earphones avec télécommande et micro, à l’adresse www.apple.com/fr/ipodstore. Le microphone n’est pas pris en charge sur l’iPod shuffle. Utilisation des commandes de l’iPod shuffle Les commandes frontales, le bouton VoiceOver et le commutateur à trois positions facilitent la lecture de morceaux, de livres audio, de podcasts audio et de collections iTunes U sur l’iPod shuffle. Pour Procédez comme suit : Allumer ou éteindre l’iPod shuffle Faites glisser le commutateur à trois positions (le voyant vert du commutateur indique que l’iPod shuffle est allumé). Lire ou mettre en pause Appuyez sur Lecture/Pause (’). Augmenter ou diminuer le volume Appuyez sur Augmenter le volume (∂) ou Diminuer le volume (D). Appuyez sur les boutons et maintenez-les enfoncés pour augmenter ou réduire rapidement le volume. Définir l’ordre de lecture Faites glisser le commutateur à trois positions pour lancer la lecture séquentielle (⁄) ou aléatoire (¡). Passer à la piste suivante Appuyez sur Suivant/Avance rapide (‘). Revenir à la piste précédente Appuyez sur Précédent/Retour rapide (]) dans les 6 premières secondes de la piste. Après 6 secondes, appuyez sur Précédent/Retour rapide (]) pour recommencer la piste en cours de lecture. Avancer rapidement Appuyez et maintenez enfoncé Suivant/Avance rapide (‘). Retour rapide Appuyez et maintenez enfoncé Précédent/Retour rapide (]). Entendre le titre du morceau et le nom de l’artiste Appuyez sur le VoiceOver ( ). 8 Chapitre 2    Notions élémentaires de l’iPod shuffleChapitre 2    Notions élémentaires de l’iPod shuffle 9 Pour Procédez comme suit : Entendre un menu des listes de lecture parmi lesquelles choisir Appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) et maintenez-le enfoncé. Appuyez sur Suivant/ Avance rapide (‘) ou sur Précédent/Retour rapide (]) pour faire défiler le menu des listes de lecture. Appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) ou sur Lecture/Pause (’) pour sélectionner une liste de lecture. Appuyez à nouveau sur le bouton VoiceOver ( ) et maintenez-le enfoncé pour quitter sans effectuer de sélection. Verrouillez les boutons de l’iPod shuffle (pour ne pas les activer par mégarde) Maintenez enfoncé le bouton Lecture/Pause (’) jusqu’à ce que le voyant d’état orange clignote trois fois. Répétez l’opération pour déverrouiller les boutons. Réinitialiser l’iPod shuffle (si l’iPod shuffle ne répond pas ou que le voyant d’état rouge s’allume) Éteignez l’iPod shuffle, attendez 10 secondes puis rallumez-le. Rechercher le numéro de série de l’iPod shuffle Regardez sous l’attache de l’iPod shuffle. Vous pouvez également sélectionner dans iTunes l’iPod shuffle dans la liste des appareils (lorsque l’iPod shuffle est connecté à l’ordinateur) et cliquer sur l’onglet Résumé. Connexion et déconnexion de l’iPod shuffle Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur pour synchroniser des morceaux et autres fichiers audio mais aussi pour recharger sa batterie. Déconnectez l’iPod shuffle lorsque vous avez terminé. Important: n’utilisez que le câble USB 2.0 fourni avec l’iPod shuffle pour connecter ce dernier à votre ordinateur. Connexion de l’iPod shuffle Pour connecter l’iPod shuffle à votre ordinateur : m Connectez une extrémité du câble USB fourni au port écouteurs de l’iPod shuffle et l’autre à un port USB 2.0 à forte alimentation de votre ordinateur. Note: Ne connectez pas l’iPod shuffle à un port USB de votre clavier pour le recharger. Un câble USB plus long est disponible séparément à l’adresse www.apple.com/fr/ ipodstore. La première fois que vous connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur, iTunes vous aide à configurer l’iPod shuffle et à le synchroniser avec votre bibliothèque iTunes. Par défaut, iTunes synchronise automatiquement les morceaux sur l’iPod shuffle lorsque vous le connectez à votre ordinateur. Vous pouvez synchroniser des morceaux pendant que la batterie se recharge. Si vous connectez l’iPod shuffle à un autre ordinateur et que l’iPod shuffle est configuré pour synchroniser de la musique automatiquement, iTunes vous demande de confirmer la synchronisation de tout morceau. Si vous cliquez sur Oui, les morceaux et autres fichiers audio se trouvant déjà sur l’iPod shuffle sont alors effacés et remplacés par les morceaux et les fichiers audio de l’ordinateur auquel est connecté l’iPod shuffle. Pour plus de renseignements sur l’ajout de musique sur l’iPod shuffle ou l’utilisation de l’iPod shuffle avec plusieurs ordinateurs, consultez la rubrique Chapter 4,“Écouter de la musique,” à la page 26. Déconnexion de l’iPod shuffle Il est important de ne pas déconnecter l’iPod shuffle de votre ordinateur lorsque des fichiers audio sont en cours de synchronisation ou que l’iPod shuffle est utilisé en tant que disque externe. Vous pouvez déconnecter l’iPod shuffle si le voyant d’état orange ne clignote pas ou que le message « Déconnexion autorisée » s’affiche en haut de la fenêtre iTunes. Important: si le message « Ne pas déconnecter » s’affiche dans iTunes ou que le voyant d’état orange de l’iPod shuffle clignote, vous devez éjecter l’iPod shuffle avant de le déconnecter. Ne pas suivre ces indications peut entraîner la détérioration de fichiers sur l’iPod shuffle et vous obliger à restaurer l’iPod shuffle dans iTunes. Pour plus de renseignements sur la restauration, consultez la section “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle” à la page 38. Si vous activez le mode disque de l’iPod shuffle (voir la section Utilisation de l’iPod shuffle en tant que disque externe à la page 33), vous devrez toujours éjecter l’iPod shuffle avant de le déconnecter. Pour éjecter l’iPod shuffle : m Dans iTunes, cliquez sur le bouton Éjecter (C) situé à côté de l’iPod shuffle dans la liste des appareils. Si vous utilisez un Mac, vous pouvez également éjecter l’iPod shuffle en faisant glisser l’icône iPod shuffle du bureau vers la Corbeille. 10 Chapitre 2    Notions élémentaires de l’iPod shuffleChapitre 2    Notions élémentaires de l’iPod shuffle 11 Si votre ordinateur est un PC sous Windows, vous pouvez aussi éjecter l’iPod shuffle dans « Poste de travail » ou en cliquant sur l’icône « Supprimer le périphérique en toute sécurité » située dans la zone de notification du PC puis en sélectionnant votre iPod shuffle. Pour déconnecter l’iPod shuffle : m Déconnectez le câble USB de l’iPod shuffle et de l’ordinateur. À propos de la batterie de l’iPod shuffle iPod shuffle dispose d’une batterie interne rechargeable qui ne doit être remplacée que par un Centre de service agréé Apple. Pour obtenir des résultats optimum, à la première utilisation de l’iPod shuffle, rechargez entièrement sa batterie pendant environ trois heures. Il faut environ deux heures pour recharger la batterie à 80 %, et trois heures pour la recharger complètement. Si l’iPod shuffle n’a pas été utilisé pendant un moment, il est possible qu’une recharge de sa batterie soit nécessaire. Vous pouvez synchroniser de la musique pendant que la batterie se recharge. Vous pouvez déconnecter et utiliser l’iPod shuffle avant qu’il ne soit complètement rechargé. Recharge de la batterie de l’iPod shuffle Il vous est possible de recharger la batterie de l’iPod shuffle de deux façons :  Connecter l’iPod shuffle à votre ordinateur  Utilisez l’adaptateur secteur USB Apple (vendu séparément). Pour recharger la batterie via votre ordinateur : m Connecter l’iPod shuffle à un port USB 2.0 à forte alimentation de votre ordinateur à l’aide du câble USB iPod shuffle fourni. L’ordinateur doit alors être sous tension et non en mode veille (certains modèles de Mac peuvent recharger l’iPod shuffle sans sortir du mode veille). Le voyant d’état orange de l’iPod shuffle s’allume lorsque la batterie se recharge. Une fois la batterie complètement rechargée, le voyant passe au vert. Dans iTunes, l’icône représentant une batterie située à côté du nom de votre iPod shuffle indique son état. Cette icône signale un boulon s’éclaircissant lorsque la batterie est en phase de recharge et une prise de courant une fois la batterie entièrement rechargée. Si vous utilisez l’iPod shuffle en tant que disque dur ou que vous procédez à sa synchronisation avec iTunes, le voyant d’état orange clignote pour vous indiquer qu’il convient d’éjecter l’iPod shuffle avant de le déconnecter. Dans ce cas, votre batterie peut être toujours en phase de recharge, ou entièrement rechargée. Si le voyant d’état ne s’allume pas, il est possible que l’iPod shuffle ne soit pas connecté à un port USB 2.0 à forte alimentation. Essayez de le connecter à un autre port USB 2.0 de votre ordinateur. Si vous comptez recharger la batterie sans disposer de votre ordinateur, vous pouvez connecter l’iPod shuffle à un adaptateur secteur USB Apple, disponible séparément. Pour acheter des accessoires iPod shuffle, consultez la page www.apple.com/fr/ ipodstore. Pour charger la batterie à l’aide de l’adaptateur secteur USB Apple : 1 Connectez le câble USB iPod shuffle fourni à l’adaptateur secteur, puis connectez l’autre extrémité à l’iPod shuffle. 2 Connectez l’adaptateur secteur à une prise de courant en état de fonctionnement. Adaptateur secteur Apple USB Power Adapter (votre adaptateur peut avoir un aspect différent) Câble USB de l’iPod shuffle WARNING: assurez-vous que l’adaptateur secteur est en une seule pièce avant de le brancher sur une prise de courant. Avant tout usage, consulté l’intégralité des consignes de sécurité spécifiques à l’utilisation de l’adaptateur secteur USB Apple à la rubrique Chapter 7,“Sécurité et manipulation,” à la page 40. Les batteries rechargeables ont un nombre limité de cycles de recharge. La durée de vie de la batterie et le nombre de cycles de recharge varient en fonction de l’utilisation et des réglages de l’iPod. Pour plus d’informations, consultez le site www.apple.com/fr/ batteries. Vérification de la batterie état Vous avez la possibilité de vérifier l’état de la batterie de l’iPod shuffle, qu’il soit connecté à votre ordinateur ou déconnecté. Le voyant d’état vous indique le niveau de charge approximatif de la batterie. Si l’iPod shuffle est allumé sans être connecté à un ordinateur, vous pouvez utiliser VoiceOver pour entendre l’état de la batterie en appuyant deux fois sur le bouton VoiceOver. 12 Chapitre 2    Notions élémentaires de l’iPod shuffleChapitre 2    Notions élémentaires de l’iPod shuffle 13 Voyant d’état une fois déconnecté Message VoiceOver Vert continu Charge correcte « Batterie pleine » ou « Batterie à 75 % » ou « Batterie à 50% » Orange continu Charge faible « Batterie à 25% » Rouge continu Charge très faible « Batterie vide » Voyant d’état une fois connecté à un ordinateur Vert continu Entièrement rechargé Orange continu En cours de recharge Orange clignotant Ne pas déconnecter (iTunes est en cours de synchronisation ou l’iPod shuffle est activé en mode disque) ; il se peut que l’appareil soit toujours en phase de recharge ou entièrement rechargé14 Utilisez iTunes sur votre ordinateur pour configurer l’iPod shuffle de manière à lire de la musique et d’autres contenus audio. Connectez ensuite l’iPod shuffle à votre ordinateur et lancez sa synchronisation avec votre bibliothèque iTunes. Lisez ce qui suit pour en savoir plus sur l’utilisation de l’iPod shuffle, notamment sur :  le transfert de musique à partir de votre collection de CD, votre disque dur ou l’iTunes Store (qui fait partie d’iTunes et n’est disponible que dans certains pays) vers l’application iTunes de votre ordinateur ;  l’organisation de votre musique et des autres fichiers audio en liste de lectures ;  la synchronisation avec l’iPod shuffle de morceaux, de livres audio, de podcasts et de collections iTunes U de votre bibliothèque iTunes ;  l’écoute de musique ou de tout autre fichier audio lorsque vous êtes en déplacement. À propos d’iTunes iTunes est l’application gratuite qui vous permet de configurer, organiser et gérer votre contenu sur l’iPod shuffle. Vous devez passer par iTunes pour synchroniser de la musique, des livres audio et des podcasts audio avec l’iPod shuffle. Si vous n’avez pas déjà installé sur votre ordinateur iTunes 10 ou ultérieur (nécessaire pour l’iPod shuffle), vous devez télécharger ce logiciel à la page www.itunes.com/fr/download. Une fois que vous avez installé iTunes, l’application s’ouvre automatiquement quand vous connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. Vous pouvez utiliser iTunes pour importer de la musique à partir de CD ou d’Internet, acheter des morceaux et d’autres fichiers audio sur l’iTunes Store, créer des compilations personnalisées de vos morceaux préférés (appelées listes de lecture), synchroniser l’iPod shuffle et définir les réglages de l’iPod shuffle. 3 Configuration de l’iPod shuffleChapitre 3    Configuration de l’iPod shuffle 15 iTunes dispose également d’une fonctionnalité appelée Genius, laquelle crée instantanément des listes de lecture et des mix compilant des morceaux issus de votre bibliothèque iTunes qui vont bien ensemble. Vous synchroniser des mix Genius et des listes de lecture iTunes avec l’iPod shuffle. Pour utiliser Genius, vous avez besoin d’un compte iTunes. Pour savoir comment configurer Genius, consultez la rubrique “Fonction Genius dans iTunes” à la page 17. iTunes possède de nombreuses autres fonctionnalités. Vous pouvez graver vos propres CD lisibles sur des lecteurs CD standard (si votre ordinateur possède un graveur de CD), écouter de la radio diffusée sur Internet, regarder des vidéos et des émissions de télévision, classer vos morceaux selon vos préférences et bien plus encore. Pour en savoir plus sur ces fonctionnalités, ouvrez iTunes puis choisissez Aide > Aide iTunes. Si vous disposez déjà d’iTunes 10 ou ultérieur sur votre ordinateur et que vous avez configuré votre bibliothèque iTunes, vous pouvez passer à la rubrique suivante, “Première connexion de l’iPod shuffle à un ordinateur” à la page 18. Configuration de votre bibliothèque iTunes Pour écouter de la musique sur l’iPod shuffle, il vous faut tout d’abord la transférer depuis la bibliothèque iTunes de votre ordinateur. Il existe trois façons d’importer de la musique et autres supports audio dans la bibliothèque iTunes :  en achetant de la musique et des livres audio, ou en téléchargeant des podcasts en ligne à partir de l’iTunes Store ;  en important de la musique et autres fichiers audio extraits de CD audio ;  en ajoutant à votre bibliothèque iTunes de la musique et d’autres contenus audio déjà stockés sur votre ordinateur. Achat de morceaux et téléchargement de podcasts sur l’iTunes Store Si vous disposez d’une connexion à Internet, vous pouvez facilement acheter et télécharger des morceaux, des albums et des livres audio en ligne via l’iTunes Store (disponible dans certains pays). Vous pouvez également vous abonner à des podcasts audio et en télécharger, et télécharger du contenu éducatif gratuit sur iTunes U. Il est impossible de synchroniser des podcasts vidéo sur l’iPod shuffle.Pour acheter de la musique en ligne via l’iTunes Store, vous devez configurer un compte iTunes gratuit dans iTunes, rechercher les morceaux voulus, puis les acheter. Si vous avez déjà un compte iTunes, vous pouvez l’utiliser pour ouvrir une session sur l’iTunes Store et acheter des morceaux. Vous n’avez pas besoin d’un compte iTunes Store pour lire ou télécharger des podcasts ou des classes iTunes U. Pour visiter l’iTunes Store, ouvrez iTunes et cliquez sur iTunes Store (sous Store) dans la partie gauche de la fenêtre iTunes. Ajout de morceaux stockés sur votre ordinateur à la bibliothèque iTunes Si votre ordinateur contient des morceaux encodés dans des formats de fichier pris en charge par iTunes, vous pouvez facilement les ajouter à iTunes. Pour savoir comment importer des morceaux de votre ordinateur dans iTunes, ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Si vous utilisez iTunes pour Windows, vous pouvez convertir les fichiers WMA non protégé au format AAC ou MP3. Cela peut être utile si vous disposez d’une bibliothèque de musique encodée au format WMA. Pour en savoir plus, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes. Importation de musique dans iTunes à partir de CD audio iTunes permet d’importer de la musique et d’autres données audio à partir de vos CD audio. Si vous disposez d’une connexion à Internet, iTunes obtient le nom des morceaux sur Internet (s’ils sont disponibles) et les affiche dans la fenêtre. Lorsque vous ajoutez les morceaux à l’iPod shuffle, les informations sur le morceau sont incluses. Pour savoir comment importer des morceaux depuis vos CD dans iTunes, ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Saisie du nom des morceaux et autres informations Si vous ne possédez pas de connexion à Internet et si les informations de morceaux ne sont pas disponibles pour la musique que vous importez, ou si vous voulez inclure des informations supplémentaires (comme les noms des compositeurs), vous pouvez saisir des informations manuellement. Pour savoir comment saisir des informations sur les morceaux, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes. Organisation de votre musique Dans iTunes, vous pouvez organiser à votre guise des morceaux et d’autres éléments dans des listes appelées listes de lecture. Vous pouvez par exemple créer des listes de lecture comprenant des morceaux à écouter pendant vos séances d’entraînement ou qui correspondent à une ambiance particulière. 16 Chapitre 3    Configuration de l’iPod shuffleChapitre 3    Configuration de l’iPod shuffle 17 Vous pouvez également élaborer des listes de lecture intelligentes qui se mettent automatiquement à jour selon les règles que vous aurez établies. Lorsque vous ajoutez à iTunes des morceaux qui correspondent à ces règles, ils seront automatiquement ajoutés à la liste de lecture intelligente. Vous pouvez activer Genius dans iTunes et créer des listes de lecture comportant des morceaux qui vont bien ensemble et sont basées sur un morceau que vous sélectionnez. Genius peut également organiser automatiquement votre bibliothèque iTunes en triant et groupant les morceaux en collections nommées mix Genius. Vous pouvez créer autant de listes de lecture que vous voulez à l’aide de n’importe quels morceaux de votre bibliothèque iTunes. Vous ne pouvez pas créer de liste de lecture sur l’iPod shuffle lorsque ce dernier est déconnecté d’iTunes. Si vous ajoutez un morceau à une liste de lecture ou que vous l’en supprimez plus tard, il n’est pas supprimé de votre bibliothèque iTunes. Les listes de lecture que vous écoutez sur l’iPod shuffle et avez créées dans iTunes se comportent de façon identique. Vous pouvez toujours les choisir par leur nom sur votre iPod shuffle. Pour savoir comment configurer des listes de lecture dans iTunes, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes. Fonction Genius dans iTunes Genius recherche les morceaux de votre bibliothèque iTunes qui vont bien ensemble et les utilise pour créer des listes de lecture Genius et des mix Genius. Genius est un service gratuit, mais vous devez posséder un compte iTunes Store pour l’utiliser. Si vous n’en avez pas, vous pouvez en créer un à l’activation de Genius. Une liste de lecture Genius est basée sur un morceau que vous sélectionnez. iTunes compose alors une liste de lecture formée de morceaux qui vont bien avec celui que vous avez sélectionné. Les mix Genius sont des compilations présélectionnées de morceaux qui vont bien ensemble. Elles sont créées pour vous par iTunes à l’aide de morceaux de votre bibliothèque iTunes. Chaque mix Genius est conçu pour offrir une expérience d’écoute différente chaque fois que vous le lancez. iTunes en crée jusqu’à 12 en fonction de la variété de la musique que comporte votre bibliothèque iTunes. Pour créer des listes de lecture Genius et des mix Genius, vous devez activer Genius dans iTunes. Pour plus de détails, ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Les listes de lecture Genius créées dans iTunes sont synchronisables sur l’iPod shuffle comme toute autre liste de lecture iTunes. Vous ne pouvez pas ajouter manuellement de mix Genius sur l’iPod shuffle.Première connexion de l’iPod shuffle à un ordinateur La première fois que vous connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur après avoir installé iTunes, ce logiciel s’ouvre et l’Assistant réglages apparaît. Si iTunes ne s’ouvre pas automatiquement, faites-le manuellement. Pour utiliser l’Assistant réglages iPod shuffle : 1 Saisissez un nom pour votre iPod shuffle. Ce nom apparaîtra dans la liste d’appareils à gauche de la fenêtre iTunes. 2 Sélectionnez vos réglages. La synchronisation automatique est configurée par défaut. Si vous la laissez activée, iTunes synchronise les mix Genius de votre bibliothèque iTunes avec votre iPod shuffle. Si Genius n’est pas activé, iTunes remplit l’iPod shuffle de morceaux de votre bibliothèque iTunes et les place dans la liste de lecture « Tous les morceaux ». Pour plus d’informations sur la synchronisation automatique et manuelle, consultez la section suivante. VoiceOver est également sélectionné par défaut. Laissez cette option activée pour entendre le titre des pistes et le nom des artistes, changer de liste de lecture et entendre l’état de la batterie lorsque vous écoutez votre iPod shuffle. Pour plus d’informations, consultez la section “r” à la page 28. 3 Cliquez sur Terminé. Vous pouvez modifier le nom et les réglages de l’appareil chaque fois que vous connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. Lorsque vous avez cliqué sur Terminé, la sous-fenêtre Résumé apparaît. Si vous avez sélectionné la synchronisation automatique, l’iPod shuffle commence à se synchroniser. Ajout de musique à l’iPod shuffle Une fois votre musique importée et organisée dans iTunes, vous pouvez facilement l’ajouter à l’iPod shuffle. Pour gérer la manière dont les morceaux et les autres éléments audio sont ajoutés à l’iPod shuffle depuis votre ordinateur, vous devez connecter l’iPod shuffle à votre ordinateur puis utiliser les préférences iTunes et sélectionner les réglages de l’iPod shuffle. 18 Chapitre 3    Configuration de l’iPod shuffleChapitre 3    Configuration de l’iPod shuffle 19 Ajout de contenu automatiquement ou manuellement Vous pouvez configurer iTunes pour ajouter de la musique à l’iPod shuffle, de deux façons :  Synchronisation automatique : lorsque vous connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur, l’appareil s’actualise automatiquement en fonction des morceaux et autres éléments se trouvant dans votre bibliothèque iTunes. Si Genius est activé la première fois que vous synchronisez l’iPod shuffle, iTunes utilise jusqu’à quatre mix Genius créés dans votre bibliothèque pour remplir l’iPod shuffle. S’il reste de la place, iTunes synchronise d’autres morceaux de votre bibliothèque iTunes. Si Genius n’est pas activé, iTunes synchronise des morceaux et listes de lecture de votre bibliothèque iTunes pour remplir l’iPod shuffle. Vous pouvez ultérieurement modifier les options de synchronisation automatique de manière à inclure les listes de lecture, artistes, albums et genres que vous sélectionnez. Vous pouvez également synchroniser automatiquement d’autres éléments audio, notamment des podcasts, livres audio et collections iTunes U. Reportez-vous aux rubriques suivantes pour en savoir plus.  Gestion manuelle de la musique : lorsque vous connectez l’iPod shuffle, vous pouvez faire glisser des morceaux et listes de lecture un par un sur l’iPod shuffle et en supprimer de l’iPod shuffle. Cette option vous permet d’ajouter des morceaux de plusieurs ordinateurs sans pour autant effacer ceux qui se trouvent sur l’iPod shuffle. Lorsque vous gérez manuellement votre musique, vous devez toujours éjecter l’iPod shuffle d’iTunes avant de le déconnecter. Reportez-vous à la rubrique “fle” à la page 23. Synchronisation automatique de la musique Par défaut, l’iPod shuffle est configuré pour synchroniser tous les morceaux et listes de lecture dès que vous le connectez à votre ordinateur. C’est la manière la plus simple d’ajouter du contenu audio à l’iPod shuffle : connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur, laissez-le ajouter automatiquement morceaux, livres audio, podcasts audio et collections iTunes U, puis déconnectez-le et emportez-le avec vous. Tout morceau que vous aurez ajouté à iTunes depuis la dernière connexion de l’iPod shuffle se synchronise alors sur l’iPod shuffle si l’espace disponible est suffisant. Si vous avez supprimé des morceaux d’iTunes, ceux-ci sont alors également supprimés de l’iPod shuffle. Pour synchroniser de la musique avec l’iPod shuffle : m Connectez simplement l’iPod shuffle à votre ordinateur. Si l’iPod shuffle est configuré pour la synchronisation automatiquement, la mise à jour commence alors.Important: la première fois où vous connectez l’iPod shuffle à un ordinateur, un message vous invite à indiquer si vous comptez synchroniser automatiquement les morceaux. Si vous acceptez, tous les morceaux et autres éléments audio sont alors effacés de l’iPod shuffle et remplacés par ceux de l’ordinateur. Si vous refusez, vous avez toujours la possibilité d’ajouter manuellement des morceaux sur l’iPod shuffle sans effacer ceux qui s’y trouvent déjà. Au cours de la synchronisation de la musique de votre ordinateur avec l’iPod shuffle, la fenêtre d’état d’iTunes indique la progression de l’opération et une icône de synchronisation s’affiche à côté de l’iPod shuffle dans la liste des appareils. Une fois la mise à jour terminée, le message « La synchronisation de l’iPod est terminée » apparaît dans iTunes. Une barre en bas de la fenêtre iTunes affiche l’espace disque utilisé par les différents types de contenu. Si vous n’avez pas choisi de synchroniser automatiquement la musique sur l’iPod shuffle pendant la configuration, vous pouvez toujours le faire ultérieurement. S’il n’y a pas assez d’espace sur l’iPod shuffle pour toute votre musique, vous pouvez configurer iTunes de manière à ne synchroniser que les listes de lecture, artistes, albums et genres sélectionnés. Pour configurer iTunes de manière à synchroniser de la musique sur l’iPod shuffle à partir de listes de lecture, artistes, albums et genres sélectionnés : 1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Musique. 3 Sélectionnez « Synchroniser la musique » puis choisissez « Synchroniser les listes de lecture, artistes, albums et genres sélectionnés » : 4 Sélectionnez les listes de lecture, artistes, genres et albums souhaités. 5 Pour configurer iTunes de manière à remplir automatiquement tout l’espace restant sur votre l’iPod shuffle, sélectionnez « Remplir automatiquement l’espace libre avec des morceaux ». Si vous avez des mix Genius, iTunes commence par les utiliser pour remplir l’espace. S’il reste suffisamment d’espace pour un mix Genius, iTunes remplit l’espace restant sur l’iPod shuffle avec d’autres morceaux. 6 Cliquez sur Appliquer. La mise à jour commence automatiquement. Si vous sélectionnez « Ne synchroniser que les morceaux cochés » dans le volet Résumé, iTunes ne synchronise que les éléments cochés. 20 Chapitre 3    Configuration de l’iPod shuffleChapitre 3    Configuration de l’iPod shuffle 21 Synchronisation de mix Genius avec l’iPod shuffle Vous pouvez régler iTunes de manière à synchroniser les mix Genius avec l’iPod shuffle. Les mix Genius ne peuvent être synchronisés qu’automatiqument, de sorte que vous ne pouvez en ajouter à l’iPod shuffle si vous gérez manuellement votre contenu. Si vos mix Genius ne remplissent pas l’espace disponible et que vous avez sélectionné l’option Remplir automatiquement l’espace avec des morceaux, iTunes sélectionne des morceaux supplémentaires à partir de votre bibliothèque iTunes et les synchronise. Pour configurer iTunes de manière à synchroniser les mix Genius avec l’iPod shuffle : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Musique. 2 Sélectionnez « Synchroniser la musique » puis choisissez « Synchroniser les listes de lecture, artistes, albums et genres sélectionnés » : 3 Sous Listes de lecture, sélectionnez les mix Genius souhaités. 4 Cliquez sur Appliquer. Si l’option « Ne synchroniser que les morceaux cochés » est sélectionné dans le volet Résumé, iTunes ne synchronise que les éléments cochés. Synchronisation automatique de podcasts Les réglages d’ajout de podcasts sur l’iPod shuffle sont indépendants de ceux portant sur les morceaux. Les réglages relatifs aux podcasts n’influent donc en rien sur les morceaux, et inversement. Vous pouvez configurer iTunes pour synchroniser automatiquement tous les podcasts ou seulement les podcasts sélectionnés. Vous pouvez en outre ajouter manuellement des podcasts à l’iPod shuffle. Pour configurer iTunes de façon à mettre automatiquement à jour les podcasts sur l’iPod shuffle : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Podcasts. 2 Dans la sous-fenêtre Podcasts, sélectionnez « Synchroniser les podcasts ». 3 Sélectionnez les podcasts, les épisodes et les listes de lecture que vous voulez et définissez vos options de synchronisation. 4 Cliquez sur Appliquer. Si vous configurez iTunes de façon à synchroniser les podcasts automatiquement, l’iPod shuffle se met à jour chaque fois que vous le connectez à votre ordinateur. Si l’option « Ne synchroniser que les morceaux cochés » est sélectionné dans le volet Résumé, iTunes ne synchronise que les éléments cochés.Ajout de collections iTunes U à l’iPod shuffle iTunes U est une section de l’iTunes Store qui propose gratuitement des cours, des cours de langues, des livres audio, etc. que vous pouvez télécharger et synchroniser avec l’iPod shuffle. Les réglages concernant l’ajout de collections iTunes U à l’iPod shuffle sont indépendants de ceux concernant l’ajout d’autre contenu. Les réglages iTunes U n’ont aucun effet sur les autres réglages, et vice versa. Vous pouvez configurer iTunes de manière à synchroniser automatiquement toutes les collections iTunes U ou uniquement celles sélectionnées, ou ajouter manuellement du contenu iTunes U à l’iPod shuffle. Pour configurer iTunes de manière à synchroniser automatiquement le contenu iTunes U’ : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet iTunes U. 2 Dans la sous-fenêtre iTunes U, sélectionnez « Synchroniser iTunes U ». 3 Sélectionnez les collections et éléments souhaités puis configurez vos options de synchronisation. 4 Cliquez sur Appliquer. Si vous configurez iTunes de façon à synchroniser le contenu iTunes U automatiquement, l’iPod shuffle se met à jour chaque fois que vous le connectez à votre ordinateur. Si l’option « Ne synchroniser que les morceaux cochés » est sélectionné dans le volet Résumé, iTunes ne synchronise que les éléments cochés. Ajout de livres audio à l’iPod shuffle Vous pouvez acheter et télécharger des livres audio sur l’iTunes Store ou sur audible. com, ou en importer à partir de CD, puis les écouter sur votre iPod shuffle. Utilisez iTunes pour ajouter des livres audio à l’iPod shuffle. Si vous synchronisez automatiquement l’iPod shuffle, chaque livre audio de votre bibliothèque iTunes est synchronisé sous forme de liste de lecture séparée que vous pouvez sélectionner à l’aide de VoiceOver. Si vous gérez manuellement votre contenu sur l’iPod shuffle, vous pouvez ajouter individuellement des livres audio. Pour synchroniser des livres audio avec l’iPod shuffle : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Livres. 2 Sélectionnez Synchroniser les livres audio, puis procédez de l’une des manières suivantes :  Sélectionnez « Tous les livres audios ». 22 Chapitre 3    Configuration de l’iPod shuffleChapitre 3    Configuration de l’iPod shuffle 23  Sélectionnez « Les livres audios sélectionnés », puis précisez les livres audio souhaités : 3 Cliquez sur Appliquer. La mise à jour commence automatiquement. Gestion manuelle de l’iPod shuffle Si vous gérez manuellement l’iPod shuffle, vous pouvez ajouter et supprimer des morceaux, des listes de lecture, des podcasts et des livres audio spécifiques à loisir. De même, vous pouvez ajouter de la musique et autre contenu audio de plusieurs ordinateurs sur l’iPod shuffle, sans pour autant effacer d’élément stocké sur l’iPod shuffle. Vous pouvez ajouter manuellement des listes de lecture Genius mais non des mix Genius sur l’iPod shuffle. Si vous configurez l’iPod shuffle de manière à gérer la musique manuellement, les options de synchronisation automatique sont désactivées dans les volets Musique, Podcasts et iTunes U d’iTunes. Vous ne pouvez pas à la fois gérer certains contenus manuellement et synchroniser automatiquement d’autres contenus. Si vous configurez iTunes de manière à gérer le contenu manuellement, vous pouvez configurer ultérieurement l’application pour une synchronisation automatique. Pour gérer manuellement le contenu audio sur l’iPod shuffle : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. 2 Dans la section Options, sélectionnez « Gérer manuellement la musique ». 3 Cliquez sur Appliquer. Si vous gérez manuellement l’iPod shuffle, vous devez toujours éjecter l’iPod shuffle d’iTunes avant de le déconnecter. Pour ajouter un morceau ou un autre élément à l’iPod shuffle : 1 Dans iTunes, cliquez sur Musique ou sur un autre élément de la liste Bibliothèque. 2 Faites glisser un morceau ou un autre élément vers l’iPod shuffle dans la liste des appareils. Vous pouvez également faire glisser des listes de lecture entières pour les synchroniser avec l’iPod shuffle ou sélectionner plusieurs éléments et les faire tous glisser en une seule fois sur l’iPod shuffle. Pour supprimer un morceau ou un autre élément de l’iPod shuffle : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils. 2 Sélectionnez Musique, Livres audio ou Podcasts sous la section iPod shuffle.3 Sélectionnez un morceau ou autre élément puis appuyez sur la touche Suppr ou Arrière de votre clavier. Si vous supprimez un morceau ou un autre élément de l’iPod shuffle, il n’est pas pour autant supprimé de votre bibliothèque iTunes. Pour créer une liste de lecture sur l’iPod shuffle par le biais d’iTunes : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur le bouton Ajouter (∂) ou choisissez Fichier > Nouvelle liste de lecture. 2 Tapez le nom de la liste de lecture. 3 Cliquez sur Musique ou sur un autre élément de la liste Bibliothèque, puis faites glisser des morceaux ou d’autres éléments sur la liste de lecture. Si vous apportez des modifications à une de vos listes de lecture iTunes, n’oubliez pas de faire glisser la liste de lecture modifiée sur l’iPod shuffle lorsqu’il est connecté à iTunes. Pour ajouter des morceaux ou pour en retirer d’une liste de lecture sur l’iPod shuffle : m Faites glisser un morceau sur une liste de lecture de l’iPod shuffle pour l’y ajouter. Sélectionnez un morceau d’une liste de lecture et appuyez sur la touche Suppr de votre clavier pour supprimer le morceau. Pour configurer iTunes de manière à synchroniser automatiquement la musique et les autres contenus audio : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. 2 Désélectionnez Gérer manuellement la musique. 3 Cliquez sur Appliquer. La mise à jour commence automatiquement. Comment faire tenir davantage de morceaux sur l’iPod shuffle Si votre bibliothèque iTunes contient des morceaux stockés dans un format au débit élevé, notamment iTunes Plus, Apple Lossless ou WAV, vous pouvez configurer iTunes convertisse les morceaux en fichiers AAC à 128 kbit/s lors de leur synchronisation vers l’iPod shuffle. Cela n’influe pas sur la qualité et sur la durée des morceaux dans iTunes. Pour convertir des morceaux au débit élevé en fichiers AAC : 1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils. 3 Cliquez sur l’onglet Résumé. 4 Sélectionnez « Convertir en AAC 128 kbps les morceaux dont le débit est supérieur ». 5 Cliquez sur Appliquer. 24 Chapitre 3    Configuration de l’iPod shuffleChapitre 3    Configuration de l’iPod shuffle 25 Note: Les morceaux aux formats non pris en charge par l’iPod shuffle doivent être convertis pour pouvoir être synchronisés avec l’iPod shuffle. Pour en savoir plus sur les formats pris en charge par l’iPod shuffle, consultez la rubrique “uffle” à la page 36.26 Lisez ce chapitre pour savoir comment utiliser votre iPod shuffle en déplacement. Après avoir déconnecté l’iPod shuffle de votre ordinateur, vous pouvez le clipser et écouter de la musique, des livres audio, des podcasts et du contenu iTunes U. VoiceOver vous permet d’entendre le titre de la piste (morceau ou chapitre d’un livre audio ou podcast) en cours de lecture, choisir une liste de lecture différente ou entendre l’état de la batterie. Lecture de musique Vous pouvez écouter de la musique et autres contenus audio après les avoir synchronisés au préalable sur votre iPod shuffle. WARNING: avant d’utiliser l’iPod shuffle, lisez toutes les consignes de sécurité de la rubrique Chapter 7,“Sécurité et manipulation,” à la page 40, notamment celles concernant les pertes d’audition. Pour écouter des morceaux et autres éléments audio avec l’iPod shuffle : 1 Connectez les écouteurs à l’iPod shuffle et placez-les dans vos oreilles. 2 Faites glisser le commutateur à trois positions de l’iPod shuffle de la position OFF à la position lecture séquentielle (⁄) ou aléatoire (¡). La lecture commence dès lors. Pour préserver la durée de vie de la batterie si vous n’utilisez pas l’iPod shuffle, faites glisser le commutateur à trois positions sur la position OFF. 4 Écouter de la musiqueChapitre 4    Écouter de la musique 27 Pour Procédez comme suit : Lecture ou pause Appuyez sur Lecture/Pause (’). Augmenter ou diminuer le volume Appuyez sur Augmenter le volume (∂) ou Diminuer le volume (D). Un signal sonore indique chaque changement de volume lorsque l’iPod shuffle est en pause. Passer à la piste suivante Appuyez sur Suivant/Avance rapide (‘). Revenir à la piste précédente Appuyez sur Précédent/Retour rapide (]) dans les 6 premières secondes de la piste. Après 6 secondes, appuyez sur Précédent/Retour rapide ] recommence la piste en cours de lecture. Avance rapide Appuyez et maintenez enfoncé Suivant/Avance rapide (‘). Retour rapide Appuyez et maintenez enfoncé Précédent/Retour rapide (]). Entendre le titre du morceau et le nom de l’artiste Appuyez sur le VoiceOver ( ). Entendre le menu des listes de lecture Appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) et maintenez-le enfoncé. À l’écoute du nom de la liste de lecture voulue, cliquez sur le bouton VoiceOver ( ) ou Lecture/Pause (’) pour la sélectionner. Appuyez sur Suivant/Avance rapide (‘) ou sur Précédent/Retour rapide (]) pour faire défiler rapidement vos listes de lecture. Quitter le menu des listes de lecture Appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) et maintenez-le enfoncé. Le voyant d’état vert clignote une fois en réponse à la majorité de vos actions (lecture, retour rapide, avance rapide, utilisation de VoiceOver, changement du volume, etc.). Si vous mettez l’iPod shuffle en pause, le voyant vert d’état clignote pendant 30 secondes. Lorsque la limite inférieure ou supérieure du volume est atteinte, le voyant orange clignote trois fois. Les voyants d’état de la batterie sont décrits à la rubrique “Vérification de la batterie état” à la page 12. Réglage de l’iPod shuffle pour la lecture séquentielle ou aléatoire de morceaux Vous pouvez configurer l’iPod shuffle pour lire les morceaux de façon aléatoire ou selon l’ordre dans lequel ils sont organisés dans iTunes. Lorsque vous activez la lecture aléatoire, les livres, podcasts et mix Genius sont toujours lus dans leur ordre iTunes. Pour que l’iPod shuffle lise les morceaux dans l’ordre : m Faites glisser le commutateur à trois positions pour lancer la lecture séquentielle (⁄).À l’issue de la lecture du dernier morceau, l’iPod shuffle recommence au premier morceau. Pour que l’iPod shuffle lise les morceaux dans un ordre aléatoire : m Faites glisser le commutateur à trois positions sur le mode de lecture aléatoire (¡). Pour réinitialiser l’ordre de lecture aléatoire, faites glisser le commutateur à trois positions du mode de lecture aléatoire (¡) à celui de lecture séquentielle (⁄) puis revenez au mode aléatoire. Utilisation de VoiceOver L’iPod shuffle peut offrir un contrôle supplémentaire sur vos options de lecture, en disant à voix haute le titre des morceaux et le nom des artistes, et annonce les listes de lecture parmi lesquelles choisir. VoiceOver vous indique également l’état de la batterie et propose d’autres messages. Pour les écouter, activez VoiceOver dans iTunes. Vous pouvez activer VoiceOver lors de la première configuration de l’iPod shuffle ou ultérieurement. VoiceOver est disponible dans plusieurs langues. Les options de VoiceOver se définissent dans iTunes, sous l’onglet Résumé. Les rubriques suivantes décrivent l’activation et la personnalisation de VoiceOver. Pour activer VoiceOver au moment où vous configurez l’iPod shuffle : 1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 2 Suivez les instructions à l’écran dans iTunes. L’option Activer VoiceOver est sélectionné par défaut. 3 Cliquez sur Continuer. 4 Dans l’onglet Résumé, sous la section Synthèse vocale, choisissez la langue dans le menu local. La langue est à présent définie pour vos messages système vocaux et le nom de vos listes de lecture, ainsi que pour de nombreux titres de morceaux et noms d’interprètes. Note: pour choisir une autre langue pour des pistes données, sélectionnez-les dans iTunes, choisissez Fichier > Lire les informations, choisissez une langue pour VoiceOver dans le menu local de l’onglet Options, puis cliquez sur OK. 5 Cliquez sur Appliquer. Une fois la configuration terminée, VoiceOver est activé sur l’iPod shuffle. Pour activer VoiceOver lorsque vous le souhaitez : 1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. 28 Chapitre 4    Écouter de la musiqueChapitre 4    Écouter de la musique 29 3 Sous Infos vocales, sélectionnez Activer VoiceOver. 4 Cliquez sur Appliquer. 5 Choisissez la langue voulue dans le menu local Synthèse vocale. 6 Cliquez sur Appliquer. Lorsque la synchronisation est terminée, VoiceOver est activé. Pour désactiver VoiceOver : 1 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. 2 Sous Infos vocales, désélectionnez Activer VoiceOver. 3 Cliquez sur Appliquer. Lorsque la synchronisation est terminée, VoiceOver est désactivé. Vous entendrez néanmoins quelques annonces système en anglais sur l’iPod shuffle, notamment l’état de la batterie, les messages d’erreur et le menu générique des listes de lecture numérotées. Vous n’entendrez plus cependant le titre des morceaux et le nom des interprètes. Informations sur la piste VoiceOver permet de dire le titre et le nom de l’interprète du morceau en cours de lecture sur l’iPod shuffle. Pour écouter des informations sur la piste en cours de lecture : m Appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) pendant la lecture. Vous entendez alors le titre du morceau en cours de lecture et le nom de son interprète. Vous pouvez utiliser VoiceOver pour passer à un autre titre. Pour naviguer en utilisant les informations sur les pistes :  Si l’iPod shuffle est en cours de lecture, appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) pour entendre des informations sur la piste actuelle ; appuyez sur Suivant/Avance rapide (‘) pour passer à la piste suivante et écouter ses informations ; appuyez sur Précédent/Retour rapide(]) pour passer à la piste précédente et écouter ses informations.  Si l’iPod shuffle est en pause, appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) pour entendre des informations sur la piste actuelle ; appuyez sur Suivant/Avance rapide (‘) pour écouter les informations sur la piste suivante ; appuyez sur Précédent/Retour rapide (]) pour écouter les informations sur la piste précédente. Appuyez sur le bouton VoiceOver ou sur Lecture/Pause (’) pour lire la piste.Changement de liste de lecture Lorsque VoiceOver est activé, vous pouvez entendre le nom des listes de lecture et choisir toute liste de lecture que vous avez synchronisée sur l’iPod shuffle. Si des livres audio ou des podcasts audio sont synchronisés sur l’iPod shuffle, leur titre est également lu dans le menu des listes de lecture. Si VoiceOver est désactivé dans iTunes, les listes de lecture sont identifiées par leur ordre numérique (« Liste de lecture 1, Liste de lecture 2 », et ainsi de suite) plutôt que par leur nom. Le menu des listes de lecture annonce les éléments dans l’ordre suivant :  la liste de lecture en cours de lecture (le cas échéant) ;  « Tous les morceaux » (liste de lecture reprenant tous les morceaux de l’iPod shuffle) ;  Toutes les listes de lecture, y compris les listes de lecture Genius, par ordre alphabétique  Tous les mix Genius, par ordre alphabétique  Tous les podcasts, par ordre alphabétique  Toutes les collections iTunes U, par ordre alphabétique  Tous les livres audio, par ordre alphabétique Pour choisir un élément dans le menu des listes de lecture : 1 Appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) et maintenez-le enfoncé. Vous entendez alors le nom de vos listes de lecture. 2 À l’écoute du nom de la liste de lecture voulue, cliquez sur le bouton VoiceOver ( ) ou Lecture/Pause (’) pour la sélectionner. Le premier élément de votre liste de lecture est lancé. Lorsque vous écoutez le menu des listes de lecture, vous pouvez appuyer sur Suivant/ Avance rapide (‘) ou sur Précédent/Retour rapide (]) pour avancer ou reculer dans le menu des listes de lecture. Pour recommencer une liste de lecture, suivez les étapes ci-dessus pour sélectionner la liste de lecture voulue. Pour fermer le menu des listes de lecture : m Appuyez sur le bouton VoiceOver ( ) et maintenez-le enfoncé. Lecture des pistes au même volume L’intensité sonore de morceaux et autres supports audio peut varier en fonction du moyen d’enregistrement ou du mode d’encodage des pistes. Vous pouvez configurer iTunes de manière à adapter automatiquement le volume des morceaux de façon à les lire au même volume relatif, et pouvez configurer l’iPod shuffle de manière à reprendre les mêmes réglages de volume issus d’iTunes. L’égaliseur de volume est activé par défaut dans iTunes, mais pas sur l’iPod shuffle. 30 Chapitre 4    Écouter de la musiqueChapitre 4    Écouter de la musique 31 Pour régler iTunes de sorte que les pistes se reproduisent au même volume : 1 Dans iTunes, sélectionnez iTunes > Préférences, si vous utilisez un Mac, ou Édition > Préférences, si vous utilisez un PC Windows. 2 Cliquez sur Lecture puis choisissez Égaliseur de volume. Pour régler l’iPod shuffle de manière qu’il utilise les réglages de volume d’iTunes : 1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils. 3 Cliquez sur l’onglet Résumé. 4 Dans la section Options, sélectionnez « Activer l’Égaliseur de volume ». 5 Cliquez sur Appliquer. Si vous n’avez pas activé l’option Égaliseur de volume dans iTunes, la configurer sur l’iPod shuffle n’a aucun effet. Activation du volume maximum Vous pouvez définir un volume maximum sur votre iPod shuffle. mais aussi de définir un mot de passe dans iTunes afin d’empêcher toute autre personne de modifier ce réglage. Si vous avez mis en place un volume maximum sur l’iPod shuffle, le voyant d’état passe à l’orange et clignote trois fois si vous essayez de monter le son au-delà de la limite établie. Pour définir un volume maximum sur votre iPod shuffle : 1 Réglez le son de l’iPod shuffle sur le niveau que vous souhaitez établir comme volume maximum. 2 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 3 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. 4 Dans la section Options, sélectionnez « Limiter le volume maximum ». 5 Faites alors glisser le curseur pour définir le niveau sonore maximum. L’emplacement initial du curseur représente le volume établi sur l’iPod shuffle lors de sa connexion à votre ordinateur. WARNING: Le niveau sonore peut varier selon le type d’écouteurs ou de casque utilisé.Pour supprimer le volume maximum : 1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. 3 Dans la section Options, désélectionnez « Limiter le volume maximum ». Verrouillage et déverrouillage des boutons de l’iPod shuffle Vous pouvez verrouiller les boutons de l’iPod shuffle pour ne pas les activer par mégarde. Cette fonction requiert le logiciel de version 1.0.1 ou ultérieur (connectez l’iPod shuffle à iTunes pour mettre le logiciel à jour). Pour verrouiller les boutons de l’iPod shuffle: m Maintenez enfoncé le bouton Lecture/Pause (’) pendant trois secondes. Le voyant d’état orange s’allume clignote trois fois lorsque les boutons se verrouillent. Si vous appuyez sur un bouton pendant que les boutons sont verrouillés, le voyant d'état orange clignote une fois. Pour déverrouiller les boutons: m Maintenez à nouveau enfoncé le bouton Lecture/Pause (’) pendant trois secondes. Le voyant d’état orange s’allume clignote trois fois lorsque les boutons se déverrouillent. Si vous portez des écouteurs, vous entendez un son lors du verrouillage et du déverrouillage des boutons. 32 Chapitre 4    Écouter de la musique33 L’iPod shuffle vous permet de transportez votre musique ainsi que vos données. Lisez ce chapitre pour savoir comment utiliser l’iPod shuffle en tant que disque externe. Utilisation de l’iPod shuffle en tant que disque externe Vous pouvez utiliser l’iPod shuffle comme disque externe pour y stocker des fichiers de données. Pour synchroniser de la musique et autres supports audio à écouter sur l’iPod shuffle, vous devez passer par l’application iTunes. L’iPod shuffle ne peut pas lire les fichiers audio copiés à l’aide du Finder de Macintosh ou de l’explorateur Windows. Pour utiliser l’iPod shuffle comme disque externe : 1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. 3 Dans la section Options, sélectionnez « Activer l’utilisation comme disque dur ». Il vous sera peut-être nécessaire de faire défiler les éléments pour arriver aux réglages concernant le disque. 4 Cliquez sur Appliquer. Si vous utilisez l’iPod shuffle en tant que disque externe, l’icône de disque de l’iPod shuffle apparaît sur le bureau dans le cas d’un ordinateur Macintosh ou sous la lettre d’unité suivante disponible dans l’explorateur Windows dans le cas d’un PC sous Windows. Quand l’iPod shuffle est activé en tant que disque dur et que vous le connectez à votre ordinateur, le voyant d’état orange clignote de façon continue. Il est important d’éjecter l’iPod shuffle dans iTunes avant de le déconnecter de votre ordinateur. 5 Stockage de fichiers sur l’iPod shuffleCopie de fichiers entre ordinateurs Lorsque l’utilisation de l’iPod shuffle en tant que disque dur est activée, vous pouvez copier des fichiers d’un ordinateur à un autre. L’iPod shuffle est formaté sous forme de volume FAT-32, format pris en charge par les Mac et les PC. Cela vous permet d’utiliser l’ pour copier des fichiers entre ordinateurs de systèmes d’exploitation différents. Pour copier des fichiers entre ordinateurs : 1 Après avoir activé la fonction d’utilisation de l’iPod shuffle en tant que disque dur, connectez-le à l’ordinateur qui contient les fichiers à copier. Important: Si l’iPod shuffle est configuré de façon à assurer sa synchronisation automatiquement et que vous le connectez à un autre ordinateur ou compte utilisateur, un message vous demande si vous souhaitez effacer l’iPod shuffle et le synchroniser avec la nouvelle bibliothèque iTunes. Cliquez sur Annuler si vous ne voulez pas effacer ce qui se trouve sur l’iPod shuffle. 2 Faites glisser les fichiers désirés sur votre iPod shuffle en utilisant le système de fichiers de l’ordinateur (le Finder sur un Mac ou l’explorateur Windows sur un PC). 3 Déconnectez ensuite l’iPod shuffle puis connectez-le à l’autre ordinateur. Là encore, cliquez sur Annuler si vous ne voulez pas effacer ce qui se trouve sur l’iPod shuffle. 4 Faites glisser les fichiers de l’iPod shuffle vers l’un des dossiers de l’autre ordinateur. Comment empêcher l’ouverture automatique d’iTunes Il est possible d’empêcher iTunes de s’ouvrir automatiquement quand vous connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. Pour empêcher iTunes de s’ouvrir automatiquement : 1 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 2 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. 3 Dans la section Options, désélectionnez « Ouvrir iTunes à la connexion de cet iPod ». 4 Cliquez sur Appliquer. 34 Chapitre 5    Stockage de fichiers sur l’iPod shuffle35 La plupart des problèmes de l’iPod shuffle peuvent être rapidement résolus si vous suivez les conseils de ce chapitre. Les 5 R : réinitialiser, réessayer, redémarrer, réinstaller, restaurer Souvenez-vous de ces conseils élémentaires si un problème survient avec l’iPod shuffle. Essayez de réaliser ces opérations l’une après l’autre jusqu’à ce que le problème soit résolu. Si les solutions suivantes ne suffisent pas, lisez plus loin pour apprendre à résoudre des problèmes spécifiques.  Réinitialisez l’iPod shuffle de la manière suivante : éteignez-le, attendez 10 secondes, puis rallumez-le.  Réessayez sur un autre port USB 2.0 si l’iPod shuffle n’apparaît pas dans iTunes.  Redémarrez votre ordinateur et assurez-vous que les mises à jour de logiciels les plus récentes sont installées.  Réinstallez le logiciel iTunes à partir de la dernière version disponible sur le web.  Restaurez l’iPod shuffle. Reportez-vous à la rubrique “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle” à la page 38. Si le voyant d’état reste rouge ou si le message d’erreur vocal « Utilisez iTunes pour restaurer » retentit Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur et procédez à sa restauration dans iTunes. Reportez-vous à la rubrique “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle” à la page 38. Si l’iPod shuffle ne s’allume ou ne répond pas  Connectez l’iPod shuffle à un port USB 2.0 à forte alimentation de votre ordinateur. La batterie de votre iPod shuffle peut avoir besoin d’être rechargée.  Éteignez l’iPod shuffle, attendez 10 secondes puis rallumez-le.  Il est possible que le logiciel de l’iPod shuffle ait besoin d’être restauré. Reportezvous à la rubrique “Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle” à la page 38. 6 Astuces et dépannageSi l’iPod shuffle ne lit pas de musique  L’iPod shuffle peut ne pas disposer de musique. Si le message vocal « Utilisez iTunes pour restaurer » se fait entendre, connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur pour y synchroniser de la musique.  Faites glisser le commutateur à trois positions sur OFF, puis rallumez le dispositif.  Assurez-vous que le connecteur du casque ou des écouteurs est complètement enfoncée dans la prise casque.  Assurez-vous que le volume est correctement réglé. Il est possible qu’un niveau de volume maximum ait été mis en place. Reportez-vous à la rubrique “m” à la page 31.  Il se peut que l’iPod shuffle soit en pause. Essayez d’appuyer sur Lecture/Pause (’). Si rien ne se produit lorsque vous connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur  Connectez l’iPod shuffle à un port USB 2.0 à forte alimentation de votre ordinateur. La batterie de votre iPod shuffle peut avoir besoin d’être rechargée.  Assurez-vous que vous avez installé la dernière version d’iTunes disponible à l’adresse http://www.itunes.com/fr/download.  Réessayez en connectant le câble USB à un autre port USB 2.0 de votre ordinateur. Assurez-vous que le câble USB est bien enfiché sur l’iPod shuffle et correctement relié à l’ordinateur. Vérifiez que le connecteur USB est orienté correctement. Il ne peut être inséré que dans un sens.  L’iPod shuffle a peut-être besoin d’être réinitialisé. Éteignez l’iPod shuffle, attendez 10 secondes puis rallumez-le.  Si l’iPod shuffle n’apparaît pas dans iTunes ou dans le Finder, il se peut que batterie soit complètement déchargée. Laissez l’iPod shuffle se recharger pendant plusieurs minutes pour voir si cela lui permet de se réactiver.  Assurez-vous que vous disposez de l’ordinateur et du logiciel requis. Reportez-vous à la rubrique “ise” à la page 37.  Essayez de redémarrer votre ordinateur.  Il est possible que vous deviez restaurer le logiciel de l’iPod. Reportez-vous à la rubrique “uffle” à la page 38.  L’iPod shuffle a peut-être besoin d’une réparation. Vous pouvez obtenir des services en consultant le site web de service et d’assistance de l’iPod shuffle à l’adresse www.apple.com/fr/support/ipodshuffle/service. Si vous ne parvenez pas à synchroniser un morceau ou un autre élément sur l’iPod shuffle Le morceau peut être encodé dans un format que l’iPod shuffle ne prend pas en charge. Les formats de fichier audio suivants sont pris en charge par l’iPod shuffle. Ils comprennent les formats des livres audio et des podcasts :  AAC (M4A, M4B, M4P) (de 8 à 320 kbit/s) 36 Chapitre 6    Astuces et dépannageChapitre 6    Astuces et dépannage 37  AAC protégé (de l’iTunes Store)  Apple Lossless (format de compression haute qualité)  MP3 (de 8 à 320 kbit/s)  MP3 Variable Bit Rate (VBR)  Audible (formats 2, 3, 4, Audible Enhanced Audio, AAX et AAX+)  WAV  AA (texte lu audible.com, formats 2, 3 et 4)  AIFF Un morceau encodé au format Apple Lossless présente un son proche de la qualité CD, mais n’occupe que la moitié environ de l’espace utilisé par un morceau encodé au format AIFF ou WAV. Le même morceau encodé au format AAC ou MP3 utilise encore moins de place. Lorsque vous importez de la musique depuis un CD à l’aide d’iTunes, elle est convertie par défaut au format AAC. Vous pouvez configurer l’iPod shuffle pour qu’il convertisse automatiquement les fichiers encodés à un débit plus élevé en fichiers AAC de 128 kbit/s au cours de leur synchronisation avec l’iPod shuffle. Reportez-vous à la rubrique “shuffle” à la page 24. Si vous utilisez iTunes pour Windows, vous pouvez convertir les fichiers WMA non protégés en fichiers AAC ou MP3. Cela peut être utile si vous disposez d’une collection de musique encodée au format WMA. iPod shuffle L’ ne prend pas en charge les fichiers audio WMA, MPEG Layer 1, MPEG Layer 2 ou le format 1 d’audible.com. Si vous possédez dans iTunes un morceau qui n’est pas pris en charge par l’iPod shuffle, vous pouvez le convertir en un format que l’iPod shuffle prend en charge. Pour en savoir plus, ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Aide iTunes. Si vous souhaitez effectuer une double vérification de la configuration requise Pour utiliser l’iPod shuffle, vous devez disposer des éléments suivants :  Une des configurations d’ordinateur suivantes :  Un ordinateur Macintosh doté d’un port USB 2.0  Un PC Windows équipé d’un port USB 2.0 ou d’une carte USB 2.0  L’un des systèmes d’exploitation suivants : Mac OS X 10.5.8 ou ultérieur, Windows Vista ou Windows XP Édition Familiale ou Professionnel avec Service Pack Service Pack 3 ou ultérieur  Un accès à Internet (une connexion à haut débit est recommandée).  iTunes 10 ou ultérieur (vous pouvez télécharger iTunes à la page www.itunes.com/ fr/download)Si votre PC sous Windows n’est pas doté de port USB 2.0 à forte alimentation, vous pouvez acheter et installer une carte d’extension USB 2.0. Port USB 2.0 à forte alimentation Si vous souhaitez utiliser l’iPod shuffle avec un Mac et un PC sous Windows Si votre iPod shuffle est configuré de sorte à vous laisser gérer manuellement la musique, vous avez la possibilité d’y ajouter du contenu à partir de plusieurs bibliothèques iTunes, indépendamment du système d’exploitation de l’ordinateur. Si votre iPod shuffle est configuré de façon à assurer sa synchronisation automatiquement et que vous le connectez à un autre ordinateur ou compte utilisateur, un message vous demande si vous souhaitez effacer l’iPod shuffle et le synchroniser avec la nouvelle bibliothèque iTunes. Si vous voulez conserver le contenu audio sur l’iPod shuffle, cliquez sur Annuler. Il est possible d’utiliser l’iPod shuffle comme disque externe aussi bien avec un ordinateur Macintosh qu’avec un PC sous Windows, ce qui vous permet de copier des fichiers d’un système d’exploitation à l’autre. Reportez-vous à la rubrique Chapter 5,“ shuffle,” à la page 33. Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPod shuffle Vous pouvez utiliser iTunes pour mettre à jour ou restaurer le logiciel de l’iPod shuffle. Il est recommandé de mettre à jour l’iPod shuffle et d’utiliser le logiciel le plus récent. Vous pouvez également restaurer le logiciel et rétablir ainsi l’iPod shuffle à son état d’origine.  Si vous optez pour la mise à jour, le logiciel conserve vos réglages, vos morceaux et toute autre donnée.  Si vous choisissez de restaurer, toutes les données sont effacées de l’iPod shuffle, y compris les morceaux et toutes les autres données. Tous les réglages d’origine de l’iPod shuffle seront rétablis. Pour mettre à jour ou restaurer l’iPod shuffle : 1 Assurez-vous que vous disposez d’une connexion Internet et avez installé la dernière version d’iTunes à la page www.itunes.com/fr/download. 2 Connectez l’iPod shuffle à votre ordinateur. 3 Dans iTunes, sélectionnez l’iPod shuffle dans la liste des appareils, puis cliquez sur l’onglet Résumé. La section Version indique si l’iPod shuffle est à jour ou nécessite une version plus récente du logiciel. 38 Chapitre 6    Astuces et dépannageChapitre 6    Astuces et dépannage 39 4 Procédez de l’une des manières suivantes :  Pour installer la toute dernière version du logiciel, cliquez sur Mettre à jour.  Pour restaurer l’iPod shuffle et rétablir ses réglages d’origine, cliquez sur Restaurer. Cette opération efface toutes les données de l’iPod shuffle. Suivez les instructions à l’écran pour terminer la restauration.40 Ce chapitre contient des informations importantes sur la sécurité et la manipulation de l’iPod shuffle. ± Afin d’éviter toute blessure, consultez avant d’utiliser l’iPod shuffle les informations relatives à la sécurité ci-dessous, ainsi que les consignes d’utilisation. Conservez ce Guide de l’utilisateur de l’iPod shuffle à portée de main pour pouvoir vous y reporter facilement. Informations importantes relatives à la sécurité WARNING: Ne pas suivre les présentes instructions relatives à la sécurité pourrait provoquer un incendie, un choc électrique ou un autre dommage. Manipulation correcte  Ne laissez pas tomber, ne désassemblez pas, n’ouvrez pas, n’écrasez pas, ne tordez pas, ne déformez pas, ne perforez pas, ne réduisez pas en morceaux, ne mettez pas dans un four à micro-ondes, ne mettez pas au feu, ne peignez pas ou n’insérez pas de corps étranger dans l’iPod shuffle. Eau et humidité  N’utilisez pas l’iPod shuffle sous la pluie, à proximité d’un évier ou de tout autre lieu humide. Veillez à ne pas renverser d’aliments ou de liquides sur l’iPod shuffle. Si l’iPod shuffle venait à être en contact avec de l’humidité, débranchez tous les câbles, puis éteignez-le (en faisant glisser le commutateur à trois positions sur OFF) avant de procéder au nettoyage. Laissez-le ensuite sécher complètement avant de le rallumer. N’essayez jamais de sécher l’iPod shuffle à l’aide d’une source externe de chaleur telle qu’un four à micro-ondes ou un sèche-cheveux. 7 Sécurité et manipulationChapitre 7    Sécurité et manipulation 41 Réparations de l’iPod shuffle  N’essayez jamais de réparer ou de modifier l’iPod shuffle vous-même. Si l’iPod shuffle a été immergé, perforé ou sujet à une chute, ne l’utilisez pas tant que vous ne l’avez pas fait examiner par un Centre de service agréé Apple. L’iPod shuffle ne contient aucune pièce démontable par l’utilisateur. Le démontage de l’iPod shuffle, notamment le retrait de sa face arrière, peut provoquer des dégâts non couverts par la garantie. Pour des informations sur le service après-vente, choisissez Aide iPod dans le menu Aide d’iTunes ou consultez la page www.apple.com/fr/ support/ipod/service. La batterie rechargeable de l’iPod shuffle ne doit être remplacée que par un Centre de service agréé Apple. Pour plus d’informations sur les batteries, consultez la page www.apple.com/fr/support/ipod/service/battery. Adaptateur secteur USB Apple  Lorsque vous utilisez l’adaptateur secteur Apple USB Power Adapter (disponible séparément à la page www.apple.com/fr/ipodstore) pour recharger votre iPod shuffle, assurez-vous qu’il est correctement assemblé avant de le brancher dans une prise de courant. Insérez ensuite fermement l’adaptateur secteur Apple USB Power Adapter dans la prise de courant. Ne branchez ni ne débranchez en aucun cas l’adaptateur secteur Apple USB Power Adapter lorsque vous avez les mains mouillées. N’utilisez aucun adaptateur secteur autre que l’adaptateur Apple USB Power Adapter pour recharger votre iPod shuffle. Il se peut que l’adaptateur secteur USB Apple chauffe pendant une utilisation normale. Veillez à toujours assurer une ventilation correcte autour de lui et à toujours le manipuler avec précaution. Débranchez l’adaptateur secteur USB Apple si l’une des conditions suivantes se présente :  Le câble d’alimentation ou la prise est effiloché ou endommagé.  L’adaptateur est exposé à la pluie, à des liquides ou à une humidité excessive.  Le boîtier de l’adaptateur est endommagé.  Vous pensez que l’adaptateur doit être réparé.  Vous voulez nettoyer l’adaptateur. Perte d’audition  Vous risquez une perte auditive irréversible si vous réglez votre casque ou vos écouteurs sur un volume sonore trop élevé. Réglez le volume à un niveau raisonnable. Vous pouvez vous habituer petit à petit à un volume de son plus élevé qui peut vous paraître normalmais entraîner une détérioration de votre audition. Si vos oreilles bourdonnent ou si les sons vous semblent sourds, arrêtez l’écoute et rendez-vous chez votre médecin pour vérifier votre audition. Plus le volume est élevé, plus vous risquez d’abîmer rapidement votre audition. Les spécialistes de l’audition suggèrent de protéger votre audition de la façon suivante :  Limitez la durée d’utilisation d’un casque à volume sonore élevé.  Évitez de monter le son pour filtrer les bruits extérieurs  Diminuez le volume si vous ne pouvez plus entendre les personnes parler autour de vous.Pour plus de renseignements sur la manière de régler un volume maximum sur l’iPod shuffle, consultez la rubrique “Activation du volume maximum” à la page 31. Sécurité liée aux écouteurs  L’utilisation des écouteurs (même dans le cas d’une utilisation avec une seule oreille) lors de la conduite d’un véhicule ou de l’utilisation d’une bicyclette n’est pas recommandée, et elle est illégale dans certaines zones géographiques. Consultez et respectez les lois et réglementations applicables en matière d’utilisation d’écouteurs et de dispositifs mobiles comme l’iPod shuffle à l’endroit où vous conduisez. Soyez prudent et attentif au volant. Cessez d’utiliser l’iPod shuffle si vous vous rendez compte que cela vous distrait ou vous dérange lorsque vous conduisez ou lorsque vous réalisez toute autre activité nécessitant toute votre attention. Informations importantes sur le maniement NOTICE: Ne pas suivre les présentes instructions sur la manipulation peut provoquer des dommages à l’iPod shuffle ou à d’autres objets. Transport de l’iPod shuffle  Certains composants de l’iPod shuffle sont délicats. Ne tordez pas l’iPod shuffle, ne l’écrasez et ne le laissez pas tomber. Utilisation des connecteurs et des ports  Ne forcez jamais un connecteur à entrer dans un port. Vérifiez que rien ne bloque l’entrée au port. Si le connecteur et le port ne s’assemblent pas facilement, c’est probablement parce qu’ils ne sont pas compatibles. Assurez-vous que le connecteur est compatible avec le port et que vous l’avez positionné correctement par rapport à ce dernier. Maintien de l’iPod shuffle dans une gamme de températures acceptables  Utilisez toujours l’iPod shuffle dans des endroits où la température se situe entre 0 ºC et 35 ºC. L’autonomie de lecture de l’iPod shuffle peut se réduire temporairement lorsque la température est basse. Rangez l’iPod shuffle dans un endroit où la température est toujours comprise entre -20 ºC et 45 ºC. Ne laissez pas l’iPod shuffle dans une voiture en stationnement, car la température pourrait dépasser cette plage de températures. Lorsque vous utilisez l’iPod shuffle ou rechargez sa batterie, il est normal qu’il chauffe. La partie extérieure de l’iPod shuffle agit en tant que surface de refroidissement qui transfère la chaleur de l’intérieur de l’unité vers l’air qui l’entoure. Propreté de l’extérieur de l’iPod shuffle  Pour nettoyer l’iPod shuffle, débranchez tous les câbles, éteignez-le (en faisant glisser le commutateur à trois positions sur la position OFF) et utilisez un chiffon doux, légèrement humide et non pelucheux. Évitez toute pénétration d’humidité dans les orifices de l’appareil. N’utilisez pas de produit lave-vitre, de détergent domestique, d’aérosol, de solvant, d’alcool, d’ammoniac ou de produit abrasif pour nettoyer l’iPod shuffle. 42 Chapitre 7    Sécurité et manipulationChapitre 7    Sécurité et manipulation 43 Élimination correcte de l’iPod shuffle  Pour obtenir des renseignements sur l’élimination correcte de l’iPod shuffle, notamment des informations importantes concernant la conformité aux réglementations, consultez la rubrique “Informations concernant l’élimination et le recyclage” à la page 46. Informations sur la conformité  Pour plus de renseignements sur la conformité de l’iPod shuffle, consultez la section “Regulatory Compliance Information” à la page 45. A pleine puissance, l'écoute prolongée du baladeur peut endommager l'oreille de l'utilisateur. Déclaration de Conformité Utiliser cet iPod avec les écouteurs inclus ou les écouteurs actuellement commercialisés sous la marque Apple, sous la marque iPod ou revétus du logo Apple permet d'assurer le respect de la puissance sonore maximale fixée par l'article L5232-1 du Code de la Santé Publique français. Pour en savior plus sur l'écoute sans risque consultez les directives de sécurité dans la documentation de l'iPod.44 Vous trouverez plus d’informations sur l’utilisation de l’iPod shuffle dans l’aide à l’écran et sur le web. Le tableau suivant décrit à quel endroit trouver des informations sur les services et les logiciels pour iPod. Pour en savoir plus sur : Procédez comme suit : Les services et l’assistance, les forums de discussion, les guides d’initiation et les téléchargements de logiciels Apple Allez sur www.apple.com/fr/support/ipodshuffle L’utilisation d’iTunes Ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. Pour consulter le guide d’initiation iTunes en ligne (uniquement disponible dans certains pays), rendez-vous sur www.apple.com/fr/itunes/ tutorials Les toutes dernières informations sur l’ iPod shuffle Allez sur www.apple.com/fr/ipodshuffle Enregistrement de l’iPod shuffle Installez iTunes sur votre ordinateur et connectez l’iPod shuffle. Emplacement du numéro de série de l’iPod shuffle Regardez sous l’attache de l’iPod shuffle. Vous pouvez également sélectionner dans iTunes l’iPod shuffle dans la liste des appareils (lorsque l’iPod shuffle est connecté à l’ordinateur) et cliquer sur l’onglet Résumé. Obtention de réparations sous garantie Suivez d’abord les conseils qui figurent dans le présent fascicule, l’aide à l’écran et les ressources en ligne, puis allez sur www.apple.com/fr/ support/ipodshuffle/service 8 En savoir plus, service et assistanceRegulatory Compliance Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. Radio and TV Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures:  Turn the television or radio antenna until the interference stops.  Move the computer to one side or the other of the television or radio.  Move the computer farther away from the television or radio.  Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple-authorized service provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product was tested for EMC compliance under conditions that included the use of Apple peripheral devices and Apple shielded cables and connectors between system components. It is important that you use Apple peripheral devices and shielded cables and connectors between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. You can obtain Apple peripheral devices and the proper shielded cables and connectors through an Apple Authorized Reseller. For non-Apple peripheral devices, contact the manufacturer or dealer for assistance. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Inc. Corporate Compliance 1 Infinite Loop, MS 26-A Cupertino, CA 95014 Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la classe B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. VCCI Class B Statement Korea Class B Statement Russia European Community Complies with European Directives 2006/95/EEC and 89/336/EEC. 45Informations concernant l’élimination et le recyclage Vous devez respecter les lois et réglementations locales lors de l’élimination de votre iPod. Étant donné que ce produit contient une batterie, il doit être éliminé séparément des déchets ménagers. Lorsque votre iPod atteint la fin de sa vie, contactez Apple ou les autorités locales pour en savoir plus à propos des options de recyclage. Pour plus d’informations sur le programme de recyclage d’Apple, consultez la page : www.apple. com/fr/environment/recycling Informations concernant le remplacement et l’élimination de la batterie la batterie rechargeable de l’iPod shuffle ne doit être remplacée que par un prestataire de services agréé. Pour en savoir plus sur les services de remplacement de la batterie, consultez la page : www.apple.com/fr/ batteries/replacements.html Votre iPod shuffle contient une batterie. Jetez votre iPod shuffle en conformité avec les lois et dispositions légales environnementales de votre pays ou région. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Taiwan: Türkiye: EEE yönetmeliğine (Elektrikli ve Elektronik Eşyalarda Bazı Zararlı Maddelerin Kullanımının Sınırlandırılmasına Dair Yönetmelik) uygundur. European Union—Disposal Information: This symbol means that according to local laws and regulations your product should be disposed of separately from household waste. When this product reaches its end of life, take it to a collection point designated by local authorities. Some collection points accept products for free. The separate collection and recycling of your product at the time of disposal will help conserve natural resources and ensure that it is recycled in a manner that protects human health and the environment. Union Européenne—informations sur l’élimination Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Europäische Union—Informationen zur Entsorgung Das Symbol oben bedeutet, dass dieses Produkt entsprechend den geltenden gesetzlichen Vorschriften und getrennt vom Hausmüll entsorgt werden muss. Geben Sie dieses Produkt zur Entsorgung bei einer offiziellen Sammelstelle ab. Bei einigen Sammelstellen können Produkte zur Entsorgung unentgeltlich abgegeben werden. Durch das separate Sammeln und Recycling werden die natürlichen Ressourcen geschont und es ist sichergestellt, dass beim Recycling des Produkts alle Bestimmungen zum Schutz von Gesundheit und Umwelt beachtet werden. Unione Europea—informazioni per l’eliminazione Questo simbolo significa che, in base alle leggi e alle norme locali, il prodotto dovrebbe essere eliminato separatamente dai rifiuti casalinghi. Quando il prodotto diventa inutilizzabile, portarlo nel punto di raccolta stabilito dalle autorità locali. Alcuni punti di raccolta accettano i prodotti gratuitamente. La raccolta separata e il riciclaggio del prodotto al 46momento dell’eliminazione aiutano a conservare le risorse naturali e assicurano che venga riciclato in maniera tale da salvaguardare la salute umana e l’ambiente. Europeiska unionen—uttjänta produkter Symbolen ovan betyder att produkten enligt lokala lagar och bestämmelser inte får kastas tillsammans med hushållsavfallet. När produkten har tjänat ut måste den tas till en återvinningsstation som utsetts av lokala myndigheter. Vissa återvinningsstationer tar kostnadsfritt hand om uttjänta produkter. Genom att låta den uttjänta produkten tas om hand för återvinning hjälper du till att spara naturresurser och skydda hälsa och miljö. Brasil—Informações sobre descarte e reciclagem O símbolo indica que este produto e/ou sua bateria não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando decidir descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o de acordo com as leis e diretrizes ambientais locais. Para informações sobre o programa de reciclagem da Apple, pontos de coleta e telefone de informações, visite www.apple.com/ br/environment. Apple et l’environnement À Apple, nous sommes conscients de la responsabilité qui nous incombe de réduire les impacts écologiques de nos activités et de nos produits. Pour en savoir plus, rendez-vous à l’adresse www.apple.com/fr/environment © 2010 Apple Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, iPod, iTunes, Mac, Macintosh et Mac OS sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder et Shuffle sont des marques d’Apple Inc. Apple Store et iTunes Store sont des marques de service d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Les autres noms de société ou de produit mentionnés dans ce document peuvent être des marques de leurs sociétés respectives. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Tout arrangement, accord ou garantie, le cas échéant, s’applique directement entre le revendeuret les utilisateurs potentiels. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. F019-1974/2010-11 47 iPod nano User GuideContents 5 Chapter 1: iPod nano at a Glance 5 iPod nano overview 5 Accessories 6 The Home screen 7 Status icons 8 Chapter 2: Getting started 8 Setting up iPod nano 10 Chapter 3: Basics 10 Using Multi-Touch 12 Getting information about iPod nano 12 Connecting and disconnecting iPod nano 13 About the battery 15 Setting preferences 16 Organizing icons on the Home screen 17 Chapter 4: Syncing with iTunes 17 Syncing the first time 17 Syncing automatically or manually 19 Transferring purchased content to another computer 20 Chapter 5: Music and Other Audio 20 Playing music 22 Playing podcasts, audiobooks, and iTunes U collections 24 Controlling the volume 25 Creating playlists on iPod nano 28 Using Apple earphones 29 Chapter 6: FM Radio 29 Listening to FM radio 30 Tuning the FM radio 31 Pausing live radio 32 Tagging songs to sync to iTunes 32 Setting your radio region 34 Chapter 7: Fitness 35 Using iPod nano to count steps 36 Creating workouts with music 37 Calibrating iPod nano 38 Viewing and managing fitness data 240 Chapter 8: Photos 40 Syncing photos 42 Viewing photos on iPod nano 44 Chapter 9: Other Features 44 Tracking time 46 Recording voice memos 47 Using iPod nano as an external disk 48 Using the Apple Earphones with Remote and Mic 49 Chapter 10: Accessibility 49 Universal Access features 49 VoiceOver 51 Mono Audio 51 White on Black 52 Chapter 11: Tips and Troubleshooting 52 General suggestions 56 Updating and restoring iPod software 57 Chapter 12: Safety and Cleaning 57 Important safety and handling information 60 Chapter 13: Learning More, Service, and Support 61 Regulatory Compliance Information 63 Index Contents 3iPod nano at a Glance 1 iPod nano overview Menu and app icons Dock connector Earphone port Volume Down Volume Up Clip Sleep/Wake Status bar Multi-Touch screen To Do this Turn the screen on or off while you listen to music or other audio Press the Sleep/Wake button. Turn iPod nano off completely, or to turn it back on Hold down the Sleep/Wake button for a few seconds. Adjust the volume while listening to songs or other media Press the Volume Up or Volume Down button. These buttons also control the volume for alerts and other sounds. Accessories The following accessories come with iPod nano: Apple Earphones Apple Dock Connector to USB Cable Use the Apple Dock Connector to USB Cable to connect iPod nano to your computer, sync content, and charge the battery. You can also use the cable with the Apple USB Power Adapter (sold separately). Use the Apple Earphones to listen to music, audiobooks, and podcasts. They also double as an antenna for listening to radio broadcasts. 5The Home screen When you turn on iPod nano, you see the Home screen. Each icon on the Home screen represents choices for listening to music or podcasts, or for using features like recording voice memos or viewing photos. Tap an icon to open it, then use gestures to navigate (see “Using Multi-Touch” on page 10). You’ll see these Home screen icons when you first turn on iPod nano: Icon Function Now Playing Provides quick access to the currently playing audio. Music Provides quick access to your music and other audio content organized by playlists, artists, songs, and more. Radio Opens the FM radio tuner, if earphones are connected to iPod nano. Fitness Opens the Fitness feature, where you can count your steps for walks or runs and track time, distance, pace, and calories burned for workouts. Clock Opens the clock, stopwatch, and timer. Photos Displays the photos synced from your computer. Audiobooks Lists audiobooks synced from your iTunes library (it doesn’t appear if you have no audiobooks). Podcasts Lists the podcasts synced from your iTunes library. iTunes U Lists iTunes U collections synced from your iTunes library (it doesn’t appear if you have no collections). Voice Memos Opens the controls for recording and managing voice memos. It’s visible only if a microphone is connected to iPod nano, or if there are voice memo recordings on iPod nano. Settings Opens settings for iPod nano and many of its features. 6 Chapter 1 iPod nano at a GlanceYou can add these icons to your Home screen by turning them on in Settings: Icon Function Genius Mixes Lists the Genius Mixes synced from your iTunes library. Playlists Lists the playlists synced from your iTunes library or created on iPod nano. Artists Lists songs synced from your iTunes library, organized by artist. Albums Lists albums synced from your iTunes library, in alphabetical order. Songs Lists songs synced from your iTunes library, in alphabetical order. Genres Lists songs synced from your iTunes library, by genre. Composers Lists songs synced from your iTunes library, by composer. You can customize the layout of the icons on your Home screen by moving them (see “Setting preferences” on page 15). You can also create Home screens with small icons (see “Organizing icons on the Home screen” on page 16). Status icons The icons in the status bar at the top of the screen give information about iPod nano: Icon What it means A song, podcast, audiobook, or iTunes U episode is playing. A song, podcast, audiobook, iTunes U episode, or radio broadcast is paused. The radio is playing. Steps are being counted. Shows the battery level or charging status. Chapter 1 iPod nano at a Glance 7Getting started 2 WARNING: To avoid injury, read all operating instructions and safety information in this guide · before using iPod nano. Setting up iPod nano Before you can use iPod nano, you must set it up in iTunes. During setup, you can create an iTunes Store account or specify an existing account. (The iTunes Store may not be available in all countries or regions.) iTunes also displays and records the serial number of your iPod nano when it’s connected, in case you need it. Set up iPod nano: 1 Download and install the latest version of iTunes from www.itunes.com/download. 2 Connect iPod nano to a high-power USB 2.0 port on your Mac or PC, using the cable that came with iPod nano. 3 Follow the onscreen instructions in iTunes to register iPod nano and sync iPod nano with songs from your iTunes library. If you need help using the iPod nano Setup Assistant, see “Set up iTunes syncing the first time:” on page 17. When iPod nano is syncing with your computer, iPod nano shows “Sync in Progress.” When syncing is complete, iTunes shows “iPod sync is complete.” For information about syncing, see Chapter 4,“Syncing with iTunes,” on page 17. 4 Leave iPod nano connected to your computer for up to three hours, to fully charge the battery. You can disconnect iPod nano before the battery is fully charged, and you can sync while the battery charges. For more information, see “About the battery” on page 13. If iPod nano is connected to the USB port of a Windows PC, the battery may not charge while the computer is asleep. 85 Disconnect the cable from iPod nano when you’re ready to use it. Don’t disconnect iPod nano if you see the “Connected” or “Synchronizing” message. To avoid damaging files on iPod nano, eject iPod nano before disconnecting. For more information about safely disconnecting iPod nano, see “Disconnecting iPod nano from your computer” on page 13. Chapter 2 Getting started 9Basics 3 Using Multi-Touch The Multi-Touch screen and simple finger gestures make it easy to use iPod nano. Tap and double-tap Tap an icon to open it, or to select an item in a menu or list. Tap a photo twice quickly to zoom in, then double-tap again to quickly zoom out. Touch and hold Touch and hold anywhere on the screen (except on an icon or control) to return to the Home screen. Touch and hold an icon to rearrange icons on Home screens—when the icons begin to jiggle, drag them into a new order, then press the Sleep/Wake button to save. Swipe Swipe sideways to move to the next or previous screen. 10Drag Drag over scrubber bars or sliders to move their controls. Drag icons to rearrange them. Flick Flick your finger quickly up or down to scroll rapidly. You can wait for scrolling to stop, or touch anywhere on the screen to stop it immediately. Touching the screen won’t choose or activate anything. In some lists, such as Playlists, you can flick down to show editing controls at the top. Rotate You can rotate the screen so it’s easier to see when you clip iPod nano to something. Place two fingers on the screen and rotate in the direction you want the screen to move, until the screen faces the way you want. Here are more iPod nano controls and gestures: To Do this Turn iPod nano off completely, or turn it on again Hold down the Sleep/Wake button for several seconds to turn iPod nano off completely. Any audio that’s playing is turned off. To turn iPod nano back on after turning it off this way, hold down the Sleep/Wake button for a few seconds. To use this feature, you must be using iPod software version 1.1 or later. Wake iPod nano from sleep Press the Sleep/Wake button. Turn off the screen Press the Sleep/Wake button. Music or any other audio that’s playing continues to play. Turn on the backlight Tap the screen if the backlight is dimmed. Chapter 3 Basics 11To Do this Reset iPod nano (if it isn’t responding) Press and hold the Sleep/Wake button and the Volume Down button until the screen goes dark. The Apple logo appears after a few seconds, and then the Home screen. Choose an item Tap the item. Go to the previous screen Swipe right. Go to the next screen Swipe left. Go to the top of a list Tap the status bar at the top of the screen. See all of a song, artist, or album name Swipe left across the name. Go directly to the Home screen Swipe right, or touch and hold anywhere except on an icon or control. Start a workout On the Home screen, tap Fitness, then tap Walk or Run. Record a voice memo Connect the Apple Earphones with Remote and Mic (sold separately). Then, on the Home screen, tap Voice Memos. Find the iPod nano serial number On the Home screen, tap Settings, then tap About. Look under the open edge of the iPod nano clip. Getting information about iPod nano You can get these details about your iPod nano in Settings:  Capacity and amount of space available  Number of songs and photos  Serial number, model, and software version  Copyright and legal information Get information about iPod nano: m On the Home screen, tap Settings, and then tap About. Connecting and disconnecting iPod nano You connect iPod nano to your computer to sync files and charge the iPod nano battery. You can sync songs and charge the battery at the same time. Important: The battery doesn’t charge while your computer is in sleep or standby mode. Connecting iPod nano to your computer iTunes syncs songs on iPod nano automatically when you connect it to your computer, unless you select other sync settings in iTunes. Connect iPod nano to your computer: m Connect the included Apple Dock Connector to USB Cable to a high-power USB 2.0 port on your computer. Connect the other end to iPod nano. If you have an iPod dock, you can connect the cable to a USB 2.0 port on your computer, connect the other end to the dock, and then put iPod nano in the dock. Note: The USB port on most keyboards doesn’t provide enough power to charge iPod nano. 12 Chapter 3 BasicsDisconnecting iPod nano from your computer It’s safe to disconnect iPod nano if you see the Home screen on iPod nano, or a message that says it’s OK to disconnect. If the backlight is off, press the Sleep/Wake button to turn on the backlight, so you can see if it’s safe to disconnect. Disconnect iPod nano: m Disconnect the cable from iPod nano, or, if iPod nano is in the dock, remove iPod nano from the dock. Don’t disconnect iPod nano if you see the “Connected” or “Synchronizing” message. To avoid damaging files on iPod nano, you must eject iPod nano before disconnecting when you see these messages. Eject iPod nano: m In iTunes, click the Eject (C) button next to iPod nano in the device list on the left side of the iTunes window. m If you’re using a Mac, you can eject iPod nano by dragging the iPod nano icon on the desktop to the Trash. m If you’re using a Windows PC, you can eject iPod nano in My Computer or by clicking the Safely Remove Hardware icon in the Windows system tray and selecting iPod nano. If you accidentally disconnect iPod nano without ejecting it, reconnect iPod nano to your computer and sync again. About the battery iPod nano has an internal, non–user-replaceable battery. For best results, the first time you use iPod nano, let it charge for about three hours or until the battery icon shows that the battery is fully charged. The iPod nano battery is 80-percent charged in about one and a half hours, and fully charged in about three hours. If you charge iPod nano while adding files, playing music, listening to the radio, or viewing a slideshow, it might take longer. Charging the battery You can charge the iPod nano battery by connecting iPod nano to your computer, or by using the Apple USB Adapter (available separately). Charge the battery using your computer: m Connect iPod nano to a USB 2.0 port on your computer. The computer must be turned on and not in sleep. Important: If a “Charging, Please Wait” or “Connect to Power” message appears on the iPod nano screen, the battery needs to be charged before iPod nano can communicate with your computer. See “If iPod nano displays a “Connect to Power” message” on page 53. If you want to charge iPod nano when you’re away from your computer, you can purchase the Apple USB Power Adapter. Chapter 3 Basics 13Charge the battery using the Apple USB Power Adapter: 1 Connect the Dock Connector to USB Cable to the Apple USB Power Adapter. 2 Connect the other end of the Dock Connector to USB Cable to iPod nano. 3 Plug the Apple USB Power Adapter into a working electrical outlet. Apple USB Power Adapter (your adapter may look different) Dock Connector to USB Cable Understanding battery states When iPod nano isn’t connected to a power source, a battery icon in the upper-right corner of the iPod nano screen shows approximately how much charge is left. Battery less than 20% charged Battery about halfway charged Battery fully charged When iPod nano is connected to a power source, the battery icon changes to show that the battery is charging or fully charged. Battery charging (lightning bolt) Battery fully charged (plug) You can disconnect and use iPod nano before it’s fully charged. Note: Rechargeable batteries have a limited number of charge cycles and might eventually need to be replaced by an Apple Authorized Service Provider. Battery life and number of charge cycles vary by use and settings. For information, go to www.apple.com/batteries. Conserving power iPod nano intelligently manages battery life while you listen to audio or work out. To save power, the iPod nano screen dims if you don’t touch it for twenty seconds, and then turns off. To turn the screen on when it turns off this way, or to turn the screen off manually, press the Sleep/Wake button. When there is no activity on iPod nano (no audio is playing and no motion is detected if steps are being counted), it turns off automatically. To turn iPod nano back on when it turns off this way, press the Sleep/Wake button. You can also turn off iPod nano completely by holding down the Sleep/Wake button for a few seconds. When you turn iPod nano off this way, hold down the Sleep/Wake button for a few seconds to turn it back on. 14 Chapter 3 BasicsTurning iPod nano off:  Stops music or other audio that’s playing  Clears paused radio  Stops a slideshow if one is playing  Saves a voice memo if one is being recorded  Stops counting steps  Stops and saves Nike+ workout data While iPod nano is turned off, you won’t hear any alarm if a timer expires. When you turn iPod nano on again, alarms that haven’t expired will occur as scheduled. You must be using iPod software version 1.1 or later to use this feature. Setting preferences Settings let you change the appearance of the Home screen and set other preferences for iPod nano. To set preferences, tap the Settings icon on the Home screen. General settings Here are the General preferences you can set: Use this preference To do this Brightness Adjust the screen brightness. Set a lower brightness to use less battery power. Wallpaper Set the background image for the Home screen. Tap a pattern to see how it looks onscreen, then tap Cancel or Set. Home Screen Show or remove icons on the Home screen. Change the Home screen to display large or small icons. Date & Time Set the date, time, and time zone. Change the time display to a 24-hour clock. Show the clock (instead of Now Playing) on waking. Choose a clock face (see “Changing the clock face” on page 44). Accessibility Turn on VoiceOver and mono audio. Change the screen to white on black. For information about accessibility features, see “Universal Access features” on page 49. Language Set the language for iPod nano. Music settings Music settings let you customize how you listen to and play back music on iPod nano. To see these settings, tap the Settings icon on the Home screen and then tap Music. Here are the Music preferences you can set: Use this preference To do this Shake to Shuffle Turn off or on the ability to give iPod nano a quick shake to skip to a random song. Sound Check Automatically adjust the volume of songs, so they play at the same relative volume level. Sleep/Wake Button Choose whether double-clicking the Sleep/Wake button pauses or plays the current track, or plays the next track. EQ Choose an equalizer setting. Chapter 3 Basics 15Use this preference To do this Volume Limit Set a maximum volume limit on iPod nano, and assign a passcode to prevent the setting from being changed without your knowledge. Audio Crossfade Automatically fade out at the end and fade in at the beginning of each song. Group Compilations Group together songs from compilations. Compilations are shown as subcategories under Artists and specific Genres, in Music. Other settings You can set preferences for how you view photos, listen to radio, and track workouts in Settings. For more information, see:  Chapter 6,“FM Radio,” on page 29.  Chapter 7,“Fitness,” on page 34.  Chapter 8,“Photos,” on page 40. You can reset iPod nano to its default settings without affecting your synced content. Reset all settings: 1 From the Home screen, tap Settings. 2 Flick up, then tap Reset Settings. 3 Tap Reset, or tap Cancel if you change your mind. 4 Tap your language, and then tap Done. Organizing icons on the Home screen You can rearrange icons on the Home screen to make frequently used items easier to find. For example, if you use iPod nano every day while working out, you can move the Fitness icon to the first position to make it easier to access. Rearrange Home screen icons: 1 Touch and hold the icon you want to move, until all the icons begin to jiggle. 2 Drag the icon to its new location. Dragging left or right scrolls the icons. For small icons, dragging left or right moves to another screen. 3 When the icon is in position, lift your finger from the screen. 4 Press the Sleep/Wake button, or tap and hold the icon again, to save your changes. You can also change the Home screen to show four small icons instead of one large icon. Dots at the bottom of the Home screen indicate how many screens there are. Show small icons on the Home screen: 1 Tap Settings, and then tap General. 2 Tap Home Screen. 3 Tap next to Small Icons. 16 Chapter 3 BasicsSyncing with iTunes 4 Syncing the first time iTunes is the free software application you use to sync music, audiobooks, podcasts, photos, and iTunes U collections between your computer and iPod nano, and to send workouts to the Nike+ website. If you don’t already have content in iTunes, you can preview and download content from the iTunes Store (available in selected countries) to iTunes on your computer. To learn about iTunes and the iTunes Store, open iTunes and choose Help > iTunes Help. Set up iTunes syncing the first time: 1 Connect iPod nano to your computer, and open iTunes. 2 Enter a name for iPod nano. You enter a name the first time you connect iPod nano. This name appears in the device list on the left side of the iTunes window, after you enter it. 3 Select options for syncing music and photos automatically. If you need help choosing options, choose Help > iTunes Help in the menu bar. 4 Select the language you want to use on iPod nano from the pop-up menu. You only need to do this the first time, or when you restore iPod nano to its factory settings. 5 Click Done. If you selected to sync songs or photos automatically, syncing begins immediately. Syncing automatically or manually There are two ways to add content to iPod nano:  Automatic syncing: When you connect iPod nano to your computer, iPod nano is automatically updated to match the items in your iTunes library. You can sync iPod nano automatically with only one computer at a time.  Manually managing iPod nano: When you connect iPod nano, you can drag individual items to iPod nano and delete individual items from iPod nano. You can add songs from more than one computer without erasing songs from iPod nano. When you manage music yourself, you must always eject iPod nano from iTunes before you disconnect it (see “Connecting and disconnecting iPod nano” on page 12). Automatic syncing iPod nano normally syncs whenever you connect it to iTunes. While music is being synced from your computer to iPod nano, the iTunes status window shows progress, and you see a sync icon next to the iPod nano icon in the device list. When the update is done, a message in iTunes says “iPod update is complete,” and a bar at the bottom of the iTunes window displays how much disk space is used by different types of content. 17Important: The first time you connect iPod nano to a computer that it’s not synced with, a message asks if you want to sync songs automatically. If you accept, all songs, audiobooks, and other content are erased from iPod nano and replaced with songs and other items from that computer. You can prevent iPod nano from syncing when you connect it to a computer other than the one you usually sync with. Turn off automatic syncing for iPod nano: m In the iTunes Summary tab, deselect “Open iTunes when this iPod is connected,” and then click Apply. If you turn off automatic syncing, you can still sync by clicking the Sync button. Managing iPod nano manually If you manage iPod nano manually, you can add and remove individual songs and other content. You can also add content from multiple computers to iPod nano without erasing items already on iPod nano. Setting iPod nano to manually manage music turns off the automatic sync options in the Music, Podcasts, iTunes U, and Photos panes. You can’t manually manage some and automatically sync others at the same time. Note: Genius Mixes don’t work if you manually manage content. You can still manually sync Genius playlists to iPod nano, and create Genius playlists on the iPod after a manual sync of Genius content. See “Playing Genius Mixes” on page 27. Set iTunes to manage content manually: 1 In iTunes Preferences, click Devices, and then select “Prevent iPods, iPhones, and iPads from syncing automatically.” 2 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Summary tab. 3 In the Options section, select “Manually manage music.” 4 Click Apply. When you manually manage content on iPod nano, you must always eject iPod nano from iTunes before you disconnect it. See “Eject iPod nano:” on page 13. Add a song or other item manually: 1 In iTunes, click Music or another item below Library on the left side of the iTunes window. 2 Drag a song or other item to iPod nano in the device list. Remove a song or other item from iPod nano: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list. 2 Select a song or other item on iPod nano, then press the Delete or Backspace key on your keyboard. If you remove a song or other item from iPod nano, it isn’t deleted from your iTunes library. You can reset iPod nano to sync automatically at any time. Reset iTunes to sync automatically: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Summary tab. 2 Deselect “Manually manage music.” 3 Select the Music and Podcasts tabs, and select your sync options. 4 Click Apply. The update begins automatically. 18 Chapter 4 Syncing with iTunesTransferring purchased content to another computer Content that you purchase in iTunes on one computer can be transferred from iPod nano to an iTunes library on another computer. The other computer must be authorized to play content from your iTunes Store account. Authorize another computer: m Open iTunes on the other computer and choose Store > Authorize This Computer. Transfer purchased content to another computer: 1 Open iTunes on the other computer and choose Store > Authorize This Computer. 2 Connect iPod nano to the newly authorized computer. 3 In iTunes, choose File > Transfer Purchases from iPod. Chapter 4 Syncing with iTunes 19Music and Other Audio 5 Playing music iPod nano makes it easy to find and listen to songs. You can repeat songs, fast-forward, shuffle, and create playlists using the Multi-Touch screen. To play a song, do one of the following: m Tap Music on the Home screen, tap a category (Playlists, Albums, or another grouping), and then tap a song. m On the Home screen, tap Now Playing to play shuffled songs or resume a paused song. m Give iPod nano a quick shake to play shuffled songs. While a song plays, its album artwork (if available) is displayed on the Now Playing screen, and a Play ( ) or Pause ( ) icon appears in the status bar at the top of other screens. You can browse music and other content on iPod nano, change settings, and arrange icons while you listen to music or other audio content. Here are some ways to navigate your music library:  Flick to scroll quickly through song and album lists, and tap the menu bar to return to the top of the list.  Add icons for Playlists, Albums, or other lists to your Home screen. Tap Settings > General > Home Screen > Music, and then tap next to the icons you want to add.  If the list you’re browsing has an index, drag your finger down the index to show a large letter superimposed over the list. When you reach the letter you want, lift your finger. 20Controlling playback with song controls The album artwork for the song that’s playing appears on the Now Playing screen. Tap the screen once to show the song controls, and then swipe left to see additional controls and song lyrics (if you added them in iTunes). The dots at the bottom of the screen indicate the number of screens available. Here’s what you can do with the iPod nano song controls: To Do this Pause a song Tap or disconnect your earphones. Play a paused song Tap . iPod nano must be ejected from your computer to play songs and other audio. Start a song over Tap . Play the previous song Tap twice. Skip to the next song Tap . Fast-forward or rewind a song Press and hold or . Repeat songs Tap . Tap again for more options: = Repeat all songs in the current album or list. = Repeat only the current song over and over. Create a Genius playlist Play a song, and then tap . Shuffle songs Tap . Skip to any point in a song Drag the playhead along the scrubber bar. Slide your finger up to slow the scrub rate for greater precision. The farther up you slide your finger, the smaller the increments. Rate songs Tap on the song controls screen, then drag your finger across the dots at the top of the screen. See songs from an album Tap on the song controls screen, or tap the album in the Albums list. Controlling playback with the Sleep/Wake button You can double-click the Sleep/Wake button to play the next track, or change the setting so that double-clicking pauses or plays the current track. Set the Sleep/Wake button preference: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Music, and then tap Sleep/Wake Button. 3 Tap to turn it On. 4 Tap either Next Track or Play/Pause. If you turn off iPod nano while music or other audio is playing (pressing and holding the Sleep/Wake button), iPod nano begins playing where you left off, when you turn iPod nano back on. Chapter 5 Music and Other Audio 21Shuffling songs You can play songs, albums, or playlists in random order, and set iPod nano to shuffle songs when you give it a quick shake. The table below describes different ways to shuffle your music: To Do this Shuffle and play all your songs Tap Shuffle at the top of the Songs list. iPod nano begins playing songs from your iPod nano music library in random order, skipping audiobooks, podcasts, and iTunes U collections. You can also tap Now Playing on the Home screen when no music is playing. Shuffle songs from the Now Playing screen Tap Now Playing, and then tap the album artwork. Swipe left along the bottom of the screen, and then tap . Use “Shake to Shuffle” When the screen is on, you can give iPod nano a quick shake to skip to a random song. If the screen is off, press the Sleep/Wake button before you shake. “Shake to Shuffle” is on by default, but you can turn it off in Settings > Music. Playing podcasts, audiobooks, and iTunes U collections Podcasts are free, downloadable shows available in the iTunes Store. Podcasts are organized by shows, episodes within shows, and chapters within episodes. If you stop playing a podcast and return to it later, the podcast begins playing where you left off. iTunes U is a part of the iTunes Store featuring free lectures, language lessons, and more, which you can download and enjoy on iPod nano. iTunes U content is organized by collections, items within collections, authors, and providers. You only see an iTunes U icon on the Home screen if you synced iTunes U content from your iTunes Library. Podcast shows and iTunes U collections appear in chronological order, so you can play them in the order in which they were released. A blue dot marks unplayed shows and episodes. When you finish listening to a podcast episode or iTunes U program, the next unplayed or partially played episode begins automatically. 22 Chapter 5 Music and Other AudioYou can purchase and download audiobooks from the iTunes Store and listen to them on iPod nano. When you listen to audiobooks purchased from the iTunes Store or audible.com, you can adjust the playback speed to be faster or slower than normal. Play podcasts, audiobooks, and iTunes U Collections: 1 On the Home screen, tap Podcasts (or Audiobooks, or iTunes U), and then tap a show or title. Podcasts, Audiobooks, and iTunes U are also listed in Music. 2 Tap an episode or chapter to play it. The Now Playing screen displays the audiobook, podcast, or iTunes U artwork (if any is available). 3 Tap the Now Playing screen to see the playback controls.  Tap to pause, and to resume. The podcast, audiobook, or iTunes U collection begins playing where you left off. For audiobooks, you can tap Resume in the chapter list.  Tap or to skip to the next chapter or the beginning of the current chapter in the podcast, audiobook, or iTunes U collection. 4 Swipe left to see the additional playback controls described in the following table. To Do this Skip to any point in a podcast, audiobook, or iTunes U collection Drag the playhead along the scrubber bar. Slide your finger up to slow the scrub rate for greater precision. The farther up you slide your finger, the smaller the increments. Play back the last 30 seconds Tap . Set the playback speed Tap . Tap again to change the speed. = Play at double speed. = Play at normal speed. = Play at half speed. See episodes or chapters for podcasts, iTunes U, or audiobooks Tap on the first control screen. See information about podcasts, iTunes U, or audiobooks Tap the Now Playing screen, and then swipe left to the final control screen. For more information about downloading and listening to podcasts, open iTunes and choose Help > iTunes Help. Then search for “podcasts.” Rating audiobooks You can assign a rating to an audiobook (from zero to five stars) to indicate how much you like it. The ratings you assign to audiobooks on iPod nano are transferred to iTunes when you sync. Rate an audiobook: 1 Tap the book cover on the Now Playing screen, and then tap . 2 Drag your finger along the dots at the top of the screen to add or remove stars. 3 Lift your finger when you’re done. Chapter 5 Music and Other Audio 23Controlling the volume The volume buttons are on the top of iPod nano. Press Volume Up or Volume Down to adjust the volume as you listen. The following sections describe other adjustments you can make to limit the maximum volume and enhance audio quality. Setting the maximum volume limit You can set a limit for the maximum volume on iPod nano, and assign a passcode to prevent the setting from being changed without your knowledge. Note: Accessories that connect using the dock connector don’t support volume limits. Set the maximum volume limit for iPod nano: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Music, and then tap Volume Limit. The volume control shows the maximum volume limit. 3 Drag the slider left to lower the maximum volume limit, or right to raise the limit. Require a passcode to change the volume limit: 1 After setting the maximum volume, tap Lock Volume Limit. 2 In the screen that appears, tap a four-digit passcode. If you tap a number by mistake, tap and then tap the number you intended. You can keep tapping to erase all numbers and return to the Volume Limit screen without setting a passcode. 3 When you’re prompted to reenter the passcode, tap the numbers again. Remove the volume limit: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Music, then tap Volume Limit. 3 Drag the slider all the way to the right. If you set a passcode, tap Unlock Volume Limit first, enter your passcode, and then drag the slider. If you forget the passcode, you can restore iPod nano. See “Updating and restoring iPod software” on page 56. Playing songs at the same volume level The volume of songs and other audio may vary depending on how the audio was recorded or encoded. The volume level may also vary if you use different earphones or headphones. You can set iTunes to automatically adjust the volume of songs, so they play at the same relative volume level. Then you can set iPod nano to use the same iTunes volume settings. 24 Chapter 5 Music and Other AudioSet songs to play at the same volume level: 1 In iTunes, choose iTunes > Preferences if you’re using a Mac, or choose Edit > Preferences if you’re using a Windows PC. 2 Click Playback and select Sound Check, and then click OK. 3 On the iPod nano Home screen, tap Settings. 4 Tap Music. 5 Tap next to Sound Check to turn it on. If you haven’t turned on Sound Check in iTunes, setting it on iPod nano has no effect. Using the equalizer You can use equalizer presets to change the sound on iPod nano to suit a particular music genre or style. For example, to make rock music sound better, set the equalizer to Rock. Set the equalizer on iPod nano: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Music, and then tap EQ. 3 Tap an equalizer preset (flick up to see more choices). If you assigned an equalizer preset to a song in iTunes and the iPod nano equalizer is set to Off, the song plays using the iTunes setting. For more information, open iTunes and choose Help > iTunes Help. Crossfading between songs You can set iPod nano to fade out at the end of each song and fade in at the beginning of the song following it. Turn on crossfading: 1 From the Home screen, tap Settings. 2 Tap Music, and then tap next to Audio Crossfade. Creating playlists on iPod nano You can create your own playlists of songs, podcasts, and audiobooks; or use Genius to create Genius playlists, even when iPod nano isn’t connected to your computer. Playlists you create on iPod nano are synced back to iTunes the next time you connect. Creating and editing playlists Create a playlist: 1 On the Home screen, tap Music, and then tap Playlists. 2 Flick down, and then tap Add. 3 Tap a category (Songs, Albums, Podcasts, and so on), and then tap the items you want to add. Chapter 5 Music and Other Audio 25Don’t tap Done until you’ve added everything you want to include in the playlist. 4 Swipe left to continue adding content. You can add content from any category. For example, you can mix podcasts with songs in a single playlist. 5 When you finish, tap Done. The new playlist is named New Playlist 1 (or New Playlist 2, and so on). The next time you sync, you can change the title in iTunes. When you sync again, the playlist title on iPod nano is updated. Remove items from a playlist: 1 Tap Playlists, and then tap the playlist you want to edit. 2 Flick down, and then tap Edit. 3 Tap next to the item you want to delete, and then tap Delete when it appears on the right. 4 When you finish, tap Done. Delete a playlist: 1 Tap Playlists. 2 Flick down and tap Edit. 3 Tap next to the playlist you want to delete, and then tap Delete when it appears next to the playlist. If you tapped the wrong playlist, tap the one you want to remove. 4 Tap Delete, or tap Cancel if you change your mind. 5 When you finish, flick up and tap Done (or swipe right to return to the Home screen if you cancel). Rating songs to create Smart Playlists You can assign a rating to a song (from zero to five stars) to indicate how much you like it. The ratings you assign to songs on iPod nano are transferred to iTunes when you sync. You can use song ratings to help you create Smart Playlists automatically in iTunes. Rate a song: 1 Start playing the song. 2 On the Now Playing screen, tap the album artwork. 3 Tap in the lower-right corner. 4 Tap or drag over the ratings bullets at the top of the screen ( ) to assign the number of stars. 26 Chapter 5 Music and Other AudioCreating Genius playlists A Genius playlist is a collection of songs that go with a song you choose from your library. You can create Genius playlists on iPod nano, and sync Genius playlists you create with iTunes. Genius is a free service, but you need an iTunes Store account to use it. To learn how to set up Genius in iTunes, open iTunes and choose Help > iTunes Help. Create a Genius playlist on iPod nano: 1 Play a song, and then tap the album artwork on the Now Playing screen. 2 Swipe left, and then tap . The new playlist appears. You see a message if:  You didn’t turn Genius on in iTunes.  Genius doesn’t recognize the song you select.  Genius recognizes the song, but there aren’t at least ten similar songs in your library. 3 Flick up or down to see the songs in the playlist. 4 Tap Save. The playlist is saved with the artist name and song title of the song you used to make the playlist. To change the playlist to a new one based on the same song, tap Refresh. If you refresh a saved playlist, the new playlist replaces the previous one, and you can’t recover the previous playlist. Genius playlists saved on iPod nano are synced back to iTunes when you connect iPod nano to your computer. Playing Genius Mixes iTunes automatically creates Genius Mixes that contain songs from your library that go great together. Genius Mixes provide a different listening experience each time you play one. Play a Genius Mix: 1 Tap Genius Mixes. 2 Swipe left or right to browse the Genius Mixes. The dots at the bottom of the screen indicate how many Genius Mixes are on iPod nano. 3 Tap on the Genius Mix you want to play. Chapter 5 Music and Other Audio 27Using Apple earphones WARNING: Permanent hearing loss may occur if the earbuds or headphones are used at high volume. Use only compatible earbuds or headphones with iPod nano. Turn on the audio and check the volume before inserting anything in your ear. You can adapt over time to a higher volume of sound that may sound normal but can be damaging to your hearing. If you experience ringing in your ears or muffled speech, stop listening and have your hearing checked. The louder the volume, the less time is required before your hearing could be affected. Hearing experts suggest that to protect your hearing:  Limit the amount of time you use earbuds or headphones at high volume.  Avoid turning up the volume to block out noisy surroundings.  Turn the volume down if you can’t hear people speaking near you. For information about setting a maximum volume limit on iPod, see “Setting the maximum volume limit” on page 24. The Apple earphones that came with your iPod nano connect to the earphone port on the bottom of iPod nano. Place the earbuds in your ears as shown. The earphone cord is adjustable. If you have the Apple Earphones with Remote and Mic or the In-Ear Headphones with Remote and Mic, you can also navigate playlists. For information, see the documentation for those accessories, or “Using the Apple Earphones with Remote and Mic” on page 48. 28 Chapter 5 Music and Other AudioFM Radio 6 Listening to FM radio iPod nano uses the earphone or headphone cord as an antenna, so you must connect earphones or headphones to iPod nano in order to receive a radio signal. When you tune to a station that supports RDS (Radio Data System), the song title, artist name, and station information appear in the display. Important: Radio frequencies shown in this chapter are for illustration purposes only, and are not available in all areas. Listen to the radio: 1 Connect earphones or headphones to iPod nano, and then tap Radio on the Home screen. 2 Tap the Now Playing screen to see the radio controls, and then swipe left to see the Live Pause controls. Here’s what you can do with radio controls: To Do this Listen to FM radio On the Home screen, tap Radio. You must connect earphones to receive a radio signal. Turn off the radio Tap , or disconnect the earphones or headphones. Open the Radio menu Tap . The Radio menu is where you can find local stations, set favorite stations, tag songs, and see a list of recent songs. Tune to an FM station Tap the radio station screen, and then swipe the radio tuner. Tap or to go to favorites (if you set any). If no favorites are set, you hear the previous or next tunable station. Seek FM stations When the radio tuner is visible, tap or to go to the next or previous tunable station. If you saved any stations as favorites, this cycles through those stations. Scan FM stations When the radio tuner is visible, touch and hold or until the screen shows “Scanning.” Tap an empty spot on the screen to stop scanning, then tap to listen. Save an FM station as a favorite With the radio tuner visible, tap . Favorite stations are marked on the radio tuner with a yellow triangle, and changes to when you tune to a favorite station. 29Remove an FM station from favorites Tune in to the station and then tap on any radio screen. Pause and resume live radio Tap Now Playing or Radio, swipe left across the top of the screen, and then tap . Tap to resume playing. Changing the radio station clears paused radio. Tap to listen to the last thirty seconds of paused radio. Switch between the radio tuner and the Live Pause screen Swipe left across the top or middle of the screen. Tag a song on the radio Tap on the Now Playing screen. Tagging is available only for radio stations that support iTunes Tagging. Sync with iTunes to preview and purchase tagged songs. You can double-click the Sleep/Wake button to skip to the next radio station, or change the Sleep/Wake setting so that double-clicking pauses or plays live radio. See “Controlling playback with the Sleep/Wake button” on page 21. Tuning the FM radio You can tune the FM radio by browsing stations, seeking or scanning available stations, or saving your favorite stations and tuning to them directly. To start, use iPod nano to find local stations. Note: For better reception, make sure the earphone cords aren’t tangled or coiled. Find local stations: 1 On the Home screen, tap Radio. 2 Tap . 3 Tap Local Stations. iPod nano scans the available frequencies and lists the local stations. 4 Tap next to a station to listen to the station without leaving the menu, or tap the station to tune to that station and return to the radio controls. 5 When you finish, tap to return to the radio controls. If you want to update the list, tap Refresh. Remove all stations from Favorites: 1 Tap on any radio screen to show the Radio menu. 2 Tap Favorites. 3 Flick down to show the Edit button, and then tap it. 4 Tap Clear All if you want to clear the entire list. 5 When you finish, tap Done. 30 Chapter 6 FM RadioPausing live radio You can pause a radio broadcast and resume playing it from the same point up to 15 minutes later. Drag the progress bar to resume listening at any point in the paused broadcast, or to quickly catch up to the live broadcast. The progress bar is completely filled when Live Pause reaches the 15-minute limit. Anything earlier than 15 minutes is cleared to make room for the continuing broadcast. Paused radio is cleared automatically if:  You change stations.  You turn off iPod nano.  You play other media content or record a voice memo.  The battery is very low and needs to be charged.  You pause the radio for 15 minutes without resuming play. Pause or resume live radio: 1 While the radio is playing, tap Now Playing or Radio. 2 Swipe left to the Live Pause controls on the last screen, and then tap . The icon changes to . As Live Pause continues, a yellow triangle indicates where the broadcast was paused. The progress bar continues to fill up, indicating the time that’s passed since you paused. 3 To resume playing the program, tap to start at the point where you paused. Then do any of the following:  Tap to skip back by 30-second increments.  Tap to skip forward by 30-second increments.  Touch and hold to skip forward by ten-second increments. You can navigate paused radio only when the progress bar appears, not the radio tuner. Live Pause uses some battery power. You can turn off Live Pause to conserve the battery. Turn off Live Pause: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Radio. 3 Tap next to Live Pause to turn it Off. Chapter 6 FM Radio 31Tagging songs to sync to iTunes If a radio station supports iTunes Tagging, you can tag a song you hear, so you can preview and purchase it later in the iTunes Store. Songs that can be tagged are marked with a tag icon on the Now Playing screen. Tag a song: m Tap in the lower-left corner of the Now Playing screen. Your tagged songs appear in the Radio menu under Tagged Songs. The next time you sync iPod nano to iTunes, your tagged songs are synced and removed from iPod nano. They appear in iTunes, where you can preview and purchase them on the iTunes Store. Note: This feature may not be available with all radio stations. Preview and purchase tagged songs in iTunes: 1 Sync iPod nano with your computer. 2 On your computer, click Tagged below Store, on the left side of the iTunes window. 3 Click the View button for the song you want. 4 To preview the song, double-click it or click the preview button. To buy the song, click the Buy button. If the radio station doesn’t support tagging, you can also see a list of songs you listened to recently. Later, you can use this information to find and purchase the song. See recent songs: m Tap on any Radio screen, and then tap Recent Songs. You’ll see the song title, artist name, and the radio station where you heard the song. Setting your radio region iPod nano can be used in many countries to receive FM radio signals. It comes with five preset signal ranges, identified by region: The Americas, Asia, Australia, Europe, and Japan. Select a radio region: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Radio, and then tap Radio Regions. 3 Tap your region. A check appears next to the region you select. Region settings are determined by international radio standards, not by actual geographic region. If you live in a country not listed in the Radio Regions menu, choose a region that best matches the radio frequency specifications in your country. 32 Chapter 6 FM RadioImportant: iPod nano is intended for the reception of public broadcasts only. Listening to transmissions that are not intended for the public is illegal in some countries and violators may be prosecuted. Check and obey the laws and regulations in the areas where you plan to use iPod nano. The following table specifies the radio frequency range of each region in the Radio Regions menu, along with the increments between stations (indicated by a ± sign). Radio region Radio frequency specifications Americas 87.5–107.9 MHz/ ± 200 kHz Asia 87.5–108.0 MHz/ ± 100 kHz Australia 87.5–107.9 MHz/ ± 200 kHz Europe 87.5–108.0 MHz/ ± 100 kHz Japan 76.0–90.0 MHz/ ± 100 kHz Chapter 6 FM Radio 33Fitness 7 iPod nano comes with built-in features to help you make the most of your fitness routines:  Set a Daily Step Goal and let iPod nano count your steps while you walk, and track your progress and calories burned over time.  Create Run workouts set to your favorite music and track your time, pace, and distance with real time motivational feedback.  Connect iPod nano to Nike + iPod compatible gym equipment and track your progress from one workout to the next.  Use iTunes to upload all your steps and workout data to the Nike+ website. Set a goal, track your progress, and compete with other Nike+ users. You can set these preferences for your workouts in Fitness Settings (tap Settings on the Home screen, and then tap Fitness): Walk Set the number of steps you want to take for your Daily Step Goal. See “Using iPod nano to count steps” on page 35. PowerSong Choose a song to use for motivation during a workout. You can quickly switch to your PowerSong whenever you need a boost. Spoken Feedback Choose a male or female voice to give you feedback during a workout, or turn Spoken Feedback off. Units of Measure Use English or metric for weights and measurements. Distances Measure distances in miles or kilometers. Height Set your height for distance accuracy. Weight Set your weight for calorie accuracy. Reset Calibration Reset the calibration. See “Calibrating iPod nano” on page 37. 34Using iPod nano to count steps iPod nano counts steps in the background, so you can listen to music or use iPod nano for other things at the same time. The Walk icon ( ) appears in the status bar while steps are being counted. Starting at midnight, any steps you take are automatically tracked for the day, so you don’t need to do anything to get an accurate daily count. Use iPod nano to count steps for a walk: 1 On the Home screen, tap Fitness, and then tap Walk. 2 If you’re using Fitness for the first time, flick the dials to set your height and weight. If you skip setting your height and weight now, you can do it later in Settings > Fitness. You only need to set your height and weight once, unless your weight changes. 3 Tap Save. 4 Tap Start to begin counting steps. 5 Clip iPod nano to your waistband for better accuracy. iPod nano counts steps whether you walk or run. 6 At the end of the session, tap Stop. Set a Daily Step Goal: 1 On the Home screen, tap Settings, and then tap Fitness. 2 Tap Walk, and then tap . 3 Use the dial to set the desired number of steps. 4 Tap Done. Counting won’t begin until you start it in Fitness. 5 Press and hold the screen to return to the Home screen, and then tap Fitness. 6 Tap Walk, and then tap Start. Steps you take during a Run workout (or when using Nike + iPod-compatible workout equipment) aren’t counted toward your Daily Step Goal. Chapter 7 Fitness 35Creating workouts with music You can create workouts on iPod nano to reach fitness goals of distance, time, or calories burned. Then add the music, podcast, audiobook, or radio station that gets you moving. iPod nano keeps a record of all your workout data, which you can upload to the Nike+ website if you wish. While you’re working out, iPod nano gives spoken feedback when you pause or resume your workout. Set up a Run workout: 1 On the Home screen, tap Fitness. 2 Tap Run, and then tap one of the workout types (Basic, Time, Distance, or Calorie). 3 Tap a preset goal, or tap Custom. 4 Choose the audio content you want to listen to during your workout. If you create a custom workout, you’re asked to set a time, distance, or calorie goal before you see the audio choices. 5 Tap Start Workout. Clip iPod nano to your waistband for better accuracy. You can run or walk during your workout and iPod nano will calculate the distance you traveled. If you set a Daily Step Goal, steps taken during a Run workout or while using Nike + iPod-compatible gym equipment won’t count toward your Daily Step Goal total. Workouts you create on iPod nano are saved so you can use them again. Use a saved workout: 1 On the Home screen, tap Fitness, and then tap Run. 2 Flick up, and tap My Workouts. 3 Tap a saved workout, and then tap Start Workout. Controlling iPod nano during a workout You can use the iPod nano controls to pause and resume your workout, change songs, hear spoken feedback, or switch to a PowerSong for extra motivation. If you use Apple headphones with a remote, you can control your workout with the remote. The most efficient way to control your workout is by setting iPod nano to pause and resume your workout when you double-click the Sleep/Wake button. For example, if you’re stopped at a traffic light, double-click the Sleep/Wake button to pause, then double-click to resume once the light turns green. Or, if you’re running a marathon and arrive at the finish line, a quick double-click pauses the workout so you can catch your breath before turning the screen on and ending your workout. 36 Chapter 7 FitnessSet the Sleep/Wake button to pause a workout: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Music, and then tap Sleep/Wake Button. 3 Tap to turn it On. 4 Tap Play/Pause. The table below describes how to control iPod nano during a workout: To Do this Pause a workout Tap the screen, then tap (if the screen is dark, click the Sleep/Wake button first). Double-click the Sleep/Wake Button if you set the preference to Play/Pause. Resume a paused workout Tap the screen, then tap Resume (if the screen is dark, click the Sleep/Wake button first). Double-click the Sleep/Wake Button if you set the preference to Play/Pause. Choose a different song Tap the screen, then tap (if the screen is dark, click the Sleep/Wake button first). Then tap Change Music and make a selection. Double-click the Sleep/Wake Button if you set the preference to Next Track. Play your PowerSong Tap the screen, then tap PowerSong (if the screen is dark, click the Sleep/Wake button first). You can also press and hold two fingers on the screen to play your PowerSong. Set your PowerSong in Settings > Fitness before you start the workout. End a workout Tap the screen (if the screen is dark, click the Sleep/Wake button first), tap , and then tap End Workout. Hear spoken feedback Stop your workout. iPod nano speaks your workout statistics for quick reference. If you're using Apple earphones that have a remote, you can press and hold the center button to hear current statistics such as pace, distance, and calories burned as you’re working out. Calibrating iPod nano For more accurate workout statistics, make sure your height and weight are set accurately and calibrate iPod nano more than one time. Each time you calibrate iPod nano, its accuracy improves. Calibrate iPod nano: 1 Tap Run, and then set your height and weight if you haven’t already done so. 2 Tap a workout type (see “Set up a Run workout:” on page 36). 3 Walk or run for at least one-quarter mile (0.4 kilometers). 4 End your workout, and then tap Calibrate. The Calibrate button appears at the bottom of the workout summary if the workout qualified for calibration. You can calibrate or recalibrate any time the Calibrate button appears at the bottom of a workout summary. If you want to start over, you can reset calibration. Chapter 7 Fitness 37Reset calibration: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Fitness, and then swipe up. 3 Tap Reset Calibration, and then tap Walk Calibration or Run Calibration. Choose the option that best reflects which pace you want to recalibrate. For example, if you mostly walked during calibration, choose that option. 4 Tap Reset Calibration again, or tap Cancel if you change your mind. 5 Start a Run workout and tap the Calibrate button when it appears. If your weight has changed, you can update it in Fitness Settings. Update your weight: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap Fitness, and then tap Weight. 3 Flick the dials to set your new weight, and then tap Done. Viewing and managing fitness data iPod nano tracks a range of exercise statistics, so you can monitor progress on your fitness goals. You can use iTunes to upload your steps and other workout information to the Nike+ website, where you can set a goal, challenge your friends, and track your progress. View your step totals: 1 On the Home screen, tap Fitness, and then tap Walk. The first Walk screen shows these statistics:  Calories burned  Total time iPod nano has been tracking your steps  Your daily goal, if you set one  Distance covered 2 Swipe left to see step counts for the day, week, month, and total overall. Note: Calories burned are estimates, and actual calories may vary. For more information, consult your physician. History provides more detail about your walks and workouts. View your exercise history: 1 On the Home screen, tap Fitness, and then tap History. 2 Tap an option:  Personal Bests lists best times for runs of different distances, from one kilometer to a marathon.  Workout Totals shows the total number of workouts tracked, and gives the greatest distance run, total distance run, total time, and total calories burned.  Date listings at the bottom give all your walk and workout totals by date. Walks and workouts are grouped by type, so you can find them easily. 38 Chapter 7 FitnessClear workout data from iPod nano: 1 On the Home screen, tap Fitness, and then tap History. 2 Tap the month you want to clear. 3 Flick down, and then tap Clear. A dialog asks if you want to clear the workout history for the month. 4 Tap Delete All, or tap Cancel if you change your mind. You can use iTunes to upload your steps and other workout information to the Nike+ website. You need a Nike+ account, which you can set up the first time you sync workout data in iTunes. Upload your steps or workout information to Nike+: 1 Connect iPod nano to your computer and open iTunes. 2 Click Send in the dialog that appears, and then follow the onscreen instructions to set up your Nike+ account. Once you set up your account, a Nike + iPod tab appears in the iTunes window. 3 Click the Nike + iPod tab, and then select “Automatically send workout data to Nike+” if it isn’t selected already. 4 Click Apply. To view and share your information on the Nike website, click Visit Nike+ in the Nike + iPod pane when iPod nano is connected to your computer, or go to www.nikeplus.com and log in to your account. With a Nike + iPod Sport Kit (sold separately), you can set up and use a compatible heart rate monitor to track your heart rate on iPod nano as you exercise. When you connect iPod nano to a Nike + iPod compatible cardio machine, you may be able to control iPod nano from the equipment and save your workout data on iPod nano. Set up the Nike + iPod Sport Kit on iPod nano: 1 Connect a Nike + iPod receiver to the dock connector on iPod nano. 2 On the Home screen, tap Settings. 3 Tap Fitness, and then tap Nike + iPod Sport Kit. You see this option in Settings only when the receiver is connected to iPod nano. 4 Tap the accessory you want to set up (Sensor, Remote, or Heart Rate Monitor). For information about setting up and using Nike + iPod, see the Nike + iPod documentation. Chapter 7 Fitness 39Photos 8 Syncing photos iPod nano lets you carry photos with you, so you can share them with your family, friends, and associates. You can sync photos from your computer, and view them as a slideshow on iPod nano or on your TV. Adding photos from your computer If you have a Mac and iPhoto 8.0 (part of iLife ’09) or later, you can view your photos by events and faces you’ve identified. If you have a PC or Mac, you can also add photos to iPod nano from a folder on your hard disk. Adding photos to iPod nano the first time might take some time, depending on how many photos are in your photo library. Sync photos from a Mac to iPod nano using iPhoto: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Photos tab. 2 Select “Sync Photos …,” and then choose iPhoto from the pop-up menu. 3 Select whether you want to include all of your photos, or only selected ones. If you choose the second option, click the pop-up menu to make further refinements. Then select the Albums, Events, and Faces to sync. 4 Click Apply. Each time you connect iPod nano to your computer, photos are synced automatically. Add photos from a folder on your hard disk to iPod nano: 1 Drag the images to a folder on your computer. If you want images to appear in separate photo albums on iPod nano, create folders within the main image folder and drag images to the new folders. 2 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Photos tab. 3 Select “Sync Photos …” 4 Select “Choose Folder …” from the pop-up menu, and then select the image folder. 5 Select either “All folders” or “Selected folders.” If you choose the second option, select the folders that you want to sync. 6 Click Apply. 40Adding full-resolution image files to iPod nano When you add photos to iPod nano, iTunes optimizes the photos for viewing. Full-resolution image files aren’t transferred by default. Adding full-resolution image files is useful if you want to move them from one computer to another, but it isn’t necessary for viewing the images on iPod nano. Add full-resolution image files to iPod nano: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Photos tab. 2 Select “Include full-resolution photos.” 3 Click Apply. iTunes copies the full-resolution versions of the photos to the Photos folder on iPod nano. To retrieve them, see the following section, “Adding photos from iPod nano to a computer.” Adding photos from iPod nano to a computer If you add full-resolution photos from your computer to iPod nano, they’re stored in a Photos folder on iPod nano. You can connect iPod nano to a computer and add these photos to the computer. Add photos from iPod nano to a computer: 1 Connect iPod nano to the computer. 2 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Summary tab. 3 In the Options section, select “Enable disk use.” 4 Click Apply. When you use iPod nano as an external disk, the iPod nano disk icon appears on the desktop (Mac), or as the next available drive letter in Windows Explorer (Windows PC). 5 Drag image files from the Photos folder on iPod nano to the desktop or to a photo editing application on the computer. You can also use a photo editing application, such as iPhoto, to add photos stored in the Photos folder on iPod nano. See the documentation that came with the application for more information. Removing photos from iPod nano If iPod nano is being used as an external disk, you can delete full resolution images from the Photos folder on iPod nano. Delete photos from only the Photos folder on iPod nano: 1 Connect iPod nano to the computer. 2 Navigate to the Photos folder on iPod nano and delete the photos you no longer want. 3 Eject iPod nano before disconnecting. You can change sync settings to remove all photos from iPod nano, including full resolution images. Delete all photos from iPod nano: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Photos tab. 2 Select “Sync photos from: …” The checkbox is already selected, and clicking it again deselects it. A dialog appears asking for verification. 3 Click Remove Photos in the dialog that appears. No photos are removed until you click Apply. If you change your mind, select Sync Photos again. 4 Click Apply. Chapter 8 Photos 41Delete selected photos: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Photos tab. 2 Select “Selected albums, events, and faces …” 3 Deselect the items you want to remove from iPod nano, and then click Apply. Viewing photos on iPod nano You can view photos on iPod nano individually, or as a slideshow. Viewing individual photos Your photos are grouped into albums for easy browsing on iPod nano. If you use iPhoto, you can also sync Events and Faces, and then view photos this way. When you view individual photos, you can zoom in or out and move a zoomed photo around to display a particular part of the image. View photos on iPod nano: 1 On the Home screen, tap Photos. 2 Tap an album or other group of photos (flick to see all the albums). 3 Flick up or down to see thumbnail images of your photos. Tap a thumbnail to view the full-size image. 4 Swipe left or right to scroll through all the photos in the album. 5 Tap a photo to see controls, and tap to return to the thumbnail view. 42 Chapter 8 PhotosHere are ways you can view and manipulate your photos: To Do this Quickly find a photo in the thumbnail view Flick up or down. View a photo thumbnail at full size Tap the photo thumbnail. See the next or previous photo in an album Tap the photo in the album, swipe left or right across the photo, and then tap or . Quickly enlarge or reduce a photo Double-tap the full size photo to zoom in. Double-tap again to zoom out. If you use Faces in iPhoto, double-tapping zooms in on the subject’s face. View a different part of a zoomed photo Drag the photo on the screen. Return to the album thumbnail view Tap . View the album as a slideshow Tap a photo in the album, and then tap . If music is playing, it becomes the slideshow soundtrack. Pause and resume a slideshow Tap the screen to pause, then tap to resume. Change slideshow settings On the Home screen, tap Settings, and then tap Photos. Tap the settings you want to change. You can set the slideshow speed and choose a transition style, shuffle the photos, and have the slideshow repeat. You can also set the TV signal if you want to view the slideshow on your TV. Chapter 8 Photos 43Other Features 9 Tracking time You can use the clock on iPod nano to keep track of time, count down to an event, or set an alarm. Changing the clock face iPod nano comes with different clock faces that change the function or style of the clock. Some clock faces even reflect the color of your iPod nano case. Change the clock face: 1 On the Home screen, tap Settings. 2 Tap General, and then tap Date & Time. 3 Tap Clock Face, and then flick down to see more choices. 4 Tap a clock face, and then tap Set. If Time On Wake is not turned on in Settings, you can also tap the clock face when it’s visible, then tap the left and right arrows to scroll through all the available clock faces. Stop when you see the one you want, and it becomes the default clock face until you change it. Here are some more ways to change how you view time on iPod nano: To Do this Set the time, date, and time zone On the Home screen, tap Settings > General > Date & Time, and then tap the setting you want to change (Date, Time, or Time Zone). Show time with a 24-hour clock On the Home screen, tap Settings > General > Date & Time, and then tap next to 24 Hour Clock, to turn it On. Show the clock face when iPod nano wakes from sleep On the Home screen, tap Settings > General > Date & Time, and then tap next to Time On Wake, to turn it On. Remove the clock icon from the Home screen On the Home screen, tap Settings > General > Home Screen, and then tap next to Clock, to turn it Off. If you’ve set the clock to show on waking, you can click the Sleep/Wake button to see the time, and you can change the clock face or set other Clock preferences in Settings. 44Using the stopwatch iPod nano has a stopwatch for timing events and tracking intervals, such as laps. You can play music or other audio while you use the stopwatch. Use the stopwatch: 1 On the Home screen, tap Clock. 2 Swipe left to see the stopwatch controls. 3 Tap Start.  To record laps, tap Lap after each lap.  To pause the stopwatch, tap Stop, and then tap Start to resume. 4 Tap Stop when you finish, and then tap next to the time in the status bar, to review lap times. iPod nano stores the last session’s lap statistics. Be sure to review lap times before you start a new session. Tapping Reset deletes the information. Using the timer You can use the countdown timer on iPod nano to set an alarm, or to set a sleep timer that turns off iPod nano automatically. The timer continues to run while iPod nano is turned off, but you won’t hear the alarm sound. Use iPod nano as an alarm clock: 1 On the Home screen, tap Clock. 2 Swipe left twice to see the timer controls. 3 Flick to set the hours and minutes until the alarm goes off, and then tap . 4 Tap an alert sound, and then tap Set. 5 Tap Start when you’re ready to start the timer. Chapter 9 Other Features 45Delete an alarm: 1 On the Home screen, tap Clock. 2 Swipe left twice to see the timer controls. 3 Tap Stop. You can set a sleep timer to turn off iPod nano automatically after playing music or other content for a specified period of time. Set the sleep timer: 1 On the Home screen, tap Clock. 2 Swipe left twice to see the timer controls. 3 Flick to set the hours and minutes, and then tap . 4 Tap Sleep iPod, and then tap Set. 5 Tap Start when you’re ready. Recording voice memos You can record voice memos using the optional Apple Earphones with Remote and Mic (available for purchase at www.apple.com/ipodstore). The Voice Memo icon appears on the Home screen when you have saved Voice Memos on iPod nano, unless you turn this off in Settings. Connect Apple Earphones with Remote and Mic (or a supported third-party accessory) to the iPod nano earphone port, and then tap Voice Memos on the Home screen. Here are ways to record and play back your recordings: To Do this Start recording, or resume after pausing Tap to begin recording. The status bar shows the elapsed time. Pause recording Tap . Stop recording Tap . Play back a recording Tap on the Voice Memos screen. Tap a recording, and then tap next to the memo. 46 Chapter 9 Other FeaturesYour saved recordings are listed by date and time, but you can label recordings to help you identify them. Label a recording: 1 On the Voice Memos screen, tap . 2 Tap a recording in the list. 3 Tap Label, and then tap one of the choices. You can choose Memo, Podcast, Interview, Lecture, Idea, or Meeting. The recording appears in the list with the label you chose, along with the date and time of the recording. Delete a recording: 1 Tap on the Voice Memos screen. 2 Tap Edit. 3 Tap next to the recording, and then tap Delete. 4 When you finish, tap Done. Sync voice memos with your computer: m If iPod nano is set to sync songs automatically: Voice memos on iPod nano are synced to a playlist in iTunes named Voice Memos (and removed from iPod nano) when you connect iPod nano. See “Automatic syncing” on page 17. m If iPod nano is set to sync songs manually: iTunes asks if you want to sync new voice memos the next time you sync. See “Managing iPod nano manually” on page 18. Voice memos are saved as M4A files in a Recordings folder on iPod nano. If you enable iPod nano for disk use, you can copy voice memos from the folder. For information about using iPod nano as an external disk, see the following section, “Using iPod nano as an external disk.” Using iPod nano as an external disk You can use iPod nano as an external disk to store data files. The iPod nano disk icon appears on the desktop (Mac), or as the next available drive letter in Windows Explorer (Windows PC). Drag files to or from iPod nano to copy them. In external disk mode, you don’t see songs you added using iTunes. And if you drag files to iPod nano in the Mac Finder or Windows Explorer, you won’t be able to play them on iPod nano. Enable iPod nano as an external disk: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Summary tab. 2 In the Options section, select “Enable disk use.” 3 Click Apply. Chapter 9 Other Features 47If you use iPod nano primarily as an external disk, you might want to keep iTunes from opening automatically when you connect iPod nano to your computer. Prevent iTunes from opening automatically when you connect iPod nano to your computer: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Summary tab. 2 In the Options section, deselect “Open iTunes when this iPod is connected.” 3 Click Apply. Using the Apple Earphones with Remote and Mic The Apple Earphones with Remote and Mic (shown here) are available separately. They feature a microphone, volume buttons, and an integrated button that let you control audio playback and hear track announcements. Mic button Connect the earphones to listen to music, or record a voice memo using the built-in microphone. Press the center button on the mic to control music playback and hear track announcements. To Do this Pause a song or workout Press the center button. Press again to resume playback. Skip to the next song Press the center button twice quickly. Skip to the previous song Press the center button three times quickly. Fast-forward Press the center button twice quickly and hold. Rewind Press the center button three times quickly and hold. Adjust the volume Press the + or – button. Hear the current track announcement Press and hold the center button until you hear the current song title and artist name. If you’re listening to an audiobook, podcast, or iTunes U, you hear the book title and author’s name or episode information. Choose a different playlist Press and hold the center button through the announcement of the current song title and artist name, until you hear the first playlist. Click the + or – button to move forward or backward through the list of playlists. When you hear the one you want, click the center button. 48 Chapter 9 Other FeaturesAccessibility 10 Universal Access features Accessibility features make it easier for users with visual, auditory, or other physical disabilities to use iPod nano. These features include:  VoiceOver  Mono Audio  White on Black You can turn these features on or off on iPod nano, or in iTunes. Turn on accessibility features in iTunes: 1 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Summary tab. 2 In the Options section, select Configure Universal Access. 3 Select the options you want to use, and then click OK. 4 Click Apply. See the sections below for information about turning accessibility features on or off on iPod nano. For more information about accessibility features on your Mac and iPod nano, go to www.apple.com/accessibility. VoiceOver VoiceOver describes aloud what appears onscreen, so that you can use iPod nano without seeing the screen. VoiceOver speaks the language you specify in Accessibility settings on iPod nano. VoiceOver is available for many languages, but not all. VoiceOver tells you about each element on the screen as it’s selected. When an element is selected, it’s enclosed by a black rectangle and VoiceOver speaks the name or describes the item. The rectangle is referred to as the VoiceOver cursor. If text is selected, VoiceOver reads the text. If a control (such as a button or switch) is selected, VoiceOver may tell you the action of the item or provide instructions—for example, “double-tap to open.” Set up VoiceOver on iPod nano: 1 Connect earphones or headphones to iPod nano. 2 On the Home screen, tap Settings, and then tap General. 3 Flick up, and then tap Accessibility. 494 Tap VoiceOver, then flick up to set any of these options:  Speak Hints: Explains how to interact with the item in the VoiceOver cursor. You may want to turn this on to help you learn how to use iPod nano, and turn it off later.  Speaking Rate: Increases or decreases the rate of speech for VoiceOver. This does not affect the speech rate for audiobooks or podcasts.  Language: Sets the language for VoiceOver. It should match the language set for iPod nano. 5 Tap VoiceOver, and then tap the On/Off switch to turn VoiceOver On. If this is the first time you turned on VoiceOver on iPod nano, a dialog appears. 6 Tap OK in the dialog, and then double-tap OK to confirm. If you can’t see the screen, move your finger until you hear “OK button,” and then double-tap with one finger. If you do nothing for 15 seconds, the dialog disappears and VoiceOver turns off. When VoiceOver is on, you use a different set of gestures to control iPod nano. If you change your mind and want to turn VoiceOver off, double-tap with two fingers to move the switch to Off. If you navigate away from the Settings screen, you need to use VoiceOver gestures to return to the setting and turn it off. Turn off VoiceOver on iPod nano using VoiceOver gestures: 1 Swipe right or left with two fingers until you see or hear “Home. Settings.” If the icons have been rearranged, or if there are more than four Home screens, you may hear something different. 2 Slide one finger around the screen until you hear “Settings.” 3 Double-tap to open Settings. 4 Slide your finger up or down the screen until you see or hear General, and then double-tap. 5 Slide your finger up or down the screen until you see or hear “Accessibility,” and then double-tap. 6 Slide your finger up or down the screen until you see or hear VoiceOver, and then double-tap. 7 Double-tap when you hear “VoiceOver switch button on.” You hear “VoiceOver off” to confirm the setting. You can once again use standard gestures to control iPod nano. 50 Chapter 10 AccessibilityVoiceOver gestures When VoiceOver is turned on, use the following gestures to control iPod nano: To Do This Read the screen starting at the top Flick up with two fingers. Read the screen from the current selection Flick down with two fingers. Pause or continue speech when reading dialogs and other text Tap the screen with one finger. Select the item in the VoiceOver cursor Tap the screen with one finger. Activate the item in the VoiceOver cursor Double-tap with one finger. Scroll left one screen Swipe right with two fingers. Scroll right one screen Swipe left with two fingers. Scroll up one screen in a list or menu Flick down with one finger. Scroll down one screen in a list or menu Flick up with one finger. Start or stop the current action Tap with two fingers. Increase or decrease the value of a selected control Flick up with one finger to increase the value, or flick down with one finger to decrease the value. Return to the Home screen Double-tap with one finger and hold. Mono Audio Mono Audio combines the sound of the left and right channels into a monaural signal that plays through both sides of your earphones. This enables users with a hearing impairment in one ear to hear both channels with the other ear. Turn Mono Audio on or off: 1 On the Home screen, tap Settings, and then tap General. 2 Tap Accessibility. 3 Tap the On/Off switch next to Mono Audio. White on Black Use White on Black to invert the colors on the iPod nano screen, which may make it easier to read. When White on Black is on, the screen looks like a photographic negative. Turn “White on Black” on or off: 1 On the Home screen, tap Settings, and then tap General. 2 Tap Accessibility. 3 Tap the On/Off switch next to “White on Black.” Chapter 10 Accessibility 51Tips and Troubleshooting 11 Most problems with iPod nano can be solved quickly by following the advice in this chapter. The 5 Rs: Reset, Retry, Restart, Reinstall, Restore Remember these five basic suggestions if you have a problem with iPod nano. Try these steps one at a time until your issue is resolved. If one of the following doesn’t help, read on for solutions to specific problems.  Reset iPod nano. See “General suggestions,” below.  Retry with a different USB port if you cannot see iPod nano in iTunes.  Restart your computer, and make sure you have the latest software updates installed.  Reinstall iTunes software from the latest version on the web.  Restore iPod nano. See “Updating and restoring iPod software” on page 56. General suggestions Most problems with iPod nano can be solved by resetting it. Reset iPod nano: m First, make sure iPod nano is charged. Then press the Sleep/Wake button and the Volume Down button for 6 seconds, until the Apple logo appears. If iPod nano won’t turn on or respond m The iPod nano battery might need to be recharged. Connect iPod nano to a USB 2.0 port on your computer or to an Apple USB Power Adapter and let the battery recharge. Look for the lightning bolt icon on the iPod nano screen to verify that iPod nano is receiving a charge. Note: The USB port on most keyboards doesn’t provide enough power to charge iPod nano. Connect iPod nano to a USB 2.0 port on your computer. m Try the 5 Rs, one by one, until iPod nano responds. If you want to disconnect iPod nano, but you see the message “Connected” or “Sync in Progress” m If iPod nano is syncing music, wait for it to finish. m Select iPod nano in the iTunes device list and click the Eject (C) button. m If iPod nano disappears from the device list in iTunes, but you still see the “Connected” or “Sync in Progress” message on the iPod nano screen, disconnect iPod nano. 52m If iPod nano doesn’t disappear from the device list in iTunes, drag the iPod nano icon from the desktop to the Trash if you’re using a Mac. If you’re using a Windows PC, eject the device in My Computer or click the Safely Remove Hardware icon in the system tray and select iPod nano. If you still see the “Connected” or “Sync in Progress” message, restart your computer and eject iPod nano again. If iPod nano isn’t playing music m Make sure the earphone or headphone connector is pushed in all the way. To see an illustration, go to support.apple.com/kb/ts3700. m Make sure the volume is adjusted properly. A maximum volume limit might be set. You can change or remove it in Settings. See “Setting the maximum volume limit” on page 24. m Make sure you’re using iTunes 10.0 or later (available at www.itunes.com/downloads). Songs purchased from the iTunes Store using earlier versions of iTunes won’t play on iPod nano until you upgrade iTunes. m If you’re using the Apple Universal Dock, make sure iPod nano is seated firmly in the dock and make sure all cables are connected properly. If you connect iPod nano to your computer and nothing happens m Make sure you have installed the latest iTunes software from www.itunes.com/downloads. m Try connecting to a different USB port on your computer. Note: A USB 2.0 port is recommended to connect iPod nano. USB 1.1 is significantly slower than USB 2.0. If you have a Windows PC that doesn’t have a USB 2.0 port, in some cases you can purchase and install a USB 2.0 card. m iPod nano might need to be reset (see page 52). m If you’re connecting iPod nano to a portable computer using the Apple Dock Connector to USB Cable, connect the computer to a power outlet before connecting iPod nano. m Make sure you have the required computer and software. See “If you want to check the system requirements” on page 55. m Check the cable connections. Disconnect the cable at both ends and make sure no foreign objects are in the USB ports. Then reconnect the cable. Make sure the connectors on the cables are oriented correctly. They can be inserted only one way. m Try restarting your computer. m If none of the previous suggestions solves your problems, you might need to restore iPod nano software. See “Updating and restoring iPod software” on page 56. If music stops when the iPod nano screen turns off m Make sure the earphone port is free of debris. m Make sure the earphone or headphone connector is pushed in all the way. To see an illustration, go to support.apple.com/kb/ts3700. If iPod nano displays a “Connect to Power” message m This message may appear if iPod nano is exceptionally low on power and the battery needs to be charged before iPod nano can communicate with your computer. To charge the battery, connect iPod nano to a USB 2.0 port on your computer. Leave iPod nano connected to your computer until the message disappears and iPod nano appears in iTunes or the Finder. Depending on how depleted the battery is, you may need to charge iPod nano for up to 30 minutes before it will start up. To charge iPod nano more quickly, use the optional Apple USB Power Adapter. Chapter 11 Tips and Troubleshooting 53If iPod nano displays a “Use iTunes to restore” message m Make sure you have the latest version of iTunes on your computer (download it from www.itunes.com/downloads). m Connect iPod nano to your computer. When iTunes opens, follow the onscreen prompts to restore iPod nano. m If restoring iPod nano doesn’t solve the problem, iPod nano may need to be repaired. You can arrange for service at the iPod Service & Support website at www.apple.com/support/ipod. If you can’t add a song or other item to iPod nano m The song may be in a format that iPod nano doesn’t support. The following audio file formats are supported by iPod nano. These include formats for audiobooks and podcasting:  AAC (M4A, M4B, M4P, up to 320 Kbps)  Apple Lossless (a high-quality compressed format)  MP3 (up to 320 Kbps)  MP3 Variable Bit Rate (VBR)  WAV  AA (audible.com spoken word, formats 2, 3, and 4)  AIFF A song encoded using Apple Lossless format has CD-quality sound, but takes up only about half as much space as a song encoded using AIFF or WAV format. The same song encoded in AAC or MP3 format takes up even less space. When you import music from a CD using iTunes, it’s converted to AAC format by default. If you have a song in iTunes that isn’t supported by iPod nano, you can convert it to a format iPod nano supports. For more information, see iTunes Help. Using iTunes for Windows, you can convert nonprotected WMA files to AAC or MP3 format. This can be useful if you have a library of music encoded in WMA format. iPod nano doesn’t support audible.com format 1, MPEG Layer 1, MPEG Layer 2, or WMA audio files. If iPod nano displays a “Connect to iTunes to activate Genius” message m You haven’t turned on Genius in iTunes, or you haven’t synced iPod nano since you turned on Genius in iTunes. See “Creating Genius playlists” on page 27. If iPod nano displays a “Genius is not available for the selected song” message m Genius is on but is unable to make a Genius playlist using the selected song. New songs are regularly added to the iTunes Store Genius database, so try again soon. If iPod nano can’t receive a radio signal m Make sure the earphones or headphones are fully connected. m Try relocating the earphone or headphone cord, and make sure the cord isn’t coiled or twisted. m Move to an area with better reception, such as near a window or outside. If you accidentally set iPod nano to use a language you don’t understand m You can reset the language: 1 From the Home screen, tap Settings. 2 Tap the third menu item from the top (General). 3 Flick to the end of the list and tap the last menu item (Language). 4 Tap your language, and then tap the button at the top of the menu (Done). 54 Chapter 11 Tips and Troubleshootingm You can also reset all settings (your synced content isn’t deleted or modified). Tap Settings, then tap the last item in the menu (Reset Settings), and then tap the red button (Reset). m If you can’t recognize the Reset Settings menu item, you can restore iPod nano to its original state and choose a language. See “Updating and restoring iPod software” on page 56. If iPod nano is unresponsive and you see a box around items on the screen m VoiceOver may be turned on, and you must use VoiceOver gestures to turn it off (see “Turn off VoiceOver on iPod nano using VoiceOver gestures:” on page 50). If iPod nano speaks the text on the screen m VoiceOver may be turned on, and you must use VoiceOver gestures to turn it off (see “Turn off VoiceOver on iPod nano using VoiceOver gestures:” on page 50). If you want to check the system requirements To use iPod nano, you must have: m One of the following computer configurations:  A Mac with a USB 2.0 port  A Windows PC with a USB 2.0 port or a USB 2.0 card installed m One of the following operating systems:  Mac OS X v10.5.8 or later  Windows 7  Windows Vista  Windows XP Home or Professional with Service Pack 3 or later m iTunes 10.0 or later (download it from www.itunes.com/downloads) If your Windows PC doesn’t have a USB 2.0 port, you can purchase and install a USB 2.0 card. For more information about cables and compatible USB cards, go to www.apple.com/ipod. On the Mac, iPhoto 8.1 or later is required in order to use all iPod nano photo features. This software is optional. iPhoto might already be installed on your Mac, so check in the Applications folder. On both Mac and Windows PC, iPod nano can sync digital photos from folders on your computer’s hard disk. If you want to use iPod nano with both a Mac and a Windows PC m If you’re using iPod nano with a Mac and you want to use it with a Windows PC, you must restore the iPod software for use with the PC (see “Updating and restoring iPod software” on page 56). Restoring the iPod software erases all data from iPod nano, including all songs. Important: Restoring the iPod software erases all data from iPod nano, including songs. You cannot switch from using iPod nano with a Mac to using it with a Windows PC, without erasing all data on iPod nano. Chapter 11 Tips and Troubleshooting 55Updating and restoring iPod software You can use iTunes to update or restore iPod software. You should update iPod nano to use the latest software. You can also restore the software, which puts iPod nano back to its original state.  If you choose to update, the software is updated, but your settings and songs aren’t affected.  If you choose to restore, all data is erased from iPod nano, including songs, videos, files, photos, and any other data. All iPod nano settings are restored to their original state. Update or restore iPod software: 1 Make sure you have an Internet connection and have installed the latest version of iTunes from www.itunes.com/downloads. 2 Connect iPod nano to your computer. 3 In iTunes, select iPod nano in the device list and click the Summary tab. The Version section tells you whether iPod nano is up to date or needs a newer version of the software. 4 Click Update to install the latest version of the software. Important: Restoring the iPod software erases all data from iPod nano, including songs. 5 If necessary, click Restore to restore iPod nano to its original settings (this erases all data from iPod nano). Follow the onscreen instructions to complete the restore process. 56 Chapter 11 Tips and TroubleshootingSafety and Cleaning 12 WARNING: To avoid injury, read all operating instructions and safety information in this guide · before using iPod nano. Keep this safety information and the iPod nano User Guide handy for future reference. For downloadable versions of the iPod nano User Guide and the latest safety information, visit support.apple.com/manuals/ipod. Important safety and handling information WARNING: Failure to follow these safety instructions could result in fire, electric shock, or other injury or damage. Carrying and handling iPod nano iPod nano contains sensitive components. Do not drop, disassemble, microwave, burn, paint, or insert foreign objects into iPod nano. Do not use iPod nano if it has been damaged—for example, if iPod nano is cracked, punctured, or damaged by water. The front cover of iPod nano is made of glass. This glass could break if iPod nano is dropped on a hard surface or is subjected to a substantial impact or is crushed, bent, or deformed. If the glass chips or cracks, do not touch or attempt to remove the broken glass. Stop using iPod nano until the glass is replaced by Apple or an Apple Authorized Service Provider. Glass cracked due to misuse or abuse is not covered under the warranty. If you are concerned about scratching or abrasion, use a case, sold separately. Avoiding water and wet locations Do not expose iPod nano to water or rain, or handle iPod nano near wet locations—for example, near washbasins or toilets. Take care not to spill any food or liquid on iPod nano. In case iPod nano gets wet, unplug all cables, turn off iPod nano before cleaning, and allow it to dry thoroughly before turning it on again. Do not attempt to dry iPod nano with an external heat source, such as a microwave oven or hair dryer. Damage to iPod nano caused by contact with liquid is not covered under the warranty. Repairing or modifying iPod nano Never attempt to repair or modify iPod nano by yourself. iPod nano does not contain any user-serviceable parts. Disassembling iPod nano may cause damage that is not covered under the warranty. If iPod nano has been submerged in water, punctured, or subjected to a severe fall, do not use it until you take it to an Apple Authorized Service Provider. Service should only be provided by Apple or an Apple Authorized Service Provider. For service information, go to www.apple.com/support/ipod. Replacing the battery Do not attempt to replace the rechargeable battery in iPod nano yourself. The rechargeable battery should be replaced only by Apple or an Apple Authorized Service Provider. For more information about battery replacement services, go to www.apple.com/batteries/replacements.html. 57Keeping the outside of iPod nano clean Clean iPod nano immediately if it comes into contact with any contaminants that may cause stains, for example, ink, dyes, makeup, dirt, food, oils, and lotions. To clean iPod nano, unplug all cables and turn off iPod nano (press and hold the Sleep/Wake button). Then use a soft, slightly damp, lint-free cloth. Avoid getting moisture in openings. Don't use window cleaners, household cleaners, aerosol sprays, solvents, alcohol, ammonia, or abrasives to clean iPod nano. Charging iPod nano To charge iPod nano, use only the included Apple Dock Connector to USB Cable with an Apple USB Power Adapter, or a high-power USB port on another device that is compliant with the USB 2.0 standard; another Apple branded product or accessory designed to work with iPod nano; or a third-party accessory certified to use Apple’s “Made for iPod” logo. Read all safety instructions for any products and accessories before using with iPod nano. Apple is not responsible for the operation of third-party accessories or their compliance with safety and regulatory standards. When you use the Apple USB Power Adapter to charge iPod nano, make sure that the power adapter is fully assembled before you plug it into a power outlet. Then insert the Apple USB Power Adapter firmly into the power outlet. Do not connect or disconnect the Apple USB Power Adapter with wet hands. The Apple USB Power Adapter may become warm during normal use. Always allow adequate ventilation around the Apple USB Power Adapter and use care when handling. Unplug the Apple USB Power Adapter if any of the following conditions exist:  The power cord or plug has become frayed or damaged.  The adapter is exposed to rain, liquids, or excessive moisture.  The adapter case has become damaged.  You suspect the adapter needs service or repair.  You want to clean the adapter. Avoiding hearing damage Permanent hearing loss may occur if the earbuds or headphones are used at high volume. Use only compatible earbuds or headphones with iPod nano. Turn on the audio and check the volume before inserting anything in your ear. You can adapt over time to a higher volume of sound that may sound normal but can be damaging to your hearing. If you experience ringing in your ears or muffled speech, stop listening and have your hearing checked. The louder the volume, the less time is required before your hearing could be affected. Hearing experts suggest that to protect your hearing:  Limit the amount of time you use earbuds or headphones at high volume.  Avoid turning up the volume to block out noisy surroundings.  Turn the volume down if you can’t hear people speaking near you. For information about how to set a maximum volume limit on iPod nano, see “Setting the maximum volume limit” on page 24. Driving and riding safely Use of iPod nano while driving a vehicle or riding a bicycle may be distracting. If you find using iPod nano disruptive or distracting while driving or riding, pull off the road and park before using iPod nano. Use of iPod nano alone or with headphones (even if used only in one ear) while driving or riding is not recommended and is illegal in some areas. Check and obey the laws and regulations on the use of mobile devices like iPod nano in areas where you drive or ride. For vehicles equipped with an air bag An air bag inflates with great force. Do not store iPod nano or any of its accessories in the area over the air bag or in the air bag deployment area. Aircraft Use of iPod nano may be prohibited while traveling in aircraft. 58 Chapter 12 Safety and CleaningExercising Before starting any exercise program, you should consult with a physician and have a complete physical examination. Do a warmup or stretching exercise before beginning any workout. Be careful and attentive while exercising. Slow down, if necessary, before adjusting your device while running. Stop exercising immediately if you feel pain, or feel faint, dizzy, exhausted, or short of breath. By exercising, you assume the risks inherent in physical exercise, including any injury that may result from such activity. Using connectors and ports Never force a connector into a port or apply excessive pressure to a button because this may cause damage that is not covered under warranty. If the connector and port don’t join with reasonable ease, they probably don’t match. Check for obstructions and make sure that the connector matches the port and that you have positioned the connector correctly in relation to the port. Keeping iPod nano within acceptable temperatures iPod nano is designed to be operated in temperatures between 0º and 35º C (32º to 95º F) and stored in temperatures between -20º and 45º C (-4º to 113º F). Low- or high-temperature conditions might temporarily shorten battery life or cause iPod nano to temporarily stop working properly. Leaving iPod nano in a parked vehicle or in direct sunlight can cause iPod nano to exceed these storage or operating temperature ranges. Avoid dramatic changes in temperature or humidity when using iPod nano as condensation may form on or within iPod nano. When you’re using iPod nano or charging the battery, it is normal for iPod nano to get warm. The exterior of iPod nano functions as a cooling surface that transfers heat from inside the unit to the cooler air outside. Potentially explosive atmospheres Turn off iPod nano when in any area with a potentially explosive atmosphere. Do not charge iPod nano, and obey all signs and instructions. Sparks in such areas could cause an explosion or fire resulting in serious injury or even death. Areas with a potentially explosive atmosphere are often, but not always, marked clearly. Potential areas may include: fueling areas (such as gas stations); fuel or chemical transfer or storage facilities; vehicles using liquefied petroleum gas (such as propane or butane); areas where the air contains chemicals or particles (such as grain, dust, or metal powders); and any other area where you would normally be advised to turn off your vehicle engine. Disposing of iPod nano properly For information about the proper disposal of iPod nano, including other important regulatory compliance information, see “Disposal and Recycling Information” on page 61. Chapter 12 Safety and Cleaning 59Learning More, Service, and Support 13 Look here for iPod-related software and service information. To learn about Do this Service and support, discussions, tutorials, and Apple software downloads Go to: www.apple.com/support/ipodnano Using iTunes Open iTunes and choose Help > iTunes Help. For an online iTunes tutorial (available in some areas only), go to: www.apple.com/support/itunes Using iPhoto (on Mac OS X) Open iPhoto and choose Help > iPhoto Help. The latest information about iPod nano Register iPod nano. To register, install iTunes on your computer and connect iPod nano. Finding the iPod nano serial number Look at the inside clip edge of iPod nano, or tap Settings > About and flick down. In iTunes (with iPod nano connected to your computer), select iPod nano in the device list and click the Summary tab. Obtaining warranty service First follow the advice in this guide, the onscreen help, and online resources. Then go to: www.apple.com/support/ipodnano 60Regulatory Compliance Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or TV reception is suspected. Radio and TV Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and TV reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or TV reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures:  Turn the TV or radio antenna until the interference stops.  Move the computer to one side or the other of the TV or radio.  Move the computer farther away from the TV or radio.  Plug the computer in to an outlet that is on a different circuit from the TV or radio. (That is, make certain the computer and the TV or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/TV technician for additional suggestions. Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product was tested for EMC compliance under conditions that included the use of Apple peripheral devices and Apple shielded cables and connectors between system components. It is important that you use Apple peripheral devices and shielded cables and connectors between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, TV sets, and other electronic devices. You can obtain Apple peripheral devices and the proper shielded cables and connectors through an Apple Authorized Reseller. For non-Apple peripheral devices, contact the manufacturer or dealer for assistance. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Inc. Corporate Compliance 1 Infinite Loop, MS 26-A Cupertino, CA 95014 Industry Canada Statement This device complies with Industry Canada license- exempt RSS standard(s). Operation is subject to the following two conditions: (1) this device may not cause interference, and (2) this device must accept any interference, including interference that may cause undesired operation of the device. Cet appareil est conforme aux normes CNR exemptes de licence d’Industrie Canada. Le fonctionnement est soumis aux deux conditions suivantes : (1) cet appareil ne doit pas provoquer d’interférences et (2) cet appareil doit accepter toute interférence, y compris celles susceptibles de provoquer un fonctionnement non souhaité de l’appareil. European Community Japan VCCI Class B Statement Korea Class B Statement B ( ) (B ) , . Russia Battery Replacement The rechargeable battery should be replaced only by Apple or an Apple Authorized Service Provider. For more information about battery replacement services, go to www.apple.com/batteries/replacements.html. Disposal and Recycling Information Your iPod must be disposed of properly according to local laws and regulations. Because this product contains a battery, the product must be disposed of separately from household waste. When your iPod reaches its end of life, contact Apple or your local authorities to learn about recycling options. For information about Apple’s recycling program, go to: www.apple.com/recycling Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. 61China Battery Statement Taiwan Battery Statement Turkiye: EEE yönetmeliğine (Elektrikli ve Elektronik Eşyalarda Bazı Zararlı Maddelerin Kullanımının Sınırlandırılmasına Dair Yönetmelik) uygundur. European Union—Disposal Information: This symbol means that according to local laws and regulations your product should be disposed of separately from household waste. When this product reaches its end of life, take it to a collection point designated by local authorities. Some collection points accept products for free. The separate collection and recycling of your product at the time of disposal will help conserve natural resources and ensure that it is recycled in a manner that protects human health and the environment. Union Européenne—informations sur l’élimination Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Europäische Union—Informationen zur Entsorgung Das Symbol oben bedeutet, dass dieses Produkt entsprechend den geltenden gesetzlichen Vorschriften und getrennt vom Hausmüll entsorgt werden muss. Geben Sie dieses Produkt zur Entsorgung bei einer offiziellen Sammelstelle ab. Bei einigen Sammelstellen können Produkte zur Entsorgung unentgeltlich abgegeben werden. Durch das separate Sammeln und Recycling werden die natürlichen Ressourcen geschont und es ist sichergestellt, dass beim Recycling des Produkts alle Bestimmungen zum Schutz von Gesundheit und Umwelt beachtet werden. Unione Europea—informazioni per l’eliminazione Questo simbolo significa che, in base alle leggi e alle norme locali, il prodotto dovrebbe essere eliminato separatamente dai rifiuti casalinghi. Quando il prodotto diventa inutilizzabile, portarlo nel punto di raccolta stabilito dalle autorità locali. Alcuni punti di raccolta accettano i prodotti gratuitamente. La raccolta separata e il riciclaggio del prodotto al momento dell’eliminazione aiutano a conservare le risorse naturali e assicurano che venga riciclato in maniera tale da salvaguardare la salute umana e l’ambiente. Europeiska unionen—uttjänta produkter Symbolen ovan betyder att produkten enligt lokala lagar och bestämmelser inte får kastas tillsammans med hushållsavfallet. När produkten har tjänat ut måste den tas till en återvinningsstation som utsetts av lokala myndigheter. Vissa återvinningsstationer tar kostnadsfritt hand om uttjänta produkter. Genom att låta den uttjänta produkten tas om hand för återvinning hjälper du till att spara naturresurser och skydda hälsa och miljö. Brasil—Informações sobre descarte e reciclagem O símbolo acima indica que este produto e/ou sua bateria não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando decidir descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o de acordo com as leis e diretrizes ambientais locais. Para informações sobre o programa de reciclagem da Apple, pontos de coleta e telefone de informações, visite www.apple.com/br/environment. Apple and the Environment At Apple, we recognize our responsibility to minimize the environmental impacts of our operations and products. For more information, go to www.apple.com/environment. 62Index A accessibility Mono Audio 15, 51 VoiceOver 15, 49 White on Black 15, 16, 51 adding music from more than one computer 17 manually 18 methods 17 tutorial 60 adding photos about 40 all or selected photos 40 from computer to iPod 40 from iPod to computer 41 full-resolution images 41 alarms deleting 46 setting 45 sleep timer 46 albums viewing songs from 21 Apple USB Power Adapter charging the battery 13 safety 58 audiobooks adding to iPod 17 playback controls 23 rating 23 automatic syncing 17 B backlight turning on 11 battery charge states when disconnected 14 charging 13, 58 rechargeable 14 replacing 13, 14, 61 very low 53 brightness 15 buttons Eject 13 Sleep/Wake 5, 11, 15, 21, 36 volume 5 C calibrating for counting steps 37 charging the battery about 13, 58 using the Apple USB Power Adapter 14, 58 using your computer 13 when battery very low 53 while computer is asleep 12 cleaning iPod 58 clock 24-hour 15, 44 changing the face 15, 44 compilations of songs 16 computer adding photos to iPod 40 getting photos from iPod 41 problems connecting iPod 53 requirements 55 connecting iPod about 12 charging the battery 13 converting unprotected WMA files 54 crossfading 25 D date and time settings 15, 44 digital photos. See photos disconnecting iPod about 13 during music update 13 troubleshooting 52 disk, using iPod as 47 disposal and recycling 61 Dock Connector to USB Cable 5, 12 downloading. See adding E earphones 5, 28 with remote and mic 48 Eject button 13 ejecting before disconnecting 13, 18 equalizer 15 exercise. See Fitness exercise warning 59 external disk, using iPod as 47 F file formats, supported 54 Fitness 6 calibrating iPod nano for accuracy 37 counting steps 34 Nike + iPod 39 settings 34 weight setting 38 workout history 38 See also workouts full-resolution images 41 Index 63G Genius Mixes playing 7, 27 Genius playlist creating 21, 27 saving 27 using on iPod 27 gestures double-tap 10 flick 11 rotate 11 swipe 10 tap 10 touch and hold 10 getting help 57, 60 getting started with iPod 55 glass screen 57 H handling information 57 hearing loss warning 28, 58 height setting 35 help, getting 57, 60 Home screen about 6 customizing 15, 16 icons 6, 15 navigating 6 returning to 12 I iPhoto getting help 60 recommended version 55 iPod Dock 12 iPod Updater application 56 iTunes U playback controls 23 syncing 22 iTunes ejecting iPod 13 getting help 60 setting not to open automatically 48 Sound Check 24 L language, resetting 54 languages, resetting 15 lists navigating quickly 12, 20 Live Pause 31 lyrics viewing on iPod 21 M Mac OS X operating system 55 managing iPod manually 18 manually managing content 17 memos, recording 12, 46 menu items choosing 12 reading shortened 12 returning to previous menu 12 Mono Audio 51 Multi-Touch screen 10 music iPod not playing 53 rating 21, 26 tutorial 60 See also adding music; songs N Nike + iPod 39 Now Playing 6 O operating system requirements 55 operating temperatures 59 P pausing a song 15, 21, 22 pedometer. See workouts photo library 40 photos adding to iPod 40 deleting 41 full-resolution 41 importing 40 syncing 40 viewing on iPod 42 zooming 43 playlists making on iPod 25, 27 podcasts listening 22 playback controls 23 ports USB 12, 55 power adapter. See Apple USB Power Adapter PowerSong 37 previous menu, returning to 12 problems. See troubleshooting R radio 6 antenna 5, 29, 54 finding local stations 30 Live Pause 31 menu 29, 30 screens 29 setting radio regions 32 tagging songs 32 tuning 30 rating songs 21, 26 rechargeable batteries 14, 57 recording voice memos 46 registering iPod 60 repairing iPod 57 replacing battery 14, 61 requirements computer 55 operating system 55 resetting iPod 12, 52 resetting the language 54 restoring iPod software 56 rewinding a song 21 S Safely Remove Hardware icon 13 safety information 57 serial number 12, 60 64 Indexservice and support 57, 60 sets of songs. See playlists setting up 8 settings 24-hour clock 15 accessibility 15, 16, 49 alarm 45 brightness 15 clock face 15 compilations 16 date and time 15 distance 34 equalizer 15, 25 icons 15 language 15 playing songs at relative volume 15, 24 PowerSong 37 resetting all 16 shuffle songs 15, 22 sleep timer 46 spoken feedback 34 units of measure 34 VoiceOver 15, 16, 49 volume limit 16, 24 wallpaper 15 weight 38 shuffling songs 21, 22 sleep mode and charging the battery 8, 13 sleep timer 46 Sleep/Wake button 5, 11, 15, 21, 36 slideshows settings 43 viewing on iPod 43 software iPhoto 55 iPod Updater 56 songs crossfading 16 fast-forwarding 21 pausing 15, 21, 22, 37 playing 21, 22 playing at relative volume 15, 24 rating 21, 26 repeating 21 replaying 21 rewinding 21 shuffling 15, 21, 22 skipping ahead 15, 21 viewing lyrics 21 Sound Check 15, 24 stopwatch 45 syncing music 17 photos 40 to Nike+ website 39 system requirements 55 T tagging radio songs 32 timer. See alarms troubleshooting connecting iPod to computer 53 cross-platform use 55 disconnecting iPod 52 iPod not playing music 53 resetting iPod 52 restore message 54 safety considerations 57 setting incorrect language 54 software update and restore 56 unresponsive iPod 52 turning backlight on or off 11 turning iPod on or off 5, 11 turning the screen on or off 5, 11 tutorial 60 U unsupported audio file formats 54 updating and restoring software 56 USB 2.0 port recommendation 12, 55 USB port on keyboard 12, 52 V viewing lyrics 21 photos 42 Voice Memos deleting 47 labeling 47 playing 46 recording 46 syncing with your computer 47 VoiceOver about 49 gestures 51 setting up 49 volume changing 24 hearing safety 58 relative 24 setting maximum limit 16, 24 W wallpaper 15 warranty service 60 weight resetting 38 setting 35, 38 White on Black 51 Windows supported operating systems 55 troubleshooting 55 WMA files, converting 54 workouts counting steps 35 Daily Step Goal 35 gym equipment 39 heart monitor 39 history 38 Nike + iPod 39 pausing and resuming 37 recording 36, 38 saved 36 sending to Nike+ website 39 setting up 36 Sleep/Wake button settings 36 spoken feedback 37 viewing on the Nike+ website 39 See also Fitness Index 65K Apple Inc. © 2011 Apple Inc. All rights reserved. Apple, the Apple logo, Finder, iLife, iPhoto, iPod, iPod nano, iTunes, Mac, Macintosh, Mac OS, the Made for iPod logo, and QuickTime are trademarks of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. Multi-Touch and Shuffle are trademarks of Apple Inc. iTunes Store is a service mark of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. NIKE and the Swoosh design are trademarks of NIKE, Inc. and its affiliates and are used under license. Other company and product names mentioned herein may be trademarks of their respective companies. Mention of third-party products is for informational purposes only and constitutes neither an endorsement nor a recommendation. Apple assumes no responsibility with regard to the performance or use of these products. All understandings, agreements, or warranties, if any, take place directly between the vendors and the prospective users. Every effort has been made to ensure that the information in this manual is accurate. Apple is not responsible for printing or clerical errors. 019-2083/2011-10 World Travel Adapter Kit2 English English 3 Apple World Travel Adapter Kit You can use the Apple World Travel Adapter Kit in most countries and regions. To charge iPod or iPhone: 1 Choose the correct plug adapter for the country or region you’re in (see the illustrations on the next page), and connect it to the included power adapter. 2 Connect the USB cable to the power adapter, extend the electrical prongs (if necessary), and plug the power adapter into a power outlet. 3 Connect iPod or iPhone to the other end of the cable. You can also connect the cable to an iPod or iPhone dock, and you can use the cable to sync iPod or iPhone with your computer. To use with compatible Mac power adapters or AirPort Express: 1 Choose the correct plug adapter for the country or region you’re in (see the illustrations on the next page), and connect it to the power adapter or AirPort Express. 2 Extend the electrical prongs (if necessary), and plug the power adapter or AirPort Express into a power outlet.2 English English 3 Safety Information  Use plug adapters only with Apple power adapters.  Use the correct plug adapter for the country or region you’re in. See the illustrations above.  Never force the AC plug adapter into a power outlet. If the plug adapter and socket don’t join with reasonable ease, they probably don’t match.  When connecting or disconnecting your power adapter, always hold the power adapter by its sides. Keep your fingers away from the AC blades or pins.  Always leave space around your power adapter to allow air flow to cool the adapter.  Don’t use your power adapter in wet locations, such as near washbasins, bathtubs, shower stalls, and so on.  The power adapter and plug adapters are high-voltage components and should not be opened for any reason.  If the power adapter or plug adapter appears to be damaged, discontinue use immediately. Three-Prong Blades UK, Hong Kong, Singapore Flat Angled Blades Australia, New Zealand Flat Parallel Blades Without Holes China Flat Parallel Blades With Holes North America, Japan Round Thick Pins Korea Round Thin Pins Continental Europe4 5 1 2 3 1 24 5        Â6 Français Français 7 Kit de voyage Apple Vous pouvez utiliser le kit de voyage Apple dans la plupart des pays et des zones géographiques. Pour recharger votre iPod ou votre iPhone : 1 Choisissez l’adaptateur de prise adéquat pour le pays (ou la zone géographique) dans lequel vous vous trouvez (voir les illustrations à la page suivante) et branchez-le sur l’adaptateur secteur fourni avec votre matériel. 2 Connectez le câble USB à l’adaptateur secteur, étendez les broches électriques (si nécessaire) et branchez la prise de l’adaptateur secteur dans une prise de courant. 3 Connectez votre iPod ou votre iPhone à l’autre extrémité du câble. Vous pouvez également brancher le câble au dock de l’iPod ou de l’iPhone et utiliser le câble pour synchroniser l’iPod ou l’iPhone avec votre ordinateur.6 Français Français 7 Pour utiliser les adaptateurs avec des adaptateurs secteur Mac compatibles ou AirPort Express : 1 Choisissez l’adaptateur de prise adéquat pour le pays (ou la zone géographique) dans lequel vous vous trouvez et branchez-le sur l’adaptateur secteur fourni avec votre matériel ou AirPort Express. 2 Étendez les broches électriques (si nécessaire) et branchez la prise de l’adaptateur secteur ou AirPort Express dans une prise de courant. Informations concernant la sécurité  Utilisez les adaptateurs de prise uniquement avec les adaptateurs secteur Apple.  Utilisez l’adaptateur de prise adéquat pour le pays (ou la zone géographique) dans lequel vous vous trouvez. Voir les illustrations ci-dessus.  Ne forcez jamais l’introduction de l’adaptateur CA dans la prise de courant. Si l’adaptateur ne s’insère pas facilement dans la prise, cela signifie qu’ils ne sont pas compatibles. Prises à trois fiches Royaume-Uni, Hong-Kong, Singapour Prises à fiches plates Australie, Nouvelle-Zélande Prises à fiches plates parallèles sans trou Chine Prises à fiches plates parallèles avec trous Amérique du Nord, Japon Prises à broches rondes épaisses Corée Prises à broches rondes fines Europe continentale8 Français Deutsch 9  Lorsque vous branchez ou débranchez votre adaptateur secteur, maintenez toujours l’adaptateur secteur par les côtés. Gardez vos doigts éloignés des lames de contact CA ou des broches.  Laissez toujours de l’espace autour de votre adaptateur secteur pour permettre la circulation d’air nécessaire au refroidissement de l’adaptateur.  N’utilisez pas votre adaptateur secteur dans des lieux humides, comme à proximité de lavabos, baignoires, cabines de douche, etc.  L’adaptateur secteur et les adaptateurs de prise sont des éléments à haute tension qu’il ne faut ouvrir sous aucun prétexte.  Si l’adaptateur secteur ou l’adaptateur de prise paraît endommagé, arrêtez immédiatement de les utiliser.8 Français Deutsch 9 Apple-Reise-Adapter-Kit Sie können das Apple-Reise-Adapter-Kit in den meisten Ländern und Regionen verwenden. Gehen Sie wie folgt vor, um iPod oder iPhone aufzuladen: 1 Wählen Sie den korrekten Steckeradapter für das Land oder die Region, in dem/der Sie sich aufhalten (vgl. Abbildung auf der nächsten Seite). Verbinden Sie den Adapter mit dem mitgelieferten Netzteil. 2 Schließen Sie das USB-Kabel an das Netzteil an und klappen Sie die Steckerstifte (falls erforderlich) heraus. Schließen Sie das Netzteil dann an eine Steckdose an. 3 Verbinden Sie iPod oder iPhone mit dem anderen Kabelende. Wenn Sie das Kabel an ein iPod- oder iPhone-Dock anschließen, können Sie iPod oder iPhone über das Kabel mit Ihrem Computer synchronisieren.10 Deutsch Deutsch 11 Gehen Sie wie folgt vor, um den Steckeradapter mit kompatiblen Mac-Netzteilen oder einer AirPort Express-Basisstation zu verwenden: 1 Wählen Sie den korrekten Steckeradapter für das Land oder die Region, in dem/der Sie sich aufhalten (vgl. Abbildung oben). Verbinden Sie den Adapter mit dem Netzteil oder der AirPort Express-Basisstation. 2 Klappen Sie die Steckerstifte (falls erforderlich) heraus und schließen Sie das Netzteil oder die AirPort Express-Basisstation an eine Steckdose an. Informationen zur Sicherheit  Verwenden Sie die Steckeradapter nur mit Apple-Netzteilen.  Verwenden Sie den korrekten Steckeradapter für das Land oder die Region, in dem/der Sie sich aufhalten (vgl. Abbildung oben).  Versuchen Sie niemals, das Netzteil mit Gewalt an eine Steckdose anzuschließen. Wenn sich das Netzteil nicht relativ einfach mit der Steckdose verbinden lässt, passen Stecker und Anschluss möglicherweise nicht zueinander. Drei flache Stifte GB, Hongkong, Singapur Flache schräggestellte Stifte Australien, Neuseeland Flache parallele Stifte ohne Löcher China Flache parallele Stifte mit Löchern Nordamerika, Japan Runde dicke Stifte Korea Runde dünne Stifte KontinentalEuropa10 Deutsch Deutsch 11  Halten Sie das Netzteil an den Seiten, wenn Sie es am Stromnetz anschließen oder davon trennen. Achten Sie darauf, die Metallstifte des Steckers nicht zu berühren.  Achten Sie darauf, dass um das Netzteil ausreichend Freiraum vorhanden ist. Verwenden Sie es nur in Umgebungen, in denen eine ausreichende Luftzirkulation zur Kühlung des Netzteils gewährleistet ist.  Verwenden Sie Ihr Netzteil nicht in feuchten Umgebungen etwa in der Nähe von Waschbecken, Bade- und Duschwannen und anderen Feuchtigkeitsquellen.  Bei Netzteil und Steckeradaptern handelt es sich um Hochspannungsbauteile, die unter keinen Umständen geöffnet werden dürfen.  Wenn Netzteil oder Steckeradapter beschädigt sind, stellen Sie sofort deren Verwendung ein.12 Español Español 13 Juego de adaptadores de viaje Apple Puede utilizar el juego de adaptadores de viaje Apple en la mayor parte de regiones y países del mundo. Para cargar su iPod o iPhone: 1 Elija el adaptador correcto para el país o región en el que se encuentre (véanse las ilustraciones de la página siguiente) y conéctelo al adaptador de corriente incluido. 2 Conecte el cable USB al adaptador de corriente, despliegue las clavijas eléctricas (en caso necesario) y conecte el adaptador de corriente a una toma de alimentación. 3 Conecte el iPod o iPhone al otro extremo del cable. También puede conectar el cable a una base de conexión del iPod o iPhone y utilizarlo para sincronizar el iPod o el iPhone con su ordenador.12 Español Español 13 Para utilizar el juego de adaptadores con adaptadores de corriente de ordenadores Mac compatibles o con la AirPort Express: 1 Elija el adaptador correcto para el país o región en el que se encuentre y conéctelo al adaptador de corriente o a la AirPort Express. 2 Despliegue las clavijas eléctricas (en caso necesario) y conecte el adaptador de corriente o la AirPort Express a una toma de alimentación. Información de seguridad  Este juego de adaptadores solo puede utilizarse con adaptadores de corriente Apple.  Utilice el adaptador correcto para el país o región en el que se encuentre (véanse las ilustraciones anteriores).  Al enchufar el adaptador de CA a una toma de corriente, no lo fuerce. Si la conexión entre el adaptador y el enchufe no es razonablemente fácil, seguramente no se correspondan.  Al conectar o desconectar el adaptador de corriente, sosténgalo por los lados procurando no tocar las clavijas. Tres clavijas Reino Unido, Hong Kong, Singapur Clavijas planas en ángulo Australia, Nueva Zelanda Clavijas planas paralelas sin orificios China Clavijas planas paralelas con orificios Norteamérica, Japón Clavijas redondas gruesas Corea Clavijas redondas finas Europa continental14 Español Italiano 15  Deje siempre espacio libre alrededor del adaptador de corriente para evitar que se sobrecaliente.  No utilice el adaptador cerca de lugares con agua o excesiva humedad (bañeras, lavabos, duchas, etc.).  El adaptador de corriente y el juego de clavijas son componentes de alta tensión que no deben ser abiertos por ningún motivo.  Si el adaptador de corriente o las distintas clavijas han sufrido algún tipo de daño, deje de usarlos inmediatamente.14 Español Italiano 15 Kit di adattatori da viaggio Apple Puoi utilizzare il kit di adattatori da viaggio Apple nella maggior parte dei paesi e delle regioni. Per caricare iPod o iPhone: 1 Scegli l’adattatore corretto per il paese o la regione in cui ti trovi (fai riferimento alle figure nella pagina successiva), quindi collegalo all’alimentatore di corrente incluso. 2 Collega il cavo USB dell’alimentatore di corrente, estendi i fermi elettrici (se necessario) e inserisci l’alimentatore di corrente in una presa. 3 Collega iPod o iPhone all’altra estremità del cavo. Puoi anche collegare il cavo ad un dock per iPod o iPhone e utilizzare il cavo per sincronizzare iPod o iPhone con il computer.16 Italiano Italiano 17 Per utilizzarlo con degli alimentatori di corrente compatibili con Mac o AirPort Express: 1 Scegli l’adattatore corretto per il paese o la regione in cui ti trovi, quindi collegalo all’alimentatore di corrente o a AirPort Express. 2 Estendi i fermi elettrici (se necessario) e inserisci l’alimentatore di corrente o AirPort Express in una presa di corrente. Informazioni sulla sicurezza  Utilizza gli adattatori solamente con alimentatori di corrente Apple.  Utilizza l’adattatore corretto per il paese o la regione in cui ti trovi. Fai riferimento alle illustrazioni qui sopra.  Non forzare mai un adattatore AC in una presa di corrente. Se l’adattatore e la presa non combaciano facilmente, probabilmente non sono compatibili.  Quando colleghi o scolleghi l’alimentatore di corrente, tienilo sempre dalle estremità. Mantieni le dita lontane dai contatti CA della spina.  Lascia sempre dello spazio attorno all’alimentatore di corrente per consentire il flusso d’aria necessario al raffreddamento dell’adattatore. Tre contatti Regno Unito, Hong Kong, Singapore Contatti piatti angolari Australia, Nuova Zelanda Contatti piatti paralleli senza buchi Cina Contatti piatti paralleli con buchi America del Nord, Giappone Contatti arrotondati spessi Corea Contatti arrotondati sottili Europa continentale16 Italiano Italiano 17  Non utilizzare l’alimentatore di corrente in luoghi umidi, come ad esempio in prossimità di lavandini, vasche da bagno, docce, ecc.  L’alimentatore di corrente e gli adattatori sono componenti ad alto voltaggio e non devono essere aperti per nessuna ragione.  Se l’alimentatore di corrente o l’adattatore sembrano danneggiati, interrompine immediatamente l’uso.18 19 Disposal and Recycling Information When this product has reached the end of its useful life, please dispose of it according to your local environmental laws and guidelines. For information about Apple’s recycling program, go to: www.apple.com/environment/recycling European Union—Disposal Information: The symbol above means that according to local laws and regulations your product should be disposed of separately from household waste. When this product reaches its end of life, take it to a collection point designated by local authorities. Some collection points accept products for free. The separate collection and recycling of your product at the time of disposal will help conserve natural resources and ensure that it is recycled in a manner that protects human health and the environment. Union Européenne: informations sur l’élimination Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Europäische Union – Informationen zur Entsorgung Das Symbol oben bedeutet, dass dieses Produkt entsprechend den geltenden gesetzlichen Vorschriften und getrennt vom Hausmüll entsorgt werden muss. Geben Sie dieses Produkt zur Entsorgung bei einer offiziellen Sammelstelle ab. Bei einigen Sammelstellen können Produkte zur Entsorgung unentgeltlich abgegeben werden. Durch das separate Sammeln und Recycling werden die natürlichen Ressourcen geschont und es ist sichergestellt, dass beim Recycling des Produkts alle Bestimmungen zum Schutz von Gesundheit und Umwelt beachtet werden. Unione Europea: informazioni per lo smaltimento Il simbolo qui sopra significa che, in base alle leggi e alle norme locali, il prodotto dovrebbe essere smaltito separatamente dai rifiuti casalinghi. Quando il prodotto diventa inutilizzabile, portalo nel punto di raccolta stabilito dalle autorità locali. Alcuni punti di raccolta accettano i prodotti gratuitamente. La raccolta separata e il riciclaggio del prodotto al momento dello smaltimento aiutano a conservare le risorse naturali e assicurano che venga riciclato nel rispetto della salute umana e dell’ambiente. Europeiska unionen—uttjänta produkter Symbolen ovan betyder att produkten enligt lokala lagar och bestämmelser inte får kastas tillsammans med hushållsavfallet. När produkten har tjänat ut måste den tas till en återvinningsstation som utsetts av lokala myndigheter. Vissa återvinningsstationer tar kostnadsfritt hand om uttjänta produkter. Genom att låta den uttjänta produkten tas om hand för återvinning hjälper du till att spara naturresurser och skydda hälsa och miljö.18 19 Apple and the Environment At Apple, we recognize our responsibility to minimize the environmental impacts of our operations and products. For more information, go to: www.apple.com/environment © 2009 Apple Inc. All rights reserved. Apple, the Apple logo, AirMac, AirPort Express, iPod, and Mac are trademarks of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries. iPhone is a trademark of Apple Inc.www.apple.com/support/ipod www.apple.com/support/iphone ZM034-4845-A Printed in XXXX サービス利用規約 Apple Japan, Inc.からのリモートアクセスによる技術サポートをご利用いただく場合、下記の規約が適 用されます。 a. Apple による 1 年間の限定保証および/または付随する 90 日間無料の技術サポートによるサ ービス提供 :下記に規定される Apple テクニカルサポート規約が適用されます。 b. AppleCare Protection Plan(以下 「APP」といいます )によるサービス提供 :お客様の APP ドキュメ ントに規定されている条件が適用されます。 c. Apple のウェブサイトまたは Apple コンタクトセンターを通じて提供されるカスタマー購入テク ニカルサポート(サポート毎に支払いが発生するサービス提供を含みます ):下記に規定される Apple テクニカルサポート規約が適用されます。 d. AppleCare プロフェッショナルサポートの対象となるお客様へ提供されるサービス :お客様が Apple と締結したサポート契約に規定されている条件が適用されます。 e. その他のお客様へのサービス提供 (消費者法に基づき提供されるサービスを含みます ):下 記に規定される Apple テクニカルサポート規約が適用されます。 AppleCare テクニカルサポート規約 個人また䛿法人䛾お客様(以下「お客様」といいます)が、以下に記載するサービスプラン(以下「サー ビスプラン」といいます)に基づき提供されるサポートサービスプランを Apple とご契約された場合、ま た䛿お客様が Apple 䛾サービスプランにご登録された場合、お客様䛿、適用されるサービスプラン䛾 もとで䛾サポートサービス䛾提供につき、以下䛾規約(以下「本規約」といいます)䛾適用を受けること に同意されたことになります。本規約に同意されない場合に䛿、Apple と䛾ご契約また䛿サービスプラ ンへ䛾ご登録を行わないでください。お客様が、ご購入されたサービスプランを解約し、支払った対価 䛾払戻を希望される場合、AppleCare サポートラインまでご連絡ください。サービスプラン䛿、Apple がお客様䛾ご登録を承諾したとき(以下「発効日」といいます)に効力を生じます。 1. サービス Apple がお客様䛾ご登録を承諾することにより、Apple 䛿 Apple 䛾ソフトウェア製品お よび関連する技術(以下「サポート対象製品」といいます)について、適用されるサービスプランに基づ き、サポートサービス(以下 「サポートサービス 」といいます )を提供します。適用サービスプランにつ いて䛿、オンラインウェブページ䛾 http://www.apple.com/legal/applecare/techsupport/(以下「サー ビスプランサポートページ」といいます)に全て記載されています。Apple 䛿、サポートサービスまた䛿 サービスプランサポートページを更新することにより、サービスプランに基づき提供されるサポートサービスおよび/また䛿サービスプランによりカバーされるサポート対象製品を、いつでも変更することが できます。但し、Apple 䛿、以下䛾ようなサポートサービスまた䛿/およびサポート対象製品䛾変更䛿行 わないも䛾とします:(i) サポートサービスに基づく Apple 䛾取り組み䛾レベルを減少させる変更、(ii) Apple 䛾サポートサービス䛾提供義務に重大な影響を生じさせる変更、また䛿(iii) お客様䛾サポート サービスを受ける権利に重大な影響を生じさせる変更。お客様䛾サービスプラン䛾内容に影響を与え るアップデートを行う場合、変更䛾 30 日以上前に、Apple 䛿、お客様がご登録された電子メールアド レスを通じて、お客様に当該アップデートについて通知します。サービスプランサポートページに示され た条件䛿、本規約䛾内容に組み込まれるも䛾とします。本規約書面上䛾条件とサービスサポートプラ ンページ上䛾条件に齟齬がある場合、サービスサポートプランページ上䛾条件が優先適用されます。 2.制限 2.1 サポートインシデント サービスプラン䛿、1回、複数回また䛿無制限䛾サポートインシデントパッ ケージにて提供されます。サポートインシデントと䛿、そ䛾問題䛾原因を単一䛾理由に切り離すことが できる特定的で個別的な問題を意味します。Apple 䛿、サポートインシデントを解決するため合理的な 努力をしますが、サポートインシデント䛾解決を保証するも䛾で䛿ありません。Apple 䛿、そ䛾独自䛾 裁量で、サポートインシデント䛾構成内容を決定し、法が許容する限りにおいてサポートインシデントが 解決可能であるかを判断することができます。通常、サポートインシデント䛿、お客様が以下䛾いずれ かを受領した場合に解決したも䛾とします: (a) 問題を解決する情報、(b) 問題を解決するソフトウェア ソリューション入手情報、 (c) 問題が、公知でまだ解決されていない問題に起因すること、また䛿サポ ート対象製品と互換性がないことに起因すること䛾通知、(d) 問題が、新しくリリースされたサポート対 象製品にアップグレードすることによって解決されるという情報、また䛿(e) 問題がハードウェア機器䛾 問題であると特定されたこと䛾通知。 サポートインシデント䛾回数か限定されたサービスプランで䛿、 お客様から、新規䛾サポートインシデントについて䛾ご相談を受けるごとに、サポートを受けられるサ ポートインシデント残数が減少します。 2.2 レスポンスタイム Apple 䛿、合理的な期間内また䛿適用されるサポートサービスプランに記載さ れるレスポンスタイム(以下「レスポンスタイム」といいます)まで䛾いずれか早く到来する時期までに、 サポートサービス䛾リクエストに対して回答するよう合理的な努力をしますが、特定䛾期間内に回答す ることを保証するも䛾で䛿ありません。レスポンスタイム䛿全て、サービスサポートページ上䛾サービス プラン䛾営業時間に準じて計算されます。 2.3 最新䛾リリース 別段䛾定め䛾ない限り、サポート対象製品䛿全て、最新䛾リリースレベルにあ ります。2.4 使用 サポートサービス䛿、サポートサービスにより望ましい結果を達成ができないことが死亡、 身体傷害また䛿身体もしく䛿環境に対する重大な損害をもたらすこととなるような原子力施設、航空機 制御、通信システム、航空管制システム、また䛿そ䛾他䛾設備䛾稼働を目的とする使用を対象として いません。 2.5 技術担当者 サポートサービス䛿、サービスプランで認められているとおり、登録時にお客様が 指名した1名また䛿複数名(以下「技術担当者」といいます)に対して提供されます。技術担当者䛿、サ ービスプラン䛾技術サポートを受けるため䛾、お客様と Apple と䛾間䛾唯一䛾連絡窓口です。技術担 当者が複数名いるサービスプランにおいて、お客様が、技術担当者䛾変更を希望する場合、 AppleCare サポートラインに、 5 日以上前もって書面による変更通知を送付する必要があり、また䛿、 サービスプランにおいて利用可能な場合に䛿、サービスプラン開始時に配布される説明書に記載䛾安 全かつカスタマイズされたお客様用ウェブサイトを通じて、直接に、変更を入力する必要があります。 3. 適用除外 サービスプランに別段䛾定めがある場合を除き、Apple 䛿、以下䛾事由により生じる 問題に関連するサポート䛿提供しません: (a) サーバベースアプリケーションとして䛾サポート対象製 品䛾使用、(b) サポート対象製品をアップグレードすることにより解決し得る問題、(c) サポート対象製 品につき意図された方法以外で䛾使用また䛿修正、(d) 第三者䛾製品また䛿技術、およびこれら䛾サ ポート対象製品に対する影響また䛿サポート対象製品と䛾相互作用、(e) サポート対象製品が提供さ れるメディアへ䛾損害、また䛿サポート対象製品がインストールされているコンピュータへ䛾損害、(f) サポート対象製品と互換性䛾ないコンピュータシステム䛾使用、および (g) インターネット、E メール、 ファイルマネジメント、ネットワークコンフィグレーション、スクリプティング、FX スクリプティング、プログ ラミング、コンパイル、デバッグ、インフラストラクチャーデザイン、コンテンツクリエーション、コンテンツ カスタマイゼーション、マルチメディアプロジェクトプランニング/デザイン、リソースマネージメント、バ ジェッティング、トレーニング、オンサイト診断、そ䛾他サービスプランにおいて規定されるサポートサー ビス䛾範囲外䛾問題。 4. お客様䛾責任 サポートサービスを受けていただくために䛿、お客様䛿、サービスプランにご登録 䛾うえ、Apple から䛾アクセス指示に従ってしていただく必要があります。Apple と䛾電子メールおよび 電話回線を設置および維持するため䛾費用䛾一切䛿お客様にご負担いただきます。お客様䛿、サポ ートサービスをご利用になる場合、Apple が問題を診断する䛾に役立つ必要な情報を提供することに より Apple に協力するも䛾とします。紛失また䛿変更されたファイル、データまた䛿プログラム䛾回復 また䛿再構成䛿全てお客様䛾責任とします。お客様䛿全て䛾データバックアップをなし、および障害回 復䛾プランを維持および実施するも䛾とします。お客様䛿、自ら䛾秘密情報、専有情報また䛿機密扱 い䛾情報䛾セキュリティ䛾一切について、単独で責任を負うも䛾とします。お客様䛿、Apple に対し、秘 密情報、専有情報、また䛿 Apple に法的責任が生じる可能性䛾ある知的財産権䛾対象となるいかなる情報も開示しないも䛾とします。お客様䛿、サポートサービスが必要なサポート対象製品、およびお 客様が操作するコンピュータシステムについて合理的な理解をしているも䛾とします。お客様䛿サポー トサービスを第三者に譲渡すること䛿できません。サポートサービス䛿、お客様䛾内部使用䛾ために 䛾み提供されるも䛾であり、許可なくサポートサービスを販売すること䛿、本規約䛾即時䛾解除事由と なります。お客様䛿、許可なくサポートサービスが販売および使用されること䛾ないよう、合理的な手段 を講じるも䛾とします。お客様䛿、サポートサービス䛾提供を受ける際、また䛿利用䛾際に、これを不 当に使用して䛿なりません。これに䛿、すでに解決された問題についてサポートサービスを利用するこ とを含みますがこれに限られません。 5. リモートアクセスサポートサービス サービスプラン䛾一環として、Apple 䛿、インターネット経由で リモートアクセスすることによりサポートサービスを提供することができ、それにより Apple 䛿、リモート アクセスソフトウェアをインストールし使用することで、お客様䛾コンピュータ上䛾情報にアクセスし、お 客様によって許可された場合に䛿、情報を管理および収集するも䛾とします。お客様䛿、当該リモート アクセスソフトウェアをインストールし使用することによって、Apple がこ䛾ような方法でサポートサービ スを提供することを許可したことになります。リモートアクセスソフトウェア䛾ファイル䛾全部また䛿一部 が、サポートサービス䛾期間が終了した後にも、お客様䛾コンピュータ上に残存する場合があります。 リモートアクセスソフトウェア䛾所有権およびリモートアクセスソフトウェアに含まれるすべて䛾知的財 産権䛿、Apple および/また䛿そ䛾ライセンサーが引き続き保有します。適用されるリモートアクセスソ フトウェア䛾使用に䛿、http://www.apple.com/legal/applecare/remotesupport にて確認可能な、追 加䛾使用許諾条件が適用される場合があります。お客様䛿、リモートアクセスソフトウェア䛾いずれ䛾 部分についても逆アセンブルまた䛿リバースエンジニアリングを行うこと䛿できません。Apple 䛿、リモ ートアクセスによるサポートサービスが提供されている間、分析及びサポートインシデント䛾ため䛾支 援を提供するために必要であると Apple が合理的に判断するお客様䛾コンピュータ上䛾情報につい て䛾み、アクセス、管理および収集を行います。Apple 䛿、お客様が、サポートインシデントに関連しな いすべて䛾ファイルおよびアプリケーションを閉じることを推奨します。リモートアクセスソフトウェアまた 䛿お客様䛾コンピュータ䛾機能により、お客様䛿、リモートアクセスによるサポートサービス䛾セッショ ンを何時でも終了することができます。 6.保証免責 Apple 䛿、サポートインシデント䛾解決を保証できませんが、プロフェッショナルとしてサ ービスプランに基づいてサポートサービスを実施する合理的な努力を行います。法が許容する限りに おいて、本規約に規定される明示䛾保証および救済䛿唯一䛾も䛾であり、口頭また䛿書面によるも䛾 か、法律上䛾も䛾であるか、明示また䛿黙示であるかを問わず、他䛾すべて䛾保証、救済、および条 件にとって代わるも䛾です。適用法が許容する限りにおいて、Apple およびそ䛾ライセンサー䛿、特別 に、本規約に関連また䛿本規約に何らか䛾形で起因する法令上また䛿黙示䛾保証から免責されるも䛾とし、これに䛿一切䛾黙示䛾保証もしく䛿商品性、また䛿特定目的適合性に関する保証を含むも䛾 とします。 7. 責任制限 法が許容する限りにおいて、本規約に基づく Apple 及びそ䛾ライセンサー䛾責任䛿、 お客様が注文されたサービスプランに対してお客様が支払った金額を上限とします。Apple およびそ 䛾ライセンサー䛿、責任事由に関わらず、いかように発生しようと、本規約に起因する間接損害、特別 損害、付随的損害また䛿二次的損害(これに䛿逸失利益、データ䛾消失、機器また䛿設備䛾利用䛾 損失、また䛿業務䛾中断に対する損害を含みますが、これらに限られません)について、Apple および そ䛾ライセンサーが当該損害䛾可能性について報告を受けていたか否かに関わらず、一切䛾責任を 負いません。そ䛾他䛾免責事項䛿、http://www.apple.com/legal/applecare/remotesupport にて確認 可能な、リモートアクセスソフトウェアに適用されるライセンス条件に含まれる場合があります。 8. 期間および解除 本条項に従い早期に終了しない限り、(Apple により書面で別途承認されない限 り)サービスプラン䛾有効期限䛿、発効日より 12 ヶ月、また䛿全て䛾サポートインシデント使用終了䛾 いずれか早い時点で終了します。サービスプラン䛾終了日また䛿そ䛾前に更新されない限り、Apple 䛿、サービスプラン䛾終了後にサポートサービスを提供しません。Apple 䛿、以下䛾場合、いつでもサ ービスプランを終了することができます:(a) 書面で事前通知をした後、15 日以上経過してもお客様か らサービスプランに関して料金䛾支払いがないとき、(b) 書面で事前通知をした後、30 日以上たっても お客様䛾本規約䛾違反状態が治癒されないとき、また䛿(c) サービスプラン䛾下で提供されるソフトウ ェア䛾使用につき定めたソフトウェアライセンス契約条件にお客様が違反したとき。適用される法律に 別段䛾定めがある場合を除き、お客様がサポートサービスをこれまでに一度も受けていない場合に䛿、 お客様䛿、サービスプラン䛾購入日また䛿発効日から 30 日間䛾いずれか遅い日まで䛿、理由䛾如何 を問わずサービスプランを解約でき、支払った金額䛾全額䛾払戻を受けることができます。払戻䛾請 求に䛿、購入䛾証明を添えて、東京都新宿区初台西新宿 3 丁目 20 番 2 号に所在䛾 Apple Japan, Inc.に書面で送付することが必要です。本規約䛾 6 条、7 条、12 条䛿、いかなる理由で本規約が終了 した後も、有効に存続します。 9. Apple/準拠法 「Apple」と䛿、Apple Japan, Inc. とします。本規約䛿、日本法を準拠法とし、東京 地方裁判所を第一審䛾専属的合意管轄裁判所とします。 10. 追加サービスまた䛿ソフトウェア サービスプラン䛾一部として提供される追加䛾サービス䛿、 本規約に則って提供されます。サービスプラン䛾一部としてサポートサービスがお客様䛾指定する場 所で提供される場合に䛿、お客様䛿、Apple が予定時刻に当該指定場所にアクセスすることを認めら れ、サポートサービスを履行するために充分といえる安全な作業環境を確保するも䛾とします。サービ スプラン䛾一部としてソフトウェアが提供される場合に䛿、当該ソフトウェア䛿、Apple およびそ䛾ライセ ンサー䛾著作物です。お客様䛿、もっ䜁らサポート対象製品をサポートする目的で、ソフトウェアをインストール、複製および使用することができます。しかし、適用法により許容される場合を除き、お客様䛿、 ソフトウェア䛾デコンパイル、リバースエンジニアリング、変更、レンタル、リースまた䛿二次的著作物䛾 創作をして䛿なりません。ソフトウェアが別個䛾ソフトウェアライセンス契約䛾適用を受ける場合、そ䛾 ソフトウェア䛾使用について䛿そ䛾別個䛾ライセンス契約が適用されます。本規約に従いアメリカ合衆 国政府に提供されたソフトウェア䛿、FAR 第 52. 227-19 に定める「制限付きソフトウェア」に分類され ます。アメリカ合衆国政府䛾当該ソフトウェアに対する権利䛿、FAR 第 52.227-19 に定めるとおりで す。 11. 個人情報保護 お客様䛿、Apple がサービスプランに基づいてサービスおよびサポート義務を履 行するにあたり、お客様䛾データを収集、管理および使用する必要があることに同意し理解します。 Apple 䛿、個人情報保護法に基づき、お客様からデータを収集、管理および使用するも䛾とします。こ れに䛿 Apple プライバシーポリシー䛾条件(http://www.apple.com/legal/warranty/privacy)に従って、 個人情報保護法に従うことを条件に、関連会社また䛿サービスプロバイダに、お客様䛾データを送信 することを含む場合があります。Apple 䛿、お客様䛾データについて、Apple プライバシーポリシーに 基づいて保護します。お客様が、Apple が保持するお客様情報へ䛾アクセスまた䛿変更を希望される 場合、プライバシーアップデートウェブページ(http://www.apple.com/contact/myinfo)にアクセスして、 個人コンタクト情報をアップデートすることができます。Apple 䛿、お客様と Apple 䛾間䛾一部また䛿す べて䛾電話を、トレーニング、品質保持および参考䛾ために録音する場合があります。 12. 一般条項 お客様䛿、サービスプランに基づくお客様䛾権利また䛿義務を譲渡することができま せん。許可なくなされた譲渡䛿無効です。Apple 䛿、合理的な支配䛾及䜀ない理由による履行遅延ま た䛿履行不能について責任を負担しないも䛾とします。 本規約䛾違反また䛿不履行について䛾権利 放棄䛿、以後䛾違反や不履行について䛾権利放棄と䛿なりません。適用ある管轄裁判所が、ある条 件が無効また䛿法的強制力を有しないと判断した場合、残存する部分䛿完全に効力を有するも䛾とし、 両当事者䛿当該無効また䛿法的強制力を有しない条件を、両当事者䛾当初䛾意図および本規約䛾 経済的効果を達成する有効かつ法的強制力を有する条件に置き換えるも䛾とします。本規約にて参 照されている追加的条件を含むこれら䛾規約䛿、本規約に基づき提供されるサービスプランおよびサ ポートサービスに関する Apple とお客様と䛾完全合意を形成し、本件に関連するすべて䛾事前交渉、 合意および理解に優先し、本規約䛾一切䛾追加、削除また䛿変更䛿、Apple 䛾権限ある代表者が署 名した書面が作成されない限り、Apple に対して効力を有しません。お客様から提出された注文やそ 䛾他書面上に記されたいかなる諸条件も効力を有せず、また、採用いたしか䛽ます。 070212 Remote Support Japanese v1 Instructions de remplacement Respectez scrupuleusement les instructions de ce document. À défaut, vous risquez de détériorer votre matériel et d’invalider sa garantie. Remarque: Des instructions sont disponibles en ligne à l’adresse http://www.apple.com/support/doityourself/. Avertissement : Durant cette procédure, mettez les petites pièces hors de portée des enfants. Outils requis Les outils suivants sont requis pour cette procédure : • Une pièce de monnaie • Une baguette noire (ou tout autre outil à lame plate isolant en plastique ou en nylon) Ouverture de l’ordinateur Avertissement : Éteignez systématiquement l’ordinateur avant de l’ouvrir afin d’éviter d’endommager ses composants internes et de vous blesser. Après extinction, les composants internes risquent d’être très chauds. Attendez qu’ils refroidissent avant de poursuivre. 1. Placez votre ordinateur sur une surface propre et plane. 2. Eteignez l’ordinateur et patientez cinq minutes avant de poursuivre. 3. Débranchez tous les câbles connectés à l’ordinateur. 4. Retournez l’ordinateur et utilisez une pièce de monnaie pour débloquer le verrou de la batterie. (Figure 1) 5. Retirez la batterie de sa baie en la levant. 1 PowerBook G4 (12-inch) - AirPort Extreme Card Carte AirPort Extreme AppleCare Figure 16. Touchez une surface métallique dans la baie de la batterie pour décharger l’électricité statique de votre corps. (Figure 2) Important : Afin d’éviter les décharges électrostatiques, mettez-vous toujours à la terre en touchant l’intérieur de la baie de la batterie avant de toucher une pièce ou d’installer un composant dans l’ordinateur. Pour éviter d’accumuler de l’électricité statique, ne vous déplacez pas dans la pièce avant d’avoir achevé l’installation et refermé l’ordinateur. PowerBook G4 (12-inch) - AirPort Extreme Card 2 Figure 2Installation de la Carte AirPort Extreme de remplacement 1. Ouvrez la trappe du connecteur AirPort. (Figure 3) 2. Si une Carte AirPort Extreme est déjà installée, utilisez une baguette noire pour dégager la languette. (Figure 4) 3. Déconnectez doucement le câble de l’antenne AirPort. (Figure 5) 3 PowerBook G4 (12-inch) - AirPort Extreme Card Figure 3 Figure 4 Figure 54. Tirez sur la languette pour sortir la Carte Airport Extreme. (Figure 6) 5. Faites glisser la Carte AirPort Extreme de remplacement dans le connecteur, comme indiqué ci-dessous. (Figure 7) 6. Connectez l’extrémité du câble de l’antenne à la carte. (Figure 8) 7. Enroulez la languette en plastique par dessus et sous la carte de façon à ce que la languette immobilise le câble de l’antenne et se loge dans le connecteur. PowerBook G4 (12-inch) - AirPort Extreme Card 4 Figure 6 Figure 7 Figure 88. Assurez-vous que la carte est complètement insérée, comme le montre la deuxième photo. (Figure 9) 9. Fermez la trappe AirPort. Fermeture de l’ordinateur 1. Remettez la batterie en place dans la baie. 2. Rebranchez tous les câbles et redémarrez votre ordinateur. Avertissement : Ne mettez jamais l’ordinateur sous tension tant que ses composants internes et externes ne sont pas tous en place et que le capot est ouvert. En transgressant ces règles, vous risqueriez d’endommager l’ordinateur ou de vous blesser. 5 PowerBook G4 (12-inch) - AirPort Extreme Card Figure 9 Apple Computer, Inc. © 2003 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Ce manuel est protégé par la loi du 11 mars 1957 sur la propriété littéraire et artistique, complétée par la loi du 3 juillet 1985 et par toutes les conventions internationales applicables aux droits d’auteurs. En vertu de ces lois et conventions, aucune reproduction totale ni partielle de ce manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option - I) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple Computer, Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 USA + 1 408 996 1010 http://www.apple.com Apple, le logo Apple et PowerBook sont des marques d'Apple Computer, Inc., déposées aux Etats-Unis et dans d'autres pays. AirPort est une marque d’Apple Computer, Inc. PowerBook G4 (12-inch) - AirPort Extreme Card 6 1 Installation de votre logiciel Les informations suivantes sont destinées à vous familiariser avec Aperture le plus rapidement possible et traite des rubriques présentées ci-dessous :  À propos du disque d’installation d’Aperture (p. 2)  Mise à niveau de Mac OS X (p. 2)  Installation d’Aperture (p. 3)  Enregistrement d’Aperture (p. 6)  À propos des exemples de projets d’Aperture (p. 7)  À propos de l’aide à l’écran (p. 7)  Prise de contact avec l’assistance AppleCare (p. 10) Passez également en revue le document Avant d’installer Aperture se trouvant sur le disque d’installation d’Aperture. Pour accéder aux dernières informations sur Aperture, consultez sur le site web d’Aperture à l’adresse http://www.apple.com/fr/aperture.2 À propos du disque d’installation d’Aperture Le disque d’installation d’Aperture 2 contient les éléments suivants :  Avant d’installer Aperture : ce document détaille la configuration requise et ce que vous devez faire avant d’installer Aperture et le contenu l’accompagnant.  Programme d’installation d’Aperture : double-cliquez sur l’icône du programme d’installation d’Aperture pour lancer le processus d’installation.  Dossier Documentation : ce dossier contient le document Installation de votre logiciel (en version PDF) et le Manuel de l’utilisateur d’Aperture. Ouvrez le Manuel de l’utilisateur d’Aperture pour afficher le reste de la documentation PDF d’Aperture, notamment Découverte d’Aperture et Raccourcis clavier.  Dossier Sample Projects :ce dossier inclut des projets servant d’exemples, à visualiser dans Aperture, mais aussi un document concis reprenant des caractéristiques des exemples de projets. Remarque :le disque d’installation contient les fichiers requis pour installer Aperture 2 sur les ordinateurs Mac de type PowerPC ou à processeur Intel. Le processus d’installation est identique pour les deux types d’ordinateurs. Mise à niveau de Mac OS X Avant d’installer Aperture, mettez à jour votre logiciel système afin de vous assurer que vous disposez bien de la toute dernière version de Mac OS X v10.4.11 Tiger ou Mac OS X v10.5.2 Leopard (ou ultérieur). Important :vous devez acheter Mac OS X v10.4. Tiger ou Mac OS X v10.5 Leopard si vous effectuez la mise à niveau à partir d’une version antérieure.3 Pour mettre à jour Mac OS X v10.4 ou Mac OS X v10.5 à la dernière version disponible : 1 Choisissez le menu Pomme > « Mise à jour de logiciels ». Une zone de dialogue apparaît alors pour vous indiquer les logiciels nouveaux ou mis à jour, applicables à votre ordinateur. 2 Suivez les instructions à l’écran pour mettre à jour Mac OS X à la dernière version. Installation d’Aperture Lorsque vous installez Aperture, l’application se place dans le dossier Applications du disque dur précisé, généralement sur votre disque de démarrage. Par défaut, le programme d’installation d’Aperture installe l’application Aperture en tant que telle sur votre disque dur, mais aussi la documentation qui l’accompagne et des exemples de projets destinés à vous aider à débuter dans l’utilisation des divers outils mis à votre disposition dans Aperture pour la gestion, le traitement et la publication de vos photos. Remarque :avant de pouvoir installer Aperture, vous devez ouvrir une session sur votre ordinateur sous un compte d’administrateur en respectant les données de connexion. Pour en savoir plus, consultez l’Aide Mac. Avertissement :si le système ne satisfait pas la configuration requise, l’installation d’Aperture ne peut pas se faire. Reportez-vous au document Avant d’installer Aperture se trouvant sur le disque d’installation pour connaître les détails de cette configuration.4 Pour installer Aperture et taper le numéro de série : 1 Insérez le disque d’installation d’Aperture dans le lecteur de DVD de l’ordinateur. 2 Double-cliquez sur l’icône du programme d’installation d’Aperture, puis suivez les instructions à l’écran. 3 Prenez connaissance du texte de bienvenue présenté dans l’introduction, puis cliquez sur Continuer. 4 Lisez le Contrat de licence du logiciel. Vous pouvez l’imprimer ou l’enregistrer en cliquant sur le bouton respectif Imprimer ou Enregistrer. Après l’avoir lu, cliquez sur Continuer, puis, si vous êtes d’accord avec les termes du Contrat, sur Accepter. 5 Sélectionnez le disque de démarrage, puis cliquez sur Continuer si nécessaire. 6 Dans la sous-fenêtre « Informations de l’utilisateur », saisissez vos nom et prénom. Préciser le nom de votre entreprise est facultatif. Tapez votre nom (obligatoire). Tapez le nom de votre entreprise (organisation ; facultatif). Tapez votre numéro de série sans oublier les tirets (obligatoire).5 7 Dans le champ Numéro de série, saisissez le numéro de série d’Aperture tel qu’il figure sur l’étiquette prévue à cet effet, collée au verso de la couverture de ce document, puis cliquez sur Continuer. Nous vous présentons ci-après quelques conseils pour saisir correctement votre numéro de série :  Assurez-vous que le numéro de série que vous copiez est bien l’original se trouvant au verso de la couverture de ce document.  Assurez-vous que vous tapez bien le numéro de série du logiciel et non pas le numéro d’identification pour bénéficier de l’assistance.  Vérifiez que les caractères saisis correspondent bien à des zéros et non à la lettre O, et aux chiffres 1 et non à la lettre L en minuscule,si votre numéro prévoit de tels chiffres.  N’oubliez pas les tirets du numéro de série.  N’ajoutez aucun espace avant ou après le numéro. 8 Vérifiez enfin que le numéro de série soit tapé correctement. 9 Cliquez sur Installer pour procéder à une installation standard d’Aperture. Pour personnaliser votre installation d’Aperture, cliquez sur Personnaliser, indiquez les options d’installation que vous désirez, puis cliquez enfin sur Installer. 10 Une zone de dialogue s’affiche pour vous authentifier grâce à vos nom et mot de passe. Cliquez sur OK lorsque vous avez fini. Remarque :à l’issue de trois tentatives échouées de saisie du numéro de saisie, le programme d’installation d’Aperture se ferme. Pour relancer le processus d’installation, retournez à l’étape 2. Le programme d’installation affiche une barre de progression pour vous indiquer où en est l’installation.6 11 Lorsqu’elle est enfin terminée, cliquez sur Fermer. Une fois le logiciel installé, vous pouvez commencer à utiliser Aperture. Enregistrement d’Aperture La première fois que vous ouvrez Aperture, vous êtes invité à fournir des informations permettant l’enregistrement du produit. Par défaut, les données de votre fiche personnelle tirée de votre Carnet d’adresses sont automatiquement reprises dans les champs appropriés. Pour enregistrer Aperture sous un utilisateur autre que celui repris dans la fiche personnelle de votre Carnet d’adresses : 1 Remplissez les champs Nom, Adresse, Organisation et Adresse électronique. 2 Si vous désirez recevoir sur votre compte de messagerie des informations sur l’actualité et les mises à jour de logiciels Apple, cochez la case. 3 Si vous voulez prendre connaissance de l’Engagement de confidentialité Apple, cliquez sur Confidentialité. 4 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur S’enregistrer. Aperture est à présent enregistré. Remarque :si vous optez pour le bouton « S’enregistrer plus tard », le système vous rappelle d’enregistrer Aperture toutes les cinq ouvertures de l’application.7 À propos des exemples de projets d’Aperture Aperture inclut plusieurs exemples de projets comprenant des images haute résolution. Lors de l’installation d’Aperture, les exemples de projets sont installés sur votre disque dur par défaut. Lorsque vous ouvrez Aperture pour la première fois, une zone de dialogue vous demande si vous voulez importer les exemples de projet. Veillez à importer ces projets si vous souhaitez suivre l’introduction à Aperture présentée dans le livret Découverte d’Aperture. Vous pouvez ainsi importer ces projets dans Aperture à tout moment après avoir installé l’application. Les exemples de projets sont installés à l’emplacement suivant :/Library/Application Support/Aperture/Sample Projects/. À propos de l’aide à l’écran L’aide à l’écran, disponible à partir du menu Aide, vous permet d’afficher des informations au cours de vos manipulations dans Aperture. Vous retrouverez ainsi des liens vers des exemplaires de documents au format PDF traitant d’Aperture ainsi que des liens vers les sites Web du produit Aperture et sur son assistance dans le menu Aide. Des renseignements supplémentaires à propos d’Aperture, y compris de la documentation d’assistance non disponible à partir du menu Aide d’Aperture,sont disponibles sur le site web d’assistance d’Aperture. Pour consulter le site web d’assistance d’Aperture, procédez de l’une des manières suivantes : m Dans Aperture, choisissez Aide > Assistance Aperture. m Allez à l’adresse http://www.apple.com/fr/support/aperture.8 Manuel de l’utilisateur d’Aperture Ce document contient des renseignements conceptuels, de référence et retraçant les tâches qu’impliquent Aperture. Pour accéder au Manuel de l’utilisateur d’Aperture : m Dans Aperture, choisissez Aide > Manuel de l’utilisateur d’Aperture. Informations de dernière minute Le menu Aide d’Aperture contient un lien vers des informations relatives aux problè- mes que peuvent rencontrer du matériel et des logiciels de tierce partie ainsi que d’autres problèmes déjà connus. Remarque :vous devez pour cela être connecté à Internet pour pouvoir accéder à ce document. Pour accéder au document « Informations de dernière minute » : m Dans Aperture, choisissez Aide > « Informations de dernière minute ». Nouvelles fonctionnalités Ce document répertorie les fonctionnalités introduites à Aperture depuis Aperture 1.5. Remarque :vous devez pour cela être connecté à Internet pour pouvoir accéder à ce document. Pour obtenir des renseignements concernant les nouvelles fonctionnalités d’Aperture : m Dans Aperture, choisissez Aide > Nouvelles fonctionnalités.9 Découverte d’Aperture Ce document offre une introduction rapide aux principales fonctionnalités d’Aperture. Ce document correspond à la version PDF du manuel imprimé Découverte d’Aperture. Pour accéder au document Découverte d’Aperture : m Dans Aperture, choisissez Aide > Découverte d’Aperture. Raccourcis clavier Ce document reprend les raccourcis clavier pour assurer les diverses tâches dans Aperture. Ce document correspond à la version PDF du volet imprimé Raccourcis clavier. Pour accéder au document « Raccourcis clavier » : m Dans Aperture, choisissez Aide > Raccourcis clavier. Créer un profil de gestion Dans certains cas où vous êtes amené à faire appel à l’assistance, AppleCare peut nécessiter des informations sur votre ordinateur et sur la configuration adoptée pour Aperture. La commande « Créer un profil de gestion » génère alors un fichier contenant les informations requises pour les envoyer à AppleCare sous forme de message électronique. N’utilisez pas cette fonctionnalité à moins qu’un représentant AppleCare ne vous le demande. Pour créer un profil de gestion : m Dans Aperture, choisissez Aide > « Créer un profil de gestion ».10 Prise de contact avec l’assistance AppleCare Des informations sur les options mises à votre disposition pour bénéficier de l’assistance Apple se trouve dans votre coffret d’Aperture. Plusieurs niveaux d’assistance ont été mis en place. Quelque soit votre problème, il est bon de garder les informations suivantes à portée de main si vous devez contacter Apple pour obtenir de l’aide. Plus vous disposez de données à fournir aux agents du service d’assistance, plus vite ils sont à même de résoudre votre problème ou de vous aiguiller. Pensez donc aux points suivants :  le numéro d’identification pour l’assistance sur Aperture (celui-ci se trouve au verso de la couverture de ce document ; Remarque :ce nombre de onze chiffres permettant de bénéficier de l’assistance diffère du numéro de série du produit permettant, lui, d’installer Aperture).  la version de Mac OS X installée (pour connaître la version de Mac OS X, choisissez le menu Pomme > « À propos de ce Mac ») ;  la version de Aperture sur laquelle vous avez une question (pour retrouver la version d’Aperture installée sur votre ordinateur, choisissez Aperture > « À propos d’Aperture ») ;  le modèle d’ordinateur que vous utilisez ;  la quantité de mémoire RAM installée sur votre ordinateur (pour connaître la capacité de la RAM de votre ordinateur, choisissez le menu Pomme > « À propos de ce Mac ») ;  le cas échéant, tout matériel de tierce partie branché à votre ordinateur ou qui y est installé, ainsi que le nom de leur fabricant (cela inclut les disques durs, les cartes graphiques, etc.).11 L’assistance AppleCare est joignable en ligne à l’adresse http://www.apple.com/fr/support. Vous y retrouverez des informations spécifiques sur l’assistance Aperture en cliquant sur le lien relatif à Aperture. Pour vous rendre sur le site Web d’assistance Aperture à partir de l’application Aperture même : m Choisissez Aide > Assistance Aperture.Copyright © 2008 Apple Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, Mac, Mac OS et Tiger sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Aperture et Leopard sont des marques d’Apple Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d’Intel Corp. aux États-Unis et dans d’autres pays. PowerPC et le logo PowerPC sont des marques d’International Business Machines Corporation, utilisées sous licence. Mac OS X Server Gestion des utilisateurs Pour la version 10.3 ou ultérieureKApple Computer, Inc. © 2003 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Le propriétaire ou l’utilisateur autorisé d’une copie valide du logiciel Mac OS X Server peut reproduire cette publication dans le seul but d’apprendre à utiliser ledit logiciel. Cette publication ne peut être reproduite ou transmise en tout ou partie à des fins commerciales, comme la vente de copies de cette publication ou la fourniture d’un service d’assistance payant. Tous les efforts ont été mis en œuvre pour assurer l’exactitude du contenu de ce manuel. Apple Computer, Inc., n’est pas responsable des éventuelles erreurs d’impression ou de plume. L’utilisation de ce logo à des fins commerciales via le clavier (Option-1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Apple, le logo Apple, AirPort, AppleShare, AppleTalk, FireWire, iBook, Trousseau, LaserWriter, Mac, Mac OS, Macintosh, PowerBook et QuickTime sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Gestionnaire d’extensions, Finder et SuperDrive sont des marques d’Apple Computer, Inc. Adobe et PostScript sont des marques d’Adobe Systems Incorporated. Java et tous les logos et marques dérivés de Java sont des marques ou des marques déposées de Sun Microsystems, Inc. aux États-Unis et dans d’autres pays. PowerPC est une marque d’International Business Machines Corporation, utilisée sous licence. UNIX est une marque déposée aux États-Unis et dans d’autres pays, sous licence exclusive de X/Open Company Ltd. Remarque : Apple améliore continuellement les performances et le design de ses produits. Il se peut que certaines illustrations de ce manuel soient légèrement différentes de votre version du logiciel. F022-1326 3 1 Table des matières Préface 15 Comment utiliser ce guide ? 16 Utilisation de ce guide 16 Aide sur les tâches de gestion quotidiennes 17 Documents liés 18 Sources d’informations supplémentaires sur la gestion des utilisateurs 18 Si vous êtes novice en gestion de serveur et de réseau 18 Si vous êtes un administrateur de serveur chevronné Chapitre 1 19 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs 19 Outils de gestion des utilisateurs 19 Gestionnaire de groupe de travail 22 Admin Serveur 22 Gestionnaire Macintosh, 23 NetBoot 24 Installation en réseau 24 Comptes d’utilisateur 24 Utilisateurs et utilisateurs gérés 25 Administrateurs 26 Utilisateurs invités 27 Groupes, groupes principaux et groupes de travail 27 Comptes d’ordinateur 28 Utilisation côté utilisateur 29 Authentification 31 Validation de mots de passe 31 Contrôle de l’accès aux informations Chapitre 2 33 Introduction à la gestion des utilisateurs 33 Présentation générale de la configuration 39 Programmation de stratégies pour la gestion des utilisateurs 41 Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail 42 Désignation des administrateurs 43 Configuration des comptes d’utilisateur 44 Configuration des comptes de groupe4 Table des matières 44 Raccourcis pour l’utilisation des comptes 44 Modification simultanée de plusieurs comptes 44 Utilisation de préréglages 45 Importation et exportation d’informations de compte 45 Recherche de comptes dans le Gestionnaire de groupe de travail 45 Liste de comptes dans le domaine de répertoires local 46 Liste de comptes dans des domaines de répertoires de chemins de recherche 46 Liste de comptes dans des domaines de répertoires disponibles 47 Actualisation de listes de comptes 47 Recherche de comptes spécifiques dans une liste 47 Classement des listes d’utilisateurs et de groupes 48 Raccourcis pour la gestion des préférences 48 Raccourcis pour l’utilisation du Gestionnaire Macintosh 48 Sauvegarde et restauration de fichiers de services de répertoires 48 Sauvegarde d’un serveur de mot de passe 48 Sauvegarde de comptes d’utilisateur root et administrateur Chapitre 3 49 Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles 49 Configuration des clients mobiles 49 Configuration des ordinateurs portables 50 Utilisation de comptes mobiles 50 Création d’un compte mobile 51 Suppression d’un compte mobile 51 Utilisation de comptes mobiles côté utilisateur 51 Gestion des clients mobiles 52 Ordinateurs portables Mac OS X inconnus 52 Ordinateurs portables Mac OS X pour utilisateurs locaux multiples 53 Ordinateurs portables Mac OS X pour utilisateur local principal 54 Gestion d’ordinateurs portables Mac OS 9 54 Utilisation de services sans fil Chapitre 4 55 Configuration des comptes d’utilisateur 55 Administration de comptes d’utilisateur 55 Emplacement de stockage des comptes d’utilisateur 56 Comptes d’utilisateur prédéfinis 57 Création de comptes d’utilisateur Mac OS X Server 58 Création de comptes d’utilisateur LDAPv3 en lecture/écriture 58 Modification des informations de compte d’utilisateur 59 Modification simultanée de plusieurs utilisateurs 59 Création d’un préréglage pour des comptes d’utilisateur 60 Utilisation de préréglages pour créer des comptes 61 Renommer des préréglages 61 Modification de préréglagesTable des matières 5 61 Suppression de préréglages 62 Travail avec des comptes d’utilisateur de type “lecture seule” 62 Travail avec des réglages élémentaires pour utilisateurs 62 Définition de noms d’utilisateurs 63 Définition de noms abrégés 64 Choix de noms abrégés permanents 65 Eviter les doublons de noms 66 Eviter les doublons de noms abrégés 68 Définition d’identifiants d’utilisateur 69 Définition de mots de passe 69 Attribution de droits d’administrateur pour un serveur 69 Attributions de droits d’administrateur pour un domaine de répertoires 71 Travail avec des réglages avancés pour utilisateurs 71 Définition de réglages de connexion 72 Définition d’une stratégie de validation de mot de passe 72 Création d’une liste maîtresse de mots-clés 72 Application de mots-clés aux comptes d’utilisateur 73 Modification de commentaires 73 Travail avec les réglages de groupe pour utilisateurs 73 Définition du groupe principal d’un utilisateur 74 Ajout d’un utilisateur à des groupes 75 Suppression d’un utilisateur dans un groupe 75 Passage en revue de l’adhésion à des groupes d’un utilisateur 76 Utilisation des réglages de répertoires de départ des utilisateurs 76 Utilisation des réglages de courrier des utilisateurs 76 Désactivation du service de courrier d’un utilisateur 77 Activation des options de compte de service de courrier 78 Faire suivre le courrier d’un utilisateur 78 Travail avec des réglages d’impression pour utilisateurs 79 Désactivation de l’accès d’un utilisateur aux files d’attente imposant des quotas 79 Activation l’accès d’un utilisateur aux files d’attente imposant des quotas 80 Suppression du quota d’impression d’un utilisateur pour une file spécifique 80 Réinitialisation du quota d’impression d’un utilisateur 81 Choix de réglages pour les utilisateurs Windows 81 Définition d’un utilisateur invité 82 Suppression d’un compte d’utilisateur 82 Désactivation d’un compte d’utilisateur Chapitre 5 83 Configuration des comptes de groupe 83 À propos des comptes de groupe 83 Administration de comptes de groupe 83 Emplacement de stockage des comptes de groupe 84 Comptes de groupe prédéfinis6 Table des matières 85 Création de comptes de groupe Mac OS X Server 85 Création de comptes de groupe LDAPv3 en lecture/écriture 86 Création d’un préréglage pour les comptes de groupe 86 Modification des informations d’un compte de groupe 87 Travail avec des comptes de groupe en lecture seule 87 Travail avec des réglages de membre pour groupes 87 Ajout d’utilisateurs à un groupe 88 Suppression des utilisateurs d’un groupe 88 Attribution d’un nom à un groupe 89 Définition d’un identifiant de groupe 90 Travail avec les réglages du dossier de groupe 90 Option Pas de dossier de groupe 91 Création d’un dossier de groupe dans un point de partage existant 92 Création d’un dossier de groupe dans un nouveau point de partage 94 Création d’un dossier de groupe dans un sous-dossier d’un point de partage existant 96 Suppression de comptes de groupe Chapitre 6 97 Configuration des comptes d’ordinateur 97 À propos des comptes d’ordinateur 98 Création d’un compte d’ordinateur 99 Création d’un préréglage pour des comptes d’ordinateur 99 Utilisation d’un préréglage de comptes d’ordinateur 100 Ajout d’ordinateurs à un compte existant 101 Modification des informations sur un ordinateur 101 Déplacement d’un ordinateur vers un autre compte 101 Suppression d’ordinateurs individuels d’un compte d’ordinateur 102 Suppression d’un compte d’ordinateur 102 Recherche de comptes d’ordinateur 103 Gestion des ordinateurs invités 104 Utilisation des réglages d’accès 104 Restriction de l’accès aux ordinateurs 105 Mise d’ordinateurs à la disposition de tous les utilisateurs 105 Utilisation de comptes d’utilisateur locaux Chapitre 7 107 Configuration des répertoires de départ 107 À propos des répertoires de départ 108 Répartition de répertoires de départ sur plusieurs serveurs 109 Spécification d’aucun répertoire de départ 110 Création d’un répertoire de départ pour un utilisateur local 111 Création d’un répertoire de départ de réseau 113 Création d’un répertoire de départ personnalisé 116 Configuration d’un point de partage AFP montable automatiquement pour des répertoires de départTable des matières 7 117 Configuration d’un point de partage NFS montable automatiquement pour des répertoires de départ 119 Définition de quotas de disque 119 Définition de répertoires de départ par défaut à l’aide de préréglages 120 Déplacement de répertoires de départ 120 Suppression de répertoires de départ Chapitre 8 121 Vue d’ensemble de la gestion des clients 121 À propos de la gestion des clients 122 Contrôle des autorisations d’accès 122 Compréhension de la gestion des préférences 124 Options de gestion des préférences 125 Gestion des clients en action Chapitre 9 127 Gestion des préférences pour Mac OS X 127 Mode de fonctionnement du Gestionnaire de groupe de travail avec les préférences Mac OS X 128 Gestion des préférences 129 À propos de la mémoire cache des préférences 129 Mises à jour régulières de la mémoire cache des préférences gérées 130 Mise à jour manuelle de la mémoire cache des préférences 130 Gestion des préférences d’utilisateur 131 Gestion des préférences de groupes 132 Gestion des préférences d’ordinateurs 132 Modification des préférences de plusieurs enregistrements 132 Désactivation de la gestion de préférences spécifiques 133 Gestion de l’accès aux applications 133 Création d’une liste d’applications approuvées 134 Interdiction aux utilisateurs d’accéder à des applications situées sur des volumes locaux 135 Gestion de l’accès des applications à des utilitaires 135 Contrôle du fonctionnement des outils UNIX 136 Gestion des préférences de Classic 137 Sélection des options de démarrage de Classic 138 Choix d’un Dossier Système de Classic 138 Autorisations d’actions spéciales au démarrage 139 Contrôle de l’accès aux éléments du menu Pomme de l’environnement Classic 140 Réglage des paramètres de suspension d’activité de Classic 141 Maintien de la cohérence des préférences d’utilisateurs pour l’environnement Classic 141 Gestion des préférences du Dock 142 Contrôle du Dock de l’utilisateur 142 Fourniture d’un accès aisé aux dossiers de groupes 143 Ajout d’éléments au Dock d’un utilisateur8 Table des matières 144 Interdiction aux utilisateurs d’ajouter des éléments au Dock 144 Gestion des préférences de l’Économiseur d’énergie 145 Utilisation des réglages de suspension d’activité et de réactivation pour les ordinateurs de bureau 146 Utilisation des réglages de l’Économiseur d’énergie pour les ordinateurs portables 147 Affichage de l’état de la batterie pour les utilisateurs 148 Programmation du démarrage, de l’extinction ou de la suspension d’activité automatiques 149 Gestion des préférences du Finder 149 Masquage des disques et serveurs sur le bureau de l’utilisateur 150 Contrôle du comportement des fenêtres du Finder 150 Affichage des extensions de fichier 151 Sélection de l’environnement utilisateur 152 Masquage du message d’alerte présenté lorsque l’utilisateur veut vider la corbeille 152 Contrôle de l’accès des utilisateurs à un iDisk 153 Contrôle de l’accès des utilisateurs aux serveurs distants 153 Contrôle de l’accès des utilisateurs aux dossiers 153 Mesures contre l’éjection de disques par des utilisateurs 154 Masquage de la commande Graver le disque dans le Finder 154 Suppression des commandes Redémarrer et Éteindre du menu Pomme 155 Réglage de l’apparence et de la disposition des éléments du bureau 156 Réglage de l’apparence du contenu des fenêtres de Finder 157 Gestion des préférences Internet 157 Réglage des préférences de messagerie 158 Réglage des préférences de navigateur Web 159 Gestion des préférences d’ouverture de session 160 Choix du mode d’ouverture de session pour l’utilisateur 161 Autorisation de plusieurs utilisateurs simultanés sur un ordinateur client 162 Aide aux utilisateurs ayant oublié leur mot de passe 162 Activation de la fermeture de session automatique pour les utilisateurs inactifs 163 Interdiction de démarrer ou d’arrêter l’ordinateur lors de la connexion 163 Ouverture automatique d’éléments après l’ouverture de session 164 Fourniture de l’accès au répertoire de départ réseau d’un utilisateur 165 Fourniture d’un accès aisé au point de partage de groupe 166 Gestion des préférences d’accès aux données 166 Contrôle de l’accès à des CD et des DVD 167 Contrôle de l’utilisation des disques inscriptibles 168 Contrôle de l’accès aux disques durs et aux disques 169 Éjection automatique d’éléments à la fermeture de session de l’utilisateur 169 Gestion des préférences de comptes mobiles 170 Gestion des préférences d’impression 170 Attribution d’imprimantes aux utilisateurs 171 Méthode pour empêcher les utilisateurs de modifier la liste d’imprimantesTable des matières 9 171 Restriction de l’accès aux imprimantes connectées à un ordinateur 172 Définition d’une imprimante par défaut 172 Restriction de l’accès aux imprimantes 173 Gestion de l’accès aux préférences Système 174 Gestion des préférences Accès universel 174 Manipulation des réglages d’affichage pour l’utilisateur 175 Activation d’une alerte visuelle 176 Réglage de la réponse du clavier 177 Réglage du niveau de réponse de la souris et du pointeur 177 Activation des raccourcis d’Accès universel 178 Autorisation d’appareils d’aide pour les utilisateurs ayant des besoins particuliers Chapitre 10 179 Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9 179 À propos du Gestionnaire Macintosh 180 Utilisation côté utilisateur 182 Avant de commencer 185 Utilisation de logiciels de mise à jour 185 Choix d’une langue pour les serveurs et les clients Gestionnaire Macintosh 186 Changement de script de langue du service de fichiers Apple 186 Au cœur du Gestionnaire Macintosh 186 Sécurité du Gestionnaire Macintosh 187 À propos du point de partage Gestionnaire Macintosh 187 Utilisation de caractères spéciaux dans les noms des points de partage 187 Dossier Éléments multi-utilisateurs 189 Fonctionnement du Gestionnaire Macintosh avec les services de répertoires 190 Utilisation des répertoires de départ par le Gestionnaire Macintosh 191 Gestionnaire Macintosh et les Préférences 192 Utilisation de NetBoot avec le Gestionnaire Macintosh 192 Configuration des clients gérés Mac OS 9 194 Ouverture de session du Gestionnaire Macintosh en tant qu’administrateur 195 Utilisation des préférences du Gestionnaires Macintosh 195 Importation de comptes d’utilisateur 196 Application de réglages aux utilisateurs grâce à un modèle 196 Importation de tous les utilisateurs 196 Importation d’un ou de plusieurs utilisateurs 197 Regroupement d’informations d’utilisateurs dans un fichier de texte 198 Importation d’une liste d’utilisateurs à partir d’un fichier texte 198 Recherche d’utilisateurs importés spécifiques 198 Octroi d’un accès rapide aux utilisateurs non importés 200 Octroi d’un accès aux utilisateurs Mac OS X Server non importés 200 Configuration d’un compte Invité 201 Désignation des administrateurs 202 Création d’un administrateur Gestionnaire Macintosh10 Table des matières 203 Création d’un administrateur de groupes de travail 203 Modification du mot de passe d’un administrateur Gestionnaire Macintosh 204 Utilisation des réglages d’utilisateurs 204 Modification des réglages élémentaires d’un utilisateur 204 Affectation aux utilisateurs d’autorisation de connexions multiples 205 Octroi de l’accès au système à un utilisateur 205 Modification des réglages avancés 206 Limitation de l’espace de stockage sur disque d’un utilisateur 206 Mise à jour des informations concernant les utilisateurs à partir de Mac OS X Server 206 Configuration de groupes de travail 207 Types d’environnements de groupes de travail 207 Création d’un groupe de travail 208 Utilisation d’un modèle pour appliquer des réglages à un groupe de travail 208 Création de groupes de travail à partir d’un groupe existant 209 Modification d’un groupe de travail existant 209 Utilisation des réglages Éléments 209 Définition de raccourcis vers les éléments des groupes de travail Finder 210 Pour rendre des éléments accessibles aux groupes de travail Tableaux ou Finder restreint 211 Pour rendre des éléments accessibles à des utilisateurs individuels 212 Utilisation des réglages d’autorisations 212 Protection du Dossier Système et du dossier Applications 212 Protection du bureau de l’utilisateur 212 Protection des fichiers contre les tentatives de modification par des applications 213 Méthode pour empêcher l’accès aux disques FireWire 213 Autoriser les utilisateurs à écouter des CD 213 Autoriser les utilisateurs à effectuer des captures d’écran 214 Autoriser les utilisateurs à ouvrir des applications à partir d’un disque 214 Définition d’autorisations d’accès pour les supports amovibles 215 Définition des autorisations d’accès aux éléments de menus 215 Partage d’informations dans le Gestionnaire Macintosh 216 Sélection d’autorisations pour les dossiers de groupe de travail 216 Configuration d’un dossier de groupe de travail partagé 217 Configuration d’un dossier de remise 218 Utilisation des réglages Volumes 218 Connexion à des serveurs AFP 218 Fourniture de l’accès aux volumes de serveur 219 Utilisation des réglages d’imprimantes 219 Mise des imprimantes à la disposition des groupes de travail 220 Définition d’une imprimante par défaut 220 Restriction de l’accès aux imprimantes 221 Définition de quotas d’impression 221 Autoriser les utilisateurs à dépasser leur quota d’impressionTable des matières 11 221 Configuration d’une imprimante d’accès au système 222 Utilisation des réglages Options 223 Choix d’un emplacement de stockage des documents de groupe 223 Ouverture d’éléments au démarrage 225 Vérification de l’arrivée de courrier à la connexion 225 Création de messages de connexion pour les groupes de travail 225 Configuration de listes d’ordinateurs 225 Création de listes d’ordinateurs 226 Configuration du compte Tous les autres ordinateurs 226 Duplication d’une liste d’ordinateurs 227 Création d’un modèle de liste d’ordinateurs 227 Désactivation de l’accès aux ordinateurs 228 Utilisation des réglages Groupes de travail des ordinateurs 228 Contrôle de l’accès aux ordinateurs 228 Utilisation des réglages Contrôle 228 Déconnexion automatique des ordinateurs afin de minimiser le trafic réseau 229 Réglage de l’horloge d’ordinateur à l’aide de l’horloge réseau 229 Utilisation d’un nom de disque dur spécifique 230 Création d’adresses électroniques pour les utilisateurs gérés 230 Utilisation des réglages de sécurité des ordinateurs 230 Sécurisation des ordinateurs même si les utilisateurs oublient de se déconnecter 231 Autorisation d’accès à tous les CD et DVD 231 Autorisation de l’accès à des CD ou DVD spécifiques 232 Choix des paramètres de sécurité des ordinateurs pour les applications 232 Autorisation de l’ouverture d’applications spécifiques par d’autres applications 233 Autorisation du travail hors-ligne des utilisateurs 233 Changement de serveur Gestionnaire Macintosh 234 Autorisation de forcer la fermeture d’applications 234 Autorisation de désactiver les extensions 235 Utilisation des réglages de connexion des ordinateurs 235 Choix du mode de connexion des utilisateurs 235 Création de messages d’ouverture de session pour les ordinateurs 235 Personnalisation des noms de panneaux 236 Gestion des ordinateurs portables 236 Ordinateurs portables pour les utilisateurs en réseau 236 Ordinateurs portables pour les utilisateurs locaux 237 Autorisation de l’emprunt d’ordinateurs 237 Utilisation de services sans fil 238 Utilisation des réglages Global - Sécurité 238 Utilisation des rapports du Gestionnaire Macintosh 238 Définition du nombre d’éléments d’un rapport 238 Protection du programme d’administration 239 Vérification des informations de connexion à l’aide de Kerberos12 Table des matières 239 Gestion des mots de passe d’utilisateur 239 Autorisation d’accéder aux comptes d’utilisateur 240 Utilisation des réglages Global - CD-ROM 240 Gestion des préférences 241 Utilisation des préférences initiales 242 Utilisation des préférences forcées 243 Partage de préférences d’application Mac OS 9 dans l’environnement Classic 244 Où trouver des informations supplémentaires Chapitre 11 245 Résolution des problèmes 245 Aide en ligne et base de connaissances Apple Knowledge Base 245 Résolution des problèmes liés aux comptes 245 Vous ne parvenez pas à modifier un compte à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail 245 Un mot de passe d’utilisateur du Serveur de mot de passe ne peut pas être modifié 246 Impossible de modifier le mot de passe d’un utilisateur pour le faire valider à l’aide d’Open Directory 246 Un utilisateur du Serveur de mot de passe ne parvient pas à s’authentifier dans le Gestionnaire NetInfo 246 Les utilisateurs ne parviennent pas à se connecter ni à être authentifiés 247 Vous ne parvenez pas à attribuer des autorisations d’administrateur de serveur 247 Les utilisateurs dépendant d’un Serveur de mot de passe ne parviennent pas à se connecter 248 Les utilisateurs ne peuvent pas accéder à leur répertoire de départ. 248 Un utilisateur Mac OS X d’un domaine NetInfo partagé ne parvient pas à se connecter 248 Les utilisateurs Kerberos ne parviennent pas à être authentifiés 249 Résolution des problèmes de gestion des préférences 249 Vous ne parvenez pas à appliquer les réglages Web par défaut 249 Vous ne parvenez pas à appliquer les réglages de courrier par défaut 249 Les utilisateurs ne voient pas de liste de groupes de travail lors de la connexion 250 Les utilisateurs ne parviennent pas à ouvrir des fichiers 250 Les utilisateurs ne parviennent pas à ajouter des imprimantes à la liste d’imprimantes 251 Les éléments d’ouverture ajoutés par un utilisateur ne s’ouvrent pas 251 Les éléments du Dock placés par un utilisateur sont manquants 251 Un point d’interrogation apparaît dans le Dock des utilisateurs 252 Un message d’erreur inattendue est affiché à l’intention des utilisateurs 252 Résolution des problèmes du Gestionnaire Macintosh 252 J’ai oublié mon mot de passe d’administrateur 252 Les administrateurs ne peuvent accéder au Finder après leur connexion 253 Des icônes génériques apparaissent dans le volet ÉlémentsTable des matières 13 253 La sélection de l’option Utilisateur local dans le tableau de bord Utilisateurs multiples ne fonctionne pas 253 Certaines imprimantes ne sont pas répertoriées dans la liste Imprimantes disponibles 253 Les utilisateurs n’arrivent pas à se connecter au serveur Gestionnaire Macintosh 253 Les utilisateurs n’arrivent pas à se connecter en tant qu’invités sur des ordinateurs configurés en langue japonaise 253 Un ordinateur client n’arrive pas à se connecter au serveur 254 Le serveur n’est pas répertorié dans la liste AppleTalk 254 L’ordinateur de l’utilisateur s’arrête de façon intempestive 254 Les utilisateurs ne peuvent pas accéder à leur répertoire de départ 254 Les utilisateurs ne peuvent pas accéder aux fichiers partagés 255 Les documents partagés des groupes de travail n’apparaissent dans l’environnement Tableaux 255 Les applications fonctionnent mal ou ne s’ouvrent pas 255 Les utilisateurs ne peuvent pas effectuer des opérations de glisser-déposer entre les applications 255 Les utilisateurs ne peuvent pas ouvrir des fichiers à partir d’une page Web 255 Parfois, l’application attendue par les utilisateurs ne s’ouvre pas Annexe 257 Importation et exportation d’informations de compte 257 Que pouvez-vous importer ? 257 Importation et exportation d’informations pour le Gestionnaire Macintosh 258 Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail pour importer des utilisateurs et des groupes 259 Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail pour exporter des utilisateurs et des groupes 260 Utilisation de dsimport pour importer des utilisateurs et des groupes 261 Utilisation de fichiers XML créés avec Mac OS X Server version 10.1 ou antérieures 262 Utilisation de fichiers XML créés avec AppleShare IP 6.3 263 Utilisation de fichiers délimités par des caractères 263 Écriture d’une description d’enregistrement Glossaire 265 Index 277 15 Préface Comment utiliser ce guide ? Ce guide vous explique comment utiliser le Gestionnaire de groupe de travail et le Gestionnaire Macintosh pour configurer et gérer les répertoires de départ, les comptes, les préférences et les réglages de vos clients. Ce guide est organisé comme suit : • Le chapitre 1, “Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs”, expose d’importants concepts, présente les outils de gestion des utilisateurs et vous indique où trouver des informations supplémentaires sur la gestion des utilisateurs et des sujets connexes. • Le chapitre 2, “Introduction à la gestion des utilisateurs”, décrit comment utiliser des fonctions et des raccourcis afin d’obtenir une efficacité maximale lors de la configuration et de la maintenance des comptes et des préférences gérées. • Le chapitre 3, “Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles”, présente les éléments à prendre en compte pour gérer des ordinateurs portables. • Le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur”, vous explique comment utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour configurer des comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur. • Le chapitre 7, “Configuration des répertoires de départ”, aborde la création et la personnalisation des répertoires de départ pour Macintosh et des clients. • Le chapitre 8, “Vue d’ensemble de la gestion des clients”, présente les outils et les concepts de gestion de clients tels que la personnalisation de l’environnement de travail d’un utilisateur et l’accès aux ressources réseau. • Le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X”, explique comment utiliser les modules de préférences du Gestionnaire de groupe de travail pour contrôler les autorisations et les réglages des utilisateurs, groupes et ordinateurs qui utilisent Mac OS X. • Le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”, explique comment utiliser le Gestionnaire Macintosh pour contrôler les autorisations et les réglages des utilisateurs, groupes et ordinateurs qui utilisent Mac OS 9.1.16 Préface Comment utiliser ce guide ? • Le chapitre 11, “Résolution des problèmes”, vous aide à résoudre les problèmes concernant la création d’un compte, la maintenance d’un répertoire de départ, la gestion des préférences ou la configuration client, ainsi que les problèmes rencontrés par vos clients gérés. • L’annexe , “Importation et exportation d’informations de compte”, fournit des informations utiles pour transférer les informations d’un compte de ou vers un fichier externe. • Le glossaire définit les termes utilisés dans ce guide. Utilisation de ce guide Parcourez le premier chapitre pour vous familiariser avec les concepts élémentaires de la gestion des utilisateurs et les fonctions des outils de gestion. Ce chapitre contient également des informations susceptibles de vous intéresser sur d’autres documents et figurant dans la suite de documentation Mac OS X Server. Vous y trouverez également des informations sur les sites Web et d’autres sources de référence liées à la gestion des utilisateurs, au Gestionnaire de groupe de travail et au Gestionnaire Macintosh. Ce guide est organisé selon l’approche de base de la gestion des utilisateurs : • configuration des comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur • configuration des répertoires de départ • configuration des ordinateurs clients • gestion des préférences pour les clients Mac OS X • configuration et gestion des comptes et des préférences pour les clients Mac OS 9 Pour obtenir de l’aide sur la planification d’une stratégie de configuration, de maintenance et de gestion des utilisateurs et des données client, lisez le chapitre 2, “Introduction à la gestion des utilisateurs”. Aide sur les tâches de gestion quotidiennes Si vous souhaitez manipuler des comptes, modifier des réglages de préférences, configurer de nouveaux répertoires de départ ou effectuer des tâches d’administration quotidiennes, vous trouverez des instructions détaillées dans l’aide en ligne du Gestionnaire de groupe de travail et du Gestionnaire Macintosh. Bien que toutes ces tâches d’administration soient également décrites dans ce guide, il est parfois plus commode de les consulter à l’écran pendant que vous utilisez le serveur.Préface Comment utiliser ce guide ? 17 Documents liés Ce guide renvoie à d’autres ouvrages de la suite de documents concernant l’administration de serveur. Les titres des documents présentant un intérêt particulier pour la gestion des utilisateurs figurent dans le tableau ci-dessous. La plupart se trouvent sur le CD du logiciel Mac OS X Server. Vous pouvez également télécharger ces documents depuis le site Web de Mac OS X Server : www.apple.com/macosx/server/ (en anglais) Documents Mac OS X Server Contenu Mac OS X Server Administration de la ligne de commande pour la version 10.3 ou ultérieure Comment utiliser une interface de ligne de commande pour manipuler Mac OS X Server Mac OS X Server Premiers contacts pour la version 10.3 ou ultérieure Vue d’ensemble des fonctions et des services fournis dans Mac OS X Server Mac OS X Server Administration des services de fichiers pour la version 10.3 ou ultérieure Comment configurer le partage et d’autres services de fichiers pour permettre le stockage des données, leur collecte et la collaboration Mac OS X Server Administration du service de courrier pour la version 10.3 ou ultérieure Comment configurer et administrer le service de courrier pour les utilisateurs Mac OS X Server Migration pour la version 10.3 ou ultérieure Conseils pour le transfert de données et la mise à jour des clients en vue de l’utilisation de Mac OS X Server et des applications associées telles que le Gestionnaire Macintosh Mac OS X Server Administration des services réseau pour la version 10.3 ou ultérieure Informations sur la configuration et l’utilisation de services tels que DHCP Mac OS X Server Administration Open Directory pour la version 10.3 ou ultérieure Comment configurer et entretenir des services de répertoires intégrés Mac OS X Server Administration des images système pour la version 10.3 ou ultérieure Comment créer et distribuer des images système et des paquets de ressources à l’aide d’outils tels que NetBoot et Installation en réseau Mac OS X Server Administration du service d’impression pour la version 10.3 ou ultérieure Comment configurer et maintenir des services d’impression en réseau Mac OS X Server Administration du Serveur Enchaînement 5.0 QuickTime pour la version 10.3 ou ultérieure Informations sur la fourniture de l’accès en temps réel à des données audio et visuelles Mac OS X Server Administration des technologies Web pour la version 10.3 ou ultérieure Comment configurer, servir et contrôler des sites Web à l’aide de Mac OS X Server Mac OS X Server Administration des services Windows pour la version 10.3 ou ultérieure Comment intégrer des ordinateurs Windows à votre réseau18 Préface Comment utiliser ce guide ? Sources d’informations supplémentaires sur la gestion des utilisateurs Même si vous disposez d’une certaine expérience en matière d’administration du serveur, les stages de formation destinés aux clients Apple peuvent vous intéresser. Pour en savoir plus, allez sur train.apple.com Si vous êtes novice en gestion de serveur et de réseau Pour en savoir plus sur, visitez le site Web : www.apple.com/macosx/server/ (en anglais) Vous pouvez rester en contact avec vos homologues grâce aux groupes de discussion en ligne. La plupart des problèmes que vous rencontrez ont probablement déjà été résolus par d’autres administrateurs de serveur. Pour obtenir les listes disponibles par l’intermédiaire d’Apple, consultez le site suivant : www.lists.apple.com (en anglais) Les groupes de discussion du site d’assistance AppleCare constituent une source supplémentaire d’informations : www.info.apple.com/ (en anglais) Pensez à vous procurer certains des ouvrages de référence suivants. Ils contiennent des informations contextuelles, des explications sur les concepts de base et des idées pour tirer le meilleur parti de votre réseau. • Teach Yourself Networking Visually, de Paul Whitehead et Ruth Maran (Éd. IDG Books Worldwide, 1998). • Internet and Intranet Engineering, de Daniel Minoli (Éd. McGraw-Hill, 1997). NetworkMagazine.com propose en outre une série d’initiations en ligne sur son site Web : www.networkmagazine.com Si vous êtes un administrateur de serveur chevronné Si vous êtes déjà familiarisé avec l’administration de réseau et que vous avez utilisé Linux, UNIX ou un système d’exploitation similaire, les ouvrages de références suivants pourront vous être utiles. • Un grand choix de livres édités par O’Reilly & Associates traitent de sujets qui s’appliquent à, comme Internet Core Protocols: The Definitive Reference, DNS and BIND, et TCP/IP Network Administration. Pour plus de détails, consultez Apache: The Definitive Guide, Writing Apache Modules with Perl and C, Web Performance Tuning, et Web Security & Commerce, également publiés par O’Reilly and Associates. Consultez le site web de l’éditeur O’Reilly & Associates : www.ora.com • Visitez le site Web Apache pour obtenir des informations détaillées sur Apache : www.apache.org/1 19 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs La gestion des utilisateurs comprend tout ce qui va de la configuration des comptes d’accès aux réseaux et la création de répertoires de départ à la gestion des préférences et des réglages des utilisateurs, groupes et ordinateurs. Ce chapitre présente d’importants concepts de gestion des utilisateurs et décrit les applications que vous utiliserez pour gérer les comptes et les autorisations. Outils de gestion des utilisateurs Parmi les principaux outils et applications de gestion des utilisateurs de Mac OS X Server se trouvent le Gestionnaire de groupe de travail, Admin Serveur, NetBoot et Installation en réseau. Gestionnaire de groupe de travail Le Gestionnaire de groupe de travail est un outil puissant qui offre toute une gamme de fonctions destinées à la gestion complète des clients Macintosh. Vous pouvez soit utiliser le Gestionnaire de groupe de travail directement à partir du serveur, soit l’installer indépendamment du logiciel Mac OS X Server sur un ordinateur client non serveur. Le Gestionnaire de groupe de travail fournit aux administrateurs de réseau une méthode centralisée pour gérer des stations de travail Mac OS X, contrôler l’accès aux logiciels et aux disques amovibles et garantir aux utilisateurs une expérience à la fois homogène et personnalisée, tant pour les élèves débutants d’une classe que pour des utilisateurs expérimentés travaillant dans une entreprise. Mac OS X Server enregistre les documents et les préférences utilisateur dans un répertoire de départ, de manière à ce que les utilisateurs puissent accéder à leurs fichiers à partir de tout Mac en réseau. Le Gestionnaire de groupe de travail vous permet de créer des comptes d’utilisateur et de configurer des groupes afin d’offrir un accès aisé et rapide aux ressources. Il est également possible d’utiliser les réglages de compte et les préférences gérées pour une flexibilité plus ou moins importante, en fonction du niveau de contrôle d’administration souhaité.20 Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs Lorsque le Gestionnaire de groupe de travail est utilisé conjointement avec d’autres services Mac OS X Server, vous pouvez : • connecter les utilisateurs entre eux à l’aide de services tels que le courrier et le partage de fichiers ; • partager des ressources système, telles qu’imprimantes et ordinateurs, en optimisant leur disponibilité lorsque les utilisateurs se déplacent et en veillant à ce que l’espace disque et l’utilisation des imprimantes soient partagés de façon équitable ; • héberger des services Internet tels que des sites Web et la diffusion de flux vidéo ; • personnaliser les environnements de travail, tels que les ressources de bureau et les fichiers personnels, des utilisateurs du réseau. Pour plus d’informations sur l’utilisation du Gestionnaire de groupe de travail pour administrer les comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur, consultez le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur”. Gestion des préférences Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server pour adapter les environnements de travail des clients Mac OS X. Les préférences que vous définissez pour chaque utilisateur, chaque groupe d’utilisateurs et chaque ordinateur procurent à vos utilisateurs Macintosh une apparence uniforme de bureau, d’application et de réseau, quel que soit l’ordinateur Macintosh auquel ils se connectent. Toute préférence définie pour un utilisateur de Mac OS X est stockée dans son compte d’utilisateur. Pour gérer des clients Mac OS 9, utilisez le Gestionnaire Macintosh, décrit au chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Les préférences que vous définissez pour les utilisateurs Mac OS 9 sont stockées à l’aide du Gestionnaire Macintosh. Pour en savoir plus sur les outils et les concepts de gestion des clients, lisez le chapitre 8, “Vue d’ensemble de la gestion des clients”. Répertoires de départ L’emplacement du répertoire de départ d’un utilisateur est stocké dans son compte d’utilisateur. Un répertoire de départ est un dossier servant à stocker les fichiers et préférences d’un utilisateur. Les autres utilisateurs peuvent voir le répertoire de départ d’un utilisateur et lire des fichiers dans son dossier Public mais ils ne peuvent pas (par défaut) accéder à autre chose dans ce répertoire. Lorsque vous créez un utilisateur dans un domaine de répertoire du réseau, vous devez spécifier l’emplacement de son répertoire de départ sur le réseau. Cet emplacement est stocké dans le compte d’utilisateur et utilisé par divers services, dont la fenêtre de connexion et les services d’utilisateur gérés par Mac OS X. Voici quelques exemples d’activités ayant recours à l’emplacement du répertoire de départ : • Le répertoire de départ d’un utilisateur apparaît lorsque celui-ci clique sur l’icône Départ dans une fenêtre du Finder ou choisit Départ dans le menu Aller du Finder.Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs 21 • Les répertoires de départ configurés pour un montage automatique dans un emplacement du réseau, comme /Network/Servers, apparaissent dans le Finder de l’ordinateur sur lequel l’utilisateur ouvre une session. • Les Préférences Système et les réglages d’utilisateurs gérés pour les utilisateurs Mac OS X sont obtenus à partir des répertoires de départ de ces derniers et utilisés pour configurer leur environnement de travail lorsqu’ils se connectent. Vous pouvez configurer des comptes mobiles exploitant la synchronisation des répertoires de départ. Un utilisateur peut accéder à un répertoire de départ local lorsqu’il travaille hors connexion, puis synchroniser ses données avec un répertoire de départ en réseau dès que la connexion au réseau est rétablie. Pour plus d’informations sur les comptes mobiles, lisez le chapitre 3, “Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles”. Réglages de courrier Pour créer le compte de service de courrier Mac OS X Server d’un utilisateur, configurez les réglages du courrier dans son compte d’utilisateur. Pour utiliser le compte de messagerie, il suffit que l’utilisateur configure un logiciel client à l’aide de son nom d’utilisateur, de son mot de passe, de son service et de son protocole de courrier spécifiés dans les réglages du courrier. Les réglages de compte de courrier vous permettent d’activer et désactiver l’accès de l’utilisateur aux services de courrier exécutés sur un Mac OS X Server donné. Vous pouvez également gérer des caractéristiques de compte, telles que le mode de gestion de la notification automatique des messages entrants, pour les comptes de courrier résidant sur les serveurs qui utilisent des versions de Mac OS X antérieures à 10.3. Pour plus de détails sur les réglages du service de courrier Mac OS X, consultez le guide d’administration du service de courrier. Utilisation de ressources Les quotas de disque, d’impression et de courrier peuvent être stockés dans un compte d’utilisateur. Les quotas de courrier et de disque limitent le nombre de méga-octets disponibles pour le courrier et les fichiers d’un utilisateur. Les quotas d’impression limitent le nombre de pages qu’un utilisateur peut imprimer à l’aide des services d’impression de Mac OS X Server. Les quotas d’impression peuvent également servir à désactiver complètement l’accès au service d’impression d’un utilisateur. Les réglages d’impression d’un utilisateur fonctionnent conjointement avec ceux du serveur d’impression décrits dans le guide d’administration du service d’impression.22 Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs Admin Serveur L’application Admin Serveur fournit l’accès à divers outils et services qui jouent un rôle dans la gestion des utilisateurs. Une fois que vous avez installé le logiciel Mac OS X Server, configuré les services de répertoire et mis en place votre réseau, vous pouvez commencer à créer et à gérer des comptes à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail. Après avoir configuré des comptes et des répertoires de départ, vous pouvez utiliser Admin Serveur pour configurer des services supplémentaires et fournir le service de courrier, héberger des sites Web, partager des imprimantes ou autoriser les utilisateurs à partager des dossiers et des fichiers. Pour plus d’informations sur l’utilisation des outils Admin Serveur, reportez-vous aux documents figurant dans le tableau ci-dessous. Gestionnaire Macintosh, Utilisez le Gestionnaire Macintosh pour administrer la gestion des clients pour les ordinateurs clients Mac OS 9. Vous pouvez l’utiliser localement (au niveau du serveur) ou à distance (à partir d’un ordinateur Mac OS 9 ou X situé sur le même réseau que Mac OS X Server). Pour renseignez-vous sur dans le document attribuer des autorisations d’accès aux dossiers et fichiers d’un point de partage le partage de fichiers Mac OS X Server Administration des services de fichiers pour la version 10.3 ou ultérieure partager des imprimantes entre les utilisateurs le service d’impression Mac OS X Server Administration du service d’impression pour la version 10.3 ou ultérieure installer des sites Web ou la gestion WebDAV sur le serveur le service Web Mac OS X Server Administration des technologies Web pour la version 10.3 ou ultérieure fournir des services de messagerie électronique aux utilisateurs le service de courrier Mac OS X Server Administration du service de courrier pour la version 10.3 ou ultérieure diffuser des données multimédias en temps réel à partir du serveur le service d’enchaînement QuickTime Mac OS X Server Administration du Serveur Enchaînement 5.0 QuickTime pour la version 10.3 ou ultérieure fournir un système d’exploitation et des dossiers d’applications identiques aux ordinateurs clients NetBoot Mac OS X Server Administration des images système pour la version 10.3 ou ultérieure installer des applications sur l’ensemble d’un réseau Installation en réseau Mac OS X Server Administration des images système pour la version 10.3 ou ultérieure partager des informations entre plusieurs ordinateurs Mac OS X Server ou Mac OS X les services de répertoires Mac OS X Server Administration Open Directory pour la version 10.3 ou ultérieureChapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs 23 Pour plus de détails, consultez le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. NetBoot Avec NetBoot, les ordinateurs Mac OS 9 et X peuvent démarrer à partir d’une image disque système en réseau, ce qui permet une configuration rapide et aisée de services, de salles de classe et de systèmes individuels ainsi que de serveurs Web et d’applications sur l’ensemble d’un réseau. Lorsque vous mettez à jour des images NetBoot, tous les ordinateurs qui utilisent NetBoot ont immédiatement accès à la nouvelle configuration. Les clients Macintosh peuvent démarrer à partir d’une image disque système située sur Mac OS X Server au lieu du disque dur de l’ordinateur client. Vous pouvez configurer plusieurs images de disque NetBoot et ainsi faire démarrer des clients dans Mac OS 9 ou X, ou même personnaliser des environnements Macintosh pour différents groupes de clients. NetBoot peut simplifier l’administration et réduire la gestion normalement associée aux déploiements à grande échelle des systèmes Macintosh basés sur un réseau. NetBoot est la solution idéale pour les organisations dont bon nombre des ordinateurs client ont besoin d’être configurés de manière identique. NetBoot peut, par exemple, constituer une solution idéale pour un centre de données nécessitant plusieurs serveurs d’applications et Web configurés de manière identique. Avec NetBoot, les administrateurs peuvent configurer et mettre à jour les ordinateurs clients instantanément, en mettant simplement à jour une image de démarrage stockée sur le serveur. Chaque image contient le système d’exploitation et les dossiers d’application de tous les clients du serveur. Toutes les modifications apportées au serveur sont automatiquement reportées sur les clients lorsqu’ils redémarrent. Les systèmes endommagés ou altérés de quelque autre façon peuvent être restaurés de manière instantanée par simple redémarrage. Il existe plusieurs autres applications d’administration NetBoot : • NetBoot Desktop Admin (pour la modification des images Mac OS 9) • Network Image Utility (pour la création et la modification d’images Mac OS X) • Le module DHCP/NetBoot (utilisé pour enregistrer des images NetBoot) Pour plus d’informations sur ces outils ou sur l’installation d’un système d’exploitation sur l’ensemble d’un réseau, lisez le guide d’administration des images système.24 Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs Installation en réseau L’application Installation en réseau est un service d’installation de logiciels de réseau centralisé. Grâce à elle, vous pouvez, de manière automatique et sélective, installer, restaurer ou mettre à jour des systèmes Macintosh basés sur un réseau, où que ce soit dans une structure. Utilisez PackageMaker pour créer des paquets Installation en réseau. Les images d’installation peuvent contenir la dernière version de Mac OS X, une mise à jour de logiciel, des applications personnalisées ou dotées d’une licence de site et même des scripts de configuration. • Installation en réseau est la solution idéale pour la migration de systèmes d’exploitation, l’installation de mises à jour de logiciels et de progiciels personnalisés, la restauration de salles d’informatique ainsi que pour réimager des ordinateurs de bureau ou portables. • Dans une structure, vous pouvez définir des images d’installation personnalisées pour divers départements : marketing, ingénierie et ventes par exemple. Avec Installation réseau, inutile d’insérer plusieurs CD pour configurer un système. L’ensemble des fichiers et des paquets d’installation se trouvent sur le serveur et sont installés en une fois sur l’ordinateur client. Installation réseau contient aussi des scripts de pré et post-installation servant à invoquer des actions avant ou après l’installation d’un ensemble de logiciels ou d’une image système. Pour plus d’informations sur l’utilisation d’Installation réseau, lisez le guide d’administration des images système. Comptes d’utilisateur Lorsque vous définissez un compte d’utilisateur, vous devez fournir les informations nécessaires pour prouver l’identité de l’utilisateur: nom d’utilisateur, mot de passe et numéro d’identification d’utilisateur (UID). D’autres informations de compte d’utilisateur sont requises par plusieurs services afin de déterminer ce que l’utilisateur a le droit de faire et de personnaliser éventuellement son environnement. Mac OS X Server utilise plusieurs types d’utilisateurs et de groupes. La plupart d’entre eux sont définis par l’utilisateur : il s’agit des comptes d’utilisateur et de groupe que vous créez. Il existe également des comptes d’utilisateur et de groupe prédéfinis réservés à Mac OS X. Utilisateurs et utilisateurs gérés En fonction de la configuration de votre serveur et de vos comptes d’utilisateur, les utilisateurs peuvent se connecter à l’aide d’ordinateurs Mac OS 9 et Mac OS X, Windows ou UNIX (fixes ou portables) et être pris en charge par Mac OS X Server.Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs 25 La plupart des utilisateurs disposent d’un compte individuel qui sert à les authentifier et à contrôler leur accès aux services. Lorsque vous souhaitez personnaliser l’environnement d’un utilisateur, définissez des préférences d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur pour celui-ci. Le terme client géré ou utilisateur géré désigne un utilisateur dont les préférences associées à son compte sont contrôlées par un administrateur. Le terme client géré est également utilisé pour désigner des comptes d’ordinateurs dont les préférences ont été définies. Lorsqu’un utilisateur géré se connecte, les préférences qui prennent effet sont une combinaison de ses préférences d’utilisateur et des préférences configurées pour tout groupe de travail ou toute liste d’ordinateurs auxquels il appartient. Pour obtenir des informations sur les utilisateurs gérés, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X” et le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Administrateurs Les utilisateurs dotés d’autorisations d’administration de serveur, de domaine de répertoire ou de serveur de mots de passe sont appelés administrateurs. Les administrateurs sont toujours membres du groupe “admin” prédéfini. Les autorisations d’administration d’un utilisateur sont stockées dans le compte d’utilisateur. Elles déterminent le niveau d’informations que l’utilisateur peut visualiser sur les réglages ou les modifications des réglages d’un Mac OS X Server ou d’un domaine de répertoires particulier situé sur un Mac OS X Server. Administration de serveur Les autorisations d’administration de serveur contrôlent les pouvoirs dont disposent un utilisateur lorsqu’il est connecté à un Mac OS X Server spécifique. Par exemple : • Un administrateur de serveur peut utiliser Admin Serveur et modifier la politique de recherche d’un serveur à l’aide de Format de répertoire. • Un administrateur de serveur peut visualiser tous les répertoires AFP du serveur et non pas uniquement les points de partage. Lorsque vous attribuez des autorisations d’administration de serveur à un utilisateur, ce dernier est ajouté au groupe nommé “admin” dans le domaine de répertoires local du serveur. De nombreuses applications Mac OS X, telles qu’Admin Serveur, Format de répertoire et Préférences Système, utilisent le groupe admin pour déterminer si un utilisateur donné peut réaliser certaines opérations à l’aide de l’une d’entre elles. Administration d’ordinateurs Mac OS X locaux Quiconque appartenant au groupe “admin” du domaine de répertoires local de tout ordinateur Mac OS X bénéficie de droits d’administration sur cet ordinateur. 26 Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs Administration de domaines de répertoires Si vous souhaitez que certains utilisateurs puissent utiliser le Gestionnaire de groupe de travail afin de gérer uniquement des comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur donnés situés dans des domaines de répertoires Apple, vous pouvez leur attribuer la fonction d’administrateur de domaine. Par exemple, vous pouvez faire d’un administrateur de réseau l’administrateur de tous les serveurs de votre salle de classe, mais donner à chaque professeur les autorisations pour gérer les comptes d’étudiant dans des domaines de répertoires spécifiques. Tout utilisateur disposant d’un compte d’utilisateur dans un domaine de répertoires peut être nommé administrateur de ce domaine. Vous pouvez contrôler dans quelle mesure un administrateur de domaine de répertoire peut modifier les données de compte stockées dans un domaine. Vous pouvez, par exemple, configurer des autorisations de domaine de répertoire afin que votre administrateur de réseau puisse ajouter et supprimer des comptes d’utilisateur, mais que d’autres utilisateurs puissent modifier les informations concernant des utilisateurs particuliers. Vous pouvez aussi faire en sorte que différents utilisateurs puissent gérer différents groupes. Lorsque vous attribuez des autorisations d’administration de domaine de répertoires à un utilisateur, cet utilisateur est ajouté au groupe d’administration du serveur sur lequel est situé le domaine de répertoires. Administration du Serveur de mot de passe Un administrateur doit être un administrateur du Serveur de mot passe pour pouvoir gérer les réglages Serveur de mot de passe pour ses utilisateurs. Un administrateur du Serveur de mot de passe est un administrateur de domaine de répertoire pour le domaine de répertoire dont les utilisateurs ont des mots de passe gérés par un Serveur de mot de passe. De plus, le mot de passe de l’administrateur du Serveur de mot de passe doit être géré à l’aide du Serveur de mot de passe. Utilisateurs invités Vous êtes parfois amené à fournir des services à des personnes anonymes, qui ne peuvent être authentifiées, car elles ne disposent pas d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe corrects. Ces utilisateurs sont appelés utilisateurs invités. Certains services, comme AFP, vous permettent d’indiquer si vous souhaitez que les utilisateurs invités puissent accéder aux fichiers. Si vous permettez l’accès aux invités, les utilisateurs se connectant de façon anonyme doivent se contenter des fichiers et dossiers dont les autorisations sont réglées sur Tous. Le compte d’utilisateur invité est utilisé lorsqu’aucun enregistrement d’utilisateur concordant n’est trouvé pendant l’authentification.Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs 27 Il existe un autre type d’utilisateur invité : l’utilisateur géré que vous pouvez définir pour simplifier la configuration d’ordinateurs publics (ou kiosques informatiques) qui utilisent Mac OS 9. Pour plus d’informations sur ces types d’utilisateurs, consultez le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Groupes, groupes principaux et groupes de travail Un groupe consiste simplement en un ensemble d’utilisateurs ayant des besoins similaires. Par exemple, vous pouvez constituer un seul groupe avec tous vos professeurs d’anglais et lui donner des autorisations d’accès à certains fichiers ou dossiers sur un volume. Les groupes simplifient l’administration des ressources partagées. Plutôt que d’accorder individuellement l’accès de diverses ressources à chaque utilisateur qui en a besoin, vous pouvez tout simplement ajouter les utilisateurs à un groupe auquel vous accordez l’accès. Les informations des comptes de groupe sont utilisées pour aider à contrôler l’accès des utilisateurs aux répertoires et aux fichiers. Consultez “Accès par d’autres utilisateurs aux répertoires et fichiers” à la page 32 pour en savoir plus à ce sujet. Dossiers de groupe Lorsque vous définissez un groupe, vous pouvez également spécifier un dossier pour le stockage des fichiers que vous souhaitez voir partagés par les membres du groupe. L’emplacement du dossier est enregistré dans le compte du groupe. Vous pouvez attribuer des autorisations d’administration d’un dossier de groupe à un utilisateur. Les administrateurs de dossier de groupe disposent d’autorisations de propriétaire pour ce dossier et peuvent utiliser le Finder pour modifier les attributs du dossier de groupe. Groupes de travail Un groupe pour lequel vous définissez des préférences est appelé groupe de travail. Un groupe de travail vous permet de gérer l’environnement de travail des membres de ce groupe. Toute préférence définie pour un groupe de travail Mac OS X est stockée dans le compte de groupe. Les préférences déterminées pour les groupes de travail Mac OS 8 et 9 sont stockées à l’aide du Gestionnaire Macintosh. Pour obtenir une description des préférences de groupes de travail, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X” et le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Comptes d’ordinateur Un compte d’ordinateur consiste en une liste d’ordinateurs ayant les mêmes réglages de préférences et accessibles aux mêmes utilisateurs et groupes. Vous pouvez créer et modifier des comptes d’ordinateur dans le Gestionnaire de groupe de travail. 28 Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs Pour en savoir plus sur la manière de configurer des comptes d’ordinateur pour les ordinateurs clients Mac OS X, lisez le chapitre 6, “Configuration des comptes d’ordinateur”. Pour spécifier des préférences pour les comptes d’ordinateur Mac OS X, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X”. Pour une description de la manière de configurer des comptes d’ordinateur et spécifier des préférences pour les ordinateurs Mac OS 9, reportez-vous au chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Ordinateurs hôtes La plupart des ordinateurs de votre réseau doivent être répertoriés dans un compte d’ordinateur. Si un ordinateur inconnu (qui ne figure pas encore dans un compte d’ordinateur) se connecte à votre réseau et tente d’accéder à des services, il sera traité comme un hôte. Les réglages choisis pour le compte d’ordinateur hôte s’appliquent aux ordinateurs inconnus. Au cours de l’installation d’un logiciel de serveur, un enregistrement d’ordinateur hôte est automatiquement créé, uniquement dans le domaine de répertoires d’origine. Par la suite, un administrateur de serveur peut créer des comptes supplémentaires pour ordinateurs hôtes dans d’autres domaines de répertoires. Une fois le compte créé, les ordinateurs hôtes apparaissent dans la liste des comptes d’ordinateur. Chaque domaine de répertoires peut disposer d’un seul compte pour ordinateurs hôtes. Votre configuration réseau peut ou non vous permettre de créer un compte pour ordinateurs hôtes dans certains domaines de répertoires. Utilisation côté utilisateur Une fois que vous avez créé un compte pour un utilisateur, ce dernier peut accéder aux ressources du serveur en fonction des autorisations que vous lui avez accordées. Pour la plupart des utilisateurs, le flux habituel d’événements allant de la connexion à la déconnexion se déroule comme suit : • Authentification L’utilisateur saisit un nom et un mot de passe. • Validation du mot de passe Le nom d’utilisateur et le mot de passe sont vérifiés par les services de répertoires. • Connexion L’utilisateur obtient le droit d’accéder au serveur et aux ressources réseau. • Accès L’utilisateur se connecte aux serveurs, aux points de partage et aux applications afin de les utiliser. • Déconnexion La session de l’utilisateur est terminée. Les détails de l’expérience d’utilisateur peuvent varier selon le type d’utilisateur, les autorisations d’accès accordées, le type de système utilisé (Windows ou UNIX par exemple), le fait que l’utilisateur soit membre d’un groupe ou non, ainsi que le niveau d’implémentation de la gestion des préférences (utilisateur, groupe ou ordinateur).Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs 29 Vous trouverez des informations sur cette expérience Mac OS X au chapitre 8, “Vue d’ensemble de la gestion des clients”. L’expérience Mac OS 9 est décrite au chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Les informations de base sur l’authentification, la validation du mot de passe et le contrôle de l’accès aux informations sont données dans les sections suivantes. Pour obtenir des informations détaillées sur ces sujets, lisez le guide d’administration Open Directory. Authentification Avant qu’un utilisateur ne puisse ouvrir une session ou se connecter sur un ordinateur Mac OS X, il doit entrer un nom et un mot de passe associés à un compte d’utilisateur identifiable par l’ordinateur. Un ordinateur Mac OS X peut situer des comptes d’utilisateur stockés dans un domaine de répertoires de la politique de recherche. • Un domaine de répertoire conserve des informations sur les utilisateurs et les ressources. Il est similaire à une base de données à laquelle la configuration d’un ordinateur prévoit un accès en vue de recueillir des informations de configuration. • Une politique de recherche est une liste de domaines de répertoires dans laquelle l’ordinateur procède à des recherches lorsqu’il a besoin d’informations de configuration, en commençant par le domaine de répertoires local situé sur l’ordinateur de l’utilisateur. Le guide d’administration Open Directory décrit les différents types de domaines de répertoires et explique la configuration des politiques de recherche sur tout ordinateur Mac OS X. L’illustration suivante montre un utilisateur qui se connecte à un ordinateur Mac OS X capable de repérer le compte de cet utilisateur dans un domaine de répertoire de sa politique de recherche. Ouverture de session sur Mac OS X Domaines de répertoires figurant dans la politique de recherche 30 Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs Après connexion, l’utilisateur peut se connecter à un ordinateur Mac OS X distant si son compte d’utilisateur peut être repéré dans la politique de recherche de cet ordinateur distant. Si Mac OS X localise un compte d’utilisateur contenant le nom saisi par l’utilisateur, il tente de valider le mot de passe associé au compte. Si le mot de passe est validé, l’utilisateur est authentifié et le processus de connexion terminé. Une fois connecté sur un ordinateur Mac OS X, un utilisateur peut accéder à l’ensemble des ressources, telles les imprimantes et les points de partage, définies dans des domaines de répertoires de la politique de recherche configurée pour l’ordinateur de l’utilisateur. Un point de partage est un disque dur (ou une partition de disque dur), un CD-ROM ou un dossier qui contient les fichiers que vous souhaitez voir partagés entre les utilisateurs. L’utilisateur peut accéder à son répertoire de départ en cliquant sur le bouton Départ dans une fenêtre du Finder ou en choisissant Départ dans le menu Aller du Finder. L’utilisateur n’est toutefois pas obligé de se connecter à un serveur pour accéder aux ressources réseau. Par exemple, lorsqu’un utilisateur se connecte à un ordinateur Mac OS X, il peut accéder aux fichiers pour lesquels il dispose d’un autorisation d’accès sur l’ordinateur, même si le système de fichiers l’invite à saisir au préalable un nom et un mot de passe d’utilisateur. Lorsqu’un utilisateur accède aux ressources publiques d’un serveur sans s’y connecter, c’est la politique de serveur de l’ordinateur de l’utilisateur qui est appliquée, et non celle de l’ordinateur auquel l’utilisateur s’est connecté. Ouverture de session Mac OS X Server Domaines de répertoires figurant dans la politique de recherche Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs 31 Validation de mots de passe Lors de la procédure d’authentification d’un utilisateur, Mac OS X commence par repérer le compte de cet utilisateur, puis recourt à la stratégie de mot de passe désignée dans ce compte pour valider le mot de passe. Open Directory vous offre plusieurs options de validation du mot de passe d’un utilisateur. Pour obtenir des informations détaillées sur les options de validation de mot de passe, lisez le guide d’administration Open Directory. Contrôle de l’accès aux informations Tous les répertoires (dossiers) et fichiers situés sur des ordinateurs Mac OS X comportent des autorisations d’accès dédiées à leur propriétaire du fichier, à un groupe et à toute autre personne. Mac OS X recourt à un élément de donnée particulier dans un compte d’utilisateur, l’identifiant d’utilisateur, pour effectuer le suivi des autorisations d’accès aux répertoires et aux fichiers. Accès de propriétaire à des répertoires et des fichiers Lorsqu’un répertoire ou un fichier est créé, le système de fichiers stocke l’identifiant de l’utilisateur qui l’a créé. Si un utilisateur doté de cet identifiant accède au répertoire ou au fichier, il détient par défaut les autorisations en lecture et en écriture pour l’élément en question. De plus, les processus initiés par le créateur ont des autorisations de lecture et d’écriture pour tous les fichiers associés à l’identifiant d’utilisateur du créateur. Compte d’utilisateur Le mot de passe peut être validé à l’aide de la valeur stockée dans le compte d’utilisateur ou dans la base de données d’authentification Open Directory Le mot de passe peut également être validé via une autre autorité d’authentification Kerberos KDS LDAP bind Open Directory Authentification Le possesseur 127 dispose des autorisations en lecture et écriture Le groupe 2017 dispose des autorisations en lecture seule Les autres utilisateurs ne disposent d’aucune autorisation MonDoc32 Chapitre 1 Vue d’ensemble de la gestion des utilisateurs Si vous modifiez l’identifiant d’un utilisateur, ce dernier risque de ne plus pouvoir changer ni même accéder aux fichiers et répertoires qu’il a créés. De même, si l’utilisateur se connecte avec un identifiant différent de celui qu’il a utilisé pour créer les fichiers et répertoires, il n’aura plus d’autorisations d’accès de propriétaire à ces derniers. Accès par d’autres utilisateurs aux répertoires et fichiers L’identifiant d’utilisateur, en association avec un identifiant de groupe, est également utilisé pour contrôler l’accès des utilisateurs membres de groupes particuliers. Chaque utilisateur appartient à un groupe principal. L’identifiant de groupe principal d’un utilisateur est enregistré dans le compte de l’utilisateur. Lorsqu’un utilisateur accède à un répertoire ou à un fichier dont il n’est pas le propriétaire, le système de fichiers vérifie les autorisations de groupe de ce fichier. • Si l’identifiant de groupe principal de l’utilisateur correspond à l’identifiant du groupe associé au fichier, l’utilisateur hérite d’autorisations d’accès de groupe. • Si l’identifiant de groupe principal de l’utilisateur ne correspond pas à l’identifiant de groupe du fichier, Mac OS X recherche le compte de groupe qui possède des autorisations d’accès. Le compte de groupe contient une liste des noms abrégés des utilisateurs membres du groupe. À chaque nom abrégé du compte de groupe, le système de fichiers fait correspondre un identifiant d’utilisateur et, si ce dernier équivaut à un identifiant d’utilisateur d’un membre du groupe, l’utilisateur bénéficie des autorisations d’accès du groupe pour le fichier ou le répertoire.2 33 2 Introduction à la gestion des utilisateurs La configuration d’un compte et la gestion des utilisateurs peut s’avérer une tâche complexe, notamment dans le cas d’installations multiples, d’un réseau important ou de nombreux utilisateurs. Ce chapitre vous aidera à découvrir les méthodes les plus adaptées de mise en œuvre, de distribution et de contrôle du système. Présentation générale de la configuration La gestion des utilisateurs consiste en une série de tâches principales, chacune divisée en diverses sous-tâches plus petites. Cette section présente d’une manière générale le mode de mise en œuvre de la gestion des utilisateurs. Les tâches individuelles qui interviennent dans chaque activité principale sont détaillées dans les chapitres suivants de ce guide. Les principales activités d’administration relatives aux utilisateurs et aux groupes sont les suivantes : • Étape 1 : Avant de commencer, élaborez un programme. • Étape 2 : Assurez-vous que vos ordinateurs répondent aux configurations requises minimales. • Étape 3 : Créez des domaines partagés pour stocker des informations de compte. • Étape 4 : Configurez le serveur de mot de passe Open Directory. • Étape 5 : Configurez les politiques de recherche serveur et client pour trouver des comptes d’utilisateur et de groupe. • Étape 6 : Configurez des comptes d’utilisateur et des répertoires de départ. • Étape 7 : Créez des groupes. • Étape 8 : Assurez-vous que vos ordinateurs répondent aux configurations requises minimales. • Étape 9 : Configurez des ordinateurs clients et créez des comptes d’ordinateur. • Étape 10 : Passez en revue, le cas échéant, les informations relatives aux comptes d’utilisateur et de groupe. • Étape 11 : Actualisez, le cas échéant, les informations de compte.34 Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs • Étape 12 : Procédez à la maintenance des comptes d’utilisateur et de groupe en cours. Chacune de ces activités est résumée ci-après. Reportez-vous aux pages indiquées pour des informations détaillées. Étape 1 : Avant de commencer, élaborez un programme L’élaboration d’un programme pour la gestion des utilisateurs commence par l’analyse des besoins des utilisateurs et le développement d’une stratégie de ressource. Voici quelques points à considérer : • la taille et la distribution de votre réseau, • le nombre d’utilisateurs qui accéderont à votre réseau, • quels utilisateurs devront bénéficier d’autorisations d’administrateur, • de quels services et ressources ont besoin les utilisateurs (courrier électronique, accès au stockage des données), • comment diviser les utilisateurs en groupes (par exemple, par catégorie ou type d’emploi), • comment grouper des ensembles d’ordinateurs (par exemple, tous les ordinateurs d’un laboratoire public). Les ordinateurs fonctionnant sous Mac OS X, Mac OS 9 ou Windows peuvent accéder à votre réseau sans aucune gestion. Seuls les ordinateurs Mac OS X ou Mac OS 9 ont la possibilité de gérer ou de contrôler l’accès à des ressources spécifiques locales ou en réseau, comme des volumes partagés, des supports de données, des applications ou des préférences de réglages. Les ordinateurs Mac OS X peuvent être gérés à l’aide d’un compte du Gestionnaire de groupe de travail et des fonctions de préférence. Pour les ordinateurs Mac OS 9, l’utilisation du Gestionnaire Macintosh est requise. Bien que les ordinateurs sous Windows puissent accéder à votre réseau, ces outils ne permettent pas de les gérer. Vous devez envisager la gestion de clients (contrôle des autorisations et des préférences) si : • vous désirez proposer aux utilisateurs une interface compatible et fiable tout en leur permettant d’accéder à leurs documents à partir d’un ordinateur quelconque ; • vous souhaitez contrôler les autorisations relatives aux ordinateurs portables ; • vous désirez réserver certaines ressources à des groupes ou des individus spécifiques ; • vous devez garantir l’usage informatique des secteurs déterminants, tels qu’administrations, salles de cours ou laboratoires en libre service. Pour plus d’informations et de suggestions, consultez la section “Programmation de stratégies pour la gestion des utilisateurs” à la page 39.Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs 35 Étape 2 : Assurez-vous que vos serveurs répondent aux configurations requises minimales Configuration logicielle requise pour l’ordinateur administrateur Mac OS X • Mac OS X Server v. 10.2.6 ou ultérieure installée Configuration matérielle requise pour l’ordinateur administrateur Mac OS X • Ordinateur Macintosh équipé d’un processeur G3 ou ultérieur (hormis le PowerBook G3 d’origine ou les processeurs PowerPC mis à jour) • 128 méga-octets (Mo) de RAM • 4 giga-octets (Go) d’espace disque disponible Étape 3 : Créez des domaines partagés pour stocker des informations de compte Utilisez le module Open Directory d’Admin Serveur pour configurer des domaines partagés ou visibles sur le réseau dans lesquels stocker des informations de compte d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur. Pour plus d’informations sur les hiérarchies de domaine et leur configuration, consultez le guide d’administration Open Directory. Assurez-vous que quiconque utilisant le Gestionnaire de groupe de travail afin d’ajouter et de changer des utilisateurs et groupes dispose des autorisations d’administration pour les domaines de répertoires dont il est responsable. Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour ajouter et changer des comptes d’utilisateur et de groupe stockés dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, dans un domaine NetInfo ou dans tout autre domaine de répertoires en lecture/écriture. Si vous utilisez LDAPv2, LDAPv3 en lecture seule, le fichier de configuration BSD ou tout autre domaine de répertoires en lecture seule, assurez-vous qu’ils sont configurés pour gérer l’accès à Mac OS X Server et fournissent les données dont vous avez besoin pour les comptes d’utilisateur et de groupe. Il sera peut-être nécessaire d’ajouter, de modifier ou de réorganiser les informations dans un répertoire afin qu’elles soient au format requis. • Le guide d’administration Open Directory décrit comment configurer Mac OS X Server pour accéder à des serveurs distants sur lesquels résident ces domaines et récupérer ainsi des informations. • L’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte” décrit des formats de données de compte d’utilisateur et de groupe attendus par Mac OS X. Lorsque vous configurez vos services de répertoires Mac OS X Server pour utiliser des domaines de répertoires se trouvant hors du serveur, vous devez éventuellement consulter cette annexe afin de connaître les conditions de mise en correspondance des données pour certains types de domaines de répertoires. • Le guide d’administration des services Windows décrit comment utiliser les informations stockées dans l’Active Directory de Microsoft, authentifier les utilisateurs Macintosh et leur proposer des services sur Mac OS X Server.36 Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs Étape 4 : Configurez le serveur de mot de passe Open Directory Si vous comptez utiliser le serveur de mot de passe Open Directory pour valider les mots de passe des utilisateurs dans chaque domaine de répertoires, configurez-le dès que possible. Lorsque vous passez d’une stratégie de validation de mot de passe quelconque à une validation par le serveur de mot de passe, vous devez réinitialiser les mots de passe de tous les utilisateurs concernés. Consultez le guide d’administration Open Directory pour obtenir des instructions sur la configuration. Étape 5 : Configurez les politiques de recherche serveur et client pour trouver des comptes d’utilisateur et de groupe Assurez-vous que la politique de recherche de tout serveur devant accéder aux informations d’utilisateur et de groupe afin de fournir des services à certains utilisateurs est bien configurée à cet effet. Les politiques de recherche sur un ordinateur client Mac OS X doivent être configurées de sorte que les comptes et les ressources partagées (telles que les serveurs de fichiers et les imprimantes réseau) soient visibles à partir de cet ordinateur. Consultez le guide d’administration Open Directory pour obtenir des instructions et des options sur la configuration cliente. Étape 6 : Configurez des comptes d’utilisateur et des répertoires de départ Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour configurer des comptes d’utilisateur et des répertoires de départ. Vous pouvez créer les comptes d’utilisateur dans des domaines de répertoires situés sur Mac OS X Server et dans des domaines Open Directory non Apple, configurés pour un accès en écriture. Une fois les utilisateurs créés dans le Gestionnaire de groupe de travail, ils peuvent être gérés sur les clients Mac OS X. Vous pouvez définir plusieurs types d’autorisations, tels que les quotas d’impression ou de courrier, à mesure que vous créez vos utilisateurs. Les répertoires de départ peuvent être stockés sur un serveur AFP (Apple Filing Protocol). Vous pouvez configurer des volumes de groupe en tant que points de partage AFP et ajouter des points de partage supplémentaires, le cas échéant. Pour les clients gérés sous Mac OS X, le point de partage devra être monté automatiquement. Chaque utilisateur à gérer devra disposer de son propre répertoire de départ. Dans le cas contraire, l’utilisateur aura un accès limité aux ordinateurs et aux ressources. Consultez le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur” pour plus d’informations sur la création de comptes d’utilisateur et la définition d’autorisations d’utilisateur. Consultez le chapitre 7, “Configuration des répertoires de départ” pour plus d’informations sur les répertoires de départ. Pour en savoir plus sur l’utilisation des comptes d’utilisateur en lecture seule, consultez “Travail avec des comptes d’utilisateur de type “lecture seule”” à la page 62. Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs 37 Pour des informations plus détaillées sur la configuration des utilisateurs gérés, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X” et le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Si vous décidez de gérer vos utilisateurs, la création d’utilisateurs dans un domaine de répertoires de réseau permet d’utiliser le compte d’utilisateur sur plusieurs ordinateurs. Toutefois, les utilisateurs peuvent aussi être définis localement sur chaque ordinateur client. Étape 7 : Créez des groupes Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour créer des comptes de groupe dans des domaines de répertoires situés sur Mac OS X Server et dans des domaines Open Directory non Apple, configurés pour un accès en écriture. Reportezvous aux sections suivantes pour obtenir des instructions : • “Création de comptes de groupe Mac OS X Server” à la page 85 et “Création de comptes de groupe LDAPv3 en lecture/écriture” à la page 85 • “Raccourcis pour l’utilisation des comptes” à la page 44 • “Utilisation de préréglages” à la page 44 • l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte” Pour plus d’informations sur l’utilisation des comptes de groupe en lecture seule, consultez “Travail avec des comptes de groupe en lecture seule” à la page 87. Pour obtenir des détails sur tous les réglages possibles pour un compte de groupe, consultez le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur”. Étape 8 : Assurez-vous que vos ordinateurs répondent aux configurations requises minimales Faites l’inventaire de tous les ordinateurs et assurez-vous qu’ils répondent aux configurations requises minimales pour remplir leurs fonctions en réseau. Configuration logicielle requise pour l’ordinateur client Mac OS X • Mac OS X v. 10.2.6 ou ultérieure en tant que système d’exploitation principal Configuration matérielle requise pour l’ordinateur client Mac OS X • Ordinateur Macintosh équipé d’un processeur G3 ou ultérieur (hormis le PowerBook G3 d’origine ou les processeurs PowerPC mis à jour) • 128 méga-octets (Mo) de mémoire vive (RAM) • 1,5 giga-octets (Go) d’espace disque disponible Étape 9 : Configurez des ordinateurs clients et créez des comptes d’ordinateur Assurez-vous que les services de répertoires des ordinateurs Mac OS X sont configurés de manière à ce qu’ils puissent accéder aux comptes d’utilisateur au moment de la connexion. Veillez à bien configurer les ordinateurs Mac OS X ainsi que d’autres ordinateurs clients de sorte que les utilisateurs puissent être authentifiés et accéder aux services auxquels vous souhaitez leur autoriser l’accès. 38 Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs Les ordinateurs clients dont le système d’exploitation est Mac OS 9.1 peuvent se connecter à votre réseau Mac OS X Server. Vous pouvez utiliser le Gestionnaire Macintosh pour appliquer la gestion des préférences et des autorisations d’utilisateur aux systèmes Mac OS 9.1. Certaines préférences gérées comme Classic et Dock utilisent des chemins spécifiques pour localiser des fichiers et des dossiers. Il est important que l’ordinateur administrateur possède une structure de système de fichiers identique à chacun des ordinateurs clients gérés. En d’autres termes, les noms de dossiers, les disques, l’emplacement des applications, etc. devront être identiques. Pour plus de détails sur l’installation du logiciel administrateur Gestionnaire Macintosh, sur le choix d’une langue pour les serveurs et les clients du Gestionnaire Macintosh et sur la modification du script du Service de fichiers Apple, consultez le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Les clients Windows peuvent aussi se connecter à votre réseau. Pour des instructions détaillées sur la configuration de clients Windows utilisant votre réseau, consultez le guide d’administration des services Windows. Étape 10 : Passez en revue, le cas échéant, les informations relatives aux comptes d’utilisateur et de groupe Le Gestionnaire de groupe de travail facilite la consultation et la mise à jour éventuelle d’informations sur les utilisateurs et les groupes. Pour plus de détails à ce propos, reportez-vous aux sections commençant par “Recherche de comptes dans le Gestionnaire de groupe de travail” à la page 45. Étape 11 : Actualisez, le cas échéant, les informations de compte Les utilisateurs allant et venant et les exigences de vos serveurs variant, maintenez à jour vos enregistrements d’utilisateur et de groupe. Les informations des chapitres 3 à 5 vous aideront à réaliser des tâches courantes, comme la définition d’un compte invité, la désactivation de comptes d’utilisateur, l’ajout et la suppression d’utilisateurs dans des groupes et la suppression de comptes. Étape 12 : Procédez à la maintenance des comptes Les informations des sections suivantes vous aideront dans vos activités quotidiennes de maintenance de compte : • Pour obtenir des solutions aux problèmes courants, consultez le chapitre 11, “Résolution des problèmes”. • Pour obtenir des conseils sur des stratégies de sauvegarde, consultez la section “Sauvegarde et restauration de fichiers de services de répertoires” à la page 48. • Pour plus d’informations sur la surveillance de votre serveur de mot de passe, consultez le guide d’administration Open Directory.Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs 39 Programmation de stratégies pour la gestion des utilisateurs Avant de configurer pour la première fois des comptes d’utilisateur et de groupe : • Identifiez les domaines de répertoires dans lesquels vous stockerez les informations sur les comptes d’utilisateur et de groupe. Si vous disposez d’un serveur Active Directory ou LDAP déjà configuré, vous pourrez profiter des enregistrements déjà existants. Consultez le guide d’administration Open Directory pour plus de détails sur les options de domaines de répertoires disponibles. Si vous disposez d’un serveur Apple de version antérieure, vous pouvez éventuellement migrer des enregistrements existants. Reportez-vous au guide de migration pour connaître les options disponibles. Créez si besoin est des domaines de répertoires pour stocker des enregistrements d’utilisateurs. Consultez le guide d’administration Open Directory pour plus d’instructions. Remarque : si certains domaines ne sont pas finalisés au moment d’ajouter des comptes, effectuez l’ajout à chaque domaine existant sur votre serveur. (Vous pouvez utiliser le domaine de répertoires local, toujours disponible.) Vous pouvez déplacer plus tard des utilisateurs et des groupes vers un autre domaine de répertoires à l’aide des fonctions d’exportation et d’importation de votre serveur, décrites à l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte”. • Déterminez la ou les politiques de vérification de mot de passe que vous utiliserez. Consultez le guide d’administration Open Directory pour plus d’informations sur les options disponibles. Si vous comptez utiliser le serveur de mot de passe Open Directory pour valider les mots de passe des utilisateurs dans chaque domaine de répertoires, configurez-le dès que possible. Consultez le guide d’administration Open Directory pour plus d’instructions. • Déterminez les utilisateurs auxquels vous souhaitez donner le statut d’utilisateurs gérés. Pour obtenir des instructions de planification, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X” et le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. • Élaborez une stratégie de répertoire de départ.40 Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs • Déterminez quels sont les utilisateurs ayant besoin de répertoires de départ et identifiez les ordinateurs sur lesquels vous souhaitez que se trouvent ces derniers. Afin de ne pas affaiblir les performances du serveur, évitez d’utiliser des répertoires de départ de réseau via les connexions réseau inférieures à 100 Mbps. Il n’est pas nécessaire que le répertoire de départ de réseau d’un utilisateur soit stocké sur le même serveur que le domaine de répertoires contenant son compte d’utilisateur. D’ailleurs, répartir les domaines de répertoires et les répertoires de départ sur plusieurs serveurs peut vous aider à équilibrer la charge de travail de votre réseau. La section “Répartition de répertoires de départ sur plusieurs serveurs” à la page 108 décrit plusieurs de ces scénarios. Vous pouvez par exemple stocker les répertoires de départ des utilisateurs dont le nom commence par les lettres A à F sur un ordinateur, ceux dont le nom commence par les lettres G à J sur un autre ordinateur, etc. Vous pouvez aussi stocker des répertoires de départ sur un Mac OS X Server mais stocker les comptes d’utilisateur et de groupe sur un serveur Active Directory ou LDAP. Choisissez une stratégie avant de créer des utilisateurs. Vous pouvez déplacer des répertoires de départ, mais vous devrez alors éventuellement changer un grand nombre de fiches d’utilisateurs. • Déterminez le protocole d’accès à utiliser pour les répertoires de départ. La plupart du temps, vous utiliserez AFP, mais si vous votre serveur gère un grand nombre de clients UNIX, vous pouvez souhaiter utiliser NFS pour eux. Une fois que vous avez décidé du nombre d’ordinateurs et déterminé ceux que vous souhaitez utiliser pour les répertoires de départ, préparez le nom de domaine ou l’adresse IP de chaque ordinateur. Déterminez également les noms et tous les points de partage situés sur des ordinateurs qui seront utilisés pour des répertoires de départ. • Déterminez les groupes et groupes de travail dont vous aurez besoin. Les utilisateurs dont les exigences de serveur sont similaires devront être placés dans un même groupe. Les groupes de travail se révèlent utiles dans le cadre de la configuration des préférences de groupe. Pour obtenir des directives sur l’utilisation des groupes de travail, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X” et le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Vous devrez aussi déterminer l’emplacement de stockage des dossiers de groupe. • Choisissez les utilisateurs qui pourront administrer les utilisateurs et les groupes et faites en sorte qu’ils disposent d’autorisations d’administrateur. Lorsque vous utilisez l’Assistant du serveur pour configurer votre serveur pour la première fois, spécifiez un mot de passe pour le propriétaire/l’administrateur. Ce dernier devient également le mot de passe racine de votre serveur. Pour créer un administrateur avec un mot de passe différent du mot de passe racine, utilisez le Gestionnaire de groupe de travail. Les administrateurs de serveur n’ont pas besoin d’autorisation racine.Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs 41 Il est recommandé d’utiliser le mot de passe racine avec précaution et de le stocker dans un emplacement sécurisé. L’utilisateur racine bénéficie d’un accès illimité au système, y compris aux fichiers système. Le cas échéant, vous pouvez recourir au Gestionnaire de groupe de travail pour changer le mot de passe racine. • Décidez comment configurer les ordinateurs clients afin que les utilisateurs à gérer puissent sans problème se connecter à votre serveur et y travailler. Le guide d’administration Open Directory fournit plus d’informations à ce sujet. Utilisation du Gestionnaire de groupe de travail Après avoir installé le logiciel Mac OS X Server, vous pouvez accéder au Gestionnaire de groupe de travail. Cette section explique comment accéder à l’application et décrit brièvement quelques tâches essentielles que vous pouvez réaliser avec le Gestionnaire de groupe de travail. Ouverture du Gestionnaire de groupe de travail et authentification Le Gestionnaire de groupe de travail est installé dans /Applications/Utilities/ lors de l’installation du serveur ou de la configuration d’un ordinateur administrateur. Pour ouvrir le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur son icône dans le Dock de Mac OS X Server ou dans la barre d’état d’Admin Serveur. • Pour ouvrir le Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur sans authentification, choisissez Afficher les répertoires dans le menu Serveur. Vous aurez un accès en lecture seule aux informations affichées dans le Gestionnaire de groupe de travail. Pour apporter des modifications, cliquez sur l’icône symbolisant un verrou afin de vous authentifier en tant qu’administrateur. Cette démarche est la plus indiquée lorsque vous administrez différents serveurs et travaillez avec divers domaines de répertoires. • Pour vous authentifier en tant qu’administrateur d’un serveur particulier, tapez l’adresse IP du serveur ou son nom DNS dans la fenêtre d’ouverture de session, ou cliquez sur Parcourir pour faire une sélection dans une liste de serveurs. Tapez le nom d’utilisateur et le mot de passe d’un administrateur du serveur, puis cliquez sur Se connecter Procédez de cette manière si vous travaillez la plupart du temps avec le même serveur. Principales tâches dans le Gestionnaire de groupe de travail Après l’ouverture de session, la fenêtre du compte d’utilisateur s’affiche. Vous pouvez visualiser des listes de comptes d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur dans le domaine de répertoires local du serveur. Le cas échéant, vous pouvez accéder à un domaine différent après l’ouverture de session. Vous pouvez aussi travailler avec des points de partage et définir des options de préférences gérées pour des utilisateurs, des groupes ou des ordinateurs. Voici comment s’initier aux principales tâches autorisées par cette application :42 Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs • Pour travailler avec des points de partage, cliquez sur l’icône Partage de la barre d’outils. Consultez le guide d’administration des services de fichiers pour des informations détaillées. • Pour administrer des comptes d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur, cliquez sur l’icône Comptes de la barre d’outils. Voir le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur” pour obtenir des informations de comptes d’utilisateur et de groupe et le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X” pour des informations de comptes d’ordinateur. • Pour utiliser simultanément des comptes issus de domaines de répertoires différents, ouvrez plusieurs fenêtres du Gestionnaire de groupe de travail en choisissant Nouvelle fenêtre Gestionnaire de groupe de travail dans le menu Serveur. • Pour travailler avec les préférences destinées aux utilisateurs, groupes et ordinateurs gérés, cliquez sur l’icône Préférences de la barre d’outils. Pour obtenir des instructions, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X”. • Pour actualiser les informations affichées, cliquez sur le bouton Actualiser. • Pour décider comment le Gestionnaire de groupe de travail répertorie les utilisateurs et les groupes ou s’il doit utiliser des transactions SSL, entre autres comportements, choisissez Préférences dans le menu Gestionnaire de groupe de travail. • Pour personnaliser la barre d’outils, choisissez Personnaliser la barre d’outils dans le menu Présentation. • Pour ouvrir Admin Serveur et contrôler l’état d’un serveur particulier, cliquez sur l’icône Admin de la barre d’outils. Consultez le guide de premiers contacts pour plus d’informations sur l’application Admin Serveur. • Pour ouvrir Admin Serveur et modifier les réglages de fichiers, d’impression, de courrier, Web, NetBoot et de réseau d’un serveur, choisissez Configurer les services dans le menu Serveur. Vous trouverez des informations sur les différents services et outils d’Admin Serveur dans le reste de la documentation Mac OS X Server. • Pour récupérer des informations en ligne, utilisez le menu Aide. Il procure de l’aide aux administrateurs de serveur quant au Gestionnaire de groupe de travail et d’autres aspects de Mac OS X Server. Désignation des administrateurs Pour les clients Mac OS X, l’administrateur du serveur dispose du niveau de contrôle le plus élevé sur les autres utilisateurs et leurs autorisations. L’administrateur du serveur peut créer des comptes d’utilisateur, de groupe, et d’ordinateur et leur affecter des réglages, des autorisations et des préférences gérées. Il peut également créer d’autres comptes d’administrateur ou attribuer à certains utilisateurs (par exemple des professeurs ou du personnel technique) des autorisations d’administration pour des domaines de répertoires spécifiques. Ces administrateurs de domaines de répertoires peuvent gérer des comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur dans les limites qui leur sont attribuées par l’administrateur du serveur.Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs 43 Avant de procéder à la configuration des comptes, identifiez les utilisateurs qui requièrent des autorisations d’administration. De même, de nombreuses autorisations d’administration peuvent être données aux utilisateurs gérés, ce qui leur permet de gérer des groupes d’utilisateurs spécifiques ou de modifier certains réglages de compte. Une hiérarchie d’administrateurs et d’utilisateurs convenablement planifiée avec des autorisations d’administration spéciales peut vous aider à distribuer des tâches d’administration système et à optimiser les flux de production et la gestion système. Pour plus d’informations sur l’affectation d’autorisations d’administration aux utilisateurs disposant de comptes réseau, consultez le chapitre 4, “Configuration des comptes d’utilisateur”. Configuration des comptes d’utilisateur Si vous utilisez le Gestionnaire de groupe de travail pour gérer vos clients OS X, vous pouvez définir certaines autorisations lors de la configuration des comptes. Lors de la création d’un compte, vous pouvez utiliser des préréglages, tels les modèles, et appliquer automatiquement différents réglages. Pour plus d’informations sur la configuration de comptes d’utilisateur, consultez le chapitre 4,“Configuration des comptes d’utilisateur”. Selon vos besoins, vous pouvez configurer des comptes d’utilisateur locaux sur vos ordinateurs clients en plus de ceux existant sur le réseau. Un utilisateur réseau dispose d’un compte d’utilisateur associé à Mac OS X Server et vous pouvez l’autoriser à se connecter à votre réseau à partir de plusieurs ordinateurs. Un utilisateur local dispose d’un compte associé à un ordinateur client spécifique, lequel compte est indépendant de tout autre compte d’utilisateur du réseau ou d’autres comptes locaux situés sur des ordinateurs tiers. Un même utilisateur peut disposer d’un compte réseau fournissant l’accès aux services de réseau et d’un compte local séparé lié à un ordinateur spécifique. Vous pouvez configurer des préférences gérées pour tout utilisateur possédant un compte réseau, mais le mode de gestion le plus souple pour ce type d’utilisateur réseau consiste à gérer les préférences de groupes auxquels il appartient. Ainsi, la gestion des utilisateurs est simplifiée, quel que soit l’ordinateur qu’ils utilisent. Si des utilisateurs possèdent des comptes locaux sur des ordinateurs spécifiques, il est possible de gérer leurs préférences sur l’ordinateur client sans recourir au Gestionnaire de groupe de travail. Cependant, il peut s’avérer plus opportun de gérer des utilisateurs locaux indirectement via le Gestionnaire de groupe de travail, afin de gérer les préférences de l’ordinateur client et du groupe ayant accès à l’ordinateur. Ces préférences de groupe et d’ordinateur étant masquées dans le cadre d’une utilisation hors ligne, cette configuration s’avère particulièrement utile pour les ordinateurs portables. Si l’utilisateur d’un ordinateur portable se déconnecte du réseau, il demeure géré. Vous pouvez configurer des préférences gérées pour des utilisateurs après avoir créé les comptes d’utilisateur. Pour plus d’informations sur les préférences gérées et leur utilisation, consultez la section “Compréhension de la gestion des préférences” à la page 122.44 Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs Configuration des comptes de groupe Bien qu’il ne soit pas nécessaire de rassembler les utilisateurs Mac OS X afin de pouvoir les gérer, les groupes d’utilisateur demeurent un élément important pour une gestion des clients efficace. Vous pouvez, par exemple, utiliser des groupes pour attribuer à certains utilisateurs les mêmes autorisations d’accès aux données, imprimantes et volumes. Pour plus d’informations sur la création de comptes de groupe à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail, consultez le chapitre 5, “Configuration des comptes de groupe”. Les préférences gérées affectées à un groupe particulier concernent tous les utilisateurs de ce groupe. Toutefois, les préférences d’utilisateur gérés peuvent primer sur les préférences de groupe. Vous pouvez configurer des préférences gérées pour des groupes un fois leur compte créé. Pour plus d’informations, consultez le chapitre 5, “Configuration des comptes de groupe”. Raccourcis pour l’utilisation des comptes De nombreuses techniques et fonctions du Gestionnaire de groupe de travail vous permettent de gagner du temps pour configurer et gérer des comptes de manière plus efficace. Ainsi, vous pouvez : • apporter des modifications à plusieurs comptes d’utilisateur ou de groupe simultanément ; • utiliser des préréglages, qui fonctionnent comme des modèles vous permettant de prédéfinir des attributs s’appliquant par défaut aux nouveaux comptes d’utilisateur et de groupe ; • importer des informations de compte à partir d’un fichier. Modification simultanée de plusieurs comptes Vous pouvez modifier des informations de compte ou des réglages de préférences gérées pour de multiples comptes d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur à la fois. Certaines informations sont spécifiques à un compte individuel et ne peuvent pas être modifiées quand plusieurs comptes sont sélectionnés. Utilisation de préréglages Vous pouvez sélectionner des réglages pour un compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur et les enregistrer en tant que préréglages. Les préréglages fonctionnent comme des modèles et permettent d’appliquer des réglages et des informations présélectionnés à un nouveau compte. Grâce aux préréglages, vous pouvez configurer en toute simplicité plusieurs comptes de façon similaire. Les préréglages ne peuvent être utilisés que lors de la création d’un compte. Les préréglages ne vous permettent pas de modifier un compte existant mais s’avèrent utiles lors de la création manuelle de comptes ou pendant leur importation depuis un fichier. Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs 45 Si vous modifiez un préréglage après son utilisation pour la création d’un compte, les comptes déjà créés à l’aide de ce préréglage ne sont pas mis à jour pour reproduire ces changements. Importation et exportation d’informations de compte Les informations de compte peuvent être importées et exportées à partir de fichiers XML ou de fichiers texte délimités par des caractères. Cette méthode d’importation facilite la configuration rapide d’un grand nombre de comptes. L’exportation d’informations dans un fichier peut s’avérer utile pour gérer ou sauvegarder les données d’un utilisateur. Pour plus d’informations, consultez l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte”. Recherche de comptes dans le Gestionnaire de groupe de travail Dans le Gestionnaire de groupe de travail, les comptes sont répertoriés à l’intérieur d’onglets, dans la partie gauche de la fenêtre. Les préférences du Gestionnaire de groupe de travail ont une incidence sur ces listes. Dans le menu Gestionnaire de groupe de travail, choisissez Préférences pour vérifier si les utilisateurs et les groupes système apparaissent et l’ordre dans lequel ils sont classés. Pour alimenter la liste, cliquez sur le globe situé sous la barre d’outils et sélectionnez le ou les domaines de répertoires avec lesquels travailler. Initialement, les comptes des domaines de répertoires parents ne sont répertoriés que si vous êtes connecté au réseau. Les domaines disponibles incluent tous ceux configurés pour l’accès par le serveur auquel vous êtes connecté. Une fois que vous avez choisi des domaines de répertoires, tous les comptes qu’ils contiennent sont répertoriés. Vous pouvez classer la liste en cliquant sur un en-tête de colonne. Une flèche indique l’ordre de classement (croissant ou décroissant) modifiable en cliquant de nouveau sur l’en-tête de colonne. Utilisez les options de filtre au-dessus de la liste pour filtrer cette dernière et trouver des comptes particuliers. Pour travailler avec un ou plusieurs comptes répertoriés, faites votre choix. Les réglages des comptes sélectionnés apparaissent dans la fenêtre à droite de la liste. Les réglages disponibles dépendent de l’onglet visualisé. Liste de comptes dans le domaine de répertoires local Le domaine de répertoires local correspond à un domaine sur le serveur s’affichant uniquement lorsque vous êtes connecté au serveur qui l’héberge.46 Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs Pour répertorier des comptes dans le domaine local du serveur sur lequel vous travaillez : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez une session sur le serveur hébergeant le domaine, puis cliquez sur le globe situé sous la barre d’outils et choisissez Local. Le domaine local peut également être répertorié comme /NetInfo/root/ ou /NetInfo/DefaultLocalNode. Pour visualiser les comptes d’utilisateur résidant dans les domaines de répertoires sélectionnés, cliquez sur le bouton d’utilisateur. Cliquez sur le bouton de groupe ou d’ordinateur pour visualiser respectivement les comptes de groupe ou d’ordinateur. 2 Pour travailler avec un compte en particulier, sélectionnez-le. Pour modifier le compte, en supposant que vous disposez des autorisations d’administrateur de domaine ou de serveur, vous devez éventuellement cliquer sur le verrou afin d’être authentifié. Liste de comptes dans des domaines de répertoires de chemins de recherche Les domaines de répertoires de chemins de recherche sont ceux qui, dans la politique de recherche, sont définis pour l’ordinateur Mac OS X Server auquel vous êtes connecté. Le guide d’administration Open Directory vous indique comment établir des politiques de recherche. Pour répertorier des comptes dans des domaines de chemins de recherche pour votre serveur : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, connectez-vous au serveur dont la politique de recherche contient des domaines de répertoires présentant un certain intérêt. 2 Cliquez sur le globe situé sous la barre d’outils et choisissez Chemin de recherche. Pour visualiser les comptes d’utilisateur résidant dans les domaines de chemins de recherche, cliquez sur le bouton d’utilisateur. Cliquez sur le bouton de groupe ou d’ordinateur pour visualiser respectivement les comptes de groupe ou d’ordinateur. Liste de comptes dans des domaines de répertoires disponibles Utilisez le Gestionnaire de groupe de travail pour répertorier les comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur résidant dans tout domaine de répertoires accessible depuis le serveur auquel vous êtes connecté. Sélectionnez le domaine dans la liste de tous les domaines de répertoires configurés pour apparaître sur le serveur utilisé. Veillez à ne pas confondre les domaines de répertoires disponibles avec ceux d’une politique de recherche. Une politique de recherche est constituée des domaines de répertoires dans lesquels un serveur effectue des recherches à l’aide d’une routine, lorsqu’il doit par exemple récupérer un compte d’utilisateur. Toutefois, il se peut que ce même serveur soit configuré pour accéder aux domaines de répertoires n’ayant pas été ajoutés à sa politique de recherche. Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs 47 Pour répertorier des comptes dans des domaines de répertoires accessibles à partir d’un serveur : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, connectez-vous au serveur permettant de visualiser les domaines de répertoires présentant de l’intérêt. 2 Cliquez sur le globe situé sous la barre d’outils et choisissez Autre. 3 Sélectionnez le ou les domaine dans la boîte de dialogue à l’écran, puis cliquez sur OK. Pour visualiser les comptes d’utilisateur résidant dans les domaines de répertoires sélectionnés, cliquez sur le bouton d’utilisateur. Cliquez sur le bouton de groupe ou d’ordinateur pour visualiser respectivement les comptes de groupe ou d’ordinateur. 4 Pour travailler avec un compte donné, sélectionnez-le. Pour modifier un compte exigeant des autorisations d’administrateur de domaine ou de serveur, vous devez éventuellement cliquer sur le verrou afin d’être authentifié. Actualisation de listes de comptes Pour actualiser la liste des comptes affichée dans le Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez : • cliquer sur Actualiser ; • saisir les termes de recherche dans le champ au-dessus de la liste pour obtenir une nouvelle liste filtrée ; • supprimer les termes du champ au-dessus de la liste pour afficher la liste originale non filtrée ; • cliquer sur le globe sous la barre d’outils et choisir un autre élément dans la liste, puis sélectionner de nouveau le ou les domaines utilisés. Recherche de comptes spécifiques dans une liste Après avoir affiché une liste de comptes dans le Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez la filtrer afin de localiser des utilisateurs ou des groupes présentant un intérêt particulier. Pour filtrer des éléments dans la liste des comptes : 1 Après avoir répertorier les comptes, cliquez sur l’onglet des utilisateurs, des groupes ou des ordinateurs. 2 Dans le menu local au-dessus de la liste, sélectionnez une option pour décrire ce que vous souhaitez trouver, puis saisissez des termes de recherche dans le champ texte. La liste d’origine est remplacée par des éléments répondant à vos critères de recherche. Si vous entrez un nom d’utilisateur, tant les noms entiers qu’abrégés d’utilisateurs ou de groupes sont recherchés. Classement des listes d’utilisateurs et de groupes Après avoir affiché une liste de comptes dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur un en-tête de colonne pour trier les entrées selon les valeurs de cette colonne. Cliquez de nouveau sur cet en-tête pour inverser l’ordre des entrées de la liste.48 Chapitre 2 Introduction à la gestion des utilisateurs Raccourcis pour la gestion des préférences La modification par lot peut vous faire gagner du temps lors de la configuration des préférences d’un nombre important de comptes. Pour plus de détails sur la modification des préférences de plusieurs comptes, consultez la section “Modification des préférences de plusieurs enregistrements” à la page 132. Raccourcis pour l’utilisation du Gestionnaire Macintosh Si vos ordinateurs clients doivent fonctionner sous Mac OS 9, vous pouvez utiliser le Gestionnaire Macintosh pour en gérer les réglages d’utilisateur, de groupe et d’ordinateurs. Vous trouverez plus de détails et des raccourcis pour l’utilisation du Gestionnaire Macintosh si vous consultez le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Sauvegarde et restauration de fichiers de services de répertoires Effectuez une sauvegarde régulière du serveur de mot de passe et de vos comptes d’utilisateur root et administrateur. Consultez le guide d’administration Open Directory pour plus d’informations sur la sauvegarde des domaines de répertoires. Sauvegarde d’un serveur de mot de passe Procédez fréquemment à la sauvegarde de votre serveur de mot de passe. Profitez-en pour sauvegarder également tout domaine de répertoires utilisant ce serveur. Pour sauvegarder un serveur de mot de passe : m Sauvegardez le dossier /var/db/authserver. Vérifiez que l’ordinateur hébergeant votre serveur de mot de passe, et donc vos fichiers de sauvegarde, est correctement sécurisé. Si vous restaurez le serveur de mot de passe, assurez-vous de restaurer simultanément les domaines de répertoires correspondants. Sauvegarde de comptes d’utilisateur root et administrateur Les fichiers système sont la propriété des identifiants des administrateurs système et des utilisateurs root existant au moment de leur création. Pour réutiliser ces fichiers système, ces mêmes ID doivent se trouver sur le serveur afin de garder les autorisations d’origine. Pour vous assurer de pouvoir recréer ces identifiants d’utilisateur, exportez régulièrement les informations sur les utilisateurs et les groupes du serveur vers un fichier, comme décrit à l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte”.3 49 3 Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles Il est important de planifier le mode de gestion des ordinateurs portables ayant accès à votre réseau. Ce chapitre offre des suggestions de gestion d’ordinateurs portables utilisés par une ou plusieurs personnes. Configuration des clients mobiles Si vous avez l’avantage de posséder un nombre d’ordinateurs portables destinés à être distribués à des utilisateurs ou groupes d’utilisateurs donnés, vous pouvez mettre en œuvre un éventail de techniques de gestion afin de personnaliser l’environnement de l’utilisateur et contrôler le niveau d’accès d’un utilisateur aux ressources locales et réseau. Configuration des ordinateurs portables Lors de la préparation des ordinateurs portables à utiliser sur votre réseau, suivez les instructions ci-après. Étape 1 : Installez le système d’exploitation, les applications et les utilitaires. La plupart des ordinateurs sont livrés avec un système d’exploitation installé. Toutefois, si vous devez en installer un nouveau, assurez-vous que les ordinateurs répondent aux configurations requises minimum pour l’installation du système d’exploitation (Mac OS X ou Mac OS 9) et des autres applications et utilitaires souhaités. Étape 2 : Création de comptes locaux sur les ordinateurs Mac OS X. Créez au moins un compte d’administrateur local et autant de comptes d’utilisateur locaux que nécessaire. Veillez à éviter toute confusion entre les nom et mot de passe des comptes locaux et ceux réseau des utilisateurs. Cette étape n’est pas requise avec Mac OS 9. Étape 3 : Configuration des comptes d’ordinateur sur votre serveur Pour les ordinateurs Mac OS X, utilisez le Gestionnaire de groupe de travail afin d’ajouter des ordinateurs à un compte d’ordinateur et activer la gestion des préférences au niveau de l’ordinateur. Vous pouvez aussi définir des réglages de préférences au niveau utilisateur pour le compte réseau de l’utilisateur. 50 Chapitre 3 Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles Pour obtenir des performances optimales, assurez-vous, quand vous définissez l’accès au service de répertoire, que tous les ordinateurs portables Mac OS X sont configurés pour y rechercher des informations via DHCP. Vous trouverez plus de détails sur la configuration des services de répertoires dans le guide d’administration Open Directory. Pour plus d’informations sur l’utilisation des comptes d’ordinateur, consultez le chapitre 6,“Configuration des comptes d’ordinateur”. Pour en savoir plus sur l’utilisation des réglages des préférences gérées, consultez le chapitre 9, “Gestion des préférences pour Mac OS X”. Pour les ordinateurs Mac OS 9, utilisez le Gestionnaire Macintosh pour configurer les listes d’ordinateurs et activer les réglages préférés. Pour en savoir plus sur l’utilisation du Gestionnaire Macintosh, consultez le chapitre 10, “Utilisation du Gestionnaire Macintosh pour Mac OS 9”. Utilisation de comptes mobiles Un compte mobile est un compte d’utilisateur Mac OS X Server copié sur un ordinateur local et qui reste synchronisé avec le compte de serveur de sorte que leurs données respectives correspondent. L’utilisateur peut se connecter à l’ordinateur portable en utilisant le nom et le mot de passe d’un compte réseau, même si l’ordinateur n’est pas connecté au réseau. Le répertoire de départ d’un compte mobile réside dans l’ordinateur de l’utilisateur, celui d’un compte de réseau sur le serveur. Quand l’ordinateur est connecté au réseau, l’utilisateur s’authentifie directement auprès du compte réseau sans que le compte mobile ne soit pris en compte, mais en utilisant toujours un répertoire de départ local. Le compte mobile est alors automatiquement mis à jour, ainsi que tous les réglages de préférences gérées associés. Quand l’ordinateur est déconnecté du réseau, les réglages de préférences gérées restent en vigueur. Création d’un compte mobile Après la création d’un compte mobile, celui-ci apparaît dans la liste des comptes dans la préférence système Comptes. Le type de compte est qualifié de Mobile et la plupart des éléments du volet Comptes sont grisés à sa sélection. Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour créer automatiquement un compte mobile à l’ouverture d’une session. Pour créer un compte mobile à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail. 2 Sélectionnez un compte d’utilisateur, puis cliquez sur Préférences. 3 Cliquez sur Comptes mobiles, puis définissez les réglages de gestion sur Toujours. 4 Sélectionnez l’option Créer un compte mobile lors de l’ouverture de session.Chapitre 3 Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles 51 5 Sélectionnez l’option Exiger une confirmation avant de créer un compte mobile si vous souhaitez laisser à l’utilisateur le choix de créer ou non un compte mobile à sa connexion. Si cette option est sélectionnée, une boîte de dialogue de confirmation s’affiche à l’ouverture de session de l’utilisateur. Ce dernier peut alors cliquer sur Créer pour créer immédiatement le compte mobile ou sur Continuer pour se connecter en tant qu’utilisateur du réseau sans création. 6 Cliquez sur Appliquer. Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour modifier à votre gré le compte de serveur correspondant. Toutes les modifications apportées au compte mobile prennent effet la prochaine fois que l’utilisateur connecte son ordinateur portable au réseau. Suppression d’un compte mobile Si un compte mobile ne sert plus, vous pouvez le supprimer. Cette action efface le compte mobile et son répertoire de départ local. Vous devez posséder un compte d’administrateur local et un mot de passe pour pouvoir supprimer un compte mobile. Pour supprimer un compte mobile : 1 Ouvrez les Préférences Système de l’ordinateur client. 2 Cliquez sur Comptes, puis sur l’onglet Utilisateurs. 3 Sélectionner le compte que vous souhaitez supprimer. Le compte mobile est reconnaissable par le terme Mobile qui apparaît dans la colonne Type. 4 Cliquez sur Supprimer utilisateur, puis sur OK dans la boîte de dialogue de suppression de l’utilisateur. Utilisation de comptes mobiles côté utilisateur Si l’ordinateur est configuré pour afficher une liste d’utilisateurs lors d’une ouverture de session, le compte mobile est affiché avec les utilisateurs locaux. L’utilisateur sélectionne son compte, puis saisit son mot de passe pour achever l’ouverture de session. Quant aux clients gérés, si l’administrateur de réseau a spécifié la création de comptes mobiles à l’ouverture de session d’un utilisateur, d’un groupe ou d’un ordinateur donné, la liste des comptes de la fenêtre de connexion affiche tous les utilisateurs. Une fois que l’utilisateur a sélectionné son compte et saisi correctement son mot de passe, un compte de réseau local est immédiatement créé en cache, à l’arrière-plan. L’utilisateur peut maintenant se déconnecter du réseau et ouvrir une session avec son compte mobile. Gestion des clients mobiles Une fois les ordinateurs portables configurés, de nombreuses fonctions du Gestionnaire de groupe de travail ou du Gestionnaire Macintosh vous permettent d’appliquer des restrictions ou d’autoriser les utilisateurs à accéder aux services réseau. 52 Chapitre 3 Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles Si un utilisateur possède un compte de réseau et que son ordinateur est reconnu par Open Directory, il peut se connecter à l’aide du nom et du mot de passe de son compte de réseau pour pouvoir accéder aux ressources disponibles. Pour des performances optimales, assurez-vous que les ordinateurs Mac OS X sont configurés pour utiliser DHCP (volet Réseau des Préférences Système) et une politique de recherche automatique (volet Authentification de Format de répertoire). Il s’agit de la configuration par défaut des versions 10.2 et ultérieures de Mac OS X. Si vous la modifiez, les utilisateurs peuvent noter une baisse des performances du système d’exploitation pendant la déconnexion du réseau. Pour plus d’informations sur l’utilisation de DHCP et d’une politique de recherche automatique afin d’associer un ordinateur au service Open Directory, consultez le guide d’administration Open Directory. Concernant les utilisateurs sans comptes de réseau, qui disposent d’ordinateurs portables mais requièrent une autorisation pour accéder à vos ressources de réseau, vous pouvez utiliser les fonctions du Gestionnaire de groupe de travail ou du Gestionnaire Macintosh pour appliquer des réglages aux ordinateurs inconnus ou invités. Ordinateurs portables Mac OS X inconnus Pour gérer les utilisateurs d’ordinateurs portables fonctionnant sous Mac OS X, vous pouvez utiliser le compte Ordinateurs invités afin d’appliquer la gestion au niveau de l’ordinateur à des ordinateurs inconnus ou invités en réseau. Si ces utilisateurs se connectent via un compte d’utilisateur de Mac OS X Server, les préférences gérées d’utilisateurs et de groupes ainsi que les réglages de comptes s’appliquent également. Pour plus d’informations sur la configuration du compte Ordinateurs invités pour les utilisateurs de Mac OS X, consultez la section “Gestion des ordinateurs invités” à la page 103. Pour obtenir des informations sur la gestion d’ordinateurs portables inconnus fonctionnant sous Mac OS 9, consultez la section “Octroi d’un accès rapide aux utilisateurs non importés” à la page 198. Ordinateurs portables Mac OS X pour utilisateurs locaux multiples Les iBook d’un laboratoire mobile sans fil constituent un exemple de partage d’ordinateurs. Ce type de laboratoire contient 10 à 15 iBook pour les étudiants (et un supplémentaire pour le professeur), une borne d’accès Airport et une imprimante, le tout sur un chariot mobile. Le chariot permet de distribuer les ordinateurs aux utilisateurs (par exemple d’une salle de cours à l’autre).Chapitre 3 Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles 53 Pour gérer les iBook de votre chariot, créez des comptes locaux d’utilisateur, identiques sur chaque ordinateur (par exemple, l’ensemble des comptes peut utiliser Math comme nom d’utilisateur et Étudiant comme mot de passe). Vous pouvez créer des comptes locaux génériques distincts à d’autres fins, par exemple pour dédier l’un d’eux aux cours d’histoire, un autre aux cours de biologie, etc. Chaque compte doit avoir un répertoire de départ local et ne disposer d’aucune autorisation d’administration. Utilisez un compte d’administrateur local séparé sur chaque ordinateur afin de permettre aux administrateurs de serveur (ou autres) de procéder à des tâches de maintenance et à des mises à niveau, d’installer des logiciels et de gérer les comptes d’utilisateur locaux. Une fois les comptes d’utilisateur locaux créés, ajoutez les ordinateurs à une liste et gérez les préférences pour celle-ci. Comme plusieurs utilisateurs peuvent stocker des éléments dans le répertoire de départ local du compte générique, il est recommandé, dans le cadre de tâches routinières d’entretien, de vider régulièrement ce dossier. Vous pouvez également créer des comptes mobiles pour les utilisateurs ou recourir à la gestion des préférences du Gestionnaire de groupe de travail pour créer automatiquement un compte mobile quand un utilisateur ouvre une session. Ordinateurs portables Mac OS X pour utilisateur local principal Deux méthodes vous permettent de configurer les ordinateurs portables d’un utilisateur n’employant pas de compte mobile. • L’utilisateur ne dispose pas d’autorisations d’administrateur mais possède un compte local. Configurez un compte d’administrateur local sur votre ordinateur (ne divulguez aucune information sur ce compte à l’utilisateur), puis un compte local pour l’utilisateur. Les utilisateurs possédant des comptes locaux sans autorisation d’administration ne peuvent pas installer de logiciel : ils peuvent uniquement ajouter ou supprimer des éléments de leurs propres répertoires de départ. Un utilisateur local peut partager des éléments avec d’autres via le dossier Public situé dans son répertoire de départ. Si cet utilisateur dispose d’un compte mobile, celui-ci doit fonctionner comme un compte local mais ne peut pas être géré comme un compte de réseau. Si l’utilisateur possède un compte de réseau, vous pouvez modifier les réglages de préférences gérées de manière à créer un compte mobile durant sa première ouverture de session. • L’utilisateur est l’administrateur de l’ordinateur. Si l’utilisateur est l’administrateur local, il peut, lorsqu’il se connecte, choisir d’être géré ou non. Par exemple, pour accéder aux ordinateurs d’une école, l’utilisateur doit choisir d’être géré lorsqu’il se connecte, mais, s’il travaille chez lui, il peut ne pas être géré puisque les serveurs de l’école risquent de ne pas être accessibles.54 Chapitre 3 Gestion des utilisateurs pour des clients mobiles Si l’utilisateur dispose également d’un compte d’utilisateur Mac OS X Server et si le réseau est accessible, il peut s’avérer préférable qu’il se connecte à l’aide du compte local afin de ne pas encombrer le réseau. Il peut se connecter à son propre répertoire de départ (pour stocker ou extraire des documents, par exemple) à l’aide de la commande Aller au dossier du menu Aller situé dans le Finder. Gestion d’ordinateurs portables Mac OS 9 Vous pouvez configurer et gérer des ordinateurs portables sous Mac OS 9. Pour cela, les utilisateurs doivent disposer de comptes de réseau ou d’utilisateur locaux. Grâce à la fonction Emprunter du Gestionnaire Macintosh, les utilisateurs peuvent ramener chez eux un ordinateur portable et travailler avec sans se connecter à un réseau géré. Pour des détails sur l’utilisation du Gestionnaire Macintosh afin de gérer des ordinateurs portables, consultez la section “Gestion des ordinateurs portables” à la page 236. Utilisation de services sans fil Vous pouvez offrir aux clients gérés des services réseau sans fil à l’aide d’AirPort, par exemple. Lorsqu’un utilisateur d’ordinateur portable quitte la zone sans fil ou change de serveur de répertoires réseau (en passant d’une zone sans fil à une autre), les réglages de gestion des clients peuvent varier. L’utilisateur peut s’apercevoir que certains services réseau, comme les serveurs de fichiers, les imprimantes, les volumes de groupes partagés, etc., ne sont pas disponibles à partir du nouvel emplacement. Il peut alors purger ces ressources en se déconnectant, puis en se reconnectant. Pour plus d’informations sur l’utilisation d’Airport, consultez la documentation s’y rapportant ou visitez le site Web à l’adresse suivante : www.apple.com/airport/4 55 4 Configuration des comptes d’utilisateur Un compte d’utilisateur stocke les informations dont Mac OS X Server a besoin pour valider l’identité de l’utilisateur et lui fournir des services tels que l’accès à des fichiers particuliers sur le serveur ou aux préférences utilisées par divers services. Ce chapitre vous explique comment configurer, modifier et gérer des comptes d’utilisateur. Administration de comptes d’utilisateur Cette section explique comment administrer les comptes d’utilisateur stockés dans différents types de domaines de répertoires. Emplacement de stockage des comptes d’utilisateur Les comptes de groupe, à l’instar des comptes d’utilisateur et d’ordinateur, peuvent être stockés dans tout domaine Open Directory accessible à partir de l’ordinateur Mac OS X qui doit accéder au compte. Un domaine de répertoire peut résider soit sur un ordinateur Mac OS X (le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire en lecture/écriture par exemple), soit sur un serveur non Apple (un serveur LDAP ou Active Directory par exemple). Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour travailler avec des comptes dans tous les types de domaines de répertoires, sachant toutefois qu’il permet de ne mettre à jour que le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire en lecture/écriture. Pour obtenir des informations complètes sur les différents types de domaines Open Directory, reportez-vous au guide d’administration Open Directory.56 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur Comptes d’utilisateur prédéfinis Le tableau suivant fournit une description des comptes d’utilisateur créés automatiquement lorsque vous installez Mac OS X Server (sauf indication contraire). Nom d’utilisateur prédéfini Nom abrégé Id. Util. Utilisation Utilisateur FTP anonyme ftp 98 Le nom d’utilisateur attribué à quiconque utilise FTP en tant qu’utilisateur anonyme. Cet utilisateur est créé au moment du premier accès au serveur FTP si ce dernier est activé, si l’accès FTP anonyme est activé et si l’utilisateur anonyme ftp n’existe pas encore. Utilisateur du Gestionnaire Macintosh mmuser -17 L’utilisateur créé par le serveur Gestionnaire Macintosh lorsque l’application est lancée pour la première fois sur un serveur particulier. Il ne dispose d’aucun répertoire de départ et son mot de passe est régulièrement modifié. Serveur My SQL MySQL 74 L’utilisateur que le serveur de base de données MySQL utilise pour les processus qui traitent les requêtes. Utilisateur Sendmail smmsp 25 Utilisateur sous lequel sendmail est exécuté. sshd (séparation des privilèges) sshd 75 Utilisateur pour les processus enfants sshd qui traitent les données réseau. Administrateur système racine 0 Utilisateur ayant le plus de pouvoirs. Services système daemon 1 Utilisateur UNIX hérité. Utilisateur inconnu unknown 99 Utilisateur employé lorsque le système ne connaît pas le disque dur.Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 57 Création de comptes d’utilisateur Mac OS X Server Pour créer un compte d’utilisateur dans un domaine de répertoires particulier, vous devez disposer d’autorisations d’administration sur ce domaine. Pour créer un compte d’utilisateur : 1 Assurez-vous que les services de répertoire du Mac OS X Server que vous utilisez ont été configurés pour accéder au domaine qui vous intéresse. Pour obtenir des instructions, reportez-vous au guide d’administration Open Directory. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine dans lequel vous voulez que le compte d’utilisateur réside. Local, /NetInfo/root/ et /NetInfo/DefaultLocalNode, par exemple, se réfèrent tous au domaine de répertoire local. /NetInfo/root se réfère à un domaine NetInfo partagé si le serveur est configuré pour accéder à un tel domaine ; sinon, /NetInfo/root constitue le domaine local. 4 Cliquez sur le verrou pour être authentifié comme administrateur de domaine de répertoires. 5 Choisissez Serveur > Nouvel utilisateur ou cliquez sur Nouvel utilisateur dans la barre d’outils. 6 Spécifiez des réglages pour l’utilisateur dans les onglets fournis. Consultez “Travail avec des réglages élémentaires pour utilisateurs” à la page 62 et “Travail avec des réglages d’impression pour utilisateurs” à la page 78 pour plus de détails. Pour créer un utilisateur, vous pouvez également utiliser un préréglage ou un fichier d’importation. Utilisateur sans autorisation nobody -2 À l’origine, cet utilisateur a été créé de manière à ce que les services système n’aient pas à être exécutés en tant qu’administrateur système. À présent toutefois, les utilisateurs spécifiques aux services, le serveur Web notamment, sont souvent utilisés à cette fin. Serveur Web www 70 L’utilisateur sans autorisation qu’Apache utilise pour les processus qui traitent les requêtes. Nom d’utilisateur prédéfini Nom abrégé Id. Util. Utilisation58 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur Pour en savoir plus, lisez la section “Utilisation de préréglages pour créer des comptes” à la page 60 et l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte”. Création de comptes d’utilisateur LDAPv3 en lecture/écriture Vous pouvez créer un compte d’utilisateur sur un serveur LDAPv3 non Apple s’il a été configuré pour un accès en écriture. Pour créer un compte d’utilisateur LDAPv3 : 1 Assurez-vous que les services de répertoire du Mac OS X Server que vous utilisez ont été configurés pour employer le serveur LDAP pour les comptes d’utilisateur. Consultez le guide d’administration Open Directory pour obtenir des informations sur la manière d’utiliser Format de répertoire pour configurer une connexion LDAP et l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte” pour en savoir plus sur les éléments de compte d’utilisateur susceptibles de devoir être mappés. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine LDAPv3 dans lequel vous voulez que le compte d’utilisateur réside. 4 Cliquez sur le verrou pour être authentifié. 5 Choisissez Serveur > Nouvel utilisateur ou cliquez sur Nouvel utilisateur dans la barre d’outils. 6 Spécifiez des réglages pour l’utilisateur dans les onglets fournis. Consultez “Travail avec des réglages élémentaires pour utilisateurs” à la page 62 et “Travail avec des réglages d’impression pour utilisateurs” à la page 78 pour plus de détails. Pour créer un utilisateur, vous pouvez également utiliser un préréglage ou un fichier d’importation. Pour plus d’informations, lisez la section “Utilisation de préréglages pour créer des comptes” à la page 60 et l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte”. Modification des informations de compte d’utilisateur Le Gestionnaire de groupe de travail permet de modifier un compte d’utilisateur qui réside dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire. Pour apporter des modifications à un compte d’utilisateur : 1 Assurez-vous que les services de répertoire du Mac OS X Server que vous utilisez ont été configurés pour accéder au domaine de répertoire qui vous intéresse. Pour obtenir des instructions, reportez-vous au guide d’administration Open Directory. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine dans lequel réside le compte d’utilisateur.Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 59 4 Cliquez sur le verrou pour être authentifié. 5 Cliquez sur le bouton Utilisateur pour sélectionner l’utilisateur qui vous intéresse. 6 Modifiez les réglages de l’utilisateur dans les onglets fournis. Consultez “Travail avec des réglages élémentaires pour utilisateurs” à la page 62 et “Travail avec des réglages d’impression pour utilisateurs” à la page 78 pour plus de détails. Modification simultanée de plusieurs utilisateurs Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour apporter simultanément les mêmes modifications à plusieurs comptes d’utilisateur qui résident dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire. Pour modifier plusieurs utilisateurs : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, répertoriez les utilisateurs du domaine de répertoires concerné. Cliquez sur le bouton Comptes, sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis ouvrez le domaine de répertoire. Cliquez sur le verrou pour être authentifié, puis sélectionnez des utilisateurs dans la liste. Pour sélectionner chaque utilisateur dont vous souhaitez modifier le compte, cliquez dessus. 2 Cliquez sur l’onglet que vous souhaitez utiliser, puis procédez aux modifications requises des champs que le Gestionnaire de groupe de travail vous autorise à mettre à jour. Création d’un préréglage pour des comptes d’utilisateur Vous pouvez créer un ou plusieurs préréglages à choisir lors de la création de nouveaux comptes d’utilisateur dans un domaine de répertoire particulier. Pour créer un préréglage pour des comptes d’utilisateurs : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur à partir duquel vous créez les comptes d’utilisateur. Assurez-vous que le serveur a été configuré pour accéder au domaine de répertoire Mac OS X ou LDAPv3 non Apple sur lequel le préréglage sera utilisé pour créer de nouveaux comptes. Cliquez sur l’icône de globe si vous devez accéder au domaine concerné. 2 Cliquez sur Comptes. 3 Pour créer un préréglage à l’aide de données stockées dans un compte d’utilisateur existant, ouvrez le compte. Pour créer un préréglage à l’aide d’un compte d’utilisateur vide, créez un compte d’utilisateur. 4 Remplissez les champs avec les valeurs que vous souhaitez voir héritées par les nouveaux comptes d’utilisateur. Supprimez les valeurs que vous ne souhaitez pas inclure dans les préréglages si vous prenez comme point de départ un compte existant.60 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur Les attributs suivants peuvent être définis dans un préréglage de compte d’utilisateur : réglages de mot de passe, autorisations d’administrateur, réglages de répertoire de départ, quotas, shell par défaut, identifiant de groupe principal, liste des membres du groupe, commentaire, réglages d’ouverture de session, réglages d’impression et réglages de courrier. 5 Cliquez sur le bouton Préférences, configurez les réglages que vous souhaitez inclure dans le préréglage, puis cliquez à nouveau sur le bouton Comptes. Après avoir configuré les préférences d’un préréglage, vous devez retourner aux réglages de Comptes pour enregistrer le préréglage. 6 Choisissez Enregistrer le préréglage dans le menu local Préréglages, tapez un nom pour le préréglage, puis cliquez sur OK. Le préréglage est enregistré dans le domaine de répertoire actuel. Utilisation de préréglages pour créer des comptes Les préréglages constituent un moyen rapide pour appliquer des réglages à un nouveau compte. Après avoir appliqué le préréglage, vous pouvez si nécessaire continuer à modifier les réglages du nouveau compte. Pour créer un compte à l’aide d’un préréglage : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail sur un serveur configuré pour accéder au domaine de répertoire Mac OS X ou LDAPv3 non Apple dans lequel le préréglage sera utilisé pour créer le nouveau compte. 2 Cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine de répertoire dans lequel vous voulez que le nouveau compte réside. 4 Cliquez sur le verrou pour être authentifié comme administrateur de domaine de répertoires. 5 Dans le menu local Préréglages, choisissez le préréglage que vous souhaitez utiliser. Si vous comptez importer un fichier, choisissez un préréglage dans la zone de dialogue des options d’importation. 6 Créez un compte de manière interactive ou à l’aide d’un fichier d’importation. Si un réglage est spécifié à la fois dans le préréglage et dans le fichier d’importation, la valeur dans le fichier est utilisée. Si un réglage est spécifié dans le préréglage mais pas dans le fichier d’importation, la valeur du préréglage est utilisée. 7 Si nécessaire, ajoutez ou mettez à jour des valeurs d’attribut de manière interactive ou à l’aide d’un fichier d’importation.Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 61 Renommer des préréglages Nommez vos préréglages pour vous aider à vous souvenir des réglages modèles ou à identifier le type de compte d’utilisateur, de groupe ou d’ordinateur auquel ce préréglage convient le mieux. Pour renommer un préréglage : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur où le préréglage a été défini. 2 Cliquez sur Comptes. 3 Dans le menu local Préréglages, choisissez Renommer le préréglage, puis entrez le nouveau nom. 4 Cliquez sur OK. Modification de préréglages Lorsque vous modifiez un préréglage, les comptes existants qu’il a contribué à créer ne sont pas mis à jour pour refléter vos modifications. Pour modifier un préréglage : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur où le préréglage a été défini. 2 Cliquez sur Comptes. 3 Dans le menu local Préréglages, choisissez le préréglage que vous souhaitez modifier. 4 Après avoir terminé vos modifications, choisissez Enregistrer le préréglage dans le menu local Préréglages. Vous pouvez également modifier un préréglage tout en l’utilisant pour créer un compte : il vous suffit alors de changer tout champ défini par le préréglage, puis de l’enregistrer. Suppression de préréglages Vous pouvez supprimer les préréglages dont vous n’avez plus besoin. Pour supprimer un préréglage : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail sur le serveur où le préréglage a été défini. 2 Cliquez sur Comptes. 3 Dans le menu local Préréglages, choisissez Supprimer le préréglage. 4 Sélectionnez le préréglage que vous souhaitez supprimer, puis cliquez sur Supprimer.62 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur Travail avec des comptes d’utilisateur de type “lecture seule” Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour consulter des informations sur les comptes d’utilisateur stockés dans des domaines de répertoire en lecture seule. Les domaines de répertoires en lecture seule incluent les domaines LDAPv2, les domaines LDAPv3 non configurés pour l’accès en écriture et les fichiers de configuration BSD Pour travailler avec un compte d’utilisateur de type “lecture seule” : 1 Assurez-vous que les services de répertoire de Mac OS X Server que vous utilisez ont été configurés pour accéder au domaine de répertoire dans lequel réside le compte. Consultez le guide d’administration Open Directory pour obtenir des informations sur l’utilisation de Format de répertoire pour configurer des connexions aux serveurs et l’annexe, “Importation et exportation d’informations de compte” pour en savoir plus sur les éléments de compte d’utilisateur susceptibles de devoir être mappés. 2 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur Comptes. 3 Cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis choisissez un élément de la liste pour ouvrir le domaine de répertoire dans lequel réside le compte d’utilisateur. 4 Utilisez les onglets fournis pour passer en revue les réglages du compte de l’utilisateur. Consultez “Travail avec des réglages élémentaires pour utilisateurs” à la page 62 et “Travail avec des réglages d’impression pour utilisateurs” à la page 78 pour plus de détails. Travail avec des réglages élémentaires pour utilisateurs Les réglages élémentaires sont un ensemble d’attributs devant être définis pour tous les utilisateurs. Dans le Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur l’onglet Élémentaire situé dans la fenêtre du compte d’utilisateur pour utiliser les réglages élémentaires. Définition de noms d’utilisateurs Le nom d’utilisateur correspond au nom complet d’un utilisateur, tel que Ellen Brown ou Dr Arnold T. Smith. Il est parfois appelé nom complet ou nom réel. Les utilisateurs peuvent se connecter à l’aide du nom d’utilisateur ou du nom abrégé associés à leur compte. Les noms complets d’utilisateur sont sensibles à la casse dans la fenêtre d’ouverture de session, de sorte que si un utilisateur entre MARY SMITH au lieu de Mary Smith, l’ouverture de session échoue. Peu importe toutefois la casse lorsqu’ils sont utilisés pour authentifier un utilisateur afin de lui accorder l’accès à un serveur de fichiers ou pour ouvrir une session à partir de clients Mac OS 9 du Gestionnaire Macintosh. Un nom complet d’utilisateur ne peut pas contenir plus de 255 octets. Comme les noms complets d’utilisateur gèrent plusieurs jeux de caractères, le nombre maximal de caractères peut varier de 255 caractères romains à 85 caractères (pour les jeux de caractères qui occupent jusqu’à 3 octets).Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 63 Le Gestionnaire de groupe de travail permet de modifier le nom d’utilisateur d’un compte stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire en lecture/écriture. Vous pouvez également utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour revoir les noms d’utilisateur de tout domaine de répertoire accessible à partir du serveur que vous utilisez. Pour travailler avec le nom d’utilisateur à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte à utiliser (si ce n’est déjà fait). Pour ce faire, cliquez sur le bouton Comptes, puis sur l’icône de globe située sous la barre d’outils et ouvrez le domaine de répertoire où se trouve le compte d’utilisateur. Pour modifier le nom, cliquez sur le verrou afin d’être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Dans le champ Name de l’onglet Basic, révisez ou modifiez le nom de l’utilisateur. La valeur initiale du nom d’utilisateur correspond à “Sans titre ”. Après la modification du nom, le Gestionnaire de groupe de travail ne vérifie pas si celui-ci est unique. Évitez d’attribuer le même nom à plusieurs utilisateurs. Le Gestionnaire de groupe de travail ne vous permet pas d’attribuer le même nom à plusieurs utilisateurs d’un domaine particulier ou de tout domaine qui se trouve dans le chemin de recherche du serveur que vous utilisez, même s’il n’a aucun moyen de détecter la présence éventuelle de doublons dans les autres domaines. Définition de noms abrégés Un nom abrégé correspond à la version abrégée d’un utilisateur, comme par exemple ebrown ou arnoldsmith. Les utilisateurs peuvent se connecter à l’aide du nom abrégé ou du nom d’utilisateur associés à leur compte. Le nom abrégé est utilisé par Mac OS X pour les répertoires de départ et les groupes : • Lorsque Mac OS X crée automatiquement un répertoire de départ (local ou AFP en réseau) pour un utilisateur, il lui donne le nom abrégé de l’utilisateur. Pour plus d’informations sur les répertoires de départ, lisez le chapitre 7, “Configuration des répertoires de départ”. • Lorsque Mac OS X vérifie si un utilisateur appartient à un groupe autorisé à accéder à un fichier particulier, il utilise des noms abrégés pour trouver les Id. Util. des membres du groupe. Consultez “Eviter les doublons de noms abrégés” à la page 66. Vous y trouverez un exemple. Vous pouvez associer jusqu’à 16 noms abrégés à un compte d’utilisateur. Le premier nom abrégé correspond au nom utilisé pour les répertoires de départ et les listes d’appartenance de groupes. 64 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur Un nom abrégé d’utilisateur peut contenir jusqu’à 255 caractères romains. Toutefois, pour les clients qui utilisent Mac OS X 10.1.5 et versions antérieures, le premier nom abrégé d’utilisateur ne peut contenir plus de 8 caractères. N’utilisez que les caractères ci-après pour le premier nom abrégé d’utilisateur (les noms abrégés suivants peuvent contenir n’importe quel caractère romain) : • de a à z • de a à z • de 0 à 9 • _ (trait de soulignement) • - (tiret) Les noms abrégés contiennent généralement huit caractères au maximum. Le Gestionnaire de groupe de travail permet de modifier le nom abrégé d’un compte stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory, d’un domaine NetInfo ou de tout autre domaine de répertoire en lecture/écriture. Vous pouvez également utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour revoir les noms abrégés de tout domaine de répertoire accessible à partir du serveur que vous utilisez. Pour travailler avec un nom abrégé d’utilisateur à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte à utiliser (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis ouvrez le domaine de répertoire où se trouve le compte d’utilisateur. Pour modifier le nom abrégé, cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs. 2 Dans le champ Noms abrégés de l’onglet Élémentaire, réexaminez ou modifiez les noms abrégés. La valeur initiale du nom abrégé correspond à “Sans titre”. Si vous spécifiez plusieurs noms abrégés, ils doivent être sur des lignes différentes. Évitez d’attribuer le même nom abrégé à plusieurs utilisateurs. Bien que le Gestionnaire de groupe de travail ne vous permette pas d’attribuer le même nom abrégé à plusieurs utilisateurs d’un domaine particulier ou de tout domaine qui se trouve dans le chemin de recherche du serveur que vous utilisez, il n’a aucun moyen de détecter la présence éventuelle de doublons dans les autres domaines. Une fois le compte d’utilisateur enregistré, vous ne pouvez plus modifier le premier nom abrégé, mais vous pouvez en revanche modifier les autres dans une liste de noms abrégés. Choix de noms abrégés permanents Lorsque vous créez des groupes, Mac OS X identifie les utilisateurs qui en font partie par leur premier nom abrégé, qui ne peut être modifié. Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 65 Si vous devez absolument modifier un nom abrégé, vous pouvez créer pour l’utilisateur un compte (dans le même domaine de répertoires) contenant le nouveau nom abrégé mais conservant toutes les autres informations (Id. Util., groupe principal, répertoire de départ, etc.). Vous pouvez ensuite désactiver l’ouverture de session pour l’ancien compte d’utilisateur. Désormais, l’utilisateur peut se connecter à l’aide du nom modifié, tout en continuant à disposer du même accès aux fichiers et autres ressources de réseaux qu’auparavant. (Pour plus d’informations sur la désactivation d’un compte de connexion, consultez la section “Désactivation d’un compte d’utilisateur” à la page 82.) Eviter les doublons de noms Si des comptes d’utilisateur différents ont les mêmes noms (noms d’utilisateur ou noms abrégé) et mots de passe, les ordinateurs Mac OS X risquent de pas authentifier l’utilisateur que vous souhaitez les voir authentifier. Ou l’enregistrement d’utilisateur qui doit être utilisé pour l’authentification risque d’être masqué. Prenons l’exemple de trois domaines de répertoires partagés. Tony Smith a un compte dans le domaine Etudiants et Tom Smith un compte dans le domaine racine. Aux deux comptes sont associés le nom abrégé “tsmith” et le mot de passe “smitty”. Lorsque Tony se connecte à son ordinateur avec le nom d’utilisateur “tsmith” et le mot de passe “smitty”, il est authentifié à l’aide de la fiche située dans le domaine Étudiants. De son côté, Tom peut utiliser les mêmes entrées de connexion sur son ordinateur et peut être authentifié à l’aide de son enregistrement, dans le domaine racine. Si Tony et Tom se sont chacun connectés sur l’ordinateur de l’autre en recourant aux noms tsmith et smitty, ils ont tous deux été authentifiés, mais n’ont pas obtenu les résultats escomptés. Tony pourraient accéder aux fichiers de Tom et vice versa. / Étudiants Faculté Ordinateur de Tony Tony Smith (tsmith,smitty) Tom Smith (tsmith,smitty) Ordinateur de Tom66 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur À présent, admettons que Tony et Tom ont le même nom abrégé mais des mots de passe différents. Si Tom tente de se connecter à l’ordinateur de Tony à l’aide du nom abrégé tsmith et de son mot de passe (smitty), son enregistrement d’utilisateur sera masqué par celui de Tony dans le domaine Étudiants. Mac OS X retrouve tsmith dans Étudiants, mais le mot de passe ne correspond pas à celui utilisé par Tom pour ouvrir sa session. L’accès de Tom à l’ordinateur de Tony est refusé et son enregistrement est introuvable dans le domaine racine. Si Tony dispose, dans son domaine de répertoires local, d’une fiche d’utilisateur dotée des mêmes nom et mot de passe que sa fiche située dans le domaine Étudiants, cette dernière fiche est masquée pour Tony. Le domaine local de Tony devrait offrir une combinaison nom/mot de passe le distinguant de l’enregistrement du domaine Etudiants. Si le domaine Étudiants n’est pas accessible (lorsque Tony travaille chez lui, par exemple), il peut se connecter à l’aide du nom local et continuer sur son ordinateur. Tony peut continuer à accéder aux fichiers locaux créés lorsqu’il s’est connecté via le domaine Étudiants si l’identifiant d’utilisateur des deux fiches est identique. Les doublons de noms abrégés ont également des effets indésirables dans les enregistrements de groupe, décrits dans la section suivante. Eviter les doublons de noms abrégés Les noms abrégés étant utilisés pour trouver les identifiants d’utilisateur des membres de groupe, si des noms abrégés sont dupliqués, l’accès aux fichiers peut être accordé à des utilisateurs auxquels vous ne souhaitiez pas autoriser l’accès. / Tony Smith (tsmith, tony) Étudiants Faculté Tom Smith (tsmith, smitty) Ordinateur de Tony Ordinateur de TomChapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 67 Reportez-vous à l’exemple de Tony et Tom Smith, qui sont tous deux dotés du même nom abrégé. Supposons que l’administrateur ait créé un groupe dans le domaine racine auquel tous les étudiants appartiennent. Le groupe - Touslesétudiants - a un identifiant de groupe de 2017. Maintenant, supposons qu’un fichier, MonDoc, soit situé sur un ordinateur accessible à Tony et Tom. Le fichier a pour propriétaire un utilisateur dont l’identifiant d’utilisateur est 127. Il dispose d’autorisations d’accès en lecture seule pour Touslesétudiants. Tony, et non Tom, a été ajouté comme membre de Touslesétudiants, mais comme la liste des membres d’un groupe est constituée de noms abrégés plutôt que d’identifiants d’utilisateur et que le nom abrégé tsmith est répertorié comme membre de Touslesétudiants, Tony et Tom seront tous deux membres effectifs de Touslesétudiants. Si Tom tente d’accéder à MonDoc, Mac OS X détermine que les autorisations de possesseur ne s’appliquent pas à Tom et poursuit pour vérifier si les autorisations de groupe peuvent être appliquées à Tom. Mac OS X recherche dans la hiérarchie d’ouverture de session les enregistrements d’utilisateur dont les noms abrégés correspondent à ceux associés à Touslesétudiants. L’enregistrement d’utilisateur de Tom est trouvé (nom abrégé tsmith), car il est situé dans la hiérarchie, et l’identifiant d’utilisateur de l’enregistrement d’utilisateur est comparé à celui d’ouverture de session de Tom. Etant donné qu’ils se correspondent, Tom est autorisé à lire MonDoc, même s’il n’est pas membre de Touslesétudiants. MonDoc Tom Smith (tsmith, smitty, UID 2000) Touslesétudiants (tsmith, GID 2017) / Étudiants Faculté Tony Smith (tsmith, smitty, UID 3000) Le possesseur 127 dispose des autorisations en lecture et écriture Le groupe 2017 dispose des autorisations en lecture seule Les autres utilisateurs ne disposent d’aucune autorisation Ordinateur de Tony Ordinateur de Tom68 Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur Définition d’identifiants d’utilisateur Un identifiant d’utilisateur (UID) est un numéro qui permet d’identifier un utilisateur de manière unique. Les ordinateurs Mac OS X utilisent les identifiants d’utilisateurs pour contrôler l’appartenance de répertoires et de fichiers à un utilisateur. Lorsqu’un utilisateur crée un répertoire ou un fichier, l’identifiant d’utilisateur est stocké en tant qu’identifiant du créateur. Un utilisateur doté de cet identifiant dispose d’autorisations en lecture et écriture pour le répertoire ou le fichier par défaut. L’identifiant doit consister en une chaîne unique de chiffres compris entre 500 et 2 147 483 648. L’affectation du même identifiant à différents utilisateurs est risquée car deux utilisateurs dotés du même identifiant disposent des mêmes autorisations d’accès aux répertoires et aux fichiers. L’identifiant d’utilisateur 0 est réservé à l’utilisateur racine. Les identifiants inférieurs à 100 sont réservés au système ; les utilisateurs portant ces identifiants ne peuvent être ni supprimés ni modifiés, sauf pour changer le mot de passe de l’utilisateur racine (root). Le Gestionnaire de groupe de travail permet de modifier l’identifiant d’un compte stocké dans le répertoire LDAP d’un maître Open Directory ou d’un domaine NetInfo. Vous pouvez également utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour revoir les identifiants de tout domaine de répertoire accessible à partir du serveur que vous utilisez. Généralement, les identifiants d’utilisateur ne peuvent plus être modifiés une fois qu’ils ont été attribués et que les utilisateurs ont commencé à créer des fichiers et des répertoires sur un réseau. L’un des cas où vous pouvez avoir besoin de modifier un Id. Util. est lorsque vous fusionnez des utilisateurs créés sur des serveurs différents dans un seul et unique serveur ou groupe de serveurs. Un même ID Util. peut avoir être associé à un autre utilisateur sur le précédent serveur. Pour travailler avec l’identifiant d’utilisateur à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail : 1 Dans le Gestionnaire de groupe de travail, ouvrez le compte à utiliser (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte, cliquez sur le bouton Comptes, cliquez sur l’icône de globe située sous la barre d’outils, puis ouvrez le domaine de répertoire où se trouve le compte d’utilisateur. 2 Pour modifier l’identifiant d’utilisateur, cliquez sur le verrou pour être authentifié. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste des utilisateurs.Chapitre 4 Configuration des comptes d’utilisateur 69